de l’Aurore ; L’Onde est Thétis qui règne sur les Mers ; Les tendres
fleurs
sont les filles de Flore, Les blonds épis, c’est
puiser de l’eau dans la fontaine d’Aréthuse, ou qu’elle cueilloit des
fleurs
avec ses compagnes. Pluton abhorroit la lumière d
le Aréthuse. Là, sur un vert gazon Proserpine s’amuse, A ramasser les
fleurs
qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus
Et de son souffle impur, fléau de nos beaux ans, Sèche et brûle en sa
fleur
le germe des talens. Saint-Ange 34. Hyménée
péter que des liens durables Ont plus d’épines que de
fleurs
; Si l’Hymen est gênant, si ses lois sont cruelle
l’eau pure, Enfin le noir charbon. Ces principes divers De sa robe de
fleurs
ont paré l’Univers, Et selon les climats variant
oilettes. On le représente en jeune homme gras et frais, un bonnet de
fleurs
sur la tête, un vase d’une main et un bassin de l
ugitif formant des pas trompeurs, Elle foule tantôt la verdure et les
fleurs
, Tantôt triste, pensive et s’enfonçant dans l’omb
n gazon frais couvre la terre ardente, Et fait jaillir une moisson de
fleurs
; Pour nuancer sa robe verdoyante Des fruits verm
Empire des jardins, la brûlante froidure, Dans leur germe a séché tes
fleurs
et ta verdure t Et vos champs amoureux, délicieu
chés sur le berceau d’un joli petit Enfant . Au lieu de
fleurs
sur ton berceau, Ma main, heureux Enfant, attache
’air en sifflant. Troyens, de ces honneurs briguez la récompense ; De
fleurs
ceignez vos fronts, gardez un long silence. »
e lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur ont humecté la terre. De
fleurs
il la parfume, et s’écrie : « O mon père ! Je te
ison, Qui me consume et me dévore, Sur mes pas sèche et décolore Les
fleurs
de la belle saison… Si l’amour, l’amitié, la gloi
e, une clé et un disque dans la main, couverte d’une robe parsemée de
fleurs
, tantôt entourée de bêtes sauvages, tantôt assise
Vois-tu l’argent et l’or joncher tous les chemins, Et des torrens de
fleurs
, tombant de toutes mains, L’inonder toute entière
reçue. Au moment de sa naissance, la Terre sous ses pas, s’émailla de
fleurs
; autour d’elle on vit voltiger les Amours et les
t éclore Les dons brillans de Pomone et de Flore, Sur les rameaux, la
fleur
succède aux fruits ; Le bouton sort du bouquet qu
erve, d’un coup de sa lance, en fit naître l’arbre de la paix tout en
fleurs
; et Cécropie fut nommée Athènes du nom grec de l
que sa fille avoit été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueilloit des
fleurs
dans les belles campagnes d’Enna. A cette triste
ses des forêts ? La Driade, en robe légère, Brave, sous un chapeau de
fleurs
, L’aiguillon ardent des chaleurs ; Et Pallas, coi
s de sa beauté fraîche et vermeille, l’épousa, et la fit présider aux
Fleurs
et au Printemps, sous le nom de Flore. On la repr
e nom de Flore. On la représente ornée de guirlandes, et couronnée de
fleurs
. Muse ! décris tes plus chères amours ! Cont
t ces touffes de lilas Dont le panache émaille la verdure ! Charmante
fleur
, dont l’agreste parure De la bergère embellit les
illes bourdonnantes, Qui, suspendus en grappes éclatantes, Sucent des
fleurs
les esprits éthérés. Léonard 83. Qu
ariété ! Non loin de ces berceaux, la diligente abeille Du calice des
fleurs
extrait sa liqueur d’or… Venance 84. Voyez Pr
ns leur source. L’excès des chaleurs A brûlé nos plaines, A séché nos
fleurs
, Tari nos fontaines ; L’Aurore est sans pleurs, Z
s. Bernard 85. les Saisons. Là paroît couronné d’une tresse de
fleurs
, Le Printemps au front jeune, aux riantes couleur
e pardonner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de
fleurs
, Croit-on qu’au delà du bel âge, Tu nous coûteras
au delà du bel âge, Tu nous coûteras tant de pleurs ? On cueille ces
fleurs
séduisantes, Dont l’éclat dérobe à nos yeux Les d
lors de ses vives couleurs, De sa robe émaillée il déroule les
fleurs
, Et se croit sûr de la victoire. D
aze légère. Pour entrer dans leur temple, il falloit être couronné de
fleurs
. O vous qui parez tous les âges, Tous les ta
s suivent tous les âges, Elles réparent leurs outrages, Et sèment les
fleurs
du printemps Sur l’hiver paisible des sages. Ains
ressorts Que leurs mains légères polissent. Les Grâces entourent de
fleurs
Le sage compas d’Uranie, Donnent le charme des co
utile ; Des fruits pour mets, le printemps pour saison ; Des lits de
fleurs
, un antre pour maison ; Les Dieux pour rois, la v
. Les uns de joncs tressés composent leur coiffure, D’autres avec des
fleurs
nattent leur chevelure. On s’anime à l’envi de l’
autels. On leur offroit simplement du lait, du miel, de l’huile, des
fleurs
et du vin. Divinités des bois, des campagnes
Belles Nymphes aux pieds de roses, Qui, sans courber les
fleurs
, par votre haleine écloses, Franchissez les vallo
la Santé. Je la vois ! l’incarnat brille sur son visage ; Mille
fleurs
, à l’envi, naissent sur son passage ; Auprès d’el
Aura chassé les noirs frimats, Et couvert nos guérets de
fleurs
et de verdure, Lorsque le Charme ouvrant ses flex
Aux vœux qu’on faisoit pour Auguste, On en mêloit pour Mécénas ; De
fleurs
on décoroit leur buste, Et l’encens brûloit sur l
déplorable époux dont tu causas les maux Offre une brebis noire et la
fleur
des pavots ; Enfin, pour satisfaire aux mânes d’E
me le plus spirituel et le plus beau des Bergers. Daphnis mourut à la
fleur
de son âge. Toutes les Nymphes le pleurèrent, et
ge La faveur des Cieux. Heureuse l’aurore Qui de tes beaux ans Vit la
fleur
éclore Et parer nos champs ! Malheureuse celle Qu
os champs ! Malheureuse celle Qui vit se flétrir Tomber et mourir Une
fleur
si belle ! Depuis ce malheur, Quelles sont nos pe
t tes cendres ; Nous y graverons Nos sentimens tendres, Nos mourantes
fleurs
, Nos vers et nos cœurs. Lorsque les ténèbres Voil
s regrets, On s’empresse autour d’eux, on les soulage, on pleure : La
fleur
de nos guerriers touche à sa dernière heure, Et r
t pas,, Chantez : chaque pierre docile En colonnes de
fleurs
va s’arrondir soudain ; Votre riv
flots dormans du paisible Léthé ; Tels de nombreux essaims épris des
fleurs
nouvelles, Dans un beau jour d’été, bourdonnent a
ns dont ce jardin abonde ; Chaque saison y donne avec égalité, Et les
fleurs
du printemps, et les fleurs de l’été. La poire en
haque saison y donne avec égalité, Et les fleurs du printemps, et les
fleurs
de l’été. La poire en vieillissant en voit d’autr
a paroître, Et, sur le même cep où le raisin mûrit, Un raisin dans sa
fleur
déjà se reproduit ; Une vigne abondante offre tou
au pressoir la dépouille des treilles ; Mais un nouveau raisin, de la
fleur
échappé, Rend aux pampres verdis le fruit qu’on a
ent, et se joint aux pasteurs, Pour former au Vieillard une chaîne de
fleurs
. Captif en ces liens, Silène se réveille : On voi
Thisbé par quelle aveugle erreur Pyrame de ses jours a pu trancher la
fleur
. Pyrame ! eh quoi, tu meurs pour m’avoir trop aim
pompe, dit-on, célébra ces liens., Tous deux étoient parés de la
fleur
du bel âge ; Du sang de Jupiter tous deux étoient
Du plaisir de se voir ne pouvoit se lasser, Les grâces et les ris, de
fleurs
parant leur tête, Avec eux, en dansant, sembloien
la cendre187 ? Isménie à Narbas . La Victime étoit prête, et de
fleurs
couronnée ; L’autel étinceloit des flambeaux d’Hy
nte, Sous les feux du midi sans cesse étincelante, Sans verdure, sans
fleurs
, sans fruits, sans habitans, N’a que des rochers
ristée. Eurydice fuyoit, hélas ! et ne vit pas Un serpent que les
fleurs
réceloient sur ses pas : La mort ferma ses yeux ;
harmé, si épris de lui-même, qu’il sécha d’amour, et fut changé en la
fleur
qui porte son nom. Au fond d’une vallée une
……………… je cède à ma douleur. De mes jours malheureux l’amour sèche la
fleur
. Déjà la mort s’approche, et j’y suis insensible.
n vain son corps, on n’en voit plus la trace, Narcisse disparoît, une
fleur
le remplace. Ovide. — Dorat 201. Voyez Echo.
ue et du poids des chaleurs, Je vois un canal pur qui coule entre des
fleurs
. Sous le miroir des eaux l’œil distingue l’arène
nte, Il est doux de pleurer quand on est malheureux. Couronnons-le de
fleurs
, embaumons ses cheveux Dans un temple paré qu’un
u, les yeux baignés de pleurs, Il renverse à ses pieds sa couronne de
fleurs
, L’Echo ne redit plus ses doux chants d’hyménée.
s : Il ne servoit pourtant qu’aux fêtes solennelles. Le linge orné de
fleurs
fut couvert pour tous mêts D’un peu de lait, de f
eurs grappes odorantes ! Que ses premiers regards se tournent sur des
fleurs
; Que ses premiers parfums soient leurs douces od
n vieux siècle d’or, J’aime à prouver qu’un époux peut encor Orner de
fleurs
le sein de sa compagne. Mais, ma Thémire, un
or Orner de fleurs le sein de sa compagne. Mais, ma Thémire, une
fleur
bien plus chère, Depuis deux mois s’élève à ton c
bords (ô regrets ! ô douleurs !) Elle venoit offrir des couronnes de
fleurs
: Un enfant sur son sein, fardeau bien doux pour
e ses bras, le lait de sa mamelle. Là, s’élève un Lotos, qui, de
fleurs
empourpré, A le rubis du lin que Tyr a coloré ; L
Comme une tige élevée, D’une onde pure abreuvée, Voit multiplier ses
fleurs
. Mais, cette flatteuse amorce D’un hommage q
Ta main, délicate et légère, Cueille, aux campagnes de Cythère ? Des
fleurs
dignes de tes chansons. Les grâces accordent
s arbrisseaux s’excitoient au combat. L’agneau caracollant fanoit les
fleurs
naissantes ; Le fier taureau levoit ses cornes me
L’Elide célébroit ses jeux : Vaste et brillante lice, où la
fleur
de la Grèce Déployoit à l’envi sa force et son ad
un Ciel pur et doux sans cesse la nature Y rassemble les fruits, les
fleurs
et la verdure. La nuit est inconnue en ces climat
enant heureux. Mais ce bonheur, ce vain éclat du Monde, Ressemble aux
fleurs
qu’enfante le Printemps : Tristes jouets de la Pa
tôt nous étalant ta pompe éblouissante, Pour colorer l’arbuste, et la
fleur
et la plante, D’or, de pourpre et d’azur, tu trem
Songe que des hivers la nudité prépare Le vêtement des
fleurs
. Vois croître ta faveur comme un rameau frag
es doux loisirs, des plaisirs sans transport, L’amitié, le repos, des
fleurs
et de l’ombrage. Le Monde est un écueil, et mon Î
te voir, assis sur un théâtre, Couronné de honteuses
fleurs
, Aux applaudissemens d’une foule idolâtre
et le mauvais Génie. L’Abeille et le Serpent hideux, Aiment les
fleurs
et la verdure ; Et de la sève la plus pure, Ils s
on C’est alors qu’auprès de l’Alphée, Mêlant les lauriers et les
fleurs
, J’en pare l’immortel trophée Que ma main élève a
e et de beauté ? Qui, comme elle peut paroître ? Sa main sème plus de
fleurs
Que l’Aurore n’en fait naître, Et qu’Iris n’a de
tards de la Belle, Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeunes
fleurs
dont brille son visage, De la santé sont le riant
ô douce liberté ! O mes amis, sous quel sombre nuage A disparu cette
fleur
de Gaîté ? Je cherche envain cette naïveté, Ce ri
r ses pas entraînée, Mais pour y recevoir, par l’ordre paternel, A la
fleur
de ses ans, un trépas solemnel. Eh ! quel étoit l
sens les flammes du Tartare, Nous laisse moissonner quelques stériles
fleurs
, Sûr, après nos plaisirs, d’éterniser nos pleurs.
urs conservé sa puissance ? D’où vient qu’une Bergère, assise sur les
fleurs
, Simple dans ses habits, plus simple dans ses mœu
II. 30. Jardins des Plantes. 31. [Table des matières] Fontanes. Les
Fleurs
. Poème. 32. [Table des matières] Léonard. Alexis
de l’Aurore ; L’Onde est Thétis qui règne sur les Mers ; Les tendres
fleurs
sont les filles de Flore, Les blonds épis, c’est
puiser de l’eau dans la fontaine d’Aréthuse, ou qu’elle cueillait des
fleurs
avec ses compagnes. Pluton abhorrait la lumière d
le Aréthuse. Là, sur un vert gazon Proserpine s’amuse, A ramasser les
fleurs
qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus
Et de son souffle impur, fléau de nos beaux ans, Sèche et brûle en sa
fleur
le germe des talens. Desaintange 34. Hyménée
eau répéter que des liens durables Ont plus d’épines que de
fleurs
; Si l’Hymen est gênant, si ses lois sont cruelle
ieux Trois fois vers le parvis il retourne les yeux. De-là, parmi les
fleurs
qu’on sème sur sa trace, En cercles redoublés il
de son poids. Le Romain au rivage immole une génisse ; Et couronné de
fleurs
, sous un heureux auspice, Le navire appareille, e
oilettes. On le représente en jeune homme gras et frais, un bonnet de
fleurs
sur la tête, un vase d’une main et un bassin de l
sur les plats ; Imitez du frelon le volage caprice : Il va de chaque
fleur
caresser le calice. Discret et réservé, s’il dépo
din ; Et que l’observateur de la belle nature S’extasie en voyant des
fleurs
en confiture. Vous avez satisfait à vos nombreux
ugitif formant des pas trompeurs, Elle foule tantôt la verdure et les
fleurs
, Tantôt triste, pensive et s’enfonçant dans l’omb
n gazon frais couvre la terre ardente, Et fait jaillir une moisson de
fleurs
; Pour nuancer sa robe verdoyante Des fruits verm
Empire des jardins, la brûlante froidure, Dans leur germe a séché tes
fleurs
et ta verdure ! Et vous, champs amoureux, délicie
sez, Et leurs Dieux ne sont pas des Dieux intéressés. De couronnes de
fleurs
une tuile couverte ; Dans un vase laissés sur la
’air en sifflant. Troyens, de ces honneurs briguez la récompense ; De
fleurs
ceignez vos fronts, gardez un long silence. »
e lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur ont humecté la terre. De
fleurs
il la parfume, et s’écrie : « O mon père ! Je te
oison, Qui me consume et me dévore, Sur mes pas sèche et décolore Les
fleurs
de la belle saison… Si l’amour, l’amitié, la gloi
e, une clé et un disque dans la main, couverte d’une robe parsemée de
fleurs
, tantôt entourée de bêtes sauvages, tantôt assise
Vois-tu l’argent et l’or joncher tous les chemins, Et des torrens de
fleurs
, tombant de toutes mains, L’inonder toute entière
reçue. Au moment de sa naissance, la Terre sous ses pas, s’émailla de
fleurs
; autour d’elle on vit voltiger les Amours et les
t éclore Les dons brillans de Pomone et de Flore, Sur les rameaux, la
fleur
succède aux fruits ; Le bouton sort du bouquet qu
erve, d’un coup de sa lance, en fit naître l’arbre de la paix tout en
fleurs
; et Cécropie fut nommée Athènes du nom grec de l
que sa fille avait été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueillait des
fleurs
dans les belles campagnes d’Enna. A cette triste
ses des forêts ? La Driade, en robe légère, Brave, sous un chapeau de
fleurs
, L’aiguillon ardent des chaleurs ; Et Pallas, coi
s de sa beauté fraîche et vermeille, l’épousa, et la fit présider aux
Fleurs
et au Printemps, sous le nom de Flore. Elle avait
une Déesse. Elle est représentée ornée de guirlandes, et couronnée de
fleurs
. Muse ! décris tes plus chères amours ! Conte
t ces touffes de lilas Dont le panache émaille la verdure ! Charmante
fleur
, dont l’agreste parure De la bergère embellit les
illes bourdonnantes, Qui, suspendus en grappes éclatantes, Sucent des
fleurs
les esprits éthérés. Léonard 84. Qu
ariété ! Non loin de ces berceaux, la diligente abeille Du calice des
fleurs
extrait sa liqueur d’or… Venance 85. Fleurs
eille Du calice des fleurs extrait sa liqueur d’or… Venance 85.
Fleurs
charmantes ! par vous la nature est plus belle ;
ns leur source. L’excès des chaleurs A brûlé nos plaines, A séché nos
fleurs
, Tari nos fontaines ; L’Aurore est sans pleurs, Z
ns. Bernard 87. Les Saisons. Là paraît couronné d’une tresse de
fleurs
, Le Printemps au front jeune, aux riantes couleur
e pardonner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de
fleurs
, Croit-on qu’au-delà du bel âge, Tu nous coûteras
’au-delà du bel âge, Tu nous coûteras tant de pleurs ? On cueille ces
fleurs
séduisantes, Dont l’éclat dérobe à nos yeux Les d
lors de ses vives couleurs, De sa robe émaillée il déroule les
fleurs
, Et se croit sûr de la victoire. D
aze légère. Pour entrer dans leur temple, il fallait être couronné de
fleurs
. O vous qui parez tous les âges, Tous les tal
s suivent tous les âges, Elles réparent leurs outrages, Et sèment les
fleurs
du printemps Sur l’hiver paisible des sages. Ains
s ressorts Que leurs mains légères polissent. Les Grâces entourent de
fleurs
Le sage compas d’Uranie, Donnent le charme des co
Nicette L.** * dont l’appartement est toujours semé de roses. La
fleur
de Cythérée exhale sur vos traces Le parfum le pl
utile ; Des fruits pour mets, le printemps pour saison ; Des lits de
fleurs
, un antre pour maison ; Les Dieux pour rois, la v
. Les uns de joncs tressés composent leur coiffure, D’autres avec des
fleurs
nattent leur chevelure. On s’anime à l’envi de l’
autels. On leur offrait simplement du lait, du miel, de l’huile, des
fleurs
et du vin. Divinités des bois, des campagnes,
ux, Belles Nymphes aux pieds de roses, Qui, sans courber les
fleurs
, par votre haleine écloses, Franchissez les vallo
? la Santé. Je la vois, l’incarnat brille sur son visage ; Mille
fleurs
, à l’envi, naissent sur son passage ; Auprès d’el
, Aura chassé les noirs frimats, Et couvert nos guérets de
fleurs
et de verdure, Lorsque le Charme ouvrant ses flex
es douleurs. Bodart 128. Épitaphe d’Estelle Finguerlin, morte à la
fleur
de son âge. Jeune beauté, sensible à mon malhe
Aux vœux qu’on faisait pour Auguste, On en mêlait pour Mécénas ; De
fleurs
on décorait leur buste, Et l’encens brûlait sur l
déplorable époux dont tu causas les maux Offre une brebis noire et la
fleur
des pavots ; Enfin, pour satisfaire aux mânes d’E
me le plus spirituel et le plus beau des Bergers. Daphnis mourut à la
fleur
de son âge. Toutes les Nymphes le pleurèrent, et
ge La faveur des Cieux. Heureuse l’aurore Qui de tes beaux ans Vit la
fleur
éclore Et parer nos champs ! Malheureuse celle Qu
os champs ! Malheureuse celle Qui vit se flétrir Tomber et mourir Une
fleur
si belle ! Depuis ce malheur, Quelles sont nos pe
t tes cendres ; Nous y graverons Nos sentimens tendres, Nos mourantes
fleurs
, Nos vers et nos cœurs. Lorsque les ténèbres Voil
s regrets, On s’empresse autour d’eux, on les soulage, on pleure : La
fleur
de nos guerriers touche à sa dernière heure, Et r
flots dormans du paisible Léthé ; Tels de nombreux essaims épris des
fleurs
nouvelles, Dans un beau jour d’été, bourdonnent a
ns dont ce jardin abonde ; Chaque saison y donne avec égalité, Et les
fleurs
du printemps, et les fleurs de l’été. La poire en
haque saison y donne avec égalité, Et les fleurs du printemps, et les
fleurs
de l’été. La poire en vieillissant en voit d’autr
a paraître, Et, sur le même cep où le raisin mûrit, Un raisin dans sa
fleur
déjà se reproduit ; Une vigne abondante offre tou
au pressoir la dépouille des treilles ; Mais un nouveau raisin, de la
fleur
échappé, Rend aux pampres verdis le fruit qu’on a
ent, et se joint aux pasteurs, Pour former au vieillard une chaîne de
fleurs
. Captif en ces liens, Silène se réveille : On voi
c, pompe, dit-on, célébra ces liens. Tous deux étaient parés de la
fleur
du bel âge ; Du sang de Jupiter tous deux étaient
Du plaisir de se voir ne pouvait se lasser, Les grâces et les ris, de
fleurs
parant leur tête, Avec eux, en dansant, semblaien
la cendre183 ? Isménie à Narbas. La victime était prête, et de
fleurs
couronnée ; L’autel étincelait des flambeaux d’Hy
nte, Sous les feux du midi sans cesse étincelante, Sans verdure, sans
fleurs
, sans fruits, sans habitans, N’a que des rochers
Aristée Eurydice fuyait, hélas ! et ne vit pas Un serpent que les
fleurs
recelaient sur ses pas : La mort ferma ses yeux ;
harmé, si épris de lui-même, qu’il sécha d’amour, et fut changé en la
fleur
qui porte son nom. Au fond d’une vallée une o
……………… je cède à ma douleur… De mes jours malheureux l’amour sèche la
fleur
. Déjà la mort s’approche, et j’y suis insensible.
n vain son corps, on n’en voit plus la trace, Narcisse disparaît, une
fleur
le remplace. Ovide. — Dorat 196. Voyez Echo .
du poids des chaleurs, Je trouve un ruisseau pur qui glisse entre des
fleurs
. Des arbres non plantés l’abritaient de leur ombr
nte, Il est doux de pleurer quand on est malheureux. Couronnons-le de
fleurs
, embaumons ses cheveux Dans un temple paré qu’un
u, les yeux baignés de pleurs, Il renverse à ses pieds sa couronne de
fleurs
, L’Echo ne redit plus ses doux chants d’hyménée.
s : Il ne servait pourtant qu’aux fêtes solennelles. Le linge orné de
fleurs
fut couvert pour tous mêts D’un peu de lait, de f
eurs grappes odorantes ! Que ses premiers regards se tournent sur des
fleurs
; Que ses premiers parfums soient leurs douces od
t trois fois cinq étés, suivis de deux printems, Avaient développé la
fleur
de sa jeunesse. Des Nymphes à l’envi disputaient
bords, ô regrets ! ô douleurs ! Elle venait offrir des guirlandes de
fleurs
. Un enfant, espérance aussi tendre que chère, A s
ndu souriait à sa mère. Là, s’élève un lotos, dont les boutons en
fleur
De la pourpre de Tyr imitent la couleur, Dryope,
; Et j’allais l’imiter, car nous étions ensemble. Mais soudain de la
fleur
je vois le sang couler, Et les rameaux d’horreur
cs, instruit par mon malheur ; Et des arbres sacrés qu’il respecte la
fleur
! Cher époux, chère sœur, cher et malheureux père
Comme une tige élevée, D’une onde pure abreuvée, Voit multiplier ses
fleurs
. Mais, cette flatteuse amorce D’un hommage qu
s arbrisseaux s’excitaient au combat. L’agneau caracollant fanait les
fleurs
naissantes ; Le fier taureau levait ses cornes me
L’Elide célébrait ses jeux : Vaste et brillante lice, où la
fleur
de la Grèce Déployait à l’envi sa force et son ad
enant heureux. Mais ce bonheur, ce vain éclat du Monde, Ressemble aux
fleurs
qu’enfante le Printemps : Tristes jouets de la Pa
versant les couleurs, Tes mains sèment les fruits, la verdure et les
fleurs
: Les rayons d’un beau jour naissent de ton souri
tôt nous étalant ta pompe éblouissante, Pour colorer l’arbuste, et la
fleur
et la plante, D’or, de pourpre et d’azur, tu trem
demain ». De ses plus beaux habits se parant à dessein, Elle sème de
fleurs
la chambre nuptiale, Cueille un bouquet pour lui
es yeux mouillés de pleurs, Elle rentre à la ville en effeuillant ses
fleurs
: Elle rentre, et ce cœur qu’un fol amour dévore,
e. Chaque aurore la voit, dans un trouble nouveau, Cueillir encor des
fleurs
, retourner au coteau, Interroger le pâtre ému de
Songe que des hivers la nudité prépare Le vêtement des
fleurs
. Vois croître ta faveur comme un rameau fragi
es doux loisirs, des plaisirs sans transport, L’amitié, le repos, des
fleurs
et de l’ombrage. Le Monde est un écueil, et mon I
pas te voir, assis sur un théâtre, Couronné de honteuses
fleurs
, Aux applaudissemens d’une foule idolâtre
et le mauvais Ménage. L’Abeille et le Serpent hideux, Aiment les
fleurs
et la verdure ; Et de la sève la plus pure, Ils s
son C’est alors qu’auprès de l’Alphée, Mêlant les lauriers et les
fleurs
, J’en pare l’immortel trophée Que ma main élève a
e et de beauté ? Qui, comme elle peut paraître ? Sa main sème plus de
fleurs
Que l’Aurore n’en fait naître, Et qu’Iris n’a de
âtards de la Belle, Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeunes
fleurs
dont brille son visage, De la santé sont le riant
ô douce liberté ! O mes amis, sous quel sombre nuage A disparu cette
fleur
de Gaîté ? Je cherche en vain cette naïveté, Ce r
r ses pas entraînée, Mais pour y recevoir, par l’ordre paternel, A la
fleur
de ses ans, un trépas solennel. Eh ! quel était l
sens les flammes du Tartare, Nous laisse moissonner quelques stériles
fleurs
, Sûr, après nos plaisirs, d’éterniser nos pleurs.
urs conservé sa puissance ? D’où vient qu’une Bergère, assise sur les
fleurs
, Simple dans ses habits, plus simple dans ses mœu
u’elle avait dérobé le fard de Junon. Jupiter l’aperçut cueillant des
fleurs
dans une prairie ; il ne put se défendre de l’aim
paix, Et de son poil si doux la neige éblouissante. Elle cueille des
fleurs
que sa main lui présente. De ces soins en secret
ors, le caresse et le flatte. Il se laisse enchaîner de guirlandes de
fleurs
. La fille d’Agénor a perdu ses frayeurs ; Elle os
ssi le symbole du mois de mai, parceque son éclat, rappelle celui des
fleurs
de cette époque brillante de l’année. Lorsque nou
t à Junon des agneaux et des laies. Le lis lui était consacré : cette
fleur
était appelée la rose de Junon, rosa junonia. L’é
piter, touché de son désespoir, consentit qu’Adonis fût changé en une
fleur
, dont le peu de durée devait rappeler l’existence
e devait rappeler l’existence trop courte de l’amant de Vénus : cette
fleur
est l’anémone. On dit que le sang qui s’échappait
y marchaient d’elles-mêmes, et leur sang était toujours caché par les
fleurs
et les gazons qu’il faisait naître. Les temples d
il est fils de Bacchus et de Vénus. Sa tête est souvent couronnée de
fleurs
, sur-tout de marjolaine : il tient quelquefois da
n eut-il vu le jour, qu’il se montra sous la figure d’un dieu dans la
fleur
de l’âge, et fit périr sous ses traits le serpent
bergers les arts qui peuvent rendre la vie agréable. Il chantait les
fleurs
dont le Printemps se couronne, les parfums qu’il
i avait inspiré la plus tendre amitié, et qu’il métamorphosa en cette
fleur
charmante qui porte son nom. On dit que Zéphyre,
e en cercle également distantes. Là, paraît, couronné d’une tresse de
fleurs
, Le Printemps au front jeune, aux riantes couleur
entiments, Eurydice fuyait, hélas ! et ne vit pas Un serpent que les
fleurs
recelaient sous ses pas : La Mort ferma ses yeux
pare nos yeux à la lumière éclatante du soleil. Son front, couvert de
fleurs
, brille de rayons doux et modérés ; avec ses bell
frais, appelé Aure, se répand sur la terre, et annonce son retour aux
fleurs
et aux oiseaux des bocages. Souvent les fleurs, à
annonce son retour aux fleurs et aux oiseaux des bocages. Souvent les
fleurs
, à son approche, se couvrent d’une brillante rosé
, la vie et les couleurs, Enfante les moissons, mûrit l’or, peint les
fleurs
, Jusqu’aux antres profonds fait sentir sa puissan
e. Aussitôt que d’Admète il eut vu les troupeaux, Bondissant sur les
fleurs
, s’égayant sur les eaux, Il sort d’une retraite e
ents, et qui sont appelés la Terreur et l’Épouvante. Ce dieu est à la
fleur
de l’âge ; et le courage impétueux brille dans se
l’insensible Callirhoé. Déjà elle était au pied de l’autel, parée de
fleurs
et des tristes ornements des victimes, lorsque Co
re fut enlevée par Pluton, dieu des Enfers, lorsqu’elle cueillait des
fleurs
dans le riant vallon d’Enna. Pluton l’emmena dans
apet, Rival de la nature, ait surpris son secret. Comme aux tiges des
fleurs
une utile rosée ; En émail, en verdure est métamo
orne. Les Nymphes, pour le consoler, la ramassèrent, la remplirent de
fleurs
et de fruits, et en formèrent la corne d’Abondanc
is vieilles femmes, couronnées de gros flocons de laine entremêlés de
fleurs
de narcisse, et vêtues d’une robe blanche… Mais q
sur la face des eaux paisibles. Une troupe de nymphes, couronnées de
fleurs
, nageaient en foule derrière le char ; leurs chev
elles veulent prendre son corps, elles ne trouvent en sa place qu’une
fleur
qui porte le nom de ce martyr de l’amour-propre.
u bord des fontaines, en se tenant par la main et en s’entrelaçant de
fleurs
. Souvent au lever de l’Aurore, ou le soir, lor
lore : elle erre sur le bord des ruisseaux ; sa tête est couronnée de
fleurs
; quelquefois elle tient dans ses mains des guirl
ns des guirlandes, ou une corne d’abondance remplie de toute sorte de
fleurs
. Zéphire, le plus léger des vents, est l’amant de
ndance ; tandis que son épouse est assise sur une grande corbeille de
fleurs
et de fruits, et tient un rameau d’une main, et q
présentées par des adolescents ailés : le Printemps était couronné de
fleurs
; l’Été avait le front chargé d’épis de blé, et t
sez, Et leurs dieux ne sont pas des dieux intéressés. De couronnes de
fleurs
, une tuile couverte ; Dans un vase laissé sur la
aducée, etc. : toutes ces explications se trouvent dans le texte. Les
fleurs
qui servent d’ornemens à ces Arabesques ne sont p
sont point mises au hasard, on a eu soin d’orner chaque Arabesque des
fleurs
consacrées à la divinité dont il offre le nom. Le
guée ; pour jamais au fond des cavernes et des antres ténébreux ! Les
fleurs
même, le tournesol, l’hyacinthe, le narcisse, l’o
e, le tournesol, l’hyacinthe, le narcisse, l’odorante marjolaine, les
fleurs
printanières de l’amandier, le lierre, la menthe,
roserpine, fille de Jupiter et de Cérès, tandis qu’elle cueilloit des
fleurs
sur le mont Etna. La nymphe Cyanée qui voulut s’o
uronnoit quelquefois de pierreries et plus souvent de narcisse. Cette
fleur
qui rappeloit un jeune orgueilleux12, épris de lu
consacré. L’Amour un jour paria avec Vénus qu’il cueilleroit plus de
fleurs
qu’elle en une heure de temps. La Nymphe Péristèr
s, Dieu de la guerre, étoit fils de Junon, qui, en s’asseyant sur une
fleur
que lui enseigna Flore, donna la naissance à Mars
aisser mourir de faim. Apollon la changea en héliotrope ou tournesol,
fleur
qui regarde toujours l’astre de la lumière, et qu
il lança maladroitement le palet et le tua ; il le métamorphosa en la
fleur
qui porte ce nom. Cyparisse, fils d’Amiclée, ou s
u’elle est amie des Muses et des poëtes ; enfin elle est couronnée de
fleurs
, elle tient de la main gauche un flambeau, et de
un flambeau, et de l’autre elle répand des roses pour marquer que les
fleurs
, dont la terre se pare, doivent leur fraîcheur à
orus, que l’on confond souvent avec Harpocrate. La rose blanche et la
fleur
de Lotus étoient consacrées à Isis. On la représe
rière d’Hercule, elle rajeunit Iolas38. On la représente couronnée de
fleurs
et tenant une coupe d’or. Pomone, Vertumne et
se fit connoître, obtint sa tendresse et l’épousa. Flore, déesse des
fleurs
, épousa Zéphire. Les florales, ou fêtes de Flore
les Romains celles des excès les plus licencieux. La renaissance des
fleurs
et des fruits, les vendanges célébrées dans les f
où le Soleil semble avoir une influence également heureuse et sur les
fleurs
et sur les esprits. Les uns prétendent que ces je
is premiers prix sont une violette d’or, la première et la plus jolie
fleur
du printemps ; une églantine d’or et une fleur de
mière et la plus jolie fleur du printemps ; une églantine d’or et une
fleur
de souci de même métal, des fleurs d’argent forme
intemps ; une églantine d’or et une fleur de souci de même métal, des
fleurs
d’argent forment les derniers prix. Les jeux flor
ygies étoient les nymphes de la terre. Les Limoniades présidoient aux
fleurs
, etc. Palès étoit la déesse des bergers et des tr
de la Sicile, que là, elles travaillèrent de leurs mains, un voile de
fleurs
dont elles firent présent à Jupiter, etc. Lorsqu’
e représenter dans cet Arabesque un aiguillon à moitié caché sous des
fleurs
. Comus. Dieu des festins. Son nom venoi
ses dans les festins, on a mis à cet Arabesque des couronnes de cette
fleur
. La Déesse de la gourmandise s’appeloit Adéphagie
t devint amoureux de lui-même ; il mourut d’amour et fut changé en la
fleur
qui porte son nom. Pausanias conte différemment c
les serpens seuls sont attributs (pour Esculape et pour Hygiée) ; les
fleurs
, les plumes, etc. ne sont que des ornemens. 43.
, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des
fleurs
toujours écloses. D. Les anciens reconnoissoient
asse renfermoit les dieux subalternes, qui veilloient aux champs, aux
fleurs
, aux fontaines, aux arbres, etc. ; tels que Pan,
opérer un pareil prodige. Elle en parla à Flore, qui lui indiqua une
fleur
, que la déesse toucha et aussitôt elle devint mèr
ient rejeté ses hommages. Il vit un jour Proserpine qui cueilloit des
fleurs
avec quelques-unes de ses compagnes, dans la plai
D. Comment Cérès est-elle représentée ? R. On la peint couronnée de
fleurs
et d’épis, tenant un flambeau d’une main, et de l
ses des forêts ? La dryade, en robe légère, Brave, sous un chapeau de
fleurs
, L’aiguillon ardent des chaleurs, Et Pallas, coif
vec des ailes de papillon, et une couronne composée de toute sorte de
fleurs
, pour désigner son influence bienfaisante sur la
tina jamais sa richesse odorante ; Et jamais la bergère amoureuse des
fleurs
, N’y vint de sa corbeille assortir les couleurs.
t fils de Junon, qui lui donna seule le jour par l’attouchement d’une
fleur
des champs d’Olène. Ce dieu présidoit à la guerre
g d’Adonis, ou de Vénus elle-même blessée par une des épines de cette
fleur
. C’est ainsi que la rose, qui auparavant étoit bl
avec lui au palet, il eut le malheur de le tuer. Il le changea en une
fleur
qui porté son nom. Le père et la mère d’Hyacinthe
est vous qui produisez dans les fertiles champs Les fruits, les
fleurs
et la verdure ; Et toute la nature
rs les recueillent sur leurs ailes, et les répandent en rosée sur les
fleurs
. D. Qu’est-ce que la fable raconte des amours de
de sa naissance, sacrifioit à son génie ; on lui offroit du vin, des
fleurs
, de l’encens ; mais on ne répandoit point de sang
lle.) Flore. D. Qu’étoit Flore ? R. Flore étoit la déesse des
fleurs
et du printemps ; elle épousa Zéphire. Les jeux q
es jeux floraux. On la représente ornée de guirlandes et couronnée de
fleurs
. Muse ! décris tes plus chères amours ! Contempl
ces touffes de lilas, Dont le panache émaille la verdure ! Charmante
fleur
, dont l’agreste parure De la bergère embellit les
illes bourdonnantes, Qui, suspendus en grappes éclatantes, Sucent des
fleurs
les esprits éthérés. ( Léonard.) Pomone D.
il vivroit tant qu’il ne se verroit point. Narcisse fut changé en une
fleur
qui porte son nom. Divinités domestiques.
ux fêtes. On le représente en jeune homme gras et frais, un bonnet de
fleurs
sur la tête, un vase d’une main et un bassin de l
Eurydice : Eurydice fuyoit, hélas ! et ne vit pas Un serpent que les
fleurs
recéloient sous ses pas. La mort ferma ses yeux,
éplorable époux dont tu causas les maux, Offre une brebis noire et la
fleur
des pavots ; Enfin, pour satisfaire aux manes d’E
i seule et désespérée ! Je verrai les chemins encor tout parfumés Des
fleurs
dont sous ses pas on les avoit semés ! Non, je ne
u, Et deux fois d’un vin pur arrose son tombeau. Il fait pleuvoir les
fleurs
; il soupire et s’écrie : Salut, objet sacré ! sa
ile : il apprend à bien juger d’un tableau, à crayonner une tête, une
fleur
, un arbuste. Mais on occupe trop les jeunes perso
gure. Il conviendroit mieux de les appliquer davantage à dessiner les
fleurs
, le paysage. Ce genre est plus conforme à celui d
; c’est toi que nous avons maintenant à peindre. » L’amitié sème de
fleurs
les routes de la vie ; elle embellit la prospérit
isants : Aucun signe de vie ; on n’y voit rien éclore, Feuilles ni
fleurs
; ses rameaux languissants Sont encor tout transi
Vient nous arroser de ses pleurs, Nectar délicieux des arbres et des
fleurs
; Cependant, paresseux, le zéphyr a beau faire,
Je lui tiendrai parole ; il peut compter d’avance Qu’au nombre de mes
fleurs
, mon fruit est égalé. A peine l’arbre
t de bise souffle et détruit tout l’ouvrage ; Du Pêcher la
fleur
déménage, Et tout espoir de fruit avec elle envol
tées planant dans l’espace, devant le char des Saisons, en jetant des
fleurs
sur leur passage, ou bien occupées à ouvrir et à
a suite, la corne cassée, supposée remplie de feuilles, de fruits, de
fleurs
, de monnaies, de grains, devint la corne d’abonda
t sans y avoir été pour quelque chose, se pique d’honneur, touche une
fleur
, et fait naître tout a coup, également armé jusqu
eur éblouissante, lui met sur la tête un voile avec des guirlandes de
fleurs
et une couronne d’or, lui fait présent de l’intel
ter Ammon à Elis, Anétistos ou de Corinthe, Antophoros ou couverte de
fleurs
, Anthie et Anthéa ou belle à Argos, Ardéa ou d’Ar
cide, Phéronia ou qui porte avantages, Philostephanos ou qui aime les
fleurs
, Populonia ou qui favorise la population, Pronuba
voir aussi un fils qui ne dût rien à Jupiter. Celle-ci lui montre une
fleur
des Champs d’Olène, lui recommande de la sentir e
statue colossale était d’or et d’ivoire, et assise sur un trône. Les
fleurs
qui la couronnaient venaient des bords du fleuve
arès et Anicète. On la représente brillante de jeunesse, couronnée de
fleurs
, ravissante de graces et de finesse, caressant l’
nt sans la participation d’un amant ni de son époux, alla toucher une
fleur
des champs d’Olène, et que cet acte suffit pour d
résentait volant sur l’arc-en-ciel ayant sur la tête une corbeille de
fleurs
et de fruits avec une baguette à la main ; quelqu
dans la main droite, et une lance dans la gauche, ou assise, avec une
fleur
dans la main droite et un enfant emmailloté sur l
ention de la flûte et des instrumens à vent ; elle était couronnée de
fleurs
, avait une flûte à la main, et l’on voyait à ses
ta son corps parmi les astres, et fit naître du sang qu’il perdit une
fleur
qui porte son nom et au fond de laquelle on préte
phore était un jeune homme qui portait une branche d’olivier ornée de
fleurs
et de lauriers, surmontée d’un globe d’airain imi
s, des ailes, et une étoile sur la tête qui toujours est couronnée de
fleurs
. D'une main elle tient, nous le savons, un flambe
la métamorphosa en héliotrope ou tournesol, parce que, disait-on, les
fleurs
de ces plantes se tournent sans cesse vers l’astr
arbre consacré aux Dieux, elle fut métamorphosée en Lotos, l’une des
fleurs
les plus brillantes de l’Orient ; Enope fut mère
e, Euryanassa ou la puissante princesse, Florifera ou qui apporte les
fleurs
, Frugifera ou qui apporte les fruits, Géphyrrée o
nus, les Syrènes et toutes les nymphes, ses compagnes, à cueillir des
fleurs
dans le vallon d’Enna, tout à coup Pluton l’aperç
tout le monde se mettait à danser au milieu d’une prairie émaillée de
fleurs
autour du puits de Callichore. Le cinquième jour
onie, déesse des fruits naissans et de la liberté ; Flore, déesse des
fleurs
; Fructesia ou Frugerie, déesse des abondantes mo
aient le prix de la course ou de la lutte, recevaient une couronne de
fleurs
; puis elles portaient processionnellement la sta
ment la statue de la déesse leur patronne, couronnée de guirlandes de
fleurs
, drapée d’un manteau qu’elle tenait de la main dr
le de roses et delys, était donc à Rome la déesse du printemps et des
fleurs
. A tort on a prétendu la confondre avec Acca Laur
e la nature printannière, montrant de tous côtés ses bourgeons et ses
fleurs
; enfans nés suivant les anciens, de divers génér
de courtisane que toujours on rapprochait intimement de la déesse des
fleurs
. Quelques écrivains placent après Flore une divin
n octobre et dans lesquelles on sacrifiait à ce dieu les prémices des
fleurs
et des fruits. On le représentait jeune, couronné
mices des fleurs et des fruits. On le représentait jeune, couronné de
fleurs
, couvert d’un habit jusqu’à la ceinture, tenant d
de la croissance, Thallo ou Ear pour le printemps-été, ou saison des
fleurs
, et Carpo ou Opôra pour l’été-automne ou saison d
e des armes à Lacédémone ; Hirtensis, ou présidant à la naissance des
fleurs
; Hospita, ou la secourable à Memphis ; Idalia, d
Vénus, à gagner un pari contre l’Amour son fils en ramassant plus de
fleurs
que lui ; Epidamnia la confidente de ses plaisirs
lle donc quelques gouttes du sang de sa blessure et en fait éclore la
fleur
que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’An
individus chargés de corbeilles remplies de gâteaux, de parfums et de
fleurs
. Dans cet ordre on se rendait près d’un immense c
ec son fils Cupidon à voir lequel des deux remplirait le plus vite de
fleurs
une corbeille, et comme elle allait perdre, elle
à Ephantis avec Cupidon auprès d’elle, et à Sicyone, elle portait une
fleur
de pavot dans une main, une pomme dans l’autre, e
était consacré ; car on le regardait comme la saison de l’amour, des
fleurs
et des Grâces. On les représentait formant des gr
es épaules des deux voisines ; quelquefois elles tiennent en main des
fleurs
, des dés ou du myrte ; alors ce sont les trois sa
e distinctif. Un jour étant avec sa mère dans une prairie parsemée de
fleurs
et se confiant dans la rapidité de ses ailes, il
accepta. Ce défi était, qu’il cueillerait en quelques minutes plus de
fleurs
qu’elle ne pourrait en ramasser. Cupidon aussitôt
de fleurs qu’elle ne pourrait en ramasser. Cupidon aussitôt courut de
fleur
en fleur, et voltigea devant sa mère ; déjà il al
qu’elle ne pourrait en ramasser. Cupidon aussitôt courut de fleur en
fleur
, et voltigea devant sa mère ; déjà il allait peut
, les bosquets, étaient plantés d’arbres odoriférans ; des massifs de
fleurs
exhalaient les odeurs les plus suaves ; partout d
qu’elle tient une baguette, tandis que de l’autre elle porte une des
fleurs
appelées Narcisses et un paon qui contemple sa qu
ns la Peloponèse : alors des femmes se réunissaient pour cueillir des
fleurs
en l’honneur d’Eros ; les Erotidies ou Eroties en
récompenser, changèrent Crocos en safran et Smilax en if. Quant à la
fleur
symbole de l’amour de soi-même, voici à quelle av
x du Styx ; mais suivant d’autres après sa mort il fut changé dans la
fleur
qui porte son nom. Ce Narcisse, dit-on, était un
ner à l’hymen un sens allégorique fort entortillé, se rattachant à la
fleur
virginale de l’épouse qui disparaît le jour de se
ait avec l’Amour. On a peint l’Hymen comme un jeune homme couronné de
fleurs
et surtout de marjolaine, ayant à la main un flam
e même couleur ; suivant d’autres, c’était un beau blond, couronné de
fleurs
, enveloppé d’une robe blanche, également brodée d
couronné de fleurs, enveloppé d’une robe blanche, également brodée de
fleurs
, et portant dans ses mains un flambeau et un arro
sous ses pieds, et une couronne de laurier orne sa tête ; tantôt une
fleur
de narcisse remplace le laurier. La Paix que l’on
et Amphictète, ou des adversaires ; Anthée et Anthius, ou le père des
fleurs
à Athènes et à Patras en Achaïe, parce que dans c
et à Patras en Achaïe, parce que dans ces villes des robes ornées de
fleurs
couvraient ses statues, et qu’on lui offrait les
de fleurs couvraient ses statues, et qu’on lui offrait les premières
fleurs
du printemps. Aonius-Deus ou d’Aonie, c’est-à-dir
Thoas appelé ensuite Acheloüs. Quant à la corne, elle fut remplie de
fleurs
et de fruits par les nymphes de ses bords et offe
saient de courses, de sacrifices et de prix divers où le myrte et les
fleurs
jouaient un grand rôle ; enfin les Onomates furen
ai ; alors on leur sacrifiait un porc et on leur offrait du lait, des
fleurs
, des fruits et de l’encens. Quant aux Pénates ou
os, ou bien on les promenait dans les rues, entourés de guirlandes de
fleurs
. Quant aux Géreties, elles se célébraient à Géres
lle au seul Borée, et donnaient pour amante à Zéphyre leur déesse des
fleurs
et des jardins, la jolie Flore à laquelle Zéphyre
ce vent d’Ouest représentait un jeune homme à l’air doux, couronné de
fleurs
, portant des ailes de papillon et glissant gracie
t gracieusement à travers l’espace aérien, en tenant une corbeille de
fleurs
à la main. C’était sous ses ordres que devaient n
leze, fleuve de Sicile, sur les bords duquel Proserpine cueillait des
fleurs
lors de son enlèvement. Haliagmon, dieu fleuve fi
regardé comme le plus puissant de tous. On le représente environné de
fleurs
, de fruits, tenant une corne d’abondance et un av
de Bacchus. On offrait à ces déesses du vin, du miel, des fruits, des
fleurs
. On leur sacrifiait des chèvres et des agneaux. O
la plus jolie, d’après Virgile, résidaient à la cour de la déesse des
fleurs
, et étaient chargées d’arroser avec leurs urnes a
fleurs, et étaient chargées d’arroser avec leurs urnes argentées les
fleurs
naissantes. A Rome, on célébrait le 13 octobre, l
trempait dans les eaux des puits et des fontaines, des guirlandes de
fleurs
, dont on couronnait ensuite les enfans. Voici les
ras son jeune enfant, elle passa à côté d’un lotos et en cueillit une
fleur
pour la lui donner ; son étonnement fut grand en
fut grand en voyant le sang couler goutte à goutte du calice de cette
fleur
et les branches de cette plante trembler comme si
ant aperçu Proserpine au milieu d’une foule de nymphes, cueillant des
fleurs
dans une prairie voisine d’Eleusis, il la trouve
uivans : Androgyne, ou aux deux sexes ; Anthesphora, la cueilleuse de
fleurs
; Axiocers, ou la vénérable des Samothraces et de
ient célébrées par les Siciliens, pour rappeler qu’elle cueillait des
fleurs
lors de son enlèvement ; les Cocyties étaient pou
r à la main, ou un pavot, symbole de l’assoupissement éternel, ou une
fleur
de narcisse, pour symboliser son enlèvement ; mai
r indiquer qu’elle se servait de ce vase ou panier, pour cueillir des
fleurs
quand elle fut enlevée. Enfer. Maintenant présen
saient en paix, dans ces lieux, d’un printemps éternel, du parfum des
fleurs
que jamais l’haleine des vents ne venait altérer,
ls invoquaient habituellement après Apollon. Des prêtres couronnés de
fleurs
leur immolaient des brebis noires, comme aux furi
épée dans le cœur. On dit que du sang tombé de sa blessure naquit une
fleur
nommée Hyacinthe, dans le calice de laquelle on c
jeune fille, sa robe était blanche, sa tête couronnée de myrte et de
fleurs
de grenadier, entrelacées avec les mots Hiver et
à la marche légère, aux vêtemens gouflés par les vents, couronnée de
fleurs
et portant à la main des fleurs, des épis ou une
s gouflés par les vents, couronnée de fleurs et portant à la main des
fleurs
, des épis ou une corne d’abondance. Empanda, dées
n autel, compose d’une pelouse verte au bord d’un clair ruisseau, des
fleurs
, de l’encens, des fruits, des charbons éteints et
eprésentait le bon Génie sous les traits d’un jeune homme couronné de
fleurs
et tenant une corne d’abondance ; quant au mauvai
e voyait porté sur une barque de Papyrus, ornée à chaque bout par des
fleurs
de lotos. Les vieillards lui faisaient des offran
s ou de feuilles de diverses couleurs ; tantôt, elle est couronnée de
fleurs
de lotos ou de feuilles de palmier, et tient un s
e de fleurs de lotos ou de feuilles de palmier, et tient un sceptre à
fleurs
de lotos dans ses mains ; on la voyait à Éléphant
ait à Éléphantine, seule avec Pharaon lui présentant une corbeille de
fleurs
, tandis qu’elle élève une de ses mains sur lui en
ttait sur sa tête un ornement royal, et sa queue se terminait par des
fleurs
de lotos ou d’épis. Tantôt, ce dieu est porté sur
A midi, ils renouvellent leurs hommages en offrant à Dieu une simple
fleur
, et dans le sacrifice du feu, ils lui présentent
i semble fier de ce divin fardeau, quelquefois il tient à la main une
fleur
de lotos. Quant à Dévani, fille d’Indra, elle fut
nez, au cou, aux pieds, et autour du corps ; elle tient à la main la
fleur
appelée Tchankarinirpou. Son image, ainsi que cel
déesses ; elles sont sorties du sein de la haute Mahamaïa. Comme les
fleurs
d’une plante, ces divines efflorescences ne prire
épandant des bénédictions sur les mortels. Ses yeux ressemblent à des
fleurs
de lotos, son visage brille d’une éternelle jeune
ée aussi Sri ou la fortunée et mère du monde ; Kamala ou Padma, ou la
fleur
de lotos ; Padmalaia ou l’habitante du lotos ; Lo
la pression de ses robustes anneaux à laisser tomber ses arbres, ses
fleurs
, ses fruits dans la mer, dont les eaux combinées
r ses épaules un arc fait de canne à sucre, et des flèches formées de
fleurs
; il a pour épouse Rati. Après avoir été foudroyé
oyaient en étaient charmés, et lui offraient en signe d’adoration les
fleurs
les plus belles, les bijous les plus précieux. Su
, puis le troisième à la plante des pieds ; elle tient d’une main une
fleur
sur laquelle est un enfant. Tordchipamo ou Dordj
des égyptiens. Ousu, Housu, est une jeune fille chinoise, nommée la
fleur
attendue. Un jour qu’elle était à se promener sur
nter dans les cieux. On la représente avec seize bras, assise sur une
fleur
de Padma, tenant dans ses mains des couteaux, des
dans ses mains des couteaux, des livres, des épées, des fruits et des
fleurs
. Kang-i, ou Cang-y, est un Dieu des cieux inféri
sceptre terminé par un brillant soleil ; d’une autre, une couronne de
fleurs
; dans la troisième, il porte une verge, et dans
e tête de dragon ; la troisième, un cercle d’or, et la quatrième, une
fleur
. Sous ses pieds expire un monstre qui semble un g
temple superbe, bâti à Osaka. La tête de cette idole est ornée d’une
fleur
; son corps est armé de quatre bras, dont deux so
une de ces mains est fermée, les trois autres portent une lance, une
fleur
et un sceptre ; son cou est environné d’un collie
èbre par sa sainteté, est représenté dans ses temples, debout sur une
fleur
de Torata ; sur sa tête entourée d’un cercle d’or
; dans sa troisième paire de bras on voit une tige de feuilles et de
fleurs
, et un miroir. Dia est une espèce de trinité. En
gauche tenait une roue, et sa droite un panier rempli de fruits et de
fleurs
; sous ses pieds était un poisson soutenu horizon
lait planer dans les airs avec des ailes, une robe et une couronne de
fleurs
bleue. L'on voyait toujours à ses côtés Simzerla
urs bleue. L'on voyait toujours à ses côtés Simzerla ou la déesse des
fleurs
; mais Zémargla, le Dieu de l’hiver et de la grêl
Silabe, roi des Gots. Simzerla était, nous l’avons vu, la déesse des
fleurs
et l’amante de Pogoda, le Dieu du printemps ; ell
Kolna, génie chassé d’Asgard par Odin ; il était chargé de marier les
fleurs
ensemble pour les faire se propager. Kouan-in, d
de ce cheval forment au matin la rosée que l’on voit briller sur les
fleurs
. Rhinthoussar ou Hrinthoussar, race des géans qu
ans des Antilles, auxquels la crainte offrait des gâteaux sacrés, des
fleurs
, des fruits, au milieu de fêtes somptueuses où le
nuages ou les corps des oiseaux pour chanter et se nourrir du suc des
fleurs
. Après ces divinités, venaient au Mexique les dou
uvrit soudain d’hommes, de femmes, de verdure, de riches moissons, de
fleurs
et d’animaux. Mais Aigiregers, funeste génie, dét
dieux en leur offrant des bœufs et des béliers, que des herbes et des
fleurs
. Les oiseaux entraient aussi dans la matière des
iles, Plusieurs en choux, en poireaux, en lentilles, En arbres, en
fleurs
, poissons, et cætera ; L’Egyptien humblement a
un plat de laitues sauvages ; Mars, par le simple attouchement d’une
fleur
, et Vulcain par la seule respiration de l’air. Ma
le de Flore, qui, instruite des motifs de son voyage, lui indiqua une
fleur
dont la seule respiration devait opérer le prodig
’Hyacinthe, et le tua. Le sang qui sortit de sa blessure produisit la
fleur
qui porte son nom, et qui naît à la fin de l’hive
e déesse sur un char brillant, traîné par deux chevaux. Elle sème des
fleurs
sur son passage, et embellit toute la nature par
éesse, se trouvant avec son fils dans un endroit charmant, tapissé de
fleurs
, se vanta d’en cueillir plus que Cupidon qui acce
cueillir plus que Cupidon qui accepta le défi. L’Amour voltigeait de
fleur
en fleur, et, avec le secours de ses ailes, il ét
plus que Cupidon qui accepta le défi. L’Amour voltigeait de fleur en
fleur
, et, avec le secours de ses ailes, il était prêt
e le changea en anémone. On consacra la rose à Vénus, parce que cette
fleur
qui était blanche, ayant piqué Adonis d’une de se
t à pied ; car les chevaux et même les mulets, que l’on couronnait de
fleurs
, ne travaillaient point : ils honoraient par le r
r la surface des eaux paisibles ; une troupe de nymphes couronnées de
fleurs
nageaient en foule derrière le char ; leurs beaux
i d’enlever Proserpine, fille de Cérès, pendant qu’elle cueillait des
fleurs
dans les belles prairies d’Enna, en Sicile. Une n
voiles Dans des forêts de lauriers toujours verts, Sur des gazons de
fleurs
toujours couverts Parmi les jeux, ces ombres fort
ps de celui qu’elles regrettent ; elles ne trouvent à sa place qu’une
fleur
nouvelle. Les anciens consacraient cette fleur au
vent à sa place qu’une fleur nouvelle. Les anciens consacraient cette
fleur
aux Euménides. Aristée Aristée, fils d’A
Flore Flore, nommée Cloris chez les Grecs, est la déesse des
fleurs
. On dit que Zéphyre en étant devenu amoureux, l’e
amoureux, l’enleva pour en faire sa femme. Il lui donna l’empire des
fleurs
, et la fit jouir d’un printemps perpétuel. Le cul
rs divins. Pomone est représentée assise sur un grand panier plein de
fleurs
et de fruits, tenant quelques pommes dans la main
e jour de sa naissance, en répandant par terre une grande quantité de
fleurs
, et en lui présentant du vin dans des coupes. Le
de l’Océan, disent qu’elle était une des nymphes qui cueillaient des
fleurs
avec Proserpine lorsqu’elle fut enlevée. Cette dé
s : Il ne servait pourtant qu’aux fêtes solennelles. Le linge orné de
fleurs
fut couvert, pour tous mets, D’un peu de lait, de
’il avait fait naître le premier cheval, on couronnait les chevaux de
fleurs
pendant les fêtes de ce dieu, et il n’était pas p
fille de Jupiter et de Cérès, un jour que cette nymphe cueillait des
fleurs
dans la vallée d’Enna, en Sicile, sur les bords d
; mais, selon d’autres, Junon seule lui donna le jour en touchant une
fleur
, qui croissait dans les champs d’Olène, ville d’A
e particulier qu’on appelait Laraire. On leur offrait des fruits, des
fleurs
, du lait, de l’encens. On représentait les Lares,
ecs appelaient Chloris, était, comme l’indique son nom, la déesse des
fleurs
, et femme de Zéphyre. On la représentait sous la
e d’une jeune fille, ornée de guirlandes, et portant une corbeille de
fleurs
[Fig. 73]. [Fig. 73] Pomone et Vertumne.
rongeait le sein [Fig. 83]. À son approche, l’herbe se fanait et les
fleurs
se flétrissaient sur leur tige. [Fig. 83] L
t longtemps et apprirent d’une nymphe qu’il avait été changé en cette
fleur
jaune qu’on appelle Narcisse. [Fig. 110] Py
plus de vertu. Le dieu, pour consacrer sa mémoire, le changea en une
fleur
qui porte son nom. Cyparisse. Cyparisse, c
rs l’astre qu’elle aimait. Apollon, par pitié, la métamorphosa en une
fleur
qui se tourne toujours vers le soleil, et qui pou
myrtes et de lotos, tenant son fils entre ses bras. Elle cueillit une
fleur
de lotos pour l’amuser ; mais aussitôt elle s’ape
s pour l’amuser ; mais aussitôt elle s’aperçut qu’il sortait de cette
fleur
des gouttes de sang. Effrayée, elle veut s’enfuir
Dryope, si mystérieusement, si subitement punie pour avoir touché une
fleur
qu’elle ne connaissait pas, est une vive image de
ndre un échanson. Mars, son second fils, fut conçu par la vertu d’une
fleur
. Junon, jalouse de ce que Jupiter avait enfanté d
déesse Flore, qui lui dit que dans les champs d’Olène il existait une
fleur
qui produirait l’effet qu’elle désirait dès qu’el
ire que le dieu de la guerre était son fils. Son origine, tirée d’une
fleur
, est une seconde allégorie, pour peindre la promp
ait. Le moindre mécontentement excitait sa vengeance ; le refus d’une
fleur
était à ses yeux une offense assez grave pour att
on la voyait assise, tenant d’une main un enfant emmaillotté, et une
fleur
dans l’autre, ou bien avec un fouet et un sceptre
ait toujours ce dieu sous la figure d’un beau jeune homme couronné de
fleurs
et de marjolaine, tenant de sa main droite un fla
tomba une pluie d’or, et que les rosiers de Rhodes furent couverts de
fleurs
nouvelles. Parmi les enfans du Soleil, Aurore et
briser la tête du malheureux Hyacinthe. Apollon le métamorphosa en la
fleur
qui porte son nom. Ses regrets inutiles de ce meu
cette aventure, et voyant que l’héliotrope ou tournesol a toujours sa
fleur
penchée vers le soleil, ils publièrent que Clytie
t Cythérée. Les pieds délicats de la déesse touchent la terre, et les
fleurs
naissent sous ses pas. Les Heures, chargées de so
ait particulièrement consacrée à Vénus, comme étant la plus belle des
fleurs
. La fable ajoutait que sa couleur était blanche d
lombes. L’Amour et Vénus se trouvant ensemble dans un lieu couvert de
fleurs
, Cupidon se vanta d’en cueillir plus que sa mère.
epta le défi ; mais l’Amour, en se servant de ses ailes pour voler de
fleurs
en fleurs, allait remporter la victoire, lorsque
fi ; mais l’Amour, en se servant de ses ailes pour voler de fleurs en
fleurs
, allait remporter la victoire, lorsque la nymphe
Pour les faire reconnaître, on les représentait couronnées d’épis, de
fleurs
, de raisin et d’olivier, ou de quelque autre feui
leur était principalement consacré comme à Vénus. On trouvait que les
fleurs
rappelaient leur image. Toute la Grèce était remp
Pendant les fêtes de Neptune, les chevaux et les mulets, couronnés de
fleurs
, demeuraient sans travail. Personne n’osait troub
phée, déjà l’autel nuptial était préparé dans une prairie émaillée de
fleurs
; le fougueux Aristée se présente, et veut s’oppo
uter que ce jeune insensé, lorsqu’un serpent venimeux, caché sous les
fleurs
, se trouve froissé par le pied d’Eurydice, et se
er, et veillait à les faire mûrir ; Flore veillait à la naissance des
fleurs
. Minerve et Vénus étaient les cinquièmes. La prem
ne qui séparaient leurs champs ; ils l’ornaient avec une guirlande de
fleurs
, et la frottaient avec de l’huile, dans le dessei
Vertumne et Priape, dieux des jardins. Flore était la déesse des
fleurs
et l’épouse de Zéphire. Il paraît qu’il en exista
l’ancienne Flore, et on l’honora comme la déesse des bosquets et des
fleurs
. Ses fêtes firent instituer les jeux floraux. Po
génie, surtout aux jours de naissance. On parsemait la terre avec des
fleurs
, et on lui offrait du vin dans des coupes. Chaque
Cette princesse, suivie de ses compagnes, se plaisait à cueillir des
fleurs
; Pluton l’aperçut, et l’enleva. Cyane, cherchant
temples. On la représente avec une corne d’abondance, des fruits, des
fleurs
, une ruche à miel (Fig. 52), et les nautoniers la
s sauvages. Un tambour est placé près d’elle. Sa robe est parsemée de
fleurs
. Quand Saturne fut exilé du ciel, Rhéa le suivit
ujours verts, l’haleine embaumée du zéphyr, des prairies émaillées de
fleurs
, embellissent cette retraite fortunée. Une multit
velle ses productions trois fois l’année, et présente tour à tour des
fleurs
et des fruits. Plus de douleurs, plus de maladies
sur le bord des eaux elle s’amusait avec ses compagnes à cueillir des
fleurs
nouvelles, Pluton l’aperçut, et l’enleva malgré s
ébène, ou sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa main tient des
fleurs
de narcisse. Sous le nom d’Hécate, elle présidait
tait sans vie. Elle arrosa de nectar son sang, qu’elle changea en une
fleur
appelée anémone. Mais incapable de surmonter la d
s qui avaient le plus de vertu ; son ami expira, et fut changé en une
fleur
qui porte le nom d’hyacinthe ou jacinthe. Apollon
pins et de cyprès, au milieu desquels, entre deux rives émaillées de
fleurs
, coulait une eau fraîche et limpide. Diane, fatig
portes de l’orient, répand la rosée sur la terre et fait croître les
fleurs
. Le Sommeil et la Nuit fuient devant elle ; les é
e, réjouissant, présidait à la Musique. On la représente couronnée de
fleurs
et tenant une flûte à la main. Terpsichore prési
corda une jeunesse perpétuelle et la surintendance des jardins et des
fleurs
. — On la représente couronnée de roses et tenant
it à l’épouser. — On la représente assise sur une corbeille pleine de
fleurs
et de fruits, tenant un rameau d’une main et des
Asie-Mineure. Les Romains lui offraient au printemps une corbeille de
fleurs
variées, et dans l’été une guirlande d’épis. L’ân
se contentait de mettre sur leurs autels, du lait, des fruits et des
fleurs
. § 12. Protée. Protée, dieu marin, né à Pa
r de naissance, sacrifiait à son Génie, auquel il offrait du vin, des
fleurs
, des fruits, de l’encens ; mais le sang des victi
bon Génie est représenté sous les traits d’un jeune homme couronné de
fleurs
, et tenant une corne d’abondance ; le mauvais Gén
alem. — On représente la Paix sous la figure d’une femme couronnée de
fleurs
, tenant d’une main une branche d’olivier et de l’
’après l’avoir arrachée. Les Nymphes la ramassèrent, la remplirent de
fleurs
et de fruits, et ce fut la Corne d’abondance. Voi
eu du pavillon noir que portait son navire, un pavillon blanc orné de
fleurs
et de banderoles. Alarmé d’une absence qui se pro
avait reçue d’Hector. La terre, mouillée de son sang, fit naître une
fleur
semblable à la jacinthe, et sur laquelle on voit,
; ses délicieux jardins produisaient en toute saison les plus belles
fleurs
et les plus beaux fruits. Sa famille offrait le t
res marins qui bondissent à ses côtés. Occupée naguère à cueillir des
fleurs
dans la prairie, et à tresser gaiement les couron
nt plus le corps de celui qu’elles regrettent. A sa place s’élève une
fleur
nouvelle, qu’on appela narcisse, et qui fut consa
avec de si affreuses couleurs ! C’est l’Amour lui-même, dans toute la
fleur
de l’adolescence ! Félicité inappréciable ! C’est
ansportait au delà de ce lac, dans une prairie charmante, embellie de
fleurs
, de ruisseaux et de bosquets, où il recevait la s
dérable de terre. Dans ce sol artificiel croissaient les légumes, les
fleurs
, les plantes et les plus grands arbres ; l’eau y
Minerve de son cerveau, Junon fit naître Mars de l’attouchement d’une
fleur
, dans les champs d’Olène, ville d’Achaïe. 16. A
, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des
fleurs
toujours écloses. Boileau. Les Poëtes ne mérite
représente avec un disque et une clef à la main, un habit parsemé de
fleurs
, une couronne composée de tours, et montée sur un
ami Hyacinte, il eut le malheur de le tuer. Il le métamorphosa en une
fleur
qui porte le même nom, et regretta long-temps cet
us qui produisez dans les fertiles champs Les fruits, les
fleurs
et la verdure ; Et toute
c. Déjà pour l’immortelle fête Les neuf Sœurs ont paré leur tête Des
fleurs
qui bravent les hivers ; Et ces filles de Mnémosy
c un air majestueux, couronnée de lauriers, et parée de guirlandes de
fleurs
. Elle tient dans la main droite une trompette, et
petit Cupidon allé, qui porte un arc et un carquois : Quelle Muse de
fleurs
nouvelles Qu’assemble un choix ingénieux, Fait de
à la musique et à la poésie pastorale. On la représente couronnée de
fleurs
, et tenant à la main un livre de musique. Elle a
usseau. Terpsicore préside à la danse. On la représente couronnée de
fleurs
, avec une harpe entre les mains, et des instrumen
Proserpine, fille de Cérès, un jour qu’elle s’amusoit à cueillir des
fleurs
dans les campagnes de Sicile : O mes compagnes !
oiles : Dans des forêts de lauriers toujours verts, Sur des gazons de
fleurs
toujours couverts. Parmi les jeux, ces Ombres for
Elle étoit l’épouse de Vertumne, dieu de l’automne. Flore, déesse des
fleurs
et du printems, avoit épousé Zéphire. On la repré
re. On la représente ornée de guirlandes, et portant une corbeille de
fleurs
. Ses fêtes s’appelloient les jeux floraux. Elles
lles qui remportoient le prix à la course, recevoient une couronne de
fleurs
. Priape, fils de Vénus et de Bacchus, étoit le di
ésidoit aux fêtes et aux parures. On le représente avec un chapeau de
fleurs
, et portant un flambeau. Momus, fils du Sommeil e
voit si beau, qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé en une
fleur
qui porte son nom : Au bord d’une fo
Je suis seule échappée aux fureurs de la guerre ; J’ai perdu, dans la
fleur
de leur jeune saison, Six frères ; quel espoir d’
; Que votre vie, ailleurs et longue, et fortunée, Devant Troie en sa
fleur
doit être moissonnée. Racine. Thétis, voyant qu
-104-105 Floraux, Jeux en l’honneur de Flore, 113 Flore, déesse des
fleurs
, ibid. — Le rang qu’elle tenoit sur la terre, 1
rtus et aux vices, 11 Hyacinthe, tué par Apollon, et métamorphosé en
fleur
, 41 Hydre de Lerne, 88-132 Hymen, fils de Vénus
mi, qui expira sur l’heure. Apollon désolé changea Hyacinthe en cette
fleur
qui porte son nom. Cyparisse, autre jeune homme q
ur d’avoir été abandonnée par lui, et il la transforma en héliotrope,
fleur
qui se tourne vers le soleil, comme l’indique son
de Junon seule, qui le mit au jour après avoir respiré l’odeur d’une
fleur
qui croissait dans les champs d’Olène, ville d’Ac
dinairement représentées dansant en cercle et ornées de guirlandes de
fleurs
. L’une tient à la main une rose, l’autre une bran
nt aux diverses parties de ce vaste domaine de l’homme, aux prés, aux
fleurs
, aux fruits, aux saisons, aux bois, aux fontaines
niversaire de la fondation de la ville par Romulus. Flore, déesse des
fleurs
, est la gracieuse allégorie du printemps. On la r
ie du printemps. On la représente ornée de guirlandes et couronnée de
fleurs
. Elle eut Zéphire pour époux. Cela signifie que l
uronnée de fleurs. Elle eut Zéphire pour époux. Cela signifie que les
fleurs
aiment un air doux et vivifiant. Les fêtes de Flo
née. On représente Pomone couronnée de fruits et Vertumne couronné de
fleurs
, ayant l’une et l’autre à la main une corne d’abo
la main le trident du dieu des mers et quelquefois des guirlandes de
fleurs
. Il est naturel de croire que toutes ces Nymphes,
le peint sous les traits d’un jeune homme à l’œil serein, couronné de
fleurs
et portant des ailes de papillon. 81. Aurore.
portes de l’Orient, répand la rosée sur la terre et fait croître les
fleurs
. Questionnaire. 76. De qui Protée était-il
e sévère, la tête entourée de flocons de laine blanche, entremêlés de
fleurs
de narcisse. 86. Les Mânes. — Charon. Les M
découvrir . Quelquefois elle porte à la main un miroir accompagné de
fleurs
et de pierreries, pour indiquer qu’il est permis
qui les termine, elle est représentée avec une corne d’abondance, des
fleurs
, des fruits, une ruche à miel, emblème des biens
palais dans un antre profond, dont l’entrée est semée de pavots et de
fleurs
assoupissantes ; il est inaccessible aux rayons d
iter. On la représente sous la figure d’une belle femme, couronnée de
fleurs
et tenant à la main une corne remplie de fruits,
fié dans un jeune homme à demi vêtu, courant dans un chemin jonché de
fleurs
, sous lesquelles s’agitent des serpents. Il tient
aux meilleures pièces de vers des prix, qui consistent en différentes
fleurs
d’or ou d’argent, telles que la violette, l’églan
ent à toutes les parties de la création, rattachèrent l’existence des
fleurs
et des plantes aux touchantes aventures d’une nym
, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des
fleurs
toujours écloses. 6. L’étude de la mythologie e
abiter dans son ténébreux empire, vit un jour Proserpine cueillir des
fleurs
avec une de ses compagnes dans la plaine d’Enna e
temple était sévèrement interdite à tous les profanes. Le vin et les
fleurs
ne paraissaient jamais sur les autels de cette dé
lançait et causa la mort de son rival. Le dieu changea son ami en la
fleur
qui porte son nom, mais il resta inconsolable de
L’Hymen était représenté sous la figure d’un jeune homme couronné de
fleurs
, tenant dans sa main droite un flambeau et dans s
ent quelques mythologues. On les représentait ornées de guirlandes de
fleurs
. La première tient ordinairement une rose, la sec
sseaux limpides coulant sur un sable d’or, entre des rives bordées de
fleurs
. Les poëtes lui donnent les surnoms de Cythérée e
éphyre est le doux vent du printemps, et on le représente couronné de
fleurs
; Boréas est le terrible vent du nord qui traîne
e, Pomone, Vertumne, Priape et Terme. 8. Flore était la déesse des
fleurs
et du printemps. On la représentait sous la figur
fille parée de bouquets et de guirlandes, et portant une corbeille de
fleurs
. Elle eut pour époux Zéphire ; ce qui signifie se
signifie seulement qu’au printemps un vent doux et léger caresse les
fleurs
. Ses fêtes étaient célébrées par les dames romain
yen sacrifiait à son Génie. Il lui offrait du vin, de l’encens et des
fleurs
, mais point de victimes sanglantes. 5. Le bon Gén
s gens couraient la nuit à la clarté des flambeaux, la tête ceinte de
fleurs
, chantant et jouant des instruments. On le représ
séjour, Sont les seules moissons qu’on recueille à l’entour. De leurs
fleurs
en tout temps sa demeure est semée. Il a presque
ne longue robe de safran. On en faisait aussi une nymphe couronnée de
fleurs
et assise sur un char auquel était attelé Pégase,
e ouvert avec une palme dans une main et de l’autre un miroir orné de
fleurs
et de pierreries, pour signifier que la vérité pe
son empire s’étend sur toute la terre. On lui offrait des fruits, des
fleurs
et des couronnes, mais jamais le sang ne coulait
e adolescent demi-nu, courant avec agilité dans un sentier couvert de
fleurs
sous lesquelles des serpents s’agitent. Il avait
Eurydice : Eurydice fuyait, hélas ! et ne vit pas Un serpent que les
fleurs
recelaient sous ses pas. La mort ferma ses yeux,
tre têtes, et un lotos fut son berceau. Assis dans le calice de cette
fleur
, il porta ses quatre yeux autour de lui, et n’ape
n représente ordinairement Cybèle vêtue d’une longue robe parsemée de
fleurs
, le front couronné de créneaux et de tours, porta
ent. Désolé de cet accident, le Dieu métamorphosa son jeune ami en la
fleur
qui a pris le nom d’hyacinthe ou de jacinthe, et
; on lui donnait un air majestueux, et on la paraît de guirlandes de
fleurs
; comme sa sœur Clio, elle portait une couronne d
e l’autre un archet. Euterpe, déesse de la musique, est couronnée de
fleurs
; elle tient dans les mains un cahier de musique,
rès ; il la surprit un jour occupée avec ses compagnes à cueillir des
fleurs
dans les prairies d’Enna en Sicile, et l’entraîna
figure jeune et enluminée ; il est coiffé d’un bonnet conique orné de
fleurs
; une de ses mains tient un flambeau renversé, ta
qui ce Dieu donna, avec son nouveau nom, un empire souverain sur les
fleurs
; on la considérait aussi comme la Déesse du prin
uit et jour et en dansant au son des trompettes, le front couronné de
fleurs
. On orne la figure de cette Déesse de guirlandes,
cette Déesse de guirlandes, et on l’entoure de corbeilles remplies de
fleurs
. Questions. Qu’était-ce que Flore ? — Commen
t une serpette à la main, et a près d’elle des corbeilles remplies de
fleurs
et de fruits mûrs. Questions. Qu’est-ce que
il est en outre chargé d’endormir les hommes en les touchant avec une
fleur
de pavot. C’est lui encore qui envoie les Songes
Il y avait certaines divinités auxquelles on offrait des fruits, des
fleurs
, des gâteaux, du blé, et d’autres objets dont pro
es personnages qui se firent remarquer par leur talent à cultiver les
fleurs
, les fruits, les arbres, etc., et dont les Grecs
imagination des poëtes enrichit encore le domaine de la religion. Les
fleurs
, en particulier, exercèrent leur génie inventif,
ux breuvages. Le ciel était toujours pur, l’air embaumé du parfum des
fleurs
, et l’on ne connaissait pas d’autre saison que le
la beauté de cette vierge par une écharpe argentée, des guirlandes de
fleurs
et une couronne d’or qu’elle lui plaça sur la têt
ge dans le cristal d’une fontaine. Cet insensé fut métamorphosé en la
fleur
qui porte son nom et dont la couleur jaune est un
a par mégarde d’un coup de son palet : le dieu le fit revivre dans la
fleur
qui porte son nom. Cyparisse, jeune homme de Céos
urait donné le jour après avoir respiré, sur le conseil de Flore, une
fleur
qui croissait dans les champs d’Olène, ville de l
s de Jupiter et d’Eurynome. On les représente ornées de guirlandes de
fleurs
et dansant en rond. La première tient ordinaireme
citer Palès, déesse des pâturages et des prairies ; Flore, déesse des
fleurs
; Pomone, déesse des vergers et des fruits, et Ve
Flore fut aimée de Zéphire, ce qui veut dire que le vent caresse les
fleurs
. Pomone est aussi une divinité irréprochable. Ver
st un vieillard triste, environné de nuages ; Zéphyre est couronné de
fleurs
; Borée, ou le vent du nord, traîne après lui la
ge sévère, la tête coiffée de flocons de laine blanche, entremêlée de
fleurs
de narcisse. Charon11 Charon, le nocher de
séjour, Sont les seules moissons qu’on recueille à l’entour. De leurs
fleurs
en tout temps sa demeure est semée. Il a presque
, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sons sa main des
fleurs
toujours écloses. Nombre des Dieux chez les P
us qui produisez dans les fertiles champs, Les fruits, les
fleurs
et la verdure, Et toute la
Proserpine, fille de Cérès, un jour qu’elle s’amusoit à cueillir des
fleurs
dans les campagnes de Sicile. Les cris et les pla
utomne. Flore. D. Qu’étoit Flore ? R. Flore étoit la Déesse des
fleurs
et du Printemps. Elle avoit épousé Zéphire. D. Co
R. On la représente ornée de guirlandes, et portant une corbeille de
fleurs
. Ses Fêtes s’appeloient les Jeux floraux. Elles é
ésidoit aux fêtes et aux parures. On le représente avec un chapeau de
fleurs
, et portant un flambeau. Momus. D. Qu’étoit
voit si beau, qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé eu une
fleur
qui porte son nom. Au bord d’une fo
re le vice. La morale sans doute est l’ame de la Fable, C’est une
fleur
qui doit donner son fruit, …………………………………………………… L
sont les caractères ? R. Rien n’est si propre que l’amitié à semer de
fleurs
les routes de la vie, et à nous faire goûter les
e bonheur, leur en font un devoir particulier. Leur réputation, cette
fleur
si délicate et si précieuse, leur impose la loi d
’il avoit reçue d’Hector et se tua. Son sang fut changé en Hyacinthe,
fleur
en laquelle avoit déjà été métamorphosé le jeune
sgrâces, que dans les succès. On lui donne pour attributs différentes
fleurs
, et surtout celles qui ne se flétrissent point, o
létrissent point, ou qui se fanent difficilement, les immortelles, la
fleur
de grenadier, etc. On croit que les anciens ne lu
sur la terre et de laquelle tombent des perles, des pierreries et des
fleurs
. Un de nos poëtes ( Chaulieu) a personnifié ainsi
es et de beauté ? Qui comme elle peut paroître ? Sa main sème plus de
fleurs
Que l’aurore n’en fait naître. Et qu’Iris n’a de
emme couverte d’un voile transparant, tenant d’une main un bouquet de
fleurs
et de l’autre, une phiole de verre suspendue à un
et des dieux, Le plus riche ornement de la plus riche plaine, Tendre
fleur
que flétrit une indiscrète haleine. Racine fil
our rajeunir ainsi la vieille Aurore et rendre un dernier éclat à ses
fleurs
flétries pour toujours. La Fontaine, plus enjoué,
irent probablement de petites tanières aux portes basses, aux toits à
fleur
de terre, comme les paysans d’Europe en construis
ansent au bois la nymphe et la bergère ; L’herbe l’aurait portée, une
fleur
n’aurait pas Reçu l’empreinte de ses pas
t la faux dans le champ de la mythologie, et moissonné sans pitié les
fleurs
dont les poëtes, au dernier siècle, remplissaient
brillante de ses ailes tombe sous vos doigts ; vous croyez tenir une
fleur
ailée, vous ne tenez plus qu’une chenille. Si vou
pprocher qu’avec un respect religieux, et seulement pour les orner de
fleurs
et de trophées. On ne pouvait employer aux usages
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