/ 23
1 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
r avec le Jour : Thalassa ou Thétys, femme de Pontos ou l’Océan, d’où naquirent Phorcys, Thaumas, Eurybie, Céto et la Terre ; pui
des. Ainsi, de l’union de Chrone ou Saturne avec Rhîa ou Rhéa, on vit naître trois filles, appelées Hestia ou Vesta, Damater o
de Méon, ou Ménos ou Manès, roi de Phrygie, et de Dindyme. Elle était née sur le mont Cybèle, au moins l’an 1495 ou 1580 av
it autre part qu’Atys est fils d’un phrygien appelé Calaüs, qu’il est impuissant, que, devenu grand, il passa en Lydie,
s Titan seul, à condition qu’il détruirait ses fils à mesure qu’il en naîtrait , afin d’assurer ainsi à ses neveux l’héritage de
mples Génies hommes. On a supposé que de cent Dactyles idéens étaient nés neuf Curètes qui à leur tour avaient donné naissa
et Eunomie ou Eurynomie ou les belles lois. Les Crétois les faisaient naître en outre de Jupiter et de Thémis ou Gâthémis. Bi
il a été le bienfaiteur, et leur annonçant ruine et malheur quand ils naîtront sous l’influence funeste de son astre ; car s’il
ls du Ciel et père de Minerve, également d’Arcadie ; et le troisième, de Saturne dans l’île de Crète. Enfin un autre hi
on l’a vu, à mesure qu’ils venaient au monde. Quant à Jupiter, il est sans que nous sachions trop dans quelle contrée,
clopes, au fond du Tartare, sous la garde de Campée, monstre femelle, née de la Terre et probablement d’Uranus, et dont le
été pour quelque chose, se pique d’honneur, touche une fleur, et fait naître tout a coup, également armé jusqu’aux dents, Mars
maine, dont les forces pouvaient remuer les rochers et les montagnes. Nés de la Terre fécondée du sang qui coula de la plai
œufs, et lui dit qu’en les déposant soigneusement sur la terre, il en naîtra bientôt un être assez formidable pour expulser Ju
ur la terre animer sa statue, et communiquer ainsi aux mortels qui en naîtront le génie de l’industrie, afin de les rapprocher a
rts propres à son sexe. Vénus l’entoure de ce charme perfide qui fait naître les désirs inquiets et les soins pénibles, et lui
nd, d’une manière évasive, qu’il le sera par un fils puissant, lequel naîtra de son union avec Thétis. Mais Jupiter n’est pas
sieurs mythologues ne lui attribuent que Deucalion pour fils, et font naître Pyrrha de l’alliance d’Épiméthée avec Pandore. C
non des pierres, mais les fruits d’un palmier. Sans parler des enfans nés des pierres, on reconnaît pour fils de Deucalion
ent deux Lycaons, savoir : Lycaon I, fils d’Azan, ou Ezée, ou Phégée, d’Inachus, civilisateur et introducteur du culte
ydamas et Euthyme. Voici le conte inventé sur le premier : Théagène, à Thase, petite ville voisine de Lacédémone, ayan
cadie, car ces diverses contrées se disputent l’honneur de l’avoir vu naître . Argos, pour le prouver, disait que les Argiennes
ou fraternelles. Ne pouvant arriver à son but, le maître suprême fit naître un orage violent et se métamorphosa en un coucou,
lle enfanta Typhon ou Thyphoé. Mais nous avons déjà vu comment il est , et nous savons que ce n’est pas dans le sein de
ne ce Vulcain et sa sœur aînée, la belle Hébé, comme les seuls enfans nés de l’alliance de Junon avec Jupiter ; d’un autre
é et la jeune Angelo ; quant à Ilithye et Lucine, que l’on veut faire naître de Junon, c’est une erreur : car c’est bien comme
otens, ou maître des flammes, Hepheste ou prêt à brûler, Ignigena, ou du feu, Ignipotens, ou maître du feu, Junonigena,
mots en parlant des Curètes et des Corybantes ; ces Dactyles Idéens, nés du Soleil et de Minerve, ou de Saturne et d’Alcio
it Déiopée, que la déesse donna un jour à Eole pour l’engager à faire naître une tempête contre Enée, descendant du berger Pâr
balbutiement enfantin, Levana déesse latine, protégeait les nouveaux nés , Maturne était à Rome la déesse de la maternité,
ns à la mamelle, Sentia et Sentine déesse qui protégeait les nouveaux nés chez les Latins, Statinus et Statina affermissait
ande obscurité dans le Mythe, car Apollon le Dieu du soleil n’est pas , et pourtant, Hélios ou le Soleil est déjà divini
du mont Latmos en Carie, où se trouvait la ville d’Héraclée. Il était d’Æthlius, fils d’Eole et de Calycée, également f
au, en avoir rempli la peau du bœuf qu’ils venaient de manger, firent naître dans cette peau le bel Orion, chasseur célèbre, à
Grynée en Eolide, Habrogétès ou à la molle chevelure, Hebdomagène ou le septième jour, parce qu’il avait dû naître, se
e chevelure, Hebdomagène ou né le septième jour, parce qu’il avait dû naître , selon les Delphiens, le sept du premier mois du
eus ou de Tegyra, en Béotie, ville où selon quelques auteurs il était , Telchinius ou le père des Telchines, à Rhodes, T
tait fils de Vulcain, et c’était le protecteur d’Athènes ; le second, en Crète, avait Corybas pour père ; le troisième,
par les Grecs comme le fils de Jupiter et de Latone. Nous l’avons vu naître dans l’île de Délos, où sa mère fut obligée de se
ui sent mauvais, et dont Junon se servit au profit de sa haine, était , dit-on, de la Terre après le déluge de Deucalion
Hélicon ; Hippocrènès, ou de la fontaine Hippocrène que nous verrons naître sur l’Hélicon sous les pieds du cheval Pégase ; H
nt pour faire connaître l’histoire de ce cheval merveilleux. Il était , dit-on, du sang de Méduse, reine des Gorgones, q
il ordonna à son hôte d’aller combattre un monstre appelé la Chimère, d’un autre monstre, que nous avons vu paraître au
avec le satyre Marsyas, fils d’Olympe, ou d’Hyagnis, ou d’OEagrus, et à Célène en Phrygie. Il joignait, suivant Diodore
Cynorthès, la belle Diomède, fille de Lapithès, et pour père Amyclas, lui-même de Lacédémon et de Sparta. Cependant Apo
las, né lui-même de Lacédémon et de Sparta. Cependant Apollodore fait naître Hyacinthe de Piérus, fils de Magnès et de la muse
ument de sa douleur, il transporta son corps parmi les astres, et fit naître du sang qu’il perdit une fleur qui porte son nom
re cet avenir, mais d’autant plus vif que l’on est plus ignorant, dut naître dans les temps où les peuples, encore à l’état sa
e le jeune ; alors ils furent brûlés par Stilicon. Erythrée, sibylle, née à Erythre, prédit aux Grecs que Troie périrait et
it ses oracles en vers et qu’elle chantait les destinées des nouveaux nés . Elle était même tellement révérée que les mères
ec sa lyre. Ce Tamyris ou Thamyras, dont nous venons de parler, était à Odryse, dans la Thrace, de la belle Argiope ou
ne. Apollon rendit Céléno mère de Delphus que l’on fait souvent aussi naître ou d’Achalide, ou de Thya, fille de Castalius ; C
le paraîtrait, une intrigue avec son père, car on indique Aloé comme de leur union, quoique souvent on le fasse passer
par le premier pour avoir prononcé en faveur d’Hercule ; Amphiaraus, d’Hypermnestre ou d’Oïclée, épousa Eryphile et en
fameux Chiron, l’un des descendans du fils d’Apollon. Cercaphe était de Rhodès ; Chariclo, fille d’Apollon ou de Persè
devint mère du Centaure Chiron et mère d’Ocyroé ; Chæron ou Charron, de Théro et d’Apollon, donna son nom à la ville d
ille de Chéronée, en Béotie, qui s’appelait auparavant Arnée ; Chias, d’Anathrippe, donna son nom à l’île de Chio ; Chr
privée de la vue par cette déesse : alors Apollon pour le venger, fit naître , de concert avec Mars, le sanglier qui tua l’aman
font honneur à Mercure de l’opération chirurgicale. Quelques-uns font naître naturellement, mais en secret, ce précieux enfant
nces, réclament pour son berceau l’Arcadie ou la Messénie, et le font naître sous les traits d’un serpent, d’un œuf de corneil
Podalyre dont l’alliance avec une fille de Damèthe, roi de Carie, fit naître Hippocoon, aïeul prétendu d’Hippocrate. L'on ent
ipide ou Euripidice avait Cléobule pour mère ; Galée ou Galéote était de Thémisto. Les Hybléens, peuples de la Sicile,
née ; Iamus, devin, premier ancêtre des Iamides ; Icadius ou Icarius, de Lycie ; Idmon, fils d’Antianire ou d’Astérie o
parmi les devins et que nous retrouverons avec les Argonautes : Ion, de Créuse, fille d’Erecthée, il donna son nom à l
uc, connu seulement pour fils d’Apollon et de Phthia ; Lapithès était de Stilbé et se trouvait frère de Centaure, époux
ou Linus, ils étaient deux fils d’Apollon portant ce même nom ; l’un de Psamathé, fille de Crotopus, roi d’Argos, fut
oupable, punit sa mère en la faisant mourir ; le second, Linus, était de Terpsichore ou de Calliope, ou d’Eulerpe, ou m
de l’arc qu’on le disait fils d’Apollon ; Milet, roi de Carie, était ou d’Arcé ou d’Acacallis, fille de Minos : ayant
nventé l’art de broder, sa mère est restée inconnue ; Parthenos était de Chrysotémis, il mourut jeune et fut placé avec
mère, par Apollon, dans la constellation de la vierge ; Patare était d’Apollon et de Lycie ; Persès, fils du Soleil et
chaleur personnifiée ; Phaétuse est indiquée aux Héliades ; Phagrus, d’Othréis ; Phase ou Phasis, fleuve de la Colchid
ent inutiles, il resta toujours insensible à ses charmes ; Philammon, de Chioné et père de Thamiris, fut un poète et un
attribue l’invention des iambes, vers grecs, souples et agiles, font naître cette jeune fille en Thrace, de l’union de Pan et
ng-temps. Malheureusement arrive Ascalaphe, fils ou amant d’Orphné ou des ténèbres et de l’Achéron lui-même ou fils de
même ainsi que Cérès enfant de la Force unie à la Prudence, imbroglio des mélanges des religions troyenne et crétoise a
tannière, montrant de tous côtés ses bourgeons et ses fleurs ; enfans nés suivant les anciens, de divers générateurs, et de
sont variables, on les avait encore rangées dans ses attributs. De là naissait la transition du dieu du changement au dieu des p
On ne peut donner aucune explication sur Protogénie, ou la première née  ; car elle est fille de parens inconnus. Cependan
ette Dioné l’une de ses épouses, et en eut Vénus que nous allons voir naître d’une tout autre manière. Néanmoins, Dioné peut p
des lieux élevés ; Adikos, ou l’injuste en Libye ; Alia, Aligenès, ou née de la mer ; Alma, ou la blanche ; Amathontès, Ama
e, Egea, ou des îles Egées ; Eneas, ou la mère d’Enée ; Epipontia, ou née de la mer ; Epistrophia, ou la préservatrice ; Ep
lide ou la génératrice ; Golgia, ou de Golgos en Cypre ; Haligène, ou née de la mer ; Hecaerge, ou à l’effet lointain à Céo
ie et Libentine, ou présidant aux jouets et fantaisies ; Limnésia, ou née de la mer ; Lésyzone et Solvizone, ou présidant a
sante chez les Thébains, Psityros, ou qui parle beaucoup ; Ridens, ou née en riant ; Recticordia ou l’inspiratrice à Rome d
ou sortie des eaux salées ; Solvizone, voyez Lésyzone ; Spumigena, ou née de la mer ; Symmachie, ou qui combattit pour les
le premier placé la statue ; Thalma, ou des Etrusques ; Thalassia, ou née de la mer, Thelessigania, ou qui accomplit les ma
lle d’Uranus ou du ciel et de Dies ou du jour ; la seconde Aphrodite, née de l’écume de la mer, qui eut Cupidon avec Mercur
généralement reconnue pour fille du ciel et de la mer ; on la disait née de l’écume marine, fécondée par la matière divine
re, froide et languissante victime de l’hiver, venu de la Phénicie et probablement à Cypre. Il avait pour frère Oxipore
is sœurs Lagore, Orsédice et Brœsie, filles de Cynire et de Métharme, née de Pygmalion. Elles furent ennemies de Vénus qui,
héniciens auxquels on a emprunté la généalogie d’Adonis, le faisaient naître aussi de l’alliance incestueuse de Thias, roi Bab
croire originaire de Syrie, ce qui n’empêche aucunement qu’il ait pu naître à Cypre. Quoi qu’il en soit, nous verrons ce bel
purent recueillir sur la terre et dans les cieux. De ce rapprochement naquirent Priape et Hymen ; ce fut là, on peut le dire, que
t son adresse, que Jupiter décida qu’il jugerait un différent que fit naître , lors des noces de Thétis et de Pélée, entre Juno
pour époux. Les Grâces ont toujours brillé du beau idéal, elles font naître l’idée de vertus, sagesse, douceur, amour et plai
que l’on appelait aussi Cupidon ou Iméros et Protogone ou le premier , portait encore les surnoms suivant : Ales ou san
fait oublier ; alors il plongeait un flambeau dans l’eau ; Oogenès ou d’un œuf ; Pandemos ou l’amour vulgaire et charne
cée à Erix ou la discorde, fécondée par l’air ; les orphiques le font naître de l’union de Philia ou l’amitié et de Philotes,
t donc point de race humaine avant l’arrivée de l’Amour. Enfin on vit naître une foule d’Amours différens : ainsi Anteros ou l
nt Psyché papillonner. Pendant cette aventure, que l’amour avait fait naître , en se blessant d’un de ses propres traits, dès q
. Ce nom d’Hybrie signifiant injure, voulait dire aussi qu’elle était née de deux espèces différentes, elle avait eu de Jup
Les poètes ont beaucoup varié sur sa naissance : quelques-uns la font naître d’un Dardanus roi Scythe, qui à son instigation p
cas, c’est une fille d’Eubule la Danaïde, dans le second, elle serait née de l’Union de Phénix, fils d’Agénore, avec Cassio
fils, ou même qu’il fut le père des enfans que nous connaissons comme nés des amours d’Europe et de Jupiter ; fait dont il
qui prit ensuite le nom d’Argos, l’an 1635 avant J. C. Son fils Apis de Cinna, fut s’établir en Égypte où il se rendit
ré Bacchus aidant Jupiter à combattre les Géants et nous ne le voyons naître que d’une fille de Cadmus, dont l’existence suppo
une manière invisible par Diane qui dès lors la divinisa. Bura était née de Jupiter et d’Helice ou, disait-on encore, fill
z les uns pour fille du Destin ou de l’Océan, et chez les autres pour née des amours de Jupiter avec Némésis. Peu honorée e
sses ; généralement il passait suivant la version d’Hésiode pour être en Crète de l’alliance de Cérès avec Jasion c’est
déjà rendue enceinte. Léda porta dans son sein deux œufs ; du premier naquirent Castor et Clytemnestre, tous deux enfans de Tynda
ou de Tithronée en Phocide et chez les Mirrhinusiens ; Tritogenia ou née la troisième, ainsi appelée, on ne sait trop pour
parce qu’elle venait du cerveau de Jupiter ; soit parce qu’elle était née le troisième mois ; soit encore parce qu’on la su
nsatrice, savoir : la sagesse, la droiture et la justice ; Unigena ou née d’un seul ; Virago ou au courage masculin ; Virgo
s en fait une fille aux yeux bleus, inventrice des ouvrages de laine, née de Neptune et de Tritonia nymphe du lac Triton. C
ient à cet hommage, fit pleuvoir autour d’eux une pluie d’or. Minerve née du cerveau, du plus noble organe paternel et sans
c’est la dépouille d’un monstre terrible que nous appellerons dragon. de la terre sur le sol phrygien, il vomissait des
prétexte d’une violence faite à Alcippe, fille de Mars et d’Agraule, née de Cécrops par Halirrhothe, fils de Neptune. Ce P
ois filles de Pandore, et en eut Ityle. Arcas. Déjà nous l’avons vu naître de Callisto ; à peine fut-il au monde que la jalo
Azan, Elate, qui se partagèrent ses états après sa mort, et desquels naquirent Cyllen, Egyptus, Ischys, Péréus et Stymphale. Le
es ; Botryochète ; Briseus ou le nourrisson de Brisa ; Bromios ou qui naquit au bruit du tonnerre ou des bacchantes ; Brumale
le Brumeux à Rome, parce qu’on le célébrait en septembre ; Bugénès ou d’un bœuf, soit comme fils de Jupiter Ammon qui a
ès à Sicyone ; Choopotès ou qui boit tout un conge ; Chthonius, comme de Proserpine ; Cissus ou le protecteur de Cissus
itès ou le citoyen en Arcadie ; Psila ou qui rend agile ; Pyrigène ou du feu, parce que sa mère Sémélée avait été brûlé
fils de Nilus un troisième fils de Caprius, roi d’Asie ; un quatrième de Jupiter et de Luna ; puis un cinquième fils de
des Silènes, fut le père nourricier de Bacchus, et passait pour être à Malé dans l’île de Lesbos, et pour fils de la t
nes. Ils conclurent qu’il serait plus heureux pour homme de ne jamais naître ou de mourir immédiatement après sa naissance, pl
, les cornes et avec le rude pelage d’un bouc. A la vue de ce nouveau , les nymphes Arcadiennes et particulièrement la n
e ; d’où nous savons qu’ils devaient descendre. Cependant on les fait naître ou de Mercure et de la nymphe Yphtimé, ou de Bacc
Léda et de Jupiter ; mais le plus souvent Pollux seul passe pour être ainsi qu’Hélène de Léda et de Jupiter, tandis que
t donc : Dioscures ou fils de Jupiter, quand on les considérait comme nés de ce dieu, et Tyndarides ou fils de Tyndare, lor
t à Hélène, héritant de l’immortalité de leur père. Cependant on fait naître aussi Castor et Pollux seulement de Jupiter et de
uvé des eaux. Dardanus, fils de Jupiter et d’Electre, fille d’Atlas, naquit en Tyrrhénie. Après la mort de son frère Jasius,
Il fut, dit-on, le premier roi des Eléens. Gargare, fils de Jupiter, naquit en Troade, et donna son nom à une montagne, une v
mme fils de Jupiter, Olivarius ou à la massue d’Olivier, Opsigonos ou tard parce qu’il vint au monde après Eurysthée, P
dore, on ne connut dans l’origine que trois ou quatre Hercules : l’un en Egypte, marqua sa puissance, en établissant un
serment de Jupiter ; car celui-ci ayant promis à Junon, que celui qui naîtrait le dernier du fils d’Alcmène, ou de celui de Sthé
naissance d’Eurysthée, fils de Sthénélus, et dès-lors, Hercule étant le dernier, dut se décider à rester pour toujours
s les honneurs divins. Il se soumit donc à Eurysthée, roi de Mycènes, de Sténélus et de Nicippe, fille de Pélops, et ép
yeux d’Eurysthée. 2° L'Hydre de Lerne était un monstre épouvantable, de Tiphoé et d’Echidna, qui ravageait les marais
ar leurs ravages, les hommes et les animaux, oiseaux que l’on croyait nés de Stymphale, roi d’Arcadie, fils d’Elate et de L
de Japet et frère d’Atlas, et filles de ce même Atlas et d’Hespérie, née du riche milésien Hespara, et mariée à son oncle.
trer dans le Péloponèse, qu’il se signala contre Nélée, roi de Pylos, ainsi que Pélias de Neptune et de Tyro, femme de
vint amoureux des charmes de Déjanire, fille d’OEnée, roi de Calydon, de Parthaon et d’Euryte. Ce roi avait eu d’un pre
bore, cueillie dans le Golphe de Corynthe ; Argée, fils de Licymnius, lui-même de Midéc et d’Electryon,, fils de Persée
nnaissance pour ses nourrices, et fonda la ville de Mélita. Memphis, de Jupiter et de Protogénie, épousa Lydie, ou plu
l’un fils du Ciel et du jour ; un second ou terrestre, ou Trophonius, de la Valeur et de Choronis ; un troisième de Jup
leurs ; il était aussi le messager de Jupiter et des autres Dieu ; il naquit sur le mont Cyllène, en Arcadie ; puis son éducat
les vivans ; Antias, fils obscur, dont la mère est inconnue ; Aptale, de Chionée ; Autolycus, fils également de Chionée
Bunus, fils d’Alcidamie bâtit un temple à Junon, à Corynthe ; Caïcus, d’Ocythoé, donna son nom à un fleuve de Mysie ; C
d’Acacallis, ayant encore pour père ou Apollon ou Tégéate ; Damascus, d’Halimède et fondateur de Damas en Syrie ; Daphn
lia ses sermens et devint aveugle. Dolops, périt à Magnésie ; Echion, d’Antianire, fut l’espion des Argonautes ; Eleusi
n, né d’Antianire, fut l’espion des Argonautes ; Eleusion ou Eleusis, d’Ogygès ou d’Ogygus, ou de Mercure et de l’Océan
ianire, frère d’Echion, et comme lui l’un des Argonautes ; Ethalidès, d’Eupolème, fut le hérault des Argonautes, et san
e et de Vénus Aphrodite, enfant des deux sexes que nous avons déjà vu naître de Jupiter, page 6, sous le nom d’Agagoüs ou d’Ag
Les autres enfans de Mercure étaient Libys fille de Libye ; Myrtile, de Cléobule ou de Théobulée, cocher d’OEnomaüs, r
f de la colonie d’Ibériens, qui vint habiter la Sardaigne ; Palestre, née de mère inconnue et donnée aussi pour fille à Her
ait pour mère, nous le savons, Dryope ou Pénélope ; Pharis ou Pharès, de Philodamée, est le fondateur de Phérès en Mess
à sa cour ; Priape, que nous savons fils de Chioné ; Prylis ou Pylis, de la nymphe Issa, Devin d’Ilium, se laissa corro
d’entrer dans la ville ; Satyre, que nous avons vu enfant d’Iphthimé, de Rhéné. Par suite de ses nombreuses attribution
de Daneïus ou héros Danaéen, Aurigène et Arysogone et Chrysoparos ou de l’or. Ce héros, comme on doit s’en souvenir, é
rysoparos ou né de l’or. Ce héros, comme on doit s’en souvenir, était de Jupiter qui s’était changé en pluie d’or pour
gé en pluie d’or pour s’introduire auprès de Danaé, fille d’Acrisius, lui-même d’Abas, ainsi que Prœtus. A peine sorti
es femmes, savoir : Enyo, sœur de Mars, Péphrédo et Dinon ou Phersis, nées avec des cheveux blancs et qui seules savaient la
ur être venues au monde avec une chevelure blanche. Quant à Chrysaor, comme Pégase du sang de Méduse, il prit son nom d
mphimédon, Argus, le centaure Ampicus, prêtre de Cérès, Astrée, Atys, de la nymphe Limniace fille du Gange, Céladon l’é
ysidice, fille de Pélops d’où vint Hippothoé, père de Taphius, duquel naquit Ptérélas, père d’Antiochus, qui eut en outre avec
n fit l’être le plus affreux. Au lieu de sa belle chevelure, elle fit naître des serpens sur sa tête et lui donna une teinte c
t même au mariage ; alors il était chargé d’éloigner de l’enfant déjà toutes les influences fâcheuses. On le représenta
d’Ancée et d’Ergine ; elle était sœur d’Astydamie et fille de Phénix, lui-même d’Amyntor, fils d’Ormenus qui avait pour
rée ; ensuite Clyménus eut Erginus qui devint père d’Epicaste, duquel naquit Agamède et Trophonius ; Hippothoé, supposée, ains
t le meurtrier de son père et l’époux de sa mère, il se crut en effet de Polybe et de Péribée, et pour éviter de retour
qu’il trouva désolée par les cruelles dévastations du Sphinx, monstre de Typhon et d’Echidna ou d’Orthos et de la Chimè
me temps le sceptre et la main de Jocaste. De cette union monstrueuse naquirent Etéocle et Polynice et deux filles : Antigone et
le d’OEdipe, puis Eumède, Euryale, Ethion, Méon, Phénéon et Xantippe, nés de Mélas. Tydée, après s’être ainsi vengé de la p
ritage de Persée l’un de ses aïeux, coursier divin, que nous avons vu naître de Cérès et de Neptune. Cet Adraste, fils de Tala
, d’où leur vint le nom d’Aoniens ; Arpiatres. Arion était un cheval de Neptune et de Cérès ou de la furie Érynnis ou
us, qui donna le nom de Cromyon à un village de la Corynthie ; Cycnus de Calyce, régna sur une colonie de la Troade et
nta sur le trône de Thessalie, vers l’an 1438 av. J.-C. que cet Eole, des amours du roi Hellen, avec la nymphe Orséide,
ussi pour enfans à ces divers Eoles : Agathirne, Androclès, Cercaphe, du Deucalionide père d’Ormène et bisaïeul de Phén
aîtresse chérie Orithye, fille d’Érechthée. De cette alliance, on vit naître deux fils, Calaïs et Zethès, dont on fit des dios
, l’un des quatre prêtres fondateurs des mystères de Cérès ; Euphéme, d’Europe, fut un des plus adroits argonautes, il
aïeul, tué par Thésée. Il épousa Méganire et en eut Abas. Hippodamas, naquit de Périmèle ; Hyperetès dut le jour à Alcyone ; I
s Lestrigons, d’où les Lamia de Rome prétendaient descendre ; Lechès, de l’Achéloïde Pyrène et frère de Cenchrius ; Lel
s, né de l’Achéloïde Pyrène et frère de Cenchrius ; Lelex paraît être de Libye, en Égypte, être ensuite allé en Grèce,
en peuple de la Grèce, il était père de Mylèse et de Polycaon. Lycus, de l’Atlantide Céléno et frère de Nycté ; nous co
aquelle lui ou Megareus, fils d’Apollon, avait donné son nom ; Melas, de mère inconnue, est confondu quelquefois avec l
fils de Callirhoé et père de Minéias ; Myto, de Mytilène ; Nauplius, de la Danaïde Amymone ou Amynone, était le héros
, comme le supposant venu par mer dans la Grèce ; d’autres le croyant dans le pays, le faisaient fils de la terre, et d
sandre. Parmi les autres fils de Neptune, nous trouvons encore Peon, d’Hellé ; Pérate, issu de Calchinia la Leucippide
thyllas et Thoosa. Phthios n’a pas de mère bien connue : Polyphème, de Thoosa, était le plus grand, le plus fort et l
fils de Neptune et de Phénicie, quoique plusieurs écrivains le disent de l’Océan et de Téthys ; Palène en Macédoine éta
de Callichoé, fut tué, nous le savons, par Hercule. Taphos ou Taphius naquit d’Hippothoé ou de Pisidice, fille de Nestor ; ce
frotter, une pierre qu’il devait jeter au milieu des hommes armés qui naîtraient des dents du dragon, puis des herbes et un breuva
u des guerriers armés qui voulaient l’assaillir. Aussitôt ces hommes, nés des dents qu’il avait semées, tournèrent leurs ar
e Colchide. Asterion, fils de Comètès et d’Antigone fille de Phérès, naquit à Pirésie et donna son nom à la ville d’Astérium,
car il n’est pas très-bien prouvé qu’il put en faire partie. Thésée, à Trézène, d’une union clandestine, avait pour pè
ugièrent en Arcadie, et comme ceux combattus par Hercule, ils étaient nés de centaure issu d’Ixion et de la nue, par Hyperp
ir tué involontairement d’un coup de palet leur frère de père Phocus, de Psamathée. En vain, Télamon essaya de se justi
l’armée, Telamon envoya ses deux fils avec les Grecs. Quant à Pélée, aussi de la Chironide Endéis, le même crime lui f
Les eaux de ce fleuve Axios avaient la puissance, disait-on, de faire naître les troupeaux roux ou noirs. Caystrius, dieu-fle
ère d’Euryanasse, épouse de Tantale et mère de Pélops. Persé, fleuve, de Péro fille du fleuve Asope. Pamise, dieu-fleuv
pe de jeunes filles, soumises aux volontés de Neptune ; elles étaient nées au nombre de cinquante, de Doris l’une des plus c
e crainte qu’elle ne fût acceptée, afin de ne pas être exposés à voir naître un enfant qui un jour devait les effacer. Téthis
adryades, nymphes des forêts, aussi multipliées que les arbres, elles naissaient et mouraient avec celui auquel leur existence éta
lœa ou donnant l’abondance ; Primigénie et Proto-Génie ou la première née  ; Sancta ou la sainte ; Sotira et Sospita ou la c
té la forme d’un serpent pour des honorer sa fille et belle-sœur ; il naquit de cette mésalhance un taureau. Honteuse de ce tr
honoraient particulièrement ; ils lui supposaient le pouvoir de faire naître à son gré, l’abondance ou la stérilité ; le serme
gardien du tartare. Ce chien avait trois têtes. On disait qu’il était , ainsi qu’un autre chien appelé Orthe, de Typhon
ptée par les Grecs, qui lui donnèrent alors pour fils, Egialée, comme de son alliance avec Éétès. C'était Hécate qui en
ide les suppose sœurs de Vénus et des Parques, et d’autres les disent nées de Pluton et de Proserpine ou de Saturne et d’Evo
de Bélus et d’Anchinoé ou à tort Anchirrohé, fille du Nil. Ce Danaüs, lui-même à Cheminis en Égypte, et descendant d’In
i-ci légua même sa couronne à Lyncée, qui devint père d’ Abas, duquel naquirent Acrisius et Proetus. Les sœurs d’Hypermnestre ne
ou de Taygète ; il était frère aussi du côté de son père de Bascyle, d’Anthémusie, ou à tort d’Anthémoisie. Pélops, av
nomaüs, roi de Pise, qui avait promis sa fille Hippodamie ou Atracis, née d’Eurythré à celui qui le vaincrait à la course.
tour que vengeance : il fut réclamer des chevriers Égisthe, son fils, de Pélopée, l’éleva dans la haine d’ Atrée et des
uerrier ; Oreste, tué par Hector ; Orsiloque, petit-fils d’Orsiloque, d’Alphée, fut tué par Enée ; Otos ou Otus fils de
r Nicostrate et Mégapenthe, ses fils, que quelques auteurs font aussi naître d’Hélène, n’ayant jamais régné à Sparte, doivent
né à Sparte, doivent plutôt être considérés comme des enfans naturels nés de Piéris, ou de Cnosie, ou de Téridaé ou de l’Eg
à Hélène ou Dendritis, son épouse, fille de Léda et de Jupiter, elle naquit le même jour que Pollux, son frère. Afin que l’on
amie, fille de Licomède. On lui donnait en outre pour fils Euphorion, , disait-on, de ses amours avec Hélène, dans les î
s aux présens offerts par Ulysse. Achille laissa, on le sait, un fils de Déidamie ou d’Iphigénie, à Scyros, c’était Pyr
e, fille de Porthée ou Parthaon. Dès-lors il était frère de Trambèle, de Télamon et d’Hésione, qui fut tué à Lesbos, pa
nfonça son épée dans le cœur. On dit que du sang tombé de sa blessure naquit une fleur nommée Hyacinthe, dans le calice de laq
le à Damie, dans la Carie. Protésilas, fils d’Iphicle et de Diomédée naquit à Phylace, d’où il partit le lendemain de son mar
Ce héros était fils d’Anticlée ou d’Euryclée, et de Laërte l’Emonide, d’Arcésius ou d’Emon et de Chalcoméduse. Cependan
onnius ; Bucolion, l’aîné des fils de Priam et de Colybée ; Cébrione, d’une esclave et tué par Patrocle ; Chaon, tué à
idamas, tué par Ulysse ; Chrysolas ou Chrysolaüs ; Clonius ; Daphnis, d’Œnone ; Déiopète, fils naturel tué par Ulysse ;
phnis, né d’Œnone ; Déiopète, fils naturel tué par Ulysse ; Déiphobe, d’Hécube et massacré par la trahison de sa femme
de sa femme Hélène ; Démocoon, fils naturel ; Dius ; Dolon ; Doricle, d’une concubine, fut tué par Ajax le télamonide ;
oricle, né d’une concubine, fut tué par Ajax le télamonide ; Echémon, d’Hécube, fut tué par Diomède ; Echépron ; Egéoné
tué par Diomède ; Echépron ; Egéonée, fils d’une concubine ; Æsacus, de la nymphe Alexiroé, fils aîné de Priam et épou
et époux d’Astérope, fille du fleuve Cébrène ; Evagore ; Gorgithion, de la belle Cestianire d’Esime, fut tué par Teuce
a belle Cestianire d’Esime, fut tué par Teucer ; Hector ou Eurydamas, d’Hécube et tué par Achille ; Hélénus ; Hippase,
tor ou Eurydamas, né d’Hécube et tué par Achille ; Hélénus ; Hippase, d’une concubine ; Hippodamas ; Hippothoüs ; Hippo
oménée ; Idée ; Iphate, tué par Antiloque ; Isus ; Laodoque ; Lycaon, de Laothoé et tué par Achille ; Lycus ; Mélanippe
de Laothoé et tué par Achille ; Lycus ; Mélanippe ; Mestor ; Pammon, d’Hécube ; Pâris ou Alexandre, né d’Hécube ; Phil
ycus ; Mélanippe ; Mestor ; Pammon, né d’Hécube ; Pâris ou Alexandre, d’Hécube ; Philémon ; Polite, tué par Pyrrhus sur
sur le bûcher d’Achille ; Polémon ; Polydore, le plus jeune des fils nés d’Hécube ; Troïle, le plus jeune des fils de Pria
tide, et, par conséquent, il était frère de Jasion. Il était pourtant en Elide, partie du Péloponèse. Il épousa d’abord
s, la cause enfin de la ruine de Troie. Ce Paris, ou Alexandre, était d’Hécube qui, pendant sa grossesse, rêva qu’elle
roie. Les devins, consultés sur ce rêve, répondirent que l’enfant qui naîtrait causerait un jour la ruine de l’empire. Priam, ép
ution en lui conseillant de l’exposer. En effet, à peine Pâris fut-il qu’on l’abandonna sur le mont Ida. Bientôt des pâ
Capys, lequel épousa Thémir, fille d’Ilos et sa cousine, de laquelle naquit Anchise. Cet Anchise, encore jeune, s’occupait à
r lequel les Romains firent reposer la fondation de leur empire. Énée naquit au pied du mont Ida, sur les bords du Simoïs, et
s favorablement, et lui donna sa fille Lavinie en mariage, ce qui fit naître une guerre terrible, excitée par la jalousie de T
Éricele, Lycaonien, tué par Messape ; Eurymanthe, Eurymas et Eumède, de Dolon, tués par Turnus ; Eumène et Eunée, fils
qui devint le père d’Euryle. D'autres généalogies disant aussi qu’il née eut encore pour femme, Eurydice, Launia, fille d’
s ou égarés à la suite de leur victoire dans la Troade. Alors on fait naître Latinus et Romus ou Roma du sang d’Ulysse ou de T
unes. Enée s’empresse de la satisfaire ; pendant le récit, Didon sent naître en son cœur une si violente passion pour Enée qu’
, tout mortel n’avait qu’un génie bon ou mauvais, d’où le proverbe de naître sous une heureuse ou fatale étoile. On lui devait
commandant sur les indigènes de l’Italie, il était lui-même étranger, ou chez les Perrhèbes, dans la Thessalie du sud,
re, il en résulta qu’Isis se trouva enceinte d’Haroéri, même avant de naître  ; elle régna conjointement avec Osiris sur l’ Égy
qu’elle possède la faculté de produire. Anubis, ou Anbo, on le sait, naquit des rapports involontaires d’Osiris et de Nefté,
par le soleil ; ils présidaient à l’horoscope et, suivant que l’homme naissait sous tel ou tel décan, il était heureux ou malheu
il était heureux ou malheureux. Le décan, génie de l’homme venant de naître , était le décan qui montait sur l’horizon au mome
ale, et ils donnèrent naissance à Protogone et à Eon, ou le temps qui naquit le premier et fut par là le premier développement
cs ou la terre personnifiée. Ce feu père d’Agdistis que nous avons vu naître d’une tout autre manière chez les Grecs, semble s
entourée de rayons, semblant se diriger vers la terre. Nous avons vu naître Eon et Protogone, d’Agd et du feu, ils formaient
ait considéré comme purificateur. Ce Dieu présidait ou plutôt faisait naître les fontaines minérales et chaudes, dont les bain
, par une série de transformations ou d’émanations restées inconnues. avec quatre têtes, ou suppose qu’il demeura long-
resplendissans des dévatas, ou dieux et génies, que nous allons voir naître et dont nous indiquerons plus loin les diverses c
ur, la belle Souraçouati, et en a cent fils, dont l’aîné, Dakcha, fit naître cinquante filles. Treize de ces filles s’unirent
filles. Treize de ces filles s’unirent à Kaciapa, le premier Brahmane de Maritchi, fils de Brahmâ. L'une de ces treize
uatre castes ou tribus, savoir : les Brachmanes ou Brahmes, ou nobles nés de sa tête, et seuls capables d’enseigner la loi
de desservir les autels des Dieux ; les Radjahs ou Razeputes, ou rois nés de ses bras ou épaules. Les Banians ou Vaicihas,
ois nés de ses bras ou épaules. Les Banians ou Vaicihas, ou négocians nés de ses cuisses ou de son ventre, et les Artisans
as, ou négocians nés de ses cuisses ou de son ventre, et les Artisans nés de ses pieds. Dès ce moment, dit-on, il défendit
, lui en donna une de la race maudite des géans. C'est de ce lien que naquit la race des Brachmanes, prêtres fondateurs de la
igente et créatrice entra dans les eaux pour les éclairer, ce qui fit naître les dieux appelés Taumâtras, ou molécules sensiti
ingt-sept Tchandra, et treize Kaciapa. Ce Kaciapa ou l’Espace, était de Maritchi, ou la lumière ; il épousa treize fil
n de Rogani, sa suivante. Vichnou voulant s’incarner dans son sein et naître par elle, remplit Vaçoudeva des rayons de sa gloi
que Vichnou ne vînt au monde ; mais, malgré tous ses efforts, Vichnou naquit , et les Dieux Brahmâ et Siva descendirent des cie
ous les enfans mâles de sa sœur ; à la fin, ils sauvèrent Krichna qui naquit le huitième. Vichnouisme. L'esprit de la s
e constituant l’unité dans le tout. En effet, il se trouve le premier de la création, le premier et le créateur des aut
e, desquelles on voit surgir Brahmâ, tandis que Roudra ou Siva-Roudra naît d’une goutte de sang qui vient de tomber du front
ait été usurpé par Ravana. Krichna, huitième incarnation de Vichnou, naquit à Mathoura, de Vaçoudéva et de la belle Dévaki, d
i, les deux époux la changèrent contre le jeune Krichna qui venait de naître de Dévaki et de Vaçoudéva ; mais Kansa, auquel le
la ravissante. Latchmi, ou Lackchini, ainsi que Moudévi, sa rivale, naquit des flots de l’Océan lacté, battus, par les Dieux
udha, ne vint à son terme que plusieurs siècles après. A peine fut-il qu’il protégea sa mère contre les géans funestes,
s, est une relique d’autant plus précieuse que les Indiens la croyent née de quelques poils de Vichnou Tortue. Foulocky, p
n compte Andjani et Anga. Siva eut encore deux enfans : l’un Veirava, de sa respiration ; l’autre Virabhadra, résultat
Verava ou Veiravert ou Vairavert est le troisième fils de Siva ; il naquit de sa respiration, c’est lui qui humilia Brahmâ l
ire, et lui souhaita le malheur d’épouser un géant ; aussitôt Lakchmi naquit sous la forme de Vrindha. Mariée à Jalendra, sa c
iste pas ; il est enlevé par la division des Castes ; ainsi l’artisan des pieds de Dieu, ne peut se faire prêtre ou Bra
si l’artisan né des pieds de Dieu, ne peut se faire prêtre ou Brahme, de la tête de Brahmâ ; aussi, l’influence de ces
lébrer les mariages et les funérailles, de donner un nom aux nouveaux nés , de bénir les maisons, de tirer les horoscopes, d
à part, dans laquelle nul ne peut entrer, qui se marient entre eux et naissent religieux ; puis les Waichenavins allant demander
tes et obtint de Kali mille années de puissance. Au bout de ce temps, naquit de Vikrama le brillant Sakahala ou Salivahama, qu
a pour séjour la lune. C'est lui qui apprit aux dieux que pour faire naître l’homme, il fallait qu’un dieu et une déesse pris
femme à sa gauche, et ses enfans devant lui. Tsangan-dara-eke, fille née par les yeux de Choutchi-Boddiçatoa, est une dées
fidèles aux anciennes coutumes. Vers le temps de Confucius, l’on vit naître la secte des Tao-ssé, ou de la raison, à cause de
é gauche, un enfant à la tête blanche, qui fut surnommé Lao-Tseu ; il naquit sous un arbre nommé Li, et s’écria, en le montran
ainsi le culte d’Amida, jusque dans la Chine et au Japon. Sotoktais naquit à la cour de l’empereur Fintats. Sa mère avait ét
e surtout l’ame d’Aboudad, ou taureau primordial, duquel nous verrons naître Kaïomorts, ou le premier homme. Il introduit les
Espendamar, est le quatrième Amchasfand ; seulement c’est une déesse, née d’Ormuzd ; elle préside à la terre et à l’agricul
ême de la force, est une émanation de Goch. Gochoroun, Ized femelle, née du bras gauche de Kaïomorts immolé. Elle est le p
el il déposa les germes de toute vie physique ; après Aboudad, il fit naître Kaïomorts, ou le premier homme. Cependant, Ahrima
e en troupeaux de bœufs. Son père était Dchemchid, fils de Tehmouret, d’Houchengh, fils de Fréfak, qui avait Siahmah po
it Siahmah pour père. Féridoun ou Afridoun, fils d’Athvian-Portouna, naquit dans Férène ou l’Iran, paradis terrestre, créé pa
rême des habitans des îles Aléoutiennes, qui croient l’espèce humaine née des chiens, d’après ses ordres. Aghogok voulut, d
ôt cette vache également primordiale, à force de lécher la glace, fit naître le premier homme appelée Bure ou Boure, qui de so
ler sur les fleurs. Rhinthoussar ou Hrinthoussar, race des géans qui naquirent d’un homme et d’une femme, sortis du bras gauche
à l’époque héroïque. Fenius-Farsa, personnification des fins, était de Bath, et fut père de deux fils appelés Nionnua
ce qu’il exécuta ponctuellement. Cette Deirdre était fille de Fiehim, de Dill ; elle vint au monde pendant le séjour de
ature matérielle et inorganique contraire à la sienne ; de leur union naquit une fille nommée Ohina, qui donna le jour à trois
aao est le premier homme, suivant les habitans des îles des Amis ; il naquit Androgyne et sortit d’une grotte, dès que les tén
Hippolyte, fils de Thésée, poussant au monstre que viennent de faire naître pour son malheur les vœux imprudens de son père.
2 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
uter les vœux des mortels et à exaucer leurs prières. Le Destin était du Chaos et de la Nuit, deux anciennes divinités
aissance des premiers dieux : Uranus, Tellus, les Titans. Du Chaos naquirent le Ciel, sous le nom d’Uranus, et la Terre, sous
d et inflexible, de quel attribut le dépouillaient-ils ? De qui était le Destin ? 6. Comment les peuples anciens expliq
élever à l’idée de l’éternité. 7. Quelles sont les deux divinités qui naquirent du Chaos ? A quels dieux donnèrent-elles le jour 
Destin qu’il serait détrôné par l’un d’eux. Aussi, dès qu’ils étaient nés , il les plongeait dans de profonds abîmes. La Ter
le frappant du tranchant de sa faux. Du sang qui coula de sa blessure naquirent les Furies, selon Hésiode 8. 9. Saturne détrôn
dévorait ses enfants, parce que le temps détruit tout ce qu’il a fait naître . L’accueil qu’il reçut de Janus et la prudence do
nuit. Auteur de tout ce qui doit être, Il détruit tout ce qu’il fait naître , A mesure qu’il le produit. J.-B. Rousseau.
t-il ? Quel moyen employa la Terre pour se venger ? Quelles divinités naquirent du sang qui tomba de la blessure d’Uranus ? 9. Qu
: c’était Minerve, déesse de la sagesse et symbole de la pensée. Elle naquit à propos pour secourir son père dans la guerre de
. On leur attribue encore une autre origine. Le serpent Python serait du limon de la terre après le déluge de Deucalion
Les divinités champêtres le pleurèrent amèrement, et de leurs larmes naquit le fleuve Marsyas, qui coule en Phrygie. Du servi
leur demeure ordinaire. Elles ont pour coursier Pégase, cheval ailé, du sang de Méduse. Pégase fit un jour jaillir d’u
Junon la haïssait-elle ? Quels furent les effets de cette haine ? Où naquit Apollon ? Quel fut son premier soin ? Quel surnom
tion en avait duré deux cent vingt ans. Il fut brûlé, la nuit même où naquit Alexandre-le-Grand, par un Ephésien obscur, nommé
cure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, une des filles d’Atlas, naquit sur le mont Cyllène, en Arcadie. Son enfance fut
hez les Romains, était appelée par les Grecs Aphrodite, c’est-à-dire, née de l’écume. En effet, elle était fille de la Mer
qui avait enfanté Minerve de son cerveau. Quoi qu’il en soit, Vulcain naquit si difforme, que Jupiter d’un coup de pied le pré
et de Pénélope, qui en devint mère avant son mariage avec Ulysse. Pan naquit avec des cornes à la tête, un nez difforme, des c
nières Nymphes était attachée à l’arbre qu’elles protégeaient ; elles naissaient et mouraient avec lui. 70. Dieux domestiques ;
s d’Uranus et de Titéa. Océan épousa Téthys36 sa sœur. De cette union naquirent les Océanides, ou Nymphes de la mer, au nombre de
rin. 72. Nérée. — Les Néréides. De l’union d’Océan et de Téthys naquirent non-seulement les Océanides, mais encore Nérée et
? Quelle différence doit-on remarquer dans leur nom ? De quelle union naquirent les Océanides ? Qu’étaient ces divinités ? Quel c
comme le ciel et la terre, d’une foule d’êtres, aux formes bizarres, nés de l’imagination des poëtes païens, qui en firent
dent, souffle avec tant de douceur, qu’il vivifie les plantes et fait naître les fruits. On le peint sous les traits d’un jeun
ait, selon quelques auteurs, mère des Vents, parce que, en effet, ils naissent ordinairement lorsque cette déesse sort du sein d
héros. Les héros49 étaient, selon les idées des païens, des hommes nés soit d’un mortel et d’une déesse, soit d’un dieu
e Méduse et lui tranche la tête d’un seul coup. Du sang de ce monstre naquit Pégase, cheval ailé, qui s’éleva dans les airs et
ours jalouse, fit déclarer par Jupiter que celui des deux enfants qui naîtrait le premier aurait tout pouvoir sur l’autre, puis
euse désolait les environs du lac de Lerne, près d’Argos. Ce monstre, de Typhon et d’Echidna, avait sept têtes, qui ren
iamant ; labourer un vaste champ ; y semer les dents d’un dragon d’où naîtraient autant d’hommes armés, qu’il fallait exterminer j
les furent les causes de l’expédition des Argonautes ? De qui étaient nés Phryxus et Hellé ? Comment furent-ils obligés de
le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. » Aussitôt qu’il fut , le roi ordonna de le faire périr. Mais Jocaste o
tait accompli. Mais écoutons le poëte nous raconter ces événements : parmi les rochers, au pied du Cithéron, Ce monstr
e fut traîné en longueur par la colère d’Achille. Voici ce qui la fit naître  : Dans le partage du butin, qui était, comme on l
religion des Mages. On ne sait précisément ni le temps ni le lieu où naquit ce célèbre législateur des Perses. Quelques écriv
vain il fait égorger sept fils que sa sœur met au monde, un huitième naît sous le nom de Crichna, c’était Vichnou lui-même,
corde ; selon d’autres, de la Nuit et de l’Achéron. Sophocle les fait naître de la Terre et des Ténèbres ; Epiménide les suppo
éral, il ne faut pas s’attendre à trouver dans la Mythologie, qui est née de l’imagination dei hommes, cette unité d’opinio
la Grèce, cela suffit aux poëtes pour chanter que cette déesse était née de l’écume des flots. Cependant Homère, aussi anc
ts. Cependant Homère, aussi ancien et plus illustre qu’ Hésiode, fait naître Vénus de Jupiter et de Dioné. 28. D’autres les
ie vieilles : ces sœurs étaient ainsi nommées, parce qu’elles étaient nées avec des cheveux blancs. Quelques auteurs les con
par Manès, qui l’avait empruntée aux écrits de Zoroastre. Manès était en Perse, l’an 240. 71. II est facile de reconna
3 (1823) Mythologie des dames
Eugène parla ainsi : Toute la nature était animée par la mythologie, née de l’imagination ardente des anciens peuples de l
dre de Minerve, déesse de la sagesse, il en sema les dents qui firent naître autant d’hommes armés. Le héros ayant jeté une pi
Argus. Cette mort fut pour Junon une nouvelle offense. La déesse fait naître l’espèce de mouche appelée taon, qui ne cessa de
ssants secours jusqu’au jour où cette malheureuse ville, qui avait vu naître Pâris, fut réduite en cendres. Elle poursuivit av
de Vesper que nous aller parler de Vénus. Vénus. Cette déesse naquit de l’écume de la mer, près de l’île de Cypre. A p
s superflus. « Adonis tâcherait en vain de me déplaire ; « Ces pleurs naissent d’amour, et non pas de colère. « D’un déplaisir s
ui avait la vertu de rendre aimable celle qui la portait, et de faire naître de nouvelles amours. « Cette ceinture, dit Homère
sang était toujours caché par les fleurs et les gazons qu’il faisait naître . Les temples de Vénus étaient fort nombreux à Rom
t qu’avec crainte l’expression des tendres sentiments qu’elle faisait naître . Vénus, indignée de voir une faible mortelle usur
admiration de toutes les divinités du ciel et de la terre. La Volupté naquit de cet hymen. Les moralistes voient dans l’histoi
; l’un est de plomb, et inspire la triste indifférence ; l’autre fait naître l’amour le plus vif et le plus délicat. Il blesse
le Printemps se couronne, les parfums qu’il répand, et la verdure qui naît sous ses pas ; puis il chantait les délicieuses n
n, aujourd’hui appelé le Pô, fleuve bien éloigné du pays qui avait vu naître ce jeune présomptueux. Les Nymphes prirent soin d
le laurier étaient ses arbres favoris : le palmier, parceque ce dieu naquit au pied d’un arbre de cette espèce ; le laurier,
our. Diane, comme Apollon, était fille de Latone et de Jupiter ; elle naquit quelques moments avant son frère, dans l’île de D
qui ne permettait point qu’on la prît pour Vénus. A peine était-elle née , qu’elle s’arma d’un arc et de flèches, et.se plu
le. Diane est souvent appelée Délie, du nom de l’île de Délos où elle naquit  ; et Phébé, quand on la considère comme la sœur d
ur présent aux hommes. Neptune frappa la terre de son trident, et fit naître le cheval ; mais Minerve ayant produit l’olivier,
te se transforma en corail. On dit aussi que du sang de cette Gorgone naquit le cheval ailé, nommé Pégase, qui s’envola aussit
turne et de Rhée, et par conséquent sœur de Jupiter. A peine fut-elle née qu’elle se plut à diriger les travaux des laboure
, l’une des Atlantides, se détermina à l’épouser, et que de cet hymen naquit Plutus, le dieu des richesses, qui fut élevé par
lcain. On dit que Junon, dès qu’elle eût su que Jupiter avait fait naître Minerve de son cerveau, voulut imiter en ceci son
re. Pour se ranger parmi les demi-dieux, il fallait, en général, être d’un dieu et d’une mortelle, ou d’une déesse et d
pe, qu’il soumettrait tous les héros de son sang au prince qui devait naître ce jour-là. Junon aussitôt pria Lucine de hâter l
on aussitôt pria Lucine de hâter la naissance d’Eurysthée, qui devait naître de l’épouse de Sthénélus, et de retarder l’accouc
rents de flamme et de fumée. De son accouplement avec le chien Orthos naquirent le Sphinx et le lion de Némée. La Chimère fut vai
par Thaumas, fils de la Terre, et par Électre, fille de l’Océan. Ils naquirent avec une longue crinière, un visage de fille que
t retentir ces vastes souterrains de ses longs aboiements. Ce monstre naquit d’Échidna, moitié nymphe et moitié serpent, et de
bouquets, Et moissonne, à l’envi des nymphes de son âge, La violette née à l’ombre du bocage, Pluton la voit ; presse d’un
ous allons la voir promener son prisme magique sur les mers, et faire naître du sein des flots des personnages non moins merve
usa Téthys, grande déesse des mers, une des Titanides. De cette union naquirent les Fleuves les plus fameux, tels que le Nil, l’A
ls, et craint même des dieux38. Le dieu des mers pouvait aussi faire naître des îles, nouveaux ornements de son empire. A son
e fougueux coursier, qui n’obéit qu’à la voix d’Apollon et des Muses, naquit du sang de la tête de Méduse. Sur les coteaux de
ces divers tuyaux, Les presse de sa lèvre, et des sons qu’il en tire, Naissent les doux accents que la flûte soupire44. Pan fut
er les voleurs ; c’était Priape, fils de Vénus et de Bacchus. Ce dieu naquit à Lampsaque, ville de l’Asie mineure, dans laquel
4 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
a troisième classe les demi-dieux, ainsi nommés, parce qu’ils étoient nés d’un dieu et d’une mortelle, ou d’un homme et d’u
n’étoit rien. La nature enchaînée, Oisive et morte, avant que d’être née , Sans mouvement, sans forme, sans vigueur, N’étoi
enfant mâle. C’est pourquoi Saturne les dévoroit sitôt qu’ils étoient nés . Mais Cybèle, sa femme, ayant eu d’une seule couc
uit ; Auteur de tout ce qui doit être, Il détruit tout ce qu’il fait naître , A mesure qu’il le produit. D. Comment nommoit-o
tal desir de voir et de connoître ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître , Dans un instant, touts les fléaux divers Qui dep
raises parfument les bois, L’épine enfante la groseille, Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir sa corbeille, La n
ades, et l’on donna le nom d’Hamadryades aux nymphes que l’on croyoit naître et mourir avec les chênes. Les nymphes des vallon
. Je m’écrie, emporté par l’instinct qui m’agite : O terre où je suis  ! pour jamais je te quitte ; Et je cours dans les
nt, et en fit sortir un beau cheval. Minerve, d’un coup de lance, fit naître l’olivier, symbole de la paix, et obtint la victo
ain étoit-il fils ? R. Vulcain étoit fils de Jupiter et de Junon. Il naquit si difforme, que Jupiter, indigné de sa laideur,
étendent qu’elle fut formée de l’écume des eaux. Aussitôt qu’elle fut née , Zéphire la porta dans l’île de Chypre, ou les He
chus, Anchise prince troyen, et Adonis jeune chasseur. D. Quel enfant naquit des amours de Vénus et de Mars ? R. Ce fut Cupid
? R. Apollon tua à coups de flèches ce serpent monstrueux, qui étoit du limon de la terre après le déluge de Deucalion
le Parnasse Par des prodiges nouveaux. Le ciel vit ce monstre impie, de la fange croupie Au pied du mont Pélion, Souff
même dard. Jupiter changea Céphale et Procris en astres. D. Quel fils naquit des amours de Tithon et de l’Aurore ? R. Ce fut
ui la fit jaillir d’un coup de pied. Pégase étoit un cheval ailé qui naquit du sang de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à
eprises, et s’en servit pour pétrifier ses ennemis. Du sang de Méduse naquit , dit-on, le cheval Pégase. D. Contre qui Persée e
rts de sa fureur jalouse contre ce fils de Jupiter. D’abord, elle fit naître Eurysthée avant lui afin qu’en sa qualité d’aîné,
mari de Léda, fut père de Castor. Léda eut aussi deux filles : l’une, née de Jupiter, fut la fameuse Hélène, qui causa la r
ter, fut la fameuse Hélène, qui causa la ruine de Troie ; et l’autre, née de Tyndare, fut Clytemnestre qui épousa Agamemnon
les troupeaux dans les plaines profondes. Par lui tu connoîtras d’où naissent les revers. Mais il faut qu’on l’y force en le ch
e ? R. Le Minotaure étoit un monstre moitié homme et moitié taureau, , selon les poëtes, de Pasiphaé, épouse de Minos,
mant, et l’épousa. Ce monstre, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître , Qui du sang des humains brûloit de se repaître,
se placent sous ses doigts. Tels, sous la main de Pan, l’Arcadie a vu naître Les tubes inégaux de la flûte champêtre. Une cire
re la Chimère. D. Qu’étoit-ce que la Chimère ? R. C’étoit un monstre en Lycie. Il avoit la tête d’un lion, la queue d’
acré à Mars ; semer dans ce champ les dents d’un dragon d’où devoient naître des hommes armés qu’il falloit exterminer jusqu’a
, à leur aide, ouvrir d’affreux sillons » Voir des dents d’un serpent naître des bataillons, » Et vaincre ces soldats enfantés
tre Arion. R. Arion, cet illustre rival d’Amphion et d’Orphée, étoit à Méthymne, dans l’île de Lesbos. Il jouit long-t
eviner. Tout le monde abandonnoit la contrée ; Thèbes étoit déserte. parmi les rochers, au pied de Cithéron, Ce monstr
t d’Eaque vînt au siége de la ville ; et ce descendant étoit Achille, de la déesse Thétis et de Pélée, fils d’Eaque. 2°
end vous mourrez moins que moi. Montrez, en expiant, de qui vous êtes née  ; Faites rougir ces dieux qui vous ont condamnée.
joignit au royaume de Mycènes celui de Sparte. Achille. D. De qui naquit Achille ? R : Achille étoit fils de Thétis et de
fait parvenir : Ta haine a pris plaisir à former ma misère ; J’étois pour servir d’exemple à ta colère, Pour être du m
eur vigueur et leur sève ; et pendant que les fruits mûrissent, il en naît toujours de nouveaux. La poire prête à cueillir,
fils. Minerve ordonna à Télégone d’épouser Pénélope, et de ce mariage naquit Italus, qui donna son nom à l’Italie. D. Par qui
connoître Thalès. R. Thalès, le premier des sept sages de la Grèce, naquit à Milet, vers l’an 640 avant Jésus-Christ, d’une
ues. Solon . D. Que nous apprendrez-vous de Solon ? R. Solon naquit à Athènes vers l’an 639 avant Jésus-Christ. Après
à soixante-dix ans. Bias . D. Dans quelle ville Bias étoit-il  ? R. Bias étoit né à Priène, ville de Carie. Il
Bias . D. Dans quelle ville Bias étoit-il né ? R. Bias étoit à Priène, ville de Carie. Il florissoit vers l’an
combien les parents ne doivent-ils pas prendre de soins pour en faire naître l’amour dans le cœur de leurs filles, dès leur pl
droits sont absolus ;              Que tant qu’on est belle, on fait naître Des desirs, des transports, et des soins assidus’
andonner l’approbation publique, parce que du mépris de la réputation naît le mépris de la vertu. Il ne suffit donc pas à un
t, et lui dit ; Étranger assez leste,                 Je t’aurois cru dans ces lieux ; Mais ce ton insolent que le vrai
l se métamorphose, il force son naturel et l’assujettit à sa passion. fier et orgueilleux, on le voit, d’un air timide
ne ame vertueuse Sait cacher avec soin une main généreuse ; D’un cœur vraiment grand, c’est la première loi : La vertu
si elle porte à des excès de folie ou de fureur ? Les femmes qui sont nées vives et colères doivent s’appliquer encore plus
     Du jardin l’arbre favori,            Le printemps ne faisant que naître ,      S’applaudissoit d’être déjà fleuri : II avi
travail en même temps que celui de la lecture ? R. Oui. L’homme est pour le travail Le travail est le noble soutien d
tours nous mène à la raison. Cet art ingénieux, que la crainte a fait naître , Qu’inventa le sujet pour conseiller son maître,
sans faste enrichi. Il reçut le bon sens, l’élégante justesse ; Mais, dans l’esclavage, il en eut la tristesse. La Fon
16. Eridan ou le Pô. Les anciens l’appeloient le roi des fleuves. Il naît au Mont-Viso, et se jette dans le golfe de Venise
5 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
oissant, les obligea de s’éloigner des lieux où le genre humain était , la tradition de la vérité commença à s’altérer ;
lables, et pour les rapprocher davantage des autres dieux, on les fit naître de l’union des dieux avec de simples mortelles. H
ns leurs cœurs, et ne quittaient jamais les lieux qui les avaient vus naître . Toujours en paix, ils n’avaient ni villes fortif
la terre, par leur travail, les dons de Cérès. Le siècle d’airain vit naître l’orgueil et la guerre sans enfanter le crime. En
rité des lois eut à punir des crimes de tout genre. Une race d’hommes née du sang des géants, dont la terre fut arrosée, lo
ble, et quel est le nom de cette divinité ? — De qui le Destin est-il  ? — Quelle est la puissance du Destin ? — Comment
clopes ? — La terre ne s’unit-elle pas avec le Ciel ? — Quels enfants naquirent de cette union ? — Combien de races se sont succé
lever aucun enfant mâle. En conséquence, toutes les fois qu’il lui en naissait un, il le dévorait. Mais sa femme Rhéa ou Cybèle,
dieux et les hommes. Mais craignant d’être vaincu par les enfants qui naîtraient de cette alliance, il renferma Métis dans ses pro
es neuf Muses. Enfin, Apollon et Diane, les plus beaux des immortels, naquirent de l’union de Jupiter et de Latone. Junon, sœur d
nstre. Cette victoire lui fit donner le nom de Pythien. D’autres font naître le serpent Python du limon de la terre, après le
e. Cette fontaine avait jailli sous un coup de pied du cheval Pégase, du sang de Méduse. Ce coursier des Muses avait de
onnaissance. Questionnaire. De qui Apollon était-il fils ? — Où naquit Apollon ? — Quel fut le premier exploit d’Apollon
Jupiter, tantôt Tyndarides ou fils de Tyndare. Ils étaient tous deux nés de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte, et frèr
aire dans les combats que dans les travaux de l’intelligence. Minerve naquit à propos pour seconder son père dans la guerre de
les attributs des arts et des sciences. Questionnaire. Comment naquit Minerve ? — Ne prit-elle point part à la guerre d
r son entremise qu’ils communiquaient avec la terre et les enfers. Il naquit sur le mont Cyllène en Arcadie, et son enfance fu
, et tous deux Titans. Océan épousa Téthys, sa sœur, et de leur union naquirent les Océanides, Nymphes de la mer. On n’en comptai
Sous quels noms les anciens ont-ils divinisé la Mer ? — Quels enfants naquirent de l’union d’Océan et de Téthys ? — Comment repré
nités de la mer. On attribue à Neptune un très-grand nombre d’enfants nés de mères différentes. Cette fécondité repose prin
es deux juges étaient soumises à Minos. Les Furies. Les Furies, nées , selon Hésiode, du sang d’Uranus, fécondé par la
ceinte. Junon fit déclarer par Jupiter que celui des deux enfants qui naîtrait le premier aurait tout pouvoir sur le second ; el
ctoire. Les marais de Lerne nourrissaient depuis longtemps un monstre de Typhon et d’Échidna, l’hydre aux sept têtes. U
ancha d’un coup de son épée la tête de Méduse ; du sang de ce monstre naquit Pégase, cheval ailé qui s’éleva aussitôt dans les
ophon n’éprouva-t-il pas une catastrophe ? § 5. Thésée. Thésée naquit à Trézène ; il était fils d’Égée, roi des Athénie
s fut Laïus, époux de Jocaste. L’oracle avait annoncé que le fils qui naîtrait de leur alliance serait le meurtrier de son père
e meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Lorsque cet enfant fut , les auteurs de ses jours le vouèrent à la mort.
nna les Védas, livres sacrés, où la vérité était déposée ; de Brahman naquirent les hommes destinés à entretenir la religion sur
Guigniaut, Histoire des religions de l’antiquité. 18. Arbre indien, du sang de Kaiomorts, premier homme formé par Orm
6 (1800) Cours de mythologie pp. -360
nt sa vie, sept fameuses cités se disputèrent l’honneur de l’avoir vu naître . Plusieurs d’entre elles lui dressèrent des Statu
pour contempler ton cours.     Qui me dévoilera l’instant qui t’a vu naître  ? Quel œil peut remonter aux sources de ton être 
portes s’ébranlèrent : Des soleils allumés les feux étincelèrent : Tu naquis  ; l’Eternel te prescrivit ta loi. Il dit au mouve
six à gauche, embrasse l’Univers. Ovide. —  Saint-Ange 15.     Où naissent tes rayons, Astre enflammé du jour ? Quelle main
. Là, sur un vert gazon Proserpine s’amuse, A ramasser les fleurs qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus qu’à la jeun
femmes, les vieillards sont livrés au carnage ; L’enfant qui vient de naître , invoque envain son âge ; On l’immole avec eux :
t vous retrace une image adorée ; Et vos enfans, ces gages précieux, Nés de l’amour, en sont de nouveaux nœuds. Un tel Hym
u des Richesses. Quelques poètes le font aveugle, mais il n’étoit pas tel. Il discernoit d’abord les hommes justes, et
coqs.     Dans cette Grèce mensongère, Le Dieu de la Santé, dit-on, Naquit du Dieu de la Lumière ; On croiroit que, fils d’A
bon qu’à nourrir des bourgeois. Du fond des mers où le sort l’a fait naître , La Sargue accourt : on l’achète à grands frais,
a vie. On plaçoit sa statue près du berceau de l’enfant qui venoit de naître . Dans les triomphes, on la suspendoit au-dessus d
nourrie, Et Junon trouve en cette Ile fleurie, Ces plaisirs purs qui naissent dans les champs. Malfilatre 68.     Avec orgue
et de la Terre ; les autres de Jupiter et de Dioné. Plusieurs la font naître de l’écume de la Mer, et c’est l’opinion la plus
ntemps l’embellit à jamais. Une chaleur égale et tempérée Y fait tout naître et prévient les souhaits. Vous n’entendez que le
trident, un superbe coursier. Minerve, d’un coup de sa lance, en fit naître l’arbre de la paix tout en fleurs ; et Cécropie f
raises parfument les bois, L’épine enfante la groseille, Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir la corbeille, La N
ns toi, ces végétaux que tu sais reproduire Périssent en naissant, ou naissent pour se nuire. Etouffés l’un par l’autre, ils sèm
Thémis. Elles étoient trois, Dicé, Thrène et Eunomie. Les Heures naquirent au printemps. Elles ouvrent les portes du ciel et
quel instinct règle chaque attitude ; La grâce, ailleurs captive, ici naît sans étude. Les gestes et les pas, d’un mutuel ac
la vois ! l’incarnat brille sur son visage ; Mille fleurs, à l’envi, naissent sur son passage ; Auprès d’elle est la joie au fr
confusion, Et, pour vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! Corneille 116
Femme de l’Achéron. Elle préside aux Ténèbres. C’est d’elle que naquirent les divers monstres qui assiègent la porte des En
umante. d’Arnaud 131. Thésée, Fils d’Egée, Roi d’Athènes. avec la noble ambition d’imiter Hercule, il march
les troupeaux dans les plaines profondes. Par lui tu connoîtras d’où naissent tes revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le c
133. Daphnis, Jeune Berger de Sicile, et fils de Mercure. dans un bois de Laurier, Daphnis avoit tiré son n
chants Tu fus de nos champs L’amour et la gloire. Tant que le raisin Naîtra sur la treille, Et tant que l’abeille Sucera le T
es divers ossemens. Ainsi d’hommes sans nombre une femme est la mère… Nés des cailloux, nos cœurs en ont la dureté ; Et nos
eurs corps pleins de vie ont tous une étincelle. C’est de-fà que sont nés l’homme et les animaux, Peuple immense des Airs,
pouvanté de l’idée de ce double crime, il remet l’Enfant qui vient de naître à un officier, avec ordre de le faire mourir. Cel
enaçante :     La colère des Dieux suivra dans ton palais Hélène qui naquit pour le malheur du monde : C’en est fait : pour p
e chaîne de fleurs. Captif en ces liens, Silène se réveille : On voit naître les ris sur sa bouche vermeille. Vous remportez,
me ; Et la gloire n’est point à trahir ce qu’on aime. Du sang dont il naquit j’ai dû me défier, Et de Laomédon connoître l’hér
usion primitive des Elémens. Un Dieu débrouilla le Cahos et l’Univers naquit .     Pour embellir ce globe arrondi par ses main
i le forma peut-être Ait d’un germe divin développé son être, L’homme naquit . Ainsi sous de savantes mains La glèbe s’étonna d
r un Dragon. Cadmus tua le monstre, et en ayant semé les dents, il en naquit des hommes tout armés, qui s’entremirent aussi tô
r du jour ; Mais lorsqu’il veut calmer la soif qui le dévore, Il sent naître une soif plus dévorante encore. A l’aspect imprév
elle, Pœmenis, des troupeaux jadis garde fidelle, Napé qu’un loup fit naître Alcé, hardi limier, Harpale depuis peu blessé d’u
leurèrent ; Leurs larmes sur la terre ensemble se mêlèrent ; Et de-là naît un fleuve, honneur de ces climats, Qui du nom du
elle au sein qui le nourrit, Repousser en pleurant le sein qui le fit naître . Cruelle ! à l’instant même où tes vœux criminels
s prompte à disparoître ; Comme l’éclat des Cieux que l’Aurore a fait naître , Aux premiers feux du jour se dissipe soudain.  
-père. Le Phrygien me craint, le Thébain me révère. Epouse d’Amphion, des Dieux dont je sors, Je règne dans les murs bâ
eu de m’offenser : Niobé vous insulte. La fille de Tantale, aux Dieux nés de mon sang, Préfère, avec orgueil, les fils nés
e Tantale, aux Dieux nés de mon sang, Préfère, avec orgueil, les fils nés de son flanc. Ah ! puisse être bientôt, sa race s
métaux. Virgile. —  Delille 227. Python. Monstrueux Serpent, du limon de la terre après le déluge de Deucalion
e Parnasse Par des prodiges nouveaux : Le Ciel vit ce monstre impie, de la fange croupie, Au pied du mont Pélion, Souf
   De l’écume empoisonnée De ce reptile fatal, Sur la terre profanée. Naquit un germe infernal : Et delà, naissent les sectes
ile fatal, Sur la terre profanée. Naquit un germe infernal : Et delà, naissent les sectes De tous ces sales insectes, De qui le
une prairie. Ces pins audacieux que la mousse a couverts,              Naquirent avec l’Univers.             Eux seuls ont pu rend
t la mémoire. Du fameux Téucer illustres descendans, Magnanimes héros nés en de meilleurs temps, Dans ces paisibles lieux s
use prison : Repos, transports, heures délicieuses, Tous les plaisirs naissent de la raison.     Esprit des Dieux, soutien de l
ra leurs jeux. Mais toi, Mortel, toi si digne de l’être, Esclave bas, pour avoir un maître, Qui n’oserois écouter les d
tre, Qui n’oserois écouter les désirs Que dans ton cœur la nature fit naître  ; Toi, l’ennemi, le tyran des plaisirs, Veux-tu t
les Mondes : Toi qu’après la bonté, l’homme chérit le mieux ; Toi qui naquis un jour du sourire des Dieux, Beauté, je te salue
nité L’Aurore s’embellit de la fuite des Ombres ; Le plus riant matin naît des nuits les plus sombres Qui n’eût point vu les
t le fils heureux de la triste infortune.     Au même sein conçus et nés le même jour, Deux êtres habitoient le terrestre
le peut paroître ? Sa main sème plus de fleurs Que l’Aurore n’en fait naître , Et qu’Iris n’a de couleurs.     Son art forme s
olle sagesse, Dans un lâche repos, s’avilit et s’endort ! L’homme est pour agir. Ramper dans la paresse,               
Voltaire 305. Patrie. Elle préside aux lieux qui nous ont vu naître . Mère tendre, elle nous inspire pour elle un amou
vient qu’un Villageois, assis sous un ormeau, Juge des differens qui naissent au hameau ? Pauvre, chargé de soins, et consumé p
alité. Céleste attribut de l’ame humaine, dont l’idée et le désir naissent avec nous. C’est le sentiment inné, c’est le nobl
7 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
nt sa vie, sept fameuses cités se disputèrent l’honneur de l’avoir vu naître . Plusieurs d’entr’elles lui dressèrent des statue
pour contempler ton cours.     Qui me dévoilera l’instant qui t’a vu naître  ? Quel œil peut remonter aux sources de ton être 
portes s’ébranlèrent : Des soleils allumés les feux étincelèrent : Tu naquis  ; l’Eternel te prescrivit ta loi. Il dit au mouve
nture oblique embrasse l’univers. Ovide. —  Desaintange 12.     Où naissent tes rayons, Astre enflammé du jour ? Quelle main
. Là, sur un vert gazon Proserpine s’amuse, A ramasser les fleurs qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus qu’à la jeun
femmes, les vieillards sont livrés au carnage ; L’enfant qui vient de naître invoque en vain son âge ; On l’immole avec eux :
ut vous retrace une image adorée ; Et vos enfans, ces gages précieux, Nés de l’amour, en sont de nouveaux nœuds. Un tel Hym
u des richesses. Quelques poëtes le font aveugle, mais il n’était pas tel. Il discernait d’abord les hommes justes, et
         L’aveugle Dieu de l’Opulence,          Plutus, n’était pas sans yeux.          On raconte qu’en son enfance,
on du printemps vient embellir l’Hiver, Et, tel qu’un doux souris qui naît parmi des larmes, A la campagne en deuil rend un
a vie. On plaçait sa statue près du berceau de l’enfant qui venait de naître . Dans les triomphes, on la suspendait au-dessus d
nourrie, Et Junon trouve en cette île fleurie, Ces plaisirs purs qui naissent dans les champs. Malfilatre 68.    Avec orguei
t de la Terre ; les autres, de Jupiter et de Dioné. Plusieurs la font naître de l’écume de la Mer, et c’est l’opinion la plus
ntemps l’embellit à jamais. Une chaleur égale et tempérée Y fait tout naître et prévient les souhaits. Vous n’entendez que le
trident, un superbe coursier. Minerve, d’un coup de sa lance, en fit naître l’arbre de la paix tout en fleurs ; et Cécropie f
aturne et d’Apis, Et Junon et Cérès furent les premiers fruits. Vesta naquit depuis, et son destin diffère. Junon, comme Cérès
raises parfument les bois, L’épine enfante la groseille, Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir la corbeille, La N
ns toi, ces végétaux que tu sais reproduire Périssent en naissant, ou naissent pour se nuire. Étouffés l’un par l’autre, ils sèm
Thémis. Elles étaient trois, Dicé, Thrène et Eunomie. Les Heures naquirent au printemps. Elles ouvrent les portes du ciel et
quel instinct règle chaque attitude ; La grâce, ailleurs captive, ici naît sans étude. Les gestes et les pas, d’un mutuel ac
e la vois, l’incarnat brille sur son visage ; Mille fleurs, à l’envi, naissent sur son passage ; Auprès d’elle est la joie au fr
confusion, Et, pour vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! Corneille 118
femme de l’Achéron. Elle préside aux Ténèbres. C’est d’elle que naquirent les divers monstres qui assiègent la porte des en
fumante. d’Arnaud 135. Thésée, Fils d’Égée, Roi d’Athènes. avec la noble ambition d’imiter Hercule, il march
les troupeaux dans les plaines profondes. Par lui tu connaîtras d’où naissent tes revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le c
e 137. Daphnis, Jeune Berger de Sicile, et fils de Mercure. dans un bois de Laurier, Daphnis avait tiré son n
chants Tu fus de nos champs L’amour et la gloire. Tant que le raisin Naîtra sur la treille, Et tant que l’abeille Sucera le t
re. Et de femmes sans nombre une femme est la mère. De là nous sommes nés durs et laborieux, Dignes fils des cailloux qui f
eurs corps pleins de vie ont tous une étincelle. C’est de là que sont nés l’homme et les animaux, Peuple immense des Airs,
pouvanté de l’idée de ce double crime, il remet l’enfant qui vient de naître à un officier, avec ordre de le faire mourir. Cel
menaçante :    La colère des Dieux suivra dans ton palais Hélène qui naquit pour le malheur du monde : C’en est fait : pour p
e chaîne de fleurs. Captif en ces liens, Silène se réveille : On voit naître les ris sur sa bouche vermeille. Vous remportez,
me ; Et la gloire n’est point à trahir ce qu’on aime. Du sang dont il naquit j’ai dû me défier, Et de Laomédon connaître l’hér
usion primitive des élémens. Un Dieu débrouilla le Cahos et l’Univers naquit .    Pour embellir ce globe arrondi par ses mains
i le forma peut-être Ait d’un germe divin développé son être, L’homme naquit . Ainsi sous de savantes mains La glèbe s’étonna d
r un Dragon. Cadmus tua le monstre, et en ayant semé les dents, il en naquit des hommes tout armés, qui s’entremirent aussi tô
r du jour ; Mais lorsqu’il veut calmer la soif qui le dévore, Il sent naître une soif plus dévorante encore. A l’aspect imprév
elle Pœménis, des troupeaux jadis garde fidelle, Napé qu’un loup fit naître , Alcé hardi limier, Harpale depuis peu blessé d’u
dèle au sein qui le nourrit, Repousser en pleurant le sein qui le fit naître . Cruelle ! à l’instant même où tes vœux criminels
lus prompte à disparaître. Tel le pourpre douteux que l’aurore a fait naître , Aux premiers feux du jour se dissipe soudain. La
Niobé ! ta folle ambition, Autant que les enfans, que ta couche a vu naître  ; Tu te crus trop heureuse, et tu cessas de l’êtr
père ! Le Phrygien me craint : le Thébain me révère. Epouse d’Amphion des dieux dont je sors, Je règne dans les murs bâ
est-là que, moins que moi digne du nom de mère, Deux jumeaux lui sont nés , enfans de sa misère…    Latone est indignée, et
eu de m’offenser : Niobé vous insulte. La fille de Tantale, aux dieux nés de mon sang, Préfère avec orgueil les fils nés da
de Tantale, aux dieux nés de mon sang, Préfère avec orgueil les fils nés dans son flanc. Ah ! puisse être bientôt sa race
r, Dryope a cessé d’être ; Mais par elle animé, le tronc qui vient de naître , Sous l’écorce où ma main sent palpiter son cœur,
rs pompeuses têtes. Le même 221. Python. Monstrueux Serpent, du limon de la terre après le déluge de Deucalion
le Parnasse Par des prodiges nouveaux : Le Ciel vit ce monstre impie, de la fange croupie, Au pied du mont Pélion, Souf
   De l’écume empoisonnée De ce reptile fatal, Sur la terre profanée, Naquit un germe infernal, Et de là, naissent les sectes
ile fatal, Sur la terre profanée, Naquit un germe infernal, Et de là, naissent les sectes De tous ces sales insectes, De qui le
use prison : Repos, transports, heures délicieuses, Tous les plaisirs naissent de la raison.    Esprit des Dieux, soutien de l’
ra leurs jeux. Mais toi, Mortel, toi si digne de l’être, Esclave bas, pour avoir un maître, Qui n’oserais écouter les d
tre, Qui n’oserais écouter les desirs Que dans ton cœur la nature fit naître  ; Toi, l’ennemi, le tyran des plaisirs, Veux-tu t
O séduisante et sublime Déesse, Que tes traits sont divers ! tu fais naître dans moi Ou les plus doux transports, ou le plus
ment les fruits, la verdure et les fleurs : Les rayons d’un beau jour naissent de ton sourire ; De ton souffle léger s’exhale le
les Mondes : Toi qu’après la bonté, l’homme chérit le mieux ; Toi qui naquis un jour du sourire des Dieux, Beauté, je te salue
ité… L’Aurore s’embellit de la fuite des Ombres ; Le plus riant matin naît des nuits les plus sombres ; Qui n’eût point vu l
st le fils heureux de la triste infortune.    Au même sein conçus et nés le même jour, Deux êtres habitaient le terrestre
 ; » Sa lettre le disait ; qui peut le retenir ! » Et le trouble déjà naît au sein du plaisir. Sur l’aride coteau, sur la br
le peut paraître ? Sa main sème plus de fleurs Que l’Aurore n’en fait naître , Et qu’Iris n’a de couleurs.    Son art forme sa
olle sagesse, Dans un lâche repos, s’avilit et s’endort ! L’homme est pour agir. Ramper dans la paresse,               
Voltaire 288. Patrie. Elle préside aux lieux qui nous ont vu naître . Mère tendre, elle nous inspire pour elle un amou
vient qu’un Villageois, assis sous un ormeau, Juge des différends qui naissent au hameau ? Pauvre, chargé de soins, et consumé p
alité. Céleste attribut de l’ame humaine, dont l’idée et le desir naissent avec nous. C’est le sentiment inné, c’est le nobl
8 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
strateurs municipaux de la commune de Rheims. L’hommage d’un Livre dans vos murs, et consacré à l’instruction de la
n’étoit rien. La nature enchaînée, Oisive et morte, avant que d’être née , Sans mouvement, sans forme, sans vigueur, N’étoi
enfant mâle. C’est pourquoi Saturne les dévoroit sitôt qu’ils étoient nés . Cependant Cybèle, sa femme, ayant mis au monde J
nuit. Auteur de tout ce qui doit être, Il détruit tout ce qu’il fait naître , A mesure qu’il le produit. D. Comment s’appeloi
tal désir de voir et de connoître ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître , Dans un instant, tous les fléaux divers Qui depu
Dites-nous un mot du cheval Pégase. R. Pégase est un cheval ailé, qui naquit du sang de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à
ter et de Sémélé. D. Comment vint-il au monde ? R. Les Poëtes le font naître de la cuisse de Jupiter. Voici à quelle occasion.
un marteau à la main. Minerve. D. Comment les Poëtes font-ils naître Minerve ? R. Minerve, ou Pallas, sortit du cervea
terre un olivier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de son trident, fit naître un beau cheval. Minerve l’emporta, et donna le no
es Héros. D. Qu’entend-on par demi-Dieux ? R. On entend des Héros nés d’un Dieu et d’une Mortelle, ou d’une Déesse et d
jardin des Hespérides. Il coupa la tête de Méduse ; du sang de Méduse naquit , dit-on, le cheval Pégase. Persée se voyant mal a
mari, à laquelle il annonça cette brillante destinée : Chez toi doit naître un fils, qui, sous le nom d’Hercule, Remplira de
uisa tous les efforts de sa haine contre ce fils de Jupiter. Elle fit naître Euristhée avant lui, afin qu’en sa qualité d’aîné
aure ? R. Le Minotaure étoit un monstre moitié homme, moitié taureau, , selon les Poëtes, de Pasiphaë, épouse de Minos,
honteux et cruel. Ce monstre, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître , Qui du sang des humains brûloit de se repaître,
régna tranquillement à Iolchos, capitale de la Thessalie où il étoit . Bellérophon. D- Qui étoit Bellérophon ? R.
par respect pour les talens du grand Poëte, que la maison où il étoit fut épargnée. Œdipe. D. Quelle est l’histo
une énigme aux passans, et les dévoroit, s’ils ne la devinoient pas. parmi les rochers, au pied de Cithéron, Ce monstr
u coup senti la rude atteinte, Qu’il tombe ; et, d’un regard qui fait naître la crainte, Reprochant à Pâris son indigne attent
avers. Otez les soins et la culture, les enfans les plus heureusement nés dégénèrent, et souvent se perdent pour jamais. L
’aurore voit éclore, et qui finit avec le déclin du jour qui l’a fait naître . Le mérite seul peut donner du prix à la beauté.
rite nos hommages : aussi est-elle le partage de toutes les ames bien nées . D. Avec quel soin doit-on éviter de se rendre co
faire un nom. Cet accident arriva le jour même qu’Alexandre le grand naquit en Macédoine, le sixième jour de Juillet, l’an du
9 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
les abus de la force réduisirent à se réunir contre elle ; la guerre naquit , et l’homme ajouta ce fléau terrible aux maladies
èrent le rang que chacun devait occuper. Ce fut alors que l’émulation naquit . Elle est inséparable de la gloire ; et la gloire
eçons de leurs maîtres, ils les surpassent en peu de temps, et voient naître parmi eux des héros dont les noms sont immortels.
peuples. En conséquence, ils se disaient Authocthones, c’est-à-dire, nés dans le pays même, et se regardaient comme les pè
l’une et l’autre se ressemblent. Persée, fils de Jupiter et de Danaé, naquit dans une tour d’airain qu’Acrisius, roi d’Argos,
complissement de l’oracle, qui lui avait prédit que de sa fille Danaé naîtrait un fils qui lui ravirait la couronne et la vie. J
rprit pendant le sommeil, et lui coupa la tête. Du sang qui en sortit naquirent le héros Chrysaor et le cheval Pégase. Chrysaor t
ameux géant, à trois têtes. Pégase fut ainsi nommé, parce qu’il était près des sources de l’Océan. A l’instant même de
coupa la tête pendant qu’elle était ensevelie dans le sommeil. Pégase naquit de son sang. Persée le monta, et vola vers la Mau
les après, les Athéniens placèrent parmi les dieux le héros qui était parmi eux. Thésée, pendant sa vie, avait, à l’imi
nt aux voyageurs que vainement ils voudront passer au-delà. Le second naquit en Crète, parmi les Dactyles Idéens ; il fut le p
teur des jeux olympiques. Le troisième, fils de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes, et se rendit célèbre par mille travaux.
rain d’Osiris et général de ses troupes, Ozochor. Ce fut à Thèbes que naquit Alcide, le plus illustre des Hercules. Il était f
devint roi de Mycène, et eut pour successeur Eurysthée, son fils, qui naquit en même temps qu’Alcide ; de sorte que ce dernier
thée. Junon savait que Jupiter avait juré que le premier des deux qui naîtrait commanderait à l’autre ; déguisée en vieille, et
imes, on s’aperçoit qu’ils n’ont pu s’empêcher d’avouer qu’elle était née vertueuse, qu’elle n’avait été entraînée au vice
après on publia que Pollux et Hélène, Castor et Clytemnestre, étaient nés de deux œufs. Pollux et Hélène furent regardés co
r lieu à la fable que nous venons de citer. Ces princes et princesses naquirent dans la Laconie, près de Sparte, sur les bords du
en qu’étaient réservées les plus affreuses calamités. L’enfant qui en naîtra , disait un oracle, sera le meurtrier de son père
oracle, sera le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Ce fils naquit , et les auteurs de ses jours le condamnèrent à de
autel d’or, sur lequel on n’immolait que des animaux qui venaient de naître . Près de là était un grand autel, sur lequel on b
che, l’indiscrétion, l’infidélité d’un prêtre, la jalousie qui devait naître entre les oracles consultés et ceux que l’on semb
es se trouvent dans les anciennes annales des Samiens. 7°. La Cumane, née à Cumes, dans l’Œlide. Elle se nommait Démophile,
par une dévotion mal entendue et très-ignorante. 8°. L’Hellespontine, née à Marpèze, dans la Troade ; elle avait prophétisé
chercher dans des contrées inconnues à ses ennemis, la liberté qu’il trouvait plus dans sa patrie. Son véritable nom é
n remarque généralement que, sous les climats méridionaux, les hommes naissent avec des imaginations vives, fécondes et inquiète
n du Nord, Thor n’était vraisemblablement qu’une divinité subalterne, née de l’union d’Odin avec la Terre. L’Edda l’appelle
u du midi, fondit ces vapeurs, et en forma des gouttes vivantes, d’où naquit le géant Ymer. On raconte que, pendant qu’il dorm
ns, race mauvaise et corrompue, aussi-bien qu’Ymer, son auteur. Il en naquit une meilleure, qui s’allia avec celle du géant Ym
uit le géant Ymer ; ce sommeil, pendant lequel une femelle et un mâle naissent de ses flancs ; cette race des fils des dieux, ce
les nations ignorantes sont sujettes à tomber dans l’erreur. L’homme naît environné de dangers et de maux ; si la protectio
oracles, les augures, les divinations et mille pratiques de ce genre, naquirent en foule de cette opinion. Les trois Parques, don
ommes, les actions éclatantes sont rares, les arts et les sciences ne naissent qu’à la suite des siècles. Il en est de même des
lui ordonner de se démettre de son autorité. Le refus de Tremnor fit naître une guerre civile, dans laquelle un très-grand no
noble désir de secourir les opprimés et de redresser les torts firent naître l’esprit de chevalerie ; il produisit des prodige
ette plante pouvait toucher sentaient à l’instant la paix et la gaîté naître au fond de leur cœur. Il faut aussi ranger au nom
monies était celle de cueillir le gui de chêne. Cette plante parasite naît sur quelques autres arbres ; mais les druides cro
il faut se servir d’une faucille d’or pour le couper. 3°. Tout ce qui naît tire son origine du ciel. 4°. On ne doit pas conf
10 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
n’était rien : la nature enchaînée, Oisive et morte avant que d’être née , Sans mouvement, sans forme et sans vigueur, N’ét
on puisse l’arrêter ; c’est le temps qui forme et détruit tout ce qui naît et disparaît dans l’univers ; il dévore ses propr
tal désir de voir et de connaître ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître , Dans un instant, tous les fléaux divers, Qui dep
lympie, en Elide, où ils se célébraient tous les cinq ans, ce qui fit naître la coutume de compter par olympiades. On prétend
s aux jeux Olympiques, furent Théagène, Milon et Polydamas. Théagène, à Thase, petite ville voisine de Lacédémone, se r
rte où son infortune l’avait conduite. Diane, comme fille de Jupiter, naquit toute savante ; venue la première, elle ne fut pa
ter, naquit toute savante ; venue la première, elle ne fut pas plutôt née , qu’elle aida sa mère à mettre au jour Apollon. E
ui sortit de sa blessure produisit la fleur qui porte son nom, et qui naît à la fin de l’hiver. Poursuivi par les parens d’H
é et de la fertilité de son territoire. Ce fut dans cette île que lui naquît une fille nommée Rhodia. Le jour de sa naissance
élèbre par des prodiges : le soleil y répandit une pluie d’or, et fit naître une prodigieuse quantité de roses : ce qui signif
utres choses ce que la fable nous apprend d’Orion. Fils des dieux, il naquit sans mère. Jupiter, Neptune et Mercure étant en v
père sans prendre de femme. Il obtint cette faveur : les dieux firent naître Orion dans la peau du bœuf dont leur hôte les ava
pour la consoler et l’obliger à reprendre ses fonctions, Jupiter fit naître , des cendres du bûcher de son fils, des oiseaux a
Cumane ou Cumée, et l’une des Sybilles, était fille de Glaucus. Elle naquit à Cumes dans l’Eolide, et fut prêtresse d’Apollon
ui donna occasion à Diane de se vouer à une éternelle virginité. Elle naquit un instant avant Apollon, et aussitôt elle aida L
i a donné lieu à cette fable. Les Hyades Sitôt que Bacchus fut , Mercure le porta aux nymphes de la montagne, qui
Mercure Criophore ; Cyllenius, de la montagne de Cyllène, où il était  ; Hermès, interprète : sous ce nom on attachait à
sser pour l’interprète et le messager des dieux. Vénus. Vénus naquit de l’écume de la mer. Lorsqu’elle sortit du sein
Mort. Les anciens ont fait de la mort une divinité, qu’ils disent née de la Nuit ; elle est dans les enfers la favorite
le souvenir du passé. Cerbère Cerbère, chien à trois têtes, du géant Typhon et d’Echidne, gardait la porte de
chaque chose nuisible et pernicieuse à l’homme. Quelques auteurs font naître Uranus (le Ciel), et Thitea (la Terre), de l’Océa
fils du fleuve Céphise et de Liriope nymphe de la mer. Dès qu’il fut , son père fut consulter Tirésias sur son sort. Ce
êtres. L’Italie prodigua les honneurs à Sylvain, dans la croyance que dans le pays, il l’avait gouverné sagement, et qu
oi d’un oracle qui lui avait prédit qu’il serait tué par l’enfant qui naîtrait de sa fille, la fit enfermer dans une tour d’aira
l pour corrompre les gardes de Danaé, et l’épousa secrètement. Persée naquit de cette alliance. A cette nouvelle, Acrisius fit
ur des Gorgones, Persée coupa la tête à Méduse. Du sang qui en sortit naquit le cheval Pégase, qui, s’envolant aussitôt dans l
Hercule. Il y a plusieurs conquérans de ce nom. Le plus fameux naquit de Jupiter et d’Alcmène. On le nomme encore Alcid
, roi de Mycènes. Jupiter avait juré que celui de ces deux enfans qui naîtrait le premier commanderait à l’autre ; Junon fit en
long-temps et avec beaucoup de gloire dans ses nouveaux états. Il vit naître une nombreuse postérité de lui et de sa chère Her
rait la mort, ordonna à la reine de le faire périr sitôt qu’il serait . Jocaste, ne pouvant se résoudre à cet acte barba
pouvaient pas les deviner ; de sorte que tout le pays était désert. parmi les rochers, au pied du Cithéron, Ce monstr
vint possesseur du royaume de Thèbes et épousa Jocaste. De ce mariage naquirent deux princes, Etéocle et Polynice, et deux prince
égnait à Carthage lorsque Enée y arriva. Virgile qui, à dessein, fait naître Didon deux cents ans plutôt, raconte son histoire
x la naissance d’un traître, Non, du sang des héros un monstre n’a pu naître . [Delille] Enée aborda en Italie, Latinus, qui y
11 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
 ; la rose consacrée à Vénus, est teinte du sang d’Adonis, de ce sang naquit aussi la brillante anémone ; c’est encore le sang
ila son père ; du sang versé par ce parricide et répandu dans la mer, naquirent les Furies, des Géans et Vénus8. Ainsi, dès la pr
s’unit à la Nuit, sa sœur, et de cet hymen, suivant quelques auteurs, naquirent les Titans ; il soutint ses enfans dans leur guer
, d’un coup de trident, fit sortir de terre un cheval, et Minerve fit naître l’olivier. On lui adjugea le prix. Comme la Déess
in. Vénus, Déesse de la beauté, mère de l’Amour et des Grâces, naquit , selon les uns, de l’écume de la mer, et selon d’
et ne fit que le blesser légèrement. De l’union de Vénus et d’Anchise naquit Enée. Après la prise de Troie, Vénus déguisée en
aquelle Adonis, fruit de cet inceste, fut mis au monde. Dès qu’il fut , les Nymphes se chargèrent de son éducation. Il a
en sanglier et le tua. Vénus changea son sang en anémone, de ce sang naquit la rose, ou selon d’autres, la rose blanche alors
eaux, des rugissemens de lions, etc. ; Jupiter le foudroya. De Typhon naquirent tous les vents nuisibles et destructeurs. Les Lat
nt à un certain Philippe, quoiqu’il ne fût pas leur concitoyen, étant Crotoniate, uniquement à cause de sa grande beaut
montroit son tombeau. L’Hymen ou l’Hyménée. Les uns le font naître d’Uranie, d’autres d’Apollon et de Calliope, ou d
Thaumas et d’Électra ; cependant quelques auteurs prétendent qu’elles naquirent de Pontus et de Ghé, ou de Neptune et de Ghé. On
et de les offrir aux divinités de la mer dans une tempête, avoit fait naître une superstition, on croyoit que c’étoit une acti
yre d’or. Après le déluge, Junon, toujours irritée contre Latone, fit naître du limon de la terre un serpent monstrueux, nommé
es très-extraordinaires. Quand Persée eut coupé la tête de Méduse, il naquit du sang de cette tête un Géant armé d’une épée, q
ut Pégase. Chrysaor aima Callirhoë, fille de l’Océan, et de cet amour naquit Gérion ; de sorte que Gérion étoit petit-fils de
Mercure, comme on sait, étoit le Dieu des voleurs. 8. D’autres font naître Vénus de Jupiter et de Dionée. 9. Voici une autr
que c’étoit la peau du monstre Égis, vaincu par Minerve. Ce monstre, de la terre, vomissoit feu et flamme avec des tou
soleil. 24. Les Centaures, monstres moitié hommes et moitié chevaux, naquirent d’Ixion et de la Nue qui le trompa sous la figure
nt Mars fils de Phorcys et de Céto. Mais le plus grand nombre le fait naître , comme ça l’a dit, de Junon. 26. Il y a eu dix S
ppelés Dieux inférieurs. Enfin, il y avoit les demi-Dieux ; ceux qui, nés de mères mortelles ou de pères mortels, tiroient
onoroit comme des Dieux, après leur mort, dans le pays où ils étoient nés . 42. Dans cet Arabesque les serpens seuls sont a
12 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
t dieux Allégoriques. III. On appelait Héros ou Demi-Dieux les hommes nés d’un dieu et d’une mortelle, ou d’un mortel et d’
x était le Ciel ou Cœlus, qui épousa la Terre ou Titéa. De ce mariage naquirent deux filles, nommées Cybèle et Thémis, et un gran
upiter. Le plus célèbre était originaire de Crète, les autres étaient nés en Arcadie, en Égypte, en Assyrie et ailleurs.
à ceux de la fille de Jupiter. Méduse, une des trois gorgones, était née avec tous les agréments de la figure ; sa chevelu
ile à la nouvelle cité. Neptune frappa la terre de son trident et fit naître le cheval, qui est l’emblème de la guerre ; Miner
iomphe. § 11. Vénus. Vénus, déesse de la beauté et de l’amour, naquit , avec tous ses charmes, de l’écume de la mer, et
peine à donner le change à ses déplaisirs. Adonis, beau jeune homme, en Arabie, aimait passionnément la chasse et se l
onducteur du char du soleil, est pris souvent pour le Soleil même. Il naquit dans l’île de Délos, une des Cyclades ; sa mère f
es Faunes, les Satyres, les Dryades le pleurèrent, et de leurs larmes naquit un fleuve de Phrygie, qui fut nommé Marsyas. Aprè
crée. § 16. Mercure. C’est en Arcadie, sur le mont Cyllène, que naquit Mercure, fils de Jupiter et de Maïa. Le jour même
Terpsichore, Érato, Polymnie ; En voila huit : ajoutez Uranie. Elles naquirent sur le mont Piérus, et habitèrent tour à tour le
os. Les poètes les appellent tantôt Piérides, du mont Piérus où elles naquirent , et de leur victoire sur les filles de Piérus ; t
a) Dieux champêtres. § 1. Pan. — Faune. — Les Satyres. Pan, en Arcadie, était le dieu des campagnes et des be
 ; ces dernières sont incorporées et identifiées avec l’arbre ; elles naissent et meurent avec lui. La cognée, qui frappe le tro
. Priape. Priape, dieu de l’horticulture et de la fructification, naquit à Lampsaque dans l’Asie-Mineure. Les Romains lui
Ciel et de la Terre, épousa Téthys déesse des eaux, et de ce mariage naquirent les Fleuves et les Océanides. — On représente l’O
ns la fontaine d’Aréthuse, en Sicile. De cette croyance populaire est née la fable qu’on vient de lire.) § 11. Les Naïad
t, des fruits et des fleurs. § 12. Protée. Protée, dieu marin, à Pallène en Macédoine, avait pour occupation pri
mbattit les Gorgones et trancha la tête à Méduse, du sang de laquelle naquirent Chrysaor et le cheval Pégase. § 14. Glaucus.
versait l’Ilissus, et la transporta dans son royaume. De leur hyménée naquirent Calaïs et Zèthès, argonautes fameux, et Chioné, m
a ville de Némée un lion qui en dépeuplait les campagnes. Cet animal, du géant Typhon, était d’une grosseur prodigieuse
ats qui gardaient Danaé, l’enleva, et l’épousa secrètement29 : Persée naquit de ce mariage. Plus effrayé des menaces de l’orac
suite, comme le protecteur et le dieu des athlètes. Castor, qui était mortel, ayant péri près du mont Taygète dans un c
1. Tirésias. Tirésias, le plus célèbre devin des temps héroïques, naquit à Thèbes en Béotie : sa mère, la nymphe Chariclo,
Diane dans cet hommage. La déesse se vengea de cet oubli, en faisant naître dans le territoire de Calydon, un horrible sangli
ient les choses cachées, égorgea son propre fils Pélops, nouvellement , le coupa en morceaux, et l’ayant fait rôtir, le
ale de la Grèce (le Péloponèse). Du mariage d’Hippodamie et de Pélops naquirent Atrée et Thyeste. Ces deux frères, fameux dans l’
y consulter l’oracle d’Apollon ; et sa réponse fut « que le fils qui naîtrait de leur hyménée serait un jour le meurtrier de so
it un jour le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. » L’enfant naquit , et Laïus, pour éviter de plus grands malheurs, a
. § 4. Achille. Achille, fils de la nymphe Thétis et de Pélée, naquit à Phtia, ville de Thessalie. Sa mère, qui voulait
épée qu’il avait reçue d’Hector. La terre, mouillée de son sang, fit naître une fleur semblable à la jacinthe, et sur laquell
art une lettre à Mycènes. Au nom de Mycènes, de cette ville où il est , Oreste sort de sa muette horreur : il s’approche
ole ; car déjà elle frappait l’air avec les ailes qui venaient de lui naître  : et voltigeant sur la surface de la mer, elle fa
entre les bras de son époux. § 12. Milon. — Polydamas. Milon, à Crotone, dans le Brutium, surpassa tous les ath
ux rayons du soleil, s’y couche et s’y éteint. De la moelle de ses os naît un ver, qui produit un autre phénix, jeune, brill
thénien, et appartenir à la famille des Eumolpides. 12. Homère fait naître Vénus de Jupiter et de Dioné. Virgile donne le su
ntent que Jupiter ayant fait sortir Minerve de son cerveau, Junon fit naître Mars de l’attouchement d’une fleur, dans les cham
té et que Diane l’eut transporté en Italie. 19. Délie, c’est-à-dire née dans l’île de Délos. 20. Suivant une tradition
, au sujet d’Hercule et d’Eurysthée, « que celui des deux princes qui naîtrait le dernier obéirait à l’autre ». Junon, qui détes
poux fut Neptune, son second Créthée, fils d’Éole. Du premier hyménée naquit Pélias ; du second naquit Éson. (Créthée, père d’
nd Créthée, fils d’Éole. Du premier hyménée naquit Pélias ; du second naquit Éson. (Créthée, père d’Éson, avait bâti la ville
13 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
cquis des forces fut la destruction du serpent Python, monstre énorme du limon de la terre, et que Junon avait mis à la
e à Apollon, qui le prêtait quelquefois aux bons poëtes. Pégase était au sang de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à
ande beauté, qui fut tué par un sanglier, et du sang duquel Vénus fit naître l’anémone. Les poëtes ont épuisé leur imagination
e terre un olivier tout fleuri ; d’un coup de son trident Neptune fit naître un cheval ; ce fut la déesse qui l’emporta. Après
e culte que l’on rendait à sa mère lui était commun. A peine était-il , que Jupiter, prévoyant tous les maux dont il ser
figurait au premier rang parmi les divinités champêtres. On dit qu’il naquit en Arcadie, où on lui rendait un culte particulie
houlette ou une faucille. Questions. Qu’était-ce que Pan ? — Où naquit -il, et quel culte lui rendait-on ? — A quelle occ
aient des danses gracieuses autour des grands arbres. Les Hamadryades naissaient et mouraient avec le chêne auquel elles étaient i
se disputèrent sa main ; mais le Destin ayant déclaré que le fils qui naîtrait d’elle serait plus grand que son père, ces Dieux
mer ; mais Persée résolut de la sauver. Monté sur Pégase, cheval ailé du sang de Méduse, il fondit sur le monstre au mo
ures ? III. — Hercule. Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes. Junon, jalouse de sa mère, épuisa sur l
que Cadmus avait autrefois tué, et vaincre les guerriers qui devaient naître sur-le-champ de cette semence. Tous ces obstacles
s de sa fiancée ; il dompta les taureaux sans résistance, les soldats nés des dents du serpent se tuèrent entre eux, et le
va cette ville dans un grand trouble causé par le Sphinx. Ce monstre, d’Echidne et de Typhon, avait la tête et les main
ède, qui soupçonnait la feinte, prit le jeune Télémaque qui venait de naître , et le plaça devant la charrue de son père ; Ulys
ua pour éviter les moqueries dont il allait être l’objet. La jacinthe naquit , dit-on, de son sang. Il y eut un autre Ajax, fil
l’on consultait dans toutes les circonstances importantes. La Cumane, née à Cumes dans l’Elide, et qui se nommait Démophile
vit successivement à Samos, à Delphes et à Claros ; l’Hellespontique, née à Marpèze, dans la Troade ; la Tiburne, qu’on app
ilet, Bias, Pittacus, Solon, Périandre, Cléobule et Chilon.   Thalès, à Milet, en Ionie, tient la première place parmi
onne santé, une fortune médiocre et un esprit cultivé.   Bias était à Priène, en Ionie : cette ville ayant été prise
’il regardait comme les plus dangereux ennemis de l’État.   Cléobule, à Lindes, en Carie, était le fils de l’historien
oit le plus justement célèbre de tous les philosophes de l’antiquité. 469 ans avant J.-C., d’un pauvre sculpteur nommé
par Alexandre, qui n’épargna que la maison où le poëte Pindare était . Sa citadelle se nommait Cadmée. Un village nommé
14 (1845) Mythologie de la jeunesse
u-dessus de tous les dieux était le Destin, divinité toute puissante, née du Chaos et de la Nuit. Ses arrêts étaient irrévo
u’on appelait aussi Titéa. Uranus épousa la Terre, et de leur mariage naquirent les Titans, géants monstrueux, au nombre desquels
vœux propice, Et croire follement maîtres de ses destins. Ces dieux nés du fumier porté dans ses jardins. [Boileau] [F
t consacré le mois de février ; et, comme on croyait qu’il avait fait naître le premier cheval, on couronnait les chevaux de f
il et de perles. Il épousa sa sœur Téthys [Fig. 33], et de leur union naquirent Nérée et Doris, qui se marièrent ensemble et donn
es Hamadryades protégeaient les arbres et les forêts. Les Hamadryades naissaient et mouraient avec l’arbre auquel elles étaient in
t des hymnes. Vénus. Vénus, déesse de la beauté et de l’amour, naquit de l’écume de la mer, ce qui la fit surnommer Aph
et l’emporta au ciel où Jupiter légitima leur mariage. De leur union naquit la Volupté. On représentait Psyché avec des ailes
es campagnes, était fils de Jupiter ou de Mercure et d’une Nymphe. Il naquit sur les bords du fleuve Ladon, et faisait sa prin
les, des crampons et des coins de fer. La Discorde. La Discorde naquit de la Nuit qui l’enfanta en même temps que la Mor
haine jalouse contre Alcmène, fit déclarer par Jupiter que celui qui naîtrait le premier aurait un empire absolu sur le second3
ls fut Laïus, époux de Jocaste. L’oracle avait prédit que le fils qui naîtrait de leur union serait le meurtrier de son père et
cet enfant causerait la ruine de sa patrie, Priam, aussitôt qu’il fut , le donna à un de ses esclaves pour le faire péri
s pleurèrent la mort de Marsyas, et versèrent tant de larmes qu’il en naquit un fleuve, qui se répandit par la Phrygie et reçu
son secours, mais trop tard. Inconsolable de l’avoir perdu, elle fit naître l’anénome de son sang, et s’abandonna longtemps à
en génération, les révélations primitives. 29. Pégase, cheval ailé, naquit du sang de Méduse, une des Gorgones, à qui Persée
15 (1850) Précis élémentaire de mythologie
n’était rien. La nature enchaînée, Oisive et morte, avant que d’être née , Sans mouvements, sans forme et sans vigueur, N’é
irs. 6. Enfin la Terre épousa Uranus et de cette monstrueuse alliance naquirent Titan et Saturne ou le Temps. Questionnaire.
in rappelle-t-il ? 3. Qu’est-ce que le Chaos ? 4. Quelle divinité est née du Chaos ? Qu’est-ce que la Nuit ? Quel culte lui
ait tous ses enfants à la lumière et les précipitait, à mesure qu’ils naissaient , dans les sombres abîmes. La Terre son épouse, in
nuit. Auteur de tout ce qui doit être, Il détruit tout ce qu’il fait naître , A mesure qu’il le produit. Questionnaire.
tal désir de voir et de connaître ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître , Dans un instant, tous les fléaux divers Qui dep
n. Ils ajoutent qu’il épousa Thémis (la loi) et que de cette alliance naquirent la paix, la justice, l’eunomie ou la bonne législ
bonne législation. De son union avec Mnémosyne (la mémoire) ils font naître les neuf Muses qui représentent les sciences et l
on en sacrifice ? Chapitre VIII. Diane. 1. Diane comme Apollon naquit de Jupiter et de Latone. Apollon était le dieu au
enchanté qui reçut le nom de caducée. Les poëtes supposent que l’âme peut se séparer du corps que lorsque d’un coup de
ctions. On l’appelait Cyllenicus du nom de la montagne qui l’avait vu naître , Nomius, parce qu’il était législateur, et Vialis
e flottant et surmonté d’une chouette. Questionnaire. 1. Comment naquit Minerve ? Quels services rendit-elle à son père a
guerre. Ou n’est pas d’accord sur sa naissance. Les uns disent qu’il naquit de Jupiter et de Junon ; d’autres prétendent que
t de Dioné, une des nymphes de l’Océan. D’autres veulent qu’elle soit née de l’écume de la mer près de l’ile de Cypre. Elle
Océan et la Méditerranée que les hommes divinisèrent et qu’ils dirent naître du Ciel (Uranus) et de la Terre (Titéa). L’Océan
s) et de la Terre (Titéa). L’Océan épousa Téthys, et de leur alliance naquirent les Océanides, les nymphes de la mer. Les fleuves
es les sources auxquelles ils présidaient. 2. De l’Océan et de Téthys naquit encore Nérée, qui épousa Doris sa sœur et en eut
qui fuit avec une incroyable rapidité. 11. Glaucus, antre dieu marin, naquit de Neptune et de la nymphe Naïs. C’était un célèb
ar les Grecs, était fille du Ciel et de la Terre. Les poëtes ont fait naître de Thémis l’Equité, la Loi et la Paix. On la repr
imaginées ? N’ont-ils pas entrevu la vérité ? 2. De qui ont-ils fait naître la Paix ? Quels temples éleva-t-on à cette déesse
t elle-même placée parmi les dieux funestes à la terre. On la faisait naître du Luxe et de la Paresse qui trop souvent l’engen
monstres et coupa la tête de Méduse. Du sang qui sortit de cette tête naquit Pégase, le coursier ailé des poëtes, qui de son p
plus célèbres furent Tirésias, Amphiaraüs et Calchas. Tirésias était des dents du serpent tué par Cadmus au temps de l
. Brahma, le premier membre de la Trimourti, est le dieu créateur. Il naquit avec quatre têtes, et un lotos fut son berceau. A
ischnou. On dit aussi qu’il est le dieu qui produit, parce que la vie naît de la corruption. De là le double aspect sous leq
pelait Gna au lieu d’Iris. 4. De l’alliance d’Odin et de Fréa étaient nés plusieurs dieux du second ordre. Le plus célèbre
u du midi, fondit ces vapeurs, et en forma des gouttes vivantes, d’où naquit le géant Ymer. On raconte que, pendant qu’il dorm
ts, race mauvaise et corrompue, aussi bien qu’Ymer, son auteur. Il en naquit une meilleure, qui s’allia avec celle du géant Ym
au-dessous d’elle ? Comment se nommait sa messagère ? 4. De qui était le dieu Thor ? Quel était son rang parmi les autr
16 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
n’étoit rien. La nature enchaînée, Oisive et morte, avant que d’être née , Sans mouvement, sans forme, sans vigueur, N’étoi
nuit : Auteur de tout ce qui doit être, Il détruit tout ce qu’il fait naître , A mesure qu’il le produit. Rousseau. Saturne a
plaisirs ? Ou ce règne si favorable N’est-il qu’un phantôme agréable, de nos impuissans désirs ? Lamotte. Cybèle.
je me suis rendu maître ;               C’est par moi que l’homme va naître ,          C’est à moi seul qu’il devra des autels
Aux mêmes sujets de pleurs ? Et que, tout fiers que nous sommes, Nous naissons tous foibles hommes, Tributaires des douleurs ?
al désir de voir et de connoître ! Elle l’ouvrit ; et la terre en vit naître , Dans un instant, tous les fléaux divers Qui depu
Apollon. Apollon, fils de Jupiter et de Latone, frère de Diane, naquit dans l’isle de Délos, que Neptune fit sortir des
tu qu’inspire sa présence : Mais quel souffle divin m’enflâme ? D’où naît cette soudaine horreur ? Un dieu vient échauffer
oît une terre étrangère. Campistron. Pégase est un cheval aîlé, qui naquit du sang de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à
lle se plaçoit, étoit couvert de la peau de Python, serpent horrible, du limon de la terre, après le déluge de Deucalio
le Parnasse Par des prodiges nouveaux. Le ciel vit ce monstre impie, de la fange croupie Au pied du mont Pélion, Souff
que belle action, brûla ce temple, le jour même qu’Alexandre le Grand naquit en Macédoine ; ce fut le sixième jour de Juillet,
terre un olivier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de son trident, fit naître un beau cheval que plusieurs prétendent être le c
vé jusqu’à moi, Est le séjour dont je l’ai nommé roi. Entre les Dieux nés pour lui rendre hommage, Trois seulement auront l
arce qu’il y eut un célèbre astronome appelé Atlas. Du sang de Méduse naquit le cheval Pégase, sur lequel Persée monta pour al
mari, à laquelle il annonça cette brillante destinée : Chez toi doit naître un fils qui, sous le nom d’Hercule, Remplira de s
uisa tous les efforts de sa haine contre ce fils de Jupiter. Elle fît naître Eurystée avant lui, afin qu’en qualité d’aîné il
honteux et cruel : Ce monstre, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître , Qui du sang des humains brûloit de se repaître,
sse. Jason s’empara d’Iolchos, capitale de la Thessalie, ou il étoit , et où il avoit assemblé les Argonaures. II y eut
nd en comble, et voulut que l’on conservât la maison où Pindare étoit . C’étoit une marque de considération qu’il donnoi
une énigme aux passans, et les dévoroit s’ils ne la devinoient pas : parmi les rochers, au pied de Cithéron, Ce monstr
s de Nestor : Lui qui, depuis les jours que la Parque lui file, A vu naître trois fois un nouveau peuple à Pile, Et qui, roi
du coup senti la rude atteinte, Qu’il tombe, et, d’un regard qui fait naître la crainte, Reprochant à Pâris son indigne attent
      Errant et malheureux, De haïr une mère il eut le droit affreux. pour souiller sa main du sang qui l’a fait naître
l eut le droit affreux. Né pour souiller sa main du sang qui l’a fait naître , Tel fut le sort d’Oreste, et son dessein peut-êt
— Se venge de Laomédon, 41-42 — Se dispute avec Minerve, 81 — Fait naître le cheval Pégase, ibid. — Il est l’emblème de l
17 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ient à féconder la terre devinrent des instrumens de mort ; la guerre naquit , et, lorsque ce fléau terrible eut déployé ses fu
avaient des sens cachés, comme la fable où il est dit que le plaisir naquit des richesses et de la pauvreté, pour exprimer qu
us, avant essayé d’introduire le culte de Bacchus dans la Béotie, fit naître la guerre qui coûta la vie à Penthée : il fut mêm
s de l’Europe et de l’Afrique. Cicéron en comptait trois. Le premier, en Arcadie, était fils de l’Æther, père de Proser
nvention de la guerre ; le troisième était fils de Saturne : il était dans l’île de Crète, et l’on y voyait son tombeau
là vient que tant de peuples différens se vantaient que Jupiter était parmi eux, et presque tous montraient des monumen
aux poëtes de dire qu’il habitait le ciel. Les lieux qui nous ont vus naître , et ceux où l’on a pris soin de notre enfance, no
ussi la reine. Plusieurs pays se disputaient l’honneur de l’avoir vue naître  : Samos surtout, et Argos où elle était honorée d
endre une femme. Sa demande lui fut accordée ; les trois dieux firent naître Orion dans la peau de ce même bœuf qui avait été
erniser nos malheurs et nos regrets. De l’union de Tithon avec Aurore naquit Memnon, qui secourut Priam dans la guerre de Troi
ns l’île de Chemnis, située dans un lac auprès de Butes. Latone était née dans cette dernière ville. Nous avons déjà fait o
ent qu’elle venait sur la terre, et s’y rendait à leurs ordres. Diane naquit avec son frère Apollon, et sur-le-champ, dit la f
conquêtes de Bacchus avaient trop illustré son nom, pour ne pas faire naître le désir de lui supposer une origine grecque. Cep
e, fidèles à leurs devoirs d’historiens, nous apprennent que Bacchus, en Égypte, fut élevé dans Nisa, ville de l’Arabie
dre toutefois les donner comme des certitudes. Moïse et Bacchus sont nés en Égypte. Le premier fut exposé sur le Nil, les
d’Athènes, qui d’abord portait le nom de Cécrops, son fondateur, fit naître un grand différent entre Neptune et Minerve. Les
rée. Les pieds délicats de la déesse touchent la terre, et les fleurs naissent sous ses pas. Les Heures, chargées de son éducati
ste, ceinture mystérieuse qui produit toutes les passions et les fait naître à la vue de celle qui la porte, ajoute encore à s
mythologie nous apprend sur l’origine de Vénus. Hésiode dit qu’elle naquit de l’écume de la mer, et du sang que perdit Cœlus
tre Vénus : la première, fille du Ciel et de la Lumière ; la seconde, née de l’écume de la mer, et mère de Cupidon ; la tro
ère d’Anteros ; enfin la quatrième était Astarté, épouse d’Adonis, et née en Phénicie. Pausanias en distinguait trois : un
it Cyllenius, du nom de la montagne de Cyllène, sur laquelle il était  ; Nomius, à cause des lois dont il était l’auteur
e une divinité physique. Ce dieu des eaux eut pour femme Téthys, dont naquirent Nérée et Doris, qui eurent un grand nombre d’enfa
ent particulièrement attachées à quelques arbres, avec lesquels elles naissaient et mouraient, se nommaient Hamadryades. Les nymph
eurs. Minerve et Vénus étaient les cinquièmes. La première avait fait naître l’olivier, et la seconde présidait aux jardins. E
comme dieu des jardins : on le disait fils de Vénus et de Bacchus. Il naquit à Lampsaque. Sa figure hideuse servait ordinairem
ès-facilement distinguer l’une de l’autre. Pindare assure que Silène naquit à Malée, ou du moins qu’il y fut élevé. On le rep
anaries. Il est probable que la tradition du paradis terrestre a fait naître l’idée des Champs-Élysées, Du culte des enfers
18 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
On a surchargé de prodiges sa naissance, sa vie et sa mort. Sémiramis naquit à Ascalos, ville de Syrie, vers l’an du monde 275
ux qu’une crainte vague, sinistre, et non ce respect et cet amour qui naissent de l’admiration, de la gratitude et de l’espéranc
e prodigieux d habitans. Ce monstre, suivant la plus commune opinion, naquit d’Echidna et de Typhon père et mère de tous les m
ur servir de pâture au Minotaure, monstre demi-homme et demi-taureau, des amours exécrables de Pasiphaë et d’un Taureau
est de continuer cette histoire poétique. Jason, chef des Argonautes, naquit à Iolcos. Son père Eson, étoit fils de Créthée et
it cuire dans une marmite, et elle produisit un agneau qui paroissoit depuis peu de jours. On dit qu’elle trempa, dans
e eut pour tout droit à la célébrité une singularité peu agréable, il naquit avec des cheveux entièrement blancs. Le grand Ach
seroit un jour cause de la ruine de sa patrie. Aussitôt que Pâris fut , Priam ordonna à un de ses officiers, appelé Arch
t Hélène éprouva les plus cuisans remords. La Fable dit qu’une plante naquit de ses larmes. Cette plante fut par cette raison
une biche consacrée à Diane. La Déesse en fut si irritée, qu’elle fit naître un calme qui empêcha la flotte de mettre à la voi
t des humains, et ayant sous ses pieds le globe de la terre. Il étoit du Chaos et de la Nuit. Quoiqu’il fut le plus pui
le peut paroître ? Sa main sème plus de fleurs Que l’aurore n’en fait naître . Et qu’Iris n’a de couleurs. Son art forme sa co
onoroit comme des Dieux, après leur mort, dans le pays où ils étoient nés . 25. On trouvera l’horrible histoire de Pélops d
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
affirmait, dans un écrit cité par Pline, qu’en Thessalie, il en était un, qui était mort le même jour ; et qu’est-ce qu
avait pas vu, le décrivait, et mieux peut-être que s’il l’avait vu. —  en Arabie, dit-il, et envoyé en Égypte, il y étai
s neuf Muses, en compagnie de Porus, Seigneur de Abondance, dont nous naquit Amour, ce noble enfant, médiateur du ciel et de l
Remontez maintenant à la source de cette belle filiation : — L’Amour naît de l’Abondance, l’Abondance du Travail, le Travai
le fil à plomb, la colle, la vrille, la roue de potier et la scie. Il naquit à Athènes, et Minerve, la patronne de la ville, l
x. Il est bien vrai qu’il nous arrive souvent de dire que nous sommes nés sous une bonne ou sous une mauvaise étoile, selon
n’est qu’un va-et-vient continuel. Nous ne vivons pas où nous sommes nés , nous ne mourons pas où nous avons vécu ; nous ne
sèrent tomber un regard favorable, et dans ce pauvre village un poëte naquit . Ce fut Hésiode, le chantre de l’agriculture, le
des sphinx, des pégases, des licornes et des unicornes. Ovide le fait naître d’une métamorphose. Rabelais le met dans le pays
des êtres surnaturels ou démons, qu’ils appelaient génies. Ces génies naissaient avec les hommes, vivaient avec eux, partageaient
de bonne aventure. — Eh ! mon ami, que t’apprendra-t-elle ? Que tu es pour souffrir et pour mourir. Regarde les animaux
vivantes et divines. Au commencement, disent-ils, était Chaos ; puis naquit Amour (la loi d’attraction), qui agrégea les part
ça à entrer en sa place. Ensuite vinrent Ciel et Terre. De leur hymen naquirent Saturne et les Géants aux cent bras, c’est-à-dire
s à l’enfance du monde, la science de la divination ne faisait que de naître , et Œdipe, en trouvant le mot de l’énigme, mérita
20 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
ceder leal, libero e schietto, Servando ognun la fè, dicendo il vero. v’ era chi temesse il fiero aspetto Del giudice i
lor sommesse e soprapposte81 Non fer ma’in drappo Tartari nè Turchi, fur tai tele per Aragne imposte. Come talvolta st
nominasse ;104 Nè dolcezza di figlio, nè la pieta Del vecchio padre, il debito amore, Lo qual dovea Penelope far lieta
hi crin discorrenti dal collo Coprian, siccome li moveano l’ aure. Ma più salutò dalle natie Cime eliconie il cocchio a
Ma né più salutò dalle natie Cime eliconie il cocchio aureo del Sole, per la coronea selva odorata Guidò a’ ludi i garz
orir conviene Alcun trapassa i gelid’anni, e giace In tenebrosa pace, bella gloria di bell’opre ottiene ? Ma ugual se i
il viver grato. Spira intorno aura maledica Contro i pallidi tiranni, i tesori gli assicurano ; Ma nascosto passa gli a
21 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
brun — Œuvres Tome III. De la faiblesse et de l’orgueil humain sont nées toutes les réligions, qui toutes ont leurs miracl
ue le corallaire de celle qui expire et le prélude d’une autre qui va naître  — La vie est séminaire de la mort : la mort est l
che avevano personificata e deificata, senza però innalzarle nè tempi altari. 1913. Euterpe — Una delle nove Muse detta
r qualche altra cagione : per la quale insanabil malattia, posciacchè cagione, nè fine alcuno si trovava, per deliberaz
22 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
, Nel nobil cor dispose Ed invocò le stelle, Forte morir propose, ingrato, nè ribelle E tosto l’eseguì. Il viver
23 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
and many a warrior who fought before Troy could boast descent from a Nais or a Nereïs. “One of the most interesting species
/ 23