ent, la terre se peuple, les précipices, les montagnes, les mers, les
fleuves
, ne sont plus des obstacles, on les franchit, les
culte des astres on passa à celui du ciel, des élémens, des mers, des
fleuves
, etc. ; l’on parvint enfin jusqu’à placer les gra
tc. ; le feu, sous ceux de Vulcain, de Vesta ; l’eau de la mer et des
fleuves
, sous ceux d’Océan, de Neptune, de Nérée, des Nér
. Bacchus fut le dieu du vin ; Cérès, la déesse des récoltes ; chaque
fleuve
, chaque fontaine eut sa divinité tutélaire ; les
ou de leur physique. Ainsi l’on disait que l’Océan était le père des
fleuves
, et que la lune, en épousant l’air, devint mère d
les siècles barbares, on animait tout ce qui frappait les sens : les
fleuves
, les fontaines, les astres ; et, comme on ne pouv
l’île de Crète où il régnait. La fable de la fontaine Aréthuse et du
fleuve
Alphée est également fondée sur une équivoque. Le
e des saules. Par la suite des temps, les Grecs, se souvenant de leur
fleuve
Alphée qui coule dans l’Élide, dirent que les eau
de leur fleuve Alphée qui coule dans l’Élide, dirent que les eaux du
fleuve
passaient sous la mer pour se rejoindre à la font
galizia, et ses prêtres se nommaient Galli, noms qu’ils tiraient d’un
fleuve
de Phrygie. On prétend que, dès qu’ils avaient bu
euve de Phrygie. On prétend que, dès qu’ils avaient bu de l’eau de ce
fleuve
, ils entraient dans une telle fureur, qu’ils se f
la déesse. Un immense cortége l’accompagnait jusqu’à l’endroit où le
fleuve
Almon tombe dans le Tibre. Lorsqu’on était parven
parvenu à ce lieu, on lavait la statue de la déesse dans les eaux du
fleuve
. Cette solennité, qui arrivait le 25 de mars, fut
faits au nom de la déesse Styx (que l’on confondit depuis avec un des
fleuves
de l’enfer) seraient inviolables pour tous les di
dans les enfers. De même ils donnèrent le nom de Tartare au Tartese,
fleuve
de l’Espagne ; et, les Titans ayant été battus pr
ese, fleuve de l’Espagne ; et, les Titans ayant été battus près de ce
fleuve
et noyés en partie dans ses eaux, on publia qu’il
ient avoir été produit par les exhalaisons pestilentielles du Nil. Ce
fleuve
, en se débordant sur la portion de l’Égypte qui f
peu près de la même manière la corne d’abondance qu’Hercule reçut du
fleuve
Achéloüs. La fable raconte que ce fleuve, devenu
bondance qu’Hercule reçut du fleuve Achéloüs. La fable raconte que ce
fleuve
, devenu rival d’Hercule auprès de la nymphe Déjan
n vainqueur la corne d’abondance. Voici l’histoire de cet échange. Le
fleuve
Achéloüs, considérablement grossi par les pluies
aissa subsister quelques canaux bien ménagés, pour donner aux eaux du
fleuve
la possibilité de porter la fertilité dans les te
aginant la fable de l’échange de la corne d’abondance contre celle du
fleuve
Achéloüs. Nous n’étendrons pas davantage l’histoi
par Téthys sa femme. D’autres disent qu’elle le fut par les filles du
fleuve
Astérion ; d’autres enfin, par les Heures. Dans l
Junon. Les noces furent célébrées dans le pays des Gnossiens, près du
fleuve
Thérène. Du temps de Diodore, on y voyait encore
nymphe Chéloné dédaigna de s’y trouver. Mercure la précipita dans un
fleuve
, et la changea en tortue, pour qu’elle gardât un
cours à cette métamorphose pour soustraire Aréthuse aux poursuites du
fleuve
Alphée. Nous avons précédemment donné l’explicati
veraineté de la partie de ses états qui était située sur les bords du
fleuve
Amphrise. Dans ces temps reculés, les noms de pas
s il les trouva dérobés. Ce fut pendant cet exil que Daphné, fille du
fleuve
Pénée, fut métamorphosée en laurier, dans l’insta
ssalie nommé Pénée, poursuivie par un jeune prince sur les bords d’un
fleuve
qui portait le même nom, tomba dans ses eaux et s
’y noya. La grande quantité de lauriers qui croissaient le long de ce
fleuve
, fit dire que la jeune princesse avait été métamo
au promontoire, se précipita dans la mer, et périt dans ses flots. Le
fleuve
Selemne, auprès de Parrare, passait aussi pour av
. La triste Galatée, ne pouvant le rendre au jour, le métamorphosa en
fleuve
; il coule dans la Sicile, et a conservé le nom d
il commandait les flottes de Jupiter, devint le dieu des mers. Chaque
fleuve
, chaque fontaine, chaque amas d’eau eut sa divini
réservaient toute leur vénération pour l’eau du Nil. Ils nommaient ce
fleuve
Océan, Ypeus ou Nilus, souvent même Siris, par ab
s ou Nilus, souvent même Siris, par abréviation d’Osiris. Chez eux ce
fleuve
, ou plutôt le dieu de l’eau, était représenté par
erstition dure encore, et les princes qui règnent sur les bords de ce
fleuve
font payer à leurs sujets le droit de s’y baigner
rre faisaient des libations à l’Océan, aux mers, aux fontaines et aux
fleuves
. La Grèce n’avait ni rivières ni fontaines où l’o
que aux autres mers et à la terre par cette admirable circulation des
fleuves
, des rivières, des fontaines et des nuages, qui p
nommaient Dryades, Hamadryades, ou Napées. Celles qui veillaient aux
fleuves
, aux rivières, aux fontaines, se nommaient Naïade
t avait trois pointes, pour distinguer les eaux de la mer, celles des
fleuves
et celles des fontaines. Les nombreux vaisseaux d
om de Neapolis, Naples, ou Ville neuve. Les Sirènes étaient filles du
fleuve
Achéloüs et de la nymphe Calliope. Ovide, dans se
re portaient généralement le nom de nymphes. Celles qui gardaient les
fleuves
et les fontaines se nommaient Naïades. Celles qui
Dieu Pan s’étant mis un jour à sa poursuite, elle se réfugia près du
fleuve
Ladon, son père, qui la métamorphosa en roseau. P
lui dit de se laver les mains dans le Pactole, et depuis ce temps ce
fleuve
roule de l’or parmi ses sables. Telle fut la mani
s de la campagne, et fit retirer par ses sujets l’or qu’entraînait ce
fleuve
: ce qui fit dire qu’en se lavant les mains dans
c’est là qu’accourent de toutes parts les âmes qui doivent passer ce
fleuve
. Caron reçoit dans sa barque celles qui ont reçu
s errent pendant un siècle sur ce triste rivage. Après avoir passé le
fleuve
, une nouvelle porte sert d’entrée au palais de Pl
charné est armé d’une faux. (Fig. 45.) De Caron, de Cerbère et des
fleuves
de l’enfer. Caron, selon les poëtes, était fi
ptiens de faire garder leurs morts par des dogues. L’enfer avait cinq
fleuves
principaux. Le premier s’appelait l’Achéron. Il f
ur combat contre Jupiter. Son nom veut dire angoisse ou hurlement. Ce
fleuve
est dans la Thesprotie, prend sa source dans le m
rs, gémissement ; on le disait formé par les larmes des coupables. Ce
fleuve
coulait aussi dans l’Épire, ou plutôt dans la The
s le marais Achéruse ; ce n’était qu’un marais bourbeux et non pas un
fleuve
. Le Styx est le troisième. C’est une fontaine d’A
son eau était mortelle ; voilà pourquoi les poëtes en ont fait un des
fleuves
de l’enfer. La fable a fait du Styx une fille de
uves aux coupables. Telle est la principale origine des fables sur ce
fleuve
d’enfer : ses eaux coulaient dans l’Épire, que l’
eaux dont les qualités étaient mauvaises, étaient regardées comme des
fleuves
d’enfer. Il en était ainsi du lac Averne, placé e
nsi du lac Averne, placé en Italie près de Pouzolles, et du Léthé, ou
Fleuve
d’Oubli, situé dans l’Afrique. Les fables attribu
ent à ce dernier le pouvoir de faire oublier les événemens passés. Ce
fleuve
était le quatrième. Le Phlégéton, ou le cinquième
s passés. Ce fleuve était le quatrième. Le Phlégéton, ou le cinquième
fleuve
, roulait des torrens de feu. Les eaux de ce marai
son limon était brûlant. Cette propriété le fit placer au nombre des
fleuves
de l’enfer. Des Champs-Élysées. Nous ne fe
o. On rapporte diversement son crime. On dit qu’il avait découvert au
fleuve
Asope le lieu où Jupiter avait caché sa fille Égi
lieu de montrer sa persévérance dans sa haine. La jeune Io, fille du
fleuve
Inachus, ayant cédé aux desirs amoureux de Jupite
e6. Livrée à ce rigoureux destin, elle fut conduite sur les bords du
fleuve
Inachus son père. Quelle fut sa douleur, lorsqu’e
sa cruelle destinée. Mais l’impitoyable Argus l’éloigne des bords du
fleuve
paternel, et ses cent yeux sont plus que jamais a
, traverse la mer, arrive en Égypte, et implore le secours du Nil. Ce
fleuve
intercède auprès de Junon, qui se laisse fléchir
re l’amour le plus vif et le plus délicat. Il blesse Daphné, fille du
fleuve
Pénée, avec le premier de ces traits, et Apollon
acte de cruauté irrita la Terre, qui changea le sang de Marsyas en un
fleuve
de Phrygie qui porte son nom. Apollon, pendant so
du soleil passant trop près de la Terre, brûle les plaines, tarit les
fleuves
, et met à sec le lit des mers. Les flammes du cha
ton. Le fils d’Apollon tomba dans l’Éridan, aujourd’hui appelé le Pô,
fleuve
bien éloigné du pays qui avait vu naître ce jeune
ébé, Charie, Lampétie, et Aréthuse. Apollon eut de Cyrène, nymphe des
fleuves
, Aristée, célèbre par les regrets que lui inspira
ument, il enchantait les hommes et les dieux, suspendait le cours des
fleuves
les plus rapides, apprivoisait les bêtes les plus
passer dans de nouveaux corps, après qu’elles avaient bu les eaux du
fleuve
Léthé, qui leur faisait perdre le souvenir de ce
te, reine des Amazones, femmes guerrières qui habitaient les bords du
fleuve
Thermodoon ; de tuer Géryon, géant qui avait troi
loin en résonne ; Le sol croule ; des eaux le bord est emporté, Et le
fleuve
écumant recule épouvanté. Alors, ce fut alors que
er en mariage à son père ; mais il trouva un rival redoutable dans le
fleuve
Achéloüs, fils de l’Océan et de Thétys, qui était
ournait avec elle à Thèbes, ils furent arrêtés dans leur route par un
fleuve
débordé, et qui roulait des flots tumultueux. Her
horrible placé à la porte des Enfers, étaient trois sœurs, filles du
fleuve
Achéron et de la Nuit : leurs noms étaient Tisiph
vains simulacres. Bientôt ils aperçoivent les noires ondes des quatre
fleuves
des Enfers. Le terrible Phlégéton, qui se déborde
lèvres la coupe pleine de nectar. L’Achéron, plus lent que ces trois
fleuves
, fait sans cesse fermenter dans son lit une affre
, et descend avec lenteur à travers les lagunes d’un noir marais : ce
fleuve
sort des sources formées par les larmes, devant l
ssage de l’Achéron. Énée présente le rameau d’or à Caron, et passe ce
fleuve
redoutable, toujours accompagné de la prêtresse d
ande déesse des mers, une des Titanides. De cette union naquirent les
Fleuves
les plus fameux, tels que le Nil, l’Alphée, le St
uton, se partagèrent l’univers, Neptune obtint l’empire des mers, des
fleuves
, et des fontaines. On dit que Saturne, s’étant en
ermesse rouler ses ondes argentées autour de l’Hélicon, sur lequel ce
fleuve
prenait sa source. Au pied de cette montagne étai
r sous lequel il fut écrasé. Les dieux changèrent aussitôt Acis en un
fleuve
qui porte son nom… Les mots que je viens de prono
isse, sans pouvoir lui faire partager sa tendresse. Narcisse, fils du
fleuve
Céphise et de la nymphe Liriope, ne pouvait aimer
: Ciel ! comment échapper ? la voilà dans ce lieu, Entre les eaux du
fleuve
et les transports du dieu. « Nymphes, à mon secou
et n’ayant pu l’obtenir de son père, l’enleva lorsqu’elle passait le
fleuve
Ilissus, et la conduisit dans ses états, où il l’
reux que Circé avait métamorphosés en animaux de toute espèce. Les
Fleuves
. Les fleuves, chez les anciens, n’étaient pas
vait métamorphosés en animaux de toute espèce. Les Fleuves. Les
fleuves
, chez les anciens, n’étaient pas seulement des ma
é, le coude appuyé sur une urne, et la tête couronnée de roseaux. Les
fleuves
les plus célèbres étaient le Nil, l’Achéloüs, le
se dont nous avons vu les ondes rouler au pied de l’Hélicon. Tous ces
fleuves
eurent des autels, et furent célèbres tantôt par
s, il se présenta sous la figure d’un taureau fougueux. Le Scamandre,
fleuve
qui coulait près des murs de Troie, n’est pas moi
s de Troie, n’est pas moins célèbre par son combat contre Vulcain. Ce
fleuve
, indigné de voir le carnage qu’Achille faisait de
ux commencent à diminuer. Le dieu tourne toutes ses flammes contre le
fleuve
: les ormes, les peupliers, les joncs, et les cyp
s brûlantes chaleurs de Vulcain les poursuivent et les étouffent ; le
Fleuve
même est tout en feu, et dans cet état, il s’écri
une nymphe, fille de l’Océan et de Téthys, et par conséquent sœur des
Fleuves
. C’était sur le bord des fontaines que se passaie
lus célèbre d’entre elles était Aréthuse, qui fut une nymphe aimée du
fleuve
Alphée. Ce fleuve, conduit par l’Amour, venait de
e elles était Aréthuse, qui fut une nymphe aimée du fleuve Alphée. Ce
fleuve
, conduit par l’Amour, venait de Grèce en Sicile,
t, au déclin de Diane, La résine s’allume aux sources d’Athamane ? Un
fleuve
de la Thrace en pierre peut changer Quiconque vie
ez pour elle que de montrer son pouvoir dans les vallées, au bord des
fleuves
, sur les coteaux des montagnes ; les murs des hab
alès et Pomone ; les Nymphes, les Tritons, etc. et tous les dieux des
fleuves
, des rivières, des bois, des campagnes, des ville
suit vos lois Bientôt ne sera plus qu’un vain monceau de cendre ; Les
fleuves
vont tarir ; les villes et les bois, Les monts le
surpris de ce désordre, foudroie Phaéton, et le précipite dans le Pô,
fleuve
d’Italie, que les Poëtes appellent communément l’
nt ils ont besoin pour réussir. Ce Vallon est arrosé par le Permesse,
fleuve
qui prend sa source au mont Hélicon ; par les eau
s ; Dodone, répondez-nous. Lamotte. Daphné fille du
fleuve
Pénée, évitant les poursuites d’Apollon, fut méta
dit chanter mieux que lui. Apollon l’écorcha vif, et le changea en un
fleuve
de sang. Il donna des oreilles d’âne à Midas, roi
ea la Nymphe en fontaine, pour la tirer du danger : et le chasseur en
fleuve
, pour le punir de sa témérité. La déesse tira une
ent Aëllo, Ocypète et Celæno. L’Océan étoit regardé comme le père des
fleuves
, des rivières et des fontaines. Il épousa Thétys,
is. Les Néréides sont les nymphes de la mer ; Les Naïades, celles des
fleuves
, des rivières et des fontaines ; Les Dryades, cel
dieu des ports. Les poëtes placent une divinité maritime dans chaque
fleuve
. Soit que ce soit un dieu ou une nymphe, on les r
aux, et environnés de quelques attributs propres à indiquer le nom du
fleuve
, de la rivière ou de la fontaine que l’on veut re
Ténare ou le Tartare, lieu destiné aux supplices des scélérats. Cinq
fleuves
fermoient cet empire ; et Cerbère, chien à trois
e l’Erèbe et de la Nuit, lequel étoit chargé de leur faire passer les
fleuves
dans une barque où l’on n’entroit point sans paye
s reçût dans sa barque ; et c’étoit pour elles un grand supplice. Les
fleuves
qui environnoient les enfers étoient le Styx, le
s étoient le Styx, le Cocyte, l’Achéron, le Léthé, et le Phlégéton :
Fleuves
affreux, qui, par vos noirs torrens, Défendez le
trouvent favorables ! Lamotte. Le Styx, le plus célèbre de tous ces
fleuves
, faisoit sept fois le tour des enfers. Quand les
privé de la divinité pendant cent ans : Le Styx… est certain
fleuve
Qu’on trouve en allant en enfer, Dont, ap
ient la guerre à Jupiter, fut précipité dans les enfers, et changé en
fleuve
. Ses eaux sont bourbeuses et amères. Le fleuve Lé
s enfers, et changé en fleuve. Ses eaux sont bourbeuses et amères. Le
fleuve
Léthé est le même que le fleuve d’Oubli. Les ombr
es eaux sont bourbeuses et amères. Le fleuve Léthé est le même que le
fleuve
d’Oubli. Les ombres étoient obligées de boire de
de l’Erèbe, fils du Chaos et de la Nuit, qui fut mis au nombre de ces
fleuves
, pour avoir secouru les Titans ; mais on le confo
ais on le confond alors avec l’Achéron, ou avec quelqu’autre des cinq
fleuves
. Souvent on le prend pour la nuit même, ou pour l
énétrer. La porte est garnie de pavots et d’herbes assoupissantes. Le
fleuve
d’oubli roule doucement ses eaux autour de ce pal
e plus de gloire, par la défaite des Amazones qu’il attaqua auprès du
fleuve
Thermodon. Les Amazones étoient des femmes guerri
r Déjanire, fille d’Œnée, roi de Calydon, et sœur de Méléagre, que le
fleuve
Achéloüs vouloit épouser. Hercule vainquit ce riv
obtint Déjanire qu’il emmena chez lui. Il fut arrêté sur les bords du
fleuve
Evène : le centaure Nessus s’offrit de passer la
s par sa sœur, 153 Abyla, une des colonnes d’Hercule, 135 Acheloüs,
fleuve
vaincu par Hercule, 138 Achéron, fleuve des enfe
es d’Hercule, 135 Acheloüs, fleuve vaincu par Hercule, 138 Achéron,
fleuve
des enfers, 104-105 Achille, fils de Thétis et d
bres, 29-30 Aloüs, ses fils emprisonnent Mars, 85 Alphée, chargé en
fleuve
par Diane, 58 Altée, reine de Calidon, se rend o
da, 34-148 — Epouse d’Agamemnon, qu’elle assassine, 148-186 Cocyte,
fleuve
des enfers, 104-105 Colchide, 88 Colombes, cons
ncle des Pallantides, 139-140 Erictonius, roi de Troie, 178 Eridan,
fleuve
d’Italie, 43 Erigone, fille d’Icarius, 89 Erima
de Rhadamanthe, 107 — Une des quatre parties du monde, 34 Eurotas,
fleuve
célèbre, 41. Euripide , poëte Grec, 168 Euryal
pe, une des neuf Muses, 50-54 — Comment on la représente, 54 Evène,
fleuve
, 138 Evocations, 108-109 F Fable, son orig
ambeau de la Discorde, 121 Flèches de Cupidon, 76 — d’Hercule, 139
Fleuve
d’oubli, 105 Fleuves des Enfers, 100-104-105 Fl
, 121 Flèches de Cupidon, 76 — d’Hercule, 139 Fleuve d’oubli, 105
Fleuves
des Enfers, 100-104-105 Floraux, Jeux en l’honne
acrée àVenus, 74 Lestrigons, peuple des Cyclopes, 191 Léthé, un des
fleuves
des Enfers, 104-105 — Il coule autour du palais
e du monde, 16 Nauplius, père de Palamède, 176 Nayades, nymphes des
fleuves
, des rivières et des fontaines, 92-124 Nécessité
66 O Océan, fils de Neptune, 91 — Père d’Amphitrite, 90 — Des
fleuves
, et époux de Thétis, 91 Ocypète, une des Harpies
, ibid. Ombres, jugées aux enfers, 106 — Elles boivent de l’eau du
fleuve
Léthé, 105 — Leur séjour, 100 — Comment elles a
Ossa, mont célèbre, 30-62 Othus, géant, fils d’Aloéus, 29 Oubli, (
fleuve
d’) 105 Ourse, (la grande et la petite) constell
Thésée, 146 Phidias , sculpteur très-célèbre, 62 Phlégéton, un des
fleuves
des enfers, 104-106 Phlégon, un des chevaux du S
— Comment on le représente, 99 Plutus, dieu des richesses, 110 Pô,
fleuve
d’Italie, 43 Poésie, (la) ce qu’elle doit à la F
28 Sténélé, mère de Patrocle, 181 Stymphale, lac fameux, 133 Styx,
fleuve
des Enfers, 104-105 — Achille y est plongé, et e
hamas, 96 — Trompée par Ino, elle tue ses enfans, ibid. Thermodon,
fleuve
célèbre, 133 Thésée ; sa naissance et son éducat
es prairies ; du sang ou des larmes ont formé ou grossi les lacs, les
fleuves
et les fontaines. Les mers portent des noms qui c
s mêmes moyens pour punir et pour récompenser ; ils métamorphosent en
fleuves
, en rochers, en montagnes, en plantes, et les obj
l’Océan, leur père, mais qui eurent Doris pour mère. Les nymphes des
fleuves
et des rivières, se nommoient Nayades et Potamide
gia dans le creux d’un rocher ; Proserpine alloit le saisir lorsqu’un
fleuve
impétueux sortit tout-à-coup du rocher et trompa
euve impétueux sortit tout-à-coup du rocher et trompa son attente. Ce
fleuve
devint fameux et fut nommé Hercyne. Les Parque
têtes, Cerbère, en gardoit les portes de fer. L’enfer avoit plusieurs
fleuves
: le Styx, l’Achéron, le Cocyte, le Phlégéton, le
fleuves : le Styx, l’Achéron, le Cocyte, le Phlégéton, le Léthé ou le
fleuve
d’oubli, ainsi nommé parce que ceux qui buvoient
voient de ses eaux perdoient le souvenir du passé. Le plus ancien des
fleuves
infernaux étoit l’Erèbe, il existoit avant tout e
Jupiter dans la guerre des Titans, et en récompense Jupiter en fit le
fleuve
le plus redoutable des enfers ; il voulut qu’elle
e étoient Tantale, tourmenté de la faim et de la soif, plongé dans un
fleuve
sans pouvoir boire, voyant de beaux fruits suspen
ions : ces tristes cérémonies duroient quatre jours. Adonis étoit un
fleuve
près de Biblus en Phénicie. Le sable du Mont-Liba
tirent tout-à-coup de la mer et portèrent Vénus et l’Amour au-delà du
fleuve
. Ce Typhon étoit un monstre, fils de la Terre et
r sur son rival et le tua. Galatée changea le sang de son amant en un
fleuve
qu’on appela depuis Acis. Ulysse eut beaucoup de
anière cruelle la malédiction de Minerve. Le sang de Marsyas forma un
fleuve
qui prit son nom ; d’autres disent que ce fleuve
de Marsyas forma un fleuve qui prit son nom ; d’autres disent que ce
fleuve
dut son origine aux larmes que les nymphes répand
l’ordre et le pouvoir de l’empêcher de boire. Daphné, fille de Pénée,
fleuve
de Thessalie, fut d’abord aimée de Leucippe, fils
ines leur étoient consacrées ; entre autres Castalie, l’Hypocrène, le
fleuve
Permesse, etc. ; elles montoient Pégase, un cheva
u’il adoucissoit, charmoit les bêtes féroces, suspendoit le cours des
fleuves
; l’onde devenoit immobile pour l’écouter, et les
d’oiseaux, qui, tous les ans mouillant leurs ailes déployées dans un
fleuve
, venoient ensuite arroser le tombeau de Memnon. O
vent leur fraîcheur à la rosée du matin. Isis. Io, fille du
fleuve
Inachus, fut aimée de Jupiter, et ce Dieu, pour l
se dérober à ses poursuites, prit la fuite ; arrivée sur les bords du
fleuve
Ladon, son père, elle implora son secours, le fle
sur les bords du fleuve Ladon, son père, elle implora son secours, le
fleuve
la métamorphosa en roseau, dont Pan fit la premiè
marais ; les Ephydriades ou Ephydrides, aux eaux ; les Potamides, aux
fleuves
et aux rivières ; les Crénées, aux fontaines ; le
endit la vie et lui donna l’immortalité. Ea, nymphe qui, en fuyant le
fleuve
Phasis, implora les Dieux qui la changèrent en îl
s, implora les Dieux qui la changèrent en île. Aréthuse, en fuyant le
fleuve
Alphée, fut changée en fontaine, et ne put même,
fut changée en fontaine, et ne put même, sous cette forme, éviter ce
fleuve
persécuteur qui mêla son onde avec la sienne. Pan
es et vertueux. Phase, qui résista à l’amour de Thétis, fut changé en
fleuve
. Elien nous a conservé les noms de quelques homme
nom ; elle employoit sa science à guérir les malades. Œnone, fille du
fleuve
Cebrène qui couloit en Phrygie au pied du mont Id
Musagetes, c’est-à-dire, Guide des Muses. 33. Les Sirènes, filles du
fleuve
Achéloüs et de Calliope, étoient trois sœurs, The
ure se rendit chez cette Nymphe impie, qui demeuroit sur le bord d’un
fleuve
, dans lequel il la précipita avec son habitation,
et Zews ou Jupiter. De l’union de l’Océan avec Thétys arrivèrent les
Fleuves
et trois mille Océanides, dont Doris et Styx, aux
dans le Tibre ; mais au confluent de la petite rivière l’Almo avec ce
fleuve
, le navire s’arrêta, et tous les efforts ne puren
es temps anciens de précipiter dans ces parages les étrangers dans ce
fleuve
. Les anciens représentaient Vesta avec un figure
saisir, et ne lui échappa qu’en se laissant porter de l’autre côté du
fleuve
, elle et l’amour, par deux poissons qu’ils trouvè
bénit sur les bords de l’Eurotas en Laconie, Imbrasia ou des bords du
fleuve
Imbrasus à Samos, Ilithye ou l’accoucheuse, Infer
prouver, disait que les Argiennes Acrée, Eubée et Porsymne, filles du
fleuve
Astérion, lui avaient servi de nourrices, et que
enfance ; Samos soutenait que la déesse avait ouvert les yeux sur le
fleuve
Imbrasus ; mais tout cela est fort obscur puisqu’
se célébra, suivant Diodore, sur le territoire des Gnossiens, près du
fleuve
Thérène. Jupiter ordonna à Mercure de faire ses i
r voulut s’en amuser, et publia qu’il allait épouser Platée, fille du
fleuve
Asope. A cette nouvelle, Junon, hors d’elle-même,
se sur un trône. Les fleurs qui la couronnaient venaient des bords du
fleuve
Artarion, et l’eau servant dans les sacrifices qu
métamorphosée en fontaine par Diane pour la sauver des poursuites du
fleuve
Alphée dont les eaux depuis se confondent avec le
écompensée de ses faiblesses avec Jupiter. Crocale était une fille du
fleuve
Isménus. Phyalé était une simple nymphe. Hyale ét
ntraire errer impitoyablement pendant cent ans sur les bords du Styx,
fleuve
coulant à l’entrée des Enfers, celles de ces ames
s ou qui termina la guerre des Grecs et des Amazones, Amphysius ou du
fleuve
Amphyse, Amyclœus ou d’Amiclé en Laconie, Anaphé
e guérisseur, Ileus ou d’Ilium, ou de Troie, Isménien ou des bords du
fleuve
Isménus à Thèbes, ou le dieu des savans, Ixios ou
ère d’Admète, son ami, ayant poursuivi Acaste, l’atteignit au-delà du
fleuve
Achéron et lui enleva Alceste pour la rendre à so
à la retirer des mains du dieu des enfers ; à peine avait-il passé le
fleuve
Achéron, qu’il rencontra la Mort conduisant la pr
premier nom de la Béotie ; Illissiades et Illicides, ou des bords du
fleuve
Illissus où elles avaient un temple ; Liberthride
ou, suivant d’autres, le sang de Marsyas, donne aussitôt naissance au
fleuve
de Phrygie qui portait son nom. Dans sa colère, A
ir les amours d’Apollon avec Ocyrhé, fille de la nymphe Chésias et du
fleuve
Imbrasus la transporta à Milet, alors le dieu pou
elle dédiée au bon génie et à la Fortune, se baigner dans les eaux du
fleuve
Hercine, sacrifier à Jupiter et à la famille de T
ux des environs ; pour l’écouter, les vents faisaient silence, et les
fleuves
arrêtaient leurs cours. Les voyages lui donnèrent
es, l’hamadryade Eurydice qu’il venait d’épouser, fuyant le long d’un
fleuve
les poursuites d’Aristée, son ancien amant, fut p
nom, l’une fille d’Hypsée, roi des Lapithes, ou, suivant d’autres, du
fleuve
Pénée et de la Terre, attira l’attention du dieu,
ilé du ciel, devint amoureux de la belle Daphné ou Pasiphaé, fille du
fleuve
Pénée, ce fut cette jeune nymphe qui attira ses p
ncesse tomba, et périt sous les yeux de son amant, sur les bords d’un
fleuve
, dans une fondrière couverte de lauriers, d’où vi
Macarée, fut séduite par Apollon, déguisé en berger. Lycie, fille du
fleuve
Xanthus, eut de ce dieu Patare et Icadius. Mélie,
ée, fille de Stymphale ou d’Ancée le neptunien, et de Samia, issue du
fleuve
Méandre, fut animée d’Apollon qui la rendit mère
pour fils ainsi que Cercaphe et Electrion ; Sinope était une fille du
fleuve
Asope, on varie beaucoup sur sa conduite, les uns
venir mère de Seyros ; Stilbia ou Stilbée, sœur d’Iphénus et fille du
fleuve
Pénée, eut de ses amours avec Apollon deux fils :
on, Amphilocque et Démonasse, le premier époux de Callirhoé, fille du
fleuve
Acheloüs, fut père d’Amphotémus et d’Arcanas, et
x imprudent et le précipite dans l’Eridan, ce qui fit supposer que ce
fleuve
coulait dans le ciel. C'est, dit-on, depuis cette
est indiquée aux Héliades ; Phagrus, né d’Othréis ; Phase ou Phasis,
fleuve
de la Colchide qui se jette dans la mer Noire, il
tte femme légitime du Titan Pallas, lorsque nous ferons connaître les
fleuves
de l’empire de Pluton. Arrêtons-nous donc un inst
ôt cette croyance domina, l’on oublia que les bains dans les ondes du
fleuve
Sélemne et que certaines herbes passaient égaleme
les pêcheurs ne devaient assurément rien laisser perdre. Les eaux du
fleuve
Sélemne en Achaïe, passaient encore pour guérir l
e Argyre, sa maîtresse, que Vénus en eut pitié et le transforma en un
fleuve
, qui bientôt oublia ses amours, et dont les eaux
oux. Cependant nous pouvons nous souvenir que l’amour but des eaux du
fleuve
Sélemne, alors il continua bientôt probablement à
ls Orythe et Crambis ; d’autres la font mère de Teucer qu’elle eut du
fleuve
Scamandre. On donne encore ce nom à une nymphe Ph
ls regardaient le temple qu’il avait fait construire sur les bords du
fleuve
Tiase comme le plus ancien du pays. Théalie ou E
ant à la mythologie syrienne. Thébé, héroïne grecque, était fille du
fleuve
Asope et de Metope fille elle-même du fleuve d’Ar
grecque, était fille du fleuve Asope et de Metope fille elle-même du
fleuve
d’Arcadie Ladon. Jupiter fut amant de Thébé qui e
ue Diane portait également. Egine, une des nombreuses filles du dieu
fleuve
Asope. Jupiter pour triompher de sa vertu, prit d
ébaine célèbre, fille de Nyctée et de Polixo, selon les uns ; du dieu
fleuve
Asope, selon d’autres ; sa beauté, des plus rares
au se jette au milieu des flots et arrive en Crète, à l’embouchure du
fleuve
Léthé ; là il s’arrête sous un platane et change
sauver de la colère de Junon. C'était Io qui passait pour fille ou du
fleuve
Inachus, ou d’Inachus, roi d’Argos, ce qui n’est
Antœa et Antiate ou d’Antium ; Aurea ou à la statue d’or ; Arna ou du
fleuve
Arnus ou Arno en Etrurie ; Barbue à Rome ; Bona o
ffectant des formes effrayantes. Naïades, nymphes qui habitaient les
fleuves
, elles passaient pour filles de Jupiter ; mais no
ou favorisant les mortels ; Ilia ou d’Ilium en Troade ; Isménia ou du
fleuve
Ismenus à Thèbes en Béotie ; Itonia et Itonide ou
uple ; Laphyra ou donnant les dépouilles des ennemis ; Larissée ou du
fleuve
Larissus dans le Peloponèse ; Lemnia ou des Lemni
s ; Musicale ou la joueuse de flûte ; Neda ou Nedusia ou des bords du
fleuve
Néda dans le Péloponèse ; Nemaronum ou Minerve-Nœ
ra et pria tant le père des eaux, qu’il changea le pauvre amant en un
fleuve
que la jeune néréide put ensuite visiter souvent.
ce difficile travail : pour y parvenir, Hercule détourna les eaux du
fleuve
Alphée. Mais cet ouvrage étant terminé, Augias re
s trouverait ; d’abord il interroge les nymphes de l’Éridan ou du Pò,
fleuve
de l’Italie, qui le renvoient à Nérée. Aussitôt l
se par le roi de Calydon. La belle Déjanire ayant également séduit le
fleuve
Acheloüs, fils de l’Océan et de Téthys ; ce fleuv
galement séduit le fleuve Acheloüs, fils de l’Océan et de Téthys ; ce
fleuve
voulut la disputer à Hercule. Vaincu d’abord, il
che une de ses cornes et le force à courir cacher sa honte au fond du
fleuve
Thoas appelé ensuite Acheloüs. Quant à la corne,
e, dit-on, à la déesse de l’abondance. Cette fable semble indiquer un
fleuve
limitrophe, inconstant, qui débordait continuelle
eur voyage, ils furent arrêtés par le grossissement subit des eaux du
fleuve
Événus. Alors Nessus, centaure qui s’était échapp
de Démocoon, de Glanus, de Médebronte et de Ophite ; Melita, fille du
fleuve
Egée, mère d’un Hyllus ; Midée, fille de Phylas,
a ou Laranda ou Lalaria ou Muta ou Mania ou Tufolie, naïade, fille du
fleuve
Alcmon : Jupiter ayant poursuivi Juturne, nymphe
temple à Junon, à Corynthe ; Caïcus, né d’Ocythoé, donna son nom à un
fleuve
de Mysie ; Céphale, fils de Mercure et d’Hersé :
trocle, l’ami intime d’Achille. Le corps de Sarpédon fut lavé dans le
fleuve
Xanthus, ensuite revêtu d’habits immortels et con
la Déesse, décision dont Neptune se vengea en mettant à sec tous les
fleuves
du pays, y compris le fleuve même qui portait le
une se vengea en mettant à sec tous les fleuves du pays, y compris le
fleuve
même qui portait le nom d’Inachus. Ainsi ni lui,
es libations qu’on lui offrait, se faisaient avec de l’eau de mer, de
fleuve
ou de fontaine. Ses prêtres immolaient sur ses au
ois dents, symbole de sa triple puissance qui s’étend sur la mer, les
fleuves
et les fontaines. Homère le fait sortir du sein d
e changea, dit-on, en taureau pour séduire une des filles d’Éole ; en
fleuve
pour avoir Iphimédie ; en bélier pour Bisaltis ;
ius et de Léchès ; Rhodope, mère d’Athos, était fille d’Euterpe et du
fleuve
Strymon et sœur de Rhésus ; Salamine, mère de Cen
arbre pour la sauver des poursuites de Priape ; Mélanée fut aimée du
fleuve
Nilus, qui depuis coula en Béotie sous le nom de
tôt sous la forme d’un taureau et tantôt sous celle d’un ours, par le
fleuve
Crinisus, qu’elle l’épousa et en eut Eole et Aces
t confondu quelquefois avec la fille de Neptune Mélanée à laquelle le
fleuve
Mélas de Béotie devait son nom. Messape, fils de
avec le tiers de son royaume ; il en eut Polydore, jeune fille que le
fleuve
Sperchius rendit mère de Ménesthius, et que pourt
e sait, était fils du ciel et de la terre, il régnait sur la mer, les
fleuves
et les rivières. On sacrifiait en son honneur ava
Téthys, elle le rendit père de la plupart des trois cents principaux
fleuves
du monde, tels que l’Alphée, le Pénée, le Strimon
de trois mille nymphes appelées Océanides. Cependant, le nombre des
fleuves
ne se bornait pas aux simples fils de l’Océan, et
our mieux le prouver, nous allons faire connaître quelques-uns de ces
fleuves
de l’antiquité ; ils passaient pour des divinités
er entre leurs rivages ; voici quels étaient les plus célèbres de ces
fleuves
: Achélous, fils de l’Océan et de Téthys, était
s : Achélous, fils de l’Océan et de Téthys, était un des trois cents
fleuves
que la Mythologie donne comme descendans primordi
s cornes, et, honteux de sa défaite, il s’enfuit dans les eaux de son
fleuve
. On dit que de cette corne, les nymphes formèrent
jette dans la mer Ionienne ; on le nomme aujourd’hui Aspropotamo, ou
fleuve
Blanc. Achéron, nous le trouverons en parlant de
’Acis s’est changé en rocher et son sang en une onde transparente. Ce
fleuve
se nomme aujourd’hui Iaci. Adresque, était un de
Adresque, était un des fils de l’Océan et de Téthys. Almon, était un
fleuve
romain, que l’on disait aïeul des Lares. Alphée,
tué par mégarde son frère Cércaphe, se précipita de désespoir dans le
fleuve
Nyctime, pour expier ce crime involontaire. Le fl
sespoir dans le fleuve Nyctime, pour expier ce crime involontaire. Le
fleuve
Nyctime prit depuis le nom d’Alphée. Suivant plus
nt l’eau servait à Podalize, pour guérir toutes les maladies. Aniene,
fleuve
d’Italie, qui devint l’Anio, et se trouve aujourd
aussi Jupiter s’étant épris des charmes d’Egine, changea son père en
fleuve
pour l’empêcher de s’opposer à ses amours. Asope,
re en fleuve pour l’empêcher de s’opposer à ses amours. Asope, devenu
fleuve
, voulant cependant, sous cette métamorphose, se v
ais le dieu du tonnerre irrité, lança la foudre et força les flots du
fleuve
à remonter vers leur source. Axios fleuve de Macé
oudre et força les flots du fleuve à remonter vers leur source. Axios
fleuve
de Macédoine, était l’époux de Péribée fille aîné
e d’Astéropée d’où descendait Eurybate fils d’Euphème. Les eaux de ce
fleuve
Axios avaient la puissance, disait-on, de faire n
uve qui passait pour fondateur du temple de Diane, à Ephèse. Cébréen,
fleuve
de Cébrinia en Troade, père d’Astérope et d’Œnone
ns ses eaux, Vénus et les Graces se plaisaient à se baigner. Un autre
fleuve
Céphis coulait aussi dans la Phocide, mais il n’e
éphis coulait aussi dans la Phocide, mais il n’est resté sur ces deux
fleuves
que des traditions obscures, qui souvent les font
d’abondance ; Cladée, dieu-fleuve de l’Elide ; Clitumne ou Clitomne,
fleuve
de l’Ombrie qui rendait des oracles. Crinise, gr
ut, dit-on, le premier habitant ; cependant on disait qu’avant d’être
fleuve
, il avait été prince troyen sous le nom d’Hypothè
de la Thessalie, sortit de terre pour prêter secours à Hercule. Égée,
fleuve
confondu peut-être avec la mer Egée, qui prit ce
Salmonée, Tyro qui en eut Pélias et Nélée. Éridan aujourd’hui le Pô,
fleuve
de Lombardie ; il est célèbre dans la Mythologie,
me nom. Erymante fils d’Arcas et père de Xanthus, donna son nom à un
fleuve
et à une montagne d’Arcadie. Euphrate, fleuve fil
hus, donna son nom à un fleuve et à une montagne d’Arcadie. Euphrate,
fleuve
fils de Pontos. Eurotas, un des rois les plus an
s poursuites d’Apollon, et par les chasses de Diane sur ses bords. Ce
fleuve
coulant près de l’Olympe se nomme aujourd’hui Vis
me aujourd’hui Visilipotamos ; les Turcs le regardent encore comme un
fleuve
aux eaux divines, dans lesquelles ils vont se bai
. On lui donnait pour fille la rivière Tiase en Laconie. Évenus, dieu
fleuve
de l’Étolie. Haleze, fleuve de Sicile, sur les bo
la rivière Tiase en Laconie. Évenus, dieu fleuve de l’Étolie. Haleze,
fleuve
de Sicile, sur les bords duquel Proserpine cueill
oserpine cueillait des fleurs lors de son enlèvement. Haliagmon, dieu
fleuve
fils de l’Océan et de Téthys. Inachus, fondateur
n et de Téthys, comme étant arrivé par les mers et donna son nom à un
fleuve
père de la nymphe Io, fleuve qui s’appelait d’abo
rrivé par les mers et donna son nom à un fleuve père de la nymphe Io,
fleuve
qui s’appelait d’abord Amphiloque, et qui servit
e Pelasgue, n’était autre que le Ladon, auquel il donna son nom, dieu
fleuve
, dont les eaux coulaient en Arcadie, il épousa Mé
iales donnèrent la mort au devin Tirésias lorsqu’il en but. Méandre,
fleuve
de la grande Phrygie, fils de la terre et de l’Oc
rpo et Samic. Ménane ou Aménane, dieu-fleuve de Sicile. Nessus, dieu
fleuve
fils de l’Océan et de Téthys ; ils étaient deux d
erte de son sang empoisonné causa la mort d’Hercule. Oaxès ou Oaxus,
fleuve
de Crète, fils d’Apollon et d’Anchiale ou d’Acaca
Il fut père d’Euryanasse, épouse de Tantale et mère de Pélops. Persé,
fleuve
, né de Péro fille du fleuve Asope. Pamise, dieu-f
ouse de Tantale et mère de Pélops. Persé, fleuve, né de Péro fille du
fleuve
Asope. Pamise, dieu-fleuve de Messénie. Phyllis,
l eut pour fille Astioche mère de Tros, et Hieromnème. Soloon, dieu
fleuve
de la Bithynie, fut amant d’une amazone ou esclav
avant qu’il ne partît pour la guerre de Troie. Strymon, était ou le
fleuve
de Thrace, sur les bords duquel Orphée pleura la
pour fils, et pour fille Evadné, femme d’Argus, roi d’Argos. Tibre,
fleuve
du Latium, fut mis au nombre des Dieux indigènes,
u du Péloponèse. Vulturne, dieu-fleuve de la Campanie. Quant aux cinq
fleuves
: Achéron, Cocyte, Phlegeton, Stix et Léthée, nou
ppartenaient. On appelait donc : Amnisiades, les nymphes des bords du
fleuve
Amnisius. Anigrides, celles attachées au fleuve A
nymphes des bords du fleuve Amnisius. Anigrides, celles attachées au
fleuve
Anigre, en Thessalie dans le Péloponèse, dont les
hinades, nymphes qui furent entraînées par un débordement des eaux du
fleuve
Achelaüs, pour punition de ne l’avoir pas invité
de leur rivière rendait, disait-on, la beauté. Ilissades, nymphes du
fleuve
Illysse. Ionides, nymphes également des bords du
, nymphes du fleuve Illysse. Ionides, nymphes également des bords du
fleuve
Cythérus, elles étaient au nombre de quatre ; Cal
iphaé, Synallaxis, Pégée et Jasis. Leurs noms venaient des eaux de ce
fleuve
qui, prises en bains, passaient pour guérir les l
es et les rhumatismes. Isménides, nymphes qui habitaient les bords du
fleuve
Ismenus, près de Thèbes. Lélégéides, nymphes dont
ait ses troupeaux sur les montagnes. Pactolides, nymphes des bords du
fleuve
Pactole. Pégées, nymphes des fontaines et des sou
es et des sources comme les Naïades. Potamides, nymphes présidant aux
fleuves
, aux rivières. Propétides, nymphes des débauches.
vent parlé dans la Mythologie : Abrétie, Ænome du mont Ida, fille du
fleuve
Cébrène ; Agriope, mère de Tamyris ; Alexirrhoé o
de Neptune et mère d’Asope ; Chéloné ou la Tortue ; Chésias, femme du
fleuve
Imbrase et mère d’Ocyroé ; Cirrha, Clée, avait un
onienne, fille de l’Océan et de Thétys ; Creuse ou la Reine, femme du
fleuve
Pénée, fut mère d’Iphée et de Stilbie, Cyllènes,
; Cynosure, nymphe de l’Ida et nourrice de Jupiter ; Cyrène, fille du
fleuve
Pénée ; Daulis, fille du fleuve Céphise ; Dictée,
ourrice de Jupiter ; Cyrène, fille du fleuve Pénée ; Daulis, fille du
fleuve
Céphise ; Dictée, de Crète ; Dianaste, Dorippe, m
au pure et claire jaillit de l’endroit où était la pierre et forma un
fleuve
auquel la déesse donna le nom de son amie. Dans l
r changé en cygne ; Ornée ; Péribée fille aînée d’Acésomène, femme du
fleuve
Axios et mère de Pélégon ; Phaloé ou Phalaé, fill
femme du fleuve Axios et mère de Pélégon ; Phaloé ou Phalaé, fille du
fleuve
Tiris, d’Arcadie Pisidice, qui eut Chariclo du ce
t des vapeurs mortelles, couvert de lacs d’eau infecte, traversé d’un
fleuve
de feu, parsemé de tours de fer et d’airain, de f
uxiliaire des Titans, crime que Jupiter punit en le métamorphosant en
fleuve
, suivant quelques-uns, ou selon d’autres, en le p
in couvert des ames attendant le bon plaisir de Charon pour passer ce
fleuve
, au-delà duquel on voyait une nouvelle porte gard
iés sous différens noms ; ainsi ils étaient d’abord entourés des cinq
fleuves
, savoir : l’Achéron, le Cocyte, le Phlégéton, le
l’Achéron, le Cocyte, le Phlégéton, le Styx et le Léthé. L’Achéron,
fleuve
des enfers, n’avait pas toujours coulé dans le sé
e, d’où s’écoulent des ondes bourbeuses. On donnait pour enfans, à ce
fleuve
, Ascalaphe, déjà connu, fils d’Orphné ou des ténè
nales. Souvent, on prenait l’Achéron pour l’enfer lui-même. Le nom du
fleuve
Achéron tirait son étymologie du mot égyptien Ach
privé de sépulture, car pendant cent ans elle errait sur les bords du
fleuve
infernal, sans pouvoir être admise dans la barque
que. Le Cocyte, dont le nom signifie gémissement, était l’un des cinq
fleuves
infernaux ; il passait pour fils du Styx et pour
se jetait dans le lac Lucrin. Le Phlégéton ou Pyriphlégéton, était un
fleuve
qui roulait des torrens de flammes et qui coulait
taient des plus nuisibles ; aussi, l’on ne voyait sur les bords de ce
fleuve
, ni arbres, ni plantes. Le Léthée ou fleuve d’hui
oyait sur les bords de ce fleuve, ni arbres, ni plantes. Le Léthée ou
fleuve
d’huile ou fleuve d’oubli, était le fleuve des en
s de ce fleuve, ni arbres, ni plantes. Le Léthée ou fleuve d’huile ou
fleuve
d’oubli, était le fleuve des enfers, dans les eau
, ni plantes. Le Léthée ou fleuve d’huile ou fleuve d’oubli, était le
fleuve
des enfers, dans les eaux duquel les ames des mor
devaient encore, avant leur départ, boire à longs traits des eaux du
fleuve
d’oubli, pour recommencer ensuite une carriere no
naître le service que Styx lui avait rendu, Jupiter en fit le premier
fleuve
des enfers, décréta que les dieux qui auraient ju
e ces neuf années d’exil, reprendre leurs droits et leur divinité. Le
fleuve
entourait neuf fois les enfers ; ses eaux étaient
chez les Phénates, aux environs de Nonacries ; elle se jetait dans le
fleuve
Crathis, et ses eaux étaient corrosives. Le nom d
dans le fleuve Crathis, et ses eaux étaient corrosives. Le nom de ce
fleuve
voulait dire haïssable et lui avait été donné pro
es êtres inanimés, tels que les plantes, la terre, les rochers et les
fleuves
. Les songes vrais, que l’on personnifiait sous le
excepté au talon par où sa mère l’avait tenu en le plongeant dans le
fleuve
. Pélée privé du secours et de la vue de son épous
e qui l’a blessé. Les cadavres amoncelés arrêtent bientôt les eaux du
fleuve
, qui fatigué de carnage, demande trève. Achille r
rve, il résiste au Xanthe, qui appelle à son secours le Simoïs et ses
fleuves
tributaires. Alors Junon envoie Vulcain qui force
et ses fleuves tributaires. Alors Junon envoie Vulcain qui force les
fleuves
coalisés à rentrer dans leur lit. L'intrépide Ach
épidité. Teucer, fils de Télamon, roi de Salamine et d’Hésione ou du
fleuve
Scamandre et d’Idée, était très-habile à manier l
la nymphe Alexiroé, fils aîné de Priam et époux d’Astérope, fille du
fleuve
Cébrène ; Evagore ; Gorgithion, né de la belle Ce
es et douces lois qu’il avait établies. Il épousa Hécube, fille ou du
fleuve
Sandare et de Méropes, ou de Drymas ou de Cissé,
périe, fille de Cébrène. Un jour, l’ayant rencontrée sur les bords du
fleuve
Cébrène, son père, il se mit à la poursuivre. La
sous le nom de Laocoon. Rhésus, roi de Thrace, était fils du Dieu –
Fleuve
Strymon et de la muse Calliope ; il était possess
sait, eut pour second fils Assaracus, qui épousa Hiéronème, fille du
Fleuve
Simoïs, et en eut Capys, lequel épousa Thémir, fi
cette Sybille et descend aux enfers. C'est sur les sombres bords des
fleuves
de cet empire, que son père Anchise lui apprit le
tant encore venus l’attaquer, il y eut une bataille sanglante près du
fleuve
Numicius, dans lequel Enée disparut, noyé ou divi
abe, forcé de fuir devant ses sujets rebelles, arrêté en route par le
fleuve
Amasène, attacha Camille, jeune encore, au bâton
ruite par un songe, s’évada pendant l’ombre de la nuit, tomba dans le
fleuve
et fut alors reconnue déesse et nymphe du Numiciu
décan du bélier représenté dans le zodiaque rectangulaire, sortant du
fleuve
de Lotos, comme symbole d’un soleil levant ou nou
Agathodémon est le bon principe des Egyptiens ; aussi préside-t-il au
fleuve
Nil avec lequel il s’identifie souvent. Cependant
utes les intelligences émanent, et où toutes retournent comme dans un
fleuve
immense. Nous ne rappellerons pas ici les dieux é
qui rendirent ces contrées fertiles et habitables. Il unit plusieurs
fleuves
au moyen de vastes canaux, entoura la ville de Ba
hnou, puis Aghdi fit un pélerinage sur les bords du Bendou-Caraçou ou
fleuve
Bendou, marcha ainsi dans la voie de la perfectio
, les temps et les divisions du temps, les étoiles, les planètes, les
fleuves
, les eaux, les montagnes et les quatre castes que
eaux. Santanou plaça le nouveau-né sur le bord du lac, d’où surgit un
fleuve
que l’on nomma Brahmâpoutra. Andjani, jeune fil
ux dévots qui chaque jour courent après la mort, en se jetant dans ce
fleuve
sacré. Dourouvaça, ou Durvasas. Fils d’Atri et d
tres ou Pitris les ames auxquelles il fait traverser la Vaitarani, ou
fleuve
Styx des enfers Indiens Comme Yama, il est le frè
les eaux. Un jour que ce bon Satiavrata faisait ses ablutions dans le
fleuve
Kritamala, il prit un petit poisson qu’il mit dan
cuve fut trop petite, et il en fut de même d’un étang, d’un lac, d’un
fleuve
; il fut donc obligé de le livrer à l’Océan. Alor
sortie du gros orteil de Vichnou. Le Gange est, pour les hindous, le
fleuve
sacré par excellence ; aussi, faire des ablutions
, le fleuve sacré par excellence ; aussi, faire des ablutions dans le
fleuve
, mourir par ses ordres, y être inhumé, est la sup
ou, fils de Kourou, frère de Iadou, et Ganga trouvée sur les bords du
fleuve
qui porte son nom fut adoptée par le radjah de Ca
leur attendue. Un jour qu’elle était à se promener sur les bords d’un
fleuve
, elle rencontra un éléphant, l’aspira, conçut et
en, héroïne célèbre, était une fille d’un riche habitant des bords du
fleuve
Riou-Sa-Gava. Elle épousa Simmios-Daï-Miosin ; ma
uel elle avait écrit les mots : Fo-cia-rou, puis elle le jeta dans le
fleuve
Riou-Sa-Gava. Le coffret fut recueilli par un vie
a-Baba était une déesse adorée par les peuples, habitans des bords du
fleuve
Obi. On la représente tenant dans ses bras un gro
avaient la chevelure blonde ou verdâtre, habitaient ordinairement les
fleuves
, et quelquefois elles parcouraient les épaisses f
res. Ce monde primitif était en outre dans l’origine traversé par des
fleuves
nommés Elivages, qui roulaient du venin ; à la fi
lée OEdumia ou Audoumbla, dont les mamelles laissèrent écouler quatre
fleuves
de lait, qui nourrirent ce géant primitif. Bientô
firent les montagnes, ses dents les pierres, son sang les eaux et les
fleuves
, son crâne le ciel, ses sourcils la ville du mili
e mordre le cable. De sa gueule sort une écume qui donne naissance au
fleuve
Vam. La captivité de Fenrir durera jusqu’au crépu
me corne du daim colossal Eskthirnir, et donna naissance aux nombreux
fleuves
. Dans les profondeurs de ses eaux vivait le grand
du sombre empire et de la mort, ou le principe du bien. Rhin, grand
fleuve
divinisé par les Gaulois, qui le supposèrent prés
tait chargé de garder jour et nuit un pont de bois, jeté sur un grand
fleuve
, où se rendaient les ames des morts. Là il purifi
ou patricien, 71. Flammeum, voile couleur de feu, 54. Flammipotens, 6
Fleuves
(les), 4. Florales, 152. Flore, 33, 58, 150, 152,
r l’innocence et la justice. La terre produisait sans culture, et des
fleuves
de lait et de miel coulaient de toutes parts. C’é
L’Océan, fils d’Uranus et de Tellus, était regardé comme le père des
fleuves
. Il habitait au fond des mers un palais de corail
hées sur une urne, au milieu des roseaux, les Naïades présidaient aux
fleuves
, aux lacs et aux fontaines [Fig. 36]. Les Napées
ment que certaines parties des Enfers. Ils étaient traversés par cinq
fleuves
: le Styx, le Cocyte, l’Achéron, le Phlégéton et
lammes. Il ne croissait sur ses bords ni arbres ni plantes. Le Léthé,
fleuve
d’oubli, avait un cours très paisible. Ses eaux a
ontrait sur une route ou sur un rivage. [Fig. 39] Au delà des cinq
fleuves
, Cerbère, chien à trois têtes hérissées de serpen
irement sur ces montagnes et aux environs. Parmi les fontaines et les
fleuves
, l’Hippocrène, Castalie et le Permesse leur étaie
de Jupiter ou de Mercure et d’une Nymphe. Il naquit sur les bords du
fleuve
Ladon, et faisait sa principale résidence dans le
plus ultra 32. Il épousa Déjanire, qui lui avait été disputée par le
fleuve
Acheloüs. Après avoir vaincu ce rival, il emmenai
Troie, ville célèbre de l’Asie Mineure, était située sur les bords du
fleuve
Scamandre ou Xanthe, dans la partie de la Phrygie
Apollon et Daphné. Apollon aimait Daphné, jeune nymphe, fille du
fleuve
Pénée, et n’en était point aimé. Un jour, pour se
Pan et Syrinx. Il y avait dans l’Arcadie une naïade, fille du
fleuve
Ladon, nommée Syrinx. Elle était d’une rare beaut
r, foudroie le fils du Soleil, et le précipite dans l’Eridan (le Pô),
fleuve
d’Italie. Les Héliades, Phaétuse, Lampéthie et Ph
frère, allèrent le chercher au bord de l’Eridan, où les Nymphes de ce
fleuve
l’avaient enseveli. Elles le pleurèrent pendant q
ie, parent de Phaéton et son ami, vint aussi pleurer sur les bords du
fleuve
. Il déplora son sort avec une voix si mélodieuse,
amorphosa en pierre. [Fig. 109] Narcisse. Narcisse, fils du
fleuve
Céphise et de la nymphe Liriope, était un jeune h
roupaient autour de lui, les arbres descendaient des montagnes et les
fleuves
suspendaient leur cours. Eurydice, sa femme, étan
nt la mort de Marsyas, et versèrent tant de larmes qu’il en naquit un
fleuve
, qui se répandit par la Phrygie et reçut le nom d
ais lasse et accablée par la chaleur, je m’arrêtai sur les bords d’un
fleuve
, dont les eaux tranquilles étaient si transparent
e regagne à l’instant le bord, et je vois paraître Alphée, le dieu du
fleuve
. Il vient à moi, et je fuis comme la colombe deva
s’est fait en moi ; il quitte la figure humaine, et reprend celle de
fleuve
. Il s’attache encore à me poursuivre ; et, Diane
utour de lui n’auront point de dryades ? L’air sera sans zéphyrs, les
fleuves
sans naïades ? ……………………………………………. Ôtez Pan et sa
ne purent passer. Il forma les fontaines, les étangs, les lacs et les
fleuves
, commanda aux campagnes de s’étendre ; aux arbres
fêtes de Cybèle Megalesia, et ses prêtres Galli, à cause d’un certain
fleuve
de Phrygie de même nom. On prétend que dès qu’ils
ygie de même nom. On prétend que dès qu’ils avaient bu de l’eau de ce
fleuve
, ils entraient en fureur jusqu’à se déchirer à co
morphosée en fontaine par Diane, pour la soustraire aux poursuites du
fleuve
Alphée, qui, depuis, mêle ses eaux avec celles d’
érès, indignée contre le dénonciateur, lui jeta au visage de l’eau du
fleuve
Phlégéton, et le métamorphosa en hibou, oiseau qu
’écrasa. La nymphe, pénétrée de douleur, changea le sang d’Acis en un
fleuve
qui parcourt la Sicile et porte le nom de cet ama
époux. Daphné Pendant son exil, Apollon vit Daphné, fille du
fleuve
Pénée : il la trouva belle et le lui dit ; mais D
Les généalogistes de ce temps-là faisaient descendre de la mer ou des
fleuves
, les héros et les nymphes dont l’origine était in
i-même, foudroya l’imprudent jeune homme, et le précipita dans le Pô,
fleuve
d’Italie. Le sort de Phaéton se découvre à mes y
Cygnus Cygnus, roi des Liguriens, voit du rivage tomber dans le
fleuve
Phaéton, son parent et son ami ; il ne peut le se
Midas eut recours à Bacchus, qui l’envoya se baigner dans le Pactole,
fleuve
de Lydie, qui descendait du Mont Tmolus. Les eaux
ctole, fleuve de Lydie, qui descendait du Mont Tmolus. Les eaux de ce
fleuve
attirèrent la vertu qu’avait Midas ; et depuis el
s Faunes donnèrent tant de larmes à sa mort, qu’elles produisirent un
fleuve
qui porte son nom. On représente Marsyas avec des
miel, se faisaient en l’honneur de Neptune avec l’eau de la mer, des
fleuves
et des fontaines. On immolait le plus souvent un
r le représentaient sur un char traîné par des chevaux ailés. Les
Fleuves
Les dieux auxquels Neptune confiait une porti
ux auxquels Neptune confiait une portion de son autorité, étaient les
Fleuves
, pour lesquels on avait presque autant de vénérat
blancs, quelquefois même des chevaux, comme aux dieux de la mer. Les
Fleuves
étaient représentés nus, couronnés de roseaux, le
Océan, fils de Neptune et d’Amphitrite, est regardé comme le père des
fleuves
. Il eut de Téthys, sa femme, Nérée et Doris, qui,
vint père d’Achille. Les Syrènes. Les Syrènes étaient filles du
fleuve
Achéloüs et de Calliope. On les nommait Leucosie,
chthée, roi d’Athènes, lorsqu’elle s’amusait à jouer sur les bords du
fleuve
Hissus ; c’est-à-dire, que cette princesse se noy
é de reconnaître les gens de mérite, tant il leur porte envie. »
Fleuves
de l’Enfer. Suivant la fable, il y avait cinq
nvie. » Fleuves de l’Enfer. Suivant la fable, il y avait cinq
fleuves
dans l’enfer : l’Achéron, appelé aussi l’Érèbe, q
ux Titans ; le Styx, qui en faisait neuf fois le tour. C’était par ce
fleuve
que les dieux avaient coutume de jurer ; lorsqu’i
la Nuit, était le nautonnier des enfers, et faisait sa demeure sur le
fleuve
Phlégéton. Il recevait dans sa barque les âmes qu
sa barque les âmes qui se présentaient pour passer à l’autre bord du
fleuve
. Ce batelier farouche incapable de se laisser flé
in. Elle est fortifiée de trois enceintes de murailles et entourée du
fleuve
Phlégéton. Une haute tour la défend. Tisiphone ve
ilieu de l’abondance. Horace lui compare les avares. Tantale dans un
fleuve
a soif, et ne peut boire, Tu ris ? change de nom,
tendait d’autre bruit que le doux murmure du Léthé. Sur le bord de ce
fleuve
croissaient des pavots et d’autres plantes, dont
uvenir de ce qu’elles avaient fait, on leur faisait boire de l’eau du
fleuve
Léthé qui avait cette vertu. Les Indiens, les Per
e vaines terreurs. Syrinx Syrinx, nymphe d’Arcadie, fille du
fleuve
Ladon, était une des plus fidèles compagnes de Di
lant s’y soustraire, prit la fuite. Lorsqu’elle fut près des bords du
fleuve
Ladon, son père, elle invoqua Diane, qui la chang
Ce jeune homme, dont la beauté a fait tant de bruit, était fils du
fleuve
Céphise et de Liriope nymphe de la mer. Dès qu’il
es narines et ravageait la Grèce. 7e. II défit les Amazones auprès du
fleuve
Thermodoone et donna Hippolyte, leur reine, à Thé
offrit à Hercule de passer Déjanire sur sa croupe de l’autre côté du
fleuve
; Hercule accepta l’offre. Le centaure, après avo
e, par l’harmonie de sa lyre et de sa voix, il suspendit le cours des
fleuves
et donnait du mouvement aux rochers. Mais jamais
e Chaos, disent-ils, enfanta la Nuit, et la Nuit épousa l’Achéron, le
fleuve
des enfers. On regardait la Nuit comme la mère de
ait. 4. Les prêtres de Cybèle portaient le nom de galli, parce que le
fleuve
Gallus en Phrygie servait à leurs folles supersti
e servait à leurs folles superstitions. Après avoir bu de l’eau de ce
fleuve
, ils entraient en fureur, se déchiraient à coups
lorsque Jupiter le frappa de sa foudre et le précipita dans l’Eridan,
fleuve
d’Italie. Cette fable n’est sans doute que le réc
n disait que les poëtes frisaient leurs inspirations dans les eaux du
fleuve
Permesse qui prend sa source au pied de l’Hélicon
Il y perdit heureusement son fatal privilège, mais depuis ce temps ce
fleuve
roule dans ses flots des paillettes d’or. 11. Mar
. Quelles étaient les fonctions des neuf Muses ? 9. Quels étaient les
fleuves
et les fontaines consacrés aux poëtes et aux Muse
de leur alliance naquirent les Océanides, les nymphes de la mer. Les
fleuves
passaient aussi pour leurs enfants. Les poëtes re
atante que l’ivoire et paraissant voler sur la surface des ondes. Aux
fleuves
on donnait la figure d’un vieillard, une barbe ép
geurs par l’éclat de leur beauté. Les Naïades étaient les nymphes des
fleuves
, des rivières et des fontaines ; les Dryades, cel
Téthys ? Comment les poëtes représentaient-ils l’Océan, Téthys et les
fleuves
? 2. Quelles furent les filles de Nérée et de Dor
s les serpents de sa tête. Delille , trad. de l’Enéide, vi. 2. Les
fleuves
qui coulaient dans ces lieux étaient l’Achéron, l
légéthon, le Styx, l’Erèbe et le Léthé. L’Achéron avait été changé en
fleuve
infernal par Jupiter qui le punit d’avoir fourni
ait traversait un marais rempli d’une onde croupissante et livide. Ce
fleuve
, comme son nom l’indique, n’était alimenté que pa
, faisait neuf fois le tour de cette terrible demeure. C’était par ce
fleuve
que les dieux juraient, et une fois qu’ils avaien
à l’exemple de l’Achéron, prêté secours aux Titans. Enfin le Léthé ou
fleuve
de l’oubli avait la propriété de faire perdre la
le supposaient les défenseurs de la métempsycose. 3. Pour passer ces
fleuves
, il fallait monter sur la barque de Charon, le no
de monnaie pour adoucir l’humeur farouche du nautonier. 4. Au delà du
fleuve
, sur le seuil même des enfers, se trouvaient l’im
’avare qui amasse des trésors sans jamais y toucher. Tantale dans un
fleuve
a soif et ne peut boire. Tu ris, change le nom, l
vers des bosquets de myrtes et de roses. Elles avaient bu de l’eau du
fleuve
Léthé, et, après avoir ainsi oublié toutes les pe
? Où était son palais ? Quelle idée en avaient les anciens ? 2. Quels
fleuves
coulaient dans ces royaumes ? Qu’est-ce que l’Ach
n ? — le Styx ? — l’Erèbe ? — le Léthé ? 3. Comment traversait-on ces
fleuves
? Qu’est-ce que Charon ? A quelles conditions éta
tteindre. Hercule la poursuivit un an entier, la saisit au passage du
fleuve
Ladon, et l’apporta sur ses épaules à Eurysthée.
es n’avaient pas été nettoyées depuis trente ans. Hercule détourna le
fleuve
Alphée, le fit passer à travers et les purifia en
ignominieux et s’unit à Déjanire, qui avait été auparavant fiancée au
fleuve
Achéloüs. Le fleuve voulut défendre ses droits, m
t à Déjanire, qui avait été auparavant fiancée au fleuve Achéloüs. Le
fleuve
voulut défendre ses droits, mais Hercule retrouva
z lui avec son épouse, lorsqu’il fut arrêté par les eaux débordées du
fleuve
Evène. Le Centaure Nessus s’offrit pour passer Dé
lus fameux des temps héroïques. On disait qu’au son de la cithare les
fleuves
suspendaient leurs cours, les montagnes s’ébranla
talon, cette partie n’avait pas été baignée dans les eaux sacrées du
fleuve
et était restée accessible aux blessures des comb
Xanthe. Achille les y poursuivit et en tua un si grand nombre que le
fleuve
fut retardé dans son cours par leurs cadavres amo
ères qui lui payent tribut, et une lutte surhumaine s’engage entre ce
fleuve
et le fils de Thétis. Mais arrive Vulcain qui de
e Thétis. Mais arrive Vulcain qui de la part de Junon oblige tous ces
fleuves
à rentrer dans leur lit et à laisser Achille pour
feu, au soleil, à la lune, aux astres, aux arbres, aux fontaines, aux
fleuves
, aux forêts, en un mot, à toutes les parties du m
et en fabriquèrent le globe ; de son sang ils formèrent la mer et les
fleuves
; la terre, de sa chair ; les grandes montagnes,
nst. Constellation. Descr. Description. Div. Divinité. Ep. Epouse Fl.
Fleuve
. Hist. Histoire. Médit. Méditerranée. Métam. Méta
vant les différents emplois qu’ils leur attribuoient. Les nymphes des
fleuves
et des fontaines furent nommées Naïades. On les r
les autres enfants de l’Océan et de Téthys. R. Ils eurent encore les
Fleuves
dont on porte le nombre à trois mille. Les Fleuve
eurent encore les Fleuves dont on porte le nombre à trois mille. Les
Fleuves
sont représentés nus, couronnés de roseaux, le se
. D. Dites-nous quelque chose des Sirènes. R. Les Sirènes, filles du
fleuve
Achéloüs et de la muse Calliope, étoient des mons
e trident, emblème de sa triple puissance qui s’étend sur la mer, les
fleuves
et fontaines. Les habitants de Trézène avoient em
iel, se faisoient, en l’honneur de Neptune, avec l’eau de la mer, des
fleuves
et des fontaines. On immoloit ordinairement un ta
les chiens, les coqs, ni les oies n’en troublent la tranquillité. Le
Fleuve
d’oubli roule doucement ses eaux autour de ce pal
lait, du miel, du vin et des parfums. D. Indiquez-nous les principaux
fleuves
des enfers. R. C’étoient l’Achéron, le Cocyte, l
le Styx, l’Erèbe et le Léthé. D. Faites-nous connoître chacun de ces
fleuves
, et commencez par l’Achéron. R. L’Achéron, fils
lammes, et environnoit de toutes parts ; les prisons des méchants. Ce
fleuve
ne voyoit croître aucun arbre aucune plante sur s
it comme lui dans l’Achéron. D. Que nous direz-vous dit Styx ? R. Ce
fleuve
environne neuf fois les enfers. Styx fut, dit-on,
Erèbe ? R. L’Erèbe, fils du Chaos et de la Nuit, fut métamorphosé en
fleuve
, et précipité dans les enfers, pour avoir secouru
même. D, Faites-nous connoître le Léthé. R. Le Léthé se nomme aussi
fleuve
d’Oubli. Les ombres étoient obligées de boire de
t honorer depuis comme le dieu des pasteurs. Il aima Daphné, fille du
fleuve
Pénée, et la poursuivit une année entière. Daphné
ied à des sœurs. La Terre offre à la fois Ses hameaux, ses cités, ses
fleuves
et ses bois, Et les nymphes de l’onde, et les die
rer de cette vertu fatale, de se baigner dans les eaux du Pactole. Ce
fleuve
, qui traverse la Lydie6, roule depuis ce temps un
arbre, il l’écorcha tout vif. Le sang de Marsyas fut transformé en un
fleuve
qui porta le même nom, et qui traversoit la ville
it syrinx. D. Racontez l’origine de cette flûte. R. Syrinx, fille du
fleuve
Ladon, étoit une des nymphes de Diane. Pan l’aima
ho devint amoureuse du beau Narcisse, fils de la nymphe Lyriope et du
fleuve
Céphise. Mais Narcisse la méprisa. Echo, consumée
uivit pendant un an, et l’atteignit, lorsqu’elle vouloit traverser le
fleuve
Ladon. Il la chargea sur ses épaules, et l’apport
toient un peuple de femmes guerrières qui habitoient sur les rives du
fleuve
Thermodon, en Thrace. Elles élevoient leurs fille
n’avoient point été nettoyées depuis trente ans. Hercule détourna le
fleuve
Alphée, et le fit passer à travers les étables. L
ent l’infection dans toute la Grèce, furent emportées par les eaux du
fleuve
. 10°. Un taureau qui souffloit des flammes par le
e Lydie. Il conçut ensuite une violente passion pour Déjanire, que le
fleuve
Achéloüs devoit épouser. Hercule vainquit Achéloü
Achéloüs et emmena Déjanire. Il se trouva arrêté dans sa route par le
fleuve
Évène, dont les eaux étoient extrêmement grossies
es bêtes féroces s’adoucir, les arbres et les rochers se mouvoir, les
fleuves
suspendre leur cours. Orphée perdit sa femme Eury
our leur sexe, le mirent en pièces, et jetèrent sa tête dans l’Hèbre,
fleuve
de Thrace7. Orphée fut métamorphosé en cygne par
t, des beaux lieux que le Pénée 8 arrose, Vers la source sacrée où le
fleuve
repose, Il arrive ; il s’arrête, et, tout baigné
sse à mes yeux ; Mon fils a droit d’entrer dans le palais des dieux :
Fleuve
, retire-toi. L’onde respectueuse, A ces mots, sus
écoule le bruit des flots retentissants, Contemple le berceau de cent
fleuves
naissants, Qui, sortant en grondant de leur grott
Procruste ou Procuste étoit un brigand qui habitoit les environs du
fleuve
Céphise, dans l’Attique. Ce scélérat faisoit éten
ris ensemble, écrasa d’un rocher le jeune Acis, qui fut transformé en
fleuve
. Galatée se jeta dans la mer, et rejoignit les Né
les glaçons, Fondus par les zéphyrs, descendoient des montagnes ; Le
fleuve
enflé par eux s’élève à gros bouillons,
’Arménie, et se jette dans la mer Noire. Les campagnes voisines de ce
fleuve
étoient couvertes de faisans, ainsi appelés du li
ement la Colchide. C’est aujourd’hui la Géorgie. 10. Le Lycus est un
fleuve
de la Bithynie, province de l’Anatolie, appelée m
la mer Noire. 11. Le Caïcus, qu’on nomme maintenant Girmasti, est un
fleuve
de l’Anatolie. Il passe à Pergame, et se jette da
erranée, vis-à-vis l’île de Métélin, autrefois Lesbos. 12. L’Énipée,
fleuve
de Thessalie, arrose les champs de Pharsale, où C
aujourd’hui Salampio, et se jette dans le golfe de Salonichi. 13. Le
fleuve
du Tibre prend sa source dans l’Apennin, et se je
us de Rome 16. Eridan ou le Pô. Les anciens l’appeloient le roi des
fleuves
. Il naît au Mont-Viso, et se jette dans le golfe
a nymphe Daphné qui, pour éviter ses poursuites, invoqua son père, le
fleuve
Pénée, et fut changée en laurier. Apollon en cuei
ce Dieu était redoutable. Outre l’empire souverain sur les mers, les
fleuves
, les lacs et toutes les eaux, on lui reconnaissai
us ceux qu’ils rencontraient. Ce Dieu voulut épouser Syrinx, fille du
fleuve
Ladon ; mais cette Naïade, pour se soustraire à s
n nombre considérable de filles nommées nymphes, et aux divinités des
fleuves
, des rivières et des fontaines. On représente l’O
s Naïades, filles de Jupiter, étaient les nymphes qui présidaient aux
fleuves
, aux rivières et aux fontaines. On les peint sous
ment les représente-t-on ? Les Sirènes. Les Sirènes, filles du
fleuve
Achéloüs et de la muse Calliope, étaient des nymp
ons, décidaient du sort qui leur était réservé dans l’autre vie. Cinq
fleuves
entouraient de leurs eaux profondes le royaume de
utour des Enfers ; les Dieux eux-mêmes avaient un tel respect pour ce
fleuve
, que, lorsqu’ils avaient juré par ses ondes, ils
chéron était un fils du Soleil et de la Terre qui avait été changé en
fleuve
pour avoir fourni de l’eau aux Titans lors de leu
re, et n’était alimenté que par les larmes des méchants. Le Léthé, ou
fleuve
d’oubli, coulait dans les Champs-Elysées, et avai
nier rude et grossier, qui, l’aviron à la main, faisait traverser les
fleuves
infernaux aux ombres qui se présentaient sur leur
ges chargés de prononcer sur le sort des ombres ? — Quels étaient les
fleuves
qui entouraient de leurs eaux le royaume des mort
is pénétré un rayon de lumière ; on n’y entend que le doux murmure du
fleuve
d’oubli qui roule tout autour ses eaux assoupies.
s’étant chargé de détruire ce foyer d’infection, détourna les eaux du
fleuve
Alphée49 et les fit passer dans les étables, qui
a mission d’aller combattre les Amazones, qui habitaient les bords du
fleuve
de Thermodon en Cappadoce. Accompagné de son ami
e, et épousa Déjanire, fille du roi de Calydon, après avoir vaincu le
fleuve
Achéloüs53, qui voulait la lui disputer. Comme il
ns sa patrie, emmenant avec lui sa jeune épouse, il fut arrêté par le
fleuve
Evène, dont les eaux étaient débordées ; le centa
aux étaient débordées ; le centaure Nessus s’offrit à faire passer le
fleuve
à Déjanire en la prenant sur sa croupe, mais il a
s mélodieux, les arbres et les rochers se mettaient en mouvement, les
fleuves
suspendaient leur cours, les animaux les plus sau
oulut aller l’arracher du séjour des morts ; arrivé sur les bords des
fleuves
infernaux, il fit entendre des chants si plaintif
ent. Le coq lui était consacré. 13. L’Éridan ou le Pô, le plus grand
fleuve
de l’Italie, prend sa source sur la pente du mont
’un des monts Gramnos ou Mezzovo, entre l’Épire et la Thessalie. 17.
Fleuve
qui prend sa source au pied de l’Hélicon. 18.
et dont ils ont fait une des places les plus fortes du monde. 53. Ce
fleuve
coulait entre l’Épire et l’Étolie. 54. Les Athén
te façonna le globe, forma les fontaines, les étangs, les lacs et les
fleuves
, commanda aux campagnes de s’étendre, aux arbres
fut le principal objet de son courroux. Cette nymphe, fille d’Inachus
fleuve
d’Argolide, était un jour poursuivie par Jupiter,
n en croit les poètes, l’espace entier des enfers est entouré de deux
fleuves
, l’Achéron et le Styx, qu’il faut traverser pour
ls, est une vaste prison, fortifiée d’un triple mur, et entourée d’un
fleuve
de feu, nommé Phlégéton. Trois furies, Alecton, M
arcourut les montagnes, visita les cavernes et les bois, franchit les
fleuves
, allumant chaque soir deux flambeaux pour continu
lança la première à Apollon, il décocha la seconde à Daphné, fille du
fleuve
Pénée. Le dieu éprouve aussitôt une violente pass
à ses regards. Apollon court après elle dans la prairie qui borde le
fleuve
; il est au moment de l’atteindre… Daphné, épuisé
les Satyres, les Dryades le pleurèrent, et de leurs larmes naquit un
fleuve
de Phrygie, qui fut nommé Marsyas. Après un long
ace, ami de Bacchus, l’avait aidé à planter la vigne sur les bords du
fleuve
Strymon ; mais un jour, ayant bu immodérément de
éleste par leurs concerts. Elles se plaisaient aussi sur les bords du
fleuve
Permesse, et près des fontaines de Castalie, d’Hi
pour les dieux. Dans le feu de sa jeunesse, Pan poursuivait, près du
fleuve
Ladon, Syrinx, dont il était épris, et il n’avait
, sa mère, au fond de la grotte qu’elle habitait près de la source du
fleuve
Pénée, et le cœur gonflé de soupirs : « Ma mère,
Terre, épousa Téthys déesse des eaux, et de ce mariage naquirent les
Fleuves
et les Océanides. — On représente l’Océan sous la
étamorphosèrent en fontaine : Alphée demeuré en Élide y fut changé en
fleuve
. Mais cette métamorphose ne diminua point l’amour
.) § 11. Les Naïades. C’étaient les nymphes qui présidaient aux
fleuves
, aux rivières et aux fontaines. Elles habitaient
ur les épaules, et le corps terminé en queue de poisson. § 15. Les
Fleuves
. Les Païens rendaient un culte aux Fleuves, à
e poisson. § 15. Les Fleuves. Les Païens rendaient un culte aux
Fleuves
, à cause des avantages qu’ils en retiraient pour
des Romains, on voyait en bronze ou en or les statues des principaux
Fleuves
. Ils y étaient représentés sous la figure de viei
rquer le mugissement de leurs ondes, ou parce que les sinuosités d’un
fleuve
ressemblent assez aux cornes de ce quadrupède.
rent la tranquillité. Le doux repos y fait sa demeure habituelle ; le
fleuve
d’Oubli y roule mollement ses eaux languissantes,
g avilissant, qu’il conçut une violente passion pour Déjanire, que le
fleuve
Achéloüs devait épouser. Achéloüs refusa de céder
ce. Voici peut-être l’explication de cette fable. L’Achéloüs était un
fleuve
dont les inondations fréquentes désolaient les ca
s de l’Étolie ; Hercule éleva de fortes digues, et rendit le cours du
fleuve
uniforme. La métamorphose d’Achéloüs en serpent,
une corne, c’est-à-dire qu’il réunit en un seul lit les deux bras du
fleuve
; et cette corne devint celle d’Abondance, parce
ssus, qui se trouvait là, et qui connaissait les endroits guéables du
fleuve
, offrit de transporter sur son dos la jeune princ
l’autre bord son arc et sa massue, garde son carquois, et traverse le
fleuve
à la nage. Il touchait la rive opposée, lorsqu’il
es de la Troade, ils envoyèrent à terre Hylas puiser de l’eau dans un
fleuve
nommé Ascanius : mais les nymphes de ces bords, é
raines ; ou, pour parler sans fiction, Hylas tomba dans le courant du
fleuve
et se noya. Hercule ne le voyant pas revenir, des
e à ses accords. Les lions, les ours, venaient lécher ses pieds ; les
fleuves
remontaient vers leur source pour l’entendre ; le
urante voix, Sa voix disait encore : O ma chère Eurydice ! Et tout le
fleuve
en pleurs répondait : Eurydice ! P. D. E. Lebrun
touché de sa peine, ne lui eût conseillé de se laver dans le Pactole,
fleuve
de Lydie. Ce prince obéit, fut délivré de son inc
ésespoir, et ne pouvant rappeler son amant à la vie, le changea en un
fleuve
qui coule en Sicile et porte le nom d’Acis. §
ue la voix. Narcisse, jeune homme d’une grande beauté, était fils du
fleuve
Céphise et de la nymphe Liriope. Quand il vint au
able coup de vent brise le gouvernail ; et la vague, entrant comme un
fleuve
dans le vaisseau, l’engloutit. Céyx saisit une pl
Sirènes, sorte de fées musiciennes, étaient filles de Calliope et du
fleuve
Achéloüs, et habitaient ensemble une île voisine
lme ou se soulève en dépit de Neptune ; les monts s’aplanissent ; les
fleuves
remontent vers leur source, la nature entière est
es répandre au moyen d’écluses sur les plaines, dans les années où le
fleuve
fertilisateur ne débordait pas. § 28. Emblèmes
ed à des sœurs. La terre offre à la fois, Ses hameaux, ses cités, ses
fleuves
et ses bois. Et les Nymphes de l’onde, et les Die
madrépores, coraux, Des insectes des mers miraculeux travaux. Que de
fleuves
obscurs y dérobent leur source ! Que de fleuves f
uleux travaux. Que de fleuves obscurs y dérobent leur source ! Que de
fleuves
fameux y terminent leur course ! Tantôt avec effr
j’aime sa souplesse, et son port animé ; Soit que dans le courant du
fleuve
accoutumé, En frissonnant il plonge, et luttant c
s de joie Saluer le sauveur que le Ciel leur envoie. Et tandis que du
fleuve
il remonte le cours, Sur les bords où s’assemble
rissent ensemble, Le taureau, le coursier expirent sans secours ; Les
fleuves
, dont la glace a suspendu le cours, La Dordogne e
ron, Fils de l’Érèbe et de la Nuit. Nocher du Styx et des autres
Fleuves
des Enfers. Il passait dans sa barque les ames de
d des autres, il les laissait errer pendant cent ans sur le rivage du
Fleuve
. Caron est représenté sous la figure d’un Vieilla
Sèment les plaines et les bois. Tous les Dieux des forêts, des
fleuves
, des montagnes, Viennent féliciter leurs heureuse
consacrés, ainsi que les fontaines d’Hippocrène et de Castalie, et le
fleuve
du Permesse. Quelle est cette fureur soudaine
habitaient. Les Nymphes de la mer s’appelaient Néréides ; celles des
fleuves
, des rivières et des fontaines, Naïades ; celles
rrivent sans cesse, et jamais ne l’emplissent. Ainsi dans l’Océan les
fleuves
s’engloutissent. Orateurs et clients, dans ce mon
ac Stymphale ; le Taureau furieux qui désolait la Crète. Vainqueur du
fleuve
Achéloüs, il lui arracha une corne, qu’il lui ren
loin en résonne ; Le sol croule ; des eaux le bord est emporté, Et le
fleuve
écumant recule épouvanté. Alors, ce fut alors que
tôt, des beaux lieux que le Pénée arrose, Vers la source sacrée où le
fleuve
repose Il arrive, il s’arrête, et, tout baigné de
sse à mes yeux ; Mon fils a droit d’entrer dans le palais des Dieux ;
Fleuve
, retire-toi. L’onde respectueuse, A ces mots, sus
écoute le bruit des flots retentissans, Contemple le berceau de cent
fleuves
naissans, Qui, sortans en grondant de leur grotte
it lancé Chiron. Souvent, dans la saison au repos consacrée, Quand du
fleuve
engourdi, le rigoureux Borée A peine avait fixé l
ent sans la venger la cendre d’un héros.. Des bords du Thermodon,
fleuve
à jamais fameux, Un grand secours arrive aux Troy
yante trompette, Et de faire rentrer des bords les plus lointains Les
fleuves
dans leurs lits, les mers dans leurs bassins. Tri
loin retentit ; Tout au signal donné rentre en l’ordre prescrit. Les
fleuves
ont des bords, la mer a des rivages. Les monts so
phe de Dircé ! Argos cherche Amimome, et Corinthe, Pirène. Les grands
fleuves
, roulant une brûlante arêne, Se dessèchent, ainsi
revoir la lumière, Avant de commencer leur nouvelle carrière, Dans le
fleuve
, à longs traits elles boivent l’oubli, Et de l’or
cissent le jour, Les astres de la nuit interrompent leur course : Les
fleuves
étonnés remontent vers leur source ; Et Pluton mê
par ses mains, Un Dieu forma les lacs, et creusa leurs bassins : Aux
fleuves
, aux ruisseaux entraînés par leur pente, Il traça
es bêtes féroces s’adoucir, les arbres et les rochers se mouvoir, les
fleuves
suspendre leur cours. Orphée perdit sa femme Eury
s’attriste, et se plaint aux zéphirs. Du torrent de leurs pleurs les
fleuves
se grossissent ; Les Dryades en deuil, les Naïade
e sur les flots en sanglots fugitifs Se plaint, comme sa lyre ; et le
fleuve
et la rive Répondent aux soupirs de sa bouche pla
e Néréide, on vante ta naissance ; Je dois la mienne au Dieu, roi des
fleuves
divers Qui commande à Nérée, et règne sur les mer
conserve son nom. Ovide. — Desaintange 195. Narcisse, Fils du
fleuve
Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les Dieux
s importunes, changèrent Aréthuse en fontaine d’Ortygie, et Alphée en
fleuve
d’Elide. L’amour d’Alphée survécut à sa métamorph
urs. Alphée a dans mes flots reconnu ses amours : Lui-même il devient
fleuve
; et son onde enflammée, Pour se mêler à moi, pou
oi je m’en vais habiter. O jour ! ô Salamine ! ô terres paternelles !
Fleuves
sacrés, et vous, mes nourrices fidelles ! Noble p
t son orgueil en le faisant écorcher vif. Il le changea ensuite en un
fleuve
qu’il nomma Marsyas, et que les Nymphes désolées
. Humide de leurs pleurs, la terre les rassemble, Et forme un nouveau
fleuve
, au cours limpide et clair, Et qui va sous son no
Dieu Pan, dont elle refusait la main, elle se sauva sur les bords du
fleuve
Ladon, qui, touché de son danger, la métamorphosa
suite, Jusqu’aux bords du Ladon elle avait pris la fuite ; Comment le
fleuve
alors l’arrêtant par son cours, Elle avait de ses
lle de l’Air et de la Terre. Nymphe qui se plaisait aux bords du
fleuve
Céphise. Elle, eut l’imprudence de jaser sur la c
le fils de Calliope Attirer les rochers, les lions et les ours : Les
fleuves
après lui prenaient un nouveau cours, La Dryade a
ont Pluton était le Dieu, Minos, Eaque et Rhadamante, les Juges. Cinq
fleuves
y coulaient : le Styx, le Phlégéton, le Cocyte, l
c son char brûlant tomba dans les Enfers. Virgile. — Lefranc 238.
Fleuve
des Enfers. J’allais passer les trois rivières
té, elles devaient retourner sur la terre, elles buvaient les eaux du
fleuve
Léthé, pour oublier les maux qu’elles y avaient s
de carnage La Terre a-t-elle vu ses flancs plus engraissés ? Et quel
fleuve
jamais vit border son rivage D’un plus horrible a
c’est l’herbe tendre et la fraîche verdure : Leur boisson, l’eau d’un
fleuve
ou d’une source pure ; Sur un lit de gazon ils tr
ur le rivage ; Les Phoques, désertant ces gouffres infectés, Dans les
fleuves
surpris courent épouvantés ; Le serpent cherche e
Quand d’un pied lourd la jeunesse s’avance, On cherche en vain le
fleuve
de Jouvence : Pour remonter le cours de ses beaux
de charmes ; Ces beaux champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le
fleuve
qu’il fendait de ses bras vigoureux, La forêt don
ières] Lefranc. Enéide. liv. VI. 239. [Table des matières] Voltaire.
Fleuve
des Enfers. 240. [Table des matières] Voltaire.
es serments faits au nom de Styx, qu’on a confondue plus tard avec le
fleuve
des enfers qui porte le même nom, fussent inviola
feignit qu’il allait épouser la belle Platée, jeune nymphe, fille du
fleuve
Asope ; à cette nouvelle Junon sort de sa retrait
embrasa la terre. Jupiter le foudroya et le précipita dans l’Éridan,
fleuve
d’Italie. Cette légende est le souvenir poétique
ou tournesol. Il poursuivait Daphné, qui se réfugia dans les bras du
fleuve
Pénée, son père, et fut changée en laurier. Le je
a tempête. Océan régnait sur la mer, et son empire s’étendait sur les
fleuves
dont il était le père. Les anciens lui rendaient
célèbres par la douceur enchanteresse de leur voix, étaient filles du
fleuve
Achéloüs et de la muse Calliope. Elles habitaient
er s’appelle l’Averne. De là un chemin ténébreux conduit à l’Achéron,
fleuve
terrible sur les rives duquel se pressent les âme
sans leur laisser ni trêve ni repos. L’Enfer était traversé par cinq
fleuves
. Le premier s’appelait l’Achéron ; c’est le fleuv
traversé par cinq fleuves. Le premier s’appelait l’Achéron ; c’est le
fleuve
des Angoisses l’Achéron, qu’alimentent les larmes
artare, et n’était formé que par les larmes des méchants. Le Styx, ou
fleuve
de la Haine l’Achéron, environnait sept fois les
les immortels qu’après dix ans de déchéance. Le plus terrible de ces
fleuves
, le Phlégéthon, roulait des torrents de feu et de
? — Comment nommait-on l’entrée du Tartare ? — Combien comptait-on de
fleuves
dans l’Enfer ? § 2. Pluton. Pluton. — so
’ébène, qu’entourent les Furies et les Parques, et d’où découlent les
fleuves
des Enfers. Sa main droite est armée d’un sceptre
ortaient point le prix du passage, erraient cent ans sur les bords du
fleuve
. Il fut emprisonné pendant un an pour avoir laiss
ice, qui ne touche pas aux trésors qu’elle entasse : Tantale dans un
fleuve
a soif et ne peut boire : Tu ris, change le nom,
roi d’Élide : le héros détourna l’Alphée de son cours, et les eaux du
fleuve
emportèrent toutes les immondices. Tous ces explo
lesses s’y mêlent aux exploits. Il dispute Déjanire, fille d’Œnée, au
fleuve
Achéloüs. Après avoir vaincu ce rival redoutable,
cipalement des deux astres qui la décorent, le soleil et la lune. Les
fleuves
recevaient aussi les hommages de ces peuples. Ils
s, le referme, le scelle avec du plomb et court le précipiter dans le
fleuve
, qui le porte dans la mer par la bouche Tanitique
s’appelle Nifflein, lieu de ténèbre et de douleur, traversé par neuf
fleuves
d’une eau noire et fangeuse : c’est le séjour des
hurlements affreux. Ses prêtres portaient le nom de Galli, du Gallus,
fleuve
de Phrygie, dont l’eau les rendait furieux ; le n
l geignit de vouloir épouser une jeune nymphe nommée Platée, fille du
fleuve
Asope. Cet artifice réussit : Junon revint auprès
ités champêtres le pleurèrent amèrement, et de leurs larmes naquit le
fleuve
Marsyas, qui coule en Phrygie. Du service d’Admèt
aphné, qui, pour échapper à sa poursuite, se réfugia dans les bras du
fleuve
Pénée, son père. Enfin Clytie, fille de l’Océan e
et embrasa la terre. Jupiter le précipita d’un coup de foudre dans le
fleuve
Eridan (autrement appelé le Pô). Quelques interpr
up de pied la fontaine Hippocrène, dont les eaux, ainsi que celles du
fleuve
Permesse, inspiraient, dit-on, l’enthousiasme poé
baignerait dans le Pactole. C’est, dit-on, depuis cette époque que ce
fleuve
roule un sable d’or. Midas, qui nous était déjà c
a tempête. Océan régnait non-seulement sur la mer, mais aussi sur les
fleuves
, dont il était le père. Les anciens lui rendaient
célèbres par la douceur enchanteresse de leur voix, étaient filles du
fleuve
Achéloüs et de la muse Calliope. On en compte ord
vestibule des Enfers. De là une route ténébreuse conduit à l’Achéron,
fleuve
des angoisses, alimenté par les pleurs des méchan
pousse de sa triple gueule d’effroyables aboiements. » Quatre autres
fleuves
traversent le séjour des Enfers : le Cocyte, fleu
» Quatre autres fleuves traversent le séjour des Enfers : le Cocyte,
fleuve
des gémissements, formé aussi par les larmes des
e Phlégéthon, roulant des torrents de flammes et de bitume ; le Styx,
fleuve
redoutable, par lequel les dieux craignaient de f
naient de faire un serment, qui devait être inviolable ; le Lethé, ou
fleuve
d’oubli, dont les eaux enlevaient aux âmes des mo
bène, qu’environnent les Furies et les Parques, et d’où découlent les
fleuves
des Enfers. Proserpine est à sa gauche, et Cerbèr
est la description qu’en fait Virgile ? Quels étaient les principaux
fleuves
des Enfers ? Qu’étaient les Champs-Elysées ? 83.
uvaient le payer étaient condamnées à errer cent ans sur les bords du
fleuve
, avec celles dont les corps avaient été privés de
; il est inaccessible aux rayons du soleil, et baigné par les eaux du
fleuve
d’Oubli Le Sommeil est représenté étendu sur un l
, fille d’Œnée, roi d’Etolie. Pour l’obtenir, il eut à la disputer au
fleuve
Achéloüs. Après avoir vaincu le rival, il emporta
rs empruntent leur puissance. C’est toi que l’on peignait ainsi qu’un
fleuve
immense Où, la coupe à la main, venaient puiser l
qui vivifie le monde matériel ; il serait le ciel et même le Nil, ce
fleuve
bienfaiteur de l’Egypte. Les voyages d’Osiris en
aves ; il est traversé, comme celui des Grecs et des Romains, par des
fleuves
qui roulent des eaux noires et fangeuses. On conç
ui de Pluton. 12. On a confondu dans la suite la déesse Styx avec le
fleuve
des enfers qui porte le même nom. 13. Quelques a
a. Quid rides ? Mutato nomine, de te Fabula narratur. Tantale dans un
fleuve
a soif et ne peut boire. Tu ris, change de nom, l
noît des sœurs. La Terre offre à la fois, Ses hameaux, ses cités, ses
fleuves
et ses bois. L’ingénieux Vulcain, pour couronner
rissent ensemble, Le taureau, le coursier expirent sans secours ; Les
fleuves
, dont la glace a suspendu le cours, La Dordogne e
ron, Fils de l’Erèbe et de la Nuit. Nocher du Styx et des autres
Fleuves
des Enfers. Il passoit dans sa barque les ames de
d des autres, il les laissoit errer pendant cent ans sur le rivage du
Fleuve
. Caron est représenté sous la figure d’un vieilla
Sèment les plaines et les bois. Tous les Dieux des forêts, des
fleuves
, des montagnes, Viennent féliciter leurs heureuse
consacrés, ainsi que les fontaines d’Hyppocrène et de Castalie, et le
fleuve
du Permesse. Quelle est cette fureur soudain
habitoient. Les Nymphes de la mer s’appeloient Néréides ; celles des
fleuves
, des rivières et des fontaines, Naïades ; celles
ac Stymphale ; le Taureau furieux qui désoloit la Crète. Vainqueur du
fleuve
Achéloüs, il lui arracha une corne, qu’il lui ren
tôt, des beaux lieux que le Pénée arrose, Vers la source sacrée où le
fleuve
repose Il arrive, il s’arrête, et, tout baigné de
sse à mes yeux ; Mon fils a droit d’entrer dans le palais des Dieux ;
Fleuve
, retire-toi. L’onde respectueuse, A ces mots, sus
écoute le bruit des flots retentissans, Contemple le berceau de cent
fleuves
naissans, Qui, sortans en grondant de leur grotte
it lancé Chiron. Souvent, dans la saison au repos consacrée, Quand du
fleuve
engourdi, le rigoureux Borée A peine avoit fixé l
nt sans la venger la cendre d’un héros.. Des bords du-Thermodon,
fleuve
à jamais fameux, Un grand secours arrive aux Troy
e, Des flots encor mêlés d’une fange grossière. Tous deux de l’eau du
fleuve
arrosent leurs habits, Et dirigent leurs pas au t
es vagabondes Cherchèrent vainement et leurs lacs et leurs ondes. Les
fleuves
les plus grands sentent brûler leurs eaux : Le Ta
revoir la lumière, Avant de commencer leur nouvelle carrière, Dans le
fleuve
, à longs traits elles boivent l’oubli, Et de l’or
cissent le jour, Les astres de la nuit interrompent leur course : Les
fleuves
étonnés remontent vers leur source ; Et Pluton mê
par ses mains, Un Dieu forma les lacs, et creusa leurs bassins : Aux
fleuves
, aux ruisseaux entraînés par leur pente, Il traça
es bêtes féroces s’adoucir, les arbres et les rochers se mouvoir, les
fleuves
suspendre leur cours. Orphée perdit sa femme Eury
de vieillesse. Le même, au P. de Ligne 200. Narcisse, Fils du
fleuve
Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les Dieux
Une autre a délié ses légers brodequins. Crocale, cependant, fille du
fleuve
Ismène, De ses cheveux tressés a renoué l’ébène :
s importunes, changèrent Arétuhse en fontaine d’Ortygie, et Alphée en
fleuve
d’Elide. L’amour d’Alphée survécut à sa métamorph
. Tandis que de mes bras je fends les flots unis, J’entends sortir du
fleuve
une clameur soudaine. Je frissonne, et je cours à
t creusée, Et mes cheveux épars se fondent en rosée. Enfin je deviens
fleuve
et déjà prends mon cours. Alphée a reconnu l’obje
oi je m’en vais habiter. O jour ! ô Salamine ! ô terres paternelles !
Fleuves
sacrés, et vous, mes nourrices fidelles ! Noble p
t son orgueil en le faisant écorcher vif. Il le changea ensuite en un
fleuve
qu’il nomma Marsyas, et que les Nymphes désolées
t ; Leurs larmes sur la terre ensemble se mêlèrent ; Et de-là naît un
fleuve
, honneur de ces climats, Qui du nom du Satyre est
Dieu Pan, dont elle refusoit la main, elle se sauva sur les bords du
fleuve
Ladon, qui, touché de son danger, la métamorphosa
lle de l’Air et de la Terre. Nymphe qui se plaisoit aux bords du
fleuve
Céphise. Elle, eut l’imprudence de jaser sur la c
ne en repos, Et les eaux de son lit, et les Nymphes des eaux. Les
fleuves
des pays voisins ou tributaires, Ceux même qui ba
le fils de Calliope Attirer les rochers, les lions et les ours : Les
fleuves
après lui prenoient un nouveau cours, La Driade a
ont Pluton étoit le Dieu, Minos, Eaque et Rhadamante, les Juges. Cinq
fleuves
y couloient : le Styx, le Phléghéton, le Cocyte,
incessamment des tonneaux toujours vides. Ovide.— Saint-Ange 251.
Fleuves
des Enfers. J’allois passer les trois rivière
nent les flancs, Et dans les creux vallons se traçant un passage, Des
fleuves
infernaux offrent l’horrible image. L’incend
de carnage La Terre a-t-elle vu ses flancs plus engraissés ? Et quel
fleuve
jamais vit border son rivage D’un plus horrible a
c’est l’herbe tendre et la fraîche verdure : Leur boisson, l’eau d’un
fleuve
ou d’une source pure ; Sur un lit de gazon ils tr
ur le rivage ; Les Phoques, désertant ces gouffres infectés, Dans les
fleuves
surpris courent épouvantés ; Le serpent cherche e
Quand d’un pied lourd la jeunesse s’avance, On cherche envain le
fleuve
de Jouvence : Pour remonter le cours de ses beaux
de charmes ; Ces beaux champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le
fleuve
qu’il fendoit de ses bras vigoureux, La forêt don
nt-Ange. Métamorphoses. liv. IV. 252. [Table des matières] Voltaire.
Fleuve
des Enfers. 253. [Table des matières] Le même [V
blit dans le pays qui fut appelé Péloponèse. Il fit creuser un lit au
fleuve
Amphiloque, très-sujet à déborder, et lui donna s
selon la coutume de ce temps, qu’il était la divinité tutélaire de ce
fleuve
. Le royaume d’Argos eut une longue suite de rois.
s du mont Ptoüs. Des éboulemens de terre, et le limon entraîné par le
fleuve
Colpias, qui se jette dans le lac, bouchèrent pro
était composée de douze. Le premier fut Eurotas, qui donna son nom au
fleuve
principal qui coule dans le pays. Lacédémon son f
eur, voulut le voir, et vint au-devant de lui jusqu’à Larisse, sur le
fleuve
Pénée. Il y arriva dans le temps où l’on célébrai
sa reconnaissance à Cocalus, il fît creuser un canal où se jetait le
fleuve
Alabas, que l’on nomme aujourd’hui Cantera. Il co
ait dans l’île de Cichyros, où l’on trouve le marais Achérusin et les
fleuves
Achéron et Cocyte. Les poëtes publièrent qu’il ét
er. Hercule, à sa prière, employa ses troupes à détourner le cours du
fleuve
Alphée ; ses eaux, en coulant sur les plaines, le
elle fut l’origine de la fable des écuries d’Augias, nettoyées par un
fleuve
. Ce prince avare n’ayant pas voulu payer la récom
la Scythie, pour délivrer Prométhée, comme nous l’avons déjà dit. Le
fleuve
Achéloüs, par ses inondations, ravageait les cham
ons déjà dit, peignit cet ouvrage comme un véritable combat contre le
fleuve
. Elle représente Achéloüs changé en serpent, pour
l se métamorphosa en taureau, symbole sous lequel on représentait les
fleuves
. Hercule lui arracha une corne ; c’est-à-dire qu’
e, qui produisait tous les biens ; c’est-à-dire, que l’ancien bras du
fleuve
devint une terre très-fertile. Œnée, roi de Calyd
e soleil n’éclairait point encore au temps où il commit ce crime : le
fleuve
Achéloüs, dans un débordement, entraîna des terre
nom ayant oublié Achéloüs dans un de leurs sacrifices, le dieu de ce
fleuve
les entraîna, et les métamorphosa en amas de sabl
lle retournait dans les états de son frère, et avait déjà traversé le
fleuve
Achéron, lorsqu’Hercule les rencontra. Il combatt
ais, pour aller du mont Pélion à cette ville, il fallait traverser le
fleuve
Anaure qui était débordé. Junon, dit la fable, dé
rincesses naquirent dans la Laconie, près de Sparte, sur les bords du
fleuve
Eurotas. On rencontrait toujours une grande quant
Eurotas. On rencontrait toujours une grande quantité de cygnes sur ce
fleuve
, et les poëtes eurent l’idée de faire entrer un c
ployé à se purifier. On ne peut se laver que dans les eaux froides du
fleuve
Hercine. On sacrifie ensuite à Trophonius, à sa f
u, l’air, le soleil, la lune, les astres, les arbres, les forêts, les
fleuves
, les montagnes, les vents, la foudre, les tempête
et en fabriquèrent le globe ; de son sang ils formèrent la mer et les
fleuves
; la terre, de sa chair ; les grandes montagnes,
or et l’argent pris sur les ennemis. On joignait à ce culte celui des
fleuves
, des rivières, des fontaines et du feu. Les Gaulo
suit vos lois Bientôt ne sera plus qu’un vain monceau de cendre ; Les
fleuves
vont tarir ; les villes et les bois, Les monts le
rène. D. Racontez-nous l’histoire de Daphné. R. Daphné étoit fille du
fleuve
Pénée. Elle étoit aimée d’Apollon, qui la métamor
D. Qui étoit l’Océan ? R. L’Océan étoit regardé comme le père des
Fleuves
, des Rivières des Fontaines. Il épousa Thétys, do
is. Les Néréides sont les Nymphes de la mer ; Les Naïades, celles des
fleuves
, des rivières et des fontaines ; Les Dryades, cel
ques d’une même soie, Ne dévident pas tous nos jours. (Malherbe.)
Fleuves
des Enfers. D. Comment nomme-t-on les fleuves
urs. (Malherbe.) Fleuves des Enfers. D. Comment nomme-t-on les
fleuves
des Enfers ? R. Ce sont l’Achéron, le Cocyte, le
Enfers ? R. Ce sont l’Achéron, le Cocyte, le Phlégéton et le Léthé.
Fleuves
affreux, qui par vos noirs torrens, Défendez le r
amères. Le Styx faisoit sept fois le tour des Enfers ; c’étoit par ce
fleuve
que juroient les Dieux, et s’ils se parjuroient,
légéton ne rouloit que des flammes liquides. Le Léthé étoit appelé le
Fleuve
d’oubli, parce que ses eaux faisoient oublier le
elles estropioient ou tuoient leurs enfans mâles. 7.° Il détourna un
fleuve
et le fit entrer dans les étables d’Augias, roi d
ale ? R. Non ; il ne tarda pas de jeter les yeux sur Déjanire, que le
fleuve
Achéloüs vouloit épouser. Il vainquit ce rival, e
. Il vainquit ce rival, et obtint Déjanire. Sur le point de passer le
fleuve
Evène, le Centaure Nessus s’offrant de passer la
issent le jour : Les astres de la nuit interrompent leur course ; Les
fleuves
étonnés retournent vers leur source ; Et Pluton m
uitième à sa victoire sur les Amazones, ensuite Hercule fit passer un
fleuve
dans les étables d’Augias Roi des Epéens, pour le
rne arrachée par Hercule, il alla cacher sa honte dans les roseaux du
fleuve
Thoas, qui en reçut le nom d’Achéloüs. Le malheur
après Hercule emmena son épouse, durant ce voyage il fallut passer le
fleuve
Évène ; le Centaure Nessus, amoureux de Déjanire,
ureux de Déjanire, offrit de la porter sur son dos de l’autre côté du
fleuve
, Hercule y consentit, mais lorsque le centaure fu
zones étoient des femmes guerrières de la Cappadoce, sur les bords du
fleuve
Thermodon, elles étoient originaires |de la Scyth
r à gué l’Evenus n’avoit qu’un brodequin, ayant perdu l’autre dans le
fleuve
. Jason, armé d’une lance et d’un javelot et couve
Vulcain sauva le héros par des feux rapides qui desséchèrent ces deux
fleuves
. Jupiter alors, déployant ses balances d’or, pesa
ordonna d’abandonner sa patrie, et d’aller s’établir sur les bords du
fleuve
Esare. Mycile se réveilla fort embarrassé, car le
s sa fille Marpèse, s’il remportoit la victoire, se précipita dans un
fleuve
qu’on appela depuis Evène. Alyattes. Alyat
nt apporter sa quenouille en s’éveillant, Nausicaa sa fille allant au
fleuve
pour y laver, elle-même, ses plus belles robes, e
pas s’ils chantaient bien. Pactole. Midas. Le Pactole était un
fleuve
de Phrygie qui roulait de l’or dans son lit. De l
, et, en perdant la vertu de tout transformer en or, la communique au
fleuve
. Le même Midas (la Fable est pleine de légendes s
▲