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1 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
e à Saturne, son cadet, à condition cependant qu’il n’élèveroit aucun enfant mâle. C’est pourquoi Saturne les dévoroit sitôt q
cuta cruellement les femmes qui furent aimées de Jupiter, et même les enfants qu’elles lui donnèrent. D. Racontez quelques-uns
e honte, sans la rendre plus sage. D. Jupiter et Junon eurent-ils des enfants  ? R. Vulcain fut le seul fruit de leur union. D.
le seul fruit de leur union. D. La fable ne donne-t-elle pas d’autres enfants à Junon ? R. La fable lui attribue encore Hébé e
tribue encore Hébé et Mars. On raconte ainsi la naissance de ces deux enfants  : Junon, suivant l’avis d’Apollon, mangea, au ban
i présenta de la bouillie. Cérès en mangea avec tant d’avidité, qu’un enfant nommé ne put s’empêcher d’en rire. La déesse offe
ils de Saturne et de Cybèle. Son père avoit l’habitude de dévorer ses enfants mâles. Mais Cybèle, qui avoit déjà réussi à le tr
le, traîné par des dauphins. D. L’Océan et Téthys eurent-ils d’autres enfants que les Océanitides ? R. Ils eurent encore Nérée
Pélée, qui devint père d’Achille. D. Faites-nous connoître les autres enfants de l’Océan et de Téthys. R. Ils eurent encore le
ux noirs. Amour de lui dorment, nonchalamment étendus, les Songes ses enfants . Son principal ministre veille pour empêcher qu’o
encieux, couronné de pavots, Savoure les douceurs d’un éternel repos. Enfant tout à la fois et père des mensonges, En foule au
rs, Bacchus, Anchise prince troyen, et Adonis jeune chasseur. D. Quel enfant naquit des amours de Vénus et de Mars ? R. Ce fu
? R. Ce fut Cupidon ou l’Amour. On le représente sous la figure d’un enfant nu, avec un sourire malin, un bandeau sur les yeu
ndoit à ce dieu, lui étoit commun avec sa mère. D. Vénus eut-elle des enfants de Bacchus ? R. Oui ; elle en eut l’Hymen, appel
      Dans les lieux où vous revenez, ( Quinault.) D. Quels sont les enfants du Soleil ? R. Il en eut plusieurs, dont les plu
lît pas. Tithon devint si caduc, qu’il fallut l’emmaillotter comme un enfant . Ennuyé des infirmités de la vieillesse, il souha
Tantale et de Dioné, épousa Amphion, roi de Thèbes. Elle en eut douze enfants , six fils et six filles ; et, fière de sa fécondi
Apollon, pour venger leur mère, tuèrent à coups de flèches touts les enfants de Niobé ; et cette mère infortunée, changée en r
eut endormir. D. Qu’est-ce que les Songes ? R. Les Songes sont aussi enfants du Sommeil. Les poëtes ont imaginé que les songes
s, la joie imaginaire, La sédition sourde, et les bruits clandestins, Enfants toujours douteux de rapports incertains, Entouren
ndestine. D. Comment Persée fut-il élevé ? R. Acrise ordonna que cet enfant fût exposé à la merci des flots avec sa mère dans
rs, à la prière de Pallas, et consentit même à donner de son lait à l’ enfant , pour le rendre immortel. Hercule aspira si forte
illes dans l’exercice des armes ; elles estropioient ou tuoient leurs enfants mâles. Eurysthée commanda à Hercule de lui apport
a à ce héros un tel excès de fureur, qu’il tua sa femme Mégare et les enfants qu’il en avoit eus. Lorsqu’il fut revenu de sa fu
urnoyer les flots. Cyrène de son fils vient calmer les alarmes : Cher enfant , lui dit-elle, essuie enfin tes larmes ; Tu conno
elle avoit emmené avec elle, et dispersa les membres de ce malheureux enfant , le long du chemin que suivoit son père. Aëte per
hilomèle parut sur la fin du repas, et jeta sur la table la tête de l’ enfant . Térée, transporté de rage à cette vue, demande s
de son propre fils ; et ordonna à Jocaste sa femme, d’ôter la vie à l’ enfant qu’elle mettroit au monde. La mère eut horreur de
’exécution à un berger. Le berger, à son tour, touché des grâces de l’ enfant , lui perça les talons et l’attacha à un arbre sur
La reine de Corinthe voulut le voir ; et, comme elle n’avoit point d’ enfants , elle l’adopta et prit soin de son éducation. Ell
s états, qui prirent de lui le nom de Péloponèse. D. Quels furent les enfants de Pélops et d’Hippodamie ? R. Pélops et Hippoda
s et d’Hippodamie ? R. Pélops et Hippodamie eurent un grand nombre d’ enfants , parmi lesquels on distingue sur-tout Atrée et Th
avoit eu deux fils, de son commerce avec Erope. Atrée fit mettre ces enfants à mort, et en servit les membres à son frère. Les
espirons ; enfin, après dix ans, Ilion d’un long deuil affranchit ses enfants . Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, Vole a
a masse énorme avance et franchit nos murailles ; Un chœur nombreux d’ enfants en chantant la conduit, Et se plaît à toucher les
encore jeunes à son frère Atrée, qui les fit élever comme ses propres enfants . C’est ce qui leur fit donner le nom d’Atrides.
sa jeunesse. Le lâche, tant qu’Hector humilia la Grèce, Respecta cet enfant , ses malheurs et son nom ; Mais dès que le destin
R. Priam, roi de Troie, épousa Hécube, dont il eut un grand nombre d’ enfants . Il releva les murs de la ville, et fit fleurir s
nuptiales. Ces dépouilles des fois, ces pompes triomphales, Trésors, enfants , grandeurs, tout périt sous ses yeux, Et le glaiv
iques Les couvroit de son ombre ; en ces lieux révérés, Hécube et ses enfants ensemble retirés, Ainsi qu’aux sifflements des te
ouilles mes cheveux blancs, » Qui sous les yeux d’un père égorges ses enfants  ; » Toi, fils d’Achille !… non, il ne fut point t
la trouver ; mais enfin, Ulysse la surprit parmi les tombeaux de ses enfants , et en fit son esclave. Avant que de partir, elle
onstruire un magnifique monument. Quelques auteurs ont prétendu qu’un enfant supposé fut précipité du haut des murs de la vill
i embrasoit la ville de Troie. Les devins consultés répondirent que l’ enfant causeroit un jour la ruine de sa patrie. Priam, e
ut le destin accoutumé. Clytemnestre fit massacrer Cassandre avec les enfants que l’infortunée Troyenne avoit eus d’Agamemnon.
  Deguerle décrit, d’après Pétrone, les malheurs de Laocoon et de ses enfants . R. Les voici : Pergame, après dix ans de siége
ut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfants d’Ilion dormoient dans le silence ; Ils dormoient
nne au même instant et la vierge timide, Et le foible vieillard, et l’ enfant au berceau. Ilion n’offre plus qu’un immense tomb
endre, sors, prends la flamme et le fer, » Toi qui dois me venger des enfants de Teucer ! » Que le peuple latin, que le fils de
ité. V. Tel vous serez envers votre père, tels seront envers vous vos enfants Pittacus mourut l’an 579 avant Jésus-Christ, à
avec les plus petites, c’est l’importance qu’il attache à des jeux d’ enfants , c’est l’intérêt qu’il prend pour un lapin et une
ne finirois pas. D. Que remarquez-vous sur l’obligation où sont les enfants d’honorer leurs parents ? R. Je remarque que ce
iastique, l’un des plus beaux livres de morale, nous dit : « Écoutez, enfants , les avis de votre père, et suivez-les, afin que
, afin que vous soyez sauvés : car Dieu a rendu le père vénérable aux enfants , et il a affermi sur eux l’autorité de la mère. C
résor : celui qui honore son père, recevra lui-même de la joie de ses enfants , et il sera exaucé au jour de sa prière. Celui qu
eur vieillesse que les parents ont le plus besoin du secours de leurs enfants  ; et c’est alors que ceux-ci doivent redoubler de
s sentiments Méconnois-t u le caractère ? — Non ; mais vous avez deux enfants  ; Moi, je n’ai qu’une mère ! D. Nos obligations
monsieur de Lacepède, est un Dieu consolateur laissé au milieu de ses enfants pour y être une image vivante du Dieu qu’ils ador
encor de bâtir ; mais planter à cet âge ! Disoient trois jouvenceaux, enfants du voisinage :            Assurément il radotoit.
, sera moins porté à se répandre au dehors. La première éducation des enfants est certainement de la plus haute importance. C’e
ucoup de sagesse que la nature a inspiré aux parents l’amour de leurs enfants . Mais si la raison ne modère cette tendresse natu
nce excessive ; les parents perdent toute espèce d’autorité sur leurs enfants , et se rendent ainsi eux-mêmes incapables de les
incapables de les bien élever. Figurons-nous une mère idolâtre de ses enfants , qu’elle aime pour elle-même, et qu’elle tourment
ni aucun principe qui leur soit commun ; les moindres paroles de ces enfants , reçues comme des oracles et répétées cent fois d
e ; une mère toujours aux expédients pour se faire obéir, animant ses enfants , les excitant, les récompensant ou les punissant
se perfectionnera, les mères deviendront plus propres à élever leurs enfants , et ces tristes exemples seront moins fréquents.
iculière. Trois choses paroissent sur-tout nécessaires à la santé des enfants et au développement de leurs forces, savoir, des
lées pour les repas et le sommeil, un air pur, et l’exercice. Or, les enfants trouvent difficilement la réunion de ces avantage
r les forces du corps croître et se développer promptement dans leurs enfants , ne sauroient trop se hâter de les retirer de cet
nécessité pour l’accroissement des forces physiques. Vous retenez un enfant dans votre appartement, et vous voulez qu’il y so
ement lui est aussi nécessaire que la respiration, Locke veut que les enfants jouent fréquemment au grand air, et il étend ce p
ternisse la candeur de leur ame ! On doit le plus grand respect à un enfant , a dit un sage de l’antiquité. Et cependant les
a dit un sage de l’antiquité. Et cependant les parents confient leurs enfants à des domestiques corrompus et grossiers, qui leu
s leurs vices. Et cependant il se permettent à eux-mêmes devant leurs enfants des discours et des actions blâmables. Sur quoi,
ne vérité constante, que quelques instructions que vous donniez à vos enfants , quelques maîtres que vous mettiez auprès d’eux,
ies qu’ils fréquenteront, et les exemples que vous leur donnerez. Les enfants agissent par imitation, vous ne devez point faire
llin, que vient le mal, par le mauvais exemple qu’ils donnent à leurs enfants . Ceux-ci voient touts les jours et entendent des
t cela passe en habitude, et bientôt après en nature ; et les pauvres enfants se trouvent vicieux avant que de savoir ce que c’
dans les maisons d’éducation. Ce n’est que là qu’on peut attendre des enfants un travail constamment soutenu. Là seulement, la
cès entretiennent l’ardeur des élèves. Dans la maison paternelle, les enfants sont sans cesse détournés de leurs études. Tantôt
mène la perte d’une semaine ; les parents s’ennuient de gronder leurs enfants  ; les maîtres se dégoûtent ; rien ne ranime le co
t la grammaire… Vous les mettrez en état d’apprendre un jour à leurs, enfants à bien parler sans aucune étude. On sait que dans
ntribua beaucoup, par une bonne éducation, à orner l’éloquence de ses enfants , qui devinrent de si grands hommes. » L’étude de
» La mémoire est la faculté qu’il faut cultiver la première dans les enfants . C’est pourquoi Fénelon conseille de leur faire a
l’histoire de Ruth, celle de Tobie, le sacrifice d’Abraham, etc. Les enfants retiendront plus aisément ces vers. « Les vers so
facilité. Il n’est pas moins utile, lorsqu’on a lu un événement à un enfant , ou même lorsqu’il en a écrit l’extrait, d’exiger
fâcheux pour des parents d’être obligés de donner des maîtres à leurs enfants , après qu’ils les ont retirés des pensions où ils
endre. Dans le cas contraire, c’est une véritable perte de temps. Les enfants réussissent rarement à apprendre l’anglois, l’all
remier coup d’œil on hait l’orgueilleux ; du second on le plaint. Un enfant s’admiroit monté sur une table, Je suis grand, di
ondit :            Descendez, vous serez petit.            Quel est l’ enfant de cette fable ?            Le riche qui s’enorgu
Panard.) Écoutons cet apologue de La Fontaine. Le Laboureur et ses enfants . Fable.        Travaillez, prenez de la peine,   
e moins. Un riche laboureur, sentant sa fin prochaine, Fit venir ses enfants , leur parla sans témoins. Gardez-vous, leur dit-i
2 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
a été écrit par un père de famille, pour l’instruction de ses propres enfants . La matière était délicate, parce qu’il fallait r
tigues ; ils étaient forts, violents, farouches, les plus féroces des enfants de la Terre et du Ciel. Nous verrons dans l’histo
Terre et du Ciel. Nous verrons dans l’histoire de Saturne comment les enfants du Ciel et de la Terre se comportèrent envers leu
s des Cyclopes ? — La terre ne s’unit-elle pas avec le Ciel ? — Quels enfants naquirent de cette union ? — Combien de races se
e, que les Grecs appelaient Uranus et Titéa. Uranus dérobait tous ses enfants à la lumière, et les plongeait, à leur naissance,
abîmes. La Terre gémissait de cette cruauté, et voulait délivrer ses enfants . Avec le fer qu’elle produisit, elle fabriqua une
rne, pour assurer l’effet de cette convention, ne devait élever aucun enfant mâle. En conséquence, toutes les fois qu’il lui e
chaque fois une pierre à avaler. Elle fit élever secrètement tous ses enfants , parmi lesquels se trouvaient Jupiter, Neptune et
, le vainquit et le renferma dans une étroite prison. Jupiter, encore enfant , délivra Saturne, et lui rendit son trône ; mais,
l a engendré, c’est pour cela qu’on dit de Saturne qu’il dévorait ses enfants . La retraite de Saturne auprès de Janus s’expliqu
e. De qui Saturne était-il fils ? — Comment Uranus traitait-il ses enfants  ? — Comment furent-ils délivrés ? — Que fit Satur
a-t-il pas au préjudice de Titan, son frère ? — Que faisait-il de ses enfants  ? — Que fit Rhéa pour sauver Jupiter ? — Saturne
aturne et Titan son frère, Jupiter aurait été dévoré comme les autres enfants mâles issus du mariage de Saturne et de Rhéa, si
acité de son époux en lui faisant avaler une pierre à la place de son enfant . Jupiter, sauvé par cet artifice, fut élevé dans
’on nomme aussi Cybèle, ordonna à ses prêtres de couvrir la voix de l’ enfant par des cris qu’ils poussaient en dansant et par
urriture du fils de Saturne. Guerre des Géants. Jupiter, encore enfant , signala sa force en délivrant Saturne son père,
queue de serpent recouverte d’écailles impénétrables. Ces redoutables enfants de la Terre entreprirent d’assiéger Jupiter jusqu
umières les dieux et les hommes. Mais craignant d’être vaincu par les enfants qui naîtraient de cette alliance, il renferma Mét
onc que la septième de ses femmes : Hébé, Mars et Ilithyie furent ses enfants . Nous raconterons bientôt l’histoire de cette dée
vinité du voyageur, voulut l’éprouver en lui servant les membres d’un enfant qu’il avait fait égorger et couper en morceaux. A
elle le serpent Python, qui la persécuta longtemps : Apollon, encore enfant , s’arma de flèches, et tua le monstre. Cette vict
réside l’assemblée des Muses et qui les inspire ; les poëtes sont ses enfants , et c’est de lui qu’ils tiennent l’enthousiasme q
belle et nombreuse famille, avait osé se préférer à Latone. Tous ses enfants tombèrent sous les flèches de Diane et d’Apollon.
orné d’un croissant. Les femmes qui l’invoquaient à la naissance des enfants lui donnaient le nom de Lucine ou d’Ilithyie, et
mangeait avidement de la bouillie que son hôtesse avait préparée. Un enfant , nommé Stellio ou Stellé, se moqua de la déesse,
ire. Sous quels noms les anciens ont-ils divinisé la Mer ? — Quels enfants naquirent de l’union d’Océan et de Téthys ? — Com
les divinités de la mer. On attribue à Neptune un très-grand nombre d’ enfants nés de mères différentes. Cette fécondité repose
les fils de la Terre, épouvantés, cédèrent la victoire aux dieux. Les enfants de Triton conservèrent le nom de leur père, et se
soulevaient les tempêtes, les autres, favorables aux mortels, étaient enfants des dieux. Les quatre vents principaux étaient :
er son repos. De fantômes divers une cour mensongère, Vains et frêles enfants d’une vapeur légère, Troupe qui sait charmer le p
Junon envoya près du berceau d’Hercule deux serpents monstrueux que l’ enfant étouffa sans peine. Ce fut son premier exploit. L
os, était enceinte. Junon fit déclarer par Jupiter que celui des deux enfants qui naîtrait le premier aurait tout pouvoir sur l
on petit-fils. Ayant pris la résolution de faire périr avec la mère l’ enfant qui devait lui ravir un jour la couronne et la vi
e des Cyclades. Polydecte, roi de Sériphe, fit élever Persée avec ses enfants  ; aspirant à la main de Danaé, il voulut éloigner
zène. Il fut élevé à la cour du sage Pitthée, père de sa mère. Encore enfant , il montra son courage en s’armant contre la peau
u lion de Némée qu’Hercule avait déposée dans le palais de Pitthée. L’ enfant croyait avoir affaire à un lion et n’en fut pas i
de Scyros, qui le fit précipiter du haut d’un rocher. Plus tard, les enfants de Thésée, rappelés sur le trône de leur père, fe
lle fit périr la fiancée de Jason, égorgea en sa présence ses propres enfants , et s’enfuit sur un char attelé de dragons ailés.
ce serait le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Lorsque cet enfant fut né, les auteurs de ses jours le vouèrent à la
attirèrent. L’enflure de ses pieds lui fit donner le nom d’Œdipe. Cet enfant fut élevé à la cour de Corinthe, comme s’il eût é
sept chefs. —Étéocle et Polynice. Œdipe avait eu de Jocaste quatre enfants , Étéocle et Polynice, Antigone et Ismène. La piti
ournement à la ruine de Thèbes ; les chefs argiens avaient laissé des enfants dignes de les venger. Dix ans après l’expédition
e des Parias, composée du rebut de toutes les autres, est séparée des enfants de Brahmâ par l’horreur qu’elle inspire, et réuni
e deuil et se mit à la recherche du corps de son époux bien-aimé. Des enfants lui apprirent par quelle bouche du Nil le coffre
eauté ; la reine voulut la voir et se l’attacha comme nourrice de son enfant . La déesse le nourrissait en lui mettant le doigt
3 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ce que Cham avait manqué, dans la personne de Noé, au respect que les enfants doivent à leur père : portant dès lors la peine d
ns les pays circonvoisins ; ensuite elle passa en Occident, parmi les enfants de Japhet, c’est-à-dire dans l’Asie Mineure et da
tea. Ces deux divinités, s’étant unies, donnèrent le jour à plusieurs enfants . Les plus célèbres sont Titan, Saturne, Japet et
Chapitre II. Saturne. 8. Uranus détrôné par Saturne. Tous les enfants que la Terre mettait au jour étaient odieux à Ura
s à la condition que Saturne dévorerait, dès leur naissance, tous ses enfants mâles. Cependant Cybèle, sa sœur, qu’il avait épo
commencé avec l’univers et finira avec lui. On dit qu’il dévorait ses enfants , parce que le temps détruit tout ce qu’il a fait
n’a pas cessé jusqu’à nos jours. Questionnaire. 8. Pourquoi les enfants de la Terre étaient-ils odieux à Uranus, leur pèr
, elle ordonna à ses prêtres, nommés Curètes, de couvrir la voix de l’ enfant par le bruit des tambours et par les cris dont il
t encore plusieurs autres femmes, qui lui donnèrent un grand nombre d’ enfants . De Mnémosyne il eut les neuf Muses ; de Thémis,
et par les pierres dont il est ici question il faudrait entendre les enfants de ceux qui se sauvèrent de l’inondation. Le mot
guerre des Géants ? 19. Nommez les diverses épouses de Jupiter et les enfants qu’il en eut ? Comment explique-t-on quelques-uns
le caractère jaloux et superbe de Junon. Elle donna le jour à quatre enfants  : Hébé, Lucine, Mars et Vulcain, dont les trois p
épousa-t-elle ? Que se passa-t-il de remarquable à ses noces ? Quels enfants eut-elle ? Qu’offre de particulier la naissance d
ayant épousé Métis, déesse de la réflexion (n° 49), craignit que les enfants qu’il aurait d’elle ne fussent d’une nature supér
la déposent dans l’île de Chypre. Là les Grâces, les Ris et les Jeux, enfants de Vénus, selon quelques-uns, forment son cortége
nnaît la charmante fable de La Fontaine intitulée Le Laboureur et ses enfants , qui rend sensible cette vérité. Plutus est ordin
palais s’embrasa, et Sémélé périt au milieu des flammes. Cependant l’ enfant qu’elle portait dans son sein fut sauvé ; Jupiter
s l’embrasement de son palais, et que l’on était parvenu à sauver son enfant . D’autres interprètes ajoutent que Jupiter avait
acchus. 60. Quelle preuve de force et de courage donna Bacchus encore enfant  ? Quelle fut la cause de son voyage en Phrygie ?
s. Les plus anciennes divinités de la mer étaient Océan et Téthys, enfants d’Uranus et de Titéa. Océan épousa Téthys36 sa sœ
aine paternel. On sait que Saturne dévorait à leur naissance tous ses enfants mâles ; mais son épouse, qui avait réussi à le tr
des principales divinités de la mer. On attribue à Neptune beaucoup d’ enfants , beaucoup d’aventures et de métamorphoses. Cela p
ui donna-t-elle le jour ? Pourquoi attribue-t-on à Neptune beaucoup d’ enfants , d’aventures et de métamorphoses ? 75. Comment re
ien loin de sa patrie, sur les côtes d’Afrique. On donne à Eole douze enfants , qui représentent les vents principaux. Les plus
ut chez les Grecs et les Romains. Qu’était Phorcys ? Quels furent ses enfants  ? Qu’était-ce que les Gorgones ? Qu’était-ce que
’enlèvement de sa fille, se laissa tromper, et mangea une épaule de l’ enfant . Jupiter le ressuscita, et remplaça par une épaul
s le ciel, dans l’autre une corne d’abondance, qu’elle présente à des enfants . La Pitié présidait elle-même à son propre culte.
u, en un temple, qu’ils consacrèrent à cet amour tendre et dévoué des enfants pour leurs parents, qui prend le nom de Pitié fil
anaé donna le jour à Persée. Acrisius furieux fit mettre la mère et l’ enfant dans une frêle barque et les abandonna à la merci
ta contre Hercule, encore au berceau, deux serpents monstrueux, que l’ enfant étouffa sans peine : ce fut son premier exploit.
Junon, toujours jalouse, fit déclarer par Jupiter que celui des deux enfants qui naîtrait le premier aurait tout pouvoir sur l
que n’ont pu, dans l’horreur de la guerre, Centaures ni Géants, fiers enfants de la terre, Ce que tout l’univers n’osa jamais t
cule avait eu sur la terre, de ses diverses femmes, un grand nombre d’ enfants . Ils devinrent célèbres, eux et leurs descendants
rète de sa fille avec Egée, publia, lorsqu’elle était enceinte, que l’ enfant qu’elle portait avait pour père Neptune la grande
la peau du lion de Némée qu’il portait sur ses épaules. Thésée encore enfant , s’arma d’une hache et frappa ce qu’il croyait êt
ors la ville de Thèbes cesserait s’il consentait à sacrifier ses deux enfants . Phryxus et Hellé, pour échapper à la mort qui le
Ancée. De là ils passèrent dans l’île d’Arécie, où ils trouvèrent les enfants de Phryxus, qu’Eétès, leur aïeul, envoyait en Grè
chose ? Quoi ! mon père trahi, les éléments forcés, D’un frère encore enfant les membres dispersés. Lui font-ils présumer mon
ée.) Médée, en effet, punit son époux en égorgeant sous ses yeux les enfants qu’elle avait eus de lui. Après cette vengeance,
Ménécée. Les plus affreux malheurs étaient réservés à cet hymen. « L’ enfant qui en sortira, disait un oracle, sera le meurtri
e l’officier chargé d’exécuter cet ordre qu’il exposerait seulement l’ enfant . Il fut suspendu par les pieds à un arbre, sur le
ns l’exil une vie errante et misérable. Il avait eu de Jocaste quatre enfants  : Etéocle, Polynice, Antigone et Ismène. Antigone
tracés. Mais Palamède, envoyé vers lui, ayant placé Télémaque encore enfant devant le soc de la charrue, Ulysse la détourna a
ouilles mes cheveux blancs, « Qui sous les yeux d’un père égorges ses enfants  ! « Toi, fils d’Achille ! Non, il ne fut point to
voir dans sa maison, et l’on croyait que son haleine communiquait aux enfants si le pouvoir de prédire l’avenir. Lorsqu’il avai
vain celui-ci ordonne le massacre de tous les nouveau-nés du pays ; l’ enfant divin échappe à sa fureur. Il avait été transport
r six sujets. » 11. Selon Rollin, l’histoire de Noé et de ses trois enfants a donné lieu à la fable de Saturne et de ses fils
, la sublimité du christianisme, qui réserve pour les derniers de ses enfants toute la douceur de ses consolations, toute la ma
4 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
des Dieux, et Vesta, ou la Terre, la première déesse. Ils eurent pour enfants Titan et Saturne, ou le Temps. En sa qualité de f
a ses droits à Saturne, à la condition que celui-ci n’élèverait aucun enfant mâle. Cependant Cybèle, femme de Saturne, ayant m
ayant lu dans le livre des Destins qu’il serait détrôné par un de ses enfants , résolut de se défaire de Jupiter, dont il redout
ion ? — Quels furent les plus anciens des Dieux et quels furent leurs enfants  ? — Lequel des deux succéda à son père ? — Quelle
mère à la férocité de Saturne, qui s’était engagé à dévorer tous ses enfants mâles, fut confié aux Corybantes, qui l’élevèrent
urer de la divinité de son hôte, lui servit à manger les membres d’un enfant qu’il venait d’égorger. Jupiter, justement irrité
rquoi on l’appelait Pronuba ; elle présidait aussi à la naissance des enfants , et dans cette circonstance on l’invoquait sous l
ette circonstance on l’invoquait sous le nom de Lucine. Elle eut pour enfants Hébé, Déesse de la jeunesse, qui servit le nectar
jalousie ; elle persécutait cruellement ses rivales, ainsi que leurs enfants . Pour surveiller les démarches de Jupiter, elle e
u’est-ce que Junon, et quels noms lui donnait-on ? — Quels furent ses enfants  ? — Quel était son caractère ? — Vivait-elle en b
barbarie : il ordonna que Marsyas fût écorché vif. Parmi les nombreux enfants d’Apollon, nous devons citer Phaéton, que son imp
t à ses attraits un pouvoir irrésistible. Vénus eut un grand nombre d’ enfants  ; les plus célèbres sont Cupidon, l’Hymen, Enée,
ls avantages les poëtes ont-ils accordés à Vénus ? — Quels furent ses enfants les plus connus ? — Comment honorait-on son culte
n attribuait les tremblements de terre. Neptune eut un grand nombre d’ enfants , parmi lesquels on remarque les Tritons, dont nou
s fêtes, et quelle puissance lui attribuait-on ? — Neptune eut-il des enfants  ? — Comment le représente-t-on ? XII. — Pluto
et lui donna l’immortalité. On représente Cupidon sous la forme d’un enfant ailé, les yeux couverts d’un bandeau et les épaul
ie au milieu de l’incendie qui dévorait cette ville. A Rome, quand un enfant entrait dans l’adolescence, c’est-à-dire à l’âge
n lait ; quelques gouttes de ce lait divin, tombées de la bouche de l’ enfant , formèrent cette longue traînée blanche que l’on
ssédait. Voici quelle en était l’origine : Phrixus et Hellé, sa sœur, enfants d’Athamas, roi de Thèbes, voulant échapper aux ma
és, et pour dernier adieu elle jeta à son époux les cadavres des deux enfants qu’elle avait eus de lui, et qu’elle venait d’égo
la main du fils que Jocaste, sa femme, allait lui donner, saisit cet enfant aussitôt après sa naissance, et ordonna à un de s
lui arracher la vie. Cet homme, ému de pitié, se contenta d’exposer l’ enfant sur le mont Cythéron, en l’attachant à un arbre p
es lieux Phorbas, berger des troupeaux de Polybe, roi de Corinthe ; l’ enfant était encore vivant, et Phorbas, l’ayant emporté
seule goûta de ce mets, et déjà elle avait mangé une épaule du jeune enfant , lorsque Jupiter découvrit le crime. Ce Dieu, ple
pelée, du nom de son conquérant, le Péloponèse. Ce prince laissa deux enfants , Atrée et Thyeste, sur lesquels les poëtes se son
 ; Thyeste s’y étant rendu, on lui fit manger la chair de ses propres enfants qu’Atrée avait égorgés. La fable ajouta que le so
elle contrée se rendit-il maître par la victoire ? — Quels furent ses enfants  ? XI. — Précis de la guerre de Troie. La v
Hécube, fille de Cissée, roi de Thrace, dont il eut un grand nombre d’ enfants . Le cours de ces prospérités fut interrompu par l
nt dix ans une guerre cruelle, dans laquelle il vit la plupart de ses enfants tomber à ses côtés. Enfin, lors de la prise de sa
sance, sa mère Hécube alla consulter l’oracle, qui lui répondit que l’ enfant qu’elle portait dans son sein devait causer la pe
ept chefs argiens qui se rendaient au siége de Thèbes, en faveur d’un enfant nommé Archémore, qui fut étouffé par un serpent t
e acariâtre. Il était au milieu de ses élèves comme un père entre ses enfants , leur prêchant une morale très-pure et les instru
es est un souvenir du partage de la terre que Noé fit entre ses trois enfants . Cham, qui eut l’Afrique, est le même que Jupiter
s. 64. Niobé, femme d’Amphion et fille de Tantale, ayant eu quatorze enfants , se mettait orgueilleusement au-dessus de Latone,
iane. Cette déesse en fut tellement irritée, qu’elle fit tuer par ses enfants les sept fils et les cinq filles de Niobé ; cette
5 (1850) Précis élémentaire de mythologie
remière édition. La mythologie n’est plus mise entre les mains des enfants dans un certain nombre de maisons d’éducation. No
sidération d’un ordre plus élevé, afin de ne pas cesser de parler aux enfants leur langage. Le seul mérite que nous ambitionnio
de la tour de Babel pour se disperser sur la surface de la terre, les enfants de Noé oublièrent le vrai Dieu pour ne s’occuper
lui rendait-on ? Comment était-elle représentée ? 5. Quels furent les enfants de la Terre ? Pourquoi dit-on qu’elle donna le jo
rquoi dit-on qu’elle donna le jour aux Cyclopes ? 6. Quels furent les enfants d’Uranus et de la Terre ? Chapitre II. Saturn
Chapitre II. Saturne ou le Temps. 1. Uranus dérobait tous ses enfants à la lumière et les précipitait, à mesure qu’ils
rbarie, produisit le fer jusqu’alors caché dans son sein, en arma ses enfants et les excita à la vengeance. Tous reculèrent dev
ne qu’il avait ainsi usurpé, mais à condition qu’il n’élèverait aucun enfant mâle, et que le souverain pouvoir retournerait à
a de stratagème pour tromper la barbarie de son époux. Au lieu de ses enfants elle lui donna une pierre à dévorer. Elle eut rec
e faire périr. La guerre recommença dans le ciel entre le père et les enfants . Jupiter victorieux chassa du ciel Saturne et rég
ps n’a commencé qu’avec la création ; on a supposé qu’il dévorait ses enfants , parce que le temps voit périr tout ce qu’il a en
l le produit. Questionnaire. 1. Comment Uranus traitait-il ses enfants  ? Quel fut le succès de la rébellion de Saturne ?
a-t-il régner ? 2. Comment Cybèle déroba-t-elle Jupiter et ses autres enfants à la cruauté de Saturne ? Quel fut le succès de l
dans la suite il y en eut jusqu’à sept. On les choisissait parmi les enfants de six à dix ans. Leurs fonctions duraient trente
de l’éprouver. Il l’invita à sa table et lui servit les membres d’un enfant qu’il avait fait égorger. Le dieu reconnut sur-le
e premier vers la fin de mars1. » 6. Le dieu du soleil eut plusieurs enfants , parmi lesquels on distingue l’Aurore et Phaéton.
e quand elle le considère comme le dieu du jour ? 6. Quels furent ses enfants  ? Pourquoi Phaéton demanda-t-il à conduire le cha
malheureuse Niobé, qui avait osé tirer vanité de la multitude de ses enfants . Elle fit aussi dévorer par ses chiens le chasseu
frappée de mort. Jupiter sauva le jeune Bacchus. 2. A sa naissance, l’ enfant dieu fut déposé dans file de Naxos, d’où Mercure
ses ateliers souterrains son trône, son palais et ses foudres. 3. Les enfants de Vénus furent l’Hymen et Cupidon. L’Hymen était
ou bien encore l’inquiétude et les soucis. Cupidon son frère était un enfant ailé, portant un arc et un carquois rempli de flè
er voulait le faire périr parce qu’il prévoyait tous les maux que cet enfant devait faire aux dieux et aux hommes. Mais sa mèr
’introduisit dans le ciel ? A qui fut-elle mariée ? 3. Quels sont ses enfants  ? Comment l’Hymen était-il représenté ? Quel étai
anides, les nymphes de la mer. Les fleuves passaient aussi pour leurs enfants . Les poëtes représentaient l’Océan sous la forme
mit au rang des constellations. De ce mariage Neptune eut beaucoup d’ enfants . Les plus célèbres furent les Tritons et les Harp
elles divinités maritimes existaient avant Neptune ? Quels furent les enfants de l’Océan et de Téthys ? Comment les poëtes repr
. Qui épousa Neptune ? Comment obtint-il la main d’Amphitrite ? Quels enfants eut-il de ce mariage ? 5. Qu’est-ce que les Trito
er son repos. De fantômes divers une cour mensongère, Vains et frôles enfants d’une vapeur légère, Troupe qui sait charmer le p
en cent parts divisé. 3. Près du Sommeil veillaient les Songes, ses enfants . Les trois principaux de ces Songes étaient Morph
description La Fontaine a faite de son palais ? 3. Quels étaient ses enfants  ? Qu’est-ce que Morphée ? Quels étaient ses attri
les ? 4. Quel nom avait la Justice chez les Grecs ? Quels étaient ses enfants  ? Comment était-elle représentée ? Qu’est-ce que
cruelle n’attendit pas ses coups. Elle massacra elle-même ses propres enfants , et se fit enlever sur un char par des dragons vo
on, dans son humeur vindicative et jalouse, résolut défaire périr cet enfant à son berceau. Elle envoya donc contre lui deux d
irait de la main d’un de ses petits-fils, ce barbare mit Danaé et son enfant dans un coffre de bois et les livra à la merci de
orage ténébreux ; Des vierges, des époux, des héros et des mères, Des enfants moissonnés dans les bras de leurs pères, Victimes
comble de malheur l’oracle lui apprit qu’il périrait de la main de l’ enfant que Jocaste sa femme était sur le point de mettre
’il chargea de l’exécution de ce forfait fut touché des grâces de cet enfant , et se contenta de l’attacher par les pieds à un
orbas, berger du roi de Corinthe, entendit par hasard les cris de cet enfant . Il accourut vers lui, le délivra et le recueilli
posa-t-il aux Thébains ? Quel sens lui donna Œdipe ? Quels furent les enfants d’Œdipe et de Jocaste ? Comment se reconnut-il co
ux par des femmes troyennes pendant qu’elle exterminait elle-même les enfants de ce monarque. Les poëtes ont dit que les dieux
s par les poëtes, qu’il nous suffise de nommer Cléobis et Biton, deux enfants illustres par leur piété touchante envers leur mè
ur piété touchante envers leur mère ; Niobé, qui pleura tellement ses enfants que la douleur la transforma en rocher ; Philomèl
ur un chariot immense traîné par une multitude d’hommes, de femmes, d’ enfants , et l’on voit des milliers de dévots se précipite
et le protecteur des dieux, et l’Edda l’appelle le plus vaillant des enfants d’Odin. Il a une massue, des gantelets de fer et
erfection dans lequel les dieux l’avaient créé, sera anéanti avec ses enfants qui sont : la Mort, Héla, le Loup, Fenris, et le
6 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
, pourvu que son frère à son tour prît l’engagement de n’élever aucun enfant mâle, et qu’ainsi la royauté retournât un jour au
llaité par une chèvre nommée Amalthée ; et pour que les cris du petit enfant ne fussent pas entendus de Saturne, les Corybante
sorte d’horloge, pour indiquer la fuite des ans ; enfin il dévore ses enfants , pour marquer que le temps engloutit les jours, l
rédulité ; et pour s’assurer si son hôte était un dieu, il égorgea un enfant , le coupa par morceaux, et en fit cuire la chair
taient ceux de Dodone, en Grèce, et d’Ammon, en Libye. Ses principaux enfants furent, parmi les divinités du ciel, Minerve, Apo
harbons ardents, pour le dépouiller de ce qu’il avait de terrestre. L’ enfant croissait à vue d’œil, et d’une manière si prodig
, d’Athènes à Éleusis, les corbeilles sacrées, où étaient enfermés un enfant , un serpent d’or, un van, des gâteaux et d’autres
r, eut à peine reçu le jour, que Jupiter, prévoyant les maux dont cet enfant serait la cause, voulut contraindre Vénus à s’en
de l’antiquité représentent ordinairement Cupidon sous la figure d’un enfant qui s’amuse à quelque jeu de son âge ; tantôt il
les cieux sur un char attelé de quatre chevaux blancs. Ses principaux enfants furent l’Aurore ; Esculape, dieu de la médecine ;
e fin à ses tourments… Jupiter alarmé saisit la foudre et en frappe l’ enfant de Clymène. Tandis que les coursiers achèvent au
il est l’image de ces pères faciles, qui n’osent rien refuser à leurs enfants , et causent leur perte par une aveugle condescend
caduc et si infirme qu’il fallut l’emmailloter et le bercer comme un enfant . Dans cet état, la vie lui sembla un fardeau insu
e Jupiter et des géants, et exaltèrent outre mesure le courage de ces enfants de la Terre. Point de vie, point de couleur dans
, un cri d’horreur ; Mercure au contraire se prit à rire, enveloppa l’ enfant chèvre-pied dans une peau, et le porta au ciel, o
née, prince troyen, avait introduit leur culte en Italie. Lorsque les enfants de qualité, parvenus à l’adolescence, quittaient
et empêche qu’on ne fasse à l’entour le plus léger bruit. Les Songes, enfants du Sommeil, sont aussi nombreux que les feuilles
c’est un Amour qui renverse ou éteint son flambeau ; tantôt c’est un enfant qui s’endort ; tantôt c’est une rose sur un cercu
des côtes du Pont-Euxin. Elles faisaient mourir ou estropiaient leurs enfants mâles, et élevaient soigneusement leurs filles da
cle que sensible à l’amour paternel, Acrisius fit saisir Danaé et son enfant , les attacha dans une frêle barque, et les exposa
fut recueillie par un pêcheur nommé Dictys. Il conduisit la mère et l’ enfant au roi Polydecte, qui reçut Danaé avec bienveilla
ntôt après, qu’il était mort ; et fit célébrer les funérailles de cet enfant avec toutes les démonstrations d’un deuil véritab
ue le feu les eût entièrement consumés, et qu’il fût impossible à ses enfants de lui rendre les honneurs de la sépulture. Mais
la contrée, et y vécurent dix ans dans une union parfaite, dont deux enfants furent le gage, et qui ne fut troublée que par l’
première vengeance, Médée tua, sous les yeux mêmes de Jason, les deux enfants de cet infidèle mari ; et, montant soudain sur un
que crainte, et il se disposait à prendre les armes, lorsqu’un de ces enfants de la terre s’adressant à lui : « Suspends tes co
iens sentirent enfin leur ingratitude ; ils restituèrent le trône aux enfants de Thésée, et élevèrent au vainqueur du Minotaure
de bois allumé, en murmurant ces paroles sinistres : « La vie de cet enfant finira avec ce tison. » S’élancer du lit, arrache
ée serait un jour le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. » L’ enfant naquit, et Laïus, pour éviter de plus grands malh
a un de ses confidents intimes, et lui dit : « Va, et fais mourir cet enfant . » Quoique dévoué à son roi, cet homme recula dev
défaillir son cœur. Mais n’osant pas désobéir entièrement, il porta l’ enfant sur le mont Cithéron, lui perça les pieds, y pass
be, roi de Corinthe. Ce berger s’appelait Phorbas ; il eut pitié de l’ enfant , le prit dans ses bras, et le porta à Péribée, fe
’un d’entr’eux, pour le mortifier, lui dit qu’il n’était qu’un pauvre enfant trouvé, un fils adoptif. Tourmenté par ce reproch
qui exigeait des Troyens qu’ils exposassent au monstre celui de leurs enfants sur lequel tomberait le sort. Le nom d’Hésione, f
eux qui l’entourent, s’élance, et plonge son épée dans le sein de son enfant … Le peuple indigné se soulève contre ce père fana
sillon : le père leva le soc de la charrue pour ne point blesser son enfant , et montra ainsi que sa démence était simulée. Fo
à l’ombre des vertus et de la sagesse, et devint le plus accompli des enfants de son âge. A quinze ans, le dessein de voir son
e de Priam, avait vu périr durant le siége de Troie la plupart de ses enfants  ; elle-même, esclave des vainqueurs, échut en par
ice, et lui mit la couronne sur la tête. Clytemnestre avait eu quatre enfants d’Agamemnon : Iphigénie, Chrysothémis, Électre et
s et d’une fille (Phryxus et Hellé), célèbres dans la fable. Ces deux enfants vivaient tranquilles à la cour, lorsque Athamas,
bonheur devait être aussi fugitif qu’un songe ; car Ino, jalouse des enfants du premier lit, auxquels revenait de droit l’empi
nde, sa mère consulta le devin Tirésias sur la future destinée de cet enfant , et elle reçut pour réponse « que Narcisse parvie
ntale roi de Lydie, épousa Amphion, roi de Thèbes, et en eut quatorze enfants , qui tous répondirent aux soins que cette mère at
théâtre de tant d’horreurs ; elle s’assied devant les cadavres de ses enfants  ; elle y demeure immobile ; elle ne donne plus au
s mets les plus communs : Cérès trouvait celui-ci délicieux. Un jeune enfant , nommé Stellio, témoin de l’avidité qu’elle appor
on moins rebutants que difficiles. Psyché obéit avec la docilité d’un enfant  ; elle espère ainsi expier sa faute et fléchir so
Jupiter lui-même qui vous aimât ! Mais je crains pour vous ma pauvre enfant . Combien de jeunes personnes ont été trompées par
æa. Cette femme, d’un naturel jaloux et pervers, prit en aversion les enfants du premier lit, résolut leur perte, et, à cet eff
sil), et les conduisit vers une fontaine peu éloignée. A son retour l’ enfant ne vivait plus : un serpent entortillé autour de
e à la place d’une tête de femme ; tantôt elle est assise et tient un enfant sur ses genoux. b) Horus. Horus, fils d’Os
art de prédire l’avenir. — On le représente sous la figure d’un jeune enfant  ; et on le reconnaît au vêtement étroit qui l’emm
occasions, une promenade dans la ville ; il marchait alors précédé d’ enfants qui chantaient ses louanges, et d’officiers qui é
ou Junon-Lucine, ou Ilithye, lorsqu’elle présidait à la naissance des enfants . 8. L’ombre tenait le milieu entre l’âme et le c
érée et d’Érycine, donnés à Vénus. 14. L’Amour n’est pas toujours un enfant jouant dans les bras de sa mère ; quelquefois il
7 (1866) Dictionnaire de mythologie
nt trop utilement occupées pour perdre leur temps à me lire, mais les enfants .… — Les enfants ! Interrogez-les, ils vous répond
t occupées pour perdre leur temps à me lire, mais les enfants.… — Les enfants  ! Interrogez-les, ils vous répondront qu’ils ont
eligion des païens mieux que la leur, et où on apprenait la fable aux enfants avec plus de soin que le catéchisme. On ne s’étai
t sur vos têtes ? Aujourd’hui ils serviraient de jouets à vos petits enfants . » En parlant ainsi, il faisait jouer un ressort
ue la Mythologie était encore notre religion littéraire ; que, si les enfants n’apprenaient pas la fable, en même temps que le
oindres actes de la vie des particuliers ; mais plaignons les peuples enfants qui avaient besoin de ces lisières. La religion e
ennent le latin, comme nous apprenions le grec dans les nôtres. Leurs enfants connaissent nos institutions bien avant d’étudier
tombées des buissons et du bois mort pour son foyer. « Sa fille, une enfant , ramenait des champs ses deux chèvres : un garçon
es. Entrée, elle trouve la maison pleine de deuil ; déjà on croyait l’ enfant perdu sans ressource. « Elle salue la mère (c’est
petite fille, car à eux trois ils composaient toute la maison. » Cet enfant devait être un jour Triptolème, l’inventeur de la
nie de Porus, Seigneur de Abondance, dont nous naquit Amour, ce noble enfant , médiateur du ciel et de la terre. » Quelle adm
oyt une effigie monstrueuse, ridicule, hideuse et terrible aux petits enfants , ayant les œilz plus grands que le ventre et la t
chinchinois même ; mais il préférerait, dit-on, l’Anglais. Les petits enfants jouent avec lui sans crainte ; il est aussi doux
rs femmes ; ils les renvoyaient à la quenouille et aux soins de leurs enfants . Cependant l’héroïque Porcia sut prouver à Caton
es, Peuple mon étable, emplis mes vergers ! Quand le chœur des mois, enfants de l’année, Achève en dansant sa course ordonnée,
nts. En retour, ils comblent la maison de bienfaits, veillent sur les enfants , multiplient les troupeaux, donnent au maître la
llure. Elle repousse la femme adultère, elle demande l’expulsion de l’ enfant rebelle. Elle veut que tous les membres libres de
s dégénérés de pères qui ne valaient pas leurs aïeux, nous aurons des enfants encore plus détestables que nous. » — Celle, de
son chien écourté. Les élus que les Grâces favorisent sont comme les enfants que l’on aime malgré leurs défauts, ou plutôt à c
erreurs d’histoire naturelle, en un seul vers, mises à la portée des enfants . Je trouve, dans un commentaire sur les fables de
e le masque et les grelots du carnaval. C’est le dieu de la farce. Un enfant de Momus est un enfant de la Gaieté. Le Caveau, d
ots du carnaval. C’est le dieu de la farce. Un enfant de Momus est un enfant de la Gaieté. Le Caveau, d’épicurienne mémoire, a
des cornes à un taureau de chaque côté de la tête, quelle bévue ! Un enfant aurait compris que leur place était devant les ye
jour. Nous vivons dans un siècle qu’on ne berce pas avec des contes d’ enfant , parce qu’il n’a ni la crédulité ni l’imagination
contes d’enfant, parce qu’il n’a ni la crédulité ni l’imagination des enfants . Il faut lui parler de ce qu’il aime, de ce qu’il
ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants , les soldats, les impôts,         Les créanciers
harmant que la curiosité des peuples primitifs, si ce n’est celle des enfants . Ce n’est pas encore l’inquiétude de la raison, c
ythologie puérile que Saturne était un père dénaturé qui mangeait ses enfants aussitôt venus au monde, et que Rhéa sa femme lui
détrône. Il prend sa place, épouse Rhéa, sa sœur, et dévore tous ses enfants mâles. Ce qui signifie que sous l’influence de so
mais splendide : — La Révolution est comme Saturne : elle dévore ses enfants . — Depuis 93, on a tant tourné et retourné ce gra
8 (1845) Mythologie de la jeunesse
rphoses. Cette division a surtout l’avantage d’aider à la mémoire des enfants , en leur présentant d’un côté tout ce qu’il est e
s voulut les précipiter dans le Tartare ; mais Tellus, qui aimait ses enfants malgré leur laideur, fit venir Saturne, et, après
nt de Titan, son frère aîné, mais à condition qu’il n’élèverait aucun enfant mâle. Le but de Titan était de se réserver le moy
de remonter sur le trône après la mort de Saturne, ou d’y placer ses enfants . Saturne y consentit ; et, fidèle, à sa parole, i
orybantes ou Dactyles, prêtres de Cybèle, pour empêcher les cris de l’ enfant de parvenir aux oreilles de son père, dansaient a
mmencements de son règne furent troublés par la révolte des Géants 7, enfants de la Terre, qui tentèrent d’escalader le ciel en
s le nom de Lucine, elle présidait à la naissance. On lui donne trois enfants  : Hébé, déesse de la jeunesse, qui servait aux di
usa Amphitrite, fille de Nérée et de Doris, dont il eut, entre autres enfants , les Tritons et les Harpies. Les Tritons précédai
irs et de la foudre. Sémélé fut aussitôt consumée par le feu ; mais l’ enfant qu’elle portait dans son sein fut sauvé par Mercu
et s’appelait aussi Cupidon. On le représentait sous les traits d’un enfant nu, qui se balançait dans l’air sur des ailes, ar
Danaé devint mère de Persée. Acrisius, instruit de la naissance de l’ enfant , le fit exposer sur la mer dans une nacelle avec
les côtes de l’île de Sériphe, où un pêcheur recueillit la mère et l’ enfant , et les conduisit à Polydecte, roi de cette île.
du roi Créon. Médée, pour se venger, fit périr sa rivale, égorgea les enfants qu’elle avait eus de Jason [Fig. 95], et s’enfuit
e, et partagea son royaume avec lui. Iobate étant mort sans laisser d’ enfants mâles, Bellérophon lui succéda ; mais, sur la fin
olybe, roi de Corinthe, vint en ce lieu, et, attiré par les cris de l’ enfant , le détacha de l’arbre et l’emporta. Péribée, rei
e, reine de Corinthe, voulut le voir ; et, comme elle n’avait point d’ enfants , elle l’adopta. Ce fut alors qu’il reçut le nom d
our embraser Troie. Sur la foi des devins, qui avaient prédit que cet enfant causerait la ruine de sa patrie, Priam, aussitôt
uillie. En voyant cette déesse boire et manger avec avidité, un petit enfant nommé Stellio, se prit à rire ; Cérès, irritée, j
mphion, dont elle eut sept fils et sept filles. Fière de ses quatorze enfants , elle méprisa Latone, qui n’en avait que deux, et
La malheureuse Niobé quitta le séjour de Thèbes, après la mort de ses enfants , et retourna en Phrygie, où elle finit ses jours
osée en lotos. Elle n’a que le temps d’appeler sa sœur pour prendre l’ enfant , qui aurait été enfermé avec elle sous l’écorce48
9 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
sa honte et sa foiblesse, elle tua le jeune homme et elle exposa son enfant dans un désert, ensuite elle se jeta dans un lac
ssa plusieurs jours à en piller les trésors. Cependant la malheureuse enfant de Dercetis, abandonnée dans un désert, y fut mir
oi d’Argos, ayant appris par l’oracle, qu’il périroit de la main de l’ enfant que sa fille Danaë mettroit au monde, enferma Dan
dit à Layus qu’il périroit de la main de son fils, il fit exposer son enfant sur le mont Cithéron. On lui perça les pieds et o
ement l’adopta, mais le fit passer pour son véritable fils. Comme cet enfant , depuis son exposition sur le mont Cithéron, cons
Thébaiens ne pouvoient l’appaiser qu’en lui livrant tous les mois un enfant qu’il dévoroit. Amphitrion, pour le combattre, em
assemblée des Dieux, lorsque Alcmène fut au moment d’accoucher, que l’ enfant de la race de Persée qui naîtroit dans ce jour, a
étoit fille d’Aléus et de Néra. Hercule la séduisit, il eut d’elle un enfant qu’elle exposa et qui fut nourri par une biche. O
euthras, Roi de la Mysie, qui l’adopta pour sa fille. Par la suite, l’ enfant d’Hercule et d’Augé devint un héros sous le nom d
fils Méléagre, les Parques lui apparurent et lui déclarèrent que cet enfant vivroit jusqu’à ce que le tison qui étoit au feu
flots avec son autre fils Mélicerte et fut métamorphosée, ainsi que l’ enfant en Divinités de la mer. Mélicerte est le même que
oient déjà dans le vaisseau, lorsque le savant Chiron, tenant Achille enfant entre ses bras, vint prendre congé de Jason ; et
e Priam, fut immolée sur le tombeau d’Achille. Il reste à parler de l’ enfant le plus célèbre de Priam, de celui qui causa la p
mère étant grosse de lui, consulta l’Oracle, qui lui répondit que cet enfant seroit un jour cause de la ruine de sa patrie. Au
vantable récit. Plisthènes fils de Pélops25 et d’Hippodamie, eut pour enfant Agamemnon et Ménélas, qu’il remit en mourant à so
t son complice et lui mit la couronne sur la tête. Oreste alors étoit enfant . Electre, sa sœur ainée, trouva le moyen de le so
cle, qu’Ajax, dans un moment de calme, demande à voir son fils encore enfant , et que tout-à-coup craignant de retomber dans se
nt de retomber dans ses fureurs il s’écrie : retirez promptement cet enfant . Il semble que La Mothe ait imité ce beau mouvem
rale. L’Ignorance. Les Grecs la peignoient sous la figure d’un enfant nu, les yeux bandés, monté sur âne. C’est une mau
sur âne. C’est une mauvaise allégorie, parce que, sous la figure d’un enfant , l’ignorance n’est ni un défaut ni un tort ; et l
ni un défaut ni un tort ; et les yeux bandés sont inutiles, puisqu’un enfant , dans le sens moral, ne peut être clairvoyant. Co
ux enfantés par l’Imagination, on a inventé l’allégorie suivante : un enfant qui souffle en l’air des bulles de savon, et qui,
la Gloire. On a représenté l’amour de la Gloire sous les traits d’un enfant ailé, couronné de laurier, tenant d’une main une
dionale (faite de gramen)54. Un amour adolescent vaudroit mieux qu’un enfant , et, pour exprimer tous les genres de Gloire, il
10 (1800) Cours de mythologie pp. -360
ur le trône des Airs. L’Amour enfin, ce feu qui nous dévore, C’est un Enfant qui régit l’Univers1. Rapprochons de ces Vers ch
s lieux saints. Les femmes, les vieillards sont livrés au carnage ; L’ enfant qui vient de naître, invoque envain son âge ; On
et Psyché fut malheureuse. On représente Cupidon sous la figure d’un enfant nu, un bandeau sur les yeux, avec des ailes, un a
.             Au point du jour j’ai vu dans un bosquet Se glisser un Enfant , d’un âge foible encore, Charmant comme une Grace
feuillage, Et butinoit mes fruits, comme si mon bocage A ce fripon d’ Enfant avoit appartenu.                 Aussitôt vers lu
pouse, veux-tu dans le nœud qui t’engage,                 Arrêter cet Enfant volage ?                 Compte peu sur ces trait
lencieux, couronné de pavots Savoure les douceurs d’un éternel repos, Enfant tout-à-la-fois et père des Mensonges. En foule au
idoit à l’aurore de la vie. On plaçoit sa statue près du berceau de l’ enfant qui venoit de naître. Dans les triomphes, on la s
; C’est la saison des ris, le tems de l’innocence ; L’Amour, comme un enfant nous est représenté ; Dans le cœur d’un enlant si
rs qu’à cet âge. Alors, pour nous le Ciel est toujours sans nuage. Un enfant , de la vie ignore tous les maux, A ses yeux indul
caresses sans feinte. Pour retirer les noms de l’urne du destin, De l’ enfant sans détour on emprunte la main. L’Enfance, trop
paisible qu’elle : La coupe de la vie est couverte de miel ; C’est l’ enfant qui l’effleure, et l’homme boit le fiel. Les gran
s, sans les noircir de crimes, Si l’homme sur la terre étoit toujours enfant . Ah ! qu’il seroit un être aimable, intéressant !
tence. Maréchal 60. Vers Attachés sur le berceau d’un joli petit Enfant .             Au lieu de fleurs sur ton berceau
t .             Au lieu de fleurs sur ton berceau, Ma main, heureux Enfant , attache ce présage :             Comme l’Amour t
myrte maternel Enée au même instant Se couronne ; Elimas, Iule encore enfant , Aceste an front blanchi, la jeunesse Troyenne, T
rage ; Et nous y goûterons un tranquille repos ; Non ce repos obscur, enfant de la paresse, Eternel ennemi des arts et des pr
ort de mon Fils.           La Mort a fermé ta paupière.       Aimable Enfant , tes jours me sont ravis !           Je souriois
cer sur mon cœur.               Le ciel veut que je te survive, Cher enfant  ; mais jamais, jamais je n’oublîrai           L’h
Urne, qu’un cyprès couvre de son ombrage, Est le dernier séjour d’un enfant vertueux. Il auroit fait le bien : La Mort, de so
ce… (Voy. Orphée.) Cyrène de son fils vient calmer les alarmes : Cher enfant , lui dit-elle, essuie enfin tes larmes ; Tu conno
ppolyte, Fils de Thésée et d’Antiope, Reine des Amazones. Digne enfant d’un héros et d’une héroïne, Hippolyte exerçoit s
r le poursuit, et déjà de sa lance La pointe l’atteignoit : le tendre enfant s’élance ; Il tombe, expire aux pieds de la Reine
ne au même instant et la vierge timide, Et le foible vieillard, et l’ enfant au berceau. Ilion n’offre plus qu’un immense tomb
ayant attiré dans son palais et admis à sa table, il lui fit manger l’ enfant qu’il avoit eu d’Erope. A la vue de cet abominabl
ide et incestueux. Epouvanté de l’idée de ce double crime, il remet l’ Enfant qui vient de naître à un officier, avec ordre de
suspendre par les pieds aux franches d’un arbre. Un berger détache l’ enfant et le porte à Polybe, roi de Corinthe, qui le nom
fia son enfance aux bergers du Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant mort. Pâris devint si beau, que Jupiter le nomma
! »     Il dit, et vers son fils, tend l’une et l’autre main. Mais l’ enfant , à l’aspect de l’armure d’airain, Et du casque om
ar Narbas, avoit échappé à sa fureur. Le monstre faisoit chercher cet enfant par toute la Grèce : Egiste découvert lui fut ame
témoins de mes larmes ? Egiste est-il vivant ? Avez-vous conservé Cet enfant malheureux, le seul que j’ai sauvé ? Ecartez loin
l écartoit les mains avides, Les regards même étoient punis. Un jeune Enfant non moins fidelle, Garde aujourd’hui les Pommes d
minels, Des jeux de nos cités poursuivent le prestige, Sais-tu si ton enfant , loin des yeux maternels, Reçoit les tendres soin
Julie. — Laurencin 215. à une mère Qui se propose de nourrir son Enfant .     Oui, ce devoir, Eglé, sera cher à ton cœu
Le jour que père enfin, ton époux fortuné, Dans tes bras portera ton enfant nouveau-né ; Dans un transport égal, quand penché
ne une rose nouvelle. D’objets toujours riras entoure son berceau : L’ enfant le plus heureux est aussi le plus beau. Jossaud
eur bien plus chère, Depuis deux mois s’élève à ton côté : Dans notre enfant par toi-même allaité, Je reconnois le bouquet d’u
e d’Arcadie, aimée de Mercure. Tenant un jour dans ses bras son jeune enfant , elle coupa, pour l’amuser, un rameau de Lotos, p
grets ! ô douleurs !) Elle venoit offrir des couronnes de fleurs : Un enfant sur son sein, fardeau bien doux pour elle, Suçoit
le Dieu de l’harmonie Qui rend ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du Génie, Je le connois à ses transports. Poussé
t des Dieux complaisans épuisant la bonté : L’autre étoit le Malheur, enfant déshérité, Dès le berceau, proscrit du Ciel inexo
llon badin Déployoit les couleurs de son aile fleurie,             Un enfant le voit, et soudain, Ebloui par l’éclat de ce tré
ar l’attaque surpris, Use de cent détours ; mais enfin il est pris. L’ enfant admire l’or de sa robe pompeuse, Qui se change en
tôt dans sa main : Comme ce papillon, la fortune est trompeuse ; Et l’ enfant , quel est-il ? C’est tout le genre humain. Cubiè
arraché de ses mains. Des biens que lui ravit la Fortune cruelle, Un enfant lui restoit, prêt à périr comme elle : Furieuse,
nt d’un seul trait, l’immense tableau de la Nature,     Le Génie est enfant de la frugalité : Toi, dont l’orgueil aspire à l’
reurs !… Lucrèce. —  Legouvé 299. Fanatisme Religieux. Cruel enfant de la Superstition ou de l’Hypocrisie, il est ins
de l’Empire des Ombres. Il vient, le Fanatisme est son horrible nom : Enfant dénaturé de la Religion, Armé pour la défendre, i
] Saint-Ange. A un jeune Poète. 35. [Table des matières] Voltaire. L’ Enfant prodigue. Acte II. Scène I. 36. [Table des matiè
e des matières] Anonyme. Vers attachés sur le berceau d’un joli petit enfant . 62. [Table des matières] Beauharnois. Portrait
Table des matières] Jossaud. A une Mère qui se propose de nourrir son enfant . 217. [Table des matières] Panis. A ma Femme. 2
11 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
ur le trône des Airs. L’Amour enfin, ce feu qui nous dévore, C’est un Enfant qui régit l’Univers1. Rapprochons de ces vers ch
s lieux saints. Les femmes, les vieillards sont livrés au carnage ; L’ enfant qui vient de naître invoque en vain son âge ; On
et Psyché fut malheureuse. On représente Cupidon sous la figure d’un enfant nu, un bandeau sur les yeux, avec des ailes, un a
dentes.       Au point du jour j’ai vu dans un bosquet Se glisser un enfant , d’un âge faible encore, Charmant comme une Grâce
feuillage, Et butinait mes fruits, comme si mon bocage A ce fripon d’ Enfant avait appartenu.           Aussitôt vers lui j’ai
eune épouse, veux-tu dans le nœud qui t’engage,           Arrêter cet enfant volage ?           Compte peu sur ces traits char
idait à l’aurore de la vie. On plaçait sa statue près du berceau de l’ enfant qui venait de naître. Dans les triomphes, on la s
; C’est la saison des ris, le tems de l’innocence ; L’Amour, comme un enfant nous est représenté ; Dans le cœur d’un enfant si
ce ; L’Amour, comme un enfant nous est représenté ; Dans le cœur d’un enfant siège la vérité. Les plaisirs ne sont doux, ne so
rs qu’à cet âge. Alors, pour nous le Ciel est toujours sans nuage. Un enfant , de la vie ignore tous les maux, A ses yeux indul
caresses sans feinte. Pour retirer les noms de l’urne du destin, De l’ enfant sans détour on emprunte la main. L’Enfance, trop
paisible qu’elle : La coupe de la vie est couverte de miel ; C’est l’ enfant qui l’effleure, et l’homme boit le fiel. Les gran
s, sans les noircir de crimes, Si l’homme sur la terre était toujours enfant . Ah ! qu’il serait un être aimable, intéressant !
s couleurs embellit l’atmosphère, Et se dérobe à des vœux superflus : Enfant de l’air, enfant de la lumière, Il monte, il bril
it l’atmosphère, Et se dérobe à des vœux superflus : Enfant de l’air, enfant de la lumière, Il monte, il brille, il voltige, i
myrte maternel Enée au même instant Se couronne ; Elimas, Iule encore enfant , Aceste au front blanchi, la jeunesse Troyenne, T
rage ; Et nous y goûterons un tranquille repos ; Non ce repos obscur, enfant de la paresse, Eternel ennemi des arts et des pro
ort de mon Fils.           La Mort a fermé ta paupière.       Aimable Enfant , tes jours me sont ravis !           Je souriais
e placer sur mon cœur.          Le ciel veut que je te survive, Cher enfant  ; mais jamais, jamais je n’oublîrai       L’heure
e urne qu’un cyprès couvre de son ombrage, Est le dernier séjour d’un enfant vertueux. Il aurait fait le bien : La Mort, de so
ce… (Voy. Orphée.) Cyrène de son fils vient calmer les alarmes : Cher enfant , lui dit-elle, essuie enfin tes larmes ; Tu conna
ppolyte, Fils de Thésée et d’Antiope, Reine des Amazones. Digne enfant d’un héros et d’une héroïne, Hippolyte exerçait s
nne au même instant et la vierge timide, Et le faible vieillard, et l’ enfant au berceau. Ilion n’offre plus qu’un immense tomb
ayant attiré dans son palais et admis à sa table, il lui fit manger l’ enfant qu’il avait eu d’Erope. A la vue de cet abominabl
ide et incestueux. Epouvanté de l’idée de ce double crime, il remet l’ enfant qui vient de naître à un officier, avec ordre de
suspendre par les pieds aux franches d’un arbre. Un berger détache l’ enfant et le porte à Polybe, roi de Corinthe, qui le nom
fia son enfance aux bergers du Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant mort. Pâris devint si beau, que Jupiter le nomma
e ! Encor, si je voyais se jouant dans ma cour Croître un petit Énée, enfant de notre amour, Qui, charmant comme toi, tendre c
 ! »    Il dit, et vers son fils, tend l’une et l’autre main. Mais l’ enfant , à l’aspect de l’armure d’airain, Et du casque om
ar Narbas, avait échappé à sa fureur. Le monstre faisait chercher cet enfant par toute la Grèce : Egiste découvert lui fut ame
témoins de mes larmes ? Egiste est-il vivant ? Avez-vous conservé Cet enfant malheureux, le seul que j’ai sauvé ? Ecartez loin
l écartait les mains avides, Les regards même étaient punis. Un jeune enfant non moins fidèle, Garde aujourd’hui les pommes d’
minels, Des jeux de nos cités poursuivent le prestige, Sais-tu si ton enfant , loin des yeux maternels, Reçoit les tendres soin
tu. Julie Laurencin 208. A une Mère qui se propose de nourrir son Enfant .    Oui, ce devoir, Eglé, sera cher à ton cœur ;
Le jour que père enfin, ton époux fortuné, Dans tes bras portera ton enfant nouveau-né ; Dans un transport égal, quand penché
ne une rose nouvelle. D’objets toujours rians entoure son berceau : L’ enfant le plus heureux est aussi le plus beau. Jossaud
soi-même ; Et se montre, aux regards d’un époux éperdu, Belle de son enfant à son sein suspendu. Oui, ce fruit de l’hymen, ce
beauté première. Voyez la jeune Isaure, éclatante d’attraits : Sur un enfant chéri, l’image de ses traits, Fond soudain ce flé
e d’Arcadie, aimée de Mercure. Tenant un jour dans ses bras son jeune enfant , elle coupa, pour l’amuser, un rameau de Lotos, p
egrets ! ô douleurs ! Elle venait offrir des guirlandes de fleurs. Un enfant , espérance aussi tendre que chère, A son cou susp
ithéâtre ; Et la terre, par l’homme apportée à grands frais, D’un sol enfant de l’art étaler les bienfaits. Lieu charmant, tro
le Dieu de l’harmonie Qui rend ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du Génie, Je le connais à ses transports. Poussé
t des Dieux complaisans épuisant la bonté : L’autre était le Malheur, enfant déshérité, Dès le berceau, proscrit du Ciel inexo
arraché de ses mains. Des biens que lui ravit la fortune cruelle, Un enfant lui restait, prêt à périr comme elle : Furieuse,
ant d’un seul trait, l’immense tableau de la Nature,    Le Génie est enfant de la frugalité : Toi dont l’orgueil aspire à l’I
reurs !… Lucrèce. —  Legouvé 283. Fanatisme Religieux. Cruel enfant de la Superstition ou de l’Hypocrisie, il est ins
de l’Empire des Ombres. Il vient, le Fanatisme est son horrible nom : Enfant dénaturé de la Religion, Armé pour la défendre, i
Desaintange. A un jeune poëte. 35. [Table des matières] Voltaire. L’ Enfant prodigue, act. II, sc. I. 36. [Table des matière
Table des matières] Jossaud. A une mère qui se propose de nourrir son enfant . 210. [Table des matières] Legouvé. Le mérite de
12 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
eu en réalité d’un prêtre nommé Calaüs. N’importe d’où lui vint cet enfant , la mère d’Atys, plus généralement connue sous le
t lors de sa dernière grossesse, Rhée voulut enfin sauver son dernier enfant , et pour duper l’omnivore, elle lui donna une gro
elle lui donna une grosse pierre emmaillotée de manière à imiter, un enfant . Trompé à cette vue, Saturne avala ce marmot simu
la place de Jupiter, Rhée avait confié à ces Curètes la garde de cet enfant et qu’ils formaient continuellement autour de lui
aulx dentelée, et dans la gauche, un sablier, emblème du Temps, ou un enfant qu’il s’apprête à dévorer. Il a quelquefois sous
cochon. Ces pierres, connues aussi en Grèce, et faisant allégorie aux enfants qu’il avait avalés, s’appelaient Abadir, Abdir ou
du Mont-Aventin ; Elicius, ou des lieux bas ; Elymeen, ou d’Elymaïs ; Enfant , ou d’Eginus ; Ephestios, ou le protecteur des fo
qui lui-même est formé du mot jou ou le jeune, comme étant le dernier enfant de Saturne ; et du mot pater ou père, comme le gé
réclament sa naissance. Rhéa se sentant grosse et voulant sauver son enfant , alla faire un voyage en Crète, où, cachée dans u
thée, nymphe-chèvre, qui fut spécialement chargée de nourrir le divin enfant . Etait-ce une femme lui faisant sucer le lait d’u
lui avoir dû le jour, s’il n’eût eu à cette époque que la force d’un enfant d’un an ; mais souvenons-nous qu’il était censé D
n fait combattre, à tort, avec les Géans. Considéré par les uns comme enfant de la Terre et de l’Érèbe, c’est à Junon, selon d
r sa divinité en lui offrant les membres bouillis ou rôtis d’un jeune enfant , otage des Molosses. Le Dieu, voyant cet épouvant
Nyctime. Une autre légende assure que les fils seuls, ayant immolé l’ enfant , furent seuls foudroyés ; que Lycaon continua de
, peuple de la Thessalie ; il était, dit-on, fils d’Anthion, lui-même enfant du Lapithe Périphas et d’Astiagée, fille d’Hypsée
in, et tenant une corne d’abondance d’où s’échappent des fruits qu’un enfant s’empresse de ramasser. On lui consacrait le chên
et Egophore ou la mangeuse de chèvres à Sparte, Elicius ou d’Etrurie, Enfant , Eribée, Évêmôn ou aux beaux habits, Fébrua ou Fé
a population, Pronuba et Natalis ou protectrice du mariage, Puella ou enfant , Quiris et Quirina ou la protectrice des femmes m
que Junon voulant comme Jupiter avoir la gloire de mettre au monde un enfant sans la participation d’un amant ni de son époux,
cnus ou Cygnus, fils de la nymphe Eléobuline ou Pélopie, fut un autre enfant de Mars, auquel il avait fait le vœu d’élever un
e dans la gauche, ou assise, avec une fleur dans la main droite et un enfant emmailloté sur le bras gauche, et ayant quelquefo
s. Elle avait un temple à Rome, dans lequel, à la naissance de chaque enfant , les parens payaient un droit pour grossir les tr
voir été mise au jour elle avait aussitôt délivré sa mère d’un second enfant , que nous connaîtrons sous le nom d’Apollon. Ains
ion et aux accouchemens ; Vagilan était un dieu latin protecteur de l’ enfant qui crie ; Vitumne était la déesse, à Rome, prote
l’enfant qui crie ; Vitumne était la déesse, à Rome, protectrice de l’ enfant après sa conception. Latone passe pour femme aya
voulurent l’égorger et noyèrent dans l’Eridan son fils Hélius encore enfant . Etait-ce parce que le soleil sortait de la mer E
ainsi aux poursuites d’Apollon, qui par souvenir donna le nom de cet enfant à ce promontoire de l’île de Leucade, si malheure
si finit-il par devenir si caduc, qu’il fallut l’emmailloter comme un enfant . Puis, dégoûté des infirmités de la vieillesse, i
eil des douze grands Dieux, présider alors aux Jumeaux, et se trouver enfant , vainqueur du serpent Python, quand au lever du s
nceinte, on supposa qu’elle l’était d’Apollon, et elle mit au jour un enfant qui porta aussi le nom de Chrysès. Chrysorthe, fi
u’il était en noir, perça l’infidèle d’une flèche, tira de son sein l’ enfant qu’elle portait, le confia au centaure Chiron, et
obablement à l’insu de son père auprès d’Epidaure, et fit exposer son enfant , ou peut-être même l’habile Chiron, immédiatement
ent après sa mort, retira-t-il, au moyen de l’opération césarienne, l’ enfant qui palpitait encore dans ses flancs. Quant au co
une des maîtresses et l’une des filles d’Apollon : étant morte encore enfant il la plaça dans le ciel sans qu’on sache trop qu
rie ou de Hyrie, femme de Sténélé, roi de Ligurie, passe souvent pour enfant de ce roi, quoique généralement il soit attribué
rait sous différens noms, ainsi il était appelé : Apollinea Prolès ou enfant d’Apollon, Aulonias ou d’Aulon, Archagète ou le p
ux, Phaebeius Anguis ou le serpent de Phébus ; Phaebeius juvenis ou l’ enfant de Phébus ; Philolas ou l’ami des peuples dans Ac
ilolas ou l’ami des peuples dans Acrie et Atone ; Salutifer Puer ou l’ enfant porteur de la santé ; Triccœus ou de Trica en The
. Quelques-uns font naître naturellement, mais en secret, ce précieux enfant sur le mont Tithée ou Tithion ou dans les champs
hène, ou Autolas, fils d’Arcas, lequel fut averti de l’origine de cet enfant par une auréole brillante dont il le vit entouré 
de Périérès. Alors, honteuse de sa faiblesse, Arsinoé fut porter son enfant dans une plaine où il fut retrouvé, comme nous ve
de son père le don de prédire l’avenir ; Ténès passe quelquefois pour enfant d’Apollon, mais c’était plutôt à Crenus, roi de C
savans, un oracle ayant fait connaître à Jupiter que Métis aurait un enfant plus sage et plus puissant que lui, il avala cett
ou de Minos et de la nymphe Phronie, on le fait même ainsi que Cérès enfant de la Force unie à la Prudence, imbroglio né des
e, qu’elle le jeta dans la mer. Neptune était aux aguets : il reçut l’ enfant , le porta en Ethiopie, le confia aux soins de la
d’Astynoüs ou Astronoüs, qui devait le jour à Phaéton, fils de Tithon enfant de l’Aurore et de Céphale. Cette généalogie est t
qu’elle est saisie d’étonnement et de joie à la vue de la beauté de l’ enfant qu’il contenait : c’était Adonis mollement couché
ssager de Jupiter. Elle lui fit donc quelques avances, et en eut pour enfant Hermaphrodite, qui fut élevé par les Naïades de l
mière ; Prœpes Deus et Psythiros, ou le babillard ; Telifer puer ou l’ enfant porteur de traits. L'amour est un être allégoriqu
sauvages, et rarement celui de sa mère, l’Amour resta fort long-temps enfant  ; à la fin Vénus s’en plaignit à Thémis, déesse d
e conserva toujours les traits, la taille et la fraîcheur d’une jeune enfant . Sa physionomie n’eut point le caractère naïf de
habitans de l’Olympe. On le représentait sous les traits d’une jeune enfant , ayant un bandeau sur les yeux et se tenant auprè
s de la folie, qui lui sert de guide. Souvent on le montrait comme un enfant aux formes un peu grandes, à l’air riant, à l’œil
nairement représenté d’un manière toute spéciale, sous la figure d’un enfant de sept à huit ans, ayant un air désœuvré, portan
ociété, il est fugitif, volage et cruel. L'amour n’était pas toujours enfant , on le représentait aussi plein de fraîcheur et d
es : le Citaride tient un luth ou guitare ; celui de la Gloire est un enfant ailé, couronné de lauriers, et tenant en ses main
e d’Ascalon, que l’on sait avoir appartenu aux Philistins. Le dernier enfant de Vénus fut Priape, qui portait les noms : d’Avi
omphateur des Indes. Junon, jalouse de la reine de Cypris, nuisit à l’ enfant que Vénus portait dans son sein. A peine fut-il a
forme d’un petit phalle ou Priape, et le pendaient au cou de tous les enfants . Inuus dieu latin qui présidait aux jouissances p
sa délivrance ; tantôt dans l’attitude de l’effroi, derrière Hercule enfant , qui étouffe deux serpents ; tantôt elle a un orn
ment et que Sémélée fut consumée. Aussitôt Jupiter tira de son sein l’ enfant qu’elle portait, et l’enferma dans sa cuisse, jus
D'autres légendes portent que Jupiter fit retirer des flammes cet enfant nommé Bacchus par Mercure ; que Macris, fille d’A
nfant nommé Bacchus par Mercure ; que Macris, fille d’Aristée reçut l’ enfant dans ses bras et le donna à son père, qui le mit
ent de l’élever ; enfin on assure en dernier lieu que Mercure porta l’ enfant à Nysa, ville d’Arabie ou sur le mont Méros chez
sauver l’honneur de sa fille, rejeta sur Jupiter la paternité de cet enfant . On explique aussi cette fable des amours de Sémé
ait épris de la malheureuse fille et en avait eu un jeune et charmant enfant . Quoi qu’il en soit Plutus, d’après Aristophane,
e-même conduite par le destin. A Thèbes même elle le portait comme un enfant entre ses bras. Mais chez les Athéniens c’était p
s Athéniens c’était par la statue de la paix qu’il était porté encore enfant . Ce dieu est confondu quelquefois avec plusieurs
hée femme d’un Erichthée ou Erichthonius ou Erichton, que nous savons enfant de Vulcain et de Minerve. Ceux qui donnaient à Cé
le croit pas ; mais on dit que Mercure ou la nymphe Dircé, sauva cet enfant des flammes et le remit entre les mains de Jupite
de ses propres mains ; une autre fois, elle le frappa de folie, et l’ enfant se mit à courir le monde jusqu’en Phrygie, où il
e la chair humaine. Aussitôt elles tirent au sort à qui donnerait son enfant , et Leucippe ayant été désignée, elle livre son f
de rubis. Alors il est ou vieux, ou jeune et efféminé, ou tout à fait enfant  ; d’une main il tient une coupe et de l’autre un
it que huit ou dix ans et qu’il avait enlevée ; ils lui reprirent cet enfant et emmenèrent captive la vieille Oetra, mère de c
ye. Junon, jalouse, avait ordonné aux Curètes d’enlever Epaphe encore enfant  ; mais Jupiter s’y opposa en les foudroyant. Un j
su repousser les caresses de Jupiter, suscita contre Hercule, encore enfant , deux énormes serpens ou dragons qu’il saisit et
; il doit donc trouver sa place à la suite de ce dernier ou parmi les enfants du premier de ces dieux et c’est là que nous le p
dre les traces ; mais le dieu berger vint réclamer ses bœufs au jeune enfant , qui sans s’effrayer des menaces, ravit encore au
ces contrées ; Hermaphrodite, fils de Mercure et de Vénus Aphrodite, enfant des deux sexes que nous avons déjà vu naître de J
aux Grecs le moyen d’entrer dans la ville ; Satyre, que nous avons vu enfant d’Iphthimé, né de Rhéné. Par suite de ses nombreu
s eurent lieu dans la maison de Dédale, et que la reine accoucha d’un enfant auquel on donna le nom de Minotaure, par suite de
des grains et même au mariage ; alors il était chargé d’éloigner de l’ enfant déjà né toutes les influences fâcheuses. On le re
ieu des eaux, nous trouvons d’abord parmi ses filles : Bensémélée, ou enfant de la représentation, dont la naissance est attri
é, elle en remit la commission au vieil Itémale, celui-ci suspendit l’ enfant par les pieds à un arbre du mont Cithéron où il f
vions simplement l’histoire, nous dirions avec les historiens que cet enfant trouvé retourna dans sa patrie, vers l’an 1194 av
Agria et Thersandre, père de Tisamène, qui donna le jour à Autésion, enfant peut-être d’Euryganie ou d’Hyperphas, que l’on do
e d’Hypsipyle, un serpent avait fait une blessure mortelle à ce jeune enfant , et Hypsipyle, de retour, le trouva mort. Les gue
sa Cyanée, fille de Liparus et petite-fille d’Auson ; il en eut douze enfants , six fils et six filles qui se marièrent les uns
ire, fils de la nymphe Idothea, fut père de Térambe ; Gereste, est un enfant de mère inconnue. Glaucos ou Glaucus, Dieu marin
qu’elle ne fût acceptée, afin de ne pas être exposés à voir naître un enfant qui un jour devait les effacer. Téthis se trouva
lle se promenait le long d’un bosquet, tenant dans ses bras son jeune enfant , elle passa à côté d’un lotos et en cueillit une
pitié : des dauphins d’après ses ordres reçurent donc le corps de cet enfant et le portèrent dans l’isthme de Corynthe, aux en
a ressemblance. On le représentait lui-même sous les traits d’un gros enfant endormi, ayant des ailes de papillon pour exprime
che à la main et traìnant par les cheveux l’Innocence, figurée par un enfant , le Mensonge à la jambe de bois, le Deuil, représ
mnestre ne vengeât la mort de son père, voulut aussi faire mourir cet enfant , à peine âgé de dix ou douze ans, et élevé par La
ptolème, fils d’Achille et de Déidamie. Il ne laissa en mourant aucun enfant mâle, sinon Coryte, qui fut s’établir en Italie,
de Cléode et petite-fille d’Hyllus l’Héraclide, l’épousa et en eut un enfant . Les Grecs après la mort d’Achilie, sentant la né
dit, fut une victime innocente de la cruauté des Grecs. En effet, cet enfant saisi de crainte à la vue du casque de son père,
ville de Troie. Les devins, consultés sur ce rêve, répondirent que l’ enfant qui naîtrait causerait un jour la ruine de l’empi
r la ruine de l’empire. Priam, épouvanté, résolut de faire mourir cet enfant , mais Hécube le fit changer de résolution en lui
ge. Alors il fonda un royaume qu’il laissa à son fils Evandre, encore enfant , pour aller, malgré les conseils de Phalis, roi d
ansporter à Cypre, lui substitua son fils Cupidon. A l’arrivée de cet enfant , la reine l’embrasse, le caresse, comme le fils d
ation guerroyante d’Enée. Ascagne, appelé d’abord Iule, était encore enfant lorsqu’il fut obligé de fuir la la ville de Troie
t chez les Romains, plutôt pour s’en moquer que pour l’adorer, par un enfant accroupi se pressant le ventre ; Cura, déesse des
tête surmontée d’un épervier, ou le plus souvent sous les traits d’un enfant , ou emmaillotté, ou vêtu d’une tunique ou couvert
olontaire de son époux, se mit en marche pour sauver les jours de cet enfant dont elle prévoyait les dangers, et à l’aide de q
cations du bon principe. Il épousa sa sœur Nefté, dont il n’eut aucun enfant . Il gouvernait les déserts orientaux de l’Egypte,
japatis, plus Dakcha. Ce Dakcha, fils aîné de Brahmâ, est le premier enfant de la création, il sortit du grand orteil de ce d
eigne la science des dieux. Au bout d’une année, Soukra s’empare de l’ enfant et l’initie à tous les mystères des Daïtias. Boud
ias se plaignirent à Sounda, leur souverain, qui ordonna d’éloigner l’ enfant , mais Soukra s’y opposa de toutes ses forces. Alo
ou Brahmâ le servit sans relâche et fit passer dans les yeux du jeune enfant le fluide resplendissant qu’il lançait. Rama, arr
s les résultats que Kansa pouvait en attendre ; car, Krichna, quoique enfant , tua les Daïtias qui venaient pour exécuter les o
lgré cette véritable victoire, Dévaki, craignant avec raison pour son enfant , le confia au roi pasteur Nanda et à son épouse I
de la mort de leurs époux, et s’offrirent à cet effet pour nourrir l’ enfant  ; mais, Krichna qui découvre leurs intentions, su
es Hindous, trente-six ans après la mort de Krichna. On le représente enfant , ayant une main et deux pieds à terre ; tantôt il
d’une mitre et la main chargée d’un lotos. Elle tient quelquefois un enfant dans ses bras et lui donne ses mamelles ; elle a
son ayant été pêché, il fut offert à Rati qui l’ouvrit et découvrit l’ enfant , l’éleva, et lui enseigna les moyens de triompher
r le maître de l’Inde. Alors Kansa, pour empêcher la naissance de cet enfant , voulut l’empoisonner ou le massacrer, ou le fair
a qui, par l’influence divine, conçut, en restant toujours vierge, un enfant dont elle accoucha au bout de trois cents jours,
rs vierge, un enfant dont elle accoucha au bout de trois cents jours, enfant qu’elle confia au roi Esroun-Tingri, ou incarnati
meilleurs. Ni les pleurs de son épouse qu’il chérissait, ni son jeune enfant qu’il aimait, ni les menaces de son père ne puren
lante des pieds ; elle tient d’une main une fleur sur laquelle est un enfant . Tordchipamo ou Dordjipamo, est une grande divin
u bout de ce temps, cette vierge mit au monde, par le côté gauche, un enfant à la tête blanche, qui fut surnommé Lao-Tseu ; il
toiles brillantes, le corps armé de quatre bras ; le premier tient un enfant , le second un sabre, le troisième un serpent, le
-Sa-Gava. Elle épousa Simmios-Daï-Miosin ; mais ne pouvant en avoir d’ enfant , elle fut trouver les Kamis, qui la fécondèrent,
cheur, qui fit éclore les œufs dans un four ; chaque œuf produisit un enfant . Plus tard, leur mère les reconnut publiquement,
ui dit même qu’elle était enceinte. En effet, au bout de huit mois, l’ enfant parlait dans son sein ; quatre mois après elle le
es bords du fleuve Obi. On la représente tenant dans ses bras un gros enfant , elle est entourée d’instrumens à vent, rendant p
ssait les femmes de la stérilité ; aussi on la représentait tenant un enfant dans ses bras. Lif et Lifthrasour, couple qui re
’exposer dans ses flots les enfans dont ils se méfiaient : alors si l’ enfant était adultérin, il trouvait infailliblement la m
sse est la seule femme qui ait gouverné l’Irlande. Elle adopta encore enfant Ugainemore, roi puissant, qui porta ses armes jus
72, 112, 160, 166, 176, 223, 369, 369, 375. Enesius, 20. Enétus, 49. Enfant , 20. Enfer, 315. Enfer des Latins, 313. Enfer des
13 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
Saturne qui étoit son cadet, mais à condition qu’il n’élèveroit aucun enfant mâle. C’est pourquoi Saturne les dévoroit sitôt q
Comment représente-t-on Cupidon ? R. On le peint sous la figure d’un enfant , avec un sourire malin, et un bandeau sur les yeu
orce d’argent. Persée fut le fruit de ce commerce. Acrise fit jeter l’ enfant dans la mer ; mais des pêcheurs le sauvèrent de l
la main de son fils ; il ordonna à Jocaste, son épouse, d’égorger cet enfant . La mère ayant horreur de ce crime, en remit l’ex
’exécution à un soldat. Celui-ci se contenta de percer les pieds de l’ enfant , et de l’attacher à un arbre sur le mont Cithéron
mont Cithéron. Un des bergers de Polybe, roi de Corinthe, trouve cet enfant , le détache et, le présente à la reine qui le fai
e, fils d’Ulysse, devant la charrue ; Ulysse, pour ne pas blesser son enfant , détourna la charrue, ce qui le démasqua, et l’ob
nre humain.       Qu’un lecteur est bien sous sa main ! Il l’amuse en enfant  » mais pour en faire un homme. (Lamotte, L. 5. F.
ux, dit-on ; je le crois : cependant Il le faut amuser encor comme un enfant . (L. 8 F. 4.) D. Quelle est la manière de tirer
L’esprit, l’air, tout enfin jusqu’à je ne sais quoi. Le pis pour cet enfant , dont tu fais tes délices, C’est qu’elle aime bie
r-tout que vos corrections soient justes et jamais à contre-temps. Un enfant se noyoit ; un pédant le voit, et au lieu de le t
. 19.) Qui ne sent tout le ridicule de cette réprimande déplacée ? L’ enfant n’a-t-il pas raison de lui répondre : Hé, mon am
14 (1823) Mythologie des dames
nt paisible possesseur de l’empire du ciel. Les Titans et les Géants, enfants de la Terre, lui firent une guerre terrible : ils
héros célèbre sous le nom de Persée. Acrise fit exposer la mère et l’ enfant dans une méchante barque, qui alla heureusement a
ième entretien. L’Amour. Dans le banquet des dieux, on remarque un enfant au souris malin ; deux ailes aux plumes dorées br
s, qui le caressent tour-à-tour, et qui lui prodiguent le nectar. Cet enfant gâté de l’Olympe est fils de Vénus et de Mars : c
sur le piédestal d’une des statues de ce jardin. Cupidon n’était plus enfant lorsqu’il forma les nœuds du mariage : aussi ceux
rer à la Terre de ne point lui accorder d’asile, non plus qu’aux deux enfants dont elle allait être mère. Elle fit sortir d’un
nt d’orgueil qu’elle osa mépriser Latone qui n’était mère que de deux enfants . Apollon et Diane furent chargés par leur mère de
a venger des mépris de Niobé, et ils percèrent de traits ses quatorze enfants . Cette malheureuse mère devint immobile de désesp
at, mourut bientôt après. Jupiter eut cependant le temps de retirer l’ enfant dont elle était enceinte, et il l’enferma dans sa
cain était aussi chargé de fabriquer les armures destinées aux héros, enfants des dieux. Le bouclier d’Hercule, celui d’Achille
is Jupiter, armé des fleches du tonnerre, Renversa sous ses coups les enfants de la Terre. Des rochers de l’Etna l’un d’eux est
; mais il ne fut point écouté, parcequ’on craignait qu’il ne tuât les enfants qu’il aurait de cette princesse, comme il avait t
des fontaines. On dit que Saturne, s’étant engagé à ne point élever d’ enfants mâles, dévora Neptune le jour même de sa naissanc
15 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
noms toujours doubles pour la symétrie, sont écrits de manière que l’ enfant ne pourra les lire en lui présentant le dessin co
tampe dans le sens de l’écriture, pour lire le nom, afin de voir si l’ enfant ne s’est pas trompé, il faudra toujours demander
voir si l’enfant ne s’est pas trompé, il faudra toujours demander à l’ enfant raison des attributs, par exemple, pourquoi l’on
i dévoue tous ses neveux à la mort, un père qui dévore ses enfans, un enfant qui détrône son père, une épouse qui anéantit un
élivré pour avoir révélé à Jupiter, qui vouloit épouser Thétis, que l’ enfant qui naîtroit de Thétis, seroit plus grand que son
urgue, roi de Némée, qui lui donna son fils Archemore à nourrir ; cet enfant fut laissé par Hypsipile, sur une plante d’ache,
alloit montrer une fontaine aux sept chefs armés contre Thèbes ; cet enfant mourut de la morsure d’un serpent que les princes
forge de Vulcain, fut frappée d’une étincelle qui la rendit mère d’un enfant auquel elle donna le nom de Cœculus, parce qu’il
, et un bandeau sur les yeux. Tantôt il est peint sous la figure d’un enfant , et tantôt sous celle d’un adolescent. Le myrte e
, croyent que le cap Leucade devoit sa dénomination à l’aventure d’un enfant appelé Leucatée, qui s’élança du haut de cette mo
et tira de son sein Esculape dont elle étoit enceinte : il confia cet enfant au Centaure Chiron qui lui apprit la médecine. Es
16 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
son droit d’aînesse à son frère, à condition qu’il n’éleveroit aucun enfant mâle. Cybèle, épouse de Saturne, affligée de voir
ors bien plus dignes d’envie, Les vertus habitoient les cœurs. Pères, enfants , époux sensibles, Nos devoirs, depuis si pénibles
assins d’airain, pour empêcher que Saturne n’entendit les cris de cet enfant . Il fut alaité par la chèvre Amalthée, qu’il chan
étoit fils de Vénus et de Mars. On le représente sous la figure d’un enfant , avec un bandeau sur les yeux, un arc à la main,
ousseau. On lui donne un caractère de malignité cruelle ; et, quoiqu’ enfant , il passe pour le plus puissant des dieux :     
’enfant, il passe pour le plus puissant des dieux :     Ce dangereux enfant , si tendre et si cruel, Porte en sa foible main l
tous ses enfans mâles, lui présenta une pierre mise dans un maillot d’ enfant , et fit élever secrètement Neptune par des berger
qu’il venoit d’avoir. Il ordonna à Jocaste, son épouse, d’égorger cet enfant . La mère, ayant horreur de ce crime, en remit l’e
ution à un soldat. Celui-ci, touché des pleurs et de l’innocence de l’ enfant , se contenta de lui percer les pieds de part en p
mont Cithéron. Un des bergers de Polybe, roi de Corinthe, trouve cet enfant , le détache, et le présente à la reine qui, n’aya
ure Chiron, qui ne le nourrit que de moëlle de lions. II étoit encore enfant , lorsque sa mère lui proposa le choix de vivre lo
uroit follement le rivage de la mer, Palamède plaça Télémaque, encore enfant , devant le soc de la charrue. Ulysse la détourna
imagina accoucher d’une torche ardente. Priam donna ordre de tuer cet enfant  : Hécube le fit élever secrettement par des berge
La Grange-Chancel. Oreste, fils d’Agamemnon, fut soustrait, encore enfant , à la fureur d’Egisthe et de Clytemnestre :     
17 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
es prétentions à son frère, à condition que Saturne n’élèverait aucun enfant mâle, afin que dans la suite le royaume retourna
nger avec avidité, se moqua d’elle ; Cérès, en colère contre ce jeune enfant , lui jeta au visage le reste de la bouillie, et l
Daphné. Zéphyre, qui n’avait pas moins de tendresse que lui pour cet enfant , fut si piqué de le voir jouer au palais avec Apo
Il devint si vieux, qu’il fallut l’emmailloter et le bercer comme un enfant Dans cet état, la vie lui étant insupportable, il
e dieu portait sur l’épaule, et le lui enleva. Ce n’était qu’un jeu d’ enfant . Plus tard, il vola à Vénus sa ceinture, à Mars s
de ses couches étant arrivé, l’arbre s’ouvrit pour donner le jour à l’ enfant , et les nymphes du voisinage le reçurent. Adonis,
, les Parques, la Misère, les Ténèbres ; en un mot on regardait comme enfant de la Nuit chaque chose nuisible et pernicieuse à
ure d’un jeune homme qui dort la tête appuyée sur des pavots, ou d’un enfant assoupi qui a des ailes sur le dos, et tient une
si grand par la victoire, Maintenant puni de sa gloire, Qu’un pauvre enfant , déjà lassé, Quand le jour est presque effacé, Co
e, sur la foi d’un oracle qui lui avait prédit qu’il serait tué par l’ enfant qui naîtrait de sa fille, la fit enfermer dans un
ourrice de la princesse ; on la mit elle-même dans un coffre avec son enfant , et on les jeta dans la mer, ou plutôt on les exp
e. Œdipe Laïus, roi de Thèbes, ayant appris de l’oracle que l’ enfant dont sa femme était enceinte lui donnerait la mor
il l’emporta et le donna secrètement à la reine, qui n’ayant point d’ enfant le reçut comme un don du ciel ; elle l’éleva comm
ncor même, Font voir par ces faveurs que Jupiter les aime. Si quelque enfant des dieux les possède, c’est vous ; Je l’ose dans
18 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
e, céda son droit à son cadet, à la condition qu’il n’élèverait aucun enfant mâle. Saturne, pour obéir à cette convention, dév
phénicien, et qui est employé dans cette fable, signifie à la fois un enfant et une pierre. Cependant les Titans, qui voyaient
e et cruel, crut rendre plus d’honneur à Jupiter en lui sacrifiant un enfant  ; mais que ce prince, ou ce dieu, pénétré d’horre
remplissant cette fonction, on la voyait assise, tenant d’une main un enfant emmaillotté, et une fleur dans l’autre, ou bien a
ir, le jeune Hyacinthe qu’il aimait beaucoup. Zéphire, qui aimait cet enfant , fut jaloux de le voir jouer au palet avec Apollo
gine au cyprès, arbre lugubre et sans feuilles : ils publièrent que l’ enfant Cyparisse, aimé par Apollon, tua, sans le vouloir
; le regret de sa perte le fit mourir de chagrin. Apollon changea cet enfant en cyprès, et voulut que cet arbre fût consacré a
is ; elle périt dans les flammes. Cependant Jupiter, voulant sauver l’ enfant dont elle était enceinte, l’enferma dans sa cuiss
u après l’embrasement de son palais, mais que l’on parvint à sauver l’ enfant dont elle était enceinte. Aussitôt après sa naiss
animal si recommandable par son attachement et sa fidélité. Lorsqu’un enfant quittait l’ornement appelé bulla, on le déposait
s nommaient ceux qui devaient veiller au culte des dieux lares, que l’ enfant adoptif semblait abandonner. Dans les fêtes publi
ils de la Nuit et frère de la Mort, se représente sous la figure d’un enfant dormant profondément. Une de ses mains tient des
tagne, et allaité par une chèvre. Le berger du troupeau crut voir cet enfant environné de lumière. Retiré de ce lieu, il fut é
19 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
r Égée. Polydecte, roi de cette île, reçut favorablement la mère et l’ enfant  ; il prit même grand soin de l’éducation du jeune
a, si elle avait un fils, de ne l’envoyer auprès de lui que lorsque l’ enfant serait assez fort pour soulever cette pierre et s
mpa la déesse, et lui dit qu’Alcmène venait de mettre au monde un bel enfant . Junon, surprise, quitta sa place, et dans ce mêm
voyant deux serpens dans son berceau, pour le dévorer ; mais le jeune enfant les saisit et les étouffa. Cependant Junon, à la
’est à cet hymen qu’étaient réservées les plus affreuses calamités. L’ enfant qui en naîtra, disait un oracle, sera le meurtrie
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