ar réponses, aurait suffi pour donner la connaissance des dieux de la
fable
; mais il existe tant d’ouvrages de ce genre, qu’
ogie. Nous avons multiplié, le plus possible, les rapprochemens de la
fable
avec l’histoire et les explications des fables, a
les rapprochemens de la fable avec l’histoire et les explications des
fables
, afin de concourir de tout notre pouvoir aux soin
de cet habile maître qui nous a servi de guide. Le Dictionnaire de la
Fable
par Chompré, enrichi par les recherches et les tr
soulager la mémoire, et pour connaître tous les noms consacrés par la
fable
. On pourra se servir avec plus d’avantage encore
ait le premier livre de Bérose ; et quelque singulière que soit cette
fable
, elle paraît n’être qu’une tradition défigurée de
stoire sainte : ce morceau démontrera en même temps que les anciennes
fables
sont fondées sur les anciens souvenirs, et ne son
» Telle est la célèbre tradition des Chaldéens, où l’on voit déjà la
fable
se mêler à l’histoire sainte. Il est bon d’observ
es, les Indiens, les Syriens, cachent des mystères secrets sous leurs
fables
religieuses. Le sage de toutes ces religions en p
rie la plus absurde. Il ne faut donc point confondre les dieux et les
fables
des poëtes avec les traditions conservées par que
rie, on a senti qu’il fallait donner un nouveau nom à ces recueils de
fables
, qui conservaient toujours un grand charme, parce
ons. Ces rapprochemens doivent suffire pour prouver que l’origine des
fables
est fondée sur la mémoire altérée des grands évén
la marche et les progrès de l’idolâtrie. Division des différentes
fables
. On peut distinguer les fables inventées par l
lâtrie. Division des différentes fables. On peut distinguer les
fables
inventées par les poëtes en six sortes : les hist
es trésors que Phryxus avait emportés dans la Colchide, on imagina la
fable
de la toison d’or. Cependant les Grecs, malgré le
un pareil panégyriste, s’il ne l’eût regardé que comme un conteur de
fables
. Il savait très-bien que le poëte conservait les
mens principaux, et peignait le véritable caractère de ses héros. Les
fables
philosophiques sont celles que les anciens ont in
ues étaient aussi des paraboles qui avaient des sens cachés, comme la
fable
où il est dit que le plaisir naquit des richesses
oint le bonheur, et que la richesse ne suffit pas pour l’assurer. Les
fables
morales sont celles qui servent à donner quelques
, pour s’informer des actions des hommes et lui en rendre compte. Les
fables
d’ Ésope, de La Fontaine, et généralement les apo
de La Fontaine, et généralement les apologues, sont de ce genre. Les
fables
mixtes sont mêlées d’allégories et de morale, san
ux, et jura qu’elle n’y rentrerait jamais. Le poëte a voulu par cette
fable
représenter la pente des hommes vers le mal. Cett
ujours plus prompt et plus réel que la réparation et le repentir. Les
fables
inventées à plaisir sont celles qui n’ont d’autre
upé de ses plaisirs. Telles sont à peu près les différentes sortes de
fables
; mais il faut se souvenir qu’il y en a très-peu
qui se servait d’une sphère pour étudier le mouvement des astres ; la
fable
le représenta portant le ciel sur ses épaules. Pr
surtout le génie des Orientaux, d’où nous sont venues la plupart des
fables
. Cet esprit règne encore parmi eux ; et même aujo
les de les embellir et d’intéresser. Conjectures sur l’origine des
fables
. En voyant tous les peuples de la terre, à l’e
s de la terre, à l’exception du peuple de Dieu, adopter avidement les
fables
, et les faire servir de base à leur religion, à l
r à la sagesse éternelle. La vanité fut une des premières sources des
fables
. On ne trouva point la vérité assez surprenante,
s consacrant dans les histoires, on a, en quelque sorte, éternisé les
fables
. La fausse éloquence et l’envie de louer les mort
fausse éloquence et l’envie de louer les morts ont aussi produit des
fables
. Si l’on composait aujourd’hui l’histoire de la p
d’après les seuls éloges de leurs panégyristes, on verrait souvent la
fable
l’emporter sur la vérité. Ces fables cependant ét
négyristes, on verrait souvent la fable l’emporter sur la vérité. Ces
fables
cependant étaient d’autant plus dangereuses dans
tes et les peintres sont certainement ceux qui ont produit le plus de
fables
. Cherchant à plaire beaucoup plus qu’à instruire,
ils parmi les astres. Les écrits restaient, ils étaient imités, et la
fable
était consacrée. Le succès encouragea les poëtes
apes, les belles voix des Muscs, les oranges des pommes d’or, etc.
Fables
produites par le goût du merveilleux. L’expér
s brillantes images de la poésie, qu’ils augmentèrent les progrès des
fables
et le nombre des divinités. L’ignorance de la phy
ivinités. L’ignorance de la physique a donné lieu aussi à beaucoup de
fables
. Dans les siècles barbares, on animait tout ce qu
rités. Ce fut ainsi que l’on multiplia les divinités physiques et les
fables
astronomiques. Lorsqu’un homme plus éclairé que l
la Grèce. L’une des sources les plus favorables à l’introduction des
fables
était l’ignorance de l’histoire ancienne et de la
nserver des éloges, des cantiques et quelques généalogies remplies de
fables
; de sorte que la confusion régnait partout ; et,
es qui étaient venues s’établir dans leur pays, ils substituaient des
fables
à la vérité. S’il était question de la création,
eu de Noé, avait appris à cultiver la vigne. On retrouvait dans leurs
fables
toutes les traces des anciennes traditions ; mais
er l’origine des anciens peuples, des premiers dieux et des premières
fables
. Leur histoire ne commence à mériter quelque conf
des temps, d’après Varron. Pour mieux éclaircir en quel temps les
fables
ont pris naissance, il faut suivre Varron, et dis
itions, leurs annales ; elles étaient, il est vrai, très-mélangées de
fables
. Les Grecs n’avaient aucune connaissance positive
e de Troie surtout, si fécond en héros, produisit un nombre infini de
fables
. Cette ville célèbre fut prise deux fois : la pre
, Étéocle, Polynice, Capanée, et nombre d’autres, objets éternels des
fables
des poëtes. Ce ne fut qu’au rétablissement des ol
r olympiades, et c’est depuis ce temps qu’on ne trouve plus autant de
fables
dans l’histoire des Grecs. Cette division des tem
manquèrent pas d’expliquer d’après leur goût pour les fictions et les
fables
; et souvent ils abusèrent des équivoques que l’o
ait transportée sur un vaisseau dans l’île de Crète où il régnait. La
fable
de la fontaine Aréthuse et du fleuve Alphée est é
ako, qui signifie à la fois clairvoyant et dragon, a fait imaginer la
fable
du dragon qui gardait le jardin des Hespérides. L
die les origines, plus on est forcé de reconnaître que la plupart des
fables
grecques étaient une imitation de celles des colo
ices ; et les Grecs, en adoptant leur religion, s’approprièrent leurs
fables
. Le culte de Bacchus fut formé sur celui d’Osiris
nt leurs fables. Le culte de Bacchus fut formé sur celui d’Osiris. La
fable
de Vénus et d’Adonis était originaire de Syrie ;
psycose. Ces preuves sont plus que suffisantes pour démontrer que les
fables
grecques et romaines devaient leur origine à l’Ég
e la religion. Voilà pourquoi leurs poëtes ont tellement défiguré les
fables
égyptiennes, qu’on ne peut plus les reconnaître s
la Phénicie doivent donc être regardées comme le premier théâtre des
fables
. D’ Hésiode et d’ Homère. Le nom d’ Homère
re du soleil ? » Hésiode et Homère ne sont point les inventeurs des
fables
grecques ; ils n’ont fait que les embellir ; l’id
ême à connaître pour faire apercevoir l’origine de l’idolâtrie et des
fables
. Le principal but de notre ouvrage étant de mettr
orgeron dans l’île de Lemnos. Les Grecs, en général, ont mêlé tant de
fables
dans l’histoire de leurs dieux, ils ont tellement
fermer et dévorer. Cette équivoque a pu suffire pour donner lieu à la
fable
cruelle d’un père qui dévore ses enfans ; mais il
pour appuyer cette vérité sur une plus forte autorité que celle de la
fable
, rappelons-nous que les Égyptiens ne furent jamai
lui préféra la nymphe Sangaride, fille de Sangar, roi de Phrygie. La
fable
dit que la déesse se vengea d’Atys sur la personn
le changea en pin, arbre qui lui fut consacré depuis ce temps. Cette
fable
d’Atys et de Sangaride est fondée sur ce que Mida
ition d’Ève, condamnée à enfanter avec douleur, est cachée sous cette
fable
. Le culte de Cybèle et de la Terre est extrêmemen
va dans la Grèce et dans l’Italie. On trouvera que l’idolâtrie et les
fables
ont presque toutes suivi la même marche. Les Roma
principaux détails. Nous allons, en conséquence, rapporter ce que la
fable
a conservé ; nous citerons ensuite les événemens
dieux, et l’on saisira beaucoup mieux l’ensemble de la mythologie.
Fable
de Jupiter. La fable de Saturne et de Cybèle
aucoup mieux l’ensemble de la mythologie. Fable de Jupiter. La
fable
de Saturne et de Cybèle nous a déjà fait connaîtr
enfers. Explication du partage du monde. Avant de poursuivre la
fable
de Jupiter, nous allons dire la manière dont les
rapporterons ce que l’histoire a conservé sur Jupiter. Suite de la
fable
de Jupiter. Les Titans et les Géans ayant rés
cablé par Jupiter sous le mont Etna. Les tremblemens de terre, dit la
fable
, sont les efforts de Typhon pour soulever la mont
telles, dont il eut aussi des enfans. Quoique tous ceux nommés par la
fable
n’appartiennent pas au même Jupiter, nous allons
s, l’élevèrent dans les antres du mont Ida. Telle est l’origine de la
fable
qui représente Saturne dévorant ses enfans, et ce
ans, et celle de la pierre qui lui fut présentée au lieu de Jupiter ;
fable
expliquée par l’équivoque du mot phénicien Balah.
le mot Elben, qui est aussi phénicien, et qui est employé dans cette
fable
, signifie à la fois un enfant et une pierre. Cepe
celle qui avait le plus de vogue. Explication de quelques-unes des
fables
contenues dans l’histoire et la fable de Jupiter.
plication de quelques-unes des fables contenues dans l’histoire et la
fable
de Jupiter. Nous nous bornerons à donner l’ex
à répandre plus de clarté sur l’histoire de Jupiter. Pour entendre la
fable
où il est dit que Jupiter précipita dans les enfe
des hécatonchires ou géans à cent bras. Il faut expliquer de même la
fable
du dieu Neptune qui emprisonnait les Titans par l
Jupiter firent pour attaquer cette forteresse furent dépeints par la
fable
du mont Ossa entassé sur le mont Pélion. Dans le
Polybotès accablé par Neptune sous une partie de l’île de Cos. Cette
fable
signifie que l’amiral le poursuivit jusque dans c
tte histoire, que Jupiter fut attaqué par mer et par terre. Parmi les
fables
conservées sur la manière dont Jupiter fut élevé
ète, il est dit que des colombes prirent le soin de le nourrir. Cette
fable
doit son origine au mot phénicien ou arabe himan
ose que le Typhon des Égyptiens. Les Grecs s’étaient emparés de cette
fable
égyptienne, qui n’était elle-même qu’une allégori
, les Égyptiens consacrèrent le souvenir de son état primitif dans la
fable
de leur Typhon, et les Grecs l’ajoutèrent à toute
cornes de bélier. Le mot ammon vient du grec, et veut dire sable. La
fable
dit que cette représentation et ce culte viennent
fut point la seule cause qui fit représenter un aigle à ses pieds. La
fable
, confondue avec l’histoire, rapporte que Périphas
orme, l’empreinte de sa férocité. En cherchant l’explication de cette
fable
, nous trouvons que Lycaon, prince très-inférieur
mpte justice. Quelques auteurs donnent une autre explication de cette
fable
; ils disent que Lycaon, fanatique et cruel, crut
ance de Jupiter il fut nourri avec le lait de la chèvre Amalthée : la
fable
dit que le dieu, pour la récompenser, la plaça pa
manière la corne d’abondance qu’Hercule reçut du fleuve Achéloüs. La
fable
raconte que ce fleuve, devenu rival d’Hercule aup
en les arrosant ; les poëtes célébrèrent ce bienfait en imaginant la
fable
de l’échange de la corne d’abondance contre celle
ire des métamorphoses de Jupiter, parce qu’on les retrouvera dans les
fables
des dieux, des demi-dieux et des héros. Du cul
humaines, comme on en a plusieurs fois offert à Saturne son père ; la
fable
de Lycaon en est une preuve incontestable. On tro
lheureux mortels. Ce déluge de maux produisit le siècle de fer. Cette
fable
, la plus charmante de celle que nous ont transmis
que les monumens anciens et les traditions nous ont laissé sur cette
fable
. C’est principalement à chercher la vérité que no
perficies agréables et spirituelles. Recherches historiques sur la
fable
de Prométhée. L’observation et l’étude de l’a
e certaine qu’il s’agit de l’art des statues. Pour rendre le sens des
fables
des poëtes, on a placé Minerve auprès de Prométhé
remière imitation de l’homme étonna tellement, dans l’origine, que la
fable
peignit Prométhée comme un second créateur. Elle
ent utiles aux hommes. L’histoire n’a rien conservé sur Épyméthée, la
fable
seule s’est emparée de ce personnage, et se borne
u singe, animal imitateur de tout ce qu’il voit faire. Histoire et
fable
de Junon. Junon était fille de Saturne et de
e, qui servait le nectar aux dieux avant l’enlèvement de Ganymède. La
fable
dit qu’une chute qu’elle fit dans le ciel fit oub
figurer par les naissances extraordinaires de Minerve et de Mars. La
fable
dit que Jupiter sentit une très-grande douleur da
. Elle ajoute qu’il se fit donner un coup de hache par Vulcain. Cette
fable
est allégorique, et signifie que l’on ne parvient
déesse Iris, sous la forme d’une vache, a sûrement donné lieu à cette
fable
; et la manière dont Io traversa la Méditerranée
e, Jugatinus et Domiducus. Histoire de Cérès. L’histoire et la
fable
de Cérès tiennent à celles des dieux des enfers ;
ujours en garde contre la surprise). En cherchant le sens de-cette
fable
, on trouve que les conseils d’Ascalaphe déterminè
oserpine était prise pour la lune, et l’on voulait exprimer par cette
fable
le temps où elle paraît à la vue de la terre, et
Cérès sa mère. Nous ne multiplierons point trop les explications des
fables
; mais nous croyons utile de citer quelques exemp
u fleuve Alphée. Nous avons précédemment donné l’explication de cette
fable
. Nous n’étendrons pas plus loin l’histoire de Cér
présenta le globe de la terre par une sphère ; ce qui fit imaginer la
fable
dans laquelle on dit qu’il soutenait le monde sur
faisait garder soigneusement par des dogues ; ce qui donna lieu à la
fable
qu’elles étaient d’or et gardées par un dragon. A
gnes du zodiaque, il faut remarquer Orion, dont nous allons donner la
fable
, Jupiter, Neptune et Mercure, faisant ensemble le
ardeau. Aurore en eut pitié, et le fit changer en cigale. Cette jolie
fable
des Grecs est une allégorie dont le but est de no
ygnus, son frère, mourut de douleur, et fut métamorphosé en cygne. La
fable
de Phaéton paraît être une allégorie, pour peindr
régna sur le pays des Molosses, et se noya dans le Pô. Histoire et
fable
d’Apollon. Jupiter ayant abandonné Junon pour
formé avec le limon laissé sur la terre par les eaux du déluge. Cette
fable
ressemble beaucoup à celle du serpent produit par
que les Égyptiens confondaient avec le Soleil. Nous allons donner la
fable
d’Apollon, telle que les poëtes nous l’ont transm
s. Nous nous bornerons à faire connaître les traits principaux et les
fables
les plus intéressantes. Apollon portait beaucoup
up de flèches, les Cyclopes qui forgeaient les foudres de Jupiter. La
fable
rapporte à ce sujet qu’Esculape, fils d’Apollon,
ices dans les plaines voisines de Thèbes, Nous allons expliquer cette
fable
, en la rapprochant de l’histoire. Niobé, fille de
e chaleur extrême que la nuit même ne pouvait tempérer, on imagina la
fable
de leur mort, telle que nous l’avons rapportée pl
reculés, les noms de pasteur et de roi étaient souvent synonymes. La
fable
peignit Apollon homme le pasteur des troupeaux d’
, embrasa la ville, et emmena prisonnier Priam, fils de Laomédon. Ces
fables
se trouvant jointes à l’histoire d’Hercule, nous
t le don de prévoir l’avenir, et parce qu’ils servaient d’augures. La
fable
imaginée sur le corbeau mérite d’être rapportée.
e des Muses, dont il était le maître et l’instructeur. Histoire et
fable
des Muses. Varron et saint Augustin nous appr
r et de Mnémosyne, déesse de la mémoire. Elles étaient vierges, et la
fable
dit qu’un jeune homme, nommé Adonis, ayant tenté
de leur plaire, elles le firent mourir. On a voulu peindre, par cette
fable
, l’inutilité des efforts que l’on fait pour s’éle
cha vif, pour le punir de sa folle témérité. Voici l’origine de cette
fable
: Avant l’invention de la lyre, la flûte était l’
se venger en persécutant les sciences ; et les poëtes imaginèrent la
fable
que nous avons citée, dans l’intention de flétrir
point répéter ces détails, nous allons donner l’histoire ou plutôt la
fable
de Diane adoptée par la Grèce. Les Grecs honoraie
ordres. Diane naquit avec son frère Apollon, et sur-le-champ, dit la
fable
, elle servit de sage-femme à sa mère Latone. Les
hosa en ours, et les plaça l’un et l’autre dans le ciel. Telle est la
fable
que les poëtes ont imaginée sur la constellation
haut d’une tour. Apollon en eut pitié, et le changea en épervier. Une
fable
dit que Diane avait aimé Endymion, roi d’Élide, e
nes de Carie ; il y passait souvent les nuits, ce qui fit imaginer la
fable
des visites de Diane. Son application constante à
hus adopté par les Grecs, le fameux Osiris, conquérant des Indes. Les
fables
des poëtes, et les récits des anciens auteurs ne
dernier prince n’exista que plusieurs siècles après cette guerre. Les
fables
ajoutent que Bacchus, couvert d’une peau de tigre
e, en attribuant à un prince de la famille de Cadmus l’histoire et la
fable
du Bacchus égyptien. En effet, le culte que l’on
alestine, qui tenait, ainsi que les Indes, au continent de l’Asie. La
fable
représente Bacchus avec des cornes : elles font a
e. Ce parallèle est trop parfait pour ne pas conduire à croire que la
fable
de Bacchus n’est qu’une tradition défigurée de l’
rendit à son petit-fils les mêmes honneurs qu’au Bacchus d’Égypte.
Fable
de Bacchus. Il ne suffit pas de connaître les
prochemens historiques entre Bacchus et Moïse ; nous allons donner la
fable
de sa naissance, telle qu’on la trouve dans les p
isse, et voulut qu’il y restât jusqu’au moment de sa naissance. Cette
fable
ridicule fit donner par la suite à Bacchus le sur
urnom de Bimater, qui a deux mères. En recherchant l’origine de cette
fable
extraordinaire sur la naissance de Bacchus, on tr
uée près d’une montagne appelée Méros, mot qui signifie cuisse. Cette
fable
n’a pas d’autre origine. Les filles d’Atlas, à la
qu’il en sera temps. Nous nous bornerons dans ce moment à dire que la
fable
le peint ordinairement comme le dieu des buveurs,
rnière que l’on donnait également le nom de Minerve ou de Pallas. Les
fables
de ces différentes déesses ayant presque toujours
ue les poëtes nommés Rapsodes allaient chanter les vers d’ Homère. La
fable
dit que l’honneur de donner un nom à la ville d’A
om d’Athénée à la ville. L’histoire a conservé l’explication de cette
fable
. Elle dit que Cécrops, originaire de Saïs, ayant
our peindre l’origine de cette réforme et la consacrer, ou imagina la
fable
de Neptune surpassé par Minerve. Quelques histori
de Neptune surpassé par Minerve. Quelques historiens disent que cette
fable
fut imaginée pour peindre un différent survenu en
Minerve la suspendit en l’air, et la métamorphosa en araignée. Cette
fable
est une allégorie par laquelle on a voulu faire e
la fois filer et toile d’araignée. En général, on trouve beaucoup de
fables
allégoriques réunies à l’histoire de Minerve. On
re de Minerve. On peut ranger dans ce nombre celle de Tirésias. Cette
fable
rapporte qu’un jour il surprit Minerve pendant qu
t qu’il aurait le don de prévoir l’avenir. On a voulu dire, par cette
fable
, que le vrai sage n’attache plus aucun prix aux é
à cause de ses yeux bleus ; Tritonia, à cause du lac Triton, dont une
fable
supposait qu’elle tirait son origine. Le mot trit
, que les Grecs nommaient Arès, était fils de Jupiter et de Junon. La
fable
que nous avons rapportée précédemment sur sa nais
entièrement inconnue aux Grecs et aux anciens. La nouveauté de cette
fable
sert à prouver qu’elle n’était qu’une allégorie d
ctoires navales, on la voit sur une proue de vaisseau. Histoire et
fable
de Vénus. Emprunter à la vérité son pouvoir e
els l’illustre Newton se fonde pour donner cette origine à Vénus. Les
fables
et les récits des poëtes sur cette déesse, ne peu
chevelure avait été changée en étoiles, et placée dans le ciel. Cette
fable
fit appeler chevelure de Bérénice une étoile nouv
mélange de l’histoire d’Astarté avec celle de Vénus, donna lieu à la
fable
d’Adonis. Il était fils de Cinyras, roi de Chypre
avait donné pour l’engager à trahir son époux. L’histoire explique la
fable
d’Adonis. Elle apprend que ce jeune prince régnai
ger qu’il avait couru, en disant qu’il était revenu des enfers. Cette
fable
s’accrédita d’autant mieux, que, par la suite des
x mois dans les enfers. Nous n’essayerons pas de rapporter toutes les
fables
des poëtes sur Vénus ; elles sont sans nombre, et
roit compenser les dons de la nature par ceux de la fortune.) Dans la
fable
de Mars, on voit le redoutable dieu des combats,
se. Les ouvrages de peinture et de sculpture variaient autant que les
fables
. Lorsqu’elle tient un globe dans sa main, elle re
lièrement consacrée à Vénus, comme étant la plus belle des fleurs. La
fable
ajoutait que sa couleur était blanche d’abord, ma
r le bord des eaux, où la déesse avait paru pour la première fois, La
fable
se plaît à raconter l’occasion qui lui fit consac
us. L’Amour, piqué de sa défaite, changea la nymphe en colombe. Cette
fable
vient de l’équivoque du mot grec peristera qui si
ifie une colombe. Les surnoms donnés à Vénus variaient autant que ses
fables
et les lieux où elle était honorée. On l’appelait
ieuse et d’Amie, parce qu’elle présidait à l’union des cœurs, etc.
Fable
de l’Amour ou Cupidon. L’Amour n’est point un
g. 27.) Bientôt ils les multiplièrent à l’infini, mais leurs diverses
fables
appartiennent beaucoup plus à la poésie qu’à la m
semblèrent plus être que les nymphes de sa suite2. Psyché. La
fable
de Psyché n’a aucun rapport avec l’histoire ; c’e
ions ont sur notre âme. L’aimable et célèbre La Fontaine a paré cette
fable
de tous les charmes de son esprit, et lui a conse
urner les bienfaits vers la source qui les a produits. Histoire et
fable
de Vulcain. Il paraît qu’il faut distinguer t
s l’île de Lemnos, où il établit des forges. Nous allons parcourir sa
fable
, telle que les Grecs nous l’ont transmise. Il éta
sa retraite ou son exil dans l’île de Lemnos, on l’appela Lemnius. La
fable
lui attribue les ouvrages les plus fameux dont el
r finit par le métamorphoser en pierre. On reconnaît, en lisant cette
fable
, que le chien de Vulcain fut imité par quelque st
nnaître, que les hommes crurent devoir des autels à son inventeur. La
fable
dit que Vulcain se fit aider dans ses travaux par
olcan à celui des coups redoublés des Cyclopes sur leurs enclumes. La
fable
les peignait avec un seul œil au milieu du front.
s chars et des attelages à quatre chevaux de front. Après sa mort, la
fable
le plaça dans le ciel, et dit qu’il était chargé
ens veillaient à la garde du temple de cette divinité. Histoire et
fable
de Mercure. Les anciens reconnaissaient un si
el était le second Mercure dont l’histoire a conservé le souvenir.
Fable
des Grecs sur Mercure. Mercure, fils de Jupit
fit reconnaître, elle changea en pierre de touche. L’origine de cette
fable
vient de ce que Battus fut le premier à reconnaît
nités des eaux étaient innombrables. Nous nous bornerons à donner les
fables
les plus essentielles parmi celles qui tiennent à
e dans les pays occident taux, Neptune les empêcha d’en sortir, et la
fable
peignit sa victoire en disant qu’il les avait enf
que célébrité ; c’est à cet abus qu’il faut rapporter la multitude de
fables
, de métamorphoses et d’aventures attribuées à Nep
ès-adroit pour réussir à ce mariage. Cette aventure a donné lieu à la
fable
du dauphin, envoyé par Neptune pour déterminer Am
surnommer Hippius. La confusion de ces deux personnages produisit la
fable
de Neptune frappant avec son trident la terre, do
dent la terre, dont il fait sortir un superbe cheval. L’origine de la
fable
de Neptune aidant Apollon à bâtir les murailles d
la guerre des dieux contre les Géans. Ce bruit extraordinaire, dit la
fable
, les épouvanta tellement, qu’ils prirent la fuite
ent, qu’ils prirent la fuite et cédèrent la victoire aux dieux. Cette
fable
ne serait-elle pas une tradition altérée de la ch
une tradition altérée de la chute des murs de Jéricho ? Au reste, les
fables
des Tritons ont été imaginées d’après la croyance
diversité prodigieuse des animaux marins, a suffi pour accréditer ces
fables
et les rendre innombrables. On doit avoir la même
illes de ses compagnons avec de la cire. L’histoire explique ces deux
fables
en disant que des courtisanes et des comédiennes
onfiance. Ce stratagème lui réussit ; il devint l’époux de Pomone. La
fable
d’Aristée, fils d’Apollon et de la nymphe Cyrène,
se fit ses miracles à la sortie d’Égypte. D’autres enfin regardent la
fable
de Protée comme une allégorie servant à faire con
u par les dieux de la mer ; il finit par se noyer, et donna lieu à la
fable
que nous venons de citer. Les anciens reconnaissa
fuirent précipitamment, et tombèrent dans la mer, où ils périrent. La
fable
en fit des dieux marins. Le nom d’Ino fut changé
gée en monstre marin très-redoutable pour les vaisseaux. Telle est la
fable
que l’on imagina sur le gouffre situé entre Reggi
et le força de rentrer sous les eaux. Nous ne devons pas omettre les
fables
des Alcyons, oiseaux marins qui ont la propriété
t à ce temps le nom de jours alcyons. Cette singularité produisit une
fable
. Alcyone, femme de Ceix, roi de Trachine, vit en
, dont ils peuplèrent les côtes ; ensuite ils passèrent en Italie. La
fable
dit que les Vents étaient fils d’Aurore et d’Astr
s, Calaïs et Zéthès, dont nous parlerons au voyage des Argonautes. La
fable
rapporte que Borée, métamorphosé en cheval, donna
rva que sa voix, qui lui sert à répéter tout ce qu’elle entend. Cette
fable
est du nombre des allégoriques. Syrinx, nymphe d’
tait le plus célèbre des Satyres. Nous allons donner l’histoire et la
fable
de ce personnage, extrêmement fameux dans l’antiq
et la fable de ce personnage, extrêmement fameux dans l’antiquité. La
fable
s’unira quelquefois à la vérité, mais nos lecteur
le fit rester quelque temps auprès de Midas donna lieu à beaucoup de
fables
. Bacchus, après avoir abandonné la Thrace, où les
ut l’accompagner et le ramener lui-même à Bacchus. (Ici recommence la
fable
.) Le dieu charmé de revoir son nourricier, dont l
ses vins, lui rapportait un produit immense : ce qui donna lieu à la
fable
qu’il changeait en or tout ce qu’il touchait. Aya
elques punitions arrêtèrent ces propos insultans : on fit une seconde
fable
allégorique dans laquelle on publia que son barbi
ent entendre : Midas a des oreilles d’âne. On s’aperçoit que ces deux
fables
sont allégoriques. Le goût de Silène pour le vin,
la forme de Satyre. On croyait qu’il rendait des oracles ; mais cette
fable
tient à l’étymologie de son nom. (Phonein en grec
u’ Orphée avait vu pratiquer en Égypte, et sur lesquelles il fonda sa
fable
des enfers, en y joignant les circonstances qui s
, où règne un printemps éternel. Il est facile de reconnaître que ces
fables
des Grecs et des Romains ne sont que la peinture
ux de Cérès, et de faire adopter son culte. Telle est l’origine de la
fable
de Cérès et de Triptolème. On publia que Cérès ét
e, ce qui la rendit mortelle pour les animaux qui la goûtaient. Cette
fable
fait allusion à la grande quantité d’herbes vénén
sion à la grande quantité d’herbes vénéneuses que produit ce pays. La
fable
de Cerbère fut encore imaginée d’après l’usage qu
; voilà pourquoi les poëtes en ont fait un des fleuves de l’enfer. La
fable
a fait du Styx une fille de l’Océan, dont la Vict
subir des épreuves aux coupables. Telle est la principale origine des
fables
sur ce fleuve d’enfer : ses eaux coulaient dans l
Pouzolles, et du Léthé, ou Fleuve d’Oubli, situé dans l’Afrique. Les
fables
attribuaient à ce dernier le pouvoir de faire oub
ipités dans les enfers, pour avoir fait la guerre au dieu Jupiter. La
fable
les peint accablés sous le mont Etna. Typhon, le
g. 49.) Les savans ne sont point d’accord sur l’explication de cette,
fable
; quelques-uns d’eux la regardent comme une allég
anaïdes, condamnées à remplir d’eau une cuve sans fond. (Fig. 50.) La
fable
imaginée pour peindre ce genre de punition, n’a d
fils, allèrent à la guerre de Troie. Les poëtes publièrent dans leurs
fables
que la science d’Esculape allait jusqu’à ressusci
ui. Le coq et le serpent étaient spécialement consacrés à ce dieu. La
fable
publie qu’Esculape était sorti d’un œuf de cornei
uf, et que c’était Esculape lui-même qui s’était ainsi déguisé. Cette
fable
fut crue par le peuple, et la foule venait adorer
esques des divinités allégoriques, des demi-Dieux, et des Héros de la
Fable
. Discours. Sur la Mythologie en général et pa
et la littérature des anciens Grecs et des Romains. Ce recueil de
fables
sans liaison, sans plan, sans but, seroit le plus
nge mélange. Il n’est pas douteux que l’Histoire a servi de base à la
Fable
. Saturne et Jupiter ont existé, et l’amour et la
sirer. Une première erreur en produit mille autres ; une multitude de
fables
sont nécessairement enfantées par une première fa
ne multitude de fables sont nécessairement enfantées par une première
fable
. Après avoir déïfié un grand roi, on imagina de l
n’est pas venue jusqu’à nous. Il est évident aussi que la plupart des
Fables
qui déshonorent l’histoire des faux Dieux, ont ét
que de ses vertus, de ses exploits, en ajoutant à ces récits quelques
fables
allégoriques ; ensuite on aura surchargé cette hi
auté et par l’imagination, auront créé sur ce fonds des multitudes de
Fables
, qui, par conséquent, ne pouvoient avoir entre el
mens, vindicatifs, injustes, équitables, barbares et compatissans. La
Fable
donne un amant à la chaste Diane ; quelquefois el
hologie ; mais comment justifier les peuples qui adoptèrent de telles
fables
et qui adorèrent de tels Dieux ? Cependant la cro
éral, les allégories non douteuses forment la plus belle partie de la
Fable
. Je dis non douteuses, car celles que les comment
lé dans l’allégorie, que les commentateurs devroient penser que toute
Fable
qui n’offre pas un sens allégorique très-clair et
rique très-clair et très-ingénieux, n’est tout simplement qu’une pure
Fable
. Autant presque tous les Dieux de l’Olympe sont r
sans passer par celui de la Vertu, etc.) Au milieu d’une multitude de
Fables
absurdes, on trouve encore dans la Mythologie, ou
es Vénus, des Adonis, des Dianes, etc. Il reste encore même, dans les
Fables
les plus connues, une foule de traits que la pein
à Ithaque, pour toute réponse baissant, en rougissant, son voile. La
Fable
, sans expliquer cette action, (et quelles réflexi
lyte qu’on aperçoit dans l’éloignement. En mémoire de ce fait, dit la
Fable
, on éleva par la suite, auprès de ce myrte criblé
ion a pris la multiplication de ces tableaux pour la multiplicité des
Fables
. Néanmoins, à l’exception de quatre ou cinq pages
ves, les Lemures, les Lamies, les Anguipèdes, Sybaris, etc. etc.3 Les
fables
de la Mythologie n’offrent que des crimes atroces
its du mûrier. Le sang d’Ajax donna naissance au pied-d’alouette. Ces
Fables
lugubres ensanglantent les eaux ainsi que les pra
ontaines. Les mers portent des noms qui consacrent les plus tragiques
Fables
. La Mythologie a multiplié près de leurs bords le
œurs de Phaéton. Les îles, les montagnes, les rochers, rappellent des
Fables
aussi lamentables. La contemplation des cieux n’o
phée, dans son voyage en Egypte, recueillit ces faits et en forma les
fables
du passage de 1’Acheron et de l’avare nautonier d
spèce d’érudition qu’une science frivole. Mais quand on songe que ces
Fables
formèrent, pendant tant de siècles, la religion d
On bornera là ce genre de remarques, on verra dans presque toutes les
fables
suivantes, ou des violences, ou des crimes, ou de
in qu’il fût toujours vrai qu’il y fût attaché ; et voilà, suivant la
fable
, l’origine des bagues. Prométhée forma les hommes
verra sur la formation de l’homme, dans l’histoire de Cura, une autre
fable
beaucoup plus ingénieuse que celle-ci. Les Flamin
it que redouter la divinité représentée toujours tenant un foudre. La
fable
dit que les Cyclopes, en forgeant le foudre de Ju
equel il étoit assis, et delà Pirithoüs eut le surnom d’Apigos. Cette
fable
est contée ainsi par Hygin et par d’autres ; mais
admit à sa table ; ce fut-là qu’Ixion devint amoureux de Junon. Cette
fable
est assurément l’une des plus absurdes de la myth
acrifioit à Pluton et aux Dieux infernaux que des victimes noires. La
Fable
dit que le Mensonge recevoit les ombres des mains
magnifique, dans lequel on le plaça. D’autres content différemment la
fable
du Palladium. Les uns disent que le Scythe Abaris
où il fut renfermé depuis et conservé dans le temple de Vesta. Cette
fable
du Palladium ressemble à celle du bouclier de Num
es déchirer de jeunes taureaux et dévorer leur chair crue. Suivant la
Fable
, elles suivirent Bacchus dans les Indes. Lorsqu’e
s l’ayant rendu furieux, les Bacchantes furent remises en liberté, La
Fable
peint les Bacchantes aussi barbares que dépravées
re de Vénus, on croit devoir faire mention des beautés célèbres de la
fable
et de l’antiquité. Voici les plus renommées : Hié
onseil et la tumeur disparut. Il me semble qu’on peut expliquer cette
fable
d’une manière tort simple : il croît souvent sur
u haut du ciel, ce qui le rendit boiteux. On conte différemment cette
fable
: on dit que Jupiter, irrité contre Junon de ce q
t aussitôt de faire tout ce qu’il vouloit. On ne sait pas pourquoi la
fable
a supposé une liaison entre Vulcain, le plus acti
meux fut le géant Polyphême, qui n’étoit point forgeron, et auquel la
fable
donne des mœurs pastorales qui s’accordoient fort
halamus. Voici les noms des épouses fidèles les plus célèbres dont la
Fable
fasse mention : Pénélope, Andromaque, Alceste, Ca
des ailes à la tête et aux pieds : le pourpier lui étoit consacré. La
Fable
dit que Mercure portoit un roseau d’or pour condu
ux et surtout de Junon. On la représente portée sur l’arc-en-ciel. La
Fable
donne d’horribles sœurs à cette Déesse, elle dit
évoré par ses propres chiens. Diane, comme toutes les Divinités de la
Fable
, étoit vindicative et barbare dans ses vengeances
. Des fruits, du pain et surtout des œufs en composoient les mets. La
Fable
dit que Diane aima Endimion, berger de Carie. Ell
nouvellent sans cesse dans l’histoire des Dieux. D’après une ancienne
fable
, Minerve, dans ses voyages, trouva l’os de la jam
it en noir son plumage qui étoit d’une blancheur éclatante. Une autre
fable
donne une autre origine au plumage noir du corbea
eta en l’air pour voler après elles, il tomba et se cassa la tête. La
Fable
dit que toutes les Muses sont Vierges, afin de ma
toient consacrés. La déesse du Silence s’appeloit Angérone. Voici une
Fable
que l’on a trouvée dans l’Encyclopédie anglaise (
l’invention des modernes ; M. Millin , dans son dictionnaire de la
fable
, dit qu’il n’existe point de monumens antiques r
onna à l’une des portes de Rome le nom de Janualis à l’occasion de la
fable
suivante : les Sabins assiégeant Rome avoient déj
es de Divinités subalternes et champêtres qui habitoient les bois. La
Fable
donne aux Satyres, et en général à tous les Dieux
deux leur établissement aux Egyptiens. En voici l’origine suivant la
Fable
: Deux colombes s’étant envolées de Thèbes en Egy
arc ; Mercure, une épée, etc. Voici les principaux personnages de la
Fable
, distingués par leur chasteté et leur modestie ;
onte que Plutus s’unit à elle et en eut Cupidon. On prétend que cette
Fable
signifie que l’Amour rapproche les extrêmes. M
ieu des festins. Son nom venoit d’un mot grec qui signifie manger. La
Fable
ne lui donne point d’attributs ; mais comme les a
signifie lit. Les médecins et les botanistes les plus célèbres de la
Fable
furent : Japis, fils de Jasus, le plus intéressan
gissoit et faisoit agir avec vigueur. Elle avoit un temple à Rome. La
Fable
ne lui donne point d’attributs. Une ruche a paru
as plus connue. La Mythologie n’en offre point de plus ingénieuse. La
Fable
ne donne point d’attributs à Cura. On a imaginé d
un fil. Achlys. Déesse des ténèbres et de la tristesse. La
Fable
ne lui donne point d’attributs. Une ancre brisée
autres font naître Vénus de Jupiter et de Dionée. 9. Voici une autre
fable
sur l’aigle de Jupiter ; Periphas, roi d’Athènes,
e du chien Cerbère, de l’Hydre de Lerne et de tous les monstres de la
fable
. 11. Claudien, poëte latin, florissoit sous Arc
ngé en la fleur qui porte son nom. Pausanias conte différemment cette
fable
: selon lui, Narcisse avoit une sœur jumelle qui
lême du silence, parce que cet animal ne produit aucun son. Voici une
Fable
à ce sujet : Jupiter pour rendre ses noces avec J
ouvelle carrière, et disparaissent les ténèbres qui enveloppaient les
fables
des dieux. Nous rencontrons encore des fables à c
s qui enveloppaient les fables des dieux. Nous rencontrons encore des
fables
à chaque pas, mais elles seront moins absurdes ;
pour prouver que les demi-dieux et les héros les plus célèbres de la
fable
ont existé. Royaume d’Argos. Les recherche
crisius qui eut pour fille Danaé, mère de Persée, si célèbre dans les
fables
, et dont nous parlerons bientôt. Ce même Persée,
es époques auxquelles vécurent les personnages célèbres dont parle la
fable
. Des temps héroïques ou fabuleux. Les anci
nt à Cécrops le nom Diphnès, c’est-à-dire composé de deux natures. La
fable
le représente aussi comme moitié homme et moitié
stoire des premiers rois d’Athènes, jusqu’à Démophoon, est remplie de
fables
; mais la chronologie de chacun de ces rois est c
eul peuple. Telle est en abrégé l’histoire de cette colonie ; mais la
fable
s’y est tellement unie, qu’on ne peut presque plu
oue représentait un taureau. C’est de là que les Grecs ont imaginé la
fable
de Jupiter changé en taureau, pour enlever cette
able dans les temps appelés fabuleux ou héroïques : fabuleux, par les
fables
dont les histoires de ces temps sont enveloppées
l est le commencement de l’histoire de Persée : nous allons donner sa
fable
, et l’on s’apercevra combien l’une et l’autre se
e lui donna la mort de la manière que nous dirons. Cette partie de la
fable
de Persée ressemble trop à son histoire pour avoi
dence qui lui était si nécessaire. Nous poursuivrons l’histoire et la
fable
de Persée, en parcourant ce que la mythologie nou
la mythologie nous apprend sur Méduse, les Gorgones et Andromède.
Fable
de Méduse et des Gorgones. Phorcus, dit Hés
à Minerve, qui la plaça au milieu de son égide. Ovide ajoute à ces
fables
que Persée, après la mort de Méduse, prit son vol
tiles venimeux que l’on rencontre à chaque pas dans cette contrée.
Fable
d’Andromède. Ovide , dans ses métamorphoses
ir Mycène, qui devint la capitale de ses nouveaux états. Telle est la
fable
de Persée, qui se trouve continuellement mêlée av
r comme un héros à Argos et dans l’île de Sériphe. Explication des
fables
qui tiennent à l’histoire de Persée. Persée,
chesses immenses, on célébra son retour, et les poëtes imaginèrent la
fable
des Gorgones et de Méduse. Ces explications suffi
mortel à la Chimère. Cette médaille fut sans doute gravée d’après la
fable
du héros, et non pas d’après son histoire ; car t
leur ville était tombée en son pouvoir. Les poëtes ajoutèrent à cette
fable
que Scylla avait été changée en alouette, son pèr
rcèrent de rendre odieuse la mémoire de Minos second, en publiant une
fable
, qui devint extrêmement célèbre. Suivant cette fa
en publiant une fable, qui devint extrêmement célèbre. Suivant cette
fable
, le roi de Crète enfermait ses prisonniers dans l
Fig. 72.) Nous allons à présent dégager l’histoire des ornemens de la
fable
. Quelques auteurs prétendent que Thésée ne combat
plus graves et plus d’accord avec les circonstances racontées par la
fable
, disent qu’Ariadne, éprise de Thésée, lui fournit
et tous les deux arrivèrent heureusement à l’île de Naxe. Une seconde
fable
des Grecs dit que Thésée abandonna sa libératrice
e à la fois d’ingratitude et d’infidélité. L’histoire contredit cette
fable
, et rapporte qu’Onarus, prêtre, ou plutôt confide
hésée reconnut enfin, mais trop tard, l’innocence de son fils ; et la
fable
ajoute qu’Esculape, dieu de la médecine, l’avait
éniens, témoins de la mort du jeune prince, ont toujours rejeté cette
fable
. Par la suite des temps. Hippolyte fut adoré comm
essuscité. Il paraît que ce fut ce faux Hippolyte qui donna lieu à la
fable
de Jupiter foudroyant Esculape pour avoir osé res
piter foudroyant Esculape pour avoir osé ressusciter un mortel. Cette
fable
n’était point connue par les Athéniens, et ne s’a
disait ses statues animées, et l’on publia qu’elles marchaient. Cette
fable
est fondée sur le peu de progrès que les Grecs av
tation lui fit attribuer tous ceux qui avaient quelque perfection. La
fable
publia, au sujet de Talus, que Dédale, son oncle,
maison d’Égée remplie de troubles. Les poëtes ont rapporté dans leurs
fables
que Médée s’y était réfugiée, et qu’elle avait fo
ue Minos second en avait exigé. Ce récit des poëtes est un mélange de
fable
et d’histoire. Nous verrons, à l’histoire de Médé
sque semblable à celui de Phylla, amandier, a seul donné lieu à cette
fable
. Les poëtes ajoutèrent que l’amandier fleurit au
et d’Eurysthée. La grande célébrité d’Hercule fit bientôt ajouter des
fables
à son histoire. Sa force, son courage, ses exploi
it dire qu’il devait le jour au plus grand des dieux. Jupiter, dit la
fable
, prit la forme d’Amphitryon, et fut père d’Alcide
rent que c’était un présage de ses grandes destinées. Telles sont les
fables
principales dont les poëtes ornèrent le récit de
t le reste de sa vie. Pour donner plus de merveilleux à ce combat, la
fable
rapporte que Junon avait suscité le lion, et qu’A
les poursuivit avec grand bruit, et les chassa du pays. Telle est la
fable
; voici l’histoire : Des voleurs ravageaient le p
pèce très-venimeuse, que l’on nommait Hydros ; ce qui donna lieu à la
fable
de l’Hydre de Lerne. Hercule trempa ses flèches d
serpent, ce qui rendit leurs blessures incurables. Junon, continue la
fable
, voyant Hercule prêt à triompher de l’Hydre, envo
nt, et leur rendirent toute leur fertilité. Telle fut l’origine de la
fable
des écuries d’Augias, nettoyées par un fleuve. Ce
cours d’Augias ; mais il fut battu et blessé : ce qui donna lieu à la
fable
de Pluton combattant Hercule, et blessé par ce hé
d’aller ravir le plus beau et de le lui amener : ce qu’il exécuta. La
fable
publia que ce taureau était celui de Pasiphaé. He
re de nouvelles troupes, il le fit périr. Cette victoire produisit la
fable
d’Antée, fameux géant, fils de la Terre. Pendant
rcule donna à Atlas dans la guerre contre Busiris donnèrent lieu à la
fable
qu’il l’avait aidé à porter le ciel sur ses épaul
t grec exprime une brebis ou une pomme. On peignit ce présent sous la
fable
des pommes d’or du jardin des Hespérides données
t qu’elles n’ont jamais existé. Ils disent qu’il faut attribuer cette
fable
à la situation des deux montagnes nommées Calpé e
aux Arcadiens, qui se faisaient souvent la guerre pour ces bornes. La
fable
, ainsi que nous l’avons déjà dit, peignit cet ouv
ut un fils nommé Hillius, et passa trois ans à la cour de Calydon. La
fable
du combat d’Hercule contre Achéloüs prouve avec q
les habita, et s’y fit un asile. Ces îles s’appelaient Eschinades. La
fable
, pour peindre leur origine, rapporta que des nymp
d’Alceste est une des plus brillantes actions d’Alcide. Médée, dit la
fable
, conseilla aux filles de Pélias de couper leur pè
punit Laomédon d’avoir manqué à sa parole. Telle fut l’origine de la
fable
que nous avons rapportée plus haut. Il serait imp
fonte des neiges en avait fait un torrent très-rapide. Nessus, que la
fable
peint sous la forme d’un centaure, parce qu’il ét
héros, les poëtes le prirent pour l’objet de leurs poëmes et de leurs
fables
. On publia qu’il avait été reçu parmi les dieux,
ébé, déesse de la jeunesse. (Allusion à l’immortalité.) Atlas, dit la
fable
, qui portait le ciel sur ses épaules, sentit fort
ver le trépied de Delphes. L’histoire dit l’origine de cette dernière
fable
. Hercule ayant été consulter l’oracle de Delphes,
l’expédition. Toute la Grèce ayant pris part à cet événement, et les
fables
en parlant sans cesse, nous allons donner les dét
ppelée l’Hellespont. Telle est l’histoire dont les poëtes ont tiré la
fable
du bélier à la toison d’or. Ils racontèrent que P
l fallait traverser le fleuve Anaure qui était débordé. Junon, dit la
fable
, déguisée en vieille femme, lui offrit de le port
vaisseau était un arbre de la forêt de Dodone, ce qui donna lieu à la
fable
qu’il rendait des oracles. La forme de ce vaissea
rça de relâcher dans l’île de Lemnos. Les femmes de cette île, dit la
fable
, ayant manqué de respect à Vénus, cette déesse le
nt blessés, à l’exception de Glaucus, qui disparut et donna lieu à la
fable
que nous avons déjà citée, et qui le place au nom
ce vieux et aveugle, que les Harpies tourmentaient sans cesse. Ici la
fable
se mêle continuellement avec l’histoire ; mais il
sa heureusement et leur servit de guide. Cette colombe, dont parle la
fable
, était le bâtiment léger que Phinée avait donné p
tte île, ils eurent à soutenir un rude combat contre ses habitans. La
fable
peignit ce combat en disant qu’ils y trouvèrent d
t donc point surprenant que l’imagination des poëtes ait mêlé tant de
fables
et de merveilleux aux vérités de l’histoire. Cett
ire de cette princesse, et nous allons poursuivre les récits mêlés de
fables
qu’il est indispensable de connaître. Apollonius
significations, trouve dans les mots phéniciens l’explication de ces
fables
. Après avoir fait les rapprochemens de ces mots,
tent à ce sujet. On verra que leurs récits sont souvent entremêlés de
fables
. Les Argonautes parcoururent les côtes orientales
lui. Jason consacra le navire Argo dans l’isthme de Corinthe, et les
fables
des poëtes finirent par le placer dans le ciel. C
secours et des guides pour sortir du passage difficile des sirtes. La
fable
peignit ce prince bienfaisant sous la forme d’un
t de ce prince, fils de Pélias. L’histoire apprend l’origine de cette
fable
. Elle rapporte qu’après la mort de Pélias et d’És
a Médée. Telle est l’histoire que les poëtes défigurèrent dans leurs
fables
, leurs poëmes et leurs tragédies. Médée, selon eu
dieuse et méprisable à toute la Grèce. Long-temps après, une nouvelle
fable
vint encore flétrir la mémoire de Médée. On la tr
les fils de Jupiter. Ils eurent pour sœurs Hélène et Clytemnestre. La
fable
dit que Jupiter s’étant métamorphosé en cygne, Vé
estre passèrent pour être les enfans de Tyndare. Pour expliquer cette
fable
, il faut observer que, dans ce temps, on trouvait
. La forme de ces appartemens a peut-être suffi pour donner lieu à la
fable
que nous venons de citer. Ces princes et princess
leuve, et les poëtes eurent l’idée de faire entrer un cygne dans leur
fable
. La beauté de Léda, la blancheur et la belle form
ces diverses circonstances, embellies par les poëtes, produisirent la
fable
de Jupiter et de Léda. Quoi qu’il en soit, l’héro
ollux, accouru trop tard, vengea Castor en tuant Idas. Pollux, dit la
fable
, était immortel en sa qualité de fils de Jupiter
ient alternativement sur la terre et dans le royaume des morts. Cette
fable
est fondée sur ce qu’après leur mort on les repré
à celles qu’il avait eues jusqu’alors. Ce fut de là qu’il rapporta la
fable
des enfers, les orgies et les autres cérémonies q
urne de marbre. Le voyage d’Orphée dans la Thesprotie donna lieu à la
fable
de sa descente aux Enfers. Orphée, dit Virgile ,
es morts étaient fort en usage ; telle fut sans doute l’origine de la
fable
d’Orphée retrouvant Eurydice. Quelques auteurs l’
qui survint peu de temps après, lui donna la mort, et fit imaginer la
fable
d’une rechute dans les Enfers. Les poésies d’ Orp
e, contemporain de Pisistrate, ou de quelque autre auteur inconnu. La
fable
qui peint Orphée attirant à sa suite les animaux
» Dans ce récit d’ Homère, l’intervention de Diane tient seule à la
fable
, Le reste des événemens est conforme à l’histoire
ont ajouté beaucoup à cette histoire. Ce sont eux qui ont imaginé la
fable
du tison fatal auquel était attaché le sort de Mé
vivre à la perte de son époux. Nous croyons devoir aussi conserver la
fable
d’ Ovide sur Atalante. Elle s’était vouée à Diane
ond devant de pareils ouvrages ; et nous les rangerions au nombre des
fables
; si la vue de ces colosses qui ont bravé tant de
in que les oracles de la Pythie ? Quoi qu’il en soit, voici ce que la
fable
, mêlée avec l’histoire, nous apprend sur cette Si
rester que la voix, que le destin lui laisserait éternellement. Cette
fable
était fondée sur la longue vie que l’on attribuai
même désir d’expliquer les phénomènes de la nature, qui ont dicté des
fables
à tous les peuples. En considérant le style de ce
t dicté des fables à tous les peuples. En considérant le style de ces
fables
, ces expressions, tantôt sublimes, tantôt gigante
. C’est à ce dogme de la mythologie celtique qu’il faut attribuer les
fables
de la féerie et le merveilleux de nos romans goth
é les Grecs faisant des efforts pour voiler leur origine ; mais leurs
fables
mêmes (ce mélange bizarre de leurs souvenirs et d
ie. On ne sauroit se refuser d’avouer que l’Histoire des Dieux et les
Fables
du Paganisme, font une partie considérable des Be
et sur-tout des Poëtes tant anciens que modernes, si on ne connoît la
Fable
. Nous ne saurions non plus disconvenir que nos pe
rédiger avec le plus d’ordre et de méthode qu’il m’a été possible. La
Fable
est un cahos, dont tous les abords sont couverts
travaillé, pour mes Élèves, un Traité succinct de l’Apologue ou de la
Fable
morale ; il devoit servir comme d’acolyte et de p
et à leur en donner la plus forte aversion. Le tout est accompagné de
Fables
choisies, bien capables de faire sortir avec avan
Origine de la Mythologie. D. Qu’est-ce que la Mythologie ou la
Fable
? R. La Mythologie ou la Fable est l’Histoire fab
D. Qu’est-ce que la Mythologie ou la Fable ? R. La Mythologie ou la
Fable
est l’Histoire fabuleuse des Divinités, du Pagani
ogos, qui signifient discours fabuleux. D. Quelle est l’origine de la
Fable
? R. La Fable doit son origine à plusieurs causes
emis et irrités. Primus in orbe Deus fecit timor. Utilité de la
Fable
. D. Quels avantages peut-on retirer de la Fabl
Utilité de la Fable. D. Quels avantages peut-on retirer de la
Fable
? R. Plusieurs très-considérables : 1.° La Fable
eut-on retirer de la Fable ? R. Plusieurs très-considérables : 1.° La
Fable
nous fait connoître de quel aveuglement est capab
de ceux qui n’aiment qu’eux. D. La Poésie ne doit-elle pas aussi à la
Fable
une partie de ses agrémens ? R. Oui ; elle emprun
es pommes d’or, l’or pour une pluie de ce fameux métal, comme dans la
fable
de Danaé ; les flèches pour des foudres et des ca
es Divinités formoient une quatrième classe. Première partie de la
Fable
. Des Dieux du premier ordre. Avant de commenc
et le chant de cet oiseau servoient souvent de règle aux Augures. La
Fable
dit que d’abord il avoit le plumage blanc ; mais
. (Lamotte.) D. Nommez-nous quelques-uns des fameux scélérats que la
Fable
place dans les Enfers. R. Elle nomme sur-tout Sis
En irrite encor le désir. (Lamotte.) Seconde partie de la
Fable
. Des Dieux du second ordre. La Terre avoit se
le nom de Gnomes, Sylphes et Salamandres. Troisième partie de la
Fable
. Des demi-Dieux et des Héros. D. Qu’entend-on
rès l’autre. Jupiter fit l’homme semblable A ces deux jumeaux que la
Fable
Plaça jadis au rang des Dieux ; Couple de Déités
ers au jour ramenant Euridice. Cadmus. D. Que nous apprend la
fable
de Cadmus ? R. Cadmus étoit fils d’Agénor et frèr
e aussitôt se divisa d’elle-même, ce qui qui fit connoître, ajoute la
Fable
, que la mort n avoit pu éteindre une haine, dont
r le changea en anémone. Traité sommaire de l’Apologue, ou de la
Fable
morale. D. Qu’entend-on par Fables morales ?
ommaire de l’Apologue, ou de la Fable morale. D. Qu’entend-on par
Fables
morales ? R. On entend des fictions faites à dess
tes à dessein d’instruire les hommes en les amusant. L’Apologue ou la
Fable
est le remède que de grands génies ont employé po
combattre et détruire le vice. La morale sans doute est l’ame de la
Fable
, C’est une fleur qui doit donner son fruit, ……
e en enfant » mais pour en faire un homme. (Lamotte, L. 5. F. 3.) La
Fable
est une philosophie déguisée qui ne badine que po
. C’est, sans contredit, La Fontaine. Ce Poëte incomparable a mis les
Fables
d’ Ésope en vers français avec un naturel et des
animaux pour instruire les hommes. (La Fontaine.) Et ailleurs : Les
Fables
ne sont pas ce qu’elles semblent être : Le plus s
. 4.) D. Quelle est la manière de tirer le plus grand avantage de la
Fable
? R. On doit en l’étudiant, observer avec la même
(La Font., L. 8. F. 19.) Le paresseux peut lire ses devoirs dans la
Fable
de la Fourmi et de la Cigale ; L’homme d’étude et
’entraînent souvent dans mille dangers qu’elle n’a pas su prévoir. La
Fable
du Bouc imprudent est une trop fidèle image de la
s sont les siens, les servir en tout est sa plus douce jouissance. La
Fable
des deux Amis est un modèle admirable d’une parfa
eront bien d’imiter le tom précieux et ridicule si bien peint dans la
Fable
: Quoi, moi ! quoi, ces gens-là ! l’on radote, j
un tableau parfaitement dessiné de ce vice honteux dans l’excellente
Fable
de l’Aigle, de la Laye, femelle du Sanglier, et d
é, conspué, vilipendé. Il faut le fuir comme une peste dangereuse. La
Fable
déjà citée (de l’Aigle, de la Laye et de la Chatt
n voit encore bien la ruse hypocrite et traîtresse du Vautour dans la
Fable
de l’Aigle et du Vautour de M. Richer, (Paris, 1
se. M. De Lamotte nous peint bien l’intempérance du gourmand dans la
Fable
de l’Huître. Quel goût ! quelle fraîcheur ! Il a
otte, L. 2. F. 10.) L’ingrat est souvent puni de sou ingratitude. La
Fable
de la Tortue et du Scorpion en offre un exemple f
ésider dans un cœur possédé d’un goût aussi désordonné. Consultons la
Fable
du Léopard et du Singe, et bientôt nous dirons av
. 5. Périphète, qui ne se nourrissoit que de chair humaine. 6. La
Fable
fait Tyndare père de Castor, et Jupiter, de Pollu
Dieux que j’ai déjà donnée, est remplie de crimes, de monstres et de
fables
lugubres ; ce second volume qui contient l’histoi
la plus sombre et la plus noire, qui a pu produire un tel recueil de
fables
. Un seul journal (toujours très-malveillant pou
ver très-étrange l’idée de dessiner les attributs des Divinités de la
Fable
? Mes Arabesques ne sont que ces attributs ; le m
agnificence et sa fin tragique, appartient moins à l’Histoire qu’à la
Fable
. On a surchargé de prodiges sa naissance, sa vie
’arbustes, les rougirent et les pétrifièrent et telle est, suivant la
Fable
, l’origine du corail. Persée attacha au bouclier
on le suspendit à un arbre. Des bergers, toujours libérateurs dans la
Fable
des enfans abandonnés, eurent pitié de celui-ci e
naquit d’Echidna et de Typhon père et mère de tous les monstres de la
fable
. Le Sphinx avoit la tête d’une jeune femme, le co
ndent que Sphinx étoit une fille naturelle de Laïus, mais la première
fable
est plus généralement reçue. Les anciens plaçoien
s, et il épousa Phèdre, sœur de cette Princesse. Les anciens, dans la
Fable
et dans leurs ouvrages d’imagination, ont toujour
ce. Comme Pluton étoit aussi surnommé Adès ou Aidonnée, de là vint la
fable
de la descente de Thésée et de Pyrithoüs aux enfe
ès-malheureuse ainsi que toutes celles des personnages célèbres de la
Fable
. Hercule. Hercule fut d’abord appelé Al
ême joug deux animaux si féroces. D’autres content différemment cette
fable
et de la manière suivante : Lorsque les deux sœur
e toutes les Amazones périrent. Depuis cette époque, l’Histoire et la
Fable
ne parlent plus des Amazones13. Dans le second ch
des Grecs, introduisit de nouvelles cérémonies, inventa de nouvelles
fables
, il donna du poids à ces fictions par son éloquen
et de la poésie. Orphée, malheureux comme tous les personnages de la
fable
, perdit sa jeune épouse la belle Euridice le jour
histoire tous les crimes et tous les malheurs rassemblés. Toutes ces
fables
tragiques ont été produites par l’imagination la
abitèrent alternativement tour-à-tour, les enfers et les cieux. Cette
fable
est fondée sur ce que l’apothéose de ces héros le
de mourir jeune et chargé d’honneurs, il choisit le dernier parti. La
fable
qui suppose Achille invulnérable, n’étoit pas reç
ition démentie par une autre, Pyrrhus immola Polixène à ses mânes. La
fable
dit qu’Achille dans les enfers épousa Médée et Hé
contrée de l’Épire, Un livre entier de l’Énéide est consacré à cette
fable
. Énée fugitif, après la destruction de Troie, arr
eplis que ces monstres faisoient autour d’eux avec leurs corps. Cette
fable
est immortalisée par l’admirable grouppe, chef-d’
one. Après son enlèvement Hélène éprouva les plus cuisans remords. La
Fable
dit qu’une plante naquit de ses larmes. Cette pla
es, Didon n’a vécu que trois cents ans après la prise de Troye. Cette
fable
étant consacrée par l’Enéide, doit être rapportée
sur une montagne, et qui, ainsi que tous les Princes abandonnés de la
fable
, fut recueilli et élevé par des bergers. On le no
lytemnestre. Clytemnestre, fille de Tindare, l’étoit suivant la
Fable
, de Jupiter, qui séduisit Léda, sous la forme d’u
de duplicité et de fourberie ; et tel est constamment Ulysse dans la
fable
et dans les tragédies grecques. Ulysse (en grec O
e, père de Diomède, fut un Prince d’une horrible férocité, quoique la
fable
le place au rang des plus fameux héros. Il tua le
t la ville de Crotone en cet endroit. Ovide rapporte autrement cette
fable
. Il dit que Numa, voyageant pour s’instruire renc
ldalie, elle étoit dans l’isle de Chipre et consacrée à Vénus. Cette
fable
de Chalcénor rappelle l’histoire de Straton que v
e, épouse d’Auguste, consacrée aux mêmes travaux ; c’est ainsi que la
fable
nous représente la chaste et fidelle Pénélope, et
e, Vous n’avez pas le don d’aimer. L’Espérance. Suivant la
Fable
, elle se trouva au fond de la boîte de Pandore, p
ns. Voici une description de la Faveur, plus élégante que celle de la
fable
, mais qui se confond avec celle de la Fortune :
p loué cette allégorie, elle n’est pas l’une des plus heureuses de la
fable
. Il eût été plus naturel de représenter les prièr
ation, mais qui est beaucoup trop longue pour la rapporter ici. La
Fable
. Fille du Sommeil et de la Nuit, épousa le Me
n, et c’est à quoi on ne pense pas assez en composant des contes, des
fables
et des allégories. La Flatterie48. Une fem
rphoses. 8. Electrion étoit fils de Persée et d’Andromède. 9. Cette
fable
est à-peu-près la même que celle de Nisus, de Scy
e par le courage d’une fille nommée Valesca. 14. Ce qui contredit la
fable
qui dit qu’Hercule se fit accompagner dans ce lie
ns la Mythologie, chercher à concilier tous les faits de ces diverses
fables
seroit même un soin ridicule. 15. Le nom d’Argon
nes opérations magiques. Dict. myth. de M. Millin. 18. On verra une
fable
à-peu-près semblable dans le dernier volume consa
us intéressant qu’il ne se trouve dans aucun autre Dictionnaire de la
Fable
. 20. Il y avoit plusieurs autres divinités adoré
liberal may explain. In cases where evident morals are inculcated by
Fables
, observations have been given; while poetical ext
d scholarship. The word Mythology is derived from the Greek words , a
fable
, and , a word, or description. Its origin has bee
istory of the creation, and other sublime truths, in the obscurity of
fable
. The ancient Greeks, who, at first, were the most
t length arrived in Greece and Italy. We shall find that idolatry and
fables
have almost all followed in the same steps. The R
m she wished to be wedded; but he prefered to her the nymph Sangaris.
Fable
says that the goddess revenged herself upon Atys,
m into a pine tree, which was from that time consecrated to her. This
fable
of Atys and Sangaris is founded upon Midas, king
mned to the labor of bringing forth children, is concealed under this
fable
. Questions. Who was Cybele? Who was her favourite
ass.” Virgil. Obs. 1. — To understand the historical sense of this
fable
, it is necessary to know that different princes o
Thessaly. Let our readers sharpen their minds in explaining the other
fables
related in relation to Jupiter. Obs. 3. — The go
eved that Prometheus was the first inventor of statues. To render the
fables
of the poets intelligible, they placed Minerva by
l an exile was figured by a vulture tearing his liver. Obs. 3. — The
fables
of Pandora and Deucalion, appear evidently, to re
Virgil. Obs. 1. — In inquiring into the sense of the first of these
fables
, we find that the counsels of Ascalphus determine
tection. Obs. 2. — The division of the year alluded to by the second
fable
, may be explained in two different ways. Proserpi
s. Proserpine was often taken for the moon, and one expressed by this
fable
, the time at which she appeared to us, and the ti
to present an unnecessary multiplication of these explanations of the
fables
. A few examples of the kind, however, may be usef
sh, and of the freshness and liveliness of all things. Obs. 2. — The
fable
of Tithonus is a pretty allegory, the end of whic
heard, we should eternize our misfortunes and regrets. Obs. 3. — The
fable
of Phaeton appears to be an allegory, representin
o her husband? What is said of Tithonus? What is said of Memnon? What
fable
is related of Phaeton? Chapter XIII. Of Latona
he children of Niobe in the plains near Thebes. We shall explain this
fable
by reconciling it with history. Niobe was the dau
ribed to an extreme heat, which the night itself could not abate, the
fable
of their death was imagined. Homer says that the
sen. The god beat the satyr, and flayed him alive. The origin of this
fable
may be accounted for thus: before the invention o
n, Bacchus on earth, and Apollo in the infernal regions. Obs. 7. — A
fable
imagined about the raven, deserves to be related.
of songs; Urania, the heavenly; and Calliope, sweetness of voice. The
fable
of the Muses allegorically represents the modific
amed Adonis, having tried to please them, they put him to death. This
fable
is intended to represent unsuccessful attempts at
elf by persecuting the sciences; and the poets invented the foregoing
fable
with a view to perpetuate this blemish of his cha
mountains in Caria, where he often spent his nights, which caused the
fable
of Diana’s nocturnal visits to him. Orion was an
na’s nocturnal visits to him. Orion was an astronomer. Obs. 3. — The
fable
of Actæon appears allegorically to represent the
ut it in his thigh, where it remained till its birth. This ridiculous
fable
afterwards gave Bacchus the surname of Bimater, o
acreon. Obs. 1. — In inquiring into the origin of the extraordinary
fable
relating to the birth of Bacchus, we find that Se
ity near a mountain called Meros, a word, which signifies thigh. This
fable
has no other origin. Obs. 2. — Herodotus, Pluta
ndered long in the wilderness in their journey to the land of Canaan.
Fable
represents Bacchus with horns: they allude to the
— This parallel is too perfect not to allow us to disbelieve that the
fable
of Bacchus is nothing more than an ill formed tra
he giant Pallas, to whom the name of Minerva or Pallas was given. The
fables
of these different goddesses are commonly confoun
the Eye of Omnipresence, before which the guilty flee. Obs. 3. — The
fable
of Minerva’s disputing with Neptune, may be thus
gin of this reformation, and to consecrate it, the poets imagined the
fable
of Neptune surpassed by Minerva. Some historians
fable of Neptune surpassed by Minerva. Some historians say that this
fable
was designed to represent a difference which had
inerva, and that the twelve great gods had decided it. Obs. 4. — The
fable
of Arachne, is nothing but an allegory to represe
allegory to represent the punishment of foolish pride. Obs. 5. — The
fable
of Tiresias shows, that the truly wise man does n
urns; The groan still deepens, and the combat burns.” Obs. 1. — The
fable
in reference to the birth of Mars, originated wit
s mistress was Psyche, a Greek word for the soul, to figure which her
fable
is a plain allegory. Her symbol is a butterfly.
qual gifts of nature are balanced by those of fortune. Obs. 3. — The
fables
and accounts of poets in relation to Venus are ob
ixture of the history of Astarte with that of Venus, gave rise to the
fable
of Adonis, which is thus explained. That young pr
l names of Venus? How is Venus represented? Who was Cupid? Relate the
fable
of Cupid turning Peristera into a dove. Who was C
d. Obs. 1. — He who has furnished the poets with most materials for
fable
, is Mercury Trismegistus, or three times great, k
fully preserved. Obs. 2. — To understand the historical sense of the
fable
of Mercury, we must recollect that the ancients,
water were innumerable. We shall present a few of the most important
fables
belonging to this part of mythology. Chapter I.
to have frightened away the giants in their wars with the gods. This
fable
may be considered as a corrupted tradition of the
inclined to consider the Sirens as girls of pleasure. Obs. 2. — The
fable
of the Sirens seems to pourtray the folly, as wel
imself into any shape he pleased, and had the gift of divination. The
fable
of Aristæus illustrates the power of Proteus to m
A fickle person is called a Proteus. Questions. Who was Proteus? What
fable
relates to the power of Proteus to metamorphose h
to that time the name of “halcyon days.” This singularity produced a
fable
: Alcyone, wife of Ceyx, king of Trachinia, saw, i
rtumnus? Who was Phorcys? What story is related of Saron? Mention the
fables
of the king-fishers. Chapter VI. The Nymphs.
uttered these words: “Midas has asses’ ears.” Many of the ridiculous
fables
of the ancients, by which they attempted to amuse
stances which accorded with the customs of the Greeks, he founded his
fable
of hell. Diodorus adds that people frequently ke
was nothing but lake Avernus in Italy, near Pouzolles. Obs. 2. — The
fable
of Cerberus originated in the Egyptian practice o
to men, who were afterwards called by Æacus myrmidons. Obs. 2. — The
fable
of the Furies exhibits an image of that frenzy wh
The learned do not agree with respect to the explanation of this last
fable
. Some consider it as an allegory to paint avarice
fetch water in it. See Fig. 49. Fig. 49. The Danaides. Obs. — The
fable
, imagined to represent this singular kind of puni
, Rhœtus, Pisenor, Mermeros, Pholus, &c. Obs. — The idea of this
fable
of the Centaurs, may be referred to the men of Th
. Hercules killed the guards, and drove the flocks away. Obs. — This
fable
inclines us to the belief, that Geryon was a prin
mmense riches, his return was celebrated, and the poets contrived the
fable
of the Gorgons and of Medusa. The Chimæra was a m
rough body, and a serpent’s train.” Ovid. Obs. — Some explain this
fable
by recollecting that there was a volcano in Lycia
ntenance. — See Fig. 65. Fig. 65. Momus. Obs. — We learn from the
fable
of Momus, that when quibbling objections are rais
st similar to that of Phylla, an almond-tree, alone gave rise to this
fable
. The poets added, that the almond-tree flourished
he persecutions of Juno, in whom they personified jealousy. Under the
fables
of Hercules, were concealed the eminent services,
owerful man had rendered to his fellow creatures. In moralizing those
fables
, the ancients took Hercules for the strengh of re
nt. In short, our readers may exert their ingenuity in explaining the
fables
of Hercules in various ways, if they take pleasur
the Golden Fleece. Many authors differ in explaining this far-fetched
fable
. Some believe that, in Colchis, several brooks ro
s called Fascelis, from fascis, a “bundle.” Obs. 1. — To explain the
fable
in reference to the birth of those princes and pr
met with on that river: hence the poets introduced a swan into their
fable
. The beauty of Leda, the whiteness and elegant fo
nt circumstances, combined and embellished by the poets, produced the
fable
of Jupiter and Leda. Obs. 2. — The fable of Cast
by the poets, produced the fable of Jupiter and Leda. Obs. 2. — The
fable
of Castor and Pollux’s living and dying alternate
ciprocity in sharing immortality, was easily imagined. Obs. 3. — The
fable
of Agamemnon’s offering Iphigenia to Diana appear
anc’d in order to the tunes he play’d.” Obs. — The meaning of these
fables
is this: so powerful and persuasive was the eloqu
e first who represented the world by a sphere; which gave rise to the
fable
in which he is said to have sustained the heavens
ture, restored him to life, and rendered him immortal. Obs. 1. — The
fable
of Typhon, which the Egyptians, and also the Gree
e Egyptians consecrated the remembrance of its primitive state in the
fable
of their Typhon. Obs. 2. — We may consider the s
f which tradition and religious canticles had preserved. The gods and
fables
of the poets must not be confounded with traditio
ore such works; and we should place accounts of them in the number of
fables
, if the remains of such colossal structures, whic
ld not have been translated into Greek. However, we will present what
fable
, blended with history, gives us concerning this S
ning of her but her voice, which destiny would forever preserve. This
fable
was founded on the longevity which was attributed
epoch. The people counted by Olympiads only; and since that time, few
fables
of the Greeks are recorded in history. This divis
e desire of explaining the phenomena of nature, which have decked out
fables
among all people. In considering the style of the
decked out fables among all people. In considering the style of these
fables
, in which are blended, sometimes the sublime, wit
mit of his days. It is to that tenet of the Celtic mythology that the
fables
of fairy-ism and the marvellous of our Gothic rom
eeks made similar exertions to veil their real origin; but that their
fables
, which were a fantastical admixture of real remem
ivers et toutes ses merveilles. Mais les Grecs ont défiguré par leurs
fables
ce simple et sublime récit. Le Chaos, disent-ils,
ait-on pendant ces fêtes ? 7. Quelle explication peut-on donner de la
fable
de Saturne ? 8. De quelle manière les peintres et
ux. Au lieu de son fils elle lui avait donné une pierre à dévorer. La
fable
dit qu’il fut nourri dans l’île de Crète par la c
mes s’éleva derrière eux, et le genre humain fut renouvelé. 11. Cette
fable
est évidemment la tradition altérée du déluge, co
ter ? 8. Quelles aventures eut-il dans ses voyages ? 9. Quelle est la
fable
de Philémon et de Baucis ? 10. Pour quel motif Ju
t-ils pour repeupler la terre ? 11. Quels rapports y a-t-il entre ces
fables
et l’histoire sainte ? 12. Qu’est-ce qui légitime
béliers. 5. Les Grecs ont beaucoup vanté les vertus de Cérès, mais la
fable
nous la montre avec une humeur fort vindicative.
t des deux mots phos et bios, qui signifient lumière et vie. Quand la
fable
le considère comme le dieu du soleil, « elle dit
pa de sa foudre et le précipita dans l’Eridan, fleuve d’Italie. Cette
fable
n’est sans doute que le récit poétique d’une gran
onctions lui donna Jupiter quand il rentra dans l’Olympe ? Comment la
fable
le peint-elle quand elle le considère comme le di
ur et elle présidait à la nuit. C’est sans doute pour ce motif que la
fable
ajoute que Diane vint au monde en même temps qu’A
rets. 3. Sur la terre on la vénérait comme la déesse de la chasse. La
fable
raconte qu’elle errait dans les forêts avec ses n
mporta, et la cité de Cécrops reçut le nom d’Athènes. Peut-être celle
fable
n’est-elle que l’histoire allégorisée des ancienn
lement on supposait qu’ils habitaient les cavernes de Lemnos, mais la
fable
place encore leurs forges à Lipari, dans les mais
I. Bacchus. 1. Bacchus était le dieu de la joie et des festins. La
fable
a environné sa naissance de grandes merveilles. E
urer la terre et à cultiver la vigne. Ce dernier trait, sur lequel la
fable
appuie tout spécialement, nous donne le sens de c
elles plaisaient par leur candeur et leur simplicité naturelle. 5. La
fable
dit que Vénus quittait souvent le séjour des dieu
nt-elles filles ? Comment étaient-elles, représentées ? 5. Que dit la
fable
des voyages que Vénus faisait sur la terre ? Quel
ient les poëtes ? 8 Quelle offrande lui faisaient les femmes ? Quelle
fable
inventa la flatterie à propos de la chevelure de
Doris, la vierge Amphitrite qui avait juré de ne se jamais marier. La
fable
dit que ce fut un dauphin qui persuada à Amphitri
faire renaître les abeilles. Virgile a merveilleusement raconté cette
fable
dans ses Géorgiques. 9. Les Sirènes étaient encor
e, d’épais sourcils et de longs cheveux flottants sur ses épaules. La
fable
rapporte qu’un jour, après avoir pris des poisson
Qu’est-ce que Glaucus ? Comment est-il représenté ? Qu’est-ce que la
fable
raconte sur sa vie ? Quel sens pourrait-on donner
ident pas tous nos jours. [Malherbe] 8. Les grands coupables dont la
fable
a conservé le souvenir et raconté les châtiments
ale dans un fleuve a soif et ne peut boire. Tu ris, change le nom, la
fable
est ton histoire. [Horace] [Desmarets" role="tran
s bergers, on lui donnait une houlette et une flûte à sept tuyaux. La
fable
suppose qu’il était l’inventeur de cet instrument
é les aventures du plus ancien et du plus célèbre d’entre eux dans la
fable
de Bacchus. Flore, Pomone, Vertumne, Priape et
omone était la déesse des fruits et des jardins. Elle est unie par la
fable
à Vertumne, le dieu de l’automne, parce que c’est
uels étaient ses fils ? Sur quel peuple avait régné Memnon ? A quelle
fable
donna lieu sa statue colossale ? 7. Quels furent
aient ses enfants ? Comment était-elle représentée ? Qu’est-ce que la
fable
nous raconte d’Astrée sa fille ? Que signifie ce
t un dieu. Telle fut l’origine des héros et des grands hommes dont la
fable
a célébré les actions. 3. Nous réduirons à quatre
ates, s’emparèrent de leur pays et revinrent chargés de butin6. 2. La
fable
a singulièrement embelli cet événement. D’après s
us apprend de l’expédition des Argonautes ? 2. De quelles fictions la
fable
a-t-elle orné cet événement ? 3. A quelle occasio
ée, roi d’Athènes, et d’Æthra, fille de Pittée, roi du Péloponèse. La
fable
l’a fait fils de Neptune pour avoir le plaisir de
Questionnaire. 1. De qui Thésée était-il fils ? Qu’est-ce que la
fable
dit de sa naissance ? A quel signe son père voula
Sparte, et de Léda, son épouse. Rien n’est plus absurde que ce que la
fable
raconte à leur égard. Elle dit qu’ils eurent pour
ionnaire. 1. De qui Castor et Pollux étaient-ils fils ? Comment la
fable
raconte-t-elle leur naissance ? 2. Quelle était l
gands qui en voulaient à sa fortune et à sa vie ? 5. Qu’est-ce que la
fable
raconte d’Amphion ? Que signifie cette fiction ?
rs de Thèbes, mais le premier fondateur de cette ville fut Cadmus. La
fable
le dit fils d’Agénor, roi de Phénicie, et de la n
s de Cadmus étant allés puiser de l’eau dans une fontaine voisine, la
fable
ajoute qu’ils furent dévorés par un dragon fils d
t mutuellement de leurs épées. On les brûla sur le même bûcher, et la
fable
raconte qu’en signe de leur haine la flamme se di
n lui attribuent les Grecs ? L’histoire est-elle ici d’accord avec la
fable
? 3. Qui épousa Cadmus ? Quelle prédiction lui fi
. Racine . Agamemnon consentit à cet abominable sacrifice, mais la
fable
ajoute que Diane se contenta de sa soumission, qu
de se réfugier avec ses compagnons chez Daunus, roi d’Illyrie, où la
fable
dit qu’ils furent tous changés en hérons. — Idomé
ys, sa sœur, la terre inféconde, la sécheresse et la stérilité. 3. La
fable
raconte ainsi les aventures d’Osiris, d’Isis et d
ndance régnèrent avec le fils d’Osiris. 8. Le peuple, qui prenait ces
fables
au sérieux, était très-superstitieux. Il adorait
le idée se faisait-il à Osiris ? — d’Isis et de Typhon ? 3 Comment la
fable
raconte-t-elle les aventures d’Osiris et d’Isis ?
59. Anges, chez les Perses, 174 Anges rebelles, ont donné lieu à la
fable
des Titans, 25. Angoisse, 195. Antigone, fille
dmus, 135 ; bœuf Apis, 184. Boileau , vers sur les allégories de la
fable
, 9 ; l’âge d’or, 15 ; l’état sauvage, 35. Bor, 1
6. Exotérique (doctrine d’), 160. Ezéchiel, prophète, 173. F
Fable
, sens allégorique des principales fictions, 9, 15
ligion, 182, 183. Géants, fils de la Terre, 24 ; explication de leur
fable
, 25. Gémeaux, const., 34. Génies, div. domestiq
it ici d’instruire encore plus que de plaire. La vie et la beauté des
fables
, dont se compose la mythologie, sont des choses q
s les interprétations, quelquefois arbitraires, qu’on peut donner des
fables
, soit historiques, soit allégoriques, et qui, lor
charme. L. B. [Fig. 3] Notions préliminaires Origine de la
Fable
. — Nécessité de l’étude de la mythologie. La m
t mythologie est composé de deux mots grecs, dont le premier signifie
fable
, tradition, et le second, discours. La Fable est,
dont le premier signifie fable, tradition, et le second, discours. La
Fable
est, en grande partie, une altération des vérités
regardée comme un tissu de contes inventés à plaisir. La plupart des
fables
dont elle se compose sont ou historiques ou allég
onds inépuisable d’images riantes et d’idées ingénieuses. Beaucoup de
fables
, sans doute, ont vieilli et ne sauraient se conci
ont toujours leur grâce, leur fraîcheur et leur vérité. L’étude de la
Fable
est encore indispensable pour l’intelligence des
t aussi leur langage, sont autant d’énigmes pour ceux qui ignorent la
Fable
? Ajoutons à tout cela que la mythologie, en part
e son empire, Jupiter ne s’occupa plus que de ses plaisirs. Ce que la
Fable
raconte de la vie privée de ce maître des dieux f
eur victoire sur les filles de Piérus. (V. Métamorphoses.) Quoique la
Fable
leur ait donné à chacune des fonctions particuliè
Pélops. La postérité de Tantale, comme celle d’Œdipe, a dans la
fable
une triste célébrité. On attribuait les malheurs
e Progné ont fourni à La Fontaine la matière d’une de ses plus belles
fables
, que voici : Autrefois Progné l’hirondel
a lyre fut placée au nombre des constellations. Virgile a raconté la
fable
d’Orphée et d’Eurydice dans le quatrième livre de
1. Corneille, Boileau et Voltaire ont fait chacun une apologie de la
Fable
. Nous citerons de préférence les vers de Corneill
onnus et les plus beaux. Qu’on fait d’injure à l’art de lui voler la
fable
! C’est interdire aux vers ce qu’ils ont d’agréab
les jardinages ! Des roses et des lis le plus superbe éclat, Sans la
fable
, en nos vers, n’aura rien que de plat. Qu’on y pe
, v. 4) : « Il y avait en ce temps des géants sur la terre. » 8. La
fable
de Prométhée est visiblement une tradition altéré
re rappelle également la chute d’Adam et ses suites funestes. Dans la
Fable
comme dans l’Histoire sainte, l’époux cède aux in
ne prêtresse dont le nom, en grec, signifiait colombe : de là vint la
fable
que les colombes et les chênes de la forêt rendai
la curiosité ou à la raison faible et imparfaite de l’homme. 17. La
fable
de Glaucus indique les progrès de la pêche qui se
Endymion était un berger qui passait les nuits à la belle étoile. La
Fable
, qui embellit tout, en a fait un chasseur aimé de
iane. 26. Nysa, ancienne ville d’Arabie consacrée à Bacchus. 27. La
fable
de Psyché est un symbole de la curiosité et de se
oyait que la Colchide possédait des mines d’or. De là, sans doute, la
fable
de la Toison d’or. 36. Le nom de Bellérophon est
On prétend qu’une fille de Laïus, nommée Sphinge, a fait imaginer la
fable
du Sphinx. Mécontente de son père, elle se serait
qui signifie loup. 41. Daphné, en grec, veut dire laurier. 42. La
fable
de Pyrénée nous enseigne que la présomption expos
latin, aura veut dire brise, haleine du zéphyr. 45. Le sens de cette
fable
est facile à saisir. La mort de Procris est une p
légories ingénieuses, et d’expressions figurées, qui du domaine de la
fable
sont passées dans le langage ordinaire. Suivant l
thologie. Origine de l’idolâtrie. La mythologie1, ou science de la
fable
, est l’histoire des fausses divinités que les paï
pénétra chez les Romains. 3. Progrès de l’idolâtrie. Formation des
fables
. Lorsque les hommes, asservis à l’empire des s
uels ont été les progrès de l’idolâtrie ? Comment se sont formées les
fables
? 4. En combien de parties est divisé ce traité d
la justice, distribue à ses sujets les peines et les récompenses. La
fable
dit encore que Jupiter épousa Métis, la prudence
c laos, peuple, signifie aussi pierre, sous sa forme poétique. 25.
Fable
de Prométhée et d’Épiméthée. La corruption des
érocité du tigre et la force du lion. On entrevoit encore, dans cette
fable
, la tradition défigurée de la création de l’homme
e l’homme, dans la Genèse, est fait à l’image de Dieu, et celui de la
fable
à l’image de la bête. 26. Fable de Pandore.
à l’image de Dieu, et celui de la fable à l’image de la bête. 26.
Fable
de Pandore. Jupiter, irrité de l’attentat de P
on des mortels. Il n’est pas impossible d’entrevoir encore dans cette
fable
une tradition confuse de la perte du genre humain
Quel fut son supplice ? Quelle explication donne-t-on de toute cette
fable
de la guerre des Géants ? 19. Nommez les diverses
quelle observation historique donne lieu ce déluge ? 25. Racontez la
fable
de Prométhée, d’Épiméthée. 26. Faites connaître l
Racontez la fable de Prométhée, d’Épiméthée. 26. Faites connaître la
fable
de Pandore. 27. Quel était le culte de Jupiter, e
idan (autrement appelé le Pô). Quelques interprètes ont vu dans cette
fable
un souvenir de l’embrasement des villes de Sodome
. 36. Quelle fut l’aventure de Phaéton ? Quel souvenir rappelle cette
fable
? 37. De qui les neuf Muses sont-elles filles ? Q
lle correspond au mois de Mars. 2° Le Taureau (avril). Selon la
fable
, Jupiter prit la forme de cet animal pour transpo
ent éprouvait-elle pour le bel Endymion ? Comment explique-t-on cette
fable
? 41. De quelle nature était le culte de Diane ?
lture est pour l’homme un trésor inépuisable. On connaît la charmante
fable
de La Fontaine intitulée Le Laboureur et ses enfa
e la terre, qui seules peuvent satisfaire les besoins de l’homme : la
fable
d’Erisichthon le prouve. C’était un Thessalien qu
essaires à son entière formation fussent accomplis. On explique cette
fable
en disant que Sémélé avait péri dans l’embrasemen
mbes à son fils Dryas, et se mutila lui-même après. On explique cette
fable
en disant que Lycurgue défendit le vin à ses suje
s en chauves-souris et leur ouvrage en lierre. Le poëte tire de cette
fable
une vérité qui devient toute chrétienne, si on mo
mpire de Neptune. Divinités secondaires de la mer. 76. Protée. —
Fable
de Ménélas, d’Aristée. L’immense étendue des e
s le recueillirent, et le changèrent en dieu marin. On explique cette
fable
par les progrès de la pêche, qui d’abord se fit a
ient ces deux monstres ou plutôt ces deux écueils. Charybde, selon la
fable
, était une femme de Sicile qui, ayant volé des bœ
ucus ? Comment eut lieu sa métamorphose ? Comment explique-t-on cette
fable
? Comment représente-t-on Glaucus ? 78. Faites co
fut la destinée de Céphale et de Procris, sa femme ? Qu’indique cette
fable
? Comment représente-t-on l’Aurore ? Chapitre
dé ; ses yeux noirs et perçants sont ombragés d’épais sourcils. Cette
fable
est empruntée aux Egyptiens, qui transportaient l
omment est représenté le nocher des enfers ? Comment explique-t-on la
fable
de Charon et des juges infernaux ? 87. Qu’était-c
qu’il est permis d’orner la vérité. On peut dire à ce sujet la jolie
fable
de Florian, intitulée la Fable et la Vérité. 9
rité. On peut dire à ce sujet la jolie fable de Florian, intitulée la
Fable
et la Vérité. 94. La Vertu. — ‘L’Honneur. L
de leurs esclaves qu’ils voulaient affranchir. L’Abondance, selon la
fable
, suivit dans le Latium Saturne, détrôné par Jupit
ppaient l’origine des dieux. Nous sommes encore dans le domaine de la
fable
, mais nous touchons aux limites de l’histoire. Il
l fut mis par les poëtes au nombre des constellations. On explique la
fable
de Bellérophon en disant qu’il purgea les montagn
Bellérophon ? Quelle fut la fin de sa vie ? Comment explique-t-on la
fable
de Bellérophon ? Chapitre XXV. Hercule.
le. Hercule, dieu de la force, et le plus illustre des héros de la
Fable
, était fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amph
aints assez de traits de ressemblance pour permettre de croire que la
fable
de l’un est l’histoire préfigurée et amplifiée de
des Indous est couverte d’épaisses ténèbres. Cependant, au milieu des
fables
bizarres qu’elle présente, on reconnaît des trait
? 1. Le nom de Mythologie est formé de deux mots Grecs, muthos,
fable
, récit mensonger, et logos, discours, traité 2.
n Rollin, l’histoire de Noé et de ses trois enfants a donné lieu à la
fable
de Saturne et de ses fils, se partageant l’empire
. Du mot grec parthenos, vierge. 21. Voici comment on explique cette
fable
: Avant l’invention de la lyre, la flûte était l’
ale dans un fleuve a soif et ne peut boire. Tu ris, change de nom, la
fable
est ton histoire. 43. Les anciens plaçaient le
dernières années de Bellérophon que La Fontaine fait allusion dans sa
fable
de l’Ours et l’Amateur des jardins : Certain our
Introduction. La
Fable
est l’histoire fabuleuse des divinités du paganis
un temps plus éclairé, la poésie contribua encore à donner cours à la
fable
. Les hommes aiment naturellement le merveilleux ;
ommes d’or ; l’or, pour une pluie de ce métal précieux, comme dans la
fable
de Danaé ; les flèches pour des foudres et des ca
ou mauvaises. Lycaon, prince cruel, faisait mourir les étrangers ; la
fable
le change en loup. Ceix et Alcyone, métamorphosés
rt ; Cygnus en cygne ; Alopis en renard ; les Cécropes en singes. Ces
fables
ridicules se glissèrent dans l’histoire, et de l’
rémités du monde. NOUVELLE MYTHOLOGIE. Origine du monde d’après la
Fable
. Voici comment les poètes défigurèrent le réc
ne hasardait rien dont il pût se repentir : tel est le sens de cette
fable
. Numa Pompilius, successeur de Romulus, et second
, et se livrait à l’étude de l’astronomie. On fait entendre par cette
fable
qu’il donnait, pour ainsi dire, une âme à ses sta
es airs, et qui portait ses foudres. Pour le sens historique de cette
fable
, il faut savoir que différens princes, sous le no
bus. Il est aussi le dieu des arts ; et c’est par cette raison que la
fable
nous le représente sous la figure d’un jeune homm
rement, et mourut pour lui ; mais Hercule la ramena des enfers. Cette
fable
qui nous présente un des plus grands exemples de
e mettait sur sa tête une couronne de laurier quand il tonnait. Cette
fable
n’a d’autre fondement que le nom de Daphné, qui,
ol et le chant du corbeau servaient souvent de règles aux augures. La
fable
dit que d’abord cet oiseau avait le plumage blanc
iles qui figurent des hommes ou des animaux. Voici à quel trait de la
fable
chaque signe fait allusion. Le Bélier. C’est celu
y est symbolique et merveilleux. Voici entre autres choses ce que la
fable
nous apprend d’Orion. Fils des dieux, il naquit s
est dans le tropique du cancer (l’écrevisse). On reconnaît dans cette
fable
l’influence du soleil sur les plantes : elles pér
oute que sa présence dissipe l’obscurité de la nuit. L’Aurore, dit la
fable
, éprise d’amour pour Tithon, fils de Laomédon, ro
on père ; Il doit servir à terminer tes jours. Quinault. Cette
fable
, ainsi que celle d’Icare, fait connaître les fune
épète et prolonge les accens mélodieux. Il est aisé de voir que cette
fable
n’est fondée que sur la ressemblance du nom. Une
avait imposé un tribut, donna lieu sans doute à l’invention de cette
fable
odieuse. Il est possible cependant qu’elle soit f
, et qu’Apollon connaissait l’avenir, a sans doute donné lieu à cette
fable
. Cumane, inspirée par Apollon, rendait ses oracle
Pluton rompt lui-même ses lois. Fontenelle. Voici, au rapport de la
fable
, ce qui donna occasion à Diane de se vouer à une
grec, signifie cuisse : c’est sans doute ce qui a donné lieu à cette
fable
. Les Hyades Sitôt que Bacchus fut né, Merc
t Cyllène. Celui qui a fourni aux poètes le plus de matériaux pour la
fable
, est Mercure Trismégiste ou trois fois grand, roi
les hommes qui avaient fait leur temps dans les Champs-Elysées. Cette
fable
vient sans doute de ce que le prince qu’on honore
ier. Sens Historique. Pour entendre le sens historique de cette
fable
, il faut savoir que les anciens, peu curieux obse
avoir le suffrage de Pâris. Les savans prétendent que la Vénus de la
fable
fut une reine de Phénicie, nommée Astarbe ; mais
char. Péristère, nom grec, signifie une colombe ; tout le reste de la
fable
est de l’invention des poètes. Adonis My
ssons, et un certain penchant qui les porte à aimer les hommes. Cette
fable
d’un personnage qui n’a jamais existé est toute d
aient, ou le laissaient infecté de leur attouchement. Voici ce que la
fable
raconte de ces animaux, qu’on regardait comme les
cyllo ; l’un et l’autre sont des écueils dangereux. Scylla, selon la
fable
, était fille de Phorcys et d’Hécate. Elle fut aim
e, tant il leur porte envie. » Fleuves de l’Enfer. Suivant la
fable
, il y avait cinq fleuves dans l’enfer : l’Achéron
e dans un fleuve a soif, et ne peut boire, Tu ris ? change de nom, sa
fable
est ton histoire. [Horace] [Desmarets] La N
Ladon, son père, elle invoqua Diane, qui la changea en roseau. Cette
fable
est purement historique. Pan ayant remarqué que l
oètes, pour exagérer les talens d’Aristée en ce genre, ont inventé la
fable
suivante : Aristée devint éperdûment amoureux d’E
augures, ou l’allusion de son nom, aura sans doute donné lieu à cette
fable
. Picus avait épousé la nymphe Canente, à qui la b
t célèbres par leur bravoure ou leurs belles actions. Persée, que la
fable
place au rang des héros, était fils de Jupiter et
e. Géryon, roi d’Espagne, autre tyran, tomba aussi sous ses coups. La
fable
lui donne trois corps, soit parce qu’il commandai
yclymène ; il étouffa dans ses bras Antée, fils de la Terre, à qui la
fable
donne soixante-quatre coudées de hauteur. Il entr
er, dans lequel ils s’entre-tuèrent l’un l’autre. Si l’on en croit la
fable
, ils avaient une telle haine l’un pour l’autre, q
ui donna la mort. Énée Enée était du sang royal de Troyes. La
fable
lui donne Vénus pour mère. Après la ruine de sa p
s’est fait une patrie. [Delille] La reine de Carthage, dit encore la
fable
, touchée des malheurs d’Enée, chercha à le reteni
Origine de la mythologie. On appelle mythologie l’ensemble des
fables
ou croyances erronées qui formaient la base de la
uifs. Ce mot est composé de deux mots grecs, dont le premier signifie
fable
et le second discours. Le culte des faux dieux s’
dolâtrie1. Il faut, avant tout, chercher à connaître l’origine de ces
fables
, et pour cela il est nécessaire de remonter jusqu
’avait fait dans les âmes une incrédulité passagère. Formation des
fables
et matériaux de la mythologie. Ainsi l’origine
tion des fables et matériaux de la mythologie. Ainsi l’origine des
fables
religieuses ou de la mythologie peut se rattacher
ouvelles croyances. Puisque nous connaissons maintenant l’origine des
fables
, nous devons essayer de reconnaître comment elles
mées. Cette étude présente d’assez grandes difficultés, parce que les
fables
sont l’image ou le voile d’un grand nombre de fai
es autels et des temples. C’est ainsi que se formèrent la plupart des
fables
de l’antiquité. Les matériaux de la mythologie so
ppelle psychologie ; 6º à la politique et à la morale. Le fond de ces
fables
, qu’on est tenté de prendre, au premier coup d’œi
il n’existe nulle part un être vivant qu’on appelle l’Innocence : la
fable
ne donne à ces sortes de personnages ni histoire
e antique et belle tradition, les poëtes postérieurs ont substitué la
fable
des quatre siècles successifs, d’or, d’argent, d’
u genre humain. Origine de l’homme. Voici maintenant comment la
fable
raconte l’origine de l’homme et de la femme. Jape
un esprit sage et d’un cœur aimant. Nous retrouvons encore dans cette
fable
le souvenir altéré de la formation et de la chute
es ? — Les poëtes n’ont-ils pas altéré cette tradition ? — Comment la
fable
raconte-t-elle l’origine de l’homme ? — Comment P
ur la terre. Saturne représente le temps. La plupart des faits que la
fable
lui attribue sont allégoriques. Elle le dit fils
n. Jupiter quitta plusieurs fois le ciel pour visiter la terre. La
fable
raconte de lui beaucoup de voyages et de métamorp
forme d’un loup. On voit facilement que les anciens ont imaginé cette
fable
pour expliquer l’existence et la férocité des lou
forme à ses pieds dans la région des nuages, et qu’ils ont imaginé la
fable
de la guerre des Géants ou des montagnes que le t
’autres, Astrée ou la Paix, fille de Thémis. — La Balance. Suivant la
fable
, cette balance est celle d’Astrée, qui quitta la
hins qui amenèrent Amphitrite à Neptune. Nous placerons ici ce que la
fable
raconte de quelques autres constellations. Voici
rce ne suffisant pas, Érésichton finit par se dévorer lui-même. Cette
fable
représente les hommes avides qui, au lieu de cult
ent moins de grossièreté et plus de décence. Fénelon, dans une de ces
fables
charmantes qu’il composait pour l’éducation du du
. On trouve un exemple mémorable de cette puissance de Protée dans la
fable
d’Aristée, fils d’Apollon et de Cyrène. Orphée, l
lut en manger et qu’aussitôt après il se précipita dans la mer. Cette
fable
indique le progrès de la pêche, qui se fit d’abor
e dans un fleuve a soif et ne peut boire : Tu ris, change le nom, la
fable
est ton histoire. [Horace] [Translator : Desmare
che, leurs bras homicides. Tels sont les principaux coupables dont la
fable
raconte les crimes et les souffrances ; nous pour
me des autels et des temples. Il suffit d’indiquer ces allégories.
Fable
de Psyché. C’est ici qu’il faut placer la fict
résistance de Vénus, confirma l’union de Psyché et de l’Amour. Cette
fable
est le symbole de la curiosité et de ses résultat
onde, — Brahm. — Brahmâ. — Vichnou. — Siva. Les Indous, malgré les
fables
qui altérèrent la pureté de la croyance primitive
et de destructions implacables17 » Telles sont les divinités et les
fables
principales de la mythologie des Indous. Si l’on
ands principes religieux, et livrèrent à la crédulité des peuples des
fables
obscures qui recélaient un sens que le vulgaire n
rare. — Le Lecteur : Le Phénix chantait donc ? — Le Dictionnaire : La
fable
ne le dit pas, mais on peut le supposer. — Le Lec
aient la religion des païens mieux que la leur, et où on apprenait la
fable
aux enfants avec plus de soin que le catéchisme.
avoir une teinte de leurs mœurs ; si quelque allusion détournée à la
fable
vient obscurcir le sens d’un passage, le professe
s modernes, qu’on lit beaucoup, prétendez-vous qu’on ait besoin de la
fable
pour les comprendre ? — Assurément. — Quoi ! Lama
ous mets au défi de ne pas rencontrer à chaque page une allusion à la
fable
. — Vous m’étonnez, je ne me rappelle pas en avoir
’exploiter dans la conversation comme il l’entendra. Il y a certaines
fables
trop connues que je me contente d’exposer sommair
notre religion littéraire ; que, si les enfants n’apprenaient pas la
fable
, en même temps que le catéchisme, dans des traité
s ne seront pas inutiles pour faire comprendre aux personnes à qui la
fable
est peu familière les allusions qu’elles pourront
que temps du fardeau. On trouve dans les livres des allusions à cette
fable
: — Il fallait, pour porter l’héritage d’un si gr
nts ou voleurs, Nettoient les écuries d’Augias. Ainsi entendue, cette
fable
est pleine de sens. Hercule purgea les états d’Au
’est bien, tu fais ton métier de poëte. Mais nous, ce ne sont pas des
fables
que nous voulons, c’est la vérité. — Hâtons-nous
uerre, inspirèrent aux autres peuples une terreur qui donna lieu à la
fable
des Centaures. Cette explication paraîtra très-na
eussent abandonné le Nouveau-Monde après une première apparition, la
fable
des Centaures prenait rang dans la mythologie amé
’en traduis un à l’intention des personnes qui, ne connaissant pas la
fable
, pourraient s’étonner de rencontrer des phrases c
l’explication aux savants. Épée de Damoclès. Je range parmi les
fables
l’histoire de cette épée, non parce que je tiens
ma famille, et mon foyer sera la justice. » Géants, Pygmées. La
fable
des Géants vient d’une ancienne tradition qu’on r
ne le détrompez pas, la même stupeur engendrera la même illusion. La
fable
des Pygmées a une autre origine ; elle vient de l
uis dans l’Éthiopie. C’est ainsi qu’on voit souvent chez les Grecs la
fable
reculer devant la géographie. L’Olympe reste en p
ité de l’ensemble, comme les dimensions des géants et des nains de la
fable
se perdent dans celles des accessoires. Rabelais
apprendre à chanter juste ou à avoir la jambe bien faite. L’âne de la
fable
croyait avoir appris du chien l’art de plaire : v
grandes choses. L’histoire ancienne était l’école de la jeunesse, la
fable
le catéchisme de l’enfance, et telles allusions q
mises à la portée des enfants. Je trouve, dans un commentaire sur les
fables
de La Fontaine : « Lynx, le plus clairvoyant des
, il signalait les flottes qui appareillaient du port de Carthage. La
fable
de Lyncée est-elle antérieure ou postérieure à ce
ux d’Achille, comme Béranger l’a fait dans une de ses chansons. Cette
fable
signifie sans doute que le roi d’Égine répara les
t plus énergique. Notre poésie, chargée de métaphores empruntées à la
fable
, était devenue une langue savante que le peuple n
es erreurs qui les ont inspirées. Narcisse. Fut, au temps de la
Fable
, un jeune fat qui s’aimait trop pour aimer autre
le plus enfumé de misère et de calamité [Rabelais] , le paysan de la
Fable
, par exemple : En est-il un plus pauvre en la ma
de tout transformer en or, la communique au fleuve. Le même Midas (la
Fable
est pleine de légendes sur ce brave roi phrygien)
es outrées, on devrait proscrire surtout celles qui sont tirées de la
Fable
, comme sentant leur pédantisme. Je trouve dans un
ilène. Précepteur et compagnon de Bacchus. Un des grotesques de la
Fable
, comme on aurait dit au xviie siècle. On n’en fi
er, un des plus grands hommes du xviiie siècle. On prétend que cette
fable
vient de ce que les anciens peuples de la Sicile,
hideux, Rechignés, un air triste, une voix de mégère. ( La Fontaine,
Fables
, liv. VI, 18.) MIDAS. — Ovide, Métam., liv. II.
Homère. 2. Minerve, la Sagesse. 3. Remigium alarum.( Virg.) Cette
fable
prouve que les Grecs attribuaient encore à Dédale
la Mythologie ? Réponse. La Mythologie est la science de toutes les
fables
de l’antiquité païenne ; elle tire son nom de deu
logos, qui signifient discours fabuleux. D. Quelle est l’origine des
fables
qui font le sujet de la Mythologie ? R. Ces fabl
est l’origine des fables qui font le sujet de la Mythologie ? R. Ces
fables
doivent, leur naissance à l’altération de l’histo
s dieux. ( La Motte.) D. A quoi peut nous servir la connoissance des
fables
du paganisme ? R. Cette connoissance nous est tr
es peintres et les sculpteurs dans une infinité de leurs ouvrages. La
fable
est l’ame de la poésie, qui ne dit rien naturelle
L’or fut regardé comme une pluie de ce précieux métal, comme dans la
fable
de Danaé ; les flèches passèrent pour des foudres
-ils des enfants ? R. Vulcain fut le seul fruit de leur union. D. La
fable
ne donne-t-elle pas d’autres enfants à Junon ? R
on. D. La fable ne donne-t-elle pas d’autres enfants à Junon ? R. La
fable
lui attribue encore Hébé et Mars. On raconte ains
lle ; elle est invraisemblable : Mais que me serviroit d’inventer une
fable
? De mes captifs épars quand le peuple écaillé Eu
rad. de M. Delille.) D. Quels sont les plus fameux scélérats que la
fable
place dans le Tartare ? R. Elle nomme entr’autre
s qui renaissent éternellement pour son supplice. D. Qu’est-ce que la
fable
nous dit de Tantale ? R. Tantale étoit fils de J
ans cette chute, et demeura toujours boiteux. D. Quelles fonctions la
fable
attribue-t-elle à Vulcain ? R. Elle le fait dieu
qu’elles n’ont d’autres charmes que ceux de la nature. D. Que dit la
fable
des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable d
nature. D. Que dit la fable des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La
fable
dit que Vénus, ayant pris du goût pour Anchise, d
ailes, et les répandent en rosée sur les fleurs. D. Qu’est-ce que la
fable
raconte des amours de l’Aurore ? R. L’Aurore aim
ntendre ces sons : Midas a des oreilles d’âne. D. Quel autre trait la
fable
raconte-t-elle encore de Midas ? R. La fable rac
D. Quel autre trait la fable raconte-t-elle encore de Midas ? R. La
fable
raconte que, lorsque Bacchus alloit faire la conq
t que son vol et son chant servoient souvent de règle aux augures. La
fable
dit que le corbeau avoit d’abord le plumage blanc
es couleurs de l’Aurore. ( Bernis.) Faune. D. Qu’est-ce que la
fable
nous apprend de Faune ? R. Faune, roi d’Italie,
s héros, des personnages célèbres, et des principaux événements de la
fable
. Thésée. Demande. Qui étoit Thésée ? R
oit située, se nommoit Thébaïde. Pygmalion. D. Qu’est-ce que la
fable
nous apprend de Pygmalion ? R. Pygmalion étoit u
les étoient auparavant. Philémon et Baucis. D. Qu’est-ce que la
fable
nous apprend de Philémon et de Baucis ? R. Philé
apologue Demande. Qu’est-ce que l’apologue ? R. L’apologue ou la
fable
est une instruction déguisée sous l’allégorie d’u
es directs, on ne doit leur annoncer la vérité qu’avec précaution. La
fable
est donc une philosophie déguisée, qui ne badine
ieux qu’elle amuse. Florian nous a donné sur ce sujet une très-jolie
fable
que je vais rapporter ici : La Fable et la Véri
né sur ce sujet une très-jolie fable que je vais rapporter ici : La
Fable
et la Vérité. La Vérité toute n
où pouvoir habiter. A ses yeux vient se présenter La
Fable
, richement têtue, Portant plumes et diama
nt plus rien. — Vous êtes pourtant ma cadette, Dit la
Fable
, et, sans vanité, Par-tout je suis fort b
Nous passerons de compagnie. D. Quel doit être le style de la
fable
? R. Le style de la fable doit être simple, fami
mpagnie. D. Quel doit être le style de la fable ? R. Le style de la
fable
doit être simple, familier, riant, gracieux, natu
les anciens, Ésope, esclave phrygien, qui passe pour l’inventeur des
fables
, et Phèdre, qui fut esclave aussi-bien qu’ Ésope
Monnier, Dorat, l’abbé Aubert et quelques autres. D. Les leçons de la
fable
peuvent-elles être pareillement utiles à la jeune
ent utiles à la jeunesse ? R. Oui ; les jeunes gens trouvent dans la
fable
des préceptes également propres à former l’esprit
à devenir hommes. Ainsi, le paresseux peut lire ses devoirs dans la
fable
de la Fourmi et de la Cigale ; la nécessité du tr
nous faire, connoître le profit que les jeunes gens peuvent tirer des
fables
. R. La jeunesse est imprudente, téméraire, et ne
Souvent elle contracte des liaisons qui la conduisent à sa perte. La
fable
du Renard et du Bouc est bien propre à corriger l
e douce émulation, et brûler du desir de les imiter. D. Dites-nous la
fable
dans laquelle Florian nous enseigne très-ingénieu
C’est pourquoi Fénelon conseille de leur faire apprendre d’abord des
fables
, puis des histoires choisies. Il recommande sur-t
l montré aux femmes la nécessité de la discrétion ? R. C’est dans la
fable
intitulée : Les Femmes et le Secret. Voici le déb
à inspirer de la fourberie ? R. La Fontaine s’exprime ainsi dans la
fable
de l’Aigle, la Laie et la Chatte. Que ne sait po
. 4, fab. 9.) Le même poëte nous donne encore la même leçon dans la
fable
suivante : Le Lion, le Loup et le Renard. Un Li
il faut se supporter. ( Molière, Le Misanthrope.) Rapportons ici la
fable
suivante de La Fontaine : La Besace. Jupiter di
ienfait n’est jamais perdu. La Fontaine a aussi traité ce sujet. Sa
fable
du Lion et du Rat, a encore le même but. Peu de g
une demoiselle.) Voici un apologue de M. Hoffmann : La Nouveauté.
Fable
Au bourg où règne la Folie, Un jour la Nouveauté
Descendez, vous serez petit. Quel est l’enfant de cette
fable
? Le riche qui s’enorgueillit. ( Barbe
ontaine : La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf.
fable
. Une Grenouille vit un Bœuf
ent jouir. La Fontaine nous a laissé sur la passion de l’avarice deux
fables
. Voici la première : Le Trésor et les deux homm
evoit le moins attendre. (Liv. 9, fab. 16.) D. Quelle est la seconde
fable
dont vous nous avez parlé ? R. C’est celle-ci.
ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la poule, à ce que dit la
fable
, Pondoit touts les jours un œuf d’or.
de la douceur dans l’apologue ingénieux qui suit : Phébus et Borée.
Fable
. Borée et le Soleil virent un voyageur,
sont dans le malheur. Voici un apologue : Le Lièvre et la Perdrix.
Fable
. Il ne se faut jamais moquer des misérables : Car
eut s’assurer d’être toujours heureux ? Le sage Esope dans ses
fables
. Nous en donne un exemple ou deux.
Écoutons cet apologue de La Fontaine. Le Laboureur et ses enfants.
Fable
. Travaillez, prenez de la peine, C’
y making human creatures foolish and miserable. Happily this is all a
fable
, there never was a god that delighted in afflicti
er was a god that delighted in afflicting the young and innocent. The
fable
says, that Cupid readily obeyed his mother’s inju
went into the infernal regions, or abode of the dead. Ann. Does this
fable
of Psyche teach any thing? Mother. Yes; it shows
spoke of them as if they saw them. At the wedding of Progne, says the
fable
, Juno and Hymen refused to attend, and the Graces
ury. Not far from Lystra was the province of Phrygia. There is an old
fable
which is very pretty, that belongs to Phrygia, in
to believe in the visits of Jupiter and Mercury. These gods, says the
fable
, once resolved to go about in disguise, to learn
eps us alive. Ann. What do you suppose is the fact contained in this
fable
? Mother. It might be, that where a, virtuous pai
his may be found in the 18th chapter of Genesis. Mother. Many of the
fables
you read resemble passages of Scripture. Do you k
ere at Lystra, in Asia Minor, near the province of Phrygia, where the
fable
says Jupiter and Mercury visited Baucis and Phile
mp; c. See page 53. Mother. Now you see one of the uses of classical
fables
. Ann. I see that they serve to explain the Bible
may be of Western Asia. She is called in poetry, Philomela, from that
fable
you have been reading. The fable might be conclud
lled in poetry, Philomela, from that fable you have been reading. The
fable
might be concluded by saying, that Philomela bewa
uch of his caduceus, he transformed her to a statue. According to the
fable
, Mercury obtained Herse of her father, and they w
of a god, or witch, or pretended prophet, it is a wand; and with it,
fables
say, the god, or witch, calls up absent or dead p
n industrious deity, and an example to man.” That is the moral of the
fable
. Ann. I have often seen the moral of a fable men
hat is the moral of the fable. Ann. I have often seen the moral of a
fable
mentioned. What is a moral? Mother. What the fab
en the moral of a fable mentioned. What is a moral? Mother. What the
fable
teaches is the moral. Ann. What is the moral of
dragon? Mother. No; a dragon is a fabulous animal, mentioned only in
fables
. It is drawn like a great lizard with wings, havi
, went into it. When some young girls and their governess, who in the
fable
is called Diana, entered the place, they found th
, to frighten or insult them, and that provoked them. Ann. Does this
fable
teach any thing? Mother. Yes; it teaches caution
ent bad consequences of our own conduct. Ann. Is that all which this
fable
teaches? Mother. No; it teaches that when others
ancients sometimes said the Eumenides were very cruel, and here is a
fable
which shows that they thought so. Ino, the eldest
ed to Palemon. Conversation: Mother and Ann. Ann. How can this
fable
be explained? Mother. Easily enough. The fact wa
us went to see her. Money buys every thing in this world; so, in this
fable
, it was called a god: afterward, Jupiter gave Dan
tlas stood, not a man, but a rock. An accumulation of earth, says the
fable
, grew to this rock, extended its base, and exalte
woman or child, though you may think of it. But poets, and writers of
fables
, imagine that envy is a woman; that her hair is s
y he was described as a young man, and was unarmed; but in almost all
fables
, he is represented as a boy, with a bow and arrow
nsformation of Daphne to a laurel, all the rivers of Greece, says the
fable
, paid a visit of condolence to the afflicted Pene
ransported by a whirlwind to Lydia. ——— The explanation given of this
fable
is that the arrows of Apollo were some sudden and
the pleasures of quiet meditation.’” 1. A marriage song. 2. The
fable
is that the maiden Arethusa was transformed to a
uhaité, dit Monsieur Rollin, que l’on travaillât à une Histoire de la
Fable
, qui pût être mise entre les mains de tout le mon
r ce qui n’a rapport qu’à l’érudition ; ce qui rendroit l’étude de la
Fable
plus difficile et moins agréable. Mais avant tout
res sources, et l’agréable dans les poëtes François. Le langage de la
Fable
est celui de la Poésie ; on ne doit point les sép
, et vivent, pour ainsi dire, avec eux. Les livres qui traitent de la
Fable
, existoient, pour la plupart, au moment où M. Ro
n est un. Nos meilleurs Poëtes n’ont pas traité tous les sujets de la
Fable
; et, à leur défaut, il a fallu nécessairement av
. La Mythologie n’est point autre chose que la connoissance de la
Fable
ou de l’Histoire poétique. La Fable doit son orig
e chose que la connoissance de la Fable ou de l’Histoire poétique. La
Fable
doit son origine à l’altération de l’Histoire sac
. Il est certain que les poëtes ont infiniment contribué à étendre la
Fable
, à la perfectionner ; et qu’ Homère pourroit être
angage aimable. Et voit, dans la variété Des portraits menteurs de la
Fable
, Les rayons de la vérité. Il voit l’Arbitre du t
Dont l’aspect le glace d’horreur. Rousseau. C’est au langage de la
Fable
que la poésie est redevable des qualités qui la d
norable qu’autant qu’ils suivent les différens sentiers tracés par la
Fable
: s’ils s’en écartent, ils ne sont plus que de fr
quel intérêt pourroit se trouver dans un sujet dénué des graces de la
Fable
, que l’on appelle communément les graces de la po
Le poëte n’est plus qu’un orateur timide, Qu’un froid historien d’une
fable
insipide. Boileau. Otez Pan et sa flûte, adieu
les jardinages : Des roses et des lis le plus superbe éclat, Sans la
Fable
, en nos vers n’aura rien que de plat. ……………………………
l, que les vrais poëtes sont ceux qui ne parlent que le langage de la
Fable
: Ce n’est pas que j’approuve en un sujet chréti
et payen ; Mais dans une profane et riante peinture, De n’oser de la
Fable
employer la figure ; De chasser les Tritons de l’
ux lecteurs plaire sans agrément. Boileau. Première partie de la
Fable
. Les Dieux du premier ordre. Tous les poëtes
et de plantes. Les Egyptiens prétendoient sans doute, par ce trait de
fable
dont ils sont les inventeurs, justifier la stupid
lune éclairoit souvent ; c’est ce qui semble avoir donné lieu à cette
fable
. La sévérité de Diane est bien moins incertaine :
. Les Romains relevoient la gloire de leur origine par ce trait de la
fable
, qui est de leur invention. Mars aimoit Vénus, av
e que l’on appelle le ciel céleste poétique. On a même emprunté de la
fable
les noms que portent la plupart des étoiles qui b
ent leurs nids sur la mer quand elle étoit calme. On se sert de cette
fable
pour désigner le retour du printems : Dans les c
En irrite encore le désir. Lamotte. Seconde partie de la
Fable
. Des Dieux du second Ordre. La Terre avoit se
utre au mal. Le plus puissant l’emportoit. Troisième partie de la
Fable
. Les Demi-Dieux et les Héros. [Persée.]
aux enfers : Jupiter fit l’homme semblable A ces deux jumeaux que la
Fable
Plaça jadis au rang des dieux ; Couple de déités
t qui surprit plus la nature, Que le Soleil qui recula. Lamotte. La
Fable
offre encore plus d’un exemple de ces crimes affr
Jupiter Indigètes. C’est ainsi que les poëtes nous conduisent, par la
Fable
, jusqu’au tems où l’Histoire commence à se fixer
conquête de la Toison d’or, ibid. — Célèbres dans l’histoire de la
Fable
, 12 Argos, ville du royaume de la Grèce, 148 Ar
soleil, 42 Etoiles, leurs noms sont pour la plupart empruntés de la
Fable
, 86 Etolie, délivrée par Thésée, 141 Eumenides,
on la représente, 54 Evène, fleuve, 138 Evocations, 108-109 F
Fable
, son origine, 9 — Etendue et perfectionnée par l
n portrait, 24 Guerre de Troie, 168 — Célèbre dans l’Histoire de la
Fable
, 11 — Ses causes, 177 — Ses succès, 185. Ses su
mus, 160 — Qu’elle épouse, ibid. Héros célèbres dans l’hist. de la
Fable
, 21 — Mis au rang des demi-dieux, 228 Hésione,
Diane, 189 Orgies, fêtes en l’honneur de Bacchus, 68 Origine de la
Fable
, 9 — Des Romains,. 85 Orion, changé en constell
sses, 110 Pô, fleuve d’Italie, 43 Poésie, (la) ce qu’elle doit à la
Fable
, 13 — Comment il convient d’en régler l’usage, 1
54 Poëtes, combien ils ont contribué à étendre et à perfectionner la
Fable
, 12 — Sont appelés Favoris et Nourrissons des Mu
de Pyrrhus, 184 Printemps, déesse qui préside à cette saison, 113 —
Fable
qui désigne son retour, 94 Priape, fils de Vénus
té, honorée comme une divinité, 11 — Cachée sous les portraits de la
Fable
, 12 Verseau, un des signes du Zodiaque, 89 Vert
t. Nous ne nous flattons pas d’avoir écrit l’histoire des dieux de la
Fable
mieux que nos devanciers ; mais nous croyons qu’a
est-ce que la Mythologie ? — Quel était le nombre des divinités de la
Fable
? — En combien de classes les divisait-on ? — Que
dre. I. — Saturne ou le Temps. Avant la création du monde, la
Fable
suppose que l’univers n’était qu’une masse inform
turne ayant donné à Janus la connaissance du passé et de l’avenir, la
Fable
celui-ci représente avec deux visages dont l’un r
e pour attributs un sablier et un aviron1. Questions. Comment la
Fable
représente-t-elle l’univers ayant la création ? —
ier sous son poids. Jupiter avait pour femme Junon, sa sœur ; mais la
Fable
lui en donne en même temps plusieurs autres ; pou
estions. Qu’est-ce que Vénus, et quelle est son origine suivant la
Fable
? — Comment devint-elle l’épouse de Vulcain ? — Q
Sterops, Pyrachmon, qui étaient chargés de fabriquer les foudres. La
Fable
a attribué à Vulcain tous les chefs-d’œuvre célèb
ses compagnons de travail ? — Quels ouvrages célèbres lui attribue la
Fable
? — Comment le représente-t-on ? XI. — Neptun
ut où ils passaient, et qui infectaient tout ce qu’ils touchaient. La
Fable
prétend qu’elles avaient une tête de femme, des o
t se mettre sous la protection immédiate du Dieu des batailles, et la
Fable
prétendait que Romulus et Rémus étaient issus de
, car il serait impossible de les indiquer toutes. Questions. La
Fable
ne reconnaissait-elle pas des divinités d’un rang
t de longues chevilles et de grands coins. Questions. Comment la
Fable
considérait-elle la Nécessité ? — En quoi était r
Persée. Persée occupe le premier rang parmi les Demi-Dieux de la
Fable
. Acrisius, roi d’Argos41, avait appris de l’oracl
i de Thrace, et de Calliope, fut un poëte, créateur de la plupart des
fables
du paganisme, et le plus célèbre musicien de l’an
fit manger la chair de ses propres enfants qu’Atrée avait égorgés. La
fable
ajouta que le soleil rétrograda, pour ne pas écla
’un composé d’erreurs, d’absurdités et d’infamies, presque toutes ses
fables
ont leur origine dans quelque fait historique vra
iers parents dans le paradis terrestre. Le déluge se retrouve dans la
fable
presque avec les mêmes traits que dans l’histoire
qu’ils avaient coutume de représenter sous les traits de la Lune. La
fable
du dieu Mars est composée de l’histoire de plusie
l, des traits d’histoire perdus et confondus an milieu d’une foule de
fables
ridicules. Cérès était une reine de Sicile qui vi
ent autre chose que des oranges. Ainsi peuvent s’expliquer toutes les
fables
relatives au fils d’Alcmène ; certaines parties d
t élevé en Égypte, et ce fut lui qui rapporta en Grèce la plupart des
fables
qui formèrent la religion de ce pays. Le talent a
ù il croyait la voir revenir à la vie. Beaucoup d’autres traits de la
fable
doivent être compris seulement comme des allégori
légories, des apologues sous lesquels se cache une moralité. Ainsi la
fable
de Phaéton a été inventée pour prémunir les jeune
la révélation divine. Questions. Comment doit-on considérer les
fables
de la Mythologie ? — A quels passages de l’histoi
Apollon, Diane, Mars et Vulcain ? — Comment Diodore explique-t-il la
fable
de Neptune ? — Qu’y a-t-il de vrai dans ce que l’
h views, it has been considered most judicious to present the classic
fables
in their simplest, which is also their most poeti
thology? Ans. This word is derived from the Greek, Mythos, a myth or
fable
, and logos, a discourse. A myth is, properly spea
and logos, a discourse. A myth is, properly speaking, an allegory or
fable
invented to convey some important moral or religi
ent times. Ques. Why is it necessary to become acquainted with these
fables
? Ans. Because ancient literature and art cannot
s are so frequent in our literature that an acquaintance with classic
fable
is considered a necessary part of a liberal educa
— How represented — Parentage and Actions — Probable Origin of these
Fables
— Adventures of Jupiter — Story of Europa — Searc
ter the son? Ans. He was the son of Saturn and Ops. According to the
fable
, Saturn promised his brother Titan, that after hi
he poor and innocent. It is hard to reconcile this character with the
fables
which ascribe to this god actions in the last deg
ct remained for public or private virtue. Ques. Relate some of these
fables
. Ans. Jupiter was married to Juno, to whom he fi
never sink, like the other stars, beneath the waves of Ocean. In the
fables
of Bacchus and Hercules, Juno displays the same c
nguished himself in Persia against Alexander the Great. The Memnon of
fable
was in all probability an Egyptian, and not an Et
i derived their name. He was the founder of the city of Præneste. One
fable
is, that certain shepherds found Cæculus, when an
e, would appear like a large, flaming eye, and might give rise to the
fable
of one-eyed monsters. This explanation is, howeve
reason and speech. Chapter XIV. Æolus — Supposed origin of the
Fable
— Momus — His Parentage — Criticisms passed on ot
etting them free, create tempests. Ques. What was the origin of this
fable
? Ans. It is believed that Æolus was a skillful a
Sicily, still followed by the stream of the Alpheus. In proof of this
fable
, and of the Grecian origin of this famous fount,
a friendly manner. Ques. What did the poets endeavor to teach by the
fables
of the Sirens’ song, and the cup of Circe? Ans.
degraded to the level of the beasts. Ques. Who was Scylla? Ans. The
fable
relates that she was the daughter of Phorcus, and
is the whirlpool of Charybdis, about which the poets relate a similar
fable
. They say that Charybdis was a very ravenous woma
urs — Geryon — Harpies — Briareus — The Chimæra — Explanation of this
Fable
— The Sphinx — Fabulous History — Statue of the S
on, he was said to have three heads and three bodies, and passed into
fable
as a monster. He was probably a wicked and cruel
of a goat, and the tail of a dragon. Ques. What was intended by this
fable
? Ans. Poets thus described a volcano in Lycia, o
s, received from his mother a ram of a golden color, or, according to
fable
, with a fleece of pure gold. Some time after, Phr
life by means of fire which he stole from heaven. Ques. What pretty
fable
is connected with this? Ans. The poets tell us t
nifies that in the midst of all human miseries, hope yet remains. The
fable
may have been derived from some ancient tradition
rentage — Transformed by Perseus into a Mountain — Explanation of the
Fable
— Pleiades — Hyades — Hesperides — Orion — His Pa
f Medusa, and changed him into the mountain which bears his name. The
fable
, that Atlas sustained the heavens on his shoulder
nd those thrown by Pyrrha were changed into women. Ques. How is this
fable
explained? Ans. It is supposed that Deucalion an
f many splendid edifices. Various explanations have been given of the
fable
of Dædalus. The most probable opinion is that the
riental fictions, interspersed, perhaps, with a few Latin or Etruscan
fables
. There are, in all, two hundred and fifty of thes
been destroyed by this rash act, we would have lost many interesting
fables
which have been rendered immortal by the beauty o
. By whom were the Pythian Games instituted? Ans. According to Greek
fable
, by Apollo himself, in commemoration of his victo
rsians attached to magical arts? Ans. Yes, their priests mingled the
fables
of astrology with their astronomical learning; he
ns. It has none of the grace and poetic beauty which characterize the
fables
of Greece and Rome; and it differs equally from t
ilver. Animals also were represented in precious ore, and the classic
fable
of the golden fleece was realized in the llama of
imal he would designate. He also mingles facts, really observed, with
fables
of winged horses, monsters with human heads and t
with superstitious awe, and connected them, as we have seen, with the
fables
of their mythology. These ruins, like some in the
himself in the world, he revealed himself in a particular manner. The
fables
connected with the false religions of antiquity a
and poetry, and are often very amusing. Mythology, or the history of
fable
, is necessary to be known, because it explains ma
ctrines taught by Moses, the prophets, and the Lord Jesus Christ. The
fables
of Greece and Rome are the most interesting and t
o one view, for the use of young persons, some of the most remarkable
fables
, and best known usages, of ancient and modern pag
t works of art, without some acquaintance with the history of ancient
fables
. The Greeks were first civilized by colonies of P
remarkable occurrence. Who was Janus, and what is the meaning of the
fable
of Saturn? Why did Janus admit Saturn to be the p
whom the Greeks described either as Prometheus, or as Vulcan, but the
fable
says, Vulcan was the son of Jupiter and Juno. Vul
ten called in Homer, the “blue-eyed maid,” for she never married. The
fable
relates, that Neptune and Minerva disputed for th
employed, — it was only used to affright the bad. The meaning of this
fable
is, that if men in the midst of crimes are overta
enterprise? What use did Perseus make of Medusa’s head? What does the
fable
of the shield signify? ——— The Panathenæa was a
cond petition to Jupiter, and what is represented by this part of the
fable
of Proserpine? What became of Ascalaphus? Is the
f he would spend half the year with her in the infernal regions. This
fable
has the same meaning with that of Proserpine hers
ilton describe the music of the Sirens? Who was Scylla? What does the
fable
of Scylla signify, and who was Charybdis? What pr
ylla signify, and who was Charybdis? What proverb is derived from the
fable
of Scylla and Charybdis, and what is its meaning?
The early history of all nations is poetical, a mixture of facts and
fables
; and the history of these heroes or demi-gods is
who wanted assistance in their weakness, as by the wagoner in Æsop’s
fables
. It is represented by the historian Xenophon, tha
ut he chose rather to perform the part of a deliverer of mankind. The
fables
which are related concerning Hercules, are only d
and body of a man, terminated by the body and limbs of a horse. This
fable
represents the people of Thessaly, who first best
ne them to be one being. From a misconception of this sort, arose the
fable
of the Centaurs. How were the Centaurs represent
lonies upon the Asiatic border of the Euxine. For ten years, says the
fable
, Jason loved Medea, and they lived happily togeth
nce, designed to alter what is properly unalterable. According to the
fable
, Theseus attacked and killed all these wretches.
o go with them to Crete, and promising to restore them in safety. The
fable
says, that Theseus went with the Athenian youths
id the Athenians afterwards regard Theseus? Œdipus. Among the
fables
of antiquity there is not one more sad than the s
Apollo and the muse Calliope. Apollo gave a lyre to Orpheus, and the
fable
says, he sung and played so sweetly, that beasts
hers of antiquity pronounced the existence of Orpheus to be an entire
fable
. ——— Amphion was another musical prodigy, who ra
was fixed upon as being a convenient abode for seafaring men; and the
fable
of Apollo’s music must signify, that while men la
h other, which of the three was the most beautiful. Discord, says the
fable
, threw a golden apple among them, on which was wr
t, for poets are not required to be accurate. Eneas, according to the
fable
, was driven to the city of Carthage, and kindly r
the religion of the Asiatics and North American savages resemble the
fables
of the Greeks and Romans. The Bible relates the h
of Samson, and the sacrifice of Jephthah’s daughter. The Greeks had a
fable
that the world had been drowned; that a good man
w was the image of Tez-cat-li-po-ca described? ——— The Greeks had a
fable
, that all the elements which form the universe; t
What did the Greeks understand by Chaos? Had the Mexicans a similar
fable
, and how did they account for the origin of the s
ppears to have been that of Greece — a mixture of Syrian and Egyptian
fables
. The principal gods of both people were the same;
er, and the labours of Hercules. They introduced these facts into the
fables
of their religion. The worship which God appointe
se trouve métamorphosé en cygne. Deux moralités se cachent sous cette
fable
: Phaéton nous représente un ambitieux, qui forme
uté qu’elle attacha longtemps sur lui un regard admirateur : voilà la
fable
. La vérité est qu’Endymion, habile astronome de C
uelles, épuisé de travail, il cédait quelquefois au sommeil. Quand la
fable
dit qu’Endymion ne vieillissait pas, la fable dit
is au sommeil. Quand la fable dit qu’Endymion ne vieillissait pas, la
fable
dit vrai, puisque le génie et la science peuvent
viennent souvent se joindre les Satyres aux pieds de chèvre. — Cette
fable
des Dryades a été imaginée sans doute pour empêch
, et il se trouva de cette manière au milieu du nouveau temple. Cette
fable
se débitait parmi le peuple, pour lui persuader q
ontaine d’Aréthuse, en Sicile. De cette croyance populaire est née la
fable
qu’on vient de lire.) § 11. Les Naïades. C’
, obtinrent de lui les réponses qu’il leur importait de savoir. Cette
fable
allégorique nous montre que ceux qui veulent péné
même que par sa progéniture. Il donna le jour à divers monstres de la
fable
, et principalement aux trois Gorgones, Sténo, Eur
lorsque Hercule vint en Scythie, et tua le vautour. — On explique ces
fables
de plusieurs manières. Quelques auteurs croient q
t ce fut la Corne d’abondance. Voici peut-être l’explication de cette
fable
. L’Achéloüs était un fleuve dont les inondations
mer qui fut appelée de son nom icarienne 47. Le sens naturel de cette
fable
est sans doute que Dédale, qui, durant sa captivi
t l’éclat immortel qui va rejaillir sur son nom : voudrait-il être la
fable
de la Grèce et la risée de ses ennemis ? Peu à pe
tie de fumet vers portera désormais ton nom63. » — On a donné à cette
fable
diverses explications : voici une des plus nature
ue Jupiter s’était changé en taureau pour enlever cette princesse. La
fable
ajoute qu’Europe, devenue l’épouse du roi de Crèt
it père d’un fils et d’une fille (Phryxus et Hellé), célèbres dans la
fable
. Ces deux enfants vivaient tranquilles à la cour,
t dès ce jour coulèrent de ce rocher deux sources d’eau vive. — Cette
fable
est fondée sur un événement des plus tragiques. S
rosée, et que boit avidement la terre languissante. — A en croire la
Fable
, les Éthiopiens élevèrent près de Thèbes, à la mé
fut l’ambroisie, que lui fournissaient les nymphes de Crète. — Cette
fable
semble signifier qu’ Épiménide avait passé sa je
» et les fêtes publiques se prolongeaient pendant sept jours. — Cette
fable
, et quelques autres, rappellent divers traits de
exemple, cette alternative de deuil et de fêtes a été l’origine de la
fable
d’Adonis. La déesse Isis, représentée sous la fig
se nommait Élysion, c’est-à-dire séjour du repos et de la joie. — La
fable
des Champs Élysées, celle du Tartare, celle des J
; le jaune pâle, l’infidélité. Épilogue. La Mythologie ou la
Fable
est le nom donné à l’histoire des dieux, des demi
re des dieux, des demi-dieux et des héros de l’antiquité païenne. Ces
fables
ne sont pas toutes des mensonges ou de pures fict
e Narcisse. Quoique la mythologie soit presque un tissu continuel de
fables
, elle ne laisse pas d’avoir une incontestable uti
né à ses seules et faibles lumières. Sans doute une grande partie des
fables
qui la composent sont invraisemblables et absurde
er, doivent paraître ridicules. Mais la mythologie offre çà et là des
fables
morales, où l’on trouve, sous le voile de l’allég
Glaucus était fils de Minos II et de Pasiphaé. Plusieurs héros de la
fable
ont porté ce nom. 36. Ce nom de Béotie fait prob
d’Ascagne et petit-fils d’Énée et de Créuse. 62. Voilà ce que dit la
fable
. Mais, selon l’histoire, quand Didon aborda en Af
x obtenir une profonde croyance de la part du vulgaire, d’entourer de
fables
les personnages dont ils firent des dieux. Plus i
firent des dieux. Plus il leur a été possible de rendre obscures ces
fables
, plus ils ont pris soin de le faire, et cela chez
des explications que nous avancerons, d’autant plus que les Mythes ou
fables
religieuses de toutes les nations, qui se rattach
es faits qui l’entourent, les détails qui embellissent le corps de sa
fable
, l’image sensible qui le représente, ne sont-ils
les faire passer les premières. Cependant, réflechissant combien les
fables
grecques sont répandues, nous avons fini par adop
ptiens et les Syriens leur apporter leurs dieux, leurs héros et leurs
fables
. De là vint cette théogonie confuse, qui pourtant
itans de Perinonte conservèrent un souvenir si respectueux pour cette
fable
, qu’ils s’abstiennent encore, dit-on, de manger d
stitution des enfans mâles, que leur père avale sous forme de pierre,
fable
dont le sens moral nous montre toujours que l’ino
ar en astronomie, Chiron et le centaure sont les mêmes. D’après cette
fable
, on peut supposer que Chiron fut le plus grand mé
probablement éprouva une défaite désastreuse, et enfin un savant. La
fable
lui donne de nombreux troupeaux et des jardins re
nt que l’espérance. Si l’on veut une explication plus détaillée de la
fable
de Prométhée, on peut le regarder comme une allég
ait dans le neuvième siècle avant Jésus-Christ. On peut croire par la
fable
des bœufs immolés, qu’il était un prêtre titanide
et deux êtres humains sauvés. On retrouve même, dit M. de Humbolt, la
fable
de Deucalion et de Pyrrha sur les bords de l’Orén
it-on, de son alliance avec la nuée. Si l’on cherche le fond de cette
fable
, on est porté à supposer qu’un prince appelé Jupi
us d’un rocher dont la chute menaçait à chaque instant sa tête. Cette
fable
repose, dit-on, sur un fait historique : alors on
e Pluton, dont l’empire était désert faute de recevoir des visiteurs,
fable
que l’on raconte encore autrement en disant que S
nter de nouveau, et cela sans avoir un instant de relâche. Dans cette
fable
on peut voir une agglomération de faits allégoriq
, arrache les entrailles de Choricus et le transforme en un soufflet,
fable
assez obscure, à laquelle il est difficile de tro
e de fabrique Phrygienne, il semble moderne et avoir été enté sur les
fables
importées de l’Inde ou de la Perse, et par conséq
cain et de Minerve, était d’une si grande difformité que se voyant la
fable
de tout le monde, il se jeta de désespoir dans le
e mont Sipyle. Quelques mythologues modernes, racontent cette triste
fable
d’une autre manière, ils disent que Niobée, fille
ent à coups de flèches, comme ennemie de leur caste. Le fond de cette
fable
semble appartenir à un fait historique, à une pes
avait été transformée en rocher ; mais nous ne pouvons donner à cette
fable
le sens allégorique, qui prend Niobée pour une fo
omis ou aux trois formes. Nous allons faire connaître les différentes
fables
dont on l’a entouré dans ces diveres fonctions :
arche de la lune et de tous les corps célestes. Peut-être aussi cette
fable
n’est-elle qu’une allégorie de la paresse des ber
oleil et des autres corps célestes, que les Grecs avaient inventé ces
fables
? C'est ce qu’il nous serait impossible aujourd’h
oir voulu en défendre l’entrée à ce dieu redoutable. On a expliqué la
fable
de ce serpent ou dragon en supposant qu’étant for
rique pour les Grecs, fut bientôt brillamment embelli ; on en fit une
fable
, et l’on dit qu’Alceste ayant eu en effet la géné
près avoir reconduit Alceste à son mari. Quant au sens moral de cette
fable
, il montre que l’amour conjugal est toujours réco
’Ilion par un Hercule arriva 1260 ans av. notre ère. Maintenant à ces
fables
dans lesquelles Apollon, Neptune et Hercule se tr
t le tua. Les historiens, pour expliquer le sens allégorique de cette
fable
, ont prétendu que la chimère était une montagne d
pour mieux les punir, il leur laissa le désir de toujours bavarder ;
fable
dans laquelle on voulut probablement faire allusi
les jeunes protégées d’Apollon, il tombe au bas de la tour et se tue.
Fable
qui fait allusion peut-être à quelque prince enne
du barbier chaque fois que le vent les agitait. Du reste toute cette
fable
est une allégorie montrant dans Midas l’ignorance
ière de Minerve. Audace et vanité punie, voilà le sens moral de cette
fable
. Marsyas, quant à l’acte cruel d’Apollon, nous pr
guraux propres aux différens caractères qui leur sont assignés par la
fable
. Il serait très-curieux que les sciences posées n
is sacré de Dodone pour y rendre les oracles de Jupiter. Cette double
fable
reposait sur l’équivoque du mot Peleiai qui signi
aire reconnaître, la voix que le destin lui laisserait éternellement,
fable
qui montre combien une conduite sage peut retarde
les yeux ; et aussitôt son épouse lui fut ravie pour toujours. Cette
fable
, tout allégorique, indique jusqu’où peut aller le
s hexamètres, et d’avoir le premier fourni les fondemens de plusieurs
fables
, en composant les hymnes sur la guerre des Géans,
és de la vieillesse, il fut, suivant ses souhaits, changé en cigale ;
fable
pareille à celle de Déiphobe, reposant sur ce que
alheur, les changea en astres. Quelques Mythologues, rapportant cette
fable
à l’histoire, disent que Céphale était fils de Me
et précède le Soleil en ouvrant les portes de l’orient. Jamais aucune
fable
n’a servi les artistes aussi bien que celle de l’
n extrait l’encens et auquel on donna plus tard le nom de Leucothoée,
fable
assez obscure que l’on explique en disant qu’Orch
it des oracles en grande réputation. L'histoire, pour expliquer cette
fable
, dit qu’un prince, du nombre de ceux auxquels l’a
s d’un fleuve, dans une fondrière couverte de lauriers, d’où vient la
fable
, dont le sens moral semble rappeler la protection
prix de musique et de poésie. Beaucoup d’obscurité règne donc sur la
fable
très-complexe d’Esculape ; cependant on peut croi
les dieux que ces peuplades avaient rassemblés et qu’ils ornaient de
fables
plus ou moins extraordinaires. On adorait donc pa
luge, et Esculape Tosorthos des Egyptiens. Quelques savans font de la
fable
d’Esculape une allégorie astronomique, et ils ava
ne couleur noire. Une foule d’interprétations ont été données à cette
fable
. On y a vu un grand incendie ou l’arrivée des jou
ronomiques imparfaites ; mais si l’on cherche le sens morale de cette
fable
, on y trouve l’emblème de la présomption et de la
de la Colchide qui se jette dans la mer Noire, il était fils, dit la
fable
, d’Apollon et d’Ocyroé, tous les efforts de Théty
, le chef primordial de la civilisation, d’où il résulte que toute la
fable
de Cérès est une suite d’allégories relatives à l
a terre. Mais le positif, c’est qu’il y a dans le sens caché de cette
fable
d’Adonis, une allégorie de périodicité, quelle qu
e de simples hypothèses. Si l’on voulait retrouver l’origine de cette
fable
et reconnaître dans Vénus la déesse Syrienne appe
écumeux qui viennent de la priver si cruellement de son amant. Cette
fable
, souvent enjolivée par les modernes, est due à la
s ayant été remarquée chez les anciens comme de nos jours, on fit une
fable
charmante. On supposa que l’Amour jouant un jour
l’épouse qui disparaît le jour de ses noces, dans sa maison ; mais la
fable
la plus adoptée faisait passer l’Hymen pour un je
ègne d’un prince du nom de Deucalion. Ce qu’il y a de curieux dans la
fable
de ce souverain, c’est le rapprochement que l’on
r Jupiter, qui la rendit mère de Mélitée, que l’on confia, suivant la
fable
, à des abeilles pour le nourrir dans son enfance
artis. Maintenant nous voici arrivés à quelques unes des plus jolies
fables
qui entourent les amours de Jupiter ; nous allons
Danaé et prit soin de l’éducation de Persée. Banier faisant de cette
fable
une histoire véritable, prétend que cet amant heu
avoir pu lui-même en avoir. D'autres écrivains afin de donner à cette
fable
une couleur plus historique encore, disent que de
vaisseau dont la proue était décorée d’un taureau blanc, d’où vint la
fable
de Jupiter, transformé en taureau pour enlever ce
ejeta sur Jupiter la paternité de cet enfant. On explique aussi cette
fable
des amours de Sémélée et de Jupiter, en disant qu
mais on comprend combien de pareilles explications sont forcées. Ces
fables
en général reposent sur des faits positifs qu’il
tiens l’adorèrent sous le nom d’Isis. Si l’on cherche à ramener cette
fable
à l’histoire, on trouve qu’Io, prêtresse de Junon
on à la Néoménie ou nouvelle lune du printemps. Si nous suivons cette
fable
, nous voyons qu’Inachus était un fils de l’Océan
en cygne. Plusieurs interprétations ont encore été attribuées à cette
fable
; ainsi ce fut une tour, une chambre, un lit en f
toutes les suppositions que l’on pourrait faire pour expliquer cette
fable
; seulement nous ajouterons qu’une danse lascive
ce ; Xenia et Xenios, ou la protectrice à Sparte. Avant d’indiquer la
fable
dont les Grecs avaient entouré Minerve, donnons q
fille du géant Pallas et de l’océanide Titanis. Si nous passons à la
fable
inventée par les Grecs, et dont ils ornèrent la N
onné le nom de Cécrops, est tellement douteuse que, dans les vieilles
fables
, on trouve ce législateur dépeint sous les traits
écrops et mourut entre les années 1590 et 1532 av. J.-C. Du reste ces
fables
paraissent aussi toutes symboliques. Alors Cranaü
ruire des maisons et de se faire des habits. Nous avons vu comment la
fable
le fait monter au ciel ; mais avant il épousa Léa
courir l’Egypte ; mais quoi qu’il en soit, prenons Bacchus tel que la
fable
grecque nous le transmet. Bacchus, dieu du vin, é
en Grue par Junon, étaient aussi enfans du dieu Pan. Ici se borne la
fable
grecque et romaine mais nous verrons que Pan chez
cache sous l’horizon quand l’autre paraît. Quant à la morale de cette
fable
, elle est toute naturelle : c’est l’apologie de l
-Dieu, pour lequel ils avaient le respect le plus religieux. Voici la
fable
dont ils l’avaient entouré. Amphytrion, disaient-
chasser dans une autre contrée. Ils étaient si monstrueux suivant la
fable
, qu’ils obscurcissaient l’air quand ils volaient,
tard, Minerve reprit ces pommes et les replaça dans le jardin. Cette
fable
merveilleuse est fort obscure, et toutes les expl
es de ses bords et offerte, dit-on, à la déesse de l’abondance. Cette
fable
semble indiquer un fleuve limitrophe, inconstant,
plus efféminés. Sans compter Omphale, Déjanire et les Thespiades, la
fable
donne encore une assez grande quantité de maîtres
an ou Mercure-Pan, Hermosiris ou Mercure-Osiris. Avant de passer à la
fable
dont les Grecs avaient orné ce dieu tout d’invent
l’on montra long-temps son tombeau. Si maintenant nous arrivons à la
fable
de ce Dieu, nous trouvons que suivant les Grecs,
du avec l’amant d’Aurore, il est cependant environné d’une tout autre
fable
. : On disait que ce fils de Mercure, avait été ba
appela Minotaure, dont le nom indiquait l’origine monstrueuse. Cette
fable
est expliquée en disant que Pasiphaé eut un amour
ant avec Minos qu’avec Taurus. Quoi qu’il en soit, si nous suivons la
fable
, nous trouvons que Minos, informé de cette exécra
ant nous cherchons une explication aux Gorgones, nous dirons que leur
fable
est restée toujours fort obscure : l’on a cru qu’
en font des vaisseaux enlevés par Persée, mais Hésiode, continuant la
fable
, dit que ces trois sœurs, filles du dieu marin Ph
sa mère avait fait exposer dans une forêt. Philée ; on ignore si la
fable
le confond avec un fils d’Augias, du même nom, qu
miral d’un roi d’Égypte du nom de Sesac. Mais le plus généralement la
fable
grecque dit que Neptune, fils de Saturne et de Rh
umeau de Bélus, et d’autres, fils de ce Bélus et d’Eurynome ; mais la
fable
grecque le reconnaissait pour fils de Libye et po
une vie errante et malheureuse jusqu’à la fin de ses jours ; mais la
fable
grecque raconte ce malheur avec de plus nombreux
lutôt à l’alliance de Zéphyre avec une Harpye. Quoi qu’il en soit, la
fable
le fait élever par les Néréides, servir quelquefo
cilien, nous le prenons pour Dieu des vents, nous trouvons d’après la
fable
qu’il commandait sur les sept îles Vulcanies ou E
a main pour indiquer sa puissance. Ce qui jette du trouble dans cette
fable
, c’est la présence de plusieurs princes Siciliens
Aïdonnée, jusqu’à ce qu’Hercule soit venu le délivrer ; d’où vint la
fable
imaginée pour faire croire que Pirithoüs avait ét
este encore à dire quelques mots, c’est Méléagre fils d’Œnée, mais la
fable
dont il est entouré, veut que nous remontions jus
auteurs, Alphée était un grand chasseur, sur lequel on avait brodé la
fable
suivante : un jour, disait-on, qu’il était à la c
étymologie du mot égyptien Achon-Charon ou marais de Charon, car une
fable
également égyptienne donna du relief à ce marais,
ble également égyptienne donna du relief à ce marais, et plus tard la
fable
se transmit avec les noms. Voici comment les Grec
des brebis noires, comme aux furies dont nous allons faire suivre la
fable
dans quelques lignes ; mais auparavant, nous rapp
itèrent de chagrin dans la mer, où elles furent changées en rochers ;
fable
qui faisait allusion, dit-on, aux courtisanes qui
ignore exactement quand et de quelle manière il mourut. Cependant, la
fable
la plus suivie, prétend que, dans sa vieillesse,
a fille Nausinous ; ensuite, Euryale, d’Evippe. Quant à Télémaque, sa
fable
toute moderne brille par son voyage à la recherch
stianisme ; aussi, est-il possible que leurs prêtres aient modifié la
fable
et les légendes de leurs antiques dieux, d’après
est véritablement le fond de la croyance du Sivaïsme. Mais voyons les
fables
dont les Indiens ont entouré le dieu de cette sec
de l’amour, en voyant les Gandharvas. Nous ne reviendrons pas sur la
fable
de Paraçourama, seulement nous ajouterons que Mar
long-temps sur ses origines incertaines, nous allons faire suivre la
fable
dont on a entouré ce personnage ; fable, comme on
, nous allons faire suivre la fable dont on a entouré ce personnage ;
fable
, comme on le verra, fort extraordinaire par les a
ogies qu’elle a avec l’histoire de Jésus-Christ. Autrefois, dit cette
fable
, Saodouaodani, ou vulgairement Soutadanni, était
ancients. We are in the habit of supposing, that they regarded their
fables
in the same poetical light as ourselves; that the
e will conclude with the words of Barry Cornwall — “Oh! ye delicious
fables
, where the wave, And wood, were peopled; and
Scandanavians and the Gauls their ideas of the faith of Odin; and the
fables
of the Hindoos, and those of the American people,
holy histories of our own faith; and they assert that, in many of the
fables
with which we are familiar, are to be traced the
be wondered at, when we consider the various subjects connected with
fable
; and in this view of our subject we are borne out
that mystery and allegory were from the original intended in many
fables
of the ancient poets, this appears apt and conspi
the similitude with the things signified, in the very texture of the
fable
, and in the propriety of the names which are give
ropriety of the names which are given to the persons or actors in the
fables
; and no man can positively deny that this was the
t; or if chronology should happen to be confounded, or if part of one
fable
should be transferred to another, and a new alleg
den sense which we have been speaking of, which is that some of these
fables
are in the narration so foolish and absurd, that
or other uses. What has a great weight with me is, that many of these
fables
seem not to be invented by those who have related
atter and occasion so worthy of contemplation.” The Divinities of
Fable
. Insérer image anonyme_heathen-mythology_1842_
ants of antiquity who occupy so important a position in the annals of
Fable
. Of these children of the earth the principal wer
Blanchard. Insérer image anonyme_heathen-mythology_1842_img012 This
fable
is easy of explanation. Time is the child of heav
ch because time returns with the years and days; and this part of the
fable
is also an image of the operations which nature a
nd recalling him from earth, replaced him in his seat at Olympus. The
fable
of Apollo is, perhaps, that which is most spread
earth Is vowed to golden gods of vulgar birth!” Barry Cornwall. The
fable
of Endymion’s amours with Diana, or the Moon, ari
ng six months of the year with her, and six with Venus, but this is a
fable
meant to apply to the alternate return of summer
her basket. In revenge, Cupid changed her into a dove. The beautiful
fable
of the winged deity’s love for Psyche, is the mos
e sea deities. To the story of Neptune, may be attached the beautiful
fable
of Arion, the illustrious rival of Amphion and Or
us. Many morals have been attempted to be deduced from this beautiful
fable
, but in none of them have their authors been very
ufficiently weak to grant them faith, and to accord them homage. [
Fables
.] In concluding the Greek Mythology, however,
In concluding the Greek Mythology, however, we must mention several
fables
, which are so intimately connected therewith, as
ng to her beautiful, but lost love. ——————— “She changed, As Grecian
fables
say, the shepherd boy Into a stream, and on its b
ent incongruities: it has, however, been suggested, that the dragon’s
fable
, arose from some country which Cadmus conquered;
subjection of a free country. We have now related the most celebrated
fables
in the Mythology of the Greeks and Romans, withou
rity, that they may agree with the general mysticism of the East. The
fables
of India, essentially metaphysical and philosophi
as to us, the subject has excited interest, and that a perusal of the
fables
we have been able to lay before them, may induce
frequent actors in its legends, which differ from ordinary tales and
fables
in this circumstance, and in that of their having
e original monotheism of mankind. Vossius endeavours to show that the
fables
of heathenism were only a distortion of the revel
ncerted system. It is rather a loose collection of various images and
fables
, many of which are significant of the same object
m Egypt were mixed up with the old tales of gods and heroes ; and the
fable
to be represented on the stage often varied so mu
ommon among the Greeks, and districts were continually reclaimed from
fable
, and brought into the circuit of truth and knowle
rt of the Sea were the scenes of most of the wonders of early Grecian
fable
. There, and on the isles of the Ocean, the passag
irens, the Hesperides, the Grææ, the Gorgons, and the other beings of
fable
. The only inhabitants of the northern portion of
eliades were devised to remove the incongruity. The foundation of the
fable
lay in the circumstance of amber being regarded a
or Rhone, and the Padus or Po, on the banks of which last stream the
fable
of Phaëthôn was localised. According to another l
her says that Maia, the daughter of Atlas, bore him Hermes395 A later
fable
said that Asteria, the sister of Leto, flying the
r no traces of enmity between her and Hera. Posterior poets, however,
fable
much of the persecution she underwent from that g
Apollo ; and this connection with the god of music gave origin to the
fable
, as it is esteemed, of the melody of these birds6
en of Niobe, who had presumed to prefer herself to Leto677 ; and in a
fable
later than Homer she is said to have detained the
untain, and Alpheios became a river691. In proof of the truth of this
fable
, it was asserted that a cup (ϕιάλη) which fell in
found himself shrink to his original dimensions. The meaning of this
fable
is so apparent that it needs not explication. At
ng one of a modern writer781 may seem to come nearer the truth. “This
fable
, it is said, is a representation of the destiny o
n all probability, that the Greeks named the butterfly the soul. The
fable
of Love and Psyche has been the original of many
Lesser Asia. The flatterers of the conqueror thence took occasion to
fable
that Dionysos had, like Heracles and their own gr
, and the ‘Dionysiacs’ may be regarded as a vast repertory of Bacchic
fable
, perhaps deserving of more attention than has hit
led the Minyas, were made public ; in all of which were scattered new
fables
about the lower-world, and hopes of a more happy
hrown open. Whence the conclusion is easy, that the web of the Orphic
fable
, which is all composed of the same kind of thread
he was converted into the flower which bears his name1239. These are
fables
invented, in the usual manner, to account for the
eld powerful to save from shipwreck, and were invoked by sailors. The
fable
appears to be ancient ; as Leucothea, who gives h
ssigned a definite abode in well-known countries to all the beings of
fable
, which brought for example the transoceanic Kimme
men in that direction, and to have dwelt on the verge of the land of
fable
. The Lotus, under the name of Jujuba, is, we may
and that of the Læstrygonians, most of the localisers of the Homeric
fables
place both of them in Sicily1359. Others regarded
doubted if Charybdis is to be regarded as an animate being. The whole
fable
is evidently founded on the wonderful tales of sa
that can be said is, that that strait may have given occasion to the
fable
. Homer, however, would seem to place the cliffs o
gods sent fevers and other diseases among men1474. As Care, says the
fable
, was crossing a river she observed the marly clay
On the story of Prometheus has been founded the following very pretty
fable
, which adds another instance to the many legends
Hope, who thus remained with man, his chief support and comfort. This
fable
of Pandora is certainly not capable of being reco
mythe, we find no allusion to it in Grecian literature, except in the
fable
of Babrius, who is said to have been anterior to
by Deïaneira caused the death of the hero, was the gift of Ceÿx. The
fable
of Ceÿx and Halcyone is apparently one of those l
changed into a hawk1809, and that Itys became a wood-pigeon1810. This
fable
seems to be one of considerable antiquity. We hav
f their hands, and placed her as a constellation in the sky1985. This
fable
is narrated with great difference in the circumst
dely different view of the mythe, seeing in it only an Eleian popular
fable
of the two millstones. Hence, he says, they are j
n Migration, or Return of the Heracleids, though greatly mingled with
fable
, is a real event. For some centuries the history
34. Analysis of Heathen Mythology. 35. Atlantica. 36. Mythologie et
Fables
expliquées par l’Histoire. 37. See Amalthea, i.
and new, ere the same from the beginning, and deduce the most recent
fables
from the springs of the primogenial doctrine.» —
ng been transplanted thither from Crete, its original soil. The whole
fable
seems to have been unknown to Homer, who always s
ôn. 256. Virg. Geor. iii. 391. Philargyrius (in loc.) says that the
fable
was related by Nicander. 257. Hom. Hymn xxxii. 1
801. Ovid, Met. vi. 1. seq., — the name as usual giving origin to the
fable
. We know not what Greek authority Ovid followed i
those who have refused their favours is common to the history and the
fable
of most countries. The earliest instance on recor
Plutarque. Avant-propos La Poésie a créé la
Fable
; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le C
ur que la saine Philosophie désavoue elle-même. L’usage éclairé de la
Fable
, les images, le coloris constituent essentielleme
tre Parnasse. … Dans une profane et riante peinture, De n’oser de la
Fable
employer la figure, De chasser les Tritons de l’E
de ses Dieux, de ses Héros, et des autres Personnages célèbres de la
Fable
. Homère Ce grand homme a célébré la prise d
esse que sa puissance : il s’abandonna honteusement aux plaisirs ; la
Fable
est pleine de ses infamies. Le Pin lui est consac
Charites. On en comptoit trois : Aglaé, Euphrosine et Thalie. La
fable
varie sur leur origine. On les fait tantôt filles
Quintus, de Smyrne. — Cournand 151. Personnages célébres de la
Fable
. Deucalion, Roi de Thessalie, Fils de Prom
re… Nés des cailloux, nos cœurs en ont la dureté ; Et nos mœurs de la
fable
offrent la vérité. Ovide.— Saint-Ange 152.
t son frère Zéthus partagea son heureux génie. Le nouvel Amphion .
Fable
. Certain Badaud… quelques malins esprits
bercent en cheveux blancs. Voltaire 230. Lieux célébres dans la
Fable
. Olympe. Célébre Montagne, située entre
assujettie, Et dit au Temps : exécute mes lois257. Nature. La
Fable
l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la
, tous amis véritables : Ces noms sont beaux ; mais ils sont dans les
Fables
* Voltaire 274. Viens donc, Compagne chast
par l’Espérance. Sophie de Jaucourt 288. Le Livre de la Raison.
Fable
. Lorsque le Ciel prodigue en ses présens, Co
l’a si long-temps dérobée aux yeux des hommes. Quoique ennemie de la
Fable
, la Vérité la recherche quelquefois : elle lui em
oppe de son voile, pour instruire l’homme en l’amusant. La
Fable
un jour voulut courir le Monde : On lui pardonner
disperse… La terreur, à l’instant, à ses pieds les renverse. La
Fable
nue étoit la Vérité. P . 298 Superstition.
rdier. à Justine. 38. [Table des matières] Florian. Hercule au Ciel.
Fable
. 39. [Table des matières] Voltaire. à Dudeffant.
rd. Portrait de la Nuit. 122. [Table des matières] Florian. La Mort.
Fable
. 123. [Table des matières] Vigée. La Mort de mon
néide. liv. VI. 159. [Table des matières] Imbert. Le nouvel Amphion.
Fable
. 160. [Table des matières] Dorat. Madrigal. 161
es matières] La Harpe. Ode XXIX. 270. [Table des matières] Cubières.
Fable
. 271. [Table des matières] Gresset. A ma Muse.
rt. A la Raison que je veux avoir. 289. [Table des matières] Aubert.
Fable
. 290. [Table des matières] Deshoulières. Réflexi
e, and recommended, as a text-book for preparation, Bulfinch’s Age of
Fable
. The experience of English and classical teachers
made necessary the preparation of this volume. For, while the Age of
Fable
offers a tempting collection of Greek, Norse, and
aken such a revision and rearrangement of the materials of the Age of
Fable
as may adapt it to the purposes of teacher and pu
which it was based. Consequently, while the obligation to the Age of
Fable
is acknowledged in full, a new title has been sel
in Norse lays, are a revision of corresponding chapters in the Age of
Fable
. Chaps. IX.-XXIII., comprising Attributes of Roma
and frequently paragraph by paragraph, — such portions of the Age of
Fable
as have been retained being abridged or rewritten
etic qualities before acquainting them with the commonplace facts and
fables
that, transmitted through generations, are the ma
additional examples of the literary survival or adaptation of ancient
fable
. For this purpose special sections of the Comment
yet wholly past; surely the beauties and the wonders of nature are a
fable
of things never fully revealed; surely this new r
Fable and the Myth. — Careful discrimination must be made between the
fable
and the myth. A fable is a story, like that of Ki
Careful discrimination must be made between the fable and the myth. A
fable
is a story, like that of King Log, or the Fox and
actic instruction. Dr. Johnson narrows still further the scope of the
fable
: “It seems to be, in its genuine state, a narrati
ts, or natural beings and events influenced by supernatural agencies.
Fables
are made by individuals; they may be told in any
rch and the most highly civilized race of seventeenth century Europe.
Fables
are vessels made to order into which a lesson may
ose “Wisdom of the Ancients” treats myths as “elegant and instructive
fables
,” and by many Germans, especially Professor Creuz
wakens “inextinguishable laughter” by his satire on ancient faith and
fable
. § 12. Roman Poets of Mythology. — Vergil, called
Psyche is well presented in the following lines: — They wove bright
fables
in the days of old, When reason borrowed fancy’s
ms of close intimacy with Ovid, a fragmentary work called the Book of
Fables
, which is sometimes a useful source of informatio
nized a bear in a certain constellation, they might naturally mix the
fables
and combine them later with the legend of the all
, see § 132 (5) C or 95 C. She was held in the highest honor in Greek
fable
, and ranked with Penelope and Laodamia, the latte
wn into the Alpheüs appeared again in Arethusa. It is, possibly, this
fable
of the underground course of Alpheüs that Colerid
had a forge. Interpretative. — The ancients were wont to glorify in
fable
constellations of remarkable brilliancy or form.
r, Acheron, Cerberus, Charon, etc., see Index. Interpretative. — The
fable
of Cupid and Psyche is usually regarded as allego
spired musician in the service of Cybele, was naturally associated in
fable
with Midas. The ass being the favorite animal of
of Proserpine, and none deeper in symbolical meaning. Considering the
fable
with reference to the physical world, Bacon says,
frequently, like an omen of Spring, just before Winter closes in. The
fable
has, however, its moral significance also, being
57-363 Eve and the apple, 12. E′vius, Com. § 46; see Bacchus. F
Fable
, definition of, 1; distinguished from myth, 1-3;
phy, study of myth, see Introduction; definition of, 1; compared with
fable
, 13; of existent races, 2; kinds of, 3; explanato
hiller’s Ideal and Life, 243. Bulfinch, Thos., 1796-1867. The Age of
Fable
; see Preface to this volume. Burges, G. Transl.
56. On the Elder Edda, 32. Johnson, Samuel, 1709-1784. Definition of
Fable
, 1. Johnsson, Arngrim, 1568-1648. On the authors
., 1819-1891. Quotations from The Shepherd of King Admetus, 131; from
Fable
for Critics (Daphne), 140; from Rhœcus, 210-212;
Baucis, 106,107; Com. § 38, Apollo outwitted; § 56, To Janus; § 104,
Fable
of Midas; § 169, A City Shower. Swinburne, A. C.
0. § 107. 161. § 130. 162. Ovid, Metam. 1: 452-567. 163. From the
Fable
for Crities. 164. Ovid, Metam. 4: 256-270. 16
22: 29; Odys. 5: 121, 274. 172. The story is told by Hyginus in his
Fables
, and in his Poetical Astronomy. 173. Authorities
. 269. Simonides of Ceos, also Apollodorus, Pausanias, and Hyginus (
Fables
). 270. Ovid, Metam. 4: 608-739; 5: 1-249. 27
e sans fiction. Plutarque. Avant-propos. La Poésie a créé la
Fable
; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le C
ur que la saine Philosophie désavoue elle-même. L’usage éclairé de la
Fable
, les images, le coloris constituent essentielleme
Parnasse. … Dans une profane et riante peinture, De n’oser de la
Fable
employer la figure, De chasser les Tritons de l’E
de ses Dieux, de ses Héros, et des autres personnages célèbres de la
Fable
. Ce grand homme a célébré la prise de Troie dans
esse que sa puissance : il s’abandonna honteusement aux plaisirs ; la
Fable
est pleine de ses infamies. Le Pin lui est consac
Charites. On en comptait trois : Aglaé, Euphrosine et Thalie. La
fable
varie sur leur origine. On les fait tantôt filles
Quintus, de Smyrne. — Cournand 153. Personnages célèbres de la
Fable
. Deucalion, Roi de Thessalie, Fils de Promé
et son frère Zéthus partagea son heureux génie. Le nouvel Amphion.
Fable
. Certain Badaut… quelques malins espri
ù tout s’abîme sans retour. Gresset 223. Lieux célèbres dans la
Fable
. Olympe. Célèbre Montagne, située entre
assujettie, Et dit au Temps : exécute mes lois244. Nature. La
Fable
l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la
, tous amis véritables : Ces noms sont beaux ; mais ils sont dans les
Fables
. Voltaire 261. S’il est un Mortel sur la te
l’a si long-temps dérobée aux yeux des hommes. Quoique ennemie de la
Fable
, la Vérité la recherche quelquefois : elle lui em
oppe de son voile, pour instruire l’homme en l’amusant. La
Fable
un jour voulut courir le Monde : On lui pa
isperse… La terreur, à l’instant, à ses pieds les renverse. La
Fable
nue était la Vérité. P. 282 Superstition.
fchâteau. Plutus. 39. [Table des matières] Florian. Hercule au Ciel,
fable
. 40. [Table des matières] Voltaire. A Dudeffant.
rd. Portrait de la Nuit. 124. [Table des matières] Florian. La Mort,
Fable
. 125. [Table des matières] Vigée. La Mort de mon
es] Ferlus. Sur la Gaîté. 282. [Table des matières] Anonyme (P.). La
fable
un jour voulut courir le monde. 283. [Table des
aturally and necessarily produced the strange conglomerate of ancient
fable
.” Instead, therefore, of seeking the source of my
nown with certainty. To most people it has the same significance as a
fable
, legendary tale, or fanciful falsehood. A collect
of Lesbos, where he gained great riches by his art. There is a pretty
fable
which has made the name of Arion famous. Once whe
ng but her voice, which repeats every sound that reaches her. Another
fable
makes Echo a daughter of Air and Tellus. She was
of a tree trunk, out of which he is vainly trying to withdraw it. The
fable
is, that when he got to be an old man he attempte
view.” Un′dine [Undine]. A water-nymph, or sylph, who, according to
fable
, might receive a human soul by marrying a mortal.
ch is subjoined a slight sketch of the Mexican and Peruvian religious
fables
and ceremonies. The Mythology of the Greeks and R
Mythology, an expression compounded of the two Greek words, muthos, a
fable
, and, logos, a discourse, signifies a system of f
ords, muthos, a fable, and, logos, a discourse, signifies a system of
fables
, or the fabulous history of the false gods of the
t and guarded against surprise. What appears to be the meaning of the
Fable
? By the advice of Ascalaphus, Proserpine consente
ven. Proserpine was frequently considered as being the moon, and this
fable
might be intended to express her time of disappea
stine, which, as well as India, is part of the continent of Asia. The
fable
represents Bacchus with horns, which may be suppo
e. How came the city of Athens to be so named after this Goddess? The
fable
relates, that Minerva and Neptune disputing with
[Frontispice.] [Epigraph.] O, ye delicious
fables
! where we wave And woods were peopled, and the ai
have not usually been presented in the same volume with the classical
fables
. The poetical citations so freely introduced are
a cup thrown into the Alpheus appeared again in Arethusa. It is this
fable
of the underground course of Alpheus that Colerid
he wave ——” Milton in his Hymn to the Nativity, thus alludes to the
fable
of the Halcyon: — “But peaceful was the night Wh
time they had a daughter born to them whose name was Pleasure. The
fable
of Cupid and Psyche is usually considered allegor
resented in the beautiful lines of T. K. Harvey: — “They wove bright
fables
in the days of old, When reason borrowed fanc
efore of much more recent date than most of the legends of the Age of
Fable
. It is this that Keats alludes to in his Ode to P
creature, is thyself;’” etc. Paradise Lost, Book IV. No one of the
fables
of antiquity has been oftener alluded to by the p
ads immortal life, Or nature there, imposing on her sons, Has written
fables
; man was made a lie.” Vol. II, p. 12. Pegasus, b
üs was a river that in seasons of rain overflowed its banks. When the
fable
says that Acheloüs loved Dejanira, and sought a u
stories rest on the same authority as other narratives of the “Age of
Fable
,” that is, of the poets who have told them. In th
That made the old time splendid.” Milton also alludes to the same
fable
in P. L., Book III, l. 568. “Like those Hesperia
ful mythological allusions. The former of the two following is to the
fable
of Castor and Pollux; the latter is more appropri
io volumes, contains with much that is valuable a large proportion of
fables
and inutilities. In particular he is so ample on
ple beast. Modern zoologists, disgusted as they well may be with such
fables
as these, disbelieve generally the existence of t
ble of being woven into a flexible cloth. The foundation of the above
fables
is supposed to be the fact that the salamander re
au lieu de jambes. Ceux qui veulent chercher la vérité à travers ces
fables
antiques, ont pensé que l’histoire des Titans n’e
la tourmentent et ne la laissent jamais jouir de son bonheur : cette
fable
semble aussi adresser une moralité à ceux qui veu
rbe dit : A beau mentir qui vient de loin ; il semblerait donc que la
Fable
aurait dû perdre de sa puissance à mesure qu’elle
Vénus, poëme. 44. Le Mierre, les Fastes, poëme. 45. La Fontaine,
Fables
. 46. Iliade, traduction de madame Dacier. 47.
Nature, — the sun, the moon, the heavens, the winds, or the sea. The
fables
first related about each deity represent, figurat
Eos loved him, and had carried him into immortal life. The views and
fables
connected with Eos were transferred by the Roman
tribes which are always mentioned together. According to the ancient
fable
, the Centaurs were part man and part horse. The m
ite. Now, when the very existence of Homer’s Troy had been declared a
fable
, the palace and the traces of the conflagration h
ology has none of the grace and poetic beauty which characterizes the
fables
of Greece and Rome. The wild and rugged North mad
Preface. The first two books of this Series were devoted to
fables
and fairy tales as the simplest forms of story. T
hers; suppositions became certainties; and soon the following myth or
fable
was evolved, to be handed down from generation to
aturally and necessarily produced the strange conglomerate of ancient
fable
.” As these two last-named schools have either su
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