sur les lèvres des Français. Ouvrez donc les oreilles et écoutez-les
parler
autour de vous. Vous les entendrez à chaque insta
tois que vous avez perfectionné, et qui est devenu la langue que vous
parlez
aujourd’hui ; mais le latin était l’idiome domina
vos aïeux, me dit-il ; vous savez avec quelle terreur votre Racine en
parle
: Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vo
s je ne sais pourquoi ce peuple n’a jamais pu se figurer qu’un Romain
parlât
simplement. L’acteur chargé de mon rôle portait a
enterrés comme de bons chrétiens, mais ils ne veulent pas renoncer à
parler
de leurs cendres, des cendres de leurs aïeux. Les
odoxes, qui croyaient aux prodiges, comme Xénophon et Plutarque, n’en
parlaient
qu’avec une extrême circonspection. Des philosoph
es elle va frapper à la porte d’une pauvre cabane. Mais je laisse ici
parler
la tradition antique. Elle a conservé, même sous
charitables, pleurèrent avec elle, et voici comment le bon vieillard
parla
: « — Cette fille qui t’a été volée et que tu ple
nts imposaient aux adeptes la discrétion la plus rigoureuse, et, pour
parler
comme le poëte, leurs lèvres étaient fermées ave
i nouveau, ni d’une imagination bien riche, j’en conviens ; mais cela
parle
aux yeux, cela est compris du peuple, qui aime le
aussitôt qu’il se manifestait par le nez d’un mortel. « Pendant qu’il
parlait
, dit Xénophon , un soldat éternua ; aussitôt tout
mère, Pénélope dit à Eumée : « Avez-vous remarqué que, pendant que je
parlais
, mon fils éternuait à tout propos ? C’est bon sig
, persuade l’assistance ; l’entreprise est résolue. Une autre fois il
parlait
encore, même interruption : il est nommé général.
et vigoureux par la vertu de l’éternuement. » Nous aurions encore à
parler
des sages de l’antiquité, qui se sont élevés cont
leur santé. Tous trois étaient connus sous le nom d’Esculape. Nous ne
parlerons
que du plus fameux. Fils d’Apollon (le Soleil qui
une principauté ni même le roi d’un grand État pour avoir le droit de
parler
de son étoile. Jamais un prince de Lippe-Detmold
le plaisir, et Louis XVIII, qui n’était qu’un homme d’esprit, avaient
parlé
de leur étoile, les peuples, qui attendent toujou
toile, qui nous a tirés d’un mauvais pas ; mais ce sont des façons de
parler
, que nous répétons par habitude, sans y attacher
tort que d’avoir raison contre tout le monde. Foyer. Quand nous
parlons
de la paix du foyer, des vertus du foyer, ce n’es
raît que nous avions fait des libations l’autre jour ? — Le vieux qui
parlait
du nez l’a lu sur le papier, dit l’autre, mais je
is du public. On vivait alors avec Plutarque et avec les anciens ; on
parlait
leur langue avec un peu d’emphase peut-être, mais
si volontiers, n’avaient qu’une seule langue. En Italie, le facchino
parle
comme le monsignore, et celui-ci comme Arioste et
t sentir sur leur front le souffle vivifiant de leurs ailes. Ils leur
parlent
, ils les appellent leurs sœurs, leurs fées bienfa
erveilleux ne pouvait s’acclimater dans la patrie de Voltaire ? Je ne
parle
pas des lutins, des gnomes, des follets et des fa
e qu’il n’a ni la crédulité ni l’imagination des enfants. Il faut lui
parler
de ce qu’il aime, de ce qu’il comprend, de la pai
arbitre et en conciliateur, et c’est plaisir d’entendre comme il leur
parle
: « Laissez-vous persuader, vous êtes plus jeunes
igure aimable et sympathique que celle de ce bon vieillard Nestor. Il
parle
longuement, mais il ne disserte pas comme Mentor
r un mot à leur langue religieuse. Chacun sent bien que, quand on lui
parle
, de l’ombre d’un défunt, c’est de son âme qu’il s
votre grande âme ? — Enfin il faut songer que les poëtes, qui doivent
parler
à nos sens et à notre imagination, ne peuvent nou
ment de leurs gobelets de petites ombres de salon fort amusantes, qui
parlent
, écrivent, frappent aux murs, soufflent les chand
st resté. Oracle se dit du prophète et de la prophétie : — L’oracle a
parlé
, il a prononcé son oracle. Les devins en imposaie
e Pénélope est restée justement célèbre. Ce mythe nous enseigne (pour
parler
comme Ésope) que le travail est la sauvegarde de
urs et la mollesse7. Vénus est vaincue par ses deux rivales, ou, pour
parler
sans image, les fortes vertus de la Grèce triomph
écise d’un Cuvier, d’un Barthélemy Saint-Hilaire. Les abstractions ne
parleraient
pas à leur imagination ardente. Les phénomènes do
se. C’est la première table tournante, parlante et prophétisante dont
parle
l’histoire. Aujourd’hui, être sur le trépied, c’e
II), Julius Firmicus (Mathes., liv. VII, chap. X), Perse (satire V),
parlent
de l’ascendant heureux ou malheureux de certains
eur ; il n’apporta que sa religion et ses faux dieux. Nous avons déjà
parlé
dans cet ouvrage de l’ignorance des Grecs sur leu
ays, et quel était l’Iapet dont les poëtes et les historiens ont tant
parlé
. Selon Pausanias, Pélasgus fut le premier homme e
fille Danaé, mère de Persée, si célèbre dans les fables, et dont nous
parlerons
bientôt. Ce même Persée, ayant tué involontaireme
toutes les époques auxquelles vécurent les personnages célèbres dont
parle
la fable. Des temps héroïques ou fabuleux.
ait dans cet intervalle qu’on trouvait les dieux dont nous avons déjà
parlé
dans cet ouvrage. Les seconds s’étendaient depuis
d’Ogygès. Ce déluge est si célèbre, qu’il est indispensable d’en
parler
. Les historiens grecs disent qu’Ogygès régnait da
cieux que l’histoire puisse offrir, il nous paraît indispensable d’en
parler
. La première époque de cette chronique commence à
e pour désigner la langue égyptienne et la langue grecque que Cécrops
parlait
également. Ce fut ce prince qui régla les lois du
ar Cécrops, rendit le jugement entre Neptune et Mars, dont nous avons
parlé
dans le premier volume. Les mêmes marbres placent
uatrième année du règne de ce prince le déluge de Deucalion dont nous
parlerons
bientôt. Après Codrus furent élus des magistrats
et Pégase placé parmi les astres. Ovide , dans ses Métamorphoses ,
parle
de l’extrême beauté de Méduse : il dit qu’elle ex
qui s’y retira. Il ne faut pas confondre ce Sarpédon avec celui dont
parle
Homère, qui régna dans la Lycie un siècle api es
x. On leur donna le nom d’hippocentaures, du mot hippos, cheval. Nous
parlerons
des Centaures dans l’histoire d’Hercule. La plus
en avait fait autant dans les Indes. Toutes les histoires fabuleuses
parlent
de ces colonnes ; cependant quelques critiques tr
ions que la conquête de la Toison-d’Or. Il y a peu d’auteurs qui n’en
parlent
; et, quoique beaucoup de leurs ouvrages aient ét
le traversa heureusement et leur servit de guide. Cette colombe, dont
parle
la fable, était le bâtiment léger que Phinée avai
t point suffi pour arrêter l’imagination des poëtes. On n’entend plus
parler
de Médée depuis son arrivée dans Athènes. Quelque
ion, et Atalante en lionne. Le peu d’occasions qui se présenteront de
parler
de la ville de Calydon nous engage à placer ici l
our achever de donner l’histoire des temps héroïques, il nous reste à
parler
des deux guerres de Thèbes. Eschyle, Sophocle et
pour le plus célèbre des événemens de l’histoire grecque. On ne peut
parler
de la guerre de Troie sans rappeler à tous les so
’en construire chez eux. Le temple de Dagon chez les Philistins, dont
parle
l’Écriture, fut probablement une imitation du tab
mples de l’Égypte. Les plus célèbres, après celui de Bélus, dont nous
parlerons
bientôt, étaient celui de Jupiter à Thèbes ou Dio
, ce temple ne contenait que la tour et les chambres dont on vient de
parler
; mais ce monarque, au rapport de Bérose , lui d
re de Sicile , montait à plus de cinq mille talens. Le temple dont il
parlait
était celui que Nabuchodonosor avait agrandi, et
un mois de l’année. Cette méthode changea par la suite, et le dieu ne
parlait
plus alors que pendant un seul jour de chaque moi
ne se rendaient pas tous de la même manière. Quelquefois la prêtresse
parlait
au nom du dieu : d’autrefois le dieu lui-même pro
inguer ce qu’elle disait, on publia que la colombe, ou Peleiai, avait
parlé
. Telle fut l’origine du fameux oracle de Dodone.
s à son petit-fils Apollon, et depuis ce temps l’oracle de Delphes ne
parla
plus qu’au nom de ce dieu. Dans les premiers temp
vers ; on cite la prêtresse Phémonoé. Par la suite, on se contenta de
parler
en prose ; et Plutarque observe que ce fut une
s cavernes les marques de l’imposture des ministres qui les faisaient
parler
. Nous nous bornerons à citer quelques réponses si
Romains, nomme dix Sibylles ; il cite les auteurs anciens qui en ont
parlé
. Nous suivrons l’opinion de Varron, et l’ordre qu
rtout celle de Varron. 1°. Rien ne prouve que toutes les Sibylles ont
parlé
grec. 2°. Ne peut-on pas avoir traduit en grec le
monde, du paradis terrestre. Dans ce recueil, la Sibylle, après avoir
parlé
le langage d’ Isaïe et des évangélistes, fait men
des évangélistes, fait mention de ses galanteries avec Apollon. Elle
parle
de Loth, et se dit chrétienne. Elle recommande le
e du Nord ; elle y met trop d’intérêt, trop de poésie, si j’ose ainsi
parler
, pour que je ne consente pas que ce soit là autan
de la Germanie. On ne saurait douter que Hertus, ou la terre, dont il
parle
, n’ait été la même que la Fréa des Scandinaves. E
ième divinité principale des Scandinaves se nommait Thor. Jules César
parle
expressément d’un dieu des Gaulois qui présidait
s subsistèrent beaucoup plus long-temps. Il paraît qu’ils n’ont voulu
parler
que des sacrifices humains dont cet empereur leur
e les dieux étaient antérieurs à sa formation ; mais il n’y est point
parlé
du moment de leur naissance, ni des attributs qui
moment de leur naissance, ni des attributs qui les distinguaient. On
parle
si souvent et avec tant d’étonnement des ancienne
peut-être même celle du fruit défendu ; et l’on trouve les géans dont
parle
l’Écriture Sainte. On doit aussi remarquer parmi
reptiles, des plantes, des animaux. Les historiens sacrés et profanes
parlent
de ce peuple comme de la plus sage des nations, e
oires auxquelles ont été mêlées des fictions ; telles sont celles qui
parlent
d’Hercule, de Jason. Au lieu de dire que le premi
ux, des héros, des rois, qui n’avaient jamais existé ; et, lorsqu’ils
parlaient
des premiers temps, dont ils avaient reçu quelque
ême leur reprochait d’être de véritables enfans lorsqu’ils voulaient
parler
de temps éloignés . La prétention des Grecs allai
dieux. Avant de donner l’histoire de Jupiter, nous croyons devoir
parler
de Saturne son père, et de Cybèle sa mère. Le ran
e à Rome. Les Romains, ayant lu dans les vers des Sibylles (dont nous
parlerons
dans la suite de cet ouvrage), qu’ils devaient ho
onner le titre d’Avesta, ou garde du feu, à celui de ses livres où il
parle
du culte du feu. Jupiter. On s’effraie lors
, adoré dans le même pays, est aussi très-ancien. Jupiter Bélus, dont
parle
Hérodote, était le Jupiter des Assyriens. Selon l
ison, et délivra ses parens. Ce fut alors que les Cyclopes, dont nous
parlerons
dans la suite, donnèrent à Jupiter la foudre, qui
ètes ont acquis une si grande célébrité, qu’il est indispensable d’en
parler
. L’antiquité porta sa vénération pour eux jusqu’a
es autels. Il serait impossible de les faire tous connaître ; nous ne
parlerons
que des principaux. Le plus ordinairement on donn
ons pas plus loin l’histoire de Cérès ; on la retrouvera lorsque nous
parlerons
des dieux des enfers. Diodore de Sicile rapporte
régna dans l’Arcadie, et le troisième était celui dont nous venons de
parler
. Voilà pourquoi ce dernier se trouve dans l’histo
Douleur, la Crainte, l’Amour, l’Envie, la Vieillesse, etc., etc. Nous
parlerons
dans un autre article de toutes ces divinités par
rement une pie ou un bouc : la première, pour avertir que le vin fait
parler
indiscrètement ; et le second, parce qu’il ronge
faisait souvent confondre avec Bellone, divinité différente dont nous
parlerons
en finissant l’article de Minerve, Les habitans d
ée ; sa bouche presque en mouvement fait reconnaître qu’elle vient de
parler
; et le spectateur, séduit par le talent du peint
faut distinguer trois Vulcain. Le premier de tous est Tubalcaïn dont
parle
Moïse, et qu’il place dans la dixième génération
Lemnius. La fable lui attribue les ouvrages les plus fameux dont elle
parle
. Elle cite entre autres le palais du Soleil, les
es. Il paraît qu’il voulait désigner certains oiseaux des Indes dont
parle
Pline le naturaliste ; la douceur de leur chant e
e ; d’autres disent de Neptune. Il était père des Gorgones, dont nous
parlerons
dans l’histoire de Persée. Thoose, sa fille, fut
ter dans la Thrace ; il en eut deux fils, Calaïs et Zéthès, dont nous
parlerons
au voyage des Argonautes. La fable rapporte que B
ait Consentes. Ils différaient des douze grands dieux dont nous avons
parlé
précédemment. Jupiter et la Terre étaient les deu
es de Cérès Éleusine, a couvert ceux de la bonne déesse. On n’en peut
parler
avec certitude, et tous les historiens de Rome av
tes donnent ordinairement de Silène ; mais les plus graves auteurs en
parlent
d’une manière beaucoup plus avantageuse, Silène,
l’étymologie de son nom. (Phonein en grec, et fari en latin, signifie
parler
.) Les Romains admirent aussi parmi les divinités
nente ne pouvant se consoler de la perte de son époux, ne voulut plus
parler
, et se cacha dans la plus profonde solitude ; on
en réglaient les mouvemens. Platon, qui a le plus étendu ce système,
parle
des Gnomes, des Sylphes, des Salamandres. Les pre
, Œdipe, Étéocle, Polynice, Thésée et plusieurs autres ; mais nous en
parlerons
à l’article des demi-dieux et des héros. Des d
s vertus, les passions, les biens et les maux : nous nous bornerons à
parler
des plus connus. Les Grecs honoraient la Félicité
ans avant le déluge, plus de mille ans avant l’Esculape grec. Eusèbe
parle
aussi d’un Esculape égyptien, célèbre médecin, qu
one, femme du berger qui l’avait découverte ; et dès qu’il commença à
parler
, on renvoya à l’école du célèbre centaure Chiron.
: Tant de fiel entre-t-il dans les ames des dieux ?… Une autre injure
parle
à son ame indignée : Par un berger troyen sa beau
fanté Minerve, voulut, de son côté, opérer un pareil prodige. Elle en
parla
à Flore, qui lui indiqua une fleur, que la déesse
mblée champêtre. On immoloit à Bacchus une pie, parce que le vin fait
parler
avec indiscrétion, ou un bouc, parce que cet anim
oués aux Furies, et il étoit permis de les tuer. Le maître d’un champ
parle
ainsi au dieu Terme : Terme, qui que tu sois, ou
oujours cachée sous l’horizon, lorsque l’autre paroît. Pollux, seul,
parle
ainsi : Présent des dieux, doux charme des humai
une forme humaine : Jeune imprudent, dit-il, qui t’amène en ce lieu ?
Parle
, que me veux-tu ? — Vous le savez, grand dieu ; O
édition des Argonautes eut lieu 79 ans avant la prise de Troie. Médée
parle
ainsi à Créon : Sans moi, pour conquérir la supe
st de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de
parler
aux yeux ; Et, par les traits divers des figures
nnoître plus particulièrement les principaux d’entre les Grecs ; nous
parlerons
ensuite des principaux Troyens. Personnages cé
dus ? Quels flots de sang pour elle, avez-vous répandus ? Quel débris
parle
ici de votre résistance ? Quel champ, couvert de
son fils. Il n’osoit sur Achille encor jeter la vue ; Il vouloit lui
parler
, et sa voix s’est perdue. Enfin, il le regarde, e
ler aujourd’hui, Sans que tout votre sang se soulevât pour lui ? Mais
parle
: de son sort qui t’a rendu l’arbitre ? Pourquoi
e jeta dans la mer, et rejoignit les Néréides ses sœurs. Cette nymphe
parle
ainsi, dans Ovide : O Vénus ! quelle est donc la
poing. Thersite a donné lieu à une espèce de proverbe : quand on veut
parler
d’un homme mal fait, lâche et insolent, on dit :
e Pyrrhus ; fais-lui garder sa foi S’il le faut, je consens qu’on lui
parle
de moi. Fais-lui valoir l’hymen ou je me suis ran
rs noms ont éclaté, Plutôt ce qu’ils ont fait que ce qu’ils ont été :
Parle
-lui touts les jours des vertus de son père ; Et q
rle-lui touts les jours des vertus de son père ; Et quelquefois aussi
parle
-lui de sa mère. Mais qu’il ne songe plus, Céphise
has, Comptoient en frémissant leurs stériles combats. Mais l’oracle a
parlé
: sous la hache abattues, L’Ida voit ses forêts à
e chagrin de se voir moqué. II. Qui ne sait pas se taire, ne sait pas
parler
. III. Prévoyez les malheurs pour les empêcher ; m
nt propres à former l’esprit et le cœur. La Fontaine nous dit : Tout
parle
en mon ouvrage, et même les poissons. Ce qu’ils d
Vous les mettrez en état d’apprendre un jour à leurs, enfants à bien
parler
sans aucune étude. On sait que dans l’ancienne Ro
lle est absolument nécessaire. II est trop honteux de ne savoir point
parler
sa langue, ou de l’écrire mal. « Elles devroient
sentiments vifs et sublimes pour la vertu. D. Vous ne nous avez point
parlé
des arts d’agrément. Dites-nous si les demoiselle
à acquérir ce qui leur manque pour les ouvrages à l’aiguille. Nous ne
parlons
point de l’étude des langues étrangères. Quelques
apprendre l’anglois, l’allemand ; et jamais ils ne parviennent à bien
parler
ces langues. L’italien est plus aisé à apprendre,
r sans peur ; Je mettrai remède à la chose. Venez, Singe ;
parlez
le premier, et pour cause ; Voyez ces animaux, fa
u de gens sont reconnoissances. Madame Deshoulières dit : Que chacun
parle
bien de la reconnoissance ! Et que peu
Liv. 9, fab. 16.) D. Quelle est la seconde fable dont vous nous avez
parlé
? R. C’est celle-ci. L’Avare qui a perdu son t
de mes fleurs, mon fruit est égalé. A peine l’arbre a-t-il
parlé
, Qu’un vent de bise souffle et détruit tout l’ouv
épris des autres. Gresset a dépeint son méchant comme un homme qui ne
parle
que le langage de l’ironie. ……………… Au ton dont i
iche laboureur, sentant sa fin prochaine, Fit venir ses enfants, leur
parla
sans témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre
ours apprendre une bonne partie à nos élèves. 29. Je n’entends point
parler
ici des demoiselles qui, par le rang et la fortun
tions viles et des crimes sans éclat. En déïfiant le héros, on n’aura
parlé
d’abord que de ses vertus, de ses exploits, en aj
heureuses, et il est probable qu’elles sont entièrement fausses. J’ai
parlé
ailleurs de celle qu’on a prétendu trouver dans l
questionne ; enfin, Atossa demande au courrier, qui n’a point encore
parlé
de Xercès, quels chefs vivent encore ? quels son
pèces de génies infernaux dont Hésiode et quelques autres auteurs ont
parlé
. Ces génies féroces et sanguinaires, comme les Pa
que c’étoit celle de Castor et Pollux, ou d’Apollon et Neptune. Pline
parle
d’un Dieu particulièrement révéré des vestales ;
regarder. Ce qui paroît avoir quelque rapport avec les tonneaux dont
parle
Homère , qui étoient à l’entrée du palais de Jup
oides qui s’enflammèrent à l’instant, et elle fut justifiée. Sénèque
parle
d’une vestale qui, pour avoir souillé sa pureté,
s traits : image plus naturelle et beaucoup plus agréable. On ne peut
parler
de l’Amour sans donner l’histoire abrégée du fame
nte de la même passion pour un jeune homme nommé Evathlus. L’histoire
parle
de deux poëtes, l’un nommé Nicostrate, qui fit le
Fable fasse mention : Pénélope, Andromaque, Alceste, Canente, dont on
parlera
avec plus de détail dans la suite de cet ouvrage.
les déroba ; le berger Battus, témoin de ce vol, promit de n’en point
parler
, parce que Mercure lui donna la plus belle vache
ysse ; plusieurs nymphes et quelques femmes vertueuses dont on a déjà
parlé
. Canente, fille de Janus et de Vénilia, elle prit
lape, à Achille, à Hercule, etc. La belle Agamède, fille d’Augé, dont
parle
Homère, livre II de l’Iliade, qui connoissoit tou
tient à la Mythologie grecque. Les autres divinités dont on n’a point
parlé
sont : Osiris qui épousa Isis et qui fut assassin
Euphémisme est le nom que les grammairiens donnent à cette manière de
parler
. L’euphémisme, disent-ils, est un trope ou une fi
ivres Sibyllins ; on le croit très-postérieur à ceux dont on vient de
parler
, et il n’est pas authentique. 27. Voyez son hist
be sous sa faux cruelle, Et sur son horloge éternelle L’instant où je
parle
est compté !… « Je suis le Temps : voyez mes
femme à qui rien ne fait plus d’ombrage, Se tait ou même
parle
doux. Hélas ! on dit qu’en reprenant l’em
ent perdus, Et qu’ils ne redemandaient plus. Ah !
parlez
tous, époux antipathiques, Le divin Jupiter fit-i
loquente et muette, Elle est des passions la mobile interprête : Elle
parle
à mon ame, elle parle à mes sens ; Et je vois dan
le est des passions la mobile interprête : Elle parle à mon ame, elle
parle
à mes sens ; Et je vois dans ses jeux des tableau
ge : Là, du sang des humains doit s’abreuver un Dieu. » La Discorde a
parlé
: l’Univers est en feu. Pétrone. — Deguerle 116
l’autre ; à peine on s’est mêlé, La vengeance s’est tue, et le sang a
parlé
. A ces traits jadis chers, à ces voix qu’ils conn
des destinées, Les Parques ayant mille fois Entendu les ames damnées
Parler
là-bas de vos exploits, De vos rimes si bien tour
une forme humaine : Jeune imprudent, dit-il, qui t’amène en ce lieu ?
Parle
, que me veux-tu ? Vous le savez, grand Dieu, Oui,
son fils. Il n’osait sur Achille encor jeter la vue ; Il voulait lui
parler
, et sa voix s’est perdue. Enfin il le regarde, et
sée. D’un mensonge si noir justement irrité, Je devrais faire ici
parler
la vérité, Seigneur, mais je supprime un secret q
e j’admirais et l’artiste et l’ouvrage. Sur ce tableau sublime, ainsi
parla
le Sage. Des tyrans, me dit-il, l’orgueil amb
devint folie. Il avait lu qu’Amphion dans les bois, Faisant
parler
jadis sa flûte sous ses doigts, Aux arbres étonné
a donc étonné ta pieuse tendresse ! Nous pouvons, grace au Ciel, nous
parler
et nous voir ; J’attendais ce moment si doux à mo
has, Comptaient en frémissant leurs stériles combats. Mais l’oracle a
parlé
: sous la hache abattues, L’Ida voit ses forêts à
poussière observait mon visage ; Il me tendit les bras, il voulut me
parler
, De ses yeux expirans je vis des pleurs couler ;
t cher, Crains pour l’homme et pour toi les dons de Jupiter, Quand il
parlait
ainsi, la paix la plus profonde, Le repos sur la
u fuis ! Par ces pleurs, par ta foi, Puisque je n’ai plus rien qui te
parle
pour moi, Par l’amour dont mon cœur épuisa les su
et feignait de me plaindre. C’est là mon désespoir ; pour avoir trop
parlé
, Je perds ce que déjà je tenais immolé ; Je l’ai
z venger, Achevez, en serpent puissiez-vous me changer ! Cadmus avait
parlé
: son corps qui se resserre, S’arrondit en anneau
fleuves divers Qui commande à Nérée, et règne sur les mers. Il a
parlé
: la pique en ses mains balancée A volé contre Ac
ce moment, Si ce n’est pas encor un doux enchantement, Tu sembles me
parler
; et, fidèle interprète, Ce que ma bouche dit, ta
, et sa longue encolure ; Il s’arrête ; il voudrait et.se plaindre et
parler
: Malheureux ! il frémit de s’entendre hurler ; E
es bras ; Il veut lui tendre aussi les siens, et ne peut pas. Il veut
parler
, l’écorce a sa langue pressée, L’un et l’autre se
la tendresse ! J’entends ses cris perçans, sa lamentable voix… Je te
parle
, ô Soleil ! pour la dernière fois. Pour la derniè
on cœur farouche avait encore plus de fierté. La Nymphe qui jamais ne
parle
la première, Et répète toujours la parole dernièr
Dans l’âge de l’amour, elle avait un cœur tendre ; Mais d’avoir trop
parlé
n’ayant pu se défendre, Sa voix, comme aujourd’hu
temps de s’échapper. La Déesse le sut. Va, pour prix de tes ruses, Tu
parleras
si peu, que jamais tu n’abuses. L’effet suit la m
’attire en même temps qu’il en est attiré. Combien elle eût voulu lui
parler
la première, Joindre au plus tendre aveu la plus
Ce qu’il permet au moins, elle écoute, elle attend, Toute prête, s’il
parle
, à reparler ensuite. Narcisse dans les bois se pe
es traits, Feignant sur un bâton de courber sa faiblesse, L’aborde et
parle
ainsi : Jeune on fuit la vieillesse : On a tort :
r mes yeux, Dispense votre main de ce devoir pieux. En cessant de
parler
, Dryope a cessé d’être ; Mais par elle animé, le
es marbres, On voit fumer la terre, on voit rougir les arbres, Tout y
parle
d’horreur ; et même, les oiseaux Ne se perchent j
rainte Dépouillent le respect, sans, dépouiller la crainte. Les Dieux
parlent
encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule command
n luth harmonieux, qu’accompagne sa voix, Ou frémit sous l’archet, ou
parle
sous ses doigts. L’œil suit les plis mouvans de s
’être mère ; Alors tu me vantais son esprit, sa douceur, Tu me
parlais
de sa délicatesse, De sa bonté, de sa c
Et d’un repas, une cérémonie, Où chaque acteur fidelle à l’harmonie,
Parle
avec poids, mange en se composant, Et se permet,
105. [Table des matières] Desaintange. Fastes, liv. III. 106. Elle
parle
de Xantus. 107. [Table des matières] Anonyme. In
ette, parce que ayant été parmi les ombres elle ne peut se montrer et
parler
qu’après avoir fait plusieurs purifications relig
lui cacher son bonheur jusqu’à ce qu’Alceste puisse ôter son voile et
parler
, il la présente comme une étrangère pour laquelle
r de femmes, mais qu’Hercule peut disposer de son palais ; ensuite il
parle
de sa douleur, il déplore la perte de son épouse
pide. A la suite de l’histoire d’Hercule, il ne sera pas déplacé de
parler
avec un peu de détail des Amazones, voici un abré
les Amazones périrent. Depuis cette époque, l’Histoire et la Fable ne
parlent
plus des Amazones13. Dans le second chant de l’Il
parlent plus des Amazones13. Dans le second chant de l’Iliade, Homère
parle
du tombeau de l’Agile Myrine, une Amazone. Amazo
beau d’Orphée, avoient un chant plus éclatant et plus mélodieux. On a
parlé
avec détail d’Amphion et d’Arion dans le premier
utre fille de Priam, fut immolée sur le tombeau d’Achille. Il reste à
parler
de l’enfant le plus célèbre de Priam, de celui qu
, ne montre dans l’Iliade, que des regrets et de la douleur ; elle ne
parle
à Pâris que pour lui reprocher son malheur et son
mains. Tels sont les héros les plus fameux de la Mythologie, on va
parler
encore de quelques autres personnages auxquels on
t point de temples, mais qu’elle eut des autels. Nul auteur n’a mieux
parlé
de l’amitié que Montaigne, c’est lui qui, en se m
deuse qui avoit les yeux perçans, c’étoit l’Envie. Deux autres femmes
parloient
ensemble à la Calomnie, c’étoient l’Embûche et la
oppressée Dans sa bouche, à ce mot, sent sa langue glacée Et lasse de
parler
, succombant sous l’effort, Soupire, étend les bra
femme à qui rien ne fait plus d’ombrage, Se tait ou même
parle
doux. Hélas ! on dit qu’en reprenant l’em
ent perdus, Et qu’ils ne redemandoient plus. Ah !
parlez
tous, époux antipathiques, Le divin Jupiter fit-i
loquente et muette, Elle est des passions la mobile interprête : Elle
parle
à mon ame, elle parle à mes sens ; Et je vois dan
le est des passions la mobile interprête : Elle parle à mon ame, elle
parle
à mes sens ; Et je vois dans ses jeux des tableau
ge : Là, du sang des humains doit s’abreuver un Dieu. » La Discorde a
parlé
: l’Univers est en feu. Pétrone. — Deguerle 112
des destinées, Les Parques ayant mille fois Entendu les ames damnées
Parler
là bas de vos exploits De vos rimes si bien tourn
une forme humaine : Jeune imprudent, dit-il, qui t’amène en ce lieu ?
Parle
, que me veux-tu ? Vous le savez, grand Dieu, Oui,
chat de ton fils t’enlever tout espoir ; Mais ici, ne crains rien, et
parle
sans mystère : Pour remplir à ton gré l’auguste m
ée. D’un mensonge si noir justement irrité, Je devrois faire ici
parler
la vérité, Seigneur, mais je supprime un secret q
e j’admirois et l’artiste et l’ouvrage. Sur ce tableau sublime, ainsi
parla
le Sage. Des tyrans, me dit-il, l’orgueil am
vint folie. Il avoit lu qu’Amphion dans les bois, Faisant
parler
jadis sa flûte sans ses doigts, Aux arbres étonné
a donc étonné ta pieuse tendresse ! Nous pouvons, grace au Ciel, nous
parler
et nous voir ; J’attendois ce moment si doux à mo
has, Comptoient en frémissant leurs stériles combats. Mais l’Oracle a
parlé
: sous la hache abattues, L’Ida voit ses forêts à
poussière observoit mon visage ; Il me tendit les bras, il voulut me
parler
, De ses yeux expirans je vis des pleurs couler ;
et feignoit de me plaindre. C’est là mon désespoir ; pour avoir trop
parlé
, Je perds ce que déjà je tenois immolé ; Je l’ai
mes forfaits, Puissiez-vous en serpent me changer à jamais ! Il
parle
, et de son corps la moitié se resserre, Rampe, s’
ce moment, Si ce n’est pas encor un doux enchantement, Tu sembles me
parler
; et, fidelle interprête, Ce que ma bouche dit, t
s, et sa longue encolure, Il s’arrête ; il voudroit et se plaindre et
parler
; Il s’écrie… et frémit de s’entendre hurler : Et
es bras ; Il veut lui tendre aussi les siens, et ne peut pas. Il veut
parler
, l’écorce a sa langue pressée, L’un et l’autre se
la tendresse ! J’entends ses cris perçans, sa lamentable voix… Je te
parle
, ô Soleil ! pour la dernière fois. Pour la derniè
Son cœur farouche avoit encor plus de fierté. La Nymphe qui jamais ne
parle
la première. Et répète toujours la syllabe derniè
fet suit la menace. Elle dit : désormais ; Echo répond toujours et ne
parle
jamais. Echo voit le Chasseur : elle admire
is, sa voix s’y refuse, et son cœur en soupire : A moins qu’il ne lui
parle
, elle ne peut rien dire. Elle écoute, elle attend
Dispense votre main de ce devoir pieux. Elle cesse à la fois de
parler
et de vivre ; Mais l’arbre est tiède encor ; elle
es marbres, On voit fumer la terre, on voit rougir les arbres, Tout y
parle
d’horreur ; et même, les oiseaux Ne se perchent j
rainte Dépouillent le respect, sans, dépouiller la crainte. Les Dieux
parlent
encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule command
; Il accorde, il marie aux accens de sa voix, La lyre qui résonne et
parle
sous ses doigts. On voit là rassemblés ces Rois c
Et d’un repas, une cérémonie, Où chaque acteur fidelle à l’harmonie,
Parle
avec poids, mange en se composant, Et se permet,
102. [Table des matières] Dorat. La Déclamation. ch. IV. 103. Elle
parle
de Xantus. 104. [Table des matières] Myro de Cor
s rangs étaient confondus et même intervertis, les esclaves pouvaient
parler
impunément, les maîtres prenaient leur place et l
lon et Diane, divinités du soleil et de la lune, c’est ici le lieu de
parler
du Zodiaque et des différents signes qui le compo
avoir de plumes, elles se soutiennent en l’air ; elles s’efforcent de
parler
, un cri est la seule voix qui leur reste. Elles s
n. C’est alors que s’éleva parmi les dieux ce rire inextinguible dont
parle
Homère . Il délivra Junon, que Jupiter avait susp
ons. Palès n’a pas d’histoire ; cette innocente divinité n’a pas fait
parler
d’elle, et c’est un grand éloge. Flore fut aimée
§ 1. Océan et Téthys. Océan. — Téthys. — Océanides. Avant de
parler
des divinités de la mer, il faut dire un mot de l
l’avenir, mais il ne rendait ses oracles que par violence ; avant de
parler
, il essayait par diverses métamorphoses d’échappe
Elle s’était cachée derrière un buisson pour épier Céphale. Laissons
parler
un poëte : Procris s’était cachée en la même ret
crimes et les souffrances ; nous pourrions en citer d’autres encore ;
parler
des Titans, enchaînés de liens éternels aux porte
les souvenirs de la terre n’altèrent point leur bonheur ; les sages y
parlent
des mystères du Ciel ; les poëtes chantent des hy
lui l’art de se taire à propos, non moins difficile que l’art de bien
parler
. Le Sommeil, fils de la Nuit et frère de la Mort,
reine Antiope ou Hippolyte ; il en eut un fils du même nom, dont nous
parlerons
plus tard. Après ces exploits, il vint à Athènes
, esprits malfaisants qui sont opposés aux Izeds dont nous avons déjà
parlé
. Tout ce qui trouble l’ordre de la nature, les vo
existoient, pour la plupart, au moment où M. Rollin écrivoit. Il en
parle
avec éloge, et n’en souhaite pas moins l’ouvrage
déré. Quand on dit, en général, que les vrais poëtes sont ceux qui ne
parlent
que le langage de la Fable : Ce n’est pas que j’
vers où la supériorité de son pouvoir est très-bien exprimée. Jupiter
parle
ainsi aux autres dieux : Suivez-moi donc : venez
es autres dieux ne sont que l’humble escorte, Leur imposa silence, et
parla
de la sorte. Rousseau. Muses ! donnez
le printems donne une beauté nouvelle, Chênes divins,
parlez
tous ; Dodone, répondez-nous. La
la magnificence d’autant de rois. Erostrate, Ephésien, voulant faire
parler
de lui, et ne pouvant point ou ne voulant point s
t placée assise, et toute couverte de diamans. Les historiens qui ont
parlé
de ces miracles de l’art, écrivoient dans des tem
urs libations de vin, et à lui immoler une pie, parce que le vin fait
parler
avec indiscrétion ; ou un bouc, parce que cet ani
x d’Apollon, et en avoit reçu une vache, sur la promesse de ne jamais
parler
de ce vol ; Mercure, ne s’y fiant point du tout,
de jeux, de chants, de danses, de débauches infâmes. Les poëtes n’en
parlent
que rarement, et avec horreur. Vénus est ordinair
au firmament. Comme ce détail mèneroit trop loin, on se contentera de
parler
ici des grandes planètes et des signes du Zodiaqu
œurs. Lamotte. Le Phlégéton ne rouloit que des flammes liquides. On
parle
souvent de l’Erèbe, fils du Chaos et de la Nuit,
Amphion, fils de Jupiter et d’Antiope, reine de Thèbes. Les poëtes ne
parlent
guère de ce prodige, sans parler de celui qu’opér
ope, reine de Thèbes. Les poëtes ne parlent guère de ce prodige, sans
parler
de celui qu’opéra aussi la lyre d’Arion : Songez
ande utilité pendant la guerre de Troie. Ce Palamède dont on vient de
parler
, étoit fils de Nauplius, roi de l’isle d’Eubée :
, Qui des secrets des dieux fut toujours informé. Le Ciel souvent lui
parle
: instruit par un tel maître, Il sait tout ce qui
a prua muoversi in giro « L’oricrinite stelle di Santermo 99. Dante
parla
più volte della costellazione dei Gemelli nella D
orso o del ragionamento e simili. Del Minotauro e del filo di Arianna
parla
anche Dante nell’Inferno, ove afferma che egli tr
sollevazione e vendetta popolare, come afferma Cicerone109. Il quale
parla
molte volte di questo toro nelle sue opere, e dic
tano queste atrocità Tebane. E basterà citar Dante che molte volte ne
parla
o vi allude. Oltre l’esempio riportato di sopra,
contrato nel Purgatorio il poeta Stazio autore della Tebaide, con cui
parla
di questo poema, e fa dire all’autore stesso : «
sedi. Quest’ultimo fatto è rammentato ancora dall’Alighieri, ov’egli
parla
dell’indovino Tiresia, di Manto figlia di lui, e
la posta nella tenda di esso. Anche Virgilio nel libro ii dell’Eneide
parla
di Palamede, e ne fa da Sinone attribuire la mort
r per la guerra, non è facile dimostrarlo, in quanto che Omero non ne
parla
, e perciò appunto Cicerone non lo crede, e stima
llo di legno, oltre al farne la più eloquente narrazione Virgilio, ne
parla
anche Dante, che mette Sinone nell’Inferno tra i
reta e nipote di Minosse la fondazione di questa città ; ma Omero che
parla
più volte con gran lode del valore di Idomeneo, q
se 162. Infatti neppur Dante le ha condannate all’Inferno ; e solo ne
parla
incidentalmente rammentando in una similitudine l
modestamente altre sue Opere, e di talune confessa ancora i difetti,
parla
poi più volte con gran convinzione e sicurezza de
’imbestiò nelle imbestiate schegge ; » e nel Canto xii dell’ Inferno
parla
del Minotauro, « Che fu concetto nella falsa vac
x. Suis le milieu : c’est là le chemin qu’il faut prendre. » Apollon
parlait
encore, et déjà le présomptueux Phaéton planait s
avoir de plumes, elles se soutiennent en l’air ; elles s’efforcent de
parler
: un cri est la seule voix qui leur reste. Devenu
ormes et employa mille déguisements pour parvenir jusqu’à elle et lui
parler
: il se changea tour à tour en laboureur, en vign
et, sous cette figure, il obtint la liberté de voir Pomone et de lui
parler
. Son éloquence la toucha, ses instances la persua
tre son nom, sa famille et le supplice injuste qu’elle va subir. Elle
parlait
encore, lorsque le monstre approcha pour la dévor
nlevèrent et le retinrent dans leurs demeures souterraines ; ou, pour
parler
sans fiction, Hylas tomba dans le courant du fleu
acier dans le sein de sa mère. La foule se presse autour de lui ; il
parle
, on l’écoute, on le reconnaît pour le fils d’Agam
mieux connaître la vérité, alla consulter l’oracle de Faunus, qui lui
parla
sans détour60. « Garde-toi, mon fils, de marier L
pour le dieu Pan, et débita un long discours en faveur de son ami. Il
parlait
encore, lorsqu’il sentit éclore sous sa chevelure
lui expose le but de son voyage et les vœux si naturels de Progné. Il
parlait
encore, lorsque Philomèle entra, parée de ses plu
est touché que du souvenir d’Alcyone ; Alcyone seule l’occupe ; il ne
parle
que d’elle ; son image seule est présente à son e
it, il se glissait sous les berceaux de verdure, abordait Psyché, lui
parlait
affectueusement, lui demandait la promesse de n’a
lui tend la main avec bonté. Psyché est si interdite qu’elle ne peut
parler
; elle se jette aux pieds du généreux vainqueur,
appelée Pythie, qui remplissait cette fonction. A Dodone, on faisait
parler
des colombes et des chênes. Jupiter-Ammon donnait
Souvent une prompte mort suivait son enthousiasme convulsif. L’oracle
parla
d’abord en vers ; mais quelques malins voyageurs
e le dieu de la poésie fît des vers dépourvus de poésie, la prêtresse
parla
dès lors en prose. § 22. La Sibylle de Cumes.
avement et avec assurance vers le palais de Tarquin, et demanda à lui
parler
. Admise en sa présence, elle déroule à ses yeux n
: emblèmes qui signifient qu’on doit tout voir et tout entendre, mais
parler
peu. Les Romains adoptèrent cette divinité, dont
ent la statue à l’entrée de leurs temples, pour marquer qu’il ne faut
parler
des dieux qu’avec circonspection, puisque l’homme
it allusion dans ces vers de la tragédie de Phèdre ; c’est Phèdre qui
parle
(act. I, sc. 5) : Ariane, ma sœur, de quel amour
fille d’Érechthée roi d’Athènes, et sœur d’Orithyie, dont nous avons
parlé
, page 78 [= section II, § 16]. 70. Cette même An
esser aucune idée religieuse européenne de notre époque, nous n’avons
parlé
que des religions vulgairement appelées païennes,
entr’ouverts, laissent voir son effémination. Puisque nous venons de
parler
de la fête d’Atys, parlons de suite des fêtes de
ir son effémination. Puisque nous venons de parler de la fête d’Atys,
parlons
de suite des fêtes de Cybèle. Elles s’appelaient
par le grand pontife, une seule était choisie. Dès que le sort avait
parlé
, le prêtre l’enlevait à ses parens ; mais par com
aient à table les esclaves, qui, pendant ce temps, avaient leur franc
parler
, et étaient amnistiés de toutes leurs fautes ; pa
sparut. On sait déjà qu’il épousa Astérie et en eut Hécate, dont nous
parlerons
en faisant la revue des habitans du royaume de Pl
Styx. Après Thémis, Astrée et Dicé, les dépositaires de la justice,
parlons
de ces Hécatonchires ou Centimanes, monstres effr
elées : Alcipe, Anthé, Astérie, Drimo et Méthone. Nous n’avons point
parlé
, en citant les Géans, d’un monstre, fils de la Te
elle ils établirent le culte des Muses, nous n’aurions point encore à
parler
d’eux ; mais on pense facilement qu’avec des form
ant derrière eux, non des pierres, mais les fruits d’un palmier. Sans
parler
des enfans nés des pierres, on reconnaît pour fil
vé. Ce dieu aussitôt les changea tous les quatre en oiseaux, ou, pour
parler
sans figure, probablement que ces voleurs ayant é
ent exterminé les Géans ses enfans. Depuis, Jupiter lui ordonna de ne
parler
que des hommes. On la représentait comme une dées
rcyon, Periclète, Cupidon, Erichthonius, on les retrouvera quand nous
parlerons
d’Hercule, de Thésée, de Vénus et de Minerve. Mai
ns d’Hercule, de Thésée, de Vénus et de Minerve. Mais il nous reste à
parler
des Cabires, ce qui sera très-court, car il règne
ia sont des personnages historiques dont il ne nous appartient pas de
parler
ici ; Sinope, fils de Parnassa ; Pylos, fils Démo
e la Peur, Timor, ou la Crainte. Cette Bellone, dont nous venons de
parler
, portait les noms d’Enyo, chez les Grecs, et de D
ment des deux autres : nous nous conformerons à cet usage, et nous en
parlerons
tout-à-fait à part. Mais auparavant indiquons rap
on retour de l’expédition des Argonautes dont nous aurons occasion de
parler
dans la suite ; elle en eut quatorze enfans que l
ce fut Chloris, depuis épouse de Nélée, et mère de Nestor, dont nous
parlerons
en faisant connaître le siège de Troie ; d’autres
s différentes fables dont on l’a entouré dans ces diveres fonctions :
parlons
d’abord de la déesse de la chasse. Jupiter, après
vaient ces temples, et à part Iphigénie, dont nous aurons occasion de
parler
, le nom de Cométho est le plus connu parmi ceux d
tone, Leschenor ou le dieu des philosophes et orateurs, Lexios ou qui
parle
bien, Libyssinus ou du promontoire de Pachinium e
le poésie du dieu de l’harmonie, ses prêtres s’abaissèrent à le faire
parler
en prose. Là se terminait le rôle de ces fourbes
isé la tête avec sa lyre. Ce Tamyris ou Thamyras, dont nous venons de
parler
, était né à Odryse, dans la Thrace, de la belle A
t son habitude, l’haleine rafraîchissante de Zéphire, elle crut qu’il
parlait
à une rivale, et son frémissement involontaire ag
ut mère de Chius ; Anchialée eut Oaxe d’Apollon ; Anaxibie a peu fait
parler
d’elle ; Antianire eut de ce Dieu, suivant quelqu
sous le nom de Coronis que l’on connaît la mère d’Esculape ; nous en
parlerons
plus bas. Astérie passe aussi pour mère d’Idmon ;
énicie. On reporte à 53 ans avant le siége de Troie, guerre dont nous
parlerons
plus tard, l’importation du culte d’Esculape en G
ses enfans ainsi que Latone et tout ce qui se rattache aux Latonides,
parlons
des femmes ordinaires du maître des Dieux. L'on a
tation et un bras enveloppé dans un ample manteau. Cérès. Maintenant
parlons
d’une autre déesse qui passa pour avoir vécu conj
près à Cérès. Pan, surtout, pourrait prendre place ici ; mais nous en
parlerons
à la suite de Bacchus dont il était un des fidèle
nt il était un des fidèles et joyeux compagnons. Nous pourrions aussi
parler
des Nappées et des Oréades qui présidaient aux pl
ou de Physis, appelée aussi Primigénie, chez les Orphiques, nous n’en
parlerons
pas ; car, divinisée chez tous les peuples sous d
, elle se rapporte aux unes et aux autres des déesses dont nous avons
parlé
. Seulement, nous ajouterons qu’elle était fille-é
nt la guerre des Géants ? nous serions tentés de le croire. Mais nous
parlerons
plus en détail de cette femme légitime du Titan P
; Prœpotens, ou la plus puissante chez les Thébains, Psityros, ou qui
parle
beaucoup ; Ridens, ou née en riant ; Recticordia
l ; bientôt voluptueusement caressée du souffle de Zéphyre, elle veut
parler
, et déjà, c’est un soupir qu’elle laisse échapper
troisième lui offrir les fruits nouveaux, la quatrième lui montrer à
parler
aux cœurs, la cinquième voudrait lui enseigner la
traînent en même temps avec elles une idée fluviatile : aussi nous ne
parlerons
des ces compagnes des hautes divinités qu’en décr
rang. Les fêtes de Vénus se composaient de rites mystérieux, et, sans
parler
des Pervilies, ou fêtes nocturnes des Romains, ni
être aussi épouvantable qu’on le dit, pensait-elle ; car elle n’osait
parler
. Pendant ses réflexions, le monstre lui prodiguai
ofita donc de l’occasion et pour la punir, elle la condamna à ne plus
parler
sans qu’on l’interogeât et à ne répondre que les
m. Taygète fille d’Agénor, roi de Phénicie, sœur d’Europe, dont nous
parlerons
dans quelques pages, fut mère de Lacédémon, quatr
fait connaître les femmes et les maîtresses ou concubines de Jupiter,
parlons
de ses nombreux enfans. D'abord commençons par se
ci, l’on était obligé de passer par le premier. Minerve. Après avoir
parlé
de toutes les filles, plus ou moins importantes d
avait soutenu son courage en venant auprès de lui. Puisque nous avons
parlé
de Cécrops, parlons de cet importateur du culte d
courage en venant auprès de lui. Puisque nous avons parlé de Cécrops,
parlons
de cet importateur du culte de Minerve à Athènes.
gne, chargé de grappes et environné de lierre. Il serait difficile de
parler
de Bacchus sans faire connaître les dieux et dées
qui présidait à la destruction des loups. Après ce Dieu, nous allons
parler
des Satyres, appelés aussi Capripèdes, ressemblan
Tusci ou Etruriens, Souvent dans le cours de cet ouvrage, nous avons
parlé
des Héraclides ou descendans d’Hercule ; il y en
: Ariadne, Hécale, Phèdre et Xénodice. Ce Dédale dont nous venons de
parler
, paraît avoir été le premier industriel connu che
ais du coté de Phinée la perte fut bien plus considérable ; car, sans
parler
de Clymène fils de Phinée, tué par Hoditès ; de P
’un bélier ; ce Chrysomallon avait cela de particulier, qu’il pouvait
parler
et voler d’un endroit à un autre. Expédition des
pis, qui le rendit père d’un fils nommé Ajax. Maintenant, nous devons
parler
de l’un des plus célèbres héros de la Grèce après
nglier, deux frères, Pelée et Télamon, dont nous devons d’autant plus
parler
ici, que nous retrouverons plus tard leurs enfans
oins poétiquement en disant qu’alors il mourut. Il nous reste enfin à
parler
d’un dernier fils de Neptune, de Triton qu’il ava
ouvera décrits fort en détail, quelques pages plus loin, lorsque nous
parlerons
de l’empire du Pluton, dans lequel ils se trouvai
qui l’avaient égorgé, mais Hercule s’y opposa. Nymphes. Maintenant,
parlons
des divinités subalternes, que l’on désignait sou
uels plus ou moins connus ; en voici quelques-uns dont il est souvent
parlé
dans la Mythologie : Abrétie, Ænome du mont Ida,
asseur, et on lui donnait pour filles les Euménides, dont nous allons
parler
dans quelques lignes ; mais comme épouse de Pluto
ux-ci portaient en outre le nom spécial de Larves ou Lémures. D’abord
parlons
des premiers que l’on ne désignait jamais autreme
ils nous passons aux principaux chefs qui s’y trouvaient, nous devons
parler
d’abord de Ménélas et d’Hélène cause de cette gue
, pendant le sacrifice, les Dieux, pour prouver à Laocoon qu’il avait
parlé
contre leurs ordres, envoyèrent deux serpens énor
a statue de Minerve, pour repousser Ajax. Maintenant, il nous reste à
parler
de l’un des guerriers Troyens les plus célèbres e
s d’un Emation, ou par un fils de Jupiter. Maintenant il nous reste à
parler
de quelques personnages que l’on vient de voir fi
ais il demeura inébranlable dans sa résolution, car les Dieux avaient
parlé
. Alors Didon, se livrant à tout ce que l’amour mé
la religion de Bouddha, que nous ferons connaître lorsque nous aurons
parlé
de tout ce qui se rattache à la trimourti, issue
les quatorze mondes, dont nous allons voir la mythologie des Hindous
parler
si fréquemment. Après la formation des mondes, Br
nions résultèrent les quatre castes fondamentales dont nous venons de
parler
. Ce Brahman ou Ram était donc fils ainé de Brahmâ
à Vichnou et à Brahmâ. Maintenant nous voici naturellement arrivés à
parler
des Aditias, génies solaires que l’on fait descen
être confondu avec Boudha, chef du bouddhisme. Celui dont nous allons
parler
, était fils de Tara et de Tchandra, dieu de la lu
chillambaram. Si nous revenons maintenant sur tout ce dont nous avons
parlé
dans le courant de l’article général de Vichnou,
ut donc obligé de le livrer à l’Océan. Alors le dieu poisson se mit à
parler
, et lui dit : dans sept jours, pour punir Haïagri
ndre contre ses cousins, les Kourous. Ces Pandous dont nous venons de
parler
, et qui formaient la célèbre race de Kchatriias,
’en ce qu’ils vivent en société. Quant au Casé-Patié-Pandaroux, il ne
parle
jamais, demande l’aumône en se frappant les mains
ec lequel probablement plus tard il se fondit. Puisque nous venons de
parler
du Thibet, commençons par suivre le Bouddhisme da
us reste fort peu de choses à dire sur les nouveaux Dieux ; aussi, ne
parlerons
-nous ici que d’Amida, de Gouannon, et de Kano, A
même qu’elle était enceinte. En effet, au bout de huit mois, l’enfant
parlait
dans son sein ; quatre mois après elle le mit au
dernier de ces Gahs. Les Fervers ou Ferouers, dont nous avons souvent
parlé
, sont les prototypes des êtres ; leur nombre est
Braga ou Bragé, ou Asabragur, second fils d’Odin et de Frigga, ne fit
parler
de lui que comme Dieu de l’éloquence et de la poé
Périkouers, en Californie, le représentent avec une chouette qui lui
parle
à l’oreille. Qiarou, fétiche spécial à chaque in
nes et les limites doivent être à la vue de tout le monde. Ovide fait
parler
ainsi au dieu Terme, le possesseur d’un champ :
côtes et ses îles. Dès lors on prit l’Olympe pour le ciel, et l’on ne
parla
plus de l’Espagne, où Pluton faisait travailler a
mais Midas lui imposa silence. Suffoqué par ce secret, et ne pouvant
parler
de peur d’encourir la colère du roi, cet homme fi
t sentiment d’humanité. On lui immolait la pie, parce que le vin fait
parler
indiscrètement ; et le bouc, parce que cet animal
Ne prétendez point à l’esprit, « Et surtout gardez-vous d’en faire. «
Parlez
peu, mais bien ; ce qu’on dit « Jamais ne peut ma
« Et la ceinture de Cybèle. » Demoustier. Pendant que le dauphin
parlait
, l’image sombre de Neptune se présenta au souveni
esses. Les anciens représentaient Plutus aveugle. Aristophane le fait
parler
ainsi dans sa comédie : « Jupiter m’a ainsi maltr
apercevant de l’artifice, lui interdit la parole, et la condamna à ne
parler
qu’après les autres, pour répéter les dernières s
s. Fauna ayant perdu son époux, s’enferma seule, et mourut sans avoir
parlé
à aucun homme. Les Latins la déifièrent : elle de
sir de contempler les traits de la nymphe, mais il ne pouvait pas lui
parler
. Voulant à tout prix l’avoir pour épouse, il se m
nveloppe dans des coiffes, et entre dans les jardins de la nymphe. Il
parla
pour lui-même avec tant d’éloquence, que Pomone s
mépris dissimula, mais pour assurer sa vengeance. Corneille l’a fait
parler
ainsi : Quoi ! mon père trahi, les élémens forcé
à le retenir auprès d’elle ; mais ce fut en vain : les dieux avaient
parlé
, ils appelaient le héros troyen en Italie. Ni les
es bras : Il veut lui tendre aussi les siens, et ne peut pas. Il veut
parler
, l’écorce a sa langue pressée ; L’un et l’autre s
plus vaste génie : Car quel mérite enfin ne vous fait estimer ? Sans
parler
de celui qui force à vous aimer. Vous joignez à c
o qualsiasi. In fondo lo stesso significato ha la voce leggenda, e si
parla
quindi spesso di leggende mitologiche; ma è inval
immagine di Efesto-Vulcano ricorre spesso nella poesia epica, dove si
parla
di grandi opere costruite dal divino operaio. Cos
ta disaggradevole. Pero zoppa era la statua fatta da Alcamene, di cui
parla
Cicerone nel primo libro De Natura Deorum, § 83:
. 5. Oltre l’ inno omerico già ricordato, presso altri poeti greci si
parla
di Ermes e si raccontano le leggende a lui relati
belle donne; di lei si loda la candida luce. Un frammento di Saffo ci
parla
degli astri che intorno alla bella Selene, quando
il numero più frequente, ma non mancano località e leggende in cui si
parla
d’ un numero diverso) fu assegnata una provincia
zia (Eileithyia) era presso i Greci la Dea del parto. Nell’ Iliade si
parla
di più Ilizie, e son dette figlie di Era, e rappr
e, le sue epifanie, i suoi oracoli. 4. Tra le opere letterarie ove si
parla
di Asclepio, è degnissima di speciale menzione la
nna e il corpo pennuto di uccello con lunghi artigli. Specialmente si
parla
di loro nella leggenda degli Argonauti, dove figu
tto con vivaci colori da Omero nel quarto dell’ Odissea, dove Menelao
parla
del proprio viaggio in Egitto; e il passo fu abil
anche della virtù di prevedere il futuro. Ma l’ antica mitologia non
parla
solo di un Sileno, bensì di una moltitudine di Si
done il supplizio con tal forza ed evidenza da destar raccapriccio; e
parla
dell’ ultimo nell’ undecimo raccontandone la isto
ono della proprietà prediale, simile al Dio Terminus; in questo senso
parla
vasi di un Silvano Orientalis essendochè al confi
ato Sanctus. A Silvano erano sacri certi boschi, ad es. quello di cui
parla
Virgilio nell’ ottavo dell’ Eneide (v. 597) nelle
oli d’ indole gaia e licenziosa. 2. Nel quinto dei Fasti d’ Ovidio si
parla
di Flora; ed ella stessa descrive il suo caratter
i cogli epiteti « grande, veneranda, canuta, longeva » ecc. ma chi ne
parla
più a lungo è Ovidio nel quarto dei Fasti ove spi
te perciò essere acclusa nell’ area del nuovo edificio. 2. Di Termine
parla
Ovidio nel secondo dei Fasti, e spiegando le fest
rimangono pur frammenti di inni orfici ove del ratto di Proserpina si
parla
secondo le tradizioni più recenti. Del resto in m
bre e la predizione a lui fatta de’ suoi casi futuri. Qui però non si
parla
di una discesa all’ inferno; son l’ ombre che evo
i, va annoverata quella della lotta tra i Lapiti e i Centauri. Già ne
parla
Omero, il quale fa dire al vecchio Nestore che ne
zzo cavalli, non era stata pensata ancora ai tempi di Omero, il quale
parla
solo di uomini pelosi, dalle chiome arruffate, ro
i Tindareo, Polluce immortale e figlio di Zeus. In alcuni racconti si
parla
di un uovo deposto da Leda, dal quale poi sarebbe
o re Messenia, le quali già erano fidanzate ai figli di Afareo; or si
parla
di un bottino fatto in comune d’ una mandra di gi
Europa sono affidati non è che un’ altra forma di Zeus, e di fatti si
parla
anche di un Zeus Asterios, come a dire Dio degli
lla vita, si rende degno d’ una gloria immortale. In tal senso Orazio
parla
di lui quando descrive l’ uomo retto e costante n
un bosquet placé au bord d’un ruisseau qui traverse le vallon, Eugène
parla
ainsi : Toute la nature était animée par la mytho
de Béotie à cette contrée. » Cadmus trouva la génisse dont lui avait
parlé
l’oracle, et desirant faire un sacrifice avant de
st de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de
parler
aux yeux, Et par les traits divers de figures tra
me entretien. Le lendemain on se réunit à la même heure, et Eugène
parla
ainsi : Dans les tableaux que les peintres nous
se de la beauté. C’est donc sous l’influence de Vesper que nous aller
parler
de Vénus. Vénus. Cette déesse naquit de l
ou : Midas, le roi Midas, a des oreilles d’âne ; et n’eut pas sitôt
parlé
, qu’il recouvrit le trou de terre, comme pour y e
e. Le jeune Aristée, fils d’Apollon et de Cyrène, dont nous venons de
parler
, brûlait d’amour pour elle : un jour qu’il lui pe
es qu’ils employaient dans l’occasion pour s’enrichir. Les historiens
parlent
d’un autre Mercure, connu sous le nom de Mercure
n luth harmonieux, qu’accompagne sa voix, Ou frémit sous l’archet, ou
parle
sous ses doigts : L’œil suit les plis mouvants de
écits ; mais la déesse ayant découvert son artifice, la condamna à ne
parler
que lorsqu’on l’interrogerait, et à ne prononcer
Je suis dieu, je vous aime, et le ciel m’est témoin… » A peine a-t-il
parlé
, la nymphe est déjà loin. Vers les bords du Ladon
oi ; et que, dès aujourd’hui, Achille se rende maître de Troie.” « Il
parle
ainsi à demi consumé, et l’on entend bouillonner
ggio molto serio, ed in certi casi anche un poco profeta. Nell’Eneide
parla
divinamente nel suo linguaggio originale, come lo
che lo salvassero. Nel libro xxi dell’ Iliade (trad. del Monti) così
parla
il Xanto al Simoenta : « Caro germano, ad affren
degli Dei, e il più moderno a quello degli uomini. Nel caso di cui si
parla
nel testo il Xanto è il nome più antico, e lo Sca
uggo lo stormo. » È facile peraltro l’intendere che qui il Petrarca
parla
soltanto metaforicamente. La Dea Triforme era con
teggeva le maliarde e le streghe nei loro incantesimi. Omero però non
parla
di questa ributtante Dea, e il passo in cui ne di
lezza tua sotto più forme. » 136. Orazio nell’ Ode 5 del lib. v,
parla
di una maga, « Quæ sidera excantata voce Thessal
es autres Dieux ne sont que l’humble escorte, Leur imposa silence, et
parla
de la sorte, etc. (Rousseau.) Devenu grand, il d
isse, d’où il sortit au temps marqué pour sa naissance. Un Poëte fait
parler
ainsi Junon : Exigez qu’aux Thébains lui-même il
ute l’assemblée. On immoloit à Bacchus une pie, parce que le vin fait
parler
avec indiscrétion ; ou un bouc, parce que cet ani
e nomment-ils pas encore quelques autres Divinités maritimes ? R. Ils
parlent
encore de plusieurs, entr’autres d’Eole et des St
onneront une idée de leurs fonctions ; c’est le maître d’un champ qui
parle
à l’un d’eux. Terme, qui que tu sois, ou de bois
beaucoup de demi-Dieux ? R. On en compte un assez grand nombre. Nous
parlerons
des plus distingués. Persée. D. Quel est ce
st de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de
parler
aux yeux ; Et, par les traits divers des figures
ombrageux de l’homme. Voici comme s’en explique notre Auteur : Tout
parle
en mon ouvrage, et même les poissons ; Ce qu’ils
lzati al grado di Dei indigeti, come di Enea divinizzato da sua madre
parla
Ovidio. Metam. 14. Contigit os, fecitque Deum, q
et motus incompositos, et carmina dicat. Che l’Ostia poi, di cui qui
parla
il poeta sia stata una troja chiaro si rileva da
enza stento biondeggiante si vide : Aureaque, ut perhibent , così ne
parla
Virg. Æn. 8. illo sub rege fuere Saecula sic
. Questo appunto accadde alla Dea, di cui in quest’ultimo capitolo si
parla
. Chi fù Proserpina. Nata essa da Giove, e da Cere
he la tessitura del verso sia sempre analoga all’ obbietto, di cui si
parla
in tutt’ i suoi rapporti ; in modo però che oscur
sveglia forti impressioni nel cuore atte ad attirarlo dove voglia chi
parla
. Ed ecco perchè gli Spartani fino a tal segno odi
o a chi rivolgersi, Quindi con voce stridola, E a chi cercar pietà.
Parla
a’ Spartan così : Sparta, che tenne in Grecia F
Mai la seconda Sento la voce appien, Quindi l’urna abbracciò Che
parla
a questo sen Il cener contemplò Mi chiama a mor
r l’indegno errore Pria d’esser padre lor fui figlio a Roma Questa mi
parla
, e non natura al core Provino i figli rei giusto
ir il Trojan dell’ opra atroce Di Paride fatal Giuno adirata, Ad Eolo
parla
con terribil voce Fiera, torva, funesta, ed accig
aro costume di sacrificare invalse non solo presso i Galli, de’ quali
parla
Tullio Orat. pro Font. ma benanche presso i Greci
d nombre d’enfants, parmi lesquels on remarque les Tritons, dont nous
parlerons
plus tard, et les Harpies, monstres hideux qui po
itre cinquième. Les Enfers et les divinités infernales. Nous avons
parlé
plus haut (p. 45) de Pluton, Dieu des Enfers. Ava
s des rochers à des époques qui se perdent dans l’antiquité. Hérodote
parle
d’un temple de dix mètres cinquante centimètres s
er qu’en trois années d’Eléphantis à Saïs. Le plus ancien temple dont
parle
l’histoire du paganisme est le temple de Bélus ou
s, et servaient encore d’habitation aux crocodiles sacrés. Nous avons
parlé
ailleurs (voyez page 103) du labyrinthe de Crète,
l n’emportait rien, il disait : Je porte tout avec moi ; il voulait
parler
de sa sagesse, qui ne pouvait lui être ravie. On
écutez avec ardeur ce que vous avez résolu. — Ne vous hâtez jamais de
parler
. — Rapportez aux Dieux ce que vous faites de bien
core lorsqu’ils sont dans la misère que lorsqu’ils sont heureux. — Ne
parlez
jamais mal d’un mort. — Honorez la vieillesse. —
ortarono insigne vittoria i Tindaridi ne’ giuochi Olimpici ; ed Igino
parla
de’solenni giuochi fatti celebrare in Argo da Aca
ini le davano l’asta ; ed è nota la Giunone Curite de’ Sabini, di cui
parla
Servio. Nel tempio di Platea era una statua di Gi
cocchio a quattro cavalli, di cui Minerva dicesi inventrice. Pausania
parla
di una statua della Dea che avea un gallo sul cim
nifico tempio ; e da’ medici è reputato lor Dio e protettore. Polluce
parla
di alcune feste in di lui onore, dette Asclepie.
n tempio che Rufo pone nel duodecimo rione della città (2). Tacito(3)
parla
di un tempio edificato da Servio Tullio. Gli Arca
e derivato da βακχος, che significa uomo trasportato dal furore e che
parla
vaneggiando ; sebbene Servio(6) dice che viene da
che Ovidio avesse seguita siffatta etimologia. Erodoto (2) finalmente
parla
di un tale Batto, principe della città di Cirene,
nsegnato da Orfeo, che l’avea, appreso dagli Egizii. L’Oceano, di cui
parla
Omero, era il Nilo : le porte del sole voglion di
i dato un sol occhio al suo Polifemo acciecato da Ulisse. Strabone(2)
parla
delle caverne o specie di laberinti cavati da’Cic
ificii per la conservazione de’frutti. Pomona poi dicesi un libro che
parla
de’frutti, come Flora, de’ fiori, e Fauna, degli
o, il quale, al vedere il suo letto iugombro tutto di cadaveri, irato
parla
ad Achille, Io minaccia, lo ravvolge ne’ vortici
atona ; e la terza, fig. di Upi e di Glauce. Quella adunque di cui si
parla
comunemente, è la fig. di Giove e di Latona, che
o un simulacro di Diana : siede Meleagro in mezzo al dipinto, e forse
parla
con Atalanta. A’piedi dell’eroe è la testa dell’e
culla ; ed Ercole, senza restar punto atterrito, li uccise. Plinio(1)
parla
di un Ercole fanciullo che vuolsi opera della man
ni, che Gellio chiama fig. di Nettuno : ed uno Scoliaste dell’Odissea
parla
di un Lestrigone, fig. di quel nume, dal quale fa
remità dell’Oceano, e coperti da tenebre eterne. Or di quali Cimmerii
parla
il greco poeta ? Sappiamo che i Cimmerii eran pop
proverbialmente si dicono per una foltissima caligine. Strabone però
parla
de’Cimmerii, antichi popoli della Campania, press
o la Negromanzia di Omero, cioè l’undecimo libro dell’Odissea, ove si
parla
dell’evocazione dell’ombra di Tiresia. Plinio (3)
degli Dei Mani (quasi summus Manium. Capell.), sebbene Ovidio (1) ne
parla
come di una divinità incerta. Ad esso attribuivan
he l’uomo dee dimorar sulla terra, come da Ovidio si scorge, allorchè
parla
del fatale tizzone, al quale era attaccata la vit
Proserpina rapita, opera ch’egli chiama bellissima. Lo stesso autore
parla
di un ratto di Proserpina rappresentato in un qua
i prima di fabbricare la città di Roma. Quando dunque dai Mitologi si
parla
di Dei stranieri adorati dai Romani non si deve i
ti mostruosi Dei Egiziani, poichè Giovenale, nella Satira xv, così ne
parla
: « Chi, o Vòluso, non sa quai mostruose « Adora
di Rhea la rammenta anche Dante nel Canto xiv dell’ Inferno, ov’egli
parla
dell’isola di Creta e del monte Ida : « Rhea la
etta alla solinga valle, ecc. » 44. Ovidio nel 4° dei Fasti così
parla
di questo fiume : « Inter, ait, viridem Cybelen
ì piuttosto miglior partito indicare un’ altra Venere celeste, di cui
parla
Platone, tutta spirante decenza, e grazie non aff
le la sua origine, come altresì il Portico di Ercole, Portici, di cui
parla
Petronio nella cena di Trimalchione. Credesi però
continuo assistente ed osservatore di tutte le nostre azioni. Servio
parla
di due Genj : uno che ci esorta a bene operare, l
si poteva, fu detto perciò Priapo il Dio degli orti. Di Giove Ejazio
parla
una nostra iscrizione : Titus Flavius Antipater
e perdute dalle legioni di Crasso. 2. Questi è quel Mercurio, di cui
parla
Cicerone de nat. Deor. che trovò le leggi, e le l
vici in Roma. 2. Tullio nel libro III. della Natura degli Dei c. 25.
parla
di cinque Bacchi, aggiungendone duc ai tre rappor
ia, composto di due voci Part. Nop. clima felix. 1. Omero nell’Odis.
parla
sovente de’ Cimmerj, popoli che abitavano nelle g
disgrazie del genere umano. L’idea forse è presa dalla Genesi, ove si
parla
della disubbidienza del primo uomo. Cicerone nel
t toute considération d’un ordre plus élevé, afin de ne pas cesser de
parler
aux enfants leur langage. Le seul mérite que nous
s diviserons la mythologie grecque et romaine en quatre parties. Nous
parlerons
dans la première des dieux du premier ordre ; dan
: Ne prétendez point à l’esprit, Et surtout gardez-vous d’en faire.
Parlez
peu, mais bien. Ce qu’on dit, Quand la raison le
ère. La ville et les montagnes d’Idalie lui étaient consacrées. On ne
parlait
que des ombrages toujours verts, des retraites dé
e Des mortels indiscrets. Rousseau . Pour le contraindre à
parler
, il fallait le surprendre endormi et le lier de m
ait sur les bornes et vengeait les usurpations. Ovide fait à peu près
parler
ainsi le maître d’un champ qui s’adresse à ce die
ent-ils le vice en général ? Chapitre IV. Des Maux. 1. Nous ne
parlerons
ici que de Bellone, des Tempêtes, de la Vieilless
st de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de
parler
aux yeux, Et par les traits divers de figures tra
fils Hector. Cet auguste vieillard se jeta aux genoux d’Achille, lui
parla
au nom de son père, et lui baissa la main en pron
el nous dit que les Chaldéens adoraient un dragon ou serpent, et nous
parle
en même temps d’une idole de bois servie, sous le
A queste stesse conclusioni io giunsi per altra via, quando nel N° IV
parlai
del Fato e del Fatalismo. Passando ora alla Mitol
li in Dei e in Dèmoni ; e i mortali in Eroi e in uomini. Platone così
parla
dei Dèmoni nel Convito : « Essi sono esseri inter
sale diluvio, consultarono l’Oracolo di Temi sul monte Parnaso. Omero
parla
degli Oracoli, delle divinazioni e degli augurii
vazioni generali alle particolari sulla religione dei Pagani, così ne
parla
nel Cap. 12 : « La vita della religione gentile e
mesi con la madre o sulla Terra o nel Cielo. (Vedi il Cap. X, ove si
parla
di Proserpina). Lo stesso Omero dice chiaramente
ù sia messa250. » V’è anche « ….. Pluto con la voce chioccia, che
parla
un linguaggio che non s’intende : « Pape Satan,
erà le figure allegoriche, delle quali negli scritti degli antichi si
parla
, e che tuttora si vedono nei loro monumenti. Diff
etto. Esclama: Udite, o Greci, odimi Achille: Adesso un Dio per me vi
parla
, e spiega I suoi decreti e la sua scelta. Un’altr
a il mio Giove; No, dal tuo cor non discacciarmi — E dolce. Mentre sì
parla
, due vezzose stille Brillan sugali occhi. Ai lus
elebre Winkelmann mio antecessore. Fece (son le parole di Plinio dove
parla
delle opere di Prassitele in bronzo), fece un Apo
più famosi scultori. Era quasi tutto l’altare di mano di Prassitele.
Parla
Senofonte di una statua d’oro massiccio, della qu
guerra; ed infatti Omero, o chi sia l’autore delllnno a Venere, così
parla
di Minerva, dicendo che ignote le erano le dolcez
dai Greci scudo argolico, attribuito dai classici a questa dea. Così
parla
di questo Polibio: — La parma è forte per la sua
rincipio della sua tragedia delle Eiimenidi fa comparire la Pitia che
parla
in questi termini: Offriamo i nostri oma^^sri inn
o giovenco, e fia che ammiri Il ricco abitator le messi offerte. — Sì
parla
, e frena in Ida ai serpi il volo. Lezione tre
ma antica, ove il Maffei ha creduto vedere la dea dell’Ore. Monfaucon
parla
di una consimil figura dipinta in un antico manos
resti. (Notate che ancora non si erano scoperti gli altri due, di cui
parla
Visconti nel terzo tomo. « Ha già avvertito Winke
e nei lor poemi, il che non mi sovviene aver fatto gli antichi. A lei
parla
Dante allorché dice: «Mente, che scrivesti ciò c
dopo la dolorosa operazione. Non starò a indagare se l’Eunuco di cui
parla
questo poeta sia per l’appunto il Frigio, che ciò
le greggio nimico e degli armenti Contra gli aizza, e in questa guisa
parla
: Su, gli dice, su, fera belva, Vanne, e quinci ri
ta. L’Inferno di Polignoto. Pausania nel suo Viaggio nella Grecia
parla
incessantemente delle belle opere delle quali era
er farne sentire la leggerezza. Quanto all’ombre dei pesci, dei quali
parla
Pausania, Caylus sospetta che questo autore abbia
i Nemesi, che vendicava gli oppressi in vita, dai superbi. Così se ne
parla
in un inno antico. — Nemesi alata, motrice della
gg. Ma passando a ricerche relative alla Mitologia dirò che Omero non
parla
della Fortuna, non perchè, com’è pensiero di alcu
nsa erudizione degli espositori di quei monumenti. Eccolo: Taccio, ma
parla
in grazioso gesto Mossa la mano, e taciturna in a
angi. E lasci Così tua prole nelle mani infami Delle Baccanti? — Così
parla
e prega Penteo, ma non l’udiva Agave. Intorno Tur
r Bacco, e lo persuade a prender parte nella sua causa dello dio. Gli
parla
della leggiadra Calcomedia, vergine saggia che pr
è le sue feste si celebravano la notte, come si vede in Pausania dove
parla
delle Baccanti di Sidone, della festa del Padre L
ritenuta quella figura, come si può vedere dal medesimo Ateneo, dove
parla
dell’olmo e del rito che fu ordinato la prima vol
t plus d’intérêt ou devaient rendre plus intelligibles les livres qui
parlent
de ces nations antiques. Le mérite de M. Edom n’e
faire la guerre, Pour dissiper leur ligue il n’a qu’à se montrer : Il
parle
, et dans la poudre il les fait tous rentrer. Au s
la bouche d’une prêtresse nommée la Pythie ou la Pythonisse. Elle ne
parla
d’abord qu’une fois par an ; dans la suite ses or
poussière observait mon visage : Il me tendit les bras, il voulut me
parler
; De ses yeux expirants je vis des pleurs couler
st de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de
parler
aux yeux ; Et, par les traits divers de figures t
Para-Brahma, 2° Brahma, 3° Vichnou, 4° Siva. 73. C’est un paria qui
parle
ainsi : dès lors, celle pensée, qui n’est pas vra
l’invoquer tout bas, comme pour lui demander grâce, lorsqu’on voulait
parler
avantageusement de soi, afin de ne pas s’attirer
ient ennemis mortels et se refusaient à les unir, ils ne pouvaient se
parler
qu’en secret et par une ouverture qu’ils avaient
mphes, malgré vous, danseront à l’entour, Cent demi-dieux badins leur
parleront
d’amour ; Des Satyres cachés les brusques échappé
mi, guerre, detronizzazioni, prigionie, congiure ed esilio. Non vi si
parla
di stragi e di morti, perchè gli Dei degli Antich
i ægritudo. 53. Troviamo anche nella Bibbia un fatto simile, dove si
parla
delle lettere che il re David consegnò ad Uria ma
sofica osservazione di Cicerone, nel lib. v della Repubblica, ov’egli
parla
, per dirlo colla frase del Romagnosi, dei fattori
nza ammette e dimostra il gran cataclisma del diluvio. In geologia si
parla
di più d’uno di questi cataclismi dei tempi preis
di Niobe ; e la madre per ineffabil dolore fu cangiata in pietra. Ne
parla
Omero nel libro xxiv dell’ Iliade ; ne fa molto a
i automi di Leonardo da Vinci, e specialmente il famoso leone, di cui
parla
anche il Vasari, le teste parlanti dell’abate Mic
ttorïosa e trionfale, « Onor d’imperatori e di poeti. » Dante stesso
parla
più volte del legno diletto ad Apollo, della fron
che nei tempi moderni nessun più ne teme, anzi di pericoli non se ne
parla
nemmeno. Dante rammenta Cariddi, non già secondo
evanda che non si estragga dall’uva. Perciò nel ditirambo del Redi ne
parla
in questi termini : « Chi la squallida cervogia
a questo eroe un carattere di ghiottoneria di cui lo scrittore Atenco
parla
con molta severità. 100. Adea. — Nome d’una delle
un’altra figlia del gigante Alcioue ; ed una terza pastorella, di cui
parla
Teocrito e Virgilio. 252. Alcithoe. — Una delle f
nza padre. Senofonte dà un’origine diversa a questa festa, e Strabono
parla
d’un tempio consacrato a Venere Apatuaria. 490. A
est égale à la mienne : Elle épargne à regret l’èpoux d’une Troyenne.
Parlez
: mon ennemi ne vous peut échapper ; On plutôt il
cino gli si strinse, Nell’imo casso immerse l’asta e tutta Dall’altra
parle
rïuscir la fece. Omero — Iliade — Libro XVI trad
l’ombre Di ciò ch’ivi si chiede, e varie voci Ne sente, e con gli Dei
parla
e con gl’Inferi Virgilio — Eneide — Libro VII. T
in Calabria che egli combattè il celebre duello col re Adrasto di cui
parla
Fénélon nel suo libro delle Aventures de Télémaqu
che la dea Flora è una più antiche divinità del paganesimo. Plinio ci
parla
di una statua di questa dea dovuta allo scalpello
. Entro mi rode Aspra smania ; vien men, Vinta, la salma… Soffro ! Ei
parla
!… E di subito a torrenti Dentro mi scorre del gi
isura di Sicilia. Secondo il cronista Fazello, questo cadavere di cui
parla
il Boccaccio, era quello di un gigante ucciso da
istantanea, che fu detto caugiassero in pietre gli uomini. Plinio ne
parla
come di donne selvagge, abitatrici delle Gorgati,
ro capo per nome Perseo. Queste erano le donne coperte di peli di cui
parla
Plinio, le quali generavano senza la partecipazio
ciar credere che i greci dal sagrifizio della figlia di Iefte, di cui
parla
la sacra bibbia, avessero preso l’idea configurat
e lo aveva partorito ; ma per quel santo istinto della maternità, che
parla
potentemente al cuore più indurito, rinchiuse il
di Virgilio, una delle ninfe compagne di Cirene. Il cennato poeta ne
parla
come di una ninfa a cui la dea Lucina avesse inse
ati alla nozione dell’ Ente per pubblica riconoscenza, Diodoro Sicolo
parla
della maggior parte delle loro intraprese, delle
e abbelliti dalle grazie della poesia. « Ed Esiodo nella sua Teogonia
parla
degli Iddii come figli del cielo e della terra »
i. Bellissimi sono i concetti, stupendi i versi coi quali Ugo Foscolo
parla
del fuoco sacro di Vesta nel suo carme le Grazie
tare e di straziare una farfalla afferrata per le ali ; e il Petrarca
parla
di quest’ultimo in aspro modo : Ei nacque d’ozio
ed hanno maravigliosa possanza a rammentare la pietà pei defunti. Ei
parla
dell’uomo dopo la morte : Non vive ei forse anch
; ma i più credono che sia la stessa cosa che Osiride. Erodoto non ne
parla
, e Apollodoro dà questo stesso nome al bue Api. L
mantis, indovino, gr.). 128. Come ognun sa, è Virgilio mantovano che
parla
a Dante, e gli dimostra gli spiriti infernali. 1
che Mida aveva le orecchie d’asino. Questo Mida è lo stesso di cui si
parla
nella storia di Bacco. Il gallo, lo sparviero, l’
Mercurio e Batto Mercurio Di più individui sotto questo nome si
parla
nella favola ; il più celebre tra di essi però è
Tebano le imprese di tanti altri dello stesso nome. Ercole di cui si
parla
in questo Compendio è appunto il Tebano. Esso era
Tra’ figliuoli di Bacco si nominano Stafilo(21), e Narce(22). Plinio
parla
di un tempio di Bacco nell’ Isola di Andro, appre
degli Dei loro, non fa parola di alcun tempio di Marte, ma solamente
parla
di due o tre delle di lui statue (d). Per lo cont
e servì di prima materia alla produzione del Mondo(b). (2). Virgilio
parla
dell’ Erebo, descrivendocelo ora come un luogo(c)
tte(h). Cicerone però dice, che questa era di lui moglie(a). Virgilio
parla
dell’ Erebo, descrivendolo ora come un luogo(b),
13). Tra’varj tripodi di quel tempio è rinomato quello, d’oro, di rui
parla
lo Scoliaste di Aristofane(a) Certi pescatori di
equità, che si disse essare nata dal Cielo e dalla Terra(c). Pausania
parla
di un tempio e di un oracolo, ch’ella aveva sui m
soverchio parlare. Sta questa colla bocca aperta, perchè ella sempre
parla
. La di lei veste è dipinta di Cicale, e di varie
na, e di Esione, figlia di Laromedonte, e sorella di Priamo. Omero ne
parla
, come del miglior tiratore d’arco, che vi fosse n
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