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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
era que ce furent des colonies de ces mêmes peuples qui portèrent aux Grecs et aux peuples de l’Occident des lois, des coutum
, et la plus grande partie de leurs arts. Par la suite des temps, les Grecs les transmirent aux Romains ; et c’est pour ne pa
règne des Antonins. Ce fut alors que Philon de Biblos le traduisit en grec  : mais en cherchant à l’accommoder aux idées de s
puisé ses écrits dans ceux de Thot ou Thaut, auteur égyptien que les Grecs ont nommé Hermès, et qui passe pour avoir été le
parmi les dieux de l’Occident, c’est-à-dire les dieux adoptés par les Grecs et les Romains, ce qui prouvera d’une manière inc
s et les Romains, ce qui prouvera d’une manière incontestable que les Grecs reçurent leur culte et leurs dieux des colonies é
de la Lune, de Héra ou de Junon. Orus, fils d’Isis, est celui que les Grecs nommèrent depuis Apollon. « La mythologie égypti
ière origine de l’idolâtrie. Le mot idolâtrie dérive de deux mots grecs , qui signifient culte et représentation. Il paraî
qui connurent les noms des douze grands dieux, et c’est d’eux que les Grecs les ont appris. L’Écriture Sainte peint elle-mê
es Éthiopiens, Liber par les Indiens, enfin Apollon ou Phœbus par les Grecs et les Romains. César, dans ses Commentaires, di
adoraient le soleil. Les Incas s’appelaient ses fils, comme les héros grecs se disaient les fils de Jupiter ou d’Hercule. On
e séparant, tombèrent bientôt dans la barbarie la plus grossière. Les Grecs , qui par la suite devinrent si spirituels et si p
us au rang des dieux. Les Phéniciens, les Syriens, et, après eux, les Grecs et les Romains, imitèrent les Égyptiens, de sorte
ans la Colchide, on imagina la fable de la toison d’or. Cependant les Grecs , malgré leur penchant pour les fictions, ne s’en
livres, remplis de paraboles, prouvent qu’ils sont ce qu’étaient les Grecs dans les temps les plus fabuleux. N’oublions poin
nduisit des colonies phéniciennes et égyptiennes, elles apprirent aux Grecs à se couvrir de la peau des animaux qu’ils tuaien
t de la chronologie. L’usage des lettres commença très-tard parmi les Grecs  ; plusieurs siècles s’écoulèrent pendant lesquels
où l’on rencontrait toujours Jupiter, Saturne, le Ciel, la Terre. Les Grecs ne savaient rien de plus sur leur origine la plup
ans lorsqu’ils voulaient parler de temps éloignés . La prétention des Grecs allait jusqu’à croire que leurs colonies avaient
dus ; la Perse, par ceux de Perse, etc. Ce n’est donc point parmi les Grecs qu’il faut chercher l’origine des anciens peuples
Cette célèbre division de Varron ne peut regarder que l’histoire des Grecs et des Romains, car les Égyptiens, les Chaldéens,
s annales ; elles étaient, il est vrai, très-mélangées de fables. Les Grecs n’avaient aucune connaissance positive sur les pr
par Hercule, et la seconde, environ trente ans après, par l’armée des Grecs , sous la conduite d’Agamemnon. Ce fut au temps de
poëtes. Ce ne fut qu’au rétablissement des olympiades que l’histoire grecque prit enfin une forme certaine, et que les événeme
is ce temps qu’on ne trouve plus autant de fables dans l’histoire des Grecs . Cette division des temps, il faut bien le remarq
. Cette division des temps, il faut bien le remarquer, nous vient des Grecs et des Romains, qui ne connaissaient pas l’antiqu
t les lois nouvelles, les coutumes et le culte qu’ils apportaient aux Grecs . Ces derniers, en les adoptants, s’approprièrent
fit un mélange des deux langues. Lorsque, par la suite des temps, les Grecs voulurent lire leur ancienne histoire, ils la tro
lpha ou ilpha signifiait également un taureau ou un navire. De là les Grecs publièrent que Jupiter changé en taureau avait en
lphaga, c’est-à-dire fontaine des saules. Par la suite des temps, les Grecs , se souvenant de leur fleuve Alphée qui coule dan
u temple de Delphes se nommait Ptera : ce nom signifie une plume. Les Grecs dirent que ce temple avait été bâti avec de la ci
origines, plus on est forcé de reconnaître que la plupart des fables grecques étaient une imitation de celles des colonies orie
rémonies de la religion ; le culte des dieux, les sacrifices ; et les Grecs , en adoptant leur religion, s’approprièrent leurs
. Ces preuves sont plus que suffisantes pour démontrer que les fables grecques et romaines devaient leur origine à l’Égypte et à
ypte et à la Phénicie ; si on y trouve des changements, c’est que les Grecs joignaient à leur goût pour les fictions le désir
oleil ? » Hésiode et Homère ne sont point les inventeurs des fables grecques  ; ils n’ont fait que les embellir ; l’idolâtrie a
u’ils ont surpassés ; car il serait difficile de croire que la poésie grecque eût commencé par des chefs-d’œuvre. Avant Homère,
ur et le père de tant de dieux et d’usages bizarres. Des dieux des Grecs , des Romains, et des autres peuples de l’Occident
palement faire connaître les détails qui tiennent à la mythologie des Grecs et des Romains ; le reste de cet ouvrage y sera c
religion ne fut chargée d’un plus grand nombre de dieux que celle des Grecs et des Romains, puisque, outre ceux des Orientaux
décider aujourd’hui. On sait, par Diodore de Sicile, que les premiers Grecs étaient très-grossiers, qu’ils vivaient sans reli
en invoquant les dieux par leurs noms, et ce fut des Pélasges que les Grecs reçurent ces mêmes noms. On ignore jusqu’à présen
auser dans la religion de la Grèce. Il faut observer en outre que les Grecs , en recevant des dieux étrangers, changeaient leu
changeaient leurs noms. Nous savons, par Hérodote, que l’Apollon des Grecs était l’Oms des Égyptiens ; Bacchus ou Dionysius,
dinaires dans les apothéoses qui donnèrent tant de nouveaux dieux aux Grecs et aux Romains. Hérodote nous apprend que l’on c
exemple, Vulcain tenait le premier rang parmi les dieux d’Égypte. Les Grecs en firent un fils de Jupiter et de Junon, qui, ch
na sa vie en exerçant le métier de forgeron dans l’île de Lemnos. Les Grecs , en général, ont mêlé tant de fables dans l’histo
leur fils. Saturne, Janus, Age d’or. Cœlus, ou le Ciel, que les Grecs nommaient Uranus, était, selon eux, le plus ancie
une autre explication plus naturelle, qui nous vient de Cicéron. Les Grecs regardaient Saturne et le Temps comme le même Die
produire toutes choses. Quelques étymologistes le tirent aussi du mot grec aphrodite, surnom de Vénus, à qui ce mois était p
e que la sienne. Telle est l’origine de ce temps si célèbre parmi les Grecs . Si l’on s’étonne de voir Saturne occuper parmi l
oux, présidait au ciel ; elle eut aussi le nom de Rhea, qui dérive du grec et signifie couler, parce que c’est de la terre q
où ils avaient élevé Jupiter. On les appelait aussi Dactyle, d’un mot grec qui veut dire doigts, parce qu’ils étaient au nom
Il ajoute que le nom Vesta est le même que celui Esta, donné par les Grecs au feu. Le savant M.  Hyde nous apprend que ce fu
plus coupable des hommes. Quelle idée avaient donc de la divinité ces Grecs et ces Romains, si vantés pour la délicatesse de
riens. Selon le même auteur, le ciel était le Jupiter des Perses. Les Grecs , au contraire, regardaient le Ciel, ou Uranus, co
t au rang des dieux, sous le nom de Très-Haut. Uranus, dont le nom en grec signifie ciel, fils et successeur d’Acmon, épousa
e empire, il épousa sa sœur, nommée Junon par les Romains, et que les Grecs appelaient Héra ou la maîtresse. On donnait aussi
e donna que des gouvernemens à ses frères ; mais on observera que les Grecs n’ayant point d’histoire certaine pour les guider
es de Jupiter. Leurs ouvrages n’existent plus en originaux ; mais les Grecs nous en ont conservé les fragmens. Ils disent qu’
t l’histoire des princes Titans et de Jupiter, le plus grand dieu des Grecs et des Romains : histoire fondée sur d’anciennes
ita dans les enfers son père Saturne, il faut observer que, parmi les Grecs , les pays situés à l’orient étaient regardés comm
Il n’eut fallu pas davantage pour entraîner l’imagination fertile des Grecs  ; les pays orientaux furent désignés par le nom d
armes, et frappaient en cadence sur leurs boucliers, ce qui donna aux Grecs la première idée de la mesure dans la musique. Il
ans contre Jupiter n’est autre chose que le Typhon des Égyptiens. Les Grecs s’étaient emparés de cette fable égyptienne, qui
le souvenir de son état primitif dans la fable de leur Typhon, et les Grecs l’ajoutèrent à toutes celles qu’ils ont placées d
it dans la Libye, portait des cornes de bélier. Le mot ammon vient du grec , et veut dire sable. La fable dit que cette repré
, parce que les Cyclopes lui avaient donné la foudre. Quelquefois les Grecs lui donnaient le nom d’Egyptus, de Nilus, et alor
lacer leur histoire à la suite de celle de Jupiter. Japet, de qui les Grecs se vantaient de tirer leur origine (comme nous le
os), était fils de Titan. Il fut père de Prométhée (nom qui dérive du grec , et signifie prévoir l’avenir) et d’Épyméthée, qu
blage de perfection la fit nommer Pandore, nom qui vient de deux mots grecs , et veut dire tout don. Jupiter voulut la voir ;
. Cette fable, la plus charmante de celle que nous ont transmises les Grecs , rappelle trop bien le souvenir de la chute d’Ada
ait sœur de Jupiter, de Neptune, de Pluton, de Vénus et de Cérès. Les Grecs la nommaient Héra, la maîtresse, ou Mégalè, la gr
la changea en tortue, pour qu’elle gardât un éternel silence. Le mot grec chelonè signifie une tortue, et cet animal était
ité de fourmis, qui sur-le-champ furent métamorphosées en hommes. Les Grecs , qui suivirent Achille à la guerre de Troie, prét
n. Ce fut pour consacrer son souvenir et lui rendre un culte, que les Grecs donnèrent le nom d’hyménée aux fêtes du mariage.
un jaune clair. Quoique les Romains eussent adopté cette divinité des Grecs , ils voulurent avoir aussi leur dieu du mariage.
l’aînée des sept, eut de Jupiter, Mercure, l’inventeur des arts. Les Grecs faisaient descendre presque tous leurs héros des
dite, Coronis, Phyleto et Polyxo ; d’autres y ajoutent Thyone. Le mot grec hyade signifie pluvieux. Il paraît que ces préten
espérus vint s’établir dans l’Occident ; et c’est d’après lui que les Grecs appelèrent Hespéries toutes les régions occidenta
les régions occidentales de la Grèce. Histoire du Soleil. Les Grecs et les Romains confondaient presque toujours le S
s, les Perses, adoraient le Soleil long-temps avant que l’Apollon des Grecs fût connu. Tous les peuples de l’Orient l’adoraie
sous celui de Moloch ; les Perses, sous celui de Mithras ; les seuls Grecs et les Romains confondirent ensemble ces deux div
char du Soleil. Ovide les nomme Eoüs, Pyroïs, Aéthon et Phlégon, noms grecs qui signifient le rouge, le lumineux, le resplend
s la Grèce la connaissance des mouvemens des cieux ; ce qui porta les Grecs à le placer au nombre des signes du zodiaque. On
rore en eut pitié, et le fit changer en cigale. Cette jolie fable des Grecs est une allégorie dont le but est de nous avertir
s exhalaisons pestilentielles du Nil ; et tout porte à croire que les Grecs ont imaginé leur Apollon d’après Horus, fils d’Os
ronne de laurier. Il est nécessaire de faire connaître l’idée que les Grecs , et généralement les anciens, avaient des flèches
même opinion, qu’ Homère a dit que la peste survint dans le camp des Grecs aussitôt qu’Apollon eut lancé ses flèches. Toute
n distinguait quatre Apollon : les trois derniers étaient des princes grecs  ; le plus ancien de tous était Horus, fils d’Osir
l chez les Égyptiens : Horus, son fils, le fut de même après lui. Les Grecs confondaient presque toujours Osiris avec leur Ju
’imagination la plus brillante voudrait lui donner. Parmi les princes grecs qui ont porté le nom d’Apollon, l’un d’eux aima C
pu lui survivre. On croit généralement que le nom des Muses vient du grec muein, expliquer les mystères. On les nommait que
touche légèrement la terre. (Fig. 16.) 6. Érato. Son nom vient du mot grec eros, amour. Elle inspire les poésies légères, le
nner l’histoire ou plutôt la fable de Diane adoptée par la Grèce. Les Grecs honoraient Diane sous trois qualités différentes 
es divinités. On donnait à Diane le nom d’Hécate, originaire d’un mot grec qui signifie frapper de loin ; on voulait exprime
lement redoutée. Quelques auteurs font dériver ce nom de Diane du mot grec ékaton, qui servait à désigner le nombre cent, pa
des oracles. Histoire de Bacchus. L’orgueil et l’ambition des Grecs les portaient à croire que tous les dieux et tous
on nom, pour ne pas faire naître le désir de lui supposer une origine grecque . Cependant Hérodote, Plutarque et Diodore de Sici
dent même assez pour faire reconnaître dans le Bacchus adopté par les Grecs , le fameux Osiris, conquérant des Indes. Les fabl
onner la fable de sa naissance, telle qu’on la trouve dans les poëtes grecs . Il était fils de Jupiter et de Sémélé, fille de
à cause des cris des bacchantes. Histoire de Minerve. Chez les Grecs et chez les Romains, Minerve était regardée comme
elle portait le nom. Minerve, Athénée et Pallas, n’étaient parmi les Grecs qu’une même divinité. Considérée comme Minerve, e
t aux bienfaits : il ne suffisait pas de donner. Il existait chez les Grecs et chez les Romains des peintures ou des gravures
dant le silence et le calme des nuits. (Fig. 23.) Bellone. Les Grecs donnaient à Bellone le nom d’Enyo, et cependant l
distinguer de Pallas. Histoire de Mars. Le dieu Mars, que les Grecs nommaient Arès, était fils de Jupiter et de Junon
inée par les seuls poëtes latins. Elle était entièrement inconnue aux Grecs et aux anciens. La nouveauté de cette fable sert
rent le nom d’Orion, et le regardèrent comme le dieu des combats. Les Grecs , toujours jaloux d’orner l’histoire de leurs dieu
uait pour qu’il préservât les campagnes des ravages de la guerre. Les Grecs le nommaient Corythaïx, remuant son casque, pour
ait dans la Grèce. L’histoire d’Astarté fut bientôt confondue par les Grecs avec celle de Vénus. L’incertitude des faits hist
changea la nymphe en colombe. Cette fable vient de l’équivoque du mot grec peristera qui signifie une colombe. Les surnoms d
ché avec des ailes de papillon. Il faut remarquer que, dans la langue grecque , le mot Psyché signifie également âme et papillon
r, il faut remonter jusqu’à Tubalcaïn. Le troisième Vulcain, dont les Grecs ont composé l’histoire de celle des deux premiers
il établit des forges. Nous allons parcourir sa fable, telle que les Grecs nous l’ont transmise. Il était fils de Jupiter et
la même idée du mont Etna en Sicile. L’histoire représente le Vulcain grec , l’un des princes Titans, comme très-habile dans
de Jupiter. Il se retira dans l’Égypte, où il mourut. Ce Mercure des Grecs était généralement regardé comme l’inventeur des
e second Mercure dont l’histoire a conservé le souvenir. Fable des Grecs sur Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de M
léaux étaient les suites de la vengeance de Neptune et d’Apollon. Les Grecs donnaient à Neptune le surnom de Posédon, ou Bris
des modernes, qu’il existe des hommes marins. La pente naturelle des Grecs vers le merveilleux, jointe à la diversité prodig
Numa, Jupiter était honoré sous le nom de Jupiter Terminalis, et les Grecs honoraient un protecteur des limites, sous le nom
on de Rome ; mais on ne trouve aucune trace de son histoire parmi les Grecs . Vertumnus, son époux, dont le nom vient de vert
mplois qu’ils avaient, et jamais on ne les trouve parmi les dieux des Grecs . Des Satyres, des Faunes, des Égypans et du di
acles ; mais cette fable tient à l’étymologie de son nom. (Phonein en grec , et fari en latin, signifie parler.) Les Romains
Égyptiens observaient lorsqu’ils enterraient leurs morts. Le Mercure grec , dit-il, conducteur des âmes, était le prêtre cha
s, en y joignant les circonstances qui s’accordaient aux coutumes des Grecs . Le même Diodore ajoute que souvent on gardait da
un printemps éternel. Il est facile de reconnaître que ces fables des Grecs et des Romains ne sont que la peinture embellie d
entreprit pour retrouver sa fille. On ne peut douter que la Cérès des Grecs était l’Isis des Égyptiens ; ses mystères étaient
ain, des serpens pour cheveux, et un fouet de serpens. (Fig. 40.) Les Grecs les nommaient Erynnides, ce qui signifie troubles
biens et les maux : nous nous bornerons à parler des plus connus. Les Grecs honoraient la Félicité sous le nom d’Endémonia, o
contre les maux qui les accablent, fut bientôt divinisée par eux. Les Grecs honoraient l’Espérance sous le nom d’Elpis, et le
r toutes les divinités particulières. En général, les Romains, et les Grecs avant eux, adoraient les vertus, les passions, le
nt les objets de ses plus sanglantes railleries. Son nom vient du mot grec momos, reproche. Il blâmait les dieux de n’avoir
mensonge. Des dieux de la médecine. Le nom d’Esculape, que les Grecs appelaient Asclépios, paraît étranger, et semble
it deux cents ans avant le déluge, plus de mille ans avant l’Esculape grec . Eusèbe parle aussi d’un Esculape égyptien, célèb
l’établit d’abord dans Épidaure, ville du Péloponèse, et bientôt les Grecs prétendirent qu’il était originaire de leur pays 
minerons pas l’article des divinités particulières, sans dire que les Grecs et les Romains accordaient à l’amitié les honneur
Grecs et les Romains accordaient à l’amitié les honneurs divins. Les Grecs la nommaient Philia, et les Romains la peignaient
2 (1850) Précis élémentaire de mythologie
’ensemble des études une véritable lacune. Puisque la littérature des Grecs et des Romains défraye presque entièrement nos ét
es divinités que les païens adoraient. Elle tire son nom de deux mots grecs mythos et logos, qui signifient discours fabuleux
en deux sections. Dans la première, nous traiterons de la mythologie grecque et romaine, et dans la seconde, de la mythologie
Perses, des Gaulois et des Scandinaves. Nous diviserons la mythologie grecque et romaine en quatre parties. Nous parlerons dans
hologie en général ? Comment divise-t-on en particulier la mythologie grecque et romaine ? Première section. De la mytholog
ythologie grecque et romaine ? Première section. De la mythologie grecque et romaine. Première partie. Des dieux du pr
sortir du chaos informe l’univers et toutes ses merveilles. Mais les Grecs ont défiguré par leurs fables ce simple et sublim
a terre, comme Saturne au ciel. Enfin on la surnommait Rhéa, d’un mot grec qui signifie couler, parce que c’est de la terre
êtes, de Cybèle s’appelaient Mégalésies ou jeux mégalésiens, d’un mot grec qui signifie grand, parce qu’on l’appelait elle-m
étaient infidèles ? Chapitre IV. Jupiter. 1. Jupiter, que les Grecs regardaient comme l’arbitre souverain des dieux e
musique, Mercure l’éloquence, etc. On l’appela Pandore, de deux mots grecs qui signifient tout don. 5. Jupiter voulut aussi
cs, parce qu’ils détruisent les moissons, on bien des béliers. 5. Les Grecs ont beaucoup vanté les vertus de Cérès, mais la f
t la lumière de l’esprit comme le soleil est la lumière du corps. Les Grecs le croyaient l’inventeur de la musique et de la p
fut, dit-on, le fruit des premiers vers… Art poét., ch. iv. 8. Les Grecs feignirent encore que sur les monts célèbres du P
il pas aussi le dieu des sciences et des arts ? Que disait de lui les Grecs sous ce rapport ? 8. Quelles étaient les fonction
l’honneur de cette déesse : on les appelait Artémisies, parce que les Grecs donnaient à Diane le nom d’Artémis. Questionnai
èbre de ses temples ? Comment se nommaient les fêtes établies par les Grecs en son honneur ? Chapitre IX. Mercure. 1.
i à la défaite des hommes de mer, représentés ici par Neptune. 3. Les Grecs n’ont pas expliqué d’une manière moins ingénieuse
n rival ? Quel est le sens probable de cette fiction ? 3. Comment les Grecs se sont-ils expliqué l’habileté de l’araignée à t
sa les violents reproches que le poëte vient d’exprimer. 3. Aussi les Grecs , qui ont inventé ces fictions, avaient plus de co
et on y établit un tribunal qui prit le nom d’Aréopage, parce que les Grecs appelaient Mars, Arès. Seulement, pour mettre les
r le dieu de la guerre un culte plus profond et plus éclatant que les Grecs et les Orientaux. Les Romains avaient rattaché à
r. La Vénus de Praxitèle passait pour le chef-d’œuvre de la sculpture grecque . Questionnaire. 1. Qu’est-ce que Vénus ? De
s était-elle représentée ? Quel était le chef-d’œuvre de la sculpture grecque  ? Chapitre XV. Neptune et les divinités marit
la mer, et Neptune la reçut au rang des divinités avec son fils. Les Grecs adoraient Ino sous le nom de Leucothoé, et les Ro
n, Flore, Pomone, Vertumne et le dieu Terme. Pan et Palès. 2. En grec Pan signifie tout. Chez les Egyptiens particulièr
u avait été d’abord considéré comme le symbole de tout l’univers. Les Grecs en firent le dieu des bergers et le vénérèrent co
ndre compte. 5. Palès, la déesse des bergers n’a point été connue des Grecs . Ce sont les Romains qui inventèrent cette divini
s champêtres ? 2. Qu’était le dieu Pan chez les Egyptiens et chez les Grecs  ? Dans quel lieu son culte était-il spécialement
la Nuit. C’était le dieu de la raillerie et des bons mots. Son nom en grec signifie reproche. Il n’épargnait personne dans s
règne entre toutes les vertus. 4. La Justice, appelée Thémis par les Grecs , était fille du Ciel et de la Terre. Les poëtes o
acé le dernier de ses temples ? 4. Quel nom avait la Justice chez les Grecs  ? Quels étaient ses enfants ? Comment était-elle
geance, l’Envie, la Discorde et la Paresse. 2. La Méchanceté, que les Grecs appelaient Até, était une déesse malfaisante qui
sans ordre à ses côtés. Rousseau . 5. La Discorde portait chez les Grecs le nom d’Eris. Elle était sans cesse occupée à se
uels furent les principaux vices érigés en divinités ? 2. Comment les Grecs appelaient-ils la Méchanceté ? Quel était le rôle
te de l’Envie ? Quelle physionomie lui prêtaient-ils ? 5. Comment les Grecs appelaient-ils la Discorde ? Qu’en disent Hésiode
t une divinité couverte de rides ; on la disait fille de la Nuit. Les Grecs lui élevèrent un temple, où ils la conjuraient de
 ? 4. De qui la Vieillesse était-elle fille ? Que lui demandaient les Grecs  ? Quel culte rendaient-ils aux Maladies ? 5. Quel
point la prétention d’énumérer toutes les divinités allégoriques des Grecs et des Latins, parce que leur nombre était immens
rfaitement unis ? Par quels exploits méritèrent-ils la vénération des Grecs  ? Pourquoi étaient-ils honorés par les matelots ?
poëtes à ce héros ? Ses aventures n’ont-elles pas donné lieu chez les Grecs à une locution particulière ? Chapitre VII. O
z-en vers toutes ses aventures. 3. Quel souvenir gardèrent de lui les Grecs  ? Quel honneur lui fit Apollon ? Comment est-il r
des Phéniciens et des Egyptiens. C’est sans doute ce qui a porté les Grecs à attribuer l’invention de l’écriture à Cadmus, c
nseil donna Minerve à ce prince ? Quelle invention lui attribuent les Grecs  ? L’histoire est-elle ici d’accord avec la fable 
exploits des sept chefs devant Thèbes enthousiasmèrent le courage des Grecs qui se levèrent comme un seul homme pour entrepre
epuis longtemps une rivalité jalouse avait jeté la discorde entre les Grecs et les Asiatiques. Tantale, le bisaïeul des rois
ysse, fils de Laërte, roi d’Ithaque, et Achille, le plus vaillant des Grecs . 3. Ces deux derniers auraient voulu ne pas prend
fit élever avec ses filles. Comme le devin Calchas avait annoncé aux Grecs qu’ils ne pourraient jamais sans Achille renverse
mmena sur-le-champ avec lui, et ils se rendirent ensemble au camp des Grecs . 4. Avant le départ, Agamemnon paya bien cher l’h
énie, et qu’elle fit de cette princesse une de ses prêtresses. 5. Les Grecs ayant ainsi satisfait aux arrêts du destin, leur
oyer Hélène, et cette nouvelle perfidie enflamma encore la colère des Grecs . 6. Pendant neuf ans on se livra une foule de com
ès, prêtre d’Apollon, sa fille Chryséïs. Par représailles le chef des Grecs usa de son souverain pouvoir pour forcer à son to
sa tente, laissant tout le poids de la guerre à Ménélas et aux autres Grecs . Les Troyens profitèrent de cette retraite pour a
hements, et Achille restait inexorable. Le spectacle des malheurs des Grecs et des victoires des Troyens, les prières de ses
Patrocle. Le héros troyen n’osa se mesurer avec le plus vaillant des Grecs  : et trois fois il fit le tour des murs de Troie
nts lugubres ; l’oracle de Dodone fit l’apothéose du guerrier, et les Grecs , après la ruine de Troie, immolèrent sur son tomb
beau Polyxène. 9. Troie ne fut prise qu’à l’aide d’un stratagème. Les Grecs , lassés de combattre, firent construire un grand
Hécube et prêtre d’Apollon et de Neptune, se douta de la perfidie des Grecs . Mais ses discours ne purent tirer ses concitoyen
hine au sein de leur cité, et commencèrent à se réjouir du départ des Grecs . Le traître Sinon, qui s’était fait passer pour u
r peindre les imprécations que dans sa rage elle vomissait contre les Grecs . Pâris périt blessé par une des flèches d’Hercule
taché ainsi Rome aux destinées fameuses de la ville de Troie. 11. Les Grecs ne furent guère plus heureux que les Troyens. Aga
loutit le présomptueux guerrier. 13. Mais le plus célèbre de tous les Grecs par ses aventures fut Ulysse, dont Homère nous a
Troie ? 2. Quelle fut l’origine de la discorde qui s’éleva entre les Grecs et les Asiatiques ? Quelle insulte fut faite par
d’Achille ? Quels moyens employa sa mère pour l’éloigner du camp des Grecs  ? Comment fut-il reconnu par Ulysse ? 4. Qu’arriv
evue avec Priam ? Comment mourut Achille ? 9. Par quel stratagème les Grecs s’emparèrent-ils de la ville de Troie ? Quel étai
la chronologie, et son système fut si universellement adopté que les Grecs ne comptèrent que par olympiades. Dans ces jeux o
ds de long qu’on appela stade et qui servit de mesure de distance aux Grecs . Le vainqueur ne recevait qu’une couronne d’olivi
la connaissance du passé, du présent et de l’avenir, fut le devin des Grecs au siége de Troie. Ils ne faisaient rien que par
iens, la Milytta des Chaldéens, l’Anaïtis des Arméniens, la Vénus des Grecs . 4. Les mages, qui se faisaient à tous ces désord
allégorique, 102. Erymanthe, mont, du Pélop., 113. Eschyle , poëte grec , 139, 157. Esculape, fils d’Apollon, son histoir
fl. d’Asie, 172. Euphrosine, une des Grâces, 58. Euripide , poëte grec , 157. Europe, fille d’Agénor, 135. Eurus, vent
feu sacré entretenu par les Vestales, 19. Fièvre, son culte chez les Grecs , 98. Flore, son culte et ses attributs, 78. Foi
rgones, sœurs issues de Neptune, 44, 127. Goutte, son culte chez les Grecs , 98. Grâces, 56. Grèce, 104, 136, 142, 152, 154
te chez les Grecs, 98. Grâces, 56. Grèce, 104, 136, 142, 152, 154. Grecs , leurs dieux et leur culte, 42, 35, 47, 76, 98, 9
, mont. de la Béotie, 36. Hellé, fille d’Athamas, 105. Hellènes, ou Grecs , 141. Hellespont, 105. Hemathion, fils de l’Aur
Vénus, 136. Hermione, fille de Ménélas, 149. Hérodote , historien grec , 157, 171. Hésiode , poëte grec, 95. Hésione,
énélas, 149. Hérodote , historien grec, 157, 171. Hésiode , poëte grec , 95. Hésione, fille de Laomédon, 33. Hespérie,
Hipponoüs ou Bellérophon, 129. Hiranya, géant, 164. Homère, poëte grec , auteur de l’Iliade et de l’Odyssée, 26, 86, 150.
, fille de Thémis, 23, 89, 91 ; son temple à Rome, 15. Palamède, pr. grec , de l’île d’Eubée, 142. Palès, dieu des bergers,
hénicie, c. d’Asie, 59, 180. Phéniciens, 141. Phid ias , sculpteur grec , 26, 45. Philæ, île, en Egypte, 180. Philémon,
s, roi du Latium, 77. Piété, div. allégorique, 90. Pindare , poëte grec , 157. Pinde, mont, aux frontières de la Thessali
et Pitthèe, roi de Trézène dans le Pélop., 117. Platon , philosophe grec , 157, 161. Plutarque , auteur cité, 156. Pluto
Pyrrhus, ou Néoptolème, fils d’Achille, 147. Pythagore , philosophe grec , 157. Pythie, prêtresse d’Apollon, 459. Pythien
Simoïs, fl. de la Troade, 145. Sinnis, brigand, 118. Sinon, espion grec , 147. Sirènes, 64, 108. Sisyphe, puni aux enfer
, 83. Songes, habitent le palais du. Sommeil, 84. Sophocle , poëte grec , 157. Souargas, sphères célestes, 164. Soucis,
Capanée, 140. Stheno, une des Gorgones, 44. S trabo n , historien grec , 171. Stropheus, nom de Mercure, 43. Stropheus,
e, fl. de la Troade, 145. Xathryas, 166, 168. Xénophon , historien grec , 171. Y Ymer, 193. Yogui, saint parmi les
3 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
e Paganisme sur le caractère, les mœurs et la littérature des anciens Grecs et des Romains. Ce recueil de fables sans liai
le fussent point (par les raisons qu’on vient de dire), aux yeux des Grecs et des Romains ; mais, en général, les allégories
e combinaison pour attacher le lecteur et pour l’intéresser, Chez les Grecs c’est un sentiment naturel qui se mêle à tout. Il
r4, pour répandre sur tous les objets la profonde mélancolie du génie grec et romain. L’ombrage sous lequel on repose, cache
squ’elle offre l’expression de la mélancolie. Toutes les belles têtes grecques ont une expression de tristesse et même de douleu
lle les héros d’ Homère, et les personnages intéressans des tragédies grecques , on trouvera qu’ils ont tous le caractère que je
n père, voila la tête d’Agamemnon. Si telle eût été l’idée du peintre grec , il n’auroit fait qu’éluder une grande difficulté
d’adresse n’est nullement un trait de génie. On sait que les artistes grecs avoient plus de confiance dans leurs forces : eux
nthe, Agamemnon voile son visage pour dérober ses larmes aux yeux des Grecs , qui les trouveroient d’autant plus inexcusables,
s paroître plus touchant et plus beau qu’il ne devoit l’être pour les Grecs  ; ce n’est point par la crainte d’apprendre le pl
es formèrent, pendant tant de siècles, la religion des Egyptiens, des Grecs et des Romains, il me semble qu’il est intéressan
cette étude, et qu’il me semble que j’ai prouvé 1.° que la Mythologie grecque , malgré l’opinion contraire universellement reçue
es ; et 2.° que les effets de son influence furent de donner au génie grec et romain une profonde mélancolie, une grande fér
parricides. Saturne et Cybèle. Saturne ou le Temps (que les Grecs appeloient Cronos), fils d’Uranus, eut pour femme
fils de Saturne et de Cybèle et Dieu des mers, épousa Amphitrite. Les Grecs le nommoient Poséïdon. Il porte un sceptre à troi
s Locriens et les Arcadiens lui élevèrent aussi des temples. Chez les Grecs et les Romains les serviteurs et les amis de ceux
t les jetoient dans le bûcher funéraire, pour fléchir Proserpine. Les Grecs appeloient cette Déesse Perséphoné. On dit que Pr
e fer, les esprits malfaisans. Ce fut Orphée qui introduisit chez les Grecs l’usage d’évoquer les mânes. Les Thessaliens surt
ître l’olivier. On lui adjugea le prix. Comme la Déesse s’appeloit en grec Athéné, la ville fut nommée Athènes. Minerve voul
rendroit jamais la ville tant que cette statue resteroit à Troie. Les Grecs , sous la conduite d’Agamemnon, étant venus assiég
et enlevèrent ce fameux Palladium : peu après la ville fut prise. Les Grecs , selon quelques-uns, ne prirent qu’un faux Pallad
. Voici les principaux surnoms de Vénus : Aphrodite (mot qui vient du grec et qui signifie écume) et Anadiomène (sortant de
elle épousa Crétès ; ce fut d’elle que descendit le sage Nestor. Les Grecs faisoient tant de cas de la beauté, qu’ils la cél
e Naxos, fils de Charopus et d’Aglaïa, étoit le plus beau des princes Grecs qui firent le siége de Troie. Aconce, jeune homme
mises à des concours publics ; avec cette différence pourtant que les Grecs décernent le prix à la plus belle et les Barbares
æna et Cléta. L’Amour et Psyché. L’Amour ou Cupidon, que les Grecs nommoient Éros, étoit fils de Mars et de Vénus. I
auté qu’on lui a tant reprochée depuis. Il aima Psyché dont le nom en grec signifié ame. Il la fit enlever par Zéphire, qui
posé sur une tête de mort. Une chose assez singulière, c’est que les Grecs n’ont jamais élevé de temples à l’Amour et à l’Am
furent célébrés depuis on invoqua toujours le nom d’Hyménée, dont les Grecs firent ensuite un Dieu : les Romains le nommoient
vent fut la Thrace. Il fut aimé de Vénus et de plusieurs nymphes. Les Grecs appeloient ce Dieu Arès. Halirrothius, fils de Ne
er des Dieux. Ce nom vient, dit-on, de marchands ou marchandises. Les Grecs le nommoient Hermès, ce qui signifie interprète o
le surnom de triple Déesse. On a fait dériver le nom d’Hécate du mot grec ecaton, cent, soit parce qu’on lui offroit souven
, ce qui n’a pas empêché qu’il ne soit parvenu jusqu’à nous. Chez les Grecs les jeunes gens des deux sexes ne coupoient leurs
frande à Hygée, dans Argos et dans Athènes à Minerve. D’autres jeunes Grecs consacroient leur première chevelure à Esculape,
Délos étoit si célèbre, que les Perses qui, dans la guerre contre les Grecs , brûlèrent tous leurs temples, épargnèrent celui-
rand-prêtre Chrysès, dont Agamemnon enleva la fille Chryséis, que les Grecs , aux champs de Troie, périrent sous ses traits. L
ngagea à venir à son secours dans la ville de Troie, assiégée par les Grecs , en lui envoyant en présent un ceps de vigne en o
. Dieu Égyptien, fils d’Isis et d’Osiris, Dieu du Silence. Les Grecs le nommoient Sigalion. Les lentilles et le pêcher
utes les époques les plus intéressantes de l’année devinrent chez les Grecs et chez les Romains celles des excès les plus lic
’on avoit institué les fêtes licencieuses appelées Lupercales. Pan en grec signifie tout. On croit que sous ce nom les ancie
istres du culte idolâtre chez les Gaulois. Leur nom est pris d’un mot grec qui signifie chêne, parce qu’ils demeuroient et f
la pudeur et de la modestie. L’origine du voile est reportée par les Grecs , à la Modestie et à la Pudeur, qui sont également
encore, comme autrefois, une partie essentielle de l’habillement des Grecques , et distingue les conditions. Celui de la maîtres
e libre et de l’esclave est différent. Aujourd’hui le voile des dames grecques est de mousseline tissu d’or aux extrémités. Les
es fleurs. Comus. Dieu des festins. Son nom venoit d’un mot grec qui signifie manger. La Fable ne lui donne point
çoient la médecine que dans les places publiques. Clinique est un mot grec , qui signifie lit. Les médecins et les botanistes
ne l’en retira. On l’honora en Crète, sous le nom de Dictinna, du mot grec dictyon (filet), parce qu’on lui attribue l’inven
des Dieux Lares.   On n’a placé dans ces Arabesques que les divinités grecques et romaines, à l’exception d’Isis et d’Harpocrate
nes ; mais une partie de l’histoire d’Isis appartient à la Mythologie grecque . Les autres divinités dont on n’a point parlé son
qui adoroient en elle le Soleil ou le feu. Il y a dans la Mythologie grecque et romaine plusieurs divinités subalternes qu’il
dessécha et ne lui laissa plus que la voix. 13. Ce mot Égide, Aïx en grec , signifie Chèvre. Quelques auteurs disent que c’é
pas voulu en sortir pour se rendre aux ordres de Jupiter. Chéloné, en grec , signifie Tortue. 44. Ce bœuf devoit avoir cer
4 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
es les fables de l’antiquité païenne ; elle tire son nom de deux mots grecs , mythos et logos, qui signifient discours fabuleu
e Saturne présidoit au ciel. Enfin, elle eut le nom de Rhée, d’un mot grec qui veut dire, je coule, parce que toutes choses
es Mégalésiennes, ou les jeux Mégalésiens. Ce mot vient d’un adjectif grec qui signifie grande, parce que c’étoient les fête
l’éloquence ; etc., et on l’appela Pandore, nom composé de deux mots grecs qui signifient tout don. D. Jupiter ne fit-il pas
uoi le maître des dieux fut-il surnommé Jupiter-Ammon ? R. Ammon, en grec , veut dire arène ou sable. Or, Bacchus s’étant ég
ux, touchés de compassion, les changèrent en divinités maritimes. Les Grecs honoroient Ino sous le nom de Leucothoé, et les R
mbres dans une barque pour une pièce de monnoie ; de là vient que les Grecs et les Romains mettoient une obole dans la bouche
ropie, du nom de Cécrops, son fondateur. Minerve étoit nommée par les Grecs Athéna ou Athéné. L’olivier lui étoit consacré. D
fut changé en serpent, ainsi que sa femme. D. De quelle invention les Grecs sont-ils redevables à Cadmus ? R. On prétend qu’
uleur et du corps aux pensées. Harmonie, femme de Cadmus, donna aux Grecs les premières connoissances de l’art qui porte so
ir l’ardeur qui m’inspire : Déesse, prête-moi la lyre, Ou celle de ce Grec vanté, Dont l’impitoyable Alexandre, Au milieu de
camps aussitôt s’abandonnent en proie, Le nôtre à la douleur, et les Grecs à la joie ; Et le peuple, alarmé du trépas de son
Hésione avec Hélène. Mais l’événement trompa son attente. Les princes grecs refusèrent de rendre Hésione ; et, ayant fait ent
achée à certains événements qui devoient être accomplis avant que les Grecs se rendirent maîtres de cette ville. On compte si
rèche pour introduire dans la ville le fameux cheval de bois. 6°. Les Grecs ne pouvoient prendre Troie, s’ils n’avoient dans
un fils d’Hercule. Ce fils d’Hercule étoit Télèphe, roi de Mysie. Les Grecs avoient ravagé les terres des Mysiens, et Achille
Mysie, il le guérit, et l’amena devant Troie. D. Par quelle ruse les Grecs s’emparèrent-ils de Troie ? R. A la fin de la di
ecs s’emparèrent-ils de Troie ? R. A la fin de la dixième année, les Grecs , lassés d’un si long siége, et rebutés de tant d’
soldats qui devoient être renfermés dans les flancs de ce cheval. Les Grecs feignirent de partir, et se retirèrent à l’île de
t, le traître Sinon ouvrit les flancs du cheval, et en fit sortir les Grecs qui y étoient cachés. Les autres Grecs, étant rev
u cheval, et en fit sortir les Grecs qui y étoient cachés. Les autres Grecs , étant revenus de Ténédos pendant la nuit, entrèr
nos murailles, Las de voir par le sort, leurs assauts repoussés, Les Grecs , courbant des ais avec art enchâssés. D’un cheval
plus qu’un abri peu propice au nocher. Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. Nous les croyons partis ; sur les
ants. Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, Vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. On aime à voir ces champs
soit lâche trahison, Soit qu’ainsi l’ordonnât le destin d’Ilion, Des Grecs favorisant la perfide entreprise, Dans nos murs a
ôt prétend qu’on l’introduise. Mais les plus éclairés, se défiant des Grecs , Veulent que, sans tarder, ces présents trop susp
ont couvert les travaux des humains, Et la terre, et le ciel, et les Grecs , et leur trame. Un silence profond règne au loin
que le ciel en courroux, Qu’une folle pitié protégea contre nous, Aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière. Dans l’ombre
ad. de M.  Delille.) D. Quels furent les principaux chefs de l’armée grecque  ? R. Ce furent Agamemnon et Ménélas, qu’on appel
lons faire connoître plus particulièrement les principaux d’entre les Grecs  ; nous parlerons ensuite des principaux Troyens.
ns ensuite des principaux Troyens. Personnages célèbres de l’armée grecque . Agamemnon, Ménélas. D. De qui les deu
a toute la Grèce pour venger son injure. Après la prise de Troie, les Grecs remirent Hélène entre les mains de Ménélas, et le
e foi avec elle, et la ramena à Sparte. D. Quel chef élurent les rois Grecs , ligués contre la ville de Troie ? R. Ils mirent
de ce qu’il avoit tué une biche qui lui étoit consacrée, refusoit aux Grecs un vent favorable, et que la déesse ne pouvoit êt
J’avois révoqué l’ordre où l’on me fit souscrire ; Sur l’intérêt des Grecs vous l’aviez emporté. Je vous sacrifiois mon rang
e ; Faites rougir ces dieux qui vous ont condamnée. Allez, et que les Grecs , qui vous vont immoler, Reconnoissent mon sang en
més ! Non, je ne l’aurai point amenée au supplice ; Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice. Ni crainte, ni respect ne pe
nalèrent-ils devant Troie ? R. Agamemnon ne montra, dans le camp des Grecs , qu’une ame également orgueilleuse et foible. Sa
refusée. Apollon, à la prière de son grand-prêtre, désola le camp des Grecs par la peste. Calchas déclara que la contagion ne
rendue à son père. Achille pressa vivement Agamemnon de délivrer les Grecs du terrible fléau qui depeuploit leur camp. Le ro
un temple d’Apollon, qui étoit entre la ville de Troie et le camp des Grecs . A peine étoit-on assemblé, que le lâche Pâris la
de la mort d’un guerrier qu’elle aimoit. Après la prise de Troie, les Grecs immolèrent cette princesse sur le tombeau d’Achil
ie, fut élevé à la cour du roi Lycomède. Après la mort d’Achille, les Grecs , qui avoient appris de l’oracle, que Troie ne pou
chargea d’aller à Lemnos pour engager Philoctète à venir au camp des Grecs avec les flèches d’Hercule. Ce fut Pyrrhus qui tu
vie. Hermione. Il est mort ! Oreste. Il est mort !Il expire ; et nos Grecs irrités Ont lavé dans son sang ses infidélités. J
ît de ce complot une funeste image, J’ai couru vers le temple, où nos Grecs dispersés Se sont jusqu’à l’autel dans la foule g
r de face : Il sembloit que ma vue excitât son audace ; Que touts les Grecs , bravés en leur ambassadeur, Dussent de son hymen
des Troyens. » A ces mots, qui du peuple attiroient le suffrage, Nos Grecs n’ont répondu que par un cri de rage ; L’infidell
perfide. Et n’impute qu’à toi ton lâche parricide, Va faire chez les Grecs admirer ta fureur, Va ; je la désavoue, et tu me
es flèches, et lui fit jurer de ne jamais découvrir sa sépulture. Les Grecs , instruits par l’oracle, qu’ils ne pouvoient se r
hées. Philoctète, qui ne vouloit ni violer son serment, ni priver les Grecs de l’avantage que devoient leur procurer ces flèc
e qui jetoit une odeur infecte et insupportable. Ulysse conseilla aux Grecs d’abandonner Philoctete pendant son sommeil. Ils
ète fut-il tiré de l’île de Lemnos ? R. Après la mort d’Achille, les Grecs , voyant qu’ils ne pouvoient s’emparer de la ville
l étoit question de surprendre Philoctète justement irrité contre les Grecs , et de le déterminer à s’embarquer, sous prétexte
e conduiroit sur la côte d’Asie. Pyrrhus feignit d’être mécontent des Grecs , qui lui avoient refusé les armes d’Achille son p
urs de Philoctète. R. Philoctète raconte ainsi à Pyrrhus comment les Grecs l’ont abandonné, et quels maux il a soufferts23.
Ionienne, dont l’une se nommoit Ithaque, et l’autre Dulichium. Le mot grec Ulysse veut dire, qui est craint de tout le monde
en autant par son esprit à la prise de Troie, que les autres généraux grecs par leur courage. L’amour qu’il avoit pour sa jeu
i fit chercher plusieurs moyens pour ne point accompagner les princes grecs dans leur expédition. Il imagina de contrefaire l
e n’étoit que simulée. D. Quels services Ulysse rendit-il aux princes grecs  ? R. Il découvrit, à son tour, Achille qui étoit
Priam avoit confié son fils Polydore, pour le dérober à la fureur des Grecs . Lorsque la fortune eut trahi les affaires des Tr
ton, en passant entre ses jambes et sous ses mains, emporta un soldat grec , et le chef passa le dernier. Polyphème, rentré d
it, et leur lança à tout hasard, un rocher d’une grosseur énorme. Les Grecs l’évitèrent aisément, et s’embarquèrent, après n’
nous ont-elles été transmises ? R. Par Homère, le père de la poésie grecque . Il florissoit vers l’an 300 après la prise de Tr
eau, dans lequel il a célébré la colère d’Achille, si pernicieuse aux Grecs , et la ruine de la ville de Troie. Ce poëme a pou
me toutes les grandes beautés des anciens. Ajax. D. L’armée des Grecs ne comptoit-elle pas plusieurs guerriers nommés A
Télamon, roi de Salamine. Il fut, après Achille, le plus vaillant des Grecs . Mais il étoit, comme lui, brutal, emporté. Après
t vieux, lorsqu’il se rendit au siége de Troie, Il fut très-utile aux Grecs par la sagesse de ses conseils. Agamemnon disoit
iomède, fils de Tydée, étoit roi d’Etolie. Il partit avec les princes grecs pour la guerre de Troie. Ses exploits l’y firent
ils étoient convenus. La lettre fut lue dans l’assemblée des princes grecs  ; on envoya dans la tente de Palamède, pour s’ass
ersite. R. Thersite étoit le plus laid et le plus lâche de touts les Grecs . Homère dit qu’ il faisoit un bruit horrible : il
? R. Sinon, fils de Sisyphe, est connu par sa fourberie. Lorsque les Grecs feignirent de lever le siége de Troie, Sinon se l
du cheval, et les portes de la ville, qui tomba ainsi au pouvoir des Grecs . Personnages célèbres de Troie. Priam.
ous connoître Comment de cet état périt l’auguste maître ? Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts. Son antique p
e plusieurs combats contre les plus redoutables guerriers d’entre les Grecs , tels qu’Ajax et Diomède. Suivant les oracles, l’
leurs remparts jusqu’alors assiégés, Sous leurs différents chefs les Grecs étoient rangés ; Entr’eux et les Troyens s’étend
ge, Notre Hector suspendu ! Son front défiguré, Ce front terrible aux Grecs , des Troyens adoré, Roule, et sillonne au loin la
ois Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son fils que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu’après tout ses man
Céphise, il fera plus qu’il n’a promis de faire. Sur le courroux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va donner un pè
e Troie, combattit contre Ménélas, et ne se déroba aux coups du héros grec , que par la protection de Vénus. Il blessa Diomèd
Cette aventure a donné lieu à un des plus beaux morceaux de sculpture grecque , que nous possédions. Ce chef-d’œuvre est de la m
ici : Pergame, après dix ans de siége, de carnage, Bravoit encor des Grecs le superbe courage. Ces Grecs si fiers, armés sur
de siége, de carnage, Bravoit encor des Grecs le superbe courage. Ces Grecs si fiers, armés sur la foi de Calchas, Comptoient
uyez ! fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; » Ce présent vient des Grecs , c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa mai
re est ébranlé. Ses entrailles mugissent ; Sous leur abri douteux les Grecs tremblants pâlissent. Pour la première fois dans
. Mais du cheval fécond le flanc s’ouvre, et soudain La mort avec les Grecs dans nos mars est vomie. Leur fer, long-temps cap
t bâti le temple de Diane ? R. Il fut bâti par Ctésiphon, architecte grec , et par Métagène son fils. II étoit soutenu par c
calcul sont-elles promptement oubliées. « Donnez-leur des histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de cou
base à notre religion, on devra lui donner successivement l’histoire grecque , l’histoire romaine, celle de France, et les autr
aître, Par Esope l’esclave, et Phèdre l’affranchi, A Rome et chez les Grecs fut sans faste enrichi. Il reçut le bon sens, l’é
5 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
nt en effet des plus nombreuses ; mais c’est au mélange des religions grecque et romaine que nous sommes redevables de la plus
ire passer les premières. Cependant, réflechissant combien les fables grecques sont répandues, nous avons fini par adopter la re
logie Grecque-Romaine. Plus que tout autre peuple, la nation grecque fut propre à être le berceau d’une religion riche
tes merveilleux. En effet, vains, légers, voluptueux et crédules, les Grecs adoptèrent aveuglément, aux dépens de la raison e
e leurs prêtres, ou aux chants mélodieux de leurs poètes, comment les Grecs n’auraient-ils pas laissé se fonder chez eux une
formation des mondes. — Comme dans toutes les religions, la théogonie grecque reconnaissait une matière primordiale ; elle lui
are et la Terre ; et chez Hésiode, le grand historien de la théogonie grecque  : l’Erèbe, le Tartare et l’Amour. généalogie de
ui firent prendre à l’univers un aspect régulier, nous dirons que les Grecs ensuite donnèrent pour enfans à Démogorgon, le So
; puis après avoir établi cette espèce de généalogie primordiale, les Grecs supposèrent encore que la Nuit unie au Chaos, enf
au Chaos, enfanta l’aveugle et tout-puissant Destin ou Eimarmenê des Grecs , et le Fatum des Romains, à côté duquel ils placè
tout autre personne du même nom, Criase, Alabande et Hydê. Alors les Grecs tournèrent leurs premières adorations positives v
ermine la généalogie classique des grands générateurs de la théogonie grecque  ; cependant on reconnaissait encore pour fils d’U
r la suite, pour épouse, Héméra ou le Jour. Enfin, les excursions des Grecs vers les pays du Nord, finirent par en importer l
ire la matière brute sortie du Chaos, s’appelait Gê ou Titée chez les Grecs , Apie chez les Lydiens, et Eurysternos, ou à larg
ait en Phrygie dès l’an 1580 av. J.-C., le véritable rôle d’une Cérès grecque , déesse des moissons, que nous rencontrerons avec
l’autre, elles conservèrent toutes deux, en entrant dans la théogonie grecque , l’aspect de jeunesse ou de vieillesse que les Cr
vu, leur capitale de la statue de la déesse protectrice des peuplades grecques qu’ils venaient de soumettre. En reconnaissant ai
int, et suivons leur histoire. Rhée, dans la Mythologie composite des Grecs , n’a point de jeunesse : on la trouve tout de sui
s les unes des autres, ne furent mariées ensemble que par les prêtres grecs seulement, qui cependant leur conservèrent leur o
Une dernière tradition egyptiaco-hellénique due aux relations que les Grecs avaient continuellement avec l’Egypte, considérai
ns en développant le système religieux de l’ancienne Égypte. Le mythe grec véritable est donc la substitution des enfans mâl
inconnus, quoiqu’on leur donne pour mère la reine Mélissa dont le nom grec signifie abeille, et que d’autres les fassent enf
ès et Junon, doit être considérée comme la Terre. Son nom dérivant du grec veut dire couler, parce que de la terre découlent
ent toutes les choses. Quelques savans faisant remonter la mythologie grecque à des personnifications physiques, voient dans Ch
e déesse que trop souvent on confond avec elles, sur cette Hestia des Grecs ou Vesta des Romains, laquelle n’était pas plus C
culte. On sait que dans le Penus ou sanctuaire d’un temple, comme les Grecs dans tous leurs Pyrées ou temples découverts, on
J.-C., suivant les autres, il tomba sur cette langue de terre que les Grecs appelaient Hespérie, et que nous nommons Italie.
nc, comme on le voit, dans toute cette histoire, un amalgame de faits grecs et italiotes. Ce fut en récompense de ce bienveil
her du soleil ; l’on exprimait les quatre dernières, par les chiffres grecs ζ ou 7, η ou 8, θ ou 9, et ‘ ou 10, dont le mot ζ
r des observations astronomiques. Tout en imitant cette division, les Grecs s’en rapportèrent aux calculs des autres peuples,
Mais dans les derniers temps de la Grèce, à l’époque de l’incrédulité grecque , ce nom de Saturne devint un sobriquet, et ne sig
de. Ce Jupiter, ainsi connu chez les Romains, et appelé Zévs chez les Grecs , et Dén ou Dan chez les Crétois, fut, dans les te
is, fut, dans les temps vulgairement historiques, le Dieu suprême des Grecs et des Romains. C’est le plus puissant de tous le
ut son dernier exploit. Ensuite il mourut de vieillesse en Crète. Les Grecs avaient remplacé cette légende par une autre beau
des phénomènes physiques qu’elles produisaient, elles recevaient des Grecs divers surnoms : aussi les appelait-on claires, f
Prométhée. Enfin l’origine de Japet paraissait tellement ancienne aux Grecs et aux Romains, qu’il n’était plus pour eux qu’un
se ranger sous ses drapeaux ; car, considérée comme la Terre-Loi des Grecs , comme le piédestal des faits et des lois, elle e
tre femelle, née de la Terre et probablement d’Uranus, et dont le nom grec signifiait chenille. A l’instant où Jupiter voulu
r. D'abord il laissa même au-dessus de lui le Destin ou Eimarmenê des Grecs , et le fatum des Latins, puissance souveraine à l
Puissans, savoir : six dieux et six déesses. On leur donnait les noms grecs suivans, à la suite desquels nous placerons la tr
est généralement admis par la plupart des historiens de la Mythologie grecque , mais qu’il se rencontre dans toutes les religion
e des fautes ; c’est l’Eve des Hébreux, importée dans la religion des Grecs et des Romains. Jupiter ayant ainsi diminué la va
ire, et probablement ainsi de beaucoup antérieur au premier sculpteur Grec Dibutade, qui vivait dans le neuvième siècle avan
hrist, qui donna le nom d’Helléniens à ses sujets, nom que les autres Grecs n’adoptèrent qu’au commencement des Olympiades ;
offrant, pour mieux l’honorer, des sacrifices humains. Plus tard les Grecs civilisés supposèrent que Jupiter étant venu chez
l’histoire de Deucalion et de Pyrrha. Elle nous montre la théocratie grecque agglomérant dans la même idée la végétation des p
toire des Romains. Elle avait des ailes à Rome, mais au contraire les Grecs l’appelaient Aptère, et la figuraient sans ailes,
voyait une autre non moins terrible, elle était appelée Até chez les Grecs , et la Discorde ou l’Injure chez les Romains ; sa
et plusieurs de ses enfans sont très-remarquables dans la mythologie grecque et romaine. Junon, la première et la seule légit
à la séduire sans que son titre de sœur l’en détournât ; car chez les Grecs des anciens temps comme chez plusieurs peuples sa
érémonie solennelle connue actuellement sous le nom de mariage, ou en grec Teleios Gamos, signifiant union légale de l’homme
non, la grande déesse de Carthage, fut successivement adorée chez les Grecs et les Romains. Ces derniers étaient persuadés qu
mariée le jour des noces ; les Junonies étaient à Rome les Hérées des Grecs  ; les Lysandries étaient les anciennes fêtes de J
que où Junon y était en honneur, n’était point encore admise chez les Grecs . Quant aux brouilleries de Jupiter et de sa femme
mnos ; le quatrième, fils de Ménalius, avait ses forges à Lipari. Les Grecs les confondirent probablement tous sous un même n
ortir du feu des caillous. Arès ou Mars, le dieu de la guerre des Grecs et des Romains, portait les différens noms et sur
d’Edesse. Mais le Mars le plus célèbre est toujours Arès ou celui des Grecs , c’était le Dieu de la guerre, il, était suivant
Grecs, c’était le Dieu de la guerre, il, était suivant les historiens grecs , fils de Jupiter et de Junon, mais les poètes lat
s avoir tué sous la figure du troyen Acamaïs un grand nombre de héros grecs pour venger la mort d’Ascaphale, immolé par Déiph
immolait sur ses autels les prisonniers de guerre. Les Romains et les Grecs l’honoraient sous le nom de Ares et de Mars. Numa
ellone, dont nous venons de parler, portait les noms d’Enyo, chez les Grecs , et de Duellona, primitivement chez les Romains.
en effet, depuis ces temps reculés, ils ne quittent jamais l’horizon grec et italien. Quant au jeune Actéon, il fut victime
is ; puis elle se confond avec la Sélénée, l’Artémise et l’Hécate des Grecs . Considérée sous son nom de Sélénée, c’est la sœu
donna le nom masculin de Lunus à l’astre dirigé par Sélénée. Chez les Grecs la Lune fut promptement divinisée dans la personn
har, et un nuage épais dérobait son absence aux yeux des mortels. Les Grecs ayant confondu le culte de cet astre avec celui d
sacrifiaient en habits de femmes, et les femmes vêtues en hommes. Les Grecs et les Romains représentaient la Lune en plaçant
eau dans la gauche, et un coq sous ses pieds. Quant à Hécate, que les Grecs confondaient aussi avec Diane ou Proserpine, elle
iformis, ou aux trois têtes et aux trois corps, elle passait chez les Grecs pour fille de Jupiter et de Latone, mais leur myt
tis ou le devin par la farine, Amazonius ou qui termina la guerre des Grecs et des Amazones, Amphysius ou du fleuve Amphyse,
d’Iris chez les Egyptiens, lequel devint Apollon ou Phébus, chez les Grecs et les Romains. Cicéron compte cinq personnificat
t découvert la marche du soleil et des autres corps célestes, que les Grecs avaient inventé ces fables ? C'est ce qu’il nous
léen, Hecatos, Hyperion, Phanès et Phanetas, Targelios et Titan. Les Grecs et les Romains n’ayant jamais séparé l’histoire d
dorait à Delphes, était l’Hyperboréen. Apollon était regardé par les Grecs comme le fils de Jupiter et de Latone. Nous l’avo
ste pour la rendre à son mari. Mais ce fait, trop historique pour les Grecs , fut bientôt brillamment embelli ; on en fit une
n Troyen d’enlever par la suite Hélène, épouse de l’un des souverains grecs les plus puissans, vengeance qui, nous le verrons
r dans la mer, c’est-à-dire, que le soleil disparaissait de l’horizon grec borné au couchant par la mer. Pendant son exil su
, y perdre son nom d’Osiris et y recevoir comme astre l’adoration des Grecs et surtout des Rhodiens, qui lui rendaient un cul
n chez les Mityléniens hors des murs de leur ville. Les Néoménies des Grecs ou Calendes romaines étaient, dans toute la Grèce
ux. Le plus fameux de ces temples était celui de Delphes, où le héros grec Philaque était religieusement honoré, probablemen
ppèrent. Quant à leur père, il chercha à éviter ensuite la colère des Grecs en se réfugiant dans la ville de Troie. Crinis ét
on, et de l’Egypte cette pratique superstitieuse se répandit chez les Grecs et les Romains. Nous-mêmes, au dix-neuvième siècl
rs d’une certaine influence sur quelques esprits. Dans l’origine, les Grecs empruntèrent aux Chaldéens l’art des augures, sor
 : s’étaient les paroles fortuites appelées Phêmen et Klédona par les Grecs , ou Omen pour Orimen par les Romains ; c’étaient
fussent, comme tant d’autres découvertes perdues, que renouvelées des Grecs , et n’aient été retrouvées que dix-huit siècles a
s J.-C. Cependant il est plus probable de supposer que les sculpteurs grecs ont été de simples imitateurs de la nature, et qu
ouble fable reposait sur l’équivoque du mot Peleiai qui signifiait en grec ou colombe, ou vieille femme. Pour donner un pres
-fils de Thésée par Acamas, son père, que nous verrons aller avec les Grecs au siége de Troie et épouser Laodice, fille de Pr
l’avenir. Calchas, fils de Thestor ; nous le verrons dans l’armée des Grecs , devant Troie. Carnos ou Carnus, et non Arnus, ar
, et fut tué par Turnus. Echine ; Ennome de Mysie, célèbre augure des Grecs , tué devant Troie par Achille, Ethion, devin que
urypile, le thessalien, fils d’Evémon que nous verrons aller avec les Grecs au siége de Troie. Halytherse d’Itaque, fils de M
résidait à Cumes en Italie ; l’Erythréenne avait prédit le succès des Grecs lorsqu’ils partirent pour la guerre de Troie ; la
ent brûlés par Stilicon. Erythrée, sibylle, née à Erythre, prédit aux Grecs que Troie périrait et qu’Homère écrirait des faus
adoucir les mœurs farouches des Thraces qu’il gouvernait, les anciens Grecs se servaient d’une métaphore charmante : ils disa
blonde et brillante Aurore appelée aussi Eoos ou l’orientale chez les Grecs , Angeleia ou l’annonciatrice ; Troceopeplos ou au
hez elle ; alors Chrysès offrit une hécatombe à Apollon en faveur des Grecs , et la peste cessa ; mais Chryséis étant devenue
tournesol, et que le voisinage de celui-ci fit mourir le premier. Les Grecs donnèrent encore le nom de Leucothoée à une sœur
pythiens. C'était aussi pour attirer la commisération du Dieu que les Grecs , pendant la durée des maladies contagieuses, plaç
es branches de cet arbre si cher à Apollon. Cette nymphe, dont le nom grec signifiait laurier, fut honorée à Sparte comme dé
Egialée, Egla, Etérie, Hélie, Myrope et Phœbé. Manto, la prophétesse grecque , appelée aussi Artémise ou Daphné, ne doit pourta
divinité champêtre, d’une manière toute particulière par les bergers grecs et siciliens. Sa statue se voyait à Syracuse, dan
s, le sanglier qui tua l’amant de Venus. Esculape ou l’Asclépios des Grecs , fut le type primordial des médecins dans la Grèc
giea par Périclès. Elle était fille d’Esculape et d’Epione. Les dames grecques honoraient Hygie d’une manière spéciale en lui co
orsque les fêtes de Bacchus et les jongleurs eurent habitué le peuple grec à considérer les serpens comme des êtres merveill
squ’il passa en Egypte d’où il vint en Grèce avec toutes les colonies grecques nomades, et qu’il prit ainsi rang au milieu des n
inconnue, et dont les recherches seraient fort peu interessantes. Les Grecs et les Romains rattachaient au culte d’Esculape l
s’il était fils d’Apollon ou de Neptune et d’Enope ; Mélanée était un grec si habile à tirer de l’arc qu’on le disait fils d
ouvant à leur gré commander la pluie, la grêle ou la neige. Aussi les Grecs les surnommaient destructeurs, ils devaient le pl
onception. Pour la rendre sensible aux yeux du vulgaire, la Théogonie grecque la personnifia et en fit une femme qu’elle suppos
ette Eurynome avait eu de ce dernier les trois Graces ou Charitès des Grecs , appelées : Aglaé ou Eglé, Euphrosyne et Thalie E
enant la forme d’un berger. Elle se rendit célèbre dans la mythologie grecque et romaine en mettant au jour les Muses, compagne
Apollon, avec lesquelles nous avons fait connaissance. Mnémosyne, nom grec , signifie mémoire. C'est la personnification, sou
cu conjugalement avec Jupiter, de Cérès ou la Démeter, ou Damater des Grecs . Elle portait différens noms, suivant les pays où
, puisqu’elle était censée disposer des biens de la terre, et que les Grecs supposaient l’intelligence qui apprit aux hommes
e, la Crête, la Grèce et la Sicile. Elle fut, suivant quelques poètes grecs , aimée de Jupiter et de Neptune : le premier épri
s adoptant Iambée à laquelle on attribue l’invention des iambes, vers grecs , souples et agiles, font naître cette jeune fille
ablement la plus ancienne de toutes les nations qui habitèrent le sol grec  ; Mégalarte et Mégalomaze, inventeurs de la plani
ée ; quant aux Mithiques ou habitans de la deuxième classe des villes grecques , ils se faisaient sans doute également initier po
plus haute, à mille drachmes, était celle que commettaient les dames grecques quand elles n’allaient pas à pied à ces fêtes et
ur tête, nous citerons la Flore des Romains, dont l’analogue chez les Grecs s’appelait Chloris, mais n’y a jamais joui d’une
étaient du moins personnifiées par les anciens ; nous dirons que les Grecs n’en reconnaissant que trois, leur avaient donné
lus remarquables de Jupiter ; à la Vénus des Latins, ou Aphrodite des Grecs . C'est la déesse des Graces, de la beauté, de l’a
du plaisir. C'est la haute déesse de la génération, entourée par les Grecs de tous les ornemens les plus délicieux, et les p
fêtes nocturnes des Romains, ni des Histeries, pendant lesquelles les Grecs sacrifiaient un porc, ni des Callistées, qui se c
der aux flots la guérison de leur cœur. Ainsi les prêtres citaient le Grec Phobos et Macès de Buthrote, comme des cures merv
Zéphyre ; souvent elle porte sa mystérieuse ceinture, ou le zonè des Grecs , et le cestus des Latins ; d’autre fois elle remp
, le soir de leurs noces. La Pudeur ou la Pudicité était une divinité grecque et romaine qui, indignée des vices et de la corru
a maison. Virginalie ou Virginensis, ou Virginicuris, appelée par les Grecs Diane Lysizone, présidait au dénouement de la cei
es de la déesse, par les Grâces. Elles s’appelaient Charitès chez les Grecs , et quelquefois comme les muses Parthénès, ou les
sous le titre d’Aedicula Ridiculi. Quant à la persuasion ou Pitho des Grecs , ou Suada et Suadela des Romains, elle était pris
diquer ; puis le nom d’Eros signifiant amour, servit à faire chez les Grecs le mot Hoéros maître, et chez les Romains, celui
est alors le principe générateur, le plus ancien. En passant chez les Grecs , il resta toujours une des essences de la générat
it son essor à travers le monde naissant. Beaucoup plus tard chez les Grecs , Aristophane se rapprochant d’Hésiode soutint que
ses liaisons avec le dieu de la Guerre, et devint mère d’Anteros, mot grec qui peut signifier Amour pour Amour ; aussitôt Cu
Cependant comme dans les temps postérieurs à l’origine de la religion grecque , on reconnut plusieurs espèces d’amour, et que le
our. C'est une des mystifications obscures de la religion payenne des Grecs et des Romains. Quelques auteurs, cherchant à don
nnocence et du mariage, et l’adoraient comme Hyménée l’était chez les Grecs . On rattachait autour de ce Dieu, Subigus ou Subj
titre elle n’a jamais beaucoup marqué dans la Mythologie païenne des Grecs et des Romains. Oenéis, nymphe d’Etolie, fut aim
ui d’Adrameleck appartenant à la mythologie syrienne. Thébé, héroïne grecque , était fille du fleuve Asope et de Metope fille e
nd enveloppe le reste de la vie de cette mère du plus grand des héros grecs . Son corps, suivant quelques légendes, disparut e
n pense qu’Inachus ayant porté d’Égypte en Grèce le culte d’Isis, les Grecs regardèrent cette déesse comme sa fille, et la co
plaisirs et des peines ; elle était tout à fait inconnue des anciens Grecs et ne fut admise dans la théogonie grecque qu’ass
à fait inconnue des anciens Grecs et ne fut admise dans la théogonie grecque qu’assez tard. Voici les surnoms divers qu’on lui
tens ou à la tête détournée des spectateurs ; Tuché ou la fortune des Grecs  ; Virgo ou honorée des jeunes filles ; Virilis ou
la garde était confiée à des chiens, qui toujours reconnaissaient les Grecs , et repoussaient les étrangers ; Ædon ou rossigno
enios, ou la protectrice à Sparte. Avant d’indiquer la fable dont les Grecs avaient entouré Minerve, donnons quelques explica
t de l’océanide Titanis. Si nous passons à la fable inventée par les Grecs , et dont ils ornèrent la Neith ou Minerve égyptie
titan Pallas. Nous la verrons prendre le parti des Troyens contre les Grecs , et ne les abandonner qu’au moment fixé par le de
on de cette ville, comment ce fameux Palladium lui fut enlevé par les Grecs  : mais ce fut toujours dans l’Attique que Minerve
Diogenès ou le fils de Jupiter ; Dionysios et Dionyoes ou le Bacchus grec  ; Diphyès ou aux deux mères ; Dithyramhus et Dith
ur ou le fils de Jupiter et de Proserpine. Les noms sous lesquels les Grecs adoraient spécialement Bacchus, étaient ceux de D
et de Luna ; puis un cinquième fils de Nysus et de Theone. Quant aux Grecs , ils réunirent sur le Bacchus Thébain les aventur
l’Egypte ; mais quoi qu’il en soit, prenons Bacchus tel que la fable grecque nous le transmet. Bacchus, dieu du vin, était fil
donna son nom à la Lusitanie actuellement le Portugal ; Polyme, jeune grec qui montra le chemin du sombre empire à Bacchus l
dégusta, ce qu’il annonça au monarque, lequel en fit du vin, d’où les Grecs donnèrent son nom Oinos à cette liqueur. Staphyle
e nom, célébrées en l’honneur de Cérès à Athènes ; les Ambroisies des Grecs , ou Brumales, des Romains ou Hyemales, avaient li
était une vraie mascarade ; les Bacchanales, étaient les Dionysiaques Grecques passées en Italie, mais enrichies d’un dévergonda
prairies, les montagnes. Ce dieu fut assez faiblement honoré chez les Grecs  ; mais son culte au contraire fut très brillant à
ue par Junon, étaient aussi enfans du dieu Pan. Ici se borne la fable grecque et romaine mais nous verrons que Pan chez les Egy
uis les Faunes et les Sylvains. Les Faunes ou Faunisques inconnus aux Grecs , passaient chez les Romains pour être moins hideu
s ou demi-dieux, protecteurs des forêts ; ils étaient les Égipans des Grecs , comme les Faunes Latins en étaient les satyres.
ésée, leurélevèrent des temples magnifiques, et les Romains comme les Grecs , juraient par eux et par leurs temples, en s’écri
peste effroyable, il obtint de son père que les Fourmis, appelées en grec Myrmex, fussent changées en hommes, Ce qui repeup
ou l’hercule, fils de Jupiter-Ammon, Héraclès c’est-à-dire Hercule en grec , Hippodète ou qui lia ensemble la queue des cheva
ette posture. voilà le Mélampyge, d’où vint la menace proverbiale des Grecs  : « Prends garde au Mélampyge ! » Melios ou auque
piter et d’Alcmène, femme d’Amphytrion, et c’est le grand Hercule des Grecs , celui sur lequel ils réunirent les hauts faits d
les narines lançaient des flammes, et que Neptune, irrité contre les Grecs , avait jeté sur cette malheureuse contrée, Euryst
itaient l’Afrique long-temps avant la guerre de Troie, et dont le nom Grec indiquait qu’elles n’avaient qu’une des mamelles
u Hercule au retour de son expédition contre Laomédon ; Pylios, héros grec , adopté par Hercule ; Soscrate, grec de Pelée en
contre Laomédon ; Pylios, héros grec, adopté par Hercule ; Soscrate, grec de Pelée en Achaie, auquel on rendait des honneur
l on vint lui offrir de nombreux sacrifices. Puis les Thébains et les Grecs érigèrent des temples à ce nouveau dieu, dont le
ur de Tingis dans la Mauritanie ; Télephe d’Augée, fut de l’armée des Grecs contre Troye ; Thérimaque de Mégare, fut tué par
e Temène ; Déiphon, époux d’Hyrneste ; Diodore, chef d’une colonie de Grecs à Olbie ; Epyte tua Polyphonte ; Hyrnéto, fille d
e Protogénie, épousa Lydie, ou plutôt Libye. Mercure ou l’hermès des Grecs , Dieu du commerce, de l’éloquence et des voleurs,
an, Hermosiris ou Mercure-Osiris. Avant de passer à la fable dont les Grecs avaient orné ce dieu tout d’invention, commençons
ortait le nom de Thoth ou Thaut ; et de l’autre côté c’est le Mercure grec , fils de Jupiter et de Maïa. N’ayant actuellement
e de ce dernier, voyons d’abord l’espèce de conte historique dont les Grecs l’entourèrent. Fils de Jupiter et de Maïa, il aid
on, la magie ; ensuite il mourut en Égypte ou en Espagne. Les anciens Grecs admettant la profonde instruction de cet être, po
nt nous arrivons à la fable de ce Dieu, nous trouvons que suivant les Grecs , ce Mercure appelé chez eux, Hermès, était égalem
tion contre les Gorgonnes. Nous le verrons conduire Priam au camp des Grecs , lorsque ce malheureux vieillard ira réclamer du
rgonautes, Echion et Eurytus ; Carmenta ou Carmentis ou la Thémis des Grecs , prophétesse, venue d’Arcadie en Italie, et divin
le, fut élevé par son grand père Phylas et devint l’un des capitaines Grecs qui assiégèrent la ville de Troye ; Erestus, n’of
Issa, Devin d’Ilium, se laissa corrompre par Palamède, et indiqua aux Grecs le moyen d’entrer dans la ville ; Satyre, que nou
un culte généralement répandu en Égypte, en Grèce et en Italie ; les Grecs lui consacraient les langues des victimes comme a
légumes cuits, auxquels personne ne pouvait toucher. Les hermées des Grecs ou mercuriales des Romains, étaient des fêtes dan
ssance de l’éloquence, qui enchaîne tout après elle ; le coq chez les Grecs , et la figure du chien chez les Égyptiens, étaien
du vol ; Mercedone, ou la déesse latine du commerce ; Sisyphe, génie grec de la malice, de la perfidie et surtout des voleu
nons de parler, paraît avoir été le premier industriel connu chez les Grecs  ; il avait pour sœur Perdrix, mère de Tale ou Cal
ézène ; Pontomédon ou le souverain des mers ; Poseidon ou Neptune, en grec , c’est-à-dire ou l’époux de la mer ; Prosclystius
d’un roi d’Égypte du nom de Sesac. Mais le plus généralement la fable grecque dit que Neptune, fils de Saturne et de Rhée, étai
ve s’y opposa, et fit échouer ses prétentions. Dans la guerre que les Grecs firent aux Troyens, pour reprendre Hélène, enlevé
ur reprendre Hélène, enlevée par Pâris, Neptune embrassa le parti des Grecs , ranima le courage des deux Ajax, et des autres h
de Bélus, et d’autres, fils de ce Bélus et d’Eurynome ; mais la fable grecque le reconnaissait pour fils de Libye et pour tige
ie errante et malheureuse jusqu’à la fin de ses jours ; mais la fable grecque raconte ce malheur avec de plus nombreux détails.
étaient en Grèce au nombre de huit ou onze, savoir : L’Aphéliotès des Grecs , ou Solanus et Subsolanus des latins ou vent d’Es
vents légers, espèces de sylphes des peuples anciens. L’Argestès des Grecs ou le Corus ou Caurus des Latins ou le Sciron, ou
t vêtu de manière à se garantir du froid qu’il annonce. Le Cœcias des Grecs ou vent du Nord-Est, portait un disque d’où tomba
oie, retournera dans ses foyers. Protée, Dieu marin, reconnu par les Grecs pour fils de Neptune et de Phénicie, quoique plus
ée, tué on ne sait trop par quel centaure ; Dryas, était un capitaine grec , qui ne semble avoir combattu les centaures, que
e fois en état d’aller à la chasse, se mit à la tête des jeunes héros Grecs , réunit autour de lui ses plus fidèles amis, pres
e pouvant plus aller à l’armée, Telamon envoya ses deux fils avec les Grecs . Quant à Pélée, né aussi de la Chironide Endéis,
s après ces noces, Pélée devint père d’Achille, qui l’envoya avec les Grecs à la guerre de Troie. Alors, Pélée auquel on donn
ette Téthys que l’on prenait poétiquement pour la mer, portait un nom grec signifiant nourrice, par allusion à l’humidité qu
. Considéré sous le nom de Xanthe, il protégea les Troyens contre les Grecs , ainsi Achille pensa être noyé, lorsqu’un jour le
énor. Simoïs, dieu-fleuve, sauva la ville de Troie, pendant que les Grecs en faisaient le siége, en réunissant ses eaux ave
chius, dieu-fleuve, auquel Pelée, pour suivre une coutume de tous les Grecs , lui consacra la chevelure d’Achille, avant qu’il
Dieux en une déesse marine, connue sous le nom de Leucothoé chez les Grecs qui, à Corynthe lui avaient élevé un autel dans l
sombre empire de Pluton et de Proserpine, tel que le concevaient les Grecs et les Romains ; car chez ces deux peuples, le sé
eux peuples, le séjour des morts n’était pas tout-à-fait le même. Les Grecs qui bornaient la terre éclairée aux cîmes de l’At
Tartare et des Champs-Elysées, qui dans l’origine formait l’enfer des Grecs , avait sa porte d’entrée, suivant Homère et Hésio
s qui s’élevaient au-dessus de cette infecte localité. Plus tard, les Grecs divisèrent ce sombre empire en quatre départemens
s, en le plongeant dans les sombres demeures. Cet Erèbe, disaient les Grecs , était gardé par Cerbère et habité par la mort et
l’enfer des Latins, il n’était pas entièrement le même que celui des Grecs  : il paraît d’abord que l’on ne devait pas y péné
e des Romains semblait répondre à l’enfer des méchans, admis chez les Grecs  : c’était une prison éternelle, entourée de trois
pendant laquelle il n’était pas permis de se marier. Toutes ces fêtes grecques ou romaines se célébraient à l’entrée de la nuit,
ndonner et de revenir quelquefois parmi eux, passa plus tard chez les Grecs avec Orphée, lequel apprit à ces peuples à les év
coula plus que des eaux fangeuses qui se perdaient dans le Styx. Les Grecs et les Romains, après avoir emprunté à l’Égypte l
s, et plus tard la fable se transmit avec les noms. Voici comment les Grecs la racontaient : Charon, que l’on surnommait Por
laquelle on a donné le nom de Métempsycose, était reçue chez tous les Grecs . Orphée, qui l’avait empruntée aux Egyptiens, Hom
Élis et à Sparte, et particulièrement en Phénicie et en Espagne ; les Grecs ne prononçaient que fort rarement son nom. Les po
Nuit avait pour fille la Discorde ou la Dispute, appelée Eris par les Grecs , Altercatio par les Latins, Dysnomia ou l’Anarchi
ainsi que Thémis, soit de la ville d’Ichnée en Macédoine, soit du mot grec ichnos, qui signifie Trace ; Nortia, nom d’une di
Alsar, dieux étrusques, souvent confondus à tort avec les Parques des Grecs , mais bien plus semblables aux ases des Scandinav
ribue à ces trois sœurs l’invention de quelques lettres de l’alphabet grec . On leur donnait pour demeure ou un antre ténébre
ent faire disparaître. Il ne faut par conséquent pas s’étonner si les Grecs et les Romains rendaient un grand honneur aux par
spèce de Tithrambo ou Isis souterraine des Égyptiens, adoptée par les Grecs , qui lui donnèrent alors pour fils, Egialée, comm
er et l’emmener en Asie. Guerre de Troye. A cette nouvelle, tous les Grecs s’armèrent pour venger cet enlèvement, et d’un co
entre eux qui se firent remarquer d’une manière plus spéciale. Armée grecque . Les combattans de l’armée des Grecs, comptaient
manière plus spéciale. Armée grecque. Les combattans de l’armée des Grecs , comptaient dans leurs rangs : Acamas, fils de Th
, avec sa femme Euménutis ; Calchas, le prêtre et l’oracle de l’armée grecque  ; Cérane, cocher de Mérione, et tué par Hector ;
d’Aréithoüs et de Philomédus, roi d’Arne et tué par Pâris ; Ménesthe, grec , tué par Hector ; Ménesthe, fils de Polydore et l
ius, fils d’Iphite et tué par Hector ; Sinon, fils de Sisyphe, espion grec , qui détermina la prise de Troie ; Sthénèle, fils
ars sous la figure d’Hector ; Teuthis, chef arcadien, déserta l’armée grecque comme elle partait pour Troie ; Thalpe, fils d’Eu
dix vaisseaux épéens ; Thersite, plaisant et chef difforme de l’armée grecque , il était remarquable par sa lâcheté et ses bouff
ils de Thétis se retira sous sa tente et refusa de prêter secours aux Grecs . Agamemnon, se distingua toujours des autres prin
de son rang dans les conseils et sur le champ de bataille. Quand les Grecs se furent rendus maître de Troie après un siège d
Soudain, nous le savons, un calme profond arrêta la flotte réunie des Grecs , et l’oracle Calchas, interrogé sur les moyens qu
aurait immolé une victime humaine du sang d’Agamemnon. Aussitôt, les Grecs poussés par ce divin fanatisme, traînèrent Iphigé
voulant se rendre agréable à son premier mari, Hélène introduisit les Grecs dans la chambre de Déiphobe, après lui avoir enle
e appelée aussi Philomèle ou Polymèle ; Achille fut le plus brave des Grecs qui suivirent Agamemnon en Asie. A peine fut-il a
e, devint la maîtresse d’Achille. Cependant Calchas ayant annoncé aux Grecs , que sans Achille ils ne pourraient jamais s’empa
exe ayant été ainsi découvert, il ne put refuser de suivre les autres Grecs en Asie. Sa mère lui donna en pleurant des armes
ssant une haine implacable contre le roi des rois. Ni les dangers des Grecs , ni les offres et les prières d’Agamemnon ne pure
jeune fiancée retourne à Troie, mais pendant le sac de la ville, les Grecs persuadés qu’elle avait prit part à cette trahiso
eut tué au milieu de la mêlée, cette guerrière, ennemi redoutable des Grecs . Après la mort d’Achille, son corps fut enveloppé
ngée depuis en violette. Mais bientôt l’ombre de ce héros apparut aux Grecs et demanda que Polixène fût immolée sur son tombe
petite-fille d’Hyllus l’Héraclide, l’épousa et en eut un enfant. Les Grecs après la mort d’Achilie, sentant la nécessité d’a
’échappa, et bientôt attaqué par Hector, il tomba sous ses coups. Les Grecs après un combat opiniâtre, finirent par reprendre
ytius, Caletor et autres, qui voulaient mettre le feu à la flotte des Grecs , défendit vaillamment avec Ajax l’Oïlide, le cada
onnière et sa concubine. Ajax était le plus beau et le plus brave des Grecs après Achille : on vante beaucoup sa franchise et
à pied et à apprendre à tirer de l’arc. Sous ce dernier rapport, nul Grec ne l’emportait sur lui. Comme il était un des pré
érait quelquefois en frénésie : il attaqua Hector, défendit la flotte grecque assaillie par les Troyens, tua Imbrius et Cléobul
d’amitié avec Achille. Il tua Échépole, le premier Troyen victime des Grecs  ; ensuite, il fit mordre la poussière à Mydon, Th
or, célèbre devin, était de Mycènes et habitait Mégare, il suivit les Grecs au siége de Troie, en qualité de pontife et de gu
les que par le sacrifice d’Iphigénie. Lui encore, lorsque l’armée des Grecs , sur les rivages troyens, fut ravagée par une pes
distant sur la côte de la Troade. Ce fut lui également qui apprit aux Grecs que la ville de Troie ne serait jamais soumise si
umise si l’on ne décidait Achille à reprendre les armes en faveur des Grecs . Après la destruction de Troie, Calchas fut dans
osé une énigme au-dessus de la pénétration de Calchas, cet oracle des Grecs ne put survivre à cette humiliation et mourut acc
l y tua Sarpédon, et Déiphobe ; il passait pour le plus ingénieux des Grecs , qui pourtant le mirent à mort après l’avoir à to
la détermination de l’année solaire et des cinq lettres de l’alphabet grec , Φ․Χ․ϴ․Σ․ϒ․ des légendes le font quelquefois jete
découvrir le lieu de sa sépulture. Lors de l’expédition de Troie, les Grecs ayant appris qu’ils ne pourraient jamais vaincre
ché au chef suprême Agamemnon ; il rendit de très grands services aux Grecs par sa science médicinale. Après la ruine de Troi
lle. Sinon, fils de Sisyphe, était le plus célèbre espion de l’armée grecque  : un jour s’étant fait lier les bras, il se laiss
les bras, il se laissa prendre par les Troyens dans un moment où les Grecs feignirent de se retirer. Alors, il persuada aux
arax, Epérite, Nanos, ou l’errant, et Aoutis, véritable racine du mot grec Odysseus ou Ulysse, et qui veut dire personne ou
on, par sa bravoure et surtout par les conseils sages qu’il donna aux Grecs . Ce fut lui qui fit par adresse arriver Clytemnes
lui qui fit par adresse arriver Clytemnestre et Iphigénie au camp des Grecs , afin de pouvoir obéir à l’oracle de Calchas. Il
rmés dans ses flancs. Après la prise de la ville, lorsque les princes Grecs se furent embarqués pour retourner dans leurs éta
son et d’Hypsypile et roi de Lemnos, qui fournissait du vin à l’armée grecque  ; Épipole, jeune héroïne qui suivit les Grecs sou
sait du vin à l’armée grecque ; Épipole, jeune héroïne qui suivit les Grecs sous un habit d’homme, et que Palamède eut la cru
à l’armée troyenne, elle ne comptait pas moins de héros que celle des Grecs  ; le vieux Priam en était le chef et sous lui on
ouverneur, puis écuyer d’Antiloque et enfin déserteur de la cause des Grecs , par amour pour l’amazone Penthésilée ; il fut tu
tué par Diomède et Ulysse, au moment qu’il allait enlever du camp des Grecs , sans être aperçu, les chevaux de Rhésus ; Dolops
omas, tué par Idoménée ; Oïlée, écuyer du roi Bianor, fut tué par les Grecs  ; Ophéleste, tué par Teucer ; Ophelte, par Euryal
s’élance hors de la ville, traverse au milieu de la nuit le camp des Grecs et va arroser de ses pleurs les genoux du meurtri
Lydie, pendant le siége de Troie, et qui vinrent après le départ des Grecs rebâtir la ville et fonder sur ses ruines un empi
Astyanax, avons-nous dit, fut une victime innocente de la cruauté des Grecs . En effet, cet enfant saisi de crainte à la vue d
tor serait un jour plus à craindre que son père dans les combats, les Grecs résolurent de le faire mourir ; mais sa mère ayan
e prendrait sous sa protection et qu’il le sauverait de la fureur des Grecs . Trompée par les perfides assurances d’Ulysse, el
vengeance, les reçut avec des transports de joie, sans penser que les Grecs viendraient bientôt avec mille vaisseaux redemand
le talon d’une flèche. Déiphobe s’opposa à ce qu’on livrât Hélène aux Grecs . Par reconnaissance, à la mort de Pâris, elle lui
pour se rendre agréable à Ménélas, son premier mari, introduisit les Grecs dans la chambre de son nouvel époux, qui fut horr
au brave Déipyre et blessa Achille au bras. Calchas, ayant averti les Grecs que la ville de Troye ne serait jamais prise pend
urs, Ulysse l’enleva du milieu de la ville. Ce fut lui qui révéla aux Grecs qu’ils ne s’empareraient jamais de Troye sans Phi
re qui ravageait ses états ; plus tard il fut chargé d’aller chez les Grecs redemander Hésione. Dans ce voyage, il se lia ave
voyage, il se lia avec plusieurs d’entr'eux, et sentit pour le peuple Grec une affection qu’il conserva même pendant le fame
ictime de la populace troyenne. Plus tard, par ce même amour pour les Grecs , il employa tous les moyens pour entraîner ses co
îner ses concitoyens dans de fausses mesures, tantôt il découvrit aux Grecs les desseins des Troyens, tantôt il leur donna de
mur, pour aider à introduire ce cheval dans la ville ; il indiqua aux Grecs , avec un flambeau pendant la nuit, l’instant où i
, l’instant où ils pouvaient arriver : aussi, par reconnaissance, les Grecs respectèrent sa maison. Il suivit, après la destr
le avait dit à Priam que Troie ne tomberait jamais sous les coups des Grecs , si les chevaux de Rhésus arrivaient à boire de l
lcmaon qui voulut en vain l’empêcher de franchir le fossé du camp des Grecs . Il était un des chefs du cinquième corps d’armée
nfin couvert de nobles blessures sous les coups de Patrocle. Déjà les Grecs vainqueurs l’avaient dépouillé de ses armes, lors
cée par Laodice, fille de Priam et d’Hécube. Quelque temps après, les Grecs attaquèrent la Mysie, et Télèphe fut blessé par A
ait frappé, Télèphe quitta le parti des Troyens et se mit du côté des Grecs  ; aussitôt Achille le guérit en effet. Laodice le
immortalisé mieux que n’avaient pensé à le faire avant lui les poètes Grecs  ; mais nous allons reprendre l’histoire de sa fam
loque et Ménélas, dans le combat qui eut lieu près des fortifications grecques . Il commandait conjointement avec Archiloque et A
ue d’après d’autres écrivains, Rome, disent-ils, a été fondée par des Grecs naufragés, exilés ou égarés à la suite de leur vi
un centre religieux commun à Samothrace ; il est facile de croire que Grecs et Troyens peuvent être admis comme fondateurs d’
amille de tomber entre les mains des Troyens. Dieux divers. Chez les Grecs et surtout chez les Romains, on introduisit dans
un dieu solaire de l’Afrique ; Agénorie, ou Agéronie, était la déesse grecque de l’activité, de l’energie et de la vaillance, d
femme vêtue de bleu et tenant un oiseau aquatique à la main. L'année grecque ne se divisait pas tout-à-fait comme celle des Ro
enait sur un des mois romains et enjambait sur un autre ; cette année grecque commençait au mois de mai, et voici quels étaient
divers, nous trouvons : Anthéles, espèces de Dieux lares ou pénates Grecs , placés à l’extérieur et près l’entrée des maison
celle de cuivre ; arogos, c’est-à-dire l’auxiliaire ou la justice des Grecs  ; arpa ou arpha, divinité subalterne, toujours as
e main des pavots et des épis, et de l’autre une coupe. Brizo, déesse grecque du sommeil. Buclope, dieu Romain des mouches, Cap
avait un temple sur le forum, près du capitole. C'était l’Homonée des Grecs , qui lui avaient élevé un autel à Olympie ; Conso
ou dieu de la terre en Arcadie. Démon, génie invisible qui, chez les Grecs , présidait aux actions des hommes, les éclairait
. Eugénie, personnification divine de la noblesse non adorée chez les Grecs , mais désignée sur beaucoup de leurs monumens par
resse et l’amour. Le Génie des Romains était l’un des bons démons des Grecs qui, adoptant aussi les génies, en créèrent des m
les heureux possesseurs de ces coiffures. Ivresse, déesse Romaine et Grecque . Janus ; en parlant de Saturne, nous avons dit q
métique, elle était invoquée par les femmes enceintes. Occasion, dieu grec et déesse romaine de l’a-propos. Les Grecs en fai
s enceintes. Occasion, dieu grec et déesse romaine de l’a-propos. Les Grecs en faisaient le plus jeune fils de Jupiter ; c’ét
et africaine du supplice, de même que Poené l’était chez les anciens Grecs . Pollentie, déesse allégorique de la puissance, a
égorique de la puissance, adorée par les Romains qui, de même que les Grecs , reconnaissaient en outre Potestas ou le pouvoir,
avages. Praxidice, fille de Sôter ou le conservateur, était la déesse grecque des intentions, et avec ses filles Homonée ou la
nt les dieux. Vulturne, dieu-fleuve de la Campanie, était l’Euros des Grecs . Ziva ou Giva déesse de la vie, on la représentai
oéri. Thoth, ou Thaaut, ou Theuth, était un dieu Egyptien auquel les Grecs donnèrent le nom d’Hermès : il fut chargé par Osi
fond quelquefois avec sa mère, dont elle n’est qu’une émanation : les Grecs ont vu dans cette divinité la fille de Latone, ca
la manière suivante : Djom ou Djem, espèce d’Hercule, ou soleil des Grecs , purgea les contrées de l’Égypte des malfaiteurs.
ellement le nom de Souan, et alors il en résulte une espèce d’Ilithye grecque , ou de Lucine romaine. On représente Pooh avec un
me Amoun, déjà connu. Sa compagne fut la dynaste Saté ou la Junon des Grecs , ou la déesse supérieure égyptienne appelée Neith
érique ; on lui donne pour épouse Anouke, la dynaste, espèce de vesta grecque qui, en prenant rang parmi les divinités supérieu
ou le quatrième dynaste planétaire, correspond au Lucifer, soleil des Grecs , et porte, comme dieu supérieur égyptien, le nom
thor, la dynaste planétaire, ou Anadyomène ou Vénus ou Amphitrite des Grecs , devenues, comme Diane, l’Androgyne égyptienne su
eure Pooh. Piermôoii, le cinquième dynaste planétaire ou le Mercure grec , est le dieu supérieur Piromis ; on lui donne pou
eur Piromis ; on lui donne pour épouse la dynaste Bouto II, ou Latone grecque , transfiguration de la grande et supérieure déess
u Sovk, ou Réfan ou Remphan ou Saturne, le sixième dynaste planétaire grec , était une transition de Piromi à Amoun. Ce derni
ur femme la dynaste Nefté ou Natfé, ou Rhée ou Cérès, ou la Terre des Grecs , déesse formant la transition de Bouto à Athor ;
s auteurs ont placé Imuthis ou Imôouth, ou le ciel, ou l’Esculape des Grecs . Après ces dieux et déesses, on connaissait encor
as ici les dieux égyptiens que l’on a vus tour-à-tour adoptés par les Grecs et les Romains ; seulement, nous ajouterons que l
euse, si commerçante, et qui fournit tant de divinités à la Théogonie grecque . Parmi les dieux assyriens, nous ferons remarquer
de l’être par excellence avec Agd, qui n’est autre que la Cybèle des Grecs ou la terre personnifiée. Ce feu père d’Agdistis
d’Agdistis que nous avons vu naître d’une tout autre manière chez les Grecs , semble s’identifier avec l’un des deux personnag
tre créateur de l’univers. D'ailleurs, tous les attributs de la Vénus grecque sont les siens. Plusieurs de ces déesses se perda
ce Asiatique et assez semblable à l’action du destin de la mythologie Grecque . Pourtant la mythologie Hindoue donne aussi à Sou
larges ailes de l’aigle. Quant aux rapports de Brahmâ avec les dieux grecs , romains, que nous connaissons déjà, ils sont tro
glantèrent l’Inde au sujet du Vichnou-Krichnaïsme et du Sivaisme. Les Grecs mêmes eurent connaissance de ces discussions reli
déesse honorée des célibataires, et présente l’idée de la Minerve des Grecs . Pouça ou Puzza est une autre déesse chinoise, q
e (la), 3, 3, 5, 33, 118, 141, 176, 268, 385, 396. Terre-Loi (la) des Grecs , 29. Terreur (la), 71, 95. Ters, 446. Tertame, 19
6 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ngtemps ; car l’auteur a eu l’heureuse idée d’ajouter aux anthologies grecque et latine celles des autres peuples, qui offraien
es jours et des saisons. Il est le dieu du temps, et, à ce titre, les Grecs l’appelaient Kronos. Son histoire, expliquée d’ap
11. A quoi présida Saturne revenu au Ciel ? Comment l’appelaient les Grecs comme dieu du temps ? Expliquez les diverses allé
rs danses. Jupiter fut nourri par deux Nymphes appelées Mélisses (mot grec qui signifie mouches à miel), et allaité par une
l conservât, sous cette forme, l’empreinte de sa férocité. (Lucos, en grec , signifie loup.) 23. Philémon et Baucis. De
entendre les enfants de ceux qui se sauvèrent de l’inondation. Le mot grec laos, peuple, signifie aussi pierre, sous sa form
les dieux la comblèrent de présents, ce qui la fit nommer Pandore (en grec  : pan, tout, dôron, présent). Vénus lui donna la
ts de Jupiter. Toutes les nations païennes adoraient Jupiter : les Grecs , sous le nom de Zeus, les Egyptiens sous le nom d
Naissance et premier exploit de Minerve. Minerve, appelée par les Grecs Athéna, était fille de Jupiter. Ce dieu ayant épo
ppa l’imprudente de sa navette, et la changea en araignée (appelée en grec , arachné). Minerve dirigea la construction du vai
les transmettre à ceux qui étaient admis à les recueillir. Jamais les Grecs n’entreprenaient d’affaires importantes sans avoi
apparente autour de la terre. Ce cercle s’appelle Zodiaque, d’un mot grec (zôon), qui signifie animal, parce qu’il se compo
te de Mercure : on les appelait Hermès, nom de ce dieu dans la langue grecque . Questionnaire. 45. De qui Mercure était-il
apitre X. Mars. 49. Naissance et aventures de Mars. Selon les Grecs , qui l’appelaient Arès, Mars était fils de Jupite
om. 50. Culte et images de Mars. Mars était peu honoré chez les Grecs , beaucoup chez les Thraces ; les Romains lui rend
sacrés. Questionnaire. 49. De qui Mars était-il fils, selon les Grecs et selon les Romains ? Par qui fut-il élevé ? Que
u tribunal appelé Aréopage ? 50. Quel était le culte de Mars chez les Grecs et chez les Romains ? Quels hommages les consuls
Vénus, déesse de la beauté chez les Romains, était appelée par les Grecs Aphrodite, c’est-à-dire, née de l’écume. En effet
et images de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu chez les Grecs . Les Spartiates l’adoraient sous le nom de Vénus-
ville de Nysa, située près d’une montagne appelée Méros. Comme ce mot grec signifie cuisse, les poëtes, qui ne s’attachent q
Les fêtes de Bacchus s’appelaient à Athènes Dionysiaques, de son nom grec Dionysios, formé de celui de Jupiter et de la vil
icence et de désordres. On les désigna alors par le nom d’orgies, mot grec , qui veut dire fureur. En effet, dans ces fêtes,
Tout (comme l’exprime son nom), la nature, l’univers entier. Chez les Grecs , Pan était simplement le dieu des campagnes. On l
d’aventures et de métamorphoses. Cela provient de ce que les premiers Grecs donnaient le nom de Neptune à tous les princes ét
e la Libye, où il prit naissance, dans la Grèce et dans l’Italie. Les Grecs renouvelèrent en son honneur les Jeux Isthmiques,
quel pays se répandit son culte ? Quels jeux furent institués par les Grecs en son honneur ? Comment s’appelaient ses fêtes à
rte, son histoire, sa métamorphose, les honneurs qu’il reçut chez les Grecs et les Romains. Qu’était Phorcys ? Quels furent s
e main une torche enflammée et de l’autre un fouet de couleuvres. Les Grecs , pour ne pas irriter ces terribles déesses, les a
. — L’Amitié. — La Force. La Justice, appelée aussi Thémis par les Grecs , est représentée sous les traits d’une vierge, te
vient au caractère du juge. L’Amitié était également honorée chez les Grecs et les Romains. Ils la représentaient vêtue d’une
s dans les maux qui les affligent, fut bientôt divinisée par eux. Les Grecs et les Romains lui élevèrent des temples. Sœur du
ce. — La Fortune. La Liberté était singulièrement honorée chez les Grecs et surtout chez les Romains, qui lui bâtirent plu
e de la guerre chez les Romains, était appelée Enyô (qui tue) par les Grecs . Elle était sœur ou femme de Mars et préparait le
est celui d’Alcide, qu’il reçut soit d’Alcée, son aïeul, soit du mot grec alké, qui veut dire force. Questionnaire. 1
e de Troie. Depuis longtemps une haine profonde existait entre les Grecs et les Troyens. Sous le règne de Laomédon, père d
d’Hélène, femme de ce prince, s’en fit aimer et l’emmena à Troie. Les Grecs prirent les armes pour venger l’outrage fait à Mé
e leur union en enlevant Hélène. Aussitôt Ménélas rappela aux princes grecs leur serment. La plupart s’y montrèrent fidèles.
sa tente et ne veut plus combattre. Cependant, touché du malheur des Grecs , écrasés par les Troyens, il consent à revêtir de
uveau guerrier). Il se rend avec Ulysse auprès de Philoctète, que les Grecs avaient perfidement abandonné dans l’île de Lemno
inspiré par Minerve elle-même, devait les livrer à leurs ennemis. Les Grecs construisent un immense cheval de bois et y renfe
rve. En vain Laocoon, prêtre de Neptune, les conjure de se défier des Grecs . Dans leur aveuglement les Troyens n’écoutent que
ers descendent, égorgent les sentinelles et introduisent le reste des Grecs dans la ville. Surprise sans défense, Troie est l
de Lavinium, qui fut le berceau du peuple romain. Quant aux chefs des Grecs , ils furent moins heureux. Le retour fut marqué p
.) Nous ne pouvions mieux terminer ce qui concerne la mythologie des Grecs et des Romains que par le récit du grand événemen
erre de Troie ? Quelle fut l’origine de la haine qui exista entre les Grecs et les Troyens ? Comment Priam était-il venu en G
e condition fut indiquée par l’oracle pour le départ de la flotte des Grecs  ? 125. Par qui était commandée l’armée troyenne ?
hus accompagné d’Ulysse ? Quel stratagème livra la ville de Troie aux Grecs  ? Qui l’avait inspiré ? Comment périt Priam ? Fai
ns ? Quel royaume fonda Enée ? Que devinrent 1a plupart des chefs des Grecs , Mnesthée, Ajax, Idoménée, Philoctète, Diomède, T
e femme ayant des cornes de vache, symbole des phases de la lune. Les Grecs la confondaient avec la nymphe Io, qui fut métamo
imites) est son nom. De ce dieu sont sortis Ormuzd (Oromase selon les Grecs ), auteur de tous les biens, et Ahriman, auteur de
nts. Au dieu du soleil, l’invincible Mithra. Les Romains, après les Grecs , adoptèrent cette divinité, et c’est par eux que
im : c’est l’enfer des Scandinaves ; il est traversé, comme celui des Grecs et des Romains, par des fleuves qui roulent des e
n de la France ? 1. Le nom de Mythologie est formé de deux mots Grecs , muthos, fable, récit mensonger, et logos, discou
, récit mensonger, et logos, discours, traité 2. Principalement les Grecs et les Romains. 3. Idolâtrie vient aussi du grec
Principalement les Grecs et les Romains. 3. Idolâtrie vient aussi du grec  : de eidôlon, idole ou image, et de latreia, cult
esquels était une ouverture ronde qui leur servait de visière. 7. En grec  ; cuclos, cercle, et ôps, œil, vue. 8. D’après q
et sœur était permis. 17. Suivant une autre tradition, l’égide (mot grec qui signifie chèvre) aurait été couverte de la pe
es, est naturellement fille de la Réflexion, ou de Métis. 20. Du mot grec parthenos, vierge. 21. Voici comment on explique
e au tombeau. [Legouvé] 40. Prononcez Caron. 41. Nom formé du mot grec murmex (fourmi). 42. Horace dit à un avare : T
s vient de Hero, nom d’un fils de Junon, qui elle-même s’appelait, en grec , Hera. Ce nom fut consacré pour désigner les homm
sa colère), éteindre le salpêtre (contenir sa fougue). 51. Grées, en grec , signifie vieilles : ces sœurs étaient ainsi nomm
virons du mont Atlas, en Afrique. 56. Cette députation s’appelait en grec theoria, visite au dieu. Pendant la durée du voya
’eau une toison à laquelle elles s’attachaient. 60. Peut-être du mot grec argos, léger. Ce navire était muni de cinquante r
64. Il s’appelait Podarcès ; il reçut alors le nom de Priam, du mot grec priamenos, qui signifie acheté. 65. Suivant quel
7 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
Le Silence, nommé Harpocrate par les Égyptiens et Sigalion par les Grecs , était représenté sous les traits d’un jeune homm
ragon. Phrixus ayant été tué plus tard par Æètes, roi de Colchos, les Grecs désiraient vivement venger sa mort et conquérir l
ne immense grandeur, à qui était confiée la garde du trésor. Le héros grec n’aurait pu triompher de si grands dangers, s’il
l eût été son fils, et lui donna le nom d’Œdipe, composé de deux mots grecs qui font allusion à l’enflure que ses pieds avaie
avaient déposé dans le cœur de ce peuple un germe de haine contre les Grecs . De leur côté, ces derniers étaient jaloux de cet
on temple. Les vents devinrent immédiatement favorables, et la flotte grecque cingla vers les rivages de Troie, où elle arriva
de l’Asie s’étaient réunies pour défendre Troie contre les capitaines grecs . Ces troupes étaient commandées par des chefs ple
elle les Dieux eux-mêmes prirent part, s’intéressant les uns pour les Grecs , et les autres pour les Troyens. Junon surtout si
le terrain qui séparait la ville assiégée du rivage de la mer où les Grecs avaient établi leur campement. Le courage d’Achil
s aux Troyens. De nombreuses dissensions s’élevèrent dans l’armée des Grecs  ; d’illustres chefs périrent dans les deux armées
s affaibli, malgré toutes les pertes qu’ils avaient faites. Alors les Grecs eurent recours à une ruse qui leur réussit : feig
frappée par une énorme figure de bois représentant un cheval, que les Grecs avaient laissée sur l’emplacement de leur camp. I
ls devaient faire de cette immense machine, lorsque Sinon, espion des Grecs et se disant leur victime, dit que ce cheval étai
nfermés se répandent dans l’intérieur de la ville ; en même temps les Grecs , avertis par un signal, débarquent de nouveau sur
successivement ? — Quels furent les motifs qui portèrent les princes grecs à se confédérer contre Troie ? — Par quels obstac
grecs à se confédérer contre Troie ? — Par quels obstacles la flotte grecque fut-elle retenue en Aulide ? — Quels étaient les
 ? — Cette guerre fut-elle promptement terminée ? — A quelle ruse les Grecs durent-ils leur victoire ? XII. Héros grecs.
? — A quelle ruse les Grecs durent-ils leur victoire ? XII. Héros grecs . Agamemnon. Agamemnon, roi d’Argos et de
ont il eut Oreste, Electre et Iphigénie. Élu généralissime de l’armée grecque , il prit le titre de roi des rois, et mit une gra
’il lui avait ravie, et cette querelle faillit entraîner la perte des Grecs , en déterminant Achille à leur refuser le secours
Lycomède, roi de Scyros71. Mais comme l’oracle avait déclaré que les Grecs ne triompheraient qu’avec l’aide d’Achille, Ulyss
e ville de la Troade, Achille ne voulut plus seconder les efforts des Grecs , et, se renfermant dans sa tente, il resta une an
e Polyxène en mariage, lui promettant de devenir son allié contre les Grecs . Sa demande ayant été accueillie favorablement, i
écocha une flèche qui l’atteignit au talon, et lui donna la mort. Les Grecs lui firent de magnifiques funérailles et lui élev
ainsi sa ruse dévoilée, il fut obligé de suivre les autres capitaines grecs devant Troie. Une fois arrivé au rendez-vous géné
hésus74, roi de Thrace, de secourir Priam ; lui qui amena au camp des Grecs Philoctète, dépositaire des flèches d’Hercule ; e
; enfin ce fut lui qui eut l’idée du fameux cheval de bois auquel les Grecs durent la victoire. Après la mort d’Achille, il d
Qu’était Ulysse ? — Se réunit-il avec empressement à l’expédition des Grecs contre Troie ? — Quels services rendit-il aux con
que ? Ajax. Ajax, que l’on regardait comme le plus vaillant des Grecs après Achille, commandait au siége de Troie les M
son cadavre au char d’Achille, et le fils de Priam donna au guerrier grec une épée avec laquelle il se donna la mort de sa
dans ses États. Quoique d’un âge déjà très-avancé, il accompagna les Grecs au siége de Troie, où il acquit une grande réputa
enterrerait ses flèches trempées dans le sang de l’hydre. Lorsque les Grecs partirent pour Troie, l’oracle leur déclara qu’il
ie qui en résulta causait une telle infection dans la flotte, que les Grecs abandonnèrent le malheureux blessé sur un rocher
de ses flèches. Cependant le siége de Troie ne se terminait pas ; les Grecs avaient perdu l’élite de leurs guerriers et déses
le chercher, et le détermina non sans peine à aller rejoindre l’armée grecque . Arrivé sous les murs de Troie, il fut guéri par
nt l’inaction d’Achille, il porta souvent la terreur dans le camp des Grecs . Patrocle, l’ami et le frère d’armes d’Achille, v
ns, il enleva Hélène, et détermina ainsi la confédération des princes grecs contre Troie. Pendant la durée du siége, Pâris ne
ès la ruine de sa patrie. Après s’être vaillamment défendu contre les Grecs qui envahissaient Troie dans la nuit qui fut fata
croyances semblent surtout avoir été accueillies avec faveur par les Grecs , qui se les approprièrent en mettant leurs rois e
es plus célèbres ? III. — Les Jeux. Les jeux étaient, chez les Grecs et les Romains, une espèce de spectacle que la re
iété des habitants naturels de la mer, et par le penchant naturel des Grecs à poétiser tout ce qui frappait leurs yeux. On co
d’autres auteurs, il faut la confondre avec Isis et admettre que les Grecs , étant allés, dans une année de famine, chercher
lent à cultiver les fleurs, les fruits, les arbres, etc., et dont les Grecs firent des Dieux d’un ordre inférieur. Au milieu
rs morts. Un prêtre allait prendre le mort, c’est la fonction que les Grecs ont attribuée à Mercure ; ce premier prêtre condu
tat géographique la découverte du passage des Dardanelles, par où les Grecs établirent leurs relations avec le Pont-Euxin. Or
. 31. Athènes, capitale de l’Attique, est la plus célèbre des villes grecques , tant par la gloire du peuple qui l’habitait que
t autrefois sa gloire. La ville actuelle, capitale du nouveau royaume grec , n’occupe qu’une partie de l’emplacement couvert
nité sous le nom de laquelle les anciens adoraient la nature. Pan, en grec , veut dire tout ; de sorte que, suivant quelques
uables des temps fabuleux. 70. Célèbre devin qui suivit l’armée des Grecs à Troie. Après la chute de cette ville, qu’il ava
aient des bijoux, des figurines et des médailles de villes ou de rois grecs . 73. Diomède, roi d’Étolie, fut un des plus vai
s grecs. 73. Diomède, roi d’Étolie, fut un des plus vaillants héros grecs . Après le siége de Troie, il se rendit en Italie,
on du cheval de bois dans les murs de la ville. Après le triomphe des Grecs , elle tomba en partage à Agamemnon, et ne fut pas
8 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
tout s’illustrer en cultivant les sciences et les arts. C’est par les Grecs que la poésie, l’éloquence, l’architecture, la sc
s les genres. En jetant un coup d’œil rapide sur les commencemens des Grecs , on les voit passer de l’état de barbarie à une v
faux dieux. Nous avons déjà parlé dans cet ouvrage de l’ignorance des Grecs sur leur origine. Leur vanité n’était pas moins g
sait avec certitude, c’est que Javan, fils de Japhet, connu, par les Grecs sous le nom de Iapet, eut l’Occident pour son par
on partage. C’est de lui que sont sortis tous les Ioniens et tous les Grecs . Cet ancien patriarche conduisit sa colonie dans
s temps appelés inconnus, par Varron, l’étaient effectivement par les Grecs , d’abord grossiers et vagabonds ; mais les peuple
e est si célèbre, qu’il est indispensable d’en parler. Les historiens grecs disent qu’Ogygès régnait dans l’Attique et la Béo
a Cité de Dieu, nous a conservé des morceaux précieux sur l’antiquité grecque . Ils confirment que le déluge arriva sous Ogygès,
une simple allégorie pour désigner la langue égyptienne et la langue grecque que Cécrops parlait également. Ce fut ce prince q
près dans le même temps, et toute l’Asie Mineure se remplit de villes grecques . Royaume de Laconie ou Lacédémone. Le roya
n vaisseau dont la proue représentait un taureau. C’est de là que les Grecs ont imaginé la fable de Jupiter changé en taureau
es lettres. Ce qu’il y a de certain, c’est que les anciens caractères grecs et les caractères phéniciens sont absolument semb
onsidérables. On conservait leur mémoire, on la respectait ; mais les Grecs furent les premiers à leur rendre un culte. C’est
s ses recherches sur l’idolâtrie, prouve que le mot héro vient du mot grec héra, que portait Junon. L’un des fils de cette d
d’honorer ou de flétrir la mémoire des personnages considérables. Les Grecs , naturellement imitateurs, voulurent de même hono
affreux et inutile portèrent Scylla à se précipiter dans la mer. Les Grecs , honteux de s’être laissés surprendre, voulurent
s deux arrivèrent heureusement à l’île de Naxe. Une seconde fable des Grecs dit que Thésée abandonna sa libératrice, mais que
lles marchaient. Cette fable est fondée sur le peu de progrès que les Grecs avaient fait dans la sculpture avant Dédale. Leur
t des autres hommes que par sa force, et ne ressemblait aux dieux des Grecs que par ses faiblesses. » Parmi les Hercules les
avaux. Il en existait un plus ancien que ces trois ; mais les auteurs grecs anciens portant le nombre des Hercules au-delà de
t que l’Hercule tyrien se nommait Thasius ; le phénicien, Agenor ; le grec , Alcée, ou Alcide ; l’égyptien, contemporain d’Os
tlas lui donna en présent les plus belles brebis du pays. Le même mot grec exprime une brebis ou une pomme. On peignit ce pr
s, ses inscriptions, ses hiéroglyphes, les travaux d’Hercule, que les Grecs y gravèrent par la suite, le rendirent extrêmemen
les flèches d’Hercule. Ulysse, le plus éloquent et le plus adroit des Grecs , fut chargé de cette découverte. Philoctète, sédu
s douleurs dans l’île de Lemnos. Cette lâche trahison fut inutile aux Grecs  ; l’oracle ordonna d’apaiser Philoctète. Ulysse r
et parvint encore à le persuader ; il se laissa conduire au camp des Grecs , où Machaon, fils d’Esculape, le guérit de sa ble
nner plus d’éclat à cette expédition, il fit inviter tous les princes Grecs à se réunir à lui. Pendant que l’on se rassemblai
en fit le dessin, et lui donna son nom. D’autres l’attribuent au mot grec argos, vite, léger. Quelques-uns croient qu’il fu
d’autres enfin le font venir du mot argivos, parce qu’il portait les Grecs . On varie de même sur les qualités des bois qu’on
re. Cet essai des Argonautes fit connaître ce nouveau passage, et les Grecs s’en servirent depuis pour établir leur commerce
mettre au nombre de ses grands dieux ; et les Romains, imitateurs des Grecs , les honorèrent de même. On croyait qu’ils appara
ce adopta par la suite. Musée, son fils, Mélampus et plusieurs autres Grecs après lui, firent ce même voyage. Orphée, de reto
ès à Sparte. Il fit des changemens si avantageux dans la religion des Grecs , qu’on doit le regarder comme le plus grand et le
sans secours. « Telle fut l’occasion de la première expédition où les Grecs montrèrent quelques connaissances de l’art milita
les troupes d’Étéocle de se renfermer dans les murs de Thèbes. « Les Grecs ne connaissaient pas encore l’art de s’emparer d’
rendre le même parti pour le plus célèbre des événemens de l’histoire grecque . On ne peut parler de la guerre de Troie sans rap
torts que sa maison et l’Asie entière avaient éprouvés de la part des Grecs , et rejeta les voies de conciliation qu’on lui pr
s sur le rivage, elles présentaient un front redoutable à l’armée des Grecs , qui, après les avoir repoussées, se renfermèrent
rêles bâtimens et de faibles lumières sur l’art de la navigation, les Grecs n’avaient pu établir une communication suivie ent
t Ida, à quelque distance de la mer ; les tentes et les vaisseaux des Grecs occupaient le rivage ; l’espace du milieu était l
tait le théâtre de la bravoure et de la férocité ; les Troyens et les Grecs armés de piques, de massues, d’épées, de flèches
. « Cette idée, fortement imprimée dans les esprits, endurcissait les Grecs et les Troyens contre les maux sans nombre qu’ils
de ces revers, les Troyens soupiraient après le renvoi d’Hélène, les Grecs , après leur patrie ; mais les uns et les autres é
e de sa jeunesse et de ses héros, la ville tomba sous les efforts des Grecs  ; et sa chute fit un si grand bruit dans la Grèce
par le fer vengeur ; tel fut le dénoûment de cette fatale guerre. Les Grecs assouvirent leur fureur ; mais ce plaisir cruel f
s peuples, et leur faire redouter jusqu’à la victoire même. Celle des Grecs leur fut aussi funeste qu’aux Troyens ; affaiblis
r, ce qui aurait porté l’élévation du tout à un mille ; mais le texte grec ne fait aucune mention de cette prodigieuse haute
llait alors recueillir le gland qui servait de nourriture aux anciens Grecs . Elle fit construire au pied d’un chêne une petit
rd sur l’origine de ce nom : ils doutent s’il est hébreu, africain ou grec  ; mais le plus grand nombre croit que ce mot déri
ricain ou grec ; mais le plus grand nombre croit que ce mot dérive du grec , et signifie inspiré. Toute l’antiquité se réunit
on opinion en disant que tous les vers des Sibylles ont été écrits en grec  ; ce qui n’aurait point eu lieu si les Sibylles a
celle de Varron. 1°. Rien ne prouve que toutes les Sibylles ont parlé grec . 2°. Ne peut-on pas avoir traduit en grec leurs p
utes les Sibylles ont parlé grec. 2°. Ne peut-on pas avoir traduit en grec leurs prédictions, que l’on recueillait avec auta
souvent consulté par les Romains que celui de Delphes l’était par les Grecs . Quant aux autres oracles des Sibylles que l’on a
ée, qui prédit le succès de la guerre de Troie, dans le temps que les Grecs s’embarquaient pour cette expédition. 6°. La Sami
religion : ils étaient en même temps une sorte de spectacle chez les Grecs et chez les Romains. Trois sortes de jeux ou d’ex
mbattans. Les juges des jeux se nommaient Hellanodiques, ou juges des Grecs . Jamais on n’appelait de leurs décisions. Ils n’é
n temps, avaient triomphé dans les quatre jeux les plus solennels des Grecs  : les olympiques, les isthmiques, les pythiques e
ayant d’être reçu à entrer en lice dans ces jeux. Toutes les familles grecques dès lors prétendirent descendre des Hellen, et ce
len, et ce nom particulier à un seul peuple devint le nom général des Grecs . Recherches sur l’ancienne religion des habit
générale de l’ancienne religion des peuples du Nord. Les auteurs grecs et latins eurent pendant long-temps peu de commun
vitesse effrayante. De là les délires des Égyptiens, des Syriens, des Grecs après eux, et ce chaos connu sous le nom de mytho
l’inventeur de tous les arts : on crut qu’il répondait au Mercure des Grecs et des Romains, et l’on désigna le jour qui lui é
es les nommaient Jupiter et Apia ; les Thraces, Cotis et Bendis ; les Grecs et les Romains, Saturne et Ops. Les Scythes serva
étaient resplendissans. C’était le soleil des Celtes, le même que les Grecs nommaient Apollon. Tyr, qu’il faut distinguer de
, des Égyptiens, avec la théogonie d’ Hésiode, avec la mythologie des Grecs et des Romains, on se convaincra bientôt que la c
ie et le merveilleux de nos romans gothiques, comme la mythologie des Grecs et des Romains servait à l’embellissement de leur
s ignoraient les arts qui avaient adouci les mœurs des Romains et des Grecs encore païens. Les peuples du Nord croyaient que
fondateurs des dieux ou des héros imaginaires ; nous avons montré les Grecs faisant des efforts pour voiler leur origine ; ma
ité étaient bien plus justes et bien plus spirituelles que celles des Grecs et des Romains. Tacite, Maxime de Tyr et les autr
9 (1866) Dictionnaire de mythologie
sfait les tendances idéales. Elle n’est pas seulement la religion des Grecs et des Romains, elle est la langue poétique de to
rançais d’aujourd’hui n’ont plus rien à apprendre sur la religion des Grecs et des Romains ? — J’avoue qu’ils sont en général
aujourd’hui les esprits sont tournés ailleurs. On lit rapidement les Grecs et les Latins pour avoir une teinte de leurs mœur
e et un évêque comme Fénelon, il ne faut pas être initié au culte des Grecs  ? J’ai honte d’être obligé de vous apprendre des
e et dans la conversation de quelques amis. A Constantinople, la cité grecque , les factions du cirque, les querelles des sectes
phragmoutosis, Osymandias et les vingt-sept dynasties. Plus tard, les Grecs l’ont empruntée aux Égyptiens, et Dieu sait l’usa
avait une épaule d’ivoire, jusqu’à Philopémen, qui fut le dernier des Grecs , tous sont venus s’y asseoir Orphée y est monté v
, et Hercule aussi, mais peu s’en est fallu qu’il ne la défonçât. Des Grecs , elle est passée aux Latins. Au temps de Virgile,
lémaque, grommelait-il entre ses dents. J’avais bien affaire de votre Grec  ! comme si ce n’était pas assez de tous ceux que
mplètement étrangère à nos ablutions. Sommes-nous moins pieux que les Grecs et les Romains ? Je l’ignore, mais j’oserais affi
mitation et pour les grâces nonchalantes du style. Il n’y a eu que ce Grec aimable, égaré dans le dix-septième siècle, pour
coles publiques, où ils apprennent le latin, comme nous apprenions le grec dans les nôtres. Leurs enfants connaissent nos in
ra des comédies en latin. Est-ce qu’on ne joue pas déjà des tragédies grecques dans nos colléges de prêtres ? Est-ce que nos pro
ria ! est-il possible ! Ça se démonte ! » Cerbère. Tant que les Grecs ne regardèrent l’Enfer que comme un grand trou no
sonnifications trouverez-vous qui soient plus vivantes qua celles des Grecs  ? Charybde et Scylla. C’était vraiment une
employer sérieusement. Cerveau de Jupiter. Lucien est un auteur grec de beaucoup d’esprit, mais à qui on a fait trop d
aisemblable, mais parce que je me méfie du génie inventif des peuples grecs . Certes, j’ai lu l’histoire des Républiques itali
er en doute l’imagination de Denys de Syracuse en ce genre ; mais les Grecs , de leur côté, n’étaient pas moins ingénieux. Ils
igna elle-même l’art de bâtir et de sculpter sur bois. Avant lui, les Grecs faisaient déjà des statues, ou plutôt des ébauche
vient. Aristote (pour ne pas remonter plus haut) assure que chez les Grecs l’éternuement était réputé pour un dieu. Sur quoi
eurs de leur collége établissent les premiers fondements des sociétés grecques sur la crainte des dieux ; ils envoient Némésis s
l’Inde, puis dans l’Éthiopie. C’est ainsi qu’on voit souvent chez les Grecs la fable reculer devant la géographie. L’Olympe r
ous savez comment il profita de la leçon et quel fut son salaire. Les Grecs , plus sensés, ne perdaient pas leur temps à disse
t les deux écueils de Charybde et de Scylla plus redoutés des navires grecs que le gouffre du Maëlstrom ne l’est des bateaux
es. » Il a conservé le mot, mais non l’aspiration. Hélicon. Les Grecs plaçaient loin des hommes sur les hautes cimes ba
nt inspiré qui nous a révélé les mystérieuses origines de la religion grecque . Dans un éloquent morceau consacré à l’éloge des
élicon est une montagne située entre la Phocide et la Béotie, que les Grecs avaient consacrée aux Muses — D Qu’est-ce donc qu
— Oui. — Voilà où est le mal. Car, suivez bien mon raisonnement : les Grecs et les Latins, qui étaient des païens, c’est-à-di
ir deux idiomes, l’un classique, l’autre populaire. Les Latins et les Grecs , que nous imitons si volontiers, n’avaient qu’une
vont se transformant d’âge en âge ces belles conceptions de l’esprit grec , immortelles comme le génie, dont elles personnif
ques instants. Ces nouveaux Éginètes s’appelèrent Myrmidons, d’un mot grec qui veut dire fourmi. N. B. Ne pas confondre ces
le, dit Homère, coulait de ses lèvres, plus douce que le miel. » Les Grecs le respectaient et l’aimaient comme un père. Agam
efois ! » Et après ce préambule invariable, le voilà qui raconte aux Grecs les géants redoutables qu’il a vaincus, le détail
le conseil tu l’emportes sur tous ceux de ton âge. Personne entre les Grecs ne blâmera tes paroles et ne voudra te contredire
gri. » Pour se rassurer, il invoque toutes les autorités : celle des Grecs , qui ont toujours cru à ces prodiges ; celles des
er notre scène, qui est trop timide ; il veut transporter la tragédie grecque à Paris. Enfin le grand jour arrive ; la trappe f
. Je suis vraiment fâché de passer sans transition d’un âne au peuple grec  ; mais l’âne ne sera pas plus fier du rapprocheme
e grec ; mais l’âne ne sera pas plus fier du rapprochement, et si les Grecs en sont humiliés, tant pis pour les Grecs ! Pourq
du rapprochement, et si les Grecs en sont humiliés, tant pis pour les Grecs  ! Pourquoi étaient-ils assez simples pour croire
 ! pauvres mortels que nous sommes, confessons notre misère, et tous, Grecs , Romains, Égyptiens, Français, humilions-nous ens
hent des vices de l’Asie efféminée. C’est ainsi que l’imagination des Grecs enveloppait d’allégories charmantes non-seulement
jour plus étendu. C’est le propre de ces belles conceptions du génie grec d’alimenter, sans s’épuiser jamais, les hypothèse
cette loi de rénovation continuelle et de ses effets merveilleux, les Grecs l’ont personnifiée en un dieu marin, Protée, le p
n riant de la gloutonnerie du bon Saturne et de la sotte religion des Grecs . Quant à supposer que ce peuple si ingénieux pouv
taire savant qu’il faut lire, c’est Hésiode, le père de la mythologie grecque , qui raconte ces grandes crises avec la précision
e écailleux du monstre sous la belle poitrine de la nymphe ; aussi le Grec , qui connaissait bien les hommes et leur fragilit
plier dans leur enfer les images des supplices les plus raffinés, les Grecs avaient déjà fait preuve d’une riche imagination.
de la lyre avec son ami Patrocle, pour se désennuyer, pendant que les Grecs se battaient. Cette bouderie du héros d’ Homère e
légende a inspiré au vieil Eschyle une trilogie. (C’est ainsi que les Grecs appelaient une action développée en trois drames.
la Sagesse. 3. Remigium alarum.( Virg.) Cette fable prouve que les Grecs attribuaient encore à Dédale l’invention des mâts
10 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
a de l’enflure aux pieds, on l’appela Œdipe, nom composé de deux mots grecs qui signifient pieds enflés. Œdipe entrant un jou
ns fut d’abolir dans les Gaules les sacrifices humains. Cependant les Grecs ne renoncèrent point encore à cette horrible cout
de la Thessalie dont Phère étoit la capitale, il fut l’un des Princes grecs qui s’assemblèrent pour la chasse du sanglier de
le jeune Prince changea son nom de Podarcès en celui de Priam du mot grec priamaï, j’achète, Hercule lui rendit le royaume
Acropates, c’est-à-dire, ennemies et altérées du sang des hommes. Les Grecs les nommèrent Amazones. On donne à ce nom diverse
pollon, parce qu’il avoit mis fin à la guerre des Amazones contre les Grecs . Philoctète. Philoctète, fils de Pæan,
ami qu’il ne découvriroit jamais le lieu de sa sépulture14 ; mais les Grecs sur le point de partir pour le siége de Troye, ap
ed, le lieu où il avoit inhumé Hercule. Il se rendit à Troye avec les Grecs , et durant le voyage, une des flèches d’Hercule t
nt affliger la nature humaine. Cependant après la mort d’Achille, les Grecs voyant qu’il étoit impossible de prendre la ville
épisode le plus touchant de son poëme. Philoctète, arrivé au camp des Grecs , combattit Paris et le blessa mortellement. Philo
niqua les connoissances qu’il avoit acquises, il réforma le culte des Grecs , introduisit de nouvelles cérémonies, inventa de
es étoiles. Suivant l’opinion la plus commune, cinquante-deux princes grecs s’embarquèrent avec Jason. On songea d’abord à no
e, il l’épousa en secret et en eut un fils nommé Pyrrhus. Lorsque les Grecs s assemblèrent pour aller assiéger Troye, Calchas
ontraint de rendre sa captive Chriséis à Chrisès, père de cette jeune grecque et grand-prêtre d’Apollon et il enleva à Achille
couragés par la résistance d’Achille livrèrent un grand combat où les Grecs furent défaits. Ce fut dans cette occasion qu’Hec
ombattre pour sa patrie 22. Achille, voyant le feu mis aux vaisseaux grecs , se laissa fléchir par les prières de Patrocle, i
dre à l’honneur de les recevoir. Ils plaidèrent leur cause devant les Grecs assemblés, l’éloquence l’emporta sur la valeur, U
és, l’éloquence l’emporta sur la valeur, Ulysse obtint les armes. Les Grecs firent à Achille de magnifiques funérailles sur l
prolongés, qui se retrouvent dans quelques-unes des pièces du théâtre grec , ouvrages composés à l’époque de la parfaite civi
contre Troye. Il s’y rendit avec cent vaisseaux. Mais pendant que les Grecs s’assembloient à Aulis, il tua une biche consacré
e d’une vipère. Ajax. Ajax fils d’Oïlée, fut un des Princes Grecs qui allèrent au siége de Troye. Il outragea Cassa
gua beaucoup ; Hector proposa de combattre seul, un des ennemis ; les Grecs tirèrent au sort pour savoir quel guerrier on opp
e ; et tel est constamment Ulysse dans la fable et dans les tragédies grecques . Ulysse (en grec Odisseus) étoit fils de Laertes,
mment Ulysse dans la fable et dans les tragédies grecques. Ulysse (en grec Odisseus) étoit fils de Laertes, petit fils d’Arc
part à la prise de Troie, par ses stratagèmes, que les autres Princes grecs y contribuèrent par leur valeur. Il avoit tout te
après. Dans cette lettre, Priam remercioit Palamède d’avoir trahi les Grecs et faisoit mention d’une somme d’argent qu’il lui
a tente la somme d’argent et il fut lapidé. Ulysse fut chargé par les Grecs de toutes les députations importantes ; il alla c
t d’Augé étoit nécessaire. A la fin de la dixième année du siége, les Grecs , d’après le conseil de Pallas, construisirent un
e taire entrer dans leur ville : la nuit même de ce jour, les soldats Grecs enfermés dans les flancs du cheval en sortirent e
du cheval en sortirent et prirent la ville. Presque tous les Princes Grecs périrent à leur retour de Troie. Nauplius, Roi de
pider devant Troie, résolut de venger son fils sur tous les Chefs des Grecs . Il envoya ses deux autres fils, Oacès et Nausimé
me sépulture, se jeta dans la mer, mais on l’en retira. Au retour des Grecs , l’implacable Nauplius alluma des feux sur les ro
siége de Troie, quoiqu’il fût alors le plus vieux de tous les Princes grecs , mais il en étoit aussi le plus sage. Il perdit à
te montagne, on y bâtit une ville qui fut nommée Idalion de deux mots grecs qui signifient j’ai vu le soleil, d’où la montagn
ze Dieux. Ce mot Aréopage (Tribunal d’Athènes) est formé de deux mots grecs le Bourg ou la Colline de Mars, parce que ce fut,
veilleux, qu’on peut les comparer, avec avantage, aux anciens Princes Grecs les plus renommés ; les Duguesclin, les Bayard, e
pandus sur la terre. Cette divinité eut plusieurs temples à Rome, les Grecs l’honoroient sous le nom d’Elpis. On la représent
La Paix étoit fille de Jupiter et de Thémis. Elle fut adorée par les Grecs et les Romains. Il n étoit pas permis de répandre
n, après ses victoires, eut la modestie de lui élever des autels. Les Grecs nommoient la Fortune Tyché. On éleva une infinité
La Renommée. Fille de la Terre et messagère de Jupiter. Les Grecs lui rendirent les honneurs divins, elle eut à Ath
nous a conservé ce modèle d’allégorie morale. L’Ignorance. Les Grecs la peignoient sous la figure d’un enfant nu, les
t le travail du cordier. Ce tableau donna lieu à un proverbe chez les Grecs , pour dire : C’est bien de la peine perdue, on di
11 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
ts, la nature entière n’était qu’une masse informe : c’est ce que les Grecs nommaient le chaos. Hésiode fait cette espèce de
couvre nos prés. Rousseau. Cybèle eut aussi le nom de Rhea, du mot grec rheo, qui signifie couler, parce que c’est de la
mps du pied nommé par les latins dactyle ; ou, selon d’autres, du mot grec qui signifie un doigt ; parce qu’au commencement
en l’honneur de Cérès : les Tesmophores, ainsi appelées de deux mots grecs qui signifient loi et je porte ; parce que Cérès
pris à ses sujets l’art de cultiver la terre ; que, par ce moyen, les Grecs se sont nourris des grains qui croissaient dans l
nce, Bacchus lui consacra un temple sous le nom de Jupiter Ammon, mot grec qui signifie arène ou sable, à cause des sables q
e Jupiter ; cependant ce ne fut que long-temps après Hercule, que les Grecs commencèrent à compter par olympiades. L’opinion
st que ces jeux furent établis par cinq frères nommés Dactyles 1, mot grec qui désigne leur nombre et leur union. Chacun d’e
it absous : de là vient le nom d’Aréopage ; areos et pagos, deux mots grecs qui font entendre que Mars lui donna son nom Arès
rit par cet artifice les suffrages des juges. Noms de Mars. Les Grecs ont donné au dieu Mars le nom d’Arès, qui signifi
deraient le Palladium, Troyes ne serait pas prise ; mais, lorsque les Grecs en firent le siége, Ulysse et Diomède entrèrent p
mple de Minerve, et ils enlevèrent sa statue. Peu de temps après, les Grecs surprirent la ville. Apollon Jupiter aya
nait. Cette fable n’a d’autre fondement que le nom de Daphné, qui, en grec , signifie laurier. Hyacinthe Apollon ne f
rir ; mais Apollon, ému de pitié le changea en Cyprès. Cyparisse, mot grec , signifie cyprès. Dans la suite, on porta cet arb
is, sous celui de Saturne ; les Indiens sous celui de Dionysius ; les Grecs et les Romains, sons celui d’Apollon ou Phébus. I
s Romains, sons celui d’Apollon ou Phébus. Il est à remarquer que les Grecs , qui tirèrent le fond de leur théologie des Egypt
re. Esculape laissa deux fils, Mochaon et Podalire, qui suivirent les Grecs à la guerre de Troyes. Les plus habiles médecins
le Minautaure avec l’industrie et le secours de Dédale. La haine des Grecs contre Minos, qui leur avait imposé un tribut, do
Muse vient de Moïse , selon M. Huet, et, selon d’autres, d’un verbe grec qui signifie enseigner des choses élevées. Le nom
Phocide, fut surtout célèbre par le temple et l’Oracle d’Apollon. Les Grecs , les étrangers, les particuliers et les princes m
ltaient ces oracles aussi souvent et avec autant de confiance que les Grecs celui de Delphes. La Sybille de Cumes reçut les h
chose remarquable, c’est que tous les vers de Sybille sont écrits en grec , ce qui ne serait pas s’il y en avait eu en Perse
ue les Troyens reçussent dans leur ville le fameux cheval de bois des Grecs  ; et, soupçonnant une perfidie, il lança son jave
quelle il fut élevé, aux environs de Nysa, se nommait Méros ; qui, en grec , signifie cuisse : c’est sans doute ce qui a donn
qu’elles versent encore : c’est de là qu’on a formé leur nom d’un mot grec qui signifie pleuvoir. Silène Silène fut
chus, vient du bruit et des cris que faisaient les Bacchantes, le mot grec Bacchein, signifie hurler. Symbole qu’on donna
ourée de lierre et de pampres ; cette javeline s’appelle thyrse : mot grec qui signifie proprement la tige d’une plante. Il
Fêtes de Bacchus Les fêtes de Bacchus s’appelaient parmi les Grecs Dionysia ; les Latins les nommaient Liberalia ou
orgies à cause de la fureur des Bacchantes. Ce mot orgie est purement grec , et signifie impétuosité, fureur. On le disait d’
caractère et à leurs actions. Elles furent appelées Ménades, d’un mot grec qui signifie être en fureur, tant à cause de leur
. Mercure avait un temple dans plusieurs villes du Péloponèse. Les Grecs et les Romains célébraient ses fêtes au mois de m
ou Pitho est souvent regardée comme sa compagne. Pitho vient d’un mot grec qui signifie persuader. Vénus avait pour ornement
evinrent chers à Vénus, et elle les attela à son char. Péristère, nom grec , signifie une colombe ; tout le reste de la fable
navigation. Les Harpies Les Harpies, ainsi nommées d’un mot grec qui signifie j’emporte de force, étaient filles d
inités des Gentils l’Air et le Vent ; ainsi il est présumable que les Grecs prirent ce culte des Orientaux. Les auteurs varie
son passage, une pièce de monnaie nommée naulum ; c’est pourquoi les Grecs et les Romains avaient coutume de mettre une obol
rs sous l’emblème du dieu Pan : c’est ce que désigne son nom, qui, en grec signifie tout. La figure qu’on lui attribue de fo
e leurs âmes ; ils prirent l’alarme, et se crurent poursuivis par les Grecs dans leur délire, ils se jetèrent sur leurs armes
qu’au jour, leur coûta plus de 10,000 hommes. D’autres disent que les Grecs ayant fait retentir le nom mystérieux de Pan auto
s’en servit pour faire une flûte qui porta le nom de Syrinx, d’un mot grec qui signifie roseau. Outre la nymphe Syrinx, Pan
nait, et il répara ses pertes. Palès Il ne paraît pas que les Grecs aient connu cette déesse. Palès, invoquée chez le
s lui étaient consacrés. Flore Flore, nommée Cloris chez les Grecs , est la déesse des fleurs. On dit que Zéphyre en
és comme les dieux de la patrie. En vain cherche-t-on des étymologies grecques et latines de ce mot Pénates, puisque leur nom, l
e d’une liqueur divine pour fortifier la vertu contre le malheur. Les Grecs l’adorèrent sous le nom de Némésis, vengeresse ;
ilence se nommait Harpocrate chez les Egyptiens, et Sigalion chez les Grecs . Sa figure représentait un homme qui a le doigt s
Persée On fait venir le mot de héros du nom de Junon, qui, en grec , s’appelait Héra. Un de ses fils se nomma Héros,
s de Troyes qu’elle ne pouvait être prise sans flèches d’Hercule, les Grecs députèrent Pyrrhus pour s’informer de l’endroit o
dans l’île de Lemnos : mais sa présence étant devenue nécessaire aux Grecs , il vint au siége de Troyes, où Machao, célèbre m
devenu puissant, et qui ne cherchait qu’une occasion de se venger des Grecs dont il avait été prisonnier, envoya Pâris avec u
hange, il serait facile de se faire rendre Hésione ; mais les princes grecs réclamèrent l’une, sans vouloir relâcher l’autre,
armes qu’ils n’eussent vaincu les Troyens. Le lieu du rendez-vous des Grecs était en Aulide, ville maritime de la Béotie. Les
cette princesse dans son temple de Tauride en Scythie. La flotte des Grecs , composée de douze cents vaisseaux ou petites bar
entre Agamemnon et Achille contribua aussi à retarder le triomphe des Grecs . Agamemnon avait enlevé Chryséis, fille du grand-
a dixième année du siége. Les neuf premières furent employées par les Grecs à soumettre plusieurs villes qui avaient pris les
La trahison de Pâris envers Achille semble justifier la ruse dont les Grecs se servirent pour prendre la ville de Troyes. Ils
é par Ulysse, s’étant laissé prendre, leur dit que c’était un vœu des Grecs pour apaiser Minerve ; qu’ils ne l’avaient fait c
descendre les soldats qui y étaient renfermés, et donna le signal aux Grecs . Ceux-ci, faisant voile à petit bruit, vinrent fo
après sa fondation. On prétend qu’il y périt plus de huit cent mille Grecs , et presque autant de Troyens. Le fond de cette h
12 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
dirigé ailleurs mes recherches ; j’ai puisé dans les poètes latins et grecs , dans Ovide, Virgile, Horace, Homère, sans néglig
adjugé la pomme d’or, et elle devint l’ennemie du peuple troyen ; les Grecs , au contraire, furent les objets constants de sa
ent pour la déesse, et la ville s’appela Athènè (Athènes) : c’est, en grec , le nom de Minerve. — On la représente avec un ai
ou à indiquer la route aux voyageurs égarés. Ces statues, appelées en grec Hermès, se plaçaient aussi au milieu des carrefou
peint souvent avec des cornes, symbole de force et de puissance. Les Grecs lui immolaient la pie, parce que le vin rend indi
le fâcheux effet. Entre les noms et surnoms donnés à Bacchus par les Grecs et les Romains, six méritent surtout d’être connu
son fils pendant le combat contre les géants ; — Iacchus, d’un verbe grec , qui veut dire « crier, vociférer, » à cause des
des troupeaux. Les noms de Faunes et de Sylvains étaient inconnus aux Grecs , qui désignaient du nom de Satyres tous les dieux
ui présidaient aux arbres et aux bois. Leur nom vient de drys, qui en grec signifie « chêne. » On les distingue en Dryades p
les Athéniens l’Ilissus, les Romains le Tibre. — Dans les temples des Grecs et des Romains, on voyait en bronze ou en or les
de leur service. » § 18. Génius. Génius ou Génie, divinité des Grecs et des Romains, présidait à la naissance de chaqu
our Sont trois aveugle-nés qui gouvernent le monde. Voltaire. — Les Grecs représentent Plutus sous la figure d’un vieillard
éleste est impénétrable, et atteint à l’improviste les criminels. Les Grecs l’adoraient sous le nom d’Adrastée et de Rhamnusi
forts. § 27. La Renommée. La Renommée, divinité allégorique des Grecs et des Romains, a cent yeux continuellement ouver
oigner ; et il allait joindre la violence aux menaces, quand le héros grec se sentant trop faible contre le géant, lui dit :
un âge avancé. § 6. Castor et Pollux. Castor et Pollux, héros grecs , étaient fils d’une étolienne nommée Léda. Leur m
et Machaon, assistèrent au siége de Troie, comme médecins de l’armée grecque , et y firent autant éclater leur bravoure que leu
es crimes, et institua les fêtes de Bacchus et de Cérès. Il donna aux Grecs de savantes notions d’astronomie, chanta la guerr
pations sérieuses. Avant lui, la flûte était seule en usage parmi les Grecs  ; il inventa la lyre, ou plutôt la perfectionna e
aternel Pitthée, roi de Trézène, le plus sage et le plus vertueux des Grecs . Son premier exploit fut sa victoire sur le briga
utragé. Mais un prodige inattendu s’oppose au départ de la flotte des Grecs  : aucun vent, aucun zéphyr ne souffle… Des semain
d’Iphigénie, fille aînée d’Agamemnon50. « A ce prix, dit Calchas, les Grecs peuvent s’ouvrir le chemin des mers, et détruire
é, étendue à terre et palpitante ; ce prodige réveille le courage des Grecs , le vent devient favorable, et l’on met enfin à l
n arc et d’une épée, et provoque fièrement les plus braves capitaines grecs  ; mais lorsqu’il voit Ménélas accourir pour le co
ise de Troie, elle le trahit indignement, et le livra au poignard des Grecs , espérant se réconcilier par ce crime avec Ménéla
le, outré de cet affront, jura de ne plus combattre pour la cause des Grecs , s’enferma dans sa tente, et resta une année enti
 : Achille refusa de la reprendre, et s’obstina à ne pas défendre les Grecs . Ni les prières des généraux, ni les représentati
ra plus à la tête des bataillons. Mais cette discorde trop fatale aux Grecs ne pouvait durer : Nestor, par ses exhortations p
s deux héros luttent avec une égale vigueur. Autour d’eux, Troyens et Grecs , soldats et capitaines, se pressent et s’égorgent
e empoisonnée que lui décocha Pâris, et mourut de cette blessure. Les Grecs déposèrent ses cendres sur le promontoire de Sigé
fils de Télamon. Ajax, fils de Télamon, fut le plus vaillant des Grecs après Achille. Il partit avec douze vaisseaux pou
lève en délire pendant la nuit, saisit son épée, parcourt le camp des Grecs , et, croyant tuer Ulysse, Ménélas et Agamemnon, m
lettres du nom d’Ajax. Sa mort eut lieu avant la prise de Troie. Les Grecs lui érigèrent un magnifique monument sur le promo
fit alliance avec ce monarque dont la capitale était assiégée par les Grecs . Dans un combat qu’il livra près du rivage de la
a fuite. Sa victoire eût été complète, si Bacchus, qui protégeait les Grecs , n’eut fait sortir de terre un cep de vigne dont
e mal. Mais Ulysse, qui savait que Troie ne pouvait être prise si les Grecs n’avaient dans leur armée un fils d’Hercule, expl
de Troie, et convaincue que cette ville était imprenable, l’armée des Grecs demandait hautement à ses généraux de la ramener
portes s’ouvrent ; on s’empresse de sortir, de parcourir le camp des Grecs et ces plaines qu’ils ont si longtemps occupées.
Croyez-vous les ennemis bien éloignés ? Croyez-vous qu’un présent des Grecs ne couvre pas un piége ? Est-ce ainsi que vous co
fuir devant eux, s’était mis lui-même à leur discrétion : c’était un Grec , une créature d’Ulysse, dressé par lui au rôle qu
avait tous les caractères de la vraisemblance, que l’embarquement des Grecs n’était pas une feinte, et qu’ils voulaient, en c
à bout, Prince, de l’établir dans votre citadelle, non-seulement les Grecs ne songeraient plus à venir attaquer les Troyens,
age dans un jour de fête. Cependant, à la faveur de la nuit la flotte grecque s’approche du rivage. Les Troyens, appesantis par
avec plusieurs familles illustres, et sentit dès lors pour le peuple grec un attachement que ne purent affaiblir les hostil
avec Ulysse, favorisé l’enlèvement du palladium, et donné l’idée aux Grecs de construire le cheval de bois. Ce qu’il y a de
l était encore le plus prompt à la course et le plus fier de tous les Grecs . Au moment du sac de Troie, il pénétra dans le te
ge de Troie, victime de la calomnie d’Ulysse et des autres capitaines grecs , qui l’avaient accusé d’avoir des intelligences a
e occasion s’offrit bientôt. Après la prise de Troie, quand la flotte grecque revenait triomphante en Europe, elle fut accueill
rochers dont son île était environnée, attira ainsi les vaisseaux des Grecs , et eut la satisfaction de les voir échouer contr
t impitoyablement massacrés. § 11. Diomède. Diomède, capitaine grec , fils de Tydée, conduisit les Argiens au siége de
que, où ils se firent remarquer par les caresses qu’ils faisaient aux Grecs , et par leur éloignement pour les étrangers : on
s flèches étaient cachées. Mais l’oracle de Delphes ayant annoncé aux Grecs « qu’ils ne pourraient prendre la ville de Troie
la plaie empirant, il s’en exhala une odeur si insupportable, que les Grecs , à l’instigation d’Ulysse, débarquèrent Philoctèt
es et ses prières, qu’il vint à bout de le fléchir. Amené au camp des Grecs , Philoctète y fut guéri de sa plaie par Machaon,
a belle Pénélope, fille d’Icarius, lorsque la guerre éclata entre les Grecs et les Troyens. L’amour qu’il avait pour sa jeune
ard pour l’âge, le rang ni les malheurs de cette auguste captive. Les Grecs s’étant embarqués pour retourner dans leur pays,
cube, Polyxène, qui lui avait été autrefois promise en mariage. » Les Grecs n’hésitèrent pas à se rendre aux volontés d’un ch
ciens auteurs sont tous d’accord sur ce fait. Dans le partage que les Grecs firent des prisonniers, Andromaque échut à Pyrrhu
on était à peine parti de ses États, pour aller commander l’armée des Grecs devant Troie, qu’Égisthe, son parent, s’insinua h
le hasard y amenait ou que la tempête forçait d’y relâcher. Les deux Grecs , à peine sortis de leur vaisseau, sont saisis, ga
he des deux infortunés, s’entretient avec Pylade, apprend qu’ils sont Grecs de nation, s’intéresse à leur sort, et offre la v
m, il vint avec dix mille guerriers au secours de son oncle, dont les Grecs assiégeaient la capitale, et sa bravoure y excita
de Gygès, comme celles de Crésus, avaient passé en proverbe chez les Grecs . § 10. Les Sirènes. Les Sirènes, sorte de f
lein de confiance à la conquête de l’Asie. § 21. La Pythie. Les Grecs donnaient le nom de Pythie à la prêtresse qui ren
un rang très-inférieur à celui des Augures. § 25. Jeux publics des Grecs . La religion avait établi chez les Païens des
nce des spectateurs était si grande que les notables seuls des villes grecques y pouvaient obtenir une place. On y disputait, co
fable, et quelques autres, rappellent divers traits de la mythologie grecque . Par exemple, cette alternative de deuil et de fê
à faire le vin. (La civilisation de l’Égypte remonte très-haut : les Grecs allèrent puiser dans cette contrée les principes
it connaître dans quelles ténèbres étaient plongés les Égyptiens, les Grecs , les Romains, et à quel degré d’égarement peut ar
s d’Olène, ville d’Achaïe. 16. Aréopage ou colline de Mars. Arès en grec signifie Mars, et pagos, colline. L’aréopage siég
bablement allusion à la génisse qui conduisait Cadmus, et dont le nom grec est bous. 37. Selon les meilleures traditions,
que celui qui aida Cadmus à bâtir la ville de Thèbes. 44. Œdipe, en grec , signifie aux pieds enflés. 45. Créon était le
s. 45. Créon était le frère de Jocaste. 46. Épigones signifie, en grec , les Descendants, Ceux qui viennent après. Diomèd
, de Naxos et de Mycone. 48. L’Iliade et l’Odyssée sont deux poèmes grecs composés par Homère. L’Énéide est l’œuvre de Virg
anguins. La mère de Teucer était Hésione, fille de Laomédon. 53. Les Grecs et les Romains composèrent sur Télèphe plusieurs
ienne ne fit qu’y bâtir une citadelle qu’elle appela Byrsa. Byrsa, en grec , signifie cuir, peau. 63. L’Europe : cette part
de quatre ans pleins, intervalle appelé Olympiade, et qui servit aux Grecs (dès l’année 776, ou 777 avant J.-C.), à supputer
s réunissaient les deux exercices de la lutte et du pugilat. 74. Les Grecs attribuent l’invention des voiles à Dédale, artis
13 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
rs et ses craintes. L’homme aveugle compta ses dieux. Lamotte. Les Grecs , qui passoient pour les plus sages et les plus sa
t eu la gloire de combattre le monstre à la tête de plusieurs princes Grecs , et de lui porter le premier coup. Les oncles de
r bien solide : Nul dieu ne manque où Minerve réside. Rousseau. Les Grecs , qui ambitionnoient la gloire d’être le peuple le
r couvert de la peau de la chèvre Amalthée, dont le nom, est Egide en grec . Pallas avoit reçu de Jupiter ce bouclier : elle
t descendu du ciel. Quoi qu’il en soit, l’oracle avoit prédit que les Grecs ne prendroient point la ville de Troie, tandis qu
e confondoient même souvent dans la mêlée, Mars combattoit contre les Grecs en faveur des Troyens, et fut blessé par Diomède 
ournez errer sur ces rivages sombres. Quinault, De-là vient que les Grecs et les Romains mettoient une obole dans la bouche
a seconde. Le Silence, que les Egyptiens appellent Harpocrate, et les Grecs Sigallion, est une divinité allégorique, réprésen
partager avec lui les dangers et la gloire de cette expédition : De Grecs une troupe vaillante Enleva la Toison brillante Q
vir l’ardeur qui m’inspire, Déesse, prête-moi ta lyre. Ou celle de ce Grec vanté, Dont l’impitoyable Alexandre, Au milieu de
re une haine dont on n’avoit point encore d’exemple. Sophocle, poëte Grec , l’un des inventeurs de la tragédie, mit cette ac
mens mémorables, et par les suites de cette guerre, aussi funeste aux Grecs vainqueurs, qu’aux Troyens vaincus. Il semble que
Il semble que cette expédition ne devoit être favorable qu’aux poëtes Grecs , Romains et François. Sophocle et Euripide y puis
nnoître les héros qui s’y sont distingués : nous commencerons par les Grecs . Agamemnon, roi d’Argos et de Mycènes, fut déclar
memnon, roi d’Argos et de Mycènes, fut déclaré le chef de l’armée des Grecs . Il étoit issu d’une famille dans laquelle le cri
la famille de Nélée, qui lui refusoit le passage dans ses Etats. Les Grecs l’engagèrent à venir avec eux au siège de Troie :
fleur doit être moissonnée. Racine. Thétis, voyant que les princes Grecs s’assembloient, et que leur premier soin seroit d
efait l’insensé, pour se dispenser d’entrer dans la ligue des princes Grecs . Un jour qu’il labouroit follement le rivage de l
. Ajax, fils d’Oïlée, roi de Locre, passoit pour le plus vaillant des Grecs , après Achille. Neptune le fit périr dans les eau
n accès de fureur si violent, qu’il se perça de son épée. L’armée des Grecs étoit conduite par quatre-vingt-quinze capitaines
, qui étoit l’aîné, eût seul soutenu et repoussé tous les efforts des Grecs , si les dieux ne lui avoient pas été contraires :
ieux prirent part à cette guerre, et se partagèrent, les uns pour les Grecs , et les autres pour les Troyens. On prétend même
one, j’apprends que je suis fils du roi. Fontenelle. Tandis que les Grecs faisoient les préparatifs de la guerre qu’ils méd
balancer leur puissance en venant au secours de Troie. La flotte des Grecs , composée de mille deux cens quatre-vingt-dix voi
rande prêtresse de son temple. Les vents devinrent favorables, et les Grecs mirent à la voile. Ils arrivèrent heureusement de
tente enfermé, tout brûlant de colère, J’eus beau voir la fortune aux Grecs par-tout contraire, Pour eux aucun secours ne me
or remporte chaque jour des avantages considérables : il chassoit les Grecs de tous les postes qu’ils occupoient. Ayant même
fit périr un grand nombre :         Tantôt ce guerrier terrible, Des Grecs épouvantés embrase les vaisseaux ;         Tantôt
ille et de Déïdamie, vint, avec un renfort de troupes, se joindre aux Grecs , et venger la mort de son père. Son courage fit s
uoit de tems en tems la lance qu’elle tenoit à la main. Cependant les Grecs , ne pouvant se rendre maîtres de la ville par la
ce, et plus encore par les discours d’un fourbe appelé Sinon, que les Grecs avoient laissé sur le rivage : chacun s’empresse
out à feu et à sang. Je vois, sans respecter âge, sexe, ni rang, Les Grecs presser le meurtre, et nâger dans le sang ; Et la
a cause de la mort d’Achille. Pyrrhus l’immola sur le tombeau que les Grecs avoient élevé à ce héros sur le promontoire de Si
après la mort de Pâris, tué par Pyrrhus dans un combat singulier. Les Grecs ayant réduit en cendres la ville de Troie, après
, si l’on vouloit détailler toutes les circonstances de ce siége. Les Grecs en multiplièrent le nombre presqu’à l’infini, par
nnent qu’il périt dans cette guerre huit cents quatre-vingt-six mille Grecs . Les Troyens avoient perdu six cens soixante-dix
a destinée des Troyens fut, dans un sens, moins funeste que celle des Grecs . Enée, prince du sang royal, fils d’Anchise et de
la terre. Il rassemble tous ceux qui avoient échappé à la fureur des Grecs , et s’embarque avec eux ; erre pendant sept ans d
— Veut épouser Polixène, et périt par la main de Paris, ibid. — Les Grecs lui élèvent un tombeau, sur lequel Polixène est i
— Cruels étoient ses ancêtres, 168 — Est déclaré chef de l’armée des Grecs , ibid. — Sacrifie sa fille Iphigénie, 180 — Se
114 Augias, roi d’Elide, 134 Aulide, ville de Béotie ; l’armée des Grecs s’y rassemble, 180 Autel de Diane, en Tauride, 6
— Font leurs présens à Pandore, ibid. — Se partagent en faveur des Grecs et des Troyens, 177 Dieux domestiques, 126 Dieu
parties du monde, 34 Eurotas, fleuve célèbre, 41. Euripide , poëte Grec , 168 Euryale, une des trois Gorgones, 128 Eurys
tenoit sur la terre, 12 — Comment on la représente, 113 Flotte des Grecs composée de douze cents quatre-vingt-dix voiles,
admises à la table des dieux, 35 — Et invoquées par les poëtes, 75 Grecs , apprennent à mettre de la différence entre les d
, ami d’Oreste, 188 — Veut mourir en sa place, 189 Pindare , poëte Grec , dont Alexandre honora la mémoire, 161 Pinde, mo
176-177 — Relève les murs de sa capitale, 178 — Est attaqué par les Grecs , 180-181 — Redemande Hector à Achille, 182 — Me
Serment par le Styx, 105 — Par Castor et Pollux, 149 — Des princes Grecs contre Troie, 178 Serpent, attribut du Temps, 21
— Description de son palais, ibid. Songes, ibid. Sophocle , poëte Grec , 167-168 Sort, (le) divinité allégorique, 17 S
z Tartare. Ténédos, île célèbre par les oracles d’Apollon, 46 — Les Grecs s’y retirent pour tromper les Troyens, 183 Térée
re poétique, 11 — Est bâtie par Neptune, 91 — Et Apollon, 41 — Les Grecs y arrivent avec leur flotte, 180 — — En forment
de Troie, 177-178 Troyens, leurs chefs pendant la guerre contre les Grecs , 176 Turnus combat contre Enée, et périt, 194 T
14 (1845) Mythologie de la jeunesse
es de l’antiquité païenne. Le mot mythologie est composé de deux mots grecs , dont le premier signifie fable, tradition, et le
de la Fable est encore indispensable pour l’intelligence des auteurs grecs et latins ; elle est même inséparable de l’étude
rne et de Rhéa, qu’on nommait aussi Cybèle, était le dieu suprême des Grecs et des Romains. Pour le soustraire à la voracité
es mains une gerbe de blé et une faucille [Fig. 49]. [Fig. 49] Les Grecs avaient institué en son honneur des fêtes appelée
de Minerve, et la ville fut appelée Athènes, du nom d’Athéna, que les Grecs donnaient à cette déesse. On la représentait avec
sur le serpent Python a inspiré un des chefs-d’œuvre de la sculpture grecque , connu sous le nom d’Apollon du Belvédère [Fig. 6
présentait Psyché avec des ailes de papillon aux épaules. Son nom, en grec , signifie âme 27. [Fig. 67] Divinités du s
é et la beauté. Suivant un auteur latin, le mot muses dérive d’un mot grec , qui signifie égales, pareilles. Pénates et La
Harpocrate, dieu égyptien, fils d’Osiris et d’Isis, était, chez les Grecs , le dieu du silence. On le représentait sous la f
rtie inférieure du corps semblable à celle d’un bouc. Pan est un mot grec qui signifie tout ; de sorte que, sous ce nom, c’
auteurs, toute la nature qu’on adorait. Flore. Flore, que les Grecs appelaient Chloris, était, comme l’indique son no
gnes, qui étaient chez les Romains ce qu’étaient les Satyres chez les Grecs . On les confondait avec les Silènes et les Sylvai
s appelées les Colonnes d’Hercule, et sur lesquelles il inscrivit, en grec sans doute : Non plus ultra 32. Il épousa Déjanir
s Argiens qui s’y trouvaient en plus grand nombre ; soit enfin du mot grec argos, qui signifie léger. Parmi les guerriers qu
rédiction de Chalcas, ne pouvait être prise sans Achille, les princes grecs chargèrent Ulysse de découvrir le lieu de sa retr
ivre Ulysse au siège de Troie. Après l’arrivée de ces deux héros, les Grecs partirent. Leur départ coûta la vie à Iphigénie,
vie à Iphigénie, fille d’Agamemnon, que Chalcas, prêtre et devin des Grecs , sacrifia sur l’autel de Diane, pour obtenir un v
ent les Troyens ; Junon, Minerve, Neptune et Vulcain protégeaient les Grecs . Après dix années de siège, la ville fut prise et
fonda une ville qui fut le berceau de Rome. [Fig. 104] Les princes grecs , pour la plupart, furent moins heureux qu’Énée. A
un énorme roc que lui seul pouvait ébranler. À la vue du Cyclope, les Grecs vont se tapir dans le fond de la caverne ; mais P
eut ramené ses troupeaux et refermé son antre, il mangea encore deux Grecs . Alors Ulysse, qui avait apporté avec lui une out
, trépigner tous les dieux. 2. Métamorphose est un mot dérivé du grec , qui signifie changement d’une forme en une autre
Dieu un père et à l’aimer. 6. Mélisses est un mot qui signifie, en grec , mouches à miel. En disant que Jupiter fut allait
sse forêt Ce temple avait été fondé par une prêtresse dont le nom, en grec , signifiait colombe : de là vint la fable que les
le sein de la terre. 20. Aphrodite, surnom de Vénus, vient d’un mot grec aphros, qui veut dire écume. Le culte de cette dé
asse couverte de la peau de la chèvre Amalthée. Ce nom vient d’un mot grec qui signifie chèvre. 23. Endymion était un berge
e la Toison d’or. 36. Le nom de Bellérophon est composé de deux mots grecs , qui signifient meurtrier de Bellérus. 37. La Ch
igence et de la force. On le plaçait à l’entrée des temples. 39. En grec le nom d’Ulysse est Odusseus : de là celui d’Odys
Ulysse dans sa patrie. 40. Le nom de Lycaon a pour racine lucos, mot grec qui signifie loup. 41. Daphné, en grec, veut dir
caon a pour racine lucos, mot grec qui signifie loup. 41. Daphné, en grec , veut dire laurier. 42. La fable de Pyrénée nou
les peuples appelés Myrmidons. Comme ce mot ressemble au nom que les Grecs donnaient aux fourmis, on imagina la métamorphose
15 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
de travaux plus sérieux. PETIT COURS DE MYTHOLOGIE Mythologie des Grecs et des Romains. Introduction. Origine d
fables ou croyances erronées qui formaient la base de la religion des Grecs et des Romains, et de tous les autres peuples de
de la terre, à l’exception des Juifs. Ce mot est composé de deux mots grecs , dont le premier signifie fable et le second disc
Saturne, l’un des Titans, était fils du Ciel et de la Terre, que les Grecs appelaient Uranus et Titéa. Uranus dérobait tous
e la terre, et produisirent plus tard les Furies. Saturne, auquel les Grecs avaient donné le nom de Chronos, après avoir dépo
 ? § 2. Jupiter. Enfance de Jupiter. Jupiter, le Zeus des Grecs , fils de Saturne et de Rhéa, avait pour aïeuls Ur
ix de ceux de la forêt de Dodone. Jupiter était, dans la religion des Grecs et des Romains, le dieu suprême ; sa puissance ét
toute sa majesté. Homère, le prince des poëtes, et Phidias, sculpteur grec , se sont surpassés dans cette peinture. Questi
iter ? § 3. Junon. Mariage de Junon. Junon, Héré chez les Grecs , fille de Saturne et de Rhée, sœur de Jupiter, fu
mont Parnasse, séjour des Muses, et dans la ville de Delphes, que les Grecs croyaient située au point central de la surface d
demeure ébranlée                     Par ses cris impuissants. Les Grecs ne se décidaient jamais dans les affaires importa
’honneur de Diane ; on les nommait Artémisies, d’Artémis, nom que les Grecs donnaient à cette déesse. Comme déesse de la chas
Diane. Ainsi la terre a peuplé la voûte céleste, et l’imagination des Grecs a rattaché à tous les astres des histoires toucha
 : c’était Minerve, déesse de la sagesse et symbole de la pensée. Les Grecs lui donnent le nom d’Athéné. Cette singulière fic
écidèrent que la déesse l’avait emporté sur Neptune. Minerve, que les Grecs appellent Athéné, donna son nom à la ville de Céc
ance de Mars. On n’est pas d’accord sur la naissance de Mars : les Grecs le nomment Arès et le disent fils de Jupiter et d
tures de Mars. Pour le dieu de la guerre, c’était mal débuter. Les Grecs en faisaient peu de cas. Pendant le siége de Troi
ta cruauté les plus doux monuments. J. B. Rousseau [Homère] Les Grecs racontent aussi qu’ayant tué Halirrhotus, fils de
. Neptune. Naissance et exploits de Neptune. Neptune, que les Grecs appellent Poseidon, est fils de Saturne et de Rhé
it naissance en Libye et se répandit de là en Grèce et en Italie. Les Grecs célébraient en son honneur les jeux Isthmiques, q
l’entrée des vaisseaux dans le port. Ino, sa mère, fut adorée par les Grecs sous le nom de Leucothoé, et par les Romains sous
2. Pluton. Pluton. — son culte et ses images. Pluton, que les Grecs nomment Adès, était le roi des Enfers. Frère de J
sonnification de la guerre, fait double emploi avec le dieu Mars. Les Grecs l’appelaient Ényo : on la fait tantôt sœur et tan
dont le nom explique suffisamment les attributions, recevait chez les Grecs le nom d’Éris. Hésiode la dit fille de la Nuit. J
à le suivre. Au bruit de ce rapt insolent, Ménélas somma les princes grecs de tenir leur parole et de s’armer contre le ravi
lée, et à Idoménée, roi des Crétois. Enfin, touché de la disgrâce des Grecs qu’Hector, fils de Priam, avait repoussés jusqu’a
longé, n’avaient pas rendue invulnérable. Après la mort d’Achille les Grecs continuèrent le siége. En vain Philoctète, vaincu
t toujours. Une ruse acheva ce que la force n’avait pu accomplir. Les Grecs construisirent, par les conseils de Minerve, un i
ortirent de leurs murailles, et vinrent contempler la machine que les Grecs avaient élevée. Sourds aux conseils de Laocoon, p
de Laocoon, prêtre de Neptune, trompés par la perfidie d’un transfuge grec nommé Sinon, ils introduisirent le cheval de bois
s flancs du cheval : les héros qu’ils renfermaient en sortirent ; les Grecs , qui s’étaient avancés silencieusement jusqu’au p
ne ville, Lavinium, qui fut le berceau d’Albe et de Rome. Les princes grecs , pour la plupart, furent moins heureux. Le chef d
cle. Ulysse, dont les conseils et la valeur avaient si bien servi les Grecs pendant la guerre de Troie, erra dix ans sur les
on ? — Quel en fut le chef ? — Quels étaient les principaux chefs des Grecs  ? — Comment les Grecs obtinrent-ils le départ de
chef ? — Quels étaient les principaux chefs des Grecs ? — Comment les Grecs obtinrent-ils le départ de leur flotte ? — Quels
— Celui de leurs poëtes ? 1. Idolâtrie est formée de deux mots grecs , dont l’un signifie idole ou image, et l’autre cu
16 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
’une main, et de l’autre une coupe. Naissance de Bacchus, Imitée du grec de Méléager .    Au milieu des flammes, Bacchu
Il regardait l’Asie et ses vastes empires, Les remparts de Priam, les Grecs et leurs navires, Et le glaive en leur sang arden
à la chasse. Il avait des temples chez les Thraces, les Scythes, les Grecs et les Romains qui le regardaient comme le père d
ais vanité ;          S’il ne faut une apologie. Écoutez ce récit des Grecs ingénieux.          L’aveugle Dieu de l’Opulence
rrivés sur ces bords où les vents les conduisent, Dans le conseil des Grecs les Latins s’introduisent, Et réclament ce Dieu s
vère, De l’homme, de la brute, on la nomma la mère. Mère tendre ! Les Grecs , dans leurs doctes chansons, La plaçaient sur un
ur brillante ?    De ses Prêtres soudain, la foule se présente, (Les Grecs les ont nommés Curètes Phrygiens.) Armés, chargés
bre de la paix tout en fleurs ; et Cécropie fut nommée Athènes du nom grec de la savante Déesse. Ses favoris, ses véritables
e respira bientôt l’amour des combats, et devint le premier des héros Grecs . Sa mère lui donna le choix, ou d’une vie immorte
memnon, Roi de Mycène et d’Argos. Il fut mis à la tête des Rois Grecs , ligués contre la ville de Troie. La flotte combi
e de Lerne, et lui fit jurer de ne jamais découvrir sa sépulture. Les Grecs instruits par l’Oracle que la ville de Troie ne c
bientôt une odeur infecte et insupportable, il fut abandonné par les Grecs , durant son sommeil, dans l’île de Lemnos, où il
ouffrit long-temps d’horribles douleurs. La mort d’Achille ramena les Grecs auprès de lui. Philoctète indigné de leur perfidi
n à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et suivit ce héros au camp des Grecs . Une de ces flèches ayant atteint et tué le lâche
Patrocle, Fils de Ménœtius et de Sthénélé. L’un des princes Grecs qui allèrent assiéger Troie. Achille l’aima tendr
j’ai quitté la mienne. Le fier Pigmalion poursuit les Tyriens ; Les Grecs de toutes parts accablent les Troyens ; L’un à l’
mpies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreur Dans le sang de ces Grecs que poursuit sa fureur.    Douze jeunes beautés,
es. Tout s’éveille à sa voix, et bientôt sa fureur Va sur le camp des Grecs repousser la terreur. D’un corps souple et léger,
ités, Ramenant au combat ses fidèles compagnes, Du plus beau sang des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de Smyrne. —  Cou
par le lâche et infidèle Pâris, qui ravit Hélène à Ménélas. Les Rois Grecs irrités de cet enlèvement marchèrent contre Troie
ous connaître Comment de cet état périt l’auguste maître ! Voyant les Grecs vainqueurs, au sein de ses remparts, Son antique
re d’Anchise. Il ne voulait point croire à la retraite de l’Armée Grecque , et regardait son cheval de bois comme une ruse q
e.    Pergame, après dix ans de siége, de carnage, Bravait encor des Grecs le superbe courage. Ces Grecs si fiers, armés sur
de siége, de carnage, Bravait encor des Grecs le superbe courage. Ces Grecs si fiers, armés sur la foi des Calchas, Comptaien
 Fuyez ! Fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; Ce présent vient des Grecs , c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa mai
re est ébranlé. Ses entrailles mugissent ; Sous leur abri douteux les Grecs tremblans pâlissent. Pour la première fois dans l
. Mais du cheval fécond le flanc s’ouvre, et soudain La mort avec les Grecs dans nos murs est vomie. Leur fer, long-temps cap
.    Mais enfin les Troyens, accablés de revers, Et, contre tous les Grecs n’osant plus se défendre, Verront, n’en doutez pa
si trahie ? Ai-je d’Agamemnon partagé la furie ? Ai-je au secours des Grecs envoyé mes vaisseaux ? J’ai sauvé les Troyens de
n époux qu’elle adorait ; elle vit dévouer à la mort, par les Princes Grecs , l’innocent Astyanax, qui lui retraçait l’image d
des fontaines ! Alors d’un ris moqueur te flétrissant encor, Tous les Grecs s’écrîraient : c’est la femme d’Hector ! Ah ! qu’
en suspens, Son maître et son appui renfermé dans mes flancs : Et des Grecs , en ces lieux amenés par le crime, Ces flancs inf
re. Le premier, par sa main tu meurs, Protésilas ! Combien, parmi les Grecs , de chefs et de soldats Ont au prix de leur vie a
est terminée, La main de leurs parens tranche leur destinée ; Que les Grecs soient punis, et leur camp ravagé ; N’en épargnez
, l’une des Sirènes, désolée de n’avoir pu charmer et perdre le Héros Grec , se noya de désespoir. On les représente, l’une a
lyre.    En vain pour terminer sa course vagabonde, Le plus sage des Grecs , vengeur de Ménélas, Depuis long-temps sur l’empi
reur de ces rivages, Fuyant l’antre cruel, sans s’occuper de moi, Les Grecs m’ont laissé seul dans ce séjour d’effroi. Rien n
aux, les premiers, ont consolé ma vue. Quels qu’ils fussent, Troyens, Grecs , amis, ennemis, J’ai couru, j’ai volé : mon sort
ales, Par le vent secondé, fuit ces rives fatales ; Avec nous fuit ce Grec devenu notre ami. Au bruit de ce départ, notre ho
te cours de la vie, elle le suit et le soutient jusqu’au tombeau. Les Grecs et les Romains élevèrent des Temples à cette Dées
de. ― Le Bailli 260. Amitié. Les Romains avaient emprunté des Grecs cette aimable Divinité, idole des cœurs vraiment
succès la plume de Platon              Ou les foudres de Démosthène. Grecs fameux, des Romains ne soyez pas jaloux ? A vos f
ourbé les Mortels. Dans ce commun effroi, du sein de la poussière, Un Grec leva les yeux sur cette Idole altière : Le premie
. N’est-ce pas, en suivant ses horribles maximes, Que les Princes des Grecs ont offert sous leurs coups Le sang d’Iphigénie à
fligeons-nous de ses revers. Faisons plus encore : soyons à son égard Grecs et Romains ; soyons Français : vivons et mourons
nvocation au Soleil. 14. [Table des matières] Maréchal. Imitation du grec de Méléagre. 15. [Table des matières] Roman. Les
17 (1800) Cours de mythologie pp. -360
Il regardoit l’Asie et ses vastes empires, Les remparts de Priam, les Grecs et leurs navires, Et le glaive en leur sang arden
à la Chasse. Il avoit des temples chez les Thraces, les Scythes, les Grecs et les Romains qui le regardoient comme le père d
vère, De l’homme, de la brute, on la nomma la Mère. Mère tendre ! Les Grecs , dans leurs doctes chansons, La plaçoient sur un
r brillante ?     De ses Prêtres soudain, la foule se présente, (Les Grecs les ont nommés Curètes Phrygiens.) Armés, chargés
bre de la paix tout en fleurs ; et Cécropie fut nommée Athènes du nom grec de la savante Déesse.     On voit Pallas, belle
e respira bientôt l’amour des combats, et devint le premier des héros Grecs . Sa mère lui donna le choix, ou d’une vie immorte
fférence ! J’avois des fils nombreux, ma superbe espérance, Quand les Grecs ont paru sur ces bords étonnés, L impitoyable Mar
Quel temps exiges-tu ? Je l’accorde à tes pleurs : Et, contenant des Grecs la vaillance guerrière, Je ferme des combats la s
memnon, Roi de Mycène et d’Argos. Il fut mis à la tête des Rois Grecs , ligués contre la ville de Troie. La flotte combi
e de Lerne, et lui fit jurer de ne jamais découvrir sa sépulture. Les Grecs instruits par l’Oracle que la ville de Troie ne c
bientôt une odeur infecte et insupportable, il fut abandonné par les Grecs , durant son sommeil, dans l’île de Lemnos, où il
ouffrit long-temps d’horribles douleurs. La mort d’Achille ramena les Grecs auprès de lui. Philoctète indigné de leur perfidi
n à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et suivit ce héros au camp des Grecs . Une de ces flèches ayant atteint et tué le lâche
Patrocle, Fils de Ménœtius et de Sthénélé. L’un des princes Grecs qui allèrent assiéger Troie. Achille l’aima tendr
j’ai quitté la mienne. Le fier Pigmalion poursuit les Tyriens ; Les Grecs de toutes parts accablent les Troyens ; L’un à l’
mpies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreur Dans le sang de ces Grecs que poursuit sa fureur.     Douze jeunes beautés
es. Tout s’éveille à sa voix, et bientôt sa fureur Va sur le camp des Grecs repousser la terreur. D’un corps souple et léger,
tés, Ramenant au combat ses fidelles compagnes, Du plus beau sang des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de Smyrne. —  Cou
par le lâche et infidelle Pâris, qui ravit Hélène à Ménélas. Les Rois Grecs irrités de cet enlèvement, marchèrent contre Troi
re d’Anchise. Il ne vouloit point croire à la retraite de l’Armée Grecque , et regardoit son cheval de bois comme une ruse q
.     Pergame, après dix ans de siége, de carnage, Bravoit encor des Grecs le superbe courage. Ces Grecs si fiers, armés sur
de siége, de carnage, Bravoit encor des Grecs le superbe courage. Ces Grecs si fiers, armés sur la foi des Calchas, Comptoien
uyez ! fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; « Ce présent vient des Grecs , c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa mai
re est ébranlé. Ses entrailles mugissent ; Sous leur abri douteux les Grecs tremblans pâlissent. Pour la première fois dans l
. Mais du cheval fécond le flanc s’ouvre, et soudain La mort avec les Grecs dans nos murs est vomie. Leur fer, long-temps cap
    Mais enfin les Troyens, accablés de revers, Et, contre tous les Grecs n’osant plus se défendre, Verront, n’en doutez pa
i trahie ? Ai-je d’Agamemnon partagé la furie ? Ai-je au secours des Grecs envoyé mes vaisseaux ? J’ai sauvé les Troyens de
n époux qu’elle adoroit ; elle vit dévouer à la mort, par les Princes Grecs , l’innocent Astyanax, qui lui retraçoit l’image d
des fontaines ! Alors d’un ris moqueur te flétrissant encor, Tous les Grecs s’écriroient : c’est la femme d’Hector ! Ah ! qu’
en suspens, Son maître et son appui renfermé dans mes flancs : Et des Grecs , en ces lieux amenés par le crime, Ces flancs inf
est terminée, La main de leurs parens tranche leur destinée ; Que les Grecs soient punis, et leur camp ravagé ; N’en épargnez
, l’une des Sirènes, désolée de n’avoir pu charmer et perdre le Héros grec , se noya de désespoir. On les représente, l’une a
lyre.     Envain pour terminer sa course vagabonde, Le plus sage des Grecs , vengeur de Ménélas, Depuis long-temps sur l’empi
te cours de la vie, elle le suit et le soutient jusqu’au tombeau. Les Grecs et les Romains élevèrent des Temples à cette Dées
de. ― Le Bailli 273. Amitié. Les Romains avoient emprunté des Grecs cette aimable Divinité, idole des cœurs vraiment
ès la plume de Platon                 Ou les foudres de Démosthène. Grecs fameux, des Romains ne soyez pas jaloux ? A vos f
ourbé les Mortels. Dans ce commun effroi, du sein de la poussière, Un Grec leva les yeux sur cette Idole altière : Le premie
. N’est-ce pas, en suivant ses horribles maximes, Que les Princes des Grecs ont offert sous leurs coups Le sang d’Iphigénie à
fligeons-nous de ses revers. Faisons plus encore : soyons à son égard Grecs et Romains ; soyons Français : vivons et mourons
18 (1880) Lezioni di mitologia
ene l’arco ed è succinta, ma quella multimammia che i Greci chiamano ( grec ) affinchè con quella effìgie ancora mentissero es
lunare, come lo è sovente nelle antichità dell’ Egitto, e il nome di ( grec ), o lunette, che avevano presso i Greci simili ni
esso i Romani. Questi chiamavanle pupille, cioè fancilline, e quelli ( grec ), che suona lo stesso. Ha gli occhi meglio tondeg
rini a lei propria ha preso Pallade il soprannome poco conosciuto di ( grec ); Polluce spiegando questa voce con quest’ altra
conosciuto di (grec); Polluce spiegando questa voce con quest’ altra ( grec ), non ce ne dà una più chiara idea: ma probabilme
in capo, suo ornamento insieme e sua difesa, onde trasse i titoli di ( grec ), e (grec), cìoò che ha bella ed aurea celata. E
uo ornamento insieme e sua difesa, onde trasse i titoli di (grec), e ( grec ), cìoò che ha bella ed aurea celata. E questa fre
in un colpo d’occhio la ragione perchè Omero tanto spesso la chiami ( grec ) Tryphaliam, nel triplicato cimiero, (grec), che
ro tanto spesso la chiami (grec) Tryphaliam, nel triplicato cimiero, ( grec ), che ne adorna la sommità. L’ egida presenta cos
o della nostra statua è osservabile l’imbracciatura, detta dai Greci ( grec ), diversa dal (grec) o striscia di cuoio, per cui
a è osservabile l’imbracciatura, detta dai Greci (grec), diversa dal ( grec ) o striscia di cuoio, per cui si porta van gli sc
olcemente aperti un lusinghiero ed affettuoso che i Greci chiamavano ( grec ), cioè umidità. Un tal guardo però è ben lontano
presiedea. Scopa fece sedente sopra un montone, onde fu detta ancora ( grec ), perchè (grec) in greco si chiama l’accennato an
a fece sedente sopra un montone, onde fu detta ancora (grec), perchè ( grec ) in greco si chiama l’accennato animale. Venere V
eco si chiama l’accennato animale. Venere Versicordia, lo stesso che ( grec ) dei Grccì, adoravano i creduli amanti antichi, s
nto, ha invece dell’urna una scatola d’abbigliamenti detta dai Greci ( grec ), da’ Latini pixis, e buxis dal bosso onde antich
i secondi in Agrea nell’Attica. I maggiori avevano luogo nel mese di ( grec )Agosto; i minori nel Gennaio (grec). Nei misteri
aggiori avevano luogo nel mese di (grec)Agosto; i minori nel Gennaio ( grec ). Nei misteri maggiori solevano iniziarsi, e nei
otato di sopra, gl’iniziandi fra il canto e la danza. Colle due voci ( grec ), (grec), si acclama agli iniziati, che davano al
sopra, gl’iniziandi fra il canto e la danza. Colle due voci (grec), ( grec ), si acclama agli iniziati, che davano allora luo
te i tempi dell’anno, al contrario dei Greci, dai quali colla parola ( grec ) feminina erano significate. In un’antichissima l
ide si esprime. Rappresentato in questa maniera l’Amore era chiamato ( grec ) o chiavigero. Si rappresentava ancora l’Amore co
ria, figlia della Terra e del Cielo, madre delle Muse. Il nome greco ( grec ) che sta scritto in vetusti caratteri sulla sua b
irsi a Mnemosine poiché rappresenta la Memoria, col nome però non di ( grec ), Memoria, ma di (grec), cioè Ricordanza. E quest
rappresenta la Memoria, col nome però non di (grec), Memoria, ma di ( grec ), cioè Ricordanza. E questa nel piano inferiore d
dono la figura inferiore quella della Memoria, quantunque l’epigrafe ( grec ) sia nella linea di sopra. Sembra probabile la lo
incisa una mano in atto di stropicciare un orecchio col motto greco ( grec ) Ricordati. Infatti, secondo Servio, l’orecchio è
atteristico di Plutone, cui sovente è apposto dai Greci l’epiteto di ( grec ), che vale odioso. L’amor della vita avea destato
pittura col capo velato: onde presso i Greci avea sortito il nome di ( grec ), il cui senso vale oscuro, invisibile.» Lezio
esti autori pretendono che la derivazione di questo nome provenga da ( grec ) sbalordimento, ed era sacro alle Furie, perchè s
Lachesi, che significa sorte, riguarda l’avvenire; Cloto che vien da ( grec ), filare, pensa al presente. Quindi Cloto, ch’era
a prima falange dei diti, significa la misura che i Greci chiamavano ( grec ), simbolo di una retribuzione giusta ed equa di t
a si conveniva pure a Venere, che presso i poeti è talora denominata ( grec ), dalla bella corona. Le vittorie incise sono que
quell’inno sopra Cerere, in cui Pausania scrive avere Omero nominato ( grec ), o Fortuna, sarà stato come si crede di quegli a
egio consueto di molte antiche divinità. « A me sembra che la parola ( grec ) mal si tragga ad un simile significato. Questa v
lia un cono troncato, o cilindro? E seppure questo valore della voce ( grec ) è ragionevole, perchè non se ne sono serviti gli
monumenti, e che gli ottenero forse da Pindaro il magnifico titolo di( grec ); cioè portatrice, o ancora sostenitrice delle ci
n l’ha altrimenti definita che per l’ottenimento del trofeo medesimo ( grec ), la Vittoria e la possessione del trofeo. « Bene
o, che le attribuiscono gli elogi e la poesia eroica, lo derivano da ( grec ) che dicon significare gloria e’ lode. Non vi ha
gnificare gloria e’ lode. Non vi ha dubbio che non trovisi la parola ( grec ) in questo senso, e che convenga pure all’Istoria
edia nel piano più basso della composizione dove è 1’ epigrafe greca ( grec ), Tragedia. Lo Schott Tavea creduta Polinnia, il
n strofe, antistrofe ed epodo. Le due prime parole derivano dal Greco( grec ), volgere, ed allude alla maniera di girare da de
ha il capo coperto di una specie di velo stretto a guisa di rete che ( grec ) dai Greci appellavasi. Nel rame che la rappresen
l nostro Museo, indubitata per la greca iscrizione che ha nella base ( grec ), Rimembranza, la quale statua non esprime in alt
bito che si è voluto rappresentare. È questa una tunica pieghettata, ( grec ) detta dai Greci come abbiamo altrove notato: ma
i, e la fronte è fasciata della benda bacchica chiamata propriamente ( grec ), come appresso Winkelmann abbiamo rilevato altra
erano quelle prese da cervi giovani, che il primo anno si chiamavano ( grec ) poi dai Greci. E Lattanzio commentatore di Stazi
tauro Capitolino: ma riflettendo che ha nella sinistra il pedo detto ( grec ) dalla caccia delle lepri in cui s’adoprava, e su
imallonidi, di Naiadi. Il nome di Baccanti deriva dalla greca parola ( grec ), che significa ululare smodatamente, come quello
nifica ululare smodatamente, come quello di Menadi ha sua origine da ( grec ) che equivale ad infuriare. Ma il furore non era
he considerar vogliono le Tiadi come Baccanti ne deducono il nome da ( grec ), infurio: altri che la riguardano come sacerdote
altri che la riguardano come sacerdotesse, prendono l’etimologia da ( grec ), sacrifico, o da Tuia sacerdotessa di Bacco, la
che derivano il loro nome da Mima città dell’Asia, hanno il nome da ( grec ), imito, e sono propriamente le Baccanti che imit
toi, dice il Costantini, come le Naiadi dei fonti. L’etimologia è da ( grec ), torcolare, onde pure e Bacco leneo, e le feste
ù molle serto si conveniva all’irta lor fronte però gli denominavano ( grec ) e frontem comatos. « La nostra statua è commend
19 (1823) Mythologie des dames
par leurs attributions. Mais c’était à Olympie que Phydias montra aux Grecs le maître des dieux dans la plus grande pompe : s
voulut tirer de cet affront une vengeance éclatante ; et lorsque les Grecs marchèrent au siège de Troie, elle ne cessa de le
Xerxès lorsqu’elle s’en retournait en Perse, après sa défaite par les Grecs . Voici quelques détails sur le temple d’Olympie,
t simples, et Junon pouvait y présider sans déroger à sa dignité. Les Grecs avaient une divinité qui semblerait avoir quelque
Vénus-Uranie ou Vénus pudique que Praxitèle exposa à l’adoration des Grecs dans le temple de Gnide. On croit que la Vénus de
nerve ayant produit l’olivier, remporta la victoire ; et comme le nom grec de cette déesse était Athéné, la nouvelle ville r
était orné des sculptures de Phidias, le plus, fameux des statuaires grecs  ; le même peuple institua en l’honneur de cette d
s. Ce tyran, jaloux de la préférence que Cérès avait donnée au prince grec , voulut l’assassiner ; mais Lyncus fut changé en
uer à Cérès leur reconnaissance, se distinguèrent sur tous les autres Grecs , par les temples qu’ils lui élevèrent et par les
ce fut pour cela qu’elle reçut le nom de Pandore, mot qui, en langue grecque , signifie tout don. Jupiter, après lui avoir remi
on au jeune Ganymède. Cette aimable déesse était appelée Dia chez les Grecs et Juventas chez les Romains : elle avait la facu
stre pousse des cris effroyables, et pour ne pas laisser échapper les Grecs enfermés dans son antre, il se place sur le seuil
poques de l’année : elles étaient filles de Jupiter et de Thémis. Les Grecs les appelaient : Eunomie, Dicé, Irène, et Thallo.
20 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
uleuse des Divinités, du Paganismes Mythologie est formé de deux mots grecs , mytos et logos, qui signifient discours fabuleux
rcure, l’éloquence ; et on l’appela Pandore, nom composé de deux mots grecs , qui signifié tout don. D. Dites-nous ce que c’es
Ames dans une barque pour une pièce de monnoie : de-là vient que les Grecs et les Romains mettoient une obole dans la bouche
re, la face rubiconde, et tenant en main une espèce de flûte, que les Grecs nommoient Syrinx. D. Donnez- nous l’origine de l’
, ce qui le démasqua, et l’obligea d’entrer dans la ligue des Princes Grecs . D. Dites-nous comment Ulysse a surmonté tous les
, il rassemble le peu de Troyens qui avoient échappés à la fureur des Grecs  ; il s’embarque avec eux, et erre pendant sept an
ille périrait devant Troye ; pour empêcher que son fils ne suivît les Grecs ligués contre cette malheureuse ville, elle le fi
21 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
he mysteries ; a priestess at the window. G. M. 276. Tïschbein, Vases Grecs , iv. 361. Plate VII. Persephone and Spring
22 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
er. Voulez-vous, malgrè lui, prendre soin de sa vie ? Armez, avec vos Grecs , tous ceux qui m’ont suivie : Soulevez vos amis ;
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