ernité, sans indiquer son origine ; ensuite, supposant que Callirhoé,
fille
de l’Océan, après s’être mariée à Phanès, premier
erre ; il en résulta trois fils, Nérée, Thaumas, Phorcys ; plus, deux
filles
: Céto et Eurybie que nous avons déjà tous vu sup
e l’union de Chrone ou Saturne avec Rhîa ou Rhéa, on vit naître trois
filles
, appelées Hestia ou Vesta, Damater ou Cérès, Héra
atone, ou la Lune, et Astérie, unie à Persès. On lui donne aussi pour
fille
Astarté, probablement la même qu’Astérie, considé
t d’Héribée. De l’union de Japet avec Climène, l’une des trois mille
filles
de l’Océan, surgirent Atlas, Ménèce, Prométhée ou
n. En même temps, on supposa que s’étant allié à Hestia, l’une de ses
filles
, il en avait eu Abérid. On disait en outre qu’il
, chez les Lydiens ; Bérécynthe et Dindymène, sur les montagnes comme
fille
de Dindyme, Celena à Célène, Cimméris chez les Ci
s Diodore. Il nous apprend que Cybèle, étant princesse humaine, était
fille
de Méon, ou Ménos ou Manès, roi de Phrygie, et de
dier dont les fruits mûrs éveillèrent tellement l’envie d’une nymphe,
fille
de Sangare, et vulgairement appelée Sangaride, qu
, il devint d’une beauté si remarquable, qu’ayant gagné le cœur de la
fille
du roi de Périnonte, il allait se marier avec ell
stère à cette grande déesse de la Phrygie. Enfin, en admettant Cybèle
fille
de Méon et de Dindymène, nous la retrouvons jeune
éesse des moissons, que nous rencontrerons avec le titre de sa propre
fille
. Plus tard Cybèle eut à Rome un temple nommé Oper
nt Neptune et Pluton furent engloutis par son estomac, mais ses trois
filles
Junon, Vesta et Cérès furent également dévorées.
une appelée Métis. C’était un violent vomitif qui lui fit rendre les
filles
et les fils qu’il avait précédemment dévorés. D’a
’il avait précédemment dévorés. D’autres traditions supposent que les
filles
n’avaient eu rien à craindre, que Pluton et Neptu
n’est que la Terre, comme le seront pour nous par la suite toutes ses
filles
. Les noms de quelques-uns de ces prêtres sont ven
le Titye, et Eleuthère. Rhée, appelée aussi par Orphée Protogone, ou
fille
du premier homme, nous le répétons, ainsi que Cyb
mier homme, nous le répétons, ainsi que Cybèle et ainsi que ses trois
filles
Hestia ou Vesta, Cérès et Junon, doit être consid
n, et une seconde qui n’est autre que Cybèle et la jeune ou troisième
fille
de Saturne et de Rhée ; mais toutes doivent se co
e ; ils avaient célébré les noces de Cybèle qui alors aurait eu cette
fille
avant son mariage. Le repas avait été animé, et l
lui a donné pour femme, probablement après sa chute du ciel, Entorie,
fille
d’Icarius et mère de Janus, qu’il avait trouvé su
le secours du Ciel leur père. Ces trois sœurs de Hora, et comme elle
filles
du Ciel, s’appelaient primitivement dans la Béoti
son alliance avec la nymphe Chariclo, eut la devineresse Ocyroé pour
fille
, faisait donc partie de la population des Centaur
ns : ainsi on lui attribue Picus, roi des Latins, mari ou de Canente,
fille
de Janus ou de Circé, et père de Famie et de Faun
de Tmole, Athénée, à tort Hymnus, Felix et Faustus, enfans d’Eutoria,
fille
d’Icarius et mère de Janus, et allégoriquement le
ria, fille d’Icarius et mère de Janus, et allégoriquement le Sort, sa
fille
ainée, suivant les Latins, la Vérité, mère de la
qu’ils considéraient sa planète comme brûlante et maligne, et Pandée,
fille
qu’il eut avec la Lune. On assure, en outre, que
parce que l’on suppose qu’à cette époque Astrée, déess de la justice,
fille
de l’Aurore et d’Astérus, roi d’Arcadie, descendi
en voit prédominer une d’une manière toute particulière, et également
fille
de Mélisse, roi de Crète, ou du roi Hémone, ou mê
tait-elle seule véritablement Amalthée, et la femme était-elle Ega et
fille
du Soleil ou d’Olène ; ce sont des difficultés pe
dédoublant, suivant le caprice des poètes et des historiens, en père,
fille
et sœur ; puis, dans Amalthée, il ne faut plus tr
c’est-à-dire, la déesse à ample lumière, ou la nymphe Néere, et pour
filles
PhÆtuse, ou la flamboyante, et Lampétie, ou l’ill
tout le monde ne lui donne pas Climène, c’est-à-dire, une océanide ou
fille
de l’Océan, pour femme ; car c’est tantôt à tort
es et les Pleïades, et naturellement par la suite elles devinrent ses
filles
. Atlas fut donc un souverain, un puissant, qui pr
las épousa Pleione ou Ethra ; il en eut un fils appelé Byas, et douze
filles
, savoir : Maia, Electre, Taygète, Astérope, Alcyo
isparut du ciel vers le temps de la guerre de Troie ; les cinq autres
filles
d’Atlas, formant les Hyades, étaient Phaole, Ambr
ra, Coronis et Polixo, auxquelles on ajoute Pradice, Thyène et Dioné,
fille
d’Hyas et de l’Océanide Ethra ; on donne encore a
ieuses et de tristes. Atlas eut encore de son mariage avec Hespéris,
fille
d’Hespérus, son frère, trois filles désignées sou
core de son mariage avec Hespéris, fille d’Hespérus, son frère, trois
filles
désignées sous le nom de famille d’Hespérides, sa
, savoir : Eglée, Erythie et Aréthuse, auxquelles on ajoute une autre
fille
appelée Vesta ; quelquefois on les nomme aussi Hy
me, le courroux et la jalousie, et Cratos ou la force, ainsi que deux
filles
, Biâ ou la violence, et Nicé ou la victoire, qui
a voûte céleste. Astré, uni à Eos ou Aurore, ou à Héribée, en eut une
fille
appelée également Astrée, attribuée aussi à son m
ésente rien de particulier. On a vu que de son alliance avec Electre,
fille
de l’Océan, il en avait eu Iris et les Harpyes, d
Jupiter lui fit mettre au monde les Heures, que nous avons vues déjà
filles
du Temps et les Parques, ou suivant d’autres, une
ns vues déjà filles du Temps et les Parques, ou suivant d’autres, une
fille
du nom d’Astrée en place des Heures. Le bon droit
e main et une balance de l’autre. Quant à Astrée qu’on lui donne pour
fille
, quoique déjà attribuée à l’alliance du Titan Ast
terrible, la vengeance par le talion. Aussi, cette dernière justice,
fille
allégorique des temps barbares et sans lois, étai
femme hideuse et la frappant à coups de bâton. On donnait encore pour
filles
à Thémis Irène ou la Paix, qui n’est autre chose
manes. Cependant, par suite d’un mariage qu’Egéon fit avec Cymodocée,
fille
de Neptune, il paraît que cet Egéon, au moins, av
peu son auguste épouse ; puis il donna naissance à Mercure avec Maïa,
fille
d’Atlas ; à Apollon et Diane, avec Latone, fille
à Mercure avec Maïa, fille d’Atlas ; à Apollon et Diane, avec Latone,
fille
de Cœos ; à Egipan, fille d’Ega, femme de Pan ; à
d’Atlas ; à Apollon et Diane, avec Latone, fille de Cœos ; à Egipan,
fille
d’Ega, femme de Pan ; à Hercule, avec Alcmène, fe
ieux et toutes les Déesses. A sa voix on les vit arriver ; mais Styx,
fille
de l’Océan, accourut la première, suivie de ses e
s de cette race gigantesque, l’histoire a conservé les noms de Thyas,
fille
de Castalius ; d’Asterius, fils d’Anax ; d’Alope,
oms de Thyas, fille de Castalius ; d’Asterius, fils d’Anax ; d’Alope,
fille
de Cercyon, et de cinq filles d’Alcyonée, appelée
ius ; d’Asterius, fils d’Anax ; d’Alope, fille de Cercyon, et de cinq
filles
d’Alcyonée, appelées : Alcipe, Anthé, Astérie, Dr
u mari d’Echidna, autre monstre anguipède à tête et à torse de femme,
fille
de Chrysaor et de Callirhoé ; elle dévorait tous
, quoique issu des Titans et de la Terre ; il avait épousé Iphimédie,
fille
de Triops ou Triopas, souverain de Thessalie asse
énée devant le siége de Troie. Deucalion et Pyrrha avaient aussi pour
filles
: Créta, Hémonie et Mélanthie, ou Protogénie et T
ré, Cercaphe, Salmonée, Deion ou Déionée, Magnès et Perierès ; et six
filles
, Arnée, Canacée, Alcyone, Pisidice, Périmèle et C
usa Pleuron ; d’où vint Agénor, lequel de son alliance avec Epicaste,
fille
d’Egée, en eut Parthaon, Molus, Thespius ou Thest
t pour fils Alector, Dictys, Piérus et Polydecte. Salmonée eut pour
fille
Tyro, qui de son alliance avec Créthée eut Amytha
ncle, rendit mère de Bias, d’Eolie et de Mélampe. Bias eut de Péro,
fille
de Nélée, Anaxibie, Antiphale, Arésus, Laodocus e
Arésus, Laodocus et Talaüs. Talaus, de son alliance avec Lysimaque,
fille
d’Abas, eut Adraste, Aristomaque, Astynomée, Erip
onoüs, Capanée et Péribée. Ce Capanée eut d’Evadné, sœur d’Etéocle et
fille
d’Iphis et de Thébé : Hyamus, père de Céléno, plu
du culte de Jupiter ; et Lycaon II, fils de Pélasgue et de Déjanire,
fille
de Lycaon I. C'était un impie, il fut métamorphos
cchide, fils de Tégéate, Orope, fils de Macédo ou de Macedne, et pour
filles
, Callistho et Thié ou Dia. Aucun de ces personnag
n, fils d’Anthion, lui-même enfant du Lapithe Périphas et d’Astiagée,
fille
d’Hypsée. Cet Ixion avait pour mère Perimèle, fil
as et d’Astiagée, fille d’Hypsée. Cet Ixion avait pour mère Perimèle,
fille
d’Amythaon ; on lui donnait aussi pour père Mars
Pisidice, maîtresse de Mars, ou Pisione, femme d’Éton. Il épousa Dia,
fille
de Déionée ; mais son beau-père, auquel il ne vou
voulut pas donner les présens qu’il lui avait promis en échange de sa
fille
, se paya en lui prenant ses chevaux. Ixion, pour
avoir irrité Jupiter en le dénonçant à Asope comme le ravisseur de sa
fille
Europe ; 4° d’avoir, étant à la table des Dieux,
e Salmonée ne fut pas non plus épargné par Jupiter. Il épousa Mérope,
fille
d’Atlas, et en eut Glaucus. On suppose que lui, o
nt à cause de ses brigandages, ni pour avoir débauché Tyro, sa nièce,
fille
de Salmonée, mais surtout pour avoir révélé le se
ur avoir indiqué à Asope le maître des Dieux comme le ravisseur de sa
fille
. Cependant il est probable qu’il fut puni aussi p
Choricus, roi d’Arcadie, avait deux fils, Plexipus et Enetus et une
fille
Palœstra. Celle-ci était amante de Mercure, auque
ût l’arbitre de quelque nouveau différent : c’est Pluton, enlevant la
fille
de Cérès, c’est Proserpine disputant à Vénus la c
Ce fut à cette première course en char, qu’une femme nommée Cynisca,
fille
d’Archidamas, prince de Macédoine, remporta le pr
piter avait encore autour de son trône les trois Dires ou Deorum irœ,
filles
de l’Achéron et de la Nuit, elles ne portaient pa
égitime il eut pour femme sa propre sœur Héra ou Junon. Il en eut une
fille
appelée Hébée, et un seul fils déjà connu sous le
opatré de Proserpine, Vulcain de Junon, Zéthus d’Antiope. Il eut pour
filles
: Alagonée ou Alalgénie d’Europe, Angélo de Juno
ionia ou de Rheion, Romana ou de Rome, Samia ou de Samos, Saturnia ou
fille
de Saturne, Socigena ou qui préside aux unions, S
Zeuxidia ou qui attelle. Junon, d’après la théogonie vulgaire, était
fille
de Saturne et de Rhée, ayant pour sœurs Cérès et
, pour le prouver, disait que les Argiennes Acrée, Eubée et Porsymne,
filles
du fleuve Astérion, lui avaient servi de nourrice
t, Jupiter voulut s’en amuser, et publia qu’il allait épouser Platée,
fille
du fleuve Asope. A cette nouvelle, Junon, hors d’
t pas la même. Cette reine, trop fière de sa beauté ou de celle de sa
fille
, ayant osé la préférer à celle de Junon, disent l
mpire ; elle-même ne put la faire cesser qu’en exposant Andromède, sa
fille
, à la fureur d’un monstre marin, tué, comme nous
ou Hippodoé et Iphianasse ou Lysianasse, ou Idotée et Euryale étaient
filles
du roi d’Argos Prœtus, frère d’Acrisius, époux de
i que sa sœur en leur donnant, dit-on, de l’ellébore. Anaxibie était
fille
de Bias, roi d’Argos, fils d’Amithaon et d’Idomén
re de Mélampe, et cousin germain de Jason. Ce Bias ayant épousé Péro,
fille
de Nélée, en eut d’abord Thalaüs. Anaxibie eut au
Pélias, eut à souffrir une assez longue série de malheurs. Antigone
fille
de Laomédon, descendant de Tros, fut changée en c
eur tête le dictateur fidenate Lucius, et forcés de leur livrer leurs
filles
et leurs femmes, profitèrent de l’offre des escla
rillante Vénus sa femme ; Erichthonius de la sage Minerve, ou d’Attis
fille
de Cranaüs ; Palémon que l’on croit aussi fils d’
cure. Il tua Halirothius, fils de Neptune, pour avoir violé Alcipe sa
fille
, qu’il avait eue d’Aglaure, fille de Cécrops ; ma
Neptune, pour avoir violé Alcipe sa fille, qu’il avait eue d’Aglaure,
fille
de Cécrops ; mais Neptune, l’an 1532 avant J.-C.,
r Vulcain son époux. On lui donne pour femme ou maîtresses : Aglaure,
fille
de Cécrops, Athès, Androcide ou Androndice, ou Dé
laure, fille de Cécrops, Athès, Androcide ou Androndice, ou Démonice,
fille
d’Agénor, Astiochée, Atalante, Bistonis, Callirho
rysé, Critobule, Cyrène, Datis, Erope, Fabidius, ou Fidius, Harpinne,
fille
d’Asope, Nérine ou Nérienne, ou la douceur, Otrèr
’Asope, Nérine ou Nérienne, ou la douceur, Otrère, Parnassa, Pélopie,
fille
de Thyeste, Péribée, fille d’Hipponoos, Philonomé
ou la douceur, Otrère, Parnassa, Pélopie, fille de Thyeste, Péribée,
fille
d’Hipponoos, Philonomé, fille de Nyctime et d’Arc
sa, Pélopie, fille de Thyeste, Péribée, fille d’Hipponoos, Philonomé,
fille
de Nyctime et d’Arcadie, Pisidice, Pronoé la Néré
lle de Nyctime et d’Arcadie, Pisidice, Pronoé la Néréide, Protogénie,
fille
de Calydon et d’Etolie, Pyrène, fille d’Achilaüs
Pronoé la Néréide, Protogénie, fille de Calydon et d’Etolie, Pyrène,
fille
d’Achilaüs ou d’Æbalus et d’Asope, Réa-Silvia, Sé
’Asope, Réa-Silvia, Séta, sœur du Thrace Rhésus, Stérope ou Astérope,
fille
d’Atlas, Tébée, fille d’Asope, Telphusse, Térène,
ta, sœur du Thrace Rhésus, Stérope ou Astérope, fille d’Atlas, Tébée,
fille
d’Asope, Telphusse, Térène, fille de Strymon, Thé
ou Astérope, fille d’Atlas, Tébée, fille d’Asope, Telphusse, Térène,
fille
de Strymon, Théogène, Thrace, Thrittia, fille de
ope, Telphusse, Térène, fille de Strymon, Théogène, Thrace, Thrittia,
fille
de Triton et nourrice ou prêtresse de Minerve et
de choses sur ces diverses maîtresses de Mars : il surprit Astyochée,
fille
d’Actor, dans le palais de son père ; Erope, fill
surprit Astyochée, fille d’Actor, dans le palais de son père ; Erope,
fille
de Céphé, s’étant éprise de Mars, et étant morte
ait particulièrement femme du Mamers des Sabins ; Philonomé était une
fille
de Nyctime et d’Arcadie, elle suivait Diane à la
uelques pages. Mars eut de ses diverses maîtresse : Achiroé sa petite
fille
, mère de Pallénée et de Rhétée ; Alcipe, d’Aglaur
it fils de Mars et d’Erope, et père d’Ephème. Évanné passe aussi pour
fille
d’Iphis et de Thébée ; elle fut insensible aux ef
ue ; Évènus, fils de Stérope, fut roi d’Étolie, Harmonia ou Hermione,
fille
de Vénus, était plutôt, suivant Diodore de Sicile
de Vénus, était plutôt, suivant Diodore de Sicile, une des Atlantides
fille
de Jupiter et d’Electre et femme de Cadmus. On pr
son cadeau, et pour se venger de l’infidélité de Vénus, il donna à sa
fille
Harmonia un habit teint de tous les crimes : auss
lant de Cadmus. Pourtant elle n’avait que Polydore pour fils, et pour
filles
, Ino, Agavé, Autonoé et Sémélé, Hipérios, Hyperbi
, Hyperbios, fut le premier, dit-on, qui tua des animaux. Hippolyte,
fille
d’Othréra, fut reine des Amazones, et nous la ver
, fils de Thritta ; les Moles, déesses des meuniers, que l’on croyait
filles
de Mars, parce que l’on supposait qu’elles écrasa
saient le blé comme il écrasait les hommes ; Molos, fils de Démonice,
fille
d’Agenor, célébre par sa beauté et par la manière
Pangeus, fils de Critobule ; Parrhasius, fils de Philonomé ; la Peur,
fille
symbolique de Mars et de Vénus ; Phlégyas, fils d
utre Phlégyas était fils également de Mars et de la béotienne Chrysé,
fille
d’Halme, roi des Scythes. Rémus et Romulus, fils
ier de Calydon, que nous rencontrerons plus tard ; Romé, ou la Force,
fille
symbolique de Mars ; Strymon ; Thérée, fils de Bi
en épervier, et voici à quel propos : ce Thérée ayant épousé Prognée,
fille
de Pandion, roi d’Athènes laissa Philomèle sœur d
ré les répugnances que Pandion montrait à se séparer de cette seconde
fille
. Bientôt Thérée devint amoureux de sa belle-sœur.
maria à Laophonte, ou Leucippe, ou Deidamia, et fut père de cinquante
filles
, que nous verrons toutes séduites par Hercule. Th
’exécuter ses moindres caprices. Cette belle Iris, sœur d’Arcé, était
fille
de Thaumas le Titan et de l’Océanide ; Electre po
au pied rapide, de Clara dea ou déesse brillante, et de Thaumantia ou
fille
de Thaumas ; elle était la personnification de l’
qu’on les considère comme ses rivales, soit qu’on les adopte pour ses
filles
. Observons cependant que, prise sous l’un de ces
rance des mères et à la naissance des enfans. Cependant on la faisait
fille
de Jupiter et de Junon, et on lui donnait pour fi
prenait alors le nom de Latone, ou le plus souvent celui de Diane sa
fille
, parce qu’après avoir été mise au jour elle avait
eption. Latone passe pour femme ayant cohabité avec Jupiter, et pour
fille
du Titan Cœos et de la titanide Phebée sa sœur. H
u Titan Cœos et de la titanide Phebée sa sœur. Homère l’indique comme
fille
de Saturne. Elle fut séduite par Jupiter déjà mar
les enfans de cette imprudente. Cette Niobée était sœur de Pélops et
fille
de Tantale, fils de Jupiter, et de Dioné d’Antému
hédime, Sypyle, Tantale, fils d’Amphion et de Niobée, Ethodée et sept
filles
: Amycle, Astycratie, ou Astymne, Callirhoé, Chia
sur le sommet d’une montagne de la Lydie. Cependant, on assure qu’une
fille
s’échappa, ce fut Chloris, depuis épouse de Nélée
ontent cette triste fable d’une autre manière, ils disent que Niobée,
fille
d’Assaon et femme de Philote, trouva la beauté de
, et inspira un amour incestueux à Assaon, qui, ne pouvant séduire sa
fille
, fit périr tous ses enfans dans les flammes ; de
introduction du culte des Latonides ; quant aux sept fils et aux sept
fille
de Niobée, nous les croyons la symbolisation des
le serpent Python à l’instant qu’il vient pour les étouffer. Diane,
fille
de Latone et de Jupiter et sœur d’Apolon, portant
lottant, sans ceinture, Elaphébolie ou qui tue les cerfs, Elapheia ou
fille
d’Elaphéion chez les Eléens, Eucléa ou la glorieu
s villes Aroé, Anthée et Messatis, Trivia ou des chemises, et Upis ou
fille
d’Upis. Diane, fille de Latone et de Jupiter, sœ
et Messatis, Trivia ou des chemises, et Upis ou fille d’Upis. Diane,
fille
de Latone et de Jupiter, sœur aînée d’Apollon, re
nom de Diane ; Cicéron en compte particulièrement trois, la première,
fille
de Jupiter et de Prosperpine, et mère de Cupidon
fille de Jupiter et de Prosperpine, et mère de Cupidon ; la deuxième,
fille
de Jupiter et de Latone ; et la troisième avait G
s pour père ; mais la plus honorée des peuples et des poètes était la
fille
de Latone, celle qui passait en même temps pour s
. Cette jeune nympe Calisto était l’une de ses favorites ; elle était
fille
de Lycaon. Malheureusement sa beauté fixa les reg
lontaire du crime que Diane lui reprochait. Il était fils d’Autonoée,
fille
de Cadmus et femme d’Aristée, fils de Cyrène et d
. Diane, comme on le voit, était facilement irritable ; aussi Chioné,
fille
de Dédalion, ayant eu la témérité de préférer sa
Héraclée. Il était né d’Æthlius, fils d’Eole et de Calycée, également
fille
d’Eole et d’Enarète. Diane eut, dit-on, avec ce b
ille d’Eole et d’Enarète. Diane eut, dit-on, avec ce berger cinquante
filles
et un fils nommé Etolus, ou selon d’autres seulem
t un fils nommé Etolus, ou selon d’autres seulement trois fils et une
fille
. Quelques mythologues se basant sur ce que le mot
urs fils appelés Poson, Péon, Epée et Etolus, père de Pleuron, et une
fille
nommée Eurydice ou Euripyle, qu’il eut d’Astérodi
e nommée Eurydice ou Euripyle, qu’il eut d’Astérodie, ou d’Hypéripna,
fille
d’Arcas, femme dont peut-être on changea le nom e
tre on changea le nom en celui de Diane. On le marie aussi à Chromia,
fille
d’Itome, et à Iphianasse. Ces amours de Diane ont
rillant Orion pour amant. C'était le fils ou de Neptune et d’Euryale,
fille
de Minos, ou d’un homme fort pauvre appelé Œnopeu
ippe, tuée par Diane ; puis on fait devenir Orion amoureux de Mérope,
fille
d’OEnopion et d’Erope. Diane, pour se consoler, f
particulièrement à la chasse, suivie de soixante nymphes ou Océanies,
filles
de l’Océan, et de vingt autres jeunes filles appe
e son équipage de chasse. Parmi ces nymphes on remarquait : Aréthuse,
fille
de Nérée et de la nymphe Doris. Elle fut métamorp
ont les eaux depuis se confondent avec les siennes. Argé ou Hécaerge,
fille
de Borée et d’Orithye et sœur de la déesse Opis,
iane, affront qui fut plus tard puni par les Dieux. Aura et non Auta,
fille
de Lélas et de Péribée, devint enceinte de Bacchu
se noya. Alors Jupiter la changea en fontaine. Cenchrée ou Cencrias,
fille
de Pyrène, fut par accident percée d’une flèche q
unie et récompensée de ses faiblesses avec Jupiter. Crocale était une
fille
du fleuve Isménus. Phyalé était une simple nymphe
aux trois têtes et aux trois corps, elle passait chez les Grecs pour
fille
de Jupiter et de Latone, mais leur mythologie anc
iter et de Latone, mais leur mythologie ancienne la faisait également
fille
du Soleil, ou du Tartare et de Cérès, ou de la Nu
Diodore, lui fait épouser sa sœur Basilée, dont il eut un fils et une
fille
, Helion ou Helius, ou Helios, et Séléné. Ils eure
’une manière positive. Ce Soleil passait pour avoir eu de Naupidamne,
fille
d’Amphidamas, le roi d’Elide Augeas ou Augias, qu
ète alors n’était pas marié ; il devint amoureux de la belle Alceste,
fille
d’Anaxibie et de Pélias, roi d’Iolchos que nous s
ymphe Tyro et de Neptune. Malheureusement le père d’Alceste voyant sa
fille
recherchée par un grand nombre de prétendans, déc
urait désigné. Les noms de tous ayant été écrits, celui d’Hésione, la
fille
du roi, sortit de l’urne. Laomédon fut obligé de
, la fille du roi, sortit de l’urne. Laomédon fut obligé de livrer sa
fille
; déjà elle était enchaînée au bord de la mer, qu
t aux bords de l’Hippocrène et du Permesse. Ces Muses passaient pour
filles
de Jupiter et de Mnémosyne ou la mémoire, fille e
Muses passaient pour filles de Jupiter et de Mnémosyne ou la mémoire,
fille
elle-même du Ciel et de la Terre, et sœur par con
upiter, sous la forme d’un berger, la rendit mère des neuf Muses. Ces
filles
de Mnémosyne portaient dans leur ensemble divers
éremment Aganipes et Aganipides, ou des bords de la fontaine Aganipe,
fille
du Permesse, dont les eaux coulaient au pied de l
es de la Macédoine et de la Magnésie ; Mnémonides et Mnémosynides, ou
filles
de mémoire ou de Mnémosyne ; Olympiades, ou du mo
autre un poignard. Elle était habituellement suivie ou de la Terreur,
fille
de Mars et de Vénus, toujours furieuse, marchant
ils de Glaucus, roi d’Epire ou de Corinthe, et d’Epimède ou Eurimède,
fille
de Sisyphe, que nous trouverons avec les enfans d
ur, à la suite d’un accès de jalousie de Junon, de Typhon, mari d’une
fille
de l’Océanide Callirhoé et de Chrisaor, frère de
et la protection spéciale qui le couvrait, lui accorda en mariage sa
fille
Achémone ou Philonoé, et le déclara son successeu
uerre contre les Solymes, Hippoloque qui lui succéda au trône, et une
fille
, Deidamire, femme d’Evandre, ou Hippodamie dont J
d’Apollon eurent une célèbre dispute avec les Piérides. C'étaient les
filles
de Piérus, roi de Macédoine et d’Evippe. Elles ét
leur défaite. Tamyris, fils de Philammon, eut la même audace que les
filles
de Piérus, il osa aussi se mesurer avec les Muses
oryque, Cassotie qui donna son nom à la fontaine Cassotide, Castalie,
fille
de Castalius, géant, et roi des environs du Parna
re ; mais nous nous contenterons de rappeler les suivans : Arlémicha,
fille
d’Alinis et d’Harpa, fut changée par ce Dieu pour
d’Icarie, n’ayant pas voulu servir les amours d’Apollon avec Ocyrhé,
fille
de la nymphe Chésias et du fleuve Imbrasus la tra
ère de Céyx et père de Chioné : il fut si affligé de la mort de cette
fille
chérie qu’il se précipita de désespoir du sommet
Il avait pour mère, ainsi que son frère Cynorthès, la belle Diomède,
fille
de Lapithès, et pour père Amyclas, né lui-même de
s n’en admettrons qu’un seul : il avait eu de la nymphe Dorippe trois
filles
qui reçurent de Bacchus le don de pouvoir changer
us verrons aller avec les Grecs au siége de Troie et épouser Laodice,
fille
de Priam. Amphiaraus ou Amphiaras, roi d’Argos, q
on et de Manto, appelée aussi Artémise ou Daphné, femme de Rhacios et
fille
de Tyrésias, fut prêtre d’Apollon à Claros, et se
Les Romains supposaient que cette Manto avait épousé aussi Tiberinus,
fille
de Calpétus, roi d’Albe, et qu’elle en avait eu O
devin et de Lathoé, passe aussi pour père du devin Calchas et de deux
filles
appelées Théonoé et Leucippe. La première de ses
as et de deux filles appelées Théonoé et Leucippe. La première de ses
filles
ayant été enlevée par des pirates qui la vendiren
u moment où celui-ci allait exécuter cet ordre, il est reconnu par sa
fille
Leucippe, qui lui arrache son poignard et court à
rre. On la croit la même que la sibylle Erythrée ou Hérophile. Manto,
fille
du devin Polyde ou de Tirésias. Ocyroé, ou Philly
u de Tirésias. Ocyroé, ou Phillyre, océanide ou l’une des Ménalippes,
fille
du centaure Chiron et de la nymphe Chariclo. Phae
fille du centaure Chiron et de la nymphe Chariclo. Phaennis, d’Épire,
fille
d’un roi de Chaonie qui vivait vers la 136e olymp
les vers sibyllins qu’elle était supposée avoir tracés ; la Libyenne,
fille
de Jupiter et de Lamia, s’était montrée à Claros,
’était montrée à Claros, à Delphes et à Samos ; la Delphique était la
fille
du devin Tirésias ; la Cuméenne résidait à Cumes
enne séjournait à Ancyre ; enfin la Tiburtine, ou Albanée, ou Lybyca,
fille
de la Libyenne, prophétisait dans les bois de Tib
hémoné. On dit qu’Apollon, pour rendre sensible la sibylle Déiphobe,
fille
de Glaucus, offrit de lui accorder tout ce qu’ell
al ; Rosea dea et Rhododactylos ou aux doigts de rose ; Pallantias ou
fille
de Pallas ; Tithonia conjux ou femme de Tithon. E
it celui-ci, en ouvrant chaque matin les portes du jour. On la disait
fille
de Titan, ou de Pallas, ou du Soleil et de la Ter
et, selon d’autres, de Déion ou Diomède. Il s’était marié à Procris,
fille
d’Erechtée, roi d’Athènes, et sœur d’Orithie. Aur
enfers. Alors Orion voulut épouser et même, dit-on, séduisit Mérope,
fille
d’OEnopéus, roi de l’île de Chio ; mais ce roi ne
mon, l’un des Argonautes ; Arcée ou Acacallis, ou Acallis, ou Acasis,
fille
de Minos, eut d’Apollon Amphitémis ou Garamas, Na
l’admirent au milieu d’elles en qualité d’Hamadryades ; Aréa, quoique
fille
de Cléochus, ne paraît pas différer d’Arcé, car o
re Amphitémis, Garamas, Phylacis ou Phylandre, Cidon, Naxos. Arsinoé,
fille
de Leucippe qui elle-même eut quelques intrigues
née, ou Chryséis, mère de Chrysès auquel on la donne quelquefois pour
fille
. Babylone eut d’Apollon Arabus que l’on a cru l’i
immortalité ; Calliope passe pour avoir eu Orphée d’Apollon ; Canacé,
fille
d’Eole, épousa son propre frère Macarée. Elle ne
d’en boire avant de s’asseoir sur le trépied sacré. Céléno était une
fille
d’Hyamus, fils lui-même de la nymphe Evadne. Apol
Delphus que l’on fait souvent aussi naître ou d’Achalide, ou de Thya,
fille
de Castalius ; Chionée, fille de Dédalion, partag
aussi naître ou d’Achalide, ou de Thya, fille de Castalius ; Chionée,
fille
de Dédalion, partagea ses faveurs entre Apollon e
chute et le changea en épervier ; Chryséis ou Astynomé, ou Astyonée,
fille
de Chrysès, prêtre d’Apollon, fut prise par Achil
mit au jour un enfant qui porta aussi le nom de Chrysès. Chrysorthe,
fille
d’Orthopolis, eut d’Apollon un des Coronus ; Chry
polis, eut d’Apollon un des Coronus ; Chrysotémis qui eut du Dieu une
fille
du même nom et Parthénon ; Cia était une des fill
ui eut du Dieu une fille du même nom et Parthénon ; Cia était une des
filles
de Lycaon ; elle eut de ses amours avec le Dieu d
es Doriens ; Circée, sœur de Pasiphaé et d’Eétès ou Ætes, était aussi
fille
du Soleil et de la nymphe Persa ou Perséis ; elle
u’Apollon rendit mère d’Eurypide, ou d’Eurypidice ; Climène était une
fille
de l’Océan ; elle devint la maîtresse du Dieu du
saventure auprès d’une autre beauté : il était amoureux de Cassandre,
fille
de Priam et d’Hécube ; dans le délire de sa passi
orta ses désirs vers Climène, la séduisit, et la rendit mère de trois
filles
appelées Héliades : Phaétuse, Lampétie, Lampétuse
de ses intrigues avec Phébus ; Clytie était comme sa sœur Leucothoée,
fille
de l’Océan et de Thétys ou d’Eurynome et d’Orcham
scurité que l’on ne peut éclaircir. Quoi qu’il en soit, Coronis était
fille
ou de Léonte, ou d’Antion, ou, suivant le plus gr
it depuis une constellation de dix étoiles. Corycie était une nymphe,
fille
de Pliste. Elle fut séduite par Apollon et mit au
on et mit au jour Léo ou Lycorée sur lequel on ne sait rien ; Creuse,
fille
d’Erechthée, roi d’Athènes, eut aussi une inclina
mée d’Apollon ; Cyrène : Apollon eut deux maîtresses de ce nom, l’une
fille
d’Hypsée, roi des Lapithes, ou, suivant d’autres,
peine exilé du ciel, devint amoureux de la belle Daphné ou Pasiphaé,
fille
du fleuve Pénée, ce fut cette jeune nymphe qui at
lettres fit donner le nom d’Apollon, étant devenu amoureux de Daphné,
fille
de Pénée, roi de Thessalie, et la poursuivant un
asse encore chez les mythologues pour une des mères de Milet. Dryope,
fille
d’Euryte et d’Œchalie, était sœur d’Iole, l’une d
illantes de l’Orient ; Enope fut mère de Macarée, Ethuse ou Aréthuse,
fille
de Neptune, eut Eleuthère avec Apollon. Eurynome
e rarement pour une des maîtresses d’Apollon, car c’était une nymphe,
fille
d’Orchame et mère de Leucothoé, que nous avons dé
oute vive pour avoir eu une intrigue avec le Dieu du soleil ; Dryope,
fille
d’Euryte, donna Amphissus pour fils à Apollon ; E
Dryope, fille d’Euryte, donna Amphissus pour fils à Apollon ; Evippe,
fille
de Chiron, devint mère de Ptous, qu’elle eut d’Ap
é surprise dans un bois auquel ensuite on donna son nom. Hypermnestre
fille
de Thestius, eut Amphiaraüs d’Apollon ou d’Oïdée
vait pour père Antiphate. Hyrie ou mieux Thyrie, nymphe thessalienne,
fille
d’Amphinome et femme de Sténelé, roi de Ligurie,
t mère de Cycnus, père de Ténès, qu’elle eut d’Apollon. Issa ou Issé,
fille
de l’un des Macarée, fut séduite par Apollon, dég
l’un des Macarée, fut séduite par Apollon, déguisé en berger. Lycie,
fille
du fleuve Xanthus, eut de ce dieu Patare et Icadi
du fleuve Xanthus, eut de ce dieu Patare et Icadius. Mélie, était une
fille
de l’Océan, elle fut aimée d’Apollon, dont elle e
r. Néère était une déesse aimée du soleil, qui la rendit mère de deux
filles
, Phaétuse et Lampétie, déjà indiquées comme fille
endit mère de deux filles, Phaétuse et Lampétie, déjà indiquées comme
filles
de Clymène ; cependant plus communément on nommai
confondue avec la nymphe qui fut changé en laurier. Cette Manto était
fille
du devin Tirésias, et vivait du temps de la secon
oé l’océanide fut maîtresse d’Apollon et mère de Phasis. Parthénopée,
fille
de Stymphale ou d’Ancée le neptunien, et de Samia
Méandre, fut animée d’Apollon qui la rendit mère de Lycomède. Persa,
fille
de l’Océan et de Thétis, épousa le Soleil et en e
is, épousa le Soleil et en eut Eétes, Persès, Circé, Pasiphaé. Phtia,
fille
de Niobé, eut d’Apollon Laodocus ; Psamathé, fill
, Pasiphaé. Phtia, fille de Niobé, eut d’Apollon Laodocus ; Psamathé,
fille
de Crotope, roi d’Argos, céda aux instances d’Apo
s, que nous savons déjà fils de quatre ou cinq muses, Rhoéo ou Rhoio,
fille
de Staphyle, berger du roi OEné et de Chrysotémis
jour, et de cette liaison elle devint mère d’Anius ; Rhodé ou Rhodès,
fille
de Neptune, était une nymphe qu’Apollon séduisit
Phaéton pour fils ainsi que Cercaphe et Electrion ; Sinope était une
fille
du fleuve Asope, on varie beaucoup sur sa conduit
lon et devenir mère de Seyros ; Stilbia ou Stilbée, sœur d’Iphénus et
fille
du fleuve Pénée, eut de ses amours avec Apollon d
es du même Dieu et en eut un fils appelé Zeuxippe ; Thalie ou Phytia,
fille
de Niobé, fut aimée d’Apollon, et devint, dit-on,
ois. Thémisto, nymphe, mère de Galée ; Thyrie ou Hyrie ; Théro, était
fille
de Phylas, petit-fils d’Hercule par Antiochus et
t fille de Phylas, petit-fils d’Hercule par Antiochus et de Déiphile,
fille
d’Adraste, roi d’Argos, à laquelle Déiphile on do
nt et plaisir, sortir une nuée d’abeilles. Il épousa ensuite Autonoé,
fille
de Cadmus, et en eut Actéon, dont nous connaisson
ux en leur honneur et il y obtint le premier prix. Ambracia était une
fille
d’Apollon et de Dryope, elle donna son nom à une
eut Alcméon, Amphilocque et Démonasse, le premier époux de Callirhoé,
fille
du fleuve Acheloüs, fut père d’Amphotémus et d’Ar
res d’Apollon ; cependant on lui donne un fils appelé Andros et trois
filles
OEno ou le vin, Spermo ou le grain, Elaïs ou l’hu
le était sa mère, il était roi des environs du Parnasse et avait pour
fille
Castalie, que nous avons vue poursuivie par le Di
descendans du fils d’Apollon. Cercaphe était né de Rhodès ; Chariclo,
fille
d’Apollon ou de Persès, devint mère du Centaure C
nom à l’île de Chio ; Chrysotémis fut une des maîtresses et l’une des
filles
d’Apollon : étant morte encore enfant il la plaça
u’on sache trop quel rang elle y occupait ; Chrysès, fils d’Astinomé,
fille
elle-même de Chrysès, grand prêtre d’Apollon à Sm
une naissance divine et il fut regardé comme fils d’Apollon ; Circé,
fille
du Soleil et de Persa ou Perséis ou Persé, fille
s d’Apollon ; Circé, fille du Soleil et de Persa ou Perséis ou Persé,
fille
de l’Océan, était une fameuse magicienne qui pass
fille de l’Océan, était une fameuse magicienne qui passait aussi pour
fille
du Jour et de la Nuit, nous la retrouverons après
e l’expédition des Argonautes sous laquelle il succomba ; Electryone,
fille
du soleil et de Rhodès, mourut vierge et fut une
divinités des Rhodiens ; Eleuther était fils d’Ethuse ou d’Aréthuse,
fille
de Neptune, il donna son nom à une ville de Béoti
origines : les Thessaliens le faisaient fils d’Apollon et de Coronis,
fille
elle-même de Phlégyas, héros que nous verrons mou
lus communément Arsippe, ou même aussi Apollon, et pour mère Arsinoé,
fille
de Leucippe, fils de Périérès. Alors, honteuse de
Hésione, ou Xanthione, ou Coronis, ou Arsinoé de laquelle il eut une
fille
appelée Eglée, ou l’éclatante, et deux fils Podal
par Palémocrate, et les autres par Podalyre dont l’alliance avec une
fille
de Damèthe, roi de Carie, fit naître Hippocoon, a
ur enfans : Acésos ou le guérisseur, Acéso et Iaso ou la guérisseuse,
fille
de ce médecin, Alexânor ou qui secourt les hommes
on dit la même que Minerve, surnommée Hygiea par Périclès. Elle était
fille
d’Esculape et d’Epione. Les dames grecques honora
es Epidauries. Mais revenons aux autres enfans d’Apollon : Eurynome,
fille
de ce dieu, et femme de Talas, fut mère d’Adraste
ans du Soleil, cependant on le réserve pour indiquer spécialement les
filles
et les sœurs de Phaéton que l’océanide Clymène av
ins et que nous retrouverons avec les Argonautes : Ion, né de Créuse,
fille
d’Erecthée, il donna son nom à l’Ionie, et avait
race des Lapithes, quoique suivant quelques auteurs ce soit Lapithe,
fille
d’Apollon qui soit devenue mère des Lapithes, par
eux fils Périphas et Phorbas, le premier s’étant marié avec Astyagée,
fille
d’Iphéus, en eut Antion, dont l’alliance avec Pér
taient deux fils d’Apollon portant ce même nom ; l’un né de Psamathé,
fille
de Crotopus, roi d’Argos, fut dévoré dès son enfa
89 ans avant J.-C ; Lycomède n’est connu que pour fils de Parthénope,
fille
elle-même de Stymphale, qui devait le jour à Elat
s d’Apollon ; Milet, roi de Carie, était né ou d’Arcé ou d’Acacallis,
fille
de Minos : ayant été exposé dès son enfance dans
ergers qui l’élevèrent, ensuite il fut en Carie où il épousa Idothée,
fille
d’Eurytus, roi de cette contrée ; un autre Milet
il et de Rhodès, épousa la nymphe Hégétorie, dont il eut Cydippe pour
fille
; Oncos ou Oncus, fils d’Apollon, donna son nom à
de Delphes ; Ptous devait le jour aux liaisons d’Apollon et d’Evippe,
fille
de Chiron ; Pythée ou Pythius, fils ou plutôt inc
l donna son nom à une ville maritime de la Lycie et fut l’amant de la
fille
d’Agénor ; Ténère ou Térenus, fils de la nymphe M
ès de Jupiter les fonctions d’épouse, passe généralement pour une des
filles
du Ciel et de la Terre, comme nous l’avons indiqu
diqué, en parlant des Titans. Cependant quelques historiens la disent
fille
de Saturne et de Rhée. Jupiter la séduisit en pre
à cause des plaintes qu’elle fit entendre lors de l’enlèvement de sa
fille
, Actœa et Actéenne à Athènes, Africana ou d’Afriq
ve d’or, Chlonia ou la souterraine, ou à cause du temple que Chtonie,
fille
d’Erec hée, lui avait fait élever, Cydaris ou que
furieuse, pour faire allusion à sa colère après l’enlèvement de cette
fille
chérie, Erysibie ou la protectrice contre la niel
ou la mère, Mélœna ou la noire, à cause du deuil qu’elle porta de sa
fille
en se retirant dans la grotte du mont Elaïus, prè
mer et récolter les grains, à faire le pain, était, comme on le sait,
fille
de Saturne et de Rhée ; cependant Ops, Vesta ou C
e de Jupiter et de Neptune : le premier épris de sa beauté en eut une
fille
appelée d’abord Perephata et ensuite Proserpine ;
ès de son frère, fatigua Cérès de ses prières et la rendit mère d’une
fille
nommée Hira. D'autres disent que voulant éviter s
plus grands malheurs qui puissent arriver à une mère : elle perdit sa
fille
chérie, Proserpine, elle lui fut enlevée par Plut
ût accepter ses hommages. Lorsque Cérès eut appris l’enlèvement de sa
fille
, elle se désespère, et dans sa désolation elle al
ar deux dragons ailés, puis va courir tous les pays pour retrouver sa
fille
bien aimée. En Lycie la soif la surprend, elle ve
de s’asseoir, qu’elle voit arriver, pour puiser de l’eau, les quatre
filles
de Célée, roi d’Eleusis, fils de Pharos, lui-même
et d’Alope, l’une des Harpyes, que l’on métamorphosa plus tard en une
fille
de Cercyon. Après ce refus de la part de la grand
n premier indice de l’objet de ses recherches, c’était le voile de sa
fille
resté sur les bords de la fontaine Cyané qui, de
de Paros, appelé Cabarne, bientôt elle apprend que le ravisseur de sa
fille
est Pluton, et qu’elle ne pourra la retrouver qu’
sa plainte au conseil suprême, et en accusant son frère redemande sa
fille
au maître des Dieux ; celui-ci pesant le procès a
de joie et son espoir était de bientôt presser contre son cœur cette
fille
chérie qu’elle n’avait pas vue déjà depuis long-t
, cependant par une grace toute spéciale, il accorde à sa sœur que sa
fille
viendra passer alternativement six mois auprès d’
n la considère dans son ensemble de Cérès, mère, et de Proserpine, sa
fille
, c’est la terre éclairée, quand elle est Cérès se
t, et la terre interne et obscure lorsqu’elle est sous la forme de sa
fille
. Cette terre éclairée tout en se couvrant de mois
s dire que la terre a besoin du concours de l’eau pour engendrer ; la
fille
de Cérès est-elle enlevée, les moissons disparais
des d’Athènes et ceux de la Thrace ; voici comment : Orithye, une des
filles
d’Erechihée, avait été enlevée par Borée, le dieu
vait eue d’Amphitrite. Arrivé à l’âge d’homme, Eumolpe s’unit à une
fille
de Beuthésicyme et en eut Immarade ou Immare. Mai
e en même temps il fatiguait de l’expression de ses amours les autres
filles
de Beuthesicyme, l’époux de cette dernière chassa
extrémité que ce successeur de Cécrops se crut obligé de sacrifier sa
fille
aînée sur les autels d’ Athânâ ou Minerve. Aussit
femmes et les hommes, pour mieux s’identifier avec les malheurs de la
fille
de la di inité qu’ils adoraient, profitaient des
courses étaient pour imiter celles de la déesse quand elle chercha sa
fille
. Le sixième jour ou Iacchos était le plus célèbre
aux allumés et en criant à pleine voix pour imiter Cérès cherchant sa
fille
; d’autres femmes suivaient en poussant également
, et toujours dans ses fêtes elle était accompagnée de Proserpine, sa
fille
, et souvent de Bacchus, considéré alors comme son
une procession dans laquelle on portait les statues de Cérès et de sa
fille
, et se terminaient par des courses appelées Oscop
subitement du milieu du temple la prêtresse qui jouait le rôle de la
fille
de Cérès, elles différaient encore des Termophori
tre que la Fortune. On assurait qu’elle avait voulu long-temps rester
fille
. En vain, ajoutait-on, mille amans avaient essayé
é dans la plus affreuse misère, n’ayant plus pour se soutenir, que sa
fille
Métra ou Mestra, ou Hypermestra. Ruiné complèteme
omment faire de l’argent, il lui vint la pénible idée de vendre cette
fille
chérie, et comme elle était amante de Posîdon et
du même nom. Nous avons dit que l’on donnait pour femme à Jupiter une
fille
de Céres appelée Proserpine, déesse cosmopolite a
aucune explication sur Protogénie, ou la première née ; car elle est
fille
de parens inconnus. Cependant une divinité de ce
s on en connaît une autre et probablement c’était la même, elle était
fille
de Deucalion et de Pyrrha, ou de Japet et de Clim
sse également pour avoir été l’une des femmes de Jupiter. C'était une
fille
de l’Ether et de la Terre, ou suivant les Phénici
r des Tritons ; Verticordia, ou la chaste à Rome, parce que Sulpicia,
fille
de Sulpicius Paterculus, la femme la plus sage de
ar Cicéron compte quatre Vénus, savoir : la Vénus Uranie, ou Néleste,
fille
d’Uranus ou du ciel et de Dies ou du jour ; la se
née de l’écume de la mer, qui eut Cupidon avec Mercure ; la troisième
fille
de Jupiter et de Dioné, qui épousa Vulcain, et eu
é, qui épousa Vulcain, et eut Anteros de Mars son amant. La quatrième
fille
de Tyrus et de Syria, devait être Astarté ou Asto
on connait la plupart des attributs, était généralement reconnue pour
fille
du ciel et de la mer ; on la disait née de l’écum
mollement la bercent de leurs replis ; voyons cette tendre et modeste
fille
des ondes, sortir du sein des eaux, riche de beau
puis elle monte rapidement vers les cieux. A son arrivée, les Heures,
filles
de Jupiter et de Thémis l’entourent ; et, comme p
dernière préside à son coucher. Après avoir écouté les leçons de ces
filles
de Jupiter, Vénus bientôt fut accomplie, cependan
sèrent silence à la jalousie des déesses. Jupiter alors l’adopta pour
fille
et lui dit de venir occuper le trône de la beauté
la plus délirante aux Lemniennes, aux Proetides, aux Propétides, aux
filles
de Cinyre, à Pasiphaé, à Phèdre, à Hélène, à Atal
l’île de Cypre, ou de Phénix avec Smyrne, ou de Thoas avec Myrrha sa
fille
. On suppose que cette fille-épouse, éprise de son
nuit, pendant les mystères de Cérès. Cinyre, outré de l’audace de sa
fille
, voulut la punir ; mais elle s’échappa, et se mit
ndante, on leur reconnaissait trois sœurs Lagore, Orsédice et Brœsie,
filles
de Cynire et de Métharme, née de Pygmalion. Elles
ître aussi de l’alliance incestueuse de Thias, roi Babylonien avec sa
fille
; mais le fait est trop contesté pour l’admettre
rconvenir, et dut enfin sa conquête aux soins de la nymphe Epidamnia,
fille
d’Epidamnios, l’une de ses suivantes, qui plus ta
et fondateur de la ville de Troie, et en eut Enée, qui épousa Creuse,
fille
du roi de Troie Priam, laquelle devint mère d’Asc
mère d’Enée et de Lyrus, qu’elle avait eu sous le nom de Callycopis,
fille
d’Otrée, roi de Phrygie, et femme de Thoas, roi d
rotégea aussi le mariage d’Hippomène, fils de Macarée, avec Atalante,
fille
de Schénée : cette belle avait déclaré qu’elle ne
ir de sa beauté sur les Lemniennes, les Prœtides, les Propétides, les
filles
de Cinyre, et sur Pasiphaé, Phèdre, Médée, Hélène
nce de Vénus. Quelques personnes rattachent la punition des Prœtides,
filles
de Prœtus, à Vénus, parce qu’elles considèrent le
lors, seules maîtresses de l’île, elles élurent pour reine Hypsipyle,
fille
de Thoas, époux de Callicopis, que nous verrons s
mer les sept chefs. A côté des Lemniennes, il faut encore placer les
filles
de Cinyre, au nombre desquelles se trouvait Braes
lacer les filles de Cinyre, au nombre desquelles se trouvait Braesie,
fille
de ce prince et de Métharne ; elles encoururent l
laquelle Adonis devait le jour. Cette Cenchris ayant osé proclamer sa
fille
plus belle que Vénus, cette déesse inspira à Myrr
uant à Polyphonte, c’était une chasseresse descendante de Mars, comme
fille
d’un Hipponoos et de Thrassa, compagne de Diane.
it aux jeux pythiques, tout-à-coup émerveillé de la danse de Ctésycle
fille
de Ioulis et d’ Alcidamas roi de Céos, il fait se
Parthénès, ou les Vierges. Elles étaient d’après beaucoup d’auteurs
filles
de la déesse de la beauté et de Jupiter ou de Bac
n donnait encore aux Grâces une autre origine ; les uns les faisaient
filles
de Jupiter et d’Euryméduse ou d’Evanthès, appelée
et d’Eglée. Mais la tradition la plus suivie les porte toujours comme
filles
de Vénus ; elles étaient au nombre de trois : Agl
toujours la même origine, puisque si d’habitude nous les prenons pour
filles
de Bacchus et de Vénus, souvent aussi elles passa
our filles de Bacchus et de Vénus, souvent aussi elles passaient pour
filles
de Jupiter et de Junon, ou de Jupiter et d’Aglaïa
Aglaïa ou Evanthès, ou Eurynome ou Eunomie, l’une des heures, ou pour
filles
de Jupiter et de Thémis ou de Junon, ou du Soleil
de nymphes parmi lesquelles on distinguait surtout Acménès, Epidamnia
fille
d’Epidamnios et Péristère. Les Jeux qui présidai
tho des Grecs, ou Suada et Suadela des Romains, elle était prise pour
fille
de Vénus. Egialée lui fit bâtir un temple à Mégar
ue certain peuple de la terre lui comparait une nommée Psyché ou ame,
fille
d’un roi inconnu, fut outrée de colère, et pour l
nce, où sans barbe au menton, l’on peut facilement être pris pour une
fille
; il devint amoureux d’une jeune Athénienne, d’un
Jupiter et en eut Mnémosyne déesse de la mémoire, que l’on a vue déjà
fille
du ciel et de la terre, et qui fut également sédu
eurs l’ont rangée au nombre des maîtresses de son nourrisson. Elara,
fille
d’Orchomène, fils de Mingas roi de Beotie ; elle
ncore avec Jupiter Myrmidon. Garamantie ou Garamantide passait pour
fille
de Garamas roi de Libye ou du pays des Saramantes
de Libye ou du pays des Saramantes, et fils d’Apollon et d’Acacallis
fille
de Minos. Cette Garamantie était donc une nymphe
que à trois personnes différentes, était ou sœur d’Ega, ou Danaïde ou
fille
de Sélinus fils de Neptune et mariée à Ion, qui d
e par les filets d’une vis autour de son cylindre. Hasione était une
fille
de Danaüs et fut maîtresse de Jupiter duquel elle
se de Jupiter duquel elle eut Orchomène le Phocéen. Hybrie était une
fille
, dit-on, de l’Hybridisme personnifié. Ce nom d’Hy
e ses flèches, mais plus tard elle fut changée en chienne. Méra était
fille
de Protée et de la nymphe Ausia. Il y eut une aut
n un fils nommé Tégéate. Elle était atlantide, c’est-à-dire l’une des
filles
d’Atlas que nous avons vu parmi les Géants. Néèr
mi les Géants. Néère, présente le nom de deux héroïnes ; l’une était
fille
de Pérée l’ Arcadien, fils lui-même d’Elatus. Ell
l’on rapportait la fondation de Melita. Phthie, est le nom d’une des
filles
de Niobé, femme d’Amyntor et belle-mère de Phenix
a séduisit en la trompant sous la forme d’un pigeon. Plota ou Plato,
fille
de l’Océan fut aimée de Jupiter, il la rendit mèr
i la rendit mère de Mégare, fondateur de la ville de ce nom. Taygète
fille
d’Agénor, roi de Phénicie, sœur d’Europe, dont no
le plus ancien du pays. Théalie ou Etna était une nymphe Sicilienne,
fille
de Vulcain ; Jupiter l’aima et la rendit mère des
appartenant à la mythologie syrienne. Thébé, héroïne grecque, était
fille
du fleuve Asope et de Metope fille elle-même du f
ne. Thébé, héroïne grecque, était fille du fleuve Asope et de Metope
fille
elle-même du fleuve d’Arcadie Ladon. Jupiter fut
pendant on la représente aussi comme maîtresse de Mars. Thysia était
fille
de Deucalion. Jupiter la séduisit et eut d’elle l
ux maîtresses les plus célèbres de Jupiter, nous trouvons : Astérie,
fille
du titan Ceus et de Phébée, fut aimée de Jupiter,
’Ortygie, nom que Diane portait également. Egine, une des nombreuses
filles
du dieu fleuve Asope. Jupiter pour triompher de s
mme. Asope ayant apris de Sisyphe le nom de celui qui avait séduit sa
fille
, jura de se venger et de sa fille et du séducteur
le nom de celui qui avait séduit sa fille, jura de se venger et de sa
fille
et du séducteur. Mais Jupiter, pour empêcher cett
our s’introduire chez elle pendant la nuit. Alcmène, mère d’Hercule,
fille
d’Electryon, roi de Mycênes et d’Anaxo ou de Lysi
e, nous trouvons pour amante de Jupiter : Antiope, Thébaine célèbre,
fille
de Nyctée et de Polixo, selon les uns ; du dieu f
e jeune et jolie de la suite de Diane ; on la disait aussi Arcadienne
fille
de Lycaon II ou de Nyctée, ou de Cétée. Jupiter l
a Phénicie, ou la Béotie ou l’Attique. Dans le premier cas, c’est une
fille
d’Eubule la Danaïde, dans le second, elle serait
lle serait née de l’Union de Phénix, fils d’Agénore, avec Cassioppée,
fille
d’Arabius ; et dans le troisième, elle aurait pou
c parcourir celles de Danaé, Europe, Sémélée, Io, Léda. Danaé était
fille
d’Acrisius, roi d’Argos, vers l’an 1284 av. J.-C.
mourrait de la main de son petit-fils, avait fait enfermer Danaé, sa
fille
unique, dans une tour d’airain pour qu’elle ne pû
isius voyant que ses précautions avaient été inutiles, fit exposer sa
fille
sur la mer, dans un coffre placé sur une faible b
désirait, l’introduisaient auprès de la belle captive. Europe, était
fille
d’Agénor, roi de Phénicie et de Téléphasse, ou de
ort ; quant à Phinée, il épousa dans la Thrace, Cléobule ou Cléopâtre
fille
de Borée, roi des Vents et d’Orithye. Il en eut d
en eut deux fils Plexippe et Pandion ; par la suite ayant répudié la
fille
de Borée pour épouser Idée fille de Dardanus, cel
dion ; par la suite ayant répudié la fille de Borée pour épouser Idée
fille
de Dardanus, celle-ci accusa à tort ses beaux-fil
stérius époux d’Europe, il était fils de Teatame ou Tertame, et d’une
fille
du roi de Crétée ; il devint roi de Crète, quinze
e ; cependant nous l’indiquons ici pour faire remarquer qu’elle était
fille
de Phoronée et de Laodice, ainsi qu’Apis ; elle f
e que Jupiter voulut bien aimer et n’a rien de commun avec la Niobée,
fille
de Tantale et de Dioné, contre laquelle Latone ex
sa mort il fut mis au rang des Dieux sous le nom de Sérapis. Niobé sa
fille
eut en outre de ses amours avec Jupiter un fils q
maîtresse de Jupiter que nous trouvons sous notre plume est Sémélée,
fille
de Cadmus et d’Harmonie que nous savons être l’am
etirer des flammes cet enfant nommé Bacchus par Mercure ; que Macris,
fille
d’Aristée reçut l’enfant dans ses bras et le donn
Jupiter à combattre les Géants et nous ne le voyons naître que d’une
fille
de Cadmus, dont l’existence supposée fut postérie
accoucha au septième mois, et que Cadmus pour sauver l’honneur de sa
fille
, rejeta sur Jupiter la paternité de cet enfant. O
sse pour la sauver de la colère de Junon. C'était Io qui passait pour
fille
ou du fleuve Inachus, ou d’Inachus, roi d’Argos,
en Grèce le culte d’Isis, les Grecs regardèrent cette déesse comme sa
fille
, et la confondirent avec Io, d’où il résulte que
comprend Persée. Quoi qu’il en soit, Inachus après l’enlèvement de sa
fille
, envoya Cyrnus son fils ou son ministre à la tête
me nous l’avons dit en déclarant qu’il allait se remarier avec Platée
fille
d’Asope, qui n’était en réalité qu’un tronc d’arb
uelle il fut obligé de se transformer. Elle était femme de Tindare et
fille
de Thestius roi d’Étoile, fils d’Agénor ; sa mère
généralement à Jupiter. Pour les deux autres y compris une troisième
fille
, appelée Timandra, on les croit enfans légitimes
ait ne se passa pas de cette manière. D'après lui c’est de Némésis sa
fille
que Jupiter devint amoureux ; alors pour elle, il
’une danse lascive portant le nom de Léda, et dérivant de celui de la
fille
de Thestius, ainsi que de ses amours, était en gr
rande vogue chez les Romains du temps de Juvénal. Enfans de Jupiter,
filles
de ce dieu. Après avoir fait connaître les femmes
e Jupiter, parlons de ses nombreux enfans. D'abord commençons par ses
filles
, car fort peu d’entre elles s’étant fait remarque
on agréable pour passer à la longue et pénible série de ses fils. Les
filles
de ce Dieu se bornent à quelques-unes, et en réal
t les faits de toutes les autres. Alagonie ou Alalgénie n’est qu’une
fille
inconnue de Jupiter et d’Europe. Angelo, fille d
lalgénie n’est qu’une fille inconnue de Jupiter et d’Europe. Angelo,
fille
de Jupiter et de Junon, marque simplement dans la
sa mère se servait à sa toilette et qu’elle lui déroba. Argé est une
fille
de Jupiter et de Junon, sœur d’Hébée et de Vulcai
de particulier. Auli est une déesse praxilienne honorée à Hatiarte,
fille
de Jupiter et de Thébée. Britomartis ou la douce
ce dernier nom signifiant la chasseresse on l’accepte pour une Diane,
fille
de Jupiter et de Carmé, ayant fait le serment de
ivinisa. Bura était née de Jupiter et d’Helice ou, disait-on encore,
fille
d’Ion, descendant de Deucalion ; elle donna son n
disparue sous les eaux. Dodon et Dodone. La première passe pour une
fille
de Jupiter et d’Europe ; mais on dit que ce dieu
la volage ou aux ailes d’oiseau. La fortune passait chez les uns pour
fille
du Destin ou de l’Océan, et chez les autres pour
, sans timon et sans voiles. La fortune avait toujours à ses côtés sa
fille
la Nécessité, dont le pouvoir inflexible soumetta
le pouvoir inflexible soumettait tout à ses lois, même Jupiter. Cette
fille
de la fortune avait un temple à Corynthe où perso
s, Porus enivré par les fumets du vin s’était épris de la malheureuse
fille
et en avait eu un jeune et charmant enfant. Quoi
sens de la Fécondité ; et Pecunia ou l’argent personnifié. Eternité,
fille
de Jupiter ; elle était représentée avec les trai
résentaient sous la forme d’un serpent qui se mord la queue. Hélène,
fille
de Léda, épouse de Tyndare ; Jupiter, nous le sav
et à Thérapné on voyait son tombeau avec celui de Ménélas. Hydarnis,
fille
d’Europe et de Jupiter, donna son nom à une ville
à laquelle on éleva plusieurs temples, passait, à Rome, pour être la
fille
de Junon et de Jupiter. Le premier temple qui lui
, un joug rompu, et un char, et de plus, à ses pieds un chat. Lydie,
fille
de Jupiter, était femme de Memphis. Macédonia, f
n chat. Lydie, fille de Jupiter, était femme de Memphis. Macédonia,
fille
de Jupiter et de Thyia, donna son nom à la Macédo
tôt Macédonie n’est que la personnification de la Macédoine. Mélinoé
fille
de Jupiter et de Proserpine ; on la représente ta
s. Naïades, nymphes qui habitaient les fleuves, elles passaient pour
filles
de Jupiter ; mais nous les retrouverons en partan
Jupiter ; mais nous les retrouverons en partant de Neptune. Némésis,
fille
de Jupiter, passe ordinairement pour la vengeance
La Paix que l’on regardait comme une des trois Heures en Grèce, était
fille
de Jupiter et de Thémis. Les Athéniens lui dédièr
d’abondance, ou un bouquet d’épis, ou un flambeau renversé. Thébée,
fille
de Jupiter et d’Iodamé, fut la femme d’Ogygès, et
re de plusieurs enfans dont on ignore le nom. La Vérité, passait pour
fille
de Jupiter ou de Saturne, et mère de la Justice e
pour indiquer combien elle est difficile à découvrir. Elle avait pour
fille
la Vertu, divinité également allégorique, à laque
é de passer par le premier. Minerve. Après avoir parlé de toutes les
filles
, plus ou moins importantes de Jupiter, arrivons à
outes les filles, plus ou moins importantes de Jupiter, arrivons à sa
fille
chérie, à son véritable chef-d’œuvre, à Minerve e
ecthéides, à Athènes ; Alalcomeneis ou du sculpteur Alalcomène, ou la
fille
d’Alalcomène ; Alcis, Alcide, Alcimaque, Alcesta,
s bords du fleuve Néda dans le Péloponèse ; Nemaronum ou Minerve-Nœma
fille
de Lameck qui avait, disait-on, inventé l’art de
pposé avoir été apporté en Grèce, de Saïs, ville d’Egypte ; Salête ou
fille
du Nil, d’après Cicéron ; Salpinx ou la trompette
à ceux de Tritonia et de Tritonis qu’on lui donnait en Béotie, comme
fille
ou élève de Triton. Cependant Démocrite supposait
tence. C'est encore une déesse multiple ; ainsi Pausanias en fait une
fille
aux yeux bleus, inventrice des ouvrages de laine,
e devait être la Neith ou Neithée des Égyptiens ; une troisième était
fille
de Jupiter, une quatrième avait encore ce même Di
e chevaux de front. La cinquième enfin, armée d’ailes au talon, était
fille
du géant Pallas qu’elle tua parce qu’il avait vou
ie, ont une autre origine : La première, selon lui, est Athénienne et
fille
de Vulcain ; la seconde est Neith l’égyptienne ;
le de Vulcain ; la seconde est Neith l’égyptienne ; la troisième Siga
fille
de Saturne, inventrice de la guerre ; la quatrièm
oisième Siga fille de Saturne, inventrice de la guerre ; la quatrième
fille
de Jupiter, et la dernière fille du géant Pallas
ventrice de la guerre ; la quatrième fille de Jupiter, et la dernière
fille
du géant Pallas et de l’océanide Titanis. Si nou
oncours charnel des deux sexes, fut d’abord confié à trois nourrices,
filles
d’Ogygès appelées Aulis, Alalcomenia et Teleidia
assez vivement jusqu’au fond de son cœur. Ainsi la patiente Arachnée
fille
d’Idmon dans un défi qu’elle avait osé lui porter
Closter ou le fileur auquel on attribue l’invention du fuseau. Bussa
fille
d’Eumele, ayant méprisé cette déesse fut égalemen
que l’on confonde ensemble Minerve et Pallas, il fait de celle-ci une
fille
de Triton confiée aux soins de Minerve, laquelle
e d’une égide ou espèce de bouclier dont Jupiter venait de couvrir sa
fille
. Minerve la regretta, et, pour se consoler, elle
on portait des objets mystérieux en l’honneur de Minerve et de Hersé,
fille
de Cécrops ; les Céramicies étaient des espèces d
peau est celle du géant Pallas ; d’autres fois elle vient de Pallas,
fille
de Triton ; ou bien enfin, c’est la dépouille d’u
isputés à ce propos, sous le prétexte d’une violence faite à Alcippe,
fille
de Mars et d’Agraule, née de Cécrops par Halirrho
ontrée prendrait le nom de la déesse. Cécrops eut de sa femme Aglaure
fille
d’Actée, trois filles appélées Cécropides. Ce son
om de la déesse. Cécrops eut de sa femme Aglaure fille d’Actée, trois
filles
appélées Cécropides. Ce sont : Aglaure ou Agraule
s filles appélées Cécropides. Ce sont : Aglaure ou Agraule crue aussi
fille
d’Actée le premier roi d’Athènes ; Hersé et Pandr
’Athènes ; Hersé et Pandrose. On lui donne encore symboliquement pour
filles
Athèna et Phrygie. L'existence supposée de ce per
u’il devait le jour à l’hymen furtif d’Hepheste ou Vulcain et d’Athis
fille
de Cranaüs, et probablement de Pedias comme Crana
u nom d’Actée la côte, qui ne devint Attique qu’après la mort d’Athis
fille
de Cranaüs. Cécrops semble donc être arrivé d’abo
, Thyméthès, Mélanthe et Codrus. Fils de Jupiter. Si connaissant les
filles
de Jupiter et la plupart de leurs descendans les
aux plus remarquables. Amphion, était fils de Jupiter et d’Antiope,
fille
de Nyctée épouse de Lycus roi de Thèbes, qui la r
ébains. Plus tard il accompagna les Argonautes ; puis il épousa Niobé
fille
de Tantale, dont il eut sept fils et sept filles
puis il épousa Niobé fille de Tantale, dont il eut sept fils et sept
filles
que nous avons vus périr victimes de l’imprudence
à Zéthus, il épousa Aédon sœur de Mérops et de Cleotère, toutes trois
filles
de Pandore, et en eut Ityle. Arcas. Déjà nous l
our devint père d’Arcée, d’Epochus, de Phénix et d’Iasus que Climène,
fille
de Minyas, épousa pour devenir mère d’Atalante et
e parce qu’il donna le jour à Laërte, qui après avoir épousé Anticlée
fille
de Dioclès ou d’Autolycus, devint père d’Alcimédo
Alcimédon, de la belle Climène et du fameux Ulysse, époux de Pénélope
fille
d’Icarre, et père de Télémaque. Argus fut le tr
troisième ou quatrième fils d’Argos, ou fils de Jupiter et de Niobé,
fille
de Phoronée. Il succéda à son aïeul qui était roi
rendus coupables sur la personne de son oncle Apis. Il épousa Evadné
fille
du Strymon dont il eut quatre fils Criasus, Ecbas
es Piratus et Phorbas. Ce dernier devint père d’Arestor qui de Mycène
fille
d’Inachus eut Argus-Panoptès et Triopas, lequel A
-Panoptès et Triopas, lequel Argus-Panoptès après avoir épousé Ismène
fille
d’Asope en eut pour fils Iasus. Quant à Triopas,
et. Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélée, petite
fille
de Thyoné et fille de Cadmus roi de Thèbes et d’H
u vin, était fils de Jupiter et de Sémélée, petite fille de Thyoné et
fille
de Cadmus roi de Thèbes et d’Hermione. Les Orphiq
je ne puis plus supporter la lumière. Cette infortunée était Ariadne,
fille
de Minos II, roi de Crète, que Thésée avait aband
manière fort civile à Athènes, par Icarius, fils d’Oebale, et par sa
fille
Erigone ; il y séjourna quelque temps, moins pour
nymphe Chronophile mère de Phlias, il fut aussi l’amant d’Hypsypile,
fille
de Thoas, roi de Lemnos et mari de Callicopis, fi
ant d’Hypsypile, fille de Thoas, roi de Lemnos et mari de Callicopis,
fille
d’Othréus, roi de Phrygie. Bacchus ayant été surp
-pater, une épouse que les Romains appelaient Libera. Quant à Macris,
fille
d’Aristée, elle fut simplement sa protégée, pour
arquable, il épousa Hélice et il en eut Athamas, Candiope, crue aussi
fille
d’OEnopion et mère d’[ILLISIBLE]ippotagus, qu’ell
à cette liqueur. Staphyle ensuite épousa Chrysothémis et en eut trois
filles
: Molpadia, Parthenor ou Parthénore et Rhoio ou R
urieuses, le mirent en pièces comme nous l’avons vu. De la Thrace les
filles
de Cadmus portèrent en Béotie le culte de Bacchus
s fêtes de ce Dieu, s’enivra, et dans son ivresse, abusa de sa propre
fille
Méduline qui, outrée de cette audace tua son malh
é vif par Bacchus pour avoir osé arracher ses vignes. Les Minéides ou
filles
de Minée, roi d’Orchomène, et portant les noms de
s Arborigènes dans le Latium, où nous verrons Enée venir y épouser sa
fille
Lavinie et fonder ainsi la tige des Romains. Faun
é invités aux noces de Lyncée et d’Idas, fiancés à Phœbé et à Talyra,
filles
de Leucyppe, frère de Tyndare, ils s’éprirent de
il avait été sauvé des eaux. Dardanus, fils de Jupiter et d’Electre,
fille
d’Atlas, naquit en Tyrrhénie. Après la mort de so
resta aux lieux où s’éleva depuis la ville d’Ilion. Il épousa Batée,
fille
de Teucer, auquel il succéda. Batée le rendit pèr
. Eaque, fils de Jupiter et d’Europe, ou plus habituellement d’Egine
fille
d’Asope, aida Mercure et Apollon à entourer de mu
la muraille qu’Eaque avait élevée. Ce fils de Jupiter, épousa Endéis,
fille
de Chiron, dont il eut deux fils, Pelée et Télamo
ourir ce fils d’Apollon. Ethalion, fils de Jupiter et de Protogénie,
fille
de Deucalion. Ethlétères ou Lutteurs, noms que l
uerres et qu’il se laissait adoucir par les complaisances de Cométho,
fille
de son ennemi, Jupiter, sachant qu’il avait été f
ibut double de celui qu’ils en tiraient. Peu après, il épousa Mégare,
fille
de Créon, et fut avec elle s’établir à Tirynthe,
oumit donc à Eurysthée, roi de Mycènes, né de Sténélus et de Nicippe,
fille
de Pélops, et époux d’Antimaque ; mais cet Euryst
e, l’un des Argonautes, fils de Phorbas ou d’Hélios, et de Naupidame,
fille
d’Amphidamas, ou d’Hyrmine, fille de Nyctée ou d’
orbas ou d’Hélios, et de Naupidame, fille d’Amphidamas, ou d’Hyrmine,
fille
de Nyctée ou d’Egée, et femme de Phorbas. Ces écu
insolence de forcer Dexamène, roi d’Olène en Arcadie, à lui livrer sa
fille
Mnésimaque ou bien Hippolyte, supposée sa fille o
adie, à lui livrer sa fille Mnésimaque ou bien Hippolyte, supposée sa
fille
ou son épouse, voulait encore lui enlever Déjanir
urent mis en pièces par les bêtes féroces de la contrée. 10° Hésione,
fille
de Laomédon, fut exposée à un monstre marin, Herc
édon avait promis des chevaux marchant sur l’eau en récompense, et sa
fille
à Hercule ; qu’il les lui refusa après la destruc
, Idis, et Pédicrate. Mais comme il allait sortir de l’île, Charybde,
fille
de Phorcus, lui vole quelques bœufs. Aussitôt Her
rce de ses flèches ; puis il laisse Phorcus recueillir le corps de sa
fille
, dans un chaudron, et le faire étuver jusqu’à ce
de vaincre les Amazones. Ces Hespérides ou Atlantides étaient petites
filles
d’Hespérus, fils de Japet et frère d’Atlas, et fi
étaient petites filles d’Hespérus, fils de Japet et frère d’Atlas, et
filles
de ce même Atlas et d’Hespérie, née du riche milé
de Lycaon et mère de Tégéate, Pitho, Polixo, Taygète et Timarate. Ces
filles
d’Atlas placées sous la garde du berger Dracon av
s lorsqu’il retourna dans l’empire de Pluton pour y chercher Alceste,
fille
de Pélias que son impitoyable frère Acaste immola
tune sourit de nouveau à ce petit souverain, alors il épousa Chloris,
fille
d’Amphion ; il en eut une fille et douze fils, fa
t souverain, alors il épousa Chloris, fille d’Amphion ; il en eut une
fille
et douze fils, famille nombreuse dont il fut si ]
une héros, qu’il lui donna en mariage ses cinquante ou cinquante-deux
filles
, que le Demi-Dieu rendit mère d’un garçon dans un
us fils d’Erecthée ou d’Agénor ou de Mars et d’Andronice ou Démonice,
fille
d’Agénor, avait eu non-seulement un fils appelé E
spiades de plusieurs femmes, au nombre desquelles, on range Eurytémis
fille
de Cléobé, Leucippe, Déidamia, Mégamède ou Mégamè
e Eurytémis fille de Cléobé, Leucippe, Déidamia, Mégamède ou Mégamène
fille
d’Arnée, Laophonte, fille de Pleuron et de Xantip
é, Leucippe, Déidamia, Mégamède ou Mégamène fille d’Arnée, Laophonte,
fille
de Pleuron et de Xantippe mère d’Althaca et Léda.
or ; Laonomène, mère de deux fils, Ménippe et Télès ou Célès, et deux
filles
, Stentédice et Lysidice ; Laothoé, mère d’Anthipp
a, mère de Lanomène ; Panope, mère de Panope ; Parthénope, crue aussi
fille
de Stymphale et mère d’Evérès ; Patro, mère d’Arc
ilicie et de Mysie, et l’on prétend alors que ce furent ses cinquante
filles
qu’Hercule rendit mères dans une seule nuit. Arri
it. Arrivé en Grèce, Hercule devint amoureux des charmes de Déjanire,
fille
d’OEnée, roi de Calydon, né de Parthaon et d’Eury
es, il apprend qu’Euryte, roi d’Œchalie et fils de Mélas, a promis sa
fille
Iole à celui qui le surpasserait dans l’art de ti
rix ; mais Euryte, malgré les conseils de son fils Iphitus, refusa sa
fille
à Hercule. Alors celui-ci furieux fait seul le si
s Mercure fit cette vente et livra Hercule à Omphale, reine de Lydie,
fille
de Jardanus, et femme de Tmolus, aux pieds de laq
vage, retourna à Trachine, et y conduisit sa conquête, la jeune Iole,
fille
d’Ecryte. A cette nouvelle, Déjanire prévenue de
guerre contre Hercule, vers l’an 1290 av. J.-C., pour avoir refusé sa
fille
Astydamie à ce héros, déjà marié à Déjànire ; Idm
sique dans une mêlée, ou l’on se battit en se croyant ennemis ; Ione,
fille
de Naulochus, pour avoir volé sur les grands chem
cus ; Phinée roi Thrace, fils d’Agénor, épousa Cléobule ou Cléopâtre,
fille
de Borée et d’Orithye, et devint père de Plexippe
pour lui avoir défendu de continuer une intrigue qu’il avait avec sa
fille
; Théodamas, roi des Dryopes, avait refusé de don
lque nourriture à Hercule, et enfin les nombreux enfans de Chrysonoé,
fille
de Clitas, roi des Sidoniens, qui les avait eus d
pour fils Pallas, que nous verrons porter des secours à Enée et pour
fille
Palantho ou Palotho ou Palathie, déesse italique,
Ctésippe ; Augée, mère de Léontiade, Leucippe et Téléphe ; Astyochée,
fille
de Phyllas, roi d’Ephyre, fut la prisonnière et l
e et de Brangas, quelle avait eu ou d’Hercule ou de Strymon. Celtine,
fille
de Brétannus, et mère de Celtus ; Chalciope, fill
Strymon. Celtine, fille de Brétannus, et mère de Celtus ; Chalciope,
fille
d’Euripyle de Cos, et mere de Thessalus. Déjanire
t de Glenos. Diopatra, nymphe à laquelle Hercule fit violence ; Dyna,
fille
d’Evandre, mère de Pallas ; Epicaste, fille de Th
cule fit violence ; Dyna, fille d’Evandre, mère de Pallas ; Epicaste,
fille
de Thésée et mère de Thassala ; Eurybie, mère de
mère de Thassala ; Eurybie, mère de Polyalus, et de Faula ; Galatée,
fille
d’un roi Celte, mère de Galatès ; Gélonie. Halcyo
ivante de la belle reine Omphale et mère d’Acelus et d’Alcée. Mégare,
fille
de Créon, mère d’Acinète, d’Antimaque, d’Aristodè
rsibius, de Démocoon, de Glanus, de Médebronte et de Ophite ; Melita,
fille
du fleuve Egée, mère d’un Hyllus ; Midée, fille d
t de Ophite ; Melita, fille du fleuve Egée, mère d’un Hyllus ; Midée,
fille
de Phylas, et mère d’Antiochus ; Myrto, fille de
re d’un Hyllus ; Midée, fille de Phylas, et mère d’Antiochus ; Myrto,
fille
de Ménèce et sœur de Patrocle, fut la mère d’Eucl
de Patrocle, fut la mère d’Euclée ; Nicé, mère de Nicodrome. Omphale,
fille
d’Euryte, roi d’OEchalie, et mère d’Agélaüs, d’At
uryte, roi d’OEchalie, et mère d’Agélaüs, d’Atys et de Lamos. Panope,
fille
de Thésée et mère d’une autre Panope, dont le nom
rte quelquefois à un fils d’Hercule ; Parthénope. Phyllone on Phillo,
fille
d’Alcimédon, frère de Bellérophon, fut mère d’Ech
édon, frère de Bellérophon, fut mère d’Echmagoras. Phégia ou Psophis,
fille
d’Erix roi Siciliote et fondatrice de Psophis en
d’Aventinus ; Tinga, veuve d’Antée, mère de Sophax ; Vindima, nymphe,
fille
d’Evandre ; Xanthis, mère d’Homolippe ; Filles d
hax ; Vindima, nymphe, fille d’Evandre ; Xanthis, mère d’Homolippe ;
Filles
d’Hercule. Si les épouses et les maîtresses d’Her
s il en fut de même de ses enfans, ou du moins de ses fils ; car, ses
filles
bien connues, se bornent à Alexiare, fille d’Hébé
ns de ses fils ; car, ses filles bien connues, se bornent à Alexiare,
fille
d’Hébée ; Bargas de Barga, Bdella ou la sangsue ;
ophis, Euriops de la Thespiade Terpsicratia ; Hippolochée, Iphianire,
fille
de la Thesp Hypermnestre ; Laothoé, mère de Polyp
de Polyphème l’Argonaute ; Lysidice de la thesp. Laonomène ; Macarie,
fille
de Déjanire ; Polyclée, d’une nymphe inconnue, el
a Thesp. Terpsicratie ; Everes de Parthénope ; Fabius ou Fovius d’une
fille
d’Evandre ; Galatès ou Galle, de Galatée ; Gélon,
mon d’Iphioné, est cru le même que Sophax le Libyen ; Pallas de Dyna,
fille
d’Evandre ; Panogue ou Panope de la Théseide Pano
chef d’une colonie de Grecs à Olbie ; Epyte tua Polyphonte ; Hyrnéto,
fille
de Temène, épousa Déiphon ; Minos fils de Bel, et
Numides, l’an 888 av. J.-C. Lacédémon, fils de Jupiter et de Taygète
fille
d’Atlas, épousa Sparte, fille d’Eurolas, dont il
acédémon, fils de Jupiter et de Taygète fille d’Atlas, épousa Sparte,
fille
d’Eurolas, dont il eut Amyclas, Dan[ILLISIBLE], E
uffus et avec un casque sans cimier. Son fils Amyclas épousa Diomède,
fille
de Lapithès, et en eut Argalus, Cynorlas, Cyparis
dis qu’Apharée se maria avec Arène et en eut Idas, époux de Marpesse,
fille
d’Evenus, qui le rendit père de Cléopâtre. Enfin
ère de Bunus ; Antianire, dont le nom signifiait qui hait les hommes,
fille
de Mênéchus, et mère des deux argonautes, Echion
ut la tige des devineresses appelées Carmentes, était honorée par des
filles
, appelées Carmentales, le 11 et 15 janvier, et av
pour prêtres les Garmentales, composés de quinze flamines ; Chionée,
fille
de Dédaion, elle fut tuée par Diane, et aimée aus
t tuée par Diane, et aimée aussi par Apollon ; Cléobule ou Thèobulée,
fille
d’Eole, et mère de Myrtile ; Creuse ou Hersé ; Da
rtile ; Creuse ou Hersé ; Daïre Océanide, mère d’Eleusson ; Erythrée,
fille
de Géryon ; Chthonophile, ou Eubée, mère de Polyb
ille de Géryon ; Chthonophile, ou Eubée, mère de Polybe ; Eupolénice,
fille
de Myrmidon, et mère d’Ethalide ; Halimède, Vénus
lide ; Halimède, Vénus Arcadienne, mère de Damascus ; Herse ou Hersa,
fille
de Cécrops fixa le cœur de Mercure, en revenant d
res ; Lara ou Laranda ou Lalaria ou Muta ou Mania ou Tufolie, naïade,
fille
du fleuve Alcmon : Jupiter ayant poursuivi Juturn
turne, nymphe romaine favorable aux mariages et accouchemens heureux,
fille
de Daunus et sœur de Turnus, roi des Rutules, cel
lythie, l’invoquaient quand elles étaient prêtes d’accoucher ; Libye,
fille
de Palamède et mère de Libys ; Ocythoê, mère de C
et mère de Libys ; Ocythoê, mère de Caïcus ; Pandrose, une des trois
filles
de Cécrops et d’Agraule, mère de Céryx ; Philodam
ule, mère de Céryx ; Philodamée ; Danaïde, mère de Pharis ; Polymele,
fille
charmante de Phylas et mère d’Eudorus ; Philotis,
friponnerie par Sisyphe, qui pour mieux encore se venger, séduisit sa
fille
Anticlée, l’enleva, et la rendit mère d’Ulysse. A
de l’encens et des fruits. Les autres enfans de Mercure étaient Libys
fille
de Libye ; Myrtile, né de Cléobule ou de Théobulé
er la Sardaigne ; Palestre, née de mère inconnue et donnée aussi pour
fille
à Hercule, avait inventé la lutte ; Pan avait pou
dit-on, sur le trône de Sicyone, vers l’an 1243, av. J.-C., maria sa
fille
Lysianasse à Talaüs, roi des Argiens, et il eut p
voleurs. Minos I., fils de Jupiter et d’Europe, fut le mari d’Itone,
fille
de Lycius, dont il eut Lycaste, père de Minos II.
our modèle. Ce roi de Crète fut, dit-on, étouffé dans le bain par les
filles
de Cocalus, et mourut trente trois ans après la g
érius ou Astreus, Cratée ou Crétée, Deucalion et Glaucos, plus quatre
filles
: Ariadne, Hécale, Phèdre et Xénodice. Ce Dédale
gine, île du golfe Séranique. Olène, fils de Jupiter et d’Anaxithée,
fille
de Danaüs, épousa Léthée, Phrygienne de naissance
Orchomène, fils de Jupiter et de la Danaïde Hésione, épousa Hermippe,
fille
de Béote, qui le rendit père d’un fils nommé Miny
, fille de Béote, qui le rendit père d’un fils nommé Minyas, et d’une
fille
appelée Élara. Sa mère le fit périr on ne sait po
ues, deux jumeaux Siciliotes ; ils étaient fils de Jupiter et d’Etna,
fille
de Vulcain, qui se cacha dans les entrailles de l
-temps des victimes humaines. Pelasgue, fils de Jupiter et de Niobé,
fille
de Phoronée, était la personnification de la race
r qui s’était changé en pluie d’or pour s’introduire auprès de Danaé,
fille
d’Acrisius, né lui-même d’Abas, ainsi que Prœtus.
e courage. Persée, d’abord, vainquit les Grées, sœurs des Gorgones et
filles
aînées de Phocus et de Céto. Les Grées étaient tr
pouvantable. Persée, dès son arrivée, propose à Céphée de délivrer sa
fille
s’il veut la lui donner en mariage ; le père acce
aure Ampicus, prêtre de Cérès, Astrée, Atys, né de la nymphe Limniace
fille
du Gange, Céladon l’égyptien, Clanis, Chromis, Cl
Electryon, Elée, Erythras, Hélas, Mestor, Persès, Sthénelus ; et pour
filles
: Anaxo, Gorgophone et Agrianome. Cependant les
ndit père d’Argée ; puis Electryon, épousa Anaxo et en eut Alcmène sa
fille
, Colœnoüs et Chérimachus. Plus, dit-on, Stratobot
ysinoüs, Anactor et Archelaüs, tous ses fils. Mestor épousa Lysidice,
fille
de Pélops d’où vint Hippothoé, père de Taphius, d
e autre femme Mestor et Pométo. Sthénélus fit alliance avec Nicippe,
fille
de Pélops, laquelle fut mère d’Alcinoé et d’Euris
ops, laquelle fut mère d’Alcinoé et d’Euristhée qui eut d’Amphimaque,
fille
d’Amphidamas, Admète et Alexandre. Et Agrianome
r Persée, mais Hésiode, continuant la fable, dit que ces trois sœurs,
filles
du dieu marin Phorcus, habitaient au-delà de l’Oc
cinquième ou Égée père de Thésée ; et le sixième, époux d’Amphitrite,
fille
de l’Océan et de Thétys, ou de Nérée et de Doris.
rée ; et comment Hercule, en tuant le monstre marin, délivra Hésione,
fille
de ce roi, que l’on avait exposée pour être dévor
’Euryte, ayant été tué par Mars, parce qu’il avait fait violence à sa
fille
, la belle Alcippe, Neptune voulut que les Dieux c
jour qu’il se promenait au pied du mont Atlas, il aperçut Amphitrite,
fille
de Doris et de Nérée. A cette vue, son cœur tress
à-tour. Ainsi, il se changea, dit-on, en taureau pour séduire une des
filles
d’Éole ; en fleuve pour avoir Iphimédie ; en béli
soit, il eut de cette dernière, Albion et Bergion ou Birgion, et une
fille
appelée Bentésémélée et Bentisicyme. Ensuite, il
et Bentisicyme. Ensuite, il eut pour femmes ou maîtresses : Agamède,
fille
d’Augias ; elle fut mère d’Actor et de Dictys ; A
et on lui attribue, ainsi qu’à Naïs, la naissance de Glaucos ; Alope,
fille
de Cercyon et mère de Dorus et d’Hippothoüs ou Hi
Astypalée, mère d’Ancée et d’Ergine ; elle était sœur d’Astydamie et
fille
de Phénix, né lui-même d’Amyntor, fils d’Ormenus
té ; Cercyra, mère de Phéax ; Cérès, mère d’Héra ou d’Hira ; Chionée,
fille
de Borée et mère d’Eumolpe ; Chrysogénie, fille d
ou d’Hira ; Chionée, fille de Borée et mère d’Eumolpe ; Chrysogénie,
fille
d’Halmus et mère de Phrysès ; Cléodore ou Cléopom
Bysas ou Bizène ; Égée ou Ergée ou Érigine, mère de Céléno ; Europe,
fille
de Titye, devint mère d’Euphème ; Eurynome, fille
de Céléno ; Europe, fille de Titye, devint mère d’Euphème ; Eurynome,
fille
de Nisus et mère d’Agénor ; Euryple ou Eurydice,
me ; Eurynome, fille de Nisus et mère d’Agénor ; Euryple ou Eurydice,
fille
d’Endymion et mère d’Elis ; Hellé, mère d’Almops
re d’Elis ; Hellé, mère d’Almops et de Péon, était sœur de Phryxus et
fille
de Néphélé et d’Athamas qui épousa encore Ino don
e ou Phérécyde ; quant à Phryxus, frère d’Hellé, il épousa Chalciope,
fille
d’Ectès et en eut Phrontis, Mélias, Argus, Autoly
supposée, ainsi que Bithynis, mère d’Amycus ; Mestra ou Hypermestra,
fille
d’Erysichton ; Ménalippe, mère de Bootus et d’Eol
de Myto ; Naïs, supposée, ainsi qu’Alcyone, mère de Glaucos ; OEnope,
fille
d’Epopée, fut mère de Mégarius ; Olbie, mère d’As
Péribée, mère de Nausithoüs ; Périmèle, mère d’Hippodamas ; Pisidice,
fille
de Nestor, supposée, ainsi qu’Hippothoé, mère de
Pyrène, mère de Cenchrius et de Léchès ; Rhodope, mère d’Athos, était
fille
d’Euterpe et du fleuve Strymon et sœur de Rhésus
Chthonius ; la Terre, mère d’Antée, de Céto et d’Ogygès ; Théophane,
fille
de Bisaltide, ayant été changée en brebis, eut de
enfin eut Rhodos avec Neptune ; Thoosa fut mère de Polyphème ; Tiro,
fille
de Salmonée, épousa Crétée, dont elle eut Eson ;
le eut Eson ; puis elle eut avec Neptune Pélias et Nélée. Enfans et
filles
de Neptune. Si nous jetons un coup d’œil sur les
les nombreux enfans du Dieu des eaux, nous trouvons d’abord parmi ses
filles
: Bensémélée, ou enfant de la représentation, don
quoique l’on donne aussi quelquefois ce nom à Bacchus. Benthésicyme,
fille
ou sœur d’Amphitrite, fut la nourrice, et finit p
t par être la femme d’Eumolpe, fils de Neptune et de Chionée. Céléno,
fille
d’Ergéé ou Érigine ; Cymopolie, fille de Callirho
Neptune et de Chionée. Céléno, fille d’Ergéé ou Érigine ; Cymopolie,
fille
de Callirhoé fut la femme de Briarée ; Éthuse, eu
oé fut la femme de Briarée ; Éthuse, eut Éleutérus d’Apollon ; Évadné
fille
de Léna ou Pitanie, eut Janus avec Apollon ; Harp
Apollon ; Harpyes, espèce de monstres qui passaient généralement pour
filles
de Neptune et de la mer, et, suivant Hésiode, pou
lement pour filles de Neptune et de la mer, et, suivant Hésiode, pour
filles
de Thaumas et d’Électre ; elles étaient, disait-o
fleuve Nilus, qui depuis coula en Béotie sous le nom de Mélas. Myto,
fille
de Mytilène, fonda la ville de Mytilène ; Rhodos,
Mélas. Myto, fille de Mytilène, fonda la ville de Mytilène ; Rhodos,
fille
de Vénus et amante d’Apollon. Fils de Neptune. A
odos, fille de Vénus et amante d’Apollon. Fils de Neptune. Après les
filles
de Neptune, voici l’énorme liste de ses fils : Ab
ter les mines d’or de Scapta-Hyla, et y épousa, Harmonie ou Hermione,
fille
d’Arès ou Mercure et d’Aphrodite ou Vénus ; les D
ienne, à laquelle ce fils d’Agénor donna de sages lois. Il eut quatre
filles
de son épouse Harmonie, Ino, ou Leucothée, Autono
vieillesse fut encore troublée par les chagrins que lui causèrent ses
filles
. D’abord, il vit tomber sous les coups de Jupiter
èrent ses filles. D’abord, il vit tomber sous les coups de Jupiter sa
fille
Sémélé ; Ino causa par sa jalousie et ses violenc
trône de Thèbes, eut Labdacus de son mariage avec Nyctis ou Nycteis,
fille
ou petite fille de Nyctée, frère d’Antiope et fil
, eut Labdacus de son mariage avec Nyctis ou Nycteis, fille ou petite
fille
de Nyctée, frère d’Antiope et fils de Neptune et
que son oncle lui avait injustement enlevée. Ce Laïus épousa Jocaste
fille
de Ménécée et sœur de Créon mari de Pyrrha ; l’or
a, pour faire cesser ce fléau, de donner la couronne et la main de sa
fille
à celui qui délivrerait le pays de ce monstre. Dé
ste. De cette union monstrueuse naquirent Etéocle et Polynice et deux
filles
: Antigone et Ismène ; mais on ajoute encore Agri
le chassent et s’emparent de l’autorité. Seul alors et conduit par sa
fille
Antigone, il se retire dans l’Attique, arrive au
hèbes et fut se réfugier chez Adraste, roi d’Argos, dont il épousa la
fille
; mais après la mort de son père, il vint réclame
chant où trouver une source pour se désaltérer, ils prient Hypsipyle,
fille
de Thoas, de leur en chercher une ; Hypsipyle, po
e qui suivit Hercule contre le roi Troyen Laomédon et d’Hypermnestre,
fille
du roi Thestius ou Thespius, mais comme on donne
hespius, mais comme on donne aussi pour mère à Amphiaras Clytemnestre
fille
de ce même Thespius, que nous avons trouvé en par
une partie de ce royaume pour avoir guéri et rappelé à la raison les
filles
de Prœtus, guérison qu’il opéra, dit-on, avec l’E
et disparaît. Il laissa deux fils, Alcméon et Amphiloque, plus trois
filles
, Eurydice, Démonasse et Alcomène, et les Latins a
ouloir, Mélanippe son frère, s’enfuit à Argos, où il épousa Déiphile,
fille
d’Adraste. Il fut chargé de sommer Étéocle de ren
excepté un seul. Dans leur nombre on trouvait Atys, fiancé à Ismène,
fille
d’OEdipe, puis Eumède, Euryale, Ethion, Méon, Phé
ieux. Hippomédon, fils de Mnésimaque ou Aristomaque et de Mythidice,
fille
de Talâs, assiégea la porte Oncée et tomba sous l
oiseaux de proie. Pendant son exil, ce prince qui avait épousé Argie,
fille
d’Adraste, en eut un fils nommé Thersandre. Ains
Cet Adraste, fils de Talas le Biantide et de Lysimaque ou Lysianasse,
fille
de Polybe roi de Sicyone, avait pour frères Parth
sœur Aristomaque, Eriphyle et Astynome, il épousa Amphitée, sa nièce,
fille
de Pronax, dont il eut deux fils, Égialéus et Cya
ille de Pronax, dont il eut deux fils, Égialéus et Cyanippe, et trois
filles
, Argie, Déipyle et Egialée. Dans sa jeunesse, dét
Neptune, nous retrouvons qu’il eut encore un autre Agénor d’Eurynome,
fille
de Nisus ; Albion, d’Amphitrite ; Alébius, voleur
lirhotius, qui se fit tuer par Mars pour avoir voulu abuser d’Alcipe,
fille
de ce dieu ; Almops d’Helié ; Amyre fut argonaute
d’une nymphe de Chio ; Ancée, d’Astypalée, de son mariage avec Samia
fille
du Méandre, il eut : Alithersus, Énudus, Parthéno
lui arracha la vie. Cercyon mourut sans enfans, il n’avait eu qu’une
fille
nommée Alope, encore la fit-il mourir lorsqu’il e
ée, ils étaient fils de Callirhoé ; Dictys d’Agamède ; Dorus d’Alope,
fille
de Cercyon, donna son nom à la Doride Carienne ;
Doride Carienne ; Dyrrhaque d’Epidamne ; Elis d’Eurypyle ou Eurydice,
fille
d’Endymion. Eolus ou Eole Dieu des vents et des
s admis pour fils de ce dieu, car c’était Hippotès, époux de Ménècle,
fille
d’Hyllus ou Jupiter qu’on lui donnait pour père,
ter qu’on lui donnait pour père, néanmoins on prétend aussi qu’Égeste
fille
du prince Troyen Hippotès, ayant été exposée au m
à Junon l’honneur d’avoir été admis dans l’Olympe. Il épousa Cyanée,
fille
de Liparus et petite-fille d’Auson ; il en eut do
us et petite-fille d’Auson ; il en eut douze enfants, six fils et six
filles
qui se marièrent les uns avec les autres. Mais il
nces bien du désordre, bien de l’obscurité ; seulement on sait que la
fille
d’Eole Périmèle épousa son frère Diorès, puis Ach
ens à ses sujets précédemment appelés Helléniens ; il épousa Enarète,
fille
d’un Déimaque et en eut sept fils : Athamas Créth
dalion mari de Diomède, Magnès, Périerès, Salmonée et Sisyphe et cinq
filles
: Calycée, Canacé, Halcyone, Périmèdes et Pisidic
gio, Iope, femme de Céphée, Phérée, mère d’Hécate et Tanagre, fils ou
fille
d’un Eole, puis on donne Pisos fondateur de Pise,
lus aimables images. Ainsi, au lieu de lui donner pour femme Chloris,
fille
d’Arcture, ils laissaient cette belle au seul Bor
nts détournèrent ; mais généralement on dit que Borée enleva Chloris,
fille
d’Arcture, l’entraîna sur le mont Hiphate ou Cauc
, bientôt il voulut changer et prit pour sa maîtresse chérie Orithye,
fille
d’Érechthée. De cette alliance, on vit naître deu
oscures de Sparte, Castor et Pollux. Puis Borée eut d’Orithye, quatre
filles
dont les plus connues sont : Chioné et Cléopâtre
, fils de Canacé, donna asile, vers l’an 1363 avant J.-C., à Antiope,
fille
de Ayctée, roi de Thèbes, d’où survint une guerre
andages le firent tuer par Hercule, qui ensuite emmena prisonnière sa
fille
Chalciope ; Eusire, fils de la nymphe Idothea, fu
célèbre pêcheur de la ville d’Anthénon en Béotie. Ayant séduit Syme,
fille
d’Iclimène et de Doris, il fut obligé de quitter
lui donna le don de prophétie. Après sa métamorphose il aima Scylla,
fille
de Phorcus, mais ne pouvant en obtenir de retour,
de dents recelant la mort ; d’autres, comme Virgile, en faisaient une
fille
séduisante jusqu’à la ceinture, et lui croyaient
on nom ; Melas, né de mère inconnue, est confondu quelquefois avec la
fille
de Neptune Mélanée à laquelle le fleuve Mélas de
u d’Hippocoon et de Tyro. Ce Nelée, aussi fils de Neptune et de Tyro,
fille
d’Alcidice et de Salmonée, roi d’Iolchos en Élide
tte époque, que Nélée bâtit Pylos. Il épousa Chloris, dont il eut une
fille
nommée Péro, et trois fils Nestor, Périclymène, C
, Egyptus, Epidaüs, Evagore, Pylaon ou Pylon et Rhadius. Il promit sa
fille
en mariage à celui qui lui ramènerait les bœufs q
avec Euryte quatre fils, Clytius, Déion, Iphitus, et Toxeus, plus une
fille
, la jeune Iole. Quant à Nestor, il épousa Eurydic
Iole. Quant à Nestor, il épousa Eurydice ou Anaxibie, et en eut deux
filles
, Pisidice et Polycaste et sept fils : Antiloque,
de quelqu’un des insulaires. Ils lui font, en outre, épouser Thébée,
fille
de Jupiter et d’Iodamée, et de ce mariage, ils as
iage, ils assurent qu’il eut deux fils, Eleusinus et Cadmus, et trois
filles
, Alalcomenia, Aulis et Thelsinie. Ce fut après so
oracle, devait reconquérir l’héritage de son père. Il eut d’Anaxibie,
fille
de Bias, deux fils nommés Acaste et Ampycus, et s
’Anaxibie, fille de Bias, deux fils nommés Acaste et Ampycus, et sept
filles
: Alceste, femme d’Admète, Amphinome, Antinoé, As
, Amphinome, Antinoé, Astéropée, Hippothoé, Pisidice, et Pélopée. Les
filles
de Pélias, voyant que Médée avait rajeuni Eson, s
ux, et de le jeter ainsi dans une chaudière ; ce que ces malheureuses
filles
exécutèrent ; cette mort fit passer la couronne s
q fils, Polygone, Télégone, Théoclymène, Tmole et Torone et plusieurs
filles
, dont Cabira, Idothée et Rhétie sont les plus con
ns, par Hercule. Taphos ou Taphius naquit d’Hippothoé ou de Pisidice,
fille
de Nestor ; ce fut lui qui conduisit une colonie
le défi, et au moyen des conseils et du secours qu’il reçut de Médée,
fille
du roi, nous allons le voir surmonter tous les ob
, puis combattre et tuer le dragon qui gardait la toison d’or. Médée,
fille
du roi, étant devenue éperdument amoureuse de Jas
rfaite union. Au bout de ce temps, il la répudia pour épouser Glaucé,
fille
de Sisyphe, roi de Corynthe. Médée, furieuse, égo
et sans avoir jamais pu recouvrer le trône de son père. Cette Médée,
fille
d’Éétès, roi de Colchide et d’Hécate, était une m
pour se venger de son époux qui venait de la répudier pour prendre la
fille
du roi de Corynthe, qu’elle empoisonna ensuite. D
eur du vaisseau des Argonautes, était fils de Phryxus et de Chalciope
fille
d’Éétès roi de Colchide. Asterion, fils de Comèt
lle d’Éétès roi de Colchide. Asterion, fils de Comètès et d’Antigone
fille
de Phérès, naquit à Pirésie et donna son nom à la
a sienne. Iphicle, fils de Phylaque prince Thessalien, et de Climène
fille
de Minyas, épousa Diomédée, dont il eut Protésila
r conséquent descendant d’Erechthée, et pour mère Thésée avait Éthra,
fille
de Pitthée fils de Pélops ; aussi, il était souve
divers, son cœur fut sensible aux graces naïves de la jolie Pérygone,
fille
du géant Sinis, et il la rendit mère d’un fils no
la rendit mère d’un fils nommé Ménalippe. Après que les Phytalides ou
filles
de Phytalus l’eurent purifié sur les bords du Cép
etour le pavillon blanc. Arrivé en Crète, ce héros rencontre Ariadne,
fille
du roi Minos. Cette belle princesse devient tout
l’esclavage. Ce Pirithoüs descendait des enfans d’Apollon, par Déion,
fille
de Dia et femme d’Ixion. Cette alliance avec Piri
ié ; aussi, quelque temps après, Pirithoüs s’étant marié à Hippodamie
fille
d’Adraste, roi d’Argos, il invita à ses noces, Th
même, et qui fut tué par Hercule, pour avoir voulu forcer Hippolyte,
fille
de la néréïde Dexamène ; Gryneus, fut tué d’un co
de Chiron, père de Caryste, de Charicle, d’Evippe et de Ménalippe, sa
fille
. Quant à Pirithoüs, il laissa son fils Pélipète,
t Œnopion d’Ariadne et Acamas et Démophon de Phèdre. Quant à Ariadne,
fille
de Minos et de Pasiphaé, que Thésée abandonna si
hus la transporta aux cieux où elle forme une constellation. Phèdre,
fille
de Minos et de Pasiphaé, revint, nous l’avons dit
ulier ; il ramena Ethra son ayeule, à Athènes, séduisit en passant la
fille
de Lycurgue nommée Phillis, chassa du trône Ménes
ut aussi avec Eléphénor au siége de Troie. Loodice, la plus belle des
filles
de Priam et épouse d’Helicaon, devint éperdument
ontions jusqu’à son père. Cet Œnée était fils de Parthaon et d’Eurite
fille
d’Hippodame ; il épousa d’abord Althée fille de T
de Parthaon et d’Eurite fille d’Hippodame ; il épousa d’abord Althée
fille
de Thespius et d’Eurythémis, il en eut trois fils
et Climène, ou suivant d’autres Phérée, Agélas et Périphas, et quatre
filles
Gorgé ou Jorgé, qui épousa Andrimont et en eut Ox
ée, fils de Lycurgue, époux d’Eurydice et roi de Pelasgue ; Atalante,
fille
de Schœnée ; Castor, fils de Jupiter ; Cénée ; Cé
agre chasse à la fin pour céder aux prières de Cléopâtre ou d’Alcyone
fille
d’Idas et de Marpesse sa femme ; mais bientôt les
is se réfugia chez Cychrée roi de Salamine, dont il épousa Glaucé, sa
fille
chérie, ce qui le fit monter sur le trône de Sala
alamine après la mort de son beau-père. Plus tard, il épousa Péribée,
fille
d’Alcathoüs, et il en eut Ajax le Telamonide ; pu
ia en troisième lieu avec Hesione, qu’Hercule avait ramenée de Troie,
fille
de Laomédon et sœur de Priam, et elle eut Teucer
hessalie, à la cour d’Eurytion, qui lui accorda la main d’Antigone sa
fille
, avec le tiers de son royaume ; il en eut Polydor
il s’allia à une déesse, à Thétis, sœur du roi de Scyros Lycomède et
fille
de Nérée et de Doris. Nous avons vu de quelle man
erre de Troie. Alors, Pélée auquel on donne aussi pour femme Laodamus
fille
d’Alcméon, vécut tranquillement, dirigeant son pe
que l’on appelait Échinades, aujourd’hui Curzole. Il épousa Perimèle,
fille
d’Hippodamas ou Périmède, fille d’Eole, et en eut
ourd’hui Curzole. Il épousa Perimèle, fille d’Hippodamas ou Périmède,
fille
d’Eole, et en eut Oreste et Hippodamas. Il eut po
e, épousa Métope, dont-il eut deux fils, Ismène et Pélasgue, et vingt
filles
, dont quinze seulement sont connues, savoir : Asp
isbé. Asope régnait à Platée, ville qui reçut son nom de l’une de ses
filles
: il surveillait strictement la conduite de ses e
vers leur source. Axios fleuve de Macédoine, était l’époux de Péribée
fille
aînée d’Acessamène, il en eut Pélagon père d’Asté
s eaux, Égée père de Thésée ; quoi qu’il en soit, Melite passait pour
fille
de ce dieu-fleuve. Énipée, dieu-fleuve de l’Elide
virent à tromper dans son propre intérêt ou dans celui de Neptune, la
fille
de Salmonée, Tyro qui en eut Pélias et Nélée. Éri
quelles ils vont se baigner pour mériter le ciel. On lui donnait pour
fille
la rivière Tiase en Laconie. Évenus, dieu fleuve
m, dieu fleuve, dont les eaux coulaient en Arcadie, il épousa Méthoné
fille
du géant Alcyoné. Il en eut Métope, Daphné, Syrin
nasse, épouse de Tantale et mère de Pélops. Persé, fleuve, né de Péro
fille
du fleuve Asope. Pamise, dieu-fleuve de Messénie.
u’il ne s’opposerait plus au cours des destins. Le Scamandre eut pour
fille
Strymno, femme de Loamédon et mère de Tithon ; co
t aujourd’hui le Simoïs n’est plus qu’un faible ruisseau, il eut pour
fille
Astioche mère de Tros, et Hieromnème. Soloon, d
r Hercule ; on lui donne Néère pour femme, Brangas pour fils, et pour
fille
Evadné, femme d’Argus, roi d’Argos. Tibre, fleuv
s parlerons de l’empire du Pluton, dans lequel ils se trouvaient. Les
filles
de l’Océan et de Téthys, auxquelles on avait donn
emme d’Apollon, dont elle eut Phaéton ; Téthys était, nous le savons,
fille
et femme de l’Océan et mère de toutes les océanid
ongue barbe azurée, résidant au milieu de la mer Egée, entouré de ses
filles
dansant en chœur, de dauphins, de chevaux marins
ux, et son nom souvent était pris pour celui de la mer elle-même. Ses
filles
appelées Néréides ou Dorides, auxquelles on prêta
nous le répèterons, fils d’Eaque, roi d’Egine et de la nymphe Endéis,
fille
de Chiron. Ayant eu le malheur avec Télamon, de t
fut chercher une retraite à Pthie en Thessalie, où il épousa Antigone
fille
du roi Eurythion, dont le père Alope avait pour f
Achille ; cet Alope en outre était fils d’Actor, l’Eolien, et d’Egine
fille
d’Eaque. Pélée se rendit avec Eurythion, comme no
avec les Dryades ; de même, on ne doit pas les prendre pour les huit
filles
d’Oxile et d’Hamadryade, dont les noms désignent
éliades ou Épimélies, nymphes des prés, des troupeaux ; elles étaient
filles
de l’Océanide Mélie, qui en outre avait eu pour e
phes des moissons. Naïades ou Abarbarées nymphes des eaux fluviales,
filles
de Jupiter et mères des Satyres. On les voit souv
phée, du mont Is ; Eubée ou la terre-île-nourricière ; Eudore, Lilée,
fille
de Céphèse ; Nicée, fille de Sangare et Niphée, c
u la terre-île-nourricière ; Eudore, Lilée, fille de Céphèse ; Nicée,
fille
de Sangare et Niphée, compagne de Diane. Napées,
ulte à peu près qu’aux Naïades. Néréides, nymphes que nous avons vues
filles
de Nérée ; Océanides, nymphes que nous savons éga
s vues filles de Nérée ; Océanides, nymphes que nous savons également
filles
de l’Océan et de Thétys ; Oréades, Orestiades, Or
de Thétys ; Oréades, Orestiades, Orodemniades, nymphes des montagnes,
filles
d’Hécate et de Phoronée, ou, dit-on, de Jupiter ;
l est souvent parlé dans la Mythologie : Abrétie, Ænome du mont Ida,
fille
du fleuve Cébrène ; Agriope, mère de Tamyris ; Al
pe, qui eut Chamyris de Philammon ; Argyre, amante de Sélemne ; Asie,
fille
de l’Océan et de Thétys, épousa Japet, qui la ren
imène, qui eut Thésimène de Parthénopé ; Clitie, nymphe Babylonienne,
fille
de l’Océan et de Thétys ; Creuse ou la Reine, fem
e Lycaon ; Cynosure, nymphe de l’Ida et nourrice de Jupiter ; Cyrène,
fille
du fleuve Pénée ; Daulis, fille du fleuve Céphise
’Ida et nourrice de Jupiter ; Cyrène, fille du fleuve Pénée ; Daulis,
fille
du fleuve Céphise ; Dictée, de Crète ; Dianaste,
o ; Deto, nymphe maritime de la Grèce ; Doxo Dryas, nymphe italiotte,
fille
de Faune, déesse de la pudeur et de la modestie ;
ie Dryope, d’Italie ; Éa, amante de Phase. L’une de ces Dryope, était
fille
d’Euryte, roi d’Œchalie, en Eubée. Elle fut une d
naissait encore une autre Egérie, présidant aux accouchemens. Endeis,
fille
de Chiron ; Epérie, amante d’Eaque ; Erato, femme
Ennice, l’une des trois nymphes qui enlevèrent Hylas ; Fovia ou Fabia
fille
d’Evandre, amante d’Hercule et mère de Fovius ; H
ans la suite, on lui éleva un temple auprès de cette source. Hespérie
fille
de Cébré et amante d’Eaque ; Hirie, d’Arcadie, mè
, de Phrygie, qui eut la sibylle Hérophile du berger Théodore ; Ione,
fille
du célèbre voleur Autolycus ; Iope, nymphe des en
Cyrène ; Ménalippe qui eut Béote d’Itone ; Mérope, nymphe fluviatile,
fille
de Cébren, peut-être la même que celle liée à la
ile, femme de Sangarius et mère d’Hécube, et peut-être la même que la
fille
de Ladon mère d’Asope. Midée, que Neptune rendit
ide ; Ora, qui eut Colax de Jupiter changé en cygne ; Ornée ; Péribée
fille
aînée d’Acésomène, femme du fleuve Axios et mère
ésomène, femme du fleuve Axios et mère de Pélégon ; Phaloé ou Phalaé,
fille
du fleuve Tiris, d’Arcadie Pisidice, qui eut Char
ndresse récompensée par les Dieux ; Syma, amante de Neptune ; Syrinx,
fille
de Ladon et amante de Pan ; Théramène, mère d’Ast
rpine. Pluton, outre Minthi sa concubine, avait pour épouse sa nièce,
fille
de Cérès, sur laquelle nous allons donner quelque
te à Cyzique ; Dœta ou présidant aux festins funéraires ; Deois ou la
fille
de Cérès ou Déo ; Despœna ou la souveraine ; Féro
pine réunissait par conséquent en elle les rôles d’essence divine, de
fille
divine, de fille de l’éblouissante lumière, de te
ar conséquent en elle les rôles d’essence divine, de fille divine, de
fille
de l’éblouissante lumière, de terre en surface pr
taient offertes à cette déesse. Généralement, on la considérait comme
fille
de Cérès et de Jupiter ; cependant, on la faisait
e de Cérès et de Jupiter ; cependant, on la faisait passer aussi pour
fille
du même et de Stix ou de Saturne et de Rhée, et t
ingulière épouse de Jupiter, elle était quelquefois regardée comme sa
fille
, comme sa mère ; pourtant la tradition la plus su
lle, comme sa mère ; pourtant la tradition la plus suivie en fait une
fille
épouse de ce dieu ; c’est-à-dire que de père, il
x. Il paraît avoir emprunté la forme d’un serpent pour des honorer sa
fille
et belle-sœur ; il naquit de cette mésalhance un
délaissée pour une étrangère, et dans sa colère elle osa injurier la
fille
de Cérès et se préférer à elle pour la naissance
oublement de Cérès, et nous ajouterons que ce dédoublement, que cette
fille
de Cérès, adorée dans la Syrie et la Grèce, peut
aussi pour fils Zagrée, ou le grand chasseur, et on lui donnait pour
filles
les Euménides, dont nous allons parler dans quelq
ocyte ; les Corées étaient des fêtes pour la jeune et toute puissante
fille
de Cérès ; les Cotytties étaient des cérémonies m
adné, Phèdre, sœur d’Ariadne et femme également de Thésée ; Laodamie,
fille
de Bellérophon, et dont l’orgueil fut puni par Di
transportée dans une étoile pour y fixer sa dernière demeure. Styx,
fille
de l’Océan et de Thétys, eut de l’Achéron une fil
e demeure. Styx, fille de l’Océan et de Thétys, eut de l’Achéron une
fille
célèbre, que l’on nomme la Victoire. Styx découvr
ster jusqu’au temps de Platon. Ce juge, nous le savons, épousa Itone,
fille
de Lyctius, et en eut Lycaste, père de Minos II,
one, appelée aussi Erebennis, c’est à dire l’épouse de l’Érebe, était
fille
du ciel et de la terre, suivant quelques auteurs,
de, et Libitine par les Latins ; elle était une déesse gréco-romaine,
fille
de la Nuit. Elle avait pour sœur le Sommeil ; ell
séparer le corps de l’ame. La Fraude, que les Romains adoraient comme
fille
de la Nuit et de la Mort, avait pour retraite ord
aient attribué naturellement une puissance divine. La Nuit avait pour
fille
la Discorde ou la Dispute, appelée Eris par les G
servir à dresser un monument qui rappelât une victoire. Némésis était
fille
, suivant les uns, de Jupiter et de la Nécessité o
éesses ; Tenites ou tenant les destinées ; Xantries ou les cardeuses.
Filles
de parens très-incertains, on les fait tour à tou
voyait près de cette ville, et dont les eaux rendaient furieux ; les
filles
d’enfer ; Cunes ou les chiennes ; les déesses sév
anès ou l’indignation, et Palestine ou la fureur ; ces Furies étaient
filles
de l’Achéron et de la Nuit suivant les uns, de la
es grands coupables de l’enfer se trouvaient les Danaïdes ou Bélides,
filles
de Danaüs, ou Armaïs ou Lycius, fils de Bélus et
u Armaïs ou Lycius, fils de Bélus et d’Anchinoé ou à tort Anchirrohé,
fille
du Nil. Ce Danaüs, né lui-même à Cheminis en Égyp
après avoir refusé en mariage aux cinquante fils d’Egyptus, cinquante
filles
qu’il avait eues de différentes femmes, au nombre
Crino, Ethiopis, Piérie et Polino, il fut obligé de s’enfuir avec ses
filles
. Dans sa fuite il passa par Rhodes, où il consacr
voulant chercher à prévenir le danger qui le menaçait, il réunit ses
filles
, leur démontre qu’elles vont être enlevées de for
épousé on ne sait trop quelles Danaïdes. Chacune de ces Danaïdes, en
fille
obéissante, immola pendant la nuit son époux ; Hy
le ou de Brontée, roi de Lydie et de Dionée l’Atlantide ou de Clytie,
fille
d’Amphidamas ou d’Eurythemiste, fille de Xanthe o
ionée l’Atlantide ou de Clytie, fille d’Amphidamas ou d’Eurythemiste,
fille
de Xanthe ou d’Euryanasse, fille du Pactole ou d’
ille d’Amphidamas ou d’Eurythemiste, fille de Xanthe ou d’Euryanasse,
fille
du Pactole ou d’Euprytone ou de Taygète ; il étai
lide, à la cour d’Œnomas ou Œnomaüs, roi de Pise, qui avait promis sa
fille
Hippodamie ou Atracis, née d’Eurythré à celui qui
ajoute pour enfans de Pélops deux fils, Alcathaoüs et Pithée, et deux
filles
, Lysidice, d’Electryon, et Nicippe, dont il n’ind
agesse avec laquelle il administra son gouvernement, puis il donna sa
fille
Ethra en mariage à Égée, roi d’Athènes. Plisthèn
et Atrée succéda au roi de Mycènes Eurysthée, dont il avait épousé la
fille
Érope, qui l’avait rendu père de trois fils, Alco
ne et de Tantale, lequel passe pour le premier époux de Clytemnestre,
fille
de Léda et de Tyndare, et sœur de Castor. Cependa
ans Argos. Durant son exil, Thyeste rencontra dans un bois Pélopée sa
fille
, la viola sans la connaître suivant les uns, ou e
sollicita du roi d’Épire la main de cette princesse qu’il croyait sa
fille
, et l’obtint ; de sorte qu’elle se trouve fille-é
yeste. Plus tard, il fut à Sparte près de Tyndarée, dont il épousa la
fille
Clytemnestre, qui le rendit père de six enfans :
grand nombre de prisonniers, au nombre desquels se trouvait Chryséis,
fille
du pontife Chrysès : épris de ses charmes, il ref
ndre cette Chryséis à son père, qui vint lui apporter la rançon de sa
fille
; il s’en irrita, et fut même jusqu’à le menacer
Troie après un siège de dix ans, Agamemnon eut en partage Cassandre,
fille
de Priam, dont il fit sa maîtresse et son esclave
, les enfans qu’il avait eus de Cassandre, ainsi que cette Cassandre,
fille
de Priam et d’Hécube. Habituellement, on représen
vec Achille. Cette Clytemnestre, femme d’Agamemnon était, on le sait,
fille
de Tyndare, roi de Sparte et de Léda, fille de Th
memnon était, on le sait, fille de Tyndare, roi de Sparte et de Léda,
fille
de Thestius, roi de Pleuron ; elle épousa d’abord
’une étroite amitié avec Pylade, fils de ce prince, et de Cydragores,
fille
de Plisthène et sœur d’Agamemnon. Bientôt, on les
e le cadet, plus un fils naturel, Penthile, qu’il avait eu d’Érigone,
fille
d’Égisthe et de Clytemnestre. Ce Penthile, eut po
maria à Électre et laissa pour fils Médéon et Strophius. Iphigénie,
fille
d’Agamemnon et de Clytemnestre, était à peine arr
t où on allait la sacrifier en présence de son père. Quant à Electre,
fille
d’Agamemnon et de Clytemnestre, elle se nommait d
la cour de Tyndarée, et fut un des plus célèbres prétendans d’Hélène,
fille
de ce roi. Cette jeune et belle princesse, donna
parte, où il régna paisiblement pendant plusieurs années, et maria sa
fille
Hermione, qu’il avait eue d’Hélène à Pyrrhus ou N
nés de Piéris, ou de Cnosie, ou de Téridaé ou de l’Egyptienne Dothée,
fille
de Prothée, ses concubines. Ses états passèrent d
s eut des autels à Thérapné. Quant à Hélène ou Dendritis, son épouse,
fille
de Léda et de Jupiter, elle naquit le même jour q
ientôt le possesseur du trône de Sparte. Hélène, le rendit père d’une
fille
nommée Hermione. Pâris, fils de Priam, sous préte
e était fils de Pélée, roi des Myrmidons, en Thessalie, et de Thétis,
fille
de Nérée appelée aussi Philomèle ou Polymèle ; Ac
, mais qu’il y mourrait, le conduisit à l’âge de neuf ans, habillé en
fille
, et sous le nom de Pyrrha, à la cour de Lycomède,
rha, à la cour de Lycomède, roi de Scyros, qui le fit élever avec ses
filles
, dont l’une d’elles, dit-on, Déidamie, devint la
se présenta à la cour de Lycomède, déguisé en marchand et offrit aux
filles
de ce prince des parures, de riches tissus, des j
Méthymne, ville dans laquelle il entra, grace à l’amour de Pisidice,
fille
de Pélias, roi du pays, qui trahit son père pour
Agamemnon qui eut l’imprudence de lui enlever Briséis ou Hyppodamie,
fille
de Brisès, roi-prêtre de Pédase, il devint furieu
BLE]it à sa suite, au nombre desquelles se trouvait la belle Diomède,
fille
de Phorbas ; cependant il permit à Patrocle de ma
ême personnage, qu’il avait eu avec Iphigénie ou mieux avec Déidamie,
fille
de Licomède. On lui donnait en outre pour fils Eu
Pyrrhus, appelé aussi Néoptolème ; cependant il enleva aussi Lanassa
fille
de Cléode et petite-fille d’Hyllus l’Héraclide, l
u butin qu’il avait obtenu lors du pillage de Troie, épousa Hermione,
fille
de Ménélas et d’Hélène, et y mourut assassiné par
, ou le Grand, était fils de Télamon, roi de Salamine, et de Péribée,
fille
d’Alcathoüs, ou fils d’Euribée, fille de Porthée
roi de Salamine, et de Péribée, fille d’Alcathoüs, ou fils d’Euribée,
fille
de Porthée ou Parthaon. Dès-lors il était frère d
ésors, et lorsqu’il eut tué le prince phrygien Teuthras, il fit de sa
fille
Tecmesse, sa prisonnière et sa concubine. Ajax ét
et mourut accablé de chagrin. Diomède, fils de Tydée et de Déipyle,
fille
d’Adraste et d’Amphitée, entra dans l’armée des É
, entra dans l’armée des Épigones ; il épousa ensuite Égialée, petite
fille
d’Adraste, auquel il succéda sur le trône d’Argos
çu de la manière la plus affectueuse, et dont il obtint en mariage sa
fille
Evippe, sœur de Pencète et d’Iapix. En revanche,
seils sur les moyens de retrouver Ulysse. Il épousa d’abord Eurydice,
fille
ainée de Climène et sœur de Cratie, puis Anaxibie
e Climène et sœur de Cratie, puis Anaxibie ou Astyochée ou Cydragore,
fille
d’Atrée, dont il eut sept fils : Echéphron, Strat
u Stratios, Persé, Arètus, Trasymède, Pisistrate et Antiloque et deux
filles
, Pisidice et Polycaste, enfans que nous avons déj
parlant de Nélée. A la prise de Ténédos, il eut en partage Hécamède,
fille
d’Arsinoüs roi de cette île. Palamède, fils du r
de Troie, il fut porté par un naufrage en Carie, où il épousa Syrna,
fille
d’un roi du pays ; elle lui apporta en dot la Che
illée et livrée aux flammes. Sthénélus, fils de Capanée et d’Evadné,
fille
d’Iphis, fut un des Epigones, il prit également p
tomber sous ses coups Arétaon et une foule de Troyens. Il laissa une
fille
appelée Néso ou Arisbe, ou Batie ou Batée, qui de
s Ithaque, où il fut salué roi par les habitans. Il épousa Pénéloppe,
fille
d’Icarius, qui le rendit père de Télémaque. Envi
en buvant des flots de vin ; alors ce Cyclope, ayant appelé Elpe, sa
fille
, et ses compagnons à son secours, pendant qu’Ulys
ié oiseau, par Cérès, pour n’avoir pas porté secours à Proserpine, sa
fille
, lors de son enlèvement ; plus tard, encouragées
vagues le poussèrent ensuite dans le port des Phéaciens, où Nausikaa,
fille
d’Alcinoüs, vint avec ses compagnes. Cette prince
t lui fournit les moyens de retourner auprès de Pénélope, son épouse,
fille
de Peribée ou de Polycaste, femme d’Icarius ou Ic
i de Calchus, roi des Dauniens, Calypso, Evippe, Actoris et Polymène,
fille
d’Eole, car nous ne mettrons pas au rang de ces m
us, Arbias, Marse et Paphlagon, fils qu’il eut de Circé, ainsi qu’une
fille
appelée Cassiphone ; Auson, Nausithoüs et Télédam
elée Cassiphone ; Auson, Nausithoüs et Télédame de Calypso ; plus, sa
fille
Nausinous ; ensuite, Euryale, d’Evippe. Quant à T
e, roi Daunien, de l’invention de Fénélon, et se marier à Cassiphone,
fille
de Circé, ou à Nausikaa, dont il eut un autre Pto
us, né de la nymphe Alexiroé, fils aîné de Priam et époux d’Astérope,
fille
du fleuve Cébrène ; Evagore ; Gorgithion, né de l
e ; Alcathoüs, fils d’Esyète, et non Esyèle, avait épousé Hippodamie,
fille
d’Anchise ; élevé par Enée, il fut tué par Idomén
dalisque d’un roi de Méonie ; Hélicaon, Anténoride, époux de Laodice,
fille
de Priam ; Héniopé, écuyer d’Hector et tué par Di
ée, fut tué par Patrocle ; Polymnestor, roi Thrace et époux d’Ilione,
fille
de Priam ; Pronoüs, tué par Patrocle ; Pylachante
e, qui ne tardèrent pas à le reconnaître pour leur chef. Il avait une
fille
nommée Arisbe ou Batée, ou Teucris, ou Nyso, ou N
de ce fratricide et lui légua son empire en lui donnant la main de sa
fille
. Ce Dardanus passait pour fils de Jupiter et d’El
pourtant né en Elide, partie du Péloponèse. Il épousa d’abord Chrysa,
fille
de Pallas, dont il eut deux enfans. Ayant, on ne
de contrée en contrée ; enfin, il arriva en Phrygie, où il épousa la
fille
de Teucer. Alors il fit construire, au pied du mo
avait eu avec Batée. Mais lorsqu’on le fait époux de Nyso, c’est une
fille
du nom de Sibylla qu’on lui donne. Ses descendans
aveugle. Avant ou après cet accident, il eut avec Eurydice sa femme,
fille
d’Adraste, roi de Phrygie, un fils appelé Laomédo
s par ordre de Neptune : le sort tomba bientôt sur Hésione, sa propre
fille
que le troyen Phénodamas le força d’exposer au mo
ser au monstre, mais Laomédon ayant promis à celui qui délivrerait sa
fille
et la Troade de ce monstre, deux beaux chevaux, e
rerait sa fille et la Troade de ce monstre, deux beaux chevaux, et sa
fille
en mariage, Hercule se présenta, délivra Hésione,
donna à son ami Télamon. Laomédon avait épousé ou Strymno ou Placie,
fille
de Leucippe, dont il avait eu trois filles : Hési
pousé ou Strymno ou Placie, fille de Leucippe, dont il avait eu trois
filles
: Hésione ou Médésicaste, Cella ou Ethylle, Astio
ttre aux sages et douces lois qu’il avait établies. Il épousa Hécube,
fille
ou du fleuve Sandare et de Méropes, ou de Drymas
mas ou de Cissé, roi de Thrace : il en eut dix-neuf fils et autant de
filles
. Ses enfans s’étant unis aux princes et princesse
uré de femmes nombreuses, au milieu desquelles on distinguait Arisbe,
fille
de Mérops et mère d’un autre Mérops, Castyanire,
s et mère d’un autre Mérops, Castyanire, mère de Gorgythion, Laothoé,
fille
d’Athès. De ces femmes ou concubines il avait eu
ues fils ; de plus il comptait parmi ses enfans également beaucoup de
filles
dont les plus connues étaient Aristomaque, femme
s défenseurs de la ville de Troye. Il épousa jeune encore Andromaque,
fille
d’Eétion, roi d’une des contrées de la Cilicie ;
Pièle, roi d’Epire. Néoptolème ayant quitté Andromaque pour Hermione,
fille
d’Hélène, il donna cette épouse d’Hector à Hélénu
de Priam. Sa beauté était tellement remarquable, que la nymphe Œnone,
fille
du dieu-fleuve Cébrène, en fit son amant, et bien
avait eu d’Hélène deux ou trois fils, Agane, Bunichus et Idée, et une
fille
du même nom que sa mère. On représente Pâris, ber
la nymphe Alexiroé, devint éperdument amoureux de la nymphe Hespérie,
fille
de Cébrène. Un jour, l’ayant rencontrée sur les b
t auprès d’Amnase, roi de Libye, et y mourut. Il avait épousé Théano,
fille
de Cissé, roi d’une des provinces de Thrace, et s
, roi d’une des provinces de Thrace, et sœur d’Hécube : il en eut une
fille
appelée Crino, qui fut emmenée captive ainsi que
fit élever un tombeau magnifique. Télèphe, fils d’Hercule et d’Augé,
fille
d’Alée, roi Arcadien, fut exposé par sa mère sur
ut-à-coup : alors le roi de Mysie, Teuthras, promit sa couronne et sa
fille
à celui qui délivrerait le pays de ses ennemis. T
remplit toutes les conditions exigées ; cependant on découvrit que la
fille
du roi, Augé, était mère de ce héros ; elle fut d
, Augé, était mère de ce héros ; elle fut donc remplacée par Laodice,
fille
de Priam et d’Hécube. Quelque temps après, les Gr
ières furent inutiles. Il en fut de même des prophéties de Cassandre,
fille
de Priam et d’Hécube ; venue au monde le même jou
os, on le sait, eut pour second fils Assaracus, qui épousa Hiéronème,
fille
du Fleuve Simoïs, et en eut Capys, lequel épousa
onème, fille du Fleuve Simoïs, et en eut Capys, lequel épousa Thémir,
fille
d’Ilos et sa cousine, de laquelle naquit Anchise.
chise avait épousé légitimement Eryopis ou Hippodamie dont il eut une
fille
du même nom que sa mère, et qui épousa Alcathoüs.
fut remis à son père, dont il garda les troupeaux. Il épousa Creuse,
fille
de Priam, dont il eut Ascagne ou Pule. Au commenc
Amate. Ce roi le reçut on ne peut plus favorablement, et lui donna sa
fille
Lavinie en mariage, ce qui fit naître une guerre
tué par Mnestée ; Camerte, chef rutule ; Camille, amazone du Latlum,
fille
de Métabe, prit glorieusement part à la guerre po
de Turnus, Enée bâtit une ville en l’honneur de Lavigie, son épouse,
fille
de Latinus, lui donna le nom de Lavinium, et il y
ogies disant aussi qu’il née eut encore pour femme, Eurydice, Launia,
fille
d’Anius 1er, et Dixithée, fille de Phorbas, qui d
encore pour femme, Eurydice, Launia, fille d’Anius 1er, et Dixithée,
fille
de Phorbas, qui devint mère de Roma, grand’-mère
devint mère de Roma, grand’-mère de Romulus. Enée laissa en outre une
fille
appelée Étias. Ici, peut-être, faudrait-il rappel
sion du vrai palladium et se donna les titres d’héritière directe, de
fille
et d’image de Troie, vivante ou ressuscitée. Quoi
on donne trois frères, ou par un fils d’Ascagne ou par le fils d’une
fille
anonyme d’Enée, ou bien par un fils d’Alba, fille
u par le fils d’une fille anonyme d’Enée, ou bien par un fils d’Alba,
fille
de Romulus, fils d’Enée. 2° A la famille de Latin
tinus, par un fils de ce Latinus ou par un fils d’Itale et d’Electre,
fille
de ce Latinus. 3° A la famille d’Ulysse, par un f
omulus ; 808 Aventinus ; 781 Procas ; 768 Numitor et Amulius. Didon,
fille
de Bélus ou de Méthès, roi de Tyr, épousa, jeune
ngulier par Enée. Camille, l’héroïne ou l’amazone de l’Italie, était
fille
de Métabe, roi des Volsques et de Camille. Métabe
u la couardise ; Alcée, déesse de la force, comme Bia et Cratos, mais
fille
de l’Olympe et de Cycnus ; Alcona, c’est-à-dire l
rte. Le troisième, Mai, ainsi appelé par Romulus, en mémoire de Maïa,
fille
d’Atlas et femme de Vulcain ; il avait pour divin
es porcs chez les Romains, du temps de Romulus. Hémithée ou Molpadie,
fille
de Staphile et de Chrysotémis, et sœur de Rhœo et
e et au regard très-assuré. Paresse ou Segnities, déesse allégorique,
fille
du Sommeil et de la Nuit, que Vulcain changea en
même que les Grecs, reconnaissaient en outre Potestas ou le pouvoir,
fille
de Pallas et de Styx, sans cependant être Cratos.
e, déesse italique, protégeant de toute espèce de ravages. Praxidice,
fille
de Sôter ou le conservateur, était la déesse grec
le conservateur, était la déesse grecque des intentions, et avec ses
filles
Homonée ou la concorde, et Arété ou la vertu, ell
modifications. Revérentia, déesse allégorique et romaine du respect,
fille
de l’honneur et de la majesté. Ros ou Drosos, die
é alors comme un être femelle. Athor, célèbre déesse égyptienne, est
fille
et épouse de Fta ou même de Fré, son fils-époux.
il eut en outre d’Isis son épouse un autre fils nommé Macédo, et une
fille
nommée Poubasti, il eut même un dernier fils appe
n de l’ame intellectuelle du monde. Bubastis ou Poubastis était
fille
d’ Osiris et d’Isis, elle participa à l’éducation
elle n’est qu’une émanation : les Grecs ont vu dans cette divinité la
fille
de Latone, car, disaient-ils, elle aida sa mère d
rsonnifie le Nil en un dieu appelé Noute-Feu, qui donna le jour à une
fille
du nom de Memphis et épouse d’ Epaphe. Baal Tsép
: Allat ou Allata, déesse arabe, que l’on regardait comme l’une des
filles
du dieu suprême. Elle avait un temple à Taïe. Mah
rapprochaient plutôt de ceux de Junon. Alors, comme Achtor, elle est
fille
d’Uranus et sœur de Chrône, qu’elle épousa et don
açouati, et en a cent fils, dont l’aîné, Dakcha, fit naître cinquante
filles
. Treize de ces filles s’unirent à Kaciapa, le pre
fils, dont l’aîné, Dakcha, fit naître cinquante filles. Treize de ces
filles
s’unirent à Kaciapa, le premier Brahmane né de Ma
de Brahmâ, à la suite de son mariage avec un appelé Satadroupaï, une
fille
nommée Aghdi ou Dévaghdi, qui eut neuf filles et
appelé Satadroupaï, une fille nommée Aghdi ou Dévaghdi, qui eut neuf
filles
et un fils qui porta le nom de Kapica ou Vichnou,
éatitude ; ensuite elle s’évapora et ne revint plus sur la terre. Les
filles
d’Aghdi furent mariées à neuf des plus anciens pa
nds. Alors aussi Brahmâ s’éprit d’un amour incestueux pour sa sœur et
fille
Saraçouati, qui se déroba en vain à ses importuni
autres membres de la trimourti indienne. Saraçouati, sœur, femme et
fille
de Brahmâ, résista long-temps aux désirs de Brahm
ils de Kaçiapa et d’Aditi. Il épousa Indrani qui le rendit père d’une
fille
nommée Devani. Il habite Souarga, ou Paradis dans
u, quelquefois il tient à la main une fleur de lotos. Quant à Dévani,
fille
d’Indra, elle fut la rivale de Viliama, comme l’u
a lutte qu’il eut contre Siva. Celui-ci, après la lutte, épousa Sati,
fille
de Dakcha et de Praçouti. En effet, ce Dakcha eut
raçouti. En effet, ce Dakcha eut pour femme Praçouti, Dévi ou Birini,
fille
du sage Bérana. Outre Sati, Dakcha eut encore qua
le du sage Bérana. Outre Sati, Dakcha eut encore quarante-neuf autres
filles
, parmi lesquelles Dachina, ou Souria, ou Savitri,
Un jour, Dakcha offrit un grand sacrifice auquel il invita toutes ses
filles
excepté Sati qui, pour se venger de cette offense
e planétaire ; aussi le nomme-t-on le père de l’astronomie. Quant aux
filles
de Dakcha, dix épousèrent Dherma, vingt-sept Tcha
a ou l’Espace, était né de Maritchi, ou la lumière ; il épousa treize
filles
de Dakcha, parmi lesquelles se trouvaient Aditi e
rt à Soukra. Celui-ci, vaincu par les pressantes sollicitations de sa
fille
, qui brûlait d’amour pour Boudha, consent à appre
u ensuite qu’il était sorti d’une noble origine, refusa la main de la
fille
de Soukra. Cette vierge, indignée de ce refus, le
. Darmadère, bœuf que l’on fait aux Indes Dieu de la vertu. Dévagi,
fille
de Dévoga, épousa Vaçoudéva. Elle mit au monde si
houba ou Kchouba, une des femmes de Martanda ou le soleil, elle était
fille
de Viçouamitra chef des Tchoubdaras. Kchouba ne p
uamitra des Açouras et le suivit à la cour de Djanaka ; bientôt Sita,
fille
de ce roi, ayant été promise au plus adroit et au
pasteur, ayant pour épouse Iachoda. Lorsque celle-ci mit au monde une
fille
, incarnation de Kali, les deux époux la changèren
et à Satiadjit qui, voulant le remercier de ce bienfait, lui donne sa
fille
Satiabhama pour épouse. Plus tard il mourut assas
ans deux grandes fêtes en son honneur. Quant à Satiabhama, elle était
fille
de Satiadjit, et fut une des huit épouses ou aman
encore un personnage distinct de cette Bhadrakali, également femme et
fille
de Siva ; seulement, on la fait jaillir de la têt
ssitôt couverte de boutons. Alors Içouara, pour apaiser sa redoutable
fille
, lui donne deux suivans : Virapatra et Kouétrakou
le mit au monde dans un bain. Il épousa Tchandaravali et Amourdavali,
filles
de Vichnou et de Lakchmi. Skanda, désolé du triom
de la dynastie lunaire, régnait dans l’empire de Sikata ; il eut deux
filles
qu’il donna en mariage à Kansa qui périt dans la
dit père d’un fils que l’on nomma Rakholi. Elle lui donna ensuite une
fille
. Bouddha, ou du moins Ardachidhi, passa presque t
é cette métamorphose. Le couple donna naissance à trois fils et trois
filles
. Pirrids ou Birrids, nom donné aux ames des damn
a sa femme à sa gauche, et ses enfans devant lui. Tsangan-dara-eke,
fille
née par les yeux de Choutchi-Boddiçatoa, est une
ent : Bounsio, appelée ensuite Bensaïten, héroïne célèbre, était une
fille
d’un riche habitant des bords du fleuve Riou-Sa-G
i, l’on y voyait s’unir par d’horribles embrassemens, le père avec la
fille
, le frère avec la sœur, la mère avec le fils. An
et femelle de l’intelligence. Ardviçour ou Ardvisour, Ized femelle,
fille
d’Ormuzd, présidait à l’eau primordiale et bienfa
On lui sacrifiait des animaux et même des prisonniers. On la suppose
fille
de Silabe, roi des Gots. Simzerla était, nous l’
son côté eut Bore pour fils. Ce Bore à son tour, ayant épousé Belsta,
fille
du géant Bergthoser, devint le père des trois Ase
ans, et à leurs familles. Enfin Odin se maria et il épousa : Frigga,
fille
de Fieurgin ; elle le rendit père de quatre Ases
référaient à cette grande déesse : Frey ou Freia, déesse de l’amour,
fille
de Niordr, et de la déesse Scada, et sœur de Fréi
de Fréir. Elle épousa Odour, c’est-à-dire l’irrité dont elle eut deux
filles
, la belle Hnossa, déesse de la perfection dont le
ours représenté avec des dents d’or. Il était fils d’Odin et des neuf
filles
du géant Geirrendour appelées Angéia, Arla, Elgia
ses et les Vanes. Il habite Notan, et il passe avec son épouse Skada,
fille
du géant Thiasse, neuf nuits sur douze dans les m
re, des richesses et de l’abondance. S'étant épris de la belle Gerda,
fille
d’Umer et d’Aourboda, il envoya son fidèle domest
out. Puis, à son tour, il périra étouffé par Vidar. Hel ou Héla est
fille
de Loke et de la géante Angourboda, et sœur du lo
ra lorsqu’ils lui eurent promis de lui donner l’hydromel. Gounlenda,
fille
du géant Souttoung, fut préposée par son père à l
es richesses minérales qu’elles renfermaient. Iord ou la terre était
fille
de la Nuit et d’Annar, femme d’Odin et mère de Th
gurd, tua l’énorme dragon Orm, ce qui lui fit épouser la belle Thora,
fille
de Herrand, avec laquelle il eut deux fils, Etrek
t d’être engloutie tout-à-fait par Fenrir, Sounna mettra au monde une
fille
brillante qui après sa mort éclairera l’univers à
et des sacrifices. Les Alcis étaient de grandes divinités naharvales,
filles
de l’être suprême. Ces déesses, toujours brillant
our la contrée de l’Ulster, pendant vingt et un ans. Aod-Madh eut une
fille
nommée Macha. Kimbaoth ou Cimbaoth, fils de Fio
esse des Némèdes, l’une des premières races de l’Irlande ; elle était
fille
de Aodh-Madh, roi de l’Ulster ; elle eut beaucoup
la personnification de toute la race Irlandaise. Keasar, ou Kesaire,
fille
, femme, sœur et mère de Bath. C'est la grande dée
imitive de l’Irlande, était en Irlande la muse par excellence, petite
fille
de Bath ; elle eut deux sœurs, Banba et Ir, mais
la déesse principale, de même que de toute l’Irlande. Banba, petite
fille
de Bath, avait pour sœurs Eire et Fohlda, avec le
de plus quelques dieux et déesses parmi lesquels on rencontre : Téa,
fille
de Luighaidh, descendant d’Ith et femme du roi Er
anan devint grande divinité Irlandaise des Tuatha-Dadans : elle était
fille
de Déal-Baoith ou Bath, et donna le jour à trois
, et y répandirent la civilisation. Meibdh, reine du Conaught, était
fille
de Eochaidh-Fiedhlioch, le grand législateur, et
tait fille de Eochaidh-Fiedhlioch, le grand législateur, et de Benia,
fille
de Criomthan, de la race d’Erreamhon. Elle se lai
ses chefs siéger à Téamhair, résidence des pontifes suprêmes. Néaça,
fille
d’Eochaidh-Salbindhe, avait épousé la femme de Fa
e et devint par là père de Qormaq. Qonnor sauva les jours de Déirdre,
fille
de Feidhlim, au moment de sa naissance, et la con
uadhach, qui corrompit son épouse favorite ; Qonnall, qui séduisit sa
fille
, et Qouqoulin qui lui joua une foule de mauvais t
a belle épouse : ce qu’il exécuta ponctuellement. Cette Deirdre était
fille
de Fiehim, né de Dill ; elle vint au monde pendan
u géant Meisgéadhra et le ravisseur de la belle Feidhlim-Nathkrotack,
fille
de Qonnor et épouse de Quairbre-Niadfar. Laoghr
quelque fête en son honneur, les mères déchiraient cruellement leurs
filles
et en offraient le sang à Toïa, en prononçant tro
jeux ; puis le soir, les prêtres couraient les rues et frappaient les
filles
et les femmes avec de petits paquets de foin. Qu
ielle et inorganique contraire à la sienne ; de leur union naquit une
fille
nommée Ohina, qui donna le jour à trois fils, Te-
déesse jusqu’au-delà de son front. Ligobound, divinité bienfaisante,
fille
de Saboukour et d’Halmael, ou le couple divin pri
ans font disparaître. Ohira-Rine-Mouna, divinité polynésienne, était
fille
de Ti et d’Osira. Après la mort de sa mère, elle
Ti, et le rendit père de trois fils, Ora, Vanou et Titou, et de trois
filles
, Hennatou-Monourou, Hénaroa, et Nouna. Opira, s
tou-Monourou, Hénaroa, et Nouna. Opira, sœur et épouse de Ti, était
fille
de Tétouba-Amatou-Hatou et du sable de la mer. Et
40 nous montre Cérès aux pieds de Jupiter, le priant de lui rendre sa
fille
Proserpine, dont plus bas on aperçoit l’enlèvemen
Fieurgin, 474. Fièvre (la), 17. Fileuse (la) à la quenouille d’or, 73
Filles
d’enfer, 329. Filles d’Hercule, 245. Fils de Nept
(la), 17. Fileuse (la) à la quenouille d’or, 73 Filles d’enfer, 329.
Filles
d’Hercule, 245. Fils de Neptune, 269. Fin-Domhnan
ant appris par l’oracle, qu’il périroit de la main de l’enfant que sa
fille
Danaë mettroit au monde, enferma Danaë dans une t
mède. Cette Reine imprudente autant que vaine, osa dire qu’elle et sa
fille
surpassoient en beauté Junon et les Néréides. Les
apprit que ce fléau terrible ne cesseroit qu’en livrant au monstre sa
fille
Andromède. Dans ces désastres qui se renouveloien
s Minos aborda en Sicile avec une flotte, il redemanda Dédale, et les
filles
de Cocalus, pour éviter à leur père le danger de
l’homme ? Œdipe étoit fils de Layus3, roi de Thèbes, et de Jocaste,
fille
de Ménécée et sœur de Créon. L’Oracle ayant prédi
te contre un rocher. Quelques auteurs prétendent que Sphinx étoit une
fille
naturelle de Laïus, mais la première fable est pl
ir la clarté du jour, s’arracha les yeux. Il avoit eu de Jocaste deux
filles
, la pieuse Antigone et Ismène, et deux fils, Etéo
se voile la tête et il appelle Thésée, pour lui recommander encore sa
fille
. Alors la terre tremble et s’entr’ouvre lentement
es furies ; ce qu’il fit entre les mains de Phégée, dont il épousa la
fille
Arsinoé ou Alphésibée, et il lui donna le fatal c
à Apollon. Properce, un de ceux qui donnent le nom d’Alphésibée à la
fille
de Phégée, au lieu de celui d’Arsinoé, dit que ce
ausa tant de crimes et de malheurs. Les noces d’Hermione ou Harmonie,
fille
de Vénus et de Mars, avec Cadmus, furent très-bri
une lyre, etc.5 ; Vénus qui vouloit faire un magnifique présent à sa
fille
, pria Vulcain de fabriquer un collier d’or, d’un
or, d’un travail précieux, mais Vulcain qui haïssoit dans Hermione la
fille
de Mars, fit de ce collier un talisman qui devoit
Hermione, qui éprouva beaucoup de malheurs, en fit don à Sémélée, sa
fille
, qui périt dans les flammes : après Sémélée, le c
. Thésée. Egée, fils de Pandion roi d’Athènes, épousa Ethra,
fille
du sage Pithée ; mais voulant tenir cette union s
du labyrinthe au moyen d’un peloton de fil qu’il avoit reçu d’Ariane,
fille
de Minos, devenue passionnément amoureuse de lui.
près avoir tué Sinnis et Cercyon il fit d’horribles violences à leurs
filles
et les déshonora. Pour avoir enlevé la fille d’Ai
ibles violences à leurs filles et les déshonora. Pour avoir enlevé la
fille
d’Aidonée, Roi des Molosses, il fut long-temps re
tablit les lois de son pays et le culte de ses dieux. Il laissa trois
filles
, Aglaure, Hersé et Pandrose. Après la mort de Céc
int Roi d’Athènes. Son fils Pandion lui succéda ; il fut père de deux
filles
infortunées, Philomèle et Progné7. Érechtée, fils
vouloient lui faire violence. Hercule eut pour mère la belle Alcmène
fille
d’Electrion8. Alcmène épousa Amphitrion auquel el
guerre aux Thélébéens qu’il défit par le moyen de la perfide Cométho
fille
de Ptérélas leur roi. Cette fille dénaturée, pass
par le moyen de la perfide Cométho fille de Ptérélas leur roi. Cette
fille
dénaturée, passionément éprise d’Amphitryon, coup
é souveraine sur tous les descendans de ce héros. Nicippe ou Nisippe,
fille
de Pélops, épouse de Sthénélus fils de Persée éto
tira lorsqu’il fut chassé du ciel. Admète ayant voulu épouser Alceste
fille
de Pélias, ne put obtenir cette Princesse qu’à co
ut dans un opéra. Il y eut une femme appelée aussi Admète, elle étoit
fille
d’Euristhée, elle inspira à son père l’ordre qu’i
e et se retira dans l’île de Salamine où le Roi Céchréïs lui donna sa
fille
Glaucé en mariage et le nomma son successeur. Apr
omma son successeur. Après la mort de Glaucé, Télamon épousa Péribée,
fille
d’Alcathoüs, il assista à la chasse du Sanglier d
pellent Thoosa, il en eut plusieurs fils entre autres Priam, et trois
filles
, Hésione, Artyoché et Cilla. Laomédon, Prince vio
es peuples se révoltèrent et forcèrent le Roi d’exposer au monstre sa
fille
Hésione ; Hercule délivra Hésione à condition que
es belles actions, eut aussi de grandes foiblesses : il aima Omphale,
fille
de Jardanus, Roi de Méonie, et Reine de Lydie, po
Epicaste, Augé, dont l’histoire est singulière. Cette Princesse étoit
fille
d’Aléus et de Néra. Hercule la séduisit, il eut d
procura un azile chez Teuthras, Roi de la Mysie, qui l’adopta pour sa
fille
. Par la suite, l’enfant d’Hercule et d’Augé devin
trône, Teuthras reconnoissant voulut lui donner pour épouse Augé, sa
fille
adoptive ; mais Hercule invoqué par Augé, préserv
e eut encore beaucoup d’autres maîtresses, sans compter les cinquante
filles
de Thestius, qu’il aima toutes. Hercule eut deux
furent également malheureuses et funestes. Il épousa d’abord Mégare,
fille
du Roi de Thèbes. Pendant la descente d’Hercule a
ire dont la famille éprouva de si tragiques malheurs ; sa mère Althée
fille
de Thestius et d’Eurithémis, étoit l’épouse d’Œné
e monstre, firent une partie de chasse à laquelle se trouva Atalante,
fille
du Roi d’Arcadie, cette Princesse blessa la premi
Althée, piqués qu’on eût décerné tout l’honneur de cette chasse à une
fille
, lui enlevèrent ces dépouilles, Méléagre qui aimo
erva précieusement ce présent fatal. Hercule devint amoureux de Iole,
fille
d’Eurite, ce Prince la lui refusa, Hercule subjug
ou elles estropioient leurs enfans mâles et élevoient avec soin leurs
filles
auxquelles elles brûloient la mammelle droite, af
d’Euristhée, son frère, d’aller enlever, pour la Princesse Admète, sa
fille
, la ceinture de la Reine des Amazones. Thésée, Ro
. Apollon enleva sur le mont Pélion en Lybie, la nymphe Cyrène
fille
d’Hyséus, il eut d’elle Aristée, dans la contrée
de la mer. Mélicerte est le même que Palémon, Dieu marin. Ino, étoit
fille
de Cadmus et d’Hermione. Des dames Thébaines qui
Salmidesse. Le prince, fils d’Agénor, avoit épousé d’abord Cléopâtre,
fille
de Borée, de laquelle il eut deux fils, que par l
Colchide. Vénus apprit à Jason l’art de séduire la Magicienne Médée,
fille
du Roi Aëtès et d’Idya que d’autres appellent Héc
s les traits d’une vieille magicienne, en déclarant à Pélias et à ses
filles
qu’elle avoit le pouvoir de rajeunir les vieillar
t, et se couvrit de feuilles et d’olives. Alors, Pélias ordonna à ses
filles
de suivre en tout, pour la terrible opération de
e. Au bout de quelques années il devint amoureux de Glaucé ou Creuse,
fille
du Roi, et il répudia Médée pour l’épouser. Médée
ces de leurs parentes Ilaire et Phébé, les enlevèrent ; elles étoient
filles
de Leucipe, quelques-uns dirent qu’elles étoient
lui, l’envoya à la cour de Lycomède dans l’île de Scyros, en habit de
fille
sous le nom de Pyrrha, pour l’y tenir caché ; éta
r l’y tenir caché ; étant ainsi caché, il devint amoureux de Déïdamie
fille
de Lycomède, il l’épousa en secret et en eut un f
x larmes de Priam. Ensuite il prit une violente passion pour Polixène
fille
d’Hécube et de Priam, il la demanda en mariage, e
omaque qu’il épousa, au mépris de la foi qu’il avoit jurée à Hermione
fille
de Ménélas. Cette amante irritée, fit assassiner
et y releva les murs de Troie détruits par Hercule. Il épousa Hécube,
fille
de Dimas, ou, selon d’autres, de Cirséus. Il en e
d’autres, de Cirséus. Il en eut un grand nombre de fils, et plusieurs
filles
. Voici quels furent ses principaux enfans. Hector
a les yeux de Polymnestor et fut métamorphosée en chienne. Cassandre,
fille
de Priam, avoit promis à Apollon de l’épouser, s’
ice, femme d’Acamas, quelques-uns disent de Démophoon, fut encore une
fille
de Priam ; la terre s’entr’ouvrit sous ses pas et
duite à l’esclavage par les destructeurs de son pays. Polixène, autre
fille
de Priam, fut immolée sur le tombeau d’Achille. I
une partie des trésors de Ménélas, la conduisit à Troie. Hélène étoit
fille
de Léda (femme de Tyndare,) sœur de Clytemnestre
remiers temps de ce mariage furent heureux, les deux époux eurent une
fille
appelée Hermione. Après son enlèvement Hélène épr
la guerre de Troye la fit pendre à un arbre. Hélène eut de Pâris une
fille
à laquelle elle donna son nom. Après la prise de
Chiron et combattit vaillament pour sa patrie, il avoit épousé Creüse
fille
de Priam. Il s’échappa de Troye en flammes, avec
te fable étant consacrée par l’Enéide, doit être rapportée ici. Didon
fille
de Bélus Roi de Tyr avoit épousé Sichée, que Pygm
it en Italie, y fut bien reçu par le Roi Latinus, et s’unit à Lavinia
fille
de ce Prince, après avoir combattu et tué Turnus
Atrée quoiqu’ils ne fussent que ses neveux. Plisthènes eut encore une
fille
nommée Anaxibie qui épousa Strophius et qui fut m
re Plisthènes, eut encore un frère appelé Thieste. Atrée épousa Erope
fille
d’Euristhée Roi d’Argos. Il succéda à son beau-pè
’Atrée, corrompit Erope épouse d’Atrée, et il en eut deux fils et une
fille
nommée Pélopée. L’Oracle lui ayant prédit qu’il a
nommée Pélopée. L’Oracle lui ayant prédit qu’il auroit un fils de sa
fille
Pélopée, il la consacra, dès son enfance, à Miner
rit la fuite. Quelque temps après il rencontra, sans la connoître, sa
fille
Pélopée dans un bois consacré à Minerve, il lui f
ondit que la Déesse ne s’appaiseroit que par le sacrifice d’Iphigénie
fille
d’Agamemnon. Mais au moment où l’on alloit immole
assassiné par elle et par Egisthe. Ce Prince eut de Clytemnestre cinq
filles
: Iphigénie, Chrysotémis, Iphianasse, Laodice, El
ses deux enfans sur son tombeau. Clytemnestre. Clytemnestre,
fille
de Tindare, l’étoit suivant la Fable, de Jupiter,
rsqu’on se sent blessé. Ce fut cet Ajax qui aima Tecmesse sa captive,
fille
du Phrygien Téleuthas, dont il eut un fils appelé
contre les poursuivans de Pénélope. Il épousa la vertueuse Pénélope,
fille
unique d’Icarius. Ulysse, étoit le Prince le plus
é en trois jours. Une tempête affreuse brisa son vaisseau ; la petite
fille
de Cadmus, Ino, admise au nombre des divinités de
dans l’île des Phéaciens. Il trouva sur le rivage la belle Nausicaa,
fille
du Roi Alcinoüs et d’Areté, qui venoit de laver
vora deux de ses compagnons ; ses aventures chez la magicienne Circé,
fille
du soleil, qui, par un breuvage enchanté, changea
e. Télémaque monta sur le trône. Les uns disent qu’il épousa Nausicaa
fille
d’Alcynoüs, d’autres, qu’il eut pour épouse Cassi
ausicaa fille d’Alcynoüs, d’autres, qu’il eut pour épouse Cassiphone,
fille
de Circé. On ajoute que Télémaque, poussé à bout
dée et petit fils d’Œnée, Roi de Calydon, sa mère se nommoit Déipile,
fille
d’Adraste Roi d’Argos. Tydée, père de Diomède, fu
s enfans, Pisistrate, ami de Télémaque, Thrasymède, etc. et plusieurs
filles
, son épouse s’appeloit Euridice. En faveur de sa
ompta les Solymes, les Amazones et les Lyciens, et il épousa Philonoë
fille
d’Iobatès après avoir prouvé son innocence, Al
prouvé son innocence, Allyrhotius. Allyrhotius enleva Alcipe,
fille
de Mars. Le Dieu, pour venger sa fille, tua le ra
Allyrhotius enleva Alcipe, fille de Mars. Le Dieu, pour venger sa
fille
, tua le ravisseur, et ce fut pour ce meurtre qu’i
outré d’avoir été vaincu à la course par Idas qui lui avoit promis sa
fille
Marpèse, s’il remportoit la victoire, se précipit
rts, et se faisant apporter sa quenouille en s’éveillant, Nausicaa sa
fille
allant au fleuve pour y laver, elle-même, ses plu
intrépide. Divinités allégoriques. La Vertu. La Vertu,
fille
du Ciel et de la Vérité ; on la représente sous l
blanc est le symbole de la pureté. La Vérité mère de la Vertu est la
fille
du Temps ; elle est souvent personnifiée sous la
iel qui promet un temps plus serein. La Paix. La Paix étoit
fille
de Jupiter et de Thémis. Elle fut adorée par les
ers il faut plus que de la souplesse. Homère dit que la Fortune est
fille
de l’Océan, peut-être à cause de l’inconstance de
asciarti. Autres divinités allégoriques43. La Renommée.
Fille
de la Terre et messagère de Jupiter. Les Grecs lu
eau, ode au prince Eugène. La Victoire. La Victoire ou Nicé,
fille
de la Déesse Styx et du géant Pallas, étoit repré
t de la Violence, une Déesse, sœur de la Victoire. L’Histoire.
Fille
du Temps et d’Astrée, elle présidoit à tous les é
ant, sans se blesser, sur le tranchant d’un rasoir. La Faveur.
Fille
de l’Esprit et de la Fortune. Ce mot en latin est
tempio44. Demofoonte. Les Prières. Les Prières ou Lites,
filles
de Jupiter, sont ridées, louches et boiteuses ; e
et boiteuses ; elles sont à la suite d’Até, Déesse malfaisante, autre
fille
de Jupiter, qui, chassée du ciel, ne songe qu’à n
ères sous des traits plus intéressans, éplorées, pâles, craintives et
filles
de l’espérance et de la piété. Le Tasse a dit
des Dieux, parce qu’en latin leurs noms sont masculins. La Peur étoit
fille
de l’Ignorance. Très-belle idée, car en effet l’i
zio e pena47. Issipile. — Métastase. La Mort. Elle étoit
fille
de la Nuit. Hésiode fixe son séjour dans le Tarta
renversé. Les anciens firent de la Vieillesse, une divinité infernale
fille
de l’Erèbe et de la Nuit. La Nuit étoit fille du
une divinité infernale fille de l’Erèbe et de la Nuit. La Nuit étoit
fille
du ciel et de la terre, elle épousa l’Acheron don
qui est beaucoup trop longue pour la rapporter ici. La Fable.
Fille
du Sommeil et de la Nuit, épousa le Mensonge ; el
mage que le vice rend à la vertu ». L’Impiété et l’Injustice.
Fille
de l’orgueil et de l’ingratitude, elle est représ
Soupire, étend les bras, ferme l’œil et s’endort. La Paresse.
Fille
du Sommeil et de la Nuit. On a vu, dans le premie
te sous la figure d’une femme tenant un frein et une coupe. La Santé,
fille
de la Tempérance est la même que Salus. On l’ador
d’où s’évaporent des flammes. Aristote dit que l’Expérience est la
fille
du Temps. L’Étude et le Temps. Un jeune ho
dant neuf ans, une république d’Amazones, fondée par le courage d’une
fille
nommée Valesca. 14. Ce qui contredit la fable qu
toient en deuil et se couronnoient d’aches. 17. Iunx fut une Nymphe,
fille
d’Echo et de Pan. Junon croyant que par ses encha
’elle nourrit les hommes et qu’elle fait tout avec mesure. La Vérité,
fille
du Temps et mère de la Vertu. La Pauvreté fille d
ec mesure. La Vérité, fille du Temps et mère de la Vertu. La Pauvreté
fille
du Luxe et de la Paresse. La Richesse, fille du T
de la Vertu. La Pauvreté fille du Luxe et de la Paresse. La Richesse,
fille
du Travail et de l’Industrie. La Faveur, fille de
Paresse. La Richesse, fille du Travail et de l’Industrie. La Faveur,
fille
de l’Esprit et de la Fortune. L’Envie, coiffée de
fait là-dessus les modernes !) ajoute seulement qu’Icare, privé de sa
fille
, éleva dans ce lieu un autel à la Pudeur. Phèdre,
e manière si admirable, une mère mourante (Niobé), voyant expirer ses
filles
percées de flèches ; et un père (le Laocoon), éto
page n’offre pas des images plus gracieuses : une mère qui expose sa
fille
aux bêtes féroces, un oncle qui dévoue tous ses n
ce larcin, fit attacher Prométhée sur le mont Caucase, où une Aigle,
fille
de Typhon et d’Echidna10, devoit lui dévorer éter
Thétis par Homère, n’étoit qu’une Néréide, et selon quelques auteurs,
fille
de Chiron ou d’Actor. Elle fut élevée par Junon.
la mère d’Achille. Il ne faut pas confondre cette Thétis avec Téthys,
fille
d’Uranus et de Ghé, elle épousa l’Océan qui la re
le d’Uranus et de Ghé, elle épousa l’Océan qui la rendit mère de 3000
filles
, appelées Océanides. Océan, ou Pontus, ou Nérée,
on, Dieu des enfers, fils de Saturne et de Cybèle, enleva Proserpine,
fille
de Jupiter et de Cérès, tandis qu’elle cueilloit
opposer à cet enlèvement, fut changée en fontaine. Cérès redemanda sa
fille
, et Jupiter décida qu’elle lui seroit rendue si e
Ce fleuve devint fameux et fut nommé Hercyne. Les Parques.
Filles
de l’Erèbe et de la Nuit, elles filoient aux enfe
le fit précipiter dans les enfers. La fontaine Styx étoit une nymphe,
fille
de l’Océan, elle secourut Jupiter dans la guerre
des. Les Furies, appelées aussi Dirées, Erinnyes ou Euménides,
filles
de la Discorde, étoient au nombre de trois et s’a
rs. Némésis. Déesse des vengeances célestes, selon les uns,
fille
de Jupiter ; selon d’autres, de la Nuit. Elle pun
sse qui punissoit ceux qui n’aimoient qu’eux-mêmes. Les Praxidices,
filles
d’Ogigès, divinités vengeresses, étoient au nombr
n juroit par elles ; on leur bâtit un temple. Cérès. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, Déesse des moissons et m
roserpine qu’elle eut de Jupiter. Elle chercha par toute la terre, sa
fille
enlevée par Pluton ; après beaucoup de courses, e
lac de Syracuse, elle vit flotter sur les eaux du lac, le voile de sa
fille
, et la nymphe Aréthuse apprit à la Déesse l’enlèv
’enlèvement de Proserpine par Pluton. Cérès obtint de Jupiter, que sa
fille
passeroit six mois de l’année sur la terre. Cérès
ousa Métis : ayant appris du Ciel qu’elle alloit donner le jour à une
fille
d’une sagesse surnaturelle, il la dévora ; et que
rnom de Pallas que reçut Minerve. Son éducation fut confiée à Pallas,
fille
de Triton ; elles aimoient toutes les deux les ex
ou agrionies étoient des fêtes instituées à Argos, en l’honneur d’une
fille
de Prœtus. Les femmes y cherchoient Bacchus, et n
rbare, étoient exclues de cette fête. Vesta. Déesse du feu,
fille
de Saturne et de Rhéa. Les prêtresses de ses temp
e, et elle acquéroit le droit de tester. Seuls exemples sans doute de
filles
pouvant tester dès l’âge de six ans. En entrant c
n char au milieu de la marche de son triomphe. La vestale Claudia, sa
fille
, avoit suivi tous leurs mouvemens, elle se jeta d
respect dû aux vestales. Claudius alla en triomphe au Capitole, et sa
fille
, au bruit des acclamations de tout le peuple, se
r vives. Domitien punit diversement quelques-unes de ces malheureuses
filles
; il laissa à deux sœurs de la maison des Ocellat
re plus belle que Vénus, la Déesse, pour se venger, inspira à Myrrha,
fille
de Cynire, une passion incestueuse pour son père.
la courtisane Laïs qu’on avoit tuée dans son Temple. Les Propétides,
filles
d’Amathonte, ayant nié la divinité de Vénus, la D
propre fils. Il y eut plusieurs autres Harpalices. Aspasie de Phocée,
fille
d’Hermotime, étoit d’une beauté parfaite, mais il
t connu des anciens. Tyro, princesse d’une beauté merveilleuse, étoit
fille
de Salmonée et d’Alcidice. Salmonée, après la mor
de pareils combats, tant pour les garçons que pour les femmes et les
filles
. J’ai vu de même chez des peuples éloignés, des f
rès sa naissance Pallas le mit dans un panier qu’elle donna aux trois
filles
de Cécrops, nommées Aglaure, Hersé et Pandrose, e
sse, divinité allégorique. La Mythologie nous apprend que la Paresse,
fille
du Sommeil et de la Nuit, fut métamorphosée en to
e ses compagnons. Les Grâces et Pitho ou Suada. Les Grâces,
filles
de Jupiter et d’Eurinome, ou selon la plus commun
uvent Déesses de Céphise et d’Orchomène. Pitho, ou Suada, ou Suadela,
fille
de Vénus et Déesse de la persuasion, suivoit touj
e aux charmes de Pyrrha19 ; quelques auteurs prétendent que ce fut la
fille
de Ptérélas, amoureuse de Céphale, ou Calyce, att
même succès. Une des plus célèbres victimes de Leucade, fut Artémise,
fille
de Lygdamis, et reine de Carie20. Cette princesse
on parlera avec plus de détail dans la suite de cet ouvrage. Evadné,
fille
de Mars, ou selon d’autres, d’Iphis et de Thébé ;
au siége de Thèbes, Evadné se jeta sur le bûcher de son mari. Argie,
fille
d’Adraste et femme de Polynice dont elle alla che
u’elle avoit ardemment desiré de revoir. Il y eut une autre Laodamie,
fille
de Bellérophon, qui fut aimée de Jupiter, Diane l
poux, tué au siége de Troie, qu’elle en mourut de douleur22. Alcyone,
fille
d’Eole, fut inconsolable de Céix son mari, fils d
ù, dit-on, ils le font ordinairement. Hypermnestre, une des cinquante
filles
de Danaüs, malgré les ordres de son père (qui sur
peloient ce Dieu Arès. Halirrothius, fils de Neptune, enleva Alcippe,
fille
de Mars. Le Dieu irrité tua le ravisseur. Neptune
nt lui étoient consacrés. Bellone. Déesse du carnage, étoit
fille
de Phorcys et de Céto, et sœur ou femme de Mars25
onsacré, où les voleurs alloient partager leur butin. Iris.
Fille
de Thaumas et d’Electra, Messagère des Dieux et s
donne d’horribles sœurs à cette Déesse, elle dit que les Harpies sont
filles
aussi de Thaumas et d’Électra ; cependant quelque
accusation de leur belle-mère. Diane. Déesse de la chasse,
fille
de Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon. Consi
t de Calydon un sanglier énorme qui ravagea toute la contrée. Chioné,
fille
de Lucifer, eut la témérité de se préférer à Dian
Diane pour sa beauté, et la Déesse la tua d’un coup de flèche. Niobé,
fille
de Tantale et de Dioné, épousa Amphion, roi de Th
usa Amphion, roi de Thèbes. Elle en eut douze enfans, six fils et six
filles
; et fière de sa fécondité, elle se préféra à Lat
et ours, il entra en fureur et la mit en pièces : les frères de cette
fille
tuèrent l’ours. Cet événement fut suivi d’une pes
usieurs jeunes filles. On fit même une loi qui défendoit à toutes les
filles
du bourg de se marier sans avoir fait les fonctio
poésie, fut très-malheureux dans ses amours. Il ne put plaire à Issé,
fille
de Macarée, qu’en se déguisant en berger. Apollon
e le souffle26. Apollon n’eut pas plus de succès auprès de Cassandre,
fille
de Priam et d’Hécube. Il lui accorda le don de pr
Apollon empêcha qu’on ajoutât foi à ses prédictions. Il aima Coronis,
fille
de Phlégias, dont il eut Esculape, Dieu de la méd
onna au serpent l’ordre et le pouvoir de l’empêcher de boire. Daphné,
fille
de Pénée, fleuve de Thessalie, fut d’abord aimée
croire que ce Dieu les inspiroit. Apollon se fit aimer de Leucothoë,
fille
d’Orchame et d’Eurinome, mais par un artifice, en
toute la Phrygie ; Laomédon fut contraint par l’oracle d’y exposer sa
fille
Hésione, Hercule la délivra â condition qu’on la
pour avoir offensé son grand-prêtre Chrysès, dont Agamemnon enleva la
fille
Chryséis, que les Grecs, aux champs de Troie, pér
de front. Ces coursiers divins sont attelés par les Heures. L’Aurore,
fille
de Phébus, tous les matins, ouvre à son père les
oms des chevaux du Soleil : Eoüs, Pyroïs, Éthon, Phlégon. Les Heures,
filles
de Jupiter et de Thémis, étoient au nombre de tro
et la bruyère. Les Muses Les Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosine, Déesse de la mémoire.
e la tragédie ; Thalie, de la comédie ; Terpsychore, de la danse. Les
filles
de Piérus, roi de Macédoine ; les Piérides, croya
Chrysaor, et un cheval ailé, qui fut Pégase. Chrysaor aima Callirhoë,
fille
de l’Océan, et de cet amour naquit Gérion ; de so
é les chevaux au char du Soleil, le précédoit sur le sien. Elle étoit
fille
de Titan et de la Terre, et suivant Hésiode, d’Hy
pare, doivent leur fraîcheur à la rosée du matin. Isis. Io,
fille
du fleuve Inachus, fut aimée de Jupiter, et ce Di
le de l’amour et de la gaîté. Thémis. Déesse de la Justice,
fille
du Ciel et de la Terre, c’est-à-dire, d’Uranus et
es représentant Thémis. Janus. Fils d’Apollon et de Créuse,
fille
d’Érechtée, roi d’Athènes, ou de Saturne et d’Ent
te obligé de prendre la fuite. Hébé. Déesse de la Jeunesse,
fille
de Jupiter et de Junon. Quelques auteurs disent d
usa Hercule, lorsque ce héros fut reçu dans l’Olympe. Elle en eut une
fille
, nommée Alexiare, et un fils appelé Anicétus. A l
en ce lieu. On ajoute que Jupiter avoit donné ces deux colombes à sa
fille
Thébé. Les oracles se rendoient par le son de bas
Dryas, Callianasse et Callianire. Dryas, Déesse de la Pudeur,
fille
de Faune, aimoit l’ombre et la solitude, elle avo
nymphes et quelques femmes vertueuses dont on a déjà parlé. Canente,
fille
de Janus et de Vénilia, elle prit son nom de la b
eu des Vents du Nord, fils d’Astréus et d’Héribée. Il enleva Orythie,
fille
d’Erecthée, roi d’Athènes, et la nymphe Pythis ;
la forme d’un serpent. Le serpent étoit consacré à Esculape. Panacée,
fille
d’Esculape, présidoit à la guérison de toutes sor
culape, présidoit à la guérison de toutes sortes de maladies. Hygiée,
fille
aussi d’Esculape, étoit la Déesse de la santé, et
igna cet art à Esculape, à Achille, à Hercule, etc. La belle Agamède,
fille
d’Augé, dont parle Homère, livre II de l’Iliade,
s les plantes que la terre produit et leurs différens usages. Acèse,
fille
d’Esculape, avoit une profonde connoissance de la
toit son nom ; elle employoit sa science à guérir les malades. Œnone,
fille
du fleuve Cebrène qui couloit en Phrygie au pied
e Troie, jeté par la tempête sur les côtes de Carie, il guérit Syrna,
fille
du roi Damathus, tombée du haut d’une tour, en la
arlatan sous deux formes, car il fut devin et médecin ; il guérit les
filles
de Prœtus de leur fureur. On lui attribue l’inven
faits pour caractériser cette lugubre Divinité. Britomarte.
Fille
de Jupiter, aima beaucoup la chasse et suivoit so
sucre. 19. Qui cependant devint l’épouse de Deucalion. Pyrrha étoit
fille
d’Epiméthée et de Pandore. Deucalion étoit fils d
usole. 21. Il y eut un autre Dardanus, fils de Jupiter et d’Électra,
fille
d’Atlas. Le chagrin qu’il eut de la mort de son f
la Samothrace dans l’Asie mineure, où Teucer lui donna en mariage sa
fille
Batea. Il avoit épousé en premières noces, Chryse
n mariage sa fille Batea. Il avoit épousé en premières noces, Chryse,
fille
de Pallas, dont il eut deux fils, Idéus et Dimas.
étoit la Delphique, appelée Artemis, que quelques-uns nomment Daphné,
fille
de Tirésias : elle rendoit ses oracles en beaux v
surnommé Musagetes, c’est-à-dire, Guide des Muses. 33. Les Sirènes,
filles
du fleuve Achéloüs et de Calliope, étoient trois
é par des lions. Il ne faut point la confondre avec une autre Cybèle,
fille
du Ciel et de la terre, épouse de Saturne, et plu
orrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique,
Fille
des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel
e d’or, pour pénétrer dans la tour d’airain où étoit en fermée Danaé,
fille
d’Acris, roi d’Argos, qui fut la mère de Persée :
r. Lamotte. Jupiter se métamorphosa en taureau pour enlever Europe,
fille
d’Agénor, roi de Phénicie, et sœur de Cadmus ; pa
, et le porta au ciel, pour en faire son échanson, à la place d’Hébé,
fille
de Junon, et déesse de la Jeunesse, qui fut privé
nd ils le considèrent comme la demeure des dieux. Junon. Junon,
fille
de Saturne et de Cybèle, sœur et épouse de Jupite
e parée magnifiquement, et de crier à haute voix, que c’étoit Platée,
fille
d’Asope, qu’il alloit épouser. Junon sortit en fu
Jupiter, et de lui en rendre compte. Elle lui confia la garde, d’Io,
fille
d’Inachus, roi de la Carie. Dans ce
uses principales de la ruine de Troie. Lysipe, Ipponoé et Cyrianesse,
fille
de Prétus et de Sténobée, se vantèrent d’être plu
folie, qui leur fit croire qu’elles étoient changées en vaches : Des
filles
de Prétus les fureurs sont connues : Leurs vains
on, et qu’Apollon tua, parce qu’il désoloit les campagnes : Chez les
Filles
de Mémoire Allez apprendre l’histoire De ce serpe
arlez tous ; Dodone, répondez-nous. Lamotte. Daphné
fille
du fleuve Pénée, évitant les poursuites d’Apollon
un aliment, sans le changer en or. Les Muses. Les Muses étoient
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, ou la déesse de Mémoi
s de justes mouvemens. De l’esprit d’Apollon une vive étincelle, Des
filles
de mémoire anime les concerts : Et chef d
de neuf Sœurs, de doctes Fées, de Déesses du sacré vallon, de chastes
Filles
de mémoire, de Sœurs d’Apollon, etc. Déjà pour l
f Sœurs ont paré leur tête Des fleurs qui bravent les hivers ; Et ces
filles
de Mnémosyne, Déjà sur la lyre divine Préludent l
dignes d’immortaliser leurs exploits : Non, non, sans le secours des
filles
de mémoire, Vous vous flattez en vain, partisans
ole sur leurs traces. Fuselier. Diane. Diane, sœur d’Apollon,
fille
de Jupiter et de Latone, est distinguée par les p
ée, épouse d’Œnée, roi de Calydon. Cette reine avoit prétendu que ses
filles
croient plus belles que Diane : Et toi, fille du
voit prétendu que ses filles croient plus belles que Diane : Et toi,
fille
du dieu qui lance le tonnerre, Diane, qui toujour
le flambeau qu’elle ayoit reçu des Parques : Je vis de l’Achéron les
filles
inflexibles, Les Parques, aux mortels si fières,
nt oublié. Bacchus. Bacchus étoit fils de Jupiter et de Sémélé,
fille
de Cadmus, roi d’Athènes : Comme souverain de la
e de Cadmus, roi d’Athènes : Comme souverain de la foudre, T’aima la
fille
de Cadmus, Qui, malgré toi, réduire en poudre, A
auté. Les poëtes varient sur son origine ; les uns disent qu’elle est
fille
du Ciel et de la terre ; les autres, qu’elle doit
e, étoient les compagnes inséparables de Vénus : on dit qu’elles sont
filles
de Jupiter et de Vénus. Elles président à tous le
ses vives lumières L’obscurité de leurs foibles paupières. Allez, ma
fille
, allez chez les humains Faire observer mes ordres
s peuples de cette contrée étoient fort belliqueux, soit parce que sa
fille
Thracia donna son nom à ce pays. Rome lui étoit p
oit particulièrement consacrée. On dit qu’il avoit eu de Rhéa Sylvia,
fille
de Numitor, roi d’Albe, Romulus et Rémus, qui fur
de Junon. La Vierge, Astrée ou la Justice ; selon d’autres, Erigone,
fille
d’Icarius, qui se pendit de désespoir, en apprena
’occupa du soin de gouverner l’empire des eaux, et épousa Amphitrite,
fille
de l’Océan et de Doris : Les Tritons, rassemblés
utour d’elles flottoient sur l’onde tempérée ; Et les
filles
du vieux Nérée Faisoient devant son char retentir
le père des fleuves, des rivières et des fontaines. Il épousa Thétys,
fille
du Ciel et de la Terre, dont il eut Nérée et Dori
érée et Doris qui se marièrent ensemble, et eurent un grand nombre de
filles
connues sous le nom de Nymphes. Ces déesses ont d
yé sur un rocher d’où les vents cherchent à s’échapper. On dit que sa
fille
Alcyone, et Ceyx son époux, dont elle pleuroit la
ns aîlés ; on les appelle les fils ou les sujets d’Eole. Les Syrènes,
filles
de l’Océan et d’Amphitrite, étoient trois monstre
tomber dans Carybde pour éviter Scylla. Les poëtes disent que Scylla,
fille
de Phorcys, fut changée par Circé en un monstre e
e revomit à l’instant. Lamotte. Athamas, roi de Thèbes, épousa Ino,
fille
de Cadmus et d’Hermione, dont il eut Léarque et M
de l’obscurité de son royaume. Il prit le parti d’enlever Proserpine,
fille
de Cérès, un jour qu’elle s’amusoit à cueillir de
voit la proie Que Pluton enlève à Cérès. Lamotte. Cérès chercha sa
fille
par tout le monde, et la trouva enfin aux enfers,
condamnées à remplir d’eau un tonneau percé. Elles étoient cinquante,
filles
de Danaüs, qui épousèrent les cinquante fils d’Eg
appris de l’oracle que ses gendres le détroneroient. Il ordonna à ses
filles
d’égorger leurs maris, la première nuit de leurs
ille monstres affreux : Et vous, troupe savante en noires barbaries.
Filles
de l’Achéron, Pestes, Larves, Furies, Frères, sœu
ent aux supplices dont on punissoit les méchans. Elles étoient trois,
filles
de l’Achéron et de la nuit. On les appelloit Alec
ace aussi aux enfers les trois Parques, Clotho, Lachésis, et Atropos,
filles
de l’Enfer et de la Nuit. La vie des hommes, dont
r à la clarté un peu d’exactitude. Divinités terrestres. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, présidoit aux moissons :
ouleur mortelle. Quinault. Elle se plaint ici de l’enlèvement de sa
fille
Proserpine, qu’elle chercha par toute la terre, s
t tient une marotte à la main. La Nuit est la déesse des ténèbres, et
fille
du Ciel et de la Terre. On la représente en long
e d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis,
fille
du Ciel et de la Terre, est la déesse de la justi
et tranquilles Que nos crimes ont soulevés. Rousseau. La Paix étoit
fille
de Jupiter et de Thémis : elle porte souvent le n
mède à ses caprices, C’est de s’y tenir préparé. Rousseau. Némésis,
fille
de Jupiter et de la Nécessité, étoit la déesse de
rpens et de torches ardentes, et une couronne sur la tête. L’Envie,
fille
de la Nuit, est représentée sous la figure la plu
malice au souris perfide, L’imposture aux yeux effrontés. De l’enfer
filles
inflexibles, Secouant leurs flambeaux horribles,
de ne pouvoir plus partager leurs innocens plaisirs. La nymphe Echo,
fille
de l’Air et de la Terre, aimoit Narcisse qui n’ét
. Il étoit fils de Jupiter et de Danaé. Acrise avoit fait enfermer sa
fille
unique dans une tour d’airain, sur une réponse de
, roi de Télèbe, avoit faite sur ses terres, laissa son royaume et sa
fille
à Amphitrion. Alcmène promit d’épouser celui qui
rères. Amphitrion remplit cette condition par la perfidie de Comèthe,
fille
de Ptérélaüs : elle arracha le cheveu d’or que so
s femmes guerrières, qui habitoient la Scythie. Elles élevoient leurs
filles
dans l’exercice des armes : elles estropioient ou
royenne au monstre qui désoloit la Troade. Le sort tomba sur Hésione,
fille
de Laomédon. Hercule convint avec ce prince de la
u parmi ses suivantes. Cependant elle ne put l’emporter sur Déjanire,
fille
d’Œnée, roi de Calydon, et sœur de Méléagre, que
n labyrinte dont il n’étoit pas possible de trouver l’issue. Ariadne,
fille
de Minos, facilita l’entreprise de Thésée, en lui
es Lapithes habitoient la Thessalie, et tiroient leur nom de Lapithe,
fille
d’Apollon. Ces géans étoient si vains, que leur o
femmes guerrières, dont il eut un fils qui porta le même nom. Phèdre,
fille
de Minos et de Pasiphaé, que Thésée avoit épousée
auteur d’une triste famille, Toi, dont ma mère osoit se vanter d’être
fille
, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, S
d’Atrée, et frère de Ménélas. Elle eut un fils nommé Oreste ; et deux
filles
, Electre et Iphigénie. Pendant qu’Agamemnon étoit
rts de son bras ; et ses victoires lui méritèrent la main de Philoné,
fille
d’Iobates, roi de Lycie : Après avoir vaincu deu
n vainquit ces monstres ; mais ce ne fut qu’avec le secours de Médée,
fille
d’Aëte, dont les enchantemens étoient nécessaires
En sa jeune saison. Malherbe. Elle conseilla aux
filles
de Pélias, frère d’Eson, de rendre le même servic
ts. Jason indigné abandonna cette femme détestable, et épousa Creuse,
fille
de Créon, roi de Corinthe. Médée se livra à toute
fatale. ………………………………………………… ………………………………………………… J’ai vu de Danaüs les
filles
attentives, Laisser l’onde tranquille et leurs ur
Cadmus. Après que Jupiter eut enlevé Europe, sœur de Cadmus, et
fille
d’Agénor, roi de Phénicie, ce prince ordonna à so
Pallas. Quinault. Cadmus, vainqueur de ce dragon, épousa Hermione,
fille
de Mars et de Venus. Il consulta l’Oracle sur la
. Œdipe avoit eu de Jocaste deux fils, Etéocle et Polinice ; et deux
filles
, Antigone et Ismène. Les deux princes firent paro
à la place de celle que Cérès avoit mangée. Pélops épousa Hippodamie,
fille
d’Œnomaüs, roi d’Elide, qu’il falloit vaincre à l
e la gloire. Il suivit Ulysse avec joie, et quitta en héros Déïdamie,
fille
de Lycomède, qu’il avoit épousée, et dont il avoi
is s’en souviennent encor. Son nom seul fait frémir nos veuves et nos
filles
; Et, dans toute la Grèce, il n’est point de fami
ser le nectar des dieux, à la place d’Hébé, déesse de la jeunesse, et
fille
de Junon. Le jugement de Pâris mit le comble aux
t son empire le plus florissant de l’univers. Il avoit épousé Hécube,
fille
de Dimas, roi de Thrace, dont il eut Hector, Déïp
as promet des vents favorables, aussi tôt qu’Agamemnon aura immolé sa
fille
Iphigénie à Diane, dont il a encouru la disgrace
issance vaine. Si, dans un sacrifice auguste et solemnel, Une
fille
du sang d’Hélène, De Diane, en ces lieux, n’ensan
tant brouillé avec Agamemnon qui lui avoit enlevé sa captive Briséis,
fille
de Brisès, prêtre de Jupiter, et ne voulant plus
ons nos pas, allons lui livrer sa victime. De la Fosse. Andromaque,
fille
d’Eëtion, roi de Thèbes, épouse d’Hector, avoit c
fut le sort d’Oreste, et son dessein peut-être. Voltaire. Electre,
fille
d’Agamemnon, qui avoit sauvé Oreste, traitée en e
r sembloit donner des lois, Qu’a fait aux dieux cruels sa malheureuse
fille
? Quel crime contre Electre arme enfin sa famille
nt autour de moi ! …………………………………………………… …………………………………………………… Hé bien,
filles
d’enfer, vos mains sont-elles prêtes ? Pour qui s
ns l’isle de Circé, où il avoit fait naufrage. Cette magicienne étoit
fille
du Soleil et de la Lune ; J’ai
re de la reine des dieux ; aborde à Carthage, dans le tems que Didon,
fille
de Methrès ou Bélus, roi de Tyr, en bâtissoit les
Turnus, roi des Rutules, et le tue dans un combat. Il épouse Lavinie,
fille
de Latinus, roi du pays Latin, fonde l’Empire Rom
, 168 — Est déclaré chef de l’armée des Grecs, ibid. — Sacrifie sa
fille
Iphigénie, 180 — Se brouille avec Achille, ibid.
Jupiter, 35 — Epouse d’Amphitrion, et mère d’Hercule, 130 Alcyone,
fille
d’Eole, 94 Alcyons, oiseaux qui font leur nid su
e, puni par Hercule, 135 Anthiope, mère d’Amphion, 33-168 Antigone,
fille
d’Œdipe, 165 Antre habité par l’Envie, 119 — Pa
d. — Est endormi, tué par Mercure, est changé en Paon, 38 Ariadne,
fille
de Minos, 143 Aricie, fille de Pallante, 130 Ar
ercure, est changé en Paon, 38 Ariadne, fille de Minos, 143 Aricie,
fille
de Pallante, 130 Arion, musicien célèbre, 161 A
rtémise, épouse de Mausole, 61 Ascagne, fils d’Enée, 194 Ascalaphe,
fille
de la Nuit et de l’Achéron, 99 Asope, père de Pl
Est enchaîné par Hercule, 106 — Cercyon, fameux brigand, 141 Cérès,
fille
de Saturne et de Cibèle, 112 Cérès, mère de Plut
e de Saturne et de Cibèle, 112 Cérès, mère de Plutus, 110 — Perd sa
fille
Proserpine, 113 — La cherche par toute la terre,
la Nuit, 106 Char du Soleil, 31-42 Chaste Diane, 57 Chastes Sœurs,
Filles
de Mémoire, etc. noms que l’on donne aux Muses, 5
ère de Nestor, 172 Clotho, une des trois Parques, 108 Clytemnestre,
fille
de Léda, 34-148 — Epouse d’Agamemnon, qu’elle as
esse qui y préside, 82 Comédie, la déesse qui y préside, 52 Comète,
fille
de Ptérilaüs, 130 Commerce, le dieu qui y présid
t célèbre, 71-162 D Danaé, 33 — Mère de Persée, 128 Danaïdes,
filles
de Danaüs, 158 — Leur supplice aux Enfers, 101-1
one, forêt célèbre, dont les arbres rendoient des oracles, 48 Doris,
fille
de l’Océan, épouse de Nérée, et mère des Nymphes,
us, oncle des Danaïdes, 101 Electre, mère de Dardanus, 177 Electre,
fille
d’Agamemnon, 148-172 — Ses malheurs, 187-188 El
Erictonius, roi de Troie, 178 Eridan, fleuve d’Italie, 43 Erigone,
fille
d’Icarius, 89 Erimante, mont célèbre, 133 Erope
ta, 27 Fidélité, honorée comme une divinité, 11 Fil d’Ariadne, 143
Filles
de Mémoire, nom donné aux Muses, 50 Filles de l’
, 11 Fil d’Ariadne, 143 Filles de Mémoire, nom donné aux Muses, 50
Filles
de l’Achéron, nom donné aux Parques, 59 Firmamen
nes, 109 — Combattues par Persée, 128 — Leurs noms, ibid. Graces,
filles
de Vénus, 73 — Leurs noms, 75 Graces, elles son
ie ; on lui attribue l’ordre qui rène dans l’univers, 16-17 Harpies,
Filles
de Neptune et d’Amphitrite, 91 Harpocrate, nom d
omère a célébré sa gloire, 121 Hécube, épouse de Priam, 179 Hélène,
fille
de Jupiter et de Léda, 34-147 — Enlevée par Thés
, 178 — Se réconcilie avec Ménélas, 148 — Sa mort, ibid. Hélénus,
fille
de Priam, 179 Héliades, sœurs de Phaéton, 44 Hé
, 178 Inachus, père d’Io, 37 Indes, conquises par Bacchus, 66 Ino,
fille
de Cadmus, mère de Mélicerte, 96 — Elève Bacchus
la mer, ibid. — Est mise au rang des divinité maritimes, 93-97 Io,
fille
d’Inachus, gardée par Argus, 37 Iobates, roi de
, 88-156 Iole, Hercule veut l’épouser, 138 Ionie, 46-60 Iphigénie,
fille
d’Agamemnon, 172 — Et de Clytemnestre, 148 — Es
ssagère de Junon, 39 — Est métamorphosée en arc-en-ciel, 40 Ismène,
fille
d’Œdipe, 165 Italie, retraite de Saturne, 21 —
— Un des signes du Zodiaque, 89 Junon, mise au rang des Dieux, 11 —
Fille
de Saturne et de Cybèle, 37 Junon, sœur et épous
puni par Neptune, 90 — — Par Apollon, 38. Par Hercule, 135 Lapithe,
fille
d’Apollon, 144 Lapithes, peuple de la Thessalie,
de Narcisse, 125 Livre du Destin, 17-18-21 — De Clio, 55 Loi, (la)
fille
de Thémis, 116 Lucine, nom donné à Junon, 39 Lu
sept merveilles du monde, 63 Muses, 49 — Disciples d’Apollon, 45 —
Filles
de Jupiter et de Mnémosyne, 49 — Leurs noms et l
lle chastes Sœurs, 46 Muses, on les appelle Neuf Sœurs, 50 — —
Filles
de Mémoire, 47 — — Doctes Fées, etc. 50 — Comme
rage de Pénélope, 193 P Paix, honorée comme une divinité, 11 —
Fille
de Jupiter et de Thémis, 106 — Comment on la rep
rre, 11 — Ses danses, 124 — Comment on le représente, 123 Pandore,
fille
des dieux, 32-33 — Reçoit un préent (je chacun d
Pyrrhus, 185 Parnasse, montagne habitée par les Muses, 46 Parques,
filles
de l’Enfer et de la Nuit, 108 — Leur emploi, ibi
serpine, 145 Plaisirs, enfans de Vénus, 73 Planètes, 86-87 Platée,
fille
d’Asope, 37 Plistène, fils d’Atrée, père d’Agame
t, 167 Poliphême, cyclope ; son aventure avec Ulysse, 191 Polixène,
fille
de Priam, promise en mariage à Achille, 182 — Es
ercule, 134 — Il avoit humanisé un peuple grossier, 195 Proserpine,
fille
de Cérès, est mise au rang des dieux, 11 — Est e
e, 191 Thrace, (la) contrée sous la protection de Mars, 85 Thracia,
fille
de Mars, ibid. Thrône du destin, 280 Thyeste,
ce grain de blé livré à l’imagination des poëtes ? Ils en feront une
fille
de Cérès, déesse de l’Agriculture : ainsi transfo
’Agriculture : ainsi transformé, il n’y a plus moyen de le semer ; la
fille
de Cérès sera enlevée par Pluton, et sera dérobée
me. Japet, l’un des Titans, eut, de son mariage avec Clymène, une des
filles
de l’Océan, deux fils : Prométhée et Epiméthée, d
’il lui en naissait un, il le dévorait. Mais sa femme Rhéa ou Cybèle,
fille
d’Uranus et de Titéa, en déroba plusieurs à sa vo
effroi, appela à son aide tous les dieux et toutes les déesses. Styx,
fille
de l’Océan et de Téthys, arriva la première, et J
x et à la Justice. Jupiter épousa ensuite Eurynome, la plus belle des
filles
de l’Océan, qui fut mère des trois Grâces : Aglaé
Aglaé, Euphrosyne et Thalie. Cérès, sa quatrième femme, lui donna une
fille
nommée Proserpine. La belle Mnémosyne fut la mère
nourriture, et le nectar leur breuvage. Hébé, déesse de la jeunesse,
fille
du Ciel et de la Terre, suivant Hésiode, de Jupit
§ 3. Junon. Mariage de Junon. Junon, Héré chez les Grecs,
fille
de Saturne et de Rhée, sœur de Jupiter, fut la pr
éron ; il feignit qu’il allait épouser la belle Platée, jeune nymphe,
fille
du fleuve Asope ; à cette nouvelle Junon sort de
se dire plus belle que la reine des dieux, fut changée en grue ; les
filles
de Prœtus, en punition de la même audace, furent
i se plaint de Narcisse. Boileau . Jupiter, voulant soustraire Io,
fille
d’Inachus, roi d’Argos, à la vue de Junon, la mét
n-ciel est sa messagère. Questionnaire. De qui Junon était-elle
fille
? — Qui épousa-t-elle ? — Que se passa-t-il de re
llon. — Les Muses. Apollon. Naissance d’Apollon. Latone,
fille
de Céus, un des Titans, et de Phébé, sa sœur, dev
jusqu’au moment où il fut rappelé dans l’Olympe par Jupiter. Clytie,
fille
de l’Océan et de Téthys, mourut de douleur de se
de laurier et la lyre à la main. Les Muses. Pégase, Pyrénée, les
filles
de Piérus, la Pythie. Les Muses, filles de Jup
uses. Pégase, Pyrénée, les filles de Piérus, la Pythie. Les Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, c’est à dire de l’int
ansons. Voici un autre trait dont le sens n’est pas impénétrable. Les
filles
de Piérus, roi de Thessalie, au nombre de neuf, c
l ? — Comment représente-t-on Apollon ? — De qui les Muses sont-elles
filles
? — Quels sont leurs noms ? — Quel est le séjour
les Muses échappèrent-elles à Pyrénée ? — Comment punirent-elles les
filles
de Piérus ? § 5. Diane. — Constellations.
iane. Naissance et attributs de Diane. Diane, sœur d’Apollon,
fille
de Jupiter et de Latone, témoin de la triste dest
engea ses propres injures contre la Nymphe Chioné et contre Laodamie,
fille
de Bellérophon, qui s’étaient vantées de la surpa
nom de Lucine ou d’Ilithyie, et la confondaient avec Junon ou avec sa
fille
. On lui donnait aussi le nom de Trivia, parce qu’
conter brièvement. Le Bélier. Phryxus et Hellé, l’un fils et l’autre
fille
d’Athamas, roi de Thèbes, menacés par les intrigu
prit la forme d’un taureau pour transporter en Grèce la belle Europe,
fille
d’Agénor, roi de Phénicie, qui devint mère de Min
seconde des femmes de Jupiter, et, selon d’autres, Astrée ou la Paix,
fille
de Thémis. — La Balance. Suivant la fable, cette
nymphes nourrices de Jupiter. — Les Hyades ou les Pluvieuses sont les
filles
d’Atlas, pleurant la mort d’Hyas leur frère. — Or
es histoires touchantes. Questionnaire. De qui Diane était-elle
fille
? — Cette déesse ne porte-t-elle pas différents n
s. Vengeances de Minerve. Cette déesse présidait à l’industrie,
fille
de l’intelligence ; elle excellait dans l’art de
le se montra jalouse de sa supériorité, et punit cruellement Arachné,
fille
d’Idmon, roi de Colophon, qui opposa ses ouvrages
Mercure. Mercure ou Hermès, fils de Jupiter et de Maïa, l’une des
filles
d’Atlas6, était le dieu de l’éloquence, du commer
Naissance de Vénus. Vénus est la déesse de la beauté. Elle est
fille
du Ciel et de la Mer. Voici comment : Lorsque Sat
eux avaient été appelés aux noces de Pélée, roi d’Égine, avec Thétis,
fille
de Nérée et de Doris. La Discorde seule n’avait p
rois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosyne, compagnes de Vénus, étaient
filles
de Jupiter et d’Eurynome. On les représente ornée
de la sculpture antique. Questionnaire De qui Vénus était-elle
fille
? — Quel est son cortége ? — Quel fut son époux ?
§ 1. Cybèle. Naissance, culte, images de Cybèle. Cybèle,
fille
d’Uranus et de Titéa, est la déesse de la terre.
Cérès. Naissance de Cérès. — Enlèvement de Proserpine. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, est la déesse de l’agric
et de Cybèle, est la déesse de l’agriculture. Elle eut de Jupiter une
fille
nommée Proserpine. Cérès parcourut la terre avec
Sicile. Pluton, sortant à l’improviste du sein de la terre, enleva la
fille
de Cérès, et l’emporta sur son char dans le ténéb
breux empire. Cérès était absente ; elle apprit bientôt le rapt de sa
fille
; mais personne ne put lui apprendre ni le nom, n
main, et parcourut la terre en demandant partout des nouvelles de sa
fille
. Voyages, bienfaits et vengeances de Cérès.
, Cérès revint en Sicile ; la nymphe Aréthuse lui apprit alors que sa
fille
était devenue l’épouse de Pluton. La déesse alla
uton. La déesse alla implorer l’assistance de Jupiter en faveur de sa
fille
. Le maître des dieux décida que Proserpine serait
biens furent engloutis dans son ventre, et il fut réduit à vendre sa
fille
Métra, qui, douée par Neptune du don de se transf
pine. Questionnaire, Qu’est-ce que Cérès ? — N’eût-elle pas une
fille
de son mariage avec Jupiter ? — Racontez-nous l’h
cchus. — Silène. Bacchus est fils de Jupiter et de Sémélé. Sémélé,
fille
de Cadmus, roi de Thèbes, mourut avant la naissan
ié par Apollon. Vengeances de Bacchus. — Penthée. — Lycurgue. —Les
filles
de Minée. Ce dieu, père de la joie, n’en était
vue pour avoir voulu arrêter la marche de ses prêtres. L’aventure des
filles
de Minée n’est pas moins tragique, et mérite d’êt
et mérite d’être racontée avec quelques détails. « Ces trois sœurs,
filles
d’un roi d’Orchomène, en Béotie, se nommaient Iri
rayés consultèrent l’oracle, qui leur ordonna de livrer au monstre la
fille
même de Laomédon, Hésione. Hésione, enchaînée à u
n à ce débat en donnant à son fils le titre de roi de Trézène et à sa
fille
celui de protectrice de la ville. Corinthe fut l’
eu des mers et le promontoire à son rival. Neptune épousa Amphitrite,
fille
de Nérée et de Doris, qui avait fait vœu de virgi
t-ce que les Consuales ? § 3. Nérée. Nérée, son origine, ses
filles
les Néréides. Nérée, fils de l’Océan et de Tét
de l’Océan et de Téthys, épousa Doris sa sœur, dont il eut cinquante
filles
, les Néréides, nymphes de la mer. On représente N
raite était dans la mer Égée, qui baigne les côtes de l’Attique ; ses
filles
l’environnaient et dansaient autour de lui. Nérée
pour échapper aux importunités de ceux qui venaient le consulter. Ses
filles
, remarquables par la grâce de leurs mouvements et
Qu’était-ce que Nérée ? — Quelle fut sa femme et quelles furent ses
filles
? — N’avait-il pas le don de lire dans l’avenir ?
rin, était fils de Neptune et père des Gorgones. Thoosa, l’une de ses
filles
, fut mère du cyclope Polyphème. On regardait Phor
me le père du dragon, gardien du jardin des Hespérides. Scylla est sa
fille
. Victime de la jalousie de Circé, elle se baigna
, nymphes célèbres par la douceur enchanteresse de leur voix, étaient
filles
du fleuve Achéloüs et de la muse Calliope. Elles
ont moins des divinités de la mer que des monstres marins. On les dit
filles
de Neptune et de la mer ; la plus célèbre d’entre
e après lui la pluie, la neige et les tempêtes. Aurore. Aurore,
fille
de Titan et de la Terre, et, selon quelques poëte
déesse ne consentait à s’unir à lui : c’est pour cela qu’il enleva la
fille
de Cérès, la belle et chaste Proserpine. Ce dieu
chirent le cœur des coupables. Les Parques. Les Parques étaient
filles
de l’Érèbe et de la Nuit, ou, suivant quelques po
s avec acharnement et finissait toujours par les atteindre. On la dit
fille
de Jupiter et de la Nécessité, ou de l’Érèbe et d
apithes, peuple habile à manier les chevaux. Apollon ayant outragé sa
fille
Coronis, qui devient mère d’Esculape, ce prince o
quitter la dette qu’il avait contractée avec lui en épousant Clia, sa
fille
. Comme ce crime ne pouvait s’expier sur la terre,
elles versent sans cesse une eau qui s’écoule toujours ? Ce sont les
filles
de, roi d’Argos. Elles étaient cinquante ; Égyptu
être son meurtrier, forcé de consentir à cette alliance, engagea ses
filles
à égorger leurs époux la nuit même de leurs noces
s attributions, recevait chez les Grecs le nom d’Éris. Hésiode la dit
fille
de la Nuit. Jupiter la chassa du Ciel ; elle acco
le rentre et sort, en cent parts divisé. [La Fontaine] La Vérité est
fille
du Temps et mère de la Vertu. On la représente so
t part à l’expédition des Argonautes et délivra, en passant, Hésione,
fille
de Laomédon ; mais, arrivé en Mysie, il s’arrêta
ieuses ; les faiblesses s’y mêlent aux exploits. Il dispute Déjanire,
fille
d’Œnée, au fleuve Achéloüs. Après avoir vaincu ce
bientôt à Déjanire l’occasion de s’en servir. Hercule s’éprit d’Iole,
fille
d’Eurytus, qui lui avait enseigné à manier l’arc.
rytus, qui lui avait enseigné à manier l’arc. Eurytus avait promis sa
fille
à celui qui pourrait le vaincre dans un combat si
travers les airs. Sur les côtes de l’Éthiopie, il aperçut Andromède,
fille
de Céphée, attachée à un rocher, et près de deven
persuadé par ces marques de l’innocence de Bellérophon, lui donna sa
fille
et partagea son royaume avec lui. On a dit que Be
quit à Trézène ; il était fils d’Égée, roi des Athéniens, et d’Éthra,
fille
du roi de Trézène. Il fut élevé à la cour du sage
tre le monstre et de délivrer sa patrie de ce honteux tribut. Ariane,
fille
de Minos, touchée de ses dangers, lui donna un fi
eur du Minotaure. Thésée, après sa victoire, emmena avec lui les deux
filles
du roi, Ariane et Phèdre ; il abandonna la premiè
n tribut qu’ils payaient aux Crétois ? — Thésée n’enleva-t-il pas les
filles
de Minos ? — Retrouva-t-il son père à son retour
on accepta ces dures conditions, et les remplit avec l’aide de Médée,
fille
du roi et magicienne puissante, qu’il promit d’ép
ndre son trône. Médée, pour se venger de cette trahison, persuada aux
filles
de l’usurpateur qu’elle pourrait rajeunir leur pè
rajeunir leur père, comme elle avait rajeuni Éson, père de Jason. Ces
filles
trop crédules dépecèrent le vieillard, dont les m
dée à s’enfuir de Corinthe. Là, l’inconstant Jason s’éprit de Créuse,
fille
du roi Créon. Médée essaya inutilement de rompre
ynice. Celui-ci alla implorer Adraste, roi d’Argos, qui lui promit sa
fille
en mariage, et arma en sa faveur une puissante ar
’enlèvement d’Hélène fut la cause de la guerre de Troie. Hélène était
fille
de Jupiter et de Léda, sœur de Clytemnestre, de C
e alla tirer de sa retraite Achille, que Thétis avait caché parmi les
filles
de Lycomède, roi de Scyros, pour prévenir l’accom
art de la flotte assemblée à Aulis au prix de la mort d’Iphigénie, sa
fille
, qui fut ou dut être immolée sur les autels de Di
mnon se divisèrent. Chrysès, prêtre d’Apollon, était venu réclamer sa
fille
Chryséis, esclave d’Agamemnon. Celui-ci, forcé de
s désordres de Clytemnestre et d’Égisthe, fils de Thyeste. Cassandre,
fille
de Priam, prophétesse infortunée dont la voix éta
ser à Pylade, son ami, Électre, sa sœur, et prit pour femme Hermione,
fille
d’Hélène et de Ménélas. Sa vie fut longue et son
nt les pierres couvertes de givre, un être vivant, Bor, qui épousa la
fille
d’un géant et qui en eut trois fils : Odin, Vili
xtérieure, ses vices l’ont dégradé, et il aime le mal pour le mal. La
fille
d’un géant lui a donné pour progéniture le serpen
’honneur de son époux Mausole, roi de Carie. 5. Les Gorgones étaient
filles
de Phorcus et de Céto, divinités de la mer. Le hé
femme de Saturne et mère de Jupiter, le plus grand des dieux. Cybèle,
fille
d’Uranus et de Tellus, fut, comme celle-ci, déess
on, à Neptune et à Pluton. Si l’on en croit Diodore, Cybèle était une
fille
de Ménos, roi de Phrygie. Ayant été exposée, à sa
urnom de Prisca (l’ancienne), pour ne pas la confondre avec Vesta, sa
fille
, déesse du feu et de la chasteté. Ce fut Enée qui
ses prêtres ? 15. Comment représente-t-on Cybèle ? 16. Quelle fut la
fille
de Cybèle, dont elle porte quelquefois le nom ? Q
ayé appelle à son secours tous les dieux et toutes les déesses. Styx,
fille
de l’Océan et de Téthys, arriva la première, et,
de ces mariages sont d’ingénieuses allégories. Ainsi, les Muses sont
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, c’est-à-dire que les
unon. 28. Naissance, mariage, vengeance de Junon. Junon était
fille
de Saturne et de Cybèle. Quoi qu’elle fût la sœur
ousie ; il geignit de vouloir épouser une jeune nymphe nommée Platée,
fille
du fleuve Asope. Cet artifice réussit : Junon rev
aissances sous celui de Lucine, quoique ce nom soit aussi celui de sa
fille
. On la représente assise sur un trône, la tête ce
nte et sa messagère. Questionnaire. 28. De qui Junon était-elle
fille
? Qui épousa-t-elle ? Que se passa-t-il de remarq
r exploit de Minerve. Minerve, appelée par les Grecs Athéna, était
fille
de Jupiter. Ce dieu ayant épousé Métis, déesse de
9. Elle excellait à filer, à tisser et à broder les étoffes. Arachné,
fille
d’Idmon, roi de Colophon, ayant osé rivaliser ave
? Chapitre VII. Apollon. 34. Naissance d’Apollon. Latone,
fille
de Céus, un des Titans, et de Phébé, était aimée
te, se réfugia dans les bras du fleuve Pénée, son père. Enfin Clytie,
fille
de l’Océan et de Téthys, mourut de douleur d’avoi
titre il préside l’assemblée des Muses, ses compagnes ordinaires. Ces
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, c’est-à-dire de l’int
rs de justes mouvements. De l’esprit d’Apollon une vive étincelle Des
filles
de mémoire anime les concerts ; Et, chef
quelquefois les muses Piérides ; voici l’origine de ce nom : Les neuf
filles
de Piérus, roi de Macédoine, fières de leur nombr
gures du même dieu. Questionnaire. 34. De qui Latone était-elle
fille
? Pourquoi Junon la haïssait-elle ? Quels furent
souvenir rappelle cette fable ? 37. De qui les neuf Muses sont-elles
filles
? Quels sont leurs noms et leurs attributs ? Quel
issance de Diane ; ses emplois divers. Diane était, comme Apollon,
fille
de Jupiter et de Latone. La triste destinée de sa
rit la forme de cet animal pour transporter en Crète la belle Europe,
fille
d’Agénor, roi de Phénicie. Cette princesse donna
t seconde femme de Jupiter ; selon d’autres, c’est Astrée ou la Paix,
fille
de Thémis. D’autres, enfin, disent que c’est Erig
phitrite à Neptune. Questionnaire. 59. De qui Diane était-elle
fille
? Quels emplois lui donna son père ? Quels sont s
attributs de Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, une des
filles
d’Atlas, naquit sur le mont Cyllène, en Arcadie.
une armée entière chargeant ennemi. Plus tard, Mars voulant venger sa
fille
Alcippe, enlevée par Allyrothius, fils de Neptune
s Grecs Aphrodite, c’est-à-dire, née de l’écume. En effet, elle était
fille
de la Mer et du Ciel. On raconte ainsi sa naissan
ea en anémone. 52. Jugement de Pâris. Lorsque la déesse Thétis,
fille
de Nérée et de Doris, épousa Pélée, roi de Phthie
rois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosine, compagnes de Vénus, étaient
filles
de Jupiter et d’Eurynome28. Elles sont ordinairem
furent les suites ? 53. Nommez les trois Grâces. De qui étaient-elles
filles
? Comment les représente-t-on ? Qu’est-ce que Cup
Chapitre XII. Cérès. 55. Naissance de Cérès ; enlèvement de sa
fille
Proserpine. Cérès, fille de Saturne et de Cybè
55. Naissance de Cérès ; enlèvement de sa fille Proserpine. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, était la déesse de l’agr
d’ensemencer les champs et de faire du pain. Cérès eut de Jupiter une
fille
appelée Proserpine. Un jour que celle-ci jouait a
le triste séjour, sortant tout à coup du sein de la terre, enleva la
fille
de Cérès et la transporta dans son ténébreux empi
personne ne peut lui révéler le nom ni la retraite du ravisseur de sa
fille
. 56. Voyages de Cérès cherchant sa fille ; Plu
traite du ravisseur de sa fille. 56. Voyages de Cérès cherchant sa
fille
; Plutus, fils de Cérès. Dans son désespoir, a
a terre, et la nuit et le jour, demandant partout des nouvelles de sa
fille
chérie. Arrivée dans l’Attique, elle s’arrêta che
de la fontaine de Cyané. Là elle apprit de la nymphe Aréthuse que sa
fille
était devenue l’épouse de Pluton. Aussitôt elle m
nte. Lorsqu’il eut épuisé ses trésors pour satisfaire sa voracité, sa
fille
, Métra ; le soutint encore longtemps. Elle avait
un flambeau, en mémoire des voyages qu’elle fit à la recherche de sa
fille
. Questionnaire. 55. Qu’est-ce que Cérès ? Q
a fille. Questionnaire. 55. Qu’est-ce que Cérès ? Quelle fut sa
fille
? Racontez l’enlèvement de Proserpine. 56. Quels
enlèvement de Proserpine. 56. Quels pays parcourut Cérès cherchant sa
fille
? Par qui et comment fut-elle accueillie ? Commen
Bacchus. Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé,
fille
de Cadmus, roi de Thèbes. Cette princesse fut vic
té ignorante. 61. Vengeances de Bacchus ; Penthée ; Lycurgue ; les
filles
de Minée. Les traits suivants de la vie de Bac
ndre une loi qu’il croyait salutaire. On connaît enfin l’histoire des
filles
de Minée, si bien racontée par La Fontaine, après
Quel acte de vengeance exerça Bacchus contre Penthée, Lycurgue et les
filles
de Minée ? 62. Comment s’appelaient les fêtes de
ux divinités s’unirent à leur tour et donnèrent naissance à cinquante
filles
, appelées Néréides, et révérées aussi comme Nymph
ns la mer Egée, qui baigne les côtes de la Grèce, et pour cortége ses
filles
, dansant en chœur autour de lui. Nérée avait le p
rrogèrent l’oracle, qui leur ordonna de livrer au monstre Hésione, la
fille
même de Laomédon. L’infortunée princesse, enchaîn
Parmi les nombreuses épouses qu’eut Neptune, on distingue Amphitrite,
fille
de Nérée et de Doris. Elle avait fait vœu de virg
édon ? Comment finit ce prince parjure ? Quelle fut la destinée de sa
fille
Hésione ? 74. Quels différends eut Neptune avec M
, Nymphes célèbres par la douceur enchanteresse de leur voix, étaient
filles
du fleuve Achéloüs et de la muse Calliope. On en
80. Les Harpies. — Eole et les Vents. Les Harpies, que l’on dit
filles
de Neptune et de la Mer, étaient des monstres mar
de fleurs et portant des ailes de papillon. 81. Aurore. Aurore,
fille
de Titan et de la Terre, était, selon quelques au
ents ? Comment représente-t-on Zéphire ? 81. De qui Aurore était-elle
fille
? Racontez l’histoire de Tithon. Faites connaître
habiter. Il crut devoir recourir à la force, et il enleva Proserpine,
fille
de Cérès (n° 53). Pluton était généralement haï e
ment de Rhadamanthe. 85. Les Furies. — Les Parques. Les Furies,
filles
de l’Achéron et de la Nuit, étaient au nombre de
Les Parques, au nombre de trois, Clotho, Lachésis et Atropos, étaient
filles
de l’Erèbe et de la Nuit, d’autres disent de Jupi
ent privés. 87. Némésis. Némésis, déesse de la vengeance, était
fille
de Jupiter et de la Nécessité, d’autres disent de
des Lapithes, peuple de la Thessalie, habile à manier les chevaux. Sa
fille
Coronis, ayant été enlevée par Apollon, devint mè
u temple de Delphes, et y mit le feu, pour venger l’outrage fait à sa
fille
. Mais Apollon irrité le tua à coups de flèches, e
froi. Ixion, fils de Phlégyas, succéda à son père. Ayant épousé Clia,
fille
d’un prince voisin nommé Dionée, non-seulement il
as à cet horrible mets. Cérès seule, préoccupée de l’enlèvement de sa
fille
, se laissa tromper, et mangea une épaule de l’enf
lieu de ses trésors42 [Desmarets] Danaüs, roi d’Argos, eut cinquante
filles
, appelées de son nom Danaïdes. Egyptus, roi d’Egy
t aussi cinquante fils, pour lesquels il vint demander en mariage les
filles
de Danaüs. Le roi d’Argos consentit à regret à ce
oracle qu’il serait tué par un de ses gendres. Alors il exigea de ses
filles
qu’elles égorgeassent leurs époux la nuit même de
s ces divinités allégoriques45, voici les principales : La Vérité est
fille
de Saturne ou du Temps, et mère de la Vertu. On l
ée la Fable et la Vérité. 94. La Vertu. — ‘L’Honneur. La Vertu,
fille
de la Vérité, occupe avec elle le premier rang pa
frait des sacrifies, particulièrement chez les Athéniens. A Rome, une
fille
généreuse ayant prolongé les jours de son père, c
, qui prend le nom de Pitié filiale. Les Prières, selon Homère, sont
filles
de Jupiter. Boiteuses, timides, elles marchent le
ères, mon fils, devant vous éplorées, Du souverain des dieux sont les
filles
sacrées. Humbles, le front baissé, les yeux baign
e loin. A ses pieds était un chien, symbole de la fidélité. La Force,
fille
de Thémis et de la Tempérance, est représentée so
’Harpocrate, et représenté avec un doigt sur les lèvres. La Victoire,
fille
du Styx et du géant Pallas, est représentée avec
e lui. Ces attributs sont expressifs et faciles à saisir. La Paresse,
fille
du Sommeil et de la Nuit, fut métamorphosée en to
’autre main un sablier renversé, symbole du temps perdu. La Pauvreté,
fille
du Luxe et de l’Oisiveté ou de la Paresse, est or
champ moissonné. 102. La Discorde. — Bellone. La Discorde était
fille
de la Nuit et sœur de Némésis, des Parques et de
par un oracle qu’il périrait de la main de son petit-fils, enferma sa
fille
dans une tour d’airain. Mais Jupiter s’introduisi
nom d’Atlas. De là le héros arrive en Ethiopie, et trouve Andromède,
fille
de Céphée, exposée sur un rocher, pour être la pr
un monstre marin, parce que Cassiopée, sa mère, avait osé dire que sa
fille
était plus belle que les Néréides. Persée, touché
n et de la protection que les dieux lui accordaient ; il lui donna sa
fille
en mariage avec la moitié de ses Etats, et le nom
ur les besoins de l’équipage. En passant à Troie, il délivra Hésione,
fille
de Laomédon, condamnée à être la proie d’un monst
le, comme Jupiter, eut pluieurs femmes. Le plus célèbre est Déjanire,
fille
d’Œnée, roi d’Etolie. Pour l’obtenir, il eut à la
l devenait infidèle. L’occasion ne tarda pas. Hercule s’éprit d’Iole,
fille
d’Eurytus, qui lui avait appris à tirer de l’arc.
lui avait appris à tirer de l’arc. Eurytus avait promis la main de sa
fille
à celui qui le vaincrait dans cet art. Mais n’aya
ouvantait le rivage : Plus barbare pour moi qu’Eurysthée et Junon, O
fille
d’Œneus, quelle est ta trahison ! Et quels sont l
sée. Thésée était fils d’Egée, neuvième roi d’Athènes, et d’Ethra,
fille
du sage Pitthée, roi de Trézène, à la cour duquel
ls de Neptune, parce que Pitthée voulant cacher l’union secrète de sa
fille
avec Egée, publia, lorsqu’elle était enceinte, qu
e fois, se met au nombre des victimes, et part pour la Crète. Ariane,
fille
de Minos, éprise de la beauté et du courage du je
ès cette victoire, Thésée quitte la Crète, emmenant avec lui les deux
filles
du roi, Ariane et Phèdre. Mais, par une odieuse i
riompha-t-il-du Minotaure ? Quelle fut sa conduite à l’égard des deux
filles
de Minos ? Comment fut-il cause de la mort de son
dition. Athamas, roi de Thèbes, avait eu de Néphélé un fils et une
fille
, Phryxus et Hellé. Mais ayant ensuite épousé Ino,
n fils et une fille, Phryxus et Hellé. Mais ayant ensuite épousé Ino,
fille
de Cadmus, celle-ci persuada par jalousie à son m
roi du pays et parent de Phryxus, le reçut avec joie et lui donna sa
fille
en mariage. Mais bientôt il le fit périr pour s’e
elles, restèrent deux ans dans ce pays. Jason épousa même Hypsipyle,
fille
du roi ; mais il l’abandonna afin de poursuivre s
les conditions, comptant sur son courage et sur le secours de Médée,
fille
du roi, et magicienne puissante. Il était aimé d’
différait toujours, Médée qui déjà avait rajeuni Eson, détermina les
filles
de Pélias à donner la mort à leur père, leur prom
renaître plein de vigueur. Le vieillard périt ainsi des mains de ses
filles
. Après ce crime, Jason, ayant horreur de Médée, l
iers rois. Agénor, roi de Phénicie, avait un fils nommé Cadmus et une
fille
appelée Europe. Cette jeune princesse, folâtrant
avoir perdu et recouvré deux fois sa couronne, Laïus épousa Jocaste,
fille
de Ménécée. Les plus affreux malheurs étaient rés
us aimer, voilà mon héritage. (Le même.) Enfin Œdipe arrive avec sa
fille
au bourg de Colone, situé près d’Athènes. L’oracl
ice implore le secours d’Adraste, roi d’Argos, qui lui avait donné sa
fille
en mariage et qui lui fournit une puissante armée
nt affliger Thèbes ? Racontez les malheurs d’Œdipe ; sa fuite avec sa
fille
Antigone ; sa mort au bourg de Colone, près d’Ath
de Priam, Hercule avait saccagé la ville de Troie et enlevé Hésione,
fille
du roi. Priam lui-même avait été emmené en Grèce
nélas. Telle fut la cause d’une guerre qui dura dix ans. Hélène était
fille
de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de S
périrait au siége de Troie. Ulysse, déguisé en marchand, présenta aux
filles
de Lycomède des bijoux, parmi lesquels se trouvai
éralissime, mais il faut qu’il paie cet honneur au prix du sang de sa
fille
, Iphigénie, qu’il est forcé d’immoler pour obteni
uissance vaine, Si, dans un sacrifice auguste et solennel, Une
fille
du sang d’Hélène, De Diane en ces lieux n’ensangl
artage du butin, qui était, comme on le sait, tiré au sort, Chryséis,
fille
d’un prêtre d’Apollon, était échue à Agamemnon. C
râce aux larmes du vieillard. Bientôt, épris des charmes de Polyxène,
fille
de Priam, il obtient sa main ; mais tandis qu’il
et reçoit la mort de la main de Clytemnestre, son épouse. Cassandre,
fille
de Priam, devenue l’esclave d’Agamemnon, lui avai
venu en Grèce ? Pourquoi Pâris enleva-t-il Hélène ? De qui était-elle
fille
? Quelle promesse Tyndare, son père, avait-il exi
açons, produisit un être vivant nommé Bor. Celui-ci épousa Belsta, la
fille
d’un géant, et en eut trois fils, Odin, Vili et V
et des rois. À la tête des douze grandes déesses est Frigga ou Frya,
fille
de Niord et épouse d’Odin. Comme emblème de la te
le, et ôps, œil, vue. 8. D’après quelques poêtes, les Furies étaient
filles
de la Discorde ; selon d’autres, de la Nuit et de
es Ténèbres ; Epiménide les suppose sœurs de Vénus et des Parques, et
filles
de Saturne et d’Evonyme. En général, il ne faut p
emières familles de Rome. A cette époque la difficulté de trouver des
filles
nobles pour exercer ce sacerdoce fit proposer d’y
filles nobles pour exercer ce sacerdoce fit proposer d’y admettre des
filles
d’affranchis. « C’est la gloire du christianisme,
é couverte de la peau de la chèvre Amalthée. 18. Ces trois Gorgones,
filles
de Phorcus et de Ceto, étaient Sthéno, Euryale et
; la pensée, qui produit les arts et les sciences, est naturellement
fille
de la Réflexion, ou de Métis. 20. Du mot grec pa
, fait naître Vénus de Jupiter et de Dioné. 28. D’autres les disent
filles
de Jupiter et de Junon, ou de Bacchus et de Vénus
ne faut pas la confondre avec Thétis, mère d’Achille. Celle-ci était
fille
de Nérée et de Doris, et petite-fille de la premi
Hippolytæ ; sordes ; Iber ; Hesperis ; orcus. 55. Les Hespèrides,
filles
d’Hespérus, étaient trois nymphes auxquelles étai
’on vit une biche qui fut immolée à sa place ; d’autres disent qu’une
fille
d’Hélène et de Thésée, nommée Eriphyle, s’immola
de Thésée, nommée Eriphyle, s’immola sur l’autel où devait mourir la
fille
d’Agamemnon. C’est cette tradition que Racine a a
t ses fils aussitôt qu’ils venaient au monde. Cependant sa femme Rhéa
fille
d’Uranus et de Titéa, en déroba plusieurs à sa vo
de Saturne et de Diane, souillés de sang humain. Junon. Junon,
fille
de Saturne et de Rhéa, épousa Jupiter et devint l
e Jupiter, obtint en partage l’empire des mers. Il épousa Amphitrite,
fille
de Nérée et de Doris, dont il eut, entre autres e
us, vent du sud ; Zéphyre, vent de l’ouest. [Fig. 34] Les Sirènes,
filles
d’Achéloüs et de Calliope, célèbres par la douceu
inités de la mer, on mettait aussi les Nymphes, dont les unes étaient
filles
de l’Océan et de Téthys ; les autres, filles de N
s, dont les unes étaient filles de l’Océan et de Téthys ; les autres,
filles
de Nérée et de Doris. Sous le nom d’Océanides ou
urir à la violence pour se procurer une épouse. Il enleva Proserpine,
fille
de Jupiter et de Cérès, un jour que cette nymphe
ds qui déchirent presque toujours le cœur des coupables. [Fig. 42]
Filles
de l’Erèbe et de la Nuit, les Parques présidaient
la Nuit, la Mort, le Sommeil, les Songes et les Dieux Mânes. La Nuit,
fille
du Chaos, dormait assise sur un char, et couverte
aque fois qu’il voulait y porter la main [Fig. 47] ; et les cinquante
filles
de Danaüs, condamnées à porter éternellement des
Fig. 48]. [Fig. 46] [Fig. 47] [Fig. 48] Cérès. Cérès,
fille
de Saturne, était la bienfaitrice du genre humain
ux hommes l’art d’ensemencer la terre. Inconsolable de la perte de sa
fille
Proserpine, que lui avait enlevée Pluton, elle al
. Aussitôt elle alla implorer l’assistance de Jupiter en faveur de sa
fille
. Le maître des dieux décida que Proserpine serait
aisé de distinguer. Femme d’Uranus, Vesta était la même que Tellus ;
fille
d’Uranus et de Tellus et femme de Saturne, elle é
par des lions, la tête couronnée de créneaux [Fig. 50]. Enfin, comme
fille
de Saturne et de Rhéa, et c’est la plus connue, e
qui la fit surnommer Aphrodite 20. Selon quelques poètes, elle était
fille
de Jupiter et de Dioné, une des nymphes de l’Océa
atone. La Terre avait promis à Junon de ne donner aucun asile à cette
fille
du Titan Cœus ; mais Neptune, touché de compassio
de l’artifice de Junon. Cette déesse s’était introduite auprès de la
fille
de Cadmus, sous la figure de Béroé, sa nourrice,
Fig. 67] Divinités du second ordre Les Muses. Les Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne28, présidaient aux sci
n les appelait quelquefois Piérides, à cause de leur victoire sur les
filles
de Piérus. (V. Métamorphoses.) Quoique la Fable l
agneau était le prix du plus agile. Thémis et Astrée. Thémis,
fille
du Ciel et de la Terre, présidait à la justice. O
a main et un bandeau sur les yeux [Fig. 78]. [Fig. 78] Astrée, sa
fille
, descendit du ciel, dans l’âge d’or, pour habiter
stice, on la confondait souvent avec Thémis. Némésis. Némésis,
fille
de Jupiter et de la Nécessité, était la déesse de
leuvre et un poignard [Fig. 82]. [Fig. 82] L’Envie. L’Envie,
fille
de la Nuit, habitait, au fond d’une vallée, une c
dure présage la récolte des fruits. La Force. La Force était la
fille
de Thémis. On la représentait sous les traits d’u
blé, un flambeau renversé. [Fig. 86] Les Heures. Les Heures,
filles
de Jupiter et de Thémis, étaient chargées d’ouvri
ville d’Œchalie, pour se venger du roi Euryte qui lui avait promis sa
fille
Iole en mariage, et la lui avait ensuite refusée.
. Thésée. Thésée était fils d’Égée, roi d’Athènes, et d’Éthra,
fille
du roi de Trézène. Il fut élevé à la cour du sage
était enfermé, à l’aide du peloton de fil que lui avait donné Ariane,
fille
de Minos. Après la mort de son père, il régna sur
sée. Acrisius, roi d’Argos, avait appris de l’oracle que Danaé, sa
fille
, mettrait au monde un fils qui lui ravirait la co
tlas en montagne, en lui présentant cette tête. Il délivra Andromède,
fille
du roi d’Éthiopie, qui était exposée sur un roche
ux, etc. Arrivé en Colchide, Jason parvint à se faire aimer de Médée,
fille
du roi et habile magicienne ; avec son secours, i
dée feignit d’avoir un secret pour rajeunir ce prince, et engagea ses
filles
à tuer leur père et à faire bouillir ses membres
Médée à s’enfuir à Corinthe. Là, Jason conçut de l’amour pour Creüse,
fille
du roi Créon. Médée, pour se venger, fit périr sa
tirer vengeance d’un homme qui avait voulu attenter à l’honneur de sa
fille
. De là le proverbe : Prenez garde de porter une l
é de reconnaître en lui un mortel aimé des dieux, Iobate lui donna sa
fille
Philonoé en mariage, et partagea son royaume avec
t épousa Jocaste, dont il eut deux fils, Étéocle et Polynice, et deux
filles
, Antigone et Ismène. Quelques années après, le ro
les yeux, et s’exila de Thèbes. Il alla dans l’Attique avec sa pieuse
fille
Antigone, qui lui servait de guide, et s’arrêta p
plorer le secours d’Adraste, roi d’Argos, qui lui donna en mariage sa
fille
Argie, et organisa en sa faveur une puissante arm
. Cérès seule, absorbée par la douleur que lui causait la perte de sa
fille
, porta la main à cet exécrable mets et en mangea
cour du roi Œnomaüs, qui le reçut favorablement, et dont il épousa la
fille
, Hippodamie. Après la mort d’Œnomaüs, il devint r
eux héros, les Grecs partirent. Leur départ coûta la vie à Iphigénie,
fille
d’Agamemnon, que Chalcas, prêtre et devin des Gre
depuis peu de temps, comme nous l’avons dit plus haut, avec Pénélope,
fille
d’Icarius et de Péribée, lorsque l’enlèvement d’H
en mer, il fut poussé par les vents sur l’île d’Æa, où régnait Circé,
fille
du Soleil, fameuse magicienne. Ulysse, que ses ma
. 106] Apollon et Daphné. Apollon aimait Daphné, jeune nymphe,
fille
du fleuve Pénée, et n’en était point aimé. Un jou
Fig. 107] Pan et Syrinx. Il y avait dans l’Arcadie une naïade,
fille
du fleuve Ladon, nommée Syrinx. Elle était d’une
plaire à ce dieu en lui découvrant l’infidélité de la belle Coronis,
fille
de Phlégias. Apollon, dans le premier mouvement d
ure le métamorphosa en pierre de touche. La nymphe Écho. Écho,
fille
de l’Air et de la Terre, nymphe de la suite de Ju
. 111] Philomèle et Progné. Pandion, roi d’Athènes, avait deux
filles
, Progné et Philomèle. Il était en guerre avec les
’il fit fermer les portes de son palais, et voulut faire violence aux
filles
de Jupiter et de Mnémosyne. Alors les Muses, ayan
. Les Piérides et les Muses. Piérus, roi d’Émathie, avait neuf
filles
, qui se prétendaient supérieures aux sœurs d’Apol
hes de la contrée, choisies pour arbitres, prononcèrent en faveur des
filles
de Mnémosyne. Les Piérides, piquées de ce jugemen
prissent le nom de leurs rivales. Stellio. Cérès, cherchant sa
fille
Proserpine que Pluton avait enlevée, se trouva un
bouillie, et le rieur fut changé en lézard. Arachné. Arachné,
fille
d’Idmon, de la ville de Colophon, brodait avec ta
ils de Déion, roi de la Phocide, et de Dioméda, avait épousé Procris,
fille
d’Érecthée, roi d’Athènes. Il fut aimé de l’Auror
pourpre que ce prince portait parmi ses cheveux blancs46. Scylla, sa
fille
, coupa le cheveu de Nisus pendant qu’il dormait,
de Scylla, et, tout en profitant de la trahison, il défendit à cette
fille
dénaturée de jamais paraître devant lui. Scylla,
mme sa plus mortelle ennemie. Atalante et Hippomène. Atalante,
fille
de Schœnée, était si légère à la course, qu’elle
derniers adieux. [Fig. 115] Leucothoé et Clytie. Leucothoé,
fille
d’Orchame, roi d’Assyrie, et d’Eurynome, fut aimé
hée et Aréthuse. Après avoir en vain cherché par toute la terre sa
fille
Proserpine, Cérès était retenue en Sicile. Un jou
sente à Cérès que la terre n’est point coupable de l’enlèvement de sa
fille
, mais qu’elle s’est ouverte, malgré elle, pour do
avec lui dans les Enfers. Cérès, comme on l’a vu, alla redemander sa
fille
à Jupiter, et obtint, par l’entremise de ce dieu,
oir longtemps coulé sous la mer. » [Fig. 116] Niobé. Niobé,
fille
de Tantale, épousa Amphion, dont elle eut sept fi
bé, fille de Tantale, épousa Amphion, dont elle eut sept fils et sept
filles
. Fière de ses quatorze enfants, elle méprisa Lato
le entière de Niobé. Les fils tombèrent sous les coups d’Apollon, les
filles
sous ceux de Diane. La malheureuse Niobé quitta l
n punit par une faim horrible que rien ne pouvait assouvir. Métra, sa
fille
, que Neptune avait aimée, obtint de ce dieu le do
consumé tout son bien pour satisfaire sa faim, vendait sans cesse sa
fille
, qui sans cesse échappait à l’acheteur en prenant
il fut réduit à dévorer ses propres membres47. Dryope. Dryope,
fille
d’Eurytus roi d’Œchalie, se promenait un jour prè
bien et du mal et encourt la disgrâce de Dieu. 28. Les Muses étaient
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, c’est-à-dire de Dieu,
lieu entre les petits rois de l’Argolide. 31. Les Hespérides étaient
filles
d’Hespérus, frère d’Atlas, et possédaient un beau
Nue. 34. Méduse, une des Gorgones. Ces Gorgones étaient trois sœurs,
filles
du dieu marin Phorcus et de Céto, qui habitaient
multitude de lions et d’autres bêtes féroces. 38. On prétend qu’une
fille
de Laïus, nommée Sphinge, a fait imaginer la fabl
ui avait appris de l’oracle qu’il serait mis à mort par un fils de sa
fille
. Le fils de Jupiter et de Danaé fut le héros célè
rs exploits, et par leurs aventures guerrières et amoureuses. Europe,
fille
d’Agénor, roi de Phénicie, était extrêmement bell
fendre de l’aimer, et résolut de l’enlever d’entre ses compagnes. La
fille
d’Agénor, au matin de ses ans, Occupait ses loisi
esse et le flatte. Il se laisse enchaîner de guirlandes de fleurs. La
fille
d’Agénor a perdu ses frayeurs ; Elle ose, elle os
’approche du bord : Tout-à-coup à la nage il fend la mer profonde. La
fille
d’Agénor tremble, et du sein de l’onde Regarde le
lui donna lieu de montrer sa persévérance dans sa haine. La jeune Io,
fille
du fleuve Inachus, ayant cédé aux desirs amoureux
rnel, et ses cent yeux sont plus que jamais attentifs à surveiller la
fille
d’Inachus. Cependant Jupiter ordonne à Mercure de
er des jeux en l’honneur de la déesse. Ces jeux consistent à voir les
filles
disputer le prix de la course entre elles. Pour c
ait quelquefois les messages des autres dieux. Iris. Elle était
fille
de Thaumas et d’Électre, fille de l’Océan. Sa pri
s autres dieux. Iris. Elle était fille de Thaumas et d’Électre,
fille
de l’Océan. Sa principale fonction était de dégag
ie que Zéphyre la porta dans cette île. Les Saisons, jeunes divinités
filles
de Jupiter et de Thémis, l’attendaient sur le riv
ienfaisantes, jeunes, riantes, et parfaitement belles : elles étaient
filles
de Jupiter et d’Harmonie ; leurs noms étaient Agl
s sont vierges, et tu en fais des prostituées. Lorsque ces aimables
filles
de Jupiter accompagnaient la déesse de la beauté,
les effets de la flamme qu’il allume dans les cœurs. La jeune Psyché,
fille
d’un roi de la Grèce, brillait de tout l’éclat de
distinguer Latone ; elle était extrêmement belle. Cette déesse était
fille
d’un de ces Titans qui firent à Jupiter une guerr
llon Pythien ; telle est aussi celle de l’Apollon du Belveder. Niobé,
fille
de Tantale, roi de Lydie, avait sept fils et sept
veder. Niobé, fille de Tantale, roi de Lydie, avait sept fils et sept
filles
, qui lui inspirèrent tant d’orgueil qu’elle osa m
fait naître l’amour le plus vif et le plus délicat. Il blesse Daphné,
fille
du fleuve Pénée, avec le premier de ces traits, e
Le Pénée entendit sa voix : La voilà madame du bois. Clytie, nymphe,
fille
de l’Océan et de Thétys, fut aimée d’Apollon ; el
it du plus tendre retour, lorsque ce dieu l’abandonna pour Leucothoé,
fille
d’Orchame, roi de Perse. Clytie, pour se venger d
lytie, pour se venger de sa rivale, découvrit à Orchame l’amour de sa
fille
pour Apollon. Dès-lors ce dieu ne la regarda plus
ts édifices qui le décorent s’écrouleraient devant eux. Coronis était
fille
de Phlégyas, roi de Béotie ; A la constance près
lieu pour l’entendre, et le desiraient pour époux. La seule Eurydice,
fille
de Nérée et de Doris, dont la modestie égalait la
ait précéder de l’Aurore, une des plus aimables des jeunes divinités,
fille
de Titan et de la Terre. La douce clarté qu’amène
a tendresse fut Tithon, fils de Laomédon, roi de Troie, et de Strymo,
fille
du Scamandre. L’Aurore l’ayant vu un jour à la ch
on épais où elle était cachée. O triste jalousie ! ô passion amère !
Fille
du fol amour, que l’erreur a pour mère ! Ce qu’on
u dieu qui dirigeait le flambeau du jour. Diane, comme Apollon, était
fille
de Latone et de Jupiter ; elle naquit quelques mo
le, profane ; et vante-toi, si tu le peux, d’avoir vu dans le bain la
fille
de Jupiter. » A peine a-t-elle prononcé ces parol
iane donna plusieurs autres preuves de son extrême sévérité. Calisto,
fille
de Lycaon, était une des compagnes favorites de c
e que Diane était tout aussi jalouse de sa beauté que de sa vertu. La
fille
de Dédalion ayant osé se croire plus belle que ce
de Diane, tous les étrangers que la tempête y avait jetés. Iphigénie,
fille
d’Agamemnon, après avoir échappé au couteau sacré
es. Mercure. Il était fils de Jupiter et de Maïa, l’une des sept
filles
d’Atlas, connues sous le nom d’Atlantides. Le jou
ire de tristes tissus. Méduse. Les Gorgones étaient trois sœurs,
filles
de Phocrys, dieu marin, et de Céto, fille de la T
gones étaient trois sœurs, filles de Phocrys, dieu marin, et de Céto,
fille
de la Terre. Méduse, l’une d’entre elles, avait d
e déesse. Jupiter, charmé de voir les Rhodiens élever des autels à sa
fille
, fit tomber sur leur île une pluie d’or. Les Athé
s fut aussi le père de Rémus et de Romulus, qu’il eut de Rhéa-Silvia,
fille
de Numitor. Les Romains, presque toujours en guer
nysius. Il était fils de Jupiter et de Sémélé ; cette princesse était
fille
de Cadmus, et par conséquent nièce d’Europe que J
t les Orgies, Jupiter, à la prière de ce dieu, le rendit aveugle. Les
filles
de Minée, après avoir travaillé un jour de fête c
appelée de son nom. Bacchus aima avec tendresse la jeune Érigone,
fille
d’Icarius, et sœur de Pénélope. Modèle de piété f
vaincre sa douleur, elle se donna la mort. Les dieux placèrent cette
fille
si pieuse parmi les astres, où elle forme la cons
la Vierge, un des signes du zodiaque. Bacchus épousa la belle Ariane,
fille
de Minos, roi de Crète, après que Thésée l’eut ab
r ce noble sentiment. Cérès, déesse des fruits et des moissons, était
fille
de Saturne et de Rhée, et par conséquent sœur de
rès du lac de Pergus : là, elle voyait croître la jeune Proserpine sa
fille
, et goûtait les plaisirs les plus purs de la mate
oûtait les plaisirs les plus purs de la maternité. Mais un jour cette
fille
si chère fut enlevée par Pluton, dieu des Enfers,
son nom. De contrée en contrée, errante, vagabonde, Cérès cherche sa
fille
aux deux bornes du monde ; Et l’étoile du soir, l
uit ; Et quand le jour succède à l’ombre qui s’enfuit, Redemandant sa
fille
au lever de l’Aurore, Jusqu’au retour du soir ell
he. Cyane n’est plus nymphe ; elle n’a plus de voix ; Du destin de sa
fille
elle sut toutefois Donner à la déesse un signe ma
du monarque des enfers. Cette mère, encore effrayée sur le sort de sa
fille
chérie, obtint de Jupiter que Proserpine habitera
plus de célébrité ; c’était la Fortune. La Fortune. Elle était
fille
de l’Océan : comme le fils de Cérès, elle avait u
mémoire de celles que Cérès alluma sur le mont Etna pour chercher sa
fille
. Mystères d’Éleusis. Les habitants d’Athène
ce même élément, sous les attributs de Vesta. Vesta. Elle était
fille
de Saturne et de Rhée. Numa Pompilius fut le prem
s sans reproche. Hercule. Il était fils de Jupiter et d’Alcmène,
fille
d’Électryon, roi d’Argos, petite-fille de Persée,
r à des exploits d’une autre espèce. Il apprend que la belle Hésione,
fille
de Laomédon, roi de Troie, avait été désignée par
s sa gorge et le sang et la vie30. » Hercule devenu amoureux d’Iole,
fille
d’Euryte, roi d’Œchalie, et sachant que son père
l’inconstant Hercule, ayant entendu parler de la beauté de Déjanire,
fille
d’Œnée, roi de Calydon, alla la demander en maria
Euryte, roi d’Œchalie, le refus qu’il lui avait fait autrefois de sa
fille
Iole, lui déclara la guerre, le vainquit, et emme
nt l’époux d’Hébé. Hébé. On croit généralement qu’elle était
fille
de Jupiter et de Junon. Sa fraîcheur et sa beauté
vie groupe horrible placé à la porte des Enfers, étaient trois sœurs,
filles
du fleuve Achéron et de la Nuit : leurs noms étai
avaient été engendrés par Thaumas, fils de la Terre, et par Électre,
fille
de l’Océan. Ils naquirent avec une longue crinièr
ille de l’Océan. Ils naquirent avec une longue crinière, un visage de
fille
que la Faim rendait toujours pâle, de grandes ail
vu quelles furent ses douleurs lorsqu’elle apprit l’enlèvement de sa
fille
. Après avoir inutilement parcouru la terre pour l
Jupiter les yeux pleins de larmes. Le maître des dieux décida que sa
fille
lui serait rendue, pourvu toutefois qu’elle n’eût
oulut retirer Proserpine du séjour des Ombres, il se trouva que cette
fille
chérie, en se promenant dans les jardins de l’Ély
hadamanthe. Minos et Rhadamanthe étaient fils de Jupiter et d’Europe,
fille
d’Agénor. Le premier fut roi de l’île de Crète, e
ns de sagesse que lui sur le trône. Minos II fut l’époux de Pasiphaé,
fille
d’Apollon. Cette princesse fut victime de la hain
ut les fureurs les plus humiliantes des feux de l’amour ; et ses deux
filles
, Phèdre et Ariane, connurent aussi les malheurs d
ges inflexibles, est la demeure des Parques ; elles sont trois sœurs,
filles
de la Nuit. On les voit sans cesse occupées à fil
n ou le Pô, le Scamandre, etc. Les nymphes Océanides furent aussi les
filles
de l’Océan et de Téthys : leur nombre était fort
miers dieux marins, fils de l’Océan et de la Terre : il épousa Doris,
fille
de l’Océan et de Téthys ; il en eut cinquante nym
’Ops, de Vesta, de Cybèle ou la Bonne Déesse. Cybèle. Elle était
fille
d’Uranus ou le Ciel, épouse de Saturne, et mère d
ne des Océanides ; il était frère de Prométhée. Ayant épousé Pléione,
fille
de l’Océan, il en eut sept filles, connues sous l
de Prométhée. Ayant épousé Pléione, fille de l’Océan, il en eut sept
filles
, connues sous le nom d’Atlantides : elles furent
blimes concerts, sous la présidence d’Apollon. Elles sont neuf sœurs,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, ou la Mémoire : chacu
ssait de chair humaine, était fils de Neptune et de la nymphe Thoosa,
fille
de Phorcys, un des dieux marins : il avait dans l
personne cachée dans ces bosquets ; c’est la voix de la nymphe Écho,
fille
de l’Air et de la Terre. Jupiter l’ayant mise dan
e impie, ayant mangé tout ce qu’il possédait, fut obligé de vendre sa
fille
Métra, digne d’un meilleur père. Elle avait reçu
étaient fils du géant Typhon. Borée étant devenu amoureux d’Orythie,
fille
d’Érecthée, roi d’Athènes, et n’ayant pu l’obteni
guer celle où l’enchanteresse Circé faisait sa résidence : elle était
fille
d’Apollon et de Perséis, une des Océanides. Ayant
leur sort incertains. Ils abordèrent un rivage, Où la
fille
du dieu du jour, Circé, tenait alors sa c
uiller la chevelure et les épaules. Chaque fontaine avait une nymphe,
fille
de l’Océan et de Téthys, et par conséquent sœur d
les ans le père de famille, Rassemblant son épouse, et son fils et sa
fille
, Présenter pour tribut à ces dieux innocents, Que
présidaient aux quatre principales époques de l’année : elles étaient
filles
de Jupiter et de Thémis. Les Grecs les appelaient
u Sommeil et des Songes. Ces dieux devaient leur naissance à la Nuit,
fille
du Chaos, qui, en parcourant les espaces éthérés,
19. Virgile, Géorgiques, trad. de Delille. 20. La Fontaine, les
Filles
de Minée. 21. Ovide, Métam., trad. de de Saint-
aint-Ange. 26. Aristophane, Plutus, comédie… 27. La Fontaine, les
filles
de Minée. 28. Delille, l’Imagination. 29. Col
cet arbre par Cybèle, qui l’avait tendrement aimé. 5. Cybèle eut pour
fille
Vesta, la déesse du feu. On distingua trois divin
Saturne dont nous venons de décrire les attributs, et la jeune Vesta,
fille
de Cybèle. C’est à cette dernière que Numa éleva
-ils ? Quels arbres consacraient-ils à leur déesse ? 5. Quelle fut la
fille
de Cybèle ? Combien distingue-t-on de divinités q
orrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique,
Fille
des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel
ant les faveurs de Jupiter. Ainsi Pygas, la reine des Pygmées, et les
filles
de Prœtus furent métamorphosées la première en gr
tous les habitants pour se venger de l’injure que lui avait faite la
fille
d’Asope, reine du pays. 4. Elle n’eut d’attacheme
représentée ? Chapitre VI. Cérès et Proserpine. 1. Cérès était
fille
de Saturne et de Cybèle. Elle eut de Jupiter son
tait fille de Saturne et de Cybèle. Elle eut de Jupiter son frère une
fille
appelée Proserpine. Pluton, le dieu des enfers, q
consentit alors à l’épouser. 2. Cérès, inconsolable de la perte de sa
fille
, monta sur un char attelé de dragons volants et s
ui donne une torche ardente quand on veut la représenter cherchant sa
fille
Proserpine. Son char est traîné par des lions ou
nnaire. 1. Qu’est-ce que Cérès ? Comment Pluton lui enleva-t-il sa
fille
Proserpine ? 2. Qui enseigna à Cérès ce que Prose
ollon et les Muses. 1. Apollon était fils de Jupiter et de Latone,
fille
du Titan Cœus et de Phébé. Il vint au monde dans
it dévorée par des monstres marins. Le sort avait désigné Hésione, la
fille
de Laomédon, et déjà la princesse tremblante atte
tre chevaux d’élite, Pyrois, Œthon, Eoüs et Phlégon ; que l’Aurore sa
fille
ouvre les portes du ciel et annonce le retour de
, de l’Hélicon et du Pinde Apollon donnait des leçons aux neuf Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne. Ces neuf sœurs avaien
iane le nom d’Artémis. Questionnaire. 1. De qui Diane était-elle
fille
? Quelles étaient ses principales fonctions ? Que
IX. Mercure. 1. Mercure était fils de Jupiter et de Maïa, une des
filles
d’Atlas, astronome célèbre qui inventa la sphère
es merveilles. Elle raconte qu’il était fils de Jupiter et de Sémélé,
fille
de Cadmus, roi de Thèbes. Sa mère ayant désiré qu
Mercure le transporta près de la ville de Niza, pour le remettre aux
filles
d’Atlas, roi de Mauritanie. Bacchus devenu grand
livrant ce prince à ses bacchantes qui le mirent en lambeaux. 7. Les
filles
de Minée, autre roi de Thèbes, avaient aussi refu
Penthée pour n’avoir pas voulu les célébrer ? 7. Quel fut le sort des
filles
de Minée ? Quelle avait été leur faute ? 8. Comme
. Vénus est la déesse de la beauté. Quelques-uns disent qu’elle était
fille
de Jupiter et de Dioné, une des nymphes de l’Océa
Ne dédaignez point l’indigence. Le plus noble attribut des dieux, Ma
fille
, c’est la bienfaisance. Si vous saviez comme il e
ompagnes les trois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosyne. Elles étaient
filles
de Jupiter et d’Eurynome, ou de Bacchus, comme le
ecque. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que Vénus ? De qui était-elle
fille
? Comment fut-elle transportée dans l’île de Cypr
on ? 4. Quelles étaient les compagnes de Vénus ? De qui étaient-elles
filles
? Comment étaient-elles, représentées ? 5. Que di
t encore Nérée, qui épousa Doris sa sœur et en eut un grand nombre de
filles
, connues sous le nom de nymphes. Ces nymphes port
casion de la fondation d’Athènes4. 4. Le dieu des mers épousa une des
filles
de Nérée et de Doris, la vierge Amphitrite qui av
ans ses Géorgiques. 9. Les Sirènes étaient encore des monstres moitié
filles
et moitié poissons comme les Harpies. Mais elles
ésentaient-ils l’Océan, Téthys et les fleuves ? 2. Quelles furent les
filles
de Nérée et de Doris ? Comment se nommaient les n
qui frémit des conseils qu’elle donne ; Et l’Ivresse du crime et les
filles
d’Enfer Reposant leur fureur sur des couches de f
taient au nombre de trois, Mégère, Alecto et Tisiphone ; toutes trois
filles
de l’Achéron et de la Nuit. La Terreur, la Rage,
n. 7. Outre ces divinités vengeresses, il y avait encore les Parques,
filles
de la Nuit. Elles étaient aussi trois, Clotho, La
t ton histoire. [Horace] [Desmarets" role="translator] Les Danaïdes,
filles
de Danaüs, roi d’Argos, étaient au nombre de cinq
hommes, et une marotte à la main en signe de folie. 5. L’Aurore était
fille
du Soleil et de la Terre, et, selon quelques poët
uite avec Céphale, un jeune chasseur qui était déjà uni à Procris, la
fille
d’Erechthée, roi d’Athènes. Elle fit présent à so
rté du jour. 9. Hébé était la déesse de la jeunesse. On la supposait
fille
de Junon et de Jupiter. Le souverain des dieux lu
oi de Troie et le protégé de Jupiter. Junon, touchée du malheur de sa
fille
, la retint près d’elle, la chargea d’atteler son
urore ? Quelle description en fait Homère ? 9. De qui Hébé était-elle
fille
? Quelle était sa charge ? Comment la perdit-elle
, la Pudeur et la Miséricorde. 2. La Vérité était considérée comme la
fille
du Temps ou de Saturne et la mère de la Vertu. On
re entendre qu’elle est rare dans le commerce de la vie. 3. La Vertu,
fille
de la Vérité, avait un vêtement blanc, symbole de
toutes les vertus. 4. La Justice, appelée Thémis par les Grecs, était
fille
du Ciel et de la Terre. Les poëtes ont fait naîtr
fois elle a les oreilles bouchées en signe d’impartialité. Astrée, sa
fille
, présidait aussi à la justice. On disait qu’elle
et aux progrès continuels de sa dégradation morale. 5. La Force était
fille
de Thémis, ou de la Justice et sœur de la Tempéra
quel lieu disait-on qu’elle habitait ? 3. De qui la Vertu était-elle
fille
? Quels étaient ses attributs et ses symboles ? Q
it-elle représentée ? Qu’est-ce que la fable nous raconte d’Astrée sa
fille
? Que signifie ce récit ? 5. Qu’était la Force ?
au moins entrevu les premières lueurs. 2. Ainsi ils ont fait la Paix
fille
de Jupiter et de Thémis. On disait qu’elle avait
. La Victoire était une des divinités les plus honorées. On la disait
fille
du Styx et de Pallante, origine bizarre qui ne s’
s calamités et les afflictions. Les Prières, qui sont aussi comme Até
filles
de Jupiter, la suivaient en boitant et réparaient
dées de régénération et de salut. 3. La Vengeance ou Némésis était la
fille
de l’Océan et de la Nuit. On l’appelait encore Ad
t de torches ardentes, et avait une couronne sur la tête. 4. L’Envie,
fille
de la Nuit, fut toujours flétrie comme un vice in
Malice au souris perfide, L’Imposture aux yeux effrontés, De l’Enfer
filles
inflexibles, Secouant leurs flambeaux horribles,
le trouble et la guerre parmi les hommes. Hésiode dit qu’elle était
fille
de la Nuit. Virgile la représente avec une cheve
, Semble annoncer la mort aux peuples effrayés. 6. La Paresse était
fille
du Sommeil et de la Nuit. Il nous semble que son
4. La Vieillesse était une divinité couverte de rides ; on la disait
fille
de la Nuit. Les Grecs lui élevèrent un temple, où
Par qui étaient-elles redoutées ? 4. De qui la Vieillesse était-elle
fille
? Que lui demandaient les Grecs ? Quel culte rend
et il apprenait à ses adorateurs la discrétion. 6. La Renommée était
fille
de Titan et de la Terre et messagère de Jupiter.
t tromper sa fureur vigilante. Rousseau . 6. Avec l’aide de Médée,
fille
du roi Eétès, Jason parvint à terminer heureuseme
jeuni Eson, le père de Jason, par la vertu de certains breuvages. Les
filles
de Pélias, étonnées de ce prodige, prièrent la ma
e en morceaux et de jeter ses membres dans une chaudière ardente. Ces
filles
trop crédules firent ce qui leur avait été comman
le il eut la faiblesse de concevoir une passion coupable pour Glaucé,
fille
du roi de Corinthe. Cet affront rendit Médée furi
lque temps après le désir de contracter un nouveau mariage avec Iole,
fille
d’Eurytus, roi d’Œchalie, cette nouvelle remplit
V. Thésée. 1. Thésée était fils d’Egée, roi d’Athènes, et d’Æthra,
fille
de Pittée, roi du Péloponèse. La fable l’a fait f
es blanches. Il partit donc pour sa périlleuse entreprise. Ariane, la
fille
de Minos, fut touchée de son courage et vint à so
rcule vînt le délivrer. 8. Après sa délivrance, Thésée épousa Phèdre,
fille
de Pasiphaé et de Minos et sœur d’Ariane. Il mena
nt de crimes et de sang. 2. Persée était fils de Jupiter et de Danaé,
fille
d’Acrisius, roi d’Argos. Un oracle ayant annoncé
a Mauritanie en Ethiopie. 5. Dans cette contrée il délivra Andromède,
fille
de Céphée et de Cassiopée. Cette princesse avait
7. Bellérophon était fils de Glaucus, roi de Corinthe, et d’Epimède,
fille
de Sisyphe. On lui donna le surnom d’Hipponoüs pa
le ciel lui assurait. Iobatès n’hésita pas à lui donner en mariage sa
fille
Philonoé et à le déclarer son successeur. Après s
us général et bien plus fréquent 8. 3. Cadmus avait épousé Hermione,
fille
de Vénus et de Mars. Un oracle lui ayant annoncé
sa Jocaste sa mère, et en eut deux fils, Etéocle et Polynice, et deux
filles
, Antigone et Ismène. Le pays des Thébains s’étant
mède, roi de Scyros. Le monarque le déguisa et le fit élever avec ses
filles
. Comme le devin Calchas avait annoncé aux Grecs q
os. Il se présenta donc chez Lycomède à titre de marchand, et fit aux
filles
de ce prince de magnifiques présents. Aux joyaux
ée à cette déesse, et il ajouta qu’il fallait le sang d’Iphigénie, la
fille
de ce prince, pour calmer le ciel : Vous armez c
issance vaine, Si dans un sacrifice auguste et solennel, Une
fille
du sang d’Hélène De Diane en ces lieux n’ensangla
d’Achille qui l’avait obligé à rendre à Chrysès, prêtre d’Apollon, sa
fille
Chryséïs. Par représailles le chef des Grecs usa
cher fils. Quelque temps après, Achille demanda en mariage à Priam sa
fille
Polyxène. Elle lui fut accordée ; mais, au moment
nsemble, emportant la statue de la déesse. Oreste épousa Hermione, la
fille
de Ménélas, et Pylade, Electre, la sœur d’Oreste.
ndrogée, fils de Minos. Andromaque, veuve d’Hector, 149. Andromède,
fille
de Céphée, 128. Anémone, métam. d’Adonis, 59. A
ont donné lieu à la fable des Titans, 25. Angoisse, 195. Antigone,
fille
d’Œdipe, 138. Antiope, ép. de Lycus, 134. Anthé
sope, reine d’Egine, 28. Astarté, div. des Phéniciens, 173. Astrée,
fille
de Thémis, 89. Astres, fils de l’Aurore, 85. As
143. Augures, 158. Auguste, ferme le temple de Janus, 45. Aurore,
fille
du Soleil, 85. Auster, vent du midi, 65. Autoly
llence des idées qu’il a répandues, 98. Chronologie, 156. Chryséis,
fille
de Chrysès, 144. Chrysès, prêtre d’Apollon, 144.
, pers. des mystères, 164. Daïtias, génies malfaisants, 164. Danaé,
fille
d’Acrisius, 127. Danaïdes, punies aux enfers, 73
le, 148. Enigme d’Œdipe, 138. Enna, campagne de Sicile, 30, Envie,
fille
de la Nuit, 95. Eole, dieu des vents, 64, 98. E
pers. des mystères, 161. Epidaure, v. de l’Argolide, 119. Epimède,
fille
de Sisyphe ; 129. Epimélètes, pers. des mystères
d’Europe, 148. Epreuves, dans la religion des Perses, 174. Equité,
fille
de Thémis, 89. Erato, muse, 36. Erèbe, fl. des
uphrosine, une des Grâces, 58. Euripide , poëte grec, 157. Europe,
fille
d’Agénor, 135. Eurus, vent du sud-est, 65. Eury
oi, div. allégorique, 90. Fonte nelle , vers sur Diane, 40. Force,
fille
de Thémis, 90. Fortune, div. allégorique, 99. F
emonius, un des noms de Mercure, 43. Hela, ou la Mort, 195. Hélène,
fille
de Léda, 126 ; enlevée par Pâris, 142. Hélicon,
6 ; enlevée par Pâris, 142. Hélicon, mont. de la Béotie, 36. Hellé,
fille
d’Athamas, 105. Hellènes, ou Grecs, 141. Helles
s, un des noms de Mercure, 43 ; — div. des Egyptiens, 177. Hermione,
fille
de Vénus, 136. Hermione, fille de Ménélas, 149.
— div. des Egyptiens, 177. Hermione, fille de Vénus, 136. Hermione,
fille
de Ménélas, 149. Hérodote , historien grec, 157
ote , historien grec, 157, 171. Hésiode , poëte grec, 95. Hésione,
fille
de Laomédon, 33. Hespérie, Italie méridionale, 1
Iobatès, roi de Lycie, 130. Iolchos, ville de Thessalie, 105. Iole,
fille
d’Eurytus, 116. Iphigénie, fille d’Agamemnon, 14
os, ville de Thessalie, 105. Iole, fille d’Eurytus, 116. Iphigénie,
fille
d’Agamemnon, 143, 149. Iphitus, législateur de S
77 et suiv. Islande, île du nord, sa mythologie, 191, 192. Ismène,
fille
d’Œdipe, 138. Isthme de Corinthe, 154, 155. Ist
ique, 102. Judée, 59. Juifs ou Hébreux, 170, 172, 173, 175. Junon,
fille
de Saturne, 14, l’une des douze grandes div., 24
e, 14 ; son hist., son culte et ses attributs, 20 et suiv. Justice,
fille
de Thémis, 23, 89. K Kéryx, pers. des myst
u Pélop., 113. La Fontaine ; récit de Philémon et Baucis, 24 ; les
filles
de Minée, 51 ; le palais du Sommeil, 83. Lagus,
Lavinium, v. d’Italie, 148. Léda, ép. de Tyndare, 125. Législation,
fille
de Jupiter, 23. Lego, lac, 185. Lemnos, île de
enne, 50, 51. Livres sibyllins, 159. Loke, génie du mal, 195. Loi,
fille
de Thémis, 89. Loup, métam. de Lycaon, 24. Louv
ape, 142. Mages, 171, 173. Magnésie, port de Thessalie, 106. Maïa,
fille
d’Atlas, 41. Maigreur, pers. allégorique, 195.
anie, c. d’Afrique, 128. Maux, honorés comme div., 192. Méchanceté,
fille
de Jupiter, 94. Médée, magicienne, 107, 118. Mé
Chaldéens. 173. Minotaure, monstre, 120. Minée, roi de Thèbes ; ses
filles
, 54. Minervalia, fêtes de Minerve, 46. Minerve,
un des noms de Mercure, 43. Norwégiens, peuple du Nord, 192. Nuit,
fille
du Chaos, 12. Numa, roi de Rome, 15, 19, 49, 80.
Ovide , poëte, 79, 101. P Pactole, fl. de Phrygie, 38. Paix,
fille
de Thémis, 23, 89, 91 ; son temple à Rome, 15. P
’Hercule, 146, 148. Philomèle, changée en rossignol, 152. Philonoé,
fille
d’Iobatès, 130. Phinée, roi de Samothrace, 106.
6. Polynice, fils d’Œdipe, 138. Polyphème, Cyclope, 151. Polyxène,
fille
de Priam, 146. Pommes d’or, 114. Pomone, déesse
. Priam, roi de Troie, 146. Priape, div. des jardins, 79. Prières,
filles
de Jupiter, 94. Printemps, 78. Procris, ép. de
. Procris, ép. de Céphale, 86. Procuste, brigand, 118. Prœtus, ses
filles
, 28 ; son hist., 130. Progné, changée en hironde
ne, où tous étaient égaux. Cybèle Cybèle, femme de Saturne et
fille
du Ciel et de la Terre, a plusieurs noms dans les
une, femme du Ciel et mère de Saturne ; et l’autre, moins ancienne et
fille
de Saturne ; et que l’ancienne Vesta est la même
Cérès. Stellio. — Érésichton. — Aréthuse. — Ascalaphe. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, est appelée la déesse de
qu’elle fit dans ses états, en parcourant l’univers, pour chercher sa
fille
Proserpine, que Pluton avait enlevée. Cérès quitt
, la déesse l’affligea d’une faim qu’on ne pouvait apaiser. Métra, sa
fille
, désirant venir à son secours, pria les dieux de
uffire à sa voracité, il se tua lui-même. Aréthuse, nymphe de Diane,
fille
de Nérée et de Doris, avait été métamorphosée en
asser Pluton avec celle qu’il enlevait ; elle instruisit Cérès que sa
fille
était aux enfers. Aussitôt la déesse monte au pal
orrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique,
Fille
des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel
hevaux. A la vingt-cinquième, on y joignit celle des chars. Cynisque,
fille
d’Archidamas, prince de Macédoine, en remporta le
mêmes genres de combats qu’aux jeux Olympiques. Junon Junon,
fille
de Saturne et de Cybèle, était sœur de Jupiter et
il, les autres veillaient. La déesse lui donna en garde la nymphe Io,
fille
d’Inachus et d’Ismène, que Jupiter, pour tromper
pouvantable des Cyclopes, devint amoureux de Galathée, nymphe marine,
fille
de Nérée et de Doris ; il alla jusqu’à lui élever
ré innocent, vu qu’il n’avait prétendu que venger l’outrage fait à sa
fille
Alcippe. Par ces douze divinités, il faut entendr
rs, avec la toge bordée de pourpre, et un bonnet élevé en cône. Leurs
filles
n’étaient point reçues au nombre des Vestales. Le
n pas chancelant, et fermaient la marche . Bellone Bellone,
fille
de Phorcys et de Céto, était, selon quelques-uns,
la tapisserie. Elle excellait surtout à broder sur la toile. Arachné,
fille
d’Idmond, du pays de Lydie, habile ouvrière, osa
a sa toile et lui donna des coups de sa navette sur les doigts. Cette
fille
, outrée de ce traitement, entra dans un si grand
surprirent la ville. Apollon Jupiter ayant rencontré Latone,
fille
de Cœus et de Phébé, en devint amoureux, et il en
ans cette île déserte où son infortune l’avait conduite. Diane, comme
fille
de Jupiter, naquit toute savante ; venue la premi
onnerre, elle préférait ses enfans à ceux des princes voisins. Niobé,
fille
de Tantale et femme d’Amphion, roi de Thèbes, ava
de Niobé, et tuèrent sous ses yeux, à coups de flèches, ses fils, ses
filles
et son époux. Ils n’épargnèrent que la seule Clor
dit à son époux. Daphné Pendant son exil, Apollon vit Daphné,
fille
du fleuve Pénée : il la trouva belle et le lui di
ans aimer, bientôt Apollon soupira pour la nymphe Perséis. Elle était
fille
de l’Océan, c’est-à-dire, qu’on ne connaissait po
épondit qu’il devait apaiser les dieux en exposant, chaque année, une
fille
troyenne sur une montagne, pour y être dévorée pa
orée par des monstres marins. Une fois, le sort tomba sur Hésione, sa
fille
, et elle fut exposée. Hercule s’offrit de la sauv
s beaux chevaux de son écurie : le roi y consentit ; mais, lorsque sa
fille
fut délivrée et les monstres détruits, il renvoya
fertilité de son territoire. Ce fut dans cette île que lui naquît une
fille
nommée Rhodia. Le jour de sa naissance devint cél
Océan. Peu de temps après, il porta son hommage à la belle Leucothoé,
fille
d’Orchame roi de Babylone. Pour entretenir la bel
a rivale, et voulant s’en venger, instruisit Orchame des amours de sa
fille
avec Apollon. Ce père entrant en fureur, ordonna
ans un médecin, peut faire des prodiges. Aurore Aurore était
fille
d’Apollon, ou, selon d’autres, d’Hypérion et de T
ygnus, fils de Neptune, qu’Achille a tué. Pasiphaé Pasiphaé,
fille
du Soleil et de la nymphe Perséis, était femme de
Circé Circé, sœur de Pasiphaé, femme de Minos, passait pour être
fille
du Soleil et de Perséis. La grande connaissance q
re des neuf Muses, qu’il instruisait sur le Mont-Parnasse. Les Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, déesse de la mémoire,
fut donné, à cause de la victoire qu’elles remportèrent sur les neuf
filles
de Piérus, roi de Macédoine. Ces filles, orgueill
les remportèrent sur les neuf filles de Piérus, roi de Macédoine. Ces
filles
, orgueilleuses de leur belle voix, osèrent défier
a Sybille de Cumes Cumane ou Cumée, et l’une des Sybilles, était
fille
de Glaucus. Elle naquit à Cumes dans l’Eolide, et
a donné lieu, dit-il, à cette multitude, ce sont les voyages de cette
fille
mystérieuse, dans lesquels elle se fit voir en di
fugier. [Delille"] Diane Diane, déesse de la chasse, était
fille
de Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon. On la
laisir à poursuivre les animaux des bois, suivie de soixante nymphes,
filles
de l’Océan, et de vingt autres vierges qui avaien
se couchassent jamais dans l’Océan. Chionée Chionée, petite
fille
du matin, et plus belle que l’Aurore, osa compare
. Les poètes racontent ainsi sa naissance : Jupiter, épris de Sémélé,
fille
de Cadmus, roi de Thèbes, quittait souvent l’Olym
Bacchus, surnommé Hyé. Les poètes, qui disent que les Hyades étaient
filles
d’Atlas et d’Ethra, au nombre de sept, on feint q
tite chienne qu’il appelait Méra. Cet animal courut informer Érigone,
fille
d’Icarius de la mort de son père ; elle la tira p
comme une vengeance de Bacchus. Les Ménéides Les Ménéides, ou
filles
de Minée, refusaient à Bacchus le titre de fils d
utes ces qualités sont attribuées au seul fils de Jupiter et de Maïa,
fille
d’Atlas, lequel vit le jour en Arcadie, sur le mo
caduceatores. Aglaure Mercure étant devenu amoureux de Hersé,
fille
de Cécrops, roi d’Athènes, dans une fête qui se c
nez pas l’indigence. « Le plus noble attribut des dieux, « Ma
fille
, c’est la bienfaisance. « Si vous saviez comm
s manières et l’art de se rendre agréable, et elles lui disaient : Ma
fille
, si vous voulez plaire, « Que vos grâces soient
Aglaé, Thalie et Euphrosyne, surnommées les trois Grâces, étaient
filles
de Vénus, et elles ne la quittaient point. On les
te de la fable est de l’invention des poètes. Adonis Myrrha,
fille
de Cyniras, roi de Cypre, ayant encouru le juste
il dirigea ses pas au pied du mont Atlas : là, il aperçut Amphitrite,
fille
de Doris et de l’Océan ; il la vit et l’aima. Le
ainsi nommées d’un mot grec qui signifie j’emporte de force, étaient
filles
de Thamas et d’Electre, fille de l’Océan et sœur
i signifie j’emporte de force, étaient filles de Thamas et d’Electre,
fille
de l’Océan et sœur d’Iris, ou, selon d’autres de
, Céléno, Ocypéto et Aëlo : ces monstres voraces avaient un visage de
fille
, un corps de vautour, des ailes aux côtés et des
ris, qui, s’étant mariés ensemble, mirent au monde un grand nombre de
filles
, connues sous le nom de nymphes. Les unes présida
n effet devint père d’Achille. Les Syrènes. Les Syrènes étaient
filles
du fleuve Achéloüs et de Calliope. On les nommait
et l’autre sont des écueils dangereux. Scylla, selon la fable, était
fille
de Phorcys et d’Hécate. Elle fut aimée de Neptune
siége devant Mégare pour venger la mort de son fils Androgé. Scylla,
fille
de Nisus, roi des Mégariens, conçut pour lui un a
ent que Vulcain tenait ses forges. On donne à Eole six garçons et six
filles
; ce sont sans doute les douze vents principaux.
e l’orient équinoxial. Calaïs et Zéthès Borée enleva Orythye,
fille
d’Erechthée, roi d’Athènes, lorsqu’elle s’amusait
mais cela ne servant de rien, il prit le parti d’enlever Proserpine,
fille
de Cérès, pendant qu’elle cueillait des fleurs da
orné de vipères. Rousseau. Ces trois sœurs sont vierges. On les dit
filles
de l’Achéron et de la Nuit. Leur robe, souillée d
s par antiphrase, parce qu’elles ne font grâce à personne. On les dit
filles
de la Nécessité. Elles filent ensemble les destin
épousa Alcmène. Éacus. Éacus était fils de Jupiter et d’Égine,
fille
d’Asope. Il régna dans l’île de Delos, à qui il d
xion, roi des Lapithes, en Thessalie, voulant obtenir pour femme Dia,
fille
de Déionnée, promit à celui-ci des présens consid
promit à celui-ci des présens considérables ; le père lui accorda sa
fille
et le somma de tenir sa promesse. Ixion, sous pré
détrôna Sthélenus, roi d’Argos, et régna à sa place. Il eut cinquante
filles
de plusieurs femmes ; Egyptus eut dans le même es
avait prédit qu’il serait détrôné par un de ses gendres, assemble ses
filles
, et, les armant chacune d’un poignard, leur ordon
orne ! quel pâle crépuscule éclaire ces ténèbres éternelles ! La
fille
du Chaos plane dans cette enceinte, La nuit, que
r. Les anciens regardaient la Nuit comme une déesse. Ils la disaient
fille
aînée du Chaos. On lui donne pour enfans l’Ether
que fatale. …………………………………………… …………………………………………… J’ai vu de Danaüs les
filles
attentives Laisser l’onde tranquille et leurs urn
quefois de vaines terreurs. Syrinx Syrinx, nymphe d’Arcadie,
fille
du fleuve Ladon, était une des plus fidèles compa
n voile blanc. La Fortune Quelques poètes qui font la Fortune
fille
de l’Océan, disent qu’elle était une des nymphes
aisons les plus fortes et les plus intimes. Némésis Némésis,
fille
de la Nuit et de l’Océan, avait la fonction de ch
Qui lui sont adressés. Rousseau. Thémis Thémis,
fille
du Ciel et de la Terre, était regardée comme la d
aintient l’ordre et la paix parmi les hommes. Astrée Astrée,
fille
de Jupiter et de Thémis, se confond avec sa mère
qui lui avait prédit qu’il serait tué par l’enfant qui naîtrait de sa
fille
, la fit enfermer dans une tour d’airain. Jupiter,
un monstre marin qui allait dévorer Andromède. Cette princesse était
fille
de Céphée, roi d’Ethiopie, et de la reine Cassiop
té, répondit que, pour fléchir Neptune, il fallait exposer Andromède,
fille
du roi ; la princesse fut conduite sur une haute
étus, qui, admirant sa valeur, lui rendit son amitié, et lui donna sa
fille
en mariage. Hercule. Il y a plusieurs conqu
étruire un affreux serpent, il fut si sensible aux charmes d’Omphale,
fille
du roi, que, pour lui plaire, il changea sa massu
princesse. Quelques temps après, Hercule demanda en mariage Déjanire,
fille
d’Œnée, roi d’Etolie. Cette princesse, recherchée
lque temps de là, Déjanire, prévenue que son mari lui préférait Iole,
fille
d’Euryte, roi d’Œchalie, lui envoya la robe du ce
, et une fois entré, il était presque impossible d’en sortir. Ariane,
fille
de Minos, touchée de pitié pour le jeune héros, l
mpagnons. Dans l’excès de sa reconnaissance, Thésée avait promis à la
fille
de Minos de la placer sur le trône d’Athènes ; ma
les chevaux et de s’en servir à la guerre. Thésée sachant qu’Hélène,
fille
de Tyndare et de Léda, était très-belle, proposa
e ou Antiope. Il en eut un fils, qu’on nomma aussi Hippolyte. Phèdre,
fille
de Minos, que Thésée épousa en secondes noces, ré
e montaient se nommèrent Argonautes. Jason, avec le secours de Médée,
fille
d’Æétès, roi de Colchos, enleva la fameuse Toison
it Eson, père de Jason ; mais elle fit égorger Pélias par ses propres
filles
, en lui persuadant qu’elles lui rendraient sa pre
iter le roi Créon, fut sensible aux grâces et aux vertus de Creüse sa
fille
, et il abandonna pour elle sa barbare épouse. Méd
, roi de ce pays, et père de cette princesse, aimait si tendrement sa
fille
, que pour éloigner les prétendans, il ne donnait
tre, après avoir régné en Italie, se retira en Phrygie : il épousa la
fille
de Teucer maître du pays ; et ces deux princes je
es retinrent jusqu’à ce qu’enfin Agamemnon se déterminât à immoler sa
fille
Iphigénie pour apaiser Diane ; mais cette déesse
si à retarder le triomphe des Grecs. Agamemnon avait enlevé Chryséis,
fille
du grand-prêtre d’Apollon : ce dieu vengeant l’in
Ruine de Troyes Achille ayant vu du haut des murailles, Polyxène,
fille
de Priam, l’envoya demander en mariage à son père
qui y régnait, le reçut avec distinction, et lui promit en mariage sa
fille
Lavinie. Turnus, roi des Rutules, se déclara son
ou Cœlus, qui épousa la Terre ou Titéa. De ce mariage naquirent deux
filles
, nommées Cybèle et Thémis, et un grand nombre de
L’infortunée Io fut le principal objet de son courroux. Cette nymphe,
fille
d’Inachus fleuve d’Argolide, était un jour poursu
au contraire, furent les objets constants de sa faveur. Les Prœtides,
filles
de Prœtus, fières de leur excessive beauté, osère
rrière elle Iris déploie les couleurs variées de l’arc-en-ciel. Iris,
fille
de Junon, messagère des dieux, portait leurs ordr
unon, ce pieux devoir. § 6. Vesta. Vesta, déesse du feu, était
fille
de Saturne et de Cybèle. Son culte fut introduit
suite s’associer une épouse ; et ses vœux se fixèrent sur Amphitrite,
fille
de l’Océan, nymphe d’une admirable beauté. Il la
e ne voulait consentir à l’épouser : il eut recours à la violence. La
fille
de Cérès, Proserpine, retirée en Sicile, vers les
emier bruit de ce malheur, partit précipitamment à la recherche de sa
fille
, parcourut les montagnes, visita les cavernes et
ur fut impossible. Cependant, à force de prières, Cérès obtint que sa
fille
ne resterait que six mois de l’année dans les enf
rès, déesse des blés et des moissons, chercha longtemps Proserpine sa
fille
, que Pluton avait enlevée. Un jour que cette mère
rrêta près d’Éleusis, et s’assit sur une pierre pour s’y délasser. La
fille
de Céléus, roi d’Éleusis, l’ayant aperçue, et jug
l’égaler : Méduse fut punie d’avoir comparé ses attraits à ceux de la
fille
de Jupiter. Méduse, une des trois gorgones, étai
la Grèce. Arrivé en Attique, il y fut témoin des outrages faits à sa
fille
Alcippa par le cruel Halirrhotius, fils de Neptun
dain. Il lança la première à Apollon, il décocha la seconde à Daphné,
fille
du fleuve Pénée. Le dieu éprouve aussitôt une vio
leur perte par une aveugle condescendance. § 15. Diane. Diane,
fille
de Latone et sœur d’Apollon, présidait à la chass
ert immense et brûlant. A son retour en Grèce, Bacchus épousa une des
filles
de Minos, roi de Crète, Ariane, abandonnée dans l
et Lycurgue éprouvèrent le fatal effet de son courroux. Les Minéides,
filles
de Minée, étaient au nombre de trois, Iris, Clymè
ant d’Érigone, dénomination élégante dont voici l’origine : Érigone,
fille
d’Icarius roi de Laconie, était sœur de Pénélope,
sans avoir été mûrement délibérée. § 20. Les Muses. Les Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, présidaient aux arts,
ance à leur poursuite, tombe, et se tue. Une autre fois les Piérides,
filles
de Piérus roi de Macédoine, fières du talent qu’e
aux Muses le prix du chant. « Si vous êtes vaincues, dirent-elles aux
filles
de Mnémosyne, vous nous céderez le mont Parnasse
i, que les nymphes prises pour juges lui décernèrent la victoire. Les
filles
de Piérus éclatèrent alors en murmures, et se mir
rides, du mont Piérus où elles naquirent, et de leur victoire sur les
filles
de Piérus ; tantôt les Doctes Sœurs, les Nymphes
érus ; tantôt les Doctes Sœurs, les Nymphes de la double colline, les
Filles
de Mémoire, les Neuf Sœurs. — On les représente j
d’un laurier ou d’un palmier, et se tenant par la main : Les Muses,
filles
du Ciel, Sont des sœurs sans jalousie ; Elles viv
t irrévocables. Son pouvoir s’étend sur les dieux mêmes. Les Parques,
filles
de Thémis, exécutent ses ordres. Les Parques étai
appe à l’inexorable déité. § 22. Thémis. Thémis ou la Justice,
fille
du Ciel et de la Terre, tient un glaive d’une mai
lacée dans cette partie du zodiaque qu’on appelle la Vierge. Astrée,
fille
de Thémis, est souvent prise pour la déesse de la
ut être comparée qu’à sa joie. Dans la suite, Aristée épousa Autonoé,
fille
de Cadmus, dont il eut Actéon. Après la mort crue
rée. — Les Néréides. Nérée, un des dieux de la mer, épousa Doris,
fille
de l’Océan, et fut le père des Néréides. Il se di
subirait, et dont la protection de Vénus ne pourrait le garantir. Les
filles
de Nérée ou Néréides étaient au nombre de cinquan
et moitié poissons. § 10. Aréthuse. Aréthuse, nymphe d’Élide,
fille
de Nérée, était attachée au service de Diane, et
u marin. Un jour qu’il côtoyait le bord de la mer, il aperçut Scylla,
fille
de Phorcus, devint amoureux d’elle et désira l’ép
ouvant rebelle à ses vœux, il alla près de Circé, célèbre magicienne,
fille
du Soleil, et lui demanda un breuvage magique ou
t conçut pour lui une violente passion, et lui conseilla d’oublier la
fille
de Phorcus qui le méprisait, pour s’attacher à un
r la fille de Phorcus qui le méprisait, pour s’attacher à une déesse,
fille
du Soleil, et plus digne de sa tendresse. Glaucus
sines le froid, la neige et les orages. Épris des charmes d’Orithyie,
fille
d’Érechthée roi d’Athènes, il la demanda en maria
il la demanda en mariage ; mais Érechthée, qui ne voulait pas que sa
fille
habitât un climat aussi rude et aussi désert que
riques. § 23. La Fortune. La Fortune, déesse toute-puissante,
fille
de Jupiter, était la dispensatrice des biens et d
ne victoire. Corneille. § 30. La Nuit. — Le Sommeil. La Nuit,
fille
du Chaos, était la mère du Destin, du Sommeil et
tiques, sortent par une porte de corne. § 31. La Mort. La Mort,
fille
de la Nuit, habitait le seuil du Tartare. La Grèc
; on les envisage alors, non comme les nièces, mais comme les propres
filles
d’Atlas. Les Hyades, filles d’Atlas et d’Æthra, é
comme les nièces, mais comme les propres filles d’Atlas. Les Hyades,
filles
d’Atlas et d’Æthra, étaient, comme les Hespérides
ou estropiaient leurs enfants mâles, et élevaient soigneusement leurs
filles
dans la profession des armes. Eurysthée commanda
ant appris qu’Hercule était retenu, en Eubée, par les charmes d’Iole,
fille
d’Eurytus, elle envoya à ce volage époux la tuniq
e ; Junon même y donna son assentiment, et lui accorda pour épouse sa
fille
Hébé, déesse de la Jeunesse. Iolas, neveu et ami
r son petit-fils. Épouvanté de cet avertissement, Acrisius enferma sa
fille
unique, Danaé, dans une tour d’airain, et repouss
immense, il jette ses regards sur l’Éthiopie, au moment où Andromède,
fille
du roi Céphée, enchaînée au bord de la mer, allai
ils de ce Jupiter, si le vainqueur de la Gorgone vous demandait votre
fille
pour épouse, l’obtiendrait-il ? A ce prix, je jur
lis d’une tempête qui les obligea de relâcher à Lemnos, où Hypsipyle,
fille
du roi, leur fit une magnifique réception, et où
es de Jason, lui aplanirent les obstacles. Elles inspirèrent à Médée,
fille
d’Éétès, le plus vif attachement pour Jason. Dès
considérables. Mais Éétès ne tarde pas à découvrir la trahison de sa
fille
; il équipe des vaisseaux, il en donne le command
gueur. Pélias, l’ennemi de Jason, vivait encore, malade et caduc. Les
filles
de ce tyran, étonnées du rajeunissement d’Éson, c
use et les serments qu’il lui avait faits, demanda en mariage Glaucé,
fille
de Créon, l’épousa et répudia la princesse de Col
lle ensorcela des rubans et des bijoux qu’elle offrit en présent à la
fille
du roi. Cette princesse n’eut pas plus tôt touché
nion, l’ordre et la paix37. Il épousa ensuite Harmonie (ou Hermione),
fille
de Vénus et de Mars. Ce mariage eut les plus heur
s. Cadmus se voyait gendre de deux grandes divinités ; père de quatre
filles
aussi belles que séduisantes, Ino, Agavé, Autonoé
lui immola en témoignage de reconnaissance une brebis noire. Manto,
fille
de Tirésias, avait aussi bien que son père le don
sa jeunesse, son air noble et martial, captivèrent le cœur d’Ariane,
fille
de Minos. Thésée lui promit de l’emmener à Athène
mère d’Hippolyte. A la mort d’Antiope, il demanda en mariage Phèdre,
fille
de Minos, qui lui fut accordée. Mais le sang de M
ions aventureuses. Us allèrent à Sparte pour enlever la jeune Hélène,
fille
de Tyndare, déjà renommée dans toute la Grèce pou
ciale des dieux, retint le héros dans ses États, lui donna sa seconde
fille
en mariage, et le nomma son successeur au trône.
il avait blessé grièvement plusieurs des chasseurs, lorsque Atalante,
fille
de Jasius, l’atteignit d’un coup de flèche, derri
et se retira en Grèce, où il demanda en mariage la belle Hippodamie,
fille
d’Œnomaüs, roi d’Élide. Seule héritière du trône,
le qu’il serait malheureux avec son gendre, mit à la possession de sa
fille
une condition difficile à remplir. Comme il excel
qu’il avait des coursiers aussi rapides que le vent, il publia que sa
fille
appartiendrait à celui des amants qui le vaincrai
époux de Jocaste, dont il eut deux fils, Étéocle et Polynice, et deux
filles
, Antigone et Ismène. Plusieurs années après ce ma
ant sur la dure, et mendiant son pain de porte en porte. Antigone, sa
fille
aînée, lui servait de compagne ; elle guidait les
en Argolide, chez le roi Adraste, qui lui donna en mariage une de ses
filles
: la seconde venait d’épouser un autre prince fug
Minos II, roi de Crète, petit-fils de Minos Ier, épousa Pasiphaé,
fille
du Soleil. Dans la première année de son règne, i
, pour le punir, empoisonna sa vie de malheurs. Phèdre et Ariane, ses
filles
, périrent victimes de l’amour ; Pasiphaé sa femme
s, équipe une flotte, et vient mettre le siége devant Mégare. Scylla,
fille
de Nisus roi de cette ville, apercevant du haut d
digne appréciateur du mérite de cet étranger, lui donna en mariage sa
fille
unique, et le désigna pour son successeur au trôn
va d’abord dans l’île de Samothrace, puis en Phrygie, où il épousa la
fille
du roi Teucer, auquel il succéda. Ce fut Dardanus
elui de leurs enfants sur lequel tomberait le sort. Le nom d’Hésione,
fille
de Laomédon, sortit de l’urne fatale. Enchaînée s
oon, Déiphobe, Hélénus, Troïle, Polydore ; et les plus connues de ses
filles
: Ilioné, Créuse, Polyxène et Cassandre. § 3.
vait promis à Pâris la plus belle femme du monde, lui désigna Hélène,
fille
de Tyndare et femme de Ménélas : elle demeurait à
n qu’il faut apaiser la colère de Diane par le sacrifice d’Iphigénie,
fille
aînée d’Agamemnon50. « A ce prix, dit Calchas, le
. » Accablé de cet oracle et résolu à ne pas souffrir qu’on immole sa
fille
, Agamemnon ordonne à Talthybius, un de ses héraut
s Lyrnesse, ville de Troade, il demanda et obtint en partage Briséis,
fille
de Brisès, grand prêtre de Jupiter. La beauté de
e qui précéda la ruine de Troie, Achille brûla d’amour pour Polyxène,
fille
de Priam, la demanda pour épouse, et l’obtint ; m
Télèphe. Télèphe, fils d’Hercule et roi de Mysie, épousa une des
filles
de Priam, et fit alliance avec ce monarque dont l
ment au triomphe : Hécube, veuve de Priam, Cassandre et Polyxène, ses
filles
, et Andromaque, veuve d’Hector. § 8. Anténor.
ain fumante de carnage, arracha du sanctuaire la prêtresse Cassandre,
fille
de Priam. Minerve, irritée de cette violation fai
cléa. Il n’y avait pas deux ans qu’il avait épousé la belle Pénélope,
fille
d’Icarius, lorsque la guerre éclata entre les Gre
, et aborda pour la seconde fois en Sicile, à ce rivage fameux, où la
fille
d’Apollon, Lampétie, gardait les troupeaux du die
ts le poussèrent dans l’île d’Ogygie55, où régnait la nymphe Calypso,
fille
de l’Océan, qui le reçut avec les démonstrations
-mêmes ; son épouse donnait l’exemple du travail et de l’économie. Sa
fille
, l’aimable et pudique Nausicaa, partageait avec s
usement de la Chersonèse, c’était d’immoler à ses mânes plaintifs, la
fille
d’Hécube, Polyxène, qui lui avait été autrefois p
magnifique cénotaphe. § 21. Clymnestre — Oreste. Clytemnestre,
fille
de Tyndare et de Léda, épousa Agamemnon, roi d’Ar
nce contre eux la sentence de mort et un prompt supplice. Iphigénie,
fille
d’Agamemnon et sœur d’Oreste, était alors prêtres
reprend possession du trône, et songe à épouser Hermione, sa cousine,
fille
d’Hélène et de Ménélas. Hermione lui avait été ja
rmione et la couronne de Sparte59. § 22. Cassandre. Cassandre,
fille
de Priam, avait promis à Apollon de l’épouser, s’
navigua vers l’Italie, où régnait Latinus, roi des Latins. Lavinie,
fille
unique de Latinus et d’Amata, était alors recherc
le dans la personne de cet illustre fugitif, lui offrit la main de sa
fille
, et le désigna pour son successeur au trône. Mais
yaume fut le berceau de l’empire romain61. § 24. Didon. Didon,
fille
de Bélus, roi de Tyr, et sœur de Pygmalion, épous
devint dès cet instant d’un noir pourpré. § 3. Europe. Europe,
fille
d’Agénor roi de Phénicie, et sœur de Cadmus, étai
an, fut aimée d’Apollon, qui l’abandonna pour s’attacher à Leucothoé,
fille
d’Orchame roi de Babylone. Clytie inconsolable de
roi de Thèbes, épousa Néphélé, qui le rendit père d’un fils et d’une
fille
(Phryxus et Hellé), célèbres dans la fable. Ces d
ait atteinte de folie, la répudia, et épousa Ino, princesse illustre,
fille
de Cadmus. Les noces en furent célébrées avec une
Mélicerte sous celui de Palémon. § 9. Écho. — Narcisse. Écho,
fille
de l’Air, aimait si éperdument Narcisse, qu’elle
s docile à s’y conformer. § 11. Latone et les Lyciens. Latone,
fille
du titan Céus, était si parfaitement belle qu’ell
, animaux qui aiment et habitent la fange. § 12. Niobé. Niobé,
fille
de Tantale roi de Lydie, épousa Amphion, roi de T
leur éducation. Ses fils étaient bien faits, agiles, vigoureux ; ses
filles
possédaient toutes les vertus de leur sexe et de
es mortels. Offensée de tant d’orgueil, Latone invoqua son fils et sa
fille
, et les pria de la venger : vœu cruel, qui ne tar
de Thèbes fut envahie par la peste. Les sept fils du roi et ses sept
filles
en furent atteints et succombèrent, malgré la pro
finesse, son titre. § 14. Progné, Térée et Philomèle. Progné,
fille
de Pandion roi d’Athènes, épousa Térée roi de Thr
ellio. Quand Cérès parcourait le monde, cherchant de tous côtés sa
fille
que Pluton venait d’enlever, elle se sentit accab
faits détachés. § 1. Psyché. Psyché, la plus jeune des trois
filles
d’un roi d’Asie, était belle comme le jour, mais
querelle survenue entre eux, força Danaüs de s’expatrier avec ses 50
filles
, et de chercher en Asie ou en Europe un établisse
’état florissant du royaume que gouvernait son frère, lui demanda ses
filles
en mariage pour ses 50 fils, et les obtint. Mais
ne recula pas devant le plus monstrueux des forfaits. Il appelle ses
filles
près de lui, il les arme d’un poignard, et leur f
t la rendit à son époux. § 4. Atalante et Hippomène. Atalante,
fille
de Schénée roi de Scyros, était si passionnée pou
ée, et devient l’épouse de son vainqueur. § 5. Sémélé. Sémélé,
fille
d’Hermione et de Cadmus, habitait la ville de Thè
il de sa gloire et avec toute la pompe de la majesté souveraine. » La
fille
de Cadmus, persuadée par ce discours dont elle ne
§ 10. Les Sirènes. Les Sirènes, sorte de fées musiciennes, étaient
filles
de Calliope et du fleuve Achéloüs, et habitaient
me aurait passé devant les Sirènes sans se précipiter vers elles, ces
filles
des eaux périraient. Ulysse amena leur jour fatal
li sous ses ruines. § 13. Circé. Circé, princesse de Colchide,
fille
du Soleil, était une magicienne cruelle, artifici
au dauphin, sauveur d’Arion. § 16. Alceste et Admète. Alceste,
fille
de Pélias, fut recherchée en mariage par un grand
arpyes. Phinée, roi de Bithynie, épousa en secondes noces une des
filles
de Dardanus, appelée Idæa. Cette femme, d’un natu
gle à son tour, et lancèrent à sa poursuite les Harpyes. Les Harpyes,
filles
de Neptune, étaient des monstres ailés, qui avaie
18. Ixion. Ixion, fils de Phlégyas, roi des Lapithes, épousa Dia,
fille
de Déjonée. Ixion avait promis à Déjonée des prés
de ses impostures, désira l’avoir pour gendre, et lui fit épouser sa
fille
Anticlée70. Près de rendre le dernier soupir, Sis
de Neptune. Neptune, selon eux, aurait épousé Æthra, femme d’Égée et
fille
de Pitthée. 41. Quelques auteurs prétendent que
ment frères de père, ou consanguins. La mère de Teucer était Hésione,
fille
de Laomédon. 53. Les Grecs et les Romains compos
mentionnées dans aucun écrivain de l’antiquité. 59. Hermione était
fille
unique de Ménélas, roi de Sparte. — Racine, dans
ue du Cancer. 65. Apollon et Diane. 66. Selon Ovide, Alcyone était
fille
d’Éole, dieu des Vents. Mais, selon d’autres aute
uit, en l’embellissant, dans son roman de Psyché. 69. Procris était
fille
d’Érechthée roi d’Athènes, et sœur d’Orithyie, do
femme du Ciel, l’autre femme de Saturne, et une troisième qui seroit
fille
de ce dieu. Numa Pompilius, second roi de Rome, a
orrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique,
Fille
des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel
s le nom de Jupiter-Dodonéen. Junon. D. De qui Junon étoit-elle
fille
? R. Junon étoit fille de Saturne et de Cybèle,
néen. Junon. D. De qui Junon étoit-elle fille ? R. Junon étoit
fille
de Saturne et de Cybèle, et sœur de Jupiter, qui
lques-uns des traits de la vengeance de Junon. R. Jupiter aimoit Io,
fille
d’Inachus, le plus ancien roi d’Argos. Pour dérob
peine terrible Junon infligea-t-elle aux Prœtides ? R. Les Prœtides,
filles
de Prœtus, roi d’Argos, étoient fort belles. Elle
es forêts voisines : Triste Pasiphaé !… quelle fureur t’inspire, Les
filles
de Prœtus, par un même délire, Effrayèrent Argos
une figure richement parée, et de faire annoncer que c’étoit Platée,
fille
d’Asope, qu’il alloit épouser. A cette nouvelle,
nous appelons l’arc-en-ciel. Cérès. D. De qui Cérès fut-elle
fille
? R. Elle fut fille de Saturne et de Cybèle. Ell
n-ciel. Cérès. D. De qui Cérès fut-elle fille ? R. Elle fut
fille
de Saturne et de Cybèle. Elle étoit la déesse des
a aux hommes l’agriculture, en parcourant l’univers, pour chercher sa
fille
Proserpine que Pluton avoit enlevée. D. Racontez
ats avec sa proie. D. Que fit Cérès, lorsqu’elle sut le malheur de sa
fille
? R. Elle alluma deux flambeaux sur le mont Etna
s à Jupiter, père de Proserpine, et le conjura de lui faire rendre sa
fille
. Jupiter y consentit, pourvu qu’elle n’eût rien m
e, qu’il consuma tout son bien, sans pouvoir la satisfaire. Métra, sa
fille
, que Neptune avoit aimée, obtint de ce Dieu de pr
à la fureur du monstre. Bientôt le sort désigna pour victime Hésione,
fille
de Laomédon. Mais Hercule la délivra. Laomédon, q
aites-nous connoître plus particulièrement Amphitrite. R. Elle étoit
fille
de l’Océan et de la nymphe Doris. Comme elle avoi
t Doris, qui se marièrent ensemble et donnèrent naissance à cinquante
filles
appelées Néréides, ou nymphes de la mer. Elles on
la nature. D. Dites-nous quelque chose des Sirènes. R. Les Sirènes,
filles
du fleuve Achéloüs et de la muse Calliope, étoien
ète et Célæno. D. Racontez l’histoire d’Ino et de Mélicerte. R. Ino,
fille
de Cadmus et d’Harmonie, épousa en secondes noces
ange.) D. Que nous direz-vous de Scylla et de Charybde ? R. Scylla,
fille
de Phorcys, étoit une belle nymphe qui fut aimée
qui frémit des conseils qu’elle donne, Et l’Ivresse du crime, et les
Filles
d’enfer, Reposant leur fureur sur des couches de
ent-ils l’exécution de leurs sentences ? R. Aux Furies ou Euménides,
filles
de la Nuit et de l’Achéron. On en compte trois, A
trois Parques, appelées, quelquefois Sœurs filandières. Elles étoient
filles
de l’Erèbe et de la Nuit. Elles se nommoient Clot
st-ce que la Nuit ? R. La Nuit est la déesse des ténèbres : elle est
fille
du Ciel et de la Terre. On la représente avec, un
de , trad. de Saintange.) D. Qu’est-ce que la Mort ? R. La Mort est
fille
de l’Érèbe et de la Nuit. Une faux sanglante arme
tyx ? R. Ce fleuve environne neuf fois les enfers. Styx fut, dit-on,
fille
de l’Océan et de Téthys. Elle eut de l’Achéron un
fut, dit-on, fille de l’Océan et de Téthys. Elle eut de l’Achéron une
fille
appelée la Victoire. Lorsque Jupiter, pour punir
appela les immortels à son secours, Styx accourut la première avec sa
fille
. Le maître des dieux, pour reconnoître ce service
refusa à Déionée les présents qu’il lui avoit promis pour épouser sa
fille
; ce qui porta ce dernier à lui enlever ses cheva
Cérès, trop occupée de la douleur que lui causoit l’enlèvement de sa
fille
, dévora une épaule. Les autres dieux eurent horre
ontez l’histoire des Danaïdes. R. Danaüs, roi d’Argos, eut cinquante
filles
appelées Danaïdes, du nom de leur père. Égyptus,
voit prédit qu’il seroit détrôné par un de ses gendres, ordonna à ses
filles
d’assassiner leurs époux, la première nuit de leu
rmnestre qui sauva la vie à son époux Lyncée. Jupiter, pour punir ces
filles
cruelles, les condamna à remplir d’eau un tonneau
la vigilance nécessaire au guerrier. On dit qu’il eut de Rhéa-Sylvia,
fille
de Numitor, Romulus et Rémus qui furent les fonda
origine de Vénus. R. Vénus, déesse de la beauté et des amours, étoit
fille
de Jupiter et de Dioné, l’une des nymphes de la m
hus, les trois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosyne. D’autres les font
filles
de Jupiter et d’Eurynome. Elles sont les compagne
de Bacchus ? R. Bacchus eut pour père Jupiter, et pour mère Sémélé,
fille
de Cadmus roi de Thèbes. Junon, toujours jalouse,
se trouvoient la mère et les parentes de ce prince. Les Minéides, ou
filles
de Minée, s’étant moquées des fêtes de Bacchus, e
En mémoire de cet événement, on institua les jeux Pythiens, Chez les
filles
de mémoire Allez apprendre l’histoire De ce serpe
i l’a fait honorer depuis comme le dieu des pasteurs. Il aima Daphné,
fille
du fleuve Pénée, et la poursuivit une année entiè
, de sa main immortelle, tient les rênes étincelâmes. A cette vue, la
fille
du jour verse des larmes de tendresse ; les zéphy
i accorda sa demande. Céphale étoit fils d’Éole, et mari de Procris,
fille
d’Érechthée, roi d’Athènes. L’Aurore l’enleva ; m
e énorme baleine. On voit au milieu d’eux, sur la liquide plaine, Les
filles
de Doris former cent jeux divers, Sécher leurs lo
Coronis en corneille. Les Muses. D. De qui les Muses sont-elles
filles
? R. Les Muses sont filles de Jupiter et de Mném
Muses. D. De qui les Muses sont-elles filles ? R. Les Muses sont
filles
de Jupiter et de Mnémosine, déesse de la mémoire.
s cieux et diviser la terre. Diane. D. De qui Diane étoit-elle
fille
? R. Diane étoit fille de Jupiter et de Latone,
rre. Diane. D. De qui Diane étoit-elle fille ? R. Diane étoit
fille
de Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon ; on l
céleste. D. Comment Diane punit-elle la nymphe Calisto ? R. Calisto,
fille
de Lycaon, étoit la nymphe la plus chérie de Dian
se. D. Quelle vengeance Diane exerça-t-elle contre Niobé ? R. Niobé,
fille
de Tantale et de Dioné, épousa Amphion, roi de Th
sa Amphion, roi de Thèbes. Elle en eut douze enfants, six fils et six
filles
; et, fière de sa fécondité, elle se préféra à La
on appeloit syrinx. D. Racontez l’origine de cette flûte. R. Syrinx,
fille
du fleuve Ladon, étoit une des nymphes de Diane.
Echo. D. Racontez les malheurs de la nymphe Echo. R. Echo étoit
fille
de l’Air et de la Terre. Junon, piquée de ce que
strée D. Quelle est la déesse de la justice ? R. C’est Thémis,
fille
du Ciel et de la Terre. On la représente ordinair
prend pour un bandeau. ( La Motte.) D. Qu’étoit Astrée ? R. Astrée,
fille
de Jupiter et de Thémis, est regardée comme la ju
L’Envie. D. Comment l’Envie est-elle représentée ? R. L’Envie,
fille
de la Nuit, est représentée sous les traits d’un
appris de l’oracle, qu’il périroit de la main d’un fils que Danaé, sa
fille
, mettroit au monde. Pour prévenir ce malheur, il
es-nous connoître les Gorgones. R. Les Gorgones étoient trois sœurs,
filles
de Phorcus, dieu marin, et de Céto. Elles s’appel
Quel usage Persée fit-il encore de la tête de Méduse ? R. Andromède,
fille
de Céphée roi d’Éthiopie, et de Cassiopée, avoit
pétrifia le monstre en lui présentant la tête fatale. Céphée donna sa
fille
pour épouse à Persée. Mais Phinée, oncle de la pr
t sur les rives du fleuve Thermodon, en Thrace. Elles élevoient leurs
filles
dans l’exercice des armes ; elles estropioient ou
ui. Ayant su qu’Hercule étoit retenu en Eubée par les charmes d’Iole,
fille
d’Euryte, elle envoya à son époux la tunique de N
roi d’Oébalie, mari de Léda, fut père de Castor. Léda eut aussi deux
filles
: l’une, née de Jupiter, fut la fameuse Hélène, q
ux projet d’en affranchir sa patrie, et partit pour la Crète. Ariane,
fille
de Minos, lui fut d’un grand secours dans son ent
guerrières : il en eut un fils qui porta le nom, de sa mère. Phèdre,
fille
de Minos, que Thésée prit depuis pour femme, devi
protection spéciale dont les dieux l’honoroient, lui donna sa seconde
fille
en mariage, et le déclara son successeur. Sthénob
à Mars. Aëte, parent de Phryxus, et roi de la Colchide, lui donna sa
fille
en mariage. Mais ensuite il envia les trésors de
t à la conservation du précieux dépôt. C’est par le secours de Médée,
fille
d’Aëte, et qui excelloit dans l’art des enchantem
par la force de ses enchantements, le vieux Eson, père de Jason. Les
filles
de Pélias voulurent obtenir d’elle la même faveur
rône à Eson, et avoit voulu faire périr Jason. Elle persuada donc aux
filles
du roi, de couper leur père par morceau, et d’en
time des fureurs de Médée ? R. Oui. Jason devint amoureux de Créuse,
fille
de Créon, roi de Corinthe. Médée fut outrée de ce
ouva des malheurs domestiques aussi grands que multipliés. Sémélé, sa
fille
, mère de Bacchus, fut consumée par la foudre ; In
sa fille, mère de Bacchus, fut consumée par la foudre ; Ino, aussi sa
fille
, fuyant son mari Athamas, devenu furieux, se préc
mari Athamas, devenu furieux, se précipita dans la mer ; Agavé, autre
fille
de Cadmus, célébrant les Orgies avec les Ménades,
, mit en pièces son propre fils nommé Penthée ; Autonoé, sa quatrième
fille
, eut à déplorer la mort funeste de son fils Actéo
lion ? R. Deucalion, fils de Prométhée et de Pandore, épousa Pyrrha,
fille
d’Épiméthée son oncle. Dans le temps qu’il régnoi
s malheurs de Philomèle et de Progné. R. Philomèle et Progné étoient
filles
de Pandion, roi d’Athènes. Progné épousa Térée, r
es poëtes nous apprennent des Hespérides ? R. Les Hespérides étoient
filles
d’Hesper, frère d’Atlas. Ou en compte ordinaireme
rdin des Hespérides. D. Racontez l’histoire d’Atalante. R. Atalante,
fille
d’un roi de Scyros, étoit si légère à la course,
lle désolée par le Sphinx. C’étoit un monstre qui avoit la tête d’une
fille
, le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un
me. Jocaste, son épouse et sa mère, se pendit de désespoir. Antigone,
fille
, d’Œdipe, modèle de piété filiale, servit de guid
de Pélops. R. Pélops, fils de Tantale, demanda la main d’Hippodamie,
fille
d’Œnomaüs, roi d’Élide et de Pise. Œnomaüs aimoit
fille d’Œnomaüs, roi d’Élide et de Pise. Œnomaüs aimoit tellement sa
fille
, qu’il ne pouvoit se résoudre à s’en séparer. Afi
m, fut envoyé par son père, à Salamine, pour se faire rendre Hésione,
fille
de Laomédon. Cette princesse avoit été enlevé par
bsence. Le prince troyen se fit aimer d’Hélène, épouse de Ménélas, et
fille
de Jupiter et de Léda. Hélène s’enfuit avec Pâris
retirer à Sparte, ou régnoit Tyndare. Le roi de Sparte avoit marié sa
fille
Clytemnestre à Tantale, fils de Thyeste. Méconten
emnon de l’aider à recouvrer son royaume sur Thyeste, et à enlever sa
fille
à Tantale, à condition de l’épouser lui-même. Le
ats sur Thyeste, tua Tantale, et épousa Clytemnestre dont il eut deux
filles
, Iphigénie et Electre, et un fils nommé Oreste. D
la famille d’Agamemnon. Le roi hésita long-temps, et accorda enfin sa
fille
aux sollicitations des princes confédérés. Ulysse
ns la tragédie d’Iphigénie en Aulide, par Racine, Agamemnon attend sa
fille
à l’autel pour l’immoler aux dieux. Mais, comme e
’avoit retenue auprès d’elle. Ne croyant point que Clytemnestre et sa
fille
soient instruites du sacrifice qui se prépare, il
ant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin.
Fille
d’Agamemnon, c’est moi qui, la première, Seigneur
nter, Pour prévenir les pleurs que je leur vais coûter. Agamemnon. Ma
fille
, il est trop vrai ; j’ignore pour quel crime La c
èle indiscret, L’affranchissent d’un joug qu’il portoit à regret ? Ma
fille
, il faut céder ; votre heure est arrivée. Songez
te ; Oui, vous êtes le sang d’Atrée et de Thyeste ; Bourreau de votre
fille
, il ne vous reste enfin Que d’en faire à sa mère
me d’Hélène on punit sa famille, Faites chercher à Sparte Hermione sa
fille
; Laissez à Ménélas racheter d’un tel prix Sa cou
te trahison. Un prêtre, environné d’une foule cruelle, Portera sur ma
fille
une main criminelle ! Déchirera son sein, et d’un
l fut le sort de la famille d’Agamemnon ? R. La sensible Electre, sa
fille
, ne cessa de pleurer la mort de son père. Elle sa
nna sa sœur Électre en mariage à Pylade ; ensuite il épousa Hermione,
fille
de son oncle Ménélas, et joignit au royaume de My
ne héros périroit sous les murs de cette ville, l’envoya en habits de
fille
, et sous le nom de Pyrrha, à la cour de Lycomède,
la cour de Lycomède, roi de Scyros. Achille se fit aimer de Déidamie,
fille
de Lycomède, et en eut un fils nommé Pyrrhus. D.
ant Troie. R. Achille, dans le sac de Lyrnesse, avoit pris Chryséis,
fille
de Chrysès, grand-prêtre d’Apollon. Cette jeune c
non. Chrysès, revêtu de ses ornements sacerdotaux, vint redemander sa
fille
, qui lui fut refusée. Apollon, à la prière de son
t mourut Achille ? R. Achille, pendant une trêve, avoit vu Polyxène,
fille
de Priam, et en étoit devenu amoureux. Il la fit
e d’Hector. Pyrrhus l’aima jusqu’à la préférer à son épouse Hermione,
fille
de Ménélas et d’Hélène. Cet amour fut cause de la
i ! Quels démons ; quels serpents traîne-t-elle après soi ! Hé bien !
Filles
d’enfer, vos mains sont-elles prêtes ? Pour qui s
es grecs ? R. Il découvrit, à son tour, Achille qui étoit déguisé en
fille
dans l’île de Scyros. C’est lui qui enleva le pal
it dans l’île d’Œa, chez Circé. D. Faites connoître Circé. R. Circé,
fille
du Soleil, étoit une magicienne si habile, qu’ell
seul dans l’île de Calypso. D. Dites un mot de Calypso. R. Calypso,
fille
de l’Océan et de Téthys, régnoit dans une île de
e d’Énée ? R. Énée, fils d’Anchise et de Vénus, avoit épousé Créuse,
fille
de Priam. Il montra beaucoup de valeur pendant le
implacable du nom troyen, il aborda en Italie, où il obtint Lavinie,
fille
du roi Latinus. Cette princesse avoit été promise
ameux intérêts qui ont si long-temps divisé Rome et Carthage. Didon,
fille
de Bélus, roi de Tyr, avoit épousé Sichée, le plu
des ténèbres » Retentissent les airs de hurlements funèbres ! » Pâles
filles
du Styx ! vous touts, lugubres dieux ! » Dieux de
à des préceptes. » Madame de Lambert, dans les Avis d’une mère à sa
fille
, s’exprime ainsi : « On a dans touts les temps n
’exprime ainsi : « On a dans touts les temps négligé l’éducation des
filles
: l’on n’a d’attention que pour les hommes ; et,
enfants jouent fréquemment au grand air, et il étend ce précepte aux
filles
comme aux garçons. Voici comme il s’explique : «
me dire ici que quoiqu’on doive avoir plus d’égard pour la beauté des
filles
, plus elles seront exposées à l’air, en sorte que
s prendre de soins pour en faire naître l’amour dans le cœur de leurs
filles
, dès leur plus tendre jeunesse ! De combien de pr
entiment. Mais l’immortel Fénelon a fait un traité de l’éducation des
filles
. Nous ne craindrons point de nous égarer en prena
ette grande autorité que sera fondée notre réponse. « Apprenez à une
fille
à lire, à écrire correctement. Il est honteux, ma
as mieux nous en tenir à notre écriture ? « II faudroit aussi qu’une
fille
sût la grammaire… Vous les mettrez en état d’appr
rs grâces ; cependant des parents sages ne permettront point que leur
fille
porte trop loin ses prétentions dans cet art. La
t de l’étude des langues étrangères. Quelques parents donnent à leurs
filles
des maîtres de langue angloise, de langue alleman
.) D. Que nous direz-vous de la présomption ? R. La présomption est
fille
de l’orgueil ; d’autres la disent fille de l’igno
tion ? R. La présomption est fille de l’orgueil ; d’autres la disent
fille
de l’ignorance. Elle fait que nous nous flattons
eure. ( Gresset, le Méchant.) D. La vanité n’est-elle pas encore une
fille
de l’orgueil ? R. Oui. La vanité est une seconde
as encore une fille de l’orgueil ? R. Oui. La vanité est une seconde
fille
de l’orgueil. C’est l’amour propre qui se montre.
livres qui amollissent l’ame et l’énervent. Rousseau dit que jamais
fille
chaste n’a lu de romans . En effet, ces livres fo
tement. On ne remédie point à ce terrible inconvénient en mettant ses
filles
en pension, si on les fait ensuite venir chez soi
e ? II. — Cybèle ou Vesta. Cybèle, Déesse de la terre, est
fille
du Ciel et épouse de Saturne ; on l’appelait auss
fférents noms ? — Comment le représente-t-on ? IV. — Junon.
Fille
de Saturne et de Cybèle, sœur et épouse de Jupite
lieu d’un bois de lauriers, qu’on le représentait, entouré des Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, auxquelles il se plai
résente-t-on Apollon ? VI. — Diane. Diane, sœur d’Apollon,
fille
de Jupiter et de Latone, avait trois noms, comme
hus. Bacchus, Dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé,
fille
de Cadmus, roi d’Athènes. Junon, toujours outrée
eur, qu’il se mutila lui-même et se coupa les jambes. Les Minéides ou
filles
de Minée, habiles ouvrières qui excellaient dans
t les Romains lui avaient donné le surnom de Liber. Il épousa Ariane,
fille
de Minos, roi de Crète, que Thésée avait abandonn
es ne sont pas d’accord sur son origine : suivant les uns, elle était
fille
du Ciel et de la Terre ; suivant d’autres, elle d
ges troyens. Rentré en grâce auprès de Jupiter, il épousa Amphitrite,
fille
de l’Océan ; cette nymphe montra d’abord une gran
par les Déesses, il prit le parti d’enlever de vive force Proserpine,
fille
de Cérès ; il la surprit un jour occupée avec ses
ères la science de la guerre. En visitant l’Attique, il apprit que sa
fille
Alcippa était accablée d’outrages par le cruel Ha
e Romulus et Rémus étaient issus de l’union de Mars avec Rhea Silvia,
fille
de Numitor, roi d’Albe. Aussi le culte du fils de
ulier ? — Comment le représentait-on ? XV. — Cérès. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, est la Déesse de l’agric
décidée à ne pas se reposer qu’elle n’eût découvert la destinée de sa
fille
. En traversant l’Attique, elle s’arrêta chez Célé
ssitôt se jeter en pleurant aux pieds de Jupiter et lui redemander sa
fille
. Le maître de l’Olympe, touché de sa douleur, s’e
que Cérès ? — N’éprouva-t-elle pas un violent chagrin au sujet de sa
fille
Proserpine ? — Que lui arriva-t-il dans l’Attique
lui arriva-t-il dans l’Attique ? — Parvint-elle enfin à retrouver sa
fille
? — Quel culte lui rendait-on ? — Comment la repr
? Chapitre premier. Divinités terrestres. Thémis. Thémis,
fille
du Ciel et de la Terre, mère de la Loi et de la P
ce que l’Hymen ? — Comment est-il représenté ? Aurore. Aurore,
fille
de Titan et de la Terre, préside à la naissance d
cette intention ; mais, ayant appris qu’il était l’époux de Procris,
fille
du roi d’Athènes, elle le rendit à sa femme. Cett
paient tous ceux qu’ils rencontraient. Ce Dieu voulut épouser Syrinx,
fille
du fleuve Ladon ; mais cette Naïade, pour se sous
de la mer, et cette union donna naissance à un nombre considérable de
filles
nommées nymphes, et aux divinités des fleuves, de
e Téthys, était un dieu marin qui épousa Doris, dont il eut cinquante
filles
qui furent les nymphes de la mer. Nérée était cél
ualités fut-il surtout remarquable ? Néréides. Les Néréides ou
filles
de Nérée étaient au nombre de cinquante ; c’étaie
les peintres les ont-ils représentées ? Naïades. Les Naïades,
filles
de Jupiter, étaient les nymphes qui présidaient a
es ? — Comment les représente-t-on ? Les Sirènes. Les Sirènes,
filles
du fleuve Achéloüs et de la muse Calliope, étaien
avoir longtemps inutilement cherché et sur la terre et sur la mer la
fille
de Cérès, elles vinrent se fixer dans la mer de S
, et qui menaçait de l’écraser. Les Danaïdes étaient cinquante sœurs,
filles
d’un roi d’Argos, qui épousèrent le même jour leu
is par l’oracle que l’un de ses gendres le détrônerait, ordonna à ses
filles
d’égorger leurs maris dès le jour des noces. Une
fil avec ses ciseaux. La Nuit. La Nuit, Déesse des ténèbres, et
fille
du Chaos, épousa l’Achéron et donna le jour aux F
nes illusions passent par une porte d’ivoire. La Mort. La Mort,
fille
du Sommeil et de la Nuit, et la plus implacable d
estin ? — Comment le représente-t-on ? La Fortune. La Fortune,
fille
de Jupiter, avait le pouvoir de dispenser aux hom
ssé ? — Comment la représente-t-on ? La Renommée. La Renommée,
fille
de Titan et de la Terre, avait mission de parcour
Renommée ? — Comment la représente-t-on ? La Paix. La paix est
fille
de Jupiter et de Thémis, et on la confond souvent
et de Pélée ? — Comment la représente-t-on ? L’Envie. L’Envie,
fille
de la Nuit, est représentée sous les traits les p
ue l’on nommait Némésis et quelquefois Adrastée, était regardée comme
fille
de Jupiter et de la Nécessité. Elle était chargée
e ? — Comment la représente-t-on ? La Nécessité. La Nécessité,
fille
de la Fortune, était considérée comme la plus pui
et actif entouré des instruments de diverses professions. La seconde,
fille
du Sommeil et de la Nuit, avait été métamorphosée
ement sa statue ? La Victoire. La Victoire, ou Nicée, était la
fille
de la Déesse Styx et du géant Pallas. On la peint
ls. Pour échapper à cette funeste destinée, il fit enfermer Danaé, sa
fille
unique, dans une tour d’airain ; mais Jupiter s’y
Informé de cet événement, Acrisius fit jeter sur une frêle barque sa
fille
et son petit-fils, qu’il exposa à la fureur des f
orgones, qui désolaient au loin les campagnes. C’étaient trois sœurs,
filles
de Phorcus, nommées Méduse, Euryale et Sthéno. Ce
almer le courroux des Dieux : c’était de livrer au monstre Andromède,
fille
de Cassiope ; cette jeune fille fut en conséquenc
le héros démontra son innocence, et le roi, après lui avoir donné sa
fille
en mariage, le retint dans ses États, le combla d
dant il se dégagea de cette humiliante servitude, et épousa Déjanire,
fille
du roi de Calydon, après avoir vaincu le fleuve A
ut de combattre le monstre. Sa bravoure et sa jeunesse touchèrent les
filles
de Minos, Phèdre et Ariane ; cette dernière lui d
compagnons dans leur patrie. En quittant la Crète il enleva les deux
filles
du roi, et, après avoir cruellement abandonné sur
n d’éclat mit le comble à sa gloire ? — Comment agit-il à l’égard des
filles
de Minos ? — Comment causa-t-il involontairement
’il n’avait trouvé un appui inattendu à la cour du roi Æètes : Médée,
fille
de ce prince, fort habile magicienne, résolut de
trésor qu’il ambitionnait, prit la fuite, enlevant les trésors et la
fille
d’Æètes. Poursuivie par son père, Médée mit en pi
orce de ses enchantements, la force et la vigueur de la jeunesse. Les
filles
de Pélias, l’ancien tuteur de Jason, ayant vu le
té de l’odieux caractère de sa femme, la répudia pour épouser Créuse,
fille
du prince qui lui avait donné l’hospitalité. Médé
s d’Agénor, roi de Phénicie. Son père, désolé de la disparition de sa
fille
Europe, que Jupiter, sous la forme d’un taureau,
t. Il épousa Hermione ou Harmonie, dont il eut Sémélé et trois autres
filles
. Sur la fin de sa vie il fut chassé par le peuple
oir, Œdipe s’arracha les yeux et se bannit de la Béotie. Guidé par sa
fille
Antigone, qui lui prodiguait les soins les plus c
il vint à la cour d’Œnomaüs, roi d’Élide et de Pise. Ce roi avait une
fille
nommée Hippodamie, et comme il ne voulait pas s’e
iser la colère du Dieu des mers, avait été obligé d’exposer sa propre
fille
sur le bord de la mer, où elle devait être la pro
endant à la conquête de la Toison d’or, tua le monstre, et délivra la
fille
du roi. Mais Laomédon l’ayant frustré de la récom
nts ne deviendraient favorables que lorsqu’Agamemnon aurait immolé sa
fille
Iphigénie à Diane, dont il avait encouru la disgr
et de Mycène, descendant de Tantale et d’Atrée, épousa Clytemnestre,
fille
de Léda, dont il eut Oreste, Electre et Iphigénie
ne rendrait les vents favorables qu’après qu’il lui aurait immolé sa
fille
Iphigénie, il fit céder ses sentiments paternels
céder ses sentiments paternels à ses devoirs de général, et appela sa
fille
à son camp sous prétexte de la donner pour épouse
qui se préparait contre cette ville ; elle l’envoya donc, déguisé en
fille
, à la cour de Lycomède, roi de Scyros71. Mais com
à Scyros caché sous le déguisement d’un marchand, et alla offrir aux
filles
du roi des bijoux et des parures, au milieu desqu
Dans la dernière année du siége de Troie, Achille demanda à Priam sa
fille
Polyxène en mariage, lui promettant de devenir so
moment où commença la guerre de Troie, il venait d’épouser Pénélope,
fille
d’Icare. Désirant rester dans son pays et auprès
a capitale, et étendit au loin ses conquêtes. Il avait épousé Hécube,
fille
de Cissée, roi de Thrace, dont il eut un grand no
inus ; Enée fit alliance avec ce prince, qui lui promit en mariage sa
fille
Lavinie. Mais cette princesse était déjà fiancée
rincipales, dont les plus célèbres sont les suivantes : La Delphique,
fille
du divin Tirésias ; Diodore rapporte qu’après la
fut la plus célèbre de toutes ; elle se nommait Déiphobe ; elle était
fille
de Glaucus, et prêtresse d’Apollon et d’Hécate. O
les circonstances les plus graves. On peut citer encore la Libyenne,
fille
de Jupiter, que l’on vit successivement à Samos,
ire sa révolution. 2. Quelques auteurs prétendent que Vesta était la
fille
de Cybèle ; mais la plupart des poëtes les confon
t encore les ruines du temple magnifique élevé à Vénus. 25. Déesses,
filles
de Jupiter et de Thémis, qui présidaient aux sais
37. Il ne faut pas confondre Téthys, déesse des eaux, avec Thétis,
fille
de Nérée, et mère d’Achille. 38. Aujourd’hui le
nt portes ouvertes dans ses murailles. 64. Niobé, femme d’Amphion et
fille
de Tantale, ayant eu quatorze enfants, se mettait
t irritée, qu’elle fit tuer par ses enfants les sept fils et les cinq
filles
de Niobé ; cette dernière fut métamorphosée en ro
uple de la côte d’Afrique, en deçà de la Syrie. 76. Cassandre était
fille
de Priam et d’Hécube ; cette princesse avait reçu
qu’il s’était arrêté sur une montagne, il en sortit avec sa femme, sa
fille
et le pilote ; il adora la terre, éleva un autel,
ien d’historique, comme celle d’Até, rapportée par Homère. Elle était
fille
de Jupiter, mais elle ne s’occupait qu’à faire du
lu par cette fable représenter la pente des hommes vers le mal. Cette
fille
, dit-il, parcourt toute la terre avec une célérit
il, parcourt toute la terre avec une célérité incroyable ; ses sœurs,
filles
de Jupiter comme elle, et que l’on nomme les Priè
oit avancer sans résistance. L’histoire nous apprend que Cybèle était
fille
d’un roi de Phrygie ; elle quitta ce pays pour ve
elle désira se l’attacher ; mais il lui préféra la nymphe Sangaride,
fille
de Sangar, roi de Phrygie. La fable dit que la dé
e Sangaride est fondée sur ce que Midas, roi de Pessinunte, promit sa
fille
en mariage au jeune Atys. Cybèle, avertie qu’elle
sca ou Vesta tellus ; mais il faut la distinguer de la seconde Vesta,
fille
de Saturne, qui était la déesse du feu, et qui pr
du feu et de la virginité. Numa Pompilius éleva un autel à Vesta,
fille
de Saturne, et institua les célèbres prêtresses q
Cadmus, quatorze siècles avant l’ère chrétienne. Celui qui épousa la
fille
d’Atlas vivait environ cent quarante ans avant la
s. Avant la naissance de Jupiter, Saturne avait déjà dévoré Vesta, sa
fille
aînée, Cérès, Junon, Pluton et Neptune. Rhéa, sen
a tous les dieux et toutes les déesses à son secours. La déesse Styx,
fille
de l’Océan et de Téthys, arriva la première, acco
Cilicie et l’enferma dans un antre, sous la garde d’un monstre moitié
fille
et moitié serpent. Mercure et Pan ayant surpris l
os. Métamorphosé en cygne, il eut de Léda Castor et Pollux. D’Europe,
fille
d’Agénor, il eut Minos et Rhadamanthe ; de Calist
mphion et Zéthus ; de Danaé, Persée ; d’Iodamé, Deucalion ; de Carné,
fille
d’Eubulus, Britamarte ; d’une nymphe Sithnide, Mé
it métamorphosé en berger, les neuf Muses ; de Junon, Mars ; de Maïa,
fille
d’Atlas, Mercure ; de Latone, Apollon et Diane ;
de Métis ou la Providence, Minerve, déesse de la sagesse ; de Sémélé,
fille
de Cadmus, Bacchus. Cette longue liste des enfans
re attribuées à divers personnages. Par exemple, l’histoire de Niobé,
fille
de Phoronée, appartient à Jupiter Apis, roi d’Arg
par la beauté de Pandore, la choisit pour femme, et devint père d’une
fille
nommée Pyrrha, qui, par la suite, épousa Deucalio
t ce qu’il voit faire. Histoire et fable de Junon. Junon était
fille
de Saturne et de Rhéa ; elle était sœur de Jupite
Océan et par Téthys sa femme. D’autres disent qu’elle le fut par les
filles
du fleuve Astérion ; d’autres enfin, par les Heur
rrigea point Junon ; s’étant aperçue que Jupiter aimait la nymphe Io,
fille
d’Inachus et d’Ismène, elle en fit l’objet de ses
a déesse fit sortir de la terre un taon qui poursuivait sans cesse la
fille
d’Inachus. Désespérée de ses tourmens perpétuels,
orables victimes de la jalousie de Junon. Ino, la première des quatre
filles
de ce prince, après avoir épousé Athamas, fut tel
ste, avait surpris Diane pendant qu’elle était au bain. Enfin Sémélé,
fille
de Cadmus, ayant cédé au conseil que lui fit donn
d’Europe, et du pouvoir qu’elle avait eu de plaire à Jupiter. Égine,
fille
d’Asope, reine du pays d’Égine, devint funeste à
aison nous fera donner, à sa suite, quelques détails sur Atlas et ses
filles
. Cérès (fig. 9) était fille de Saturne et de Cybè
suite, quelques détails sur Atlas et ses filles. Cérès (fig. 9) était
fille
de Saturne et de Cybèle : on la regarde comme la
de l’art de cultiver la terre. Pluton, son frère, lui ayant enlevé sa
fille
Proserpine pour la transporter dans les enfers (c
ment à Jupiter. Ce dieu décida qu’elle irait aux enfers redemander sa
fille
, et que Pluton serait forcé de la rendre, pourvu
qui courait le monde avec deux flambeaux à la main pour retrouver sa
fille
. Aréthuse, fille de Nérée et de la nymphe Doris,
onde avec deux flambeaux à la main pour retrouver sa fille. Aréthuse,
fille
de Nérée et de la nymphe Doris, avait été métamor
son nom, on le donna à la plus brillante des planètes. Atlas eut sept
filles
très-célèbres, qui furent appelées Atlantides, ma
résentant la tête de Méduse. Les Hyades passaient aussi pour être les
filles
d’Atlas. On en nomme six : Eudore, Ambrosie, Prod
ne. Le mot grec hyade signifie pluvieux. Il paraît que ces prétendues
filles
d’Atlas étaient des personnages poétiques, qui re
usieurs enfans au Soleil : Eéthès et Pasiphaé passaient pour être ses
filles
, ainsi que Rhodia, qui tira son nom de l’île de R
allons expliquer cette fable, en la rapprochant de l’histoire. Niobé,
fille
de Tantale et sœur de Pélops, suivit son frère lo
its ; mais il les trouva dérobés. Ce fut pendant cet exil que Daphné,
fille
du fleuve Pénée, fut métamorphosée en laurier, da
ais frappé par la foudre. Un fragment d’histoire rapporte que Daphné,
fille
d’un roi de Thessalie nommé Pénée, poursuivie par
r servir de pâture aux monstres de la mer. Le sort tomba sur Hésione,
fille
de Laomédon. La puissance de son père et sa beaut
d’eux aima Clytie, nymphe de l’Océan ; il l’abandonna pour Leucothoé,
fille
d’Orchame, roi de Babylone. Le désespoir de Clyti
ner à suivre Hésiode et les poëtes. Ils ne comptaient que neuf Muses,
filles
de Jupiter et de Mnémosyne, déesse de la mémoire.
expliquer les mystères. On les nommait quelquefois Piérides. Les neuf
filles
de Piérus, roi de Macédoine, osèrent les défier a
présider aux accouchemens ; l’un et l’autre lui furent accordés. Les
filles
qui se mariaient croyaient devoir apaiser la dées
s. Il y avait en Égypte une autre Diane, nommée Bubastès : elle était
fille
d’Osiris et d’Isis ; on lui donnait, comme à sa m
e bois. Sur la terre, Diane présidait à la chasse : Soixante nymphes,
filles
de l’Océan, et vingt autres filles, avaient soin
it à la chasse : Soixante nymphes, filles de l’Océan, et vingt autres
filles
, avaient soin de son équipage. On la représente o
e du matin nommé Lucifer, fut changé en épervier, parce que Chioné sa
fille
ayant eu la témérité de préférer sa beauté à cell
perça d’une flèche. Dédalion, ne pouvant se consoler de la mort de sa
fille
, se précipita du haut d’une tour. Apollon en eut
u milieu des ombres de la Nuit, divinité particulière que l’on disait
fille
du Chaos. Elle passait pour la plus ancienne des
it aussi le nom de Phœbé. Sa naissance inconnue la fit regarder comme
fille
de la Terre. Cette première Phœbé devait sa plus
e culte de cette divinité fut porté dans la Grèce par Cadmus. Sémélé,
fille
de ce prince, eut un fils surnommé Bacchus, qui f
trouve dans les poëtes grecs. Il était fils de Jupiter et de Sémélé,
fille
de Cadmus. Cette princesse habitait la ville de T
os, mot qui signifie cuisse. Cette fable n’a pas d’autre origine. Les
filles
d’Atlas, à la prière de Mercure, prirent soin de
’invention de cultiver la vigne. Bacchus, par reconnaissance pour les
filles
d’Atlas, les changea en ces étoiles que l’on nomm
i le nom de Grandes-Indes. Ce fut à son retour, qu’il épousa Ariadne,
fille
de Minos, roi de Crète. Il lui fit présent d’une
e était issue du Nil, et fort honorée dans l’Égypte. La seconde était
fille
de Saturne ; elle avait inventé la guerre. La tro
t fille de Saturne ; elle avait inventé la guerre. La troisième était
fille
de Jupiter : la quatrième était Athénienne et fil
a troisième était fille de Jupiter : la quatrième était Athénienne et
fille
de Vulcain ; enfin la dernière des cinq était fil
ait Athénienne et fille de Vulcain ; enfin la dernière des cinq était
fille
du géant Pallas ; et c’est à cette dernière que l
providence.) Ayant appris du ciel qu’elle allait mettre au monde une
fille
d’une sagesse consommée, et un fils à qui les des
où l’on adopta bientôt ses coutumes et son culte. Ce prince avait une
fille
qu’il avait fait nommer Athénée, pour la consacre
ve. La célébrité de Cécrops fit, par la suite des temps, confondre sa
fille
avec la déesse dont elle portait le nom. Minerve,
e, et que les douze grands dieux eux-mêmes l’avaient décidé. Arachné,
fille
très-célèbre par son adresse dans les ouvrages de
d’Enyo, et cependant la confondaient souvent avec Pallas. Elle était
fille
de Phorcys et de Céto ; elle était sœur de Mars,
ù Ares. Ce dernier ne voulut point consentir au mariage d’Alcippe, sa
fille
, avec Allyrotius, fils de Neptune. Ce jeune insen
rands pas. La Victoire. Hésiode dit que la Victoire était
fille
du Styx et de Pallante, ou de l’Achéron. Elle ass
ode ; cependant Homère, aussi ancien et beaucoup plus célèbre, la dit
fille
de Jupiter et de Dioné. Cicéron compte quatre Vén
le de Jupiter et de Dioné. Cicéron compte quatre Vénus : la première,
fille
du Ciel et de la Lumière ; la seconde, née de l’é
seconde, née de l’écume de la mer, et mère de Cupidon ; la troisième,
fille
de Jupiter et de Dioné, femme de Vulcain et mère
araît ne reconnaître qu’une Vénus. Il la nomme Calycopis : elle était
fille
d’Otreus, roi de Phrygie. Elle épousa Thoas, qui
plus grande beauté les plus parfaites qualités de l’âme. Il épousa la
fille
du roi de Byblos, et succéda au trône de son beau
ens ne s’accordaient nullement sur leur origine. Les uns les disaient
filles
de Jupiter et de Junon, d’autres les disaient fil
uns les disaient filles de Jupiter et de Junon, d’autres les disaient
filles
de Jupiter et d’Eurynome ; mais l’opinion la plus
r et d’Eurynome ; mais l’opinion la plus commune est qu’elles étaient
filles
de Vénus et de Bacchus. Le nombre des Grâces est
on, comme les plus célèbres. Polyphème était fils de Neptune et d’une
fille
du géant Titye, qui s’appelait Europe, comme la s
comme la sœur de Cadmus enlevée par Jupiter. Galatée, nymphe marine,
fille
de Nérée et de Doris, eut le malheur de lui plair
d’Osiris. Le second était, selon Hésiode, fils de Jupiter et de Maïa,
fille
d’Atlas. L’antiquité n’a point de personnage plus
Fable des Grecs sur Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa,
fille
d’Atlas, était le plus occupé des dieux de l’Olym
et dans les enfers, ou, selon quelques poëtes, parce qu’il eut trois
filles
d’Hécate. On l’appelait Cyllenius, du nom de la m
oint comme un personnage réel. On représentait Nérée environné de ses
filles
, de dauphins et de chevaux marins. Histoire de
ue la mer environne les terres. Quelques anciens cependant la croient
fille
d’un prince Titan, et disent que Neptune eut beso
on des Sirènes. Les poëtes les représentent comme de jeunes et belles
filles
, habitant les rochers des côtes de la Sicile. Le
donna le nom de Neapolis, Naples, ou Ville neuve. Les Sirènes étaient
filles
du fleuve Achéloüs et de la nymphe Calliope. Ovid
lles étaient les compagnes de Proserpine, lorsque Pluton enleva cette
fille
de Cérès. Elles prièrent les dieux de leur accord
image des plaisirs. On les représentait sous la figure de très-belles
filles
jusqu’à la ceinture, et le reste de leur corps re
Portunus, ainsi nommé par les Latins, était fils d’Athamas et d’Ino,
fille
de Cadmus. Junon, ennemie de Cadmus, parce qu’il
s Gorgones, dont nous parlerons dans l’histoire de Persée. Thoose, sa
fille
, fut mère de Polyphème, le plus célèbre des Cyclo
ent de l’occident, est le quatrième. Borée, désirant épouser Orythie,
fille
d’Érechthée, roi d’Athènes, fut refusé par ce pri
ure et de la nymphe Yptimé, ou fils de Bacchus et de la nymphe Nicéa,
fille
de Sangar. Il paraît que ces bizarres divinités d
alla visiter la Sicile ; et ce fut alors qu’il rencontra Proserpine,
fille
de Cérès. Cette princesse, suivie de ses compagne
coup de son sceptre, disparut à tous les yeux, emportant avec lui la
fille
de Cérès. Nous avons déjà vu, dans l’histoire de
furent ses regrets et les courses qu’elle entreprit pour retrouver sa
fille
. On ne peut douter que la Cérès des Grecs était l
On publia que Cérès était venue de Sicile à Athènes. On ajouta que sa
fille
Proserpine avait été enlevée, parce que l’on avai
e pour instruire Triptolème des travaux de la terre, et que ce fut sa
fille
qui fut enlevée par Pluton, roi d’Espagne. On cro
ui suscita les plus grands malheurs. Il eut d’elle trois fils et deux
filles
célèbres, Ariadne et Phèdre, dont nous verrons l’
mène, veuve d’Amphitryon. Éacus ou Éaque, fils de Jupiter et d’Égine,
fille
d’Asope, régnait dans l’île d’Ænone ; sa seconde
’Égine, fille d’Asope, régnait dans l’île d’Ænone ; sa seconde femme,
fille
du centaure-Chiron, le rendit père de Télamon et
rendit père de Télamon et de Pélée. Sa première femme était Psamathé,
fille
de Nérée, dont il eut Phocus. Rhadamanthe fut éta
les. Elles étaient trois : Tysiphone, Mégère et Alecto. On les disait
filles
de l’Achéron et de la nuit. Leurs noms signifiaie
e. Les trois Parques habitaient le royaume des enfers ; elles étaient
filles
de la Nécessité. C’étaient elles qui filaient les
u’elle poursuivait le crime en tous lieux et sans relâche. (Fig. 42.)
Fille
de la justice, elle récompensait les bonnes actio
, (pie I on croyait errantes autour des lieux funèbres. La Nuit était
fille
du Chaos ; on la représentait couverte d’un grand
i est un vase rempli d’une liqueur assoupissante. (Fig. 44.) La Mort,
fille
de la Nuit et sœur du Sommeil, est représentée so
es en ont fait un des fleuves de l’enfer. La fable a fait du Styx une
fille
de l’Océan, dont la Victoire était fille. Elle se
La fable a fait du Styx une fille de l’Océan, dont la Victoire était
fille
. Elle secourut Jupiter dans la guerre des Titans.
’il avait découvert au fleuve Asope le lieu où Jupiter avait caché sa
fille
Égine, après l’avoir enlevée. D’autres disent qu’
s uniquement occupée de la douleur que lui causait l’enlèvement de sa
fille
Proserpine, mangea une épaule sans y prendre gard
ce pays, et le détrôna. Il eut diverses femmes, dont il eut cinquante
filles
. Son frère Égyptus eut de même cinquante fils. Ce
appris la puissance et la nouvelle fortune de Danaüs, demandèrent ses
filles
en mariage, et les obtinrent ; mais ce conquérant
venger des mauvais traitemens de son frère Égyptus ; il ordonna à ses
filles
de poignarder leurs époux pendant la première nui
fans d’Hercule se donnait volontairement la mort, Macarie, une de ses
filles
se tua elle-même. Les Athéniens furent victorieux
u plus grand respect. La Vérité passait pour être mère de la Vertu et
fille
du Temps ; on la représentait comme une jeune vie
re. Les poëtes lui donnaient pour père Apollon, et pour mère Coronis,
fille
de Phlégyas. Esculape, au moment de sa naissance,
’Onde est Thétis qui règne sur les Mers ; Les tendres fleurs sont les
filles
de Flore, Les blonds épis, c’est Cérès qui les d
immense baleine ; On voit au milieu d’eux, sur la liquide plaine, Les
filles
de Doris former cent jeux divers, Sécher leurs lo
it du Cythéron les rochers solitaires, Qui, troublés par les cris des
filles
d’Agénor, De hurlemens sacrés retentissent encor.
l fut obligé d’employer la ruse et la violence. Il enleva Proserpine,
fille
de Cérès, lorsqu’elle alloit puiser de l’eau dans
etrouver mon cœur. Doigni 66. Déesses Cybèle ou Rhéa,
Fille
du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère
s voluptueuses. On raconte diversement son origine. Les uns la disent
Fille
du Ciel et de la Terre ; les autres de Jupiter et
urans fortunés Qu’en glissant sur les eaux le char a sillonnés. Vous,
filles
de Thétis, de vos grottes profondes, Vous élevez
s, Je donne mon suffrage à ses rameaux utiles. Ah ! ma
fille
, tu nous instruis, Repartit Jupiter, embrassant l
hoix, reconnoît la Sagesse. Rivery 75. Voyez Arachné. Vesta,
Fille
de Saturne et d’Ops. Elle présidoit au Feu s
éteindre jamais, brûlent sur ton Autel. Aux Vestales. Et vous,
Filles
du Ciel, dont les cœurs épurés, Aux devoirs, aux
la terre, et le cristal des airs. Dubois-Fontanelle 76. Cérès,
Fille
de Saturne et de Cybèle. Pendant qu’elle che
ès, Fille de Saturne et de Cybèle. Pendant qu’elle cherchoit sa
fille
Proserpine par toute la terre, elle arriva chez E
Sicile après ses inutiles courses, la Nymphe Aréthuse lui dit que sa
fille
avoit été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueillo
avoit goûté quelques grains de grenade. Cérès obtint cependant que sa
fille
passeroit six mois de l’année avec elle sur la te
ravail n’altéroient point les mœurs. Saint-Lambert 78. Thémis,
Fille
du Ciel et de la Terre, et Déesse de la Justice.
hérissés, Saint-Ange 86. Voyez Vertumne. Hébé ou Juventa,
Fille
de Junon, et Déesse de la Jeunesse. Belle et
e Flore, Lorsqu’on est dans son printemps. Pesselier 87. Iris,
Fille
de Thaumas et d’Electre. Messagère et confid
détruite. Dorat 89. Voyez Gaîté et Nature champêtre. Aurore,
Fille
de Titan et de la Terre. A la naissance du ma
carrière, Pousse ses chevaux mugissans. Le Prieur 90. Heures,
Filles
de Jupiter et de Thémis. Elles étoient trois,
rosine et Thalie. La fable varie sur leur origine. On les fait tantôt
filles
de Jupiter et de la belle Eurynome, tantôt de Bac
Et peut seul les apprécier. Bernis 94. Astrée ou l’Age d’or,
Fille
de Jupiter et de Thémis. On appelle l’Age d’
roit de ses vers lui disputer la gloire ? Chacun sait que sa muse est
fille
de Mémoire. Fayolle 99. Muses, Filles de J
acun sait que sa muse est fille de Mémoire. Fayolle 99. Muses,
Filles
de Jupiter et de Mnémosyne. On les appelle l
erois ton ciel, ton délire et tes jeux ! Le même 102. Nymphes,
Filles
de l’Océan et de Thétys, ou de Néree et de Doris.
rs pure comme ton onde. Prélong 106. Voyez Aristée . Hygie,
Fille
d’Escutape, Déesse de la Santé. Elle avoit u
Avignon 107. O toi, mère des biens qui rendent l’homme heureux,
Fille
de la raison et de la tempérance,
qui me ressemble ! Corneille 116. Voyez Euménides. Parques,
Filles
de l’Erèbe et de la Nuit. Ces trois infernal
rque, et brisa son ciseau. Le même 118. Euménides ou Furies,
Filles
de l’Achéron et de la Nuit. Ces horribles Sœ
erpent qui lui sert de ceinture. Ovide.— Saint-Ange 119. Nuit,
Fille
du Cahos et Femme de l’Achéron. Elle préside
fers par l’ordre du roi des Molosses dont il avoit tenté d’enlever la
fille
. Dépouillé de son trône par Ménesthée pendant son
n. Ce jeune conquérant, aidé des enchantemens de la magicienne Médée,
fille
du Roi de la Contrée, et à laquelle il s’étoit at
. Il emmena Médée avec lui ; mais il l’abandonna ensuite pour Créuse,
fille
du Roi de Corinthe. Médée se vengea barbarement d
piété, égarée par l’oracle de Chalcas, lui fit sacrifier aux Dieux sa
fille
Iphigénie. Non moins jaloux de son rang que super
, amant de son infidelle épouse Clytemnestre. La sensible Electre, sa
fille
, ne cessa de pleurer sa mort ; Oreste, son fils,
Amazones tuoient leurs enfans mâles ; elles ne conservoient que leurs
filles
, à qui elles brûloient la mammelle droite pour le
e ; Des peuples accourus les avides regards Tombent avec amour sur la
fille
de Mars. Oui, c’est elle, c’est là le sang du Die
s flots amers, Vaincus par la chaleur, sur le sable languissent ; Les
filles
de Doris, dans leurs antres gémissent. Neptune, s
Icare son fils, pour avoir favorisé l’abominable passion de Pasiphaé,
fille
de ce Prince. Ils en sortirent l’un et l’autre ;
excès où l’amour a réduit sa famille : Pasiphaé, sa femme, Ariane, sa
fille
, Me fournissent les traits dont je le veux punir.
mains ; Ah ! combien frémira son ombre épouvantée, Lorsqu’il verra sa
fille
, à ses yeux présentée, Contrainte d’avouer tant d
eu cruel a perdu ta famille, Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta
fille
. Racine 175. Pandore. Statue faite et an
refermé pour consommer le mal. Hésiode. — Lefranc 176. Didon,
Fille
de Bélus, Roi de Tyr. Désolée de la mort de
es derniers soupirs sont encore pour toi. Lefranc 177. Thétis,
Fille
de Nérée et de Doris. Nymphe d’une beauté rav
ellir jusqu’à ses derniers jours… Blin de Sainmore 178. Circé,
Fille
du Soleil et de la Nymphe Persa. Enchanteres
ng , les yeux fixés sur trois Mausolées où reposent les cendres de sa
Fille
, de sa Femme et de son Ami, s’écrie : Le jo
eau… tout est fini pour moi ! Young. — Colardeau 183. Alceste,
Fille
de Pélias et Femme d’Admète. Admète se mouro
rand, Son sexe est sa défense ; il croîtra près d’un père. Mais, à ma
fille
, ici, qui tiendra lieu de mère ? Fille trop chère
tra près d’un père. Mais, à ma fille, ici, qui tiendra lieu de mère ?
Fille
trop chère, hélas ! s’il falloit quelque jour Qu’
rrai point tes bras chargés de fers. Qui, toi ! d’un Roi puissant, la
fille
, toi, ma femme, Toi qui devois monter au trône de
sordre horrible est encor dans mon cœur. Voltaire 188. Ariane,
Fille
de Minos et de Pasiphaé. Thésée avoit été co
ymen, et des cris d’Evohé. Ovide. — Verninac 190. Hespérides,
Filles
d’Hesper ou Vesper. Elles étoient trois Sœurs
s divins Une autre a délié ses légers brodequins. Crocale, cependant,
fille
du fleuve Ismène, De ses cheveux tressés a renoué
rît mille morts. Ovide.— Saint-Ange 202. Alphée et Aréthuse,
Fille
de Nérée et de Doris. Aréthuse, nymphe et co
fait, il n’est plus, Disent-elles, encor plus tristes que Vénus ; La
fille
du Cahos dans ses chansons funèbres, La Parque le
l suspendant mes ennuis, Y plonge mollement mes mânes assoupis. Vous,
filles
de la Nuit, Déités implacables, Qui, la torche à
s leurs tableaux Le coloris de la Nature. Bernis 212. Alcyone,
Fille
d’Eole et Femme de Céyx. Son Epoux désolé de
s, et consacra sa corne à l’Abondance. Selon d’autres, Amalthée étoit
fille
de Mélissus, roi de Crète, et ce fut elle qui nou
it, Qui de nous deux t’aimera davantage. Panis 217. Philomèle,
Fille
de Pandion, Roi d’Athènes. Térée, Roi de Thr
amage, Je me tairois pour n’écouter que vous. Dumas 219. Echo,
Fille
de l’Air et de la Terre. Nymphe qui se plais
n son qui vit encore en elle. Ovide.— Saint-Ange 220. Arachné,
Fille
d’Idmon Lydien. Elle excelloit dans la brode
use de son talent, elle osa se vanter d’effacer Minerve elle-même. La
fille
de Jupiter accepta le défi. Arachné fit un ouvrag
ble épouse, assortie à cet époux vulgaire, Sa mère n’étoit plus. Leur
fille
, toute-fois, Sut de la renommée, occuper les cent
blé le cerveau, Certes, l’avis, dit-elle, est unique et nouveau. A ta
fille
, à ta bru, va porter ta morale, Je sais me consei
it une toile en réseaux déliés. Ovide.— Saint-Ange 221. Niobé,
Fille
de Tantale et femme d’Amphion, Roi de Thèbes.
lus cruelle pour une mère. Elle fit tuer ses fils par Apollon, et ses
filles
par Diane. La malheureuse Niobé fut elle-même cha
Latone a des autels, et sa race fatale ! Et j’en attends encor, moi,
fille
de Tantale ! Seul Mortel, par les Dieux, admis à
tel, par les Dieux, admis à leurs repas, Moi, qui reçus le jour d’une
fille
d’Atlas, Moi, de qui Jupiter est aïeul et beau-pè
r la richesse : Je joins à tant de biens, le port d’une déesse ; Sept
filles
et sept fils, doux gages de l’amour, Dans leurs f
ai-je pas sujet de me croire offensée Des honneurs que l’on rend à la
fille
de Cée, Elle, qui vit le Ciel et la terre, et les
llon et sa Sœur. Après l’indigne affront que l’on a pu me faire, O ma
fille
! ô mon fils ! suis-je encor votre mère ? Hélas !
on abolit mon culte. C’est peu de m’offenser : Niobé vous insulte. La
fille
de Tantale, aux Dieux nés de mon sang, Préfère, a
re. Ovide.— Saint-Ange 224. Monstres fabuleux Sirènes,
Filles
de l’Océan et d’Amphitrite. C’étoient trois
l’Océan et d’Amphitrite. C’étoient trois monstres marins, moitié
filles
, et moitié poissons ou oiseaux. Douées d’une voix
ont l’ombre donne la mort. Rousseau 228. Chimère. Elle étoit
fille
d’Echidna, monstre moitié femme et moitié serpent
ue ta muse tendre et badine Se sent bien de son origine ! Elle est la
fille
de l’Amour. Loin ce rimeur atrabilaire, Ce c
aisée, Et pour jamais fais rentrer dans leurs fers Les passions, ces
filles
des Enfers. Quitte un moment les campagnes fleuri
ature. La Fable l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la
Fille
de Jupiter. C’est elle qui dans sa fécondité a cr
e peindre ; Et lorsque par leurs chants préparant ses transports, Ses
filles
avoient fait entendre leurs accords, Aussi-tôt de
ont changé ces beaux lieux. René. — Richard-Castel 259. Paix,
Fille
de Jupiter et de Thémis. Elle est représenté
e à ses pieds. O Paix ! tranquille Paix ! secourable Immortelle,
Fille
de l’Harmonie et mère des Plaisirs, Que fais-tu d
du Malheur enfin le Bonheur fut jaloux. D’Arnaud 264. Douleur,
Fille
de l’Air et de la Terre. On la représente so
ble et la plus tendre des Mères. Elle n’est plus cette
fille
chérie, Ce tendre objet de tes soins les plus
e destin qui t’accable, Et d’en partager la rigueur. Ta
Fille
ne vit plus ! ni ta vive tendresse, Ni les vœux s
grâces, talens, elle a tout moissonné. Quand tu l’avois cette
fille
si chère, Tu la voyois, à chaque instant
hale sa douleur, etc. Chas 265. Vers d’une Mère sur la Mort de sa
Fille
. Elle étoit mon trésor, ma gloire, mon bonhe
sa Fille. Elle étoit mon trésor, ma gloire, mon bonheur !… O ma
fille
! le Ciel à mes vœux t’a ravie ! Et je n’ai plus,
Le génie eût péri comme eux. Castilhon 267. Fortune,
Fille
de Jupiter et de Némésis. Déesse fantasque e
e élancé en l’air. Son plus célébre Temple étoit celui d’Antium.
Fille
de Jupiter, Fortune impérieuse ! Les conseils, le
ptre détesté Frappant la race mortelle. Cette
fille
de l’Enfer Porte dans sa main sanglan
uel est-il ? C’est tout le genre humain. Cubières 270. Faveur,
Fille
du Caprice et de la Fortune. On la représent
es Fables* Voltaire 274. Viens donc, Compagne chaste et pure,
Fille
du Ciel, objet vainqueur, Viens sous mon toit, vi
être Immortels ainsi que les Dieux. Beauharnois 276. Pauvreté,
Fille
du Luxe et de l’Oisiveté ou de la Paresse. O
aux lois librement et sans crainte. Bérenger 281. Vieillesse,
Fille
de l’Erèbe et de la Nuit. Elle présidoit au
les mains au Ciel, et demandoit la mort. Voltaire 285. Peste,
Fille
de la Nuit. Fléau destructeur, par lequel le
nte osa déifier ; c’est cette Raison pure, aimable, sensible, qui est
fille
de la Vérité, et sœur de la Philosophie. La premi
triste et froid est le masque des sots. » Ferlus 297. Vérité,
Fille
de Saturne et mère de la Vertu. On la représ
La Fable nue étoit la Vérité. P . 298 Superstition.
Fille
de l’Aveuglement et de l’Ignorance : elle est dan
fumantes. Il dicta de Jephté le serment inhumain. Dans le cœur de sa
fille
il conduisit sa main. C’est lui qui de Calcas ouv
moins pour un instant, retrouva sa Patrie. Delille 307. Vertu,
Fille
de la Vérité. On la représente sous la figur
ersité. 265. [Table des matières] Chas. A M. de G. sur la mort de sa
fille
. 266. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une m
266. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une mère sur la mort de sa
fille
. 267. [Table des matières] Castilhon. Stances.
’Onde est Thétis qui règne sur les Mers ; Les tendres fleurs sont les
filles
de Flore, Les blonds épis, c’est Cérès qui les do
e énorme baleine. On voit au milieu d’eux, sur la liquide plaine, Les
filles
de Doris former cent jeux divers, Sécher leurs lo
it du Cythéron les rochers solitaires, Qui, troublés par les cris des
filles
d’Agénor, De hurlemens sacrés retentissent encor.
l fut obligé d’employer la ruse et la violence. Il enleva Proserpine,
fille
de Cérès, lorsqu’elle allait puiser de l’eau dans
he bienfaiteur et conquérant de l’Inde, Tu m’inspireras mieux que les
filles
du Pinde ; Verse-moi ton nectar, dont les Dieux s
rrai retrouver mon cœur. Doigni. Déesses. Cybèle ou Rhéa,
Fille
du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère
s voluptueuses. On raconte diversement son origine. Les uns la disent
Fille
du Ciel et de la Terre ; les autres, de Jupiter e
ourans fortunés Qu’en glissant sur les eaux le char a sillonés. Vous,
filles
de Thétis, de vos grottes profondes, Vous élevez
allas préside à tous les arts. Ovide. — Desaintange 76. Vesta,
Fille
de Saturne et d’Ops. Elle présidait au Feu s
confie à des mains virginales. Ovide. — Desaintange 77. Cérès,
Fille
de Saturne et de Cybèle. Pendant qu’elle che
ès, Fille de Saturne et de Cybèle. Pendant qu’elle cherchait sa
fille
Proserpine par toute la terre, elle arriva chez E
Sicile après ses inutiles courses, la Nymphe Aréthuse lui dit que sa
fille
avait été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueilla
avait goûté quelques grains de grenade. Cérès obtint cependant que sa
fille
passerait six mois de l’année avec elle sur la te
travail n’altéraient point les mœurs. Saint-Lambert 79. Thémis,
Fille
du Ciel et de la Terre, et Déesse de la Justice.
ge hérissés, Desaintange 88. Voyez Vertumne . Hébé ou Juventa,
Fille
de Junon, et Déesse de la Jeunesse. Belle et
Flore, Lorsque l’on est dans son printemps. Pesselier 89. Iris,
Fille
de Thaumas et d’Électre. Messagère et confid
détruite. Dorat 91. Voyez Gaîté et Nature champêtre . Aurore,
Fille
de Titan et de la Terre. A la naissance du ma
a carrière, Pousse ses chevaux mugissans. Le Prieur 92. Heures,
Filles
de Jupiter et de Thémis. Elles étaient trois,
rosine et Thalie. La fable varie sur leur origine. On les fait tantôt
filles
de Jupiter et de la belle Eurynome, tantôt de Bac
La rose habite avec les Grâces97. Astrée ou l’Age d’or,
Fille
de Jupiter et de Thémis. On appelle l’Age d’
s vénérables, Mutilés et presque effacés ? La Motte 101. Muses,
Filles
de Jupiter et de Mnémosyne. On les appelle l
paix les voûtes éternelles. Ovide. — Desaintange.105 Nymphes,
Filles
de l’Océan et de Thétys, ou de Nérée et de Doris.
jours pure comme ton onde. Prélong 108. Voyez Aristée . Hygie,
Fille
d’Escutape, Déesse de la Santé. Elle avait u
’Avignon 109. O toi, mère des biens qui rendent l’homme heureux,
Fille
de la raison et de la tempérance, San
s qui me ressemble ! Corneille 118. Voyez Euménides . Parques,
Filles
de l’Érèbe et de la Nuit. Ces trois infernal
Parque, et brisa son ciseau. Le même 120. Euménides ou Furies,
Filles
de l’Achéron et de la Nuit. Ces horribles Sœ
descend du Ciel en ce lieu plein d’horreur. Si-tôt qu’en arrivant la
fille
de Saturne De l’Érèbe eut troublé le silence noct
ppelle les Furies, Déités que les pleurs n’ont jamais attendries. Ces
filles
de la Nuit, aux portes de l’enfer, Assises au ded
Tantale ! et le fruit Évite incessamment ta main qui le poursuit. Les
filles
de Bélus, épouses parricides, Toujours veulent re
pent qui lui sert de ceinture. Ovide. — Desaintange 121. Nuit,
Fille
du Cahos et femme de l’Achéron. Elle préside
fers par l’ordre du roi des Molosses dont il avait tenté d’enlever la
fille
. Dépouillé de son trône par Ménesthée pendant son
n. Ce jeune conquérant, aidé des enchantemens de la magicienne Médée,
fille
du Roi de la contrée, et à laquelle il s’était at
. Il emmena Médée avec lui ; mais il l’abandonna ensuite pour Créuse,
fille
du Roi de Corinthe. Médée se vengea barbarement d
piété, égarée par l’oracle de Chalcas, lui fit sacrifier aux Dieux sa
fille
Iphigénie. Non moins jaloux de son rang que super
, amant de son infidelle épouse Clytemnestre. La sensible Électre, sa
fille
, ne cessa de pleurer sa mort ; Oreste, son fils,
Amazones tuaient leurs enfans mâles ; elles ne conservaient que leurs
filles
, à qui elles brûlaient la mamelle droite pour les
e ; Des peuples accourus les avides regards Tombent avec amour sur la
fille
de Mars. Oui, c’est elle, c’est là le sang du Die
es flots amers, Vaincus par la chaleur, sur le sable languissent. Les
filles
de Doris dans leurs antres gémissent. Neptune sur
Icare son fils, pour avoir favorisé l’abominable passion de Pasiphaé,
fille
de ce Prince. Ils en sortirent l’un et l’autre, e
mains ; Ah ! combien frémira son ombre épouvantée, Lorsqu’il verra sa
fille
, à ses yeux présentée, Contrainte d’avouer tant d
eu cruel a perdu ta famille, Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta
fille
. Racine 175. Pandore. Statue faite et an
refermé pour consommer le mal. Hésiode. — Lefranc 176. Didon,
Fille
de Bélus, Roi de Tyr. Désolée de la mort de
mes derniers soupirs sont encore pour toi. Lefranc 178. Thétis,
Fille
de Nérée et de Doris. Nymphe d’une beauté ra
r embellir jusqu’à ses derniers jours… Blin de Sainmore. Circé,
Fille
du Soleil et de la Nymphe Persa. Enchanteres
ung, les yeux fixés sur trois Mausolées où reposent les cendres de sa
Fille
, de sa Femme et de son Ami, s’écrie : Le jour
eau… tout est fini pour moi ! Young. — Colardeau 181. Alceste,
Fille
de Pélias et Femme d’Admète. Admète se moura
rand, Son sexe est sa défense ; il croîtra près d’un père. Mais, à ma
fille
, ici, qui tiendra lieu de mère ? Fille trop chère
tra près d’un père. Mais, à ma fille, ici, qui tiendra lieu de mère ?
Fille
trop chère, hélas ! s’il fallait quelque jour Qu’
errai point tes bras chargés de fers. Qui, toi ! d’un roi puissant la
fille
, toi, ma femme, Toi qui devais monter au trône de
ésordre horrible est encor dans mon cœur. Voltaire 184. Ariane,
Fille
de Minos et de Pasiphaé. Thésée avait été co
hymen, et des cris d’Evohé. Ovide. — Verninac 186. Hespérides,
Filles
d’Hesper ou Vesper. Elles étaient trois Sœur
rît mille morts. Ovide. — Desaintange 197. Alphée et Aréthuse,
Fille
de Nérée et de Doris. Aréthuse, Nymphe et co
fait, il n’est plus, Disent-elles, encor plus tristes que Vénus ; La
fille
du Cahos dans ses chansons funèbres, La Parque le
l suspendant mes ennuis, Y plonge mollement mes mânes assoupis. Vous,
filles
de la Nuit, Déités implacables, Qui, la torche à
ns leurs tableaux Le coloris de la Nature. Bernis 205. Alcyone,
Fille
d’Eole et femme de Ceyx. Son Epoux désolé de
s, et consacra sa corne à l’Abondance. Selon d’autres, Amalthée était
fille
de Mélissus, roi de Crète, et ce fut elle qui nou
Une seconde fois lui donne la lumière… Legouvé 210. Philomèle,
Fille
de Pandion, Roi d’Athènes. Térée, Roi de Thr
e chante, C’est Philomèle, c’est l’Amour212. Écho,
Fille
de l’Air et de la Terre. Nymphe qui se plais
son qui vit encore en elle. Ovide. — Desaintange 214. Arachné,
Fille
d’Idmon Lydien. Elle excellait dans la brode
use de son talent, elle osa se vanter d’effacer Minerve elle-même. La
fille
de Jupiter accepta le défi. Arachné fit un ouvrag
e. Humble épouse assortie à cet époux vulgaire, Sa mère n’était plus.
Fille
d’humbles parens, Elle ennoblit son nom par ses r
blé le cerveau, Certes, l’avis, dit-elle, est unique et nouveau. A ta
fille
, à ta bru va porter la morale ; Je sais me consei
t une toile en tissus déliés. Ovide. — Desaintange 215. Niobé,
Fille
de Tantale et femme d’Amphion, Roi de Thèbes.
lus cruelle pour une mère. Elle fit tuer ses fils par Apollon, et ses
filles
par Diane. La malheureuse Niobé fut elle-même cha
a des autels où votre encens s’exhale : Et j’en attends encor ! moi,
fille
de Tantale, Seul mortel par les dieux admis à leu
ortel par les dieux admis à leurs repas, Moi, qui reçus le jour d’une
fille
d’Atlas, Moi, de qui Jupiter est aïeul et beau-pè
el amas de richesses ! Je suis par ma beauté rivale des déesses. Sept
filles
et sept fils attendent dans ma cour Sept gendres
je pas le droit de me croire offensée Des honneurs que l’on rend à la
fille
de Cée, Elle qui, sans asile en ce vaste univers,
n et sa sœur. Après l’indigne affront que l’on ose me faire, O ma
fille
! ô mon fils ! suis-je encor votre mère ? Hélas !
on abolit mon culte. C’est peu de m’offenser : Niobé vous insulte. La
fille
de Tantale, aux dieux nés de mon sang, Préfère av
Andrémon, son père, sa famille, Redemandent des yeux une épouse, une
fille
. Dryope ! où donc est-elle ? En l’état où je suis
r. Ovide. — Desaintange 217. Monstres fabuleux. Sirènes,
Filles
de l’Océan et d’Amphitrite. C’étaient trois m
l’Océan et d’Amphitrite. C’étaient trois monstres marins, moitié
filles
, et moitié poissons ou oiseaux. Douées d’une voix
on, Souvenez-vous, ames viles, Du sort de l’affreux Python : Chez les
filles
de Mémoire Allez apprendre l’histoire De ce Serpe
ont l’ombre donne la mort. Rousseau 222. Chimère. Elle était
fille
d’Echidna, monstre moitié femme et moitié serpent
qui frémit des conseils qu’elle donne ; Et l’ivresse du crime, et les
Filles
d’enfer, Reposant leur fureur sur des couches de
aisée, Et pour jamais fais rentrer dans leurs fers Les passions, ces
filles
des Enfers. Quitte un moment les campagnes fleuri
ature. La Fable l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la
Fille
de Jupiter. C’est elle qui dans sa fécondité a cr
e peindre ; Et lorsque par leurs chants préparant ses transports, Ses
filles
avaient fait entendre leurs accords, Aussi-tôt de
ffrayé voit ces gouffres brûlans. Charles Chênedollé 247. Paix,
Fille
de Jupiter et de Thémis. Elle est représenté
ce à ses pieds. O Paix ! tranquille Paix ! secourable Immortelle,
Fille
de l’Harmonie et mère des Plaisirs, Que fais-tu d
du Malheur enfin le Bonheur fut jaloux. d’Arnaud 252. Douleur,
Fille
de l’Air et de la Terre. On la représente so
nsible et la plus tendre des Mères. Elle n’est plus cette
fille
chérie, Ce tendre objet de tes soins les p
i le destin qui t’accable, Et d’en partager la rigueur. Ta
Fille
ne vit plus ! ni ta vive tendresse, Ni les vœux s
grâces, talens, elle a tout moissonné. Quand tu l’avais cette
fille
si chère, Tu la voyais, à chaque instant d
xhale sa douleur, etc. Chas 253. Vers d’une Mère sur la Mort de sa
Fille
. Elle était mon trésor, ma gloire, mon bonheur
de sa Fille. Elle était mon trésor, ma gloire, mon bonheur !… O ma
fille
! le Ciel à mes vœux t’a ravie ! Et je n’ai plus,
ciel qui créa l’Espérance. J. B. de Saint-Victor 256. Fortune,
Fille
de Jupiter et de Némésis. Déesse fantasque e
re élancé en l’air. Son plus célèbre Temple était celui d’Antium.
Fille
de Jupiter, Fortune impérieuse ! Les conseils, le
ceptre détesté Frappant la race mortelle. Cette
fille
de l’Enfer Porte dans sa main sanglant
nivraient du vin de sa prospérité. Horace. ― La Harpe. Faveur,
Fille
du Caprice et de la Fortune. On la représent
être Immortels ainsi que les Dieux. Beauharnois 262. Pauvreté,
Fille
du Luxe et de l’Oisiveté ou de la Paresse. O
me il a vécu, dans le calme il s’endort. Ducis 266. Vieillesse,
Fille
de l’Erèbe et de la Nuit. Elle présidait au
t les mains au Ciel, et demandait la mort. Voltaire 270. Peste,
Fille
de la Nuit. Fléau destructeur, par lequel le
nte osa déifier ; c’est cette Raison pure, aimable, sensible, qui est
fille
de la Vérité, et sœur de la Philosophie. La premi
r triste et froid est le masque des sots. » Ferlus 281. Vérité,
Fille
de Saturne et mère de la Vertu. On la représ
. La Fable nue était la Vérité. P. 282 Superstition.
Fille
de l’Aveuglement et de l’Ignorance : elle est dan
fumantes. Il dicta de Jephté le serment inhumain, Dans le cœur de sa
fille
il conduisit sa main. C’est lui qui de Calchas ou
u’avez-vous fait de mes premiers plaisirs ? Le même 291. Vertu,
Fille
de la Vérité. On la représente sous la figur
253. [Table des matières] Chas. A Mde. G. de Lyon, sur la mort de sa
fille
, fragment. 254. [Table des matières] Anonyme. Ve
254. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une mère sur la mort de sa
fille
. 255. [Table des matières] Castilhon. Stances.
des furent alors remplacés par les Bélides. Danaüs avait eu cinquante
filles
de ses diverses femmes ; les enfans de son frère
; mais tout portant ombrage à cet usurpateur, il donna l’ordre à ses
filles
d’égorger leurs maris pendant la première nuit de
s successeurs de Lyncée furent Abas, Prœtus, et Acrisius qui eut pour
fille
Danaé, mère de Persée, si célèbre dans les fables
gos, que Cécrops vint d’Égypte s’établir dans l’Attique. Il épousa la
fille
d’Actéus, qui donna son nom au pays, et il fonda
qui Hélène porta la couronne ; Oreste, fils d’Agamemnon, et Hermione,
fille
de Ménélas et d’Hélène : et enfin le douzième fut
vement de Ganymède, se retira dans la Grèce, où il épousa Hyppodamie,
fille
d’Œnomaüs, roi de Pise. Il monta sur le trône de
anor, roi d’Argos. Acrise, grand père de Persée, n’avait qu’une seule
fille
, nommée Danaé. Ce prince, ayant appris de l’oracl
n petit-fils qui lui ravirait la couronne et la vie, fit renfermer sa
fille
dans une tour d’airain, et rejeta toute propositi
s, roi d’Argos, avait fait construire pour y tenir renfermée Danaé sa
fille
. Ce prince espéra, par cette précaution, empêcher
mpêcher l’accomplissement de l’oracle, qui lui avait prédit que de sa
fille
Danaé naîtrait un fils qui lui ravirait la couron
grand des dieux, fit mourir la nourrice de Danaé, et fit enfermer sa
fille
et son petit-fils dans un coffre qu’il fit jeter
Méduse et des Gorgones. Phorcus, dit Hésiode , eut de Céto deux
filles
, Péphrédo et Enyo, qui vinrent au monde avec des
u’il tenait à la main au moment de sa naissance. Il épousa Callirhoé,
fille
de l’Océan, et fut père de Géryon, fameux géant,
r, et transporte sa foudre et ses éclairs. Eschyle , en peignant les
filles
de Phorcus, dit qu’un seul œil et une seule dent
ainqueur, Iobate, convaincu de son innocence, lui donna en mariage sa
fille
Philonoé, et le déclara successeur de son trône.
ir de la Chimère, et lui composèrent une généalogie ; ils la disaient
fille
de Typhon et d’Echidne. La description qu’ils en
épousa Ithone, dont il eut pour fils Lycaste, qui lui succéda, et une
fille
nommée Acacallis. Minos premier gouverna son peup
pendant elle aurait pu résister longtemps sans la trahison de Scylla,
fille
de Nisus. Elle aperçut Minos du haut des tours de
Nisus en épervier, et qu’on le voit occupé sans cesse à poursuivre sa
fille
, pour la punir de son crime. Megareus n’ayant pu
rs, ils violèrent les droits sacrés de l’hospitalité, en immolant les
filles
du Lacédémonien Hyacinthe, qui depuis peu de temp
sa jeunesse, son maintien héroïque, frappèrent les regards d’Ariadne,
fille
de Minos : elle ne voulut point le laisser périr
piter Astérius et d’Europe. Le second était fils de Lycaste et d’Ida,
fille
de Coribas. Le premier avait deux frères, Rhadama
enfans de Pélops, Pitthée, l’un d’eux, fonda la ville de Trézène ; sa
fille
, Éthra, devint l’épouse d’Égée. Ce prince, ayant
ieurs aventures, dont quelques-unes leur réussirent. La belle Hélène,
fille
de Tyndare, était célèbre dans toute la Grèce, qu
e l’avoir aidé à combattre les Amazones. Sa seconde femme fut Phèdre,
fille
de Minos second, devenue si célèbre par sa passio
la guerre de Troie, il fut accueilli par Phyllis, reine de Thrace et
fille
de Lycurgue, roi dans le même pays. Démophoon l’é
premières années détermina Créon à lui donner pour épouse Mégare, sa
fille
, dont il eut quelques enfans. Ayant appris que to
le. Œnée, roi de Calydon, récompensa ce grand service en accordant sa
fille
Déjanire en mariage à Hercule. Ce héros en eut un
plus brillantes actions d’Alcide. Médée, dit la fable, conseilla aux
filles
de Pélias de couper leur père en morceaux, et de
Jason. Le malheureux vieillard fut la victime de la crédulité de ses
filles
; Acaste, son fils, poursuivit ses sœurs jusque d
laisse aucune trace qui prouve le perfide conseil donné par Médée aux
filles
de Pélias. On trouve au contraire que ce prince n
entrevues, elles leur rendaient les enfans mâles, et conservaient les
filles
pour les élever au métier de la guerre. On leur b
faire servir de pâture à un monstre marin. Le sort tomba sur Hésione,
fille
de Laomédon. Hercule arriva sur ces entrefaites ;
n n’était autre chose que les inondations de la mer. Le roi promit sa
fille
en mariage à celui qui pourrait garantir la ville
thée, et ceux que lui fit entreprendre son courage, conçut pour Iole,
fille
d’Eurite, une violente passion, qui causa sa mort
Lydie pour combattre un serpent qui désolait le pays, il vit Omphale,
fille
du roi du pays, et désira de lui plaire. Cette pr
-petit-fils de Deucalion, était roi de Thèbes. Il épousa d’abord Ino,
fille
de Cadmus, qu’il répudia quelque temps après pour
roue de son vaisseau à Jupiter Phryxus, ou le Conservateur. Calciope,
fille
d’Éétès, épousa Phryxus. Les premières années de
ondre ensemble. Phinée avait eu deux fils d’une première femme. Idéa,
fille
de Dardanus, sa seconde femme, peignit ces deux e
e de son frère. Ils disent qu’elle fit égorger Pélias par ses propres
filles
, en leur donnant l’horrible conseil de le couper
s poëtes racontent qu’elle fit périr misérablement Glaucé, sa rivale,
fille
de Créon, et que sa jalousie furieuse lui fit imm
eut donc accuser Médée de ce crime. Pélias, coupé en morceaux par ses
filles
, d’après les conseils de Médée, est un fait entiè
les lois sacrées du mariage, très-respectées alors, il épousa Glaucé,
fille
de Créon, et répudia Médée. Telle est l’histoire
hésée, était fort antérieur au temps où Jason abandonna Médée pour la
fille
de Créon, et la força de se réfugier à Athènes. T
rens, aux noces d’Idas et de Lyncée, ils enlevèrent Phœbé et Hilaire,
filles
de Leucippus. Idas et Lyncée, à qui elles étaient
is le parti d’Antoine contre lui. Cléopâtre, femme de Méléagre, était
fille
d’Idas, frère de Lyncée et de Marpesse Polydora,
éléagre, était fille d’Idas, frère de Lyncée et de Marpesse Polydora,
fille
de Méléagre et de Cléopâtre, épousa Protésilas, q
perdu et recouvré deux fois la couronne, épousa Épicaste ou Jocaste,
fille
de Ménœcée. C’est à cet hymen qu’étaient réservée
délivrerait les Thébains des maux dont ils étaient affligés. Sphinge,
fille
naturelle de Laïus, s’étant associée à des brigan
e. Polynice se rendit auprès d’Adraste, roi d’Argos, qui lui donna sa
fille
en mariage, et lui promit de puissans secours. «
étruit la ville de Troie, fait mourir Laomédon, et enlevé Hésione, sa
fille
. « Le souvenir de ces outrages restés impunis, en
; ses fils égorgés autour de lui ; Hécube, son épouse ; Cassandre, sa
fille
; Andromaque, veuve d’Hector ; plusieurs autres p
de la chambre d’airain dans laquelle Acrisius avait fait enfermer sa
fille
Danaé. Ce temple fut détruit par un tremblement d
es deux colombes, dit Servius , avaient été données par Jupiter à sa
fille
Thébé ; elles avaient le don de la parole. Héro
e d’abord y rendit des oracles, ensuite, Thémis, et après elle Phœbé,
fille
de la Terre et mère de Latone. Cette dernière tra
s. Les anciens donnèrent le nom de Sibylles à un certain nombre de
filles
qu’ils croyaient avoir été douées du don de prédi
llins supposés, elle se dit bru de Noé. 2°. La Libyenne. On la disait
fille
de Jupiter et de Lamia. Elle voyagea à Claros, à
os, à Delphes, à Samos et en plusieurs autres pays. 3°. La Delphique,
fille
de Tirésias. Après la prise de Thèbes, elle fut c
les Sibylles avaient été de différens pays. M. Petit croit que cette
fille
mystérieuse a beaucoup voyagé, et que l’on a attr
e, nous apprend sur cette Sibylle. On l’appelait Déiphobe. Elle était
fille
de Glaucus et prêtresse d’Apollon. Ce dieu voulut
i remporta le prix de la course fut Chorèbe, natif d’Élide. Cynisque,
fille
du roi Archidamus, fut la première de son sexe qu
orrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique,
Fille
des Dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel
anal de notre adversité. Junon. D. Qu’étoit Junon ? R. Junon,
fille
de Saturne et de Rhée, sœur et épouse de Jupiter,
oit aimées, et aux enfans qu’il en avoit eus, comme Hercule, etc. Les
filles
de Prétus, parce qu’elles s’étoient vanté d’être
l’Hippocrène. D. Racontez-nous l’histoire de Daphné. R. Daphné étoit
fille
du fleuve Pénée. Elle étoit aimée d’Apollon, qui
omène, Thalie, Terpsicore, Euterpe, Polymnie et Uranie. Elles étoient
filles
de Jupiter et de Mnémosyne. Elles présidoient aux
bien de rapports peut-on considérer Diane ? R. Diane, sœur d’Apollon,
fille
de Jupiter et de Latone, est considérée par les P
i vouloit s’opposer à ces solennités, et changea en chauve-souris les
filles
de Minée, qui travailloient à la tapisserie le jo
us disent les Poëtes sur la naissance de Vénus ? R. Les uns la disent
fille
du Ciel et de la Terre, les autres de Jupiter et
nce qu’exige le métier de la guerre. On dit qu’il eut de Rhéa-Sylvia,
fille
de Numitor, Romulus et Rémus, qui furent les fond
érée et Doris qui se marièrent ensemble, et eurent un grand nombre de
filles
, connues sous le nom de Nymphes. Nymphes. D
nfans ailés. Syrènes. D. Que sont les Syrènes ? R. Les Syrènes,
filles
de l’Océan Arènes et d’Amphitrite, étoient des mo
pouvoit trouver de Déesse qui voulût l’épouser. Il enleva Proserpine,
fille
de Cérès, un jour qu’elle s’amusoit à cueillir de
(Lamotte.) Furies. D. Qu’étoient les Furies ? R. Elles étoient
filles
de la Nuit et de l’Achéron, connues aussi sous le
Danaïdes. D. Quel fut le crime des Danaïdes ? R. Les Danaïdes,
filles
de Danaüs, étoient cinquante. Elles épousèrent le
appris de l’Oracle que ses gendres le détrôneroient. Il ordonna à ses
filles
d’égorger leurs maris la première nuit de leurs n
Divinités terrestres. Cérès. D. Qu’étoit Cérès ? R. Cérès,
fille
de Saturne et de Cybèle, présidoit aux moissons ;
ne Divinité de la terre ? R. Oui, elle est la Déesse des ténèbres, et
fille
du Ciel et de la Terre. On la représente en long
un doigt sur la bouche. Thémis. D. Qu’étoit Thémis ? R. Thémis,
fille
du Ciel et de la Thémis. Terre, est la Déesse de
tête. L’Envie D. Comment représente-t-on l’Envie ? R. L’Envie,
fille
de la Nuit, est représentée sous la figure la plu
Malice au souris perfide, L’imposture aux yeux effrontés, De l’Enfer
filles
inflexibles, Secouant leurs flambeaux horribles,
par Apollon. Echo. D. Qu’étoit Echo ? R. Echo étoit une Nymphe,
fille
de l’Air et de la Terre, qui répétoit les sons. E
le qu’il périroit de la main de son petit-fils, fit enfermer Danaé sa
fille
unique dans une tour d’airain, et l’empêcha de co
de femmes guerrières qui habitoient la Scythie. Elles élevoient leurs
filles
dans l’exercice des armes ; elles estropioient ou
tte.) D. De qui Thésée fut-il aidé dans son entreprise ? R. Ariadne,
fille
de Minos, lui prêta ses secours. Le Minotaure éto
ur rendre les taureaux dociles, et, endormir les dragons. Médée étoit
fille
d’Aëte, et par son moyen Jason emporta la Toison
ias qui avoit eu intention de faire périr Jason, elle conseilla à ses
filles
de faire bouillir les membres de leur père, afin
ce. Jason indigné abandonna cette femme détestable, et épousa Creuse,
fille
de Créon, roi de Corinthe. D. Que fit alors Médée
éfaite des Amazones. Ses victoires lui méritèrent la main de Philoné,
fille
d’Iobates, roi de Lycie. Orphée. D. Qui ét
n contre le nom Troyen. Il aborde à Carthage dans le temps que Didon,
fille
de Bélus, roi de Tyr, en bâtissoit les murs. La P
contre Turnus qu’il tue dans un combat singulier. Il épouse Lavinie,
fille
de Latinus, roi du pays Latin, fonde l’empire Rom
ibylles. D. Qu’étoient les Sibylles ? R. Les Sibylles étoient des
filles
, à qui le Ciel accorda le don de lire dans l’aven
ridicules, qu’ils remarqueroient en nous. L’Écrevisse reprochoit à sa
fille
de marcher mal. Ecoutons la réponse de celle-ci.
Font., L. 12. F. 10.) Un autre Poëte a dit : Mère, crains pour ta
fille
; elle examine en toi L’esprit, l’air, tout enfin
laissons la parole à Chompré, qui la racontera pour nous : « Ariane,
fille
de Minos, roi de Crète. Elle fut si touchée de la
indre ni meute, ni chasseurs, perpétuer son culte à l’antique déesse,
fille
d’Hypérion, qui, tombée de son char, n’est plus a
ue les Galles ou Corybantes en Asie. Ovide nous représente Procné, la
fille
de Pandion, errant dans les montagnes avec une tr
, boivent le plus pur de son sang pour y puiser la joie, et la santé,
fille
de la joie. Le dieu qui les aime leur enlumine le
c’est-à-dire la Mer, qui l’enveloppe de ses bras immenses. Elle a une
fille
, Proserpine, le Germe du blé, que Pluton lui ravi
trailles de la terre. La malheureuse mère se met à la recherche de sa
fille
, et, déguisée en vieille femme, une torche à la m
, des mûres tombées des buissons et du bois mort pour son foyer. « Sa
fille
, une enfant, ramenait des champs ses deux chèvres
çon au berceau restait malade à la maison. « — Ma mère, dit la petite
fille
(et ce nom de mère alla au cœur de la déesse) que
n paix. Tu es père, puisses-tu l’être toujours ! Moi, je n’ai plus de
fille
, on me l’a prise. Ah ! que j’échangerais volontie
car les dieux ne pleurent point) glissa de ses yeux sur sa robe. « La
fille
et le père, cœurs charitables, pleurèrent avec el
rèrent avec elle, et voici comment le bon vieillard parla : « — Cette
fille
qui t’a été volée et que tu pleures, puisse-t-ell
, toute la maison, dis-je, c’est-à-dire le père, la mère et la petite
fille
, car à eux trois ils composaient toute la maison.
ienfait qui allait en renouveler la face. La déesse enfin retrouva sa
fille
, et Pluton consentit à la lui rendre, mais à cond
e comprends qu’on soit maussade quand on a sous la méninge une grande
fille
comme cela, et armée de pied en cap encore ! C’ét
tels qui l’habitent sont ravis en extase, et les Grâces et les Muses,
filles
de l’Olympe, répondent à ces accents. » ( Aristop
nnaissants, élevèrent des temples à Esculape ; ils lui donnèrent deux
filles
, Santé et Guérison, deux déesses rayonnantes d’un
n des beaux-arts. Selon les plus anciennes traditions, elles sont les
filles
du ciel, qui nous les envoya pour adoucir les mau
sidaient à la musique proprement dite. Béni soit le nom de ces douces
filles
! La poésie épique était l’attribut de Calliope.
rte le bon Silène méritaient de le porter. Sirènes. Ce sont les
filles
de marbre de l’Océan. Belles comme Vénus jusqu’à
mais sous l’ampleur de leurs toilettes extravagantes. Elles n’ont des
filles
de l’Océan ni la voix, ni même la figure, et n’en
immuable, avait puni leur témérité comme un sacrilége. Les Danaïdes,
filles
de Danaüs, roi d’Égypte, étaient plus coupables.
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