er parut agitée par un dieu, et protégée par une déesse environnée de
nymphes
. Les forêts se peuplèrent de Faunes, de Driades.
s flots ; Écho n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. C’est ainsi
ez qu’à moi seule, et qu’un indigne choix « Ne vous attache point aux
Nymphes
de ces bois. « Leurs fers après les miens ont pou
à Daphné son amour ; en vain il vante en lui le sang de Jupiter : la
nymphe
fuit devant lui ; et craignant de ne pouvoir rési
r un léger murmure14. Un autre poëte a présenté l’histoire de cette
nymphe
d’une manière burlesque : Daphné, de trop près c
osée. » Le Pénée entendit sa voix : La voilà madame du bois. Clytie,
nymphe
, fille de l’Océan et de Thétys, fut aimée d’Apoll
pour Apollon. Dès-lors ce dieu ne la regarda plus qu’avec mépris. La
nymphe
, inconsolable, refusa toute nourriture, et au bou
beauté de son chant en cet endroit attire Le berger, le chasseur, la
nymphe
, et le satyre. Midas, roi du pays, le premier y p
hants rieurs à la feinte applaudissent, Le reste paraît froid, et les
Nymphes
rougissent. Quel courroux enflamma l’œil qui perc
a le talent de la troupe admiré ; Et du dieu des Forêts, aux yeux des
nymphes
mornes, De leur noble guirlande il embellit les c
que le vainqueur lui infligerait. Le fils de Latone, couronné par les
Nymphes
, attacha Marsyas à un arbre, et l’écorcha vif. Ce
rompt à s’enflammer pour les jeunes habitantes de la terre. Il vit la
nymphe
Clymène, la plus belle des Océanides, et l’aima c
e bien éloigné du pays qui avait vu naître ce jeune présomptueux. Les
Nymphes
prirent soin de l’en retirer, et lui élevèrent un
sque Jupiter, touché de leurs douleurs, les changea en peupliers. Ces
Nymphes
qui virent envelopper leurs appas d’une écorce ép
haétuse, Phébé, Charie, Lampétie, et Aréthuse. Apollon eut de Cyrène,
nymphe
des fleuves, Aristée, célèbre par les regrets que
e, qui semblait prendre une ame pour jouir de la divine harmonie. Les
Nymphes
des eaux et des forêts le suivaient en tout lieu
que les fleurs recelaient sous ses pas : La Mort ferma ses yeux ; les
nymphes
ses compagnes De leurs cris douloureux remplirent
e point la soumettre au nœud de l’hyménée. Accompagnée d’une foule de
nymphes
, libres comme elle de toute chaîne amoureuse, et
aime à baigner ses modestes attraits. Elle vient sous la grotte : une
nymphe
empressée A déjà détaché sa robe retroussée ; Une
hasard21. Actéon ose s’avancer dans cette grotte. A son aspect, les
nymphes
sont effrayées, et poussent des cris aigus. La ro
la Terre par l’imprudence de Phaéton, rencontra dans une forêt cette
nymphe
, comme elle revenait de la chasse : sous la figur
pée, redoutait la présence de la chaste déesse ; mais un jour que les
nymphes
se plongeaient dans les eaux d’un lac pour goûter
ère ; car Mercure était souvent appelé Hermès, et Vénus Aphrodite. La
nymphe
Driope, ayant été aimée de Mercure, devint mère d
fût point immortelle ; les deux autres dès leur naissance furent des
nymphes
monstrueuses : leur corps était couvert d’écaille
de sa mère. Le jeune Bacchus fut nourri dans l’île de Naxos, par les
nymphes
Philie, Coronis, et Clyda. A peine sorti de l’enf
s son royaume sombre, sur son char attelé de quatre chevaux noirs. La
nymphe
Cyane, ayant voulu arrêter le char du ravisseur,
bouche Apprendre le secret du malheur qui la touche. Cyane n’est plus
nymphe
; elle n’a plus de voix ; Du destin de sa fille e
fois si féconde, Perd sa fertilité célèbre dans le monde25. Enfin la
nymphe
Aréthuse apprit à Cérès que Proserpine était deve
hose, il eut la douleur de voir son rival lui arracher une corne. Les
Nymphes
, pour le consoler, la ramassèrent, la remplirent
terrains de ses longs aboiements. Ce monstre naquit d’Échidna, moitié
nymphe
et moitié serpent, et de Typhon, Vent orageux et
’aimable Proserpine assemble des bouquets, Et moissonne, à l’envi des
nymphes
de son âge, La violette née à l’ombre du bocage,
ue aux cris de Proserpine. A peine y est-il arrivé qu’il épouse cette
nymphe
, et l’établit reine du séjour des Ombres. Lorsque
x Tartare. On dit que le monarque des Ombres, épris des charmes de la
nymphe
Leucé, la transporta dans les Enfers : cette nymp
des charmes de la nymphe Leucé, la transporta dans les Enfers : cette
nymphe
mourut dans les Champs-Élysées, où elle fut chang
Simoïs, le Pénée, l’Hermus, l’Éridan ou le Pô, le Scamandre, etc. Les
nymphes
Océanides furent aussi les filles de l’Océan et d
il épousa Doris, fille de l’Océan et de Téthys ; il en eut cinquante
nymphes
, non moins célèbres que les Océanides, et qui son
appé de ce spectacle merveilleux, et en faisait ainsi le tableau à la
nymphe
Calypso : « … Nous aperçûmes des dauphins couver
Ce char semblait voler sur la face des eaux paisibles. Une troupe de
nymphes
, couronnées de fleurs, nageaient en foule derrièr
le célibat ; mais ce berger n’ayant pu se défendre des charmes de la
nymphe
Sangaris, Cybèle se vengea cruellement sur son am
t qui se nourrissait de chair humaine, était fils de Neptune et de la
nymphe
Thoosa, fille de Phorcys, un des dieux marins : i
stre, qui semblait si peu fait pour l’amour, avait aimé tendrement la
nymphe
Galatée, une des Néréides : il ne se lassait poin
inutiles ; Galatée aimait le berger Acis, fils du dieu Faune et de la
nymphe
Séméthis. Enfin le Cyclope, enflammé de jalousie
par une autre personne cachée dans ces bosquets ; c’est la voix de la
nymphe
Écho, fille de l’Air et de la Terre. Jupiter l’ay
aire partager sa tendresse. Narcisse, fils du fleuve Céphise et de la
nymphe
Liriope, ne pouvait aimer que lui-même ; il ne se
qu’on a pris pour le symbole des babillards. Les Dryades étaient les
nymphes
des bois : elles n’étaient point immortelles, et
principalement sous l’ombrage des chênes. Les Hamadryades étaient des
nymphes
attachées à un arbre particulier. Quelquefois, lo
jaillir de l’écorce. Érisichthon ayant été insensible à la voix d’une
nymphe
enfermée dans un chêne majestueux et chéri de Cér
laient un agneau ou une chèvre. Le dieu Pan, fils de Mercure et de la
nymphe
Dryope, était le premier des Faunes : il avait de
e purent se défendre de rire en le voyant. Ce dieu était l’effroi des
nymphes
qu’il poursuivait dans l’épaisseur des forêts. L
ter ses montagnes : Syrinx était son nom. La beauté de ses traits Des
Nymphes
d’alentour effaçait les attraits. Belle, mais inh
eu, je vous aime, et le ciel m’est témoin… » A peine a-t-il parlé, la
nymphe
est déjà loin. Vers les bords du Ladon elle fuyai
à dans ce lieu, Entre les eaux du fleuve et les transports du dieu. «
Nymphes
, à mon secours, de loin s’écria-t-elle. » Elle tr
t les fontaines. Lacs et Fontaines. Les lacs étaient peuplés de
nymphes
, appelées Limniades, et qu’on voyait sans cesse o
ur se mouiller la chevelure et les épaules. Chaque fontaine avait une
nymphe
, fille de l’Océan et de Téthys, et par conséquent
fontaines : la plus célèbre d’entre elles était Aréthuse, qui fut une
nymphe
aimée du fleuve Alphée. Ce fleuve, conduit par l’
à l’onde amère, et réunissait ses flots à ceux de son amante. Égérie,
nymphe
chérie de Numa, fut changée en fontaine à la mort
ous les rochers, et se plaisait à répéter les refrains harmonieux des
nymphes
qui dansaient au bord des fontaines, en se tenant
ans une grotte du mont Ida par la chèvre Amalthée, et soigné par deux
nymphes
appelées Mélisses6 [Fig. 20]. Les Curètes, appelé
Téthys 15, Nérée et Doris, Protée, Glaucus, Éole, les Sirènes et les
Nymphes
. L’Océan, fils d’Uranus et de Tellus, était regar
Nérée et Doris, qui se marièrent ensemble et donnèrent naissance aux
Nymphes
. [Fig. 33] Protée, fils de l’Océan ou de Nept
rtait ce nom. Au nombre des divinités de la mer, on mettait aussi les
Nymphes
, dont les unes étaient filles de l’Océan et de Té
Il enleva Proserpine, fille de Jupiter et de Cérès, un jour que cette
nymphe
cueillait des fleurs dans la vallée d’Enna, en Si
e. Enfin, après des recherches inutiles, elle revint en Sicile, où la
nymphe
Aréthuse lui apprit que Proserpine était devenue
lon quelques poètes, elle était fille de Jupiter et de Dioné, une des
nymphes
de l’Océan. Quand elle parut dans l’Olympe, toute
Jupiter composa son cortège de soixante Océanides et de vingt autres
Nymphes
, qui renoncèrent, comme elle, au mariage. Cependa
ortait dans son sein fut sauvé par Mercure. Bacchus fut élevé par les
Nymphes
de Nysa26 et par Silène, que les poètes nous repr
la transporta dans un palais délicieux, où elle était servie par des
Nymphes
invisibles qui prévenaient tous ses désirs. L’Amo
upeaux et des campagnes, était fils de Jupiter ou de Mercure et d’une
Nymphe
. Il naquit sur les bords du fleuve Ladon, et fais
us, avec des cornes et des pieds de boucs. Ils étaient la terreur des
Nymphes
. Toutefois, d’après les traditions de l’art antiq
par sa beauté, son esprit et son adresse, et inspira de l’amour à la
nymphe
Œnone, qu’il épousa. Quoiqu’il ne fût en apparenc
. [Fig. 106] Apollon et Daphné. Apollon aimait Daphné, jeune
nymphe
, fille du fleuve Pénée, et n’en était point aimé.
er aux poursuites du dieu, qui était sur le point de l’atteindre, la-
nymphe
implora le secours de son père, et incontinent el
a vit, et, frappé de l’éclat de sa beauté, se mit à la poursuivre. La
nymphe
effrayée prend la fuite ; mais, arrivée sur les b
s de la secourir. Pan s’approche pour la saisir ; mais, au lieu de la
nymphe
, il n’embrasse que des roseaux. Il gémit, et, fra
s bergers, symbole de la vie pastorale, qui porta depuis le nom de la
nymphe
. Phaéton. — Sœurs de Phaéton, et Cycmes, son a
mort de leur frère, allèrent le chercher au bord de l’Eridan, où les
Nymphes
de ce fleuve l’avaient enseveli. Elles le pleurèr
ue le char du Soleil y avait allumé, il s’éprit d’amour pour Calisto,
nymphe
de la suite de Diane, et en eut un fils, nommé Ar
ls, nommé Arcas. Junon, ayant découvert cette intrigue, changea cette
nymphe
en ourse. Longtemps après, son fils Arcas la renc
e. Un jour il passa près d’une fontaine où Diane se baignait avec ses
nymphes
. La déesse, honteuse de se voir ainsi surprise, p
uvrit tout ; alors Mercure le métamorphosa en pierre de touche. La
nymphe
Écho. Écho, fille de l’Air et de la Terre, ny
e touche. La nymphe Écho. Écho, fille de l’Air et de la Terre,
nymphe
de la suite de Junon, avait encouru par ses menso
Fig. 109] Narcisse. Narcisse, fils du fleuve Céphise et de la
nymphe
Liriope, était un jeune homme d’une rare beauté,
pe, était un jeune homme d’une rare beauté, qui fut aimé de plusieurs
nymphes
. Tirésias avait prédit à sa mère qu’il vivrait ta
. Les Naïades, ses sœurs, le cherchèrent longtemps et apprirent d’une
nymphe
qu’il avait été changé en cette fleur jaune qu’on
défier les Muses jusque sur le Parnasse. Le défi fut accepté, et les
Nymphes
de la contrée, choisies pour arbitres, prononcère
de. Celui-ci attacha son rival à un arbre, et l’écorcha tout vif. Les
Nymphes
, les Satyres et les Dryades pleurèrent la mort de
en disant : Aura, veni 44. Procris, s’imaginant qu’il appelait une
nymphe
, entr’ouvrit le feuillage pour regarder. Céphale
ur de son époux. À son retour, son premier soin fut de témoigner à la
nymphe
Aréthuse la reconnaissance qu’elle lui devait ; e
vait fixé sa demeure dans la Sicile. « Je suis de l’Élide, lui dit la
nymphe
, et Pise est le lieu de ma naissance. Entre les n
de, lui dit la nymphe, et Pise est le lieu de ma naissance. Entre les
nymphes
de la Grèce, j’étais la plus passionnée pour la c
mais. Il oublia le serment qu’il avait fait à la déesse, et épousa la
nymphe
Sangaride. La déesse irritée lui inspira un tel a
e, lorsque, touchée de compassion, elle le métamorphosa en pin. La
nymphe
Égérie. Numa Pompilius, second roi de Rome, po
autorité à ses lois, feignait d’avoir des entretiens secrets avec une
nymphe
, nommée Égérie. Après la mort de ce prince, les R
érie. Après la mort de ce prince, les Romains allèrent chercher cette
nymphe
dans la forêt d’Aricie, où Numa avait coutume de
ner seul, et n’y ayant trouvé qu’une source, ils s’imaginèrent que la
nymphe
avait été changée en fontaine [Fig. 119]. [Fig.
e vole, et que les grands exploits Soient portés en cent lieux par la
Nymphe
aux cent voix ? Qu’ont la terre et la mer, si l’o
s d’antiquailles : Moi, si je peins jamais Trianon et Versailles, Les
Nymphes
, malgré vous, danseront à l’entour, Cent demi-die
ant que Jupiter fut allaité par la chèvre Amalthée et nourri par deux
nymphes
, appelées Mélisses, la mythologie nous fait enten
es : les bergers furent des satyres ou des faunes ; les bergères, des
nymphes
; les hommes à cheval, des centaures ; les vaisse
te équipage ; Deux superbes lions en forment l’attelage ; Les
nymphes
dansent à l’entour. L’aimable déité voyag
ruse ne pouvant suffire à sa voracité, il se tua lui-même. Aréthuse,
nymphe
de Diane, fille de Nérée et de Doris, avait été m
e ses eaux avec celles d’Aréthuse. En faisant son cours sur terre, la
nymphe
vit passer Pluton avec celle qu’il enlevait ; ell
, elle alla trouver Eole, et lui promit Déiopée, la plus belle de ses
nymphes
, s’il voulait le faire périr avec sa flotte ; mai
onnes que Jupiter avait aimées et aux enfans qu’il en avait eus. La
nymphe
Io. — Argus. — Iris. L’inconstance incessante
ar le sommeil, les autres veillaient. La déesse lui donna en garde la
nymphe
Io, fille d’Inachus et d’Ismène, que Jupiter, pou
ance, tomba dans la mer. Il en fut quitte pour une cuisse cassée. Les
nymphes
de l’Océan le reçurent. Malgré leurs soins, il re
mais le plus épouvantable des Cyclopes, devint amoureux de Galathée,
nymphe
marine, fille de Nérée et de Doris ; il alla jusq
’à lui élever un temple. Les galanteries du Cyclope touchèrent peu la
nymphe
, et elle lui préféra Acis, berger jeune et beau.
is auprès de son amie, il lui lança un morceau de roc et l’écrasa. La
nymphe
, pénétrée de douleur, changea le sang d’Acis en u
bouclier des choses merveilleuses, qu’il disait avoir apprises de la
nymphe
Egérie. Il fit entendre que les dieux l’avaient e
orces. Comme Apollon qui la poursuivait était près de l’atteindre, la
nymphe
tombant de lassitude, appela son père à son secou
séis Ne pouvant vivre sans aimer, bientôt Apollon soupira pour la
nymphe
Perséis. Elle était fille de l’Océan, c’est-à-dir
mps-là faisaient descendre de la mer ou des fleuves, les héros et les
nymphes
dont l’origine était inconnue. Perséis ne fut pas
Clytie. — Leucothoé. Le Soleil devint amoureux de Clytie, une des
nymphes
de l’Océan. Peu de temps après, il porta son homm
ransforma en l’arbre qui porte l’encens. Loin de rendre son cœur à la
nymphe
jalouse, le dieu n’eut plus pour elle que du mépr
, Phaéton, Aétès, Pasiphaé, Circé. Esculape, fils d’Apollon et de la
nymphe
Caronis, fut mis de bonne heure entre les mains d
isans par sa téméraire présomption. Epaphus, fils de Jupiter et de la
nymphe
Io, lui ayant reproché qu’il n’était pas fils du
u’Achille a tué. Pasiphaé Pasiphaé, fille du Soleil et de la
nymphe
Perséis, était femme de Minos, roi de Crète. Les
re à un pin, et l’écorcha tout vif, pour le punir de sa témérité. Les
Nymphes
, les Satyres et les Faunes donnèrent tant de larm
prenait plaisir à poursuivre les animaux des bois, suivie de soixante
nymphes
, filles de l’Océan, et de vingt autres vierges qu
prouva aussi son courroux. Un jour que Diane prenait le bain avec ses
nymphes
dans un lieu solitaire, le chasseur Actéon y fut
jetèrent sur lui et le déchirèrent. Calisto. — Argas. Calisto,
nymphe
d’Arcadie et compagne favorite de Diane, eut le m
ble. Les Hyades Sitôt que Bacchus fut né, Mercure le porta aux
nymphes
de la montagne, qui prirent soin de son enfance.
its, on se sert de leurs noms. Péristère Péristère était une
nymphe
de la suite de Vénus. Cette déesse, se trouvant a
t lui fit gagner la gageure. L’Amour, piqué d’être vaincu, changea la
nymphe
en colombe. Dès ce moment, ces oiseaux devinrent
étant arrivé, l’arbre s’ouvrit pour donner le jour à l’enfant, et les
nymphes
du voisinage le reçurent. Adonis, devenu grand, s
de roseaux, et sa fourche à trois dents ne plurent point du tout à la
nymphe
. En vain fut-il soumis et respectueux, en vain mi
lat de sa cour. L’émissaire s’en aperçut ; mais feignant de croire la
nymphe
au-dessus de son sexe par la solidité de son espr
char semblait voler sur la surface des eaux paisibles ; une troupe de
nymphes
couronnées de fleurs nageaient en foule derrière
i de Neptune. Les uns lui donnent pour mère Amphitrite ; d’autres, la
nymphe
Céléno. La partie supérieure de son corps avait l
alaïs et Zétès, fils ailés de Borée de le défaire de ces monstres.
Nymphes
. L’Océan, fils de Neptune et d’Amphitrite, es
le, mirent au monde un grand nombre de filles, connues sous le nom de
nymphes
. Les unes présidaient aux forêts, aux prairies, a
es ; les Nayades avaient la garde des fontaines. Néréïdes Les
nymphes
qui commandaient sur la mer furent appelées Néréï
eur père Nérée. La plus illustre des Néréïdes se nommait Tétis. Cette
nymphe
qu’il ne faut pas confondre avec Téthys, la grand
e. Jupiter voulait l’épouser ; mais, ayant appris du destin que cette
nymphe
donnerait le jour à un fils qui serait plus grand
ée de Neptune. Amphitrite, par jalousie, empoisonna la fontaine où la
nymphe
allait se baigner, et elle devint affreuse. Scyll
ait, pour reprendre Hercule, occupé à chercher le jeune Hylas que les
nymphes
avaient enlevé. Pluton, Proserpine, Cyane
cueillait des fleurs dans les belles prairies d’Enna, en Sicile. Une
nymphe
, nommée Cyane, lui ayant fait des reproches de ce
représente avec la même figure, étaient ses compagnons. Une troupe de
nymphes
le suivaient toujours, il les faisait danser au s
gite, inspire quelquefois de vaines terreurs. Syrinx Syrinx,
nymphe
d’Arcadie, fille du fleuve Ladon, était une des p
ntra, et tâcha, mais en vain, de lui faire croire qu’il l’aimait ; la
nymphe
alarmée des poursuites du dieu, et voulant s’y so
i porta le nom de Syrinx, d’un mot grec qui signifie roseau. Outre la
nymphe
Syrinx, Pan aima encore Echo et Pitys. Pitys
que Syrinx, écouta le dieu ; mais Borée, qui aimait éperdument cette
nymphe
, dans sa fureur jalouse, la précipita du haut d’u
on le consacra à Pan, qui en porta une guirlande. Echo Echo,
nymphe
des bois, qui fut aimée du dieu Pan, avait un esp
auté a fait tant de bruit, était fils du fleuve Céphise et de Liriope
nymphe
de la mer. Dès qu’il fut né, son père fut consult
t éviter de se voir. La beauté de Narcisse le fit aimer de toutes les
Nymphes
, et entre autres d’Echo. L’indifférence qu’il eut
es Oréades aperçurent le corps immobile de Narcisse. A cette vue, les
nymphes
, vengées de ses mépris, versent des larmes amères
s cris leurs compagnes pour célébrer les funérailles de Narcisse. Les
nymphes
, couronnées de cyprès, s’avancent lentement vers
leur aux Euménides. Aristée Aristée, fils d’Apollon et de la
nymphe
Cyrène, apprit des nymphes à cailler le lait et à
istée Aristée, fils d’Apollon et de la nymphe Cyrène, apprit des
nymphes
à cailler le lait et à cultiver les oliviers ; il
oces avec Orphée, elle fut piquée d’un serpent et elle en mourut. Les
nymphes
, touchées de son malheur, tuèrent toutes les abei
nom, aura sans doute donné lieu à cette fable. Picus avait épousé la
nymphe
Canente, à qui la beauté de sa voix fit donner ce
tôt un thyrse, tantôt une flûte ou un tambourin pour faire danser les
nymphes
. Priape marche à leur tête. Ce dieu préside aux j
, lorsqu’ils étaient mis en liberté. Pomone Pomone était une
nymphe
que les anciens regardaient comme la déesse des j
Procas, roi des Latins, c’est-à-dire, vers l’an 805 avant J.-C. Cette
nymphe
était sans doute une belle personne qui aimait la
s ces déguisemens, il avait le plaisir de contempler les traits de la
nymphe
, mais il ne pouvait pas lui parler. Voulant à tou
cs ; il s’enveloppe dans des coiffes, et entre dans les jardins de la
nymphe
. Il parla pour lui-même avec tant d’éloquence, qu
es qui font la Fortune fille de l’Océan, disent qu’elle était une des
nymphes
qui cueillaient des fleurs avec Proserpine lorsqu
un amandier dont les fruits mûrs éveillèrent tellement l’envie d’une
nymphe
, fille de Sangare, et vulgairement appelée Sangar
ard on supposa que l’infidélité d’Atys avait été consommée avec cette
nymphe
dans une grotte, malgré les représentations d’un
ent s’en approcher, il prend la forme d’un cheval, poursuit la pauvre
nymphe
jusqu’au milieu des roseaux, et en obtient, moiti
yre, Télamon, Thésée et Ulysse. Ce sage, qui de son alliance avec la
nymphe
Chariclo, eut la devineresse Ocyroé pour fille, f
ter resta caché dans cette retraite éloignée, et confié à la garde de
nymphes
et de ministres fidèles. Comme le seul des fils s
ême place auprès de Junon. Jupiter eut, en outre, pour nourrices, les
nymphes
Mélissides, auxquelles on donnait pour père Mélis
nt cassé une corne contre les arbres, en bondissant dans les bois, la
nymphe
prit cette corne, la remplit de feuilles et de fr
trent ou le Dieu assis sur une chèvre dont il tient une corne, ou une
nymphe
lui donnant à boire dans une corne avec la chèvre
, fumeuses, sèches, dans les livres fulguraux rédigés, dit-on, par la
nymphe
Bygoïs ou Amalthée, sibylle sacrée ou prophétesse
pour femme Euryphæsse, c’est-à-dire, la déesse à ample lumière, ou la
nymphe
Néere, et pour filles PhÆtuse, ou la flamboyante,
ayant comploté contre lui, allaient le charger de chaînes, lorsqu’une
nymphe
, appelée Thétis, voulant le secourir, plonge, non
ne, etc. ; les Dieux de la Terre, Cybèle, Vesta, Pan, les Faunes, les
Nymphes
, les Muses, etc. ; les Dieux de la mer, l’Océan,
se qu’il eut Thébée et même Isis et Etnœus, enfans très-douteux d’une
nymphe
inconnue ; Lycus et Chimérœus, de Céléno l’Atlant
le et d’une Thespiade, ou avec un quatrième fils d’Haliphron et de la
nymphe
Iophossa, vint du sud de la Scythie s’établir dan
e l’Arcadie, passant, suivant les uns, pour fils de Pélasgue et d’une
nymphe
appelée Cyllène, ou d’une Océanide portant le nom
loin, en parlant des amours de Jupiter, nous retrouverons cette jeune
nymphe
chasseresse, s’identifiant pour ainsi dire avec D
ils ou pour celui de Tmole, fils de Mars. On lui donnait pour mère la
nymphe
Pluto ou Plote. Il régnait dans la ville de Sipyl
rne, fils d’Egipan, qui peut-être était fils lui-même de Pan et de la
nymphe
Ega. Quoi qu’il en soit, Capricorne fut élevé aux
s. Tous les Dieux et Déesses se rendirent à cette noce brillante. Une
nymphe
cependant y manqua ou n’arriva qu’à la fin ; ce f
uette magique en suppléant à ses yeux. Il était fils d’Evère et de la
nymphe
Chariclo, et contemporain de Samuel. On attribue
isent que ce fut pour avoir vu Minerve sortant du bain avec Chariclo,
nymphe
et favorite de la déesse ; les autres, que ce fut
e Junon. Celle-ci, pour se venger, lui fit épouser Pélias, fils de la
nymphe
Tyro et de Neptune, ou du moins de l’un de ses pr
ande générale des Dieux. Junon se faisait toujours suivre de quatorze
nymphes
, connues sous le nom générique d’Hérésides, dont
lement rapetissés ; Camilus, Eurymédon, Alcon et les Cabirides, de la
nymphe
Cabira ; Cercyon et Corynète, de mère inconnue ;
e vainqueur ; mais Jupiter s’y opposa. — Cycnus ou Cygnus, fils de la
nymphe
Eléobuline ou Pélopie, fut un autre enfant de Mar
d’une peste, un bouclier tombé du ciel ayant fait cesser le fléau, la
nymphe
Egérie prédit à Numa que l’empire du monde appart
ans la Grèce par Oreste et Iphigénie sa sœur. Maintenant revenons aux
nymphes
appelées Bérésides, qui marchaient à la suite de
Quelques auteurs n’admettent pas cette légende, et font de Délos une
nymphe
vagabonde, qui avant de se fixer voulut obtenir d
ope, en Phocide, supposé par quelques savans fils de Jupiter et de la
nymphe
Orchoménienne ou Orchoménide Elare, morte en le m
ou de Delphes, Deviana ou qui égare les hausseurs, Dictynna ou de la
nymphe
Dictynne qui inventa les filets de chasse, Didyma
l l’arma de flèches et d’arcs et lui donna pour cortège quatre-vingts
nymphes
, dont soixante nommées Océanies, et vingt nommées
prenant l’apparence de Diane, la rendit mère d’Arcas. Alors la paubre
nymphe
encourut la haine de deux déesses, car ayant refu
vulgaire, s’exerçait particulièrement à la chasse, suivie de soixante
nymphes
ou Océanies, filles de l’Océan, et de vingt autre
appelées Asies qui avaient soin de son équipage de chasse. Parmi ces
nymphes
on remarquait : Aréthuse, fille de Nérée et de la
. Parmi ces nymphes on remarquait : Aréthuse, fille de Nérée et de la
nymphe
Doris. Elle fut métamorphosée en fontaine par Dia
une fontaine qui porta son nom. Calisto n’est pas la moins connue des
nymphes
de la suite de Diane ; nous savons comment elle f
r. Crocale était une fille du fleuve Isménus. Phyalé était une simple
nymphe
. Hyale était celle qui puisait de l’eau pour la r
re sur Diane lorsqu’ Actéon les surprit au bain. Opis enfin était une
nymphe
qui tua le guerrier Aruns, au dire de Virgile. Di
la médecine et des augures. A peine Apollon fut-il au monde, que les
nymphes
s’emparèrent de lui et le lavèrent dans leurs ond
e nourrit de nectar et d’ambrosie, aidée dans ces fonctions par trois
nymphes
nommées les Thries. Aussitôt que ce Dieu, eut goû
événement. Ce fut à propos d’un fils appelé Esculape qu’il eut de la
nymphe
Coronie ou de toute autre : pour être certain que
lle d’Anaxibie et de Pélias, roi d’Iolchos que nous savons fils de la
nymphe
Tyro et de Neptune. Malheureusement le père d’Alc
actuellement Japera, montagne près de laquelle Parnassus, fils de la
nymphe
Cléodore et de Neptune, avait fait construire une
il s’ensuivit que l’on mêla encore au nombre des Muses primitives les
nymphes
Chelxionée et Pactola. Cette dernière pourtant n’
ent qu’elles n’avaient fait de Junon. Quoi qu’il en soit, dès que la
nymphe
Euphémie ou l’éloquence, eut mis au monde Crotos
ni aux dieux ni aux hommes, qui avait la moitié du corps d’une belle
nymphe
et l’autre d’un serpent, affreux monstre auquel o
s. Aussitôt le combat fut accepté et eut lieu sur le mont Pieros. Les
nymphes
de la contrée adjugèrent le prix aux Muses. Mais
toujours au Parnasse, leur séjour habituel. Là elles retrouvaient les
nymphes
Corycides qui habitaient la grotte Coryque, Casso
s toute la contrée, son supplice porte partout un effroi général, les
nymphes
, les faunes, les bergers et surtout les satyres p
’ayant pas voulu servir les amours d’Apollon avec Ocyrhé, fille de la
nymphe
Chésias et du fleuve Imbrasus la transporta à Mil
e nom ; cependant nous n’en admettrons qu’un seul : il avait eu de la
nymphe
Dorippe trois filles qui reçurent de Bacchus le d
ui fut père de Lausus et de Rhéa Silvia. Mops l’Argonaute, fils de la
nymphe
Chloris et d’un Amycus ou d’Ampix. Munyque, fils
uryme ou de Protée, cyclope et devin. Ténère, fils d’Apollon et de la
nymphe
Mélie. Thestor, fils d’Idnon le devin et de Latho
, océanide ou l’une des Ménalippes, fille du centaure Chiron et de la
nymphe
Chariclo. Phaennis, d’Épire, fille d’un roi de Ch
hars. On peut aux sibylles ajouter les magiciennes dont fit partie la
nymphe
Cratéis, déesse des sorciers et des enchanteurs,
pe et du célèbre musicien Philammon, fils lui-même d’Apollon et de la
nymphe
Chioné. Linus fit faire à Thamyris tant de progrè
e Milet, père de Milétis ou Biblis et de Caunus, qu’il avait eu de la
nymphe
Cyanée. Ce couple fraternel est assez remarquable
er du sommet d’une montagne au bas de laquelle elle fut reçue par les
nymphes
qui en eurent pitié, lui donnèrent l’immortalité
oique rangée ici sur la ligne des maîtresses du Dieu du jour, fut une
nymphe
qui ne céda pourtant jamais à ses instances ; ell
s de Neptune et son fils Branchus d’Apollon ; Castalie est encore une
nymphe
qui ne paraît point avoir succombé aux sollicitat
e trépied sacré. Céléno était une fille d’Hyamus, fils lui-même de la
nymphe
Evadne. Apollon rendit Céléno mère de Delphus que
de Pasiphaé et d’Eétès ou Ætes, était aussi fille du Soleil et de la
nymphe
Persa ou Perséis ; elle eut, il le paraîtrait, un
pour fils du Soleil et de la Terre, ou de Canacé ; Cléobule était une
nymphe
qu’Apollon rendit mère d’Eurypide, ou d’Eurypidic
roi de Perse ou plutôt de Babylone et de toute l’Assyrie. Cette jeune
nymphe
fut d’abord aimée d’Apollon qui la rendit mère de
on en fit depuis une constellation de dix étoiles. Corycie était une
nymphe
, fille de Pliste. Elle fut séduite par Apollon et
transporta en Libye où elle devint mère d’Aristée ; l’autre était une
nymphe
qui en eut pour fils le célèbre devin et Argonaut
a belle Daphné ou Pasiphaé, fille du fleuve Pénée, ce fut cette jeune
nymphe
qui attira ses premiers regards, d’abord il lui f
e de leurs maisons des branches de cet arbre si cher à Apollon. Cette
nymphe
, dont le nom grec signifiait laurier, fut honorée
ome passe rarement pour une des maîtresses d’Apollon, car c’était une
nymphe
, fille d’Orchame et mère de Leucothoé, que nous a
llon ou d’Oïdée qui avait pour père Antiphate. Hyrie ou mieux Thyrie,
nymphe
thessalienne, fille d’Amphinome et femme de Sténe
dont elle eut deux fils, Térénus ou Ténérus et Isménus, ainsi que les
nymphes
Méliades. Minerve eut, dit-on, avec le soleil les
aussi Artémise ou Daphné, ne doit pourtant pas être confondue avec la
nymphe
qui fut changé en laurier. Cette Manto était fill
ppelé Augias. Othréis devint mère avec Apollon de Phagrus, puis cette
nymphe
eut un fils appelé Milet avec Jupiter. Ocyrhoé l’
le devint mère d’Anius ; Rhodé ou Rhodès, fille de Neptune, était une
nymphe
qu’Apollon séduisit et qui en eut Macare et Orchi
urs avec Apollon deux fils : Centaure et Lapithèse ; Syllis était une
nymphe
qui accepta les offres amoureuses du même Dieu et
qu’Aristote indique même pour le père de l’Apollon-Crétois. Thémisto,
nymphe
, mère de Galée ; Thyrie ou Hyrie ; Théro, était f
rène ; le troisième attribué aussi aux amours de Bacchus, et de cette
nymphe
, fut élevé par les compagnes de sa mère qui lui a
se de sa mort en la poursuivant le jour de ses noces avec Orphée. Les
nymphes
pour venger leur jeune compagne tuèrent toutes le
d’Hélios, mais il est mieux de croire Camire fils d’Apollon et de la
nymphe
Cydippe, qui n’épousa que plus tard Cercaphe, son
s, était roi de Libye, il eut Céphalion de Tritémis et fut père de la
nymphe
Garamantis. Il donna son nom aux Garamantes. Heli
oxippe, Hélie et Myrope. Ce Phaéton qui passait aussi pour fils de la
nymphe
Rhodé ou d’Aurore, était si brillant de beauté, q
Pelops qui le fit hacher en morceaux ; Macar, fils du Soleil et de la
nymphe
de Rhodé, contribua au meurtre de son frère Ténag
ialée ou Acacallis ; Orchimus, fils du Soleil et de Rhodès, épousa la
nymphe
Hégétorie, dont il eut Cydippe pour fille ; Oncos
e et fut l’amant de la fille d’Agénor ; Ténère ou Térenus, fils de la
nymphe
Mélie, avait reçu de son père le don de prédire l
leil, avait donné son nom à une ville de Carie ; Zeuxippe, fils de la
nymphe
Syllis, succéda à Phestus, roi de Sicyone. Après
t alors occupée avec Minerve, Junon, Venus, les Syrènes et toutes les
nymphes
, ses compagnes, à cueillir des fleurs dans le val
le voile de sa fille resté sur les bords de la fontaine Cyané qui, de
nymphe
, avait été métamorphosée ainsi pour avoir voulu s
Jupiter et de l’Atlantide Electre ou de Coryte, ou de Minos et de la
nymphe
Phronie, on le fait même ainsi que Cérès enfant d
: il reçut l’enfant, le porta en Ethiopie, le confia aux soins de la
nymphe
Beuthésicyme, qu’il avait eue d’Amphitrite. Arr
t aux montagnes. Mais elles faisaient partie de la grande famille des
nymphes
que nous avons rejetée dans un groupe soumis à la
deux traditions : d’après l’une il était fils de Cécrops et frère des
nymphes
Cécropiennes ou Agrauliennes. Si l’on croit cette
ssalie respiraient la gaité la plus vive ; puis arrivait une foule de
nymphes
plus séduisantes les unes que les autres, parmi e
urs que lui ; Epidamnia la confidente de ses plaisirs et Acmênès. Les
nymphes
de la suite de Vénus étaient toutes célestes, mai
fit adroitement circonvenir, et dut enfin sa conquête aux soins de la
nymphe
Epidamnia, fille d’Epidamnios, l’une de ses suiva
viendrait mère d’un fils qui, pendant cinq ans serait élevé parmi les
nymphes
et lui serait remis ensuite. Fier d’une telle bon
rer de répondre à tous questionneurs que la mère de ce fils était une
nymphe
du mont Ida, mais cinq ans après, en recevant ce
étides, il n’y a qu’une seule légende sur leur compte : c’étaient des
nymphes
, personnifiant l’impudicité féminine et la prosti
une corbeille, et comme elle allait perdre, elle se fit aider par une
nymphe
de sa suite, appelée Peristère ou Colombe ; alors
le gagna la gageure. A cette vue, l’Amour, courroucé, métamorphosa la
nymphe
officieuse en l’oiseau qui porte son nom ; les ch
le berger de Sélemne, fut un jour si désespéré de l’infidélité de la
nymphe
Argyre, sa maîtresse, que Vénus en eut pitié et l
d’une Eglé, ou d’une mère inconnue, ou bien enfin d’Etéocle et d’une
nymphe
quelconque. Pourtant les Lacédémoniens réclamaien
les ris, Pothos ou le désir, Pitho ou la persuasion, et une foule de
nymphes
parmi lesquelles on distinguait surtout Acménès,
devant sa mère ; déjà il allait peut-être gagner la gageure, mais la
nymphe
Péristère, compagne de Vénus, se mit à aider la r
incu. Piqué de cette conduite, Cupidon, nous le savons, changea cette
nymphe
en colombe. Malgré son mauvais succès, il n’en a
ls ou petit-fils de Céphise qui fut changé en monstre marin, et de la
nymphe
océanide Liriope, avait méprisé la beauté d’Echo
rin, et de la nymphe océanide Liriope, avait méprisé la beauté d’Echo
nymphe
de la suite de Junon. Cette jeune nymphe était te
ait méprisé la beauté d’Echo nymphe de la suite de Junon. Cette jeune
nymphe
était tellement éprise du beau Narcisse, qu’elle
ésidait aussi aux jeux et plaisirs obscènes ; on le disait fils d’une
nymphe
ou naïade appelée Chioné et de Bacchus ou de Vénu
lui sacrifiait l’âne, qui par ses cris avait réveillé ou Rhée, ou la
nymphe
Lotos, à l’instant que ce dieu allait abuser de s
te par Jupiter, sous la forme d’un berger. Coriphe ou Coryphe, jeune
nymphe
de l’Océan, dont Jupiter eut la Corie des Arcadie
en être le même personnage auquel on donnait Hercule pour père. Ega,
nymphe
chèvre, ce fut elle qui nourrit Jupiter de son pr
pollon et d’Acacallis fille de Minos. Cette Garamantie était donc une
nymphe
de Libye et fut aimée par Jupiter-Ammon qui la re
Teucer qu’elle eut du fleuve Scamandre. On donne encore ce nom à une
nymphe
Phrygienne qui eut de ses amours avec le berger T
jours, qu’après avoir donné la liberté à un corbeau. Méra, était une
nymphe
, suivante de Diane : Jupiter pour la séduire, pri
tard elle fut changée en chienne. Méra était fille de Protée et de la
nymphe
Ausia. Il y eut une autre Méra qui eut de Lycaon
marqué dans la Mythologie païenne des Grecs et des Romains. Oenéis,
nymphe
d’Etolie, fut aimée de Jupiter et eut de ses amou
réclamée par deux ou trois mères au moins. Ora. Jupiter trompa cette
nymphe
sous la forme d’un cygne et la rendit mère de Col
leur souverain, prirent pour armes les foudres de Jupiter. Othréis.
Nymphe
qui fut d’abord aimée par Apollon dont elle eut u
es amours avec Apollon, mais celle dont il est question ici était une
nymphe
d’Achaïe qui fut aimée de Jupiter, lequel la sédu
issons les vols et la terrible punition. Sithnides, était le nom des
nymphes
Mégariennes : une d’elles fut aimée de Jupiter qu
fleuve Tiase comme le plus ancien du pays. Théalie ou Etna était une
nymphe
Sicilienne, fille de Vulcain ; Jupiter l’aima et
atale aux deux frères. Quant à Callisto ou la très belle, c’était une
nymphe
jeune et jolie de la suite de Diane ; on la disai
me un torrent formé par une pluie, qui fit disparaître la fontaine ou
nymphe
aquatique, Europe. Nous pourrions entrer ici dans
garda le reste des neuf mois ; ou bien, dit-on encore, ce furent des
nymphes
qui le retirèrent du milieu des cendres maternell
emens d’un jaune fauve et affectant des formes effrayantes. Naïades,
nymphes
qui habitaient les fleuves, elles passaient pour
leus, inventrice des ouvrages de laine, née de Neptune et de Tritonia
nymphe
du lac Triton. Cicéron au contraire fait de Miner
sein de Sémélée ? On ne le croit pas ; mais on dit que Mercure ou la
nymphe
Dircé, sauva cet enfant des flammes et le remit e
es : Brisa, Bromé ou Brémie, Cisséis, Eripe et Nysa ; tantôt c’est la
nymphe
Atlantide Fésule ou une nymphe de l’île Eubée ou
sséis, Eripe et Nysa ; tantôt c’est la nymphe Atlantide Fésule ou une
nymphe
de l’île Eubée ou Philia, Coronis et Cléis, ou Cl
nis et Cléis, ou Clyta de l’île de Naxos ; d’autres fois c’est Hippa,
nymphe
du Tmolus ou bien les Dodonides prêtresses de Jup
rage, auquel il faut ajouter les Hyades, les Heures, les Muses et les
Nymphes
, Bacchus n’en fut pas moins poursuivi par la hain
ontrées les plus éloignées. Il partit donc, accompagné d’une foule de
Nymphes
, de Faunes, des Curètes, des Heures, du vieux Sil
ent Achate ou Chalis ; Ampelos ou la Vigne, fils d’un satyre et d’une
nymphe
, Cérasos ou Cérassus, qui montra comment empêcher
et les rendit sensibles à son amour, Alexirée mère de Carmon ; et la
nymphe
Chronophile mère de Phlias, il fut aussi l’amant
cas une tasse à la main. Il eut pour fils, on ne sait trop de quelle
nymphe
, Atheus, Clèogène, Lénéus nourrisson de Bacchus ;
es plaisirs et de la joie, marchait toujours à la tête des Muses, des
Nymphes
et de tous les dieux champêtres. Pan, dieu des b
èvre ; ce dieu rural avait, dit-on, reçu le jour de Jupiter, et de la
nymphe
Thymbris, ou de Calisto, ou de Mercure, et de Pén
rnes et avec le rude pelage d’un bouc. A la vue de ce nouveau né, les
nymphes
Arcadiennes et particulièrement la nymphe Sénoé,
vue de ce nouveau né, les nymphes Arcadiennes et particulièrement la
nymphe
Sénoé, à qui l’on voulut le confier pour nourriss
ffrayée de sa laideur, étant arrivée sur les bords du Ladon, pria les
nymphes
ses sœurs de la secourir ; ce qu’elles firent en
les firent en la changeant en roseau. Pour avoir un souvenir de cette
nymphe
, il arracha quelques-uns de ces roseaux, et après
re, qui porte son nom ; cependant il paraît que Pan eut pour femme la
nymphe
Alexirrhoé ou Alenthoé. Ce fut lui qui conseilla
vaient descendre. Cependant on les fait naître ou de Mercure et de la
nymphe
Yphtimé, ou de Bacchus et de la naïade Nicéa. Mai
er ainsi la tige des Romains. Faunus, par suite de ses amours avec la
nymphe
Dryope et Simœthée, nymphe de Sicile, eut de la p
s. Faunus, par suite de ses amours avec la nymphe Dryope et Simœthée,
nymphe
de Sicile, eut de la première, Tarquitus, qu’Énée
s, fils de Faunus, comme le dieu souverain des Faunes et des Dryades,
nymphes
que nous retrouverons avec toutes les autres en p
e, comme dans la mauvaise fortune. Colaxès, fils de Jupiter et de la
nymphe
Ora, fut roi dans la Bisaltide, petite province d
Ephyre, qui depuis s’appela Corinthe. Crès, fils de Jupiter et de la
nymphe
Idée, fut le premier roi de l’ile de Crète, qui p
emier habitant de l’île de Lesbos. Cronius, fils de Jupiter et de la
nymphe
Himalie, était surnommé le Cyprien. Cyrnus, fil
qui prirent de lui le nom de Cyrnos. Cytus, fils de Jupiter et de la
nymphe
Rhodienne Himalie. Deucalion : nous ne reviendr
s pommes, sans savoir où il les trouverait ; d’abord il interroge les
nymphes
de l’Éridan ou du Pò, fleuve de l’Italie, qui le
üs. Quant à la corne, elle fut remplie de fleurs et de fruits par les
nymphes
de ses bords et offerte, dit-on, à la déesse de l
pe, de Gynée, d’Hôditès ou d’Onitès, d’Hyllus et de Glenos. Diopatra,
nymphe
à laquelle Hercule fit violence ; Dyna, fille d’E
e, mère d’Aventinus ; Tinga, veuve d’Antée, mère de Sophax ; Vindima,
nymphe
, fille d’Evandre ; Xanthis, mère d’Homolippe ; F
de la thesp. Laonomène ; Macarie, fille de Déjanire ; Polyclée, d’une
nymphe
inconnue, elle fit la boîteuse pour régner sur le
Thespiade ; Dynastès, de la Thesp. Archedice ; Eaque ou Eatus, d’une
nymphe
inconnue, il épousa sa sœur Polyclée, pour régner
s d’une fille d’Evandre ; Galatès ou Galle, de Galatée ; Gélon, de la
nymphe
Gélonie ; Glanus de Mégare ; Glenos ou Gynèe de D
evenons aux fils de Jupiter : Iarbas, fils de Jupiter-Ammon, et d’une
nymphe
du pays des Garamantes, était roi de Numidie, ver
a construction des murs de Thèbes. Mégarus, fils de Jupiter et d’une
nymphe
Sithnide ; il échappa aux flots, lors du déluge d
profit son adresse pour obtenir les bonnes grâces de plus d’une jolie
nymphe
. Dans ce nombre, on trouve : Acacallis, mère de C
ie, naïade, fille du fleuve Alcmon : Jupiter ayant poursuivi Juturne,
nymphe
romaine favorable aux mariages et accouchemens he
ascus, né d’Halimède et fondateur de Damas en Syrie ; Daphnis, eut de
nymphes
inconnues deux fils de ce nom : l’un berger de Si
utre ayant juré qu’il consentait à perdre la vue s’il abandonnait une
nymphe
qu’il aimait, oublia ses sermens et devint aveugl
; Priape, que nous savons fils de Chioné ; Prylis ou Pylis, né de la
nymphe
Issa, Devin d’Ilium, se laissa corrompre par Pala
, Argus, le centaure Ampicus, prêtre de Cérès, Astrée, Atys, né de la
nymphe
Limniace fille du Gange, Céladon l’égyptien, Clan
e par Hercule. Pilumne, était fils de Jupiter ou de Stercès et de la
nymphe
Garamontès : on le regardait comme dieu de l’agri
rt qui le transportèrent en Lycie. Spartée, fils de Jupiter et de la
nymphe
Himalie, reçut le jour dans l’île de Rhodes, aprè
odes, après la défaite des Titans. Tantale, fils de Jupiter et de la
nymphe
Pluto, régna sur la ville de Cipyle, en Paphlagon
vie d’un bonheur inaltérable. Titye, Géant, fils de Jupiter et de la
nymphe
Élara, qui mourut en le mettant au monde, d’où l’
vie oisive entre l’amour et l’ambition : il trompa beaucoup de jeunes
nymphes
belles et naïves, mais il ne put tromper Jupiter
possesseur des immenses trésors que renferme son empire, au milieu de
nymphes
et de Néréides qui se disputaient l’honneur de lu
dique. Il laissa pour lui succéder, Thésimène de son alliance avec la
nymphe
Climène. Quant à Polynice, dont la haine implaca
Mélie ou de Bithynis ; Anathamus et Anthas d’Alcyone, Angelus, d’une
nymphe
de Chio ; Ancée, d’Astypalée, de son mariage avec
t un cheval né de Neptune et de Cérès ou de la furie Érynnis ou de la
nymphe
Oncée, ou bien il était le cheval que Neptune ava
léone, Égine, Ismène et Salamine ; Asplédon, fils de Neptune et de la
nymphe
Midée, Astaque de la nymphe Olbie, fondateur d’As
mine ; Asplédon, fils de Neptune et de la nymphe Midée, Astaque de la
nymphe
Olbie, fondateur d’Astaque, dans les Propontides,
es Hespérides des pirates qui effectuèrent ce projet, un jour que ces
nymphes
étaient ensemble à folâtrer dans leur jardin. Mal
it un commerce avec Neptune, son père ; Céto de la terre, Chius d’une
nymphe
de l’île déserte de Chio ; Chrysès, de Neptune ou
’an 1438 av. J.-C. que cet Eole, né des amours du roi Hellen, avec la
nymphe
Orséide, était frère de Dorus et de Xuthus, qu’il
ui ensuite emmena prisonnière sa fille Chalciope ; Eusire, fils de la
nymphe
Idothea, fut père de Térambe ; Gereste, est un en
e Scylla avait habitude de se baigner, de sorte que cette malheureuse
nymphe
, dès qu’elle se plongea dans cette eau perfide, f
uver. Nausithous, fils de Péribée ou de Phéacie, ou d’Ulysse et de la
nymphe
Calypso, fut le père de Nausicaa et d’Alcinoüs, q
de l’Aloïde Ephialte, et fils d’Iphimède. Parnasse était fils de la
nymphe
Cléodore et de deux père : Neptune et Cléopompe ;
lui qu’Aristée consulta après la perte de ses abeilles, tuées par les
nymphes
pour venger Eurydice. Protée, suivant Hérodote et
de Taphos, à laquelle il donna son nom. Taras, dont la mère était une
nymphe
restée inconnue, passait pour le fondateur de Tar
sicien célèbre, si orgueilleux de son talent, qu’il osa se moquer des
nymphes
, qui le punirent en le changeant en escargot. Tip
it de l’eau, ou, comme le disent les poëtes, ayant été enlevé par les
nymphes
, Hercule son ami, désespéré de sa perte, laissa l
vec le secours de l’amante de l’Argonaute Pelée, Thétis, qui avec ses
nymphes
dirige leur vaisseau ; bientôt ils passèrent à la
e, Cronius ; Cyllare, fut tué, et sa beauté avait tellement charmé la
nymphe
Hylonome, qu’elle se tua ensuite de désespoir ; C
Cocythe, le Méandre, l’Evenus, l’Indus, l’Inachus, et de trois mille
nymphes
appelées Océanides. Cependant, le nombre des fle
s’enfuit dans les eaux de son fleuve. On dit que de cette corne, les
nymphes
formèrent la corne d’abondance. On dit aussi que
ne, les nymphes formèrent la corne d’abondance. On dit aussi que cinq
nymphes
ayant sacrifié sur ses bords et l’ayant oublié da
ant oublié dans leur sacrifice, Acheloüs emporta sa rive, et les cinq
nymphes
submergées formèrent cinq îles, que l’on appelait
trouverons en parlant des enfers. Acis, fils du dieu Faune et de la
nymphe
Simèthe, fut l’amant heureux de la belle Néréide
rs le plus tendre, quand tout à coup il aperçoit Acis aux pieds de sa
nymphe
chérie. Le cyclope, à cette vue, pousse un cri te
ait à la chasse d’un sanglier, il aperçut Aréthuse, la plus belle des
nymphes
du cortége de Diane ; alors, il lui offrit ses vœ
leuve de l’Attique, était fils de Pontos et de Thalassa, il eut de la
nymphe
Liriope le beau Narcisse. Il avait près d’Orope u
Il avait près d’Orope un autel qu’il partagea conjointement avec les
nymphes
, le die Pan et Achéloüs. On lui éleva aussi un te
ve, il avait été prince troyen sous le nom d’Hypothès, et amant de la
nymphe
Égeste, qui l’avait rendu père d’Aceste. Dyras, d
mme étant arrivé par les mers et donna son nom à un fleuve père de la
nymphe
Io, fleuve qui s’appelait d’abord Amphiloque, et
ille du géant Alcyoné. Il en eut Métope, Daphné, Syrinx et Telphusse,
nymphe
et fontaine, dont les eaux glaciales donnèrent la
oux, il était, nous le répèterons, fils d’Eaque, roi d’Egine et de la
nymphe
Endéis, fille de Chiron. Ayant eu le malheur avec
on père sur ses sœurs qui l’avaient égorgé, mais Hercule s’y opposa.
Nymphes
. Maintenant, parlons des divinités subalternes, q
parlons des divinités subalternes, que l’on désignait sous le nom de
Nymphes
. Quoiqu’elles fussent répandues dans tout l’unive
cidés à les placer toutes à la suite de Neptune. On donnait le nom de
Nymphes
aux jeunes filles issues des dieux et des mortell
es ou Uranies, ou Épigie et des eaux ou Hydriades ou Éphydriades. Les
nymphes
n’étaient pas considérées comme entièrement immor
re ou un mouton. Leurs fêtes s’appelaient Nymphées. On représente les
nymphes
demi-nues, portant des roseaux, des coquilles ou
hologiques qui leur appartenaient. On appelait donc : Amnisiades, les
nymphes
des bords du fleuve Amnisius. Anigrides, celles a
étaient favorables à la guérison des maladies de la peau. Asies, les
nymphes
de la suite de Diane. Auloniades, celles des vall
tent les alimens, celles qui présidaient aux prairies. Cithéronides,
nymphes
qui demeuraient sur le mont Cithéron ainsi que le
on ainsi que les Muses, auxquelles on donnait le même nom. Commoties,
nymphes
du lac Catiliensis, en Arcadie, dans lequel se tr
; aussi étaient-elles souvent confondues avec les muses. Cythériades
nymphes
de la cour de Vénus, habitant l’île de Cythère.
des nymphes de la cour de Vénus, habitant l’île de Cythère. Crénées,
nymphes
chargées de présider aux sources Crétides ou Dyct
habitation en Crète, et particulièrement sur le mont Dicté. Cyclades,
nymphes
que l’on disait avoir été changées en îles de la
sé de sacrifier à Neptune. Dorides ; c’étaient les Néréides. Dryades,
nymphes
des forêts, qui ne doivent pas être confondues av
êtres eussent déclaré que ces bois venaient d’être abandonnés par les
nymphes
. Eurydice, femme d’Orphée, était, on s’en souvien
dice, femme d’Orphée, était, on s’en souvient, une Dryade. Échinades,
nymphes
qui furent entraînées par un débordement des eaux
en îles placées à l’embouchure de l’Acheloüs, en Ionie. Ephydryades,
nymphes
de toutes les eaux, tant douces que salées. Épigé
dryades, nymphes de toutes les eaux, tant douces que salées. Épigées,
nymphes
terrestres, préposées aux détails isolés de la na
s, préposées aux détails isolés de la nature physique. Fanœ ou Fatuœ,
nymphes
prophétesses. Fluviales, nymphes des rivières. Ép
e la nature physique. Fanœ ou Fatuœ, nymphes prophétesses. Fluviales,
nymphes
des rivières. Épimélides ou Méliades, nymphes des
rophétesses. Fluviales, nymphes des rivières. Épimélides ou Méliades,
nymphes
des troupeaux. Génnaïdes, nymphes de Phocée. Goni
s rivières. Épimélides ou Méliades, nymphes des troupeaux. Génnaïdes,
nymphes
de Phocée. Goniades, nymphes des bords du Cythéro
iades, nymphes des troupeaux. Génnaïdes, nymphes de Phocée. Goniades,
nymphes
des bords du Cythéron. Hamadryades, nymphes des
hes de Phocée. Goniades, nymphes des bords du Cythéron. Hamadryades,
nymphes
des forêts, aussi multipliées que les arbres, ell
était intimement liée. Quelquefois on les personnifie dans une seule
nymphe
, que l’on appelle alors Hamadryade. Elles ressent
t pour punir au contraire ceux qui abrégeaient leurs jours. Parmi ces
nymphes
, plusieurs ont vu leurs noms arriver jusqu’à nous
Orea ou le hêtre ; Ptélea ou l’orme ; Syké ou le figuier. Hérésides,
nymphes
de Junon, préposées aux bains de cette déesse. A
gos, on donnait ce même nom aux prêtres de cette divinité. Glyphies,
nymphes
qui devaient leur nom au mont Glyphus, dont elles
; les eaux de leur rivière rendait, disait-on, la beauté. Ilissades,
nymphes
du fleuve Illysse. Ionides, nymphes également de
disait-on, la beauté. Ilissades, nymphes du fleuve Illysse. Ionides,
nymphes
également des bords du fleuve Cythérus, elles éta
, passaient pour guérir les lassitudes et les rhumatismes. Isménides,
nymphes
qui habitaient les bords du fleuve Ismenus, près
i habitaient les bords du fleuve Ismenus, près de Thèbes. Lélégéides,
nymphes
dont le nom leur venait des Lélèges, peuple d’Asi
es, ou Limniades ou Limnacides, ou Limniques ou Limnées et Limonides,
nymphes
qui présidaient aux lacs, aux étangs et aux marai
aux lacs, aux étangs et aux marais. Lysiades, on appelait ainsi les
nymphes
des eaux où l’on allait se rafraîchir. Mélies, M
où l’on allait se rafraîchir. Mélies, Mélides Méliades ou Épimélies,
nymphes
des prés, des troupeaux ; elles étaient filles de
Mélie, qui en outre avait eu pour enfans Térène et Ismenus. Ménies,
nymphes
des moissons. Naïades ou Abarbarées nymphes des
ène et Ismenus. Ménies, nymphes des moissons. Naïades ou Abarbarées
nymphes
des eaux fluviales, filles de Jupiter et mères de
uand elles étaient accompagnées d’un serpent, symbole de la santé Ces
nymphes
, dont Églée était la plus jolie, d’après Virgile,
13 octobre, les fontinales en l’honneur des Naïades et de toutes les
nymphes
des sources. Alors, on trempait dans les eaux des
hèse ; Nicée, fille de Sangare et Niphée, compagne de Diane. Napées,
nymphes
de la cour de Palès, elles présidaient aux plaine
; on leur rendait le même culte à peu près qu’aux Naïades. Néréides,
nymphes
que nous avons vues filles de Nérée ; Océanides,
s. Néréides, nymphes que nous avons vues filles de Nérée ; Océanides,
nymphes
que nous savons également filles de l’Océan et de
t filles de l’Océan et de Thétys ; Oréades, Orestiades, Orodemniades,
nymphes
des montagnes, filles d’Hécate et de Phoronée, ou
lès, quand il conduisait ses troupeaux sur les montagnes. Pactolides,
nymphes
des bords du fleuve Pactole. Pégées, nymphes des
s montagnes. Pactolides, nymphes des bords du fleuve Pactole. Pégées,
nymphes
des fontaines et des sources comme les Naïades. P
s, nymphes des fontaines et des sources comme les Naïades. Potamides,
nymphes
présidant aux fleuves, aux rivières. Propétides,
. Potamides, nymphes présidant aux fleuves, aux rivières. Propétides,
nymphes
des débauches. Sithnides, ces nymphes étaient les
uves, aux rivières. Propétides, nymphes des débauches. Sithnides, ces
nymphes
étaient les protectrices des eaux de l’aqueduc ma
oldats qu’ils avaient perdus à la bataille de Platée. Thémistiades ou
nymphes
de Thémis et prêtresses de son temple à Athènes.
devineresse. Les Tibériades et Tibérines ou Tibérinides, étaient des
nymphes
censées habiter les bords du Tibre. Vallones, nym
es, étaient des nymphes censées habiter les bords du Tibre. Vallones,
nymphes
des vallons et des bocages, ayant le même culte à
ges, ayant le même culte à peu près que les Naïades. Parmi toutes ces
nymphes
, plusieurs avaient des noms individuels plus ou m
ène ; Agriope, mère de Tamyris ; Alexirrhoé ou Alexithoé ou Alyxotoé,
nymphe
séduite par Priam ; Alicnoé, Amalthée, nourrice d
d’Arcadie ; Aore, de Crète ; Arcadie, mère de Philonomée ; Archiroé,
nymphe
de Mégalopolis ; Argiope, qui eut Chamyris de Phi
e, du Caucase, première femme du roi de Colchide Eète ; Aula ou Aura,
nymphe
de la suite de Diane ; Balte, mère du célèbre Tha
te, mère du célèbre Thaumaturge Épiménide ; Calliphée, une des quatre
nymphes
Ionides ; Cécluse, amante de Neptune et mère d’As
rès de Lacédémone. Climène, qui eut Thésimène de Parthénopé ; Clitie,
nymphe
Babylonienne, fille de l’Océan et de Thétys ; Cre
de Stilbie, Cyllènes, femme de Pélasgue et mère de Lycaon ; Cynosure,
nymphe
de l’Ida et nourrice de Jupiter ; Cyrène, fille d
éphise ; Dictée, de Crète ; Dianaste, Dorippe, mère de Spermo ; Deto,
nymphe
maritime de la Grèce ; Doxo Dryas, nymphe italiot
ppe, mère de Spermo ; Deto, nymphe maritime de la Grèce ; Doxo Dryas,
nymphe
italiotte, fille de Faune, déesse de la pudeur et
forma plus elle-même qu’un lotos. Écho, amante de Narcisse. Égérie,
nymphe
des environs de Rome. C’est elle qui inspirait Nu
d’Arcas ; Erèce ou la bruyère personnifiée ; Ennice, l’une des trois
nymphes
qui enlevèrent Hylas ; Fovia ou Fabia fille d’Eva
rcyne, nymphe-fleuve, une des suivantes de Proserpine. Un jour, cette
nymphe
et Proserperine, encore jeune fille, jouaient ens
du berger Théodore ; Ione, fille du célèbre voleur Autolycus ; Iope,
nymphe
des enfers ; Iophosse, qui eut Deucalion d’Haliph
i eut Deucalion d’Haliphon ; Lampétise ou Lampetuse ou la flamboyante
nymphe
portant la lumière ; Laodice de Phoronée, qui eut
Lygée compagne de Cyrène ; Ménalippe qui eut Béote d’Itone ; Mérope,
nymphe
fluviatile, fille de Cébren, peut-être la même qu
-être la même que celle liée à la famille de Priam ; Mélite ; Métope,
nymphe
fluviatile, femme de Sangarius et mère d’Hécube,
ndit mère d’Asplédon ; Myia, nymphe-mouche, amante d’Endymion ; Naïs,
nymphe
de la mer Rouge ; Nomie, d’Arcadie ; Œante, de la
on ; Pitys, qui fut aimée de Pan et de Borée ; Praxilhée. Salmacis,
nymphe
de Carie, protectrice d’une fontaine du même nom.
ptune eut le Cyclope Polyphème ; Zeuxippe, sœur de Pasithée, première
nymphe
et femme du roi d’Athènes Pandion. Enfin, l’on pl
e fut. Un jour donc, ayant aperçu Proserpine au milieu d’une foule de
nymphes
, cueillant des fleurs dans une prairie voisine d’
bien qu’à son arrivée dans le noir séjour, ayant aperçu Minthi ou la
nymphe
du Cocyte, concubine de Pluton, vouloir continuer
, déjà connu, fils d’Orphné ou des ténèbres ou de Gorgyre ou l’ombre,
nymphes
des régions infernales. Souvent, on prenait l’Ach
lolaüs. Éaque, était, nous le savons aussi, fils de Jupiter et de la
nymphe
Égine, et régna dans l’île d’Europe, à laquelle i
ou le Locrien, était fils d’Oïlée, ou de Locre et de Rhénée, ou de la
nymphe
Eriopis. Il était frère de Médor, et passa sa jeu
ypso. Le lendemain, il fut trouvé nu et couvert de fange par Calypso,
nymphe
de ces lieux enchanteurs, qui recueillit le pauvr
ut-être un troisième appelé Auson ; alors Jupiter envoya Mercure à la
nymphe
, pour lui intimer l’ordre absolu de laisser parti
Diomède ; Echépron ; Egéonée, fils d’une concubine ; Æsacus, né de la
nymphe
Alexiroé, fils aîné de Priam et époux d’Astérope,
les troupeaux de Priam. Sa beauté était tellement remarquable, que la
nymphe
Œnone, fille du dieu-fleuve Cébrène, en fit son a
eux qui se firent le plus remarquer : Æsacus, fils de Priam et de la
nymphe
Alexiroé, devint éperdument amoureux de la nymphe
s de Priam et de la nymphe Alexiroé, devint éperdument amoureux de la
nymphe
Hespérie, fille de Cébrène. Un jour, l’ayant renc
les bords du fleuve Cébrène, son père, il se mit à la poursuivre. La
nymphe
, en fuyant, fut mordue au talon par un serpent et
s vaisseaux furent dispersés par l’orage, plusieurs furent changés en
nymphes
des eaux, comme le lui dit la néreïde Cymodocée,
mbre de la nuit, tomba dans le fleuve et fut alors reconnue déesse et
nymphe
du Numicius. On célébrait sa fête le 15 mars, c’e
re l’enfance de l’âge viril. On la représentait sous les traits d’une
nymphe
, debout, couronnée de lauriers et tenant à la mai
Hastinagara. Si nous passons actuellement aux Raginis ou Raguinis, ou
nymphes
musicales de l’Inde, nous arrivons aux systèmes m
rvit de premier vina, et elle est suivie de quatre Raginis. Après les
nymphes
musicales, Brahmâ fit apparaître le peuple des Ga
e la Bhavanie des hindous, ou espèce de Cybèle. Etant allée avec deux
nymphes
ses compagnes se baigner dans une eau pure, tout-
mer dans les forêts des danses lascives, auxquelles les Roussalkis ou
nymphes
à chevelure verdâtre prennent souvent une part tr
danses et de la musique. Les Roussalkis étaient, nous le savons, des
nymphes
; elles avaient la chevelure blonde ou verdâtre,
s on ne les désigne que sous le nom de Dises, nom commun à toutes les
nymphes
favorables à l’homme. Les offrandes qu’on faisait
45, 68, 299. Nyctis, 270. Nyctée, 191. Nymphées, 306. Nymphémonée, 57
Nymphes
(les), 33, 305.. Nymphenomène, 57. Nymphiâ, 57. N
rec et romain. L’ombrage sous lequel on repose, cache et renferme une
Nymphe
solitaire ; mais la hache, en faisant tomber l’ar
rent soin d’elle et la nourrirent. Elle aima Atis, qui lui préféra la
nymphe
Sangaride. Cybèle, pour s’en venger, métamorphosa
ur de la mer. On confond quelquefois les Océanides avec les Néréïdes,
nymphes
de la mer, qui prirent en effet leur nom de Nérée
de Nérée ou l’Océan, leur père, mais qui eurent Doris pour mère. Les
nymphes
des fleuves et des rivières, se nommoient Nayades
et de Cérès, tandis qu’elle cueilloit des fleurs sur le mont Etna. La
nymphe
Cyanée qui voulut s’opposer à cet enlèvement, fut
le punir de cette délation, le métamorphosa en hibou. Pluton aima une
nymphe
nommée Menthe qui fut changée par Proserpine, en
ce qui le fit précipiter dans les enfers. La fontaine Styx étoit une
nymphe
, fille de l’Océan, elle secourut Jupiter dans la
se, elle vit flotter sur les eaux du lac, le voile de sa fille, et la
nymphe
Aréthuse apprit à la Déesse l’enlèvement de Prose
Adonis, fruit de cet inceste, fut mis au monde. Dès qu’il fut né, les
Nymphes
se chargèrent de son éducation. Il avoit une beau
us qu’il cueilleroit plus de fleurs qu’elle en une heure de temps. La
Nymphe
Péristère se joignit à Vénus, ce qui fit perdre à
fit perdre à l’Amour sa gageure. L’Amour, en colère, métamorphosa la
Nymphe
en colombe ; Vénus voulut depuis que la colombe l
s étrangers qui tomboient entre ses mains. Il fut très-amoureux de la
nymphe
Galatée ; Ovide dit que pour lui plaire, il se p
e dans une fontaine. Il nourrit deux petits ours pour les offrir à la
nymphe
. Malgré cette galanterie, la nymphe lui préféra l
petits ours pour les offrir à la nymphe. Malgré cette galanterie, la
nymphe
lui préféra le jeune Acis, fils de Faune et de la
lanterie, la nymphe lui préféra le jeune Acis, fils de Faune et de la
nymphe
Simœthis. Polyphême lança un énorme rocher sur so
a le plus souvent fut la Thrace. Il fut aimé de Vénus et de plusieurs
nymphes
. Les Grecs appeloient ce Dieu Arès. Halirrothius,
, et voulut que le cygne fût désormais l’emblême des bons poëtes. Les
Nymphes
baignèrent Apollon naissant, dans leurs ondes ; T
e de s’exercer, il parvint à en jouer de manière à charmer toutes les
nymphes
; ce fut alors qu’enivré de ces louanges, il eut
om ; d’autres disent que ce fleuve dut son origine aux larmes que les
nymphes
répandirent après sa mort. Apollon, le plus beau
eureux amant. Apollon n’inspira pas de plus tendres sentimens à cette
nymphe
cruelle. Daphné, évitant ses poursuites, invoqua
le le tua et donna Hésione à Télamon. Cycnus, fils d’Apollon et de la
nymphe
Thyria ou Hyria, désespéré de n’avoir pas obtenu
expédition des Indes, et eut part à ses conquêtes ; il aima plusieurs
nymphes
, entre autres, Syrinx, qui, pour se dérober à ses
ien d’agréable aux poëtes. Les Dryades et les Hamadryades étoient les
nymphes
des forêts ; les Oréades, nymphes des montagnes ;
ades et les Hamadryades étoient les nymphes des forêts ; les Oréades,
nymphes
des montagnes ; les Orestiades, des cavernes ; le
t aux rivières ; les Crénées, aux fontaines ; les Epygies étoient les
nymphes
de la terre. Les Limoniades présidoient aux fleur
eur chasteté et leur modestie ; Pénélope, épouse d’Ulysse ; plusieurs
nymphes
et quelques femmes vertueuses dont on a déjà parl
elle fut mise, avec son mari, au nombre des Dieux indigètes. Bolina,
nymphe
qui se jeta dans la mer pour éviter les poursuite
touché de sa vertu, lui rendit la vie et lui donna l’immortalité. Ea,
nymphe
qui, en fuyant le fleuve Phasis, implora les Dieu
ra cette pierre à Vénus Uranie. Callianasse et Callianire étoient des
nymphes
qui présidoient à la décence des mœurs. Toutes ce
d’Héribée. Il enleva Orythie, fille d’Erecthée, roi d’Athènes, et la
nymphe
Pythis ; pour se venger de la préférence qu’elle
hers ; la Terre touchée de compassion, métamorphosa cette malheureuse
nymphe
en pin. Borée, métamorphosé en cheval, donna nais
t de Coronis. Ayant appris l’infidélité de Coronis, Apollon tua cette
nymphe
et tira de son sein Esculape dont elle étoit ence
ine, à se contempler, croyant revoir sa sœur. Ce fut là que le vit la
nymphe
Écho et qu’elle prit pour lui cette passion malhe
ène, devint amoureux d Euridice. Après la mort de cette dernière, les
nymphes
, touchées de ce malheur, tuèrent toutes les abeil
Dans la décadence de la Mythologie, les Fées ont été substituées aux
Nymphes
et aux Faunes. Les Perses appellent les Fées Péri
ter tous les Dieux et tous les hommes. Tous s’y rendirent, excepté la
nymphe
Chéloné qui eut l’audace de se moquer de ce maria
eut l’audace de se moquer de ce mariage. Mercure se rendit chez cette
Nymphe
impie, qui demeuroit sur le bord d’un fleuve, dan
orphosant en Tortue ; et par une juste punition de ses railleries, la
Nymphe
fut condamnée à garder un éternel silence et à po
: tels étoient le dieu Pan ; les déesses Flore, Palès et Pomone ; les
Nymphes
, les Tritons, etc. et tous les dieux des fleuves,
es flots. Echo n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
Nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. Ainsi, dans
e vole, et que les grands exploits Soient portés en tous lieux par la
Nymphe
à cent voix ? Pierre Corneille. Tous les sujets
u’il changea dans la suite en constellation, et la plaça au ciel. Les
Nymphes
qui avoient pris soin de son enfance, eurent une
doux. Jupiter prit la forme de Diane pour tromper Calysto, l’une des
nymphes
de cette déesse. Il en eut Arcas, Junon le change
d sa source au mont Hélicon ; par les eaux de Castalie, qui étoit une
Nymphe
qu’Apollon métamorphosa en fontaine ; et par l’Hi
claireront jamais les yeux de l’avenir. Vous arrosez le champ de ces
nymphes
sublimes ; Mais vous savez aussi que vos faits ma
es chasseurs. Elle habitoit les bois et les forêts avec une troupe de
Nymphes
qu’elle occupoit toujours à la chasse : on la rep
é de Diane est bien moins incertaine : elle chassa de sa compagnie la
nymphe
Calysto, qui s’étoit laissée surprendre par Jupit
. Aréthuse, étant poursuivie par le chasseur Alphée, Diane changea la
Nymphe
en fontaine, pour la tirer du danger : et le chas
e confia à sa tante Ino, qui l’éleva secrettement avec le secours des
nymphes
. Cette dernière circonstance est ajoutée par les
l et de la terre ; les autres, qu’elle doit le jour à Jupiter et à la
nymphe
Dioné. La plupart prétendent qu’elle est sortie d
ensemble, et eurent un grand nombre de filles connues sous le nom de
Nymphes
. Ces déesses ont des noms différens, selon la dif
ifférens, selon la différence de leurs emplois. Les Néréides sont les
nymphes
de la mer ; Les Naïades, celles des fleuves, des
eune Dryade Cherche à l’attirer. Rousseau. Les Hamadryades sont les
nymphes
des forêts ; les Napées, celles des bocages et de
ieux marins ; donna à Ino le nom de Leucotoé, en la plaçant parmi les
nymphes
, et celui de Palémon à Mélicerte, qu’il fit le di
divinité maritime dans chaque fleuve. Soit que ce soit un dieu ou une
nymphe
, on les représente couronnés de joncs, appuyés su
et la trouva enfin aux enfers, où elle descendit, sur la parole de la
nymphe
Aréthuse. Cyané avoit vu l’enlèvement ; mais elle
……………………………… ……………………………………………………… Les dieux n’ont pu souffrir qu’une
nymphe
sincère M’ait découvert mes ennem
un rocher qui retomboit sans cesse. Tantale, fils de Jupiter et de la
nymphe
Plota, voulant éprouver les dieux, leur avoit ser
fut redevable de l’invention de la flûte à la métamorphose de Syrinx,
nymphe
d’Arcadie, qu’il poursuivit un jour : Pour fuir
’ils nous tracent du séjour de la campagne. Ici les Satyres, avec les
Nymphes
des bois, forment sur le gazon mille danses légèr
triomphe à Silène : Les Satyres tout hors d’haleine, Conduisant les
Nymphes
des bois, Au son du fifre et du hautbois Dansent
errons-nous plus paroître dans nos bois Les Faunes, les Sylvains, les
Nymphes
, les Dryades, Les Silènes tardifs, les humides Na
bre des buissons ? Rousseau. L’Echo, qui répète leurs sons, est une
nymphe
qui s’intéresse à leurs jeux, et semble regretter
ble regretter de ne pouvoir plus partager leurs innocens plaisirs. La
nymphe
Echo, fille de l’Air et de la Terre, aimoit Narci
oit dû. Pâris regretta d’abord son état de berger, et sur-tout Œnone,
nymphe
du mont Ida, qui lui prédit les maux dont il sero
usseau. Ulysse fit naufrage, et aborda dans l’isle de Calypso. Cette
nymphe
mit tout en usage pour le retenir, et lui promit
s Muses, 43 — Rassemble en lui seul tous les talens, 49 — Change la
nymphe
Castalie en fontaine, 45 — Poursuit Daphné, 48
de Jupiter et de Calisto, 35 — Mis à mort par Lycaon, 171 Aréthuse,
nymphe
changée en fontaine, 99 Argo, nom dn vaisseau qu
ge, ibid. Calchas, fameux devin, 180 Calysto, mère d’Aicas, 171 —
Nymphe
de Diane, 35 — Sa métamorphose, 35-171 Calliope
11 Calpé, une des colonnes d’Hercule, 135 Calydon, 60-138 Calypso,
nymphe
, 191 Capharée, promontoire, 186 Capricorne, sig
Junon, 129 — Changée par Jupiter en constellation, ibid. Castalie,
nymphe
changée en fontaine, 45 Castor, fils de Tindare
Comment on le représente, ibid. — Culte qu’on lui rend, 77 Cyanée,
nymphe
changée en ruisseau, 99 Cybèle, 26-27 — Mise au
se, 57 — Se venge d’Altée ; punit Actéon, ibid. — Orion, 89 — Des
Nymphes
, des chasseurs, etc. 58 Diane, comment on l’hono
176 — Blesse le dieu Mars, 86 — Enlève le Palladium, 83-183 Dioné,
nymphe
qu’on dit être la mère de Vénus, 72 Discorde, ho
es oracles, 48 Doris, fille de l’Océan, épouse de Nérée, et mère des
Nymphes
, 90-92 Dragon, qui gardoit la Toison d’or, 151-1
151-152-153-157 — Qui dévore les compagnons de Cadmus, 160 Dryades,
nymphes
des campagnes, 92-124 E Eaque, l’un des tro
nfers, 107-108 Echanson de Jupiter, 34 Echecs, (jeu d’), 176 Echo,
nymphe
, 14-124 Ecrevisse, un des signes du Zodiaque, 88
170 — Ses effets dans Etéocle et Polinice, 165-166-167 Hamadryades,
nymphes
des forêts, 92 Harmonie ; on lui attribue l’ordr
ques, ibid. Larmes, des Héliades, 44 — des méchans, 105 Larundes,
nymphe
, 126 Larves, divinité infernales, 103 Latinus,
palais du Sommeil, 125 Leucophryne, nom donné à Diane, 60 Leucotoé,
nymphe
, 97 Liberté, honorée comme une divinité, 11 Lio
11-12 — Les allégories utiles qu’elle présente, 194 N Napées,
nymphes
des prairies, 92 Narcisse, 14 — Sa métamorphose
t l’existence du monde, 16 Nauplius, père de Palamède, 176 Nayades,
nymphes
des fleuves, des rivières et des fontaines, 92-12
14 — Comment on le représente, 91 Nérée, fils de l’Océan, père des
nymphes
, 91-92 Néreides, nymphes de la mer, 91 Nessus,
sente, 91 Nérée, fils de l’Océan, père des nymphes, 91-92 Néreides,
nymphes
de la mer, 91 Nessus, centaure tué par Hercule,
éternelle, 106 Numa Pompilius consacre à Vesta un feu perpéuel, 27
Nymphes
, 92 — Le rang qu’elles tiennent parmi les dieux,
e Déjanire, 138 Œnomaüs, roi d’Elide, vaincu par Pélops, 169 Œnone,
nymphe
du mont Ida, 179 Oëta, mont célèbre par la mort
164 Oracles d’Apollon, 46 — Comment on les rendoit, 47-48 Oréades,
nymphes
des montagnes, 92 Oreste, fils d’Agamemnon, 172
son emploi ; comment on la représente, 117 — On l’appelle Déesse ou
Nymphe
aux cent voix, 25 Rhadamanthe, un des Juges aux
24 Syrènes, divinités maritimes, 93-94 Syrtes, écueils, 15 Syrinx,
nymphe
changée en roseaux, 122 T Table des Dieux,
l’existence des plus belles plantes à l’aventure touchante de quelque
nymphe
métamorphosée pour avoir repoussé les poursuites
ais des dieux. Elle produisit les hautes montagnes, qui reçoivent les
Nymphes
dans leurs vallées tapissées de verdure. Elle enf
mbours. Jupiter fut allaité par la chèvre Amalthée et nourri par deux
nymphes
, Adrastée et Ida, qu’on appelle Mélisses, ce qui
l’enchaîner. Ils auraient exécuté leur dessein, si Thétis, l’une des
nymphes
de la mer, avertie du danger, n’eût amené au seco
ux du ciel et de la terre s’y rendirent avec empressement ; une seule
nymphe
nommée Chelonée y manqua, et fut changée en tortu
mmé Cithéron ; il feignit qu’il allait épouser la belle Platée, jeune
nymphe
, fille du fleuve Asope ; à cette nouvelle Junon s
non et Minerve. Ce ressentiment fut la cause de la ruine de Troie. La
nymphe
Écho fut punie d’avoir trompé Junon, sa maîtresse
gémir. Écho n’est plus un son qui dans l’air retentisse ; C’est une
nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. Boileau .
i affligea le cœur paternel d’Apollon. Esculape, qu’il avait eu de la
nymphe
Coronis, et auquel il avait enseigné l’art de la
mère, fit vœu de virginité. Son père lui donna un nombreux cortége de
nymphes
, avec lesquelles elle se livra au plaisir de la c
Cadmus, roi de Thèbes, qui, par mégarde, la surprit au bain avec ses
nymphes
, fut changé en cerf et déchiré par ses chiens. Le
ches de Diane et d’Apollon. Elle vengea ses propres injures contre la
Nymphe
Chioné et contre Laodamie, fille de Bellérophon,
e l’Étolie3. Diane était regardée comme la déesse de la chasteté. Les
nymphes
de sa suite devaient imiter son exemple, et les f
Voici l’origine de la grande Ourse ou le Chariot : Calisto, l’une des
nymphes
qui composaient le cortége de Diane, fut aimée de
Bouvier. — La petite Ourse se compose d’étoiles qui représentent les
nymphes
nourrices de Jupiter. — Les Hyades ou les Pluvieu
a pas été perdue pour tout le monde. Tirésias, fils d’Évérus et de la
nymphe
Chariclo, fut privé de la vue pour avoir surpris
de faire vœu de chasteté. Le jeune prêtre désobéit en s’alliant à la
nymphe
Sangaride. La déesse lui inspira alors une telle
it à se procurer de vive force une épouse. Proserpine jouait avec les
nymphes
dans une vallée voisine du mont Etna, en Sicile.
hosa en lézard. Après une course inutile, Cérès revint en Sicile ; la
nymphe
Aréthuse lui apprit alors que sa fille était deve
fils de Mercure et de la Terre, d’autres disent du dieu Pan et d’une
nymphe
. Ce vieillard, gros, gras, court et chauve, d’hum
Palès. — Flore. — Pomone. — Vertumne. — Priape. — Pan. — Satyres. —
Nymphes
. Cybèle représente la terre, Cérès l’agricultu
fils de Vénus et de Jupiter, et le dieu Pan, fils de Jupiter et de la
nymphe
Calisto. Les mœurs de ces deux divinités n’étaien
t Lycée. Il inventa la flûte à sept tuyaux qu’il nomma syringe, de la
nymphe
Syrinx, qui fut métamorphosée en roseau lorsqu’el
vre ou de bouc. Ces dieux railleurs et lascifs étaient la terreur des
Nymphes
. Il ne faut pas oublier Faunus, dieu des bergers,
se. Sa queue paraissait derrière comme se jouant sur son dos. » Les
Nymphes
recevaient différents noms, suivant leur séjour.
ence ? — Qu’est-ce que les Satyres et les Faunes ? — Quelles sont les
nymphes
de la terre ? Troisième partie. Divinités de
éan épousa Téthys, sa sœur, et de leur union naquirent les Océanides,
Nymphes
de la mer. On n’en comptait pas moins de trois mi
es, Nymphes de la mer. On n’en comptait pas moins de trois mille. Ces
Nymphes
étaient l’objet d’un culte particulier ; les naut
ys, épousa Doris sa sœur, dont il eut cinquante filles, les Néréides,
nymphes
de la mer. On représente Nérée sous la figure d’u
iaient l’alliance de ces gracieuses divinités. On peut penser que les
nymphes
de la mer, Océanides ou Néréides, sont la personn
llon et de Cyrène. Orphée, le chantre de la Thrace, allait épouser la
nymphe
Eurydice. Aristée, jaloux de leur bonheur, veut e
Eurydice. Aristée, jaloux de leur bonheur, veut enlever Eurydice. La
nymphe
s’enfuit, mais dans sa fuite ses pieds portent su
rtent sur un serpent venimeux qui lui fait une mortelle blessure. Les
Nymphes
, irritées de cette mort, firent périr les abeille
de Messine. Ce dieu est le symbole des monstres marins. Les Sirènes,
nymphes
célèbres par la douceur enchanteresse de leur voi
vint l’en arracher et la transporta dans un palais délicieux, où des
Nymphes
la servaient avec empressement et prévenaient tou
lape ou Asclépius, dieu de la médecine, était fils d’Apollon et de la
nymphe
Coronis. Livré aux soins du centaure Chiron, il a
ie, il s’arrêta à la recherche du jeune Hylas, son compagnon, que les
Nymphes
d’une fontaine avaient enlevé au moment où il y p
hangés en animaux immondes, c’est-à-dire abrutis par les voluptés. La
nymphe
Calypso le retint pendant sept ans auprès d’elle.
l’existence des fleurs et des plantes aux touchantes aventures d’une
nymphe
, changèrent les bergères en naïades, les musicien
es flots. Echo n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. Ainsi, dans
s des dieux, les montagnes dont les vallées devaient être peuplées de
nymphes
, et la mer avec ses abîmes immenses. Elle donna a
’il fut nourri dans l’île de Crète par la chèvre Amalthée et par deux
nymphes
, Adrastée et Ida qu’on a aussi appelées Mélisses
uverain des dieux plaça la chèvre Amalthée dans le ciel, et donna aux
nymphes
une de ses cornes. Ce fut la corne d’abondance. E
et Alcmène, mère d’Hercule furent autant de victimes de sa colère. La
nymphe
Echo, qui l’avait trompée, fut condamnée à ne plu
char attelé de dragons volants et se mit à la rechercher partout. La
nymphe
Aréthuse, qui avait été métamorphosée en une font
fontaine de Castalie qu’Apollon avait produite en métamorphosant une
nymphe
, et dans la source d’Hippocrène, qui était une au
parce qu’elle ne voulut jamais consentir à se marier. Elle exigea des
nymphes
qui l’accompagnaient le même serment, et punit de
ns le chasseur Actéon, qui par mégarde avait jeté sur elle et sur ses
nymphes
des regards indiscrets. 3. Sur la terre on la vén
e la chasse. La fable raconte qu’elle errait dans les forêts avec ses
nymphes
, qui étaient comme elle armées d’un arc et d’un c
nt les poëtes la surnommaient-ils ? Quelle fut sa conduite envers les
nymphes
qui n’imitèrent pas sa sagesse ? Quel supplice in
i de Mauritanie. Bacchus devenu grand se ressouvint des soins que ces
nymphes
lui avaient prodigués, et par reconnaissance il l
les qui forment la constellation des Hyades. 3. Indépendamment de ces
nymphes
, les Muses et le vieux Silène avaient aussi contr
nné sa naissance ? 2. Dans quel lieu fut-il élevé ? Que devinrent les
nymphes
qui se chargèrent de son éducation ? 3. Qu’est-ce
elques-uns disent qu’elle était fille de Jupiter et de Dioné, une des
nymphes
de l’Océan. D’autres veulent qu’elle soit née de
Océan épousa Téthys, et de leur alliance naquirent les Océanides, les
nymphes
de la mer. Les fleuves passaient aussi pour leurs
s sa sœur et en eut un grand nombre de filles, connues sous le nom de
nymphes
. Ces nymphes portaient différents noms en raison
en eut un grand nombre de filles, connues sous le nom de nymphes. Ces
nymphes
portaient différents noms en raison de leurs diff
noms en raison de leurs différents emplois. Les Néréides étaient les
nymphes
de la mer. Elles faisaient l’ornement du cortége
ous les voyageurs par l’éclat de leur beauté. Les Naïades étaient les
nymphes
des fleuves, des rivières et des fontaines ; les
e rapidité. 11. Glaucus, antre dieu marin, naquit de Neptune et de la
nymphe
Naïs. C’était un célèbre pêcheur spécialement vén
fre affreux qui se trouve dans le détroit de Sicile. Scylla était une
nymphe
qui avait dédaigné les vœux de Glaucus. Circé, la
. Circé, la magicienne, empoisonna par vengeance la fontaine où cette
nymphe
se baignait, et elle se trouva métamorphosée en u
les furent les filles de Nérée et de Doris ? Comment se nommaient les
nymphes
? 3. De qui Neptune était-il fils ? Qui lui donna
, et était vêtue d’une longue robe de safran. On en faisait aussi une
nymphe
couronnée de fleurs et assise sur un char auquel
leur retour et les jeta au delà des colonnes d’Hercule. Téthys et les
nymphes
dirigèrent pourtant leurs vaisseaux à travers les
calamités assaillirent Jason à son retour ? Quel secours il reçut des
nymphes
et de Téthys ? Quelles épreuves subit-il encore a
te De tant de monstres furieux. Rousseau . 2. Il épousa la
nymphe
Eurydice, et la perdit le jour même de son mariag
t que les fleurs recelaient sous ses pas. La mort ferma ses yeux, les
nymphes
ses compagnes De leurs cris douloureux remplirent
fut Cadmus. La fable le dit fils d’Agénor, roi de Phénicie, et de la
nymphe
Mélie. Elle suppose qu’il fut envoyé par son père
che empoisonnée qui lui donna la mort. Thétis vint avec une troupe de
nymphes
pleurer sur le corps de son fils ; les neuf Muses
e que lui lança Philoctète. En vain eut-il recours à la science de la
nymphe
Œnone qu’Apollon avait instruite de la vertu des
s, son hist. et son culte, 58. Adraste, roi d’Argos, 138. Adrastée,
nymphe
, 20, 94. Æa, île de Circé, 151. Æa, v. de Colch
chefs devant Thèbes, 139, 159. Amphion, musicien, 134. Amphitrite,
nymphe
, 62. Amphryse, fl. de Thessalie, 33. Amphytrion
Egée, 154. Calchas, devin, 143, 159. Calliope, muse, 36. Calisto,
nymphe
, 40. Calpé, mont., une des colonnes d’Hercule, 1
114 ; — de Cadmus, 136. Druides, prêtres des Gaulois, 185. Dryades,
nymphes
, 62. Duumvirs, à Rome, 159. Dyndimène, un des n
n des noms de Cybèle, 17. E Eaque, juge des enfers, 70. Echo,
nymphe
poursuivie par Junon, 28 ; habite le palais du So
chêne, 187. H Halirrothius, fils de Neptune, 48. Hamadryades,
nymphes
, 62. Harpies, monstres, 63, 106. Harpocrate, ou
159. I Icare, son histoire, 120. Icarienne (mer), 120. Ida,
nymphe
, 20. Ida, mont, de la Troade, 148. Idée, surnom
alem, pontife du vrai Dieu, 7. Mélicerte, div. maritime, 65. Mélie,
nymphe
, 135. Mélisses, nom de deux nymphes, 20. Memnon
certe, div. maritime, 65. Mélie, nymphe, 135. Mélisses, nom de deux
nymphes
, 20. Memnon, Gis de l’Aurore, 85. Memphis, v. d
; origine de la mythologie, 8 ; son importance, 9. N Naïades,
nymphes
, 62. Naïs, nymphe, 65. Napées, nymphe, 62. Nar
hologie, 8 ; son importance, 9. N Naïades, nymphes, 62. Naïs,
nymphe
, 65. Napées, nymphe, 62. Narara, enfer des Indi
rtance, 9. N Naïades, nymphes, 62. Naïs, nymphe, 65. Napées,
nymphe
, 62. Narara, enfer des Indiens, 166. Naxos, île
te, ses fêtes, 61 et suiv. Nérée, div. maritime, 61, 62. Néréides,
nymphes
, 62, 67. Nessus, centaure, 116. Nestor, roi de
ccasion, div. allégorique, 100. Océan, fils du Ciel, 61. Océanides,
nymphes
, 61. Ocypète, harpie, 63. Odin, div. des Scandi
. Œchalie, v. d’Etolie, 110, 116. Œdipe, son histoire, 137. Œnone,
nymphe
, 148. Œta, mont, de Thessalie, 116. Œthon, un d
Oncheste, v. de Béotie, 154. Oracles, 157, 158 et suiv. Oréades,
nymphes
, 62. Oreste, fils d’Agamemnon, 149. Orgies, 54.
5. Scandinaves, peuple du Nord, 190. Scorpion, const., 34. Scylla,
nymphe
et gouffre, 66. Scyron, brigand, 118. Scythie,
s fleuves, sous ceux d’Océan, de Neptune, de Nérée, des Néréides, des
Nymphes
, des Naïades ; l’air et les vents, sous ceux de J
haque fontaine eut sa divinité tutélaire ; les montagnes eurent leurs
nymphes
, leurs satyres ; Pluton fut le dieu des enfers, e
ut sans charmes. Ce fut de là que les bergères furent transformées en
nymphes
, en naïades ; les vaisseaux en chevaux ailés, com
étrangers : on publia que Vénus était sortie de l’écume de la mer. La
nymphe
Io, changée en vache, est la même qu’Isis adorée
les Corybantes, ou Curètes. La chèvre Amalthée l’allaita, et les deux
nymphes
Adrastée et Ida, autrement nommées les Mélisses,
, jeune Phrygien ; elle désira se l’attacher ; mais il lui préféra la
nymphe
Sangaride, fille de Sangar, roi de Phrygie. La fa
éesse se vengea d’Atys sur la personne de Sangaride : la vie de cette
nymphe
était attachée au sort d’un arbre ; il fut abattu
attachée au sort d’un arbre ; il fut abattu à coups de coignée, et la
nymphe
périt. Atys, au désespoir, ne put modérer ses fur
nt dans l’île de Crète ; on le cacha dans un antre nommé Dicté ; deux
nymphes
du pays, nommées Adrastée et Ida, autrement appel
; d’Iodamé, Deucalion ; de Carné, fille d’Eubulus, Britamarte ; d’une
nymphe
Sithnide, Mégare ; de Protogénie, Ethlie, père d’
des chevreaux, elle ajoute que, voulant reconnaître les soins que les
nymphes
avaient pris de son enfance, il leur donna une de
. La fable raconte que ce fleuve, devenu rival d’Hercule auprès de la
nymphe
Déjanire, essaya de le combattre, et fut vaincu.
e d’y inviter tous les dieux, tous les hommes et tous les animaux. La
nymphe
Chéloné dédaigna de s’y trouver. Mercure la préci
ition ne corrigea point Junon ; s’étant aperçue que Jupiter aimait la
nymphe
Io, fille d’Inachus et d’Ismène, elle en fit l’ob
elle en fit l’objet de ses vengeances. Jupiter, pour soustraire cette
nymphe
à la connaissance de Junon, la métamorphosa en va
à la main pour retrouver sa fille. Aréthuse, fille de Nérée et de la
nymphe
Doris, avait été métamorphosée en fontaine par Di
Doris, avait été métamorphosée en fontaine par Diane, dont elle était
nymphe
. Cette déesse eut recours à cette métamorphose po
équentes absences, et craignit d’avoir de nouvelles rivales parmi les
nymphes
, ou même parmi les déesses. Elle alla se cacher a
a trop de célébrité pour la taire. Epaphus, fils de Jupiter et de la
nymphe
Io, lui ayant un jour disputé l’honneur d’être fi
l’espoir que le dieu épargnerait ceux qui rendaient cet honneur à la
nymphe
Daphné qu’il avait aimée, et qui avait été métamo
princes grecs qui ont porté le nom d’Apollon, l’un d’eux aima Clytie,
nymphe
de l’Océan ; il l’abandonna pour Leucothoé, fille
jalousie sont terribles et souvent aveugles. Apollon fit périr cette
nymphe
, et s’en repentit trop tard. Il la métamorphosa e
stre ; sous ce rapport, on la nommait Dicté ou Dictynne, du nom d’une
nymphe
qu’elle aimait beaucoup, et qui, la première, inv
n fagot de bois. Sur la terre, Diane présidait à la chasse : Soixante
nymphes
, filles de l’Océan, et vingt autres filles, avaie
Fig. 21.) Diane était regardée comme la déesse de la chasteté. Les
nymphes
de sa suite devaient l’imiter, et les fautes, mêm
pénétra, sans le vouloir, jusqu’à la grotte solitaire où Diane et les
nymphes
de sa suite prenaient le bain : dans l’instant mê
tamorphosa en cerf, et il fut dévoré par ses propres chiens. Calisto,
nymphe
d’Arcadie et favorite de la déesse, ne put éviter
e guide aux nautoniers. Les étoiles qui la composent représentent les
nymphes
qui prirent soin de l’enfance de Jupiter. Diane,
’Adonis. Il était fils de Cinyras, roi de Chypre, et de Myrrha. Cette
nymphe
fut métamorphosée en l’arbre qui porte son nom, a
r voler de fleurs en fleurs, allait remporter la victoire, lorsque la
nymphe
Péristère aida Vénus. L’Amour, piqué de sa défait
nymphe Péristère aida Vénus. L’Amour, piqué de sa défaite, changea la
nymphe
en colombe. Cette fable vient de l’équivoque du m
, se prosterna devant elle, et toutes ne semblèrent plus être que les
nymphes
de sa suite2. Psyché. La fable de Psyché n
ppelait Europe, comme la sœur de Cadmus enlevée par Jupiter. Galatée,
nymphe
marine, fille de Nérée et de Doris, eut le malheu
autres parties de l’univers. Océan avait eu de Téthys soixante-douze
nymphes
, nommées Océanides ; Nérée, cinquante Néréides, d
nt Hésiode rapporte les noms. Le même poëte fait monter le nombre des
nymphes
des eaux jusqu’à trois mille ; et, si l’on ajoute
e et Doris, qui eurent un grand nombre d’enfans connus sous le nom de
nymphes
. Celles qui présidaient aux forêts, aux arbres et
u Ville neuve. Les Sirènes étaient filles du fleuve Achéloüs et de la
nymphe
Calliope. Ovide, dans ses Métamorphoses, dit qu’e
devint l’époux de Pomone. La fable d’Aristée, fils d’Apollon et de la
nymphe
Cyrène, prouve tout le pouvoir de Protée pour se
ied d’Eurydice, et se venge en lui faisant une blessure mortelle. Les
nymphes
, désolées de ce malheur, punirent Aristée en tuan
pommes d’or du jardin des Hespérides, et comme celui de Scylla. Cette
nymphe
, aimée par Neptune, excita la jalousie d’Amphitri
touchés de compassion, les changèrent l’un et l’autre en alcyons.
Nymphes
, Dryades, Hamadryades, Napées, Oréades et Néréide
mer. Celles qui habitaient la terre portaient généralement le nom de
nymphes
. Celles qui gardaient les fleuves et les fontaine
lesquels elles naissaient et mouraient, se nommaient Hamadryades. Les
nymphes
des montagnes s’appelaient Oréades, et celles de
, de l’huile, du miel et quelquefois des chèvres. On croit que le mot
nymphe
vient de lympha, eau, ou du mot phénicien néphas,
coutume de sacrifier aux mânes sous des arbres verts. On chargea les
Nymphes
du soin d’y présider, et l’on juge d’après cela q
ux qui étaient avancés en âge. On les disait fils de Mercure et de la
nymphe
Yptimé, ou fils de Bacchus et de la nymphe Nicéa,
t fils de Mercure et de la nymphe Yptimé, ou fils de Bacchus et de la
nymphe
Nicéa, fille de Sangar. Il paraît que ces bizarre
i les dieux antiques. Les poëtes le disaient fils de Jupiter et de la
nymphe
Calisto, ou fils de Mercure et de Pénélope. On le
que l’on entend. Les poëtes racontent que le dieu Pan aima les trois
nymphes
Écho, Syrinx et Pithys. Écho le rebuta pour s’att
e qu’elle entend. Cette fable est du nombre des allégoriques. Syrinx,
nymphe
d’Arcadie, était de la suite de Diane. Le Dieu Pa
oupa quelques-uns, et en composa sa flûte, qui fut appelée Syrinx. La
nymphe
Pithys fut plus sensible à la tendresse de Pan ;
s. (Fig. 48.) Tantale, roi de Phrygie, était fils de Jupiter et de la
nymphe
Pluto. On rapporte diversement son crime. On dit
r. Danaüs et Égyptus, fils de Bélus, descendaient de Jupiter et de la
nymphe
Io. Égyptus s’empara du royaume qui depuis ce tem
ousa Sangaride. Cybèle le punit de son parjure en faisant périr cette
nymphe
; et peu contente de cette première vengeance, el
upiter. L’infortunée Io fut le principal objet de son courroux. Cette
nymphe
, fille d’Inachus fleuve d’Argolide, était un jour
découvrit Io qui venait d’être métamorphosée en vache. Mais comme la
nymphe
sous cette nouvelle forme conservait encore des c
ne épouse ; et ses vœux se fixèrent sur Amphitrite, fille de l’Océan,
nymphe
d’une admirable beauté. Il la demanda en mariage
père, qui accueillit avec joie un vœu dont il était flatté ; mais la
nymphe
, avant que de rien conclure, voulut voir l’époux
i offrir son intervention et son ministère. Il se rendit auprès de la
nymphe
rebelle, lui vanta les richesses du monarque, la
le ravisseur avait passé dans cet endroit ; elle apprit ensuite de la
nymphe
Aréthuse le nom de cet audacieux amant ; c’était
quelque jeu de son âge ; tantôt il roule un cerceau, badine avec les
nymphes
, poursuit un papillon, et agite son flambeau ; ta
ve Pénée. Le dieu éprouve aussitôt une violente passion pour la belle
nymphe
; et la nymphe, loin de répondre à sa tendresse,
eu éprouve aussitôt une violente passion pour la belle nymphe ; et la
nymphe
, loin de répondre à sa tendresse, prend la fuite
limpide. Diane, fatiguée de ses courses, venait d’y arriver avec les
nymphes
de sa suite pour s’y baigner ; Actéon, qui se pro
pénétrer dans ce même vallon et de s’approcher du même ruisseau. Les
nymphes
entendant du bruit et voyant tressaillir le feuil
t, et à son habit de chasseresse : elle surpasse de toute la tête les
nymphes
de sa cour. La biche lui était consacrée. § 16
Mars de la prison où l’avaient enfermé les géants, porta Bacchus aux
nymphes
de Nysa, accompagna Pluton quand ce dieu enleva P
nde dans l’île de Naxos, et fut porté par Mercure en Arabie, chez les
nymphes
de Nysa, qui le nourrirent dans leurs montagnes.
méritèrent des temples et des autels. A peine eut-elle fini, que les
nymphes
prises pour juges lui décernèrent la victoire. Le
leur victoire sur les filles de Piérus ; tantôt les Doctes Sœurs, les
Nymphes
de la double colline, les Filles de Mémoire, les
une longue paire d’oreilles velues. Sénoé sa nourrice, et les autres
nymphes
arcadiennes, poussèrent, en le voyant, un cri d’h
ire pour l’atteindre, quand les dieux, touchés de l’angoisse de cette
nymphe
, la métamorphosèrent en roseau. Pan interdit et t
des accords pleins d’harmonie. Privé de Syrinx, il voulut plaire à la
nymphe
Pitys ; peut-être en eût-il fait son épouse, sans
appelées terreurs paniques. Faune ou Faunus, fils de Picus et de la
nymphe
Canente, se rendit recommandable aux habitants du
ger. » § 4. Les Dryades et les Oréades. Les Dryades étaient des
nymphes
ou déesses qui présidaient aux arbres et aux bois
arbre avant que les ministres de la religion eussent déclaré que les
nymphes
l’avaient abandonné. On donnait le nom d’Oréades
que les nymphes l’avaient abandonné. On donnait le nom d’Oréades aux
nymphes
des montagnes. Elles composaient le cortége de Di
nourrir de plantes, de châtaignes et de miel. On appelait Napées les
nymphes
qui présidaient aux collines, aux vallons et aux
Cyrène, une des naïades, et d’Apollon. Son éducation fut confiée aux
nymphes
, qui lui enseignèrent à cultiver les oliviers, à
e Eurydice, femme d’Orphée, un serpent caché sous l’herbe piqua cette
nymphe
, et la blessure fut mortelle. Les dieux, pour le
ine d’un grand crime, et que son devoir est d’apaiser le courroux des
nymphes
, sœurs d’Eurydice ; qu’il faut dresser devant la
nt moitié femmes et moitié poissons. § 10. Aréthuse. Aréthuse,
nymphe
d’Élide, fille de Nérée, était attachée au servic
s de sa beauté, s’attachait incessamment à ses pas, mais en vain : la
nymphe
refusait d’écouter ses vœux. Les dieux, voulant m
la fable qu’on vient de lire.) § 11. Les Naïades. C’étaient les
nymphes
qui présidaient aux fleuves, aux rivières et aux
né qu’elle répand dans la fontaine où se baignait Scylla. Cette jeune
nymphe
n’a pas plus tôt mis les pieds dans l’eau, qu’ell
r une de ses cornes, et ne lâcha prise qu’après l’avoir arrachée. Les
Nymphes
la ramassèrent, la remplirent de fleurs et de fru
terre Hylas puiser de l’eau dans un fleuve nommé Ascanius : mais les
nymphes
de ces bords, éprises de la beauté du jeune homme
dre ; les rochers prenaient de la vie et marchaient à lui. Toutes les
nymphes
, admiratrices de son talent, accompagnaient ses p
re devin des temps héroïques, naquit à Thèbes en Béotie : sa mère, la
nymphe
Chariclo, était une des suivantes de Minerve. L’é
s beau, le plus adroit et le plus brave des bergers phrygiens. Œnone,
nymphe
des forêts, l’aima ; elle devint son épouse, et l
nieusement pendu à un gibet. § 4. Achille. Achille, fils de la
nymphe
Thétis et de Pélée, naquit à Phtia, ville de Thes
sauveur. Les vents le poussèrent dans l’île d’Ogygie55, où régnait la
nymphe
Calypso, fille de l’Océan, qui le reçut avec les
obscurité. Cybèle l’avait retenue, et l’avait placée au nombre de ses
nymphes
. Douloureusement affecté de cette perte, Énée se
rs dans la prairie, et à tresser gaiement les couronnes destinées aux
nymphes
, elle ne découvrait plus, dans l’obscurité de la
était l’ami du dieu Pan et de Bacchus. Un jour que Pan, au milieu des
nymphes
, répétait des airs sur sa flûte à sept tuyaux, en
prirent pour arbitre le vieux Tmolus, roi de Lydie ; autour d’eux les
nymphes
et Midas formaient un cercle nombreux et attentif
, décida que la flûte de Pan devait céder à la lyre d’Apollon, et les
nymphes
unanimes applaudirent à ce jugement. Midas seul r
était payée de retour. Mais Polyphème s’était aussi épris de la belle
nymphe
: Polyphème, le plus hideux des cyclopes. Sa haut
t, triste et rêveur, sur le bord de la mer, il aperçut Acis, à qui la
nymphe
semblait promettre un éternel amour. Exaspéré à c
la foudre, et qui est consacré à Jupiter. § 7. Clytie. Clytie,
nymphe
de l’océan, fut aimée d’Apollon, qui l’abandonna
eune homme d’une grande beauté, était fils du fleuve Céphise et de la
nymphe
Liriope. Quand il vint au monde, sa mère consulta
inanition, de mélancolie et d’amour. En descendant des montagnes, les
nymphes
voient Narcisse, qui venait d’expirer, et ne peuv
à Proserpine et aux Euménides. § 10. Égérie. Égérie était une
nymphe
du Latium à laquelle les Romains rendaient un cul
encore barbare, se retirait fréquemment dans les bois qu’habitait la
nymphe
Égérie, lui demandait des avis, et obtenait d’ell
— D’autres ont prétendu que Numa ne feignit des conférences avec une
nymphe
inspirée que pour donner à ses lois une sanction
rière, sa seule nourriture fut l’ambroisie, que lui fournissaient les
nymphes
de Crète. — Cette fable semble signifier qu’ Épim
habitaient ensemble une île voisine du cap Pélore, en Sicile. Quoique
nymphes
des eaux, elles avaient des ailes, avec un visage
ergers, ils virent des Satyres et des Faunes ; dans les bergères, des
Nymphes
; dans les cavaliers, des Centaures ; dans les hé
a beauté… Écho n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. Quoique la
on enfance, et en partagea le soin avec les Hyades, les Heures et les
Nymphes
. Devenu grand, Bacchus conquit les Indes, poliça
etentissent encor. Palès, Faune et Priape, Egipans et Bacchantes,
Nymphes
des eaux, des bois, Satyres, Corybantes, Les flam
Le bruit se fait entendre à mille échos tonnans. Là, folâtre une
Nymphe
, elle court et lutine De cent Amours rians une tr
ieux Silène ; A pas lourds et tardifs, il descend dans la plaine. Les
Nymphes
enlaçans leurs Thyrses en berceau, Ombragent de s
ant plumage. Une vigne féconde embrasse le contour De la grotte où la
Nymphe
a fixé son séjour, Et sous des pampres verts de t
faisoient trembler Les superbes rochers et les vastes campagnes. Les
Nymphes
se cachoient dans leurs bois ténébreux, Les Naïad
nnant, Façonne l’or liquide et l’airain bouillonnant ; Soit qu’à des
Nymphes
d’or, qu’il anime à sa flamme, Son art donne la v
erre tombé Brille, s’élève en pyramides, Et remplit le trésor d’Hébé.
Nymphes
, enlevez vos corbeilles, Allez offrir au Dieu des
En brisant leurs traits odieux. A ces mots elle approche, et ses
Nymphes
timides Portant sans bruit leurs pas vers ces Die
nature, Le vrai gazon est soudain reproduit. Vénus permet à ses
Nymphes
légères De se mêler aux danses des Bergères ; Là,
x différens peuples. Revenue en Sicile après ses inutiles courses, la
Nymphe
Aréthuse lui dit que sa fille avoit été enlevée p
Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir la corbeille, La
Nymphe
hésite sur le choix. Par-tout l’abondance circule
Dieux de ses ancêtres, La Déesse des blés et le Dieu des raisins, Les
Nymphes
des forêts, les Faunes, les Sylvains, Toi sur-tou
Que j’aimerois ton ciel, ton délire et tes jeux ! Le même 102.
Nymphes
, Filles de l’Océan et de Thétys, ou de Néree et
ommoit diversement, d’après le nom du séjour qu’elles habitoient. Les
Nymphes
de la mer s’appeloient Néréides ; celles des fleu
présidoient chacune à un seul arbre.) On donnoit le nom de Napées aux
Nymphes
des bocages et des prairies ; et d’Oréades à cell
Divinités des bois, des campagnes, des eaux, Belles
Nymphes
aux pieds de roses, Qui, sans courber les fleurs,
d’Idalie128. Demi-Dieux Janus, Fils d’Apollon et de la
Nymphe
Créuse. Roi d’Italie avant l’arrivée d’Enée,
. Racine 132. Voyez Ariane. Aristée, Fils d’Apollon et de la
Nymphe
Cyrène. Euridice, femme d’Orphée, avoit touc
de ses noces, lorsqu’elle reçut d’un serpent une piqûre mortelle. Les
Nymphes
, ses compagnes, vengèrent son trépas sur les abei
e entend sa voix au fond de son séjour : Près d’elle en ce moment les
Nymphes
de sa cour Filoient d’un doigt léger des laines v
le bonheur de Mars et ses larcins si doux. Tandis qu’à l’écouter les
Nymphes
attentives Font tourner leurs fuseaux entre leurs
roc toujours frais ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les
Nymphes
sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent pol
et dans ce même jour Vers ces bords fortunés il hâte son retour ; Les
Nymphes
, les Tritons, tous jusqu’au vieux Nérée Respecten
u connois ton destin : Euridice autrefois Accompagnait les chœurs des
Nymphes
de ces bois : Elles vengent sa mort ; toi, fléchi
us beau des Bergers. Daphnis mourut à la fleur de son âge. Toutes les
Nymphes
le pleurèrent, et les Bergers ses amis lui élevèr
Anime les bois, les campagnes, Pan, les Bergers, les
Nymphes
des montagnes. Le troupeau ne craint plus les emb
Roman 137. Achille, Fils de Pélée, Roi de Thessalie, et de la
Nymphe
Thétis. Elève d’un Centaure, et nourri par lu
seaux desséchés s’exhalent dans les airs : Et, les cheveux épars, ses
Nymphes
vagabondes Cherchèrent vainement et leurs lacs et
ant, et lava dans son onde Son visage et son sein à demi consumé. Les
Nymphes
, recueillant son reste inanimé, Lui dressent, sur
s, je te suis. Voltaire 168. Tantale, Fils de Jupiter et de la
Nymphe
Plota. Il étoit Roi de Phrygie ou de Corinth
t n’osoient s’agiter, Les échos admiroient et n’osoient répéter : Les
Nymphes
, les Sylvains, formant d’aimables danses, Suivoie
se frappe, tombe, et meurt sur son amant. Sensibles à leurs feux, les
Nymphes
les plaignirent ; Et les fruits du mûrier de leur
pour toi. Lefranc 177. Thétis, Fille de Nérée et de Doris.
Nymphe
d’une beauté ravissante. Jupiter lui-même l’eût é
s jours… Blin de Sainmore 178. Circé, Fille du Soleil et de la
Nymphe
Persa. Enchanteresse cruelle, voluptueuse et
que les fleurs réceloient sur ses pas : La mort ferma ses yeux ; les
Nymphes
, ses compagnes De leurs cris douloureux rempliren
au P. de Ligne 200. Narcisse, Fils du fleuve Céphise, et de la
Nymphe
Lyriope. Les Dieux l’avoient formé si beau,
l’avoient formé si beau, qu’il étoit l’objet de l’amour de toutes les
Nymphes
; mais il ne fut sensible pour aucune d’elles. Ti
r et te plaire ? Ma jeunesse, pour toi, n’est-elle d’aucun prix ? Des
Nymphes
ont aimé l’objet des tes mépris. Que dis-je ? J’e
ant un jour dans un vallon, il regarda Diane qui se baignoit avec ses
Nymphes
dans les eaux d’une claire fontaine. La chaste Dé
aime à baigner ses pudiques attraits. Ce jour même elle y vint : une
Nymphe
empressée A déjà détaché sa robe retroussée ; L’a
ine est-il entré sous cette grotte humide, Son aspect fait frémir les
Nymphes
, et leur voix Frappe d’un cri soudain les rochers
d’un cri soudain les rochers et les bois. La Déesse, au milieu de ses
Nymphes
fidelles, Majestueuse encor, s’élève au dessus d’
Alphée et Aréthuse, Fille de Nérée et de Doris. Aréthuse,
nymphe
et compagne de Diane, préféroit, comme la Déesse,
f. Il le changea ensuite en un fleuve qu’il nomma Marsyas, et que les
Nymphes
désolées de son triste sort, grossirent de leurs
tes des bois, des monts et des vergers, Les Faunes, les Sylvains, les
Nymphes
, les Bergers, Les Satyres sur-tout à l’envi le pl
Et nos cœurs à jamais vont être réunis. Lemonnier 213. Syrinx,
Nymphe
d’Arcadie. Poursuivie par le Dieu Pan, dont
rrière profonde, Elle invoque à grands cris les Déités de l’Onde. Les
Nymphes
à sa voix transforment ses appas. Au moment où le
eille attentive : Ces soupirs si touchans des joncs harmonieux, De la
Nymphe
pour lui sont les derniers adieux. A te perdre, ô
que vous. Dumas 219. Echo, Fille de l’Air et de la Terre.
Nymphe
qui se plaisoit aux bords du fleuve Céphise. Elle
e Déesse par des contes agréables, pendant que Jupiter étoit avec ses
Nymphes
. Junon indignée la condamna à ne répéter que la d
unir deux printemps, Doué de tous les dons d’une mâle jeunesse. Mille
Nymphes
déjà disputoient sa tendresse. Mais si ses traits
ient tant de beauté, Son cœur farouche avoit encor plus de fierté. La
Nymphe
qui jamais ne parle la première. Et répète toujou
la syllabe dernière. Echo le vit un jour errer au fond d’un bois. La
Nymphe
étoit alors plus qu’une simple voix. Dans l’âge d
ester moi-même Si quelque jour je t’aime. Echo redit : Je t’aime ! La
Nymphe
, au désespoir, la rougeur sur le front, S’échappe
eaux vallons du Tmole, Pour elle, désertant les rives du Pactole, Les
Nymphes
des vergers, les Nymphes des côteaux Admiroient,
ur elle, désertant les rives du Pactole, Les Nymphes des vergers, les
Nymphes
des côteaux Admiroient, à l’envi, son art et ses
?… La voici, Reprend Pallas, qui change et se montre Immortelle. Les
Nymphes
d’alentour s’inclinent devant elle. Seule, Arachn
ri dans ses yeux la source de ses pleurs. Dorat 223. Dryope.
Nymphe
d’Arcadie, aimée de Mercure. Tenant un jour dans
r. Hélas ! l’infortunée Etoit loin de prévoir sa triste destinée. Aux
Nymphes
de ces bords (ô regrets ! ô douleurs !) Elle veno
rompue. De Priape autrefois, si l’histoire en est crue, Lotos,
Nymphe
champêtre, évita le larcin, Et d’écorce, en fuyan
e épaisseur des ormes et des hêtres, Les Faunes, les Sylvains, ou les
Nymphes
champêtres, Ne vont point accorder, aux accens de
eu tient sa cour et gouverne en repos, Et les eaux de son lit, et les
Nymphes
des eaux. Les fleuves des pays voisins ou tri
s replis ondoyans ; Les Sylvains couronnés de rameaux verdoyans ; Les
Nymphes
, qui sans art, les mains entrelacées, Dansoient a
an, par son souffle animant le haut-bois, Appelle les Sylvains et les
Nymphes
des bois. Tel, sur le Mont Ismare ou sur le Mont
e la voit, il rougit : On la respecte ; elle est contente. Il est des
Nymphes
opulentes ; Mais, hélas ! on sait à quel prix : C
re à la fois, Ses hameaux, ses cités, ses fleuves et ses bois. Et les
Nymphes
de l’onde, et les Dieux du bocage. Au-dessus lui
on enfance, et en partagea le soin avec les Hyades, les Heures et les
Nymphes
. Devenu grand, Bacchus conquit les Indes, poliça
milieu des flammes, Bacchus Reçut, comme on sait, la naissance : Des
Nymphes
tous les cœurs émus Eurent pitié de son enfance ;
etentissent encor. Palès, Faune et Priape, Egipans et Bacchantes,
Nymphes
des eaux, des bois, Satyres, Corybantes, Les flam
Le bruit se fait entendre à mille échos tonnans. Là, folâtre une
Nymphe
, elle court et lutine De cent Amours rians une tr
ieux Silène ; A pas lourds et tardifs, il descend dans la plaine. Les
Nymphes
enlaçans leurs Thyrses en berceau, Ombragent de s
ant plumage. Une vigne féconde embrasse le contour De la grotte où la
Nymphe
a fixé son séjour, Et sous des pampres verts de t
faisaient trembler Les superbes rochers et les vastes campagnes. Les
Nymphes
se cachaient dans leurs bois ténébreux, Les Naïad
onnant, Façonne l’or liquide et l’airain bouillonnant ; Soit qu’à des
Nymphes
d’or, qu’il anime à sa flamme, Son art donne la v
erre tombé Brille, s’élève en pyramides, Et remplit le trésor d’Hébé.
Nymphes
, enlevez vos corbeilles, Allez offrir au Dieu des
En brisant leurs traits odieux. A ces mots elle approche, et ses
nymphes
timides Portant sans bruit leurs pas vers ces Die
a nature, Le vrai gazon est soudain reproduit. Vénus permet à ses
nymphes
légères De se mêler aux danses des Bergères ; Là,
x différens peuples. Revenue en Sicile après ses inutiles courses, la
Nymphe
Aréthuse lui dit que sa fille avait été enlevée p
Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir la corbeille, La
Nymphe
hésite sur le choix. Par-tout l’abondance circule
Dieux de ses ancêtres, La Déesse des blés et le Dieu des raisins, Les
Nymphes
des forêts, les Faunes, les Sylvains, Toi sur-tou
pprécier les faveurs de Palès. Palissot 83. Flore, C’était la
Nymphe
Chloris. Zéphyre épris de sa beauté fraîche et ve
foule en paix les voûtes éternelles. Ovide. — Desaintange.105
Nymphes
, Filles de l’Océan et de Thétys, ou de Nérée et
ommait diversement, d’après le nom du séjour qu’elles habitaient. Les
Nymphes
de la mer s’appelaient Néréides ; celles des fleu
présidaient chacune à un seul arbre.) On donnait le nom de Napées aux
Nymphes
des bocages et des prairies ; et d’Oréades à cell
vin. Divinités des bois, des campagnes, des eaux, Belles
Nymphes
aux pieds de roses, Qui, sans courber les fleurs,
ux d’Idalie131. Demi-Dieux. Janus, Fils d’Apollon et de la
Nymphe
Créuse. Roi d’Italie avant l’arrivée d’Enée,
e. Racine 136. Voyez Ariane . Aristée, Fils d’Apollon et de la
Nymphe
Cyrène. Euridice, femme d’Orphée, avait touc
de ses noces, lorsqu’elle reçut d’un serpent une piqûre mortelle. Les
Nymphes
, ses compagnes, vengèrent son trépas sur les abei
e entend sa voix au fond de son séjour : Près d’elle en ce moment les
Nymphes
de sa cour Filaient d’un doigt léger des laines v
le bonheur de Mars et ses larcins si doux. Tandis qu’à l’écouter les
Nymphes
attentives Font tourner leurs fuseaux entre leurs
roc toujours frais ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les
Nymphes
sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent pou
et dans ce même jour Vers ces bords fortunés il hâte son retour ; Les
Nymphes
, les Tritons, tous jusqu’au vieux Nérée Respecten
u connais ton destin : Euridice autrefois Accompagnait les chœurs des
Nymphes
de ces bois : Elles vengent sa mort ; toi, fléchi
us beau des Bergers. Daphnis mourut à la fleur de son âge. Toutes les
Nymphes
le pleurèrent, et les Bergers ses amis lui élevèr
joyeux Anime les bois, les campagnes, Pan, les Bergers, les
Nymphes
des montagnes. Le troupeau ne craint plus les emb
— Roman 142. Achille, Fils de Pélée, Roi de Thessalie, et de la
Nymphe
Thétis. Elève d’un Centaure, et nourri par lu
vec sa compagne. Ils adorent tous deux les Dieux de la montagne : Aux
nymphes
de Coryce, à la sage Thémis, Ils offrent d’humble
en sables déserts se dessécher ses champs ; Et les cheveux épars, ses
nymphes
vagabondes S’enfuirent en pleurant la perte de le
urces, des ruisseaux le cours est effacé, Thèbes cherche sa source, ô
nymphe
de Dircé ! Argos cherche Amimome, et Corinthe, Pi
ns, je te suis. Voltaire 168. Tantale, Fils de Jupiter et de la
Nymphe
Plota. Il était Roi de Phrygie ou de Corinth
t n’osaient s’agiter, Les échos admiraient et n’osaient répéter : Les
Nymphes
, les Sylvains, formant d’aimables danses, Suivaie
pour toi. Lefranc 178. Thétis, Fille de Nérée et de Doris.
Nymphe
d’une beauté ravissante. Jupiter lui-même l’eût é
rniers jours… Blin de Sainmore. Circé, Fille du Soleil et de la
Nymphe
Persa. Enchanteresse cruelle, voluptueuse et
que les fleurs recelaient sur ses pas : La mort ferma ses yeux ; les
Nymphes
, ses compagnes De leurs cris douloureux rempliren
. — Desaintange 195. Narcisse, Fils du fleuve Céphise, et de la
Nymphe
Lyriope. Les Dieux l’avaient formé si beau,
l’avaient formé si beau, qu’il était l’objet de l’amour de toutes les
Nymphes
; mais il ne fut sensible pour aucune d’elles. Ti
r et te plaire ? Ma jeunesse, pour toi, n’est-elle d’aucun prix ? Des
Nymphes
ont aimé l’objet de tes mépris. Que dis-je ? J’en
ant un jour dans un vallon, il regarda Diane qui se baignait avec ses
Nymphes
dans les eaux d’une claire fontaine. La chaste Dé
aime à baigner ses modestes attraits. Elle vient sous la grotte : une
Nymphe
empressée A déjà détaché sa robe retroussée. Une
ine est-il entré sous cette grotte humide, Son aspect fait frémir les
Nymphes
, et leur voix Frappe d’un cri soudain les rochers
d’un cri soudain les rochers et les bois. La Déesse, au milieu de ses
Nymphes
fidelles, Majestueuse encor, s’élève au-dessus d’
. Alphée et Aréthuse, Fille de Nérée et de Doris. Aréthuse,
Nymphe
et compagne de Diane, préférait, comme la Déesse,
f. Il le changea ensuite en un fleuve qu’il nomma Marsyas, et que les
Nymphes
désolées de son triste sort, grossirent de leurs
s palpitantes. Les demi-dieux des bois, des monts et des vergers, Les
Nymphes
, les Sylvains, les Faunes, les Bergers, Les Satyr
moitié de ta victime. (Elle se précipite.) Arnault 206. Syrinx,
Nymphe
d’Arcadie. Poursuivie par le Dieu Pan, dont
èle, c’est l’Amour212. Écho, Fille de l’Air et de la Terre.
Nymphe
qui se plaisait aux bords du fleuve Céphise. Elle
e Déesse par des contes agréables, pendant que Jupiter était avec ses
Nymphes
. Junon indignée la condamna à ne répéter que la d
ivis de deux printems, Avaient développé la fleur de sa jeunesse. Des
Nymphes
à l’envi disputaient sa tendresse. Mais si ses tr
ent tant de beauté, Son cœur farouche avait encore plus de fierté. La
Nymphe
qui jamais ne parle la première, Et répète toujou
la parole dernière, Echo voit le chasseur errer au fond des bois. La
Nymphe
était alors plus qu’une simple voix. Dans l’âge d
ester moi-même, Si quelque jour je t’aime.… Echo redit, je t’aime. La
Nymphe
au fond des bois, la rougeur sur le front, S’enfo
erts coteaux du Tmole, Pour elle, désertant les rives du Pactole, Les
Nymphes
des vallons et les Nymphes des eaux Admiraient à
elle, désertant les rives du Pactole, Les Nymphes des vallons et les
Nymphes
des eaux Admiraient à l’envi son art et ses trava
tre ? La voici, Reprend soudain Pallas, sous sa forme immortelle. Les
Nymphes
par respect s’inclinent devant elle : Mais Arachn
ne tarit point le cours. Ovide. — Desaintange 216. Dryope.
Nymphe
d’Arcadie, aimée de Mercure. Tenant un jour dans
n’avions qu’un père) Dryope, par sa grâce et ses aimables traits, Des
Nymphes
d’Œchalie effaça les attraits. Apollon sans l’aim
: hélas ! l’infortunée Etait loin de prévoir sa triste destinée. Aux
Nymphes
de ces bords, ô regrets ! ô douleurs ! Elle venai
e épaisseur des ormes et des hêtres, Les Faunes, les Sylvains, ou les
Nymphes
champêtres, Ne vont point accorder, aux accens de
u tient sa cour, et gouverne en repos, Et les eaux de son lit, et les
Nymphes
des eaux. Ovide. — Desaintange 228. Tempé,
s replis ondoyans ; Les Sylvains couronnés de rameaux verdoyans ; Les
Nymphes
, qui sans art, les mains entrelacées, Dansaient a
an, par son souffle animant le haut-bois, Appelle les Sylvains et les
Nymphes
des bois. Tel, sur le Mont Ismare ou sur le Mont
e la voit, il rougit : On la respecte ; elle est contente. Il est des
Nymphes
opulentes ; Mais, hélas ! on sait à quel prix : C
Ici, les bergers sont des satyres, ou des faunes ; les bergères, des
nymphes
; les hommes à cheval, des centaures ; les vaisse
es flots. Écho n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
nymphe
en pleurs, qui se plaint de Narcisse. Ainsi, dans
des bons offices qu’il en avoit reçus. Il donna une de ses cornes aux
nymphes
qui avoient pris soin de son enfance, avec la ver
na le jour à Bacchus. Il emprunta les traits de Diane pour tromper la
nymphe
Calisto, qui mit au monde Arcas. Enfin, il se fit
ne d’Enna, en Sicile. Il l’enleva, malgré les vives oppositions de la
nymphe
Cyanè, qu’il changea en fontaine. Le dieu, ayant
tolème, fils de ce prince ; elle continua son voyage, et rencontra la
nymphe
Aréthuse, qui lui apprit que Proserpine étoit aux
crets, On ne peut voir ensemble et la Faim et Cérès, Elle appelle une
nymphe
, Oréade légère, Et l’instruit en ces mots à servi
la fatigue : Prends mon char, mes dragons, et vole sur les vents. La
nymphe
prend le char et les dragons volants, S’élève dan
longent au-dehors, Grossis par la maigreur qui dessèche son corps. La
nymphe
, en lui parlant, n’ose s’approcher d’elle, Et lui
Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir sa corbeille, La
nymphe
hésite sur le choix. Par-tout l’abondance circule
particulièrement Amphitrite. R. Elle étoit fille de l’Océan et de la
nymphe
Doris. Comme elle avoit formé le projet de ne poi
mère d’Amphitrite, et Téthys, qui donna le jour à un grand nombre de
nymphes
appelées Océanitides ou Océanides, du nom de leur
emble et donnèrent naissance à cinquante filles appelées Néréides, ou
nymphes
de la mer. Elles ont le corps terminé en poisson,
oisson, depuis la ceinture. D. Les anciens ne donnèrent-ils le nom de
nymphes
qu’aux déesses de la mer ? R. Ils appelèrent nym
t-ils le nom de nymphes qu’aux déesses de la mer ? R. Ils appelèrent
nymphes
plusieurs autres déesses, auxquelles ils donnèren
culiers, suivant les différents emplois qu’ils leur attribuoient. Les
nymphes
des fleuves et des fontaines furent nommées Naïad
ades. On les représente appuyées sur une urne d’où sort de l’eau. Les
nymphes
des bois et des forêts furent appelées Dryades, e
orêts furent appelées Dryades, et l’on donna le nom d’Hamadryades aux
nymphes
que l’on croyoit naître et mourir avec les chênes
es aux nymphes que l’on croyoit naître et mourir avec les chênes. Les
nymphes
des vallons et des prairies furent nommées Napées
beauté, que Jupiter voulut l’épouser. Mais Prométhée prédit que cette
nymphe
mettroit au monde un fils qui seroit plus illustr
Scylla et de Charybde ? R. Scylla, fille de Phorcys, étoit une belle
nymphe
qui fut aimée de Glaucus. Mais Circé, par jalousi
oisonna la fontaine où Scylla avoit coutume de se baigner. A peine la
nymphe
y fut-elle entrée, qu’elle se vit changée en un m
Coronis, voulut se venger de l’insulte qu’Apollon avoit faite a cette
nymphe
; il alla mettre le feu au temple de Delphes. Apo
a beauté et des amours, étoit fille de Jupiter et de Dioné, l’une des
nymphes
de la mer. D’autres prétendent qu’elle fut formée
it transporter dans un palais somptueux, où elle étoit servie par des
nymphes
invisibles. Il venoit la visiter pendant la nuit,
, sa tante, qui l’éleva avec le secours des Hyades, des Heures et des
Nymphes
. Il fut ensuite instruit par les Muses, et par Si
fre à la fois Ses hameaux, ses cités, ses fleuves et ses bois, Et les
nymphes
de l’onde, et les dieux du bocage. Au-dessus luit
es chasseurs. Elle habitoit les bois et les forêts avec une troupe de
nymphes
qu’elle occupoit toujours à la chasse. On l’appel
e est regardée comme divinité céleste. D. Comment Diane punit-elle la
nymphe
Calisto ? R. Calisto, fille de Lycaon, étoit la
punit-elle la nymphe Calisto ? R. Calisto, fille de Lycaon, étoit la
nymphe
la plus chérie de Diane. Jupiter en devint amoure
r en devint amoureux, et prit la figure de Diane même pour tromper la
nymphe
trop crédule. La déesse, ayant connu la faute de
gine de cette flûte. R. Syrinx, fille du fleuve Ladon, étoit une des
nymphes
de Diane. Pan l’aima inutilement. Syrinx, fuyant
dieux de ses ancêtres, La déesse des blés et le dieu des raisins, Les
nymphes
des forêts, les faunes, les sylvains, Toi, sur-to
erre tombé Brille, s’élève en pyramides, Et remplit le trésor d’Hébé.
Nymphes
, enlevez vos corbeilles, Allez offrir au dieu des
n. ( Ovide, trad. libre.) Echo. D. Racontez les malheurs de la
nymphe
Echo. R. Echo étoit fille de l’Air et de la Terr
ho étoit fille de l’Air et de la Terre. Junon, piquée de ce que cette
nymphe
l’avoit amusée par des discours adroits, et l’avo
e entendroit dire. Echo devint amoureuse du beau Narcisse, fils de la
nymphe
Lyriope et du fleuve Céphise. Mais Narcisse la mé
nt Narcisse fut-il puni de son indifférence ? R. Les compagnes de la
nymphe
Echo prièrent l’Amour de venger leur sœur, des mé
i Esculape étoit-il fils ? R. Esculape étoit fils d’Apollon et de la
nymphe
Coronis. Il passe pour l’inventeur et le dieu de
es-nous connoître Aristée ? R. Aristée étoit fils d’Apollon et de la
nymphe
Cyrène. Il aimoit Eurydice qui, fuyant ses poursu
oces avec Orphée, fut piquée d’un serpent et mourut sur le champ. Les
nymphes
, pour venger leur compagne, tuèrent toutes les ab
entend sa voix au fond de son séjour : Près d’elle, en ce moment, les
nymphes
de sa cour Filoient d’un doigt léger des laines v
roc toujours frais. Sa mère en l’écoutant sourit, et le rassure ; Les
nymphes
sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent pou
dans ce même jour, Vers ces bords fortunés, il hâte son retour : Les
Nymphes
, les Tritons, touts, jusqu’au vieux Nérée, Respec
t que les fleurs recéloient sous ses pas. La mort ferma ses yeux, les
nymphes
ses compagnes, De leurs cris douloureux rempliren
Tu connois ton destin. Eurydice autrefois Accompagnoit les chœurs des
nymphes
de ces bois : Elles vengent sa mort ; toi, fléchi
Polyphème ? R ; Polyphème, malgré sa férocité, devint amoureux de la
nymphe
Galatée, éprise elle-même du berger Acis. Polyphè
latée se jeta dans la mer, et rejoignit les Néréides ses sœurs. Cette
nymphe
parle ainsi, dans Ovide : O Vénus ! quelle est d
agea de l’empire dont l’avoit privé la fortune. Il se fit aimer de la
nymphe
Œnone, et l’épousa. D. Quel événement vint troubl
celui des enfers. Les montagnes, les bois, les fontaines eurent leurs
Nymphes
, leurs Faunes, leurs naïades. On déifia les homme
s flots ; Echo n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse Boileau.
ris dont ils accompagnaient leurs danses. Jupiter fut nourri par deux
Nymphes
appelées Mélisses (mot grec qui signifie mouches
ue cette chèvre s’étant un jour cassé une corne, Jupiter la donna aux
Nymphes
qui avaient pris soin de son enfance, en lui attr
du ciel et de la terre y furent invitées, et s’y rendirent. Une seule
nymphe
, appelée Cheloné, y manqua, et reçut le juste châ
njugal, stimula sa jalousie ; il geignit de vouloir épouser une jeune
nymphe
nommée Platée, fille du fleuve Asope. Cet artific
elle se vengeait cruellement. Un jour, il métamorphosa en génisse la
nymphe
Io, pour la soustraire à ses soupçons. Junon la f
ollon fut suivie de cruelles disgrâces. Un fils, qu’il avait eu de la
nymphe
Coronis, Esculape, auquel il avait enseigné la mé
du deuil et l’ornement des tombeaux. Il changea encore en laurier la
nymphe
Daphné, qui, pour échapper à sa poursuite, se réf
ion pour le mariage. Son père lui donna un nombreux cortége de jeunes
Nymphes
, vierges comme elle, et la chargea de présider à
n ; un chien est à ses côtés. Quelquefois elle est accompagnée de ses
Nymphes
, armées comme elle ; mais elle les dépasse de tou
propos de les expliquer ici. 43. Callisto. Callisto, l’une des
Nymphes
qui accompagnaient la déesse de la chasse, inspir
er une fille appelée Proserpine. Un jour que celle-ci jouait avec les
Nymphes
dans les plaines d’Enna, en Sicile, le terrible d
oile de Proserpine près de la fontaine de Cyané. Là elle apprit de la
nymphe
Aréthuse que sa fille était devenue l’épouse de P
mains d’Ino, sa tante, qui l’éleva avec le secours des Heures et des
Nymphes
. Quand il fut en âge d’être instruit, on le confi
, fils de Mercure et de la Terre, ou, selon d’autres, de Pan et d’une
nymphe
. Silène s’était rendu agréable aux dieux par son
terre. Palès. – Flore. — Pomone. — Priape. — Pan. Terme. — Sylvain. —
Nymphes
. Lares. – Pénates. 65. Palès. — Flore. Le
vinités champêtres, semblables à Pan, et, comme lui, la terreur35 des
Nymphes
, moins à cause de leur laideur que de leurs mœurs
e. Il inventa la flûte à sept tuyaux et la nomma Syrinx, du nom d’une
nymphe
qui fut métamorphosée en roseau, au moment où ell
t plus décents. Il avait à Rome un temple sur le mont Viminal. 69.
Nymphes
. On donnait ce nom aux jeunes filles issues du
ine révolution d’années. L’univers était peuplé de ces divinités. Les
Nymphes
qui habitaient la terre prenaient différents noms
rêts leurs Dryades et leurs Hamadryades. La destinée de ces dernières
Nymphes
était attachée à l’arbre qu’elles protégeaient ;
que le dieu Terme, que Sylvain ? 69. Enumérez les diverses espèces de
Nymphes
. 70. Qu’étaient les Lares, les Pénates, les Mânes
n épousa Téthys36 sa sœur. De cette union naquirent les Océanides, ou
Nymphes
de la mer, au nombre de plus de trois mille. Les
ssance à cinquante filles, appelées Néréides, et révérées aussi comme
Nymphes
de la mer. Nérée est représenté sous les traits d
ois des guirlandes de fleurs. Il est naturel de croire que toutes ces
Nymphes
, Néréides et Océanides, ne sont autre chose que l
à Ménélas ce que ce prince désirait savoir. Orphée allait épouser la
nymphe
Eurydice ; le berger Aristée, fils d’Apollon et d
serpent caché dans l’herbe, et succombe à une blessure mortelle. Les
Nymphes
, pour venger sa mort, font périr les abeilles d’A
ommes d’or du jardin des Hespérides, Thoosa, mère de Polyphème, et la
nymphe
Scylla. Celle-ci, victime de la jalousie de la ma
en un gouffre qui porte son nom. 79. Les Sirènes. Les Sirènes,
Nymphes
célèbres par la douceur enchanteresse de leur voi
abandonna en Mysie, pour aller à la recherche du jeune Hylas, que les
Nymphes
avaient enlevé, tandis qu’il puisait de l’eau à u
che, symbole des phases de la lune. Les Grecs la confondaient avec la
nymphe
Io, qui fut métamorphosée en génisse (n° 28) ; il
ris ; orcus. 55. Les Hespèrides, filles d’Hespérus, étaient trois
nymphes
auxquelles était confiée la garde des pommes d’or
lui donna une place dans les cieux ; une de sescornes qu’il donna aux
nymphes
qui avaient pris soin de son enfance avait le don
qui l’a fait honorer comme le dieu des bergers. Il devint épris de la
nymphe
Daphné qui, pour éviter ses poursuites, invoqua s
e, et elle habitait constamment les bois, accompagnée d’une troupe de
nymphes
qui la suivaient sans cesse. On la considère auss
t de la Terre ; suivant d’autres, elle doit le jour à Jupiter et à la
nymphe
Dionée ; la plupart prétendent qu’elle fut formée
âce auprès de Jupiter, il épousa Amphitrite, fille de l’Océan ; cette
nymphe
montra d’abord une grande répugnance pour le maît
fin Cérès, qui avait vainement parcouru le monde entier, apprit de la
nymphe
Aréthuse que Proserpine partageait le trône de Pl
, que l’on attribue à Pan. Plus tard il fut sur le point d’épouser la
nymphe
Pitys ; mais Borée, qui aspirait aussi à sa main,
e occasion inventa-t-il la flûte pastorale ? — Quel fut le sort de la
nymphe
Pitys qu’il voulait épouser ? — Ne se distingua-t
consacré, soit parce qu’il le cultiva le premier, soit à cause de la
nymphe
Cyparisse qu’il devait épouser, et qui fut métamo
ut-on reconnaître Silène ? Flore. Flore n’était d’abord que la
nymphe
Chloris, qui épousa Zéphire, et à qui ce Dieu don
ne ? — Sous quels traits représente-t-on Vertumne ? — Et Pomone ?
Nymphes
champêtres. Les Dryades et les Hamadryades éta
Nymphes champêtres. Les Dryades et les Hamadryades étaient des
nymphes
qui présidaient aux bois et principalement à la c
rêtres accomplissaient. Il y avait encore les Napées, qui étaient les
nymphes
des bocages et des prairies ; et les Oréades, cel
es ? — Et celles des Hamadryades ? — N’y avait-il pas encore d’autres
nymphes
champêtres ? Terme. Le Dieu Terme présidai
ette union donna naissance à un nombre considérable de filles nommées
nymphes
, et aux divinités des fleuves, des rivières et de
Téthys. Téthys37 fut l’épouse de l’Océan et la mère de toutes les
nymphes
Océanides. On la représente ordinairement sur un
u marin qui épousa Doris, dont il eut cinquante filles qui furent les
nymphes
de la mer. Nérée était célèbre pour sa bonté, sa
des ou filles de Nérée étaient au nombre de cinquante ; c’étaient les
nymphes
de la mer. Les plus connues sont : Calypso, qui d
sentées ? Naïades. Les Naïades, filles de Jupiter, étaient les
nymphes
qui présidaient aux fleuves, aux rivières et aux
irènes, filles du fleuve Achéloüs et de la muse Calliope, étaient des
nymphes
qui accompagnaient Proserpine lorsqu’elle fut enl
ités maritimes, qui l’admirent parmi elles. Glaucus devait épouser la
nymphe
Scylla ; mais la magicienne Circé, jalouse de leu
est l’histoire de Glaucus ? — Ne fut-il pas sur le point d’épouser la
nymphe
Scylla ? — Comment le représente-t-on ? Trito
ncs de sable ; enfin Hercule, qui, ayant perdu son ami Hylas, que les
nymphes
avaient entraîné au fond des eaux, ne voulut pas
oubliaient en l’entendant leur férocité naturelle. Il avait épousé la
nymphe
Eurydice, mais peu de jours après son mariage ell
sa première jeunesse, de ses grossiers compagnons ; il épousa Œnone,
nymphe
des forêts, et fut choisi par l’Olympe pour adjug
Ici, les Bergers sont des Satyres ou des Faunes, et les Bergères des
Nymphes
; les hommes à cheval, des Centaures ; les vaisse
es flots. Echo n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
Nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. Ainsi, dans
des bons offices qu’il en avoit reçus. Il donna une de ses cornes aux
Nymphes
qui avoient pris soin de sou enfance, avec la ver
es chasseurs. Elle habitoit les bois et les forêts avec une troupe de
Nymphes
qu’elle occupoit toujours à la chasse. On l’appel
ensemble, et eurent un grand nombre de filles, connues sous le nom de
Nymphes
. Nymphes. D. Quels sont les noms de ces Nym
eurent un grand nombre de filles, connues sous le nom de Nymphes.
Nymphes
. D. Quels sont les noms de ces Nymphes ? R. El
sous le nom de Nymphes. Nymphes. D. Quels sont les noms de ces
Nymphes
? R. Elles portent différens Noms selon la différ
rens Noms selon la différence de leurs emplois. Les Néréides sont les
Nymphes
de la mer ; Les Naïades, celles des fleuves, des
taines ; Les Dryades, celles des campagnes ; Les Hamadryades sont les
Nymphes
des forêts ; les Napées, celles des bocages et de
rtège. On représentoit Sylvain avec un cyprès à la main, parce que la
Nymphe
Cyparis, sa maîtresse, avoit été changée en arbre
n arbre par Apollon. Echo. D. Qu’étoit Echo ? R. Echo étoit une
Nymphe
, fille de l’Air et de la Terre, qui répétoit les
égone. Le célèbre Rousseau décrit ainsi les fureurs magiques de cette
Nymphe
: Sur un autel sanglant l’affreux bûcher s’allum
et aborda dans l’île de Calypso. Il court de nouveaux dangers. Cette
Nymphe
mit tout en usage pour le retenir, et lui promit
te. Diane le ressuscita sous le nom de Virbius, et lui fit épouser la
Nymphe
Aricie. Phèdre s’empoisonna ; les sujets de Thésé
a de ses compagnons pour aller puiser de l’eau dans une fontaine, des
Nymphes
l’enlevèrent. Hercule, inconsolable de sa perte n
, fils de l’Océan et de la Terre, et père des Syrènes et de plusieurs
Nymphes
, prit diverses formes en combattant Hercule ; éta
». Aristée. Apollon enleva sur le mont Pélion en Lybie, la
nymphe
Cyrène fille d’Hyséus, il eut d’elle Aristée, dan
t d’elle Aristée, dans la contrée appelée depuis Cyrène, du nom de la
Nymphe
. Apollon confia sa première éducation aux Nymphes
Cyrène, du nom de la Nymphe. Apollon confia sa première éducation aux
Nymphes
, ensuite il le mit dans les mains de Chiron, inst
e fut piquée par un serpent en fuyant, et mourut de cette piqûre. Les
Nymphes
tuèrent toutes les abeilles d’Aristée ; par le co
uittèrent les Argonautes, pour aller chercher le jeune Hylas, que des
nymphes
avoient enlevé, tandis qu’il puisoit de l’eau dan
nspira au Dieu Pan une passion aussi violente que malheureuse pour la
Nymphe
Écho. Un autre Achille eut pour tout droit à la c
ssance, la plaça dans le Ciel. Il fit présent d’une de ses cornes aux
Nymphes
qui avoient pris soin de son enfance, en donnant
s se mettoient en deuil et se couronnoient d’aches. 17. Iunx fut une
Nymphe
, fille d’Echo et de Pan. Junon croyant que par se
de serpents le bras des pâles Furies. Numa le légiste va consulter la
nymphe
Égérie dans le silence du bois sacré d’Aricie, et
auté et de l’harmonie qui en résulte. Nous voilà déjà bien loin de la
nymphe
Égérie ; revenons-y sans transition. Le poétique
uire : O dieu dont la flûte, à peine entendue, Fait pâlir au bois la
nymphe
éperdue, Descends des hauteurs, Faune aux pieds l
nait la mort. Bons petits dieux des champs, Pans, Satyres et Faunes,
Nymphes
, qui palpitiez sous l’écorce des aulnes, Vous qu’
mps, qu’êtes-vous devenus ? Êtes-vous morts, hardis pourchasseurs de
nymphes
? Non, vous avez fait souche. On trouve encore au
Conti me parut lors mille fois plus légère Que ne dansent au bois la
nymphe
et la bergère ; L’herbe l’aurait portée, une fleu
jeune fat qui s’aimait trop pour aimer autre chose que lui-même. Une
nymphe
en devint amoureuse (voyez la folie des femmes !)
es flots. Écho n’est plus un son qui dans l’air retentisse, C’est une
nymphe
en pleurs qui se plaint de Narcisse. [Boileau] D
tence souterraine, s’élance tout à coup à la lumière : de larve et de
nymphe
, il est devenu insecte ailé. La grenouille, la sa
t entrevu le ventre écailleux du monstre sous la belle poitrine de la
nymphe
; aussi le Grec, qui connaissait bien les hommes
dromède, irrita les Néréides, en prétendant les égaler en beauté. Les
nymphes
étendirent leur courroux sur tout le pays. On eut
e céleste à leurs lois. Zoroastre avait son génie ; Numa Pompilius sa
nymphe
Égérie. Pythagore publia qu’il était descendu dan
ent Eschinades. La fable, pour peindre leur origine, rapporta que des
nymphes
de ce nom ayant oublié Achéloüs dans un de leurs
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