/ 66
1 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Appendice. » pp. -386
occhi del politeista popolavano l’universo come altrettanti genj del male coi quali tregua non v’era mai ; e che senza posa
; vinti, attribuivano i rovesci delle loro armi ad auspicj negletti o mal compresi. Il campo era un tempio, e quanto più la
soprattutto in questi paesi la tradizione dei due genj del bene e del male . Ci rimane a parlare di quel popolo nato a mutar
entiero traviano ! E chi lo nega ? Contuttociò quello che è veramente male , neppure da que’ medesimi che da esso travolti so
no e le stelle, e non vogliono che sia suo quello che riconoscono per male . Ma qual somiglianza hanno costoro co’ Cristiani 
olte spontaneamente confessa ; condannato, ringrazia. Or che sorta di male si dirà mai questo, nel qual non si trova la natu
sorta di male si dirà mai questo, nel qual non si trova la natura del male  ? Cioè nè timore, nè vergogna, nè tergiversazione
rgogna, nè tergiversazione, nè penitenza, nè doglianza ? Che sorta di male , dico, del quale il reo si allegra, l’accusa del
a strada ad una larga vendetta, se fosse lecito a noi ricompensare il male col male ? Ma non fia mai che una setta, che ha d
ad una larga vendetta, se fosse lecito a noi ricompensare il male col male  ? Ma non fia mai che una setta, che ha del divino
on fuoco umano vendichi i suoi torti, e che si dolga di soffrire quel male , il quale fa prova della sua virtù. Che, se noi v
2 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
ertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’art de guérir les maux  ! Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Q
de posséder l’art de guérir les maux ! Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Que mon art, pour moi seul, ne soit pa
, aveugle, mercenaire ; Ce n’est point là l’Hymen. On le connaît bien mal . Ce Dieu des cœurs heureux est chez vous, d’Argen
présent d’un bandeau fatal :          De-là vient qu’il s’y prend si mal          Pour distribuer ses largesses. Faut-il d
n lui immolait des poules et des coqs.    Aux champs de l’Italie, un mal contagieux Corrompit autrefois l’air pur de ces b
z plus près de vous le fils de Coronis ; Amenez-le dans Rome ; et vos maux sont finis.    Quand Rome de l’oracle eut connu
s. Deux avis différens partagent l’assemblée : Sans doute on doit aux maux dont Rome est accablée Accorder le secours par l’
laissa pas d’être utile à la Terre, D’abolir des abus, de réparer des maux ,                Le tout à sa manière.          Je
re cité : le voici. Deux époux d’âge mûr, et d’un état honnête, Étant mal assortis, souvent se disputaient,          Et mêm
domestiques, Nourris en votre cour, et constamment étiques, Toujours mal engraissés par des soins ignorans ; Ne connaissez
par degré A l’état d’abandon, de joie et de délire, A l’oubli de tous maux que le vin doit produire. Toast.    Écoutez les T
s mes bras. De Ch…. expirant je vois encor l’image ; Je le vois à ses maux opposer son courage, Penser, sentir, aimer, au bo
le Ciel est toujours sans nuage. Un enfant, de la vie ignore tous les maux , A ses yeux indulgens tout paraît sans défauts. L
nneur, empire, amour, tout est perdu pour lui. C’est en vain qu’à ses maux prêtant un noble appui, D’un cerf tout jeune enco
vrier qui fabrique une utile chaussure, Sans l’aveu de Pallas prendra mal la mesure : La main la plus habile à façonner le
des corps humains chassant la maladie, Renouez de nos jours la trame mal ourdie, Qu’une part de ces dons que vous en recev
re a semé, sur les pas des mortels, Peu de solides biens, beaucoup de maux réels, Leur importun essaim nous assiège sans ces
x les plus élevés, d’où elle publiait indifféremment et le bien et le mal . Sa langue était infatigable, elle ne se taisait
Aux cris joyeux succède un lugubre silence ; Tous, pressentant leurs maux et les maux de la France, S’éloignent lentement ;
yeux succède un lugubre silence ; Tous, pressentant leurs maux et les maux de la France, S’éloignent lentement ; et, les lar
Mais les Dieux prévoyant que sa triste influence, Ferait pleuvoir les maux sur les humains, A trois Divinités commirent l’as
ante, Roule en cercle de feu sa torche flamboyante, Et triomphant des maux que la barbare a faits, Les laisse à leur délire,
ursuit en ces mots :    Protée, ô mon cher Fils, peut seul finir tes maux  ; C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il h
ème aurore éclairera le monde, Au déplorable époux dont tu causas les maux Offre une brebis noire et la fleur des pavots ; E
x ! Lorsque je me vis seul sur cette plage aride, Sans appui dans mes maux , sans compagnons, sans guide ! Jetant de tout côt
qu’on m’a laissé, le désespoir, la rage !… Le temps accrut ainsi mes maux et mon outrage. J’appris à soutenir mes misérable
dix ans, mon fils, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’un mal contagieux, Victime d’une lâche et noire ingratit
urpris ainsi dans les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux  : que les Dieux les leur rendent ! Sophocle. — 
appareil d’une pompe guerrière, Cette Reine sensible au récit de mes maux , Promit de terminer le cours de mes travaux. Les
la pierre. Si jamais, disent-ils, l’homme a fléchi les Dieux, Si ses maux ont trouvé grace devant leurs yeux, O Thémis, app
sa chère Pyrrha rassure les esprits. L’oracle, lui dit-il, ou je l’ai mal compris, N’exige rien de nous qui ne soit légitim
me venger de lui, que je le laisse vivre ! Ah ! quels que soient les maux que Thyeste ait soufferts, Il n’aura contre moi d
ndore sur la terre avec la boîte fatale où étaient renfermés tous les maux . Prométhée se garda bien de l’ouvrir, mais Epimét
ce restait dans le vase fatal ; Mais il fut refermé pour consommer le mal . Hésiode. —  Lefranc 176. Didon, Fille de B
ar quelques attraits j’intéressai ton cœur, Songe, ingrat ! songe aux maux où ta fuite me laisse ! Et, par pitié, du moins,
de Lucine éprouver les travaux, Qui sera près de toi pour adoucir tes maux , Pour t’offrir les secours de l’amour maternelle 
me ! Tu pleures !… ô mon fils ! connaîtrais-tu ton sort ? Sens-tu nos maux cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulen
Nérine.    ………… Tu vois, ma douleur est si forte, Que, succombant aux maux qu’on me fait découvrir, Je demeure insensible à
amitié, Montrait, de ma disgrace, une fausse pitié, Et, jouissant des maux que j’aimais à lui peindre, Elle en était la caus
moins funeste, et des destins meilleurs. Compagne de ses pas, de ses maux , de sa vie, Hermione le suit au fond de l’Illyrie
a percé ? Peut-être de ses dents la semence guerrière Fut-elle de nos maux la semence première. Dieux ! si c’est un serpent
ritée. Il doute si du fer, instrument du trépas, Sa lance dégarnie, a mal servi son bras ; Et l’y trouvant encor : Ne suis-
nuage d’effroi se répand sur sa vue. Son pied porte en arrière un pas mal affermi. Il chancelle, il rencontre un obstacle e
s ! Voyez ce que m’ont fait les injustes Atrides. Auteurs de tous mes maux , leur superbe mépris. Insulte à mon trépas : paye
s enfans puiser leur nourriture. Ces fruits d’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! nous les confions à des mains mer
n s’alimente ? Ah ! de l’humanité prends l’auguste flambeau, Vois les maux que produit l’abus que je déplore, Combien d’info
olongeant sa rage Grave au front des humains un éternel outrage. D’un mal contagieux tout fuit épouvanté ; Isaure sans effr
ur les mers comme elle dans le monde, A votre déité, par pitié de ses maux , Offrit un roc mobile et battu par les flots. C’e
étendus et sanglans, Veuve de son époux, veuve de ses enfans, Par le mal endurcie, elle n’est plus sensible. Ses longs che
r un tronc sans rameaux : Seul plaisir qui lui reste en ses horribles maux . Son troupeau réuni suit sa marche pesante : Nous
parlent encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule commande, ils sont mal écoutés. Alors on voit tomber sous un fer témérai
r la terre, elles buvaient les eaux du fleuve Léthé, pour oublier les maux qu’elles y avaient soufferts. Les champs Elysées
compagne fidelle, Et dans l’ombre il se plait à gémir avec elle ; Ses maux furent mêlés à des plaisirs si doux, Que du Malhe
  Le génie eût péri comme eux. Castilhon 255. Nina. A d’incurables maux , de ses douces erreurs L’Espérance offre encor l’
Déesse fantasque et volage ; elle présidait à la fois au bien et au mal . On la représente aveugle et chauve, toujours deb
a canicule, on était bien fourré, Plus l’oreille était dure, et l’œil mal éclairé, Plus on déraisonnait dans sa triste fami
t et malheureux, pleurer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a
rage.    Tels sont de ses tourmens les préludes affreux ; Mais si le mal accroît ses accès douloureux, Alors, son œil s’en
   Vainement les bergers changent de pâturage ; L’art vaincu cède au mal , ou redouble sa rage, Tisiphone, sortant du gouff
ux : un bon et un mauvais. Le premier inspirait le bien, le second le mal . De-là vient l’expression latine, Genio indulgere
ux dès qu’on cesse de rire.    Au siècle d’or, lorsqu’on dit que les maux N’osaient encor affliger ce bas monde ; Que les h
3 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
mportante. La crainte, autre cause de l’idolâtrie. Un déluge de maux fut dans tous les temps le partage des malheureux
 ; Et de là sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les maux destinés aux humains. Sur un autel de fer, un liv
t à ses côtés, et devant lui deux vases qui contiennent le bien et le mal , qu’il répand à son gré sur les hommes. D. Qu’éto
ter à Prométhée. Epiméthée, son frère, l’ouvrit, et aussitôt tous les maux de la nature, qui y étoient renfermés, se répandi
a mer, pour trouver un remède à l’amour ; mais on ne se faisoit aucun mal . Sapho, poète pleine de grâces, fit ce fameux sau
châtioient avec des serpens et des flambeaux ardens ceux qui avoient mal vécu. On les représente coëffées de couleuvres.
ux Génies à chaque homme ; l’un qui le portoit au bien, et l’autre au mal . Le plus puissans l’emportoit ; si c’étoit le bla
du sang de Méduse naquit, dit-on, le cheval Pégase. Persée se voyant mal accueilli d’Atlas, chez lequel il se présenta, po
ffreuse famine, et une horrible contagion vint mettre le comble à ses maux . On consulte l’Oracle ; il répond que les malheur
et de travaux, Dans le pays de sa naissance Vit finir le cours de ses maux . (Rousseau.) Il arriva enfin à Ithaque, où il vé
remarqueroient en nous. L’Écrevisse reprochoit à sa fille de marcher mal . Ecoutons la réponse de celle-ci. Puis-je autrem
ut exemple domestique       Est universelle et s’applique En bien, en mal , en tout ; fait des sages, des sots ; Beaucoup pl
rce de l’habitude : le pli une fois formé, pour le bien comme pour le mal , rien au monde ne peut le faire disparoître.    
der comme l’action la plus importante de la vie. De ce choix, bien ou mal fait, dépend le bonheur ou le malheur des jours.
e qui puisse leur laisser des impressions fâcheuses, ou les porter au mal . Une femme mariée doit mettre au rang de ses prin
alheureusement trop peu commune. On taxe souvent les femmes de porter mal un secret :       Rien ne pèse tant qu’un secret
défauts et d’ignorance ? Néanmoins on peut dire que l’orgueil est le mal humain, tant il est généralement répandu chez la
oser que dans un cœur pervers. Ennemie déclarée de la vertu, tous les maux sortent de cette source empoisonnée. Les ames hon
avarice est le vice des ames étroites et dures. Elle enfante bien des maux  ; les injustices, les trahisons, la discorde form
4 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
Et de là sur la terre il verse, à pleines mains, Et les biens et les maux destinés aux humains. Sur un autel de fer un livr
hée, par une fatale curiosité, ouvrit la boîte, et aussitôt touts les maux de la nature, qui y étoient renfermés, se répandi
sur un trône d’or, au pied duquel sont les deux coupes du bien et du mal qu’il répand à son gré sur le monde. Son front es
pie ; Que par elle vaincus, mes présents, mes secours, Alimentent son mal et l’irritent toujours ; Qu’elle surmonte enfin m
s dents sur ses dents se fatiguent en vain. Quand il est éveillé, son mal n’est plus un songe : Sa faim est une rage, un va
 ; la trahison qui veut se repaître de sang, et qui ne peut jouir des maux qu’elle a faits ; l’envie qui verse son venin mor
ntôt on le fait aveugle, pour marquer que le plus souvent il dispense mal ses faveurs ; tantôt on le représente boiteux, po
nous la naissance de Minerve ? R. Jupiter éprouva un jour un violent mal de tête : il ordonna à Vulcain de lui fendre la c
un bon, qui les portoit au bien, et un mauvais, qui leur inspiroit le mal . Chacun, le jour de sa naissance, sacrifioit à so
ses plus secrètes pensées. Enfin, la maison de Minerve lui paroissoit mal entendue, parce qu’elle étoit trop massive, pour
ais passoient par une porte de corne, et annonçoient des biens ou des maux réels que les songes faux passoient par une porte
qui présidoit à touts les événements, et distribuoit les biens et les maux suivant son caprice. Les poëtes la dépeignent cha
stille de sa bouche. Triste de noire joie, elle ne rit jamais Que des maux qu’elle a vus, ou de ceux qu’elle a faits ; Et la
t poursuit en ces mots : Protée, ô mon cher fils, peut seul finir tes maux . C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il ha
ème aurore éclairera le monde, Au déplorable époux dont tu causas les maux , Offre une brebis noire et la fleur des pavots ;
e raconte ainsi à Pyrrhus comment les Grecs l’ont abandonné, et quels maux il a soufferts23. Nous touchons à Lemnos : accab
x ! Lorsque je me vis seul sur cette plage aride, Sans appui dans mes maux , sans compagnons, sans guide ! Jetant de tout côt
e qu’on m’a laissé, le désespoir, la rage ! Le temps accrut ainsi mes maux et mon outrage. J’appris à soutenir mes misérable
dix ans, mon fils, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’un mal contagieux, Victime d’une lâche et noire ingratit
pris ainsi dans les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait touts ces maux  : que les dieux les leur rendent ! Ulysse.
donné lieu à une espèce de proverbe : quand on veut parler d’un homme mal fait, lâche et insolent, on dit : c’est un Thersi
oit de leur amour et de leur reconnoissance touts les secours que ses maux peuvent réclamer. Et quel est le cœur qui ne sera
cilement ; et lorsqu’une fois on est entré dans la voie du bien ou du mal , on en sort rarement.            Tant le naturel
tre. Car on ne sauroit dire combien les femmes influent en bien ou en mal sur la société. Cependant les hommes, autant par
t, en a amolli et énervé le courage. Molière, en France, a produit un mal presque aussi grand par sa comédie des Femmes sav
s hommes sages et des bons législateurs. Ce sexe que nous élevons si mal , et qui écrit si bien ! disoit J. J. Rousseau. Ma
les impressions sont plus vives et plus profondes… Rien n’est donc si mal entendu que l’éducation qu’on donne aux jeunes pe
uni à une femme vicieuse est au contraire le plus grand de touts les maux qu’un homme ait à redouter. Une femme vicieuse es
mple. C’est des parents mêmes, a dit le vertueux Rollin, que vient le mal , par le mauvais exemple qu’ils donnent à leurs en
est honteux pour elle d’être forcée de s’y refuser, ou de s’en tirer mal  ! Souvent elle aura besoin de faire des lectures
onc se mettre en état de leur procurer ce doux soulagement dans leurs maux et leurs ennuis. Pour ce qui est de l’écriture, o
est trop honteux de ne savoir point parler sa langue, ou de l’écrire mal . « Elles devroient aussi savoir les règles de l’
l’enseigne dans les leçons particulières, mais souvent on l’enseigne mal . Beaucoup de maîtres font faire les opérations pa
ages dans les maisons d’éducation. L’instruction en souffiroit, et le mal seroit presque irréparable. Il est fâcheux pour d
us détruire ; Faites, si vous pouvez, votre cour sans vous nuire : Le mal se rend chez vous au quadruple du bien. Les daube
sentiment des grandes ames, bonheur du monde, devant lequel touts les maux disparoissent ou s’affoiblissent, et touts les bi
lendemain. La Fontaine a dit :            Le soin de soulager les maux Est une charité que je préfère aux autres. Un av
ue causent la colère, la vivacité, ne faut-il pas craindre encore les maux qu’entraîne l’impatience ? R. Oui. L’impatient n
loisir aux vertus est contraire : Qui ne fait rien, n’est pas loin de mal faire. ( Panard.) Écoutons cet apologue de La Fo
5 (1800) Cours de mythologie pp. -360
ertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’art de guérir les maux . Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Q
de posséder l’art de guérir les maux. Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Que mon art, pour moi seul, ne soit pa
la source. Pourquoi, tes enfans sans ressource, Sont-ils toujours si mal meublés ?     Uses-en donc plus tendrement, Trai
, aveugle, mercenaire ; Ce n’est point là l’Hymen. On le connoît bien mal . Ce Dieu des cœurs heureux est chez vous, d’Argen
on, élèves d’Epidaure, Venez : la main des Dieux, sensible à tous nos maux , En cacha le remède au sein des végétaux. Trois é
laissa pas d’être utile à la Terre, D’abolir des abus, de réparer des maux ,                 Le tout à sa manière.         Je
e cité : le voici. Deux époux d’âge mûr, et d’un état honnête, Étant mal assortis, souvent se disputoient,             Et
le Ciel est toujours sans nuage. Un enfant, de la vie ignore tous les maux , A ses yeux indulgens tout paroît sans défauts. L
re a semé, sur les pas des mortels, Peu de solides biens, beaucoup de maux réels, Leur importun essaim nous assiége sans ces
x les plus élevés, d’où elle publioit indifféremment et le bien et le mal . Sa langue étoit infatigable, elle ne se taisoit
Mais les Dieux prévoyant que sa triste influence, Feroit pleuvoir les maux sur les humains, A trois Divinités commirent l’as
rsuit en ces mots :     Protée, ô mon cher Fils, peut seul finir tes maux  ; C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il h
ème aurore éclairera le monde, Au déplorable époux dont tu causas les maux Offre une brebis noire et la fleur des pavots ; E
x ! Lorsque je me vis seul sur cette plage aride, Sans appui dans mes maux , sans compagnons, sans guide ! Jetant de tout côt
e qu’on m’a laissé, le désespoir, la rage ! Le temps accrut ainsi mes maux et mon outrage, J’appris à soutenir mes misérable
dix ans, mon fils, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’un mal contagieux, Victime d’une lâche et noire ingrati
urpris ainsi dans les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux  : que les Dieux les leur rendent ! Sophocle. — 
appareil d’une pompe guerrière, Cette Reine sensible au récit de mes maux , Promit de terminer le cours de mes travaux. Les
t la pierre. Si jamais, dirent-ils, l’homme a fléchi les Dieux Si ses maux ont trouvé grace devant leurs yeux, O Thémis, app
me venger de lui, que je le laisse vivre ! Ah ! quels que soient les maux que Thyeste ait soufferts, Il n’aura contre moi d
ndore sur la terre avec la boîte fatale où étoient renfermés tous les maux . Prométhée se garda bien de l’ouvrir, mais Epimét
ce restoit dans le vase fatal ; Mais il fut refermé pour consommer le mal . Hésiode. —  Lefranc 176. Didon, Fille de
de Lucine éprouver les travaux, Qui sera près de toi pour adoucir tes maux , Pour t’offrir les secours de l’amour maternelle 
me ! Tu pleures !… ô mon fils ! connoîtrois-tu ton sort ? Sens-tu nos maux cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulen
              … Tu vois, ma douleur est si forte, Que, succombant aux maux qu’on me fait découvrir, Je demeure insensible à
amitié, Montroit, de ma disgrace, une fausse pitié, Et, jouissant des maux que j’aimois à lui peindre, Elle en étoit la caus
r moins funeste et des destins meilleurs. Compagne de ses pas, de ses maux , de sa vie, Hermione le suit au fond de l’Illyrie
a percé ? Peut-être de ses dents la semence guerrière Fut-elle de nos maux la semence première. Dieux qui me punissez, si te
s ! Voyez ce que m’ont fait les injustes Atrides. Auteurs de tous mes maux , leur superbe mépris. Insulte à mon trépas : paye
elle…             Dieux injustes s’écria-t-elle, Dieux auteurs de mes maux , arrachez-moi le jour… Oh ! je ne puis survivre à
Enfans puiser leur nourriture. Ces fruits d’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! nous les confions à des mains mer
n s’alimente ? Ah ! de l’humanité prends l’auguste flambeau, Vois les maux que produit l’abus que je déplore, Combien d’info
comme elle dans le monde, L’accueille, et donne enfin un asile à ses maux , Asile encor mobile et bercé par les flots ? Là,
parlent encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule commande, ils sont mal écoutés. Alors on voit tomber sous un fer témérai
compagne fidelle, Et dans l’ombre il se plait à gémir avec elle ; Ses maux furent mêlés à des plaisirs si doux, Que du Malhe
Déesse fantasque et volage ; elle présidoit à-la-fois au bien et au mal . On la représente aveugle et chauve, toujours deb
a canicule, on étoit bien fourré, Plus l’oreille étoit dure, et l’œil mal éclairé, Plus on déraisonnoit dans sa triste fami
t et malheureux, pleurer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a
age.     Tels sont de ses tourmens les préludes affreux ; Mais si le mal accroît ses accès douloureux, Alors, son œil s’en
    Vainement les bergers changent de pâturage ; L’art vaincu cède au mal , ou redouble sa rage, Tisiphone, sortant du gouff
ux : un bon et un mauvais. Le premier inspiroit le bien, le second le mal . De-là vient l’expression latine, Genio indulgere
x dès qu’on cesse de rire.     Au siècle d’or, lorsqu’on dit que les maux N’osoient encor affliger ce bas monde ; Que les h
6 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
ons. Vulcain l’envoya à Prométhée, avec une boîte renfermant tous les maux qui devaient se répandre sur la terre. Prométhée,
mais l’imprudent Epiméthée s’empara de la boite et l’ouvrit. Tous les maux qu’elle renfermait en sortirent aussitôt ; lorsqu
ndot] Malgré cet arrêt sévère, le poëte ajoute que la crainte de ce mal fait tomber dans un pire, et que les hommes qui é
cha à un arbre et l’écorcha tout vif. Apollon, dépouillé par Mercure, mal jugé par Midas, et défié par Marsyas, est le symb
t une fureur prophétique. Elle souffrait d’atroces douleurs, des mots mal articulés sortaient de sa bouche écumante ; les p
ttributs et premier exploit de Minerve. Jupiter éprouva un jour un mal de tête insupportable ; il avait dévoré sa premiè
aptivité. Aventures de Mars. Pour le dieu de la guerre, c’était mal débuter. Les Grecs en faisaient peu de cas. Penda
du Tartare et des champs Élysées. On buvait avec ses eaux l’oubli des maux passés, et les ombres destinées au bonheur s’y dé
les vices, toutes les vertus, tous les sentiments de l’âme, tous les maux et tous les biens. Ce procédé avait engendré une
tte, emblème de sa voix puissante. La Fortune présidait au bien et au mal . On la représente sous la figure d’une femme aveu
Là cent figures d’air dans leurs moules gardées, Là des biens et des maux les légères idées, Prévenant nos destins, trompan
e moral et dans l’ordre physique ; les ténèbres engendrent partout le mal . Ormuzd et Ahriman vivent dans une lutte perpétue
ouvrage d’Ahriman, et les efforts d’Ormuzd ne tendent qu’à réparer le mal que son ennemi ne se lasse pas de faire. Sa demeu
mettent-ils pas deux principes, le principe du bien et le principe du mal  ? — Sous quels noms les adorent-ils ? — Quel est
ieux ne doivent pas durer toujours. A côté d’eux subsiste le génie du mal , Loki, cet autre Ahriman, qui appartient à la rac
gence et la beauté extérieure, ses vices l’ont dégradé, et il aime le mal pour le mal. La fille d’un géant lui a donné pour
beauté extérieure, ses vices l’ont dégradé, et il aime le mal pour le mal . La fille d’un géant lui a donné pour progéniture
ors, dans une lutte horrible des éléments, des dieux et des génies du mal , les esprits malfaisants seront détruits. La plup
st le nom du paradis des Scandinaves ? — Comment se nomme le génie du mal  ? — Quels sont ses auxiliaires ? — Comment se ter
7 (1850) Précis élémentaire de mythologie
on frère Epiméthée fut moins prudent, il ouvrit la boîte, et tous les maux de la nature qui y étaient renfermés se répandire
xion) et qu’il la renferma en lui-même. Il éprouva ensuite un violent mal de tête, et Minerve, la déesse des arts, sortit d
de ce couple hospitalier. Ils sortirent du pays où ils avaient été si mal reçus et ordonnèrent à Philémon et Baucis de les
à ses côtés, et devant lui sont placées les deux coupes du bien et du mal qu’il répand à son gré sur le genre humain. Quelq
mment Jupiter mit au monde Minerve, après avoir souffert d’un violent mal de tête. Aussitôt après sa naissance, cette déess
rétion. Jupiter voulait le faire périr parce qu’il prévoyait tous les maux que cet enfant devait faire aux dieux et aux homm
yés par leur sentence aux Champs-Elysées, et ceux qui avaient fait le mal étaient condamnés au Tartare. 6. Le Tartare était
it le sien, et comme nous sommes enclins tout à la fois au bien et au mal , on admettait que l’homme avait deux génies, l’un
utre mauvais. Le bon lui inspirait le bien, le mauvais le poussait au mal . Le jour de l’anniversaire de sa naissance, chaqu
Là cent figures d’air dans leurs moules gardées, Là des biens et des maux les légères idées, Prévenant nos destins, trompan
bstraits, et prêtèrent ainsi des formes allégoriques aux biens et aux maux , aux vices et aux vertus, aux sentiments et aux p
sir qu’à tourmenter les hommes. Jupiter, son père, irrité de tous les maux qu’elle faisait, la chassa du ciel et jura quelle
comme Até filles de Jupiter, la suivaient en boitant et réparaient le mal produit par leur malencontreuse sœur. C’est, sous
Comment représentèrent-ils le vice en général ? Chapitre IV. Des Maux . 1. Nous ne parlerons ici que de Bellone, des
et les poëtes la représentaient comme une femme d’une pâleur extrême, mal vêtue, demandant l’aumône en glanant dans un cham
s, symbole de la perte des biens. Questionnaire. — 1. Quels sont les maux qui ont été spécialement divinisés ? 2. Qu’était
choses humaines, et distribuait, selon ses caprices, les biens et les maux . Les païens ne connaissaient pas le dogme si cons
olybe et de Péribée, s’éloigna de Corinthe pour se dérober à tous ces maux et prit le chemin de la Phocide. 5. Un jour il tr
rimaient ; une huitième, en la personne de Crichna, pour combattre le mal sous toutes les formes, et une neuvième, sous le
nnés, le principe du bien ou de la lumière, Ormuzd, et le principe du mal ou des ténèbres, Akrimann, que les livres sacrés
t durer douze mille ans et se terminer par la victoire du bien sur le mal , d’Ormuzd sur Ahrimann. Alors le règne de Zérouan
eu de rester spectateur oisif de cette grande lutte du bien contre le mal , en s’abîmant, à la façon de l’Indien, dans une s
), où elle est introduite dans une terre de délices ; mais, si elle a mal vécu, elle reste en deçà pour expier ses fautes.
e ? Sous quels noms reconnut-il le principe du bien et le principe du mal  ? Quels esprits a créés Ormuzd ? Quels noms porte
seront détruits après la ruine de l’univers. Ainsi Loke, le génie du mal que ses vices ont fait déchoir de l’état de perfe
la mer Tyrrhénienne, 50, 51. Livres sibyllins, 159. Loke, génie du mal , 195. Loi, fille de Thémis, 89. Loup, métam. de
on, à Rome, 29. Matuta, ou Ino, 66. Mauritanie, c. d’Afrique, 128. Maux , honorés comme div., 192. Méchanceté, fille de J
8 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
to della natura, ed un tal acceleramento forse fù la ragione, per cui mal formato, e deforme comparve fin dal primo punto a
dalla barbara morte, non poterono però camparlo dalla sventura di una mal concia sua gamba. Suo impiego. Memore pertanto e
sino tirategli dal vincitore Apollo alle chiome diede la pena del suo mal giudicato. Mosso dopo un tal fatto o da spirito d
destia, e di pudore, Alla sana ragion sempre rubella. Ogni bene, ogni mal da questa nasce Cagion d’aspri perigli, e di dolc
rpiato Vulcano, pel quale sebbene di più figli fù madre ; pure perchè mal contenta del suo consorte imprese a fare un traff
i qualunque sorta si fossero ; ma nel seno della stessa sua necessità mal grado il suo rango lo lasciarono infelicemente a
sto ne sia stata tutta la cagione, ed il motivo. Ed in vero se questo mal inteso effetto ha menato ne’tempi posteriori, e p
rgersi da quel, che avvenne a Semele disgraziata madre di questo Dio. Mal soffrendo l’iraconda Giunone, che Giove suo frate
rli conquistati con animo più tosto di giovarli, che di recarli alcun male . Sue vendette. Tali viscere di Padre però non se
e designare, che con quello essa raddolcisce, e quasi addormenta ogni male morale, e spesso ancor fisico. Addita inoltre il
rra, e il mondo tutto scorre, Onde l’opre d’ognun narra, e dilata. Il male , e il ben palesa ognor sfrenata, Dall’uno, all’al
ella. Se è vero però, che il vero rimorso è la funesta ricordanza del male commesso attendiamo a tenerci lungi dalla causa s
utto rode, Raro la forza sua riman delusa, Culunnia è questa, che del mal sol gode. Della credenza altrui tiranna abusa, Ti
tto, e ricompensa brama, Il labro scioglie, e pronta ognor favella Il mal di tutti, e’l proprio ben sol’ama. Sembra al prim
lice, E solo il tempo i falli suoi palesa. Costei, mortale, è d’ogni mal radice, Frode è questa, che tien la rete tesa, E
rete tesa, E chi la scampa si può dir felice. Annotazioni. Non mal si apposero i Gentili nell’esprimere la frode mer
l sembiante sotto le dolci divise di avvenente donzella gl’incauti, e mal accorti barbaramente seduce. E qual figura in ver
cque collocarla. Vorrei però, che l’odioso ritratto non ci spinga o a mal soffrire la povertà, che al dir del Crisost. serm
ro è derivato, che innumerabili composizioni ad onta degli sforzi de’ mal accorti autori hanno incontrate cattive accoglien
IRICO Perchè mai destra villana Or mi strappi al gambo mio Qual’ è il mal , che t’ hò fatt’ io, Che mi dai pena si strana. S
ta Civetta, di cui fù amante Minerva fù la Principessa Nittimene, che mal servendosi delle tenebre per ingannare il suo pad
9 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
per significare che il cattivo destino è per chi lo merita, e che il male par necessario solamente perchè l’ uomo da sè ste
e dagli inganni : Beato, e veramente secol d’ oro, Dove, senz’ alcun mal , tutti i ben fòro ! Età dell’ argento. Poichè al
azioni aveva meritato anche in vita onori divini ; ma il re del cielo mal sofferendo che un mortale acconsentisse d’essere
ece lo fanno precedere ad Ebe in quest’ufficio, e dicono che avendolo male adempito, Giove glielo tolse, e collocò il giovin
o il reggimento al suo figliuolo Fetonte, il quale per l’imperita età mal resse il commesso freno. » (Mario Pagano.) — Ques
ugnale ; sincerati sul conto suo ; e se le nostre congetture non sono mal fondate, punisci l’indegno. » Psiche, credula e i
vi la Tema, Evvi la Fame, una ch’ é freno al bene, L’altra stimolo al male , orrendi tutti E spaventosi aspetti. Havvi il Dis
adimenti, Le guerre, le discordie, le ruine, Ogni empio officio, ogni mal opra a core : E tale un mostro in tanti e cosi fi
ei. Spesso il colpevole è anche ingrato ; ed Issione si diportò tanto male da cortigiano col padre dei Numi, che questi lo f
orno i Numi andarono ad alloggiare in casa sua ; ed egli ebbe tanto a male di dover fare le spese a quegli ospiti, che dando
sieme coi ricchi doni anche la propria cecità che gl’induce ad usarne male  ; laddove le ricchezze acquistate con industria o
vedea io te Già mezza aragna, trista in sugli stracci Dell’opera che mal per te si fe ! Da taluni questo fatto è narrato
gere i nostri propri difetti, smaschera l’ipocrisia e rende odioso il mal costume ; mentre Tersicore muove il piede alle da
a, le orecchie, la coda e le gambe di capra ; ed è loro attribuito il mal vezzo di far paura ai pastori e d’inseguire le pa
i e più solleciti nelle loro faccende, ed avevano forse un ritegno al mal fare. Ma convien che sia molto rozzo quel popolo
induceva al bene, ed uno genio cattivo che li tentava a commettere il male . Quindi ognuno nel suo giorno natalizio sacrifica
in mano nello stesso tempo il fuoco e l’acqua, emblema del bene e del male che spande sopra la terra. Talora ha nella destra
ve (63), era una Dea malefica, di null’altro sollecita che di far del male agli uomini. Giunone per consiglio di questa Dea
tive azioni, e quando mescolano il falso col vero : È questa Fama un mal , di cui null’ altro È più veloce, e com’ più va p
si vede, e che s’ode ; e seminando Non men che ’l bene e ’l vero, il male e ’l falso, Di rumor empie e di spavento i popoli
ion d’adamantine armi vestita Con la nemica dell’ error, Sofia. Allor mal ferma in trono e sbigottita La tirannia tremò ; p
seco starsi, in abito d’errante Pellegrino, la sacra e da’ mortali Mal conosciuta Libertà. Pietose Le tre sorelle adduss
empre al cominciar di sotto è grave, E quanto uom più va su, e men fa male . Però quand’ella ti parrà soave Tanto, che ’l su
to di vita quel bell’uomo d’Orione ; ma che valeva il pentimento ? il male era fatto, e senza rimedio. Tuttavia credè di pot
re delle donne ; ma Giunone, che era di contrario parere, se l’ebbe a male , e lo acciecò. Giove per consolarlo fecelo divent
cozzarle affanno : Onde molti delusi e sconsigliati Tornan sovente, e mal di lei s’appagano.138 (Eneide, lib. III, Trad.
na dei due principii con la quale spiegavano l’origine del bene e del male . 715. Il principio o genio buono, Oromaze, era l’
il cattivo principio, detto Arimane, passava per l’autore di tutto il male . Il primo era rappresentato dalla luce e l’altro
valente all’Eolo de’Greci, e il lupo Fenris, figlio di Loke genio del male , e fratello di Hela, la morte. Divinità ameri
de Spirito e Kici-Manitù, è il principio del bene ; la Madre lo è del male . Creato l’universo, il Grande Spirito prese certo
ievolmenta. Intanto le figlie di Niobe, assalite in casa dallo stesso male , e quasi nel medesimo tempo, languivano intorno e
10 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
nous les représente : commencemens heureux d’abord, pleins ensuite de maux infinis. Depuis ce temps, l’ambition s’est jouée
l’autre mauvais. Les hommes, ayant vu le monde rempli de biens et de maux , et n’ayant plus la tradition sacrée pour guide,
croire qu’un être, qui est essentiellement bon, pût être l’auteur du mal  ; ils inventèrent deux divinités égales en puissa
lles. Ils crurent que tout le bien venait du bon principe, et tout le mal du mauvais. Ce savant ignore l’époque de cette er
il voulait combler les hommes ; mais que Typhon son frère, auteur du mal , ayant ouvert cet œuf, y avait introduit douze au
y avait introduit douze autres pyramidales noires, source de tous les maux répandus sur la terre. Les Perses donnaient au bo
e. Elle était fille de Jupiter, mais elle ne s’occupait qu’à faire du mal . Objet de la haine des dieux et des hommes, Jupit
poëte a voulu par cette fable représenter la pente des hommes vers le mal . Cette fille, dit-il, parcourt toute la terre ave
iteuses, elles vont moins vite que leur sœur : ce qui signifie que le mal est toujours plus prompt et plus réel que la répa
à lui donner des idées justes sur la pente que les hommes ont vers le mal . Elle a besoin d’un flambeau qui puisse l’aider à
la pratique de la justice ; il opposa l’image du bonheur à celle des maux qui suivent la barbarie ; il contraignit en quelq
é siègent à ses côtés ; devant lui sont les deux coupes du bien et du mal , qu’il répand à son gré sur les hommes. Il ajoute
ar Jupiter ; elle fut indiscrètement ouverte. Elle contenait tous les maux , qui, dans l’instant, s’échappèrent et se répandi
la seule espérance, dernier bien des malheureux mortels. Ce déluge de maux produisit le siècle de fer. Cette fable, la plus
seulement l’appliquer à l’imprévoyante curiosité d’Épyméthée, et aux maux échappés de la boîte de Pandore ; mais on n’y voi
qui produisait tous les biens, et l’autre mauvais, cause de tous les maux . Les femmes avaient aussi leurs génies, qui s’app
même temps le culte de la divinité qui présidait à l’agriculture. Le mal que l’on venait de souffrir, et la crainte de le
 ; ils érigeaient en dieux les vertus, les passions, les biens et les maux  : nous nous bornerons à parler des plus connus. L
. 51.) L’Espérance, cette dernière ressource des hommes contre les maux qui les accablent, fut bientôt divinisée par eux.
enses pour la vertu. (Fig. 60.) La Fortune présidait au bien et au mal . On la représentait sous la figure d’une femme av
dit que les Prières, ses sœurs, courent après elle, pour réparer les maux qu’elle cause ; mais elles sont boiteuses, et leu
s nos larmes : nos plaisirs étaient doublés ; maintenant j’unis à mes maux les pleurs de sa perte ; et, si quelque plaisir v
11 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
me n’a d’autre propriété que celle d’ajouter sans cesse à ses propres maux , et celle de flétrir tout ce qu’il touche, l’expé
n les multipliant. L’homme, conservant tout son orgueil au milieu des maux qui l’accablaient, porta sa folie jusqu’à rendre
’homme ajouta ce fléau terrible aux maladies, aux besoins, à tous les maux par lesquels la nature semble vouloir à chaque in
nta, et vola vers la Mauritanie, où il se vengea d’Atlas, qui l’avait mal reçu, en le changeant en la montagne qui porte so
er par un feu dévorant. Il courut à l’oracle qui lui répondit que son mal était sans remède. Alors il alla sur le mont Œta,
Corinthiens allèrent consulter l’oracle, qui leur répondit que leurs maux ne finiraient qu’après qu’ils auraient expié leur
ain de Jocaste furent promis à celui qui délivrerait les Thébains des maux dont ils étaient affligés. Sphinge, fille naturel
ée dans les esprits, endurcissait les Grecs et les Troyens contre les maux sans nombre qu’ils éprouvaient. Les premiers avai
le s’abandonnait à lui, et proférait par intervalles quelques paroles mal articulées, que les prophètes recueillaient avec
ministres, qui les mettaient en vers. Ces vers étaient souvent durs, mal faits, et toujours obscurs ; ce qui avait donné l
uvrage des Sibylles, mais un amas bizarre, recueilli par une dévotion mal entendue et très-ignorante. 8°. L’Hellespontine,
Il y réussit d’abord ; mais ces peuples, alliés peu fidèles, soldats mal armés, et plus mal disciplinés, furent forcés de
rd ; mais ces peuples, alliés peu fidèles, soldats mal armés, et plus mal disciplinés, furent forcés de céder au génie de P
. L’Edda recommande de l’adorer dévotement, de peur qu’il ne fasse du mal . C’est ainsi que l’on éleva des temples à la fièv
n ou la récompense des hommes, suivant qu’ils se conduisaient bien ou mal . Cette idée était générale parmi les Celtes, et c
s, et démêler dans leurs cœurs la volonté des dieux, les biens ou les maux à venir. Les tristes restes des objets sacrifiés
ettes à tomber dans l’erreur. L’homme naît environné de dangers et de maux  ; si la protection des lois et le secours des art
our obtenir la victoire, pour se préserver du poison, pour guérir les maux du corps, pour dissiper les chagrins. On employai
er ces lieux secrets par les troupes ; c’est de là que des historiens mal instruits ont assuré que les anciens Gaulois avai
12 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
it la conserver. Chez les autres nations, pour expliquer l’origine du mal , on associa à l’idée d’un dieu bon celle d’un gén
e, l’épousa, et ouvrit imprudemment la boîte, d’où sortirent tous les maux qui n’ont cessé depuis de désoler la terre. Il ne
enne, et il la dévora quoique enceinte. Bientôt, éprouvant un violent mal de tête, il eut recours à Vulcain, qui, par son o
upiter, prévoyant les troubles qu’il exciterait dans l’Olympe, et les maux qu’il causerait sur la terre, voulut le faire pér
d’oubli, dont les eaux enlevaient aux âmes des morts le souvenir des maux qu’elles avaient endurés sur la terre, et même de
es abstractions : les sentiments de l’âme, les vertus, les vices, les maux  ; ils leur avaient élevé des temples et des autel
hommes et les dieux ; les humbles Prières la suivent pour réparer les maux qu’elle a faits. Celui qui les respecte et les éc
rez ce cœur farouche aux affronts de l’Injure ; « Rendez-lui tous les maux qu’il aime qu’on endure ; « Que le barbare appren
rance. L’Espérance, cette dernière consolation des hommes dans les maux qui les affligent, fut bientôt divinisée par eux.
nriade : Du Dieu qui nous créa la clémence infinie, Pour adoucir les maux de cette courte vie, A placé parmi nous deux être
e, dont on a vu l’origine (n° 17). La Fortune présidait au bien et au mal , dispensait à son gré les richesses et la pauvret
es de Vulcain. On la représente sous la figure d’une femme échevelée, mal vêtue, couchée nonchalamment, appuyée sur l’un de
esse, est ordinairement représentée sous les traits d’une femme pâle, mal vêtue, demandant l’aumône ou glanant dans un cham
tente, et l’ose exécuter. …………………………………………………… Grand Dieu, témoin des maux dont l’excès me tourmente, Qu’est devenu ce corps
les Grecs), auteur de tous les biens, et Ahriman, auteur de tous les maux . Ces deux divinités son dans une lutte perpétuell
et dans l’ordre physique. Ahriman, principe des ténèbres, engendre le mal partout. Ce que l’un organise, l’autre s’efforce
0. Cette doctrine de deux principes opposés, l’un du bien, l’autre du mal , a été renouvelée, au troisième siècle de notre è
13 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
orter à Épiméthée. Celui-ci ne l’eut pas plutôt ouverte, que tous les maux , tous les vices ettoutes les misères de la nature
enre humain, Jupiter voulut connaître par lui-même toute l’étendue du mal  : il vint en Arcadie, et alla demander l’hospital
t mieux dirigés ; Minerve avait construit une maison, Momus la trouva mal imaginée, en ce qu’on ne pouvait la transporter p
ui était commun. A peine était-il né, que Jupiter, prévoyant tous les maux dont il serait la cause, ordonna à sa mère de le
ourrait pas ; mais elle avait oublié de demander qu’il fût exempt des maux de la vieillesse ; de sorte qu’ayant atteint un â
orte qu’ayant atteint un âge fort avancé, Tithon était en proie à des maux et à des infirmités qui lui rendaient la vie insu
nlever, Nérée lui apparut au milieu des flots, et lui prédit tous les maux que ce rapt devait attirer sur les Troyens et sur
utions et ne les excitaient qu’au bien ; les autres les poussaient au mal . Les hommes étaient donc bons ou mauvais, suivant
le de Jupiter, avait le pouvoir de dispenser aux hommes le bien et le mal , l’opulence et la misère, les souffrances et la s
t de cette expédition, Persée s’arrêta dans la Mauritanie ; ayant été mal accueilli par Atlas, géant formidable qui régnait
êter la marche du fléau, on recourut à l’oracle, qui répondit que les maux qui désolaient les Thébains ne cesseraient que lo
rirent tous, à l’exception d’Adraste. Enfin, pour mettre un terme aux maux de la guerre, les deux frères convinrent de vider
faire, car, si vous échouez, on se moquera de vous. — Ne dites pas de mal de vos amis ; n’en dites pas davantage de vos enn
s sont dans la misère que lorsqu’ils sont heureux. — Ne parlez jamais mal d’un mort. — Honorez la vieillesse. — Domptez vot
14 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
ladies, plus de vieillesse. Aux biens du corps se joint l’absence des maux de l’âme. L’ambition, la haine, l’envie et les ba
ant et trompeur, eut à peine reçu le jour, que Jupiter, prévoyant les maux dont cet enfant serait la cause, voulut contraind
un bon, qui l’exhortait au bien ; l’autre mauvais, qui le poussait au mal . Chaque pays, chaque province, chaque ville, chaq
-puissante, fille de Jupiter, était la dispensatrice des biens et des maux , des plaisirs et des peines, de la richesse et de
la même assurance ce qu’elle sait et ce qu’elle ignore, le bien et le mal , la vérité et le mensonge. Les poètes modernes la
pour épouse, et ouvrit la boîte mystérieuse. Elle contenait tous les maux qui peuvent affliger l’espèce humaine : maladies,
l’espèce humaine : maladies, guerre, famine, procès ; et soudain ces maux se répandirent sur le globe entier. Frappé d’horr
s contre Eurysthée, contre Junon et contre Déjanire. Quand il voit le mal sans remède et sa mort approcher, il coupe des ar
nées et du chagrin, ils prièrent les dieux de mettre un terme à leurs maux , et furent métamorphosés en serpents. Au rapport
lat38. Mais toujours préoccupée de l’asservissement, de Thèbes et des maux de ses concitoyens, elle ne pouvait faire aucune
pas plus heureux ; Mopsus le frappa de son javelot sans lui faire de mal . Pendant ce temps, l’animal furieux renversait to
navires de Minos qui le suivaient à force de rames. Le navire d’Icare mal gouverné heurta contre les écueils, et se brisa.
n’était pas chirurgien, et qu’il ne possédait point de remède pour ce mal . Mais Ulysse, qui savait que Troie ne pouvait êtr
le siége devant Mycènes, et de rendre au centuple à la Grèce tous les maux , toutes les calamités qu’ils en ont soufferts. »
t surpris sur le rivage, l’enferma lui et ses compagnons dans l’antre mal éclairé où il gardait ses troupeaux, et où chaque
n vint à bout ; l’arc rebelle résista à leurs mains débiles. Un homme mal vêtu, d’un extérieur peu imposant, perce la foule
’autel, le feu prit à sa chevelure et à ses habits, sans lui faire de mal , répandit autour d’elle une pâle lumière, et enve
oie à de continuelles alarmes ; à vos côtés, je ne souffrirai que des maux réels. » Céyx qui n’avait pas moins d’amour pour
dain le palais aux riches colonnes disparaît. Psyché se trouve seule, mal vêtue, au milieu d’un désert aride, immense. Part
a tête de cheveux blancs, rendit sa peau toute ridée, marcha d’un pas mal assuré ; on l’eût prise pour Béroé, nourrice de S
es de l’île, voyant qu’on abandonnait ce remède, pire en effet que le mal , cherchèrent un moyen de rendre le saut moins dan
au dieu qui la subjuguait, elle proférait par intervalle des paroles mal articulées que les ministres recueillaient avec s
15 (1880) Lezioni di mitologia
ai nipoti di Bardano sarebbero i diversi infortunj degli Achei. Essi mal vinsero: i Penati rapiti da Enea in fra l’iliache
erro Tutto nel seno, che alla man si giunge. Lo tragge, e sopra i pie mal fermi crolla La dubbia salma: alfìn sull’empio zi
lito scende, Dove l’unghia sua fessa usa per penna Per far noto quel mal , che sì l’offende; Rompe col piede al lito la cot
ntorno intorno. Giove non vuol, come ben grato amante, Ch’in sì gran mal l’amata sua s’invecchi; Onde al suo figlio e nipo
addove giunta, il corpo e l’alma infetta Di quella afflitta, e giugne male a male; E tal furor a lei nell’alma porse, Che tu
giunta, il corpo e l’alma infetta Di quella afflitta, e giugne male a male ; E tal furor a lei nell’alma porse, Che tutto il
, ed era stata a questo nume eretta in Atene dopo la cessazione di un male epidemico. Ben conveniva in questa occasione una
quei popoli che invader volevano le fortunate contrade alle quali la mal cauta Cerere affidò la sua figlia. Delo cuna del
i, lascia l’impresa, Or che a te si concede, e ancor non premi L’asse mal desiato. — Occupa il carro Fetonte già coll’agil
ascia pascere sui monti le capre selvaggie e le lepri: e che fanno di male ? ma i cignali offendono i seminati, e i bovi sono
i questo vanto riportò Agamennone sulle rive dell’Eubea. Oto e Arione male ambirono le tue nozze. Non ricusate la solenne da
or mi percote, O figlio, il core di pietà materna. Lassa! vincete, e mal vincete, o miei Fratelli: ecco vendetta, ombre di
gne note Lascia ogni tema, e del bel numer’una Tosto diviene. Ah come mal si cela Nel volto accusator la colpa: appena Alza
e nell’acque per l’enfiate gote così deforme che da sé gettò lungi il mal trovato istrumento. Custode delle città udirete c
scavi d’Otricoli vide ancor la luce questa graziosa figura, così però mal concia, che difficilmente facea congetturare il s
e quali era Giunone legata, come la più litigiosa delle divinità, che mal soffrendo la novità del reirno maritale, turbava
primo soffio d’Aquilon: per molta Grandin risuona la dorata veste, E mal protegge la difesa alata Il divin capo: fra steri
n un sol nodo accoglie L’unghie dorate: col meonio tirso Regge l’orma mal certa. Dei, cui serve L’inerte volgo dell’immenso
venca non ama il suo torello Che calca appena la minuta arena Col pie mal fermo, e non ha curvo ancora Il nuovo onor della
n delfino in una mano, con una colomba nell’altra, lo che accennava i mal graditi abbracciamenti di Nettuno, e il dolore in
dal nome di Eumolpidi, che i sacerdoti dei Misteri avevano in Atene. Mal si rintraccia chi fosse quest’ Eumolpo fra tanti
anche il sole a me si toglie, Del Tartareo tiranno ultima schiava. O male amati fiori, o della madre Disprezzati consigli,
nelle sacre rupi, Ch’il suono degli scudi empie, sicuro Simulacro di mal ; notte ripete I timori del giorno; in ogni sonno
il pie volgea. Apparia nella manca La lucerna vietata; Era l’infida e mal secura destra D’ingiusto ferro armata. Primi soff
o un vapor nero Uscia la cara a te luce togliendo, E rendea l’alma al mal lasciato impero. Ma vide Amor dall’alto, Vide, e
cuno dà legge alla propria moglie, ai propri figli. — Natale Conti ha male interpretato questo passo d’ Omero, dicendo che d
n fuso dai Greci coir Arimanio dei Persiani, eh ‘era il principio del male presso quegli antichi Dualisti.» Tornando al sim
vi la Tema, Evvi la Fame, una ch’ è freno al bene, L’altra stimolo al male . Orrendi tutti E spaventosi aspetti. Avvi il Disa
n veder le scelerate nozze. Quand’ ecco entrar nel doloroso albergo I mal felici e mal graditi sposi Ebri dal vin, che mal
elerate nozze. Quand’ ecco entrar nel doloroso albergo I mal felici e mal graditi sposi Ebri dal vin, che mal bevuto a mens
l doloroso albergo I mal felici e mal graditi sposi Ebri dal vin, che mal bevuto a mensa Miseri aveano, e dall’ignaro vulgo
gli esanimati corpi Dei miseri fratei generi suoi. Che si giacean nei mal bramati letti, Nel sangue loro orribilmente invol
ella figura di lei, come se ancora si ricordasse della madre, e della mal gustata melagrana. Caronte fu figliuolo dell’Èreb
racrito, se il pubblico d’Atene parziale pel suo concittadino, per un male inteso patriottismo, non ne avesse preposto l’ope
tto, come Dedalo, il più antico degli Artisti, fuggisse con Icaro suo mal avventurato figlio a Minosse, di cui vi favellai
anza del loro Dio, e con cui si lusingavano di spiegare l’origine del male : necessità che i Poeti dell’età posteriori non ha
onsueto di molte antiche divinità. « A me sembra che la parola (grec) mal si tragga ad un simile significato. Questa voce n
franchezza, e dall’altra suol tanto diffondersi nei suoi scritti, che male a proposito cercherebbe di registrarli nei pugill
zie, nella sinistra l’arco e le freccie, perchè la sinistra che fa il male è più lenta, e la benefattrice che dà la sanità è
allo dio cura fu Lenno, E non ha maggior fama Etna, ove muta Encelado mal vinto il fianco immenso. Qui dopo la sudata egida
ahimè, chi t’ha rapito? Addio, Citerone, addio monti di Tebe, Arbori male ascesi: madre, addio, Cara Agave, che il tuo fanc
Trofeo diviene dell’audace tirso. E con la gioia del furor volgeva Al mal non ebro Cadmo il pie veloce, E per la preda del
elo, quantunque Bacco avesse sempre cura di accompagnarlo. La dea del Male gli persuade di montar sopra un toro, come Beller
foglie d’ellera cucite insieme per semplice e sola mostra per non far male : siccome scrive Diodoro che per il medesimo fine
e più sottili che dall’altra dove terminano come in un capo di chiodo mal difende dalla petulanza di un giovin Baccante, ch
fino ai piedi, mostra con un gentil serpeggiare l’ondeggiamento della mal ferma persona. Il suo capo è coronato di edera, l
eri e nei riti dei Baccanali per allontanare i profani col suono, e i male augurati oggetti con quella forza, che dava allo
e, veduto di profilo, cerca distrigarlo dall’avvolgimento delle vesti mal indossate, nelle quali è sul punto d’ inciampare.
16 (1824) Breve corso di mitologia elementare corredato di note per uso de’ collegi della capitale, e del regno pp. 3-248
Confuso il Ciel, e gli elementi insieme, Faceano un corpo informe, e mal disposto Per donar, forma al mal locato seme : An
insieme, Faceano un corpo informe, e mal disposto Per donar, forma al mal locato seme : Anzi era l’un contrario all’altro o
to, e lo sdegno. Il suo regno però non fu sempre tranquillo. I Titani mal contenti de’ dritti ad essi usurpati, gli suscita
non perdonò a sua madre, che lo aveva dato alla luce così storpio, e mal fatto, e volle vendicarsene in una brillante occa
o il divieto di suo padre. Ma i cavalli indocili all’insolita voce, e mal diretti dall’inesperta mano si scostano dalla via
l’impero del mondo, egli divorò Meti. Dopo qualche tempo gli venne un male di capo, ed essendo ricorso a Vulcano, questi con
, e nell’altro ; abbassava l’orgoglio, e dispensava a suo arbitrio il male , ed il bene. È rappresentata in diverse guise or
ll’uomo doveva situarsi un finestrino per osservar tutto. La casa era male immaginata, perchè non poteva cangiar sito, dove
l donna con alí larghissime, e due trombe per palesare il bene, ed il male . Gli antichi la credevano messaggiera di Giove. V
, e sorella di Arianna. Ben sapendo egli, che le madrigne guardano di mal occhio i figli del primo letto, inviò Ippolito pr
fra queste vi era quella del Sebeto. Il suo nome però e la sua gloria mal corrispondono al piccolo volume delle sue acque.
Di lui narra la favola, che amato da Diana era già presso a sposarla. Mal soffriva Apollo queste nozze della germana : onde
lia. Filone chiama Genj le facoltà dell’animo inclinati al bene ed al male . Comunque sia, ogni luogo aveva il particolare su
17 (1866) Dictionnaire de mythologie
le a bien un peu les yeux pers, mais avec un casque cela lui fait pas mal . Voulez-vous me payer de ma peine ? Donnez-la-moi
n Épidaure, voit Esculape dans son temple et le consulte sur tous ses maux . » ( La Bruyère). Fatal oracle d’Epidaure, Tu m
bonnes petites famines Désolent de petits remparts. Sur la frontière mal fermée Marche, au bruit de petits tambours, Une p
vez renversé la table, le vin a-t-il coulé ? — Oui. — Voilà où est le mal . Car, suivez bien mon raisonnement : les Grecs et
qu’une foule de chrétiens font tous les jours ; il n’y aurait pas de mal à cela, parce qu’il n’y aurait pas libation. Mais
ésuétude. Mais notre alexandrin, qui a le tempérament délicat, digère mal les nombres cardinaux. Il y a peu de chiffres éle
revenants reviennent encore, c’est par pur badinage et sans penser à mal . Ce sont des esprits de bonne compagnie, trop bie
, elles sont les filles du ciel, qui nous les envoya pour adoucir les maux de notre condition. Remercions-le de ce présent,
it au faible et du grand au fort, comme du beau au bien et du laid au mal . Nous disons une âme petite, un petit caractère,
l’imperfection de ses œuvres et de mettre partout le remède à côté du mal . C’est ainsi qu’elle a consolé le rossignol de so
pas assez malheureux, puisqu’ils prennent plaisir à surcharger leurs maux présents des inquiétudes de l’avenir. C’est en va
, fut moins sage, il accepta ; et, à peine la boîte ouverte, tous les maux s’envolèrent avec un fracas horrible et s’abattir
18 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
 ; Et de-là sur la terre il verse à plaines mains Et les biens et les maux destinés aux humains. Sur un autel de fer, un liv
rce qu’il est plus agréable de peindre le bonheur des hommes, que les maux dont ils ont été la proie. Cet âge est proprement
Epiméthée, frère de Prométhée. Cette boîte fut ouverte ; et tous les maux , qui y étoient renfermés, se répandirent sur la t
ses cruautés, plus que de ses bienfaits, Il sembloit s’applaudir des maux qu’il avoit faits. Voltaire. Cupidon aima Psych
urs charmes, Et son époux, couvert de feux étincelans, Animoit en ces maux les Cyclopes brûlans :         Que l’airain écume
aussi-tôt elles oublioient le passé : O vous que le sort livre à des maux déplorables ! Venez chercher ici la fin de vos ma
eur protection pouvoit être de quelque utilité, soit pour écarter les maux , soit pour obtenir des succès heureux. Les Romain
ux Génies à chaque homme ; l’un qui le portoit au bien, et l’autre au mal . Le plus puissant l’emportoit. Troisième part
es, Surpassons la croyance ; et, malgré les destins, Allons finir les maux d’un ami que je plains. La Grange-Chancel. Herc
verser,             Le Ciel ne se peut satisfaire ; Et la fin de vos maux ne se fera point voir,             Que mon sang n
que le ressentiment et la colère de Junon furent la cause de tant de maux , et que cette déesse impérieuse voulut venger ses
de berger, et sur-tout Œnone, nymphe du mont Ida, qui lui prédit les maux dont il seroit la cause : Œnone, savez-vous quel
et de travaux, Dans le pays de sa naissance Vit finir le cours de ses maux . Rousseau. Il arriva enfin à Ithaque, ou il véc
dieux, 32-33 — Reçoit un préent (je chacun d’eux, 32 — Emblème des maux qui affligent les hommes, 32-33 Panique, (terreu
19 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo II pp. 3-387
a), o Creusa, figlia a dell’ anzidetto re(b). Medea non poteva che di mal animo sofferire il nuovo imeneo ; pure nascose il
icare la morte del figlio, s’accinse a battersi col di lui uccisore ; mal Giove li separò, scagliando il fulmine nel mezzo
ra fece intendere ad Ercole, ch’ egli non si sarebbe liberato dal suo male , qualora non fosse stato venduto, e non avesse se
itirata, la chiamò a se, protestando, che non le avrebbe recato alcun male . La giovine si rimise nelle di lui mani, gli part
concorse anche Paride, e vi rimase vincitore. Deifobo (o Ettore(d)), mal comportando di essere rimasto superato in quelli
me a divorare perfino le mense. Abbandonarono ben presto quelle Isole mal sicure, e si trasferirono in Epiro. Vi regnava in
le sua assenza la cura della sua famiglia e del suo Regno(23). Colei, mal comportando il ritorno del marito, gli presentò u
le a guerreggiare tra’suoi faceva sì, che gli affari loro andavano di male in peggio, talmentechè Agamennone era d’opinione,
dell’odio implacabile, che Nettuno contro di lui nutriva a motivo del male , che avea fatto a Polifemo, suo figlio(b). Ritoma
o ; ma poi ricusò di cederlo nel susseguente anno a Polinice. Questi, mal sofferendo la violazione del patto, ricorse al su
bare. Malignità La Malignità è perversa volontà di procurare il male altrui. L’abito di questo Vizio è di colore simil
a di vedere e anche di effettuare, qualota se ne apra l’occasione, il male altrui. E’vestita di color rosso, per significate
n lingua infetta di veleno e dì schiuma. Esso non mai ride se non del male , nè piange che del bene altrui. L’Invidia è di fa
o, lo uguaglino in bellezza. Detrazione. La Detrazione è il dir male altrui. Essa sta sedendo, perchè l’ozio è la cagi
la bocca aperta, per significare la prontezza del Detrattore nel dire male di tutti. Ha sul capo un velo nero, perchè è prop
L’Accidia è il tedio e dispiacere di dover operare il bene. Vedesi mal vestita, posta anch’ essa a sedere, colla guancia
oriuolo. Quella risveglia l’incostanza del Giuoco ; questo indica il mal uso, che si fa da’ Giuocatori, del tempo. Il Giuo
e, la quale nasce dalla conosciuta probabilità d’incorrere in qualche male , unita alla del pari conosciuta probabilità di no
esenta pallido e co’ piedi alati. La pallidezza è l’offetto di questo male  ; i piedi colle ali significano la fuga, cui bene
ta dalla fame ; e Apollo consultato rispose, che per far cessare quel male conveniva sacrificare i figliuoli di Nefele. Nel
da colei, sarebbe divenuto maggiore del padre suo. La stessa giovine mal acconsentiva alle nozze d’un mortale ; e il suo o
bene ; gli uni, che eccitavano al bene ; gli altri che spingevano al male (e). Questi ultimi vennero da’Greci denominati Te
privato degli occhi da Castore e da Polluce, perchè avea osato di dir male di Elena in uno de’suoi Carmi, riacquistò poi la
20 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
venne il greco proverbio : Κρονιον ομμα, Saturnius oculus, occhio di mal augurio. Si chiamavano Saturnii alcuni versi giam
iaccole, imitava i fulmini di Giove. Il qual folle divisamento questi mal sofferendo, quasi che volesse Salmonèo disputargl
mini donò un tal fuoco, e loro mostrò la maniera di farne uso. Il che mal sofferendo Giove, comandò a Mercurio che lo legas
ωρα, Pandora), quasi ornata di tutt’i doni. Altri dicono che gli Dei, mal sofferendo che Giove volea per se solo il poter f
lo d’Icaro, il quale, com’è costume dell’audace ed indocile gioventù, mal seguendo gli accorti consigli del padre, alzò tro
si Giove per impedire che ponessero sossopra e cielo e terra col loro mal regolato furore. Il che finsero, perchè nelle sot
evano poterlo trarre dal cielo con certe cerimonie per allontanare un male minacciato da’prodigii, e specialmente da’fulmini
meo (a πυγμη, pugnus), significhi uomo di braccio forte, e che poscia male a proposito l’abbiano trasportato a denotare un u
imenti, e distribuiva, a seconda del proprio capriccio, il bene ed il male , e specialmente le ricchezze. Virgilio(5) la chia
a senza ragione derisa ; percui sdegnosa gettò via il flauto, e pregò male a chiunque osato avesse suonarlo. Il che avendo f
ani in ranocchie, come avvenne. Giunone intanto, per disfogare il suo mal talento contro Latona, comandò a Tizio che facess
ia, ma indarno ; e Fetonte prese le redini di que’ destrieri, i quali mal sapendo governare, ora troppo avvicinandosi alla
sul fiume, Dove chiamò con lagrimoso plettro Febo il figliuol ch’avea mal retto il lume, Quando fu pianto il fabuloso elett
ti, fuorehè al suo barbiere, tenne occulta quella ignominia. Il quale mal potendo tenere un tal segreto, seavato un fosso,
to al suo campo da grandissima schiera di topi. Per allontanare tanto male placò con molti sacrificii l’ira di Apollo ; il q
cerdotessa donata la virtù di presagire il futuro ; ma poscia, di lei mal contento, volle che non le si prestasse mai fede,
el fonte del cavallo. Era questo il bel fonte d’Ippocrene, che alcuni mal confondono coll’ Aganippe, che forse ebbe il nome
a Roma dopo la vittoria di Azio. Apollo αλεξικακος, che allontana il male . Essendo che per Apollo e Diana intendevasi il so
grasso ; Dall’altro la Pigrizia in terra siede, Che non può andare, e mal si regge in piede. Lo smemorato Oblio sta sulla
, di Atamante e di altri più accesi nell’ira, vola nel Citerone a far mal governo de’ seguaci di Bacco. Nel mezzo di quel m
ella trasformazione. Conviene dire che i sapienti reggitori de’popoli mal volentieri vedevano, il culto di Bacco allignare
rmato di un pungolo da buoi inseguiva le nutrici di Bacco e ne faceva mal governo, tanto che furon costrette a gittare, fug
gran furore, si davano da loro stesse la morte. Per rimedio di tanto male volle l’oracolo che gli Ateniesi punissero gli uc
enze riconoscevano l’impero delle Grazie. Quindi la frase « cantare a mal grado delle Grazie » che disse Properzio (1), equ
ico e di Fauno, da’ quali appreso avrebbe il modo di allontanare quel male sì grave. Numa consulta l’oracolo e coll’interven
di fortezza, come le spoglie de’vinti nemici. Ma i fratelli di Altea, mal soffrendo che il premio del valore si fosse dato
ercui ricusò di darle in matrimonio a’figli di Egitto ; il quale, ciò mal soffrendo, cacciò il fratello dal regno. Danao co
iungere salvi nella Colchide. Venute quindi le Arpie a fare il solito mal governo della mensa di Fineo, Zete e Calai, alati
e, la cui moglie, dice Omero, era alta come una montagna. Essi fecero mal governo de’ compagni di Ulisse, come raccontasi n
ericolo di naufragare, così, per esprimere che spesso il timore di un male ci conduce in un altro peggiore, si disse proverb
21 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XX. Mercurio » pp. 123-131
; col rubare accortamente senza essere scoperti, non credevano di far male , poichè imitavano un Dio e si stimavano da lui pr
elle sue Filippiche un bellissimo ed elegantissimo proverbio latino : male parta, male dilabuntur ; a cui corrisponde il vol
ippiche un bellissimo ed elegantissimo proverbio latino : male parta, male dilabuntur ; a cui corrisponde il volgarissimo, m
22 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
r lançait ou par son bon plaisir, ce qui rarement faisait beaucoup de mal , ou par l’avis du Conseil des douze Dieux, appelé
ne allégorie présentant le bien attaqué et momentanément battu par le mal , sur lequel le bien finit toujours par reprendre
fond le plus souvent, et à tort, avec le Typhon égyptien, principe du mal , passait comme lui pour amant ou mari d’Echidna,
en dire quelques mots, pour en finir avec ces efforts symboliques du mal contre le bien. Aloé était un assez brave homme,
sa femme et ouvrit la boîte. Soudain, a écrit M. Parisot, un nuage de maux et de crimes s’élève et enveloppe de sa brume épa
s de la boîte, toujours cherchant à cacher et couvrir de son ombre le mal sous ses ailes. L'âge de fer commença pour les hu
prudente luttant contre la divinité, qui, pour la punir, l’accable de maux , en ne lui laissant que l’espérance. Si l’on veut
inaire et primordiale de l’Arcadie ; race féroce, impie et comprenant mal la Divinité ; race enfin, punie de son ignorance
un trône d’or, au pied duquel sont deux coupes versant le bien et le mal  ; son front est soucieux, et ses yeux menaçans br
t par suite, d’après Homère, à la divination ou science du bien et du mal . On la représentait sous la figure d’une jeune fi
qui rentrent tous en un seul nommé Esculape. Ce savant guérisseur des maux physiques fut, dit-on, marié à une femme dont le
ulte d’Esculape les dieux Apotropéeos et Averrunci, ou détournant les maux  ; ils rendaient même un hommage particulier aux m
rières à Apalexicacus, Alexicacus et Averruncès ou dieux chassant les maux , à Mana, déesse des maladies périodiques des femm
t successivement le ciel et la terre et en prononçant un mot mystique mal expliqué jusqu’à présent. Cependant cette cérémon
rocessions. Ceux de ces jours appelés Diogme et Apodiogme sont restés mal fixés, et les cérémonies des deux premiers jours
elle s’attache par des liens légitimes, de même qu’elle est celle du mal que peut causer le libertinage. Elle prouve enfin
ue le plus souvent, il frappa à faux et causa les ménages chagrins et mal assortis. L'amour fut proscrit de l’ Olympe dès s
t de l’ Olympe dès sa naissance par Jupiter, qui pressentait tous les maux dont il serait cause un jour. Alors Vénus le conf
upiter avala Métis, ou la sagesse personnifiée, aussitôt il sentit un mal de tête insupportable. Cependant voulant se déliv
tit un mal de tête insupportable. Cependant voulant se délivrer de ce mal violent, il s’adressa à Vulcain et il lui ordonna
rnoms suivans : Acacès, et Acacelus et Acacus ou qui ne fait point de mal . Acacessius ou le nourrisson d’Acacus ; Agetor ou
ait aussi ce nom à une reine, dont la férocité du caractère répondait mal à l’extrême beauté de sa figure ; souvent elle s’
eur le doux murmure des eaux du Léthé, qui leur faisaient oublier les maux passés de la vie, car alors plus de douleurs, plu
l les ames des morts devaient se baigner, pour perdre le souvenir des maux que leurs corps avaient soufferts sur la terre. S
lui qui réparait les forces épuisées par la fatigue, qui calmait les maux les plus cuisans, en versant sur les blessures un
ais du sommeil par une porte d’ivoire, pour annoncer les biens et les maux réels, et les songes faux en sortaient par une po
e Serment, le Travail et les Trompeuses Paroles, personnifications de maux auxquels déjà plusieurs auteurs ont donné la Nuit
destin, en tirant à son choix de l’urne de ce dieu, les biens et les maux . Elle punissait sévèrement et avec équité les cou
ndance. Comme Némésis, elles dispensaient aux hommes les biens et les maux , et poursuivaient les coupables jusqu’à l’instant
re sûr de réussir, il gagne Myrtyle, cocher d’Œnomaüs. Myrtile, ayant mal emboité une des roues du char de son maître, fut
s, il apprit qu’Athènes était le lieu où il trouverait un terme à ses maux . Aussitôt il court à Athènes, mais les furies l’y
ie à la vengeance des rois dont j’ai refusé l’alliance ; mais va, tes maux ne sont pas finis, le ciel te prépare d’autres ma
d’ Osiris, d’Isis et de Nefté. Typhon est la personnification de tout mal  ; c’est le mauvais principe toujours opposé à Osi
teur de tout bien et comme tel ennemi de Gonaïotta, ou le principe du mal . Tyrme, divinité adorée aux Canaries, son idole
anc, tandis qu’ils donnent la couleur noire à Démonio, le principe du mal . Les nègres de la Guinée adorent souvent aussi la
absorbés. Si le repas qu’on lui donne est abondant, il ne fait pas de mal  ; mais si l’on a usé d’économie, alors il s’empar
cun honneur, parce qu’ils sont convaincus qu’il ne peut leur faire de mal  ; mais ils ne cessent d’offrir des prières et de
Hottentots ; ils le regardent comme le dispensateur des biens et des maux . Il possède donc plutôt un culte de crainte que d
x. Il possède donc plutôt un culte de crainte que d’amour à cause des maux qu’il envoie ou qu’il peut envoyer, car ces peupl
des Daitias ou Açouras, ou génies funestes et amis des ténèbres et du mal . Cependant la terre restait sans habitans ; alors
Daityas ou Titans y mêlaient le Papma, ou désaccord, autrement dit le mal physique et moral, et empêchaient cet hymne de su
front couvert de cheveux épais. Quand on le représente comme dieu du mal , on lui donne des dents aiguës ; alors le feu sor
en général, mais il se forma tout autour de nombreuses sectes, assez mal définies, et rentrant plus ou moins dans l’ensemb
rées le Magisme, système religieux basé sur le dualisme du bien et du mal , subordonnés à un être supérieur, immatériel et t
it à remplir, et lui aider à éloigner de l’homme Ahriman, principe du mal , et les Devs, funestes exécuteurs de ses volontés
muzdienne. Parvand, Ized dont les fonctions se trouvent encore assez mal définies. Ramechné, ou Ramechnékharom, Ized prés
ssous de lui pour combattre Ahriman, faisons connaître ce principe du mal . Ahriman ou Arimane, fils aussi de Zervane Akérè
des êtres surhumains, de véritables démons auxiliaires du principe du mal  : parmi eux, vingt-huit sont chargés de combattre
ruel Ahriman. Kaïomorts devint aussitôt le but de la haine du Dieu du mal qui ne cessa de le poursuivre, et le fit périr à
couple, créé pour le ciel, vivait dans la pure innocence, ignorant le mal . Mais Ahriman lui fit boire le lait d’une chèvre,
rit malfaisant, maître de la foudre et ministre rapide des esprits du mal , chez les Iakoutes. Balakitg, divinité Kamtchada
u Czernobog, ou Zéomébog, était le Dieu mauvais principe, l’auteur du mal , du crime, de la mort, et l’ennemi du genre humai
assemblées populaires, on buvait dans une coupe consacrée au génie du mal et au génie du bien. Vainamoinen passait, chez l
rons leurs ennemis, à la tête desquels se montre : Loke, principe du mal  : frère de Bilestour et d’Helbinde il était issu
lequel passent par jour vingt-cinq mille morts. Perkel, l’esprit du mal , chez les Finnois, est une émanation de Rava, il
dans des sacs de cuir. Horagalls, dieu créé par Perkel, l’esprit du mal , fut élevé par Ioumala, l’esprit du bien. C'est u
étéores ignés, aux pluies et aux tempêtes. Taram était le principe du mal  ; on lui immolait même des victimes humaines ; on
a victoire dans toute la Grande-Bretagne. Bouii ou Boun, principe du mal chez les Toungouses, était le plus puissant des d
aussi Guacarapita, Guacamonoan, Momona, Tiella. Toïa, était dieu du mal à la Floride. Quand on célébrait quelque fête en
nés dans le corps d’un animal, il faut bien prendre garde de faire du mal , même involontairement, à l’animal, dont son Tota
t un fils qui devint père du bon principe. Ataenlsic est la déesse du mal , et elle préside à la mort. Elle fut, dit la trad
eur du ciel et de la terre ; mais bientôt Touparan, ou le principe du mal , vint l’attaquer ; mais celui-ci fut défait et pl
gure d’un hibou savant, que pour effrayer les hommes ou leur faire du mal . Miclantemcli, époux de Lancihuati, était le die
terminait par un holocauste d’esclaves. Maboia était le principe du mal chez les Caraïbes, l’auteur des tempêtes, du tonn
en, principe du bien, qui a pour antagoniste Houékoub, le principe du mal  ; puis viennent le soleil et son épouse Antoumalg
a guerre. Gouénoupillan n’a point de temple. Ce Houékoub, principe du mal des Araucaniens, est le créateur des rats et des
oqués au commencement des entreprises, de peur qu’ils ne les mènent à mal . Chaque famille a un Nitoé, quelle invoque en all
23 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
rs en nous ouvrant les barrières du jour ! Le Sommeil qui suspend nos maux est frère de la Mort !… Il est étonnant que l’on
s il n’a jamais le dessein de la montrer : ainsi donc on le peindroit mal , en lui donnant des mouvemens impétueux et un lan
faire aussi son présent, lui donna une boîte, dans laquelle tous les maux de la nature étoient renfermés. Pandore remit la
remit la boite fatale à son époux Epiméthée qui l’ouvrit, et tous les maux se répandirent sur la terre, mais l’espérance se
Homère , qui étoient à l’entrée du palais de Jupiter, l’un, plein de maux et l’autre, de biens. On regardoit les vestales c
sèches, des couronnes consacrées à Vénus et de les appliquer sur son mal  ; Aspasie suivit ce conseil et la tumeur disparut
et auquel la fable donne des mœurs pastorales qui s’accordoient fort mal avec sa cruauté. Il se plaisoit à cultiver son ch
des voyageurs et des voleurs. Le goût de la littérature s’accorde si mal avec les spéculations d’argent, que l’on ne pouvo
revoyoit Lycus, se saisit d’elle, l’enferma, et lui fit souffrir des maux infinis. Enfin Antiope s’échappa, et elle alla ac
24 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
l’Oracle qui répondit qu’il ne guériroit que par ce qui avoit fait le mal . Ulysse devina le sens de l’Oracle, il appliqua s
ri des Muses (dit Homère ), qui reçut en partage et des biens et des maux , il fut privé de la vue, mais les Muses lui donnè
taut) a dit : L’ingratitude règne au monde, On ne se souvient que du mal , L’injure se grave en métal, Et le bienfait s’écr
elle se trouva au fond de la boîte de Pandore, pour adoucir tous les maux répandus sur la terre. Cette divinité eut plusieu
ignes favoris, mais on auroit dû remarquer que, si elle place souvent mal ses dons vulgaires, elle ne fait des choses vérit
, ne songe qu’à nuire aux hommes. Les Prières cherchent à réparer les maux qu’elle fait. Quoiqu’on ait beaucoup loué cette a
is ma Déesse, C’est l’Imagination, etc. Pour exprimer la crainte des maux enfantés par l’Imagination, on a inventé l’allégo
ne Déesse Plus agile qu’Hébé, plus fraiche que Vénus, Elle écarte les maux , les langueurs, les foiblesses,         Sans elle
ait eu d’elle qu’une fausse idée, soit qu’on n’ait été frappé que des maux infinis que l’on peut faire en abusant de son nom
25 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXXI. Il Genio e i Genii » pp. 232-241
« Questa dottrina che ammette due principii coeterni, del bene e del male , insegnata antichissimamente da Manete, prese vog
nuno ha due Genii che spingono gli uomini, l’uno al bene e l’altro al male . 272. Marziano Capella interpreta la parola : Dœ
vano talvolta rammentati i Genii femmine, che spingevano al bene o al male le femmine ; ma avevano il particolar nome di Jun
26 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVII. I Mostri marini Mitologici e Poetici » pp. 184-194
he alletta « Col venen dolce che piacendo ancide. « Ma così tosto al mal giunse lo empiastro, » in quanto che subito dopo
unque si fa via, sospende, « Che subita ruina non lo cuopra, « Mentre mal cauto al suo lavoro intende. « Da un amo all’altr
reta la ne tiene ; « Chè dove l’argomento della mente « S’aggiugne al mal volere ed alla possa, « Nessun riparo vi può far
27 (1823) Mythologie des dames
is, et que le culte qu’on lui rendait ressemblait à celui du génie du mal . La douleur que Vénus ressentit de ce trépas ne l
ant les sucs de la plante appelée dictame, qui guérissait de tous les maux . Virgile peignit en beaux vers les aventures d’É
t les assistants d’une sainte frayeur, et elle prononçait des paroles mal articulées, quelquefois des vers, que l’on recuei
gnes favorites de cette déesse. Jupiter en voyageant pour réparer les maux causés à la Terre par l’imprudence de Phaéton, re
voter dans les délibérations ; et, certes, jamais défense ne fut plus mal motivée. On attribue au génie de Minerve l’invent
au sacré, et tombe aux pieds de Callirhoé, qui, désespérée d’avoir si mal payé tant d’amour, alla se tuer le même jour au b
gnifie tout don. Jupiter, après lui avoir remis une boîte où tous les maux étaient renfermés, avec ordre d’en faire présent
îte de Pandore ayant été ouverte par son époux, il en sortit tous les maux qui, depuis ce moment, n’ont cessé de tourmenter
empire humide ; « Il sera ton beau-père, ô belle Néréide ! « Vois les maux que j’endure, adoucis ta fierté ; « Je ne cède qu
copie, pour annoncer ce que les dieux nous réservaient de biens et de maux , se bornait à examiner la forme, et sur-tout les
28 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
e ; mais Epiméthée, son frère, l’ayant ouverte imprudemment, tous les maux qui affligent et tourmentent les hommes, sortiren
siégent à ses côtés, et devant lui sont les deux coupes du bien et du mal , qu’il répand à son gré sur les hommes. Virgile d
t donné au dieu Mars le nom d’Arès, qui signifie dommage, à cause des maux que la guerre cause. Les Latins l’appelaient Grad
oiqu’il en soit, les poètes rapportent que Jupiter éprouvant un grand mal de tête, eut recours à Vulcain, qui lui fendit le
equel on voit encore couler des larmes, c’est-à-dire, que l’excès des maux de cette reine la rendit insensible à tout, et qu
jour, que Jupiter, lisant sur sa physionomie douce et perfide tout le mal qu’il ferait aux hommes, engagea sa mère à l’aban
it Jupiter, Pluton, le dernier des trois fils de Saturne, fut le plus mal servi, puisque l’enfer tomba dans son lot. D’autr
in, exécutent ses ordres ; elles distribuent aux hommes le bien et le mal .            Clotho, par un destin bizarre, Mêle
cela qu’on voit sur des médailles, Laribus Augusti. Ceux qui avaient mal vécu erraient vagabonds, se plaisant à épouvanter
on jouissait ; on imputait à l’autre les mauvais penchans et tout le mal qui en résulte ; de sorte que le sort de chacun d
; Et de là, sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les maux destinés aux humains : Sur un autel de fer, un li
erons que sa criminelle audace attira sur ses descendans une foule de maux . Pélops, fils de Tantale, quitta la Phrygie, et p
29 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
e. 19. Abieni. — Popolo della Scizia, nelle circostanze della Tracia. Mal si apposero quegli scrittori che confusero questi
occhè Giasone, a capo degli Argonauti, venne a farsi render conto del male acquistato retaggio, e se ne rese egli stesso pad
rese eunuco e lo stesso fece il re di Pessinunte. Colpito Agdisto dal male che aveva fatto, ottenne da Giove che anche dopo
vedea lo te Già mezza ragna, trista in su gli stracci Dell’opera che mal per te si fè. Dante. — Purg. C. XII. …… Un n
e un gufo, e ancor suo grido è tale, Ch’ovunque il fa sentir, predice male . Ovidio Metamorfosi libro V trad. Dell’ Anguilla
fin che’l ramo Rende alla terra tutte le sue spoglie ; Similemente il mal seme d’Adamo : Gittansi di quel lito ad una ad un
vevano un grande rispetto per la dea Iside, e che non facessero alcun male a coloro che navigavano il Nilo in una barca fatt
nciullo non regnasse in pregiudizio dei propri figli, lo trattò assai male ed istigò Atreo e Tieste, suoi figliuoli, ad ucci
console, imperocché è commessa al consoli la guerra ; parlmenti non è mal lecito giurare al Sacerdote di Giove ; ne è lecit
antità di nemici. Ma di qual parte fosse Diomede Se Troiano od Acheo mal tu sapresti Discernere, si fervido ei trascorre I
parate pel sacrifizio, e poi rientrò nel fondo del sepolcro senza far male ad alcuno. Virgilio dice che Enea credè che quel
degli Ateniesi, e stimolati dai Beozi, i quali anch’essi vedevano di male occhio la crescente prosperità di Atene, gli Egin
e ; all’uomo Insegnando cosi, quanto per l’uomo Insana mente è d’ogni male il peggio. Sofocle. — Antigone. — Tragedia. trad
an vano a volo. Ma la possa maggior del Padre eterno Provvide a tanto mal , serragli e tenebre D’abissi e di caverne, e moli
delle ferite. Ne successe una mischia nella quale Ercole stesso assai mal concio dovè ritirarsi. Però qualche tempo dopo, a
ndo che l’indole irrascibile di lui, non lo avesse condotto a qualche male passo, lo inviò nelle campagne a custodire i suoi
quasi moribondo, si fece portare a Trachina, ove Dejanira vedendo il male che aveva fatto, si uccise per disperazione. La l
a la statua, fu colpito di follia e divenne furioso. Per più tempo il male lo afflisse senza tregua ; ma poi cominciò ad ave
ione mitologica narra di lui uno strano fatto, dicendo che egli aveva male gli occhi in così triste modo, che era quasi inte
ffinchè rendesse noto all’ universo i loro delitti. È questa fama un mal , di cui null’ altro È più veloce ; e com’ più va,
a terra e del ciel senza riposo. Stridendo sempre, e non chiude occhi mal , Il giorno sopra tetti, e per le torri Sen va de
si vede e che s’ode : e seminando, Non men che ’l bene e ’l vero, il male e ’l falso, Di rumor empie e di spavento i popoli
che ferita M’ebbe amor, divisai com’io potessi Soffrir meglio un tal male , e dal tacerio. Dall’occultario incominciai : chè
Mi maledisse, ed invocò sul mio Capo l’orrende Eumenidi. pregando Che mal concesso non mi fosse il porre Sul suo ginocchio
eri fossero unite a quelle del suo diletto. Qual giorno il Sol, qual mal Carreggiò tristo giorno, e qual la Luna Dalle cel
ome della loro dea, e distribuendo immagini, filtri e rimedi per ogni male . Girando batteran gli eunuchi Galli Cavi tamburi
à di venti anni, e sospinto dalla sua indole avventurosa ed ardita, e mal sofferendo di rimanere ancora nascosto nell’ombra
dente della stirpe degli Eolidi, lo avrebbe un giorno spogliato della mal conquistata corona, aveva anche soggiunto che egl
o di traccheggiare il giovane ancora per qualche tempo, finchè Medea, mal soffrendo di vedere il marito fatto giuoco dell’a
padre fulminando Spezzò gl’imposti monti e li disperse E dalle stelle mal tentale in bando Nel Tartaro carciò le squadre av
ata, Giudica e manda, secondo che avvinghia. Dico, che quando l’anima mal nata Li vien dinanzi, tutta si confessa ; E quel
mpagna. Proteo, addolorato di vedere le proprie figlie ridotte a così mal partito, proclamo un bando in tutti i suoi stati 
onde placare lo sdegno della dea. Tolta così questa prima ragione del male , venne facilmente a capo, con la protezione di Ap
vi la Tema, Evvi la Fame : una ch’è freno al bene, L’altra stimolo al male  ; orrendi tutti E spaventosi aspetti. Havvi il Di
o con un culto particolare, volendo con ciò gli Egizii scongiurare il male che egli avrebbe potuto fare agli altri animali,
rito amante. Giove ne freme : ed a lei toglie quella Lingua, cui così male essa governa ; A Mercurio di poi cosi favella : C
rama che si stendeva ai suoi piedi, precipitò con un urto violento il mal capitato eroe dall’ alto di una rupe. Questo Lico
urrasca ad investigare il luogo ; e che quegli abitanti lunge dal far male ai suoi messaggeri, fecero loro assaggiare il liq
n complesso di principii e di opinioni, professate da alcuni filosofi mal convertiti, i quali pretesero accomodare i dogmi
30 (1845) Mythologie de la jeunesse
pouse et ouvrit la boîte fatale, d’où s’échappèrent aussitôt tous les maux qui depuis n’ont cessé de désoler la terre [Fig. 
llence de leurs ouvrages. Il trouva que les cornes du taureau étaient mal plantées, et qu’il aurait fallu qu’elles fussent
[Fig. 79] La Fortune. La Fortune distribuait les biens et les maux suivant son caprice. Elle était particulièrement
e sa caverne, et lui demandent à plusieurs reprises qui lui a fait du mal . Comme il répondait toujours : Personne, ils crur
ns le cerveau de Jupiter, indique que toute sagesse vient de Dieu. Le mal de tête de Jupiter et le coup de hache qu’il se f
t tout connaître, porte la main à l’arbre de la science du bien et du mal et encourt la disgrâce de Dieu. 28. Les Muses ét
31 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXIV. Il Dio Pane » pp. 264-269
« Temer si deve sol di quelle cose « Che hanno potenza di fare altrui male  : « Dell’altre no, chè non son paurose, » diceva
tema ove nessuna ragion v’è di temere. Ma perchè questo improvviso e mal fondato timore debba chiamarsi pànico, ossia prod
32 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLI. Perseo » pp. 309-316
usa, sì ‘l farem di smalto, « Gridaron tutte riguardando in giuso ; «  Mal non vengiammo in Teseo l’assalto. » E non era un
da un figlio di Giove. Ma la sua stessa precauzione fu causa del suo male , poichè Perseo, irritato di tale scortesia, lo ra
33 (1897) Mitologia classica illustrata
nica, secondo lui, che getti piena luce su quelle parti che rimangono mal cementate e incongrue nella ben congegnata fabbri
lo dei corpi, ma è egli anche medico dell’ anime, che ei guarisce dal male morale colle pratiche della purificazione. Dissip
e ne viene alla grotta di Cillene per obbligare Ermes a restituire il mal tolto. Ermes fa lo gnorri e ricisamente nega il f
vinità benefiche, che facevan cessare ogni angustia e dimenticar ogni male . Pindaro raccontava che dopo la vittoria sul Tita
in sogno doveva apparirgli il Dio che gli suggeriva il rimedio al suo male . 3. Presso i Romani, prima che s’ introducesse la
no che, indovinando un essere divino nel fanciullo, s’ era opposto al mal governo che di lui avevan preso a fare i compagni
ere di questi nacquero gli uomini, e di qui la lotta tra il bene e il male nell’ animo umano, provenendo il bene dall’ eleme
mano, provenendo il bene dall’ elemento dionisiaco che è in noi, e il male dal titanico. Queste e altrettali leggende costit
ima si attribui questa origine solo alla prima donna sorgente d’ ogni male ; a cominciare dal 5º secolo av. C. si diffuse la
cinarsi, saltava nel fuoco fino a diventar rovente, poi abbracciava i mal capitati e se li teneva stretti con un riso sardo
rtù di antivedere le cose sapeva che la spedizione sarebbe riuscita a male , non voleva prendervi parte e aveva tentato sfugg
straordinaria felicità e ricchezza, precipitato poi nel fondo d’ ogni male , e punito in inferno in quel modo che già si espo
o. In questo modo Pelope ottenne Ippodamia e la signoria dell’ Elide; mal ripagò poi Mirtilo del servizio resogli, che in l
cante palesò la causa della disgrazia; e disse non sarebbe cessato il male se Criseide non fosse stata restituita al padre.
34 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVII. Apollo considerato come Dio del Sole, degli Arcieri e della Medicina » pp. 92-103
degli uomini, e i lamenti degli Dei ; e Giove conosciuta la causa del male , e non sapendo come altrimenti rimediarvi, coi fu
fiume « Dove chiamò con lacrimoso plettro « Febo il figliuol che avea mal retto il lume, « Quando fu pianto il fabuloso ele
35 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXX. Stato delle anime dopo la morte, secondo la Mitologia » pp. 216-231
za o con frode altrui contrista. « Ma perchè frode è dell’uom proprio male , « Più spiace a Dio ; e però stan di sutto « Gli
somma sapïenza, quanta è l’arte « Che mostri in Cielo, in Terra e nel mal mondo, « E quanto giusto tua virtù comparte ! »
36 (1836) Mitologia o Esposizione delle favole
e essa, ed il mare. Alle preghiere della terra allor Giove fulminò il mal consigliato giovane, e lo precipitò nell’ Eridano
ava perfino la figlia Metra per comperarsi di che mangiare. Ma questa mal sofferendo la schiavitù raccomandossi a Nettuno d
o Pontino, ovediceasi che alcuni Lacedemoni fuggiti da Sparta, perchè mal sofferenti delle leggi troppo rigide di Licurgo,
o da Mercurio; Io in Egitto diventa Iside, Parte I. Capo IV. Faetonte mal reggendo il carro del Sole è fulminato da Giove e
llontanare i mali che si temevano, o all’ avvenirsi in alcuna cosa di mal augurio o per prepararsi a qualche impresa import
37 (1836) The new pantheon; or, an introduction to the mythology of the ancients
s younger brother Saturn, on condition that he should destroy all his male children. Conformably to this agreement, Saturn d
uminated. They were extremely cautious to prevent the presence of any male animal. The master of the house, his sons, his me
excluded; all the windows carefully closed, and even the pictures of males were veiled. Who was Terminus? Numa, finding the
y worship God in the Sun and in Fire. The Hindûs regard the Moon as a male Deity, to whom they give the name of Chandra, and
The northern mythology makes the Sun to be a female, and the moon a male divinity. The Song of Vala. (From Herbert’s Helg
38 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLIV. La caccia del cinghiale di Calidonia » pp. 326-330
pelle del cinghiale lo cedè ad Atalanta. Ciò dispiacque ai suoi zii, mal tollerando che una donna con tal distintivo di on
39 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XIII. Difetti e vizii del Dio Giove » pp. 69-72
ta in matrimonio coll’improvvido Epimeteo, significhi la voluttà e il mal costume che spasso derivano dalla raffinatezza de
40 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XI. Giove re del Cielo » pp. 55-59
ti del suo trono teneva Giove due coppe, l’una del bene e l’altra del male , per versarle a suo beneplacito sopra i mortali.
41 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXI. Minerva » pp. 132-137
io te, « Già mezza aragna, trista in su gli stracci « Dell’opera che mal per te si fe ! » Quindi egli non accetta l’opini
42 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — X. Cerere dea delle biade e Proserpina sua figlia » pp. 48-54
atori e cacciatori conduc endo una vita errante e senza dimora fissa, mal potevano assoggettarsi al consorzio sociale e vin
43 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXIX. Eolo e i Venti » pp. 295-
ano a volo. « Ma la possa maggior del padre eterno « Provvide a tanto mal  ; serragli e tenebre « D’abissi e di caverne e mo
44 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte IV. Le Apoteòsi — LXIX. Di alcune Divinità più proprie del culto romano » pp. 500-505
a Giove, perchè parlava troppo. La pregavano perchè facesse tacere le male lingue. Le Feste Caristie erano un solenne convit
45 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Cenni Preliminari » pp. 9-
ossiamo tener per fermo che il rimedio deve essere stato peggiore del male . IX. Libazione, cerimonia religiosa nei sacrifizj
46 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — VII. Saturno esule dal Cielo è accolto ospitalmente in Italia da Giano re del Lazio » pp. 31-38
li Ebrei dimoranti in Roma dovevano necessariamente parlare, o bene o male , la lingua latina ; e perciò potevan benissimo av
47 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XIX. La Dea Triforme cioè Luna in Cielo, Diana in Terra ed Ecate nell’Inferno » pp. 115-122
enza da trarre la Luna dal Cielo in Terra per farla servire alle loro male arti. Orazio rammenta più volte (ma ironicamente,
48 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIII. Venère, Cupido e le Grazie » pp. 144-151
i Giganti. Venere non si oppose e obbedì ; ma questo matrimonio così male assortito fu causa di coniugali discordie e di sc
49 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XII. La Titanomachia e la Gigantomachia » pp. 60-68
tto ; e gli antichi la considerarono come una lotta del principio del male contro quello del bene, e perciò celebrarono la v
50 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXXII. Gli Oracoli » pp. 242-252
e quello Dio che ti poteva predire il tuo futuro bene o il tuo futuro male , te lo potesse ancora concedere. Di qui nascevano
51 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVI. Nettuno re del mare e gli altri Dei marini » pp. 173-183
iangeva al suo pianto : « oh fortunato, « Che un tempo conoscesti il male a prova, « Se non t’invidii il Ciel sì dolce stat
52 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIX. Plutone re dell’ Inferno e i suoi Ministri » pp. 203-215
poeta latino impreca al tenebroso regno in questi versi : « At vobis male sit, malæ tenebræ « Orci, quæ omnia bella devora
53 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo I pp. 3-423
nome Metra, e questa pure egli vendette per isfamarsi. Ella però, de mal comportava di vivere in servitù, pregò Nettuno, c
di Tebe, il popolo corse ad incontrarlo con giulivi applausi. Penteo, mal sofferendo siffatte acclamazioni, ordinò ad alcun
l’animo degli astanti (e). Proferiva finalmente per intervalli alcune mal articolate parole, le quali da’Sacerdoti si racco
arsi, si precipitò dall’alto della casa in istrada. Non si fece alcun male  ; e presa la fuga, montò in un naviglio, che da s
e isole, e di tutti i luoghi circonvicini(c). Egli però, trovandosene mal contento, e invidiando a Giove, ch’ei regnasse ne
ciò poi che spetta singolarmente ad Ate, costei non pensava che a far male , e a turbare l’animo degli uomini. Divenuta in ab
eghiere, le quali cercano sempre d’andarle d’appresso per impedire il male , che staper apportare ; ma essendo elleno zoppe,
54 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLVI. Giasone e Medea » pp. 342-489
ni Ingegneri e Meccanici, se lo credessero vero. Non ostante non sarà male il sentir come fecero i Troiani, secondo quel che
(com’egli giustamente osserva), « Ma poichè frode è dell’uom proprio male « Più spiace a Dio ; » dovè esser perciò assai m
« Come fu Jefte alla sua prima mancia ; « Cui più si convenia dicer : Mal feci, « Che, servando, far peggio ; e così stolto
55 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
tì la madre ed il figlio. Da quel momento fu oppresso da un terribile mal di capo. Avendo implorato l’aiuto di Vulcano, que
Macedonia. L’Amore e le Grazie abitavano con esse. L’Amore non vi era mal situato ; parecchie di esse cedettero al potere d
da Scilla a Cariddi. Non è cosa rara che bene spesso il timore di un male ci conduce in un peggiore. I Penati, i Lari ed
plicò un rimedio che aveva imparato dal suo antico precettore : ma il male era incurabile e l’infelice Centauro soffriva ace
56 (1889) The student’s mythology (2e éd.)
To ensure this, Titan made Saturn promise farther to destroy all his male children. In fulfillment of this engagement, Satu
tan was so much enraged against Saturn for failing to destroy all his male children, that he assembled the giants, generally
nd Pluto. As we have already learned, Saturn devoured the rest of his male children. Ques. How is he represented? Ans. Sat
y in China. In the seventeenth century, they numbered eleven thousand males . Ques. What were the doctrines of Confucius? An
57 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
utinus is the same as Matutus, and is not Janus, i. e. the Sun, but a male deity answering to Matuta, the goddess of the daw
os (Sea). She then bore to Uranos a mighty progeny : the Titans ; six males , Oceanos, Coios, Crios, Hyperiôn, Iapetos, and th
ding to all analogy the sage or poet who devised the mythe of the six male and six female Titans must have intended to emplo
ed dominion over the dwellers of Olympos, uniting in cruel sport both males and females with mortals. But Zeus resolved that
which period, observing two serpents similarly engaged, he killed the male , and thus returned to his pristine state. On some
acle about a son ; and the god replied, that he would himself have no male issue, but that his daughter would bear a son who
as, was married to Clymene the daughter of Minyas. He was anxious for male offspring ; and on his wife's bringing forth a fe
ops he had already a son called Aias ; for Heracles having prayed for male issue for his friend, an eagle (ἀετὸς) appeared i
present order of things2251. The other consisted of twelve gods, six male and as many female, his ordinary council. These w
of Greece, it usually represented them in pairs, each consisting of a male and a female divinity2262. Thus we meet with Satu
58 (1832) A catechism of mythology
ger brother Saturn, on condition that he should not suffer any of his male children to live. To fulfil this condition, Satur
s and beautiful, and wonderfully swift in running. She always shunned male society. She was, however, at all times, besieged
d, the windows were carefully closed, and the paintings of men and of male animals were covered with a curtain. Earth was us
ly to the priests and the learned. The Hindoos consider the moon as a male deity on which they confer the appellation of Cha
related that, while he was sleeping, he formed of his perspiration, a male and a female, from whom was descended the race of
59 (1833) Classic tales : designed for the instruction and amusement of young persons
, they found the intruder. The Greeks were then a rude people; either males or females would kill or beat those who offended
per of Diana, and that goddess forbade her followers to listen to any male , either divine or human. One day as Syrinx was de
60 (1909) The myths of Greece and Rome
ose body was half man and half fish, and who gave his name to all his male descendants. Idas and Marpessa Like all oth
rsions, in which Rhœcus was deprived of physical sight. Pan The male divinities of the woods, which were also very num
, and included the lovely Oceanides and Nereides, together with their male companions the Tritons, who generally formed Nept
the ancient deities not subjected to Jupiter, 27 Deu-ca′li-on. Only male survivor of Deluge; son of Prometheus and father
9; Italy ruled by, 12, 22; husband of Rhea, 14; day of, 178 Sa′tyrs. Male divinities of the woods, half man, half goat, 265
61 (1855) Della interpretazione de’ miti e simboli eterodossi per lo intendimento della mitologia pp. 3-62
onarsi. Diodoro Sicolo al contrario vuole, che Bacco vedendo andare a male il suo esercito nelle Indie dalla pestilenza, Bac
62 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
the Cyclopes*, and the Hecatoncheires*. There were twelve Titans: six males , Chronos*, Oceanus*, Cœus*, Crius*, Hyperion*, an
alia, was celebrated on the 23d of August. Sacrifices were calves and male pigs. The streets were illuminated, fires were ki
63 (1860) Elements of Mythology, or, Classical Fables of the Greeks and the Romans
n, when he took the kingdom of the world, agreed always to devour his male children; as the Hours and Days, portions of time
, or invocation of praise to the sun. The Hindus regard the moon as a male deity, to whom they give the name of Chandra, and
64 (1898) Classic myths in english literature
ccordingly became in the process of generations not only persons, but male and female. As, also, the phrases expressing the
. It does not attempt to show how an object like the ocean came to be male , and not female, or how it came to be a person at
of creation Love begins to stir, making of material things creatures male and female, and bringing them together by instinc
ide Pan, were the Sileni, the Sylvans, the Fauns, and the Satyrs, all male ; the Oreads and the Dryads or Hamadryads, female.
in descent from Saturn, ruled the country. He was now old and had no male descendant, but had one charming daughter, Lavini
65 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
were others, whose names were Oceanus, Hyperion, Iapetus, and Ophion, males ; and Themis, Mnemosyne, Eurynome, females. They a
in descent from Saturn, ruled the country. He was now old and had no male descendant, but had one charming daughter, Lavini
and from his left, the warrior’s wife. His thighs produced Vaissyas, male and female, (agriculturists and traders,) and las
66 (1842) Heathen mythology
n of the earth the principal were Titan, Saturn, and Hyperion, of the males ; whilst among the females were comprised Thea, Rh
. Saturn, faithful to his promise, swallowed, at their birth, all the male children brought to him by his wife Cybele. But a
/ 66