tres, fuyant le tumulte des villes et se réfugiant dans les forêts. L’
Honneur
, auquel les anciens élevèrent un temple et qu’ils
lier est l’un de ses attributs. Les Saturnales étoient des fêtes en l’
honneur
de Saturne. Ces fêtes se célébroient pendant six
ur combattre Méduse. Les jeux Olympiques, institués par Hercule, en l’
honneur
de Jupiter, furent ainsi nommés, d’Olympie, ville
t. On célébroit, dans l’isthme de Corinthe, les jeux Isthmiques, en l’
honneur
de Neptune. Thétis, surnommée la belle Thétis pa
eut besoin, pour être adoucie, des fêtes que Romulus institua en son
honneur
, et qui furent appelées lemurales ou remurales. P
auvais vers. Nœnies, qui s’écrit différemment, étoient des fêtes en l’
honneur
de Bacchus, et qu’on célébroit la première fois q
qui passoit pour un chef-d’œuvre de l’art. Athènes célébroit, en son
honneur
, les Némésées, pendant lesquelles on faisoit des
Mystères par excellence, les mystères qu’on célébroit à Eleusis en l’
honneur
de Cérès. On n’étoit admis aux grands mystères, q
orsque Cécrops bâtit cette ville, Minerve et Neptune se disputèrent l’
honneur
de lui donner un nom ; les douze grands Dieux fur
gnoit. Le hibou lui étoit consacré. Les Athéniens célébroient, en son
honneur
, des fêtes appelées les grandes et les petites pa
nt ensuite en lieu de sûreté. Les thymelies étoient des chansons en l’
honneur
de Bacchus. Ces chansons tirèrent leur nom de Thy
Thymélé. Les pæans étoient des espèces d’hymnes et de cantiques en l’
honneur
de Bacchus, d’Apollon et des autres Dieux ; on fi
Les agranies ou agrionies étoient des fêtes instituées à Argos, en l’
honneur
d’une fille de Prœtus. Les femmes y cherchoient B
vestales comme des personnes sacrées, on leur rendoit les plus grands
honneurs
; elles avoient toute liberté de sortir. Elles vi
contre Claudius. Ce dernier, malgré leur opposition, avoit obtenu les
honneurs
du triomphe ; les tribuns entreprirent de le renv
iroient dans la ville. Auguste leur donna aux spectacles une place d’
honneur
vis-à-vis celle du préteur. La grande vestale (Ma
s et d’esclaves. Elles étoient enterrées dans l’enceinte de la ville,
honneur
rarement accordé aux plus grands hommes. Une stat
rges chrétiennes, consacrées au vrai Dieu, n’ont point reçu ces vains
honneurs
; mais, à l’abri des dangers du monde, elles n’on
n fut que rougie. Les Adonies étoient des fêtes qu’on célébroit en l’
honneur
d’Adonis. On y prenoit le deuil, on y donnoit des
Cette Vénus eut peu d’autels et l’on n’institua point de fêtes en son
honneur
. A la suite de l’histoire de Vénus, on croit devo
éfis de beauté entre les femmes. Les calistées étoient des fêtes en l’
honneur
de Junon et de Cérés. Il y avoit un prix pour la
le des femmes qui s’y trouvoit. Les Eléens célébroient ces fêtes en l’
honneur
de Minerve, mais le prix étoit pour le plus bel h
s temples, et le lion lui étoit consacré. On établit des fêtes en son
honneur
; dans la principale on couroit avec des torches
t communément qu’un même temple. On célébroit plusieurs fêtes en leur
honneur
, mais la saison riante de l’espérance, le printem
aveur des Muses, on buvoit neuf coups ; on n’en buvoit que trois en l’
honneur
des Grâces. Les anciens regardoient les Grâces co
, elle alla chercher un asyle en Sicile ; on l’y reçut avec de grands
honneurs
et on lui éleva une statue ; mais cet éclat, et c
nuit et jour sans interruption. Les brauronies étoient des fêtes en l’
honneur
de Diane, dans le bourg appelé Brauron ; on y voy
t, pendant cent ans, au-delà du Styx, ceux qui n’avoient pas reçu les
honneurs
funéraires. A Athènes Hécate fut surnommée Epipyr
oëtes, des musiciens et des guerriers. Les Béotiens instituèrent en l’
honneur
d’Apollon et de Daphné des fêtes appelées Daphnép
Elles eurent des temples. Les Athéniens célébroient une fête en leur
honneur
, appelée Horæa. Apollon étoit le conducteur des M
s et à leurs travaux32. Outre les jeux Pythiques, on célébroit en son
honneur
, les jeux Déliens, à Délos ; les jeux Séculaires,
rt furent punis de mort. Les Musées étoient des fêtes instituées en l’
honneur
des Muses, d’où l’on a donné le nom de Musées, au
ille. L’Aurore, baignée de pleurs, conjura Jupiter de rendre quelques
honneurs
à la mémoire de son fils, et Jupiter fit sortir d
éose de sa bienfaitrice, lui donna le nom de Flore, et célébra en son
honneur
des fêtes dignes d’une telle divinité. Des courti
e pedum ou bâton pastoral. Il présidoit aux troupeaux. C’étoit en son
honneur
qu’on avoit institué les fêtes licencieuses appel
hênes en étoient consacrés à Jupiter. Il y avoit un temple élevé en l’
honneur
de ce Dieu, et un oracle le plus ancien et le plu
oloit la victime, la tête voilée. Cependant ceux qui sacrifioient à l’
Honneur
et à Saturne, comme à l’ami de la vérité, avoient
uit bientôt une grande réputation, et après sa mort on lui rendit des
honneurs
divins. On dit que Jupiter le foudroya à la prièr
mort de Nirée et fut tué par Eurypyle, fils de Télèphe. Il reçut les
honneurs
héroïques dans la Messénie, où son culte fut intr
t, il fut question de lui donner un nom : la Terre prétendoit que cet
honneur
lui appartenoit parce qu’elle avoit fourni la mat
e nom de Mythologie. Ce sont des récits inventés par les anciens en l’
honneur
des dieux et des héros qu’ils regardaient comme l
e ses voisins. Ses deux frères, Neptune et Pluton, reçurent les mêmes
honneurs
. Neptune commandait une armée navale : on l’appel
mmencé à se nourrir de la chair des animaux, ils crurent faire plus d’
honneur
aux dieux en leur offrant des bœufs et des bélier
dans son Enéide, que le pieux Enée, dans un sacrifice qu’il fit en l’
honneur
de Pallas, fit égorger huit prisonniers de guerre
aturne en fut aimé : ce bonheur, à mon gré, Vaut bien, ô mes amis ! l’
honneur
d’être adoré. Demoustier. C’est apparemment com
les bonnes mœurs, la probité, l’innocence et les beaux-arts furent en
honneur
sur la terre, et il mérita le nom d’âge d’or. La
utomne au Printemps : L’ardent Phébus, le froid Borée, Respectaient l’
honneur
de ses champs ; Partout les dons brillans de Flor
ius, successeur de Romulus, et second roi des Romains, fit bâtir en l’
honneur
de Janus un temple qu’on tenait ouvert pendant la
é, les autres lui immolent un pourceau ; quelques-uns chantent en son
honneur
des hymnes sacrés, comme on pratiquait dans les f
ssé. On trouve encore dans les anciens auteurs deux autres fêtes en l’
honneur
de Cérès : les Tesmophores, ainsi appelées de deu
rcule, après avoir défait Augias, roi d’Elide, institua ces jeux en l’
honneur
de Jupiter ; cependant ce ne fut que long-temps a
l’oracle, qui répondit alors plus clairement : Vous avez détruit les
honneurs
du grand et du vaillant Théagène. La statue fui r
jeux Pythiens, les Néméens et les Isthimiens, qui se célébraient en l’
honneur
d’Apollon, d’Hercule et de Mélicerte. Les cérémon
grand bruit l’enclume résonne. Rousseau. On institua des fêtes en l’
honneur
de Vulcain ; les Athéniens les célébraient avec b
de la gauche des tenailles. Le plus ancien des temples élevés en son
honneur
était à Memphis, et le plus célèbre sur le mont E
it pour son fils, il le bannit du ciel, et le priva pour un temps des
honneurs
de la divinité. Cette disgrâce réduisit Apollon d
t qu’on le lui avait aussi dérobé. Qui le croirait ? dépouillé de ses
honneurs
, de sa puissance, le fils de Latone trouva dans l
isèrent enfin Jupiter ; il le rappela dans le ciel, et lui rendit les
honneurs
et les priviléges de la divinité. Apollon, rétabl
ns, dont le soleil était la principale divinité, avaient érigé en son
honneur
un colosse d’airain, qui mérita par sa singularit
. Pour perpétuer la mémoire de Memnon, les Egyptiens érigèrent en son
honneur
une statue qui, frappée des rayons du soleil leva
nfiance que les Grecs celui de Delphes. La Sybille de Cumes reçut les
honneurs
divins dans un temple que les Romains lui élevère
strate Le plus célèbre de tous les temples qui furent érigés en l’
honneur
de Diane était à Ephèse. On a cru long-temps que
sse, et, par des discours perfides, elle lui inspira des doutes sur l’
honneur
que lui faisait le dieu ; lui faisant entendre qu
étant pas encore en usage. Ces cordes étaient au nombre de neuf, en l’
honneur
des neuf muses. D’autres prétendent qu’il ne la m
s neuf muses. D’autres prétendent qu’il ne la monta que de sept, en l’
honneur
des sept Atlantides, dont Maïa était une. Quoi qu
fille de Cécrops, roi d’Athènes, dans une fête qui se célébrait en l’
honneur
de Minerve, fit tous ses efforts pour mettre dans
leva un, et qui leur assigna un culte particulier. On leur rendit des
honneurs
à Byzance, Delphes, Elis, Perges, Périnthe et à l
des repas on invoquait les Grâces, et l’on buvait trois fois en leur
honneur
. La plus belle de toutes leurs prérogatives était
e. Culte rendu à Neptune. Les Romains célébraient des fêtes en l’
honneur
de Neptune, le premier jour du mois de juillet, e
ieux, étaient composées de vin, de lait et de miel, se faisaient en l’
honneur
de Neptune avec l’eau de la mer, des fleuves et d
éphyrs une brebis blanche. Scipion et Auguste bâtirent un temple en l’
honneur
d’Eole. L’auteur du livre de la Sagesse met au no
ministres odieux : Et, pour plaire aux lois du Ténare, Se disputent l’
honneur
barbare De mieux peupler les sombres lieux. Lamo
èbres ; c’est pour cette raison que certains sacrifices usités en son
honneur
, s’appelaient Februa. Ces cérémonies se célébraie
e pouvaient plus se dédire, sous peine d’être privés du nectar et des
honneurs
de la divinité pendant cent ans. Le Cocyte, qui n
le guide, Une torche à la main ; il parcourait l’Elide, Exigeait les
honneurs
dus au maître des cieux : Insensé, qui croyait, f
venir son nom de Palea, paille. Il est certain qu’on célébrait en son
honneur
une fête nommée Palilia, ou fête de Palès particu
industrieux. De si grands bienfaits lui méritèrent après sa mort les
honneurs
divins. Fauna. — Sterculie Faune épousa
le dieu Terme la garde des limites champêtres. L’Italie prodigua les
honneurs
à Sylvain, dans la croyance que né dans le pays,
énat son héritier, ce qui lui valut une apothéose. On institua en son
honneur
les jeux floraux. Ils furent célébrés, pour la pr
e des arbres fruitiers ; et ses talens en ce genre lui méritèrent les
honneurs
divins. Pomone est représentée assise sur un gran
cialement sur sa personne. Le bon génie, n’inspirant que l’amour de l’
honneur
et de la vertu, procurait le bonheur dont on joui
e des hommes étaient son ouvrage, et qu’elle dispensait à son gré les
honneurs
, les richesses et les autres biens de la vie. Ell
? Inconstante et volage, après avoir élevé ses favoris au comble des
honneurs
, elle les abandonne tout-à-coup, et les replonge
a fait donner le nom de Rhamnusie. Les Athéniens instituèrent en son
honneur
les fêtes Némésées, et les Romains lui élevèrent
la figure d’une déesse qu’on nommait Tacita ou Muta. La Vertu — L’
Honneur
. On représentait la Vertu sous la figure d’une
ce. Marcellus, voulant faire bâtir à Rome un temple à la Vertu et à l’
Honneur
, consulta les pontifes sur ce pieux dessein. Suiv
l les fit disposer de manière qu’on ne pouvait entrer dans celui de l’
Honneur
sans passer par celui de la Vertu ; pour faire en
s passer par celui de la Vertu ; pour faire entendre que le véritable
honneur
ne peut s’acquérir que par la pratique de la vert
nna de ne pas les élever beaucoup. Les sacrifices qu’on faisaient à l’
Honneur
se célébraient tête découverte, ce qui se pratiqu
rassemblaient aux ides de juillet (le 15 juillet) dans le temple de l’
Honneur
, pour se rendre au Capitole. Sur les médailles de
ur se rendre au Capitole. Sur les médailles de Titus, qui mettait son
honneur
à procurer la paix et l’abondance à l’empire, l’H
i mettait son honneur à procurer la paix et l’abondance à l’empire, l’
Honneur
est représenté sous la figure d’un homme tenant u
lui fit ombrage et lui inspira de la jalousie. Pour s’en défaire avec
honneur
, il lui persuada, afin d’acquérir de la gloire, d
te, les Athéniens le mirent au rang des demi-dieux ; et rendirent des
honneurs
à ses cendres. Castor et Pollux Pollux,
, fit ramasser les cendres de son frère pour leur rendre les derniers
honneurs
. D’après les lois, elle fut condamnée à être ente
-nous bien le cœur et les mains assez pures Pour présider ici sur les
honneurs
divins, Et prêtres, vous offrir les vœux des pèle
vre aux yeux des gens du monde, et ne laissons pas aux savans seuls l’
honneur
de la comprendre ; car la mythologie, ainsi que n
lement trop échauffé à la chasse. Cependant il obtint de ses sujets l’
honneur
d’être mis au rang des dieux, avec le titre de Tr
une statue d’Atys, furent amenés par Midas à instituer un culte en l’
honneur
de ce jeune amant de leur grande divinité. Ces fê
s Mégalésies et les Lavations à Rome étaient également des fêtes en l’
honneur
de Cybèle. La cérémonie la plus remarquable de ce
qu’ils lui promettaient comme sorciers, sans s’abaisser à danser en l’
honneur
de quelque divinité, les Dactyles semblaient avoi
de diverses espèces, et à Gnosse on célébrait les Corybantiques en l’
honneur
des Corybantes. Quant aux statues de Rhée, elles
à plusieurs autres déesses, et dont en outre elle sortit sans que son
honneur
en ait souffert. Voici le fait : tous les Dieux é
à ses parens ; mais par compensation ces vestales étaient entourées d’
honneurs
et jouissaient de beaucoup de priviléges : elles
ourtant dans Argos une chapelle, et dans Athènes on célébrait en leur
honneur
, une fête qui portait le nom d’Horée. Mais reven
ut pas grandement vénéré en Grèce, la Thessalie seule lui rendait les
honneurs
divins en célébrant les Pétories, fêtes semblable
historique, c’est au Jupiter fils de Saturne qu’il faut accorder cet
honneur
, et admettre que ce grand homme divinisé arriva à
Thémis Irène ou la Paix, qui n’est autre chose que la Concorde, en l’
honneur
de laquelle on célébrait à Rome les fêtes appelée
r redoutable. Un seul d’entre eux ne mérita pas toujours, dit-on, cet
honneur
; ce fut Gygès. On assure qu’il s’oublia une fois
oyant cet enfantement sans y avoir été pour quelque chose, se pique d’
honneur
, touche une fleur, et fait naître tout a coup, ég
présidaient aux douze mois de l’année, et à Rome on célébrait en leur
honneur
des fêtes appelées Consenties. Puis vinrent les
institua les Hydrophories dans un temple qu’il bâtit à Athènes, en l’
honneur
de Zevs Phyxios ou Jupiter de la Fuite. Cette cér
onnages ne mérite d’observation. Œnotre seul a disputé avec Nyctime l’
honneur
d’avoir été épargné par Jupiter, comme le plus je
uelle aussi Thésée, après la victoire, le prive pour cette raison des
honneurs
du bûcher. Plusieurs individus furent encore puni
que, dans l’effusion de leur reconnaissance, ils lui décernèrent des
honneurs
presque divins. Ces marques d’affection ne pluren
séjour habituel, mais parce que les jeux olympiques, célébrés en son
honneur
, jouissaient d’une réputation universelle. Ces je
'ordre de ces jeux exigeait qu’on les commençât par un sacrifice en l’
honneur
de tous les Dieux, mais surtout de Jupiter et d’A
é d’une statue, que lui élevèrent ses compatriotes. Un envieux de cet
honneur
, allant toutes les nuits fustiger cette statue, c
, lors de son retour du siége de Troie. Partout, au reste, on rendait
honneur
à Jupiter, et par des jeux analogues, et surtout
n sacrificateur appelé Buphone immolait un grand nombre de bœufs en l’
honneur
de Jupiter-Polieus ; les Daulies rappelaient chez
ation de Jupiter avec Junon ; les Diasies avaient lieu à Athènes en l’
honneur
de Jupiter-Milichius ; les Diipolies s’adressaien
bœuf à Jupiter ; les Eleustéries avaient été instituées à Platée en l’
honneur
de Jupiter-Libérateur : c’étaient de vraies fêtes
Argiens ; les Laurentales se célébraient à Rome, le 22 décembre, en l’
honneur
de Jupiter et d’Acca Laurentia, nourrice de Romul
annuelle que tous les peuples du Latium venaient célébrer à Rome en l’
honneur
de Jupiter-Latiaris, pour cimenter davantage leur
siècles avant J.-C., l’on immolait encore des victimes humaines en l’
honneur
de Jupiter ; elles devinrent les Lupercales à Rom
cales à Rome, mais à Argos, les fêtes du même nom se célébraient en l’
honneur
d’Apollon-Lycoctone ; les Mémactéries étaient des
; les Pandies, instituées par Pandiôn, se célébraient à Athènes en l’
honneur
de Jupiter ; les Panhellenies étaient des fêtes o
Capitolins et Tarpéiens se célébraient à Rome tous les cinq ans, en l’
honneur
de Jupiter sauveur du Capitole. Jupiter avait don
à Samos ou même en Arcadie, car ces diverses contrées se disputent l’
honneur
de l’avoir vu naître. Argos, pour le prouver, dis
pièces. Dans plusieurs autres villes où l’on célébrait des fêtes en l’
honneur
de Junon, comme, par exemple, à Argos, on faisait
iquer avec certitude que la monogamie, à l’époque où Junon y était en
honneur
, n’était point encore admise chez les Grecs. Quan
surgir de la terre le dieu Mars. Cependant quelques mythologues font
honneur
à Vulcain de cette merveilleuse apparition ; néan
nom de Dia ; à Rome, sous celui de Juventus. On avait institué en son
honneur
des fêtes où les jeunes gens ne portaient que des
es confondirent probablement tous sous un même nom, et leur rendirent
honneur
en adorant le troisième. Il était si laid que Jun
us fort en conservant une torche allumée ; à Rome on célébrait en son
honneur
au mois d’août, les Vulcanales. Cette fête durait
édia ensuite un char attelé de quatre chevaux, et fit célébrer en son
honneur
les Lustria dont le feu servait à la cérémonie de
oraient sous le nom de Ares et de Mars. Numa institua un culte et son
honneur
; ses prêtres, tous patriciens, et au nombre de d
épure, sanctifie cet amour et en fait le lien sacré des générations ;
honneur
qu’elle partage du reste avec divers dieux et dée
t un droit pour grossir les trésors de la déesse. On célébrait en son
honneur
, tous les ans, des fêtes durant lesquelles des ho
are, morte en le mettant au jour, ayant cherché à porter atteinte à l’
honneur
de Latone dans un voyage qu’elle faisait de Panop
le de Latone et de Jupiter, sœur aînée d’Apollon, reçut de son père l’
honneur
d’être déesse de la chasse et des forêts. Après a
çaient une de ses statues devant leurs maisons, et célébraient en son
honneur
, tous les mois le soir de la nouvelle lune, des f
s connu parmi ceux de toutes ces prêtresses. Elles célébraient en son
honneur
plusieurs fêtes ; telles étaient : les Amarynthie
s, pendant lesquelles on sacrifiait un mulet, elles avaient lieu en l’
honneur
de Diane-Artémise à Delphes et à Syracuse ; les B
Sicile. Les Caryes étaient des fêtes célébrées par des danses en son
honneur
, chez les habitans de Caryes. Les Calaoïdies étai
anses en Laconie. Les Chitonies et les Dictynnies se célébraient en l’
honneur
de Diane Chitonia et Dictynna. Les Diamartigoses
n second combat contre ce peuple. Les Ephésies étaient des fêtes en l’
honneur
de Diane pendant lesquelles les Ephésiens s enivr
us. Les Némorales avaient lieu à Aricie, les Saronies à Trezènes en l’
honneur
de Diane Saronia, et les Thurgélies à Athènes éta
promontoire d’Actium, à cause du temple qu’Auguste y fit bâtir en son
honneur
après la défaite d’Antoine, Néoménius ou de la no
iers, fut transformé en rocher par celui qui lui avait fait le triste
honneur
de s’en rapporter à son jugement ; Mégalitor fut
pontife de Syrie, transporta son culte à Rome où il fit élever en son
honneur
un temple magnifique. Partout le soleil présidait
Apollonies, processions qui avaient lieu chaque année à Egialée en l’
honneur
des Latonides qui, pour punir les habitans de cet
étaient des courses de chars inventées, dit Tertulien, par Circé en l’
honneur
de son père le soleil. Les Daphnéphories étaient
étaient des fêtes béotiennes que tous les neuf ans on célébrait en l’
honneur
d’Apollon soleil. On allait processionnellement j
ution annuelle du soleil. Les Délies célébrées par les Athéniens en l’
honneur
d’Apollon Delios. Les Delphinies étaient les fête
ètes célébraient également et de la même manière ces fêtes, mais en l’
honneur
de Jupiter. Les Héliaques avaient passé de Perse
de Perse en Cappadoce, en Grèce et à Rome. Elles se célébraient en l’
honneur
du soleil. Les Hyacinthies étaient à Lacédémone u
ans un bourg voisin appelé Diomée. Les Mitylénies se célébraient en l’
honneur
d’Apollon chez les Mityléniens hors des murs de l
eux et repas publics. Les Poliées avaient lieu chez les Thébains en l’
honneur
d’Apollon Polius ou le Gris. Les Pyanepsies étaie
taient les fêtes les plus brillantes qui se célébraient en Grèce en l’
honneur
d’Apollon par souvenir de sa victoire sur le serp
es fêtes athéniennes qui se célébraient dans le mois Thargelion, en l’
honneur
d’Apollon-soleil et de Diane-lune comme auteurs d
oxénies instituées à Palène par les Dioscures, Castor et Pollux, en l’
honneur
spécialement d’Apollon Théoxénien ou l’hospitalie
emble de tous les Dieux. Enfin les Thrio se célébraient en Grèce en l’
honneur
d’Apollon le divin, parce que l’on appelait Thrie
du moins en Grèce, et passa ensuite en Italie et dans toute l’Europe,
honneur
dont ne se doutent assurément pas nos vieilles py
Dodone en Epire, la logèrent dans une chapelle qu’ils élevèrent en l’
honneur
de Jupiter, et là le baragouinage de l’étrangère
jeux et des combats de musique et de poésie, que l’on célébrait en l’
honneur
du fils de Latone, lorsque la lune était dans son
t tous les ans le 11 et le 15 janvier les Carmentales ou fêtes en son
honneur
, introduites en Italie six ans avant la guerre de
t en vers et que la poésie servait à composer les hymnes chantés en l’
honneur
des Dieux ou des héros des temps anciens. Le vieu
s pour adorer les Dieux ; cependant Anthès d’Anthédon lui dispute cet
honneur
. Orobante, Philamon, fils d’Apollon et de Chioné
inoüs en présence d’Ulysse. Melanope, de Cumes, composa un hymne en l’
honneur
d’Opis et d’Hécaërge dans laquelle il disait que
t à Délos. Pamphos, d’Athènes, composa la première pièce de vers en l’
honneur
des Graces. Phémios, poète musicien inspiré des D
1180 av. J.-C. On le disait disciple et souvent concurrent d’Orphée,
honneur
que l’on fait aussi à Eleuthère qui, voyant une f
d’Esculape, et, en cette qualité, elle reçut de même que son fils les
honneurs
divins à Sparte où elle avait un temple près de l
emple d’Esculape à Sicyone, et qu’elle y partageait avec son fils les
honneurs
divins, de même qu’Arsinoé à Sparte. Cette Coroni
bâtit Oéta et un temple aux Hamadryades, il y fonda des jeux en leur
honneur
et il y obtint le premier prix. Ambracia était un
fruit de leurs amours. D'autres accusent Diane de ce meurtre et font
honneur
à Mercure de l’opération chirurgicale. Quelques-u
et de bandelettes. Quelques fêtes remarquables étaient célébrées en l’
honneur
du Dieu de la médecine ; les unes s’appelaient Ep
la main. Dans leurs fêtes ou atropies, on chantait des hymnes en leur
honneur
, et on leur sacrifiait un jeune agneau. Quant aux
s en fut éprise et lui confia la garde de ses temples ; ébloui de cet
honneur
, il eut un jour une dispute avec Epaphus, qui lui
lui attribue pour nourrice Calligénie, dont elle-même prit le nom. L'
honneur
de sa naissance fut tour-à-tour réclamé par l’Egy
réparer pieusement ce malheur, Cérès lui commande de célébrer en son
honneur
d’illustres mystères, hors des yeux du vulgaire,
venteurs de la planification dans la Béotie, adorés à Scolion et en l’
honneur
lesquels furent institués à Délos les Mégalorties
se tua : l’amour paternel et l’amitié de Triptolème élevèrent en son
honneur
la ville d’Anthée. Après ce repos à Eleusis, Cérè
llet, des espèces de Tesmophories lugubres appelées Mégalasties, en l’
honneur
de Cérès Cabirique, dans lesquelles, au milieu du
yzique ; les Chloiennes étaient à Athènes des danses et des jeux en l’
honneur
de Cérès-Chloé ; les Démétries, consacrées à Cérè
à Cérès avant les semailles ; enfin les Pylées étaient des fêtes en l’
honneur
de Cérès-Pyléa, qui se célébraient aux Thermopyle
réalies furent instituées par l’édile Memmius, et se célébraient en l’
honneur
de Cérès, du 7 au 22 avril, elles avaient de part
Vacuna présidait au repos qui suit les moissons ; on célébrait en son
honneur
, vers la fin de novembre, les Vacunales ; Vervact
te déesse, sans être très-important, jouissait cependant de l’auguste
honneur
d’avoir à Rome un Flamine Pomonal ou prêtre spéci
veaux brûlés à l’état de fœtus. Le jour des Fordicidies ou fêtes en l’
honneur
de Tellus, on semait alors ces cendres sur des ch
’an de Rome 708 ou 45 à 44 ans av. J.-C., furent célébrées aussi en l’
honneur
de César, et ne furent supprimées que l’an 692 de
élever par ses adorateurs un temple à Adonis, et l’on institua en son
honneur
les fêtes les plus remarquables de l’antiquité, l
de Cypre dans lesquels, après la mort de sa femme, il institua en son
honneur
des fêtes appelées Orgies, pareilles à celles que
ulte de Vénus-Chthonienne, mais ce fut Hermocharès qui fit bâtir en l’
honneur
de la déesse de la beauté le premier temple à Ath
omme pour Junon, nons dirons que les fêtes les plus remarquables en l’
honneur
de cette déesse de la beauté, se nommaient Aphrod
es ou aphrodisies étaient les plus brillantes, et se célébraient en l’
honneur
de Vénus-Aphrodite. D'abord les prêtresses, le fr
ésentant deux colombes ; ensuite on faisait des libations de vin en l’
honneur
de Vénus-Populaire, puis ceux qui se faisaient in
ou Colyttis, qui était la déesse de l’impudicité. On célébrait en son
honneur
à Athènes, à Corynthe, à Chio, en Thrace et dans
et d’une nymphe quelconque. Pourtant les Lacédémoniens réclamaient l’
honneur
de leur origine et l’attribuaient à Lacédémon, le
estins, si l’on invoquait les Muses, on buvait aussi trois coups en l’
honneur
des Grâces. Ces compagnes de Vénus avaient plusie
déesse. On lui éleva un temple où l’on fit brûler de l’encens en son
honneur
, et le culte de Vénus fut presque abandonné. Cett
appelaient les Eleuthéries chez les Samiens, qui les célébraient en l’
honneur
de Cupidon, et chez les esclaves, pour célébrer l
nèse : alors des femmes se réunissaient pour cueillir des fleurs en l’
honneur
d’Eros ; les Erotidies ou Eroties en Grèce, où el
s Erotidies ou Eroties en Grèce, où elles avaient été instituées en l’
honneur
du même Dieu ; c’étaient des jeux pendant lesquel
eureux mariage, ils l’invoquèrent comme un dieu et célébrèrent en son
honneur
des fêtes appelées Hyménées. Plus tard à Rome, on
et prit le nom de Chapelle d’Alcmène. Les Thébains lui rendirent des
honneurs
divins, et sa disparition fut regardée comme une
fut honorée après sa mort comme une divinité. On institua même en son
honneur
une fête nommée Hellotia, d’où lui vient le nom d
de ses sujets, accoucha au septième mois, et que Cadmus pour sauver l’
honneur
de sa fille, rejeta sur Jupiter la paternité de c
d’autres, c’était une princesse inconséquente qui voulant sauver son
honneur
compromis par des imprudences commises sur les bo
t bâtir un temple, en même temps qu’il en fit construire un autre à l’
Honneur
, de manière que pour arriver à celui-ci, l’on éta
tisser, de broder et de coudre. Un jour Neptune voulut lui disputer l’
honneur
de donner son nom à la ville d’Athènes. Alors pou
hthonius, que nous connaissons pour son fils supposé, institua en son
honneur
les fêtes appelées Athénées, auxquelles, plus tar
à la main une branche de cet arbre. Les autres fêtes instituées en l’
honneur
de Minerve et jouissant de plus ou moins de crédi
ou moins de crédit étaient : les Aléennes ou Alées des Arcadiens en l’
honneur
de Minerve-Alea ; les Aloties chez le même peuple
tes Athéniennes dans lesquelles on portait des objets mystérieux en l’
honneur
de Minerve et de Hersé, fille de Cécrops ; les Cé
s, d’où vint leur nom ; les Sthénies étaient, à Argos, des fêtes en l’
honneur
de Minerve-Sthéniade ; ces fêtes étaient célébrée
ium. Les Athéniens, après la bataille de Marathon, érigèrent, en son
honneur
, une statue colossale en bronze, et plus tard. Ph
ouva encore contre lui Athâna ou Minerve, qui lui disputa hautement l’
honneur
de nommer cette nouvelle cité ; alors aussi Miner
be ou couronne en baies de lierre ; Dœmon-Bonus ou le bon génie, en l’
honneur
duquel on devait boire les dernières coupes de vi
Dithyrambe que l’on donna ensuite aux hymnes que l’on chantait en son
honneur
; Ebon nom que criaient les bacchantes dans ses f
u Syrius. Après ce triste événement, on institua dans l’Attique, en l’
honneur
d’Icarius, les jeux Icariens qui n’étaient autre
, chez les Égyptiens ; Narcé de Physcoa, institua des sacrifices en l’
honneur
de son père, et donna le nom de sa mère à un chœu
s, de serpens apprivoisés et en dansant et chantant des hymnes en son
honneur
. On y voyait aussi divers instrumens mystiques, e
loennes, étaient les mêmes fêtes que celles de ce nom, célébrées en l’
honneur
de Cérès à Athènes ; les Ambroisies des Grecs, ou
ient des fêtes que le bas peuple célébrait la nuit aux flambeaux en l’
honneur
de Bacchus Lampter à Pallène en Achaie ; alors on
us les passans. Les Larysies avaient lieu au retour du printemps en l’
honneur
de Bacchus-Larysius, auquel on offrait toujours u
e raisin mur ; les Lénées consistaient en un concours de poésie, en l’
honneur
de Bacchus-Lénœus ; les Lernées se célébraient pa
iaques. Les Sabasies étaient des courses et des danses furieuses en l’
honneur
de Bacchus-Sabasien. Les Théœnies se célébraient
nneur de Bacchus-Sabasien. Les Théœnies se célébraient à Athènes en l’
honneur
de Bacchus-Theœnus ; les Thyies des Eléens, reven
milieu d’elles. La Tyrbé était une fête tumultueuse de l’Achaïe, en l’
honneur
de Bacchus ; les Vendemiales furent ordonnées par
s et Fatuela, Fatuus ou Fatuelius et Fatua. On avait institué en leur
honneur
des fêtes appelées Faunalies qui avaient lieu le
tête humaine, sans pieds et sans bras. Les Romains célébraient en son
honneur
, au mois de février, les Terminales ; alors on en
ope, fut celui qui institua les combats de musique et de poésie, en l’
honneur
de Latone. Il tomba victime des Héraclides, lorsq
n des courreurs et des écuyers, car habile cavalier, il eut les mêmes
honneurs
par suite de son talent à dompter les chevaux. P
ation. On leur immolait des agneaux blancs, et l’on célébrait en leur
honneur
de joyeuses fêtes appelées Anacées, Anactés et Di
le récompenser de sa rare probité. Egine et Athènes lui rendirent des
honneurs
divins. On disait que ses états ayant été ravagés
xpierait le crime qu’il venait de commettre, et obtiendrait après les
honneurs
divins. Il se soumit donc à Eurysthée, roi de Myc
es peuples des environs vinrent, chaque année, célébrer une fête en l’
honneur
d’Hercule. Lors de son arrivée aux environs de Na
et d’or sur lequel il s’embarqua ; puis aux jeux Olympiques, il eut l’
honneur
de lutter avec Jupiter. L'avantage ayant été égal
s à son père : ce fut, dit-on, le premier auquel on rendit ce genre d’
honneur
funéraire. Baleus fut inhumé dans les iles Ba
éon fut aussi de cette expédition ; Diome, fils de Colyte, obtint les
honneurs
divins ; Egimius, roi des Doriens, fut secouru pa
ar Hercule ; Soscrate, grec de Pelée en Achaie, auquel on rendait des
honneurs
héroïques, en mémoire de l’amitié dont Hercule le
t mis entre les mains des esclaves. Les fêtes que l’on célébrait en l’
honneur
d’Hercule, étaient l’Antimachie, dans l’ile de Co
figues et du lait. D’autres fêtes encore, avaient été instituées en l’
honneur
de Mercure ; ainsi les Chytres se célébraient à A
s fêtes Panathénées, que le roi de l’Attique, Égée, devint jaloux des
honneurs
qu’il avait reçus, et le fit assassiner tandis qu
e, avait voulu le retenir ; alors il fut à Cumes bâtir un temple en l’
honneur
d’Apollon ; mais aucun prince, dans la crainte d’
e Larisse, pour assister à des fêtes funèbres que l’on célébrait en l’
honneur
de la mort de ce prince. Persée veut prendre part
prétention ; il en fut de même lorsqu’il voulut disputer à Minerve l’
honneur
de donner son nom à la ville d’Athènes : cet honn
uter à Minerve l’honneur de donner son nom à la ville d’Athènes : cet
honneur
était promis à celui qui ferait à cette ville le
son empire, au milieu de nymphes et de Néréides qui se disputaient l’
honneur
de lui plaire, éprouvait intérieurement l’ennui d
uveau lustre par Romulus ; elles avaient lieu au mois de juillet en l’
honneur
de Consus ou le Conseil, Dieu qui fut long-temps
elles se célébraient à Géreste, et les Hippocraties en Arcadie, en l’
honneur
de Neptune-Hippios ; mais les jeux isthmiques éta
e des célébrans ; les Protrygées de Bacchus se célébraient aussi en l’
honneur
de Neptune ; les Samiques de l’Elide précédaient
finissait par immoler aux Dieux ; les Thynnies étaient célébrées en l’
honneur
de Neptune, par les pêcheurs qui lui sacrifiaient
le trouva mort. Les guerriers témoins de son malheur établissent en l’
honneur
de cet infortuné les jeux Néméens et changent son
méens et changent son nom en celui d’Archémore. Après avoir rendu les
honneurs
funèbres à cette jeune victime ils continuent leu
idie d’Étéocle, qui les avait envoyés exprès pour l’assassiner, eut l’
honneur
d’attaquer Thèbes par la porte Prétide, se battit
el, et tous deux expirèrent en même temps ; mais Étéocle eut seul les
honneurs
de la sépulture, comme ayant combattu pour la déf
yone les jeux pythiques, qu’il célébra sur les bords de l’Asope, en l’
honneur
de ses compagnons morts sous les murs de Thèbes,
remplie des vents contraires à son voyage. Cet Eole devait à Junon l’
honneur
d’avoir été admis dans l’Olympe. Il épousa Cyanée
e, fils de Céléno et frère de Lycus. OEolus, fils d’Ascra, bâtit en l’
honneur
de sa mère, la ville d’Ascra en Béotie, la patrie
la mère des Dieux et instituèrent des fêtes et des jeux funèbres en l’
honneur
de Cyzique. Cependant Rhéa, pour punir les naviga
si glorieuse, enflamma tellement son âme, qu’il ne respira plus que l’
honneur
de suivre les traces d’Hercule en domptant les mo
s les flots. Alors, les premiers soins de Thésée furent de rendre les
honneurs
funèbres à ce tendre père, de remercier les Dieux
rtèrent le nom de Délies : l’une se célébrait tous les cinq ans, en l’
honneur
de Vénus, dont une statue, donnée par Ariadne à s
e à la religion, il institua plusieurs fêtes nouvelles, rétablit en l’
honneur
de Neptune les jeux Isthmiques, comme Hercule son
Diane ou Cérès, dans un sacrifice qu’il offrit à tous les dieux en l’
honneur
de cette naissance, la déesse oubliée fut irritée
régnait sur la mer, les fleuves et les rivières. On sacrifiait en son
honneur
avant d’entreprendre un voyage maritime ; et on l
r, ensuite la renvoyait à son époux, qui toujours était charmé de cet
honneur
. Considéré sous le nom de Xanthe, il protégea les
elle-ci l’accusa faussement auprès de son mari, d’avoir attenté à son
honneur
. Acaste alors dissimulant sa colère, conduisit Pé
éis, et célébra le premier, dans ces contrées, des jeux funèbres en l’
honneur
de Pélias : quoiqu’il soit plus croyable, comme l
s naissantes. A Rome, on célébrait le 13 octobre, les fontinales en l’
honneur
des Naïades et de toutes les nymphes des sources.
es Romains Portumnus. Ils le peignaient une clef à la main, et en son
honneur
, ils célébraient une fête le 17 août. Sa mère fut
tuta, à Rome, où elle avait un temple dans lequel on célébrait en son
honneur
des fêtes appelées Matrales. On lui offrait des g
ome, sous le nom de Vejou. Dans le Latium, on immolait d’abord en son
honneur
des hommes ; mais les mœurs s’étant adoucies, on
ent sacrifiés ; dans les funérailles on se coupait les cheveux en son
honneur
, et pour la rendre favorable on les jetait sur le
plaisanteries qu’il s’était permises contre ces fêtes, établies en l’
honneur
de Cotytto, ou Cotittis, déesse de la débauche, q
me pour Cérès ; les Péréphaties avaient lieu chez les Siciliens, en l’
honneur
de Péréphate, et les Théogamies se célébraient à
8 novembre. Ce fut pour célébrer ces sorties, qu’on institua en leur
honneur
, pour ces mêmes jours, trois fêtes, pendant lesqu
affaire importante ; de plus, les Romains célébraient encore en leur
honneur
, les Féralies, du 21 au 24 février. Les Athéniens
son ombre s’attacha après lui jusqu’à ce que Romulus eût établi, en l’
honneur
de sa victime, des sacrifices expiatoires, fêtes
nséquent pas s’étonner si les Grecs et les Romains rendaient un grand
honneur
aux parques qu’ils invoquaient habituellement apr
ux pieds de ses statues, un souper, que les pauvres mangeaient en son
honneur
. A Rome, on lui sacrifiait, pendant la nuit, des
temples étaient appelés Besychides, et les Athéniens célébraient en l’
honneur
de ces divinités les Euménédies, à la célébration
s chevaux blancs ailés. Pélops, institua à Olympie, sa capitale, en l’
honneur
de Jupiter, les jeux olympiques ; ensuite, il vai
; et, pour dernière punition, ils enterrèrent leurs corps sans aucun
honneur
, hors de l’enceinte de la ville. Cependant, son p
eut pour fils Damasias. On connaît encore à Oreste. Partout on eut l’
honneur
de conserver de ses restes : ainsi, l’on voyait à
il s’arrêta dans l’île de Ténédos, ensuite à Sunium, pour rendre les
honneurs
funèbres à Phrontis, son pilote. A peine avait-il
raîne trois fois autour des remparts de la ville. Il rend ensuite les
honneurs
funèbres aux mânes de Patrocle, son ami, puis il
ole de sa main douze captifs sur son bûcher, et célèbre des jeux en l’
honneur
du brave ami qu’il regrette. La nuit suivante, Pr
peuples honorèrent Achille comme un héros, et lui rendirent même des
honneurs
divins ; les Lacédémoniens lui avaient élevé un t
stibule du temple de Delphes, où l’on célébrait des sacrifices en son
honneur
. Quant aux deux amis d’Achille, voici ce que l’on
les restes inanimés de ce héros, et revinrent au camp lui rendre les
honneurs
funèbres. Phénix, fils d’Amyntor, roi Dolope, su
les bras d’Hercule. Salamine lui éleva un temple, et institua en son
honneur
des fêtes annuelles appelées Eantées, ou Ajaxties
is il fut blessé par Pâris aux jeux funèbres donnés par Achille, en l’
honneur
de Patrocle ; il emporta le prix de la course ave
s, fils de Mars et roi d’une portion de l’Italie, qui sacrifiait en l’
honneur
de son père tous les naufragés, mais il s’en écha
de son père qui l’accueillit avec distinction, donna des jeux en son
honneur
, et lui fournit les moyens de retourner auprès de
omède ; Amphius, fils de Pélasgue, fut tué par Ajax ; Amphotère eut l’
honneur
de tuer Patrocle ; Amycus, époux de Théano, sœur
leur rendre les derniers devoirs. A Thèbes, on institua une fête en l’
honneur
de ce héros. Hector laissa de son mariage avec An
Enée lui fit élever un tombeau et y célébra des jeux funèbres en son
honneur
. Anchise avait épousé légitimement Eryopis ou Hip
ile, où il retrouve encore Aceste. Là, il fait célébrer des jeux en l’
honneur
de son père, qui y était enterré. Il vainquit Clo
t lui passe son épée au travers du corps. Enée, après avoir rendu les
honneurs
funèbres aux Troyens morts sur le champ de batail
s et tué par Gyas. Après la mort de Turnus, Enée bâtit une ville en l’
honneur
de Lavigie, son épouse, fille de Latinus, lui don
laquelle on sacrifiait à la mort d’un parent. Homonée ou la Concorde.
Honneur
, Dieu romain allégorique, auquel Marcellus fit bâ
ement dit, peut-être, celui du courage. On donnait pour attributs à l’
Honneur
une couronne de laurier, une corne d’abondance, e
ons. Revérentia, déesse allégorique et romaine du respect, fille de l’
honneur
et de la majesté. Ros ou Drosos, dieu de la rosée
ia, déesse romaine des essences. Vacuna, déesse latine du repos, en l’
honneur
de laquelle on fêtait les Vacunales autour des fo
ation. Vitula, déesse romaine des réjouissances ; on célébrait en son
honneur
, le 8 juillet, une fête appelée Vitulation, dans
che autel. On faisait, tous les ans, une procession solennelle en son
honneur
, dans laquelle on portait avec beaucoup de pompe
oix ansée, ou clef du Nil. Séra pis, en effet, reçut les plus grands
honneurs
, principalement à Memphis, et surtout à Alexandri
elle ensevelit cet époux à Philes, où elle institue des fêtes en son
honneur
, et donne à son tombeau la forme d’un bœuf. Isis,
lui avaient spécialement consacré le pêcher. On avait institué en son
honneur
une procession, dans laquelle on portait son effi
les processions de ces deux divinités ; on élevait des chiens en son
honneur
et même on lui en sacrifiait. On le représente av
et ses statues sont sur les tombeaux. Les temples qu’on élève en son
honneur
sont toujours sur les routes. C’est pendant la nu
mokisso ne s’éloigne, chaque personne doit faire des sacrifices en l’
honneur
de son mokisso. On les représente presque toujour
goia-Chilvani, roi d’Angola, qui se fit rendre même de son vivant les
honneurs
divins. Les Singhiles, qui toujours ont conservé
et de la terre, et comme souverainement bon. Ils ne lui rendent aucun
honneur
, parce qu’ils sont convaincus qu’il ne peut leur
, où il avait un temple magnifique ; les cérémonies instituées en son
honneur
se célébraient par des jeux et des courses de cha
me de la faiblesse du soleil, en hiver. On élevait des bûchers en son
honneur
, et souvent des victimes humaines lui étaient imm
ses qu’il avait faites, on lui éleva des autels, et on établit en son
honneur
des fêtes annuelles. Thammouz, dieu-prophète des
Assyriens, en voyant ce deuil des dieux, instituèrent des fêtes en l’
honneur
du dieu-prophète. Emoun est l’Esculape phénicien
surtout chez les Ammonites, qui sacrifiaient des enfans vivans en son
honneur
, et lui en donnaient aussi à dévorer, lorsque que
ieu aux cinq têtes, s’irrite de voir qu’on veut partager avec lui cet
honneur
, et il abat cette tête ambitieuse. Dès-lors Brahm
on célèbre avec beaucoup de pompe à Odéi les fêtes instituées en son
honneur
. Ses adorateurs portent de petites statues de cet
dent dans des barques, et vont aux diverses chapelles, élevées en son
honneur
pour implorer ses faveurs. Mrithyou porte aussi
ituées ordinairement sur les rochers, et y brûlent de l’encens en son
honneur
et croient par ce moyen être à l’abri de tout acc
faire sur la terre, bâtit un temple sur la rive de l’Hanoumanou, en l’
honneur
de Siva, et remonta avec sa chaste épouse dans le
ras. Son culte est lié à celui de Vichnou, et tous deux reçoivent les
honneurs
en commun ; on leur offre du riz et du lait. On l
par ses deux mains. On célèbre tous les ans deux grandes fêtes en son
honneur
. Quant à Satiabhama, elle était fille de Satiadji
aissance lui dédier une statue d’or, qu’il avait fait exécuter en son
honneur
, il fut donc chercher Maga, l’enleva sur l’aigle
; vient ensuite le 14 de Margasircha, ou novembre-décembre, fête en l’
honneur
de Bhavani-Gauri, pendant laquelle on mange force
n en se coupant la tête et en la jetant dans le brasier allumé en son
honneur
, une force décuple à celle qu’il avait auparavant
blent pas différer de celles qui se célèbrent dans l’Hindoustan, en l’
honneur
des dieux que nous connaissons. Nous avons dit qu
jours au milieu d’un nuage d’encens, que le peuple fait brûler en son
honneur
sur sa route. Garedu, ou Gardichabouhn, oiseau c
de famille. Manipa est un dieu des Tangutains, qui célèbrent en son
honneur
une fête annuelle, pendant laquelle les jeunes ge
. Les Chinois de la plage où il débarqua instituèrent une fête en son
honneur
, fête qui se célèbre encore tous les ans à la Chi
yant plus tard mieux apprécié le mérite de Phélo, instituèrent en son
honneur
une fête dans laquelle ils montent sur des barque
tous les temples lui sont-ils consacrés, ou au moins elle partage cet
honneur
avec les autres divinités. Ses adorateurs lui fon
es ans, le seizième jour du neuvième mois, une fête solennelle en son
honneur
, dans tous les endroits de l’empire ; et en outre
, suivant les Sintoïstes qui célèbrent, tous les ans, une fête en son
honneur
, le vingt-cinq du huitième mois. On l’invoque sur
en. Elle préside à la richesse et à la population ; on célèbre en son
honneur
, le troisième mois de l’année, la deuxième des ci
chutes et des mauvaises rencontres. Les Sintoïstes ont établi, en son
honneur
, une fête annuelle qui se célèbre avec beaucoup d
maisons. Maristin, dieu de la guerre. Les Japonais célèbrent en son
honneur
une fête au mois d’avril ; dans cette fête, ils s
adorateurs lui rendent plus spécialement hommage, et récitent en son
honneur
de longues et nombreuses prières ; aussi se regar
iva porté sur un cheval blanc. Aussi, la pagode qui fut élevée en son
honneur
immédiatement après son arrivée, s’appelle-t-elle
sophie et de la religion. En mourant, il ordonna qu’on lui rendît les
honneurs
divins, et dit de quelle manière on devait le rév
’arbre-homme, et les répand sur la terre. Dans les processions en son
honneur
, on prend des branches du vieil arbre que l’on su
r monture. Les Gahanbars furent d’abord les six fêtes instituées en l’
honneur
de la création et de la lutte entre Ormuzd et Ahr
é avec laquelle les Slaves se livraient aux jeux et aux festins, en l’
honneur
du renouvellement de l’année. Kiié vivait avec s
ui consacrait la tête d’un homme mort, et l’on brûlait du suif en son
honneur
. Potrimp était le dieu de la terre et de tout ce
ion chez les Pruczes. Au commencement de l’année, on célébrait en son
honneur
une fête dans laquelle le prêtre remplissait de b
tait dieu du mal à la Floride. Quand on célébrait quelque fête en son
honneur
, les mères déchiraient cruellement leurs filles e
be, et le dieu du feu : aussi célébrait-on trois grandes fêtes en son
honneur
. Centéocl était une véritable Cérès Mexicaine, f
lle, symbole de l’attention. La principale des fêtes celébrées en son
honneur
avait lieu le 19 mai. Ilamateuchtli était la dée
ent-ils dès qu’ils voient les éclairs. La principale cérémonie en son
honneur
était précédée de trois jours de jeûnes, de gémis
ict de Mona dans l’île de Tongatabou. Chaque année, on célèbre en son
honneur
une fête le jour des semailles, et une autre à l’
que famille a un Nitoé, quelle invoque en allumant des cierges en son
honneur
, et au son d’un petit tambour ; puis on lui sert
Homonée, 379, 381, 383. Homorios, 21. Homoth, 392, 393. Hongin, 474.
Honneur
, 202, 381. Honouet, 465. Hop'opheros, 157. Hoplop
lui était consacré. 6. Les Romains instituèrent aussi des fêtes en l’
honneur
de Saturne. Ces fêtes, appelées Saturnales, avaie
ous ces symboles ? 3. Comment s’appelaient les fêtes célébrées en son
honneur
? Quelles étaient celles qu’on célébrait à Rome ?
-nous bien le cœur et les mains assez pures Pour présider ici sur les
honneurs
divins, Et prêtres vous offrir les vœux des pèler
ut-elle honorée sur la terre ? Quelles sont les fêtes établies en son
honneur
? Qu’étaient ses mystères ? Qu’offrait-on à Cérès
ssance d’Alexandre. On célébrait dans la Grèce beaucoup de fêtes en l’
honneur
de cette déesse : on les appelait Artémisies, par
emples ? Comment se nommaient les fêtes établies par les Grecs en son
honneur
? Chapitre IX. Mercure. 1. Mercure était f
était aussi le dieu des voleurs. Dès son enfance il avait mérité cet
honneur
, en déployant dans cet art funeste une étonnante
est-il pas aussi le dieu des voleurs ? Qu’est-ce qui lui a mérité cet
honneur
? Quel sens peut-on donner aux fictions imaginées
ent qu’elles se prêtaient tour à tour. 2. Minerve disputa à Neptune l’
honneur
de donner un nom à la cité nouvelle que Cécrops v
est-ce que Méduse et les Gorgones ? 2. A qui Minerve disputa-t-elle l’
honneur
de donner un nom à la cité de Cécrops ? De quelle
s célèbre de Minerve ? Quelles fêtes les Athéniens célébraient en son
honneur
? Comment ces fêtes se passaient-elles à Rome ? 5
ur dignité. En même temps ils couraient et chantaient des hymnes en l’
honneur
de leur dieu. 6. On représente Mars sous la figur
nt des ateliers de ce dieu industrieux. 3. Les fêtes célébrées en son
honneur
portaient le nom de Lampadophories ou porte-flamb
ses exploits et ses travaux ? 3. Quelles fêtes se célébraient on son
honneur
? Dans quels lieux lui bâtit-on les temples les p
ns la Grèce et Italie. On célébrait même des fêtes et des jeux en son
honneur
. Les plus célèbres étaient les jeux Isthmiques qu
musique, la poésie et le pugilat. Thésée avait institué ces jeux en l’
honneur
de Neptune. Le cheval était spécialement consacré
e tous ces dieux ? Quels étaient les plus grands jeux célébrés en son
honneur
? Que faisait-on dans ces jeux ? Qui les institua
l n’admettait sur sa barque que les âmes de ceux qui avaient reçu les
honneurs
funèbres et qui pouvaient payer passage. Les autr
ent de Rhadamanthe. Les vertus de ces trois princes leur méritèrent l’
honneur
d’être placés par les poëtes comme juges aux enfe
nnaissaient encore d’autres divinités qui ne recevaient pas les mêmes
honneurs
, mais qui néanmoins exerçaient une profonde influ
hamps aussi bien que dans les temples. Numa institua des fêtes en son
honneur
appelées Terminales, et lui éleva un temple sur l
tait-il spécialement répandu ? Quelle fête se célébrait à Rome en son
honneur
? Comment se nommaient ses prêtres ? 3. Quelles v
ales quand ils présidaient aux carrefours. Les fêtes établies en leur
honneur
prenaient aussi ce dernier nom parce qu’elles éta
ls étaient leurs différents noms ? Quelles fêtes célébrait-on en leur
honneur
? Qu’étaient les Pénates ? Parmi quelles divinité
ellus lui en bâtirent un second et le placèrent si près de celui de l’
Honneur
qu’on ne pouvait pénétrer dans le second sans pas
lées ? 4. Qu’était la Victoire ? Que disait-on de son origine ? Quels
honneurs
lui rendirent les Romains ? Que lui offrait-on en
ent les voyageurs et attentaient tout à la fois à leurs biens, à leur
honneur
et à leur vie. Les contrées inhabitées virent aus
rre de Troie est tout à la fois une défense du droit des gens et de l’
honneur
national. Questionnaire. 1. Quelles furent l
r les restes inanimés de son fils chéri pour leur rendre les derniers
honneurs
. 7. Jason, délivré des attaques d’Eétès, n’en fut
à Hercule un vêtement empoisonné ? Comment mourut ce héros ? 8. Quels
honneurs
lui rendit-on après sa mort ? Où était le plus cé
ccorda les plus grands privilèges, renouvela les jeux Isthmiques en l’
honneur
de Neptune, et établit plusieurs fêtes religieuse
on de son hôte et le jeta à la mer. Les Athéniens rendirent de grands
honneurs
à ses cendres. Cimon les fit transporter à Athène
lui donner la mort. Iobatès se mit d’abord à célébrer des fêles en l’
honneur
de l’hôte qui venait le visiter. Il y avait déjà
a-t-il involontairement la mort ? Quelle fut la fin de Persée ? Quels
honneurs
lui rendirent les habitants de Mycènes et d’Argos
Qu’est-ce que la Chimère ? Qui aida Bellérophon à la dompter ? Quels
honneurs
ont rendus les poëtes à ce héros ? Ses aventures
tes ses aventures. 3. Quel souvenir gardèrent de lui les Grecs ? Quel
honneur
lui fit Apollon ? Comment est-il représenté ? 4.
ste, s’empara du souverain pouvoir et défendit de rendre les derniers
honneurs
à Polynice, parce qu’il était mort en combattant
ble au camp des Grecs. 4. Avant le départ, Agamemnon paya bien cher l’
honneur
de commander à toute la Grèce. La flotte était à
n. 8. Après cette atroce vengeance, le fils de Thétis vint rendre les
honneurs
funèbres aux mânes de Patrocle. Il lui éleva un g
velle tempête le jeta en Sicile, où il célébra des jeux funèbres en l’
honneur
d’Anchise. Là il consulta la sibylle, et pénétra
guisé en mendiant, se mêla à la foule des prétendants. Il sollicita l’
honneur
d’entrer en lice, et sa flèche alla tomber au del
tor ? Comment traita-t-il son noble rival après sa défaite ? 8. Quels
honneurs
funèbres rendit-il à Patrocle ? Quelle fut son en
, néméens, isthmiques et olympiques. Les jeux pythiques, établis en l’
honneur
de la victoire d’Apollon sur le serpent Python, t
ompit ces jeux jusqu’au temps de Pélops, qui les fit représenter en l’
honneur
de Jupiter, ils furent encore négligés après lui
uerriers, les littérateurs et tous les grands hommes ambitionnèrent l’
honneur
d’y être reçus. Ces mystères se célébraient tous
aussi les pierres, les plantes, et célèbrent une fête solennelle en l’
honneur
d’une herbe très-commune qu’ils appellent darba.
fautes, font des prières contre Ahrimann, et célèbrent des fêtes en l’
honneur
d’Ormuzd. Ils s’attendent à être jugés après leur
it le plus célèbre. On lui avait bâti des temples. On lui rendait des
honneurs
extraordinaires pendant sa vie et de plus grands
à plus de cinquante mille écus. Après qu’on avait rendu les derniers
honneurs
au mort, il s’agissait de lui trouver un successe
bardes n’avaient chanté son hymne funèbre. Les ombres privées de cet
honneur
erraient dans les brouillards du lac Légo, et on
ient mis à côté d’Odin et de Fréa. Ces trois dieux se partagèrent les
honneurs
suprêmes ; mais les Danois donnèrent la préférenc
ploi que de prévenir tous les désirs de ces héros morts au champ de l’
honneur
. Leur enfer s’appelait Niflheim. Tous ceux qui n’
’Iliade et de l’Odyssée, 26, 86, 150. Homme, énigme du Sphinx, 138.
Honneur
, son temple, 89. Horus, fils d’Osiris, 180. Hos
59. Pythien, surnom d’Apollon, 32. Pythiens et Pythiques, jeux en l’
honneur
d’Apollon, 32, 155. Pythonisse, prêtresse d’Apol
en le représentant avec deux visages. On lui rendit après sa mort les
honneurs
divins, et Numa Pompilius, deuxième roi de Rome,
re du séjour de Saturne dans le Latium, les Romains établirent en son
honneur
les fêtes appelées Saturnales. Elles se célébraie
ses bienfaits envers le pays, sa reconnaissance envers Janus ? Quels
honneurs
furent rendus à Janus après sa mort ? Quelle rema
ion, elles jouissaient de priviléges considérables et des plus grands
honneurs
. Mais si elles violaient leur vœu, on leur inflig
l’Attique. Le conseil des dieux, choisi pour arbitre, décida que cet
honneur
appartiendrait à celui des deux concurrents qui f
tait d’or et d’ivoire. Des fêtes magnifiques furent instituées en son
honneur
, sous le nom de grandes et de petites Panathénées
arsyas ? 32. Quel différend Minerve eut-elle avec Neptune ? 33. Quels
honneurs
Athènes reconnaissante rendit-elle à la déesse ?
nom de Pythien, et des jeux appelés Pythiques furent institués en son
honneur
. Ils se célébraient à Delphes tous les quatre ans
emier soin ? Quel surnom prit-il ? Quels jeux furent institués en son
honneur
? Quelle double explication donne-t-on de leur or
Taurique (aujourd’hui la Crimée), un temple où étaient égorgés en son
honneur
tous les étrangers qui faisaient naufrage sur les
e laquelle il tourne éternellement le perfide Ixion26, qui, admis aux
honneurs
de l’Olympe, avait osé outrager la reine des dieu
Saliens, du mot latin salire, danser), et en chantant des hymnes er l’
honneur
de Mars. Cette fête commençait le 15 mars, et dur
éjour privilégié de cette déesse. C’est là qu’elle recevait le plus d’
honneurs
. Parmi ses fêtes, les unes s’appelaient thesmopho
ussi faire cesser, dans son royaume, les orgies qui s’y tenaient en l’
honneur
de Bacchus, ce malheureux prince en fut puni ; il
n. 64. Culte et images de Vulcain. On célébrait à Athènes, en l’
honneur
de Vulcain, des fêtes appelées lampadodromies : c
ient un culte particulier. Dans les temps calmes, on immolait en leur
honneur
des agneaux ou des porcs, et un taureau noir dans
mphitrite. On a vu (n° 31) que Neptune disputa en vain à Minerve l’
honneur
de donner son nom à la capitale de la Cécropie, q
sance, dans la Grèce et dans l’Italie. Les Grecs renouvelèrent en son
honneur
les Jeux Isthmiques, qui se célébraient à l’isthm
répandit son culte ? Quels jeux furent institués par les Grecs en son
honneur
? Comment s’appelaient ses fêtes à Rome ? A qui e
n celui de Palémon, il en fit une divinité marine, et institua en son
honneur
les jeux Isthmiques. Les Romains appelèrent le mê
? 78. Faites connaître Mélicerte, son histoire, sa métamorphose, les
honneurs
qu’il reçut chez les Grecs et les Romains. Qu’éta
en Grèce ni temples ni autels, et on ne composa point d’hymnes en son
honneur
. En Italie, on lui sacrifia d’abord des hommes, p
es bords du fleuve, avec celles dont les corps avaient été privés des
honneurs
de la sépulture. Aussi avait-on soin de mettre da
de la Terre, dont le corps couvrait neuf arpents, voulut attenter à l’
honneur
de Latone. Apollon et Diane le tuèrent à coups de
le de Florian, intitulée la Fable et la Vérité. 94. La Vertu. — ‘L’
Honneur
. La Vertu, fille de la Vérité, occupe avec ell
s un coeur qui te perd laissent de longs regrets ! ( Racine fils.) L’
Honneur
est figuré par un homme tenant une pique de la ma
’olivier, symbole de la paix. Les Romains avaient élevé un temple à l’
Honneur
; ils l’avaient construit auprès du temple de la
r à l’autre ; idée ingénieuse qui faisait comprendre que le véritable
honneur
ne s’acquiert que par la pratique de la vertu.
n héros pour avoir mis aux chaînes Un peuple ou deux ? Tibère eut cet
honneur
. Est-on héros en signalant ses haines Par la veng
e Larisse, en Thessalie, se prépare à célébrer des jeux funèbres en l’
honneur
de son père. Il s’y rend pour disputer le prix ;
e Mycènes, dont il fit sa capitale. On lui rendit, après sa mort, les
honneurs
divins. Il eut un temple à Athènes, et on lui éle
Comment Persée devint-il le meurtrier involontaire d’Acrisius ? Quels
honneurs
furent rendus à Persée après sa mort ? Chapit
Terre, roi d’Irasa. Ce monstre avait fait vœu d’élever un temple en l’
honneur
de son père avec des crânes humains. Hercule le t
stes, rapportés à Athènes, furent déposés dans un temple élevé en son
honneur
, et les Athéniens ne cessèrent de le révérer comm
s en furent les suites funestes ? Quelle fut la fin de Thésée ? Quels
honneurs
rendit-on à sa mémoire ? Chapitre XXVII. Expé
utre s’en détacha et lui brisa la tête. Jason reçut après sa mort les
honneurs
réservés aux héros. En dépouillant ce récit de to
deux coursiers : Il fallut disputer dans cet étroit passage Des vains
honneurs
du pas le frivole avantage. J’étais jeune et supe
t une tradition différente de la première, il fit rendre les derniers
honneurs
à Etéocle, qui avait courageusement défendu sa pa
rère de Ménélas, est nommé généralissime, mais il faut qu’il paie cet
honneur
au prix du sang de sa fille, Iphigénie, qu’il est
élever des tombeaux et des temples. Isis partagea, après sa mort, les
honneurs
rendus à Osiris. Cependant Orus, leur fils, voula
Mais le bœuf était de la part des Egyptiens l’objet des plus grands
honneurs
et du culte le plus solennel. Ils croyaient qu’ap
elait Apis. La fête solennelle que l’on célébrait chaque année en son
honneur
durait sept jours, pendant lesquels les prêtres l
siècle. Dans les fêtes appelées mithriaques, qui se célébraient en l’
honneur
de ce dieu, on immolait, dit-on, des victimes hum
le sentiment le plus doux, le plus pur et le plus fort, fait autant d’
honneur
à son génie qu’à son âme tendre et aimante. 45.
milieu des maux qui l’accablaient, porta sa folie jusqu’à rendre des
honneurs
divins à ceux de ses semblables qui se faisaient
ffrit des sacrifices à Jupiter dans un temple qu’il fit élever en son
honneur
. Ce temple subsistait encore au temps de Pisistra
ffrait des sacrifices aux divinités, on faisait des libations en leur
honneur
, et l’on se bornait pour les héros à célébrer leu
avec les dieux à punir l’impiété. Les héroïnes jouissaient des mêmes
honneurs
que les héros ; leurs tombeaux n’avaient aucune d
it de rendre des devoirs à ses ancêtres, et même de leur accorder des
honneurs
, mais souvent leur célébrité ne s’étendait pas au
r leur rendre un hommage encore plus solennel, on établissait en leur
honneur
des mystères, des cérémonies, et des colléges de
la Grèce et l’Italie avaient accordé un culte religieux ou de grands
honneurs
; mais nous aurons soin de faire connaître les pl
ce. L’histoire nous apprend que Minos institua des jeux funèbres en l’
honneur
de son fils Androgée. Les Athéniens prisonniers d
servirent à le faire peindre de la manière que nous venons de dire. L’
honneur
de délivrer les Athéniens de ce tribut honteux ét
œu solennel d’envoyer tous les ans à Delphes offrir un sacrifice en l’
honneur
d’Apollon, et l’oracle qu’il consulta lui répondi
prudent accepta la proposition. Cocalus le reçut avec les plus grands
honneurs
, mais ces honneurs cachaient un piége horrible :
proposition. Cocalus le reçut avec les plus grands honneurs, mais ces
honneurs
cachaient un piége horrible : il le pria d’entrer
ieu dans Trézène. Diomède lui fit élever un temple, et lui rendit les
honneurs
divins. Les Trézéniens assurèrent qu’il n’était p
s intérêts et tous les esprits. Il renouvela les jeux Isthmiques en l’
honneur
de Neptune ; il donna tous ses soins à la religio
a ses actions et sa grande piété envers les dieux ; on lui rendit les
honneurs
accordés aux héros ; on lui bâtit même des temple
bitans de Cadix firent élever, à quelque distance de leur ville, en l’
honneur
d’Hercule ; les caractères phéniciens que l’on tr
peste recommença, et pour la faire cesser, on établit des jeux en son
honneur
. Les Héraclides mirent à la voile, et parvinrent
qui s’embarquèrent pour cette expédition. On voulut d’abord déférer l’
honneur
du commandement à Hercule ; mais il désigna lui-m
s de voyage à célébrer, avant leur séparation, des jeux funèbres en l’
honneur
de son père, Jason et Médée y assistèrent. Ce fai
temps après. Pausanias rapporte qu’ils offrirent des sacrifices en l’
honneur
des enfans de Médée, et leur consacrèrent une sta
u, et qu’après sa mort, Médus, son fils, bâtit la ville de Médée en l’
honneur
de sa mère, et transmit son nom aux Mèdes. Mais t
armi les divinités favorables aux nautoniers. On crut leur devoir cet
honneur
, parce que, pendant la tempête qui menaça le navi
théniens, charmés de cette modération, instituèrent des fêtes en leur
honneur
, sous le nom d’Anacées, qui vient de roi. Bientôt
: cependant la religion les avait adoptées, et n’avait point fait cet
honneur
aux poésies d’ Homère. Il ne reste aucun des ouvr
pte en possédait d’autres plus anciens ; mais ils étaient érigés en l’
honneur
des dieux ; Hérodote cite, entre autres, celui d
recs. Elle fit construire au pied d’un chêne une petite chapelle en l’
honneur
de Jupiter, dont elle avait été prêtresse à Thèbe
lles et de dames accompagnait ces prêtres, et chantait des hymnes à l’
honneur
de Jupiter. Le navire était orné d’un grand nombr
agédies, comédies et satires, qu’on représentait sur le théâtre, en l’
honneur
de Bacchus, de Vénus et d’Apollon. Les jeux de la
acré, nommé l’Altis, dans lequel on trouvait les statues érigées en l’
honneur
de ceux qui avaient remporté les prix dans ces je
thmiques, les pythiques et les néméens. Le comble de la gloire et des
honneurs
était d’être chanté par Pindare. Son génie, dit
, qu’il y a joui d’une grande autorité, et qu’on lui a même rendu les
honneurs
divins. Tous ces faits ne peuvent être contestés
historiens de ces temps (c’est-à-dire les poëtes) accordaient le même
honneur
à ceux dont ils chantaient les louanges, et multi
llantes conquêtes, comme un être extraordinaire, lui rendit de grands
honneurs
, et l’adora même comme une divinité. Cette opinio
es autres dieux, à un festin éternel, où il recevrait, avec de grands
honneurs
, ceux qui, après s’être intrépidement exposés dan
pales. L’Edda compte douze dieux et douze déesses, qui recevaient les
honneurs
divins, mais dont le pouvoir était subordonné à c
, la plus solennelle de toutes, se nommait Juul, et se célébrait en l’
honneur
de Thor ou du Soleil, pour en obtenir une année f
lus dissolue étaient autorisées. La seconde fête était instituée en l’
honneur
de la Terre on de la déesse Frigga. On demandait
s le croissant de la seconde lune de l’année. La troisième fête, en l’
honneur
d’Odin, se célébrait avec beaucoup d’éclat, à l’e
angers accouraient en foule. On n’en fermait l’accès qu’à ceux dont l’
honneur
avait souffert quelque tache, et surtout à ceux q
oix. Les malheureux que désignait le sort étaient traités avec tant d’
honneurs
par l’assemblée, on leur prodiguait tellement des
on avait sacrifiés : on les enlevait quelquefois pour les brûler en l’
honneur
de Thor, ou le soleil ; et l’on ne doutait pas qu
principaux seigneurs portaient les premiers des santés ou saluts en l’
honneur
des dieux ; chacun buvait ensuite en faisant sa p
endaient à l’eau un culte religieux ; les Gaulois rendaient les mêmes
honneurs
à cet élément. Ces ressemblances suffisent pour f
nterrés sans cérémonie, sans éloges, sans les chansons composées en l’
honneur
des morts. On croyait que les guerriers se surviv
ou être enfermés dans des paniers d’osier, pour être brûlés vifs en l’
honneur
des dieux. 12°. Il ne faut pas permettre le comme
s lors, et qui lui fut consacré. Les Phrygiens avaient institué, en l’
honneur
de Cybèle, des Jeux publics appelés Mégalésiens,
aintes, étaient déposées entre leurs mains. Elles avaient une place d’
honneur
au cirque ; elles étaient nourries et entretenues
miques, à Corinthe, et les Consuales, à Rome, furent institués en son
honneur
. On lui immolait le cheval et le taureau. Les aru
ux, des chiens et du miel. Tous les mois on célébrait à Athènes, en l’
honneur
d’Hécate, des fêtes nommées Hécatésies, durant le
culte de Cérès à Éleusis, ville d’Attique, et institua des fêtes à l’
honneur
de cette bienfaisante divinité. Pour être initié
bâtir en Attique : Neptune y aspirait aussi. Les dieux promirent cet
honneur
à celui des deux prétendants qui produirait la ch
ples ; on le mit au rang des dieux, et l’on institua des fêtes en son
honneur
sous le nom d’Adonies ; elles duraient huit jours
er le dédommagea des disgrâces de l’amour, en le nommant dieu du feu,
honneur
auquel il avait d’autant plus de droit que chaque
de Romulus et le protecteur de l’empire. Numa Pompilius institua en l’
honneur
de Mars un collége de douze prêtres, nommés Salie
surtout de Delphes. Les habitants de l’île de Rhodes élevèrent à son
honneur
une statue colossale de bronze, qui passait pour
nteste ma naissance, s’écrie-t-il d’un ton pénétré ; on attaque votre
honneur
, ô ma mère ! Vengez votre fils, vengez-vous, ou d
le firent passer pour le dieu des athlètes. Mais peu satisfait de ces
honneurs
vulgaires, il essaya d’une carrière plus brillant
, inventa les poids et les mesures, et son nom ne tarda pas à être en
honneur
chez les marchands et les négociants, qui l’appel
pe. Dans l’effusion de sa gratitude, il fit bâtir en cet endroit, à l’
honneur
de Jupiter-Ammon, un temple devenu bientôt célèbr
tés ; livre mes bergeries aux flammes ; brûle mes moissons, puisque l’
honneur
d’un fils te tient si faiblement au cœur ! » Cyrè
e à Neptune, un taureau noir. Dans les libations qu’on faisait en son
honneur
, on employait par préférence du vin, de l’huile e
de violettes, de myrte et de romarin ; on brûlait des parfums en leur
honneur
, et l’on suspendait devant leurs images des lampe
mple ni de prêtres. On n’égorgeait ni quadrupèdes ni volatiles en son
honneur
; mais avant et après le repas on lui adressait q
equel Eurysthée succombe avec ses cinq fils. (Quelques écrivains font
honneur
de cette victoire à Hyllus, fils d’Hercule et de
eunesse et de force, tu peux l’entreprendre ; le devoir t’y engage, l’
honneur
t’y appelle. Je jure par Jupiter de te restituer,
ent consumés, et qu’il fût impossible à ses enfants de lui rendre les
honneurs
de la sépulture. Mais les habitants d’Iolchos fur
aissent jamais ensemble sur l’horizon. Castor et Pollux obtinrent les
honneurs
divins, et furent nommés Dioscures, c’est-à-dire
te à Jupiter, qui d’un coup de foudre tua le trop habile médecin. Des
honneurs
divins lui furent rendus après sa mort : son cult
la tête un coup mortel. Linus, pleuré de la Grèce entière, obtint les
honneurs
de l’apothéose. La ville d’Argos lui éleva, dans
s de Méléagre, jaloux de voir une femme arcadienne remporter tous les
honneurs
de la chasse, la provoquèrent, lui enlevèrent de
et leurs cadavres gisaient sur la poussière, lorsque Pélops réclama l’
honneur
de combattre. Quoique ses chevaux, choisis par Ne
sensible à la crainte de mourir qu’au désir de rendre à son frère les
honneurs
funèbres, trompa la vigilance des gardes, sortit
pa ses mains sacrilèges dans le sein de sa mère. Amphiaraüs reçut les
honneurs
divins, et il lui fut élevé, en Attique, un templ
use, et vint descendre à Cumes, en Italie, où il bâtit un temple en l’
honneur
d’Apollon. Il passa de là en Sicile, où régnait C
et vient aux appartements du roi, où il est reçu avec les plus grands
honneurs
. Mais ces honneurs cachaient un horrible piége. D
ements du roi, où il est reçu avec les plus grands honneurs. Mais ces
honneurs
cachaient un horrible piége. Dès le second jour,
ses exhortations pressantes, décida Patrocle à reparaître au champ d’
honneur
. Achille lui prêta sa cuirasse, son casque et son
ntent de cette vengeance, Achille ordonne que le corps soit privé des
honneurs
de la sépulture et devienne la proie des vautours
n des plaines de Troie), lui bâtirent un temple, et lui rendirent les
honneurs
divins. Néoptolème ou Pyrrhus, fils d’Achille et
ui servent à la traîner. Jeunes filles, jeunes garçons, chantent en l’
honneur
de Minerve des hymnes d’actions de grâces ; et le
ur le punir d’avoir soigné Hercule mourant, et de lui avoir rendu les
honneurs
de la sépulture.) § 13. Idoménée. Idoménée
onèse de Thrace, afin d’y rendre une fois encore au divin Achille des
honneurs
funèbres. L’ombre sanglante de ce héros leur appa
um, ville de Sicile soumise à Aceste. Anchise y mourut et y reçut les
honneurs
de la sépulture. En partant de Sicile, Énée fut j
gagner l’amour de ses peuples qu’ils lui rendirent après sa mort des
honneurs
divins. Ses fils, Minos, Rhadamanthe et Sarpédon,
ustice et ses vertus, qu’ils lui décernèrent, de son vivant même, les
honneurs
de l’apothéose, et lui dédièrent un temple, sur l
able, alla conjurer le maître de l’Olympe d’accorder à Memnon quelque
honneur
qui le distinguât de tous les autres mortels ; et
les uns contre les autres, et faire de leur sang une libation en son
honneur
: on appela ces oiseaux Memnonides. Mais cette di
nterdit d’effroi ; celui-ci craint moins la mort que la privation des
honneurs
funèbres ; celui-là adresse, d’un accent désespér
r les côtes du Péloponèse, où Gélanor, roi d’Argos, l’accueillit avec
honneur
. Le royaume d’Argos était déchiré par des guerres
Les habitants de Lesbos lui élevèrent des temples, lui rendirent les
honneurs
divins, et firent graver son effigie sur leur mon
etée par la vague sur les sables de la côte d’Italie et enterrée avec
honneur
. A son tombeau succéda un temple ; au temple, un
oute l’Élide, il exigea de ses sujets qu’ils lui rendissent les mêmes
honneurs
qu’aux dieux ; et il tâcha d’imiter le bruit de l
s Néméens. a) Jeux Olympiques. Les Jeux Olympiques, établis en l’
honneur
de Jupiter, se célébraient tous les cinq ans72, à
s célébrait. Thésée les institua vers l’an 1260 avant notre ère, en l’
honneur
de Neptune, et ils furent continués dès lors tous
auteurs, les Jeux isthmiques furent établis par les Corinthiens en l’
honneur
de Mélicerte, fils d’Athamas, dont le cadavre ava
s le Nil. Isis voulait avoir la consolation de rendre à son époux les
honneurs
de la sépulture : elle chercha son cadavre sur le
brillant, radieux, dont le premier soin est de rendre à son père les
honneurs
de la sépulture. Cet oiseau-merveille n’apparaiss
mausolée a été donné depuis à tous les monuments funèbres élevés en l’
honneur
d’un prince ou d’un autre personnage de distincti
ce, la concorde, la justice, la miséricorde, la sagesse, la pudeur, l’
honneur
, le courage, la vérité, la paix, la liberté, dont
la suite un objet de vénération : on lui rendit même quelquefois les
honneurs
divins, et on la nomma Abadir ou Abdir. Cybèle, v
des purifications, cérémonie que l’on pratiquait pendant ce mois en l’
honneur
des morts. Le mois de Mars s’appelait ainsi du di
et de Janus, avec les rapprochemens historiques. Janus reçut les
honneurs
divins ; mais Saturne et lui ne furent jamais au
uel les hommes n’étaient jamais admis ; et la fête des lavations en l’
honneur
de Cybèle y avait une grande célébrité. Pendant c
ales consistait à entretenir sans cesse le feu sacré qui brûlait en l’
honneur
de Vesta. (Fig. 5.) Tous les ans, aux calendes de
me l’un de ces hommes à qui des actions brillantes avaient mérité les
honneurs
divins, ne craignaient point de se contredire de
e nom de Jupiter, car il y avait en Égypte une ville consacrée en son
honneur
. D’ailleurs les noms de Cham ou Ham ont beaucoup
fable ; ils disent que Lycaon, fanatique et cruel, crut rendre plus d’
honneur
à Jupiter en lui sacrifiant un enfant ; mais que
e reste de ses jours dans la Grèce. Après sa mort, on lui accorda les
honneurs
que l’on rendait aux demi-dieux et aux héros. Que
ières découvertes qui leur étaient utiles, puisqu’ils accordaient les
honneurs
divins à leurs premiers inventeurs. L’argent suff
iter) ; on la nommait aussi la reine. Plusieurs pays se disputaient l’
honneur
de l’avoir vue naître : Samos surtout, et Argos o
n jour qu’elle devait aller avec les femmes d’Athènes, célébrer, en l’
honneur
de Cérès, sur les bords de la mer, une fête dont
énement, invoquèrent depuis Hyménéus, et célébrèrent des fêtes en son
honneur
. Pour donner de l’éclat à sa naissance inconnue,
des Sabines, Thalassius, le héros de cette aventure, reçut les mêmes
honneurs
qu’Hyménéus. Les Romains honoraient encore deux a
vertus, crut qu’il avait été enlevé par les dieux, et lui accorda les
honneurs
divins. Pour conserver son nom, on le donna à la
phus, fils de Jupiter et de la nymphe Io, lui ayant un jour disputé l’
honneur
d’être fils du Soleil, Phaéton, irrité de cette i
naissance et le grand nombre de ses enfans elle crut mériter le même
honneur
, courut à Thèbes, et fit tous ses efforts pour in
maison, dans l’espoir que le dieu épargnerait ceux qui rendaient cet
honneur
à la nymphe Daphné qu’il avait aimée, et qui avai
rties du monde par la magnificence des fêtes qu’elle célébrait en son
honneur
. Toutes les cérémonies de son culte avaient rappo
ou parce que c’était par ses ordres que les âmes des corps privés des
honneurs
de la sépulture restaient errantes autour des enf
suite ; et, pour honorer Cadmus, on rendit à son petit-fils les mêmes
honneurs
qu’au Bacchus d’Égypte. Fable de Bacchus.
nner encore plus de solennité au culte de Minerve, célébraient en son
honneur
les fêtes magnifiques nommées Athénées. Elles ava
mmés Rapsodes allaient chanter les vers d’ Homère. La fable dit que l’
honneur
de donner un nom à la ville d’Athènes, qui d’abor
un temple à la Victoire, et le dictateur Sylla établit des jeux en l’
honneur
de cette déesse. Sur les marbres et les médailles
thonte, dans l’île de Chypre et à Biblos ; il institua des fêtes en l’
honneur
de Vénus, que l’on nomma orgies ; et, pour veille
garder comme leur père. Cependant les Lacédémoniens lui disputaient l’
honneur
de leur avoir rendu le premier hommage, et l’attr
s. Dans toutes les saisons de l’année, on célébrait des fêtes en leur
honneur
, mais le printemps leur était principalement cons
ire aussi qu’il avait des jambes de serpent. Les fêtes célébrées en l’
honneur
de Vulcain se nommaient lampadophories, ou porte-
le caducée. Dans les sacrifices offerts à Mercure, on brûlait en son
honneur
les langues des victimes, parce qu’il était le di
t et la vie à tout ce qui respire. Les Indiens rendaient au Gange les
honneurs
divins. Cette superstition dure encore, et les pr
urent leurs dieux lares, leurs dieux pénates, et chacun d’eux eut ses
honneurs
, ses fonctions et son culte. On les considéra d’a
i fît bâtir un temple sur le mont Tarpeïen, institua des fêtes en son
honneur
, et régla son culte. Il fit représenter ce nouvea
e dieu. Les Romains célébraient, au mois de février, des fêtes en son
honneur
, que l’on nommait Lupercales, du lieu de même nom
prouvées, les juges prononçaient la sentence qui privait le mort des
honneurs
de la sépulture ; mais celui qui ne prouvait pas
ouvent ils conservaient les corps de ceux à qui l’on avait refusé les
honneurs
de la sépulture pour cause de crimes ou pour dett
ngagement étaient dévoués à l’infamie pendant leur vie, et privés des
honneurs
de la sépulture. Malgré les ténèbres épaisses de
passer ce fleuve. Caron reçoit dans sa barque celles qui ont reçu les
honneurs
de la sépulture, mais il est inflexible pour les
es ombres dans les enfers, il refusait celles qui étaient privées des
honneurs
de la sépulture. (Fig. 46.) Elles erraient sur le
e cherchait qu’à les apaiser. Jamais on ne composait d’hymnes en leur
honneur
; on ne leur élevait point des temples, et l’on n
e divinité. Marcellus voulut réunir dans un même temple la Vertu et l’
Honneur
; il consulta les pontifes : ils déclarèrent qu’u
chaient, de sorte que l’on passait du temple de la Vertu à celui de l’
Honneur
, pour apprendre aux hommes qu’ils ne pouvaient pa
, pour apprendre aux hommes qu’ils ne pouvaient parvenir au véritable
honneur
que par la pratique de la vertu. On ne sacrifiait
honneur que par la pratique de la vertu. On ne sacrifiait jamais à l’
Honneur
, sans avoir la tête découverte, et sans donner le
fut extrêmement utile. Peu de temps après sa mort, on lui rendit les
honneurs
divins. On le plaça dans le ciel ; il forme le si
et l’ayant mis dans les fondations d’un temple que l’on élevait en l’
honneur
d’Esculape, publia qu’il avait trouvé cet œuf, et
ent prendre des remèdes aux malades, et laissaient à leur dieu tout l’
honneur
de la guérison. Le serpent devint le symbole d’Es
es, sans dire que les Grecs et les Romains accordaient à l’amitié les
honneurs
divins. Les Grecs la nommaient Philia, et les Rom
rses, il était suivi de Pan, de Silène et des satyres. On dit que les
honneurs
du triomphe, le diadème et les ornements royaux f
s royaux furent inventés par lui. Bacchus exigeait impérieusement les
honneurs
divins, et punit souvent de la manière la plus sé
de donner un nom à cette ville. L’assemblée des Dieux décida que cet
honneur
appartiendrait à celui des deux rivaux qui créera
tua lorsque ces fils de la Terre voulurent escalader le ciel. On fait
honneur
à Minerve des plus ingénieuses et des plus utiles
e. Minerve eut un différend célèbre avec Neptune, qui lui disputait l’
honneur
de donner un nom à la ville que Cécrops venait de
lus tard, Triptolème fonda dans sa patrie un temple et des fêtes en l’
honneur
de la Déesse des moissons. Enfin Cérès, qui avait
e six mois avec elle, et six mois avec son époux. On avait élevé en l’
honneur
de Cérès plusieurs temples très-célèbres ; ses fê
dent, apporta le culte de ce Dieu dans le Latium. Romulus créa en son
honneur
des fêtes qui furent nommées Lupercales ; pendant
Cérès. Chaque année, à la fin d’avril, les Romains célébraient en son
honneur
des fêtes nommées Palilies ; à cette occasion on
ient frapper les familles, et on les punissait en les privant de tout
honneur
ou en brisant leurs images, lorsque leur protecti
Élide, était si orgueilleux de sa puissance, qu’il voulut usurper les
honneurs
divins ; pour se rendre, autant que possible, éga
fervents adorateurs ; on comptait à Rome quatre temples élevés en son
honneur
. Elle en avait aussi dans plusieurs autres villes
hommes célèbres à qui leurs exploits ou leurs vertus avaient acquis l’
honneur
d’être mis au rang des Dieux. On doit regarder le
voir donné sa fille en mariage, le retint dans ses États, le combla d’
honneurs
, et le désigna pour lui succéder au trône. Ques
toujours au moment où l’autre se lève. Castor et Pollux obtinrent les
honneurs
divins, et on les regardait comme des divinités f
eines de sagesse, et leur enseigna des arts utiles. On lui attribue l’
honneur
d’avoir le premier fait connaître à la Grèce les
nt un tombeau sur le promontoire de Sigée. On célébra des jeux en son
honneur
, et il fut rangé au nombre des Demi-Dieux. Que
s certains pour le fils de Priam. Reconnu par sa famille et admis aux
honneurs
dus à sa naissance, il fut envoyé en Grèce pour r
forêt de Dodone, où elle éleva au pied d’un chêne un petit autel en l’
honneur
de Jupiter. Pendant longtemps les gens du pays ne
rcule, après avoir défait Augias, roi d’Élide, institua ces jeux en l’
honneur
de Jupiter ; suivant une autre opinion, ils furen
une brèche pratiquée exprès aux murailles ; ils avaient des places d’
honneur
marquées dans toutes les réunions publiques, et l
jours. Les jeux pythiens avaient d’abord été institués à Delphes en l’
honneur
d’Apollon, après sa victoire sur le serpent Pytho
sa vigueur une couronne d’or. Les jeux néméens furent institués en l’
honneur
d’Hercule, qui avait débarrassé l’Achaïe du lion
e la Grèce. On croit généralement qu’ils furent créés par Thésée en l’
honneur
de Neptune ; on les célébrait tous les trois ans
e colosse de Rhodes 93 était une immense statue de bronze élevée en l’
honneur
d’Apollon par le sculpteur Charès. Les pieds de c
ôtes d’Italie et prit terre à Cumes, où il construisit un temple en l’
honneur
d’Apollon. De là il se rendit en Sicile, où il te
eu de Jupiter, délivra l’illustre victime, qui reçut sur la terre les
honneurs
divins. Origine de la femme. Jupiter n’essa
e était réglée par la prudence. Les Romains rendirent à ce prince les
honneurs
divins ; ils le représentèrent avec deux visages
d’Auguste. Culte de Saturne. On institua à Rome des fêtes en l’
honneur
de Saturne, et, de son nom, on les appela Saturna
différents endroits de la Grèce, et notamment à Délos, des fêtes en l’
honneur
de Diane ; on les nommait Artémisies, d’Artémis,
e de Diane, et quels sont les temples les plus célèbres élevés en son
honneur
? — Comment nommait-on les fêtes que la Grèce cél
onneur ? — Comment nommait-on les fêtes que la Grèce célébrait en son
honneur
? — Comment la représente-t-on ? — N’a-t-elle pas
de Cupidon ; elle fut en rivalité avec Neptune, dieu des mers, pour l’
honneur
de donner un nom à la ville que Cécrops venait de
nctuaire de la déesse une statue en or et en ivoire. On institua en l’
honneur
de Minerve des fêtes magnifiques, sous le nom de
consacrèrent à Minerve ? — Rome ne célébrait-elle pas des fêtes en l’
honneur
de Minerve ? — Comment représente-t-on Minerve ?
tant les douze boucliers. Ils dansaient et chantaient des hymnes en l’
honneur
du dieu Mars. On représente Mars sous la figure d
rilége. Ces mystères sont demeurés impénétrables. On célébrait en son
honneur
d’autres fêtes appelées Thesmophories. Cérès est
pour avoir refusé de prendre part aux orgies qui se célébraient en l’
honneur
de Bacchus. Lycurgue, roi de Thrace, perdit la vu
autant de chefs-d’œuvre. Les Athéniens instituèrent des fêtes en son
honneur
; c’étaient des courses, appelées Lampadophories,
incipaux ouvrages ? — Comment nommait-on les courses célébrées en son
honneur
à Athènes ? — Comment représente-t-on Vulcain ?
nerve, qui donna son nom à Athènes. Cette déesse lui disputa encore l’
honneur
de donner un nom à la ville de Trézène : Jupiter
se répandit de là en Grèce et en Italie. Les Grecs célébraient en son
honneur
les jeux Isthmiques, qui attiraient la Grèce enti
iter et d’Égine. Il régna dans l’île d’Énopie, qu’il nomma Égine en l’
honneur
de sa mère. Aux Enfers, c’était lui qui prononçai
et l’étouffa dans ses bras. Antée se flattait d’élever un temple en l’
honneur
de Neptune, avec les crânes de ses victimes. Ce f
; il prit part aux jeux que Teutamias, roi de Larisse, célébrait en l’
honneur
de son père ; un disque qu’il avait lancé alla fr
ts de Thésée, rappelés sur le trône de leur père, fendirent de grands
honneurs
à sa mémoire, et les Athéniens ne cessèrent de vé
écrasé par une poutre qui s’en détacha. Jason reçut après sa mort les
honneurs
réservés aux héros. Questionnaire. Quel étai
blée, on en déféra le commandement à Agamemnon, frère de Ménélas. Cet
honneur
lui coûta cher. Les dieux misent le départ de la
le temple d’Éphèse ; 7º le Mausolée, tombeau élevé par Artémise en l’
honneur
de son époux Mausole, roi de Carie. 5. Les Gorgo
de créneaux de murailles. D. Quelles étoient les fêtes établies en l’
honneur
de Cybèle ? R. Les fêtes de Cybèle s’appeloient
t pour cela que, dans la suite, les Egyptiens rendirent aux bêtes des
honneurs
divins ; Bacchus eut plus de courage que les autr
, et le changea en lézard. D. Quelles étoient les fêtes établies en l’
honneur
de Cérès ? R. Elles se nommoient Eleusines du no
On trouve dans les anciens auteurs, deux autres fêtes instituées en l’
honneur
de Cérès : premièrement, les Thesmophories, du mo
urant la perte de leur sœur, Et leurs bois dépouillés de leur antique
honneur
, Vont conjurer Cérès de venger leur injure. Elle
es, dit à Auguste que Téthys achetteroit au prix de toutes ses eaux l’
honneur
de l’avoir pour gendre ; et madame Deshoulières d
eux, étoient composées de vin, de lait et de miel, se faisoient, en l’
honneur
de Neptune, avec l’eau de la mer, des fleuves et
bouche de leurs morts. Ceux qui n’avoient pas reçu, sur la terre, les
honneurs
de la sépulture, erroient cent ans sur le rivage,
t le corps étendu couvroit neuf arpents de terre, voulut attenter à l’
honneur
de Latone. Apollon et Diane, pour venger leur mèr
a de cordes de fil de lin. Ces cordes étoient au nombre de neuf, en l’
honneur
des Muses. Mercure fit présent à Apollon de cet i
ent de Minerve avec Neptune ? R. Minerve et Neptune se disputèrent l’
honneur
de nommer la ville d’Athènes. Les douze grands di
et terrible Du dieu qui donne le jour, Lava dans son sang horrible L’
honneur
du docte séjour, Bientôt de la Thessalie, Par sa
it particulièrement honoré en Arcadie. Les Romains célébroient en son
honneur
des fêtes appelées Lupercales. Ce mot vient du no
u printemps ; elle épousa Zéphire. Les jeux que l’on célébroit en son
honneur
s’appeloient les jeux floraux. On la représente o
le, elle en conçut tant de regret, qu’elle se tua elle-même. D. Quels
honneurs
rendit-on à Hercule après sa mort ? R. Philoctèt
avoir ressuscité Hippolyte. Peu de temps après sa mort, il reçut les
honneurs
divins. Son culte fut établi d’abord à Épidaure,
is ? Ma mère, qu’as-tu fait de cet amour si tendre ? Où sont donc ces
honneurs
où je devois prétendre ? Hélas ! parmi les dieux
troupeaux ; Dans ces jeunes forêts allez porter la flamme, Puisque l’
honneur
d’un fils ne touche point votre ame. Cyrène ente
ppolyte, en l’accusant auprès de Thésée, d’avoir voulu attenter à son
honneur
. Ce père crédule chassa son fils, et appela sur l
Athéniens, pour réparer leur ingratitude envers Thésée, rendirent des
honneurs
à ses cendres, et lui élevèrent des autels. Be
r se venger, l’accusa auprès de son époux devoir voulu attenter à son
honneur
. Le roi, pour ne pas violer les lois de l’hospita
nuis, J’ose vous dire ici, qu’en l’état ou je suis, Peut-être assez d’
honneurs
environnoient ma vie, Pour ne pas souhaiter qu’el
e rappeler votre honte passée ; Ne craignez rien : mon cœur, de votre
honneur
jaloux, Ne fera point rougir un père tel que vous
e a cachée au reste de la Grèce. Mais non, l’amour d’un frère, et son
honneur
blessé Sont les moindres des soins dont vous êtes
redemander le corps de son fils à son vainqueur, pour lui rendre les
honneurs
de la sépulture. Achille se laissa fléchir par le
erre entière ; » Ce nom fait son bonheur autant que son appui ; » Vos
honneurs
sont les siens, vos lauriers sont à lui. » Hélas
ontraire, On ne nous verroit point, ambitieux rivaux, Nous disputer l’
honneur
d’hériter d’un héros : Nous jouirions d’Achille,
lorable, Dans la foule des morts tristement confondu, Hélas ! et sans
honneur
sur le sable étendu. (Énéide de Virgile, trad. de
nt plus ? Dois-je oublier Hector privé de funérailles, Et traîné sans
honneur
autour de nos murailles ? Dois-je oublier son pèr
flanc Mille guerriers cachés, contre dix ans d’offense, Méditent sans
honneur
une lâche vengeance. D’Atride cependant la flott
tels. Il cacha long-temps son crime à sa sœur. Mais Sichée, privé des
honneurs
de la sépulture, apparut à Didon, lui révéla le c
t il faut leur en donner des marques extérieures, en les saluant avec
honneur
, en leur parlant avec soumission, en les visitant
sa femme à cause de quelques bruits qui s’étoient répandus contre son
honneur
, parce que, disoit-il, la femme de César ne doit
arce que, disoit-il, la femme de César ne doit pas être soupçonnée. L’
honneur
, dit Bossuet , ressemble à l’œil, qui ne sauroit
ierre précieuse, dont le moindre défaut diminue beaucoup le prix. L’
honneur
est comme une île escarpée et sans bords ; On n’y
urdaloue.) ……………… Les cœurs remplis d’ambition Sont sans foi, sans
honneur
et sans affection. Occupés seulement de l’objet q
coloris des fausses vertus l’éclat des vertus réelles, et mettent un
honneur
chimérique à la place du véritable honneur. D. Ne
tus réelles, et mettent un honneur chimérique à la place du véritable
honneur
. D. Ne faut-il pas inspirer à la jeunesse le goût
Cependant Persée se rappelant ses premiers bienfaits rendit de grands
honneurs
à sa mémoire. Dans les jeux funèbres qu’on célébr
ssiope et Céphée. Les peuples de Mycènes et d’Argos lui rendirent les
honneurs
divins, ainsi que ceux de l’île de Sériphe ; il e
ns un char, qui lui disputa le passage dans un chemin étroit, Et des
honneurs
du pas le frivole avantage ; La querelle s’échau
age, nommé Connidas, à qui les Athéniens par la suite décernèrent des
honneurs
divins. A peine Thésée fut-il sorti de l’adolesce
ils d’Œnée, mais les frères d’Althée, piqués qu’on eût décerné tout l’
honneur
de cette chasse à une fille, lui enlevèrent ces d
u’elle méritoit de l’être, elle l’accusa d’avoir voulu attenter à son
honneur
; aussitôt, la peste ravagea le pays, l’Oracle co
. Acaste, qui étoit un des Argonautes, célébra des jeux funèbres en l’
honneur
de son père, et ne punit point Jason et Médée ; i
fouler aux pieds par son armée. Jason célébra des jeux solennels en l’
honneur
de Neptune auquel il consacra le navire Argo. Apr
a les présens et rejeta les propositions de paix, mais il retint avec
honneur
Phénix dans sa tente. Les Troyens encouragés par
ance, de vivre long-temps sans gloire, ou de mourir jeune et chargé d’
honneurs
, il choisit le dernier parti. La fable qui suppos
ida qu’Ajax, fils de Télamon, et Ulysse pouvoient seuls prétendre à l’
honneur
de les recevoir. Ils plaidèrent leur cause devant
ée Leuce, fut surnommée Achillée parce qu’on y rendoit à Achille, des
honneurs
divins. On y avoit placé le tombeau et le temple
in fut nommée Achillea en mémoire d’Achille, à qui l’on y rendoit des
honneurs
divins. On appela Achilléenes, des fêtes célébrée
vins. On appela Achilléenes, des fêtes célébrées dans la Laconie en l’
honneur
d’Achille. Ce héros laissa un fils qui fut Pyrrhu
née jadis par Hercule ; Menélas reçut parfaitement Pâris, le combla d’
honneurs
, et le laissa dans son palais en partant pour la
accusa Bellérophon, auprès de son mari, d’avoir voulu attenter à son
honneur
. Proclus l’envoya en Lycie avec des lettres adres
le à la Vertu, par lequel il falloit passer pour arriver à celui de l’
honneur
; idée aussi juste, aussi belle, qu’elle est mora
ille de la Terre et messagère de Jupiter. Les Grecs lui rendirent les
honneurs
divins, elle eut à Athènes un autel particulier.
ant 12e. 23. En récompense Castor et Pollux lui rendirent beaucoup d’
honneurs
et après sa mort les Lacédémoniens en ravageant l
voit été méconnu pendant sa vie, sept fameuses cités se disputèrent l’
honneur
de l’avoir vu naître. Plusieurs d’entre elles lui
re, Couverts de tes rayons, brillent de ta lumière ; Et le plus grand
honneur
pour ces noms révérés, Est l’honneur immortel de
de ta lumière ; Et le plus grand honneur pour ces noms révérés, Est l’
honneur
immortel de t’être comparés. Ton livre offre des
lace aux pieds du trône, à côté du tonnerre. La modeste Colombe,
honneur
de nos climats, Heureuse par l’amour, ne voulut r
fut, après Jupiter, le plus puissant des Dieux. Orphée établit en son
honneur
les Bacchanales ou Orgies. On le représente en je
ment le fait reconnoître. — Combien le vendez-vous ? — Six ducats, en
honneur
! Ce n’est pas mettre à sa valeur
breux royaumes, Toi, perfide Intérêt, tyran lâche et jaloux ; Gloire,
honneur
, politique, affreux et vils fantômes,
rs, Serre ces nœuds tissus par la nature, Que l’amour forme, et que l’
honneur
épure, Dieux ! quel plaisir d’aimer publiquement,
rté du jour, Brillante Occitanie ; hélas ! encor tes rives Pleurent l’
honneur
perdu de tes rameaux d’olives ! L’Hiver s’irrita
des sacrifices. On donne aussi le nom de Mânes aux ames des morts.
Honneurs
funèbres Rendus par Enée aux Mânes de son père A
e sacrée, objet de ma douleur, D’un deuil renouvelé le triste et vain
honneur
. Seul, parmi les écueils de la Syrte inhumaine, E
temples fondés sous ses heureux auspices, De ces jeux tous les ans l’
honneur
soit répété ! A chacun des vaisseaux Aceste avec
u le trait qui part, vole, et fend l’air en sifflant. Troyens, de ces
honneurs
briguez la récompense ; De fleurs ceignez vos fro
r leur triste éternité Sans dépouiller la majesté sévère : Si, pour l’
honneur
de la Divinité, Ils ne pouvoient briser la chaîne
lle chérissoit l’olivier autant que le laurier. Neptune lui disputa l’
honneur
de donner un nom à la nouvelle ville de Cécrops ;
nt jamais que de feuilles stériles. Nous n’avons point voulu mettre l’
honneur
à prix. Pour venger l’olivier d’un injuste mépris
x cités fit passer l’abondance : La victoire, les arts, la liberté, l’
honneur
, Fut le partage heureux du peuple agriculteur, Et
une et beau Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hébé avoit aussi l’
honneur
d’atteler le char de Junon. Elle épousa dans la s
la rame et l’armure ; Et du nom de Misène, à ces rochers transmis, L’
honneur
survit encor à vingt siècles détruits. Virgile.
urs. Ici, gît un guerrier favori de la Gloire ; Dans les champs de l’
honneur
, tout cédoit à ses coups ; Il sut, pendant vingt
Le reconnoissez-vous ? Là, repose un auteur qui consacra sa vie A l’
honneur
dangereux d’éclairer ses égaux ; Son nom fameux n
is ? Ma mère, qu’as-tu fait de cet amour si tendre ? Où sont donc ces
honneurs
où je devois prétendre ? Hélas ! parmi les Dieux
s troupeaux, Dans ces jeunes forets allez porter la flamme, Puisque l’
honneur
d’un fils ne touche point votre ame. Cyrène
de l’onde More Aux eaux de l’Ister. Mais, Ombre chérie ! Un tribut d’
honneurs
Rend-il à la vie L’objet de nos pleurs ? Non, pou
in des Néréides ; On vit un essaim de héros Venir briguer l’
honneur
d’une illustre conquête ; Orphée, un luth en main
à ton gré l’auguste ministère, De rendre au grand Hector les funèbres
honneurs
, Quel temps exiges-tu ? Je l’accorde à tes pleurs
Tu reçus le tribut de ses ailes fragiles : Il construisit ce temple,
honneur
de tes asiles, Moent des revers et des faveurs du
lanc, Mille guerriers cachés, contre dix ans d’offense, Méditent sans
honneur
une lâche vengeance. D’Atride cependant la f
orre : Après l’indigne affront que m’a fait son amour ; Je serai sans
honneur
tant qu’il verra le jour. Un ennemi qui peut pard
deux coursiers, Il fallut disputer dans cet étroit passage, Des vains
honneurs
du pas le frivole avantage. J’étois jeune et supe
jouvençeau ne me passe. Aux banquets je suis souvent Roi, Et je fais
honneur
à ma place. On dit que je foiblis un peu Dans nos
immortalisa par la sagesse de ses lois. Sa sévère équité lui mérita l’
honneur
de rendre la justice au tribunal des Enfers ; c’é
nous bien le cœur et les mains assez pures, Pour présider ici sur les
honneurs
divins, Et Prêtres vous offrir les vœux des pèler
s larmes sur la terre ensemble se mêlèrent ; Et de-là naît un fleuve,
honneur
de ces climats, Qui du nom du Satyre est nommé Ma
renaître à leur tour. Et, n’ai-je pas sujet de me croire offensée Des
honneurs
que l’on rend à la fille de Cée, Elle, qui vit le
le fer de la hâche et la dent des troupeaux, Ne flétrissent jamais l’
honneur
de mes rameaux. Approchez-vous de moi, si la piti
t terrible Du Dieu qui donne le jour, Lava, dans son sang horrible, L’
honneur
du docte séjour : Bientôt de la Thessalie, Par sa
, ils attirent Les éloges mendiés. Une louange équitable, Dont l’
honneur
seul est le but, Du mérite véritable Est le plus
les cinq ans des jeux magnifiques institués, dit-on, par Hercule en l’
honneur
de Jupiter. Les vainqueurs étoient couronnés de p
iques nommés. C’est là qu’à signaler sa force et sa souplesse, L’
honneur
de la victoire excitoit la jeunesse. Là les prix
ut le guide, Une torche à la main il parcouroit l’Elide, Exigeoit les
honneurs
dûs au maître des Cieux ; Insensé qui croyoit, fa
e, aveugle, ou un bandeau sur les yeux ; au sein de la richesse, de l’
honneur
et du plaisir ; un pied sur une roue, et un autre
eant, Térence, Eschyle, Plaute, Euripide et Ménandre, Tous aux mêmes
honneurs
vous êtes appelés ; De la Parque vainqueurs, vos
s d’une foule idolâtre Mêler d’indécentes clameurs. L’
honneur
t’appelle à Rome ou dans le sein d’Athène. Là, to
se des pleurs, Et dans l’infortune on l’oublie ; Le méchant jouit des
honneurs
, C’est au méchant qu’on porte envie. A l’aspect d
les cinq ans ; et ce sont elles aussi qui font célébrer des jeux en l’
honneur
de la déesse. Ces jeux consistent à voir les fill
jeune Adonis, fils de Cynire ; et elle oublia auprès de lui tous les
honneurs
de l’Olympe, et les hommages des hommes. Du brui
, la couleur purpurine que nous lui voyons aujourd’hui. Des fêtes à l’
honneur
d’Adonis furent instituées à Sidon. Les vierges p
de Jupiter. C’était sur-tout dans l’île de Cypre qu’elle recevait des
honneurs
sans nombre : là elle voyait trois villes célèbre
toison d’or, en Colchide. Esculape, à la prière d’Apollon, reçut les
honneurs
de l’apothéose, et prit rang parmi les dieux de l
e appui se fonde ; « Déclarez-vous pour moi, belle moitié du monde, «
Honneur
de l’univers, dernier effort des dieux, « Doux su
t Apollon, et à le supplier de lui donner une preuve irrécusable de l’
honneur
qu’il avait d’être le fils du dieu de la lumière.
d’une écaille de tortue sur laquelle il avait tendu sept cordes en l’
honneur
des sept Atlantides. Apollon lui donna en échange
, le plus, fameux des statuaires grecs ; le même peuple institua en l’
honneur
de cette déesse des fêtes célèbres sous le nom de
tude et de la cruauté. Triptolème, de retour à Éleusis, institua en l’
honneur
de Cérès les fêtes appelées Thesmophories, et dan
es jours sacrés, autour de ses guérets, Il ne marche en triomphe en l’
honneur
de Cérès27. Palès. Les fêtes instituées à
l’honneur de Cérès27. Palès. Les fêtes instituées à Rome en l’
honneur
de Palès, autre divinité des champs, n’étaient pa
e déesse, les dames romaines célébraient tous les ans une fête en son
honneur
; cette cérémonie durait huit jours, pendant lesq
ples qu’ils lui élevèrent et par les fêtes qu’ils instituèrent en son
honneur
: la plus solennelle portait le nom de Mystères,
de donner le nom de la déesse des moissons : ils ont rendu les mêmes
honneurs
à Minerve, et sa planète est appelée Pallas, Nous
quaient à leurs serments, elles seraient privées pendant neuf ans des
honneurs
célestes, et n’approcheraient point de leurs lèvr
fuse de passer dans sa barque les ames de ceux qui n’ont pas reçu les
honneurs
de la sépulture, et dans la bouche desquels leurs
es îles de la mer Égée. La sagesse de leur gouvernement leur mérita l’
honneur
de juger tous les mortels précipités dans l’empir
velus, « Ne me méprise pas ; je m’en estime plus. « Un arbre est sans
honneur
dépouillé de verdure ; « Les crins sont du cheval
dans lequel il rendait des oracles. Les Arcadiens célébraient en son
honneur
des fêtes appelées Lycées, et qui étaient les mêm
s près sa vertu, son bonheur, De la vierge modeste ils protégeaient l’
honneur
; Présidents des festins, confidents des alarmes,
dans le mois de février qu’on faisait des cérémonies religieuses en l’
honneur
des Mânes. Les tombeaux ont leur culte. O vous,
vait été méconnu pendant sa vie, sept fameuses cités se disputèrent l’
honneur
de l’avoir vu naître. Plusieurs d’entr’elles lui
re, Couverts de tes rayons, brillent de ta lumière ; Et le plus grand
honneur
pour ces noms révérés, Est l’honneur immortel de
de ta lumière ; Et le plus grand honneur pour ces noms révérés, Est l’
honneur
immortel de t’être comparés. Ton livre offre des
lace aux pieds du trône, à côté du tonnerre. La modeste Colombe,
honneur
de nos climats, Heureuse par l’amour, ne voulut r
fut, après Jupiter, le plus puissant des Dieux. Orphée établit en son
honneur
les Bacchanales ou Orgies. On le représente en je
ment le fait reconnaître. — Combien le vendez-vous ? — Six ducats, en
honneur
! Ce n’est pas mettre à sa valeur
breux royaumes, Toi, perfide Intérêt, tyran lâche et jaloux ; Gloire,
honneur
, politique, affreux et vils fantômes,
rs, Serre ces nœuds tissus par la nature, Que l’amour forme, et que l’
honneur
épure, Dieux ! quel plaisir d’aimer publiquement,
rté du jour, Brillante Occitanie ; hélas ! encor tes rives Pleurent l’
honneur
perdu de tes rameaux d’olives ! L’Hiver s’irrite
ne aussi le nom de Mânes aux ames des morts. Cérémonies pieuses en l’
honneur
des Morts. Les tombeaux ont leur culte. O vous
joignez la prière à l’encens funéraire. Ovide. — Desaintange 65.
Honneurs
funèbres rendus par Énée aux Mânes de son père An
e sacrée, objet de ma douleur, D’un deuil renouvelé le triste et vain
honneur
. Seul, parmi les écueils de la Syrte inhumaine, E
temples fondés sous ses heureux auspices, De ces jeux tous les ans l’
honneur
soit répété ! A chacun des vaisseaux Aceste avec
u le trait qui part, vole, et fend l’air en sifflant. Troyens, de ces
honneurs
briguez la récompense ; De fleurs ceignez vos fro
er leur triste éternité Sans dépouiller la majesté sévère : Si pour l’
honneur
de la Divinité Ils ne pouvaient briser la chaîne
rbe à ses jeunes maîtresses Sa noble volupté partageait ses caresses.
Honneur
, empire, amour, tout est perdu pour lui. C’est en
lle chérissait l’olivier autant que le laurier. Neptune lui disputa l’
honneur
de donner un nom à la nouvelle ville de Cécrops ;
x cités fit passer l’abondance : La victoire, les arts, la liberté, l’
honneur
, Fut le partage heureux du peuple agriculteur, Et
illir leurs bouquets. On célébrait tous les ans les jeux floraux en l’
honneur
de la jeune Déesse. Elle est représentée ornée de
une et beau Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hébé avait aussi l’
honneur
d’atteler le char de Junon. Elle épousa dans la s
la rame et l’armure ; Et du nom de Misène, à ces rochers transmis, L’
honneur
survit encor à vingt siècles détruits. Virgile.
urs. Ici, gît un guerrier favori de la Gloire ; Dans les champs de l’
honneur
, tout cédait à ses coups ; Il sut, pendant vingt
Le reconnaissez-vous ? Là, repose un auteur qui consacra sa vie A l’
honneur
dangereux d’éclairer ses égaux ; Son nom fameux n
is ? Ma mère, qu’as-tu fait de cet amour si tendre ? Où sont donc ces
honneurs
où je devais prétendre ? Hélas ! parmi les Dieux
s troupeaux, Dans ces jeunes forêts allez porter la flamme, Puisque l’
honneur
d’un fils ne touche point votre ame. Cyrène e
de l’onde More Aux eaux de l’Ister. Mais, Ombre chérie ! Un tribut d’
honneurs
Rend-il à la vie L’objet de nos pleurs ? Non, pou
n des Néréides ; On vit un essaim de héros Venir briguer l’
honneur
d’une illustre conquête ; Orphée, un luth en main
la terre entière ; Ce nom fait son bonheur autant que son appui : Vos
honneurs
sont les siens, vos lauriers sont à lui. Hélas !
Tu reçus le tribut de ses ailes fragiles : Il construisit ce temple,
honneur
de tes asiles, Monument des revers et des faveurs
lorable, Dans la foule des morts tristement confondu, Hélas ! et sans
honneur
sur le sable étendu. Virgile. — Delille 163.
lanc, Mille guerriers cachés, contre dix ans d’offense, Méditent sans
honneur
une lâche vengeance. D’Atride cependant la fl
orre : Après l’indigne affront que m’a fait son amour ; Je serai sans
honneur
tant qu’il verra le jour. Un ennemi qui peut pard
deux coursiers, Il fallut disputer dans cet étroit passage, Des vains
honneurs
du pas le frivole avantage. J’étais jeune et supe
jouvenceau ne me passe. Aux banquets je suis souvent roi, Et je fais
honneur
à ma place. On dit que je faiblis un peu Dans nos
immortalisa par la sagesse de ses lois. Sa sévère équité lui mérita l’
honneur
de rendre la justice au tribunal des Enfers ; c’é
nous bien le cœur et les mains assez pures, Pour présider ici sur les
honneurs
divins, Et Prêtres vous offrir les vœux des pèler
romis à leur amour. Et n’ai-je pas le droit de me croire offensée Des
honneurs
que l’on rend à la fille de Cée, Elle qui, sans a
t terrible Du Dieu qui donne le jour, Lava, dans son sang horrible, L’
honneur
du docte séjour : Bientôt de la Thessalie, Par sa
s, ils attirent Les éloges mendiés. Une louange équitable, Dont l’
honneur
seul est le but, Du mérite véritable Est le plus
les cinq ans des jeux magnifiques institués, dit-on, par Hercule en l’
honneur
de Jupiter. Les vainqueurs étaient couronnés de p
rpent les nomma jeux Pythiques. C’est là que la jeunesse, amante de l’
honneur
, Signalant non adresse, ainsi que sa vigueur, Cou
l’arène. Le vainqueur autrefois se couronnait de chêne, Symbole de l’
honneur
, plus précieux que l’or. Verts rameaux du laurier
ut le guide, Une torche à la main il parcourait l’Elide, Exigeait les
honneurs
dûs au maître des Cieux ; Insensé qui croyait, fa
e, aveugle, ou un bandeau sur les yeux ; au sein de la richesse, de l’
honneur
et du plaisir ; un pied sur une roue, et un autre
eant, Térence, Eschyle, Plaute, Euripide et Ménandre, Tous aux mêmes
honneurs
vous êtes appelés ; De la Parque vainqueurs, vos
mens d’une foule idolâtre Mêler d’indécentes clameurs. L’
honneur
t’appelle à Rome ou dans le sein d’Athène. Là, to
se des pleurs, Et dans l’infortune on l’oublie ; Le méchant jouit des
honneurs
, C’est au méchant qu’on porte envie. A l’aspect d
et Pollux, Jason, Orphée, Cadmus, Achille, etc. On rendoit encore les
honneurs
divins aux vices et aux vertus, que l’on transfor
éesses : on bâtissoit des temples et l’on faisoit des sacrifices en l’
honneur
de l’Envie, de la Fraude, de la Calomnie, de la D
Automne au Printems : L’ardent Phœbus, le froid Borée, Respectoient l’
honneur
de ses champs ; Par-tout, les dons brillans de Fl
ge en ses yeux étincelle, Et le fer brille dans sa main ; Par le faux
honneur
qui la guide, Bientôt, dans son art parricide. S’
! Le frère meurt des coups du frère, Le père, de la main du fils ! L’
honneur
fuit, l’intérêt l’immole ; Des loix que par-tout
avoient à Rome de très-beaux privilèges, et on leur rendoit de grands
honneurs
. On les choisissoit ordinairement parmi les famil
ans une infinité d’autres lieux où on avoit consacré des temples en l’
honneur
d’Apollon. Les oracles de Delphes étoient les plu
et terrible Du dieu qui donne le jour, Lava dans son sang horrible L’
honneur
du docte séjour. Bientôt de la Thessalie, Par sa
succès qu’il avoit eus en mettant en musique les hymnes composés en l’
honneur
des dieux, osa défier Apollon, et prétendit chant
ui seul tous les talens divers, Danchet. Les Muses partageoient les
honneurs
que l’on rendoit à Apollon : on les désigne souve
rétends te suivre. Rousseau. Les sacrifices que l’on faisoit en son
honneur
consistoient en plusieurs libations de vin, et à
protection de Minerve. Ils disoient qu’elle avoir disputé à Neptune l’
honneur
de donner un nom à la Capitale de la Grèce, que C
égir chacun leur sphère. Phébus enfin, de mes feux éclairé, Phébus, l’
honneur
de l’Olympe sacré, Ira sur vous, sur la nature en
ministres odieux ; Et, pour plaire aux loix du Ténare, Se disputent l’
honneur
barbare De mieux peupler les sombres lieux. Lamo
mbé sur Admète son époux, se présenta pour accomplir l’oracle : De l’
honneur
que j’obtiens ne soyez point jaloux : Je fais bie
rut à Athènes, après avoir mérité d’être mis au rang des demi-dieux ;
honneur
qu’il ne pouvoit obtenir par le droit de sa naiss
lus : Mon sang… Tous les délais sont ici superflus. Pour répondre à l’
honneur
que me fait tant d’estime, Hâtons nos pas, allons
ce grand art Qui, dans tous les lieux qu’il éclaire, Aux
honneurs
de son rang me donne tant de part. Th. Corneille
B Babylone, ses murs et ses jardins, 63 Bacchanales, fêtes en l’
honneur
de Bacchus, 68 Bacchantes, prêtresses de Baccbus
uve d’oubli, 105 Fleuves des Enfers, 100-104-105 Floraux, Jeux en l’
honneur
de Flore, 113 Flore, déesse des fleurs, ibid.
quel sens on peut l’appeler le père des dieux, 12 — Ses poëmes, 51
Honneurs
divins, rendus au Soleil et à la Lune, 9 — Aux r
-52 — Elles ont les trois Graces pour compagnes, 76 — Partagent les
honneurs
et le pouvoir d’Apollon, 50-51 — Et président au
aux Furies, 188 — Enlève la statue de Diane, 189 Orgies, fêtes en l’
honneur
de Bacchus, 68 Origine de la Fable, 9 — Des Rom
utomne, 113 Vertus, érigées en divinités, 14-121 — On leur rend les
honneurs
divins, 11 Vesta, la même que Cybèle, 26-27 — O
Vestales, ibid. Vices, érigés en divinités, 221 — On leur rend les
honneurs
divins, 11 Victoire de Jupiter, 30-62 Vie des h
e cacher). Janus, qui régnait alors dans cette contrée, le reçut avec
honneur
et partagea son trône avec lui. Saturne civilisa
e la Fable raconte de la vie privée de ce maître des dieux fait peu d’
honneur
au paganisme. On retrouve cependant quelques attr
l’Italie, surtout dans les lieux maritimes. On avait institué en son
honneur
des jeux solennels, dont les plus célèbres ont ét
eait ni temples, ni autels, et l’on ne chantait point d’hymnes en son
honneur
. On ne pouvait lui sacrifier qu’au milieu des tén
’admettait dans sa barque que les ombres de ceux qui avaient reçu les
honneurs
de la sépulture. Aussi était-ce une impiété chez
ne faucille [Fig. 49]. [Fig. 49] Les Grecs avaient institué en son
honneur
des fêtes appelées Éleusinies, du nom de la ville
acré. [Fig. 53] C’est à Rome que le culte de Mars était le plus en
honneur
. Les Romains le regardaient comme le père de Romu
toire de Minerve est son différend avec Neptune, à qui elle disputa l’
honneur
de nommer la ville bâtie par Cécrops. Les douze g
ort jamais, lui était consacrée. [Fig. 58] Athènes institua en son
honneur
des fêtes qu’on appelait Panathénées, et lui élev
ait ce roi de tirer vengeance d’un homme qui avait voulu attenter à l’
honneur
de sa fille. De là le proverbe : Prenez garde de
re cruel, et alla avec sa belle-sœur Argie rendre à cet infortuné les
honneurs
funèbres [Fig. 101]. Créon, loin d’être touché de
Les Muses recueillirent ses membres dispersés et leur rendirent les
honneurs
funèbres. Il fut métamorphosé en cygne par son pè
, régna dans l’île d’Énopie, à laquelle il donna le nom d’Égine, en l’
honneur
de sa mère. La peste ayant dépeuplé son île, il o
la plus vive douleur. De là les fêtes lugubres qu’on institua en son
honneur
sous le nom d’Adonis. L’Aurore et Tithon. T
rent pas les Romains de la décadence, qui réservaient aux défunts les
honneurs
de l’apothéose. Déjà Saint-Simon, le père de l’il
les ombres qui tentaient de s’évader ; il partagea avec les Furies l’
honneur
de torturer les condamnés. Il les broya sous ses
fin le secret de l’enlèvement. A Athènes, de longues processions en l’
honneur
de Cérès, appelées Thesmophories, étaient conduit
est un auteur grec de beaucoup d’esprit, mais à qui on a fait trop d’
honneur
en le comparant à Voltaire. Il nous a laissé des
alabre, sur les rochers de Cumes, et qu’il y ait élevé un temple en l’
honneur
d’Apollon : « Deux fois, dit le poëte , il essaya
c’est à-dire des adorateurs d’idoles, répandaient du vin à table en l’
honneur
de ces idoles. Ils appelaient cela faire des liba
chaque famille, il y avait à Rome une fête annuelle instituée en leur
honneur
. On leur offrait quelques couronnes, des grains d
le. Saluons, quand nous les rencontrerons, ces noms glorieux qui font
honneur
à l’humanité, et tâchons, s’il est possible, d’êt
sont appelés à exercer sur la mer. L’Europe et l’Asie-se disputent l’
honneur
de jeter à la déesse leur anneau de fiançailles.
’ils lui dressèrent plus tard des autels et lui accordèrent de grands
honneurs
. C’est encore un trait de leur caractère. A Athèn
lui avait érigé une chapelle dans l’Académie, et on célébrait en son
honneur
la course du feu. Des jeunes gens couraient dans
es obsède. Prométhée est trahi ; — ils sont persécutés. Il reçoit des
honneurs
divins ; — on leur érige des statues après leur m
la tête avec un fer qu’il apprête . Vulcain partage avec saint Eloy l’
honneur
d’être le patron des joyeux compagnons de la forg
ge en ses yeux étincelle, Et le fer brille dans sa main : Par le faux
Honneur
qui la guide, Bientôt, dans son art parricide, S’
mis. Le frère meurt des coups du frère, Le père de la main du fils. L’
Honneur
fuit, l’Intérêt l’immole ; Des lois, que par-tout
mment s’appeloient les Fêtes de Saturne ? R. Les Fêtes célébrées en l’
honneur
de Saturne s’appeloient Saturnales ; tout ce qui
rent de Minerve avec Neptune ? R. Neptune et Minerve se disputoient l’
honneur
de donner un nom à la capitale de la Grèce que Cé
vais livres. Que les jeunes personnes ne perdent jamais de vue que L’
honneur
est comme une île escarpée et sans bords ; On n’y
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