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1 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
e Jupiter, roi de l’île de Crète, qu’on appelle à présent Candie, fut mis au rang des dieux à cause de sa valeur et de sa p
i, on substitua aux herbes la farine et les gâteaux, dans lesquels on mettait un peu de sel. Depuis que Bacchus eut appris aux
es vents, excita les orages ; L’eau vagabonde en ses îlots inconstans Mit à couvert ses muets habitans ; La terre, enfin, c
, le plus léger des élémens, eut la région la plus élevée ; l’air fut mis au-dessous du feu ; la terre, toute pesante qu’el
issance. Cybèle était au désespoir d’une conduite aussi barbare. Elle mit au monde en même temps Jupiter et Junon ; mais, c
il lui déclara la guerre, l’attaqua, et, après l’avoir vaincu, il le mit en prison avec Cybèle. Ils y languirent long-temp
espace de sept cents ans. Pour récompenser les vertus de Janus, on le mit au nombre des dieux. Les anciens le représentaien
les Romains. Il marquait les limites des champs ; c’est pourquoi on y mettait sa statue. Elle consistait d’abord en une pierre
en, et fit de son culte un des principaux points de sa religion, pour mettre un frein plus puissant que les lois à la cupidité
ltère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les yeux De ce torrent la source emblémati
uissance, il lui fit servir les membres d’un de ses hôtes qu’il avait mis à mort. Jupiter, irrité, foudroya la maison de ce
le prix. Excitées par cet exemple, les autres femmes macédoniennes se mirent sur les rangs, et méritèrent plusieurs fois la co
us, fils d’Artaxercès, fut curieux d’être témoin de sa force ; il lui mit en tête trois des plus forts de ses gardes ; Poly
on, qu’il exécuta avec plaisir, par vengeance de ce que Junon l’avait mis au monde tout contrefait. Les dieux ne purent dég
e vives inquiétudes à Junon. Pour mieux veiller sur sa conduite, elle mit auprès de lui Argus. Cet espion avait cent yeux ;
et la rendit stable. Le temps des couches de Latone approchait ; elle mit au monde, à l’ombre d’un palmier, Apollon et Dian
venue la première, elle ne fut pas plutôt née, qu’elle aida sa mère à mettre au jour Apollon. Epuisée de fatigue après cette c
l’île de Délos s’approcha du rivage, et la déesse, en s’éveillant, se mit en chemin pour rejoindre son père Cœus. Dans ce
suscita le jeune Hippolyte, fils de Thésée, qu’un monstre marin avait mis en pièces. Jupiter regardant cette résurrection c
trouva belle et le lui dit ; mais Daphné, sans vouloir l’entendre, se mit à fuir de toutes ses forces. Comme Apollon qui la
couvert de lauriers, ne craignez pas la foudre. On assure que Tibère mettait sur sa tête une couronne de laurier quand il tonn
la fenêtre de laquelle étaient des œillets que ce prince y avait fait mettre  : En voyant ces œillets, qu’un illustre guerrier
l’ironie à cette action perfide. Outré de fureur, Hercule tua le roi, mit la ville à feu et à sang, et emmena prisonnier Pr
son honneur un colosse d’airain, qui mérita par sa singularité d’être mis au rang des sept merveilles du monde. C’était une
siphaé, Circé. Esculape, fils d’Apollon et de la nymphe Caronis, fut mis de bonne heure entre les mains du centaure Chiron
vec eux à Rome. Le lendemain, dès le grand matin, les ambassadeurs se mirent en prières pour savoir du dieu s’il désirait qu’o
les trois derniers. Il les fit renfermer dans un coffre de pierre, et mettre , comme une chose sacrée, dans les archives de l’e
embla tout ce qu’il put des fragmens détachés de ces vers, et les fit mettre dans des coffres d’or au pied de la statue d’Apol
le naquit un instant avant Apollon, et aussitôt elle aida Latone à le mettre au monde. Témoin des douleurs de l’enfantement, e
Silène l’accompagna, monté sur son âne, qui, au milieu du combat, se mit à braire d’une façon si terrible, que les éléphan
d’œuvre de Vulcain, Après la mort de cette princesse, sa couronne fut mise au rang des signes célestes : ce sont huit étoile
les se jetèrent sur lui, et, pour satisfaire leur vengeance, elles le mirent en pièces. Les Thébains regardaient la mort cruel
rrement, fit plusieurs trous à la coquille, colla du cuir alentour, y mit deux cornes, et la monta de cordes de fil de lin,
e qui se célébrait en l’honneur de Minerve, fit tous ses efforts pour mettre dans ses intérêts Aglaure, sœur d’Hersé. Elle lui
caducée, une bourse, des chaînes d’or, une lyre, ou une baguette. On met à ses pieds un coq, une tortue ou un bélier. S
toutes les histoires publiées sur les Vénus de plusieurs pays ont été mises ensuite sur le compte d’une seule à laquelle on a
son javelot : le sanglier s’en étant déféré, se jeta sur Adonis et le mit en pièces. Vénus vint trop tard au secours de son
nt du tout à la nymphe. En vain fut-il soumis et respectueux, en vain mit -il en usage les soins et les empressemens : Amphi
ent à la figure grotesque de son futur époux, dont, à l’en croire, la mise négligée cachait de beaux traits et un air noble 
arquer qu’il surpasse tous les autres poissons en industrie. Neptune, mis au rang des immortels, et regardé comme le dieu d
ns quelque combat sur mer. L’origine de toutes les histoires que l’on met sur le compte de Neptune vient de ce que les poèt
ut de Téthys, sa femme, Nérée et Doris, qui, s’étant mariés ensemble, mirent au monde un grand nombre de filles, connues sous
x marins le reçurent dans leur compagnie. Ino et Mélicerte On met au nombre des divinités de la mer, Ino et Mélicer
voici son histoire. Scylla. — Nisus Minos, roi de Crète, vint mettre le siége devant Mégare pour venger la mort de son
tirent un temple en l’honneur d’Eole. L’auteur du livre de la Sagesse met au nombre des divinités des Gentils l’Air et le V
passage des âmes lorsqu’elles venaient dans le noir séjour : mais il mettait à leur sortie un obstacle invincible, et les effr
e naulum ; c’est pourquoi les Grecs et les Romains avaient coutume de mettre une obole dans la bouche des morts. Les Furie
e, De ses quatre coursiers l’impétueux passage Imitait la tempête, et mettait dans ses mains Les secrets du tonnerre, ignorés d
s ! Mais Jupiter lança la véritable foudre : Un seul coup de son bras mit tout l’ouvrage en poudre, Et le monarque impie, e
était roi d’un canton de la Béotie nommé de son nom Plégyade. Il osa mettre le feu au temple de Delphes. Apollon outragé ne l
membres. Les divins hôtes, instruits de son crime, s’abstinrent de ce mets exécrable ; Cérès seule mangea, par mégarde, une
Les dieux saisis d’horreur et de pitié, ressuscitèrent Pélops, et lui mirent une épaule d’ivoire. En punition de son crime, Ta
rculie, de sterculum, qui signifie fumier, engrais. Les Romains l’ont mis au nombre des dieux, en reconnaissance de ce qu’i
appris à fumer les terres. Ses autres enfans furent les Faunes, qu’on mit de même au rang des dieux champêtres. Fauna ayant
phes. Priape marche à leur tête. Ce dieu préside aux jardins, et l’on mettait ordinairement sa figure pour servir d’épouvantail
eau ou le bonnet, marque de leur affranchissement, lorsqu’ils étaient mis en liberté. Pomone Pomone était une nymp
er ou des enfers, selon le penchant de chacun : un homme de guerre se mettait sous la protection de Mars ; un marin invoquait N
eu dans la main droite et de l’eau dans la gauche, quelquefois on lui met un bandeau sur les yeux : faut-il s’étonner si l’
i met un bandeau sur les yeux : faut-il s’étonner si l’aveugle déesse met l’esclave à la place du prince, et le prince à ce
enant d’une main une balance et de l’autre une épée. D’autres lui ont mis un bandeau sur les yeux, lui ont bouché les oreil
’en trouva pas un qui méritât ce nom. Il blâma Neptune de n’avoir pas mis les cornes de son taureau devant les yeux ; il cr
’Honneur, pour se rendre au Capitole. Sur les médailles de Titus, qui mettait son honneur à procurer la paix et l’abondance à l
tte nouvelle, Acrisius fit mourir la nourrice de la princesse ; on la mit elle-même dans un coffre avec son enfant, et on l
d’une force prodigieuse, prit entre ses mains les deux serpens et les mit en pièces. Hercule apprit de Rhadamanthe et d’Eur
nir en repos ; mais l’oracle lui fit entendre qu’il fallait qu’il fût mis encore douze fois à l’épreuve, et soumis aux ordr
princes le respectèrent et le craignirent. Eurysthée même qui l’avait mis à tant d’épreuves, commença à le redouter. Hercul
cule. Ce héros voulant qu’elles servissent de monument à sa gloire, y mit cette inscription : Non plus ultrà, c’est-à-dire,
lait faire un sacrifice sur le mont Œta. Le héros ne l’eut pas plutôt mise sur lui, qu’il se sentit embrasé d’un feu extraor
il étendit la peau du lion de Némée sur le bûcher, se coucha dessus, mit sa massue sur sa tête, puis il ordonna à Philoctè
a dessus, mit sa massue sur sa tête, puis il ordonna à Philoctète d’y mettre le feu et s’y brûla. Il fut reçu dans le ciel, où
nfermées. Philoctète, contraint de déclarer en quel lieu on les avait mises , et ne voulant point fausser son serment, le mont
aient de leur force pour commettre des crimes, résolut de les pouvoir mettre hors d’état d’exercer plus long-temps leurs briga
l’île de Naxo, où Bacchus l’épousa. Les Athéniens avaient coutume de mettre une voile noire au vaisseau qui portait en Crète
monstre marin sortit de la mer, le traîna à travers les rochers et le mit en pièces. Esculape lui ayant rendit la vie, Dian
omède roi de l’île, le fit massacrer. Dans la suite, les Athéniens le mirent au rang des demi-dieux ; et rendirent des honneur
profitant de la fureur prétendue que leur inspirait ce dieu, elles le mirent en pièces. Dans la suite il fut changé en cygne ;
mélé fut consumée de la foudre ; Ino se précipita dans la mer ; Agave mit en pièces son propre fils. Les désastres de cette
s Pélops n’en fut point effrayé, et il accepta les conditions. Il sut mettre dans ses intérêts Myrtile, fils de Mercure, et co
m, étant enceinte de Pâris, rêva qu’elle accouchait d’un flambeau qui mettait le feu à la ville. Priam frappé de ce songe, voul
amer d’être vaincu par un jeune homme qu’il ne connaissait pas, il se mit à le poursuivre â outrance ; mais, au moment où i
èrent. Après ce crime, la barbare Clytemnestre épousa Egisthe, et lui mit la couronne sur la tête. Oreste, fils d’Agamemnon
connaissance, ni les larmes de Didon, rien ne put le retenir. Virgile met dans la bouche ce cette reine infortunée ces repr
aux fêtes solennelles. Le linge orné de fleurs fut couvert, pour tous mets , D’un peu de lait, de fruits, et des dons de Cérè
z notre faute : Quels humains auraient cru recevoir un tel hôte ? Ces mets , nous l’avouons, sont peu délicieux : Mais quand
Et par de tendres soins dès l’enfance élevée : Elle en veut faire un met , et la poursuit en vain : La volatille échappe à
2 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
Rollin, que l’on travaillât à une Histoire de la Fable, qui pût être mise entre les mains de tout le monde, et qui fût fait
ler leur mémoire des endroits de nos Poëtes où cette connoissance est mise en pratique. Ils ne doivent plus se transporter d
r se former une idée des choses qu’ils apprennent : elles semblent se mettre d’elles-mêmes en action, et se passer sous leurs
des endroits de nos Poëtes où la connoissance de la Mythologie étoit mise en pratique »  ; ce qui avoir paru suffisant pour
nité. Saturne, Jupiter, Neptune, Hercule, et plusieurs autres, furent mis au rang des dieux, du consentement unanime de tou
soient pour les plus sages et les plus savans, apprirent aux autres à mettre de la différence entre les dieux dont le nombre s
les sujets qu’elle veut traiter : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un corps, une ame, un espri
Neptune en courroux, s’élevant sur la mer, D’un mot calme les flots, mette la paix dans l’air, Délivre les vaisseaux, des Sy
es vents, excita les orages : L’eau vagabonde en ses flots inconstans Mit à couvert ses muets habitans : La terre enfin, ce
e qui refusoit de lui rendre l’empire du Monde. Saturne fut vaincu et mis aux fers. Jupiter le tira de sa prison, et défit
sser Jupiter. Ils s’assemblèrent dans les champs de Thessalie, où ils mirent plusieurs montagnes les unes sur les autres afin
ltère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les yeux De ce torrent la source emblémati
u ciel d’autre table que celle de Jupiter ; on y servoit l’ambroisie, mets exquis, dont il suffisoit de goûter une fois pour
ée, dans un accès de fureur, prétendant venger la mort de ses frères, mit au feu le flambeau qu’elle ayoit reçu des Parques
t des frais immenses, et le rendit si magnifique, qu’il mérita d’être mis au nombre des sept merveilles du monde : de-là vi
ine te laissa Bacchus. Lamotte. Junon, voulant se venger de Sémélé, mit tout en œuvre pour piquer sa vanité. Vous pouvez,
assoit dans ses Etats. Le dieu s’échappa de la prison, et Penthée fut mis en pièces par sa propre famille, qui avoit été fr
le de Thèbes, deux serpens qui se battoient : voulant les séparer, il mit entr’eux la baguette qu’il tenoit à la main : les
u Pallas, sortit du cerveau de Jupiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde, ce dieu se fit donner un coup de hache
ts. Le caractère de ce dieu est bien rendu dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de Jupiter : Va, tyran des mortel
que le meurtre et les embrasemens ; Les remparts abattus, les palais mis en cendre, Sont de ta cruauté les plus doux monum
fût consacré. Mercure délivra ce dieu de la prison où Vulcain l’avoir mis . Il lui avoit déjà rendu le même service, en le t
Mercure, Vénus, la Lune, et le Soleil. Saturne est le plus élevé, et met trente ans à parcourir le cercle qu’il décrit aut
r Saturne qui dévoroit tous ses enfans mâles, lui présenta une pierre mise dans un maillot d’enfant, et fit élever secrèteme
es. On parle souvent de l’Erèbe, fils du Chaos et de la Nuit, qui fut mis au nombre de ces fleuves, pour avoir secouru les
e avec un cyprès à la main. Faune, fils de Picus, roi des Latins, fut mis au nombre des dieux champêtres, parce qu’il avoit
r, c’est-à-dire, qu’il gagna les gardes à force d’argent. Danaé ayant mis au monde Persée, Acrise le fit enfermer dans un c
éconde, Fera connoître à tous que je suis son support ;         Et je mettrai tout le monde         Au point d’envier ton sort.
glissant dans le berceau d’Hercule, alloient le dévorer, mais il les mit en pièces de ses propres mains : Les premiers in
sans lesquelles on ne pouvoit prendre la ville de Troie. Hercule fut mis au rang des dieux, et placé dans le ciel, où il é
ce péril pressant, Un fer marqué du nom qu’il reçut en naissant. Fut mis alors par moi sous un autel champêtre, Afin qu’en
mble ; il les laissoit ensuite se rétablir, et ces malheureux étoient mis en pièces : Thésée lui fit souffrir le même suppl
tre moitié homme et moitié taureau, que les poëtes feignent avoir été mis au monde par Pasiphaé, épouse de Minos, roi de Cr
nsporta em Italie. Thésée mourut à Athènes, après avoir mérité d’être mis au rang des demi-dieux ; honneur qu’il ne pouvoit
loponèse. Jupiter s’étoit changé en cygne pour surprendre Léda : elle mit au monde Hélène et Pollux, Castor et Clytemnestre
piter, et fit présent de la toison à Aëte, roi de la Colchide, qui la mit dans un bois consacré au dieu Mars, sous la garde
 : En former un désir, c’est faire un attentat. P. Corneille. Médée mit en pièces son frère Absirthe, et en dispersa les
es ennuis en répétant sans cesse le nom d’Euridice. Les Bacchantes le mirent en pièces, et sa lyre fut placée au ciel. Campis
ée, Ordonna que chacun régneroit son année ; Et, n’ayant qu’un Etat à mettre sous vos lois, Voulut que tour-à-tour vous fussie
it souvent des propositions de paix ; mais la haine des deux frères y mit toujours un obstacle invincible : Je connois Pol
dans les enfers. Racine. Les corps de ces malheureux frères furent mis sur le même bûcher, pour y être brûlés, selon la
d’exemple. Sophocle, poëte Grec, l’un des inventeurs de la tragédie, mit cette action terrible sur la scène ; et les spect
à l’irriter. Jupiter rassembla les membres de Pélops, les ranima, et mit une épaule d’ivoire à la place de celle que Cérès
’Hébé, déesse de la jeunesse, et fille de Junon. Le jugement de Pâris mit le comble aux griefs que cette déesse avoit contr
de, ville de la Béotie. Les vents contraires empêchèrent long-tems de mettre à la voile. On consulte Calchas, fameux devin, qu
prêtresse de son temple. Les vents devinrent favorables, et les Grecs mirent à la voile. Ils arrivèrent heureusement devant Tr
ostes qu’ils occupoient. Ayant même pénétré jusqu’à leur flotte, il y mit le feu, et en fit périr un grand nombre :       
lle. Les soldats qui y étoient renfermés, en sortent pendant la nuit, mettent le feu dans plusieurs quartiers. L’armée revient
ieurs quartiers. L’armée revient sur ses pas, entre par la brèche, et met tout à feu et à sang. Je vois, sans respecter âg
Ulysse fit naufrage, et aborda dans l’isle de Calypso. Cette nymphe mit tout en usage pour le retenir, et lui promit de l
hensible dans la morale et dans les dieux du Paganisme, doit servir à mettre sous les yeux les précipices affreux où l’on tomb
e. A Abondance, (corne d’) page 28 Absirthe, frère de Médée, mis en pièces par sa sœur, 153 Abyla, une des colonn
de Jupiter et d’Anthiope, 13-33 — Musicien célèbre, 160 Amphitrite, mise au rang des dieux, 11 — Epouse de Neptune, 90 —
, 119 — Par Cacus, 134 Apollon, fils de Jupiter et de Latone, 40 — Mis au rang des dieux, 11 — Père d’Orphée, 157 — Di
ment le dieu Pan, ibid. Arcas, fils de Jupiter et de Calisto, 35 — Mis à mort par Lycaon, 171 Aréthuse, nymphe changée
ur de Bacchus, 68 Bacchantes, prêtresses de Baccbus, ibid. — Elles mettent en pièces Orphée, 159 Bacchus, fils de Jupiter e
t en pièces Orphée, 159 Bacchus, fils de Jupiter et de Sémélé, 65 — Mis au rang des dieux, 11 — Sa naissance, 65-66 — R
34-147 — Reprend sa sœur Hélène, 145 — Est changé en astre, 148 — Mis au nombre des signes du Zodiaque, 88 — Placé au
ui rend, 77 Cyanée, nymphe changée en ruisseau, 99 Cybèle, 26-27 — Mise au rang des dieux, 11 — Sauve Jupiter, 20 — Et
tion de son Temple, 18 Deucalion, 47 Diane, sa naissance, 40 — Est mise au rang des dieux, 11 — Sous quels rapports les
la terre, dans la mer et aux enfers, 11 — Leur nombre, la différence mise entr’eux, 10-87 — Ils quittent le ciel, 29 — Ha
des dieux, 35 — Et invoquées par les poëtes, 75 Grecs, apprennent à mettre de la différence entre les dieux, 10 — Quelle ét
Omphale ; épouse Déjanire, 138 — Sa mort et son apothése, 139 — Est mis au rang des dieux, 10 — A quel titre, 11 Hermio
u’elle épouse, ibid. Héros célèbres dans l’hist. de la Fable, 21 — Mis au rang des demi-dieux, 228 Hésione, tante de Pâ
66 — Trompe Thémisto, 96 — Se précipite dans la mer, ibid. — Est mise au rang des divinité maritimes, 93-97 Io, fille
Ixion, ses crimes et son supplice, 100 J Janus, roi d’Italie, mis au rang des dieux, 22 Japet, pèe de Prométhée, 3
donne, 155 — Et finit ses jours à Iolcos, 156 — A quel titre-il est mis au rang des demi-dieux, 11 Jeux, enfans de Vénus
06 Jumeaux, ou Gémeaux, 149 — Un des signes du Zodiaque, 89 Junon, mise au rang des Dieux, 11 — Fille de Saturne et de C
use la guerre de Troie, 177 — Comment on la représente, 39 Jupiter, mis au rang des dieux, 10-11 — Sauvé par Cibèle, 20
m sous lequel Enée étoit honoré à Rome, 195 Jupiter Olympien, statue mise au nombre des sept merveilles du monde, 61 Justi
ne divinité, 11 Justice, sa balance est changée en constellation, et mise au nombre des signes du Zodiaque, 89 L Laby
Marathon, ville de l’Attique, 141 Maritimes, (divinités) 90 Mars, mis au rang des dieux, 1l — Fils de Junon, 37. Père
e) nom donné à Cibèle, 26 Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, 69 — Mis au rang des dieux, 11 — Ses différens emplois, 6
d’Athamas, 151 Neptune, dieu de la mer ; sa naissance, 15-90 — Est mis au rang des dieux, 10-11 Neptune partage l’empir
nfers pour y chercher Euridice, 158 — Endort Cerbère, 106-158 — Est mis en pièces par les Bacchantes, 159 Ossa, mont cél
ndromède, 129 — Est changé en constellation, 130 A quel titre il est mis au rang des demi-dieux, 11 Pestes, divinités inf
102 Pluie d’or, 33-138 Pluton, fils de Saturne et de Cybèle, 98 — Mis au rang des dieux, 11 — Partage l’empire du mond
oit humanisé un peuple grossier, 195 Proserpine, fille de Cérès, est mise au rang des dieux, 11 — Est enlevé par Pluton, 9
Satellites de Saturne et de Jupiter, 86 Saturne, fils du Ciel, 20 — Mis au rang des dieux, 11 — La place que le Ciel lui
s Hippolyte, ibid. — Et meurt à Athènes, 147 — A quel titre il est mis au rang des demi-dieux, 11 Thessalie, fameuse pa
— Quelles furent les causes de cette guerre, 38-148 — La ville est mise à feu et à sang, 183-186 Trompette de-Calliope,
e la beauté, 14 Vénus, emblème des qualités aimables, 13 — Elle est mise au rang des dieux, 11 — Fait son présent à Pando
3 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
mêlaient et s’entre-choquaient continuellement, lorsqu’un dieu, pour mettre fin à cette lutte prolongée, sépara le ciel d’ave
rétendait régner. Leur mère, qui avait une prédilection pour Saturne, mit en usage tant de supplications et de caresses que
retournât un jour aux Titans. Saturne accepta cette convention, et se mit à dévorer ses fils aussitôt qu’ils avaient vu le
aines, et faisait périr, avec une joie féroce, tous les étrangers qui mettaient le pied dans son royaume. Jupiter quitta l’Olympe
t abominable festin fit horreur à Jupiter, qui, saisissant la foudre, mit le feu au palais. Lycaon réussit à s’enfuir ; mai
atigue, elle supplia Jupiter de lui rendre sa première forme, et elle mit au monde un fils nommé Épaphus. Junon, qui regret
nourrissait pendant le jour de son lait divin, et pendant la nuit le mettait sur des charbons ardents, pour le dépouiller de c
e se cacha dans un coin de l’appartement, et voyant la déesse prête à mettre son fils dans le feu, elle poussa un tel cri d’ef
qu’elle défia Minerve de la surpasser. Le défi fut accepté : elles se mirent l’une et l’autre à l’ouvrage. Le travail de la dé
i vivement exprimées, que Minerve n’y pouvant découvrir aucun défaut, mit en pièces cette belle tapisserie, où les folles a
ut poursuivi par l’animal furieux, qui l’atteignit, le renversa et le mit en pièces. Vénus accourut trop tard au secours de
a terre et six mois dans les enfers. On lui éleva des temples ; on le mit au rang des dieux, et l’on institua des fêtes en
es, aux mêmes accidents que les simples mortels. C’est alors qu’il se mit aux gages du troyen Laomédon ; c’est alors aussi
t qui fut accepté, mais sous la condition expresse « que le vaincu se mettrait à la discrétion du vainqueur ». Les habitants de
e vers le ciel sa tête brûlante, et conjure le souverain des dieux de mettre fin à ses tourments… Jupiter alarmé saisit la fou
ques, et y exerça l’art de l’éloquence. Les orateurs, les rhéteurs se mirent sous sa protection, et il fut appelé le dieu des
voyait avec douleur cette licence effrénée des Orgies ; et voulant y mettre enfin un terme, il se rendit en personne sur le m
la victoire. Les filles de Piérus éclatèrent alors en murmures, et se mirent à frapper leurs rivales ; mais tout à coup leurs
s en vain : la nymphe refusait d’écouter ses vœux. Les dieux, voulant mettre un terme à des poursuites aussi indiscrètes qu’im
bations de vin, d’huile et de miel ; plus souvent on se contentait de mettre sur leurs autels, du lait, des fruits et des fleu
a fontaine où se baignait Scylla. Cette jeune nymphe n’a pas plus tôt mis les pieds dans l’eau, qu’elle se voit entourée de
un poète, il modère leur fureur, les arrête dans leur prison, ou les met en liberté. S’il oubliait un seul moment de veill
ation favorite était d’effrayer les vivants. Le meilleur moyen de les mettre en fuite était de leur jeter des fèves ou d’en br
t difficilement, mais qu’elles se dissipent très-vite. Quelquefois on met Plutus au rang des divinités infernales, et on le
x, introduisit dans l’une des peaux la chair des deux victimes, et ne mit dans l’autre que des os ; il présenta ensuite au
t à se construire des logements. Par ses conseils et son adresse, ils mirent les animaux sous le joug, attelèrent des chevaux
semblaient renaître à mesure qu’on les détruisait. Hercule imagina de mettre le feu aux roseaux qui leur servaient de retraite
e, fils de Neptune et de la Terre, avait cent pieds de hauteur. Il se mettait en embuscade dans les sables de la Libye, contrai
l’une est sur la côte d’Espagne et l’autre sur celle d’Afrique), pour mettre en communication l’océan avec la Méditerranée. Au
sa noueuse massue, brise ses flèches, l’habille d’une robe de femme, met entre ses mains une quenouille et des fuseaux, et
ur un lit, la tête appuyée sur sa massue, et ordonne à Philoctète d’y mettre le feu. Déjà les flammes enveloppaient le bûcher,
es dieux annoncèrent à l’usurpateur qu’il serait à son tour chassé ou mis à mort par un fils d’Éson. Dès que Jason vint au
ollux ; Hercule, qui ne put achever le voyage, parce que sa pesanteur mettait le vaisseau en danger ; Lyncée, qui avait la vue
s. Médée accomplit les promesses qu’elle a faites : les taureaux sont mis hors d’état de nuire ; le dragon est assoupi, la
incre de la puissance de son art, elle découpa un vieux bélier, et le mit dans une chaudière où il redevint agneau. Elle ég
agneau. Elle égorgea de même le vieux Pélias, le coupa par morceaux, mit ses membres dans une cuve d’eau bouillante, et le
rnements, que ses cheveux, sa robe et tout son corps s’embrasèrent et mirent le feu au palais : elle y périt dans les flammes
de Pollux fut d’anéantir la piraterie dans l’Archipel, ce qui les fit mettre au rang des dieux marins. Ensuite ils accompagnèr
uent avec fureur, et, malgré les efforts qu’il fait pour les fléchir, mettent son corps en pièces. Dans l’Èbre impétueux sa tê
enfanter. Il n’en resta que cinq. Échion, qui était du nombre, ayant mis bas les armes par ordre de Pallas, fit la paix av
éclat éblouissant des foudres de Jupiter ; Penthée, fils d’Agavé, fut mis en pièces par les bacchantes ; Ino, devenue folle
utre sous le faix des années et du chagrin, ils prièrent les dieux de mettre un terme à leurs maux, et furent métamorphosés en
moment où cette crédule amante dormait paisiblement sur le rivage, il mit à la voile, et l’abandonna sur la plage solitaire
t vers l’Attique ; mais, dans l’ivresse du succès, il avait oublié de mettre cette voile blanche, signal de sa victoire. Ce ma
rère d’Égée), lui disputèrent l’empire, lui tendirent des embûches et mirent tout en œuvre pour se défaire de lui39. Thésée av
n des descendants d’Érechthée, flatta si bien le peuple d’Athènes, et mit en usage tant de brigue et d’artifices, qu’il se
et monté sur le cheval Pégase, Bellérophon terrassa le monstre, et le mit en pièces. Alors Iobatès, reconnaissant à de pare
ées sur le marbre. Diane apaisée par tant de catastrophes, et voulant mettre un terme à la douleur de ces jeunes filles, les m
rêtées. Les dieux connurent le crime, et s’abstinrent de toucher à ce mets abominable. La seule Cérès, affamée ou distraite,
nomaüs, averti par un oracle qu’il serait malheureux avec son gendre, mit à la possession de sa fille une condition diffici
n de Laïus, les recherches les plus scrupuleuses ; elles aboutirent à mettre au jour trois faits horribles : qu’Œdipe était lu
Ariane, ses filles, périrent victimes de l’amour ; Pasiphaé sa femme, mit au monde le Minotaure, monstre moitié homme et mo
olliciter l’alliance des princes voisins, équipe une flotte, et vient mettre le siége devant Mégare. Scylla, fille de Nisus ro
ans doute que Dédale, qui, durant sa captivité, avait trouvé l’art de mettre des voiles à sa barque, se sauva ainsi de l’île d
ville. L’Oracle, interrogé sur cette vision, répondit « que la reine mettrait au monde un fils qui serait cause de la destructi
à la pomme : Pâris fut désigné pour juge entre les trois déesses, qui mirent en usage toutes les séductions pour se le rendre
du sort qu’on lui prépare, elle court demander grâce à son père, elle met tout en œuvre pour le fléchir ; et, le voyant ine
ige réveille le courage des Grecs, le vent devient favorable, et l’on met enfin à la voile. Assiégée par des milliers de co
paiser la colère qu’elle ressentait de l’enlèvement du palladium. Ils mirent en effet à la voile, après avoir enfermé dans les
veulent qu’on le précipite incontinent au fond de la mer, ou qu’on y mette le feu. La foule incertaine flottait entre ces de
rière le dos, un jeune inconnu, qui, loin de fuir devant eux, s’était mis lui-même à leur discrétion : c’était un Grec, une
e, tel est l’arrêt du Sort, les Troyens pourraient se flatter d’aller mettre un jour le siége devant Mycènes, et de rendre au
t un pan de la muraille pour ouvrir passage à la fatale machine. Tous mettent la main à l’œuvre ; tous se font une gloire de to
ille par la brèche faite au rempart, allume des torches incendiaires, met le feu dans tous les quartiers, pille les demeure
effrayant de sa colère : les peaux de ces bœufs et de ces génisses se mirent à marcher, les chairs qui rôtissaient à la broche
dans un lieu couvert et à l’abri des vents, où il se puisse baigner. Mettez près de lui ce vase d’essence et les vêtements do
seoir. Ses serviteurs dressent une table qu’ils couvrent d’excellents mets . La soirée se passe en divertissements, en concer
divertissements, en concerts, en conversations affectueuses. Alcinoüs met le comble à ce bon accueil en promettant à son hô
rèce. Après ce meurtre, la reine épousa Égisthe, son complice, et lui mit la couronne sur la tête. Clytemnestre avait eu qu
re les armes aux Rutules, il entre en campagne : Énée et sa troupe se mettent sur la défensive. Le Latium est le théâtre d’une
leur flamme, si leurs parents, désunis par un long procès, n’eussent mis des obstacles à cette alliance. Mais ces obstacle
êts ; sur sa route, elle trouve le voile qu’avait perdu Thisbé, et le met en pièces avec ses dents ensanglantées. Pyrame, q
Mais, pour mieux atteindre son but, il se métamorphosa en taureau, se mit à paître dans la prairie, voisine de la mer, où E
ble ! dans la fureur qui me possède, je trouverais des forces pour le mettre en pièces, pour briser les cornes de ce taureau q
étamorphoser en caille, s’y réfugia, y recouvra sa première forme, et mit au monde, à l’ombre d’un palmier (d’autres disent
 : j’implore a cette grâce de votre bonté. » Térée y consent. Il fait mettre un vaisseau en mer, y monte lui-même, et arrive a
t cuire pour le repas du soir. Térée, qui ne s’est aperçu de rien, se met à table sans défiance, et, sur la fin du souper,
une courte séparation, elle n’insista plus. Le vaisseau fut équipé et mis en mer. La moitié de la route était parcourue, et
femme, qui lui offrit une terrine de soupe. L’appétit assaisonne les mets les plus communs : Cérès trouvait celui-ci délici
Stellio, témoin de l’avidité qu’elle apportait à ce chétif repas, se mit à rire : la déesse, dans un mouvement de colère,
olution dictée par sa farouche humeur ; il s’exila volontairement, et mit , entre la jeune lesbienne et lui, l’intervalle de
au cap Ténare, en Laconie. Il se rendit de là chez Périandre, qui fit mettre à mort les matelots, et éleva un monument de bron
 : Mais Jupiter lança le véritable foudre : Un seul coup de son bras mit tout l’ouvrage en poudre ; Et le monarque impie,
nduits par Moawia, s’étant emparés de l’île de Rhodes, le colosse fut mis en pièces, et vendu à un Juif, qui en chargea neu
bles, elle ne laisse pas d’avoir une incontestable utilité. Elle nous met en état d’expliquer, en les admirant, les chefs-d
quatre nouvelles lettres, perfectionna la tactique militaire, et fut mis après sa mort au rang des dieux. 55. Ogygie, pe
4 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
rs très-malveillant pour moi,) trouve aussi qu’il est très-étrange de mettre la Mythologie en Arabesques. Sans ironie et sans
are ne les eut empoisonné, et ils assommèrent le malheureux Icare. On mit son corps dans une fosse au pied de quelques arbr
ur la tombe de son maître. Érigone qui n’avoit pas suivi son père, se mit en route pour l’aller rejoindre. Après l’avoir lo
mé Colonne, dans un bois consacré aux Euménides. Nul mortel ne devoit mettre le pied dans ce lieu redoutable ; quelques Athéni
on qui commande dans Thèbes depuis la mort d’Etéocle, fait arrêter et mettre à mort Antigone ; Hémon, fils unique de Créon, qu
du sage Pithée ; mais voulant tenir cette union secrète, lorsqu’Éthra mit au jour Thésée, il lui ordonna de lui cacher sa n
ordonna de lui cacher sa naissance. Obligé de se séparer d’Éthra, il mit sous une grande pierre une épée et une chaussure,
partit pour la Crète, lui fit promettre, s’il revenoit victorieux, de mettre une voile blanche à son vaisseau, Thésée oublia c
rbares de Thésée furent exaucés, Neptune suscita un monstre marin qui mit en pièces le malheureux et chaste Hypolite. Diane
e, trompa cette princesse en prenant les traits d’Amphitryon. Alcmène mit au monde deux jumeaux, Hercule fils de Jupiter, e
alydon. Lorsqu’Hercule porta à Euristhée ce Sanglier mort qu’il avoit mis sur ses épaules, Euristhée eut une telle peur, qu
ympe10, condamnés à vivre sur la terre, du travail de leurs mains, se mirent à son service pour un temps et un salaire convenu
s et d’Eurithémis, étoit l’épouse d’Œnée, Roi de Calydon. Lorsqu’elle mit au jour son fils Méléagre, les Parques lui apparu
une Amazone. Amazonius étoit un surnom d’Apollon, parce qu’il avoit mis fin à la guerre des Amazones contre les Grecs.
mphe. Apollon confia sa première éducation aux Nymphes, ensuite il le mit dans les mains de Chiron, instituteur de tous les
es secrets d’Isis. Mais, suivant la tradition la plus commune, il fut mis en pièces par les femmes de Thrace irritées de se
ermis à tout le monde d’essayer d’en faire la conquête. Le Bélier fut mis au nombre des douze signes du Zodiaque. Les Princ
lux, Laërte, Nestor, Pélée, Philoctète, Télamon, Tydée, etc. Avant de mettre à la voile, Jason fit un sacrifice solennel à Jup
t blessés. Durant ce combat, Glaucus disparut miraculeusement, et fut mis au nombre des dieux de la mer. Ensuite ils allère
, digne de présider à ces noires amours. Le roi prescrivit à Jason de mettre sous le joug deux taureaux (présent de Vulcain) q
ssant des périls qu’il alloit courir, il apprivoisa les taureaux, les mit sous le joug, conduisit la charrue éblouissante,
ombattans armés, il lança au milieu d’eux une pierre magique, qui les mit dans une telle fureur, qu’ils s’entre-tuèrent les
père, vint secrètement le rejoindre au commencement de la nuit. Jason mit promptement à la voile, se doutant bien qu’il ser
doutant bien qu’il seroit poursuivi : il le fut en effet. Le roi fit mettre à la hâte plusieurs vaisseaux en état, qui partir
aturelle ; et Médée alors étoit jeune et d’une éclatante beauté. Elle mit en pièces un vieux bélier, qu’elle fit cuire dans
ason et de plusieurs autres Argonautes, surprit la ville d Iolcos, et mit Acaste en fuite. Astydamie tomba en son pouvoir,
présent à sa rivale d’une robe superbe ; mais à peine Créuse eut-elle mis ce fatal vêtement qu’elle fut consumée par un feu
. Médée poignarda les enfans qu’elle avoit eus de Jason, ensuite elle mit le feu au palais et s’enfuit dans un char traîné
in de lui donner l’immortalité, la Déesse le frotta d’Ambroisie et le mit dans un brâsier pour qu’il y consuma tout ce qu’i
favorable est de combattre pour sa patrie 22. Achille, voyant le feu mis aux vaisseaux grecs, se laissa fléchir par les pr
, dans toute cette histoire d’un séducteur et d’une femme coupable, a mis une pudeur, une morale qu’on ne sauroit trop admi
loignés et qui lui fussent inconnus, croyant, par ces précautions, se mettre à l’abri de l’inceste dont il étoit menacé. Atrée
e Thieste et d’Erope26. Il fit servir leurs membres déchirés dans les mets d’un festin solemnel qu’il donna à Thieste, et il
sirent de lui et le menèrent à Atrée qui le fit charger de chaînes et mettre en prison, alors Atrée ordonna à Egisthe d’aller
onie Egisthe le tua de sa propre main, il tira son père de prison, le mit sur le trône, et Thieste chassa ses deux neveux A
fut si irritée, qu’elle fit naître un calme qui empêcha la flotte de mettre à la voile, en même temps une peste meurtrière ca
enfans, ensuite Clytemnestre épousa publiquement son complice et lui mit la couronne sur la tête. Oreste alors étoit enfan
our une double mort ». Dans cette même situation, un auteur moderne30 met dans la bouche du malheureux Oreste, fatigué de l
Minos et Roi de Crète, étoit au siége de Troie, après lequel s’étant mis en mer pour s’en retourner dans son royaume, il f
e cet oiseau, s’arrache des plumes pour faire un nid à ceux qui l’ont mis au monde et qu’il les nourrit dans leur vieilless
la Fortune. Ce mot en latin est masculin, aussi cette divinité a été mise , par quelques auteurs, au nombre des Dieux. Apell
ibuts de la Sagesse, qui doit toujours, avant d’employer la sévérité, mettre en usage tous les moyens de douceur et de persuas
rivant à la clarté d’une lampe, ayant près de lui un coq. Il faudroit mettre le coq sur une fenêtre, qu’il parût chanter pour
5 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
Fable mieux que nos devanciers ; mais nous croyons qu’aucun d’eux n’a mis une attention aussi scrupuleuse à éviter tout ce
lèverait aucun enfant mâle. Cependant Cybèle, femme de Saturne, ayant mis au monde Jupiter et Junon, ne présenta à son épou
i renaissait toujours ; ce supplice dura jusqu’à ce qu’Hercule vînt y mettre un terme et délivrât Prométhée. Les Dieux, jaloux
Junon, Vénus et Pallas se disputèrent vivement cette pomme, et, pour mettre un terme à leurs débats, Jupiter chargea Pâris, f
nt Python, monstre énorme né du limon de la terre, et que Junon avait mis à la poursuite de Latone. Il le tua à coups de fl
s’enfuit en Asie, où il trouva Neptune, banni comme lui, qui s’était mis au service du roi Laomédon. Il se réunit à lui, e
être supporté par de simples mortels ; la foudre qu’il tenait en main mit le feu au palais de Sémélé, qui périt dans l’ince
e précipita d’un coup de pied hors des demeures célestes. Après avoir mis un jour entier à parcourir l’espace qui sépare le
e soutient un sceptre terminé par une fourche à deux pointes ; on lui met une clef dans la main gauche. On ne lui éleva jam
cerveau, voulut de son côté avoir un fils qui lui fût propre, et elle mit au monde Mars, qui fut le Dieu de la guerre. Ce f
animal lui fut consacré. La nation belliqueuse des Romains voulut se mettre sous la protection immédiate du Dieu des bataille
ofond désespoir : elle alluma deux torches au feu du mont Etna, et se mit à parcourir la terre, la nuit comme le jour, déci
; Vulcain lui présenta un homme, et Momus s’écria qu’on aurait dû lui mettre une petite fenêtre devant le cœur, pour que sa vé
t qu’il savait inspirer aux troupes ennemies un secret effroi qui les mettait en fuite sans même que le combat fût engagé ; aus
r à des distances égales un grand nombre de tas de paille auxquels on mettait le feu, et par-dessus lesquels les bergers sautai
aborigènes qui accueillirent favorablement Évandre en Italie. Il fut mis , après sa mort, au nombre des divinités champêtre
ita cet audacieux dans le Tartare. Phlégyas, roi des Lapithes, ayant mis le feu à un temple d’Apollon, était enchaîné, dan
quenouille ; Lachésis tournait le fuseau ; et Atropos, la plus âgée, mettait fin à la carrière des hommes en coupant le fil av
à qui leurs exploits ou leurs vertus avaient acquis l’honneur d’être mis au rang des Dieux. On doit regarder les récits qu
qu’Atlas43 supportait le ciel sur ses épaules. Un autre exploit vint mettre le comble à sa renommée. Cassiope, épouse de Céph
. Après être heureusement sorti de ces terribles épreuves, Hercule se mit à parcourir la terre pour exterminer les monstres
r qu’il avait élevé de ses mains, et ordonna à son ami Philoctète d’y mettre le feu. Jupiter le reçut dans le ciel au nombre d
et épousa leur reine, nommée Hippolyte, qui lui donna un fils. Ce qui mit le comble à la gloire de Thésée, ce fut la destru
rendirent justice à sa mémoire ; ils lui élevèrent des statues et le mirent au nombre des Demi-Dieux. Questions. Qu’étai
ar quels exploits se distingua-t-il d’abord ? — Quelle action d’éclat mit le comble à sa gloire ? — Comment agit-il à l’éga
evant les trésors et la fille d’Æètes. Poursuivie par son père, Médée mit en pièces son jeune frère Absyrte et dispersa ses
ason traîna quelque temps encore une vie misérable et désolée, et fut mis après sa mort au rang des Demi-Dieux. Questions
qu’il unissait à ces accords mélodieux, les arbres et les rochers se mettaient en mouvement, les fleuves suspendaient leur cours
de lui dans les accès de fureur que leur inspirait le Dieu du vin, et mirent son corps en pièces. Questions. Qu’était Orp
onder une ville en cet endroit. Cadmus trouva en effet un bœuf qui se mit à marcher devant lui, et il le suivit jusque dans
de vieillesse et de chagrin, les deux exilés supplièrent les Dieux de mettre un terme à leurs souffrances, et ils furent l’un
ui prodiguait les soins les plus constants et les plus dévoués, il se mit en route, à pied, dénué de tout secours, et ne so
sept chefs, qui y périrent tous, à l’exception d’Adraste. Enfin, pour mettre un terme aux maux de la guerre, les deux frères c
de son père, pour rendre les derniers devoirs à ses deux frères, fut mise à mort par Créon, qui s’était emparé du pouvoir.
ait coupé par morceaux et accommodé avec art. Cérès seule goûta de ce mets , et déjà elle avait mangé une épaule du jeune enf
rétendants qui succombaient dans la lutte devaient être immédiatement mis à mort. Déjà treize malheureux avaient payé de le
énéralissime de l’armée grecque, il prit le titre de roi des rois, et mit une grande activité dans les préparatifs de la gu
illes du roi des bijoux et des parures, au milieu desquelles il avait mis à dessein un casque et une épée. Achille ne put r
tendresse, obtint pour lui de Vulcain un bouclier merveilleux qui le mettait à l’abri de tous les coups ; elle lui donna des c
ça devant la charrue de son père ; Ulysse se trahit par le soin qu’il mit à épargner son fils, et, voyant ainsi sa ruse dév
nnaître Ulysse par ses fidèles sujets. Prenant aussitôt les armes, il met en fuite ou massacre tous ceux qui aspiraient à s
r son père Anchise. Après lui avoir rendu les derniers devoirs, il se mit en mer, et une tempête furieuse, suscitée par Jun
plus célèbre de la Grèce était le temple de Diane à Éphèse 82 ; on le mettait au nombre des sept merveilles du monde. Ce magnif
ez-les successivement. — N’y avait-il pas d’autres monuments que l’on mettait quelquefois au nombre des merveilles ? Les se
erne était infesté de serpents que l’on ne pouvait détruire ; Hercule mit le feu aux roseaux et fit dessécher le marais ; à
s que leurs défauts sont toujours connus de tous, quelque soin qu’ils mettent à les cacher. Nous ne pousserons pas plus loin ce
é, femme d’Amphion et fille de Tantale, ayant eu quatorze enfants, se mettait orgueilleusement au-dessus de Latone, mère d’Apol
6 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
de l’humanité. Saturne, Jupiter, Hercule, et plusieurs autres furent mis au rang des dieux, du consentement unanime de tou
etc. Écoutons Boileau à ce sujet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un corps, une ame, un espri
s vents, excita les orages : L’eau vagabonde en ses flots inconstants Mit à couvert ses muets habitants : La Terre enfin, c
brase les airs,          Et quand, par malheur, il remue.          Il met la Sicile à l’envers. D. Quel soin occupa Jupite
tère. Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les yeux De ce torrent la source emblémati
. Il emprunta les traits de Diane pour tromper la nymphe Calisto, qui mit au monde Arcas. Enfin, il se fit berger, pour séd
disant qu’il étoit pesant en été, et froid en hiver  ; il lui en fit mettre un autre de laine, qu’il prétendoit être propre
ueue de cet oiseau, qu’elle prit sous sa protection. Cependant., elle mit à la poursuite d’Io, un taon, qui la piquoit cont
en Egypte, ou Jupiter lui rendit sa première forme. Ce fut là qu’elle mit au monde Epaphus ; elle y fut depuis adorée sous
, elle en eut tant de honte, qu’elle n’osa plus y reparoître. Jupiter mit à la place d’Hébé, le beau Ganymède, fils de Tros
s forêts, Son estomac à jeun au moment qu’il dévore, Demande d’autres mets , et d’autres mets encore. C’est un gouffre que ri
mac à jeun au moment qu’il dévore, Demande d’autres mets, et d’autres mets encore. C’est un gouffre que rien ne peut rassasi
, Scylla et Charybde. D. Qu’étoit Éole ? R. Éole, roi des vents, est mis au rang des dieux de la mer, parce qu’il avoit le
e de Minos. Il régna dans la Lycie4. Son amour pour la justice le fit mettre au nombre des juges de l’enfer. On avoit une si h
( Malherbe.) D. Quelles sont les autres divinités qu’on peut encore mettre au nombre des divinités infernales ? R. Ce sont
e venger de l’insulte qu’Apollon avoit faite a cette nymphe ; il alla mettre le feu au temple de Delphes. Apollon le tua à cou
. Plutus, dieu des richesses, étoit fils de Cérès et de Jasion. On le met au nombre des dieux infernaux, parce que les rich
ement, fit plusieurs trous à la coquille, colla du cuir à l’entour, y mit deux cornes, et la monta de cordes de fil de lin.
e Thèbes, ayant voulu s’opposer à la célébration des Bacchanales, fut mis en pièces, sur le mont Cythéron, par les bacchant
t flottante, et qui fut alors rendue stable. Latone s’y réfugia, et y mit au monde Apollon et Diane. Apollon fut surnommé D
t la vie à Hippolyte, fils de Thésée, que des monstres marins avoient mis en pièces. Jupiter, indigné qu’un mortel empiétât
nge tout en or. Tandis qu’il s’applaudit d’un don peu desirable, Des mets les plus exquis on a chargé sa table : Sa main ch
l les présents de Cérès. C’est en vain qu’il s’apprête à savourer les mets  : Sa dent qui se fatigue écrase un or solide ; Su
partagés entre les divers tuyaux du chalumeau. Il fut le premier qui mit en musique les hymnes consacrés aux dieux. Attach
par Érostrate, le jour même de la naissance d’Alexandre. Érostrate y mit le feu, dans la seule vue de rendre son nom célèb
lie, étoit fils de Picus ou de Mars, et petit-fils de Saturne. Il fut mis au nombre des dieux champêtres, parce qu’il intro
’étoit Terme ? R. Terme étoit le dieu protecteur des bornes que l’on met dans les champs, et le vengeur des usurpations. C
endant que celui-ci étoit occupé à la guerre. Alcmène, déjà enceinte, mit au monde deux jumeaux, dont l’un nommé Eurysthée
pour le dévorer dans son berceau. Hercule saisit ces monstres et les mit en pièces. La déesse, se radoucit alors, à la pri
e est moins fort que son bras. ( La Motte.) D. Pourquoi Cacus fut-il mis à mort par Hercule ? R. Cacus, fils de Vulcain,
fit un bûcher sur lequel il se plaça, et pria son ami Philoctète d’y mettre le feu. Il donna à cet ami ses flèches teintés du
ut de purger l’Archipel des pirates qui l’infestoient, ce qui les fit mettre au rang des dieux marins, et, par la suite, invoq
mmes. Les Bacchantes, irritées de son indifférence pour leur sexe, le mirent en pièces, et jetèrent sa tête dans l’Hèbre, fleu
vaines ombres, Des vierges que l’hymen attendoit aux autels, Les fils mis au bûcher sous les yeux paternels, Victimes que l
R. Il perdit son père dont il dut se reprocher la mort. Thésée avoit mis des voiles noires au vaisseau sur lequel il s’emb
ées et par un horrible dragon. Il falloit, suivant l’ordre du destin, mettre sous le joug ces taureaux, présent de Vulcain, pu
acrée, » Deux taureaux menaçants en occupoient l’entrée. » Il falloit mettre au joug ces taureaux indomptés ; » Des fureurs de
suivis par Aëte ? R. Oui ; et Médée, pour retarder la course d’Aëte, mit en pièces son frère Absyrthe qu’elle avoit emmené
Agavé, autre fille de Cadmus, célébrant les Orgies avec les Ménades, mit en pièces son propre fils nommé Penthée ; Autonoé
la prison de sa sœur qu’elle délivra. La vue de l’état où Térée avoit mis cette infortunée, enflamma Progné d’une telle fur
à celui qui seroit son vainqueur ; mais elle se réservoit le droit de mettre à mort ceux qui seroient vaincus. Plusieurs perdi
t des oracles qui présageoient les destinées de Rome. Tarquin les fit mettre dans un coffret de pierre qui fut placé sous une
se : « Œdipe sera le meurtrier de son père, et l’époux de sa mère, et mettra au monde une race détestable. » Pour éviter d’acc
ée, Ordonna que chacun règneroit son année ; Et, n’ayant qu’un état à mettre sous vos lois, Voulut que tour à tour vous fussie
e put éteindre leur haine implacable. Car, lorsque leurs corps furent mis sur le même bûcher pour être brûlés, la flamme se
i qui le vaincroit à la course, mais à condition que le vaincu seroit mis à mort. Il vainquit, et tua jusqu’à treize concur
ue. Thyeste avoit eu deux fils, de son commerce avec Erope. Atrée fit mettre ces enfants à mort, et en servit les membres à so
hef élurent les rois Grecs, ligués contre la ville de Troie ? R. Ils mirent à leur tête Agamemnon. La flotte combinée se rass
sa tout pour le sacrifice ; mais Diane, apaisée par cette soumission, mit à la place d’Iphigénie une biche qui lui fut immo
ous savez, et Calchas mille fois vous l’a dit, Qu’un hymen clandestin mit ce prince en son lit ; Et qu’il en eut pour gage
y sema du sel au lieu de blé. Mais Palamède, qui soupçonna sa feinte, mit le petit Télémaque sur la ligne du sillon. Ulysse
e, livra le jeune prince à un de ses serviteurs, et lui ordonna de le mettre à mort. Mais le serviteur, touché de la beauté de
es connoissances nécessaires à un philosophe et à un politique, il se mit à voyager dans toute la Grèce. De retour dans sa
es gouverna en philosophe et en père, leur donna des lois sages qu’il mit en vers, et se démit ensuite du souverain pouvoir
-vous de Périandre ? R. Périandre étoit un tyran de Corinthe. Il fut mis par la flatterie au nombre des sept sages de la G
olitique, tout ce qu’il a d’imagination, de mémoire, de sentiment, il met tout en œuvre de la meilleure foi du monde, pour
, il faut sortir d’ici. Lève tes pieds en haut, et tes cornes aussi : Mets -les contre le mur. Le long de son échine         
oint : car la charité que vous aurez eue pour votre père, ne sera pas mise en oubli ; et Dieu vous récompensera pour avoir s
stifier la préférence que nous donnons à l’éducation des pensions, et mettre quelque ordre dans la question qui nous occupe, e
nstructions que vous donniez à vos enfants, quelques maîtres que vous mettiez auprès d’eux, rien n’aura tant d’influence sur le
u chevet d’un père malade, d’un parent, d’un époux. Elle doit donc se mettre en état de leur procurer ce doux soulagement dans
riture ? « II faudroit aussi qu’une fille sût la grammaire… Vous les mettrez en état d’apprendre un jour à leurs, enfants à bi
ur cette matière. Plusieurs beaux traits de l’Écriture-Sainte ont été mis en vers, tels que l’histoire de Ruth, celle de To
fait28. Lorsqu’une demoiselle saura bien l’histoire sainte, que nous mettons au premier rang, parce qu’elle sert de base à not
ns que pour bien enseigner l’histoire d’un peuple, le professeur doit mettre entre les mains de ses élèves un livre élémentair
unes personnes, et les rédactions qu’elles en font, les accoutument à mettre de l’ordre dans leurs idées et à écrire en leur l
doit donc apprendre la musique. Mais les parents ont encore besoin de mettre de sages bornes à cette étude. Combien d’années p
à revendre : Sur celui-ci rouloit tout son avoir. Ne sachant donc où mettre son espoir, Sa face étoit de pleurs toute baignée
ve à redire,            Il peut le déclarer sans peur ;            Je mettrai remède à la chose. Venez, Singe ; parlez le premi
furieux, Ennemis du repos, ennemis de vous-mêmes ! A modérer vos vœux mettez touts vos plaisirs ;                 Régnez sur v
contente.                 Cette déesse inconstante                 Se mit alors en l’esprit          De voir un homme se pe
on. Je demande à ces gens, de qui la passion Est d’entasser toujours, mettre somme sur somme. Quel avantage ils ont que n’ait
ligez tant ? Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent,             Mettez une pierre à la place,            Elle vous vaudr
 Sitôt qu’il fut au bout du terme            Qu’à la gageure on avoit mis ,            Le Soleil dissipe la nue, Récrée, et
nt, Oblige le premier à chercher un asile. Il s’enfuit dans son fort, met les chiens en défaut,        Sans même en excepte
le brillant coloris des fausses vertus l’éclat des vertus réelles, et mettent un honneur chimérique à la place du véritable hon
7 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
ndre mère de nouveau, elle appelle Chrone, autrement dit Saturne, lui met dans les mains la harpé, ou faulx à lame dentelée
s ; puis, la matière prolifique qu’elle avait également reçue lui fit mettre au jour Aphrodite. Enfin, dégoûtée de son vieux m
auffé à la chasse. Cependant il obtint de ses sujets l’honneur d’être mis au rang des dieux, avec le titre de Très-Haut. La
gare, et vulgairement appelée Sangaride, qu’elle en cueillit un et le mit dans son sein. Alors un fait plus merveilleux sui
uaient pas d’attirer à leur suite un grand nombre de curieux dont ils mettaient à contribution la charité. Mendians et vagabonds,
eler avoir aperçu dans la généalogie des Titanides que Rhée et Chrone mirent au jour Pluton, Neptune, Jupiter, Junon, Vesta et
mpures, lorsque tout à coup un âne son ami, le croyant victorieux, se met à braire de joie ; aussitôt Vesta se réveille et
rendre la déesse favorable, on priait les vestales de lui offrir les mets qu’on leur portait. Les vestales elles-mêmes, aux
e du monde à la condition qu’il détruirait tous les fils que sa femme mettrait au jour, il tint sa promesse, parce qu’il savait,
nsevelir son opprobre dans les grottes des monts Pélasgiques, où elle mit au monde un fils que l’on trouve quelquefois appe
t le rangea parmi les victimes de son élève. Les Centaures voulant se mettre à couvert, s’étaient réfugiés à Malée, où Chiron
femme, pour laquelle il n’avait eu que de la froideur. Ses peuples le mirent au rang de leurs Dieux. Les autres enfans de Satu
n Crète, il fut enfermé à Gnosse dans un tombeau, sur lequel on avait mis cette inscription : « Ci-gît Zan, que l’on nommai
u caché, et où elle l’avait fait élever en secret par les Curètes, se met à la tête d’une armée, bat les Titans, délivre so
u’il ne laisserait vivre aucun des enfans mâles que sa femme pourrait mettre au jour, afin que la succession pût retourner à s
les Titans, ses frères, avaient, comme on se le rappelle, détrôné et mis en prison pour avoir, volontairement ou sans le v
Pour Phaton le titan, il n’offre aucune particularité, sinon d’avoir mis au jour, on ne sait avec qui, Érétriée, patrone d
s, qui fut la déesse de la justice. Son alliance avec Jupiter lui fit mettre au monde les Heures, que nous avons vues déjà fil
comme les hommes ; seulement ils avaient pour nourriture l’ambrosie, mets céleste, d’un goût délicieux et parfumé, donnant
el nommé Hercule. L'étendard de la révolte étant levé, les armées se mirent , pour ainsi dire, en bataille. Jupiter se reposa
feu. Après la guerre des Géans, Jupiter en soutint une autre, qui le mit bien plus en danger : ce fut celle contre TyphŒ,
s il change d’arme, et, reprenant la vieille hasté de Saturne, il lui met une lame de diamant, et avec cette faulx redoutab
ou Cadmus, suivant d’autres, après avoir vu disparaître leur père, se mirent à sa recherche, parvinrent à tromper la surveilla
arracher la peau, d’en disséquer avec adresse la chair et les os, de mettre ces derniers sous l’une des peaux, et de placer l
inerve ensuite la couvre d’une robe d’une blancheur éblouissante, lui met sur la tête un voile avec des guirlandes de fleur
ur la pointe du Parnasse, ou de l’Atlas, ou de l’Etna. Ayant une fois mis le pied sur le sol, ils se dirigèrent vers le tem
re était la Terre, et que ses os étaient les pierres. Dès-lors ils se mirent à se promener dans une grande plaine de la Phocid
alheureusement pour eux, fut exécuté. Aussitôt Jupiter l’apprenant se met dans une divine colère et lance la foudre sur les
de Jupiter, et dans les hymnes, les temples et sur les autels, il fit mettre le sien à la place de celui du fils de Saturne. I
nt et inquiet, et roulant toujours dans sa tête des desseins sans les mettre à exécution. Capanée, l’un des sept chefs d’une
Macédoine, remporta le prix ; après elle, plusieurs à son exemple, se mirent sur les rangs, et furent souvent couronnées de my
le monument perdu ; ils suivirent ce conseil ; et depuis Théagène fut mis au rang des demi-dieux. Milon surpassait tous le
ans de Jupiter sont tellement nombreux qu’il est indispensable de les mettre en ordre. Ainsi, sans compter Junon qui passe gén
euples sauvages de notre époque, la civilisation n’avait point encore mis obstacle aux unions paternelles et filiales ou fr
nt de Jupiter, son père, que Cassiopée serait placée dans le ciel, et mise au rang des astres : c’est la constellation boréa
n vaches, et pensant qu’on voulait les atteler à la charrue, elles se mirent à courir l’Argolide en poursuivant tous les passa
e et de Rhée dans la Grèce, où déjà se trouvait Junon, les prêtres se mirent à les unir ensemble, et à en faire des pères, des
le savons, disent que Junon voulant comme Jupiter avoir la gloire de mettre au monde un enfant sans la participation d’un ama
ver un temple avec les crânes des étrangers qu’il tuerait ; Hercule y mit obstacle et le tua comme le précédent. Diomède, f
égyas, fils de Chrysé ou de Datis, fut père d’Ixion et de Coronis. Il mit le feu au temple de Delphes, et pour le punir d’a
ou le plus souvent celui de Diane sa fille, parce qu’après avoir été mise au jour elle avait aussitôt délivré sa mère d’un
s de Junon, vint à l’insu de celle-ci délivrer Latone, et lui aider à mettre au monde Diane dans l’île sicilienne d’Ortygie, e
ibuait les maladies contagieuses à la chaleur excessive du Soleil, on mit sur le compte d’Apollon le massacre des Niobides,
la chasse et des forêts. Après avoir secours sas mère pour l’aider à mettre au jour Apollon, elle fut tellement effrayée des
inité de son pays. Cependant, après sa mort, les Orchoméniens l’ayant mis au rang des héros, ils lui élevèrent, ainsi que d
mours avec Endymion ne fussent point divulguées sur la terre. Pour la mettre en possession de sa nouvelle charge, le maître de
e d’horribles aboiemens. Comme Phylax ou gardienne des enfers, on lui mettait une clé et des cordes dans une main et un poignar
à Diane par Crésus, était une des sept merveilles du monde. On avait mis 220 ans à le bâtir, d’après les dessins du grand
ient ces victimes. Oreste et Pylade, que nous retrouverons plus tard, mirent fin à ces cruautés en cachant la statue de Diane
ée dans cette île flottante que Neptune fixa exprès pour elle, elle y mit au monde d’abord Diane, déesse de la chasse, ensu
entaure Chiron, époux de Chariclo et père d’ Ocyroé. Bientôt Esculape mit si bien à profit les conseils de son maître, qu’i
ambassade pour les réclamer, le roi refusa de tenir sa parole et fit mettre l’ambassadeur en prison. Dès qu’il apprit ce manq
. Quoi qu’il en soit, dès que la nymphe Euphémie ou l’éloquence, eut mis au monde Crotos ou Crocas, ou la cadence qu’elle
les étaient également au nombre de neuf. Chacune à sa naissance avait mis la vie de sa mère en danger. On remarquait surtou
champ était placé. Melanippe était prêtre d’Apollon à Cyrène, et fut mis à mort par le tyran Niocrate. On connaît aussi qu
ans ce temple. Mais ensuite Jupiter employa un autre moyen, car il se mit à rendre ses ordres en faisant faire divers signe
acilité qu’ils en avaient à tirer les fils dont ils se servaient pour mettre en mouvement cette espèce de marionnette. Quoi qu
’il envoya à Troie, à Samos, à Erythre et dans toute la Grèce, il les mit à la place des anciens, et ils y restèrent jusqu’
firent leur roi et qu’il osa défier les Muses au combat du chant, et mettre pour condition que le vaincu resterait à la discr
es s’enivrèrent pendant la célébration d’une des fêtes de Bacchus, et mirent en pièces le pauvre Orphée, puis dispersèrent ses
On ajoutait qu’il avait été changé en cygne, et que sa lyre avait été mise parmi les astres et ornée de neuf étoiles fournie
ussi à Eleuthère qui, voyant une fois Orphée et Musée dédaigner de se mettre sur les rangs, fut déclaré vainqueur aux jeux pyt
s naturels, il lui reprocha sa faiblesse. Alors Procris, honteuse, se mit à fuir et se retira dans les bois à la suite de D
arce que cette imprudente ayant osé vanter à outrance sa beauté et la mettre au-dessus de celle de Junon, la déesse la punit e
aisée, arriva près d’une forge où, rencontrant un jeune garçon, il le mit sur ses épaules et le pria de le guider vers les
nités à fuir la maison paternelle ; alors elle-même, de désespoir, se mit à la chercher à travers les bois où, à force de p
ur de luth Philammon père de Chamiris ; éprise de sa beauté, elle osa mettre sa fécondité au-dessus de la chasteté de Diane qu
étant devenue enceinte, on supposa qu’elle l’était d’Apollon, et elle mit au jour un enfant qui porta aussi le nom de Chrys
ie était une nymphe, fille de Pliste. Elle fut séduite par Apollon et mit au jour Léo ou Lycorée sur lequel on ne sait rien
ns les tristes aventures. Après la perte de ce fils chéri, Aristée se mit à voyager et finit par s’établir sur le mont Hému
; du reste on peut les considérer comme d’habiles cavaliers qui, sans mettre pied à terre, lançaient de loin leurs traits et f
ourrait même devenir entièrement désert si la science continuait à se mettre au-dessus du destin ; alors le maître des Dieux,
ment honteuse de ces aventures tant soit peu scandaleuses, qu’elle se mit en deuil, se métamorphosa en furie, s’esquiva de
te vieille Baubo, qui pour l’égayer lui conte de joyeux propos, et se met à sauter une danse indécente de l’époque, dans la
u’elle présenta la déesse à son fils Ascalabe ou Stellio, qui s’étant mis à rire, en voyant l’avidité de Cérès à manger de
injonctions de la déesse : tout le monde aussitôt se prosterne, et se met en devoir de hâter l’édification du temple qui, p
Triptolème, père de Dolique, une fois instruit dans l’agriculture, se mit à voyager seul ou avec Cérès : il parcourut l’une
n commençait par se laver dans les eaux de cette rivière ; ensuite on mettait le Dios Kôdion ou toison de Jupiter, qui se compo
euvage de Cérès ; j’ai pris de la ciste ; après avoir travaillé, j’ai mis dans le calathe ; ensuite du calathe dans la cist
t cette procession en criant : salut, ô Cérès ! puis tout le monde se mettait à danser au milieu d’une prairie émaillée de fleu
Cérès et de Jupiter et non de Sémélée, à le couronner de myrte, à lui mettre un flambeau à la main et à le porter en processio
les femmes de haute naissance pouvaient seules y assister ; car être mis à mort ou privé des yeux, au moins, était la puni
nsi point de sénat, point de tribunaux, point d’assemblées ; alors on mettait en liberté les détenus pour fautes légères, et en
les prêtres de cette déesse, voulant se donner un nouveau relief, se mirent à marcher sur des brasiers, et à tenir dans leurs
r des charbons ardens que l’on arrosait de sang de cheval. Ensuite on mettait le feu à des gerbes de paille. Ces gerbes allumée
l et des parfums. Après cette purification expiatoire, les bergers se mettaient en prières et offraient à la déesse un sacrifice
ordre sacrilége personne n’ayant voulu obéir, il prit une hache et se mit lui-même à l’abattre ; aussitôt, suivant les uns,
x faire sentir le devoir des femmes d’être soumises et fidèles, avait mis des chaînes aux pieds de la statue de Vénus ; Myr
ait l’exécution de ses moindres fantaisies. Bientôt tous les dieux se mirent sur les rangs pour obtenir sa main, Jupiter ne po
mmense et despotique ; aussi afin de mieux rivaliser avec Junon, elle mit d’abord au jour l’ Harmonie ou l’Amour, les Grace
élité de Vénus paraît avoir été en faveur de Jupiter avec lequel elle mit au jour les Graces, ses plus fidèles compagnes. C
de l’audace de sa fille, voulut la punir ; mais elle s’échappa, et se mit à errer dans le pays des Sabéens en portant le fr
Dieux, même avant la création, puis les hommes et les animaux ; il le met donc au nombre des principes de la nature. Plusie
érèbe et de la Nuit, et d’après d’autres enfin, de la Nuit seule, qui mit au jour un œuf, le couva sous ses sombres ailes,
re gagner la gageure, mais la nymphe Péristère, compagne de Vénus, se mit à aider la reine de Paphos. Alors sur le champ la
le sommet d’une montagne où était un temple dédié à Cérès, là elle se met à genoux et supplie la déesse de lui accorder un
sur le mont Palatin ; car c’était elle qui avait la pesante charge de mettre la paix dans les ménages, et de réconcilier les é
oppement du caractère distinctif de son sexe. Vénus, honteuse d’avoir mis au jour un tel être, l’abandonna au moment de sa
r en secret des plaisirs et des voluptés raffinés, qui furent si bien mis en pratique entre elles, qu’elles négligèrent leu
ux de Junon la fit se cacher dans les entrailles de la terre, où elle mit au monde le géant Tityas ou Titye, que nous savon
a rendit mère des deux Paliques ou Palices, frères jumeaux qui furent mis au rang des Dieux, suivant Eschyle ; et auxquels
’ile d’Oenone, ou actuellement Lépante, appelée depuis Egine ; elle y mit au monde Eaque. A tort quelques auteurs veulent q
e de son époux. Elle crut à sa ressemblance et devint enceinte ; elle mit au monde Hercule et Iphicle, le premier fils de J
es de l’île de Sériphe, l’une des Cyclades, où, suivant les uns, elle mit au monde Persée, qui accomplit l’oracle en devena
s’établir en Égypte où il se rendit si fameux qu’après sa mort il fut mis au rang des Dieux sous le nom de Sérapis. Niobé s
d’Aristée reçut l’enfant dans ses bras et le donna à son père, qui le mit dans sa cuisse, où il le fit coudre par Sabasius
uter. Cette malheureuse princesse fut tellement tourmentée qu’elle se mit à passer la mer à la nage entre Bisanze et Phare,
yant excité la jalousie de la reine, celle-ci enleva sa rivale, et la mit sous la garde d’un geôlier vigilant dont le roi s
e. Un jour le roi Minos essaya de la faire se parjurer ; mais elle se mit à fuir, se prit dans les filets qu’elle avait ell
ernail et pose son pied sur une proue de navire. Mais les Achéens lui mettaient dans une main la corne d’abondance, tandis que de
ue, chauve par derrière et n’ayant plus qu’un toupet de cheveux ; ils mettaient aussi un amour ailé aux pieds de la fortune. A Sm
peine âgée de dix ans, Thésée, épris de ses charmes, l’enleva, et la mit sous la garde de sa mère, et en eut un fils dont
ène jusqu’à la fin de ses jours. Quoiqu’il ne fût plus possible de la mettre au rang des vierges, elle n’en fut non moins rech
t à la statue d’airain, à Lacédémone ; Chaliniste, à Corynthe, ou qui mit une bride à Pégase pour qu’il portât Bellérophon 
otection : elle inventa l’écriture, la peinture et la broderie ; elle mit Pandore, avant sa descente sur la terre, en état
en fontaine non par Minerve, mais par Bacchus, après qu’elle eut été mise en pièces par le taureau indompté à la queue duqu
détruire. Alors elle le joint près des monts Cérauniens, l’arrête, le met à mort et couvre aussitôt sa poitrine de sa peau
us verrons comment Persée, l’un des fils de Jupiter, la combattit, la mit à mort et lui coupa la tête pour en faire présent
Neptune pour le chef de leurs dieux, et le peuple ou le sénat s’étant mis sous la protection de Minerve, l’aréopage consult
sénat s’étant mis sous la protection de Minerve, l’aréopage consulté mit l’agriculture et les arts au-dessus de la simple
enceinte. Alors Jupiter la conduisit sur le Mont-Cithéron, et là elle mit au jour Amphion et Zéthus, et même, dit-on, Calat
r sa naissance, comme nous le savons. Aussi Jupiter pour le sauver le mit dans sa cuisse, jusqu’au moment fixé pour les ges
un amphisbène ou serpent à deux têtes que le dieu, réveillé à temps, mit à mort de ses propres mains ; une autre fois, ell
opres mains ; une autre fois, elle le frappa de folie, et l’enfant se mit à courir le monde jusqu’en Phrygie, où il fut dél
use à vaincre les Géans, quoique plusieurs auteurs assurent qu’il fut mis en pièce par ces révoltés, et que Jupiter fut obl
voir établi la plus parfaite harmonie entre ces peuples, et les avoir mis dans l’abondance, il s’embarqua, emportant avec l
lui causa tant de chagrin qu’elle se pendit ; d’autres disent qu’elle mit au jour Staphyle et qu’elle mourut quelque temps
de la Thrace, qu’il venait d’enivrer ; alors celles-ci furieuses, le mirent en pièces comme nous l’avons vu. De la Thrace les
ers ; mais il avait brisé ses liens et les portes, et était revenu se mettre à la tête des Bacchantes et les enivrer de nouvea
s maîtres servaient les esclaves. Dans le premier appelé Pithœgia, on mettait les tonneaux en perce, pendant le second appelé C
qu’il avait le premier accouplé les bœufs pour labourer la terre. On mettait auprès de lui un tronc de chêne pour perpétuer la
peur panique ou peur subite et sans cause, qu’il inventa un jour pour mettre en fuite l’armée d’un de ses ennemis. Cette inven
et Simœthée, nymphe de Sicile, eut de la première, Tarquitus, qu’Énée mit à mort, et de la seconde, le berger Acis, amant h
de six mois en six mois. Quant à celui qui revenait des enfers, il se mettait à parcourir la terre sur un petit cheval appelé C
vons, avec Hésione, devint père d’Ajax et de Teucer. Après sa mort on mit Eaque au nombre des juges des enfers, chargé de j
ce fut Amphytrion qui, voulant savoir lequel des deux était son fils, mit ces deux serpens auprès du berceau des enfans, al
rir les hauts faits que produisent la valeur, et l’autre au contraire mit à sa disposition toutes les jouissances qu’elle m
avait promis ; alors Hercule voulant se venger de ce roi parjure, se mit à la tête de quelques Eléens, tua Augias, et plaç
à Eurysthée, qui les lui fit lâcher sur le mont Olympe, où ils furent mis en pièces par les bêtes féroces de la contrée. 10
ute la famille de ce parjure, à l’exception de Priam, son fils, qu’il mit sur le trône et qu’il donna à Télamon, son ami, H
hauteur, qui régnait à Irasa, en Libye. Habile lutteur, il défiait et mettait à mort tous ceux qui passaient par ses états, afi
ette immense armée ; s’amusa des vains efforts de cette guerrière, la mit dans sa peau de lion avec toute son armée, et por
stiaux, plusieurs Siciliens cherchèrent à l’en empêcher. Alors, il se mit en fureur, et extermina tour à tour Buphonas, Cau
rytion, de la délivrance d’Hésione, et de la défaite d’Antée, on doit mettre les travaux ci-dessus indiqués en italique et don
a avec la fière Atalante, ou de donner de l’éloquence. Aussi avait-on mis pour défendre l’approche de ces fruits Hespérius
x étaient sans cesse ouverts. Hercule, sur la demande d’Eurysthée, se mit à la recherche de ces pommes, sans savoir où il l
et les chassa définitivement tous de la Thessalie. Puis ce héros fut mettre à la raison les Thesprotes et les Lapithes. Quelq
igure humaine. Puis se persuadant qu’il n’y avait que la mort qui pût mettre un terme à ses pénibles souffrances, il fait élev
tète, et ordonne à ce Philoctète, fils de Pœan, roi de Thessalie, d’y mettre le feu et de prendre soin de ses cendres. A cet o
ui refusa, se battit avec lui et secouru par Chalcodon ou Chalcon, il mit en fuite le héros, qui fut assez grièvement bless
es ; plus tard, les Potitiens se lassèrent de ce ministère, et il fut mis entre les mains des esclaves. Les fêtes que l’on
Carthaginois, guerre à laquelle la mort volontaire de cette princesse mit enfin un terme. Cependant il nous semble fort dou
xtrémité supérieure, ils tendaient la tête pour s’attaquer ; alors il mit deux ailes au-dessus de ces deux têtes et se fit
toujours le messager amoureux, seulement des autres, souvent aussi il mit à profit son adresse pour obtenir les bonnes grâc
à Rome, la première figue que l’on cueillait lui était consacrée. On mettait ses statues devant les portes des maisons, afin d
its, le cygne et le coq. Pour le prendre dans ses spécialités, on lui met une bourse à la main, comme Dieu des négocians et
bergers ; la tortue rappelle qu’il inventa la lyre. Mais quand on lui mettait un corps d’homme avec une tête de chien ou d’éper
es formes d’un jeune taureau blanc qu’on allait immoler, qu’il le fit mettre de côté, et le remplaça par un autre. Mais cette
ité de l’animal. A la suite de ce commerce infâme, Pasiphaé finit par mettre au monde, un monstre épouvantable, que l’on appel
Thèbes, sa patrie ; alors Minos, pour venger la mort de son fils, se mit à la tête d’une flotte, débarqua sur les côtes de
tout ce qui se trouvait sur son passage, et força les Athéniens, pour mettre un terme à tant de malheurs, non seulement d’inst
Phinée ; et le chef Éthiopien, Zacore, venu au secours de Persée, est mis à mort par Argus. Mais du coté de Phinée la perte
ecte ; alors, Persée furieux, change en rocher ce prince insolent, et met sur son trône Dictys, le protecteur de sa mère ;
que en recevait un regard. Lorsque Persée en eut coupé la tête, il la mit dans une poche à franges d’or qu’il avait sur ses
Atlas. Neptune, après de vains efforts pour la trouver, fut obligé de mettre à sa recherche un Dauphin qui la remena et la fit
re auprès d’elle toutes les licences possibles ; car, disait-on, elle mettait , avant de boire, ses yeux dans un sac ; ce qui, p
magnifique péplum et d’un riche collier. Malgré les soins que Cadmus mit à la recherche de sa sœur, il ne put en découvrir
’ayant appris son parricide, il se creva les yeux pour se punir et se mit à traîner une vie errante et malheureuse jusqu’à
oracle que les matelots ne manquaient jamais de consulter avant de se mettre en mer. Hellen, fils d’Antiope, était frère de B
de joie et de courage, il se fit le chef d’une troupe de héros et se mit à la tête d’une expédition aussi périlleuse que b
’avant du navire, et Pelée ainsi que Télamon, sur l’arrière. Avant de mettre à la voile, ils offrirent un sacrifice solennel a
e cinquante lieues sur la terre, leur vaisseau qui manquait d’eau, le mirent à flot dans l’Adriatique et débouchèrent dans la
artit pour Athènes sans emmener Éthra, mais en lui disant que si elle mettait un fils au monde, il pourrait se présenter à lui
nglier de Calydon, que nous verrons dans peu de lignes être chassé et mis à mort par une troupe de héros. Pendant que Thésé
ans Thésée un obstacle invincible aux projets qu’elle avait conçus de mettre sur le trône Médusson, fils qu’elle avait eu de J
gouvernement qui attira un grand nombre d’étrangers à Athènes, il se mit à courir encore les aventures. Alors il fut, dit-
nes Calydoniennes. Méléagre, une fois en état d’aller à la chasse, se mit à la tête des jeunes héros Grecs, réunit autour d
un cri terrible, qui ne peut effrayer Galatée, dont l’immortalité la mettait à l’abri de son courroux. Malheureusement, il n’e
lle Evadné, femme d’Argus, roi d’Argos. Tibre, fleuve du Latium, fut mis au nombre des Dieux indigènes, par les Romains, e
ement son corps et l’inhumèrent dans le parvis du temple de Diane, le mirent au rang des dieux de la mer, et bientôt il devint
ils lui dévouaient les criminels qui, après cet acte, pouvaient être mis à mort par tout citoyen. Pendant ces jours lugubr
n voyait le sommeil, l’oubli, Cerbère et Mercure-Psychopompe ; on lui mettait un sceptre noir à la main, ou un pavot, symbole d
mbre neuf ; on supposait que le bruit leur était insupportable et les mettait en fuite, et que le feu, au contraire, leur était
des morts ; aussi, pour faciliter ce passage, on avait l’habitude de mettre dans la bouche des défunts, une pièce de monnaie
entre Neptune, Vulcain et Minerve, il critiqua Neptune de n’avoir pas mis les cornes du taureau sur ses yeux ou sur ses épa
portative, en cas de mauvais voisinage, et Vulcain d’avoir oublié de mettre une fenêtre au cœur de l’homme ; et, pour que per
oujours prête à se porter partout où sa présence est réclamée. On lui mettait souvent dans une main une coupe remplie d’une liq
n Italie, la couronnaient de laurier, la posaient sur une roue et lui mettaient le compas à la main. Souvent, on rangeait Némésis
is. Atropos ou qui ne tourne plus, coupait le fil, et par conséquent mettait un terme à la vie de chacun des mortels ; c’était
pourrait ranger à la suite des furies, les Harpies, que nous avons vu mises en fuite par les Argonautes ; mais c’est surtout
fortune de Danaüs, étant parvenue jusqu’à son frère Egyptus, celui-ci mit de nouveau les armes à la main de ses cinquante f
urs de ces Danaïdes, quelques auteurs dont la légende est peu suivie, mettent ceux-ci : Acamanthis, femme d’Echonyme ; Antodia,
ux l’ayant honoré de leur visite, ce père indigne servit cet horrible mets sur leur table, pour éprouver leur infaillibilité
e prison. Quelques jours après, Atrée donna l’ordre à Égisthe d’aller mettre à mort ce prisonnier. Mais à peine ce jeune homme
ssembla son armée dans la baie d’Aulis. Déjà, la flotte était prête à mettre à la voile, quand Agamemnon eut le malheur de tue
ès cet horrible assassinat, elle épousa Egisthe, son complice, et lui mit la couronne sur la tête. Oreste. Cet Egiste, cra
mment autour de lui. Oreste, pour fuir les épouvantables déesses, se mit à errer de contrée en contrée. Ayant interrogé l’
ge. Dans un combat singulier avec Pâris, qu’il aurait indubitablement mis à mort, il fut blessé par une flèche lancée par P
fois Hector, tua Orchéloque, Hytius, Caletor et autres, qui voulaient mettre le feu à la flotte des Grecs, défendit vaillammen
ptune le premier homme qui s’offrirait à ses regards lorsqu’il aurait mis le pied sur la terre de Crète. En arrivant dans s
iphobe ; il passait pour le plus ingénieux des Grecs, qui pourtant le mirent à mort après l’avoir à tort pris pour un traitre,
s coups Molion, Hippodame et Hypéroque. Après la mort d’Achille il se mit sur les rangs comme l’héritier et le plus digne d
estait. Le héros allait être englouti quand Leucothoé, déesse marine, mit sous lui une planche qui le soutint sur les eaux
iens, Calypso, Evippe, Actoris et Polymène, fille d’Eole, car nous ne mettrons pas au rang de ces maîtresses, Hats, esclave thyr
mour pour l’amazone Penthésilée ; il fut tué par Achille et son corps mis en croix ; Cléobule, tué par Ajax l’Oïlide ; Chor
son père Laomédon, car Hercule, après avoir pris la ville de Troie et mis à mort Laomédon, plaça Priam sur le trône afin de
ne par Néoptolème, fils d’Achille, qui la conduisit en Epire, où elle mit au jour trois ou quatre fils : Molosse, Nélée, Pe
Alexandre, était né d’Hécube qui, pendant sa grossesse, rêva qu’elle mettait au monde un flambeau allumé, dont la flamme incen
, l’ayant rencontrée sur les bords du fleuve Cébrène, son père, il se mit à la poursuivre. La nymphe, en fuyant, fut mordue
l’arme qui l’avait frappé, Télèphe quitta le parti des Troyens et se mit du côté des Grecs ; aussitôt Achille le guérit en
t, les femmes troyennes, fatiguées d’une longue et pénible navigation mettent le feu à la flotte ; cependant Énée, d’après les
ientôt pour se diriger vers l’embouchure du Tibre ; puis il aborde et met le pied sur les plaines de Laurente, où régnait l
mandés par son fils Pallas, en même temps il lui conseille d’aller se mettre à la tête des Tyrrhéniens, et de marcher contre l
taque les Rutules, qui voulaient s’opposer à son débarquement, et les met dans un tel désordre, que les Troyens, bloqués, p
opposer à son passage, mais les Troyens combattent les Rutules et les mettent en fuite. Turnus alors, voyant que ses troupes dé
ut tué par Enée ; Lucétius, tué par Ilionée, à l’instant qu’il allait mettre le feu au camp d’Énée ; Lycus, poursuivi et tué p
peu près comme l’ Amitié ; on l’habille d’une robe blanche, et on lui met à la main le plus ordinairement une clef, ou un c
omaine des évacuations mensuelles. Fon-[ILLISIBLE], déesse des foure, mise au rang des divinités par Numa, lors de l’inventi
n tour, mais en vain. Osiris à la fin imita les autres convives et se mit dans le coffre qui, secrètement, avait été fait e
à côté de Byblos. Isis, son épouse, désolée de la perte d’Osiris, se met à la recherche du corps de ce malheureux roi, et
dèle à la piété conjugale, s’arme de courage contre le malheur, et se met en voyage, pour réunir les membres épars de son é
sonnier ; puis, après s’être fâché et raccommodé avec sa mère, il fut mis en pièces par les Titans. Isis, sa mère, ayant tr
s une forêt. Isis, sachant l’infidélité involontaire de son époux, se mit en marche pour sauver les jours de cet enfant don
corps sacré d’Osiris, que Typhon, sans respect pour les morts, avait mis en lambeaux. Anubis fut surtout honoré à Hermopol
ui le reçut avec des marques d’une amitié non équivoque. Typhon, pour mettre le sceau à cette réconciliation, invita Osiris à
ubine. On sait comment se termina cet infâme repas : Typhon, ensuite, mit Isis en fuite, s’empara de l’autorité et commanda
t la forme d’un crocodile ; ensuite il reprit sa première forme et se mit à fuir monté sur un âne, qu’il dirigea sept jours
a forme d’un serpent se mordant la queue pour marquer l’éternité ; on mettait sur sa tête un ornement royal, et sa queue se ter
iste à brûler du miel ; ensuite chaque nègre fait son offrande, et se met à fumer ; puis viennent les prières générales pou
eux, ils entrèrent dans le pays par une porte ou par une fenêtre, et mirent au monde plusieurs enfans, auxquels ils enseignèr
orsqu’on commençait une entreprise difficile, et surtout lorsqu’on se mettait en voyage. C’était un des quatre dieux des Adites
es connaissaient encore quelques dieux lares, au nombre desquels nous mettons  : Les Patèques, dieux gardiens et défenseurs, don
gavan qui, nous le savons, n’est autre que Brahm. Aussitôt, Brahmâ se mit en prière et Bhagavan lui apparut sous la forme d
ou trente-six mille années humaines, à admirer ce panorama, Brahmâ se mit à l’œuvre de la création. D'abord, il produisit l
des Souargas les habitations divines, il n’y laissa plus de place où mettre Naraka ou Patala, ou l’enfer, qui dès-lors fut re
vaincue par les raisonnemens de son mari, elle se trouva enceinte et mit au monde un fils au milieu des eaux. Santanou pla
u’il était une partie d’eux-mêmes. Il épousa Anouçouéi, puis celle-ci mit au monde Tibatérien, qui jaillit de l’essence de
t la tête de Boudha ; aussitôt Soukra le rappelle à la vie ; un autre met Boudha en lambeaux, mais Soukra le recompose ; un
es Dieu de la vertu. Dévagi, fille de Dévoga, épousa Vaçoudéva. Elle mit au monde six fils, un septième nommé Balarama fut
vant tout ce qui brûle dans les enfers, mais il ne put y parvenir. On met dans les temples sa statue, derrière celle de Sam
éna et épousa Dévaki, sœur de Kansa. Celui-ci connaissant que sa sœur mettrait au monde un fils qui serait funeste à son oncle,
urent obligés de vivre sous les yeux du tyran, qui ne manquait pas de mettre à mort tous les enfans mâles de sa sœur ; à la fi
neuf incarnations ou avatars ont eu lieu, et la dixième viendra pour mettre un terme à la sinistre époque dans laquelle nous
es ablutions dans le fleuve Kritamala, il prit un petit poisson qu’il mit dans un bocal ; au bout de quelques heures le boc
; il fut donc obligé de le livrer à l’Océan. Alors le dieu poisson se mit à parler, et lui dit : dans sept jours, pour puni
de Brahmâ, prit la forme d’un sanglier, se présenta à Erouniakcha, le mit en pièces, et ramena la terre au-dessus des eaux.
ama et allait le dévorer, quand l’aigle Garoudha arrivant à propos le mit en pièces. Pendant l’enfance de Rama, le célèbre
dant Kansa, frère de cette dernière, ayant appris de l’oracle qu’elle mettrait au monde un fils qui lui enlèverait la couronne e
nche cadette. Alors ces Pandous proscrits et livrés à l’indigence, se mirent à errer en invoquant la vengeance. Ce cri entendu
r éclaircir cette guerre des Pandous, il est bon de savoir que Iaiati mit au monde Iadou, le Sivaïte et aïeul de la dynasti
distingua beaucoup sur le champ de bataille. Avant la victoire, il se mit aux genoux de Rama, qu’il venait secourir, et l’a
ux genoux de Rama, qu’il venait secourir, et l’adora ; ensuite, il se mit à la queue des matières inflammables, et fut mett
ora ; ensuite, il se mit à la queue des matières inflammables, et fut mettre le feu à la capitale de Lanka. On le regarde comm
t un célèbre roi pasteur, ayant pour épouse Iachoda. Lorsque celle-ci mit au monde une fille, incarnation de Kali, les deux
l ne voulut pas la lui donner et la confia à son frère Praçana qui la mit dans les plis de son turban, puis s’en fut à la c
adjah de Canodje. Parvenue à l’âge nubile, elle épousa Santanou. Elle mit au monde six enfans et les noya aussitôt après le
amania, est le Dieu de la guerre et fils de Siva et de Bhavani qui le mit au monde dans un bain. Il épousa Tchandaravali et
ne prendre aucune nourriture avant d’avoir vengé Kansa ; alors il se mit à la tête d’une nombreuse armée, et fut assiéger
ations de l’Inde, que les gouverneurs anglais sont souvent obligés de mettre à profit cette influence pour faire rentrer les i
e parce qu’ils portent sur la tête un vase en cuivre, dans lequel ils mettent les aumônes qu’on leur donne. Tous ces religieux
es années furent confiées aux soins de soixante-dix vierges ; sept le mettaient tous les jours au bain ; sept l’habillaient, sept
llement Bénarès. Ne pouvant résister à ces diverses suppliques, il se mit en route, fit trois fois le tour de cette ville s
 ; alors, Dévadat, l’ennemi persévérant de Chakiamouni, son neveu, se mit à la tête des Sivaïtes ou partisans de Siva, entr
es par les prêtres, et pourvu que des feuillets de cette bible soient mis en mouvement dans les Mias, ou temples, par le se
tre globe. Son père était Tsédent, c’est-à-dire, le plus beau, qui le mit au monde par suite d’une enflure qu’il eut au bra
onçut et resta enceinte pendant douze ans ; au bout de ce temps, elle mit au monde un fils appelé Fohi. Chang-ko est une
de Corail. Alors Pouça en mangea un, et aussitôt elle fut enceinte et mit au jour un fils qu’elle quitta lorsqu’il fut parv
ceinte pendant quatre-vingt-un ans. Au bout de ce temps, cette vierge mit au monde, par le côté gauche, un enfant à la tête
sente armé d’une hache, sous ses pieds expire un horrible serpent. On met aux quatre coins des temples que l’on élève à cet
cachèrent si bien qu’on ne put le trouver ; mais Foutoque sortit, se mit sur les eaux et arriva ainsi dans l’île de Mitoka
huit mois, l’enfant parlait dans son sein ; quatre mois après elle le mit au monde. Son enfance fut merveilleuse et exempla
tié aux mystères de Mithra, il fallait subir des épreuves qui souvent mettaient la vie même des récipiendaires en danger ; les ép
ncipe ; ensuite venait l’offrande du pain et du vin, et, à la fin, on mettait une couronne sur la tête du néophyte, qui la reje
et cette fois, il remporta la victoire. L'homme périt, et les ames se mirent à errer, exilées et gémissantes dans l’empire d’A
quinze couples humains dont neuf, montés sur le taureau Sarécéokh, ne mirent pied à terre que sur les six Kechvars extérieurs
mais Gouchtasp ne voulut pas tenir sa parole. Long-temps après il fut mis dans les fers par ordre de Barzom, et il n’en sor
cervelle jetée dans les airs forma les nuages ; puis les trois frères mirent quatre nains aux quatre coins du monde pour en ga
rme qui tenait au rocher Gelgia, et y attachèrent ce monstre. Ils lui mirent ensuite dans la gueule une épée, dont le pommeau
nlandais, persuadés qu’il est descendu dans une habitation terrestre, mettent tout en œuvre pour le chasser ; ils regardent par
s ailes d’aigle d’une envergure si large, que lorsqu’il les agite, il met l’Océan en mouvement et fait saillir le feu du se
mes, et dont la fonction était de protéger le toit domestique. On les mettait se reposer sur les lits les plus moelleux ; tous
ns le regardent encore comme Aijeke ou Tiermes ; ils l’invoquent pour mettre leur vie hors de danger, et pour se mettre à l’ab
mes ; ils l’invoquent pour mettre leur vie hors de danger, et pour se mettre à l’abri des attaques des démons. Ce Tiermes des
e de ce couple fécondant, qui se sera sauvé de l’incendie général, se mettra à produire sans avoir été cultivée, et il en sera
t les éclipses. Avant d’être engloutie tout-à-fait par Fenrir, Sounna mettra au monde une fille brillante qui après sa mort éc
d’eau et de combustibles, bouchaient exactement les deux trous, puis mettaient l’idole sur le feu. Bientôt, par suite de la vape
sins Aod-Madh et Diomain l’empire de l’Ulster. Les trois rivaux, pour mettre un terme à leurs dissentions, convinrent de gouve
conduite des cinq chefs des Firbolgs ; ensuite ils furent vaincus et mis en esclavage par Némed, qui les employa à bâtir d
e l’ayant donné en otage, viola son serment ; alors Qormaq irrité, se mit à la tête de trois mille soldats, ravagea la cont
trois fils de Niparaia ; il avait pour mère la belle Anaikondi qui le mit au monde sur les montagnes, d’où bientôt il vint
ue ces peuples veulent se rendre favorable Houékoub, ils se masquent, mettent plusieurs de ces animaux dans un sac, puis se fra
ps inhumés, si les parens du défunt n’avaient pas eu la précaution de mettre des alimens autour de la fosse, alimens que de pi
ntait sous la forme du fruit du Tamaraka orné de plumes ; les prêtres mettaient aussi ses images au bout de longs bâtons qu’ils e
rouia, de la nourriture et des habillemens, et dans tous les temps on met souvent des alimens devant sa statue. Po, ou la n
8 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
xte. Les fleurs qui servent d’ornemens à ces Arabesques ne sont point mises au hasard, on a eu soin d’orner chaque Arabesque
e pourroit voiler l’indécence. Je me suis particulièrement attachée à mettre dans ce nouvel ouvrage, une morale pure, une parf
in, parce qu’elle ne produit rien et ne peut que détruire. La Pudeur, mise au rang des Divinités champêtres, fuyant le tumul
ancolie n’a rien de commun avec celle qu’on a tâché, de nos jours, de mettre à la mode dans les ouvrages de littérature. Chez
t des lamentations, et tout y rappeloit une tragique aventure.   On a mis des chaînes à cet arabesque, parce qu’elles sont
endormit cet espion avec sa flûte et ensuite lui coupa la tête. Junon mit les yeux d’Argus sur la queue du paon, oiseau qui
ient dispersé les ombres, et il rejetoit des fèves noires qu’il avoit mises dans sa bouche, cela fait il prononçoit à voix ba
e, Pallas alloit porter à Minerve un coup dangereux, si Jupiter n’eût mis l’Égide devant sa fille13. Pallas, épouvantée rec
sa Sémélé qui périt consumée. Jupiter tira de son sein Bacchus, qu’il mit dans sa cuisse et qu’il y garda quelques mois. Ba
e dépravées : celles de Thrace, méprisées par Orphée, massacrèrent et mirent en pièces ce chantre infortuné, dont la lyre avoi
e corps ; il falloit même qu’elle fût belle. Dès que la vestale avoit mis le pied dans le parvis du temple, elle étoit affr
e char au moment même où le tribun alloit renverser Claudius. Elle se mit entre son père et lui, et elle arrêta par ce moye
pour un champ dont elle gratifia le peuple romain ; et sa statue fut mise dans le lieu qu’elle choisit elle-même, prérogati
qui, sur un chariot, fuyoit aussi avec sa famille, les rencontra, il mit pied à terre avec sa femme et ses enfans, et fit
et y fit une ouverture par laquelle Adonis, fruit de cet inceste, fut mis au monde. Dès qu’il fut né, les Nymphes se chargè
meur qui la défiguroit ; elle vit en songe une colombe qui lui dit de mettre en poudre quelques roses sèches, des couronnes co
s d’aimant que Vulcain fabriqua (pour se venger de ce qu’elle l’avoit mis au monde tout contrefait), il lui attacha sous le
onius fut un autre fils de Vulcain ; peu après sa naissance Pallas le mit dans un panier qu’elle donna aux trois filles de
Alors Hyménée saisit leurs armes, les distribue aux jeunes filles, se met à leur tête et tous les pirates furent égorgés ;
pieds de tous les animaux qu’il tueroit à la chasse ; un jour, ayant mis à mort un monstrueux sanglier, il n’offrit à la D
fille voulant un jour badiner avec cet ours, il entra en fureur et la mit en pièces : les frères de cette fille tuèrent l’o
e dévorer. Des fruits, du pain et surtout des œufs en composoient les mets . La Fable dit que Diane aima Endimion, berger de
en chantant sept fois le tour de Délos ; Apollon, en reconnoissance, mit par la suite sept cordes à sa lyre, et voulut que
fût confié. Phaéton monta sur ce char, ne put conduire les coursiers, mit le feu à la terre et fut foudroyé par Jupiter. Se
une des sept merveilles du monde. Cette statue, ouvrage de Charès qui mit douze ans à la faire, avoit soixante-dix coudées
esse. Après sa chute, un marchand Juif l’acheta des Sarrazins, la fit mettre en pièces et en chargea neuf cents chameaux31. Ap
cchantes de Thrace, irritées de ses mépris, se jetèrent sur lui et le mirent en pièces. Bacchus métamorphosa en arbres ces fem
es ces femmes forcenées, il changea en cygne le chantre infortuné, et mit sa lyre au nombre des étoiles. Lycus, roi de Thèb
t la férocité d’attacher Dircé à la queue d’un taureau furieux qui la mit en pièces : ces deux frères ne se quittèrent jama
des soupçons, la lui demanda. Jupiter n’osa la lui refuser, Junon la mit sous la garde d’Argus aux cent yeux : celui-ci l’
aturne et d’Entoria. Il fut bienfaiteur des hommes, et les Romains le mirent au rang des Dieux. Ce fut celui de la paix. On lu
tomba d’une manière qui alarma la pudeur de Minerve, et Ganimède fut mis à sa place37. Hébé épousa Hercule, lorsque ce hér
gnes extérieurs qui la rappellent ; mais la simplicité et la pauvreté mettent à l’abri des révolutions de tout genre. Les gens
voix. Son nom fut donné au lieu où elle avoit cessé d’être, elle fut mise , avec son mari, au nombre des Dieux indigètes. Bo
ais comme les anciens se couronnoient de roses dans les festins, on a mis à cet Arabesque des couronnes de cette fleur. La
erté consiste à partir et à revenir à son gré. Et c’est pourquoi on a mis dans cet Arabesque, sur un bâton de voyageur le b
de Troie. 23. Lucifer étoit fils de Jupiter et de l’Aurore ; il fut mis au nombre des astres, et sa fonction étoit d’anno
rithrée et ailleurs. Auguste les renferma dans des coffres dorés, les mit dans le temple d’Apollon Palatin, qu’il venoit de
tée, après sa mort, fut révéré des bergers comme un Dieu. 36. Junon mit les yeux d’Argus sur la queue de sou paon oiseau
9 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
es gens, et de leur inspirer le goût de l’honnête et du beau. On leur met sous les yeux le tableau des devoirs de l’homme d
etc. Écoutons Boileau à ce sujet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un corps, une ame, un espri
tés champêtres, étoient de ce nombre. Demi-Dieux et Héros. Nous mettrons au troisième rang et Héros les demi-Dieux et les
dévoroit sitôt qu’ils étoient nés. Cependant Cybèle, sa femme, ayant mis au monde Jupiter et Junon, cacha soigneusement Ju
ltère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les yeux De ce torrent la source emblémati
(Quinault.) D. Pourquoi Apollon fut-il banni du ciel ? R. Pour avoir mis à mort les Cyclopes, ministres de la colère de Ju
habile médecin, qu’il vint à bout de ressusciter le jeune Hyppolite, mis à mort par des monstres marins. Jupiter, indigné
u Pallas, sortit du cerveau de Jupiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde, ce Dieu se fit donner un coup de hache
re. Le caractère de ce Dieu est bien rendu dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de Jupiter. Tigre, à qui la pitié
que le meurtre et les embrasemens ; Les remparts abattus, les palais mis en cendre, Sont de ta cruauté les plus doux monum
lcan embrase les airs ;       Et quand par malheur il remue,       Il met la Sicile à l’envers. Plutus. D. Plutus es
yres, qui étoient semblables à lui, et dont on le dit le père. Faune, mis aussi au rang des Dieux champêtres, parce qu’il a
le biens féconde Fera connaître à tous que je suis son support, Et je mettrai tout le monde Au point d’envier son sort. Tu peux
hes une biche qui avoit les pieds d’airain et les cornes d’or. 5.° Il mit en fuite les harpies, oiseaux monstrueux, qui cou
monstrueux qui jetoit feu et flammes, et en délivra la Grèce. 9.° Il mit à mort le tyran Diomède, roi de Thrace, qui faiso
sacrifice. Ses cendres furent recueillies par son ami Philoctète, et mises dans une urne. Hercule fut placé dans le ciel, où
nsporta en Italie. Thésée mourut à Athènes, après avoir mérité d’être mis au rang des Demi-Dieux. Phèdre, bourrelée par les
ryxus, fils d’Athamas, roi de Thèbes, avoit portée en Colchide. Il la mit dans un bois consacré au Dieu Mars, sous la garde
Médée pour retarder la course d’Aëte qui poursuivoit Jason ? R. Elle mit en pièces son frère Absirthe, et en dispersa les
aux femmes. Les Bacchantes, outrées de se voir méprisées par lui, le mirent en pièces, et sa lyre fut placée au ciel. Campis
le est la proie d’une affreuse famine, et une horrible contagion vint mettre le comble à ses maux. On consulte l’Oracle ; il r
les enfers. (Racine.) Les corps de ces deux malheureux frères furent mis sur le même bûcher, pour y être brûlés. La flamme
rda dans l’île de Calypso. Il court de nouveaux dangers. Cette Nymphe mit tout en usage pour le retenir, et lui promit de l
enre ? R. C’est, sans contredit, La Fontaine. Ce Poëte incomparable a mis les Fables d’ Ésope en vers français avec un natu
e longue harangue :    Ah ! le petit babouin ! Voyez, dit-il, où l’a mis sa sottise ! Et puis prenez de tels fripons le so
es impressions fâcheuses, ou les porter au mal. Une femme mariée doit mettre au rang de ses principaux devoirs, le soin de son
cter les discours de la critique ? R. Notre premier soin doit être de mettre notre conduite à l’abri de tout reproche. Il est
t leur naissance qu’à la malveillance. Il faut avoir le courage de se mettre au-dessus de pareils discours : ils ne méritent q
ligez tant, Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent ?             Mettez une pierre à la place,            Elle vous vaudr
x du juste appréciateur des choses. Les richesses sont un dépôt sacré mis entre les mains de l’homme opulent, pour soulager
éclat des habits. Une dame de haut parage, mais du plus mince mérite, mit un jour son suisse à la porte, pour avoir introdu
Temple. On prétend qu’il a été bâti par Ctésiphon. D. Combien a-t-on mis de temps à le bâtir ? R. Deux cent vingt ans, et
sie. D. Ce superbe édifice subsiste-t-il encore ? R. Non, Erostrate y mit le feu, pour faire un nom. Cet accident arriva le
au avec des soins et des frais immenses, au point qu’il mérita d’être mis au rang des sept Merveilles du monde. Le Jupit
10 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
mères de familles et des membres du clergé nous ont félicité d’avoir mis aux mains de l’enfance un livre qui l’instruit sa
upplice cruel ; Jupiter le fit clouer et enchaîner sur le Caucase, et mit à côté de lui un vautour qui lui déchirait le foi
’un enfant qu’il avait fait égorger et couper en morceaux. A peine ce mets affreux fut-il servi, que le palais de Lycaon s’é
rsécuta cruellement la plupart de ses rivales. Son humeur vindicative mit souvent le trouble dans l’Olympe et sur la terre.
de ces affronts, elle souleva les dieux contre son époux, et tenta de mettre la guerre civile dans le ciel ; nous savons aussi
it de ses malheurs en tirant de la flûte des sons harmonieux. Mercure mit le comble à sa disgrâce en lui dérobant son arc e
nement nouveau sous une tiare de pourpre. Toutefois, il fut obligé de mettre son barbier dans le secret. Le barbier promit de
les de Troie : il y travailla avec Neptune, et, lorsque l’ouvrage fut mis à fin, il ne fut pas payé. Achevons rapidement le
que le meurtre et les embrasements ; les remparts abattus, les palais mis en cendre, sont de ta cruauté les plus doux monum
é de la jeunesse. Un jour, un sanglier furieux s’élance sur lui et le met en pièces. Vénus, dont il était aimé, accourue tr
ne put lui apprendre ni le nom, ni la retraite du ravisseur. Elle se mit alors à sa recherche, un flambeau à la main, et p
e Thèbes, mourut avant la naissance de son fils, victime de sa vanité mise en jeu par un artifice de Junon. Cette déesse pri
t pas moins terrible dans ses vengeances. Penthée, roi de Thèbes, fut mis en pièces par sa propre mère et ses tantes, pour
inairement ce dieu appuyé sur une enclume ; sa barbe est touffue ; sa mise négligée et ses jambes cagneuses ; il tient un ma
uta encore l’honneur de donner un nom à la ville de Trézène : Jupiter mit fin à ce débat en donnant à son fils le titre de
rite, fille de Nérée et de Doris, qui avait fait vœu de virginité, et mit au rang des astres les dauphins qui la lui avaien
ora l’épaule de Pélops ; mais les autres dieux ne touchèrent pas à ce mets sacrilége. Ils ressuscitèrent Pélops et remplacèr
’Hercule, que nous allons bientôt raconter. L’éducation d’Hercule fut mise en bonnes mains. Euryte, roi d’Œchalie, lui ensei
ureau monstrueux qui désolait le pays ; il fut dompté par Hercule, et mis aux pieds d’Eurysthée. La fange et le fumier enco
son compagnon, ses flèches terribles, et ordonne à son ami fidèle de mettre le feu au bûcher qui doit consumer ses restes mor
l’oracle, il en préparait lui-même l’accomplissement. Cette mort, qui mit Persée au désespoir, le rendit maître d’Argos ; m
rce de l’amitié qui l’unit à Hercule. A peine âgé de seize ans, il se mit en campagne pour courir les aventures, à l’exempl
les chevaux d’Hippolyte : le jeune héros fut renversé de son char et mis en lambeaux. Phèdre justifia Hippolyte en se donn
son fils innocent et son propre déshonneur. La révolte des Athéniens mit le comble à ses disgrâces ; il se réfugia chez Ly
des guerriers qui s’entre-tuèrent, et dont la mort permit à Jason de mettre la main sur la toison d’or. Maître de ce trésor,
ses compagnons. Éétès envoya à leur poursuite Absyrte son fils, et se mit en marche derrière lui. Les membres de son fils,
ien, le devin Amphiaraüs, Hippomédon et Parthénopée. L’armée, s’étant mise en marche, entra dans la forêt de Némée, où elle
de Diane. Enfin, après dix ans de préparatifs et d’attente, la flotte mit à la voile ; elle arriva sur les rivages de Troie
, la flotte mit à la voile ; elle arriva sur les rivages de Troie, et mit le siége devant cette ville. Siége de Troie. —
emportait au fond de l’abîme. Vichnou se métamorphosa en sanglier, se mit à la poursuite du géant, l’atteignit et le vainqu
Le lion divin, sortant d’une colonne, se précipita sur le monstre, et mit son corps en lambeaux. Après ces premiers exploit
levée par le géant Lanka. Rama, voulant avoir raison du ravisseur, se mit à sa poursuite. Dans cette campagne, il prit pour
oit, à la fin des temps, sortir du sommeil où il est maintenant, pour mettre un terme à cette fantasmagorie qu’un appelle la v
nt ; on les flagellait, on leur commandait des exercices violents qui mettaient souvent leur vie en péril. Ceux qui pouvaient sup
oir civilisé l’Égypte, Osiris en laissa le gouvernement à Isis, et se mit à parcourir le monde à la tête d’une armée nombre
alors. Sa douleur fut vive ; elle se couvrit d’habits de deuil et se mit à la recherche du corps de son époux bien-aimé. D
e partagea en quatorze lambeaux qu’il dispersa de tous côtés. Isis se mit alors à la recherche des membres épars de son épo
aient du Muspelheim formèrent les étoiles. Odin et ses frères avaient mis la main à cet ouvrage ; le monde créé, ils en dev
11 (1850) Précis élémentaire de mythologie
Avertissement de la première édition. La mythologie n’est plus mise entre les mains des enfants dans un certain nombr
C’est ce qui a fait dire à Boileau : Là pour nous enchanter tout est mis en usage : Tout prend un corps, une âme, un espri
et sa sœur leur avait donné le jour. 2. Cette mère infortunée, ayant mis au monde Jupiter et Junon, usa de stratagème pour
le visage, l’un tourné vers le passé et l’autre vers l’avenir. On lui mettait aussi une baguette à la main, parce qu’il présida
ltère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous met devant les yeux De ce torrent la source emblémati
perte de sa fille, monta sur un char attelé de dragons volants et se mit à la rechercher partout. La nymphe Aréthuse, qui
De l’aspect du supplice effraya l’insolence, Et sous l’appui des lois mit la faible innocence. Cet ordre fut, dit-on, le fr
dissimula ainsi pendant quelque temps son honteux châtiment, il avait mis son barbier dans le secret, mais il lui avait bie
épaule, tenant un arc à la main et ayant un chien à ses côtés. On lui met un croissant sur le front quand on la prend pour
pour une des sept merveilles de l’antiquité. Un fou nommé Erostrate y mit le feu pour faire passer son nom à la postérité.
? Chapitre X. Minerve. 4. Nous avons déjà dit2 comment Jupiter mit au monde Minerve, après avoir souffert d’un viole
que le meurtre et les embrasements ; Les remparts abattus, les palais mis en cendre, Sont de ta cruauté les plus doux monum
’Aréopage, parce que les Grecs appelaient Mars, Arès. Seulement, pour mettre les juges à l’abri des séductions du talent, on d
se. Elle préparait ses armes, lorsqu’il devait aller au combat, et se mettait à ses côtés sur son char, le casque en tête, les
e dans sa chute. Il en demeura toujours boiteux. Dans son exil, il se mit à forger le fer et à remployer avec art. L’île de
ses. Bacchus s’en vengea en livrant ce prince à ses bacchantes qui le mirent en lambeaux. 7. Les filles de Minée, autre roi de
semblable sacrifice pour le bonheur des armes de son mari qui s’était mis en campagne contre le roi de Syrie, sa chevelure
da à Amphitrite de renoncer à son vœu, et qu’en récompense Neptune le mit au rang des constellations. De ce mariage Neptune
and soin d’accomplir les derniers devoirs envers les morts et de leur mettre sur la langue une pièce de monnaie pour adoucir l
t sans cesse et qui par là éternisait ses peines. Phlégyas, qui avait mis le feu au temple de Delphes, se sentait tourmenté
er leurs troupeaux autour de son autel. Dans leurs réjouissances, ils mettaient le feu à de grands amas de paille, s’amusaient à
. Les Romains croyaient qu’il faisait fructifier leurs arbres, et ils mettaient sa statue dans leur jardin. Ceux qui nourrissaien
de la manière la plus sanglante. A Neptune il reprocha de n’avoir pas mis les cornes de son taureau devant les yeux pour qu
qu’elle ouvrait de ses doigts de rose les portes de l’Orient, et lui met sur la tête un long voile rejeté en arrière, parc
riche et magnifiquement orné. Rome, la cité guerrière par excellence, mit longtemps à achever celui qu’elle bâtit à cette d
il se rencontra un homme robuste et bien intentionné qui consentit à mettre ses forces et sa puissance au service de l’intérê
s vit venir à lui en souriant, les saisit de ses bras robustes et les mit en pièces. C’est ainsi qu’il prouva qu’il était v
ains soucis ; ta seule occupation sera de trouver les boissons et les mets qui pourront te plaire et tout ce qui flattera le
mis, le héros pilla la ville d’Elis et tua ce monarque perfide. 8º Il mit en pièces Diomède, roi de Thrace, qui nourrissait
aux, Hercule crut n’avoir pas encore assez fait pour sa gloire. Il se mit à parcourir l’univers pour le purger de tous les
profonde douleur qu’elle en mourut. 8. Après son trépas, Hercule fut mis au rang des dieux. Dans le ciel les poëtes lui on
remporté sur eux le prix des jeux publics. Dans son indignation il se mit à la tête d’une armée et fit une invasion sur le
ivant comme les protecteurs de leur patrie, et après leur mort on les mit au rang des dieux marins. Ils étaient invoqués pa
Dans une émeute qui s’éleva à l’occasion de leur mariage, Castor fut mis à mort. Pollux en eut un grand chagrin. Il suppli
e tyran qu’il périrait de la main d’un de ses petits-fils, ce barbare mit Danaé et son enfant dans un coffre de bois et les
ée contre Bellérophon, et le priait de lui donner la mort. Iobatès se mit d’abord à célébrer des fêles en l’honneur de l’hô
ait de la main de l’enfant que Jocaste sa femme était sur le point de mettre au monde. Il crut prévenir ce parricide en ordonn
aïus. Œdipe, qui ne le connaissait pas, entra en lutte avec lui et le mit à mort. Le malheureux vainqueur était déjà parric
lement périr Créon et son épouse. Les chefs argiens qui étaient venus mettre le siége devant Thèbes ne furent pas plus heureux
iciens, ou Phrygiens. Ces petits royaumes furent assez puissants pour mettre en mer une flotte de mille soixante-quatre vaisse
ne pas prendre part à l’expédition. Ulysse contrefit l’insensé et se mit à labourer le sable sur le bord de la mer et à y
mais la fable ajoute que Diane se contenta de sa soumission, qu’elle mit une biche sur l’autel à la place d’Iphigénie, et
5. Les Grecs ayant ainsi satisfait aux arrêts du destin, leur flotte mit à la voile par un vent favorable, et ils arrivère
à Hermione, son épouse. Oreste vengea cette princesse outragée et le mit à mort. — Diomède, a son retour de Troie, trouva
aconté lui-même dans l’Odyssée tous les périls. Aussitôt qu’il se fut mis en mer pour regagner sa chère Ithaque, il fut bat
e du monde, la Divinité, comme l’attestent nos livres saints, s’était mise très-souvent en rapport direct avec les hommes. O
s célestes, ils se dirent inspirés par le dieu qu’ils servaient et se mirent à faire des prédictions. Souvent l’ambiguïté de l
n sans pouvoir rien comprendre au mystère de son origine. Enfin il se mit en prières, s’adressa à Baghavan son premier ancê
es serpents, et, au lieu de tuer ces animaux, l’Hindou leur porte les mets les plus exquis au bord de leurs trous. Ils adore
nt ; on les flagellait, on leur commandait des exercices violents qui mettaient souvent leur vie en péril. Ceux qui pouvaient sup
tait à Chemnis lorsqu’elle apprit cette affligeante nouvelle. Elle se mit à la recherche de son époux, et erra vainement su
tous les spécifiques de la médecine druidique, aucun ne pouvait être mis en parallèle avec le fameux gui de chêne ; il réu
aise place sous sa dépendance douze déesses subalternes, comme elle a mis douze dieux sous la domination d’Odin. Chacune de
e dieu de la force, et il n’est pas étonnant que des barbares l’aient mis à côté d’Odin et de Fréa. Ces trois dieux se part
12 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
il Teverone, che dava larga vena di acque sulfuree ; ma Ovidio (3) il mette sul monte Aventino un dì abbondante di fonti e di
ie di mosca assai molesta agli armenti, la quale colle sue punture li mette in grandissimo furore. E la sua smania fu sì stra
li animali. Ma è tutto ciò una favola ; perchè l’Alfeo manifestamente mette foce nel mare, e niuna apertura si vede che ne as
a, e che colla sinistra prende un lembo del manto, nel quale Mercurio mette una borsa piena di danaro, per indicare che i due
’una e l’altra Dea presedeva a’parti ed alla nascita ; e Plutarco (3) mette nel numero degli Dei nuziali anche Diana o Lucina
che gli antichi riguardavano come la bocca dell’inferno. » Strabone mette vicino a Miseno la palude Acherusia formata da un
mo entrar dell’Inferno i loro ferrati covili ; ma in altro luogo egli mette Tisifone all’entrata del Tartaro, a far da carnef
, liberum atque solutum. (1). Tibull. lib. 1. et 3. v. 33 sqq. Ovid. Met . 1. v. 107 sqq. (2). Ovid. Met. XIV. v. 320 sqq.
ibull. lib. 1. et 3. v. 33 sqq. Ovid. Met. 1. v. 107 sqq. (2). Ovid. Met . XIV. v. 320 sqq. E da Virgilio Aen. VII. v. 189.
sqq. Virg. Aen. VI. v. 582 sqq. (2). Strab. IX. p. 658. (3). Ovid. Met . V. v. 328, sqq, (1). Virg. Aen. IX. v. 7. 13.
1). Virg. Aen. IX. v. 7. 13. (2). Hom. (3). Sat. I. 20. (4). Ovid. Met . I. v. 155, seqq. (1). Ovid. Met. VIII, v. 611 s
Hom. (3). Sat. I. 20. (4). Ovid. Met. I. v. 155, seqq. (1). Ovid. Met . VIII, v. 611 sqq. (1). Ovid. Met. 1. v. 168 sqq
Met. I. v. 155, seqq. (1). Ovid. Met. VIII, v. 611 sqq. (1). Ovid. Met . 1. v. 168 sqq. (2). Hesiod. θ. v. 517. sqq. (3
 423. sqq. (3). Hom. Odyss. ε, v. 93. (4). Hom. II ε, v. 369. Ovid. Met . IV. v. 214. (5). Virg. Aen. XII. v. 418. sq. (
Hom. II. π, v. 666. sqq. (7). Virg. Aen. 1. v. 402, sqq. (1). Ovid. Met . XIV. v. 605 sq. (2). Catull. carm. 99. Horat. O
XIV. v. 605 sq. (2). Catull. carm. 99. Horat. Od. 1, 13. (3). Ovid. Met . XV. v. 117. (4). Juven. Sat. XIII. v. 42. sqq.
Virg. Aen. V, v. 249, sqq. (3). Hom. II. ε, v. 738 sqq. (1). Ovid. Met . IV, v. 771, sqq. (1). Apollod, Ferecide ed Ovid
od. II. 4. (2). Strab.  X, p. 486. (3). H. N. VIII, 21. (1). Ovid. Met . III. v. 1. sqq. (2). Id. ib. III, v. 6. sqq. (
sq. (2). Virg. Aen. VI, v. 20. sqq. Catull. Epith. v. 76 sqq. (1). Met . VIII, v. 157. sqq. Virg. Aen. V, v. 588. sqq (1
. (1). Met. VIII, v. 157. sqq. Virg. Aen. V, v. 588. sqq (1). Ovid. Met . VIII, v. 188. sqq. (2). Ovid. Trist. I, el. 1,
ardum dux ante Booten, Qui vix sero alto mergitur oceano. (1). Ovid. Met . VII, v. 472, sqq. (2). Hom. Il β, v. 684, seq.
, sqq. (2). Hom. Il β, v. 684, seq. Virg. Aen. II, v. 7. (1). Ovid. Met . I, v. 283, seq. (2). Virg. Aen. VI, v. 789. (1
lla X, 357. (2). Plin. VII. 57. Virg. Georg. III, v. 113, seq. (3). Met . l. v. 262. (4). Plin. XII. 57. (5). Aeu. I, v.
23 ; et XXX, 7. (2). Herod. II, 52. Strab. VII, p. 231. (3). Ovid. Met . XIII, v. 716. Vocalemque sua terran Dodonida que
32. Phaedr. III, fab. 15. (4). Serv. ad Virg. Aen. III. v. 21. Ovid. Met . IV. v. 755. Vid. Pitisc. V. taurus. (5). Macrob
72. (5). Aen. I, v. 15, seqq. (1). Virg. Aen. I, v. 46. (2). Ovid. Met . VI, v. 87, seq. (3). Schol. Hom. 22, Il. ξ. Ovi
. (2). Ovid. Met. VI, v. 87, seq. (3). Schol. Hom. 22, Il. ξ. Ovid. Met . VI, v. 90. seq. (4). Il. y, v. 3, seq. (1). Ov
Il. ξ. Ovid. Met. VI, v. 90. seq. (4). Il. y, v. 3, seq. (1). Ovid. Met . VI, v. 98. (2). Virg. Aen. 1, v. 26. (1). Il.
q. (1). Odyss. ξ, v. 68 sqq. (2). Heroid. I, v. 5, sqq. (3). Ovid. Met . XII, v. 5. sqq. (1). Hor. I, Od. 15, v. 5. sqq.
40. (3). Id. ib. I, v. 76, sqq. (4). Il. ε. v. 720 sqq. (5). Ovid. Met . IX, v. 585. (1). Virg. Aen. V, v. 609 sq. Ovid.
qq. (5). Ovid. Met. IX, v. 585. (1). Virg. Aen. V, v. 609 sq. Ovid. Met . I, v. 270, et 589. (2). Ovid. Met. IV, v. 478,
). Virg. Aen. V, v. 609 sq. Ovid. Met. I, v. 270, et 589. (2). Ovid. Met . IV, v. 478, sqq. (3). Lib. IV. v. 693 sqq. et I
ep. 7. (2). Hymn. in Del. v. 91. (3). Theb. 1, v. 563. (4). Ovid. Met . III, v. 336. (5). Strabon. lib. IX. (6). Macro
tull. Carm. XXXV. (1). Hymn. 1, in Apoll. (2). Lib. 1. el. 4. Ovid. Met . III, v. 42. (3). Ovid. Met. VI, v. 313 sqq. (4
 1, in Apoll. (2). Lib. 1. el. 4. Ovid. Met. III, v. 42. (3). Ovid. Met . VI, v. 313 sqq. (4). Schol. Apollon. 1, v. 761.
hol. Apollon. 1, v. 761. (5). Virg. Aen. VI, v. 595 sqq. (1). Ovid. Met . II, v. 319. (1). Cic. Tuscul. 1, cap. 30. (2).
bull. II, el. 1. (1). Eurip. in Alcest. Val. Max. IV, 6. (2). Ovid. Met . 1, v. 568. (3). Tibull. 11, el. 5. (4). Theog.
0. (1). Virg. Georg. IV, v. 315 sqq. Varr. de RR. II. S. (2). Ovid. Met . XI. V. 155, sqq. Durante (1). Hor. 1. sat. 6.
an. Boeot. pag. 163. (1). Plutarch. de Music. pag. 1132. (2). Ovid. Met . V. v. 276, seq. (3). Strab. X. pag. 722. (1).
Aen. VI. v. 618, sqq. (3). Plin. XIX. 3. (4). Herod. I, 183. (1). Met . II. v. 534. sqq. (2). Id. Fast. II. v. 243. sqq
lat. de Legg. V, p. 738, et 759. (2). Hymn. Apoll. v. 55. sqq. (3). Met . VIII, v. 14, sqq. (1). Rim. 1, 50. (2). Teseid
, 8. (3). Orl. Fur. 45, 20. (4). De Nat. Deor. III, 21. (1). Ovid. Met . XIV, v. 291 seq. Plin. XXV, 4. (2). Περι αμιστ.
lin. XXV, 4. (2). Περι αμιστ. 16. (3). Act. in Verr. 1. (4). Ovid. Met . XIV, v. 1, sqq. Hygin. fab. 199. (1). Aen. I, v
. 199. (1). Aen. I, v. 200. (2). Odyss. μ. v. 127, sqq. (1). Ovid. Met . 11, v. 112, sq. (2). Hom. Odyss. ψ, v. 243. sqq
. (2). Hesiod. Theog. v. 135. (3). Hom, hymn. in Solem. (4). Ovid. Met . IX, v. 420. (5). Varr. de L. L. VI. (6). Hom,
. Varr. de L. L. VI. (6). Hom, hym, in Ven. v. 219, sqq. (1). Ovid. Met , XIII, v. 621 sq. (2). Plin. X, 26. (3). Strab.
Tibull. III. el. 4. v. 26. sqq. (1). Cic. Somn. Scip. 5. (1). Ovid. Met . XI. v. 413 : Ad Clarium parat ire Deum. (1). Ma
v. 368. (5). Ovid. Fast. I, v. 455. (1). Aen. V, v. 854 sqq. (2). Met . XI, v. 602 sqq. (3). Strab. V, p. 374. (1). Mo
VI, v. 864 sqq. (1). Labus Mus. di Mantova. vol. III. tav. 13. (1). Met . XV, v. 196. (2). Virg. Georg. I, v. 431. (3).
sqq. (6). Ad Ecl. VI, v. 15. (7). Sat, I, 18. (1). Georg. I, v. 6. Met . IV, v. 18. (2). Myth. II. 25. (3). De Nat. Deo
. V. v. 169. sqq. (2). H. N. II, 39. Noct. Att. XIII, 9. (3). Ovid. Met . III, v. 582 sqq. (1). Plin. IV, 23. (2). H. N.
. N. IX, 8. (3). Id. loc. cit. Plutarch, lib. sept. Sap. (1). Ovid. Met . III, v. 553, sqq. Tibull. I, el. 7. v. 43, sqq.
od. 19. v. 25, sqq. (2). Bacch. v. 23. et 234. Durante (1). Ovid. Met . IV. v. 1. sqq. (1). Il. ζ. v. 13, sqq. (1). Ov
(1). Ovid. Met. IV. v. 1. sqq. (1). Il. ζ. v. 13, sqq. (1). Ovid. Met . IV, v. 606, sqq. (2). Apoll. Rhod. II, v. 500.
. Lib. III. el. 6. v. 57. (1). Virg. Ecl. VI, v. 14. sq. (2). Ovid. Met . XI. v. 8. sqq. (3). Dell’orig. delle arti. Vol.
v. 8. sqq. (3). Dell’orig. delle arti. Vol. II, p. 266. (4). Ovid. Met . XIII, v. 640. sqq. (1). Ovid. Met. VIII, v. 172
rti. Vol. II, p. 266. (4). Ovid. Met. XIII, v. 640. sqq. (1). Ovid. Met . VIII, v. 172, sqq. (1). Propert. III, el. 15, v
Analect. Vol. II, p. 239. (3). Paus, X. 13. (4). Lib. I, 13. (1). Met . VI, v. 125. (2). Fast. III, v. 407, sqq. (3).
37. (4). Hom. Odyss. v. 293, sqq. Virg. Georg. II, v. 45, sqq. (5). Met . XII, v. 210, sqq. (1). In Bacchis. (2). Fast. 
con. XV. (5). Statuae, n. 8. (1). Mus. Rom. Sect. II, tab. 4. (2). Met . III. v. 666. (3). Propert. IV, el. 2, v. 31. (
b. 197. (6). Tibull. I, el. 7, v. 17. (7). Sat. III, 8. (1). Ovid. Met . X. v. 503 sqq. (2). Propert. II, el. 10, v. 53
 794. (2). Lib. I, od. 30, v. 5 sqq. (3). Plin. XXXV, 40, 17. (4). Met . VI, p. 93. (5). Lib. 1, od. 2, v. 33 sq. (1).
n. Attic. I. p. 27. (1). Albric. Phil. De Deor, imag. 5. (2). Ovid. Met . XIV, v. 597. Prop. III. el. 3, v. 31. Apul. Meta
. 5, v. 19. (4). Virg. Aen. V. v. 95. Claud. ep. II, 43. (5). Ovid. Met . III, v. 339, sqq. (1). De Nat. Deor. II. 26. (
 3, v. 16. Ovid. Fast. II, v. 496, sqq. (5). Lib. I, 16. (1). Ovid, Met . XIV. v. 805, sqq. (2). Id. Fast, III, v, 79, sq
73, sq. (1). Lib. I, od. 10, v. 7, sqq. (2). Hymn. in Mercur. (3). Met . II, v. 703, sqq. (1). Id. ib. II, v. 702, sqq.
236 et 241. De Claustre. v. Mercurio. (1). Accad. Ercol. (1). Ovid. Met . XI, v. 312. Horat, I, od. 2, v. 43. (2). Ovid.
col. (1). Ovid. Met. XI, v. 312. Horat, I, od. 2, v. 43. (2). Ovid. Met . II, v. 708. Fast. V, v. 449. (3). Plutarch. in
hol. Apoll. Ad lib.I, v. 761. (2). Virg. Aen. III, v. 636, sq. Ovid. Met . XIII, v. 831. Callim. in Dian. 53. (1). Theog.
ib, IV, p. 184. (3). Vid. Spanhem. Ad Callim. h. Dian. v. 255. (4). Met . I, v. 689. sqq. (5). Lib. v, 2. 1283, sq. (6).
v. 2, sq. (2). Plutarch. in Syll. (1). Voyages. tom. I. p. 8. (2). Met . XIV, v. 627. (3). Ecl. V, v. 73. (4). Iuven. I
iquis.Sat, II, 7, v. 14. (4). Ovid. Fast. IV, v. 405, sqq. (5). Id. Met . XIV, v. 687. (6). Propert. IV, el. 2, per tot.
per tot. (1). Lib. IV, el. 2, v. 13, sq. (2). Hor. I. ep. 20. (3). Met . XIV, v. 623, sqq. (4). Catull. de Com. Ber. v. 
irg. Georg. 1, v. 7. (3). Virg. Georg. 1, v. 147 sqq. et v. 7. Ovid. Met . V, v. 341 sqq. (1). Cic. Verr. IV, 48. (2). Ca
(2). De Nat. Deor. II, 26. (3). Schol. Hesiod. ad Th. v. 914. (1). Met . V, v. 487, sqq. (1). Verr. IV, 53. (2). In Eli
, v. 487, sqq. (1). Verr. IV, 53. (2). In Eliac. prior. (1). Ovid. Met . V, v. 642, sqq. (1). Colum. (1). De Legg. lib.
11. (1). Il. α, v. 377, sq. (2). De Nat. Deor. III. 22. (3). Ovid. Met . XIII, v. 315. (4). Il. σ, v. 369, sq. (5). Aen
I, 99. (3). Hom. Il. ω, v. 606, sqq. ec. (1). Homerus passim. (2). Met . II, v. 1, sqq. (3). Id. Fast. III, v. 514. (4)
Lil. Gyrald. Synt. de Diis. (4). De Nat. Deor. III, 23. (1). Ovid. Met . XI, v. 344, sq. (1). Ovid. Trist. IV, el. 4, v.
. 2. (4). Hor. III, od. 22, v. 2. Terent. Andr. act. 1, sc. I. (5). Met . V, v. 303. (6). Carm, saec. v. 13, sqq. (7). C
(2). Aen. I, v. 499, sqq. (1). Ovid. Trist. IV. el. 4, v. 64. (1). Met . XIII, v. 183. (2). Hor. III, od. 22 ; et alii p
). De Art. poet. v. 120, sqq. (1). Odyss. ω, v. 36, sqq. (2). Ovid. Met . XIII, v. 1, sqq. (3). Instar montis equum, divi
 III. v. 74. (2). Aen. 1. v. 124 sqq. (3). Il. v. v. 17, sqq. (4). Met . IV. v. 531. (5). Id. ib. 1. v. 276. (6). Id. i
. A. XV, 21. (2). Hygin. fab. 125. (3). Lih. IV, 1. 56. (4). Ovid. Met . XIII, v. 772. (5). Odyss, 1. v. 289, sqq. (1).
harum Oceanus. Carm. LXXXVIII. (1). Catull. Carm. LXIV, v. 11. Ovid. Met . 1, v. 13, sq. (2). Aen. V. v. 816, sqq. (3). M
XIV, v. 11. Ovid. Met. 1, v. 13, sq. (2). Aen. V. v. 816, sqq. (3). Met . 1, v. 331, sqq. (4). Mus. Rom. tom. 1, sect. 1.
om. tom. 1, sect. 1. tab. 43. (1). Virg. Georg. I, v. 436, sq. (2). Met . IV, v. 416, sqq. (1). Il. 6. v. 37. sqq. (2).
Plaut. Trin. IV, sc. 1, 1. Propert. I, el. 13, v. 21, sq. (4). Ovid. Met . VIII, v. 594. ec. (5). Virg. Aen. III, v. 119.
. Virg. Aen. III, v. 119. (6). Hom. Odyss. γ, v. 5, sqq. (1). Ovid. Met . XIV, v. 1, sqq. (2). Aen. III, v. 426, sqq. (3
. N, III, 6. (4). Il. θ, v. 13, sqq. (1). Theog. v. 715, sqq. (2). Met . IV, v. 332, sqq. (1). Lib. I, el. 3, v. 64, sqq
785, sqq. (1). Errant exangues sine corpore et ossibus umbrae. Ovid. Met . IV. v. 443. (2). Et nunc magna sub terras ibit
era vidi. Stat. Silv. I. 22. (1). Virg. Aen. VI. v. 495. (2). Ovid. Met . X, v. 49. (3). Lib. I. el. 10. v. 37, sq. (4).
Legg. II, 9. (5). Quisque suos patimur Manes. Aen. VI. v. 743. (1). Met . IV. v, 449. Lib. I. el. 3. v. 71. (2). Aen. VI.
De Rapt. Pros. II, v. 29, sqq. (2). Hor. Epod. V, v. 48, sqq. (3). Met . VIII, v. 194, sqq. (4). De Rapt. Pros. I. v. 48
t. VIII, v. 194, sqq. (4). De Rapt. Pros. I. v. 48, sqq. (1). Ovid. Met . V, v. 531. sq. (2). Lib. 1, el. 7, v. 1, sq. et
). His corpus tremulum complectens undique quercus. Ib. v. 308. (1). Met . XV, v. 803, sqq. (2). Et tempora Parcae Debita
13 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
s fit goûter en les embellissant : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage ; Tout prend un corps, une âme, un espri
8. Uranus détrôné par Saturne. Tous les enfants que la Terre mettait au jour étaient odieux à Uranus, leur père, parce
Elle osa même, un jour, conspirer contre lui, et comme elle avait su mettre dans son complot tous les habitants de l’Olympe,
is, lui eût fait connaître son rang suprême, Lycaon, voulut néanmoins mettre à l’épreuve sa divinité : il lui servit à table l
et de Vénus, ces déesses, voyant les contorsions qu’elle faisait, se mirent à rire. Minerve s’étant regardée dans le miroir d
squ’alors flottante. Latone s’y réfugia sous la forme d’un oiseau, et mit au jour Apollon et Diane. Le premier soin du jeun
et de Junon. Selon les Romains, il était fils de Junon seule, qui le mit au jour après avoir respiré l’odeur d’une fleur q
er dans les forêts du Liban, l’animal furieux s’élança sur lui, et le mit en pièces. Vénus, accourue trop tard à son secour
plus belle. Toutes les déesses voulurent se l’adjuger ; mais Jupiter mit fin à ce débat en choisissant pour arbitre un jeu
ésespoir, ayant allumé deux flambeaux aux feux du mont Etna, Cérès se mit à parcourir la terre, et la nuit et le jour, dema
ui ne s’attachent qu’au merveilleux, feignirent que Bacchus avait été mis dans la cuisse de Jupiter. 59. Éducation de Ba
s les coups de ses tantes, de ses sœurs, de sa mère elle-même, qui le mirent en pièces. Lycurgue, roi de Thrace, ayant voulu a
ième livre des Géorgiques de Virgile, dans lequel le poëte Orphée est mis en pièces par les Bacchantes, malgré son talent s
erre à la place de Jupiter, lui fit croire, cette fois, qu’elle avait mis au jour un poulain, et il le dévora, tandis qu’el
pté Priam, qui avait conseillé à son père de tenir sa parole. Hercule mit ce jeune prince sur le trône et donna Hésione en
e virginité. Le dauphin qui la détermina à contracter cette union fut mis au rang des astres. Amphitrite eut de Neptune Tri
s. Elles causaient la famine partout où elles passaient, enlevant les mets sur les tables et répandant une odeur infecte. On
es lettres initiales D.  M., c’est-à-dire aux dieux Mânes, comme pour mettre sous leur protection la sépulture des morts. On l
aient été privés des honneurs de la sépulture. Aussi avait-on soin de mettre dans la bouche des morts une pièce de monnaie, qu
à Mérope, sa femme, de laisser son corps sans sépulture. C’était pour mettre sa tendresse à l’épreuve ; car ayant appris dans
ar la douleur, s’arma d’une torche, courut au temple de Delphes, et y mit le feu, pour venger l’outrage fait à sa fille. Ma
embres de son fils Pélops ; mais ils ne touchèrent pas à cet horrible mets . Cérès seule, préoccupée de l’enlèvement de sa fi
lance, dont les plateaux n’inclinent d’aucun côté. Quelquefois on lui met un bandeau sur les yeux, pour signifier l’imparti
.Rousseau a développé ainsi la même pensée : Est-on héros pour avoir mis aux chaînes Un peuple ou deux ? Tibère eut cet ho
s avec de l’or, et Danaé donna le jour à Persée. Acrisius furieux fit mettre la mère et l’enfant dans une frêle barque et les
u tyran. II pétrifie Polydecte, en lui montrant la tête de Méduse, et met sur le trône, à sa place, le généreux Dictys. Il
Persée, profondément affligé de ce meurtre involontaire, quoiqu’il le mît en possession du trône d’Argos, ne voulut pas l’o
nération avant la guerre de Troie, ou environ 1200 avant J.-C. Il fut mis par les poëtes au nombre des constellations. On e
out pouvoir sur l’autre, puis elle hâta la délivrance de Nicippe, qui mit au jour Eurysthée. Celui-ci s’associant aux resse
lui-même un bûcher sur le mont Œta, s’y place et prie Philoctète d’y mettre le feu. Il donne auparavant à cet ami fidèle les
ie d’un aussi cruel tribut, qu’elle payait pour la troisième fois, se met au nombre des victimes, et part pour la Crète. Ar
mer, effraie les chevaux, qui se précipitent au milieu des rochers et mettent en lambeaux le malheureux Hippolyte57. Phèdre avo
tes. Un jour qu’il se reposait sur le rivage à l’abri de ce vaisseau, mis à sec sur le sable, une poutre s’en détacha et lu
, il l’attaque et le tue ; c’était Laïus, son père. Un poëte tragique met dans la bouche d’Œdipe lui-même le récit de cet é
ce argien, le devin Amphiaraüs, Hippomédon et Parthénopée. L’armée se met en marche et entre dans la forêt de Némée, où ell
is.) Quelques auteurs racontent que les corps des deux frères furent mis sur le même bûcher par les soins d’Antigone ; et
longue attente, la flotte, composée de plus de douze cents vaisseaux, met à la voile et arrive devant Troie. 125. Siége
ion, abandonna l’Egypte, dont il laissa le gouvernement à Isis, et se mit à parcourir la terre, à la tête d’une armée nombr
t déjà incarné neuf fois, il doit s’incarner une dixième, et alors il mettra fin à l’existence du monde. Dans les quatre premi
. Vichnou prit la forme d’un lion, se précipita sur le monstre, et le mit en pièces. Dans les cinq incarnations suivantes,
la couronne et la vie. En vain il fait égorger sept fils que sa sœur met au monde, un huitième naît sous le nom de Crichna
14 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
by feigning that a god had penetrated the recesses of her chamber, or met her in the wood or at the fountain. Legends of th
, climbing vines, and trees hanging with delicious fruits, everywhere met the view in this paradise. The inhabitants of the
o her that a floating island was to be his birth-place. At length she met Delos, then called Asteria, which floated among t
nging them thither. He invites them to land, and says, that as he had met them in the form of a porpoise (δελὶν) they shoul
o the stream, which from him derived its name Evenos. Meantime Apollo met and took the fair prize from Idas. The matter bei
set off for Pieria to steal cows from Apollo. As he was going out he met a tortoise, which he caught up and carried back i
In the morning Apollo missed his kine : he set out in search of them, met the old man, who informed him of his having seen
mbrosia, and never once entered the bath. On the tenth morning Hecate met her, but she could not tell her who it was had ca
given origin to a proverb (Ἀττικοὶ τὰ Ἐλευίνια) applied to those who met together in secret for the performance of any mat
eibethron, Castalia, and the Corycian cave. The Muses, says Homer939, met the Thracian Thamyras in Dorion (in the Peloponne
the sides of Mount Meros and on the banks of the Hydaspes ; they also met processions, accompanied by the sound of drums an
sons to amity1111, and Dionysos thence passed over to Naxos, where he met Ariadne. It was on his way thither that his adven
rpreter, as good Greek was spoken wherever he came, and he everywhere met with Grecian manners and customs. The silence the
his return from the conquest of the East, some of the country people met Silenos staggering about, and binding him with hi
d1219 that Priapos was the son of Aphrodite by Dionysos1220, whom she met on his return from his Indian expedition at the L
the offspring of Zephyros by the Harpy Podarge (Swift-foot), whom he met grazing in a mead by the stream of Ocean1311. Vir
, entered. A herald with two others were then sent to the city : they met the daughter of Antiphates at the fount Artakia,
their misfortune, set out to release them or share their fate, he was met by Hermes, who gave him a plant named Moly, poten
415, and did not conceal themselves from solitary wayfarers when they met them1416. They had abundance of wealth, and lived
e over their opposition. The hunt began : Ancæos and Cepheus speedily met their fate from the tusks of the boar : Peleus ac
eing on his way to Delphi accompanied only by his herald Polyphontes, met in a narrow road in Phocis a young man also drivi
ot be delivered from her until they had solved her riddle. They often met to try their skill ; and when they failed, the Sp
ead serve him as a helmet1732. As he was returning from this hunt, he met the heralds sent by Erginos to receive tribute fr
for this tribute that the heralds were going to Thebes when they were met by Heracles, who cutting off their ears and noses
his shoulder, and was going with his burden through Arcadia, when he met Artemis and her brother Apollo. The goddess took
hen she had given birth to him she laid him in the cave where she had met the god ; and Hermes, at Apollo's desire, conveye
morial of his first victory1834. Theseus now pursued his journey, and met with no interruption till he came to the Isthmus
coin1839. Not far from thence, on the banks of the Cephissos, Theseus met with Damastes, named the Beater-out or Stretcher
n the Amazons afterwards in revenge invaded the Attic territory, they met with a signal defeat from the Athenian prince. Th
rily retired to Lycomedes, king of the island of Scyros, and there he met with his death, either by accident or by the trea
lamenting the fate of those who were lost in it. At length he himself met the fate which he deplored in others1918. He had
e of their cattle. A fight ensued, in which all the sons of Electryôn met their death except Licymnios, who was still a chi
re called, made war on Messene. Driving off all the cattle which they met , they laid themselves in ambush in a hollow tree 
n and Menelaos in search of Thyestes. They went to Delphi, where they met him, who was also come to consult the god on the
Pleiades were passing through Bœotia with their mother when they were met by Oriôn, and his chase of them lasted for five y
e between them. Mist enveloped them, and loud was the crash when they met . Even to the birds the passage was then impossibl
he Theban exile arrived at the house of the king : before the door he met another stranger, Tydeus the son of Œneus, also a
ate the collar and robe, stopped at the house of Agapenôr : here they met the sons of Alcmæôn, who slew them, and then went
to support them ; when the sea-nymph Eidothea the daughter of Proteus met Menelaos wandering alone, and informed him how to
where he was ; and going to the house of his swineherd Eumæos, there met and revealed himself to his son Telemachos. After
ise of illustrious men, and hymns in honour of the gods to record, it met no love-adventures of the latter to impress on it
2, and elsewhere. 10. The earliest allusion to this practice we have met with is in Eurip. Bac. 26. 11. Paus. viii. 14. 2
. 2. 204. Fr. Phaëthôn. 205. Alcest. 608. 206. Athen. l. c. 207. Met . iv. 214. 208. Theb. iii 407. 209. Dionys. xii.
. xxxii. 51 ; xxxviii. 297. 211. In Prim. Cons. Stil. ii. 467. 212. Met . ii. l. seq. 213. Hymn to Demeter, 88. 89. 214
2. 217. Hygin. 183. Sch. Eur. Phœn. 1. For Bronte and Sterope, Ovid ( Met . ii. 153.) gives Pyroeis (Fiery), and Phlegôn (Bu
rities ; in another (Buc. vi. 62.) he calls them alders. 230. Ovid, Met . i. 750. seq. ; ii. 1. seq. Hygin. 152. 154. Nonn
draw. 233. Tril. 566. seq. 234. Apoll. Rh. ut supra. 235. Ovid, Met . iv. 190. seq. 236. Lactantius Placidus, in his
lut. De Fac. in Orb. Lunæ, 16. 21. 262. Fr. Incert. 209. 263. Ovid, Met . ix. 420 ; xv. 191. 700. Fasti, iv. 373. The titl
Ἄρτєμιν δ҆ έκάταν, Æschyl. Sup. 690. 300. Apoll. Rh. iii. 862. Ovid, Met . vii. 194. seq. 301. Virg. Æn. iv. 512. Servius
πάϊς εἶνι. 399. Od. xvii. 484. seq. Ilesiod, Works, 217. seq. 400. Met . viii. 620. seq. We have been unable to discover
ii. 24. 421. Od. xi. 235. 422. Od. xi. 305. 423. Hygin. 188. Ovid, Met . vi. 117. 424. Od. i. 71. 425. Ovid, Met. xii.
5. 423. Hygin. 188. Ovid, Met. vi. 117. 424. Od. i. 71. 425. Ovid, Met . xii. 72. Sch. Theocr. xvi. 49. 426. Ἵππιος, fro
rabo, viii. 344. Sch. Nicand. Alex. 374. Oppian. Hal. iii. 486. Ovid, Met . x. 730. 464. Il. v. 395. seq. 465. Sch. Il. v
almost peculiar to the Odyssey ; the only allusion to it that we have met with elsewhere is in Sophocles (Œd. Tyr. 176.), w
173. 508. Hom. Hymn ii. 127. seq. 509. Idyll. ii. 55. seq. 510. Met . i. 722. 511. Dionys. xii. 72. 512. Its Persian
name at the present day is Taous. 513. Athen. xiv. 655. 514. Ovid, Met . ii. 531. 515. II. xiv. 364. 516. Paus. ii. 38.
ntioned in the Ilias. Ovid, we know not on what authority, calls her ( Met . ix. 415.) the step-daughter of Zeus. 590. II. i
Th. 918.) he makes her marriage with Zeus precede that of Hera. 603. Met . vi. 313. seq. from Nicander ; see Anton. Lib. 35
r. 1246. seq. Clearchus of Soli ap. Athen. xv. 701. Hygin. 140. Ovid, Met . i. 439. 620. Apoll. Rh. ii. 706. 621. Æschyl.
557, may seem to form an exception, but see the Appendix. 623. Ovid, Met . i. 452. seq. Hygin. 203. The great majority of t
th the Peneios and Tempe than with the Ladôn and Arcadia. 624. Ovid, Met . ii. 542. seq. 625. Ap. Sch. Pind. Pyth. iii.
chap. iv. Autonoe, etc. 630. See below, ch. xii. Muses. 631. Ovid, Met . x. 106. seq. Serv. Æn. iii. 64. We have not met
Muses. 631. Ovid, Met. x. 106. seq. Serv. Æn. iii. 64. We have not met any Greek authority for this legend, and the same
y is told of the Italian god Silvanus. Serv. Geor. i. 20. 632. Ovid, Met . x. 162. seq. Apollod. i. 3. 3. iii. 10. 3. Eur.
instructor of Apollo. 647. This legend is only to be found in Ovid ( Met . xi. 153. seq.). 648. Herodotus thus justly name
Paus. ii. 7, 9. Plut. de Fluv. 10. Diodor. iii. 59. Hygin. 165. Ovid, Met . vi. 382. seq. Fasti, vi. 703. seq. 650. Sona
Strabo, x. 4. Paus. ii. 30, 3. Müller, Æginet. 164. seq. 680. Ovid, Met . v. 572. seq. Moschus, Idyl. vii. 681. See Mülle
yc. 831. Nonnus, xxix. 135 ; xli. 210. 747. Apollod. ut supra. Ovid, Met . x. 298. et seq. Eudocia and Tzetzes, ut supra. A
8. Iles. Th. 573. 799. Hom. Hymn, xx. 800. Il. v. 733. 801. Ovid, Met . vi. 1. seq., — the name as usual giving origin t
s Epigrams. It is uncertain which of these authorities Ovid followed ( Met . ii. 676. seq.) ; his narrative differs in some p
l. xxiv. 24. 841. Pherecyd. ap. Sch. Od. xix. 432. Hygin. 200. Ovid, Met . ix. 312. 842. Sch. Il. x. 267. 843. Pind. Pyth
Diodor. iv. 84. Parthenius, Erot. 24, — both from Timæus. 846. Ovid, Met . ii. 708. seq. Apollod. iii. 14. Hyginus (160.) s
os was the son of Hermes by Creusa, the daughter of Ercehtheus. 847. Met . iv. 285. 848. See below, chap. xvi. 849. Hygin
ll the ground with vernal flowers. Milton, Lycidas 136. seq. 876. Met . i. 717. 877. Hes. Th. 454. 912. 878. The Scyth
frugibus, illa locum. — Ovid, Fasti i. 673. 881. Theog. 914. 882. Met . v. 311. seq. Fasti iv. 117. seq. 883. Accordin
. 888. Od. xi. 217. 889. Callim. Hymn vi. 22. Paus. i. 14, 2. Ovid, Met . v. 645. Hygin. 147. P. A. ii. 14. Serv. ou Geor.
i. 14. Serv. ou Geor. i. 19. 890. Nicander ap. Anton. Lib. 24. Ovid, Met . v. 451. 891. Nicander ap. Anton. Lib. 17. Ovid,
Lib. 24. Ovid, Met. v. 451. 891. Nicander ap. Anton. Lib. 17. Ovid, Met . viii. 738. seq. Tzetz. Lyc. 1393. It is related
mes of the nine maids in Nicander. Ovid, who also relates the legend ( Met . v. 300. seq.), says they were turned into magpie
od. ut sup. Apoll. Rh. i. 23. Hermesianax ap. Athen. xiii. 597. Ovid, Met . xxi. Virg. Georg. iv. 454. seq. Conon, 45. Eudoc
enœe. Catull. ut sup. 949. Catull. ut sup. Ovid. Her. xx. 157. seq. Met . x. 1. seq. 950. 1. ὴδυεπείς : 2. ἀρτιέπειαι :
Col. 40, 106. Compare Virg. Æn. vi. 250 ; vii. 320 ; xii. 845. Ovid, Met . iv. 451. 1020. Hymn lxx. 1021. Paus. ii. 11, 4
om. Hymn xxiii. 1035. Æsch. Eum. 1. seq. Eur. Iph. Taur. 1260. Ovid, Met . i. 321. 1036. Welcker (Tril. 39.) says that The
6. seq. 1040. Virg. Æn. iv. 694. seq. ; v. 606. seq. ; ix. 2. Ovid, Met . i. 270 ; xi. 585. seq. Stat. Th. x. 81, 118. Val
1051. Il. xiv. 230. seq. imitated by Nonnus, xxxi. 103. seq. 1052. Met . xi. 592. seq. Compare Stat. Th. x. 84. seq. ; an
h. iii. 426. Val. Flac. ii. 116. seq. For the House of Fame see Ovid, Met . xii. 39. seq. and Chaucer and Pope. 1077. Paus.
25. 1087. Od. xxiv. 74. 1088. Theog. 940. 1089. Theog. 947. 1090. Met . iii. 532. seq. Hygin. 134. 1091. Il. xx. 234.
resemblances of names and ceremonies. 1108. Apollod. iii. 4-5. Ovid, Met . iii. 253. seq. Hygin. 167. 179. Eudoc. 118. 373.
eq. Hygin. 167. 179. Eudoc. 118. 373. 1109. Apollod. iii. 4-5. Ovid, Met . iii. 253. seq. Hygin. 167. 179. Eudoc. 118. 373.
de Antr. Nymph. 1180. Luc. D. D. 22. Et. Mag. v. Ἰάμβη. 1181. Ovid, Met . i. 690. seq. This legend does not occur elsewher
edit. Hutten. 1208. Theopomp. ap. Ælian, V. H. iii. 18. 1209. Ovid, Met . xi. 85. seq. Hygin. 191. Serv. Æn. x. 142. Max.
. v. 20. Parthen. Erot. 29. Ælian, V. H. x. 18. Diodor. iv. 87. Ovid ( Met . iv. 276-8.) says she turned him into a rock. 12
Ovid (Met. iv. 276-8.) says she turned him into a rock. 1239. Ovid, Met . iii. 341. seq. Paus. ix. 31, 7, 8. Conon. 24. Eu
. 1241. Soph. Œd. Col. 682. 1242. Nicander, ap. Ant. Lib. 31. Ovid, Met . xiv. 514. 1243. Nicander, ap. Ant. Lib. 32. Ovi
ib. 31. Ovid, Met. xiv. 514. 1243. Nicander, ap. Ant. Lib. 32. Ovid, Met . viii. 330. 1244. Nicander, ap. Ant. Lib. 22. Ov
b. 32. Ovid, Met. viii. 330. 1244. Nicander, ap. Ant. Lib. 22. Ovid, Met . vii. 354. We need hardly observe that the legend
a. 1270. Plat. Rep. x. 611. cum Schol. 1271. Paus. ut supra. Ovid, Met . xiii. 904. seq. 1272. Nicander ap. Athen. ut s
s 1289. Apollod. ut sup. 1290. Hesiod, Th. 270. seq. In Ovid also ( Met . iv. 773.) their number is only two. 1291. Erato
polation. 1326. Od. i. 183. 1327. Strabo. vi. 1. Mela. ii. 4. Ovid, Met . xv. 52. 707. 1328. Ἀλλοθρόους άνθρώπους. Od. ut
ch. Eur. Orest. 955. Strabo, viii. 6. 1342. Theocr. xi. 1343. Ovid, Met . xiii. 750. seq. 1344. Od. vi. 4. seq. 1345.
Δάκρυ δ΄ έκϵίνον Καὶ Σϵιρὴν γϵίτων παρθένον ῲκτίσατο. 1399. Ovid, Met . xiv. 1. seq. Hygin. 199. 1400. Tzetz. Lyc. 650.
440. See Plato, Laws, iv. p. 713. 1441. Phænomena, 100. seq. 1442. Met . i. 89. seq. 1443. So also Virgil (Buc. iv. 9.
ker, Myth. der Jap. 51., with whose views Müller agrees. 1460. Ovid, Met . iv. 631. seq. Serv. Æn. iv. 246. Tzetz. Lyc. 879
Etym. Mag. and Steph. Byz. v. Ἰκόνιoν. 1474. Apollod. i. 7. 1. Ovid, Met . i. 82. Hor. Carm. i. 3. 29. seq. Fulgent. Myth.
it. Sch. Apoll. Rh. ii. 705. 1497. De Sol. Animal. 13. 1498. Ovid, Met . i. 253. seq. Hygin. 153. Serv. Buc. vi. 41. Nonn
ôn what Eurystheus is to Heracles. 1545. Argum. Eurip. Medeia. Ovid, Met . vii. 159. seq. 1546. Arg. Eur. Med. 1547. Arg
. Sec above, p. 109. note (b) 1586. Pyth. ii. 78. seq. 1587. Ovid, Met . xii. 210. seq. He seems to have followed the dra
Il. i. 269. seq. 1591. See below, chap. iv. Heracles. 1592. Ovid. Met . xii. 189. seq. Virg. Æn. vi. 448. (Serv. in loc.
195. 1604. Apollod. i. 7. 4. Sch. Aristoph. Birds, 250. 1605. Ovid, Met . xi. 410. seq. Hygin. 65. 1606. Sch. Aristoph. u
ot known. 1619. Nicander, ap. Anton. Lib. 2. Apollod. i. 8. 2. Ovid, Met . viii. 270. seq. Sch. Aristoph. Frogs, 1236. Diod
Sec above, p. 122. 1627. Apollod. ut sup. Apoll. Rh. iv. 517. Ovid, Met . iv. 563. seq. Nonnus, xliv. 115. Ptol. Heph. 1.
, i. 363. seq. 1647. Callim. v. 107. seq. Apollod. iii. 4, 4. Ovid, Met . iii. 139. seq. Hygin. 180. 181. Nonnus, v. 287.
ler, Orchom. 161. seq. 1667. Eur. Bacchæ. Apollod. iii. 5. 2. Ovid, Met . iii. 511. seq. 1668. Il. xxiv. 602-17. It is h
s probably on account of the chorus. 1669. Apollod. iii. 5. 6. Ovid, Met . vi. 146. seq. Hygin. 9. 1670. Sch. Od. xix. 518
Antig. 834. Elec. 150. Dione, one of the Hyades, is her mother (Ovid, Met . vi. 174. Hygin. 9.). Sappho (Athen. xiii. 571.)
. 1699. Id. ut sup. Sch. Od. xii. 494. Tzetz. Lyc. 682. 683. Ovid, Met . iii. 328. seq. Hygin. 75. Apollodorus and Hyginu
p. 158.). See Paus. viii. 47. Welcker, Kret. Kol. 12. 1778. When he met Meleagros in Erebos the latter besought him to ma
r Dansk. 1781. Hesiod, Shield of Heracles. 1782. From Œta say Ovid ( Met . ix. 165. 217.) and Milton (P. L. ii. 545.). 178
ias was an epithet of the nightingale. 1805. Apollod. iii. 13. Ovid, Met . vi. 424. seq. Hygn. 45. Conon, 31. Sch. Aristoph
p. 1817. Pherecydes, ap. Sch. Od. xi. 321. 1818. Hygin. 189. Ovid, Met . vii. 661. seq. Paus. ix. 19, 1. 1819. Apollod.
ps, 1223. 1828. Apollod. ut sup. Sch. Eurip. Hyp. 1195. 1829. Ovid, Met . viii. 145. Virg. Ciris, and Geor. i. 403. 1830.
g. 271. 272. 1862. Il. xviii. 590. 1863. Apollod. iii. 15, 9. Ovid, Met . viii. 103. seq. Diodor. iv. 76. 77. Hygin. 39.40
the Gorgons when in pursuit of Perseus. 1900. Apollod. ut sup. Ovid, Met . i. 583. seq. Val. Flac. iv. 351. seq. 1901. Se
70. seq. 1943. See above, p. 288. 1944. Apoll. Rh. iv. 1513. Ovid, Met . iv. 617. 1945. Orph. Λιθιкὰ, 552. seq. Ovid, Me
h. iv. 1513. Ovid, Met. iv. 617. 1945. Orph. Λιθιкὰ, 552. seq. Ovid, Met . iv. 740. seq. 1946. Paus. ii. 20, 4. Nonnus, x
seq. 1946. Paus. ii. 20, 4. Nonnus, xlvii. 475. seq. 1947. Ovid, Met . iii. 559 ; iv. 606. 1948. Herod. vii. 61. 150.
ι Γαȋα μέλααιν̓, ἵνα θνηῶν γένος ϵἲη. 1980. Apollod. iii. 8. Ovid, Met . i. 216. seq. Hygin. 176. P. A. ii. 4. Tzetz. Lyc
ollod. ut sup. Sch. Eurip. Orest. 1662. 1985. Apollod. iii. 8. Ovid, Met . ii. 401. seq. Fasti, ii. 155. seq. Hyginus, 177.
ii. I. 1994. Theognis, 1279. seq. Apollod. ut sup. Hygin. 185. Ovid, Met . x. 560. seq. Sch. Theocr. iii. 40. Musæus, 153.
. xi. 690. Hesiod ap. Sch. Apoll. Rh. i. 156. Apollod. i. 9. 8. Ovid, Met . xii. 556. seq. 2026. As μήστωρ comes from MAΩ,
ch. Il. xii. 292. See also Apollod. iii. 1. Moschus, Idyll. ii. Ovid, Met . ii. 833. seq. Fasti, v. 605. seq. Nonnus, i. 45.
Sch. Pind. Nem. iii. 21. This legend is very pleasingly told by Ovid ( Met . vii. 517. seq.), who says that the isle was thus
ch richer in romances of chivalry. 2250. Cic. De Div. ii. 23. Ovid ; Met . xv. 558. Joh. Lydus, De Ostentis, iii. 2251. Se
8. Cicero, Tusc. i. 13. 2269. Varro, Fr. p. 223. (Bip.) 2270. Ovid, Met . i. 173. Ibis 81. 2271. Ut supra. 2272. Id.
15 (1866) Dictionnaire de mythologie
lauriers de l’abbé Delille. Les Dieux ont fait leur temps. Jupiter a mis la clef sous la porte de l’Olympe et s’est retiré
oi comparer l’artiste à l’augure et Jocrisse à une victime ? Pourquoi mettre Talma dans les entrailles de Jocrisse ? — Le Dict
dans la prose, au théâtre. Lisez attentivement votre journal, je vous mets au défi de ne pas rencontrer à chaque page une al
ement son malheur, elle se fit prêtresse de Bacchus, qui l’épousa, et mit la couronne de cette princesse au nombre des cons
t récompensé comme tous les réformateurs. On se moqua de lui et on le mit à la porte. Augias regrettait déjà les abus, parc
honneur de torturer les condamnés. Il les broya sous ses dents et les mit en quartiers. Et comme la livrée ordinaire d’un c
’attacha avec une chaîne dont les anneaux étaient des vipères. On lui mit des vipères sifflantes sur la tête et sur tout le
les semences dans les entrailles de la terre. La malheureuse mère se met à la recherche de sa fille, et, déguisée en vieil
ibles et qui est resté païen quand il s’agit de cérémonies publiques. Mettez -vous à la place des ordonnateurs de ces fêtes, et
votre cervelle, sans que vous vous en doutiez. Bon ! la voilà qui se met à sauter ; elle danse la pyrrhique, elle agite so
s fins aromates brûlent dans les cassolettes ; la table se couvre des mets les plus exquis. Damoclès s’estimait le plus heur
d’Ariane pour se guider sûrement à travers ce dédale d’allusions, qui mettent sa pénétration en défaut. Dieu vous bénisse.
s souris, dans l’appétit des poulets, etc., etc., n’ont pas manqué de mettre l’éternuement au nombre des présages. Dans Homère
ius Médicus , l’éternuement est provoqué par une certaine chaleur qui met en mouvement les parties d’où il provient. » Ce q
ce feu vient à prendre au démon, il le chasse du corps, et, l’ennemi mis en fuite, le corps demeure sain et vigoureux par
t aussi doux que les autres étaient méchants ; mais il ne faut pas le mettre en colère. Égérie. Dans une société naissan
d’en allumer un exprès pour eux. Quant à nous autres, qui n’avons été mis sur la terre que pour servir de matière à l’ambit
e a perdu la religion du foyer. Car, outre l’expropriation forcée qui met la maison paternelle sous la menace continuelle d
ait eu ce je ne sais quoi qui est tout dans les arts, et n’aurait pas mis dix ans à lécher ses ouvrages. Platon conseillai
d’un repas, elles s’abattaient sur la table, dévoraient avidement les mets et souillaient d’ordures ce qu’elles ne mangeaien
t des unicornes. Ovide le fait naître d’une métamorphose. Rabelais le met dans le pays de Satin, royaume d’Ouy-Dire. Et cep
les nôtres. Voilà deux erreurs d’histoire naturelle, en un seul vers, mises à la portée des enfants. Je trouve, dans un comme
que dis-je ? Mon père y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers to
e nature a pris à tâche de réparer l’imperfection de ses œuvres et de mettre partout le remède à côté du mal. C’est ainsi qu’e
rtaient des gages matériels de l’affection des vivants. Ainsi Achille met entre les mains de Patrocle mort les boucles de s
on ombre vers mon lit a paru se baisser, dit Racine, dans Athalie ; mettez  :   Son âme vers mon lit a paru se baisser,   le
’il se noierait dans le Pactole, d’un comptable suspect qu’il ne peut mettre la main dans le Pactole de sa caisse sans en reti
ui prenait envie d’escalader le ciel et de détrôner les dieux pour se mettre à leur place ! — Cette pensée troublait son immor
t voulut d’éprouver. Un jour qu’il venait d’immoler deux taureaux, il mit d’un côté les os, de l’autre les chairs, envelopp
, l’énerve et lui ôte toute activité. Enfin l’âne, après sa mort, fut mis au rang des constellations, pour servir d’éternel
s Louis XIV, qui ne dort que depuis cent cinquante ans environ. Je le mettrais en chemin de fer, et, descendu à la gare du Nord,
ontraire, qu’il est allé planter ses choux. Ne serait-il pas temps de mettre cette tente et cette charrue au musée des vieille
16 (1845) Mythologie de la jeunesse
les corps légers se livraient une guerre perpétuelle. Un dieu inconnu mit fin à ce désordre, en marquant à chaque élément l
des Sirènes qui portait ce nom. Au nombre des divinités de la mer, on mettait aussi les Nymphes, dont les unes étaient filles d
Pluton, elle alluma deux torches de pin aux flammes de l’Etna, et se mit à la chercher nuit et jour de tous côtés. Fatigué
conte que Jupiter se fit donner un coup de hache sur la tête pour la mettre au monde. Sous le nom de Pallas, elle présidait a
n’avait aucun droit. Latone s’y réfugia sous la forme d’un oiseau, et mit au monde Apollon et Diane sous un palmier. Le pre
roissant. [Fig. 63] Diane avait à Éphèse un temple fameux, qui fut mis au nombre des sept merveilles du monde24, et auqu
fut mis au nombre des sept merveilles du monde24, et auquel Érostrate mit le feu dans l’espoir de rendre son nom célèbre. O
Faune fils de Picus, roi des Latins, et petit-fils de Saturne, fut mis , après sa mort, au rang des dieux. C’est de lui q
e fuseau. Cependant Hercule s’arracha à ce honteux esclavage, et alla mettre le siège devant la ville d’Œchalie, pour se venge
ant couché la tête appuyée sur sa massue, il ordonna à Philoctète d’y mettre le feu. Quand le bûcher eut consumé ce qu’il y av
père, il régna sur l’Attique, et y établit de sages lois ; puis il se mit à courir de nouveau les aventures. Il prit part à
ouveau les aventures. Il prit part à l’expédition des Argonautes ; il mit en fuite les Amazones, et épousa leur reine Antio
Acrisius, roi d’Argos, avait appris de l’oracle que Danaé, sa fille, mettrait au monde un fils qui lui ravirait la couronne et
pendit la dépouille à un arbre dans un bois consacré à ce dieu, et le mit sous la garde d’un énorme dragon35 [Fig. 94]. [
uivant une autre tradition, les corps d’Étéocle et de Polynice furent mis sur le même bûcher, et l’on crut remarquer que le
e cesseraient pas de poursuivre le sang d’Œdipe et la race de Cadmus, mirent une autre famille sur le trône. Pélops. La
r que lui causait la perte de sa fille, porta la main à cet exécrable mets et en mangea une épaule. Jupiter précipita Tantal
tête d’une armée formidable, les principaux chefs de la Grèce vinrent mettre le siège devant Troie. [Fig. 102] Les plus cél
conspect, entre sans bruit dans le port ; mais le manque de vivres le met dans la nécessité de détacher une partie de ses c
Les prétendants se moquent d’abord de lui et s’opposent à ce qu’il se mettre au nombre des concurrents ; mais Pénélope les y f
revenait du Lycée, Pan la vit, et, frappé de l’éclat de sa beauté, se mit à la poursuivre. La nymphe effrayée prend la fuit
e irrita si fort les Bacchantes, qu’elles se liguèrent contre lui, le mirent en pièces, et jetèrent sa tête dans l’Hèbre. [F
a faute, qu’elle prit la fuite et se retira dans les bois, où elle se mit à la suite de Diane. La déesse lui donna un chien
17 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ntelligence et de l’esprit de rapprochement, sans lesquels on ne peut mettre aucun ordre dans ses connaissances, on sentira qu
peut être abrégé, et ceux qui le liront nous sauront gré de les avoir mis dans la nécessité de payer à ce morceau sublime l
sius, le genre humain serait détruit par un déluge, et lui ordonna de mettre par écrit l’origine, l’histoire et la fin de tout
le du soleil, nommée Sippara ; de construire ensuite un vaisseau, d’y mettre les provisions nécessaires, et d’y entrer, lui, s
té de Xixutrus lui avait mérité d’être enlevé dans le ciel, et d’être mis au rang des dieux avec ceux qui l’accompagnaient.
étrangement dans la suite. Presque dans le même temps, les Chaldéens mirent leur Bélus au rang des dieux. Les Phéniciens, les
rités, sur des principes sûrs et des bases solides, qu’elle pourra se mettre à l’abri des conceptions hasardées et des système
l’idolâtrie et des fables. Le principal but de notre ouvrage étant de mettre nos lecteurs en état de voyager avec fruit, et d’
légorie barbare de Saturne dévorant ses fils. Cependant Cybèle, ayant mis au monde Jupiter en même temps que Junon, trouva
us prétendait descendre, et sous la protection duquel ce prince avait mis son peuple belliqueux. Le nom du mois d’avril vie
u’il remporterait une victoire complète sur ses ennemis, s’il pouvait mettre en liberté ceux des Titans que son père tenait re
t les Aloïdes, attaquaient le dieu de la guerre ; mais le premier fut mis hors de combat par les flèches d’Apollon et d’Her
ile, qui l’avait prise lui-même dans Évhémère. Le père dom Pezron l’a mise dans le plus beau jour, en rapprochant, pour la s
et de la Syrie, il mourut pour s’être trop fatigué à la chasse. On le mit au rang des dieux, sous le nom de Très-Haut. Uran
tonnerre, soit par quelque autre accident, et que la violence du feu mit en fusion une quantité considérable de fer et d’a
ent Jupiter, lui fit servir les membres d’un de ses hôtes qu’il avait mis à mort. Ce crime horrible fut puni dans l’instant
’elle désirait dès qu’elle l’aurait touchée. Junon en fit l’essai, et mit au monde Mars, dieu de la guerre. Vulcain fut le
mission qu’il exécuta volontiers pour se venger de ce qu’elle l’avait mis au monde tout contrefait. Les dieux ne purent la
ue cette vache lui fût confiée, et Jupiter n’osa la refuser. Junon la mit sous la garde d’Argus, qui avait cent yeux. Cet e
atone, fit surnager cette île, et la rendit stable. Ce fut là qu’elle mit au monde Apollon et Diane. La crainte de Junon l’
uel il joignit une bibliothèque. Apollon fut banni du ciel pour avoir mis à mort, à coup de flèches, les Cyclopes qui forge
ujets qu’ils devaient sacrifier quelques portions de leurs biens pour mettre leur ville eu état de défense. Le même prince, am
entait armé de ses flèches ; et, pour exprimer qu’il était apaisé, on mettait une lyre dans sa main. Pendant les maladies conta
deux beaux chevaux qu’il avait promis à Hercule. Le héros indigné le mit à mort, embrasa la ville, et emmena prisonnier Pr
ne peau de tigre, secourut puissamment Jupiter, mais que les Géans le mirent en pièces. Cette dernière circonstance ne peut co
, voulut détruire les vignes de la Thrace. Il s’arma d’une faux et se mit à les couper. Un coup maladroitement donné retomb
chef-d’œuvre de Vulcain. Après la mort d’Ariadne, cette couronne fut mise au rang des constellations, ou plutôt on donna so
ue Métis signifie la providence.) Ayant appris du ciel qu’elle allait mettre au monde une fille d’une sagesse consommée, et un
au travail. L’art de filer indique la patience et la suite qu’il faut mettre à ses ouvrages. Les ornemens de la tapisserie ann
n des entraves que lui-même avait forgées par l’ordre de Jupiter ; il met un prix à ce service ; il devient l’époux de Vénu
nx, nymphe d’Arcadie, était de la suite de Diane. Le Dieu Pan s’étant mis un jour à sa poursuite, elle se réfugia près du f
es pierres devinrent or ; mais il en fut de même lorsqu’il toucha les mets de sa table. Pressé par la faim, il recourut à Ba
leur mémoire, et les faisaient enterrer honorablement. Quelquefois on mettait en dépôt les corps embaumés ; pour cautionner un
rbare égorgea Pélops son fils, et fit entremêler ses membres avec les mets que l’on servait aux dieux. Ils témoignèrent leur
pproche sa bouche pour chercher à se désaltérer, l’eau se retire. Les mets les plus séduisans l’environnent de toutes parts 
ient du mot grec momos, reproche. Il blâmait les dieux de n’avoir pas mis une ouverture au cœur de l’homme, pour laisser la
d’introduire un de ces reptiles dans un œuf de corneille, et l’ayant mis dans les fondations d’un temple que l’on élevait
18 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
destruction de Nisa ne suffit point à la vengeance de Minos ; il alla mettre le siége devant la ville d’Athènes. Le ciel lui-m
rétois. Un vent favorable lui fit devancer la galère de Minos, qui se mit à sa poursuite avec un grand nombre d’excellens r
éros. Hercule étant venu voir Pitthée, quitta sa peau de lion pour se mettre à table. Plusieurs enfans s’effrayèrent en voyant
mais Thésée sut défendre son père et sa couronne. Pallas fut vaincu, mis à mort, et ses partisans périrent avec lui. Après
s’en étant aperçue, trompa la déesse, et lui dit qu’Alcmène venait de mettre au monde un bel enfant. Junon, surprise, quitta s
dans les bois qui couvraient les bords du lac Stymphale ; Hercule se mit à leur poursuite, et les fit sortir du bois en fa
s qui semblaient se multiplier à mesure qu’on les détruisait. Hercule mit le feu aux roseaux pour en purger entièrement ces
cher, appuya sa tête sur sa massue, et donna l’ordre à Philoctète d’y mettre le feu. Cet ami fidèle avait juré d’obéir ; il ap
mps-là, voulut se rendre auprès d’eux ; il fut pris pour un espion et mis à mort. La peste recommença, et pour la faire ces
r la faire cesser, on établit des jeux en son honneur. Les Héraclides mirent à la voile, et parvinrent enfin à s’emparer d’Arg
e sauver son époux. Pour conquérir la Toison-d’Or, il fallait d’abord mettre sous le joug deux taureaux, présent de Vulcain, q
perfidie. Il retourna dans son vaisseau ; Médée le rejoignit, et l’on mit à la voile pour fuir les côtes de la Colchide. Ce
ngea plus qu’à s’éloigner ; il profita de l’obscurité de la nuit pour mettre à la voile. Médée l’accompagnait, et il emportait
es, en leur donnant l’horrible conseil de le couper en morceaux et de mettre ses membres dans une chaudière d’eau bouillante.
eils de Médée, est un fait entièrement dénué de vérité. Ce prince fut mis à mort par Éson, qui lui fit avaler du sang de ta
le temple de Junon ; le peuple les arracha de cet asile sacré, et les mit en pièces. Peu de temps après il survint une pest
r s’étant métamorphosé en cygne, Vénus prit la forme d’un aigle et se mit à sa poursuite ; il vint se réfugier auprès de Lé
lorsqu’il fait des sorties pour repousser leurs attaques, rien ne les met à l’abri de ses coups. Ce fut dans l’un de ces co
à l’abri de ses coups. Ce fut dans l’un de ces combats sanglans qu’il mit à mort les deux frères de sa mère Althée. Cette r
gre. Ils disent qu’à l’instant où ce héros vint au monde, les Parques mirent dans le feu un tison, et prédirent que ce prince
tans de la Messénie, de l’Arcadie et de l’Argolide. « L’armée s’étant mise en marche, entra dans la forêt de Némée, où ses g
ient au sang d’Œdipe tant qu’il en resterait une goutte sur la terre, mirent une autre famille sur le trône. Ils choisirent, t
. La ville n’était point investie ; et, comme les troupes de Priam la mettaient à l’abri d’un coup de main, on résolut d’attaquer
aisemblable), il voulut moins bâtir un temple qu’élever une tour pour mettre à l’abri d’un second déluge son peuple et lui. On
ce traité de tous les détails étrangers ou trop scientifiques, et l’a mis à portée d’être lu par toutes les classes de lect
annonçait l’avenir à ceux qui venaient la consulter. Par la suite, on mit plus d’artifice dans la manière de rendre cet ora
ranlait cette figure, elle frappait le chaudron le plus proche, et le mettait en mouvement ; tous les autres alors étaient ébra
roles, et les donnaient aux poëtes, autre sorte de ministres, qui les mettaient en vers. Ces vers étaient souvent durs, mal faits
génieuse. Elle ajoute trop d’importance à l’histoire du Nord ; elle y met trop d’intérêt, trop de poésie, si j’ose ainsi pa
n recouvrait son corps d’une seconde couche d’argile, sur laquelle on mettait un bois de cerf ou de quelque autre bête fauve, q
a mort comme un moyen assuré de parvenir à une vie plus heureuse. Ils mettaient une grande différence entre ceux qui mouraient pa
uvenir, elles leur lisaient les poëmes et les romans dans lesquels on mettait en action tout ce que l’héroïsme peut produire. N
19 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
angage Que les Muses nomment divin ; Disons en deux mots, que le Sage Met toujours de l’eau dans son vin. Maréchal 14. L
.    Mercure se dispose à prendre son essor, A ses pieds immortels il met ses ailes d’or, Dont il perce les airs lorsque, d
bien le vendez-vous ? — Six ducats, en honneur !         Ce n’est pas mettre à sa valeur         Des Dieux et des hommes le ma
dépens de la bouche, Qui trompent l’appétit ; moins d’éclats, plus de mets  : Ou ne se nourrit point de bijoux, de hochets ;
ps, mais à dose légère, Et ne remplissez pas constamment votre verre. Mettez un intervalle égal et mesuré Entre tous vos plais
it.    Hier, en un cercle nombreux On disputait sur le Silence, On le mettait au rang des Dieux, Et l’on avait raison, je pense
i les vases saints innocemment se glisse, Goûte en les effleurant les mets du sacrifice, Fuit, rentre, et se replonge au fon
eçut de l’étranger les tributs volontaires. Sénat d’un peuple-roi qui mit le monde aux fers, Conseil de demi-Dieux qu’adora
ide, Pourrai-je te le pardonner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on qu’au-delà du be
trompeur et délectable, Que ta malignité nous sert ! L’espérance nous met à table, L’ennui nous attend au dessert. Déjà tou
r un travail facile, Et consumés par un usage utile ; Des fruits pour mets , le printemps pour saison ; Des lits de fleurs, u
   Heureux le siècle où les tables champêtres Ne recevaient que des mets innocens, Du lait, des fruits, des herbages naiss
non, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme fatale, et leur rivalité mit la discorde dans l’Olympe. On représente la Disco
ois plus en lui les restes de mon sang, S’il m’arrache du trône et la met en mon rang.    Reste du sang ingrat d’un époux
perçus Atropos, qui, d’une main cruelle, Voulait couper le fil, et la mettre au tombeau. J’en avertis l’Amour ; mais il veilla
té chassé du Ciel par Jupiter. Ce Prince mérita par ses vertus d’être mis au rang des demi-Dieux. Son temple, élevé par Rom
le héros dresse son bûcher, s’y étend, et prie son ami Philoctète d’y mettre le feu. Ainsi finit Alcide. Placé dans le Ciel ap
a sous ses propres yeux les deux enfans qu’elle avait eus de lui, les mit en morceaux et les lui servit dans un repas. Aprè
ez Philoctète . Agamemnon, Roi de Mycène et d’Argos. Il fut mis à la tête des Rois Grecs, ligués contre la ville
en semant la discorde et la guerre dans sa famille, et en le faisant mettre en pièces par sa propre mère et par ses tantes.
s Dieux sur moi si long-temps suspendue Semble ôter le bandeau qu’ils mettaient sur ma vue.) Dans un chemin étroit je trouvai deu
us remportez, dit-il, et je suis arrêté : Je vois bien à quel prix on met ma liberté ; Vous voulez que des temps je vous ch
ais que dis-je ? mon père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères mains. Minos juge aux Enfers tous
use ! Eh ! qu’attendre en ce triste abandon Que mon frère en courroux mette en cendres Carthage ! Qu’Iarbe, triomphant, m’ent
g de son épouse. Ce Dieu décora sa tête d’une couronne étoilée, qu’il mit après sa mort au nombre des constellations. Ari
de si rudes peines. Allons, partons, Nérine, et volons vers Athènes. Mettons un prompt obstacle à ce qu’on lui promet : Elle n
stacle à ce qu’on lui promet : Elle n’est pas encore où son espoir la met . Th. Corneille 185.    Aux rives de Naxos Aria
emmes. Les Bacchantes irritées de son indifférence pour leur sexe, le mirent en pièces, et jetèrent sa tête dans l’Hèbre. Orph
vaines Ombres, Des vierges que l’hymen attendait aux autels, Des fils mis aux bûchers sous les yeux paternels, Victimes que
s répétaient Eurydice ! Eurydice ! Virgile. —  Dellile 192. Orphée mis en pièces par les Bacchantes.    Tandis qu’autour
as ; elle refusait toujours de répondre à ses vœux. Les Dieux voulant mettre un terme à ces poursuites importunes, changèrent
t de leur ombre. L’œil de ses sables d’or aurait compté le nombre. Je mets un pied dans l’onde, et jusques aux genoux Entran
t l’enchaîne à jamais dans le sein des ténèbres. Cesse, tendre Vénus, mets fin à tes douleurs, Une autre année encor fera co
Enfers. Sophocle. —  La Harpe. Marsyas. Satyre Phrygien qui mit le premier en chant les hymnes sacrés. Il fut aim
rts De son esprit, plus charnu que son corps, Bien est-il vrai qu’ils mirent à sa suite Deux assistans chargés de sa conduite,
ut : la chair, le sang des misérables Sont sa boisson affreuse et ses mets exécrables. J’ai vu, j’ai vu moi-même, oui, j’ai
s, dépouilles des forêts, Quelques sauvages fruits, voilà mes tristes mets . Mes yeux des vastes mers parcouraient l’étendue 
, De ses quatre coursiers l’impétueux passage, Imitait la tempête, et mettait dans ses mains Les secrets du Tonnerre ignorés de
ns. Mais Jupiter lança le véritable foudre ; Un seul coup de son bras mit tout l’ouvrage en poudre, Et le monarque impie, e
que le meurtre et les embrasemens ; Les remparts abattus, les palais mis en cendre Sont de ta cruauté les plus doux monume
eaux sur la mer orageuse,            Tout reconnaît tes lois. Le Ciel mit sur nos yeux le sceau de l’ignorance, De nos obsc
es plaisirs toujours trop peu goûtés, Les vins les plus parfaits, les mets les plus vantés Sous des lambris dorés qu’habite
res ! On les vit se nourrir des cendres de leurs pères. Ce détestable mets avança leur trépas, Et ce repas, pour eux, fut le
, De nous donner leur lait, de nous céder leurs laines ? Pourtant nos mets flatteurs, nos perfides boissons, N’ont jamais da
issons, N’ont jamais dans leur sang, fait couler leurs poisons. Leurs mets , c’est l’herbe tendre et la fraîche verdure : Leu
t l’ennui des confrères. Chez eux Comus habile à dessiner L’ordre des mets et le plan d’un dîner, N’avait jamais, dans sa va
gêne et le faux compliment, Affranchissait l’étiquette captive ; Les mets exquis, mais offerts simplement, Etaient sans art
20 (1800) Cours de mythologie pp. -360
    Mercure se dispose à prendre son essor, A ses pieds immortels il met ses ailes d’or, Dont il perce les airs lorsque, d
bien le vendez-vous ? — Six ducats, en honneur !         Ce n’est pas mettre à sa valeur         Des Dieux et des hommes le ma
és, environnés d’esclaves : Ses heureux favoris commandent. L’Univers Met à leurs pieds les fruits de vingt climats divers,
i les vases saints innocemment se glisse, Goûte en les effleurant les mets du sacrifice, Fuit ; rentre, et se replonge au fo
se couvrent jamais que de feuilles stériles. Nous n’avons point voulu mettre l’honneur à prix. Pour venger l’olivier d’un inju
urore demain, en dissipant les ombres, Ramènera le jour, où le sage a Mit son trône naissant sous l’appui de Vesta. L’Immor
eçut de l’étranger les tributs volontaires. Sénat d’un Peuple-Roi qui mit le monde aux fers, Conseil de demi-Dieux qu’adora
ide, Pourrai-je te le pardonner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on qu’au delà du be
trompeur et délectable, Que ta malignité nous sert ! L’Espérance nous met à table, L’ennui nous attend au dessert. Déjà tou
r un travail facile, Et consumés par un usage utile ; Des fruits pour mets , le printemps pour saison ; Des lits de fleurs, u
    Heureux le siècle où les tables champêtres Ne recevoient que des mets innocens, Du lait, des fruits, des herbages naiss
non, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme fatale, et leur rivalité mit la discorde dans l’Olympe. On représente la Disco
ois plus en lui les restes de mon sang, S’il m’arrache du trône et la met en mon rang     Reste du sang ingrat d’un époux
perçus Atropos, qui, d’une main cruelle, Vouloit couper le fil, et la mettre au tombeau. J’en avertis l’Amour ; mais il veillo
té chassé du Ciel par Jupiter. Ce Prince mérita par ses vertus d’être mis au rang des demi-Dieux. Son temple, élevé par Rom
le héros dresse son bûcher, s’y étend, et prie son ami Philoctète d’y mettre le feu. Ainsi finit Alcide. Placé dans le Ciel ap
a sous ses propres yeux les deux enfans qu’elle avoit eus de lui, les mit en morceaux et les lui servit dans un repas. Aprè
ez Philoctète. Agamemnon, Roi de Mycène et d’Argos. Il fut mis à la tête des Rois Grecs, ligués contre la ville
en semant la discorde et la guerre dans sa famille, et en le faisant mettre en pièces par sa propre mère et par ses tantes.
us remportez, dit-il, et je suis arrêté : Je vois bien à quel prix on met ma liberté ; Vous voulez que des temps je vous ch
ais que dis-je ? mon père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères mains. Minos juge aux Enfers tous
g de son épouse. Ce Dieu décora sa tête d’une couronne étoilée, qu’il mit après sa mort au nombre des constellations. Ari
de si rudes peines. Allons, partons, Nérine, et volons vers Athènes. Mettons un prompt obstacle à ce qu’on lui promet : Elle n
stacle à ce qu’on lui promet : Elle n’est pas encore où son espoir la met …. Th. Corneille 189. Aux rives de Naxos Ariane
emmes. Les Bacchantes irritées de son indifférence pour leur sexe, le mirent en pièces, et jetèrent sa tête dans l’Hèbre. Orph
vaines Ombres, Des vierges que l’hymen attendoit aux autels, Des fils mis aux bûchers sous les yeux paternels, Victimes que
as ; elle refusoit toujours de répondre à ses vœux. Les Dieux voulant mettre un terme à ces poursuites importunes, changèrent
és d’arbres divers, L’ombre des peupliers, des saules demi-verts. Je mets un pied dans l’onde, et d’un bain solitaire Invit
t l’enchaîne à jamais dans le sein des ténèbres. Cesse, tendre Vénus, mets fin à tes douleurs, Une autre année encor fera co
ers. Sophocle. —  La Harpe 207. Marsyas. Satyre Phrygien qui mit le premier en chant les hymnes sacrés. Il fut aim
rts De son esprit, plus charnu que son corps, Bien est-il vrai qu’ils mirent à sa suite Deux assistans chargés de sa conduite,
ns. Mais Jupiter lança le véritable foudre ; Un seul coup de son bras mit tout l’ouvrage en poudre, Et le monarque impie, e
que le meurtre et les embrasemens ; Les remparts abattus, les palais mis en cendre Sont de ta cruauté les plus doux moens.
aux sur la mer orageuse,             Tout reconnoît tes lois. Le Ciel mit sur nos yeux le sceau de l’ignorance, De nos obsc
t le voit, et soudain, Ebloui par l’éclat de ce trésor fragile, Il se met à courir après l’insecte agile*         Le papill
es plaisirs toujours trop peu goûtés, Les vins les plus parfaits, les mets les plus vantés Sous des lambris dorés qu’habite
, De nous donner leur lait, de nous céder leurs laines ? Pourtant nos mets flatteurs, nos perfides boissons, N’ont jamais da
l’ennui des confrères. Chez eux Comus habile à dessiner L’ordre des mets et le plan d’un dîner, N’avoit jamais, dans sa va
gêne et le faux compliment, Affranchissoit l’étiquette captive ; Les mets exquis, mais offerts simplement, Etoient sans art
Londre, il a formé la secte turbulente, Qui sur un Roi trop foible a mis sa main sanglante. Dans Madrid, dans Lisbonne, il
21 (1823) Mythologie des dames
toutes les facultés du monde moral. Là, pour nous enchanter tout est mis en usage ; Tout prend un corps, une ame, un espri
n père Acrise, roi d’Argos, qui avait appris de l’oracle qu’il serait mis à mort par un fils de sa fille. Le fils de Jupite
rois yeux. Les Libyens, qui l’adoraient sous le nom de Jupiter ammon, mettaient deux cornes de bélier sur sa tête. Le Jupiter plu
ssant trop près de la Terre, brûle les plaines, tarit les fleuves, et met à sec le lit des mers. Les flammes du char, élanc
ncendie général, lève ses mains vers le ciel, et implore Jupiter, qui met fin à ces désastres en foudroyant le malheureux P
vaines ombres, Des vierges que l’Hymen attendait aux autels, Des fils mis au bûcher sous les yeux paternels, Victimes que l
laissa que le fourreau ; un autre jour, Vénus le caressant et l’ayant mis sur ses genoux, il profita de la circonstance pou
nant qu’on ne lui dérobât les beaux fruits de son jardin, qu’il avait mis sous la garde d’un affreux dragon, ordonna à Pers
dans la bouche desquels leurs parents, lors de leur trépas, n’ont pas mis une obole pour payer le passage de l’Achéron. Éné
le, toujours accompagné de la prêtresse d’Apollon. A peine eurent-ils mis le pied sur le rivage des morts, qu’ils trouvèren
avait fait vœu de virginité. La rigueur et les mépris de cette déesse mirent long-temps sa constance à l’épreuve, et peut-être
le troupeaux, et des jardins remplis de fruits délicieux, qu’il avait mis sous la garde d’un affreux dragon. Persée, après
ue ses troupeaux vont au pâturage : alors Ulysse et ses compagnons se mettent sous le ventre des béliers qui étaient d’une gros
oix de la nymphe Écho, fille de l’Air et de la Terre. Jupiter l’ayant mise dans la confidence de ses amours, pour écarter le
e s’élevait un autel, et un petit bûcher, auquel un des propriétaires mettait le feu. Bientôt on répandait sur le brasier du vi
22 (1909) The myths of Greece and Rome
ssa, they immediately set out on their journey, inquiring of all they met if they had seen their sister. Search and inquiry
and, from force of habit, journeyed on, patiently questioning all he met . Soon he perceived a cow leisurely walking in fro
at her husband was faithless, and paid court to a fair maid who daily met him at noonday in the forest solitudes. Procris,
og Sirius at his heels. One day, in the dense shade of the forest, he met a group of Diana’s nymphs, the seven Pleiades, da
he resumed his favourite sport, and hunted from morn till eve. Diana met him in the forest, and, sharing his tastes, soon
rtain the cause of the rustle which had caught her practised ear, and met the admiring gaze of the astonished young hunter.
e found her beloved Adonis cold in death, and her passionate caresses met with no response. Then she burst into such a pass
alkative nymph Echo lived free from care and whole of heart until she met Narcissus, hunting in the forest. This frivolous
e wandered about disconsolate, seeking Cupid, and questioning all she met , the nymphs, Pan, and Ceres, who compassionately
could not refrain from indulging his caprice for every pretty face he met along his way. It is thus, therefore, that he yie
ther precaution of spreading a cloud over the spot where he generally met her, to shield her from all chance of being seen
he Pirates During these long journeys, Bacchus, as was inevitable, met with many adventures, which have been fertile the
te, and cup turned to gold, as did the food and drink as soon as they met his eager lips. “Whose powerful hands the bread
to but very few); and of obtaining the pardon of criminals whom they met by accident on their way to the place of executio
ut to seek his fortunes. He had not gone very far, however, before he met two beautiful women, who immediately entered into
( Conington’s tr.). The assembled force then attacked Hercules, who met their onslaught single-handed, defeated them, and
mined to travel about until he gained some information. On his way he met with many adventures, and saw many strange sights
many adventures, and saw many strange sights. For instance, he first met the nymphs of the Eridanus River, and, questionin
cules and Deianeira In the course of his wanderings, Hercules next met Deianeira, daughter of Œneus, and, having fallen
figure-head how he had better proceed. On his way to the sea-shore he met the king’s daughter, Medea, a beautiful young sor
ent ashore to reconnoitre; but they had not gone very far before they met the natives, seated under their favourite trees,
out alone to rescue his comrades; but he had, not gone far before he met a youth, — Mercury in disguise, — who warned him
find her still alive. But on the threshold of his once happy home he met her disembodied spirit, and heard her bid him see
to Epirus, where they again effected a landing. In this country they met the sorrowing Andromache, Hector’s widow, the sla
ns, where all the ghastly sights and sounds we have already described met them on every side. Charon quickly ferried them o
nymphs by the intervention of the gods, and, sailing down the Tiber, met Æneas, and warned him to hasten to his son’s resc
ty, had taken the place of his chariot driver. The two heroes, having met , instantly closed in deadly fight; but, in spite
eus, king of, 156; Creon, king of, 190; Œdipus, king of, 246-255 The′ mis . One of the six female Titans, 6, 10; goddess of
23 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
spettita Giunone di quel che era, la chiese in dono, ed ottenutala la mise sotto la guardia del pastore Argo che aveva cento
ea della guerra e collo scudo nell’altra ; il teschio di Medusa le si mette su l’egida o corazza e sul petto da alcuni, da al
per altro nudi ; come porta scoperta la parte dritta del seno. Le si mette la mezza luna soventi su la testa. Passeggia alle
incinta e dopo avere mosso dei dubbi su la divinità del suo amante le mise in animo un’ardente brama di veder Giove in tutta
gliendo fiori. Plutone la vide, ed invaghitosene, corse a rapirla, la mise sul suo carro e la trasportò nell’inferno. Non va
unone osò dichiararle la propria passione. Giove da essa avvertito lo mise alla prova e convintosi della verità, preso da gi
eci è Flora secondo i Latini ; e l’imeneo di questa amabile coppia si mette in primavera.   Zeffiro   Si venerava Flo
nuvole, e stillante acqua da tutte le parti de’ suoi vestimenti ; si mette anche seduto nella caverna di Eolo in atto di asc
Cefalo, avendolo prima rapito a Procri di lui moglie, colla quale lo mise in discordia per farsi amare ; ma non passò molto
trano sul loro cammino. Le sta vicina la Discordia che colle sue faci mette fuoco ai tempii ed ai palazzi ; ed in certa dista
ra per esempio è coronata di fiori e appresso lei evvi un arbusto che mette le prime foglie ; tien essa da una mano nu capret
za verso quest’ultima, le fece dono della testa di Medusa ch’essa non mise su lo scudo ma su l’egida. Sostengono altri che P
testa di lui nell’ Ebro ora Maritza fiume di Tracia che nel mar Egeo mette le sue foci. Così la morte di una sol donna rapì
stato funesto, come asserirono alcuni, ella d’accordo col padre suo, mise il dono della sua mano ad una condizione capace d
è de’ Troiani superstiti, e fabbricata co’ legni d’Ida una flotta, si mise in mare. Dopo molte vicende sbarcò in Italia alle
24 (1842) Heathen mythology
him. ‌ The nymph Psyche was one of those exquisite beings, so seldom met with in the present degenerate days; and even the
in the enchanted place, astonished at the many wondrous things which met his eye, he beheld ——— “The realized nymph of th
d. The only mitigation of his sorrow, was that when in Thessaly “He met with the same as himself,” and obtained with the
ccess.” Ovid. Miserable, but not cast down, by the many refusals he met with, Vertumnus took a thousand shapes to influen
youth is abroad in my green domains. But ye! ye are changed since ye met me last! There is something bright from your feat
r smile hath a dimness yet — Oh! what have ye looked on since last we met ? Ye are changed, ye are changed! and I see not h
eir mirth from the mountains passed? Ye have looked on death since ye met me last! I know whence the shadow comes o’er you
anner folds,     A peal of stormy drums, — All these are in thy music met ,     As when a leader comes.     “Thou hast been
ld, — His sinews I knotted;     His tale is told.” South Wind.     “I met two young lovers,     And listed their vows, Wher
Tyndarus. Becoming enamoured of the two women whose nuptials they had met to celebrate, they resolved to carry them off. Th
husband’s wrongs, destroyed him with their own hands. Their credulity met with a severe punishment, for Medea refused to re
which he had thrown in the air: this proved to be Acresius, who thus met the fate the oracle had decreed, and to avoid whi
ndering the road almost impassable: however, these obstacles were all met , and destroyed by his courage. He arrived at Athe
retired in disgust to the court of Lycomedes, King of Scyros. Here he met with apparent sympathy, but Lycomedes soon showed
nyme_heathen-mythology_1842_img216 As he travelled towards Phocis, he met , in a narrow passage, Laius, his father, in a cha
d with rage, Returned his menace, and bade him retire. Already had we met : he from his side, Unsheathed a dagger, and upon
the attack. The Gods again mingled in the fight. Hector and Achilles met in fierce combat, and the first fell gloriously.
e ambassador, explained to the king the object of his mission, he was met by a stern refusal, which so irritated the warrio
eaving its quiet on one occasion, she was scared at the reception she met with, and returned to her hiding place, which is
found that she, for whom he looked, was absent: the bloody veil alone met his anxious gaze, which he instantly recognized,
gy_1842_img256 Hero was a priestess of Venus, at Sestos, whom Leander met during one of the festivals held annually at the
o. But the sorrowful morning came, and —————— “They parted, but they met again — The blue sea rolled between them — but in
25 (1836) Mitologia o Esposizione delle favole
n vacca. Sospettando Giunone di quel che era, la chiese in dono, e la mise sotto alla guardia del pastore Argo che aveva cen
e fatto espertissimo arciero, il serpente Pitone colle sue frecce poi mise a morte. Superbo di questa uccisione si fece Apol
cui odiandolo si diede con tutta possa a fuggirlo. Con pari ardore si mise Apollo ad inseguirla, e già slava per raggiugnerl
ne era incinta, Giunone assunta la figura di Beroe di lei nutrice le mise in animo un’ ardente brama di veder Giove in tutt
odo, in Mecona o Sicione, uomini e Numi tra lor disputavano, Prometeo mise innanzi un gran bue furbescamente diviso. Da una
a. Ma Galantide ancella di Alcmena di ciò accortasi, studiosamente si mise a gridare: Alcmena pur finalmente ha partorito; i
Euristeo. 5. Col rumore de’ cembali di metallo prestatigli da Minerva mise in fuga sul lago Stinfalo in Arcadia gli sparvier
te le sue saette, ottenne da Giove una pioggia di sassi, co’ quali li mise in fuga, e il luogo ebbe poscia il nome di campo
ti gli uccidevano; Ercole con lor provandosi li superò, ed ambedue li mise a morte. Mentre tornava dalla spedizione contro d
de’ Troiani superstiti, e fabbricata co’ legni d’ Ida una flotta, si mise in mare. Approdò prima nella Tracia, ove menre ta
26 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo II pp. 3-387
, scorse quà e là per trovarne dell’altra. Giunto all’antro Corcireo, mise il piede nel fango ; ed estraendolo, ne sortì un
llo spavento, si diede alla foga, ed Ercole neppure si mosse, anzi le mise , come abbiamo detto, a morte (b).Alcuni pretendon
estò nell’animo d’Euristeo sentimenti di gelosia riguardo a lui, e lo mise nel timore d’esserne detronizzato. Quel Sovrano p
sa di Folo. Ercole stette ad attenderli, e parte ne trucidò, parte ne mise in fuga. Folo stesso morì di una ferita, che gli
uccise(a). Mnasea appresso lo Scoliaste d’ Apollonio dice, ch’ Ercole mise a morte non uccelli, ma certe donne Stinfalidi, p
no il passaggio. Attaccò poscia le Amazoni, parte ne uccise, parte ne mise in fuga, tolse la zona ad Antiope, la condusse vi
nel combattimento(a). L’ Eroe poi saccheggiò a Neleo la sua città, e mise a morte lui, e tutti i figli(13), che avea avuto
fatta violenza, uccise i pirati, restituì le giovani al loro padre, e mise a morte anche lo stesso Busiride(b). Altri in alt
Vicino al sepolcro d’Eono si consecrò un tempio ad Ercole(b). L’Eroe mise a morte Filolao, figlio di Minos, re di Creta, e
andava a togliere i buoi a Gerione, lasciò la giovine incinta. Pirene mise al mondo un serpente, di cui ne concepì sounno or
ch’erano sopravanzate nel suo vascello, e in particolare delle fave. Mise il tutto a cuocere in una pentola, e lo mangiò co
l più feroce di tutti i Centauri, riscaldato soverchiamente dal vino, mise sossopra tutta la mensa, e tentò di rapire la spo
ta di numerosa gente erasi portata in soccorso di Troja(7). Alfine la mise a morte(8), e nello spogliarla della sua armatura
bolezza sì aspramente, che Achille con un pugno lo uccise(9). Achille mise pure a morte Calcone, nato in Ciparisso, città de
sì avvenne ; e Ulisse, proveduto di ben corredata nave, nuovamente si mise in mare(15). Viaggiò dieci sette giorni felicemen
n tale guisa le orecchie per non udire la voce di chi a se lo chiama, mette in vista la proprietà della Disobbedienza, la qua
a forma di falee. (a). Job. Jacob. Hofman. Lex. Univ. (a). Ovid. Met . l. 4. (6). Dal sangue di Medusa oltre il caval
, corse ad abbraccare quell’albero, spoglio di frondi, e il qua le ne mise fuori in quell’istante, come se Fillide fosse sta
, Cassandra(b). Privò di vita Festo, figlio di Boro, della Meonia(c). Mise a morte Erimante(d), Enomao, e Alcatoo, figlio di
, voleva anche recider gli il capo ; ma Ajace, figlio di Telamone, lo mise in fuga, e trasportò il corpo dell’estinto ne’suo
27 (1897) Stories of Long Ago in a New Dress
re the queen of heaven seemed to hate her. At last, one day when Juno met her in the forest, hunting and singing as she wen
ment, what use Cupid made of these curious arrows of his. When Apollo met Cupid thus armed, he began to taunt him. “What ha
passed on, until one day, as Orpheus was walking on the mountain, he met a band of dancing women who were singing gay song
d his mother all that had happened to him, and, above all, how he had met fair Andromeda, which is the story I am going to
her father’s stream. One day, when Jupiter had come down to earth, he met Io in the woods and began to talk to her. And he
val, in which all the young men of Greece and the neighboring islands met to try their skill in various games. When the pri
ed out of sight and only the water, with the dazzling sunlight on it, met her tearful gaze. Then she went sadly back to her
dy, and he might just as well choose this merry little hunter whom he met so often in the woods. But whatever the reason wa
28 (1833) Classic tales : designed for the instruction and amusement of young persons
nform to this custom. When he first entered the palace of Cecrops, he met the princess Aglauria. He had folded up his wings
, weeping bitterly at the metamorphosis he had undergone. He was soon met by one of his own dogs, who did not know him, but
f all this extravagance, the aged Cadmus came out into the woods, and met his daughters and their companions. He instantly
d upward, as if to implore the gods to take pity on her, but her eyes met those of Perseus, whom she imagined to be Mercury
‘Cease, goddesses of Thespia,’ said one of these sisters to us, as we met her in the Yale of Tempe; ‘cease to pretend that
a quiver at his back. Soon after Apollo had conquered the Python, he met Cupid in the woods. Apollo told him, contemptuous
ine or human. One day as Syrinx was descending from Mount Lyceus, she met the god Pan, a rural deity, who was a great favou
gaged a native of the country to be my guide. “During our journey, we met with nothing extraordinary; but a few days after
29 (1898) Classic myths in english literature
be was dismissed from her position in consequence of a fall which she met with one day when in attendance on the gods. Her
ut of its course to make it strike Hyacinthus. § 75. While this youth met his death by accident, another of Apollo’s favori
but there was no remedy. The condition imposed by the Fates had been met , and the decree was irrevocable. As Admetus reviv
f some god. She approached the building and entered. Every object she met filled her with pleasure and amazement. Golden pi
ove, And found his footsteps’ traces everywhere. But never more they met ! since doubts and fears, Those phantom-shapes tha
out the stars, and the sun had melted the frost from the grass, they met at the accustomed spot, and arranged a meeting fo
e wood, and reached an open space where the chief scene of the orgies met his eyes. At the same moment the women saw him, a
is javelin at the spot. A cry told him that the weapon had too surely met its mark. He rushed to the place, and raised his
daughter of Æolus.219 Their reign was happy until the brother of Ceÿx met his death. The direful prodigies that followed th
id: “Thou receivest the merited reward of thy deed, by which Eurydice met her death. To avenge her, the nymphs have sent th
ing to Delphi, accompanied only by one attendant. In a narrow road he met Œdipus, also in a chariot. On the refusal of the
Patroclus also descended to complete his victory. Thus the two heroes met face to face. At this decisive moment the poet, a
b and sacrificing upon it, according to the rites of the ancients, he met by the way his sister Electra. Mistaking her for
means he might deliver his companions. As he strode onward alone, he met a youth who addressed him familiarly, appearing t
ed by Circe of the two monsters Scylla and Charybdis. We have already met with Scylla in the myth of Glaucus. She dwelt in
ces, and did not conceal themselves from solitary wayfarers when they met them. They had abundance of wealth, and lived in
tions, and in due time proceeded to the city, on approaching which he met a young woman bearing a pitcher forth for water.
r on the ringing plains of windy Troy. I am a part of all that I have met ; Yet all experience is an arch wherethro’ Gleams
other, and each of them began to eat as fast as he could, until they met in the middle of the trough. But it was found tha
ourse Hugi so much outstripped his competitor that he turned back and met him not far from the starting-place. Then they ra
starting-place. Then they ran a second and a third time, but Thialfi met with no better success. Utgard-Loki then asked Th
ed Thor how he thought his journey had turned out, and whether he had met with any men stronger than himself. Thor told him
Balder, though the brightest god of heaven, and best beloved, had but met the doom ordained at his birth by the Norns. Rath
Hela that she yield Balder back to heaven.” Höder returning cityward met Hermod, swiftest of the gods, — Nor yet could He
mn queen; For all the nobler souls of mortal men On battle field have met their death, and now Feast in Valhalla, in my fat
in the golden glow. Then she turned and gazed on Sigurd, and her eyes met the Volsung’s eyes. And mighty and measureless no
measureless now did the tide of his love arise, For their longing had met and mingled, and he knew of her heart that she lo
eyed as her father, so that few durst look under the brows of her,” — met , by stress of love and treachery, a foul end in a
him hate. Young Giselher and Gernot proffered all courtly care; Never met friend or kinsman reception half so fair. One da
ther in entering the cathedral for the celebration of the mass. Both met before the minster in all the people’s sight; The
cal Æthiopians who lived in the land of gloaming, where east and west met , and whose name signifies “dark splendor.” His bi
757; later, in full by C. H. Myller, by K. K. Lachmann, Nibelunge Not mit der Klage, 1826; by K. F. Bartsch, Der Nibelunge
ble; (3) of Arcadia, see p. 526, Messe′ne, 282. Messe′nia, Com. § 78. Met ′abus, 356. Metamor′phoses, 29. Metempsycho′sis,
, in Egypt, 53. Thebes, the Seven against, 25, 223, 272, 273-276. The′ mis , 38; attributes of, 72; Com. §§ 28, 32. Theoc′ri
s II., son of Hip′po-tes. Identified by Homer (Od. x, 2) and by Ovid ( Met . xiv, 224) with Æolus III., king of the Winds. Mi
30 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
out the stars, and the sun had melted the frost from the grass, they met at the accustomed spot. Then, after lamenting the
cry from his beloved Procris told him that the weapon had too surely met its mark. He rushed to the place, and found her b
Diana’s of silver. One day, as she was returning from the chase, Pan met her, told her just this, and added more of the sa
eet where the procession passed, and the lamentations of the mourners met the ears of her whom the avenging deity had alrea
, she approached the building and ventured to enter. Every object she met filled her with pleasure and amazement. Golden pi
   And found his footsteps’ traces every where. “But never more they met since doubts and fears,     Those phantom-shapes
de no impression on the monster. Cadmus next threw his javelin, which met with better success, for it penetrated the serpen
Laius being on his way to Delphi, accompanied only by one attendant, met in a narrow road a young man also driving in a ch
mples for the victory of her son, the bodies of her murdered brothers met her sight. She shrieks, and beats her breast, and
Hebe was dismissed from her office in consequence of a fall which she met with one day when in attendance on the gods. Her
he wood and reached an open space where the chief scene of the orgies met his eyes. At the same moment the women saw him; a
eas loved the nymph Orithyia, and tried to play the lover’s part, but met with poor success. It was hard for him to breathe
but there was no remedy. The condition imposed by the Fates had been met , and the decree was irrevocable. Alcestis sickene
oke: “You receive the merited reward of your deeds, by which Eurydice met her death, for in flying from you she trod upon a
Patroclus also descended to complete his victory. Thus the two heroes met face to face. At this decisive moment the poet, a
means he might deliver his companions. As he strode onward alone, he met a youth who addressed him familiarly, appearing t
ed by Circe of the two monsters Scylla and Charybdis. We have already met with Scylla in the story of Glaucus, and remember
ces, and did not conceal themselves from solitary wayfarers when they met them. They had abundance of wealth and lived in t
ctions and in due time proceeded to the city, on approaching which he met a young woman bearing a pitcher forth for water.
other, and each of them began to eat as fast as he could, until they met in the middle of the trough. But it was found tha
ourse Hugi so much outstripped his competitor that he turned back and met him not far from the starting place. Then they ra
starting place. Then they ran a second and a third time, but Thialfi met with no better success. Utgard-Loki then asked Th
ed Thor how he thought his journey had turned out, and whether he had met with any men stronger than himself. Thor told him
31 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
t seats were reserved for their use at all public spectacles. If they met a criminal on his way to execution, they had the
y were reunited, and Zeus made her immortal.10 “But never more they met ! since doubts and fears,     Those phantom-shapes
lay and water, after which Athene breathed a soul into them. The gods met at Mecone*, in order to adjust the privileges and
and took the way towards Thebes. In driving through a narrow pass, he met an old man, and a herald, driving in a chariot, a
avenge the death of their father. Her prayer was granted. The youths met and slew the sons of Phegeus, and then went to Ps
d her on his shoulders and carried her through Arcadia. On his way he met Artemis (Diana) and her brother, Apollo. The godd
en killed those whom he vanquished. On the banks of the Cephissus* he met the giant Damastes*, called Procrustes* (Stretche
lled the Symplegades*, which floated about in the sea, and constantly met and separated, crushing everything that came betw
nt to the temple of Hecate to supplicate that mighty goddess, and was met there by Medea*, daughter of Æetes, and a great e
ng at Sparta, where Menelaus*, the husband of Helen, was reigning, he met with a hospitable reception. Menelaus soon after
olved to make an effort to rescue them. As he strode onward alone, he met a youth who addressed him familiarly, and announc
32 (1900) Myths of old Greece in story and song
d all through the night, seeking and calling in vain. As often as she met a spirit of sleep, or of dreams, she would stop i
ways cheerful and strong. When he was a mere babe of a few months, he met his first great danger. His mother, Alcmena, had
epth of the sea. The search for Atlas was long and hard, and Hercules met with many strange adventures. In Libya he fought
high and he was doing wonderful deeds of valor. There in the plain he met the mighty Hector, but his power left him, for th
the day Achilles moved along the line, looking for Hector. Once they met for a moment, but the god Apollo, who loved Hecto
t have gone hard with the hero, but that upon the way the god Mercury met him. He warned Ulysses of the danger before him,
Became King of Argos, 144. Phæ΄c ians. The last people whom Ulysses met in his wanderings. They sent Ulysses home with ri
33 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo I pp. 3-423
serbati alle sole anime virtuose(18) ; alla sinistra avvi quella, che mette all’ orrida carcere, detta il Tartaro(19), e di c
o ricaduto con impeto sul capo di Giacinto, talmente lo colpì, che lo mise a morte. Apollo ne pianse l’amara perdita, e lo c
vicinavano alla loro città ; che il medesimo andò loro incontro, e li mise in fuga coll’ajuto di Apollo ; e che questi vibrò
fece alcun male ; e presa la fuga, montò in un naviglio, che da se si mise in viaggio. I venti la portarono al luogo stesso,
va in Corinto un tempio, ov’era adorata in memoria del freno, ch’ella mise al cavallo Pegaso, quando Bellerofonte volle serv
di fanciullo riuniva in se la prudenza e gravità dell’ età matura, si mise allora a favellare, e tutte le parole di lui, scr
nta, che abborriva perfino la società degli uomini, tese l’arco, e li mise a morte(e). Virgilio però vuole, che sieno stati
osia il giorno. Ma la di lui madre, sorpresa da si strano spettacolo, mise un grido, con cui interroppe l’azione di Cerere ;
one si chiamava Minos(m). (f). Nat. Com. Mytol. l. 8. (a). Ovid. Met . l. 1. (8). In memoria di coloro, che per causa
mente la colonna, la quale ne sosteneva il tetto, che questo cadde, e mise a morte sessanta fanciulli. Cleomede, inseguito c
on ere un Nume. Come quelli seppero far sentire tali parole, Annon li mise in libertà, affinchè spiegassero il volo in diver
addero in profondo sonno. Imene, assistito dalle sue concittadine, li mise tutti a morte, ritornò ad Atene, raccontò l’avven
icleo, figlio d’Anrifato o Tifato, e di Zeusippa, figlia d’Ippocoone, mise a sacco Troja, diede la morte a colui, prese Esio
. (a). Pitisc. (b). Potter. Archacol. Graec. l. 2. (a). Ovid. Met . l. 6. (4). Era cattivo augurio, quando le tele
a(a). (b). Hyg. fab. 166., Paus. l. 1., Apollod. l. 3. (c). Ovid. Met . 2. (10). Altri ad altra cagione attribuiscono l
le sue truppe prendevano la fuga in un combattimento(d). (b). Ovid. Met . l. 4. (3). Broteo si gettò in un rogo, e volle
34 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLV. La spedizione degli Argonauti alla conquista del Vello d’oro » pp. 331-341
vole di punizione, ma anche di pena maggiore dell’omicidio ; e perciò mette Giasone nella prima bolgia dell’Inferno fra i dan
ll’Inferno, ove Dante, 500 anni dopo Astolfo, dice di averle trovate, mette d’accordo, come se fossero una storia vera, le fa
35 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
sto Dio vagabondo trovando riunite le indicate montagne, le separò, e mise così in comunicazione le acque dell’ Oceano col M
no : Ecco Melampigo che noi dovevamo evitare : Ercole ascoltandoli si mise a ridere, e li lasciò liberi. 52. Acheo. — Detto
e Danae e fece educare suo figlio Perseo, il quale divenuto adulto si mise a correre il mondo a modo degli eroi favolosi, in
ndato da Polinice, Tideo, Capaneo, Ippomedone, Anflareo e Paride e si mise egli stesso alla testa di quell’esercito. È quest
Divinità con le ali sugli omeri, per alludere alla prontezza con cui mette in esecuzione i più arditi disegni. 326. Ambrosia
un giorno alla caccia sorprese Diana e le ninfe che si bagnavano e si mise a spiarle ; di che sdegnata fortemente la Dea lo
ortar sempre a quel modo la sua baccchetta, all’estremità della quale mise due ali in segno di rapidità. 877. Caducifero. — 
sottrarsi a lui si trasformò in becco, e Giove sotto questa forma lo mise fra i segni dello Zodiaco. È opinione di molti ri
e loro coste al suo ritorno da Troja, fece loro la guerra, li vinse e mise a sacco la loro città capitale, chiamata Imarte.
e altre, essere esposta alla voracità del rettile, il padre di lei la mise furtivamente su di una barca, e per non esporla a
o figli del Sole e di Minerva ; gli altri di Saturno e di Alciope. Si mise Giove nelle loro mani appena venuto alla luce ; e
e da furor spinta, con lui, Ch’adeguava i suoi passi arditamente, Si mise dentro a le segrete cose. Virgilio. — Eneide — L
ma e Cartagine. L’Alighieri, giovandosi dell’ invenzione di Virgilio, mette Didone nell’Inferno per punirla d’avere, per amor
onobbe la sua moglie. ed ella concepette e partori Henoc. Poi egli si mise ad edificare una città e la nominò dal nome del s
ava nella Focide, le cui campagne erano desolate da quel mostro, egli mise in fuga e debellò i Centauri. ……. Oh mani Oh man
eano. Giunto ad Euritia egli s’impadronì degli armenti di Gerione, li mise nella sua barca e ritornato a Tartessia, offrit u
gio ed a Melaso suoi compagni, caduti combattendo al suo fianco, egli mise la città a sacco ed a fuoco, e condusse con sè pr
opria amicirazione, sia per accondiscendere alle preghiere di Apollo, mise Esculapio nel numero degli astri. Un’altra tradiz
io la città troiana, e dopo pochi giorni, essendosene impadronito, la mise a sacco ed a fuoco ; uccise di sua mano Laomedont
plenilunio. Però il generale della armata Lacedemone per nome Eurota, mise in derisione cotesta credenza dei suoi soldati e
i tutte le sue sostanze il popolo di Roma, il quale per ricompensa la mise fra le sue numerose divinità. Fu questa la ragion
ne di questa dea ; e solo Esiodo, nelle sue cronache della favola, la mette nel numero dei figliuoli della Notte. Il Boccacci
gliuoli della Notte. Il Boccaccio, nella sua Genealogia degli dei, la mette nel numero delle deità romane. 2054. Freccie di A
etto, si fosse cangiato in aquila e lo avesse rapito in cielo, ove lo mise nei dodici segni dello zodiaco, sotto la configur
nto gli veniva imposto dalla volontà degli dei, e lo stesso giorno si mise in cammino per alla volta di Jolco. Strada facend
nalmente Dione di Siracusa, combattendo contro il tiranno Dionigi, lo mise in completa rotta, sebbene la battaglia si fosse
rciò talvolta esse venivano confuse con le quattro stagioni. Pausania mette nel numero delle Grazie, la dea della Persuasione
gia. Il cronista Eliano a sua volta ripete, che quest’animale, quando mette la testa sotto le ali, assume una forma somiglian
me, Inaco padre di lei, attratto dalla bellezza di quello animale, le mise d’innanzi un fascio d’erba. Commossa Io dall’atto
se mandato ad Io una grossa mosca, la quale pungendola senza posa, la mise in furore, per modo che agitata in strana guisa,
n bosco, ove al dire delle cronache, ella partorì un figliuolo, a cui mise il nome di Silvio. Intanto gli abitanti del Lazio
36 (1832) A catechism of mythology
e crime was expiated. The vestals enjoyed great privileges. When they met a criminal, they had power to pardon him; when th
with a human body, and as being crowned with pine branches. When they met drunkards, they stupified them with their looks.
e Luperci, his priests, ran about the streets, lashing every one they met with whips. The women eagerly received the lash,
iven out, that he was going to pass the lake. Soon after forty judges met , and seated themselves in a circle on the shores
his father-in-law to a feast at Larissa his capital; and after he had met with him, cast him into a pit, which he had previ
t to each other. Those ships had prows representing monsters. Perseus met them in his voyages, fought, and took them. The s
told that he would meet his father in Phocis. On his way thither, he met Laius and his armor-bearer, riding in a chariot i
. Hippolytus, aware of his resentment, fled away in a chariot. But he met with some monstrous sea-calves, which frightened
contrivance whereby to alter what is natural or unalterable. Theseus met and killed two famous robbers. The first, Sinis,
banks of the river Eurotas. A great number of swans were always to be met with on that river: hence the poets introduced a
n was violently opposed to it; but Sinon, suborned by Ulysses, having met with them, said that it was the vow of the Greeks
37 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
nverno. E in questo tempo, secondo che dice la tradizione, il mare si mette in calma, e la tempesta rispetta la tenera prole 
el mattino sotto il nome di Lucifero, ha cura del suo carro, e glielo mette in ordine pel tacito viaggio. Quando la Notte era
? Bene si addicono alla severa e modesta Dea le note parole che Dante mette in bocca di Virgilio : Vien dietro a me, e lasci
soldati debellò i Solimi, le Amazzoni ed i Licii. Alla fine il re lo mise all’ impegno di combattere la Chimera, sperando c
l celarlo in una nube. 552. Questa Dea, per punirlo di tanta audacia, mise tale scompiglio nella casa di Diomede, che al suo
a passa in divertimenti, in suoni, in amorevoli colloqui ; ed Alcinoo mette il colmo alla sua buona accoglienza annunziando a
svelse La genitrice i crini, e via gittando Il regai velo, un ululato mise Che alle stelle n’andò. Plorava il padre Miserame
può, E fassi fiume giù pei verdi paschi. Tosto che l’acqua a correr mette co,134 Non più Benaco, ma Mincio si chiama Fino
ntento ad assicurarsi il nuovo potere, allorchè Oro figlio d’ Osiride mise in piedi un esercito, lo battè e gli tolse il tro
38 (1860) Elements of Mythology, or, Classical Fables of the Greeks and the Romans
er hillocks. These were all invented by the Romans, and are not to be met with among the Grecian deities. The Satyrs, and F
tured, and soon distinguished himself. On his road to Athens, Theseus met three famous robbers. The first, Sinis, used to d
ld go, took the road to Phocis, but he had not proceeded far, when he met on the way a chariot, on which was Laius, King of
a sheep, which carried him out of the cave of Polyphemus. In Æolia he met with a friendly reception, and Æolus, the wind-go
him to avoid Achilles. Hector was too proud to fly from an enemy; he met the ferocious Achilles, and died by his hand. Ach
though she had been previously promised to Turnus, for a wife. Eneas met also with a kind reception from Evander, a prince
39 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLVI. Giasone e Medea » pp. 342-489
al convito di Eteocle ; e poi inseguito da una schiera di soldati, li mise in rotta ed in fuga egli solo, lasciandone molti
damia e re di Elide. Quanto poi al premio promesso a Mirtilo non solo mise in pratica la massima d’insidiosa politica « Lun
greco fu guarito da Macaone e Podalirio figli di Esculapio ; e allora mise in opera subito una di quelle freccie saettando P
farne la più eloquente narrazione Virgilio, ne parla anche Dante, che mette Sinone nell’Inferno tra i fraudolenti, e fa che u
40 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte IV. Le Apoteòsi — LXVII. L’Apoteosi delle Virtù e dei Vizii » pp. 493-496
rsi godere tranquillamente il frutto delle loro ruberie. Anche Orazio mette in versi la preghiera di un ladro a Laverna, Dea
41 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XI. Giove re del Cielo » pp. 55-59
ia aneddotica, parleremo di un fatto o avvenimento straordinario, che mise in forse la potenza di Giove e degli altri Dei su
42 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XIV. Il Diluvio di Deucalione » pp. 73-78
rò risoluto di esterminare tutta quella razza bestiale più che umana. Mise in discussione soltanto se per mezzo del fuoco o
43 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XX. Mercurio » pp. 123-131
mito s’intende facilmente ; indica cioè che l’onestà degli uomini si mette alla prova col denaro ; e la conclusione o morale
44 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLI. Perseo » pp. 309-316
re i nemici uno alla volta, perchè pochi compagni aveva per aiutarlo, mise fuori la testa di Medusa e pietrificò nell’istant
45 (1897) Mitologia classica illustrata
ente negli scrittori latini, ma non si tratta che di rapidi cenni. Lo mette in scena Claudio Claudiano nel carme contro Rufin
a sulla fronte, ad es., Ovidio così dipinge Aci trasformato in fiume ( Met . 13, 894): incinctus iuvenis flexis nova cornua
ni usano la voce Amphitrite, la prendono in senso di « mare » ( Ovid. Met . 1, 14). In arte, soleva Anfitrite essere rappres
tore del suon dei flauti, genere di musica che la religione di Cibele mise in onore. In Attica narravasi che egli avesse sol
soffiava sopra, e nottetempo, celandosi allo sguardo dei genitori, lo mette va nel fuoco per purificarlo. Una volta Metanira
gura, ond’ è detto dimorfo dagli scrittori greci e geminus da Ovidio ( Met . 2, 555). b) Eretteo od Erittonio, e la discen
one, che introna i mari soffiando nella cerula conchiglia, e nuotando mette in vista ispida forma d’ uomo fino ai fianchi, me
46 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVIII. Apollo considerato come Dio della Poesia e della Musica e maestro delle nove Muse » pp. 104-114
o a fuggire da quel soggiorno. Ei se ne andò allora in Frigia, ove si mise a fare il muratore ; e insieme con Nettuno fabbri
47 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVII. I Mostri marini Mitologici e Poetici » pp. 184-194
frati cappuccini ed altre simili stravaganze ? Monsignor Forteguerri mise pegno d’inventarle, come egli diceva, più grosse
48 (1880) Lezioni di mitologia
cipessa, l’avea portata nella Tauride nel momento dell’ espiazione, e mise in luogo di essa una cerva. Ovidio l’ha posta nel
lice di così leggiadro originale. Già Venere ad Europa un caro sogno Mise allora che l’ombra ultima cade Alla sorgente auro
spergiuro negò ad ambedue la pattuita mercede; onde Nettuno sdegnato mise orribile ed immensa balena, che tutta la regione
co. Udite adesso da Ovidio, che, incoraggito dal voNicccLiNi. Lez. di Mit . ecc. 30 stro compatimento, ho tradotto, quanto i
nte Parole, e sembra effigiato sasso Custode delle tombe. Acuto grido Mise la madre, ed esclamò: Tremende, Che festi? così s
to dal figliuolo, che facendo la statua della Fortuna agli Smirnei le mise in capo il cielo, e in mano la cornucopia. Una Ne
Della cetra poi parlano espressamente i Classici: fra gli altri Omero mette in bocca di Ettore questo rimprovero al germano:
ita. Egli essendosene slanciato disperatamente mentre tutto ardeva si mise a combattere coi flutti percotendoli, fendendoli
: Non ravvisi il padre? Anelar mira nel canuto petto Queste ferite. —  Mise acuto grido Erigono: nei suoi sonni di pianto Des
osso dal suo pentimento lo espiò, raccolse liberalmente nel cielo, lo mise a parte dei suoi segreti. Issione divenuto felice
49 (1836) The new pantheon; or, an introduction to the mythology of the ancients
om he was hospitably received. In gratitude for the kind reception he met with, Saturn endowed Janus with extraordinary pru
er hillocks. These were all invented by the Romans, and are not to be met with among the Grecian Deities. The Satyrs, Fauns
epresented as a ram having a golden fleece, and the difficulties they met with, as formidable monsters guarding it; which w
50 (1895) The youth’s dictionary of mythology for boys and girls
heia] or Thea. A daughter of Uranus and Terra, wife of Hyperion. The′ mis [Themis], a daughter of Cœlus and Terra, and wife
e Melpomene. Trees, see Aristæus. Tribulation, see Echidna. Trifor′ mis [Triformis], see Tergemina. Triptol′emus [Tripto
51 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
a tal dimanda, ed imprese a distorglierlo con quelle parole, che gli mette in bocca Ovidio Magna petis Phoeton, et quae non
he reità, ripetendo con singhiozzi ne’ loro tormenti le parole che li mette in bocca Virgil. Eneid. 6. Diseite iustitium moni
us colendus l’us della parola Christus, che per la Reg. L. del nuovo Met . è breve, perchè seguita dalla parola colendus, c
52 (1824) Breve corso di mitologia elementare corredato di note per uso de’ collegi della capitale, e del regno pp. 3-248
orge una tempesta, che sgomenta il Nocchiero, è Nettuno sdegnato, che mette le onde in sconquasso. L’eco non è più un suono c
. Fuor di pericolo, ma nudo si veste di secche foglie di alberi, e si mette placidamente a dormire. Minerva intanto sempre in
53 (1889) The student’s mythology (2e éd.)
ning, on two at noon, and on three in the evening?” The Thebans often met to try their skill, and when they had failed, the
y, Ulysses embarked with the intention of returning to Greece, but he met with so many extraordinary adventures, that it wa
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