pendant quelques momens l’attention de nos lecteurs sur l’origine du
peuple
le plus célèbre de l’univers. Si la Grèce présent
plus haut point de perfection où elles puissent atteindre. C’est à ce
peuple
enfin que nous devons nos plus parfaits modèles d
emiers à connaître. Les Égyptiens y envoyèrent aussi des colonies. Ce
peuple
sage, qui jouissait de tous les biens que procure
moins grande ; ils prétendaient être le plus ancien et le premier des
peuples
. En conséquence, ils se disaient Authocthones, c’
se regardaient comme les pères et les instituteurs de tous les autres
peuples
. La ressemblance des noms de leurs héros avec ceu
res peuples. La ressemblance des noms de leurs héros avec ceux de ces
peuples
qui leur étaient étrangers, paraissait à leur amo
qualités de son esprit. Il demeurait dans l’Arcadie : il apprit à ce
peuple
à se faire des cabanes, pour se défendre de la pl
sgie. Ses enfans, témoins de sa gloire, le prirent pour modèle, et le
peuple
, reconnaissant, laissa tout le pouvoir entre leur
abitans du pays s’accommodèrent sans peine des divinités de ces mêmes
peuples
orientaux, auxquels ils devaient leur civilisatio
ffectivement par les Grecs, d’abord grossiers et vagabonds ; mais les
peuples
orientaux, qui jouissaient de tous les avantages
en conduisant ses colonies dans la Grèce, porta ses connaissances aux
peuples
sauvages de cette contrée. La suite de cet ouvrag
blance entre les lois que ce prince donna aux Athéniens, et celles du
peuple
hébreu, porte à croire qu’il les avait apprises d
, que Codrus, roi d’Athènes, se dévoua à la mort pour le salut de son
peuple
, et lui procura la victoire en périssant. Ses enf
que la tradition du déluge universel ayant été conservée par tous les
peuples
, quoique d’une manière confuse, ce souvenir terri
les Phéniciens, en s’unissant ensemble, ne formèrent plus qu’un seul
peuple
. Telle est en abrégé l’histoire de cette colonie
ions. Ils devenaient par des décrets publics les héros protecteurs du
peuple
parmi lequel ils avaient vécu ; souvent d’autres
rotecteurs du peuple parmi lequel ils avaient vécu ; souvent d’autres
peuples
les adoptaient, et leur culte avait le même éclat
ui succéda, et une fille nommée Acacallis. Minos premier gouverna son
peuple
avec beaucoup de douceur ; et la ville de Crète,
rendre quelquefois pour modèles des siennes. Après avoir gouverné son
peuple
avec beaucoup de douceur et de sagesse, il mourut
r corps qui excédait la longueur du lit. Pirithoüs, roi des Lapithes,
peuple
de la Thessalie, devint le meilleur ami de Thésée
on publia qu’il avait été changé en oiseau. Les Centaures étaient des
peuples
de la Thessalie, qui les premiers trouvèrent l’ar
ste pour le jeune Hippolyte. Pendant la captivité de Thésée, l’ingrat
peuple
d’Athènes oublia tous ses bienfaits et favorisa s
op grand nombre d’étrangers ne nuisît à l’ordre public ; il divisa le
peuple
en trois corps. Le premier fut composé de nobles
éniens par la reconnaissance, vainement il augmenta les priviléges du
peuple
. On reconnut qu’il ne pouvait plus contraindre à
le. On reconnut qu’il ne pouvait plus contraindre à l’obéissance ; le
peuple
voulut gouverner par lui-même, et tous les essais
le forcèrent à s’exiler. Il reconnut l’impossibilité de gouverner un
peuple
corrompu, qui voulait sans cesse être flatté. Il
t légitimement, et une longue tyrannie l’avait rendu l’horreur de son
peuple
. Ayant appris qu’Alcimède, femme d’Éson, venait d
t n’avait d’autre ambition que celle de la gloire. Pélias, haï de son
peuple
, étonné d’un discours si hardi, n’osa refuser Jas
rinces. Ils s’étaient vainement réfugiés dans le temple de Junon ; le
peuple
les arracha de cet asile sacré, et les mit en piè
i qui se dévouerait pour elle. Déjà l’autel attendait la victime ; le
peuple
de Calydon demandait à grands cris ce sacrifice h
vit des projets concertés avec prudence et suivis avec fermeté ; des
peuples
différens, renfermés dans un même camp, et soumis
e terminer entre eux leurs différens. Le jour pris, le lieu fixé, les
peuples
en pleurs, les armées en silence, les deux prince
à Troie ; et son royaume, autant par l’opulence et par le courage des
peuples
soumis à ses lois, que par ses liaisons avec les
ermé dans une seule ville, ceux dont l’autorité s’étend sur plusieurs
peuples
, possédés également de l’esprit d’héroïsme, s’ass
claves à travers le sang qui ruisselait dans les rues, au milieu d’un
peuple
entier dévoré par la flamme ou détruit par le fer
urd’hui sur le théâtre d’Athènes, devraient instruire les rois et les
peuples
, et leur faire redouter jusqu’à la victoire même.
e la coutume de bâtir des temples passa des Égyptiens chez les autres
peuples
. Lucien dit que l’Assyrie, la Phénicie, la Syrie
mier fondement ; elle était liée d’un ruban. Après ces cérémonies, le
peuple
prenait cette pierre et la jetait dans la fosse a
que les prières paraissaient insuffisantes pour arrêter le fléau, les
peuples
furieux perdaient tout respect et profanaient les
temple qu’élever une tour pour mettre à l’abri d’un second déluge son
peuple
et lui. On sait de quelle manière Dieu arrêta ce
qu’après un espace de deux cent vingt ans. Tous les rois et tous les
peuples
de l’Asie s’empressèrent à enrichir ce temple. Il
dans l’intérieur on voyait un nombre infini de statues. Les rois, les
peuples
et les artistes les plus célèbres, s’empressaient
t par les soins des Amphictyons, avec les deniers et les dons que les
peuples
avaient destinés pour cet usage. Pour avoir une i
faibles et crédules, on ne trompe point pendant plusieurs siècles des
peuples
entiers. Le pouvoir d’un roi, la curiosité d’un h
alien d’origine, épris de l’extrême beauté de la Pythie, l’enleva. Le
peuple
de Delphes, pour prévenir de pareils attentats, o
dit que les Parthes ne pourraient être assujettis que par un roi. Le
peuple
romain se préparait à lui accorder ce litre, et l
rs prétendirent descendre des Hellen, et ce nom particulier à un seul
peuple
devint le nom général des Grecs. Recherches s
it. Une tradition célèbre, confirmée par les poésies de tous les
peuples
du Nord, par leurs annales, par leurs institution
de vengeance. Il espérait d’armer contre l’ambition de Rome tous les
peuples
barbares, ses voisins dont elle menaçait la liber
oisins dont elle menaçait la liberté. Il y réussit d’abord ; mais ces
peuples
, alliés peu fidèles, soldats mal armés, et plus m
ne manqua pas d’usurper un nom si propre à lui attirer le respect des
peuples
qu’il voulait assujettir. Odin commandait, dit-o
peuples qu’il voulait assujettir. Odin commandait, dit-on, aux Ases,
peuple
scythe, dont la patrie doit avoir été entre le Po
ys du Nord et de l’Occident de l’Europe, soumettant, dit-on, tous les
peuples
qui se trouvaient sur son passage, et leur donnan
s descendans d’Odin, ou du dieu suprême. Après avoir soumis autant de
peuples
à suivre les rites du culte de sa patrie, Odin pr
même comme une divinité. Cette opinion, favorisée par l’ignorance des
peuples
, lui acquit bientôt en Suède la même autorité qu’
ides. Ils devaient veiller à la sûreté publique, rendre la justice au
peuple
, présider au nouveau culte, et conserver fidèleme
c tant d’ardeur sa doctrine sanguinaire, qu’afin de soulever tous les
peuples
contre une puissance odieuse et formidable. Ce le
nfin, en le renversant, l’affront fait à leur fondateur et à tous les
peuples
qu’ils avaient dépouillés et foulés à leurs pieds
u’il employait avec le plus de succès pour se concilier le respect du
peuple
, était de consulter, dans les affaires difficiles
ce dont on était étonné. Idée générale de l’ancienne religion des
peuples
du Nord. Les auteurs grecs et latins eurent p
cs et latins eurent pendant long-temps peu de communications avec les
peuples
du Nord, qu’ils nommaient barbares. Ils ignoraien
cruelles. Il faudra donc distinguer deux âges dans la religion de ces
peuples
, et ne point confondre les fictions de leurs poët
ui fut probablement pendant plusieurs siècles celle de la plupart des
peuples
du nord de l’Europe, et sans doute aussi celle de
rmains en avaient retenu les dogmes principaux, tandis que les autres
peuples
, vaincus par les armes et le luxe des Romains, ad
t sa première pureté ; il paraît que ce conquérant, en se donnant aux
peuples
du Nord pour une divinité redoutable, n’eut d’aut
n’eut d’autre but que d’assurer sa domination. De la religion des
peuples
du nord, depuis Odin. L’Edda des Islandais et
auses ont corrompu toutes les religions imaginées par les hommes. Ces
peuples
dégénérés commencèrent à croire qu’un seul être n
core aujourd’hui quelques traces du culte qu’on lui rendait parmi les
peuples
du Nord. Le quatrième jour de la semaine porte pr
principale divinité du Nord était Frigga ou Fréa, sa femme. Tous les
peuples
Celtes, les anciens Syriens, et les premiers habi
suprême ; Tacite attribue le même culte aux Germains, et surtout aux
peuples
du nord de la Germanie. On ne saurait douter que
, et pour faire pencher la victoire du côté qu’il lui plaît ; car ces
peuples
courageux se gardaient bien d’attribuer les défai
ivinités du Nord, ou plutôt les idées que les poëtes en donnaient aux
peuples
crédules. C’était par les fictions, quelquefois i
s cette narration, les vestiges d’une tradition générale, dont chaque
peuple
a orné, altéré ou supprimé diverses circonstances
quer les phénomènes de la nature, qui ont dicté des fables à tous les
peuples
. En considérant le style de ces fables, ces expre
re le caractère d’une haute antiquité, et la façon de s’exprimer d’un
peuple
simple dont l’imagination vigoureuse, méprisant o
bien la croyance à la prédestination devait ajouter à la témérité des
peuples
les plus belliqueux de la terre. Les habitans du
lu ces détails, on ne doit point s’étonner si les Scandinaves et les
peuples
du Nord faisaient de la guerre leur principale oc
la valeur jusqu’à l’excès du fanatisme. Suite de la religion des
peuples
du Nord, et particulièrement de leur culte.
ie prodiguèrent leurs trésors pour construire le temple d’Éphèse. Les
peuples
du Nord, dont les forces, le courage et la patien
e merveilleuse, et destinées à des usages religieux. A mesure que les
peuples
du Nord formèrent de nouvelles liaisons avec les
e les peuples du Nord formèrent de nouvelles liaisons avec les autres
peuples
du Nord, leur religion s’altéra par degré, peu à
ples s’élevèrent, et les idoles furent adoptées. Les trois principaux
peuples
de la Scandinavie élevèrent des temples à l’Envie
anciens Danois n’étaient pas moins attachés à ce culte que les autres
peuples
du Nord. Le grand temple d’Upsal semblait être pa
Cette époque marquait aussi le commencement de l’année, qui, chez les
peuples
du Nord, se comptait d’un solstice d’hiver à l’au
les premiers temps, les offrandes étaient simples, et telles que des
peuples
pasteurs pouvaient les présenter. Les prémices de
avaient adouci les mœurs des Romains et des Grecs encore païens. Les
peuples
du Nord croyaient que le nombre trois était chéri
n bois sacré, voisin du temple. On répandait le sang en partie sur le
peuple
, en partie sur le bois sacré ; on en arrosait les
de l’Italie, les Bretons, les Phéniciens, les Carthaginois, tous les
peuples
connus de l’Europe et de l’Asie se sont couverts
fois, dans une seule occasion, cinq mille prisonniers de guerre. Les
peuples
errans de l’Afrique et de l’Amérique s’abandonnen
ses ennemis ; de là cette soif de vengeance et de destruction que les
peuples
ne peuvent assouvir lorsqu’ils n’ont aucun respec
force réunis contre lui. Le même esprit d’inquiétude qui portait les
peuples
de l’Asie et de la Grèce à chercher tous les moye
de pénétrer dans l’avenir, agissait avec non moins de pouvoir sur les
peuples
du Nord. En étudiant avec soin les phénomènes de
s ; mais le pouvoir législatif était entre les mains des druides. Les
peuples
regardaient comme les organes infaillibles de la
Bretagne, qui, dans tous les temps, surent unir à la valeur fière des
peuples
libres les plus belles vertus des nations civilis
s les plus belles vertus des nations civilisées. La gloire d’un grand
peuple
éveille le génie de l’homme sensible que la natur
la mémoire. Telle fut sans doute l’origine de la poésie chez tous les
peuples
, et cet art faisait partie de la religion des dru
der aux tableaux les plus sublimes de la poésie ; cet abus fatigua le
peuple
lui-même ; il délaissa ces bardes : ils disparure
Odin, dieu des Scandinaves, qu’il appelle Loda. Ossian représente ces
peuples
invoquant leur dieu, autour d’une statue qu’il ap
e ce culte, et le regarde comme impie. Les druides, les bardes et les
peuples
qu’ils instruisaient, regardaient la nature entiè
l’occident ; de là, sans doute, cette ressemblance de culte entre des
peuples
séparés par tant de mers et tant de terres. » Ce
ve que les Gaulois tenaient leur religion des Perses, ou du moins des
peuples
qui les avoisinaient par le nord. Les mages et le
des Gaulois paraît avoir été toujours plus pure que celle des autres
peuples
: leurs idées sur la divinité étaient bien plus j
uits ont assuré que les anciens Gaulois avaient des temples, « et ces
peuples
, dit Tacite , n’ont pour temple qu’une forêt, où
es. Arbitres suprêmes de tous les différens, de tous les intérêts des
peuples
, la justice ne se rendait que par leur ministère.
’augmenter leur crédit et leur autorité : ils avaient reconnu que les
peuples
sont toujours plus amoureux du merveilleux que de
emier jour de l’an que l’on sacrait le gui et qu’on le distribuait au
peuple
. Principales maximes des Druides. Nous all
ils n’avaient pas besoin d’être cruels dans leurs familles. Tous les
peuples
tombaient à leurs pieds, rien n’était au-dessus d
les druides, ou les druidesses, s’exerçaient le plus à la magie. Les
peuples
des Gaules et de l’Angleterre croyaient généralem
r au-dessus de tous les autres. Les druides, après avoir persuadé aux
peuples
qu’ils connaissaient les influences des astres et
toile, taille le marbre, enrichit la strophe. Elle hante vos écoles,
peuple
vos théâtres, vos musées, vos galeries, vos prome
ion des Grecs et des Romains, elle est la langue poétique de tous les
peuples
. Quiconque ignore ses charmantes inventions, ses
tions, on promena sur un char une déesse, C’est la Raison ! criait le
peuple
en courant derrière elle. — Courage ! mes braves
aux Latins, n’ont pas oublié de s’approprier la barque. Il fallait un
peuple
aussi téméraire que vous l’êtes pour s’aventurer
ts romantiques. Ni moi ni mes dieux n’avons plus rien à faire chez un
peuple
oublieux qui ne nous connaît plus. Nous partons,
l’espérer. Ablutions. La propreté, qui est un besoin pour les
peuples
civilisés, est une vertu pour les barbares. Quand
qu’aux moindres actes de la vie des particuliers ; mais plaignons les
peuples
enfants qui avaient besoin de ces lisières. La re
épuisent et les cérémonies restent. Les philosophes s’en rient, et le
peuple
, étranger à leurs systèmes, continue à les célébr
soir ennemi. Les hommes partagent sa douleur. Quel désespoir pour les
peuples
de ces lumineuses contrées d’Orient de ne plus vo
le soulever et de l’étouffer dans ses bras. Ce géant est l’image des
peuples
, qui sont toujours forts quand on les attaque che
la terre natale. Mais, comme il est difficile de transporter un grand
peuple
tout entier, la patrie saxonne se releva en moins
étaient placés après leur mort au rang des divinités secondaires. Les
peuples
imploraient leur médiation auprès de Zeus, le die
ui destitue des ministres corrompus ou des juges prévaricateurs, — Un
peuple
qui renverse un mauvais gouvernement, — Un admini
ne déclamions point ainsi de notre temps. Mais je ne sais pourquoi ce
peuple
n’a jamais pu se figurer qu’un Romain parlât simp
es latines dans nos concours annuels ? Est-ce que dans nos temples le
peuple
ne prie pas en latin ? Allez dans nos cimetières
dit-il après avoir rêvé un instant, que, de toutes les habitudes d’un
peuple
, les plus difficiles à déraciner sont celles du l
r les chevaux et à s’en servir pour la guerre, inspirèrent aux autres
peuples
une terreur qui donna lieu à la fable des Centaur
leil ses moissons, comme une reine son long manteau d’or. Partout les
peuples
reconnaissants ont joyeusement fêté leur divine n
riche, j’en conviens ; mais cela parle aux yeux, cela est compris du
peuple
, qui aime les images sensibles et qui est resté p
çons, jusqu’à ce qu’ils l’aient recouvré, à une vieille image dont le
peuple
est obligé de demander l’explication aux savants.
est invraisemblable, mais parce que je me méfie du génie inventif des
peuples
grecs. Certes, j’ai lu l’histoire des Républiques
an. Il rentre dans l’innombrable famille des animaux fabuleux dont le
peuple
est le Linnée. Généralement on se le représente s
ences, d’une sanction religieuse. Le droit est une révélation que les
peuples
ignorants attendent d’en haut, et les législateur
impératrice, qui s’offrait les épaules nues et les cheveux défaits au
peuple
mutiné contre Justinien ; Judith, l’impérieuse fe
e aussi bien dans l’histoire pour la paix des États et le bonheur des
peuples
! Esculape. Les anciens adoraient sous troi
, qui n’était qu’un homme d’esprit, avaient parlé de leur étoile, les
peuples
, qui attendent toujours de grandes choses des hom
s les trésors de tes mains fécondes Sur mes moissons blondes,
Peuple
mon étable, emplis mes vergers ! Quand le chœur
vient d’une ancienne tradition qu’on retrouve au berceau de tous les
peuples
. Il est facile de comprendre comment cette erreur
œufs, on étouffe leurs petits, et c’est sagement fait, car comment le
peuple
résisterait-il à ces couvées d’ennemis, s’il les
ables armées, S’abattent à grands cris sur les champs des Pygmées, Le
peuple
s’arme ; on voit marcher dans les sillons, Sous l
des Pygmées est un de ceux qu’on trouve en circulation chez tous les
peuples
du monde. Il a charmé au berceau l’enfance du gen
tables que nous. » — Celle, de Béranger n’est pas moins connue : Un
peuple
de nains nous remplace. …………………………………… Tout est p
, philosophes, athlètes, orateurs, tous ceux qui désiraient plaire au
peuple
le plus délicat du monde, venaient sacrifier. Mai
s divines sœurs lui avaient souri au berceau. Il était la joie du bon
peuple
d’Athènes, qui lui passait tout, sa fatuité, sa p
ces oiseaux étranges une énergique application aux femmes rapaces. Le
peuple
dit d’elles : « Ce sont des Arpyes, de véritables
l, après lequel on purifiait les temples, les places, les maisons, le
peuple
et les armées. Il y avait des purifications fumig
tés de cette langue à part que nous appelons poétique, et qui pour le
peuple
n’est que du grimoire. On connaît ce quatrain de
métamorphosa en hommes les fourmis de l’île et lui improvisa ainsi un
peuple
en quelques instants. Ces nouveaux Éginètes s’app
e action. Les fortes races sont pour nous des races de Géants, et les
peuples
dégénérés des peuples de Myrmidons et de Pygmées.
aces sont pour nous des races de Géants, et les peuples dégénérés des
peuples
de Myrmidons et de Pygmées. Myrmidon au figuré es
phores empruntées à la fable, était devenue une langue savante que le
peuple
n’entendait plus : en l’allégeant de ce bagage al
s traditions s’altèrent, mais la nature ne change ni ne vieillit. Les
peuples
jeunes l’aiment d’instinct ; les âges civilisés o
isième. Il avait l’éloquence persuasive qui convient à un pasteur de
peuples
. « La parole, dit Homère, coulait de ses lèvres,
âtelier. Je suis vraiment fâché de passer sans transition d’un âne au
peuple
grec ; mais l’âne ne sera pas plus fier du rappro
on d’oracle, rendre ses oracles ; je ne comprends pas vos oracles. Le
peuple
dit encore d’un bon chanteur : — Il chante comme
aillettes, etc. Je ne sais rien de plus charmant que la curiosité des
peuples
primitifs, si ce n’est celle des enfants. Ce n’es
on Saturne et de la sotte religion des Grecs. Quant à supposer que ce
peuple
si ingénieux pouvait cacher quelque idée sous cet
ociles à cet appel sonore : ce sont les abeilles. — Bacchus réunit le
peuple
errant, l’enferme dans le creux d’un arbre, et jo
erre en temps de paix, et la paix en temps de guerre ; se croiront le
peuple
le plus spirituel du monde, et le proclameront da
ens. Quel sens couvraient donc ces représentations que la piété de ce
peuple
aimait tant à prodiguer ? Signifiaient-elles le p
esprit de caste éteint, l’esclavage aboli, et enfin la conscience des
peuples
modernes, qui ont horreur de l’immobilité, comme
viiie siècle. On prétend que cette fable vient de ce que les anciens
peuples
de la Sicile, qui travaillaient à l’exploitation
chée au front. Cette conjecture est vraisemblable, car les Arimaspes,
peuple
scythe, qui, selon la légende, disputaient aux gr
ore à Dédale l’invention des mâts et des voiles. Heureux temps où les
peuples
enveloppaient de légendes la vie de leurs artiste
truit. Les arts sont inventés, les hommes se multiplient, la terre se
peuple
, les précipices, les montagnes, les mers, les fle
e se trouvent marquées dans les annales et les traditions des anciens
peuples
. C’est en Orient qu’arriva la confusion des langu
terres. « La mémoire de ces trois premiers auteurs des nations et des
peuples
s’est conservée parmi les hommes. Japhet, qui a p
iens et les Phéniciens, et la mémoire de Sem a toujours duré parmi le
peuple
hébreu qui en est sorti. « Un peu après ce premie
entaux ne durent point tomber dans la même barbarie qui déshonora les
peuples
qui s’étaient enfoncés le plus avant dans les ter
déens, des Phéniciens et des Égyptiens. On verra que ce fut parmi ces
peuples
que l’idolâtrie prit naissance ; et la suite de c
suite de cet ouvrage prouvera que ce furent des colonies de ces mêmes
peuples
qui portèrent aux Grecs et aux peuples de l’Occid
rent des colonies de ces mêmes peuples qui portèrent aux Grecs et aux
peuples
de l’Occident des lois, des coutumes, des mœurs p
dieux de l’Occident. Tradition des Chaldéens. C’est parmi les
peuples
de l’Asie qu’il faut chercher l’origine de l’idol
olâtrie. On ne peut disputer aux Chaldéens d’être un des plus anciens
peuples
de la terre. Nemrod en fut le premier roi. Il est
géans dont parle l’Écriture Sainte. On doit aussi remarquer parmi ces
peuples
l’origine de l’idolâtrie, puisqu’il est dit qu’il
ce point. Ce qu’il nous importe de savoir, c’est que l’un et l’autre
peuples
avaient déjà mêlé des systèmes aux souvenirs qu’i
lus terribles. Ces épreuves se nommaient initiations. La religion des
peuples
n’était qu’une idolâtrie grossière. Frappés à la
plantes, des animaux. Les historiens sacrés et profanes parlent de ce
peuple
comme de la plus sage des nations, et l’un des él
donnait ce précepte ; on voit donc que c’était pour faire oublier au
peuple
de Dieu les superstitions dont il avait été le té
n, et pour le garantir de celles qu’il rencontrerait parmi les autres
peuples
; car dès lors le culte des astres était presque
Depuis la découverte de l’Amérique, on a reconnu que presque tous les
peuples
de ce vaste continent adoraient le soleil. Les In
t les fils de Jupiter ou d’Hercule. On peut même assurer que tous les
peuples
dont la religion nous a été connue ont adoré cet
e l’Isis des Égyptiens, nom qui veut dire l’ancienne, et qui parmi ce
peuple
était le symbole de la lune. Tels paraissent avoi
deux principes, et qu’elle existe encore aujourd’hui parmi plusieurs
peuples
de l’Amérique. L’Écriture Sainte nous apprend qu’
que les sybaritides, qui prenaient leur nom des habitans de Sybaris,
peuple
le plus occupé de ses plaisirs. Telles sont à peu
esser. Conjectures sur l’origine des fables. En voyant tous les
peuples
de la terre, à l’exception du peuple de Dieu, ado
s fables. En voyant tous les peuples de la terre, à l’exception du
peuple
de Dieu, adopter avidement les fables, et les fai
donc point parmi les Grecs qu’il faut chercher l’origine des anciens
peuples
, des premiers dieux et des premières fables. Leur
ains, car les Égyptiens, les Chaldéens, les Phéniciens et les anciens
peuples
de l’Orient, connaissaient beaucoup mieux les tem
. Les arts et la politesse régnaient en Égypte, dans le temps que les
peuples
de l’Occident vivaient encore dans la barbarie. C
ur ignorance et leur nouveauté. Ils rougissaient de tout devoir à des
peuples
étrangers ; et l’espoir de faire croire que tout
nt de majesté les victoires du dieu des armées sur les ennemis de son
peuple
. Homère n’a donc été que le chantre et non pas l
d’usages bizarres. Des dieux des Grecs, des Romains, et des autres
peuples
de l’Occident. Les réflexions précédentes suf
l historien qui entre dans quelques détails : « Les Pélasges, dit-il,
peuple
le plus ancien de la Grèce, honoraient leurs dieu
Dans le second ordre étaient compris les dieux qu’ Ovide appelait le
peuple
dieu . Ils se nommaient, dieux moindres des natio
ésenté avec deux visages (Voy. fig. 2), parce qu’il commandait à deux
peuples
différens, et parce qu’il partagea son empire ave
ndait descendre, et sous la protection duquel ce prince avait mis son
peuple
belliqueux. Le nom du mois d’avril vient du mot l
soumise à cette épreuve ; elle l’obtient, et se présente au milieu du
peuple
romain, parée de toute sa beauté. Sa démarche, à
établir le premier oracle. Les Scythes avaient leur Jupiter ; chaque
peuple
lui donnait un nom particulier. Les Éthiopiens le
et usage ne cessa qu’après la prise de Troie. De là vient que tant de
peuples
différens se vantaient que Jupiter était né parmi
e trône et la statue du dieu, chef-d’œuvre du célèbre Phydias. Chaque
peuple
avait sa manière différente de représenter Jupite
, rapporte que Périphas, roi d’Athènes, se fit tellement aimer de son
peuple
, que ses sujets voulurent l’adorer comme Jupiter
l’on rendait à Jupiter. Il était aussi le plus varié, puisque chaque
peuple
changeait à son gré ses cérémonies religieuses. I
ut emporté par un coup de vent, et son corps ne put être retrouvé. Le
peuple
, touché de son sort, et se souvenant de ses vertu
i, par la suite, égalèrent leurs pères, et furent les chefs de grands
peuples
. Maïa, l’aînée des sept, eut de Jupiter, Mercure,
e Soleil long-temps avant que l’Apollon des Grecs fût connu. Tous les
peuples
de l’Orient l’adoraient ; les Chaldéens et les Ph
dieux et tous les héros avaient pris naissance dans leur pays. Jamais
peuple
ne fut plus avide de célébrité. Les conquêtes de
lui, se retira sur les bords de la mer Rouge ; Moïse, pour enlever le
peuple
hébreu aux persécutions des Égyptiens, traversa l
s couper. Un coup maladroitement donné retomba sur ses jambes ; et le
peuple
, témoin de sa blessure, la regarda comme une puni
autre projet que d’enseigner l’art de cultiver la vigne aux différens
peuples
qu’il soumettait, il fut reçu partout comme une d
ps, originaire de Saïs, ayant conduit une colonie égyptienne chez les
peuples
de l’Attique, leur fît abandonner leurs coutumes
la culture de cet arbre, et la nécessité d’assurer la navigation des
peuples
étrangers fit réformer le goût naturel que les At
ntre les matelots, qui reconnaissaient Neptune pour leur chef, et, le
peuple
réuni au sénat, qui étaient présidés par Minerve.
y eut beaucoup de princes de ce nom, et par la suite presque tous les
peuples
voulurent avoir leur Mars. Nous allons citer les
parvint à les subjuguer. La gloire et la force étonnent toujours. Les
peuples
, après avoir d’abord craint et admiré Nemrod, rec
suprême ; la couronne orna son front, et les descendans de ces mêmes
peuples
en firent un dieu. Le savant Hygin nous apprend q
ement par sa force, sa valeur et ses conquêtes, qu’il mérita parmi ce
peuple
, le plus belliqueux du monde, le nom de dieu de l
m de Vénus ; mais sa véritable origine se trouve dans la Phénicie. Ce
peuple
oriental adorait Vénus, Uranie ou Céleste, c’est-
lus graves de l’état se tenaient dans le temple de Vulcain. Parmi les
peuples
anciens les Égyptiens sont ceux qui ont le plus h
x. Il contribua beaucoup à polir les mœurs et à cultiver l’esprit des
peuples
qu’il gouvernait. Il les unit ensemble par le com
re. Ce culte variait comme les coutumes et les opinions des différens
peuples
, mais le culte de l’eau était général. Les Égypti
jets le droit de s’y baigner et d’y puiser de l’eau. Presque tous les
peuples
de la terre faisaient des libations à l’Océan, au
e dieu des Libyens ne présidait point à la mer. Il avait instruit ses
peuples
à dompter les chevaux ; ce qui le fît surnommer H
on après s’être retirée : la chaleur du soleil causa la peste ; et le
peuple
, toujours superstitieux, répéta que ces deux fléa
l’esprit de chaleur qui produit les plantes et leur donne la vie. Le
peuple
l’honorait comme un véritable dieu. On le représe
saient le nom. Ce sacrifice, offert pour le salut et la prospérité du
peuple
romain, se faisait avec des préparatifs très-disp
jectures que l’on a faites à ce sujet ne méritent aucune croyance. Le
peuple
était persuadé que la déesse aurait sur-le-champ
antes les lois établies pour assurer les propriétés, sut persuader au
peuple
romain qu’il existait un dieu protecteur des limi
démentis par le cri général de toutes les consciences et de tous les
peuples
, qu’il est inutile de les combattre. Les philosop
donnent la main représente ordinairement cette déesse. (Fig. 55.) Un
peuple
autant idolâtre de sa liberté que l’était le peup
se. (Fig. 55.) Un peuple autant idolâtre de sa liberté que l’était le
peuple
romain, ne pouvait manquer d’en faire une divinit
s lois et la balance de la justice. Le Silence avait ses autels ; les
peuples
de l’Orient l’adoraient sous le nom d’Harpocrate,
ulape lui-même qui s’était ainsi déguisé. Cette fable fut crue par le
peuple
, et la foule venait adorer cette divinité de la s
t l’illustre et trop modeste auteur cherchait à s’envelopper. Tout un
peuple
d’admirateurs a nommé son altesse royale madame l
il est très-important que les jeunes gens sachent la religion de ces
peuples
, pour comprendre leurs poëtes et saisir une foule
r toujours par ses chants le lever de l’aurore. 5. Les Romains et les
peuples
du Nord ont eu pour le dieu de la guerre un culte
ont qu’une personnification du bien-être qui se répandit sur tous les
peuples
, à mesure que l’agriculture fut mieux connue et q
ui quitta les côtes et osa se lancer en pleine mer ; l’imagination du
peuple
aura ainsi divinisé ce courageux effort. 12. Méli
in de nombreuses abeilles, Et tel dans un Etat de fourmis composé, Le
peuple
rentre et sort, en cent parts divisé. 3. Près d
furent les destinées de Tithon ? 6. Quels étaient ses fils ? Sur quel
peuple
avait régné Memnon ? A quelle fable donna lieu sa
Pallante, origine bizarre qui ne s’explique pas facilement. Tous les
peuples
lui élevaient des temples et s’efforçaient de mér
dre en éclats, qui gronde sous ses pieds, Semble annoncer la mort aux
peuples
effrayés. 6. La Paresse était fille du Sommeil
s de son cœur, qui ne fût changé en divinités, tant l’intelligence du
peuple
était profondément obscurcie. 5. La Pauvreté, que
érités et de l’erreur, Sa voix en merveilles féconde Va chez tous les
peuples
du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau
lements de la foudre que Jupiter promène dans les nues. Là s’agite un
peuple
léger, là vont et viennent mille vaines rumeurs v
n à nation, l’intérêt excita des guerres injustes et cruelles, et les
peuples
n’eurent pas d’autre ressource que la force pour
ent alors dans la société ? 2. Quelle reconnaissance durent avoir les
peuples
pour ceux qui les délivrèrent de cette anarchie ?
s empoisonnées. 6º Il alla ensuite combattre les Amazones. C’était un
peuple
de femmes guerrières qui habitaient la Scythie. E
dans l’air et l’étouffa entre ses bras. Après la défaite d’Anthée, le
peuple
des Pygmées qui lui obéissait et qui se composait
l les poëtes lui ont fait épouser Hébé, la déesse de la jeunesse. Les
peuples
de la Grèce et de l’Italie lui ont élevé des temp
s dèmes ou bourgades qui avaient d’abord constitué Athènes, divisa le
peuple
en trois corps auxquels il accorda les plus grand
e. 1. Quel fut le plus grand événement des temps héroïques ? Quels
peuples
prirent part à la guerre de Troie ? 2. Quelle fut
, qu’ils survécurent à la ruine de Corinthe elle-même. Le concours du
peuple
était si grand, qu’on ne pouvait y placer que les
ses des idoles exploitaient au profit de leur puissance la foi que le
peuple
avait dans ces communications célestes, ils se di
s philosophes les attaquèrent comme une superstition, et portèrent le
peuple
à réfléchir sur ces trames dont il était victime.
ce des vérités primitives. Pour maintenir leur puissance et rendre le
peuple
esclave de leurs caprices, ils eurent deux doctri
ssière, remplie de superstitions et d’absurdités, qu’on enseignait au
peuple
. La doctrine ésotérique n’avait pas conservé, il
ces, et les épimélètes ou administrateurs, qui étaient choisis par le
peuple
. Les savants sont partagés à l’égard de l’influen
1. Les Indiens sont très-religieux. Comme celles de tous les autres
peuples
, leurs croyances furent pures à l’origine. Ils co
es d’entrer en union avec la Divinité. Cette doctrine fait voir à ces
peuples
abusés l’âme de leurs ancêtres dans un chien, dan
e faire des présents aux brahmines. Ces prêtres entretiennent dans le
peuple
les superstitions les plus honteuses, ils lui fon
on distingue aujourd’hui dans l’Inde ? Quelles absurdités débitent au
peuple
les brahmines ? 8. En quel temps parut Bouddha ?
croyances primitives des Perses furent pures comme celles de tous les
peuples
. Tous les savants s’accordent à dire qu’ils recon
u et aux astres, et ils poussèrent peut-être plus loin que les autres
peuples
les folies de l’astrologie judiciaire. Ils admett
es égyptiens, ils tenaient secrètes leurs doctrines, et laissaient le
peuple
se précipiter dans les plus monstrueuses erreurs,
désordres et qui les autorisaient pour dominer plus facilement sur le
peuple
abruti, ayant été presque tous massacrés après le
, différents édits où ils confessaient le vrai Dieu et ordonnaient au
peuple
de l’adorer. Au milieu du mouvement général des e
aient être compris que des initiés. Les doctrines qu’on enseignait au
peuple
étaient extrêmement grossières. Chaque temple ava
tait fils de Jupiter et de Junon. Il régna sur l’Egypte et rendit son
peuple
heureux en le gratifiant d’une foule d’inventions
la civilisation. Son épouse Isis eut le mérite de faire connaître aux
peuples
l’orge et le blé et de s’associer ainsi aux bienf
de la science et de l’industrie, Osiris voulut communiquer aux autres
peuples
ces mêmes avantages dans l’intérêt de l’humanité.
et partout il fut environné des respects et des hommages de tous les
peuples
qu’il éclairait. 4. Cependant son épouse Isis éta
ncu, et la paix et l’abondance régnèrent avec le fils d’Osiris. 8. Le
peuple
, qui prenait ces fables au sérieux, était très-su
a croyance des prêtres égyptiens ? Quels étaient leurs livres ? 2. Le
peuple
participait-il à leurs lumières ? Quelle idée se
gard de ces divinités, est presque la même que la croyance des autres
peuples
; ils regardent Mercure comme l’inventeur de tous
parfaite entre la religion des Gaulois et celle des Romains. Ces deux
peuples
déifièrent l’un et l’autre la nature et ses merve
qu’il aurait considéré comme impie celui qui eût osé les abattre. Ce
peuple
n’avait point de temples, parce qu’il ne croyait
devenaient entre leurs mains autant de pronostics que la crédulité du
peuple
admettait, et qui permettait aux prêtres de se mê
itre V. De la religion des Scandinaves. 1. L’ancienne religion des
peuples
du Nord était simple et pure comme celle de toute
abusa de sa puissance et de ses victoires pour se faire adorer par le
peuple
. Les Scandinaves l’appelaient le maître de l’univ
u’une pareille doctrine devait terriblement exciter le courage de ces
peuples
superstitieux. 8. La mythologie des Scandinaves s
La mythologie des Scandinaves suppose, comme celle de tous les autres
peuples
, la chute et la dégradation du monde actuel. Mais
més. » Questionnaire. 1. Quelle était la religion primitive des
peuples
du Nord ? Comment ces croyances primitives se son
, 114. Averne, bouche des enfers, 68. B Babel, dispersion des
peuples
après la construction de cette tour, 8. Babylone
s chevaux, des gens armés, 156. Création de Moïse, défigurée par les
peuples
du Nord. 194. Créon, frère de Jocaste, 140. Cré
, punies aux enfers, 73. Daniel , prophète, 171, 172, 173. Danois,
peuple
du Nord, 192. Darba, herbe sacrée, 168. Dardane
pr. troyen, 147. Laomédon, roi de Troie, 33, 62, 85, 142. Lapithes,
peuple
de Thessalie, 121. Lares, div. domestiques, 81,
de la création, 8. Nomius, un des noms de Mercure, 43. Norwégiens,
peuple
du Nord, 192. Nuit, fille du Chaos, 12. Numa, r
z les Perses, 174. Pégase, cheval ailé, 37, 86, 128, 129. Pélasges,
peuples
primitifs de la Grèce, 141. Pélias, son hist., 1
divinité, 90. Pugilat, 155. Pygas, reine des Pygmées, 28. Pygmées,
peuple
, 115. Pylade, ami d’Oreste, 149. Pyrame, 152.
Renommée, 101 ; la Toison d’or, 107 ; Eloge d’Orphée, 132. Rutules,
peuple
d’Italie, 148. S Sacrifice d’Iphigénie, 14
èce, 156. Scamandre, ou Xanthe, fl. de la Troade, 145. Scandinaves,
peuple
du Nord, 190. Scorpion, const., 34. Scylla, nym
Stymphale, lac d’Arcadie, 44 3. Styx, fl. des enfers, 69. Suédois,
peuple
du Nord, 192. Sylvain, dieu des bois, 78. Sylla
e. Saturne et Jupiter ont existé, et l’amour et la reconnoissance des
peuples
en ont fait des Dieux. Tous les premiers bons roi
s n’a pas dû les représenter voleurs, adultères, incestueux, etc. Des
peuples
privés de la seule lumière qui puisse donner l’id
r quelques incohérences de la Mythologie ; mais comment justifier les
peuples
qui adoptèrent de telles fables et qui adorèrent
de là on inventa le supplice des Danaïdes, celui de Sisyphe, etc. Des
peuples
qui adoroient des Divinités cruelles, telle que B
rons dans les ouvrages des anciens, paroissent inconcevables chez des
peuples
dont les mœurs étoient incontestablement très-fér
ples dont les mœurs étoient incontestablement très-féroces ; chez des
peuples
dont les têtes étoient ou sanglantes ou d’une lic
les têtes étoient ou sanglantes ou d’une licence effrénée5 ; chez des
peuples
enfin qui enterroient vivantes de jeunes femmes,
ir l’influence qu’elles durent avoir sur le génie et les mœurs de ces
peuples
. Je ne me flatte assurément pas d’avoir approfond
u’on appeloit le Latium. Il y donna de si belles lois et gouverna ses
peuples
avec tant de douceur, que son règne fut appelé le
iomphe au Capitole, et sa fille, au bruit des acclamations de tout le
peuple
, se rendit au temple de Vesta. Les vestales avoie
fut déférée à la vestale Suffetia pour un champ dont elle gratifia le
peuple
romain ; et sa statue fut mise dans le lieu qu’el
jugemens rendus par le conseil souverain des pontifes ; le tribun du
peuple
avoit droit de faire ses représentations, et le p
; le tribun du peuple avoit droit de faire ses représentations, et le
peuple
, de son autorité, cassoit les arrêts qu’il jugeoi
vestale devoit passer par plusieurs rues et par la grande place ; le
peuple
accourcit de tous côtés à ce triste spectacle, qu
s condamnées à la mort. Sous le consulat de Pinarius et de Furius, le
peuple
fut frappé d’une infinité de prodiges. Dans cette
s garçons que pour les femmes et les filles. J’ai vu de même chez des
peuples
éloignés, des femmes admises à des concours publi
alfaits. On ne recherchoit que la beauté dans les mariages ; aussi ce
peuple
étoit-il d’une beauté singulière, mais lâche et e
ter, ayant pris part à cette vengeance atroce, avoit pétrifié tout le
peuple
; le dixième jour, enfin, ils furent enterrés. La
haque lune, et lorsque le Soleil descendoit sous l’horison, plusieurs
peuples
de la Grèce et de l’Italie officient à Hécate un
r la mémoire d’une courtisane, nommée Acca Laurentia, qui institua le
peuple
Romain héritier de tous ses biens. Le peuple, par
urentia, qui institua le peuple Romain héritier de tous ses biens. Le
peuple
, par reconnoissance, fit l’apothéose de sa bienfa
t enfin l’on faisoit tremper ce gui dans une eau qu’on distribuoit au
peuple
comme un préservatif contre les enchantemens et l
vaste forêt. Là, du haut de cette tour, elle rendoit ses oracles aux
peuples
rassemblés à certaines époques pour l’écouter et
qui regardoit l’ordre sénatorial, et en plébéienne, réservée pour le
peuple
. Cette dernière avoit son temple dans la rue de R
te distinction : Virginia, de famille patricienne, épousa un homme du
peuple
, nommé Volumnius. Les matrones patriciennes la ch
découverte dans les temples n’a point été le même chez les différens
peuples
du monde. Les anciens Romains rendoient leur cult
e de Jupiter ; Periphas, roi d’Athènes, se fit tellement aimer de ses
peuples
, qu’ils l’adorèrent comme un Dieu ; Jupiter voulo
e et on lui faisoit des obsèques magnifiques, Quand il étoit mort, le
peuple
le pleuroit comme s’il eut perdu récemment Osiris
elle seconda ses vues de bienfaisance, et se fit chérir comme lui des
peuples
du Latium. Aussi les poètes désignent-ils souvent
de ne lui avoir pas adjugé la pomme d’or, et elle devint l’ennemie du
peuple
troyen ; les Grecs, au contraire, furent les obje
ougueux, et l’assujettit à la main et à la voix du cavalier. Tous les
peuples
honorèrent Neptune, le craignirent, lui dressèren
endait sur la mer et sur la terre, dans le tartare et dans les cieux.
Peuples
, rois, magistrats, guerriers, invoquaient son nom
saient près du temple, dans une enceinte assez vaste pour contenir un
peuple
nombreux. Ils se couronnaient de myrte, se lavaie
orps. Quand ils avaient terminé leurs courses et leurs sacrifices, le
peuple
se pressait autour d’eux pour les consulter : leu
du miel, suivaient ses pas. Sa conquête ne coûta point de sang : les
peuples
se soumettaient avec joie à un conquérant plein d
nt verrous, pour qu’il fût long et difficile de les ouvrir, et que le
peuple
comprît par là que la guerre, source infinie de c
— Cette fable des Dryades a été imaginée sans doute pour empêcher les
peuples
de détruire imprudemment les bois. Chez les Romai
manière au milieu du nouveau temple. Cette fable se débitait parmi le
peuple
, pour lui persuader que les limites des champs so
ami. Arrivés ensemble sur les côtes de Cappadoce, ils attaquèrent ce
peuple
de femmes, en tuèrent une partie, dispersèrent le
t assailli durant son sommeil par la troupe des Pygmées. Les Pygmées,
peuple
nain, n’avaient qu’un pied de hauteur, bâtissaien
ve. Vingt ans plus tard, le courage de Persée et l’attachement que le
peuple
lui portait, firent ombrage à Polydecte, qui cher
as, qui ne voulait pas se dessaisir du sceptre, mais qui redoutait le
peuple
, pensa que le parti le plus sûr était d’éloigner
semer les dents du dragon pour obtenir de cette manière « un nouveau
peuple
. » Cadmus obéit sans bien comprendre l’ordre de l
que séduisantes, Ino, Agavé, Autonoé et Sémélé ; et chef suprême d’un
peuple
dévoué et soumis ; mais Junon n’envisageait pas d
devenue folle, se précipita dans la mer. Pour comble d’infortune, son
peuple
se révolta, son autorité fut méconnue, il fut ban
ui signifie qu’Amphion se servit de son éloquence pour persuader à un
peuple
encore grossier d’abandonner la campagne et les b
fils de Pétès, et l’un des descendants d’Érechthée, flatta si bien le
peuple
d’Athènes, et mit en usage tant de brigue et d’ar
üs. Pirithoüs, fils d’Ixion et de la Nue, était roi des Lapithes,
peuple
de Thessalie. Frappé de surprise au récit des exp
e Hippodamie, (appelée Déidamie par quelques auteurs). Les Centaures,
peuple
de Thessalie, monstres demi-hommes et demi-chevau
Il l’envoya avec une faible troupe porter la guerre chez les Solymes,
peuple
puissant de la Pisidie ; et Bellérophon fut victo
ne quenouille et un fuseau. Ce prodige éveilla l’attention de tout le
peuple
. L’oracle interrogé ordonna de bâtir à Minerve un
rd d’armes et d’armures bien propre à inspirer des soupçons : mais le
peuple
n’y donne aucune suite. En ce moment, des bergers
antent en l’honneur de Minerve des hymnes d’actions de grâces ; et le
peuple
entier se livre aux excès d’usage dans un jour de
itement avec plusieurs familles illustres, et sentit dès lors pour le
peuple
grec un attachement que ne purent affaiblir les h
ntourent, s’élance, et plonge son épée dans le sein de son enfant… Le
peuple
indigné se soulève contre ce père fanatique, et l
tempête qui jeta la flotte sur le rivage de la Campanie, au milieu de
peuples
anthropophages, appelés Lestrigons. Ulysse députa
es efféminés elle proposait ce défi : ils l’acceptèrent cependant. Le
peuple
vint en foule au palais. Chacun des prétendants s
ort le ploie en deux. « A cet acte de vigueur, dit-il en regardant le
peuple
stupéfait, reconnaissez Ulysse votre roi, l’époux
effet, lorsqu’elle annonça de grands malheurs à Priam, à Pâris et au
peuple
troyen, on la taxa de folie, et on l’enferma dans
es devins, qui présagèrent à Lavinie une brillante destinée, et à son
peuple
une guerre prochaine et inévitable. Latinus, pour
, devenue l’épouse du roi de Crète, sut si bien gagner l’amour de ses
peuples
qu’ils lui rendirent après sa mort des honneurs d
un culte religieux. Numa Pompilius voulant rédiger des lois pour son
peuple
encore barbare, se retirait fréquemment dans les
inspirée que pour donner à ses lois une sanction divine, et rendre le
peuple
romain plus docile à s’y conformer. § 11. Lato
férence, quelquefois même d’une raillerie coupable ; et tandis que le
peuple
se rendait en foule au sanctuaire d’Apollon, Niob
sseau, je publierai ton odieux procédé ; je soulèverai contre toi ton
peuple
et le mien ; et, en attendant, j’appelle sur ta t
intestines dont l’habile Danaüs profita, et à l’issue desquelles, le
peuple
, qui n’aime que le changement, lui adjugea la cou
ugement par son père, allait subir une injuste condamnation ; mais le
peuple
d’Argos se prononça en sa faveur, et la rendit à
retour, il s’aperçut que son frère Typhon avait soulevé une partie du
peuple
, et s’était rendu redoutable à Isis. Naturellemen
iles musiciennes, à l’aide desquelles il commença la civilisation des
peuples
. Revenu en Égypte, il tua le géant Typhon, meurtr
me nous l’avons dit, avait inventé l’agriculture. Quand il mourut, le
peuple
s’imagina que l’âme de ce roi avait passé dans le
it, la figure d’un aigle sur le dos, et quelques autres signes que le
peuple
croyait naturels, mais qui étaient l’ouvrage des
aumait ensuite, on lui faisait de somptueuses funérailles, et tout le
peuple
se lamentait comme s’il eût perdu Osiris. Ce deui
ent destinées. Ce culte était fondé, 1° sur la persuasion où était le
peuple
que les dieux, poursuivis par le géant Typhon, s’
ans après son érection, un tremblement de terre l’ayant renversé, les
peuples
voisins, désirant qu’il fût remis sur pied, envoy
qu’ils offrissent à ce vain simulacre des prières et de l’encens. Les
peuples
voisins, entraînés par cet exemple, déifièrent le
brité honteuse. On divinisa les passions et les vices. Mais c’est aux
peuples
de la Grèce que la mythologie doit son plus grand
’Éson, avait bâti la ville d’Iolchos.) 31. Les Magnésiens étaient un
peuple
de Macédoine : Jason était thessalien. 32. D’aut
ces fables, plus ils ont pris soin de le faire, et cela chez tous les
peuples
, afin que le merveilleux incompréhensible dont il
oriques, de plus en plus dénaturées, ou ayant passé d’âge en âge d’un
peuple
chez un autre ? Nous l’indiquerons autant qu’il n
l culte. Mythologie Grecque-Romaine. Plus que tout autre
peuple
, la nation grecque fut propre à être le berceau d
atter leur orgueil, ou donner carrière à leurs songes métaphysiques ;
peuple
sans liaison politique et tolérant par essence, l
onia, en Phrygie, Magna mater à Rome, et Ops chez les Latins. Mais le
peuple
d’Athènes plus vulgairement l’appelait encore Dam
fêtes de Cybèle, et s’attira une si grande vénération de la part des
peuples
de cette contrée, que Jupiter en eut de la jalous
Sporades et dans quelques îles placées à l’ouest de l’Asie. Alors les
peuples
de ces pays divers introduisirent peu à peu le no
par leurs travaux, leurs inventions, les secours qu’ils rendaient au
peuple
comme médecins et ceux qu’ils lui promettaient co
e de l’autre, furent de très-bonne heure confondues ensemble chez ces
peuples
. Vesta. — Avant de terminer entièrement ce qui r
arricide et infanticide, et pourtant objet de l’adoration de quelques
peuples
anciens. Chrone ou Saturne, également appelé Arc
r Circé sa femme, pour laquelle il n’avait eu que de la froideur. Ses
peuples
le mirent au rang de leurs Dieux. Les autres enfa
illi par Janus, dans le Latium, trouva le bonheur, et le prodigua aux
peuples
qu’il dirigeait, en leur montrant à vivre de peu,
ux comprendre ces divers âges, il est bon de se rappeler que tous les
peuples
gouvernés par des prêtres divisèrent les temps pr
nt cette division, les Grecs s’en rapportèrent aux calculs des autres
peuples
, ils adoptèrent leurs résultats ; seulement ils d
Rome. Ce fut en mémoire de cet exil, et du bonheur dont jouissait le
peuple
du Latium à cette époque, qu’on institua dans la
, l’ordre ordinaire de la vie domestique. Alors toutes les classes du
peuple
se livraient aux festins, aux plaisirs ; les maît
autre en précipitant Ixion aux enfers : c’était un roi des Lapithes,
peuple
de la Thessalie ; il était, dit-on, fils d’Anthio
Jupiter pour divers crimes ; ainsi : Adimante, prince des Phlasiens,
peuple
du Péloponèse, fut un jour frappé d’un coup de fo
otales avaient eu soin de faire sévèrement punir, afin de contenir le
peuple
dans la croyance du pouvoir des Dieux du Paganism
euple dans la croyance du pouvoir des Dieux du Paganisme. Les Arimes,
peuple
astucieux qui n’avait pas voulu secourir Jupiter
nourrice de Romulus ; le Latiar était une fête annuelle que tous les
peuples
du Latium venaient célébrer à Rome en l’honneur d
; les Panhellenies étaient des fêtes offertes au même dieu ; tous les
peuples
de la Grèce y prenaient part ; on en attribuait l
sauveur du Capitole. Jupiter avait donc des fêtes chez la plupart des
peuples
de l’antiquité ; son culte, partout respecté, exi
re chez les Romains ; sa fâcheuse présence sur la terre, disaient ces
peuples
, venait de ce qu’elle avait un jour voulu s’amuse
détournât ; car chez les Grecs des anciens temps comme chez plusieurs
peuples
sauvages de notre époque, la civilisation n’avait
ce fut en Arcadie que le culte de Junon prit naissance ; car chez les
peuples
de cette contrée, l’idée du mariage fut de bonne
pourquoi : les Romains, après le départ des Gaulois, pressés par les
peuples
voisins, ayant à leur tête le dictateur fidenate
chez les Milésiens avaient pour but de rendre la déesse favorable au
peuple
; les Fébruales instituées par Numa avaient lieu
u’elle en était indigne, et voulut recevoir pour elle l’adoration des
peuples
. Latone, offensée de cet orgueil, se plaignit à s
laucé pour mère et Upis ou Oupis pour père ; mais la plus honorée des
peuples
et des poètes était la fille de Latone, celle qui
sse. En effet, la Lune est la grande déesse céleste de la plupart des
peuples
. Elle répond à Isis des Égyptiens, à Baaltis ou A
re de la victoire qu’ils remportèrent dans un second combat contre ce
peuple
. Les Ephésies étaient des fêtes en l’honneur de D
mmagore ou qu’on célèbre sur les places publiques, Hyperboréen ou des
peuples
du nord, Hyperion ou le plus brillant, ou le Sole
ui produit la lumière. Cet astre avait été l’objet de l’adoration des
peuples
, long-temps avant la création du fils de Latone.
e mortel, visita la Thessalie et se fixa chez Admète, roi des Phèses,
peuple
de cette contrée. Il prit soin de ses troupeaux e
inventa les accords mélodieux de la lyre et fit connaître à tous les
peuples
des campagnes qu’il parcourait, la puissance de l
plus vif que l’on est plus ignorant, dut naître dans les temps où les
peuples
, encore à l’état sauvage, étaient plus crédules.
était soumise à diverses intelligences célestes faisant connaître aux
peuples
de la terre leurs volontés par l’entremise de cer
les furent primitivement supposés rendus par les Dieux et transmis au
peuple
par des prêtres portant également le nom d’oracle
vant la guerre de Troie, de Thessalie en Béotie le roi Ophelte et ses
peuples
. Phrasios de Cypre fut sacrifié par un Busiris. P
r dire que la puissance de son éloquence et de son art groupa quelque
peuple
sauvage sur un point, et lui fit construire une v
ard un pêcheur la retrouva vers l’embouchure du Mélas, où bientôt les
peuples
l’adorèrent comme Dieu, et lui bâtirent un temple
bus ; Phaebeius juvenis ou l’enfant de Phébus ; Philolas ou l’ami des
peuples
dans Acrie et Atone ; Salutifer Puer ou l’enfant
puis, lorsque les fêtes de Bacchus et les jongleurs eurent habitué le
peuple
grec à considérer les serpens comme des êtres mer
bule pour mère ; Galée ou Galéote était né de Thémisto. Les Hybléens,
peuples
de la Sicile, en avaient fait une grande divinité
Le lendemain de la réception de ces ordres divins, Célée assemble le
peuple
lui fait part des évènemens de la nuit, et des in
t le meilleur accueil afin de l’engager à montrer l’agriculture à ses
peuples
. En voyant les travaux de Triptolème, il en appré
à comprendre dans son ensemble. La Cérès la plus en faveur auprès des
peuples
était celle d’Eleusis, car c’était dans cette vil
le sang qui coule d’un cœur pur, le sang d’une vierge rachète tout un
peuple
. Ce dogme de la religion d’Athânâ se dessine ici
ine et même de serpens et de grenades dont elles étaient chargées. Le
peuple
suivait cette procession en criant : salut, ô Cér
s membres de ce tribunal se portaient accusateurs devant le Sénat, le
peuple
et les héliastes qui jugeaient en dernier ressort
’Ancus Martius, et qui, disait-on, avait légué une immense fortune au
peuple
Romain ; mais ni Acca ni Flore n’ont existé. L'un
es latins firent un Jupiter. Alors Féronie en réalité devait chez ces
peuples
se rapprocher de Junon. Mais la véritable dées
les Orphiques, nous n’en parlerons pas ; car, divinisée chez tous les
peuples
sous différens noms, elle se rapporte aux unes et
hia et Paphienne, ou de Paphos ; Pandémos, ou populaire, ou à tout le
peuple
, comme Vénus, lascive et courtisane ; Pélasgie ou
n terminait la cérémonie par une procession bien lugubre, composée du
peuple
et des prêtres, parmi lesquels on voyait force Ca
lie nomme Pasithée, la troisième ou la plus jeune. Cependant quelques
peuples
de la Grèce en admettaient quatre, les confondant
; Oogenès ou né d’un œuf ; Pandemos ou l’amour vulgaire et charnel du
peuple
en Grèce et en Egypte ; Phanès, ou qui parut le p
L'esprit de ce mot n’a donc point totalement disparu en passant d’un
peuple
chez un autre ; seulement la personnification du
uteur de ses vengeances. Ainsi Vénus ayant appris un jour que certain
peuple
de la terre lui comparait une nommée Psyché ou am
e furent stériles et ne purent protéger Psyché. Son père, sa mère, le
peuple
, les yeux noyés de larmes, la conduisent jusqu’au
est un être allégorique exprimant la force réverée, surtout chez les
peuples
les moins civilisés. On expliquait la bourse qu’i
ns l’histoire que ce fut vers l’année 1805 av. J. C. qu’il réunit ces
peuples
et appela Phoronium son premier établissement qui
me de la guerre. Elle portait différents noms et surnoms, suivant les
peuples
chez lesquels on l’adorait : ainsi on l’appelait
; Ædon ou rossignol chez les Pamphyliens ; Agaleis ou qui conduit le
peuple
; Agéla ou qui fait du butin ; Agraule ou de la t
ils de Deucalion, chez les Caronéens en Béotie ; Laosas ou sauvant le
peuple
; Laphyra ou donnant les dépouilles des ennemis ;
des Arcadiens en l’honneur de Minerve-Alea ; les Aloties chez le même
peuple
, en mémoire d’une grande quantité de prisonniers
e piraterie, ayant reconnu Neptune pour le chef de leurs dieux, et le
peuple
ou le sénat s’étant mis sous la protection de Min
printemps. Aonius-Deus ou d’Aonie, c’est-à-dire de la Béotie dont les
peuples
, dans l’origine, portaient le nom d’Aones avant q
i-même. Ce Bacchus est encore une personnification connue de tous les
peuples
, mais sous des noms différens. C'est le premier p
Indes, où il combattit avec succès, et où il imposa sa loi à tous les
peuples
de cette grande péninsule. Les nations voisines v
e cultiver la vigne, avoir établi la plus parfaite harmonie entre ces
peuples
, et les avoir mis dans l’abondance, il s’embarqua
ndance, il s’embarqua, emportant avec lui, l’amour et les regrets des
peuples
qu’il avait conquis. Dans ce voyage, comme dans c
ens bientôt l’adoptèrent avec plus d’enthousiasme que tous les autres
peuples
de la Grèce. Ce fut là surtout que l’on célébra l
se célébraient en Grèce ; les Lamptéries étaient des fêtes que le bas
peuple
célébrait la nuit aux flambeaux en l’honneur de B
étaient des mystères nocturnes, dont le secret était sacré et dont le
peuple
ne connaissait que les courses vagabondes qui se
lture ; pour inspirer plus de respect, il ne se montrait jamais à son
peuple
, il fit élever un temple à Pan, sur le mont Palat
ibraltar, alors, aussi croyant ce point le plus éloigné du monde, les
peuples
adorateurs de ce héros, en lui prêtant ce trait f
de son triomphe, un autel à Jupiter sauveur : autel autour duquel les
peuples
des environs vinrent, chaque année, célébrer une
uèrent successivement les Atlantes, les Numides, les Ethiopiens, tous
peuples
d’Afrique, et qui furent arrêtées par la peuplade
ils de Malie ; Acinète, de Mégare, Adraste, Aaathyrsus, fondateur des
peuples
efféminés de la Sarmatie Européenne appelés Agath
deux Céryces, ou crieurs publics, dont la charge était d’annoncer au
peuple
, pour l’Aréopage ou pour l’Archonte, les choses c
s Dieux. Quant aux rurales ils étaient les petits lares, les lares du
peuple
et des campagnes. Ces lares recevaient encore, d’
il recevait les instructions, afin d’être plus en état de rendre ses
peuples
heureux, moyen qu’il put emprunter à Moïse, et qu
este, la sagesse du gouvernement de Minos I. le firent ranger par les
peuples
, au nombre des juges des enfers où nous le retrou
t des autels lui furent élevés à Mycènes et à Sériphe. Les Chemnites,
peuple
d’Égypte, avaient surtout pour lui la plus grande
airement être placés les aurœ ou vents légers, espèces de sylphes des
peuples
anciens. L’Argestès des Grecs ou le Corus ou Caur
ens, qui prirent le nom de Lélégues, et passèrent pour le plus ancien
peuple
de la Grèce, il était père de Mylèse et de Polyca
vec les Argonautes, tua le Dolien Idmon, et Cyzique, à la tête de son
peuple
, périt dans ce combat, frappé par Jason. Grande f
oumit au joug les deux redoutables taureaux, en présence du roi et du
peuple
assemblé, et leur fit labourer l’emplacement dési
t étroitement serré dans les bras du vieux roi, qui fait convoquer le
peuple
en assemblée générale, et déclare que Thésée est
it de la royauté, proposa une république, proclama la souveraineté du
peuple
, comme corps de nation, et organisa les assemblée
ia et femme d’Ixion. Cette alliance avec Pirithoüs, roi des Lapithes,
peuples
de la Thessalie, descendans des Pelasgues et des
r femme Laodamus fille d’Alcméon, vécut tranquillement, dirigeant son
peuple
et ses nombreux troupeaux, dont il avait confié l
ronc, chargé de ses racines. On les avait imaginées pour empêcher les
peuples
de saccager les forêts. Aussi pour les abattre, f
s de Thèbes. Lélégéides, nymphes dont le nom leur venait des Lélèges,
peuple
d’Asie. Limnades, ou Limniades ou Limnacides, ou
lle qui inspirait Numa et lui dictait les lois qu’il devait donner au
peuple
Romain. Son amour pour lui était tel que lorsqu’e
que par amour à Pylos, à Coronée, à Crotone à Trézène et à Nysa : le
peuple
lui avait consacré tout un bois, qui devint célèb
or, en argent ou en ivoire ; aussi la crainte le faisant redouter des
peuples
d’Italie, ils lui dévouaient les criminels qui, a
être plus efficace que toute autre. Pluton était honoré par bien des
peuples
; mais sous d’autres noms ; ainsi les Gaulois l’h
, tel que le concevaient les Grecs et les Romains ; car chez ces deux
peuples
, le séjour des morts n’était pas tout-à-fait le m
encontrerons dans quelques pages. La cinquième fraction des enfers du
peuple
Romain, était habitée par les héros que des actes
crimes. Enfin, lorsqu’on passait dans la sixième région des enfers du
peuple
Romain, on entrait dans les champs Elysées, que L
eux, passa plus tard chez les Grecs avec Orphée, lequel apprit à ces
peuples
à les évoquer ; aussi pour l’en remercier, les Th
aîna jusqu’au séjour de la lumière. Cerbère était donc le gardien des
peuples
de Pluton, de même que Ménece, fils de de Ceuthon
and nombre d’établissemens. Il leur donna de sages lois, civilisa ces
peuples
ignorans, ensuite passa à Ochalie, en Béotie, où
justice, qu’il fut nommé juge des enfers ; mais il ne jugeait que les
peuples
d’Asie. On le représentait un sceptre à la main,
’attachaient qu’aux riches ; tous les autres s’amusaient à tromper le
peuple
sous leurs formes diverses, agréables ou effrayan
nt Bellone au meurtre, et que toutes les querelles qui divisaient les
peuples
ou les familles devaient lui être attribuées. Voi
t de Gélanor, fils du roi décédé, en profitant d’un évènement, que le
peuple
regarda comme étant en sa faveur ; évènement, du
e parut devant son père pour être punie de sa rébellion. Cependant le
peuple
ayant pris sa défense, elle fut acquittée et retr
utel à Minerve ; il faut encore qu’il aille à Trézène attendre que le
peuple
veuille bien l’expier ; enfin, il faut qu’il trav
Égée, la Propontide, le pont Euxin, et qu’il aborde chez les Taures,
peuple
sauvage et farouche. Partout Pylade le suit : ils
t trouvé à Delphes en même temps que Pyrrhus, le fit massacrer par le
peuple
de cette ville, épousa Hermione sa veuve, et mour
ysse, roi d’Ithaque réclamer son épouse ; mais, Pâris ayant ameuté le
peuple
, les força de se retirer sans avoir reçu de répon
les manes du guerrier redoutable qu’elle avait dû épouser. Plusieurs
peuples
honorèrent Achille comme un héros, et lui rendire
e de Ménélas et d’Hélène, et y mourut assassiné par Machéré ou par le
peuple
de Delphes, à l’instigation d’Oreste, lequel, dit
fut ensuite lavée et purifiée par Télémaque. Après cette victoire, le
peuple
d’Ithaque ne voulut pourtant pas encore reconnaît
erve, Laerte revient aider son fils et son petit-fils à soumettre son
peuple
rebelle et, lui-même retrouvant ses forces, il fr
s’agrandit beaucoup, la population s’augmenta par les émigrations des
peuples
voisins qui venaient se soumettre aux sages et do
ans ce voyage, il se lia avec plusieurs d’entr'eux, et sentit pour le
peuple
Grec une affection qu’il conserva même pendant le
u sang d’Ulysse ou de Télémaque. Mais, en réfléchissant que les vieux
peuples
italiques, tels que les OEnotres, les Etrusques,
ntait Anna Perenna, ou comme une vieille femme offrant des gâteaux au
peuple
, ou comme une jeune fille trompant Mars, qui l’av
s commencent à remonter. Le Onzième, Janvier, devenu chez beaucoup de
peuples
chrétiens le premier mois de l’année qui, depuis
Noé. Quoiqu’il en soit, il fut le législateur du Latium, y réunit ses
peuples
dans une seule cité, puis institua le mariage, le
; Eanus, ou celui qui est ; Géminus, Patricius, ou le père de tout le
peuple
; Patulcius, ou l’ouvreur. Janus, avait pour frèr
l’obscurité la plus profonde les premiers jours des religions de ces
peuples
. Si nous parcourons les dieux égyptiens, nous tro
a poésie, les arts et le plaisir. Il passa d’abord en Ethiopie où les
peuples
se soumirent à ses lois ; avant de quitter cette
e temps après cette victoire de Dyom, Osiris reparut au milieu de ses
peuples
, pour les combler de bienfaits nouveaux, aussi le
ils étaient au nombre de quarante-trois, en Égypte, presque tous les
peuples
lui en avaient élevé. On le représentait envelopp
Tséphon seul resta debout, ce qui augmenta beaucoup la vénération des
peuples
pour lui, et lui valut un grand nombre d’offrande
cose, admise chez les Egyptiens bien avant l’arrivée d’Orphée chez ce
peuple
, leur firent adorer les animaux par respect pour
’esprit égaré des Israélites le pouvoir du vrai Dieu. Bientôt, chaque
peuple
donnant à leur Baal tel pouvoir, dont il avait be
des sonnettes et un petit panier. Maramba est un dieu adoré par les
peuples
du Congo, du Loango, d’ Angola et de Maba. C’est
ut à redouter de lui. Onisara est aussi un être suprême chez le même
peuple
; c’est l’auteur de tout ce qui existe ; il est i
nt bon : on ne l’invoque donc pas plus qu’Orissa, puisque, disent ces
peuples
, ce serait une chose inutile ; cependant on lui i
d’amour à cause des maux qu’il envoie ou qu’il peut envoyer, car ces
peuples
sont peu attachés aux pratiques religieuses, et t
tait adoré en Babylonie, en Syrie, en Assyrie et même à Carthage. Les
peuples
de ces contrées le considéraient comme l’être par
de Babylone de murailles, et rendit par la de si grands services aux
peuples
de ces contrées, qu’ils le divinisèrent et lui él
Mammoun, dieu syrien célèbre par ses richesses, c’était le Plutus des
peuples
de la Syrie. Marnas, haute divinité de Gaza, il
nès ou l’Hermès Babylonien, il fut un grand législateur, civilisa les
peuples
des contrées de la Babylonie, apprit aux hommes l
te des Assyriens, prit la forme humaine pour remettre les rois et les
peuples
dans la voie de la vérité. Il enjoignit un jour a
monde. On le représente par un cercle dans un triangle. Une partie du
peuple
indien croit à cet être suprême plutôt qu’il ne l
quatre Raginis. Après les nymphes musicales, Brahmâ fit apparaître le
peuple
des Gandharvas, ou musiciens à la tête desquels i
l’enleva dans les cieux avec sa mère Sounati, au grand regret de ses
peuples
dont il était l’idole. Gaourd, déesse de l’abond
arnation d’Indra. Après sa naissance, Arddhachidhi fut regardé par le
peuple
comme un être miraculeux, et salué du titre de Dé
’une vaste ombrelle et toujours au milieu d’un nuage d’encens, que le
peuple
fait brûler en son honneur sur sa route. Garedu,
enir un jour de l’occident. Bientôt la religion de Fô devint celle du
peuple
en général, mais il se forma tout autour de nombr
e d’abord de deux chevaux blancs très-maigres et d’un grand nombre de
peuple
. Ensuite viennent deux chevaux gras, suivis des p
nt, ou même celle d’un jeune homme. Dahman, Ised le béatificateur du
peuple
céleste et des hommes qui ont été justes sur la t
de son règne un véritable âge d’or. C'est lui qui posa les limites de
peuple
à peuple. Il reçut et répandit la lumière primord
gne un véritable âge d’or. C'est lui qui posa les limites de peuple à
peuple
. Il reçut et répandit la lumière primordiale, peu
nous diriger vers la Russie, nous trouvons sur notre passage tous les
peuples
de la Sibérie avec leurs diverses croyances et le
maux, viandes ou cuirs. Schkai, nom donné à l’être suprême, chez les
peuples
de la Russie Asiatique ou Mokchanes. Ces peuples
re suprême, chez les peuples de la Russie Asiatique ou Mokchanes. Ces
peuples
le priaient et lui sacrifiaient des animaux dans
ur exécuter ses volontés. Slata-Baba était une déesse adorée par les
peuples
, habitans des bords du fleuve Obi. On la représen
pour connaître l’avenir. Koughas, dieux aléoutes, pour lesquels ces
peuples
ont une grande vénération, tout en accordant qu’i
ste, est chargé de punir les coupables. Le fils aîné du souverain des
peuples
lui succéda dans l’emploi difficile de juger les
urd’hui sous les noms de Russie, Pologne et Bohème, nous trouvons des
peuples
repoussant la fatalité, croyant à un seul Dieu et
tait une espèce d’Ormuzd, ou l’être suprême, bon principe suivant ces
peuples
. Tandis que Czernobob ou Zéomébog, ou le Dieu noi
élébrait en mettant le feu à des monceaux de paille ou de foin, et le
peuple
formait autour de ces feux des danses rustiques,
tement des Scythes. Le premier qui se présente dans la Cosmogonie des
peuples
du nord de l’Europe, c’est Alfra ou Alfader, ou l
ur ou Sourtour, ou le noir. Ce Sourtour, disaient les légendes de ces
peuples
, est un génie funeste qui doit venir un jour, sui
fells-Aas, fameux géant, mari de la géante Hit, célèbre sorcière. Les
peuples
Islandais le regardaient comme un Dieu marin fort
tes, nous profiterons de l’obscurité qui régne sur la religion de ces
peuples
, et nous ne ferons qu’indiquer les noms de quelqu
ités avaient la plus grande analogie avec celles des Scandinaves. Ces
peuples
croyaient à la magie, aux sorts, aux présages et
’introduction du polythéisme Romain. La fête la plus brillante de ces
peuples
était la cérémonie de la cueillette du Gui, qui s
uer relativement au culte obscur et souvent sanguinaire de ces divers
peuples
, et nous passerons de suite à leurs dieux, dont l
alors il perdait son procès. Rasdi, fils de Vata, était le Janus des
peuples
qui habitaient la Hongrie. Pouster, dieu Germain
imes humaines. Almane, espèce d’Hercule ou de Mars germanique que le
peuple
invoquait en partant pour les combats. Fost, die
me et à tous les quadrupèdes. Roth ou Rothou, Vénus des Véliocasses,
peuples
qui habitaient la Neustrie. Ces peuples donnèrent
othou, Vénus des Véliocasses, peuples qui habitaient la Neustrie. Ces
peuples
donnèrent le nom de cette déesse à leur capitale,
es comme le premier des pontifes suprêmes, qui furent les chefs de ce
peuple
. Il vivait vers le cinquième siècle et était frèr
vage, bâtit sept villes, et fit fleurir les arts et l’industrie ; ces
peuples
adoraient aussi la Mort, ou Hercule, sous le nom
et Trigla, véritable Hécate. Dieux Irlandais. La religion des
peuples
primitifs de l’Irlande semble n’avoir adopté pour
comme mâle ; alors elle prend le nom d’Ir, et, sous cette forme, elle
peuple
l’Irlande, puis est immolée ; ce qui donne naissa
posaient que Dhna et Bath son père avaient été les chefs des premiers
peuples
établis en Irlande. Les Firbolgs, ou belges, sont
l’Irlande, où ils s’établirent, une colonie de Tuatha-Dadans ou d’un
peuple
auquel ils donnèrent le nom de leur mère. Luigha
ici quelques-uns de ces dieux, sans exposer la théorie religieuse des
peuples
de cette contrée ; car la plupart n’en avaient pa
é de nos vieilles contrées d’Europe, d’Asie et d’Afrique. Ces anciens
peuples
du Mexique admettaient parmi leurs dieux : Théot
s vers qui ravagent les biens de la terre et les plantes. Lorsque ces
peuples
veulent se rendre favorable Houékoub, ils se masq
e. Dieux de la Polynésie. Sans nous arrêter à chercher si les
peuples
de la Polynésie ont des idées religieuses se ratt
ux inférieurs et toutes les parties de l’univers, ainsi que ce qui le
peuple
. Enfin il finit par précipiter son épouse dans la
ouvent des alimens devant sa statue. Po, ou la nuit, est, suivant les
peuples
qui habitent la Polynésie, le plus ancien des êtr
se idée d’ajouter aux anthologies grecque et latine celles des autres
peuples
, qui offraient plus d’intérêt ou devaient rendre
mption, l’a-t-il laissé plongé pendant quatre mille ans, sauf un seul
peuple
, dans la nuit de l’idolâtrie. Le spectacle de tan
l. Ce fut le signal de la dispersion des hommes et de leur partage en
peuples
et en nations. Dès lors, éloignés de leur commune
it destinée à périr, si Abraham n’eût été choisi pour être le chef du
peuple
juif, qui devait la conserver. Chez les autres na
l’on croyait antérieures à toutes les autres. 6. Le Chaos. Les
peuples
anciens, privés de la lumière de la révélation, n
but le dépouillaient-ils ? De qui était né le Destin ? 6. Comment les
peuples
anciens expliquaient-ils la création de l’univers
ouvertes pendant la guerre. Ce qui prouve le caractère belliqueux du
peuple
romain, c’est que le temple de Janus ne fut fermé
roi profita des leçons du temps et de l’expérience pour gouverner son
peuple
par des lois sages qui le rendirent heureux. On r
s enfants de ceux qui se sauvèrent de l’inondation. Le mot grec laos,
peuple
, signifie aussi pierre, sous sa forme poétique.
ien disait que « le Jupiter de Phidias avait ajouté à la religion des
peuples
». Mais que devient cette peinture du souverain
la compagnie de trois méchantes bêtes, la chouette, le serpent et le
peuple
. Questionnaire. 30. Quelle fut la naissanc
des tambours et des cymbales. Sa conquête ne coûta pas de sang ; les
peuples
se soumettaient pleins de joie à un dieu qui leur
Un principe de religion gravé généralement dans l’esprit de tous les
peuples
, dit Rollin, a donné lieu à la multiplicité des d
X. Les Enfers. — Pluton. 82. Description des Enfers. Tous les
peuples
païens ont cru que l’âme est immortelle et qu’ell
éservés au crime, ou les récompenses dues à la vertu ; mais comme ces
peuples
n’avaient, sur l’univers en général et sur le glo
pe, régna sur l’île de Crète, lui donna de bonnes lois, et rendit son
peuple
heureux. Eaque, fils aussi de Jupiter, gouverna l
Phlégyas. — Ixion. Phlégyas, fils de Mars, était roi des Lapithes,
peuple
de la Thessalie, habile à manier les chevaux. Sa
pé ainsi la même pensée : Est-on héros pour avoir mis aux chaînes Un
peuple
ou deux ? Tibère eut cet honneur. Est-on héros en
vigoureux. Hercule s’étant endormi après cette victoire, les Pygmées,
peuple
de nains qui habitaient la Libye, essayèrent de l
rir. Mais Egée reconnut son fils à son épée, et le fit reconnaître au
peuple
. Alors Médée s’envola dans son char ailé avec son
n nouvel empire, et bâtir la ville de Lavinium, qui fut le berceau du
peuple
romain. Quant aux chefs des Grecs, ils furent moi
à parcourir la terre, à la tête d’une armée nombreuse, soumettant les
peuples
, non par la force des armes, mais par l’attrait d
le sénat fut obligé de les abolir. Tels sont les dieux qu’inventa le
peuple
réputé le plus sage et le plus savant de l’antiqu
le croit adorer, L’esprit humain s’égare : et follement crédules, Les
peuples
se sont fait des maîtres ridicules. ( L. Racine,
132. Mages. Zoroastre. Le Zend-Avesta. Les Perses étaient le
peuple
de l’antiquité qui se livrait aux superstitions l
it le caractère de la religion des Perses comparée à celle des autres
peuples
de l’antiquité ? Quel était leur culte ? Qu’étaie
ésente, on reconnaît des traits défigurés de la vérité primitive. Ces
peuples
paraissent avoir conservé la notion d’un dieu uni
i protecteur, sans temple hospitalier, Abominable, impie, horrible au
peuple
entier, Les parias ; le jour à regret les éclaire
e, pour combattre les radjahs (rois de l’Inde), qui opprimaient leurs
peuples
. 7° Une autre fois, il prit le nom et la figure d
rifices. Mais le principe de la charité est entièrement inconnu à ces
peuples
, comme il l’a été, du reste, à toutes les nations
s scandinaves porte l’empreinte du caractère dur et belliqueux de ces
peuples
, sortis du nord de l’Asie. Cette mythologie est l
s chants étaient gravés en caractères runiques (genres d’écriture des
peuples
du Nord), mais le plus souvent ils passaient de b
dinaves. La mythologie scandinave présente, comme celle des autres
peuples
, deux demeures distinctes destinées aux hommes qu
qui roulent des eaux noires et fangeuses. On conçoit dès lors que ces
peuples
aient fait de la guerre leur état habituel, et qu
76. Les Sagas sont les traditions historiques et mythologiques de ces
peuples
du Nord. On appelle Edda deux livres ou codes rel
es furent mis au rang des dieux, du consentement unanime de touts les
peuples
. Bientôt une foule d’idoles Usurpa l’encens des
très-utile. Elle nous apprend quelle étoit la croyance religieuse des
peuples
les plus célèbres de l’antiquité. Elle nous facil
l’épouse, la sœur du plus puissant des dieux, » Armant contre un seul
peuple
et le ciel et la terre, » Vainement je me lasse à
t un gouffre que rien ne peut rassasier ; Lui seul absorbe plus qu’un
peuple
tout entier. Pareil à l’Océan, ce réservoir du mo
s le sceptre en main, Eole leur commande ; il maîtrise, il tempère Du
peuple
impétueux l’indocile colère : S’ils n’étoient ret
souverain du monde, » Permit et d’apaiser et de soulever l’onde, » Un
peuple
que je hais, et qui, malgré Junon, » Ose aux cham
que me serviroit d’inventer une fable ? De mes captifs épars quand le
peuple
écaillé Eut touché de ces prés le tapis émaillé,
et père des mensonges, En foule autour de lui voltigent mille songes,
Peuple
nombreux, égal aux feuilles des forêts, Aux sable
N’en défend pas nos rois. Thomas, dans son épître au
peuple
, s’exprime ainsi : Sur l’univers entier la Mort
es vers suivants : Clio, des temps passés conservant la mémoire, Des
peuples
et des rois nous raconte l’histoire. Calliope, e
éjà la Renommée, en traversant les airs, En a semé le bruit chez cent
peuples
divers. Foible dans sa naissance, et timide à sa
e la mer mugissante, Pareils aux roulements de la foudre mourante. Un
peuple
curieux en assiége les murs. Il vient, il va, rev
ités et de l’erreur, Sa voix en merveilles féconde, Va chez touts les
peuples
du monde ; Semer le bruit et la terreur. ( Rousse
udre en éclats qui gronde sous ses pieds, Semble annoncer la mort aux
peuples
effrayés. Bellone. D. Qu’étoit Bellone ? R. Bel
Hercule les extermina à coups de flèches. 6°. Les Amazones étoient un
peuple
de femmes guerrières qui habitoient sur les rives
………… Possesseur autrefois de nombreuses abeilles, Aristée avoit vu ce
peuple
infortuné Par la contagion, par la faim moissonné
e en ce moment quittoit le sein de l’onde : Il marche, près de lui le
peuple
entier des mers Bondit, et fait au loin jaillir l
ur féconde, Dans le flanc des taureaux forme un nombreux essaim ; Des
peuples
bourdonnants s’échappent de leur sein, Comme un n
mariage avec Hippodamie. Les deux héros s’unirent pour combattre ces
peuples
, et en tirèrent une vengeance éclatante. Les Cent
nnent en proie, Le nôtre à la douleur, et les Grecs à la joie ; Et le
peuple
, alarmé du trépas de son roi, Sur le haut de ses
vous assurez point sur ma foible puissance : Quel frein pourroit d’un
peuple
arrêter la licence. Quand les dieux, nous livrant
s, » Et je le reconnois pour le roi des Troyens. » A ces mots, qui du
peuple
attiroient le suffrage, Nos Grecs n’ont répondu q
oups vouloir se dérober ; Mais enfin à l’autel il est allé tomber. Du
peuple
épouvanté j’ai traversé la presse Pour venir de c
et fut porté par les vents au rivage des Lotophages, en Afrique. Ces
peuples
sont ainsi appelés de l’arbre lotos qui croît dan
. Il fut rejeté sur les côtes de la Sicile, dans une contrée dont les
peuples
barbares et cruels se nommoient Lestrigons. Ulyss
sé ? Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un
peuple
une nuit éternelle : Figure-toi Pyrrhus, les yeux
e Ressaisit en espoir le sceptre de l’Asie. Déjà de ses remparts, le
peuple
à flots pressés, S’élance, humide encor des pleur
t inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds du colosse immobile. Un vain
peuple
applaudit à cet arrêt des cieux. La hache cependa
eur de Pergame, » Qu’il habite en son sein, un temple l’y réclame ! »
Peuple
aveugle ! en tes murs, avec pompe escorté, Il s’a
s le silence ; Ils dormoient ! et bercé d’une douce espérance, Ce bon
peuple
revoit un heureux lendemain. Mais du cheval fécon
re, » Donner à ses lambeaux la mer pour sépulture, » Ou massacrer son
peuple
, ou de ma propre main » Lui faire de son fils un
l’arrêt du sort, la volonté des cieux ; » Que du moins, assailli d’un
peuple
audacieux, » Errant dans les climats où son desti
nflamme, » Ainsi le dernier cri s’échappe avec mon ame. » Et toi, mon
peuple
, et toi, prends son peuple en horreur : » Didon a
cri s’échappe avec mon ame. » Et toi, mon peuple, et toi, prends son
peuple
en horreur : » Didon au lit de mort te lègue sa f
et le fer, » Toi qui dois me venger des enfants de Teucer ! » Que le
peuple
latin, que le fils de Carthage, » Opposés par les
ccorde le pardon ! » Énée est à jamais l’ennemi de Didon : Entre son
peuple
et toi, point d’accord, point de grâce ! » Que la
son exemple : ensuite vers l’autel Il marche environné des flots d’un
peuple
immense ; Au cercueil de son père il arrive en si
utres histoires. Nous pensons que pour bien enseigner l’histoire d’un
peuple
, le professeur doit mettre entre les mains de ses
tinguer chacune à l’air et à l’habillement. Le peintre habilla chaque
peuple
à la mode du pays, qu’il habitoit, et peignit le
: C’est le bon La Fontaine. (Poëme de l’Imagination.) 1. Nom des
peuples
de la Sicile. La Sicile étoit appelée Trinacrie,
e du S. de l’Anatolie, à l’E. de la Carie et au S. de la Phrygie. 5.
Peuples
d’Asie, voisins du Pont. 6. Province de l’Asie M
le anima ce sang dans ses flancs renfermé. Ainsi d’hommes nouveaux un
peuple
fut formé ; Peuple impie, altéré de meurtre et de
ns ses flancs renfermé. Ainsi d’hommes nouveaux un peuple fut formé ;
Peuple
impie, altéré de meurtre et de rapine, Et ne déme
plus d’heureux, il le fut davantage ; Il versa ses bienfaits sur cent
peuples
divers : Il avait fait le bonheur d’
eurs homicides, Changea ses habitans en des spectres livides. Tout ce
peuple
souffrant, lassé de tant de morts, Voyant que l’a
eurs des Latins, Un oracle propice à leur humble prière, Qui sauve un
peuple
entier d’une ruine entière. La couronne du Di
promis : Mais la religion, l’intérêt du pays, Permet-il de priver le
peuple
d’Épidaure Du soutien de ses jours, et du Dieu qu
. A peine le soleil Eut ramené te jour, et chassé le sommeil, Tout le
peuple
, incertain du parti qu’il doit prendre, Au temple
s’arrête, et sur la foule Promène ses regards rayonnans de fierté. Le
peuple
devant lui recule épouvanté. Ceint d’un bandeau d
propice encor sous ta forme nouvelle ; Sois l’appui, le salut de ton
peuple
fidelle. La prière sacrée est répétée en chœu
marche vers le port. Arrivé sur le môle, il s’arrête ; et d’abord Du
peuple
qui le suit semble bénir la troupe, S’élance du r
ibre, où sa course est finie. Femmes, enfans, vieillards, tout le
peuple
Romain, Et les Vestales même, en longs habits de
Imitant les objets par de savans mensonges, Voltige autour de lui le
peuple
ailé des Songes, Essaim égal en nombre aux feuill
a foule est innombrable, et chaque jour, chaque heure, Chaque instant
peuple
encor cette vaste demeure. Telles au premier froi
Troyenne, Tous l’imitent. Soudain vers la tombe il les mène ; Et d’un
peuple
nombreux il s’avance entouré. Epanchés par ses ma
mpagne toujours sa troupe Phrygienne, Qui ne voit que le Monde, à ces
peuples
heureux Doit l’art d’orner les champs de grains p
ince, et l’envoya ensuite enseigner ce premier des Arts aux différens
peuples
. Revenue en Sicile après ses inutiles courses, la
iment pur et doux, source de la santé. L’Agriculture alors nourrit un
peuple
immense, Et des champs aux cités fit passer l’abo
victoire, les arts, la liberté, l’honneur, Fut le partage heureux du
peuple
agriculteur, Et lui seul enrichi des trésors néce
éjà la Renommée, en traversant les airs, En a semé le bruit chez cent
peuples
divers. Faible dans sa naissance, et timide à sa
de la mer mugissante, Pareils aux roulemens de la foudre mourante. Un
peuple
curieux en assiège les murs, Il vient, il va, rev
rités et de l’erreur, Sa voix en merveilles féconde, Va chez tous les
peuples
du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau
ans sa barbare joie, « Aux armes ! a-t-il dit. Aux armes, levez-vous,
Peuples
! enfans, vieillards, femmes, accourez tous ! Qui
me ! Vole, fier Marcellus, défends la liberté ! Soulève, ô Curion, le
peuple
révolté ! Lentulus, aux combats anime tes cohorte
-même à sa peine. Il faut ou condamner, ou couronner sa haine. Dût le
peuple
en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon sang o
devins En présageaient la destinée ; Au palais de ses bienfaiteurs Du
peuple
la foule entraînée, Implorait les Dieux protecteu
Possesseur autrefois de nombreuses abeilles, Aristée avait vu ce
peuple
infortuné Par la contagion, par la faim moissonné
ur féconde, Dans le flanc des taureaux forme un nombreux essaim ; Des
peuples
bourdonnans s’échappent de leur sein, Comme un nu
a lance d’Achille, Tomber Hector, l’appui de leur superbe ville : Ses
peuples
abattus dans un lâche repos, Pleuraient sans la v
l’invincible héroïne S’avance ; tout s’émeut à sa grâce divine ; Des
peuples
accourus les avides regards Tombent avec amour su
ns de fureur par les vents arrachées. Par cet exemple instruit, le
peuple
de Cadmus Offre un encens timide aux autels de Ba
t de leurs travaux. Quel dessein, dit Enée, amène sur ces eaux, De ce
peuple
empressé les troupes vagabondes ? L’oubli, répond
tous une étincelle. C’est de là que sont nés l’homme et les animaux,
Peuple
immense des Airs, de la Terre et des Eaux. Cette
essaisit en espoir le sceptre de l’Asie. Déjà de ses remparts, le
peuple
à flots pressés, S’élance, humide encor des pleur
t inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds du colosse immobile. Un vain
peuple
applaudit à cet arrêt des Cieux. La hache cependa
cteur de Pergame, Qu’il habite en son sein, un temple l’y réclame ? »
Peuple
aveugle ! en tes murs, avec pompe escorté, Il s’a
s le silence ; Ils dormaient ! et bercé d’une douce espérance, Ce bon
peuple
rêvait un heureux lendemain. Mais du cheval fécon
ls orphelin. Hélas ! de mes frayeurs l’augure est trop certain. Vingt
peuples
et vingt rois ont conjuré ta chûte : A leurs coup
J’ai vu tomber sous lui mon père déchiré ; J’ai vu de ce grand Roi le
peuple
massacré, Thèbes, sa capitale, aux feux abandonné
loire ! Qu’au retour des combats, suivi de la Victoire, Il entende le
peuple
, autour du char guerrier, Par-tout sur son passag
mblante entre mes bras, Au lieu de l’hyménée invoquait le trépas : Le
peuple
observait tout dans un profond silence. Dans l’en
qui l’a nourri, ces flancs qui l’ont porté. A ces cris douloureux le
peuple
est agité. Un gros de nos amis, que son danger ex
est mort, il tombe, il est vainqueur. Je cours, je me consume, et le
peuple
m’entraîne, Me jette en ce palais, éplorée, incer
paternelles ! Fleuves sacrés, et vous, mes nourrices fidelles ! Noble
peuple
d’Athène, à mon sang allié ! Troie où pour mon ma
ces bois mon destin malheureux, Et que, du haut d’un roc, suivant ce
peuple
affreux, J’écoute, en frissonnant, d’une oreille
ru, j’ai volé : mon sort vous est soumis ; Mais ne me livrez pas à ce
peuple
effroyable. » A peine il achevait ce récit incroy
mord leur flanc, rallume leur ardeur. Attentif, inquiet, du cirque un
peuple
immense Les observe en silence, Et b
ux à côté de Castor. Leur tâche allait être remplie, Et le
peuple
attentif, au front des deux rivaux, Etait prêt d’
ouces régions, Vous diriez que le ciel a choisi ses rayons. Tantôt ce
peuple
heureux, sur les herbes naissantes, Exerce, en se
crime ; C’est Molé, du coup d’œil de l’homme vertueux, Calmant d’un
peuple
ému les flots impétueux ; C’est Bayard, dans les
ix plaintives, Vois ces champs ravagés, vois ces temples brûlans, Ces
peuples
éplorés, ces mères fugitives, Et ces enfans meurt
e vit dédaigné de ses parens avares. Sous un ciel rigoureux, chez des
peuples
barbares, Il résolut, du sort accusant la rigueur
aison funeste, Ils pensent voir sur eux tomber le feu céleste ; Et le
peuple
effrayé de l’horreur de son sort, Levait les main
e les tombeaux. Entendez l’essaim qui murmure, C’est la voix d’un
peuple
innocent ; Du Serpent la famille obscure, Siffle,
faut être en ce jour, ou rebelle, ou barbare, Dois-je au sein de son
peuple
enfoncer le couteau, Et pour vivre en sujet, m’ér
grands frais, De vingt climats divers, en un seul lieu rassemble Ces
peuples
végétaux, surpris de croître ensemble, Qui change
récits qui constatent les aberrations du sentiment religieux chez les
peuples
de l’antiquité. Ces témoignages d’une corruption
a base de la religion des Grecs et des Romains, et de tous les autres
peuples
de la terre, à l’exception des Juifs. Ce mot est
parmi les descendants de Cham, le troisième des fils de Noé. Tous les
peuples
, à l’exception de celui que Dieu avait choisi pou
uvons le toucher et attirer sur nous ses faveurs par nos prières. Les
peuples
qui avaient perdu la connaissance du vrai Dieu ne
qui faisaient retentir les tambours et les cymbales, il vit tous les
peuples
se soumettre à sa puissance. On raconte que, pend
ents et l’éclat varié de leurs couleurs, frappèrent l’imagination des
peuples
voisins de la mer. Questionnaire. Qu’était-
ls de Mars, régnait dans un canton de la Thessalie, sur les Lapithes,
peuple
habile à manier les chevaux. Apollon ayant outrag
n de nombreuses abeilles, Et tel, dans un État de fourmis composé, Le
peuple
rentre et sort, en cent parts divisé. [La Fontain
ore en Libye qu’Hercule soutint un risible combat contre les Pygmées,
peuple
de nains, qui l’enchaînèrent pendant son sommeil
on fils Androgée que les Athéniens avaient assassiné, avait soumis ce
peuple
à un tribut annuel de six jeunes garçons et de si
sont issues les castes éternellement distinctes dont se composent les
peuples
de l’Inde. Une dernière caste, celle des Parias,
mit à sa poursuite. Dans cette campagne, il prit pour auxiliaires le
peuple
des singes, commandé par Hanouman, et une armée d
ou fut un héros bienfaisant, qui parcourait la terre en délivrant les
peuples
de la tyrannie des mauvais princes et des brigand
Religion des anciens Perses. — Zervane-Akérène. — Ormuzd. Les
peuples
de la Perse, renommés par leur sagesse, ont moins
e soleil et la lune. Les fleuves recevaient aussi les hommages de ces
peuples
. Ils n’avaient point de temples : c’est sur les m
sance des grands principes religieux, et livrèrent à la crédulité des
peuples
des fables obscures qui recélaient un sens que le
it pas. Les principales divinités qu’ils proposèrent à l’adoration du
peuple
furent Osiris et Isis. Voici comment ils racontai
urir le monde à la tête d’une armée nombreuse, subjuguant partout les
peuples
, non par les armes, mais par l’attrait de la musi
. Origine des dieux, du monde et des hommes. Les Scandinaves,
peuple
guerrier sorti d’Asie et établi au nord de la Ger
servait par la mémoire, dans des vers composés pour l’instruction des
peuples
. L’immortalité de l’âme était le principal et pre
it animée par la mythologie, née de l’imagination ardente des anciens
peuples
de la Grèce : par-tout où ils voyaient le mouveme
iens peuples de la Grèce : par-tout où ils voyaient le mouvement, ces
peuples
supposaient la vie. Les phénomènes de l’air, tels
igle reposait sur le bout du sceptre qu’il tenait à la main. Tous les
peuples
de l’univers accouraient pour admirer Jupiter oly
ajouta-t-il, de donner à Jupiter l’empire du ciel et de la terre, les
peuples
de l’antiquité étendirent son domaine jusqu’aux a
l’adorèrent sous le nom d’Isis, une des plus grandes divinités de ces
peuples
. Pour récompenser Argus de sa fidélité, la reine
en tenait lieu. Il faut remarquer que les vêtements chez les anciens
peuples
changeaient moins souvent de forme que chez nous.
l est pour nous aussi incompréhensible qu’il l’était pour les anciens
peuples
. Le nom d’Iris a été donné à une plante dont les
heureuse prérogative qu’elles durent les autels que presque tous les
peuples
de la Grèce leur avaient érigés. Les Grâces sont
ille d’un roi de la Grèce, brillait de tout l’éclat de la beauté. Les
peuples
en la voyant oubliaient Vénus et négligeaient ses
es clartés sur le lieu de la réunion. Il commença ainsi : Les mêmes
peuples
qui virent dans le soleil un dieu toujours brilla
n’en fut pas moins honorée comme une des plus puissantes déesses. Les
peuples
la considéraient tour-à-tour comme divinité du Ci
voir aboli les horribles sacrifices que l’on faisait à la déesse. Les
peuples
de la Grèce immolaient ordinairement à Phébé des
isait, par son adresse à travailler la soie, l’admiration de tous les
peuples
de la Grèce : Minerve en fut jalouse ; mais sur-t
sculptures de Phidias, le plus, fameux des statuaires grecs ; le même
peuple
institua en l’honneur de cette déesse des fêtes c
cédait le cortège. Bacchus n’éprouva aucune résistance de la part des
peuples
, auxquels il apprit l’usage du vin et la manière
e n’est pas toujours la crainte qui a fait élever des autels chez les
peuples
de l’antiquité. Le culte de quelques unes de leur
lesquelles cette déesse était honorée comme ayant donné les lois aux
peuples
de la Grèce. Pendant les courses de cette déesse,
qu’à l’aide du télescope. Dixième entretien. Chez les anciens
peuples
, il n’était point de profession quelconque qui n’
pollon et sous celle de Vulcain, devenir l’objet du culte des anciens
peuples
. Les Romains rendaient un culte à ce même élément
ouces régions, Vous diriez que le ciel a choisi ses rayons. Tantôt ce
peuple
heureux, sur les herbes naissantes, Exerce, en se
qu’on ait recours au lutin. Ce n’était point assez pour les anciens
peuples
d’examiner les traits de l’homme pour connaître s
de lauriers. Le Souverain du Ciel m’a donné la naissance ; Mille
peuples
fameux révèrent ma puissance. Patare, qui long-te
plus d’heureux, il le fut davantage ; Il versa ses bienfaits sur cent
peuples
divers : Il avoit fait le bonheur d’
t père des Mensonges. En foule au-tour de lui voltigent mille Songes,
Peuple
nombreux, égal aux feuilles des forêts, Aux sable
a foule est innombrable, et chaque jour, chaque heure, Chaque instant
peuple
encor cette vaste demeure. Telles au premier froi
Troyenne, Tous l’imitent. Soudain vers la tombe il les mène ; Et d’un
peuple
nombreux il s’avance entouré. Epanchés par ses ma
mpagne toujours sa troupe Phrygienne, Qui ne voit que le Monde, à ces
peuples
heureux Doit l’art d’orner les champs de grains p
ince, et l’envoya ensuite enseigner ce premier des Arts aux différens
peuples
. Revenue en Sicile après ses inutiles courses, la
iment pur et doux, source de la santé. L’Agriculture alors nourrit un
peuple
immense, Et des champs aux cités fit passer l’abo
victoire, les arts, la liberté, l’honneur, Fut le partage heureux du
peuple
agriculteur, Et lui seul enrichi des trésors néce
de la mer mugissante, Pareils aux roulemens de la foudre mourante. Un
peuple
curieux en assiége les murs, Il vient, il va, rev
ans sa barbare joie, « Aux armes ! a-t-il dit. Aux armes, levez-vous,
Peuples
! enfans, vieillards, femmes, accourez tous ? Qui
me ! Vole, fier Marcellus, défends la Liberté ! Soulève, ô Curion, le
peuple
révolté ! Lentulus, aux combats anime tes cohorte
-mème à sa peine. Il faut ou condamner, ou couronner sa haine. Dût le
peuple
en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon sang o
le a mille accès ; mille chemins ouverts Y mènent en tout temps mille
peuples
divers, Et sans qu’on soit pressé, toujours la fo
devins En présageoient la destinée ; Au palais de ses bienfaiteurs Du
peuple
la fouie entraînée, Imploroit les Dieux protecteu
Possesseur autrefois de nombreuses abeilles, Aristée avoit vu ce
peuple
infortuné Par la contagion, par la faim moissonné
ur féconde, Dans le flanc des taureaux forme un nombreux essaim ; Des
peuples
bourdonnans s’échappent de leur sein, Comme un nu
a lance d’Achille, Tomber Hector, l’appui de leur superbe ville : Ses
peuples
abattus dans un lâche repos, Pleuroient sans la v
l’invincible héroïne S’avance ; tout s’émeut à sa grâce divine ; Des
peuples
accourus les avides regards Tombent avec amour su
Du pouvoir de Bacchus les rendit trop certains ; L’encens fume, et le
peuple
animé d’un saint zèle, Consacre un nouveau culte
t de leurs travaux. Quel dessein, dit Enée, amène sur ces eaux, De ce
peuple
empressé les troupes vagabondes ? L’oubli, répond
tous une étincelle. C’est de-fà que sont nés l’homme et les animaux,
Peuple
immense des Airs, de la Terre et des Eaux. Cette
saisit en espoir le sceptre de l’Asie. Déjà de ses remparts, le
peuple
à flots pressés, S’élance, humide encor des pleur
t inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds du colosse immobile. Un vain
peuple
applaudit à cet arrêt des Cieux. La hache cependa
ur de Pergame, « Qu’il habite en son sein, un temple l’y réclame ?… »
Peuple
aveugle ! en tes murs, avec pompe escorté, Il s’a
s le silence ; Ils dormoient ! et bercé d’une douce espérance, Ce bon
peuple
rêvoit un heureux lendemain. Mais du cheval fécon
ls orphelin. Hélas ! de mes frayeurs l’augure est trop certain. Vingt
peuples
et vingt Rois ont conjuré ta chûte : A leurs coup
J’ai vu tomber sous lui mon père déchiré ; J’ai vu de ce grand Roi le
peuple
massacré, Thèbes, sa capitale, aux feux abandonné
loire ! Qu’au retour des combats, suivi de la Victoire, Il entende le
peuple
, autour du char guerrier, Par-tout sur son passag
mblante entre mes bras, Au lieu de l’hyménée invoquoit le trépas : Le
peuple
observoit tout dans un profond silence. Dans l’en
qui l’a nourri, ces flancs qui l’ont porté. A ces cris douloureux le
peuple
est agité. Un gros de nos amis, que son danger ex
est mort, il tombe, il est vainqueur. Je cours, je me consume, et le
peuple
m’entraîne, Me jette en ce palais, éplorée, incer
n mont, où ce chasseur avoit tendu ses rôts, Etoit souillé du sang du
peuple
des forêts. Au moment où l’été désole la Nature,
paternelles ! Fleuves sacrés, et vous, mes nourrices fidelles ! Noble
peuple
d’Athène, à mon sang allié ! Troie où pour mon ma
mord leur flanc, rallume leur ardeur. Attentif, inquiet, du cirque un
peuple
immense Les observe en silence, Et bi
côté de Castor. Leur tâche alloit être remplie, Et le
peuple
attentif, au front des deux rivaux, Etoit prêt d’
crime ; C’est Molé, du coup-d’œil de l’homme vertueux, Calmant d’un
peuple
ému les flots impétueux ; C’est Bayard, dans les
ix plaintives, Vois ces champs ravagés, vois ces temples brûlant, Ces
peuples
éplorés, ces mères fugitives, Et ces enfans meurt
aison funeste, Ils pensent voir sur eux tomber le feu céleste ; Et le
Peuple
effrayé de l’horreur de son sort, Levoit les main
les tombeaux. Entendez l’essaim qui murmure, C’est la voix d’un
peuple
innocent ; Du Serpent la famille obscure, Siffle,
faut être en ce jour, ou rebelle, ou barbare, Dois-je au sein de son
peuple
enfoncer le couteau, Et pour vivre en sujet, m’ér
grands frais, De vingt climats divers, en un seul lieu rassemble Ces
peuples
végétaux, surpris de croître ensemble, Qui change
mensongères ont joué un rôle si important dans l’histoire des anciens
peuples
, elles ont fourni de si nombreux sujets de compos
oute sa destinée. On reconnaissait aussi des Génies spéciaux à chaque
peuple
, à chaque pays. Il y avait des Génies blancs et d
ait remarquer par la sagesse avec laquelle ils avaient gouverné leurs
peuples
, étaient les juges devant lesquels Mercure condui
du Styx ou de l’Achéron. C’était par suite de cette croyance que les
peuples
de l’antiquité avaient coutume de placer une obol
avec un joug rompu. Le chat lui était consacré. Questions. Quel
peuple
se montra particulièrement dévoué au culte de la
d’un tel maître, et ses qualités brillantes le rendirent l’idole des
peuples
. Son oncle, voyant le jeune héros sur le point de
l’effet des promesses perfides qui les avaient rendues parricides. Le
peuple
de Thessalie fut tellement irrité de cette infâme
élé et trois autres filles. Sur la fin de sa vie il fut chassé par le
peuple
révolté de la ville qu’il avait créée, et se vit
hèbes, entra en triomphe dans la ville, et reçut la récompense que le
peuple
avait promise au vainqueur du monstre, c’est-à-di
cule avait exercées sur les Troyens avaient déposé dans le cœur de ce
peuple
un germe de haine contre les Grecs. De leur côté,
lysse était mort, et qu’il était de son devoir et de l’intérêt de ses
peuples
de choisir un nouvel époux ; elle employait mille
. En prononçant en faveur de Vénus, il attira sur lui et sur tout son
peuple
le courroux de la vindicative Junon. Il vint à Tr
geurs, et il ne cessa de s’enrichir des dons qu’y envoyaient tous les
peuples
. Un instant suffit pour anéantir toutes ces magni
uté que par les immenses richesses qu’y avait accumulées la piété des
peuples
. Celui de Jupiter à Olympie 84 passait pour le pl
oles, qui, au moyen de quelques artifices grossiers, persuadaient aux
peuples
que les Dieux eux-mêmes consentaient à leur dévoi
s les ministres imposteurs des faux Dieux avaient longtemps abusé les
peuples
. Les Sibylles étaient des femmes que l’on regarda
contes qui, pendant des siècles, ont formé la croyance religieuse des
peuples
les plus policés de l’univers. Toute cette théogo
tique, est la plus célèbre des villes grecques, tant par la gloire du
peuple
qui l’habitait que par le grand nombre et la beau
d’emmener ses chevaux, auxquels le sort de Troie était attaché. 75.
Peuple
de la côte d’Afrique, en deçà de la Syrie. 76.
il se fit laboureur, Et sous le chaume enfin il trouva le bonheur. Un
peuple
agriculteur, à ses leçons docile, Ensemença la te
eprésente avec deux visages. Janus était un prince qui gouvernait ses
peuples
avec sagesse, et qui savait régler sa conduite fu
qu’on y pratiquait était de faire des processions dans les champs. Le
peuple
les célébrait, conduisant la victime autour des b
u’on raconte : Périphas, roi d’Athènes, se fit tellement aimer de son
peuple
, qu’il en fut adoré comme Jupiter, ce qui irrita
e, de chêne, de palme et d’ache. Faonius étant édile à Rome, donna au
peuple
des jeux dans lesquels il renouvela l’ancienne si
nne d’olivier, et Plutarque remarque que Faonius fut plus agréable au
peuple
que son collègue, qui donnait des jeux de la dern
bronze de bonne hauteur, et qu’il la rapporta ensuite pour apaiser le
peuple
qui criait au sacrilége. Il fut déclaré héros par
argea neuf cents chameaux des débris de cette énorme statue. Tous les
peuples
d’Orient adorèrent le soleil sous le nom de quelq
e-six entre autres étaient ornées de bas-reliefs admirables. Tous les
peuples
et tous les princes de l’Asie contribuèrent à la
e armée bruyante et tumultueuse était faite pour effrayer ; aussi les
peuples
de l’Inde s’enfuirent à son approche ; mais, reve
: « Que tardez-vous ? l’Amour, les plaisirs vous demandent, « Votre
peuple
s’empresse au-devant de vos pas ; « Le trône est
Eole présidait par l’inspection du ciel quel vent devait souffler. Le
peuple
ignorant se persuada que ce prince tenait les ven
de la flûte dont on le croyait l’inventeur. Les Lupercales. Les
peuples
d’Arcadie rendaient un culte particulier au dieu
ines. Fauna avait à Rome un temple, dont les prêtres distribuaient au
peuple
de simples pour toutes les maladies. Les Romains
croyance que né dans le pays, il l’avait gouverné sagement, et que le
peuple
se trouvait heureux sous son règne. Sylvain eut u
arce que, durant les jeux floraux, les édiles jetaient ces légumes au
peuple
de Rome. Féronie Déesse à laquelle les an
outume ancienne d’enterrer les morts dans les maisons a donné lieu au
peuple
de croire que les âmes y demeuraient aussi comme
it du tombeau un serpent qu’il invoqua comme le génie du lieu. Chaque
peuple
avait aussi son génie. Le Destin Quelques
rta le nom. On dit que ce fut une reine de Thessalie qui gouverna son
peuple
par la justice. Elle établit dans ses états les l
e ce prince égalèrent sa valeur. Après sa mort, la reconnaissance des
peuples
lui érigea des autels, et les poètes le placèrent
récipita dans la mer qui porte son nom. Pirithoüs, roi des Lapithes,
peuples
de Thessalie, dans la Grèce, sur la réputation de
ite à son ami et le massacre de ses sujets. Les Centaures étaient des
peuples
de Thessalie, qui trouvèrent les premiers l’art d
es, furent mis au rang des dieux, du consentement unanime de tous les
peuples
. Bientôt une foule d’idoles Usurpa l’encens des
que Saturne lui enseigna l’agriculture, et la manière de policer les
peuples
; ce qui fit donner à son règne le nom d’Age d’or
neur qui la guide, Bientôt, dans son art parricide. S’instruisent les
peuples
entiers ; Dans le sang on cherche la gloire ! Et,
l devra des autels. Esprits soumis à mon empire, Que ce
peuple
impuissant s’anime par vos feux, Qu
Du fameux bord de l’Inde, où toujours la victoire Rangea les
peuples
sous ma loi, Je viens prendre part à la g
réside. Rousseau. Les Grecs, qui ambitionnoient la gloire d’être le
peuple
le plus sage de l’univers, se vantoient d’être so
arnage. On l’appelle souvent le dieu de la Thrace, soit parce que les
peuples
de cette contrée étoient fort belliqueux, soit pa
à l’humanité : Ceux qui jadis par des loix équitables Ont adouci des
peuples
intraitables, Ou qui, cherchant la guerre et les
ités et de l’erreur, Sa voix, en merveilles féconde, Va chez tous les
peuples
du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau.
oudre en éclat qui gronde sous ses pieds. Semble annoncer la mort aux
peuples
effrayés. Voltaire. Tous les vices, toutes les
ouches muettes. Mais, comme aux grands périls le salaire enhardit. Le
peuple
offre le sceptre, et la reine son lit. De cent cr
s les jours que la Parque lui file, A vu naître trois fois un nouveau
peuple
à Pile, Et qui, roi du troisième élevé sous ses y
ntraires : Ne vous souvient-il plus, seigneur, quel fut Hector ? Nos
peuples
affoiblis s’en souviennent encor. Son nom seul fa
ux Troyens que ce cheval est une réparation qu’ils font à Minerve. Le
peuple
sort en foule, transporté de joie, séduit par une
ses, Et les breuvages de Circé. Rousseau. Les Lestrigons étoient un
peuple
de Cyclopes : ils firent périr tous les vaisseaux
x et des.aîles, et qui dévore ses enfans. Prométhée avoir humanisé un
peuple
grossier et accoutumé à une vie sauvage ; ce qui
ollon, 38. Par Hercule, 135 Lapithe, fille d’Apollon, 144 Lapithes,
peuple
de la Thessalie, ibid. Lapria, nom donné à Dian
, marais célèbre, 131 Lesbos, Isle consacrée àVenus, 74 Lestrigons,
peuple
des Cyclopes, 191 Léthé, un des fleuves des Enfe
t puni, 31 — Il est délivré par Hercule, 134 — Il avoit humanisé un
peuple
grossier, 195 Proserpine, fille de Cérès, est mi
171. Voyez Philomèle. Roue de fortune, 113 — D’Ixion, 158 Rutules,
peuple
d’Italie, 194 S Sablier, attribut du Temps,
primordiaux de l’histoire tant sacrée que profane, qui, en passant de
peuple
en peuple, de bouche en bouche, ont été plus ou m
x de l’histoire tant sacrée que profane, qui, en passant de peuple en
peuple
, de bouche en bouche, ont été plus ou moins dénat
me inséparable de l’étude de l’histoire ancienne, car la religion des
peuples
est tellement identifiée avec leur histoire, qu’i
çut avec honneur et partagea son trône avec lui. Saturne civilisa les
peuples
encore sauvages de l’Italie, leur apprit à cultiv
te que les Égyptiens rendaient aux animaux et aux plantes. On vit le
peuple
fou, qui du Nil boit les eaux, Adorer les serpent
lieu d’armes, des thyrses et des tambours [Fig. 64]. Il civilisa les
peuples
de ces contrées lointaines, et leur enseigna l’ar
nés d’Ithaque. Une tempête le jeta d’abord sur les côtes des Cicones,
peuple
de Thrace, chez lesquels il perdit plusieurs de s
ieurs de ses compagnons. De là il fut porté au rivage des Lotophages,
peuple
d’Afrique, qui se nourrissaient du fruit du lotos
a aussi son père Laërte encore vivant ; il rétablit le calme parmi le
peuple
, que quelques séditieux étaient parvenus à soulev
es de la Grèce, et surtout d’un canton de Thessalie qu’habitaient les
peuples
appelés Myrmidons. Comme ce mot ressemble au nom
par ses soldats, une espèce d’escalier formé par le bagage enlevé aux
peuples
vaincus, et que marchant sur ces dépouilles elle
s septentrionales avec Andromède, son épouse, Cassiope et Céphée. Les
peuples
de Mycènes et d’Argos lui rendirent les honneurs
contre Minos. Diomède, fils de Mars et de Cyrène, Roi des Bistoniens,
peuple
guerrier de la Thrace, étoit un abominable tyran,
la mer, il en fit paroître un qui ravagea les états de Laomédon ; les
peuples
se révoltèrent et forcèrent le Roi d’exposer au m
firent des courses sur les provinces voisines du Pont-Euxin. Mais les
peuples
qui l’habitoient les massacrèrent tous. Ce carnag
Il alla fonder un nouvel empire dans la Calabre et rendit son nouveau
peuple
heureux. Mycile. C’étoit un habitant d’Arg
qu’il prenoit, et que, lorsqu’elle mourut, il se jeta en présence du
peuple
sur son bûcher allumé. Un de nos vieux auteurs (
rités et de l’erreur, Sa voix en merveilles féconde, Va chez tous les
peuples
du monde Semer le bruit et la terreur. J. B. R
neur qui la guide, Bientôt, dans son art parricide, S’instruisent les
peuples
entiers ; Dans le sang on cherche la gloire ; Et,
gle de Jupiter ? R. Périphas, Roi d’Athènes, se fit tant aimer de son
peuple
, qu’il en fut adoré à l’égal de Jupiter ; ce qui
ités et de l’erreur, Sa voix, en merveilles féconde, Va chez tous les
peuples
du monde Semer le bruit et la terreur. (Rousseau.
udre en éclats qui gronde sous ses pieds, Semble annoncer la mort aux
peuples
effrayés. (Voltaire.) Divinités champêtres.
les Amazones, combat où il se couvrit de gloire. Celles-ci étoient un
peuple
de femmes guerrières qui habitoient la Scythie. E
t les premiers momens de son règne parurent heureux. Mais bientôt sou
peuple
est la proie d’une affreuse famine, et une horrib
bres delicats, et ces débiles mains Qui dans la suite terrassèrent Le
peuple
des Titans, et ses fiers souverains, Du jeune die
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