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1 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
oi des Assyriens, fit élever, au milieu de Babylone, la statue de son père et, ordonna à touts ses sujets de lui rendre le c
fit Jupiter, lorsqu’il fut devenu grand ? R. Il détrôna Saturne son père , épousa Junon sa sœur, et partagea l’empire du mo
s géants, fils de la Terre et de Titan, entreprirent de rétablir leur père sur le trône, et d’en chasser Jupiter. Ils s’asse
c toute sa cour sur le sommet du mont Olympe : on l’appeloit aussi le père du jour ; d’autres l’invoquoient sous le nom de J
lui fit parcourir tout l’univers. On dit qu’en passant auprès de son père , elle écrivit son nom sur le sable avec son pied.
obtint de ce Dieu de prendre toute sorte de formes, comme Protée. Son père la vendoit pour avoir de l’argent ; ensuite, elle
e étoit-il fils ? R. Neptune étoit fils de Saturne et de Cybèle. Son père avoit l’habitude de dévorer ses enfants mâles. Ma
te, et Neptune eurent ensemble Triton, qui servoit de trompette à son père , usant pour cet effet d’une coquille ou d’une con
d nombre de nymphes appelées Océanitides ou Océanides, du nom de leur père . Il ne faut pas confondre cette Téthys avec Théti
troit au monde un fils qui seroit plus illustre et plus grand que son père . Alors Jupiter renonça à ses prétentions. Thétis
voit été en effet dévoré par Saturne ; mais Jupiter fit prendre à son père un breuvage qui le força de rejeter Pluton de son
ur) ; Le Faux-Zèle étalant ses barbares maximes ; Et l’Intérêt enfin, père de touts les crimes. D. Donnez-nous une idée du
ourd’hui Engia 3. La peste avoit dépeuplé ses états. Il obtint de son père que les fourmis fussent changées en hommes, et ap
que le Sommeil ? R. Le Sommeil est fils de l’Érèbe et de la Nuit, et père des Songes. Il a son palais dans un antre impénét
ts, Savoure les douceurs d’un éternel repos. Enfant tout à la fois et père des mensonges, En foule autour de lui voltigent m
, roi d’Argos, eut cinquante filles appelées Danaïdes, du nom de leur père . Égyptus, son frère, qui donna son nom au pays où
la première nuit de leurs noces. Les Danaïdes obéirent toutes à leur père , à l’exception d’Hypermnestre qui sauva la vie à
étoit l’interprète et le messager des dieux, et en particulier de son père . Il conduisoit aux enfers les ames des morts, et
-il banni du Ciel ? R. Esculape, fils d’Apollon, avoit appris de son père et du centaure Chiron l’art de la médecine. Il y
année entière. Daphné, épuisée de fatigue, implora le secours de son père , qui la métamorphosa en laurier. Apollon en détac
malheur de le tuer. Il le changea en une fleur qui porté son nom. Le père et la mère d’Hyacinthe voulurent venger sur Apoll
t son rang, et fut chargé de distribuer la lumière à l’univers. Comme père de la lumière, Apollon est appelé Phébus ou le So
arrête sur un nuage, et d’un œil impatient elle attend le char de son père . Bientôt, au milieu de l’harmonie des sphères cél
le fougueux Ethon, et l’indomptable Phlégon. Enfin, elle aperçoit son père lui-même, qui, de sa main immortelle, tient les r
ange.) D. Que demanda Phaéton au Soleil ? R. Phaéton expliqua à son père le sujet de sa venue, et le conjura de lui accord
Midas qui lui fit un magnifique accueil. Bacchus, ayant retrouvé son père nourricier, en ressentit tant de joie, qu’il prom
ursuites, arriva sur les bords du Ladon, et implora le secours de son père . Celui-ci la changea en roseau. Pan joignit avec
le premier des Songes, est regardé comme le ministre du Sommeil, son père . Quelques-uns le prennent pour le dieu même du so
nts, pour accomplir le vœu qu’il avoit fait, de bâtir un temple à son père , avec des crânes d’hommes. Hercule le terrassa tr
ipe mon effroi,          Et calme ma douleur profonde.          O mon père  ! écoute mes vœux.          L’immortalité qui m’e
ouveraine          Ne lui rend des jours plus heureux.          O mon père  ! écoute mes vœux… Ah ! laisse-moi percer jusques
înerai Cerbère ; et, plus digne des cieux, Je reverrai Castor, et mon père et les dieux. ( Bernard.) Esculape. D. De qui Es
l’Hèbre, fleuve de Thrace7. Orphée fut métamorphosé en cygne par son père . On le représente avec une lyre ou un luth à la m
eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père , Hélas ! du sang des dieux n’as-tu formé ton fils
eur course vagabonde. De là partent le Phase9 et le vaste Lycus10, Le père des moissons, le riche11 Caïcus, L’Énipée12 orgue
se, ô mon fils ! afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le vieux père du monde. Et vous, reines des eaux, protectrices
de Saintange.) D. Icare suivit-il exactement les avis de Dédale, son père  ? R. Non : ce jeune téméraire voulut s’élever au
De ses bras, mais en vain, il frappe encor les nues : Il appelle son père , et tombe au fond des mers Fameuses par son nom,
be au fond des mers Fameuses par son nom, sa chute et ses revers. Son père infortuné, qui déjà n’est plus père, Dédale cherc
nom, sa chute et ses revers. Son père infortuné, qui déjà n’est plus père , Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare
Thésée, à son retour de l’expédition de la Crète ? R. Il perdit son père dont il dut se reprocher la mort. Thésée avoit mi
s’il revenoit victorieux. La joie lui fit oublier cette promesse. Son père apercevant de loin les voiles noires, crut que so
l’accusant auprès de Thésée, d’avoir voulu attenter à son honneur. Ce père crédule chassa son fils, et appela sur lui la ven
e plus grands besoins : Je t’implore aujourd’hui. Venge un malheureux père  : J’abandonne ce traître à toute ta colère. ( Rac
, » Prends soin après ma mort de la triste Aricie. » Cher ami, si mon père , un jour désabusé, » Plaint le malheur d’un fils
des dieux triomphe la colère, Et que méconnoîtroit l’œil même de son père . ( Racine.) D. Quelle fut la fin de Thésée ? R.
rère ; Craignant que Jason ne cherchât à remonter sur le trône de son père , il pensa à éloigner ce prince, en lui proposant
a toutes ces difficultés. Il enleva la toison, et Médée abandonna son père pour s’enfuir avec le héros auquel elle avoit prê
uvris de gloire ; » Et leur sacrifiai remords, crainte, pudeur, » Mon père , mon pays, ma gloire, mon bonheur. » ( De Longepi
es membres de ce malheureux enfant, le long du chemin que suivoit son père . Aëte perdit du temps à ramasser les membres de s
es filles de Pélias voulurent obtenir d’elle la même faveur pour leur père . Médée saisit cette occasion de se venger de Péli
ire périr Jason. Elle persuada donc aux filles du roi, de couper leur père par morceau, et d’en jeter les membres dans une c
n, roi de Corinthe. Médée fut outrée de cette infidélité. Quoi ! mon père trahi, les éléments forcés, D’un frère dans la me
lées. Le feu prit à la cassette et consuma la princesse et le roi son père avec elle. Médée reprocha ensuite à Jason son inf
Mais Thésée revint alors à Athènes pour se faire reconnoître par son père . Médée fut soupçonnée d’avoir voulu faire périr l
ois de ce pays-là. Elle en eut un fils appelé Médus qui succéda à son père , et donna à ses sujets le nom de Mèdes. C’est pe
à cause de l’enflure de ses pieds. ……… Un Thébain, qui se dit votre père , Exposa votre enfance en ce lieu solitaire. Quelq
a destinée, et reçut cette réponse : « Œdipe sera le meurtrier de son père , et l’époux de sa mère, et mettra au monde une ra
eux crimes horribles qu’il a voulu éviter. Il apprend qu’il a tué son père , et qu’ils épousé sa mère. Le voilà donc rempli
re en éclats semble fondre sur moi ; L’enfer s’ouvre.… ô Laïus, ô mon père  ! est-ce toi ? Je vois, je reconnois la blessure
igone, fille, d’Œdipe, modèle de piété filiale, servit de guide à son père aveugle, et l’accompagna dans son exil. Guerre
par une chèvre. C’est de là qu’il fut appelé Egisthe. Reconnu par son père , il se chargea de faire périr Atrée, et prit le t
oi de Dardanie, donna son nom à la ville, fils de Tros, succéda à son père , et voulut que Troie se nommât Ilium. Ilus eut po
s’appeloit auparavant Podarcès. Quand Priam eut pris la place de son père , il fortifia la ville de tours et de citadelles.
de la guerre de Troie ? R. Pâris, fils de Priam, fut envoyé par son père , à Salamine, pour se faire rendre Hésione, fille
Arcas, tu m’as trahi. » Iphigénie, à Agamemnon. …………………………………… Mon père , Cessez de vous troubler, vous n’êtes point trahi
c’est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père  ; C’est moi qui, si long-temps le plaisir de vos
nez rien : mon cœur, de votre honneur jaloux, Ne fera point rougir un père tel que vous ; Et, si je n’avois eu que ma vie à
nt pas voulu qu’il vous ait rencontrée, Ils ont trompé les soins d’un père infortuné, Qui protégeoit en vain ce qu’ils ont c
’un nœud fatal l’unît à votre frère, Thésée avoit osé l’enlever à son père  ; Vous savez, et Calchas mille fois vous l’a dit,
udace De quiconque vous peut disputer votre place !… Est-ce donc être père  ? Ah ! toute ma raison Cède à la cruauté de cette
ut sanglants il faudra l’arracher. Aussi barbare époux qu’impitoyable père , Venez, si vous l’osez, la ravir à sa mère. D. P
R. La sensible Electre, sa fille, ne cessa de pleurer la mort de son père . Elle sauva son frère Oreste de la fureur d’Egyst
sois sensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père  ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère 
la contagion ne cesseroit que quand Chryséis auroit été rendue à son père . Achille pressa vivement Agamemnon de délivrer le
sépulture. Achille se laissa fléchir par les larmes dès ce malheureux père , et lui rendit le cadavre d’Hector. Priam aux pi
e, il prononce ces mots ; « Songez, Seigneur, songez que vous avez un père … » Il ne put achever. Le héros sanguinaire Sentit
un moi-même enveloppé, » Mourant avant le temps, loin des yeux de mon père , » Je teindrai de mon sang cette terre étrangère.
, régnez sur l’Épire et sur moi. » Je voue à votre fils une amitié de père , ; » J’en atteste les dieux, je le jure à sa mère
e mécontent des Grecs, qui lui avoient refusé les armes d’Achille son père  ; il dit qu’il s’en retournoit à Scyros. Philoctè
isseaux accueilli ma misère, Ni voulu sur les flots me conduire à mon père . Depuis dix ans, mon fils, je languis dans ces li
rsque Télégone, qu’il avoit eu de Circé, vint à Ithaque pour voir son père . Pendant qu’on le repoussoit comme un inconnu, il
aventures d’Ulysse nous ont-elles été transmises ? R. Par Homère, le père de la poésie grecque. Il florissoit vers l’an 300
rivage de Crète. Arrivé au port, il rencontre son fils. Le malheureux père accomplit son vœu. Les Crétois, saisis d’horreur
autel, asile du vieillard, Son fils court éperdu, tend les bras à son père , Hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa m
d’un sang chéri souilles mes cheveux blancs, » Qui sous les yeux d’un père égorges ses enfants ; » Toi, fils d’Achille !… no
orges ses enfants ; » Toi, fils d’Achille !… non, il ne fut point ton père . » D’un ennemi vaincu respectant la misère, » Le
beau des dépouilles si-chères, » Il me renvoya libre au palais de mes pères . » Tiens, cruel !… » A ces mots, au vainqueur inh
tr’eux n’avoit point prononcé, Lorsque, suivi d’Hélène accourut votre père  ; Il s’écrie : à sa vue on s’agite, on espère ; E
Et traîné sans honneur autour de nos murailles ? Dois-je oublier son père à mes pieds renversé, Ensanglantant l’autel qu’il
le courroux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va donner un père au fils d’Hector. Je vais donc, puisqu’il faut qu
t que ce qu’ils ont été : Parle-lui touts les jours des vertus de son père  ; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère. Mais
a Motte.) D. A quelle occasion Pâris vint-il à la cour de Priam, son père  ? R. Priam fit célébrer des jeux à sa cour. Pâri
èse un sommeil éternel ; Et toi, vieillard débile ! ô trop malheureux père  ! Quel transport t’a poussé sous la dent meurtriè
e foi, cette vertu sévère, » Ce fils qui se courba noblement sous son père , » Cet appui des Troyens, ce sauveur de ses dieux
nt la souveraineté de leur ville. Il les gouverna en philosophe et en père , leur donna des lois sages qu’il mit en vers, et
et faites-en l’essai dans l’adversité. V. Tel vous serez envers votre père , tels seront envers vous vos enfants Pittacus m
à l’observation duquel il ait attaché une récompense dès cette vie. Père et mère honoreras Afin que tu vives longuement.
ux livres de morale, nous dit : « Écoutez, enfants, les avis de votre père , et suivez-les, afin que vous soyez sauvés : car
père, et suivez-les, afin que vous soyez sauvés : car Dieu a rendu le père vénérable aux enfants, et il a affermi sur eux l’
mère, est comme un homme qui amasse un trésor : celui qui honore son père , recevra lui-même de la joie de ses enfants, et i
exaucé au jour de sa prière. Celui qui craint le Seigneur, honore son père et sa mère, et il servira comme ses maîtres les a
e zèle et d’affection . « Mon fils, dit le Sage, prenez soin de votre père dans sa vieillesse, et ne l’attristez pas durant
t ne le méprisez point : car la charité que vous aurez eue pour votre père , ne sera pas mise en oubli ; et Dieu vous récompe
e la glace qui se fond en un jour serein. Que celui qui abandonne son père , s’acquiert un mauvais renom ! et combien est mau
’Énée à ses compagnons pour célébrer l’anniversaire de la mort de son père . Troyens, l’année entière a terminé son cours, D
s un autel funéraire. Voici même, je crois, ce jour infortuné, Où mon père … Grands dieux, vous l’avez ordonné ! Jour à jamai
l marche environné des flots d’un peuple immense ; Au cercueil de son père il arrive en silence ; Deux fois de sang sacré, d
remière éducation peut-elle être confiée qu’aux mains d’une mère ? Un père , entraîné par le soin de ses affaires, ou les dev
qu’elle aime pour elle-même, et qu’elle tourmente en les aimant ; un père sans cesse contredit par sa femme dans le peu qu’
r mal ! Souvent elle aura besoin de faire des lectures au chevet d’un père malade, d’un parent, d’un époux. Elle doit donc s
hez, ne laissez nulle place        Où la main ne passe et repasse. Le père mort, les fils vous retournent le champ, Deçà, de
an        Il en rapporta davantage. D’argent, point de caché. Mais le père fut sage        De leur montrer avant sa mort,   
2 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
elée, et lui recommande, pour n’être pas victime de la cruauté de son père , de lui enlever les moyens de la féconder. Aussit
ci-dessus fort accréditée, surtout dans l’île de Crète, donnant pour père à Uranus et à la Terre, un roi scythe appelé Acmo
he grec véritable est donc la substitution des enfans mâles, que leur père avale sous forme de pierre, fable dont le sens mo
éges à Jupiter. Celui-ci, dont la force avait long-temps respecté son père dans ce vieillard jaloux et cruel, finit pourtant
arche du temps, en mesurent les mouvemens par le secours du Ciel leur père . Ces trois sœurs de Hora, et comme elle filles du
le plus grand chirurgien de la Grèce primitive ; mais revenons à son père , fils d’Uranus. On gratifie encore Saturne de plu
puissant, astucieux, producteur et destructeur ; puis il est Chrone, père des Siècles, rejetons du ciel ; l’époux de Rhée,
stre ; car s’il a dévoré ses fils dans les cieux, s’il y a mutilé son père , il veut qu’on sache en outre que le Temps aussi,
turne devint un sobriquet, et ne signifia plus que vieux radoteur. Ce père des Dieux ayant de bonne heure été exclu de l’Oly
monde, puis se livrer à ses femmes et à ses maîtresses, et devenir le père d’une nombreuse et illustre famille. Dès que Jupi
se et illustre famille. Dès que Jupiter eut chassé du ciel son propre père , il fit courber tous les Dieux sous sa loi. Mais
ûlantes ; Aristarchos, ou le législateur ; Aratrios, ou l’agriculteur père des oracles ; Asbamée, ou de Cappadoce ; Asius ou
des Dêmes ; Depulsor, Dictœus, ou le Crétois ; Diespiter, ou le Dieu père  ; Dikaspolos, ou le grand justicier ; Dijouvis, l
 ; Lyctios, ou des hauts lieux, en Arcadie ; Lucetius et Lucetius, ou père de la lumière ; Lycéos, ou tueur de loups, ou lib
ré de tous ; Panoptès, qui voit tout ; Pater et Propatôs, Patroos, ou père des hommes ; Pélorien, ou de pelorius qui institu
jeune, comme étant le dernier enfant de Saturne ; et du mot pater ou père , comme le générateur du monde entier, dont il éta
es crimes que par ses belles actions, puisqu’il alla jusqu’à tuer son père . Il vécut, dit-on, cent vingt ans, et après avoir
lors Jupiter son fils, jeune, mais plein de courage, oubliant que son père avait voulu le tenir dans une dure captivité, sor
es Curètes, se met à la tête d’une armée, bat les Titans, délivre son père , le replace sur son trône, puis retourne dans sa
re de son fils ; mais celui-ci, ayant évité les piéges tendus par son père , le força à sortir de l’île de Crète, le suivit d
alors d’un vaste empire, il épousa Junon, sa sœur, à l’exemple de son père , qui déjà avait épousé Rhéa, et de son grand-père
ivin marmot, et d’empêcher Saturne de les entendre. On lui donne pour père nourricier, Télémène, fils de Pélasgue, le premie
e, se dédoublant, suivant le caprice des poètes et des historiens, en père , fille et sœur ; puis, dans Amalthée, il ne faut
il et lune ne sont que des mots symboliques employés pour exprimer le père de la lumière avec ses enfans le soleil et la lun
les annoncent. Elles étaient appelées aussi Atlantides du nom de leur père , et Vergilies ou printanières. L'une d’elles, Mér
r qu’il ne resta pas continuellement plongé dans le Tartare comme son père et ses oncles. Du reste, époux de Styx, il en eut
s uns et les autres après avoir combattu quelque temps auprès de leur père , désertèrent la cause des Titans, portèrent secou
ttribuée aussi à son mariage avec Hemera ou le Jour. Aurore le rendit père , en outre, d’Hesper, des Astres et des trois vent
lement contrefaits, ayant chacun cinquante têtes et cent mains ; leur père , épouvanté à leur naissance de l’immensité de leu
me perfide ; alors il ne connut plus les liens qui l’unissaient à son père . Aussitôt, profitant des armes qu’il a dans les m
es que l’on croyait avoir mérité la déification, soit à cause de leur père ou de leur mère, soit à cause de leurs propres ac
le Tartare, qui les engloutit, y compris Absée et Théodamas, fils et père de ce même Tartare. Ils furent donc tous plongés
rillante Minerve, armée de pied en cap, fut conter ses douleurs à son père et beau-père Saturne, et lui demanda vengeance. C
ur expulser Jupiter du trône céleste. L'irascible épouse remercie son père , et exécute ponctuellement ses ordres. Mais elle
t Egipan ou Cadmus, suivant d’autres, après avoir vu disparaître leur père , se mirent à sa recherche, parvinrent à tromper l
siens. Leur caractère ne tint en rien de la douceur de celui de leur père putatif. Il fut en harmonie avec leur taille giga
s de son fils Pélops, frère de Niobé, qui fut accusé d’avoir aidé son père . Jupiter le premier s’en étant aperçu ressuscita
lui enleva Ganymède. Mais s’il fut victorieux en combattant contre le père , il n’en fut plus ainsi quand il eut à soutenir l
t, les fils de Choricus en furent irrites, et s’en plaignirent à leur père qui, loin de les calmer, les engagea au contraire
lu s’amuser à jeter du trouble parmi les divinités. Alors Jupiter son père la prit aux cheveux, et, dans sa colère, la préci
tre marié à la belle qu’il venait de délivrer, obtint de Jupiter, son père , que Cassiopée serait placée dans le ciel, et mis
filles du roi d’Argos Prœtus, frère d’Acrisius, époux de Sténobée, et père d’un fils appelé Mégapenthe. On dit qu’ayant mépr
t Junon, les prêtres se mirent à les unir ensemble, et à en faire des pères , des mères, des enfans, des frères et des sœurs ;
s ; Palémon que l’on croit aussi fils d’Etolus, ou Palemonius dont le père , disait-on encore, était Pernus ; Ceriphele, d’Au
de Mars : il surprit Astyochée, fille d’Actor, dans le palais de son père  ; Erope, fille de Céphé, s’étant éprise de Mars,
ur le cheval Arion, il fut vaincu, et sa mort courrouça tellement son père , qu’il voulut se battre avec le vainqueur ; mais
r le pays : nous ignorons si Abdèra sa sœur avait également Mars pour père . Erope et mieux OErope, était fils de Mars et d’E
ures. OEnomaus, fils d’Harpine ou de Stérope : il fut roi de Pise, et père de la fameuse Hippodamie, femme de Pélops. Cet OE
de la fameuse Hippodamie, femme de Pélops. Cet OEnomaüs était encore père d’un Alcippe. Ménalippe ou Mélanippe, fils de Thr
d’Ætolie ; il se maria à Laophonte, ou Leucippe, ou Deidamia, et fut père de cinquante filles, que nous verrons toutes sédu
e que ce culte brillait de tout son lustre ; à Rome, dont il était le père et le sauveur, il portait le nom de Quirinus, par
t font périr avec les autres enfans leur oncle Zéthus et Amphion leur père . Les victimes de cet affreux massacre restèrent s
sacre : c’est une propre mère, poursuivie par l’amour criminel de son père , qui pour y échapper tue ses enfans et se donne e
ne, fille de Latone et de Jupiter, sœur aînée d’Apollon, reçut de son père l’honneur d’être déesse de la chasse et des forêt
t la troisième avait Glauca ou Glaucé pour mère et Upis ou Oupis pour père  ; mais la plus honorée des peuples et des poètes
eauté à celle de cette déesse, Diane la tua d’une flèche et laiss son père se précipiter de douleur du haut d’un rocher ; ma
s communément simplement la Lune. Diane, disait-on, avait reçu de son père le soin d’éclairer le monde pendant la nuit pour
Béotie, ville où selon quelques auteurs il était né, Telchinius ou le père des Telchines, à Rhodes, Telmessien ou de Telmèse
r vertu et leur beauté, que cette réputation attira sur Hypérion leur père , la jalousie des autres Titans ses frères. Ceux-c
le protecteur d’Athènes ; le second, né en Crète, avait Corybas pour père  ; le troisième, appelé Nomios, venait d’Arcadie ;
contenir sa fureur, et malgré tout le respect qu’il doit à son propre père , il tend son arc d’or et de ses traits qui ne man
ste d’avoir pris part avec toutes ses autres sœurs au meurtre de leur père . Ce fait jamais ne fut éclairci, et tout porte à
déjà sa sœur à Iolchos dans le dessein de l’immoler aux mânes de son père , quand Hercule, à la prière d’Admète, son ami, ay
de cette jeune princesse, il rompit ses liens et la ramena au roi son père en lui promettant de tuer le monstre. A cette off
Après les deux années d’exil, Apollon retourna dans l’Olympe où son père lui confia le char du soleil. C'est alors qu’il p
or et d’argent. Il fut élu roi par suite d’une prédiction faite à son père , pauvre laboureur, un jour qu’un aigle était venu
Phrygie. Cet acte de dévouement fit aussitôt refermer le goufre. Son père , pour en conserver la mémoire, éleva au même endr
e victime avant qu’elle eût été placée sur l’autel ; à cette vue, son père furieux prend sur ce même autel un tison enflammé
rses de chars inventées, dit Tertulien, par Circé en l’honneur de son père le soleil. Les Daphnéphories étaient des fêtes bé
ris, d’Aanius, de Crinis et de Mélanippe. Il y eut deux Chrysès, l’un père de la belle Astynomé ou Chryséis que nous verrons
s, et retournèrent à Mycènes prendre possession de l’héritage de leur père . Evanthe, grand prêtre d’Apollon à Ismare, était
phosa en colombes, c’est-à-dire, qu’elles s’échappèrent. Quant à leur père , il chercha à éviter ensuite la colère des Grecs
as. Ce Munichus ou Munitus était petit-fils de Thésée par Acamas, son père , que nous verrons aller avec les Grecs au siége d
Mélie. Thestor, fils d’Idnon le devin et de Lathoé, passe aussi pour père du devin Calchas et de deux filles appelées Théon
omme suspect en prison. Peu de temps après Leucippe vint chercher son père , déguisée sous les habits d’un prêtre d’Apollon.
J.-C. On a donné pour fils à Orphée Mithon et Musée. Mais ce dernier, père du poète Eumolpe, fondateur des mystères d’Eleusi
dans l’art de Vulcain, et fit un palais souterrain pour Neptune, son père . Alors Aurore, que Vénus avait rendue amoureuse d
ct de Dédalion ; elle eut d’Apollon le grand joueur de luth Philammon père de Chamiris ; éprise de sa beauté, elle osa mettr
le lors du sac de Lyrnesse, et tomba en partage au roi Agamemnon. Son père étant venu la réclamer, elle lui fut refusée. Cep
caon ; elle eut de ses amours avec le Dieu du jour l’arcadien Dryops, père et chef des Doriens ; Circée, sœur de Pasiphaé et
Persa ou Perséis ; elle eut, il le paraîtrait, une intrigue avec son père , car on indique Aloé comme né de leur union, quoi
pour Leucothoée, sa sœur, elle découvrit l’intrigue, la dénonça à son père , ou même trouva moyen de tuer sa sœur. Cette crue
t épouvantable : son intrigue avec Apollon ayant été découverte à son père , ce prince la fit enterrer toute vive et jeter su
que prêtre du temple d’Apollon, accoucha probablement à l’insu de son père auprès d’Epidaure, et fit exposer son enfant, ou
de fatigue et ne pouvant plus se défendre, implora le secours de son père , qui la métamorphosa en laurier ; de sorte qu’Apo
fils du Soleil et de Circé ou de la terre ou de Canacé, reçut de son père pour héritage l’Asopie, et eut pour fils Epopéus,
, reçut de son père pour héritage l’Asopie, et eut pour fils Epopéus, père lui-même de Marathon Amphissus, fils d’Apollon et
Elaïs ou l’huile ; Arabe était fils de Babylone, il avait reçu de son père l’art de la médecine qu’il enseigna aux Arabes au
de la terre, mais habituellement on lui donne Apollon Delphique pour père sans dire quelle était sa mère, il était roi des
t aux bacchantes le nom de Thyades. Centaure, fils de Stilbia, fut le père originaire de ces monstres fabuleux habitant près
le elle-même de Chrysès, grand prêtre d’Apollon à Sminthe, avait pour père réel Agamemnon, mais pour cacher cette intrigue a
de Chrysorte ; Corybante, fils de Thalie ou de Phtie, passait pour le père originaire des Corybantes ; Cycnus, fils de Thyri
lus probable que c’était à ce Dieu qu’il devait le jour ; quant à son père putatif, c’était Tégéatès, roi de Tégée ; Delphus
une ; Dryops, fils de Cia. Cet Arcadien passe aussi pour avoir été le père et le chef des Doriens qui furent s’établir dans
ait une grande divinité : ils le représentaient dans un char avec son père , et l’on appelait en Sicile Galéotès les devins q
d’Acacallis, était roi de Libye, il eut Céphalion de Tritémis et fut père de la nymphe Garamantis. Il donna son nom aux Gar
ire son char et d’éclairer le monde pendant un seul jour. En vain son père voulut-il le dissuader, il fallut céder. Aussitôt
e, fille d’Erecthée, il donna son nom à l’Ionie, et avait Achéus pour père putatif ; Isménius, fils de Mélie, avait reçu de
Achéus pour père putatif ; Isménius, fils de Mélie, avait reçu de son père le don de rendre des oracles ; Lampétie ou Lampét
ssance à Angelaüs, à Amycus, à Coronis et à Ixion, père de Pirithoüs, père des Lapithes. Quant à Phorbas, il eut pour fils A
génor ; Ténère ou Térenus, fils de la nymphe Mélie, avait reçu de son père le don de prédire l’avenir ; Ténès passe quelquef
pain trouver des enfans à nourrir ; ils la ramènent au palais de leur père , la présentent à leur mère Métanire ou Méganire o
près les ordres de la grande déesse, puis Dysaule, qui passe pour son père , institua avec lui les mystères qu’on célebra par
lpe. Confuse de cette aventure elle envoya le fruit de sa faute à son père , le dieu des eaux, avec lequel elle l’avait commi
combien les anciens vénéraient le passage continu de l’existence des pères aux enfans. Dès le commencement du septième jour
vec Myrrha sa fille. On suppose que cette fille-épouse, éprise de son père et ne sachant comment satisfaire sa passion, voul
et favorisa sa passion en lui faisant prendre sa place auprès de son père , une nuit, pendant les mystères de Cérès. Cinyre,
de Phrygie, et femme de Thoas, roi de Lemnos ou d’Assyrie, lequel fut père en outre d’Hypsipyle, dont la beauté fixa auprès
nt d’autres Vénus en partant, et après lui avoir annoncé qu’il serait père d’un fils, lui avait fait jurer de répondre à tou
te par Bacchus. Mais cette nouvelle reine ayant sauvé du massacre son père , qui fut ensuite gouverner un autre royaume dans
a à Myrrha la passion criminelle que nous lui avons vu avoir pour son père . Quant à Polyphonte, c’était une chasseresse desc
me serment. Hermocharès fut donc demander la main de son amante à son père , qui la lui promit, mais Alcidamas ébloui par les
este et même précieux aux hommes sages ; dès lors, on lui reconnut un père , une mère, et il fut fils de Jupiter et de Vénus.
de la foule éplorée furent stériles et ne purent protéger Psyché. Son père , sa mère, le peuple, les yeux noyés de larmes, la
rocher qui doit être ou sa tombe ou l’asile de sa misère. Son pauvre père accablé sous le poids de la douleur lui fait ses
asse. Elle combla ses sœurs de présens, et les fit conduire chez leur père par Zéphyre. Là, elles se livrèrent à tout ce que
rait fort bien être le même personnage auquel on donnait Hercule pour père . Ega, nymphe chèvre, ce fut elle qui nourrit Jup
qu’elle envoya dans une île pour y garder les troupeaux d’Hélios leur père . Ce fut l’une de ces deux Néères, dit-on, sans la
ce. La malheureuse une fois enceinte, voulant éviter la colère de son père , se réfugia chez Épopée, roi de Sicyone, et l’épo
Cassioppée, fille d’Arabius ; et dans le troisième, elle aurait pour père le vieil Ogygès, le plus ancien roi de la Grèce e
cette princesse. A la première nouvelle du rapt d’Europe, Agénor son père la fit chercher de tous les côtés, et ordonna à s
Jupiter, enleva Europe, dont il adopta les fils, ou même qu’il fut le père des enfans que nous connaissons comme nés des amo
acris, fille d’Aristée reçut l’enfant dans ses bras et le donna à son père , qui le mit dans sa cuisse, où il le fit coudre p
ui fut élevé, était sur le mont Aventin. Ce fut Tibérius Gracchus, le père des Gracques, qui le fit bâtir ; un incendie l’ay
était fille de Jupiter, une quatrième avait encore ce même Dieu pour père et l’océanide Coryphe pour mère. Alors cette Mine
a Nictymène en chouette pour avoir eu un commerce incestueux avec son père . Minerve avait en outre tant soit peu de coquette
uant à Triopas, il fut père de Messène, d’un autre Iasus et d’Agénore père de Crotopus, lequel eut Psamathé pour fils. Alym
mphiétès et Amphictète, ou des adversaires ; Anthée et Anthius, ou le père des fleurs à Athènes et à Patras en Achaïe, parce
nte ou des bords de la rivière Leucyanas en Elide ; Liber pater ou le père de la liberté ; Licnitès ou du van que l’on porta
s : l’un surnommé le Barbu, égyptien de naissance, fut envoyé par son père soumettre la ville de Nysa en Arabie, et fut un c
et le troisième, appelé le Bacchus Thébain, avait encore Jupiter pour père et Sémélée pour mère. Cicéron bouleversant cette
r morceaux et le jetèrent dans un puits. Erigone inquiète chercha son père de tous les côtés ; cependant, à la fin attirée p
rait par les pans de sa robe, elle découvrit le cadavre mutilé de son père . Cette perte lui causa tant de chagrin qu’elle se
core pour enfans Macédon que nous verrons plus tard avoir Osiris pour père , chez les Égyptiens ; Narcé de Physcoa, institua
tiens ; Narcé de Physcoa, institua des sacrifices en l’honneur de son père , et donna le nom de sa mère à un chœur de musique
propre fille Méduline qui, outrée de cette audace tua son malheureux père . Damascus fut écorché vif par Bacchus pour avoir
yres, des Faunes et des Silvains. Silêne, surnommé Paposilène ou le père des Silènes, fut le père nourricier de Bacchus, e
ilvains. Silêne, surnommé Paposilène ou le père des Silènes, fut le père nourricier de Bacchus, et passait pour être né à
dont on lui attribue la naissance, comme à Bacchus. Silène enfin, le père des plaisirs et de la joie, marchait toujours à l
l fit élever un temple à Pan, sur le mont Palatin, fit un dieu de son père , et fut divinisé lui-même après sa mort, comme pr
s’échappa en se jetant dans la mer, puis elle pleura et pria tant le père des eaux, qu’il changea le pauvre amant en un fle
inaires de Sicile, n’eurent donc un culte sérieux qu’en Italie ; leur père ou Sylvain, recevait les surnoms de Dendrophore o
nna naissance à Pollux et à Hélène, héritant de l’immortalité de leur père . Cependant on fait naître aussi Castor et Pollux
es états ayant été ravagés par une peste effroyable, il obtint de son père que les Fourmis, appelées en grec Myrmex, fussent
rcule Grec, et peut-être était-ce celui auquel on donnait Europs pour père . Cicéron compte six Hercules qu’il classe ainsi :
, le jeune Phylée qui, après avoir jugé le différend entre Augias son père et Hercule, en faveur de celui-ci, avait été chas
ui passaient par ses états, afin, disait-il, d’élever un temple à son père avec les crânes de ses faibles adversaires. Hercu
pitoyable frère Acaste immola, comme nous le savons, aux mânes de son père , en place de son époux Admète, fils de Phérès et
de lutter avec Jupiter. L'avantage ayant été égal des deux côtés, son père se découvrit à lui et le félicita sur sa force et
légéreté d’accuser ensuite Hercule d’avoir emmené les chevaux de son père qu’Autolycus, nous le savons, avait volé. Le héro
le héros de faire brûler son corps et d’en envoyer les cendres à son père  : ce fut, dit-on, le premier auquel on rendit ce
ordonnées à Sicyone par Phestus fils d’Hercule pour faire honorer son père , non pas comme simple héros, mais comme Dieu. On
ie ; Tiburnus ou Tiburtus, fondateur de Tiburtia ou Tibur, avait pour père , selon d’autres Amphiaraüs ; Tigasis ou Tusculus,
Mycènes et de tout le Péloponèse par Eurysthée, après la mort de leur père , les Héraclides se réfugièrent chez Ceix, à Trach
dont les Grecs l’entourèrent. Fils de Jupiter et de Maïa, il aida son père dans la guerre des Titans, et après la mort de ce
éducation fut confiée aux Saisons et Acacus fils de Lycaon devint son père nourricier. Le lendemain de sa naissance il fit p
nt les victimaires à Rome. Cydon, fils d’Acacallis, ayant encore pour père ou Apollon ou Tégéate ; Damascus, né d’Halimède e
a dans la mer. Plus tard, on supposa qu’il fut enlevé au ciel par son père , et placé dans la Constellation du Cocher. Norax,
t le fondateur de Phérès en Messénie ; Polybe, fils d’Eubée, était le père du dieu marin Glaucus, mais Mercure avait encore
Icare, n’ayant pas suivi assez exactement les recommandations de son père , s’éleva trop haut, de sorte que la chaleur du so
de la Danaïde Hésione, épousa Hermippe, fille de Béote, qui le rendit père d’un fils nommé Minyas, et d’une fille appelée Él
à Céphée de délivrer sa fille s’il veut la lui donner en mariage ; le père accepte, et Persée aussitôt monte dans les airs a
r ; puis enfin, lui-même trouve la mort malgré l’appui de Jupiter son père  ; et il tombe sous les coups de Patrocle, l’ami i
Cabires, prêtres rois, originaires de Samothrace, dont on adorait les pères primitifs, sous le nom de Tritopators, triade dan
e Cercyon ; le quatrième de Pélias et de Hélée ; le cinquième ou Égée père de Thésée ; et le sixième, époux d’Amphitrite, fi
étys, ou de Nérée et de Doris. Quelques historiens font de Neptune le père d’un Atlas et le frère et amiral d’un roi d’Égypt
t de Vesta, et fut sauvé, comme nous le savons, de la voracité de son père . Il fut nourri par Arno qui lui prodigua les soin
orme la constellation du Dauphin ; ensuite, Amphitrite rendit Neptune père de Triton et de Rhode. Le séjour ordinaire de Nep
ent, dont le seul plaisir était de dévorer les enfans. Lotis, que son père changea en arbre pour la sauver des poursuites de
roi de Thèbes, en Illyrie, et le fit périr pour donner un trône à son père . Cadmus eut encore, dit-on, un autre fils appelé
vé retourna dans sa patrie, vers l’an 1194 av. J.-C., qu’il y tua son père sans le connaître, et qu’ayant appris son parrici
retournerait jamais dans sa patrie et deviendrait le meurtrier de son père et l’époux de sa mère, il se crut en effet né de
ps meurtriers. Mais par malheur cette triste victime était Laïus, son père , qu’il ne reconnut pas. Cette première partie de
ra qu’elle donnait son consentement aux propositions publiées par son père . Peu de jours après, OEdipe se présenta et interp
ste, roi d’Argos, dont il épousa la fille ; mais après la mort de son père , il vint réclamer la part de sa succession, et il
lui succéder. Capanée, fils d’Hipponoüs et d’Astynome, succéda à son père au trône d’Olène, en Achaïe, quoique son père l’e
Astynome, succéda à son père au trône d’Olène, en Achaïe, quoique son père l’eût maudit. Il se rendit à l’expédition contre
les attaqua, les défit, et reconduisit ces jeunes captives chez leur père  ; puis ce héros se rendit en Égypte, où il fit pé
urir lorsqu’il eut appris qu’elle avait un commerce avec Neptune, son père  ; Céto de la terre, Chius d’une nymphe de l’île d
s, époux de Ménècle, fille d’Hyllus ou Jupiter qu’on lui donnait pour père , néanmoins on prétend aussi qu’Égeste fille du pr
ymphe Orséide, était frère de Dorus et de Xuthus, qu’il succéda à son père dans le gouvernement du royaume de Phthiotide, et
ces divers Eoles : Agathirne, Androclès, Cercaphe, né du Deucalionide père d’Ormène et bisaïeul de Phénix, Hippole, fils de
er. L’Auster ou le Notos ou le vent du Sud ou Midi, se montrait comme père de la pluie, sous la figure d’un vieillard couron
pour fils Butès, qui fut obligé de se sauver des états d’Amycus, son père putatif, roi des Brébyciens, lequel refusa de le
mphe Calypso, fut le père de Nausicaa et d’Alcinoüs, qu’Arétée rendit père de cinq fils ; Nélée, fils de Créthée ou d’Hippoc
stor, Périclymène, Chromius ; diverses maîtresses le rendirent encore père d’un grand nombre d’autres fils, parmi lesquels o
e et de cours. D’origine inconnue, les uns lui donnèrent Neptune pour père , comme le supposant venu par mer dans la Grèce ;
ils d’Iphimède. Parnasse était fils de la nymphe Cléodore et de deux père  : Neptune et Cléopompe ; il inventa l’art de conn
le fils, qui, d’après l’oracle, devait reconquérir l’héritage de son père . Il eut d’Anaxibie, fille de Bias, deux fils nomm
son, supplièrent cette enchanteresse d’accorder la même faveur à leur père . Médée leur dit qu’elle y consentait, et pour réu
it qu’elle y consentait, et pour réussir, leur ordonna de couper leur père en lambeaux, et de le jeter ainsi dans une chaudi
; cette mort fit passer la couronne sur la tête d’Eson, rival de leur père . Ensuite Acaste eut Actor de son alliance avec As
lène en Macédoine était sa patrie, et Psamathé, son épouse, le rendit père de cinq fils, Polygone, Télégone, Théoclymène, Tm
d’habile navigateur, mais on lui donnait aussi Agnius ou Phorbas pour père  ; il fut le premier pilote des Argonautes, et son
Éétès avait envoyés à Orchomènes pour y recueillir l’héritage de leur père et que la tempête avait jetés sur cette île ; ils
ge ses membres déchirés. Ce douloureux spectacle arrêta le malheureux père qui suspendit sa poursuite pour recueillir les me
épousa Médée et partit pour Iolchos où il descendit au palais de son père afin d’y réclamer sa couronne : mais Pélias refus
isser de postérité, et sans avoir jamais pu recouvrer le trône de son père . Cette Médée, fille d’Éétès, roi de Colchide et d
ut elle qui lui proposa les moyens de triompher des obstacles que son père lui opposait, pourvu qu’il lui promît de l’emmene
ur qu’elle avait pour Jason lui fit dévoiler tous les projets que son père avait formés pour le perdre, lui et ses compagnon
pas à en avoir. Marathon, fils d’Épopée, redoutant la colère de son père , se réfugia en Attique et bâtit sur la côte Orien
ur la côte Orientale la ville qui porte son nom. Après la mort de son père , il retourna dans le Péloponèse, partagea ce roya
qu’il soutint au lac Stymphale, et il y fut blessé ; il succeda à son père au trône de Locride ; il épousa Ériopis, qui le r
eda à son père au trône de Locride ; il épousa Ériopis, qui le rendit père d’un fils nommé Ajax. Maintenant, nous devons par
e, son aïeul, lui dévoila le secret de sa naissance en ces mots : ton père ayant su que dans la même nuit où il avait été re
oile et emmène avec lui Ariadne et Phèdre, sa sœur. Ariadne le rendit père de deux fils, Œnopion et Staphyle. Thésée, en re
rs soins de Thésée furent de rendre les honneurs funèbres à ce tendre père , de remercier les Dieux de son voyage, et de fair
ée remontèrent sur le trône d’Athènes, élevèrent à la mémoire de leur père des autels, et lui consacrèrent le huitième jour
amour, aussi fut-il atterré et sans voix pour se disculper, quand son père lui reprocha sa conduite criminelle envers sa bel
e l’exauça que trop vite, car Hippolyte voulant fuir la colère de son père , monte sur un char pour s’éloigner ; mais à peine
is la fable dont il est entouré, veut que nous remontions jusqu’à son père . Cet Œnée était fils de Parthaon et d’Eurite fill
uité pour avoir tué involontairement d’un coup de palet leur frère de père Phocus, né de Psamathée. En vain, Télamon essaya
n le prenait quelquefois pour l’un des titans, par conséquent pour le père de tous les dieux et même de tous les êtres. On l
Lybie, et de l’autre Europe et Thrace, quant à Téthys, elle le rendit père de la plupart des trois cents principaux fleuves
r amante une des Muses, Melpomène, Calliope ou Stérope, qui le rendit père des sirènes. L'Achéloüs réel sépare l’Etolie de l
enfans, aussi Jupiter s’étant épris des charmes d’Egine, changea son père en fleuve pour l’empêcher de s’opposer à ses amou
était l’époux de Péribée fille aînée d’Acessamène, il en eut Pélagon père d’Astéropée d’où descendait Eurybate fils d’Euphè
r Egée, qui prit ce nom, dit-on, après avoir reçu dans ses eaux, Égée père de Thésée ; quoi qu’il en soit, Melite passait po
Téthys, comme étant arrivé par les mers et donna son nom à un fleuve père de la nymphe Io, fleuve qui s’appelait d’abord Am
a justice, portait que le fils de Téthis serait plus illustre que son père , ne tardèrent pas à retirer leur demande, de crai
re le défendit. Plus tard, à son retour de Colchide, ayant trouvé son père mort, il fut avec le secours des Argonautes, rava
premier célébra ces jeux. Pelée voulut ensuite venger la mort de son père sur ses sœurs qui l’avaient égorgé, mais Hercule
e Rhée, et fut comme ses autres frères soustrait à la voracité de son père . Après la guerre des Titans, dans laquelle il fut
plus suivie en fait une fille épouse de ce dieu ; c’est-à-dire que de père , il devint séducteur incesteux. Il paraît avoir e
étaient fermés et les mariages défendus. Pour célébrer ces fêtes, le père de famille se levait à minuit et au milieu des té
ait les plus rians domaines de sa mère, éclairé par la lumière de son père  ; mais il abusa de ses avantages et désaltéra les
ns déjà vu qu’il réclamait la Nuit pour sa mère et le soleil pour son père  ; aussi, préférant la lumière, il habitait plutôt
Phantase, Icèle ou Phobétor ; ils habitaient le même palais que leur père . Morphée prenait la forme des hommes ; Icèle ou P
rgna et fit échapper Lyncée ; mais le lendemain elle parut devant son père pour être punie de sa rébellion. Cependant le peu
ut acquittée et retrouva même quelque temps après la tendresse de son père  ; celui-ci légua même sa couronne à Lyncée, qui d
it vu le jour en Lydie, ou en Élide. Il fut haché en morceaux par son père , un jour que les Dieux l’ayant honoré de leur vis
par son père, un jour que les Dieux l’ayant honoré de leur visite, ce père indigne servit cet horrible mets sur leur table,
nes Eurysthée, dont il avait épousé la fille Érope, qui l’avait rendu père de trois fils, Alcon, Eumolus et Mélampus, auxque
suite d’aventures peu honorables, à la suite desquelles il se trouva père d’un Plisthène II, d’un Tantale II, de Pélopée et
tés les armèrent l’un contre l’autre. Ainsi, Atrée avant remplacé son père sur le trône d’Argos, Thyeste voulut ressaisir l’
ié, soutenait-il, devait lui appartenir. Au nombre des trésors de son père , Atrée avait trouvé le bélier à toison d’or chrys
s injures ; mais pendant qu’elle était victime de la brutalité de son père resté pour elle inconnu, Pélopée enlève à celui-c
a fille, et l’obtint ; de sorte qu’elle se trouve fille-épouse de son père et nièce-épouse de son oncle. Tous trois, c’est-à
conciliation. Durant ce repas, Pélopée qui a reconnu dans Thyeste son père et son amant, lui avoue que pour ne pas éveiller
que Pélopée, amenée par le hasard pour offrir des consolations à son père , honteuse de reconnaître, à la vue du glaive témo
près de Tyndarée, dont il épousa la fille Clytemnestre, qui le rendit père de six enfans : Iphigénie, Électre, Chrysothémis,
ée, exige qu’Iphigénie soit conduite à l 'autel, ce que le malheureux père ne put empêcher. Après ce barbare sacrifice, le c
de ses charmes, il refusa arrogamment de rendre cette Chryséis à son père , qui vint lui apporter la rançon de sa fille ; il
Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre ne vengeât la mort de son père , voulut aussi faire mourir cet enfant, à peine âg
Coraces. Au bout de sept ans, Oreste instruit de l’assassinat de son père et des dangers qu’il avait courus, rentra secrète
ne et Cresphonte, qui par la suite acccomplirent les desseins de leur père . Oreste s’étant trouvé à Delphes en même temps qu
t de Clytemnestre, était à peine arrivée à l’adolescence, lorsque son père offensa Diane en tuant une biche qui lui était co
ente Iphigénie au moment où on allait la sacrifier en présence de son père . Quant à Electre, fille d’Agamemnon et de Clytemn
omptif et bientôt le possesseur du trône de Sparte. Hélène, le rendit père d’une fille nommée Hermione. Pâris, fils de Priam
ammes pour lui enlever tout ce qu’il avait de mortel ; mais Pélée son père , l’ayant retiré, fit manquer tout ce qu’avait fai
e à l’amour de Pisidice, fille de Pélias, roi du pays, qui trahit son père pour Achille ; mais celui-ci la punit de ce manqu
dant cette nuit de désolation a eu le courage d’accompagner son vieux père , il la demande, l’obtient pour son épouse et s’en
me, fils d’Achille, l’ayant découvert, l’immola sur le tombeau de son père , Achille laissa donc pour lui succéder ce Pyrrhus
haut des remparts, et immola lui-même Polixène sur le tombeau de son père . Dans le partage du butin, il reçut pour sa part
. Il se rendit ensuite en Thessalie, pour réclamer la couronne de son père et de son aïeul, tua Acaste, l’usurpateur ; puis
ils d’Amyntor, roi Dolope, sut plaire à une concubine favorite de son père appelée Clytie ; mais Amyntor, pour l’en punir lu
t preuve d’une trop grande cruauté. Ajax succéda de bonne heure à son père  ; il fut du nombre des rois qui furent au siége d
r le mont Ida et allaité par une biche. Plus tard, il revint chez son père , qui le reçut avec bonté. Il fut un des prétendan
le et tomba lui-même sous les coups de Memnon en sauvant la vie à son père . On le représente annonçant à Achille la mort de
tir sur eux, quand on aurait rendu la captive Chryséis à Chrysès, son père , grand prêtre d’Apollon dans un temple peu distan
et roi d’une portion de l’Italie, qui sacrifiait en l’honneur de son père tous les naufragés, mais il s’en échappa et cherc
au massacre des Néléides, il tua Ereuthalion pendant la lutte que son père soutint en Arcadie et Itymonée, dans la guerre co
apidé, mais nous avons vu et nous verrons encore comment Nauplius son père se vengea, en faisant allumer vis-à-vis les écuei
à Salamine après l’entière destruction de Troie, il ne reçut chez son père qu’un accueil froid et même hostile ; obligé alor
Cette princesse, voyant cet infortuné, le conduisit au palais de son père qui l’accueillit avec distinction, donna des jeux
t pourtant pas encore reconnaître Ulysse ; alors, il fut chercher son père , Laërte, qui vivait à la campagne avec son esclav
e, sa fable toute moderne brille par son voyage à la recherche de son père . On le voit, sous la conduite de Mentor, favori d
e Ptoliporthos, puis, pour céder à la crainte ou aux jalousies de son père , il fut obligé de s’exiler, fut tuer Circé et ne
in de le récompenser des efforts qu’il avait faits pour détourner son père de l’injustice qu’il voulait commettre, en ne don
par les larmes de sa mère et par les pressantes sollicitations de son père , accepte le défi, attèle à son char ses deux célè
oie des oiseaux et des chiens. Cependant la nuit suivante la vue d’un père affligé fait changer Achille de résolution. Priam
recs. En effet, cet enfant saisi de crainte à la vue du casque de son père , qui le tenait dans ses bras, fut se cacher dans
s’il vivait, ce fils d’Hector serait un jour plus à craindre que son père dans les combats, les Grecs résolurent de le fair
ène. Un jour, l’ayant rencontrée sur les bords du fleuve Cébrène, son père , il se mit à la poursuivre. La nymphe, en fuyant,
il se retirait du milieu du carnage et rentrait dans le palais de son père , Pyrrhus le poursuit au milieu des traits et des
t lui plonge son épée dans le sein, aux pieds mêmes de son malheureux père . Polydore, était le plus jeune des fils de Priam
iles l’entourent lui-même, et étouffent dans leurs nombreux replis le père et les enfans ; puis ils se réfugient dans le tem
encore jeune, s’occupait à faire paître les nombreux troupeaux de son père et fut, nous le savons, l’un des amans de Vénus,
sac de Troie se fit remarquer par sa piété filiale ; car il sauva son père de l’incendie, en le chargeant sur ses épaules et
ades, jusqu’à l’âge de cinq ans, époque à laquelle il fut remis à son père , dont il garda les troupeaux. Il épousa Creuse, f
ouve encore Aceste. Là, il fait célébrer des jeux en l’honneur de son père , qui y était enterré. Il vainquit Cloante dans un
mbat naval, Antellus au ceste, et Eurysion au tir de l’arc. Alors son père lui apparaît en songe et lui dit que c’est en Ita
le feu à la flotte ; cependant Énée, d’après les instructions de son père , fonde, en Sicile, une ville à laquelle il donne
s par Pallas l’Evandride : Lausus, fils de Mézence, voulut sauver son père et fut tué par Enée ; Lagus, chef rutule, tué par
, tua Salius ; Numa, chef rutule, tué par Nisus et Euryale ; Phocrys, père de sept soldats de l’armée de Turnus, Rémule, che
t obligé de fuir la la ville de Troie et de suivre la destinée de son père . Après la mort d’Enée, Ascagne, à peine âgé de se
rois embarquées pour ne pas rester sous le poids de la colère de leur père , dont elles avaient laissé fouiller un champ par
ef des Curiaces ; Eanus, ou celui qui est ; Géminus, Patricius, ou le père de tout le peuple ; Patulcius, ou l’ouvreur. Janu
t de la troisième, Cranus et Fontus ; quant à Vénilie, elle le rendit père d’une fille-déesse, appelée Canente, qui fut ensu
ou Orus, était le principal fils d’Osiris et d’ Isis ; il suivit son père en Éthiopie et aux Indes. Lors de l’assassinat d’
fils, et plus tard en fit son compagnon et son gardien. Il suivit son père dans l’expédition qu’il fit pour conquérir le mon
du feu et de la chaleur ; il est fils de Sidik ou du dieu-soleil. Le père du dieu de la médecine ne pouvait être qu’un tel
e bouches. Brahman d’abord, n’ayant pas de femme, s’en plaignit à son père  ; celui-ci, fatigué de ses plaintes, lui en donna
elle un refuge aux quatre points cardinaux, partout elle retrouva son père . Cependant, à la fin, elle fut chercher ce secour
chercher ce secours dans les cieux, et aussitôt, pour l’y suivre, son père éleva une cinquième tête au-dessus des quatre qu’
s. Il est fils de Kaçiapa et d’Aditi. Il épousa Indrani qui le rendit père d’une fille nommée Devani. Il habite Souarga, ou
e toutes choses, est presque Mahanatma ou l’ame universelle. C'est le père d’un célèbre musicien appelé Hanouman et qui semb
dit-on, avait organisé le système planétaire ; aussi le nomme-t-on le père de l’astronomie. Quant aux filles de Dakcha, dix
épousa trois femmes, Kéikéii, Soumatra et Kaoukaliâ, qui le rendirent père de quatre enfans : Bharata, Lakchman, Satroughna
d’Outanavata et de Sounati : à l’âge de cinq ans, voyant un jour son père caresser Outama, fils de la seconde reine, courut
de reine, courut à lui pour partager ses tendresses. Repoussé par son père , il fut se cacher dans un désert pour y mener une
nou lui apparut et lui dévoila l’avenir. Ensuite il retourna chez son père qui le reçut avec la plus grande joie, et lui céd
que son ombre dans le palais de Martanda. Celui-ci s’adresse alors au père de son épouse pour la retrouver, Viçouamitra lui
e d’Aïodhia, fils de Bahou et de Kalindi, reconquit les états que son père avait perdus dans une guerre contre les Kchatriia
ndissant qu’il lançait. Rama, arrivé à la puberté, suivit, malgré son père , le célèbre Brahmane Viçouamitra dans un long voy
ux concurrens, conduisit cette belle et jeune épouse au palais de ses pères . Alors Daçaratha voulut lui donner l’empire, mais
a, était sœur de Ravana et gouvernait le Djanathana à la place de son père . Rama, poursuivant les Daïtias, arriva dans cette
ème incarnation d’Hiraniakcha, Krichna épousa Roukmini, qui le rendit père de plusieurs enfans, parmi lesquels on remarque P
ouddhichthira, l’un de ces Pandous, prend possession des états de son père , et Krichna, après s’être couvert de gloire, remo
le fils de Bhoumaçoura, afin de lui faire obtenir le trône, dont son père avait été dépouillé en perdant la vie ; ce qu’ell
l’aide de Vichnou. Il avait épousé Gavarata ou Drovati, qui le rendit père de deux fils, Davaga et Vima. Indradhioumna, ro
s-lors il succomba. Enivrée de cette victoire, elle retourna vers son père qui, se trouvant au bain, ne voulut pas la recevo
; mais des chasseurs de singes l’ayant inquiétée dans son esquif, son père lui fit en outre cadeau d’un singe, dans le corps
e combla de bénédictions et de cadeaux ce pauvre Paria ; ensuite, son père lui ayant donné une armée d’Açouras ou génies fun
battit et vainquit les Kchatriias qui étaient cause de la mort de son père et de sa mère. Plus tard les Kchatriias l’ayant f
our leurs dieux ; aussi, pendant le Tirounnal ou fête du chariot, des pères , des mères, tenant en leurs bras leurs enfans, se
arfaite harmonie. Il avait vingt et un ans quand son épouse le rendit père d’un fils que l’on nomma Rakholi. Elle lui donna
l chérissait, ni son jeune enfant qu’il aimait, ni les menaces de son père ne purent le détourner de sa résolution. Il parti
es trois temps ; puis le chaos sous la forme d’un bœuf, s’élançant du père de tous les êtres, et donnant naissance au monde
E]loghiurfé-Ghielpo-gna ou les anciens souverains de notre globe. Son père était Tsédent, c’est-à-dire, le plus beau, qui le
e et dans sa gauche le poisson Taï. Jacousi, dieu de la médecine et père des Jakousis, esprits subalternes et malfaisans.
. Ormuzd, principe du bien et fils de Zervane-Akérène, reçut de son père l’ordre de créer le monde entier, et de le comble
ssolus ; ainsi, l’on y voyait s’unir par d’horribles embrassemens, le père avec la fille, le frère avec la sœur, la mère ave
fils de Siamak, et de Bechak, épousa sa sœur Frevakein, qui le rendit père de quinze couples humains dont neuf, montés sur l
re d’Athvian. Athvian, est le quatrième descendant de Siahmak et le père du héros Féridoun ; Ormuzd, lui accorda tous les
le surnom de Portouna, c’est-à-dire riche en troupeaux de bœufs. Son père était Dchemchid, fils de Tehmouret, né d’Houcheng
de Tehmouret, né d’Houchengh, fils de Fréfak, qui avait Siahmah pour père . Féridoun ou Afridoun, fils d’Athvian-Portouna,
ogonie des peuples du nord de l’Europe, c’est Alfra ou Alfader, ou le père universel, ayant donné aux hommes une ame qui doi
à son tour, ayant épousé Belsta, fille du géant Bergthoser, devint le père des trois Ases, ou dieux, Odin, Vilé et Vé ; auss
n se maria et il épousa : Frigga, fille de Fieurgin ; elle le rendit père de quatre Ases Balder, Braga, Hermode et Thor. M
gitime avec la géante Angourboda, messagère de malheur, qui le rendit père de trois enfans : le loup Fenrir, le grand serpen
ssitôt il brisera ses fers et engloutira Odin, le roi des dieux et le père de tout. Puis, à son tour, il périra étouffé par
. Plus tard, Suttoung, fils de Kouacer, voulant venger la mort de son père , s’empara des deux nains et les précipita dans la
’hydromel. Gounlenda, fille du géant Souttoung, fut préposée par son père à la garde de l’hydromel poétique. Mais Odin l’ay
Norvège. Il était fils de Thorron. Sa sœur Goe ayant été enlevée, son père lui ordonna d’aller la chercher. Nor retrouva sa
ois, qui le supposèrent présider à la fidélité conjugale ; aussi, les pères avaient-ils l’usage d’exposer dans ses flots les
r leur règne. Nemeed, fils de Dnamhain, époux de Macha qui le rendit père de quatre fils. Nemedh est la personnification de
mes jusque dans la Gaule et l’Ibérie. Elle épousa Nemed, et le rendit père de quatre fils nommés Si-tiearna, Aixinn, Jarbhai
e. Fenius-Farsa, personnification des fins, était né de Bath, et fut père de deux fils appelés Nionnuall et Nioul Fenius ét
et demi-civilisées qui peuplèrent ensuite l’Irlande. Il émigra et fut père des Scots : on le regardait comme très-profond da
dhna, fils de Bath, était le messager intermédiaire entre le dieu son père et les êtres humains. D'autres supposaient que Dh
père et les êtres humains. D'autres supposaient que Dhna et Bath son père avaient été les chefs des premiers peuples établi
Irlande, fut tué dans un combat par les Tuatha-Dadans. Ollam Fodhla, père de trois fils qui régnèrent sur l’Ulster d’après
la race fut Fionn Sneachta, fils d’Ollam et frère de Fâchtna-Fathach, père du roi Qonnor. Il sortit de sa province, et sous
lle vint au monde pendant le séjour de Qonnor, roi d’Ouladh, chez son père . A peine fut-elle nubile, que Naois, un des fils
ste de Qonnor avec Néaça, sa mère, restait à la cour de l’Ulster. Son père l’ayant donné en otage, viola son serment ; alors
mille soldats, ravagea la contrée de Crioch, et faillit détrôner son père . Qonnal-Tséarnach, un des trois héros de la bran
lsic est la femme primordiale des Hurons. Elle eut un fils qui devint père du bon principe. Ataenlsic est la déesse du mal,
un grand feu par ses compagnons, d’après l’ordre d’Ométeuchtli, leur père , auquel ils avaient demandé ces deux astres pour
Ti et d’Osira. Après la mort de sa mère, elle épousa Ti, et le rendit père de trois fils, Ora, Vanou et Titou, et de trois f
e viennent de faire naître pour son malheur les vœux imprudens de son père . La pl. 28 en regard de la page 330 montre les Da
upiter Assabinus, 22. Jupiter Belus, 22. Jupiter Chronos, 22. Jupiter père d’Hercule, 23. Jupiter Libérateur, 53. Jupiter-La
3 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
reur des Assyriens, fit élever au milieu de Babylone la statue de son père , et ordonna à tous ses sujets de lui rendre le cu
uelque dieu, soit du côté paternel (soit du côté maternel, ou dont le père ou la mère avoir cet avantage ; comme Persée, Her
la Fable, à la perfectionner ; et qu’ Homère pourroit être appellé le père des Dieux, comme celui des poëtes. Oui, c’est to
stoire irrévocable. Voltaire. Le Ciel. Le Ciel passoit pour le père et le plus ancien des dieux. Il fut détrôné par S
e ambroisie, Loin d’une terre importune à nos yeux ; Et chez le Ciel, père commun des dieux, Allons chercher dans un plus no
tira de sa prison, et défit les Titans qui prétendoient remettre leur père sur le trône. Saturne est le même que le Tems, di
s, Trésors bien plus dignes d’envie, Les vertus habitoient les cœurs. Pères , enfants, époux sensibles, Nos devoirs, depuis si
or vous enfante ; j’en frémis ! Le frère meurt des coups du frère, Le père , de la main du fils ! L’honneur fuit, l’intérêt l
Jupiter. Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit appelé le Père des Dieux et des Hommes. Il fut élevé secrettemen
ndance. Aussi-tôt que Jupiter fut en âge de se signaler, il remit son père sur le trône, l’en chassa peu de tems après et se
es Géans, fils de la Terre et de Titan, entreprirent de rétablir leur père sur le trône, et d’en chasser Jupiter. Ils s’asse
n lui rendoit un culte plus particulier. On le nommoit communément le Père et le Roi des Hommes et des Dieux, le Souverain d
éclairer le monde. En cette qualité, il porte le nom de Phébus, ou de Père du jour, et on le représente conduisant le char d
vain le dieu qui nous éclaire, En pâlissant pour toi, se déclare ton père  :               Il doit servir à terminer tes jou
tombant, et demeura boiteux. Pour le consoler de cette disgrace, son père lui donna l’intendance de ses foudres :         
le d’Icarius, qui se pendit de désespoir, en apprenant la mort de son père , La balance d’Astrée, déesse de la Justice, qui s
s’appeloient Aëllo, Ocypète et Celæno. L’Océan étoit regardé comme le père des fleuves, des rivières et des fontaines. Il ép
ue le vieux pasteur des troupeaux de Neptune, Prothée, à qui le Ciel, père de la fortune,             Ne cache aucuns secret
il se plaignoit du partage que Jupiter avoit fait du royaume de leur père  : Je suis roi des enfers, Neptune est roi de l’o
Sicile : O mes compagnes ! ô ma mère ! O vous, maître des dieux, mon père  !… Cris impuissans et vains regrets ! Au char la
ore les Satyres, les Faunes, les Sylvains, dont on dit que Pan est le père . Le dieu Sylvain présidoit aux bois et aux forêts
de Comèthe, fille de Ptérélaüs : elle arracha le cheveu d’or que son père avoit sur la tête, et auquel ses jours étoient at
, par un ordre sévère, Qu’il lui tût sa naissance, et passât pour son père . Et, pour ne rien omettre en ce péril pressant, U
nt pour son expédition contre le Minotaure, Thésée avoir promis à son père de changer les voiles de son vaisseau, s’il reven
. …………………………………………………… Je t’implore aujourd’hui ; venge un malheureux père  ; J’abandonne ce traître à toute ta colère. Raci
aux filles de Pélias, frère d’Eson, de rendre le même service à leur père , en faisant bouillir ses membres avec une herbe q
pour mieux leur montrer comme il est infini, Leur étale sur-tout mon père rajeuni. Pour épreuve, elle égorge un bélier à le
ur. Les sœurs crient miracle, et chacune ravie Conçoit pour son vieux père une pareille envie, Veut un effet pareil, le dema
rinthe. Médée se livra à toute l’impétuosité de sa rage : Quoi ! mon père trahi, les élémens forcés, D’un frère dans la mer
ause de l’enflure de ses pieds :         Un Thébain qui se dit votre père , Exposa votre enfance en ce lien solitaire. Quelq
ls de Polybe, alla consulter l’Oracle, et apprit qu’il trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œdipe s’y
Œdipe, sans le savoir, épousa sa mère, et monta sur le trône de son père qu’il avoit tué sans le connoître. Les premiers m
se glace dans mon cœur. Mon fils, est-ce ton sang qu’on offroit à ton père  ? Crébillon. Atrée avoit fait égorger les deux
jeune Arcas, afin de s’assurer s’il exerçoit l’hospitalité envers le père des dieux. Arcas étoit petit-fils de Lycaon, et f
la langue : Quand l’innocent Ithys, à peine hors du berceau, De son père coupable eut le sein pour tombeau ; Pour fuir ces
le fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une déesse, Attendre chez mon père une obscure vieillesse, Et, toujours de la gloire
un fils nommé Pyrrhus, que nous verrons marcher sur les traces de son père  : Déïdamie, en proie aux plus vives alarmes,    
point de familles Qui ne demandent compte à ce malheureux fils, D’un père ou d’un époux qu’Hector leur a ravis. Racine. L
un renfort de troupes, se joindre aux Grecs, et venger la mort de son père . Son courage fit souvent oublier la perte d’Achil
ille, au pied d’un autel où il s’étoit réfugié : L’indigne mort d’un père excitant mon courroux, Je pars, je viens à Troie 
non, qui avoit sauvé Oreste, traitée en esclave dans le palais de ses pères , traînoit des jours malheureux : Esclave dans le
e ne point voir Oreste, et cherchant toujours à venger la mort de son père  ; C’est peu qu’en d’autres mains la perfide ait
bordoient dans ses Etats. J’appris que, pour venger le trépas de son père , Ayant trempé ses mains dans le sang de sa mère,
fille du Soleil et de la Lune ;                  J’ai le Soleil pour père ,              Et je tiens de lui ce grand art    
e Troie, par les ordres et avec le secours de sa mère. Il chargea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne,
e, isle consacrée à Vénus, 74 Ciel, confondu dans le chaos, 16 — Le père et le plus ancien des dieux, 19 — Leur assigne d
Homè r e , comparé à Amphion, 13 — En quel sens on peut l’appeler le père des dieux, 12 — Ses poëmes, 51 Honneurs divins,
Cibèle, 20 — Défait les Titans, 21 — Les foudroie, 30 — Remet son père sur le trône, 28 — Epouse Junon, et partage l’em
i par Artémise, ibid. Mausolées, leur origine, 62 Médée trahit son père en faveur de Jason, 153 — Rajeunit Eson, fait pé
l est le dieu de l’éloquence, du commerce et des voleurs, 70-71 — Le père des dieux domestiques, 126 — Il tire Mars de sa
tempête, 14 — Comment on le représente, 91 Nérée, fils de l’Océan, père des nymphes, 91-92 Néreides, nymphes de la mer,
t exposé sur le mont Cithéron, et sauvé par un berger, 162 — Tue son père , 163 — Devine l’énigme proposé par le Sphinx, 16
t soustrait à la cruauté de sa mère, 187 Oreste venge la mort de son père , 148-188 — Est en proie aux Furies, 188 — Enlèv
ouse d’Ulisse, mère de Télémaque, 193 Penthée, puni par Bacchus, 69 Père du jour, nom donné àApollon, 41 Périphète, géant
paphus, 42 — Monte au palais du Soleil, 44 — Conduit le char de son père  ; est foudroyé par Jupiter, ibid. — Les regrets
du Zodiaque, 89 Polinice, fils d’Œdipe, 166 — Fait la guerre à son père , 165 — Et périt, 167 Poliphême, cyclope ; son a
s d’Achille, 175 — Arrive devant Troie, pour y venger la mort de son père , 183 — Fait périr Priam, 184 — Tue Pâris dans u
, 176 Telegone tue Ulysse, 193 Télémaque, fils d’Ulysse, 176 — Son père lui cède ses Etats, 193 Temps, (le) divinité all
4 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
ie que nous réimprimons avec un complément nouveau a été écrit par un père de famille, pour l’instruction de ses propres enf
omment les enfants du Ciel et de la Terre se comportèrent envers leur père . Premiers âges du monde. Avant le siècle de
elle fabriqua une large faux et provoqua ses fils à se venger de leur père . Tous furent saisis de crainte à cette propositio
avaient donné le nom de Chronos, après avoir dépossédé et mutilé son père , régna à sa place au préjudice de Titan, l’aîné d
 ? — Par qui fut-il rétabli ? — Jupiter ne fit-il pas la guerre à son père  ? — Où Saturne se réfugia-t-il après sa défaite ?
Jupiter, encore enfant, signala sa force en délivrant Saturne son père , que les Titans avaient vaincu et enchaîné ; et,
s avaient vaincu et enchaîné ; et, peu de temps après, il détrôna son père lui-même pour le punir de son ingratitude. Lorsqu
poursuivait Daphné, qui se réfugia dans les bras du fleuve Pénée, son père , et fut changée en laurier. Le jeune Hyacinthe jo
e, témoin de la triste destinée de sa mère, fit vœu de virginité. Son père lui donna un nombreux cortége de nymphes, avec le
travaux de l’intelligence. Minerve naquit à propos pour seconder son père dans la guerre des dieux contre les géants. Elle
gement à subir ? — Les Romains ne le considéraient-ils pas comme leur père  ? — Comment se nommaient les prêtres de Mars ? — 
e la Mer. Voici comment : Lorsque Saturne blessa Cœlus ou Uranus, son père , le sang de sa blessure et quelques lambeaux de c
de Bacchus. — Penthée. — Lycurgue. —Les filles de Minée. Ce dieu, père de la joie, n’en était pas moins terrible dans se
rs métiers sont brisés ; on élève en leur place Une chapelle au dieu, père du vrai nectar. Le poëte tire de cette aventure
er Faunus, dieu des bergers, qui régna sur le Latium après Picus, son père . Il fit fleurir l’agriculture et fut père des Fau
le Latium après Picus, son père. Il fit fleurir l’agriculture et fut père des Faunes, divinités qu’on ne doit pas confondre
sur la mer, et son empire s’étendait sur les fleuves dont il était le père . Les anciens lui rendaient un culte solennel, et
victoire aux dieux. Les enfants de Triton conservèrent le nom de leur père , et servirent de cortége au dieu des mers avec Né
ènes. — Les Harpyes. Phorcys, dieu marin, était fils de Neptune et père des Gorgones. Thoosa, l’une de ses filles, fut mè
filles, fut mère du cyclope Polyphème. On regardait Phorcys comme le père du dragon, gardien du jardin des Hespérides. Scyl
s renommé par sa sagesse ? — Qu’était-ce que Triton ? — Ne fut-il pas père d’une nombreuse famille ? — Que savez-vous de Gla
orts. Dans la guerre des Titans contre Saturne, il combattit pour son père et se couvrit la tête d’un casque fabriqué par le
hâtiment encore plus terrible. Ixion. Ixion avait succédé à son père  : il se souilla par un crime horrible, en faisant
bien parler. Le Sommeil, fils de la Nuit et frère de la Mort, est le père des Songes. Son palais était un antre profond, in
. Persée était fils de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, père de cette princesse, informé de la naissance de Pe
nir la proie d’un monstre marin. Persée promit de la délivrer, si son père consentait à la lui donner en mariage. Le héros s
aux jeux que Teutamias, roi de Larisse, célébrait en l’honneur de son père  ; un disque qu’il avait lancé alla frapper un vie
hra, fille du roi de Trézène. Il fut élevé à la cour du sage Pitthée, père de sa mère. Encore enfant, il montra son courage
es aventures, à l’exemple du fils de Jupiter, emportant l’épée de son père que celui-ci, avant de quitter Trézène, avait cac
dévorait dans le labyrinthe. Thésée, sans attendre la décision de son père , se présenta dans l’intention d’aller combattre l
s les voiles noires de son vaisseau. Il oublia cette promesse, et son père , à la vue du vaisseau et de ses voiles funèbres,
cher. Plus tard, les enfants de Thésée, rappelés sur le trône de leur père , fendirent de grands honneurs à sa mémoire, et le
e. De qui Thésée était-il fils ? — Ne fut-il pas élevé loin de son père  ? — Quels sont les premiers exploits de Thésée ?
miers exploits de Thésée ? — Que fit-il lorsqu’il fut reconnu par son père  ? — Ne se dévoua-t-il pas pour affranchir les Ath
— Thésée n’enleva-t-il pas les filles de Minos ? — Retrouva-t-il son père à son retour ? — Thésée n’eut-il pas d’autres ave
, fils d’Éson et d’Alcimède, avait été dépouillé de l’héritage de son père , par l’usurpateur Pélias ; celui-ci promit à ce j
n, persuada aux filles de l’usurpateur qu’elle pourrait rajeunir leur père , comme elle avait rajeuni Éson, père de Jason. Ce
la jeunesse. Ce crime fut inutile : Acaste monta sur le trône de son père , et força Jason et Médée à s’enfuir de Corinthe.
s, fils d’Agénor, roi de Phénicie, frère d’Europe, fut envoyé par son père à la recherche de sa sœur. Après bien des poursui
que le fils qui naîtrait de leur alliance serait le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Lorsque cet enfant fut né,
Polydore, fils d’Hippomédon, s’armèrent pour venger l’échec de leurs pères . On les appela Épigones ou descendants. Cette foi
commerce ; enfin, un quatrième homme sortit de son pied pour être le père des artisans chargés de travailler pour tous les
sept Amschaspands, esprits bienfaisants et doués d’immortalité, et le père des Izeds, génies inférieurs destinés à verser se
voulut ravir à Horus, légitime souverain de l’Égypte, le trône de son père  ; mais ses projets avortèrent, et il fut relégué
5 (1800) Cours de mythologie pp. -360
nd vont peindre ce divin Homère, que je n’ai fait qu’esquisser.      Père des Fictions, des Mensonges sublimes, O toi qui c
onna l’un et l’autre. Dans la suite, Jupiter défit Titan, replaça son père sur le trône, et l’en chassa depuis. Saturne se r
à bâtir les murs de Troie, sous Laomédon, avec son frère Neptune. Le Père des Dieux sensible à ses malheurs, le rappela dan
celui de l’Univers. Blin de Sainmore 13. Reproches à Apollon.      Père cruel, injuste Dieu, Qui produis l’or par ta puis
rs dans l’indigence, Tes enfans en ont-ils si peu ?     Apprens-moi, père sans pitié, Tandis qu’avec éclat tu guides, Ton c
eublés ?     Uses-en donc plus tendrement, Traite tes-enfans en vrai père  ; Et pour qu’il ne t’en coûte guère ; Enrichis le
qu’il ne t’en coûte guère ; Enrichis les bons seulement. 14 Comme père de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le S
e leur mérite on les voit à genoux.             Mercure, de Jupin son père ,     Ne faisoit aucun cas ; pour le Dieu de la gu
Rhée. Sauvé dans son enfance comme Jupiter, de la fureur de son père , Neptune fut d’abord élevé par des bergers. Il ép
s lambris, merveilles de sa main, Son enfance difforme, odieuse à son père . Et bientôt dérobée aux regards de sa mère, Qui l
Le même à d’ Arge ntal .     On disoit que l’Hymen a l’intérêt pour père  ; Qu’il est triste, sans choix, aveugle, mercenai
spect trouble tes sens ?                 C’est que je le connois, mon père  ;                 Et presque toujours sur la Terr
Voltaire 39. Esculape, Fils d’Apollon et de Coronis. Son père en confia l’enfance au Centaure Chiron. A l’école
ein des végétaux. Trois élémens sur-tout composent leur nature ; L’un père de l’acide, et l’autre de l’eau pure, Enfin le no
ots Savoure les douceurs d’un éternel repos, Enfant tout-à-la-fois et père des Mensonges. En foule au-tour de lui voltigent
r ont humecté la terre. De fleurs il la parfume, et s’écrie : « O mon père  ! Je te salue : objet de nos regrets, reçois Reço
in, dans ses mains résonnant, Pour te sauver des dents de ton barbare père , Pour épargner des pleurs à ta tremblante mère, D
velle, Cérès alla conjurer Jupiter de lui faire rendre Proserpine. Le Père des Dieux le lui promit, pourvu qu’elle n’eût rie
eux. Jupiter voulut l’épouser ; Thémis s’étant refusée à ses vœux, le Père des Dieux triompha de sa résistance, et eut d’ell
ndant Rodogune et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son père  ; Ils le suivront de près, et j’ai tout préparé P
t, te faisant mon roi, c’est trop me négliger, Que te laisser sur moi père et frère à venger. Qui se venge à demi, court lui
   Régne ; de crime en crime, enfin te voilà Roi. Je t’ai défait d’un père , et d’un frère et de moi. Puisse le Ciel tous deu
ernel supplice ? Quand son coupable frère, Athamas, que je hais, Roi, père , époux heureux, régne et me brave en paix, Quand
nt, tes jours me sont ravis !           Je souriois à peine au nom de père  :       Déjà, la tombe avide à dévoré mon fils !
ton trépas rendre grace au destin. Forcé de renoncer au doux titre de père , Du moins, dans tes beaux jours par la douleur fl
      J’implore, ô Jupiter, tes foudres réunis, Viens te montrer, mon père , en tonnant sur ton fils. Mon courage étonné cède
ès de moi, par un zèle sincère, Tu me contois alors l’histoire de mon père . Tu sais combien mon ame, attentive à ta voix, S’
eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père , Hélas ! du sang des Dieux, n’as-tu formé ton fil
x leur course vagabonde. De-là partent le Phase et le vaste Lycus, Le père des moissons, le riche Caïcus, L’Enipée orgueille
Son oncle Pélias voulant l’écarter du trône, après la mort de son père , flatta son humeur guerrière. Il lui persuada de
  Achille, au nom des Dieux, dont vous êtes l’image. Rappelez-vous un père , un père de mon âge Sur le seuil du tombeau, char
, au nom des Dieux, dont vous êtes l’image. Rappelez-vous un père, un père de mon âge Sur le seuil du tombeau, chargé du poi
s odieux ; Soyez compatissant, et respectez les Dieux. Songez à votre père  : ah ! je suis plus à plaindre ! A quel plus gran
aindre ! A quel plus grand effort, Roi s’est-il vu contraindre ! D’un père malheureux, les lèvres ont pressé Sur le sang de
am pleure son fils aux pieds d’un ennemi : Achille pleure ensemble un père et son ami. Mais, recueillant enfin son ame soula
z pleurer, Où vos ressentimens n’osent se déclarer, Que j’ai vu votre père , attiré dans le piége, Se débattre, et tomber sou
sois sensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père  ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère 
isseaux accueilli ma misère, Ni voulu sur les flots me conduire à mon père . Depuis dix ans, mon fils, je languis dans ces li
vie. Prends soin, après ma mort de la triste Aricie. Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un fils faus
des Dieux triomphe la colère, Et que méconnoîtroit l’œil même de son père . Racine 149. Énée, Fils d’Anchise et de Vé
du milieu des flammes, chargé de ses Dieux Pénates, portant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la m
! C’étoit peu que du sang le fraternel lien Eût uni de si près et ton père et le mien ; C’étoit peu que depuis, la chaîne d’
sa naissance à Epaphus, qui la lui contestoit, Phaéton obtint de son père la conduite de son char pendant un jour. A peine
sage et bien moins téméraire, N’avoir jamais monté sur le char de son père  ! Qu’il voudroit de Mérops être appelé le fils !
De Phaéton, la tombe est un autel.            Il guida le char de son père . Si sa chûte a suivi son essor téméraire,        
e ses ailes, et il tomba dans la mer, à laquelle il donna son nom. Le père se sauva en Sicile, ou Cocalus, Roi de cette île,
toi, qui de mon fils viens de percer le flanc, Qui, sur le corps d’un père , en fait jaillir le sang, Tu te vantes envain qu’
père, en fait jaillir le sang, Tu te vantes envain qu’Achille fut ton père . Achille fut humain : touché de ma misère Il me r
uré. Eh bien, répond Pyrrhus, si j’ai dégénéré, Meurs, et cours à mon père en porter la nouvelle. Il entraîne à l’autel le V
its ! Et que j’ai craint pour toi Carthage et ses attraits ! Ah ! mon père , c’est vous, lui répondit Enée, C’est vous dont l
flotte voit les bords. Ah ! que j’embrasse enfin, que j’embrasse mon père  ! Que j’ariose de pleurs la main qui m’est si chè
corps humain, Perdent le souvenir de leur premier destin…     O mon père  ! est-il vrai qu’au milieu du trépas Tant de fant
èse un sommeil éternel ; Et toi, Vieillard débile ! ô trop malheureux père  ! Quel transport t’a poussé sous la dent meurtriè
ns le sein d’une terre étrangère, Je me croyois encor au trône de mon père , Et toux ceux qu’à mes yeux le sort venoit offrir
re en éclats semble fondre sur moi, L’Enfer s’ouvre.… O Laïus ! ô mon père  ! est-ce toi ? Je vois, je reconnois la blessure
Pâris, Fils de Priam et d’Hécube. L’Oracle avoit prédit à son père qu’il causeroit un jour la ruine de Troie. Priam
la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père et le maître des Dieux. Le Ciel, tout l’Univers e
Où me cacher ? fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ? mon père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise
ers, Et des crimes, peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta ma
guerrier magnanime, et ce mortel pieux, Qui sauva de la flamme et son père et les Dieux ! Le parjure abusoit de ma foiblesse
le donneroit la vie à un fils dont la gloire éclipseroit celle de son père . Thétis fut mariée à Pélée, Roi de Thessalie. Ses
péril est moins grand, Son sexe est sa défense ; il croîtra près d’un père . Mais, à ma fille, ici, qui tiendra lieu de mère 
recs, l’innocent Astyanax, qui lui retraçoit l’image de son infortuné père . Reine captive, après la prise de Troie, elle fut
Astre qui se lève et blanchit l’Orient. D’un tendre et doux souris le père le caresse, Cependant, Andromaque, en proie à la
n un seul jour, m’a ravi mes sept frères. J’ai vu tomber sous lui mon père déchiré ; J’ai vu de ce grand Roi le peuple massa
gloire à sauver toute entière ! Ne suis-je pas chargé de défendre mon père  ? Ne dois-je pas mon sang au bien de mon pays ? M
s funestes soins Ont avancé l’instant dont mes yeux sont témoins. Ton père , Hector lui-même, et sa gloire passée, T’arrachen
s embrasse encor ta mère. Près de joindre au tombeau les mânes de ton père , Montrons-nous tous les deux ardens à recueillir
ettoit à cette mère infortunée, de sauver Egiste, et de lui servir de père , si elle consentoit à l’épouser et régner avec lu
nstant un ris malicieux, Et tous de s’écrier : debout : allons, vieux père  ? Sur un char couronné de pampre et de lièrre, Ba
e mon effroi,           Et calme ma douleur profonde.           O mon Père  ! écoute mes vœux.           L’Immortalité qui m’
          Ne lui rend des jours plus heureux.                   O mon Père  ! écoute mes vœux… Ah ! laisse-moi percer jusques
aînerai Cerbère ; et plus digne des Cieux, Je reverrai Castor, et mon Père et les Dieux195. Pollux, Castor et les Ombres.
tèrent sa tête dans l’Hèbre. Orphée fut métamorphosé en Cygne par son père . On le représente avec une Lyre ou un, Luth à la
oreilles. Sautereau 211. Hesper ou Vesper, Frère d’Atlas et Père des Hespérides. Il fut changé en cette Etoil
s j’ose le prédire, De la maternité tu sentiras l’empire. Le jour que père enfin, ton époux fortuné, Dans tes bras portera t
ut à son art, et rien à ses aïeux. Un obscur artisan, Idmon étoit son père . Humble épouse, assortie à cet époux vulgaire, Sa
la plus tendre mère, (Une autre fut la mienne, et nous n’avions qu’un père ) Dryope, par son air, ses grâces et ses traits ;
ce cruelle, Je l’embrasse, et voudrois m’y cacher avec elle.     Son père et son époux accourent où je suis ; Leur montrer
sous l’écorce cachés.     Cher Epoux, chère Sœur, cher et malheureux Père , Adieu !… Mais si Dryope à son tour vous fut chèr
e 252.     Adieu, je vais dans ce pays D’où ne revint point feu mon père  : Pour jamais adieu, mes Amis, Qui ne me regrette
ampagne, un livre, un ami sûr, Et vit indépendant sous le toit de ses pères  ! Pour lui le ciel se peint d’un éternel azur ; L
e l’humble adversité ; Télémaque sensible accueille l’indigence ; Son père dans ses bras avec un cri s’élance ; « O Minerve 
t plaindre la misère : Mon fils, quel autre hommage auroit flatté ton père  ? » Sans doute le malheur inspira la bonté. A l’u
Fille ne vit plus ! ni ta vive tendresse, Ni les vœux supplians d’un Père consterné N’ont pu, trompant le sort contre elle
t qu’un travail frivole et vain ?             Loin de la route de mes pères , Il est vrai, j’ai cueillies roses du Printemps ;
ez, je vous offre un trésor                Que n’ont jamais connu vos pères , La Liberté. » Ce mot mille fois répété         D
e Que tu vas bientôt respirer.     Arrête, téméraire Icare, Suis ton père au milieu des airs ; Mais que vois-je ? Hélas ! i
ter les extrêmes misères ! On les vit se nourrir des cendres de leurs pères . Ce détestable mêts avança leur trépas, Et ce rep
    Qui ne chérit ces antiques tableaux, Où rit encor la Gaîté de nos pères  ! Les bonnes gens n’avoient pas nos manières, Nos
tunée Des voiles de la mort la tête environnée ! Près de l’autel, son père accablé de douleurs ! A ses côtés vingt Rois, et
lustre, et qu’elle ait la première Au grand Agamemnon donné le nom de père  ? De ses bourreaux sacrés le cortége cruel La sou
llards, ce Consul tutélaire, A-t-il envain pour toi des entrailles de père  ? A cet ordre fatal, il recule d’effroi : Dois-je
e et l’Onde. Le puissant Jupiter fait son tour en dix ans ; Son vieux père , Saturne, avance à pas plus lents ; Mais il termi
ues institutions particulières. C’est à la sollicitation de plusieurs pères de famille, que je le publie aujourd’hui. 5. [Ta
6 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
é, dans la personne de Noé, au respect que les enfants doivent à leur père  : portant dès lors la peine de son crime, cette r
es enfants que la Terre mettait au jour étaient odieux à Uranus, leur père , parce qu’il avait lu dans le livre du Destin qu’
e seconder sa vengeance. Saturne, le plus jeune, accepta, surprit son père et le mutila en le frappant du tranchant de sa fa
ode 8. 9. Saturne détrôné à son tour. Saturne, vainqueur de son père , régna à sa place. Titan, son frère aîné, renonça
8. Pourquoi les enfants de la Terre étaient-ils odieux à Uranus, leur père  ? Comment les trait-il ? Quel moyen employa la Te
sauvée et nourrie par les bêtes des forêts. Revenue à la cour de son père , elle conçut une passion violente pour un jeune b
pour acquérir toute la force de l’âge. Ce fut alors qu’il délivra son père , emprisonné par les Titans. Mais bientôt, usurpan
s fruits de l’intelligence et de la mémoire. Jupiter, que Thémis rend père de trois Parques, chargées de filer la destinée d
e, Mars et Vulcain, dont les trois premiers seuls eurent Jupiter pour père . Blessée de ce que ce dieu avait produit Minerve
gesse et symbole de la pensée. Elle naquit à propos pour secourir son père dans la guerre des Géants. Elle s’y distingua par
chapper à sa poursuite, se réfugia dans les bras du fleuve Pénée, son père . Enfin Clytie, fille de l’Océan et de Téthys, mou
née de sa mère lui inspira une profonde aversion pour le mariage. Son père lui donna un nombreux cortége de jeunes Nymphes,
ompée par Bacchus, se pendit de désespoir en apprenant la mort de son père , tué par des bergers enivrés. 7° La Balance (s
e. 59. De qui Diane était-elle fille ? Quels emplois lui donna son père  ? Quels sont ses différents noms ? 40. Comment pu
transformer en toute sorte d’animaux ; elle se faisait vendre par son père , et prenait une nouvelle forme dès qu’elle était
on-seulement sur la mer, mais aussi sur les fleuves, dont il était le père . Les anciens lui rendaient un culte solennel et l
ance Laomédon et sa famille, excepté Priam, qui avait conseillé à son père de tenir sa parole. Hercule mit ce jeune prince s
oi de Thèbes, en Béotie. Fuyant avec sa mère, Ino, les fureurs de son père , il se précipita dans les flots et fut métamorpho
ton, troisième fils de Saturne et de Cybèle, avait été dévoré par son père  ; mais celui-ci fut forcé de le rendre, après un
ine, suivie d’une peste cruelle, ayant dévasté ses Etats, il pria son père de repeupler son royaume. Jupiter exauça la prièr
e remplit d’un éternel effroi. Ixion, fils de Phlégyas, succéda à son père . Ayant épousé Clia, fille d’un prince voisin nomm
théniens. A Rome, une fille généreuse ayant prolongé les jours de son père , condamné à mourir de faim, en le nourrissant de
Sommeil, frère de l’Espérance, est fils de l’Erèbe et de la Nuit, et père des Songes. Les poëtes placent son palais dans un
ur ; Le Faux Zèle, étalant ses barbares maximes, Et l’Intérêt, enfin, père de tous les crimes. Questionnaire. 93-104.
. Persée était fils de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, père de cette princesse, averti par un oracle qu’il pé
hessalie, se prépare à célébrer des jeux funèbres en l’honneur de son père . Il s’y rend pour disputer le prix ; mais un disq
asa. Ce monstre avait fait vœu d’élever un temple en l’honneur de son père avec des crânes humains. Hercule le terrassa troi
soulever. Il y trouva une épée qui devait le faire reconnaître de son père . Il la saisit et se dirigea vers Athènes, où il d
revenait vainqueur, les voiles noires de son vaisseau. Le malheureux père , à l’aspect des voiles funèbres, se précipite dan
alheurs ; sa mort. Thésée, devenu roi d’Athènes par la mort de son père , s’appliqua à donner au gouvernement une forme pl
t Procuste ? Dans quelles circonstances Thésée fut-il reconnu par son père  ? 114. Comment Thésée délivra-t-il les Athéniens
se et la force de Jason, son neveu, et craignant qu’il ne vengeât son père et ne le rétablit sur son trône, lui conseilla d’
étès, leur aïeul, envoyait en Grèce, recueillir la succession de leur père . Les Argonautes les emmenèrent avec eux, et arriv
dispersent ses membres sur la route, afin d’arrêter dans sa marche un père infortuné. Arrivés ainsi à leur vaisseau, ils pré
rajeuni Eson, détermina les filles de Pélias à donner la mort à leur père , leur promettant de le faire renaître plein de vi
e j’ose, Croit-il que m’offenser ce soit si peu de chose ? Quoi ! mon père trahi, les éléments forcés, D’un frère encore enf
rtie du monde à laquelle elle a donné son nom. Cadmus, envoyé par son père à la recherche de sa sœur, consulta, après bien d
« L’enfant qui en sortira, disait un oracle, sera le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. » Aussitôt qu’il fut né, l
i lui dispute le passage, il l’attaque et le tue ; c’était Laïus, son père . Un poëte tragique met dans la bouche d’Œdipe lui
s le sein d’une terre étrangère, Je me croyais encore au trône de mon père  ; Et tous ceux qu’à mes yeux le sort venait offri
Polynice, Antigone et Ismène. Antigone s’attacha à la Fortune de son père malheureux et ne cessa de guider ses pas. Aussi s
lle De l’amour filial le plus parfait modèle. Tant qu’il existera des pères malheureux, Ton nom consolateur sera sacré pour e
. Il semblait que le ciel, adoucissant l’outrage, Aux malheurs de mon père égalât mon courage. Seule, au fond des déserts, j
sous le nom d’Epigones ou de descendants, sont appelés à venger leurs pères par Adraste, qui seul avait survécu. Ils viennent
s, que le fléau ne cesserait que lorsque Chryséis serait rendue à son père . Agamemnon consentit à rendre sa captive, mais à
d’une flèche au talon66, et lui donne la mort. Pyrrhus succède à son père , sous le nom de Néoptolème (nouveau guerrier). Il
autel, asile du vieillard, Son fils court éperdu, tend les bras à son père , Hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa m
d’un sang chéri souilles mes cheveux blancs, « Qui sous les yeux d’un père égorges ses enfants ! « Toi, fils d’Achille ! Non
gorges ses enfants ! « Toi, fils d’Achille ! Non, il ne fut point ton père . « D’un ennemi vaincu respectant la misère, « Le
beau des dépouilles si chères, « II me renvoya libre au palais de mes pères . « Tiens, cruel ! » A ces mots, au vainqueur inhu
Les mains du sang d’Hector encore toutes fumantes, Achille au nom de père adoucit sa fierté ; Par la voix des vieillards tu
-t-il Hélène ? De qui était-elle fille ? Quelle promesse Tyndare, son père , avait-il exigé des prétendants à la main d’Hélèn
us à Osiris. Cependant Orus, leur fils, voulant venger la mort de son père , lève une armée, poursuit Typhon, et après l’avoi
rincipaux dieux. Au commencement des temps, le créateur Allfadher ( père de tout) produisit la terre glacée de Nifleim et
Sage, qui voulait conserver lei débris des anciennes croyances de ses pères . Le deuxième, écrit en prose, date du douzième si
7 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
nand vont peindre ce divin Homère, que je n’ai fait qu’esquisser.     Père des Fictions, des Mensonges sublimes, O toi qui c
onna l’un et l’autre. Dans la suite, Jupiter défit Titan, replaça son père sur le trône, et l’en chassa depuis. Saturne se r
à bâtir les murs de Troie, sous Laomédon, avec son frère Neptune. Le Père des Dieux sensible à ses malheurs, le rappela dan
il fit dans les Cieux, celui de l’Univers. Blin de Sainmore. Comme père de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le S
e leur mérite on les voit à genoux.             Mercure, de Jupin son père ,     Ne faisait aucun cas ; pour le Dieu de la gu
Rhée. Sauvé dans son enfance comme Jupiter, de la fureur de son père , Neptune fut d’abord élevé par des bergers. Il ép
s lambris, merveilles de sa main, Son enfance difforme, odieuse à son père . Et bientôt dérobée aux regards de sa mère, Qui l
35. Le même à d’Argental.    On disait que l’Hymen a l’intérêt pour père  ; Qu’il est triste, sans choix, aveugle, mercenai
A son aspect trouble tes sens ?          C’est que je le connais, mon père  ;          Et presque toujours sur la Terre,     
. Voltaire 40. Esculape, Fils d’Apollon et de Coronis. Son père en confia l’enfance au Centaure Chiron. A l’école
navire, et sur le bord des eaux Va chercher un asyle au temple de son père . Quand la vague écumante eut calmé sa colère, Ave
r ont humecté la terre. De fleurs il la parfume, et s’écrie : « O mon père  ! Je te salue : objet de nos regrets, reçois, Reç
in, dans ses mains résonnant, Pour te sauver des dents de ton barbare père , Pour épargner des pleurs à ta tremblante mère, D
velle, Cérès alla conjurer Jupiter de lui faire rendre Proserpine. Le Père des Dieux le lui promit, pourvu qu’elle n’eût rie
eux. Jupiter voulut l’épouser ; Thémis s’étant refusée à ses vœux, le Père des Dieux triompha de sa résistance, et eut d’ell
l’amitié consolent les échos. Tout redevient Français, ami, parent et père  ; L’humanité respire, et la nature espère. Mais d
ndant Rodogune et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son père  ; Ils le suivront de près, et j’ai tout préparé P
t, te faisant mon roi, c’est trop me négliger, Que te laisser sur moi père et frère à venger. Qui se venge à demi, court lui
   Règne ; de crime en crime, enfin te voilà roi. Je t’ai défait d’un père , et d’un frère et de moi. Puisse le Ciel tous deu
ternel supplice ! Quand son coupable frère, Athamas que je hais, Roi, père , époux heureux, règne et me brave en paix ! Quand
nt, tes jours me sont ravis !           Je souriais à peine au nom de père  :       Déjà, la tombe avide a dévoré mon fils !
ton trépas rendre grace au destin. Forcé de renoncer au doux titre de père , Du moins, dans tes beaux jours par la douleur fl
.    J’implore, ô Jupiter, tes foudres réunis, Viens te montrer, mon père , en tonnant sur ton fils. Mon courage étonné cède
ès de moi, par un zèle sincère, Tu me contais alors l’histoire de mon père . Tu sais combien mon ame, attentive à ta voix, S’
eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père , Hélas ! du sang des Dieux, n’as-tu formé ton fil
x leur course vagabonde. De-là partent le Phase et le vaste Lycus, Le père des moissons, le riche Caïcus, L’Énipée orgueille
se, ô mon Fils ; afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le vieux père du monde : Et vous, Reines des eaux, protectrices
Son oncle Pélias voulant l’écarter du trône, après la mort de son père , flatta son humeur guerrière. Il lui persuada de
ouse impie, impitoyable mère, Sur ses propres enfans se venge de leur père . Son char ailé l’emporte aux remparts de Pallas,
e, il prononce ces mots : « Songez, Seigneur, songez que vous avez un père … » Il ne put achever. Le héros sanguinaire Sentit
n, moi-même enveloppé, » Mourant avant le temps, loin des yeux de mon père , » Je teindrai de mon sang cette terre étrangère.
z pleurer, Où vos ressentimens n’osent se déclarer, Que j’ai vu votre père , attiré dans le piége, Se débattre, et tomber sou
sois sensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père  ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère 
isseaux accueilli ma misère, Ni voulu sur les flots me conduire à mon père . Depuis dix ans, mon fils, je languis dans ces li
vie. Prends soin, après ma mort de la triste Aricie. Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un fils faus
des Dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l’œil même de son père . Racine 151. Énée, Fils d’Anchise et de Vén
du milieu des flammes, chargé de ses Dieux Pénates, portant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la m
! C’était peu que du sang le fraternel lien Eût uni de si près et ton père et le mien ; C’était peu que depuis d’amour et l’
forment les ossemens. Ainsi d’hommes sans nombre un seul homme est le père . Et de femmes sans nombre une femme est la mère.
sa naissance à Epaphus, qui la lui contestait, Phaëton obtint de son père la conduite de son char pendant un jour. A peine
ux d’un destin plus vulgaire, N’avoir jamais monté sur le char de son père  ! Qu’il voudrait de Mérops être appelé le fils !
haëton, ton nom est immortel. » Tu voulus t’élever sur le char de ton père  ; » Si ta chûte a suivi ton essor téméraire, » Il
e ses ailes, et il tomba dans la mer, à laquelle il donna son nom. Le père se sauva en Sicile, ou Cocalus, Roi de cette île,
De ses bras, mais en vain, il frappe encor les nues : Il appelle son père , et tombe au fond des mers Fameuses par son nom,
be au fond des mers Fameuses par son nom, sa chûte et ses revers. Son père infortuné, qui déjà n’est plus père, Dédale cherc
nom, sa chûte et ses revers. Son père infortuné, qui déjà n’est plus père , Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare
autel, asile du vieillard, Son fils court éperdu, tend les bras à son père , Hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa m
i d’un sang chéri souilles mes cheveux blancs, Qui sous les yeux d’un père , égorges ses enfans ! Toi, fils d’Achille ! non :
égorges ses enfans ! Toi, fils d’Achille ! non : il ne fut point ton père . D’un ennemi vaincu respectant la misère, Achille
its ! Et que j’ai craint pour toi Carthage et ses attraits ! Ah ! mon père , c’est vous, lui répondit Enée, C’est vous dont l
flotte voit les bords. Ah ! que j’embrasse enfin, que j’embrasse mon père  ! Que j’ariose de pleurs la main qui m’est si chè
n corps humain, Perdent le souvenir de leur premier destin…    O mon père  ! est-il vrai qu’au milieu du trépas Tant de fant
èse un sommeil éternel ; Et toi, vieillard débile ! ô trop malheureux père  ! Quel transport t’a poussé sous la dent meurtriè
ns le sein d’une terre étrangère, Je me croyais encor au trône de mon père , Et toux ceux qu’à mes yeux le sort venait offrir
rre en éclats semble fondre sur moi, L’Enfer s’ouvre… O Laïus ! ô mon père  ! est-ce toi ? Je vois, je reconnais la blessure
Pâris, Fils de Priam et d’Hécube. L’Oracle avait prédit à son père qu’il causerait un jour la ruine de Troie. Priam
la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père et le maître des Dieux. Le Ciel, tout l’Univers e
. Où me cacher ? fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ? mon père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise
ers, Et des crimes, peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta ma
e toi, tendre comme sa mère, Par ses traits seulement me rappelât son père  ; Si, trompant mes ennuis, je pouvais quelquefois
guerrier magnanime, et ce mortel pieux, Qui sauva de la flamme et son père et les Dieux ! Le parjure abusait de ma faiblesse
le donnerait la vie à un fils dont la gloire éclipserait celle de son père . Thétis fut mariée à Pélée, Roi de Thessalie. Ses
péril est moins grand, Son sexe est sa défense ; il croîtra près d’un père . Mais, à ma fille, ici, qui tiendra lieu de mère 
recs, l’innocent Astyanax, qui lui retraçait l’image de son infortuné père . Reine captive, après la prise de Troie, elle fut
astre qui se lève et blanchit l’Orient. D’un tendre et doux souris le père le caresse, Cependant, Andromaque, en proie à la
n un seul jour, m’a ravi mes sept frères. J’ai vu tomber sous lui mon père déchiré ; J’ai vu de ce grand Roi le peuple massa
gloire à sauver toute entière ! Ne suis-je pas chargé de défendre mon père  ? Ne dois-je pas mon sang au bien de mon pays ? M
s funestes soins Ont avancé l’instant dont mes yeux sont témoins. Ton père , Hector lui-même, et sa gloire passée, T’arrachen
s embrasse encor ta mère. Près de joindre au tombeau les mânes de ton père , Montrons-nous tous les deux ardens à recueillir
ettait à cette mère infortunée, de sauver Egiste, et de lui servir de père , si elle consentait à l’épouser et régner avec lu
nstant un ris malicieux, Et tous de s’écrier : debout : allons, vieux père  ? Sur un char couronné de pampre et de lière, Bac
e mon effroi,           Et calme ma douleur profonde.           O mon Père  ! écoute mes vœux.           L’immortalité qui m’
raine            Ne lui rend des jours plus heureux.            O mon Père  ! écoute mes vœux… Ah ! laisse-moi percer jusques
aînerai Cerbère ; et plus digne des Cieux, Je reverrai Castor, et mon Père et les Dieux. Pollux, Castor et les Ombres. Po
tèrent sa tête dans l’Hèbre. Orphée fut métamorphosé en Cygne par son père . On le représente avec une Lyre ou un Luth à la m
à sa fatuité. Le Prieur 204. Hesper ou Vesper, Frère d’Atlas et père des Hespérides. Il fut changé en cette Etoil
s j’ose le prédire, De la maternité tu sentiras l’empire. Le jour que père enfin, ton époux fortuné, Dans tes bras portera t
ut à son art, et rien à ses aïeux. Un obscur artisan, Idmon était son père . Humble épouse assortie à cet époux vulgaire, Sa
l’hymen de sa mère, (Une autre fut la mienne, et nous n’avions qu’un père ) Dryope, par sa grâce et ses aimables traits, Des
  Cependant accourus au bruit de son malheur, Son époux Andrémon, son père , sa famille, Redemandent des yeux une épouse, une
qu’il respecte la fleur ! Cher époux, chère sœur, cher et malheureux père , Adieu ; mais si Dryope à son tour vous fut chère
re 239.    Adieu, je vais dans ce pays D’où ne revint point feu mon père  : Pour jamais adieu, mes Amis, Qui ne me regrette
ampagne, un livre, un ami sûr, Et vit indépendant sous le toit de ses pères  ! Pour lui le ciel se peint d’un éternel azur ; L
e l’humble adversité ; Télémaque sensible accueille l’indigence ; Son père dans ses bras avec un cri s’élance : « O Minerve 
t plaindre la misère : Mon fils, quel autre hommage aurait flatté ton père  ? » Sans doute le malheur inspira la bonté. A l’u
Fille ne vit plus ! ni ta vive tendresse, Ni les vœux supplians d’un Père consterné N’ont pu, trompant le sort contre elle
est qu’un travail frivole et vain ?           Loin de la route de mes pères , Il est vrai, j’ai cueillies roses du printemps ;
ochez, je vous offre un trésor             Que n’ont jamais connu vos pères , La Liberté. » Ce mot mille fois répété         D
se Que tu vas bientôt respirer.    Arrête, téméraire Icare, Suis ton père au milieu des airs ; Mais que vois-je ? Hélas ! i
ter les extrêmes misères ! On les vit se nourrir des cendres de leurs pères . Ce détestable mets avança leur trépas, Et ce rep
   Qui ne chérit ces antiques tableaux, Où rit encor la Gaîté de nos pères  ! Les bonnes gens n’avaient pas nos manières, Nos
tunée Des voiles de la mort la tête environnée ! Près de l’autel, son père accablé de douleurs ! A ses côtés vingt Rois, et
lustre, et qu’elle ait la première Au grand Agamemnon donné le nom de père  ? De ses bourreaux sacrés le cortége cruel La sou
lards, ce Consul tutélaire, A-t-il en vain pour toi des entrailles de père  ? A cet ordre fatal, il recule d’effroi : Dois-je
e et l’Onde. Le puissant Jupiter fait son tour en dix ans ; Son vieux père , Saturne, avance à pas plus lents ; Mais il termi
8 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
is ! l’honneur d’être adoré. Demoustier. C’est apparemment comme le père de l’agriculture, que Saturne est représenté sous
 : Trésors bien plus dignes d’envie, Les vertus habitaient les cœurs. Pères , enfans, époux sensibles, Nos devoirs, depuis si
e lui donner la vertu de se transformer à son gré. Elle l’obtint. Son père la vendait pour de l’argent ; ensuite elle prenai
que sa fille était aux enfers. Aussitôt la déesse monte au palais du père des dieux, elle lui fait ses plaintes et demande
iter Jupiter était fils de Saturne et de Cybèle. Ayant chassé son père du ciel, il se rendit maître de l’empire du monde
, comme ayant vengé l’hospitalité. On l’appelait aussi Dici Pater, le père du jour ; Stator, en mémoire de ce qu’il avait ar
, quoique le plus jeune, supplanta Titan, son aîné, et fit mourir son père de chagrin ; d’autres disent d’une manière plus v
détrôné par son fils Jupiter, en fut traité comme il avait traité son père . Après un règne glorieux, Jupiter mourut dans l’î
nstitua au nombre de douze. Il fallait être fils de praticiens, ayant père et mère, et être jeune pour être admis dans leur
it fait de tels progrès dans l’art de guérir, sous la conduite de son père et du centaure Chiron, qu’il ressuscita le jeune
à descendre pour lui au tombeau. Les amis du prince, ses proches, son père et sa mère, qui étaient très-vieux, ses sujets, p
était près de l’atteindre, la nymphe tombant de lassitude, appela son père à son secours ; aussitôt elle fut métamorphosée e
était fille de l’Océan, c’est-à-dire, qu’on ne connaissait point son père . Les généalogistes de ce temps-là faisaient desce
qu’il souhaiterait le plus. Œnopeus dit qu’il désirait ardemment être père sans prendre de femme. Il obtint cette faveur : l
en venger, instruisit Orchame des amours de sa fille avec Apollon. Ce père entrant en fureur, ordonna qu’elle fut enterrée t
as fils du Soleil, il alla se plaindre à sa mère, Clymène, puis à son père dans son palais ; il lui demanda pour preuve de s
étincelantes, et reçoit à peine, en partant, les derniers avis de son père  : « Dans ton vol, trop timide ou trop ambitieux,
n vain le dieu qui nous éclaire, En pâlissant pour toi se déclare ton père  ;      Il doit servir à terminer tes jours. Quin
de, passa par les états de Midas. Ce roi qui avait appris que Silène, père nourricier du dieu, aimait fort le vin, en rempli
son flanc D’affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang. Leur père accourt : tous deux à son tour le saisissent, D’é
rité lui coûta cher : la déesse la perça d’une flèche. Deucalion, son père , outré de douleur, se précipita du haut d’un roc 
om d’un mot grec qui signifie pleuvoir. Silène Silène fut le père nourricier de Bacchus ; il n’avait qu’un âne pour
Cet animal courut informer Érigone, fille d’Icarius de la mort de son père  ; elle la tira par sa robe, jusqu’à ce qu’elle l’
Mercure fils de Maïa et petit-fils d’Atlas, régna après Jupiter, son père , dans une partie de l’Italie et des Gaules. Les q
de Cyniras, roi de Cypre, ayant encouru le juste ressentiment de son père , se sauva en Arabie. Elle portait alors Adonis da
ésolut de la demander en mariage. Avant d’envoyer ses ambassadeurs au père de la princesse, il voulut lui rendre visite ; ma
s. L’Océan, fils de Neptune et d’Amphitrite, est regardé comme le père des fleuves. Il eut de Téthys, sa femme, Nérée et
rait le jour à un fils qui serait plus grand et plus illustre que son père , le roi du ciel renonça à ses prétentions, et Thé
oyaumes de Corse et de Sardaigne, il trouva un asile à la cour de son père , c’est-à-dire, qu’il se noya. Charybde et Scy
, fille de Déionnée, promit à celui-ci des présens considérables ; le père lui accorda sa fille et le somma de tenir sa prom
aînée du Chaos. On lui donne pour enfans l’Ether et le Jour, dont le père était l’Erèbe. On dit qu’elle engendra toute seul
e, prit la fuite. Lorsqu’elle fut près des bords du fleuve Ladon, son père , elle invoqua Diane, qui la changea en roseau. Ce
fleuve Céphise et de Liriope nymphe de la mer. Dès qu’il fut né, son père fut consulter Tirésias sur son sort. Ce célèbre d
On appelle Silènes les satyres avancés en âge. Le plus ancien est le père nourricier de Bacchus. Sylvain Le dieu Sy
ous dit qu’Enée, célébrant dans l’île de Sicile l’anniversaire de son père , Anchise, il sortit du tombeau un serpent qu’il i
des héros, était fils de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, père de cette princesse, sur la foi d’un oracle qui lu
e perdre ce jeune homme : dans ce dessein elle l’accusa auprès de son père d’un crime odieux. Thésée, pénétré de douleur, pr
r assurer sa vengeance. Corneille l’a fait parler ainsi : Quoi ! mon père trahi, les élémens forcés, D’un frère, dans la me
’eut ouverte, il en sortit un feu subtil qui la consuma ainsi que son père . Jason accourut pour punir cette perfidie ; à son
eut de ce mariage un fils appelé Médus. Pour le faire succéder à son père , elle voulut empoisonner Thésée lorsqu’il vint à
ause de l’enflure de ses pieds.         Un Thébain, qui se dit votre père , Exposa votre enfance en ce lieu solitaire. Quelq
avoir de qui il tenait le jour ; on lui répondit qu’il trouverait son père dans la Phocide. Il y alla, et tua Laïus, sans le
ïus. Œdipe connut enfin qu’il était coupable du crime d’avoir tué son père et épousé sa propre mère. Pénétré de douleur, l’i
ide, où il demanda Hippodamie en mariage. Œnomaüs, roi de ce pays, et père de cette princesse, aimait si tendrement sa fille
Ce prince eut trois enfans : Ganymède, enlevé par Jupiter, Assaracus père de Capys et aïeule d’Anchise, et enfin Ilus, ce d
enlevé Hésione, qu’il avait délivrée du monstre auquel Laomédon, son père , l’avait exposée par ordre de l’oracle, la donna
has déclara que pour la faire cesser il fallait rendre Chryséis à son père . Agamemnon y consentit ; mais il exigea qu’Achill
railles, Polyxène, fille de Priam, l’envoya demander en mariage à son père , avec promesse de défendre sa personne et ses éta
roite amitié avec Pylade son cousin. Sept ans après le meurtre de son père , il se rendit secrètement à Argos, et tua de sa p
la ruine de sa patrie, ce héros fugitif, chargé de ses dieux, de son père , et accompagné d’Ascagne, son fils, se rendit à u
remit en mer, et arriva à Drapane en Sicile, où il perdit Anchise son père . Il était prêt d’entrer dans le pays latin, quand
9 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
par les moyens si fréquemment employés dans ce temps, par les mauvais pères et les Rois jaloux. Il le chargea d’entreprises e
ans la suite Persée fut assassiné par Mégapenthe dont il avoit tué le père appelé Prætus. Après sa mort, les Dieux placèrent
t gémir sur la tombe de son maître. Érigone qui n’avoit pas suivi son père , se mit en route pour l’aller rejoindre. Après l’
attachées avec de la cire ; l’imprudent Icare, malgré les avis de son père , s’éleva trop haut, le soleil fondit la cire, ses
te, il redemanda Dédale, et les filles de Cocalus, pour éviter à leur père le danger de le refuser ou la honte de le livrer,
mple de Delphes, consulta l’Oracle qui lui répondit qu’il tueroit son père et qu’il épouseroit sa mère. Cet Oracle affreux d
nstre, suivant la plus commune opinion, naquit d’Echidna et de Typhon père et mère de tous les monstres de la fable. Le Sphi
a pitié et dévorés d’ambition ils chassèrent du palais leur infortuné père , mais Antigone lui restoit. Cette princesse se dé
cesse se dévoua tout entière au pieux devoir de servir de guide à son père , elle abandonna tout pour lui, et elle dut le con
tifs, on les força d’en sortir, Antigone obtint pour elle et pour son père la permission d’aller à Athènes où Thésée les reç
t de l’ombre de sa mère Eriphyle qu’il avoit tuée, par l’ordre de son père , à cause de sa trahison. Alcméon, déchiré par les
ns, devinssent en un moment hommes faits, pour venger la mort de leur père , ce qu’ils firent en tuant, non-seulement Téménus
ara de l’épée et des brodequins, et il partit pour aller chercher son père . Durant ce voyage, qui fut long, il fit beaucoup
ayé trois fois cet horrible tribut lorsque Thésée fut reconnu par son père . Thésée résolu d’affranchir sa patrie, suivi des
chthonius devint Roi d’Athènes. Son fils Pandion lui succéda ; il fut père de deux filles infortunées, Philomèle et Progné7.
ées, Philomèle et Progné7. Érechtée, fils de Pandion, régna après son père , ensuite Pandion II, père d’Égée et aïeul de Thés
réfugia chez Admète son parent. Acaste son frère, voulant venger son père , et se persuadant que l’innocente Alceste étoit c
ppelée aussi Admète, elle étoit fille d’Euristhée, elle inspira à son père l’ordre qu’il donna à Hercule de lui apporter la
m du mot grec priamaï, j’achète, Hercule lui rendit le royaume de son père . Hésione eut de Télamon, un fils appelé Teucer. H
et qui fut nourri par une biche. On découvrit son déshonneur, et son père la remit à Nauplius avec l’ordre de lui ôter la v
t leur forme naturelle. La beauté de Déjanire attira à la Cour de son père un grand nombre de Princes qui demandèrent sa mai
dans leurs prétentions. Achéloüs, fils de l’Océan et de la Terre, et père des Syrènes et de plusieurs Nymphes, prit diverse
a victorieux à son vaisseau. Médée, emportant tous les trésors de son père , vint secrètement le rejoindre au commencement de
r donna cet horrible courage. Médée leur ordonna d’égorger leur vieux père , de couper son corps en morceaux, et de le jeter
toit un des Argonautes, célébra des jeux funèbres en l’honneur de son père , et ne punit point Jason et Médée ; il se content
êtement qu’elle fut consumée par un feu que rien ne put éteindre, son père voulant la secourir périt avec elle. Médée poigna
râsier pour qu’il y consuma tout ce qu’il avoit reçu de mortel de son père . Pélée se réveilla, et voyant son fils dans le fe
ége, Agamemnon fut contraint de rendre sa captive Chriséis à Chrisès, père de cette jeune grecque et grand-prêtre d’Apollon
pendant cette cérémonie Egisthe le tua de sa propre main, il tira son père de prison, le mit sur le trône, et Thieste chassa
tion. Cependant Oreste, guidé par le dessein de venger la mort de son père , étoit entré secrètement avec Pylade dans Mycènes
te ou coupable ? Il est prêt à trouver innocente la meurtrière de son père , qu’il vient d’immoler. Il y a dans ce mouvement
Télémaque, fils d’Ulysse, de quitter Ithaque et d’aller chercher son père . Durant l’absence de Télémaque, les princes amour
au rang des plus fameux héros. Il tua les fils de Mélas frère de son père et fut obligé de fuir pour ce meurtre. Il combatt
nces Grecs périrent à leur retour de Troie. Nauplius, Roi de l’Eubée, père du malheureux Palamède que les noires calomnies d
nneur. Proclus l’envoya en Lycie avec des lettres adressées à Iobatès père de Sthénobée, pour le faire mourir ; Bellérophon
Lemniennes ayant découvert par la suite qu’Hypsipile avoit sauvé son père , la chassèrent ; elle se réfugia chez Lycurgue, R
10 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
Plus tard elle trouva encore moyen de soustraire à la férocité de ce père cruel Neptune et Pluton. Informé de cette superch
, il lève une armée, défait les ennemis de sa famille, et replace son père sur le trône. Cet état de choses dura peu. Saturn
ais Jupiter échappa à ce danger, et pour se venger il arma contre son père , le chassa du ciel et s’empara de sa puissance. D
Dieux et quels furent leurs enfants ? — Lequel des deux succéda à son père  ? — Quelles furent l’occasion et l’issue de la gu
sins d’airain, pour empêcher ses cris de parvenir aux oreilles de son père . Jupiter fut nourri du lait de la chèvre Amalthée
mmé la corne d’abondance. Quand Jupiter se fut emparé du trône de son père , il partagea l’empire du monde avec ses deux frèr
pour enfants Hébé, Déesse de la jeunesse, qui servit le nectar à son père , jusqu’à ce qu’elle fût remplacée dans cet emploi
pris de la nymphe Daphné qui, pour éviter ses poursuites, invoqua son père , le fleuve Pénée, et fut changée en laurier. Apol
e preuve irrécusable de sa divine origine, ce jeune homme supplia son père de lui confier pendant un jour la direction du ch
r. Seul de tous les habitants de l’Olympe il osa rester auprès de son père lorsque les géants escaladèrent le ciel, et, sous
et le messager de toutes les divinités, mais particulièrement de son père . C’était lui qui était chargé de conduire les âme
e Neptune, l’épée de Mars et la ceinture de Vénus. Pour le punir, son père l’exila sur la terre ; mais Mercure s’y livra enc
a les foudres au moyen desquels Jupiter put écraser les géants, et le père des Dieux l’en récompensa en lui donnant Vénus po
ut Evandre, roi d’Arcadie, qui, fuyant sa patrie, où il avait tué son père par accident, apporta le culte de ce Dieu dans le
s qui se célébraient dans son temple. Faune, étant considéré comme le père et le type de cette nombreuse famille de Faunes,
ant déclaré que le fils qui naîtrait d’elle serait plus grand que son père , ces Dieux se retirèrent, et elle épousa Pélée, r
usèrent le même jour leurs cinquante cousins, fils d’Egyptus. Danaüs, père des cinquante princesses, ayant appris par l’orac
s Romains étaient les plus fervents adorateurs de cette divinité ; le père des Gracques fut le premier qui lui éleva un temp
ce Philée, son fils, qui s’était montré indigné de l’injustice de son père . 6° Le lac Stymphale en Arcadie était infecté de
t un vaisseau dont les voiles étaient noires, en signe de deuil ; son père lui avait fait promettre que, s’il revenait vainq
r le nom de mer Egée 56. Bien qu’il fût devenu roi par la mort de son père , Thésée accomplit encore plus d’un exploit glorie
mière épouse ; trompé par cette accusation calomnieuse, le malheureux père invoqua contre son fils la colère de Neptune, qui
V. — Jason. Jason, fils d’Eson, roi d’Iolchos, fut laissé par son père mourant sous la tutelle de Pélias, son oncle. Ele
oncle, voyant le jeune héros sur le point de réclamer le trône de ses pères , résolut de profiter de son amour passionné pour
a fuite, enlevant les trésors et la fille d’Æètes. Poursuivie par son père , Médée mit en pièces son jeune frère Absyrte et d
r à Iolchos, Jason y fut reçu en triomphe, et épousa Médée. Eson, son père , que l’on avait cru mort, avait reparu, mais il é
opéré en faveur d’Eson, supplièrent Médée de rappeler également leur père à ses jeunes années. La cruelle magicienne feigni
nne feignit de se rendre à leurs vœux et leur persuada de couper leur père par morceaux pour les faire bouillir dans une cha
VIII. — Cadmus. Cadmus était fils d’Agénor, roi de Phénicie. Son père , désolé de la disparition de sa fille Europe, que
avançant en âge, Œdipe apprit que le roi de Corinthe n’était pas son père , et l’oracle qu’il alla consulter lui répondit qu
Ainsi Œdipe, poursuivi par un impitoyable destin, après avoir tué son père sans le connaître, devint, sans le savoir, l’épou
il apprit en même temps qu’il était fils de Laïus, et que c’était son père qu’il avait combattu et tué en traversant la Phoc
et Polynice, qui s’étaient emparés du pouvoir après le départ de leur père , étaient convenus entre eux de régner alternative
ps. Antigone, leur sœur, étant revenue à Thèbes, après la mort de son père , pour rendre les derniers devoirs à ses deux frèr
Télémaque qui venait de naître, et le plaça devant la charrue de son père  ; Ulysse se trahit par le soin qu’il mit à épargn
sione. Rendu à la liberté, il monta sur le trône après la mort de son père , donna une nouvelle splendeur à sa capitale, et é
in devait causer la perte de sa patrie. Pour éviter ces malheurs, son père le remit, dès qu’il eut vu le jour, à un esclave
de la ville que dévoraient les flammes, emportant sur ses épaules son père et ses Dieux Pénates, tenant par la main son fils
i avec une femme acariâtre. Il était au milieu de ses élèves comme un père entre ses enfants, leur prêchant une morale très-
nt fut victime de cette tentative. Oubliant les sages conseils de son père , il s’éleva trop haut dans les airs ; le soleil,
moquait d’elle dès qu’elle voulait dévoiler les arrêts du destin. Son père la fit renfermer dans une tour pour la punir d’av
11 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
s chaînes, et leur fournit des armes contre Cœlus. Saturne attaqua ce père cruel, le réduisit à l’état de serviteur, et occu
les Titans, les précipite de l’Olympe, et fait asseoir de nouveau son père sur le trône. Mais Saturne jouissait peu de cette
ntre les plus proches parents ; le fils osa attenter aux jours de son père , la marâtre à ceux de sa belle-fille. La piété fu
arrue. Le devin Mélampe, médecin habile, offrit de les guérir si leur père s’engageait à l’accepter pour gendre et à lui acc
’Océan, nymphe d’une admirable beauté. Il la demanda en mariage à son père , qui accueillit avec joie un vœu dont il était fl
ux épars, la voix altérée, elle demande justice de cet enlèvement. Le père des dieux essaie de l’apaiser, en lui représentan
’approcha d’elle et la pria de venir se reposer dans la maison de son père . Cérès y entra ; et Céléus lui fit un si bon accu
mit en pièces cette belle tapisserie, où les folles aventures de son père étaient trop bien représentées ; elle porta même
, fils de Jupiter et de Junon, était si difforme en naissant, que son père , effrayé de sa laideur, le précipita du ciel. L’a
e plaintive et gémissante, Ariane qui se reprochait d’avoir quitté un père , une sœur, une patrie pour un volage amant ; Aria
par le styx de ne lui refuser aucune de ses demandes. « Eh bien, mon père , lui dit-il, laissez-moi conduire pendant un jour
orgueil, saisit les rênes étincelantes et daigne à peine écouter son père , qui lui crie : « Dans ton vol trop timide ou tr
xtravagantes et au-dessus de ses forces. Le Soleil est l’image de ces pères faciles, qui n’osent rien refuser à leurs enfants
ée, un des dieux de la mer, épousa Doris, fille de l’Océan, et fut le père des Néréides. Il se distingua par sa douceur, sa
Rome, elle avait un autel sur le Capitole. § 25. La Liberté. Le père des Gracques lui éleva le premier, à Rome, un tem
vous êtes sensible à la gloire d’une haute naissance, Jupiter est mon père  ; si des exploits signalés vous touchent, je puis
i dit-elle, j’endormirai le dragon, je te livrerai les trésors de mon père  ; la toison d’or sera ton partage. Mais avant tou
unissement d’Éson, conjurèrent Médée de rendre le même service à leur père . La magicienne le leur promit ; et, afin de les m
t et mirent le feu au palais : elle y périt dans les flammes avec son père . Peu satisfaite de cette première vengeance, Médé
èvement de Proserpine, les travaux d’Hercule, et fut regardé comme le père de la théologie païenne. La musique lui servait d
ux commencements. Cadmus se voyait gendre de deux grandes divinités ; père de quatre filles aussi belles que séduisantes, In
une brebis noire. Manto, fille de Tirésias, avait aussi bien que son père le don de prédire l’avenir. Quand Thèbes fut pris
é de mettre cette voile blanche, signal de sa victoire. Ce malheureux père , apercevant le j pavillon noir, crut que son fils
e bannit de Trézène sans l’entendre, et s’écrie : « O Neptune ! ô mon père  ! tu m’as promis d’exaucer trois de mes vœux ; n’
la fidélité de tes promesses40. » Hippolyte n’ayant pu désabuser son père ni le fléchir, monte tristement sur son char, et
fils qui naîtrait de leur hyménée serait un jour le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. » L’enfant naquit, et Laïu
plus reparaître dans son pays natal, s’il voulait éviter de tuer son père et de devenir l’époux de sa mère. » Frappé de ces
tait lui-même ce meurtrier désigné par l’oracle ; que Laïus était son père , et Jocaste sa mère. A cette révélation accablant
xpédition contre Thèbes. Le but des Épigones 46 était de venger leurs pères , et de prendre la ville de Thèbes. Ayant à leur t
t distinguée : Scylla n’eut pas honte, pour lui plaire, de trahir son père et son pays. Le sort de la ville de Mégare dépend
nrent au moment de sa chute, et la métamorphosèrent en alouette : Son père fut changé en épervier, et il continua de s’achar
§ 1. Premiers rois de la ville de Troie. Teucer, le véritable père et fondateur de la nation troyenne, était origina
ont laissé tous trois un nom dans l’histoire. Ilus fut roi après son père  ; Assaracus fut l’aïeul d’Anchise, le bisaïeul d’
ils et successeur de Laomédon, s’appelait d’abord Podarcès. Quand son père frustra le libérateur d’Hésione de la récompense
c ses deux sœurs et le jeune Oreste. Pour la faire venir au camp, son père feignit de vouloir, avant le départ de la flotte,
r à l’idée du sort qu’on lui prépare, elle court demander grâce à son père , elle met tout en œuvre pour le fléchir ; et, le
, il refusa de retourner dans la Grèce, sa patrie, soit parce que son père n’existait plus, soit pour ne pas revoir les lieu
ée dans le sein de son enfant… Le peuple indigné se soulève contre ce père fanatique, et l’accable de tant de malédictions e
diverses rencontres. Son dévouement filial causa sa mort. Voyant son père engagé dans le plus fort de la mêlée, et près d’ê
plaça le petit Télémaque, fils d’Ulysse, sur la ligne du sillon : le père leva le soc de la charrue pour ne point blesser s
x, où la fille d’Apollon, Lampétie, gardait les troupeaux du dieu son père  : troupeaux innombrables auxquels il était défend
en jour. Les dieux intervinrent : Mercure le rappela à ses devoirs de père , d’époux et de roi. Parti de chez Calypso, il vog
ut bas à la plus intime de ses confidentes : « Puisse l’époux que mon père me destine ressembler à cet étranger ! » Ulysse a
ius, furent massacrés. Le vieux Laërte retrouva un fils, Télémaque un père , Pénélope un époux bien-aimé. § 18. Télémaque.
ue, fils d’Ulysse et de Pénélope, était encore au berceau lorsque son père partit pour le siége de Troie. Placé auprès de sa
accompli des enfants de son âge. A quinze ans, le dessein de voir son père dont il ignorait le sort, lui fit quitter sa patr
tre et Oreste. Ces trois derniers vivaient à Argos, au moment où leur père y fut poignardé. Oreste, malgré son âge tendre, a
u travers des flammes, chargé de ses dieux pénates, portant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la m
de leur désapprobation. Un jour que la jeune princesse, à côté de son père , brûlait des parfums sur l’autel, le feu prit à s
nter leur attachement. Après des tentatives réitérées auprès de leurs pères , après bien des soumissions et des démarches infr
ondes. Sitôt qu’elle eut touché les bords de l’île de Crète : « O mon père , s’écriait t-elle, transportée de douleur, ô mes
amas et Ino. Athamas, roi de Thèbes, épousa Néphélé, qui le rendit père d’un fils et d’une fille (Phryxus et Hellé), célè
le, conserva sur son plumage les traces du sang d’Itys. Pandion, leur père , ne survécut pas à tant de malheurs, et mourut da
n frère qui était son meilleur ami, une nièce chérie dont il était le père adoptif, et un jeune fds, dont les succès précoce
t y obéissent toutes, toutes excepté Hypermnestre, qui osa trahir son père , et sauver son jeune époux. « Lève-toi, lui dit-e
suites meurtrières de Danaüs. Hypermnestre, citée en jugement par son père , allait subir une injuste condamnation ; mais le
ar une multitude d’amants, Atalante leur annonça, de concert avec son père , qu’elle ne donnerait sa main qu’à celui d’entre
t du temps de Solon. Fort jeune encore, il paissait les brebis de son père , et s’égara avec son troupeau. Forcé par l’approc
Pélias, fut recherchée en mariage par un grand nombre de princes. Son père , pour se délivrer de leurs poursuites importunes,
noux. b) Horus. Horus, fils d’Osiris et d’Isis, accompagna son père en Éthiopie et aux Indes, conduisant à sa suite n
rus. Dans les cérémonies funèbres qui suivirent la mort d’Osiris leur père , ce fut Anubis qui embauma les restes sacrés du m
x, jeune, brillant, radieux, dont le premier soin est de rendre à son père les honneurs de la sépulture. Cet oiseau-merveill
e, fit élever au milieu de la place publique une statue de Bélus, son père , et exigea de ses sujets qu’ils offrissent à ce v
é avec elle, déchira ses membres, et les dispersa sur la route de son père pour le retarder. 33. Les poètes désignent fréqu
avait fait présent. 52. Teucer et Ajax étaient seulement frères de père , ou consanguins. La mère de Teucer était Hésione,
12 (1845) Mythologie de la jeunesse
fer tiré de son sein [Fig. 14]. Saturne remonta au ciel, attendit son père à l’écart et le frappa du tranchant de sa faux.
turne, le vainquit et l’emprisonna. Jupiter, devenu grand, vengea son père et lui rendit son trône ; mais Saturne, ayant app
e, pour empêcher les cris de l’enfant de parvenir aux oreilles de son père , dansaient autour de la grotte, en frappant leurs
Nymphes. L’Océan, fils d’Uranus et de Tellus, était regardé comme le père des fleuves. Il habitait au fond des mers un pala
près lui étaient consacrés. Plus loin le Sommeil, frère de la Mort et père des Songes, reposait sur un lit d’ébène, dans un
un âne. Devenu grand, il fit la conquête des Indes, accompagné de son père nourricier, et suivi d’une multitude d’hommes et
fil que lui avait donné Ariane, fille de Minos. Après la mort de son père , il régna sur l’Attique, et y établit de sages lo
tus, et tua l’usurpateur. Bientôt après il eut le malheur de tuer son père en jouant au palet. Désespéré de ce meurtre invol
e de Mycènes. Dans la suite Mégapenthe, voulant venger la mort de son père , dressa des embûches à Persée et le fit périr. Ce
fils d’Eson, roi d’Iolchos, avait été dépouillé de l’héritage de son père par l’usurpateur Pélias. Celui-ci promit à ce jeu
un secret pour rajeunir ce prince, et engagea ses filles à tuer leur père et à faire bouillir ses membres dans une chaudièr
Cadmus, fils d’Agénor, roi de Phénicie, avait été envoyé par son père à la recherche d’Europe, sa sœur, enlevée par Jup
dit que le fils qui naîtrait de leur union serait le meurtrier de son père et le mari de sa mère. Aussi fut-il confié, quelq
olynice, et Polydore, fils d’Hippomédon, s’armèrent pour venger leurs pères . On les appela les Épigones ou dépendants. Thèbes
m. « Je me nomme Personne, lui répond le héros ; ainsi me nomment mon père , ma mère et tous les miens. — Eh bien, lui dit le
ait sur le point de l’atteindre, la- nymphe implora le secours de son père , et incontinent elle fut changée en l’arbre qui,
Phaéton, irrité, alla se plaindre à Clymène, qui le renvoya vers son père , pour apprendre de la propre bouche du Soleil la
ans une pareille entreprise. Phaéton persiste dans sa demande, et son père le conduit où était le char. L’Aurore, vêtue de p
ompt qu’un éclair Pénètre en un moment les vastes champs de l’air. Le père , cependant, plein d’un trouble funeste, Le voit r
rendirent les honneurs funèbres. Il fut métamorphosé en cygne par son père , et sa lyre fut placée au nombre des constellatio
honneur de sa mère. La peste ayant dépeuplé son île, il obtint de son père que toutes les fourmis d’un vieux chêne fussent c
désespérée, se précipita dans la mer et fut changée en alouette. Son père fut métamorphosé en épervier ; et depuis ce temps
me elle était recherchée en mariage par plusieurs jeunes princes, son père déclara que sa main serait le prix de celui qui l
ent trouvé ivre, il le rendit à Bacchus, qui, charmé de retrouver son père nourricier, promit à Midas de lui accorder tout c
e, sœur de Leucothoé, en conçut de la jalousie, et alla révéler à son père le secret de sa sœur. Orchame ordonna que Leucoth
ue depuis Jésus-Christ que le genre humain a appris à voir en Dieu un père et à l’aimer. 6. Mélisses est un mot qui signif
nommée Sphinge, a fait imaginer la fable du Sphinx. Mécontente de son père , elle se serait associée à une troupe de brigands
13 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
pouvoir l’apaiser par les victimes ordinaires. La frayeur poussa les pères jusqu’à immoler leurs enfans, et à les briller au
de misère et de faim arma bientôt les uns contre les autres. Un seul père de famille, entouré de ses enfans, aurait pu long
te l’histoire du premier homme et de la première femme. « Le premier père des hommes se nommait Protogone, et la première m
igent, le premier principe incompréhensible, suffisant à lui-même, et père de toutes les essences. » Nous ne croyons point
t de tous les êtres excellens, et la plus sage des intelligences ; le père de la justice et des bonnes lois, instruit par lu
émanent de lui. Il est la vie, la cause de toutes choses ; il est le père primitif : il n’y a qu’une seule puissance, un se
chercher le premier germe de l’idolâtrie. Les enfans malheureux d’un père maudit oublièrent en peu de temps les sages conse
que c’était Mysraïm lui-même, fils de Cham, qui, après la mort de son père , fut appelé Zoroastre, c’est-à-dire astre vivant,
ilosophie ou de leur physique. Ainsi l’on disait que l’Océan était le père des fleuves, et que la lune, en épousant l’air, d
s adoptait. Il ne faut donc point le regarder comme l’inventeur et le père de tant de dieux et d’usages bizarres. Des die
nner l’histoire de Jupiter, nous croyons devoir parler de Saturne son père , et de Cybèle sa mère. Le rang de ces deux divini
Cette équivoque a pu suffire pour donner lieu à la fable cruelle d’un père qui dévore ses enfans ; mais il existe une autre
t pour eux, et leur rendit la liberté. Jupiter, avant de délivrer son père , s’était emparé du royaume ; et, craignant que Sa
aissance, sans en dire la cause, ni comment elle fut reconnue par son père , roi de Phrygie, et on l’appela Cybèle, du nom de
porter avec lui le feu sacré, avant de quitter le palais de Priam son père . Il ajoute que le nom Vesta est le même que celui
r ses ennemis, s’il pouvait mettre en liberté ceux des Titans que son père tenait renfermés dans le Tartare, et s’il pouvait
ne, que Jupiter traita comme le même Saturne avait traité Uranus, son père . Il le précipita dans le fond du Tartare avec les
t par Diodore de Sicile, qui l’avait prise lui-même dans Évhémère. Le père dom Pezron l’a mise dans le plus beau jour, en ra
apet, Chronos ou Saturne ; devenus grands, ils cabalèrent contre leur père , qui les fit tous enfermer, à l’exception d’Océan
annoncèrent que ses enfans le traiteraient comme il avait traité son père . Ce prince, épouvanté d’une menace qu’il sentait
i de courage, sortit de l’île de Crète, défit les Titans, délivra son père , le rétablit sur son trône, et revint victorieux
é pendant sa jeunesse. Par la suite, on y ajouta la qualité de pater, père , d’où l’on fit Joupater et Jupiter. Devenu le maî
On donnait aussi le nom de Jovis à Jupiter ; et l’on y joignit le mot père , pour désigner qu’il était le maître des dieux. L
plus long-temps. Crès, fils de Jupiter, y régna après la mort de son père . Les anciens nous apprennent aussi que Deucalion,
victimes humaines, comme on en a plusieurs fois offert à Saturne son père  ; la fable de Lycaon en est une preuve incontesta
ussit, et fit lever le siége. On le nommait Diespiter, comme était le père de la lumière du jour ; Pluvius, pour avoir accor
a pluie dans une grande sécheresse ; Hospitalis, parce qu’il était le père de l’hospitalité ; père des dieux, modérateur, re
sécheresse ; Hospitalis, parce qu’il était le père de l’hospitalité ; père des dieux, modérateur, recteur, pour marquer sa s
ée, séduit par la beauté de Pandore, la choisit pour femme, et devint père d’une fille nommée Pyrrha, qui, par la suite, épo
ques usages des premiers patriarches ; et Jupiter, à l’exemple de son père et de son aïeul, épousa sa sœur Junon. Les noces
piré de la tendresse à Jupiter. Éacus, fils d’Égine pria Jupiter, son père , de repeupler le pays ; ce dieu fit sortir d’un v
stres ; elles en eurent des enfans qui, par la suite, égalèrent leurs pères , et furent les chefs de grands peuples. Maïa, l’a
s. Aurore ouvre tous les matins les portes du ciel ; elle précède son père , et annonce son retour. Un jour elle enleva Titho
consulta sa mère Climène, qui lui conseilla d’aller au palais de son père demander des preuves de sa naissance. Le Soleil a
ollon, avait si bien réussi dans la médecine, sous la conduite de son père et celle du centaure Chiron, qu’il était parvenu
er. Le sort tomba sur Hésione, fille de Laomédon. La puissance de son père et sa beauté ne purent la sauver : il fallut obéi
nses des oracles. Cependant un assez grand nombre se vérifiaient. Les pères de l’église se réunissent pour croire que Dieu a
orsque l’on fit son apothéose. Mars portait le nom de Silvestre et de père , lorsqu’on l’invoquait pour qu’il préservât les c
le. Par la suite des temps, cette croyance le fit regarder comme leur père . Cependant les Lacédémoniens lui disputaient l’ho
dans ses travaux par les Cyclopes ; après avoir nommé Polyphème leur père , elle désigne ses fils Brontès, Stéropes et Pyrac
nt extrêmement célèbre parmi les princes Titans. Après la mort de son père , il eut pour son partage l’Italie, les Gaules et
les qui commandaient sur la mer s’appelaient Néréides, du nom de leur père . La plus illustre de ces dernières, que l’on nomm
u dans le livre des destins qu’elle aurait un fils plus grand que son père , il la donna pour épouse à Pélée, qui fut père d’
ue Neptune fut le premier qui commanda une armée navale. Saturne, son père , l’employa pour s’opposer par mer aux entreprises
fils de Pontus et de la Terre ; d’autres disent de Neptune. Il était père des Gorgones, dont nous parlerons dans l’histoire
lyphème, le plus célèbre des Cyclopes. On le regardait aussi comme le père du serpent qui gardait les pommes d’or du jardin
mis un jour à sa poursuite, elle se réfugia près du fleuve Ladon, son père , qui la métamorphosa en roseau. Pan ayant observé
e Pactole. Devenu possesseur du royaume, après la mort de Gordius son père , il fit présent au temple de Delphes d’une chaîne
s de la maison qu’avait habitée la femme romaine qui avait nourri son père dans la prison. Les Athéniens avaient élevé des a
14 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ucation, et à propager les connaissances utiles. Vous êtes vous-mêmes pères de famille : un Livre fait pour vos enfans, pour
’or vous enfante ; j’en frémis. Le frère meurt des coups du frère, Le père de la main du fils. L’Honneur fuit, l’Intérêt l’i
 ? R. Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit considéré comme le père des Dieux et des hommes. Et Jupiter assis sur le
antes, pour empêcher que ses cris enfantins ne le découvrissent à son père . Il fut nourri du lait de la chèvre Amalthée, qu’
ouvre les portes du ciel, et annonce tous les matins le retour de son père . D. N’avez-vous rien à nous dire de Phaëton ? R.
assa la jambe en tombant, et demeura boiteux. Pour l’en consoler, son père lui donna l’intendance de ses foudres.         C
— Thétys. D. Qui étoit l’Océan ? R. L’Océan étoit regardé comme le père des Fleuves, des Rivières des Fontaines. Il épous
ue le vieux pasteur des troupeaux de Neptune, Prothée, à qui le Ciel, père de la fortune,               Ne cache aucuns secr
èle. O mes compagnes ! ô ma mère ! O vous, maître des cieux, mon père  !… Cris impuissans et vains regrets ! Au char la
pagné des Satyres, qui étoient semblables à lui, et dont on le dit le père . Faune, mis aussi au rang des Dieux champêtres, p
ur être dévorée par un monstre marin. Il pétrifia ce monstre. Céphée, père de la princesse, la lui accorda pour épouse. Phin
n partant pour son expédition contre le Minotaure, avoit promis à son père de changer les voiles de son vaisseau, s’il reven
, pour s’en venger, l’accusa faussement auprès de Thésée son mari. Le père furieux chassa son fils, et appela toute la colèr
x. …………………………………………………… Je t’implore aujourd’hui, venge un malheureux père  ; J’abandonne ce traître à toute ta colère. (Raci
bsirthe, et en dispersa les membres le long du chemin que suivoit son père . D. Que raconte-t-on encore de Médée ? R. Voyant
on, elle conseilla à ses filles de faire bouillir les membres de leur père , afin de le rajeunir comme elle l’avoit fait d’Es
ybe. Ayant consulté l’Oracle, il lui fut répondu qu’il trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œdipe s’y
D. Quels furent les malheurs d’Œdipe ? R. Œdipe avoit tué Laïus, son père , sans le connoître. Ici il épouse sa mère sans le
rimes monstrueux : il voit avec horreur qu’il est le meurtrier de son père , et qu’il avoit épousé sa mère. Celle-ci se pendi
t de la Déesse Vénus. II échappa à la ruine de Troye ; il chargea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne,
éperdument amoureux. Pygmalion devint amant De la Vénus dont il fut père . Il fit mille extravagances pour cette statue. A
éducation des enfans ? R. La première attention que doivent avoir les pères et mères, c’est de n’offrir à leurs enfans que de
dans le calme des sens. Dans vos réprimandes, montrez-vous toujours, pères et mères, les amis plutôt que les maîtres de vos
elle est l’importante, la noble et la sainte tâche imposée à tous les pères et mères. Ils se souviendront aussi de marquer à
de malheurs doivent être attribués à une indiscrète prédilection des pères et mères pour certains de leurs enfans ! 3.° Les
ui ne se nourrissoit que de chair humaine. 6. La Fable fait Tyndare père de Castor, et Jupiter, de Pollux. 7. Ésope .
15 (1850) Précis élémentaire de mythologie
es merveilles de la nature, l’homme en vint à se déifier lui-même. Un père , plongé dans une douleur profonde, continuent les
mer dans une étroite prison, mais Jupiter les en tira et rétablit son père sur le trône. 3. Saturne oublia promptement ce bi
résolut de le faire périr. La guerre recommença dans le ciel entre le père et les enfants. Jupiter victorieux chassa du ciel
résident des douze grands dieux qui ont voix délibérative au ciel, le père des dieux et des hommes, le créateur de l’humanit
roya le coupable usurpateur. Apollon, ne pouvant se venger contre son père , le souverain des dieux, s’en prit aux Cyclopes q
’Aurore sa fille ouvre les portes du ciel et annonce le retour de son père  ; et qu’enfin ce dieu possède, dans la région des
s contester la divinité de son origine, s’en vint un jour près de son père les yeux baignés de larmes, solliciter de lui une
vieux par sa dextérité qu’il était réellement son fils. Le malheureux père fit vainement tous ses efforts pour détourner son
ête. Aussitôt après sa naissance, cette déesse vint au secours de son père et l’aida de ses conseils et de son bras dans la
aire. 1. Comment naquit Minerve ? Quels services rendit-elle à son père après sa naissance ? Quels sont ses exploits bell
ulcain était fils de Jupiter et de Junon. Quand il vint au monde, son père le trouva si laid et si difforme qu’il lui donna
rs métiers sont brisés ; on élève en leur place Une chapelle au dieu, père du vrai nectar. La Fontaine conclut de cette f
que le vieux pasteur des troupeaux de Neptune, Protée, à qui le ciel, père de la fortune,         Ne cache aucuns secrets, S
on était, comme Jupiter et Neptune, fils de Cybèle et de Saturne. Son père l’avait dévoré immédiatement après sa naissance,
i vénéré par les bergers. Il avait été roi du Latium après Picus, son père , et les Latins en firent une divinité champêtre,
des forêts. Quelquefois on le confond avec Pan et même avec Faune son père . On le représentait à peu près de la même manière
hef des Songes, est aussi considéré comme le ministre du Sommeil, son père , et comme le Sommeil lui-même. Il endormait les m
mœurs et la pureté de sa vie. Il méditait, loin de la cour du roi son père , dans les forêts du mont Ida, quand Jupiter le ju
sante qui ne prenait plaisir qu’à tourmenter les hommes. Jupiter, son père , irrité de tous les maux qu’elle faisait, la chas
ce prodige, prièrent la magicienne de le renouveler en faveur de leur père . Médée eut l’air d’y consentir, et leur conseilla
Médée eut l’air d’y consentir, et leur conseilla de couper leur vieux père en morceaux et de jeter ses membres dans une chau
op crédules firent ce qui leur avait été commandé, et leur malheureux père fut victime de leur horrible superstition. Ce cri
crait tous les voyageurs et qui avait fait vœu d’élever à Neptune son père un temple avec des crânes d’hommes. La lutte fut
Thésée avait à peine seize ans que déjà il avait ceint l’épée de son père . Son esprit bouillant ne rêvait que gloire et ave
e Médée, l’épouse cruelle de Jason, qui dominait entièrement Egée son père . Cette marâtre vit d’un mauvais œil le jeune héro
signifier le deuil des Athéniens ; mais Thésée était convenu avec son père que, s’il revenait vainqueur, ces voiles funèbres
’avait lui-même monté Thésée. Devenu roi d’Athènes par la mort de son père , Thésée se distingua par la sagesse de son gouver
èdre se vengea de ce dédain en calomniant le jeune prince près de son père . Thésée eut la faiblesse de croire aux accusation
. Prends soin, après ma mort, de la triste Aricie... Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un fils faus
es dieux triomphent la colère, Et que méconnaîtrait l’œil même de son père . Racine , Phèdre, acte v. 9. Phèdre, bourrelée
fils ? Qu’est-ce que la fable dit de sa naissance ? A quel signe son père voulait-il le reconnaître ? 2. Que trouva-t-il à
pétrifia le monstre, brisa les chaînes d’Andromède et la rendit à son père qui la lui offrit pour épouse. Phinée, le frère d
des héros et des mères, Des enfants moissonnés dans les bras de leurs pères , Victimes que le Styx, bordé de noirs roseaux, En
hénicie, et de la nymphe Mélie. Elle suppose qu’il fut envoyé par son père à la recherche d’Europe sa sœur, et que, ne pouva
destinées, et l’oracle lui répondit qu’il serait le meurtrier de son père et l’époux de sa mère, et que de lui sortirait un
vé ? Que lui annonça l’oracle ? 5. Comment fut-il le meurtrier de son père  ? Que promit Jocaste à celui qui ferait périr le
guste vieillard se jeta aux genoux d’Achille, lui parla au nom de son père , et lui baissa la main en prononçant ces belles p
son cœur ne put être insensible aux larmes de Priam, et il remit à ce père infortuné les restes sanglants de son cher fils.
à lui. Ce fut son fils. La superstition triompha de la nature, et ce père barbare fut fidèle à son serment. Mais les Crétoi
, en demanda une nouvelle, et supplia Ulysse de lui dire son nom. Mon père et ma mère, lui dit Ulysse, m’appellent, Personne
i Dieu qu’ils adoraient ainsi dans les œuvres de ses mains. Parmi les Pères , Minucius Félix et saint Cyprien regardent le pre
e avait trouvé un des restes de son époux. Horus succéda à Osiris son père , et se vit également attaqué par Typhon. Isis aya
it qu’aucun guerrier ne pouvait pénétrer dans le palais aérien de ses pères , si les bardes n’avaient chanté son hymne funèbre
, 76. Luperci, prêtres de Pan, 76. Lutte, jeu en Grèce, 155. Luxe, père de la pauvreté, 98. Lycaon, changé en loup, 23.
16 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
tomber sa couronne de roses au pied d’un cyprès ! Pénélope, entre son père et son époux, pressée par le premier de rester à
sant point d’expression (disent-ils) qui pût rendre la douleur de son père , voila la tête d’Agamemnon. Si telle eût été l’id
ourante (Niobé), voyant expirer ses filles percées de flèches ; et un père (le Laocoon), étouffé avec ses enfans par des ser
urne ou Cronos, le plus jeune des Titans, qui combattit et mutila son père  ; du sang versé par ce parricide et répandu dans
mière page de la Mythologie, voilà du sang et des crimes ; un mauvais père , une épouse criminelle, des enfans parricides.
aux bêtes féroces, un oncle qui dévoue tous ses neveux à la mort, un père qui dévore ses enfans, un enfant qui détrône son
x à la mort, un père qui dévore ses enfans, un enfant qui détrône son père , une épouse qui anéantit un jeune homme par jalou
upiter, fils de Saturne et de Rhéa, épousa Junon sa sœur, détrôna son père et devint maître souverain des cieux et de la ter
hétis, que l’enfant qui naîtroit de Thétis, seroit plus grand que son père . Mais Jupiter, en délivrant Prométhée, voulut qu’
t que le fils que Thétis mettroit au monde, seroit plus grand que son père . Prométhée pour avoir révélé cet oracle fut déliv
es de la mer, qui prirent en effet leur nom de Nérée ou l’Océan, leur père , mais qui eurent Doris pour mère. Les nymphes des
éraire Ixion, et roi des Lapithes, ne fut pas moins audacieux que son père , il forma le projet d’enlever Proserpine. Thésée,
au milieu de l’obscurité et à minuit qu’elle finissoit. Alors chaque père de famille se relevoit, marchoit pieds nuds dans
qu’il y garda quelques mois. Bacchus aima Ariane, Erigone, etc. : son père nourricier s’appeloit Silène. Ses fêtes (les orgi
nt même où le tribun alloit renverser Claudius. Elle se mit entre son père et lui, et elle arrêta par ce moyen la violence d
, inspira à Myrrha, fille de Cynire, une passion incestueuse pour son père . Elle trouva le moyen, à l’insçu de Cynire, de se
gré cette métamorphose, opérée sous les yeux de Cynire, ce malheureux père , possédé de fureur, perça l’arbre avec son épée,
Icare et frère de Pénélope, ayant eu dans le partage des biens de son père , le territoire du cap de Leucade, donna son nom à
mnestre, une des cinquante filles de Danaüs, malgré les ordres de son père (qui sur la foi d’un oracle vouloit faire périr t
s à cette nymphe cruelle. Daphné, évitant ses poursuites, invoqua son père qui la changea en laurier. Apollon désespéré, orn
a rivale, découvrit cette intrigue, et par jalousie en instruisit son père  : ce dernier fit enterrer Leucothoë vivante. Apol
ge lorsqu’elle est privée de ses rayons. Apollon fut aussi malheureux père que malheureux amant. Il eut de Climène un fils n
injure d’une manière éclatante, Phaéton fit jurer par le Styx, à son père , qu’il lui accorderoit une grâce qu’il avoit à lu
r les Heures. L’Aurore, fille de Phébus, tous les matins, ouvre à son père les portes de l’Orient, en semant des roses sur l
oursuites, prit la fuite ; arrivée sur les bords du fleuve Ladon, son père , elle implora son secours, le fleuve la métamorph
ix. Japis demanda que ce fût dans l’art de la médecine, parce que son père , depuis long-temps, étoit malade. Le Centaure Chi
n, il y avoit les demi-Dieux ; ceux qui, nés de mères mortelles ou de pères mortels, tiroient leur origine de quelque Dieu ou
17 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
norance et la barbarie achevèrent ce que le crime avait commencé. Des pères corrompus produisirent des générations plus corro
nes, c’est-à-dire, nés dans le pays même, et se regardaient comme les pères et les instituteurs de tous les autres peuples. L
a lieu aussi à de nombreuses dissertations parmi les savans. Quelques pères de l’église, dans leurs écrits contre l’idolâtrie
ciens disent aussi qu’Europe fut enlevée par des pirates. Agénor, son père , roi de Phénicie, envoya à sa recherche Cadmus et
t Enyo, qui vinrent au monde avec des cheveux blancs. Il fut aussi le père des Gorgones, dont la demeure est à l’extrémité d
lorsqu’il était sur les confins de l’Attique, et retournait chez son père . Ce crime ne resta point impuni ; Minos prépara s
e, et conçut pour lui une folle passion. Instruite des secrets de son père et de toutes ses résolutions, elle les fit connaî
ce aspirait à marcher sur les traces d’Hercule. Il obtint d’Égée, son père , la permission de partir avec les prisonniers, sa
tard. Thésée, de retour à Athènes, rendit les derniers devoirs à son père  : il institua des fêtes dont les frais étaient pa
peignirent la mort d’Icare en disant que, malgré les conseils de son père , il avait voulu s’élever auprès du soleil ; mais
at dont Phèdre l’accusait. Le jeune prince accourut aux ordres de son père avec toute la sécurité de l’innocence ; mais ses
ent différemment sa mort. Ils disent que ce prince arriva près de son père , et qu’il ne périt qu’en s’éloignant de Trézène,
lheureux Hippolyte, douloureusement occupé de l’injuste colère de son père , ne songea plus à gouverner ses chevaux : ils l’e
sement de la promesse faite par ce dieu d’exaucer son premier vœu. Ce père trop crédule et désespéré, ne voulant point tremp
it les armes pour s’emparer du royaume ; mais Thésée sut défendre son père et sa couronne. Pallas fut vaincu, mis à mort, et
s d’Augias, parce qu’il avait fait tous ses efforts pour empêcher son père d’être injuste et ingrat envers Hercule. Aïdonée,
e. Médée, dit la fable, conseilla aux filles de Pélias de couper leur père en morceaux, et de faire bouillir ses membres ave
un vaisseau. Il trouva moyen d’enlever une partie des trésors de son père  ; il se fit accompagner par sa sœur Hellé, et s’e
pe, pour dérober ses enfans à la barbare et criminelle avarice de son père , les fit embarquer secrètement et les envoya dans
uite aux principaux de l’assemblée, il s’informa de la demeure de son père , se fit conduire auprès de lui, et fut reconnu, s
es fêtes pendant cinq jours. Pendant le sixième, Jason prit, avec son père et ses oncles, des mesures pour détrôner l’usurpa
yxus, qu’Éétès, leur aïeul, envoyait recueillir la succession de leur père . Les Argonautes les emmenèrent avec eux dans la C
élébrer, avant leur séparation, des jeux funèbres en l’honneur de son père , Jason et Médée y assistèrent. Ce fait, cité par
ut son art à les justifier d’un crime qui rendait la mémoire de leurs pères odieuse et méprisable à toute la Grèce. Long-temp
fable, était immortel en sa qualité de fils de Jupiter ; il pria son père de le faire mourir, ou de lui permettre de partag
r jusqu’à l’idée d’un seul Dieu créateur et tout-puissant. Œagre, son père , lui donna les premières idées de religion, en l’
s. L’enfant qui en naîtra, disait un oracle, sera le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Ce fils naquit, et les aut
ls. On lui pardonna cette infraction à la loi en considération de son père , de ses frères et de son fils, qui avaient tous é
nouveau culte inconnu aux Scandinaves. Peut-être, en effet, lui, ses pères , ou les auteurs de sa religion, sont-ils venus de
slandaise, nous montrent Odin comme le dieu terrible et le sévère, le père du carnage, le dépopulateur, l’incendiaire, l’aig
se plaisait à répandre le sang des nommes, en était le créateur et le père . Dieu, dit l’Edda, vit et gouverne pendant les si
nt du sang de leurs frères, où les fils seront les assassins de leurs pères , et les pères de leurs enfans, où personne n’épar
leurs frères, où les fils seront les assassins de leurs pères, et les pères de leurs enfans, où personne n’épargnera son ami.
ions que très-imparfaitement ce point important de la religion de nos pères . Remarquons encore que cette mythologie islandais
ance divine. L’histoire du Nord est féconde en exemples de rois et de pères qui ont fait taire la nature pour obéir à cette c
ces riches et belles contrées furent la terre natale de nos premiers pères , et qu’elles furent aussi le centre brillant d’où
et vertueux étaient reçus avec joie dans les palais aériens de leurs pères , tandis que les méchans, les lâches et les barba
r les hommes. Jamais un héros ne pouvait entrer dans le palais de ses pères , si les bardes n’avaient pas chanté sur lui l’hym
moment d’exécuter une grande entreprise, on croyait que les âmes des pères descendaient de leurs nuages et venaient prédire
tre élevés jusqu’à l’âge de quatorze ans hors de la présence de leurs père et mère. 15°. L’argent prêté en cette vie sera re
e aucune justice, qu’il ne soit reçu dans aucun emploi. 19°. Tous les pères de famille sont rois dans leurs maisons ; ils ont
geux. Comment concilier avec ces maximes sublimes celle qui donne aux pères de famille droit de vie et de mort sur leurs femm
18 (1823) Mythologie des dames
des jeux innocents. Amour et majesté vont rarement ensemble. Ce dieu, père des dieux, devant qui le ciel tremble, Dont la ma
goureux destin, elle fut conduite sur les bords du fleuve Inachus son père . Quelle fut sa douleur, lorsqu’elle vit dans cett
ns cette onde sa nouvelle forme ! En vain elle se présenta devant son père et ses sœurs qui ne cessaient de pleurer sa perte
sous les cèdres, et occupé à garder les grands troupeaux de Capys son père  : elle crut revoir Adonis, et le traita comme lui
préserver la ville de Troie de la destruction, il s’embarqua avec son père qu’il avait porté sur ses épaules à travers l’inc
le séjour des hommes vertueux : là, il jouit des embrassements de son père , qui lui fit connaître la suite de rois et de hér
La jeune épouse aurait envié le sort des plus humbles esclaves de son père . Obéissant aux caprices impérieux de l’orgueilleu
de ne pouvoir résister à la poursuite de ce dieu : « O Pénée ! ô mon père  ! s’écrie-t-elle, viens me sauver de la témérité
e le fils du dieu de la lumière. Phaéton arrive dans le palais de son père . Sur cent colonnes d’or, circulaire portique, S’
Styx de lui accorder tout ce qu’il voudra pour prouver qu’il est son père . Mais il eut lieu de se repentir de son serment ;
ois poëte et législateur, Orphée se montra en tout point digne de son père . Apollon lui ayant fait présent d’une lyre, il y
qu’il la rendit mère d’Hermaphrodite, mot qui renfermé le nom de son père et celui de sa mère ; car Mercure était souvent a
et n’est pas plus tôt instruit de son sort, qu’il offre à Céphée son père de la délivrer, s’il consent à la lui donner pour
ce, s’étant couvert de la peau d’un tigre, il secourut vaillamment le père des dieux dans la guerre contre les Géants. Un jo
onquête la plus chère. Cependant Érigone, ayant appris la mort de son père , assassiné par des bergers ; et, par le secours d
nu amoureux d’Iole, fille d’Euryte, roi d’Œchalie, et sachant que son père avait déclaré qu’il la donnerait à celui qui tire
nire, fille d’Œnée, roi de Calydon, alla la demander en mariage à son père  ; mais il trouva un rival redoutable dans le fleu
averne près de Cumes, il entreprit d’y pénétrer pour voir Anchise son père qui habitait le séjour des ames heureuses. L’entr
rition de Minos dans les Enfers ; elle s’écrie : « Que diras-tu, mon père , à ce spectacle horrible ? « Je crois voir de tes
eurs, Ont défriché la vie et cultivé les mœurs37. Énée rencontre son père parmi ces ombres heureuses. Le vieillard, aimé de
l possédait, fut obligé de vendre sa fille Métra, digne d’un meilleur père . Elle avait reçu de Neptune le pouvoir de se méta
uvoir de se métamorphoser ; elle en fit usage pour retourner chez son père , qui la revendit plusieurs fois sous différentes
thie, fille d’Érecthée, roi d’Athènes, et n’ayant pu l’obtenir de son père , l’enleva lorsqu’elle passait le fleuve Ilissus,
uit, L’imagination moi-même me conduit. J’aime à voir tous les ans le père de famille, Rassemblant son épouse, et son fils e
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
que ; leurs saints, les hommes de Plutarque ; Zénon ou Épicure, leurs pères en morale. Si leurs prosateurs ou leurs poëtes da
u suprême, comme nous implorons celle des saints du paradis auprès du Père éternel. Plus tard, l’adulation avilit cet hommag
rvaient aux défunts les honneurs de l’apothéose. Déjà Saint-Simon, le père de l’illustre auteur des Mémoires, dédiant à Loui
stances du bonhomme elle répond ainsi : « — Retire-toi en paix. Tu es père , puisses-tu l’être toujours ! Moi, je n’ai plus d
x ne pleurent point) glissa de ses yeux sur sa robe. « La fille et le père , cœurs charitables, pleurèrent avec elle, et voic
la maison est dans la joie, toute la maison, dis-je, c’est-à-dire le père , la mère et la petite fille, car à eux trois ils
mmande ! (Il frappe.) Oh ! qu’est ceci ? Une jeune fille !2. Ah ! mon père , vous aviez là dans la tête quelque chose de bien
omme le Florentin plus tard avec les traditions byzantines. Il fut le père d’une école d’où sortirent des hommes illustres :
; deux fois le ciseau de l’artiste s’échappa des mains tremblantes du père . » Entre toutes les œuvres de Dédale, celle qui
ple et touchant, le plus ancien, le plus sacré de tous les cultes. Le père en est le grand prêtre, la table en est l’autel,
contemporains. On connaît la boutade d’ Horace : « Fils dégénérés de pères qui ne valaient pas leurs aïeux, nous aurons des
Où me cacher ? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ? Mon père y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mi
’école. De Momus vient momerie, terme général dont se servaient nos pères pour désigner leurs représentations théâtrales, l
attribut de Calliope. La danse, celui de Terpsichore. Du temps de nos pères , l’Opéra était le temple de Terpsichore ; Vestris
ouce que le miel. » Les Grecs le respectaient et l’aimaient comme un père . Agamemnon, le général en chef, le consulte dans
ent sur la terre. C’est ainsi que furent neutralisés les bienfaits du père du genre humain et que Jupiter put boite paisible
erveilleux, les Grecs l’ont personnifiée en un dieu marin, Protée, le père des métamorphoses. Heureuse idée de placer l’éter
s traités et dictionnaires de mythologie puérile que Saturne était un père dénaturé qui mangeait ses enfants aussitôt venus
dure jusqu’à ce que Jupiter (l’atmosphère), dérobé à l’avidité de son père par l’artifice de Rhéa, se soulève contre lui, et
ce n’est pas un commentaire savant qu’il faut lire, c’est Hésiode, le père de la mythologie grecque, qui raconte ces grandes
i, dans la même nuit, avaient assassiné leurs époux pour obéir à leur père . Le supplice de Tantale était déjà passé en prove
et de Junon, forgeait dans les cavernes de l’Etna les foudres de son père . Les Cyclopes, forgerons gigantesques, travaillai
20 (1909) The myths of Greece and Rome
Persian, pader. Erse, athair. Italian, padre. Spanish, padre. French, père . Saxon, fœder. Latin, pater. Greek, pronounced pä
/ 20