un aspect régulier, nous dirons que les Grecs ensuite donnèrent pour
enfans
à Démogorgon, le Soleil, la Discorde, Pan, les Pa
Centimanes ou Hécatonchires : Cottus, Briarée et Gygès. Ces derniers
enfans
, nouveaux Titans, épouvantables par la laideur de
r se venger de son vieil époux, profiter de la présence de ses autres
enfans
, les premiers Titans. Un jour donc qu’Uranus alla
s, deux filles : Céto et Eurybie que nous avons déjà tous vu supposés
enfans
de Thalassa. Ici s’arrête toute la famille des Ti
a Terre, qui ne tarda pas à ne plus être qu’une personnification, les
enfans
de Gê et d’Uranus s’allièrent ensemble, et produi
uni à Eos, que l’on trouvera plus loin, Pallas uni à Styx, d’où leurs
enfans
: Zélos, Bîa, Cratos et Nicée ; puis, Persès uni
uite épousa Pandore, et donna le jour à Pyrrha. Comme on l’a vu, les
enfans
de Gê et de Pontos forment une branche à part ; c
llirhoé : Pégase, Géryon, Typhon, Orthe et Echidna ; puis, les autres
enfans
de Phorcys et de Céto, furent : les Grées, le Dra
difficile pour Rhée était de s’y prendre de manière à faire vivre ses
enfans
mâles, car Chrone, autrement dit Saturne, après a
alors pendant ces cinq jours complémentaires, Rhéa se délivre de cinq
enfans
qui tous portent des noms égyptiens, car ce sont
ancienne Égypte. Le mythe grec véritable est donc la substitution des
enfans
mâles, que leur père avale sous forme de pierre,
élissa dont le nom grec signifie abeille, et que d’autres les fassent
enfans
ou de la Terre ou des Pluies. Leur patrie est aus
ns à son père, fils d’Uranus. On gratifie encore Saturne de plusieurs
enfans
: ainsi on lui attribue Picus, roi des Latins, ma
la froideur. Ses peuples le mirent au rang de leurs Dieux. Les autres
enfans
de Saturne étaient : Phtonia, que Sipyle rendit m
mère d’Olympe et de Tmole, Athénée, à tort Hymnus, Felix et Faustus,
enfans
d’Eutoria, fille d’Icarius et mère de Janus, et a
yait mutuellement en présent, et que les parens donnaient surtout aux
enfans
pendant ces deux jours. Afin de faire allusion à
e ciel et la terre avaient rendu, ayant prédit à Saturne qu’un de ses
enfans
lui ravirait la vie et la couronne, ou suivant d’
s mains de Titan, son frère aîné, qu’il ne laisserait vivre aucun des
enfans
mâles que sa femme pourrait mettre au jour, afin
rison pour avoir, volontairement ou sans le vouloir, laissé vivre ses
enfans
mâles. Depuis huit ou dix mois Saturne languissai
ues détails sur chacun d’eux. Cœos, Crios et Hypérion laissèrent les
enfans
qu’on leur connaît ; seulement faisons remarquer
ots symboliques employés pour exprimer le père de la lumière avec ses
enfans
le soleil et la lune. Japet offre aussi des v
son père et ses oncles. Du reste, époux de Styx, il en eut plusieurs
enfans
, tous Dieux purement allégoriques ; savoir : deux
ils de Pontus, et Phorcys, après avoir épousé Céto, sa sœur, eut pour
enfans
les Grées, les Gorgones, le Dragon des Hespérides
; à Hercule, avec Alcmène, femme d’Amphitrion, et à plusieurs autres
enfans
que nous trouverons plus loin. formation de l’ol
x Æriens, mitoyens ou Demi-Dieux. Cette masse sacrée était composée d’
enfans
des précédens ; beaucoup même d’entre eux étaient
er ; mais Styx, fille de l’Océan, accourut la première, suivie de ses
enfans
la Valeur, la Force, l’Emulation et la Victoire.
, on connaît une sœur à Cacus, portant le nom de Caca ; et, parmi les
enfans
de cette race gigantesque, l’histoire a conservé
atte, Vénus en poisson, attributs vivans d’Osiris, d’Isis et de leurs
enfans
, comme nous le verrons en parlant de la religion
hyne, à tête de femme et à corps de dragon. Après cette défaite, deux
enfans
de Jupiter, Mercure et Egipan ou Cadmus, suivant
désastres connus sous divers noms allégoriques ; ainsi elle eut pour
enfans
: Le chien à trois têtes, Cerbère, gardien des en
Zéphyre. Cependant nous avons déjà vu Scylla et le Dragon passer pour
enfans
de Phorcys et de Céto. Peut-être la chronologie o
et en eut deux fils : Otus ou le hibou, et Éphialte ou le cauchemar,
enfans
que le bon Aloé eut la complaisance d’élever comm
lève et enveloppe de sa brume épaisse le globe, future habitation des
enfans
de Pandore. En vain Epiméthée, se repentant de ce
cendans ; ainsi l’on suppose qu’il eut Thébée et même Isis et Etnœus,
enfans
très-douteux d’une nymphe inconnue ; Lycus et Chi
e rattache par plus d’un point à un Prométhée, puisqu’ils étaient les
enfans
ou petits-enfans d’un individu mythologique de ce
e eux, non des pierres, mais les fruits d’un palmier. Sans parler des
enfans
nés des pierres, on reconnaît pour fils de Deucal
, Molus, Thespius ou Thestius, Pylus et Demonice. Parthaon eut pour
enfans
Œnée, Alcathoüs, Agria, Leodatus et Mélas, ou Mél
s avait été frappé. Puis Jupiter punit Lycaon et écrasa ses cinquante
enfans
, qui, tout en l’adorant, lui sacrifiaient des vic
t abstenu de chair humaine. Lycaon eut de Célène ou de Méra plusieurs
enfans
, au nombre desquels il compta cinquante fils appe
iger cette statue, celle-ci finit par tomber sur lui et l’écrasa. Les
enfans
du mort citèrent devant le juge la statue homicid
pour publier les crimes des dieux qui avaient exterminé les Géans ses
enfans
. Depuis, Jupiter lui ordonna de ne parler que des
re de mythologues pour issus de cette alliance. Les maîtresses et les
enfans
de Jupiter sont tellement nombreux qu’il est indi
s ces maîtresses, il résulta pour Jupiter une assez grande quantité d’
enfans
. Nous allons rappeler les principaux. Ainsi il eu
Quelques-unes des femmes ou maîtresses de Jupiter et plusieurs de ses
enfans
sont très-remarquables dans la mythologie grecque
e mirent à les unir ensemble, et à en faire des pères, des mères, des
enfans
, des frères et des sœurs ; plus tard, les poètes
éviter de renvoyer à la fin de l’histoire de Jupiter pour trouver les
enfans
que Junon eut de son auguste époux ou de sa propr
on donne ce Vulcain et sa sœur aînée, la belle Hébé, comme les seuls
enfans
nés de l’alliance de Junon avec Jupiter ; d’un au
mme Junon elle-même qu’il faut les considérer, et nullement comme ses
enfans
. Argé, n’offrant rien d’intéressant, Typhoé étan
de Junon. Elle épousa Hercule quand il fut divinisé, elle en eut deux
enfans
Alexiarès et Anicète. On la représente brillante
dit qu’il obtint les faveurs de la sévère Minerve ; puis il eut pour
enfans
, sans compter Pandore, son chef-d’œuvre : Acus, A
métallurgistes, tels qu’Albion, Stérope et autres. Généralement, ses
enfans
avaient des mœurs un peu rudes, et plusieurs étai
ont Telchin, l’un d’entre eux, fut roi de Sicyone, ils passaient pour
enfans
du Soleil ; aussi les retrouvera-t-on parmi les f
vait Diane à la chasse, et se laissa aimer de Mars dont elle eut deux
enfans
. Quant à Vénus, nous la retrouverons dans quelque
sa fille Harmonia un habit teint de tous les crimes : aussi tous ses
enfans
furent-ils des scélérats, comme on le verra en pa
les, que nous verrons toutes séduites par Hercule. Thracie, et Thrax,
enfans
de Nérienne, furent ceux que l’on fait passer pou
char traîné par des chevaux fougueux appelés la Fuite et la Terreur,
enfans
de Mars et de Vénus, ou d’Erynnis et de Borée. Be
n, l’Effroi, ou Formido, Dieux allégoriques, que l’on regardait comme
enfans
de Mars, de même que la Peur, Timor, ou la Craint
ne Ilithye, présidant à la délivrance des mères et à la naissance des
enfans
. Cependant on la faisait fille de Jupiter et de J
gnifiait lumière, parce qu’en effet elle présidait à l’instant où les
enfans
voient le jour pour la première fois. Quant au no
e déesse de l’allaitement, Cuba qui présidait, à Rome, au coucher des
enfans
, Cuna ou Cunina déesse romaine des enfans au berc
ait, à Rome, au coucher des enfans, Cuna ou Cunina déesse romaine des
enfans
au berceau, Egerie ou Lucine, Eugérie que les dam
à Rome, Nundina présidait comme déesse romaine à la purification des
enfans
, Orbona protectrice romaine des enfans, Orthésie
romaine à la purification des enfans, Orbona protectrice romaine des
enfans
, Orthésie était une Diane-Lucine protégeant les a
èce d’Artémise ou d’Opis, et présidait à la flagellation annuelle des
enfans
, Ossilégo ou Ossipaga, déesse latine qui présidai
Potica ou Pontina était une déesse qui présidait à Rome au boire des
enfans
, Prorsa ou Porrima, ou Anteverta et Postverta, el
t des Vangiones, Rumia, ou Rumisca, ou Rumina protectrice romaine des
enfans
à la mamelle, Sentia et Sentine déesse qui protég
x nés chez les Latins, Statinus et Statina affermissait les pieds des
enfans
en bas âge à Rome ; Utérina était une déesse lati
tiendrons à dire que le serpent Python ayant voulu attaquer ces deux
enfans
encore au berceau, Apollon se leva, prit un arc,
s brillantes campagnes qui séparent ces deux villes, les Latonides ou
enfans
de Latone, accoururent à son secours, et Titye mo
que chose de son caractère rancuneux ; car, une fois soutenue par ses
enfans
, elle ne pardonna plus, et leur fit punir instant
reuse postérité, elle s’en vengea par l’horrible massacre de tous les
enfans
de cette imprudente. Cette Niobée était sœur de P
t nous aurons occasion de parler dans la suite ; elle en eut quatorze
enfans
que l’on porte quelquefois jusqu’à vingt, et qu’H
des peuples. Latone, offensée de cet orgueil, se plaignit à ses deux
enfans
, qui soudain, descendirent sur la terre pour la v
ir, demeura assise et pour toujours immobile, auprès des corps de ses
enfans
qu’elle venait d’arroser de ses larmes. La vie lu
ns veulent l’appeler Amycle ou Mélibée, et font périr avec les autres
enfans
leur oncle Zéthus et Amphion leur père. Les victi
métamorphose subite de Niobée en rocher, fait ensevelir les quatorze
enfans
par les dieux, et laisse Niobée en proie à ses ch
e Niobée, fille d’Assaon et femme de Philote, trouva la beauté de ses
enfans
supérieure à celle des Latoïdes, ou enfans de Lat
e, trouva la beauté de ses enfans supérieure à celle des Latoïdes, ou
enfans
de Latone, et que celle-ci, irritée, fit alors pr
stueux à Assaon, qui, ne pouvant séduire sa fille, fit périr tous ses
enfans
dans les flammes ; de sorte que la malheureuse Ni
rsuivie par l’amour criminel de son père, qui pour y échapper tue ses
enfans
et se donne ensuite la mort ; c’est une peste qui
de Thèbes était ravagée, et à laquelle Niobée dut la mort de tous ses
enfans
; ensuite comme on attribuait les maladies contag
ieu étaient les rayons brûlans de l’astre qui nous éclaire. Quant aux
enfans
restés pendant neuf jours ]sans sépulture, on les
ne pouvant plus supporter le séjour de Thébes, après la perte de ses
enfans
de son mari, fut terminer ses jours au fond de la
fable le sens allégorique, qui prend Niobée pour une fontaine et ses
enfans
pour des ruisseaux tous desséchés par de grandes
t entre ses bras les deux Latoïdes, ou Latonides, ou Latonigènes, ses
enfans
, qui tendent leurs mains vers le serpent Python à
one en Attique, ou parce qu’on lui consacrait les premiers habits des
enfans
, Cindiade, Cnagie ou de Cnagée, le ravisseur de l
s Diane l’ayant punie en la rendant furieuse, elle dévora l’un de ces
enfans
et se noya. Alors Jupiter la changea en fontaine.
présidant à l’accouchement, à la conservation et à la croissance des
enfans
; c’était donc alors une Junon Lucine, tantôt mag
éniens regardaient cette déesse comme protectrice des familles et des
enfans
, plaçaient une de ses statues devant leurs maison
instituées par Lycurgue, et pendant lesquelles on fouettait de jeunes
enfans
sur l’autel de cette déesse pour leur apprendre à
ne cesseraient qu’en exposant au monstre, suivant Diodore, celui des
enfans
troyens que le sort aurait désigné. Les noms de t
poète Linus pour fils, comme à Calliope et à Terpsichore. De tous ces
enfans
, les plus célèbres furent assurément Linus, Orphé
poètes qui précédèrent Homère. Cependant il ne faut pas voir dans les
enfans
des vierges du Parnasse une filiation toute matér
de Jupiter, comme nous le verrons plus tard en parlant en détail des
enfans
de ce dieu. Déjà Pégase avait été à moitié dompté
d’Epimède ou Eurimède, fille de Sisyphe, que nous trouverons avec les
enfans
d’Eole, dont il faisait partie. Ce protégé de Min
mphe et l’autre d’un serpent, affreux monstre auquel on attribue pour
enfans
Orcus, Cerbère, l’Hydre de Lerne, le Sphinx, le L
s les fois qu’il avait à se plaindre du monarque. Midas avait eu deux
enfans
; d’abord Ia, fiancée d’Atys, puis Canchurus qui
le signe des Gémeaux ou mai, on les regardait comme Castor et Pollux,
enfans
de Jupiter. Pendant l’été il passait dans le sign
té romaine présidant aux compositions poétiques et à la naissance des
enfans
, parce qu’elle rendait ses oracles en vers et qu’
ville et l’entourer de murailles. Du reste, on sait comment lui, ses
enfans
et sa femme Niobée tombèrent sous les coups des L
en Béotie, le Telchine Lycus qui passait, comme tous ses frères, pour
enfans
du Soleil et de Minerve, et pour autant de magici
, et sœur du Soleil et de la Lune. Ayant épousé Persès, elle eut pour
enfans
les Vents et les Zéphirs, ainsi que les Astres et
ée. Elle ne s’en tint point à cet inceste ; elle eut encore plusieurs
enfans
de Neptune et son fils Branchus d’Apollon ; Casta
s comme filles de Clymène ; cependant plus communément on nommait les
enfans
de Néère : Dioxippe, Egialée, Egla, Etérie, Hélie
ir fait connaître les maîtresses d’Apollon, nous passons en revue les
enfans
qui résultèrent de ces diverses intrigues nous tr
Béotie ; Agète, Argée, Aristée et Authoque, Agréus et Nomius étaient
enfans
de Cyrène ; le troisième attribué aussi aux amour
x ou de déesses tenant à la médecine ; ainsi on lui donne encore pour
enfans
: Acésos ou le guérisseur, Acéso et Iaso ou la gu
sculape, elles étaient appelées Epidauries. Mais revenons aux autres
enfans
d’Apollon : Eurynome, fille de ce dieu, et femme
x Garamantes. Heliades : quoique ce nom puisse s’appliquer à tous les
enfans
du Soleil, cependant on le réserve pour indiquer
ils d’Hélius, roi de l’île de Rhodes. Si nous continuons la liste des
enfans
d’Apollon, nous trouvons Hypérénor, fils d’Alcyon
on, vainqueur du serpent Python ; Scyros fils de Sinope. Telchines,
enfans
douteux du Soleil auquel on les attribua, parce q
da à Phestus, roi de Sicyone. Après avoir fait connaître Junon et ses
enfans
ainsi que Latone et tout ce qui se rattache aux L
lle qui donna le breuvage à Saturne pour lui faire rendre au jour ses
enfans
; mais, ajoutèrent quelques autres savans, un ora
e pied en cap. Du reste, on attribuait encore à Métis quelques autres
enfans
, mais tous allégoriques. La troisième femme de Ju
it avec un fils suspendu à la surface de l’eau, Pédophile ou amie des
enfans
, Pédrotophe ou la nourrisseuse d’enfans, Pelasgis
l’eau, Pédophile ou amie des enfans, Pédrotophe ou la nourrisseuse d’
enfans
, Pelasgis et Pelagique ou du temple que Pélasgus,
par des corsaires crétois et désirs pour gagner son pain trouver des
enfans
à nourrir ; ils la ramènent au palais de leur pèr
mère de Triptolème et de Deiphon, confie à Cérès ou l’un de ces deux
enfans
encore au berceau ou en troisième que l’on indiqu
. On a vu déjà que les mythologues ne sont pas d’accord sur celui des
enfans
confiés par Métanire, comme nourrisson à Cérès. S
es anciens vénéraient le passage continu de l’existence des pères aux
enfans
. Dès le commencement du septième jour on célébrai
ses épaules, ou bien on la voit avec une faucille à la main, ou deux
enfans
à la mamelle ou traînant à terre deux cornes d’ab
re printannière, montrant de tous côtés ses bourgeons et ses fleurs ;
enfans
nés suivant les anciens, de divers générateurs, e
rait allé à Délos construire un temple à Apollon, et serait mort sans
enfans
ou pendant son retour au milieu des flots, ou à A
d au jour l’ Harmonie ou l’Amour, les Graces et l’Hymen ; puis de ces
enfans
elle se forma un cortége nombreux, dont l’influen
erpent ; puis elle fut jetée en prison, et sauvée, ou par ses propres
enfans
, qu’elle avait eus de Jason, chef des Argonautes,
ité, quand Mars les sauva en métamorphosant en oiseaux la mère et les
enfans
. L'action influente de Vénus sur Pasiphaé, Phèdre
nus-Nuptiale, et la priaient d’accorder à leurs vœux des époux et des
enfans
; puis, afin de la rendre plus favorable, elles l
assemens du corps et de l’esprit, étaient représentés comme de jeunes
enfans
nus, riant avec les Grâces et portés sur les aile
du trône de Jupiter Olympien couronnant Vénus. Passons maintenant aux
enfans
de Vénus, que nous connaissons déjà sous les noms
s, l’amour est doublé aussi pour le représenter, on peint deux amours
enfans
, ayant l’un et l’autre des ailes, un carquois, de
ne même quelquefois pour fils, et de ce capitaine, elle eut ses trois
enfans
qu’Astérius, après l’avoir épousé, finit par adop
enleva Europe, dont il adopta les fils, ou même qu’il fut le père des
enfans
que nous connaissons comme nés des amours d’Europ
ène et de l’autre Castor et Clytemnestre. Cependant les deux premiers
enfans
sont seuls attribués généralement à Jupiter. Pour
autres y compris une troisième fille, appelée Timandra, on les croit
enfans
légitimes de Tindare. Suivant Apollodore le fait
s et les maîtresses ou concubines de Jupiter, parlons de ses nombreux
enfans
. D'abord commençons par ses filles, car fort peu
in deux œufs ; du premier naquirent Castor et Clytemnestre, tous deux
enfans
de Tyndare ; du second, Pollux et Hélène, tous de
e humilie les superbes et les puissans ; elle accable de sa haine les
enfans
coupables envers leurs parens, et venge les amans
e de Jupiter et d’Iodamé, fut la femme d’Ogygès, et mère de plusieurs
enfans
dont on ignore le nom. La Vérité, passait pour fi
n et Zéthus, et même, dit-on, Calathus. Lycus se rendit maître de ces
enfans
et les fit exposer auprès d’une forêt, mais ils f
aisant élever les murs de Thèbes aux sons de sa lyre. Amphion eut les
enfans
que nous lui connaissons ; quant à Zéthus, il épo
ère d’Aleus et de Sténébée. Aleus, s’étant marié à Cléobule, eut pour
enfans
Lycurgue, Amphidamas et Céphée. Alors Lycurgue à
Junon. De ces nombreuses passions, il eut une assez grande quantité d’
enfans
; tels sont : Anubis, la jeune Bacchia et Carmon
d’Ariadne à laquelle on attribue aussi la naissance de Phlias. De ces
enfans
Enopion seul laissa une lignée remarquable, il ép
ut avec son frère Rhéodotion, Héro et Mérope. Bacchus eut encore pour
enfans
Macédon que nous verrons plus tard avoir Osiris p
es ; les Arcadiques étaient en Arcadie, des fêtes dans lesquelles les
enfans
montés sur un théâtre, chantaient et dansaient ;
peaux des victimes, et l’on en faisait des fouets, avec lesquels les
enfans
couraient les rues en frappant à droite et à gauc
vons vu Pygas la reine métamorphosée en Grue par Junon, étaient aussi
enfans
du dieu Pan. Ici se borne la fable grecque et rom
n plusieurs variétés ; ainsi l’on connaissait les Pans et Egipans, ou
enfans
de Pan, que l’on voyait particulièrement dans les
du lait, puis une mule et un cochon. Ce Dieu passait pour ennemi des
enfans
parce qu’ils aiment à casser les branches d’arbre
a et de Jupiter, tandis que Castor et sa sœur Clytemnestre, sont crus
enfans
de Léda et de son mari Tyndare. De cette naissanc
Tyndarides ou fils de Tyndare, lorsqu’on ne les envisageait que comme
enfans
de Léda, épouse de Tyndare ; puis on les surnomma
fils de Prométhée, et époux de Pyrrha, sa parente, dont il eut trois
enfans
: Hallen, Amphiction et Protogénie. Il est probab
nom bizarre qui lui fut donné parce qu’une mère ayant menacé ses deux
enfans
, Achemon ou Achmon et Basalas ou Passalus, tous d
l des deux était son fils, mit ces deux serpens auprès du berceau des
enfans
, alors Iphicle en fut effrayé ; mais Hercule prou
au talon par un cancer ou un scorpion, délire dans lequel il tua les
enfans
qu’il avait eus de Mégare. Ensuite, Junon lui ren
plusieurs années, mais elles laissaient à leurs maris l’éducation des
enfans
et les autres soins de l’intérieur du ménage. Com
d’Euryte. Ce roi avait eu d’un premier mariage avec Althée, plusieurs
enfans
, au nombre desquels on trouve Déjanire et Méléagr
n le vendit publiquement et que l’argent de cette vente fût donné aux
enfans
d’Iphitus ; alors Mercure fit cette vente et livr
refusé de donner quelque nourriture à Hercule, et enfin les nombreux
enfans
de Chrysonoé, fille de Clitas, roi des Sidoniens,
les maîtresses d’Hercule, furent nombreuses il en fut de même de ses
enfans
, ou du moins de ses fils ; car, ses filles bien c
e ligue contre Eurysthée qui, dans cette campagne périt avec tous ses
enfans
et laissa forcément les Héraclides rentrer triomp
e : Argos échut à Témène, la Messénie, à Cresphonte et Lacédémone aux
enfans
d’Aristomène, mort pendant l’expédition ; mais bi
et de Tyndare. Cette Gorgophone eut encore avec Périérès, deux autres
enfans
appelés Apharée et Leucippe. Ce dernier fut père
t admise parmi les Dieux indigètes, elle présidait à la naissance des
enfans
, chantait leur destinée ; elle fut la tige des de
e voyage, sa beauté séduisit le messager divin, et il en résulta deux
enfans
appelés Lares. Plus tard, les dames romaines ayan
ère de Myrtile. Déjà nous venons de voir quels étaient en partie les
enfans
de Mercure, mais nous allons le faire connaître p
itua des fêtes annuelles, sous le nom d’Ischénies ; Lares ou Pénates,
enfans
de Mercure et de Lara ou de Mania ; ils étaient l
es brebis, des chèvres, du vin, de l’encens et des fruits. Les autres
enfans
de Mercure étaient Libys fille de Libye ; Myrtile
us, et mourut trente trois ans après la guerre de Troie ; il eut pour
enfans
quatre fils : Androgée ou Astérius ou Astreus, Cr
sont pas tout-à-fait d’accord sur cette famille, ils ne donnent pour
enfans
de Persée qu’Alcée, Electryon, Mestor, Sthénèle e
oire, Neptune eut l’empire des mers. Quand les Dieux, chassés par les
enfans
de la terre, se retirèrent en Égypte, Neptune les
aventures, et par conséquent une foule de femmes, de maîtresses et d’
enfans
, d’où vint qu’on lui prêta diverses formes, sous
s et filles de Neptune. Si nous jetons un coup d’œil sur les nombreux
enfans
du Dieu des eaux, nous trouvons d’abord parmi ses
femme et corps de serpent, dont le seul plaisir était de dévorer les
enfans
. Lotis, que son père changea en arbre pour la sau
mantides ; car, ayant forcé à fuir le toit paternel Phrixus et Hellé,
enfans
de Néphelé, la première femme de son mari Athamas
hamas, fils d’Éole et petit-fils de Deucalion ; Junon vengea ces deux
enfans
en inspirant par Bacchus ou les furies un accès d
s pour deux lionceaux, s’empara brusquement de Léarque, l’aîné de ces
enfans
, et l’écrasa contre une muraille. Autonoé eut aus
le remit à Polybe son maître, roi de Corynthe, lequel n’ayant point d’
enfans
, l’adopta d’un commun accord avec Péribée sa femm
gluse ou Cléodice. Cet Asope, après avoir épousé Méthone en eut douze
enfans
, dont nous citerons Cercyre, Chalcis, Cléone, Égi
tuait le vaincu, Thesée enfin lui arracha la vie. Cercyon mourut sans
enfans
, il n’avait eu qu’une fille nommée Alope, encore
en oiseaux appelés Alcyons, que l’on consacrait à Thétis. Les autres
enfans
d’Eole étaient : Astyochus, Cléobule, Clytius, Ar
vec Enée, un quatrième personnage, du nom d’Eole. On donne aussi pour
enfans
à ces divers Eoles : Agathirne, Androclès, Cercap
dit, était le Dieu des vents, divinités inférieures que l’on faisait
enfans
du ciel et de la terre, ou à Athènes, d’Astréus e
; Hésiode en excepte pourtant les vents favorables qu’il adopte pour
enfans
des Dieux. Les vents les plus honorés, étaient en
ents, comme une des plus remarquables. Si nous reprenons la série des
enfans
de Neptune, nous rencontrons : Ephocus, qu’il eut
pérides et Scylla, qui nous sont tous connus ; de plus il en eut pour
enfans
les Gorgones, les Grées, Ento, Batthyllas et Thoo
eut Protésilas, Podarce et Philoctète. Il était resté longtemps sans
enfans
; mais ayant bu, d’après l’avis de Mélampe, penda
e son père, il retourna dans le Péloponèse, partagea ce royaume à ses
enfans
et fut mourir dans la colonie qu’il avait fondée.
s, le prenant pour un ennemi vivant, il n’eut pas peur comme d’autres
enfans
qui étaient présens ; mais aussitôt, il saisit un
ides vinssent la delivrer de l’esclavage. Ce Pirithoüs descendait des
enfans
d’Apollon, par Déion, fille de Dia et femme d’Ixi
es Lapithes, peuples de la Thessalie, descendans des Pelasgues et des
enfans
d’Apollon, fut la suite naturelle de la haute rép
t le précipita du haut d’un rocher dans les flots. Après sa mort, les
enfans
de Thésée remontèrent sur le trône d’Athènes, éle
, et en obtenant sur eux une éclatante victoire. Thésée eut donc pour
enfans
: Hippolyte de la reine amazone Hippolyte, Staphy
evons d’autant plus parler ici, que nous retrouverons plus tard leurs
enfans
, Achille et Ajax le télamonide, combattre encore
e l’une de ses filles : il surveillait strictement la conduite de ses
enfans
, aussi Jupiter s’étant épris des charmes d’Egine,
lle elle avait gravé ses mots : a la plus belle. Téthis eut plusieurs
enfans
qu’elle perdit en les plongeant dans une chaudièr
elles étaient filles de l’Océanide Mélie, qui en outre avait eu pour
enfans
Térène et Ismenus. Ménies, nymphes des moissons.
s fontaines, des guirlandes de fleurs, dont on couronnait ensuite les
enfans
. Voici les noms de quelques Naïades : Botée, femm
agés en sept fractions bien distinctes. Dans la première, étaient les
enfans
morts à leur naissance, sans avoir eu ni peine, n
s ne pouvaient briser. Là se trouvaient renfermés pour l’éternité les
enfans
désobéissans, les amis perfides, les traîtres, le
éjà connus, ni avec les Larves ou Lemures. Ces manes que l’on faisait
enfans
de Mana ou Mannania, et dont l’on faisait dériver
urne renversée, d’où s’écoulent des ondes bourbeuses. On donnait pour
enfans
, à ce fleuve, Ascalaphe, déjà connu, fils d’Orphn
précations ; et avec le soleil, Momus. On lui donne beaucoup d’autres
enfans
dont elle seule fut mère, ce sont : le Sort, les
tions, ses messagères ; d’autres fois, elle tient entre ses bras deux
enfans
; l’un, noir, emblème de la Mort ou de la Nuit ;
des ténèbres chez les Romains. Enfans de la Nuit. Parmi les nombreux
enfans
de la Nuit, nous distinguons en première ligne :
t l’if, le cyprès et le coq ; on donnait la Fraude et le Chagrin pour
enfans
à cette déesse. A sa suite on peut placer Viduns,
son, afin d’en obtenir une heureuse navigation. Le Sommeil avait pour
enfans
les songes, et pour principal ministre Morphée, l
que le Travail, la Vieillesse, la Faim et la Peste, étaient également
enfans
de l’Érèbe et de la Nuit ; en effet : Le Travail,
ou les familles devaient lui être attribuées. Voici quels étaient ses
enfans
: Acté ou l’injustice, Algos ou la douleur, Amphi
ls déjà plusieurs auteurs ont donné la Nuit pour mère. Le premier des
enfans
de la Discorde portait le nom d’ Algos ou la Doul
Filles de parens très-incertains, on les fait tour à tour passer pour
enfans
ou de de Jupiter et de Thémis, ou de Saturne et d
ont Cithéron, où, disait-on, le vieil Œdipe, aveugle et banni par ses
enfans
, était venu chercher un asile. Lyssa était la rag
re, fit tuer par son mari ; et, à cette liste, Apollodore ajoute pour
enfans
de Pélops deux fils, Alcathaoüs et Pithée, et deu
i indique ; puis, à la fin du banquet, lorsqu’après avoir demandé ses
enfans
pour les embrasser, Thyeste porte pour boire sa c
, lui confia la régence de son royaume, Clytemnestre sa femme, et ses
enfans
; mais, Égisthe, dépositaire infidèle, séduisit l
arée, dont il épousa la fille Clytemnestre, qui le rendit père de six
enfans
: Iphigénie, Électre, Chrysothémis, Laodicée, Hal
pardonné le meurtre d’Atrée, et à qui il avait confié sa femme et ses
enfans
. Ce monstre, d’accord avec Clytemnestre, assassin
ans. Ce monstre, d’accord avec Clytemnestre, assassina Agamemnon, les
enfans
qu’il avait eus de Cassandre, ainsi que cette Cas
e d’Atrée, ensuite, Agamemnon roi de Mycènes, dont elle eut plusieurs
enfans
. Pendant l’absence de son mari, Clytemnestre, épr
ère qui l’entoure et la fait changer de résolution. Electre, eut deux
enfans
de Pylade, Strophius et Médéon. On la représente
ayant jamais régné à Sparte, doivent plutôt être considérés comme des
enfans
naturels nés de Piéris, ou de Cnosie, ou de Térid
calice de laquelle on croyait voir deux initiales A I. II laissa deux
enfans
: Eantide, de Glauca, sa femme légitime, et Eurys
ymède, Pisistrate et Antiloque et deux filles, Pisidice et Polycaste,
enfans
que nous avons déjà vus en parlant de Nélée. A la
capitale, massacra la population mâle, et rassembla les femmes et les
enfans
sur ses navires ; mais tandis que son équipage se
magie auprès d’Ulysse, et joua le rôle d’une espèce de Minerve. Pour
enfans
, il eut : Télémaque et Ptoliporthos de Pénélope ;
loponèse. Il épousa d’abord Chrysa, fille de Pallas, dont il eut deux
enfans
. Ayant, on ne sait pour quel motif, assassiné son
ssé, roi de Thrace : il en eut dix-neuf fils et autant de filles. Ses
enfans
s’étant unis aux princes et princesses des petite
l avait eu cinquante et quelques fils ; de plus il comptait parmi ses
enfans
également beaucoup de filles dont les plus connue
du pillage de la ville, Priam mourut, tué par Pyrrhus, entouré de ses
enfans
massacrés et à la vue de sa ville embrasée. Ce fi
rent lui-même, et étouffent dans leurs nombreux replis le père et les
enfans
; puis ils se réfugient dans le temple de Minerve
où se réunirent autour de lui un grand nombre de braves, de femmes, d’
enfans
et de vieillards. Sa femme seule ne put le suivre
présidant à l’éducation, c’est-à-dire, à l’alimentation primitive des
enfans
. Egnatie, déesse du feu instantané en Apulie. Ele
ez les romains ; Fabulinus ou Fabulus, dieu des premières paroles des
enfans
; Farnus, dieu Romain, présidant à la parole. Fav
t par l’eau. Manducus, dieu ou ogre romain, servant d’épouvantail aux
enfans
qu’il était censé manger jusque dans l’autre mond
ntagnes ; Nascio ou Natio, déesse romaine de l’heureuse naissance des
enfans
. Nomia, déesse arcadienne de la vie pastorale ; N
x égyptiens, avait pour femme Neith, fut père de Fta et aïeul de Fré,
enfans
, ou émanations dans lesquels il se confond tour-à
présente aussi accompagné d’un lion et d’un crocodile. Il laissa pour
enfans
ou du moins se scinda et donna naissance à To ou
e pays par une porte ou par une fenêtre, et mirent au monde plusieurs
enfans
, auxquels ils enseignèrent différens arts, mais s
l, son culte fleurit surtout chez les Ammonites, qui sacrifiaient des
enfans
vivans en son honneur, et lui en donnaient aussi
haleur, se communiquant à ses bras, brûlait les chairs des malheureux
enfans
qu’on lui offrait. On dansait autour de cette aff
ande divinité des Sépharoïtes. En Syrie, quand on voulait initier les
enfans
à ses mystères, on les faisait passer par le feu.
maladies, les chagrins, les esprits malfaisans, et de faire avoir des
enfans
aux gens mariés. On lui donne un corps jaune, deu
ou Açouras, ou Achouras, ce sont des génies malfaisans, presque tous
enfans
de Diti et de Kaciapa, et qui ne purent arriver à
ait la ville d’Aïodhia, capitale de l’empire. Il était de la race des
enfans
de la lune. Il épousa trois femmes, Kéikéii, Soum
mmes, Kéikéii, Soumatra et Kaoukaliâ, qui le rendirent père de quatre
enfans
: Bharata, Lakchman, Satroughna et Sri-Rama ou Vi
agoucha, conquit une grande étendue de terrain, qu’il distribua à ses
enfans
. Lorsqu’il fut devenu vieux, voulant revenir à la
uand il aurait trouvé quelqu’un qui se chargerait de ses années ; ses
enfans
refusèrent, sauf Pourouvouça. Charmé de cette mar
mé Açamania ; son autre femme fut Soumati, dont il eut soixante mille
enfans
. Il avait offert quatre vingt-dix-neuf fois le sa
and Vichnou s’empara de la victime ; aussitôt il enjoignit à tous ses
enfans
de retrouver le cheval ravi ; mais il mourut au b
coursier. Son fils Açouman lui succéda. Vaçoudéva, Radjah, fils des
enfans
de la lune, succéda à son père Souraçéna et épous
sous les yeux du tyran, qui ne manquait pas de mettre à mort tous les
enfans
mâles de sa sœur ; à la fin, ils sauvèrent Krichn
uronne et la vie, avait soin, lors de ses accouchemens, d’égorger ses
enfans
mâles. Déjà, il en avait égorgé sept. Enfin Vichn
voulut le faire mourir, en l’enveloppant dans un massacre général des
enfans
en bas âge par les Daïtias ; pourtant cette cruau
Hiraniakcha, Krichna épousa Roukmini, qui le rendit père de plusieurs
enfans
, parmi lesquels on remarque Praidoumna. Mais, tan
intervention, car Douriodhana, chef des Kourous, ou branche aînée des
enfans
d’Iadou, s’étant emparé de l’autorité, exerçait l
chmi, et mari également de Kounti, sœur de Vaçoudéva. Pandou eut cinq
enfans
, que l’on nomme Pandous, savoir : Bhima, Ardjouna
i venait de naître de Dévaki et de Vaçoudéva ; mais Kansa, auquel les
enfans
de Dévaki portaient ombrage, ayant voulu immoler
De ces divers mariages ou alliances de Vichnou, il résulta plusieurs
enfans
, mais nous ne citerons que : Pradioumna, fils de
les plus puissans pour Bhavani, devenue son épouse et dont il a deux
enfans
, l’un Ganéça, dieu de l’année, de l’intelligence
urent ses maîtresses, on compte Andjani et Anga. Siva eut encore deux
enfans
: l’un Veirava, né de sa respiration ; l’autre Vi
Parvenue à l’âge nubile, elle épousa Santanou. Elle mit au monde six
enfans
et les noya aussitôt après leur naissance. Santan
ou fête du chariot, des pères, des mères, tenant en leurs bras leurs
enfans
, se précipitent pour être écrasés sous les roues
se révéla dans ses cinq fils appelés Bouddhas, d’où résulta d’autres
enfans
que l’on désigna du nom de Bouddhiçatoas. Alors,
leur graisse la bouche ; chaque Stogai a sa femme à sa gauche, et ses
enfans
devant lui. Tsangan-dara-eke, fille née par les
ment : Xikouani, célèbre Kami, ayant sous sa protection les ames des
enfans
et des jeunes gens. On le représente jeune et bea
uable par le festin que l’on donne dans une salle remplie de jouets d’
enfans
. Dabis ou Debis, dieu japonais de l’île de Nipho
se famille comme une richesse, ne manquent jamais de lui demander des
enfans
. Souva, dieu de la chasse. Le jour de sa fête an
es Iakoutes ; il intercède l’être suprême pour qu’il leur accorde des
enfans
, du bétail, d’abondans pâturages, de l’eau-de-vie
avant la cérémonie de l’hymen, pour se le rendre propice. Il eut deux
enfans
, l’un Éla ou l’amour, l’autre Poléla, ou l’amour
éla, ou l’amour mutuel, dont descendait Ziat, le génie protecteur des
enfans
. Léchies, génies malins, espèce de Sylvains, de
s légitimes, Odin devait en avoir plusieurs autres, et, en effet, ses
enfans
naturels étaient nombreux ; le plus remarquable d
ent retentir le monde. Il en sonnera à la fin des siècles lorsque les
enfans
de Muspell escaladeront le ciel. Alors Heimdall s
mée Goldtoppour et l’agilité de son cheval Hoffond. Heimdal eut trois
enfans
d’Hrall : Har, Ialnhar, Zhridi ou Zhrall. Ce Zhra
géante Angourboda, messagère de malheur, qui le rendit père de trois
enfans
: le loup Fenrir, le grand serpent Iormoungandour
ioud coule le Gioll, que l’on passe sur un pont d’or. Les femmes, les
enfans
et les hommes morts de maladie, entrent seuls dan
nave : elle habite la forêt de Iarnvidour. Elle eut un grand nombre d’
enfans
géans monstres, mais les principaux furent ceux q
e ; aussi, les pères avaient-ils l’usage d’exposer dans ses flots les
enfans
dont ils se méfiaient : alors si l’enfant était a
; alors les trois rivaux l’assassinèrent. Les compagnons d’Ith et ses
enfans
prirent son cadavre, l’emportèrent sur leur navir
la déesse du berceau ; aussi les mères lui recommandaient-elles leurs
enfans
pendant la nuit. Vitslibochtli, le plus célèbre
s Incas ou dieux-prêtres passaient-ils auprès des Péruviens comme les
enfans
des fils du soleil. Du reste, le culte de ces roi
ités de cette trinité ; elle recevait en sacrifices à Cusco de jeunes
enfans
. On la représentait tenant d’une main une fronde
époux de la guérir, mais il la laissa mourir, après en avoir eu deux
enfans
, savoir : un autre Ti et Ohina, laquelle devint l
a source du tout, la mère des dieux ; aussi les nomment-ils Fampô, ou
enfans
de Po. Takchanpada, déesse de la pluie, chez les
mme incarnée sous la forme d’un homme. Après la naissance de tous ces
enfans
, Tane et Tarra quittèrent le ciel pour habiter la