rèce, de Caligo à Rome : alors les Ténèbres enfantèrent le Chaos leur
fils
, masse confuse et informe d’où le monde, qui lui
premier roi de Phrygie ou à Manès, usurpateur de l’Arménie, eut pour
fils
Acmon, Cotys et Car, ils ajoutèrent qu’Acmon devi
té de son père, de lui enlever les moyens de la féconder. Aussitôt ce
fils
, déjà irrité de la disparition de ses frères, fra
emps attribuée à la seule puissance de la Terre ; il en résulta trois
fils
, Nérée, Thaumas, Phorcys ; plus, deux filles : Cé
appelées Hestia ou Vesta, Damater ou Cérès, Héra ou Junon ; et trois
fils
: Hadès ou Pluton, Posidon ou Neptune, et Zews ou
eut les Vents et Phosphoros, ou étoile du matin, et les Astres, aussi
fils
d’Astrée et d’Héribée. De l’union de Japet avec
eurs de la théogonie grecque ; cependant on reconnaissait encore pour
fils
d’Uranus et de la Terre Andès, Anitus, Anax, Osta
donnant pour père à Uranus et à la Terre, un roi scythe appelé Acmon,
fils
lui-même de Manès. Mais ce roi, qui enfanta des i
aine. Voici comme il vint au monde : Jupiter, que nous venons de voir
fils
de Chrone et de Rhéa, quelque temps après sa nais
ec elle, lorsque tout à coup Agdistis, également éprise de son propre
fils
, arrive furieuse dans le palais du roi, et se jet
on repentir demande à Jupiter pour toutes les parties du corps de son
fils
le privilége de l’incorruptibilité. Suivant d’aut
changer le résultat de cette légende, on voit autre part qu’Atys est
fils
d’un phrygien appelé Calaüs, qu’il est né impuiss
trouve tout de suite femme de Chrone ou Saturne, déjà connu pour être
fils
de la Terre, laquelle n’est qu’un synonyme de Rhé
aînés, personnifiés dans Titan seul, à condition qu’il détruirait ses
fils
à mesure qu’il en naîtrait, afin d’assurer ainsi
étis. C’était un violent vomitif qui lui fit rendre les filles et les
fils
qu’il avait précédemment dévorés. D’autres tradit
ec les Dactyles, nous les ferons connaître en détail, en parlant d’un
fils
unique de Junon avec Jupiter, portant le nom de V
prêtres sont venus jusqu’à nous ; ainsi on remarque Bienne, Cyllène,
fils
d’Anchiale et frère du dactyle Titye, et Eleuthèr
cifer ou Falciger ou le Porte-faulx, Vitisator ou le vignicole, était
fils
d’Uranus et de la Terre, et frère des Titans. Apr
es frères, l’empire du monde à la condition qu’il détruirait tous les
fils
que sa femme mettrait au jour, il tint sa promess
tint sa promesse, parce qu’il savait, dit-on, en outre, qu’un de ces
fils
devait lui enlever l’empire du monde. Il fut fort
ot où il resta près d’une année. Alors Jupiter, Neptune et Pluton ses
fils
le délivrèrent et le remirent sur son trône. Mais
nie avec les personnages. Peu de temps après avoir été blessé par son
fils
, Uranus, pour se venger à son tour, lui envoya po
robre dans les grottes des monts Pélasgiques, où elle mit au monde un
fils
que l’on trouve quelquefois appelé Dolops, et que
ière qu’ils exaucèrent, lassés enfin de ses plaintes continuelles. Ce
fils
de Saturne, appelé le sage par Plutarque, se reti
i-ci, touché de cette prière, fit passer à Prométhée l’immortalité du
fils
de Saturne, et plaça Chiron dans le zodiaque, où
us grand chirurgien de la Grèce primitive ; mais revenons à son père,
fils
d’Uranus. On gratifie encore Saturne de plusieurs
aîtront sous l’influence funeste de son astre ; car s’il a dévoré ses
fils
dans les cieux, s’il y a mutilé son père, il veut
escendu sur la terre, peut dévorer le monde ; enfin, en laissant pour
fils
Jupiter, dieu suprême, Jupiter planète, Jupiter l
Jupiter. — Maintenant passons à la longue histoire de Jupiter, son
fils
; voyons-le vaincre ses ennemis, s’emparer de l’e
conservateur ; Sardessus, ou de Syrie ; Saturnius ou Saturnigena, ou
fils
de Saturne ; Scotius, ou le ténébreux à Sparte ;
cchus, auquel les Arcadiens attribuaient leur civilisation ; l’autre,
fils
du Ciel et père de Minerve, également d’Arcadie ;
l’on tient à en trouver un tant soit peu historique, c’est au Jupiter
fils
de Saturne qu’il faut accorder cet honneur, et ad
’on nommait Jupiter. » Ensuite, on lui donne pour successeur Crès son
fils
. Cependant, les siècles historiques n’ont laissé
nt saisis, le renfermèrent dans une étroite prison. Alors Jupiter son
fils
, jeune, mais plein de courage, oubliant que son p
ite. Saturne, devenu méfiant et soupçonneux, voulut se défaire de son
fils
; mais celui-ci, ayant évité les piéges tendus pa
nfié à la garde de nymphes et de ministres fidèles. Comme le seul des
fils
sauvés par la femme de Saturne, il fut élevé avec
Saturne de les entendre. On lui donne pour père nourricier, Télémène,
fils
de Pélasgue, le premier habitant de l’Arcadie ; o
huit ou dix mois Saturne languissait ainsi dans les fers, lorsque son
fils
aîné parut tout à coup dans l’empire céleste, non
Elle comptait dans ses rangs Cœos, Crios, Hypérion, Japet, Atlas, son
fils
, Pallas, Astré et Persès, tous trois fils de Crio
Hypérion, Japet, Atlas, son fils, Pallas, Astré et Persès, tous trois
fils
de Crios, Thaumas et Phorcis. On y place aussi Ph
passe plus souvent pour avoir été la femme de Jupiter. On donne pour
fils
à Japet Atlas, Epiméthée, Ménœtius et Prométhée.
our peupler l’Europe. Atlas, ce titan célèbre, toujours reconnu pour
fils
de Japet, est pourtant regardé comme fils de Jupi
èbre, toujours reconnu pour fils de Japet, est pourtant regardé comme
fils
de Jupiter, par une tradition. Entraîné dans la g
à la garde d’un dragon. Atlas épousa Pleione ou Ethra ; il en eut un
fils
appelé Byas, et douze filles, savoir : Maia, Elec
ut plusieurs enfans, tous Dieux purement allégoriques ; savoir : deux
fils
, Zélos ou le zèle, signifiant aussi l’enthousiasm
per, des Astres et des trois vents Zéphire, Notos et Borée. Persès,
fils
de Créius et d’Euribie, titan qui ne semble pas d
éius et d’Euribie, titan qui ne semble pas devoir différer de Persée,
fils
de Jupiter, que nous rencontrerons plus tard. Com
iculière ne présente rien de remarquable. Ils étaient l’un et l’autre
fils
de Pontus, et Phorcys, après avoir épousé Céto, s
upiter, l’amant heureux de Junon, encore vierge, et qu’il en eut pour
fils
Prométhée, qui, pourtant, ne se rangea pas auprès
qui, pourtant, ne se rangea pas auprès de lui dans ses guerres contre
fils
de Saturne. Pour Phaton le titan, il n’offre aucu
oire fut à tort confondue avec celle des Titans. Sa révolte contre le
fils
de Saturne, est de beaucoup postérieure à la déli
strée en place des Heures. Le bon droit paraissant avoir appartenu au
fils
de Saturne, ne nous étonnons pas de voir Thémis s
les Cyclopes des enfers, Campée s’y opposa, et fut tuée par le petit
fils
de celui qui lui en avait donné la garde. Selon d
les Titans, Jupiter resta maître de l’empire du monde. Cependant, en
fils
dévoué, il en abandonna pourtant encore les rênes
ctère jaloux et soupçonneux, suspectant bientôt les intentions de son
fils
, lui tendit des embûches, et chercha au moins à l
nsidérablement. Junon, sœur et femme de Jupiter, en eut Vulcain, leur
fils
unique, qu’ils firent Dieu du feu ; elle lui donn
se trouvait gonflé, alors, pour se guérir, il ordonne à Vulcain, son
fils
, selon la plupart, ou à Prométhée, selon d’autres
dans la Titanomachie, les Titans attaquèrent Chrone, délivré par son
fils
, les géans, dans cette seconde guerre, appelée la
éans, qui cherchait à les secourir ; puis il fit arriver Hercule, son
fils
, simple mortel, que nous verrons plus tard se dis
tre dans le Tartare, qui les engloutit, y compris Absée et Théodamas,
fils
et père de ce même Tartare. Ils furent donc tous
stoire a conservé les noms de Thyas, fille de Castalius ; d’Asterius,
fils
d’Anax ; d’Alope, fille de Cercyon, et de cinq fi
éthone. Nous n’avons point parlé, en citant les Géans, d’un monstre,
fils
de la Terre, auquel on attribue sa naissance. Il
ut sa naissance, quoique vulgairement on ne reconnaisse que Mars pour
fils
de cette déesse. Les détails de la naissance de T
ops ou Triopas, souverain de Thessalie assez inconnu, et passant pour
fils
de Neptune. Malgré cette parenté, la chronique sc
ots salés, devint amoureuse de son grand-père Neptune, et en eut deux
fils
: Otus ou le hibou, et Éphialte ou le cauchemar,
apporte aux Muses ; mais tout le reste représente assez bien dans ces
fils
de Neptune, les fléaux destructeurs dont les côte
ne aux Aloïdes une sœur appelée Pancratin, qui fut enlevée par Butès,
fils
de Borée, roi des vents, que nous retrouverons en
tromper l’artiste. Alors il ordonna à Cratos, à Biâ et à Vulcain, son
fils
, d’aller attacher ce Titan sur le Caucase. Cepend
ur. Prométhée lui répond, d’une manière évasive, qu’il le sera par un
fils
puissant, lequel naîtra de son union avec Thétis.
venger, il fait abattre, du haut des nues, Ethion ou Aigle colossal,
fils
de Typhoé et d’Echidna, sur le condamné ; d’autre
Cependant plusieurs mythologues ne lui attribuent que Deucalion pour
fils
, et font naître Pyrrha de l’alliance d’Épiméthée
ers volumes de la Biographie universelle raconte le fait : Deucalion,
fils
d’un Prométhée, épousa Pyrrha, sa cousine, dont i
hiction et Protogène. Ce Deucalion, confondu assurément avec un autre
fils
d’un Abas et d’une Asopide, ou avec un troisième
t avec un autre fils d’un Abas et d’une Asopide, ou avec un troisième
fils
d’Hercule et d’une Thespiade, ou avec un quatrièm
un troisième fils d’Hercule et d’une Thespiade, ou avec un quatrième
fils
d’Haliphron et de la nymphe Iophossa, vint du sud
un palmier. Sans parler des enfans nés des pierres, on reconnaît pour
fils
de Deucalion et de Pyrrha, Amphiction, qui régna
tone, père de Phromia. Hellen eut de son alliance avec Orseis trois
fils
: Eole, Dorus, fondateurs des Eoliens et des Dori
osa son nom aux Ioniens. Eole épousa Enarète, laquelle lui donna six
fils
: Athamas, Créthée, Sisyphe, Macaré, Cercaphe, Sa
re d’Euryte. Xuthus, marié à Creuse, fut père d’Achéus dont étaient
fils
Phthius, Pélasgue et Achœus. Xuthus eut encore Io
Déion rendit mère d’Astérope, de Céphale et de Dia. Magnès eut pour
fils
Alector, Dictys, Piérus et Polydecte. Salmonée
r, fut, sans contredit, Esculape ou Asclépias, dieu de la médecine et
fils
d’Apollon ; car il se permettait de ressusciter l
de ses flèches les Cyclopes, qui avaient fabriqué la foudre dont son
fils
avait été frappé. Puis Jupiter punit Lycaon et éc
usqu’à supposer qu’il dut exister quatre Lycaons, dont le premier est
fils
de Phoroné, roi d’Argolide et fils d’Inachus ; le
uatre Lycaons, dont le premier est fils de Phoroné, roi d’Argolide et
fils
d’Inachus ; le second, également Inachide, fondat
second, également Inachide, fondateur de Lycosure ; le troisième, son
fils
; et le quatrième, un individu qui, tous les dix
ouve M. Parisot, admettent seulement deux Lycaons, savoir : Lycaon I,
fils
d’Azan, ou Ezée, ou Phégée, né d’Inachus, civilis
hus, civilisateur et introducteur du culte de Jupiter ; et Lycaon II,
fils
de Pélasgue et de Déjanire, fille de Lycaon I. C'
lement le roi primordial de l’Arcadie, passant, suivant les uns, pour
fils
de Pélasgue et d’une nymphe appelée Cyllène, ou d
d’une Océanide portant le nom de Mélibée ; et suivant d’autres, pour
fils
de Déjanire et d’Azan, fils de Pélasgue, ce qui n
om de Mélibée ; et suivant d’autres, pour fils de Déjanire et d’Azan,
fils
de Pélasgue, ce qui ne lui donne plus Cyllène que
e, et le fait aussitôt périr dans son palais, ainsi que ses cinquante
fils
, à l’exception de Nyctime. Une autre légende assu
ante fils, à l’exception de Nyctime. Une autre légende assure que les
fils
seuls, ayant immolé l’enfant, furent seuls foudro
e ou de Méra plusieurs enfans, au nombre desquels il compta cinquante
fils
appelés Ancior, Aliphère, Acacus, tuteur de Mercu
rote, Thocne, Thycée, Trapèze, Tricolone, Tégéate, Téléboas, Acchide,
fils
de Tégéate, Orope, fils de Macédo ou de Macedne,
apèze, Tricolone, Tégéate, Téléboas, Acchide, fils de Tégéate, Orope,
fils
de Macédo ou de Macedne, et pour filles, Callisth
peut-être dans ceux de Callistho, c’est-à-dire la Très-Belle, dont le
fils
Arcas passe pour le fondateur, ou mieux alors, po
ent très-nombreuses, avait eu, d’un commerce peu légitime avec lo, un
fils
nommé Epaphe. Junon, toujours jalouse de ces inf
était un roi des Lapithes, peuple de la Thessalie ; il était, dit-on,
fils
d’Anthion, lui-même enfant du Lapithe Périphas et
Amythaon ; on lui donnait aussi pour père Mars lui-même, ou Phlégyas,
fils
de Mars, ou Léontée, et pour mère, ou Pisidice, m
; on le représente toujours attaché sur sa roue. On lui donnait pour
fils
Phlégrée et Pnocus, issus, disait-on, de son alli
qui attira la colère de Jupiter. Ce Tantale pourtant passait pour son
fils
ou pour celui de Tmole, fils de Mars. On lui donn
er. Ce Tantale pourtant passait pour son fils ou pour celui de Tmole,
fils
de Mars. On lui donnait pour mère la nymphe Pluto
ne question insoluble. Il est donc accusé 1° d’avoir enlevé Ganymède,
fils
de Tros, échanson de Jupiter ; 2° d’avoir été le
voir servi pour plat aux Dieux qu’il avait conviés les membres de son
fils
Pélops, frère de Niobé, qui fut accusé d’avoir ai
il n’en fut plus ainsi quand il eut à soutenir la guerre contre Ilus,
fils
de Tros ; car l’an 1315 av. J.-C., il perdit son
il perdit son royaume, fut fait prisonnier, chargé de chaines, et son
fils
Pélops fut obligé de se réfugier en Elide qui dep
Péloponèse : il se nommait Salmonée. Il était petit-fils d’Hellen, ou
fils
d’Éole II et d’Enarète, et il avait pour frère Si
mples et sur les autels, il fit mettre le sien à la place de celui du
fils
de Saturne. Il voulait être adoré, et force était
pose que lui, ou un autre individu portant le même nom, mais toujours
fils
d’Eole et frère de Salmonée, fonda le royaume de
, capitale de la Béotie, fut également foudroyé par Jupiter. Il était
fils
d’Hipponoris ou d’Hipponoüs, descendant de Deucal
ent obligés de prendre la fuite. Choricus, roi d’Arcadie, avait deux
fils
, Plexipus et Enetus et une fille Palœstra. Celle-
de la lutte. Le Dieu s’étant bientôt distingué dans le même art, les
fils
de Choricus en furent irrites, et s’en plaigniren
ut aussi tué par Jupiter on ne sait trop pour quel méfait. Néophron,
fils
de Timandra, fut changé en vautour par ce même di
fut par lui plongé pour toujours au fond du noir Tartare. Pandarée,
fils
de Mérops le géant, prenait plaisir à aider Tanta
nourriture des premiers hommes. Jupiter récompensa encore Capricorne,
fils
d’Egipan, qui peut-être était fils lui-même de Pa
iter récompensa encore Capricorne, fils d’Egipan, qui peut-être était
fils
lui-même de Pan et de la nymphe Ega. Quoi qu’il e
pre sœur Héra ou Junon. Il en eut une fille appelée Hébée, et un seul
fils
déjà connu sous le nom de Vulcain, quoique Mars e
tité d’enfans. Nous allons rappeler les principaux. Ainsi il eut pour
fils
: Achille de Lamia, Acragas d’Astérope, Amphion
s du fleuve Astérion, lui avaient servi de nourrices, et que Témenus,
fils
de Pelasgue avait pris soin de son enfance ; Samo
ement trouver la belle Flore et lui demanda le moyen d’avoir aussi un
fils
qui ne dût rien à Jupiter. Celle-ci lui montre un
e de Bacchus, dut ses malheurs. Les Thébains, compatriotes d’Hercule,
fils
d’Alcmène, amante de Jupiter, furent livrés aux d
qui lui servait de baguette magique en suppléant à ses yeux. Il était
fils
d’Evère et de la nymphe Chariclo, et contemporain
roi d’Argos Prœtus, frère d’Acrisius, époux de Sténobée, et père d’un
fils
appelé Mégapenthe. On dit qu’ayant méprisé le cul
t, dit-on, de l’ellébore. Anaxibie était fille de Bias, roi d’Argos,
fils
d’Amithaon et d’Idoménée, frère de Mélampe, et co
us belle que Junon. Celle-ci, pour se venger, lui fit épouser Pélias,
fils
de la nymphe Tyro et de Neptune, ou du moins de l
r, ainsi qu’Eson, et laissa le trône, après un très-long règne, à son
fils
Acaste, et, par suite de cette haine de Junon, to
pour ainsi dire perpétuelle, venait de ce qu’un berger appelé Pâris,
fils
de Priam, roi de Troie, n’avait pas voulu trouver
puisée à la fontaine voisine d’Éleuthérie. Un jour, Cléobis et Biton,
fils
de Cydippe, prêtresse de cette Junon d’Argos, n’a
Ignigena, ou né du feu, Ignipotens, ou maître du feu, Junonigena, ou
fils
de Junon, Lemnicola et Lemnius, ou de Lemnos, Lip
Hébé, était le Dieu du feu, Cicéron en compte quatre ; savoir : l’un
fils
d’Uranus et père d’Apollon, qu’il eut de la sage
s d’Uranus et père d’Apollon, qu’il eut de la sage Minerve ; l’autre,
fils
du Nil, était le Phthias des Egyptiens, un troisi
e, fils du Nil, était le Phthias des Egyptiens, un troisième était le
fils
de Jupiter et de Junon, et s’était fixé dans l’îl
ter et de Junon, et s’était fixé dans l’île de Lemnos ; le quatrième,
fils
de Ménalius, avait ses forges à Lipari. Les Grecs
punition qu’il lui avait imposée, fit sentir ainsi son courroux à son
fils
. Celui-ci, après avoir roulé pendant neuf jours d
e Minerve, ou d’Attis fille de Cranaüs ; Palémon que l’on croit aussi
fils
d’Etolus, ou Palemonius dont le père, disait-on e
nt aux muses le surnom d’Ardalides. Brothée que l’on donne aussi pour
fils
de Vulcain et de Minerve, était d’une si grande d
d’Imbros, de Lemnos et de Tharcos. A ces Cabires on rattachait Anax,
fils
du Ciel et de la Terre, et Actyle, fils de Zethès
s Cabires on rattachait Anax, fils du Ciel et de la Terre, et Actyle,
fils
de Zethès et de Philomèle, tué au retour de la ch
était mortel. Les autres Dactyles idéens remarquables sont : Cyllène,
fils
d’Anchalie, Damnaménée, Epimède, Salamine, et Tit
: Cyllène, fils d’Anchalie, Damnaménée, Epimède, Salamine, et Tithie,
fils
aussi d’Anchalie ; parmi leurs descendans, on cit
e, fils aussi d’Anchalie ; parmi leurs descendans, on citait Climène,
fils
de Cerdis. Quant aux Telchines, autres divinités
passaient pour enfans du Soleil ; aussi les retrouvera-t-on parmi les
fils
d’Apollon. Les Cabires, au contraire, semblaient
e, Géreste, Polyphême et Pyracmon ; nous y ajouterons surtout Télème,
fils
d’Euryme, l’un des compagnons habituels de Vulcai
s habituels de Vulcain ; parmi leurs descendans, on trouve Atreneste,
fils
d’Argès et de Phrygie. Nous les verrons fabriquer
clopes tombèrent percés par Apollon qui vengea sur eux la mort de son
fils
Esculape que le maître des dieux avait foudroyé.
ain Glaucos de Chio, inventeur de l’art de souder le fer, et Pyrodos,
fils
de Clias, qui le premier fit sortir du feu des ca
c’était le Dieu de la guerre, il, était suivant les historiens grecs,
fils
de Jupiter et de Junon, mais les poètes latins, n
à Priape l’un des Titans ou des Dactyles-Idéens le soin d’élever son
fils
. Ce fut lui qui lui apprit l’art de la guerre, en
t il ne fut délivré que par l’adresse de Mercure. Il tua Halirothius,
fils
de Neptune, pour avoir violé Alcipe sa fille, qu’
t morte dans l’enfantement, eut encore assez de lait pour nourrir son
fils
, qui fut d’après ce phénomène appelé Aphénus ; Né
vint une des maîtresses de Neptune, elle fut enlevée par Halyrothius,
fils
de Neptune ; mais le dieu de la guerre ayant puni
n donna ensuite le nom d’Aréopage ou champ de Mars. Aphneusou Eropus,
fils
d’Érope, reçut le premier nom parce que sa mère é
succomba sous les coups de Déiphobe. Bisthon ou Bithyne, ou Bisthis,
fils
de Callirhoé, bâtit une ville de son nom dans la
ils de Callirhoé, bâtit une ville de son nom dans la Thrace. Calydon,
fils
d’OEtole et de Pronoé, et mieux de Mars et de cet
ars et de cette Néreïde ; Chalibe donna son nom aux Chalibes. Cycnus,
fils
de Pyrène, combattit contre Hercule, monté sur le
ttre avec le vainqueur ; mais Jupiter s’y opposa. — Cycnus ou Cygnus,
fils
de la nymphe Eléobuline ou Pélopie, fut un autre
erait ; Hercule y mit obstacle et le tua comme le précédent. Diomède,
fils
de Cyrène et roi de Thrace, avait des chevaux fur
sa sœur avait également Mars pour père. Erope et mieux OErope, était
fils
de Mars et d’Erope, et père d’Ephème. Évanné pass
ort lui fut si pénible qu’elle se retira d’Argos à Eleusine. Évannès,
fils
de mère inconnue ; Évènus, fils de Stérope, fut r
e retira d’Argos à Eleusine. Évannès, fils de mère inconnue ; Évènus,
fils
de Stérope, fut roi d’Étolie, Harmonia ou Hermion
e verra en parlant de Cadmus. Pourtant elle n’avait que Polydore pour
fils
, et pour filles, Ino, Agavé, Autonoé et Sémélé, H
incue par Hercule, ainsi que ses sœurs Lampéto et Marthésie. Ialmène,
fils
d’Astyoché, et frère d’Ascalaphe, commandait avec
andait avec lui les Béotiens d’Orchomène au siége de Troie ; Ismarus,
fils
de Thracé, donna son nom au mont Ismarus, renommé
au mont Ismarus, renommé du temps d’Ulysse pour son bon vin ; Ixion,
fils
de Pisidice ; une Léodicé ; Lycaste, fils de Phil
e pour son bon vin ; Ixion, fils de Pisidice ; une Léodicé ; Lycaste,
fils
de Philonomé ; Lycus ; Médius, ou Modius, ou Fabi
ils de Philonomé ; Lycus ; Médius, ou Modius, ou Fabidius, ou Fidius,
fils
d’une jeune fille de Réate, chez les Sabins, fond
e fille de Réate, chez les Sabins, fonda la ville de Cures. OEnomaus,
fils
d’Harpine ou de Stérope : il fut roi de Pise, et
Cet OEnomaüs était encore père d’un Alcippe. Ménalippe ou Mélanippe,
fils
de Thritta ; les Moles, déesses des meuniers, que
sait qu’elles écrasaient le blé comme il écrasait les hommes ; Molos,
fils
de Démonice, fille d’Agenor, célébre par sa beaut
re dont nous verrons s’y prendre Pélops pour obtenir sa main. Oxilus,
fils
de Protogénie ; Pangeus, fils de Critobule ; Parr
re Pélops pour obtenir sa main. Oxilus, fils de Protogénie ; Pangeus,
fils
de Critobule ; Parrhasius, fils de Philonomé ; la
Oxilus, fils de Protogénie ; Pangeus, fils de Critobule ; Parrhasius,
fils
de Philonomé ; la Peur, fille symbolique de Mars
Philonomé ; la Peur, fille symbolique de Mars et de Vénus ; Phlégyas,
fils
de Chrysé ou de Datis, fut père d’Ixion et de Cor
e, et le menacer continuellement de sa chute. Un autre Phlégyas était
fils
également de Mars et de la béotienne Chrysé, fill
a béotienne Chrysé, fille d’Halme, roi des Scythes. Rémus et Romulus,
fils
de Rhéa Silvia sont des personnages historiques d
es historiques dont il ne nous appartient pas de parler ici ; Sinope,
fils
de Parnassa ; Pylos, fils Démonice, fut à la chas
nous appartient pas de parler ici ; Sinope, fils de Parnassa ; Pylos,
fils
Démonice, fut à la chasse du fameux sanglier de C
ard ; Romé, ou la Force, fille symbolique de Mars ; Strymon ; Thérée,
fils
de Bistonis, et roi de Thrace, vivait vers l’anné
r cette tapissier. Aussitôt Prognée dans son désespoir tue son propre
fils
Itys et profite de la liberté que les femmes avai
r ; alors elles revient avec elle, sert à son mari les membres de son
fils
, et Philomèle, pour qu’il ne pût douter de cette
ir rejoindre les deux sœurs une fois échappées. Thespius ou Thestius,
fils
de Mars ou d’Agénor et d’Andronice, ou Androcide,
Agénor et d’Andronice, ou Androcide, ou Démonice ; on le disait aussi
fils
d’Erechthée ; il était roi d’Ætolie ; il se maria
ue l’on fait passer pour avoir donné leur nom à la Thrace ; Triballe,
fils
de Térène ; Tmole, fils de Théogène. Le culte de
avoir donné leur nom à la Thrace ; Triballe, fils de Térène ; Tmole,
fils
de Théogène. Le culte de Mars fut très-peu honor
nt on la faisait fille de Jupiter et de Junon, et on lui donnait pour
fils
Cupidon. Catule, poète de l’antiquité, l’appelait
e géant Titye, roi de Panope, en Phocide, supposé par quelques savans
fils
de Jupiter et de la nymphe Orchoménienne ou Orcho
mort violente ou prématurée, vu que l’on attribuait à Latone et à son
fils
toutes les morts accidentelles. Après sa mort, Ti
te imprudente. Cette Niobée était sœur de Pélops et fille de Tantale,
fils
de Jupiter, et de Dioné d’Antémusie ou Euryanasse
Ilionée, le plus jeune, Ninyte ou Eupinyte, Phédime, Sypyle, Tantale,
fils
d’Amphion et de Niobée, Ethodée et sept filles :
ours après, Apollon et Diane, ayant vu dans les plaines voisines, les
fils
de Niobée s’y amuser à divers exercices, ils les
és en Grèce, à l’introduction du culte des Latonides ; quant aux sept
fils
et aux sept fille de Niobée, nous les croyons la
rse, Jupiter pour la consoler de cet accident l’enleva avec Arcas son
fils
, à l’instant que celui-ci en chassant alalit perc
fut victime involontaire du crime que Diane lui reprochait. Il était
fils
d’Autonoée, fille de Cadmus et femme d’Aristée, f
ochait. Il était fils d’Autonoée, fille de Cadmus et femme d’Aristée,
fils
de Cyrène et d’Apollon. Il aimait passionnément l
tua parce qu’il avait percé accidentellement sa biche favorite, Hyas,
fils
d’Atlas et de Pléione qui fut dévoré à la chasse
en Carie, où se trouvait la ville d’Héraclée. Il était né d’Æthlius,
fils
d’Eole et de Calycée, également fille d’Eole et d
t d’Enarète. Diane eut, dit-on, avec ce berger cinquante filles et un
fils
nommé Etolus, ou selon d’autres seulement trois f
nte filles et un fils nommé Etolus, ou selon d’autres seulement trois
fils
et une fille. Quelques mythologues se basant sur
dissiper l’obscurité de la nuit. On donne encore à Endymion plusieurs
fils
appelés Poson, Péon, Epée et Etolus, père de Pleu
’autre de Langlois. Quant à la lune, on ne lui attribuait guère qu’un
fils
, du reste peu connu, et qui, dit-on, portait le n
t le nom de Phlionte. Cependant les légendes anciennes assurent qu’un
fils
d’Apollon appelé Amphithémis, la rendit mère de C
ndymion, Diane prit, dit-on, le brillant Orion pour amant. C'était le
fils
ou de Neptune et d’Euryale, fille de Minos, ou d’
ce qu’il voudrait ; alors il répondit qu’il désirerait bien avoir un
fils
, mais sans prendre de femme avec lui. Aussitôt le
’OEnopion et d’Erope. Diane, pour se consoler, fixa ses désirs sur un
fils
de Mercure, le berger sicilien Daphnis, auquel Pa
On dit encore que la chaste déesse se prit de passion pour Hippolyte,
fils
de Thésée, qu’elle ressuscita pour lui donner une
larmes versées par l’aurore sur Tithon, son époux, ou sur Memnon, son
fils
. Plus tard, on donna le nom masculin de Lunus à l
landissans de lumière. Les Néléides avaient été instituées par Nélée,
fils
de Codrus. Les Némorales avaient lieu à Aricie, l
cement de septembre, à Athènes et à Thèbes, Branchide de Branchus son
fils
, Carnéen de Carnus son favori, Carpog, Carpogenet
u d’Ixius dans l’île de Rhodes, Latogénès, et Latoïdès, et Latoius ou
fils
de Latone, Leschenor ou le dieu des philosophes e
ycoctone ou le gardien des troupeaux contre les loups, Lycogène ou le
fils
de la Louve, parce que Latone, disait-on, s’était
des Telchines, à Rhodes, Telmessien ou de Telmèse en Lycie, ou de son
fils
Telmessus, Tembrius ou de Tembrus en Chypre, Teme
Troade, Thyrœus ou qui présidait aux portes comme Janus, Titan comme
fils
d’Hypérion, ou Hypérion lui-même, Tortor ou le pu
é l’objet de l’adoration des peuples, long-temps avant la création du
fils
de Latone. Tous l’avaient aussi personnifié : il
or chez les Moabites, Adonis chez les Phéniciens et les Arabes, Orus,
fils
d’ Osiris, chez les Egyptiens, Mithra chez les Pe
es, Dionysius chez les Indiens, Saturne chez les Carthaginois, Horus,
fils
d’Osiris et d’Iris chez les Egyptiens, lequel dev
rsonnifications du soleil : le premier de ces soleils, c’est Apollon,
fils
de Jupiter et de Latone ; c’est le plus connu et
et le seul dont nous nous occuperons. Le second, d’après Hésiode, est
fils
d’Hypérion que l’on croit le Ciel des anciens, et
e écrivain, Diodore, lui fait épouser sa sœur Basilée, dont il eut un
fils
et une fille, Helion ou Helius, ou Helios, et Sél
ses frères. Ceux-ci voulurent l’égorger et noyèrent dans l’Eridan son
fils
Hélius encore enfant. Etait-ce parce que le solei
ard en parlant des Argonautes et d’Hercule. Le troisième soleil était
fils
d’un Vulcain des Egyptiens appelé par eux Opas, A
Opas, Aphtas ou Phtas. Ils considéraient ce dieu des forgerons comme
fils
du Nil. Le quatrième soleil était fils d’Acantho,
nt ce dieu des forgerons comme fils du Nil. Le quatrième soleil était
fils
d’Acantho, et le cinquième était père d’Eéta et d
nt que de cet astre. Ainsi, d’après Cicéron, le premier Apollon était
fils
de Vulcain, et c’était le protecteur d’Athènes ;
le troisième, appelé Nomios, venait d’Arcadie ; le quatrième était le
fils
de Jupiter et de Latone, et le cinquième, que l’o
s, était l’Hyperboréen. Apollon était regardé par les Grecs comme le
fils
de Jupiter et de Latone. Nous l’avons vu naître d
omentanément interrompue par un cruel événement. Ce fut à propos d’un
fils
appelé Esculape qu’il eut de la nymphe Coronie ou
e Coronie ou de toute autre : pour être certain que l’éducation de ce
fils
bien aimé ne serait pas négligée, il l’avait conf
s du maître des Dieux. Jupiter à son tour s’irrite de l’audace de son
fils
, et, voulant venger ses indispensables forgerons,
res de la Grèce antique. Apollon fut reçu chez ce roi comme un propre
fils
; aussi il lui rendit les plus éminens services,
Alceste, fille d’Anaxibie et de Pélias, roi d’Iolchos que nous savons
fils
de la nymphe Tyro et de Neptune. Malheureusement
tels qu’ils semblent avoir dû historiquement se passer. Ce Laomédon,
fils
d’Ilus et père de Priam et d’Hésione, régna sur l
arnassus et actuellement Japera, montagne près de laquelle Parnassus,
fils
de la nymphe Cléodore et de Neptune, avait fait c
s ou qui entonnent les chants ; Ardalides, ou de la grotte d’Ardalus,
fils
de Vulcain et inventeur de la flûte ; Boetia numi
avait eue avec le dieu Pan, elle prit les Muses en nourrice avec son
fils
, lequel, après avoir rendu les plus grands servic
e fureur amoureuse qui les porta à déchirer en morceaux le malheureux
fils
de Calliope. Elle eut encore, dit-on, avec Jupite
ns de mathématiques. On lui donnait aussi le célèbre poète Linus pour
fils
, comme à Calliope et à Terpsichore. De tous ces e
ste fut rangé dans cette illustre famille, et passa par la suite pour
fils
des Muses, afin de donner à la postérité une plus
t-on, du sang de Méduse, reine des Gorgones, qui fut tuée par Persée,
fils
de Jupiter, comme nous le verrons plus tard en pa
suite d’une protection toute spéciale de la déesse pour Bellérophon,
fils
de Glaucus, roi d’Epire ou de Corinthe, et d’Epim
suite, il se tourna vers la mer et fit retirer les flots. Il eut deux
fils
, Isandre ou Pisandre, tué dans la guerre contre l
u Hippodamie dont Jupiter eut Sarpédon. Il eut encore avec Astérie un
fils
, appelé Hydissus. Malheureusement Bellérophon, en
illeuse envie que les vaincus éprouvent après leur défaite. Tamyris,
fils
de Philammon, eut la même audace que les filles d
laire quelques-uns, parmi lesquels on place surtout Midas. C'était un
fils
de Gordius ou de Gorgias et de Cybèle. Il régnait
plement plaisante, mais il ne fut pas si doux avec le satyre Marsyas,
fils
d’Olympe, ou d’Hyagnis, ou d’OEagrus, et né à Cél
exemple de piété filiale que le Dieu récompensa aussitôt ; Dédalion,
fils
de Lucifer, frère de Céyx et père de Chioné : il
ièrement d’Apollon, on remarque le babylonien Clinis, puis Cyparisse,
fils
d’Amyclée de l’île de Céos ; ce Cyparisse était u
et le compagnon pour ainsi dire de la tombe. On connaît encore Epyte,
fils
du roi arcadien Elate, tué à la chasse par un ser
n et de Sparta. Cependant Apollodore fait naître Hyacinthe de Piérus,
fils
de Magnès et de la muse Clio, ou suivant Hygin, i
de la muse Clio, ou suivant Hygin, il descendait au moins d’OEbalus,
fils
de Cynortas, roi de Lacédémone et époux de Gorgop
t de chagrin de ce malheur, qu’Apollon, pour le consoler, changea son
fils
en un oiseau nommé Aropus. Si maintenant nous co
est Chiron, suivant les uns, ou, suivant les autres, c’est Crocus, le
fils
d’Euphémée et le favori des Muses qui le firent p
cinq ans en offrant à Latone une génisse aux cornes dorées, et à son
fils
un bœuf aux cornes pareilles et des chevreaux bla
nt des fêtes militaires à Lacédémone instituées par le troyen Carnus,
fils
de Jupiter et d’Europe et favori d’Apollon, pour
memnon ; l’autre était le petit-fils du premier, et par conséquent le
fils
de Chriséis et d’Apollon ou mieux d’Agamemnon. On
interprétaient avec autant de facilité qu’ils en avaient à tirer les
fils
dont ils se servaient pour mettre en mouvement ce
Persée, commencèrent à perdre de leur crédit en proclamant Alexandre
fils
de Jupiter, n’en conservèrent aucun après Plutarq
e de descendre. Il devait son origine à la disparition de Trophonius,
fils
d’Epicaste, femme d’Erginus, roi des Orchoméniens
e second rang. Voici le nom des devins les plus illustres : Alcander,
fils
de Munichus et de Lélas. Ce Munichus ou Munitus é
mphiaras, roi d’Argos, que nous trouverons devant Thèbes. Amphiloque,
fils
d’Amphiaras qu’il accompagna devant Thèbes, et mo
ras qu’il accompagna devant Thèbes, et mort devant Troie. Amphiloque,
fils
d’Alcméon et de Manto, et neveu du précédent, fut
eu du précédent, fut honoré comme dieu à Orope dans l’Attique. Andre,
fils
d’Anius, grand prêtre d’Apollon. Asbole ou Asbule
x qui, après lui, s’arrogèrent le droit de prédire l’avenir. Calchas,
fils
de Thestor ; nous le verrons dans l’armée des Gre
paraît que ce Carnos différait du troyen du même nom qui passait pour
fils
de Jupiter et d’Europe, favori d’Apollon auquel o
s combats de musique et de poésie, que l’on célébrait en l’honneur du
fils
de Latone, lorsque la lune était dans son plein,
urir les Troyens et furent tués par Diomède. Eurypile, le thessalien,
fils
d’Evémon que nous verrons aller avec les Grecs au
verrons aller avec les Grecs au siége de Troie. Halytherse d’Itaque,
fils
de Mastor. Idmon, devin d’Argos, passant pour fil
lytherse d’Itaque, fils de Mastor. Idmon, devin d’Argos, passant pour
fils
d’Apollon, suivit Jason et ses compatriotes en Co
tor, jadis père de Calchas, de Théoné et de Leucippe. Liode d’Itaque,
fils
d’Ænops, fut tué par Ulysse lors de son retour da
d’Ænops, fut tué par Ulysse lors de son retour dans sa patrie. Mops,
fils
d’Apollon et de Manto, appelée aussi Artémise ou
e Numitor qui fut père de Lausus et de Rhéa Silvia. Mops l’Argonaute,
fils
de la nymphe Chloris et d’un Amycus ou d’Ampix. M
onaute, fils de la nymphe Chloris et d’un Amycus ou d’Ampix. Munyque,
fils
de Dryas, célèbre par son art et par sa piété. Na
s peuples. Phrasios de Cypre fut sacrifié par un Busiris. Polyphidée,
fils
de Mantis, autrement dit Apollon le devin. Polyid
temporain de Minos ii, roi de Crète, vers l’an 1304 av. J.-C. Télème,
fils
d’Euryme ou de Protée, cyclope et devin. Ténère,
. J.-C. Télème, fils d’Euryme ou de Protée, cyclope et devin. Ténère,
fils
d’Apollon et de la nymphe Mélie. Thestor, fils d’
lope et devin. Ténère, fils d’Apollon et de la nymphe Mélie. Thestor,
fils
d’Idnon le devin et de Lathoé, passe aussi pour p
sa patrie, et fut prédire l’avenir à Ithaque. Théodamas ou Tiodamas,
fils
du devin Mélampe, succéda à Amphiaras dans l’expé
uvient, dans une contestation entre Jupiter et Junon. Tisie d’Ithome,
fils
d’Alcis, de Messénie ; il était un très-habile de
endant Anthès d’Anthédon lui dispute cet honneur. Orobante, Philamon,
fils
d’Apollon et de Chioné et père de Tamiris, Pysand
oètes et chanteurs des temps anciens ; ensuite vint le fameux Homère,
fils
de Climène. Il vivait l’an 907 ans av. J.-C., que
t célébrée la victoire d’Apollon sur le serpent Python. Amphion,
fils
de Jupiter et d’Antiope et fondateur de Thèbes en
que le dauphin prit place parmi les astres. Linus que l’on supposait
fils
d’Apollon ou d’Amphimare et d’Uranie ou de Callio
om plusieurs personnages ; car les Thébains, qui le regardaient comme
fils
d’Amphimare et d’Uranie, le faisaient tuer par Ap
que ce Dieu sur le chant, tandis que le maître d’Hercule passait pour
fils
d’Isménius et pour avoir été tué par son élève qu
ce, de la belle Argiope ou Argriope et du célèbre musicien Philammon,
fils
lui-même d’Apollon et de la nymphe Chioné. Linus
e célèbre, Orphée, le divinisé, passait pour petit-fils de Tharops et
fils
d’OEagre, roi de Thrace et de la muse Calliope, o
e, roi de Thrace et de la muse Calliope, ou, selon d’autres, il était
fils
d’Apollon et de la muse Clio, père de Musée et di
à l’athénien Onomacrite, qui vivait 600 ans av. J.-C. On a donné pour
fils
à Orphée Mithon et Musée. Mais ce dernier, père d
lpe, fondateur des mystères d’Eleusis, passe plus habituellement pour
fils
d’Antiphème, et pour un prophète et poète antérie
que l’on avait pieusement déposée dans le temple d’Apollon. Néanthe,
fils
de Pittacus, tyran de Lesbos, ayant entendu dire
ère Eoos. Aurore étant devenue amoureuse du jeune et charmant Tithon,
fils
de Laomédon et frère de Priam, roi de Troie, elle
frère de Priam, roi de Troie, elle l’enleva, l’épousa et en eut deux
fils
dont la mort lui fut si pénible, que ses larmes a
s et nos regrets. Après Tithon, Aurore eut pour second époux Céphale,
fils
d’Eole, et, selon d’autres, de Déion ou Diomède.
logues, rapportant cette fable à l’histoire, disent que Céphale était
fils
de Mercure et d’Hersé, et qu’en punition du meurt
venu infidèle, Procris en mourut de regret. Aurore, après avoir eu un
fils
de Céphale, et après l’avoir laissé retourner aup
sé retourner auprès de sa femme, enleva le bel Orion qui passait pour
fils
de Neptune et d’Euryale. C'était le plus joli gar
éesse : Achalide qui devint mère de Delphus que l’on donne aussi pour
fils
à Céléno ou à Thya ; Alcyonée qui fut probablemen
sœur de Castor et de Pollux que nous retrouverons plus loin parmi les
fils
de Jupiter. Par suite de ses amours avec Apollon,
int mère d’Esculape, et, en cette qualité, elle reçut de même que son
fils
les honneurs divins à Sparte où elle avait un tem
nt à cet inceste ; elle eut encore plusieurs enfans de Neptune et son
fils
Branchus d’Apollon ; Castalie est encore une nymp
t de s’asseoir sur le trépied sacré. Céléno était une fille d’Hyamus,
fils
lui-même de la nymphe Evadne. Apollon rendit Célé
. Elle eut de celui-ci le fameux filou Autolycus que l’on fait encore
fils
direct de Dédalion ; elle eut d’Apollon le grand
peu de temps après. Cette perte affligea tellement son père Dédalion,
fils
de Lucifer et frère de Céyx, qu’il se précipita d
comme né de leur union, quoique souvent on le fasse passer aussi pour
fils
du Soleil et de la Terre, ou de Canacé ; Cléobule
mpétuse ou Phébé, et d’un garçon nommé Phaélon qui passait aussi pour
fils
au moins adoptif de Mérops que Climène épousa à l
e Léonte, ou d’Antion, ou, suivant le plus grand nombre, de Phlégyas,
fils
de Mars et de Chrysa. Elle fut aimée d’Apollon, e
pe. Pendant sa grossesse s’étant éprise d’un autre amour pour Ischys,
fils
d’Elatus, fondateur d’Élatée, et que nous verrons
, de Cyllen et de Stymphale, un corbeau ou, suivant d’autres, Lycius,
fils
de Cléonis, eut l’indiscrétion de venir informer
dans le temple d’Esculape à Sicyone, et qu’elle y partageait avec son
fils
les honneurs divins, de même qu’Arsinoé à Sparte.
elle devint mère d’Aristée ; l’autre était une nymphe qui en eut pour
fils
le célèbre devin et Argonaute Idmon, dont la nais
avec le Dieu du soleil ; Dryope, fille d’Euryte, donna Amphissus pour
fils
à Apollon ; Evippe, fille de Chiron, devint mère
it une fille de l’Océan, elle fut aimée d’Apollon, dont elle eut deux
fils
, Térénus ou Ténérus et Isménus, ainsi que les nym
leil les Telchines, quoique beaucoup d’autres les fassent passer pour
fils
de la mer. Néère était une déesse aimée du soleil
qui portait le même nom. Naupidame eut avec le soleil ou Phorbas, un
fils
appelé Augias. Othréis devint mère avec Apollon d
Othréis devint mère avec Apollon de Phagrus, puis cette nymphe eut un
fils
appelé Milet avec Jupiter. Ocyrhoé l’océanide fut
s, céda aux instances d’Apollon et en eut Linus, que nous savons déjà
fils
de quatre ou cinq muses, Rhoéo ou Rhoio, fille de
eut Macare et Orchime, on lui donnait aussi quelquefois Phaéton pour
fils
ainsi que Cercaphe et Electrion ; Sinope était un
Iphénus et fille du fleuve Pénée, eut de ses amours avec Apollon deux
fils
: Centaure et Lapithèse ; Syllis était une nymphe
ne nymphe qui accepta les offres amoureuses du même Dieu et en eut un
fils
appelé Zeuxippe ; Thalie ou Phytia, fille de Niob
ans qui résultèrent de ces diverses intrigues nous trouvons parmi ses
fils
: Acréphée dont la mère est restée inconnue, et q
on, dont nous connaissons les tristes aventures. Après la perte de ce
fils
chéri, Aristée se mit à voyager et finit par s’ét
ens. Sa statue se voyait à Syracuse, dans le temple de Bacchus. Aloé,
fils
du Soleil et de Circé ou de la terre ou de Canacé
e ou de Canacé, reçut de son père pour héritage l’Asopie, et eut pour
fils
Epopéus, père lui-même de Marathon Amphissus, fil
sopie, et eut pour fils Epopéus, père lui-même de Marathon Amphissus,
fils
d’Apollon et de Dryope, bâtit Oéta et un temple a
nt, suivant quelques auteurs, cette ville aurait dû son nom à Ambras,
fils
de Thesprotus, roi d’Epire, ou bien à Cragalé, vi
d’Apollon ; Actis, fondateur d’Héliopolis en Egypte ; Amphiste était
fils
de Dryope ; Amphitémis ou Garamas avait pour mère
e de Céphalion, à la suite de son mariage avec Tritémis ; Anius était
fils
de Creuse ou Rhoéo, l’histoire ne dit pas s’il ét
it l’un des deux grands prêtres d’Apollon ; cependant on lui donne un
fils
appelé Andros et trois filles OEno ou le vin, Spe
es OEno ou le vin, Spermo ou le grain, Elaïs ou l’huile ; Arabe était
fils
de Babylone, il avait reçu de son père l’art de l
des Argonautes, nous ie retrouverons en parlant d’Hercule, il eut un
fils
appelé Philée ; Branchus était un devin, fils de
nt d’Hercule, il eut un fils appelé Philée ; Branchus était un devin,
fils
de Canacée et de Macarée, son frère, prêtre d’Apo
e et de Macarée, son frère, prêtre d’Apollon, mais que l’on supposait
fils
d’Apollon et de la sœur de son prêtre, il grandit
lon-Philesius ; il rendait ses oracles à Didyme ; Camire passait pour
fils
de Cercaphe, fils lui-même d’Hélios, mais il est
rendait ses oracles à Didyme ; Camire passait pour fils de Cercaphe,
fils
lui-même d’Hélios, mais il est mieux de croire Ca
Cercaphe, fils lui-même d’Hélios, mais il est mieux de croire Camire
fils
d’Apollon et de la nymphe Cydippe, qui n’épousa q
il eut la mauvaise foi de la marier à Cercaphe, son oncle ; Candale,
fils
d’Hélios ou le soleil et de mère inconnue, fut ob
rendre part au meurtre de Ténagès, son frère ; Castalius passait pour
fils
de la terre, mais habituellement on lui donne Apo
ce de Bacchus, d’où vient aux bacchantes le nom de Thyades. Centaure,
fils
de Stilbia, fut le père originaire de ces monstre
ge, et déjà nous connaissons le fameux Chiron, l’un des descendans du
fils
d’Apollon. Cercaphe était né de Rhodès ; Chariclo
ns le ciel sans qu’on sache trop quel rang elle y occupait ; Chrysès,
fils
d’Astinomé, fille elle-même de Chrysès, grand prê
au public, on lui donna une naissance divine et il fut regardé comme
fils
d’Apollon ; Circé, fille du Soleil et de Persa ou
de Troie, en parlant d’Ulysse, avec lequel elle eut Cassiphone et un
fils
appelé Télégone et même, dit-on, Agrius ou Latini
n fils appelé Télégone et même, dit-on, Agrius ou Latinius ; Climène,
fils
du Soleil et de la mère inconnue, fut, suivant Hy
mise ; Climenides, on donne aussi ce nom aux Héliades ; Coronus était
fils
de Chrysorte ; Corybante, fils de Thalie ou de Ph
si ce nom aux Héliades ; Coronus était fils de Chrysorte ; Corybante,
fils
de Thalie ou de Phtie, passait pour le père origi
ou de Phtie, passait pour le père originaire des Corybantes ; Cycnus,
fils
de Thyrie ou de Hyrie, femme de Sténélé, roi de L
Croix ; Cydon, le premier roi de Cydonie, d’après les Crétois, était
fils
d’Acacalis et de Mercure, mais cette mère ayant é
; quant à son père putatif, c’était Tégéatès, roi de Tégée ; Delphus,
fils
d’Acalide, de Céléno ou de Thya, habitait les env
ns du mont Parnasse, et fonda la ville de Delphes, il eut Pythis pour
fils
; Dorus, dont on a quelquefois attribué la naissa
à Pythie et à Apollon est plus connu comme fondateur de la Doride et
fils
de Neptune ; Dryops, fils de Cia. Cet Arcadien pa
plus connu comme fondateur de la Doride et fils de Neptune ; Dryops,
fils
de Cia. Cet Arcadien passe aussi pour avoir été l
le chef des Doriens qui furent s’établir dans le Péloponèse ; Eétès,
fils
de Persa et du Soleil, eut Absyrthe, Chalciope et
mourut vierge et fut une des divinités des Rhodiens ; Eleuther était
fils
d’Ethuse ou d’Aréthuse, fille de Neptune, il donn
donnent à ce médecin diverses origines : les Thessaliens le faisaient
fils
d’Apollon et de Coronis, fille elle-même de Phlég
recueillir par un berger appelé Aresthana, ou Aristhène, ou Autolas,
fils
d’Arcas, lequel fut averti de l’origine de cet en
e lui donner cette ville pour lieu de naissance, et pour père Ischis,
fils
d’Elatus, ou plus communément Arsippe, ou même au
ippe, ou même aussi Apollon, et pour mère Arsinoé, fille de Leucippe,
fils
de Périérès. Alors, honteuse de sa faiblesse, Ars
sculape au grand regret d’Apollon qui, voulant venger la perte de son
fils
bien aimé, perça, comme nous le savons, les Cyclo
rs noms ; ainsi, toutes les variétés d’Asclepias, ou celui d’Arcadie,
fils
d’Apollon et de Coronis, ou celui frappé de la fo
n et de Coronis, ou celui frappé de la foudre, ou celui de Thessalie,
fils
d’Arsippe et d’Arsinoé qui le premier arracha les
é de laquelle il eut une fille appelée Eglée, ou l’éclatante, et deux
fils
Podalyre et Machaon, père de Palémocrate, qui dev
de ce médecin, Alexânor ou qui secourt les hommes, son petit-fils et
fils
de Machaon, Evâmérion ou le génie du bon jour et
acrifices, ils jetaient à la mer des morceaux de pâte. Souvent, comme
fils
d’Apollon, Esculape fut identifié au soleil et re
e de ces aglomérations sous le nom d’un seul et même dieu : Esculape,
fils
d’Apollon et dieu d’Arcadie, inventeur de la sond
est lui qui fut frappé de la foudre et enterré à Cynosure ; Esculape,
fils
d’Arsippe et d’une Arsinoé, inventeur des purgati
it en Sicile Galéotès les devins qui se prétendaient descendans de ce
fils
d’Apollon. Garamas, fils d’Acacallis, était roi d
devins qui se prétendaient descendans de ce fils d’Apollon. Garamas,
fils
d’Acacallis, était roi de Libye, il eut Céphalion
Egialée, Dioxippe, Hélie et Myrope. Ce Phaéton qui passait aussi pour
fils
de la nymphe Rhodé ou d’Aurore, était si brillant
t un jour une dispute avec Epaphus, qui lui reprochait de ne pas être
fils
du Soleil comme il s’en vantait. Phaéton fut tell
yx, dans un élan d’amour paternel, de ne lui rien refuser ; alors son
fils
exigea de lui l’imprudente permission de lui lais
t en peupliers et leurs larmes en grains d’ambre. Phaéton laissa pour
fils
Ligyste, fondateur des Ligyes ou Lygures, on a do
ndateur des Ligyes ou Lygures, on a donné aussi le nom d’Héliades aux
fils
d’Hélius, roi de l’île de Rhodes. Si nous continu
us continuons la liste des enfans d’Apollon, nous trouvons Hypérénor,
fils
d’Alcyonée ; Iamus, devin, premier ancêtre des Ia
remier ancêtre des Iamides ; Icadius ou Icarius, né de Lycie ; Idmon,
fils
d’Antianire ou d’Astérie ou de Cyrène, que nous a
onna son nom à l’Ionie, et avait Achéus pour père putatif ; Isménius,
fils
de Mélie, avait reçu de son père le don de rendre
ndiquée parmi les Héliades ; Laodoque ou Laoduc, connu seulement pour
fils
d’Apollon et de Phthia ; Lapithès était né de Sti
cette race, voici la filiation qui en dérive : il eut d’Arsinomé deux
fils
Périphas et Phorbas, le premier s’étant marié ave
n, père de Pirithoüs, père des Lapithes. Quant à Phorbas, il eut pour
fils
Augias, père d’Agamède et d’Actor, lequel rendit
t Euryte que nous verrons figurer parmi les Troyens ; Léo ou Lycorus,
fils
de Corycie, bâtit une ville de Lycorie, sur la Pa
alion et de Pyrrha s’était arrêtée ; Linos ou Linus, ils étaient deux
fils
d’Apollon portant ce même nom ; l’un né de Psamat
célèbre musicien, 1389 ans avant J.-C ; Lycomède n’est connu que pour
fils
de Parthénope, fille elle-même de Stymphale, qui
prisonnier de guerre de Pelops qui le fit hacher en morceaux ; Macar,
fils
du Soleil et de la nymphe de Rhodé, contribua au
, était d’une naissance fort douteuse, car on ne sait trop s’il était
fils
d’Apollon ou de Neptune et d’Enope ; Mélanée étai
pe ; Mélanée était un grec si habile à tirer de l’arc qu’on le disait
fils
d’Apollon ; Milet, roi de Carie, était né ou d’Ar
Idothée, fille d’Eurytus, roi de cette contrée ; un autre Milet était
fils
de Déione ou d’Aréa ; Mopse se trouvant parmi les
ous ne nous y arrêterons pas davantages ; Naxos ou Naxus était encore
fils
d’Acacallis ; Nomios devait le jour à Cyrène ; Oa
à Cyrène ; Oaxe avait eu pour mère Anchialée ou Acacallis ; Orchimus,
fils
du Soleil et de Rhodès, épousa la nymphe Hégétori
la nymphe Hégétorie, dont il eut Cydippe pour fille ; Oncos ou Oncus,
fils
d’Apollon, donna son nom à l’Oncéatide, en Arcadi
lation de la vierge ; Patare était né d’Apollon et de Lycie ; Persès,
fils
du Soleil et de Persa, détrôna son frère Eétès, a
hasis, fleuve de la Colchide qui se jette dans la mer Noire, il était
fils
, dit la fable, d’Apollon et d’Ocyroé, tous les ef
il figurait au nombre des Argonautes : Phylandre et Phylacis étaient
fils
d’Acacallis, ils furent allaités par une chèvre d
liaisons d’Apollon et d’Evippe, fille de Chiron ; Pythée ou Pythius,
fils
ou plutôt incarnation d’Apollon, vainqueur du ser
ou plutôt incarnation d’Apollon, vainqueur du serpent Python ; Scyros
fils
de Sinope. Telchines, enfans douteux du Soleil
’île de Rhodes, son séjour habituel, ils passaient quelques fois pour
fils
ou de l’Océan ou de Minerve, ils étaient habiles
de la Lycie et fut l’amant de la fille d’Agénor ; Ténère ou Térenus,
fils
de la nymphe Mélie, avait reçu de son père le don
Crenus, roi de Colonnes, en Troade, qu’il devait le jour ; Thersanon,
fils
du Soleil et de Leucothoé ; Triope, fils du Solei
devait le jour ; Thersanon, fils du Soleil et de Leucothoé ; Triope,
fils
du Soleil, avait donné son nom à une ville de Car
fils du Soleil, avait donné son nom à une ville de Carie ; Zeuxippe,
fils
de la nymphe Syllis, succéda à Phestus, roi de Si
n montrant ses arrêts en images sur une glace que l’on tenait avec un
fils
suspendu à la surface de l’eau, Pédophile ou amie
urrisseuse d’enfans, Pelasgis et Pelagique ou du temple que Pélasgus,
fils
de Triopas, lui avait consacré à Argos, Pharia ou
ver, pour puiser de l’eau, les quatre filles de Célée, roi d’Eleusis,
fils
de Pharos, lui-même fils de Cranaüs, nommées Call
, les quatre filles de Célée, roi d’Eleusis, fils de Pharos, lui-même
fils
de Cranaüs, nommées Callidice, Clisidice, Demo et
e, qui avant l’arrivée de Cécrops, gouvernait Eleusis et passait pour
fils
de Neptune et d’Alope, l’une des Harpyes, que l’o
Misma ou Hespere, ou étoile du soir, qu’elle présenta la déesse à son
fils
Ascalabe ou Stellio, qui s’étant mis à rire, en v
t nocturnes de la fausse vieille, la guette et la surprend tenant son
fils
au milieu des flammes. Le danger où elle le voit
lendeur divine et lui reproche d’avoir, par sa méfiance, enlevé à son
fils
l’immortalité qu’il était si près d’obtenir, d’au
udre en traçant un sillon ; Mylès, l’inventeur des meules de moulins,
fils
de Lélex, roi des Lélégues, probablement la plus
ire des maisons et même des villes. Cet Eumèle avait, ajoute-t-on, un
fils
appelé Anthée, qui devint jaloux de Triptolème. U
ait pas vue déjà depuis long-temps. Malheureusement arrive Ascalaphe,
fils
ou amant d’Orphné ou né des ténèbres et de l’Aché
fils ou amant d’Orphné ou né des ténèbres et de l’Achéron lui-même ou
fils
de Gorgyre, l’une des Gorgones assimilée à la nui
Gorgyre, l’une des Gorgones assimilée à la nuit ou à l’ombre ou bien
fils
enfin, de la nymphe-fleuve Styx, généalogie aussi
ybas, dont la mère pourtant passait pour être Cybèle. Ce Jasion était
fils
ou de Jupiter et de l’Atlantide Electre ou de Cor
Dioclès, l’un des quatre premiers élus, Eumolpe, Dolique et Plemnée,
fils
de Sicyon. Eumolpe est le plus célèbre d’entre le
des secrets agriculturaux de Triptolème, l’autre encore de l’Attique,
fils
de Deïobe ou petit-fils de Triptolème, le troisiè
, fils de Deïobe ou petit-fils de Triptolème, le troisième de Thrace,
fils
de Posidon ou Neptune et de Chioné, un quatrième
idon ou Neptune et de Chioné, un quatrième d’Égypte, et un cinquième,
fils
de Musée. Tous doivent-ils se confondre ensemble
econde plus avec une égale efficacité. Ils sont vaincus : Immarade le
fils
de leur auxillaire Thrace succombe dans la mêlée
e pompe le jeune Iacchus ou Bacchus, passant alors comme compagnon et
fils
de Cérès et de Jupiter et non de Sémélée, à le co
roserpine, sa fille, et souvent de Bacchus, considéré alors comme son
fils
et ses véritables doublures. Les Siciliens, qui l
d’Athana. On connaît sur lui deux traditions : d’après l’une il était
fils
de Cécrops et frère des nymphes Cécropiennes ou A
e sacré dans les mystères d’Eleusis. Il était, suivant cette légende,
fils
de Triopas, roi de Thessalie ou de Myrmidon. Un j
suivant les Phéniciens d’Uranus qui, voulant se venger de Saturne son
fils
, la lui envoya avec Astartée et Rhée pour le sédu
éesse, pour l’en récompenser, anima la statue, et Pygmalion en eut un
fils
, nommé Paphos, et fondateur de Paphos. Cythérée,
s ; Idalia, du mont Idalien et de Cypre ; Licaste, ou femme de Butès,
fils
de Borée ; Lubentie et Libentine, ou présidant au
es de Babylone, de Suze et d’Ecbatane, où Artaxerce, roi de Perse, et
fils
de Darius, en avait le premier placé la statue ;
tomba de la blessure d’Uranus, lorsqu’il fut mutilé par Saturne, son
fils
. A nos yeux, elle sera donc une Titanide, nous la
quelque temps après son entrée dans l’Olympe, puisque le premier est
fils
de son alliance adultérine avec Mars. A la vue de
r le plus possible de lui-même, et il en fit l’épouse de Vulcain, son
fils
, le plus difforme des dieux, mais le plus artiste
be pour avoir aidé un jour Vénus, à gagner un pari contre l’Amour son
fils
en ramassant plus de fleurs que lui ; Epidamnia l
e mit au jour les Graces, ses plus fidèles compagnes. Cependant Mars,
fils
de la seule Junon, ne recula pas devant le danger
la fin avait reconnu la puissance et le talent : c’était Apollon, le
fils
de Latone. Dieu du jour, des arts, et le plus bea
établir la généalogie de ce Dieu, il faudrait reconnaître Adonis pour
fils
de Smyrne avec Cynire, fils lui-même de Sandak, i
Dieu, il faudrait reconnaître Adonis pour fils de Smyrne avec Cynire,
fils
lui-même de Sandak, issu d’Astynoüs ou Astronoüs,
e Sandak, issu d’Astynoüs ou Astronoüs, qui devait le jour à Phaéton,
fils
de Tithon enfant de l’Aurore et de Céphale. Cette
utres amours, elle séduisit un paisible pasteur du mont Ida, Anchise,
fils
de Thémis et de Capys et par conséquent petit fil
mont Ida, Anchise, fils de Thémis et de Capys et par conséquent petit
fils
de Tros, premier roi et fondateur de la ville de
e ; mais Vénus le rassura en lui disant qu’elle deviendrait mère d’un
fils
qui, pendant cinq ans serait élevé parmi les nymp
s Vénus en partant, et après lui avoir annoncé qu’il serait père d’un
fils
, lui avait fait jurer de répondre à tous question
i avait fait jurer de répondre à tous questionneurs que la mère de ce
fils
était une nymphe du mont Ida, mais cinq ans après
ils était une nymphe du mont Ida, mais cinq ans après, en recevant ce
fils
que nous connaîtrons plus tard sous le célèbre no
fluence que sa beauté ou son pouvoir exercèrent sur Pâris. Ce mortel,
fils
de Priam roi de Troie et d’ Hécube, ayant été con
oir l’armée des Troyens. Vénus protégea aussi le mariage d’Hippomène,
fils
de Macarée, avec Atalante, fille de Schénée : cet
geance assez terribles ; ainsi pour avoir méprisé son culte, Glaucus,
fils
de Sizyphe et père de Bellérophon, fut dévoré par
plutôt à Lycurgue, roi de Némée. Alors cette reine devint nourrice du
fils
du roi, le jeune Ophelte, qu’elle laissa mourir d
t devint amoureuse d’un ours. Elle eut de cette ignoble alliance deux
fils
, Agrios et Oriôs. Jupiter, à cette vue, ne put re
mathonte, d’Aphrodisium, de Soles et de Salamine. On regarde Climène,
fils
de Phoronée et frère de Chthonie, comme le fondat
urquoi on lui sacrifiait la colombe : elle s’amusait un jour avec son
fils
Cupidon à voir lequel des deux remplirait le plus
r, à l’extrémité du cap de l’île Leucade qui devait son nom à Leucade
fils
d’Icare et frère de Pénélope, princesse que nous
se zélée de Vénus ; d’après Stace enfin, nous ajouterons que Climène,
fils
d’un Phoronée, fonda avec sa sœur Chthonie le cul
nstitué pour la première fois par Etéocle roi d’ Orchomène en Béotie,
fils
d’Andrès et d’ Evippe, passa chez les Athéniens,
et de ces dernières, faisons plus ample connaissance avec l’amour, ce
fils
bien-aimé de Vénus. Eros ou l’ Amour, que l’on a
donc au nombre des principes de la nature. Plusieurs disent qu’il est
fils
de la Nuit et d’ Hérèbe ; d’autres qu’il est fils
rs disent qu’il est fils de la Nuit et d’ Hérèbe ; d’autres qu’il est
fils
d’Ilithye et de Jupiter. Selon Aristophane, qui n
s richesses, enfanta Eros, et que Vénus l’adopta. Sapho le donne pour
fils
au ciel et à la terre ; Alcée à Erix ou la discor
lotes, ou le rapprochement. Il en est d’autres qui le font simplement
fils
de Vénus et de Vulcain ; ou de Vénus et de Mercur
ine ait plus de variantes. Cependant on le regarde généralement comme
fils
de Vénus et de Mars, ou bien enfin de Vénus et de
l’origine à l’origine même des mondes. Alors Eros peut être pris pour
fils
de tous les personnages que nous venons d’indique
hommes sages ; dès lors, on lui reconnut un père, une mère, et il fut
fils
de Jupiter et de Vénus. Plustard on le dédoubla e
son vol rapide les fous à leur perte. Alors il fut, d’après Hésiode,
fils
du Chaos et de la Terre ; d’après Simonide, de Vé
elle-ci lui donna le conseil, pour le faire grandir, d’avoir un autre
fils
. Ce fut, dit-on, à la suite de cet avis que la be
ros comme un dieu guérissant et ennemi de l’Amour ; mais alors il est
fils
de la nuit et de l’Hérèbe, ou de la Nuit et de l’
us, saisissant la circonstance, dit à Thétis : Jupiter a proscrit mon
fils
dès sa naissance, vous pouvez tout aujourd’hui, o
cita dans le cœur de Vénus une telle jalousie qu’elle fut trouver son
fils
, lui fit jurer qu’il punirait son indigne rivale,
leur perfidie. Après ce malheur, Vénus apprit de la renommée que son
fils
était malade, alors elle vole auprès de lui, le t
beauté pour réparer celle qu’elle a perdue pendant la maladie de son
fils
. Psyché part aussitôt sans savoir quel chemin pre
e soi-même, voici à quelle aventure elle dut sa naissance : Narcisse,
fils
ou petit-fils de Céphise qui fut changé en monstr
suivait l’Amour dans le cortége de Vénus. Il passait quelquefois pour
fils
d’Uranus, ou bien d’Apollon et de Calliope ; mais
énéralement, on le considérait comme frère adultérin d’Eros, et comme
fils
de Vénus et de Bacchus ; et puis on lui donne Asc
cchus ; et puis on lui donne Ascale, fondateur d’Ascalon, pour propre
fils
. De tout cela, il résulte un personnage dont la g
ns ses mains un flambeau et un arrosoir. On donne habituellement pour
fils
à Hyménée, Ascale, commandant de l’armée d’un roi
ier ; il présidait aussi aux jeux et plaisirs obscènes ; on le disait
fils
d’une nymphe ou naïade appelée Chioné et de Bacch
ation du cerveau de Jupiter. Cyrno eut de ses amours avec Jupiter un
fils
appelé Cyrnus, qui pourrait fort bien être le mêm
u nombre des maîtresses de son nourrisson. Elara, fille d’Orchomène,
fils
de Mingas roi de Beotie ; elle fut aimée de Jupit
sait pour fille de Garamas roi de Libye ou du pays des Saramantes, et
fils
d’Apollon et d’Acacallis fille de Minos. Cette Ga
nnes différentes, était ou sœur d’Ega, ou Danaïde ou fille de Sélinus
fils
de Neptune et mariée à Ion, qui donna son nom à l
nus roi Scythe, qui à son instigation poursuivit avec acharnement ses
fils
Orythe et Crambis ; d’autres la font mère de Teuc
t eu de ses amours avec Jupiter. Alors ce Deucalion n’aurait plus été
fils
de Prométhée. Quoi qu’il en soit, il pourrait for
nymphe Ausia. Il y eut une autre Méra qui eut de Lycaon l’Arcadien un
fils
nommé Tégéate. Elle était atlantide, c’est-à-dire
nte le nom de deux héroïnes ; l’une était fille de Pérée l’ Arcadien,
fils
lui-même d’Elatus. Elle avait épousé Alée dont el
. Othréis. Nymphe qui fut d’abord aimée par Apollon dont elle eut un
fils
nommé Phagre, ensuite par Jupiter, qui la rendit
asse généralement comme nous allons le voir dans quelques lignes pour
fils
d’ Europe et non d’Egine. Un savant auteur italie
main qu’au prince qui vengerait la mort de ses frères immolés par les
fils
de Ptérélas chefs des Téléboens. Amphitryon son c
et devint enceinte ; elle mit au monde Hercule et Iphicle, le premier
fils
de Jupiter, et l’autre d’Amphitryon. Junon ayant
thènes où elle s’était rendue après la mort et la divinisation de son
fils
. Un silence profond enveloppe le reste de la vie
à Thèbes. Celle-ci accoucha en route ou sur le mont Cythéron de deux
fils
, Amphyon et Zéthus. A son retour dans sa patrie,
lle accoucha suivant les uns, et suivant les autres, elle retouva ses
fils
qui ne tardèrent pas à la venger de ses malheurs.
retrouverons ; seulement nous ajouterons que Nyctée et Epopée étaient
fils
de Neptune, et qu’après avoir enlevé ou du moins
Junon. Une tradition la fait vivre jusqu’à l’adolescence d’Arcas son
fils
, et la fait poursuivre un jour à la chasse par ce
ce d’Arcas son fils, et la fait poursuivre un jour à la chasse par ce
fils
; dejà il s’apprêtait à la tuer, quand Jupiter, p
, quand Jupiter, pour prévenir ce parricide, transporta la mère et le
fils
dans les cieux, où ils forment les constellations
ule la Danaïde, dans le second, elle serait née de l’Union de Phénix,
fils
d’Agénore, avec Cassioppée, fille d’Arabius ; et
e aurait pour père le vieil Ogygès, le plus ancien roi de la Grèce et
fils
de Neptune ; mais ces versions se tiennent et s’e
barque l’amena à la côte, ouvrit le coffre et y trouva la mère et le
fils
encore vivans ; alors il les conduisit au roi Pol
le devint mère de Minos I ; puis elle eut encore de Jupiter, ses deux
fils
Sarpédon et Rhadamanthe ; ensuite elle épousa, di
par un capitaine nommé Taurus, qu’on lui donne même quelquefois pour
fils
, et de ce capitaine, elle eut ses trois enfans qu
, Agénor son père la fit chercher de tous les côtés, et ordonna à ses
fils
de s’embarquer et de ne point revenir sans elle.
retrouver, Cadmus fut bâtir Thèbes ; Cilix, dit aussi par Apollodore
fils
de Phénix, fonda la Cilicie ; Thassus fut on ne s
Cléopâtre fille de Borée, roi des Vents et d’Orithye. Il en eut deux
fils
Plexippe et Pandion ; par la suite ayant répudié
, ville qu’il avait fondée. Quant à Astérius époux d’Europe, il était
fils
de Teatame ou Tertame, et d’une fille du roi de C
ue lui seul sous le nom de Jupiter, enleva Europe, dont il adopta les
fils
, ou même qu’il fut le père des enfans que nous co
é, amante de Jupiter, méritent en outre quelques mots ; car Phoronée,
fils
d’Inachus roi d’Argos, réunit et poliça les habit
a leur première ville. Quelques personnes prétendent qu’il est appelé
fils
d’Inachus, parce qu’il habitait le bord d’une riv
blissement qui prit ensuite le nom d’Argos, l’an 1635 avant J. C. Son
fils
Apis né de Cinna, fut s’établir en Égypte où il s
de Sérapis. Niobé sa fille eut en outre de ses amours avec Jupiter un
fils
que l’on appela également Apis, mais que rien ne
intemps. Si nous suivons cette fable, nous voyons qu’Inachus était un
fils
de l’Océan et de Thétis, c’est-à-dire, venu proba
il en soit, Inachus après l’enlèvement de sa fille, envoya Cyrnus son
fils
ou son ministre à la tête d’une flotte, ainsi que
nus son fils ou son ministre à la tête d’une flotte, ainsi que Gordys
fils
de Triptolème pour chercher Io. Ceux-ci n’ayant p
t, sur cet Argus que l’on surnomma Panopte ou qui voit tout. Il était
fils
d’Arestor, avait cent yeux dont cinquante restaie
ormer. Elle était femme de Tindare et fille de Thestius roi d’Étoile,
fils
d’Agénor ; sa mère était Pantidye princesse de La
e transition agréable pour passer à la longue et pénible série de ses
fils
. Les filles de ce Dieu se bornent à quelques-unes
avail. Mais Platon lui donnait pour père Porus dieu de l’abondance et
fils
de Métis, et pour mère Pœnia ou la pauvreté. Cepe
s charmes, l’enleva, et la mit sous la garde de sa mère, et en eut un
fils
dont le nom n’est pas parvenu jusqu’à nous. Casto
en Béotie ; Itonia et Itonide ou du temple que lui construisit Itonus
fils
de Deucalion, chez les Caronéens en Béotie ; Laos
la pauvre Arachné cherchait à se pendre. Cette imprudente laissa pour
fils
Closter ou le fileur auquel on attribue l’inventi
de Troie. Elle prit le tonnerre des mains de Jupiter et foudroya Ajax
fils
d’Oilée, pour venger la violence qu’il avait fait
us celui d’Athèna ; aussi Erichthonius, que nous connaissons pour son
fils
supposé, institua en son honneur les fêtes appelé
Méduse, l’une des Gorgones, et nous verrons comment Persée, l’un des
fils
de Jupiter, la combattit, la mit à mort et lui co
Alcippe, fille de Mars et d’Agraule, née de Cécrops par Halirrhothe,
fils
de Neptune. Ce Posidon, non satisfait de l’avoir
ture et les institutions législatives. Elles le faisaient passer pour
fils
de la terre et de Praxithée femme d’un Erichthée
esthée, Démophoon, Oxinthès, Aphidas, Thyméthès, Mélanthe et Codrus.
Fils
de Jupiter. Si connaissant les filles de Jupiter
t la plupart de leurs descendans les plus importans, nous passons aux
fils
du maître des Dieux, nous en trouverons beaucoup
apidement pour arriver ensuite aux plus remarquables. Amphion, était
fils
de Jupiter et d’Antiope, fille de Nyctée épouse d
Argonautes ; puis il épousa Niobé fille de Tantale, dont il eut sept
fils
et sept filles que nous avons vus périr victimes
fait monter au ciel ; mais avant il épousa Léanire dont il eut trois
fils
, Aphidas, Azan, Elate, qui se partagèrent ses éta
e Minyas, épousa pour devenir mère d’Atalante et d’Apis. Arcésilas,
fils
de Jupiter et de Torrébie fut le frère de Carius.
as, fils de Jupiter et de Torrébie fut le frère de Carius. Arcésius
fils
de Jupiter et d’Europe, est remarquable parce qu’
d’Icarre, et père de Télémaque. Argus fut le troisième ou quatrième
fils
d’Argos, ou fils de Jupiter et de Niobé, fille de
de Télémaque. Argus fut le troisième ou quatrième fils d’Argos, ou
fils
de Jupiter et de Niobé, fille de Phoronée. Il suc
son oncle Apis. Il épousa Evadné fille du Strymon dont il eut quatre
fils
Criasus, Ecbasus, Piranthus, Epidaurus, et selon
el Argus-Panoptès après avoir épousé Ismène fille d’Asope en eut pour
fils
Iasus. Quant à Triopas, il fut père de Messène, d
n autre Iasus et d’Agénore père de Crotopus, lequel eut Psamathé pour
fils
. Alymnius, fils de Jupiter et de Cassiopée, fut
d’Agénore père de Crotopus, lequel eut Psamathé pour fils. Alymnius,
fils
de Jupiter et de Cassiopée, fut l’ami intime de S
qu’on le célébrait en septembre ; Bugénès ou né d’un bœuf, soit comme
fils
de Jupiter Ammon qui avait une tête de bélier sur
ontée de cornes, soit parce que lui-même avait des cornes ; Cadmée ou
fils
de Cadmus par Sémélée sa mère ; Calydonius ou de
tor ou aux deux mères ; Dimorphos ou aux deux formes ; Diogenès ou le
fils
de Jupiter ; Dionysios et Dionyoes ou le Bacchus
guerre des Géans l’avait encouragé en lui criant : eu, uie, bien, mon
fils
; Gorgius ou de Gorgia dans l’ile de Samos ; Giga
uvieuse, pendant laquelle venaient toujours ses fêtes ; Iacchos ou le
fils
de Cérès ; Inverecundos Deus, io Bacche, nom que
Lacédémone ; Sphalie ou qui chancèle ; Staphylite ou de Staphylus son
fils
; Tauritephale et Tauriceros et Tauriceps et Taur
Vitisator ou le planteur de vigne ; Zagrée ou le grand chasseur ou le
fils
de Jupiter et de Proserpine. Les noms sous lesque
un conquérant des Indes ; un autre auquel on donne des cornes, était
fils
de Jupiter et de Proserpine, et le troisième, app
Cicéron bouleversant cette opinion, indique cinq Bacchus savoir : un
fils
de Jupiter Ammon et de Proserpine ; un autre fils
Bacchus savoir : un fils de Jupiter Ammon et de Proserpine ; un autre
fils
de Nilus un troisième fils de Caprius, roi d’Asie
Jupiter Ammon et de Proserpine ; un autre fils de Nilus un troisième
fils
de Caprius, roi d’Asie ; un quatrième né de Jupit
oi d’Asie ; un quatrième né de Jupiter et de Luna ; puis un cinquième
fils
de Nysus et de Theone. Quant aux Grecs, ils réuni
s grossiers anachronismes qu’ils commettaient, ils en firent un petit
fils
de Cadmus, fondateur de Thèbes, un vainqueur des
el que la fable grecque nous le transmet. Bacchus, dieu du vin, était
fils
de Jupiter et de Sémélée, petite fille de Thyoné
gnons de Bacchus, tels furent Achate ou Chalis ; Ampelos ou la Vigne,
fils
d’un satyre et d’une nymphe, Cérasos ou Cérassus,
ayant été accueilli d’une manière fort civile à Athènes, par Icarius,
fils
d’Oebale, et par sa fille Erigone ; il y séjourna
de musique des fêtes de Bacchus. Phlias que l’on croyait quelquefois
fils
d’Ariadne, passait plus généralement pour devoir
htonophile ou bien à Aréthyrée, sœur d’Aoris. On le croyait également
fils
de Cisus et non du dieu du vin Staphyle, habituel
fils de Cisus et non du dieu du vin Staphyle, habituellement supposé
fils
d’Erigone, parce que son nom signifiait grain de
us portèrent en Béotie le culte de Bacchus ; mais leur neveu Penthée,
fils
du sparte Echion et d’Agavé, et roi de Thébes, vo
ons de le voir, par sa propre famille, nous trouvons encore Lycurgue,
fils
de Dryas et roi de Thrace. Il avait voulu attaque
fureur qu’il aurait, en coupant ses vignes, mutilé les jambes de son
fils
Dryas et les siennes, et qu’il aurait ensuite, pa
donnerait son enfant, et Leucippe ayant été désignée, elle livre son
fils
Hippase, et le dévore de compagnie avec ses sœurs
Bacchus, et passait pour être né à Malé dans l’île de Lesbos, et pour
fils
de la terre et de Mercure ou d’Uranus. Lorsque Ba
thyrse, et tenant dans tous les cas une tasse à la main. Il eut pour
fils
, on ne sait trop de quelle nymphe, Atheus, Clèogè
rivage une grosse coquille, il en tira des sons si effrayans, que les
fils
de la Terre, saisis de peur, s’échappèrent en dés
ittaire fut après sa mort élevé au ciel par Jupiter ; les Egipans ses
fils
ou divinités agrestes ou aux pieds de chèvre, hab
considération le surnom de Faunigentes ou Faunigènes. Ce Faunus était
fils
de Picus et frère et époux de Fauna, d’abord appe
souvent. Les Romains regardaient en outre Nemestinus ou Nemestrinus,
fils
de Faunus, comme le dieu souverain des Faunes et
ou le protecteur de la multiplication des troupeaux. Il passait pour
fils
d’un berger de Sybaris ou de Saturne, ou même de
r, du repas et du découpeur ou des réunions. Mais revenons aux autres
fils
de Jupiter. Carius, était fils de Torrébie, il e
es réunions. Mais revenons aux autres fils de Jupiter. Carius, était
fils
de Torrébie, il enseigna la musique aux Lydiens q
sur une montagne à laquelle ils donnèrent son nom. Carne ou Carnée,
fils
de Jupiter et d’Europe, fut celui qui institua le
au. Castor et Pollux, jumeaux que l’on regarde l’un et l’autre comme
fils
de Léda et de Jupiter ; mais le plus souvent Poll
s et surnoms qu’on leur donnait : on les appelait donc : Dioscures ou
fils
de Jupiter, quand on les considérait comme nés de
iter, quand on les considérait comme nés de ce dieu, et Tyndarides ou
fils
de Tyndare, lorsqu’on ne les envisageait que comm
Pollux vainquit au combat du ceste, et tua Amycus, roi des Bébrices,
fils
de Neptune, et le plus redouté des athlètes de so
r fraternel, dans la bonne, comme dans la mauvaise fortune. Colaxès,
fils
de Jupiter et de la nymphe Ora, fut roi dans la B
un Jupiter, orné de la foudre en mémoire de sa naissance. Corinthus,
fils
de Jupiter, donna son nom à la ville d’Ephyre, qu
nna son nom à la ville d’Ephyre, qui depuis s’appela Corinthe. Crès,
fils
de Jupiter et de la nymphe Idée, fut le premier r
ersonnifie les premiers habitans de la Crète. Il mourut et laissa son
fils
Tale sur le trône. Crinacus, fils de Jupiter et
la Crète. Il mourut et laissa son fils Tale sur le trône. Crinacus,
fils
de Jupiter et père de Macarée, fut le premier hab
ère de Macarée, fut le premier habitant de l’île de Lesbos. Cronius,
fils
de Jupiter et de la nymphe Himalie, était surnomm
Jupiter et de la nymphe Himalie, était surnommé le Cyprien. Cyrnus,
fils
de Jupiter et de Cyrno, fut le premier homme aux
es habitans de Thérapné, qui prirent de lui le nom de Cyrnos. Cytus,
fils
de Jupiter et de la nymphe Rhodienne Himalie. D
ymphe Rhodienne Himalie. Deucalion : nous ne reviendrons pas sur ce
fils
de Prométhée, et époux de Pyrrha, sa parente, don
ophories, en mémoire de ce qu’il avait été sauvé des eaux. Dardanus,
fils
de Jupiter et d’Electre, fille d’Atlas, naquit en
mbre de héros et demi-dieux, mais c’est à propos de Castor et Pollux,
fils
de Jupiter, qu’il est personnifié. Eaque, fils d
de Castor et Pollux, fils de Jupiter, qu’il est personnifié. Eaque,
fils
de Jupiter et d’Europe, ou plus habituellement d’
, et le troisième y parvint par la muraille qu’Eaque avait élevée. Ce
fils
de Jupiter, épousa Endéis, fille de Chiron, dont
Ce fils de Jupiter, épousa Endéis, fille de Chiron, dont il eut deux
fils
, Pelée et Télamon. Il eut aussi de la Néréide Psa
deux fils, Pelée et Télamon. Il eut aussi de la Néréide Psamathée, un
fils
nommé Phocus. Télamon, après s’être marié, comme
ues émigrés Thessaliens, probablement appelés Myrmidons. Egipan, cru
fils
de Jupiter, et d’Ega, épouse de Pan, dieu des ver
es descendans devinrent des espèces de divinités champêtres. Ellops,
fils
de Jupiter, donna son nom à une tribu de l’île d’
une tribu de l’île d’Eubée, qui prit de là, celui d’Ellopie. Epaphe,
fils
de Jupiter et d’Io, épousa Cassiopée, dont il eut
su des dieux. Mais la preuve que Phaéthon lui en donna, fit mourir ce
fils
d’Apollon. Ethalion, fils de Jupiter et de Proto
e que Phaéthon lui en donna, fit mourir ce fils d’Apollon. Ethalion,
fils
de Jupiter et de Protogénie, fille de Deucalion.
n. Ethlétères ou Lutteurs, noms que l’on donnait à Caslor et Pollux,
fils
de Jupiter. Ethlios, fils de Jupiter et de Proto
noms que l’on donnait à Caslor et Pollux, fils de Jupiter. Ethlios,
fils
de Jupiter et de Protogénie, fut l’époux de Calyc
père d’Endymion. Il fut, dit-on, le premier roi des Eléens. Gargare,
fils
de Jupiter, naquit en Troade, et donna son nom à
ne montagne, une ville et un lac, situés en cette province. Géreste,
fils
de Jupiter, donna son nom à une ville de l’île d’
de Jupiter, donna son nom à une ville de l’île d’Eubée. Hercule, le
fils
de Jupiter, le plus célèbre des Demi-Dieux, porta
onstres, Amicus ou l’ami protecteur des réussites, Amphitrioniadès ou
fils
d’Amphitrion, Anicete ou l’invisible, Æonius Deus
Gaditanus ou de Gadès, actuellement Cadix, Héraclammon ou l’hercule,
fils
de Jupiter-Ammon, Héraclès c’est-à-dire Hercule e
sis ou Hercule à genoux, Ipoctonos ou qui détruit les vers, Jovius ou
fils
de Jupiter, Libys ou le fondateur de Capsa dans l
OEta où il se brûla, Olenus se prend quelquefois pour Hercule, comme
fils
de Jupiter, Olivarius ou à la massue d’Olivier, O
auquel on dut l’institution des jeux olympiques ; le troisième fut le
fils
de Jupiter et d’Alcmène, son existence ne remonte
compte six Hercules qu’il classe ainsi : le plus ancien, dit-il, est
fils
de Lysite le premier de tous les Jupiter, il se b
re à une question qu’il lui avait adressée. Le second est l’Egyptien,
fils
du Nil ; le troisième est un des Dactyles indéens
par les Tyriens, et passant suivant eux pour le père de Carthage, est
fils
de Jupiter et d’Astérie sœur de Latone. Le cinqui
Le cinquième nommé Bel est adoré dans les Indes, et le sixième est le
fils
de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphytrion, et c
Voici la fable dont ils l’avaient entouré. Amphytrion, disaient-ils,
fils
d’Alcée et petit fils de Persée, ayant tué par ac
ls l’avaient entouré. Amphytrion, disaient-ils, fils d’Alcée et petit
fils
de Persée, ayant tué par accident Electryon roi d
onnerre se fit entendre à coups redoublés et Alcmène accoucha de deux
fils
, Iphillus ou Iphiclès et Hercule. Junon, toujours
i que ce fut Amphytrion qui, voulant savoir lequel des deux était son
fils
, mit ces deux serpens auprès du berceau des enfan
ns, alors Iphicle en fut effrayé ; mais Hercule prouva qu’il était le
fils
du maître des dieux en étranglant les deux reptil
elle s’établir à Tirynthe, ville de l’Argolide, fondée par Tiryntius,
fils
d’Argus. Ce fut en outre vers ce même temps, qu’i
r celui-ci ayant promis à Junon, que celui qui naîtrait le dernier du
fils
d’Alcmène, ou de celui de Sthénélus, serait forcé
d’obéir aux ordres de l’autre. Junon avança la naissance d’Eurysthée,
fils
de Sthénélus, et dès-lors, Hercule étant né le de
mné à nétoyer les étables d’Augias, roi d’Elide, l’un des Argonautes,
fils
de Phorbas ou d’Hélios, et de Naupidame, fille d’
es animaux, oiseaux que l’on croyait nés de Stymphale, roi d’Arcadie,
fils
d’Elate et de Laodicé. les uns disent qu’il les p
t-on, l’amant heureux de Pasiphaé, l’épouse du roi Minos. 9° Diomède,
fils
de Mars et de Cyrène, roi des Bistones en Thrace,
il immola toute la famille de ce parjure, à l’exception de Priam, son
fils
, qu’il mit sur le trône et qu’il donna à Télamon,
ité de voir sa sœur la proie d’un étranger, ce Priam envoya Paris son
fils
, en Grèce pour la réclamer, ou pour enlever plus
erre de Troie, dont nous donnerons bientôt la description. 11° Antée,
fils
de la Terre et de Neptune, était un géant de 64 c
e ses faibles adversaires. Hercule étant arrivé, fut attaqué, mais le
fils
d’Alcmène, après l’avoir terrassé trois fois, s’a
triple corps, muni de six mains, de six pieds, et de six ailes, était
fils
de Chrysaor, et de Callirhoé. Il passait pour le
sept têtes, monstre, moitié femme et moitié serpent, que l’on disait
fils
de Tiphoé et d’Echidna, frère de Cerbère et de l’
ver quelques difficultés ; car, Dercynus et Albion ou Bergyon, géans,
fils
de Neptune, lui enlevèrent ces bestiaux, lors de
ur les bords du Tibre son troupeau, s’endort. Pendant son sommeil, un
fils
de Vulcain, le géant Cacus, personnage ayant beau
ile qu’il fut provoqué par le roi d’une partie de cette île, par Erix
fils
de Butès, ou de Neptune et de Vénus ; Hercule l’a
ones. Ces Hespérides ou Atlantides étaient petites filles d’Hespérus,
fils
de Japet et frère d’Atlas, et filles de ce même A
ait-on mis pour défendre l’approche de ces fruits Hespérius ou Ladon,
fils
de la Terre ou de Typhoé et d’Echidna, dragon ter
nous le savons, aux mânes de son père, en place de son époux Admète,
fils
de Phérès et de Périclymène qui l’avait épousé ap
de chaînes, les fait tomber sous ses coups, et immole Busiris, et son
fils
Ephidamas, aux pieds de Jupiter. Ce service décid
u’il peut rencontrer. Ainsi, chez ces mêmes Thraces, il tue Sarpédon,
fils
de Neptune, pour s’être emparé du trône de Cotys,
e et de Tyro, femme de Créthée, roi d’Iolchos. Ce roi étant mort, son
fils
légitime Eson, voulut faire valoir ses droits, ma
ors il épousa Chloris, fille d’Amphion ; il en eut une fille et douze
fils
, famille nombreuse dont il fut si ]fier, qu’il os
Augias, il marcha contre Hercule, qui tua cet imprudent, et tous ses
fils
, parmi lesquels on distinguait Agéroque, le fier
a plus jeune qui resta vierge et lui servit de prêtresse. Ce Thespius
fils
d’Erecthée ou d’Agénor ou de Mars et d’Andronice
et d’Andronice ou Démonice, fille d’Agénor, avait eu non-seulement un
fils
appelé Eurypyle, tué par Méléagre, mais encore ce
cette dernière ; Iphis, mère de Celeustanor ; Laonomène, mère de deux
fils
, Ménippe et Télès ou Célès, et deux filles, Stent
as, et on les confond ensemble. Cependant on regarde ce dernier comme
fils
de Pandion, roi de Cilicie et de Mysie, et l’on p
Calydon. La belle Déjanire ayant également séduit le fleuve Acheloüs,
fils
de l’Océan et de Téthys ; ce fleuve voulut la dis
ait de ces victoires célèbres, il apprend qu’Euryte, roi d’Œchalie et
fils
de Mélas, a promis sa fille Iole à celui qui le s
le à sa cour, gagne le prix ; mais Euryte, malgré les conseils de son
fils
Iphitus, refusa sa fille à Hercule. Alors celui-c
ieux fait seul le siége d’OEchalie, tue à coups de massue le roi, son
fils
Molion et quatre-vingt-seize hommes, puis il fait
sa tête, confie ses flèches à Philoctète, et ordonne à ce Philoctète,
fils
de Pœan, roi de Thessalie, d’y mettre le feu et d
t tué deux des compagnons d’Hercule ; Croton, héros italique ; Cyate,
fils
d’Archétèlès ; étant échanson d’Œneus, il eut la
e du même nom, l’un des Géans qui combattaient les Dieux ; Hippocoon,
fils
d’OEbalus et de Gorgophone et frère de Tyndare, s
ils d’OEbalus et de Gorgophone et frère de Tyndare, succomba avec ses
fils
: Hormène, Bucole, Doryclée, Enasphore, Euryté, d
aulochus, pour avoir volé sur les grands chemins ; Leprèas ou Leprée,
fils
de Glaucos et d’Astydamie, voulut soutenir Augias
nt contre le héros, sous les coups duquel il expira ; Lycus ou Lycas,
fils
de celui de Thèbes et de sa femme Dircé ; Mégabro
ien, qui combattait les Argonautes sur les côtes de Cyzique ; Mydion,
fils
d’Amycus, fut tué pour avoir voulu secourir son a
fut tué pour avoir voulu secourir son ami Lycus ; Phinée roi Thrace,
fils
d’Agénor, épousa Cléobule ou Cléopâtre, fille de
hye, et devint père de Plexippe et de Pandion ; Polygone et Télegone,
fils
de Protée, succombèrent pour avoir osé défier Her
d, pour avoir ravagé une contrée de l’Elide ; Syleus, roi d’Aulide et
fils
de Neptune, irrita Hercule pour avoir été travail
s-nous pas oublier de mentionner au nombre de ces derniers ; Euryale,
fils
de Ménélas, et Slénèle, fils d’Androgée et frère
ner au nombre de ces derniers ; Euryale, fils de Ménélas, et Slénèle,
fils
d’Androgée et frère d’Alcé ; plus rarement encore
Hercule avec l’ellébore, cueillie dans le Golphe de Corynthe ; Argée,
fils
de Licymnius, né lui-même de Midéc et d’Electryon
the ; Argée, fils de Licymnius, né lui-même de Midéc et d’Electryon,,
fils
de Persée et d’Andromède, époux de sa nièce Anaxo
un Argonaute ; Coryte jeune Iberien, inventeur des casques ; Daméon,
fils
de Phlionte, fut avec notre héros, contre Augèe e
fut avec notre héros, contre Augèe et fut tué par Ctleatus ; Déiléon,
fils
de Déimaque, marcha contre les Amazones, qu’il re
mier près de Sinope ; Démoléon fut aussi de cette expédition ; Diome,
fils
de Colyte, obtint les honneurs divins ; Egimius,
trône par Hercule, et laissa par reconnaissance sa couronne à Hillus,
fils
de ce héros ; Gyas, fils de Mélampe et frère de C
ssa par reconnaissance sa couronne à Hillus, fils de ce héros ; Gyas,
fils
de Mélampe et frère de Cissée ; Hélacate et Hylas
e Cissée ; Hélacate et Hylas, favoris fort aimés d’Hercule ; Hippase,
fils
de Ceix, roi de Trachine ; Mélampe, père de Cissé
émée plutôt que pour obéir aux ordres d’Eurysthée ; Myscélus d’Argos,
fils
d’Alémon, suivit Hercule, et s’établit ensuite en
on, suivit Hercule, et s’établit ensuite en Italie ; OEnonc ou Oncus,
fils
de Licymne frère d’Alcmène, et par conséquent le
Phormion, pécheur d’Erythrée, auquel Hercule rendit la vue ; Poltis,
fils
de Neptune et frère de Sarpédon, reçu Hercule au
roïques, en mémoire de l’amitié dont Hercule le favorisait ; Sténèle,
fils
d’Actor, suivit Hercule contre les Amazones ; Sti
nues. Il fut, dit-on, introduit surtout en Italie, par Evandre, petit
fils
de Pallas et chef de la colonie d’Arcadiens qui f
rne et l’on reportait l’âge d’or de l’Italie à son règne. Il eut pour
fils
Pallas, que nous verrons porter des secours à Ené
rand rôle ; enfin les Onomates furent ordonnées à Sicyone par Phestus
fils
d’Hercule pour faire honorer son père, non pas co
et mère d’une autre Panope, dont le nom se rapporte quelquefois à un
fils
d’Hercule ; Parthénope. Phyllone on Phillo, fille
furent nombreuses il en fut de même de ses enfans, ou du moins de ses
fils
; car, ses filles bien connues, se bornent à Alex
gner sur les bords de l’Achelaüs ; Stentédice de la Thesp Laonomène.
Fils
d’Hercule. Les fils de ce héros portent les noms
e l’Achelaüs ; Stentédice de la Thesp Laonomène. Fils d’Hercule. Les
fils
de ce héros portent les noms suivans : Acélus, fi
ls d’Hercule. Les fils de ce héros portent les noms suivans : Acélus,
fils
de Malie ; Acinète, de Mégare, Adraste, Aaathyrsu
athus, fondateur d’Amathonte ; Amestrius, de la Thesp. Eone ; Anthès,
fils
d’Halcyone ; Antias de la Thesp. Aglaïa ; Antidus
ou à la Thesp. Argela, il fut la tige des Rois de Lydie. Créonuadès,
fils
de Mégare, fut tué par Hercule, à son retour des
enfers. Clésippe ou Etésippe de Déjanire ; un autre du même nom, est
fils
d’Astydamie. Cyrnus, fondateur de la Corse ; Déic
; Glycizonète, Halocrate de la Thesp. Olympuse ; Hannus et Helvétik,
fils
de mère inconnue et frères de Boïus, le second do
t le même que Lamos ; Léontiade et Leucippe d’Augée ; Leucippe, autre
fils
d’Hercule et de la Thesp. Marsé ou Eurytèle ; Leu
de Laonomène ; Mentor de la Thesp. Asopis ; Myscellus, cru également
fils
d’Alcmon, fut le fondateur de Crotone en Italie.
on entend par Héraclides, ceux qui descendaient d’Hercule, par Hyllus
fils
de Déjanire. D’abord chassés de Mycènes et de tou
fut tué dans ce combat ; cependant on le fait tuer aussi par Echème,
fils
d’Europe ou d’Ærope ; et il en fut de même ensuit
, fils d’Europe ou d’Ærope ; et il en fut de même ensuite de Cléodée,
fils
d’Hyllus, et d’Aristomaque, fils de Cléodée qui f
l en fut de même ensuite de Cléodée, fils d’Hyllus, et d’Aristomaque,
fils
de Cléodée qui firent une seconde et une troisièm
troisième tentative ; il n’y eut qu’Aristomène, Cresphonte et Témène,
fils
d’Aristomaque qui, vers l’an 1104 av. J.-C. ou 80
rriver à rentrer dans l’héritage d’Hercule sous les auspices d’Oxile,
fils
d’Hémon, et avec le secours des Naupactiens ; et
le secours des Naupactiens ; et après s’être débarrassés d’Eurybios,
fils
d’Eurysthée ; de Pamphyle, fils d’Égime ; et de P
après s’être débarrassés d’Eurybios, fils d’Eurysthée ; de Pamphyle,
fils
d’Égime ; et de Péon, fils d’Antiloque. Aussitôt
’Eurybios, fils d’Eurysthée ; de Pamphyle, fils d’Égime ; et de Péon,
fils
d’Antiloque. Aussitôt ils se partagèrent cet héri
de Ctésippe, Alétès ou Halète, premier roi Héraclide de Corynthe, et
fils
d’Hippote ; Antimaque, Antimène, fils de Déiphon
r roi Héraclide de Corynthe, et fils d’Hippote ; Antimaque, Antimène,
fils
de Déiphon ; Archélas, petit-fils d’Hercule ; Arc
Syracuse ; Aristodème, Bacchis, cinquième roi de Corynthe ; Callias,
fils
de Témène ; Caranus, le septième des Héraclides q
qui chassa Midas, et fonda la macédoine l’an 807 av. J.-C. ; Céryne,
fils
du roi d’Argos, qui donna son nom à la coline sur
e sur laquelle Hercule surprit la biche aux pieds d’airain ; Cléodée,
fils
d’Hyllus ; Climène, fondateur du temple de Minerv
limène, fondateur du temple de Minerve à Cidonie en Crète ; Clytonée,
fils
de Temène ; Déiphon, époux d’Hyrneste ; Diodore,
yte tua Polyphonte ; Hyrnéto, fille de Temène, épousa Déiphon ; Minos
fils
de Bel, et arrière petit-fils d’Hercule ; Phylas
Déiphon ; Minos fils de Bel, et arrière petit-fils d’Hercule ; Phylas
fils
d’Antiochus ou petit fils d’Hercule ; Pion, fonda
l, et arrière petit-fils d’Hercule ; Phylas fils d’Antiochus ou petit
fils
d’Hercule ; Pion, fondateur de la Pionie, en Mysi
etit fils d’Hercule ; Pion, fondateur de la Pionie, en Mysie ; Samos,
fils
d’Ancée et de Samie, et petit fils d’Hercule ; Sa
ur de la Pionie, en Mysie ; Samos, fils d’Ancée et de Samie, et petit
fils
d’Hercule ; Sarde, issu d’Hercule l’Égyptien, fut
ef des Hydiens qui colonisèrent la Sardaigne. Maintenant revenons aux
fils
de Jupiter : Iarbas, fils de Jupiter-Ammon, et d’
èrent la Sardaigne. Maintenant revenons aux fils de Jupiter : Iarbas,
fils
de Jupiter-Ammon, et d’une nymphe du pays des Gar
par l’histoire comme roi des Numides, l’an 888 av. J.-C. Lacédémon,
fils
de Jupiter et de Taygète fille d’Atlas, épousa Sp
barbe épaisse, des cheveux touffus et avec un casque sans cimier. Son
fils
Amyclas épousa Diomède, fille de Lapithès, et en
e rendit père de Cléopâtre. Enfin nous ferons observer que cet Icare,
fils
de Cynortas, épousa Péribée, et devint père d’Alé
e Damasippe et de la belle et sage Pénéloppe, femme d’Ulysse. Locre,
fils
de Jupiter et de Néère ; il aida Amphion dans la
; il aida Amphion dans la construction des murs de Thèbes. Mégarus,
fils
de Jupiter et d’une nymphe Sithnide ; il échappa
, ce qui fit donner à cette montagne, le nom de géranienne. Mélitée,
fils
de Jupiter et d’Otréis, fut exposé par ordre de s
Grecs, Dieu du commerce, de l’éloquence et des voleurs, passait pour
fils
de Jupiter ou de Bacchus ; il doit donc trouver s
et Argiude ou le meurtrier d’Argus ; Atlantiade et Atlantide ou petit
fils
d’Atlas, par Maia ; Blandiloquus ou le dieu de l’
personnage : le grammairien Lactance admettait quatre Mercures, l’un
fils
de Jupiter et de l’Atlantide Maïa, l’autre du cie
. Mais Cicéron en trouva cinq qu’il place dans l’ordre suivant : l’un
fils
du Ciel et du jour ; un second ou terrestre, ou T
, meurtrier d’Argus : d’autres écrivains en ajoutent même un sixième,
fils
de Bacchus et de Proserpine. Mais de tous ces Mer
le nom de Thoth ou Thaut ; et de l’autre côté c’est le Mercure grec,
fils
de Jupiter et de Maïa. N’ayant actuellement à nou
ns d’abord l’espèce de conte historique dont les Grecs l’entourèrent.
Fils
de Jupiter et de Maïa, il aida son père dans la g
uivant les Grecs, ce Mercure appelé chez eux, Hermès, était également
fils
de Jupiter et de Maïa, qu’il était le Dieu du Com
ne, en Arcadie ; puis son éducation fut confiée aux Saisons et Acacus
fils
de Lycaon devint son père nourricier. Le lendemai
besogne de rapporter aux morts ce que faisaient les vivans ; Antias,
fils
obscur, dont la mère est inconnue ; Aptale, né de
bscur, dont la mère est inconnue ; Aptale, né de Chionée ; Autolycus,
fils
également de Chionée ou de Philotis, aïeul matern
e des Argonautes, et apprit à Hercule à conduire un charriot ; Bunus,
fils
d’Alcidamie bâtit un temple à Junon, à Corynthe ;
; Caïcus, né d’Ocythoé, donna son nom à un fleuve de Mysie ; Céphale,
fils
de Mercure et d’Hersé : quoique toujours confondu
il est cependant environné d’une tout autre fable. : On disait que ce
fils
de Mercure, avait été banni d’Athènes par l’Aréop
ar s’établir dans les iles fortunées. Cerix, c’est-à-dire le hérault,
fils
de la Cécropide Pandrose, était la tige, disait-o
moler les victimes, comme le faisaient les victimaires à Rome. Cydon,
fils
d’Acacallis, ayant encore pour père ou Apollon ou
fondateur de Damas en Syrie ; Daphnis, eut de nymphes inconnues deux
fils
de ce nom : l’un berger de Sicile, apprit de Pan
Mercure et de l’Océanide Daïre, il donna son nom à Eleusis ; Érytus,
fils
d’Antianire, frère d’Echion, et comme lui l’un de
ou mort, de toujours savoir ce qui se passait sur la terre ; Eudorus,
fils
de Polymèle, fut élevé par son grand père Phylas
èrent la ville de Troye ; Erestus, n’offre rien de curieux ; Evandre,
fils
de Carmente, fut le chef de la colonie d’Arcadien
Virgile, lors de l’arrivée d’Enée dans ces contrées ; Hermaphrodite,
fils
de Mercure et de Vénus Aphrodite, enfant des deux
u ciel par son père, et placé dans la Constellation du Cocher. Norax,
fils
d’Erythrée, fut le chef de la colonie d’Ibériens,
s, né de Philodamée, est le fondateur de Phérès en Messénie ; Polybe,
fils
d’Eubée, était le père du dieu marin Glaucus, mai
était le père du dieu marin Glaucus, mais Mercure avait encore eu un
fils
de ce même nom, de Chthonophile ; il monta, dit-o
aste, auquel il avait donné asile à sa cour ; Priape, que nous savons
fils
de Chioné ; Prylis ou Pylis, né de la nymphe Issa
grec de la malice, de la perfidie et surtout des voleurs. Minos I.,
fils
de Jupiter et d’Europe, fut le mari d’Itone, fill
e Lycius, dont il eut Lycaste, père de Minos II. On donne encore pour
fils
à Minos premier, Eurymédon, Chrysès, Néphalion et
du nom de Minos le plus remarquable par ses aventures, est Minos II,
fils
de Lycaste, et par conséquent petit fils du premi
ses aventures, est Minos II, fils de Lycaste, et par conséquent petit
fils
du premier. Ce minos II. était roi de Crète et ma
de la chaire humaine. Pendant l’existence de ce Minotaure, Androgée,
fils
de Minos, et lutteur habile, se distingua telleme
ournait à Thèbes, sa patrie ; alors Minos, pour venger la mort de son
fils
, se mit à la tête d’une flotte, débarqua sur les
trente trois ans après la guerre de Troie ; il eut pour enfans quatre
fils
: Androgée ou Astérius ou Astreus, Cratée ou Crét
ant donné le jour à Mérope et à Métion ou Eumelion, celui-ci eut pour
fils
Eupalame, qui s’unit à Mérope, et en eut Dédale e
l’accueillit : mais ayant été complice de Pasiphaé, il fut, avec son
fils
Icare, enfermé dans le labyrinthe qu’il venait de
des plumes d’oiseau, il les attacha à ses épaules et à celles de son
fils
, puis ils s’élancèrent tous deux dans les airs. M
cident. Dédale avait encore eu d’une Corynthienne appelée Iapygie, un
fils
nommé Iapix ; il laissa aussi pour disciple renom
gnon. Myrmidon. L’on fait encore passer un personnage de ce nom pour
fils
de Jupiter et d’Euryméduse ; il régna dans la The
t donna son nom aux habitans d’Égine, île du golfe Séranique. Olène,
fils
de Jupiter et d’Anaxithée, fille de Danaüs, épous
n rocher, pour avoir osé se dire plus belle que les déesses. Opante,
fils
de Jupiter, était une personnification de la race
upiter, était une personnification de la race opontienne. Orchomène,
fils
de Jupiter et de la Danaïde Hésione, épousa Hermi
ïde Hésione, épousa Hermippe, fille de Béote, qui le rendit père d’un
fils
nommé Minyas, et d’une fille appelée Élara. Sa mè
f. Palices ou frères Paliques, deux jumeaux Siciliotes ; ils étaient
fils
de Jupiter et d’Etna, fille de Vulcain, qui se ca
it pas. On leur sacrifia long-temps des victimes humaines. Pelasgue,
fils
de Jupiter et de Niobé, fille de Phoronée, était
ion de la race Pélasgique qui, la première, habita la Grèce. Persée,
fils
de Jupiter et de Danaé, reçut aussi de Polydecte
urnoms d’Abantiade ou de descendant d’Abas, d’Acrisionide ou de petit
fils
d’Acrisius, de Daneïus ou héros Danaéen, Aurigène
né lui-même d’Abas, ainsi que Prœtus. A peine sorti de l’enfance, ce
fils
du maître des Dieux protégea sa mère contre le ty
ier à tire d’ailes, arrive en Mauritanie, demande l’hospitalité comme
fils
de Jupiter au géant Atlas, roi de cette contrée,
rmi les partisans et compagnons de Persée, Amastre est tué par Argus,
fils
de Phrixus ; Brotée par Phinée ; Dorylas le riche
née la perte fut bien plus considérable ; car, sans parler de Clymène
fils
de Phinée, tué par Hoditès ; de Pettalus, tué par
u Gange, Céladon l’égyptien, Clanis, Chromis, Clytius, Élyce, Érithe,
fils
d’Actor, Éryx, Éthémon, Lycete, Lyncide, Mélanée,
ilée, Polydémon, Rhœtus et Seyllurtès ; quant à Phorbas l’Égyptien et
fils
d’Argus, il resta simple spectateur. Sauvé de ce
acle, ne voulut pas monter sur le trône d’Argos, le céda à Mégapenthe
fils
de Proetus, et se contenta en échange de Tirynthe
ations septentrionales Andromède, Cassiope et Céphée. Persée eut pour
fils
: Alcée, Bacchémon, Cynure, Electryon, Elée, Eryt
lonome, Célénée, Amphimaque, Lysinoüs, Anactor et Archelaüs, tous ses
fils
. Mestor épousa Lysidice, fille de Pélops d’où vin
le la plaça dans les cieux, pour y former une constellation. Phagre,
fils
de Jupiter et d’Othréis, frère aîné de Mélitée ;
er dans une forêt. Philée ; on ignore si la fable le confond avec un
fils
d’Augias, du même nom, que nous verrons placé sur
nous verrons placé sur le trône d’Elide par Hercule. Pilumne, était
fils
de Jupiter ou de Stercès et de la nymphe Garamont
ie, était le Sérapis égyptien, humanisé dans l’Asie Mineure. Il était
fils
de Jupiter et d’Europe, et frère de Minos et de R
e portion de la Lycie, y fonda un royaume et laissa la couronne à son
fils
Évandre, pendant que lui, à la tête d’un corps de
champs de la Troade, que brille sa valeur. Il tue le brave Tlépolème,
fils
d’Hercule et d’Astyochée ; il repousse avec avant
fié au sommeil et à la mort qui le transportèrent en Lycie. Spartée,
fils
de Jupiter et de la nymphe Himalie, reçut le jour
le jour dans l’île de Rhodes, après la défaite des Titans. Tantale,
fils
de Jupiter et de la nymphe Pluto, régna sur la vi
s crimes et la mort et les tourmens qui furent sa punition. Taygète,
fils
de Jupiter et de Taygète, n’est autre que le mont
r et de Taygète, n’est autre que le mont Taygète en Laconie. Titias,
fils
de Jupiter, était un héros Crétois, qui était inv
it joui pendant toute sa vie d’un bonheur inaltérable. Titye, Géant,
fils
de Jupiter et de la nymphe Élara, qui mourut en l
naissantes. On lui éleva des autels dans l’île d’Eubée. Tritopatrée,
fils
de Jupiter et de Proserpine, est regardé par quel
eurs des mers et surveillans des intérêts publics ou privés. Zéthus,
fils
de Jupiter et d’Antiope et frère d’Amphion, fut e
u de Samos ; Salsipotens ou le Dieu des eaux salées ; Saturnius ou le
fils
de Saturne ; Sisichthon ou qui ébranle la terre ;
de Sesac. Mais le plus généralement la fable grecque dit que Neptune,
fils
de Saturne et de Rhée, était frère de Jupiter, de
ne. Il perdit en partie encore un autre procès devant l’Aréopage. Son
fils
Halirrhothe qu’il avait eu d’Euryte, ayant été tu
ent été instituées dans l’isthme de Corynthe par Thésée qui se disait
fils
de Neptune ; elles continuèrent d’exister après l
lle était sœur d’Astydamie et fille de Phénix, né lui-même d’Amyntor,
fils
d’Ormenus qui avait pour père Cercaphus ; Astyphi
d’Amphitrite, fut la nourrice, et finit par être la femme d’Eumolpe,
fils
de Neptune et de Chionée. Céléno, fille d’Ergéé o
e, dont elles persécutèrent le roi Phinée. Pourtant, Zéthés et Calaïs
fils
de Borée l’en délivrèrent pendant l’expédition de
a la ville de Mytilène ; Rhodos, fille de Vénus et amante d’Apollon.
Fils
de Neptune. Après les filles de Neptune, voici l’
de Neptune. Après les filles de Neptune, voici l’énorme liste de ses
fils
: Abas, fils d’Aréthuse, donna le nom d’Abantis à
Après les filles de Neptune, voici l’énorme liste de ses fils : Abas,
fils
d’Aréthuse, donna le nom d’Abantis à l’île d’Eubé
s d’Aréthuse, donna le nom d’Abantis à l’île d’Eubée, Achée ou Akhée,
fils
de Larisse, Actor, fils d’Agamède. Agénor, roi de
om d’Abantis à l’île d’Eubée, Achée ou Akhée, fils de Larisse, Actor,
fils
d’Agamède. Agénor, roi de Phénicie, vint, suivant
le fit roi. Les uns le prétendent frère jumeau de Bélus, et d’autres,
fils
de ce Bélus et d’Eurynome ; mais la fable grecque
ce Bélus et d’Eurynome ; mais la fable grecque le reconnaissait pour
fils
de Libye et pour tige de la race phénicienne du l
c Argiope ou Damno, dont il eut Europe enlevée par Jupiter, et quatre
fils
; Cadmus, Thasos, Cilix et Phénix Cadmus, que l’o
os, Cilix et Phénix Cadmus, que l’on fait aussi frère de Thalsinie et
fils
d’Ogygès et de Thébé, reçut comme eux l’ordre de
de la Thèbes d’Egypte la ville de Thèbes, la Béotienne, à laquelle ce
fils
d’Agénor donna de sages lois. Il eut quatre fille
s et Hellé, enfans de Néphelé, la première femme de son mari Athamas,
fils
d’Éole et petit-fils de Deucalion ; Junon vengea
cès de fureur à Athamas, qui, prenant la reine pour une lionne et ses
fils
pour deux lionceaux, s’empara brusquement de Léar
e ces enfans, et l’écrasa contre une muraille. Autonoé eut aussi deux
fils
avec Aristée, savoir : Polydore, puis le malheure
pour donner un trône à son père. Cadmus eut encore, dit-on, un autre
fils
appelé Illyrus, fondateur de l’Illyrie, mais qui,
s, fondateur de l’Illyrie, mais qui, le plus généralement, passe pour
fils
de Polyphème et de Galatée. Enfin, pour comble de
tion mâle de Cadmus, elle ne fut pas plus heureuse, car Polydore, son
fils
, ayant monté sur le trône de Thèbes, eut Labdacus
yctis ou Nycteis, fille ou petite fille de Nyctée, frère d’Antiope et
fils
de Neptune et de Cylène. Cependant certains auteu
s de Neptune et de Cylène. Cependant certains auteurs attribuaient ce
fils
à Phénix, frère de Cadmus. Polydore, près de mour
Cadmus. Polydore, près de mourir, confia le royaume de Thèbes et son
fils
à Nyctée, qui les remit à sa mort sous la tutelle
années de règne de Labdacus eut encore à diriger l’enfance de Laïus,
fils
de ce jeune prince. Mais Lycus ne fut pas toujour
t sœur de Créon mari de Pyrrha ; l’oracle lui annonça qu’il aurait un
fils
qui deviendrait parricide et incestueux en passan
ui avaient fait oublier, il faillit, et de cette faiblesse survint un
fils
. Laius donna l’ordre à Jocaste de le faire périr,
espoir il s’arrache les yeux et se bannit de Thèbes ou, du moins, ses
fils
profitant de ses malheurs le chassent et s’empare
et l’engloutit pour toujours. Après le départ d’OEdipe, Polynice, son
fils
, craignant sa malédiction, sortit également de Th
ypsipyle, pour les satisfaire plus vite, dépose sur le gazon Ophelte,
fils
de Lycurgue, puis guide les sept princes vers un
rent ces héros ; Amphiaraüs ou Amphiaras, devin et roi d’Argos était
fils
d’Apollon, d’autres disent d’Oïclée qui suivit He
ule, il est probable qu’il faut les confondre ensemble et qu’il était
fils
non pas d’Apollon, mais d’Hercule. Ce devin hérit
in hérita d’une portion du royaume d’Argos de son grand père Mélampe,
fils
d’Amithaon et de Dorippe, et par conséquent cousi
avec courage sur le char qui doit le conduire à la mort, embrasse son
fils
pour la dernière fois, lui fait promettre qu’il l
argé d’assiéger le côté des portes Homoloïdes ; il trancha la tête au
fils
d’Ithaque, Ménalippe, qui venait de blesser Tydée
, char, écuyer, prince, tout s’engloutit et disparaît. Il laissa deux
fils
, Alcméon et Amphiloque, plus trois filles, Eurydi
urydice, Démonasse et Alcomène, et les Latins ajoutaient trois autres
fils
, Tiburne, Coras et Catile. Tydée, fils d’OEnée e
atins ajoutaient trois autres fils, Tiburne, Coras et Catile. Tydée,
fils
d’OEnée et de Péribée, et frère de Méléagre, ayan
se distingua par sa valeur, mais blessé par Mélanippe, le dernier des
fils
de Mélas, il tomba baigné dans son sang, laissant
mba baigné dans son sang, laissant Tydides, ou Diomède ou Diamène son
fils
pour lui succéder. Capanée, fils d’Hipponoüs et
Tydides, ou Diomède ou Diamène son fils pour lui succéder. Capanée,
fils
d’Hipponoüs et d’Astynome, succéda à son père au
souvenons, sans avoir besoin de l’assistance des Dieux. Hippomédon,
fils
de Mnésimaque ou Aristomaque et de Mythidice, fil
porte Oncée et tomba sous les coups d’Ismare. Il laissa en mourant un
fils
nommé Polydore. Parthénopée, fils de la belle A
d’Ismare. Il laissa en mourant un fils nommé Polydore. Parthénopée,
fils
de la belle Atalante et de Méléagre, remporta le
on exil, ce prince qui avait épousé Argie, fille d’Adraste, en eut un
fils
nommé Thersandre. Ainsi finit sans résultat cett
divin, que nous avons vu naître de Cérès et de Neptune. Cet Adraste,
fils
de Talas le Biantide et de Lysimaque ou Lysianass
nome, il épousa Amphitée, sa nièce, fille de Pronax, dont il eut deux
fils
, Égialéus et Cyanippe, et trois filles, Argie, Dé
eureux dans une semblable attaque contre la même ville, à la tête des
fils
des premiers chefs, d’où vint le nom d’Épigone, q
efs de la seconde expédition contre Thèbes, qui se nommaient Égialée,
fils
d’Adraste, Thersandre de Polynice, Alcméon, d’Amp
Ils rencontrèrent les Thébains à Glisas, sous les ordres de Léodamas
fils
d’Étéocle qui, après avoir été vaincu, se retira
conde expédition, un seul des chefs Argiens y périt ; ce fut Égialée,
fils
d’Adraste qui, dit-on, mourut à Mégare, du chagri
roi d’Haliarte, lequel en fit présent à Hercule pour combattre Cycnus
fils
de Mars ; puis Hercule le remit à Adraste, qui, n
e l’homme, avait en outre le don de la parole. Asope, était un autre
fils
de Neptune et de Cégluse ou Cléodice. Cet Asope,
erons Cercyre, Chalcis, Cléone, Égine, Ismène et Salamine ; Asplédon,
fils
de Neptune et de la nymphe Midée, Astaque de la n
rné ou d’Itone ou de Mélanippe ; un autre Béotus d’Antiope. Busiris,
fils
de Neptune et de Libye régna en Egypte ; il envoy
t aborder dans ses états. Bysas ou Byzène ou le franc parleur, fut le
fils
de Croessa ; Calenus de la Danaïde Cœleno ; Cench
éides Leuconoé ou Clymène, Leucippe ou Iris et Alcithoé. Chthonius,
fils
de Neptune et de Symé ou Zyma, imposa le nom de s
rcine voleur, frère d’Alébius et tué comme lui par Hercule ; Dicoeus,
fils
de Neptune, donna son nom à la ville de Dicée, il
n nom à la ville de Dicée, il avait un frère nommé Sylée, ils étaient
fils
de Callirhoé ; Dictys d’Agamède ; Dorus d’Alope,
ion. Eolus ou Eole Dieu des vents et des tempêtes, passait bien pour
fils
de Ménalippe, l’une des maîtresses de Neptune. Ce
îtresses de Neptune. Cependant il n’était généralement pas admis pour
fils
de ce dieu, car c’était Hippotès, époux de Ménècl
lle de Liparus et petite-fille d’Auson ; il en eut douze enfants, six
fils
et six filles qui se marièrent les uns avec les a
son frère Diorès, puis Acheloüs, qu’Alcyone devint l’épouse de Ceix,
fils
de Lucifer, qu’elle eut le malheur de perdre son
és Helléniens ; il épousa Enarète, fille d’un Déimaque et en eut sept
fils
: Athamas Créthée, qui de Tyro eut Eson, roi d’Io
encore Eole le Deucalionide, troisième descendant de Deucalion, comme
fils
d’Arné fils lui-même du Dieu des vents. Ce fut lu
le Deucalionide, troisième descendant de Deucalion, comme fils d’Arné
fils
lui-même du Dieu des vents. Ce fut lui, dit-on, q
phe, né du Deucalionide père d’Ormène et bisaïeul de Phénix, Hippole,
fils
de Mimas ; Jocastus qui régna sur la contrée Ital
e de Reggio, Iope, femme de Céphée, Phérée, mère d’Hécate et Tanagre,
fils
ou fille d’un Eole, puis on donne Pisos fondateur
rêle. L’Aquilon ou vent du Nord, était furieux et froid, passait pour
fils
d’Éole et d’Aurore, était représenté sous les tra
ontrée située la plus au Nord des pays alors habites. Il passait pour
fils
des Titans, suivant ceux qui ne l’admettaient pas
sait pour fils des Titans, suivant ceux qui ne l’admettaient pas pour
fils
d’Astréus et de l’Aurore ou d’Héribée. Souvent on
alors on lui prête d’avoir, causé par jalousie, la mort d’Hyacinthe,
fils
d’Amyclas et de Diomède, qu’Apollon tua malgré lu
rie Orithye, fille d’Érechthée. De cette alliance, on vit naître deux
fils
, Calaïs et Zethès, dont on fit des dioscures Thra
alaïs et Zethès, dont on fit des dioscures Thrace-Athéniens ou jeunes
fils
de Dieux à la manière des dioscures de Sparte, Ca
e eut de Phinée : Plexippe, Pandion et Crambis. Borée eut encore pour
fils
Butès, qui fut obligé de se sauver des états d’Am
ialtès ou Iphialte, géant, l’un des aloïdes ainsi que son frère Otus,
fils
d’Iphimédie ; Épopée ou Épaphus, fils de Canacé,
oïdes ainsi que son frère Otus, fils d’Iphimédie ; Épopée ou Épaphus,
fils
de Canacé, donna asile, vers l’an 1363 avant J.-C
ircé sa seconde femme. Cet Épopée, fut père de Marathon, qui eut pour
fils
, Sicyon et Corinthus Eumolpe, fils de Chioné, é
t père de Marathon, qui eut pour fils, Sicyon et Corinthus Eumolpe,
fils
de Chioné, était, on s’en souvient, l’un des quat
Hercule, qui ensuite emmena prisonnière sa fille Chalciope ; Eusire,
fils
de la nymphe Idothea, fut père de Térambe ; Geres
cos ou Glaucus, Dieu marin et prophète, était généralement admis pour
fils
de Neptune et de Naïs ; mais pourtant selon d’aut
de Neptune et de Naïs ; mais pourtant selon d’autres, il passait pour
fils
d’Anthédon ou d’Alcyone ou d’Eubée et de Polybe,
il passait pour fils d’Anthédon ou d’Alcyone ou d’Eubée et de Polybe,
fils
de Mercure. Il fut un célèbre pêcheur de la ville
ne manquaient jamais de consulter avant de se mettre en mer. Hellen,
fils
d’Antiope, était frère de Béotus ; Hippothéon ou
en, fils d’Antiope, était frère de Béotus ; Hippothéon ou Hippothous,
fils
d’Alope, fut abandonné tour à tour par sa mère et
à Nisus, assiégé par Minos dans une ville à laquelle lui ou Megareus,
fils
d’Apollon, avait donné son nom ; Melas, né de mèr
Mélanée à laquelle le fleuve Mélas de Béotie devait son nom. Messape,
fils
de Neptune était un fort habile écuyer, qui porta
rs à Turnus, contre les Troyens commandés par Enée ; Minyas ou Minée,
fils
de Callirhoé et père de Minéias ; Myto, de Mytilè
uels les navires vinrent se perdre, en croyant se sauver. Nausithous,
fils
de Péribée ou de Phéacie, ou d’Ulysse et de la ny
fut le père de Nausicaa et d’Alcinoüs, qu’Arétée rendit père de cinq
fils
; Nélée, fils de Créthée ou d’Hippocoon et de Tyr
e Nausicaa et d’Alcinoüs, qu’Arétée rendit père de cinq fils ; Nélée,
fils
de Créthée ou d’Hippocoon et de Tyro. Ce Nelée, a
s ; Nélée, fils de Créthée ou d’Hippocoon et de Tyro. Ce Nelée, aussi
fils
de Neptune et de Tyro, fille d’Alcidice et de Sal
Pylos. Il épousa Chloris, dont il eut une fille nommée Péro, et trois
fils
Nestor, Périclymène, Chromius ; diverses maîtress
verses maîtresses le rendirent encore père d’un grand nombre d’autres
fils
, parmi lesquels on distingue Agerochus, Alastor,
irrité, le dépouilla d’une partie de ses états, et fit périr tous ses
fils
, à l’exception de Nestor. Cette défaite affligea
Corynthe, où Sisyphe son ami, l’ensevelit si mystérieusement, que son
fils
Nestor ne put jamais découvrir son tombeau. Voici
lle : Pylaon fut père d’Arné ou d’Antiope, qui eut avec Euryte quatre
fils
, Clytius, Déion, Iphitus, et Toxeus, plus une fil
ice ou Anaxibie, et en eut deux filles, Pisidice et Polycaste et sept
fils
: Antiloque, Aretus, Echéphron, Persé, Pisistrate
tus, Echéphron, Persé, Pisistrate, Straticus et Thrasimède. Nyctée,
fils
de Céléno et frère de Lycus. OEolus, fils d’Ascra
us et Thrasimède. Nyctée, fils de Céléno et frère de Lycus. OEolus,
fils
d’Ascra, bâtit en l’honneur de sa mère, la ville
de sa mère, la ville d’Ascra en Béotie, la patrie d’Hésiode. Ogygès,
fils
de Neptune et d’Alicra, fut le premier roi connu
mer dans la Grèce ; d’autres le croyant né dans le pays, le faisaient
fils
de la terre, et de quelqu’un des insulaires. Ils
e Jupiter et d’Iodamée, et de ce mariage, ils assurent qu’il eut deux
fils
, Eleusinus et Cadmus, et trois filles, Alalcomeni
u’une antiquité reculée enveloppait d’un voile trop obscur. Oncheste,
fils
de mère inconnue, et fondateur de la ville d’Onch
la ville d’Oncheste en Béotie ; Otus, frère de l’Aloïde Ephialte, et
fils
d’Iphimède. Parnasse était fils de la nymphe Clé
Otus, frère de l’Aloïde Ephialte, et fils d’Iphimède. Parnasse était
fils
de la nymphe Cléodore et de deux père : Neptune e
qui fut inondée lors du déluge de Deucalion. Pélias, frère de Nélée,
fils
de Neptune et de Tyro, s’empara du trône d’Iolcho
au détriment de son frère Eson, dont il persécuta beaucoup Jason, le
fils
, qui, d’après l’oracle, devait reconquérir l’héri
quérir l’héritage de son père. Il eut d’Anaxibie, fille de Bias, deux
fils
nommés Acaste et Ampycus, et sept filles : Alcest
ou Hippolyte ; Ampicus fut père d’Aréus, qui lui-même eut Agènor pour
fils
. Quant à Nélée, frère de Pélias, nous savons les
fils. Quant à Nélée, frère de Pélias, nous savons les malheurs de ses
fils
; mais son frère maternel Eson, épousa une femme
ec Médée, Eriopis, Alcimène, Thessalus et Tisandre. Parmi les autres
fils
de Neptune, nous trouvons encore Peon, né d’Hellé
e Peon, né d’Hellé ; Pérate, issu de Calchinia la Leucippide ; Pheax,
fils
de Cercyra, fut père d’Alcinoüs ; Phocus dont la
époux d’Antiope et père de Panopée et de Crisus. Ce dernier eut pour
fils
Strophius, père de Pylade, le fidèle ami d’Oreste
e de Pylade, le fidèle ami d’Oreste. Phorcus ou Phorcys, Dieu marin,
fils
de Pontus ou de Neptune, habitait, pense-t-on, le
nera dans ses foyers. Protée, Dieu marin, reconnu par les Grecs pour
fils
de Neptune et de Phénicie, quoique plusieurs écri
oine était sa patrie, et Psamathé, son épouse, le rendit père de cinq
fils
, Polygone, Télégone, Théoclymène, Tmole et Torone
urs filles, dont Cabira, Idothée et Rhétie sont les plus connues. Les
fils
de Protée, étant devenus des brigands redoutables
és forcèrent Hercule d’en débarrasser le monde. Selinus ou Selinonte,
fils
d’Hélis ; Siculus, l’histoire prétend qu’il vint
t souverain de la Rinacrie ou Sicile, vers l’an 1600 av. J.-C. Sylée,
fils
de Callichoé, fut tué, nous le savons, par Hercul
ur de Tarente et avait une statue dans le temple de Delphes. Térambe,
fils
de Neptune, fut un musicien célèbre, si orgueille
s, qui le punirent en le changeant en escargot. Tiphys, était supposé
fils
de Neptune, en sa qualité d’habile navigateur, ma
onautes, et son poste fut ensuite rempli par Ancée. Triops ou Triopas
fils
de Canacé, fut le père d’Erésichton et d’iphimédi
’Argolide, l’an 1502 av. J.-C. Enfin l’on compte encore au nombre des
fils
de Neptune, le fameux Chrysomallon ou bélier à to
lon : aussi Éétès, roi de Colchide, commença par faire périr Phryxus,
fils
d’Athamas et de Néphélée, qui avait eu la confian
de Pélias, usurpateur du trône d’Iolchos, dont il avait chassé Jason
fils
d’Eson, ce Pélias promit de rendre la couronne à
ason était jaloux de son commandement, soit parce que le jeune Hylas,
fils
de Théodamas, souverain de la Mysie, s’étant noyé
sant du bruit avec leurs armes ; ils rencontrèrent dans cette île les
fils
de Phryxus, qu’Éétès avait envoyés à Orchomènes p
Ce Jason, chef de l’expédition, qui, nous le savons, était d’Iolchos,
fils
d’Eson et d’Alcimède, avait été élevé par le cent
e : il les atteignit à l’embouchure du Danube, et envoya Absyrte, son
fils
, les sommer de se rendre ; mais la célèbre Médée
e qui suspendit sa poursuite pour recueillir les membres épars de son
fils
. Arrivé à Corcyre, Jason épousa Médée et partit p
n eut pas pour cela la couronne, car elle passa sur la tête d’Acaste,
fils
du monarque assassiné, qui força Jason de quitter
fille de Sisyphe, roi de Corynthe. Médée, furieuse, égorgea les deux
fils
qu’elle avait eus du héros et fit périr sa nouvel
tre de Pélias ; puis elle suivit Jason à Corynthe, et eut de lui deux
fils
, Phérès et Mermère, qu’elle égorgea pour se venge
devint deuxième femme d’Egée, auquel elle conseilla d’empoisonner son
fils
, qu’il ne connaissait pas encore. Dès qu’il sut q
, qu’il ne connaissait pas encore. Dès qu’il sut que Thésée était son
fils
, il chassa la coupable Médée, qui s’enfuit en Phé
uit en Phénicie, où elle épousa le roi de cette province et en eut un
fils
nommé Midas. Avec Médée se termine l’histoire co
ève, avons-nous dit, jusqu’à 90, en effet, on cite parmi eux : Acaste
fils
de Pélias ; Actor d’Hippase ; Actorion d’Iras ; A
de Lycurgue ; Ancée de Neptune, Anchistée d’Origine inconnue ; Areus
fils
de Bias ; Argus constructeur du vaisseau l’Argo ;
nstructeur du vaisseau l’Argo ; Armène d’origine inconnue ; Ascalaphe
fils
de Mars ; Astérion de Cometès ; Astérius d’Hippér
; Autolycus de Mercure ; Azore, le pilote, d’origine inconnue ; Butès
fils
de Téléon ; Calaïs de Borée ; Canthus d’Abas ; Ca
Deucalion de Minos ; Échion le hérault de Mercure ; Ergine le pilote,
fils
de Neptune ; Eubotès le médecin, fils de Télion ;
de Mercure ; Ergine le pilote, fils de Neptune ; Eubotès le médecin,
fils
de Télion ; Esculape le médecin, fils d’Apollon ;
e Neptune ; Eubotès le médecin, fils de Télion ; Esculape le médecin,
fils
d’Apollon ; Eumedon de Bacchus ; Euryale de Cisté
acchus ; Euryale de Cistée ; Eurydamas, d’origine inconnue ; Eurytion
fils
d’Iras ; Eurytus fils d’Euryte ; Euryte de Mercur
stée ; Eurydamas, d’origine inconnue ; Eurytion fils d’Iras ; Eurytus
fils
d’Euryte ; Euryte de Mercure ; Glaucus de Sisyphe
ctor ; Mopsus d’Ampycus ; Nauplius de Neptune ; Nélée d’Éaque ; Oilée
fils
de Laodocus et père d’Ajax le Locrien ; Orphée fi
e d’Éaque ; Oilée fils de Laodocus et père d’Ajax le Locrien ; Orphée
fils
d’Oeagre ; Palémon d’Etolus ; Pelée d’Eaque ; Pén
aüs roi d’Argos ; Télamon d’Éaque ; Thésée d’Égée ; Tiphys le pilote,
fils
d’Hagnius ; Tydée de Diomède et Zéthès de Borée.
les suivans : Argus, constructeur du vaisseau des Argonautes, était
fils
de Phryxus et de Chalciope fille d’Éétès roi de C
de Phryxus et de Chalciope fille d’Éétès roi de Colchide. Asterion,
fils
de Comètès et d’Antigone fille de Phérès, naquit
ie et donna son nom à la ville d’Astérium, dans la Thessalie. Butès,
fils
de Borée, fut tellement épris du chant voluptueux
et la conduite avaient beaucoup de rapport avec la sienne. Iphicle,
fils
de Phylaque prince Thessalien, et de Climène fill
couteau détrempée dans du vin, il ne tarda pas à en avoir. Marathon,
fils
d’Épopée, redoutant la colère de son père, se réf
é avait dit qu’il fallait que le chef mourût pour les sauver. Oïlée,
fils
du roi Locrien Odedoque, et d’Agrianome, prit par
père au trône de Locride ; il épousa Ériopis, qui le rendit père d’un
fils
nommé Ajax. Maintenant, nous devons parler de l’u
vait pour père Égée, neuvième roi d’Athènes, vers l’an 308 av. J.-C.,
fils
de Pandion II, frère de Nisus, de Pallas et de Ly
endant d’Erechthée, et pour mère Thésée avait Éthra, fille de Pitthée
fils
de Pélops ; aussi, il était souvent appelé Érecht
Athènes sans emmener Éthra, mais en lui disant que si elle mettait un
fils
au monde, il pourrait se présenter à lui pourvu q
insi, il rencontra sur la route, près d’Épidaure, le geant Périphète,
fils
de Vulcain, geant que l’on nommait en outre Prolè
fit mourir du supplice du talion Sinis, célèbre pillard de l’Attique,
fils
de Polypémon et de Syléa, qui attachait les étran
n rocher. A cette même époque, Thésée arracha la vie au cruel Cercyon
fils
de Neptune ou de Vulcain et roi d’Éleusis, dont l
de la jolie Pérygone, fille du géant Sinis, et il la rendit mère d’un
fils
nommé Ménalippe. Après que les Phytalides ou fill
ble aux projets qu’elle avait conçus de mettre sur le trône Médusson,
fils
qu’elle avait eu de Jason ou qu’elle espérait avo
voquer le peuple en assemblée générale, et déclare que Thésée est son
fils
. Tous les Athéniens furent comblés de joie en pen
magique et disparut dans les airs. Les Pallantides, ou les cinquante
fils
de Pallas, frère d’Égée, ne furent pas non plus t
ènes du tribut que l’on payait annuellement à Minos, pour nourrir son
fils
Minotaure. Thésée s’offrit donc pour être une des
e avec lui Ariadne et Phèdre, sa sœur. Ariadne le rendit père de deux
fils
, Œnopion et Staphyle. Thésée, en retournant à At
e, trompé à cette vue, n’avait pu survivre à la perte supposée de son
fils
, et s’était précipité dans les flots. Alors, les
cette guerre, il fit prisonnière leur reine Hippolyte, dont il eut un
fils
appelé Hippolyte. Il fut ensuite, dit-on assez lé
entaure Grinée ; Céladon, Charaxe tué par le centaure Rhœtus, Corone,
fils
de Cénée II, et père de Léontée ; Cerone, fils de
ntaure Rhœtus, Corone, fils de Cénée II, et père de Léontée ; Cerone,
fils
de Phoronée ; Coryte, tué par Rhœtus ; Crantor fi
Léontée ; Cerone, fils de Phoronée ; Coryte, tué par Rhœtus ; Crantor
fils
d’Amyntor, fut écrasé par le centaure Démoléon ;
taures, on remarquait : Antimaque, tué par le lapithe Cœnée ; Amycus,
fils
d’Ophion, tua le lapithe Céladon, et fut tué par
adie ; Dictys, tué par Pirithoüs ; Dorylas, tué par Thésée ; Dryalus,
fils
du centaure Peucé ; Dryas, qui tua accidentelleme
a selle ; Périmède, Pisénor, qui prirent la fuite ; Rœcus, ou Rhœtus,
fils
d’Ixion. Tous ces centaures succombèrent ou se ré
d’Evippe et de Ménalippe, sa fille. Quant à Pirithoüs, il laissa son
fils
Pélipète, chef des lapithes, et fut, pour ne plus
orta sur le Minotaure. Arrivée à Athènes, elle le rendit mère de deux
fils
, Acamas et Démophon, puis Phèdre, inspirée, dit-o
ésée furieux et égaré par le mensonge de ce billet, donne ordre à son
fils
de se présenter à lui. Alors arriva cet Hippolyte
premiers vœux, et, sans plus de réflexion, il souhaite la mort de son
fils
. Neptune ne l’exauça que trop vite, car Hippolyte
sous le nom de Bootès. Thésée, comme nous l’avons dit, eut deux
fils
de son alliance avec Phèdre, l’un Démophon, suivi
lles de Priam et épouse d’Helicaon, devint éperdument amoureuse de ce
fils
de Thésée ; alors l’épouse de Persée, gouverneur
rneur de Troie, favorisa leurs entrevues, et bientôt il en résulta un
fils
nommé Munychus. Acamas fut du nombre de ceux que
sur lequel il nous reste encore à dire quelques mots, c’est Méléagre
fils
d’Œnée, mais la fable dont il est entouré, veut q
st entouré, veut que nous remontions jusqu’à son père. Cet Œnée était
fils
de Parthaon et d’Eurite fille d’Hippodame ; il ép
usa d’abord Althée fille de Thespius et d’Eurythémis, il en eut trois
fils
Méléagre, Theras et Climène, ou suivant d’autres
la naissance de Méléagre, Althée consulta l’oracle, et apprit que ce
fils
mourrait dès que le tison, alors brûlant dans son
nombre de quarante, sans compter Méléagre ; on les appelait : Admète,
fils
de Phérès ; Adraste ; Alcon, fils d’Hyppocoon ; A
éléagre ; on les appelait : Admète, fils de Phérès ; Adraste ; Alcon,
fils
d’Hyppocoon ; Amphiaraüs d’Oïclée ; Amphicide ; A
; Alcon, fils d’Hyppocoon ; Amphiaraüs d’Oïclée ; Amphicide ; Ancée,
fils
de Lycurgue, époux d’Eurydice et roi de Pelasgue
d’Eurydice et roi de Pelasgue ; Atalante, fille de Schœnée ; Castor,
fils
de Jupiter ; Cénée ; Céphée, fils de Lycurgue ; C
talante, fille de Schœnée ; Castor, fils de Jupiter ; Cénée ; Céphée,
fils
de Lycurgue ; Cométès, de Thespius ; Denuxippe ;
tès, de Thespius ; Denuxippe ; Dryas ; Echion ; Eupolamon ; Eurytion,
fils
d’Actor ; Evippe de Thestius ; Hippase ; Hippocoo
d’Actor ; Evippe de Thestius ; Hippase ; Hippocoon ; Hippothoüs, cru
fils
de Cercyon ; Hylée ; Idas, fils d’Apharée ; Iolas
Hippase ; Hippocoon ; Hippothoüs, cru fils de Cercyon ; Hylée ; Idas,
fils
d’Apharée ; Iolas ; Iphiclès, fils d’Amphitryon ;
ru fils de Cercyon ; Hylée ; Idas, fils d’Apharée ; Iolas ; Iphiclès,
fils
d’Amphitryon ; Jason, fils d’Eson ; Laërte, père
; Idas, fils d’Apharée ; Iolas ; Iphiclès, fils d’Amphitryon ; Jason,
fils
d’Eson ; Laërte, père d’Ulysse ; Lelex, fils de N
ls d’Amphitryon ; Jason, fils d’Eson ; Laërte, père d’Ulysse ; Lelex,
fils
de Neptune ; Leucippe ; Lyncée, fils d’Apharée ;
; Laërte, père d’Ulysse ; Lelex, fils de Neptune ; Leucippe ; Lyncée,
fils
d’Apharée ; Menetius, père de Patrocle ; Mopsus ;
yncée, fils d’Apharée ; Menetius, père de Patrocle ; Mopsus ; Nestor,
fils
de Nelée ; Panopée ; Pélée, fils d’Eaque ; Phénix
père de Patrocle ; Mopsus ; Nestor, fils de Nelée ; Panopée ; Pélée,
fils
d’Eaque ; Phénix, d’Amyntor ; Phylea ; Pirithoüs,
nopée ; Pélée, fils d’Eaque ; Phénix, d’Amyntor ; Phylea ; Pirithoüs,
fils
d’Ixion ; Plexippe, l’un des frères d’Althée ; Po
irithoüs, fils d’Ixion ; Plexippe, l’un des frères d’Althée ; Pollux,
fils
de Jupiter ; Prothée, fils de Neptune ; Télamon,
exippe, l’un des frères d’Althée ; Pollux, fils de Jupiter ; Prothée,
fils
de Neptune ; Télamon, d’Eaque ; Thésée, d’Egée, e
re de Méléagre, désolée de la perte de ses frères s’irrite contre son
fils
, se souvient de l’oracle, court chercher le tison
é, puis dans son désespoir, oubliant qu’elle est mère, elle dévoue ce
fils
aux furies et jette au feu ce précieux et fatal t
ment d’Althée, lui rendirent visite et l’informèrent du destin de son
fils
; Clotho avait dû lui annoncer sa renommée future
combattre encore l’un à côté de l’autre au siége de Troie. Tous deux
fils
d’Éaque, ils furent tous deux exilés de leur patr
se justifier ; il fallut partir et quitter sa patrie. Alors, Télamon
fils
d’Endeis se réfugia chez Cychrée roi de Salamine,
re de Troie, ne pouvant plus aller à l’armée, Telamon envoya ses deux
fils
avec les Grecs. Quant à Pélée, né aussi de la Chi
le fleuve Sperchius rendit mère de Ménesthius, et que pourtant Bors,
fils
de Pénérès, épousa ensuite. L'on dit que Pélée, a
la plus belle, ce qui força Junon, Minerve et Vénus à prendre Pâris,
fils
de Priam, pour juger, en lui promettant la main d
t d’Achille, soutiennent qu’il fut défendre Andromaque et Molosse son
fils
, des attaques de Ménélas et d’Hermione, puis que
Hermione, puis que sur une invitation de Thétis, il fut rejoindre son
fils
aux îles fortunées ; ce que l’on peut traduire mo
disant qu’alors il mourut. Il nous reste enfin à parler d’un dernier
fils
de Neptune, de Triton qu’il avait eu d’Amphitrite
nt nous allons dire quelques mots. Cet Océan, comme on le sait, était
fils
du ciel et de la terre, il régnait sur la mer, le
ides. Cependant, le nombre des fleuves ne se bornait pas aux simples
fils
de l’Océan, et pour mieux le prouver, nous allons
s ; voici quels étaient les plus célèbres de ces fleuves : Achélous,
fils
de l’Océan et de Téthys, était un des trois cents
uve Blanc. Achéron, nous le trouverons en parlant des enfers. Acis,
fils
du dieu Faune et de la nymphe Simèthe, fut l’aman
Leur bonheur eût été parfait si Acis n’eût eu pour rival le terrible
fils
de Neptune. Un jour, Polyphème espérant attendrir
parente. Ce fleuve se nomme aujourd’hui Iaci. Adresque, était un des
fils
de l’Océan et de Téthys. Almon, était un fleuve r
fleuve romain, que l’on disait aïeul des Lares. Alphée, dieu-fleuve,
fils
de l’Océan et de Téthys, ayant tué par mégarde so
Asine, était également un dieu-fleuve de Sicile. Asope, dieu-fleuve,
fils
de Jupiter et de Clymène, épousa Métope, dont-il
leuve, fils de Jupiter et de Clymène, épousa Métope, dont-il eut deux
fils
, Ismène et Pélasgue, et vingt filles, dont quinze
essamène, il en eut Pélagon père d’Astéropée d’où descendait Eurybate
fils
d’Euphème. Les eaux de ce fleuve Axios avaient la
pe et d’Œnone ou Cebrenis. Céphise, dieu-fleuve de l’Attique, était
fils
de Pontos et de Thalassa, il eut de la nymphe Lir
l forme une des constellations australes, sous le même nom. Erymante
fils
d’Arcas et père de Xanthus, donna son nom à un fl
nna son nom à un fleuve et à une montagne d’Arcadie. Euphrate, fleuve
fils
de Pontos. Eurotas, un des rois les plus anciens
fils de Pontos. Eurotas, un des rois les plus anciens de la Laconie,
fils
de Lelex et père de Sparta femme de Lacédémone ;
e cueillait des fleurs lors de son enlèvement. Haliagmon, dieu fleuve
fils
de l’Océan et de Téthys. Inachus, fondateur du ro
s, avant J.-C., il fut le chef de la race des Inachides, passait pour
fils
de l’Océan et de Téthys, comme étant arrivé par l
tingue Argus, Criasus, Phorbas, Triopas, Sténélus et Gélanor. Ismenus
fils
de Pelasgue, n’était autre que le Ladon, auquel i
vin Tirésias lorsqu’il en but. Méandre, fleuve de la grande Phrygie,
fils
de la terre et de l’Océan, et père de Cyanée, mèr
lle reparaissait chez eux sous le nom d’Asope. On donnait encore pour
fils
à Méandre, Calame, amant de Carpo et Samic. Ménan
Samic. Ménane ou Aménane, dieu-fleuve de Sicile. Nessus, dieu fleuve
fils
de l’Océan et de Téthys ; ils étaient deux du mêm
empoisonné causa la mort d’Hercule. Oaxès ou Oaxus, fleuve de Crète,
fils
d’Apollon et d’Anchiale ou d’Acacallis, et alors
rosaient la fertile vallée de Tempé en Thessalie ; il eut encore pour
fils
Andrée et Anthrax. Sangare, dieu-fleuve de l’Asie
ide amante d’Atys, coulait en grande partie dans la Phrygie, il était
fils
de la terre ou d’un roc primordial. Scamandre, f
hrygie, il était fils de la terre ou d’un roc primordial. Scamandre,
fils
de Corybas, dieu-fleuve de la Troade, où on lui a
Thrace, sur les bords duquel Orphée pleura la mort d’Eurydice, ou un
fils
de Mars ; il fut à peu près comblé par Hercule ;
près comblé par Hercule ; on lui donne Néère pour femme, Brangas pour
fils
, et pour fille Evadné, femme d’Argus, roi d’Argos
t Rémus ; le Tibre uni à Manto avait eu Œnos. Thermodon, dieu-fleuve,
fils
de Pontos et de Thalassa. Tigris, fils aussi de
nos. Thermodon, dieu-fleuve, fils de Pontos et de Thalassa. Tigris,
fils
aussi de Pontos et de Thalassa, était un dieu-fle
is qu’un vieil oracle de Thémis, déesse de la justice, portait que le
fils
de Téthis serait plus illustre que son père, ne t
our prétendans que de simples mortels, dont le plus heureux fut Pélée
fils
d’Éaque, qui la poursuivit avec le plus d’ardeur
Achille que nous rencontrerons au siége de Troye, eut de Déidamie son
fils
Néoptolème ou Pyrrhus, qu’Andromaque rendit père
avait été forcée de choisir pour époux, il était, nous le répèterons,
fils
d’Eaque, roi d’Egine et de la nymphe Endéis, fill
élée rendit père de Patrocle ami d’Achille ; cet Alope en outre était
fils
d’Actor, l’Eolien, et d’Egine fille d’Eaque. Pélé
doptive et fut chercher son expiation à Iolchos, auprès du roi Acaste
fils
de Pélias, qui la lui accorda. Malheureusement so
jeunesse, de fraîcheur et d’amabilité. Elles avaient pour amants les
fils
de Sylvain, dieu des forêts. Pour mieux faire con
e de l’Océan et de Thétys, épousa Japet, qui la rendit mère de quatre
fils
, Prométhée, Epiméthée, Atlas, Mécène. On la repré
mours, elle se consola de la perte de son amant en épousant Andrémon,
fils
d’Osyle, et en eut un fils nommé Amphise. Un jour
a perte de son amant en épousant Andrémon, fils d’Osyle, et en eut un
fils
nommé Amphise. Un jour qu’elle se promenait le lo
savons, son mari trompé par Junon, écraser contre un mur Léarque, son
fils
aîné ; puis de chagrin, elle se précipita dans la
s de chagrin, elle se précipita dans la mer avec Mélicerte, son jeune
fils
, pour éviter la fureur d’Athamas ; alors Neptune
piter des lieux-bas ; Quiétalis ou le Dieu du repos ; Saturnius ou le
fils
de Saturne ; Sérapis ou le Pluton de Préneste ; S
stre ; Uragus ou le conducteur du feu. Pluton était, nous le savons,
fils
de Saturne et de Rhée, et fut comme ses autres fr
s, quand ils se cachent sous cette ligne. On donne à Proserpine, pour
fils
, comme épouse de Jupiter, souvent Bacchus ou Iacc
ue les Dioscures Tyntarides ; quelquefois on lui reconnaît aussi pour
fils
Zagrée, ou le grand chasseur, et on lui donnait p
ait souvent pour l’enfer même et que l’on personnifiait en le faisant
fils
du chaos et des ténèbres, en lui donnant pour fem
euve des enfers, n’avait pas toujours coulé dans le séjour des morts.
Fils
du soleil et de la terre, il promenait le cristal
urbeuses. On donnait pour enfans, à ce fleuve, Ascalaphe, déjà connu,
fils
d’Orphné ou des ténèbres ou de Gorgyre ou l’ombre
e batelier ; Satelles Orci ou le portier de l’obscurité, passait pour
fils
de l’Erèbe et de la Nuit. Sa fonction était celle
gémissement, était l’un des cinq fleuves infernaux ; il passait pour
fils
du Styx et pour père de Menthe et de Phlégéton. D
bère était donc le gardien des peuples de Pluton, de même que Ménece,
fils
de de Ceuthonyme, était le berger de ses troupeau
grand-père, Minos I, juge des enfers ; celui-ci était roi de Crète et
fils
de Jupiter-Astérius et d’Europe, il donna des loi
it tous les neuf ans dans un antre, où le dieu dictait ces lois à son
fils
. Cependant, Josephe, l’historien juif, dit que Mi
té au temple de Delphes, et semble porté à le comparer à Moïse, comme
fils
d’une phénicienne. Quoi qu’il en soit, la sagesse
rymédon, Néphalion et Philolaüs. Éaque, était, nous le savons aussi,
fils
de Jupiter et de la nymphe Égine, et régna dans l
nt à Rhadamanthe, troisième juge du sombre séjour, il était également
fils
de Jupiter et d’Europe, et par conséquent frère d
r se faire aider dans ses travaux sur la terre, Andrée ou Andrié, cru
fils
d’Ananius, et Anion, qui lui servirent de lieuten
s, et Anion, qui lui servirent de lieutenans. Rhadamanthe laissa pour
fils
Gortyne ou Gorlys ou Gortyn et Eurytre, qui fonda
lle eut l’ Ether, le Jour, la Pétulance, la Pitié, la Fraude, et pour
fils
Dumilès, être peu connu ; Epiphron, ou qui pense
nus. On le représente un masque et une marotte à la main. Le Sommeil,
fils
de la Nuit et de l’Érèbe, résidait, suivant Homèr
a sombre demeure de son maître. Ce Morphée, était le dieu des Songes,
fils
du sommeil et de la nuit, il était aussi regardé
yeux des mortels. Quant aux autres songes, ses frères, et comme lui
fils
du sommeil, leur nombre était fort grand, mais il
alement enfans de l’Érèbe et de la Nuit ; en effet : Le Travail, leur
fils
, placé par Virgile aux portes des enfers, était r
jusque sur la terre et chargée de laine blanche ou noire, ou mêlée de
fils
d’or ou de soie. Elle était couronnée de sept éto
âgée, couverte de vêtemens noirs et lugubres, entourée de pelotons de
fils
plus ou moins garnis, et armée de longs ciseaux.
ne des Égyptiens, adoptée par les Grecs, qui lui donnèrent alors pour
fils
, Egialée, comme né de son alliance avec Éétès. C'
vons vu mises en fuite par les Argonautes ; mais c’est surtout Kères,
fils
de la nuit, que nous devons placer ici. Regardé c
aient les Danaïdes ou Bélides, filles de Danaüs, ou Armaïs ou Lycius,
fils
de Bélus et d’Anchinoé ou à tort Anchirrohé, fill
voulu tuer ce dernier et après avoir refusé en mariage aux cinquante
fils
d’Egyptus, cinquante filles qu’il avait eues de d
ger vers 1550 ou 1510 avant J.-C., le trône, au détriment de Gélanor,
fils
du roi décédé, en profitant d’un évènement, que l
Egyptus, celui-ci mit de nouveau les armes à la main de ses cinquante
fils
, qu’il avait également eus de différentes femmes,
e prévenir dès qu’ils furent l’un et l’autre hors de danger. Pélops,
fils
de Tantale ou de Brontée, roi de Lydie et de Dion
, Euryale, Eurymaque, Lasios, Lycurgue, Marmax, Pélagon et Tricolone,
fils
du Lycaonide. Cependant, Pélops n’est point effra
palladium avait été fait avec ses os. Pélops, laissa en mourant trois
fils
d’Hippodamie, savoir : Astrée, Thyeste, Hippalque
me ou Hippalame, et, dit-on encore, Plisthène, cru généralement aussi
fils
d’Astrée ; puis il eut d’Astiochée ou Danais, le
ari ; et, à cette liste, Apollodore ajoute pour enfans de Pélops deux
fils
, Alcathaoüs et Pithée, et deux filles, Lysidice,
Strabon y joint Trézène, et d’autres auteurs nomment de plus pour ses
fils
, Cléone, Dysponte et Argée, père d’Alector. Voyon
urut jeune, mais vécut pour la postérité dans la personne de ces deux
fils
célèbres, Agamemnon et Ménélas, dont il laissa la
dont il avait épousé la fille Érope, qui l’avait rendu père de trois
fils
, Alcon, Eumolus et Mélampus, auxquels on donna, c
ente sur des plats d’argent les membres palpitans et les têtes de ses
fils
. Tous les convives frémirent à cet acte barbare,
à son tour que vengeance : il fut réclamer des chevriers Égisthe, son
fils
, né de Pélopée, l’éleva dans la haine d’ Atrée et
ve à la cour d’Atrée qui, bientôt le chérit comme l’un de ses propres
fils
. Cependant Agamemnon et Ménélas, fils d’Atrée, ay
hérit comme l’un de ses propres fils. Cependant Agamemnon et Ménélas,
fils
d’Atrée, ayant été à la recherche de Thyeste, fin
jeune homme a-t-il tiré son épée, que Thyeste se fait connaître à son
fils
, et que Pélopée, amenée par le hasard pour offrir
ns à Mycènes époux de cette veuve criminelle. Au bout de ce temps, un
fils
d’Agamemnon, Oreste, qu’Électre sa sœur avait sau
pendant la paix ne fut pas de longue durée dans ce ménage, car Priam,
fils
de Laomédon, regrettant toujours le rapt de sa sœ
onnée à son ami Télamon, père d’Ajax le Télamonide, envoya Pâris, son
fils
, en Grèce, pour racheter cette princesse s’il éta
ombattans de l’armée des Grecs, comptaient dans leurs rangs : Acamas,
fils
de Thésée et de Phèdre, suivit Eléphénor ; Agamem
fils de Thésée et de Phèdre, suivit Eléphénor ; Agamemnon ; Achille,
fils
de Pélée et de Thétis, chef des Phtiotides ; Agmo
e Télamonide, chef Talaminien ; Ajax l’oïlide ; Alastor, un des douze
fils
de Nestor et de Chloris ; Alcime, ami d’Achille ;
de Nestor et de Chloris ; Alcime, ami d’Achille ; Alcimède ; Alcmaon,
fils
de Thestor, et tué sous les murs de Troye ; Alect
; Alector, le spartiate, époux de Cléobule, mère de Léide ; Alégénor,
fils
d’Itone et l’un des chefs Béotiens ; Amphiloque,
ide ; Alégénor, fils d’Itone et l’un des chefs Béotiens ; Amphiloque,
fils
de Ctéate ; Amphimaque, fils du molionide Ctéate,
et l’un des chefs Béotiens ; Amphiloque, fils de Ctéate ; Amphimaque,
fils
du molionide Ctéate, et tué par Hector ; Amphion,
s ; Ancée, Ancholie, cocher de Ménestre et tué par Hector ; Andrémon,
fils
d’Œnée et compagnon de Diomède ; Anticle, l’un de
dans la ville ; Antiphe ; Ampharée, tué par Enée ; Antiloque, Arète,
fils
de Nestor ; Argenne, fils de Leucon et favori d’A
Ampharée, tué par Enée ; Antiloque, Arète, fils de Nestor ; Argenne,
fils
de Leucon et favori d’Agamemnon ; Aribas, père de
aphe, tué par Déiphobe ; Assé, tué par Hector ; Antimaque, Automédon,
fils
de Diore ; Autonoüs, tué par Hector, Blanire ; Bu
or ; Charope, roi de Syme, mari d’Aglia et père de Nirée ; Chrethron,
fils
de Dioclès, frère d’Orsiloque et tué par Enée ; C
mius ; Cinas, pilote de Ménélas ; Clitonée, tué par Hector ; Clonius,
fils
d’Alectrion, ou de Lacrite ou d’Hélégénor, et tué
n, ou de Lacrite ou d’Hélégénor, et tué par Agenor ; Cyanée ; Cycnus,
fils
d’Oate et d’Auriphyte, fut au siége avec douze va
ec douze vaisseaux ; Cyllabare ou Cyllarabe, ou Cyllébore, ou Comète,
fils
de Sténèle et amant d’Agialée, femme de Diomède p
Diomède pendant le siége ; Daunus ; Déioque, tué par Pâris ; Deipyle,
fils
de Sthénèle et compagnon de Diomède ; Deipyre, tu
omède ; Deipyre, tué par Hélénus ; Démolée combattit Epée ; Demophon,
fils
de Phèdre et de Thésée, suivit en amateur Eléphén
sée, suivit en amateur Eléphénor ; Dexius, tué par Glaucus ; Diomède,
fils
de Tydée, roi de Calydon ; Diophore ; Diore, tué
e Tydée, roi de Calydon ; Diophore ; Diore, tué par Phorbas ; Dolops,
fils
de Clytus, et tué par Hector ; Dracius, chef Epée
fils de Clytus, et tué par Hector ; Dracius, chef Epéen ; Echéphron,
fils
de Nestor ; Echios, tué par Polite ; Eléphénor, l
s, tué par Polite ; Eléphénor, l’un des chefs Eubéens ; Enops ; Epée,
fils
de Panopée, chef de trente vaisseaux épéens, ce f
vaisseaux épéens, ce fut lui qui fabriqua le cheval de bois ; Epigée,
fils
d’Agaclès, roi de Budion, en Thessalie, fut tué p
gaclès, roi de Budion, en Thessalie, fut tué par Hector ; Epistrophe,
fils
d’Iphite et d’Hippolyte, fut tué par Hector ; Esy
d’Hippolyte, fut tué par Hector ; Esymne, tué par Hector ; Euchénor,
fils
du devin Polybe, fut tué par Pâris ; Eudore, fils
Hector ; Euchénor, fils du devin Polybe, fut tué par Pâris ; Eudore,
fils
d’Hermès, fut tué par Pyréchème ; Eumêle, chef th
dore, fils d’Hermès, fut tué par Pyréchème ; Eumêle, chef thessalien,
fils
d’Admète et d’Alceste, conduisit onze vaisseaux d
’Admète et d’Alceste, conduisit onze vaisseaux devant Troie ; Eumite,
fils
d’Alceste ; Euryale argien, ancien argonaute et c
ctor ; Hodios, prêtre et guerrier ; Hipsénor, tué par Déiphon ; Iase,
fils
de Phèle et chef des Athéniens ; Idoménée, petit
Déiphon ; Iase, fils de Phèle et chef des Athéniens ; Idoménée, petit
fils
de Minos II et fils de Deucalion, il était le che
de Phèle et chef des Athéniens ; Idoménée, petit fils de Minos II et
fils
de Deucalion, il était le chef des Crétois ; Iphi
nos II et fils de Deucalion, il était le chef des Crétois ; Iphinoüs,
fils
de Dexius, fut tué par Glaucus ; Léite, fils d’El
des Crétois ; Iphinoüs, fils de Dexius, fut tué par Glaucus ; Léite,
fils
d’Electrion, conduisit quarante vaisseaux ; Leuco
; Leucos, compagnon d’Ulysse et tué sous les murs de Troie ; Lycaon,
fils
de Diomède, fut tué par Pandare ; Lycophron, suiv
t d’Ajax, fut tué par Hector ; Médon, chef des Phliotes ; Mégapenthe,
fils
de Ménélas et de Piéris, et gendre d’Alector ; Mé
ris, et gendre d’Alector ; Mégès, que les Doriens prononçaient Mégas,
fils
de Phylée et d’Eustyoche ; Mélanée, habile archer
ls de Phylée et d’Eustyoche ; Mélanée, habile archer, que l’on disait
fils
d’Apollon ; Ménélas ; Ménéleptolème, général avec
Ménélas ; Ménéleptolème, général avec Médon, des Phliotes ; Ménestre,
fils
d’Aréithoüs et de Philomédus, roi d’Arne et tué p
d’Arne et tué par Pâris ; Ménesthe, grec, tué par Hector ; Ménesthe,
fils
de Polydore et l’un des capitaines servant sous A
capitaines servant sous Achille ; Mentès, roi des Cicones ; Mérione,
fils
de Mole et de Melphis ; Néoptolème ou Pyrrhus, fi
icones ; Mérione, fils de Mole et de Melphis ; Néoptolème ou Pyrrhus,
fils
d’Achille ; Nestor, fils de Nélée ; Nyctée, compa
Mole et de Melphis ; Néoptolème ou Pyrrhus, fils d’Achille ; Nestor,
fils
de Nélée ; Nyctée, compagnon de Diomède ; Ochèse,
Étoliens, fut tué pendant le siège ; Œnomas, tué par Hector ; Oénops,
fils
d’Hélénus et mort devant Troie ; Ophelte, tué par
petit-fils d’Orsiloque, né d’Alphée, fut tué par Enée ; Otos ou Otus
fils
de Cyllène, fut tué par Polydamas ; Palamède, fil
née ; Otos ou Otus fils de Cyllène, fut tué par Polydamas ; Palamède,
fils
de Nauplius et de Climène et chef des Eubéens ; P
Climène et chef des Eubéens ; Pandion, suivant de Teucer ; Patrocle,
fils
de Ménesce, roi des Locriens et de Sthénèle, ami
oliens ; Periphéme, chef myconien, tué par Hector ; Phémios ; Phénix,
fils
d’Amyntor, aveugle qui, malgré son infirmité, vou
siège Achille, son élève ; Phidippe, de la race d’Hercule ; Phrontis,
fils
d’Onétor, était pilote de Ménélas, et fut tué par
Pisandre, le plus habile lancier après Patrocle ; Podarce ; Polypète,
fils
de Pirithoüs et d’Hippodamie, conduisit quarante
e Pirithoüs et d’Hippodamie, conduisit quarante vaisseaux ; nolyxène,
fils
d’Agasthène et Héraclide ; Promaque, chef béotien
et Héraclide ; Promaque, chef béotien, tué par Acarnas ; Protésilas,
fils
d’Iphicle et de Diomédée, fut tué à son arrivée p
Iphicle et de Diomédée, fut tué à son arrivée par Hector ; Prothénor,
fils
d’Aréilyque et de Théobule, frère d’Arcésilas, ét
ait l’un des sept chefs béotiens, il fut tué par Polydamas ; Protoos,
fils
de Teuthrédon, conduisit quarante vaisseaux de Ma
Magnètes devant Troie ; Pylée, chef pélasgue ; Pyrrhus ou Néoptolème,
fils
d’Achille ; Réthénor, compagnon de Diomède ; Sché
optolème, fils d’Achille ; Réthénor, compagnon de Diomède ; Schédius,
fils
d’Iphite et tué par Hector ; Sinon, fils de Sisyp
agnon de Diomède ; Schédius, fils d’Iphite et tué par Hector ; Sinon,
fils
de Sisyphe, espion grec, qui détermina la prise d
de Sisyphe, espion grec, qui détermina la prise de Troie ; Sthénèle,
fils
de Capanée et l’un des Epigones ; Stentor, dont l
rembler tous les environs ; Talthybius, hérault d’Agamemnon ; Teucer,
fils
de Télamon, roi de Salamine et habile archer ; Te
dien, déserta l’armée grecque comme elle partait pour Troie ; Thalpe,
fils
d’Eurite, fut devant Troie avec dix vaisseaux épé
é de tuer Penthésilée, reine des Amazones et alliée de Priam ; Thoas,
fils
du roi Calydonien Andremon, faisait partie des gu
i entrèrent dans Troie, enfermés dans le cheval de bois ; Thrasimède,
fils
de Nestor et d’Anaxibie ; Tisandre, était aussi d
’Anaxibie ; Tisandre, était aussi dans le cheval de bois ; Tlépolème,
fils
d’Hercule et d’Astyochée et mari de Prolyxo, fut
suivre par ordre alphabétique. Agamemnon, roi de Mycènes et d’Argos,
fils
de Plisthène et petit-fils d’Atrée, avait pour mè
e calme cesse et la flotte part, s’arrête sur les côtes d’Amphimédon,
fils
de Mélanthée, repart et arrive enfin devant la vi
le, ce qui causa entre ces deux chefs une querelle si sérieuse que le
fils
de Thétis se retira sous sa tente et refusa de pr
e, livrée à la plus infâme débauche et devenue la maîtresse d’Egiste,
fils
de Thyeste, auquel il avait pardonné le meurtre d
Thestius, roi de Pleuron ; elle épousa d’abord Tantale, roi de Lydie,
fils
adultérin de Thyeste et d’Erope, femme d’Atrée, e
uronne sur la tête. Oreste. Cet Egiste, craignant qu’un jour Oreste,
fils
d’Agamemnon et de Clytemnestre ne vengeât la mort
ins du cruel, et le fit passer en Phocide, chez Strophius, son oncle,
fils
de Crisus et roi de cette contrée ; Oreste se lia
ontrée ; Oreste se lia à cette cour d’une étroite amitié avec Pylade,
fils
de ce prince, et de Cydragores, fille de Plisthèn
ct d’acquittement, malgré l’accusation portée contre lui par Périlas,
fils
d’Icarius et de Péribée. Malheureusement, quoique
Pylade le suit : ils se présentèrent donc à Thoas, roi de Tauride et
fils
de Borysthène, qui les reçut assez bien ; mais le
t de son oncle Ménélas, défait et tue Aristomaque, chef des Dauriens,
fils
de Cléodée et petit-fils d’Hercule, au quatrième
é Pylade et Oreste. Cependant cet Aristomaque laissa en mourant trois
fils
en bas âge, Aristodème, Témène et Cresphonte, qui
talon par un serpent, à l’âge de quatre-vingt-dix ans, laissant deux
fils
légitimes, Tisamène, l’aîné et Comète le cadet, p
ant deux fils légitimes, Tisamène, l’aîné et Comète le cadet, plus un
fils
naturel, Penthile, qu’il avait eu d’Érigone, fill
d’Érigone, fille d’Égisthe et de Clytemnestre. Ce Penthile, eut pour
fils
Damasias. On connaît encore à Oreste. Partout on
trouvé à Tégée. Quant à Pylade, il se maria à Électre et laissa pour
fils
Médéon et Strophius. Iphigénie, fille d’Agamemno
arler d’abord de Ménélas et d’Hélène cause de cette guerre. Ménélas,
fils
d’Ériphyle et de Plisthène, fils d’Atrée, passa p
ène cause de cette guerre. Ménélas, fils d’Ériphyle et de Plisthène,
fils
d’Atrée, passa presque toute sa jeunesse à la cou
ion de Crétée, son aïeul maternel. Avant ou pendant ce voyage, Pâris,
fils
de Priam, alla recevoir l’hospitalité dans son pa
sa fille Hermione, qu’il avait eue d’Hélène à Pyrrhus ou Néoptolème,
fils
d’Achille et de Déidamie. Il ne laissa en mourant
oryte, qui fut s’établir en Italie, car Nicostrate et Mégapenthe, ses
fils
, que quelques auteurs font aussi naître d’Hélène,
de Sparte. Hélène, le rendit père d’une fille nommée Hermione. Pâris,
fils
de Priam, sous prétexte de traiter du rachat d’Hé
avec son frère Pollux la constellation des gémeaux. Achille était
fils
de Pélée, roi des Myrmidons, en Thessalie, et de
fleuve. Pélée privé du secours et de la vue de son épouse, confia son
fils
au centaure Chiron, qui après avoir déterré le ca
urrissant avec de la moelle de lion et d’ours. Thétis sachant que son
fils
se couvrirait d’une gloire immortelle s’il se ren
les offres et les prières d’Agamemnon ne purent fléchir la colère du
fils
de Pélée ; alors il resta seul, vivant comme tous
er et aux manes de Patrocle, et il fait tomber sous ses coups Lycaon,
fils
de Priam et Astéropée qui l’a blessé. Les cadavre
our de la ville, pour éviter le combat, malheureusement pressé par le
fils
de Pélée, il accepte et succombe. Le vainqueur ap
lui demande les larmes aux yeux, [ILLISIBLE]es restes inanimés de son
fils
; à la vue de se vieillard suppliant, Achille qui
n serment et permet au vieillard l’emporter les tristes restes de son
fils
. Ensuite épris des charmes de Polixène, la plus j
prit part à cette trahison, la cherchèrent, et Pyrrhus ou Néoptolème,
fils
d’Achille, l’ayant découvert, l’immola sur le tom
mieux avec Déidamie, fille de Licomède. On lui donnait en outre pour
fils
Euphorion, né, disait-on, de ses amours avec Hélè
mêlées aux présens offerts par Ulysse. Achille laissa, on le sait, un
fils
né de Déidamie ou d’Iphigénie, à Scyros, c’était
nus et Andromaque, dont il fit sa concubine favorite, il en eut trois
fils
Molosse, Pièle et Pergame. Il se rendit ensuite e
it pour piller son temple. Cependant on assure aussi que ce fut Onir,
fils
d’Achille et de Déidamie, qu’Oreste fit ainsi lap
le, voici ce que l’on peut en dire : Patrocle, petit-fils d’Actor et
fils
de Ménèce, roi d’une contrée de la Locride, et de
e de la Locride, et de Sthénélé ou Philomèle, tua involontairement le
fils
d’Amphidamas, en jouant avec lui ; alors il quitt
éros, et revinrent au camp lui rendre les honneurs funèbres. Phénix,
fils
d’Amyntor, roi Dolope, sut plaire à une concubine
de Junon. Ajax, le Télamonide, ou le Salaminien, ou le Grand, était
fils
de Télamon, roi de Salamine, et de Péribée, fille
ils de Télamon, roi de Salamine, et de Péribée, fille d’Alcathoüs, ou
fils
d’Euribée, fille de Porthée ou Parthaon. Dès-lors
ssa deux enfans : Eantide, de Glauca, sa femme légitime, et Eurysace,
fils
qu’il avait eu de sa captive Tecmesse, et qui lui
xties, ou Ajacies. Ajax l’Oïlide, ou Autoléon, ou le Locrien, était
fils
d’Oïlée, ou de Locre et de Rhénée, ou de la nymph
t engloutit ainsi cet audacieux blasphémateur, qui laissa, dit-on, un
fils
appelée Phylée. On représente cet Ajax, ayant à s
aussi tenant sur ses épaules le corps inanimé d’Achille. Antiloque,
fils
de Nestor et d’Anaxibie, fut exposé sur le mont I
représente annonçant à Achille la mort de son ami Patrocle. Calchas,
fils
de Thestor, célèbre devin, était de Mycènes et ha
survivre à cette humiliation et mourut accablé de chagrin. Diomède,
fils
de Tydée et de Déipyle, fille d’Adraste et d’Amph
el il succéda sur le trône d’Argos ; c’est alors qu’il fut contre les
fils
d’Agrius, qui avaient chassé du trône OEnée, son
s’associer à sa fortune. D'abord, il tomba entre les mains de Lycus,
fils
de Mars et roi d’une portion de l’Italie, qui sac
ite une épée et de l’autre l’idole sacrée. Eumélus, chef thessalien,
fils
d’Admète et d’Alceste régnait sur Phères, Glaphyr
et qui ne le cédaient en vitesse qu’aux chevaux d’Achille. Eurypyle,
fils
d’Évémon, fut au siége de Troie, où il tua Hypsen
furent délivrées et Eurypyle reprit l’usage de sa raison. Idoménée,
fils
de Deucalion, et l’un des prétendans d’Hélène, pr
En arrivant dans ses états, le premier homme qu’il rencontra fut son
fils
; Idoménée néanmoins, eut la cruauté d’accomplir
e dans la grande Grèce, où il fonda Salente et il y mourut. Machaon,
fils
d’Épione ou d’Arsinoé, et descendant d’Esculape,
flancs du cheval de bois et périt, dit-on, sous les coups d’Eurypyle,
fils
de Télèphe. Machaon, avait un tombeau et un templ
aon, avait un tombeau et un temple dans la ville de Messène. Mérion,
fils
de Môle et de Melphis, fut un des concurrens de M
eva un tombeau à Cnosse. Nestor ou Pylios, comme roi de Pylos, était
fils
de Nélée et de Chloris ; il fut célèbre par sa sa
s Anaxibie ou Astyochée ou Cydragore, fille d’Atrée, dont il eut sept
fils
: Echéphron, Straticus ou Stratios, Persé, Arètus
ut en partage Hécamède, fille d’Arsinoüs roi de cette île. Palamède,
fils
du roi d’Eubée Nauplius et de Climène ou d’Hesion
e et Ilionée puis il fut tué par Polydamas. Philoctète ou Mélibœus,
fils
de Péas et de Démonice ou Méthone, prit part à l’
ainsi que son frère Machaon, était comme lui descendant d’Esculape et
fils
d’Epione, et, par conséquent, comme comme lui aus
orique. Podalire avait un temple à Damie, dans la Carie. Protésilas,
fils
d’Iphicle et de Diomédée naquit à Phylace, d’où i
e. On l’honorait aussi dans Abydos, où il avait une chapelle. Sinon,
fils
de Sisyphe, était le plus célèbre espion de l’arm
e à Sinon, Troie fut prise, pillée et livrée aux flammes. Sthénélus,
fils
de Capanée et d’Evadné, fille d’Iphis, fut un des
tingua dans cette guerre par son courage et son intrépidité. Teucer,
fils
de Télamon, roi de Salamine et d’Hésione ou du fl
ou Ulysse, et qui veut dire personne ou le redoutable, comme supposé
fils
d’Aphidas, roi d’Alybes ; Sisyphide ou fils de Si
redoutable, comme supposé fils d’Aphidas, roi d’Alybes ; Sisyphide ou
fils
de Sisyphe. Il était d’Ithaque ou de Dulichium, o
is frères jumeaux appelés Ithaque, Nérite et Polyctor. Ce héros était
fils
d’Anticlée ou d’Euryclée, et de Laërte l’Emonide,
le rendit père de Télémaque. Environ un an après la naissance de ce
fils
, la Grèce entière était en armes pour aller venge
était en armes pour aller venger l’offense faite à Ménélas par Pâris,
fils
de Priam. Ulysse, chercha de toutes les manières
r la ligne du sillon qu’il labourait. Ulysse, pour ne pas blesser son
fils
, leva le soc de la charrue. Alors, Agamemnon et M
feux pour attirer ses vaisseaux, afin de se venger de la mort de son
fils
, qu’Ulysse avait fait tuer par jalousie. Ces feux
amis, Ulysse fut obligé de laisser Circé, qu’il quitta enceinte d’un
fils
que l’on nomma Télégone. Il franchit Scylla et Ch
aufragé et le retint pendant sept ans ; il eut de cette océanide deux
fils
Nausithoüs et Nausinoüs, et peut-être un troisièm
qui voulait venger les mauvais traitemens qu’Ulysse avait faits à son
fils
Polyphème, l’en éloigna et brisa le seul vaisseau
épouse, fille de Peribée ou de Polycaste, femme d’Icarius ou Icarion,
fils
lui-même de Périérès et de Gorgophone. Pendant le
e Dulichium ; Antinoüs, le plus célèbre de ces prétendans ; Ctésippe,
fils
de Samé ; Damastoride, Déoptolème, Elate, Euryade
rd à la cabane du vieil Eumée, l’un des gardiens de ses troupeaux, et
fils
de Ctésius ; il y rencontre Télémaque, son fils,
de ses troupeaux, et fils de Ctésius ; il y rencontre Télémaque, son
fils
, que Mentès venait de prévenir et qui, en vain, a
ose élégante de Fénélon. Ulysse, après s’être fait reconnaître de son
fils
, se déguise en mendiant, et tous deux reprennent
aërte, qui vivait à la campagne avec son esclave Dolius, dont les six
fils
avaient courageusement secondé Ulysse ; mais, pou
surprendre ce vieillard, il s’annonce d’abord sous le nom d’Aphidas,
fils
de Polypémon. Rajeuni alors par Minerve, Laerte r
ils de Polypémon. Rajeuni alors par Minerve, Laerte revient aider son
fils
et son petit-fils à soumettre son peuple rebelle
olte. Ulysse ensuite vécut en paix, puis il eut de Pénélope encore un
fils
, appelé Ptoliporthos, et il gouverna tranquilleme
cle de Tirésias qui lui avait prédit qu’il mourrait de la main de son
fils
; car, craignant alors Télémaque, il fut se faire
el on substitue Antios ou Antée ; Agrius, Arbias, Marse et Paphlagon,
fils
qu’il eut de Circé, ainsi qu’une fille appelée Ca
onduite de Mentor, favori de Minerve, emprunter un vaisseau à Noémon,
fils
de Phronios, et courir les mers avec ses compagno
r les mers avec ses compagnons Clytius, père de Pirée, et Pisistrate,
fils
de Nestor ; aller chez Ménélas et y être reçu sui
y être reçu suivant son rang, par son maître des cérémonies Etéonée,
fils
de Boette ; faire ensuite tomber sous ses coups,
nt que pour combattre et vaincre les brigands commandés par Télégone,
fils
d’Ulysse et de Circe ; mais sa femme ne lui pardo
Les poètes ont introduit dans le cours des voyages d’Ulysse et de son
fils
, une foule de personnages, dont il nous est impos
ui tous se distinguent dans ces jeux ; puis, on voit paraître Halios,
fils
d’Antinoüs, et dont la danse fut admirée par Ulys
; Dinétor, qui acheta ce héros ; Echète, alors tyran d’Epire ; Eunée,
fils
de Jason et d’Hypsypile et roi de Lemnos, qui fou
ous lui on voyait obéir et commander ses cinquante ou cinquante-trois
fils
, et les divers guerriers dont nous allons faire é
divers guerriers dont nous allons faire également suivre les noms :
Fils
de Priam : Agave ou le radieux, était un des plus
ion, par Eurypile ; Biante ; Bias ; Brisonnius ; Bucolion, l’aîné des
fils
de Priam et de Colybée ; Cébrione, né d’une escla
; Chrysolas ou Chrysolaüs ; Clonius ; Daphnis, né d’Œnone ; Déiopète,
fils
naturel tué par Ulysse ; Déiphobe, né d’Hécube et
é d’Hécube et massacré par la trahison de sa femme Hélène ; Démocoon,
fils
naturel ; Dius ; Dolon ; Doricle, né d’une concub
ide ; Echémon, né d’Hécube, fut tué par Diomède ; Echépron ; Egéonée,
fils
d’une concubine ; Æsacus, né de la nymphe Alexiro
n ; Egéonée, fils d’une concubine ; Æsacus, né de la nymphe Alexiroé,
fils
aîné de Priam et époux d’Astérope, fille du fleuv
rrhus sur le bûcher d’Achille ; Polémon ; Polydore, le plus jeune des
fils
nés d’Hécube ; Troïle, le plus jeune des fils de
dore, le plus jeune des fils nés d’Hécube ; Troïle, le plus jeune des
fils
de Priam restes à Troye. Les guerriers troyens au
es fils de Priam restes à Troye. Les guerriers troyens autres que les
fils
de Priam étaient : Abler, tué par Antiloque le Ne
iam étaient : Abler, tué par Antiloque le Nestoride ; Acamas, Thrace,
fils
d’Eussor, fut tué par Ajax, le Télamonide ; un au
Amphion, fut tué par Diomède ; Adraste, tué par Ménélas ; Agastrophe,
fils
de Péon, fut tué par Diomède ; Agélas, fils de Ph
par Ménélas ; Agastrophe, fils de Péon, fut tué par Diomède ; Agélas,
fils
de Phradmon, fut tué par Diomède ; Agénor, fils d
par Diomède ; Agélas, fils de Phradmon, fut tué par Diomède ; Agénor,
fils
d’Anténor ; Alcandre, Lycien, tué par Ulysse ; Al
génor, fils d’Anténor ; Alcandre, Lycien, tué par Ulysse ; Alcathoüs,
fils
d’Esyète, et non Esyèle, avait épousé Hippodamie,
Amphidamas, tué par Patrocle ; Amphiclé, tué par Mégès ; Amphimaque,
fils
de Nomion ; Amphius et non Amphion, fils de Mérop
tué par Mégès ; Amphimaque, fils de Nomion ; Amphius et non Amphion,
fils
de Mérops et d’Adraste, fut tué par Diomède ; Amp
Amphion, fils de Mérops et d’Adraste, fut tué par Diomède ; Amphius,
fils
de Pélasgue, fut tué par Ajax ; Amphotère eut l’h
memnon ; Antiphe, commandait avec Mermer les Méoniens ; Archiptolème,
fils
d’Iphite et roi d’Elis, conduisait le char d’Hect
Elis, conduisait le char d’Hector et fut tué par Teucer ; Archiloque,
fils
d’Anténor, fut tué par Ajax le Télamonide ; Areil
nide ; Areilyque, tué par Patrocle ; Arétaon, tué par Teucer ; Argée,
fils
de Polymèle, fut tué par Patrocle ; Arielycus, fu
le, fut tué par Patrocle ; Arielycus, fut blessé par Patrole ; Asius,
fils
d’Hyrtaque et d’Arisbe, auxiliaire de Priam, fut
e et d’Arisbe, auxiliaire de Priam, fut tué par Idoménée ; Astéropée,
fils
de Pélégone, fut tué par Achille ; Astyale, tué p
le, tué par Polypète ; Astyphyle, Péonien, tué par Achille ; Astymne,
fils
d’Amysodare, roi Lycien, fut tué par Antiloque ;
i Lycien, fut tué par Antiloque ; Antonoüs, tué par Patrocle ; Axile,
fils
de Teutras, fut tué par Diomède ; Bianor, tué par
Calésius, conducteur du char d’Axyle, fut tué par Diomède ; Calétor,
fils
de Clitius et neveu de Priam, fut tué par Ajax ;
étor, fils de Clitius et neveu de Priam, fut tué par Ajax ; Celeutor,
fils
d’Agrius, fut tué par Diomède ; Cérane, tué par U
fut tué par Teucer. Clysonyme ou Clésonyme, ou Cléonyme ou Clitonyme,
fils
d’Amphidamas d’Oponte, fut tué par Patrocle ; Cli
ar Patrocle ; Clitus, cocher de Polydamas, fut tué par Teucer ; Coon,
fils
aîné d’Antenor et frère d’Amphidamas, fut tué par
aîné d’Antenor et frère d’Amphidamas, fut tué par Agamemnon ; Corèbe,
fils
de Migdon et d’Anaximène, vint secourir Priam et
s ; Damase, tué par Polypète ; Damastor, tué par Patrocle ; Dardamas,
fils
de Brias, fut tué par Achille ; Déicoon, fils de
ar Patrocle ; Dardamas, fils de Brias, fut tué par Achille ; Déicoon,
fils
de Pergase et ami d’Enée, fut tué par Agamemnon ;
ille ; Démoptolème, compagnon d’Agélas, fut tué par Ulysse ; Démuque,
fils
de Philétor, fut tué par Achille ; Désénor ; Deuc
, fut tué par Achille ; Désénor ; Deucalion, tué par Achille ; Dolon,
fils
d’Eumèle, fut l’espion des Troyens et fut tué par
du camp des Grecs, sans être aperçu, les chevaux de Rhésus ; Dolops,
fils
de Compus, fut tué par Ménélas ; Dymas, tué à la
las ; Dymas, tué à la suite d’Enée pendant le sac de Troie ; Echècle,
fils
d’Agénor, fut tué par Achille ; un autre Echécle
iciès, Lycien, tué par Ajax ; Epistor, tué par Patrocle ; Epistrophe,
fils
d’Evène, roi de Lyrnesse, fut tué par Achille ; E
t tué par Achille ; Epolte, tué par Patrocle ; Ereuthalion, Arcadien,
fils
d’Hippomédon ou d’Aphidas, portait les armes de s
ortait les armes de son roi Lycurgue et fut tué par Nestor ; Euphéme,
fils
de Céade, était le chef des troupes auxiliaires d
etits-fils de Priam, par Bucolion, furent tués par Euryale ; Euphème,
fils
de Trœzénios, fut auxiliaire de Priam ; Euphorbe,
ale ; Euphème, fils de Trœzénios, fut auxiliaire de Priam ; Euphorbe,
fils
de Panthoos, blessa Patrocle et fut tué par Ménél
fils de Panthoos, blessa Patrocle et fut tué par Ménélas ; Eurypyle,
fils
de Télèphe et d’Astyochée, roi de Mysie, fut seco
ippe, chef Lycien, tué par Patrocle ; Gargase ; Glaucos, chef Lycien,
fils
d’Hippoloque ; Grune Anténoride, fondateur de Gro
ngue ; Halios ou le maritime, chef Lycien, tué par Ulysse ; Hamopaon,
fils
de Polyémon, fut tué par Teucer ; Harpalion, fils
Ulysse ; Hamopaon, fils de Polyémon, fut tué par Teucer ; Harpalion,
fils
de Pylémène, fut tué par Mérione ; Hélénor, fils
Teucer ; Harpalion, fils de Pylémène, fut tué par Mérione ; Hélénor,
fils
de Lycimnie, odalisque d’un roi de Méonie ; Hélic
ami et compagnon de Rhésus ; Hippodame, tué par Ulysse ; Hippoloque,
fils
d’Antimaque, fut tué par Agamemnon ; Hippothoüs,
la prise de la ville de Troie ; Hypénor, tué par Diomède, Hypérénor,
fils
de Panthoos, fut tué par Ménélas ; Hypsénor, fils
Diomède, Hypérénor, fils de Panthoos, fut tué par Ménélas ; Hypsénor,
fils
de Délopion, prêtre du Scamandre et blessé par Eu
n, et l’autre de Nisus, d’où leur vint le nom d’Hyrtacides ; Hyrtius,
fils
de Gyrtius, Mysien, tué par Ajax le Télamonide ;
Hyrtius, fils de Gyrtius, Mysien, tué par Ajax le Télamonide ; Idée,
fils
de Darès, fut sauvé des mains de Diomède par Vulc
chef des Thraces auxiliaires de Priam ; Imbrios, de Pédase, en Carie,
fils
de Mentor, mari de Médésicaste et tué par Teucer
é par Teucer ; Iphée, tué par Patrocle ; Iphition, d’Hydée, en Carie,
fils
d’Otryntée et d’une nayade, fut le premier Troyen
; un autre Ilionée fut tué pendant le pillage par Diomède ; Itymonée,
fils
d’Hypéroque, roi des Lybiès, fut tué par Nestor ;
ée du cheval de bois ; Laodamas, Anténoride, tué par Ajax ; Laodoque,
fils
aussi d’Anténor ; Laogone, fils de Bias, fut tué
Anténoride, tué par Ajax ; Laodoque, fils aussi d’Anténor ; Laogone,
fils
de Bias, fut tué par Achille ; Lycon ; Lysandre,
e Bias, fut tué par Achille ; Lycon ; Lysandre, tué par Ajax ; Maris,
fils
d’Amisodare, fut tué par Thasimède ; Mélanippe, t
de Timbrée, fut renversé par Ulysse ; Molios, tué par Nestor ; Morys,
fils
d’Hippolion, fut tué par Mérione ; Mulios, tué pa
Mérione ; Mulios, tué par Patrocle ; Mydon, tué par Achille ; Mydon,
fils
d’Atyme et Cocher de Pylémène, fut tué par Antilo
tée ; Ormène, par Polypète ; un autre Orméne, par Teucer ; Orsiloque,
fils
d’Idoménée, fut tué par Ulysse ; un autre Orsiloq
ryonée, prince Thrace, qui prétendit à la main de Cassandre ; Palmis,
fils
d’Hippotion et auxiliaire de Priam ; Pandare, fil
assandre ; Palmis, fils d’Hippotion et auxiliaire de Priam ; Pandare,
fils
de Lycaon ; il était habile archer, protégé d’Apo
pleura ; Périphène, tué par Teucer ; Phalcès, par Antiloque ; Phégée,
fils
de Darès, fut tué par Diomède ; Phérècle, fils d’
ar Antiloque ; Phégée, fils de Darès, fut tué par Diomède ; Phérècle,
fils
d’Harmone, avait construit le vaisseau sur lequel
ide, roi de Lesbos, fut terrassé par Ulysse ; Phorcys, chef Phrygien,
fils
de Phénops, fut tué par Ajax ; Philaque, tué par
idyte, par Ulysse ; Pirus, chef Thrace, fut tué par Thoas ; Pisandre,
fils
d’Antimaque, fut tué par Agamemnon ; un autre, pa
s d’Antimaque, fut tué par Agamemnon ; un autre, par Ménélas ; Podès,
fils
d’Eétion, fut tué par Ménélas ; Polybe, d’Anténor
olybe, d’Anténoride ; Polydamas, fut le complice d’Anténor ; Polyide,
fils
d’Eurydamas, fut tué par Diomède ; Polymèle, fils
’Anténor ; Polyide, fils d’Eurydamas, fut tué par Diomède ; Polymèle,
fils
d’Argée, fut tué par Patrocle ; Polymnestor, roi
cle ; Pylachante et Pylée, par Achille ; Pylémène, chef Paphlagonien,
fils
de Mélas, fut tué par Ménélas ; Pytanis, tué par
tué par Ulysse et Diomède ; Satnies, par Ajax l’Oïlide ; Scamandrios,
fils
de Strophius, fut blessé par Ménélas ; Simoise, p
as ; Simoise, par Ajax le Télamonide ; Socos, par Ulysse ; Sthénélas,
fils
d’Ithémène, fut tué par Patrocle ; Teutras, comba
fut tué par Patrocle ; Teutras, combattait auprès d’Énée ; Thersippe,
fils
d’Agrius, fut tué par Diomède ; Thersiloque, Anté
tué par Diomède ; Thersiloque, Anténoride, tué par Achille ; Thestor,
fils
d’Enope, fut tué par Patrocle ; Thoas, tué par Mé
par Patrocle ; Thoas, tué par Ménélas ; Thoon, par Ulysse ; un autre
fils
de Phénops et frère de Xanthe, fut tué par Diomèd
, chef Lycien, fut tué par Patrocle ; Thymbrée, par Ulysse ; Thymète,
fils
de Laomédon frère de Priam, vit sa femme tuée par
gea en conseillant aux Troyens de recevoir le cheval de bois. Xanthe,
fils
de Phénops, fut tué par Diomède. Pour mieux fair
n empire en lui donnant la main de sa fille. Ce Dardanus passait pour
fils
de Jupiter et d’Electre l’Atlantide, et, par cons
epuis on appela Troye ; il laissa en mourant le trône à Erichthonius,
fils
qu’il avait eu avec Batée. Mais lorsqu’on le fait
donna le nom de Troie à la ville de Dardanie, eut de Callirhoé trois
fils
: l’un, Ganymède, fut enlevé par Jupiter pour lui
t, il eut avec Eurydice sa femme, fille d’Adraste, roi de Phrygie, un
fils
appelé Laomédon. Ce Laomédon gouverna la ville d
édésicaste, Cella ou Ethylle, Astioché ou Anthie ou Anthée, et quatre
fils
, Clitius, Hicétaon, Tithon et Priam, que d’abord
Méropes, ou de Drymas ou de Cissé, roi de Thrace : il en eut dix-neuf
fils
et autant de filles. Ses enfans s’étant unis aux
’Athès. De ces femmes ou concubines il avait eu cinquante et quelques
fils
; de plus il comptait parmi ses enfans également
des Grecs et va arroser de ses pleurs les genoux du meurtrier de son
fils
, en le suppliant de lui rendre les restes sanglan
entouré de ses enfans massacrés et à la vue de sa ville embrasée. Ce
fils
adoré, cet Hector, que Priam fut ainsi réclamer,
s chevaux ; auprès de la colonne funéraire, on voit Andromaque et son
fils
versant des pleurs. Son épouse Andromaque fut enc
se : elle vit périr en peu de temps et ce héros, et sa famille et son
fils
Astyanax, qui fut précipité du haut d’un rocher ;
ar elle fut emmenée captive et choisie pour concubine par Néoptolème,
fils
d’Achille, qui la conduisit en Epire, où elle mit
hille, qui la conduisit en Epire, où elle mit au jour trois ou quatre
fils
: Molosse, Nélée, Pergame, et Pièle, roi d’Epire.
fit bâtir la ville de Buthrote ; puis elle retourna en Asie avec son
fils
Pergame et y mourut. Astyanax, avons-nous dit, f
r un oracle de Calchas, car ce devin ayant prédit que s’il vivait, ce
fils
d’Hector serait un jour plus à craindre que son p
beautés délicates et efféminées se dessine ; c’est celle de Pàris, le
fils
et le premier des bergers de Priam, le juge des d
e du dieu-fleuve Cébrène, en fit son amant, et bientôt elle en eut un
fils
nommé Corythe. Pâris, on le sait, jugea le fameux
e du festin des noces de Thétis. Peu de temps après ce procès, un des
fils
de Priam lui enleva un taureau pour le donner au
Priam, à cette vue, reconnaît les langes dont on avait enveloppé son
fils
, l’embrasse et lui rend sa place parmi les prince
mais elle refusa de le guérir. Pâris avait eu d’Hélène deux ou trois
fils
, Agane, Bunichus et Idée, et une fille du même no
t avec la figure d’une femme. Après Hector et Pâris, voici, parmi les
fils
de Priam, ceux qui se firent le plus remarquer :
mi les fils de Priam, ceux qui se firent le plus remarquer : Æsacus,
fils
de Priam et de la nymphe Alexiroé, devint éperdum
te, causerait un jour la destruction de l’empire de Priam. Déiphobe,
fils
de Priam et d’Hécube, était l’un des défenseurs l
recevoir le coup de la mort, puis il resta sans sépulture. Hélénus,
fils
de Priam et d’Hécube, étant un jour endormi dans
sur le modèle de Troye. Il fonda un petit état, auquel Cestrine, son
fils
, qu’il avait eu d’Andromaque, succéda. On représe
d’Andromaque, succéda. On représente Hélénus tendant un arc. Polite,
fils
de Priam et d’Hécube, était des plus braves. Un j
ieds mêmes de son malheureux père. Polydore, était le plus jeune des
fils
de Priam et d’Hécube. Priam, voyant les dangers q
pour s’approprier les riches trésors que Priam avait envoyés avec son
fils
, le fit périr. Troïle, fut un des Priamides qui
tive ainsi que Déinome et les autres Troyennes. Il eut aussi dix-neuf
fils
, parmi lesquels se distinguent Acamas, Agénor, An
e et la plus grande fermeté, pour la liberté de leur pays. Euphorbe,
fils
de Panthoos, était un des plus célèbres chefs de
êta en le faisant tomber sous ses coups. Glaucos, chef Lycien, était
fils
d’Hippoloque ; il fut au siége de Troye pour prêt
sa blessure ; plus tard, Ajax lui fit mordre la poussière. Laocoon,
fils
, ou de Priam et d’Hécube, ou, suivant la légende
s Porcès et Charibée qui, venant de Ténédos, se jetèrent sur ses deux
fils
nommés Antiphas et Thymbrée, ou Ethron et Mélanth
te Laocoon au moment où les serpents le tiennent enlacé ainsi que ses
fils
; ce qui forme le groupe célèbre, connu généralem
nu généralement sous le nom de Laocoon. Rhésus, roi de Thrace, était
fils
du Dieu – Fleuve Strymon et de la muse Calliope ;
emmena, sans être aperçu des Troyens. Sarpédon, roi de Lycie, était
fils
de Jupiter et d’Europe ; il avait, on le sait, de
une portion en partage. Alors il fonda un royaume qu’il laissa à son
fils
Evandre, encore enfant, pour aller, malgré les co
tèrent en Lycie où on lui fit élever un tombeau magnifique. Télèphe,
fils
d’Hercule et d’Augé, fille d’Alée, roi Arcadien,
e d’Euripyle, mais, après avoir été abandonnée, elle épousa Hélicaon,
fils
d’Anténor ; ensuite, elle devint amoureuse de son
; ensuite, elle devint amoureuse de son frère Acamas dont elle eut un
fils
nommé Munyque. A la fin, lors de la prise de Troi
u porter ses pas, elle se réfugia dans le temple de Minerve. Là, Ajax
fils
d’Oïlée lui fit violence au pied même de l’autel
éclairer davantage son origine. Ce Tros, on le sait, eut pour second
fils
Assaracus, qui épousa Hiéronème, fille du Fleuve
t en le portant sur le mont Ida ; ensuite Anchise s’embarqua avec son
fils
pour l’Italie ; mais il n’arriva pas jusqu’au ter
même nom que sa mère, et qui épousa Alcathoüs. Il eut aussi un autre
fils
appele Echépole, qui se trouvait roi de Sycione,
de son frère Enée. On représente Anchise porté sur les épaules de son
fils
, tenant dans ses mains une boîte qui renferme ses
non pas seulement comme un héros victime de la guerre, mais comme un
fils
des dieux, comme un de leurs protégés, comme un s
ndie qui finit par ravager cette malheureuse ville, il prit son jeune
fils
Ascagne par la main, chargea sur ses épaules son
Dieux la console en lui dévoilant ce que les destins réservent à son
fils
et à sa glorieuse postérité. Ensuite, il envoie M
. Aussi à peine cette reine lui eut-elle exprimé le désir de voir son
fils
Ascagne, resté sur la flotte, qu’Enée l’envoya ch
ui venait de l’enlever pour le transporter à Cypre, lui substitua son
fils
Cupidon. A l’arrivée de cet enfant, la reine l’em
A l’arrivée de cet enfant, la reine l’embrasse, le caresse, comme le
fils
du prince troyen ; cependant, peu à peu le Dieu v
avec distinction et lui donne quatre cents chevaux commandés par son
fils
Pallas, en même temps il lui conseille d’aller se
, Arcens, Archeménide, indiqués par Virgile ; Aruns, Ascagne ou Iule,
fils
d’Enée ; Astur, Asylas, l’augure ; Atys, camarade
, tué par Messape, Anthronius, par Salius ; Béroé, Bitias et Pandare,
fils
d’Alcanor, tués par les Rutules ; Butès, par Cami
’Alcanor, tués par les Rutules ; Butès, par Camille ; un autre Butès,
fils
du roi Brébyce Amycus ; un troisième Butès, suiva
lle ; Clarus, le Lycien ; Clélius ; deux Clonius ; Cloanthe ;Clytius,
fils
d’Eole ; Corybée, qui tua Asyle ; Corynée, qui tu
ée, qui tua Ebuse ; Crétée, favori des muses, tué par Turnus ; Cydon,
fils
de Phorcus, compagnon de Clytius ; Darés, l’athlè
e, Eurymas et Eumède, né de Dolon, tués par Turnus ; Eumène et Eunée,
fils
de Clytius, tués par Camille ; Euryléon ou Ascagn
Camille ; Euryléon ou Ascagne ; Eurytion, l’habile archer ; Glaucus,
fils
d’Imbrase, fut tué par Turnus ; Gyas, Gygès et Ha
, Gygès et Halios, tués par Turnus ; Harpalyque, par Camille ; Hébre,
fils
de Dolychion, fut tué par Mézence ; Hémon le Lyci
e ; Hémon le Lycien ; Hermine, tué par Catile ; Hicétaon ; Hippocoon,
fils
d’Hytaque ; Iase, père de Palinure ; Idase, chef
lèches empoisonnées ; Itys, tué par Turnus ; Iule ou Ascagne ; Ladès,
fils
d’Imbrase, fut tué par Turnus ; Leucapis, mort da
ués par Turnus ; Phérès, tué par Halèse ; Pholus, par Turnus ; Priam,
fils
de Polite ; Prytanis, fut tué par Turnus ; Salius
ans ses rangs plusieurs guerriers remarquables, tels étaient : Almon,
fils
aîné de Tyrrhus, il fut tué par Ascagne ; Anchémo
nt : Almon, fils aîné de Tyrrhus, il fut tué par Ascagne ; Anchémore,
fils
de Rhète et ami de Turnus ; Antée ; Archétéus, tu
uxiliaires de Turnus ; Idis, chef rutule ; Laride et Timber, jumeaux,
fils
de Daucus, tués par Pallas l’Evandride : Lausus,
imber, jumeaux, fils de Daucus, tués par Pallas l’Evandride : Lausus,
fils
de Mézence, voulut sauver son père et fut tué par
tus, Rutule, tué par Euryale ; Tanaïs, par Enée ; Turnus, roi rutule,
fils
de Daunus et de Vénilie et chef de l’armée réunie
unie contre Enée ; Umbro, grand prêtre marse, tué par Enée ; Virbius,
fils
d’Hippolyte et d’Aricie, ou Hippolyte lui-même, r
se ; Aune l’Italiote, tué par Camille ; Évandre ; Gylippe et ses neuf
fils
, qui vinrent avec Pallas, fils d’ Évandre ; Ladon
amille ; Évandre ; Gylippe et ses neuf fils, qui vinrent avec Pallas,
fils
d’ Évandre ; Ladon, venu avec Évandre ; Ménète, d
sique l’Etrusque ; Muran, du sang royal, fut tué par Turnus ; Pallas,
fils
d’ Evandre ; Patron, compagnon d’ Evandre. Les La
mais nous avons déjà indiqué cette généalogie, en parlant de Mopsus,
fils
d’Apollon, généalogie dont la dernière partie, pa
l’une des quatre familles suivantes : 1° A la famille d’Enée, par un
fils
d’Enée et de Lavinie, fils auquel on donne trois
suivantes : 1° A la famille d’Enée, par un fils d’Enée et de Lavinie,
fils
auquel on donne trois frères, ou par un fils d’As
ls d’Enée et de Lavinie, fils auquel on donne trois frères, ou par un
fils
d’Ascagne ou par le fils d’une fille anonyme d’En
fils auquel on donne trois frères, ou par un fils d’Ascagne ou par le
fils
d’une fille anonyme d’Enée, ou bien par un fils d
s d’Ascagne ou par le fils d’une fille anonyme d’Enée, ou bien par un
fils
d’Alba, fille de Romulus, fils d’Enée. 2° A la fa
e fille anonyme d’Enée, ou bien par un fils d’Alba, fille de Romulus,
fils
d’Enée. 2° A la famille de Latinus, par un fils d
ba, fille de Romulus, fils d’Enée. 2° A la famille de Latinus, par un
fils
de ce Latinus ou par un fils d’Itale et d’Electre
Enée. 2° A la famille de Latinus, par un fils de ce Latinus ou par un
fils
d’Itale et d’Electre, fille de ce Latinus. 3° A l
e et d’Electre, fille de ce Latinus. 3° A la famille d’Ulysse, par un
fils
appelé Romulus ou Romus, ou par le fils d’un Lati
A la famille d’Ulysse, par un fils appelé Romulus ou Romus, ou par le
fils
d’un Latinus, fils de Télémaque. 4° A des personn
se, par un fils appelé Romulus ou Romus, ou par le fils d’un Latinus,
fils
de Télémaque. 4° A des personnages étrangers à ce
ls de Télémaque. 4° A des personnages étrangers à ces familles par le
fils
d’un Emation, ou par un fils de Jupiter. Maintena
sonnages étrangers à ces familles par le fils d’un Emation, ou par un
fils
de Jupiter. Maintenant il nous reste à parler de
s de Lavinie, il les repoussa et tua dans un combat sanglant, Lausus,
fils
de Mézence. Ascagne laissa à sa belle-mère le trô
e ; il régna environ trente-huit ans, et sa couronne passa à Sylvius,
fils
de Lavinie. Il laissa en mourant un fils nommé Iu
sa couronne passa à Sylvius, fils de Lavinie. Il laissa en mourant un
fils
nommé Iule, qui se contenta de la qualité de Gran
épousa, jeune encore, Sichée, le plus riche habitant de la Phénicie,
fils
également de Bélus et frère de Sidé et de Barca.
c son époux qu’elle chérissait plus que la vie, si l’avare Pygmalion,
fils
de Métrés, n’eût assassiné cet époux au pied des
aisit le glaive d’Enée, se le plonge dans le sein et expire. Turnus,
fils
de Daunus et de Vénilie, était sur le point d’épo
oires ; argentin, dieu Romain de la monnaie d’argent, il passait pour
fils
d’Æsculanus, ou dieu de celle de cuivre ; arogos,
les lui donne également pour femmes, ainsi que Juturne ; il eut pour
fils
de la première, Ethex, et de la troisième, Cranus
d’une fille-déesse, appelée Canente, qui fut ensuite mariée à Picus,
fils
de Saturne. Si nous retournons aux dieux divers q
ns. Jusjurandum, dieu qui personnifiait le serment et qu’Hygin a fait
fils
de l’Ether et de la terre. Juventa et Juventas, d
et déesse romaine de l’a-propos. Les Grecs en faisaient le plus jeune
fils
de Jupiter ; c’était, suivant Phidias, une femme
nneur et de la majesté. Ros ou Drosos, dieu de la rosée, passant pour
fils
de l’air et de la lune, ou pour les larmes que l’
é. Fta ou Phtha, seconde personne de la trinité des égyptiens, était
fils
de Knef et de Neith et époux d’Ator. Fta est le f
est la troisième personne divine de la trinité égyptienne ; c’est le
fils
ou une émanation de Fta, ou du feu, dont il est u
médiatement inférieure, car les Egyptiens en firent le dieu-soleil ou
fils
du feu. On lui donne pour épouse la lune ou solei
é doué de la vie ; car, dans cet intervalle, il rendit Isis mère d’un
fils
que l’on nomma Harpokrat et enseigna des précepte
fils que l’on nomma Harpokrat et enseigna des préceptes utiles à son
fils
Haroeri ; il eut en outre d’Isis son épouse un au
tiles à son fils Haroeri ; il eut en outre d’Isis son épouse un autre
fils
nommé Macédo, et une fille nommée Poubasti, il eu
ls nommé Macédo, et une fille nommée Poubasti, il eut même un dernier
fils
appelé Anébô, ou vulgairement Anubis, d’un commer
atisfait aux mânes de son époux, veut le venger ; alors, Haroéri, son
fils
, rassemble des troupes, marche contre Typhon, le
nier ; mais Isis lui ayant rendu la liberté, elle fâcha tellement son
fils
, qu’il lui arracha le diadème dont son front se t
s, pour marque de sa puissance. Haroéri, ou Orus, était le principal
fils
d’Osiris et d’ Isis ; il suivit son père en Éthio
sion, dans laquelle on portait son effigie. Agre passait encore pour
fils
d’ Osiris et d’Isis, c’était un génie égyptien qu
et lui prodigua les soins les plus tendres, l’éleva comme son propre
fils
, et plus tard en fit son compagnon et son gardien
excellence, et lui offraient même des sacrifices humains. Baal était
fils
de Nemrod ; il fut le fondateur de l’empire de Ba
adoré surtout dans Emése, où il avait un temple magnifique ; il était
fils
d’Omorka et de Baal, car il représentait à lui se
ts. Il fit graver la loi sur des tables sacrées, par les sept cabires
fils
de Sidick. Il fit les images d’Uranus et de Chrôn
nconnu était un dieu moitié poisson et moitié homme ; il passait pour
fils
du ciel et de la Terre. Ce fut lui qui montra aux
ur de la vie, c’est-à-dire la source du feu et de la chaleur ; il est
fils
de Sidik ou du dieu-soleil. Le père du dieu de la
vaux. Alors il se marie à sa sœur, la belle Souraçouati, et en a cent
fils
, dont l’aîné, Dakcha, fit naître cinquante filles
e ces filles s’unirent à Kaciapa, le premier Brahmane né de Maritchi,
fils
de Brahmâ. L'une de ces treize épouses, Aditi, en
â ne peupla point ainsi la terre, mais qu’il donna naissance à quatre
fils
, Brahmân, Kchatriia, Vaicia et Soudra qui sortire
roupaï, une fille nommée Aghdi ou Dévaghdi, qui eut neuf filles et un
fils
qui porta le nom de Kapica ou Vichnou, puis Aghdi
ondamentales dont nous venons de parler. Ce Brahman ou Ram était donc
fils
ainé de Brahmâ qui le créa par la bouche, tandis
car, avec elle, il fait la conquête de tout, il domine sur tout, et,
fils
de Brahmâ, il est la parole de vie, ou Pranava ou
nom d’Adi-Bouddha, et donna lieu à cinq Bouddhas, dont chacun eut un
fils
, ce qui forma les dix génies célestes, dont l’un
ien seule, tenant un livre ou une lyre dans la main. Menou ou Manou,
fils
de Brahmâ, est un être tout-à-fait imaginaire hor
s ; c’est le roi des bons génies ; c’est le maître des nuages. Il est
fils
de Kaçiapa et d’Aditi. Il épousa Indrani qui le r
vale de Viliama, comme l’une des deux femmes de Kartikéia, ou Skanda,
fils
de Siva. Cette Dévani était chargée d’éloigner le
araka, ou enfer, et les noirs esprits des ténèbres ; il est également
fils
d’Aditi et de Kaçiapa. L'endroit où il réside s’a
r Brahmâ eut d’une part Maritchi ou la lumière, et d’autre part, cent
fils
, dont dix Pradjapatis, plus Dakcha. Ce Dakcha, f
autre part, cent fils, dont dix Pradjapatis, plus Dakcha. Ce Dakcha,
fils
aîné de Brahmâ, est le premier enfant de la créat
s Richis, Dévarchis, Radjarchis ; 6° les deux Marouas, avec les dieux
fils
des membres de la Trimourti ; 7° les Kimaras, gén
itias, viennent les Danavas ou Danous, également mauvais génies, mais
fils
de Danaou et de Kalanémi : deux fois ils firent l
es qui viennent de précéder, nous trouvons : Aienar, ou Aiena Rapen,
fils
de la belle Mohani-Maïa, le dieu et protecteur du
raisonnemens de son mari, elle se trouva enceinte et mit au monde un
fils
au milieu des eaux. Santanou plaça le nouveau-né
avec Boudha, chef du bouddhisme. Celui dont nous allons parler, était
fils
de Tara et de Tchandra, dieu de la lune, qui avai
tu. Dévagi, fille de Dévoga, épousa Vaçoudéva. Elle mit au monde six
fils
, un septième nommé Balarama fut transporté de son
assises près d’un métier et s’occupent à tisser des vêtemens avec des
fils
noirs et blancs, près d’elles se trouvent 1° Une
ie, monté sur Agni, dieu du feu, qui a pris la forme d’un cheval. Les
fils
blancs et noirs sont le jour et la nuit, la roue
la mort, en se jetant dans ce fleuve sacré. Dourouvaça, ou Durvasas.
Fils
d’Atri et d’Ançucoui sa femme, fut un saint très-
roi des Vaçous qui perdit bientôt le trône des cieux. Drouva, était
fils
d’Outanavata et de Sounati : à l’âge de cinq ans,
unati : à l’âge de cinq ans, voyant un jour son père caresser Outama,
fils
de la seconde reine, courut à lui pour partager s
aux points cardinaux. Mrithyou est donc le dieu des enfers ; c’est le
fils
de Vivasvat, autrement dit le soleil ; c’est lui
Voici quelques uns de ces Rois-Dieux : Aritchaudren, Radjah Hindou,
fils
du soleil et célèbre par sa sagesse, sa fidélité
ssédait la vertu à un si haut degré que la perte de ses états, de son
fils
qu’il chérissait, de sa liberté, ne purent lui fa
corps. Devadi ou Debadi, Radjah de la race des Tchandrapoutes, était
fils
de Pradiba ; il se distingua par ses mortificatio
ci refusa. Ensuite la pluie vint, et tout fut oublié. Eiadia, Radjah
fils
de Nagoucha, conquit une grande étendue de terrai
iennent le pardon de leurs péchés. Sagara, Radjah célèbre d’Aïodhia,
fils
de Bahou et de Kalindi, reconquit les états que s
surnom de juste. Il épousa deux femmes, l’une Kessini, dont il eut un
fils
nommé Açamania ; son autre femme fut Soumati, don
ut au bout de dix mille siècles, sans avoir retrouvé le coursier. Son
fils
Açouman lui succéda. Vaçoudéva, Radjah, fils des
trouvé le coursier. Son fils Açouman lui succéda. Vaçoudéva, Radjah,
fils
des enfans de la lune, succéda à son père Souraçé
sœur de Kansa. Celui-ci connaissant que sa sœur mettrait au monde un
fils
qui serait funeste à son oncle, voulut égorger Dé
fers. La sixième eut lieu pour punir l’insolence des Souriavansas, ou
fils
du soleil ; devint Brahme et guerrier, prit le no
détruisit la caste impie des Kchatriias, ou descendans de Kchatriia,
fils
de Brahmâ. Vichnou comble en même temps de bienfa
l de Sagara et pulvériser d’un mouvement de ses narines, les 60 mille
fils
d’une citrouille. C'est lui qui, sous la forme de
de Vichnou que nous apercevons, c’est : Erouniakcha ou Hiraniakcha,
fils
de Raciapa ou l’Espace, et de Diti : s’étant rend
unia-Raciapa, ou Erunyacacyapa, ou Hirania, ou Hirania-caciapa, était
fils
de Kaciapa et de Diti son épouse. C'était une esp
é des enfers. Quant à Rama, septième incarnation de Vichnou, il était
fils
de Daçaratha, roi d’Aïodhia, et de la belle Raouç
t Satroukna, et de la troisième, il eut Kéi-Keii ; mais de ces quatre
fils
, Rama fut le plus célèbre. Cependant, Vichnou ne
ata voyant dans cet acte un passe-droit contraire aux intérêts de son
fils
Kéi-Keii, exige du roi l’exil de Rama, au nom d’u
re grace qu’elle demanderait ; Daçaratha fut donc obligé d’exiler son
fils
pour douze ans. Rama se retira dans l’immense for
cette dernière, ayant appris de l’oracle qu’elle mettrait au monde un
fils
qui lui enlèverait la couronne et la vie, avait s
une seconde femme, devint père de Vichitraviria, lequel laissa trois
fils
, Dhritachtra l’aveugle, Vidoura et Pandou, hériti
maient la célèbre race de Kchatriias, tirent donc leur nom de Pandou,
fils
de Vichitraviria, époux de Madri, incarnation de
i fit prendre les armes contre les parens de Roukmini. Accompagnée du
fils
de Dévaki, elle fit le tour de l’Inde, de la terr
ollier de pierreries, la pria d’intercéder auprès de Krichna, pour le
fils
de Bhoumaçoura, afin de lui faire obtenir le trôn
il résulta plusieurs enfans, mais nous ne citerons que : Pradioumna,
fils
de Krichna et de Roukmini, est aussi Kama, lorsqu
ite d’avoir été blessé de la flèche qui fait aimer. Sambara, terrible
fils
de la Terre, épris des charmes de Rati, veuve de
arma, d’Harmaradjah, roi sage, issu du sang des Tchandrapontes, était
fils
de Pandou et de Koundi ; il était l’aîné des Paud
hnou. Il avait épousé Gavarata ou Drovati, qui le rendit père de deux
fils
, Davaga et Vima. Indradhioumna, roi d’Outkala,
se des cadeaux est immense. On le représente de couleur bleue. Maga,
fils
du soleil, habitait une région mystérieuse dans l
uquel séjourna quelque temps l’ame de Bhadrakali, puis elle épousa le
fils
du Radjah de Kouléta sur la côte de Malabar. Cet
açourama, seulement nous ajouterons que Mariatale eut encore un autre
fils
appelé Ratavaréia, et qu’elle est l’impure Tchand
velle transmigration, Gana vint à renaître sous la forme de Santanou,
fils
de Kourou, frère de Iadou, et Ganga trouvée sur l
ans les eaux du Gange, Santanou épousa une seconde femme et en eut un
fils
nommé Vitchitraviria. Johilla était suivante de
Pollear, Dieu de l’intelligence, de la prudence et de l’année, était
fils
de Parvati et de Siva ; il avait une tête d’éléph
ré le souverain. Skanda, ou Soubramania, est le Dieu de la guerre et
fils
de Siva et de Bhavani qui le mit au monde dans un
onts de Kraouncha. Verava ou Veiravert ou Vairavert est le troisième
fils
de Siva ; il naquit de sa respiration, c’est lui
gnent la puissante Mahamaïa qui est haute comme une montagne. Kansa,
fils
d’Ougracéna, roi de Mathoura, est une incarnation
e Vichnou. Lorsqu’il fut monté sur le trône, l’oracle l’avertit qu’un
fils
de sa sœur serait un jour le maître de l’Inde. Al
te, et, par là, le fait se réduire en cendre lui-même. Paraçou-Rama,
fils
de Djamadagni et de Renouka, était un célèbre Bra
ntre sa propre mère à laquelle il trancha la tête, ainsi qu’à Ganeça,
fils
de Bhavani. Il combattit et vainquit les Kchatrii
autres dieux ont aussi leurs religieux, tels sont ceux de Supramania,
fils
de Siva et surtout de Mariatala qui, par dévotion
rmonie. Il avait vingt et un ans quand son épouse le rendit père d’un
fils
que l’on nomma Rakholi. Elle lui donna ensuite un
etraite encore plus sauvage, avec seulement deux de ses disciples, le
fils
de son précepteur Chari, et le célèbre Molon Toïn
uddha, puis il fut surnommé Adibouddha, et il se révéla dans ses cinq
fils
appelés Bouddhas, d’où résulta d’autres enfans qu
qui porte au Thibet le nom de Dalaï-Lama ; puis les cinq Bouddhas ou
fils
de Bouddha occupent les corps des cinq premiers L
upent les corps des cinq premiers Lamas, et les cinq Boddhiçatoas, ou
fils
des cinq Bouddhas, animent les corps des cinq Lam
d’une enflure qu’il eut au bras droit. Gné-Tséden donna le jour à un
fils
sorti de l’une de ses hanches. Gnia-Thrits-Theng
avait conseillé cette métamorphose. Le couple donna naissance à trois
fils
et trois filles. Pirrids ou Birrids, nom donné a
es dangers. Elle prit la forme humaine, régna sur le Thibet et eut un
fils
pour successeur. On la représente à côté de sa sœ
nceinte pendant douze ans ; au bout de ce temps, elle mit au monde un
fils
appelé Fohi. Chang-ko est une déesse honorée de
s Pouça en mangea un, et aussitôt elle fut enceinte et mit au jour un
fils
qu’elle quitta lorsqu’il fut parvenu à l’adolesce
Japon donne le nom de Daïri, ou Kenrei ou de Tensin, c’est-à-dire, de
fils
du ciel à son grand-Prêtre, qui est aussi honoré
aquelle on voit un miroir en fonte polie. Ociouvominomikotto, héros,
fils
de Tsensiodaitsin, se rendit célèbre par ses nomb
és, par un festin magnifique ; ensuite elle fut admise, ainsi que ses
fils
, au nombre des Kamis ; alors elle prit le nom de
Bouddha défiguré, et habillé à la convenance du Japon. Gouannon est
fils
d’Amida. Ses adorateurs lui rendent plus spéciale
s autres Japonais. Kano, ou Kanon, Dieu des eaux et des poissons, et
fils
d’Amida, a créé le soleil et la lune. On voit son
de Parses ou Parsis, Guèbres ou Gaures. Ormuzd, principe du bien et
fils
de Zervane-Akérène, reçut de son père l’ordre de
semens, le père avec la fille, le frère avec la sœur, la mère avec le
fils
. Aniran, Ized présidant à la lumière primitive.
e Ahriman, faisons connaître ce principe du mal. Ahriman ou Arimane,
fils
aussi de Zervane Akérène, est l’antagoniste d’Orm
r. La femme fut séduite la première, à cinquante ans. Ils eurent deux
fils
Siahmak et Vechak, et vécurent encore cinquante a
jusqu’à ce que la résurrection générale vienne les délivrer. Fréfak,
fils
de Siamak, et de Bechak, épousa sa sœur Frevakein
dans le Kechvar central qui n’est autre chose que l’Iran. Houchengh,
fils
de Fréfak, et petit fils de Kaimorts, chef de la
ui n’est autre chose que l’Iran. Houchengh, fils de Fréfak, et petit
fils
de Kaimorts, chef de la dynastie des Pichdadiens,
eds, issu d’un crocodile et d’un hippopotame. Dchemchid ou Djemchid,
fils
de Vivengham, premier roi et civilisateur de l’Ir
, c’est-à-dire riche en troupeaux de bœufs. Son père était Dchemchid,
fils
de Tehmouret, né d’Houchengh, fils de Fréfak, qui
e bœufs. Son père était Dchemchid, fils de Tehmouret, né d’Houchengh,
fils
de Fréfak, qui avait Siahmah pour père. Féridoun
, fils de Fréfak, qui avait Siahmah pour père. Féridoun ou Afridoun,
fils
d’Athvian-Portouna, naquit dans Férène ou l’Iran,
de bœuf. Il régna cinq cents ans, puis il laissa l’empire à ses trois
fils
: Salm, Tour et Irets ou Iradj. A part tous les
garde comme un Dieu inorganique. Gouerchasp, surnommé Pahlvan, était
fils
de Afret, roi du Kaboulistan ; premier roi de la
sp ou Gouchtasp, quatrième prince de la dynastie des Kaïanides, était
fils
de Kaï khorou, auquel il succéda : il fut père d’
fendiar ou Aspendiar, héros célèbre de la mythologie Iranienne, était
fils
de Gouchtasp, qui lui promit de lui céder sa plac
s esprits du mal, chez les Iakoutes. Balakitg, divinité Kamtchadale,
fils
de Khoutkhou, avait épousé Zavina. C'est lui qui
ares, du juste et de l’injuste, est chargé de punir les coupables. Le
fils
aîné du souverain des peuples lui succéda dans l’
en, était une espèce de Vulcain, et l’inventeur de la forge. Ces deux
fils
de Vara, ou le Dieu suprême, furent toujours dans
ils sautaient par dessus ces feux en traversant les flammes. Krodo,
fils
d’une déesse-terre, était le Dieu de l’air, du te
inen passait, chez les Slaves, pour le Dieu créateur du feu, il était
fils
de Rava, et frère aîné d’Ilmarénen. Après avoir c
le premier homme appelée Bure ou Boure, qui de son côté eut Bore pour
fils
. Ce Bore à son tour, ayant épousé Belsta, fille d
ore, en ligne directe. Odin, ou Alldagautr, ou le gardien des anges,
fils
de Bar, et frère de Vilé et de Vé, était le plus
é, était le plus grand des Ases ; il présidait conjointement avec ses
fils
ou ses émanations à tout ce qui se passe dans le
ous les géans de glace furent noyés, à la réserve du géant Bergelmer,
fils
de Throudgelmer ; il se sauva sur une barque, et
de pour en garder les côtés, est, ouest, sud et nord. Alors les trois
fils
de Bore firent surgir de leurs mains le premier h
tre, a pour messagère Gna. On la représente tenant entre ses bras son
fils
Thor. Les Suédois cependant préféraient à cette g
e rudes combats au serpent Iormoungandour ennemi forcené du monde, et
fils
de Loke et de la géante Anghourboda, puis il le t
s, empoisonné par le venin que vomira le reptile en mourant. Ses deux
fils
Mod et Magour lui survivront, et après le vaste i
en outre ses forces de moitié. Braga ou Bragé, ou Asabragur, second
fils
d’Odin et de Frigga, ne fit parler de lui que com
enlever, il fut toujours obligé de la lui rendre. Balder, également
fils
d’Odin et de Frigga, était le plus beau des Ases.
ce radieux Ase. Aucun des dieux n’osa venger sa mort, excepté Vidar,
fils
d’Odin. Presque tous les dieux, les déesses et le
sur un grand navire appelé Ringhorn. Après sa mort, Balder laissa un
fils
appelé Forsète, dieu de la paix, de la concorde e
t est d’argent et les murailles d’or massif. Hermode, Ase, quatrième
fils
d’Odin, est le messager des Dieux et le grand méd
ce il est toujours couvert du casque et de la cuirasse. A côté de ces
fils
légitimes, Odin devait en avoir plusieurs autres,
Veurdour Gouda, ou le guerrier des dieux ; Seunour Niou Maedra, ou le
fils
aux neuf mères ; Goullintani, ou le dieu aux dent
ilà pourquoi il est toujours représenté avec des dents d’or. Il était
fils
d’Odin et des neuf filles du géant Geirrendour ap
s enfans d’Hrall : Har, Ialnhar, Zhridi ou Zhrall. Ce Zhrall, par son
fils
Aparfi, donna naissance aux esclaves. Heimdall, e
nt des génies suédois, sous la dépendance de Vane, ou Vidar, ou Vasi,
fils
d’Odin, qu’il vengera en tuant le loup Fenrir, lo
ent, comme leur chef, au silence et à la discrétion. Frei, ou Fréir,
fils
de Niordr et de Skada, est le dispensateur des pl
rain. Loke épousa encore la belle et vertueuse Signir, dont il eut un
fils
appelé Nare. Tous les Ases s’étant un jour ligué
ces dons que pour égarer ou séduire. Fenrir ou Fenris, loup énorme,
fils
de Loke et de la géante Angourboda. Il fut élevé
ennemis des hommes et du monde, les personnages qui suivent : Agnar
fils
de Geirrod, roi inhospitalier, qui eut l’audace d
l était fort riche, et laissa en mourant tous ses trésors à ses trois
fils
, Thiassi, Idi et Gangr. Anninga, ou la lune mas
ne émanation de Rava, il s’oppose en tout au bon Ioumala. Il avait un
fils
nommé Horagalls, qui fut élevé par Ioumala. Raes
e les lettres de l’alphabet Scandinave. Barara-Kied ou Radienkiedde,
fils
du dieu suprême Radien-Atcié des Lapons, qui le c
ait y voyait aussi bien la nuit que le jour. Dagour, ou le Jour, est
fils
de Nott, ou la Nuit, et de Dellingour, ou le crép
rôles ; ils sont dieux, juges et pontifes. Les Dvergars ou Douergars
fils
d’Ibalda, sont des génies innombrables habitant a
agination, la sagesse et l’inspiration poétique. Plus tard, Suttoung,
fils
de Kouacer, voulant venger la mort de son père, s
or, père de Nott ou de la Nuit, fonda le royaume de Norvège. Il était
fils
de Thorron. Sa sœur Goe ayant été enlevée, son pè
irrévélé, invisible, ne s’occupant jamais de ce bas-monde. C'est son
fils
Radien-Kieddé qui s’en occupe pour lui, mais fort
ent dans les mains des Saivos, esprits des cavernes. Raguar-Lodbrok,
fils
de Sigurd, tua l’énorme dragon Orm, ce qui lui fi
t épouser la belle Thora, fille de Herrand, avec laquelle il eut deux
fils
, Etrek et Aguar. Ayant perdu cette épouse, il lai
ux fils, Etrek et Aguar. Ayant perdu cette épouse, il laissa ses deux
fils
à la tête des affaires de l’empire du Danemarck,
e tient l’être de personne ; il n’existe que par lui-même ; il a deux
fils
, Ilmarenen ou le dieu de l’air, et Vainamoinen ou
s. Tuiston, Dieu celte, adoré par les Gaulois et les Germains, était
fils
de la terre. Il avait sous sa domination la terre
étaient mangés avait eu tort, et alors il perdait son procès. Rasdi,
fils
de Vata, était le Janus des peuples qui habitaien
rquois, tenant dans ses mains une massue ; de sa langue partaient des
fils
d’or et d’ambre avec lesquels il attirait les hom
ns un bois sacré. Habis, civilisateur des Cynètes, en Espagne, était
fils
de Gorgoris et auteur des lois qui réglaient les
s la liste de ces dieux, nous trouvons : Eirgeadmhar ou Airgiomdhar,
fils
de Slirlamb à la longue main, ainsi nommé à cause
i nommé à cause de son habileté dans les arts. Eirgeadmhar avait pour
fils
Badhurn, Diomain, Fionutan, que l’on surnommait l
ain, Fionutan, que l’on surnommait les trois frères Iriens. Badhurn,
fils
d’Eirgeadmhar, eut un fils nommé Aodhmadh, ou le
nommait les trois frères Iriens. Badhurn, fils d’Eirgeadmhar, eut un
fils
nommé Aodhmadh, ou le rouge. Diathorba ou Diarba
dmhar, eut un fils nommé Aodhmadh, ou le rouge. Diathorba ou Diarba,
fils
de Diomain, gouverna l’Ulster pendant sept ans, e
er pendant sept ans, et mourut ensuite à Eamahainmacha, laissant cinq
fils
, Baoth, Buadhach, Bras, Vallach, Borcha, qui ne l
cord fait avec lui. Aodh-Madh, ou le rouge, mort en se noyant, était
fils
de Badhurn : d’accord avec ses deux cousins Diatk
un ans. Aod-Madh eut une fille nommée Macha. Kimbaoth ou Cimbaoth,
fils
de Fionntan, disputa long-temps à ses deux cousin
de sept ans le temps qu’ils avaient limité pour leur règne. Nemeed,
fils
de Dnamhain, époux de Macha qui le rendit père de
Nemeed, fils de Dnamhain, époux de Macha qui le rendit père de quatre
fils
. Nemedh est la personnification des Némèdes, et s
la Gaule et l’Ibérie. Elle épousa Nemed, et le rendit père de quatre
fils
nommés Si-tiearna, Aixinn, Jarbhainiel-Faid, et T
rsa, personnification des fins, était né de Bath, et fut père de deux
fils
appelés Nionnuall et Nioul Fenius était un savant
tait un savant que ses oracles faisaient respecter. Nionnuall, ou le
fils
de l’héritage, était fils aîné de Fenius-Forsa, c
cles faisaient respecter. Nionnuall, ou le fils de l’héritage, était
fils
aîné de Fenius-Forsa, ce qui lui donne un rapport
t farouche des temps primitifs. Enfin Nioul, ou Niul, ou Null, second
fils
de Fenius-Forsa, par suite d’un caractère tranqui
dotal des Tuatha-Dadans, pour établir un autre culte. Dhna ou Adhna,
fils
de Bath, était le messager intermédiaire entre le
lées l’Enbher Kolpa, l’Ulster et le Drobhain, jusqu’à Drogheda. Ith,
fils
aîné de Bréoghan, était le Dieu suprême des Milés
s : elle était fille de Déal-Baoith ou Bath, et donna le jour à trois
fils
, Brias ou Uar, Juchor et Juchorba, appelés aussi
lle de Quonn. Siorlamh, fut aussi un célèbre Tuatha-Dadan ; il était
fils
d’Eibtéar-Fionn. Il avait les bras et surtout les
rreamhon. Elle se laissa séduire par ses trois frères, et elle eut un
fils
de cette liaison criminelle. Meibdh eut trois épo
s époux ; le premier fut Tinne, le second Oilioll, dont elle eut sept
fils
que l’on nomme les sept moines ; mais ce second m
ué dans un combat par les Tuatha-Dadans. Ollam Fodhla, père de trois
fils
qui régnèrent sur l’Ulster d’après leur rang d’an
eur rang d’ancienneté, et dont le chef de la race fut Fionn Sneachta,
fils
d’Ollam et frère de Fâchtna-Fathach, père du roi
épousé la femme de Fachnta et mère de Qonnor ; elle fut violée par ce
fils
et devint, par suite de cet acte criminel, mère d
minel, mère de Qormaq Qonlingios. Béanna, Lamha et Glaisue, étaient
fils
de Néaça et frères de Qonnor ; ils moururent sans
s illustre des princes de l’Ulster, devait le jour à Fachtna Fathach,
fils
de Rughraidhe le grand, et à Néaça. Il eut un gra
n était de l’épouser dans la suite ; mais elle lui fut enlevée par un
fils
d’Ouisneach. Sous son règne, parurent trois héros
d, les rois et les pontifes suprêmes y firent leur résidence. Naois,
fils
d’Ouisneagh, inspira de l’amour à la jeune Deirdr
i d’Ouladh, chez son père. A peine fut-elle nubile, que Naois, un des
fils
d’Ouisnéach, pénétra dans la tour où elle habitai
Amhrgin, ou Amhergin, était Druide Mileadh, ou un pontife irlandais,
fils
de Milese ; il avait, on le sait, un frère nommé
emps fut adorée par les ennemis des Tuatha-Dadans. Cet Eibhear-Fionn,
fils
de Milèse et de Scota, est la personnification de
culte qu’il avait trouvé. Les légendes irlandaises lui donnent quatre
fils
: Er, Arbha, Fearon et Feargua. Enfin Kaiker fut
méchant. Ataenlsic est la femme primordiale des Hurons. Elle eut un
fils
qui devint père du bon principe. Ataenlsic est la
mère de Qaïaïp. Qaïaïp est le plus jeune et le plus beau des trois
fils
de Niparaia ; il avait pour mère la belle Anaikon
hant dans son sein un bouquet de plumes qui volait dans les airs. Les
fils
de cette pieuse mère, excités par leur cruelle sœ
dieux-prêtres passaient-ils auprès des Péruviens comme les enfans des
fils
du soleil. Du reste, le culte de ces rois pontife
et le civilisateur du vaste plateau de Bogota. Les Mozcas le disaient
fils
du soleil ; il apparut dans ces contrées sous la
e leur union naquit une fille nommée Ohina, qui donna le jour à trois
fils
, Te-ouettou-matarai, Oumar-Ceo, Orre-Orre. Ces tr
rmes humaines, et, comme tel, il prend le nom d’Euroa Faboa, septième
fils
de Tane et de Terra ; il épousa d’abord Tanna, sa
Après la mort de sa mère, elle épousa Ti, et le rendit père de trois
fils
, Ora, Vanou et Titou, et de trois filles, Hennato
e Vénus. La pl. 4 en regard de la page 181 est une Vénus écoutant son
fils
qui la prie de faire grace à Psyché que l’on voit
e et Amphitrite. La pl. 23 en regard de la page 295 montre Hippolyte,
fils
de Thésée, poussant au monstre que viennent de fa
Memphis et frère de Mercure I, 131. Esculape serpent, 129. Esculape,
fils
d’Arsippe, 131. Esèpe, 359. Esès, 327. Esile, 236
à la quenouille d’or, 73 Filles d’enfer, 329. Filles d’Hercule, 245.
Fils
de Neptune, 269. Fin-Domhnan. 488. Fins, 488. Fio
0, 321, 321. Phlégias, 260, 331. Phlégon, 93. Phlégrée, 46. Phlégyas,
fils
de Mars, 46, 65, 69, 69, 123, 128. Phlias, 216, 2
e, et, dans un sens, moins excusable. Vers l’an du monde 2700, Ninus,
fils
de Bélus, empereur des Assyriens, fit élever au m
et le plus ancien des dieux. Il fut détrôné par Saturne, l’un de ses
fils
; mais il ne perdit rien de son autorité, à en ju
ux sens qu’il a formés. Rousseau. Saturne. Le Ciel avoir deux
fils
, Titan et Saturne Le premier céda son droit d’aîn
nt mâle. Cybèle, épouse de Saturne, affligée de voir dévorer tous les
fils
qu’elle mettoit au monde, ayant eu d’une seule co
t son royaume, voulût prévenir ce malheur. Il déclara la guerre à son
fils
, et lui tendit des embûches où il croyoit le fair
en frémis ! Le frère meurt des coups du frère, Le père, de la main du
fils
! L’honneur fuit, l’intérêt l’immole ; Des loix q
ment parmi les familles les plus distinguées. Jupiter. Jupiter,
fils
de Saturne et de Cybèle, étoit appelé le Père des
t sous un pouvoir plus grand. Fontenelle. Les Titans, ou les Géans,
fils
de la Terre et de Titan, entreprirent de rétablir
nnemis à com battre, s’occupa du soin de créer des hommes. Prométhée,
fils
de Japet et de Climène, voulant imiter le plus gr
de de héros. Lamotte. Sous la forme d’un aigle, il enleva Ganimède,
fils
de Tros, roi de Troie, et le porta au ciel, pour
e cessa point de persécuter Hercule. Jamais elle ne pardonna à Paris,
fils
de Priam, roi de Troie, de ne lui avoir pas donné
ppelons l’Arc-en~ciel, et quelquefois l’Iris. Apollon. Apollon,
fils
de Jupiter et de Latone, frère de Diane, naquit d
i laisser aucun endroit sur la terre où elle pût s’arrêter. Esculape,
fils
d’Apollon, et dieu de la Médecine qu’il avoit app
u’il avoit apprise du Centaure Chiron, ayant rendu la vie à Hypolite,
fils
de Thésée, fut foudroyé par Jupiter. Apollon veng
ls de Thésée, fut foudroyé par Jupiter. Apollon vengea la mort de son
fils
, en tuant les Cyclopes qui avoient fourni des fou
Dans les lieux où vous revenez. Quinault. Ephatus,
fils
de Jupiter et d’Io, jouant un jour avec Phaéton,
verts ; J’espère que le dieu qui m’a donné la vie. M’avouera pour son
fils
aux yeux de l’univers. Quinault. Plein d’impati
palais du Soleil, par le secours de Minerve. Apollon, appercevant son
fils
, se dépouille de ses rayons, et jure, par le Styx
nt communément l’Eridan. Climène auroit dû prévenir le malheur de son
fils
, que Protée lui avoit prédit : Le sort de Phaéto
Dieux ! je frémis ! que vois-je ? ô dieux ! Tremblez pour votre
fils
, ambitieuse mère ! Où vas-tu, jeune
Ornement des rois et des dieux ? Elle chante, au gré de son zèle, Le
fils
enjoué de Sémèle Ou l’aveugle fils de Vénus ; Et
lle chante, au gré de son zèle, Le fils enjoué de Sémèle Ou l’aveugle
fils
de Vénus ; Et quelquefois dans les alarmes, Elle
reur : Reine, malgré Diane et toute sa puissance, Nous te venons d’un
fils
annoncer la naissance ; Eteins, et de nos mains p
Altée s’applaudit d’abord de la cruelle vengeance qu’elle tire de son
fils
: Dans ce funeste état c’est moi qui l’ai réduit
Cependant, revenue à elle-même, et voyant le cadavre brûlant de son
fils
, elle se tua de désespoir. Diane fit transférer à
x édifices, dont la magnificence ne cédoit en rien au monument que le
fils
de l’empereur Gian avoit destiné à la sépulture d
nt le dessein, étoit entièrement oublié. Bacchus. Bacchus étoit
fils
de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi d’A
u’il s’étoit changé en lion, pour les combattre : C’est lui qui, des
fils
de la Terre Châtiant la rébellion, Sous la forme
pre famille, qui avoit été frappée de fureur. Mercure. Ce dieu,
fils
de Jupiter et de Maïa, avoit la charge d’interprê
Lorsqu’un jeune chasseur se présente â ses yeux : Elle croit voir son
fils
, il en a tous les charmes ; Jamais rien de plus b
s, ou par des cygnes, ou par des moineaux. On place à côté d’elle son
fils
Cupidon. Quelquefois on la représente disputant l
Junon, Pallas et Vénus se soumirent volontiers au Jugement de Pâris,
fils
de Priam, roi de Troie, et se rendirent sur le mo
es sons nouveaux. Lamotte. Cupidon. Cupidon ou l’Amour, étoit
fils
de Vénus et de Mars. On le représente sous la fig
à la passion de l’amour personnifiée, elle peut cependant convenir au
fils
de Vénus : Sur les bords fortunés de l’antique I
aire. Vulcain. On le regardoit, comme le dieu du feu. Il étoit
fils
de Junon et de Jupiter qui le précipita du ciel,
. Il lui avoit déjà rendu le même service, en le tirant des mains des
fils
d’Aloüs : Ah ! lorsque ton orgueil languissant d
loüs : Ah ! lorsque ton orgueil languissant dans les chaînes, Où les
fils
d’Aloüs te fairoient soupirer, Pourquoi, trop peu
r du géant Tiphon. Divinités maritimes. Neptune. Ce dieu,
fils
de Saturne et de Cibèle, et frère de Jupiter, reç
rairies ; et les Oréades, celles des montagnes. L’Océan eut encore un
fils
appelé Prothée, qui conduisoit les troupeaux de N
l se précipita dans la mer. Neptune le changea en Triton. m> Eole,
fils
de Jupiter, étoit le dieu des vents, qu’il tenoit
les Vents sous la figure de jeunes enfans aîlés ; on les appelle les
fils
ou les sujets d’Eole. Les Syrènes, filles de l’Oc
élicerte. Il la répudia pour épouser Thémisto, dont il eut aussi deux
fils
. Cette femme ne pensoit qu’aux moyens de faire to
ce de ceux d’Ino. As-tu donc pu penser que, tranquille, je visse Ton
fils
ravir au mien le trône d’Euridice ? De son sang a
que lui préparoit la haîne de Junon ; Puisses-tu, comme moi, sur ton
fils
, sur sa mère, Porter, sans les connoître, une mai
Athamas, dans un accès de fureur, jetta contre un rocher Léarque, son
fils
aîné. Ino et Mélicerte prirent la fuite, et se pr
ivinité. Divinités des Enfers. Pluton. Pluton, troisième
fils
de Saturne et de Cybèle, régnoit dans les enfers
rendre, si elle n’avoit rien mangé depuis son enlèvement. Ascalaphe,
fils
de la Nuit et de l’Achéron, soutint que Proserpin
les étoient cinquante, filles de Danaüs, qui épousèrent les cinquante
fils
d’Egyptus leur oncle. Danaüs avoit appris de l’or
De leurs parricides fureurs. Lamotte. Danaüs étoit roi d’Argos, et
fils
de Bel ou Bélus ; ce qui fait donner quelquefois
re ouverture, L’onde entre et fuit à flots égaux. Lamotte. Sisyphe,
fils
d’Eole, fameux brigand, fut tué par Thésée, et co
d’une montagne escarpée un rocher qui retomboit sans cesse. Tantale,
fils
de Jupiter et de la nymphe Plota, voulant éprouve
ulant éprouver les dieux, leur avoit servi les membres de Pélops, son
fils
. Il étoit plongé dans l’eau jusqu’au menton, et u
ément Ombres ou Mânes, trouvoient Caron, vieillard dur et inflexible,
fils
de l’Erèbe et de la Nuit, lequel étoit chargé de
it le Tartare, et ne grossissoit que des larmes des méchans. Achéron,
fils
du Soleil et de la Terre, ayant fourni de l’eau a
ton ne rouloit que des flammes liquides. On parle souvent de l’Erèbe,
fils
du Chaos et de la Nuit, qui fut mis au nombre de
oissoient devant les trois juges, Minos, Eaque, et Rhadamante. Minos,
fils
de Jupiter et d’Europe, étoit le chef de ces juge
rne dans laquelle les destinées des hommes étoient renfermées. Eaque,
fils
de Jupiter et d’Egine, ayant perdu tous ses sujet
ministère Du vieux Eaque et de Minos son frère, De Jupiter tous deux
fils
adorés, Et tous deux rois sur la terre honorés.
deux rois sur la terre honorés. Rousseau. Rhadamante, roi de Lycie,
fils
de Jupiter et d’Europe, ou d’Egire, avoit rendu s
e que les Phéniciens appelloient Mammon : mais ils ajoutent qu’il est
fils
de Cérès et de Jasion, ministre de Pluton ; qu’il
oient le prix à la course, recevoient une couronne de fleurs. Priape,
fils
de Vénus et de Bacchus, étoit le dieu des jardins
représente avec un chapeau de fleurs, et portant un flambeau. Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, se fit chasser du ciel,
vrai caractère de cette divinité allégorique : Au pied du mont où le
fils
de Latone Tient son empire, et du haut de son trô
; Les dieux règnent dans les campagnes. Rousseau. Pan,
fils
de Mercure, tenoit le premier rang parmi les divi
bois et aux forêts. On le représente avec un cyprès à la main. Faune,
fils
de Picus, roi des Latins, fut mis au nombre des d
résenté sous la figure d’un Satyre. D’autres disent que ce dieu étoit
fils
de Mercure et de la Nuit. Les poëtes confondent a
grands hommes, Dont nous sommes les vains échos. Lamotte. Narcisse,
fils
de Céphise et de Liriope, se trouvoit si beau, qu
que l’on appeloit les dieux Termes. Les Lares et les Pénates étoient
fils
de Mercure et de la nayade Lara, ou Larunde. On l
ent un des premiers rangs parmi les héros et les demi-dieux. Il étoit
fils
de Jupiter et de Danaé. Acrise avoit fait enferme
A cet aspect fatal devint un grand rocher. Pierre Corneille. Atlas,
fils
de Jupiter et de Climène, refusa de recevoir chez
ait vainement résistance. Quinault. [Hercule.] Hercule étoit
fils
de Jupiter et d’Alcmène, épouse d’Amphitrion. Ele
rion. Electrion, roi de Mycènes, pète d’Alcmène, ayant perdu tous ses
fils
dans une irruption que Ptérélaüs, roi de Télèbe,
quelle il annonça cette brillante destinée : Chez toi doit naître un
fils
qui, sous le nom d’Hercule, Remplira de ses faits
inées. Molière. Junon épuisa tous les efforts de sa haine contre ce
fils
de Jupiter. Elle fît naître Eurystée avant lui, a
oient dans ses Etats : le second, appelé Busiris, étoit roi d’Egypte,
fils
de Neptune et de Lybie. Il immoloit à Jupiter tou
force et son adresse, en nettoyant les écuries d’Augias, roi d’Elide,
fils
du Soleil : elles répandoient l’infection dans to
n bras. Lamotte. Hercule délivra l’Italie de Cacus, voleur insigne,
fils
de Vulcain. Il détacha Prométhée, et tua le vauto
éthée, et tua le vautour qui lui déchiroit le foie. Il attaqua Antée,
fils
de Neptune et de la Terre, qui habitoit les déser
jours la haine qu’elle avoit conçue contre Hercule, parce qu’il étoit
fils
de Jupiter. Voyant que les dangers ne servoient q
èle d’un héros supérieur à tous les dangers. [Thésée.] Thésée,
fils
d’Egée, roi des Athéniens, fut tout à la fois par
ule. On l’éleva secrettement, pour le soustraire à la persécution des
fils
de Pallante ; ce qui fait dire à Egée : Mes perf
ruels Pallantides, Désavouoient en moi le sang des Erecthides ; Comme
fils
supposé, faisoient tout leur effort Pour me prive
Pour me priver du trône en conspirant ma mort. Pour les jours de mon
fils
redoutant leur furie, Loin de moi son enfance en
appa seule au massacre de sa famille : Reste du sang d’un roi, noble
fils
de la Terre, Je suis seule échappée aux fureurs d
épouse de Minos, roi de Crète. Ce prince, pour venger la mort de sou
fils
Androgé, que les jeunes gens d’Athènes avoient tu
n d’échapper, en attachant des ailes à ses épaules et à celles de son
fils
: O que ne puis-je, sur les aîles Dont Dédale fu
e seul désir ne suffit pas. Rousseau. Dédale avoit recommandé à son
fils
de ne voler ni trop haut ni trop bas, de peur que
n. Egée, voyant de loin des voiles noires, crut qu’il avoir perdu son
fils
, et se précipita dans la mer. Pirithoüs, roi de T
ésée épousa Hippolyte, reine de ces femmes guerrières, dont il eut un
fils
qui porta le même nom. Phèdre, fille de Minos et
Phèdre à se pendre de désespoir ; mais Thésée avoit déjà condamné son
fils
à l’exil, et invoqué contre lui le secours de Nep
s le temple voisin chacun cherche un asyle. Hippolyte lui seul, digne
fils
d’un héros, Arrête les coursiers, saisit ses jave
même il tombe embarrassé. J’ai vu, Seigneur, j’ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris ; Il
u modèle que l’antiquité nous donne de l’amour fraternel. Ils étoient
fils
de Léda, épouse de Tyndare, roi d’Œbalîe, contrée
nna la guerre de Troie. Après la mort de Pâris, elle épousa Déïphobe,
fils
de Priam, et le livra à Ménélas pour rentrer en g
Clytemnestre avoit épousé Agamemnon, roi d’Argos et de Mycènes, petit
fils
d’Atrée, et frère de Ménélas. Elle eut un fils no
s et de Mycènes, petit fils d’Atrée, et frère de Ménélas. Elle eut un
fils
nommé Oreste ; et deux filles, Electre et Iphigén
nardant Egisthe et Clytemnestre. Pollux étoit immortel, en qualité de
fils
de Jupiter. La tendresse qu’il avoit pour son frè
sous le nom de Jumeaux ou Gémeaux. [Bellérophon.] Bellérophon,
fils
de Glaucus, roi de Corinthe, fut redevable à son
’un héros, Lorsque le ciel la favorise. Gresset. Athamas,
fils
d’EoIe, roi de Thèbes, conservoit avec soin un bé
er qu’il avoit reçu des dieux, et dont la toison étoit d’or. Phryxus,
fils
de ce prince, fuyant les mauvais traitemens de Né
En effet, elle empoisonna toute la famille royale, et massacra deux
fils
qu’elle avoit eus de Jason : Livrée à tes fureur
s de Jason : Livrée à tes fureurs, impitoyable Amour, Une mère à ses
fils
a pu ravir le jour ! Méconnois-tu ton sang dans c
chères victimes, Implacable Médée ! Amour, voilà tes crimes ! Si ses
fils
ont péri par un coup inhumain, Dans leur flanc in
e De tant de monstres furieux. Rousseau. Ce demi-dieu étoit
fils
de Clio et d’Apollon. Il en avoit reçu le talent
e Cadmus, et fille d’Agénor, roi de Phénicie, ce prince ordonna à son
fils
d’aller chercher Europe, et de ne point revenir q
n dit que les pierres venoient se ranger au son de la lyre d’Amphion,
fils
de Jupiter et d’Antiope, reine de Thèbes. Les poë
s, nommé Laïus, avoit appris de l’Oracle qu’il périroit de la main du
fils
qu’il venoit d’avoir. Il ordonna à Jocaste, son é
ente à la reine qui, n’ayant point d’enfans, le fait élever comme son
fils
, et lui donne le nom d’Œdipe, à cause de l’enflur
au prince : admirez votre sort ! Le prince vous adopte au lieu de son
fils
mort ; Et par ce coup adroit, sa politique heureu
ureuse Affermit pour jamais sa puissance douteuse. Sous le nom de son
fils
, vous fûtes élevé Par cette même main qui vous av
avoit sauvé. Voltaire. Œdipe ayant découvert qu’il n’étoit point le
fils
de Polybe, alla consulter l’Oracle, et apprit qu’
à donc les horreurs où j’étois entraîné ! Je suis, oui, je le suis ce
fils
abandonné, Je suis fils de Jocaste, et je connois
’étois entraîné ! Je suis, oui, je le suis ce fils abandonné, Je suis
fils
de Jocaste, et je connois mon crime. Grands dieux
is mon crime et mes vertus. Lamotte. Œdipe avoit eu de Jocaste deux
fils
, Etéocle et Polinice ; et deux filles, Antigone e
ns horreur. Nous avons déjà dit que Tantale avoit servi aux dieux son
fils
Pélops, et qu’il fut condamné à une soif et à une
vaux dont la vitesse lui assura la victoire. Atrée et Thyeste étoient
fils
de Pélops et d’Hippodamie. Atrée épousa Erope, qu
le horreur ! C’est du sang ! Tout le mien se glace dans mon cœur. Mon
fils
, est-ce ton sang qu’on offroit à ton père ? Créb
n offroit à ton père ? Crébillon. Atrée avoit fait égorger les deux
fils
de Thyeste, et lui en avoit présenté le sang dans
: C’est cette colère funeste Qui jadis a nourri Thyeste Du sang d’un
fils
qu’elle immola ; Festin détestable et parjure, Et
talité envers le père des dieux. Arcas étoit petit-fils de Lycaon, et
fils
de Jupiter et de Calisto. Il fut changé en ours,
ogné, son épouse, pour la punir de lui avoir servi les membres de son
fils
Ithys. Progné prétendoit venger, par cet attentat
amille d’Atrée porta la peine du crime qu’il avoit commis. Plisthène,
fils
d’Atrée, fut père d’Agamemnon et de Ménélas, que
lène, et l’un des héros qui se signalèrent au siège de Troie. Nestor,
fils
de Nélée et de Cloris, avoit seul échappé au mass
parmi les héros qui se rendirent célèbres au siège de Troie. Il étoit
fils
de Thétis et de Pélée. Sa mère l’avoit plongé dan
r devant Troie, voulut prévenir les arrêts du Destin. Elle envoya son
fils
, sous des habits de femme, dans l’isle de Scyros,
aive terrible armant ces jeunes mains, Par ce discours guerrier, d’un
fils
d’une déesse Il augmente l’ardeur, et hâte les de
Déïdamie, fille de Lycomède, qu’il avoit épousée, et dont il avoit un
fils
nommé Pyrrhus, que nous verrons marcher sur les t
n, Qu’Ulysse promet à ses armes. La Grange-Chancel. Ulysse,
fils
de Laërte, roi d’Ithaque, avoit contrefait l’inse
a charrue. Ulysse la détourna avec adresse, de crainte de blesser son
fils
, et prouva par-là que sa folie n’étoit qu’une fei
endant la guerre de Troie. Ce Palamède dont on vient de parler, étoit
fils
de Nauplius, roi de l’isle d’Eubée : on dit qu’il
échecs, pour dissiper l’ennui que causoit la longueur du siège. Ajax,
fils
d’Oïlée, roi de Locre, passoit pour le plus vaill
its, et sur-tout en blessant Mars et Vénus. Il y avoit un autre Ajax,
fils
de Télamon, l’un des Argonautes, qui ne fut pas m
res par de grands exploits. Les Troyens avoient à leur tête cinquante
fils
de leur roi Priam. Hector, qui étoit l’aîné, eût
e, il n’est point de familles Qui ne demandent compte à ce malheureux
fils
, D’un père ou d’un époux qu’Hector leur a ravis.
s propres injures. Dardanus, fondateur et premier roi de Troie, étoit
fils
de Jupiter et d’Electre ; ce qui suffisoit pour d
n. Dans la suite des tems, Jupiter, changé en aigle, enleva Ganimède,
fils
de Tros, roi de Troie, et lui donna la charge de
Erictonius ; ensuite Tros, qui donna son nom à la ville. Il eut trois
fils
; Ganimède, Assaracus, et Ilus qui lui succéda, e
racontant, ma douleur en augmente. Cher Œnone, j’apprends que je suis
fils
du roi. Fontenelle. Tandis que les Grecs faisoi
rougir de leur sang et la terre et les eaux. Campistron. Patrocle,
fils
de Ménœtius et de Sthénélé, prit les armes d’Achi
tie de sa famille, et de riches présens, redemander le cadavre de son
fils
, afin de lui rendre les derniers devoirs. Achille
L’infamie étoit dûe au ravisseur d’Hélène. Th. Corneille. Pyrrhus,
fils
d’Achille et de Déïdamie, vint, avec un renfort d
aque, fille d’Eëtion, roi de Thèbes, épouse d’Hector, avoit caché son
fils
Astyanax dans le tombeau de ce héros. Ulysse l’en
ve, et regagna les bonnes graces de Ménélas, en lui livrant Déiphobe,
fils
de Priam, qu’elle avoit épousé après la mort de P
le vengeoit sur lui le sang d’Iphigénie. La Grange-Chancel. Oreste,
fils
d’Agamemnon, fut soustrait, encore enfant, à la f
mains la perfide ait remis Le sceptre qu’après toi devoit porter ton
fils
; Et que, dans mes malheurs, Egisthe qui me brave
ller quelques débris. J’en approche en tremblant… hélas ! c’etoit mon
fils
. A ce recit fatal, tu devines le reste. Je demeur
reste. Je demeurai sans force à cet objet funeste ; Et mon malheureux
fils
eut le tems de voler Dans les bras du cruel qui d
bras du cruel qui devoit l’immoler. Crébillon. Idoménée immola son
fils
à Neptune ; et les dieux punirent cet attentat pa
a dans un antre avec ses compagnons, afin de les dévorer. Ce Cyclope,
fils
de Neptune et de Thoosa, étoit si grand, que l’ea
à Ithaque, ou il vécut peu de tems heureux. Il remit ses Etats à son
fils
Télémaque, et périt par la main de Télégone, qu’i
t l’Oracle qui lui avoit prédit qu’il tomberoit sous les coups de son
fils
. La destinée des Troyens fut, dans un sens, moins
sens, moins funeste que celle des Grecs. Enée, prince du sang royal,
fils
d’Anchise et de la déesse Vénus, échappa à la rui
le secours de sa mère. Il chargea son père sur ses épaules, prit son
fils
Iüle, ou Ascagne, par la main, et emporta les die
aincu par Hercule, 138 Achéron, fleuve des enfers, 104-105 Achille,
fils
de Thétis et de Pelée, est rendu invulnérable, 17
, reçoit la Toison d’or, 151 — Elle lui est enlevée, 153 Agamemnon,
fils
de Plistène, petit-fils d’Atrée, 171 — Epoux de
ibid. — De Dédale et d’Icare, 143-196 Air, père d’Echo, 125 Ajax,
fils
d’Oïlée, 176 Ajax, fils de Télamon, ibid. Alce
Icare, 143-196 Air, père d’Echo, 125 Ajax, fils d’Oïlée, 176 Ajax,
fils
de Télamon, ibid. Alceste, se dévoue à la mort
ecton, une des Furies, 103 Alectrion, écuyer de Mars, 85 Alexandre,
fils
de Priam, 179. Voyez Pâris. Alexandre le Grand,
du Phare, l’une des sept merveilles du monde, 63 Aoléüs, envoie ses
fils
à la guerre des géans, 29 Aloïdes, géans célèbre
à la guerre des géans, 29 Aloïdes, géans célèbres, 29-30 Aloüs, ses
fils
emprisonnent Mars, 85 Alphée, chargé en fleuve p
dieux, 34 Ammon, nom que les Egyptiens donnent à Jupiter, 36 Amour,
fils
de Vénus, 73-76. Voyez Cupidon. Amour fraternel,
s de Vénus, 73-76. Voyez Cupidon. Amour fraternel, 147-148 Amphion,
fils
de Jupiter et d’Anthiope, 13-33 — Musicien célèb
ène, 35-130 Anchise, prince Troyen, 73 — Père d’Enée, 194 Androgé,
fils
de Minos, 142 Andromaque, épouse d’Hector, 185
Œdipe, 165 Antre habité par l’Envie, 119 — Par Cacus, 134 Apollon,
fils
de Jupiter et de Latone, 40 — Mis au rang des di
123 Arcadiens, honorent particulièrement le dieu Pan, ibid. Arcas,
fils
de Jupiter et de Calisto, 35 — Mis à mort par Ly
rois Juges des Enfers, 107 Artémise, épouse de Mausole, 61 Ascagne,
fils
d’Enée, 194 Ascalaphe, fille de la Nuit et de l’
89 Astres, 54-55 Astronomie, la déesse qui y préside, 54 Astyanax,
fils
d’Hector, 185 Atalante, épouse de Méléagre, 59
yanax, fils d’Hector, 185 Atalante, épouse de Méléagre, 59 Athamas,
fils
d’Eole, 151 — Epoux d’Ino, 96 — Objet de la hai
s de Baccbus, ibid. — Elles mettent en pièces Orphée, 159 Bacchus,
fils
de Jupiter et de Sémélé, 65 — Mis au rang des di
stellation, ibid. Castalie, nymphe changée en fontaine, 45 Castor,
fils
de Tindare et de Léda, 34-147 — Reprend sa sœur
reüse, épouse de Jason, 155 Croissant de Diane, 57 Cupidon, 73-74 —
Fils
de Vénus et de Mars, 76 — Description de son tem
, 175 Mère de Pyrrhus, 183 Déioné, beau-père d’Ixion, 101 Deiphobe,
fils
de Priam, 179 — Epouse Hélène, 148 — Est livré
Enchantemens, de Médée, 153-154 — De Circé, 192 Endymion, 57 Enée,
fils
de Vénus, 73 — Sa piété envers les dieux, 126 —
, demeure des Vents, 14 Eoüs, un des chevaux du Soleil, 42 Epaphus,
fils
de Jupiter et d’Io, sa querelle avec Phaéton, ibi
ane, 60 — Description de ce temple, ibid. Ephialte, géant célèbre,
fils
d’Aloëus, 29 Epidaure, (le géant d’) ville du Pé
to, une des neuf muses, 50-53 — Comment on la représente, 53 Erébe,
fils
du Chaos et de la Nuit, 106 — Père de Caron, 104
pouse d’Atrée, 169 Erostrate brûle le temple d’Ephèse, 61 Esculape,
fils
d’Apollon, 40 — Apprend la médecine du centaure
Médée, 154 Espérance, restée dans la boîte de Pandore, 32 Etéocle,
fils
d’Œdipe, 165 — Refuse de céder le trône à son fr
ur emploi aux Enfers, 103 Fuseau des Parques, 108 G Ganimède,
fils
de Tros, 178 — Enlevé par Jupiter, 34-177 — Un
iaque, 89 Gaulois, veulent piller le temple de Delphes, 122 Géants,
fils
de Titan et de la Terre, 28 — Voyez Titans et Cy
licon, 45 Hellé, 88 Hellespont, origine de ce nom, ibid. Hercule,
fils
de Jupiter et d’Alcmèe, 130 — Sa brillante desti
use de Pirithoüs, 144 Hippolyte, reine des Amazones, 145 Hippolyte,
fils
de Thésée, calomnié par Phèdre, 145 Hippolyte pu
Apollon, et métamorphosé en fleur, 41 Hydre de Lerne, 88-132 Hymen,
fils
de Vénus, 73 Hypermnestre, l’une des Danaïdes, s
nestre, l’une des Danaïdes, sauve la vie à Lyncée, 102 I Icare,
fils
de Dédale, 145 — Emblème de l’indiscrétion de la
tiens, 29 — Son origine, 19 Idoles adorées, 10 Idoménée immole son
fils
à Neptune, 190 Iliade, poëme d’ Homère, 51 Ilon
urne, 21 — Et d’Enée, 194 Ithaque, patrie d’Ulysse, 173-193 Ithys,
fils
de Térée, 171 Iüle, fils d’Enée, 194 Ixion, ses
Ithaque, patrie d’Ulysse, 173-193 Ithys, fils de Térée, 171 Iüle,
fils
d’Enée, 194 Ixion, ses crimes et son supplice, 1
rte, père d’Ulysse, 175 Laïus, roi de Thèbes, 162 — Est tué par son
fils
Œdipe, 163 Lampétie, sœur de Phaéton, une des Hé
es Héliades, ibid. Lance de Pallas, ibid. Laomédon, roi de Troie,
fils
d’Ilus, père de Priam, 178 — Est puni par Neptun
oëtes et des guerriers, ibid. Lavinie, épouse d’Enée, 194 Léarque,
fils
d’Athamas, 97 Léda, Epouse de Tyndare, 147 — Tr
e, 141 Maritimes, (divinités) 90 Mars, mis au rang des dieux, 1l —
Fils
de Junon, 37. Père de Cupidon, 76 — Son caractèr
la conservation d’un flambeau, ibid. — Il meurt, ibid. Melicerte,
fils
d’Ino, 96 — Echappe àla fureur de Thémisto, 97
nades, 68. Voyez Bacchantes. Ménale, mont célèbre, 123-133 Ménélas,
fils
de Plistène, 171 — Roi de Sparte, 148-172 — Epo
premier rang, 11 Mère, (la grande) nom donné à Cibèle, 26 Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, 69 — Mis au rang des dieu
Mnémosyne, mère des Muses, 49 Moineaux, consacré à Vénus, 74 Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, 114 Mont-sacré, demeur
t l’emblème de la tempête, 14 — Comment on le représente, 91 Nérée,
fils
de l’Océan, père des nymphes, 91-92 Néreides, ny
8 — Elles sont chargées de l’éducation de Bacchus, 66 O Océan,
fils
de Neptune, 91 — Père d’Amphitrite, 90 — Des fl
t s’exile, 165 — Après avoir partagé l’autorité souveraine entre ses
fils
, 166 — Œil du monde, nom donné au Soleil, 110 Œ
nt on les rendoit, 47-48 Oréades, nymphes des montagnes, 92 Oreste,
fils
d’Agamemnon, 172 — Et de Clyremnestre, 148 — Es
ces par les Bacchantes, 159 Ossa, mont célèbre, 30-62 Othus, géant,
fils
d’Aloéus, 29 Oubli, (fleuve d’) 105 Ourse, (la
anique, (terreur) 123 Paon, consacré à Junon, 38 Paphos, 74 Pâris,
fils
de Priam ; sa naissance et son éducation, 179 Pâ
l’artifice de Médée, 154 Pélion, montagne célèbre, 29-30-47 Pélops,
fils
de Tantale, 102 — Rendu à la vie, il épouse Hipp
par Thésée, 141 Permesse, fontaine consacrée aux Muses, 45 Persée,
fils
de Jupiter et de Danaé, 33-128 — Combat les Gorg
, province de la Grèce, 46-162 Phorcys, père de Scylla, 95 Phryxus,
fils
d’Athamas, 88 — Enlève le bélier qui portoit la
s de Vénus, 73 Planètes, 86-87 Platée, fille d’Asope, 37 Plistène,
fils
d’Atrée, père d’Agamemnon et de Ménélas, 171 Plo
énélas, 171 Plota, mère de Tantale, 102 Pluie d’or, 33-138 Pluton,
fils
de Saturne et de Cybèle, 98 — Mis au rang des di
121 — De Melpomène, 89 Poissons, signes du Zodiaque, 89 Polinice,
fils
d’Œdipe, 166 — Fait la guerre à son père, 165 —
le tombeau de ce héros, 185 Polixo fait pendre Hélène, 148 Pollux,
fils
de Jupiter et de Léda, 34-147 — Partage son immo
ignes du Zodiaque, 88 Polybe, roi de Corinthe, adopte Œdipe pour son
fils
, 162 Polymnie, une des neuf Muses, 49-53 — Comm
side à cette saison, 113 — Fable qui désigne son retour, 94 Priape,
fils
de Vénus, 73 — Dieu des jardins, 113 — Comment
ver, 145 Proserpine, on la confond souvent avec Hécate, 56 Prothée,
fils
de l’Océan, 92 — Ses différentes métamorphoses,
rveilles du monde, 64 Pyroïs, un des chevaux du Soleil, 42 Pyrrhus,
fils
d’Achille, 175 — Arrive devant Troie, pour y ven
d’Hercule, 138 R Raison, emblème qui la représente, 80 Rémus,
fils
de Mars, 85 Renommée, son emploi ; comment on la
rs, 85 — Est particulièement consacré an dieu Mars, ibid. Romulus,
fils
de Mars, fondateur de Rome, ibid. Rossignol, 17
3 — D’Etolie, 141 Satellites de Saturne et de Jupiter, 86 Saturne,
fils
du Ciel, 20 — Mis au rang des dieux, 11 — La pl
ion il obtint le droit d’aînesse, 20 — La guerre qu’il déclare à son
fils
, ibid. — Lui est funeste, 21 — Il est remis su
-189 Télamon, père d’Ajax, 176 Telegone tue Ulysse, 193 Télémaque,
fils
d’Ulysse, 176 — Son père lui cède ses Etats, 193
loits, 143 — Tue Sisyphe, 102 — Descend aux Enfers, 146 — Perd son
fils
Hippolyte, ibid. — Et meurt à Athènes, 147 — A
lème de la frayeur, 13 Tisiphones, divinités infernales, 109 Titan,
fils
du Ciel, 20 — Ses enfans, 278 — Cède son droit
ceptre de Neptune, 91 Triple Hécate, nom donné à Diane, 56 Tritons,
fils
et gardes de Neptune, 90 — Le rang qu’ils tenoie
motn Ethna, 30 Typhon fait fuir Vénus et Cupidon, 89 U Ulysse,
fils
de Laërte, veut se dispenser d’aller au siége de
191-192 — Arrive enfin à Ithaque, 193 — Tombe sous les coups de son
fils
Télégone, 194 Uranie, une des neuf Muses, 49-54
centaure Nessus, 132 Voleurs, Mercure en étoit le-dieu, 70 Vulcain,
fils
de Junon, précipité du ciel par Jupiter, 37 — Es
e, époux de Flore, 103 — Porte Vénus dans l’île de Cypre, 72 Zétus,
fils
de Jupiter et d’Antiope, 33 Zodiaque, 86 — Ses
es elle parvint ainsi au sommet de la montagne. Sémiramis avoit eu un
fils
de Ninus ; ce Prince, nommé Ninias, conspira cont
changé en pluie d’or, pénétra dans la tour, épousa Danaë et en eut un
fils
nomme Persée. Le barbare Acririus le fit jeter da
t exposer ensemble sur la mer, dans une mauvaise barque, Danaë et son
fils
, et que l’un et l’autre trouvèrent un azile à la
Atlas. Ce Prince, averti par un Oracle de se tenir en garde contre un
fils
de Jupiter, refusa de rendre au héros les devoirs
e ou Icarius, père d’Érigone. Cet Icare, père d’Érigone, étoit
fils
d’Œbalus. Bacchus reçut l’hospitalité chez lui, i
la forme d’une grappe de raisin il séduisit Érigone, et il en eut un
fils
qui fut appelé Staphylus 1. Bacchus laissa à Icar
fut un riche Lacédémonien, père de Pénélope, et l’autre le malheureux
fils
de Dédale. Ce dernier, célèbre par ses talens, se
dale fit le fameux labirinthe de Crète et Minos l’y renferma avec son
fils
Icare pour avoir favorisé les monstrueux amours d
s monstrueux amours de Pasiphaë. Dédale fabriqua pour lui et pour son
fils
des ailes, avec lesquelles l’un et l’autre s’envo
: qu’est-ce que des Dieux qui n’ont pas fait l’homme ? Œdipe étoit
fils
de Layus3, roi de Thèbes, et de Jocaste, fille de
Créon. L’Oracle ayant prédit à Layus qu’il périroit de la main de son
fils
, il fit exposer son enfant sur le mont Cithéron.
enfans, non-seulement l’adopta, mais le fit passer pour son véritable
fils
. Comme cet enfant, depuis son exposition sur le m
voit eu de Jocaste deux filles, la pieuse Antigone et Ismène, et deux
fils
, Etéocle et Polynice ; ces deux princes ennemis l
is la mort d’Etéocle, fait arrêter et mettre à mort Antigone ; Hémon,
fils
unique de Créon, qui aimoit cette princesse, se t
ux puissent faire aux hommes ». Amphiaras. Amphiaras étoit
fils
d’Apollon. Ériphyle sa femme enseigna à Polynice,
uvrit sous lui, et l’engloutit avec son char et ses chevaux. Alcméon,
fils
d’Amphiaraüs, fut obsédé des furies et de l’ombre
prenant cet événement, conjura Jupiter, et obtint de lui que ses deux
fils
Acarnas et Amphoterus, qui étoient encore enfans,
u collier, l’emporta chez elle, et s’en fit une parure : aussitôt son
fils
, saisi des furies, brûla sa mère avec sa maison.
n, élevoit à l’instant des tempêtes terribles. Thésée. Egée,
fils
de Pandion roi d’Athènes, épousa Ethra, fille du
pierre une épée et une chaussure, en lui recommandant de mener là son
fils
lorsqu’il auroit acquis la force d’un homme, et s
’origine de Thésée, et Pithée son aïeul répandit le bruit qu’il étoit
fils
de Neptune. Il fut élevé par Pithée, et il eut po
pour son successeur. Égée avoit jadis dressé des embûches à Androgée,
fils
de Minos Roi de Crète, et de Pasiphaë, et fait as
elle l’expression même de l’amour le plus légitime. Égée, lorsque son
fils
partit pour la Crète, lui fit promettre, s’il rev
e bord de la mer, un jour il aperçut la fatale voile, il crut que son
fils
avoit perdu la vie, et s’élançant du haut d’un ro
avoit eu de son premier mariage avec Antiope, Reine des Amazones, un
fils
nommé Hypolite, pour lequel Phèdre conçut une pas
a du crime dont elle étoit coupable, Thésée donna sa malédiction à ce
fils
innocent ; il demanda à Neptune de le venger ; le
üs monta sur le trône, ensuite Erichthonius devint Roi d’Athènes. Son
fils
Pandion lui succéda ; il fut père de deux filles
fut père de deux filles infortunées, Philomèle et Progné7. Érechtée,
fils
de Pandion, régna après son père, ensuite Pandion
ion auquel elle étoit unie de très-près par le sang. Amphitrion étoit
fils
d’Alcée et d’Hipponome, et petit fils de Persée.
s par le sang. Amphitrion étoit fils d’Alcée et d’Hipponome, et petit
fils
de Persée. Il promit à Electrion de venger la mor
petit fils de Persée. Il promit à Electrion de venger la mort de ses
fils
. Il acheta de Polyanus les bœufs que les fils de
e venger la mort de ses fils. Il acheta de Polyanus les bœufs que les
fils
de Ptérélas avoient enlevés à Electrion et les ra
t les traits d’Amphitryon. Alcmène mit au monde deux jumeaux, Hercule
fils
de Jupiter, et Iphiclès fils d’Amphitryon. Cet Ip
cmène mit au monde deux jumeaux, Hercule fils de Jupiter, et Iphiclès
fils
d’Amphitryon. Cet Iphiclès ou Iphiclus suivit Her
es expéditions et fut tué dans la guerre contre Augias ; il laissa un
fils
nommé Iolas, qui devint par la suite le plus fidè
de ce héros. Nicippe ou Nisippe, fille de Pélops, épouse de Sthénélus
fils
de Persée étoit grosse aussi ; Junon, par divers
Taureau de l’île de Crète, envoyé par Neptune contre Minos. Diomède,
fils
de Mars et de Cyrène, Roi des Bistoniens, peuple
, étoit un abominable tyran, qu’il ne faut pas confondre avec Diomède
fils
de Tydée qui enleva le Palladium. Diomède fils de
confondre avec Diomède fils de Tydée qui enleva le Palladium. Diomède
fils
de Mars nourrissoit ses chevaux de chair humaine.
fit subir au tyran cet horrible supplice. Il combattit le géant Antée
fils
de la terre, qu’il étouffa dans ses bras en le te
histoire d’Admète qui se trouve liée à celle d’Hercule : Admète étoit
fils
de Phérès Roi d’une contrée de la Thessalie dont
tour de la statue. Télamon fut encore un des amis d’Hercule. Télamon,
fils
d’Eacus, eut le malheur, en jouant au disque, de
te il s’attacha à Hercule qu’il suivit dans ses expéditions. Laomédon
fils
d’Ilus Roi de Troye, épousa Strimo, que d’autres
ye, épousa Strimo, que d’autres appellent Thoosa, il en eut plusieurs
fils
entre autres Priam, et trois filles, Hésione, Art
Hercule fit le siége de Troye, s’en empara, tua Laomédon et tous ses
fils
à l’exception de Podarcès, et donna Hésione pour
Hercule lui rendit le royaume de son père. Hésione eut de Télamon, un
fils
appelé Teucer. Hercule, eut la plus tendre amitié
appelé Teucer. Hercule, eut la plus tendre amitié pour le jeune Hylas
fils
de Théodamus, ou selon d’autres d’Euphémus, c’éto
our de Teuthras, au moment où ce Prince alloit être détrôné par Idas,
fils
d’Apharée, Télèphe vainquit les ennemis du Roi et
s, étoit l’épouse d’Œnée, Roi de Calydon. Lorsqu’elle mit au jour son
fils
Méléagre, les Parques lui apparurent et lui décla
re le sanglier dont elle reçut les dépouilles de la main de Méléagre,
fils
d’Œnée, mais les frères d’Althée, piqués qu’on eû
s furent les seuls qui persistèrent dans leurs prétentions. Achéloüs,
fils
de l’Océan et de la Terre, et père des Syrènes et
erre des Amazones contre les Grecs. Philoctète. Philoctète,
fils
de Pæan, fut l’ami et le compagnon fidèle d’Hercu
Orphée, Arion, Amphion. Ce chantre divin de la Thrace étoit
fils
d’Aagre Roi de cette contrée et de la Muse Callio
ue. Jason, chef des Argonautes, naquit à Iolcos. Son père Eson, étoit
fils
de Créthée et de Tyro et beau-frère de Pélias et
cette malheureuse mère ne pouvant supporter la longue absence de son
fils
, se plongea un poignard dans le sein. Eson, accab
accablé de vieillesse et d’infirmités avoit confié la tutelle de son
fils
Jason à Pélias, à condition qu’il rendroit la cou
tte expédition. Voici l’histoire de cette Toison si fameuse : Athamas
fils
d’Eole, fut père de Phrixus et de Hellé qu’il eut
de son époux Athamas, qui, dans un mouvement de furie, avoit jeté son
fils
Léarque contre un rocher, elle se précipita dans
que contre un rocher, elle se précipita dans les flots avec son autre
fils
Mélicerte et fut métamorphosée, ainsi que l’enfan
ite dans la Thrace, chez Phinée, qui régnoit à Salmidesse. Le prince,
fils
d’Agénor, avoit épousé d’abord Cléopâtre, fille d
oit épousé d’abord Cléopâtre, fille de Borée, de laquelle il eut deux
fils
, que par la suite il exila. Il la répudia pour ép
rut d’une blessure faite par un sanglier, et le pilote Typhis. Idmon,
fils
d’Apollon et de Cyrène, étoit un fameux devin, qu
lusieurs vaisseaux en état, qui partirent sous le commandement de son
fils
Absyrthe, frère de Médée. On atteignit bientôt le
gnons s’emparèrent du royaume, qu’ils abandonnèrent ensuite à Acaste,
fils
de Pélias. Acaste, qui étoit un des Argonautes, c
fugier à Athènes où elle subjugua le vieux Roi Egée, dont elle eut un
fils
nommé Médus, qui, suivant quelques-uns, donna son
ant quelques-uns, donna son nom aux Mèdes. On prétend aussi qu’un des
fils
de Jason et de Médée ne mourut point du coup de p
t lui fracassa la tête. Castor et Pollux. Castor et Pollux,
fils
de Jupiter et de Léda, furent élevés à Pallène où
par plusieurs personnages fameux dans la Mythologie. Le premier étoit
fils
de la Terre, il vivoit dans un antre où Junon se
a suite porteroient son nom se rendroient célèbres. Un autre Achille,
fils
de Jupiter et de Lamie, étoit si beau, qu’il remp
x entièrement blancs. Le grand Achille, immortalisé par Homère, étoit
fils
de Pélée, Roi de la Phthiotide en Thessalie, et d
il avoit reçu de mortel de son père. Pélée se réveilla, et voyant son
fils
dans le feu, se précipita vers lui et l’en retira
s, fut si irritée de ce contre-temps, qu’elle quitta son époux et son
fils
, et retourna parmi les Néréides. Pour avoir ainsi
’abord Higyron, fut surnommé Pyrisoüs. Il eut pour gouverneur, Phénix
fils
d’Amintor Roi des Dolopes en Epire, et le Centaur
eux de Déïdamie fille de Lycomède, il l’épousa en secret et en eut un
fils
nommé Pyrrhus. Lorsque les Grecs s assemblèrent p
ge de Troye. Thétis, ne pouvant plus lutter contre la destinée de son
fils
, fut demander pour lui des armes à Vulcain. Le Di
ector. Patrocle repoussa les Troyens et tua Sarpédon, Roi de Lycie et
fils
de Jupiter ; mais oubliant les ordres d’Achille i
erelle pour savoir à qui l’on donneroit ses armes, on décida qu’Ajax,
fils
de Télamon, et Ulysse pouvoient seuls prétendre à
les enfers épousa Médée et Hélène, et qu’il eut de cette dernière un
fils
nommé Euphorion, qui fut tué d’un coup de foudre
célébrées dans la Laconie en l’honneur d’Achille. Ce héros laissa un
fils
qui fut Pyrrhus Roi d’Epire qu’il eut de Déïdamie
yrrhus massacra le vieux Priam au pied d’un autel, précipita Astianax
fils
d’Hector et d’Andromaque du haut d’une tour ; il
sassiner Pyrrhus par Oreste. Pâris. On a déjà vu que Priam,
fils
de Laomédon, s’appela d’abord Podarcès, qu’il fut
e Dimas, ou, selon d’autres, de Cirséus. Il en eut un grand nombre de
fils
, et plusieurs filles. Voici quels furent ses prin
Scée. Andromaque s’attendrit en voyant Ascagne qui lui rappeloit son
fils
, qui lui ressembloit, et qui auroit eu cet âge, e
nos mœurs, seroit plus facile et paroîtroit plus naturelle. Laocoon,
fils
de Priam, fut Grand-Prêtre d’Apollon. Il s’opposa
s du Musée impérial. Déiphobe fut, après Hector, le plus vaillant des
fils
de Priam. Après la mort de Pâris il épousa Hélène
e trahit, comme on le verra par la suite. Polydore, le plus jeune des
fils
de Priam, fut confié à Polymnestor, Roi de Thrace
ont, pendant long-temps, l’existence fut ignorée. Pâris ou Alexandre,
fils
de Priam et d’Hécube, fut, dès le berceau, proscr
à dire qu’après la mort de Pâris elle se tua. Hélène épousa Déïphohe,
fils
de Priam et d’Hécube, mais elle trahit ce malheur
famille de Priam fut exterminée à l’exception d’Enée, Prince Troyen,
fils
d’Anchise et de Vénus, et petit fils d’Assaracus,
exception d’Enée, Prince Troyen, fils d’Anchise et de Vénus, et petit
fils
d’Assaracus, il fut élevé par le Centaure Chiron
ux Pénates, il chargea son père Anchise sur ses épaules et tenoit son
fils
Ascagne par la main. Creüse sa femme le suivoit,
ra surtout à donner de la clarté à cet épouvantable récit. Plisthènes
fils
de Pélops25 et d’Hippodamie, eut pour enfant Agam
pres enfans, c’est delà que ces deux Princes sont appelés Atrides, et
fils
d’Atrée quoiqu’ils ne fussent que ses neveux. Pli
este frère d’Atrée, corrompit Erope épouse d’Atrée, et il en eut deux
fils
et une fille nommée Pélopée. L’Oracle lui ayant p
t une fille nommée Pélopée. L’Oracle lui ayant prédit qu’il auroit un
fils
de sa fille Pélopée, il la consacra, dès son enfa
a sous prétexte de se réconcilier avec lui, alors il égorgea les deux
fils
de Thieste et d’Erope26. Il fit servir leurs memb
iolence, Pélopée lui arracha son épée qu’elle garda. Il eut d’elle un
fils
que sa mère exposa sur une montagne, et qui, ains
comme il alloit lui percer le sein, Thieste reconnut son épée et son
fils
, Pélopée survint, on lui découvrit cet affreux se
reux secret, et saisie d’horreur elle arracha l’épée des mains de son
fils
et se la plongea dans le cœur ; aussitôt Egisthe
lles : Iphigénie, Chrysotémis, Iphianasse, Laodice, Electre ; et deux
fils
: Oreste et Halésus27. Il eut en outre de Cassand
: Oreste et Halésus27. Il eut en outre de Cassandre sa captive, deux
fils
. Après la mort d’Agamemnon, Clytemnestre et son a
son oncle Strophius, Roi de la Phocide, où il fut élevé avec Pylade,
fils
de Strophius. Ces deux jeunes Princes prirent l’u
ne. Ce Prince mourut de la morsure d’une vipère. Ajax. Ajax
fils
d’Oïlée, fut un des Princes Grecs qui allèrent au
eaucoup de services pendant le siége de Troye. Il y eut un autre Ajax
fils
de Télamon et de Péribée, qui ne se rendit pas mo
royen. Neuf guerriers furent admis à tirer au sort qui tomba sur Ajax
fils
de Télamon ; ils se bâtirent pendant un jour enti
aima Tecmesse sa captive, fille du Phrygien Téleuthas, dont il eut un
fils
appelé Eurysacès, ce mot veut dire large bouclier
èce de Sophocle, qu’Ajax, dans un moment de calme, demande à voir son
fils
encore enfant, et que tout-à-coup craignant de re
fable et dans les tragédies grecques. Ulysse (en grec Odisseus) étoit
fils
de Laertes, petit fils d’Archius, et arrière peti
dies grecques. Ulysse (en grec Odisseus) étoit fils de Laertes, petit
fils
d’Archius, et arrière petit fils de Céphale. Sa m
isseus) étoit fils de Laertes, petit fils d’Archius, et arrière petit
fils
de Céphale. Sa mère s’appeloit Anticlée. Comme il
sa jeunesse beaucoup de ruse et d’artifice, on prétendit qu’il étoit
fils
de Sisyphe le plus fourbe de tous les hommes31. U
e la charrue d’Ulysse, Télémaque encore au berceau, Ulysse écarta son
fils
avant d’achever son sillon, et on découvrit ainsi
nte, ce qui, dans la suite, coûta la vie à Palamède. Ce dernier étoit
fils
de Nauplius, Roi d’Eubée, il se trouva à la guerr
, sous les traits de Mentor, Roi des Taphiens, conseille à Télémaque,
fils
d’Ulysse, de quitter Ithaque et d’aller chercher
ne hospitalité touchante. Ulysse ne se fit d’abord connoître qu’à son
fils
, qui, toujours sous le même déguisement, l’introd
ndre l’arc, Ulysse en vient à bout sans effort, et avec l’aide de son
fils
il extermine tous les poursuivans, et tous les do
, et tous les domestiques infidèles. Il fit grâce au chantre Phémius,
fils
de Terpius, en faveur de son éloquence et de sa l
nte dans l’île, il y eut un combat dans lequel Ulysse fut tué par son
fils
Télégone. Télémaque monta sur le trône. Les uns d
sa mère, assassina Télémaque. Diomède, long-temps ami d’Ulysse, étoit
fils
de Tydée et petit fils d’Œnée, Roi de Calydon, sa
maque. Diomède, long-temps ami d’Ulysse, étoit fils de Tydée et petit
fils
d’Œnée, Roi de Calydon, sa mère se nommoit Déipil
, quoique la fable le place au rang des plus fameux héros. Il tua les
fils
de Mélas frère de son père et fut obligé de fuir
évora la cervelle. Ce monstre fut tué dans une embuscade. Diomède son
fils
épousa Égialée. Il se trouva au siége de Troie, e
la cinquième et la sixième fatalité étoient la mort de Troïle, un des
fils
de Priam, et la destruction du tombeau de Laomédo
la destruction du tombeau de Laomédon ; enfin, le secours de Télèphe
fils
d’Hercule et d’Augé étoit nécessaire. A la fin de
calomnies d’Ulysse firent lapider devant Troie, résolut de venger son
fils
sur tous les Chefs des Grecs. Il envoya ses deux
nger son fils sur tous les Chefs des Grecs. Il envoya ses deux autres
fils
, Oacès et Nausimédon, chez les épouses de ces Pri
ces rochers périlleux qu’ils prirent pour des ports, Nauplius et ses
fils
massacrèrent impitoyablement tous les naufragés q
els on n’a pu donner d’attributs particuliers Nestor. Il étoit
fils
de Nélée et de Chloris. Il fit beaucoup d’exploit
grecs, mais il en étoit aussi le plus sage. Il perdit à ce siége son
fils
Antilochus qui fut tué en voulant le préserver de
pollon le fit vivre trois-cents ans. Idoménée. Idoménée, petit
fils
de Minos et Roi de Crète, étoit au siége de Troie
ce se repentit bientôt d’avoir fait un tel vœu ; car il rencontra son
fils
et le sacrifia. Ce qui fut cause d’une peste si c
core, aussitôt ce même Straton fut élu roi. Bellérophon. Étoit
fils
de Glaucus roi d’Epire ; ayant tué à la chasse, p
t devant douze Dieux, fut renvoyé absous. Évène. Roi d’Etolie,
fils
de Mars et de Stérope, outré d’avoir été vaincu à
estin l’emporte sur sa volonté. Il ne peut fléchir le Destin pour son
fils
Sarpédon, ni le garantir de la mort. Les ministre
êtes de l’autre, un aspic lui dévore le sein : Au pied du mont où le
fils
de Latone Tient son empire, et du haut de son trô
sceptre et deux tourterelles. 1. Selon d’autres Staphylus étoit
fils
de Bacchus et d’Ariane. 2. La Mothe, dans son d
’Ariane. 2. La Mothe, dans son discours sur Homère. 3. Layus étoit
fils
de Labdacus, roi de Thèbes, et de Nyctis. 4. Cet
a leur histoire dans le volume des Métamorphoses. 8. Electrion étoit
fils
de Persée et d’Andromède. 9. Cette fable est à-p
ugia chez Lycurgue, Roi de Némée, qui la chargea du soin d’élever son
fils
Archémore, ce jeune Prince mourut de la morsure d
, et l’autre Tantale, comme le père de Pélops. 27. Cet Halésus étoit
fils
d’Agamemnon et de Briséis, pour se soustraire aux
dernière hospitalité . 30. Guymond de la Touche. 31. Sisyphe étoit
fils
d’Eole et de Mérope ou d’Enarete et frère de l’im
ec les mœurs, surtout parmi les descendants de Cham, le troisième des
fils
de Noé. Tous les peuples, à l’exception de celui
lles. Hercule, dieu de la force, destructeur des monstres, est devenu
fils
de Jupiter et d’Alcmène. On divinisa aussi les ve
urent les Titans. La Terre et le Ciel enfantèrent encore trois autres
fils
, Cottus, Briarée et Gygès. Ils avaient une fierté
ns, eut, de son mariage avec Clymène, une des filles de l’Océan, deux
fils
: Prométhée et Epiméthée, d’un caractère bien dif
Saturne. Histoire de Saturne. Saturne, l’un des Titans, était
fils
du Ciel et de la Terre, que les Grecs appelaient
e fer qu’elle produisit, elle fabriqua une large faux et provoqua ses
fils
à se venger de leur père. Tous furent saisis de c
rendit son trône ; mais, comme celui-ci oubliait les bienfaits de son
fils
, Jupiter lui fit la guerre à son tour, et le chas
rt des faits que la fable lui attribue sont allégoriques. Elle le dit
fils
du Ciel et de la Terre, parce que le temps a comm
rapidité de son passage. Questionnaire. De qui Saturne était-il
fils
? — Comment Uranus traitait-il ses enfants ? — Co
§ 2. Jupiter. Enfance de Jupiter. Jupiter, le Zeus des Grecs,
fils
de Saturne et de Rhéa, avait pour aïeuls Uranus e
à miel. On voit par-là que le miel et le lait furent la nourriture du
fils
de Saturne. Guerre des Géants. Jupiter, enc
Jupiter eut bientôt à soutenir une guerre terrible contre les Géants,
fils
de la Terre, et qu’il faut bien se garder de conf
sé cette guerre de la nature. Les montagnes sont devenues des Géants,
fils
de la Terre ; et l’éruption des volcans a été exp
rties du sein de la terre. Typhon, le dernier et le plus terrible des
fils
de la Terre, représente la fureur des vents. C’es
au secours du roi des dieux le terrible Briarée, géant aux cent bras,
fils
invincible de la Terre. Celui-ci, éclatant de glo
nvincible de la Terre. Celui-ci, éclatant de gloire, se plaça près du
fils
de Saturne, et les dieux, frappés de crainte, ren
pouse. Hébé fut remplacée dans ses fonctions d’échanson par Ganymède,
fils
de Tros, roi des Troyens, jeune homme d’une grand
sés dans cette peinture. Questionnaire. De qui Jupiter était-il
fils
? — Saturne ne voulut-il pas le dévorer à sa nais
Latone, qui devait être mère d’Apollon et de Diane, ainsi qu’Hercule,
fils
de Jupiter et d’Alcmène. Nous savons déjà que, po
audace, furent métamorphosées en génisses furieuses. Le berger Pâris,
fils
de Priam, roi des Troyens, fut persécuté pendant
’Apollon. Ce dieu fut éprouvé par de cruelles disgrâces. Un de ses
fils
, le jeune Phaéton, qu’il avait eu de Clymène, une
ne, fut aussi foudroyé par Jupiter pour avoir rendu la vie à Glaucus,
fils
de Minos, et à Hippolyte, fils de Thésée. Apollon
ter pour avoir rendu la vie à Glaucus, fils de Minos, et à Hippolyte,
fils
de Thésée. Apollon, dans son désespoir, se vengea
de leur reconnaissance. Questionnaire. De qui Apollon était-il
fils
? — Où naquit Apollon ? — Quel fut le premier exp
e nous allons raconter brièvement. Le Bélier. Phryxus et Hellé, l’un
fils
et l’autre fille d’Athamas, roi de Thèbes, menacé
nelle autant que par leur courage. On les appelle tantôt Dioscures ou
fils
de Jupiter, tantôt Tyndarides ou fils de Tyndare.
les appelle tantôt Dioscures ou fils de Jupiter, tantôt Tyndarides ou
fils
de Tyndare. Ils étaient tous deux nés de Léda, fe
yndare, roi de Sparte, et frères d’Hélène et de Clytemnestre. Pollux,
fils
de Jupiter, était immortel ; Castor, fils de Tynd
et de Clytemnestre. Pollux, fils de Jupiter, était immortel ; Castor,
fils
de Tyndare, devait mourir. A la mort de Castor, P
er. — Les Poissons. Ces poissons sont ceux qui portèrent Vénus et son
fils
au delà de l’Euphrate, pendant la guerre que les
; Junon, par une cruelle vengeance, la transforma en ourse. Arcas, le
fils
de Calisto, devenu grand, se livrait au plaisir d
r, pour prévenir ce parricide, le métamorphosa en ours. La mère et le
fils
allèrent de compagnie former, dans la voûte céles
n donnée par Minerve n’a pas été perdue pour tout le monde. Tirésias,
fils
d’Évérus et de la nymphe Chariclo, fut privé de l
e, touchée de la douleur de Chariclo, qu’elle chérissait, donna à son
fils
, en échange de la vue qu’elle lui avait ravie, le
Mercure. Naissance et larcins de Mercure. Mercure ou Hermès,
fils
de Jupiter et de Maïa, l’une des filles d’Atlas6,
respecté la foudre, enchanté de cette espièglerie, confia à son jeune
fils
le soin de servir aux dieux le nectar et l’ambroi
r contre Prométhée, qu’il transporta sur le Caucase, où le malheureux
fils
de Japet fut enchaîné. Il attacha sur la roue aut
distingua dans la guerre des Géants, et délivra ensuite Mars, que ces
fils
de la Terre avaient enchaîné et jeté dans une pri
te, ou trois fois grand. Questionnaire. De qui Mercure était-il
fils
? — Que fit-il dans son enfance ? — Mercure ne fu
ord sur la naissance de Mars : les Grecs le nomment Arès et le disent
fils
de Jupiter et de Junon. Les Romains le font fils
nt Arès et le disent fils de Jupiter et de Junon. Les Romains le font
fils
de Junon, qui lui aurait donné le jour après avoi
sseau [Homère] Les Grecs racontent aussi qu’ayant tué Halirrhotus,
fils
de Neptune, Mars fut cité par le dieu de la mer a
mparer ; mais on remit la décision du débat à Pâris, berger phrygien,
fils
de Priam, dont il gardait les troupeaux sur le mo
rement une rose, la seconde un dé, et la troisième un myrte. Cupidon,
fils
de la belle Vénus, est le dieu de l’amour. Il fau
dieux eux-mêmes. Jupiter, qui prévoyait les troubles que causerait le
fils
de Vénus, voulait le faire périr ; mais sa mère l
s verrons plus loin ses aventures et son mariage avec Psyché. Adonis,
fils
du roi de Cypre, Cinyre, était d’une beauté extra
ouronnée de myrte et de roses. On place ordinairement à ses côtés son
fils
Cupidon et les trois Grâces. Aucune déesse n’a ét
— Quelles étaient les compagnes de Vénus ? — De qui Cupidon était-il
fils
? — Cupidon est-il le même que l’Amour ? — Commen
ité qu’elle en avait reçue, elle enseigna l’agriculture à Triptolème,
fils
de ce prince. Hippothoon, autre fils d’Éleusius,
igna l’agriculture à Triptolème, fils de ce prince. Hippothoon, autre
fils
d’Éleusius, et Mégaurie, sa femme, la recueillire
aissance, éducation et conquêtes de Bacchus. — Silène. Bacchus est
fils
de Jupiter et de Sémélé. Sémélé, fille de Cadmus,
élé, fille de Cadmus, roi de Thèbes, mourut avant la naissance de son
fils
, victime de sa vanité mise en jeu par un artifice
t lorsque les neuf mois furent révolus. Bacchus fut élevé par Silène,
fils
de Mercure et de la Terre, d’autres disent du die
travaux, culte et images de Vulcain. Vulcain, le dieu du feu, est
fils
de Jupiter et de Junon, et, selon d’autres, de Ju
de Jupiter ; il avait pour compagnons et pour ouvriers les Cyclopes,
fils
d’Uranus et de Titéa. Ces artisans infatigables f
immobilité. Il faut ajouter à ces divinités Priape, dieu des jardins,
fils
de Vénus et de Jupiter, et le dieu Pan, fils de J
riape, dieu des jardins, fils de Vénus et de Jupiter, et le dieu Pan,
fils
de Jupiter et de la nymphe Calisto. Les mœurs de
inisée sous les noms d’Océan et de Téthys. Ces dieux antiques étaient
fils
d’Uranus et de Titéa, et tous deux Titans. Océan
xploits de Neptune. Neptune, que les Grecs appellent Poseidon, est
fils
de Saturne et de Rhéa ; il reçut dans le partage
m à la ville de Trézène : Jupiter mit fin à ce débat en donnant à son
fils
le titre de roi de Trézène et à sa fille celui de
es navigateurs et des fondateurs de villes maritimes, qui se disaient
fils
du dieu des mers. Attributs et culte de Neptun
ueux animal » [Buffon] . Questionnaire. De qui Neptune était-il
fils
— Ne fut-il pas exilé du ciel ? — Que devint-il p
3. Nérée. Nérée, son origine, ses filles les Néréides. Nérée,
fils
de l’Océan et de Téthys, épousa Doris sa sœur, do
r ? § 4. Divinités subalternes de la mer. Protée. Protée,
fils
de l’Océan et de Téthys, d’autres disent de Neptu
emple mémorable de cette puissance de Protée dans la fable d’Aristée,
fils
d’Apollon et de Cyrène. Orphée, le chantre de la
naître ses abeilles. Triton, Glaucus et Mélicerte. Triton était
fils
de Neptune et d’Amphitrite. Homme et poisson, son
ntir sa conque marine avec un bruit si étrange et si violent, que les
fils
de la Terre, épouvantés, cédèrent la victoire aux
s. Glaucus, autre divinité marine, représente les pêcheurs. On le dit
fils
de Neptune. La pêche était son occupation favorit
rée en fit son interprète. Il faut ajouter à ces divinités Mélicerte,
fils
d’Athamas, roi de Thèbes, et d’Ino. Fuyant avec s
Phorcys. — Les Sirènes. — Les Harpyes. Phorcys, dieu marin, était
fils
de Neptune et père des Gorgones. Thoosa, l’une de
pête. Les vents se divisaient en deux familles : les uns, qui étaient
fils
des géants Typhée et Astrée, troublaient l’air et
Orient, et qui conduisit au siége de Troie dix mille guerriers, était
fils
de l’Aurore et de Tithon. Il fut tué par Achille.
hevaux Lampus et Phaéton. Questionnaire. De qui Protée était-il
fils
? — Quelles étaient ses fonctions ? — N’était-il
rs avaient été des rois de la terre renommés par leur sagesse. Minos,
fils
de Jupiter et d’Europe, fut le législateur et un
des hommes : auprès de lui étaient Éaque et Rhadamanthe. Éaque était
fils
de Jupiter et d’Égine. Il régna dans l’île d’Énop
de fleurs de narcisse. Charon11 Charon, le nocher des Enfers,
fils
de l’Érèbe et de la Nuit, transportait au delà de
etombe toujours. Quelle fut sa vie et quel était son crime ? Sisyphe,
fils
d’Éole et d’Énarète, fonda Corinthe, dont il fut
du faux Jupiter et de sa parodie sacrilége. Phlégyas. Phlégyas,
fils
de Mars, régnait dans un canton de la Thessalie,
e ; pour tenter leur divinité, il leur avait servi les membres de son
fils
Pélops. Une seule déesse, l’avide Cérès, se laiss
gos. Elles étaient cinquante ; Égyptus, roi d’Égypte, avait cinquante
fils
; il les maria aux Danaïdes. Danaüs, qui savait q
e à propos, non moins difficile que l’art de bien parler. Le Sommeil,
fils
de la Nuit et frère de la Mort, est le père des S
ieu de la médecine. Esculape ou Asclépius, dieu de la médecine, était
fils
d’Apollon et de la nymphe Coronis. Livré aux soin
aissance et éducation d’Hercule. Hercule, dieu de la force, est le
fils
de Jupiter et d’Alcmène. Junon envoya près du ber
mains. Euryte, roi d’Œchalie, lui enseigna à tirer de l’arc ; Castor,
fils
de Jupiter et de Léda, lui apprit à combattre à c
i apprit à combattre à cheval ; Autolycus à conduire un char ; Linus,
fils
d’Apollon et d’une Muse, à jouer de la lyre ; et
dant un voyage en Libye, il lutta contre le géant Antée, roi d’Irasa,
fils
de Neptune et de la Terre. Hercule le terrassa tr
trouvons encore Hercule délivrant l’Italie des brigandages de Cacus,
fils
de Vulcain : il faut lire dans le poëme de Virgil
urut Hercule, sur le mont Œta. Après ce sacrifice, Jupiter appela son
fils
dans l’Olympe, l’admit à la table des dieux, et l
rt ? — Que devint-il après sa mort ? § 3. Persée. Persée était
fils
de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, pè
lui ravir un jour la couronne et la vie, Acrisius exposa Danaé et son
fils
aux flots de la mer, sur une petite nacelle ; mai
ème de l’art de la guerre. Questionnaire. De qui Persée était-il
fils
? — Que fit Acrisius pour faire périr son petit-f
fut la fin du voyage de Persée ? § 4. Bellérophon. Hipponoüs,
fils
de Glaucus, roi d’Éphyre (ancien nom de Corinthe)
catastrophe ? § 5. Thésée. Thésée naquit à Trézène ; il était
fils
d’Égée, roi des Athéniens, et d’Éthra, fille du r
ans, il se mit en campagne pour courir les aventures, à l’exemple du
fils
de Jupiter, emportant l’épée de son père que celu
zones, et qu’il épousa leur reine Antiope ou Hippolyte ; il en eut un
fils
du même nom, dont nous parlerons plus tard. Après
Minerve et à Apollon. Minos, roi de Crète, pour venger la mort de son
fils
Androgée que les Athéniens avaient assassiné, ava
ée, du crime qu’il n’avait pas voulu commettre. Thésée appela sur son
fils
la colère de Neptune. Le dieu des mers envoya un
lyte en se donnant la mort ; mais Thésée eut à pleurer la mort de son
fils
innocent et son propre déshonneur. La révolte des
n héros et un bienfaiteur. Questionnaire. De qui Thésée était-il
fils
? — Ne fut-il pas élevé loin de son père ? — Quel
e n’eut-il pas d’autres aventures ? — Qu’arriva-t-il à Hippolyte, son
fils
? — Que trouva-t-il à son retour dans Athènes ? —
à la toison d’or. Le tyran s’était approprié ce riche trésor. Jason,
fils
d’Éson et d’Alcimède, avait été dépouillé de l’hé
ec Médée et ses compagnons. Éétès envoya à leur poursuite Absyrte son
fils
, et se mit en marche derrière lui. Les membres de
bsyrte son fils, et se mit en marche derrière lui. Les membres de son
fils
, déchirés par Médée et semés sur la route, retard
bes. Fondation de Thèbes. — Cadmus. — Laïus. — Œdipe. Cadmus,
fils
d’Agénor, roi de Phénicie, frère d’Europe, fut en
ne, sa femme, où tous deux furent changés en serpents. Polydore, leur
fils
, fut déchiré par des Bacchantes, et Labdacus, enl
chantes, et Labdacus, enlevé par une mort prématurée, ne laissa qu’un
fils
au berceau et entouré d’ennemis. Ce fils fut Laïu
prématurée, ne laissa qu’un fils au berceau et entouré d’ennemis. Ce
fils
fut Laïus, époux de Jocaste. L’oracle avait annon
s. Ce fils fut Laïus, époux de Jocaste. L’oracle avait annoncé que le
fils
qui naîtrait de leur alliance serait le meurtrier
pe. Cet enfant fut élevé à la cour de Corinthe, comme s’il eût été le
fils
de Polybe et de Péribée, qui régnaient dans cette
e le soutint dans son infortune, mais la haine implacable de ses deux
fils
redoubla ses douleurs. Étéocle et Polynice ne fur
daient cette armée : c’étaient Adraste, roi d’Argos, Polynice, Tydée,
fils
d’Œnée, roi d’Étolie, Capanée, prince argien, le
, frère de Jocaste, se trouva, par cette mort possesseur du trône des
fils
d’Œdipe. Il défendit, sous peine de la vie, d’ens
x frère. Jetée en prison par l’ordre de Créon, elle s’étrangla, et le
fils
du tyran, Hémon, amant d’Antigone, se perça de so
, annoncée par le devin Tirésias, était due au dévouement de Ménécée,
fils
de Créon, qui dut acheter de son sang le salut de
dignes de les venger. Dix ans après l’expédition d’Adraste, Alcméon,
fils
d’Amphiaraüs, Égialée, fils d’Adraste, Diomède, f
ns après l’expédition d’Adraste, Alcméon, fils d’Amphiaraüs, Égialée,
fils
d’Adraste, Diomède, fils de Tydée, Promaque, fils
draste, Alcméon, fils d’Amphiaraüs, Égialée, fils d’Adraste, Diomède,
fils
de Tydée, Promaque, fils de Parthénopée, Sthénélu
mphiaraüs, Égialée, fils d’Adraste, Diomède, fils de Tydée, Promaque,
fils
de Parthénopée, Sthénélus, fils de Capanée, Thers
te, Diomède, fils de Tydée, Promaque, fils de Parthénopée, Sthénélus,
fils
de Capanée, Thersandre, fils de Polynice, Polydor
romaque, fils de Parthénopée, Sthénélus, fils de Capanée, Thersandre,
fils
de Polynice, Polydore, fils d’Hippomédon, s’armèr
, Sthénélus, fils de Capanée, Thersandre, fils de Polynice, Polydore,
fils
d’Hippomédon, s’armèrent pour venger l’échec de l
ille, abandonnèrent la ville, qui fut livrée au pillage ; Thersandre,
fils
de Polynice, remonta sur le trône de Laïus ; mais
Argos, fut choisi. Hélène et Ménélas vivaient heureux, lorsque Pâris,
fils
de Priam, vint à leur cour. Ce jeune favori de Vé
fice pour amener sous les drapeaux Ulysse, roi d’Ithaque, et Achille,
fils
de Thétis et de Pélée. Ulysse contrefit l’insensé
usse folie se dévoila lorsqu’il détourna sa charrue pour épargner son
fils
Télémaque. Ce même Ulysse alla tirer de sa retrai
s Briséis sa captive. Irrité de cette injustice et de cet outrage, le
fils
de Thétis se retira dans sa tente, laissant tout
s sa tente, laissant tout le poids de la guerre à Ménélas, à Diomède,
fils
de Tydée, aux deux Ajax, l’un fils de Télamon, et
de la guerre à Ménélas, à Diomède, fils de Tydée, aux deux Ajax, l’un
fils
de Télamon, et l’autre d’Oïlée, et à Idoménée, ro
e, roi des Crétois. Enfin, touché de la disgrâce des Grecs qu’Hector,
fils
de Priam, avait repoussés jusqu’auprès de leurs v
riam qui pénétra la nuit dans sa tente, il lui rendit le corps de son
fils
. Bientôt, épris des charmes de Polyxène, il s’ava
ux flammes et au pillage. Le vieux Priam périt de la main de Pyrrhus,
fils
d’Achille, et son empire fut détruit. Suites d
it. Suites de la guerre de Troie. Énée, du sang royal de Troie,
fils
d’Anchise et de Vénus, emmena sur ses vaisseaux l
va son palais souillé par les désordres de Clytemnestre et d’Égisthe,
fils
de Thyeste. Cassandre, fille de Priam, prophétess
tins. Ulysse, secondé par Eumée, gardien de ses pourceaux, et par son
fils
Télémaque, tua tous ces princes, et reprit posses
ssion de son royaume. Quelques années après, il fut tué par Télégone,
fils
qu’il avait eu de la magicienne Circé. Questio
Brahm, il y eut trois dieux, Brahmâ, Siva et Vichnou. Ces dieux sont
fils
de Bhavani. On raconte que cette déesse, créée sa
Osiris et Isis. Voici comment ils racontaient leur histoire : Osiris,
fils
de Chronus et de Rhéa, selon les uns, ou de Jupit
hes furent longtemps stériles, quoiqu’elle eût pris pour compagnon un
fils
d’Osiris, le fidèle Anubis, étrange divinité dont
La reine la surprit une nuit pendant que les flammes entouraient son
fils
et que la déesse voltigeait autour de la colonne.
r la mort d’Osiris, elle se rendit à la ville de Buto, où Horus, leur
fils
, était secrètement élevé. Elle voulait en faire l
aux et des temples. Osiris revint des enfers pour instruire son jeune
fils
et l’exciter à combattre l’usurpateur. Ses leçons
ire d’Osiris et d’Isis. — Qu’est-ce que Typhon ? — Quel est le nom du
fils
d’Osiris et d’Isis ? — Qu’est-ce qu’Hermès ? — A
être vivant, Bor, qui épousa la fille d’un géant et qui en eut trois
fils
: Odin, Vili et Vé. Les fils de Bor tuèrent le gé
la fille d’un géant et qui en eut trois fils : Odin, Vili et Vé. Les
fils
de Bor tuèrent le géant Ymer, dont le sang noya t
st-ce que le géant Ymer et la vache Audumbla ? — De qui Odin était-il
fils
? — Quel fut son premier exploit ? — Quelle est l
stre, blessé par Atalante, princesse d’Arcadie, fut tué par Méléagre,
fils
d’Œnée. Ce jeune héros offrit la dépouille du san
ères, consuma alors un tison auquel était attachée l’existence de son
fils
. La vie du jeune héros s’éteignit lorsque le tiso
inités de la mer. Le héros Persée coupa la tête de Méduse. 6. Atlas,
fils
de Jupiter et de Clymène, excellait dans l’astron
uivi d’une idolâtrie moins excusable. Vers l’an du monde 2700, Ninus,
fils
de Bélus, roi des Assyriens, fit élever, au milie
ses décrets. Il avoit son culte et ses oracles. Il passoit pour être
fils
de la Nuit. On le représente avec un bandeau sur
e, Le palais des destins devant lui se présente : Il fait marcher son
fils
vers ces sacrés remparts, Et cent portes d’airain
nse. ( J.-B. Rousseau.) Saturne. D. De qui Saturne étoit-il
fils
? R. Saturne étoit fils du Ciel, le plus ancien
Saturne. D. De qui Saturne étoit-il fils ? R. Saturne étoit
fils
du Ciel, le plus ancien des dieux, et de la Terre
ée de Vesta, déesse du feu et de la virginité. D. Le Ciel n’eut-il de
fils
que Saturne ? R. Il eut encore Titan, qui étoit
oit son royaume. Pour prévenir ce malheur, il déclara la guerre à son
fils
, et lui tendit des embûches, où il croyoit le fai
iter. D. Quel rang tient Jupiter parmi les dieux ? R. Jupiter,
fils
de Saturne et Cybèle, est regardé comme le plus g
piter régna-t-il tranquillement ? R. Non. Les Titans, ou les géants,
fils
de la Terre et de Titan, entreprirent de rétablir
s animé par Jupiter qui lui crioit sans cesse : Courage, courage, mon
fils
! D. Quels sont les plus fameux d’entre les géant
a plus y reparoître. Jupiter mit à la place d’Hébé, le beau Ganymède,
fils
de Tros, qu’il fit enlever par un aigle, lorsque
d’Eleusis, elle enseigna particulièrement l’agriculture à Triptolème,
fils
de ce prince ; elle continua son voyage, et renco
sur la fougère. ( Bernis.) Neptune. D. De qui Neptune étoit-il
fils
? R. Neptune étoit fils de Saturne et de Cybèle.
) Neptune. D. De qui Neptune étoit-il fils ? R. Neptune étoit
fils
de Saturne et de Cybèle. Son père avoit l’habitud
’épouser. Mais Prométhée prédit que cette nymphe mettroit au monde un
fils
qui seroit plus illustre et plus grand que son pè
qui verse leur onde blanchissante. Enfin, l’Océan et Téthys eurent un
fils
appelé Protée. Ce dieu marin avoit la garde du tr
le pouvoir de soulever les flots, et de causer les tempêtes. Il étoit
fils
de Jupiter. Il habitoit L’Éolie, île située entre
, épousa en secondes noces Athamas, roi de Thèbes, dont elle eut deux
fils
, Léarque et Mélicerte. Athamas, devenu furieux, é
gnant pour elle-même et pour Mélicerte un pareil traitement, prit son
fils
dans ses bras, et se jeta avec lui, du haut d’un
e la mer. Pluton. D. Qu’étoit Pluton ? R. Pluton, troisième
fils
de Saturne et de Cybèle, régnoit dans les enfers.
limats ? Quels gouffres enflammés s’entr’ouvrent sous mes pas ? O mon
fils
! vous voyez les portes de l’abyme Creusé par la
rita-t-il de devenir le président du tribunal des enfers ? R. Minos,
fils
de Jupiter et d’Europe, étoit roi de Crète. Il do
es deux autres juges des enfers, Eaque et Rhadamante. R. Eaque étoit
fils
de Jupiter et d’Égine. Il donna le nom de sa mère
uste, qu’il obtint une place parmi les juges des enfers. Rhadamante,
fils
de Jupiter et d’Europe, étoit frère de Minos. Il
éphyrs. ( Bernard.) D. Qu’est-ce que le Sommeil ? R. Le Sommeil est
fils
de l’Érèbe et de la Nuit, et père des Songes. Il
tre chacun de ces fleuves, et commencez par l’Achéron. R. L’Achéron,
fils
du Soleil et de la Terre, n’a pas toujours coulé
et le nectar étoit leur breuvage. D. Qu’étoit l’Erèbe ? R. L’Erèbe,
fils
du Chaos et de la Nuit, fut métamorphosé en fleuv
béantes. D. Qui étoit le nautonnier des enfers ? R. C’étoit Caron,
fils
de l’Érèbe et de la Nuit ; il passoit les ombres
e, Tantale et les Danaïdes. P. Qu’avoit fait Phlégyas ? R. Phlégyas,
fils
de Maris, et père de Coronis, voulut se venger de
n rocher qui lui pend sur la tête. D. Qu’étoit Sisyphe ? R. Sisyphe,
fils
d’Éole, étoit un insigne brigand qui désoloit l’A
ce. D. Qu’est-ce que la fable nous dit de Tantale ? R. Tantale étoit
fils
de Jupiter, et roi de Phrygie. Pour éprouver les
e Phrygie. Pour éprouver les dieux, il leur servit les membres de son
fils
Pélops. Cérès, trop occupée de la douleur que lui
us, son frère, qui donna son nom au pays où il régnoit, eut cinquante
fils
. Les Danaïdes furent mariées à leurs cousins, et
st-il le même que Plutus ? R. Non. Plutus, dieu des richesses, étoit
fils
de Cérès et de Jasion. On le met au nombre des di
èrent lentement. Mercure. D. Qu’étoit Mercure ? 12. Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, étoit l’interprète et le m
use, l’une des trois Gorgones. Mars. D. De qui Mars étoit-il
fils
? R. Mars étoit fils de Junon, qui lui donna seu
orgones. Mars. D. De qui Mars étoit-il fils ? R. Mars étoit
fils
de Junon, qui lui donna seule le jour par l’attou
ateurs de la ville de Rome. Vulcain. D. De qui Vulcain étoit-il
fils
? R. Vulcain étoit fils de Jupiter et de Junon.
e. Vulcain. D. De qui Vulcain étoit-il fils ? R. Vulcain étoit
fils
de Jupiter et de Junon. Il naquit si difforme, qu
itée encore, lorsqu’elle sut que cette princesse lui avoit enlevé son
fils
. Elle la persécuta si cruellement qu’elle la fit
s ou par des cygnes, ou par des moineaux. On place à côté d’elle, son
fils
Cupidon. La rose lui étoit consacrée, comme ayant
s de vigne ou de lierre. Apollon. D. De qui Apollon étoit-il
fils
? R. Apollon étoit fils de Jupiter et de Latone.
Apollon. D. De qui Apollon étoit-il fils ? R. Apollon étoit
fils
de Jupiter et de Latone. La jalouse Junon suscita
n, du lieu où il avoit pris naissance. D. Quels sont les attributs du
fils
de Latone ? R. Apollon est le dieu des arts, de
.) D. A quelle occasion Apollon fut-il banni du Ciel ? R. Esculape,
fils
d’Apollon, avoit appris de son père et du centaur
la médecine. Il y devint si habile, qu’il rendit la vie à Hippolyte,
fils
de Thésée, que des monstres marins avoient mis en
e et la mère d’Hyacinthe voulurent venger sur Apollon la mort de leur
fils
. Apollon s’enfuit dans la Troade, où Laomédon l’e
e ? R. L’Aurore aima principalement Tithon et Céphale. Tithon étoit
fils
de Laomédon, et frère de Priam. L’Aurore l’enleva
être changé en cigale. Jupiter lui accorda sa demande. Céphale étoit
fils
d’Éole, et mari de Procris, fille d’Érechthée, ro
c le même dard. Jupiter changea Céphale et Procris en astres. D. Quel
fils
naquit des amours de Tithon et de l’Aurore ? R.
, au siége de Troie. Jupiter, pour consoler l’Aurore de la mort de ce
fils
chéri, lui promit que quand on brûleroit le corps
aéton eut un différent avec Epaphus qui lui reprocha de n’être pas le
fils
du Soleil, comme il s’en vantoit. Phaéton alla se
par un serment irrévocable, fit touts ses efforts pour détourner son
fils
d’une entreprise si difficile ; mais inutilement.
orter un prompt remède à ce désordre, renverse d’un coup de foudre le
fils
du Soleil, et le précipite dans l’Éridan. Ses sœu
ngeance, et la métamorphosa en ourse ; mais Jupiter l’enleva avec son
fils
Arcas, et les plaça dans le ciel, où ils forment
Dioné, épousa Amphion, roi de Thèbes. Elle en eut douze enfants, six
fils
et six filles ; et, fière de sa fécondité, elle s
, Adoucit d’un regard modeste L’ardeur brûlante du soleil. Redoutable
fils
de Latone, Tu cesses de blesser nos yeux : Vertum
e que la fable nous apprend de Faune ? R. Faune, roi d’Italie, étoit
fils
de Picus ou de Mars, et petit-fils de Saturne. Il
t ce qu’elle entendroit dire. Echo devint amoureuse du beau Narcisse,
fils
de la nymphe Lyriope et du fleuve Céphise. Mais N
assin de l’autre. Momus. D. A quoi présidoit Momus ? R. Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, étoit le dieu de la rai
arpocrate. D. Qu’étoit Harpocrate ? R. Harpocrate, dieu Égyptien,
fils
d’Osiris et d’Isis, présidoit au silence. Cette d
Demande. Racontez la naissance de Persée. Réponse. Persée étoit
fils
de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, av
roi d’Argos, avoit appris de l’oracle, qu’il périroit de la main d’un
fils
que Danaé, sa fille, mettroit au monde. Pour prév
ite, Polydecte étant devenu amoureux de Danaé, chercha à éloigner son
fils
. Dans cette vue, il lui ordonna de combattre les
oi de Mauritanie. Ce prince avoit appris d’un oracle de Thémis, qu’un
fils
de Jupiter devoit lui ravir des pommes d’or qu’il
l a été le plus célèbre des héros de l’antiquité ? R. C’est Hercule,
fils
de Jupiter et d’Alcmène femme d’Amphitrion roi de
jà enceinte, mit au monde deux jumeaux, dont l’un nommé Eurysthée fut
fils
d’Amphitrion, et l’autre appelé Hercule y eut pou
ine des dieux épuisa touts les efforts de sa fureur jalouse contre ce
fils
de Jupiter. D’abord, elle fit naître Eurysthée av
e de deux tyrans fameux, Diomède et Busiris. Diomède, roi de Thrace,
fils
de Mars et de Cyrène, avoit des chevaux furieux,
ne. Hercule le tua et emmena les bœufs. 9°. Augias, roi de l’Elide et
fils
du Soleil, avoit des étables qui contenoient troi
Motte.) D. Pourquoi Cacus fut-il mis à mort par Hercule ? R. Cacus,
fils
de Vulcain, demi-homme et demi-satyre, avoit une
oient Prométhée attaché sur le mont Caucase. Il défit le géant Antée,
fils
de Neptune et de la Terre. Ce géant massacroit to
Junon. Castor et Pollux. D. De qui Castor et Pollux étoient-ils
fils
? R. Ils eurent touts deux Léda pour mère ; mais
re ! écoute mes vœux. L’immortalité qui m’enchaîne, Pour ton
fils
désormais n’est qu’un supplice affreux. Castor
père et les dieux. ( Bernard.) Esculape. D. De qui Esculape étoit-il
fils
? R. Esculape étoit fils d’Apollon et de la nymp
rd.) Esculape. D. De qui Esculape étoit-il fils ? R. Esculape étoit
fils
d’Apollon et de la nymphe Coronis. Il passe pour
ans la ville de Rome. Orphée, Aristée. D De qui Orphée étoit-il
fils
? R. Orphée étoit fils d’Apollon et de Clio. Il
Orphée, Aristée. D De qui Orphée étoit-il fils ? R. Orphée étoit
fils
d’Apollon et de Clio. Il jouoit divinement de la
luth à la main, D. Faites-nous connoître Aristée ? R. Aristée étoit
fils
d’Apollon et de la nymphe Cyrène. Il aimoit Euryd
l implora le secours de sa mère. Cyrène, partageant la douleur de son
fils
, lui conseilla d’aller consulter Protée. Celui-ci
qu’Apollon est mon père, Hélas ! du sang des dieux n’as-tu formé ton
fils
Que pour l’abandonner aux destins ennemis ? Ma mè
Dans ces jeunes forêts allez porter la flamme, Puisque l’honneur d’un
fils
ne touche point votre ame. Cyrène entend sa voix
voûte des flots. O ma sœur ! tu sentois de trop justes alarmes ; Ton
fils
, ton tendre fils, tout baigné de ses larmes, Paro
O ma sœur ! tu sentois de trop justes alarmes ; Ton fils, ton tendre
fils
, tout baigné de ses larmes, Paroît au bord de l’e
lé de douleurs, Et sa mère est, dit-il, insensible à ses pleurs. Mon
fils
! répond Cyrène en pâlissant de crainte, Qu’il vi
il vienne : et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on amène mon
fils
, qu’il paroisse à mes yeux ; Mon fils a droit d’e
de sa plainte ? Qu’on amène mon fils, qu’il paroisse à mes yeux ; Mon
fils
a droit d’entrer dans le palais des dieux : Fleuv
On fait fumer l’encens, on fait couler le vin. Prends ce vase, ô mon
fils
! afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le
. Elle accepte l’augure, et poursuit en ces mots : Protée, ô mon cher
fils
, peut seul finir tes maux. C’est lui que nous voy
er ses secrets, Et forcer ton captif à reprendre ses traits. Sur son
fils
, à ces mots, sa main officieuse Répand d’un doux
on rocher, compte au loin son troupeau. A peine il s’assoupit, que le
fils
de Cyrène Accourt, pousse un grand cri, le saisit
’hui vaines ombres, Des vierges que l’hymen attendoit aux autels, Les
fils
mis au bûcher sous les yeux paternels, Victimes q
s mots, Et du gouffre écumant fait tournoyer les flots. Cyrène de son
fils
vient calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-e
able. Thésée. Demande. Qui étoit Thésée ? Réponse. Thésée,
fils
d’Egée, roi des Athéniens, fut parent et contempo
oëtes donnent aussi le nom de Scinis a ce brigand. Périphète, géant,
fils
de Vulcain, ne se nourrissoit que de chair humain
rès les avoir vaincus dans un combat qu’il leur livra pour venger son
fils
Androgée qu’ils avoient fait mourir. D. Dites com
on invention : car Minos le fit enfermer dans le labyrinthe, avec son
fils
Icare. Mais Dédale fabriqua des ailes artificiell
es ailes artificielles qu’il attacha à ses épaules et à celles de son
fils
. Il recommanda bien à Icare de ne voler ni trop h
ord éprouve la puissance ; Et, sûr de leur usage, il l’enseigne à son
fils
. « Prends le milieu des airs, et crois-en mes avi
es mains tremblent deux fois, en attachant ses ailes. Il embrasse son
fils
: une secrète voix Lui dit qu’il l’embrassoit pou
encor A régler les écarts de son premier essor, L’œil tourné sur son
fils
, d’un vol hardi, mais sage, De son art périlleux
débris. Il maudit de son art l’invention funeste ; De son malheureux
fils
il recueille le reste, Lui dresse dans une île un
promesse. Son père apercevant de loin les voiles noires, crut que son
fils
avoit péri, et se précipita dans la mer qui depui
hésée épousa Hippolyte, reine de ces femmes guerrières : il en eut un
fils
qui porta le nom, de sa mère. Phèdre, fille de Mi
sée, d’avoir voulu attenter à son honneur. Ce père crédule chassa son
fils
, et appela sur lui la vengeance de Neptune. Et t
s le temple voisin chacun cherche un asile. Hippolyte lui seul, digne
fils
d’un héros, Arrête les coursiers, saisit les jave
rs une source éternelle : J’ai vu, Seigneur, j’ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
. » Cher ami, si mon père, un jour désabusé, » Plaint le malheur d’un
fils
faussement accusé, » Pour apaiser mon sang et mon
rophon D. Racontez l’histoire de Bellérophon R. Bellérophon étoit
fils
de Glaucus, roi de Corinthe. Il est le premier qu
et les Argonautes. D. Faites-nous connoître Jason. R. Jason étoit
fils
d’Eson, roi d’Iolchos, en Thessalie. Pélias s’emp
Athamas, roi de Thèbes. La toison de ce bélier étoit dorée. Phryxus,
fils
d’Athamas, et Hellé, sœur du jeune prince, ayant
suivoit son père. Aëte perdit du temps à ramasser les membres de son
fils
. Médée parvint ainsi à se dérober à sa poursuite.
rocha ensuite à Jason son infidélité, égorgea en sa présence les deux
fils
qu’elle en avoit eus, et s’élevant dans les airs
re. Elle épousa un des plus grands rois de ce pays-là. Elle en eut un
fils
appelé Médus qui succéda à son père, et donna à s
nt un ingrat. ( De la Fosse.) Cadmus D. De qui Cadmus étoit-il
fils
? R. Cadmus étoit fils d’Agénor, roi des Phénici
sse.) Cadmus D. De qui Cadmus étoit-il fils ? R. Cadmus étoit
fils
d’Agénor, roi des Phéniciens. Jupiter, transformé
rmé en taureau, enleva Europe, sœur de Cadmus. Agénor enjoignit à son
fils
, d’aller la chercher, et de ne point revenir sans
dmus, célébrant les Orgies avec les Ménades, mit en pièces son propre
fils
nommé Penthée ; Autonoé, sa quatrième fille, eut
; Autonoé, sa quatrième fille, eut à déplorer la mort funeste de son
fils
Actéon. Cadmus, pour n’être pas témoin de tant de
n nom. Amphion, Arion. D. Qui étoit Amphion ? R. Amphion étoit
fils
de Jupiter et d’Antiope, femme de Lycus, roi de T
e de Paphos. Deucalion. D. Qui étoit Deucalion ? R. Deucalion,
fils
de Prométhée et de Pandore, épousa Pyrrha, fille
nfortunée, enflamma Progné d’une telle fureur, qu’elle tua son propre
fils
Itys, et en fit servir les membres à son mari. Ph
dans les grands événements. Œdipe. D. De qui Œdipe étoit-il
fils
? R. Il étoit fils de Laïus, roi de Thèbes. Laïu
nements. Œdipe. D. De qui Œdipe étoit-il fils ? R. Il étoit
fils
de Laïus, roi de Thèbes. Laïus avoit appris de l’
aïus avoit appris de l’oracle qu’il périroit de la main de son propre
fils
; et ordonna à Jocaste sa femme, d’ôter la vie à
au prince : admirez votre sort ! Le prince vous adopte au lieu de son
fils
mort. Et, par ce coup adroit, sa politique heureu
eureuse Affermit pour jamais sa puissance douteuse Sous le nom de son
fils
vous fûtes élevé Par cette même main qui vous avo
t Œdipe, lorsqu’il fut devenu grand ? R. Il apprit qu’il n’étoit pas
fils
de Polybe. Il consulta l’oracle sur sa destinée,
de Thèbes ? R. Œdipe, en quittant Thèbes, avoit ordonné que ses deux
fils
Étéocle et Polynice règneroient alternativement,
i. ( Legouvé.) Pélops. D. Racontez l’histoire de Pélops. R. Pélops,
fils
de Tantale, demanda la main d’Hippodamie, fille d
frères devoient se jurer une amitié réciproque. Thyeste avoit eu deux
fils
, de son commerce avec Erope. Atrée fit mettre ces
inable festin. Thyeste, transporté de rage, trouva un vengeur dans un
fils
qu’il avoit eu d’une union incestueuse. Ce fils,
va un vengeur dans un fils qu’il avoit eu d’une union incestueuse. Ce
fils
, exposé dans un bois, par ordre de Thyeste, fut s
pour l’assassiner. Egisthe, dans la suite, donna la mort à Agamemnon,
fils
d’Atrée, lorsque ce prince revenoit de la guerre
de Dardanus, et troisième roi de Dardanie, donna son nom à la ville,
fils
de Tros, succéda à son père, et voulut que Troie
lut que Troie se nommât Ilium. Ilus eut pour successeur Laomédon, son
fils
, qui environna Troie de sortes murailles. Hercule
murailles. Hercule ôta le royaume et la vie à Laomédon, et emmena son
fils
prisonnier. Mais ce fils, ayant été racheté par l
royaume et la vie à Laomédon, et emmena son fils prisonnier. Mais ce
fils
, ayant été racheté par les Troyens, reçut le nom
ée Pergame. D. Quelle fut la cause de la guerre de Troie ? R. Pâris,
fils
de Priam, fut envoyé par son père, à Salamine, po
Hélène s’enfuit avec Pâris à Troie. Priam approuva la conduite de son
fils
, et crut avoir un moyen de faire un échange d’Hés
; et ce descendant étoit Achille, né de la déesse Thétis et de Pélée,
fils
d’Eaque. 2°. Il falloit avoir les flèches d’Hercu
es chevaux. 5°. Troie ne pouvoit être prise pendant la vie de Troïle,
fils
de Priam. Ce prince fut tué par Achille. On compr
Grecs ne pouvoient prendre Troie, s’ils n’avoient dans leur armée un
fils
d’Hercule. Ce fils d’Hercule étoit Télèphe, roi d
prendre Troie, s’ils n’avoient dans leur armée un fils d’Hercule. Ce
fils
d’Hercule étoit Télèphe, roi de Mysie. Les Grecs
recherche la trace ; Ici le fier Pyrrhus signaloit son audace ; Là le
fils
de Thétis rangeoit ses bataillons ; Ici c’étoit l
’on appeloit les Atrides ; Achille ; Patrocle, son ami ; Pyrrhus, son
fils
; les deux Ajax ; Diomède ; Philoctète ; Ulysse,
ua le fameux cheval de bois ; Machaon et Podalire, célèbres médecins,
fils
d’Esculape ; etc. D. Quels furent les chefs des T
s furent les chefs des Troyens ? R. Priam ; Hector ; Pâris ; Memnon,
fils
de Tithon et de l’Aurore ; Penthésilée, reine des
; Penthésilée, reine des Amazones ; Rhésus, roi de Thrace ; Sarpédon,
fils
de Jupiter ; Enée ; Laocoon ; etc. Nous allons fa
las. D. De qui les deux frères Agamemnon et Ménélas étoient-ils
fils
? R. Ces deux princes avoient pour père Plisthèn
t-ils fils ? R. Ces deux princes avoient pour père Plisthène, un des
fils
de Pélops. Plisthène, en mourant, recommanda ses
ne, un des fils de Pélops. Plisthène, en mourant, recommanda ses deux
fils
encore jeunes à son frère Atrée, qui les fit élev
yndare. Le roi de Sparte avoit marié sa fille Clytemnestre à Tantale,
fils
de Thyeste. Mécontent de cette alliance, il offri
usa Clytemnestre dont il eut deux filles, Iphigénie et Electre, et un
fils
nommé Oreste. D. Quelle princesse Ménélas prit-il
effrayés dérobe cette tête. Oh ! ma mère ! épargnez votre malheureux
fils
. Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris ; J’
; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton
fils
des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état o
de enlever la statue de Diane, et délivrer sa sœur Iphigénie. Pylade,
fils
de Strophius, roi de Phocide, lié d’une étroite a
de Sparte. Achille. D. De qui naquit Achille ? R : Achille étoit
fils
de Thétis et de Pelée. Il fut élevé par le centau
os. Achille se fit aimer de Déidamie, fille de Lycomède, et en eut un
fils
nommé Pyrrhus. D. Comment Achille fut-il amené au
ver à ce prince la jeune Briséis, qu’Achille aimoit passionnément. Le
fils
de Thétis, outré de l’affront qu’il recevoit, jur
tre les Troyens. Achille y consentit. Patrocle prit donc les armes du
fils
de Thétis, et réimporta de grands avantages sur l
fois autour des murs de Troie. Priam vint redemander le corps de son
fils
à son vainqueur, pour lui rendre les honneurs de
ds ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la main qui fit périr son
fils
. Il n’osoit sur Achille encor jeter la vue ; Il v
us » Prolonger de ses ans l’éclatante carrière ! » Le seul nom de son
fils
remplit la terre entière ; » Ce nom fait son bonh
» Hélas ! tout mon bonheur et toute mon attente » Est de voir de mon
fils
la dépouille sanglante, » De racheter de vous ces
» J’ai vu tomber Patrocle ; Hector me l’a ravi : » Vous perdez votre
fils
, et je perds un ami. » ( Voltaire.) D. Comment m
. Faites-nous connoître les principaux faits de Pyrrhus. R. Pyrrhus,
fils
d’Achille et de Déidamie, fut élevé à la cour du
Pyrrhus qui tua le malheureux Priam, qui précipita le jeune Astyanax,
fils
d’Hector, du haut d’une tour, et qui demanda Poly
foi ; » Andromaque, régnez sur l’Épire et sur moi. » Je voue à votre
fils
une amitié de père, ; » J’en atteste les dieux, j
jeune prince ses armes et ses flèches pour les porter au vaisseau. Le
fils
d’Achille sent un remords secret de tromper un ma
na la mort. Bientôt Ilion fut réduit en cendres. Machaon et Podalire,
fils
d’Esculape, guérirent Philoctète de sa blessure.
e, Ni voulu sur les flots me conduire à mon père. Depuis dix ans, mon
fils
, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’u
x les leur rendent ! Ulysse. D. Qui étoit Ulysse ? R. Ulysse,
fils
de Laërte et d’Anticlée, étoit roi de deux petite
t Télémaque sur la ligne du sillon. Ulysse, pour ne point blesser son
fils
, détourna la charrue, et fit voir par là que sa f
Polymnestor. C’étoit à la foi de ce prince que Priam avoit confié son
fils
Polydore, pour le dérober à la fureur des Grecs.
ssesseur des trésors que Priam lui avoit livrés pour les rendre à son
fils
. Hécube, qui étoit échue en partage à Ulysse, fut
x : L’infortuné Priam, dans ses tendres alarmes, Pour son malheureux
fils
craignant le sort des armes, L’avoit au roi de Th
e dans l’île de Sicile ? R. Il y tomba entre les mains de Polyphème,
fils
de Neptune, le plus grand et le plus fort des Cyc
uvelle tempête que Neptune suscita, pour le punir d’avoir aveuglé son
fils
Polyphème. Ulysse vit périr son vaisseau et touts
ément, et tira sur les poursuivants qu’il tua, avec le secours de son
fils
et de ses serviteurs. D. Comment mourut Ulysse ?
oisonnée : Tirésias lui avoit prédit qu’il mourroit de la main de son
fils
. Minerve ordonna à Télégone d’épouser Pénélope, e
re l’Iliade … L’immortel Fénelon a décrit les aventures de Télémaque,
fils
d’Ulysse, dans un ouvrage qui renferme toutes les
-elle pas plusieurs guerriers nommés Ajax ? R, Oui. Le premier étoit
fils
d’Oïlée, roi des Locriens. Il étoit renommé pour
udre. D. Faites-nous connoître l’autre Ajax. R. Le second Ajax étoit
fils
de Télamon, roi de Salamine. Il fut, après Achill
(Trad. de Saintange.) Nestor D. Qui étoit Nestor ? R. Nestor,
fils
de Nélée et de Chloris, étoit roi de Pylos. Il éc
D. Raconteé l’histoire d’Idoménée. R. Idoménée, roi de Crète, étoit
fils
de Deucalion, et petit-fils de Minos. Il se signa
teroit à lui sur le rivage de Crète. Arrivé au port, il rencontre son
fils
. Le malheureux père accomplit son vœu. Les Crétoi
ler quelques débris : J’en approche en tremblant… hélas ! c’étoit mon
fils
!… ( Crébillon.) Diomède. D. Que raconte-t
illon.) Diomède. D. Que raconte-t-on de Diomède ? R. Diomède,
fils
de Tydée, étoit roi d’Etolie. Il partit avec les
regarder comme le plus brave de toute l’armée, après Achille, et Ajax
fils
de Télamon. Homère représente ce prince comme le
in, qu’il blesse le dieu Mars, et Vénus même, qui venoit secourir son
fils
Énée. La déesse en conçut un tel dépit, qu’elle i
sont les principaux traits de l’histoire de Palamède ? R. Palamède,
fils
de Nauplius, et arrière-petit-fils de Bélus, étoi
site. Sinon. D. Par quels faits Sinon est-il connu ? R. Sinon,
fils
de Sisyphe, est connu par sa fourberie. Lorsque l
ille, et fit fleurir son empire. Mais son bonheur fut troublé par son
fils
Pâris, qui ravit Hélène à Ménélas. A la prise de
velée errer sous ces lambris ; Le glaive moissonner les femmes de ses
fils
; Et son époux, hélas ! à son moment suprême, Ens
ssants Dont la foule chérie entouroit ses vieux ans, De ses cinquante
fils
les couches nuptiales. Ces dépouilles des fois, c
de Pyrrhus fuyant la main cruelle, A travers mille dards, un dernier
fils
du roi S’échappe, et du palais dépeuplé par l’eff
l’atteint de son dard : Enfin au saint autel, asile du vieillard, Son
fils
court éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! e
ux blancs, » Qui sous les yeux d’un père égorges ses enfants ; » Toi,
fils
d’Achille !… non, il ne fut point ton père. » D’u
ce que tu vois ; » A mes nobles aïeux va dire mes exploits ; » Dis au
fils
de Thétis que son sang dégénère ; » Mais avant, m
é par ses cheveux blanchis, Et nageant dans le sang du dernier de ses
fils
, Il pousse vers l’autel la vieillesse tremblante
Priam, étoit sœur de Théano, prêtresse d’Apollon. Elle eut cinquante
fils
, qui périrent presque touts sous les yeux de leur
n chienne. Hector. D. Racontez l’histoire d’Hector. R. Hector,
fils
de Priam et d’Hécube, étoit le plus fort et le pl
ir de la vengeance ramena Achille au combat. Hector fut défait par le
fils
de Thétis, qui lui ôta la vie, et attacha à son c
n cendres la ville dont Hector étoit le principal appui. Elle vit son
fils
Astyanax précipité du haut des murailles de Troie
Troie par le cruel Pyrrhus. Elle tomba en partage à ce même Pyrrhus,
fils
du meurtrier de son mari, et auteur de la mort de
e Pyrrhus, fils du meurtrier de son mari, et auteur de la mort de son
fils
. Pyrrhus l’emmena en Épire, et l’épousa. Elle eut
omaque ne se décidoit à épouser Pyrrhus, que pour sauver la vie à son
fils
. D. Rapportez les belles scènes où Racine peint l
Racine peint les combats d’Andromaque, entre la crainte de perdre son
fils
, et l’horreur de donner sa main à Pyrrhus. R. Cé
Céphise, confidente d’Andromaque, engage cette princesse à sauver son
fils
, en cédant aux vœux de Pyrrhus. Céphise. Madame,
je lui donnerois Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son
fils
que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu’aprè
dromaque s’est décidée à se sacrifier pour conserver les jours de son
fils
. Elle déclare à Céphise le dessein où elle est de
le leur ? Est-ce là cette ardeur tant promise à sa cendre ? Mais son
fils
périssoit, il l’a fallu défendre. Pyrrhus en m’ép
roux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va donner un père au
fils
d’Hector. Je vais donc, puisqu’il faut que je me
ma vie ; Je vais, en recevant sa foi sur les autels, L’engager à mon
fils
par des nœuds immortels. Mais aussitôt ma main, à
reste ; Et, sauvant ma vertu, rendra ce que je dois A Pyrrhus, à mon
fils
, à mon époux, à moi. Céphise. Ah ! ne prétendez p
ie à tes soins mon unique trésor : Si tu vivois pour moi, vis pour le
fils
d’Hector, De l’espoir des Troyens seule dépositai
; Que ses ressentiments doivent être effacés ; Qu’en lui laissant mon
fils
, c’est l’estimer assez. Fais connoître à mon fils
en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais connoître à mon
fils
les héros de sa race ; Autant que tu pourras, con
e 4e, scène Ire.) Pâris. D. Faites connoître Pâris. R. Pâris,
fils
de Priam et d’Hécube, fut aussi appelé Alexandre.
it reconnoître de son frère qui le présenta à Priam. Le roi reçut son
fils
avec joie, oublia les fatales prédictions, et lui
it eus d’Agamemnon. Laocoon D. Qui étoit Laocoon ? R. Laocoon,
fils
de Priam et d’Hécube, étoit prêtre d’Apollon et d
rent droit à l’autel, où sacrifioit Laocoon, se jetèrent sur ses deux
fils
, et après les avoir déchirés impitoyablement, sai
de fumée. Tout tremble : fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes
fils
, Laocoon, avoient suivi tes pas ; Tes fils, portr
n hymen plein d’appas, Tes fils, Laocoon, avoient suivi tes pas ; Tes
fils
, portraits vivants d’une mère adorée, Comme toi,
? Pour la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes
fils
rendra-t-il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers T
. D. Quels sont les principaux traits de la vie d’Énée ? R. Énée,
fils
d’Anchise et de Vénus, avoit épousé Créuse, fille
hargea sur son dos son père Anchise, avec ses dieux pénates, prit son
fils
Ascagne par la main, et se retira sur le mont Ida
e Jupiter indigète. D. Quel fut le successeur d’Énée ? R. Ce fut son
fils
Ascagne ou Iule, qui, après trente ans de règne,
i des vents, et lui demande d’exciter une tempête pour faire périr le
fils
de Vénus et ses compagnons. Éole cède aux desirs
es en faveur du pieux Énée. Jupiter assure de nouveau à Vénus que son
fils
arrivera heureusement en Italie, où sa postérité
et séduire ton cœur. » Voilà donc cette foi, cette vertu sévère, » Ce
fils
qui se courba noblement sous son père, » Cet appu
e, » Ou massacrer son peuple, ou de ma propre main » Lui faire de son
fils
un horrible festin » Mais le danger devoit arrête
ts ses vaisseaux, » Submergé ses sujets, égorgé l’infidelle, » Et son
fils
, et sa race, et moi-même après elle : » Soleil, d
’exile, » Implorant des secours, mendiant un asile, » Redemandant son
fils
arraché de ses bras, » De ses plus chers amis il
dois me venger des enfants de Teucer ! » Que le peuple latin, que le
fils
de Carthage, » Opposés par les lieux, le soient p
? R. Il fut bâti par Ctésiphon, architecte grec, et par Métagène son
fils
. II étoit soutenu par cent vingt-sept colonnes de
op avantageux. On dit que Chilon mourut de joie, en embrassant soit
fils
qui avoit remporté le prix du ceste aux jeux olym
s hommes » Cléobule. D. Quand vécut Cléobule ? R. Cléobule,
fils
d’Evagoras, étoit contemporain et ami de Solon. O
llesse. R. La voici. La Carpe et les Carpillons. Prenez garde, mes
fils
, côtoyez moins le bord, Suivez le fon
st alors que ceux-ci doivent redoubler de zèle et d’affection . « Mon
fils
, dit le Sage, prenez soin de votre père dans sa v
la Madeleine sur l’amour filial. R. Le voici. La Mère et ses deux
fils
. Écoutez un mot, mes amis, Qui me paroît beau de
es amis, Qui me paroît beau de tendresse : D’une veuve entre ses deux
fils
L’un de huit ans, l’autre de dix, Les soins se pa
ne pouvez pas cependant M’aimer autant que je vous aime. — Quoi ! mon
fils
, de mes sentiments Méconnois-t u le caractère ? —
rez donc Anchise, implorez donc les vents ; Et qu’ils souffrent qu’un
fils
, en de plus heureux temps, Dans des temples pompe
our se le faire rendre. Le roi des dieux ne sait auquel entendre. Son
fils
Mercure aux criards vient encor : A chacun d’eux
ce, dit le Sage, acquiert beaucoup d’amis et adoucit les ennemis. Mon
fils
, ajoute-t-il, montrez de la douceur dans tout ce
nulle place Où la main ne passe et repasse. Le père mort, les
fils
vous retournent le champ, Deçà, delà, par-tout :
profonde, continuent les saintes Ecritures, fit faire l’image de son
fils
qui lui avait été trop tôt ravi ; il commença à a
etournerait à sa mort aux Titans. C’est pourquoi Saturne dévorait ses
fils
, aussitôt que Cybèle son épouse et sa sœur leur a
ables moyens pour sauver les jours de Neptune et de Pluton ses autres
fils
. Titan découvrit cette supercherie et déclara la
promptement ce bienfait. Il avait lu dans le livre du destin que son
fils
le détrônerait, et, pour prévenir ce malheur, il
turne est une divinité allégorique qui représente le Temps. On le dit
fils
du Ciel et de la Terre, parce que le temps n’a co
ouverain des dieux et des hommes, était, comme nous l’avons déjà dit,
fils
de Cybèle et de Saturne. Cybèle lui avait sauvé l
uvé la vie en trompant l’avidité cruelle de son époux. Au lieu de son
fils
elle lui avait donné une pierre à dévorer. La fab
Pendant qu’il jouissait en paix de son souverain pouvoir, les géants,
fils
de la Terre, l’attaquèrent avec une force et une
le d’Ischya. 4. Jupiter était maître de l’univers, lorsque Prométhée,
fils
de Japet, un des Titans, s’avisa de faire des sta
prétendu l’emporter par leurs charmes sur la reine des dieux. Pâris,
fils
de Priam, roi de Troie, fut constamment en butte
re fit à Jupiter la bonne déesse ? Qu’en obtint-elle ? 3. Quel fut le
fils
de Cérès ? 4. Pourquoi la bonne déesse fut-elle h
te-t-on ? Chapitre VII. Apollon et les Muses. 1. Apollon était
fils
de Jupiter et de Latone, fille du Titan Cœus et d
La joie d’Apollon libérateur fut troublée par la mort d’Esculape. Ce
fils
chéri, auquel le dieu du jour avait appris la sci
la science de la médecine, eut l’audace de ressusciter Hippolyte, le
fils
de Thésée, roi d’Athènes, que des monstres marins
pût prouver à ses envieux par sa dextérité qu’il était réellement son
fils
. Le malheureux père fit vainement tous ses effort
Le malheureux père fit vainement tous ses efforts pour détourner son
fils
de ce dessein téméraire, son serment l’obligea à
s ânes et des chevaux. Questionnaire. 1. De qui Apollon était-il
fils
? Où vint-il au monde ? Quelle vengeance Junon ex
Grecs en son honneur ? Chapitre IX. Mercure. 1. Mercure était
fils
de Jupiter et de Maïa, une des filles d’Atlas, as
re que dans sa valeur. Car ils nous rapportent que, Mars ayant tué le
fils
de Neptune, Halirrothius, l’affaire fut évoquée a
lle, en supposant que Romulus et Remus, leurs fondateurs, étaient ses
fils
. Ils se croyaient particulièrement l’objet de ses
au dieu de la guerre ? Chapitre XII. Vulcain. 1. Vulcain était
fils
de Jupiter et de Junon. Quand il vint au monde, s
nvironné sa naissance de grandes merveilles. Elle raconte qu’il était
fils
de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi de
en jetant la frayeur parmi ses ennemis. Après ce brillant exploit, le
fils
de Sémélé leva une armée composée de personnes de
ans une de ses courses terrestres, elle rencontra le jeune Adonis, le
fils
de Cyrinas, roi de Cypre. C’était un impétueux ch
gnes ou des moineaux Sa tête est couverte de myrtes et de roses ; son
fils
Cupidon est à ses côtés, et les trois Grâces l’en
Les Tritons se jouent autour d’elle, une rame est à ses pieds et son
fils
Cupidon nage à ses côtés. Les poëtes ont souvent
; les Oréades, celles des montagnes. 3. Neptune était, comme Jupiter,
fils
de Cybèle et de Saturne. Quand il vint au monde,
le et les Vents, Charybde et Scylla, Glaucus et Mélicerte. 8. Protée,
fils
de l’Océan et de Téthys selon les uns et fils de
t Mélicerte. 8. Protée, fils de l’Océan et de Téthys selon les uns et
fils
de Neptune selon les autres, était le gardien des
ppelèrent Eolides. Ce sont aujourd’hui les îles de Lipari. Eole était
fils
de Jupiter, et commandait aux vents et aux tempêt
u peuple aura ainsi divinisé ce courageux effort. 12. Mélicerte était
fils
d’Ino et d’Athamas, roi de Thèbes. Ino, pour évit
ipita dans la mer, et Neptune la reçut au rang des divinités avec son
fils
. Les Grecs adoraient Ino sous le nom de Leucothoé
no sous le nom de Leucothoé, et les Romains sous celui de Matuta. Son
fils
s’appelait Portumnus, et on le représentait avec
Doris ? Comment se nommaient les nymphes ? 3. De qui Neptune était-il
fils
? Qui lui donna l’empire des mers ? Quelles furen
ns pourrait-on donner à cette fiction ? 12. De qui Mélicerte était-il
fils
? Quelles furent ses destinées ? Quelles furent c
s divinités infernales. 1. Pluton était, comme Jupiter et Neptune,
fils
de Cybèle et de Saturne. Son père l’avait dévoré
it monter sur la barque de Charon, le nocher des enfers. Charon était
fils
de l’Erèbe et de la Nuit. On le représente sous l
ses fréquentes éruptions, comme un des soupiraux de l’enfer. Sisyphe,
fils
d’Eole, avait désolé l’Attique par ses brigandage
s de l’hospitalité, en servant sur sa table les membres de Pélops son
fils
aux dieux qui le visitaient. Jupiter voulut qu’il
ait derrière comme se jouant sur son dos. » 7. Sylvain était un des
fils
de Faune. Les Romains en firent le dieu des forêt
lacer parmi les divinités domestiques le Génie. Genius ou Génie était
fils
du Ciel et de la Nature, et l’on supposait qu’il
oite un flambeau et s’appuie de la gauche sur un pieu. 2. Le Sommeil,
fils
de l’Erèbe et de la Nuit, habitait dans un antre
c des ailes de papillon, symbole de sa légèreté. 4. Momus était aussi
fils
du Sommeil et de la Nuit. C’était le dieu de la r
Astres et de Lucifer. Elle eut pour époux un fameux chasseur, Tithon,
fils
de Laomédon, roi de Troie. Sur les prières de l’A
int ce triste avantage. 6. Aurore eut de son mariage avec Tithon deux
fils
, Memnon et Hémathion, qui périrent l’un et l’autr
ar cette maladresse elle perdit sa charge, qui fut donnée à Ganimède,
fils
de Tros, roi de Troie et le protégé de Jupiter. J
urore ? Quelles furent les destinées de Tithon ? 6. Quels étaient ses
fils
? Sur quel peuple avait régné Memnon ? A quelle f
singulièrement embelli cet événement. D’après ses fictions, Phryxus,
fils
d’Athamas, roi de Thèbes, et Hellé, sa sœur, aura
e ses Etats à Pélias, un de ses proches parents, en attendant que son
fils
Jason fut en âge de régner, le régent se fit usur
epartit pour la Grèce. Eétès les poursuivit, et envoya contre eux son
fils
Absyrte. Médée saisit ce jeune prince, l’égorgea
e Jason, et ne songea plus qu’à recueillir les restes inanimés de son
fils
chéri pour leur rendre les derniers honneurs. 7.
e superstition. Ce crime affreux ne rendit pas à Jason ses Etats. Les
fils
de Pélias continuèrent à rogner sur la Thessalie,
. Hercule. 1. Le plus célèbre des Argonautes fut Hercule. Il était
fils
de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi
dans sa carrière glorieuse par les travaux que lui imposa Eurysthée,
fils
de Nicippe, femme de Sthénélus, roi d’Argos. Ce t
ait et qui se composait d’hommes de deux pieds de haut, osa défier le
fils
de Jupiter. Le héros enveloppa cette nation tout
mment est-il représenté ? Chapitre IV. Thésée. 1. Thésée était
fils
d’Egée, roi d’Athènes, et d’Æthra, fille de Pitté
es, et d’Æthra, fille de Pittée, roi du Péloponèse. La fable l’a fait
fils
de Neptune pour avoir le plaisir de jeter du merv
sous un rocher énorme, et lui avait recommandé de ne lui envoyer son
fils
que quand il serait en âge de remuer ce rocher et
ait autrefois laissée dans le Péloponèse. Il reconnut dans Thésée son
fils
, et chassa Médée dont la perfidie venait d’être d
infidélité. L’ingénieux artiste avait pour compagnon d’infortune son
fils
Icare. Il ne vit pas d’autre moyen pour sortir de
ielles qu’il attacha avec de la cire à ses épaules et à celles de son
fils
et de s’envoler ainsi dans les airs. Il avait bie
er Icarienne. 5. Minos, après avoir ainsi puni Dédale, apprit que son
fils
Androgée venait d’être tué par des Athéniens pour
ue du vaisseau qui revenait avec ses ornements lugubres, crut que son
fils
avait été victime de son généreux dessein. De dou
les vainquirent, et Thésée épousa leur reine Hippolyte. Il en eut un
fils
du même nom dont nous raconterons la fin tragique
jour sa nouvelle épouse à Trézène où habitait le jeune Hippolyte son
fils
. Phèdre conçut aussitôt une passion criminelle po
olyte son fils. Phèdre conçut aussitôt une passion criminelle pour le
fils
de son époux, et osa la lui déclarer. Le vertueux
iblesse de croire aux accusations de son épouse et de livrer son cher
fils
à la vengeance de Neptune, qui lui avait promis d
s le temple voisin chacun cherche un asile. Hippolyte lui seul, digne
fils
d’un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses jave
urs une source éternelle. J’ai vu, Seigneur, j’ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
icie... Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un
fils
faussement accusé, Pour apaiser mon sang et mon o
r éterniser sa mémoire. Questionnaire. 1. De qui Thésée était-il
fils
? Qu’est-ce que la fable dit de sa naissance ? A
avait construit le labyrinthe ? Quel fut le sort de Dédale et de son
fils
Icare ? 5. Pourquoi Minos avait-il rendu les Athé
ns ? Chapitre V. Castor et Pollux. 1. Castor et Pollux étaient
fils
de Tyndare, roi de Sparte, et de Léda, son épouse
e temple7. Questionnaire. 1. De qui Castor et Pollux étaient-ils
fils
? Comment la fable raconte-t-elle leur naissance
s brigands qui la remplissaient de crimes et de sang. 2. Persée était
fils
de Jupiter et de Danaé, fille d’Acrisius, roi d’A
il fut l’inventeur de la sphère. On lui avait dit de prendre garde au
fils
de Jupiter. Pour ce motif il refusa l’hospitalité
septentrionales, et il eut un temple à Athènes. 7. Bellérophon était
fils
de Glaucus, roi de Corinthe, et d’Epimède, fille
? Quel est le caractère de leurs exploits ? 2. De qui Persée était-il
fils
? Quelles destinées lui prédit l’oracle ? Où pass
er n’en fit-il pas une constellation ? 7. De qui Bellérophon était-il
fils
? Quels surnoms lui a-t-on donnés ? D’où lui vien
ière ? Chapitre VII. Orphée, Arion et Amphion. 1. Orphée était
fils
d’Apollon et de Clio. C’est le poëte et le musici
ce les poëtes ont placé ce dauphin parmi les astres. 5. Amphion était
fils
de Jupiter et d’Antiope, femme de Lycus, roi de T
ur les premiers hommes. Questionnaire. 1. De qui Orphée était-il
fils
? Quelles merveilles la tradition attribue-t-elle
mais le premier fondateur de cette ville fut Cadmus. La fable le dit
fils
d’Agénor, roi de Phénicie, et de la nymphe Mélie.
fontaine voisine, la fable ajoute qu’ils furent dévorés par un dragon
fils
de Mars et de Vénus. Minerve engagea Cadmus à tue
prédictions de l’oracle ne s’en accomplirent pas moins. Polydore, le
fils
et le successeur de Cadmus, fut dévoré par les Ba
fut enlevé par une mort prématurée, et laissa son trône à Laïus, son
fils
, qui était encore au berceau. Laïus fut deux fois
re au monde. Il crut prévenir ce parricide en ordonnant la mort de ce
fils
immédiatement après sa naissance. Mais celui qu’i
e la beauté et de la noblesse de ses traits qu’elle l’adopta pour son
fils
. Elle lui donna le nom d’Œdipe (pieds enflés), pa
ce détestable. Effrayé par cette prédiction, Œdipe, qui se croyait le
fils
de Polybe et de Péribée, s’éloigna de Corinthe po
ncu se jeta à la mer. 6, Œdipe épousa Jocaste sa mère, et en eut deux
fils
, Etéocle et Polynice, et deux filles, Antigone et
rochaine, et la terre s’entrouvrit doucement pour le recevoir. 7. Les
fils
d’Œdipe, Etéocle et Polynice, étaient convenus de
amille. Antigone voulut inhumer son frère et fut condamnée à mort. Le
fils
de Créon, qui était fiancé à cette princesse, n’e
rent sous les murs de cette ville à l’exception d’Adraste. Mais leurs
fils
, les Epigones, vengèrent leur mort. 9. Dix ans ap
engèrent leur mort. 9. Dix ans après l’expédition d’Adraste, Alcméon,
fils
d’Amphiarüs, Egialée, fils d’Adraste, Diomède, fi
ans après l’expédition d’Adraste, Alcméon, fils d’Amphiarüs, Egialée,
fils
d’Adraste, Diomède, fils de Tydée, Promaque, fils
Adraste, Alcméon, fils d’Amphiarüs, Egialée, fils d’Adraste, Diomède,
fils
de Tydée, Promaque, fils de Parthénopée, Sthénélu
Amphiarüs, Egialée, fils d’Adraste, Diomède, fils de Tydée, Promaque,
fils
de Parthénopée, Sthénélus, fils de Capanée, Thers
te, Diomède, fils de Tydée, Promaque, fils de Parthénopée, Sthénélus,
fils
de Capanée, Thersandre, fils de Polynice, Polydor
romaque, fils de Parthénopée, Sthénélus, fils de Capanée, Thersandre,
fils
de Polynice, Polydore, fils d’Hippomédon, prirent
, Sthénélus, fils de Capanée, Thersandre, fils de Polynice, Polydore,
fils
d’Hippomédon, prirent les armes. Le devin Tirésia
ains, vaincus dans un combat, abandonnèrent leur ville au pillage. Le
fils
de Polynice, Thersandre, remonta sur le trône de
fut sa destinée après ces tristes révélations ? 7. Que devinrent ses
fils
Etéocle et Polynice ? Quels furent les guerriers
ille de Troie et fait mourir Laomédon, qui en était alors roi. Pâris,
fils
de Priam, le successeur de ces princes outragés,
Nestor, roi de Pylos, célèbre par son éloquence ; les deux Ajax, l’un
fils
d’Oïlée, roi de Locride, et l’autre fils de Télam
quence ; les deux Ajax, l’un fils d’Oïlée, roi de Locride, et l’autre
fils
de Télamon, roi de Calamine ; Diomède, roi d’Etol
Diomède, roi d’Etolie ; Idoménée, roi de Crète ; Podalire et Machaon,
fils
d’Esculape, médecins illustres ; Ulysse, fils de
; Podalire et Machaon, fils d’Esculape, médecins illustres ; Ulysse,
fils
de Laërte, roi d’Ithaque, et Achille, le plus vai
é le sillon. Ulysse leva le soc de la charrue pour ne pas blesser son
fils
, et sa ruse fut découverte. — Achille était fils
r ne pas blesser son fils, et sa ruse fut découverte. — Achille était
fils
de Thétis. Sa mère l’avait plongé immédiatement a
chef des Grecs usa de son souverain pouvoir pour forcer à son tour le
fils
de Thétis à rendre Briséïs, une de ses captives.
payent tribut, et une lutte surhumaine s’engage entre ce fleuve et le
fils
de Thétis. Mais arrive Vulcain qui de la part de
fois autour des remparts d’Ilion. 8. Après cette atroce vengeance, le
fils
de Thétis vint rendre les honneurs funèbres aux m
i Priam, qui venait redemander en pleurant les restes inanimés de son
fils
Hector. Cet auguste vieillard se jeta aux genoux
roles : Juge de mon malheur en me voyant baiser la main qui a tué mon
fils
. Achille avait juré de laisser le corps d’Hector
iam, et il remit à ce père infortuné les restes sanglants de son cher
fils
. Quelque temps après, Achille demanda en mariage
t. Thétis vint avec une troupe de nymphes pleurer sur le corps de son
fils
; les neuf Muses firent entendre leurs chants lug
ous leurs efforts pour introduire ce cheval dans leurs murs. Laocoon,
fils
de Priam et d’Hécube et prêtre d’Apollon et de Ne
deux serpents affreux, sortis de la mer, s’étaient jetés sur ses deux
fils
et l’avaient ensuite étouffé lui-même dans leurs
feu avant d’avoir pu courir aux armes. 10. Priam fut tué par Pyrrhus,
fils
d’Achille, sur l’autel de Jupiter qu’il tenait em
t conduite chez Polymnestor, roi de Thrace, le meurtrier de son jeune
fils
Polydore. Elle se vengea en lui faisant crever le
t instruite de la vertu des plantes, il ne put guérir. Le pieux Enée,
fils
d’Anchise et de Vénus, chargea sur son dos les di
e Vénus, chargea sur son dos les dieux pénates de sa patrie, prit son
fils
Ascagne par la main, et se retira avec lui sur le
la possession paisible de son trône usurpé, médita la mort d’Oreste,
fils
d’Agamemnon. Electre, la sœur d’Oreste, déjoua ce
offrir la première créature vivante qui s’offrirait à lui. Ce fut son
fils
. La superstition triompha de la nature, et ce pèr
ux Ajax eurent aussi l’un et l’autre des destinées fort tragiques. Le
fils
de Télamon, ayant disputé à Ulysse les armes d’Ac
es juges, et se perça de son épée lorsqu’il reconnut sa méprise. — Le
fils
d’Oïlée se vit à son retour assailli par une viol
lopes. Le plus célèbre d’entre eux était le géant Polyphème. Il était
fils
de Neptune, avait une taille élevée, un aspect hi
traversé tous les autres. Alors il se fit reconnaître. Télémaque son
fils
l’aida à détruire tous ses ennemis, et il régna t
ant fortement les mille petits Etats qui la partageaient. Amphictyon,
fils
de Deucalion, fut le premier qui proposa aux dive
l vécut au delà de la durée de cinq âges d’homme. Amphiaraüs était le
fils
d’Apollon et d’Hypermnestre, et se distingua dans
cience de ces malheureux Hindous. Dans le vie siècle avant J.-C., le
fils
d’un roi de Mabar, le célèbre Bouddha, se fit pas
conte ainsi les aventures d’Osiris, d’Isis et de Typhon. Osiris était
fils
de Jupiter et de Junon. Il régna sur l’Egypte et
t près de la reine. Cette princesse lui confia le soin d’allaiter son
fils
. Isis le nourrit en lui mettant son doigt à la bo
n fut constamment vaincu, et la paix et l’abondance régnèrent avec le
fils
d’Osiris. 8. Le peuple, qui prenait ces fables au
e Bor, du nom du premier de cette famille, qui était père d’Odin. Les
fils
de Bor tuèrent le géant Ymer, et le sang coula de
, échappa avec toute sa famille. Alors un nouveau monde se forma. Les
fils
de Bor, ou les dieux, traînèrent le corps du géan
éan, sur les rivages duquel ils placèrent des géants. Un jour que les
fils
de Bor ou des dieux s’y promenaient, ils trouvère
qu’ils prirent, et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîné des
fils
leur donna l’âme et la vie ; le second, le mouvem
des Grâces, 58. Ahriman, 173. Aigle, métam. de Jupiter, 87. Ajax,
fils
d’Oïlée, 142, 150. Ajax, fils de Télamon, 142, 1
Aigle, métam. de Jupiter, 87. Ajax, fils d’Oïlée, 142, 150. Ajax,
fils
de Télamon, 142, 150. Albe, v. d’Italie, 148. A
Alcide, nom d’Hercule, 116. Alcmène, ép. d’Amphitrion, 28. Alcméon,
fils
d’Amphiaraüs, 140. Alecto, furie, 71. Alexandre
, 113, 122. Ambroisie ou Nectar, 86. Amchaspands, 174. Amphictyon,
fils
de Deucalion, 154. Amphiaraüs, un des sept chefs
173. Anchise, père d’Enée, 148. Ancilles, boucliers, 49. Androgée,
fils
de Minos. Andromaque, veuve d’Hector, 149. Andr
one, fille d’Œdipe, 138. Antiope, ép. de Lycus, 134. Anthée, géant,
fils
de la Terre, 115. Anthela, bourg, 154. Anubis,
sies, fêtes de Diane, 41. Ascalaphe, pers. des enfers, 31. Ascagne,
fils
d’Enée, 148. Asie-Mineure, 106. Askus, 194. As
rté, div. des Phéniciens, 173. Astrée, fille de Thémis, 89. Astres,
fils
de l’Aurore, 85. Astrologie judiciaire, 172. At
Athéniens, 120, 160, 162. Atlas, ses attributs, 41, 128. Atrides,
fils
d’Atrée, 142. Atropos, parque, 74. Attente, 495
iopée, ép. de Céphée, 129 Castalie, fontaine de Béotie, 37. Castor,
fils
de Léda, 105, 125 et suiv. Caucase, mont. d’Asi
incarnation de Vischnou, 165. Crissa, v. de la Grèce, 155. Cupidon,
fils
de Vénus, 57. Cybèle, sœur et ép. de Saturne, 14
histoire, 17 et suiv. Cyclades, îles de la Médit., 127. Cyclopes,
fils
de la Terre, 13, 32, 50. Cygne, métam. d’Orphée
, roi d’Athènes, 117, 121. Egée, île, 70. Egée, mer, 121. Egialée,
fils
d’Adraste, 140. Egide, 44, 129. Egine, île rava
la mer de Sicile, 64. Eoüs, un des chevaux du Soleil, 34. Epaphus,
fils
d’Io, 28. Ephèse, v. d’Asie, 41. Ephialte, un d
e, mont, du Pélop., 113. Eschyle , poëte grec, 139, 157. Esculape,
fils
d’Apollon, son histoire, 32. Esdras, 173. Eson,
108. Esotérique (doctrine), 160. Esther (livre d’), 172. Etéocle,
fils
d’Œdipe, 138. Ethiopie, c. d’Afrique, 128, 178.
68. Famine, pers. allégorique, 195. Faquirs, 167. Faunes, 77 ; ses
fils
, 77, 78. Fées, 192. Fénélo n , descr. d’un fau
Gaulois, attaquent la Grèce, 75 ; leur religion, 182, 183. Géants,
fils
de la Terre, 24 ; explication de leur fable, 25.
re de Troie, 141 et suiv. Gui de chêne, 187. H Halirrothius,
fils
de Neptune, 48. Hamadryades, nymphes, 62. Harpi
32. Hébreux, voy. Juifs. Hécate, un des noms de Diane, 39. Hector,
fils
de Priam, 145. Hécube, ép. de Priam, 147. Hegem
Athamas, 105. Hellènes, ou Grecs, 141. Hellespont, 105. Hemathion,
fils
de l’Aurore, 85. Hercule, 104 ; son histoire, se
voy. Indiens. Hippocrène, fontaine de Béotie, 37, 128. Hippolyte,
fils
de Thésée, 32, 124. Hippolyte, reine des Amazone
150. Homme, énigme du Sphinx, 138. Honneur, son temple, 89. Horus,
fils
d’Osiris, 180. Hostanès, chef des Mages, 171. H
ami d’Apollon, 33. Hyades, const.,53. Hydre de Lerne, 113. Hymen,
fils
de Vénus, 57. Hymne d’Orphée, 162. Hypermnestre
l’une des douze grandes div., 24 ; son hist., 27 et suiv. Jupiter,
fils
de Saturne, sa naissance, 14 ; son hist., son cul
allaite Romulus et Rémus, 76. Lothophages (île des), 150. Lucifer,
fils
de l’Aurore, 85. Lysine, un des noms de Junon, 2
; — d’Amphion, 134. M Mabar, patrie de Bouddha, 168. Machaon,
fils
d’Esculape, 142. Mages, 171, 173. Magnésie, por
Momus, dieu de la raillerie, 83, 84. Mopsus, devin, 159. Morphée,
fils
du Sommeil, 84. Mort, accompagne les Furies, 71.
s, jeux, 155. Némésis, ou la vengeance, 94. Néoptolème, ou Pyrrhus,
fils
d’Achille, 147. Nephtys, sœur de Typhon, 178. N
yrrhus, fils d’Achille, 147. Nephtys, sœur de Typhon, 178. Neptune,
fils
de Saturne, 14 ; un des douze grands dieux, 20 ;
thénélus, 112. Niflheim, 194. Nil, fl. d’Egypte, 177. Niobé et ses
fils
, 40 ; changée en rocher, 152. Niord, div. des Sc
me, 15, 19, 49, 80. O Occasion, div. allégorique, 100. Océan,
fils
du Ciel, 61. Océanides, nymphes, 61. Ocypète, h
ie, 154. Oracles, 157, 158 et suiv. Oréades, nymphes, 62. Oreste,
fils
d’Agamemnon, 149. Orgies, 54. Ormuzd, principe
n, mont, de Thessalie, 106. Péloponèse, c. de la Grèce, 105. Pébos,
fils
de Tantale, 72, 156. Pelvi, langue sacrée des ma
otie, 37. Perrault , vers sur les attributs des Muses, 36. Persée,
fils
de Jupiter, 127 et suiv. Perses, 171. Personne
ses, 171. Personne, ruse d’Ulysse au moyen de ce nom, 151. Phaéton,
fils
d’Apollon, 34. Phaéton, un des chevaux de l’Auro
ieillard phrygien, 24. Philippe, roi de Macédoine, 158. Philoctète,
fils
de Pæan, ami d’Hercule, 146, 148. Philomèle, cha
gie, c. de l’Asie-Mineure, 18, 24, 33, 72. Phrygiens, 141. Phryxus,
fils
d’Athamas, 103. Picus, roi du Latium, 77. Piété
, philosophe grec, 157, 161. Plutarque , auteur cité, 156. Pluton,
fils
de Saturne, 14 ; son hist., 68 et suiv. Plutus,
st., 68 et suiv. Plutus, dieu des richesses, 30, 74, 92. Podalire,
fils
d’Esculape, 142. Poésie, sa puissance sur les pr
Pollux, 106, 125 et suiv. Polybe, roi de Corinthe, 137. Polydore,
fils
d’Hippomédon, 136, 140. Polymnestor, roi de Thra
40. Polymnestor, roi de Thrace, 147. Polymnie, muse, 36. Polynice,
fils
d’Œdipe, 138. Polyphème, Cyclope, 151. Polyxène
delle, 152. Progrès social dans les temps héroïques, 104. Promaque,
fils
de Parthénopée, 140. Prométhée, fils de Japet, 2
emps héroïques, 104. Promaque, fils de Parthénopée, 140. Prométhée,
fils
de Japet, 21. Proserpine, enlevée par Pluton, 29
du Soleil, 34. Pyrrha, ép. de Deucalion, 25 Pyrrhus, ou Néoptolème,
fils
d’Achille, 147. Pythagore , philosophe grec, 15
173. Snotra, 191. Solon, législateur des Athéniens, 158. Sommeil,
fils
de l’Erèbe, 68, 83. Songes, habitent le palais d
érope, un des Cyclopes, 13. Sthénélus, roi d’Argos, 112. Sthénélus,
fils
de Capanée, 140. Stheno, une des Gorgones, 44.
hinevad, grand pont, 176. Télamon, roi de Salamine, 142. Télémaque,
fils
d’Ulysse, 142. Tempé, vallée de Thessalie, 33.
piter, 23, 89. Thémistocle, général athénien, 157, 171. Thersandre,
fils
de Polynice, 140. Thésée, roi d’Athènes, 54, 104
Titéa, nom de la Terre, 61. Tithon, époux de l’Aurore, 85. Titan,
fils
de la Terre, son hist., 13, 14. Titans ou Géants
s, livres sacrés des Indiens, 168. Vengeance ou Némésis, 94. Vents,
fils
de l’Aurore, 85, 98. Vénus, une des douze grande
à rendre à des objets créés le culte qui n’est dû qu’au Créateur. Les
fils
de Cham, Chanaan et Mesraïm, s’étant établis, le
par produire le bel ordre que nous voyons. Quel aveuglement ! Racine
fils
a fait ressortir le ridicule de cette croyance :
s et cent bras vigoureux qui pendaient autour de leur corps. Tous ces
fils
du Ciel et de la Terre portèrent le nom générique
, avec des métaux tirés de son sein, une large faux, et proposa à ses
fils
de seconder sa vengeance. Saturne, le plus jeune,
dant Cybèle, sa sœur, qu’il avait épousée, parvint à soustraire trois
fils
à sa voracité, en lui faisant avaler à leur place
s’en étant aperçu, attaqua son frère avec le secours des Titans, ses
fils
, le vainquit et l’enferma dans une étroite prison
oire, expliquée d’après ce nom, est une allégorie continuelle. Il est
fils
du Ciel et de la Terre, parce que le temps, qui n
de Saturne ? Quelle ruse employa-l-elle pour soustraire trois de ses
fils
à sa voracité ? Comment Titan punit-il cette frau
iter. 17. Enfance de Jupiter. Jupiter était, comme on l’a vu,
fils
de Saturne et de Cybèle. Il fut le plus grand des
ait particulièrement honorée ; et de peur que les vagissements de son
fils
ne trahissent sa retraite, elle ordonna à ses prê
en paix. Les Géants, voulant venger la défaite des Titans, comme eux
fils
de la Terre, entreprirent, à leur tour, de détrôn
née, Eurytus, Encelade, ont succombé. La Terre alors, pour venger ses
fils
, fait sortir de son sein le redoutable Typhée13,
De cette terre ingrate, Jupiter passe en Phrygie, accompagné de son
fils
Mercure. Les deux voyageurs n’y trouvent pas un a
des Titans, eut, de son mariage avec Clymène, une des Océanides, deux
fils
, Prométhée (nom qui signifie prévoyant) et Épimét
supplice est devenu l’emblème du remords : Véritable vautour, que le
fils
de Japet Représente enchaîné sur son triste somme
Tragédie d’Esther. Questionnaire. 17. De qui Jupiter était-il
fils
? Comment sa mère le déroba-t-elle à la voracité
gueilleuse que jalouse. Elle poursuivit de sa haine implacable Pâris,
fils
de Priam, et toute la nation troyenne, parce que
x de la beauté, qui fut accordé à cette dernière par le berger Pâris,
fils
de Priam. Elle eut avec Neptune une contestation
terre. La victoire d’Apollon fut suivie de cruelles disgrâces. Un
fils
, qu’il avait eu de la nymphe Coronis, Esculape, a
, auquel il avait enseigné la médecine, avait rendu à la vie Glaucus,
fils
de Minos, et Hippolyte, fils de Thésée. Pluton, d
médecine, avait rendu à la vie Glaucus, fils de Minos, et Hippolyte,
fils
de Thésée. Pluton, dieu des enfers, se plaignit d
cruelle, et Neptune envoya un monstre qui dévorait les habitants. Le
fils
de Latone ne fut pas plus heureux dans ses affect
chevaux impétueux, Eoüs, Pyroüs, Ethon et Phlégon. Un jour, un de ses
fils
, Phaéton, qu’il avait eu de Clymène, irrité de ce
is Apollon avec le Soleil, dont il n’est que le dieu. Le Soleil était
fils
d’Hypérion. On le représente la tête environnée d
, et Junon la punit cruellement : elle la transforma en ourse. Arcas,
fils
de Calisto, étant un jour à la chasse, rencontra
un parricide, le changea lui-même en ours et transporta la mère et le
fils
au ciel, où ils forment la grande et la petite Ou
3° Les Gémeaux (mai) Les Gémeaux représentent Castor et Pollux,
fils
de Léda, si fameux par leurs exploits et leur étr
Ce sont les Poissons qui portèrent au delà de l’Euphrate Vénus et son
fils
, pendant la guerre des Géants contre Jupiter. D’a
IX. Mercure. 45. Naissance et attributs de Mercure. Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, une des filles d’Atlas, na
s la langue grecque. Questionnaire. 45. De qui Mercure était-il
fils
? Quels étaient ses divers emplois ? 46. Quel pen
ntures de Mars. Selon les Grecs, qui l’appelaient Arès, Mars était
fils
de Jupiter et de Junon. Selon les Romains, il éta
, Mars était fils de Jupiter et de Junon. Selon les Romains, il était
fils
de Junon seule, qui le mit au jour après avoir re
llone, sa sœur conduisait son char ; la Terreur et l’Effroi, ses deux
fils
, l’accompagnaient. Il fut élevé par Priape, un de
onnier, et dut sa délivrance à Mercure, après un an de captivité. Son
fils
Ascalaphe ayant été tué au siége de Troie, Mars c
tard, Mars voulant venger sa fille Alcippe, enlevée par Allyrothius,
fils
de Neptune, donna la mort à ce jeune audacieux :
lui étaient consacrés. Questionnaire. 49. De qui Mars était-il
fils
, selon les Grecs et selon les Romains ? Par qui f
t pour arbitre un jeune berger phrygien, fameux par sa beauté, Pâris,
fils
de Priam, dont il gardait les troupeaux sur le mo
troisième un dé, symbole des jeux et des ris de la jeunesse. Cupidon,
fils
de Vénus et de Mars, est le dieu de l’amour. Jupi
tout armée. Les Romains croyaient descendre de cette déesse par Enée,
fils
d’Anchise. Elle était particulièrement honorée da
eur de sa fille. 56. Voyages de Cérès cherchant sa fille ; Plutus,
fils
de Cérès. Dans son désespoir, ayant allumé deu
econnaître ce service, la déesse enseigna l’agriculture à Triptolème,
fils
de ce prince. Hippothoon, roi d’Eleusis, et Mégau
lutus, dieu des richesses, est plus transparente encore. On le disait
fils
de Cérès, parce que l’agriculture est pour l’homm
acchus. 58. Naissance de Bacchus. Bacchus, dieu du vin, était
fils
de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi de
nd il fut en âge d’être instruit, on le confia aux Muses et à Silène,
fils
de Mercure et de la Terre, ou, selon d’autres, de
lle fureur, que, croyant couper les vignes, il coupa les jambes à son
fils
Dryas, et se mutila lui-même après. On explique c
crétion des buveurs. Questionnaire. 58. De qui Bacchus était-il
fils
? Racontez les circonstances merveilleuses de sa
issance, disgrâce, travaux de Vulcain. Vulcain, dieu du feu, était
fils
de Jupiter et de Junon. Quelques-uns prétendent q
établit des forges dans cette île et prit pour ouvriers les Cyclopes,
fils
d’Uranus et de Titea (n° 7). Il avait encore des
availler les métaux. Questionnaire. 65. De qui Vulcain était-il
fils
? Comment fut-il traité par Jupiter au moment de
utre à la main une corne d’abondance. Priape, dieu des jardins, était
fils
de Vénus et de Bacchus, selon l’opinion la plus c
les Grecs, Pan était simplement le dieu des campagnes. On le croyait
fils
de Mercure et de Pénélope, qui en devint mère ava
de l’immobilité. Sylvain était le dieu des forêts. Il passait pour le
fils
de Faunus, avec lequel on le confond souvent. Fau
le fils de Faunus, avec lequel on le confond souvent. Faunus était le
fils
de Picus, roi du Latium, et lui succéda. Il fit f
XVII. Neptune. 73. Naissance et exploits de Neptune. Neptune,
fils
de Saturne et de Cybèle, était le dieu souverain
jour un poulain, et il le dévora, tandis qu’elle cachait Neptune, son
fils
réel, dans une bergerie d’Arcadie. Ce dieu, deven
irent des divinités secondaires ; voici les principales. Protée était
fils
de l’Océan et de Téthys ; d’autres disent de Nept
savoir. Orphée allait épouser la nymphe Eurydice ; le berger Aristée,
fils
d’Apollon et de Cyrène, devient jaloux de leur bo
istée, qui, dans sa douleur, consulte sa mère. Cyrène conseille à son
fils
d’aller interroger Protée, qui lui indiquera le m
livre des Géorgiques de Virgile. 77. Triton. — Glaucus Triton,
fils
de Neptune et d’Amphitrite, était le trompette du
porter les ordres de Neptune, dont ils formaient le cortége. Glaucus,
fils
de Neptune et d’une Océanide, habitait la Béotie,
r, et fut l’interprète de Nérée. 78. Mélicerte. Mélicerte était
fils
d’Athamas, roi de Thèbes, en Béotie. Fuyant avec
aient dans le port. Phorcis ou Phorcus, autre dieu marin, était aussi
fils
de Neptune. Il eut de sa femme Céto les terribles
ce que c’est sur les eaux qu’il exerce le plus sa puissance. Il était
fils
de Jupiter, qui lui donna la garde des vents, ren
décrépitude, que Jupiter, par pitié, le transforma en cigale. Memnon,
fils
de Tithon et de l’Aurore, fut un puissant prince
t croître les fleurs. Questionnaire. 76. De qui Protée était-il
fils
? Faites-le connaître par quelques détails et par
d’abord par Ménélas, ensuite par Aristée ? 77. De qui Triton était-il
fils
? Quel était son emploi ? Quelle était sa forme ?
-elle fille ? Racontez l’histoire de Tithon. Faites connaître Memnon,
fils
de Tithon et de l’Aurore. Quelle fut la destinée
âmes. 83. Pluton ; son culte ; ses attributs. Pluton, troisième
fils
de Saturne et de Cybèle, avait été dévoré par son
r la terre des rois renommés par leur sagesse et leur justice. Minos,
fils
de Jupiter et d’Europe, régna sur l’île de Crète,
Crète, lui donna de bonnes lois, et rendit son peuple heureux. Eaque,
fils
aussi de Jupiter, gouverna l’île d’Œnopie, qu’il
ia son père de repeupler son royaume. Jupiter exauça la prière de son
fils
, et changea en hommes toutes les fourmis d’un vie
offrait aux Mânes de ses amis du lait, du vin et des parfums. Charon,
fils
de l’Érèbe et de la Nuit, était le nocher des enf
? 86. Qui appelait-on Mânes chez les anciens ? De qui Charon était-il
fils
? Quel était son emploi ? Qu’appelle-t-on denier
e, les Danaïdes, les Titans et une foule d’autres coupables. Sisyphe,
fils
d’Eole, est condamné à rouler vers le sommet d’un
pita Salmonée dans le Tartare. 90. Phlégyas. — Ixion. Phlégyas,
fils
de Mars, était roi des Lapithes, peuple de la The
ocher, dont la chute menaçante le remplit d’un éternel effroi. Ixion,
fils
de Phlégyas, succéda à son père. Ayant épousé Cli
es Danaïdes. Titye se rendit coupable d’un crime pareil. Ce géant,
fils
de la Terre, dont le corps couvrait neuf arpents,
a déjà vu (n° 27) ce genre de châtiment infligé à Prométhée. Tantale,
fils
de Jupiter, était un puissant roi de Phrygie. Il
e, et, pour éprouver leur divinité, il leur servit les membres de son
fils
Pélops ; mais ils ne touchèrent pas à cet horribl
ées de son nom Danaïdes. Egyptus, roi d’Egypte, avait aussi cinquante
fils
, pour lesquels il vint demander en mariage les fi
foule innombrable d’autres criminels, parmi lesquels les Titans, ces
fils
orgueilleux du Ciel et de la Terre, sont enchaîné
, dans le même saisissement de cœur où est une mère qui voit son cher
fils
qu’elle avait cru mort ; et cette joie, qui échap
e Tartare ? 90. Racontez l’histoire de Phlégyas et celle d’Ixion, son
fils
. Indiquez leur supplice dans les Enfers et le cri
traits Dans un coeur qui te perd laissent de longs regrets ! ( Racine
fils
.) L’Honneur est figuré par un homme tenant une p
ité ainsi la peinture qu’ Homère fait des Prières : Les Prières, mon
fils
, devant vous éplorées, Du souverain des dieux son
e. — La Victoire. — La Paix. Le Sommeil, frère de l’Espérance, est
fils
de l’Erèbe et de la Nuit, et père des Songes. Les
106. Naissance de Persée. — Ses premiers exploits. Persée était
fils
de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, pè
Egée. Polydecte, roi de cette île, accueillit avec bonté Danaé et son
fils
, qu’il éleva à sa cour. Mais dans la suite voulan
es trois Gorgones qui fût mortelle (n° 29). Polydecte espérait que le
fils
de Danaé périrait dans cette périlleuse entrepris
sa en Mauritanie, où régnait Atlas. Ce prince refuse l’hospitalité au
fils
de Jupiter, qui l’en punit sur l’heure. Persée lu
’est-ce qui les constitue véritablement ? 106. De qui Persée était-il
fils
? Quelles furent les circonstances de sa naissanc
Naissance de Bellérophon, ses exploits, sa mort. Bellérophon était
fils
de Glaucus, roi d’Ephyre, ancien nom de Corinthe.
vaines que crée l’imagination. Questionnaire. 108. De qui était
fils
Bellérophon ? Que signifie son nom, et d’où lui f
e, dieu de la force, et le plus illustre des héros de la Fable, était
fils
de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi
i l’avait accompagné dans cette expédition. 9° Augias, roi d’Élide et
fils
du Soleil, nourrissait trois mille bœufs dans ses
’un monstre marin (n° 71). En Libye, Hercule vainquit le géant Antée,
fils
de Neptune et de la Terre, roi d’Irasa. Ce monstr
affranchit ensuite l’Italie du brigandage de Cacus, géant monstrueux,
fils
de Vulcain ; délivra Prométhée du vautour immorte
e ne pouvait être prise, d’après l’arrêt du destin. Jupiter reçut son
fils
dans le ciel et lui donna pour épouse Hébé, déess
. 113. Naissance et premiers exploits de Thésée. Thésée était
fils
d’Egée, neuvième roi d’Athènes, et d’Ethra, fille
roi de Trézène, à la cour duquel il fut élevé. On le dit quelquefois
fils
de Neptune, parce que Pitthée voulant cacher l’un
on dans un repas que le roi devait lui offrir. Mais Egée reconnut son
fils
à son épée, et le fit reconnaître au peuple. Alor
connaître au peuple. Alors Médée s’envola dans son char ailé avec son
fils
Médus, qu’elle avait eu d’Egée. Thésée, après avo
inotaure. Les Athéniens, jaloux, dit-on, de la gloire qu’Androgée,
fils
de Minos, s’était acquise dans leurs fêtes, l’ava
t assassiner. L’infortuné roi de Crète, afin de venger la mort de son
fils
, avait exigé par la force des armes que les Athén
mbattre les Amazones, qu’ils vainquirent. Thésée eut de leur reine un
fils
, le malheureux Hippolyte. Ensuite, les deux héros
. Phèdre avoua son crime et se pendit de désespoir. Thésée pleura son
fils
innocent, et, forcé par des sujets rebelles d’aba
eurs meilleurs rois. Questionnaire. 115. De qui Thésée était-il
fils
? Pourquoi le dit-on quelquefois fils de Neptune
115. De qui Thésée était-il fils ? Pourquoi le dit-on quelquefois
fils
de Neptune ? Quel fut le premier indice qu’il don
es de l’expédition. Athamas, roi de Thèbes, avait eu de Néphélé un
fils
et une fille, Phryxus et Hellé. Mais ayant ensuit
ec sa nouvelle épouse et avec ses compagnons. Poursuivis par Absyrte,
fils
du roi, les deux fugitifs ont recours à un moyen
e fuir ? Comment périrent-ils l’un et l’autre ? De qui Jason était-il
fils
? Pourquoi entreprit-il d’aller conquérir la tois
lei malheurs de ses premiers rois. Agénor, roi de Phénicie, avait un
fils
nommé Cadmus et une fille appelée Europe. Cette j
n Illyrie, où ils furent, dit-on, changés en serpents. Polydore, leur
fils
, périt misérablement ; Labdacus, fils de Polydore
gés en serpents. Polydore, leur fils, périt misérablement ; Labdacus,
fils
de Polydore, enlevé par une mort prématurée, ne l
ybe et Péribée, qui occupaient alors le trône, l’élevèrent comme leur
fils
et lui donnèrent, à cause de l’enflure de ses pie
l’entendit et fut roi. ( Voltaire, Œdipe.) L’union incestueuse d’un
fils
avec sa mère attira de nouveau les vengeances cél
ipe, dans sa douleur, se creva les yeux ; et chassé du trône par deux
fils
ingrats, il traîna dans l’exil une vie errante et
vos tristes soupirs, et vous mes tendres soins. Que Thèbes à vos deux
fils
offre un trône en partage ; Vous suivre et vous a
Thèbes. — Étéocle et Polynice. — Les sept chefs. Au moment où deux
fils
ingrats le chassaient de son royaume, Œdipe les a
gent avec lui le commandement. C’étaient Polynice, son gendre, Tydée,
fils
d’Œnée, roi d’Etolie, Capanée, prince argien, le
rrée toute vive. Ismène ne survécut pas à la perte de sa sœur. Hémon,
fils
du roi, qui devait épouser Antigone, se tua de dé
pas réservé pour un meilleur sort. Les sept chefs avaient laissé des
fils
dignes d’eux, c’étaient : Egialée, fils d’Adraste
sept chefs avaient laissé des fils dignes d’eux, c’étaient : Egialée,
fils
d’Adraste ; Diomède, fils de Tydée ; Promaque, fi
des fils dignes d’eux, c’étaient : Egialée, fils d’Adraste ; Diomède,
fils
de Tydée ; Promaque, fils de Parthénopée ; Sténél
taient : Egialée, fils d’Adraste ; Diomède, fils de Tydée ; Promaque,
fils
de Parthénopée ; Sténélus, fils de Capanée ; Ther
; Diomède, fils de Tydée ; Promaque, fils de Parthénopée ; Sténélus,
fils
de Capanée ; Thersandre, fils de Polynice ; Polyd
omaque, fils de Parthénopée ; Sténélus, fils de Capanée ; Thersandre,
fils
de Polynice ; Polydore, fils d’Hippomédon. Dix an
Sténélus, fils de Capanée ; Thersandre, fils de Polynice ; Polydore,
fils
d’Hippomédon. Dix ans après la première expéditio
nt et massacrent l’odieux Créon. Ils placent sur le trône Thersandre,
fils
de Polynice, qui fut tué, quelques années après,
t la cause des malheurs de ses premiers rois ? De qui Cadmus était-il
fils
? Quelle était sa sœur ? Comment et par qui fut-e
ènes. 122. Comment s’accomplit la prédiction d’Œdipe à l’égard de ses
fils
Etéocle et Polynice ? Quelle fut la cause de leur
r, et n’avait dû sa liberté qu’à une forte rançon64. Priam, quand ses
fils
furent assez avancés en âge, envoya Pâris, l’un d
uquel Hélène aurait donné la préférence. Son choix tomba sur Ménélas,
fils
d’Atrée, roi de Mycènes. Les deux époux vivaient
d’Atrée, roi de Mycènes. Les deux époux vivaient heureux, lorsque le
fils
de Priam vint rompre leur union en enlevant Hélèn
était encore défendue par une armée nombreuse que commandait Hector,
fils
de Priam. Tous les princes de l’Asie Mineure, les
élène et l’auteur de la guerre ; puis Déiphobe, et Troïle, tous trois
fils
de Priam ; Anténor et Anchise, princes troyens ;
ite Rhésus, roi de Thrace ; Penthésilée, reine des Amazones ; Memnon,
fils
de Tithon et de l’Aurore, roi d’Ethiopie ; Sarpéd
s ; Memnon, fils de Tithon et de l’Aurore, roi d’Ethiopie ; Sarpédon,
fils
de Jupiter, roi d’une partie de la Lycie, et beau
il lui fit enlever, après un violent débat. Irrité de cet affront, le
fils
de Thétis se retire dans sa tente et ne veut plus
la tente d’Achille demander, en suppliant, le corps de son malheureux
fils
. Le héros, aussi généreux que brave, accorde cett
égorgé par Pyrrhus, qui mêle le sang du vieux roi à celui d’un de ses
fils
. Nous conseillons de lire dans le deuxième livre
p de Pyrrhus fuyant la main cruelle A travers mille dards, un dernier
fils
du roi S’échappe, et du palais dépeuplé par l’eff
l’atteint de son dard : Enfin au saint autel, asile du vieillard, Son
fils
court éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! e
ux blancs, « Qui sous les yeux d’un père égorges ses enfants ! « Toi,
fils
d’Achille ! Non, il ne fut point ton père. « D’un
ce que tu vois, « A mes nobles aïeux va dire mes exploits ; « Dis au
fils
de Thétis que son sang dégénère ; « Mais avant, m
é par ses cheveux blanchis, Et nageant dans le sang du dernier de ses
fils
, Il pousse vers l’autel la vieillesse tremblante
re de Troie. Dans la suite de son poëme, Virgile nous montre Enée,
fils
d’Anchise et de Vénus, partant, par l’ordre des d
dora furent Osiris et Isis. Voici un aperçu de leur histoire. Osiris,
fils
de Kronos ou Saturne et de Rhéa, eut pour femme I
lle apprit la mort tragique de son époux. Aussitôt elle part avec son
fils
Anubis, étrange divinité, ayant avec un corps d’h
ea, après sa mort, les honneurs rendus à Osiris. Cependant Orus, leur
fils
, voulant venger la mort de son père, lève une arm
ent de sa tête, de son bras droit, de sa cuisse et de son pied quatre
fils
qui furent appelés, le premier Brahman (c’est à l
eveux lui ôterait la couronne et la vie. En vain il fait égorger sept
fils
que sa sœur met au monde, un huitième naît sous l
mmé Bor. Celui-ci épousa Belsta, la fille d’un géant, et en eut trois
fils
, Odin, Vili et Vé. Les fils de Bor, qui étaient b
sta, la fille d’un géant, et en eut trois fils, Odin, Vili et Vé. Les
fils
de Bor, qui étaient bons, étaient sans cesse en g
, qui entendent les hennissements de son cheval. Après Odin vient son
fils
aîné Thor, le dieu de la force, le maître de la f
la mer et des tempêtes, qu’il déchaîne et calme à son gré. Freyr, son
fils
, est le dispensateur des pluies et des jours sere
et de ses trois enfants a donné lieu à la fable de Saturne et de ses
fils
, se partageant l’empire du monde. Cham est le mêm
hes sur l’idolâtrie, établit que le mot héros vient de Hero, nom d’un
fils
de Junon, qui elle-même s’appelait, en grec, Hera
aquirent deux filles, nommées Cybèle et Thémis, et un grand nombre de
fils
, entre lesquels Titan, l’aîné de tous, Saturne, l
bres. Cœlus, qui redoutait la puissance, le génie et l’audace de ses
fils
, les traita avec dureté, les persécuta sans relâc
aux Titans. Saturne accepta cette convention, et se mit à dévorer ses
fils
aussitôt qu’ils avaient vu le jour. Cybèle, femm
issait peu de cette gloire : il avait appris des destins qu’un de ses
fils
le détrônerait ; et cette pensée, empoisonnant so
ma son cœur aux sentiments de la nature : il dressa des embûches à un
fils
digne de son amour. Jupiter, adroit, actif et cou
rigandages. La discorde se glissa entre les plus proches parents ; le
fils
osa attenter aux jours de son père, la marâtre à
es profondeurs du tartare. Le crime régnait sur la terre. Prométhée,
fils
de Japet, avait fait une statue d’homme, et lui a
plia Jupiter de lui rendre sa première forme, et elle mit au monde un
fils
nommé Épaphus. Junon, qui regrettait toujours le
gueilleuse autant que jalouse, Junon ne pardonna pas au troyen Pâris,
fils
de Priam, de ne lui avoir pas adjugé la pomme d’o
elles initiaient. § 7. Neptune. Neptune, dieu de la mer, était
fils
de Saturne et de Cybèle. Dans sa jeunesse, il for
ns avec Triton : celui-ci commande, les autres lui obéissent. Triton,
fils
de Neptune, a le pouvoir de soulever les flots ou
des eaux § 8. Pluton. Dans le partage du Monde entre les trois
fils
de Saturne (Jupiter, Neptune et Pluton), c’est à
leine de reconnaissance pour cette hospitalité, rendit la santé à son
fils
Triptolème, encore au berceau. Elle fit plus enco
dans un coin de l’appartement, et voyant la déesse prête à mettre son
fils
dans le feu, elle poussa un tel cri d’effroi que
es des courtisans. Le dieu des buveurs, le dieu des guerriers, Adonis
fils
de Myrrha, et bien d’autres, réussirent sans beau
elure. Le myrte était son arbre de prédilection. Cupidon ou l’Amour,
fils
de Vénus, dieu malin, séduisant et trompeur, eut
r les qualités de l’esprit et du cœur. § 12. Vulcain. Vulcain,
fils
de Jupiter et de Junon, était si difforme en nais
e d’un bonnet ; ses cheveux et sa barbe sont négligés. Les principaux
fils
de ce dieu furent : 1° Cécrops, fondateur et roi
ué en Italie par Hercule. § 13. Mars. Mars, dieu de la guerre,
fils
de Jupiter et de Junon15, fut élevé par un des Ti
ts ; mais il donna dans une embuscade, et fut fait prisonnier par les
fils
d’Aloüs, qui le jetèrent au fond d’un cachot, où
moin des outrages faits à sa fille Alcippa par le cruel Halirrhotius,
fils
de Neptune ; et, ne pouvant maîtriser son indigna
Fier de cette victoire, Apollon osa braver l’Amour et ses traits. Le
fils
de Vénus tira aussitôt de son carquois deux flèch
t des guerriers. D’autres disgrâces l’attendaient : il vit mourir son
fils
Esculape, médecin fameux, que Jupiter foudroya po
eux, que Jupiter foudroya pour le punir d’avoir ressuscité Hippolyte,
fils
de Thésée. Apollon, n’osant se venger sur Jupiter
s années les troupeaux de ce prince loyal et hospitalier. Hyacinthe,
fils
d’Amyclas, était le plus intime ami d’Apollon ; e
et Phaéton, dont la mort tragique mérite d’être détaillée. Phaéton,
fils
d’Apollon et de Clymène, eut un jour un vif démêl
ux injures. Épaphus alla jusqu’à reprocher à Phaéton de n’être pas le
fils
du Soleil. « On connaît ton origine, lui dit-il ;
d’un ton pénétré ; on attaque votre honneur, ô ma mère ! Vengez votre
fils
, vengez-vous, ou dites-moi ce qu’il faut faire. »
lui accorder une faveur qui démontre à l’univers entier qu’il est son
fils
. Le Soleil chérissait Phaéton ; il jura par le st
styx ; le serment était irrévocable. Il essaya donc de détourner son
fils
d’une entreprise aussi périlleuse ; mais voyant t
d’inhumanité. La mort d’Actéon en est un exemple mémorable. Actéon,
fils
d’Aristée et d’Autonoé, n’avait d’autre passion q
ercure. C’est en Arcadie, sur le mont Cyllène, que naquit Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa. Le jour même de sa naissan
t le dieu de l’éloquence. § 17. Bacchus. Bacchus, dieu du vin,
fils
de Jupiter et de Sémélé, vint au monde dans l’île
ans la bataille en lui criant : Évohé ! évohé ! courage, courage, mon
fils
! Devenu grand, Bacchus entreprit la conquête des
rait l’effet, il tomba dans l’ivresse, outragea sa mère et frappa son
fils
. Dès ce moment, ennemi déclaré du vin, il s’oppos
Evius, mot formé du cri d’évohé ! par lequel Jupiter encourageait son
fils
pendant le combat contre les géants ; — Iacchus,
. § 21. Le Destin. — Les Parques Le Destin est un dieu aveugle,
fils
du Chaos et de la Nuit. Il tient sous ses pieds l
lampe. Clotho, la plus jeune, tient une quenouille qui est chargée de
fils
de toutes couleurs et de toutes qualités : d’or e
i par cette raison sont appelées terreurs paniques. Faune ou Faunus,
fils
de Picus et de la nymphe Canente, se rendit recom
noré par les Siciliens comme une de leurs divinités champêtres, était
fils
de Cyrène, une des naïades, et d’Apollon. Son édu
pirs : « Ma mère, lui dit-il, à quoi me sert d’être issu des dieux et
fils
d’Apollon, si je dois être à jamais en butte aux
es bergeries aux flammes ; brûle mes moissons, puisque l’honneur d’un
fils
te tient si faiblement au cœur ! » Cyrène ne put
t au cœur ! » Cyrène ne put entendre sans émotion les plaintes de son
fils
, quoiqu’elle en jugeât la cause un peu légère. El
mes, calme son agitation, et lui dit : « Dans ta triste position, mon
fils
, ta mère ne peut rien pour toi : ses lumières ni
ent en cette conjoncture d’aucun secours. Mais le nom du sage Protée,
fils
de l’Océan, est sans doute parvenu à ton oreille.
noé, fille de Cadmus, dont il eut Actéon. Après la mort cruelle de ce
fils
, il se retira dans l’île de Cos, de là en Sardaig
eaux. b) Dieux marins. § 8. L’Océan et Téthys. L’Océan,
fils
du Ciel et de la Terre, épousa Téthys déesse des
pèce de rôles.) § 13. Phorcus. Phorcus ou Phorcys, dieu marin,
fils
de Neptune, est moins connu par lui-même que par
ou, oiseau de mauvais augure. § 19. Hymen ou Hyménée. Hyménée,
fils
de Ténus, présidait au mariage et aux fêtes nupti
vé par Vespasien, reçut les riches dépouilles que cet empereur et son
fils
avaient enlevées du temple de Jérusalem. — On rep
Prométhée, le plus célèbre des titans, était frère d’Épiméthée et
fils
de Japet. Doué d’un génie supérieur, il réussit à
la jalousie des dieux s’acharnait sur lui. § 2. Atlas. Atlas,
fils
de Japet et frère de Prométhée, se joignit aux en
ar les poètes. § 3. Hercule. Hercule ou Alcide, héros thébain,
fils
de Jupiter et d’Alcmène, était encore au berceau
n massacre Busiris et toute la famille royale. Cacus, fameux voleur,
fils
de Vulcain, faisait son séjour en Italie, sur les
lgré les feux de sa bouche, lui serre la gorge et l’étrangle. Antée,
fils
de Neptune et de la Terre, avait cent pieds de ha
comparable. Dès la première entrevue, elle l’aima et en fut aimée. Le
fils
d’Alcmène, épris de sa beauté, descendit pour lui
ntoufle chaque fois qu’il a le malheur de rompre ou d’embrouiller les
fils
. A peine avait-il secoué ce joug avilissant, qu’i
ue et dispersée ; il assemble les Héraclides : c’est le nom donné aux
fils
, petits-fils, neveux et arrière-neveux d’Hercule
ivre un combat terrible, dans lequel Eurysthée succombe avec ses cinq
fils
. (Quelques écrivains font honneur de cette victoi
nq fils. (Quelques écrivains font honneur de cette victoire à Hyllus,
fils
d’Hercule et de Déjanire.) Cette mort d’Eurysthée
cours, Atlas se rappelle un ancien oracle, qui lui avait prédit qu’un
fils
de Jupiter le dépouillerait de son royaume. Loin
ans la poussière. « Les moments sont précieux, leur dit Persée. Si le
fils
de ce Jupiter, si le vainqueur de la Gorgone vous
rifia ainsi la prédiction de l’oracle. § 5. Jason. Jason était
fils
d’Éson roi d’Iolchos, en Thessalie. Éson ayant ét
nt à l’usurpateur qu’il serait à son tour chassé ou mis à mort par un
fils
d’Éson. Dès que Jason vint au monde, sa mère, pou
. Interrogé, pressé de répondre, il se fit à la fin connaître pour le
fils
d’Éson, et réclama fièrement de Pélias l’héritage
objets à trois lieues de distance ; Orphée, poète de Thrace ; Pélée,
fils
d’Éaque et père d’Achille ; Pirithoüs, Augias, Hy
sa fille ; il équipe des vaisseaux, il en donne le commandement à son
fils
Absyrthe. Le combat s’engage ; Absyrthe vaincu pé
dée forma le projet de se défaire de lui, pour assurer la couronne au
fils
qu’elle avait eu d’Égée. Mais le complot fut déco
§ 6. Castor et Pollux. Castor et Pollux, héros grecs, étaient
fils
d’une étolienne nommée Léda. Leur mère eut deux m
tinrent les honneurs divins, et furent nommés Dioscures, c’est-à-dire
fils
de Jupiter. On leur immolait deux agneaux blancs,
oile, et leur main brandit une lance. § 7. Esculape. Esculape,
fils
d’Apollon et de Coronis, fut instruit par le cent
un serpent. Un coq est à ses pieds, symbole de la vigilance. Ses deux
fils
, Podalire et Machaon, assistèrent au siége de Tro
8. Orphée. Orphée, théologien, poète, et musicien célèbre, était
fils
d’Œagre, roi de Thrace. Dès sa jeunesse, il s’app
de cet hyménée. Un jour qu’Eurydice fuyait les poursuites d’Aristée,
fils
de Cyrène, elle fut piquée au talon par un serpen
Lebrun. § 9. Cadmus. Cadmus, frère de la belle Europe, était
fils
d’Agénor, roi de Phénicie. Quand Jupiter, métamor
émélé périt par l’éclat éblouissant des foudres de Jupiter ; Penthée,
fils
d’Agavé, fut mis en pièces par les bacchantes ; I
de l’Égypte et de la Phénicie. § 10. Amphion . — Linu s. Amphion,
fils
de Jupiter et d’Antiope, cultiva la poésie et la
des bêtes sauvages et des brigands. Linus, poète et musicien thébain,
fils
d’Apollon et de Terpsichore, inventa la mélodie e
la divination, mais avaient le don fatal d’abréger la vie. Un de ses
fils
, nommé Mopsus, vécut à l’époque du siége de Troie
aïeul, et fut l’antagoniste de Calchas. § 12. Thésée. Thésée,
fils
d’Égée roi d’Athènes, fut élevé et instruit par s
e cette périlleuse expédition. Il avait expressément recommandé à son
fils
, s’il était vainqueur, d’arborer à son retour, au
oire. Ce malheureux père, apercevant le j pavillon noir, crut que son
fils
avait péri, et se précipita dans la mer. Cette me
nnus dans l’histoire sous le nom de Pallantides (parce qu’ils étaient
fils
de Pallas, frère d’Égée), lui disputèrent l’empir
de Thésée. Phèdre, en arrivant à Trézène, aperçut le jeune Hippolyte,
fils
de l’amazone. Élevé loin de la cour, sous les yeu
Hippolyte n’ait poussé Phèdre à cet acte de désespoir. Il appelle son
fils
, l’accable de reproches, le bannit de Trézène san
s d’exaucer trois de mes vœux ; n’en accomplis qu’un seul : perds mon
fils
. Aux effets de ta vengeance, je reconnaîtrai la f
’il était trop tard pour les réparer. Dans ces entrefaites, Mnesthée,
fils
de Pétès, et l’un des descendants d’Érechthée, fl
Minotaure un temple et un tombeau. § 13. Pirithoüs. Pirithoüs,
fils
d’Ixion et de la Nue, était roi des Lapithes, peu
des plus étincelantes du firmament. § 16. Méléagre. Méléagre,
fils
d’Œnée roi de Calydon, et d’Althéa, n’était âgé q
rent des villes voisines pour délivrer le pays de ce fléau. Méléagre,
fils
d’Œnée, dirigeait les chasseurs. Échion lança le
elle méléagrides. § 17. Pélops. Atrée et Thyeste. Pélops était
fils
de Tantale, roi de Lydie. Les dieux voyageant dan
vinités et s’ils connaissaient les choses cachées, égorgea son propre
fils
Pélops, nouvellement né, le coupa en morceaux, et
Atrée fit apporter deux têtes sanglantes : c’étaient celles des deux
fils
de Thyeste ! Et il lui apprit avec une joie féroc
ont souvent désignés sous le nom d’Atrides, quoiqu’ils ne fussent pas
fils
, mais seulement neveux d’Atrée. § 18. Œdipe.
pe. Œdipe, un des plus malheureux princes qui aient existé, était
fils
de Laïus roi de Thèbes, et de Jocaste. Avant leur
phes pour y consulter l’oracle d’Apollon ; et sa réponse fut « que le
fils
qui naîtrait de leur hyménée serait un jour le me
ès d’elle, le fit élever sous le nom d’Œdipe 44, et l’adopta pour son
fils
. Œdipe entrait à peine dans sa quatorzième année,
ur le mortifier, lui dit qu’il n’était qu’un pauvre enfant trouvé, un
fils
adoptif. Tourmenté par ce reproche, Œdipe en conç
utes ; elle s’efforçait au contraire de lui persuader qu’il était son
fils
. Afin d’obtenir une certitude, Œdipe alla consult
pe monta sur le trône, et devint l’époux de Jocaste, dont il eut deux
fils
, Étéocle et Polynice, et deux filles, Antigone et
ha les yeux avec la pointe de son épée. Chassé de Thèbes par ses deux
fils
, il s’achemina vers l’Attique, dénué de tout, cou
rrée vivante ; mais elle prévint son supplice en s étranglant. Hémon,
fils
de Créon, et amant d’Antigone, se précipita sur l
e, et s’y poignarda. § 19. Tydée. Tydée, guerrier fameux, était
fils
d’Œnée, roi de Calydon. Banni de sa patrie pour u
lles : la seconde venait d’épouser un autre prince fugitif, Polynice,
fils
d’Œdipe. Quand Adraste leva une armée pour souten
. Lui-même à la fin fut percé d’une flèche que lui décocha Mélanippe,
fils
d’Artacus. La blessure était profonde, les douleu
dignement trahi. Mais avant de quitter son palais, il fit jurer à son
fils
Alcméon de tuer Ériphyle dès qu’il apprendrait sa
des héros de sa patrie. § 22. Les Épigones. On donne ce nom aux
fils
aînés des Sept Chefs, qui, excepté Adraste, périr
s pères, et de prendre la ville de Thèbes. Ayant à leur tête Alcméon,
fils
d’Amphiaraüs, ils livrèrent près du bourg de Glis
ès du bourg de Glisas un combat sanglant, où le roi ennemi, Laodamas,
fils
d’Étéocle, fut tué de la main même d’Alcméon. Con
de rendre la ville. Les vainqueurs y entrèrent et la saccagèrent. Le
fils
de Polynice, Thersandre, à qui revenait de droit
et moitié taureau, qui se nourrissait de chair humaine ; Androgée son
fils
, fut enlevé par une mort prématurée. Androgée, d
mbarquer pour l’île de Crète. Minos, au désespoir, jure de venger son
fils
. Il va lui-même solliciter l’alliance des princes
nos le labyrinthe de Crète, séjournait encore dans cette île avec son
fils
Icare ; mais il ne payait que d’ingratitude l’hos
e, il peut partir. Alors s’adressant à Icare : « Vole prudemment, mon
fils
, et tiens un juste milieu dans les airs. Si tu t’
esseur au trône. Le reste de la vie de Teucer est inconnu. Dardanus,
fils
de Jupiter et d’Ælectra (une des Hespérides), ava
t signalé, au début de sa carrière, par un fratricide. Erichthonius,
fils
de Dardanus, lui succéda sans opposition : « c’ét
ait, dit Homère , le plus opulent des monarques de l’Asie. » Tros,
fils
d’Erichthonius, donna le nom de Troie à sa ville
e nom de Troie à sa ville capitale, appelée jusqu’alors Dardanie. Ses
fils
, Ilus, Assaracus et Ganymède, ont laissé tous tro
a présence rendrait à jamais imprenable la ville de Troie. Laomédon,
fils
d’Ilus, s’est rendu fameux dans l’antiquité par s
onna en mariage à Télamon, roi de Salamine. § 2. Priam. Priam,
fils
et successeur de Laomédon, s’appelait d’abord Pod
uissant de la Thrace : ce roi s’appelait Dymas. Les plus célèbres des
fils
de Priam furent Pâris (surnommé Alexandre), Hecto
errogé sur cette vision, répondit « que la reine mettrait au monde un
fils
qui serait cause de la destruction de sa patrie.
gée par des milliers de combattants, Troie était défendue par Hector,
fils
de Priam ; par Énée, fils d’Anchise ; par Memnon,
mbattants, Troie était défendue par Hector, fils de Priam ; par Énée,
fils
d’Anchise ; par Memnon, Polydamas, Euphorbe, Sarp
e suivre un étranger. A la mort de Pâris, elle épousa Déiphobe, autre
fils
de Priam ; mais, après la prise de Troie, elle le
e réconcilier par ce crime avec Ménélas. Elle y réussit en effet : le
fils
d’Atrée lui pardonna, et la ramena en Grèce, où d
avre ignominieusement pendu à un gibet. § 4. Achille. Achille,
fils
de la nymphe Thétis et de Pélée, naquit à Phtia,
, petit-fils de Neptune ; Penthésilée, reine des Amazones, et Troïle,
fils
de Priam. Ayant assiégé et pris Lyrnesse, ville d
ir aux mains avec lui. Hécube et Priam, tremblant pour la vie de leur
fils
, l’appellent, lui tendent les bras, le conjurent
aque son épouse : il attend de pied ferme et sans pâlir le redoutable
fils
de Pélée. Achille s’approche la pique à la main.
temple, et lui rendirent les honneurs divins. Néoptolème ou Pyrrhus,
fils
d’Achille et de Déidamie, sera plus d’une fois me
us d’une fois mentionné dans la suite de nos histoires. § 5. Ajax,
fils
de Télamon. Ajax, fils de Télamon, fut le plu
s la suite de nos histoires. § 5. Ajax, fils de Télamon. Ajax,
fils
de Télamon, fut le plus vaillant des Grecs après
en Espagne, paraît absolument fabuleux. § 6. Télèphe. Télèphe,
fils
d’Hercule et roi de Mysie, épousa une des filles
Troie ne pouvait être prise si les Grecs n’avaient dans leur armée un
fils
d’Hercule, expliqua l’oracle d’Apollon en disant
ysse, dressé par lui au rôle qu’il devait jouer. Il s’appelait Sinon,
fils
de Sisyphe. Quand on l’eut présenté à Priam, il c
e cette île de la terre ferme, s’élancent sur Laocoon et sur ses deux
fils
qui étaient près de lui, les enveloppent, les déc
’irritait le souvenir de la mort d’Achille ; il tue le jeune Politès,
fils
de Priam, se jette l’épée à la main sur Priam lui
n, dans le continent de la Vénétie, la ville de Padoue. § 9. Ajax,
fils
d’Oïlée. Ajax, fils d’Oïlée, et roi des Locri
la Vénétie, la ville de Padoue. § 9. Ajax, fils d’Oïlée. Ajax,
fils
d’Oïlée, et roi des Locriens, équipa quarante vai
l’impie sous les eaux. § 10. Nauplius, roi d’Eubée. Palamède,
fils
de Nauplius, avait péri pendant le siége de Troie
ait dans son cœur un ressentiment profond contre les assassins de son
fils
, n’attendait qu’une occasion favorable pour se ve
toyablement massacrés. § 11. Diomède. Diomède, capitaine grec,
fils
de Tydée, conduisit les Argiens au siége de Troie
n les appela Oiseaux de Diomède. § 12. Philoctète. Philoctète,
fils
de Pæan, était l’ami et le compagnon d’Hercule. H
flèches fussent en leur possession, » ils envoyèrent Ulysse auprès du
fils
de Pæan, pour l’engager à dire où était ce précie
né au camp des Grecs, Philoctète y fut guéri de sa plaie par Machaon,
fils
d’Esculape. Des actions d’éclat signalèrent alors
er au monde. Il arrive ; à peine ose-t-il lever les yeux. Il voit son
fils
qui accourait à sa rencontre : il recule, saisi d
de sagesse et dignes de son aïeul Minos. § 14. Nestor. Nestor,
fils
de Nélée, régna sur la ville de Pylos et sur tout
était vénéré, et qui écoutait ses avis comme des oracles. Antiloque,
fils
de Nestor, l’accompagna en Asie, et se signala pa
el. § 15. Ulysse. Ulysse, roi d’Ithaque et de Dulichium, était
fils
unique de Laërte et d’Anticléa. Il n’y avait pas
blé. Mais Palamède qui soupçonnait la ruse, plaça le petit Télémaque,
fils
d’Ulysse, sur la ligne du sillon : le père leva l
ille, les armes de ce héros lui furent adjugées de préférence à Ajax,
fils
de Télamon. Quand Troie fut prise, il s’embarqua
e poussèrent ensuite sur les côtes de la Sicile, séjour de Polyphème,
fils
de Neptune, affreux cyclope, qui, l’ayant surpris
orsque Neptune, qui se souvenait de la blessure faite à Polyphème son
fils
, bouleversa les flots par un ouragan. Le navire d
famille offrait le tableau de l’innocence et des mœurs antiques ; ses
fils
n’avaient d’autres serviteurs qu’eux-mêmes ; son
ion du chantre Phémius, furent massacrés. Le vieux Laërte retrouva un
fils
, Télémaque un père, Pénélope un époux bien-aimé.
père, Pénélope un époux bien-aimé. § 18. Télémaque. Télémaque,
fils
d’Ulysse et de Pénélope, était encore au berceau
estor, roi de Thrace, à qui elle avait confié, pendant la guerre, son
fils
Polydore et de grandes richesses, cette mère info
elle eut encore la douleur de voir précipiter du haut d’une tour son
fils
Astyanax, qu’elle avait sauvé des flammes : les a
age que les Grecs firent des prisonniers, Andromaque échut à Pyrrhus,
fils
d’Achille, qui la conduisit en Épire, où il régna
aloux soupçons d’Hermione, sa femme. Andromaque épousa alors Hélénus,
fils
de Priam, captif comme elle, et ils régnèrent ens
tion paternelle, et lui fit donner la même éducation qu’à Pylade, son
fils
aîné. Il y avait dix ans qu’Égisthe et Clytemnest
presse autour de lui ; il parle, on l’écoute, on le reconnaît pour le
fils
d’Agamemnon, et il remonte, au milieu de l’allégr
riage ; mais pendant son voyage de Tauride, Ménélas Pavait fiancée au
fils
d’Achille, à Pyrrhus, dont la réputation égalait
eur entrée au palais d’Argos. § 23. Énée. Énée, prince troyen,
fils
d’Anchise et de Vénus, est connu dans l’histoire
ses dieux pénates, portant son vieux père sur ses épaules, tenant son
fils
Ascagne par la main, et suivi de Créuse, son épou
ter l’oracle de Faunus, qui lui parla sans détour60. « Garde-toi, mon
fils
, de marier Lavinie à aucun prince du Latium ; bie
plaintes. Vénus l’écoutait avec un malin sourire, et près d’elle son
fils
, tenant son arc détendu. Quand la déesse eut asse
s peuples qu’ils lui rendirent après sa mort des honneurs divins. Ses
fils
, Minos, Rhadamanthe et Sarpédon, auraient suffi d
no. Athamas, roi de Thèbes, épousa Néphélé, qui le rendit père d’un
fils
et d’une fille (Phryxus et Hellé), célèbres dans
rdinaire. Athamas pouvait se dire le plus fortuné des époux ; et deux
fils
, Léarque et Mélicerte, issus de ce nouveau mariag
ait ; Ino restait seule l’objet des hommages : un trône attendait ses
fils
. Mais Junon, qui détestait la famille de Cadmus d
éjà tourbillonne un vaste incendie. Pâle, échevelée, et emportant son
fils
Mélicerte, elle traverse les campagnes, arrive au
enfin que la voix. Narcisse, jeune homme d’une grande beauté, était
fils
du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope. Quand
aux soins que cette mère attentive avait pris de leur éducation. Ses
fils
étaient bien faits, agiles, vigoureux ; ses fille
l’encens des mortels. Offensée de tant d’orgueil, Latone invoqua son
fils
et sa fille, et les pria de la venger : vœu cruel
accompli. Apollon découvrit, dans les plaines voisines de Thèbes, les
fils
de Niobé qui s’exerçaient à la lutte et à la cour
époux de Niobé, la ville de Thèbes fut envahie par la peste. Les sept
fils
du roi et ses sept filles en furent atteints et s
le de Pandion roi d’Athènes, épousa Térée roi de Thrace, et en eut un
fils
appelé Itys. Il y avait cinq ans que Progné vivai
roule dans son esprit un projet de vengeance, elle aperçoit Itys, son
fils
, qui accourt à elle pour l’embrasser. Cet objet,
sans défiance, et, sur la fin du souper, demande qu’on lui amène son
fils
. « Ce que tu demandes est ici », lui dit froideme
dans un âge peu avancé. § 15. Memnon. Memnon, roi d’Éthiopie,
fils
de Tithon et de l’Aurore, fut dès son adolescence
s, atteints de sa lance, avaient succombé, et entre autres Antiloque,
fils
du vieux Nestor ; mais lui-même tomba sous les co
distinguât de tous les autres mortels ; et Jupiter lui promit que ce
fils
, objet de son désespoir, reprendrait la vie, mais
e gouvernait son frère, lui demanda ses filles en mariage pour ses 50
fils
, et les obtint. Mais Danaüs eut à peine donné son
près d’elle, pendant une année entière, sa patrie, son épouse et son
fils
. § 14. Pygmalion. Pygmalion, sculpteur de
Tempêtes et aux Maladies pestilentielles. § 18. Ixion. Ixion,
fils
de Phlégyas, roi des Lapithes, épousa Dia, fille
ffrir un éternel tourment. § 19. Sisyphe. — Salmonée. Sisyphe,
fils
d’Éolus ou Éole, régna à Corinthe et s’y rendit f
l l’entraînait au sanctuaire, lorsqu’elle s’avisa de s’écrier : « Mon
fils
, tu es invincible ! » Alexandre ne voulut point d
scure ; mais on croit communément qu’ils furent institués par Pélops,
fils
de Tantale. Atrée en ordonna une seconde célébrat
hmiques furent établis par les Corinthiens en l’honneur de Mélicerte,
fils
d’Athamas, dont le cadavre avait été déposé par l
age par Lycurgue, roi de Némée, fut donnée pour nourrice à Archémore,
fils
nouveau-né de ce prince. Un jour qu’elle le porta
inistration des affaires à Isis, sa femme, et alla, accompagné de son
fils
Horus, répandre chez d’autres nations et en d’aut
est assise et tient un enfant sur ses genoux. b) Horus. Horus,
fils
d’Osiris et d’Isis, accompagna son père en Éthiop
s est Apollon ; Anubis Mercure. L’orient civilisé par Osiris, par son
fils
et par les neuf musiciennes, c’est l’expédition d
uge de Noé ; dans les Géants qui escaladent le ciel, on reconnaît les
fils
des hommes élevant, avec une folle audace, la tou
xagéré de soi-même. La mort tragique d’Icare est une leçon donnée aux
fils
désobéissants. Phaéton est le type des orgueilleu
s veut dire terre, et ops secours. 5. Cet Hercule Idéen n’est pas le
fils
d’Alcmène. 6. Etna, montagne de Sicile. Les Rom
ce dieu le tua d’un coup de flèche. — Tantale, assassin de son propre
fils
, était condamné à avoir toujours soif au milieu d
le surnom de Dionæus à Jules César qui descendait de Vénus par Énée,
fils
d’Anchise. 13. De la viennent les noms de Cypris
n III, § 12. 18. Ce temple d’Aricie fut élevé à Diane par Hippolyte,
fils
de Thésée, après qu’Esculape l’eut ressuscité et
Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! 21. Tithon était
fils
de Laomédon et frère de Priam. 22. Le lierre, pl
mariée deux fois. Son premier époux fut Neptune, son second Créthée,
fils
d’Éole. Du premier hyménée naquit Pélias ; du sec
deux frères sous le nom de Tyndarides, quoiqu’un seul d’entr’eux fût
fils
de Tyndare. 34. Ces météores s’appellent aujourd
ores s’appellent aujourd’hui le feu Saint-Elme. 35. Ce Glaucus était
fils
de Minos II et de Pasiphaé. Plusieurs héros de la
r relever la gloire de Thésée, les Athéniens le faisaient passer pour
fils
de Neptune. Neptune, selon eux, aurait épousé Æth
qui les porte, sont nommées lettres de Bellérophon. 43. Cet Échion,
fils
de Mercure, est un autre personnage que celui qui
signifie, en grec, les Descendants, Ceux qui viennent après. Diomède,
fils
de Tydée, est le plus célèbre des Épigones. 47.
raconter. 60. Faunus était le père de Latinus. 61. Énée-Sylvius,
fils
d’Énée et de Lavinie, leur succéda, malgré l’oppo
fils d’Énée et de Lavinie, leur succéda, malgré l’opposition d’Iule,
fils
d’Ascagne et petit-fils d’Énée et de Créuse. 62.
u des Vents. Mais, selon d’autres auteurs, elle descendait d’un Éole,
fils
d’Hellen. 67. L’Amour ou Cupidon. Voyez page 52,
fants. Saturne y consentit ; et, fidèle, à sa parole, il dévorait ses
fils
aussitôt qu’ils venaient au monde. Cependant sa f
commander un jour à l’univers, chercha tous les moyens de perdre son
fils
, qui prévint ses desseins et le chassa du ciel.
cence des anciennes Saturnales. [Fig. 19] Jupiter. Jupiter,
fils
de Saturne et de Rhéa, qu’on nommait aussi Cybèle
lte des Géants, Jupiter ne fut pas tout à fait tranquille. Prométhée,
fils
du Titan Japet, ayant formé un homme du limon de
et Doris, Protée, Glaucus, Éole, les Sirènes et les Nymphes. L’Océan,
fils
d’Uranus et de Tellus, était regardé comme le pèr
nt ensemble et donnèrent naissance aux Nymphes. [Fig. 33] Protée,
fils
de l’Océan ou de Neptune, était le gardien des tr
s dans cet affreux séjour, les anciens nommaient avec effroi Sisyphe,
fils
d’Éole, condamné à rouler continuellement une éno
ommet d’une montagne, d’où elle retombait aussitôt [Fig. 46] ; Ixion,
fils
de Phlégias, attaché à une roue environnée de ser
trailles, qui renaissaient éternellement pour son supplice ; Tantale,
fils
de Jupiter, tourmenté par une faim et une soif pe
ain droite une lampe [Fig. 51]. [Fig. 51] Mercure. Mercure,
fils
de Jupiter et de l’Atlantide Maïa, était l’interp
. Mars, dieu de la guerre, était, suivant l’ancien poète Hésiode,
fils
de Jupiter et de Junon ; mais, selon d’autres, Ju
ndonna l’Olympe. Elle était ordinairement accompagnée de Cupidon, son
fils
, et des trois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosine
rie, et à Cythère, île au sud du Péloponèse. Vulcain. Vulcain,
fils
de Jupiter et de Junon, était le dieu du feu et d
eu du jour, de la divination, de la médecine et des beaux-arts, était
fils
de Jupiter et de Latone. La Terre avait promis à
om de Pythien. La joie de ce triomphe fut troublée par la mort de son
fils
Esculape, dieu de la médecine [Fig. 59], que Jupi
es Cyclopes qui avaient forgé la foudre dont Jupiter avait frappé son
fils
. Cet attentat le fit chasser du ciel. [Fig. 59]
e jour à Jupiter et à Sémélé. Sémélé mourut avant la naissance de son
fils
, victime de l’artifice de Junon. Cette déesse s’é
ds principes des êtres. Dans la mythologie vulgaire, l’Amour était le
fils
de Vénus et de Mars, et s’appelait aussi Cupidon.
ne lampe, et s’approchant du lit, reconnaît, au lieu d’un monstre, le
fils
de Vénus. Tandis qu’elle se penchait pour contemp
9] Momus. Momus, dieu de la raillerie et des bons mots, était
fils
du Sommeil et de la Nuit. Ses sarcasmes n’épargna
[Fig. 70]. [Fig. 70] Harpocrate. Harpocrate, dieu égyptien,
fils
d’Osiris et d’Isis, était, chez les Grecs, le die
Pan. Pan, dieu des bergers, des troupeaux et des campagnes, était
fils
de Jupiter ou de Mercure et d’une Nymphe. Il naqu
Priape. Priape, dieu des jardins et des arbres fruitiers, était
fils
de Jupiter ou de Bacchus et de Vénus. Il était pr
ait aussi aux routes et aux chemins. [Fig. 75] Faune. Faune
fils
de Picus, roi des Latins, et petit-fils de Saturn
e la reine d’Argos, qui fut mère d’Eurysthée ; et celui-ci imposa, au
fils
d’Alcmène les plus rudes épreuves. Hercule se sig
pour épouse Hébé, déesse de la jeunesse. Thésée. Thésée était
fils
d’Égée, roi d’Athènes, et d’Éthra, fille du roi d
s Amazones, et épousa leur reine Antiope ou Hippolyte, dont il eut un
fils
du même nom. Ayant formé, avec son ami Pirithoüs,
ercule vint le délivrer. À son retour il eut le malheur de perdre son
fils
Hippolyte, que, sur une fausse accusation de Phèd
on épouse, il avait dévoué à la vengeance de Neptune. La perte de son
fils
fut suivie de la révolte des Athéniens. Le malheu
s, avait appris de l’oracle que Danaé, sa fille, mettrait au monde un
fils
qui lui ravirait la couronne et la vie. Pour écha
bandonner Argos, et échangea le royaume de son aïeul avec Mégapenthe,
fils
de Prœtus, contre le territoire de Mycènes. Dans
un énorme dragon35 [Fig. 94]. [Fig. 94] Dans le même temps, Jason,
fils
d’Eson, roi d’Iolchos, avait été dépouillé de l’h
dit la vie ; mais ce crime ne rendit pas la couronne à Jason. Acaste,
fils
de Pélias, s’en empara, et força Jason et Médée à
acha. [Fig. 95] Castor et Pollux. Castor et Pollux, étaient
fils
de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de S
astres, et on les appelle les Gémeaux. Bellérophon. Hipponoüs,
fils
de Glaucus, roi d’Ephyre (ancien nom de Corinthe)
mes. [Fig. 96] Cadmus. — Œdipe. — Guerre de Thèbes. Cadmus,
fils
d’Agénor, roi de Phénicie, avait été envoyé par s
, suivant les autres, furent métamorphosés en dragons. Polydore, leur
fils
, fut déchiré par les Bacchantes ; et Labdacus, qu
et Labdacus, qui lui succéda, mourut prématurément, ne laissant qu’un
fils
au berceau. Ce fils fut Laïus, époux de Jocaste.
succéda, mourut prématurément, ne laissant qu’un fils au berceau. Ce
fils
fut Laïus, époux de Jocaste. L’oracle avait prédi
au. Ce fils fut Laïus, époux de Jocaste. L’oracle avait prédit que le
fils
qui naîtrait de leur union serait le meurtrier de
e réponse semblable à celle qu’avait reçue Laïus. Comme il se croyait
fils
de Polybe et de Péribée, il résolut de ne jamais
. Œdipe devint donc roi de Thèbes et épousa Jocaste, dont il eut deux
fils
, Étéocle et Polynice, et deux filles, Antigone et
t de la terre, au milieu des foudres et des éclairs. [Fig. 99] Les
fils
d’Œdipe, Étéocle et Polynice, héritèrent de la ma
es sept chefs, reprit la route d’Argos. Mais, dix ans après, Alcméon,
fils
d’Amphiaraüs, Égialée, fils d’Adraste, Diomède, f
te d’Argos. Mais, dix ans après, Alcméon, fils d’Amphiaraüs, Égialée,
fils
d’Adraste, Diomède, fils de Tydée, Promaque, fils
après, Alcméon, fils d’Amphiaraüs, Égialée, fils d’Adraste, Diomède,
fils
de Tydée, Promaque, fils de Parthénopée, Sténélus
mphiaraüs, Égialée, fils d’Adraste, Diomède, fils de Tydée, Promaque,
fils
de Parthénopée, Sténélus, fils de Capanée, Thersa
ste, Diomède, fils de Tydée, Promaque, fils de Parthénopée, Sténélus,
fils
de Capanée, Thersandre, fils de Polynice, et Poly
Promaque, fils de Parthénopée, Sténélus, fils de Capanée, Thersandre,
fils
de Polynice, et Polydore, fils d’Hippomédon, s’ar
Sténélus, fils de Capanée, Thersandre, fils de Polynice, et Polydore,
fils
d’Hippomédon, s’armèrent pour venger leurs pères.
ou dépendants. Thèbes fut prise et livrée au pillage, et Thersandre,
fils
de Polynice, remonta sur le trône de Laïus ; mais
son palais, et voulant éprouver leur divinité, s’avisa d’égorger son
fils
Pélops et de le leur servir avec d’autres viandes
m, fut appelée Péloponèse. Il eut de son mariage avec Hippodamie deux
fils
, Atrée et Thyeste, fameux par les inimitiés et pa
èvement d’Hélène en furent la cause. Pâris, surnommé Alexandre, était
fils
de Priam, roi de Troie. Pendant qu’Hécube le port
roi de Mycènes et frère de Ménélas ; Ulysse, roi d’Ithaque ; Achille,
fils
de Thétis et de Pélée, roi de la Phtiotide, et Pa
los, célèbre par sa sagesse et son éloquence ; Diomède, roi d’Étolie,
fils
de Tydée ; Sthénélus, fils de Capanée ; Ajax, roi
et son éloquence ; Diomède, roi d’Étolie, fils de Tydée ; Sthénélus,
fils
de Capanée ; Ajax, roi de Salamine, fils de Télam
, fils de Tydée ; Sthénélus, fils de Capanée ; Ajax, roi de Salamine,
fils
de Télamon ; un autre Ajax, roi des Locriens, fil
, roi de Salamine, fils de Télamon ; un autre Ajax, roi des Locriens,
fils
d’Oïlée ; Idoménée, roi de l’île de Crète, et le
lémaque devant le soc de la charrue. Ulysse, craignant de blesser son
fils
, leva la charrue, et fit connaître par là que sa
ître par là que sa folie n’était que simulée. Thétis, sachant que son
fils
devait périr au siège de Troie s’il s’y rendait,
é des Troyens étaient Priam, roi de Troie ; Hector et Pâris, ses deux
fils
; Memnon, fils de l’Aurore ; Rhésus, roi de Thrac
taient Priam, roi de Troie ; Hector et Pâris, ses deux fils ; Memnon,
fils
de l’Aurore ; Rhésus, roi de Thrace ; Énée, fils
deux fils ; Memnon, fils de l’Aurore ; Rhésus, roi de Thrace ; Énée,
fils
de Vénus et d’Anchise ; Sarpédon et Elpénor ; Pen
perdit tous ses compagnons et ne put retourner dans sa patrie ; Ajax,
fils
d’Oïlée, fut tué de la foudre en pleine mer ; d’a
onsacrerons à ce héros un article particulier. Ulysse. Ulysse,
fils
de Laërte et roi d’Ithaque, était marié depuis pe
Phaéton. — Sœurs de Phaéton, et Cycmes, son ami. Phaéton était
fils
du Soleil et de l’Océanide Clymène. Dans une quer
l et de l’Océanide Clymène. Dans une querelle qu’il eut avec Épaphus,
fils
de Jupiter et d’Io, celui-ci lui soutint qu’il n’
phus, fils de Jupiter et d’Io, celui-ci lui soutint qu’il n’était pas
fils
du Soleil, comme il s’en vantait. Phaéton, irrité
de lui accorder un gage qui prouvât incontestablement qu’il était son
fils
. Le Soleil l’embrasse, le console, et jure par le
l se repentit aussitôt de son serment ; il veut en vain détourner son
fils
d’un si funeste dessein, en lui représentant que
heures d’atteler ses coursiers. Il couronne de rayons la tête de son
fils
, et lui donne des instructions dont une partie a
ours de Jupiter, qui, pour remédier à ce pressant danger, foudroie le
fils
du Soleil, et le précipite dans l’Eridan (le Pô),
éprit d’amour pour Calisto, nymphe de la suite de Diane, et en eut un
fils
, nommé Arcas. Junon, ayant découvert cette intrig
t cette intrigue, changea cette nymphe en ourse. Longtemps après, son
fils
Arcas la rencontra à la chasse, et, ne pouvant la
n la métamorphosa en pierre. [Fig. 109] Narcisse. Narcisse,
fils
du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope, était
bominable complot : c’est de servir à Térée les membres de son propre
fils
Itys dans un festin. Progné invite donc son mari
tion ; cependant, sur la fin du repas, il demande qu’on lui amène son
fils
. « Ce que tu demandes est ici, » lui dit Progné.
Orphée et Eurydice. Orphée, célèbre musicien de Thrace, était
fils
d’Apollon et de Calliope. Il jouait si bien de la
ar la Phrygie et reçut le nom de Marsyas. Les Myrmidons. Éaque,
fils
de Jupiter et d’Égine, régna dans l’île d’Énopie,
e le plus équitable de son temps. Céphale et Procris. Céphale,
fils
de Déion, roi de la Phocide, et de Dioméda, avait
que ces oiseaux font leurs nids sur le rivage. Adonis. Adonis,
fils
de Cinyre, roi de Chypre, était un jeune homme d’
n son honneur sous le nom d’Adonis. L’Aurore et Tithon. Tithon,
fils
de Laomédon, roi de Troie, fut aimé de l’Aurore,
ouleur. Philémon et Baucis. Jupiter, voyageant un jour avec son
fils
Mercure, sous la figure d’un simple mortel, et se
iobé. Niobé, fille de Tantale, épousa Amphion, dont elle eut sept
fils
et sept filles. Fière de ses quatorze enfants, el
terre et tuèrent à coups de flèches la famille entière de Niobé. Les
fils
tombèrent sous les coups d’Apollon, les filles so
omenait un jour près d’un lac bordé de myrtes et de lotos, tenant son
fils
entre ses bras. Elle cueillit une fleur de lotos
gie nous fait entendre que le lait et le miel furent la nourriture du
fils
de Saturne. 7. La lutte des géants contre Jupite
et les pyramides d’Égypte. 25. Après le meurtre de sa mère, Oreste,
fils
d’Agamemnon, contraint par les Furies d’errer de
e non plus ultra du luxe, du raffinement, etc. 33. Nessus, centaure,
fils
d’Ixion et de la Nue. 34. Méduse, une des Gorgon
olâtrie. Elle a pris naissance dans la famille de Cham, dont les deux
fils
, Chanaan et Mesraïm, s’établirent chacun dans un
rne Le Ciel, le plus ancien des dieux, selon les poètes, eut deux
fils
: Titan et Saturne. Titan, par droit d’aînesse, d
it au monde en même temps Jupiter et Junon ; mais, craignant pour son
fils
les suites funestes du traité, elle ne montra que
t de ses états. Dans cette crainte, Saturne dressa des embûches à son
fils
pour le faire périr ; enfin, il lui déclara la gu
distinguer la succession des mois, des années, des siècles. Le temps,
fils
du ciel, s’envole avec vitesse, sans qu’on puisse
elle enseigna aux hommes l’art de l’agriculture. Ce fut à Triptolème,
fils
de Celeus, roi d’Eleusine, qu’elle en donna les p
rifice pour les champs ; elle y faisait marcher devant elle ses douze
fils
; comme l’un d’eux était mort, Romulus s’offrit p
représenté sous la figure d’une pierre. Jupiter Jupiter était
fils
de Saturne et de Cybèle. Ayant chassé son père du
oustier. Quitte des combats, Jupiter eut d’autres soucis. Prométhée,
fils
de Japhet, l’un des Titans, ayant fait quelques s
nière plus violente. Dans la suite, Saturne ayant été détrôné par son
fils
Jupiter, en fut traité comme il avait traité son
u, avec cette épitaphe : Ci-gît Zan, qu’on nommait Jupiter. Erès, son
fils
, lui succéda. Jupiter garda pour lui les pays ori
ival et son ami, périt comme lui victime de sa témérité. Cet athlète,
fils
de Nicias, de Scotuse en Thessalie, avait une tai
tait d’une seule main un chariot attelé de plusieurs chevaux. Darius,
fils
d’Artaxercès, fut curieux d’être témoin de sa for
, avant que, sous la forme de l’aigle, ce dieu n’eût enlevé Ganymède,
fils
de Tros, troisième roi de Troyes, pour en faire s
n front était couronné de lis et de roses. Vulcain Vulcain,
fils
de Junon, repoussé si impoliment du ciel à sa nai
s, parce qu’ils n’avaient qu’un œil au milieu du front. Les Cyclopes,
fils
du Ciel et de la Terre, et, selon d’autres, de Ne
voraient les hypocrites. Mars Mars, dieu de la guerre, était
fils
de Junon seule. Cette déesse, jalouse de ce que J
on ressentiment. Voulant tirer vengeance de la mort d’Ascalaphus, son
fils
, tué au siége de Troyes, le dieu se rendit en arm
nsemble un grand différend. Mars, accusé du meurtre d’Hallirrhothius,
fils
de Neptune, comparut devant les douze dieux, plai
ce qui se passait, et courut en avertir Vulcain. Celui-ci tendit des
fils
imperceptibles autour de Mars et de Vénus ; ensui
ient. Numa Pompilius les institua au nombre de douze. Il fallait être
fils
de praticiens, ayant père et mère, et être jeune
le palais de Niobé, et tuèrent sous ses yeux, à coups de flèches, ses
fils
, ses filles et son époux. Ils n’épargnèrent que l
te sous la figure d’un jeune homme sans barbe. Jupin est vieux ; son
fils
de la jeunesse, Malgré le temps, a conservé les t
Apollon banni du ciel. Apollon inventa la médecine. Esculape, son
fils
, avait fait de tels progrès dans l’art de guérir,
son père et du centaure Chiron, qu’il ressuscita le jeune Hippolyte,
fils
de Thésée, qu’un monstre marin avait mis en pièce
re son autorité, le foudroya. Apollon, au désespoir de la mort de son
fils
, et ne pouvant se venger de Jupiter, vole â l’île
ensa le maître des dieux ; oubliant la tendresse qu’il avait pour son
fils
, il le bannit du ciel, et le priva pour un temps
obé. Qui le croirait ? dépouillé de ses honneurs, de sa puissance, le
fils
de Latone trouva dans la vie champêtre et paisibl
tua le roi, mit la ville à feu et à sang, et emmena prisonnier Priam,
fils
de Laomédon. Apollon remonte dans l’Olympe.
les Arabes ; les Egyptiens sous celui d’Osiris et celui d’Horus, son
fils
; les Ammonites et les Chananéens, sous celui de
leux. Voici entre autres choses ce que la fable nous apprend d’Orion.
Fils
des dieux, il naquit sans mère. Jupiter, Neptune
es lui donnent pour sœur, Phaéton, Aétès, Pasiphaé, Circé. Esculape,
fils
d’Apollon et de la nymphe Caronis, fut mis de bon
mais le maître des dieux voulant consoler Apollon de la perte de son
fils
qu’il regrettait vivement, reçut Esculape dans le
on en fit un astre nommé Ophieus ou Serpentaire. Esculape laissa deux
fils
, Mochaon et Podalire, qui suivirent les Grecs à l
es. Les plus habiles médecins de l’antiquité passaient aussi pour ses
fils
. Esculape fut particulièrement honoré à Epidaure,
urité de la nuit. L’Aurore, dit la fable, éprise d’amour pour Tithon,
fils
de Laomédon, roi de Troyes, et frère de Priam, l’
endre ses fonctions, Jupiter fit naître, des cendres du bûcher de son
fils
, des oiseaux appelés de son nom Memnonides. Pour
causa des ennuis plus cuisans par sa téméraire présomption. Epaphus,
fils
de Jupiter et de la nymphe Io, lui ayant reproché
s de Jupiter et de la nymphe Io, lui ayant reproché qu’il n’était pas
fils
du Soleil, il alla se plaindre à sa mère, Clymène
Dieux ! Je frémis ! que vois-je ? ô dieux ! Tremblez pour votre
fils
, ambitieuse mère ! Où vas-tu, jeune témérair
lance du nom. Une semblable métamorphose a eu lieu aussi à l’égard du
fils
d’Hirée, et d’un autre Cygnus, fils de Neptune, q
hose a eu lieu aussi à l’égard du fils d’Hirée, et d’un autre Cygnus,
fils
de Neptune, qu’Achille a tué. Pasiphaé P
remier moteur et première source de la divination, avait laissé à son
fils
le soin d’inspirer les prophètes. Pour consulter
naître, se sont mêlées de prédire l’avenir. Laocoon Laocoon,
fils
de Priam et d’Hécube, était prêtre d’Apollon et d
s vont droit à l’autel où sacrifiait Laocoon, s’élancent sur ses deux
fils
et les étouffent ; puis, saisissant Laocoon lui-m
droit au grand-prêtre ; et leur corps tortueux D’abord vers ses deux
fils
en orbe se déploie, Dans un cercle écaillé saisit
ourse. Long-temps après, comme elle errait dans les bois, Arcas, son
fils
qui la rencontra, allait la percer d’un dard ; ma
naufrage sur ces côtes. Bacchus Bacchus, dieu du vin, était
fils
de Jupiter et de Sémélé. Les poètes racontent ain
’à ce qu’Ulysse vint l’en tirer. Silène était alors accompagné de ses
fils
, les Silènes, et cherchait sur mer Bacchus qu’il
prouvèrent les effets de son courroux. Penthée, roi de Thèbes, était
fils
d’Echion et d’Agave ; il succéda à Cadmus, son gr
Les Ménéides, ou filles de Minée, refusaient à Bacchus le titre de
fils
de Jupiter. Elles affectèrent de travailler à des
erce, etc. Dans la suite, toutes ces qualités sont attribuées au seul
fils
de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas, lequel vit
a chronologie, ont confondu plusieurs Mercure en un seul : le Mercure
fils
de Maïa et petit-fils d’Atlas, régna après Jupite
t une nymphe de la suite de Vénus. Cette déesse, se trouvant avec son
fils
dans un endroit charmant, tapissé de fleurs, se v
pita dans la mer, et périt. Cupidon ou l’Amour Cupidon était
fils
de Vénus et de Mars. A peine eut-il vu le jour, q
our le soustraire aux desseins funestes du maître des dieux, prit son
fils
dans ses bras, et faible encore, elle se traîna a
ins étaient plaisirs pour elle ; Les soins de mère sont si doux ! Son
fils
jouait sur ses genoux, Ou bien pendait à sa mamel
se de la volupté. Vénus fut si jalouse de ce qu’elle avait charmé son
fils
, qu’elle la persécuta jusqu’à la faire mourir. Ju
donna l’immortalité en faveur de l’Amour. Neptune Neptune,
fils
de Saturne et de Rhée, frère de Jupiter et de Plu
es ; de l’autre elle portait sur ses genoux le petit dieu Palémon son
fils
, pendant à sa mamelle ; elle avait un visage sere
riton, qui, selon toute apparence, a donné son nom aux autres, fut le
fils
aîné et le favori de Neptune. Les uns lui donnent
ans ses états. Le bon accueil qu’il leur fit engagea Calaïs et Zétès,
fils
ailés de Borée de le défaire de ces monstres.
ilés de Borée de le défaire de ces monstres. Nymphes. L’Océan,
fils
de Neptune et d’Amphitrite, est regardé comme le
mais, ayant appris du destin que cette nymphe donnerait le jour à un
fils
qui serait plus grand et plus illustre que son pè
ret de se soustraire aux dangereuses Syrènes. Protée Protée,
fils
de l’Océan et de Téthys, avait la garde des troup
ns. Surprise d’une telle violence, elle s’échappa avec Mélicerte, son
fils
, qu’elle tenait dans ses bras, et se précipita da
dre, auquel les pilotes adressaient leurs vœux dans la tempête, était
fils
de Neptune et père de Méduse. Chassé par Atlas de
Crète, vint mettre le siége devant Mégare pour venger la mort de son
fils
Androgé. Scylla, fille de Nisus, roi des Mégarien
dieux marins, Eole, arbitre de la mer, tient un rang distingué. Eole,
fils
d’Hippotas, descendait de Deucalion. Sa grande sa
otas, descendait de Deucalion. Sa grande sagesse l’a fait passer pour
fils
de Jupiter. Il présidait aux vents et aux tempête
n sacrifice. Les Vents. Les Vents, divinités fougueuses, étaient
fils
du titan Astrée et de l’Aurore. Les poètes leur d
es, étaient la cause des vents ; c’est pourquoi quelques-uns les font
fils
du Ciel et de la Terre. Quand on entreprenait que
phes avaient enlevé. Pluton, Proserpine, Cyane Pluton était
fils
de Saturne et de Cybèle. Dans le partage que fit
Cybèle. Dans le partage que fit Jupiter, Pluton, le dernier des trois
fils
de Saturne, fut le plus mal servi, puisque l’enfe
les trésors dans le sein de la terre ; d’autres prétendent qu’il est
fils
de Cérès et de Jasion, célèbre agriculteur. Cette
it par des cris et des hurlemens épouvantables. Caron Caron,
fils
de l’Erèbe et de la Nuit, était le nautonnier des
au moment où Atropos, passant entre les fileuses, coupe au hasard des
fils
de toutes couleurs. Les Parques, ministres du des
que Mercure les conduisait à leur tribunal. Minos. Minos était
fils
de Jupiter et d’Europe, ou plutôt d’Astérius, roi
vre à Mégère. Rousseau. Rhadamanthe. Rhadamanthe était aussi
fils
de Jupiter et d’Europe. On dit qu’après la mort d
a à Œcalée en Béotie, où il épousa Alcmène. Éacus. Éacus était
fils
de Jupiter et d’Égine, fille d’Asope. Il régna da
ccident. Les poètes confondent Typhon et Titye. Titye Titye,
fils
de Jupiter et de la Terre, énorgueilli de sa tail
onner jamais de repos. Les Danaïdes Danaüs et Egyptus étaient
fils
de Bélus. Egyptus s’empara du royaume qui porte s
Pour savoir s’ils avaient connaissance des choses cachées, il tua son
fils
Pélops, et leur en servit les membres. Les divins
iles sur sa tête. Le Sommeil Les anciens faisaient le Sommeil
fils
de l’Erèbe et de la Nuit, et frère de la Mort et
nes, une des plus considérables parmi les divinités champêtres, était
fils
de Mercure. Il avait la tête, les pieds, la barbe
rcisse Ce jeune homme, dont la beauté a fait tant de bruit, était
fils
du fleuve Céphise et de Liriope nymphe de la mer.
ens consacraient cette fleur aux Euménides. Aristée Aristée,
fils
d’Apollon et de la nymphe Cyrène, apprit des nymp
, qu’elles croyaient cause de la mort de cette princesse. Aussitôt le
fils
de Cyrène alla trouver sa mère dans la grotte pro
Picus. — Canente Picus, père de Faune et fameux augure, était
fils
de Saturne, et roi de Lauretanum, en Italie. Ce p
. — Sterculie Faune épousa Fauna, sa sœur. Il en eut d’abord un
fils
nommé Sterculie, de sterculum, qui signifie fumie
le se trouvait heureux sous son règne. Sylvain eut un grand nombre de
fils
, qui tous portèrent son nom. On les confond avec
it aussi son génie. Le Destin Quelques auteurs font le Destin
fils
de la nuit : ils l’appellent Fatum. Cette divinit
Que l’erreur prend pour un bandeau. Lamotte. Momus Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, s’occupait uniquement à
ot de héros du nom de Junon, qui, en grec, s’appelait Héra. Un de ses
fils
se nomma Héros, et ce nom, qu’il illustra par sa
belles actions. Persée, que la fable place au rang des héros, était
fils
de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, pè
Mauritanie, ayant appris de l’oracle qu’il avait tout à craindre d’un
fils
de Jupiter, défendit l’entrée de son palais à tou
e, ne lui étant plus utile, s’attacha à un autre héros. Bellérophon,
fils
de Glaucus, roi de Corinthe, en Achaïe, contraint
déclara son implacable ennemie, et lui donna un rival dans Eurysthée,
fils
de Sthénélus, roi de Mycènes. Jupiter avait juré
ocoon, Laomédon, Lycus, Péryclymène ; il étouffa dans ses bras Antée,
fils
de la Terre, à qui la fable donne soixante-quatre
ait laissé ses flèches trempées dans le sang de l’hydre à Philoctète,
fils
de Pœan et son compagnon de voyage, avec ordre de
Machao, célèbre médecin, guérit sa blessure. Thésée Thésée,
fils
d’Egée, roi d’Athènes, était contemporain d’Hercu
quel il fut enfermé dans la suite pour avoir déplu au roi. Icare, son
fils
, partagea sa disgrâce. Dédale, ennuyé de sa priso
ui portait en Crète leurs victimes. Egée recommanda au pilote, si son
fils
revenait vainqueur, d’attacher au vaisseau des vo
ait reçus ; le bon roi, en apercevait les voiles noires, crut que son
fils
était mort, et il se précipita dans la mer qui po
l épousa leur reine qu’on appelait Hippolyte ou Antiope. Il en eut un
fils
, qu’on nomma aussi Hippolyte. Phèdre, fille de Mi
pénétré de douleur, pria Neptune de venger son injure et de punir son
fils
. Hippolyte était sur le rivage, un monstre marin
astres paraissaient ensemble. Jason et les Argonautes. Jason,
fils
d’Eson, roi d’Iolchos, fut élevé à la cour de Pél
erdis en suivant un ingrat. De la Fosse. Médée eut de ce mariage un
fils
appelé Médus. Pour le faire succéder à son père,
fondation de Troyes. Orphée Orphée, musicien célèbre, était
fils
d’Apollon et de la muse Calliope. On raconte que,
étoiles, dont chaque Muse fournit la sienne. Cadmus Cadmus,
fils
d’Agénor, roi de Phénicie, était frère d’Europe.
oudre ; Ino se précipita dans la mer ; Agave mit en pièces son propre
fils
. Les désastres de cette famille infortunée furent
uvant se résoudre à cet acte barbare, chargea un soldat d’exposer son
fils
; mais cet homme, touché de compassion pour cette
point d’enfant le reçut comme un don du ciel ; elle l’éleva comme son
fils
, et le nomma Œdipe à cause de l’enflure de ses pi
au prince : admirez votre sort ! Le prince vous adopte au lieu de son
fils
mort, Et par ce coup adroit, sa politique heureus
ureuse Affermit pour jamais sa puissance douteuse. Sous le nom de son
fils
vous fûtes élevé Par cette même main qui vous ava
s avait sauvé. Voltaire. Œdipe, devenu grand, sut qu’il n’était pas
fils
de Polybe. Il consulta l’oracle, pour savoir de q
’arracha les yeux et s’exila lui-même, laissant le royaume à ses deux
fils
. Étéocle et Polynice Etéocle et Polynice
me à ses deux fils. Étéocle et Polynice Etéocle et Polynice,
fils
d’Œdipe, désignés par ce prince pour gouverner le
des vaillans capitaines qui s’y trouvèrent. Le dévouement de Ménécée,
fils
de Créon, qui se donna la mort, rendit les dieux
mais elle prévint cet affreux supplice en se donnant la mort ; Hémon,
fils
de Créon, qui était sur le point de l’épouser, se
qui était sur le point de l’épouser, se tua de désespoir. La mort du
fils
causa celle de la mère, et Créon, ne pouvant surv
riminelle audace attira sur ses descendans une foule de maux. Pélops,
fils
de Tantale, quitta la Phrygie, et passa dans le r
t il accepta les conditions. Il sut mettre dans ses intérêts Myrtile,
fils
de Mercure, et cocher d’Œnomaüs. Avant de partir,
e, Atrée en lira une horrible vengeance : il tua secrètement deux des
fils
de Thyeste, et les lui servit à table dans un fes
les lui servit à table dans un festin. Il restait à Thyeste un autre
fils
nommé Egisthe ; dans la suite, Egisthe tua Atrée,
isthe ; dans la suite, Egisthe tua Atrée, puis il poignarda Agamemnon
fils
d’Atrée, lorsque ce roi revint de la guerre de Tr
e, et elle aida même Egisthe à le commettre. Troyes Dardanus,
fils
de Jupiter et d’Electre, après avoir régné en Ita
ace, environ sept cents ans avant la fondation de Rome. Erichthonius,
fils
de Dardanus, eut pour successeur et fils, Tros, q
ation de Rome. Erichthonius, fils de Dardanus, eut pour successeur et
fils
, Tros, qui donna son nom à la ville de Troyes, et
qu’il bâtit à Troyes, et ce nom s’étendit même à la ville. Laomédon,
fils
d’Ilus, bâtit les murailles de cette citadelle, e
en, que l’ouvrage fut attribué à Apollon, dieu des beaux-arts. Priam,
fils
de Laomédon, et qui lui succéda, fortifia la vill
et enleva Hélène, femme de Ménélas. Priam approuva la conduite de son
fils
: il croyait que par un échange, il serait facile
orps qui n’eût pas été trempée dans les eaux du Styx. Ulysse et Ajax,
fils
de Télamon, se disputèrent les armes d’Achille. U
temnestre épousa Egisthe, et lui mit la couronne sur la tête. Oreste,
fils
d’Agamemnon, devait aussi périr ; mais Electre, s
ensuite il prit le gouvernement de ses états. Ulysse Ulysse,
fils
de Laërte, était roi de deux petites îles de la m
ar sa femme Pénélope, modèle de vertu, et par le jeune Télémaque, son
fils
, paraissait n’avoir plus rien à désirer, quand ét
gitif, chargé de ses dieux, de son père, et accompagné d’Ascagne, son
fils
, se rendit à un port de Phrygie peu éloigné du mo
cette reine infortunée ces reproches sanglans : Non, tu n’es pas le
fils
de la mère d’Amour. Non, au sang de Teucer tu ne
soucis dévorans, c’est l’éternel asile ; Véritables vautours, que le
fils
de Japet Représente enchaînés sur son triste somm
nt moqueur. Jupiter résolut d’abolir cette engeance. Il part avec son
fils
, le dieu de l’éloquence ; Tous deux en pèlerins v
s eurent pour enfants Titan et Saturne, ou le Temps. En sa qualité de
fils
aîné, Titan devait hériter de l’empire du monde ;
senta à son époux que cette dernière, et lui donna, à la place de son
fils
, une pierre emmaillotée, qu’il dévora immédiateme
es, et comment l’honoraient-ils ? III. — Jupiter. Jupiter,
fils
de Saturne et de Cybèle, ayant été soustrait par
il eut une guerre redoutable à soutenir contre les Titans ou Géants,
fils
de la Terre, qui se révoltèrent contre son autori
pour enlever le jeune Ganymède, dont il fit son échanson. Prométhée,
fils
de Japet, ayant formé des statues d’hommes avec d
omme, et, pour mettre un terme à leurs débats, Jupiter chargea Pâris,
fils
de Priam, roi de Troie, de décerner le prix de la
rait comme dieu du jour, chargé de guider le char du soleil. Il était
fils
de Jupiter et de Latone : sa mère eut beaucoup à
re ans, en s’exerçant à la musique et à la danse. Apollon avait eu un
fils
nommé Esculape, auquel le centaure Chiron avait e
ement habile dans cette science, qu’il put rendre la vie à Hippolyte,
fils
de Thésée, que ses chevaux effrayés avaient traîn
ts, foudroya le malheureux Esculape12. Apollon, ne pouvant venger son
fils
sur le maître des Dieux, lança ses flèches contre
ville par une inondation, et Apollon dévasta le pays par la peste. Le
fils
de Latone passait pour l’inventeur de la musique
résente-t-on ? VII. — Bacchus. Bacchus, Dieu du vin, était
fils
de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi d’A
e feu au palais de Sémélé, qui périt dans l’incendie. Pour sauver son
fils
, Jupiter le porta dans sa cuisse jusqu’à ce que l
? — Comment le représente-t-on ? VIII. — Mercure. Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, l’une des Pléiades, était
culte ? — Comment la représente-t-on ? X. — Vulcain. Vulcain,
fils
de Jupiter et de Junon, était le Dieu du feu. Il
n ? XI. — Neptune. Neptune, Dieu de la mer, était le deuxième
fils
de Saturne et de Cybèle, et par conséquent le frè
XII. — Pluton. Pluton, Dieu des Enfers, était le troisième
fils
de Saturne et de Cybèle, et le frère de Jupiter e
’appelle aussi Pallas, du nom d’un des Titans qu’elle tua lorsque ces
fils
de la Terre voulurent escalader le ciel. On fait
nce à Pallas en la tirant de son cerveau, voulut de son côté avoir un
fils
qui lui fût propre, et elle mit au monde Mars, qu
sa fille Alcippa était accablée d’outrages par le cruel Hallirothius,
fils
de Neptune. Enflammé de colère, il arracha la vie
ars avec Rhea Silvia, fille de Numitor, roi d’Albe. Aussi le culte du
fils
de Junon était-il plus honoré à Rome que partout
hospitalité généreuse et empressée, elle rendit la santé à son jeune
fils
Triptolème, se chargea du soin de son éducation,
ce que Thémis ? — Comment la représente-t-on ? Plutus. Plutus,
fils
de Cérès et de Jasion, était le Dieu des richesse
n son culte ? — Comment le représentait-on ? Cupidon. Cupidon,
fils
de Vénus, était le Dieu des tendres attachements.
ouse ? — Comment le représente-t-on ? Hymen. Hymen ou Hyménée,
fils
de Vénus, présidait aux mariages. On le représent
à Procris. Aurore épousa Tithon, jeune prince célèbre par sa beauté,
fils
de Laomédon. Dans l’ardeur de son attachement, el
-on ? Chapitre deuxième. Divinités champêtres. Pan. Pan,
fils
de Démogorgon 35, Dieu des bergers et des campagn
e Déesse ? — Comment représentait-on Faune ? Sylvain. Sylvain,
fils
de Faune, était le Dieu des bois et des forêts. A
Chapitre troisième. Divinités maritimes. L’Océan. L’Océan36,
fils
du Ciel et de Vesta, était le Dieu de la mer. Il
t-ce que Téthys ? — Comment la représentait-on ? Nérée. Nérée,
fils
de l’Océan et de Téthys, était un dieu marin qui
Apollon se disputèrent sa main ; mais le Destin ayant déclaré que le
fils
qui naîtrait d’elle serait plus grand que son pèr
ctions ? — Sous quelle forme les représente-t-on ? Éole. Éole,
fils
de Jupiter, était le Dieu des vents, qu’il tenait
uels traits a-t-on coutume de le représenter ? Protée. Protée,
fils
de l’Océan et de Téthys, était chargé de garder d
ylla ? — Comment le représente-t-on ? Tritons. Triton était un
fils
de Neptune ; on a donné son nom aux nombreuses di
oir pour longtemps, et à être chassés de l’Olympe. L’Achéron était un
fils
du Soleil et de la Terre qui avait été changé en
Le Phlégéthon roulait autour du Tartare des ondes enflammées. Caron,
fils
d’Érèbe et de la Nuit, était un vieux nautonier r
uver leur divinité, leur avait servi dans un repas les membres de son
fils
Pélops qu’il avait fait couper par morceaux. Pour
ient constamment aux efforts qu’il faisait pour les saisir. Sisyphe,
fils
d’Éole, qui avait désolé l’Attique par ses brigan
’un roi d’Argos, qui épousèrent le même jour leurs cinquante cousins,
fils
d’Egyptus. Danaüs, père des cinquante princesses,
un char traîné par des chauves-souris. Le Sommeil. Le Sommeil,
fils
de l’Érèbe et de la Nuit, et frère de la Mort, a
apitre sixième. Divinités allégoriques. Le Destin. Le Destin,
fils
du Chaos et de la Nuit, était aveugle. Bien qu’il
à son retour dans sa patrie ? II. — Bellérophon. Bellérophon,
fils
de Glaucus, roi d’Épire44, ayant tué par accident
mment se terminèrent ses aventures ? III. — Hercule. Hercule,
fils
de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes. Junon,
e convenu ; mais celui-ci le tua et fit régner à sa place Philée, son
fils
, qui s’était montré indigné de l’injustice de son
x qui jetait des flammes par les narines, et qui désolait le pays. Le
fils
d’Alcmène le dompta et l’amena enchaîné aux pieds
ré les flammes que ce monstre vomissait. En Libye il rencontra Antée,
fils
de la Terre, géant énorme, qui étouffait sous le
rait de la peau du lion de Némée et s’appuyait sur l’énorme massue du
fils
d’Alcmène. Cependant il se dégagea de cette humil
i reproche-t-on ? — Comment mourut-il ? IV. — Thésée. Thésée,
fils
d’Égée, roi d’Athènes, marcha sur les traces d’He
es Amazones, et épousa leur reine, nommée Hippolyte, qui lui donna un
fils
. Ce qui mit le comble à la gloire de Thésée, ce f
Minos, vainqueur des Athéniens, voulant venger sur eux la mort de son
fils
Androgée54, leur avait imposé l’obligation de lui
loureux. Phèdre se plaignit à lui d’avoir été insultée par Hippolyte,
fils
de la reine des Amazones, sa première épouse ; tr
r cette accusation calomnieuse, le malheureux père invoqua contre son
fils
la colère de Neptune, qui ne se rendit que trop p
orps fut déchiré. Phèdre rendit trop tard témoignage à l’innocence du
fils
de Thésée en se donnant elle-même la mort. Cruell
fin de sa carrière ? — Comment mourut-il ? V. — Jason. Jason,
fils
d’Eson, roi d’Iolchos, fut laissé par son père mo
e prendre part aux fêtes par lesquelles on célébrait le retour de son
fils
; Médée, touchée de ses souffrances, renouvela so
engeance ? — Que devint ensuite Jason ? VI. — Orphée. Orphée,
fils
d’Apollon et de Clio, ou, suivant d’autres, fils
Orphée. Orphée, fils d’Apollon et de Clio, ou, suivant d’autres,
fils
d’Œagre, roi de Thrace, et de Calliope, fut un po
or et Pollux, frères jumeaux et modèles de l’amour fraternel, étaient
fils
de Léda, épouse de Tyndare, roi de Lacédémone, la
el ? — Comment les honorait-on ? VIII. — Cadmus. Cadmus était
fils
d’Agénor, roi de Phénicie. Son père, désolé de la
et comment termina-t-il ses jours ? IX. — Œdipe. Œdipe était
fils
de Laïus, roi de Thèbes ; ce dernier, ayant appri
ppris de l’oracle qu’il devait un jour recevoir la mort de la main du
fils
que Jocaste, sa femme, allait lui donner, saisit
tresse, qui adopta le pauvre orphelin, l’éleva comme s’il eût été son
fils
, et lui donna le nom d’Œdipe, composé de deux mot
et la prédiction suivant laquelle il devait mourir de la main de son
fils
se trouva ainsi accomplie. Parvenu à Thèbes, Œdip
toute l’horreur de sa destinée ; il apprit en même temps qu’il était
fils
de Laïus, et que c’était son père qu’il avait com
se fixa, et où il fut englouti dans un tremblement de terre. Ses deux
fils
, Étéocle et Polynice, qui s’étaient emparés du po
apper dans sa vieillesse ? — Quelle fut la fin de sa vie ? — Ses deux
fils
ne lui succédèrent-ils pas ? — Comment mourut Ant
s pas ? — Comment mourut Antigone ? X. — Pélops. Pélops était
fils
de Tantale, roi de Phrygie66 ; ce dernier, ayant
e, et voulant éprouver leur divinité, leur offrit à manger son propre
fils
Pélops, qu’il avait coupé par morceaux et accommo
é dans ces jeux, et il avait des chevaux si rapides, qu’on les disait
fils
du Vent. En outre, les prétendants qui succombaie
s du Bosphore de Thrace, avait été fondée par Dardanus. Erichthonius,
fils
de ce prince, eut pour successeur son fils Tros,
ar Dardanus. Erichthonius, fils de ce prince, eut pour successeur son
fils
Tros, qui donna son nom à la ville de Troie, et c
ille de Troie, et celui de Troade à toute la contrée. Ilus, un de ses
fils
, donna à une citadelle qu’il avait bâtie le nom d
le nom d’Ilion, qui s’étendit bientôt à la ville elle-même. Laomédon,
fils
d’Ilus, construisit les murailles de la place, qu
ise, Hercule saccagea la ville, tua le roi et emmena en esclavage son
fils
Priam. Ce jeune prince avait été depuis racheté p
crète en une guerre ouverte. Elle ne tarda pas à se présenter. Pâris,
fils
de Priam, était venu en Grèce pour réclamer sa ta
pleins de bravoure, au premier rang desquels il faut placer cinquante
fils
que Priam avait eus de différentes femmes, et don
guerre de Troie ? — Comment mourut-il ? Achille. Achille était
fils
de Pélée, roi de la Phthiotide, en Thessalie ; po
d’y tremper le talon par lequel elle le tenait, et c’est pourquoi son
fils
pouvait être blessé dans cette partie du corps. L
iter cette dernière destinée. Thétis, instruite par le destin que son
fils
périrait devant Troie, voulut l’empêcher de se jo
et les larmes du vieux Priam, et lui rendit le corps défiguré de son
fils
. Dans la dernière année du siége de Troie, Achill
rut-il ? Ulysse. Ulysse, roi d’Ithaque72 et de Dulichium, était
fils
de Laerte et d’Anticlée. Au moment où commença la
e de son père ; Ulysse se trahit par le soin qu’il mit à épargner son
fils
, et, voyant ainsi sa ruse dévoilée, il fut obligé
ce, déterminer les autres chefs à lui adjuger le précieux héritage du
fils
de Thétis. Après l’issue de la guerre de Troie, i
qui servit plus tard à attacher son cadavre au char d’Achille, et le
fils
de Priam donna au guerrier grec une épée avec laq
jet. La jacinthe naquit, dit-on, de son sang. Il y eut un autre Ajax,
fils
d’Oïlée, célèbre par son adresse dans les exercic
ut-il ? — Qu’était Cassandre ? (Voyez la note.) Nestor. Nestor,
fils
de Nélée et de Chloris, avait seul échappé au mas
t se distingua-t-il au siége de Troie ? Philoctète. Philoctète,
fils
de Pœan, fut le compagnon d’Hercule ; au moment d
troyens. Priam. Lors de la prise de Troie par Hercule, Priam,
fils
du roi Laomédon, fut emmené captif en Grèce avec
s fut-il frappé pendant ses dernières années ? Hector. Hector,
fils
aîné de Priam et d’Hécube, épousa Andromaque, don
de paraître à la tête des troupes couvert des armes et des habits du
fils
de Pélée ; cette ruse réussit, et à la vue de ces
ter aux larmes et aux prières de Priam, et lui rendit le corps de son
fils
. Questions. Qu’était Hector ? — Par quels ex
e de Troie ? — Comment mourut-il ? Pâris. Pâris était l’un des
fils
de Priam. Avant sa naissance, sa mère Hécube alla
ar son adresse et sa vigueur sur tous ses concurrents et même sur les
fils
du roi. Hector, furieux de se voir vaincu par un
ent critique Pâris se fit reconnaître par des signes certains pour le
fils
de Priam. Reconnu par sa famille et admis aux hon
conduite durant le siége de Troie ? Enée. Enée, prince troyen,
fils
d’Anchise et gendre de Priam, est surtout célèbre
sur ses épaules son père et ses Dieux Pénates, tenant par la main son
fils
Ascagne, et suivi de sa femme Créuse, qu’il perdi
gereux ennemis de l’État. Cléobule, né à Lindes, en Carie, était le
fils
de l’historien Evagoras. Il était considéré comme
démone, sa patrie. On rapporte qu’il mourut de joie en couronnant son
fils
, vainqueur aux jeux olympiques. Ses maximes favor
e sacrée, et Deucalion nous rappelle exactement Noé. La tentative des
fils
de la terre pour escalader le ciel ne rappelle-t-
ixer sa résidence. Plusieurs auteurs confondent Mercure avec Chanaan,
fils
de Cham, qui fut le serviteur de ses frères. Dans
’on raconte du conquérant des Indes. Apollon, c’est évidemment Horus,
fils
d’Osiris, que les Égyptiens confondaient avec le
de plusieurs auteurs, Pluton doit être regardé comme le même que Sem,
fils
de Noé, comme Jupiter et Neptune représentent Cha
des oranges. Ainsi peuvent s’expliquer toutes les fables relatives au
fils
d’Alcmène ; certaines parties de sa vie peuvent f
r où les Grecs établirent leurs relations avec le Pont-Euxin. Orphée,
fils
d’un roi de Thrace, fut élevé en Égypte, et ce fu
avec de la cire et des plumes il forma des ailes pour lui et pour son
fils
, et trouva ainsi moyen de traverser les airs. Ce
de traverser les airs. Ce ne fut qu’en tremblant qu’il encouragea son
fils
à le suivre dans cette route nouvelle ; et en eff
e en fut tellement irritée, qu’elle fit tuer par ses enfants les sept
fils
et les cinq filles de Niobé ; cette dernière fut
tés ont laissées sous la domination des Turcs. 78. Célèbre médecin,
fils
d’Esculape ; il mourut devant Troie. 79. Pyrrhu
bre médecin, fils d’Esculape ; il mourut devant Troie. 79. Pyrrhus,
fils
d’Achille et de Déidamie, se distingua beaucoup a
au d’Achille, et emmena en Épire Andromaque, veuve d’Hector, avec son
fils
Astyanax. 80. Ville de l’Afrique propre des anc
ourcils Qui font trembler les cieux sur leurs pôles assis2. Il était
fils
de Saturne et de Rhée. Saturne exilé des parvis c
d’Argos, qui avait appris de l’oracle qu’il serait mis à mort par un
fils
de sa fille. Le fils de Jupiter et de Danaé fut l
ppris de l’oracle qu’il serait mis à mort par un fils de sa fille. Le
fils
de Jupiter et de Danaé fut le héros célèbre sous
r dans l’île de Sériphe, dont le roi secourut Danaé et fit élever son
fils
. Nous étudierons l’histoire de Persée lorsque nou
dant Agénor n’ayant aucune nouvelle de sa chère Europe, ordonna à ses
fils
de parcourir la terre pour la trouver. Cadmus dir
avait la garde de ce lieu. Pour venger la mort de ses compagnons, le
fils
d’Agénor tua le monstre, et, par l’ordre de Miner
avec laquelle Junon se vengeait des infidélités de son époux. Pâris,
fils
de Priam, roi de Troie, gardait les troupeaux sur
pour se venger de son indifférence, il lui proposa d’épouser Vulcain,
fils
de Junon, qui avait la direction des Cyclopes occ
s de Vénus, Mars obtint le premier rang. Cupidon est regardé comme le
fils
de Mars et de Vénus ; il eut pour frère Antéros o
erre. Un jour, dans une forêt de Syrie, elle aperçut le jeune Adonis,
fils
de Cynire ; et elle oublia auprès de lui tous les
vait porté sur ses épaules à travers l’incendie de la ville, avec son
fils
Iule, et quelques amis courageux. Sa femme Créuse
non le poursuivit de toute sa colère ; car elle voulait venger sur le
fils
le triomphe que la beauté de la mère avait obtenu
é de la mère avait obtenu sur la sienne dans le jugement de Pâris. Le
fils
de Vénus fut poussé par les tempêtes sur les côte
, mais le Destin, maître des dieux et des hommes, avait décidé que le
fils
de Vénus irait fonder la ville de Rome. Didon fut
n beaux vers les aventures d’Énée. Les Romains, fiers de descendre du
fils
de Vénus, accueillirent l’Énéide avec les transpo
tre honorée : c’est de cette île qu’elle prit le nom de Cythérée. Son
fils
Énée lui avait élevé sur le mont Éryx, en Sicile,
auté, l’Amour se mêlait parmi elles. Rarement Vénus marchait sans son
fils
; c’est de lui qu’il faut nous occuper maintenant
our, et qui lui prodiguent le nectar. Cet enfant gâté de l’Olympe est
fils
de Vénus et de Mars : c’est l’Amour que l’on appe
plus malheureuse des femmes… Enfin la colère de Vénus s’apaisa ; son
fils
, son aimable fils, obtint le pardon de Psyché. Il
des femmes… Enfin la colère de Vénus s’apaisa ; son fils, son aimable
fils
, obtint le pardon de Psyché. Il voulut qu’un hyme
gure est riante ; des cheveux blonds tombent sur ses épaules : il est
fils
de Bacchus et de Vénus. Sa tête est souvent couro
pollon du Belveder. Niobé, fille de Tantale, roi de Lydie, avait sept
fils
et sept filles, qui lui inspirèrent tant d’orguei
la médecine, il surpassa bientôt son maître, et ressuscita Hippolyte,
fils
de Thésée, à la prière de Diane, qui connaissait
imprévue interdit la lumière15. Hippolyte n’était pas le seul que le
fils
d’Apollon eût ressuscité. Au moyen du sang de la
, à Lycurgue, roi de Mémée, à Ériphyle, femme d’Amphiaraüs, à Glacus,
fils
de Minos roi de Crète, et à Tyndare, roi de Spart
nt, symbole de la Prudence. Apollon, inconsolable d’avoir vu son cher
fils
foudroyé par Jupiter, s’en vengea en perçant de s
âne. Ce roi, célèbre par son mauvais goût et par ses oreilles, était
fils
de Gorgias, et roi de Phrygie. On dit que Bacchus
lège si incommode. Apollon trouva dans Marsyas, berger de Phrygie, et
fils
d’Olympus, un rival redoutable dans l’art de char
le vaincu recevrait la punition que le vainqueur lui infligerait. Le
fils
de Latone, couronné par les Nymphes, attacha Mars
élevé. Apollon changea Cyparisse en cyprès. Arrivé dans la Troade, le
fils
de Latone rencontra Neptune, dieu des mers, que J
er à Vénus. Fier de ses avantages, il fut indigné d’entendre Épaphus,
fils
d’Io, nier qu’il dût le jour au fils de Latone. P
fut indigné d’entendre Épaphus, fils d’Io, nier qu’il dût le jour au
fils
de Latone. Phaéton ne put cacher à sa mère la dou
lui donner une preuve irrécusable de l’honneur qu’il avait d’être le
fils
du dieu de la lumière. Phaéton arrive dans le pal
l’Hiver aux cheveux de neige hérissés17. Apollon tend les bras à son
fils
, l’embrasse, et jure par les eaux du Styx de lui
, qui met fin à ces désastres en foudroyant le malheureux Phaéton. Le
fils
d’Apollon tomba dans l’Éridan, aujourd’hui appelé
é ; mais il la perdit peu de temps après l’hyménée. Le jeune Aristée,
fils
d’Apollon et de Cyrène, dont nous venons de parle
’hui vaines ombres, Des vierges que l’Hymen attendait aux autels, Des
fils
mis au bûcher sous les yeux paternels, Victimes q
sance du dieu de Paphos. Le premier objet de sa tendresse fut Tithon,
fils
de Laomédon, roi de Troie, et de Strymo, fille du
se faisait gloire, fut quelquefois portée jusqu’à la cruauté. Actéon,
fils
de Cadmus, fondateur de Thèbes, se livrait à la c
e point souiller l’onde où elle se baignait. La triste Calisto eut un
fils
nommé Arcas, et qui dans la suite donna son nom à
ée, la changea en ours. Sous cette nouvelle forme, elle rencontra son
fils
Arcas, qui ne pouvant la reconnaître, et redoutan
le animal, allait la percer de ses traits, lorsque Jupiter changea le
fils
et la mère en étoiles. Mais Junon, toujours ennem
éprouva les plus tendres sentiments pour le jeune chasseur Endymion,
fils
d’Ethlius, roi d’Élide, et qu’elle le visitait du
ée M. Girodet, lorsqu’il a composé le beau tableau où nous voyons le
fils
d’Ethlius endormi, el Zéphire écartant le feuilla
le monde nous offre quelquefois des exemples. Mercure. Il était
fils
de Jupiter et de Maïa, l’une des sept filles d’At
ont le contact décèle la qualité des métaux. Le reste de l’enfance du
fils
de Maïa fut employé à jouer de pareils tours aux
ent été auparavant. Quelque nombreuses que fussent les occupations du
fils
de Jupiter et de Maïa, il ne laissa pas d’avoir q
ous la figure de Mentor, elle sut développer l’ame du jeune Télémaque
fils
d’Ulysse, et le conduire à la vertu par l’essai d
’en abstint aussi, parceque son père Philippe lui avait dit : « O mon
fils
! n’avez-vous pas de honte de jouer si bien de la
le plaisir nouveau d’en devenir l’effroi23. » Persée. Persée,
fils
de Jupiter et de Danaé, se rendit en Libye pour c
ntôt s’abat sur le dragon qui s’élançait sur le rivage, et le tue. Le
fils
de Jupiter épousa la belle Andromède ; mais, vers
la fleur de l’âge ; et le courage impétueux brille dans ses regards.
Fils
de Jupiter et de Junon, il a la majesté de l’un e
Mars fut aimé de Vénus, et que l’Amour et le contre Amour furent ses
fils
. Pour n’être point surpris dans les visites qu’il
ours en guerre, étaient fiers de compter parmi leurs premiers rois un
fils
du dieu des combats ; ils élevèrent à ce dieu plu
arrivée de ce dieu, connu en Grèce sous le nom de Dionysius. Il était
fils
de Jupiter et de Sémélé ; cette princesse était f
dmise dans l’Olympe. Pour se soustraire aux persécutions de Junon, le
fils
de Sémélé parcourut presque toute l’Asie à la têt
ée dans l’île de Naxos pour suivre Phèdre sœur de cette princesse. Le
fils
de Sémélé fit présent à son épouse d’une couronne
t son séjour dans l’île de Crète, Cérès, devenue amoureuse de Jasion,
fils
de Jupiter et d’Électre, l’une des Atlantides, se
la Fortune. La Fortune. Elle était fille de l’Océan : comme le
fils
de Cérès, elle avait un bandeau sur les yeux ; qu
s dieux de l’Olympe. Quoi qu’il en soit, Vulcain fut regardé comme le
fils
de Junon. Nous avons vu, dans l’histoire de cette
de Junon. Nous avons vu, dans l’histoire de cette déesse, comment son
fils
ayant voulu rompre la chaîne à laquelle Jupiter l
chargea de ce travail difficile. Prométhée. Pandore. Prométhée,
fils
de Japet un des Titans, avait formé les premiers
ce échappa Prométhée ; Il frémit en voyant la Terre inhabitée, Et ses
fils
malheureux à jamais engloutis, Replongés dans les
eux filets de pourpre est déjà séparée. Il semble en ce moment que le
fils
de Japet, Rival de la nature, ait surpris son sec
sans peur, ne fut pas toujours sans reproche. Hercule. Il était
fils
de Jupiter et d’Alcmène, fille d’Électryon, roi d
ssait, envoya dans son berceau deux gros serpents pour le dévorer. Le
fils
de Jupiter, se levant, sur ses pieds, saisit les
ent. Eurysthée ordonna d’abord à Hercule de tuer le lion de Némée. Le
fils
de Jupiter l’assomma avec sa massue, et l’ayant c
de manière qu’on lui voyait six bras, six cuisses, et six jambes. Le
fils
d’Alcmène fut aussi chargé d’enlever les pommes d
ntique Ibérie, Dans ces riches vallons, sur les bords de ces eaux, Le
fils
d’Alcmène avait amené ses troupeaux : Du triple G
aire De son infame vol écartaient le soupçon. Enfin, las du repos, le
fils
d’Amphitryon Se prépare à mener sur de lointains
qu’il la donnerait à celui qui tirerait de l’arc mieux que lui et ses
fils
, il se présenta, eut l’avantage sur eux tous, et
on père ; mais il trouva un rival redoutable dans le fleuve Achéloüs,
fils
de l’Océan et de Thétys, qui était épris des char
rent de fleurs et de fruits, et en formèrent la corne d’Abondance. Le
fils
d’Alcmène, après le combat, épousa Déjanire. Lors
oitié cheval, et qu’aucun mortel ne pouvait atteindre à la course, le
fils
d’Alcmène lui lance un trait, l’atteint, et le co
ssus lui avait donnée en mourant. Avant de commencer le sacrifice, le
fils
d’Alcmène se vêtit de cette tunique ; mais à pein
attache à l’humanité ; Le ciel ouvert attend une divinité : Le
fils
d’Alcmène est en poussière ; Le fils de Jupiter d
attend une divinité : Le fils d’Alcmène est en poussière ; Le
fils
de Jupiter dans l’Olympe est monté31. Jupiter en
e ; Le fils de Jupiter dans l’Olympe est monté31. Jupiter enleva son
fils
dans le séjour des dieux, sur un char traîné par
ge, on distingue Hercule, Pirithoüs, Orphée, Bacchus, Ulysse, et Énée
fils
de Vénus. Énée est le dernier qui, vivant, ait vu
t donner les idées les plus exactes sur ces contrées souterraines. Ce
fils
de Vénus, conduit par les Destins en Italie, où i
unir du rameau d’or qui brillait sur un chêne de la forêt voisine. Le
fils
de Vénus vit ce rameau s’offrir de lui-même à sa
es Harpyes : ces derniers monstres avaient été engendrés par Thaumas,
fils
de la Terre, et par Électre, fille de l’Océan. Il
lo, Ocypéto, et Céléno. Ces monstres exhalaient une odeur infecte. Le
fils
de Vénus, effrayé à l’aspect de tant d’êtres affr
les coupables, Le sifflement des fouets dont l’air au loin gémit. Le
fils
des dieux s’arrête, il écoute, il frémit35. Bien
à, sont les Titans qui osèrent assiéger les dieux dans l’Olympe ; les
fils
d’Aloée qui, dès l’âge de neuf ans, leur déclarèr
s dieux qu’il reçut chez lui, leur servit à souper les membres de son
fils
Pélops. Ce monstre voit toujours autour de lui de
observons d’abord Pluton, monarque de ce séjour. Pluton. Il est
fils
de Saturne et de Rhée, et frère de Jupiter et de
flexibles, Minos, Éaque, et Rhadamanthe. Minos et Rhadamanthe étaient
fils
de Jupiter et d’Europe, fille d’Agénor. Le premie
ger tous les mortels précipités dans l’empire de Pluton. Minos eut un
fils
de son nom, et qui montra moins de sagesse que lu
ible ? « Je crois voir de tes mains tomber l’urne terrible. » Éaque,
fils
de Jupiter et d’Égine, fut un roi de la Grèce qui
lottante ; L’oreille est suspendue à sa lyre touchante ; Et, sur sept
fils
divins où résonnent sept tons, Son doigt léger pa
rmi ces ombres heureuses. Le vieillard, aimé des dieux, annonce à son
fils
sa gloire future et celle de ses descendants ; en
s merveilleux. Les plus anciennes divinités des eaux étaient l’Océan,
fils
du Ciel et de la Terre ; il épousa Téthys, grande
ait à leur tendre des pièges. Nérée fut un des premiers dieux marins,
fils
de l’Océan et de la Terre : il épousa Doris, fill
la chevelure et la barbe bleuâtres. Neptune. Lorsque les trois
fils
de Saturne, Jupiter, Neptune, et Pluton, se parta
de toutes les divinités qui composaient sa cour. Le jeune Télémaque,
fils
d’Ulysse, fut frappé de ce spectacle merveilleux,
ues, de l’autre elle portait sur ses genoux le petit dieu Palémon son
fils
, pendant à sa-mamelle : elle avait un visage sere
ts. Le mont Atlas, au nord de l’Afrique, fut autrefois un des Géants,
fils
de Japet et de Clymène, l’une des Océanides ; il
recevoir, parcequ’un oracle avait prédit qu’il serait détrôné par un
fils
de Jupiter. Le jeune héros, pour se venger de ce
qui n’avait qu’un œil, et qui se nourrissait de chair humaine, était
fils
de Neptune et de la nymphe Thoosa, fille de Phorc
té42. » Ces chants étaient inutiles ; Galatée aimait le berger Acis,
fils
du dieu Faune et de la nymphe Séméthis. Enfin le
ger Narcisse, sans pouvoir lui faire partager sa tendresse. Narcisse,
fils
du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope, ne pou
es dans lesquels ils immolaient un agneau ou une chèvre. Le dieu Pan,
fils
de Mercure et de la nymphe Dryope, était le premi
d’entre eux étaient Notus, Borée, Argestes, et Zéphire ; ils étaient
fils
du géant Typhon. Borée étant devenu amoureux d’Or
milieu des terres ; c’étaient des divinités puissantes : ils étaient
fils
de l’Océan et de Téthys. On les voyait ordinairem
voir tous les ans le père de famille, Rassemblant son épouse, et son
fils
et sa fille, Présenter pour tribut à ces dieux in
née à effrayer les oiseaux et à écarter les voleurs ; c’était Priape,
fils
de Vénus et de Bacchus. Ce dieu naquit à Lampsaqu
par les Grâces, les Grâces suivies de la Persuasion (Suada), l’Amour,
fils
de la beauté, ayant des ailes un bandeau, un flam
de sentiment qui seroit sublime dans ce cas, qu’Atossa ne dit pas mon
fils
vit-il encore ? C’est tout simplement parce qu’un
es fondés sur des superstitions. Uranus. Uranus ou le Ciel,
fils
du Jour et du Chaos ; le plus ancien des Dieux ;
Cybèle. Saturne ou le Temps (que les Grecs appeloient Cronos),
fils
d’Uranus, eut pour femme Rhéa, la même que Cybèle
ptune et Pluton furent sauvés. Par la suite, Saturne, détrôné par son
fils
Jupiter, se réfugia dans cette partie de l’Italie
lle des demi-Dieux et des Héros. Jupiter et Junon. Jupiter,
fils
de Saturne et de Rhéa, épousa Junon sa sœur, détr
éans rebelles, qui s’étoient révoltés contre lui. Il enleva Ganimède,
fils
de Tros, roi de Troie ; ce fut sous la figure d’u
l’empire des eaux à Neptune et celui des enfers à Pluton. Prométhée,
fils
de Japet et frère d’Epiméthée, ayant fait des hom
e de Crète. Neptune, Amphitrite, Téthis et Thétis. Neptune,
fils
de Saturne et de Cybèle et Dieu des mers, épousa
d’autres, Prométhée, révéla l’oracle des Parques qui déclaroit que le
fils
que Thétis mettroit au monde, seroit plus grand q
mère de 3000 filles, appelées Océanides. Océan, ou Pontus, ou Nérée,
fils
d’Uranus et de Ghé, époux et frère de Téthys, éto
ros les tua. Pluton et Proserpine. Pluton, Dieu des enfers,
fils
de Saturne et de Cybèle, enleva Proserpine, fille
enseigna le chemin à Énée, lorsqu’il descendit aux enfers. Pirithoüs,
fils
du téméraire Ixion, et roi des Lapithes, ne fut p
de sa tête sans y pouvoir atteindre ; en punition d’avoir égorgé son
fils
Pélops, qu’il servit à manger aux Dieux. Titie, a
er cette noire énumération sans faire mention de Jalémus ; c’étoit un
fils
d’Apollon, qui éprouva tant d’infortunes, que son
s de l’année sur la terre. Cérès enseigna l’agriculture à Triptolème,
fils
de Céléus, roi d’Eleusis, et de Métanire. On appe
ant. Bacchus. Bacchus, Dieu du vin, conquérant de l’Inde et
fils
de Jupiter et de Sémélé. Cette dernière ayant fai
s, Junon et Minerve pouvoient seules se la disputer. Le berger Pâris,
fils
inconnu alors de Priam, roi de Troie, fut choisi
venue esclave, fut vendue à Lycurgue, roi de Némée, qui lui donna son
fils
Archemore à nourrir ; cet enfant fut laissé par H
èrent Vénus et l’Amour au-delà du fleuve. Ce Typhon étoit un monstre,
fils
de la Terre et du Tartare. Il avoit cent têtes de
rda son gendre pour la reprendre. Harpalice lui fit manger son propre
fils
. Il y eut plusieurs autres Harpalices. Aspasie de
brèrent et la couronnèrent même dans les hommes. Nirée, roi de Naxos,
fils
de Charopus et d’Aglaïa, étoit le plus beau des p
auté singulière, mais lâche et efféminé. Vulcain, Dieu du feu, étoit
fils
de Jupiter et de Junon ; et selon quelques mythol
u’il falloit porter jusqu’au but sans les éteindre. On regarda, comme
fils
de Vulcain, tous ceux qui se rendirent célèbres d
fans. D’autres auteurs disent qu’Albion et Bergion étoient des géans,
fils
de Neptune ; ils attaquèrent Hercule parce qu’il
ser le Rhin, mais Jupiter les accabla d’une grêle de pierres. Brotée,
fils
de Vulcain et de Minerve, se voyant, par sa laide
le monde, se jeta dans le feu du mont Etna. Ericthonius fut un autre
fils
de Vulcain ; peu après sa naissance Pallas le mit
quel la moitié de son corps étoit cachée. Vulcain eut encore un autre
fils
nommé Cœculus : sa mère, assise à côté de la forg
t comme il ne pouvoit les y engager, parce qu’ils ne le croyoient pas
fils
de Vulcain, il invoqua ce Dieu, et l’assemblée fu
s. Les trois premiers Cyclopes, Brontès, Stérope et Pyracmon, étoient
fils
du Ciel et de la Terre, et les autres de Neptune
nymphe. Malgré cette galanterie, la nymphe lui préféra le jeune Acis,
fils
de Faune et de la nymphe Simœthis. Polyphême lanç
Psyché. L’Amour ou Cupidon, que les Grecs nommoient Éros, étoit
fils
de Mars et de Vénus. Il se fit d’abord un arc de
cause de la blancheur de ses rochers. D’autres disent que Leucadius,
fils
d’Icare et frère de Pénélope, ayant eu dans le pa
douleur22. Alcyone, fille d’Eole, fut inconsolable de Céix son mari,
fils
de Lucifer23, qui pour aller retrouver cette épou
à son mari Cyllarus24. Mars. Mars, Dieu de la guerre, étoit
fils
de Junon, qui, en s’asseyant sur une fleur que lu
e plusieurs nymphes. Les Grecs appeloient ce Dieu Arès. Halirrothius,
fils
de Neptune, enleva Alcippe, fille de Mars. Le Die
Le Dieu irrité tua le ravisseur. Neptune, désespéré de la mort de son
fils
, fit appeler Mars en jugement devant un conseil c
outes les fois qu’on déclaroit la guerre. Mercure. Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, et Messager des Dieux. Ce
ant tout ce qu’elles touchoient ; elles tourmentèrent surtout Phinée,
fils
d’Agénor, roi de Phénicie, en punition de ce qu’i
énicie, en punition de ce qu’il avoit fait crever les yeux à ses deux
fils
, sur une fausse accusation de leur belle-mère.
e Dioné, épousa Amphion, roi de Thèbes. Elle en eut douze enfans, six
fils
et six filles ; et fière de sa fécondité, elle se
u sur leurs tombeaux. Apollon. Apollon ou Phébus ou Hélios,
fils
de Jupiter et de Latone, et frère de Diane, étoit
, fille de Pénée, fleuve de Thessalie, fut d’abord aimée de Leucippe,
fils
d’Œnomaüs, qui se déguisa en femme pour approcher
fut aussi malheureux père que malheureux amant. Il eut de Climène un
fils
nommé Phaéton, auquel Epaphus, fils de Jupiter et
ureux amant. Il eut de Climène un fils nommé Phaéton, auquel Epaphus,
fils
de Jupiter et de Io, soutint un jour qu’il n’étoi
Epaphus, fils de Jupiter et de Io, soutint un jour qu’il n’étoit pas
fils
du Soleil. Pour répondre à cette injure d’une man
pliers et leurs larmes en ambre. Esculape, Dieu de la médecine, autre
fils
d’Apollon, fut aussi foudroyé par Jupiter27. Apol
ns cette occasion, Hercule le tua et donna Hésione à Télamon. Cycnus,
fils
d’Apollon et de la nymphe Thyria ou Hyria, désesp
le tua ; il le métamorphosa en la fleur qui porte ce nom. Cyparisse,
fils
d’Amiclée, ou selon d’autres, de Télèphe, étoit l
s sur la tête, monument de leur victoire sur les Sirènes33. Thamyris,
fils
de Philammon, célèbre musicien, et d’Argiope, et
t Gérion ; de sorte que Gérion étoit petit-fils de la tête de Méduse,
fils
de Chrysaor et neveu de Pégase. On dit que Pégase
s, les Astres et Lucifer. Elle enleva Tithon, l’épousa et en eut deux
fils
, Émathion et Memnon, roi d’Ethiopie. Leur mort lu
eurs, conjura Jupiter de rendre quelques honneurs à la mémoire de son
fils
, et Jupiter fit sortir de ses cendres une multitu
se livra à la plus vive douleur, l’Aurore l’emmena en Syrie et eut un
fils
de lui. Les anciens représentent l’Aurore vêtue d
a suite Isis épousa Osiris et régna avec lui en Egypte. Elle eut pour
fils
Horus, que l’on confond souvent avec Harpocrate.
tée à la Bibliothèque Impériale. Harpocrate. Dieu Égyptien,
fils
d’Isis et d’Osiris, Dieu du Silence. Les Grecs le
iste point de monumens antiques représentant Thémis. Janus.
Fils
d’Apollon et de Créuse, fille d’Érechtée, roi d’A
fut reçu dans l’Olympe. Elle en eut une fille, nommée Alexiare, et un
fils
appelé Anicétus. A la prière d’Hercule, elle raje
hoses utiles. Pan. Dieu des campagnes et des bergers, étoit
fils
, selon les uns, de Jupiter et de Calisto ; selon
Palès étoit la déesse des bergers et des troupeaux. Faune ou Faunus,
fils
de Picus, fut honoré après sa mort comme un Dieu
énilia, elle prit son nom de la beauté de sa voix. Elle épousa Picus,
fils
de Saturne et roi d’Italie. Elle fut inconsolable
mer). Il y eut une autre Panope qu’Hercule épousa, et dont il eut un
fils
qu’il nomma aussi Panope. Parmi les hommes, Hippo
il eut un fils qu’il nomma aussi Panope. Parmi les hommes, Hippolyte,
fils
de Thésée ; Phrixus, fils d’Athamas ; Phénix, fil
aussi Panope. Parmi les hommes, Hippolyte, fils de Thésée ; Phrixus,
fils
d’Athamas ; Phénix, fils d’Amintor et gouverneur
hommes, Hippolyte, fils de Thésée ; Phrixus, fils d’Athamas ; Phénix,
fils
d’Amintor et gouverneur d’Achille, tous les trois
ue ne sont que des ornemens. Borée. Dieu des Vents du Nord,
fils
d’Astréus et d’Héribée. Il enleva Orythie, fille
ient sur des épis sans les rompre, et sur la mer sans enfoncer. Eole,
fils
de Jupiter et de Mélanipe, est le Dieu des Vents
oit à Lipara, une de ces îles. Aquilon, Vent impétueux du Nord, étoit
fils
d’Eole et de l’Aurore. On n’a pu exprimer dans ce
isées et poussées du même côté. Plutus. Dieu des richesses,
fils
de Cérès et de Jasion. On le dit aveugle comme la
signifie que l’Amour rapproche les extrêmes. Momus. Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit. Dieu de la raillerie et
La Déesse de la gourmandise s’appeloit Adéphagie. Morphée.
Fils
du Sommeil et de la Nuit, le premier des Songes,
érion et Hygée ou Hygiée. Esculape, Dieu de la Médecine, étoit
fils
d’Apollon et de Coronis. Ayant appris l’infidélit
ecins et les botanistes les plus célèbres de la Fable furent : Japis,
fils
de Jasus, le plus intéressant de tous, mérita la
vit Œnone sur le mont Ida, obtint sa tendresse, l’épousa et en eut un
fils
nommé Corythus. Entraîné depuis par la funeste fa
chaon voulut ensuite venger la mort de Nirée et fut tué par Eurypyle,
fils
de Télèphe. Il reçut les honneurs héroïques dans
es dans la Messénie, où son culte fut introduit par Gloncus. Mélampe,
fils
d’Amithaon et de Dorippe, fut charlatan sous deux
nités grecques et romaines, à l’exception d’Isis et d’Harpocrate, son
fils
, divinités égyptiennes ; mais une partie de l’his
ris qui épousa Isis et qui fut assassiné par son frère Typhon. Horus,
fils
d’Isis et d’Osiris, que l’on confond avec Harpocr
’Osiris, que l’on confond avec Harpocrate. Anubis, que les uns disent
fils
de Typhon, et les autres, frère d’Osiris. On le r
d’Osiris. On le représente avec une tête de chien. Apis, roi d’Argos,
fils
de Jupiter et de Niobé, passa en Égypte sous le n
les animaux. L’Oracle avoit ordonné de lui exposer le jeune Alcyonee,
fils
de Diomus ; mais Eurybate entra à sa place dans l
. 14. Serment que les Dieux ne pouvoient rompre. 15. Roi de Thèbes,
fils
d Echion et d’Agavé. 16. La vestale Maxima n’éto
calion. Pyrrha étoit fille d’Epiméthée et de Pandore. Deucalion étoit
fils
de Prométhée. Jupiter, pour punir les hommes de l
dre avec Artémise, femme de Mausole. 21. Il y eut un autre Dardanus,
fils
de Jupiter et d’Électra, fille d’Atlas. Le chagri
épousé en premières noces, Chryse, fille de Pallas, dont il eut deux
fils
, Idéus et Dimas. 22. Rhésus, roi de Thrace, port
uels dépendoient en partie les destinées de Troie. 23. Lucifer étoit
fils
de Jupiter et de l’Aurore ; il fut mis au nombre
fut Chiron, gouverneur d’Achille. 25. Quelques Mythologues font Mars
fils
de Phorcys et de Céto. Mais le plus grand nombre
son histoire à son Arabesque. 28. Il y eut deux autres Cycnus, l’un
fils
de Neptune, qui étoit invulnérable, c’est-à-dire,
in de les faire périr. 34. Quelques Mythologues disent qu’Orphée est
fils
de Calliope et d’Œagre, roi de Thrace. 35. Aris
Orphée est fils de Calliope et d’Œagre, roi de Thrace. 35. Aristée,
fils
d’Apollon et de Cyrène, devint amoureux d Euridic
sur la queue de sou paon oiseau qui lui est consacré. 37. Ganimède,
fils
de Tros, roi de Troie. Jupiter, sous la figure d’
ure d’un aigle, l’enleva et le transporta dans les cieux. 38. Iolas,
fils
d’Iphiclus, neveu d’Hercule, son ami et le compag
an, et la version des Septante le nomme Hellas ou Hellenus, d’Hellen,
fils
de Deucalion qui régna en Phthiotide, pays de la
une preuve suffisante. Ce qu’on sait avec certitude, c’est que Javan,
fils
de Japhet, connu, par les Grecs sous le nom de Ia
s, Argus, Chriosus, Phorbas, Triopas, Sthénélus et Gélanor. Le second
fils
d’Inachus, frère de Phoronée, et qui se nommait É
es. Ils devaient des comptes rigoureux de leur administration. Médon,
fils
de Codrus, exerça le premier cette magistrature,
mer Argalus, Cynortas, Œbalus, Hippocoon, Tyndare ; Castor et Pollux,
fils
de Tyndare et frères d’Hélène ; Ménélas, fils d’A
are ; Castor et Pollux, fils de Tyndare et frères d’Hélène ; Ménélas,
fils
d’Atrée, à qui Hélène porta la couronne ; Oreste,
ène ; Ménélas, fils d’Atrée, à qui Hélène porta la couronne ; Oreste,
fils
d’Agamemnon, et Hermione, fille de Ménélas et d’H
ne, fille de Ménélas et d’Hélène : et enfin le douzième fut Tisamène,
fils
d’Oreste. Ce fut sous le règne de ce dernier que
des royaumes d’Argos, de Mycène et de Lacédémone. Ensuite Eurysthène,
fils
d’Aristodème, monta sur le trône, et commença la
tie des rois de Sparte, que l’on nomma des Agides, à cause d’Agis son
fils
. Déluge de Deucalion. Nous avons déjà dit,
célèbre qui arriva dans la Grèce avant la prise de Troie, fut Pélops,
fils
de Tantale, roi de Lydie. Ce prince, forcé de qui
fois sous Laomédon, son troisième roi, et la seconde fois sous Priam,
fils
de Laomédon, après un siége de dix années. « Cett
es Achille, les Agamemnon, les Ménélas, les Ulysse, Hector, Sarpédon,
fils
de Jupiter, Énée, fils de Vénus, que les Romains
on, les Ménélas, les Ulysse, Hector, Sarpédon, fils de Jupiter, Énée,
fils
de Vénus, que les Romains reconnaissaient pour le
venir ce mot de éros, amour, pour signifier que les héros étaient les
fils
des dieux et des femmes mortelles, ou des déesses
e que le mot héro vient du mot grec héra, que portait Junon. L’un des
fils
de cette déesse s’appelait héro, et son nom fut c
nsible à la tendresse paternelle, fit exposer sur la mer Danaé et son
fils
dans une mauvaise barque, qui, après avoir vogué
et l’on s’apercevra combien l’une et l’autre se ressemblent. Persée,
fils
de Jupiter et de Danaé, naquit dans une tour d’ai
t de l’oracle, qui lui avait prédit que de sa fille Danaé naîtrait un
fils
qui lui ravirait la couronne et la vie. Jupiter,
taire, ne resta que très-peu de temps à Argos. Il engagea Mégapenthé,
fils
de Prœtus, à changer son royaume contre le sien,
Bellérophon et la Chimère. Bellérophon, selon Homère , était
fils
de Glaucus, roi de Corinthe, et petit-fils de Sis
adiction, en démontrant que l’on doit compter deux Minos. Le premier,
fils
de Jupiter Astérius et d’Europe, eut pour frères
e après la mort d’Astérius. Ce prince épousa Ithone, dont il eut pour
fils
Lycaste, qui lui succéda, et une fille nommée Aca
être suspect lorsqu’il est accordé par un historien juif. Minos était
fils
d’une princesse de Phénicie ; il conserva toujour
sse, il mourut dans l’île de Crète ; on écrivit sur sa tombe : Minos,
fils
de Jupiter. Par la suite des temps, les Crétois,
s Myliades, qui, peu de temps après, se nomma Lycie, du nom de Lycus,
fils
de Pandion et frère d’Égée, qui s’y retira. Il ne
mmencemens de Thésée. Après la mort de Minos premier, Lycaste son
fils
lui succéda. Son règne n’eut rien de remarquable.
s lui succéda. Son règne n’eut rien de remarquable. Minos second, son
fils
, le fit bientôt oublier, et se rendit très-célèbr
sonnes les plus considérables de la Grèce. Minos voulut y envoyer son
fils
Androgée. Ce jeune prince remporta tous les prix,
ta tous les prix, et s acquit l’estime et l’admiration générales. Les
fils
de Pallas, frère d’Égée, roi d’Athènes, se lièren
re amitié. Cette union devint suspecte au roi d’Athènes ; Thésée, son
fils
et l’héritier de son trône, n’était point encore
sorte de terreur à Égée : il craignit de voir Minos, persuadé par les
fils
de Pallas, employer ses forces pour le détrôner.
nous apprend que Minos institua des jeux funèbres en l’honneur de son
fils
Androgée. Les Athéniens prisonniers devenaient la
punir Dédale d’avoir favorisé ce prince ; il le fit enfermer avec son
fils
Icare dans le labyrinthe que cet habile homme ava
nnemi, vint aborder dans une île éloignée de la terre ferme : là, son
fils
Icare voulut descendre avec trop de précipitation
a souvent confondus ensemble, il faut remarquer que le premier était
fils
de Jupiter Astérius et d’Europe. Le second était
e premier était fils de Jupiter Astérius et d’Europe. Le second était
fils
de Lycaste et d’Ida, fille de Coribas. Le premier
. Après la mort de Minos second, Deucalion monta sur le trône, et son
fils
Idoménée lui succéda. Ce dernier se distingua bea
dre et d’Hippolyte. Après la mort de Minos second, Deucalion, son
fils
, monta sur le trône de Crète. Thésée lui envoya d
. Cette princesse, en arrivant à Athènes, aperçut le jeune Hippolyte,
fils
de Thésée et de l’amazone Antiope : cette vue suf
rir sans vengeance, elle laissa un billet calomniateur dans lequel le
fils
de Thésée était peint comme le plus coupable des
et désespéré, ne voulant point tremper ses mains dans le sang de son
fils
, l’abandonna au courroux de Neptune. Ce dieu fit
plus haut. Thésée reconnut enfin, mais trop tard, l’innocence de son
fils
; et la fable ajoute qu’Esculape, dieu de la méde
ité. Mélanges historiques sur Thésée. Thésée passait pour être
fils
de Neptune et d’Éthra ; mais il devait le jour à
épée sous un quartier de rocher. Il ordonna à Éthra, si elle avait un
fils
, de ne l’envoyer auprès de lui que lorsque l’enfa
rre et s’emparer de l’épée ; il lui promit de le reconnaître pour son
fils
aussitôt qu’il lui rapporterait ce témoignage de
a croyant combattre l’animal. Éthra, souvent témoin du courage de son
fils
, lui découvrit enfin le secret de sa naissance ;
sseins ; et, sachant que le roi ne le connaissait pas encore pour son
fils
, elle lui inspira des soupçons, et lui persuada d
ut Thésée, renversa la coupe, et déclara publiquement qu’il était son
fils
, et qu’il lui destinait la couronne. Pallas, fils
ent qu’il était son fils, et qu’il lui destinait la couronne. Pallas,
fils
de Pandion, avait des prétentions à ce trône ; il
ut point se trouver à la cour d’Égée dans le temps qu’il reconnut son
fils
, et que les poëtes lui ont attribué des crimes do
illeur ami de Thésée. Ce prince, ayant entendu vanter les exploits du
fils
d’Égée, voulut le connaître et s’essayer contre l
flatté. Il envoya secrètement ses enfans dans l’Eubée, chez Elphénor,
fils
de Chalcodon, et se rendit lui-même au bourg de G
stait à avoir les cheveux coupés très-courts. Thésée eut de Phèdre un
fils
célèbre nommé Démophoon. En allant à la guerre de
numens de sa gloire. Il descendait des rois d’Argos ; il passait pour
fils
de Jupiter et d’Alcmène, épouse d’Amphitryon. « S
ns ; il fut le premier instituteur des jeux olympiques. Le troisième,
fils
de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes, et se r
t à Thèbes que naquit Alcide, le plus illustre des Hercules. Il était
fils
d’Alcmène et d’Amphitryon, descendant de Persée.
a femme, devait succéder au royaume de Mycène et le transmettre à son
fils
Alcide : mais Amphitryon ayant involontairement t
lus alors devint roi de Mycène, et eut pour successeur Eurysthée, son
fils
, qui naquit en même temps qu’Alcide ; de sorte qu
’Hercule. Écartons ses voiles pour revenir à son histoire. Eurysthée,
fils
de Sthélénus, devint roi de Mycène, et fut jaloux
u pour le dévorer, et qu’en les étouffant, il se fit reconnaître pour
fils
de Jupiter. Il donna la chasse à quelques lions d
Hercule entra dans l’Élide, le vainquit, le fit mourir, ainsi que son
fils
Euryte, et donna la couronne à Philée, fils d’Aug
fit mourir, ainsi que son fils Euryte, et donna la couronne à Philée,
fils
d’Augias, parce qu’il avait fait tous ses efforts
tes, jetant des flammes par ses bouches et ses narines ; on le disait
fils
de Vulcain. Hercule voulut établir une colonie da
e fit périr. Cette victoire produisit la fable d’Antée, fameux géant,
fils
de la Terre. Pendant son combat contre Hercule, i
accordant sa fille Déjanire en mariage à Hercule. Ce héros en eut un
fils
nommé Hillius, et passa trois ans à la cour de Ca
s se servirent des mêmes couleurs pour raconter l’histoire d’Alcméon,
fils
d’Amphiaraüs. Ce prince avait tué sa mère ; il co
voulut se faire initier à Athènes dans les mystères Éleusiens. Musée,
fils
d’Orphée, qui présidait à ces mystères, lui repré
vieillard fut la victime de la crédulité de ses filles ; Acaste, son
fils
, poursuivit ses sœurs jusque dans la cour d’Admèt
à le persuader ; il se laissa conduire au camp des Grecs, où Machaon,
fils
d’Esculape, le guérit de sa blessure. On représen
us, roi des Doriens, les reçut favorablement ; il adopta même Hillus,
fils
d’Hercule et de Déjanire. Il témoigna de cette ma
Persée. La couronne de Mycène passa dans la famille de Pélops. Atrée,
fils
de ce prince, était gouverneur de Mycène ; il se
éraclides à sortir du Péloponèse, suivant leur propre traité. Clodée,
fils
d’Hillus, tenta vainement d’y rentrer quelque tem
a vainement d’y rentrer quelque temps après. Aristomaque, l’un de ses
fils
y perdit la vie. Ses trois autres fils, Témènes,
près. Aristomaque, l’un de ses fils y perdit la vie. Ses trois autres
fils
, Témènes, Cresphonte et Aristodème, équipèrent un
lons donner les détails les plus essentiels sur son origine. Athamas,
fils
d’Éolus, et arrière-petit-fils de Deucalion, étai
pris la mort d’Ino ; elle espéra qu’Athamas se ressouviendrait de son
fils
, et recevrait bien ses petits-enfans. Un naufrage
son peuple. Ayant appris qu’Alcimède, femme d’Éson, venait d’avoir un
fils
, il chercha tous les moyens de le faire périr, pa
ort ; on fit même la cérémonie de ses funérailles. Alcimède porta son
fils
sur le mont Pélion, et le remit entre les mains d
dire son nom. Jason répondit avec une noble assurance qu’il était le
fils
d’Éson. Il raconta comment il avait été élevé dan
ie, sachant l’arrivée de son neveu, vint à Iolchos, accompagné de son
fils
Admète ; il envoya chercher ses deux autres fils,
s, accompagné de son fils Admète ; il envoya chercher ses deux autres
fils
, Nélée et Amithaon, qui s’étaient établis dans la
e l’entreprise. Typhis, habile marin, qui passait en conséquence pour
fils
de Neptune, fut choisi pour pilote ; Lyncée, dont
il sera facile de ne pas les confondre ensemble. Phinée avait eu deux
fils
d’une première femme. Idéa, fille de Dardanus, sa
a reconnaissance des Argonautes : ils déterminèrent Calaïs et Zéthès,
fils
de Borée, qui avaient des ailes (c’est-à-dire des
ment équiper quelques vaisseaux, dont il confia le commandement à son
fils
Absyrthe. Onomacrite rapporte dans son poëme, qu
rtis. Pélias, dit Pausanias , était mort pendant leur absence ; son
fils
Acaste engagea ses compagnons de voyage à célébre
tès eut rejoint les Argonautes. Hérodote assure que ce prince et son
fils
y périrent ; ce qui laissa aux Argonautes la poss
uvèrent, sans aucune surprise ni réclamation de la part de ce prince,
fils
de Pélias. L’histoire apprend l’origine de cette
t pas encore assez vengée, elle déchire de ses propres mains ses deux
fils
, Phérès et Mémercus. Épouvantée de tant de crimes
Il apportait avec lui l’épée qui devait le faire reconnaître pour le
fils
d’Éthra et d’Égée. Médée, pour qui rien n’était
sie ; qu’on l’y honora comme un dieu, et qu’après sa mort, Médus, son
fils
, bâtit la ville de Médée en l’honneur de sa mère,
rent par tant de belles actions, qu’ils méritèrent de passer pour les
fils
de Jupiter. Ils eurent pour sœurs Hélène et Clyte
adorait dans ce pays se nommaient Cabires, et passaient pour être les
fils
du Vulcain Égyptien, adoré dans l’Égypte comme le
en tuant Idas. Pollux, dit la fable, était immortel en sa qualité de
fils
de Jupiter ; il pria son père de le faire mourir,
ans l’histoire d’un seul homme les actions de plusieurs. Orphée était
fils
d’Œagre, roi de Thrace, et de la muse Calliope. L
, et de la muse Calliope. L’éclat de ses talens le fit regarder comme
fils
d’Apollon. Musée était son fils. L’application d’
t de ses talens le fit regarder comme fils d’Apollon. Musée était son
fils
. L’application d’Orphée aux matières de religion,
et les autres cérémonies que la Grèce adopta par la suite. Musée, son
fils
, Mélampus et plusieurs autres Grecs après lui, fi
res, déracina les arbres et ravagea les campagnes. Le brave Méléagre,
fils
d’Œnée, rassembla une armée de chasseurs pour att
e Proserpine et Pluton d’envoyer la Mort pour la venger de son propre
fils
. La Discorde féroce et sanguinaire planait alors
danger qui menace ses sujets et sa ville, se jette aux genoux de son
fils
. Les frères de Méléagre joignent leurs supplicati
tison, et le conserva soigneusement, pour prolonger les jours de son
fils
; mais lorsque Méléagre eut tué ses deux oncles q
ns l’instant où elle allait remercier les dieux de la victoire de son
fils
. N’écoutant plus alors que sa bouillante fureur,
chantes ; Labdacus, enlevé par une mort prématurée, ne laissant qu’un
fils
au berceau et entouré d’ennemis ; tel avait été,
été, depuis son origine, le sort de la famille royale, lorsque Laïus,
fils
et successeur de Labdacus, après avoir perdu et r
it un oracle, sera le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Ce
fils
naquit, et les auteurs de ses jours le condamnère
Corinthe, qui l’éleva dans sa cour sous le nom d’Œdipe, et comme son
fils
adoptif. « Au sortir de l’enfance, instruit des d
ynice, qu’il voulait établir sur le trône de Thèbes ; le brave Tydée,
fils
d’Œnée, roi d’Étolie, l’impétueux Capanée, le div
Créon, frère de Jocaste, fut chargé, pendant la minorité de Laodamas,
fils
d’Étéocle, de continuer une guerre qui devenait d
it que suspendre leur perte. Les chefs des Argiens avaient laissé des
fils
dignes de les venger. Dès que les temps furent ar
furent arrivés, ces jeunes princes, parmi lesquels on voyait Diomède,
fils
de Tydée, et Sthénélus, fils de Capanée, entrèren
inces, parmi lesquels on voyait Diomède, fils de Tydée, et Sthénélus,
fils
de Capanée, entrèrent à la tête d’une armée formi
aille, abandonnèrent la ville, qui fut livrée au pillage. Thersander,
fils
et successeur de Polynice, fut tué quelques année
, établie en cette dernière ville, reconnaissait pour chef Agamemnon,
fils
d’Atrée. Il avait joint à ses états ceux de Corin
alité de puissance, la plus terrible des passions meurtrières. Pâris,
fils
de Priam, fut destiné à faire éclore ces semences
ur une satisfaction proportionnée à l’offense ; Priam ne vit dans son
fils
que le réparateur des torts que sa maison et l’As
de Salamine ; de Diomède, d’Argos ; d’Idoménée, de Crète ; d’Achille,
fils
de Pélée, qui régnait dans un canton de la Thessa
était encore protégée par une armée nombreuse, que commandait Hector,
fils
de Priam. Il avait sous lui quantité de princes a
temples réduits en poudre ; Priam expirant aux pieds des autels ; ses
fils
égorgés autour de lui ; Hécube, son épouse ; Cass
, son épouse, qui, quelque temps après, fut massacrée par Oreste, son
fils
. « Ces horreurs, multipliées dans presque tous le
r à élever aussi haut des masses aussi pesantes. Chersiphron et son
fils
ne purent achever ce magnifique ouvrage. D’autres
s la Libye consulter Jupiter Ammon, le prêtre, en le voyant, l’appela
fils
de Jupiter : c’était le seul but de son voyage. L
vinrent en quelque sorte la vanité d’Alexandre, et le saluèrent comme
fils
de Jupiter aussitôt qu’ils l’aperçurent ; mais Al
nduisit lui-même au sanctuaire, lorsqu’elle s’avisa de lui dire : Mon
fils
, tu es invincible. A ces mots, Alexandre s’écria
habilla à la façon des maîtres d’exercice, et conduisit elle-même son
fils
Pisidore à Olympie. Le jeune homme ayant été décl
dessus la barrière, et alla le serrer dans ses bras en le nommant son
fils
. On lui pardonna cette infraction à la loi en con
action à la loi en considération de son père, de ses frères et de son
fils
, qui avaient tous été couronnés à ces mêmes jeux
qu’il né trouvait plus dans sa patrie. Son véritable nom était Frige,
fils
de Fridulphe. Il avait pris celui à Odin, dieu su
ui se trouvaient sur son passage, et leur donnant quelques-uns de ses
fils
pour les commander. C’est ainsi que Suavlami eut
tout le nord ; il soumit le reste du Danemarck, y fit reconnaître son
fils
Sciold en qualité de roi, titre que personne n’y
nom Scioldungiens, Odin, plus satisfait de donner des couronnes à ses
fils
que de régner lui-même, se rendit ensuite en Suèd
érèrent d’un consentement unanime le titre et le pouvoir de roi à son
fils
Yngue et à sa postérité. De là les Ynglingliens,
bonheur et son habileté l’y suivirent ; ce royaume obéit bientôt à un
fils
d’Odin, nommé Sœmungue, qu’on n’a pas manqué de f
e l’union d’Odin avec la Terre. L’Edda l’appelle le plus vaillant des
fils
d’Odin ; et la massue dont il est armé, et qu’il
est la plus superstitieuse des passions. Balder était un autre dieu,
fils
d’Odin, sage, éloquent et doué d’une si grande ma
e Bor, du nom du premier de cette famille, qui était père d’Odin. Les
fils
de Bor tuèrent le géant Ymer, et le sang coula de
, échappa avec toute sa famille. Alors un nouveau monde se forma. Les
fils
de Bor, ou des dieux, traînèrent le corps du géan
céan, sur les rivages duquel ils placèrent des géans. Un jour que les
fils
de Bor, ou des dieux, s’y promenaient, ils trouvè
qu’ils prirent, et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîné des
fils
leur donna l’âme et la vie ; le second, le mouvem
lequel une femelle et un mâle naissent de ses flancs ; cette race des
fils
des dieux, ce déluge, dont un seul homme échappa
a terre, où les frères se souilleront du sang de leurs frères, où les
fils
seront les assassins de leurs pères, et les pères
Cieux, les Mers et la Nature. Cournand 5. Dieux. Saturne,
Fils
du Ciel et de Vesta. Son frère Titan lui céd
véré les Dieux, Tu dois épargner ma mémoire. Légier 8. Jupiter,
Fils
de Saturne et de Cybèle. Le plus grand et le
oint sa sanglante origine. Ovide. — Desaintange 9 10. Apollon,
Fils
de Jupiter et de Latone. C’est le Dieu de la
les Cyclopes qui avaient forgé la foudre, par laquelle avait péri son
fils
Esculape. Jupiter irrité de ce dernier attentat l
is sur le Parnasse au milieu des Muses, la tête ceinte de lauriers.
Fils
du grand Jupiter, le Pinde est mon empire. Je sui
ue ouvre la nue et rassure la terre. Baour-Lormian 13. Bacchus,
Fils
de Jupiter et de Sémélé. La furieuse et impl
son cortège nombreux. Le Mercier 16. Voyez Penthée . Mercure,
Fils
de Jupiter et de Maïa. Dieu de l’Éloquence,
Ne vous coûtera rien, il ira par dessus. Mazurier 18. Neptune,
Fils
de Saturne et de Rhée. Sauvé dans son enfanc
ême est enfin écouté. Rousseau 22. Voyez Proserpine . Vulcain,
Fils
de Jupiter et de Junon. Jupiter choqué de sa
er flatta son espérance. Le Mercier 23. Voyez Cyclopes . Mars,
Fils
de Jupiter et de Junon. Dieu de la guerre, il
ceau Il passe, l’innocent, aux horreurs du tombeau. Lucain. — Paul,
fils
26. Voyez Discorde . Pan, Fils de Mercure.
rs du tombeau. Lucain. — Paul, fils 26. Voyez Discorde . Pan,
Fils
de Mercure. Dieu des bergers, des troupeaux
Bonheur sur ses pas est fixé sans retour ; Le véritable Hymen est le
fils
de l’Estime, Et le frère du tendre Amo
e De fixer un époux et d’en faire un amant. Verdier 37. Plutus,
Fils
de Cérès et de Jasion. Dieu des richesses. Q
’est pas sur son chemin. Francois de Neufchâteau 38. Lorsque le
fils
d’Alcmène, après ses longs travaux, Fut reçu dans
enter la main, Le Héros irrité passe en tournant la tête Mon
fils
, lui dit alors Jupin, Que t’a donc fait ce Dieu ?
is aveugles-nés qui gouvernent le Monde. Voltaire 40. Esculape,
Fils
d’Apollon et de Coronis. Son père en confia
Médecine. Jupiter le foudroya, pour avoir rendu la vie au malheureux
fils
de Thésée. La ville d’Epidaure lui bâtit un Templ
venir si loin ? Ce n’est pas Apollon dont vous avez besoin. C’est un
fils
d’Apollon qui seul par sa présence Peut terminer
terminer enfin votre longue souffrance. Cherchez plus près de vous le
fils
de Coronis ; Amenez-le dans Rome ; et vos maux so
présence : C’est le Dieu, c’est lui-même ; adorez, et priez ; Et toi,
fils
d’Apollon, qui nous vois à tes piés, Sois-nous pr
Romains du fléau de la peste. Ovide. — Desaintange 41. Momus,
Fils
du Sommeil et de la Nuit, et frère de la Folie.
t son nom, Car il ne fait point de réponse. Mallet 46. Sommeil,
Fils
de l’Erèbe et de la Nuit, Son palais est bâti
Adoucit d’un regard modeste, L’ardeur brûlante du Soleil. Redoutable
fils
de Latone, Tu cesses de blesser nos yeux : Vertum
urs enfant. Ah ! qu’il serait un être aimable, intéressant ! Vois, le
fils
bien aimé sur le sein de sa mère : Que son repos
onte, il brille, il voltige, il n’est plus. Raboteau 62. Caron,
Fils
de l’Érèbe et de la Nuit. Nocher du Styx et d
t encor en eux les sources de la vie, Cet exemple terrible apprend au
fils
ingrat, Qui se livrant sans honte au plus noir at
Diane à travers les forêts Aperçut un lieu solitaire, Où le
fils
de Vénus et les Dieux de Cythère Dormai
ce et la sagesse. Les Grâces ses compagnes, et Cupidon ou l’Amour son
fils
formaient le cortége de la Déesse. Des Cygnes ou
ns Que la laine amollie entoure la quenouille, Et s’ourdisse en longs
fils
que la salive mouille. A la navette agile elle en
z Eleusius, Roi de l’Attique. Elle apprit l’Agriculture à Triptolème,
fils
de ce Prince, et l’envoya ensuite enseigner ce pr
n long sceptre d’ébène Morphée accourt avec terreur, Et des pavots le
fils
frivole, Le songe mensonger s’envole Sur les pas
, Tendresse dangereuse autant comme importune ? Je ne veux point pour
fils
l’époux de Rodogune, Et ne vois plus en lui les r
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un
fils
qui me ressemble ! Corneille 118. Voyez Euménid
Elle choisit l’Intempérance. Florian 124. La Mort de mon
Fils
. La Mort a fermé ta paupière. Aim
iais à peine au nom de père : Déjà, la tombe avide a dévoré mon
fils
! Ainsi la fragile nacelle, Voguant au
e l’engloutit. Ah ! j’aurais dû pleurer sur ta naissance, O mon
fils
! le jour même, où, par ton premier cri, Mo
out me riait, tout me flattait d’avance : De mes vieux ans, mon
fils
était l’ami ; De ses succès j’étais enorgue
trop affreuse ! En vain j’espère en adoucir l’horreur : De mon
fils
expirant, l’image douloureuse Revient à chaque in
x jours par la douleur flétris, Tu n’auras point à regretter un
fils
, Tu n’auras point à consoler sa mère, Vigé
tes jours ! L’Arabe en ses déserts s’entretient de ta gloire ; Et ses
fils
à leurs fils la rediront toujours. Fontanes 126.
’Arabe en ses déserts s’entretient de ta gloire ; Et ses fils à leurs
fils
la rediront toujours. Fontanes 126. Libitine
s les bosquets et les jeux d’Idalie131. Demi-Dieux. Janus,
Fils
d’Apollon et de la Nymphe Créuse. Roi d’Ital
es vers froids et sans harmonie. Légier 132. Hercule ou Alcide,
Fils
de Jupiter et d’Alcmène. C’était le héros de l
ntique Ibérie, Dans ces riches vallons, sur les bords de ces eaux, Le
fils
d’Alcmène avait amené ses troupeaux : Du triple G
aire De son infâme vol écartaient le soupçon. Enfin, las du repos, le
fils
d’Amphitryon Se prépare à mener sur de lointains
r, tes foudres réunis, Viens te montrer, mon père, en tonnant sur ton
fils
. Mon courage étonné cède au feu qui me brûle ; Mo
Dispersa les débris sur la terre fumante. d’Arnaud 135. Thésée,
Fils
d’Égée, Roi d’Athènes. Né avec la noble ambi
é d’une si belle histoire. Racine 136. Voyez Ariane . Aristée,
Fils
d’Apollon et de la Nymphe Cyrène. Euridice,
mplorer la protection de sa mère. Cyrène partageant la douleur de son
fils
, lui conseilla d’aller consulter Protée pâtre de
qu’Apollon est mon père, Hélas ! du sang des Dieux, n’as-tu formé ton
fils
Que pour l’abandonner aux destins ennemis ? Ma mè
Dans ces jeunes forêts allez porter la flamme, Puisque l’honneur d’un
fils
ne touche point votre ame. Cyrène entend sa v
voûte des flots : O ma sœur ! tu sentais de trop justes alarmes ; Ton
fils
, ton tendre fils, tout baigné de ses larmes, Para
O ma sœur ! tu sentais de trop justes alarmes ; Ton fils, ton tendre
fils
, tout baigné de ses larmes, Paraît au bord des ea
e douleurs, Et sa mère est, dit-il, insensible à ses pleurs : Mon
fils
, répond Cyrène, en pâlissant de crainte ; Qu’il v
il vienne : et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on amène mon
fils
, qu’il paraisse à mes yeux ; Mon fils a droit d’e
de sa plainte ? Qu’on amène mon fils, qu’il paraisse à mes yeux ; Mon
fils
a droit d’entrer dans le palais des Dieux ; Fleuv
On fait fumer l’encens, on fait couler le vin. Prends ce vase, ô mon
Fils
; afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le
le accepte l’augure, et poursuit en ces mots : Protée, ô mon cher
Fils
, peut seul finir tes maux ; C’est lui que nous vo
ses secrets, Et forcer ton captif à reprendre ses traits. Sur son
fils
, à ces mots, sa main officieuse Répand d’un doux
e d’un nuage, et se dérobe aux yeux… A peine il s’assoupit que le
fils
de Cyrène Accourt, pousse un grand cri, le saisit
jour tu poursuivis sa fidelle Euridice… (Voy. Orphée.) Cyrène de son
fils
vient calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-e
t. Virgile. — Delille 137. Daphnis, Jeune Berger de Sicile, et
fils
de Mercure. Né dans un bois de Laurier, Daph
u rang des Dieux. Virgile. — Domergue 139. Héros. Jason,
Fils
d’Éson et d’Alcimède. Son oncle Pélias voula
Ose s’élever jusqu’à toi. Monti. — Roman 142. Achille,
Fils
de Pélée, Roi de Thessalie, et de la Nymphe Théti
ds ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la main qui fit périr son
fils
. Il n’osait sur Achille encor jeter la vue ; Il v
vous, Prolonger de ses ans l’éclatante carrière ! Le seul nom de son
fils
remplit la terre entière ; Ce nom fait son bonheu
lui. Hélas ! tout mon bonheur et toute mon attente Est de voir de mon
fils
la dépouille sanglante, De racheter de vous ces r
» J’ai vu tomber Patrocle ; Hector me l’a ravi : » Vous perdez votre
fils
et je perds un ami ». Homère. — Voltaire 144.
sensible Électre, sa fille, ne cessa de pleurer sa mort ; Oreste, son
fils
, le vengea par le sang de l’amante et de l’amant.
rains Argos, Électre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon
fils
, mon propre fils ! Ah ! quelle destinée, et quel
tre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon fils, mon propre
fils
! Ah ! quelle destinée, et quel affreux supplice
! Je chassai de mon cœur la nature outragée ; Je tremble au nom d’un
fils
, la nature est vengée. Le même 146. Oreste à
x effrayés dérobe cette tête. Oh, ma mère ! épargnez votre malheureux
fils
. Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris ; J’
; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton
fils
des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état o
criminels seraient-ils plus punis ? Crébillon 147. Philoctète,
Fils
de Pæan. Il fut l’ami, le compagnon, et pres
âche Pâris, décida du sort d’Ilion. Philoctète à Pyrrhus. O mon
fils
! vous voyez délaissé dans Lemnos Ce guerrier, au
e, Ni voulu sur les flots me conduire à mon père. Depuis dix ans, mon
fils
, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’u
ue les Dieux les leur rendent ! Sophocle. — Laharpe. Patrocle,
Fils
de Ménœtius et de Sthénélé. L’un des princes
les malheurs de cet illustre vieillard, et lui rendit le corps de son
fils
. Patrocle à Achille. « Héros, j’espérais tou
te flatter que Pélée et Thétis, A tant de cruauté reconnaissent leur
fils
. Un rocher t’enfanta : l’Océan en furie Te vomit
t tous devant moi, Et croiront voir Achille entrant dans la carrière.
Fils
des Dieux, laisse-toi fléchir à ma prière : Tu pe
riait : Achille ! et demandait vengeance. Sivry 149. Hippolyte,
Fils
de Thésée et d’Antiope, Reine des Amazones.
sée de son propre crime. L’époux abusé pria Neptune de le venger d’un
fils
qu’il croyait coupable, il ne fut que trop exaucé
’Hippolyte à Thésée. J’ai vu, Seigneur, j’ai, vu votre malheureuse
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
Aricie. Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un
fils
faussement accusé, Pour apaiser mon sang et mon o
Et que méconnaîtrait l’œil même de son père. Racine 151. Énée,
Fils
d’Anchise et de Vénus. Ce héros fut aussi cé
ses Dieux Pénates, portant son vieux père sur ses épaules, tenant son
fils
Ascagne par la main, et suivi de la malheureuse C
Personnages célèbres de la Fable. Deucalion, Roi de Thessalie,
Fils
de Prométhée, et époux de Pyrrha. Ce fut de
mer t’eût ravie, Ah ! crois que ton époux dans la mer t’eût suivie !
Fils
du grand Prométhée, ô s’il m’était donné D’animer
ne femme est la mère. De là nous sommes nés durs et laborieux, Dignes
fils
des cailloux qui furent nos aïeux. Ovide. — Des
oux qui furent nos aïeux. Ovide. — Desaintange 154. Prométhée,
Fils
de Japet et de Climène. Cet audacieux Mortel
échappa Prométhée : Il frémit, en voyant la terre inhabitée ; Et ses
fils
malheureux à jamais engloutis Replongés dans les
imposture Fait éclore un autre Univers. Sabatier 156. Phaëton,
Fils
du Soleil et de Climène. Pour prouver sa nai
les rênes qu’il déploie, Et rend grace à Phœbus qui tremble pour son
fils
. Cependant les coursiers Ethon et Pyroïs, Eoüs et
ent ; Ils soufflent feux sur feux dans les airs qui blanchissent ; Du
fils
de sa Climène ignorant le destin, Aussitôt que Th
nté sur le char de son père ! Qu’il voudrait de Mérops être appelé le
fils
! Il se trouble, semblable au pilote indécis, Qui
construisit le labyrinthe de Crète, où Minos l’enferma avec Icare son
fils
, pour avoir favorisé l’abominable passion de Pasi
e la cire, des ailes artificielles. Dédale recommanda vainement à son
fils
, de ne voler ni trop haut, ni trop bas. Icare, s’
leaux, si son cœur l’eût permis, Dédale eût exprimé le malheur de son
fils
: Deux fois il le tenta ; deux fois, sa main glac
débris. Il maudit de son art l’invention funeste ; De son malheureux
fils
il recueille le reste, Lui dresse dans une île un
le depuis a conservé son nom. Ovide — Desaintange 159. Amphion,
Fils
de Jupiter et d’Antiope, Reine de Thèbes. Dis
t injuste envers la beauté. Imbert 160. Penthée, Roi de Thèbes,
Fils
d’Échion et d’Agavé. Ennemi des Dieux et de
tard son crime qu’il expie. Autonoë, dit-il, par l’ombre d’Actéon, Au
fils
de votre sœur faites grace… A ce nom, Terrible, A
Te mène heureusement au port. D. 162 Priam, Roi de Troie,
Fils
de Laomédon. Quand Hercule se fut emparé de
velée errer sous ces lambris ; Le glaive moissonner les femmes de ses
fils
, Et son époux, hélas ! à son moment suprême, Ensa
ssans, Dont la foule chérie entourait ses vieux ans, De ces cinquante
fils
les couches nuptiales, Ces dépouilles des rois, c
p de Pyrrhus fuyant la main cruelle, A travers mille dards un dernier
fils
du roi S’échappe, et du palais dépeuplé par l’eff
’atteint de son dard ; Enfin, au saint autel, asile du vieillard, Son
fils
court éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! e
heveux blancs, Qui sous les yeux d’un père, égorges ses enfans ! Toi,
fils
d’Achille ! non : il ne fut point ton père. D’un
ter ce que tu vois ; A mes nobles aïeux va dire mes exploits ; Dis au
fils
de Thétis que son sang dégénère ; Mais avant, meu
é par ses cheveux blanchis, Et nageant dans le sang du dernier de ses
fils
, Il entraîne à l’autel la vieillesse tremblante ;
le pieux Enée l’emporta sur ses épaules hors de la ville, tenant son
fils
Ascagne par la main, et l’embarqua avec lui sur s
a avec lui sur ses vaisseaux. Anchise mourut depuis en Sicile, où son
fils
lui éleva un tombeau magnifique, et honora ses ce
escendu aux Enfers, sur la transmigration des ames. C’est toi, mon
fils
, dit-il, en pleurant d’allégresse, Rien n’a donc
i doux à mon espoir. Il m’était annoncé, mon attente est remplie. Mon
fils
, que de dangers ont menacé ta vie ! Que la Terre
éternel le cours est accompli. Virgile. — Lefranc 164. Laocoon,
Fils
de Priam et frère d’Anchise. Il ne voulait po
de fumée. Tout tremble : fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes
fils
, Laocoon, avaient suivi tes pas : Tes fils, portr
n hymen plein d’appas, Tes fils, Laocoon, avaient suivi tes pas : Tes
fils
, portraits vivans d’une mère adorée, Comme toi, r
? Pour la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes
fils
rendra-t-il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers T
ngeurs dont Troie est dévorée. Pétrone. — Deguerle 165. Atrée,
Fils
de Pélops. Jamais Prince offensé ne donna un
s l’asile de Thyeste, Éprouvera bientôt le sort le plus funeste ! Mon
fils
, prêt à servir un si juste transport, Va porter d
rche à le punir qu’au défaut du tonnerre. Crébillon 166. Œdipe,
Fils
de Laïus, Roi de Thèbes, et de Jocaste. L’Ora
i de Thèbes, et de Jocaste. L’Oracle avait prédit à Laïus que son
fils
serait à la fois parricide et incestueux. Epouvan
pouvanter les Ombres. Viens, je te suis. Voltaire 168. Tantale,
Fils
de Jupiter et de la Nymphe Plota. Il était R
va d’une manière barbare, en leur servant à souper les membres de son
fils
Pélops. Jupiter condamna ce tigre aux tourmens ét
coffre fort. Pétronne. — Deguerle 169. Voyez Tartare . Pâris,
Fils
de Priam et d’Hécube. L’Oracle avait prédit à
pire dans ton cœur : Les Troyens ont péri par le fer et la flamme. Le
fils
de Télamon, ses coups et sa fureur, Bientôt iront
Déjà le vieux Nestor a juré ton trépas : Il s’avance appuyé sur le
fils
de Laërte : La terreur le devance, et la mort sui
une lance terrible. Tu frémiras d’horreur en voyant Mérion, Et le
fils
de Tydée, aussi vaillant qu’Alcide, Poursuivre le
ombeau les enferma tous deux. Ovide. — Desaintange 174. Minos,
Fils
de Jupiter et d’Europe. Il régna sur la Crèt
n’avait pas prédit au maître des Dieux qu’elle donnerait la vie à un
fils
dont la gloire éclipserait celle de son père. Thé
. Ma vie est, par mon choix, éteinte à son aurore, Vos parens à leurs
fils
se devaient plus encore : Vous étiez leur seul bi
: par l’âge appesantis, Ils n’avaient pas le droit d’espérer d’autre
fils
, Et si votre bonheur eût fait leur seule envie, V
s inévitables. Gardez, dans ce palais, d’introduire un tyran : De mon
fils
, il est vrai, le péril est moins grand, Son sexe
captive, après la prise de Troie, elle fut forcée d’épouser Pyrrhus,
fils
du meurtrier de son époux, qui l’emmena dans l’Ép
époux, qui l’emmena dans l’Épire. Pyrrhus mort, elle épousa Hélénus,
fils
de Priam. Quoiqu’attachée, par ce nouveau lien, a
e Andromaque, il la cherche de l’œil : Andromaque est absente, et son
fils
avec elle. Il gémit ; cependant, à son devoir fid
r votre femme aux horreurs du veuvage, Et laisser dans mes bras votre
fils
orphelin. Hélas ! de mes frayeurs l’augure est tr
toi. Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton
fils
, prends pitié de sa mère ; Ou, si tu veux encor t
re du tombeau dans ses flancs me resserre ! » Il dit, et vers son
fils
, tend l’une et l’autre main. Mais l’enfant, à l’a
uris, Hector pose son casque aux pieds de la princesse, Prend son
fils
en ses bras, le flatte, le caresse, Mollement le
Cieux : « Grand Jupiter, dit-il, et vous tous, justes Dieux, Que mon
fils
d’Ilion étende aussi la gloire ! Qu’au retour des
i. Adieux d’Andromaque à Astyanax. O crime ! ô désespoir ! mon
fils
! ma seule joie ! Seul bien resté d’Hector et des
ma seule joie ! Seul bien resté d’Hector et des cendres de Troie, Mon
fils
, tu vas périr ! et mes funestes soins Ont avancé
, Ces flancs infortunés renfermaient la victime ! Tu pleures !… ô mon
fils
! connaîtrais-tu ton sort ? Sens-tu nos maux crue
éperdue, ils vont coûter de larmes ! Sauve-toi dans mes bras ! ô mon
fils
! c’est en vain Que tu puisas la vie et le jour d
he assassin, avait égorgé son malheureux époux, et l’un de ses jeunes
fils
. Egiste, sauvé par Narbas, avait échappé à sa fur
el ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste. Me rendrez-vous mon
fils
, Dieux témoins de mes larmes ? Egiste est-il viva
e j’ai sauvé ? Ecartez loin de lui la main de l’homicide. C’est votre
fils
, hélas ! c’est le pur sang d’Alcide. Abandonnerez
et ses pas ! Sa mère… Elle s’élance au milieu des soldats. C’est mon
fils
, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ; C’est mon fi
oldats. C’est mon fils, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ; C’est mon
fils
; déchirez sa mère et votre Reine, Ce sein qui l’
cris. Venez, j’ignore encor, si la Reine est sauvée, Si de son digne
fils
la vie est conservée, Si le tyran n’est plus ; le
ensée et ses yeux. Ovide. — Desaintange 189. Castor et Pollux,
Fils
de Léda. Leur mère eut le premier de son épou
e ! écoute mes vœux. L’immortalité qui m’enchaîne, Pour ton
fils
désormais n’est qu’un supplice affreux. Ca
jaloux Va m’imposer les fers dont ma main te délivre. Castor . Le
fils
de Jupiter doit lui donner la loi. Pollux. Vo
C’est la fête de l’Univers. Bernard 190. Cadmus, Roi de Thèbes,
Fils
d’Agénor. Il forma le dessein de parcourir l’
r de leurs premiers destins. Ovide. — Desaintange 191. Orphée,
Fils
d’Apollon et de Calliope. Il jouait divinemen
’hui vaines Ombres, Des vierges que l’hymen attendait aux autels, Des
fils
mis aux bûchers sous les yeux paternels, Victimes
e sa lyre assourdie étouffent les accens. On n’entend plus la voix du
fils
de Calliope, Et son sang a rougi les rochers du R
et les flots. Cygnus, guerrier fatal aux combattans d’Argos, Cygnus,
fils
de Neptune, en a moissonné mille. Achille sur son
s en être effleuré. Achille en est surpris : il frémit de colère.
Fils
de Thétis, lui dit son superbe adversaire, Car le
rte, à l’exemple de Mars, Me servent de parure et non pas de défense.
Fils
d’une Néréide, on vante ta naissance ; Je dois la
lanc qui conserve son nom. Ovide. — Desaintange 195. Narcisse,
Fils
du fleuve Céphise, et de la Nymphe Lyriope.
e fleur le remplace. Ovide. — Dorat 196. Voyez Echo . Actéon,
Fils
d’Aristée et d’Autonoé. C’était un célèbre ch
tte île où Diane est chérie. Ovide. — Desaintange 198. Adonis,
Fils
de Cynire et de Myrrha. Le plus beau des jeu
entables, dans la Phénicie et dans la Grèce. Vénus croit voir son
fils
, il en a tous les charmes ! Jamais rien de plus b
: Des soucis dévorans c’est l’éternel asile, Véritable vautour que le
fils
de Japet Représente enchaîné sur son triste somme
nt moqueur. Jupiter résolut d’abolir cette engeance, Il part avec son
fils
, le Dieu de l’éloquence ; Tous deux en pélerins v
is devint tilleul, Philémon devint chêne. Lafontaine 201. Ajax,
Fils
de Télamon. Digne rival d’Hector au fameux si
dans la suite à lier son cadavre au char d’Achille. Après la mort du
fils
de Pélée, il disputa ses armes à Ulysse. Les prin
nant ses secours, Ne m’abandonne en proie aux avides vautours. Que le
fils
de Maïa, qui sur les rives sombres Des pavots de
on nom se perdre dans la mer. Ovide. — Desaintange 202. Midas,
Fils
de Gordius, Roi de Phrygie. Bacchus qu’il av
a gloire. Son geste, son maintien, sont d’un maître de l’art. Sur les
fils
inégaux sa main court au hasard : Le Tmole est en
N’as pas craint d’outrager la Nature et l’Amour, Toi, qui livres ton
fils
, en lui donnant le jour, Barbare, réponds-moi, c’
jour réponde à ton attente Celle qui, sans remords, sevra son propre
fils
, Pour te vendre le lait dont le tien s’alimente ?
c’est peu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton
fils
la mort ou les douleurs ; Le lait, le même lait q
toute entière livrée, Tu feras ton bonheur de vivre retirée. Sur ton
fils
au berceau les ris voltigeront ; Sur sa bouche ve
un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton
fils
; Apporte son berceau sous des berceaux fleuris.
enace ; Elle semble défendre au réveil d’approcher. La nuit même d’un
fils
ne peut la détacher ; Son oreille de l’ombre écou
rouvrant ses yeux appesantis, Elle vole, inquiète, au berceau de son
fils
, Dans le sommeil long-temps le contemple immobile
nté. Qu’importe la fatigue à sa tendresse extrême ? Elle vit dans son
fils
, et non plus dans soi-même ; Et se montre, aux re
fuit épouvanté ; Isaure sans effroi brave un air infecté. Près de ce
fils
mourant elle veille assidue. Mais le poison s’éte
esse ces yeux Que ferme un voile impur à la clarté des cieux, Et d’un
fils
, par degrés, dégageant la paupière, Une seconde f
engea de son perfide et cruel époux, en lui faisant manger son propre
fils
Itys. Térée voulut la tuer, mais en la poursuivan
deux à la fois Exercent à l’envi l’adresse de leurs doigts. Entre les
fils
tendus court la navette agile, Et le peigne affer
S’oublie : et du travail la fatigue est trompée. L’art d’assortir les
fils
, émule du pinceau, De reflets variés nuance le ta
gts en tissu l’or se mêle à la soie, Et l’histoire des dieux en longs
fils
se déploie… L’envie aux yeux perçans n’y pour
n puni de la manière la plus cruelle pour une mère. Elle fit tuer ses
fils
par Apollon, et ses filles par Diane. La malheure
esses ! Je suis par ma beauté rivale des déesses. Sept filles et sept
fils
attendent dans ma cour Sept gendres et sept brus,
Après l’indigne affront que l’on ose me faire, O ma fille ! ô mon
fils
! suis-je encor votre mère ? Hélas ! moi qui fais
fille de Tantale, aux dieux nés de mon sang, Préfère avec orgueil les
fils
nés dans son flanc. Ah ! puisse être bientôt sa r
r la vengeance. Et Diane à son tour : C’est trop, n’achevez pas ; Des
fils
de Niobé nous jurons le trépas. Cachés dans un nu
phose, Dryope eut soin d’appeler sa sœur Iole, et de lui remettre son
fils
, qui, sans ce secours, aurait été renfermé dans l
ns en fleur De la pourpre de Tyr imitent la couleur, Dryope, pour son
fils
, en bouquet les assemble ; Et j’allais l’imiter,
isit des rameaux qu’elle arrache avec eux. Soutenu dans ses bras, son
fils
qui la caresse, Sent durcir sous ses doigts les d
! Dévoré par le feu, qu’il soit réduit en çendre ! Prenez soin de mon
fils
dans un âge si tendre : Otez-le de mes bras, deve
Que votre bouche encor vienne presser ma bouche ; Et puisque vers mon
fils
je ne puis me baisser, Soulevé dans vos bras, qu’
, Où chacun libre et maître, au gré de son caprice, A sa femme, à ses
fils
, dispense la justice. Une île inhabitée, et proch
rent aux rivages, De loin nous découvrons, d’un œil épouvanté, De ces
fils
de l’Etna le conseil redouté, Qui, d’un œil menaç
ortir subitement l’île de Délos, pour lui servir d’asile. Apollon son
fils
tua depuis le monstre à coups de flèches, et cons
nasse. Montagne fameuse de la Phocide, ainsi nommée de Parnassus,
fils
de Neptune et de Cléodore, qui en habitait les en
el, sur le Mont Ismare ou sur le Mont Rhodope, La Thrace vit jadis le
fils
de Calliope Attirer les rochers, les lions et les
nglans les serpens de sa tête. Au centre est un vieil orme où les
fils
du Sommeil, Amoureux, de la Nuit, ennemis du Réve
eu du Tonnerre a plongé les Titans. J’ai vu dans ces cachots les deux
fils
d’Aloée ; Jadis leur insolence à jamais foudroyée
flottante, L’oreille est suspendue à sa lyre touchante, Et, sur sept
fils
divins où résonnent sept tons, Son doigt léger pa
. Bernis 243. Divinités allégoriques. Destin ou Destinée,
Fils
du Cahos. Il tenait sous ses pieds le Globe
iel, Ah ! lorsque ton orgueil languissait dans les chaînes Où les
fils
d’Aloüs te faisaient soupirer, Pourquoi trop peu
on Empire, Le bien de ses sujets fait son soin le plus cher ; Et toi,
fils
de Junon, c’est elle qui t’inspire La fureur de r
nce ; Son père dans ses bras avec un cri s’élance : « O Minerve ! mon
fils
est digne de mon sang ; Conserve-lui ce cœur tend
endre et compatissant ; Il a su respecter et plaindre la misère : Mon
fils
, quel autre hommage aurait flatté ton père ? » Sa
t ébloui ; Son orgueil lui déplaît, son éclat l’importune ; Il est le
fils
heureux de la triste infortune. Au même sein
ces tristes bords ! Mais, dans les champs de l’Elysée, Si j’y vois un
fils
de Thésée, Que j’y puis compter de Nestors !
e en sent l’heureux effet. Hâte-toi, soumets cette argile Qu’anima le
fils
de Japet ; En affaiblissant nos entraves, Tes cou
abondance ! Le vieillard dont la faim va terminer les jours, Voit son
fils
au berceau qui périt sans secours. Ici, meurt dan
à périr comme elle : Furieuse, elle approche avec un coutelas, De ce
fils
innocent qui lui tendait les bras ; Son enfance,
tremblante, Détestant son hymen et sa fécondité, « Cher et malheureux
fils
, que mes flancs ont porté ! Dit-elle, c’est en va
au ! » En achevant ces mots, furieuse, égarée, Dans les flancs de son
fils
, sa main désespérée Enfonce, en frémissant, le pa
nte Une femme égarée, et de sang dégouttante. « Oui, c’est mon propre
fils
; oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans so
’est vous qui dans son sang avez trempé mes mains : Que la mère et le
fils
vous servent de pâture ! Craignez-vous plus que m
rdive raison éclaire mon naufrage. Brunel, d’Amiens.275 Génie,
Fils
du Ciel et de la Nature. Frère de l’Esprit, i
temps jadis, En folâtrant, habitent autour d’elle ; Les Calembourgs,
fils
bâtards de la Belle, Y sont reçus, par fois même
s matières] Borde. Ode sur la Guerre. 26. [Table des matières] Paul,
fils
. Pharsale, liv. II, fragment. 27. [Table des mat
ian. La Mort, Fable. 125. [Table des matières] Vigée. La Mort de mon
fils
. 126. [Table des matières] Fontanes. Au général
eux, les Mers et la Nature. Cournand 6. Dieux Saturne,
Fils
du Ciel et de Vesta. Son frère Titan lui céd
éré les Dieux, Tu dois épargner ma mémoire. Légier 8. Jupiter,
Fils
de Saturne et de Cybèle. Le plus grand et le
t leur sanglante origine. Ovide. — Saint-Ange 10 11. Apollon,
Fils
de Jupiter et de Latone. C’est le Dieu de la
les Cyclopes qui avoient forgé la foudre, par laquelle avoit péri son
fils
Esculape. Jupiter irrité de ce dernier attentat l
e ouvre la nue et rassure la terre. Baour-Lormian 16. Bacchus,
Fils
de Jupiter et de Sémélé. La furieuse et impl
son cortège nombreux. Le Mercier 18. Voyez Penthée. Mercure,
Fils
de Jupiter et de Maïa. Dieu de l’Éloquence,
Ne vous coûtera rien, il ira par dessus. Mazurier 20. Neptune,
Fils
de Saturne et de Rhée. Sauvé dans son enfanc
me est enfin écouté. Rousseau 22. Voyez Proserpine. Vulcain,
Fils
de Jupiter et de Junon. Jupiter choqué de sa
’hymen dont Jupiter flatta son espérance. Le Mercier 23. Mars,
Fils
de Jupiter et de Junon. Dieu de la Guerre, il
ceau Il passe, l’innocent, aux horreurs du tombeau. Lucain. — Paul,
fils
26. Pan, Fils de Mercure. Dieu des Ber
ocent, aux horreurs du tombeau. Lucain. — Paul, fils 26. Pan,
Fils
de Mercure. Dieu des Bergers, des Troupeaux
Bonheur sur ses pas est fixé sans retour ; Le véritable Hymen est le
fils
de l’Estime, Et le frère du tendr
De fixer un époux et d’en faire un amant. Verdier 37. Plutus,
Fils
de Cérès et de Jasion. Dieu des Richesses. Q
ux autres. On le représente boiteux, aveugle et ailé. Lorsque le
Fils
d’Alcmène, après ses longs travaux, Fut reçu dans
a main, Le Héros irrité passe en tournant la tête Mon
fils
, lui dit alors Jupin, Que t’a donc fait ce Dieu
s Aveugles-nés qui gouvernent le Monde. Voltaire 39. Esculape,
Fils
d’Apollon et de Coronis. Son père en confia
Médecine. Jupiter le foudroya, pour avoir rendu la vie au malheureux
fils
de Thésée. La ville d’Epidaure lui bâtit un Templ
de la Santé, dit-on, Naquit du Dieu de la Lumière ; On croiroit que,
fils
d’Apollon, Aux enfans du Sacré Vallon, Il doit u
Venez donc dans les champs, vous que l’ennui dévore ; Et vous,
fils
de Chiron, élèves d’Epidaure, Venez : la main des
homme Souffre le moins qu’il se pourra42. Momus,
Fils
du Sommeil et de la Nuit, et frère de la Folie.
son nom, Car il ne fait point de réponse. Mallet 48. Sommeil,
Fils
de l’Erèbe et de la Nuit, Son palais est bâti
Adoucit d’un regard modeste, L’ardeur brûlante du Soleil. Redoutable
fils
de Latone, Tu cesses de blesser nos yeux : Vertum
urs enfant. Ah ! qu’il seroit un être aimable, intéressant ! Vois, le
fils
bien aimé sur le sein de sa mère : Que son repos
duire, Et l’Enfance est votre portrait. Beauharnois 62. Caron,
Fils
de l’Erèbe et de la Nuit. Nocher du Styx et d
t encor en eux les sources de la vie, Cet exemple terrible apprend au
fils
ingrat, Qui se livrant sans honte au plus noir at
à travers les forêts Apperçut un lieu solitaire, Où le
Fils
de Vénus et les Dieux de Cythère Do
e. La colombe lui est consacrée. On représente Vénus avec Cupidon son
fils
, sur un char en forme de coquille, traîné, tantôt
z Eleusius, Roi de l’Attique. Elle apprit l’Agriculture à Triptolème,
fils
de ce Prince, et l’envoya ensuite enseigner ce pr
n long sceptre d’ébène Morphée accourt avec terreur, Et des pavots le
fils
frivole, Le songe mensonger s’envole Sur les pas
, Tendresse dangereuse autant comme importune ? Je ne veux point pour
fils
l’époux de Rodogune, Et ne vois plus en lui les r
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un
fils
qui me ressemble ! Corneille 116. Voyez Eumén
à ce qui m’amène. Soufflez sur ces époux la rage des forfaits, Et des
fils
de Cadmus renversons le palais. » Junon aigr
ta plus, Elle choisit l’Intempérance. Florian 122. La Mort de mon
Fils
. La Mort a fermé ta paupière. Aim
iois à peine au nom de père : Déjà, la tombe avide à dévoré mon
fils
! Ainsi la fragile nacelle, Voguant au
’abyme l’engloutit. Ah ! j’aurois dû pleurer sur ta naissance, O mon
fils
! le jour même, où, par ton premier cri,
e rioit, tout me flattoit d’avance : De mes vieux ans, mon
fils
étoit l’ami ; De ses succès j’étois eno
op affreuse ! Envain j’espère en adoucir l’horreur : De mon
fils
expirant, l’image douloureuse Revient à chaque in
urs par la douleur flétris, Tu n’auras point à regretter un
fils
, Tu n’auras point à consoler sa mère,
Objet de ses douleurs. Bodart 125. Épitaphe . Ci-gît mon
fils
!… douleur extrême !… Ah ! disons mieux : ci-gît
les bosquets et les jeux d’Idalie128. Demi-Dieux Janus,
Fils
d’Apollon et de la Nymphe Créuse. Roi d’Ital
vers froids et sans harmonie. Légier 129. Hercule ou Alcide,
Fils
de Jupiter et d’Alcmène. C’étoit le héros de
r, tes foudres réunis, Viens te montrer, mon père, en tonnant sur ton
fils
. Mon courage étonné cède au feu qui me brûle ; Mo
ispersa les débris sur la terre fumante. d’Arnaud 131. Thésée,
Fils
d’Egée, Roi d’Athènes. Né avec la noble ambi
d’une si belle histoire. Racine 132. Voyez Ariane. Aristée,
Fils
d’Apollon et de la Nymphe Cyrène. Euridice,
mplorer la protection de sa mère. Cyrène partageant la douleur de son
fils
, lui conseilla d’aller consulter Protée, pâtre de
qu’Apollon est mon père, Hélas ! du sang des Dieux, n’as-tu formé ton
fils
Que pour l’abandonner aux destins ennemis ? Ma mè
Dans ces jeunes forets allez porter la flamme, Puisque l’honneur d’un
fils
ne touche point votre ame. Cyrène entend sa
voûte des flots : O ma sœur ! tu sentois de trop justes alarmes ; Ton
fils
, ton tendre fils, tout baigné de ses larmes, Paro
O ma sœur ! tu sentois de trop justes alarmes ; Ton fils, ton tendre
fils
, tout baigné de ses larmes, Paroît au bord des ea
douleurs, Et sa mère est, dit-il, insensible à ses pleurs : Mon
fils
, répond Cyrène, en pâlissant de crainte ; Qu’il v
il vienne : et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on amène mon
fils
, qu’il paroisse à mes yeux ; Mon fils a droit d’e
de sa plainte ? Qu’on amène mon fils, qu’il paroisse à mes yeux ; Mon
fils
a droit d’entrer dans le palais des Dieux ; Fleuv
On fait fumer l’encens, on fait couler le vin. Prends ce vase, ô mon
Fils
; afin qu’il nous seconde, Invoquons l’Océan, le
e accepte l’augure, et poursuit en ces mots : Protée, ô mon cher
Fils
, peut seul finir tes maux ; C’est lui que nous vo
es secrets, Et forcer ton captif à reprendre ses traits. Sur son
fils
, à ces mots, sa main officieuse Répand d’un doux
d’un nuage, et se dérobe aux yeux… A peine il s’assoupit que le
fils
de Cyrène Accourt, pousse un grand cri, le saisit
jour tu poursuivis sa fidelle Euridice… (Voy. Orphée.) Cyrène de son
fils
vient calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-e
. Virgile. — Delille 133. Daphnis, Jeune Berger de Sicile, et
fils
de Mercure. Né dans un bois de Laurier, Daph
rang des Dieux. Virgile. — Domergue 135. Héros Jason,
Fils
d’Eson et d’Alcimède. Son oncle Pélias voula
Ose s’élever jusqu’à toi. Monti. — Roman 137. Achille,
Fils
de Pélée, Roi de Thessalie, et de la Nymphe Théti
cherche envain le bras vengeur de sa vieillesse ; Mais le nom de son
fils
console sa détresse ; Vous vivez, il le sait ; so
t retour. Ah ! de son sort au mien, affreuse différence ! J’avois des
fils
nombreux, ma superbe espérance, Quand les Grecs o
ndre ! D’un père malheureux, les lèvres ont pressé Sur le sang de ses
fils
, la main qui l’a versé. Achille s’est ému :
inte, Leurs souvenirs amers ont attristé l’enceinte. Priam pleure son
fils
aux pieds d’un ennemi : Achille pleure ensemble u
i les cheveux139. Achille à Priam. Monarque d’Ilion, dit le
fils
de Pélée, La paix de ton sommeil auroit été troub
résence, Et de ce fier rival, te livrant au pouvoir, Du rachat de ton
fils
t’enlever tout espoir ; Mais ici, ne crains rien,
nce guerrière, Je ferme des combats la sanglante carrière. Noble
fils
de Thétis ! dit Priam satisfait, Mon cœur sent to
sensible Electre, sa fille, ne cessa de pleurer sa mort ; Oreste, son
fils
, le vengea par le sang de l’amante et de l’amant.
rains Argos, Electre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon
fils
, mon propre fils ! Ah ! quelle destinée, et quel
tre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon fils, mon propre
fils
! Ah ! quelle destinée, et quel affreux supplice
! Je chassai de mon cœur la nature outragée ; Je tremble au nom d’un
fils
, la nature est vengée. Le même 142. Oreste à
x effrayés dérobe cette tête. Oh, ma mère ! épargnez votre malheureux
fils
. Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris ; J’
; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton
fils
des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état o
criminels seroient-ils plus punis ? Crébillon 143. Philoctète,
Fils
de Pæan. Il fut l’ami, le compagnon, et pres
che Pâris, décida du sort d’Ilion. Philoctète à Pyrrhus. O mon
fils
! vous voyez délaissé dans Lemnos Ce guerrier, au
e, Ni voulu sur les flots me conduire à mon père. Depuis dix ans, mon
fils
, je languis dans ces lieux, Sans cesse dévoré d’u
Dieux les leur rendent ! Sophocle. — La Harpe 144. Patrocle,
Fils
de Ménœtius et de Sthénélé. L’un des princes
les malheurs de cet illustre vieillard, et lui rendit le corps de son
fils
. Patrocle à Achille. « Héros, j’espérois to
te flatter que Pélée et Thétis, A tant de cruauté reconnoissent leur
fils
. Un rocher t’enfanta : l’Océan en furie Te vomit
t tous devant moi, Et croiront voir Achille entrant dans la carrière.
Fils
des Dieux, laisse-toi fléchir à ma prière : Tu pe
ector n’est plus, et Patrocle est vengé. Mutel 147. Hippolyte,
Fils
de Thésée et d’Antiope, Reine des Amazones.
sée de son propre crime. L’époux abusé pria Neptune de le venger d’un
fils
qu’il croyoit coupable, il ne fut que trop exaucé
olyte , à Thésée . J’ai vu, Seigneur, j’ai, vu votre malheureuse
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
Aricie. Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un
fils
faussement accusé, Pour appaiser mon sang et mon
Et que méconnoîtroit l’œil même de son père. Racine 149. Énée,
Fils
d’Anchise et de Vénus. Ce héros fut aussi cé
ses Dieux Pénates, portant son vieux père sur ses épaules, tenant son
fils
Ascagne par la main, et suivi de la malheureuse C
Personnages célébres de la Fable. Deucalion, Roi de Thessalie,
Fils
de Prométhée, et Epoux de Pyrrha. Ce fut de
la fable offrent la vérité. Ovide.— Saint-Ange 152. Prométhée,
Fils
de Japet et de Climène. Cet audacieux Mortel
échappa Prométhée : Il frémit, en voyant la terre inhabitée ; Et ses
fils
malheureux à jamais engloutis Replongés dans les
Il faut un Dieu pour l’animer. Desmortier 155. Phaéton,
Fils
du Soleil et de Climene. Pour prouver sa nai
les rênes qu’il déploie, Et rend grace à Phébus qui tremble pour son
fils
. Cependant les coursiers Œthon et Pyroïs, Eoüs et
rière : aussi-tôt que Thétis, Ignorant les dangers où court son petit
fils
, Eût ouvert à leurs yeux la carrière du Monde, Il
nté sur le char de son père ! Qu’il voudroit de Mérops être appelé le
fils
! Il se trouble, semblable au pilote indécis, Qui
construisit le labyrinthe de Crète, où Minos l’enferma avec Icare son
fils
, pour avoir favorisé l’abominable passion de Pasi
e la cire, des ailes artificielles. Dédale recommanda vainement à son
fils
, de ne voler ni trop haut, ni trop bas. Icare, s’
leaux, si son cœur l’eût permis, Dédale eût exprimé le malheur de son
fils
: Deux fois il le tenta ; deux fois, sa main glac
mage à peine, encor tracée. Virgile . — Lefranc 158. Amphion,
Fils
de Jupiter et d’Antiopc, Reine de Thèbes. Dis
us il ne faut qu’un jardin. Dorat 160. Penthée, Roi de Thèbes,
Fils
d’Échion et d’Agave. Ennemi des Dieux et de
et le peuple animé d’un saint zèle, Consacre un nouveau culte au Dieu
fils
de Semèle. Ovide.— Saint-Ange 161. Arion.
Te mène heureusement au port162 [Roy]. Priam, Roi de Troie,
Fils
de Laomédon. Quand Hercule se fut emparé de
vu le feu sacré S’éteindre par le sang de Priam massacré, Cinquante
fils
, liés par autant d’hyménées ; Promettoient à ses
lard vénérable. Polite en ce moment, (O spectacle effroyable !) Jeune
fils
de Priam, que Pyrrhus a blessé, Se déroboit au fe
, Dieux vengeurs, au forfait mesurez le supplice ! Et toi, qui de mon
fils
viens de percer le flanc, Qui, sur le corps d’un
ces mots, Priam, d’un bras débile Lance un trait impuissant contre le
fils
d’Achille, Trait dont le bouclier est à peine eff
eillard qui chancelle, Et dont les pas glissoient dans le sang de son
fils
. Il saisit ses cheveux, que le temps a blanchis :
le pieux Enée l’emporta sur ses épaules hors de la ville, tenant son
fils
Ascagne par la main, et l’embarqua avec lui sur s
a avec lui sur ses vaisseaux. Anchise mourut depuis en Sicile, où son
fils
lui éleva un tombeau magnifique, et honora ses ce
scendu aux Enfers. Sur la transmigration des Ames. C’est toi, mon
fils
, dit-il, en pleurant d’allégresse, Rien n’a donc
doux à mon espoir \ Il m’étoit annoncé, mon attente est remplie. Mon
fils
, que de dangers ont menacé ta vie ! Que la Terre
éternel le cours est accompli. Virgile. — Lefranc 164. Laocoon,
Fils
de Priam et Frère d’Anchise. Il ne vouloit po
de fumée. Tout tremble : fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes
fils
, Laocoon, avoient suivi tes pas : Tes fils, portr
n hymen plein d’appas, Tes fils, Laocoon, avoient suivi tes pas : Tes
fils
, portraits vivans d’une mère adorée, Comme toi, r
? Pour la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes
fils
rendra-t-il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers T
geurs dont Troie est dévorée. Pétrone. — Deguerle 165. Atrée,
Fils
de Pélops. Jamais Prince offensé ne donna un
s l’asile de Thyeste, Eprouvera bientôt le sort le plus funeste ! Mon
fils
, prêt à servir un si juste transport, Va porter d
che à le punir qu’au défaut du tonnerre. Crébillon 166. Œdipe,
Fils
de Laïus, Roi de Thèbes, et de Jocaste. L’Or
de Thèbes, et de Jocaste. L’Oracle avoit prédit à Laïus que son
fils
seroit à la fois parricide et incestueux. Epouvan
ouvanter les Ombres. Viens, je te suis. Voltaire 168. Tantale,
Fils
de Jupiter et de la Nymphe Plota. Il étoit R
va d’une manière barbare, en leur servant à souper les membres de son
fils
Pélops. Jupiter condamna ce tigre aux tourmens ét
coffre fort. Pétronne. — Deguerle 169. Voyez Tartare. Pâris,
Fils
de Priam et d’Hécube. L’Oracle avoit prédit
pire dans ton cœur : Les Troyens ont péri par le fer et la flamme. Le
fils
de Téiamon, ses coups et sa fureur, Bientôt iront
Déjà le vieux Nestor a juré ton trépas : Il s’avance appuyé sur le
fils
de Laërte : La terreur le devance, et la mort sui
ne lance terrible. Tu frémiras d’horreur en voyant Mérion, Et le
fils
de Tydée, aussi vaillant qu’Alcide, Poursuivre le
tombeau les enferma tous deux. Ovide.— Saint-Ange 174. Minos,
Fils
de Jupiter et d’Europe. Il régna sur la Crèt
n’avoit pas prédit au maître des Dieux qu’elle donneroit la vie à un
fils
dont la gloire éclipseroit celle de son père. Thé
. Ma vie est, par mon choix, éteinte à son aurore, Vos parens à leurs
fils
se devoient plus encore : Vous étiez leur seul bi
: par l’âge appesantis, Ils n’avoient pas le droit d’espérer d’autre
fils
, Et si votre bonheur eût fait leur seule envie, V
s inévitables. Gardez, dans ce palais, d’introduire un tyran : De mon
fils
, il est vrai, le péril est moins grand, Son sexe
captive, après la prise de Troie, elle fut forcée d’épouser Pyrrhus,
fils
du meurtrier de son époux, qui l’emmena dans l’Ep
époux, qui l’emmena dans l’Epire. Pyrrhus mort, elle épousa Hélénus,
fils
de Priam. Quoiqu’attachée, par ce nouveau lien, a
e Andromaque, il la cherche de l’œil : Andromaque est absente, et son
fils
avec elle. Il gémit ; cependant, à son devoir fid
r votre femme aux horreurs du veuvage, Et laisser dans mes bras votre
fils
orphelin. Hélas ! de mes frayeurs l’augure est tr
toi. Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton
fils
, prends pitié de sa mère ; Ou, si tu veux encor t
e du tombeau dans ses flancs me resserre ! » Il dit, et vers son
fils
, tend l’une et l’autre main. Mais l’enfant, à l’a
ris, Hector pose son casque aux pieds de la Princesse, Prend son
fils
en ses bras, le flatte, le caresse, Mollement le
Cieux : « Grand Jupiter, dit-il, et vous tous, justes Dieux, Que mon
fils
d’Ilion étende aussi la gloire ! Qu’au retour des
Adieux d’ Andromaque à Astyanax. O crime ! ô désespoir ! mon
fils
! ma seule joie ! Seul bien resté d’Hector et des
ma seule joie ! Seul bien resté d’Hector et des cendres de Troie, Mon
fils
, tu vas périr ! et mes funestes soins Ont avancé
, Ces flancs infortunés renfermoient la victime ! Tu pleures !… ô mon
fils
! connoîtrois-tu ton sort ? Sens-tu nos maux crue
éperdue, ils vont coûter de larmes ! Sauve-toi dans mes bras ! ô mon
fils
! c’est envain Que tu puisas la vie et le jour da
he assassin, avoit égorgé son malheureux époux, et l’un de ses jeunes
fils
. Egiste, sauvé par Narbas, avoit échappé à sa fur
l ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste. Me rendrez-vous mon
fils
, Dieux témoins de mes larmes ? Egiste est-il viva
e j’ai sauvé ? Ecartez loin de lui la main de l’homicide. C’est votre
fils
, hélas ! c’est le pur sang d’Alcide. Abandonnerez
et ses pas ! Sa mère… Elle s’élance au milieu des soldats. C’est mon
fils
, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ; C’est mon fi
oldats. C’est mon fils, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ; C’est mon
fils
; déchirez sa mère et votre Reine, Ce sein qui l’
cris. Venez, j’ignore encor, si la Reine est sauvée, Si de son digne
fils
la vie est conservée, Si le tyran n’est plus ; le
ensée et ses yeux. Ovide.— Saint-Ange 193. Castor et Pollux,
Fils
de Léda. Leur mère eut le premier de son épou
e ! écoute mes vœux. L’Immortalité qui m’enchaîne, Pour ton
fils
désormais n’est qu’un supplice affreux.
jaloux Va m’imposer les fers dont ma main te délivre. Castor , Le
fils
de Jupiter doit lui donner la loi. POLLUX. Vois
’est la fête de l’Univers. Bernard 196. Cadmus, Roi de Thèbes,
Fils
d’Agénor. Il forma le dessein de parcourir l’
nir de leurs premiers destins. Ovide.— Saint-Ange 197. Orphée,
Fils
d’Apollon et de Calliope. Il jouoit divinemen
’hui vaines Ombres, Des vierges que l’hymen attendoit aux autels, Des
fils
mis aux bûchers sous les yeux paternels, Victimes
’eût été de vieillesse. Le même, au P. de Ligne 200. Narcisse,
Fils
du fleuve Céphise, et de la Nymphe Lyriope.
fleur le remplace. Ovide. — Dorat 201. Voyez Echo. Actéon,
Fils
d’Aristée et d’Antonoé. C’étoit un célébre c
mon cours la lumière éthérée. Ovide.— Saint-Ange 203. Adonis,
Fils
de Cynire et de Myrrha. Le plus beau des jeu
ntables, dans la Phénicie et dans la Grèce. Vénus croit voir son
fils
, il en a tous les charmes ! Jamais rien de plus b
: Des soucis dévorans c’est l’éternel asile, Véritable Vautour que le
fils
de Japet Représente enchaîné sur son triste somme
nt moqueur. Jupiter résolut d’abolir cette engeance, Il part avec son
fils
, le Dieu de l’éloquence ; Tous deux en pèlerins v
devint tilleul, Philémon devint chêne. La Fontaine 206. Ajax,
Fils
de Télamon. Digne rival d’Hector au fameux si
dans la suite à lier son cadavre au char d’Achille. Après la mort du
fils
de Pélée, il disputa ses armes à Ulysse. Les prin
nant ses secours, Ne m’abandonne en proie aux avides Vautours. Que le
fils
de Maïa, qui sur les rives sombres Des pavots de
t ! Il renaît, le bourreau, pour m’écorcher moi-même209. Midas,
Fils
de Gordius, Roi de Phrygie. Bacchus qu’il av
N’as pas craint d’outrager la Nature et l’Amour, Toi, qui livres ton
fils
, en lui donnant le jour, Barbare, réponds-moi, c’
jour réponde à ton attente Celle qui, sans remords, sevra son propre
fils
, Pour te vendre le lait dont le tien s’alimente ?
c’est peu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton
fils
la mort ou les douleurs ; Le lait, le même lait q
toute entière livrée, Tu feras ton bonheur de vivre retirée. Sur ton
fils
au berceau les ris voltigeront ; Sur sa bouche ve
un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton
fils
; Apporte son berceau sous des berceaux fleuris.
engea de son perfide et cruel époux, en lui faisant manger son propre
fils
Itys. Térée voulut la tuer, mais en la poursuivan
ts, où ayant séché de douleur, elle fut métamorphosée en rocher. Ce
fils
(Narcisse) dont la beauté croissait avec les ans,
-la-fois, Fait briller, à l’envi, l’adresse de ses doigts ; Entre les
fils
tendus court la navette agile, Et le peigne affer
ue, Et l’ardeur du travail en trompe la fatigue. L’art d’assortir les
fils
, émule du pinceau, De reflets variés nuance le ta
ts en tissu, l’or se mêle à la soie, Et l’histoire des Dieux en longs
fils
se déploie… L’envie aux yeux perçansr envain
n puni de la manière la plus cruelle pour une mère. Elle fit tuer ses
fils
par Apollon, et ses filles par Diane. La malheure
Je joins à tant de biens, le port d’une déesse ; Sept filles et sept
fils
, doux gages de l’amour, Dans leurs fils, à mes ye
déesse ; Sept filles et sept fils, doux gages de l’amour, Dans leurs
fils
, à mes yeux, vont renaître à leur tour. Et, n’ai-
r. Après l’indigne affront que l’on a pu me faire, O ma fille ! ô mon
fils
! suis-je encor votre mère ? Hélas ! moi qui fais
lle de Tantale, aux Dieux nés de mon sang, Préfère, avec orgueil, les
fils
nés de son flanc. Ah ! puisse être bientôt, sa ra
et Diane, Un nuage descend sur la cité profane… Au milieu de ses
fils
, étendus et sanglans, Veuve de son époux, veuve d
; Quel spectacle ! elle s’offre à mes sens désolés, Au milieu de ses
fils
, l’un sur l’autre immolés. A force de souffrir, e
phose, Dryope eut soin d’appeler sa sœur Iole, et de lui remettre son
fils
, qui, sans ce secours, auroit été renfermé dans l
, par elle un rameau, tendre et frêle espérance, Est cueilli pour son
fils
, jouet de son enfance. J’étais avec ma Sœur, et j
ir ses cheveux, Saisit le verd naissant qui l’ombrage à mes yeux. Son
fils
, pressant le sein de sa mère chérie, Appelle enva
Et que le fer me livre aux brasiers dévorans ! Mais prenez soin d’un
fils
encore à la mamelle, Et qu’il croisse en jouant,
puisqu’il ne m’est plus permis de me baisser, Elevez jusqu’à moi mon
fils
… pour l’embrasser. Je meurs… ma voix s’éteint… et
Où chacun, libre et maître, au gré de son caprice, A sa femme, à ses
fils
, dispense la justice. Une île inhabitée, et proch
ortir subitement l’île de Délos, pour lui servir d’asyle. Apollon son
fils
tua depuis le monstre à coups de flèches, et cons
nasse. Montagne fameuse de la Phocide, ainsi nommée de Parnassus,
fils
de Neptune et de Cléodore, qui en habitoit les en
el, sur le Mont Ismare ou sur le Mont Rhodope, La Thrace vit jadis le
fils
de Calliope Attirer les rochers, les lions et les
eu du Tonnerre a plongé les Titans. J’ai vu dans ces cachots les deux
fils
d’Aloée ; Jadis leur insolence à jamais foudroyée
ernis 256. Divinités allégoriques Destin ou Destinée,
Fils
du Cahos. Il tenoit sous ses pieds le Globe
rbé la marche chancelante, Et la mère qui croit dérober au trépas Son
fils
, unique espoir, qu’elle tient dans ses bras. Inut
el, Ah ! lorsque ton orgueil languissoit dans les chaînes Où les
fils
d’Aloüs te faisoient soupirer, Pourquoi trop peu
on Empire, Le bien de ses sujets fait son soin le plus cher ; Et toi,
fils
de Junon, c’est elle qui t’inspire La fureur de r
nce ; Son père dans ses bras avec un cri s’élance ; « O Minerve ! mon
fils
est digne de mon sang ; Conserve-lui ce cœur tend
endre et compatissant ; Il a su respecter et plaindre la misère : Mon
fils
, quel autre hommage auroit flatté ton père ? » Sa
t ébloui ; Son orgueil lui déplaît, son éclat l’importune ; Il est le
fils
heureux de la triste infortune. Au même sein
ces tristes bords ! Mais, dans les champs de l’Elysée, Si j’y vois un
fils
de Thésée, Que j’y puis compter de Nestors ! O te
e en sent l’heureux effet. Hâte-toi, soumets cette argile Qu’anima le
fils
de Japet ; En affoiblissant nos entraves, Tes cou
abondance ! Le vieillard dont la faim va terminer les jours, Voit son
fils
au berceau qui périt sans secours. Ici, meurt dan
à périr comme elle : Furieuse, elle approche avec un coutelas, De ce
fils
innocent qui lui tendoit les bras ; Son enfance,
mblante, Détestant son hymen et sa fécondité :- « Cher et malheureux
fils
, que mes flancs ont porté ! Dit-elle, c’est envai
au ! » En achevant ces mots, furieuse, égarée, Dans les flancs de son
fils
, sa main désespérée Enfonce, en frémissant, le pa
ente Une femme égarée, et de sang dégoûtante. « Oui, c’est mon propre
fils
; oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans so
’est vous qui dans son sang avez trempé mes mains : Que la mère et le
fils
vous servent de pâture. Craignez-vous plus que mo
Et quand tu vieillis, tu la perds. Deshoulières 290. Génie,
Fils
du Ciel et de la Nature. Frère de l’Esprit, i
temps jadis, En folâtrant, habitent autour d’elle ; Les Calembourgs,
fils
bâtards de la Belle, Y sont reçus, par fois même
Païens : Frappez, exterminez, déchirez les Chrétiens. Mais lorsque au
Fils
de Dieu Rome enfin fut soumise Du Capitole en cen
] Borde. Ode sur la guerre. Fragment. 26. [Table des matières] Paul,
fils
. Pharsale. liv. II. Fragment. 27. [Table des mat
ian. La Mort. Fable. 123. [Table des matières] Vigée. La Mort de mon
Fils
. 124. [Table des matières] Chabanon. Enéide. liv
dent, y est demeuré célèbre sous le fameux nom de Japhet. Cham et son
fils
n’ont, pas été moins connus parmi les Égyptiens e
norée sous les noms de Séléné, de la Lune, de Héra ou de Junon. Orus,
fils
d’Isis, est celui que les Grecs nommèrent depuis
es objets sensibles pour leur offrir un culte superstitieux. Les deux
fils
de Cham, Chanaan et Mysraïm, s’étant établis dans
savans, d’accord, avec Vossius, ont cru que c’était Mysraïm lui-même,
fils
de Cham, qui, après la mort de son père, fut appe
de ce vaste continent adoraient le soleil. Les Incas s’appelaient ses
fils
, comme les héros grecs se disaient les fils de Ju
es Incas s’appelaient ses fils, comme les héros grecs se disaient les
fils
de Jupiter ou d’Hercule. On peut même assurer que
onges à des vérités communes. Si quelque prince pleurait la mort d’un
fils
, la poésie plaçait ce fils parmi les astres. Les
s. Si quelque prince pleurait la mort d’un fils, la poésie plaçait ce
fils
parmi les astres. Les écrits restaient, ils étaie
conquête de la toison d’or. A la seconde prise de Troie parurent les
fils
ou petits-fils des premiers héros : Agamemnon, Mé
t pendant la vingt-troisième année de la judicature de Débora. Atrée,
fils
de Pélops, les renouvela et en ordonna la seconde
nait le premier rang parmi les dieux d’Égypte. Les Grecs en firent un
fils
de Jupiter et de Junon, qui, chassé du ciel à cau
dieux ; et le mot semones signifie demi-hommes, parce qu’ils étaient
fils
d’un dieu et d’une mortelle, ou d’une déesse et d
e nous allons donner serviront à éclaircir l’histoire de Jupiter leur
fils
. Saturne, Janus, Age d’or. Cœlus, ou le Cie
signent la terre, était la plus ancienne des déesses. Ils eurent pour
fils
Titan et Saturne, qui était le même que le Temps.
cun enfant mâle. Saturne, pour obéir à cette convention, dévorait ses
fils
à l’instant de leur naissance. Remarquons, avant
c’est de là qu’on a tiré l’allégorie barbare de Saturne dévorant ses
fils
. Cependant Cybèle, ayant mis au monde Jupiter en
de l’âge d’or, il faut l’attribuer à l’éclatante renommée de Jupiter,
fils
de Saturne, dont nous verrons bientôt l’histoire,
antiques de Saturne portent des chaines pour rappeler celles dont son
fils
l’avait chargé ; on avait soin de les ôter les jo
’Afrique. Cicéron en comptait trois. Le premier, né en Arcadie, était
fils
de l’Æther, père de Proserpine et de Bacchus ; le
t fils de l’Æther, père de Proserpine et de Bacchus ; le second était
fils
du Ciel et père de Minerve, à laquelle Cicéron at
quelle Cicéron attribue l’invention de la guerre ; le troisième était
fils
de Saturne : il était né dans l’île de Crète, et
il y a tout lieu de croire que cet Ammon était Cham lui-même, que son
fils
Mysraïm ou Mesraïm plaça au rang des dieux. On sa
ffinité avec celui d’Ammon, si célèbre dans l’Afrique. Japhet, second
fils
de Noé, eut en partage tous les lieux maritimes d
la suite à le faire regarder comme le dieu de la mer. Sem, troisième
fils
de Noé, hérita du reste de l’Asie, où le culte du
dres de Jupiter lui firent perdre la vie. Ephilate et Otus son frère,
fils
d’Aloëus et d’Iphimédie, que l’on surnommait les
rs dans les anciens auteurs. Les Scythes, descendans de Magog, second
fils
de Japhet, s’établirent d’abord dans les province
rmodon et l’Iris, où ils bâtirent la ville d’Acmonie, du nom d’Acmon,
fils
de Phané leur chef. Le désir des conquêtes condui
sous le nom de Très-Haut. Uranus, dont le nom en grec signifie ciel,
fils
et successeur d’Acmon, épousa Titée ou la Terre,
s, avant de mourir, et Titée, indignés de la conduite de Saturne leur
fils
, lui annoncèrent que ses enfans le traiteraient c
rès dans son île de Crète, dont il était souverain, pour attaquer son
fils
; mais ceux qui la gouvernaient pour lui s’étant
ix années. Saturne, ne se voyant plus en sûreté dans un pays dont son
fils
était le maître, passa dans la Sicile ; où il mou
e fut la portion de cet empire qui subsista le plus long-temps. Crès,
fils
de Jupiter, y régna après la mort de son père. Le
la mort de son père. Les anciens nous apprennent aussi que Deucalion,
fils
de Prométhée, et de la race des Titans, s’établit
un de ces hommes puissans qui lui a ôté la vie ; ce ne sont point les
fils
des Titans, les Géans ; c’est une femme. Au res
oit pour les punir. Il prit la forme d’un aigle pour enlever Ganymède
fils
de Tros, roi des Troyens, qu’il chargea du soin d
en détail lorsqu’il sera question des demi-dieux et des héros), était
fils
de Titan. Il fut père de Prométhée (nom qui dériv
avité ; ce qui décida Jupiter à prendre un échanson. Mars, son second
fils
, fut conçu par la vertu d’une fleur. Junon, jalou
ai, et mit au monde Mars, dieu de la guerre. Vulcain fut le troisième
fils
de Junon. Jupiter le précipita du ciel à cause de
it le plus : voilà ce qui fit dire que le dieu de la guerre était son
fils
. Son origine, tirée d’une fleur, est une seconde
de donner à la plus belle la pomme jetée par la Discorde. Pâris était
fils
de Priam, roi des Troyens. Ce titre devint la cau
aborder dans l’Égypte, où elle reprit sa première forme. Elle eut un
fils
nommé Épaphus. Le culte que les Égyptiens rendaie
ement maltraitée par Junon, qu’elle se précipita dans la mer avec son
fils
Polycerte, que depuis on honora comme dieu des po
orts, sous le nom de Palémon. Agavé, femme d’Echion, vit déchirer son
fils
Panthée par les Bacchantes. Autonoé, femme d’Aris
chantes. Autonoé, femme d’Aristée, eut la douleur de voir Actéon, son
fils
, changé en cerf, et dévoré par ses propres chiens
peste, parce qu’Égine avait inspiré de la tendresse à Jupiter. Éacus,
fils
d’Égine pria Jupiter, son père, de repeupler le p
Pour donner de l’éclat à sa naissance inconnue, on publia qu’il était
fils
du dieu du Jour et de la muse Calliope. On représ
s le nom de Bélus ; les Égyptiens, sous celui d’Osiris et d’Horus son
fils
; les Ammonites, sous celui de Moloch ; les Perse
r Europe. Mai, signe des Gémeaux. Ils représentent Castor et Pollux,
fils
de Jupiter et de Léda. Juin, signe de l’Écreviss
obtiendrait tout ce qu’il voudrait leur demander. Il voulut avoir un
fils
sans être obligé de prendre une femme. Sa demande
précède son père, et annonce son retour. Un jour elle enleva Tithon,
fils
de Laomédon, et pria les dieux de le rendre immor
e Procris. Histoire de Phaéton. La chute du téméraire Phaéton,
fils
du Soleil, a trop de célébrité pour la taire. Epa
Phaéton, fils du Soleil, a trop de célébrité pour la taire. Epaphus,
fils
de Jupiter et de la nymphe Io, lui ayant un jour
upiter et de la nymphe Io, lui ayant un jour disputé l’honneur d’être
fils
du Soleil, Phaéton, irrité de cette injure, consu
porte à croire que les Grecs ont imaginé leur Apollon d’après Horus,
fils
d’Osiris, que les Égyptiens confondaient avec le
ent les foudres de Jupiter. La fable rapporte à ce sujet qu’Esculape,
fils
d’Apollon, avait si bien réussi dans la médecine,
elle du centaure Chiron, qu’il était parvenu à ressusciter Hippolyte,
fils
de Thésée, dont nous rapporterons l’histoire à l’
point les parens d’Hyacinthe ; ils poursuivirent le meurtrier de leur
fils
. Il alla se réfugier à Troie auprès de Laomédon,
indigné le mit à mort, embrasa la ville, et emmena prisonnier Priam,
fils
de Laomédon. Ces fables se trouvant jointes à l’h
niers étaient des princes grecs ; le plus ancien de tous était Horus,
fils
d’Osiris et d’Isis. Cette reine d’Égypte lui donn
qu’Osiris était le symbole du soleil chez les Égyptiens : Horus, son
fils
, le fut de même après lui. Les Grecs confondaient
put toujours échapper aux poursuites des chasseurs. Arcas, son propre
fils
, ayant atteint l’âge pendant lequel on trouve tan
nommée Bootès ou le Bouvier, qui suit la grande Ourse, représente le
fils
de Calisto. Près du pôle arctique, on aperçoit au
e Junon, ne souffrait pas que l’on osât se comparer à elle. Dédalion,
fils
de l’astre du matin nommé Lucifer, fut changé en
rs de Jupiter dans la guerre contre les Géans ; ensuite ils le disent
fils
de Sémélé et petit-fils de Cadmus. Or, ce dernier
elques savans cherchent à prouver que Bacchus est le même que Nemrod,
fils
de Chus, ce qui lui fit donner d’abord le nom de
emrod, fils de Chus, ce qui lui fit donner d’abord le nom de Barchus,
fils
de Chus, et, par corruption, on changea ce nom en
ut porté dans la Grèce par Cadmus. Sémélé, fille de ce prince, eut un
fils
surnommé Bacchus, qui fit quelques actions et que
e sa naissance, telle qu’on la trouve dans les poëtes grecs. Il était
fils
de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus. Cette p
lorsqu’on osait troubler ses fêtes ou s’opposer à son culte. Penthée,
fils
d’Echion et d’Agavé, voulut empêcher les Thébains
fit suivre par les bacchantes, et déchira de ses mains son malheureux
fils
. Cet exemple funeste ne produisit aucun effet sur
. On le nommait aussi Evan et Hyie, mots qui signifient courage , mon
fils
, et que Jupiter répétait souvent pendant que Bacc
’elle allait mettre au monde une fille d’une sagesse consommée, et un
fils
à qui les destinées réservaient l’empire du monde
stoire de Mars. Le dieu Mars, que les Grecs nommaient Arès, était
fils
de Jupiter et de Junon. La fable que nous avons r
ulut point consentir au mariage d’Alcippe, sa fille, avec Allyrotius,
fils
de Neptune. Ce jeune insensé, n’écoutant que sa p
folle témérité lui coûta la vie. Neptune, désespéré de la mort de son
fils
, appela Mars en jugement. Les plus braves Athénie
et Quirinus pendant la guerre. Romulus, regardé par les Romains comme
fils
de Mars, obtint le nom de Quirinus, lorsque l’on
ans les tableaux, on voit son char conduit par Bellone ; ses chevaux,
fils
de Borée et d’Erinnys, se nommaient la Terreur et
mer, et du sang que perdit Cœlus lorsqu’il fut blessé par Saturne son
fils
. Ce mélange bizarre produisit la plus belle des d
On représenta Vénus comme la déesse des plaisirs ; On lui donna pour
fils
Cupidon ou l’Amour, et tous les chefs-d’œuvre que
Astarté avec celle de Vénus, donna lieu à la fable d’Adonis. Il était
fils
de Cinyras, roi de Chypre, et de Myrrha. Cette ny
rphosée en l’arbre qui porte son nom, avant la naissance d’Adonis son
fils
. Lorsque l’instant où il devait voir le jour fut
it le célèbre collier d’Ériphile, femme d’Amphiaraüs, à qui Polynice,
fils
d’Œdipe, l’avait donné pour l’engager à trahir so
la terre fut peuplée par les hommes et par les animaux. Il les disait
fils
de la Nuit et de l’Éther. Les poëtes le disent fi
ux. Il les disait fils de la Nuit et de l’Éther. Les poëtes le disent
fils
du dieu des richesses et de la déesse de la pauvr
embellir leurs tableaux, ils distinguèrent d’abord deux Amours ; l’un
fils
de Vénus Uranie, qui présidait aux unions légitim
it aux unions légitimes ; et l’autre, qu’ils nommaient Antéros, était
fils
de Vénus et de Mars ; il présidait aux passions.
s deux premiers, et de ce qu’ils y ont ajouté, était un prince Titan,
fils
de Jupiter, qu’une disgrâce força de se retirer d
arcourir sa fable, telle que les Grecs nous l’ont transmise. Il était
fils
de Jupiter et de Junon. Il vint au monde avant te
es Cyclopes ; après avoir nommé Polyphème leur père, elle désigne ses
fils
Brontès, Stéropes et Pyracmon, comme les plus cél
ontès, Stéropes et Pyracmon, comme les plus célèbres. Polyphème était
fils
de Neptune et d’une fille du géant Titye, qui s’a
la Sicile. L’ignorance de leur origine les a fait regarder comme les
fils
du Ciel et de la Terre. Leur premier établissemen
us, ou Érechthée, quatrième roi d’Athènes. On le disait sans mère, ou
fils
de la Terre. Ses jambes étaient torses et contref
es Égyptiens, contemporains d’Osiris. Le second était, selon Hésiode,
fils
de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas. L’antiquité
ait qui nous est resté du plus ancien des Mercure. Le second Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, devint extrêmement célèbre
a conservé le souvenir. Fable des Grecs sur Mercure. Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas, était le pl
e de la mythologie. Histoire d’Océan et de Téthys. Océan était
fils
du Ciel et de la Terre. Il était à juste titre re
er l’aima ; mais ayant lu dans le livre des destins qu’elle aurait un
fils
plus grand que son père, il la donna pour épouse
chevaux marins. Histoire de Neptune et d’Amphitrite. Neptune,
fils
de Saturne, était frère de Jupiter. L’empire des
iles, Des Tritons et des Sirènes. Le premier des Tritons était
fils
de Neptune et d’Amphitrite, ou, selon quelques po
n’habitaient que les lieux les plus sauvages. Protée. Protée,
fils
de Neptune, ou d’Océan et de Téthys, était chargé
tagème lui réussit ; il devint l’époux de Pomone. La fable d’Aristée,
fils
d’Apollon et de la nymphe Cyrène, prouve tout le
us venons de citer. Les anciens reconnaissaient trois Glaucus ; l’un,
fils
de Minos ; le second, fils d’Hippolochus ; et le
iens reconnaissaient trois Glaucus ; l’un, fils de Minos ; le second,
fils
d’Hippolochus ; et le troisième, surnommé le Poli
e, surnommé le Politique. Portunus, ainsi nommé par les Latins, était
fils
d’Athamas et d’Ino, fille de Cadmus. Junon, ennem
Thèbes Athamas, époux d’Ino, qu’il la menaça de la déchirer avec son
fils
Mélicerte. L’un et l’autre s’enfuirent précipitam
eurs propres enfans les malheurs qui avaient accablé Leucothoé et son
fils
. Les femmes esclaves n’avaient pas le droit d’ent
droit d’entrer dans son temple. Phorcys ou Phorcus, dieu marin, était
fils
de Pontus et de la Terre ; d’autres disent de Nep
n. Égéon est peint par Homère comme un redoutable géant. Ovide le dit
fils
du ciel et de la Terre. Il habitait la mer, il en
tempêtes, doit être placé parmi les dieux de la mer. Il passait pour
fils
de Jupiter, et devait ce titre à son seul mérite.
our fils de Jupiter, et devait ce titre à son seul mérite. Ce prince,
fils
d’Hippotas, vivait au temps de la guerre de Troie
; ensuite ils passèrent en Italie. La fable dit que les Vents étaient
fils
d’Aurore et d’Astrée, l’un des Géans qui firent l
ffle pour l’enlever et la transporter dans la Thrace ; il en eut deux
fils
, Calaïs et Zéthès, dont nous parlerons au voyage
6.) Priape était aussi regardé comme dieu des jardins : on le disait
fils
de Vénus et de Bacchus. Il naquit à Lampsaque. Sa
nnait le nom Silènes à ceux qui étaient avancés en âge. On les disait
fils
de Mercure et de la nymphe Yptimé, ou fils de Bac
ncés en âge. On les disait fils de Mercure et de la nymphe Yptimé, ou
fils
de Bacchus et de la nymphe Nicéa, fille de Sangar
nait le premier rang parmi les dieux antiques. Les poëtes le disaient
fils
de Jupiter et de la nymphe Calisto, ou fils de Me
s. Les poëtes le disaient fils de Jupiter et de la nymphe Calisto, ou
fils
de Mercure et de Pénélope. On le représentait sou
lui qu’on rendait à Bacchus. De Faunus et de Sylvanus. Faunus,
fils
de Picus, vivait du temps de Pandion, roi d’Athèn
e bravoure et de sagesse, se distingua tellement, qu’il passa pour le
fils
de Minerve. Les soins qu’il donna à la culture de
ussi parmi les divinités des champs Fauna, sa femme, et Silvanus, son
fils
. Le nom de ce dernier dérive du mot sylva, forêt.
colère qu’à ces petites figures. Les Romains disaient tous ces dieux
fils
de Jupiter et de Lorunda. La ressemblance du nom
, Cérès, Proserpine et autres dieux des enfers. Pluton, troisième
fils
de Saturne et d’Ops, régnait dans les enfers avec
dre avec Pluton, divinité qui lui était très-supérieure. Plutus était
fils
de Cérès et de Jasion. On le représentait aveugle
s âmes que Mercure conduisait dans les enfers. Minos, roi de Crète et
fils
d’Astérius, était le premier. Il voulut se faire
et fils d’Astérius, était le premier. Il voulut se faire passer pour
fils
de Jupiter et d’Europe. Pour obtenir qu’on le crû
, sa femme, lui suscita les plus grands malheurs. Il eut d’elle trois
fils
et deux filles célèbres, Ariadne et Phèdre, dont
l’histoire à l’article des demi-dieux. Rhadamanthe passait aussi pour
fils
de Jupiter et d’Europe. Forcé de fuir la Crète, p
de Béotie, où il épousa Alcmène, veuve d’Amphitryon. Éacus ou Éaque,
fils
de Jupiter et d’Égine, fille d’Asope, régnait dan
éteindre la torche qu’elle tient à la main. (Fig. 43.) Le Sommeil,
fils
de la Nuit et frère de la Mort, se représente sou
Cerbère et des fleuves de l’enfer. Caron, selon les poëtes, était
fils
d’Érèbe et de la Nuit. Son nom signifie colère. S
êtes ; des couleuvres au lieu de poil environnaient son cou. Il était
fils
de Typhon et d’Échidna. Orphée l’endormit au son
roue environnée de serpens. (Fig. 48.) Tantale, roi de Phrygie, était
fils
de Jupiter et de la nymphe Pluto. On rapporte div
onnaissaient les choses cachées. Ce prince barbare égorgea Pélops son
fils
, et fit entremêler ses membres avec les mets que
e attentat contre les dieux et contre la tendresse qu’il devait à son
fils
, il fut précipité dans le fond des enfers, où il
pour les punir du crime que nous allons rapporter. Danaüs et Égyptus,
fils
de Bélus, descendaient de Jupiter et de la nymphe
dont il eut cinquante filles. Son frère Égyptus eut de même cinquante
fils
. Ces princes, ayant appris la puissance et la nou
nnait au dieu de la guerre la Peur et la Fuite pour cortége. Les deux
fils
de Médée ayant été massacrés par les Corinthiens,
, que l’on nommait comos, et que l’on chantait dans les repas. Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, était le dieu de la rai
nchoniaton, le plus ancien des auteurs phéniciens, nomme un Esculape,
fils
de Sydic ou le Juste, et d’une princesse de la fa
partie de la Messénie. C’est de là que Machaon et Podalyre, ses deux
fils
, allèrent à la guerre de Troie. Les poëtes publiè
ollon tua les Cyclopes à coups de flèches, pour venger la mort de son
fils
. A Épidaure, on honorait Esculape sous la forme d
re ou Tellus passe pour la plus ancienne des Déesses. Ils eurent pour
fils
Titan et Saturne, autrement dit le Temps. D. Comm
royaume. Pour se soustraire à ce malheur, il déclara la guerre à son
fils
, et lui tendit des embûches où il croyoit le fair
j’en frémis. Le frère meurt des coups du frère, Le père de la main du
fils
. L’Honneur fuit, l’Intérêt l’immole ; Des lois, q
upiter. D. Quel rang tenoit Jupiter parmi les Dieux ? R. Jupiter,
fils
de Saturne et de Cybèle, étoit considéré comme le
crime de Prométhée, et comment Jupiter l’en punit-il ? R. Prométhée,
fils
de Japet, l’un des Titans, ayant formé quelques s
el, et quelquefois l’Iris. Apollon. D. De qui Apollon étoit-il
fils
? R. Apollon étoit fils de Jupiter et de Latone.
s. Apollon. D. De qui Apollon étoit-il fils ? R. Apollon étoit
fils
de Jupiter et de Latone. On le regardoit comme le
ministres de la colère de Jupiter. Voici à quelle occasion. Esculape,
fils
d’Apollon et élève du Centaure Chiron dans la méd
r des biches. Bacchus. D. Qui étoit Bacchus ? R. Bacchus étoit
fils
de Jupiter et de Sémélé. D. Comment vint-il au mo
ici ce qu’en dit Rousseau dans les vers suivans ; C’est lui qui, des
Fils
de la Terre Châtiant la rebellion, Sous la forme
estiné à ces Fêtes. Mercure. D. Qu’étoit Mercure ? R. Mercure,
fils
de Jupiter et de Maïa, étoit l’interprète et le m
mbes, par des cygnes ou par des moineaux ; on place à côté d’elle son
fils
Cupidon. D. Expliquez-nous ce que c’est que le sa
ce fameux saut. Vulcain. D. Qui étoit Vulcain ? R. Il étoit le
fils
de Junon et de Jupiter, qui le précipita du ciel
; et l’olivier celui de la paix. Mars. D. De qui Mars étoit-il
fils
? R. Jupiter avoit donné seul la naissance à Pall
vinités des eaux. Neptune. D. Qu’étoit Neptune ? R. Neptune,
fils
de Saturne et de Cybèle, avoit l’empire des Eaux,
s, touchoient. Prothée. D. Qu’étoit Prothée ? R. Il étoit aussi
fils
de l’Océan, et conduisoit les troupeaux de Neptun
tres d’Eole et des Styrènes ? Eole. D. Qu’étoit Éole ? R. Eole,
fils
de Jupiter, étoit le Dieu des Vents, qu’il tenoit
ivinités des Enfers. Pluton. D. Qu’étoit Pluton ? R. Pluton,
fils
de Saturne et de Cybèle, régnoit dans les Enfers.
tte.) Sisyphe. D. Quel a été le crime de Sisyphe ? R. Sisyphe,
fils
d’Eole, avoit infesté la Grèce par ses brigandage
ntale voulant éprouver les Dieux, leur avoit servi les membres de son
fils
Pélops. Il étoit plongé dans l’eau jusqu’au mento
, filles de Danaüs, étoient cinquante. Elles épousèrent les cinquante
fils
d’Egyptus leur oncle. Danaüs avoient appris de l’
au son des trompettes. Priape. D. Qu’étoit Priape ? R. Priape,
fils
de Vénus et de Bacchus, étoit le Dieu des Jardins
s, et portant un flambeau. Momus. D. Qu’étoit Momus ? R- Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, étoit le Dieu de la rai
t elle eut Morphée. Morphée. D. Qu’étoit Morphée ? R ; Morphée,
fils
de l’Erèbe et de la Nuit, étoit le Dieu du sommei
te.) Narcisse. D. Dites-nous un mot de Narcisse ? R. Narcisse,
fils
de Céphise et de Liriope, se trouvoit si beau, qu
t parmi les demi-Dieux ? R. On nomme Persée un des premiers. Il étoit
fils
de Jupiter et Danaé, Acrise, roi d’Argos, ayant a
té le plus célèbre parmi les Héros de l’antiquité ? R. C’est Hercule,
fils
de Jupiter et d’Alcmène. Dès le berceau il donna
quelle il annonça cette brillante destinée : Chez toi doit naître un
fils
, qui, sous le nom d’Hercule, Remplira de ses fait
ivre Hercule ? R. Junon épuisa tous les efforts de sa haine contre ce
fils
de Jupiter. Elle fit naître Euristhée avant lui,
déchiroit le foie. Il défit et étouffa dans ses bras le géant Anthée,
fils
de la terre. Il habitoit les déserts de la Lybie,
t armé d’une massue. Thésée. D. Qui étoit Thésée ? R. Il étoit
fils
d’Egée, roi d’Athènes ; parent et contemporain d’
épouse de Minos, roi de Crète. Ce Prince, pour venger la mort de son
fils
Androgée, tué par les jeunes gens d’Athènes, obli
s’en échappa, en attachant des ailes à ses épaules et à celles de son
fils
, lui recommandant bien de ne voler ni trop haut n
n. Egée, voyant de loin des voiles noires, crut qu’il avoit perdu son
fils
, et se précipita dans cette partie de la mer qui
ésée épousa Hyppolite, reine de ces femmes guerrières, dont il eut un
fils
qui porta le même nom. D. Racontez- nous l’aventu
ta le même nom. D. Racontez- nous l’aventure funeste de ce malheureux
fils
? R. Hyppolite, aimé de Phèdre, sa belle-mère, re
cusa faussement auprès de Thésée son mari. Le père furieux chassa son
fils
, et appela toute la colère de Neptune contre lui
s le Temple voisin chacun cherche un asyle. Hyppolite lui seul, digne
fils
d’un Héros, Arrête ses coursiers, saisit ses jave
ssé. …………………………………………………… J’ai vu, Seigneur, j’ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris ; Il
s, se pendit de désespoir. Castor et Pollux. D. De qui étoient
fils
Castor et Pollux ? R. Castor et Pollux, connus au
R. Castor et Pollux, connus aussi sous le nom de Tyndarides, étoient
fils
de Jupiter6 et de Léda, épouse de Tyndare. Jupite
. Jason et les Argonautes. D. Qui étoit Jason ? R. Jason étoit
fils
d’Eson, et neveu de Pélias, roi de Thessalie. Cel
R. Aëte, roi de la Colchide, possédoit une Toison d’or, que Phryxus,
fils
d’Athamas, roi de Thèbes, avoit portée en Colchid
é. Bellérophon. D- Qui étoit Bellérophon ? R. Bellérophon étoit
fils
de Glaucus, roi de Corinthe. Il dut ses aventures
s, roi de Lycie. Orphée. D. Qui étoit Orphée ? R. Orphée étoit
fils
de Clio et d’Apollon. Il en avoit reçu le talent
Cadmus. D. Que nous apprend la fable de Cadmus ? R. Cadmus étoit
fils
d’Agénor et frère d’Europe. Après l’enlèvement de
gnée. Œdipe. D. Quelle est l’histoire d’Œdipe ? R. Œdipe étoit
fils
de Laïus, roi de Thèbes. Laïus avoit appris de l’
èbes. Laïus avoit appris de l’Oracle qu’il périroit de la main de son
fils
; il ordonna à Jocaste, son épouse, d’égorger cet
t, le détache et, le présente à la reine qui le fait élever comme son
fils
, et lui donne le nom d’Œdipe, à cause de l’enflur
pe se fit-il connoître ? R. Devenu grand, il apprit qu’il n’étoit pas
fils
de Polybe. Ayant consulté l’Oracle, il lui fut ré
donc les horreurs où j’étois entraîné ! Je suis, oui, je le suis, ce
fils
abandonné, Je suis fils de Jocaste, et je connois
étois entraîné ! Je suis, oui, je le suis, ce fils abandonné, Je suis
fils
de Jocaste, et je connois mon crime ; Grands Dieu
l’histoire d’Étéocle et Polinice ? R. Œdipe avoit eu de Jocaste deux
fils
, Étéocle et Polinice. Ces deux frères firent paro
avec Iphigénie. Ulysse. D. Qui étoit Ulysse ? R. Ulysse étoit
fils
de Laërte, roi d’Itaque. Il erra pendant dix ans
au lieu de bled. Palamède, qui soupçonna sa feinte, plaça Télémaque,
fils
d’Ulysse, devant la charrue ; Ulysse, pour ne pas
Recule d’horreur. Neptune, pour venger la mort de Polyphême son
fils
, qu’Ulysse avoit tué, souleva contre lui les flot
à Ithaque, où il vécut peu de temps heureux. Il remit ses états à son
fils
Télémaque, et périt par la main de Télégone, qu’i
t ce qu’elle avoit fait le jour. Énée. D. De qui Énée étoit-il
fils
? R. Enée étoit fils d’Anchise et de la Déesse Vé
it le jour. Énée. D. De qui Énée étoit-il fils ? R. Enée étoit
fils
d’Anchise et de la Déesse Vénus. II échappa à la
a à la ruine de Troye ; il chargea son père sur ses épaules, prit son
fils
Iüle, ou Ascagne, par la main, et emporta les Die
tous les grands évènemens. Achille. D. De qui Achille étoit-il
fils
? R. Achille étoit fils de Thétis et de Pélée. Il
s. Achille. D. De qui Achille étoit-il fils ? R. Achille étoit
fils
de Thétis et de Pélée. Il fut confié aux soins du
avoit décidé qu’Achille périrait devant Troye ; pour empêcher que son
fils
ne suivît les Grecs ligués contre cette malheureu
m, accompagné d’une partie de sa famille, redemande le cadavre de son
fils
, pour lui rendre les derniers devoirs. Achille l’
la ville de Paphos. Adonis. D. Que dit-on d’Adonis ? R. Adonis,
fils
de Myrrha, fut aimé tendrement de Vénus. Il aimoi
inventeurs de ce culte étaient de grands poëtes. Antée. Géant,
fils
de la Terre. Hercule Libyen le terrassa, mais tro
lait nécessairement que cette voûte eût un pivot. Jupiter chargea son
fils
Atlas d’étayer de ses épaules l’édifice céleste.
rd. « Tout en cheminant, le bon homme conte à sa compagne comment son
fils
est malade, comment il a perdu le sommeil et comm
fut le père d’une école d’où sortirent des hommes illustres : Onatas,
fils
de Mycon ; Agéladas l’Argien, Damophon de Sicyone
nes 3, qu’il adapta avec de la cire à ses épaules et à celles de son
fils
Icare, et, sur cet appareil flottant, les deux fu
ya de graver sur les portes d’or du sanctuaire la fin tragique de son
fils
; deux fois le ciseau de l’artiste s’échappa des
e dit à Eumée : « Avez-vous remarqué que, pendant que je parlais, mon
fils
éternuait à tout propos ? C’est bon signe. A coup
our te faire trembler, je n’aurais qu’à éternuer à gauche. » Hippias,
fils
de Pisistrate, rangeait son armée en bataille sur
connus sous le nom d’Esculape. Nous ne parlerons que du plus fameux.
Fils
d’Apollon (le Soleil qui vivifie) et de Coronis (
el avantage les divins buveurs d’ambroisie conserveraient ils sur les
fils
de la Terre ? Le dieu, gardien inflexible des lim
et les manières, et qui pourtant ne sont pas des hommes. Ce sont vos
fils
. Sous notre costume ils cachent l’oreille fauve e
s de Pygmées leurs contemporains. On connaît la boutade d’ Horace : «
Fils
dégénérés de pères qui ne valaient pas leurs aïeu
ent pas. Phinée, roi de Thrace, avait fait crever les yeux à ses deux
fils
. Les dieux, pour le punir, lâchèrent contre lui l
ule, de l’étouffer entre tes bras, comme tu étouffas ce pauvre Antée,
fils
de la Terre.” Hercule, d’un revers de ses doigts,
s de la joyeuse réputation qu’il doit à la bonne humeur de nos aïeux.
Fils
du Sommeil et de la Nuit, il ne démentait pas sa
on discours. Tu es jeune et tu pourrais être le dernier en âge de mes
fils
. » Qu’ils sont rares ces vieillards-là, et qu’i
temps où les dieux n’avaient pas encore oublié leur parenté avec les
fils
de la Terre, Prométhée, un des Titans, était admi
attendant le dieu qui ne vient pas. Vulcain. Cyclopes. Vulcain,
fils
disgracié de Jupiter et de Junon, forgeait dans l
nt en Thrace avec eux la peste et la stérilité. Calaïs et Zèthès, les
fils
du vent du nord, les poursuivirent à grands coups
nfin sont accomplis : Et je meurs par les mains, quand je retruove un
fils
! Le ciel est juste. Voltaire — Eriphile — Trage
me achevé. Enfin qu’attendez-vous ? il vous offre sa tête : Autour du
fils
d’Hector il les fait tous ranger : Il s’abandonne
tribul de ruses et de lis, Et le donne au Zéphyr pour l’offrir à son
fils
, Les plaisirs enfantins, les jeunes amourettes Su
upiter. Neptune. Adam, Louvre. From a photograph by Levy et ses
fils
. As god of the sea, Neptune did not generally rem
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