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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ar réponses, aurait suffi pour donner la connaissance des dieux de la fable  ; mais il existe tant d’ouvrages de ce genre, qu’
ogie. Nous avons multiplié, le plus possible, les rapprochemens de la fable avec l’histoire et les explications des fables, a
les rapprochemens de la fable avec l’histoire et les explications des fables , afin de concourir de tout notre pouvoir aux soin
de cet habile maître qui nous a servi de guide. Le Dictionnaire de la Fable par Chompré, enrichi par les recherches et les tr
soulager la mémoire, et pour connaître tous les noms consacrés par la fable . On pourra se servir avec plus d’avantage encore
ait le premier livre de Bérose ; et quelque singulière que soit cette fable , elle paraît n’être qu’une tradition défigurée de
stoire sainte : ce morceau démontrera en même temps que les anciennes fables sont fondées sur les anciens souvenirs, et ne son
» Telle est la célèbre tradition des Chaldéens, où l’on voit déjà la fable se mêler à l’histoire sainte. Il est bon d’observ
es, les Indiens, les Syriens, cachent des mystères secrets sous leurs fables religieuses. Le sage de toutes ces religions en p
rie la plus absurde. Il ne faut donc point confondre les dieux et les fables des poëtes avec les traditions conservées par que
rie, on a senti qu’il fallait donner un nouveau nom à ces recueils de fables , qui conservaient toujours un grand charme, parce
ons. Ces rapprochemens doivent suffire pour prouver que l’origine des fables est fondée sur la mémoire altérée des grands évén
la marche et les progrès de l’idolâtrie. Division des différentes fables . On peut distinguer les fables inventées par l
lâtrie. Division des différentes fables. On peut distinguer les fables inventées par les poëtes en six sortes : les hist
es trésors que Phryxus avait emportés dans la Colchide, on imagina la fable de la toison d’or. Cependant les Grecs, malgré le
un pareil panégyriste, s’il ne l’eût regardé que comme un conteur de fables . Il savait très-bien que le poëte conservait les
mens principaux, et peignait le véritable caractère de ses héros. Les fables philosophiques sont celles que les anciens ont in
ues étaient aussi des paraboles qui avaient des sens cachés, comme la fable où il est dit que le plaisir naquit des richesses
oint le bonheur, et que la richesse ne suffit pas pour l’assurer. Les fables morales sont celles qui servent à donner quelques
, pour s’informer des actions des hommes et lui en rendre compte. Les fables d’ Ésope, de La Fontaine, et généralement les apo
de La Fontaine, et généralement les apologues, sont de ce genre. Les fables mixtes sont mêlées d’allégories et de morale, san
ux, et jura qu’elle n’y rentrerait jamais. Le poëte a voulu par cette fable représenter la pente des hommes vers le mal. Cett
ujours plus prompt et plus réel que la réparation et le repentir. Les fables inventées à plaisir sont celles qui n’ont d’autre
upé de ses plaisirs. Telles sont à peu près les différentes sortes de fables  ; mais il faut se souvenir qu’il y en a très-peu
qui se servait d’une sphère pour étudier le mouvement des astres ; la fable le représenta portant le ciel sur ses épaules. Pr
surtout le génie des Orientaux, d’où nous sont venues la plupart des fables . Cet esprit règne encore parmi eux ; et même aujo
les de les embellir et d’intéresser. Conjectures sur l’origine des fables . En voyant tous les peuples de la terre, à l’e
s de la terre, à l’exception du peuple de Dieu, adopter avidement les fables , et les faire servir de base à leur religion, à l
r à la sagesse éternelle. La vanité fut une des premières sources des fables . On ne trouva point la vérité assez surprenante,
s consacrant dans les histoires, on a, en quelque sorte, éternisé les fables . La fausse éloquence et l’envie de louer les mort
fausse éloquence et l’envie de louer les morts ont aussi produit des fables . Si l’on composait aujourd’hui l’histoire de la p
d’après les seuls éloges de leurs panégyristes, on verrait souvent la fable l’emporter sur la vérité. Ces fables cependant ét
négyristes, on verrait souvent la fable l’emporter sur la vérité. Ces fables cependant étaient d’autant plus dangereuses dans
tes et les peintres sont certainement ceux qui ont produit le plus de fables . Cherchant à plaire beaucoup plus qu’à instruire,
ils parmi les astres. Les écrits restaient, ils étaient imités, et la fable était consacrée. Le succès encouragea les poëtes 
apes, les belles voix des Muscs, les oranges des pommes d’or, etc. Fables produites par le goût du merveilleux. L’expér
s brillantes images de la poésie, qu’ils augmentèrent les progrès des fables et le nombre des divinités. L’ignorance de la phy
ivinités. L’ignorance de la physique a donné lieu aussi à beaucoup de fables . Dans les siècles barbares, on animait tout ce qu
rités. Ce fut ainsi que l’on multiplia les divinités physiques et les fables astronomiques. Lorsqu’un homme plus éclairé que l
la Grèce. L’une des sources les plus favorables à l’introduction des fables était l’ignorance de l’histoire ancienne et de la
nserver des éloges, des cantiques et quelques généalogies remplies de fables  ; de sorte que la confusion régnait partout ; et,
es qui étaient venues s’établir dans leur pays, ils substituaient des fables à la vérité. S’il était question de la création,
eu de Noé, avait appris à cultiver la vigne. On retrouvait dans leurs fables toutes les traces des anciennes traditions ; mais
er l’origine des anciens peuples, des premiers dieux et des premières fables . Leur histoire ne commence à mériter quelque conf
des temps, d’après Varron. Pour mieux éclaircir en quel temps les fables ont pris naissance, il faut suivre Varron, et dis
itions, leurs annales ; elles étaient, il est vrai, très-mélangées de fables . Les Grecs n’avaient aucune connaissance positive
e de Troie surtout, si fécond en héros, produisit un nombre infini de fables . Cette ville célèbre fut prise deux fois : la pre
, Étéocle, Polynice, Capanée, et nombre d’autres, objets éternels des fables des poëtes. Ce ne fut qu’au rétablissement des ol
r olympiades, et c’est depuis ce temps qu’on ne trouve plus autant de fables dans l’histoire des Grecs. Cette division des tem
manquèrent pas d’expliquer d’après leur goût pour les fictions et les fables  ; et souvent ils abusèrent des équivoques que l’o
ait transportée sur un vaisseau dans l’île de Crète où il régnait. La fable de la fontaine Aréthuse et du fleuve Alphée est é
ako, qui signifie à la fois clairvoyant et dragon, a fait imaginer la fable du dragon qui gardait le jardin des Hespérides. L
die les origines, plus on est forcé de reconnaître que la plupart des fables grecques étaient une imitation de celles des colo
ices ; et les Grecs, en adoptant leur religion, s’approprièrent leurs fables . Le culte de Bacchus fut formé sur celui d’Osiris
nt leurs fables. Le culte de Bacchus fut formé sur celui d’Osiris. La fable de Vénus et d’Adonis était originaire de Syrie ;
psycose. Ces preuves sont plus que suffisantes pour démontrer que les fables grecques et romaines devaient leur origine à l’Ég
e la religion. Voilà pourquoi leurs poëtes ont tellement défiguré les fables égyptiennes, qu’on ne peut plus les reconnaître s
la Phénicie doivent donc être regardées comme le premier théâtre des fables . D’ Hésiode et d’ Homère. Le nom d’ Homère
re du soleil ? » Hésiode et Homère ne sont point les inventeurs des fables grecques ; ils n’ont fait que les embellir ; l’id
ême à connaître pour faire apercevoir l’origine de l’idolâtrie et des fables . Le principal but de notre ouvrage étant de mettr
orgeron dans l’île de Lemnos. Les Grecs, en général, ont mêlé tant de fables dans l’histoire de leurs dieux, ils ont tellement
fermer et dévorer. Cette équivoque a pu suffire pour donner lieu à la fable cruelle d’un père qui dévore ses enfans ; mais il
pour appuyer cette vérité sur une plus forte autorité que celle de la fable , rappelons-nous que les Égyptiens ne furent jamai
lui préféra la nymphe Sangaride, fille de Sangar, roi de Phrygie. La fable dit que la déesse se vengea d’Atys sur la personn
le changea en pin, arbre qui lui fut consacré depuis ce temps. Cette fable d’Atys et de Sangaride est fondée sur ce que Mida
ition d’Ève, condamnée à enfanter avec douleur, est cachée sous cette fable . Le culte de Cybèle et de la Terre est extrêmemen
va dans la Grèce et dans l’Italie. On trouvera que l’idolâtrie et les fables ont presque toutes suivi la même marche. Les Roma
principaux détails. Nous allons, en conséquence, rapporter ce que la fable a conservé ; nous citerons ensuite les événemens
dieux, et l’on saisira beaucoup mieux l’ensemble de la mythologie. Fable de Jupiter. La fable de Saturne et de Cybèle
aucoup mieux l’ensemble de la mythologie. Fable de Jupiter. La fable de Saturne et de Cybèle nous a déjà fait connaîtr
enfers. Explication du partage du monde. Avant de poursuivre la fable de Jupiter, nous allons dire la manière dont les
rapporterons ce que l’histoire a conservé sur Jupiter. Suite de la fable de Jupiter. Les Titans et les Géans ayant rés
cablé par Jupiter sous le mont Etna. Les tremblemens de terre, dit la fable , sont les efforts de Typhon pour soulever la mont
telles, dont il eut aussi des enfans. Quoique tous ceux nommés par la fable n’appartiennent pas au même Jupiter, nous allons
s, l’élevèrent dans les antres du mont Ida. Telle est l’origine de la fable qui représente Saturne dévorant ses enfans, et ce
ans, et celle de la pierre qui lui fut présentée au lieu de Jupiter ; fable expliquée par l’équivoque du mot phénicien Balah.
le mot Elben, qui est aussi phénicien, et qui est employé dans cette fable , signifie à la fois un enfant et une pierre. Cepe
celle qui avait le plus de vogue. Explication de quelques-unes des fables contenues dans l’histoire et la fable de Jupiter.
plication de quelques-unes des fables contenues dans l’histoire et la fable de Jupiter. Nous nous bornerons à donner l’ex
à répandre plus de clarté sur l’histoire de Jupiter. Pour entendre la fable où il est dit que Jupiter précipita dans les enfe
des hécatonchires ou géans à cent bras. Il faut expliquer de même la fable du dieu Neptune qui emprisonnait les Titans par l
Jupiter firent pour attaquer cette forteresse furent dépeints par la fable du mont Ossa entassé sur le mont Pélion. Dans le
Polybotès accablé par Neptune sous une partie de l’île de Cos. Cette fable signifie que l’amiral le poursuivit jusque dans c
tte histoire, que Jupiter fut attaqué par mer et par terre. Parmi les fables conservées sur la manière dont Jupiter fut élevé
ète, il est dit que des colombes prirent le soin de le nourrir. Cette fable doit son origine au mot phénicien ou arabe himan
ose que le Typhon des Égyptiens. Les Grecs s’étaient emparés de cette fable égyptienne, qui n’était elle-même qu’une allégori
, les Égyptiens consacrèrent le souvenir de son état primitif dans la fable de leur Typhon, et les Grecs l’ajoutèrent à toute
cornes de bélier. Le mot ammon vient du grec, et veut dire sable. La fable dit que cette représentation et ce culte viennent
fut point la seule cause qui fit représenter un aigle à ses pieds. La fable , confondue avec l’histoire, rapporte que Périphas
orme, l’empreinte de sa férocité. En cherchant l’explication de cette fable , nous trouvons que Lycaon, prince très-inférieur
mpte justice. Quelques auteurs donnent une autre explication de cette fable  ; ils disent que Lycaon, fanatique et cruel, crut
ance de Jupiter il fut nourri avec le lait de la chèvre Amalthée : la fable dit que le dieu, pour la récompenser, la plaça pa
manière la corne d’abondance qu’Hercule reçut du fleuve Achéloüs. La fable raconte que ce fleuve, devenu rival d’Hercule aup
en les arrosant ; les poëtes célébrèrent ce bienfait en imaginant la fable de l’échange de la corne d’abondance contre celle
ire des métamorphoses de Jupiter, parce qu’on les retrouvera dans les fables des dieux, des demi-dieux et des héros. Du cul
humaines, comme on en a plusieurs fois offert à Saturne son père ; la fable de Lycaon en est une preuve incontestable. On tro
lheureux mortels. Ce déluge de maux produisit le siècle de fer. Cette fable , la plus charmante de celle que nous ont transmis
que les monumens anciens et les traditions nous ont laissé sur cette fable . C’est principalement à chercher la vérité que no
perficies agréables et spirituelles. Recherches historiques sur la fable de Prométhée. L’observation et l’étude de l’a
e certaine qu’il s’agit de l’art des statues. Pour rendre le sens des fables des poëtes, on a placé Minerve auprès de Prométhé
remière imitation de l’homme étonna tellement, dans l’origine, que la fable peignit Prométhée comme un second créateur. Elle
ent utiles aux hommes. L’histoire n’a rien conservé sur Épyméthée, la fable seule s’est emparée de ce personnage, et se borne
u singe, animal imitateur de tout ce qu’il voit faire. Histoire et fable de Junon. Junon était fille de Saturne et de
e, qui servait le nectar aux dieux avant l’enlèvement de Ganymède. La fable dit qu’une chute qu’elle fit dans le ciel fit oub
figurer par les naissances extraordinaires de Minerve et de Mars. La fable dit que Jupiter sentit une très-grande douleur da
. Elle ajoute qu’il se fit donner un coup de hache par Vulcain. Cette fable est allégorique, et signifie que l’on ne parvient
déesse Iris, sous la forme d’une vache, a sûrement donné lieu à cette fable  ; et la manière dont Io traversa la Méditerranée
e, Jugatinus et Domiducus. Histoire de Cérès. L’histoire et la fable de Cérès tiennent à celles des dieux des enfers ;
ujours en garde contre la surprise). En cherchant le sens de-cette fable , on trouve que les conseils d’Ascalaphe déterminè
oserpine était prise pour la lune, et l’on voulait exprimer par cette fable le temps où elle paraît à la vue de la terre, et
Cérès sa mère. Nous ne multiplierons point trop les explications des fables  ; mais nous croyons utile de citer quelques exemp
u fleuve Alphée. Nous avons précédemment donné l’explication de cette fable . Nous n’étendrons pas plus loin l’histoire de Cér
présenta le globe de la terre par une sphère ; ce qui fit imaginer la fable dans laquelle on dit qu’il soutenait le monde sur
faisait garder soigneusement par des dogues ; ce qui donna lieu à la fable qu’elles étaient d’or et gardées par un dragon. A
gnes du zodiaque, il faut remarquer Orion, dont nous allons donner la fable , Jupiter, Neptune et Mercure, faisant ensemble le
ardeau. Aurore en eut pitié, et le fit changer en cigale. Cette jolie fable des Grecs est une allégorie dont le but est de no
ygnus, son frère, mourut de douleur, et fut métamorphosé en cygne. La fable de Phaéton paraît être une allégorie, pour peindr
régna sur le pays des Molosses, et se noya dans le Pô. Histoire et fable d’Apollon. Jupiter ayant abandonné Junon pour
formé avec le limon laissé sur la terre par les eaux du déluge. Cette fable ressemble beaucoup à celle du serpent produit par
que les Égyptiens confondaient avec le Soleil. Nous allons donner la fable d’Apollon, telle que les poëtes nous l’ont transm
s. Nous nous bornerons à faire connaître les traits principaux et les fables les plus intéressantes. Apollon portait beaucoup
up de flèches, les Cyclopes qui forgeaient les foudres de Jupiter. La fable rapporte à ce sujet qu’Esculape, fils d’Apollon,
ices dans les plaines voisines de Thèbes, Nous allons expliquer cette fable , en la rapprochant de l’histoire. Niobé, fille de
e chaleur extrême que la nuit même ne pouvait tempérer, on imagina la fable de leur mort, telle que nous l’avons rapportée pl
reculés, les noms de pasteur et de roi étaient souvent synonymes. La fable peignit Apollon homme le pasteur des troupeaux d’
, embrasa la ville, et emmena prisonnier Priam, fils de Laomédon. Ces fables se trouvant jointes à l’histoire d’Hercule, nous
t le don de prévoir l’avenir, et parce qu’ils servaient d’augures. La fable imaginée sur le corbeau mérite d’être rapportée.
e des Muses, dont il était le maître et l’instructeur. Histoire et fable des Muses. Varron et saint Augustin nous appr
r et de Mnémosyne, déesse de la mémoire. Elles étaient vierges, et la fable dit qu’un jeune homme, nommé Adonis, ayant tenté
de leur plaire, elles le firent mourir. On a voulu peindre, par cette fable , l’inutilité des efforts que l’on fait pour s’éle
cha vif, pour le punir de sa folle témérité. Voici l’origine de cette fable  : Avant l’invention de la lyre, la flûte était l’
se venger en persécutant les sciences ; et les poëtes imaginèrent la fable que nous avons citée, dans l’intention de flétrir
point répéter ces détails, nous allons donner l’histoire ou plutôt la fable de Diane adoptée par la Grèce. Les Grecs honoraie
ordres. Diane naquit avec son frère Apollon, et sur-le-champ, dit la fable , elle servit de sage-femme à sa mère Latone. Les
hosa en ours, et les plaça l’un et l’autre dans le ciel. Telle est la fable que les poëtes ont imaginée sur la constellation
haut d’une tour. Apollon en eut pitié, et le changea en épervier. Une fable dit que Diane avait aimé Endymion, roi d’Élide, e
nes de Carie ; il y passait souvent les nuits, ce qui fit imaginer la fable des visites de Diane. Son application constante à
hus adopté par les Grecs, le fameux Osiris, conquérant des Indes. Les fables des poëtes, et les récits des anciens auteurs ne
dernier prince n’exista que plusieurs siècles après cette guerre. Les fables ajoutent que Bacchus, couvert d’une peau de tigre
e, en attribuant à un prince de la famille de Cadmus l’histoire et la fable du Bacchus égyptien. En effet, le culte que l’on
alestine, qui tenait, ainsi que les Indes, au continent de l’Asie. La fable représente Bacchus avec des cornes : elles font a
e. Ce parallèle est trop parfait pour ne pas conduire à croire que la fable de Bacchus n’est qu’une tradition défigurée de l’
rendit à son petit-fils les mêmes honneurs qu’au Bacchus d’Égypte. Fable de Bacchus. Il ne suffit pas de connaître les
prochemens historiques entre Bacchus et Moïse ; nous allons donner la fable de sa naissance, telle qu’on la trouve dans les p
isse, et voulut qu’il y restât jusqu’au moment de sa naissance. Cette fable ridicule fit donner par la suite à Bacchus le sur
urnom de Bimater, qui a deux mères. En recherchant l’origine de cette fable extraordinaire sur la naissance de Bacchus, on tr
uée près d’une montagne appelée Méros, mot qui signifie cuisse. Cette fable n’a pas d’autre origine. Les filles d’Atlas, à la
qu’il en sera temps. Nous nous bornerons dans ce moment à dire que la fable le peint ordinairement comme le dieu des buveurs,
rnière que l’on donnait également le nom de Minerve ou de Pallas. Les fables de ces différentes déesses ayant presque toujours
ue les poëtes nommés Rapsodes allaient chanter les vers d’ Homère. La fable dit que l’honneur de donner un nom à la ville d’A
om d’Athénée à la ville. L’histoire a conservé l’explication de cette fable . Elle dit que Cécrops, originaire de Saïs, ayant
our peindre l’origine de cette réforme et la consacrer, ou imagina la fable de Neptune surpassé par Minerve. Quelques histori
de Neptune surpassé par Minerve. Quelques historiens disent que cette fable fut imaginée pour peindre un différent survenu en
Minerve la suspendit en l’air, et la métamorphosa en araignée. Cette fable est une allégorie par laquelle on a voulu faire e
la fois filer et toile d’araignée. En général, on trouve beaucoup de fables allégoriques réunies à l’histoire de Minerve. On
re de Minerve. On peut ranger dans ce nombre celle de Tirésias. Cette fable rapporte qu’un jour il surprit Minerve pendant qu
t qu’il aurait le don de prévoir l’avenir. On a voulu dire, par cette fable , que le vrai sage n’attache plus aucun prix aux é
à cause de ses yeux bleus ; Tritonia, à cause du lac Triton, dont une fable supposait qu’elle tirait son origine. Le mot trit
, que les Grecs nommaient Arès, était fils de Jupiter et de Junon. La fable que nous avons rapportée précédemment sur sa nais
entièrement inconnue aux Grecs et aux anciens. La nouveauté de cette fable sert à prouver qu’elle n’était qu’une allégorie d
ctoires navales, on la voit sur une proue de vaisseau. Histoire et fable de Vénus. Emprunter à la vérité son pouvoir e
els l’illustre Newton se fonde pour donner cette origine à Vénus. Les fables et les récits des poëtes sur cette déesse, ne peu
chevelure avait été changée en étoiles, et placée dans le ciel. Cette fable fit appeler chevelure de Bérénice une étoile nouv
mélange de l’histoire d’Astarté avec celle de Vénus, donna lieu à la fable d’Adonis. Il était fils de Cinyras, roi de Chypre
avait donné pour l’engager à trahir son époux. L’histoire explique la fable d’Adonis. Elle apprend que ce jeune prince régnai
ger qu’il avait couru, en disant qu’il était revenu des enfers. Cette fable s’accrédita d’autant mieux, que, par la suite des
x mois dans les enfers. Nous n’essayerons pas de rapporter toutes les fables des poëtes sur Vénus ; elles sont sans nombre, et
roit compenser les dons de la nature par ceux de la fortune.) Dans la fable de Mars, on voit le redoutable dieu des combats,
se. Les ouvrages de peinture et de sculpture variaient autant que les fables . Lorsqu’elle tient un globe dans sa main, elle re
lièrement consacrée à Vénus, comme étant la plus belle des fleurs. La fable ajoutait que sa couleur était blanche d’abord, ma
r le bord des eaux, où la déesse avait paru pour la première fois, La fable se plaît à raconter l’occasion qui lui fit consac
us. L’Amour, piqué de sa défaite, changea la nymphe en colombe. Cette fable vient de l’équivoque du mot grec peristera qui si
ifie une colombe. Les surnoms donnés à Vénus variaient autant que ses fables et les lieux où elle était honorée. On l’appelait
ieuse et d’Amie, parce qu’elle présidait à l’union des cœurs, etc. Fable de l’Amour ou Cupidon. L’Amour n’est point un
g. 27.) Bientôt ils les multiplièrent à l’infini, mais leurs diverses fables appartiennent beaucoup plus à la poésie qu’à la m
semblèrent plus être que les nymphes de sa suite2. Psyché. La fable de Psyché n’a aucun rapport avec l’histoire ; c’e
ions ont sur notre âme. L’aimable et célèbre La Fontaine a paré cette fable de tous les charmes de son esprit, et lui a conse
urner les bienfaits vers la source qui les a produits. Histoire et fable de Vulcain. Il paraît qu’il faut distinguer t
s l’île de Lemnos, où il établit des forges. Nous allons parcourir sa fable , telle que les Grecs nous l’ont transmise. Il éta
sa retraite ou son exil dans l’île de Lemnos, on l’appela Lemnius. La fable lui attribue les ouvrages les plus fameux dont el
r finit par le métamorphoser en pierre. On reconnaît, en lisant cette fable , que le chien de Vulcain fut imité par quelque st
nnaître, que les hommes crurent devoir des autels à son inventeur. La fable dit que Vulcain se fit aider dans ses travaux par
olcan à celui des coups redoublés des Cyclopes sur leurs enclumes. La fable les peignait avec un seul œil au milieu du front.
s chars et des attelages à quatre chevaux de front. Après sa mort, la fable le plaça dans le ciel, et dit qu’il était chargé
ens veillaient à la garde du temple de cette divinité. Histoire et fable de Mercure. Les anciens reconnaissaient un si
el était le second Mercure dont l’histoire a conservé le souvenir. Fable des Grecs sur Mercure. Mercure, fils de Jupit
fit reconnaître, elle changea en pierre de touche. L’origine de cette fable vient de ce que Battus fut le premier à reconnaît
nités des eaux étaient innombrables. Nous nous bornerons à donner les fables les plus essentielles parmi celles qui tiennent à
e dans les pays occident taux, Neptune les empêcha d’en sortir, et la fable peignit sa victoire en disant qu’il les avait enf
que célébrité ; c’est à cet abus qu’il faut rapporter la multitude de fables , de métamorphoses et d’aventures attribuées à Nep
ès-adroit pour réussir à ce mariage. Cette aventure a donné lieu à la fable du dauphin, envoyé par Neptune pour déterminer Am
surnommer Hippius. La confusion de ces deux personnages produisit la fable de Neptune frappant avec son trident la terre, do
dent la terre, dont il fait sortir un superbe cheval. L’origine de la fable de Neptune aidant Apollon à bâtir les murailles d
la guerre des dieux contre les Géans. Ce bruit extraordinaire, dit la fable , les épouvanta tellement, qu’ils prirent la fuite
ent, qu’ils prirent la fuite et cédèrent la victoire aux dieux. Cette fable ne serait-elle pas une tradition altérée de la ch
une tradition altérée de la chute des murs de Jéricho ? Au reste, les fables des Tritons ont été imaginées d’après la croyance
diversité prodigieuse des animaux marins, a suffi pour accréditer ces fables et les rendre innombrables. On doit avoir la même
illes de ses compagnons avec de la cire. L’histoire explique ces deux fables en disant que des courtisanes et des comédiennes
onfiance. Ce stratagème lui réussit ; il devint l’époux de Pomone. La fable d’Aristée, fils d’Apollon et de la nymphe Cyrène,
se fit ses miracles à la sortie d’Égypte. D’autres enfin regardent la fable de Protée comme une allégorie servant à faire con
u par les dieux de la mer ; il finit par se noyer, et donna lieu à la fable que nous venons de citer. Les anciens reconnaissa
fuirent précipitamment, et tombèrent dans la mer, où ils périrent. La fable en fit des dieux marins. Le nom d’Ino fut changé
gée en monstre marin très-redoutable pour les vaisseaux. Telle est la fable que l’on imagina sur le gouffre situé entre Reggi
et le força de rentrer sous les eaux. Nous ne devons pas omettre les fables des Alcyons, oiseaux marins qui ont la propriété
t à ce temps le nom de jours alcyons. Cette singularité produisit une fable . Alcyone, femme de Ceix, roi de Trachine, vit en
, dont ils peuplèrent les côtes ; ensuite ils passèrent en Italie. La fable dit que les Vents étaient fils d’Aurore et d’Astr
s, Calaïs et Zéthès, dont nous parlerons au voyage des Argonautes. La fable rapporte que Borée, métamorphosé en cheval, donna
rva que sa voix, qui lui sert à répéter tout ce qu’elle entend. Cette fable est du nombre des allégoriques. Syrinx, nymphe d’
tait le plus célèbre des Satyres. Nous allons donner l’histoire et la fable de ce personnage, extrêmement fameux dans l’antiq
et la fable de ce personnage, extrêmement fameux dans l’antiquité. La fable s’unira quelquefois à la vérité, mais nos lecteur
le fit rester quelque temps auprès de Midas donna lieu à beaucoup de fables . Bacchus, après avoir abandonné la Thrace, où les
ut l’accompagner et le ramener lui-même à Bacchus. (Ici recommence la fable .) Le dieu charmé de revoir son nourricier, dont l
ses vins, lui rapportait un produit immense : ce qui donna lieu à la fable qu’il changeait en or tout ce qu’il touchait. Aya
elques punitions arrêtèrent ces propos insultans : on fit une seconde fable allégorique dans laquelle on publia que son barbi
ent entendre : Midas a des oreilles d’âne. On s’aperçoit que ces deux fables sont allégoriques. Le goût de Silène pour le vin,
la forme de Satyre. On croyait qu’il rendait des oracles ; mais cette fable tient à l’étymologie de son nom. (Phonein en grec
u’ Orphée avait vu pratiquer en Égypte, et sur lesquelles il fonda sa fable des enfers, en y joignant les circonstances qui s
, où règne un printemps éternel. Il est facile de reconnaître que ces fables des Grecs et des Romains ne sont que la peinture
ux de Cérès, et de faire adopter son culte. Telle est l’origine de la fable de Cérès et de Triptolème. On publia que Cérès ét
e, ce qui la rendit mortelle pour les animaux qui la goûtaient. Cette fable fait allusion à la grande quantité d’herbes vénén
sion à la grande quantité d’herbes vénéneuses que produit ce pays. La fable de Cerbère fut encore imaginée d’après l’usage qu
; voilà pourquoi les poëtes en ont fait un des fleuves de l’enfer. La fable a fait du Styx une fille de l’Océan, dont la Vict
subir des épreuves aux coupables. Telle est la principale origine des fables sur ce fleuve d’enfer : ses eaux coulaient dans l
Pouzolles, et du Léthé, ou Fleuve d’Oubli, situé dans l’Afrique. Les fables attribuaient à ce dernier le pouvoir de faire oub
ipités dans les enfers, pour avoir fait la guerre au dieu Jupiter. La fable les peint accablés sous le mont Etna. Typhon, le
g. 49.) Les savans ne sont point d’accord sur l’explication de cette, fable  ; quelques-uns d’eux la regardent comme une allég
anaïdes, condamnées à remplir d’eau une cuve sans fond. (Fig. 50.) La fable imaginée pour peindre ce genre de punition, n’a d
fils, allèrent à la guerre de Troie. Les poëtes publièrent dans leurs fables que la science d’Esculape allait jusqu’à ressusci
ui. Le coq et le serpent étaient spécialement consacrés à ce dieu. La fable publie qu’Esculape était sorti d’un œuf de cornei
uf, et que c’était Esculape lui-même qui s’était ainsi déguisé. Cette fable fut crue par le peuple, et la foule venait adorer
2 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
esques des divinités allégoriques, des demi-Dieux, et des Héros de la Fable . Discours. Sur la Mythologie en général et pa
et la littérature des anciens Grecs et des Romains. Ce recueil de fables sans liaison, sans plan, sans but, seroit le plus
nge mélange. Il n’est pas douteux que l’Histoire a servi de base à la Fable . Saturne et Jupiter ont existé, et l’amour et la
sirer. Une première erreur en produit mille autres ; une multitude de fables sont nécessairement enfantées par une première fa
ne multitude de fables sont nécessairement enfantées par une première fable . Après avoir déïfié un grand roi, on imagina de l
n’est pas venue jusqu’à nous. Il est évident aussi que la plupart des Fables qui déshonorent l’histoire des faux Dieux, ont ét
que de ses vertus, de ses exploits, en ajoutant à ces récits quelques fables allégoriques ; ensuite on aura surchargé cette hi
auté et par l’imagination, auront créé sur ce fonds des multitudes de Fables , qui, par conséquent, ne pouvoient avoir entre el
mens, vindicatifs, injustes, équitables, barbares et compatissans. La Fable donne un amant à la chaste Diane ; quelquefois el
hologie ; mais comment justifier les peuples qui adoptèrent de telles fables et qui adorèrent de tels Dieux ? Cependant la cro
éral, les allégories non douteuses forment la plus belle partie de la Fable . Je dis non douteuses, car celles que les comment
lé dans l’allégorie, que les commentateurs devroient penser que toute Fable qui n’offre pas un sens allégorique très-clair et
rique très-clair et très-ingénieux, n’est tout simplement qu’une pure Fable . Autant presque tous les Dieux de l’Olympe sont r
sans passer par celui de la Vertu, etc.) Au milieu d’une multitude de Fables absurdes, on trouve encore dans la Mythologie, ou
es Vénus, des Adonis, des Dianes, etc. Il reste encore même, dans les Fables les plus connues, une foule de traits que la pein
à Ithaque, pour toute réponse baissant, en rougissant, son voile. La Fable , sans expliquer cette action, (et quelles réflexi
lyte qu’on aperçoit dans l’éloignement. En mémoire de ce fait, dit la Fable , on éleva par la suite, auprès de ce myrte criblé
ion a pris la multiplication de ces tableaux pour la multiplicité des Fables . Néanmoins, à l’exception de quatre ou cinq pages
ves, les Lemures, les Lamies, les Anguipèdes, Sybaris, etc. etc.3 Les fables de la Mythologie n’offrent que des crimes atroces
its du mûrier. Le sang d’Ajax donna naissance au pied-d’alouette. Ces Fables lugubres ensanglantent les eaux ainsi que les pra
ontaines. Les mers portent des noms qui consacrent les plus tragiques Fables . La Mythologie a multiplié près de leurs bords le
œurs de Phaéton. Les îles, les montagnes, les rochers, rappellent des Fables aussi lamentables. La contemplation des cieux n’o
phée, dans son voyage en Egypte, recueillit ces faits et en forma les fables du passage de 1’Acheron et de l’avare nautonier d
spèce d’érudition qu’une science frivole. Mais quand on songe que ces Fables formèrent, pendant tant de siècles, la religion d
On bornera là ce genre de remarques, on verra dans presque toutes les fables suivantes, ou des violences, ou des crimes, ou de
in qu’il fût toujours vrai qu’il y fût attaché ; et voilà, suivant la fable , l’origine des bagues. Prométhée forma les hommes
verra sur la formation de l’homme, dans l’histoire de Cura, une autre fable beaucoup plus ingénieuse que celle-ci. Les Flamin
it que redouter la divinité représentée toujours tenant un foudre. La fable dit que les Cyclopes, en forgeant le foudre de Ju
equel il étoit assis, et delà Pirithoüs eut le surnom d’Apigos. Cette fable est contée ainsi par Hygin et par d’autres ; mais
admit à sa table ; ce fut-là qu’Ixion devint amoureux de Junon. Cette fable est assurément l’une des plus absurdes de la myth
acrifioit à Pluton et aux Dieux infernaux que des victimes noires. La Fable dit que le Mensonge recevoit les ombres des mains
magnifique, dans lequel on le plaça. D’autres content différemment la fable du Palladium. Les uns disent que le Scythe Abaris
où il fut renfermé depuis et conservé dans le temple de Vesta. Cette fable du Palladium ressemble à celle du bouclier de Num
es déchirer de jeunes taureaux et dévorer leur chair crue. Suivant la Fable , elles suivirent Bacchus dans les Indes. Lorsqu’e
s l’ayant rendu furieux, les Bacchantes furent remises en liberté, La Fable peint les Bacchantes aussi barbares que dépravées
re de Vénus, on croit devoir faire mention des beautés célèbres de la fable et de l’antiquité. Voici les plus renommées : Hié
onseil et la tumeur disparut. Il me semble qu’on peut expliquer cette fable d’une manière tort simple : il croît souvent sur
u haut du ciel, ce qui le rendit boiteux. On conte différemment cette fable  : on dit que Jupiter, irrité contre Junon de ce q
t aussitôt de faire tout ce qu’il vouloit. On ne sait pas pourquoi la fable a supposé une liaison entre Vulcain, le plus acti
meux fut le géant Polyphême, qui n’étoit point forgeron, et auquel la fable donne des mœurs pastorales qui s’accordoient fort
halamus. Voici les noms des épouses fidèles les plus célèbres dont la Fable fasse mention : Pénélope, Andromaque, Alceste, Ca
des ailes à la tête et aux pieds : le pourpier lui étoit consacré. La Fable dit que Mercure portoit un roseau d’or pour condu
ux et surtout de Junon. On la représente portée sur l’arc-en-ciel. La Fable donne d’horribles sœurs à cette Déesse, elle dit
évoré par ses propres chiens. Diane, comme toutes les Divinités de la Fable , étoit vindicative et barbare dans ses vengeances
. Des fruits, du pain et surtout des œufs en composoient les mets. La Fable dit que Diane aima Endimion, berger de Carie. Ell
nouvellent sans cesse dans l’histoire des Dieux. D’après une ancienne fable , Minerve, dans ses voyages, trouva l’os de la jam
it en noir son plumage qui étoit d’une blancheur éclatante. Une autre fable donne une autre origine au plumage noir du corbea
eta en l’air pour voler après elles, il tomba et se cassa la tête. La Fable dit que toutes les Muses sont Vierges, afin de ma
toient consacrés. La déesse du Silence s’appeloit Angérone. Voici une Fable que l’on a trouvée dans l’Encyclopédie anglaise (
l’invention des modernes ; M.  Millin , dans son dictionnaire de la fable , dit qu’il n’existe point de monumens antiques r
onna à l’une des portes de Rome le nom de Janualis à l’occasion de la fable suivante : les Sabins assiégeant Rome avoient déj
es de Divinités subalternes et champêtres qui habitoient les bois. La Fable donne aux Satyres, et en général à tous les Dieux
deux leur établissement aux Egyptiens. En voici l’origine suivant la Fable  : Deux colombes s’étant envolées de Thèbes en Egy
arc ; Mercure, une épée, etc. Voici les principaux personnages de la Fable , distingués par leur chasteté et leur modestie ;
onte que Plutus s’unit à elle et en eut Cupidon. On prétend que cette Fable signifie que l’Amour rapproche les extrêmes. M
ieu des festins. Son nom venoit d’un mot grec qui signifie manger. La Fable ne lui donne point d’attributs ; mais comme les a
signifie lit. Les médecins et les botanistes les plus célèbres de la Fable furent : Japis, fils de Jasus, le plus intéressan
gissoit et faisoit agir avec vigueur. Elle avoit un temple à Rome. La Fable ne lui donne point d’attributs. Une ruche a paru
as plus connue. La Mythologie n’en offre point de plus ingénieuse. La Fable ne donne point d’attributs à Cura. On a imaginé d
un fil. Achlys. Déesse des ténèbres et de la tristesse. La Fable ne lui donne point d’attributs. Une ancre brisée
autres font naître Vénus de Jupiter et de Dionée. 9. Voici une autre fable sur l’aigle de Jupiter ; Periphas, roi d’Athènes,
e du chien Cerbère, de l’Hydre de Lerne et de tous les monstres de la fable . 11. Claudien, poëte latin, florissoit sous Arc
ngé en la fleur qui porte son nom. Pausanias conte différemment cette fable  : selon lui, Narcisse avoit une sœur jumelle qui
lême du silence, parce que cet animal ne produit aucun son. Voici une Fable à ce sujet : Jupiter pour rendre ses noces avec J
3 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
ouvelle carrière, et disparaissent les ténèbres qui enveloppaient les fables des dieux. Nous rencontrons encore des fables à c
s qui enveloppaient les fables des dieux. Nous rencontrons encore des fables à chaque pas, mais elles seront moins absurdes ;
pour prouver que les demi-dieux et les héros les plus célèbres de la fable ont existé. Royaume d’Argos. Les recherche
crisius qui eut pour fille Danaé, mère de Persée, si célèbre dans les fables , et dont nous parlerons bientôt. Ce même Persée,
es époques auxquelles vécurent les personnages célèbres dont parle la fable . Des temps héroïques ou fabuleux. Les anci
nt à Cécrops le nom Diphnès, c’est-à-dire composé de deux natures. La fable le représente aussi comme moitié homme et moitié
stoire des premiers rois d’Athènes, jusqu’à Démophoon, est remplie de fables  ; mais la chronologie de chacun de ces rois est c
eul peuple. Telle est en abrégé l’histoire de cette colonie ; mais la fable s’y est tellement unie, qu’on ne peut presque plu
oue représentait un taureau. C’est de là que les Grecs ont imaginé la fable de Jupiter changé en taureau, pour enlever cette
able dans les temps appelés fabuleux ou héroïques : fabuleux, par les fables dont les histoires de ces temps sont enveloppées 
l est le commencement de l’histoire de Persée : nous allons donner sa fable , et l’on s’apercevra combien l’une et l’autre se
e lui donna la mort de la manière que nous dirons. Cette partie de la fable de Persée ressemble trop à son histoire pour avoi
dence qui lui était si nécessaire. Nous poursuivrons l’histoire et la fable de Persée, en parcourant ce que la mythologie nou
la mythologie nous apprend sur Méduse, les Gorgones et Andromède. Fable de Méduse et des Gorgones. Phorcus, dit Hés
à Minerve, qui la plaça au milieu de son égide. Ovide ajoute à ces fables que Persée, après la mort de Méduse, prit son vol
tiles venimeux que l’on rencontre à chaque pas dans cette contrée. Fable d’Andromède. Ovide , dans ses métamorphoses
ir Mycène, qui devint la capitale de ses nouveaux états. Telle est la fable de Persée, qui se trouve continuellement mêlée av
r comme un héros à Argos et dans l’île de Sériphe. Explication des fables qui tiennent à l’histoire de Persée. Persée,
chesses immenses, on célébra son retour, et les poëtes imaginèrent la fable des Gorgones et de Méduse. Ces explications suffi
mortel à la Chimère. Cette médaille fut sans doute gravée d’après la fable du héros, et non pas d’après son histoire ; car t
leur ville était tombée en son pouvoir. Les poëtes ajoutèrent à cette fable que Scylla avait été changée en alouette, son pèr
rcèrent de rendre odieuse la mémoire de Minos second, en publiant une fable , qui devint extrêmement célèbre. Suivant cette fa
en publiant une fable, qui devint extrêmement célèbre. Suivant cette fable , le roi de Crète enfermait ses prisonniers dans l
Fig. 72.) Nous allons à présent dégager l’histoire des ornemens de la fable . Quelques auteurs prétendent que Thésée ne combat
plus graves et plus d’accord avec les circonstances racontées par la fable , disent qu’Ariadne, éprise de Thésée, lui fournit
et tous les deux arrivèrent heureusement à l’île de Naxe. Une seconde fable des Grecs dit que Thésée abandonna sa libératrice
e à la fois d’ingratitude et d’infidélité. L’histoire contredit cette fable , et rapporte qu’Onarus, prêtre, ou plutôt confide
hésée reconnut enfin, mais trop tard, l’innocence de son fils ; et la fable ajoute qu’Esculape, dieu de la médecine, l’avait
éniens, témoins de la mort du jeune prince, ont toujours rejeté cette fable . Par la suite des temps. Hippolyte fut adoré comm
essuscité. Il paraît que ce fut ce faux Hippolyte qui donna lieu à la fable de Jupiter foudroyant Esculape pour avoir osé res
piter foudroyant Esculape pour avoir osé ressusciter un mortel. Cette fable n’était point connue par les Athéniens, et ne s’a
disait ses statues animées, et l’on publia qu’elles marchaient. Cette fable est fondée sur le peu de progrès que les Grecs av
tation lui fit attribuer tous ceux qui avaient quelque perfection. La fable publia, au sujet de Talus, que Dédale, son oncle,
maison d’Égée remplie de troubles. Les poëtes ont rapporté dans leurs fables que Médée s’y était réfugiée, et qu’elle avait fo
ue Minos second en avait exigé. Ce récit des poëtes est un mélange de fable et d’histoire. Nous verrons, à l’histoire de Médé
sque semblable à celui de Phylla, amandier, a seul donné lieu à cette fable . Les poëtes ajoutèrent que l’amandier fleurit au
et d’Eurysthée. La grande célébrité d’Hercule fit bientôt ajouter des fables à son histoire. Sa force, son courage, ses exploi
it dire qu’il devait le jour au plus grand des dieux. Jupiter, dit la fable , prit la forme d’Amphitryon, et fut père d’Alcide
rent que c’était un présage de ses grandes destinées. Telles sont les fables principales dont les poëtes ornèrent le récit de
t le reste de sa vie. Pour donner plus de merveilleux à ce combat, la fable rapporte que Junon avait suscité le lion, et qu’A
les poursuivit avec grand bruit, et les chassa du pays. Telle est la fable  ; voici l’histoire : Des voleurs ravageaient le p
pèce très-venimeuse, que l’on nommait Hydros ; ce qui donna lieu à la fable de l’Hydre de Lerne. Hercule trempa ses flèches d
serpent, ce qui rendit leurs blessures incurables. Junon, continue la fable , voyant Hercule prêt à triompher de l’Hydre, envo
nt, et leur rendirent toute leur fertilité. Telle fut l’origine de la fable des écuries d’Augias, nettoyées par un fleuve. Ce
cours d’Augias ; mais il fut battu et blessé : ce qui donna lieu à la fable de Pluton combattant Hercule, et blessé par ce hé
d’aller ravir le plus beau et de le lui amener : ce qu’il exécuta. La fable publia que ce taureau était celui de Pasiphaé. He
re de nouvelles troupes, il le fit périr. Cette victoire produisit la fable d’Antée, fameux géant, fils de la Terre. Pendant
rcule donna à Atlas dans la guerre contre Busiris donnèrent lieu à la fable qu’il l’avait aidé à porter le ciel sur ses épaul
t grec exprime une brebis ou une pomme. On peignit ce présent sous la fable des pommes d’or du jardin des Hespérides données
t qu’elles n’ont jamais existé. Ils disent qu’il faut attribuer cette fable à la situation des deux montagnes nommées Calpé e
aux Arcadiens, qui se faisaient souvent la guerre pour ces bornes. La fable , ainsi que nous l’avons déjà dit, peignit cet ouv
ut un fils nommé Hillius, et passa trois ans à la cour de Calydon. La fable du combat d’Hercule contre Achéloüs prouve avec q
les habita, et s’y fit un asile. Ces îles s’appelaient Eschinades. La fable , pour peindre leur origine, rapporta que des nymp
d’Alceste est une des plus brillantes actions d’Alcide. Médée, dit la fable , conseilla aux filles de Pélias de couper leur pè
punit Laomédon d’avoir manqué à sa parole. Telle fut l’origine de la fable que nous avons rapportée plus haut. Il serait imp
fonte des neiges en avait fait un torrent très-rapide. Nessus, que la fable peint sous la forme d’un centaure, parce qu’il ét
héros, les poëtes le prirent pour l’objet de leurs poëmes et de leurs fables . On publia qu’il avait été reçu parmi les dieux,
ébé, déesse de la jeunesse. (Allusion à l’immortalité.) Atlas, dit la fable , qui portait le ciel sur ses épaules, sentit fort
ver le trépied de Delphes. L’histoire dit l’origine de cette dernière fable . Hercule ayant été consulter l’oracle de Delphes,
l’expédition. Toute la Grèce ayant pris part à cet événement, et les fables en parlant sans cesse, nous allons donner les dét
ppelée l’Hellespont. Telle est l’histoire dont les poëtes ont tiré la fable du bélier à la toison d’or. Ils racontèrent que P
l fallait traverser le fleuve Anaure qui était débordé. Junon, dit la fable , déguisée en vieille femme, lui offrit de le port
vaisseau était un arbre de la forêt de Dodone, ce qui donna lieu à la fable qu’il rendait des oracles. La forme de ce vaissea
rça de relâcher dans l’île de Lemnos. Les femmes de cette île, dit la fable , ayant manqué de respect à Vénus, cette déesse le
nt blessés, à l’exception de Glaucus, qui disparut et donna lieu à la fable que nous avons déjà citée, et qui le place au nom
ce vieux et aveugle, que les Harpies tourmentaient sans cesse. Ici la fable se mêle continuellement avec l’histoire ; mais il
sa heureusement et leur servit de guide. Cette colombe, dont parle la fable , était le bâtiment léger que Phinée avait donné p
tte île, ils eurent à soutenir un rude combat contre ses habitans. La fable peignit ce combat en disant qu’ils y trouvèrent d
t donc point surprenant que l’imagination des poëtes ait mêlé tant de fables et de merveilleux aux vérités de l’histoire. Cett
ire de cette princesse, et nous allons poursuivre les récits mêlés de fables qu’il est indispensable de connaître. Apollonius
significations, trouve dans les mots phéniciens l’explication de ces fables . Après avoir fait les rapprochemens de ces mots,
tent à ce sujet. On verra que leurs récits sont souvent entremêlés de fables . Les Argonautes parcoururent les côtes orientales
lui. Jason consacra le navire Argo dans l’isthme de Corinthe, et les fables des poëtes finirent par le placer dans le ciel. C
secours et des guides pour sortir du passage difficile des sirtes. La fable peignit ce prince bienfaisant sous la forme d’un
t de ce prince, fils de Pélias. L’histoire apprend l’origine de cette fable . Elle rapporte qu’après la mort de Pélias et d’És
a Médée. Telle est l’histoire que les poëtes défigurèrent dans leurs fables , leurs poëmes et leurs tragédies. Médée, selon eu
dieuse et méprisable à toute la Grèce. Long-temps après, une nouvelle fable vint encore flétrir la mémoire de Médée. On la tr
les fils de Jupiter. Ils eurent pour sœurs Hélène et Clytemnestre. La fable dit que Jupiter s’étant métamorphosé en cygne, Vé
estre passèrent pour être les enfans de Tyndare. Pour expliquer cette fable , il faut observer que, dans ce temps, on trouvait
. La forme de ces appartemens a peut-être suffi pour donner lieu à la fable que nous venons de citer. Ces princes et princess
leuve, et les poëtes eurent l’idée de faire entrer un cygne dans leur fable . La beauté de Léda, la blancheur et la belle form
ces diverses circonstances, embellies par les poëtes, produisirent la fable de Jupiter et de Léda. Quoi qu’il en soit, l’héro
ollux, accouru trop tard, vengea Castor en tuant Idas. Pollux, dit la fable , était immortel en sa qualité de fils de Jupiter 
ient alternativement sur la terre et dans le royaume des morts. Cette fable est fondée sur ce qu’après leur mort on les repré
à celles qu’il avait eues jusqu’alors. Ce fut de là qu’il rapporta la fable des enfers, les orgies et les autres cérémonies q
urne de marbre. Le voyage d’Orphée dans la Thesprotie donna lieu à la fable de sa descente aux Enfers. Orphée, dit Virgile ,
es morts étaient fort en usage ; telle fut sans doute l’origine de la fable d’Orphée retrouvant Eurydice. Quelques auteurs l’
qui survint peu de temps après, lui donna la mort, et fit imaginer la fable d’une rechute dans les Enfers. Les poésies d’ Orp
e, contemporain de Pisistrate, ou de quelque autre auteur inconnu. La fable qui peint Orphée attirant à sa suite les animaux
 » Dans ce récit d’ Homère, l’intervention de Diane tient seule à la fable , Le reste des événemens est conforme à l’histoire
ont ajouté beaucoup à cette histoire. Ce sont eux qui ont imaginé la fable du tison fatal auquel était attaché le sort de Mé
vivre à la perte de son époux. Nous croyons devoir aussi conserver la fable d’ Ovide sur Atalante. Elle s’était vouée à Diane
ond devant de pareils ouvrages ; et nous les rangerions au nombre des fables  ; si la vue de ces colosses qui ont bravé tant de
in que les oracles de la Pythie ? Quoi qu’il en soit, voici ce que la fable , mêlée avec l’histoire, nous apprend sur cette Si
rester que la voix, que le destin lui laisserait éternellement. Cette fable était fondée sur la longue vie que l’on attribuai
même désir d’expliquer les phénomènes de la nature, qui ont dicté des fables à tous les peuples. En considérant le style de ce
t dicté des fables à tous les peuples. En considérant le style de ces fables , ces expressions, tantôt sublimes, tantôt gigante
. C’est à ce dogme de la mythologie celtique qu’il faut attribuer les fables de la féerie et le merveilleux de nos romans goth
é les Grecs faisant des efforts pour voiler leur origine ; mais leurs fables mêmes (ce mélange bizarre de leurs souvenirs et d
4 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ie. On ne sauroit se refuser d’avouer que l’Histoire des Dieux et les Fables du Paganisme, font une partie considérable des Be
et sur-tout des Poëtes tant anciens que modernes, si on ne connoît la Fable . Nous ne saurions non plus disconvenir que nos pe
rédiger avec le plus d’ordre et de méthode qu’il m’a été possible. La Fable est un cahos, dont tous les abords sont couverts
travaillé, pour mes Élèves, un Traité succinct de l’Apologue ou de la Fable morale ; il devoit servir comme d’acolyte et de p
et à leur en donner la plus forte aversion. Le tout est accompagné de Fables choisies, bien capables de faire sortir avec avan
Origine de la Mythologie. D. Qu’est-ce que la Mythologie ou la Fable  ? R. La Mythologie ou la Fable est l’Histoire fab
D. Qu’est-ce que la Mythologie ou la Fable ? R. La Mythologie ou la Fable est l’Histoire fabuleuse des Divinités, du Pagani
ogos, qui signifient discours fabuleux. D. Quelle est l’origine de la Fable  ? R. La Fable doit son origine à plusieurs causes
emis et irrités. Primus in orbe Deus fecit timor. Utilité de la Fable . D. Quels avantages peut-on retirer de la Fabl
Utilité de la Fable. D. Quels avantages peut-on retirer de la Fable  ? R. Plusieurs très-considérables : 1.° La Fable
eut-on retirer de la Fable ? R. Plusieurs très-considérables : 1.° La Fable nous fait connoître de quel aveuglement est capab
de ceux qui n’aiment qu’eux. D. La Poésie ne doit-elle pas aussi à la Fable une partie de ses agrémens ? R. Oui ; elle emprun
es pommes d’or, l’or pour une pluie de ce fameux métal, comme dans la fable de Danaé ; les flèches pour des foudres et des ca
es Divinités formoient une quatrième classe. Première partie de la Fable . Des Dieux du premier ordre. Avant de commenc
et le chant de cet oiseau servoient souvent de règle aux Augures. La Fable dit que d’abord il avoit le plumage blanc ; mais
. (Lamotte.) D. Nommez-nous quelques-uns des fameux scélérats que la Fable place dans les Enfers. R. Elle nomme sur-tout Sis
      En irrite encor le désir. (Lamotte.) Seconde partie de la Fable . Des Dieux du second ordre. La Terre avoit se
le nom de Gnomes, Sylphes et Salamandres. Troisième partie de la Fable . Des demi-Dieux et des Héros. D. Qu’entend-on
rès l’autre. Jupiter fit l’homme semblable A ces deux jumeaux que la Fable Plaça jadis au rang des Dieux ; Couple de Déités
ers au jour ramenant Euridice. Cadmus. D. Que nous apprend la fable de Cadmus ? R. Cadmus étoit fils d’Agénor et frèr
e aussitôt se divisa d’elle-même, ce qui qui fit connoître, ajoute la Fable , que la mort n avoit pu éteindre une haine, dont
r le changea en anémone. Traité sommaire de l’Apologue, ou de la Fable morale. D. Qu’entend-on par Fables morales ?
ommaire de l’Apologue, ou de la Fable morale. D. Qu’entend-on par Fables morales ? R. On entend des fictions faites à dess
tes à dessein d’instruire les hommes en les amusant. L’Apologue ou la Fable est le remède que de grands génies ont employé po
combattre et détruire le vice. La morale sans doute est l’ame de la Fable ,    C’est une fleur qui doit donner son fruit, ……
e en enfant » mais pour en faire un homme. (Lamotte, L. 5. F. 3.) La Fable est une philosophie déguisée qui ne badine que po
. C’est, sans contredit, La Fontaine. Ce Poëte incomparable a mis les Fables d’ Ésope en vers français avec un naturel et des
animaux pour instruire les hommes. (La Fontaine.) Et ailleurs : Les Fables ne sont pas ce qu’elles semblent être : Le plus s
. 4.) D. Quelle est la manière de tirer le plus grand avantage de la Fable  ? R. On doit en l’étudiant, observer avec la même
(La Font., L. 8. F. 19.) Le paresseux peut lire ses devoirs dans la Fable de la Fourmi et de la Cigale ; L’homme d’étude et
’entraînent souvent dans mille dangers qu’elle n’a pas su prévoir. La Fable du Bouc imprudent est une trop fidèle image de la
s sont les siens, les servir en tout est sa plus douce jouissance. La Fable des deux Amis est un modèle admirable d’une parfa
eront bien d’imiter le tom précieux et ridicule si bien peint dans la Fable  : Quoi, moi ! quoi, ces gens-là ! l’on radote, j
un tableau parfaitement dessiné de ce vice honteux dans l’excellente Fable de l’Aigle, de la Laye, femelle du Sanglier, et d
é, conspué, vilipendé. Il faut le fuir comme une peste dangereuse. La Fable déjà citée (de l’Aigle, de la Laye et de la Chatt
n voit encore bien la ruse hypocrite et traîtresse du Vautour dans la Fable de l’Aigle et du Vautour de M.  Richer, (Paris, 1
se. M.  De Lamotte nous peint bien l’intempérance du gourmand dans la Fable de l’Huître. Quel goût ! quelle fraîcheur ! Il a
otte, L. 2. F. 10.) L’ingrat est souvent puni de sou ingratitude. La Fable de la Tortue et du Scorpion en offre un exemple f
ésider dans un cœur possédé d’un goût aussi désordonné. Consultons la Fable du Léopard et du Singe, et bientôt nous dirons av
. 5. Périphète, qui ne se nourrissoit que de chair humaine. 6. La Fable fait Tyndare père de Castor, et Jupiter, de Pollu
5 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
Dieux que j’ai déjà donnée, est remplie de crimes, de monstres et de fables lugubres ; ce second volume qui contient l’histoi
la plus sombre et la plus noire, qui a pu produire un tel recueil de fables .   Un seul journal (toujours très-malveillant pou
ver très-étrange l’idée de dessiner les attributs des Divinités de la Fable  ? Mes Arabesques ne sont que ces attributs ; le m
agnificence et sa fin tragique, appartient moins à l’Histoire qu’à la Fable . On a surchargé de prodiges sa naissance, sa vie
’arbustes, les rougirent et les pétrifièrent et telle est, suivant la Fable , l’origine du corail. Persée attacha au bouclier
on le suspendit à un arbre. Des bergers, toujours libérateurs dans la Fable des enfans abandonnés, eurent pitié de celui-ci e
naquit d’Echidna et de Typhon père et mère de tous les monstres de la fable . Le Sphinx avoit la tête d’une jeune femme, le co
ndent que Sphinx étoit une fille naturelle de Laïus, mais la première fable est plus généralement reçue. Les anciens plaçoien
s, et il épousa Phèdre, sœur de cette Princesse. Les anciens, dans la Fable et dans leurs ouvrages d’imagination, ont toujour
ce. Comme Pluton étoit aussi surnommé Adès ou Aidonnée, de là vint la fable de la descente de Thésée et de Pyrithoüs aux enfe
ès-malheureuse ainsi que toutes celles des personnages célèbres de la Fable . Hercule. Hercule fut d’abord appelé Al
ême joug deux animaux si féroces. D’autres content différemment cette fable et de la manière suivante : Lorsque les deux sœur
e toutes les Amazones périrent. Depuis cette époque, l’Histoire et la Fable ne parlent plus des Amazones13. Dans le second ch
des Grecs, introduisit de nouvelles cérémonies, inventa de nouvelles fables , il donna du poids à ces fictions par son éloquen
et de la poésie. Orphée, malheureux comme tous les personnages de la fable , perdit sa jeune épouse la belle Euridice le jour
histoire tous les crimes et tous les malheurs rassemblés. Toutes ces fables tragiques ont été produites par l’imagination la
abitèrent alternativement tour-à-tour, les enfers et les cieux. Cette fable est fondée sur ce que l’apothéose de ces héros le
de mourir jeune et chargé d’honneurs, il choisit le dernier parti. La fable qui suppose Achille invulnérable, n’étoit pas reç
ition démentie par une autre, Pyrrhus immola Polixène à ses mânes. La fable dit qu’Achille dans les enfers épousa Médée et Hé
contrée de l’Épire, Un livre entier de l’Énéide est consacré à cette fable . Énée fugitif, après la destruction de Troie, arr
eplis que ces monstres faisoient autour d’eux avec leurs corps. Cette fable est immortalisée par l’admirable grouppe, chef-d’
one. Après son enlèvement Hélène éprouva les plus cuisans remords. La Fable dit qu’une plante naquit de ses larmes. Cette pla
es, Didon n’a vécu que trois cents ans après la prise de Troye. Cette fable étant consacrée par l’Enéide, doit être rapportée
sur une montagne, et qui, ainsi que tous les Princes abandonnés de la fable , fut recueilli et élevé par des bergers. On le no
lytemnestre. Clytemnestre, fille de Tindare, l’étoit suivant la Fable , de Jupiter, qui séduisit Léda, sous la forme d’u
de duplicité et de fourberie ; et tel est constamment Ulysse dans la fable et dans les tragédies grecques. Ulysse (en grec O
e, père de Diomède, fut un Prince d’une horrible férocité, quoique la fable le place au rang des plus fameux héros. Il tua le
t la ville de Crotone en cet endroit. Ovide rapporte autrement cette fable . Il dit que Numa, voyageant pour s’instruire renc
ldalie, elle étoit dans l’isle de Chipre et consacrée à Vénus. Cette fable de Chalcénor rappelle l’histoire de Straton que v
e, épouse d’Auguste, consacrée aux mêmes travaux ; c’est ainsi que la fable nous représente la chaste et fidelle Pénélope, et
e, Vous n’avez pas le don d’aimer. L’Espérance. Suivant la Fable , elle se trouva au fond de la boîte de Pandore, p
ns. Voici une description de la Faveur, plus élégante que celle de la fable , mais qui se confond avec celle de la Fortune :
p loué cette allégorie, elle n’est pas l’une des plus heureuses de la fable . Il eût été plus naturel de représenter les prièr
ation, mais qui est beaucoup trop longue pour la rapporter ici. La Fable . Fille du Sommeil et de la Nuit, épousa le Me
n, et c’est à quoi on ne pense pas assez en composant des contes, des fables et des allégories. La Flatterie48. Une fem
rphoses. 8. Electrion étoit fils de Persée et d’Andromède. 9. Cette fable est à-peu-près la même que celle de Nisus, de Scy
e par le courage d’une fille nommée Valesca. 14. Ce qui contredit la fable qui dit qu’Hercule se fit accompagner dans ce lie
ns la Mythologie, chercher à concilier tous les faits de ces diverses fables seroit même un soin ridicule. 15. Le nom d’Argon
nes opérations magiques. Dict. myth. de M.  Millin. 18. On verra une fable à-peu-près semblable dans le dernier volume consa
us intéressant qu’il ne se trouve dans aucun autre Dictionnaire de la Fable . 20. Il y avoit plusieurs autres divinités adoré
6 (1832) A catechism of mythology
liberal may explain. In cases where evident morals are inculcated by Fables , observations have been given; while poetical ext
d scholarship. The word Mythology is derived from the Greek words , a fable , and , a word, or description. Its origin has bee
istory of the creation, and other sublime truths, in the obscurity of fable . The ancient Greeks, who, at first, were the most
t length arrived in Greece and Italy. We shall find that idolatry and fables have almost all followed in the same steps. The R
m she wished to be wedded; but he prefered to her the nymph Sangaris. Fable says that the goddess revenged herself upon Atys,
m into a pine tree, which was from that time consecrated to her. This fable of Atys and Sangaris is founded upon Midas, king
mned to the labor of bringing forth children, is concealed under this fable . Questions. Who was Cybele? Who was her favourite
ass.” Virgil. Obs. 1. — To understand the historical sense of this fable , it is necessary to know that different princes o
Thessaly. Let our readers sharpen their minds in explaining the other fables related in relation to Jupiter. Obs. 3. — The go
eved that Prometheus was the first inventor of statues. To render the fables of the poets intelligible, they placed Minerva by
l an exile was figured by a vulture tearing his liver. Obs. 3. — The fables of Pandora and Deucalion, appear evidently, to re
Virgil. Obs. 1. — In inquiring into the sense of the first of these fables , we find that the counsels of Ascalphus determine
tection. Obs. 2. — The division of the year alluded to by the second fable , may be explained in two different ways. Proserpi
s. Proserpine was often taken for the moon, and one expressed by this fable , the time at which she appeared to us, and the ti
to present an unnecessary multiplication of these explanations of the fables . A few examples of the kind, however, may be usef
sh, and of the freshness and liveliness of all things. Obs. 2. — The fable of Tithonus is a pretty allegory, the end of whic
heard, we should eternize our misfortunes and regrets. Obs. 3. — The fable of Phaeton appears to be an allegory, representin
o her husband? What is said of Tithonus? What is said of Memnon? What fable is related of Phaeton? Chapter XIII. Of Latona
he children of Niobe in the plains near Thebes. We shall explain this fable by reconciling it with history. Niobe was the dau
ribed to an extreme heat, which the night itself could not abate, the fable of their death was imagined. Homer says that the
sen. The god beat the satyr, and flayed him alive. The origin of this fable may be accounted for thus: before the invention o
n, Bacchus on earth, and Apollo in the infernal regions. Obs. 7. — A fable imagined about the raven, deserves to be related.
of songs; Urania, the heavenly; and Calliope, sweetness of voice. The fable of the Muses allegorically represents the modific
amed Adonis, having tried to please them, they put him to death. This fable is intended to represent unsuccessful attempts at
elf by persecuting the sciences; and the poets invented the foregoing fable with a view to perpetuate this blemish of his cha
mountains in Caria, where he often spent his nights, which caused the fable of Diana’s nocturnal visits to him. Orion was an
na’s nocturnal visits to him. Orion was an astronomer. Obs. 3. — The fable of Actæon appears allegorically to represent the
ut it in his thigh, where it remained till its birth. This ridiculous fable afterwards gave Bacchus the surname of Bimater, o
acreon. Obs. 1. — In inquiring into the origin of the extraordinary fable relating to the birth of Bacchus, we find that Se
ity near a mountain called Meros, a word, which signifies thigh. This fable has no other origin. Obs. 2. —  Herodotus, Pluta
ndered long in the wilderness in their journey to the land of Canaan. Fable represents Bacchus with horns: they allude to the
— This parallel is too perfect not to allow us to disbelieve that the fable of Bacchus is nothing more than an ill formed tra
he giant Pallas, to whom the name of Minerva or Pallas was given. The fables of these different goddesses are commonly confoun
the Eye of Omnipresence, before which the guilty flee. Obs. 3. — The fable of Minerva’s disputing with Neptune, may be thus
gin of this reformation, and to consecrate it, the poets imagined the fable of Neptune surpassed by Minerva. Some historians
fable of Neptune surpassed by Minerva. Some historians say that this fable was designed to represent a difference which had
inerva, and that the twelve great gods had decided it. Obs. 4. — The fable of Arachne, is nothing but an allegory to represe
allegory to represent the punishment of foolish pride. Obs. 5. — The fable of Tiresias shows, that the truly wise man does n
urns; The groan still deepens, and the combat burns.” Obs. 1. — The fable in reference to the birth of Mars, originated wit
s mistress was Psyche, a Greek word for the soul, to figure which her fable is a plain allegory. Her symbol is a butterfly.
qual gifts of nature are balanced by those of fortune. Obs. 3. — The fables and accounts of poets in relation to Venus are ob
ixture of the history of Astarte with that of Venus, gave rise to the fable of Adonis, which is thus explained. That young pr
l names of Venus? How is Venus represented? Who was Cupid? Relate the fable of Cupid turning Peristera into a dove. Who was C
d. Obs. 1. — He who has furnished the poets with most materials for fable , is Mercury Trismegistus, or three times great, k
fully preserved. Obs. 2. — To understand the historical sense of the fable of Mercury, we must recollect that the ancients,
water were innumerable. We shall present a few of the most important fables belonging to this part of mythology. Chapter I.
to have frightened away the giants in their wars with the gods. This fable may be considered as a corrupted tradition of the
inclined to consider the Sirens as girls of pleasure. Obs. 2. — The fable of the Sirens seems to pourtray the folly, as wel
imself into any shape he pleased, and had the gift of divination. The fable of Aristæus illustrates the power of Proteus to m
A fickle person is called a Proteus. Questions. Who was Proteus? What fable relates to the power of Proteus to metamorphose h
to that time the name of “halcyon days.” This singularity produced a fable : Alcyone, wife of Ceyx, king of Trachinia, saw, i
rtumnus? Who was Phorcys? What story is related of Saron? Mention the fables of the king-fishers. Chapter VI. The Nymphs.
uttered these words: “Midas has asses’ ears.” Many of the ridiculous fables of the ancients, by which they attempted to amuse
stances which accorded with the customs of the Greeks, he founded his fable of hell. Diodorus adds that people frequently ke
was nothing but lake Avernus in Italy, near Pouzolles. Obs. 2. — The fable of Cerberus originated in the Egyptian practice o
to men, who were afterwards called by Æacus myrmidons. Obs. 2. — The fable of the Furies exhibits an image of that frenzy wh
The learned do not agree with respect to the explanation of this last fable . Some consider it as an allegory to paint avarice
fetch water in it. See Fig. 49. Fig. 49. The Danaides. Obs. — The fable , imagined to represent this singular kind of puni
, Rhœtus, Pisenor, Mermeros, Pholus, &c. Obs. — The idea of this fable of the Centaurs, may be referred to the men of Th
. Hercules killed the guards, and drove the flocks away. Obs. — This fable inclines us to the belief, that Geryon was a prin
mmense riches, his return was celebrated, and the poets contrived the fable of the Gorgons and of Medusa. The Chimæra was a m
rough body, and a serpent’s train.” Ovid. Obs. — Some explain this fable by recollecting that there was a volcano in Lycia
ntenance. — See Fig. 65. Fig. 65. Momus. Obs. — We learn from the fable of Momus, that when quibbling objections are rais
st similar to that of Phylla, an almond-tree, alone gave rise to this fable . The poets added, that the almond-tree flourished
he persecutions of Juno, in whom they personified jealousy. Under the fables of Hercules, were concealed the eminent services,
owerful man had rendered to his fellow creatures. In moralizing those fables , the ancients took Hercules for the strengh of re
nt. In short, our readers may exert their ingenuity in explaining the fables of Hercules in various ways, if they take pleasur
the Golden Fleece. Many authors differ in explaining this far-fetched fable . Some believe that, in Colchis, several brooks ro
s called Fascelis, from fascis, a “bundle.” Obs. 1. — To explain the fable in reference to the birth of those princes and pr
met with on that river: hence the poets introduced a swan into their fable . The beauty of Leda, the whiteness and elegant fo
nt circumstances, combined and embellished by the poets, produced the fable of Jupiter and Leda. Obs. 2. — The fable of Cast
by the poets, produced the fable of Jupiter and Leda. Obs. 2. — The fable of Castor and Pollux’s living and dying alternate
ciprocity in sharing immortality, was easily imagined. Obs. 3. — The fable of Agamemnon’s offering Iphigenia to Diana appear
anc’d in order to the tunes he play’d.” Obs. — The meaning of these fables is this: so powerful and persuasive was the eloqu
e first who represented the world by a sphere; which gave rise to the fable in which he is said to have sustained the heavens
ture, restored him to life, and rendered him immortal. Obs. 1. — The fable of Typhon, which the Egyptians, and also the Gree
e Egyptians consecrated the remembrance of its primitive state in the fable of their Typhon. Obs. 2. — We may consider the s
f which tradition and religious canticles had preserved. The gods and fables of the poets must not be confounded with traditio
ore such works; and we should place accounts of them in the number of fables , if the remains of such colossal structures, whic
ld not have been translated into Greek. However, we will present what fable , blended with history, gives us concerning this S
ning of her but her voice, which destiny would forever preserve. This fable was founded on the longevity which was attributed
epoch. The people counted by Olympiads only; and since that time, few fables of the Greeks are recorded in history. This divis
e desire of explaining the phenomena of nature, which have decked out fables among all people. In considering the style of the
decked out fables among all people. In considering the style of these fables , in which are blended, sometimes the sublime, wit
mit of his days. It is to that tenet of the Celtic mythology that the fables of fairy-ism and the marvellous of our Gothic rom
eeks made similar exertions to veil their real origin; but that their fables , which were a fantastical admixture of real remem
7 (1850) Précis élémentaire de mythologie
ivers et toutes ses merveilles. Mais les Grecs ont défiguré par leurs fables ce simple et sublime récit. Le Chaos, disent-ils,
ait-on pendant ces fêtes ? 7. Quelle explication peut-on donner de la fable de Saturne ? 8. De quelle manière les peintres et
ux. Au lieu de son fils elle lui avait donné une pierre à dévorer. La fable dit qu’il fut nourri dans l’île de Crète par la c
mes s’éleva derrière eux, et le genre humain fut renouvelé. 11. Cette fable est évidemment la tradition altérée du déluge, co
ter ? 8. Quelles aventures eut-il dans ses voyages ? 9. Quelle est la fable de Philémon et de Baucis ? 10. Pour quel motif Ju
t-ils pour repeupler la terre ? 11. Quels rapports y a-t-il entre ces fables et l’histoire sainte ? 12. Qu’est-ce qui légitime
béliers. 5. Les Grecs ont beaucoup vanté les vertus de Cérès, mais la fable nous la montre avec une humeur fort vindicative.
t des deux mots phos et bios, qui signifient lumière et vie. Quand la fable le considère comme le dieu du soleil, « elle dit
pa de sa foudre et le précipita dans l’Eridan, fleuve d’Italie. Cette fable n’est sans doute que le récit poétique d’une gran
onctions lui donna Jupiter quand il rentra dans l’Olympe ? Comment la fable le peint-elle quand elle le considère comme le di
ur et elle présidait à la nuit. C’est sans doute pour ce motif que la fable ajoute que Diane vint au monde en même temps qu’A
rets. 3. Sur la terre on la vénérait comme la déesse de la chasse. La fable raconte qu’elle errait dans les forêts avec ses n
mporta, et la cité de Cécrops reçut le nom d’Athènes. Peut-être celle fable n’est-elle que l’histoire allégorisée des ancienn
lement on supposait qu’ils habitaient les cavernes de Lemnos, mais la fable place encore leurs forges à Lipari, dans les mais
I. Bacchus. 1. Bacchus était le dieu de la joie et des festins. La fable a environné sa naissance de grandes merveilles. E
urer la terre et à cultiver la vigne. Ce dernier trait, sur lequel la fable appuie tout spécialement, nous donne le sens de c
elles plaisaient par leur candeur et leur simplicité naturelle. 5. La fable dit que Vénus quittait souvent le séjour des dieu
nt-elles filles ? Comment étaient-elles, représentées ? 5. Que dit la fable des voyages que Vénus faisait sur la terre ? Quel
ient les poëtes ? 8 Quelle offrande lui faisaient les femmes ? Quelle fable inventa la flatterie à propos de la chevelure de
Doris, la vierge Amphitrite qui avait juré de ne se jamais marier. La fable dit que ce fut un dauphin qui persuada à Amphitri
faire renaître les abeilles. Virgile a merveilleusement raconté cette fable dans ses Géorgiques. 9. Les Sirènes étaient encor
e, d’épais sourcils et de longs cheveux flottants sur ses épaules. La fable rapporte qu’un jour, après avoir pris des poisson
Qu’est-ce que Glaucus ? Comment est-il représenté ? Qu’est-ce que la fable raconte sur sa vie ? Quel sens pourrait-on donner
ident pas tous nos jours. [Malherbe] 8. Les grands coupables dont la fable a conservé le souvenir et raconté les châtiments
ale dans un fleuve a soif et ne peut boire. Tu ris, change le nom, la fable est ton histoire. [Horace] [Desmarets" role="tran
s bergers, on lui donnait une houlette et une flûte à sept tuyaux. La fable suppose qu’il était l’inventeur de cet instrument
é les aventures du plus ancien et du plus célèbre d’entre eux dans la fable de Bacchus. Flore, Pomone, Vertumne, Priape et
omone était la déesse des fruits et des jardins. Elle est unie par la fable à Vertumne, le dieu de l’automne, parce que c’est
uels étaient ses fils ? Sur quel peuple avait régné Memnon ? A quelle fable donna lieu sa statue colossale ? 7. Quels furent
aient ses enfants ? Comment était-elle représentée ? Qu’est-ce que la fable nous raconte d’Astrée sa fille ? Que signifie ce
t un dieu. Telle fut l’origine des héros et des grands hommes dont la fable a célébré les actions. 3. Nous réduirons à quatre
ates, s’emparèrent de leur pays et revinrent chargés de butin6. 2. La fable a singulièrement embelli cet événement. D’après s
us apprend de l’expédition des Argonautes ? 2. De quelles fictions la fable a-t-elle orné cet événement ? 3. A quelle occasio
ée, roi d’Athènes, et d’Æthra, fille de Pittée, roi du Péloponèse. La fable l’a fait fils de Neptune pour avoir le plaisir de
Questionnaire. 1. De qui Thésée était-il fils ? Qu’est-ce que la fable dit de sa naissance ? A quel signe son père voula
Sparte, et de Léda, son épouse. Rien n’est plus absurde que ce que la fable raconte à leur égard. Elle dit qu’ils eurent pour
ionnaire. 1. De qui Castor et Pollux étaient-ils fils ? Comment la fable raconte-t-elle leur naissance ? 2. Quelle était l
gands qui en voulaient à sa fortune et à sa vie ? 5. Qu’est-ce que la fable raconte d’Amphion ? Que signifie cette fiction ?
rs de Thèbes, mais le premier fondateur de cette ville fut Cadmus. La fable le dit fils d’Agénor, roi de Phénicie, et de la n
s de Cadmus étant allés puiser de l’eau dans une fontaine voisine, la fable ajoute qu’ils furent dévorés par un dragon fils d
t mutuellement de leurs épées. On les brûla sur le même bûcher, et la fable raconte qu’en signe de leur haine la flamme se di
n lui attribuent les Grecs ? L’histoire est-elle ici d’accord avec la fable  ? 3. Qui épousa Cadmus ? Quelle prédiction lui fi
. Racine . Agamemnon consentit à cet abominable sacrifice, mais la fable ajoute que Diane se contenta de sa soumission, qu
de se réfugier avec ses compagnons chez Daunus, roi d’Illyrie, où la fable dit qu’ils furent tous changés en hérons. — Idomé
ys, sa sœur, la terre inféconde, la sécheresse et la stérilité. 3. La fable raconte ainsi les aventures d’Osiris, d’Isis et d
ndance régnèrent avec le fils d’Osiris. 8. Le peuple, qui prenait ces fables au sérieux, était très-superstitieux. Il adorait
le idée se faisait-il à Osiris ? — d’Isis et de Typhon ? 3 Comment la fable raconte-t-elle les aventures d’Osiris et d’Isis ?
59. Anges, chez les Perses, 174 Anges rebelles, ont donné lieu à la fable des Titans, 25. Angoisse, 195. Antigone, fille
dmus, 135 ; bœuf Apis, 184. Boileau , vers sur les allégories de la fable , 9 ; l’âge d’or, 15 ; l’état sauvage, 35. Bor, 1
6. Exotérique (doctrine d’), 160. Ezéchiel, prophète, 173. F Fable , sens allégorique des principales fictions, 9, 15
ligion, 182, 183. Géants, fils de la Terre, 24 ; explication de leur fable , 25. Gémeaux, const., 34. Génies, div. domestiq
8 (1845) Mythologie de la jeunesse
it ici d’instruire encore plus que de plaire. La vie et la beauté des fables , dont se compose la mythologie, sont des choses q
s les interprétations, quelquefois arbitraires, qu’on peut donner des fables , soit historiques, soit allégoriques, et qui, lor
charme. L. B. [Fig. 3] Notions préliminaires Origine de la Fable . — Nécessité de l’étude de la mythologie. La m
t mythologie est composé de deux mots grecs, dont le premier signifie fable , tradition, et le second, discours. La Fable est,
dont le premier signifie fable, tradition, et le second, discours. La Fable est, en grande partie, une altération des vérités
regardée comme un tissu de contes inventés à plaisir. La plupart des fables dont elle se compose sont ou historiques ou allég
onds inépuisable d’images riantes et d’idées ingénieuses. Beaucoup de fables , sans doute, ont vieilli et ne sauraient se conci
ont toujours leur grâce, leur fraîcheur et leur vérité. L’étude de la Fable est encore indispensable pour l’intelligence des
t aussi leur langage, sont autant d’énigmes pour ceux qui ignorent la Fable  ? Ajoutons à tout cela que la mythologie, en part
e son empire, Jupiter ne s’occupa plus que de ses plaisirs. Ce que la Fable raconte de la vie privée de ce maître des dieux f
eur victoire sur les filles de Piérus. (V. Métamorphoses.) Quoique la Fable leur ait donné à chacune des fonctions particuliè
Pélops. La postérité de Tantale, comme celle d’Œdipe, a dans la fable une triste célébrité. On attribuait les malheurs
e Progné ont fourni à La Fontaine la matière d’une de ses plus belles fables , que voici :         Autrefois Progné l’hirondel
a lyre fut placée au nombre des constellations. Virgile a raconté la fable d’Orphée et d’Eurydice dans le quatrième livre de
1. Corneille, Boileau et Voltaire ont fait chacun une apologie de la Fable . Nous citerons de préférence les vers de Corneill
onnus et les plus beaux. Qu’on fait d’injure à l’art de lui voler la fable  ! C’est interdire aux vers ce qu’ils ont d’agréab
les jardinages ! Des roses et des lis le plus superbe éclat, Sans la fable , en nos vers, n’aura rien que de plat. Qu’on y pe
, v. 4) : « Il y avait en ce temps des géants sur la terre. » 8. La fable de Prométhée est visiblement une tradition altéré
re rappelle également la chute d’Adam et ses suites funestes. Dans la Fable comme dans l’Histoire sainte, l’époux cède aux in
ne prêtresse dont le nom, en grec, signifiait colombe : de là vint la fable que les colombes et les chênes de la forêt rendai
la curiosité ou à la raison faible et imparfaite de l’homme. 17. La fable de Glaucus indique les progrès de la pêche qui se
Endymion était un berger qui passait les nuits à la belle étoile. La Fable , qui embellit tout, en a fait un chasseur aimé de
iane. 26. Nysa, ancienne ville d’Arabie consacrée à Bacchus. 27. La fable de Psyché est un symbole de la curiosité et de se
oyait que la Colchide possédait des mines d’or. De là, sans doute, la fable de la Toison d’or. 36. Le nom de Bellérophon est
On prétend qu’une fille de Laïus, nommée Sphinge, a fait imaginer la fable du Sphinx. Mécontente de son père, elle se serait
qui signifie loup. 41. Daphné, en grec, veut dire laurier. 42. La fable de Pyrénée nous enseigne que la présomption expos
latin, aura veut dire brise, haleine du zéphyr. 45. Le sens de cette fable est facile à saisir. La mort de Procris est une p
9 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
légories ingénieuses, et d’expressions figurées, qui du domaine de la fable sont passées dans le langage ordinaire. Suivant l
thologie. Origine de l’idolâtrie. La mythologie1, ou science de la fable , est l’histoire des fausses divinités que les paï
pénétra chez les Romains. 3. Progrès de l’idolâtrie. Formation des fables . Lorsque les hommes, asservis à l’empire des s
uels ont été les progrès de l’idolâtrie ? Comment se sont formées les fables  ? 4. En combien de parties est divisé ce traité d
la justice, distribue à ses sujets les peines et les récompenses. La fable dit encore que Jupiter épousa Métis, la prudence 
c laos, peuple, signifie aussi pierre, sous sa forme poétique. 25. Fable de Prométhée et d’Épiméthée. La corruption des
érocité du tigre et la force du lion. On entrevoit encore, dans cette fable , la tradition défigurée de la création de l’homme
e l’homme, dans la Genèse, est fait à l’image de Dieu, et celui de la fable à l’image de la bête. 26. Fable de Pandore.
à l’image de Dieu, et celui de la fable à l’image de la bête. 26. Fable de Pandore. Jupiter, irrité de l’attentat de P
on des mortels. Il n’est pas impossible d’entrevoir encore dans cette fable une tradition confuse de la perte du genre humain
Quel fut son supplice ? Quelle explication donne-t-on de toute cette fable de la guerre des Géants ? 19. Nommez les diverses
quelle observation historique donne lieu ce déluge ? 25. Racontez la fable de Prométhée, d’Épiméthée. 26. Faites connaître l
Racontez la fable de Prométhée, d’Épiméthée. 26. Faites connaître la fable de Pandore. 27. Quel était le culte de Jupiter, e
idan (autrement appelé le Pô). Quelques interprètes ont vu dans cette fable un souvenir de l’embrasement des villes de Sodome
. 36. Quelle fut l’aventure de Phaéton ? Quel souvenir rappelle cette fable  ? 37. De qui les neuf Muses sont-elles filles ? Q
lle correspond au mois de Mars. 2° Le Taureau (avril). Selon la fable , Jupiter prit la forme de cet animal pour transpo
ent éprouvait-elle pour le bel Endymion ? Comment explique-t-on cette fable  ? 41. De quelle nature était le culte de Diane ?
lture est pour l’homme un trésor inépuisable. On connaît la charmante fable de La Fontaine intitulée Le Laboureur et ses enfa
e la terre, qui seules peuvent satisfaire les besoins de l’homme : la fable d’Erisichthon le prouve. C’était un Thessalien qu
essaires à son entière formation fussent accomplis. On explique cette fable en disant que Sémélé avait péri dans l’embrasemen
mbes à son fils Dryas, et se mutila lui-même après. On explique cette fable en disant que Lycurgue défendit le vin à ses suje
s en chauves-souris et leur ouvrage en lierre. Le poëte tire de cette fable une vérité qui devient toute chrétienne, si on mo
mpire de Neptune. Divinités secondaires de la mer. 76. Protée. —  Fable de Ménélas, d’Aristée. L’immense étendue des e
s le recueillirent, et le changèrent en dieu marin. On explique cette fable par les progrès de la pêche, qui d’abord se fit a
ient ces deux monstres ou plutôt ces deux écueils. Charybde, selon la fable , était une femme de Sicile qui, ayant volé des bœ
ucus ? Comment eut lieu sa métamorphose ? Comment explique-t-on cette fable  ? Comment représente-t-on Glaucus ? 78. Faites co
fut la destinée de Céphale et de Procris, sa femme ? Qu’indique cette fable  ? Comment représente-t-on l’Aurore ? Chapitre
dé ; ses yeux noirs et perçants sont ombragés d’épais sourcils. Cette fable est empruntée aux Egyptiens, qui transportaient l
omment est représenté le nocher des enfers ? Comment explique-t-on la fable de Charon et des juges infernaux ? 87. Qu’était-c
qu’il est permis d’orner la vérité. On peut dire à ce sujet la jolie fable de Florian, intitulée la Fable et la Vérité. 9
rité. On peut dire à ce sujet la jolie fable de Florian, intitulée la Fable et la Vérité. 94. La Vertu. — ‘L’Honneur. L
de leurs esclaves qu’ils voulaient affranchir. L’Abondance, selon la fable , suivit dans le Latium Saturne, détrôné par Jupit
ppaient l’origine des dieux. Nous sommes encore dans le domaine de la fable , mais nous touchons aux limites de l’histoire. Il
l fut mis par les poëtes au nombre des constellations. On explique la fable de Bellérophon en disant qu’il purgea les montagn
Bellérophon ? Quelle fut la fin de sa vie ? Comment explique-t-on la fable de Bellérophon ? Chapitre XXV. Hercule.
le. Hercule, dieu de la force, et le plus illustre des héros de la Fable , était fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amph
aints assez de traits de ressemblance pour permettre de croire que la fable de l’un est l’histoire préfigurée et amplifiée de
des Indous est couverte d’épaisses ténèbres. Cependant, au milieu des fables bizarres qu’elle présente, on reconnaît des trait
? 1. Le nom de Mythologie est formé de deux mots Grecs, muthos, fable , récit mensonger, et logos, discours, traité 2.
n Rollin, l’histoire de Noé et de ses trois enfants a donné lieu à la fable de Saturne et de ses fils, se partageant l’empire
. Du mot grec parthenos, vierge. 21. Voici comment on explique cette fable  : Avant l’invention de la lyre, la flûte était l’
ale dans un fleuve a soif et ne peut boire. Tu ris, change de nom, la fable est ton histoire. 43. Les anciens plaçaient le
dernières années de Bellérophon que La Fontaine fait allusion dans sa fable de l’Ours et l’Amateur des jardins : Certain our
10 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
Introduction. La Fable est l’histoire fabuleuse des divinités du paganis
un temps plus éclairé, la poésie contribua encore à donner cours à la fable . Les hommes aiment naturellement le merveilleux ;
ommes d’or ; l’or, pour une pluie de ce métal précieux, comme dans la fable de Danaé ; les flèches pour des foudres et des ca
ou mauvaises. Lycaon, prince cruel, faisait mourir les étrangers ; la fable le change en loup. Ceix et Alcyone, métamorphosés
rt ; Cygnus en cygne ; Alopis en renard ; les Cécropes en singes. Ces fables ridicules se glissèrent dans l’histoire, et de l’
rémités du monde. NOUVELLE MYTHOLOGIE. Origine du monde d’après la Fable . Voici comment les poètes défigurèrent le réc
ne hasardait rien dont il pût se repentir : tel est le sens de cette fable . Numa Pompilius, successeur de Romulus, et second
, et se livrait à l’étude de l’astronomie. On fait entendre par cette fable qu’il donnait, pour ainsi dire, une âme à ses sta
es airs, et qui portait ses foudres. Pour le sens historique de cette fable , il faut savoir que différens princes, sous le no
bus. Il est aussi le dieu des arts ; et c’est par cette raison que la fable nous le représente sous la figure d’un jeune homm
rement, et mourut pour lui ; mais Hercule la ramena des enfers. Cette fable qui nous présente un des plus grands exemples de
e mettait sur sa tête une couronne de laurier quand il tonnait. Cette fable n’a d’autre fondement que le nom de Daphné, qui,
ol et le chant du corbeau servaient souvent de règles aux augures. La fable dit que d’abord cet oiseau avait le plumage blanc
iles qui figurent des hommes ou des animaux. Voici à quel trait de la fable chaque signe fait allusion. Le Bélier. C’est celu
y est symbolique et merveilleux. Voici entre autres choses ce que la fable nous apprend d’Orion. Fils des dieux, il naquit s
est dans le tropique du cancer (l’écrevisse). On reconnaît dans cette fable l’influence du soleil sur les plantes : elles pér
oute que sa présence dissipe l’obscurité de la nuit. L’Aurore, dit la fable , éprise d’amour pour Tithon, fils de Laomédon, ro
on père ;      Il doit servir à terminer tes jours. Quinault. Cette fable , ainsi que celle d’Icare, fait connaître les fune
épète et prolonge les accens mélodieux. Il est aisé de voir que cette fable n’est fondée que sur la ressemblance du nom. Une
avait imposé un tribut, donna lieu sans doute à l’invention de cette fable odieuse. Il est possible cependant qu’elle soit f
, et qu’Apollon connaissait l’avenir, a sans doute donné lieu à cette fable . Cumane, inspirée par Apollon, rendait ses oracle
Pluton rompt lui-même ses lois. Fontenelle. Voici, au rapport de la fable , ce qui donna occasion à Diane de se vouer à une
grec, signifie cuisse : c’est sans doute ce qui a donné lieu à cette fable . Les Hyades Sitôt que Bacchus fut né, Merc
t Cyllène. Celui qui a fourni aux poètes le plus de matériaux pour la fable , est Mercure Trismégiste ou trois fois grand, roi
les hommes qui avaient fait leur temps dans les Champs-Elysées. Cette fable vient sans doute de ce que le prince qu’on honore
ier. Sens Historique. Pour entendre le sens historique de cette fable , il faut savoir que les anciens, peu curieux obse
avoir le suffrage de Pâris. Les savans prétendent que la Vénus de la fable fut une reine de Phénicie, nommée Astarbe ; mais
char. Péristère, nom grec, signifie une colombe ; tout le reste de la fable est de l’invention des poètes. Adonis My
ssons, et un certain penchant qui les porte à aimer les hommes. Cette fable d’un personnage qui n’a jamais existé est toute d
aient, ou le laissaient infecté de leur attouchement. Voici ce que la fable raconte de ces animaux, qu’on regardait comme les
cyllo ; l’un et l’autre sont des écueils dangereux. Scylla, selon la fable , était fille de Phorcys et d’Hécate. Elle fut aim
e, tant il leur porte envie. » Fleuves de l’Enfer. Suivant la fable , il y avait cinq fleuves dans l’enfer : l’Achéron
e dans un fleuve a soif, et ne peut boire, Tu ris ? change de nom, sa fable est ton histoire. [Horace] [Desmarets] La N
Ladon, son père, elle invoqua Diane, qui la changea en roseau. Cette fable est purement historique. Pan ayant remarqué que l
oètes, pour exagérer les talens d’Aristée en ce genre, ont inventé la fable suivante : Aristée devint éperdûment amoureux d’E
augures, ou l’allusion de son nom, aura sans doute donné lieu à cette fable . Picus avait épousé la nymphe Canente, à qui la b
t célèbres par leur bravoure ou leurs belles actions. Persée, que la fable place au rang des héros, était fils de Jupiter et
e. Géryon, roi d’Espagne, autre tyran, tomba aussi sous ses coups. La fable lui donne trois corps, soit parce qu’il commandai
yclymène ; il étouffa dans ses bras Antée, fils de la Terre, à qui la fable donne soixante-quatre coudées de hauteur. Il entr
er, dans lequel ils s’entre-tuèrent l’un l’autre. Si l’on en croit la fable , ils avaient une telle haine l’un pour l’autre, q
ui donna la mort. Énée Enée était du sang royal de Troyes. La fable lui donne Vénus pour mère. Après la ruine de sa p
s’est fait une patrie. [Delille] La reine de Carthage, dit encore la fable , touchée des malheurs d’Enée, chercha à le reteni
11 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
Origine de la mythologie. On appelle mythologie l’ensemble des fables ou croyances erronées qui formaient la base de la
uifs. Ce mot est composé de deux mots grecs, dont le premier signifie fable et le second discours. Le culte des faux dieux s’
dolâtrie1. Il faut, avant tout, chercher à connaître l’origine de ces fables , et pour cela il est nécessaire de remonter jusqu
’avait fait dans les âmes une incrédulité passagère. Formation des fables et matériaux de la mythologie. Ainsi l’origine
tion des fables et matériaux de la mythologie. Ainsi l’origine des fables religieuses ou de la mythologie peut se rattacher
ouvelles croyances. Puisque nous connaissons maintenant l’origine des fables , nous devons essayer de reconnaître comment elles
mées. Cette étude présente d’assez grandes difficultés, parce que les fables sont l’image ou le voile d’un grand nombre de fai
es autels et des temples. C’est ainsi que se formèrent la plupart des fables de l’antiquité. Les matériaux de la mythologie so
ppelle psychologie ; 6º à la politique et à la morale. Le fond de ces fables , qu’on est tenté de prendre, au premier coup d’œi
il n’existe nulle part un être vivant qu’on appelle l’Innocence : la fable ne donne à ces sortes de personnages ni histoire
e antique et belle tradition, les poëtes postérieurs ont substitué la fable des quatre siècles successifs, d’or, d’argent, d’
u genre humain. Origine de l’homme. Voici maintenant comment la fable raconte l’origine de l’homme et de la femme. Jape
un esprit sage et d’un cœur aimant. Nous retrouvons encore dans cette fable le souvenir altéré de la formation et de la chute
es ? — Les poëtes n’ont-ils pas altéré cette tradition ? — Comment la fable raconte-t-elle l’origine de l’homme ? — Comment P
ur la terre. Saturne représente le temps. La plupart des faits que la fable lui attribue sont allégoriques. Elle le dit fils
n. Jupiter quitta plusieurs fois le ciel pour visiter la terre. La fable raconte de lui beaucoup de voyages et de métamorp
forme d’un loup. On voit facilement que les anciens ont imaginé cette fable pour expliquer l’existence et la férocité des lou
forme à ses pieds dans la région des nuages, et qu’ils ont imaginé la fable de la guerre des Géants ou des montagnes que le t
’autres, Astrée ou la Paix, fille de Thémis. — La Balance. Suivant la fable , cette balance est celle d’Astrée, qui quitta la
hins qui amenèrent Amphitrite à Neptune. Nous placerons ici ce que la fable raconte de quelques autres constellations. Voici
rce ne suffisant pas, Érésichton finit par se dévorer lui-même. Cette fable représente les hommes avides qui, au lieu de cult
ent moins de grossièreté et plus de décence. Fénelon, dans une de ces fables charmantes qu’il composait pour l’éducation du du
. On trouve un exemple mémorable de cette puissance de Protée dans la fable d’Aristée, fils d’Apollon et de Cyrène. Orphée, l
lut en manger et qu’aussitôt après il se précipita dans la mer. Cette fable indique le progrès de la pêche, qui se fit d’abor
e dans un fleuve a soif et ne peut boire : Tu ris, change le nom, la fable est ton histoire. [Horace] [Translator : Desmare
che, leurs bras homicides. Tels sont les principaux coupables dont la fable raconte les crimes et les souffrances ; nous pour
me des autels et des temples. Il suffit d’indiquer ces allégories. Fable de Psyché. C’est ici qu’il faut placer la fict
résistance de Vénus, confirma l’union de Psyché et de l’Amour. Cette fable est le symbole de la curiosité et de ses résultat
onde, — Brahm. — Brahmâ. — Vichnou. — Siva. Les Indous, malgré les fables qui altérèrent la pureté de la croyance primitive
et de destructions implacables17 » Telles sont les divinités et les fables principales de la mythologie des Indous. Si l’on
ands principes religieux, et livrèrent à la crédulité des peuples des fables obscures qui recélaient un sens que le vulgaire n
12 (1866) Dictionnaire de mythologie
rare. — Le Lecteur : Le Phénix chantait donc ? — Le Dictionnaire : La fable ne le dit pas, mais on peut le supposer. — Le Lec
aient la religion des païens mieux que la leur, et où on apprenait la fable aux enfants avec plus de soin que le catéchisme.
avoir une teinte de leurs mœurs ; si quelque allusion détournée à la fable vient obscurcir le sens d’un passage, le professe
s modernes, qu’on lit beaucoup, prétendez-vous qu’on ait besoin de la fable pour les comprendre ? — Assurément. — Quoi ! Lama
ous mets au défi de ne pas rencontrer à chaque page une allusion à la fable . — Vous m’étonnez, je ne me rappelle pas en avoir
’exploiter dans la conversation comme il l’entendra. Il y a certaines fables trop connues que je me contente d’exposer sommair
notre religion littéraire ; que, si les enfants n’apprenaient pas la fable , en même temps que le catéchisme, dans des traité
s ne seront pas inutiles pour faire comprendre aux personnes à qui la fable est peu familière les allusions qu’elles pourront
que temps du fardeau. On trouve dans les livres des allusions à cette fable  : — Il fallait, pour porter l’héritage d’un si gr
nts ou voleurs, Nettoient les écuries d’Augias. Ainsi entendue, cette fable est pleine de sens. Hercule purgea les états d’Au
’est bien, tu fais ton métier de poëte. Mais nous, ce ne sont pas des fables que nous voulons, c’est la vérité. — Hâtons-nous
uerre, inspirèrent aux autres peuples une terreur qui donna lieu à la fable des Centaures. Cette explication paraîtra très-na
eussent abandonné le Nouveau-Monde après une première apparition, la fable des Centaures prenait rang dans la mythologie amé
’en traduis un à l’intention des personnes qui, ne connaissant pas la fable , pourraient s’étonner de rencontrer des phrases c
l’explication aux savants. Épée de Damoclès. Je range parmi les fables l’histoire de cette épée, non parce que je tiens
ma famille, et mon foyer sera la justice. » Géants, Pygmées. La fable des Géants vient d’une ancienne tradition qu’on r
ne le détrompez pas, la même stupeur engendrera la même illusion. La fable des Pygmées a une autre origine ; elle vient de l
uis dans l’Éthiopie. C’est ainsi qu’on voit souvent chez les Grecs la fable reculer devant la géographie. L’Olympe reste en p
ité de l’ensemble, comme les dimensions des géants et des nains de la fable se perdent dans celles des accessoires. Rabelais
apprendre à chanter juste ou à avoir la jambe bien faite. L’âne de la fable croyait avoir appris du chien l’art de plaire : v
grandes choses. L’histoire ancienne était l’école de la jeunesse, la fable le catéchisme de l’enfance, et telles allusions q
mises à la portée des enfants. Je trouve, dans un commentaire sur les fables de La Fontaine : « Lynx, le plus clairvoyant des
, il signalait les flottes qui appareillaient du port de Carthage. La fable de Lyncée est-elle antérieure ou postérieure à ce
ux d’Achille, comme Béranger l’a fait dans une de ses chansons. Cette fable signifie sans doute que le roi d’Égine répara les
t plus énergique. Notre poésie, chargée de métaphores empruntées à la fable , était devenue une langue savante que le peuple n
es erreurs qui les ont inspirées. Narcisse. Fut, au temps de la Fable , un jeune fat qui s’aimait trop pour aimer autre
le plus enfumé de misère et de calamité [Rabelais] , le paysan de la Fable , par exemple : En est-il un plus pauvre en la ma
de tout transformer en or, la communique au fleuve. Le même Midas (la Fable est pleine de légendes sur ce brave roi phrygien)
es outrées, on devrait proscrire surtout celles qui sont tirées de la Fable , comme sentant leur pédantisme. Je trouve dans un
ilène. Précepteur et compagnon de Bacchus. Un des grotesques de la Fable , comme on aurait dit au xviie  siècle. On n’en fi
er, un des plus grands hommes du xviiie  siècle. On prétend que cette fable vient de ce que les anciens peuples de la Sicile,
hideux, Rechignés, un air triste, une voix de mégère. ( La Fontaine, Fables , liv. VI, 18.) MIDAS. —  Ovide, Métam., liv. II.
Homère. 2. Minerve, la Sagesse. 3. Remigium alarum.( Virg.) Cette fable prouve que les Grecs attribuaient encore à Dédale
13 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
la Mythologie ? Réponse. La Mythologie est la science de toutes les fables de l’antiquité païenne ; elle tire son nom de deu
logos, qui signifient discours fabuleux. D. Quelle est l’origine des fables qui font le sujet de la Mythologie ? R. Ces fabl
est l’origine des fables qui font le sujet de la Mythologie ? R. Ces fables doivent, leur naissance à l’altération de l’histo
s dieux. ( La Motte.) D. A quoi peut nous servir la connoissance des fables du paganisme ? R. Cette connoissance nous est tr
es peintres et les sculpteurs dans une infinité de leurs ouvrages. La fable est l’ame de la poésie, qui ne dit rien naturelle
L’or fut regardé comme une pluie de ce précieux métal, comme dans la fable de Danaé ; les flèches passèrent pour des foudres
-ils des enfants ? R. Vulcain fut le seul fruit de leur union. D. La fable ne donne-t-elle pas d’autres enfants à Junon ? R
on. D. La fable ne donne-t-elle pas d’autres enfants à Junon ? R. La fable lui attribue encore Hébé et Mars. On raconte ains
lle ; elle est invraisemblable : Mais que me serviroit d’inventer une fable  ? De mes captifs épars quand le peuple écaillé Eu
rad. de M.  Delille.) D. Quels sont les plus fameux scélérats que la fable place dans le Tartare ? R. Elle nomme entr’autre
s qui renaissent éternellement pour son supplice. D. Qu’est-ce que la fable nous dit de Tantale ? R. Tantale étoit fils de J
ans cette chute, et demeura toujours boiteux. D. Quelles fonctions la fable attribue-t-elle à Vulcain ? R. Elle le fait dieu
qu’elles n’ont d’autres charmes que ceux de la nature. D. Que dit la fable des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable d
nature. D. Que dit la fable des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable dit que Vénus, ayant pris du goût pour Anchise, d
ailes, et les répandent en rosée sur les fleurs. D. Qu’est-ce que la fable raconte des amours de l’Aurore ? R. L’Aurore aim
ntendre ces sons : Midas a des oreilles d’âne. D. Quel autre trait la fable raconte-t-elle encore de Midas ? R. La fable rac
D. Quel autre trait la fable raconte-t-elle encore de Midas ? R. La fable raconte que, lorsque Bacchus alloit faire la conq
t que son vol et son chant servoient souvent de règle aux augures. La fable dit que le corbeau avoit d’abord le plumage blanc
es couleurs de l’Aurore. ( Bernis.) Faune. D. Qu’est-ce que la fable nous apprend de Faune ? R. Faune, roi d’Italie,
s héros, des personnages célèbres, et des principaux événements de la fable . Thésée. Demande. Qui étoit Thésée ? R
oit située, se nommoit Thébaïde. Pygmalion. D. Qu’est-ce que la fable nous apprend de Pygmalion ? R. Pygmalion étoit u
les étoient auparavant. Philémon et Baucis. D. Qu’est-ce que la fable nous apprend de Philémon et de Baucis ? R. Philé
apologue Demande. Qu’est-ce que l’apologue ? R. L’apologue ou la fable est une instruction déguisée sous l’allégorie d’u
es directs, on ne doit leur annoncer la vérité qu’avec précaution. La fable est donc une philosophie déguisée, qui ne badine
ieux qu’elle amuse. Florian nous a donné sur ce sujet une très-jolie fable que je vais rapporter ici : La Fable et la Véri
né sur ce sujet une très-jolie fable que je vais rapporter ici : La Fable et la Vérité.                   La Vérité toute n
où pouvoir habiter.         A ses yeux vient se présenter         La Fable , richement têtue,         Portant plumes et diama
nt plus rien.         — Vous êtes pourtant ma cadette,         Dit la Fable , et, sans vanité,         Par-tout je suis fort b
       Nous passerons de compagnie. D. Quel doit être le style de la fable  ? R. Le style de la fable doit être simple, fami
mpagnie. D. Quel doit être le style de la fable ? R. Le style de la fable doit être simple, familier, riant, gracieux, natu
les anciens, Ésope, esclave phrygien, qui passe pour l’inventeur des fables , et Phèdre, qui fut esclave aussi-bien qu’ Ésope 
Monnier, Dorat, l’abbé Aubert et quelques autres. D. Les leçons de la fable peuvent-elles être pareillement utiles à la jeune
ent utiles à la jeunesse ? R. Oui ; les jeunes gens trouvent dans la fable des préceptes également propres à former l’esprit
à devenir hommes. Ainsi, le paresseux peut lire ses devoirs dans la fable de la Fourmi et de la Cigale ; la nécessité du tr
nous faire, connoître le profit que les jeunes gens peuvent tirer des fables . R. La jeunesse est imprudente, téméraire, et ne
Souvent elle contracte des liaisons qui la conduisent à sa perte. La fable du Renard et du Bouc est bien propre à corriger l
e douce émulation, et brûler du desir de les imiter. D. Dites-nous la fable dans laquelle Florian nous enseigne très-ingénieu
C’est pourquoi Fénelon conseille de leur faire apprendre d’abord des fables , puis des histoires choisies. Il recommande sur-t
l montré aux femmes la nécessité de la discrétion ? R. C’est dans la fable intitulée : Les Femmes et le Secret. Voici le déb
à inspirer de la fourberie ? R. La Fontaine s’exprime ainsi dans la fable de l’Aigle, la Laie et la Chatte. Que ne sait po
. 4, fab. 9.) Le même poëte nous donne encore la même leçon dans la fable suivante : Le Lion, le Loup et le Renard. Un Li
il faut se supporter. ( Molière, Le Misanthrope.) Rapportons ici la fable suivante de La Fontaine : La Besace. Jupiter di
ienfait n’est jamais perdu. La Fontaine a aussi traité ce sujet. Sa fable du Lion et du Rat, a encore le même but. Peu de g
une demoiselle.) Voici un apologue de M.  Hoffmann : La Nouveauté. Fable Au bourg où règne la Folie, Un jour la Nouveauté
   Descendez, vous serez petit.            Quel est l’enfant de cette fable  ?            Le riche qui s’enorgueillit. ( Barbe
ontaine : La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf. fable .            Une Grenouille vit un Bœuf           
ent jouir. La Fontaine nous a laissé sur la passion de l’avarice deux fables . Voici la première : Le Trésor et les deux homm
evoit le moins attendre. (Liv. 9, fab. 16.) D. Quelle est la seconde fable dont vous nous avez parlé ? R. C’est celle-ci.
ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la poule, à ce que dit la fable ,            Pondoit touts les jours un œuf d’or.
de la douceur dans l’apologue ingénieux qui suit : Phébus et Borée. Fable . Borée et le Soleil virent un voyageur,          
sont dans le malheur. Voici un apologue : Le Lièvre et la Perdrix. Fable . Il ne se faut jamais moquer des misérables : Car
eut s’assurer d’être toujours heureux ?        Le sage Esope dans ses fables .        Nous en donne un exemple ou deux.        
Écoutons cet apologue de La Fontaine. Le Laboureur et ses enfants. Fable .        Travaillez, prenez de la peine,        C’
14 (1833) Classic tales : designed for the instruction and amusement of young persons
y making human creatures foolish and miserable. Happily this is all a fable , there never was a god that delighted in afflicti
er was a god that delighted in afflicting the young and innocent. The fable says, that Cupid readily obeyed his mother’s inju
went into the infernal regions, or abode of the dead. Ann. Does this fable of Psyche teach any thing? Mother. Yes; it shows
spoke of them as if they saw them. At the wedding of Progne, says the fable , Juno and Hymen refused to attend, and the Graces
ury. Not far from Lystra was the province of Phrygia. There is an old fable which is very pretty, that belongs to Phrygia, in
to believe in the visits of Jupiter and Mercury. These gods, says the fable , once resolved to go about in disguise, to learn
eps us alive. Ann. What do you suppose is the fact contained in this fable ? Mother. It might be, that where a, virtuous pai
his may be found in the 18th chapter of Genesis. Mother. Many of the fables you read resemble passages of Scripture. Do you k
ere at Lystra, in Asia Minor, near the province of Phrygia, where the fable says Jupiter and Mercury visited Baucis and Phile
mp; c. See page 53. Mother. Now you see one of the uses of classical fables . Ann. I see that they serve to explain the Bible
may be of Western Asia. She is called in poetry, Philomela, from that fable you have been reading. The fable might be conclud
lled in poetry, Philomela, from that fable you have been reading. The fable might be concluded by saying, that Philomela bewa
uch of his caduceus, he transformed her to a statue. According to the fable , Mercury obtained Herse of her father, and they w
of a god, or witch, or pretended prophet, it is a wand; and with it, fables say, the god, or witch, calls up absent or dead p
n industrious deity, and an example to man.” That is the moral of the fable . Ann. I have often seen the moral of a fable men
hat is the moral of the fable. Ann. I have often seen the moral of a fable mentioned. What is a moral? Mother. What the fab
en the moral of a fable mentioned. What is a moral? Mother. What the fable teaches is the moral. Ann. What is the moral of
dragon? Mother. No; a dragon is a fabulous animal, mentioned only in fables . It is drawn like a great lizard with wings, havi
, went into it. When some young girls and their governess, who in the fable is called Diana, entered the place, they found th
, to frighten or insult them, and that provoked them. Ann. Does this fable teach any thing? Mother. Yes; it teaches caution
ent bad consequences of our own conduct. Ann. Is that all which this fable teaches? Mother. No; it teaches that when others
ancients sometimes said the Eumenides were very cruel, and here is a fable which shows that they thought so. Ino, the eldest
ed to Palemon. Conversation: Mother and Ann. Ann. How can this fable be explained? Mother. Easily enough. The fact wa
us went to see her. Money buys every thing in this world; so, in this fable , it was called a god: afterward, Jupiter gave Dan
tlas stood, not a man, but a rock. An accumulation of earth, says the fable , grew to this rock, extended its base, and exalte
woman or child, though you may think of it. But poets, and writers of fables , imagine that envy is a woman; that her hair is s
y he was described as a young man, and was unarmed; but in almost all fables , he is represented as a boy, with a bow and arrow
nsformation of Daphne to a laurel, all the rivers of Greece, says the fable , paid a visit of condolence to the afflicted Pene
ransported by a whirlwind to Lydia. ——— The explanation given of this fable is that the arrows of Apollo were some sudden and
the pleasures of quiet meditation.’” 1. A marriage song. 2. The fable is that the maiden Arethusa was transformed to a
15 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
uhaité, dit Monsieur Rollin, que l’on travaillât à une Histoire de la Fable , qui pût être mise entre les mains de tout le mon
r ce qui n’a rapport qu’à l’érudition ; ce qui rendroit l’étude de la Fable plus difficile et moins agréable. Mais avant tout
res sources, et l’agréable dans les poëtes François. Le langage de la Fable est celui de la Poésie ; on ne doit point les sép
, et vivent, pour ainsi dire, avec eux. Les livres qui traitent de la Fable , existoient, pour la plupart, au moment où M.  Ro
n est un. Nos meilleurs Poëtes n’ont pas traité tous les sujets de la Fable  ; et, à leur défaut, il a fallu nécessairement av
. La Mythologie n’est point autre chose que la connoissance de la Fable ou de l’Histoire poétique. La Fable doit son orig
e chose que la connoissance de la Fable ou de l’Histoire poétique. La Fable doit son origine à l’altération de l’Histoire sac
. Il est certain que les poëtes ont infiniment contribué à étendre la Fable , à la perfectionner ; et qu’ Homère pourroit être
angage aimable. Et voit, dans la variété Des portraits menteurs de la Fable , Les rayons de la vérité. Il voit l’Arbitre du t
Dont l’aspect le glace d’horreur. Rousseau. C’est au langage de la Fable que la poésie est redevable des qualités qui la d
norable qu’autant qu’ils suivent les différens sentiers tracés par la Fable  : s’ils s’en écartent, ils ne sont plus que de fr
quel intérêt pourroit se trouver dans un sujet dénué des graces de la Fable , que l’on appelle communément les graces de la po
Le poëte n’est plus qu’un orateur timide, Qu’un froid historien d’une fable insipide. Boileau. Otez Pan et sa flûte, adieu
les jardinages : Des roses et des lis le plus superbe éclat, Sans la Fable , en nos vers n’aura rien que de plat. ……………………………
l, que les vrais poëtes sont ceux qui ne parlent que le langage de la Fable  : Ce n’est pas que j’approuve en un sujet chréti
et payen ; Mais dans une profane et riante peinture, De n’oser de la Fable employer la figure ; De chasser les Tritons de l’
ux lecteurs plaire sans agrément. Boileau. Première partie de la Fable . Les Dieux du premier ordre. Tous les poëtes
et de plantes. Les Egyptiens prétendoient sans doute, par ce trait de fable dont ils sont les inventeurs, justifier la stupid
lune éclairoit souvent ; c’est ce qui semble avoir donné lieu à cette fable . La sévérité de Diane est bien moins incertaine :
. Les Romains relevoient la gloire de leur origine par ce trait de la fable , qui est de leur invention. Mars aimoit Vénus, av
e que l’on appelle le ciel céleste poétique. On a même emprunté de la fable les noms que portent la plupart des étoiles qui b
ent leurs nids sur la mer quand elle étoit calme. On se sert de cette fable pour désigner le retour du printems : Dans les c
      En irrite encore le désir. Lamotte. Seconde partie de la Fable . Des Dieux du second Ordre. La Terre avoit se
utre au mal. Le plus puissant l’emportoit. Troisième partie de la Fable . Les Demi-Dieux et les Héros. [Persée.]
aux enfers : Jupiter fit l’homme semblable A ces deux jumeaux que la Fable Plaça jadis au rang des dieux ; Couple de déités
t qui surprit plus la nature, Que le Soleil qui recula. Lamotte. La Fable offre encore plus d’un exemple de ces crimes affr
Jupiter Indigètes. C’est ainsi que les poëtes nous conduisent, par la Fable , jusqu’au tems où l’Histoire commence à se fixer
conquête de la Toison d’or, ibid. — Célèbres dans l’histoire de la Fable , 12 Argos, ville du royaume de la Grèce, 148 Ar
soleil, 42 Etoiles, leurs noms sont pour la plupart empruntés de la Fable , 86 Etolie, délivrée par Thésée, 141 Eumenides,
on la représente, 54 Evène, fleuve, 138 Evocations, 108-109 F Fable , son origine, 9 — Etendue et perfectionnée par l
n portrait, 24 Guerre de Troie, 168 — Célèbre dans l’Histoire de la Fable , 11 — Ses causes, 177 — Ses succès, 185. Ses su
mus, 160 — Qu’elle épouse, ibid. Héros célèbres dans l’hist. de la Fable , 21 — Mis au rang des demi-dieux, 228 Hésione,
Diane, 189 Orgies, fêtes en l’honneur de Bacchus, 68 Origine de la Fable , 9 — Des Romains,. 85 Orion, changé en constell
sses, 110 Pô, fleuve d’Italie, 43 Poésie, (la) ce qu’elle doit à la Fable , 13 — Comment il convient d’en régler l’usage, 1
54 Poëtes, combien ils ont contribué à étendre et à perfectionner la Fable , 12 — Sont appelés Favoris et Nourrissons des Mu
de Pyrrhus, 184 Printemps, déesse qui préside à cette saison, 113 — Fable qui désigne son retour, 94 Priape, fils de Vénus
té, honorée comme une divinité, 11 — Cachée sous les portraits de la Fable , 12 Verseau, un des signes du Zodiaque, 89 Vert
16 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
t. Nous ne nous flattons pas d’avoir écrit l’histoire des dieux de la Fable mieux que nos devanciers ; mais nous croyons qu’a
est-ce que la Mythologie ? — Quel était le nombre des divinités de la Fable  ? — En combien de classes les divisait-on ? — Que
dre. I. — Saturne ou le Temps. Avant la création du monde, la Fable suppose que l’univers n’était qu’une masse inform
turne ayant donné à Janus la connaissance du passé et de l’avenir, la Fable celui-ci représente avec deux visages dont l’un r
e pour attributs un sablier et un aviron1. Questions. Comment la Fable représente-t-elle l’univers ayant la création ? —
ier sous son poids. Jupiter avait pour femme Junon, sa sœur ; mais la Fable lui en donne en même temps plusieurs autres ; pou
estions. Qu’est-ce que Vénus, et quelle est son origine suivant la Fable  ? — Comment devint-elle l’épouse de Vulcain ? — Q
Sterops, Pyrachmon, qui étaient chargés de fabriquer les foudres. La Fable a attribué à Vulcain tous les chefs-d’œuvre célèb
ses compagnons de travail ? — Quels ouvrages célèbres lui attribue la Fable  ? — Comment le représente-t-on ? XI. — Neptun
ut où ils passaient, et qui infectaient tout ce qu’ils touchaient. La Fable prétend qu’elles avaient une tête de femme, des o
t se mettre sous la protection immédiate du Dieu des batailles, et la Fable prétendait que Romulus et Rémus étaient issus de
, car il serait impossible de les indiquer toutes. Questions. La Fable ne reconnaissait-elle pas des divinités d’un rang
t de longues chevilles et de grands coins. Questions. Comment la Fable considérait-elle la Nécessité ? — En quoi était r
 Persée. Persée occupe le premier rang parmi les Demi-Dieux de la Fable . Acrisius, roi d’Argos41, avait appris de l’oracl
i de Thrace, et de Calliope, fut un poëte, créateur de la plupart des fables du paganisme, et le plus célèbre musicien de l’an
fit manger la chair de ses propres enfants qu’Atrée avait égorgés. La fable ajouta que le soleil rétrograda, pour ne pas écla
’un composé d’erreurs, d’absurdités et d’infamies, presque toutes ses fables ont leur origine dans quelque fait historique vra
iers parents dans le paradis terrestre. Le déluge se retrouve dans la fable presque avec les mêmes traits que dans l’histoire
qu’ils avaient coutume de représenter sous les traits de la Lune. La fable du dieu Mars est composée de l’histoire de plusie
l, des traits d’histoire perdus et confondus an milieu d’une foule de fables ridicules. Cérès était une reine de Sicile qui vi
ent autre chose que des oranges. Ainsi peuvent s’expliquer toutes les fables relatives au fils d’Alcmène ; certaines parties d
t élevé en Égypte, et ce fut lui qui rapporta en Grèce la plupart des fables qui formèrent la religion de ce pays. Le talent a
ù il croyait la voir revenir à la vie. Beaucoup d’autres traits de la fable doivent être compris seulement comme des allégori
légories, des apologues sous lesquels se cache une moralité. Ainsi la fable de Phaéton a été inventée pour prémunir les jeune
la révélation divine. Questions. Comment doit-on considérer les fables de la Mythologie ? — A quels passages de l’histoi
Apollon, Diane, Mars et Vulcain ? — Comment Diodore explique-t-il la fable de Neptune ? — Qu’y a-t-il de vrai dans ce que l’
17 (1889) The student’s mythology (2e éd.)
h views, it has been considered most judicious to present the classic fables in their simplest, which is also their most poeti
thology? Ans. This word is derived from the Greek, Mythos, a myth or fable , and logos, a discourse. A myth is, properly spea
and logos, a discourse. A myth is, properly speaking, an allegory or fable invented to convey some important moral or religi
ent times. Ques. Why is it necessary to become acquainted with these fables ? Ans. Because ancient literature and art cannot
s are so frequent in our literature that an acquaintance with classic fable is considered a necessary part of a liberal educa
— How represented — Parentage and Actions — Probable Origin of these Fables — Adventures of Jupiter — Story of Europa — Searc
ter the son? Ans. He was the son of Saturn and Ops. According to the fable , Saturn promised his brother Titan, that after hi
he poor and innocent. It is hard to reconcile this character with the fables which ascribe to this god actions in the last deg
ct remained for public or private virtue. Ques. Relate some of these fables . Ans. Jupiter was married to Juno, to whom he fi
never sink, like the other stars, beneath the waves of Ocean. In the fables of Bacchus and Hercules, Juno displays the same c
nguished himself in Persia against Alexander the Great. The Memnon of fable was in all probability an Egyptian, and not an Et
i derived their name. He was the founder of the city of Præneste. One fable is, that certain shepherds found Cæculus, when an
e, would appear like a large, flaming eye, and might give rise to the fable of one-eyed monsters. This explanation is, howeve
reason and speech. Chapter XIV. Æolus — Supposed origin of the Fable — Momus — His Parentage — Criticisms passed on ot
etting them free, create tempests. Ques. What was the origin of this fable ? Ans. It is believed that Æolus was a skillful a
Sicily, still followed by the stream of the Alpheus. In proof of this fable , and of the Grecian origin of this famous fount,
a friendly manner. Ques. What did the poets endeavor to teach by the fables of the Sirens’ song, and the cup of Circe? Ans.
degraded to the level of the beasts. Ques. Who was Scylla? Ans. The fable relates that she was the daughter of Phorcus, and
is the whirlpool of Charybdis, about which the poets relate a similar fable . They say that Charybdis was a very ravenous woma
urs — Geryon — Harpies — Briareus — The Chimæra — Explanation of this Fable — The Sphinx — Fabulous History — Statue of the S
on, he was said to have three heads and three bodies, and passed into fable as a monster. He was probably a wicked and cruel
of a goat, and the tail of a dragon. Ques. What was intended by this fable ? Ans. Poets thus described a volcano in Lycia, o
s, received from his mother a ram of a golden color, or, according to fable , with a fleece of pure gold. Some time after, Phr
life by means of fire which he stole from heaven. Ques. What pretty fable is connected with this? Ans. The poets tell us t
nifies that in the midst of all human miseries, hope yet remains. The fable may have been derived from some ancient tradition
rentage — Transformed by Perseus into a Mountain — Explanation of the Fable — Pleiades — Hyades — Hesperides — Orion — His Pa
f Medusa, and changed him into the mountain which bears his name. The fable , that Atlas sustained the heavens on his shoulder
nd those thrown by Pyrrha were changed into women. Ques. How is this fable explained? Ans. It is supposed that Deucalion an
f many splendid edifices. Various explanations have been given of the fable of Dædalus. The most probable opinion is that the
riental fictions, interspersed, perhaps, with a few Latin or Etruscan fables . There are, in all, two hundred and fifty of thes
been destroyed by this rash act, we would have lost many interesting fables which have been rendered immortal by the beauty o
. By whom were the Pythian Games instituted? Ans. According to Greek fable , by Apollo himself, in commemoration of his victo
rsians attached to magical arts? Ans. Yes, their priests mingled the fables of astrology with their astronomical learning; he
ns. It has none of the grace and poetic beauty which characterize the fables of Greece and Rome; and it differs equally from t
ilver. Animals also were represented in precious ore, and the classic fable of the golden fleece was realized in the llama of
imal he would designate. He also mingles facts, really observed, with fables of winged horses, monsters with human heads and t
with superstitious awe, and connected them, as we have seen, with the fables of their mythology. These ruins, like some in the
18 (1860) Elements of Mythology, or, Classical Fables of the Greeks and the Romans
himself in the world, he revealed himself in a particular manner. The fables connected with the false religions of antiquity a
and poetry, and are often very amusing. Mythology, or the history of fable , is necessary to be known, because it explains ma
ctrines taught by Moses, the prophets, and the Lord Jesus Christ. The fables of Greece and Rome are the most interesting and t
o one view, for the use of young persons, some of the most remarkable fables , and best known usages, of ancient and modern pag
t works of art, without some acquaintance with the history of ancient fables . The Greeks were first civilized by colonies of P
remarkable occurrence. Who was Janus, and what is the meaning of the fable of Saturn? Why did Janus admit Saturn to be the p
whom the Greeks described either as Prometheus, or as Vulcan, but the fable says, Vulcan was the son of Jupiter and Juno. Vul
ten called in Homer, the “blue-eyed maid,” for she never married. The fable relates, that Neptune and Minerva disputed for th
employed, — it was only used to affright the bad. The meaning of this fable is, that if men in the midst of crimes are overta
enterprise? What use did Perseus make of Medusa’s head? What does the fable of the shield signify? ——— The Panathenæa was a
cond petition to Jupiter, and what is represented by this part of the fable of Proserpine? What became of Ascalaphus? Is the
f he would spend half the year with her in the infernal regions. This fable has the same meaning with that of Proserpine hers
ilton describe the music of the Sirens? Who was Scylla? What does the fable of Scylla signify, and who was Charybdis? What pr
ylla signify, and who was Charybdis? What proverb is derived from the fable of Scylla and Charybdis, and what is its meaning?
The early history of all nations is poetical, a mixture of facts and fables ; and the history of these heroes or demi-gods is
who wanted assistance in their weakness, as by the wagoner in Æsop’s fables . It is represented by the historian Xenophon, tha
ut he chose rather to perform the part of a deliverer of mankind. The fables which are related concerning Hercules, are only d
and body of a man, terminated by the body and limbs of a horse. This fable represents the people of Thessaly, who first best
ne them to be one being. From a misconception of this sort, arose the fable of the Centaurs. How were the Centaurs represent
lonies upon the Asiatic border of the Euxine. For ten years, says the fable , Jason loved Medea, and they lived happily togeth
nce, designed to alter what is properly unalterable. According to the fable , Theseus attacked and killed all these wretches.
o go with them to Crete, and promising to restore them in safety. The fable says, that Theseus went with the Athenian youths
id the Athenians afterwards regard Theseus? Œdipus. Among the fables of antiquity there is not one more sad than the s
Apollo and the muse Calliope. Apollo gave a lyre to Orpheus, and the fable says, he sung and played so sweetly, that beasts
hers of antiquity pronounced the existence of Orpheus to be an entire fable . ——— Amphion was another musical prodigy, who ra
was fixed upon as being a convenient abode for seafaring men; and the fable of Apollo’s music must signify, that while men la
h other, which of the three was the most beautiful. Discord, says the fable , threw a golden apple among them, on which was wr
t, for poets are not required to be accurate. Eneas, according to the fable , was driven to the city of Carthage, and kindly r
the religion of the Asiatics and North American savages resemble the fables of the Greeks and Romans. The Bible relates the h
of Samson, and the sacrifice of Jephthah’s daughter. The Greeks had a fable that the world had been drowned; that a good man
w was the image of Tez-cat-li-po-ca described? ——— The Greeks had a fable , that all the elements which form the universe; t
What did the Greeks understand by Chaos? Had the Mexicans a similar fable , and how did they account for the origin of the s
ppears to have been that of Greece — a mixture of Syrian and Egyptian fables . The principal gods of both people were the same;
er, and the labours of Hercules. They introduced these facts into the fables of their religion. The worship which God appointe
19 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
se trouve métamorphosé en cygne. Deux moralités se cachent sous cette fable  : Phaéton nous représente un ambitieux, qui forme
uté qu’elle attacha longtemps sur lui un regard admirateur : voilà la fable . La vérité est qu’Endymion, habile astronome de C
uelles, épuisé de travail, il cédait quelquefois au sommeil. Quand la fable dit qu’Endymion ne vieillissait pas, la fable dit
is au sommeil. Quand la fable dit qu’Endymion ne vieillissait pas, la fable dit vrai, puisque le génie et la science peuvent
viennent souvent se joindre les Satyres aux pieds de chèvre. — Cette fable des Dryades a été imaginée sans doute pour empêch
, et il se trouva de cette manière au milieu du nouveau temple. Cette fable se débitait parmi le peuple, pour lui persuader q
ontaine d’Aréthuse, en Sicile. De cette croyance populaire est née la fable qu’on vient de lire.) § 11. Les Naïades. C’
, obtinrent de lui les réponses qu’il leur importait de savoir. Cette fable allégorique nous montre que ceux qui veulent péné
même que par sa progéniture. Il donna le jour à divers monstres de la fable , et principalement aux trois Gorgones, Sténo, Eur
lorsque Hercule vint en Scythie, et tua le vautour. — On explique ces fables de plusieurs manières. Quelques auteurs croient q
t ce fut la Corne d’abondance. Voici peut-être l’explication de cette fable . L’Achéloüs était un fleuve dont les inondations
mer qui fut appelée de son nom icarienne 47. Le sens naturel de cette fable est sans doute que Dédale, qui, durant sa captivi
t l’éclat immortel qui va rejaillir sur son nom : voudrait-il être la fable de la Grèce et la risée de ses ennemis ? Peu à pe
tie de fumet vers portera désormais ton nom63. » — On a donné à cette fable diverses explications : voici une des plus nature
ue Jupiter s’était changé en taureau pour enlever cette princesse. La fable ajoute qu’Europe, devenue l’épouse du roi de Crèt
it père d’un fils et d’une fille (Phryxus et Hellé), célèbres dans la fable . Ces deux enfants vivaient tranquilles à la cour,
t dès ce jour coulèrent de ce rocher deux sources d’eau vive. — Cette fable est fondée sur un événement des plus tragiques. S
rosée, et que boit avidement la terre languissante. — A en croire la Fable , les Éthiopiens élevèrent près de Thèbes, à la mé
fut l’ambroisie, que lui fournissaient les nymphes de Crète. — Cette fable semble signifier qu’ Épiménide avait passé sa je
» et les fêtes publiques se prolongeaient pendant sept jours. — Cette fable , et quelques autres, rappellent divers traits de
exemple, cette alternative de deuil et de fêtes a été l’origine de la fable d’Adonis. La déesse Isis, représentée sous la fig
se nommait Élysion, c’est-à-dire séjour du repos et de la joie. — La fable des Champs Élysées, celle du Tartare, celle des J
 ; le jaune pâle, l’infidélité. Épilogue. La Mythologie ou la Fable est le nom donné à l’histoire des dieux, des demi
re des dieux, des demi-dieux et des héros de l’antiquité païenne. Ces fables ne sont pas toutes des mensonges ou de pures fict
e Narcisse. Quoique la mythologie soit presque un tissu continuel de fables , elle ne laisse pas d’avoir une incontestable uti
né à ses seules et faibles lumières. Sans doute une grande partie des fables qui la composent sont invraisemblables et absurde
er, doivent paraître ridicules. Mais la mythologie offre çà et là des fables morales, où l’on trouve, sous le voile de l’allég
Glaucus était fils de Minos II et de Pasiphaé. Plusieurs héros de la fable ont porté ce nom. 36. Ce nom de Béotie fait prob
d’Ascagne et petit-fils d’Énée et de Créuse. 62. Voilà ce que dit la fable . Mais, selon l’histoire, quand Didon aborda en Af
20 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
x obtenir une profonde croyance de la part du vulgaire, d’entourer de fables les personnages dont ils firent des dieux. Plus i
firent des dieux. Plus il leur a été possible de rendre obscures ces fables , plus ils ont pris soin de le faire, et cela chez
des explications que nous avancerons, d’autant plus que les Mythes ou fables religieuses de toutes les nations, qui se rattach
es faits qui l’entourent, les détails qui embellissent le corps de sa fable , l’image sensible qui le représente, ne sont-ils
les faire passer les premières. Cependant, réflechissant combien les fables grecques sont répandues, nous avons fini par adop
ptiens et les Syriens leur apporter leurs dieux, leurs héros et leurs fables . De là vint cette théogonie confuse, qui pourtant
itans de Perinonte conservèrent un souvenir si respectueux pour cette fable , qu’ils s’abstiennent encore, dit-on, de manger d
stitution des enfans mâles, que leur père avale sous forme de pierre, fable dont le sens moral nous montre toujours que l’ino
ar en astronomie, Chiron et le centaure sont les mêmes. D’après cette fable , on peut supposer que Chiron fut le plus grand mé
probablement éprouva une défaite désastreuse, et enfin un savant. La fable lui donne de nombreux troupeaux et des jardins re
nt que l’espérance. Si l’on veut une explication plus détaillée de la fable de Prométhée, on peut le regarder comme une allég
ait dans le neuvième siècle avant Jésus-Christ. On peut croire par la fable des bœufs immolés, qu’il était un prêtre titanide
et deux êtres humains sauvés. On retrouve même, dit M. de Humbolt, la fable de Deucalion et de Pyrrha sur les bords de l’Orén
it-on, de son alliance avec la nuée. Si l’on cherche le fond de cette fable , on est porté à supposer qu’un prince appelé Jupi
us d’un rocher dont la chute menaçait à chaque instant sa tête. Cette fable repose, dit-on, sur un fait historique : alors on
e Pluton, dont l’empire était désert faute de recevoir des visiteurs, fable que l’on raconte encore autrement en disant que S
nter de nouveau, et cela sans avoir un instant de relâche. Dans cette fable on peut voir une agglomération de faits allégoriq
, arrache les entrailles de Choricus et le transforme en un soufflet, fable assez obscure, à laquelle il est difficile de tro
e de fabrique Phrygienne, il semble moderne et avoir été enté sur les fables importées de l’Inde ou de la Perse, et par conséq
cain et de Minerve, était d’une si grande difformité que se voyant la fable de tout le monde, il se jeta de désespoir dans le
e mont Sipyle. Quelques mythologues modernes, racontent cette triste fable d’une autre manière, ils disent que Niobée, fille
ent à coups de flèches, comme ennemie de leur caste. Le fond de cette fable semble appartenir à un fait historique, à une pes
avait été transformée en rocher ; mais nous ne pouvons donner à cette fable le sens allégorique, qui prend Niobée pour une fo
omis ou aux trois formes. Nous allons faire connaître les différentes fables dont on l’a entouré dans ces diveres fonctions :
arche de la lune et de tous les corps célestes. Peut-être aussi cette fable n’est-elle qu’une allégorie de la paresse des ber
oleil et des autres corps célestes, que les Grecs avaient inventé ces fables  ? C'est ce qu’il nous serait impossible aujourd’h
oir voulu en défendre l’entrée à ce dieu redoutable. On a expliqué la fable de ce serpent ou dragon en supposant qu’étant for
rique pour les Grecs, fut bientôt brillamment embelli ; on en fit une fable , et l’on dit qu’Alceste ayant eu en effet la géné
près avoir reconduit Alceste à son mari. Quant au sens moral de cette fable , il montre que l’amour conjugal est toujours réco
’Ilion par un Hercule arriva 1260 ans av. notre ère. Maintenant à ces fables dans lesquelles Apollon, Neptune et Hercule se tr
t le tua. Les historiens, pour expliquer le sens allégorique de cette fable , ont prétendu que la chimère était une montagne d
pour mieux les punir, il leur laissa le désir de toujours bavarder ; fable dans laquelle on voulut probablement faire allusi
les jeunes protégées d’Apollon, il tombe au bas de la tour et se tue. Fable qui fait allusion peut-être à quelque prince enne
du barbier chaque fois que le vent les agitait. Du reste toute cette fable est une allégorie montrant dans Midas l’ignorance
ière de Minerve. Audace et vanité punie, voilà le sens moral de cette fable . Marsyas, quant à l’acte cruel d’Apollon, nous pr
guraux propres aux différens caractères qui leur sont assignés par la fable . Il serait très-curieux que les sciences posées n
is sacré de Dodone pour y rendre les oracles de Jupiter. Cette double fable reposait sur l’équivoque du mot Peleiai qui signi
aire reconnaître, la voix que le destin lui laisserait éternellement, fable qui montre combien une conduite sage peut retarde
les yeux ; et aussitôt son épouse lui fut ravie pour toujours. Cette fable , tout allégorique, indique jusqu’où peut aller le
s hexamètres, et d’avoir le premier fourni les fondemens de plusieurs fables , en composant les hymnes sur la guerre des Géans,
és de la vieillesse, il fut, suivant ses souhaits, changé en cigale ; fable pareille à celle de Déiphobe, reposant sur ce que
alheur, les changea en astres. Quelques Mythologues, rapportant cette fable à l’histoire, disent que Céphale était fils de Me
et précède le Soleil en ouvrant les portes de l’orient. Jamais aucune fable n’a servi les artistes aussi bien que celle de l’
n extrait l’encens et auquel on donna plus tard le nom de Leucothoée, fable assez obscure que l’on explique en disant qu’Orch
it des oracles en grande réputation. L'histoire, pour expliquer cette fable , dit qu’un prince, du nombre de ceux auxquels l’a
s d’un fleuve, dans une fondrière couverte de lauriers, d’où vient la fable , dont le sens moral semble rappeler la protection
prix de musique et de poésie. Beaucoup d’obscurité règne donc sur la fable très-complexe d’Esculape ; cependant on peut croi
les dieux que ces peuplades avaient rassemblés et qu’ils ornaient de fables plus ou moins extraordinaires. On adorait donc pa
luge, et Esculape Tosorthos des Egyptiens. Quelques savans font de la fable d’Esculape une allégorie astronomique, et ils ava
ne couleur noire. Une foule d’interprétations ont été données à cette fable . On y a vu un grand incendie ou l’arrivée des jou
ronomiques imparfaites ; mais si l’on cherche le sens morale de cette fable , on y trouve l’emblème de la présomption et de la
de la Colchide qui se jette dans la mer Noire, il était fils, dit la fable , d’Apollon et d’Ocyroé, tous les efforts de Théty
, le chef primordial de la civilisation, d’où il résulte que toute la fable de Cérès est une suite d’allégories relatives à l
a terre. Mais le positif, c’est qu’il y a dans le sens caché de cette fable d’Adonis, une allégorie de périodicité, quelle qu
e de simples hypothèses. Si l’on voulait retrouver l’origine de cette fable et reconnaître dans Vénus la déesse Syrienne appe
écumeux qui viennent de la priver si cruellement de son amant. Cette fable , souvent enjolivée par les modernes, est due à la
s ayant été remarquée chez les anciens comme de nos jours, on fit une fable charmante. On supposa que l’Amour jouant un jour
l’épouse qui disparaît le jour de ses noces, dans sa maison ; mais la fable la plus adoptée faisait passer l’Hymen pour un je
ègne d’un prince du nom de Deucalion. Ce qu’il y a de curieux dans la fable de ce souverain, c’est le rapprochement que l’on
r Jupiter, qui la rendit mère de Mélitée, que l’on confia, suivant la fable , à des abeilles pour le nourrir dans son enfance 
artis. Maintenant nous voici arrivés à quelques unes des plus jolies fables qui entourent les amours de Jupiter ; nous allons
Danaé et prit soin de l’éducation de Persée. Banier faisant de cette fable une histoire véritable, prétend que cet amant heu
avoir pu lui-même en avoir. D'autres écrivains afin de donner à cette fable une couleur plus historique encore, disent que de
vaisseau dont la proue était décorée d’un taureau blanc, d’où vint la fable de Jupiter, transformé en taureau pour enlever ce
ejeta sur Jupiter la paternité de cet enfant. On explique aussi cette fable des amours de Sémélée et de Jupiter, en disant qu
mais on comprend combien de pareilles explications sont forcées. Ces fables en général reposent sur des faits positifs qu’il
tiens l’adorèrent sous le nom d’Isis. Si l’on cherche à ramener cette fable à l’histoire, on trouve qu’Io, prêtresse de Junon
on à la Néoménie ou nouvelle lune du printemps. Si nous suivons cette fable , nous voyons qu’Inachus était un fils de l’Océan
en cygne. Plusieurs interprétations ont encore été attribuées à cette fable  ; ainsi ce fut une tour, une chambre, un lit en f
toutes les suppositions que l’on pourrait faire pour expliquer cette fable  ; seulement nous ajouterons qu’une danse lascive
ce ; Xenia et Xenios, ou la protectrice à Sparte. Avant d’indiquer la fable dont les Grecs avaient entouré Minerve, donnons q
fille du géant Pallas et de l’océanide Titanis. Si nous passons à la fable inventée par les Grecs, et dont ils ornèrent la N
onné le nom de Cécrops, est tellement douteuse que, dans les vieilles fables , on trouve ce législateur dépeint sous les traits
écrops et mourut entre les années 1590 et 1532 av. J.-C. Du reste ces fables paraissent aussi toutes symboliques. Alors Cranaü
ruire des maisons et de se faire des habits. Nous avons vu comment la fable le fait monter au ciel ; mais avant il épousa Léa
courir l’Egypte ; mais quoi qu’il en soit, prenons Bacchus tel que la fable grecque nous le transmet. Bacchus, dieu du vin, é
en Grue par Junon, étaient aussi enfans du dieu Pan. Ici se borne la fable grecque et romaine mais nous verrons que Pan chez
cache sous l’horizon quand l’autre paraît. Quant à la morale de cette fable , elle est toute naturelle : c’est l’apologie de l
-Dieu, pour lequel ils avaient le respect le plus religieux. Voici la fable dont ils l’avaient entouré. Amphytrion, disaient-
chasser dans une autre contrée. Ils étaient si monstrueux suivant la fable , qu’ils obscurcissaient l’air quand ils volaient,
tard, Minerve reprit ces pommes et les replaça dans le jardin. Cette fable merveilleuse est fort obscure, et toutes les expl
es de ses bords et offerte, dit-on, à la déesse de l’abondance. Cette fable semble indiquer un fleuve limitrophe, inconstant,
plus efféminés. Sans compter Omphale, Déjanire et les Thespiades, la fable donne encore une assez grande quantité de maîtres
an ou Mercure-Pan, Hermosiris ou Mercure-Osiris. Avant de passer à la fable dont les Grecs avaient orné ce dieu tout d’invent
l’on montra long-temps son tombeau. Si maintenant nous arrivons à la fable de ce Dieu, nous trouvons que suivant les Grecs,
du avec l’amant d’Aurore, il est cependant environné d’une tout autre fable . : On disait que ce fils de Mercure, avait été ba
appela Minotaure, dont le nom indiquait l’origine monstrueuse. Cette fable est expliquée en disant que Pasiphaé eut un amour
ant avec Minos qu’avec Taurus. Quoi qu’il en soit, si nous suivons la fable , nous trouvons que Minos, informé de cette exécra
ant nous cherchons une explication aux Gorgones, nous dirons que leur fable est restée toujours fort obscure : l’on a cru qu’
en font des vaisseaux enlevés par Persée, mais Hésiode, continuant la fable , dit que ces trois sœurs, filles du dieu marin Ph
sa mère avait fait exposer dans une forêt. Philée ; on ignore si la fable le confond avec un fils d’Augias, du même nom, qu
miral d’un roi d’Égypte du nom de Sesac. Mais le plus généralement la fable grecque dit que Neptune, fils de Saturne et de Rh
umeau de Bélus, et d’autres, fils de ce Bélus et d’Eurynome ; mais la fable grecque le reconnaissait pour fils de Libye et po
une vie errante et malheureuse jusqu’à la fin de ses jours ; mais la fable grecque raconte ce malheur avec de plus nombreux
lutôt à l’alliance de Zéphyre avec une Harpye. Quoi qu’il en soit, la fable le fait élever par les Néréides, servir quelquefo
cilien, nous le prenons pour Dieu des vents, nous trouvons d’après la fable qu’il commandait sur les sept îles Vulcanies ou E
a main pour indiquer sa puissance. Ce qui jette du trouble dans cette fable , c’est la présence de plusieurs princes Siciliens
Aïdonnée, jusqu’à ce qu’Hercule soit venu le délivrer ; d’où vint la fable imaginée pour faire croire que Pirithoüs avait ét
este encore à dire quelques mots, c’est Méléagre fils d’Œnée, mais la fable dont il est entouré, veut que nous remontions jus
auteurs, Alphée était un grand chasseur, sur lequel on avait brodé la fable suivante : un jour, disait-on, qu’il était à la c
étymologie du mot égyptien Achon-Charon ou marais de Charon, car une fable également égyptienne donna du relief à ce marais,
ble également égyptienne donna du relief à ce marais, et plus tard la fable se transmit avec les noms. Voici comment les Grec
des brebis noires, comme aux furies dont nous allons faire suivre la fable dans quelques lignes ; mais auparavant, nous rapp
itèrent de chagrin dans la mer, où elles furent changées en rochers ; fable qui faisait allusion, dit-on, aux courtisanes qui
ignore exactement quand et de quelle manière il mourut. Cependant, la fable la plus suivie, prétend que, dans sa vieillesse,
a fille Nausinous ; ensuite, Euryale, d’Evippe. Quant à Télémaque, sa fable toute moderne brille par son voyage à la recherch
stianisme ; aussi, est-il possible que leurs prêtres aient modifié la fable et les légendes de leurs antiques dieux, d’après
est véritablement le fond de la croyance du Sivaïsme. Mais voyons les fables dont les Indiens ont entouré le dieu de cette sec
de l’amour, en voyant les Gandharvas. Nous ne reviendrons pas sur la fable de Paraçourama, seulement nous ajouterons que Mar
long-temps sur ses origines incertaines, nous allons faire suivre la fable dont on a entouré ce personnage ; fable, comme on
, nous allons faire suivre la fable dont on a entouré ce personnage ; fable , comme on le verra, fort extraordinaire par les a
ogies qu’elle a avec l’histoire de Jésus-Christ. Autrefois, dit cette fable , Saodouaodani, ou vulgairement Soutadanni, était
21 (1842) Heathen mythology
ancients. We are in the habit of supposing, that they regarded their fables in the same poetical light as ourselves; that the
e will conclude with the words of Barry Cornwall — “Oh! ye delicious fables , where the wave,     And wood, were peopled; and
Scandanavians and the Gauls their ideas of the faith of Odin; and the fables of the Hindoos, and those of the American people,
holy histories of our own faith; and they assert that, in many of the fables with which we are familiar, are to be traced the
be wondered at, when we consider the various subjects connected with fable ; and in this view of our subject we are borne out
that ‌ mystery and allegory were from the original intended in many fables of the ancient poets, this appears apt and conspi
the similitude with the things signified, in the very texture of the fable , and in the propriety of the names which are give
ropriety of the names which are given to the persons or actors in the fables ; and no man can positively deny that this was the
t; or if chronology should happen to be confounded, or if part of one fable should be transferred to another, and a new alleg
den sense which we have been speaking of, which is that some of these fables are in the narration so foolish and absurd, that
or other uses. What has a great weight with me is, that many of these fables seem not to be invented by those who have related
atter and occasion so worthy of contemplation.” The Divinities of Fable . Insérer image anonyme_heathen-mythology_1842_
ants of antiquity who occupy so important a position in the annals of Fable . Of these children of the earth the principal wer
Blanchard. Insérer image anonyme_heathen-mythology_1842_img012 This fable is easy of explanation. Time is the child of heav
ch because time returns with the years and days; and this part of the fable is also an image of the operations which nature a
nd recalling him from earth, replaced him in his seat at Olympus. The fable of Apollo is, perhaps, that which is most spread
earth Is vowed to golden gods of vulgar birth!” Barry Cornwall. The fable of Endymion’s amours with Diana, or the Moon, ari
ng six months of the year with her, and six with Venus, but this is a fable meant to apply to the alternate return of summer
her basket. In revenge, Cupid changed her into a dove. The beautiful fable of the winged deity’s love for Psyche, is the mos
e sea deities. To the story of Neptune, may be attached the beautiful fable of Arion, the illustrious rival of Amphion and Or
us. Many morals have been attempted to be deduced from this beautiful fable , but in none of them have their authors been very
ufficiently weak to grant them faith, and to accord them homage. [ Fables .] In concluding the Greek Mythology, however,
In concluding the Greek Mythology, however, we must mention several fables , which are so intimately connected therewith, as
ng to her beautiful, but lost love. ——————— “She changed, As Grecian fables say, the shepherd boy Into a stream, and on its b
ent incongruities: it has, however, been suggested, that the dragon’s fable , arose from some country which Cadmus conquered;
subjection of a free country. We have now related the most celebrated fables in the Mythology of the Greeks and Romans, withou
rity, that they may agree with the general mysticism of the East. The fables of India, essentially metaphysical and philosophi
as to us, the subject has excited interest, and that a perusal of the fables we have been able to lay before them, may induce
22 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
frequent actors in its legends, which differ from ordinary tales and fables in this circumstance, and in that of their having
e original monotheism of mankind. Vossius endeavours to show that the fables of heathenism were only a distortion of the revel
ncerted system. It is rather a loose collection of various images and fables , many of which are significant of the same object
m Egypt were mixed up with the old tales of gods and heroes ; and the fable to be represented on the stage often varied so mu
ommon among the Greeks, and districts were continually reclaimed from fable , and brought into the circuit of truth and knowle
rt of the Sea were the scenes of most of the wonders of early Grecian fable . There, and on the isles of the Ocean, the passag
irens, the Hesperides, the Grææ, the Gorgons, and the other beings of fable . The only inhabitants of the northern portion of
eliades were devised to remove the incongruity. The foundation of the fable lay in the circumstance of amber being regarded a
or Rhone, and the Padus or Po, on the banks of which last stream the fable of Phaëthôn was localised. According to another l
her says that Maia, the daughter of Atlas, bore him Hermes395 A later fable said that Asteria, the sister of Leto, flying the
r no traces of enmity between her and Hera. Posterior poets, however, fable much of the persecution she underwent from that g
Apollo ; and this connection with the god of music gave origin to the fable , as it is esteemed, of the melody of these birds6
en of Niobe, who had presumed to prefer herself to Leto677 ; and in a fable later than Homer she is said to have detained the
untain, and Alpheios became a river691. In proof of the truth of this fable , it was asserted that a cup (ϕιάλη) which fell in
found himself shrink to his original dimensions. The meaning of this fable is so apparent that it needs not explication. At
ng one of a modern writer781 may seem to come nearer the truth. “This fable , it is said, is a representation of the destiny o
n all probability, that the Greeks named the butterfly the soul. The fable of Love and Psyche has been the original of many
Lesser Asia. The flatterers of the conqueror thence took occasion to fable that Dionysos had, like Heracles and their own gr
, and the ‘Dionysiacs’ may be regarded as a vast repertory of Bacchic fable , perhaps deserving of more attention than has hit
led the Minyas, were made public ; in all of which were scattered new fables about the lower-world, and hopes of a more happy
hrown open. Whence the conclusion is easy, that the web of the Orphic fable , which is all composed of the same kind of thread
he was converted into the flower which bears his name1239. These are fables invented, in the usual manner, to account for the
eld powerful to save from shipwreck, and were invoked by sailors. The fable appears to be ancient ; as Leucothea, who gives h
ssigned a definite abode in well-known countries to all the beings of fable , which brought for example the transoceanic Kimme
men in that direction, and to have dwelt on the verge of the land of fable . The Lotus, under the name of Jujuba, is, we may
and that of the Læstrygonians, most of the localisers of the Homeric fables place both of them in Sicily1359. Others regarded
doubted if Charybdis is to be regarded as an animate being. The whole fable is evidently founded on the wonderful tales of sa
that can be said is, that that strait may have given occasion to the fable . Homer, however, would seem to place the cliffs o
gods sent fevers and other diseases among men1474. As Care, says the fable , was crossing a river she observed the marly clay
On the story of Prometheus has been founded the following very pretty fable , which adds another instance to the many legends
Hope, who thus remained with man, his chief support and comfort. This fable of Pandora is certainly not capable of being reco
mythe, we find no allusion to it in Grecian literature, except in the fable of Babrius, who is said to have been anterior to
by Deïaneira caused the death of the hero, was the gift of Ceÿx. The fable of Ceÿx and Halcyone is apparently one of those l
changed into a hawk1809, and that Itys became a wood-pigeon1810. This fable seems to be one of considerable antiquity. We hav
f their hands, and placed her as a constellation in the sky1985. This fable is narrated with great difference in the circumst
dely different view of the mythe, seeing in it only an Eleian popular fable of the two millstones. Hence, he says, they are j
n Migration, or Return of the Heracleids, though greatly mingled with fable , is a real event. For some centuries the history
34. Analysis of Heathen Mythology. 35. Atlantica. 36. Mythologie et Fables expliquées par l’Histoire. 37. See Amalthea, i.
and new, ere the same from the beginning, and deduce the most recent fables from the springs of the primogenial doctrine.» — 
ng been transplanted thither from Crete, its original soil. The whole fable seems to have been unknown to Homer, who always s
ôn. 256. Virg. Geor. iii. 391. Philargyrius (in loc.) says that the fable was related by Nicander. 257. Hom. Hymn xxxii. 1
801. Ovid, Met. vi. 1. seq., — the name as usual giving origin to the fable . We know not what Greek authority Ovid followed i
those who have refused their favours is common to the history and the fable of most countries. The earliest instance on recor
23 (1800) Cours de mythologie pp. -360
                Plutarque. Avant-propos La Poésie a créé la Fable  ; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le C
ur que la saine Philosophie désavoue elle-même. L’usage éclairé de la Fable , les images, le coloris constituent essentielleme
tre Parnasse. … Dans une profane et riante peinture, De n’oser de la Fable employer la figure, De chasser les Tritons de l’E
de ses Dieux, de ses Héros, et des autres Personnages célèbres de la Fable . Homère Ce grand homme a célébré la prise d
esse que sa puissance : il s’abandonna honteusement aux plaisirs ; la Fable est pleine de ses infamies. Le Pin lui est consac
Charites. On en comptoit trois : Aglaé, Euphrosine et Thalie. La fable varie sur leur origine. On les fait tantôt filles
Quintus, de Smyrne. —  Cournand 151. Personnages célébres de la Fable . Deucalion, Roi de Thessalie, Fils de Prom
re… Nés des cailloux, nos cœurs en ont la dureté ; Et nos mœurs de la fable offrent la vérité. Ovide.— Saint-Ange 152.
t son frère Zéthus partagea son heureux génie. Le nouvel Amphion . Fable .         Certain Badaud… quelques malins esprits
bercent en cheveux blancs. Voltaire 230. Lieux célébres dans la Fable . Olympe. Célébre Montagne, située entre
assujettie, Et dit au Temps : exécute mes lois257. Nature. La Fable l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la
, tous amis véritables : Ces noms sont beaux ; mais ils sont dans les Fables * Voltaire 274.     Viens donc, Compagne chast
par l’Espérance. Sophie de Jaucourt 288. Le Livre de la Raison. Fable .     Lorsque le Ciel prodigue en ses présens, Co
l’a si long-temps dérobée aux yeux des hommes. Quoique ennemie de la Fable , la Vérité la recherche quelquefois : elle lui em
oppe de son voile, pour instruire l’homme en l’amusant.           La Fable un jour voulut courir le Monde : On lui pardonner
disperse… La terreur, à l’instant, à ses pieds les renverse.       La Fable nue étoit la Vérité. P . 298 Superstition.
rdier. à Justine. 38. [Table des matières] Florian. Hercule au Ciel. Fable . 39. [Table des matières] Voltaire. à Dudeffant.
rd. Portrait de la Nuit. 122. [Table des matières] Florian. La Mort. Fable . 123. [Table des matières] Vigée. La Mort de mon
néide. liv. VI. 159. [Table des matières] Imbert. Le nouvel Amphion. Fable . 160. [Table des matières] Dorat. Madrigal. 161
es matières] La Harpe. Ode XXIX. 270. [Table des matières] Cubières. Fable . 271. [Table des matières] Gresset. A ma Muse.
rt. A la Raison que je veux avoir. 289. [Table des matières] Aubert. Fable . 290. [Table des matières] Deshoulières. Réflexi
24 (1898) Classic myths in english literature
e, and recommended, as a text-book for preparation, Bulfinch’s Age of Fable . The experience of English and classical teachers
made necessary the preparation of this volume. For, while the Age of Fable offers a tempting collection of Greek, Norse, and
aken such a revision and rearrangement of the materials of the Age of Fable as may adapt it to the purposes of teacher and pu
which it was based. Consequently, while the obligation to the Age of Fable is acknowledged in full, a new title has been sel
in Norse lays, are a revision of corresponding chapters in the Age of Fable . Chaps. IX.-XXIII., comprising Attributes of Roma
and frequently paragraph by paragraph, — such portions of the Age of Fable as have been retained being abridged or rewritten
etic qualities before acquainting them with the commonplace facts and fables that, transmitted through generations, are the ma
additional examples of the literary survival or adaptation of ancient fable . For this purpose special sections of the Comment
yet wholly past; surely the beauties and the wonders of nature are a fable of things never fully revealed; surely this new r
Fable and the Myth. — Careful discrimination must be made between the fable and the myth. A fable is a story, like that of Ki
Careful discrimination must be made between the fable and the myth. A fable is a story, like that of King Log, or the Fox and
actic instruction. Dr. Johnson narrows still further the scope of the fable : “It seems to be, in its genuine state, a narrati
ts, or natural beings and events influenced by supernatural agencies. Fables are made by individuals; they may be told in any
rch and the most highly civilized race of seventeenth century Europe. Fables are vessels made to order into which a lesson may
ose “Wisdom of the Ancients” treats myths as “elegant and instructive fables ,” and by many Germans, especially Professor Creuz
wakens “inextinguishable laughter” by his satire on ancient faith and fable . § 12. Roman Poets of Mythology. — Vergil, called
Psyche is well presented in the following lines: — They wove bright fables in the days of old, When reason borrowed fancy’s
ms of close intimacy with Ovid, a fragmentary work called the Book of Fables , which is sometimes a useful source of informatio
nized a bear in a certain constellation, they might naturally mix the fables and combine them later with the legend of the all
, see § 132 (5) C or 95 C. She was held in the highest honor in Greek fable , and ranked with Penelope and Laodamia, the latte
wn into the Alpheüs appeared again in Arethusa. It is, possibly, this fable of the underground course of Alpheüs that Colerid
had a forge. Interpretative. — The ancients were wont to glorify in fable constellations of remarkable brilliancy or form.
r, Acheron, Cerberus, Charon, etc., see Index. Interpretative. — The fable of Cupid and Psyche is usually regarded as allego
spired musician in the service of Cybele, was naturally associated in fable with Midas. The ass being the favorite animal of
of Proserpine, and none deeper in symbolical meaning. Considering the fable with reference to the physical world, Bacon says,
frequently, like an omen of Spring, just before Winter closes in. The fable has, however, its moral significance also, being
57-363 Eve and the apple, 12. E′vius, Com. § 46; see Bacchus. F Fable , definition of, 1; distinguished from myth, 1-3;
phy, study of myth, see Introduction; definition of, 1; compared with fable , 13; of existent races, 2; kinds of, 3; explanato
hiller’s Ideal and Life, 243. Bulfinch, Thos., 1796-1867. The Age of Fable ; see Preface to this volume. Burges, G. Transl.
56. On the Elder Edda, 32. Johnson, Samuel, 1709-1784. Definition of Fable , 1. Johnsson, Arngrim, 1568-1648. On the authors
., 1819-1891. Quotations from The Shepherd of King Admetus, 131; from Fable for Critics (Daphne), 140; from Rhœcus, 210-212;
Baucis, 106,107; Com. § 38, Apollo outwitted; § 56, To Janus; § 104, Fable of Midas; § 169, A City Shower. Swinburne, A. C.
0. § 107. 161. § 130. 162. Ovid, Metam. 1: 452-567. 163. From the Fable for Crities. 164. Ovid, Metam. 4: 256-270. 16
22: 29; Odys. 5: 121, 274. 172. The story is told by Hyginus in his Fables , and in his Poetical Astronomy. 173. Authorities
. 269. Simonides of Ceos, also Apollodorus, Pausanias, and Hyginus ( Fables ). 270. Ovid, Metam. 4: 608-739; 5: 1-249. 27
25 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
e sans fiction. Plutarque. Avant-propos. La Poésie a créé la Fable  ; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le C
ur que la saine Philosophie désavoue elle-même. L’usage éclairé de la Fable , les images, le coloris constituent essentielleme
Parnasse.    … Dans une profane et riante peinture, De n’oser de la Fable employer la figure, De chasser les Tritons de l’E
de ses Dieux, de ses Héros, et des autres personnages célèbres de la Fable . Ce grand homme a célébré la prise de Troie dans
esse que sa puissance : il s’abandonna honteusement aux plaisirs ; la Fable est pleine de ses infamies. Le Pin lui est consac
Charites. On en comptait trois : Aglaé, Euphrosine et Thalie. La fable varie sur leur origine. On les fait tantôt filles
Quintus, de Smyrne. —  Cournand 153. Personnages célèbres de la Fable . Deucalion, Roi de Thessalie, Fils de Promé
et son frère Zéthus partagea son heureux génie. Le nouvel Amphion. Fable .           Certain Badaut… quelques malins espri
ù tout s’abîme sans retour. Gresset 223. Lieux célèbres dans la Fable . Olympe. Célèbre Montagne, située entre
assujettie, Et dit au Temps : exécute mes lois244. Nature. La Fable l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la
, tous amis véritables : Ces noms sont beaux ; mais ils sont dans les Fables . Voltaire 261.    S’il est un Mortel sur la te
l’a si long-temps dérobée aux yeux des hommes. Quoique ennemie de la Fable , la Vérité la recherche quelquefois : elle lui em
oppe de son voile, pour instruire l’homme en l’amusant.           La Fable un jour voulut courir le Monde :        On lui pa
isperse… La terreur, à l’instant, à ses pieds les renverse.        La Fable nue était la Vérité. P. 282 Superstition.
fchâteau. Plutus. 39. [Table des matières] Florian. Hercule au Ciel, fable . 40. [Table des matières] Voltaire. A Dudeffant.
rd. Portrait de la Nuit. 124. [Table des matières] Florian. La Mort, Fable . 125. [Table des matières] Vigée. La Mort de mon
es] Ferlus. Sur la Gaîté. 282. [Table des matières] Anonyme (P.). La fable un jour voulut courir le monde. 283. [Table des
26 (1895) The youth’s dictionary of mythology for boys and girls
aturally and necessarily produced the strange conglomerate of ancient fable .” Instead, therefore, of seeking the source of my
nown with certainty. To most people it has the same significance as a fable , legendary tale, or fanciful falsehood. A collect
of Lesbos, where he gained great riches by his art. There is a pretty fable which has made the name of Arion famous. Once whe
ng but her voice, which repeats every sound that reaches her. Another fable makes Echo a daughter of Air and Tellus. She was
of a tree trunk, out of which he is vainly trying to withdraw it. The fable is, that when he got to be an old man he attempte
view.” Un′dine [Undine]. A water-nymph, or sylph, who, according to fable , might receive a human soul by marrying a mortal.
27 (1836) The new pantheon; or, an introduction to the mythology of the ancients
ch is subjoined a slight sketch of the Mexican and Peruvian religious fables and ceremonies. The Mythology of the Greeks and R
Mythology, an expression compounded of the two Greek words, muthos, a fable , and, logos, a discourse, signifies a system of f
ords, muthos, a fable, and, logos, a discourse, signifies a system of fables , or the fabulous history of the false gods of the
t and guarded against surprise. What appears to be the meaning of the Fable ? By the advice of Ascalaphus, Proserpine consente
ven. Proserpine was frequently considered as being the moon, and this fable might be intended to express her time of disappea
stine, which, as well as India, is part of the continent of Asia. The fable represents Bacchus with horns, which may be suppo
e. How came the city of Athens to be so named after this Goddess? The fable relates, that Minerva and Neptune disputing with
28 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
[Frontispice.] [Epigraph.] O, ye delicious fables ! where we wave And woods were peopled, and the ai
have not usually been presented in the same volume with the classical fables . The poetical citations so freely introduced are
a cup thrown into the Alpheus appeared again in Arethusa. It is this fable of the underground course of Alpheus that Colerid
he wave ——” Milton in his Hymn to the Nativity, thus alludes to the fable of the Halcyon: — “But peaceful was the night Wh
time they had a daughter born to them whose name was Pleasure.   The fable of Cupid and Psyche is usually considered allegor
resented in the beautiful lines of T. K. Harvey: — “They wove bright fables in the days of old,     When reason borrowed fanc
efore of much more recent date than most of the legends of the Age of Fable . It is this that Keats alludes to in his Ode to P
creature, is thyself;’” etc. Paradise Lost, Book IV. No one of the fables of antiquity has been oftener alluded to by the p
ads immortal life, Or nature there, imposing on her sons, Has written fables ; man was made a lie.” Vol. II, p. 12. Pegasus, b
üs was a river that in seasons of rain overflowed its banks. When the fable says that Acheloüs loved Dejanira, and sought a u
stories rest on the same authority as other narratives of the “Age of Fable ,” that is, of the poets who have told them. In th
  That made the old time splendid.” Milton also alludes to the same fable in P. L., Book III, l. 568. “Like those Hesperia
ful mythological allusions. The former of the two following is to the fable of Castor and Pollux; the latter is more appropri
io volumes, contains with much that is valuable a large proportion of fables and inutilities. In particular he is so ample on
ple beast. Modern zoologists, disgusted as they well may be with such fables as these, disbelieve generally the existence of t
ble of being woven into a flexible cloth. The foundation of the above fables is supposed to be the fact that the salamander re
29 (1823) Mythologie des dames
au lieu de jambes. Ceux qui veulent chercher la vérité à travers ces fables antiques, ont pensé que l’histoire des Titans n’e
la tourmentent et ne la laissent jamais jouir de son bonheur : cette fable semble aussi adresser une moralité à ceux qui veu
rbe dit : A beau mentir qui vient de loin ; il semblerait donc que la Fable aurait dû perdre de sa puissance à mesure qu’elle
Vénus, poëme. 44. Le Mierre, les Fastes, poëme. 45. La Fontaine, Fables . 46. Iliade, traduction de madame Dacier. 47.
30 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
Nature, — the sun, the moon, the heavens, the winds, or the sea. The fables first related about each deity represent, figurat
Eos loved him, and had carried him into immortal life. The views and fables connected with Eos were transferred by the Roman
tribes which are always mentioned together. According to the ancient fable , the Centaurs were part man and part horse. The m
ite. Now, when the very existence of Homer’s Troy had been declared a fable , the palace and the traces of the conflagration h
ology has none of the grace and poetic beauty which characterizes the fables of Greece and Rome. The wild and rugged North mad
31 (1900) Myths of old Greece in story and song
Preface. The first two books of this Series were devoted to fables and fairy tales as the simplest forms of story. T
32 (1909) The myths of Greece and Rome
hers; suppositions became certainties; and soon the following myth or fable was evolved, to be handed down from generation to
aturally and necessarily produced the strange conglomerate of ancient fable .” As these two last-named schools have either su
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