aux. Le sablier est l’un de ses attributs. Les Saturnales étoient des
fêtes
en l’honneur de Saturne. Ces fêtes se célébroient
ributs. Les Saturnales étoient des fêtes en l’honneur de Saturne. Ces
fêtes
se célébroient pendant six ou sept jours de suite
la célébration des Saturnales. La plus grande licence se mêloit à ces
fêtes
, dans lesquelles on permettoit tout à des esclave
des lois pour réprimer les excès qui s’y commettoient. Les Opalies ou
fêtes
d’Ops étoient une dépendance des Saturnales. Cybè
coiffée avec des tours. Le buis et le pin lui étoient consacrés. Les
fêtes
de Cybèle, en mémoire de la mort d’Atis, n’étoien
ire de la mort d’Atis, n’étoient, pendant les premiers jours, que des
fêtes
funèbres. On y portoit le deuil, on y faisoit des
son frère, et dont l’ombre irritée eut besoin, pour être adoucie, des
fêtes
que Romulus institua en son honneur, et qui furen
furent appelées lemurales ou remurales. Pendant la célébration de ces
fêtes
lugubres, on fermoit à Rome les temples de toutes
e toutes les autres divinités et personne ne pouvoit se marier. Cette
fête
duroit cinq jours, et c’étoit au milieu de l’obsc
énies les mauvais vers. Nœnies, qui s’écrit différemment, étoient des
fêtes
en l’honneur de Bacchus, et qu’on célébroit la pr
étoit là qu’on révéloit aux initiés tous les secrets des mystères. La
fête
de l’initiation duroit neuf jours. Les principaux
it défendu de les divulguer, sous peine de la vie. La célébration des
fêtes
de Cérès offroit aussi un spectacle fort triste,
ou lui étoit consacré. Les Athéniens célébroient, en son honneur, des
fêtes
appelées les grandes et les petites panathénées.
il nomma Saliens. Quand on portoit les Anciles ou boucliers, dans une
fête
qui duroit trois jours, au commencement de mars,
ma Ariane, Erigone, etc. : son père nourricier s’appeloit Silène. Ses
fêtes
(les orgies, les bacchanales) étoient célébrées p
hus tenant un thyrse ou baguette entourée de lierre. On portoit à ses
fêtes
un van mystérieux ou licnon absolument nécessaire
ve-souris les Minéïdes, parce qu’elles avoient refusé de célébrer ses
fêtes
. Il punit le roi Penthée15 pour la même raison. I
tre autres, ceux de Thyades, de Menades, de Bassarides, etc. Dans les
fêtes
de Bacchus, ces femmes, l’opprobre de leur sexe,
ut en elles annonçoit l’ivresse et la fureur ; on les voyoit dans ces
fêtes
infâmes déchirer de jeunes taureaux et dévorer le
itiés aux mystères de Bacchus. Les agranies ou agrionies étoient des
fêtes
instituées à Argos, en l’honneur d’une fille de P
devenue odieuse par quelque action barbare, étoient exclues de cette
fête
. Vesta. Déesse du feu, fille de Saturne
ssource publique. Elles avoient leurs jours solemnels : le jour de la
fête
de Vesta le temple étoit ouvert extraordinairemen
, la rose blanche alors n’en fut que rougie. Les Adonies étoient des
fêtes
qu’on célébroit en l’honneur d’Adonis. On y preno
re, Céleste. Cette Vénus eut peu d’autels et l’on n’institua point de
fêtes
en son honneur. A la suite de l’histoire de Vénus
unon, des défis de beauté entre les femmes. Les calistées étoient des
fêtes
en l’honneur de Junon et de Cérés. Il y avoit un
la plus belle des femmes qui s’y trouvoit. Les Eléens célébroient ces
fêtes
en l’honneur de Minerve, mais le prix étoit pour
gardoient ces temples, et le lion lui étoit consacré. On établit des
fêtes
en son honneur ; dans la principale on couroit av
râces n’avoient communément qu’un même temple. On célébroit plusieurs
fêtes
en leur honneur, mais la saison riante de l’espér
pour se dérober aux poursuites d’Apollon. Tous les ans, le jour de la
fête
d’Apollon, Dieu de Leucade, on précipitoit du hau
aucoup d’autres jeunes personnes, sur le bord de la mer, célébrant la
fête
de Cérès Eleusine, des pirates les enlevèrent tou
des larmes nuit et jour sans interruption. Les brauronies étoient des
fêtes
en l’honneur de Diane, dans le bourg appelé Braur
rs. Les Béotiens instituèrent en l’honneur d’Apollon et de Daphné des
fêtes
appelées Daphnéphories, et qui se célébroient de
rtes du ciel. Elles eurent des temples. Les Athéniens célébroient une
fête
en leur honneur, appelée Horæa. Apollon étoit le
pirates, dont la plupart furent punis de mort. Les Musées étoient des
fêtes
instituées en l’honneur des Muses, d’où l’on a do
ité, fut consacré à Isis. On croit qu’il représente un calendrier des
fêtes
égyptiennes. La figure d’Isis occupe la plus gran
dans un Arabesque deux visages sur une tête. Les Januales étoient des
fêtes
de Janus, que l’on célébroit à Rome le premier de
l’épousa. Flore, déesse des fleurs, épousa Zéphire. Les florales, ou
fêtes
de Flore, furent instituées ou du moins renouvelé
ienfaitrice, lui donna le nom de Flore, et célébra en son honneur des
fêtes
dignes d’une telle divinité. Des courtisanes tout
enaissance des fleurs et des fruits, les vendanges célébrées dans les
fêtes
champêtres, les florales, les lupercales, les org
sidoit aux troupeaux. C’étoit en son honneur qu’on avoit institué les
fêtes
licencieuses appelées Lupercales. Pan en grec sig
s des cérémonies et des usages qui s’observoient parmi les Païens aux
fêtes
de Cérès, de Flore et de Bacchus. Dryas, Calli
le eut quitté la guerre pour s’occuper de l’institution des jeux, des
fêtes
, etc. tous les Dieux, pour honorer sa vertu, lui
les Faunes, etc., et par la licence des orgies, des lupercales et des
fêtes
de Flore. 5. Les bacchanales, les fêtes de Flore
rgies, des lupercales et des fêtes de Flore. 5. Les bacchanales, les
fêtes
de Flore, celles de Pan, celles de Bellone, les c
diateurs et des athlètes. On appeloit Sang ou jour de sang, certaines
fêtes
de Cybèle et de Bellone, dans lesquelles leurs pr
e sang en se faisant des incisions sur tout le corps. Aux lupercales,
fêtes
de Pan, ses prêtres, les Luperques, armés de foue
uccesseur. Alors on se réjouissoit de la résurrection du Prince et la
fête
duroit sept jours.
est né impuissant, que, devenu grand, il passa en Lydie, y porta les
fêtes
de Cybèle, et s’attira une si grande vénération d
partout sa malheureuse aventure, et partout aussi avoir institué les
fêtes
de la Cybèle phrygienne alors confondue avec Rhée
les fêtes de la Cybèle phrygienne alors confondue avec Rhée crétoise,
fêtes
d’après lesquelles fut organisée celle d’Atys. Un
un culte en l’honneur de ce jeune amant de leur grande divinité. Ces
fêtes
nommees Dendrophories ou fêtes des Pins, rappelai
une amant de leur grande divinité. Ces fêtes nommees Dendrophories ou
fêtes
des Pins, rappelaient la plupart des aventures de
fait mourir sa maîtresse. Le second jour, pouvant être regardé comme
fête
de transition, était destiné à faire entendre une
, laissent voir son effémination. Puisque nous venons de parler de la
fête
d’Atys, parlons de suite des fêtes de Cybèle. Ell
Puisque nous venons de parler de la fête d’Atys, parlons de suite des
fêtes
de Cybèle. Elles s’appelaient Cybélées ou Cybébée
ybantes. Les Mégalésies et les Lavations à Rome étaient également des
fêtes
en l’honneur de Cybèle. La cérémonie la plus rema
tes en l’honneur de Cybèle. La cérémonie la plus remarquable de cette
fête
était de tremper la statue de la déesse dans les
acrait le buis, avec lequel on faisait les flûtes qui servaient à ses
fêtes
, ainsi que le pin, le chêne, le cube et les dés.
faut pas confondre avec les Corybantes. Ces derniers célébraient les
fêtes
de leur divinité par des danses convulsives et dé
s sacrifices qu’on lui offrait. Le 9 juin on célébrait les Vestalies,
fêtes
pendant lesquelles on donnait des festins dans le
Argos une chapelle, et dans Athènes on célébrait en leur honneur, une
fête
qui portait le nom d’Horée. Mais revenons aux am
alie seule lui rendait les honneurs divins en célébrant les Pétories,
fêtes
semblables aux saturnales ; on lui sacrifia long-
ose que la Concorde, en l’honneur de laquelle on célébrait à Rome les
fêtes
appelées Charitès, durant lesquelles on s’envoyai
aux douze mois de l’année, et à Rome on célébrait en leur honneur des
fêtes
appelées Consenties. Puis vinrent les huit grand
oir eu à se plaindre de Tros, qui ne l’avait pas invité à la première
fête
par lui donnée à Troie, lui fit une guerre assez
nt pour réclamer de lui un temps pluvieux ; les Buphonies étaient des
fêtes
athéniennes, dans lesquelles un sacrificateur app
olieus ; les Dios Bœs, se célébraient à Milet en immolant pendant ces
fêtes
un bœuf à Jupiter ; les Eleustéries avaient été i
ées à Platée en l’honneur de Jupiter-Libérateur : c’étaient de vraies
fêtes
de la liberté, qui se célébraient tous les cinq a
ardonius, général des Perses ; les Hécalésies ou Homolies étaient des
fêtes
joviennes à Hécale en Attique et sur le MontHomol
ur le MontHomole en Thessalie ; les Jovialis à Rome étaient les mêmes
fêtes
que les Daulies des Argiens ; les Laurentales se
upiter et d’Acca Laurentia, nourrice de Romulus ; le Latiar était une
fête
annuelle que tous les peuples du Latium venaient
le avait été instituée par Tarquinle-Superbe ; les Lycées étaient des
fêtes
barbares instituées par Lycaon en Arcadie, et dan
de Jupiter ; elles devinrent les Lupercales à Rome, mais à Argos, les
fêtes
du même nom se célébraient en l’honneur d’Apollon
ient à Athènes en l’honneur de Jupiter ; les Panhellenies étaient des
fêtes
offertes au même dieu ; tous les peuples de la Gr
, en l’honneur de Jupiter sauveur du Capitole. Jupiter avait donc des
fêtes
chez la plupart des peuples de l’antiquité ; son
il pénétra promptement en Asie, dans la Syrie et jusqu’en Égypte. Les
fêtes
de Junon ou Hérées se faisaient remarquer par la
rait, sous un figuier sauvage, le 7 juillet, les Nones Caprotines, ou
fêtes
annuelles dans lesquelles étaient admises les ser
’ennemi en pièces. Dans plusieurs autres villes où l’on célébrait des
fêtes
en l’honneur de Junon, comme, par exemple, à Argo
lle s’était enfuie en Égypte sous la figure d’une génisse. Les autres
fêtes
les plus remarquables consacrées à Junon se nomma
nt à Rome les Hérées des Grecs ; les Lysandries étaient les anciennes
fêtes
de Junon auxquelles les Samiens donnèrent le nom
à Rome, sous celui de Juventus. On avait institué en son honneur des
fêtes
où les jeunes gens ne portaient que des couronnes
rve. Vulcain était particulièrement honoré en Grèce et à Memphis, ses
fêtes
s’appelaient Céramicies à Athènes, ou Héphestienn
tes s’appelaient Céramicies à Athènes, ou Héphestiennes ; pendant ces
fêtes
, trois jeunes garçons disputaient le prix à qui c
ome on célébrait en son honneur au mois d’août, les Vulcanales. Cette
fête
durait huit jours, durant lesquels on allumait de
s Thébains, les Samothraces, puis fut importé en Italie par Énée. Les
fêtes
de ces dieux particuliers se célébraient la nuit
fils Itys et profite de la liberté que les femmes avaient pendant une
fête
de Bacchus pour courir délivrer sa sœur ; alors e
ient en sautant et chantant ces boucliers sacrés, puis finissaient la
fête
par un repas si bien somptueux et délicat, que de
inal ou Patricien et de plus les Martiales lacini pour ministres. Les
fêtes
de Mars se nommaient les Ancilies ; elles commenç
e brebis et un taureau. Mars partageait avec la déesse de la paix les
fêtes
que l’on célébrait dans le temple de Janus. Après
mières familles, et était nommé à vie. Ces prêtres, pour célébrer les
fêtes
de cette déesse, se faisaient d’abord sérieusemen
trésors de la déesse. On célébrait en son honneur, tous les ans, des
fêtes
durant lesquelles des hommes, privés de tous vête
endant malgré cette indecente cérémonie, il ne faut pas confondre les
fêtes
de Lucine avec les Lupercales ou orgies consacrée
Cratis, sur lequel les Argiens allaient cherche le feu sacré, pour le
Fêtes
de Lerna, Pharetra Dea et Podogra ou l’artente à
raient en son honneur, tous les mois le soir de la nouvelle lune, des
fêtes
appelées Hécatésies, pendant lesquelles les gens
de toutes ces prêtresses. Elles célébraient en son honneur plusieurs
fêtes
; telles étaient : les Amarynthies ou Amarysies s
de Diane-Artémise à Delphes et à Syracuse ; les Bendidies étaient des
fêtes
licencieuses qui, après avoir été importées de Th
t à Athènes le 19 ou le 20 du mois Thargelion ou mois des Thargélies,
fêtes
d’Apollon ; les Brauronies qu’on célébrait tous l
e de Diane qu’il avait enlevée de la Chersonèse-Taurique. Pendant ces
fêtes
on sacrifiait un bouc ou une chèvre ; de jeunes f
en faire couler quelques gouttes de sang. Les Canephories étaient des
fêtes
de Diane en Sicile. Les Caryes étaient des fêtes
ephories étaient des fêtes de Diane en Sicile. Les Caryes étaient des
fêtes
célébrées par des danses en son honneur, chez les
honneur, chez les habitans de Caryes. Les Calaoïdies étaient d’autres
fêtes
où les chants remplaçaient les danses en Laconie.
’honneur de Diane Chitonia et Dictynna. Les Diamartigoses étaient les
fêtes
spartiates de Diane Orthia instituées par Lycurgu
rent dans un second combat contre ce peuple. Les Ephésies étaient des
fêtes
en l’honneur de Diane pendant lesquelles les Ephé
and ils venaient à se détacher du bûcher. Les Limnatidies étaient les
fêtes
des pêcheurs. Les Munychies, celles pendant lesqu
geance. Pendant neuf jours, Iobate accueillit le jeune envoyé par des
fêtes
et des festins, mais le dixième, ayant enfin déca
t au commencement et à la fin de ces repas qu’on les invoquait. Leurs
fêtes
, appelées Musées, avaient lieu en Grèce avec plus
ersonne de son favori, les Lacédémoniens célébraient annuellement des
fêtes
qui duraient trois jours. Les deux premiers étaie
thra », ne laisse aucun doute sur la puissance qu’on lui prêtait. Ses
fêtes
, appelées Mithriaques, se célébraient à Rome comm
a Crète ; dans l’Asie-Mineure et particulièrement en Lycie. Quant aux
fêtes
spéciales d’Apollon, comme dieu de l’harmonie ou
deux divinités pour les supplier de revenir. Les Carnées étaient des
fêtes
militaires à Lacédémone instituées par le troyen
usique et de poésie, lors de chaque pleine lune. Les ministres de ces
fêtes
appelés Carnéates ne pouvaient se marier pendant
rcé en l’honneur de son père le soleil. Les Daphnéphories étaient des
fêtes
béotiennes que tous les neuf ans on célébrait en
s Athéniens en l’honneur d’Apollon Delios. Les Delphinies étaient les
fêtes
d’ Apollon Delphien célébrées dans le mois de jui
de l’heureux retour d’un ami ou d’un parent. Les Galaxies étaient des
fêtes
pendant lesquelles on offrait à Apollon des gâtea
odes pour honorer la naissance du soleil. Les Hécatombées étaient des
fêtes
à Athènes pendant lesquelles les premiers jours d
giens et les Eginètes célébraient également et de la même manière ces
fêtes
, mais en l’honneur de Jupiter. Les Héliaques avai
ui avaient dévoré les troupeaux d’Admète. Les Mélagitnies étaient des
fêtes
chez les Mélagitnies étaient des fêtes chez les M
e. Les Mélagitnies étaient des fêtes chez les Mélagitnies étaient des
fêtes
chez les Mélitéens pour remercier Apollon de les
romaines étaient, dans toute la Grèce et à Rome, comme en Egypte, les
fêtes
de la nouvelle Lune. On les célébrait avec la plu
en l’honneur d’Apollon Polius ou le Gris. Les Pyanepsies étaient des
fêtes
athéniennes qui arrivaient le septième jour du mo
leur institution à Thésée. Les jeux Pythiques ou Pythiens étaient les
fêtes
les plus brillantes qui se célébraient en Grèce e
tions. On disait que les Dieux avaient pris part à la première de ces
fêtes
, dont la célébration avait eu lieu l’an 1263 av.
aient à Delphes que les jeux pythiens revenant tous les sept ans. Ces
fêtes
avaient cela de particulier que l’on y faisait un
ulacre d’assaut donné au temple d’Apollon. Les Thargélies étaient des
fêtes
athéniennes qui se célébraient dans le mois Tharg
’argent au vainqueur de ces jeux. On prétend aussi qu’à la fin de ces
fêtes
on offrait un sacrifice à l’ensemble de tous les
e auquel on donna depuis le nom d’Apollon Carnéen, et on institua des
fêtes
. Cependant il paraît que ce Carnos différait du t
démone par des ministres appelés Carnéates obligés de servir dans ces
fêtes
durant quatre ans, sans pouvoir se marier, étaien
le célébraient tous les ans le 11 et le 15 janvier les Carmentales ou
fêtes
en son honneur, introduites en Italie six ans ava
r pour du mépris, elles s’enivrèrent pendant la célébration d’une des
fêtes
de Bacchus, et mirent en pièces le pauvre Orphée,
ersonnification représentée par un nain enveloppé ; puis, lorsque les
fêtes
de Bacchus et les jongleurs eurent habitué le peu
le d’Hygie, enlacée de tresses de cheveux et de bandelettes. Quelques
fêtes
remarquables étaient célébrées en l’honneur du Di
tropes étaient figurés un fouet ou une épée nue à la main. Dans leurs
fêtes
ou atropies, on chantait des hymnes en leur honne
nes en leur honneur, et on leur sacrifiait un jeune agneau. Quant aux
fêtes
d’Esculape, elles étaient appelées Epidauries. M
on et en l’honneur lesquels furent institués à Délos les Mégalorties,
fêtes
célèbres par leurs processions où l’on portait de
it par réunir plusieurs documens épars, et il arriva à savoir que les
fêtes
de Cérès, appelées Eleusinies, dans lesquelles ce
e, ou de cinq en cinq ans ; cependant on assure que la portion de ces
fêtes
, connue sous le nom de petits mystères, ne se ren
directe. En effet, ayant traversé le territoire d’Eleusis pendant les
fêtes
, il demanda l’initiation ; mais comme sa qualité
contemplateur. Ces grands mystères ou grandes Eleusinies étaient des
fêtes
qui duraient neuf jours. On appelait le premier A
ndu Meursius. Cette exaltation qu’on retrouve dans la célébration des
fêtes
de beaucoup de dieux et de déesses, indique combi
mmettaient les dames grecques quand elles n’allaient pas à pied à ces
fêtes
et qu’elles osaient y paraître en char. On célébr
osaient y paraître en char. On célébrait encore plusieurs différentes
fêtes
de Cérès : la plus après les Eleusimes, était cel
tolème ou par Orphée, ou plus probablement par les Danaïdes ; car ces
fêtes
semblaient devoir leur origine à l’Egypte où l’on
tique. C'était pour célébrer cette arrivée que l’on avait institué la
fête
Lernéenne, dans les Landes de Lerne à quarante st
Lerne à quarante stades ou deux lieues environ d’Argos. Pendant cette
fête
on jetait des torches ardentes au fond d’une foss
it plataniste ou platanôme. L'institution de ces mystères et de cette
fête
fut, peut-être à tort, attribuée à Philammon, car
Achaïe, à Sicyone et à Mysie, les femmes célébraient les Mysiennes ou
fêtes
de Cérès, qui duraient trois jours, en chassant,
. Enfin dans toute la Grèce, Cérès était adorée, et toujours dans ses
fêtes
elle était accompagnée de Proserpine, sa fille, e
qui les premiers offrirent des sacrifices à Cérès, avaient les mêmes
fêtes
que la Grèce, et célèbraient l’enlèvement de Pros
es recherches de sa mère à l’instant des semailles. La plupart de ces
fêtes
étaient encore désignées par des noms particulier
des jeunes gens tenant en main des ceps et des grappes de raisin. Ces
fêtes
étaient presque semblables aux scires athéniennes
on offrait à Cérès avant les semailles ; enfin les Pylées étaient des
fêtes
en l’honneur de Cérès-Pyléa, qui se célébraient a
es. C'étaient les dames romaines, vêtues de blanc qui célébraient ces
fêtes
, et l’on ne pouvait y paraître sous peine de mort
elle. Les laboureurs l’honoraient beaucoup et lui immolaient, lors de
fêtes
particulières appelées Robigalies, une brebis et
ça seulement dans cette ville à célébrer annuellement le 28 avril des
fêtes
appelées Florales, qui duraient six jours, et don
ne de feuilles de vigne et de raisins. Quant à Vertumne, il avait des
fêtes
assez célèbres dites Vertumnales qui avaient lieu
; plus tard elle fut métamorphosée en simple déité champêtre dont les
fêtes
appelées Palilies ou Parilies se célébraient le 2
Calendes de Mars, répondant au jour même de la fondation de Rome. Ces
fêtes
n’étaient pas seulement des invocations, des homm
de jeunes veaux brûlés à l’état de fœtus. Le jour des Fordicidies ou
fêtes
en l’honneur de Tellus, on semait alors ces cendr
ui supprima les feux des Néoménies. Quant aux Parilies, c’étaient des
fêtes
analogues qui se célébraient dans l’intérieur des
t marchant après l’Amour, comme le plus aimable des dieux et dont les
fêtes
en Thessalie respiraient la gaité la plus vive ;
es adorateurs un temple à Adonis, et l’on institua en son honneur les
fêtes
les plus remarquables de l’antiquité, les Adonies
ès chez les Egyptiens, les Assyriens, les Perses et dans Athènes. Ces
fêtes
, dit-on, duraient deux ou trois et même huit jour
et même huit jours, dans quelques contrées. La première partie de ces
fêtes
s’appelait l’Aphanisme ou disparition, et n’était
pleurait enfin la mort d’Adonis. Cet aphanisme était la portion de la
fête
la plus magnifique, mais le plus habituellement o
s lesquels, après la mort de sa femme, il institua en son honneur des
fêtes
appelées Orgies, pareilles à celles que nous trou
prise avec Mars, elles eurent l’imprudence de négliger long-temps les
fêtes
de cette déesse, qui, pour se venger, leur donna,
stics météorologiques et astronomiques y tinrent le premier rang. Les
fêtes
de Vénus se composaient de rites mystérieux, et,
se composaient de rites mystérieux, et, sans parler des Pervilies, ou
fêtes
nocturnes des Romains, ni des Histeries, pendant
, qui se célébraient pour Vénus comme pour Junon, nons dirons que les
fêtes
les plus remarquables en l’honneur de cette déess
traire le retour annuel de Vénus en Sicile. Mais les premières de ces
fêtes
ou aphrodisies étaient les plus brillantes, et se
, du reste, qui ne devait pas paraître bien pénible à Corinthe, où la
fête
de Vénus était particulièrement célébrée par les
, suivant Lucien, après les libations de vin, on immolait pendant ces
fêtes
une chèvre blanche, et les cuisses des victimes é
queue du lion. Les temples de Vénus dans lesquels se célébraient ces
fêtes
étaient fort nombreux. Les plus renommés étaient
e Léandre, à un ilot sur la côte d’ Anatolie. L'ayant aperçu dans une
fête
de Vénus, il en devint amoureux et s’en fit aimer
à Corynthe, à Chio, en Thrace et dans beaucoup d’autres endroits des
fêtes
, dont les mystères étaient si licencieux que l’on
ups en l’honneur des Grâces. Ces compagnes de Vénus avaient plusieurs
fêtes
, dont les principales étaient les Charisies, dans
s dans la Grèce et à Rome, aussi on l’honorait en tous lieux, par des
fêtes
, des vœux, des prières et des sacrifices qu’il re
sacrifices qu’il recevait seul, ou qu’il partageait avec sa mère. Ces
fêtes
s’appelaient les Eleuthéries chez les Samiens, qu
d’Athènes, qui s’apprêtaient avec lui au bord de la mer à célébrer la
fête
de Cérès, il fut ainsi que toutes ses compagnes,
ge, ils l’invoquèrent comme un dieu et célébrèrent en son honneur des
fêtes
appelées Hyménées. Plus tard à Rome, on adora de
icencieuse à Lampsaque, capitale de la Mysie. On lui offrait dans ses
fêtes
, qu’on appelait Ornées ou Priapées, des grains, d
après sa mort comme une divinité. On institua même en son honneur une
fête
nommée Hellotia, d’où lui vient le nom d’Europe-H
nommée Hellotia, d’où lui vient le nom d’Europe-Hellotès ; dans cette
fête
, les restes de cette princesse Phénicienne étaien
e nous connaissons pour son fils supposé, institua en son honneur les
fêtes
appelées Athénées, auxquelles, plus tard, Thésée,
d’Athènes, donna un lustre magnifique, en les nommant Panathénées ou
fêtes
de tous les adorateurs d’Athèna. Il y avait les g
et les petites Panathénées, revenant chaque année. Pour célébrer ces
fêtes
de Minerve, les jeunes filles se partageaient en
r succombé, venait de sortir du combat avec le plus de blessures. Ces
fêtes
, d’abord établies dans la Libye, près du marais T
célèbres de la déesse, de Jupiter et de plusieurs héros. Lors de ces
fêtes
, on délivrait des prix aux athlètes des jeux gymn
ux Panathénées, porter à la main une branche de cet arbre. Les autres
fêtes
instituées en l’honneur de Minerve et jouissant d
ctoire ; les Arréphories ou Herséphories ou Arrétêphories étaient des
fêtes
Athéniennes dans lesquelles on portait des objets
a victoire de Minerve sur Neptune ; les Oléries étaient en Crète, les
fêtes
de Minerve Oleria ; les Pambéotés étaient les Pan
t cinq jours, d’où vint leur nom ; les Sthénies étaient, à Argos, des
fêtes
en l’honneur de Minerve-Sthéniade ; ces fêtes éta
s étaient, à Argos, des fêtes en l’honneur de Minerve-Sthéniade ; ces
fêtes
étaient célébrées aussi par les Athéniennes ; alo
nes, en mémoire de la réunion des bourgs en une seule ville. Dans ces
fêtes
, on lui consacrait l’olivier, arbre favori, la ch
ainsi que le dragon, emblème de sa haute sagesse. Honorée par tant de
fêtes
, Minerve devait nécessairement avoir des temples
et dans la cuisse de Jupiter, en raison de quoi l’on criait dans ses
fêtes
. Déliez la ceinture ? d’où vint le nom de Dithyra
nom qu’on lui donnait par suite des danses qui avaient lieu dans ses
fêtes
; Ephaptor ou le toucheur ; Erebinthinos ou qui f
lée ou de la saison pluvieuse, pendant laquelle venaient toujours ses
fêtes
; Iacchos ou le fils de Cérès ; Inverecundos Deus
Cérès ; Inverecundos Deus, io Bacche, nom que l’on répétait dans ses
fêtes
; Lampter ou qui boit à la lumière des flambeaux
le père de la liberté ; Licnitès ou du van que l’on portait dans ses
fêtes
. Limnœus ou de Limnes, quartiers d’Athènes ; Lœba
arpolette avec laquelle on s’amuse encore aujourd’hui dans toutes nos
fêtes
publiques. Bacchus espérant retirer de l’empire d
eur de son père, et donna le nom de sa mère à un chœur de musique des
fêtes
de Bacchus. Phlias que l’on croyait quelquefois f
te de Bacchus, eut, dit-on, le même sort. Arunlicès ayant méprisé les
fêtes
de ce Dieu, s’enivra, et dans son ivresse, abusa
yant pas voulu se déranger un jour de leurs travaux pour assister aux
fêtes
de Bacchus, furent punies en étant inspirées par
la Grèce. Ce fut là surtout que l’on célébra le plus brillamment les
fêtes
de Bacchus, que l’on y désigna sous le nom généri
es n’étaient pas autre chose que les Pamylies égyptiennes. Dès que la
fête
de Bacchus était arrivée, on ornait son temple de
assistaient à la cérémonie, festin que l’on faisait précéder par des
fêtes
, dans lesquelles on donnait une coupe pour prix,
es processions, ils étaient analogues à ceux des Eleusinies, dans les
fêtes
de Cérès. Les Dionysiaques étant le nom générique
dans les fêtes de Cérès. Les Dionysiaques étant le nom générique des
fêtes
de Bacchus ; voici quelles étaient les noms parti
fêtes de Bacchus ; voici quelles étaient les noms particuliers de ces
fêtes
: les anciennes se célébraient au mois de janvier
s femmes appelées Vénérables ; les Arcadiques étaient en Arcadie, des
fêtes
dans lesquelles les enfans montés sur un théâtre,
les pouvaient assister ; les Airéennes ou Aloennes, étaient les mêmes
fêtes
que celles de ce nom, célébrées en l’honneur de C
de graisse à Mercure. Les Ascolies, étaient à Athènes, et à Rome les
fêtes
pendant lesquelles on sautait à cloche-pied sur u
cence alors n’eut plus de bornes. Les Dendrophories étaient les mêmes
fêtes
pour Bacchus que pour Cybèle ; les Epilénies ou f
aient les mêmes fêtes pour Bacchus que pour Cybèle ; les Epilénies ou
fêtes
des pressoirs, se célébraient en Grèce ; les Lamp
s des pressoirs, se célébraient en Grèce ; les Lamptéries étaient des
fêtes
que le bas peuple célébrait la nuit aux flambeaux
igne chargé de fruits ; les Rhapsodon Eorte ou Rhapsodies étaient des
fêtes
ou concours poétiques qui avaient lieu pendant le
sanctuaire. Les Tricterides et Tricteriques et Triennales étaient des
fêtes
que Bacchus avait instituées en Thrace et qui rev
antant son retour et le croyant au milieu d’elles. La Tyrbé était une
fête
tumultueuse de l’Achaïe, en l’honneur de Bacchus
ées par César, pour fêter Bacchus après les vendanges. Pendant ces
fêtes
, on immolait en Grèce à Bacchus, la pie, emblème
Grèce, les femmes seules présidaient aux mystères de Bacchus et à ses
fêtes
. Ces prêtresses appelées aussi Bacchantes, portai
avant d’offrir à César, la couronne de Dictateur. Ces Lupercales, ou
fêtes
de Pan, se célébraient chaque année à Rome, le 15
, Fatuus ou Fatuelius et Fatua. On avait institué en leur honneur des
fêtes
appelées Faunalies qui avaient lieu le 9 novembre
ui placé sur le bord de la mer, et un autre sur le mont Viminal ; ses
fêtes
étaient les Dendrephories, dans lesquelles ses pr
ait des agneaux blancs, et l’on célébrait en leur honneur de joyeuses
fêtes
appelées Anacées, Anactés et Dioscuries. On les r
r duquel les peuples des environs vinrent, chaque année, célébrer une
fête
en l’honneur d’Hercule. Lors de son arrivée aux e
rent de ce ministère, et il fut mis entre les mains des esclaves. Les
fêtes
que l’on célébrait en l’honneur d’Hercule, étaien
s, de se cacher sous des habits de femme ; les Ergasties ou Ergaties,
fêtes
de Sparte, célébrées en souvenir des travaux d’He
lébrées en souvenir des travaux d’Hercule, les Héraclées, étaient des
fêtes
quinquennales, qui avaient lieu à Athenes, à Sicy
cocher d’Hercule lui avait donné pour combattre l’Hydre de Lerne. Ces
fêtes
célèbres en Sardaigne, ou se trouvaient le Cénota
e grâces ou qui permettait à Samos de voler impunément, le jour de sa
fête
; Chthonius ou le messager des enfers ; Chrysorrh
on lui éleva un temple, près du Stade d’Olympie, et l’on institua des
fêtes
annuelles, sous le nom d’Ischénies ; Lares ou Pén
s grands seigneurs. Les esclaves leur consacraient des chaînes. Leurs
fêtes
étaient les Hararies et les Compitales, dont les
stres étaient des esclaves, affranchis pour le temps seulement de ces
fêtes
. Les premières avaient lieu au mois de décembre,
ome, 675, un temple où l’on célébrait, le 15 mai de chaque année, une
fête
solennelle, à laquelle assistaient surtout les ma
une truie, et lui offraient du miel, des figues et du lait. D’autres
fêtes
encore, avaient été instituées en l’honneur de Me
oucher. Les hermées des Grecs ou mercuriales des Romains, étaient des
fêtes
dans lesquelles les Crétois, les Athéniens et les
e Minos, et lutteur habile, se distingua tellement à Athènes lors des
fêtes
Panathénées, que le roi de l’Attique, Égée, devin
our mettre un terme à tant de malheurs, non seulement d’instituer des
fêtes
appelées Androgéonies, en mémoire de la mort d’An
route, il s’arrête chez Teutamias roi de Larisse, pour assister à des
fêtes
funèbres que l’on célébrait en l’honneur de la mo
première divinité, avaient pour lui un respect tout particulier. Ses
fêtes
n’étaient pas très nombreuses : on lui consacrait
érigé une statue d’airain haute de sept coudées. Si nous suivons les
fêtes
de Neptune, nous trouvons que les Consuales étaie
ons les fêtes de Neptune, nous trouvons que les Consuales étaient les
fêtes
pendant lesquelles les romains enlevèrent les Sab
ombreuses cavalcades ; puis on donnait, pendant toute la durée de ces
fêtes
, congé aux chevaux, aux mulets et aux ânes : on l
Hippios ; mais les jeux isthmiques étaient assurément les plus belles
fêtes
de Neptune : elles se célébraient tous les cinq o
s d’animaux. Après les jeux isthmiques on remarquait encore parmi les
fêtes
de Neptune les Monophagies d’Egine où les seuls c
ient en commun sans domestiques ; les Neptunales étaient, à Rome, des
fêtes
pareilles aux Consuales ; les Onchesties se céléb
forme d’un cheval des cavales de Dardanus. Ce roi des vents avait des
fêtes
à Athènes, appelées Boréasmes ou Borésines, dans
r ami, offrirent un sacrifice à la mère des Dieux et instituèrent des
fêtes
et des jeux funèbres en l’honneur de Cyzique. Cep
e d’abord Parale, puis Déliaque. Thésée, en même temps, institua deux
fêtes
qui portèrent le nom de Délies : l’une se célébra
iadne à son amant, avait été déposée dans l’île de Délos. Pendant ces
fêtes
, on entourait de guirlandes cette statue, on fais
s lesquelles on cherchait à imiter les détours du labyrinthe. L'autre
fête
avait lieu tous les ans ; alors, on envoyait d’At
uis afin de donner plus de force à la religion, il institua plusieurs
fêtes
nouvelles, rétablit en l’honneur de Neptune les j
ruits ; quelquefois on leur sacrifiait une chèvre ou un mouton. Leurs
fêtes
s’appelaient Nymphées. On représente les nymphes
peignaient une clef à la main, et en son honneur, ils célébraient une
fête
le 17 août. Sa mère fut changée par les Dieux en
, où elle avait un temple dans lequel on célébrait en son honneur des
fêtes
appelées Matrales. On lui offrait des gâteaux de
lieu le vingt juin ou, suivant d’autres, au mois de février, jour des
fêtes
expiatoires de Pluton appelées februales ou fébru
ns, tous la révéraient ; chez les Sabins on l’appelait Féronie, et sa
fête
était des plus brillantes. Elle avait en outre un
honneur, et pour la rendre favorable on les jetait sur le bûcher. Ses
fêtes
les plus brillantes étaient les suivantes : les A
étaient pour l’honorer comme reine du Cocyte ; les Corées étaient des
fêtes
pour la jeune et toute puissante fille de Cérès ;
ibiade, pour quelques plaisanteries qu’il s’était permises contre ces
fêtes
, établies en l’honneur de Cotytto, ou Cotittis, d
sorties, qu’on institua en leur honneur, pour ces mêmes jours, trois
fêtes
, pendant lesquelles on devait s’abstenir de toute
s, du 21 au 24 février. Les Athéniens leur avaient aussi consacré une
fête
solennelle dans le mois de janvier, pendant laque
vier, pendant laquelle il n’était pas permis de se marier. Toutes ces
fêtes
grecques ou romaines se célébraient à l’entrée de
s eût établi, en l’honneur de sa victime, des sacrifices expiatoires,
fêtes
que l’on appela d’abord Rémuries, puis Lémuries,
es temples étaient fermés et les mariages défendus. Pour célébrer ces
fêtes
, le père de famille se levait à minuit et au mili
s armes effrayantes qu’elles vont assaillir le criminel au milieu des
fêtes
et des festins. Les Euménides avaient des chapell
elles l’on n’admettait que les hommes libres et vertueux. Pendant ces
fêtes
, on immolait des brebis pleines, l’on faisait des
lles. Pour célébrer l’action d’Hypermnestre, les Argiens fondèrent la
fête
des torches ou Pyrsôn-Eortè, en mémoire des torch
édémoniens lui avaient élevé un temple à Brasie, ou l’on célébrait sa
fête
; tous les ans on lui adressait des offrandes com
Hercule. Salamine lui éleva un temple, et institua en son honneur des
fêtes
annuelles appelées Eantées, ou Ajaxties, ou Ajaci
conçoit, de citer tous les noms. Ainsi, à part Alcinoüs qui donne des
fêtes
à ce célèbre naufragé, c’est Anabasmée ou Ambasin
lle, pour leur rendre les derniers devoirs. A Thèbes, on institua une
fête
en l’honneur de ce héros. Hector laissa de son ma
e et fut alors reconnue déesse et nymphe du Numicius. On célébrait sa
fête
le 15 mars, c’est-à-dire à l’ouverture du printem
aux muscles humains ; elle avait un temple sur le mont Cœlius et une
fête
qui se célébrait le 1er Juin. Cathares ou les Pur
dius, Sancus ou Semi-pater, ou dieu de la foi et des sermens, dont la
fête
se célébrait le 5 Juin sur le mont Quirinal. Fluo
ne des réjouissances ; on célébrait en son honneur, le 8 juillet, une
fête
appelée Vitulation, dans laquelle on lui offrait
devint la plus puissante des divinités égyptiennes. Osiris avait des
fêtes
très-nombreuses dans toute l’Egypte, tant pour cé
réunit, puis elle ensevelit cet époux à Philes, où elle institue des
fêtes
en son honneur, et donne à son tombeau la forme d
et passant pour femme d’ Osiris, devenu dieu et juge des enfers. Les
fêtes
d’Isis, que l’on regarde toujours comme une Cérès
les bords du Nil, à l’instant de ses inondations, telles étaient les
fêtes
de l’Egypte, dont les prêtres furent pendant de l
sanglant : on lui offrait des gâteaux, des liqueurs, des parfums. Ses
fêtes
se célébraient avec beaucoup de pompe ; et, penda
ms. Ses fêtes se célébraient avec beaucoup de pompe ; et, pendant ces
fêtes
, on voyait çà et là, de jeunes couples se perdre
sa statue avec beaucoup de pompe, les femmes qui assistaient à cette
fête
, dansaient à la manière des bacchantes et poussai
s, l’agriculture ; fit élever des temples, des villes et institua des
fêtes
. On le représente avec un corps de poisson, les p
ait faites, on lui éleva des autels, et on établit en son honneur des
fêtes
annuelles. Thammouz, dieu-prophète des Assyriens
emples. Les Assyriens, en voyant ce deuil des dieux, instituèrent des
fêtes
en l’honneur du dieu-prophète. Emoun est l’Escul
déesse de l’abondance ; on célèbre avec beaucoup de pompe à Odéi les
fêtes
instituées en son honneur. Ses adorateurs portent
ts qui passe par ses deux mains. On célèbre tous les ans deux grandes
fêtes
en son honneur. Quant à Satiabhama, elle était fi
ensibles ; nous consacrerons seulement quelques lignes à indiquer ses
fêtes
les plus célèbres ; elles ont lieu les 7, 8 et 9
s ; elles ont lieu les 7, 8 et 9 de Tchaitra, ou mars-avril, c’est la
fête
du printemps, elle fut instituée par le roi Soura
7, 8 et 9e jours lunaires d’Açouina, ou septembre-octobre ; c’est la
fête
d’automne, elle est consacrée à Bhavani Dourgakal
es autels ; vient ensuite le 14 de Margasircha, ou novembre-décembre,
fête
en l’honneur de Bhavani-Gauri, pendant laquelle o
Bhavani-Gauri, pendant laquelle on mange force gâteaux de riz, et la
fête
du 4 de Maga, ou de janvier à février. On représe
de Siva et surtout de Mariatala qui, par dévotion pendant une de ses
fêtes
, se font suspendre à un croc par les chairs du do
sacrifient leur vie pour leurs dieux ; aussi, pendant le Tirounnal ou
fête
du chariot, des pères, des mères, tenant en leurs
ns du mort, et toujours elles sont ivres en allant à ce supplice. Les
fêtes
du Pongol et du soleil sont aussi très célèbres ;
e de cette immortelle discussion, que les Bouddhistes instituèrent la
fête
des Ters vaincus. A la suite de cette victoire,
ste, ces temples sont soigneusement fermés à tout étranger. Quant aux
fêtes
du Bouddhisme au Thibet, elles ne semblent pas di
Manipa est un dieu des Tangutains, qui célèbrent en son honneur une
fête
annuelle, pendant laquelle les jeunes gens armés,
ses habitans. Les Chinois de la plage où il débarqua instituèrent une
fête
en son honneur, fête qui se célèbre encore tous l
nois de la plage où il débarqua instituèrent une fête en son honneur,
fête
qui se célèbre encore tous les ans à la Chine et
rd mieux apprécié le mérite de Phélo, instituèrent en son honneur une
fête
dans laquelle ils montent sur des barques et cour
r des barques et courent de tous côtés comme pour le chercher : cette
fête
se célèbre au commencement de Juin. Poussa est l
ices. On célèbre tous les ans, le seizième jour du neuvième mois, une
fête
solennelle en son honneur, dans tous les endroits
sio-daï-tsin, suivant les Sintoïstes qui célèbrent, tous les ans, une
fête
en son honneur, le vingt-cinq du huitième mois. O
n honneur, le troisième mois de l’année, la deuxième des cinq grandes
fêtes
japonaises, et elle est appelée la fête des pèche
la deuxième des cinq grandes fêtes japonaises, et elle est appelée la
fête
des pèches. Ce sont les jeunes filles qui ont le
mauvaises rencontres. Les Sintoïstes ont établi, en son honneur, une
fête
annuelle qui se célèbre avec beaucoup de solennit
solennité à Nangasaki, le quinze du sixième mois. En outre, il a une
fête
tous les quinze de chaque mois. On place son imag
aristin, dieu de la guerre. Les Japonais célèbrent en son honneur une
fête
au mois d’avril ; dans cette fête, ils se divisen
ponais célèbrent en son honneur une fête au mois d’avril ; dans cette
fête
, ils se divisent en deux troupes, qui se battent
de lui demander des enfans. Souva, dieu de la chasse. Le jour de sa
fête
annuelle, des musiciens nombreux précèdent une lo
me, et s’en servit pour monture. Les Gahanbars furent d’abord les six
fêtes
instituées en l’honneur de la création et de la l
des mots magiques pour pouvoir y entrer. Kaleda, Dieu de la paix. Sa
fête
que l’on célébrait le vingt-quatre décembre, étai
ieux après Peroun ; il présidait aux fruits de la terre ; il avait sa
fête
le vingt-quatre juin ; elle se célébrait en metta
s dans ces contrées qu’après l’introduction du polythéisme Romain. La
fête
la plus brillante de ces peuples était la cérémon
la forme d’un chêne lorsqu’on le priait d’inspirer de sages avis. Ses
fêtes
avaient lieu pendant la nuit au milieu des forêts
Pruczes. Au commencement de l’année, on célébrait en son honneur une
fête
dans laquelle le prêtre remplissait de bière une
inte offrait des gâteaux sacrés, des fleurs, des fruits, au milieu de
fêtes
somptueuses où les Caciques ou rois étaient oblig
a. Toïa, était dieu du mal à la Floride. Quand on célébrait quelque
fête
en son honneur, les mères déchiraient cruellement
fraient le sang à Toïa, en prononçant trois fois son nom. Pendant ces
fêtes
, trois prêtres s’enfoncaient dans la forêt pour c
née, de l’herbe, et le dieu du feu : aussi célébrait-on trois grandes
fêtes
en son honneur. Centéocl était une véritable Cér
hevelure était une oreille, symbole de l’attention. La principale des
fêtes
celébrées en son honneur avait lieu le 19 mai. I
teuchtli était la déesse de la vieillesse au Mexique. On célébrait sa
fête
par le sacrifice d’une femme : ensuite venaient d
s expéditions guerrières. Chaque année, ses adorateurs célébraient sa
fête
principale avec beaucoup de solennité, en lui off
i-même : tous les plaisirs lui étaient accordés ; puis, le jour de la
fête
, on l’immolait en offrant son cœur à la lune, et
dans l’île de Tongatabou. Chaque année, on célèbre en son honneur une
fête
le jour des semailles, et une autre à l’instant d
h. Sa statue est revêtue de tissus en coton. Lorsque l’on célèbre ses
fêtes
, la prêtresse jette dans le cratère du volcan de
373. Anchistée, 287. Ancholie, 336. Ancien (l’), 14. Ancilies (les),
fêtes
de Mars, 71. Ancior, 45. Ançuconi, 422. Ancules,
llirrhoé, 259, 303. Callistagoras, 379. Calliste, 78. Callistées (les
fêtes
), 62. Callistées, 169. Callistho, 45. Callisto, 1
Connor, 490. Consiva, 6, 150. Conso, 379. Consentes, 32. Consenties (
fêtes
appelées), 33. Consevius, 150. Consternation (la)
0, 152, 315. Ferouers, 463. Fervers, 465. Fessonie, 380. Fésule, 213.
Fête
des torches, 332. Fetries, 380. Février, 102, 378
de l’année lui était consacré. 6. Les Romains instituèrent aussi des
fêtes
en l’honneur de Saturne. Ces fêtes, appelées Satu
Les Romains instituèrent aussi des fêtes en l’honneur de Saturne. Ces
fêtes
, appelées Saturnales, avaient lieu tous les ans a
ple ? En quel temps ce temple était-il fermé ? 6. Quelles étaient les
fêtes
de Saturne ? Que faisait-on pendant ces fêtes ? 7
6. Quelles étaient les fêtes de Saturne ? Que faisait-on pendant ces
fêtes
? 7. Quelle explication peut-on donner de la fabl
ement de la terre balancée dans les airs par son propre poids. 3. Les
fêtes
, de Cybèle s’appelaient Mégalésies ou jeux mégalé
vec des hurlements et des cris extraordinaires. A Rome on faisait ces
fêtes
dans un temple secret (opertum). Les hommes ne po
), parce qu’ils étaient dix comme les doigts des deux mains. Dans les
fêtes
de leur déesse, ils frappaient leurs boucliers av
ntée ? Que figuraient tous ces symboles ? 3. Comment s’appelaient les
fêtes
célébrées en son honneur ? Quelles étaient celles
riculture. Les Athéniens avaient pour elle un culte tout spécial. Ses
fêtes
furent appelées Eleusines, parce qu’elles se célé
quoi la bonne déesse fut-elle honorée sur la terre ? Quelles sont les
fêtes
établies en son honneur ? Qu’étaient ses mystères
r de la naissance d’Alexandre. On célébrait dans la Grèce beaucoup de
fêtes
en l’honneur de cette déesse : on les appelait Ar
? Où était le plus célèbre de ses temples ? Comment se nommaient les
fêtes
établies par les Grecs en son honneur ? Chapi
s, en fit les ornements et lui éleva une statue d’or et d’ivoire. Ses
fêtes
étaient de deux sortes, les petites Panathénées q
èce les prix d’éloquence et de poésie. A Rome, on célébrait aussi les
fêtes
de Minerve. C’était dans le mois d’avril ; on les
sa toile ? 4. Quel fut le temple le plus célèbre de Minerve ? Quelles
fêtes
les Athéniens célébraient en son honneur ? Commen
Quelles fêtes les Athéniens célébraient en son honneur ? Comment ces
fêtes
se passaient-elles à Rome ? 5. Comment Minerve ét
Rome ? Quel était le nom de ses prêtres ? Comment célébraient-ils sa
fête
? 6. Comment Mars est-il représenté ? Qu’est-ce q
tres merveilles sortirent des ateliers de ce dieu industrieux. 3. Les
fêtes
célébrées en son honneur portaient le nom de Lamp
s ou porte-flambeaux. On les avait ainsi appelées, parce que dans ces
fêtes
il y avait des jeux où les jouteurs couraient ave
délivra-t-il ? Quels furent ses exploits et ses travaux ? 3. Quelles
fêtes
se célébraient on son honneur ? Dans quels lieux
ion. C’est cette constellation qu’on a nommé la Couronne d’or. 6. Les
fêtes
de Bacchus s’appelaient orgies ou Bacchanales. Le
nthée, roi de Thèbes, avait voulu empêcher ses sujets de célébrer ces
fêtes
licencieuses. Bacchus s’en vengea en livrant ce p
de Minée, autre roi de Thèbes, avaient aussi refusé d’assister à ces
fêtes
. Le jour où on les célébrait, elles cherchèrent l
et ses autels en Cypre, en Phénicie et jusque dans la Judée. Dans ses
fêtes
on poussait d’abord de grandes plaintes, de profo
pine ? En quels lieux eut-il des temples ? Comment se célébraient ses
fêtes
? 7. Le culte de Vénus était-il bien répandu ? Où
it de nombreux temples dans la Grèce et Italie. On célébrait même des
fêtes
et des jeux en son honneur. Les plus célèbres éta
aux. Ce dieu eut aussi ailleurs des temples. A Rome, on célébrait ses
fêtes
sous le nom de Lupercales, au mois de février, ch
lui vient, d’après quelques étymologistes, de palea, paille. Dans ses
fêtes
, les bergers commençaient par purifier leurs étab
ulement qu’au printemps un vent doux et léger caresse les fleurs. Ses
fêtes
étaient célébrées par les dames romaines au son d
bornes des champs aussi bien que dans les temples. Numa institua des
fêtes
en son honneur appelées Terminales, et lui éleva
ecs ? Dans quel lieu son culte était-il spécialement répandu ? Quelle
fête
se célébrait à Rome en son honneur ? Comment se n
? Qui inventa cette divinité ? Comment les bergers célébraient-ils sa
fête
? 6. Qu’est-ce que le dieu Faune ? Quelle fut son
ent était-elle représentée ? Quel nom les Romains donnaient-ils à ses
fêtes
? 9. Qu’est-ce que Pomone ? Pourquoi était-elle u
les chemins, et Compitales quand ils présidaient aux carrefours. Les
fêtes
établies en leur honneur prenaient aussi ce derni
s attributs des Lares ? Quels étaient leurs différents noms ? Quelles
fêtes
célébrait-on en leur honneur ? Qu’étaient les Pén
n chaque homme avait-il de Génies ? Que leur offrait-il le jour de sa
fête
? 5. Comment était représenté le bon Génie ? Comm
s par une foule de prêtres qui honoraient cette déesse au jour de ses
fêtes
par des gestes convulsifs et des danses bizarres.
ela les jeux Isthmiques en l’honneur de Neptune, et établit plusieurs
fêtes
religieuses, parce qu’il savait que la religion e
t pour but la lutte, le pugilat ou la course. On les appelait jeux ou
fêtes
. Les plus célèbres étaient les jeux pythiques, né
rent aux Indiens les superstitions les plus extravagantes. Dans leurs
fêtes
religieuses, ils se meurtrissent le corps et s’im
s trous. Ils adorent aussi les pierres, les plantes, et célèbrent une
fête
solennelle en l’honneur d’une herbe très-commune
superstitions que ces erreurs ont produites ? Que font-ils dans leurs
fêtes
pour honorer les dieux ? En quoi font-ils consist
s de leurs fautes, font des prières contre Ahrimann, et célèbrent des
fêtes
en l’honneur d’Ormuzd. Ils s’attendent à être jug
d’or. Une foule immense accourait de toutes parts pour assister à la
fête
, et les apprêts d’un grand sacrifice et d’un gran
Aristée, berger, 64. Artémis, un des noms de Diane, 41. Artémisies,
fêtes
de Diane, 41. Ascalaphe, pers. des enfers, 31.
, sœur d’Oreste, 149. Eléens, habitants de l’Elide, 157. Eleusines,
fêtes
de Cérès, 30. Eleusis, bourg de l’Attique, 30, 1
mée), roi d’Egypte, 181. Laïus, roi de Thèbes, 137. Lampadophories,
fêtes
de Vulcain, 51. Lampus, un des chevaux de l’Auro
d’Italie, 14. Latone, mère d’Apollon et de Diane, 28, 32. Lavation,
fête
de Cybèle, 18. Lavinium, v. d’Italie, 148. Léda
chez les Indiens, 168. Lune, un des noms de Diane, 39. Lupercales,
fêtes
de Pan, 76. Luperci, prêtres de Pan, 76. Lutte,
agicienne, 107, 118. Méduse, une des Gorgones, 44, 128. Mégalésies,
fêtes
de Cybèle, 18. Mégère, furie, 71. Melpomène, mu
e, monstre, 120. Minée, roi de Thèbes ; ses filles, 54. Minervalia,
fêtes
de Minerve, 46. Minerve, l’une des douze grandes
ne, 14 ; un des douze grands dieux, 20 ; son histoire, son culte, ses
fêtes
, 61 et suiv. Nérée, div. maritime, 61, 62. Nér
par Minerve, 44. Pan, dieu des bergers, son culte, 76. Panathénées,
fêtes
, 46. Parses et Parsis, adorateurs du feu, 174.
32, 155. Pythonisse, prêtresse d’Apollon, 32. Q Quinquatria,
fêtes
de Minerve, 46. R Racine , récit de la mo
glier de Calydon, 119 ; — d’Erymanthe, 113. Satan, 173. Saturnales,
fêtes
de Saturne, 15. Saturne, ou le Temps, son hist,
73. Térée, changé en huppe, 152. Terme, son culte, 79. Terminales,
fêtes
du dieu Terme 80. Terre, son hist., 43 ; mère d’
mémoire du séjour que Saturne avait fait en Italie, on y institua des
fêtes
appelées Saturnales, qui tombaient dans le mois d
ensuite pendant quatre, enfin pendant cinq et davantage. Tant que ces
fêtes
duraient, le sénat et les écoles publiques vaquai
rbres et d’un nombre d’animaux de différentes espèces. On nommait les
fêtes
de Cybèle Megalesia, et ses prêtres Galli, à caus
parce qu’au commencement ils étaient dix. Ces prêtres célébraient les
fêtes
de Cybèle avec des cris confus, au bruit des tamb
s, des fifres, des flûtes et d’autres pareils instrumens. A Rome, les
fêtes
de Cybèle étaient célébrées par les dames romaine
evée sur un brancard que portent quatre des vierges qui président aux
fêtes
Eleusines. On la voit tenant d’une main une fauci
antent en son honneur des hymnes sacrés, comme on pratiquait dans les
fêtes
Eleusines. Fêtes de Cérès. Le nom Eleusines,
ur des hymnes sacrés, comme on pratiquait dans les fêtes Eleusines.
Fêtes
de Cérès. Le nom Eleusines, donné aux fêtes de
les fêtes Eleusines. Fêtes de Cérès. Le nom Eleusines, donné aux
fêtes
de Cérès, vient de la ville d’Eleus, où elles com
’y était passé. On trouve encore dans les anciens auteurs deux autres
fêtes
en l’honneur de Cérès : les Tesmophores, ainsi ap
ndes sont les Ambarvales, d’ambire arva faire le tour des champs. Ces
fêtes
se faisaient pour obtenir une bonne récolte. L’un
our punir les Phigaliens, qui avaient oublié son culte et négligé ses
fêtes
depuis que la statue de cette déesse qu’ils avaie
le ; ils avaient les premières places dans les assemblées et dans les
fêtes
publiques ; leur ville leur faisait de riches pré
més, A grand bruit l’enclume résonne. Rousseau. On institua des
fêtes
en l’honneur de Vulcain ; les Athéniens les céléb
le bouc, parce que cet animal détruit les bourgeons de la vigne.
Fêtes
de Bacchus Les fêtes de Bacchus s’appelaient
nimal détruit les bourgeons de la vigne. Fêtes de Bacchus Les
fêtes
de Bacchus s’appelaient parmi les Grecs Dionysia
les Latins les nommaient Liberalia ou Bacchanalia, pour exprimer des
fêtes
où l’on ne gardait nulle mesure. Les Athéniens cé
fêtes où l’on ne gardait nulle mesure. Les Athéniens célébraient ces
fêtes
avec beaucoup d’appareil. En Italie, on les céléb
68. On y voyait des hommes travestis en satyres, en silènes, etc. Ces
fêtes
étaient aussi appelées orgies à cause de la fureu
ignifie impétuosité, fureur. On le disait d’abord de toutes sortes de
fêtes
, mais on l’a restreint aux fêtes de Bacchus.
e disait d’abord de toutes sortes de fêtes, mais on l’a restreint aux
fêtes
de Bacchus. Les Bacchantes Les Bacchantes
s Bacchantes Les Bacchantes étaient une troupe de femmes qui, aux
fêtes
de Bacchus, faisaient l’office des prêtres et des
leurs cris que des cérémonies étranges qu’elles faisaient pendant les
fêtes
de Bacchus, où, après avoir dansé, sauté, et fait
ent de travailler à des ouvrages de tapisserie, le jour destiné à ses
fêtes
; ce dieu, pour les punir, les changea en chauve-
t devenu amoureux de Hersé, fille de Cécrops, roi d’Athènes, dans une
fête
qui se célébrait en l’honneur de Minerve, fit tou
sieurs villes du Péloponèse. Les Grecs et les Romains célébraient ses
fêtes
au mois de mai, consacré à Maïa, mère du dieu. Il
euse contrée. Culte rendu à Neptune. Les Romains célébraient des
fêtes
en l’honneur de Neptune, le premier jour du mois
ou au moins un autel dédié au dieu de la mer. Malgré la pompe de ces
fêtes
, on y était à pied ; car les chevaux et même les
u Pan ; ils lui offraient du lait et du miel. Les Romains avaient les
fêtes
appelées Lupercales. Le mot Lupercalia vient de L
rcales se célébraient autour de cette grotte. D’autres disent que ces
fêtes
étaient ainsi appelées, parce que le dieu Pan, qu
nnité, des filous détournèrent leurs troupeaux : à cette nouvelle, la
fête
fut interrompue pour courir après les voleurs. Af
celui des Fabiens, celui des Quintilliens, et celui des Juliens. Les
fêtes
de Pan, qui commencent à s’abolir, furent rétabli
u de laurier et de romarin couronne ses cheveux, parce que durant ses
fêtes
, les bergers purgeaient leurs troupeaux, en mêlan
m de Palea, paille. Il est certain qu’on célébrait en son honneur une
fête
nommée Palilia, ou fête de Palès particulière aux
st certain qu’on célébrait en son honneur une fête nommée Palilia, ou
fête
de Palès particulière aux bergers. Cette fête se
fête nommée Palilia, ou fête de Palès particulière aux bergers. Cette
fête
se faisait au milieu des champs, le premier de ma
r, quand la simple innocence Rendait hommage à la Divinité, Ses
fêtes
commençaient par la reconnaissance Et finis
lui donnaient les mêmes attributs. Les dames romaines célébraient ces
fêtes
durant la nuit, et il était défendu aux hommes d’
ne furent que les mânes des ancêtres qu’on honorait par devoir. Leur
fête
se célébrait un jour des Saturnales. Les Lares
vivans. Pour les apaiser ou pour les chasser, on institua à Rome les
fêtes
Lémuries ou Lémurales. Ces fêtes, qui se célébrai
les chasser, on institua à Rome les fêtes Lémuries ou Lémurales. Ces
fêtes
, qui se célébraient au mois de mai, et la nuit, f
s carrefours sous le nom de Compitalitii. Une des cérémonies de cette
fête
était de suspendre dans les rues de petites figur
er le nom de Rhamnusie. Les Athéniens instituèrent en son honneur les
fêtes
Némésées, et les Romains lui élevèrent dans le Ca
ur elles, résolurent de s’en venger. Un jour qu’elles célébraient les
fêtes
de Bacchus, profitant de la fureur prétendue que
apis tout usé couvrit deux escabelles : Il ne servait pourtant qu’aux
fêtes
solennelles. Le linge orné de fleurs fut couvert,
u’il fait naître, A mesure qu’il le produit. J.-B. Rousseau. 12.
Fêtes
de Saturne. Les quatre âges. Pour perpétuer la
de Saturne dans le Latium, les Romains établirent en son honneur les
fêtes
appelées Saturnales. Elles se célébraient tous le
âge d’or. Les folies de notre carnaval peuvent donner une idée de ces
fêtes
, dont il est peut-être un souvenir. Quant à l’âge
nom ? Comment représente-t-on Saturne ? 12. Comment s’appelaient les
fêtes
de Saturne ? Quand et comment étaient-elles céléb
lles célébrées ? Quel usage parait être parmi nous un souvenir de ces
fêtes
? Quelle tradition affaiblie rappelaient-elles ?
Le culte de Cybèle fut apporté de Phrygie en Grèce et en Italie. Ses
fêtes
s’appelaient Mégalésiennes. Elles se célébraient
Par qui son culte fut-il apporté en Italie ? Comment s’appelaient ses
fêtes
? Comment se célébraient-elles ? Quels étaient le
core. Sa statue, chef-d’œuvre de Phidias, était d’or et d’ivoire. Des
fêtes
magnifiques furent instituées en son honneur, sou
es autres, moins solennelles, revenaient chaque année. C’est dans ces
fêtes
que les poëtes appelés rapsodes chantaient les ve
la déesse ? Qu’est-ce que les Panathénées ? Comment célébrait-on ces
fêtes
à Rome ? Comment représente-t-on Minerve ? Quel e
mours célèbre les conquêtes, Se couronne de myrte, et préside à leurs
fêtes
, Euterpe a, de la flûte animant les doux sons, Au
alire, danser), et en chantant des hymnes er l’honneur de Mars. Cette
fête
commençait le 15 mars, et durait quatorze jours.
cette déesse. C’est là qu’elle recevait le plus d’honneurs. Parmi ses
fêtes
, les unes s’appelaient thesmophories, du mot thes
des lois aux hommes en les civilisant par l’agriculture ; ses autres
fêtes
s’appelaient ambarvalies, parce qu’elles consista
ertilité des terres et l’abondance des fruits31. Enfin il y avait des
fêtes
appelées éleusines, de la ville d’Eleusis, où ell
est la morale qu’elle renferme ? 57. Quelles étaient les principales
fêtes
de Cérès ? Comment représente-t-on cette déesse ?
pour n’avoir pas voulu interrompre leur travail ordinaire pendant les
fêtes
consacrées à Bacchus, les trois sœurs furent chan
ieu ne sont jamais perdus. 62. Culte et images de Bacchus. Les
fêtes
de Bacchus s’appelaient à Athènes Dionysiaques, d
e la ville de Nysa. A Rome elles portaient le nom de Bacchanales. Ces
fêtes
perdirent bientôt leur caractère religieux et dev
r le nom d’orgies, mot grec, qui veut dire fureur. En effet, dans ces
fêtes
, des femmes, sous le nom de Bacchantes, couraient
nthée, Lycurgue et les filles de Minée ? 62. Comment s’appelaient les
fêtes
de Bacchus à Athènes et à Rome ? Pourquoi les app
s de Vulcain. On célébrait à Athènes, en l’honneur de Vulcain, des
fêtes
appelées lampadodromies : c’étaient des courses d
t-il distingué comme artiste ? 64. Comment s’appelaient à Athènes les
fêtes
de Vulcain, et comment se célébraient-elles ? De
rsonnelle. » Palès était la déesse des pâturages et des bergers. Ses
fêtes
, appelés Palilies, se célébraient à Rome, le 21 a
ux. Cela signifie que les fleurs aiment un air doux et vivifiant. Les
fêtes
de Flore produisirent les jeux floraux, institués
té, d’après Rollin ? Qu’était-ce que Palès ? Quand se célébraient ses
fêtes
, quel était leur nom ? Faites connaître Flore et
ques, qui se célébraient à l’isthme de Corinthe. Chez les Romains ces
fêtes
s’appelaient Consuales38. On en attribuait la pre
ent institués par les Grecs en son honneur ? Comment s’appelaient ses
fêtes
à Rome ? A qui en attribuait-on la première insti
ns ce mois le second jour, était-il choisi pour la célébration de ses
fêtes
. Le cyprès, le narcisse, la capillaire, toutes le
, de la gloire qu’Androgée, fils de Minos, s’était acquise dans leurs
fêtes
, l’avaient fait assassiner. L’infortuné roi de Cr
avoir rendu les devoirs de la piété filiale, institua des jeux et des
fêtes
, pour perpétuer le souvenir de sa victoire. Le vœ
que l’on supposait renfermer ainsi l’âme du dieu s’appelait Apis. La
fête
solennelle que l’on célébrait chaque année en son
évère introduisit son culte à Rome l’an 146 de Jésus-Christ. Mais ces
fêtes
étaient accompagnées de tant de licence et de dés
tait-il représenté ? Où étaient ses principaux temples ? Pourquoi les
fêtes
de Sérapis furent-t-elles abolies à Rome ? Par qu
ereur Commode. Il ne fut aboli que vers le quatrième siècle. Dans les
fêtes
appelées mithriaques, qui se célébraient en l’hon
e époque son culte fut-il introduit à Rome ? Comment s’appelaient les
fêtes
de ce dieu ? Quel était leur caractère ? Dans que
perstitieuses, les unes ridicules, les autres révoltantes. Ainsi à la
fête
qui se célèbre, tous les ans, à Djaggernâth, tand
e de celle de Praxitèle. 31. On voit le rapport qui existe entre ces
fêtes
et les rogations du culte chrétien. 32. Le thyrs
le Latium, on célébrait tous les ans à Rome, au mois de décembre, les
fêtes
des saturnales. Pendant leur durée, le sénat, les
son fils l’avait chargé ; on avait soin de les ôter les jours de ces
fêtes
, pour mieux marquer que son règne avait été celui
forme ronde, pour les rendre conformes à la rondeur de la terre. Les
fêtes
de Cybèle se nommaient Megalizia, et ses prêtres
arce qu’ils étaient au nombre de dix comme les doigts de la main. Les
fêtes
de la grande déesse se célébraient au bruit des t
nommé Opertum, dans lequel les hommes n’étaient jamais admis ; et la
fête
des lavations en l’honneur de Cybèle y avait une
ns en l’honneur de Cybèle y avait une grande célébrité. Pendant cette
fête
, on portait sur un char, et dans la plus grande p
pelle le tout-puissant . Aux ides de juin, les Romains célébraient sa
fête
sous le titre de Jupiter invincible ; on l’appela
fleur dans l’autre, ou bien avec un fouet et un sceptre. Pendant les
fêtes
appelées Lupercales, les femmes désiraient être f
et lui rendre un culte, que les Grecs donnèrent le nom d’hyménée aux
fêtes
du mariage. On rapporte qu’il y avait à Athènes u
thènes, célébrer, en l’honneur de Cérès, sur les bords de la mer, une
fête
dont les hommes étaient exclus, Hyménéus se trave
ménéus se travestit en femme, et se mêla parmi le cortége. Pendant la
fête
, des corsaires surprirent les femmes et les enlev
ent les femmes et les enlevèrent. La vue des vins apportés pour cette
fête
excita leur avidité : ils en burent jusqu’à l’ivr
et de cet événement, invoquèrent depuis Hyménéus, et célébrèrent des
fêtes
en son honneur. Pour donner de l’éclat à sa naiss
t les habitans de toutes les parties du monde par la magnificence des
fêtes
qu’elle célébrait en son honneur. Toutes les céré
ment ; et le second, parce qu’il ronge les bourgeons de la vigne. Les
fêtes
du dieu du vin se célébraient avec de grandes cla
pars, et dans leurs mains on voyait des thyrses et des flambeaux. Ces
fêtes
se nommaient Bacchanales, Dionysia, du surnom de
eur donnait aussi le nom orgies, qui veut dire fureur. Dans une autre
fête
, nommée Aschosia, on s’amusait à sauter à cloche-
ngeance de Bacchus et de ses adorateurs, lorsqu’on osait troubler ses
fêtes
ou s’opposer à son culte. Penthée, fils d’Echion
avé, voulut empêcher les Thébains, dont il était roi, de célébrer les
fêtes
de Bacchus ; le dieu inspira à sa mère Agavé une
roduisit aucun effet sur les Minéides ; un jour que l’on célébrait la
fête
de Bacchus, elles affectèrent de travailler à des
enfaisante. Bacchus porta ses conquêtes, ou plutôt ses voyages et ses
fêtes
, dans les pays situés au-delà de la Méditerranée,
acchus pour modèle : et pendant dix jours ses soldats célébrèrent les
fêtes
de ce dieu avec tous les emportemens de l’ivresse
plus de solennité au culte de Minerve, célébraient en son honneur les
fêtes
magnifiques nommées Athénées. Elles avaient été i
avaient été instituées par Érichthonius, troisième roi d’Athènes. Ces
fêtes
se nommèrent Panathénées, par la suite des temps,
e bourgades de l’Attique pour en former la seule ville d’Athènes. Ces
fêtes
furent divisées en grandes et en petites. Les gra
aient de cinq en cinq ans, et les petites chaque année. C’était à ces
fêtes
que les poëtes nommés Rapsodes allaient chanter l
surnommer Tritonia. Quelquefois on la nommait Hippia, cavalière. Les
fêtes
de Minerve, appelées Quinquatria, se célébraient
ens était de douze. Tullius Hostilius en doubla le nombre. Pendant la
fête
des anciles, qui commençait aux calendes de mars,
des vers qui avaient rapport à la solennité. Pendant la durée de ces
fêtes
, on ne pouvait entreprendre aucune expédition mil
s, dans Amathonte, dans l’île de Chypre et à Biblos ; il institua des
fêtes
en l’honneur de Vénus, que l’on nomma orgies ; et
nt inséparables. Dans toutes les saisons de l’année, on célébrait des
fêtes
en leur honneur, mais le printemps leur était pri
é de ses jambes fit dire aussi qu’il avait des jambes de serpent. Les
fêtes
célébrées en l’honneur de Vulcain se nommaient la
ications, et c’était avec de l’eau qu’elles se faisaient. Pendant les
fêtes
de Neptune, les chevaux et les mulets, couronnés
sta, Cérès, Proserpine, Rhéa, Diane, ou Cybèle. Parmi les différentes
fêtes
de la Terre, celle appelée la fête de la bonne dé
ou Cybèle. Parmi les différentes fêtes de la Terre, celle appelée la
fête
de la bonne déesse était si célèbre, que nous cro
us étonnante circonspection. On ornait à grands frais la maison où la
fête
se célébrait ; et, comme elle avait toujours lieu
ations. Il lui fît bâtir un temple sur le mont Tarpeïen, institua des
fêtes
en son honneur, et régla son culte. Il fit représ
eprésenter ce nouveau dieu sous la forme d’un rocher inébranlable. La
fête
de Terme prenait de lui le nom Terminalis. On lui
dans le dessein de la conserver plus long-temps. Pour terminer cette
fête
pleine de simplicité, on immolait des agneaux et
Flore, et on l’honora comme la déesse des bosquets et des fleurs. Ses
fêtes
firent instituer les jeux floraux. Pomone, déess
s était la divinité des bergers et la conservatrice des troupeaux. Sa
fête
, nommée Palilia ou Parilia, se célébrait au mois
ge, du vin cuit et des gâteaux de millet : c’était pendant cette même
fête
que l’on célébrait la fondation de Rome. Anna pe
lus naturelle et les plaisirs les plus simples animaient toujours les
fêtes
de ces deux déesses. Bubonna, déesse des bouvier
culièrement ce dieu. Les Romains célébraient, au mois de février, des
fêtes
en son honneur, que l’on nommait Lupercales, du l
e des dieux lares, que l’enfant adoptif semblait abandonner. Dans les
fêtes
publiques de ces dieux, nommées Compitales, on su
tit les jours, les mois, les siècles, à mesure qu’il les produit. Les
fêtes
de Saturne, appelées Saturnales chez les Romains,
ine. Les festins, les jeux, le plaisir, régnaient partout. Durant ces
fêtes
, qui rappelaient l’égalité et la liberté de l’âge
êtres nommés Curètes, Corybantes, Dactyles et Galles, célébraient ses
fêtes
par des danses qu’ils exécutaient au son du tambo
de Junon était universel, et la plus grande solennité présidait à ses
fêtes
. On l’adorait surtout à Argos, à Samos et à Carth
iel. Tous les mois on célébrait à Athènes, en l’honneur d’Hécate, des
fêtes
nommées Hécatésies, durant lesquelles les gens ri
établit le culte de Cérès à Éleusis, ville d’Attique, et institua des
fêtes
à l’honneur de cette bienfaisante divinité. Pour
a lueur des flambeaux, un jardin délicieux disposé pour la danse, les
fêtes
et le plaisir. C’était là, c’était dans ce champ
vu et entendu était un crime odieux et punissable de mort. Une autre
fête
, appelée Thesmophories, fut instituée dans l’Atti
sobriété exemplaire. Les hommes ne pouvaient y assister. Pendant ces
fêtes
, qui duraient cinq jours, de jeunes vierges vêtue
éleva des temples ; on le mit au rang des dieux, et l’on institua des
fêtes
en son honneur sous le nom d’Adonies ; elles dura
criaient : « Dieu de la guerre, protège cette république ! » Dans les
fêtes
dont il était l’objet, on lui sacrifiait un cheva
e courage des soldats. Ses prêtres s’appelaient Bellonaires. Dans les
fêtes
de leur déesse, ils parcouraient les rues comme d
e, elles cherchaient, dans le travail, leur plus douce récréation. La
fête
solennelle de Bacchus était arrivée ; toute la po
et l’ayant garrotté à un arbre, l’y abandonna aux bêtes féroces. Les
fêtes
de Bacchus s’appelaient Orgies ou Bacchanales. Le
acchantes, Ménades, Thyades, et Bassarides. Un point essentiel de ces
fêtes
, était d’y paraître couvert de peaux de boucs, de
urnure grotesque les éclats de rire des spectateurs. Ces tumultueuses
fêtes
avaient lieu principalement sur le mont Cithéron,
on pays natal, transporta le culte du dieu Pan dans le Latium, où ses
fêtes
furent nommées Lupercales. Ses prêtres les célébr
s servaient d’escorte à Bacchus, et participaient à la plupart de ses
fêtes
. Les bergères les redoutaient ; les bergers fuyai
corne d’abondance. Tatius lui éleva le premier un temple à Rome. Les
fêtes
de cette déesse s’appelaient Florales et duraient
vant notre ère, à l’occasion d’une grande stérilité. C’est durant ces
fêtes
que les Jeux floraux avaient lieu ; ils étaient c
ée de paille, litière des bestiaux. On célébrait, au mois d’avril, sa
fête
appelée Palilie. Ce jour-là les bergers, pour se
resse, on offrait à Palès des fruits et du miel, et l’on terminait la
fête
par un festin. Pomone était honorée, chez les Ro
t sans bras, que l’on plaçait sur une borne pyramidale. Le jour de sa
fête
(appelée Terminales), les deux possesseurs de ter
n ou Hyménée. Hyménée, fils de Ténus, présidait au mariage et aux
fêtes
nuptiales. — On le représente sous la figure d’un
e repas on lui adressait quelque invocation. Ceux qui célébraient ses
fêtes
, couraient déguisés et masqués pendant la nuit, à
ux, l’explication des songes, l’expiation des crimes, et institua les
fêtes
de Bacchus et de Cérès. Il donna aux Grecs de sav
tées de cette froideur, elles choisirent pour s’en venger le jour des
fêtes
de Bacchus. Armées de thyrses, elles courent au m
i-hommes et demi-chevaux, furent invités aux noces. Les apprêts de la
fête
étaient disposés dans un vallon frais et délicieu
us distingué : les neuf premiers jours de son arrivée se passèrent en
fêtes
et en réjouissances. Le dixième jour, le roi déca
pour y disputer les prix de la lutte, de la course et du pugilat, aux
fêtes
de Minerve. Les plus fameux athlètes de l’Attique
servi par vingt esclaves attentifs à ses moindres vœux. Au milieu des
fêtes
, Pâris n’oublie pas son projet ; il emploie pour
âces ; et le peuple entier se livre aux excès d’usage dans un jour de
fête
. Cependant, à la faveur de la nuit la flotte grec
s moyens de punir le tyran. Les dames de Thrace célébraient alors les
fêtes
de Bacchus, appelées orgies ; le mont Rhodope ret
uivait partout, l’assiégeait partout, dans la solitude comme dans les
fêtes
, au sein des affaires publiques et dans ses occup
les cinq combats. Des juges, pris chez les Éléens, présidaient à ces
fêtes
; ils y maintenaient le bon ordre, et empêchaient
de réjouissances : « Osiris, s’écriait-on, est ressuscité ! » et les
fêtes
publiques se prolongeaient pendant sept jours. —
la mythologie grecque. Par exemple, cette alternative de deuil et de
fêtes
a été l’origine de la fable d’Adonis. La déesse I
nt le règne d’Auguste. Culte de Saturne. On institua à Rome des
fêtes
en l’honneur de Saturne, et, de son nom, on les a
eur de Saturne, et, de son nom, on les appela Saturnales. Pendant ces
fêtes
, dont notre carnaval est la suite et l’image, la
défaite ? — Comment représente-t-on Janus ? — Comment nomme-t-on les
fêtes
de Saturne ? — Que signifie l’histoire de Saturne
lébrait en différents endroits de la Grèce, et notamment à Délos, des
fêtes
en l’honneur de Diane ; on les nommait Artémisies
es les plus célèbres élevés en son honneur ? — Comment nommait-on les
fêtes
que la Grèce célébrait en son honneur ? — Comment
ne statue en or et en ivoire. On institua en l’honneur de Minerve des
fêtes
magnifiques, sous le nom de Panathénées. Il y en
ndes qui revenaient tous les cinq ans. A Rome, on célébrait aussi les
fêtes
de Minerve, et pendant leur durée les disciples p
s Athéniens consacrèrent à Minerve ? — Rome ne célébrait-elle pas des
fêtes
en l’honneur de Minerve ? — Comment représente-t-
elle Galles, Curètes, Corybantes, Dactyles ou Idéens, célébraient ses
fêtes
en dansant au bruit des cymbales et des tambours,
richesses, aveugla Plutus. Son aveuglement profita aux méchants. Les
fêtes
de Cérès à Éleusis étaient accompagnées de mystèr
res sont demeurés impénétrables. On célébrait en son honneur d’autres
fêtes
appelées Thesmophories. Cérès est représentée ten
sur la terre. — Comment punit-elle Érésichton ? — Où célébrait-on les
fêtes
de Cérès ? — Comment représente-t-on cette déesse
rie, elles cherchaient dans le travail leur plus douce récréation. La
fête
solennelle de Bacchus étant arrivée, toute la pop
ux dieux ne sont jamais perdus. Culte et images de Bacchus Les
fêtes
de Bacchus s’appelaient Bacchanales, et étaient l
nt les victimes de la vengeance de Bacchus ? — Comment nommait-on les
fêtes
de Bacchus ? — Comment représente-t-on Bacchus ?
ses ouvrages autant de chefs-d’œuvre. Les Athéniens instituèrent des
fêtes
en son honneur ; c’étaient des courses, appelées
iraient la Grèce entière à l’isthme de Corinthe. Chez les Romains ces
fêtes
s’appelaient Consuales10. On immolait à ce dieu l
ue, comme pour fêter son heureux retour. Au milieu des plaisirs de la
fête
, Typhon fait apporter un coffre d’un merveilleux
, et c’est sur ses branches que l’on cueillait chaque année, dans une
fête
publique, le gui sacré dont l’éternelle verdure é
ant pas voulu interrompre leurs travaux tandis que l’on célébrait les
fêtes
du Dieu du vin, furent métamorphosées en chauves-
t-il ceux qui n’honoraient pas son culte ? — Comment célébrait-on ses
fêtes
? — N’avait-il pas plusieurs noms ? — Quelle fut
oré partout ; on ne lui sacrifiait pas de victimes vivantes, mais ses
fêtes
étaient souvent l’occasion de honteux excès. Ses
fférents usages auxquels il peut être employé. Aussi célébrait-on ses
fêtes
par des courses de chevaux et de chariots. Les je
uel art Neptune enseigna-t-il aux hommes ? — Comment célébrait-on ses
fêtes
, et quelle puissance lui attribuait-on ? — Neptun
consacra douze prêtres nommés saliens parce qu’ils célébraient leurs
fêtes
en sautant et en dansant ; ils étaient chargés de
iculture. Plus tard, Triptolème fonda dans sa patrie un temple et des
fêtes
en l’honneur de la Déesse des moissons. Enfin Cér
ait élevé en l’honneur de Cérès plusieurs temples très-célèbres ; ses
fêtes
se célébraient avec de grands mystères et un appa
a le culte de ce Dieu dans le Latium. Romulus créa en son honneur des
fêtes
qui furent nommées Lupercales ; pendant qu’on les
e année, à la fin d’avril, les Romains célébraient en son honneur des
fêtes
nommées Palilies ; à cette occasion on faisait de
ceau de paille. Questions. Qu’était-ce que Palès ? — Par quelles
fêtes
les Romains l’honoraient-ils ? — Quels sont ses a
a Déesse du printemps. Les prêtresses de cette Déesse célébraient ses
fêtes
, nommées Florales, en courant nuit et jour et en
s. Questions. Qu’était-ce que Flore ? — Comment célébrait-on ses
fêtes
? — Avec quels ornements la représente-t-on ?
ui avait été fiancé à Andromède, vint avec ses compagnons troubler la
fête
du mariage et réclamer les armes à la main celle
is il était accablé de vieillesse, et hors d’état de prendre part aux
fêtes
par lesquelles on célébrait le retour de son fils
x préparer sa vengeance ; en effet, elle envoya à sa rivale, pour les
fêtes
de ses noces, une robe ornée de pierreries brilla
urent dans l’arène chacun pendant un jour entier ; c’est pourquoi ces
fêtes
étaient solennisées pendant cinq journées consécu
ssé l’Achaïe du lion de Némée. D’autres en attribuent l’origine à des
fêtes
funéraires fondées par les sept chefs argiens qui
ours célébrant les conquêtes, Se couronne de myrte et préside à leurs
fêtes
. Euterpe, de la flûte animant les doux sons, Aux
étis et de Pélée ; la Discorde, qui n’avait point été invitée à cette
fête
, a paru dans la salle du festin, et a jeté auprès
té blanche, la couleur purpurine que nous lui voyons aujourd’hui. Des
fêtes
à l’honneur d’Adonis furent instituées à Sidon. L
’Hymen aime mieux remplir cette fonction de concert avec l’Amour : la
fête
en est toujours plus gaie. Mais je m’aperçois que
uivaient par-tout les innocentes bergères. Tous les jours étaient des
fêtes
: on n’entendait plus que le gazouillement des oi
ires grecs ; le même peuple institua en l’honneur de cette déesse des
fêtes
célèbres sous le nom de Panathénées. L’olivier pa
yant eu la curiosité de voir les cérémonies qu’on pratiquait dans les
fêtes
de Bacchus, appelées Dionysiaques ou Orgies, fut
rendit aveugle. Les filles de Minée, après avoir travaillé un jour de
fête
consacrée à Bacchus, furent métamorphosées en cha
l parvint à se faire aimer, et à conduire Érigone à ses plus joyeuses
fêtes
et à tous ses mystères. Un thyrse à la main, et l
. Triptolème, de retour à Éleusis, institua en l’honneur de Cérès les
fêtes
appelées Thesmophories, et dans lesquelles cette
, Il ne marche en triomphe en l’honneur de Cérès27. Palès. Les
fêtes
instituées à Rome en l’honneur de Palès, autre di
s moins célèbres. Le jour même de la fondation de Rome, on célébra la
fête
de cette déesse, qui protégeait principalement le
nom de bonne déesse, les dames romaines célébraient tous les ans une
fête
en son honneur ; cette cérémonie durait huit jour
ous les autres Grecs, par les temples qu’ils lui élevèrent et par les
fêtes
qu’ils instituèrent en son honneur : la plus sole
le nom de Mystères, et se célébrait à Éleusis dans le mois d’août. La
fête
de la bonne déesse à Rome était une imitation des
il rendait des oracles. Les Arcadiens célébraient en son honneur des
fêtes
appelées Lycées, et qui étaient les mêmes que les
ppées, les Dryades, conduits par le dieu Pan, venaient célébrer leurs
fêtes
joyeuses. Écho s’éveillait sous les rochers, et s
était destiné. Tous les ans, dans le mois de février, on célébrait sa
fête
, à Rome, dans son temple, et sur les limites même
el, à côté duquel était la figure d’un chien aboyant. Le jour de leur
fête
, qui était dans le mois de mai, on les couronnait
fait naître, A mesure qu’il le produit. D. Comment s’appeloient les
Fêtes
de Saturne ? R. Les Fêtes célébrées en l’honneur
écutions criminelles étoient interdites pendant la célébration de ces
Fêtes
, etc. Cybèle. D. Qu’est-ce que Cybèle ? R.
e d’une couronne de tours. D. Quelle étoit la manière de célébrer les
Fêtes
de Cybèle ? R. Les Prêtres de Cybèle, appelés Cor
ybèle ? R. Les Prêtres de Cybèle, appelés Corybantes, célébroient les
Fêtes
du premier de cette Déesse au son des tambours, a
lierre, et surmontée d’une pomme de pin. D. Comment célébroit-on les
Fêtes
de Bacchus ? R. Elles se célébraient en automne a
s, et mettoient en pièces tous les hommes qu’elles rencontroient. Ces
Fêtes
s’appeloient Orgies (fureur) ou Bacchanales. Les
les de Minée, qui travailloient à la tapisserie le jour destiné à ces
Fêtes
. Mercure. D. Qu’étoit Mercure ? R. Mercure
de Mars ï R. On les appeloit Saliens, parce qu’ils célébroient leurs
fêtes
en dansant et sautant dans les rues. Numa en inst
l’autre une poignée d’épis mêlée de pavots. D. Comment nommoit-on ses
Fêtes
? R. On les nommoit Eleusines, du nom de la ville
arce qu’elle avait donné des lois aux Athéniens. Enfin, on appela ces
Fêtes
Ambarvalies, mot qui signifie faire le tour, parc
Fêtes Ambarvalies, mot qui signifie faire le tour, parce que dans ces
Fêtes
on faisoit des processions autour des champs.
présente ornée de guirlandes, et portant une corbeille de fleurs. Ses
Fêtes
s’appeloient les Jeux floraux. Elles étoient célé
Qu’étoit Comus ? R. Comus étoit le Dieu des festins, et présidoit aux
fêtes
et aux parures. On le représente avec un chapeau
[Fig. 18]. [Fig. 17] [Fig. 18] Les Romains l’honoraient par des
fêtes
appelées Saturnales, qui se célébraient au mois d
re le premier cheval, on couronnait les chevaux de fleurs pendant les
fêtes
de ce dieu, et il n’était pas permis de les faire
[Fig. 49]. [Fig. 49] Les Grecs avaient institué en son honneur des
fêtes
appelées Éleusinies, du nom de la ville d’Éleusis
iens, d’un mot latin qui signifie sauter, danser, parce que, dans les
fêtes
de Mars, ils dansaient en chantant des hymnes.
lui était consacrée. [Fig. 58] Athènes institua en son honneur des
fêtes
qu’on appelait Panathénées, et lui éleva un templ
ntôt sur un char traîné par des tigres ou des lions. [Fig. 65] Les
fêtes
de ce dieu s’appelaient Orgies ou Bacchanales. De
Rémus allaités par une louve. De là le nom de Lupercales donné à ses
fêtes
, qui se célébraient dans le mois de février. On l
est saisie d’horreur, et ne songe qu’à la vengeance. Profitant d’une
fête
de Bacchus durant laquelle il était permis aux fe
coutume des Athéniens, de manger seuls avec leurs femmes pendant les
fêtes
de Bacchus. Térée accepte l’invitation ; cependan
son sang, et s’abandonna longtemps à la plus vive douleur. De là les
fêtes
lugubres qu’on institua en son honneur sous le no
e est appelé l’Age d’or. Rome lui éleva un temple et lui consacra les
Fêtes
Saturnales. Quel est ce vieillard redoutable,
Toujours il aime à se mêler. Si nous osions le séparer Dans quelques
fêtes
solennelles, Nous éprouverions que ce Dieu Est en
chal 14. Les Vendanges. Voici la saison des Vendanges ! Voici la
fête
de Bacchus ! Dans l’air mille cris confondus Font
llement fier et indocile. En mémoire de ce bienfait, on célébrait ses
fêtes
par des jeux équestres. Le plus beau Temple de Ne
lièrement en Arcadie, sur les monts Lycée et Ménale. En célébrant ses
fêtes
appelées Lupercales, on lui offrait du lait, du m
aintange 34. Hyménée ou Hymen. Il présidait au Mariage et aux
Fêtes
nuptiales. On le figure en jeune homme blond, cou
sporté les remerçiait tous, Quand Plutus qui voulait être aussi de la
fête
, Vint d’un air insolent lui présenter la main, Le
éesse de la Beauté, Mère de l’Amour et des Grâces. Elle présidait aux
Fêtes
voluptueuses. On raconte diversement son origine.
ble et douteux, Ceignent son front, façonnés en olives. Imbert 75.
Fêtes
de Minerve. Jeunes amans des arts, apportez vo
ampe. Quarante fois à Rome une époque annuelle Ramena de Palès la
fête
solennelle, Avant qu’elle eût reçu le culte de Ve
e. Cette Déesse préside particulièrement aux moissons ; sa principale
fête
était celle d’Eleusis, où se célébraient ses myst
présidait aux pâturages et veillait sur les troupeaux. Le jour de sa
fête
, les bergers lui offraient du miel, du lait, du v
lle qu’ils traversaient en sautant. Que j’aime à revoler vers ces
fêtes
champêtres Où Rome célébrait les Dieux de ses anc
jeunesse, le bonheur et l’immortalité. De Jupiter on célébrait la
fête
, Et tous les Dieux, grands, moyens et petits, Dev
buste, Et l’encens brûlait sur leurs pas. Le sujet, dans ces jours de
fête
, Du prince devenait l’égal, Et le même bandeau ro
versés sur un tyrse entouré de lierre ; Un doux jus, bu la veille aux
fêtes
de Bacchus, Tenait encor ses sens assoupis et vai
lance aux autels ; Il monte, il y saisit d’une main assurée, Pour les
fêtes
des Dieux la hache préparée. Les éclairs sont moi
ivers, C’est l’ordre du Maître du Monde, C’est la
fête
de l’Univers. Bernard 190. Cadmus, Roi de T
en Anémone. L’anniversaire de la mort d’Adonis était consacré par des
Fêtes
lugubres et des cris lamentables, dans la Phénici
s à son corps glacé sa parure élégante… Quelque triste que soit cette
fête
touchante, Il est doux de pleurer quand on est ma
apis tout usé couvrit deux escabelles : Il ne servait pourtant qu’aux
fêtes
solennelles. Le linge orné de fleurs fut couvert
bouche vermeille ils se reposeront ; Et l’ennui loin de toi, dans des
fêtes
brillantes, Peut-être ira verser les vapeurs acca
à sa sœur. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le jour de la
fête
des Orgies, délivra Philomèle, et se vengea de so
rier courez ceindre vos têtes ; Latone sur mes pas vous appelle à ses
fêtes
. On se rend dans le temple : et déjà sur l’autel
robe à longs plis l’auguste majesté. La colère l’amène à la nouvelle
fête
; Mais malgré sa colère elle est belle : sa tête
e au milieu des trésors. Ce n’était plus ces jeux, ces festins et ces
fêtes
, Où, de myrte et de rose, ils couronnaient leurs
à peine est teint ; On n’ose interroger ses fibres corrompues, Et les
fêtes
des Dieux restent interrompues. Tout meurt dans l
onie, Parle avec poids, mange en se composant, Et se permet, quand la
fête
est finie, D’aventurer un petit mot plaisant : A
leurs habitans sans grâce et sans beautés ? Virgile abandonnait les
fêtes
de Capoue, Pour rêver sur les bords des marais de
e est appelé l’Age d’or. Rome lui éleva un temple et lui consacra les
Fêtes
Saturnales. On le représente ordinairement sous
t de l’autre une Coupe. Voici la saison des Vendanges ! Voici la
fête
de Bacchus ! Dans l’air mille cris confondus Font
llement fier et indocile. En mémoire de ce bienfait, on célébroit ses
fêtes
par des jeux équestres. Le plus beau Temple de Ne
lièrement en Arcadie, sur les monts Lycée et Ménale. En célébrant ses
Fêtes
appelées Lupercales, on lui offroit du lait, du m
nt-Ange 34. Hyménée ou Hymen Il présidoit au Mariage et aux
Fêtes
nuptiales. On le figure en jeune homme blond, cou
sporté les remerçioit tous, Quand Plutus qui vouloit être aussi de la
fête
, Vint d’un air insolent lui présenter la main, Le
éesse de la Beauté, Mère de l’Amour et des Grâces. Elle présidoit aux
Fêtes
voluptueuses. On raconte diversement son origine.
e. Cette Déesse préside particulièrement aux moissons ; sa principale
fête
étoit celle d’Eleusis, où se célébroient ses myst
présidoit aux pâturages et veilloit sur les troupeaux. Le jour de sa
fête
, les bergers lui offroient du miel, du lait, du v
le qu’ils traversoient en sautant. Que j’aime à revoler vers ces
fêtes
champêtres Où Rome célébroit les Dieux de ses anc
la jeunesse, le bonheur et l’immortalité. De Jupiter on célébroit la
fête
, Et tous les Dieux, grands, moyens et petits, Dev
ste, Et l’encens brûloit sur leurs pas » Le sujet, dans ces jours de
fête
, Du Prince devenoit l’égal, Et le même bandeau ro
versés sur un tyrse entouré de lierre ; Un doux jus, bu la veille aux
fêtes
de Bacchus, Tenoit encor ses sens assoupis et vai
lance aux autels ; Il monte, il y saisit, d’une main assurée Pour les
fêtes
des Dieux la hache préparée. Les éclairs sont moi
lle feux divers, C’est l’ordre du Maître du Monde, C’est la
fête
de l’Univers. Bernard 196. Cadmus, Roi de
en Anémone. L’anniversaire de la mort d’Adonis étoit consacré par des
fêtes
lugubres et des cris lamentables, dans la Phénici
s à son corps glacé sa parure élégante… Quelque triste que soit cette
fête
touchante, Il est doux de pleurer quand on est ma
apis tout usé couvrit deux escabelles : Il ne servoit pourtant qu’aux
fêtes
solennelles. Le linge orné de fleurs fut couvert
bouche vermeille ils se reposeront ; Et l’ennui loin de toi, dans des
fêtes
brillantes, Peut-être ira verser les vapeurs acca
ux est aussi le plus beau. Jossaud 216. à ma Femme, le jour de sa
fête
. Il est passé l’heureux temps où les femmes,
à sa Sœur. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le jour de la
fête
des Orgies, délivra Philomèle, et se vengea de so
auriers couronnez votre tête ; Latone, sur mer pas, vous appelle à sa
fête
. On court, on obéit ; et déjà, sur l’autel, Mont
courir de glorieux hasards ; Le chêne couronnoit les vainqueurs de la
fête
. Apollon de laurier ne ceignoit point sa tête, Et
e au milieu des trésors. Ce n’étoit plus ces jeux, ces festins et ces
fêtes
, Où, de myrte et de rose, ils couronnoient leurs
à peine est teint ; On n’ose interroger ses fibres corrompues, Et les
fêtes
des Dieux restent interrompues. Tout meurt dans l
onie, Parle avec poids, mange en se composant, Et se permet, quand la
fête
est finie, D’aventurer un petit mot plaisant : A
leurs habitans sans grâce et sans beautés ? Virgile abandonnoit les
fêtes
de Capoue, Pour rêver sur les bords des marais de
il fait naître, A mesure qu’il le produit. D. Comment nommoit-on les
fêtes
de Saturne ? R. Elles se nommoient Saturnales. O
couronne de tours et de créneaux de murailles. D. Quelles étoient les
fêtes
établies en l’honneur de Cybèle ? R. Les fêtes d
. Quelles étoient les fêtes établies en l’honneur de Cybèle ? R. Les
fêtes
de Cybèle s’appeloient les fêtes Mégalésiennes, o
ies en l’honneur de Cybèle ? R. Les fêtes de Cybèle s’appeloient les
fêtes
Mégalésiennes, ou les jeux Mégalésiens. Ce mot vi
vient d’un adjectif grec qui signifie grande, parce que c’étoient les
fêtes
de la grande déesse. Elles se célébroient au son
lle d’Argos, qu’elle jouissoit de toute sa gloire. On y célébroit ses
fêtes
par le sacrifice d’une hécatombe, c’est-à-dire, d
reste de sa bouillie, et le changea en lézard. D. Quelles étoient les
fêtes
établies en l’honneur de Cérès ? R. Elles se nom
qui s’y étoit passé. On trouve dans les anciens auteurs, deux autres
fêtes
instituées en l’honneur de Cérès : premièrement,
les Ambarvalies, mot qui signifie faire le tour, parce que, dans ces
fêtes
, on faisoit le tour des champs, pour obtenir la f
indiquer le commerce dirigé par la sagesse. D. Quand célébroit-on les
fêtes
de Neptune ? R. Les Romains célébroient sa fête
nd célébroit-on les fêtes de Neptune ? R. Les Romains célébroient sa
fête
le premier jour du mois de juillet, et lui consac
lierre et surmontée d’une pomme de pin. D. Comment se célébroient les
fêtes
de Bacchus ? R. Elles étoient célébrées, avec de
cheveux épars, et portoient en main des flambeaux ou des thyrses. Ces
fêtes
s’appeloient Bacchanales ou Orgies (fureur). Les
s de ce prince. Les Minéides, ou filles de Minée, s’étant moquées des
fêtes
de Bacchus, et ayant continué de travailler penda
èrement honoré en Arcadie. Les Romains célébroient en son honneur des
fêtes
appelées Lupercales. Ce mot vient du nom d’une gr
le avoit les troupeaux sous sa protection. Les Romains célébroient sa
fête
au mois d’avril. Les bergers lui offroient du lai
t étoit une jeune chèvre ou un agneau. Que j’aime à revoler vers ces
fêtes
champêtres Où Rome célébroit les dieux de ses anc
R. Comus étoit le dieu des festins, et présidoit à la toilette et aux
fêtes
. On le représente en jeune homme gras et frais, u
l hospitalier. Les neuf premiers jours de son arrivée se passèrent en
fêtes
et en festins. Mais le dixième jour, le roi décac
passer la tapisserie à sa sœur. Progné différa sa vengeance jusqu’aux
fêtes
de Bacchus. Elle sortit alors avec plusieurs dame
d’llion présageant la conquête, D’un triomphe si beau je préparois la
fête
. Je ne m’attendois pas que, pour le commencer, Mo
es. On apprend en même temps comment furent institués ces jeux et ces
fêtes
qui rendirent la Grèce si célèbre. Le pays que no
rs, voulurent de même honorer les funérailles de leurs parens par des
fêtes
, des invocations et des offrandes ; ils leur érig
ut avec joie, et suivant la coutume de ces temps, il fit célébrer des
fêtes
pendant neuf jours, pour remercier les dieux de l
r à Athènes, rendit les derniers devoirs à son père : il institua des
fêtes
dont les frais étaient payés par les familles des
ait opposer un frein suffisant aux passions humaines. Il institua des
fêtes
auxquelles on pouvait se rendre avec sûreté, parc
Messénie. Lorsque ces princes furent rassemblés, ils célébrèrent des
fêtes
pendant cinq jours. Pendant le sixième, Jason pri
r horrible sacrilége. Ce fut à cette occasion qu’ils instituèrent une
fête
qui subsista très-long-temps après. Pausanias ra
urs enfans, et leur coupaient les cheveux jusqu’à un certain âge. Ces
fêtes
, cette statue, ces sacrifices, ces coutumes, sont
upables. Les Athéniens, charmés de cette modération, instituèrent des
fêtes
en leur honneur, sous le nom d’Anacées, qui vient
ornait encore de branches d’olivier ou de lierre pendant les jours de
fête
. A Rome, avant de construire un temple, les Arusp
a, comme la déesse de l’amour et du mariage. Il y avait trois grandes
fêtes
religieuses dans l’année. La première se célébrai
s peuples du Nord, se comptait d’un solstice d’hiver à l’autre. Cette
fête
, la plus solennelle de toutes, se nommait Juul, e
e Thor ou du Soleil, pour en obtenir une année fertile. Pendant cette
fête
, semblable aux saturnales des Romains, les marque
es marques de la joie la plus dissolue étaient autorisées. La seconde
fête
était instituée en l’honneur de la Terre on de la
placée dans le croissant de la seconde lune de l’année. La troisième
fête
, en l’honneur d’Odin, se célébrait avec beaucoup
fices particuliers qui se renouvelaient tous les jours. Un repas, une
fête
, une naissance, une mort, un voyage, un retour, l
qu’on appelait Adonis et qui roulait du sang, disait-on, pendant les
fêtes
de ce dieu. Les Athéniens avaient aussi leurs Ado
a funeste aventure du sanglier ; aussi célèbrent-ils chaque année une
fête
en commémoration de cette catastrophe. On se meur
e le crépuscule du matin ! Bacchanales. (Orgies, Saturnales.) —
Fêtes
de Bacchus. Les initiés, hommes et femmes, se liv
s fut une courte orgie. » Saturnales est plus usité dans ce sens. Les
fêtes
de Saturne donnaient aux esclaves quelques jours
du soleil, les rives fertiles du Rhin, la Crimée, s’enivrent dans ces
fêtes
annuelles de la douce purée septembrale. La froid
cérémonies publiques. Mettez-vous à la place des ordonnateurs de ces
fêtes
, et essayez de symboliser autrement l’Agriculture
mais les Lares le protègent, parce qu’il est aussi de la famille. La
fête
du foyer est la sienne. Ce jour-là, l’austère mat
ctéon, en leur donnant des cornes. La Fontaine avait assisté à leurs
fêtes
nocturnes, car où aurait-il pris les traits dont
culiers qu’on leur faisait dans chaque famille, il y avait à Rome une
fête
annuelle instituée en leur honneur. On leur offra
fallait pas troubler les ombres dans leur repas mystérieux. Après la
fête
des morts, venait celle des vivants. On s’invitai
Amours célèbre les conquêtes, Se couronne de myrte et préside à leurs
fêtes
. Euterpe a de la flûte animé les doux sons, Aux
s Filles de mémoire, de Sœurs d’Apollon, etc. Déjà pour l’immortelle
fête
Les neuf Sœurs ont paré leur tête Des fleurs qui
un bouc, parce que cet animal détruit les bourgeons de la vigne. Ses
fêtes
se célébroient en automne, avec une licence qui a
épars ; chacune tenoit à la main un thyrse et une torche ardente. Ces
fêtes
s’appeloient Orgyes, ou Bacchanales. Les paysans
présente ornée de guirlandes, et portant une corbeille de fleurs. Ses
fêtes
s’appelloient les jeux floraux. Elles étoient cél
ta loi. Gresset. Comus étoit le dieu des festins, et présidoit aux
fêtes
et aux parures. On le représente avec un chapeau
Tems, 21 B Babylone, ses murs et ses jardins, 63 Bacchanales,
fêtes
en l’honneur de Bacchus, 68 Bacchantes, prêtress
rgue et de Penthée, 69 — Les sacrifices qu’on lui faisoit, 68 — Ses
fêtes
étoient célèbres, ibid. — Comment on le représe
t en proie aux Furies, 188 — Enlève la statue de Diane, 189 Orgies,
fêtes
en l’honneur de Bacchus, 68 Origine de la Fable,
igone. On fit périr tous les meurtriers d’Icare, et l’on institua des
fêtes
appelées Jeux icariens qui consistoient à se bala
on au bord de la mer, il la couvroient de feuilles et célébroient une
fête
qu’ils appeloient Ténéa parce qu’ils avoient tend
vinité. On lui bâtit un tombeau sur le mont Œta et l’on y établit une
fête
annuelle. On lui éleva en divers lieux des autels
qui dénote encore ces frères Gémeaux du Zodiaque. Pour célébrer leur
fête
, les Romains envoyoient tous les ans, vers leur t
à qui l’on y rendoit des honneurs divins. On appela Achilléenes, des
fêtes
célébrées dans la Laconie en l’honneur d’Achille.
honey sweating thro’ the pores of oak.” Ovid. From the gaieties and
fêtes
which then took place arose the name of Saturnali
ties and fêtes which then took place arose the name of Saturnalia, or
fêtes
of Saturn, which lasted three, four, and five day
d received no wounds, were honoured with triumphant rejoicings. These
fêtes
, established in Lybia, were transferred to Athens
ave their tombs three times during the course of the year while their
fêtes
, which were the most pompous in Rome, were procee
they were commenced upon equitable grounds. The Athenians instituted
fêtes
called Nemesia, in memory of deceased persons, as
ns, under the name of Gemini. Sparta, celebrated in honour of them, a
fête
called Dioscuria, which was observed with jovial
when they endeavoured to inspire themselves with his advice; and his
fêtes
were kept at the hour of night, in high places, o
s, où les disputes de la plâce et de l’ecôle, par le théâtre, par les
fêtes
qui sont des jeux et des combats, l’homme évoque
▲