occhi del politeista popolavano l’universo come altrettanti genj del
male
coi quali tregua non v’era mai ; e che senza posa
; vinti, attribuivano i rovesci delle loro armi ad auspicj negletti o
mal
compresi. Il campo era un tempio, e quanto più la
soprattutto in questi paesi la tradizione dei due genj del bene e del
male
. Ci rimane a parlare di quel popolo nato a mutar
entiero traviano ! E chi lo nega ? Contuttociò quello che è veramente
male
, neppure da que’ medesimi che da esso travolti so
no e le stelle, e non vogliono che sia suo quello che riconoscono per
male
. Ma qual somiglianza hanno costoro co’ Cristiani
olte spontaneamente confessa ; condannato, ringrazia. Or che sorta di
male
si dirà mai questo, nel qual non si trova la natu
sorta di male si dirà mai questo, nel qual non si trova la natura del
male
? Cioè nè timore, nè vergogna, nè tergiversazione
rgogna, nè tergiversazione, nè penitenza, nè doglianza ? Che sorta di
male
, dico, del quale il reo si allegra, l’accusa del
a strada ad una larga vendetta, se fosse lecito a noi ricompensare il
male
col male ? Ma non fia mai che una setta, che ha d
ad una larga vendetta, se fosse lecito a noi ricompensare il male col
male
? Ma non fia mai che una setta, che ha del divino
on fuoco umano vendichi i suoi torti, e che si dolga di soffrire quel
male
, il quale fa prova della sua virtù. Che, se noi v
ertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’art de guérir les
maux
! Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Q
de posséder l’art de guérir les maux ! Malheureux que l’amour soit un
mal
incurable, Que mon art, pour moi seul, ne soit pa
, aveugle, mercenaire ; Ce n’est point là l’Hymen. On le connaît bien
mal
. Ce Dieu des cœurs heureux est chez vous, d’Argen
présent d’un bandeau fatal : De-là vient qu’il s’y prend si
mal
Pour distribuer ses largesses. Faut-il d
n lui immolait des poules et des coqs. Aux champs de l’Italie, un
mal
contagieux Corrompit autrefois l’air pur de ces b
z plus près de vous le fils de Coronis ; Amenez-le dans Rome ; et vos
maux
sont finis. Quand Rome de l’oracle eut connu
s. Deux avis différens partagent l’assemblée : Sans doute on doit aux
maux
dont Rome est accablée Accorder le secours par l’
laissa pas d’être utile à la Terre, D’abolir des abus, de réparer des
maux
, Le tout à sa manière. Je
re cité : le voici. Deux époux d’âge mûr, et d’un état honnête, Étant
mal
assortis, souvent se disputaient, Et mêm
domestiques, Nourris en votre cour, et constamment étiques, Toujours
mal
engraissés par des soins ignorans ; Ne connaissez
par degré A l’état d’abandon, de joie et de délire, A l’oubli de tous
maux
que le vin doit produire. Toast. Écoutez les T
s mes bras. De Ch…. expirant je vois encor l’image ; Je le vois à ses
maux
opposer son courage, Penser, sentir, aimer, au bo
le Ciel est toujours sans nuage. Un enfant, de la vie ignore tous les
maux
, A ses yeux indulgens tout paraît sans défauts. L
nneur, empire, amour, tout est perdu pour lui. C’est en vain qu’à ses
maux
prêtant un noble appui, D’un cerf tout jeune enco
vrier qui fabrique une utile chaussure, Sans l’aveu de Pallas prendra
mal
la mesure : La main la plus habile à façonner le
des corps humains chassant la maladie, Renouez de nos jours la trame
mal
ourdie, Qu’une part de ces dons que vous en recev
re a semé, sur les pas des mortels, Peu de solides biens, beaucoup de
maux
réels, Leur importun essaim nous assiège sans ces
x les plus élevés, d’où elle publiait indifféremment et le bien et le
mal
. Sa langue était infatigable, elle ne se taisait
Aux cris joyeux succède un lugubre silence ; Tous, pressentant leurs
maux
et les maux de la France, S’éloignent lentement ;
yeux succède un lugubre silence ; Tous, pressentant leurs maux et les
maux
de la France, S’éloignent lentement ; et, les lar
Mais les Dieux prévoyant que sa triste influence, Ferait pleuvoir les
maux
sur les humains, A trois Divinités commirent l’as
ante, Roule en cercle de feu sa torche flamboyante, Et triomphant des
maux
que la barbare a faits, Les laisse à leur délire,
ursuit en ces mots : Protée, ô mon cher Fils, peut seul finir tes
maux
; C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il h
ème aurore éclairera le monde, Au déplorable époux dont tu causas les
maux
Offre une brebis noire et la fleur des pavots ; E
x ! Lorsque je me vis seul sur cette plage aride, Sans appui dans mes
maux
, sans compagnons, sans guide ! Jetant de tout côt
qu’on m’a laissé, le désespoir, la rage !… Le temps accrut ainsi mes
maux
et mon outrage. J’appris à soutenir mes misérable
dix ans, mon fils, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’un
mal
contagieux, Victime d’une lâche et noire ingratit
urpris ainsi dans les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces
maux
: que les Dieux les leur rendent ! Sophocle. —
appareil d’une pompe guerrière, Cette Reine sensible au récit de mes
maux
, Promit de terminer le cours de mes travaux. Les
la pierre. Si jamais, disent-ils, l’homme a fléchi les Dieux, Si ses
maux
ont trouvé grace devant leurs yeux, O Thémis, app
sa chère Pyrrha rassure les esprits. L’oracle, lui dit-il, ou je l’ai
mal
compris, N’exige rien de nous qui ne soit légitim
me venger de lui, que je le laisse vivre ! Ah ! quels que soient les
maux
que Thyeste ait soufferts, Il n’aura contre moi d
ndore sur la terre avec la boîte fatale où étaient renfermés tous les
maux
. Prométhée se garda bien de l’ouvrir, mais Epimét
ce restait dans le vase fatal ; Mais il fut refermé pour consommer le
mal
. Hésiode. — Lefranc 176. Didon, Fille de B
ar quelques attraits j’intéressai ton cœur, Songe, ingrat ! songe aux
maux
où ta fuite me laisse ! Et, par pitié, du moins,
de Lucine éprouver les travaux, Qui sera près de toi pour adoucir tes
maux
, Pour t’offrir les secours de l’amour maternelle
me ! Tu pleures !… ô mon fils ! connaîtrais-tu ton sort ? Sens-tu nos
maux
cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulen
Nérine. ………… Tu vois, ma douleur est si forte, Que, succombant aux
maux
qu’on me fait découvrir, Je demeure insensible à
amitié, Montrait, de ma disgrace, une fausse pitié, Et, jouissant des
maux
que j’aimais à lui peindre, Elle en était la caus
moins funeste, et des destins meilleurs. Compagne de ses pas, de ses
maux
, de sa vie, Hermione le suit au fond de l’Illyrie
a percé ? Peut-être de ses dents la semence guerrière Fut-elle de nos
maux
la semence première. Dieux ! si c’est un serpent
ritée. Il doute si du fer, instrument du trépas, Sa lance dégarnie, a
mal
servi son bras ; Et l’y trouvant encor : Ne suis-
nuage d’effroi se répand sur sa vue. Son pied porte en arrière un pas
mal
affermi. Il chancelle, il rencontre un obstacle e
s ! Voyez ce que m’ont fait les injustes Atrides. Auteurs de tous mes
maux
, leur superbe mépris. Insulte à mon trépas : paye
s enfans puiser leur nourriture. Ces fruits d’un chaste hymen par nos
maux
achetés, Quoi ! nous les confions à des mains mer
n s’alimente ? Ah ! de l’humanité prends l’auguste flambeau, Vois les
maux
que produit l’abus que je déplore, Combien d’info
olongeant sa rage Grave au front des humains un éternel outrage. D’un
mal
contagieux tout fuit épouvanté ; Isaure sans effr
ur les mers comme elle dans le monde, A votre déité, par pitié de ses
maux
, Offrit un roc mobile et battu par les flots. C’e
étendus et sanglans, Veuve de son époux, veuve de ses enfans, Par le
mal
endurcie, elle n’est plus sensible. Ses longs che
r un tronc sans rameaux : Seul plaisir qui lui reste en ses horribles
maux
. Son troupeau réuni suit sa marche pesante : Nous
parlent encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule commande, ils sont
mal
écoutés. Alors on voit tomber sous un fer témérai
r la terre, elles buvaient les eaux du fleuve Léthé, pour oublier les
maux
qu’elles y avaient soufferts. Les champs Elysées
compagne fidelle, Et dans l’ombre il se plait à gémir avec elle ; Ses
maux
furent mêlés à des plaisirs si doux, Que du Malhe
Le génie eût péri comme eux. Castilhon 255. Nina. A d’incurables
maux
, de ses douces erreurs L’Espérance offre encor l’
Déesse fantasque et volage ; elle présidait à la fois au bien et au
mal
. On la représente aveugle et chauve, toujours deb
a canicule, on était bien fourré, Plus l’oreille était dure, et l’œil
mal
éclairé, Plus on déraisonnait dans sa triste fami
t et malheureux, pleurer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes
maux
et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a
rage. Tels sont de ses tourmens les préludes affreux ; Mais si le
mal
accroît ses accès douloureux, Alors, son œil s’en
Vainement les bergers changent de pâturage ; L’art vaincu cède au
mal
, ou redouble sa rage, Tisiphone, sortant du gouff
ux : un bon et un mauvais. Le premier inspirait le bien, le second le
mal
. De-là vient l’expression latine, Genio indulgere
ux dès qu’on cesse de rire. Au siècle d’or, lorsqu’on dit que les
maux
N’osaient encor affliger ce bas monde ; Que les h
mportante. La crainte, autre cause de l’idolâtrie. Un déluge de
maux
fut dans tous les temps le partage des malheureux
; Et de là sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les
maux
destinés aux humains. Sur un autel de fer, un liv
t à ses côtés, et devant lui deux vases qui contiennent le bien et le
mal
, qu’il répand à son gré sur les hommes. D. Qu’éto
ter à Prométhée. Epiméthée, son frère, l’ouvrit, et aussitôt tous les
maux
de la nature, qui y étoient renfermés, se répandi
a mer, pour trouver un remède à l’amour ; mais on ne se faisoit aucun
mal
. Sapho, poète pleine de grâces, fit ce fameux sau
châtioient avec des serpens et des flambeaux ardens ceux qui avoient
mal
vécu. On les représente coëffées de couleuvres.
ux Génies à chaque homme ; l’un qui le portoit au bien, et l’autre au
mal
. Le plus puissans l’emportoit ; si c’étoit le bla
du sang de Méduse naquit, dit-on, le cheval Pégase. Persée se voyant
mal
accueilli d’Atlas, chez lequel il se présenta, po
ffreuse famine, et une horrible contagion vint mettre le comble à ses
maux
. On consulte l’Oracle ; il répond que les malheur
et de travaux, Dans le pays de sa naissance Vit finir le cours de ses
maux
. (Rousseau.) Il arriva enfin à Ithaque, où il vé
remarqueroient en nous. L’Écrevisse reprochoit à sa fille de marcher
mal
. Ecoutons la réponse de celle-ci. Puis-je autrem
ut exemple domestique Est universelle et s’applique En bien, en
mal
, en tout ; fait des sages, des sots ; Beaucoup pl
rce de l’habitude : le pli une fois formé, pour le bien comme pour le
mal
, rien au monde ne peut le faire disparoître.
der comme l’action la plus importante de la vie. De ce choix, bien ou
mal
fait, dépend le bonheur ou le malheur des jours.
e qui puisse leur laisser des impressions fâcheuses, ou les porter au
mal
. Une femme mariée doit mettre au rang de ses prin
alheureusement trop peu commune. On taxe souvent les femmes de porter
mal
un secret : Rien ne pèse tant qu’un secret
défauts et d’ignorance ? Néanmoins on peut dire que l’orgueil est le
mal
humain, tant il est généralement répandu chez la
oser que dans un cœur pervers. Ennemie déclarée de la vertu, tous les
maux
sortent de cette source empoisonnée. Les ames hon
avarice est le vice des ames étroites et dures. Elle enfante bien des
maux
; les injustices, les trahisons, la discorde form
Et de là sur la terre il verse, à pleines mains, Et les biens et les
maux
destinés aux humains. Sur un autel de fer un livr
hée, par une fatale curiosité, ouvrit la boîte, et aussitôt touts les
maux
de la nature, qui y étoient renfermés, se répandi
sur un trône d’or, au pied duquel sont les deux coupes du bien et du
mal
qu’il répand à son gré sur le monde. Son front es
pie ; Que par elle vaincus, mes présents, mes secours, Alimentent son
mal
et l’irritent toujours ; Qu’elle surmonte enfin m
s dents sur ses dents se fatiguent en vain. Quand il est éveillé, son
mal
n’est plus un songe : Sa faim est une rage, un va
; la trahison qui veut se repaître de sang, et qui ne peut jouir des
maux
qu’elle a faits ; l’envie qui verse son venin mor
ntôt on le fait aveugle, pour marquer que le plus souvent il dispense
mal
ses faveurs ; tantôt on le représente boiteux, po
nous la naissance de Minerve ? R. Jupiter éprouva un jour un violent
mal
de tête : il ordonna à Vulcain de lui fendre la c
un bon, qui les portoit au bien, et un mauvais, qui leur inspiroit le
mal
. Chacun, le jour de sa naissance, sacrifioit à so
ses plus secrètes pensées. Enfin, la maison de Minerve lui paroissoit
mal
entendue, parce qu’elle étoit trop massive, pour
ais passoient par une porte de corne, et annonçoient des biens ou des
maux
réels que les songes faux passoient par une porte
qui présidoit à touts les événements, et distribuoit les biens et les
maux
suivant son caprice. Les poëtes la dépeignent cha
stille de sa bouche. Triste de noire joie, elle ne rit jamais Que des
maux
qu’elle a vus, ou de ceux qu’elle a faits ; Et la
t poursuit en ces mots : Protée, ô mon cher fils, peut seul finir tes
maux
. C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il ha
ème aurore éclairera le monde, Au déplorable époux dont tu causas les
maux
, Offre une brebis noire et la fleur des pavots ;
e raconte ainsi à Pyrrhus comment les Grecs l’ont abandonné, et quels
maux
il a soufferts23. Nous touchons à Lemnos : accab
x ! Lorsque je me vis seul sur cette plage aride, Sans appui dans mes
maux
, sans compagnons, sans guide ! Jetant de tout côt
e qu’on m’a laissé, le désespoir, la rage ! Le temps accrut ainsi mes
maux
et mon outrage. J’appris à soutenir mes misérable
dix ans, mon fils, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’un
mal
contagieux, Victime d’une lâche et noire ingratit
pris ainsi dans les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait touts ces
maux
: que les dieux les leur rendent ! Ulysse.
donné lieu à une espèce de proverbe : quand on veut parler d’un homme
mal
fait, lâche et insolent, on dit : c’est un Thersi
oit de leur amour et de leur reconnoissance touts les secours que ses
maux
peuvent réclamer. Et quel est le cœur qui ne sera
cilement ; et lorsqu’une fois on est entré dans la voie du bien ou du
mal
, on en sort rarement. Tant le naturel
tre. Car on ne sauroit dire combien les femmes influent en bien ou en
mal
sur la société. Cependant les hommes, autant par
t, en a amolli et énervé le courage. Molière, en France, a produit un
mal
presque aussi grand par sa comédie des Femmes sav
s hommes sages et des bons législateurs. Ce sexe que nous élevons si
mal
, et qui écrit si bien ! disoit J. J. Rousseau. Ma
les impressions sont plus vives et plus profondes… Rien n’est donc si
mal
entendu que l’éducation qu’on donne aux jeunes pe
uni à une femme vicieuse est au contraire le plus grand de touts les
maux
qu’un homme ait à redouter. Une femme vicieuse es
mple. C’est des parents mêmes, a dit le vertueux Rollin, que vient le
mal
, par le mauvais exemple qu’ils donnent à leurs en
est honteux pour elle d’être forcée de s’y refuser, ou de s’en tirer
mal
! Souvent elle aura besoin de faire des lectures
onc se mettre en état de leur procurer ce doux soulagement dans leurs
maux
et leurs ennuis. Pour ce qui est de l’écriture, o
est trop honteux de ne savoir point parler sa langue, ou de l’écrire
mal
. « Elles devroient aussi savoir les règles de l’
l’enseigne dans les leçons particulières, mais souvent on l’enseigne
mal
. Beaucoup de maîtres font faire les opérations pa
ages dans les maisons d’éducation. L’instruction en souffiroit, et le
mal
seroit presque irréparable. Il est fâcheux pour d
us détruire ; Faites, si vous pouvez, votre cour sans vous nuire : Le
mal
se rend chez vous au quadruple du bien. Les daube
sentiment des grandes ames, bonheur du monde, devant lequel touts les
maux
disparoissent ou s’affoiblissent, et touts les bi
lendemain. La Fontaine a dit : Le soin de soulager les
maux
Est une charité que je préfère aux autres. Un av
ue causent la colère, la vivacité, ne faut-il pas craindre encore les
maux
qu’entraîne l’impatience ? R. Oui. L’impatient n
loisir aux vertus est contraire : Qui ne fait rien, n’est pas loin de
mal
faire. ( Panard.) Écoutons cet apologue de La Fo
ertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’art de guérir les
maux
. Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Q
de posséder l’art de guérir les maux. Malheureux que l’amour soit un
mal
incurable, Que mon art, pour moi seul, ne soit pa
la source. Pourquoi, tes enfans sans ressource, Sont-ils toujours si
mal
meublés ? Uses-en donc plus tendrement, Trai
, aveugle, mercenaire ; Ce n’est point là l’Hymen. On le connoît bien
mal
. Ce Dieu des cœurs heureux est chez vous, d’Argen
on, élèves d’Epidaure, Venez : la main des Dieux, sensible à tous nos
maux
, En cacha le remède au sein des végétaux. Trois é
laissa pas d’être utile à la Terre, D’abolir des abus, de réparer des
maux
, Le tout à sa manière. Je
e cité : le voici. Deux époux d’âge mûr, et d’un état honnête, Étant
mal
assortis, souvent se disputoient, Et
le Ciel est toujours sans nuage. Un enfant, de la vie ignore tous les
maux
, A ses yeux indulgens tout paroît sans défauts. L
re a semé, sur les pas des mortels, Peu de solides biens, beaucoup de
maux
réels, Leur importun essaim nous assiége sans ces
x les plus élevés, d’où elle publioit indifféremment et le bien et le
mal
. Sa langue étoit infatigable, elle ne se taisoit
Mais les Dieux prévoyant que sa triste influence, Feroit pleuvoir les
maux
sur les humains, A trois Divinités commirent l’as
rsuit en ces mots : Protée, ô mon cher Fils, peut seul finir tes
maux
; C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il h
ème aurore éclairera le monde, Au déplorable époux dont tu causas les
maux
Offre une brebis noire et la fleur des pavots ; E
x ! Lorsque je me vis seul sur cette plage aride, Sans appui dans mes
maux
, sans compagnons, sans guide ! Jetant de tout côt
e qu’on m’a laissé, le désespoir, la rage ! Le temps accrut ainsi mes
maux
et mon outrage, J’appris à soutenir mes misérable
dix ans, mon fils, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’un
mal
contagieux, Victime d’une lâche et noire ingrati
urpris ainsi dans les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces
maux
: que les Dieux les leur rendent ! Sophocle. —
appareil d’une pompe guerrière, Cette Reine sensible au récit de mes
maux
, Promit de terminer le cours de mes travaux. Les
t la pierre. Si jamais, dirent-ils, l’homme a fléchi les Dieux Si ses
maux
ont trouvé grace devant leurs yeux, O Thémis, app
me venger de lui, que je le laisse vivre ! Ah ! quels que soient les
maux
que Thyeste ait soufferts, Il n’aura contre moi d
ndore sur la terre avec la boîte fatale où étoient renfermés tous les
maux
. Prométhée se garda bien de l’ouvrir, mais Epimét
ce restoit dans le vase fatal ; Mais il fut refermé pour consommer le
mal
. Hésiode. — Lefranc 176. Didon, Fille de
de Lucine éprouver les travaux, Qui sera près de toi pour adoucir tes
maux
, Pour t’offrir les secours de l’amour maternelle
me ! Tu pleures !… ô mon fils ! connoîtrois-tu ton sort ? Sens-tu nos
maux
cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulen
… Tu vois, ma douleur est si forte, Que, succombant aux
maux
qu’on me fait découvrir, Je demeure insensible à
amitié, Montroit, de ma disgrace, une fausse pitié, Et, jouissant des
maux
que j’aimois à lui peindre, Elle en étoit la caus
r moins funeste et des destins meilleurs. Compagne de ses pas, de ses
maux
, de sa vie, Hermione le suit au fond de l’Illyrie
a percé ? Peut-être de ses dents la semence guerrière Fut-elle de nos
maux
la semence première. Dieux qui me punissez, si te
s ! Voyez ce que m’ont fait les injustes Atrides. Auteurs de tous mes
maux
, leur superbe mépris. Insulte à mon trépas : paye
elle… Dieux injustes s’écria-t-elle, Dieux auteurs de mes
maux
, arrachez-moi le jour… Oh ! je ne puis survivre à
Enfans puiser leur nourriture. Ces fruits d’un chaste hymen par nos
maux
achetés, Quoi ! nous les confions à des mains mer
n s’alimente ? Ah ! de l’humanité prends l’auguste flambeau, Vois les
maux
que produit l’abus que je déplore, Combien d’info
comme elle dans le monde, L’accueille, et donne enfin un asile à ses
maux
, Asile encor mobile et bercé par les flots ? Là,
parlent encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule commande, ils sont
mal
écoutés. Alors on voit tomber sous un fer témérai
compagne fidelle, Et dans l’ombre il se plait à gémir avec elle ; Ses
maux
furent mêlés à des plaisirs si doux, Que du Malhe
Déesse fantasque et volage ; elle présidoit à-la-fois au bien et au
mal
. On la représente aveugle et chauve, toujours deb
a canicule, on étoit bien fourré, Plus l’oreille étoit dure, et l’œil
mal
éclairé, Plus on déraisonnoit dans sa triste fami
t et malheureux, pleurer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes
maux
et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a
age. Tels sont de ses tourmens les préludes affreux ; Mais si le
mal
accroît ses accès douloureux, Alors, son œil s’en
Vainement les bergers changent de pâturage ; L’art vaincu cède au
mal
, ou redouble sa rage, Tisiphone, sortant du gouff
ux : un bon et un mauvais. Le premier inspiroit le bien, le second le
mal
. De-là vient l’expression latine, Genio indulgere
x dès qu’on cesse de rire. Au siècle d’or, lorsqu’on dit que les
maux
N’osoient encor affliger ce bas monde ; Que les h
ons. Vulcain l’envoya à Prométhée, avec une boîte renfermant tous les
maux
qui devaient se répandre sur la terre. Prométhée,
mais l’imprudent Epiméthée s’empara de la boite et l’ouvrit. Tous les
maux
qu’elle renfermait en sortirent aussitôt ; lorsqu
ndot] Malgré cet arrêt sévère, le poëte ajoute que la crainte de ce
mal
fait tomber dans un pire, et que les hommes qui é
cha à un arbre et l’écorcha tout vif. Apollon, dépouillé par Mercure,
mal
jugé par Midas, et défié par Marsyas, est le symb
t une fureur prophétique. Elle souffrait d’atroces douleurs, des mots
mal
articulés sortaient de sa bouche écumante ; les p
ttributs et premier exploit de Minerve. Jupiter éprouva un jour un
mal
de tête insupportable ; il avait dévoré sa premiè
aptivité. Aventures de Mars. Pour le dieu de la guerre, c’était
mal
débuter. Les Grecs en faisaient peu de cas. Penda
du Tartare et des champs Élysées. On buvait avec ses eaux l’oubli des
maux
passés, et les ombres destinées au bonheur s’y dé
les vices, toutes les vertus, tous les sentiments de l’âme, tous les
maux
et tous les biens. Ce procédé avait engendré une
tte, emblème de sa voix puissante. La Fortune présidait au bien et au
mal
. On la représente sous la figure d’une femme aveu
Là cent figures d’air dans leurs moules gardées, Là des biens et des
maux
les légères idées, Prévenant nos destins, trompan
e moral et dans l’ordre physique ; les ténèbres engendrent partout le
mal
. Ormuzd et Ahriman vivent dans une lutte perpétue
ouvrage d’Ahriman, et les efforts d’Ormuzd ne tendent qu’à réparer le
mal
que son ennemi ne se lasse pas de faire. Sa demeu
mettent-ils pas deux principes, le principe du bien et le principe du
mal
? — Sous quels noms les adorent-ils ? — Quel est
ieux ne doivent pas durer toujours. A côté d’eux subsiste le génie du
mal
, Loki, cet autre Ahriman, qui appartient à la rac
gence et la beauté extérieure, ses vices l’ont dégradé, et il aime le
mal
pour le mal. La fille d’un géant lui a donné pour
beauté extérieure, ses vices l’ont dégradé, et il aime le mal pour le
mal
. La fille d’un géant lui a donné pour progéniture
ors, dans une lutte horrible des éléments, des dieux et des génies du
mal
, les esprits malfaisants seront détruits. La plup
st le nom du paradis des Scandinaves ? — Comment se nomme le génie du
mal
? — Quels sont ses auxiliaires ? — Comment se ter
on frère Epiméthée fut moins prudent, il ouvrit la boîte, et tous les
maux
de la nature qui y étaient renfermés se répandire
xion) et qu’il la renferma en lui-même. Il éprouva ensuite un violent
mal
de tête, et Minerve, la déesse des arts, sortit d
de ce couple hospitalier. Ils sortirent du pays où ils avaient été si
mal
reçus et ordonnèrent à Philémon et Baucis de les
à ses côtés, et devant lui sont placées les deux coupes du bien et du
mal
qu’il répand à son gré sur le genre humain. Quelq
mment Jupiter mit au monde Minerve, après avoir souffert d’un violent
mal
de tête. Aussitôt après sa naissance, cette déess
rétion. Jupiter voulait le faire périr parce qu’il prévoyait tous les
maux
que cet enfant devait faire aux dieux et aux homm
yés par leur sentence aux Champs-Elysées, et ceux qui avaient fait le
mal
étaient condamnés au Tartare. 6. Le Tartare était
it le sien, et comme nous sommes enclins tout à la fois au bien et au
mal
, on admettait que l’homme avait deux génies, l’un
utre mauvais. Le bon lui inspirait le bien, le mauvais le poussait au
mal
. Le jour de l’anniversaire de sa naissance, chaqu
Là cent figures d’air dans leurs moules gardées, Là des biens et des
maux
les légères idées, Prévenant nos destins, trompan
bstraits, et prêtèrent ainsi des formes allégoriques aux biens et aux
maux
, aux vices et aux vertus, aux sentiments et aux p
sir qu’à tourmenter les hommes. Jupiter, son père, irrité de tous les
maux
qu’elle faisait, la chassa du ciel et jura quelle
comme Até filles de Jupiter, la suivaient en boitant et réparaient le
mal
produit par leur malencontreuse sœur. C’est, sous
Comment représentèrent-ils le vice en général ? Chapitre IV. Des
Maux
. 1. Nous ne parlerons ici que de Bellone, des
et les poëtes la représentaient comme une femme d’une pâleur extrême,
mal
vêtue, demandant l’aumône en glanant dans un cham
s, symbole de la perte des biens. Questionnaire. — 1. Quels sont les
maux
qui ont été spécialement divinisés ? 2. Qu’était
choses humaines, et distribuait, selon ses caprices, les biens et les
maux
. Les païens ne connaissaient pas le dogme si cons
olybe et de Péribée, s’éloigna de Corinthe pour se dérober à tous ces
maux
et prit le chemin de la Phocide. 5. Un jour il tr
rimaient ; une huitième, en la personne de Crichna, pour combattre le
mal
sous toutes les formes, et une neuvième, sous le
nnés, le principe du bien ou de la lumière, Ormuzd, et le principe du
mal
ou des ténèbres, Akrimann, que les livres sacrés
t durer douze mille ans et se terminer par la victoire du bien sur le
mal
, d’Ormuzd sur Ahrimann. Alors le règne de Zérouan
eu de rester spectateur oisif de cette grande lutte du bien contre le
mal
, en s’abîmant, à la façon de l’Indien, dans une s
), où elle est introduite dans une terre de délices ; mais, si elle a
mal
vécu, elle reste en deçà pour expier ses fautes.
e ? Sous quels noms reconnut-il le principe du bien et le principe du
mal
? Quels esprits a créés Ormuzd ? Quels noms porte
seront détruits après la ruine de l’univers. Ainsi Loke, le génie du
mal
que ses vices ont fait déchoir de l’état de perfe
la mer Tyrrhénienne, 50, 51. Livres sibyllins, 159. Loke, génie du
mal
, 195. Loi, fille de Thémis, 89. Loup, métam. de
on, à Rome, 29. Matuta, ou Ino, 66. Mauritanie, c. d’Afrique, 128.
Maux
, honorés comme div., 192. Méchanceté, fille de J
to della natura, ed un tal acceleramento forse fù la ragione, per cui
mal
formato, e deforme comparve fin dal primo punto a
dalla barbara morte, non poterono però camparlo dalla sventura di una
mal
concia sua gamba. Suo impiego. Memore pertanto e
sino tirategli dal vincitore Apollo alle chiome diede la pena del suo
mal
giudicato. Mosso dopo un tal fatto o da spirito d
destia, e di pudore, Alla sana ragion sempre rubella. Ogni bene, ogni
mal
da questa nasce Cagion d’aspri perigli, e di dolc
rpiato Vulcano, pel quale sebbene di più figli fù madre ; pure perchè
mal
contenta del suo consorte imprese a fare un traff
i qualunque sorta si fossero ; ma nel seno della stessa sua necessità
mal
grado il suo rango lo lasciarono infelicemente a
sto ne sia stata tutta la cagione, ed il motivo. Ed in vero se questo
mal
inteso effetto ha menato ne’tempi posteriori, e p
rgersi da quel, che avvenne a Semele disgraziata madre di questo Dio.
Mal
soffrendo l’iraconda Giunone, che Giove suo frate
rli conquistati con animo più tosto di giovarli, che di recarli alcun
male
. Sue vendette. Tali viscere di Padre però non se
e designare, che con quello essa raddolcisce, e quasi addormenta ogni
male
morale, e spesso ancor fisico. Addita inoltre il
rra, e il mondo tutto scorre, Onde l’opre d’ognun narra, e dilata. Il
male
, e il ben palesa ognor sfrenata, Dall’uno, all’al
ella. Se è vero però, che il vero rimorso è la funesta ricordanza del
male
commesso attendiamo a tenerci lungi dalla causa s
utto rode, Raro la forza sua riman delusa, Culunnia è questa, che del
mal
sol gode. Della credenza altrui tiranna abusa, Ti
tto, e ricompensa brama, Il labro scioglie, e pronta ognor favella Il
mal
di tutti, e’l proprio ben sol’ama. Sembra al prim
lice, E solo il tempo i falli suoi palesa. Costei, mortale, è d’ogni
mal
radice, Frode è questa, che tien la rete tesa, E
rete tesa, E chi la scampa si può dir felice. Annotazioni. Non
mal
si apposero i Gentili nell’esprimere la frode mer
l sembiante sotto le dolci divise di avvenente donzella gl’incauti, e
mal
accorti barbaramente seduce. E qual figura in ver
cque collocarla. Vorrei però, che l’odioso ritratto non ci spinga o a
mal
soffrire la povertà, che al dir del Crisost. serm
ro è derivato, che innumerabili composizioni ad onta degli sforzi de’
mal
accorti autori hanno incontrate cattive accoglien
IRICO Perchè mai destra villana Or mi strappi al gambo mio Qual’ è il
mal
, che t’ hò fatt’ io, Che mi dai pena si strana. S
ta Civetta, di cui fù amante Minerva fù la Principessa Nittimene, che
mal
servendosi delle tenebre per ingannare il suo pad
per significare che il cattivo destino è per chi lo merita, e che il
male
par necessario solamente perchè l’ uomo da sè ste
e dagli inganni : Beato, e veramente secol d’ oro, Dove, senz’ alcun
mal
, tutti i ben fòro ! Età dell’ argento. Poichè al
azioni aveva meritato anche in vita onori divini ; ma il re del cielo
mal
sofferendo che un mortale acconsentisse d’essere
ece lo fanno precedere ad Ebe in quest’ufficio, e dicono che avendolo
male
adempito, Giove glielo tolse, e collocò il giovin
o il reggimento al suo figliuolo Fetonte, il quale per l’imperita età
mal
resse il commesso freno. » (Mario Pagano.) — Ques
ugnale ; sincerati sul conto suo ; e se le nostre congetture non sono
mal
fondate, punisci l’indegno. » Psiche, credula e i
vi la Tema, Evvi la Fame, una ch’ é freno al bene, L’altra stimolo al
male
, orrendi tutti E spaventosi aspetti. Havvi il Dis
adimenti, Le guerre, le discordie, le ruine, Ogni empio officio, ogni
mal
opra a core : E tale un mostro in tanti e cosi fi
ei. Spesso il colpevole è anche ingrato ; ed Issione si diportò tanto
male
da cortigiano col padre dei Numi, che questi lo f
orno i Numi andarono ad alloggiare in casa sua ; ed egli ebbe tanto a
male
di dover fare le spese a quegli ospiti, che dando
sieme coi ricchi doni anche la propria cecità che gl’induce ad usarne
male
; laddove le ricchezze acquistate con industria o
vedea io te Già mezza aragna, trista in sugli stracci Dell’opera che
mal
per te si fe ! Da taluni questo fatto è narrato
gere i nostri propri difetti, smaschera l’ipocrisia e rende odioso il
mal
costume ; mentre Tersicore muove il piede alle da
a, le orecchie, la coda e le gambe di capra ; ed è loro attribuito il
mal
vezzo di far paura ai pastori e d’inseguire le pa
i e più solleciti nelle loro faccende, ed avevano forse un ritegno al
mal
fare. Ma convien che sia molto rozzo quel popolo
induceva al bene, ed uno genio cattivo che li tentava a commettere il
male
. Quindi ognuno nel suo giorno natalizio sacrifica
in mano nello stesso tempo il fuoco e l’acqua, emblema del bene e del
male
che spande sopra la terra. Talora ha nella destra
ve (63), era una Dea malefica, di null’altro sollecita che di far del
male
agli uomini. Giunone per consiglio di questa Dea
tive azioni, e quando mescolano il falso col vero : È questa Fama un
mal
, di cui null’ altro È più veloce, e com’ più va p
si vede, e che s’ode ; e seminando Non men che ’l bene e ’l vero, il
male
e ’l falso, Di rumor empie e di spavento i popoli
ion d’adamantine armi vestita Con la nemica dell’ error, Sofia. Allor
mal
ferma in trono e sbigottita La tirannia tremò ; p
seco starsi, in abito d’errante Pellegrino, la sacra e da’ mortali
Mal
conosciuta Libertà. Pietose Le tre sorelle adduss
empre al cominciar di sotto è grave, E quanto uom più va su, e men fa
male
. Però quand’ella ti parrà soave Tanto, che ’l su
to di vita quel bell’uomo d’Orione ; ma che valeva il pentimento ? il
male
era fatto, e senza rimedio. Tuttavia credè di pot
re delle donne ; ma Giunone, che era di contrario parere, se l’ebbe a
male
, e lo acciecò. Giove per consolarlo fecelo divent
cozzarle affanno : Onde molti delusi e sconsigliati Tornan sovente, e
mal
di lei s’appagano.138 (Eneide, lib. III, Trad.
na dei due principii con la quale spiegavano l’origine del bene e del
male
. 715. Il principio o genio buono, Oromaze, era l’
il cattivo principio, detto Arimane, passava per l’autore di tutto il
male
. Il primo era rappresentato dalla luce e l’altro
valente all’Eolo de’Greci, e il lupo Fenris, figlio di Loke genio del
male
, e fratello di Hela, la morte. Divinità ameri
de Spirito e Kici-Manitù, è il principio del bene ; la Madre lo è del
male
. Creato l’universo, il Grande Spirito prese certo
ievolmenta. Intanto le figlie di Niobe, assalite in casa dallo stesso
male
, e quasi nel medesimo tempo, languivano intorno e
nous les représente : commencemens heureux d’abord, pleins ensuite de
maux
infinis. Depuis ce temps, l’ambition s’est jouée
l’autre mauvais. Les hommes, ayant vu le monde rempli de biens et de
maux
, et n’ayant plus la tradition sacrée pour guide,
croire qu’un être, qui est essentiellement bon, pût être l’auteur du
mal
; ils inventèrent deux divinités égales en puissa
lles. Ils crurent que tout le bien venait du bon principe, et tout le
mal
du mauvais. Ce savant ignore l’époque de cette er
il voulait combler les hommes ; mais que Typhon son frère, auteur du
mal
, ayant ouvert cet œuf, y avait introduit douze au
y avait introduit douze autres pyramidales noires, source de tous les
maux
répandus sur la terre. Les Perses donnaient au bo
e. Elle était fille de Jupiter, mais elle ne s’occupait qu’à faire du
mal
. Objet de la haine des dieux et des hommes, Jupit
poëte a voulu par cette fable représenter la pente des hommes vers le
mal
. Cette fille, dit-il, parcourt toute la terre ave
iteuses, elles vont moins vite que leur sœur : ce qui signifie que le
mal
est toujours plus prompt et plus réel que la répa
à lui donner des idées justes sur la pente que les hommes ont vers le
mal
. Elle a besoin d’un flambeau qui puisse l’aider à
la pratique de la justice ; il opposa l’image du bonheur à celle des
maux
qui suivent la barbarie ; il contraignit en quelq
é siègent à ses côtés ; devant lui sont les deux coupes du bien et du
mal
, qu’il répand à son gré sur les hommes. Il ajoute
ar Jupiter ; elle fut indiscrètement ouverte. Elle contenait tous les
maux
, qui, dans l’instant, s’échappèrent et se répandi
la seule espérance, dernier bien des malheureux mortels. Ce déluge de
maux
produisit le siècle de fer. Cette fable, la plus
seulement l’appliquer à l’imprévoyante curiosité d’Épyméthée, et aux
maux
échappés de la boîte de Pandore ; mais on n’y voi
qui produisait tous les biens, et l’autre mauvais, cause de tous les
maux
. Les femmes avaient aussi leurs génies, qui s’app
même temps le culte de la divinité qui présidait à l’agriculture. Le
mal
que l’on venait de souffrir, et la crainte de le
; ils érigeaient en dieux les vertus, les passions, les biens et les
maux
: nous nous bornerons à parler des plus connus. L
. 51.) L’Espérance, cette dernière ressource des hommes contre les
maux
qui les accablent, fut bientôt divinisée par eux.
enses pour la vertu. (Fig. 60.) La Fortune présidait au bien et au
mal
. On la représentait sous la figure d’une femme av
dit que les Prières, ses sœurs, courent après elle, pour réparer les
maux
qu’elle cause ; mais elles sont boiteuses, et leu
s nos larmes : nos plaisirs étaient doublés ; maintenant j’unis à mes
maux
les pleurs de sa perte ; et, si quelque plaisir v
me n’a d’autre propriété que celle d’ajouter sans cesse à ses propres
maux
, et celle de flétrir tout ce qu’il touche, l’expé
n les multipliant. L’homme, conservant tout son orgueil au milieu des
maux
qui l’accablaient, porta sa folie jusqu’à rendre
’homme ajouta ce fléau terrible aux maladies, aux besoins, à tous les
maux
par lesquels la nature semble vouloir à chaque in
nta, et vola vers la Mauritanie, où il se vengea d’Atlas, qui l’avait
mal
reçu, en le changeant en la montagne qui porte so
er par un feu dévorant. Il courut à l’oracle qui lui répondit que son
mal
était sans remède. Alors il alla sur le mont Œta,
Corinthiens allèrent consulter l’oracle, qui leur répondit que leurs
maux
ne finiraient qu’après qu’ils auraient expié leur
ain de Jocaste furent promis à celui qui délivrerait les Thébains des
maux
dont ils étaient affligés. Sphinge, fille naturel
ée dans les esprits, endurcissait les Grecs et les Troyens contre les
maux
sans nombre qu’ils éprouvaient. Les premiers avai
le s’abandonnait à lui, et proférait par intervalles quelques paroles
mal
articulées, que les prophètes recueillaient avec
ministres, qui les mettaient en vers. Ces vers étaient souvent durs,
mal
faits, et toujours obscurs ; ce qui avait donné l
uvrage des Sibylles, mais un amas bizarre, recueilli par une dévotion
mal
entendue et très-ignorante. 8°. L’Hellespontine,
Il y réussit d’abord ; mais ces peuples, alliés peu fidèles, soldats
mal
armés, et plus mal disciplinés, furent forcés de
rd ; mais ces peuples, alliés peu fidèles, soldats mal armés, et plus
mal
disciplinés, furent forcés de céder au génie de P
. L’Edda recommande de l’adorer dévotement, de peur qu’il ne fasse du
mal
. C’est ainsi que l’on éleva des temples à la fièv
n ou la récompense des hommes, suivant qu’ils se conduisaient bien ou
mal
. Cette idée était générale parmi les Celtes, et c
s, et démêler dans leurs cœurs la volonté des dieux, les biens ou les
maux
à venir. Les tristes restes des objets sacrifiés
ettes à tomber dans l’erreur. L’homme naît environné de dangers et de
maux
; si la protection des lois et le secours des art
our obtenir la victoire, pour se préserver du poison, pour guérir les
maux
du corps, pour dissiper les chagrins. On employai
er ces lieux secrets par les troupes ; c’est de là que des historiens
mal
instruits ont assuré que les anciens Gaulois avai
it la conserver. Chez les autres nations, pour expliquer l’origine du
mal
, on associa à l’idée d’un dieu bon celle d’un gén
e, l’épousa, et ouvrit imprudemment la boîte, d’où sortirent tous les
maux
qui n’ont cessé depuis de désoler la terre. Il ne
enne, et il la dévora quoique enceinte. Bientôt, éprouvant un violent
mal
de tête, il eut recours à Vulcain, qui, par son o
upiter, prévoyant les troubles qu’il exciterait dans l’Olympe, et les
maux
qu’il causerait sur la terre, voulut le faire pér
d’oubli, dont les eaux enlevaient aux âmes des morts le souvenir des
maux
qu’elles avaient endurés sur la terre, et même de
es abstractions : les sentiments de l’âme, les vertus, les vices, les
maux
; ils leur avaient élevé des temples et des autel
hommes et les dieux ; les humbles Prières la suivent pour réparer les
maux
qu’elle a faits. Celui qui les respecte et les éc
rez ce cœur farouche aux affronts de l’Injure ; « Rendez-lui tous les
maux
qu’il aime qu’on endure ; « Que le barbare appren
rance. L’Espérance, cette dernière consolation des hommes dans les
maux
qui les affligent, fut bientôt divinisée par eux.
nriade : Du Dieu qui nous créa la clémence infinie, Pour adoucir les
maux
de cette courte vie, A placé parmi nous deux être
e, dont on a vu l’origine (n° 17). La Fortune présidait au bien et au
mal
, dispensait à son gré les richesses et la pauvret
es de Vulcain. On la représente sous la figure d’une femme échevelée,
mal
vêtue, couchée nonchalamment, appuyée sur l’un de
esse, est ordinairement représentée sous les traits d’une femme pâle,
mal
vêtue, demandant l’aumône ou glanant dans un cham
tente, et l’ose exécuter. …………………………………………………… Grand Dieu, témoin des
maux
dont l’excès me tourmente, Qu’est devenu ce corps
les Grecs), auteur de tous les biens, et Ahriman, auteur de tous les
maux
. Ces deux divinités son dans une lutte perpétuell
et dans l’ordre physique. Ahriman, principe des ténèbres, engendre le
mal
partout. Ce que l’un organise, l’autre s’efforce
0. Cette doctrine de deux principes opposés, l’un du bien, l’autre du
mal
, a été renouvelée, au troisième siècle de notre è
orter à Épiméthée. Celui-ci ne l’eut pas plutôt ouverte, que tous les
maux
, tous les vices ettoutes les misères de la nature
enre humain, Jupiter voulut connaître par lui-même toute l’étendue du
mal
: il vint en Arcadie, et alla demander l’hospital
t mieux dirigés ; Minerve avait construit une maison, Momus la trouva
mal
imaginée, en ce qu’on ne pouvait la transporter p
ui était commun. A peine était-il né, que Jupiter, prévoyant tous les
maux
dont il serait la cause, ordonna à sa mère de le
ourrait pas ; mais elle avait oublié de demander qu’il fût exempt des
maux
de la vieillesse ; de sorte qu’ayant atteint un â
orte qu’ayant atteint un âge fort avancé, Tithon était en proie à des
maux
et à des infirmités qui lui rendaient la vie insu
nlever, Nérée lui apparut au milieu des flots, et lui prédit tous les
maux
que ce rapt devait attirer sur les Troyens et sur
utions et ne les excitaient qu’au bien ; les autres les poussaient au
mal
. Les hommes étaient donc bons ou mauvais, suivant
le de Jupiter, avait le pouvoir de dispenser aux hommes le bien et le
mal
, l’opulence et la misère, les souffrances et la s
t de cette expédition, Persée s’arrêta dans la Mauritanie ; ayant été
mal
accueilli par Atlas, géant formidable qui régnait
êter la marche du fléau, on recourut à l’oracle, qui répondit que les
maux
qui désolaient les Thébains ne cesseraient que lo
rirent tous, à l’exception d’Adraste. Enfin, pour mettre un terme aux
maux
de la guerre, les deux frères convinrent de vider
faire, car, si vous échouez, on se moquera de vous. — Ne dites pas de
mal
de vos amis ; n’en dites pas davantage de vos enn
s sont dans la misère que lorsqu’ils sont heureux. — Ne parlez jamais
mal
d’un mort. — Honorez la vieillesse. — Domptez vot
ladies, plus de vieillesse. Aux biens du corps se joint l’absence des
maux
de l’âme. L’ambition, la haine, l’envie et les ba
ant et trompeur, eut à peine reçu le jour, que Jupiter, prévoyant les
maux
dont cet enfant serait la cause, voulut contraind
un bon, qui l’exhortait au bien ; l’autre mauvais, qui le poussait au
mal
. Chaque pays, chaque province, chaque ville, chaq
-puissante, fille de Jupiter, était la dispensatrice des biens et des
maux
, des plaisirs et des peines, de la richesse et de
la même assurance ce qu’elle sait et ce qu’elle ignore, le bien et le
mal
, la vérité et le mensonge. Les poètes modernes la
pour épouse, et ouvrit la boîte mystérieuse. Elle contenait tous les
maux
qui peuvent affliger l’espèce humaine : maladies,
l’espèce humaine : maladies, guerre, famine, procès ; et soudain ces
maux
se répandirent sur le globe entier. Frappé d’horr
s contre Eurysthée, contre Junon et contre Déjanire. Quand il voit le
mal
sans remède et sa mort approcher, il coupe des ar
nées et du chagrin, ils prièrent les dieux de mettre un terme à leurs
maux
, et furent métamorphosés en serpents. Au rapport
lat38. Mais toujours préoccupée de l’asservissement, de Thèbes et des
maux
de ses concitoyens, elle ne pouvait faire aucune
pas plus heureux ; Mopsus le frappa de son javelot sans lui faire de
mal
. Pendant ce temps, l’animal furieux renversait to
navires de Minos qui le suivaient à force de rames. Le navire d’Icare
mal
gouverné heurta contre les écueils, et se brisa.
n’était pas chirurgien, et qu’il ne possédait point de remède pour ce
mal
. Mais Ulysse, qui savait que Troie ne pouvait êtr
le siége devant Mycènes, et de rendre au centuple à la Grèce tous les
maux
, toutes les calamités qu’ils en ont soufferts. »
t surpris sur le rivage, l’enferma lui et ses compagnons dans l’antre
mal
éclairé où il gardait ses troupeaux, et où chaque
n vint à bout ; l’arc rebelle résista à leurs mains débiles. Un homme
mal
vêtu, d’un extérieur peu imposant, perce la foule
’autel, le feu prit à sa chevelure et à ses habits, sans lui faire de
mal
, répandit autour d’elle une pâle lumière, et enve
oie à de continuelles alarmes ; à vos côtés, je ne souffrirai que des
maux
réels. » Céyx qui n’avait pas moins d’amour pour
dain le palais aux riches colonnes disparaît. Psyché se trouve seule,
mal
vêtue, au milieu d’un désert aride, immense. Part
a tête de cheveux blancs, rendit sa peau toute ridée, marcha d’un pas
mal
assuré ; on l’eût prise pour Béroé, nourrice de S
es de l’île, voyant qu’on abandonnait ce remède, pire en effet que le
mal
, cherchèrent un moyen de rendre le saut moins dan
au dieu qui la subjuguait, elle proférait par intervalle des paroles
mal
articulées que les ministres recueillaient avec s
ai nipoti di Bardano sarebbero i diversi infortunj degli Achei. Essi
mal
vinsero: i Penati rapiti da Enea in fra l’iliache
erro Tutto nel seno, che alla man si giunge. Lo tragge, e sopra i pie
mal
fermi crolla La dubbia salma: alfìn sull’empio zi
lito scende, Dove l’unghia sua fessa usa per penna Per far noto quel
mal
, che sì l’offende; Rompe col piede al lito la cot
ntorno intorno. Giove non vuol, come ben grato amante, Ch’in sì gran
mal
l’amata sua s’invecchi; Onde al suo figlio e nipo
addove giunta, il corpo e l’alma infetta Di quella afflitta, e giugne
male
a male; E tal furor a lei nell’alma porse, Che tu
giunta, il corpo e l’alma infetta Di quella afflitta, e giugne male a
male
; E tal furor a lei nell’alma porse, Che tutto il
, ed era stata a questo nume eretta in Atene dopo la cessazione di un
male
epidemico. Ben conveniva in questa occasione una
quei popoli che invader volevano le fortunate contrade alle quali la
mal
cauta Cerere affidò la sua figlia. Delo cuna del
i, lascia l’impresa, Or che a te si concede, e ancor non premi L’asse
mal
desiato. — Occupa il carro Fetonte già coll’agil
ascia pascere sui monti le capre selvaggie e le lepri: e che fanno di
male
? ma i cignali offendono i seminati, e i bovi sono
i questo vanto riportò Agamennone sulle rive dell’Eubea. Oto e Arione
male
ambirono le tue nozze. Non ricusate la solenne da
or mi percote, O figlio, il core di pietà materna. Lassa! vincete, e
mal
vincete, o miei Fratelli: ecco vendetta, ombre di
gne note Lascia ogni tema, e del bel numer’una Tosto diviene. Ah come
mal
si cela Nel volto accusator la colpa: appena Alza
e nell’acque per l’enfiate gote così deforme che da sé gettò lungi il
mal
trovato istrumento. Custode delle città udirete c
scavi d’Otricoli vide ancor la luce questa graziosa figura, così però
mal
concia, che difficilmente facea congetturare il s
e quali era Giunone legata, come la più litigiosa delle divinità, che
mal
soffrendo la novità del reirno maritale, turbava
primo soffio d’Aquilon: per molta Grandin risuona la dorata veste, E
mal
protegge la difesa alata Il divin capo: fra steri
n un sol nodo accoglie L’unghie dorate: col meonio tirso Regge l’orma
mal
certa. Dei, cui serve L’inerte volgo dell’immenso
venca non ama il suo torello Che calca appena la minuta arena Col pie
mal
fermo, e non ha curvo ancora Il nuovo onor della
n delfino in una mano, con una colomba nell’altra, lo che accennava i
mal
graditi abbracciamenti di Nettuno, e il dolore in
dal nome di Eumolpidi, che i sacerdoti dei Misteri avevano in Atene.
Mal
si rintraccia chi fosse quest’ Eumolpo fra tanti
anche il sole a me si toglie, Del Tartareo tiranno ultima schiava. O
male
amati fiori, o della madre Disprezzati consigli,
nelle sacre rupi, Ch’il suono degli scudi empie, sicuro Simulacro di
mal
; notte ripete I timori del giorno; in ogni sonno
il pie volgea. Apparia nella manca La lucerna vietata; Era l’infida e
mal
secura destra D’ingiusto ferro armata. Primi soff
o un vapor nero Uscia la cara a te luce togliendo, E rendea l’alma al
mal
lasciato impero. Ma vide Amor dall’alto, Vide, e
cuno dà legge alla propria moglie, ai propri figli. — Natale Conti ha
male
interpretato questo passo d’ Omero, dicendo che d
n fuso dai Greci coir Arimanio dei Persiani, eh ‘era il principio del
male
presso quegli antichi Dualisti.» Tornando al sim
vi la Tema, Evvi la Fame, una ch’ è freno al bene, L’altra stimolo al
male
. Orrendi tutti E spaventosi aspetti. Avvi il Disa
n veder le scelerate nozze. Quand’ ecco entrar nel doloroso albergo I
mal
felici e mal graditi sposi Ebri dal vin, che mal
elerate nozze. Quand’ ecco entrar nel doloroso albergo I mal felici e
mal
graditi sposi Ebri dal vin, che mal bevuto a mens
l doloroso albergo I mal felici e mal graditi sposi Ebri dal vin, che
mal
bevuto a mensa Miseri aveano, e dall’ignaro vulgo
gli esanimati corpi Dei miseri fratei generi suoi. Che si giacean nei
mal
bramati letti, Nel sangue loro orribilmente invol
ella figura di lei, come se ancora si ricordasse della madre, e della
mal
gustata melagrana. Caronte fu figliuolo dell’Èreb
racrito, se il pubblico d’Atene parziale pel suo concittadino, per un
male
inteso patriottismo, non ne avesse preposto l’ope
tto, come Dedalo, il più antico degli Artisti, fuggisse con Icaro suo
mal
avventurato figlio a Minosse, di cui vi favellai
anza del loro Dio, e con cui si lusingavano di spiegare l’origine del
male
: necessità che i Poeti dell’età posteriori non ha
onsueto di molte antiche divinità. « A me sembra che la parola (grec)
mal
si tragga ad un simile significato. Questa voce n
franchezza, e dall’altra suol tanto diffondersi nei suoi scritti, che
male
a proposito cercherebbe di registrarli nei pugill
zie, nella sinistra l’arco e le freccie, perchè la sinistra che fa il
male
è più lenta, e la benefattrice che dà la sanità è
allo dio cura fu Lenno, E non ha maggior fama Etna, ove muta Encelado
mal
vinto il fianco immenso. Qui dopo la sudata egida
ahimè, chi t’ha rapito? Addio, Citerone, addio monti di Tebe, Arbori
male
ascesi: madre, addio, Cara Agave, che il tuo fanc
Trofeo diviene dell’audace tirso. E con la gioia del furor volgeva Al
mal
non ebro Cadmo il pie veloce, E per la preda del
elo, quantunque Bacco avesse sempre cura di accompagnarlo. La dea del
Male
gli persuade di montar sopra un toro, come Beller
foglie d’ellera cucite insieme per semplice e sola mostra per non far
male
: siccome scrive Diodoro che per il medesimo fine
e più sottili che dall’altra dove terminano come in un capo di chiodo
mal
difende dalla petulanza di un giovin Baccante, ch
fino ai piedi, mostra con un gentil serpeggiare l’ondeggiamento della
mal
ferma persona. Il suo capo è coronato di edera, l
eri e nei riti dei Baccanali per allontanare i profani col suono, e i
male
augurati oggetti con quella forza, che dava allo
e, veduto di profilo, cerca distrigarlo dall’avvolgimento delle vesti
mal
indossate, nelle quali è sul punto d’ inciampare.
Confuso il Ciel, e gli elementi insieme, Faceano un corpo informe, e
mal
disposto Per donar, forma al mal locato seme : An
insieme, Faceano un corpo informe, e mal disposto Per donar, forma al
mal
locato seme : Anzi era l’un contrario all’altro o
to, e lo sdegno. Il suo regno però non fu sempre tranquillo. I Titani
mal
contenti de’ dritti ad essi usurpati, gli suscita
non perdonò a sua madre, che lo aveva dato alla luce così storpio, e
mal
fatto, e volle vendicarsene in una brillante occa
o il divieto di suo padre. Ma i cavalli indocili all’insolita voce, e
mal
diretti dall’inesperta mano si scostano dalla via
l’impero del mondo, egli divorò Meti. Dopo qualche tempo gli venne un
male
di capo, ed essendo ricorso a Vulcano, questi con
, e nell’altro ; abbassava l’orgoglio, e dispensava a suo arbitrio il
male
, ed il bene. È rappresentata in diverse guise or
ll’uomo doveva situarsi un finestrino per osservar tutto. La casa era
male
immaginata, perchè non poteva cangiar sito, dove
l donna con alí larghissime, e due trombe per palesare il bene, ed il
male
. Gli antichi la credevano messaggiera di Giove. V
, e sorella di Arianna. Ben sapendo egli, che le madrigne guardano di
mal
occhio i figli del primo letto, inviò Ippolito pr
fra queste vi era quella del Sebeto. Il suo nome però e la sua gloria
mal
corrispondono al piccolo volume delle sue acque.
Di lui narra la favola, che amato da Diana era già presso a sposarla.
Mal
soffriva Apollo queste nozze della germana : onde
lia. Filone chiama Genj le facoltà dell’animo inclinati al bene ed al
male
. Comunque sia, ogni luogo aveva il particolare su
le a bien un peu les yeux pers, mais avec un casque cela lui fait pas
mal
. Voulez-vous me payer de ma peine ? Donnez-la-moi
n Épidaure, voit Esculape dans son temple et le consulte sur tous ses
maux
. » ( La Bruyère). Fatal oracle d’Epidaure, Tu m
bonnes petites famines Désolent de petits remparts. Sur la frontière
mal
fermée Marche, au bruit de petits tambours, Une p
vez renversé la table, le vin a-t-il coulé ? — Oui. — Voilà où est le
mal
. Car, suivez bien mon raisonnement : les Grecs et
qu’une foule de chrétiens font tous les jours ; il n’y aurait pas de
mal
à cela, parce qu’il n’y aurait pas libation. Mais
ésuétude. Mais notre alexandrin, qui a le tempérament délicat, digère
mal
les nombres cardinaux. Il y a peu de chiffres éle
revenants reviennent encore, c’est par pur badinage et sans penser à
mal
. Ce sont des esprits de bonne compagnie, trop bie
, elles sont les filles du ciel, qui nous les envoya pour adoucir les
maux
de notre condition. Remercions-le de ce présent,
it au faible et du grand au fort, comme du beau au bien et du laid au
mal
. Nous disons une âme petite, un petit caractère,
l’imperfection de ses œuvres et de mettre partout le remède à côté du
mal
. C’est ainsi qu’elle a consolé le rossignol de so
pas assez malheureux, puisqu’ils prennent plaisir à surcharger leurs
maux
présents des inquiétudes de l’avenir. C’est en va
, fut moins sage, il accepta ; et, à peine la boîte ouverte, tous les
maux
s’envolèrent avec un fracas horrible et s’abattir
; Et de-là sur la terre il verse à plaines mains Et les biens et les
maux
destinés aux humains. Sur un autel de fer, un liv
rce qu’il est plus agréable de peindre le bonheur des hommes, que les
maux
dont ils ont été la proie. Cet âge est proprement
Epiméthée, frère de Prométhée. Cette boîte fut ouverte ; et tous les
maux
, qui y étoient renfermés, se répandirent sur la t
ses cruautés, plus que de ses bienfaits, Il sembloit s’applaudir des
maux
qu’il avoit faits. Voltaire. Cupidon aima Psych
urs charmes, Et son époux, couvert de feux étincelans, Animoit en ces
maux
les Cyclopes brûlans : Que l’airain écume
aussi-tôt elles oublioient le passé : O vous que le sort livre à des
maux
déplorables ! Venez chercher ici la fin de vos ma
eur protection pouvoit être de quelque utilité, soit pour écarter les
maux
, soit pour obtenir des succès heureux. Les Romain
ux Génies à chaque homme ; l’un qui le portoit au bien, et l’autre au
mal
. Le plus puissant l’emportoit. Troisième part
es, Surpassons la croyance ; et, malgré les destins, Allons finir les
maux
d’un ami que je plains. La Grange-Chancel. Herc
verser, Le Ciel ne se peut satisfaire ; Et la fin de vos
maux
ne se fera point voir, Que mon sang n
que le ressentiment et la colère de Junon furent la cause de tant de
maux
, et que cette déesse impérieuse voulut venger ses
de berger, et sur-tout Œnone, nymphe du mont Ida, qui lui prédit les
maux
dont il seroit la cause : Œnone, savez-vous quel
et de travaux, Dans le pays de sa naissance Vit finir le cours de ses
maux
. Rousseau. Il arriva enfin à Ithaque, ou il véc
dieux, 32-33 — Reçoit un préent (je chacun d’eux, 32 — Emblème des
maux
qui affligent les hommes, 32-33 Panique, (terreu
a), o Creusa, figlia a dell’ anzidetto re(b). Medea non poteva che di
mal
animo sofferire il nuovo imeneo ; pure nascose il
icare la morte del figlio, s’accinse a battersi col di lui uccisore ;
mal
Giove li separò, scagliando il fulmine nel mezzo
ra fece intendere ad Ercole, ch’ egli non si sarebbe liberato dal suo
male
, qualora non fosse stato venduto, e non avesse se
itirata, la chiamò a se, protestando, che non le avrebbe recato alcun
male
. La giovine si rimise nelle di lui mani, gli part
concorse anche Paride, e vi rimase vincitore. Deifobo (o Ettore(d)),
mal
comportando di essere rimasto superato in quelli
me a divorare perfino le mense. Abbandonarono ben presto quelle Isole
mal
sicure, e si trasferirono in Epiro. Vi regnava in
le sua assenza la cura della sua famiglia e del suo Regno(23). Colei,
mal
comportando il ritorno del marito, gli presentò u
le a guerreggiare tra’suoi faceva sì, che gli affari loro andavano di
male
in peggio, talmentechè Agamennone era d’opinione,
dell’odio implacabile, che Nettuno contro di lui nutriva a motivo del
male
, che avea fatto a Polifemo, suo figlio(b). Ritoma
o ; ma poi ricusò di cederlo nel susseguente anno a Polinice. Questi,
mal
sofferendo la violazione del patto, ricorse al su
bare. Malignità La Malignità è perversa volontà di procurare il
male
altrui. L’abito di questo Vizio è di colore simil
a di vedere e anche di effettuare, qualota se ne apra l’occasione, il
male
altrui. E’vestita di color rosso, per significate
n lingua infetta di veleno e dì schiuma. Esso non mai ride se non del
male
, nè piange che del bene altrui. L’Invidia è di fa
o, lo uguaglino in bellezza. Detrazione. La Detrazione è il dir
male
altrui. Essa sta sedendo, perchè l’ozio è la cagi
la bocca aperta, per significare la prontezza del Detrattore nel dire
male
di tutti. Ha sul capo un velo nero, perchè è prop
L’Accidia è il tedio e dispiacere di dover operare il bene. Vedesi
mal
vestita, posta anch’ essa a sedere, colla guancia
oriuolo. Quella risveglia l’incostanza del Giuoco ; questo indica il
mal
uso, che si fa da’ Giuocatori, del tempo. Il Giuo
e, la quale nasce dalla conosciuta probabilità d’incorrere in qualche
male
, unita alla del pari conosciuta probabilità di no
esenta pallido e co’ piedi alati. La pallidezza è l’offetto di questo
male
; i piedi colle ali significano la fuga, cui bene
ta dalla fame ; e Apollo consultato rispose, che per far cessare quel
male
conveniva sacrificare i figliuoli di Nefele. Nel
da colei, sarebbe divenuto maggiore del padre suo. La stessa giovine
mal
acconsentiva alle nozze d’un mortale ; e il suo o
bene ; gli uni, che eccitavano al bene ; gli altri che spingevano al
male
(e). Questi ultimi vennero da’Greci denominati Te
privato degli occhi da Castore e da Polluce, perchè avea osato di dir
male
di Elena in uno de’suoi Carmi, riacquistò poi la
venne il greco proverbio : Κρονιον ομμα, Saturnius oculus, occhio di
mal
augurio. Si chiamavano Saturnii alcuni versi giam
iaccole, imitava i fulmini di Giove. Il qual folle divisamento questi
mal
sofferendo, quasi che volesse Salmonèo disputargl
mini donò un tal fuoco, e loro mostrò la maniera di farne uso. Il che
mal
sofferendo Giove, comandò a Mercurio che lo legas
ωρα, Pandora), quasi ornata di tutt’i doni. Altri dicono che gli Dei,
mal
sofferendo che Giove volea per se solo il poter f
lo d’Icaro, il quale, com’è costume dell’audace ed indocile gioventù,
mal
seguendo gli accorti consigli del padre, alzò tro
si Giove per impedire che ponessero sossopra e cielo e terra col loro
mal
regolato furore. Il che finsero, perchè nelle sot
evano poterlo trarre dal cielo con certe cerimonie per allontanare un
male
minacciato da’prodigii, e specialmente da’fulmini
meo (a πυγμη, pugnus), significhi uomo di braccio forte, e che poscia
male
a proposito l’abbiano trasportato a denotare un u
imenti, e distribuiva, a seconda del proprio capriccio, il bene ed il
male
, e specialmente le ricchezze. Virgilio(5) la chia
a senza ragione derisa ; percui sdegnosa gettò via il flauto, e pregò
male
a chiunque osato avesse suonarlo. Il che avendo f
ani in ranocchie, come avvenne. Giunone intanto, per disfogare il suo
mal
talento contro Latona, comandò a Tizio che facess
ia, ma indarno ; e Fetonte prese le redini di que’ destrieri, i quali
mal
sapendo governare, ora troppo avvicinandosi alla
sul fiume, Dove chiamò con lagrimoso plettro Febo il figliuol ch’avea
mal
retto il lume, Quando fu pianto il fabuloso elett
ti, fuorehè al suo barbiere, tenne occulta quella ignominia. Il quale
mal
potendo tenere un tal segreto, seavato un fosso,
to al suo campo da grandissima schiera di topi. Per allontanare tanto
male
placò con molti sacrificii l’ira di Apollo ; il q
cerdotessa donata la virtù di presagire il futuro ; ma poscia, di lei
mal
contento, volle che non le si prestasse mai fede,
el fonte del cavallo. Era questo il bel fonte d’Ippocrene, che alcuni
mal
confondono coll’ Aganippe, che forse ebbe il nome
a Roma dopo la vittoria di Azio. Apollo αλεξικακος, che allontana il
male
. Essendo che per Apollo e Diana intendevasi il so
grasso ; Dall’altro la Pigrizia in terra siede, Che non può andare, e
mal
si regge in piede. Lo smemorato Oblio sta sulla
, di Atamante e di altri più accesi nell’ira, vola nel Citerone a far
mal
governo de’ seguaci di Bacco. Nel mezzo di quel m
ella trasformazione. Conviene dire che i sapienti reggitori de’popoli
mal
volentieri vedevano, il culto di Bacco allignare
rmato di un pungolo da buoi inseguiva le nutrici di Bacco e ne faceva
mal
governo, tanto che furon costrette a gittare, fug
gran furore, si davano da loro stesse la morte. Per rimedio di tanto
male
volle l’oracolo che gli Ateniesi punissero gli uc
enze riconoscevano l’impero delle Grazie. Quindi la frase « cantare a
mal
grado delle Grazie » che disse Properzio (1), equ
ico e di Fauno, da’ quali appreso avrebbe il modo di allontanare quel
male
sì grave. Numa consulta l’oracolo e coll’interven
di fortezza, come le spoglie de’vinti nemici. Ma i fratelli di Altea,
mal
soffrendo che il premio del valore si fosse dato
ercui ricusò di darle in matrimonio a’figli di Egitto ; il quale, ciò
mal
soffrendo, cacciò il fratello dal regno. Danao co
iungere salvi nella Colchide. Venute quindi le Arpie a fare il solito
mal
governo della mensa di Fineo, Zete e Calai, alati
e, la cui moglie, dice Omero, era alta come una montagna. Essi fecero
mal
governo de’ compagni di Ulisse, come raccontasi n
ericolo di naufragare, così, per esprimere che spesso il timore di un
male
ci conduce in un altro peggiore, si disse proverb
; col rubare accortamente senza essere scoperti, non credevano di far
male
, poichè imitavano un Dio e si stimavano da lui pr
elle sue Filippiche un bellissimo ed elegantissimo proverbio latino :
male
parta, male dilabuntur ; a cui corrisponde il vol
ippiche un bellissimo ed elegantissimo proverbio latino : male parta,
male
dilabuntur ; a cui corrisponde il volgarissimo, m
r lançait ou par son bon plaisir, ce qui rarement faisait beaucoup de
mal
, ou par l’avis du Conseil des douze Dieux, appelé
ne allégorie présentant le bien attaqué et momentanément battu par le
mal
, sur lequel le bien finit toujours par reprendre
fond le plus souvent, et à tort, avec le Typhon égyptien, principe du
mal
, passait comme lui pour amant ou mari d’Echidna,
en dire quelques mots, pour en finir avec ces efforts symboliques du
mal
contre le bien. Aloé était un assez brave homme,
sa femme et ouvrit la boîte. Soudain, a écrit M. Parisot, un nuage de
maux
et de crimes s’élève et enveloppe de sa brume épa
s de la boîte, toujours cherchant à cacher et couvrir de son ombre le
mal
sous ses ailes. L'âge de fer commença pour les hu
prudente luttant contre la divinité, qui, pour la punir, l’accable de
maux
, en ne lui laissant que l’espérance. Si l’on veut
inaire et primordiale de l’Arcadie ; race féroce, impie et comprenant
mal
la Divinité ; race enfin, punie de son ignorance
un trône d’or, au pied duquel sont deux coupes versant le bien et le
mal
; son front est soucieux, et ses yeux menaçans br
t par suite, d’après Homère, à la divination ou science du bien et du
mal
. On la représentait sous la figure d’une jeune fi
qui rentrent tous en un seul nommé Esculape. Ce savant guérisseur des
maux
physiques fut, dit-on, marié à une femme dont le
ulte d’Esculape les dieux Apotropéeos et Averrunci, ou détournant les
maux
; ils rendaient même un hommage particulier aux m
rières à Apalexicacus, Alexicacus et Averruncès ou dieux chassant les
maux
, à Mana, déesse des maladies périodiques des femm
t successivement le ciel et la terre et en prononçant un mot mystique
mal
expliqué jusqu’à présent. Cependant cette cérémon
rocessions. Ceux de ces jours appelés Diogme et Apodiogme sont restés
mal
fixés, et les cérémonies des deux premiers jours
elle s’attache par des liens légitimes, de même qu’elle est celle du
mal
que peut causer le libertinage. Elle prouve enfin
ue le plus souvent, il frappa à faux et causa les ménages chagrins et
mal
assortis. L'amour fut proscrit de l’ Olympe dès s
t de l’ Olympe dès sa naissance par Jupiter, qui pressentait tous les
maux
dont il serait cause un jour. Alors Vénus le conf
upiter avala Métis, ou la sagesse personnifiée, aussitôt il sentit un
mal
de tête insupportable. Cependant voulant se déliv
tit un mal de tête insupportable. Cependant voulant se délivrer de ce
mal
violent, il s’adressa à Vulcain et il lui ordonna
rnoms suivans : Acacès, et Acacelus et Acacus ou qui ne fait point de
mal
. Acacessius ou le nourrisson d’Acacus ; Agetor ou
ait aussi ce nom à une reine, dont la férocité du caractère répondait
mal
à l’extrême beauté de sa figure ; souvent elle s’
eur le doux murmure des eaux du Léthé, qui leur faisaient oublier les
maux
passés de la vie, car alors plus de douleurs, plu
l les ames des morts devaient se baigner, pour perdre le souvenir des
maux
que leurs corps avaient soufferts sur la terre. S
lui qui réparait les forces épuisées par la fatigue, qui calmait les
maux
les plus cuisans, en versant sur les blessures un
ais du sommeil par une porte d’ivoire, pour annoncer les biens et les
maux
réels, et les songes faux en sortaient par une po
e Serment, le Travail et les Trompeuses Paroles, personnifications de
maux
auxquels déjà plusieurs auteurs ont donné la Nuit
destin, en tirant à son choix de l’urne de ce dieu, les biens et les
maux
. Elle punissait sévèrement et avec équité les cou
ndance. Comme Némésis, elles dispensaient aux hommes les biens et les
maux
, et poursuivaient les coupables jusqu’à l’instant
re sûr de réussir, il gagne Myrtyle, cocher d’Œnomaüs. Myrtile, ayant
mal
emboité une des roues du char de son maître, fut
s, il apprit qu’Athènes était le lieu où il trouverait un terme à ses
maux
. Aussitôt il court à Athènes, mais les furies l’y
ie à la vengeance des rois dont j’ai refusé l’alliance ; mais va, tes
maux
ne sont pas finis, le ciel te prépare d’autres ma
d’ Osiris, d’Isis et de Nefté. Typhon est la personnification de tout
mal
; c’est le mauvais principe toujours opposé à Osi
teur de tout bien et comme tel ennemi de Gonaïotta, ou le principe du
mal
. Tyrme, divinité adorée aux Canaries, son idole
anc, tandis qu’ils donnent la couleur noire à Démonio, le principe du
mal
. Les nègres de la Guinée adorent souvent aussi la
absorbés. Si le repas qu’on lui donne est abondant, il ne fait pas de
mal
; mais si l’on a usé d’économie, alors il s’empar
cun honneur, parce qu’ils sont convaincus qu’il ne peut leur faire de
mal
; mais ils ne cessent d’offrir des prières et de
Hottentots ; ils le regardent comme le dispensateur des biens et des
maux
. Il possède donc plutôt un culte de crainte que d
x. Il possède donc plutôt un culte de crainte que d’amour à cause des
maux
qu’il envoie ou qu’il peut envoyer, car ces peupl
des Daitias ou Açouras, ou génies funestes et amis des ténèbres et du
mal
. Cependant la terre restait sans habitans ; alors
Daityas ou Titans y mêlaient le Papma, ou désaccord, autrement dit le
mal
physique et moral, et empêchaient cet hymne de su
front couvert de cheveux épais. Quand on le représente comme dieu du
mal
, on lui donne des dents aiguës ; alors le feu sor
en général, mais il se forma tout autour de nombreuses sectes, assez
mal
définies, et rentrant plus ou moins dans l’ensemb
rées le Magisme, système religieux basé sur le dualisme du bien et du
mal
, subordonnés à un être supérieur, immatériel et t
it à remplir, et lui aider à éloigner de l’homme Ahriman, principe du
mal
, et les Devs, funestes exécuteurs de ses volontés
muzdienne. Parvand, Ized dont les fonctions se trouvent encore assez
mal
définies. Ramechné, ou Ramechnékharom, Ized prés
ssous de lui pour combattre Ahriman, faisons connaître ce principe du
mal
. Ahriman ou Arimane, fils aussi de Zervane Akérè
des êtres surhumains, de véritables démons auxiliaires du principe du
mal
: parmi eux, vingt-huit sont chargés de combattre
ruel Ahriman. Kaïomorts devint aussitôt le but de la haine du Dieu du
mal
qui ne cessa de le poursuivre, et le fit périr à
couple, créé pour le ciel, vivait dans la pure innocence, ignorant le
mal
. Mais Ahriman lui fit boire le lait d’une chèvre,
rit malfaisant, maître de la foudre et ministre rapide des esprits du
mal
, chez les Iakoutes. Balakitg, divinité Kamtchada
u Czernobog, ou Zéomébog, était le Dieu mauvais principe, l’auteur du
mal
, du crime, de la mort, et l’ennemi du genre humai
assemblées populaires, on buvait dans une coupe consacrée au génie du
mal
et au génie du bien. Vainamoinen passait, chez l
rons leurs ennemis, à la tête desquels se montre : Loke, principe du
mal
: frère de Bilestour et d’Helbinde il était issu
lequel passent par jour vingt-cinq mille morts. Perkel, l’esprit du
mal
, chez les Finnois, est une émanation de Rava, il
dans des sacs de cuir. Horagalls, dieu créé par Perkel, l’esprit du
mal
, fut élevé par Ioumala, l’esprit du bien. C'est u
étéores ignés, aux pluies et aux tempêtes. Taram était le principe du
mal
; on lui immolait même des victimes humaines ; on
a victoire dans toute la Grande-Bretagne. Bouii ou Boun, principe du
mal
chez les Toungouses, était le plus puissant des d
aussi Guacarapita, Guacamonoan, Momona, Tiella. Toïa, était dieu du
mal
à la Floride. Quand on célébrait quelque fête en
nés dans le corps d’un animal, il faut bien prendre garde de faire du
mal
, même involontairement, à l’animal, dont son Tota
t un fils qui devint père du bon principe. Ataenlsic est la déesse du
mal
, et elle préside à la mort. Elle fut, dit la trad
eur du ciel et de la terre ; mais bientôt Touparan, ou le principe du
mal
, vint l’attaquer ; mais celui-ci fut défait et pl
gure d’un hibou savant, que pour effrayer les hommes ou leur faire du
mal
. Miclantemcli, époux de Lancihuati, était le die
terminait par un holocauste d’esclaves. Maboia était le principe du
mal
chez les Caraïbes, l’auteur des tempêtes, du tonn
en, principe du bien, qui a pour antagoniste Houékoub, le principe du
mal
; puis viennent le soleil et son épouse Antoumalg
a guerre. Gouénoupillan n’a point de temple. Ce Houékoub, principe du
mal
des Araucaniens, est le créateur des rats et des
oqués au commencement des entreprises, de peur qu’ils ne les mènent à
mal
. Chaque famille a un Nitoé, quelle invoque en all
rs en nous ouvrant les barrières du jour ! Le Sommeil qui suspend nos
maux
est frère de la Mort !… Il est étonnant que l’on
s il n’a jamais le dessein de la montrer : ainsi donc on le peindroit
mal
, en lui donnant des mouvemens impétueux et un lan
faire aussi son présent, lui donna une boîte, dans laquelle tous les
maux
de la nature étoient renfermés. Pandore remit la
remit la boite fatale à son époux Epiméthée qui l’ouvrit, et tous les
maux
se répandirent sur la terre, mais l’espérance se
Homère , qui étoient à l’entrée du palais de Jupiter, l’un, plein de
maux
et l’autre, de biens. On regardoit les vestales c
sèches, des couronnes consacrées à Vénus et de les appliquer sur son
mal
; Aspasie suivit ce conseil et la tumeur disparut
et auquel la fable donne des mœurs pastorales qui s’accordoient fort
mal
avec sa cruauté. Il se plaisoit à cultiver son ch
des voyageurs et des voleurs. Le goût de la littérature s’accorde si
mal
avec les spéculations d’argent, que l’on ne pouvo
revoyoit Lycus, se saisit d’elle, l’enferma, et lui fit souffrir des
maux
infinis. Enfin Antiope s’échappa, et elle alla ac
l’Oracle qui répondit qu’il ne guériroit que par ce qui avoit fait le
mal
. Ulysse devina le sens de l’Oracle, il appliqua s
ri des Muses (dit Homère ), qui reçut en partage et des biens et des
maux
, il fut privé de la vue, mais les Muses lui donnè
taut) a dit : L’ingratitude règne au monde, On ne se souvient que du
mal
, L’injure se grave en métal, Et le bienfait s’écr
elle se trouva au fond de la boîte de Pandore, pour adoucir tous les
maux
répandus sur la terre. Cette divinité eut plusieu
ignes favoris, mais on auroit dû remarquer que, si elle place souvent
mal
ses dons vulgaires, elle ne fait des choses vérit
, ne songe qu’à nuire aux hommes. Les Prières cherchent à réparer les
maux
qu’elle fait. Quoiqu’on ait beaucoup loué cette a
is ma Déesse, C’est l’Imagination, etc. Pour exprimer la crainte des
maux
enfantés par l’Imagination, on a inventé l’allégo
ne Déesse Plus agile qu’Hébé, plus fraiche que Vénus, Elle écarte les
maux
, les langueurs, les foiblesses, Sans elle
ait eu d’elle qu’une fausse idée, soit qu’on n’ait été frappé que des
maux
infinis que l’on peut faire en abusant de son nom
« Questa dottrina che ammette due principii coeterni, del bene e del
male
, insegnata antichissimamente da Manete, prese vog
nuno ha due Genii che spingono gli uomini, l’uno al bene e l’altro al
male
. 272. Marziano Capella interpreta la parola : Dœ
vano talvolta rammentati i Genii femmine, che spingevano al bene o al
male
le femmine ; ma avevano il particolar nome di Jun
he alletta « Col venen dolce che piacendo ancide. « Ma così tosto al
mal
giunse lo empiastro, » in quanto che subito dopo
unque si fa via, sospende, « Che subita ruina non lo cuopra, « Mentre
mal
cauto al suo lavoro intende. « Da un amo all’altr
reta la ne tiene ; « Chè dove l’argomento della mente « S’aggiugne al
mal
volere ed alla possa, « Nessun riparo vi può far
is, et que le culte qu’on lui rendait ressemblait à celui du génie du
mal
. La douleur que Vénus ressentit de ce trépas ne l
ant les sucs de la plante appelée dictame, qui guérissait de tous les
maux
. Virgile peignit en beaux vers les aventures d’É
t les assistants d’une sainte frayeur, et elle prononçait des paroles
mal
articulées, quelquefois des vers, que l’on recuei
gnes favorites de cette déesse. Jupiter en voyageant pour réparer les
maux
causés à la Terre par l’imprudence de Phaéton, re
voter dans les délibérations ; et, certes, jamais défense ne fut plus
mal
motivée. On attribue au génie de Minerve l’invent
au sacré, et tombe aux pieds de Callirhoé, qui, désespérée d’avoir si
mal
payé tant d’amour, alla se tuer le même jour au b
gnifie tout don. Jupiter, après lui avoir remis une boîte où tous les
maux
étaient renfermés, avec ordre d’en faire présent
îte de Pandore ayant été ouverte par son époux, il en sortit tous les
maux
qui, depuis ce moment, n’ont cessé de tourmenter
empire humide ; « Il sera ton beau-père, ô belle Néréide ! « Vois les
maux
que j’endure, adoucis ta fierté ; « Je ne cède qu
copie, pour annoncer ce que les dieux nous réservaient de biens et de
maux
, se bornait à examiner la forme, et sur-tout les
e ; mais Epiméthée, son frère, l’ayant ouverte imprudemment, tous les
maux
qui affligent et tourmentent les hommes, sortiren
siégent à ses côtés, et devant lui sont les deux coupes du bien et du
mal
, qu’il répand à son gré sur les hommes. Virgile d
t donné au dieu Mars le nom d’Arès, qui signifie dommage, à cause des
maux
que la guerre cause. Les Latins l’appelaient Grad
oiqu’il en soit, les poètes rapportent que Jupiter éprouvant un grand
mal
de tête, eut recours à Vulcain, qui lui fendit le
equel on voit encore couler des larmes, c’est-à-dire, que l’excès des
maux
de cette reine la rendit insensible à tout, et qu
jour, que Jupiter, lisant sur sa physionomie douce et perfide tout le
mal
qu’il ferait aux hommes, engagea sa mère à l’aban
it Jupiter, Pluton, le dernier des trois fils de Saturne, fut le plus
mal
servi, puisque l’enfer tomba dans son lot. D’autr
in, exécutent ses ordres ; elles distribuent aux hommes le bien et le
mal
. Clotho, par un destin bizarre, Mêle
cela qu’on voit sur des médailles, Laribus Augusti. Ceux qui avaient
mal
vécu erraient vagabonds, se plaisant à épouvanter
on jouissait ; on imputait à l’autre les mauvais penchans et tout le
mal
qui en résulte ; de sorte que le sort de chacun d
; Et de là, sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les
maux
destinés aux humains : Sur un autel de fer, un li
erons que sa criminelle audace attira sur ses descendans une foule de
maux
. Pélops, fils de Tantale, quitta la Phrygie, et p
e. 19. Abieni. — Popolo della Scizia, nelle circostanze della Tracia.
Mal
si apposero quegli scrittori che confusero questi
occhè Giasone, a capo degli Argonauti, venne a farsi render conto del
male
acquistato retaggio, e se ne rese egli stesso pad
rese eunuco e lo stesso fece il re di Pessinunte. Colpito Agdisto dal
male
che aveva fatto, ottenne da Giove che anche dopo
vedea lo te Già mezza ragna, trista in su gli stracci Dell’opera che
mal
per te si fè. Dante. — Purg. C. XII. …… Un n
e un gufo, e ancor suo grido è tale, Ch’ovunque il fa sentir, predice
male
. Ovidio Metamorfosi libro V trad. Dell’ Anguilla
fin che’l ramo Rende alla terra tutte le sue spoglie ; Similemente il
mal
seme d’Adamo : Gittansi di quel lito ad una ad un
vevano un grande rispetto per la dea Iside, e che non facessero alcun
male
a coloro che navigavano il Nilo in una barca fatt
nciullo non regnasse in pregiudizio dei propri figli, lo trattò assai
male
ed istigò Atreo e Tieste, suoi figliuoli, ad ucci
console, imperocché è commessa al consoli la guerra ; parlmenti non è
mal
lecito giurare al Sacerdote di Giove ; ne è lecit
antità di nemici. Ma di qual parte fosse Diomede Se Troiano od Acheo
mal
tu sapresti Discernere, si fervido ei trascorre I
parate pel sacrifizio, e poi rientrò nel fondo del sepolcro senza far
male
ad alcuno. Virgilio dice che Enea credè che quel
degli Ateniesi, e stimolati dai Beozi, i quali anch’essi vedevano di
male
occhio la crescente prosperità di Atene, gli Egin
e ; all’uomo Insegnando cosi, quanto per l’uomo Insana mente è d’ogni
male
il peggio. Sofocle. — Antigone. — Tragedia. trad
an vano a volo. Ma la possa maggior del Padre eterno Provvide a tanto
mal
, serragli e tenebre D’abissi e di caverne, e moli
delle ferite. Ne successe una mischia nella quale Ercole stesso assai
mal
concio dovè ritirarsi. Però qualche tempo dopo, a
ndo che l’indole irrascibile di lui, non lo avesse condotto a qualche
male
passo, lo inviò nelle campagne a custodire i suoi
quasi moribondo, si fece portare a Trachina, ove Dejanira vedendo il
male
che aveva fatto, si uccise per disperazione. La l
a la statua, fu colpito di follia e divenne furioso. Per più tempo il
male
lo afflisse senza tregua ; ma poi cominciò ad ave
ione mitologica narra di lui uno strano fatto, dicendo che egli aveva
male
gli occhi in così triste modo, che era quasi inte
ffinchè rendesse noto all’ universo i loro delitti. È questa fama un
mal
, di cui null’ altro È più veloce ; e com’ più va,
a terra e del ciel senza riposo. Stridendo sempre, e non chiude occhi
mal
, Il giorno sopra tetti, e per le torri Sen va de
si vede e che s’ode : e seminando, Non men che ’l bene e ’l vero, il
male
e ’l falso, Di rumor empie e di spavento i popoli
che ferita M’ebbe amor, divisai com’io potessi Soffrir meglio un tal
male
, e dal tacerio. Dall’occultario incominciai : chè
Mi maledisse, ed invocò sul mio Capo l’orrende Eumenidi. pregando Che
mal
concesso non mi fosse il porre Sul suo ginocchio
eri fossero unite a quelle del suo diletto. Qual giorno il Sol, qual
mal
Carreggiò tristo giorno, e qual la Luna Dalle cel
ome della loro dea, e distribuendo immagini, filtri e rimedi per ogni
male
. Girando batteran gli eunuchi Galli Cavi tamburi
à di venti anni, e sospinto dalla sua indole avventurosa ed ardita, e
mal
sofferendo di rimanere ancora nascosto nell’ombra
dente della stirpe degli Eolidi, lo avrebbe un giorno spogliato della
mal
conquistata corona, aveva anche soggiunto che egl
o di traccheggiare il giovane ancora per qualche tempo, finchè Medea,
mal
soffrendo di vedere il marito fatto giuoco dell’a
padre fulminando Spezzò gl’imposti monti e li disperse E dalle stelle
mal
tentale in bando Nel Tartaro carciò le squadre av
ata, Giudica e manda, secondo che avvinghia. Dico, che quando l’anima
mal
nata Li vien dinanzi, tutta si confessa ; E quel
mpagna. Proteo, addolorato di vedere le proprie figlie ridotte a così
mal
partito, proclamo un bando in tutti i suoi stati
onde placare lo sdegno della dea. Tolta così questa prima ragione del
male
, venne facilmente a capo, con la protezione di Ap
vi la Tema, Evvi la Fame : una ch’è freno al bene, L’altra stimolo al
male
; orrendi tutti E spaventosi aspetti. Havvi il Di
o con un culto particolare, volendo con ciò gli Egizii scongiurare il
male
che egli avrebbe potuto fare agli altri animali,
rito amante. Giove ne freme : ed a lei toglie quella Lingua, cui così
male
essa governa ; A Mercurio di poi cosi favella : C
rama che si stendeva ai suoi piedi, precipitò con un urto violento il
mal
capitato eroe dall’ alto di una rupe. Questo Lico
urrasca ad investigare il luogo ; e che quegli abitanti lunge dal far
male
ai suoi messaggeri, fecero loro assaggiare il liq
n complesso di principii e di opinioni, professate da alcuni filosofi
mal
convertiti, i quali pretesero accomodare i dogmi
pouse et ouvrit la boîte fatale, d’où s’échappèrent aussitôt tous les
maux
qui depuis n’ont cessé de désoler la terre [Fig.
llence de leurs ouvrages. Il trouva que les cornes du taureau étaient
mal
plantées, et qu’il aurait fallu qu’elles fussent
[Fig. 79] La Fortune. La Fortune distribuait les biens et les
maux
suivant son caprice. Elle était particulièrement
e sa caverne, et lui demandent à plusieurs reprises qui lui a fait du
mal
. Comme il répondait toujours : Personne, ils crur
ns le cerveau de Jupiter, indique que toute sagesse vient de Dieu. Le
mal
de tête de Jupiter et le coup de hache qu’il se f
t tout connaître, porte la main à l’arbre de la science du bien et du
mal
et encourt la disgrâce de Dieu. 28. Les Muses ét
« Temer si deve sol di quelle cose « Che hanno potenza di fare altrui
male
: « Dell’altre no, chè non son paurose, » diceva
tema ove nessuna ragion v’è di temere. Ma perchè questo improvviso e
mal
fondato timore debba chiamarsi pànico, ossia prod
usa, sì ‘l farem di smalto, « Gridaron tutte riguardando in giuso ; «
Mal
non vengiammo in Teseo l’assalto. » E non era un
da un figlio di Giove. Ma la sua stessa precauzione fu causa del suo
male
, poichè Perseo, irritato di tale scortesia, lo ra
nica, secondo lui, che getti piena luce su quelle parti che rimangono
mal
cementate e incongrue nella ben congegnata fabbri
lo dei corpi, ma è egli anche medico dell’ anime, che ei guarisce dal
male
morale colle pratiche della purificazione. Dissip
e ne viene alla grotta di Cillene per obbligare Ermes a restituire il
mal
tolto. Ermes fa lo gnorri e ricisamente nega il f
vinità benefiche, che facevan cessare ogni angustia e dimenticar ogni
male
. Pindaro raccontava che dopo la vittoria sul Tita
in sogno doveva apparirgli il Dio che gli suggeriva il rimedio al suo
male
. 3. Presso i Romani, prima che s’ introducesse la
no che, indovinando un essere divino nel fanciullo, s’ era opposto al
mal
governo che di lui avevan preso a fare i compagni
ere di questi nacquero gli uomini, e di qui la lotta tra il bene e il
male
nell’ animo umano, provenendo il bene dall’ eleme
mano, provenendo il bene dall’ elemento dionisiaco che è in noi, e il
male
dal titanico. Queste e altrettali leggende costit
ima si attribui questa origine solo alla prima donna sorgente d’ ogni
male
; a cominciare dal 5º secolo av. C. si diffuse la
cinarsi, saltava nel fuoco fino a diventar rovente, poi abbracciava i
mal
capitati e se li teneva stretti con un riso sardo
rtù di antivedere le cose sapeva che la spedizione sarebbe riuscita a
male
, non voleva prendervi parte e aveva tentato sfugg
straordinaria felicità e ricchezza, precipitato poi nel fondo d’ ogni
male
, e punito in inferno in quel modo che già si espo
o. In questo modo Pelope ottenne Ippodamia e la signoria dell’ Elide;
mal
ripagò poi Mirtilo del servizio resogli, che in l
cante palesò la causa della disgrazia; e disse non sarebbe cessato il
male
se Criseide non fosse stata restituita al padre.
degli uomini, e i lamenti degli Dei ; e Giove conosciuta la causa del
male
, e non sapendo come altrimenti rimediarvi, coi fu
fiume « Dove chiamò con lacrimoso plettro « Febo il figliuol che avea
mal
retto il lume, « Quando fu pianto il fabuloso ele
za o con frode altrui contrista. « Ma perchè frode è dell’uom proprio
male
, « Più spiace a Dio ; e però stan di sutto « Gli
somma sapïenza, quanta è l’arte « Che mostri in Cielo, in Terra e nel
mal
mondo, « E quanto giusto tua virtù comparte ! »
e essa, ed il mare. Alle preghiere della terra allor Giove fulminò il
mal
consigliato giovane, e lo precipitò nell’ Eridano
ava perfino la figlia Metra per comperarsi di che mangiare. Ma questa
mal
sofferendo la schiavitù raccomandossi a Nettuno d
o Pontino, ovediceasi che alcuni Lacedemoni fuggiti da Sparta, perchè
mal
sofferenti delle leggi troppo rigide di Licurgo,
o da Mercurio; Io in Egitto diventa Iside, Parte I. Capo IV. Faetonte
mal
reggendo il carro del Sole è fulminato da Giove e
llontanare i mali che si temevano, o all’ avvenirsi in alcuna cosa di
mal
augurio o per prepararsi a qualche impresa import
s younger brother Saturn, on condition that he should destroy all his
male
children. Conformably to this agreement, Saturn d
uminated. They were extremely cautious to prevent the presence of any
male
animal. The master of the house, his sons, his me
excluded; all the windows carefully closed, and even the pictures of
males
were veiled. Who was Terminus? Numa, finding the
y worship God in the Sun and in Fire. The Hindûs regard the Moon as a
male
Deity, to whom they give the name of Chandra, and
The northern mythology makes the Sun to be a female, and the moon a
male
divinity. The Song of Vala. (From Herbert’s Helg
pelle del cinghiale lo cedè ad Atalanta. Ciò dispiacque ai suoi zii,
mal
tollerando che una donna con tal distintivo di on
ta in matrimonio coll’improvvido Epimeteo, significhi la voluttà e il
mal
costume che spasso derivano dalla raffinatezza de
ti del suo trono teneva Giove due coppe, l’una del bene e l’altra del
male
, per versarle a suo beneplacito sopra i mortali.
io te, « Già mezza aragna, trista in su gli stracci « Dell’opera che
mal
per te si fe ! » Quindi egli non accetta l’opini
atori e cacciatori conduc endo una vita errante e senza dimora fissa,
mal
potevano assoggettarsi al consorzio sociale e vin
ano a volo. « Ma la possa maggior del padre eterno « Provvide a tanto
mal
; serragli e tenebre « D’abissi e di caverne e mo
a Giove, perchè parlava troppo. La pregavano perchè facesse tacere le
male
lingue. Le Feste Caristie erano un solenne convit
ossiamo tener per fermo che il rimedio deve essere stato peggiore del
male
. IX. Libazione, cerimonia religiosa nei sacrifizj
li Ebrei dimoranti in Roma dovevano necessariamente parlare, o bene o
male
, la lingua latina ; e perciò potevan benissimo av
enza da trarre la Luna dal Cielo in Terra per farla servire alle loro
male
arti. Orazio rammenta più volte (ma ironicamente,
i Giganti. Venere non si oppose e obbedì ; ma questo matrimonio così
male
assortito fu causa di coniugali discordie e di sc
tto ; e gli antichi la considerarono come una lotta del principio del
male
contro quello del bene, e perciò celebrarono la v
e quello Dio che ti poteva predire il tuo futuro bene o il tuo futuro
male
, te lo potesse ancora concedere. Di qui nascevano
iangeva al suo pianto : « oh fortunato, « Che un tempo conoscesti il
male
a prova, « Se non t’invidii il Ciel sì dolce stat
poeta latino impreca al tenebroso regno in questi versi : « At vobis
male
sit, malæ tenebræ « Orci, quæ omnia bella devora
nome Metra, e questa pure egli vendette per isfamarsi. Ella però, de
mal
comportava di vivere in servitù, pregò Nettuno, c
di Tebe, il popolo corse ad incontrarlo con giulivi applausi. Penteo,
mal
sofferendo siffatte acclamazioni, ordinò ad alcun
l’animo degli astanti (e). Proferiva finalmente per intervalli alcune
mal
articolate parole, le quali da’Sacerdoti si racco
arsi, si precipitò dall’alto della casa in istrada. Non si fece alcun
male
; e presa la fuga, montò in un naviglio, che da s
e isole, e di tutti i luoghi circonvicini(c). Egli però, trovandosene
mal
contento, e invidiando a Giove, ch’ei regnasse ne
ciò poi che spetta singolarmente ad Ate, costei non pensava che a far
male
, e a turbare l’animo degli uomini. Divenuta in ab
eghiere, le quali cercano sempre d’andarle d’appresso per impedire il
male
, che staper apportare ; ma essendo elleno zoppe,
ni Ingegneri e Meccanici, se lo credessero vero. Non ostante non sarà
male
il sentir come fecero i Troiani, secondo quel che
(com’egli giustamente osserva), « Ma poichè frode è dell’uom proprio
male
« Più spiace a Dio ; » dovè esser perciò assai m
« Come fu Jefte alla sua prima mancia ; « Cui più si convenia dicer :
Mal
feci, « Che, servando, far peggio ; e così stolto
tì la madre ed il figlio. Da quel momento fu oppresso da un terribile
mal
di capo. Avendo implorato l’aiuto di Vulcano, que
Macedonia. L’Amore e le Grazie abitavano con esse. L’Amore non vi era
mal
situato ; parecchie di esse cedettero al potere d
da Scilla a Cariddi. Non è cosa rara che bene spesso il timore di un
male
ci conduce in un peggiore. I Penati, i Lari ed
plicò un rimedio che aveva imparato dal suo antico precettore : ma il
male
era incurabile e l’infelice Centauro soffriva ace
To ensure this, Titan made Saturn promise farther to destroy all his
male
children. In fulfillment of this engagement, Satu
tan was so much enraged against Saturn for failing to destroy all his
male
children, that he assembled the giants, generally
nd Pluto. As we have already learned, Saturn devoured the rest of his
male
children. Ques. How is he represented? Ans. Sat
y in China. In the seventeenth century, they numbered eleven thousand
males
. Ques. What were the doctrines of Confucius? An
utinus is the same as Matutus, and is not Janus, i. e. the Sun, but a
male
deity answering to Matuta, the goddess of the daw
os (Sea). She then bore to Uranos a mighty progeny : the Titans ; six
males
, Oceanos, Coios, Crios, Hyperiôn, Iapetos, and th
ding to all analogy the sage or poet who devised the mythe of the six
male
and six female Titans must have intended to emplo
ed dominion over the dwellers of Olympos, uniting in cruel sport both
males
and females with mortals. But Zeus resolved that
which period, observing two serpents similarly engaged, he killed the
male
, and thus returned to his pristine state. On some
acle about a son ; and the god replied, that he would himself have no
male
issue, but that his daughter would bear a son who
as, was married to Clymene the daughter of Minyas. He was anxious for
male
offspring ; and on his wife's bringing forth a fe
ops he had already a son called Aias ; for Heracles having prayed for
male
issue for his friend, an eagle (ἀετὸς) appeared i
present order of things2251. The other consisted of twelve gods, six
male
and as many female, his ordinary council. These w
of Greece, it usually represented them in pairs, each consisting of a
male
and a female divinity2262. Thus we meet with Satu
ger brother Saturn, on condition that he should not suffer any of his
male
children to live. To fulfil this condition, Satur
s and beautiful, and wonderfully swift in running. She always shunned
male
society. She was, however, at all times, besieged
d, the windows were carefully closed, and the paintings of men and of
male
animals were covered with a curtain. Earth was us
ly to the priests and the learned. The Hindoos consider the moon as a
male
deity on which they confer the appellation of Cha
related that, while he was sleeping, he formed of his perspiration, a
male
and a female, from whom was descended the race of
, they found the intruder. The Greeks were then a rude people; either
males
or females would kill or beat those who offended
per of Diana, and that goddess forbade her followers to listen to any
male
, either divine or human. One day as Syrinx was de
ose body was half man and half fish, and who gave his name to all his
male
descendants. Idas and Marpessa Like all oth
rsions, in which Rhœcus was deprived of physical sight. Pan The
male
divinities of the woods, which were also very num
, and included the lovely Oceanides and Nereides, together with their
male
companions the Tritons, who generally formed Nept
the ancient deities not subjected to Jupiter, 27 Deu-ca′li-on. Only
male
survivor of Deluge; son of Prometheus and father
9; Italy ruled by, 12, 22; husband of Rhea, 14; day of, 178 Sa′tyrs.
Male
divinities of the woods, half man, half goat, 265
onarsi. Diodoro Sicolo al contrario vuole, che Bacco vedendo andare a
male
il suo esercito nelle Indie dalla pestilenza, Bac
the Cyclopes*, and the Hecatoncheires*. There were twelve Titans: six
males
, Chronos*, Oceanus*, Cœus*, Crius*, Hyperion*, an
alia, was celebrated on the 23d of August. Sacrifices were calves and
male
pigs. The streets were illuminated, fires were ki
n, when he took the kingdom of the world, agreed always to devour his
male
children; as the Hours and Days, portions of time
, or invocation of praise to the sun. The Hindus regard the moon as a
male
deity, to whom they give the name of Chandra, and
ccordingly became in the process of generations not only persons, but
male
and female. As, also, the phrases expressing the
. It does not attempt to show how an object like the ocean came to be
male
, and not female, or how it came to be a person at
of creation Love begins to stir, making of material things creatures
male
and female, and bringing them together by instinc
ide Pan, were the Sileni, the Sylvans, the Fauns, and the Satyrs, all
male
; the Oreads and the Dryads or Hamadryads, female.
in descent from Saturn, ruled the country. He was now old and had no
male
descendant, but had one charming daughter, Lavini
were others, whose names were Oceanus, Hyperion, Iapetus, and Ophion,
males
; and Themis, Mnemosyne, Eurynome, females. They a
in descent from Saturn, ruled the country. He was now old and had no
male
descendant, but had one charming daughter, Lavini
and from his left, the warrior’s wife. His thighs produced Vaissyas,
male
and female, (agriculturists and traders,) and las
n of the earth the principal were Titan, Saturn, and Hyperion, of the
males
; whilst among the females were comprised Thea, Rh
. Saturn, faithful to his promise, swallowed, at their birth, all the
male
children brought to him by his wife Cybele. But a
▲