/ 21
1 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
e témoignage des temps passés, peut bien ignorer quel est l’auteur du monde , mais il ne peut pas aller jusqu’à penser que ce
é. Les matériaux de la mythologie sont empruntés : 1º à l’histoire du monde , à la création : cette histoire s’appelle cosmogo
Il faut raconter ensuite le débrouillement du Chaos, la naissance du monde et des dieux, et les premiers âges de l’humanité.
tin. La religion nous apprend qu’un Dieu tout-puissant gouverne le monde , et que sa volonté règle la destinée des nations
nt perdu la connaissance du vrai Dieu ne crurent pas cependant que le monde fût abandonné au hasard ou livré au caprice des d
emblème de sa toute-puissance et de son inflexibilité. Création du monde . — Génération des dieux. Voici comment Hésiode
l’un des plus anciens poëtes, raconte dans sa Théogonie l’origine du monde et la naissance des dieux : Avant tout, dit-il, f
et de la Terre se comportèrent envers leur père. Premiers âges du monde . Avant le siècle de fer, avec lequel commence
sont les faits généraux que la mythologie raconte sur la création du monde et l’origine des dieux et des hommes. Il n’est pa
nt représente-t-on le Destin ? — Qu’existait-il avant la naissance du monde  ? — Que produisit d’abord le débrouillement du Ch
atitude. Lorsque Saturne eut été vaincu, Jupiter, devenu le maître du monde , en partagea l’empire avec ses deux frères, Neptu
du Tartare. Cette dernière victoire le rendit paisible possesseur du monde . Il est facile de voir l’allégorie renfermée dans
inos et de Rhadamanthe, et donna son nom à l’une des trois parties du monde . Transporté au ciel, le taureau devint le second
hommes : la leçon donnée par Minerve n’a pas été perdue pour tout le monde . Tirésias, fils d’Évérus et de la nymphe Chariclo
oseidon, est fils de Saturne et de Rhéa ; il reçut dans le partage du monde l’empire de la mer. A sa naissance, sa mère le ca
es bases éternelles de la terre et de la mer. Là, sont les limites du monde , lieux infects et hideux, abhorrés même des immor
a vérité et de l’erreur, elle va semant l’une ou l’autre à travers le monde . Les poëtes en ont fait une déesse énorme, aux ce
eux ; pendant ce travail, Hercule, prenant la place d’Atlas, porta le monde sur ses robustes épaules. Hercule descendit en ou
l’Afrique, Hercule rompit l’isthme qui réunissait ces deux parties du monde  ; séparant Calpé d’Abyla, il fraya un passage à l
-il ? Appendice. I. Croyances des Indous. Création du monde , — Brahm. — Brahmâ. — Vichnou. — Siva. Les Ind
ppèrent de son sein, et de ces œufs sortirent Brahmâ, organisateur du monde , Vichnou, conservateur de la création, et Siva, l
les opprobres et toutes les misères. Brahmâ, après avoir organisé le monde , devint si orgueilleux et se porta à tant de viol
rphoses sont plus nombreuses. Comme sa fonction était de conserver le monde , toutes les fois que la terre était menacée d’une
e, et les combats qui se livrèrent à cette occasion bouleversèrent le monde et firent tomber le mont Mérou15 dans la mer. La
la forme d’une immense tortue, supporta sur son écaille le poids des mondes , et prévint la catastrophe qui aurait anéanti l’u
 : « Le géant Bali ou Mahabali avait obtenu la souveraineté des trois mondes , et il était devenu, par sa tyrannie et son usurp
es Izeds, génies inférieurs destinés à verser ses bénédictions sur le monde et à veiller sur les âmes vertueuses. Ormuzd règn
sera sans partage comme avant la création, et l’harmonie de tous les mondes constamment visibles plongera tous les témoins de
Ahriman ; il fait succéder le jour à la nuit, et partage l’empire du monde entre la lumière et les ténèbres. Seul entre tout
te, Osiris en laissa le gouvernement à Isis, et se mit à parcourir le monde à la tête d’une armée nombreuse, subjuguant parto
Croyances des Scandinaves et des Gaulois. Origine des dieux, du monde et des hommes. Les Scandinaves, peuple guerrie
es étoiles. Odin et ses frères avaient mis la main à cet ouvrage ; le monde créé, ils en devinrent les dieux, et prirent poss
pénètrent les entrailles de la terre, et dont les rameaux couvrent le monde entier. Dans leurs repas, où l’hydromel coule à g
s à enchaîner ces monstres ; mais un jour viendra où l’ébranlement du monde leur rendra un moment la liberté ; alors, dans un
et de ce bouleversement sortiront des divinités plus puissantes et un monde meilleur. Il faut ajouter ici quelques mots sur l
l était un bloc de pierre. Ils adoraient un dieu suprême, créateur du monde  ; mais ils reconnaissaient encore d’autres divini
ontinuait ainsi sa vengeance. 4. Voici le nom des sept merveilles du monde  : 1º les jardins suspendus de Sémiramis ; 2º les
2 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ableau général, et par conséquent remonter jusqu’aux premiers âges du monde . Un abrégé, par demandes et par réponses, aurait
l’Histoire, et trace le tableau rapide, mais sublime, de l’enfance du monde . « Tout commence, et il n’est point d’histoire,
le soit, où l’on ne trouve des vestiges manifestes de la nouveauté du monde . On voit les lois s’établir, les mœurs se polir,
peuple hébreu qui en est sorti. « Un peu après ce premier partage du monde , Nemrod, homme farouche et violent, devint le pre
omiques, ainsi que de celles des Chaldéens. Voilà les commencemens du monde , continue Bossuet, tels que Moïse nous les représ
mieux leur antiquité que le rapport de leur opinion sur l’origine du monde avec ce qu’en a dit Moïse. On le remarque surtout
animaux qui ne pouvaient soutenir l’éclat de la lumière, et voyant le monde désert, il ordonna à un des dieux de lui couper l
able, elle paraît n’être qu’une tradition défigurée de la création du monde , tirée des écrits de Moïse. On doit le remarquer
pour peindre d’une manière sensible la confusion qui régnait dans le monde au moment de la création. La formation de l’homme
que l’auteur chaldéen était à la fois trop rapproché de l’origine du monde , pour n’être point convaincu de sa nouveauté, et
e de poisson. Telle était la tradition des Chaldéens sur l’origine du monde  : on y voit que les dieux étaient antérieurs à sa
t mêlée ensemble par leur nature ; mais ensuite ayant été séparés, le monde commença à prendre la forme que nous lui votons.
, croyaient qu’il existait une intelligence suprême qui avait créé le monde , et que dans l’homme il existait de même une inte
tres, ils s’imaginaient que ces corps lumineux étaient les maîtres du monde et les seuls dieux qui le gouvernaient. « Ils no
tage doit désirer de connaître l’idée que les premiers philosophes du monde avaient adoptée sur la divinité. Nous allons auss
deux principes, l’un bon, et l’autre mauvais. Les hommes, ayant vu le monde rempli de biens et de maux, et n’ayant plus la tr
ymboles, disaient qu’Osiris avait enfermé dans l’œuf primitif d’où ce monde a été tiré, douze figures pyramidales blanches, p
ères. Ils trouvaient dans la mémoire des hommes et dans l’histoire du monde des événemens étonnans à raconter ; ils en faisai
derne a voulu profiter des ténèbres qui couvrent les premiers âges du monde , pour en faire la source de ses incertitudes et d
s allait jusqu’à croire que leurs colonies avaient peuplé le reste du monde . L’Europe, disaient-ils, tirait son nom d’Europe,
mps historiques. Les premiers, qui sont en quelque sorte l’enfance du monde , comprennent ce qui s’est passé depuis le chaos o
cs n’avaient aucune connaissance positive sur les premiers siècles du monde , et, lorsqu’ils arrivaient aux temps héroïques, i
barbare de Saturne dévorant ses fils. Cependant Cybèle, ayant mis au monde Jupiter en même temps que Junon, trouva moyen de
sait de toute la puissance des rois ; et, lorsque dans les annales du monde on veut chercher les véritables époques du bonheu
vait probablement apporté avec lui des souvenirs des premiers âges du monde . Il parvint à faire sentir tous les charmes de l’
t après cette victoire que les trois frères, se voyant les maîtres du monde , le partagèrent entre eux. Jupiter eut le ciel po
eptune eut la mer, et Pluton les enfers. Explication du partage du monde . Avant de poursuivre la fable de Jupiter, nous
lons dire la manière dont les savans expliquent ce célèbre partage du monde . Presque tous se réunissent pour le regarder comm
t qui la sépare de l’Afrique, il parcourut la côte de cette partie du monde , d’où revenant sur ses pas, il alla vers le nord
et ces fragmens de l’histoire, il n’est point question du partage du monde entre les trois frères. Il paraît au contraire qu
urent vraisemblablement les anciens souvenirs conservés du partage du monde entre les trois enfans de Noé, qui les guidèrent
signer l’empire de chaque dieu. Nous devons ajouter que le partage du monde entre Jupiter, Neptune et Pluton, n’était point g
A Londres, dans une des plus belles et des plus riches collections du monde , celle de M. Townley, on voit une statue antique
des devoirs, à celui de la reconnaissance ? Les soins de l’empire du monde n’empêchaient point Jupiter d’aller souvent dans
situés à l’orient étaient regardés comme les lieux les plus élevés du monde . Ceux au contraire situés à l’occident passaient
scription du temple de Jupiter Olympien, l’une des sept merveilles du monde . C’était dans ce temple que l’on voyait le trône
ésirait dès qu’elle l’aurait touchée. Junon en fit l’essai, et mit au monde Mars, dieu de la guerre. Vulcain fut le troisième
qu’il exécuta volontiers pour se venger de ce qu’elle l’avait mis au monde tout contrefait. Les dieux ne purent la tirer de
ment de Proserpine par Pluton ; elle en avertit Cérès, qui courait le monde avec deux flambeaux à la main pour retrouver sa f
ce qui fit imaginer la fable dans laquelle on dit qu’il soutenait le monde sur ses épaules. Il eut plusieurs enfans. Hespéru
ur se reposer quelque temps, l’avait prié de se charger du fardeau du monde . Le mont Atlas est si élevé, qu’il semble toucher
prince dont elle portait le nom, peignirent Atlas comme le soutien du monde . Ce fut aussi pour désigner cette montagne, que l
auteur, faite avec de l’airain. Elle était une des sept merveilles du monde , et fut renversée par un tremblement de terre. L’
fit surnager cette île, et la rendit stable. Ce fut là qu’elle mit au monde Apollon et Diane. La crainte de Junon l’empêcha d
m, si célèbre par la victoire qui rendit Auguste maître de Rome et du monde  ; Palatinas, parce qu’Auguste lui fit bâtir sur l
les. La ville de Délos attirait les habitans de toutes les parties du monde par la magnificence des fêtes qu’elle célébrait e
’une extrême célébrité ; celui d’Éphèse, l’une des sept merveilles du monde , et dont nous donnerons la description à l’articl
ignifie la providence.) Ayant appris du ciel qu’elle allait mettre au monde une fille d’une sagesse consommée, et un fils à q
sse consommée, et un fils à qui les destinées réservaient l’empire du monde , il la dévora. Quelque temps après, se sentant un
entée par les hommes, mais que son origine est céleste. Elle vient au monde toute armée, parce que le sage, fort de sa consci
et ses conquêtes, qu’il mérita parmi ce peuple, le plus belliqueux du monde , le nom de dieu de la guerre ; le même Odin s’app
re qu’il était tombé du ciel ; l’oracle consulté, dit que l’empire du monde était destiné à la ville qui conserverait le bouc
ous l’ont transmise. Il était fils de Jupiter et de Junon. Il vint au monde avant terme et contrefait : Jupiter le récompensa
tira de la boue enflammée, qu’il envoya dans le ciel pour éclairer le monde , et former avec cette matière de feu le Soleil, q
tte enveloppe grossière laisse entrevoir le mystère de la création du monde et les traits défigurés de l’ancienne tradition.
rentes parties de l’univers sous divers noms, adorèrent l’ensemble du monde sous le nom de Pan, qui signifie tout. Ils lui do
u qui punit le crime et récompense la vertu est aussi ancienne que le monde . Le premier homme la reçut de Dieu même, et la tr
Pluton était le plus jeune des frères de Jupiter ; dans le partage du monde , il eut les pays occidentaux, qui s’étendent jusq
rt. Némésis veillait à la punition des crimes. Elle parcourait le monde avec une extrême vigilance, pour découvrir les co
3 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
aucune histoire, mais aucune expression qui pût blesser, le moins du monde , des oreilles chastes et chrétiennes ». C’est su
olâtrie plus marquée, et, dans un sens, moins excusable. Vers l’an du monde 2700, Ninus, fils de Bélus, empereur des Assyrien
ens frivoles De leurs ridicules autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux monstres les plus odieu
i donna l’être à l’univers naissant ; Quand l’harmonie, architecte du monde , Développant dans cette nuit profonde, Les élémen
de Saturne, affligée de voir dévorer tous les fils qu’elle mettoit au monde , ayant eu d’une seule couche Jupiter et Junon, ca
déclara la guerre à son frère qui refusoit de lui rendre l’empire du Monde . Saturne fut vaincu et mis aux fers. Jupiter le t
erre. Il épousa Junon, sa sœur ; partagea avec ses frères l’empire du Monde , donna celui des Eaux à Neptune, celui des Enfers
avec un droit sur tout l’Univers :         Les dieux ont partagé le monde ,         Et leur pouvoir est différent :         
cieux, l’enfer, la terre et l’onde :         Les dieux ont partagé le monde , Mais, tu réunis tout sous un pouvoir plus grand.
ffroyable Ethna, Jadis, de sa prison profonde, Donna des secousses au monde , Dont le dieu des morts s’étonna. Lamotte. Qui
c encore Que tous les fléaux tirés De la boîte de Pandore, Se sont du monde emparés ? Que l’ordre de la nature Soumet la pour
’onde ?     Ah ! malgré son déguisement     L’on connoît le maître du monde . La Grange-Chancel. Il prit la figure d’un cygn
s il a daigné, sous cent formes nouvelles,                 Peupler le monde de héros. Lamotte. Sous la forme d’un aigle, il
ntiment, rappela au ciel Apollon, et lui confia le soin d’éclairer le monde . En cette qualité, il porte le nom de Phébus, ou
t le plus célèbre et le plus beau. C’étoit une des sept merveilles du monde . On avoit été deux cents vingt ans à le bâtir : t
rand naquit en Macédoine ; ce fut le sixième jour de Juillet, l’an du monde mil six cent quatre-vingt-dix-huit. Les six autre
onde mil six cent quatre-vingt-dix-huit. Les six autres merveilles du monde étoient : Le Colosse de Rhodes : statue d’airain
magnifique, qu’il mérita d’être mis au nombre des sept merveilles du monde  : de-là vient le nom de mausolées que l’on donne
deux. Lamotte. Cette déesse avoit des temples dans tous les pays du monde . Les plus beaux et les plus célèbres étoient à Am
rd mon flambeau : Otez à l’Amour son bandeau, Vous rendez le repos au monde . Rousseau. On lui donne un caractère de maligni
dans une paix profonde, Tout ce que la nature, aux premiers jours du monde . De sa main bienfaisante accordoit aux humains, U
sortit du cerveau de Jupiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde , ce dieu se fit donner un coup de hache sur la tê
élevé, et met trente ans à parcourir le cercle qu’il décrit autour du monde . Il est environné de cinq autres petites planètes
s heureux que nous ; Son sceptre est le premier des trois sceptres du monde . Quinault. On assure qu’aucune déesse ne vouloi
l’erreur, Sa voix, en merveilles féconde, Va chez tous les peuples du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau. La Fort
oûtes sombres D’un antre noir, séjour des tristes ombres, Où l’œil du monde est sans cesse éclipsé, Et que les vents n’ont ja
t-à-dire, qu’il gagna les gardes à force d’argent. Danaé ayant mis au monde Persée, Acrise le fit enfermer dans un coffre, et
tié homme et moitié taureau, que les poëtes feignent avoir été mis au monde par Pasiphaé, épouse de Minos, roi de Crète. Ce p
e. Jupiter s’étoit changé en cygne pour surprendre Léda : elle mit au monde Hélène et Pollux, Castor et Clytemnestre. Les deu
fans, fut la source de tous ses malheurs. Hécube, en mettant Pâris au monde , s’imagina accoucher d’une torche ardente. Priam
es des héros Troyens. Rousseau. Troie fut prise et saccagée l’an du monde 2070. On ne finiroit point, si l’on vouloit détai
, 160 Alexandrie, description du Phare, l’une des sept merveilles du monde , 63 Aoléüs, envoie ses fils à la guerre des géan
olonnes d’Hercule, 135 Colosse de Rhodes, une des sept merveilles du monde , 61 Combat singulier d’Etéocle et de Polinice, 1
— Mère de Minos et de Rhadamanthe, 107 — Une des quatre parties du monde , 34 Eurotas, fleuve célèbre, 41. Euripide , po
met son père sur le trône, 28 — Epouse Junon, et partage l’empire du monde avec ses frères, 28 — Crée des hommes, 31 — Et
, 195 Jupiter Olympien, statue mise au nombre des sept merveilles du monde , 61 Justice, honorée comme une divinité, 11 Jus
mment on le représente, 70-71 Mercure, planète, 86-87 Merveilles du monde , il y en avoit sept, 60 — Leurs noms et leur des
e, dieu du Sommeil, 115 Murs de Babylone, une des sept merveilles du monde , 63 Muses, 49 — Disciples d’Apollon, 45 — Fill
métamorphose, 125 Nature, (la) ce qu’elle étoit avant l’existence du monde , 16 Nauplius, père de Palamède, 176 Nayades, ny
5-90 — Est mis au rang des dieux, 10-11 Neptune partage l’empire du monde avec ses frères, 28 — Est chassé du Ciel, 41 —
rès avoir partagé l’autorité souveraine entre ses fils, 166 — Œil du monde , nom donné au Soleil, 110 Œnée, roi de Calydon,
ie, ville célèbre, 61 Olympien, (Jupiter) une-des sept merveilles du monde , ibid. Ombres, jugées aux enfers, 106 — Elles
ur de Phaéton, ibid. Phare d’Alexandrie, une des sept merveilles du monde , 63 Phébé, 56. Voyez Diane. Phébus, nom d’Apoll
et de Cybèle, 98 — Mis au rang des dieux, 11 — Partage l’empire du monde avec ses frères, 28 — Enlève Proserpine, 98 — R
sur la tête, ibid. Pyramides d’Egypte, au nombre des merveilles du monde , 64 Pyroïs, un des chevaux du Soleil, 42 Pyrrhu
lus, 10 — De Diane, 60 — De Jupiter Olympien, une des merveilles du monde , 62 Sténobée, mère des Prétides, 39 Sténobée, R
4 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
e et la lassitude du malheur vinrent enfin rendre quelque moralité au monde . On sentit la nécessité de chercher une protectio
iers habitans. Bientôt les Phéniciens, les plus grands navigateurs du monde , y portèrent le commerce, et surtout l’écriture,
ne dépense infinie. Il devint par la suite une des sept merveilles du monde , sous le nom de Temple de Jupiter Olympien. Le dé
Hésiode , eut de Céto deux filles, Péphrédo et Enyo, qui vinrent au monde avec des cheveux blancs. Il fut aussi le père des
fut aussi le père des Gorgones, dont la demeure est à l’extrémité du monde , au-delà de l’Océan, près du séjour de la Nuit. L
yrinthe en voyant celui situé près de Thèbes, l’une des merveilles du monde  ; mais il est certain qu’il n’imita que les détou
aperçue, trompa la déesse, et lui dit qu’Alcmène venait de mettre au monde un bel enfant. Junon, surprise, quitta sa place,
e. Ce héros pénétra jusqu’à Cadix, qu’il regarda comme l’extrémité du monde , parce que dans ce point, le soleil, à son coucha
régnaient au temps du chaos. La situation de ce temple, aux bornes du monde , son ancienneté, ses bois incorruptibles, ses ins
uvrirait. Pour réussir, il fallait plusieurs vaisseaux et beaucoup de monde . Les compagnons de Castor et Pollux fondèrent la
s la repousse avec indignation ; et, devenue l’horreur et l’effroi du monde , elle vint chercher un asile dans Athènes. Rien,
ologien, grand philosophe et grand musicien. Il peignait l’origine du monde en disant qu’un grand œuf avait produit l’amour,
i habitaient autour de son tombeau surpassaient tous ceux du reste du monde par la force et la beauté de leur chant. On ne se
hé le sort de Méléagre. Ils disent qu’à l’instant où ce héros vint au monde , les Parques mirent dans le feu un tison, et préd
s actions qu’elles occasionnaient avaient déjà fait périr beaucoup de monde de part et d’autre ; déjà le vaillant Capanée ven
Temple de Diane à Éphèse. Ce temple, l’une des sept merveilles du monde , fut plusieurs siècles à parvenir à son dernier d
L’église de Saint-Paul de Londres est l’un des plus beaux monumens du monde , après celle de Saint-Pierre de Rome. Tels sont l
qu’il ne voulait point d’autre oracle ; et il marcha à la conquête du monde . Avant de consulter l’oracle, on faisait de nombr
emption, les miracles du Sauveur, sa passion, sa mort, la création du monde , du paradis terrestre. Dans ce recueil, la Sibyll
jusqu’à dix, pour rendre plus difficile le moyen de les corrompre. Le monde prodigieux que la célébration des jeux attirait à
aîte de la puissance, et ne voyait plus rien dans la partie connue du monde qui ne reconnût ses lois, lorsqu’un événement lui
ême émanait une infinité de génies subalternes, dont chaque partie du monde visible était le siége et le temple : ces intelli
l’autre une trompette dont le bruit se faisait entendre dans tous les mondes . Les Scandinaves donnaient le nom de Loke au mauv
guée dans les demeures inférieures, où elle a le gouvernement de neuf mondes , dont elle fait le partage entre ceux qui lui son
e plus grand de tous les arbres ; ses branches couvrent la surface du monde , son sommet touche aux cieux ; il est soutenu par
soutenu par trois grandes racines, dont une s’étend jusqu’au neuvième monde , ou les enfers ; un aigle, dont l’œil perçant déc
t leurs demeures ; la lune ignorait son pouvoir : alors il y avait un monde lumineux, brûlant, enflammé du côté du midi, et d
avait un monde lumineux, brûlant, enflammé du côté du midi, et de ce monde s’écoulaient sans cesse dans l’abîme, qui était a
sauvé sur une barque, échappa avec toute sa famille. Alors un nouveau monde se forma. Les fils de Bor, ou des dieux, traînère
pa avec sa famille, par le moyen d’une barque ; ce renouvellement des mondes qui suit le déluge ; ce premier homme, cette prem
l’état de l’homme après la mort, et sur les dernières destinées de ce monde . Dogmes des Celtes sur l’état de l’homme aprè
l’état de l’homme après la mort, et sur les dernières destinées de ce monde . « Il viendra un temps, dit l’Edda, un âge ba
ès un hiver désolant surviendra, la neige tombera des quatre coins du monde , les vents souffleront avec fureur, la gelée durc
x qui étaient morts d’une manière violente, depuis le commencement du monde jusqu’à ce bouleversement général de la nature, q
le premier, nommé Nislheim, devait durer seulement jusqu’à la fin du monde , et le second, nommé Nastroud, devait être éterne
laissait la crainte d’entrer dans le Nislheim, séjour composé de neuf mondes , et réservé à tous ceux qui mouraient de maladie
urtout assez courageux pour résister aux Romains, maîtres du reste du monde connu. Leur gouvernement alors était un mélange d
us anciens, les habitans de la Grande-Bretagne ont étonné le reste du monde par leur sagesse, leurs lumières et leur bravoure
événemens heureux ou malheureux de leurs amis. Aucune nation dans le monde n’a donné plus de croyance aux apparitions. Les m
uver que, dès les temps les plus reculés, ces premiers navigateurs du monde venaient apporter leurs marchandises dans la Gran
Angleterre, qu’ils regardaient comme leurs plus habiles maîtres. « Le monde , poursuit M. l’abbé Banier, ne forma d’abord qu’u
s d’autres corps après la mort de ceux qu’elles ont animés. 9°. Si le monde périt, ce sera par l’eau ou par le feu. 10°. Dans
°. L’argent prêté en cette vie sera rendu aux créanciers dans l’autre monde . 16°. Il y a un autre monde, et les amis qui se d
ie sera rendu aux créanciers dans l’autre monde. 16°. Il y a un autre monde , et les amis qui se donnent la mort pour accompag
urant ou jetées dans les bûchers sont fidèlement rendues dans l’autre monde . 18°. Que le désobéissant soit chassé, qu’il ne r
s porté ce respect et ces égards aussi loin qu’aucune autre nation du monde . Fidèles à la beauté que leur cœur avait choisie,
5 (1850) Précis élémentaire de mythologie
eil, la lune : voilà les dieux que les hommes ont cru les arbitres du monde . De la déification des éléments et des grandes me
en un Dieu aveugle dont la force irrésistible enchaîne et subjugue le monde entier. 3. Le Destin avait pour père le Chaos, le
i donna l’être à l’univers naissant ; Quand l’harmonie, architecte du monde , Développant dans cette nuit profonde Les élément
sœur leur avait donné le jour. 2. Cette mère infortunée, ayant mis au monde Jupiter et Junon, usa de stratagème pour tromper
d’en rappeler l’existence pour faire connaître jusqu’à quel point le monde était dégradé. 8. Dans les voyages que les poëtes
du Tartare, d’où ils font encore effort pour agiter et bouleverser le monde . 12. Ces explications sont d’autant plus vraisemb
de l’humanité, le chef de toutes les nations, le grand bienfaiteur du monde , l’auteur de la fortune et de la santé, l’invente
de Jupiter et de Latone, fille du Titan Cœus et de Phébé. Il vint au monde dans l’île de Délos. Sa mère s’y était cachée pou
. Questionnaire. 1. De qui Apollon était-il fils ? Où vint-il au monde  ? Quelle vengeance Junon exerça-t-elle contre sa
C’est sans doute pour ce motif que la fable ajoute que Diane vint au monde en même temps qu’Apollon. Indépendamment de cette
hapitre X. Minerve. 4. Nous avons déjà dit2 comment Jupiter mit au monde Minerve, après avoir souffert d’un violent mal de
in. 1. Vulcain était fils de Jupiter et de Junon. Quand il vint au monde , son père le trouva si laid et si difforme qu’il
1. Qu’est-ce que Vulcain ? Comment le traita Jupiter quand il vint au monde  ? Où fut-il exilé ? Que fit-il dans son exil ? Qu
était, comme Jupiter, fils de Cybèle et de Saturne. Quand il vint au monde , sa mère le déroba à l’avide férocité de son épou
t le conseil de Jupiter et qui avaient influence sur les destinées du monde , les païens reconnaissaient encore d’autres divin
ne à celui qui la pratique un empire souverain sur lui-même et sur le monde , et on la couronnait de lauriers pour annoncer le
cessairement la vertu pour compagne ; et, comme avant Jésus-Christ le monde entier croupissait dans une honteuse corruption,
e l’erreur, Sa voix en merveilles féconde Va chez tous les peuples du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau . 7. Ov
l’Océan, les terres et les plaines célestes, aux confins de ces trois mondes , il est un lieu où l’on voit tout ce qui se passe
nous reverrons sous les murs de Troie, Orphée, le premier chantre du monde , en un mot, tous les hommes les plus distingués r
ritanie. Là régnait Allas que les poëtes nous représentent portant le monde sur ses épaules, parce qu’il fut l’inventeur de l
main de l’enfant que Jocaste sa femme était sur le point de mettre au monde . Il crut prévenir ce parricide en ordonnant la mo
d’une fontaine qui coulait au pied d’un chêne. Dans le premier âge du monde , la Divinité, comme l’attestent nos livres saints
irent alors devant lui. Le grand dieu lui donna en spectacle tous les mondes endormis et gisant dans leur germe. Brahma, saisi
uent la formation du genre humain. 3. Vischnou est le conservateur du monde créé par Brahma. La théologie indienne semble ici
tur rédempteur. Mais, au lieu de s’incarner une fois pour le salut du monde , la seconde personne de la trinité indienne, Visc
s pour lui ni jour ni nuit, et qu’il croie enfin que la grande âme du monde et lui ne font qu’un, qu’il est Brahma et qu’il j
Qu’est-ce que Brahma ? Quelle fut sa naissance ? Comment créa-t-il le monde  ? 3. Qu’est-ce que Vischnou ? Quelles sont ses di
mme et de la première femme, et depuis que le péché est entré dans le monde une lutte a commencé entre son armée et celle d’O
age. Une admirable harmonie, une paix parfaite régnera entre tous les mondes , et ceux qui assisteront à ce spectacle seront ra
tera devant un grand pont (Tchinevad), qui forme la barrière entre ce monde -ci et l’autre. C’est là qu’Ormuzd attend tous les
taient un Verbe créateur et intelligence suprême, qui s’est révélé au monde sous le nom d’Hermès ; croyaient à la chute des â
et de la matière, qu’ils tentaient d’expliquer tous les phénomènes du monde sensible par l’eau et le feu, qui étaient à leur
ontaines, aux fleuves, aux forêts, en un mot, à toutes les parties du monde sensible. Mais les passions des hommes et l’imagi
e plus grand de tous les arbres ; ses branches couvrent la surface du monde , son sommet touche aux cieux ; il est soutenu par
soutenu par trois grandes racines, dont une s’étend jusqu’au neuvième monde ou aux enfers ; un aigle, dont l’œil perçant déco
t leurs demeures ; la lune ignorait son pouvoir : alors il y avait un monde lumineux, brûlant, enflammé du côté du midi, et d
avait un monde lumineux, brûlant, enflammé du côté du midi, et de ce monde s’écoulaient sans cesse dans l’abîme, qui était a
sauvé sur une barque, échappa avec toute sa famille. Alors un nouveau monde se forma. Les fils de Bor, ou les dieux, traînère
ir mieux connu l’existence d’une autre vie et le dogme de la ruine du monde . Leur paradis est le Valhalla. C’est un lieu de d
comme celle de tous les autres peuples, la chute et la dégradation du monde actuel. Mais elle croit que les mauvais génies qu
rre. Tous ces génies malfaisants, dit l’Edda, seront lâchés contre le monde pour le dévorer. Puis, après de grands efforts, i
que le Niflheim ? 8. Quelle sera, d’après les Scandinaves, la fin du monde  ? Table analytique des matières. Abrévi
4. Ecriture sainte, explications qu’elle nous donne sur l’origine du monde , 7, 12. Ecriture, son invention, 136. Edda, poè
6 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
tions, qu’il n’est plus permis de ne pas la connaître. formation des mondes . — Comme dans toutes les religions, la théogonie
bres enfantèrent le Chaos leur fils, masse confuse et informe d’où le monde , qui lui succéda, fut extrait par Démogorgon. D’a
tre Jupiter, l’un de leurs neveux, possesseur plus tard du sceptre du monde , furent punis, rejetés dans le Tartare, et person
venue d’une main étrangère, divine ou humaine. Voici comme il vint au monde  : Jupiter, que nous venons de voir fils de Chrone
sa mère, et après avoir épousé Rhée sa sœur, se fit céder l’empire du monde par les Titans, ses aînés, personnifiés dans Tita
ie pour s’élever ensuite sous la forme éthérée de nuages au-dessus du monde terrestre. Les Curètes avaient des temples dans b
itans. Après avoir obtenu de Titan, l’aîné de ses frères, l’empire du monde à la condition qu’il détruirait tous les fils que
t, dit-on, en outre, qu’un de ces fils devait lui enlever l’empire du monde . Il fut fort embarrassé lorsqu’ayant avalé le vom
r son opprobre dans les grottes des monts Pélasgiques, où elle mit au monde un fils que l’on trouve quelquefois appelé Dolops
adoptèrent leurs résultats ; seulement ils divisèrent l’existence du monde en quatre périodes, ou âges désignés par les noms
e en outre que le Temps aussi, descendu sur la terre, peut dévorer le monde  ; enfin, en laissant pour fils Jupiter, dieu supr
suprême, Jupiter planète, Jupiter l’engendreur et le conservateur du monde , il console les hommes en leur promettant le bonh
r, son fils ; voyons-le vaincre ses ennemis, s’emparer de l’empire du monde , puis se livrer à ses femmes et à ses maîtresses,
nt il arriva graduellement à se rendre ainsi le maître de l’empire du monde . Ce Jupiter, ainsi connu chez les Romains, et app
tout ; Epiphanès, ou présent partout ; Epistatérius, ou présidant au monde  ; Epistius, ou dieu des foyers ; Erygdoupos, ou a
r enfant de Saturne ; et du mot pater ou père, comme le générateur du monde entier, dont il était et le souverain tout puissa
aînée, il les dévorait, comme on l’a vu, à mesure qu’ils venaient au monde . Quant à Jupiter, il est né sans que nous sachion
it pour bouleverser les empires, dissoudre les sociétés, anéantir les mondes . Les lieux frappés de la foudre étaient sacrés ;
la déesse de la justice. Son alliance avec Jupiter lui fit mettre au monde les Heures, que nous avons vues déjà filles du Te
près ce combat contre les Titans, Jupiter resta maître de l’empire du monde . Cependant, en fils dévoué, il en abandonna pourt
Ce monstre est tout symbolique, et représente la personnification du monde primitif en fusion ; c’est la personnalisation de
e de Delphes, et consultèrent l’oracle sur les moyens de repeupler le monde . Thémis, alors souveraine du temple et de l’oracl
ment on considère le supplice de Tantale comme celui qui dans l’autre monde doit être la punition éternelle de l’avare. On a
ences supérieures de l’univers, mais qu’il restait invisible à ce bas monde comme la partie inférieure de son torse. Les Crét
, disent que Junon voulant comme Jupiter avoir la gloire de mettre au monde un enfant sans la participation d’un amant ni de
fait cesser le fléau, la nymphe Egérie prédit à Numa que l’empire du monde appartiendrait à la ville qui conserverait ce bou
, vint à l’insu de celle-ci délivrer Latone, et lui aider à mettre au monde Diane dans l’île sicilienne d’Ortygie, et Apollon
n Grèce, aux ports. Quand on la considérait dans le ciel éclairant le monde pendant la nuit, on l’appelait la Lune, ou Phébée
Lune. Diane, disait-on, avait reçu de son père le soin d’éclairer le monde pendant la nuit pour que ses amours avec Endymion
le premier élevé à Diane par Crésus, était une des sept merveilles du monde . On avait mis 220 ans à le bâtir, d’après les des
cette île flottante que Neptune fixa exprès pour elle, elle y mit au monde d’abord Diane, déesse de la chasse, ensuite Apoll
l’éloquence, de la médecine et des augures. A peine Apollon fut-il au monde , que les nymphes s’emparèrent de lui et le lavère
qu’il en soit, dès que la nymphe Euphémie ou l’éloquence, eut mis au monde Crotos ou Crocas, ou la cadence qu’elle avait eue
oyager et à se montrer de temps en temps dans chacune des contrées du monde . Ce fut dans le cours d’un de ces voyages que Pyr
prudente permission de lui laisser conduire son char et d’éclairer le monde pendant un seul jour. En vain son père voulut-il
cure. De vieilles légendes la faisaient épouse d’Ophion, souverain du monde avant Chrône et les Titans, par conséquent princi
terre, frappée de stérilité, par suite de cette absence, menaçait le monde d’une famine générale, mais un jour Pan étant à l
s d’habileté. S'unit-elle avec Jupiter, on voit que sans le maître du monde la terre ne peut rien ; est-ce avec Neptune qu’el
cru pouvoir y reconnaître l’enseignement d’un seul dieu gouverneur du monde , d’une autre vie, ainsi que des peines et des réc
fallut, on le conçoit, faire remonter l’origine à l’origine même des mondes . Alors Eros peut être pris pour fils de tous les
quel aussitôt déployant ses ailes dorées, prit son essor à travers le monde naissant. Beaucoup plus tard chez les Grecs, Aris
nuisit à l’enfant que Vénus portait dans son sein. A peine fut-il au monde , que sa mère fut effrayée de sa difformité et de
unon la fit se cacher dans les entrailles de la terre, où elle mit au monde le géant Tityas ou Titye, que nous savons avoir é
Oenone, ou actuellement Lépante, appelée depuis Egine ; elle y mit au monde Eaque. A tort quelques auteurs veulent qu’elle ai
n époux. Elle crut à sa ressemblance et devint enceinte ; elle mit au monde Hercule et Iphicle, le premier fils de Jupiter, e
’île de Sériphe, l’une des Cyclades, où, suivant les uns, elle mit au monde Persée, qui accomplit l’oracle en devenant par ac
nom à l’Europe, où elle fut transportée, représentent cette partie du monde , comme une dame fort richement vêtue, d’une robe
d’un mot voulant dire se cacher, exprime l’obscurité dans laquelle le monde était plongé avant la création du soleil. Nous ne
e troisième mois ; soit encore parce qu’on la supposait être venue au monde après Apollon et Diane ; soit enfin que ce nom fû
Arcas. Déjà nous l’avons vu naître de Callisto ; à peine fut-il au monde que la jalouse Junon changea sa mère en ourse, Ju
e autre fois, elle le frappa de folie, et l’enfant se mit à courir le monde jusqu’en Phrygie, où il fut délivré de cette mala
dit Virgile, la doctrine d’Epicure sur la formation et l’origine des mondes , et suivant Elien, celle de Platon sur le monde i
ion et l’origine des mondes, et suivant Elien, celle de Platon sur le monde inconnu. Dans ses voyages, il rencontra Olympe, c
ou de Mercure, et de Pénélope ou du ciel et de la terre ; il vint au monde avec les cuisses, les jambes, les pieds, les corn
us ou à la massue d’Olivier, Opsigonos ou né tard parce qu’il vint au monde après Eurysthée, Polyphagus ou qui mange tout, Po
celui de Gibraltar, alors, aussi croyant ce point le plus éloigné du monde , les peuples adorateurs de ce héros, en lui prêta
nimal. A la suite de ce commerce infâme, Pasiphaé finit par mettre au monde , un monstre épouvantable, que l’on appela Minotau
c’est à dire les vieilles, nom qu’elles portaient pour être venues au monde avec une chevelure blanche. Quant à Chrysaor, né
t, fils de Jupiter et de la nymphe Élara, qui mourut en le mettant au monde , d’où l’on supposa qu’il sortit de la terre, qu’o
le querelleur dont les cruautés forcèrent Hercule d’en débarrasser le monde . Selinus ou Selinonte, fils d’Hélis ; Siculus, l’
pédition aussi périlleuse que brillante. Alors il fit monter tout son monde sur un seul navire, qu’il appela Argo, d’ou vint
sans emmener Éthra, mais en lui disant que si elle mettait un fils au monde , il pourrait se présenter à lui pourvu qu’il se f
et Toxée, second frère d’Althée. Méléagre après avoir réuni tout son monde , dirigea l’attaque contre le terrible sanglier ;
le le rendit père de la plupart des trois cents principaux fleuves du monde , tels que l’Alphée, le Pénée, le Strimon, l’Achél
Océanide est la personnification de l’Asie, une des quatre parties du monde . Astérodée, du Caucase, première femme du roi de
n récompense de ses services, l’empire des enfers, dans le partage du monde que fit ensuite Jupiter ; c’est-à-dire, suivant D
es de l’Atlas et aux colonnes d’Hercule, et qui croyaient le reste du monde plongé dans l’obscurité, faisaient des enfers un
mbeaux. Ce respect pour les manes, étant généralement répandu dans le monde ancien, il ne faut pas s’étonner si leur culte co
maux. Elle punissait sévèrement et avec équité les coupables dans ce monde  ; dans l’autre, elle humiliait l’orgueilleux, et
us brave des Grecs qui suivirent Agamemnon en Asie. A peine fut-il au monde que sa mère après l’avoir frotté d’ambrosie, l’ex
était né d’Hécube qui, pendant sa grossesse, rêva qu’elle mettait au monde un flambeau allumé, dont la flamme incendiaire br
me des prophéties de Cassandre, fille de Priam et d’Hécube ; venue au monde le même jour que son frère Hélénus, elle fut comm
d’épouvantail aux enfans qu’il était censé manger jusque dans l’autre monde , quand ils n’étaient pas sages. On donnait à ce c
personnification de la pensée, et on la prenait tantôt pour l’ame du monde , tantôt pour l’ame individuelle ; elle avait deux
yptienne, telle que les prêtres la rédigèrent. Le premier principe du monde , suivant eux, était : Piromi, être irrévélé, abs
a fécondation, et par le verbe ou la voix, principe de l’animation du monde . Le grand synonyme de Knef, s’appelle Amoun ou Am
à Fta, ou principe vivifiant de la chaleur, la mission d’organiser le monde physique, ordonna à un autre Dieu supérieur, appe
autre Dieu supérieur, appelé Thoth premier, la mission d’organiser le monde immatériel ; pour lui en offrir les moyens, il av
instruit et civilisé l’Egypte, il voulut faire participer le reste du monde au bonheur de ses sujets et répandre les lumières
involontaires d’Osiris et de Nefté, déesse des élémens. Etant venu au monde avant le terme, il fut exposé dans une forêt. Isi
ien. Il suivit son père dans l’expédition qu’il fit pour conquérir le monde . Après la mort d’Osiris, il aida Isis à retrouver
tres firent de ce dieu la personnification de l’ame intellectuelle du monde . Bubastis ou Poubastis était fille d’ Osiri
contrées de l’Égypte des malfaiteurs. Osiris, partant pour vaincre le monde , laissa Djom auprès de son épouse Isis, pour la s
er ordre honorée à Carthage. On la regardait comme la force vitale du monde , la force motrice et vivificatrice, comme la sage
tout l’Orient, on étendit sa puissance sur le foyer de la lumière des mondes , et alors, il devint Baal, le créateur, l’organis
La puissance de ces génies est telle, qu’il ne se passe rien dans le monde qu’un Mokisso ne s’en occupe. Chaque homme a son
entrèrent dans le pays par une porte ou par une fenêtre, et mirent au monde plusieurs enfans, auxquels ils enseignèrent diffé
fut la terre. De sa tête sortit l’espèce humaine. Omorka est l’œuf du monde personnifié. Elagbaal ou Héliogabal, dieu-soleil
s subalternes, préposés à certaines fonctions dans le gouvernement du monde , et dont la totalité réunie formait la puissance
et à une foule de divinités subalternes, préposées au gouvernement du monde . On le représente par un cercle dans un triangle.
ou trinité indienne, la mère universelle. C'est elle qui produit les mondes , c’est l’énergie productrice. A la tête de cette
nser son favori ; il chasse donc les ténèbres, lui fait voir tous les mondes gisant en germe et comme endormis, puis il lui do
e et comme endormis, puis il lui donne le pouvoir de faire sortir ces mondes de ce lumineux abîme. Après avoir passé cent anné
de huit serpens. Ces Patalas, avec les Souargas, forment les quatorze mondes , dont nous allons voir la mythologie des Hindous
mythologie des Hindous parler si fréquemment. Après la formation des mondes , Brahmâ voulut peupler l’immensité. En premier li
arole de vie, ou Pranava ou verbe incarné, antérieur aux dieux et aux mondes , type du feu servant à allumer la flamme du sacri
les Védas ou les sciences, les Dévas ou les dieux et les Lokas ou les mondes . Le Brahmane est donc le dieu Brahmâ en personne,
est donc le dieu Brahmâ en personne, l’être suprême, le créateur des mondes . Suivant un poème appelé le Lathaka ou Panischat
aisant également partie des védas, voici comme eut lieu l’origine des mondes  : Le dieu créateur étant un foyer immense, ce die
es les choses ; alors arriva la Bouddhi ou intelligence créatrice des mondes , qui devint le feu aux sept rayons, ou Saptartsch
l devint le Vishvaroupa ou l’ame ignée de tous les êtres, de tous les mondes  ; il fut le feu artiste, le Vishvakarman, ou le g
â, se présente et fait fuir la mort elle-même. Alors il effulmine les mondes et laisse le Mouni ou le Kavi, ou l’homme sage, s
iana, ou le flottant sur les eaux. Dès-lors, Brahmâ devint le type du monde ou Macrocosme, et de l’homme ou Microscome. Puis
ou le principe de l’individualité, et Mahanatma, ou la grande ame du monde , ou la vitalité universelle, escortées des cinq s
maphrodite produisit Menou, qui devint ensuite créateur subalterne du monde visible. Enfin, la Mimansa, ou philosophie suppos
. 4° Les huit Vaçous, protecteurs et régulateurs des huit régions du monde , appelés Indra, Iama, Nirouti, Agni, Varouna, Kou
cent trente-deux millions de divinités inférieures, peuplant tous les mondes et animart toutes les parties de la nature, parmi
supérieur à Vichnou, insulte à Siva, le modificateur ou régisseur du monde , et s’approprie une partie de l’espace des mondes
teur ou régisseur du monde, et s’approprie une partie de l’espace des mondes  ; de sorte qu’après avoir placé au-dessus des Sou
oète et auteur, il vint pendant le Douaparaïouga, ou troisième âge du monde  ; et enfin sous les traits de Kalidaca, ou le gra
mains, tenant dans l’une la chaîne mystérieuse à laquelle pendent les mondes et le livre de la loi, et le calame ou poinçon à
sur une feuille de lotos, et presse, garde, ou semble couver l’œuf du monde  ; mais le plus ordinairement il est monté sur le
â pour participer sous ses ordres à la création et à l’ordonnance des mondes . Ils tiennent le premier rang après les quatorze
t au nombre de huit, et chacun d’eux gouverne une des huit régions du monde  ; on nomme ces Vaçous : Indra, Iama, Varouna, Nir
h ou Nirouti est le Vaçou ayant sous sa garde la région du sud-est du monde , il préside aux génies malfaisans, est habillé de
ns connaître plus tard ; c’est-à-dire, il est un dieu modificateur du monde  ; il est habillé de noir ou de gris, et monté sur
rès-bizarres. Ils habitent les sept Patalas ou régions inférieures du monde . L'un d’eux et le plus connu est Sambara, daitia
i à satisfaire sa passion brutale. Mais Pradioumua une fois revena au monde , et instruit de l’infâme conduite de Sambara, s’e
et protecteur du bon ordre, c’était lui qui surveillait la police du monde  ; il présidait à la prospérité des biens de la te
e par les raisonnemens de son mari, elle se trouva enceinte et mit au monde un fils au milieu des eaux. Santanou plaça le nou
ssent huit rayons principaux, qui se dirigent sur les huit régions du monde . Arouna siége à la partie antérieure du char, et
ait une partie d’eux-mêmes. Il épousa Anouçouéi, puis celle-ci mit au monde Tibatérien, qui jaillit de l’essence de Vichnou.
elle était enceinte des œuvres du ravisseur. A peine Boudha fut-il au monde , que Vrihaspati, charmé de sa beauté, l’adopte et
ose à tout rapport entre l’homme et la femme. C'est lui qui a créé le monde  ; il est toute lumière et nul œil ne peut support
de la vertu. Dévagi, fille de Dévoga, épousa Vaçoudéva. Elle mit au monde six fils, un septième nommé Balarama fut transpor
naçait, s’empara des deux époux, pour empêcher que Vichnou ne vînt au monde  ; mais, malgré tous ses efforts, Vichnou naquit,
holocaustes funèbres, et de Lokapala, ou l’un des quatre gardiens du monde visible, placés aux points cardinaux. Mrithyou es
l eut recours au charme du langage, et forma un schisme qui divisa le monde en deux parts. Tévétat finit par être englouti da
a Dévaki, sœur de Kansa. Celui-ci connaissant que sa sœur mettrait au monde un fils qui serait funeste à son oncle, voulut ég
devait donner l’immortalité ainsi que l’empire et le pouvoir des deux mondes . Vichnou prit la forme d’une tortue pour soutenir
ichesses qui, étant parue la première, échut à Vichnou, le sauveur du monde  ; puis, Mondévi ou la déesse de la discorde, laid
rahâvataram, eut lieu pour empêcher le géant Érouniakacha d’abîmer le monde une seconde fois, et Vichnou se métamorphosa en u
de Vichnou, laquelle alors doit décider l’époque de la destruction du monde , et terminer le Kaliiouga, ou âge noir de nos tem
lors il est Nara-iana, Bhagavan et même Brham, résidant au centre des mondes et se constituant l’unité dans le tout. En effet,
dma, ou Lotos, tantôt le Sankha ou espèce de Buccin, ou le Sceptre du monde , et tantôt le Tchacra, ou roue flamboyante et den
alement un géant terrible ; il avait obtenu la souveraineté des trois mondes , ce qui le rendit tellement arrogant, qu’il se re
frère de cette dernière, ayant appris de l’oracle qu’elle mettrait au monde un fils qui lui enlèverait la couronne et la vie,
rcir cette guerre des Pandous, il est bon de savoir que Iaiati mit au monde Iadou, le Sivaïte et aïeul de la dynastie solaire
roulera elle-même dans le vide, et opérera l’annihilation complète du monde . Hanouman, ou Hanoumanou ou Annouma, ou Pavana o
lèbre roi pasteur, ayant pour épouse Iachoda. Lorsque celle-ci mit au monde une fille, incarnation de Kali, les deux époux la
à nous, c’est : Lakchmi, appelée aussi Sri ou la fortunée et mère du monde  ; Kamala ou Padma, ou la fleur de lotos ; Padmala
lle, nombre auquel ils finirent par s’arrêter. Lors de la création du monde , les dieux, alors simples mortels, résolurent de
colossales et sanglantes. Siva, comme Dieu feu, est l’esprit vital du monde  ; alors il donne la vie aux uns, et détruit les a
jours les Indiens, l’union de l’eau et du feu engendre et perpétue le monde  ; pour quelques-uns, elle se transforme en animal
et Siva ; or, souvent on admet donc une Bhavani mère et antérieure au monde , à la création des trois grands dieux, et par con
e Canodje. Parvenue à l’âge nubile, elle épousa Santanou. Elle mit au monde six enfans et les noya aussitôt après leur naissa
n le voit quelquefois placé sur un énorme éléphant. Kaouciki vint au monde en sortant du sein de Bhavani, lorsque celle-ci s
hommages ou qui le négligeaient, il monta sur un rat et parcourut le monde . Dans une lutte qu’il eut avec Skanda, pour savoi
t le tour de la Trinité, tandis que Skanda s’amusa à faire le tour du monde  ; après ce voyage assez facile, il dit aux Dieux,
est le Dieu de la guerre et fils de Siva et de Bhavani qui le mit au monde dans un bain. Il épousa Tchandaravali et Amourdav
brutissante des castes, et appelant au salut et à la vie éternelle le monde entier ; tandis que les prêtres de Brahmâ, dans l
u-dessous la Trimourti, les trois feux, les trois couleurs, les trois mondes et les trois temps ; puis le chaos sous la forme
n bœuf, s’élançant du père de tous les êtres, et donnant naissance au monde vivant, que l’on a personnifié par l’image d’un h
ah, un des principaux dieux malfaisans, qui n’en protége pas moins le monde , la religion et la foi. On le représente debout,
be. Son père était Tsédent, c’est-à-dire, le plus beau, qui le mit au monde par suite d’une enflure qu’il eut au bras droit.
t resta enceinte pendant douze ans ; au bout de ce temps, elle mit au monde un fils appelé Fohi. Chang-ko est une déesse ho
pendant quatre-vingt-un ans. Au bout de ce temps, cette vierge mit au monde , par le côté gauche, un enfant à la tête blanche,
rieurs précédens ces Dieux terrestres, précédèrent l’ordre commun des mondes , et commencèrent pourtant à sortir de l’indéfini
uille de nymphéa, la tête entourée d’une auréole. Jemao, divinité du monde souterrain et juge des ames séparées des corps. C
is, l’enfant parlait dans son sein ; quatre mois après elle le mit au monde . Son enfance fut merveilleuse et exemplaire par s
eux principes qui président au bonheur ou au malheur de l’ordre et du monde réel. Quant aux deux grands Dieux qui, placés au-
ien et fils de Zervane-Akérène, reçut de son père l’ordre de créer le monde entier, et de le combler de tous les biens possib
sfand, ou le premier après Ormuzd ; il est le régulateur et le roi du monde et de la lumière, le dieu de la paix, chef de tou
omme eux ils président aux grands principes, aux grands phénomènes du monde , aux jours et aux mois de l’année. Ils furent cré
Khorchid, Ized pris pour le soleil lui-même, et habitant au centre du monde dans une partie de la demeure d’Ormuzd, appelée K
engh qu’Ormuzd adressa à Zoroastre, pour lui ordonner de convertir le monde à la loi Ormuzdienne. Parvand, Ized dont les fon
ance sans bornes ; aussi lui donne-t-on le nom d’oiseau protecteur du monde . Rachné-Rast, Ized, génie du repos. Séroch, ou
habite avec Aom les cimes élevées de l’Albordj, d’où il veille sur le monde , purifie les provinces, protége les hommes contre
ations funestes. Au commencement de la deuxième partie de la durée du monde , Ahriman voulut attaquer Ormuzd ; mais à la vue d
e mirent à errer, exilées et gémissantes dans l’empire d’Ahriman ; le monde fut en proie aux cruels Devs. Tout infailliblemen
rifiera malgré eux. Ensuite, de ce vaste incendie, sortira un nouveau monde , un nouveau ciel plus parfait que ne le fut l’anc
p de célébrité, c’était l’oiseau de Feridoun. C'est le pur gardien du monde , veillant nuit et jour à la garde des hommes et é
me après la dissolution entière du corps. Pour l’aider à gouverner le monde , Alfer créa les Alfrs ou Alfars, Alfes ou génies
afak, tous les Alfes ensemble. Avant qu’Alfader eût créé la terre, le monde , disent les légendes Islandaises, était lumineux
lés Ases, tuer un Dieu puissant nommé Frei et les Ases, et réduire le monde en cendres. Ce monde primitif était en outre dans
u puissant nommé Frei et les Ases, et réduire le monde en cendres. Ce monde primitif était en outre dans l’origine traversé p
tement avec ses fils ou ses émanations à tout ce qui se passe dans le monde , mais il avait particulièrement pris sous sa prot
barque, et fut ailleurs propager la race des géans de glace. Alors le monde actuel apparut, car les os d’Iimer firent les mon
uages ; puis les trois frères mirent quatre nains aux quatre coins du monde pour en garder les côtés, est, ouest, sud et nord
t la parole ; ensuite les trois frères se construisirent au milieu du monde la forteresse d’Asgard, qu’ils destinèrent pour d
e ces Ases, ou dieux placés au-dessous d’Odin, étaient protecteurs du monde et ennemis des géans qui toujours cherchent à le
Il livra de rudes combats au serpent Iormoungandour ennemi forcené du monde , et fils de Loke et de la géante Anghourboda, pui
s il le terrassa, mais il ne le tuera qu’au jour de la destruction du monde . Lui-même, Thor mourra immédiatement après, empoi
et Magour lui survivront, et après le vaste incendie qui détruira le monde , ils habiteront de nouveau les plaines d’Ida. Tho
s croître. Il avait une trompette dont les sons faisaient retentir le monde . Il en sonnera à la fin des siècles lorsque les e
ormoungandour, que nous connaissons, et Héla, déesse de la mort et du monde souterrain. Loke épousa encore la belle et vertue
ra jusqu’au crépuscule des dieux, époque fixée pour la destruction du monde . Aussitôt il brisera ses fers et engloutira Odin,
Iormoungandour ; elle est la déesse et la souveraine du Niflheim, ou monde souterrain, où elle fut précipitée par Odin, et o
ord de l’Europe, comme appartenant aux dieux ennemis des hommes et du monde , les personnages qui suivent : Agnar fils de Gei
cié des Lapons, qui le chargea de créer tout ce qui est nécessaire au monde . On le représente sous la forme d’une grande mais
rre lorsqu’elle aura été détruite par le feu. Après la destruction du monde , dit la légende, la terre, par la seule énergie d
pses. Avant d’être engloutie tout-à-fait par Fenrir, Sounna mettra au monde une fille brillante qui après sa mort éclairera l
rrains, le sombre empire et la mort. Enfin, il partageait l’empire du monde avec Taran, dieu de la lumière et du tonnerre, qu
Druidesses, ses prêtresses, le regardaient comme le principe actif du monde . On l’adorait sous la forme d’un javelot lorsqu’o
ement. Cette Deirdre était fille de Fiehim, né de Dill ; elle vint au monde pendant le séjour de Qonnor, roi d’Ouladh, chez s
davantage. Ainsi, en commençant notre voyage théocratique du nouveau monde par les premières terres américaines que l’on ren
suprême des sauvages de la nouvelle Angleterre. Il est le créateur du monde  ; il reçoit après la mort les ames des justes dan
ils de Niparaia ; il avait pour mère la belle Anaikondi qui le mit au monde sur les montagnes, d’où bientôt il vint dans la p
u-soleil des Péruviens et, de plus, le créateur et le conservateur du monde  ; il avait un temple magnifique où de jeunes fill
ché à terre. A la Floride, on regardait ce dieu comme le souverain du monde inférieur et on le croyait toujours opposé au die
verain du monde inférieur et on le croyait toujours opposé au dieu du monde supérieur. En parcourant les autres contrées de l
frères forment une Trimourti de dieux supérieurs qui se partagent le monde . Le premier est le créateur et le maître des étoi
7 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
iguable, La faux et le sable à la main ! Il semble aussi vieux que le monde  ; La Mort en désastre féconde, Le suit d’un pas e
de la Terre environné de l’onde, Et le Ciel radieux, voûte immense du Monde . L’Onde a ses Dieux marins, et Prothée, et Triton
t au sein des froides ondes, O Soleil ! sans rival, tu règnes sur les mondes , Et chacun de tes pas affermit ta grandeur. Le Ch
uspendus sur ses ondes Sont le nœud des états, les courriers des deux mondes . Comme elle à son aspect vos pensers sont profond
rnels de la terre et de l’onde, Qui semblent lentement se disputer le monde  ! Ainsi l’ancre s’attache où paissaient les troup
troupeaux, Ainsi roulent des chars où voguaient des vaisseaux, Et le monde vieilli, par la mer qui voyage, Dans l’abyme des
éperdus, dans ce désordre affreux Se croyaient menacés de la chute du monde  : Et mille cris perçans élevés jusqu’aux Cieux, I
s ait trop rempli le vœu de Jupiter !          A tâtons parcourant le monde , Un aveugle irait-il s’enfoncer au hasard        
utus, la Fortune et l’Amour Sont trois aveugles-nés qui gouvernent le Monde . Voltaire 40. Esculape, Fils d’Apollon et d
adore !    On délibère encore, et le jour qui s’enfuit Abandonne le monde aux ombres de la nuit. Ce Dieu consolateur que le
sseau qui fend le cours de l’onde, Arrive à la cité, reine auguste du monde , Le serpent qui du mât enlace le contour, Se redr
e : Rien ne doit déranger l’honnête homme qui dîne ; Et qu’importe le monde et ses tracas divers : Dans les bras de Comus oub
se renfermait dans ton sein, Pour méditer les lois qu’il préparait au Monde .    D’abord les Élémens s’armèrent contre toi :
une balance dorée, Entouré de rayons heureux, Qui font la richesse du monde , Le Ciel de la Terre amoureux, Se peint dans le m
ur ta présence. Soit qu’à travers les passions, Sur le vaste Océan du Monde , Ma course errante et vagabonde S’abandonne aux i
éenne Qu’accompagne toujours sa troupe Phrygienne, Qui ne voit que le Monde , à ces peuples heureux Doit l’art d’orner les cha
   Dont le sommeil couvre leurs yeux :           Assurons le repos au Monde           En brisant leurs traits odieux.     A
oble et généreux, Qu’il est doux en quittant Cerbère, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère ! Bell
l’étranger les tributs volontaires. Sénat d’un peuple-roi qui mit le monde aux fers, Conseil de demi-Dieux qu’adora l’Univer
jeunesse Chantait l’amante de Phaon. De leurs célèbres bagatelles Le monde encor est occupé. La mort, de l’ombre de ses aile
cérité, foi, constance, candeur, Discrétion, simplicité, grandeur, Le monde entier pour commun héritage, Egalité sans lois et
et l’empire des ondes, S’élève un vieux Palais, aux confins des trois mondes . Là, sur tous les pays l’œil se porte à la fois.
n nouveautés féconde ; Et ses yeux sont ouverts sur tous les coins du monde . Ovide. —  Desaintange 113.    Quelle est cett
l’erreur, Sa voix en merveilles féconde, Va chez tous les peuples du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau 114.
ans l’Océan les fleuves s’engloutissent. Orateurs et clients, dans ce monde nouveau, Trouvent près de Minos une ombre du barr
la Déesse inflexible, on lui sacrifiait un coq.    La Mort, reine du monde , assembla certain jour,         Dans les Enfers,
n Fils ; afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le vieux père du monde  : Et vous, Reines des eaux, protectrices des bois
anglans dans la forêt profonde. Quand la neuvième aurore éclairera le monde , Au déplorable époux dont tu causas les maux Offr
enté perçant la nuit profonde, Répand un jour si doux sur la scène du monde . Sur son front vierge où brille une aimable fiert
uple choisi consulta l’oracle de Thémis, sur le moyen de repeupler le monde . La Déesse leur ordonna de jeter par derrière et
fut des saints devoirs observateur fidelle.    Quand Jupiter a vu le monde submergé, Lavé par le déluge, et de crimes purgé 
de fange encor souillés ; Et l’onde qui décroît, semble accroître le monde . La terre a reparu, solitude profonde, Où se tait
ns les gouffres de l’onde ; Seul reste des humains, nous survivons au monde . Je n’ose même encor répondre de nos jours. Ces n
ends-nous quelle vertu féconde De nouveaux habitans peut repeupler le monde  : Jette sur l’Univers des yeux compatissans ! La
humains. Les pierres sont ses os, qui, lancés par nos mains, Vont du monde désert peupler la solitude. Pyrrha n’ose bannir s
clope ; Et les plus criminels sont au fond des Enfers, De la voûte du monde étouffés et couverts. A leur affreux supplice éch
a gloire suit le courage… » Déjà je vois à ton ouvrage » Applaudir le monde animé : » Quels temples on va te construire !… » 
mène ignorant le destin, Aussitôt que Thétis, aux portes du matin, Du monde sous leurs pas eut ouvert la carrière, Ils parten
r de commander au frein.    Pour la première fois l’ourse au pôle du monde Brûle et s’efforce en vain de se cacher dans l’on
, tu t’enfuis en tremblant.    Quand Phaëton eut vu de la hauteur du monde La terre disparaître, au loin, au loin profonde,
des Dieux suivra dans ton palais Hélène qui naquit pour le malheur du monde  : C’en est fait : pour punir le plus noir des for
tre chevaux. Ce beau monument fut compté parmi les sept merveilles du Monde . C’est du nom de cet époux si chéri, si pleuré, q
… tout est mort ! De ce vaste repos combien l’ame est frappée ! O des mondes détruits, image anticipée ! Triste et dernier Sol
      Astre propice, astre du jour             Hâte-toi d’éclairer le Monde  :             Viens rétablir par ton retour      
élos, flottante et vagabonde, Errante sur les mers comme elle dans le monde , A votre déité, par pitié de ses maux, Offrit un
re bientôt sa race si féconde Le sujet de ses pleurs, et l’exemple du monde  !    Elle eût joint la prière au récit de l’affr
té profonde : Sans lancer un rayon sur eux, Le Soleil fait le tour du Monde . Au pied d’un aride coteau, A nos regards s’offre
, Sur des lyres harmonieuses Méditent de doctes chansons ? Toi que le Monde entier révère, Je t’aperçois, divin Homère, Vêtu
deviens homme en devenant heureux. Mais ce bonheur, ce vain éclat du Monde , Ressemble aux fleurs qu’enfante le Printemps : T
a voix est la foudre qui gronde, Et du bruit des volcans épouvante le monde .    Oh ! qui pourra saisir dans leur variété De t
iquité fit éclore des Ondes, Qui descendis du Ciel, et règnes sur les Mondes  : Toi qu’après la bonté, l’homme chérit le mieux 
sombres, Qu’habitent la fraîcheur, le silence et les ombres. Dans le Monde animé, qui ne sent tes faveurs ! L’insecte, dans
eule il sent couler les pleurs. Il laisse au loin mugir les orages du monde  ; Sur les bords d’une eau vive, à l’ombre des ber
ix seul frappe leurs yeux.    Le Pilote hardi, cherchant de nouveaux mondes , Prend les Astres pour guide, et les suit dans le
vient chargé d’or, et par un vent propice Emporté loin des mers de ce monde nouveau, Ses vœux pressaient encor son rapide vai
leur nom sur son char lumineux. Jouet constant d’une vaine fumée, Le monde entier se réveille pour eux ; Mais, sur la foi de
l n’offre plus à leur vue Que les rochers d’une plage inconnue, Qu’un monde obscur, sans printemps, sans beaux jours, Et que
, tu vivras tant que le mont Athos           Soutiendra les voûtes du Monde  :           Tant qu’au sein de la mer profonde,  
rs sans transport, L’amitié, le repos, des fleurs et de l’ombrage. Le Monde est un écueil, et mon Ile est un port. Sans soin
t à nos yeux l’immensité des airs,            Et fertilisent tous les Mondes . Sur ce globe sauvage arrêtons nos regards :     
sommeil ; Sa Muse en merveilles féconde, Franchissant les remparts du Monde , Est dans l’Olympe à son réveil. Balze 279.   
ècle d’or, lorsqu’on dit que les maux N’osaient encor affliger ce bas monde  ; Que les humains, dans une paix profonde, Sans e
re l’homme en l’amusant.           La Fable un jour voulut courir le Monde  :        On lui pardonnera ce projet aisément :  
qu’il la fixa, ne put l’épouvanter ; Son génie échappé des limites du Monde , Parcourut à grands pas l’immensité profonde ; Et
l est le père de la Vertu.    Réveille-toi, Mortel, deviens utile au Monde , Sors de l’indifférence où languissent tes jours.
rde autour de toi ; contemple tout l’Espace. Par quel divin accord le Monde est gouverné ! Nul être n’est oisif ; tout occupe
u circule en tout lieu ; Les germes sont féconds ; le feu nourrit les mondes ,                Et tout nourrit le feu.    Et to
devenu ? Thomas 287.    Le Travail est mon Dieu, lui seul régit le monde  ; Il est l’ame de tout : c’est en vain qu’on nous
[Table des matières] Anonyme (P.). La fable un jour voulut courir le monde . 283. [Table des matières] Legouvé. Lucrèce, liv
8 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
Pour en expliquer l’origine, il faut remonter jusqu’à la naissance du monde et consulter l’Ecriture sainte. On y lit que, lor
faiblie des délices du paradis terrestre. L’âge d’or, âge heureux du monde en son enfance, Sans règle, et par instinct, obse
mprisonné par les Titans. Mais bientôt, usurpant lui-même l’empire du monde , il en fit le partage avec ses deux frères11, don
ant l’empire du ciel, s’était réservé un droit de souveraineté sur le monde entier ; il parcourait souvent la terre, sous div
Dieu, dans ces admirables vers de Racine : L’Eternel est son nom, le monde est son ouvrage ; Il entend les soupirs de l’humb
et la chargea de présider à la chasse dans les forêts, d’éclairer le monde pendant la nuit, et de surveiller les âmes des mo
Phénicie. Cette princesse donna son nom à l’une des trois parties du monde connues des anciens. 3° Les Gémeaux (mai) L
sont les fondements éternels de la terre et de la mer, les limites du monde , lieux hideux et infects, abhorrés même des immor
nts frivoles De leurs ridicules autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux êtres les plus odieux ;
a première période s’étend depuis le déluge universel, arrivé l’an du monde  1656, ou avant Jésus-Christ 3308, jusqu’au déluge
tandis que celui-ci lui rendit ce service, Hercule prit à sa place le monde sur ses robustes épaules. 12° Thésée était retenu
de l’Europe, Hercule rompit l’isthme qui unissait ces deux parties du monde , et afin d’ouvrir un passage aux eaux de la Médit
it Jupiter, qui, sous cette forme, emmena Europe dans cette partie du monde à laquelle elle a donné son nom. Cadmus, envoyé p
célèbre de l’antiquité. Chose digne de remarque ! depuis l’origine du monde , une foule de cités ont péri par la guerre, des e
ssé d’être connus, depuis trois mille ans, dans toutes les parties du monde civilisé. Telle est la puissance de la poésie ! t
aux nations ? Le Nil nous tait sa source, et nous verse ses dons. Le monde est ta patrie : enseigne tous les âges, Plais à t
s manières. Ainsi Osiris serait le soleil, le principe qui vivifie le monde matériel ; il serait le ciel et même le Nil, ce f
atre Izeds, génies inférieurs, chargés de répandre ses faveurs sur le monde . Ormuzd habite la plus élevée des trois sphères c
générateur et comme image de la fécondité qui perpétue et rajeunit le monde . Sous ce rapport, il est aussi l’emblème du solei
t la Trimourti ou trinité indienne72. Ce sont Brahma, organisateur du monde , Vichnou, conservateur de la création, et Siva, l
es. ( Casimir Delavigne, le Paria.) BÂrahma, après avoir organisé le monde , devint si orgueilleux, que le dieu suprême, Brah
Vichnou, deuxième personne de la Trimourti, étant le conservateur du monde , ses métamorphoses ou incarnations, que les Indie
doit s’incarner une dixième, et alors il mettra fin à l’existence du monde . Dans les quatre premières incarnations, Vichnou
te terrible s’était engagée entre les dieux et les mauvais génies. Le monde fut ébranlé, et le mont Mérou, sur lequel les die
la forme d’une immense tortue, supporta sur son écaille le poids des mondes et prévint ainsi leur destruction. 3° Peu après,
vêtit la forme humaine. 5° Le géant Mahabali ou Bali faisait gémir le monde sous le poids de la plus cruelle tyrannie ; il ét
ronne et la vie. En vain il fait égorger sept fils que sa sœur met au monde , un huitième naît sous le nom de Crichna, c’était
ies malfaisants et de géants terribles, s’efforçant de bouleverser le monde . Son histoire se trouve donc racontée par la leur
taient méchants. Ils finirent par les exterminer et créèrent ainsi le monde . Car la chair du géant forma le continent et les
airs se transforma en nuages. Odin et ses frères, ayant ainsi créé le monde , en devinrent les dieux et prirent possession du
es de cet arbre s’étendent jusqu’aux enfers, ses branches couvrent le monde et sa tête touche aux cieux. 142. Paradis et e
lieu à la fable de Saturne et de ses fils, se partageant l’empire du monde . Cham est le même qu’Ammon, c’est-à-dire, Jupiter
es spirituelles de la vie future ! 15. Les six autres merveilles du monde étaient : les jardins suspendus et les murs de Ba
Pyramides, et cum Babylone Colossus. 16. Dans les premiers âges du monde le mariage entre frère et sœur était permis. 17.
9 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ens frivoles De leurs ridicules autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux monstres les plus odieu
i donna l’être à l’Univers naissant ; Quand l’harmonie, architecte du monde , Développant, dans cette nuit profonde, Les éléme
fils Titan et Saturne, autrement dit le Temps. D. Comment l’Empire du Monde passa-t-il à Saturne ? R. Titan, pour condescendr
it sitôt qu’ils étoient nés. Cependant Cybèle, sa femme, ayant mis au monde Jupiter et Junon, cacha soigneusement Jupiter, et
son père Saturne, qui en vouloit à ses jours, et partagea l’Empire du monde avec ses deux frères Neptune et Pluton. Celui-ci
et des arts, et en général de tous les ouvrages d’esprit. Il vint au monde et fut élevé dans l’île de Délos. Cette île étoit
R. Bacchus étoit fils de Jupiter et de Sémélé. D. Comment vint-il au monde  ? R. Les Poëtes le font naître de la cuisse de Ju
iculièrement adorée ? R. Elle avoit des temples dans tous les pays du monde  ; les plus beaux et les plus célèbres étoient à A
rd mon flambeau : Otez à l’Amour son bandeau, Vous rendez le repos au monde . (Rousseau.) D. Dites-nous le nombre des Grâces,
sortit du cerveau de Jupiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde , ce Dieu se fit donner un coup de hache sur la tê
l’erreur, Sa voix, en merveilles féconde, Va chez tous les peuples du monde Semer le bruit et la terreur. (Rousseau.) La
fut enlevé par Diomède et Ulysse. Troye fût prise et saccagée l’an du monde 2070. Pyrame et Thisbé. D. Racontez-nous l
e peu d’affaire. (L. 6. F. 1.) Il ajoute dans un autre endroit : Le monde est vieux, dit-on ; je le crois : cependant Il le
tude : le pli une fois formé, pour le bien comme pour le mal, rien au monde ne peut le faire disparoître.                   
la passion la plus redoutable et la plus dangereuse. Il n’est rien au monde sur quoi elles soient obligées de se surveiller d
fruits de l’intempérance. D. Quel est le jugement qu’on porte dans le monde des caractères entêtés et opiniâtres ? R. On les
ont que l’habit pour tous talens. Histoire des sept Merveilles du monde . D. Qu’appelle-t-on les sept Merveilles du mo
pt Merveilles du monde. D. Qu’appelle-t-on les sept Merveilles du monde  ? R. Ce sont sept édifices ou monumens qui ont fa
ple de Diane d’Ephèse, est justement nommé une des sept Merveilles du monde . Il étoit un des plus beaux que l’on connut. On y
dre le grand naquit en Macédoine, le sixième jour de Juillet, l’an du monde mil six cent quatre-vingt-dix-huit. Le Colosse
nses, au point qu’il mérita d’être mis au rang des sept Merveilles du monde . Le Jupiter d’Olympie. D. Qu’appeloit-on l
rdins et les Murs de Babylone. D. A qui est due cette Merveille du monde  ? R. A Sémiramis, reine d’Egypte ; ces magnifique
10 (1800) Cours de mythologie pp. -360
a Terre environné de l’onde, Et le cercle des Cieux, voûte immense du Monde . L’Onde a ses Dieux marins, et Prothée et Triton,
t au sein des froides ondes, O Soleil ! sans rival, tu règnes sur les mondes , Et chacun de tes pas affermit ta grandeur. Le Ch
éperdus, dans ce désordre affreux Se croyoient menacés de la chute du monde  : Et mille cris perçans élevés jusqu’aux Cieux, I
utus, la Fortune et l’Amour Sont trois Aveugles-nés qui gouvernent le Monde . Voltaire 39. Esculape, Fils d’Apollon et
se renfermoit dans ton sein, Pour méditer les lois qu’il préparoit au Monde .     D’abord les Elémens s’armèrent contre toi :
lité de ce réduit solitaire.     Près des Cimmériens, aux limites du Monde , Sous les flancs caverneux d’une roche profonde,
une balance dorée, Entouré de rayons heureux, Qui font la richesse du monde , Le Ciel de la Terre amoureux, Se peint dans le m
œut ta présence Soit qu’à travers les passions, Sur le vaste Océan du Monde , Ma course errante et vagabonde S’abandonne aux i
éenne Qu’accompagne toujours sa troupe Phrygienne, Qui ne voit que le Monde , à ces peuples heureux Doit l’art d’orner les cha
uit profonde Dont le sommeil couvre leurs yeux : Assurons le repos au Monde En brisant leurs traits odieux.     A ces mots e
r qui les Dieux ont fait, dans ce paisible asile, Loin des erreurs du monde , un sort doux et tranquille, Rendez grace à Vesta
oble et généreux, Qu’il est doux en quittant Cerbère, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère ! Bell
l’étranger les tributs volontaires. Sénat d’un Peuple-Roi qui mit le monde aux fers, Conseil de demi-Dieux qu’adora l’Univer
jeunesse Chantoit l’amante de Phaon. De leurs célèbres bagatelles Le monde encor est occupé. La mort, de l’ombre de ses aile
cérité, foi, constance, candeur, Discrétion, simplicité, grandeur, Le monde entier pour commun héritage, Egalité sans lois et
et l’empire des ondes, S’élève un vieux Palais, aux confins des trois mondes . Là, sur tous les pays l’œil se porte à la fois.
en nouveautés féconde, Et ses yeux sont ouverts sur tous les coins du monde . Ovide.— Saint-Ange 110. Discorde. La pl
de la déesse inflexible, on lui sacrifioit un coq. La Mort, reine du monde , assembla certain jour, Dans les Enfers, toute sa
n Fils ; afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le vieux pére du monde  : Et vous, Reines des eaux, protectrices des bois
anglans dans la forêt profonde. Quand la neuvième aurore éclairera le monde , Au déplorable époux dont tu causas les maux Offr
enté perçant la nuit profonde, Répand un jour si doux sur la scène du monde . Sur son front vierge où brille une aimable fier
uple choisi consulta l’oracle de Thémis, sur le moyen de repeupler le monde . La Déesse leur ordonna de jeter par-derrière et
gouffres de l’onde ; Nous seuls vivons encor ; nous seuls peuplons le monde . Je n’ose même encor m’assurer, de nos jours : De
nds-nous quelle vertu féconde, De nouveaux habitans peut repeupler le monde . Jette sur l’Univers des yeux compatissans, La Dé
clope ; Et les plus criminels sont au fond des Enfers, De la voûte du monde étouffés et couverts. A leur affreux supplice éch
a gloire suit le courage… « Déjà je vois à ton ouvrage « Applaudir le monde animé : « Quels temples on va te construire !… « 
ngers où court son petit fils, Eût ouvert à leurs yeux la carrière du Monde , Ils partent ; et déjà, loin des gouffres de l’on
de commander au frein.     Pour la première fois l’Ourse au pôle du Monde Brûle et s’efforce envain de se cacher dans l’ond
des Dieux suivra dans ton palais Hélène qui naquit pour le malheur du monde  : C’en est fait : pour punir le plus noir des for
quatre chevaux. Ce beau moent fut compté parmi les sept merveilles du Monde . C’est du nom de cet époux si chéri, si pleuré, q
… tout est mort ! De ce vaste repos combien l’ame est frappée ! O des Mondes détruits, image anticipée ! Triste et dernier Sol
                Le feu des éclairs                         Embrase le Monde  ;                         Une nuit profonde      
los, flottante et vagabonde, Errante sur les mers, comme elle dans le monde , L’accueille, et donne enfin un asile à ses maux,
e bientôt, sa race si féconde, Le sujet de ses pleurs et l’exemple du Monde  !     C’est trop, dit Apollon, c’est trop, n’ach
té profonde : Sans lancer un rayon sur eux, Le Soleil fait le tour du Monde . Au pied d’un aride coteau, A nos regards s’offre
, Sur des lyres harmonieuses Méditent de doctes chansons ? Toi que le Monde entier révère, Je t’apperçois, divin Homère, Vêtu
deviens homme en devenant heureux. Mais ce bonheur, ce vain éclat du Monde , Ressemble aux fleurs qu’enfante le Printemps : T
quité fit éclorre des Ondes, Qui descendis du Ciel, et régnes sur les Mondes  : Toi qu’après la bonté, l’homme chérit le mieux 
sombres, Qu’habitent la fraîcheur, le silence et les ombres. Dans le Monde animé, qui ne sent tes faveurs ! L’insecte, dans
eule il sent couler les pleurs. Il laisse au loin mugir les orages du monde  ; Sur les bords d’une eau vive, à l’ombre des ber
x seul frappe leurs yeux.     Le Pilote hardi, cherchant de nouveaux mondes , Prend les Astres pour guide, et les suit dans le
leur nom sur son char lumineux. Jouet constant d’une vaine fumée, Le monde entier se réveille pour eux ; Mais, sur la foi de
l n’offre plus à leur vue Que les rochers d’une plage inconnue, Qu’un monde obscur, sans Printemps, sans beaux jours, Et que
tu vivras tant que le mont Athos             Soutiendra les voûtes du Monde  :             Tant qu’au sein de la mer profonde,
rs sans transport, L’amitié, le repos, des fleurs et de l’ombrage. Le Monde est un écueil, et mon Île est un port. Sans soin
nos yeux l’immensité des airs,                Et fertilisent tous les Mondes . Sur ce globe sauvage arrêtons nos regards :     
sommeil ; Sa Muse en merveilles féconde, Franchissant les remparts du Monde , Est dans l’Olympe à son réveil. Balze 295.   
ècle d’or, lorsqu’on dit que les maux N’osoient encor affliger ce bas monde  ; Que les humains, dans une paix profonde, Sans e
re l’homme en l’amusant.           La Fable un jour voulut courir le Monde  : On lui pardonnera ce projet aisément :       Fe
qu’il la fixa, ne put l’épouvanter ; Son génie échappé des limites du Monde , Parcourut à grands pas l’immensité profonde ; E
est le père de la Vertu.     Réveille-toi, Mortel, deviens utile au Monde , Sors de l’indifférence où languissent tes jours.
rde autour de toi ; contemple tout l’Espace. Par quel divin accord le Monde est gouverné ! Nul être n’est oisif ; tout occupe
u circule en tout lieu ; Les germes sont féconds ; le feu nourrit les mondes ,                    Et tout nourrit le feu.     
venu ? Thomas 304.     Le Travail est mon Dieu, lui seul régit le monde  ; Il est l’ame de tout : c’est envain qu’on nous
11 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ier égarement fut suivi d’une idolâtrie moins excusable. Vers l’an du monde 2700, Ninus, fils de Bélus, roi des Assyriens, fi
nts frivoles De leurs ridicules autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux monstres les plus odieu
i donna l’être à l’univers naissant ; Quand l’Harmonie, architecte du monde , Développant, dans cette nuit profonde, Les éléme
oit l’aîné. Mais celui-ci, pour complaire à sa mère, céda l’empire du monde à Saturne, son cadet, à condition cependant qu’il
trôna Saturne son père, épousa Junon sa sœur, et partagea l’empire du monde avec ses deux frères Neptune et Pluton. Il donna
ccupa Jupiter, lorsqu’il se trouva paisible possesseur de l’empire du monde  ? R. Il s’appliqua à former l’homme. Prométhée,
prunta les traits de Diane pour tromper la nymphe Calisto, qui mit au monde Arcas. Enfin, il se fit berger, pour séduire Mném
sont les deux coupes du bien et du mal qu’il répand à son gré sur le monde . Son front est chargé de sombres images ; ses yeu
te, ou Jupiter lui rendit sa première forme. Ce fut là qu’elle mit au monde Epaphus ; elle y fut depuis adorée sous le nom d’
orbe plus qu’un peuple tout entier. Pareil à l’Océan, ce réservoir du monde , Qui plus il boit de flots, plus il a soif de l’o
ble et généreux, Qu’il est doux, en quittant Cerbère, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère ! Bell
ulières dit, en parlant du soleil, que, sans doute las d’éclairer le monde , il va chez Téthys rallumer dans l’onde ses feux
voulut l’épouser. Mais Prométhée prédit que cette nymphe mettroit au monde un fils qui seroit plus illustre et plus grand qu
it-elle avec un air flatteur, » Vous à qui mon époux, le souverain du monde , » Permit et d’apaiser et de soulever l’onde, » U
pêcher qu’on ne fasse du bruit. Près des Cimmériens5, aux limites du monde , Sous les flancs caverneux d’une roche profonde,
ante, et qui fut alors rendue stable. Latone s’y réfugia, et y mit au monde Apollon et Diane. Apollon fut surnommé Délien, du
de la Terre environné de l’onde, Et le ciel radieux, voûte immense du monde . L’onde a ses dieux marins, et Protée, et Triton,
ser. Alors le jeune téméraire lui demanda la permission d’éclairer le monde pendant un jour seulement, en conduisant son char
ichir et à l’orner, et il fut compté au nombre des sept merveilles du monde . Il fut brûlé par Érostrate, le jour même de la n
et l’empire des ondes, S’élève un vieux palais aux confins des trois mondes . Là, sur touts les pays l’œil se porte à la fois 
nouveautés féconde ; Et ses yeux sont ouverts sur touts les coins du monde . ( Ovide, trad. de Saintange.) Quelle est cette
l’erreur, Sa voix en merveilles féconde, Va chez touts les peuples du monde  ; Semer le bruit et la terreur. ( Rousseau.)
qu’il périroit de la main d’un fils que Danaé, sa fille, mettroit au monde . Pour prévenir ce malheur, il enferma la princess
que celui-ci étoit occupé à la guerre. Alcmène, déjà enceinte, mit au monde deux jumeaux, dont l’un nommé Eurysthée fut fils
nnocence. Le même, à Jupiter.          Ma voix, puissant Maître du monde ,          S’élève, en tremblant, jusqu’à toi.    
n fils ! afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le vieux père du monde . Et vous, reines des eaux, protectrices des bois,
nglants dans la forêt profonde. Quand la neuvième aurore éclairera le monde , Au déplorable époux dont tu causas les maux, Off
onna à Jocaste sa femme, d’ôter la vie à l’enfant qu’elle mettroit au monde . La mère eut horreur de ce crime, et en confia l’
pe sera le meurtrier de son père, et l’époux de sa mère, et mettra au monde une race détestable. » Pour éviter d’accomplir ce
sombres Avec ses noirs habits et ses muettes ombres, Elle embrasse le monde  ; et ses lugubres mains D’un grand voile ont couv
sur les siens ! » (Trad. de M.  Delille.) Des sept merveilles du monde . Demande. Qu’appelez-vous les sept merveilles
veilles du monde. Demande. Qu’appelez-vous les sept merveilles du monde  ? Réponse . Ce sont sept édifices ou monuments,
y a de plus ancien, c’est Dieu, car il est incréé ; de plus beau, le monde , parce qu’il est l’ouvrage de Dieu ; de plus gran
ans laquelle il n’y a rien de bon, III. La chose la plus difficile du monde est de se connoître soi-même ; la plus facile, de
de mémoire, de sentiment, il met tout en œuvre de la meilleure foi du monde , pour vous persuader : et c’est cet air de bonne
bres sont cachés sous l’onde ;             Nous sommes les maîtres du monde  ;             C’est le déluge universel. — Ne cro
lles-mêmes, sans secours, sans penser qu’elles composent la moitié du monde  ; qu’on est uni à elles nécessairement par les al
ice.   Il faut donc éloigner de bonne heure les jeunes personnes d’un monde trop libre, dont le langage et la conduite ne peu
l’amitié : « Passion sublime, sentiment des grandes ames, bonheur du monde , devant lequel touts les maux disparoissent ou s’
ujettir extérieurement aux bienséances, et d’échapper à la censure du monde  ? R. Non. Ce sont les sentiments qui forment le
R. L’orgueil est une passion qui fait qu’on n’estime que soi dans le monde . Rien de si révéré que l’orgueil ne profane ; Il
int. La chétive pécore            S’enfla si bien, qu’elle creva. Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : To
12 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
premier ordre. I. — Saturne ou le Temps. Avant la création du monde , la Fable suppose que l’univers n’était qu’une ma
emps. En sa qualité de fils aîné, Titan devait hériter de l’empire du monde  ; mais, sur les instances de sa mère, il abandonn
t aucun enfant mâle. Cependant Cybèle, femme de Saturne, ayant mis au monde Jupiter et Junon, ne présenta à son époux que cet
d Jupiter se fut emparé du trône de son père, il partagea l’empire du monde avec ses deux frères : Neptune fut le roi des eau
Quelle fut l’enfance de Jupiter ? — Comment partagea-t-il l’empire du monde avec ses frères ? — N’eut-il pas une guerre à sou
s de sa route ; tantôt se perdant au plus haut du ciel ils privent le monde de lumière, tantôt s’approchant trop de la terre
bre, situé à Éphèse20, était regardé comme une des sept merveilles du monde . On représente Diane en habits de chasse, chaussé
ulcain, fils de Jupiter et de Junon, était le Dieu du feu. Il vint au monde si laid et si difforme, que Jupiter, ne pouvant s
par conséquent le frère de Jupiter, avec qui il partagea l’empire du monde . Ayant pris part à la conspiration des Dieux cont
, voulut de son côté avoir un fils qui lui fût propre, et elle mit au monde Mars, qui fut le Dieu de la guerre. Ce fut ce Die
conduits par sa sœur Bellone. Questions. Comment Mars vint-il au monde , et quelles étaient ses attributions ? — Quel art
la Déesse des moissons. Enfin Cérès, qui avait vainement parcouru le monde entier, apprit de la nymphe Aréthuse que Proserpi
lence indomptable causerait d’horribles tempêtes et bouleverserait le monde . Les principaux vents qu’il tient sous ses ordres
e en ouvrant le détroit de Gibraltar. Se croyant arrivé aux bornes du monde , il éleva ses célèbres colonnes, l’une située en
es ennemis, si les destins ne lui eussent été contraires. Les yeux du monde entier étaient fixés sur cette guerre, à laquelle
de Diane à Éphèse 82 ; on le mettait au nombre des sept merveilles du monde . Ce magnifique édifice, commencé par l’architecte
le de Jupiter. (Voyez plus loin la description des sept merveilles du monde .) Parmi les temples innombrables que Rome éleva a
élèbres ? Chapitres supplémentaires. Les sept merveilles du monde . On appelait ainsi sept monuments de l’antiqui
s d’élévation. On comptait encore quelquefois parmi les merveilles du monde le temple de Salomon, le Capitole de Rome et le P
dans ces parages. Questions. Qu’étaient-ce que les merveilles du monde  ? — Décrivez-les successivement. — N’y avait-il p
téméraire entreprise de la tour de Babel ? Le partage de l’empire du monde entre Jupiter et ses frères est un souvenir du pa
nouveaux, ses explications inconnues de la création et du système du monde , et l’art avec lequel il accompagnait ses chants
t aux Anglais, et dont ils ont fait une des places les plus fortes du monde . 53. Ce fleuve coulait entre l’Épire et l’Étolie
ra qu’on n’ajouterait jamais foi à ses prédictions. En effet, tout te monde se moquait d’elle dès qu’elle voulait dévoiler le
13 (1866) Dictionnaire de mythologie
c l’auteur, de vouloir rajeunir ces vieilleries ? Vient-il de l’autre monde  ? A coup sûr il n’est pas de celui-ci. Il s’est e
ure des poëtes et des orateurs anciens ; le reste s’apprenait dans le monde . Dans un système d’études aussi restreintes, la m
d’histoire naturelle, avec un long rapport qui fera du bruit dans le monde savant, si la vanité d’auteur ne m’abuse pas.
es personnes qui voudront descendre avec moi dans ce Musée de l’autre monde me sauront gré, j’ose l’espérer. Ablutions.
stitua une bonne partie des gens en place, qui rançonnaient le pauvre monde , et fit pendre le reste, pour l’exemple. Puis, la
pour l’apaiser, lui portent des sacrifices dans toutes les parties du monde . Il a deux sortes d’adeptes. Les uns, race bénie,
u faste opulent de sa demeure royale. Jamais, à l’entendre, mortel au monde n’avait été plus heureux. “Eh bien, Damoclès, mon
rappelle qu’au moment où la guerre de Crimée était près d’éclater, le monde entier avait les yeux sur l’ambassadeur de Russie
t de tous les temps, de tous les lieux, qu’elles ont commencé avec le monde et qu’elles finiront avec lui ! Des historiens à
ns étaient bien plus heureux que les nôtres. Les trois bons quarts du monde étant inconnus de leurs contemporains, ils pouvai
e montagne plus haute. Quand ils deviennent plus savants, le pivot du monde se déplace et l’Atlas est chargé du fardeau. La f
s est un de ceux qu’on trouve en circulation chez tous les peuples du monde . Il a charmé au berceau l’enfance du genre humain
rateurs, tous ceux qui désiraient plaire au peuple le plus délicat du monde , venaient sacrifier. Mais peu étaient exaucés. Le
ge d’Iolchos à Colchos était plus périlleux qu’aujourd’hui le tour du monde , et les deux écueils de Charybde et de Scylla plu
ux-mêmes, souriant à la critique comme à l’éloge, ils passent dans le monde avec un succès dont ils sont les seuls qui ne s’é
confrères. Les ombres ont joué un grand rôle sur tous les théâtres du monde  ; mais c’était au temps où il y avait des sorcier
bles et le mépris de la livrée. Tout n’est qu’heur et malheur dans ce monde . Ces derniers, commensaux et parasites de leur ri
delle et qui ne sut pas se défendre lui-même. Toutes les choses de ce monde sont passagères, et quand le terme fatal arrive,
il manquait. Le feu, dont le soleil est le foyer sacré, est l’âme du monde , le principe de toute existence et de toute végét
rne était un père dénaturé qui mangeait ses enfants aussitôt venus au monde , et que Rhéa sa femme lui donna le change en lui
re l’ère de l’harmonie des éléments et des grandes lois régulières du monde , dont il est la souveraine personnification. N’es
nt ans, deux cents ans ? Quel ébahissement ! quelle figure de l’autre monde  ! » Pour moi, si j’avais le don d’évocation, j’ir
paix en temps de guerre ; se croiront le peuple le plus spirituel du monde , et le proclameront dans leurs journaux, sans cra
rébus auraient beau jeu avec lui. Mais on était alors à l’enfance du monde , la science de la divination ne faisait que de na
14 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
dieux fut répandu, avec la puissance romaine, jusqu’aux extrémités du monde . NOUVELLE MYTHOLOGIE. Origine du monde d’après
ne, jusqu’aux extrémités du monde. NOUVELLE MYTHOLOGIE. Origine du monde d’après la Fable. Voici comment les poètes dé
ui donna l’être à l’univers naissant, Quand l’harmonie, architecte du monde , Développant dans cette nuit profonde Les élémens
. Cybèle était au désespoir d’une conduite aussi barbare. Elle mit au monde en même temps Jupiter et Junon ; mais, craignant
rmé pendant la paix ; mais les Romains voulaient se rendre maîtres du monde , et le temple de Janus ne fut fermé que deux fois
vait enlevée. Cérès quitta bientôt ce pays pour parcourir le reste du monde . Lorsqu’elle avait couru tout le jour, elle allum
le. Ayant chassé son père du ciel, il se rendit maître de l’empire du monde , qu’il partagea avec ses deux frères Neptune et P
dans sa domination. Titan, au désespoir de ce que le gouvernement du monde passait aux enfans de Saturne, son frère, suscita
il exécuta avec plaisir, par vengeance de ce que Junon l’avait mis au monde tout contrefait. Les dieux ne purent dégager la d
la ville qui conserverait ce bouclier serait le siége de l’empire du monde . Numa Pompilius, attentif à tout ce qui pouvait a
endit stable. Le temps des couches de Latone approchait ; elle mit au monde , à l’ombre d’un palmier, Apollon et Diane, elle l
vinité. Apollon, rétabli dans ses droits, répandit la lumière dans le monde . Plusieurs mythologues donnent cependant cette ch
mence sa course. Les Colosses de Rhodes. Entre tous les pays du monde , le Soleil parut regarder l’île de Rhodes avec pr
i mérita par sa singularité d’être mis au rang des sept merveilles du monde . C’était une statue du soleil de cent pieds de ha
se couvrit d’un voile noir, et elle ne voulut plus rendre le jour au monde  ; pour la consoler et l’obliger à reprendre ses f
un instant avant Apollon, et aussitôt elle aida Latone à le mettre au monde . Témoin des douleurs de l’enfantement, elle pria
lle magnificence, qu’on le regardait comme une des sept merveilles du monde . Il avait quatre cent vingt-cinq pieds de longueu
t la conquête de l’Inde. Devenu grand, Bacchus voulut parcourir le monde . Il leva une puissante armée d’hommes et de femme
prouver par nos soins réunis,     « Qu’ils ne sont pas seuls dans le monde , « Et que les malheureux ont encor des amis ! »
adore est le maître de l’onde, « De son empire immense il embrasse le monde .        « Vulcain, Eole et ses enfans « Reconnais
ys, sa femme, Nérée et Doris, qui, s’étant mariés ensemble, mirent au monde un grand nombre de filles, connues sous le nom de
ec Téthys, la grande déesse des eaux, était la plus belle personne du monde . Jupiter voulait l’épouser ; mais, ayant appris d
mier commanderait à l’autre ; Junon fit en sorte qu’Eurysthée vînt au monde avant Hercule ; celui-ci fut par là dans sa dépen
r. Hercule, loin de songer à la vengeance, ne s’occupa qu’à purger le monde des monstres et des tyrans qui le désolaient, il
nt des pieds ou de la tête ce qui en excédait. Après avoir délivré le monde des brigands qui le désolaient, Thésée tourna sa
e et la réduisirent en cendres. La ville de Troyes fut ruinée l’an du monde 2870, trois cents ans après sa fondation. On prét
t : que la terre et que l’onde Apprêtent un repas pour les maîtres du monde , Ils lui préféreront les seuls présens du cœur. B
15 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
e 1847. Section préliminaire. Le Chaos. Au commencement du monde , disent les anciens auteurs, la nature entière n’
père cruel, le réduisit à l’état de serviteur, et occupa le trône du monde . § 2. Saturne. Titan et Saturne étaient fr
y paraître, sous peine de mort. § 4. Jupiter. Devenu maître du monde par la défaite de Saturne, Jupiter partagea l’emp
au lieu de jambes, d’énormes serpents. Jupiter gouvernait en paix le monde , lorsque ces monstrueux ennemis résolurent de le
cailloux lancés par la main de Pyrrha se changèrent en femmes, et le monde fut ainsi repeuplé. — On représente Jupiter assis
elle supplia Jupiter de lui rendre sa première forme, et elle mit au monde un fils nommé Épaphus. Junon, qui regrettait touj
s trente années de sacerdoce, il leur était permis de rentrer dans le monde , et de quitter le feu de Vesta pour le flambeau d
gissant, et dont le bruit éclatant se propage jusqu’aux extrémités du monde . Il ne faut pas confondre les Tritons avec Triton
har majestueux du dieu des eaux § 8. Pluton. Dans le partage du Monde entre les trois fils de Saturne (Jupiter, Neptune
ndre immortel le jeune Triptolème, voulut du moins le faire chérir du monde entier : elle lui apprit l’art de semer le blé et
oissons. § 10. Minerve. Minerve, déesse de la sagesse, vint au monde d’une manière extraordinaire. Jupiter, éprouvant
lles président aux bienfaits, à la reconnaissance et à tout ce que le monde offre d’agréable, de doux et d’attrayant. Elles d
et roi d’Athènes ; 2° Érichthonius, autre roi d’Athènes, qui vint au monde avec des jambes torses, et qui, pour cacher cette
chus. Bacchus, dieu du vin, fils de Jupiter et de Sémélé, vint au monde dans l’île de Naxos, et fut porté par Mercure en
-Ammon, un temple devenu bientôt célèbre, et où, des trois parties du monde , venaient en foule les adorateurs, quoiqu’il fall
loquence. Uranie, muse de l’Astronomie, tient d’une main le globe du monde , et de l’autre un compas. Sa couronne est composé
né en Arcadie, était le dieu des campagnes et des bergers. Il vint au monde avec des jambes et des pieds de bouc, avec des co
lutus, la Fortune et l’Amour Sont trois aveugle-nés qui gouvernent le monde . Voltaire. — Les Grecs représentent Plutus sous
dès, aux extrémités de l’Espagne, il crut avoir atteint les bornes du monde , et il sépara deux montagnes, Calpé et Abyla (don
n tour chassé ou mis à mort par un fils d’Éson. Dès que Jason vint au monde , sa mère, pour le dérober aux poursuites du tyran
e ; et, de retour parmi ses compatriotes, il leur apprit l’origine du monde et des dieux, l’explication des songes, l’expiati
enta la mélodie et le rhythme, et composa des poèmes sur l’origine du monde , sur l’astronomie, et sur la nature des plantes.
ses filles, périrent victimes de l’amour ; Pasiphaé sa femme, mit au monde le Minotaure, monstre moitié homme et moitié taur
acle, interrogé sur cette vision, répondit « que la reine mettrait au monde un fils qui serait cause de la destruction de sa
hesses ; Minerve, la gloire des armes ; Vénus, la plus belle femme du monde . Vénus fut préférée : elle obtint, au milieu des
tion troyenne. Vénus, qui avait promis à Pâris la plus belle femme du monde , lui désigna Hélène, fille de Tyndare et femme de
’arriver parmi les siens, et de revoir ce qu’il avait de plus cher au monde . Il arrive ; à peine ose-t-il lever les yeux. Il
Un ouragan le jeta sur des côtes de Ciconie, où il perdit beaucoup de monde . De là, il fut porté en Afrique, chez les Lotopha
tait fils du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope. Quand il vint au monde , sa mère consulta le devin Tirésias sur la future
hoser en caille, s’y réfugia, y recouvra sa première forme, et mit au monde , à l’ombre d’un palmier (d’autres disent d’un oli
un vent de souffler66. § 17. Stellio. Quand Cérès parcourait le monde , cherchant de tous côtés sa fille que Pluton vena
doute leur origine à cette coutume. § 27. Les sept merveilles du monde . Les anciens donnèrent ce nom à sept monuments
C. II. Pyramides d’Égypte. Ces Pyramides, la seule des merveilles du monde qui subsiste encore, furent bâties par les ancien
ngée en fontaine. La poésie anima ainsi toute la nature, et peupla le monde d’êtres fantastiques ; et comme le dit élégamment
Byrsa, en grec, signifie cuir, peau. 63. L’Europe : cette partie du monde commence en effet, du côté de l’Asie, à l’île de
16 (1823) Mythologie des dames
sions. Les terribles éruptions des volcans conduisirent à l’idée d’un monde souterrain, peuplé de divinités puissantes et ter
de nymphes. Les forêts se peuplèrent de Faunes, de Driades. Enfin le monde physique parut à ces vives imaginations doué de t
hysique parut à ces vives imaginations doué de toutes les facultés du monde moral. Là, pour nous enchanter tout est mis en u
, étaient fort nombreux pendant les premiers siècles de l’histoire du monde . Dans la guerre contre les Géants, Jupiter devint
lon. Delphes depuis ce moment fut regardé comme occupant le milieu du monde . Les Chinois pensent que c’est leur empire qui jo
orsque nous examinerons les demi-dieux et les héros qui étonnèrent le monde par leurs exploits, et par leurs aventures guerri
e Sarpédon, et de Rhadamanthe. Europe donna son nom à cette partie du monde que nous habitons. Cependant Agénor n’ayant aucun
nature. Et confondus ensemble, ils éclairent nos yeux, Ils animent le monde , ils emplissent les cieux7. C’est ainsi que Volt
Vénus obéit ; mais, infidèle à son époux, elle remplit long-temps le monde du bruit de ses aventures amoureuses. Parmi les d
e en votre appui se fonde ; « Déclarez-vous pour moi, belle moitié du monde , « Honneur de l’univers, dernier effort des dieux
, anime, embellit, et féconde, Et semble en se montrant reproduire le monde  ? Ame de l’univers, source immense de feu, Ah ! s
es était celui d’Ephèse ; on le comptait parmi les sept merveilles du monde . Toute l’Asie enrichit ce temple, pendant plus de
ette réunion des qualités et des vices dans un même individu, dont le monde nous offre quelquefois des exemples. Mercure.
nger se reposent sur moi : « Si je perds la douceur d’être l’amour du monde , « J’ai le plaisir nouveau d’en devenir l’effroi2
ontrée, errante, vagabonde, Cérès cherche sa fille aux deux bornes du monde  ; Et l’étoile du soir, l’étoile du matin, La voit
lope ; Et les plus criminels sont, au fond des Enfers, De la voûte du monde étouffés et couverts. A leur affreux supplice éch
nque recourbée, dont le bruit se fait entendre aux deux extrémités du monde . Ce dieu a la partie supérieure du corps semblabl
, des pattes comme aux dauphins39. » Un des plus beaux spectacles du monde poétique des anciens, était Amphitrite voyageant
 S’il est unique, hé bien ! il en ressemble mieux « A ce grand œil du monde , unique dans les cieux. « Je dois le jour au roi
s morts, ou des Génies familiers, bons ou mauvais, dont on croyait le monde rempli. Le nombre de trois leur était spécialemen
n funeste. Telles étaient les aberrations de l’esprit humain, dans ce monde mythologique, où tout était Dieu, excepté Dieu m
17 (1845) Mythologie de la jeunesse
cations pour rendre plus sensibles leurs systèmes sur la formation du monde et les phénomènes de la nature, ont beaucoup cont
nes de la nature, ont beaucoup contribué, de leur côté, à agrandir ce monde de l’imagination. Enfin, la corruption du cœur hu
ig. 5] Première partie [Fig. 6] Le Chaos. — Formation du monde . — Les quatre âges. Avant la formation du mond
os. — Formation du monde. — Les quatre âges. Avant la formation du monde , il n’existait que le Chaos, assemblage confus de
fidèle, à sa parole, il dévorait ses fils aussitôt qu’ils venaient au monde . Cependant sa femme Rhéa fille d’Uranus et de Tit
. 21]. Devenu grand, Jupiter détrôna Saturne, et partagea l’empire du monde avec ses deux frères. Neptune régna sur la mer, e
Il avait des temples dans toutes les villes et dans tous les pays du monde . La forêt de Dodone11, en Épire, et l’antre de Tr
qu’elles faisaient, en se consacrant à Vesta, de vivre étrangères au monde . On enterrait toute vive celle qui se trouvait co
et de Junon, était le dieu du feu et des forgerons. Lorsqu’il vint au monde , Jupiter le trouva si laid, qu’il le précipita d’
Jupiter se fit donner un coup de hache sur la tête pour la mettre au monde . Sous le nom de Pallas, elle présidait aux combat
aucun droit. Latone s’y réfugia sous la forme d’un oiseau, et mit au monde Apollon et Diane sous un palmier. Le premier usag
oi d’Argos, avait appris de l’oracle que Danaé, sa fille, mettrait au monde un fils qui lui ravirait la couronne et la vie. P
ogie païenne diffère peu de la tradition mosaïque sur la formation du monde . Suivant le récit de Moïse, l’univers ne sortit p
ait le visiter pendant son sommeil. 24. Les six autres merveilles du monde étaient le mausolée ou tombeau du roi Mausole, le
18 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
Le chêne lui étoit consacré, ainsi que le hêtre. Jupiter partagea le monde avec ses frères ; il garda le ciel, donna l’empir
pleins et révolus d’un jeu à un autre. Ces jeux commencèrent l’an du monde 3195. Celui qui remportoit le prix, jouissoit de
l’oracle des Parques qui déclaroit que le fils que Thétis mettroit au monde , seroit plus grand que son père. Prométhée pour a
r luxe, leur mollesse et leur genre de vie à toutes les séductions du monde et des passions, elles ne pouvoient remplir leurs
, n’ont point reçu ces vains honneurs ; mais, à l’abri des dangers du monde , elles n’ont point eu de combats à soutenir, des
t une ouverture par laquelle Adonis, fruit de cet inceste, fut mis au monde . Dès qu’il fut né, les Nymphes se chargèrent de s
ant que Vulcain fabriqua (pour se venger de ce qu’elle l’avoit mis au monde tout contrefait), il lui attacha sous les pieds d
représentoit Apollon, et fut regardé comme une des sept merveilles du monde . Cette statue, ouvrage de Charès qui mit douze an
dans les temples n’a point été le même chez les différens peuples du monde . Les anciens Romains rendoient leur culte aux Die
a. L’Oracle de Thémis ordonna à Deucalion et à Pyrrha de repeupler le monde , avec les os de leur grand’mère. Ils comprirent q
depuis le coude jusqu’au bout des doigts. 31. Les sept merveilles du monde étoient : le Colosse de Rhodes, les Jardins de Ba
19 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
et sa mort. Sémiramis naquit à Ascalos, ville de Syrie, vers l’an du monde 2754. La Déesse Dercetis ou Derceto ou Atergatis
qu’il périroit de la main de l’enfant que sa fille Danaë mettroit au monde , enferma Danaë dans une tour d’airain. Mais Jupit
pa cette princesse en prenant les traits d’Amphitryon. Alcmène mit au monde deux jumeaux, Hercule fils de Jupiter, et Iphiclè
iseau, s’arrache des plumes pour faire un nid à ceux qui l’ont mis au monde et qu’il les nourrit dans leur vieillesse. Aussi
é. Un de nos vieux auteurs ( Bertaut) a dit : L’ingratitude règne au monde , On ne se souvient que du mal, L’injure se grave
particulier. Elle ne se repose jamais, elle parcourt nuit et jour le monde , sous la figure d’un monstre ailé, d’une taille g
l’erreur, Sa voix en merveilles féconde, Va chez tous les peuples du monde Semer le bruit et la terreur. J. B. Rousseau,
oûtes sombres D’un antre noir, séjour des tristes ombres, Où l’œil du monde est sans cesse éclipsé, Et que les vents n’ont ja
ute leur perfection et ne peut jamais être un tort. 39. O soutien du monde , ornement des Dieux et des hommes, adorable Vertu
20 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo I pp. 3-423
onore, e benchè Orfeo la chiami Pambasilea, ossia regina di tutto il monde (c) ; tuttavia non si sa, che le sia stato eretto
21 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
éminaire de la mort : la mort est la nourrice de la vie. Frèdol — Le monde de la mer. Ma le scienze ci fanno sapere che i
guitato, e le are di Giove rimasero, sino alla caduta del paganesimo, monde di umano sangue. Ovidio dice che Licaone svenasse
/ 21