struction de la jeunesse. Le but principal de ce travail ayant été de
donner
l’ensemble de la mythologie et de faire connaître
du monde. Un abrégé, par demandes et par réponses, aurait suffi pour
donner
la connaissance des dieux de la fable ; mais il e
s ses connaissances, on sentira que nous n’avons pu nous dispenser de
donner
ces premières notions sur l’origine de la mytholo
ur les Druides ; il nous a semblé convenable et même indispensable de
donner
les notions que l’on a pu conserver sur l’existen
e plus en plus de la lumière ; l’empire du crime s’établit : lui seul
donna
les lois, ou plutôt plongea dans la plus horrible
e entre les dieux de l’Orient et les dieux de l’Occident, nous allons
donner
les principales notions qui restent sur les tradi
t ce dernier qui nous a conservé le morceau de Bérose que nous allons
donner
. « Un homme, ou plutôt un monstre moitié homme e
eur chaldéen, demeurait le jour avec les hommes sans manger ; il leur
donnait
la connaissance des lettres et des sciences ; il
anière de bâtir des villes, des temples, d’établir des lois ; il leur
donnait
des principes de géométrie, leur apprenait à seme
uits, en un mot, tout ce qui pouvait contribuer à les polir et à leur
donner
d’autres mœurs. Au soleil couchant, il se retirai
un temps qu’on ne saurait déterminer, il arriva par mer un homme qui
donna
aux Chaldéens quelques connaissances des ancienne
elladius, qui a été conservé, rapporte toute l’histoire d’ Oannès, et
donne
cette explication sur sa prétendue forme de poiss
et du grand nombre de siècles qu’ils se plaisaient à citer, que, pour
donner
une explication de ce mystère historique, nous cr
nère six cents, et le sose soixante. Cette manière de compter semble
donner
à la durée des premiers règnes un nombre infini d
es observateurs, se sont réunis pour nous apprendre que les Chaldéens
donnaient
le nom d’années à leurs jours ; de sorte qu’en ré
rté par ces anciens auteurs est presque entièrement le même que celui
donné
par Moïse à la durée de la vie des anciens patria
stronomiques. M. Bailli, dans son Histoire de l’Astronomie ancienne,
donne
la preuve de ce calcul ; il remonte d’éclipse en
Sanchoniaton est si célèbre parmi les savans, que nous croyons devoir
donner
une partie de ce fragment ; elle suffira pour pro
un contre l’autre. Leurs enfans, qui furent d’une grandeur démesurée,
donnèrent
leurs noms aux montagnes ; de là les noms du mont
votons. Par le mouvement de l’air, les parties du feu s’élevèrent et
donnèrent
au soleil, à la lune et aux autres astres, leur m
me de la plus sage des nations, et l’un des éloges que l’esprit saint
donne
à Moïse et à Salomon, est qu’ils étaient instr
ée sur la divinité. Nous allons aussi rapporter la définition qu’en a
donnée
le célèbre Zoroastre ; c’est la plus belle qu’ait
igion a dissipé les ténèbres de l’idolâtrie, on a senti qu’il fallait
donner
un nouveau nom à ces recueils de fables, qui cons
ibles et invisibles. » Dans un second passage non moins éloquent, il
donne
un nom à cet être inconnu. « L’univers a été pro
se, l’idolâtrie était à son plus haut point ; il ne semble même avoir
donné
un si grand nombre de préceptes aux Juifs que pou
les noires, source de tous les maux répandus sur la terre. Les Perses
donnaient
au bon principe le nom d’Oromase, et celui d’Arim
ciel. C’était après la sortie d’Égypte et dans le désert que Moïse
donnait
ce précepte ; on voit donc que c’était pour faire
rs objets de l’idolâtrie et les fondemens de la théologie païenne. On
donna
le nom de Sabisme au culte qui a pour objet les a
ffit pas pour l’assurer. Les fables morales sont celles qui servent à
donner
quelques préceptes propres à régler les mœurs. Te
ne renferment quelques traits historiques. Lorsque Homère dit qu’Éole
donna
à Ulysse les vents renfermés dans une peau, et qu
point employer ses premières facultés et sa première attention à lui
donner
des idées justes sur la pente que les hommes ont
s nous aurons soin de faire tous les rapprochemens historiques, et de
donner
toutes les explications utiles pour lier cette se
n de la Grèce, honoraient leurs dieux sans les connaître et sans leur
donner
de noms. Ils les appelaient les dieux, et les reg
starté. Ces changemens furent très-ordinaires dans les apothéoses qui
donnèrent
tant de nouveaux dieux aux Grecs et aux Romains.
Saturne, Génius, le Soleil, Pluton, Bacchus, la Terre et la Lune. On
donnait
les noms Indigètes et Semones aux divinités qui n
sse et d’un mortel. Histoires particulières des dieux. Avant de
donner
l’histoire de Jupiter, nous croyons devoir parler
nt comptés parmi les dieux du ciel ; mais les notions que nous allons
donner
serviront à éclaircir l’histoire de Jupiter leur
nt Saturne et le Temps comme le même Dieu. Le nom Chronos, qu’ils lui
donnaient
, signifie Temps ; or, le temps étant regardé comm
ant avec un double visage ; c’est de là que le nom de Bifrons lui fut
donné
. L’histoire nous apprend que Janus fut représenté
e autels, parce qu’elle était composée de douze mois ; ce fut lui qui
donna
son nom au mois de janvier. Le nom de février vie
onsacré aux jeunes gens. Juillet tire son nom de Jules-César. Auguste
donna
le sien au mois d’août. Septembre, octobre, novem
qu’à Saturne qu’il faut attribuer les lois douces et sages qui firent
donner
à leur règne le nom d’âge d’or. Ce prince quitta
it la férocité de leurs mœurs, les rassembla dans des villes, et leur
donna
des lois. Il avait probablement apporté avec lui
Quoique Cybèle soit au nombre des divinités de la terre, nous allons
donner
son histoire, parce qu’elle était femme de Saturn
ement regardée comme la mère de la plupart des dieux ; ce qui lui fit
donner
le nom de Magna Mater, la Grande Mère. On lui don
; ce qui lui fit donner le nom de Magna Mater, la Grande Mère. On lui
donna
beaucoup de noms ; les plus connus sont Dindymène
emme forte ; et, pour mieux désigner la fertilité de la terre, on lui
donne
la grosseur d’une femme près d’accoucher. On plac
e telle fureur, qu’ils se frappaient à coups d’épée : ce qui leur fit
donner
(à ce que prétendent quelques auteurs), le nom de
ne. Ces prêtres étaient quelquefois nommés Curètes. Ce nom leur était
donné
à cause de l’île de Crète, où ils avaient élevé J
rs ; sa frénésie le conduisit dans les montagnes de Phrygie, où il se
donna
un coup de couteau. Il était prêt de perdre la vi
mystères de la Terre et de la mère des dieux. Ils assurent que Cybèle
donna
son nom à cette déesse, et que les corybantes, se
ent extrêmement par le culte qu’ils rendaient à la mère des dieux. On
donne
souvent à Cybèle le nom de Vesta prisca ou Vesta
était la déesse du feu, et qui présidait à la virginité. Nous allons
donner
son histoire. Des vestales ; de Vesta, déesse
riam son père. Il ajoute que le nom Vesta est le même que celui Esta,
donné
par les Grecs au feu. Le savant M. Hyde nous app
Hyde nous apprend que ce fut ce nom qui porta le fameux Zoroastre à
donner
le titre d’Avesta, ou garde du feu, à celui de se
premier oracle. Les Scythes avaient leur Jupiter ; chaque peuple lui
donnait
un nom particulier. Les Éthiopiens le nommaient A
l, Apis ; les Arabes, Chronos ; les Assyriens, Belus ou Zeus. Nous ne
donnerons
pas la liste complète de tous ces noms, ni l’hist
, Castor et Pollux, n’était pas éloigné de cette même époque. Nous ne
donnerons
pas l’histoire de tous ces Jupiter : il est proba
mêlée avec celle des autres dieux, il nous paraît indispensable de la
donner
avec ses principaux détails. Nous allons, en cons
nt le jour. C’est ici le cas de rappeler l’explication que nous avons
donnée
, dans l’histoire de Saturne, du mot phénicien Bal
ns. Ce fut alors que les Cyclopes, dont nous parlerons dans la suite,
donnèrent
à Jupiter la foudre, qui depuis a été son symbole
ent à Jupiter la foudre, qui depuis a été son symbole ordinaire ; ils
donnèrent
en même temps un casque à Pluton, et un trident à
où plusieurs villes furent consumées par les flammes, ce qui lui fit
donner
le nom de dieu des enfers. Nous reviendrons encor
r demeure ordinaire était aux champs Phlégréens. Dans l’assaut qu’ils
donnèrent
au ciel, ils lançaient des rochers énormes, des c
ha et s’arma de sa peau. Mercure, qui avait pris le casque de Pluton,
donna
la mort au géant Hippolyte ; Diane tua Gration, e
a d’efforts, et fit sortir de son sein le redoutable Typhon, qui seul
donna
plus de peine aux dieux que tous les autres Géans
qui pouvait élever leur race illustre, saisirent l’avantage que leur
donnaient
les noms d’Uranus et de Titée, pour publier qu’il
race, et conquit plusieurs îles, entre autres celle de Crète, dont il
donna
le gouvernement à l’un de ses frères, qui eut des
par les Romains, et que les Grecs appelaient Héra ou la maîtresse. On
donnait
aussi le nom de Jovis à Jupiter ; et l’on y joign
gouvernait les frontières d’Afrique ; il s’y rendit si célèbre, qu’il
donna
son nom à la chaîne de montagnes qui s’étend jusq
s l’histoire de ce dieu. Après la mort de Pluton, le gouvernement fut
donné
à Mercure, qui s’y rendit très-célèbre, et devint
araît au contraire que Jupiter demeura seul maître de l’empire, et ne
donna
que des gouvernemens à ses frères ; mais on obser
aton, par Eusèbe, par Lactance. On peut ajouter que l’Écriture Sainte
donne
une grande idée des Titans, puisque Judith, remer
ues dans l’histoire et la fable de Jupiter. Nous nous bornerons à
donner
l’explication des traits principaux ; ils serviro
oëtes dirent qu’ils, avaient été plongés dans les enfers. De même ils
donnèrent
le nom de Tartare au Tartese, fleuve de l’Espagne
ibua l’invention de forger le fer et les métaux. L’Écriture Sainte la
donna
à Tulbalcaïn ; il est possible cependant qu’ils e
de leurs armes, et frappaient en cadence sur leurs boucliers, ce qui
donna
aux Grecs la première idée de la mesure dans la m
e du ciel comme l’aigle l’est des plaines de l’air. Par la suite nous
donnerons
la description du temple de Jupiter Olympien, l’u
également propice à tous ceux qui l’implorent. Les Lacédémoniens lui
donnaient
quatre oreilles, pour qu’il pût entendre les priè
te source, où il le fit représenter avec des cornes de bélier, et lui
donna
le nom de Jupiter Ammon. Homère dépeint Jupiter a
it dans cette fiction que Jupiter le dépouilla de son royaume, et lui
donna
quelque emploi dans sa cour. L’on trouve aussi da
ant reconnu coupable, il en fit une prompte justice. Quelques auteurs
donnent
une autre explication de cette fable ; ils disent
naître les soins que les nymphes avaient pris de son enfance, il leur
donna
une des cornes de la chèvre Amalthée, en y joigna
e les réparer, et laissa subsister quelques canaux bien ménagés, pour
donner
aux eaux du fleuve la possibilité de porter la fe
i de Trophonius, et celui d’Ammon dans la Libye. Des noms que l’on
donnait
à Jupiter. La plupart des noms donnés à Jupit
ibye. Des noms que l’on donnait à Jupiter. La plupart des noms
donnés
à Jupiter tiraient leur origine des lieux où il é
ître ; nous ne parlerons que des principaux. Le plus ordinairement on
donnait
à ce dieu le titre optimus, maximus : le très-bon
eu le titre optimus, maximus : le très-bon, le très-grand. Homère lui
donne
le nom de Jupiter roi . Virgile l’appelle le tout
crées ; Dodonæus, Trophonius et Ammon, à cause de ses oracles. On lui
donnait
aussi le titre de tonnant et de foudroyant, parce
titre de tonnant et de foudroyant, parce que les Cyclopes lui avaient
donné
la foudre. Quelquefois les Grecs lui donnaient le
e les Cyclopes lui avaient donné la foudre. Quelquefois les Grecs lui
donnaient
le nom d’Egyptus, de Nilus, et alors on le confon
des hommes, se réunirent pour former une femme parfaite. Minerve lui
donna
la sagesse, Vénus la beauté, Apollon la connaissa
la voir ; et, sous le prétexte de lui faire aussi son présent, il lui
donna
une boîte, avec ordre de la porter à Prométhée. C
lion. La curiosité d’Épyméthée ne put se modérer à la vue de la boîte
donnée
par Jupiter ; elle fut indiscrètement ouverte. El
eux et aux héros. Quelques historiens ou commentateurs de l’antiquité
donnent
une autre interprétation au feu céleste volé par
de Junon. Jupiter le précipita du ciel à cause de sa difformité. Nous
donnerons
par la suite son histoire, ainsi que celle de Min
e, sans avoir passé par l’état de l’enfance. Elle ajoute qu’il se fit
donner
un coup de hache par Vulcain. Cette fable est all
ès que le berger Pâris lui eut préféré Vénus, lorsqu’il fut chargé de
donner
à la plus belle la pomme jetée par la Discorde. P
ain. Enfin Sémélé, fille de Cadmus, ayant cédé au conseil que lui fit
donner
Junon d’exiger de Jupiter qu’il se fît voir à ell
les offrit vainement à Pâris, pour qu’il la préférât à Vénus, et lui
donnât
la pomme. Elle présidait aussi aux parures des fe
os sous celui de Samia : quelquefois on la nommait la Terre, comme on
donnait
à Jupiter le nom de pluie ou d’air, parce que l’u
fut pour consacrer son souvenir et lui rendre un culte, que les Grecs
donnèrent
le nom d’hyménée aux fêtes du mariage. On rapport
uèrent depuis Hyménéus, et célébrèrent des fêtes en son honneur. Pour
donner
de l’éclat à sa naissance inconnue, on publia qu’
ge la connaissance de la famille des Titans. La même raison nous fera
donner
, à sa suite, quelques détails sur Atlas et ses fi
ire Aréthuse aux poursuites du fleuve Alphée. Nous avons précédemment
donné
l’explication de cette fable. Nous n’étendrons pa
tage d’Atlas. Ses sujets furent nommés Atlantes, et son nom fut aussi
donné
à la plus haute montagne du pays. Il excellait da
ux, et lui accorda les honneurs divins. Pour conserver son nom, on le
donna
à la plus brillante des planètes. Atlas eut sept
rendit les Atlantides à leur père Atlas, qui, par reconnaissance, lui
donna
les pommes d’or du jardin des Hespérides, que le
iques, qui représentaient des étoiles découvertes par Atlas, comme on
donne
aujourd’hui le nom d’Herschell à la planète nouve
l’exerçaient savait tirer de grands profits. Les astrologues, pour se
donner
plus d’importance, prétendaient que chacun des si
bre des signes du zodiaque, il faut remarquer Orion, dont nous allons
donner
la fable, Jupiter, Neptune et Mercure, faisant en
ère. Le dieu du jour, ne pouvant plus refuser, fut forcé de céder, et
donna
vainement des conseils au téméraire ; les chevaux
d’Osiris, que les Égyptiens confondaient avec le Soleil. Nous allons
donner
la fable d’Apollon, telle que les poëtes nous l’o
non, poursuivant partout sa rivale, obtint de la Terre qu’elle ne lui
donnerait
aucun asile ; Latone, dont le nom signifie caché
sa en grenouilles, pour les punir de leur brutale inhumanité. Nous ne
donnerons
point l’histoire suivie de Latone et d’Apollon ;
t été changés en pierres. Cependant quelques hommes plus dévoués leur
donnèrent
la sépulture, et, pour flatter le désespoir de Ni
’Admète lui servit d’asile : ce prince le reçut favorablement, et lui
donna
la souveraineté de la partie de ses états qui éta
Laomédon. Ces fables se trouvant jointes à l’histoire d’Hercule, nous
donnerons
leur explication, lorsqu’il sera question de ce d
e tous était Horus, fils d’Osiris et d’Isis. Cette reine d’Égypte lui
donna
Latone pour nourrice : et, pour le dérober aux pe
siris avec leur Jupiter ; il n’est donc nullement surprenant qu’ayant
donné
le nom d’Apollon à plusieurs de leurs princes, il
face tous les éloges que l’imagination la plus brillante voudrait lui
donner
. Parmi les princes grecs qui ont porté le nom d’A
leil pour lui reprocher son inconstance. Les poëtes voulurent de même
donner
une origine au cyprès, arbre lugubre et sans feui
; mais Apollon le noircit pour le punir d’un indiscret avis qu’il lui
donna
sur une infidélité de Coronis. Les transports de
able nombre. L’obscurité sur ce point est d’autant plus grande, qu’on
donnait
souvent le nom de Musagète, ou conducteur des mus
zodiaque. Il explique de même le nombre des cinquante femmes que l’on
donnait
à ce demi-dieu, en disant qu’elles étaient l’embl
ie préside à la comédie. Son nom veut dire la florissante, et lui est
donné
à cause de sa voix. On la représente appuyée sur
le symbole de la lune. Pour ne point répéter ces détails, nous allons
donner
l’histoire ou plutôt la fable de Diane adoptée pa
erpine. Ce fut pour désigner ces trois qualités différentes qu’on lui
donna
le nom de déesse à trois formes. Les bergers de T
Diane, nommée Bubastès : elle était fille d’Osiris et d’Isis ; on lui
donnait
, comme à sa mère, le nom de Diane. Elle partageai
nt également l’une et l’autre sous ce nom. La plupart des autres noms
donnés
à la déesse venaient des lieux où elle était part
té ; celui d’Éphèse, l’une des sept merveilles du monde, et dont nous
donnerons
la description à l’article des temples, fut brûlé
it un flambeau renversé, comme si elle voulait l’éteindre. Les poëtes
donnaient
à la Nuit un grand nombre d’enfans, mais tous éta
res, leur histoire interromprait trop celle des grandes divinités. On
donnait
à Diane le nom d’Hécate, originaire d’un mot grec
a rapidité avec laquelle ses rayons arrivent du ciel sur la terre. On
donnait
à ces rayons le nom de flèches, comme on le donna
sur la terre. On donnait à ces rayons le nom de flèches, comme on le
donnait
à ceux du soleil. L’influence des uns et des autr
e, ou la Terre elle-même, rendait ses oracles par cette ouverture, et
donnait
à ceux qui s’en approchaient le pouvoir de lire d
u’il nous paraît utile de les rapporter, sans prétendre toutefois les
donner
comme des certitudes. Moïse et Bacchus sont nés
ont dit la même chose du second. Le nom de Moïse , et celui de Mysos
donné
à Bacchus par Orphée désignent également qu’ils o
d’aller dans la Palestine exterminer une nation idolâtre. Le dieu Pan
donne
un chien à Bacchus, pour le suivre dans ses voyag
uver que Bacchus est le même que Nemrod, fils de Chus, ce qui lui fit
donner
d’abord le nom de Barchus, fils de Chus, et, par
re les rapprochemens historiques entre Bacchus et Moïse ; nous allons
donner
la fable de sa naissance, telle qu’on la trouve d
il y restât jusqu’au moment de sa naissance. Cette fable ridicule fit
donner
par la suite à Bacchus le surnom de Bimater, qui
ne homme frais et vermeil. On voulait par-là désigner la vivacité que
donne
le vin, vivacité qu’il fait éprouver même aux vie
étérica, parce qu’on les célébrait de trois ans en trois ans. On leur
donnait
aussi le nom orgies, qui veut dire fureur. Dans u
. Il s’arma d’une faux et se mit à les couper. Un coup maladroitement
donné
retomba sur ses jambes ; et le peuple, témoin de
dne, cette couronne fut mise au rang des constellations, ou plutôt on
donna
son nom à une réunion de huit étoiles, dont trois
montrer qu’il préférait la paix à la guerre. Parmi les différens noms
donnés
à Bacchus, il faut remarquer celui de Nyctelius ;
cinq était fille du géant Pallas ; et c’est à cette dernière que l’on
donnait
également le nom de Minerve ou de Pallas. Les fab
s déesses ayant presque toujours été confondues ensemble, nous allons
donner
celle que la mythologie a principalement conservé
a rendre digne de la déesse qu’elle représentait. Les Athéniens, pour
donner
encore plus de solennité au culte de Minerve, cél
es allaient chanter les vers d’ Homère. La fable dit que l’honneur de
donner
un nom à la ville d’Athènes, qui d’abord portait
que la divinité qui produirait la chose la plus utile à la ville lui
donnerait
son nom. Aussitôt Neptune, d’un coup de trident,
la paix. Les douze grands dieux jugèrent en faveur de Minerve ; elle
donna
son nom d’Athénée à la ville. L’histoire a conser
ur prévoir l’avenir. Le surnom de Pallas n’était pas le seul que l’on
donnait
à Minerve. On l’appelait Parthenia, parce qu’elle
ent des présens à ceux qui les instruisaient. On les obligeait de les
donner
eux-mêmes, pour les habituer en même temps à la r
ntinuellement les guider dans leurs travaux et dans les leçons qu’ils
donnaient
à la jeunesse. Dans ces temps, on ne faisait aucu
es, parce qu’elles présidaient aux bienfaits : il ne suffisait pas de
donner
. Il existait chez les Grecs et chez les Romains d
e silence et le calme des nuits. (Fig. 23.) Bellone. Les Grecs
donnaient
à Bellone le nom d’Enyo, et cependant la confonda
me auprès de la porte Carmentale. C’était dans ce temple que le sénat
donnait
audience aux ambassadeurs, auxquels il n’était pa
instituteur, remarquant les heureuses dispositions de son élève, lui
donna
l’habitude des exercices du corps et du maniement
issance et pour rendre hommage aux soins habiles de Priape, qu’on lui
donnait
la dîme des dépouilles consacrées au dieu Mars. I
en firent un dieu. Le savant Hygin nous apprend que le nom Belus fut
donné
à ce roi de Babylone, parce qu’il fut le premier
ne épée ; et les Perses, en faisant l’apothéose du fameux Nemrod, lui
donnèrent
le nom d’Orion, et le regardèrent comme le dieu d
été choisis dans les familles les plus illustres d’Athènes. Les noms
donnés
au dieu Mars avaient différentes significations.
ctance, sont les auteurs sur lesquels l’illustre Newton se fonde pour
donner
cette origine à Vénus. Les fables et les récits d
ses écarts. On représenta Vénus comme la déesse des plaisirs ; On lui
donna
pour fils Cupidon ou l’Amour, et tous les chefs-d
d’Ériphile, femme d’Amphiaraüs, à qui Polynice, fils d’Œdipe, l’avait
donné
pour l’engager à trahir son époux. L’histoire exp
u peintre, croit l’entendre confirmer le jugement de Pâris, lorsqu’il
donna
à Vénus la pomme jetée par la Discorde, avec cett
e Leucate resta fameux, et la malheureuse Sappho, à laquelle la Grèce
donnait
le nom de dixième Muse, vint encore ajouter à sa
équivoque du mot grec peristera qui signifie une colombe. Les surnoms
donnés
à Vénus variaient autant que ses fables et les li
à cause du myrte ; les Syriens, Astarté ; les Perses, Anaïtis. On lui
donnait
aussi les noms de Mère, de Victorieuse et d’Amie,
c’était d’elles que les autres empruntaient tous leurs charmes. Elles
donnaient
aux lieux, aux personnes, aux ouvrages, à tout, c
nt l’empire des Grâces. Leur pouvoir, supérieur à celui de la beauté,
donnait
plus de charmes à la riante jeunesse, et se faisa
en comptent trois, qu’ils nomment Églé, Thalie et Euphrosine. Homère
donne
le nom de Pasithée à l’une des Grâces : la Grèce
iques. Elles se nommaient Charites, Joie, pour désigner que celui qui
donne
et celui qui reçoit doivent l’un et l’autre éprou
onsentant à son mariage avec Vénus, la plus belle des déesses. On lui
donnait
le surnom de Mulciber, comme ayant l’art d’adouci
lle, et le plus grand prix qu’il eut à ses yeux, fut le pouvoir de le
donner
à Céphale. Jupiter finit par le métamorphoser en
ers dont on se servait alors, il réforma la langue égyptienne, et lui
donna
des règles exactes. Il trouva des noms pour des c
de l’histoire de Mercure. Mercure imagina la lyre, à laquelle il
donna
trois cordes ou trois sons, le grave, l’aigu et l
des dieux. Ses succès dans plusieurs traités de paix lui firent aussi
donner
le nom de dieu de la paix. Il contribua beaucoup
r Battus. Mercure, pour le séduire et lui faire garder le secret, lui
donna
une belle vache ; mais, n’osant encore se fier à
priété de cette pierre, qui sert à découvrir la nature des métaux. On
donnait
à Mercure le nom de dieu à trois têtes, à cause d
il était l’auteur ; Camillus, qui sert les dieux, nom qui depuis fut
donné
à ceux qui servaient dans les sacrifices des dieu
nt les profits du commerce. Il inventa la lyre, à laquelle les Latins
donnèrent
le nom de testudo, tortue, parce que la lyre fut
s animés qui leur servaient de symbole. C’est ainsi que les Égyptiens
donnèrent
les noms d’Osiris et d’Isis au soleil et à la lun
l, ou l’eau en général, était le principe fécond de toutes choses, et
donnait
seul le mouvement et la vie à tout ce qui respire
ue les divinités des eaux étaient innombrables. Nous nous bornerons à
donner
les fables les plus essentielles parmi celles qui
vre des destins qu’elle aurait un fils plus grand que son père, il la
donna
pour épouse à Pélée, qui fut père d’Achille. Deux
étaient les suites de la vengeance de Neptune et d’Apollon. Les Grecs
donnaient
à Neptune le surnom de Posédon, ou Brise-vaisseau
dauphin. (Fig. 31.) Nous ne ferons point mention de tous les surnoms
donnés
à Neptune, et de tous ses temples : leur nombre é
trois plus célèbres. La dernière mourut dans une ville à laquelle on
donna
son nom. Le tyran Phalaris l’ayant rebâtie par la
on nom. Le tyran Phalaris l’ayant rebâtie par la suite des temps, lui
donna
le nom de Neapolis, Naples, ou Ville neuve. Les S
is, la mer reste calme et semble respecter ces oiseaux. Les mariniers
donnent
à ce temps le nom de jours alcyons. Cette singula
il voulut l’engager à différer son départ. La manière assurée dont il
donnait
ce conseil fit croire aux compagnons de ce prince
e sans leur offrir des sacrifices. Les descendans d’Éole, après avoir
donné
plusieurs rois à la Grèce, envoyèrent des colonie
eux. Ses enfans furent aussi turbulens que lui. Les quatre principaux
donnèrent
leurs noms aux vents. Le premier est Borée, ou ve
des Argonautes. La fable rapporte que Borée, métamorphosé en cheval,
donna
naissance à douze poulains d’une telle vitesse, q
ulture des champs, des jardins, ou par quelques inventions utiles, on
donna
leurs noms à ces divinités inconnues, et bientôt
te divinité comme l’esprit de chaleur qui produit les plantes et leur
donne
la vie. Le peuple l’honorait comme un véritable d
compagnons l’Éternité et le Chaos. (Fig. 32.) Nous croyons devoir
donner
une partie de la description que les poëtes nous
lairer le monde, et former avec cette matière de feu le Soleil, qu’il
donna
pour époux à la terre. « Ils produisirent le Tart
la terre. On le nommait arbitrairement Ops, Tellus, et souvent on lui
donnait
les noms des déesses Vesta, Cérès, Proserpine, Rh
fête de la bonne déesse était si célèbre, que nous croyons devoir en
donner
une idée. Le premier jour de mai, les vestales se
hommes d’une petite taille, et ressemblant beaucoup à des chèvres. On
donnait
le nom Silènes à ceux qui étaient avancés en âge.
nt l’ensemble du monde sous le nom de Pan, qui signifie tout. Ils lui
donnèrent
une figure humaine jusqu’à la ceinture, pour repr
nourricier de Bacchus, était le plus célèbre des Satyres. Nous allons
donner
l’histoire et la fable de ce personnage, extrêmem
nt il était le compagnon inséparable. Telle est l’idée que les poëtes
donnent
ordinairement de Silène ; mais les plus graves au
e d’un homme ivre. Les plus graves auteurs disent que l’âne qu’on lui
donnait
pour monture, servait à représenter les pas lents
ingua tellement, qu’il passa pour le fils de Minerve. Les soins qu’il
donna
à la culture des terres le firent placer parmi le
e petites figures dans le lieu le plus secret de la maison, auquel on
donnait
alors le nom de Lararium. On leur consacrait des
pénates de la maison de son beau-père Laban : l’Écriture Sainte leur
donne
le nom de Téraphim. Les génies avaient aussi leur
âmes. L’Océan continue Diodore, est le Nil même, auquel les Égyptiens
donnaient
ce nom. La ville du Soleil est Héliopolis ; les p
mettait en dépôt les corps embaumés ; pour cautionner un emprunt, on
donnait
son propre corps pour gage, et ceux qui manquaien
s les nommaient Erynnides, ce qui signifie troubles d’esprit. On leur
donna
le nom d’Euménides, Douces, lorsque Minerve les e
gos, inquiet et cruel, ayant su par l’oracle qu’un de ses gendres lui
donnerait
la mort, chercha à se venger des mauvais traiteme
niens qu’ils remporteraient la victoire si un des enfans d’Hercule se
donnait
volontairement la mort, Macarie, une de ses fille
ient élevé des autels à la Miséricorde. Les Romains les imitèrent, et
donnèrent
à ces temples le nom d’Asiles. La Vertu, qui peut
sacrifiait jamais à l’Honneur, sans avoir la tête découverte, et sans
donner
les marques du plus grand respect. La Vérité pass
bondance qu’elle procure, et de l’autre le caducée. (Fig. 54.) On lui
donnait
pour compagnes Vénus et les Grâces. La Fidélité p
ible de désigner le moment où ce culte commença. Dans les combats, on
donnait
au dieu de la guerre la Peur et la Fuite pour cor
incertaine, ils racontaient différemment son histoire. Les poëtes lui
donnaient
pour père Apollon, et pour mère Coronis, fille de
her Esculape à Épidaure. On députa des ambassadeurs. Les prêtres leur
donnèrent
une couleuvre privée, qu’ils assurèrent être Escu
mêmes talens, qui firent créer les dessins modernes dont nous allons
donner
le titre et l’adresse : Birth and Triumph of Cup
La Fable est l’histoire fabuleuse des divinités du paganisme. On lui
donne
le nom de Mythologie. Ce sont des récits inventés
és en bêtes. Dans un temps plus éclairé, la poésie contribua encore à
donner
cours à la fable. Les hommes aiment naturellement
a fable le change en loup. Ceix et Alcyone, métamorphosés en alcyons,
donnent
une idée de l’amour conjugal. Quand une princesse
s, Chanaan et Mesraïm, s’établirent chacun dans un royaume auquel ils
donnèrent
leur nom. L’Ecriture nous apprend qu’en Egypte ré
nait la divination, l’interprétation des songes et la magie. Moïse ne
donna
un si grand nombre de préceptes aux Juifs, que po
g-temps la discorde ennemie, Jusqu’au jour pompeux et florissant, Qui
donna
l’être à l’univers naissant, Quand l’harmonie, ar
traité, elle ne montra que Junon. Ayant caché Jupiter avec soin, elle
donna
, à sa place, au bon Saturne, une pierre emmaillot
onnaissance, le Dieu doua son bienfaiteur d’une rare prudence, et lui
donna
la connaissance du passé et de l’avenir ; c’est p
Les anciens le représentaient avec un bâton, comme un voyageur, pour
donner
à entendre qu’il présidait aux chemins. Il portai
ôt ou tard ce qu’il a créé. Pour marquer la rapidité de sa course, on
donne
à Saturne des ailes, une faulx et un sablier. En
un disque ou un tambour, symbole des vents qu’elle renferme : on lui
donnait
une couronne en forme de tour ; elle était entour
ture. Ce fut à Triptolème, fils de Celeus, roi d’Eleusine, qu’elle en
donna
les premières leçons pendant le séjour qu’elle fi
a vieille, touchée de compassion de l’état où était cette déesse, lui
donna
, entre autres rafraîchissemens, un peu de bouilli
Métra, sa fille, désirant venir à son secours, pria les dieux de lui
donner
la vertu de se transformer à son gré. Elle l’obti
nt Cérès dans un tableau de l’été, d’après tous les attributs que lui
donnaient
les anciens. Elle est élevée sur un brancard que
uait dans les fêtes Eleusines. Fêtes de Cérès. Le nom Eleusines,
donné
aux fêtes de Cérès, vient de la ville d’Eleus, où
s de deux mots grecs qui signifient loi et je porte ; parce que Cérès
donna
des lois aux Athéniens ; les secondes sont les Am
ord en une pierre carrée, ou un tronc d’arbre ; dans la suite, on lui
donna
une forme humaine, c’est-à-dire, une tête d’homme
ait à l’étude de l’astronomie. On fait entendre par cette fable qu’il
donnait
, pour ainsi dire, une âme à ses statues, et qu’il
t pourquoi, de concert entre eux, ils formèrent une femme. Pallas lui
donna
la sagesse ; Vénus, la beauté ; Apollon, la conna
lut à Jupiter. Pour tromper leur espérance et en empêcher l’effet, il
donna
à Pandore une boîte, avec ordre de la porter à Pr
êté les premiers Romains fuyant devant les Sabins. Le titre qu’on lui
donnait
plus ordinairement était celui d’Olympien, parce
onora les vainqueurs aux jeux Olympiques était d’olivier ; on leur en
donna
dans la suite de chiendent, de saule, de laurier,
, de myrte, de chêne, de palme et d’ache. Faonius étant édile à Rome,
donna
au peuple des jeux dans lesquels il renouvela l’a
emarque que Faonius fut plus agréable au peuple que son collègue, qui
donnait
des jeux de la dernière magnificence. Hérodote ra
ient nus. On leur frottait d’huile les membres et le corps, pour leur
donner
plus de souplesse, et laisser en même temps moins
ce que coûta à la nation troyenne, la préférence que le berger Pâris
donna
à Vénus, au préjudice de cette déesse. Sa vengean
s étaient fermés par le sommeil, les autres veillaient. La déesse lui
donna
en garde la nymphe Io, fille d’Inachus et d’Ismèn
tait toujours de bonnes nouvelles, la transporta aux cieux ; elle lui
donna
des ailes, et la revêtit d’une robe violette, don
la pour le service des dieux. Lorsqu’il fut assez habile, Jupiter lui
donna
la commission de forger les foudres. Son laborato
rablement, lui reprocha sa désobéissance et sa perfidie ; après avoir
donné
un libre cours à sa colère, il commanda à Péon, m
page ; areos et pagos, deux mots grecs qui font entendre que Mars lui
donna
son nom Arès, et que ce palais était bâti sur un
t artifice les suffrages des juges. Noms de Mars. Les Grecs ont
donné
au dieu Mars le nom d’Arès, qui signifie dommage,
a que Romulus, qui prétendait en descendre, s’appelait Quirinus. On a
donné
le nom de Mars à la plupart des princes belliqueu
eut, dit-on, un différend avec Neptune, au sujet du nom qu’il fallait
donner
à la ville d’Athènes. Les douze grands dieux, dev
celui des deux qui produirait la chose la plus utile à la ville, lui
donnerait
son nom. Neptune frappa la terre de son trident,
sser ; Minerve, en colère de la voir réussir, déchira sa toile et lui
donna
des coups de sa navette sur les doigts. Cette fil
re après le déluge, Junon fit plus, elle pria la terre de de ne point
donner
retraite à Latone ; la terre s’y engagea : l’info
’un marais, elle pria des paysans qui travaillaient à la terre de lui
donner
un peu d’eau pour apaiser sa soif ; mais ces pays
re de la célèbre Circé. Cyparisse Dans le même temps, Apollon
donna
à Cyparisse la place qu’Hyacinthe occupait autref
exposée. Hercule s’offrit de la sauver, à condition que Laomédon lui
donnerait
les deux plus beaux chevaux de son écurie : le ro
ses droits, répandit la lumière dans le monde. Plusieurs mythologues
donnent
cependant cette charge à Hypérion, et distinguent
qui les reçut très-bien ; il tua le seul bœuf qu’il avait, et le leur
donna
à manger. Jupiter, charmé du bon cœur de cet homm
pollon se fit connaître. Clytie, jalouse de la préférence que le dieu
donnait
à sa rivale, et voulant s’en venger, instruisit O
périssent lorsqu’il les abandonne, parce que la chaleur de cet astre
donne
seul la vie aux productions de la nature. Esc
nfans. Les plus remarquables sont Esculape, l’Aurore que d’autres lui
donnent
pour sœur, Phaéton, Aétès, Pasiphaé, Circé. Escu
is, fut mis de bonne heure entre les mains du centaure Chiron qui lui
donna
la connaissance des simples. Esculape fit de si g
ecours de Priam, fut tué par Achille, au siége de Troyes, après avoir
donné
des marques éclatantes de son courage. Sa perte f
ui signifie enseigner des choses élevées. Le nom de Piérides leur fut
donné
, à cause de la victoire qu’elles remportèrent sur
anie élève dans les cieux De ses pensers divers le vol audacieux. On
donne
des ailes aux Muses, sans doute parce que les Sir
ut misérable pour n’avoir pas suivi les bons conseils qu’on lui avait
donnés
. Apollon habite avec les neuf Sœurs les sommets d
pour le punir de sa témérité. Les Nymphes, les Satyres et les Faunes
donnèrent
tant de larmes à sa mort, qu’elles produisirent u
le temps où il plaisait aux dieux d’en rendre. La Pythie à Delphes ne
donnait
de réponse à ceux qui venaient la consulter, qu’a
, que la Sybille brûla ; ce qui surprit tellement ce prince qu’il lui
donna
les trois cents écus pour avoir les trois dernier
s’il y en avait eu en Perse, en Phrygie, etc. Peut-être aussi a-t-on
donné
le nom de Sybille à quelques personnes qui, à l’i
lant astre des nuits, vous réparez l’absence Du dieu qui nous
donne
le jour ; Votre char lorsqu’il fait son t
ui-même ses lois. Fontenelle. Voici, au rapport de la fable, ce qui
donna
occasion à Diane de se vouer à une éternelle virg
monde. Témoin des douleurs de l’enfantement, elle pria Jupiter de lui
donner
le don de chasteté. Diane, sur la terre, prenait
erchait sur mer Bacchus qu’il avait perdu. Noms de Bacchus On
donnait
à Bacchus différens noms. Il est appelé Dionysius
s Bacchantes, le mot grec Bacchein, signifie hurler. Symbole qu’on
donnait
à Bacchus. Suivant les poètes, Bacchus a trouv
respect pour la pudeur, et sans égards pour les bienséances. On leur
donnait
des noms convenables à leur caractère et à leurs
ortunée Ariane, que Thésée avait abandonnée. Le dieu l’épousa, et lui
donna
une couronne d’or enrichie de pierreries : c’étai
nchaînait et captivait les auditeurs ; Nomius, à cause des lois qu’il
donna
; Promachus, défenseur : Mercure avait sous ce no
Quand la statue de Mercure était adossée à celle de l’Amour, on leur
donnait
le nom commun d’Hermérotes, et la même statue joi
e d’Hercule se nommait Herméracles. Emplois de Mercure. Jupiter
donna
à Mercure l’emploi de messager et d’ambassadeur d
ieu des voleurs. Selon quelques-uns, par ces vols faits aux dieux, on
donne
à entendre que Mercure était habile navigateur, a
e ce vol que le vieux berger Battus. Pour payer sa discrétion, il lui
donna
la plus belle vache du troupeau volé. Un moment a
a était une. Quoi qu’il en soit, il en fit présent à Apollon, qui lui
donna
en échange une baguette de coudrier, laquelle ava
ersé. Elle lui promit de s’employer en sa faveur, moyennant qu’il lui
donnerait
une somme d’argent assez considérable. Minerve, i
deste embarras lui gagnèrent tous les cœurs : le maître des dieux lui
donna
la couronne de la beauté. Mars, Apollon, Bacchus
nser des services qu’il lui avait rendus dans la guerre des Géans. On
donne
à Vénus les noms des lieux où elle était particul
pays ont été mises ensuite sur le compte d’une seule à laquelle on a
donné
différens noms, comme Vénus marine, Vénus céleste
son nom. Le temps de ses couches étant arrivé, l’arbre s’ouvrit pour
donner
le jour à l’enfant, et les nymphes du voisinage l
ursuivant les bêtes sauvages. Mars, jaloux de la préférence que Vénus
donnait
à ce jeune prince, employa le secours de Diane po
ement quand il sommeille ! « Comme il sourit ! Que le repos «
Donne
de grâce à l’innocence ! …………………………………… ………………………
persécuta jusqu’à la faire mourir. Jupiter lui rendit la vie, et lui
donna
l’immortalité en faveur de l’Amour. Neptune
alens de ses architectes, les combla d’éloges, mais il refusa de leur
donner
le prix dont ils étaient convenus. Pour le punir
dauphin une place parmi les astres, assez près du Capricorne. Neptune
donna
à tous les dauphins en général, la vitesse sur to
e, les anciens entendaient l’élément de l’eau : Amphitrite qu’ils lui
donnaient
pour femme, est l’eau même. L’entreprise du dauph
que l’on met sur le compte de Neptune vient de ce que les poètes ont
donné
ce nom aux princes inconnus, ou qui venaient par
ou qui venaient par mer s’établir dans quelque nouvelle contrée ; ils
donnaient
encore ce nom à ceux qui régnaient dans les îles,
. » Triton Le premier Triton, qui, selon toute apparence, a
donné
son nom aux autres, fut le fils aîné et le favori
nom aux autres, fut le fils aîné et le favori de Neptune. Les uns lui
donnent
pour mère Amphitrite ; d’autres, la nymphe Céléno
ter voulait l’épouser ; mais, ayant appris du destin que cette nymphe
donnerait
le jour à un fils qui serait plus grand et plus i
lliope. On les nommait Leucosie, Lydie et Parthénopée. Cette dernière
donna
son nom à une ville célèbre d’Italie, où l’on pré
seaux d’Ulysse, que cette magicienne aimait. Homère, dans l’Odyssée,
donne
à Scylla six têtes et douze pieds ; chaque tête a
enfermés dans une île de Sicile où il faisait sa demeure, qu’il leur
donnait
la liberté comme il le jugeait à propos. Eole viv
mes que celles où les poètes disent que Vulcain tenait ses forges. On
donne
à Eole six garçons et six filles ; ce sont sans d
gueuses, étaient fils du titan Astrée et de l’Aurore. Les poètes leur
donnent
Eole pour roi. Les philosophes se sont figurés qu
: l’Achéron, appelé aussi l’Érèbe, que Jupiter y précipita pour avoir
donné
à boire aux Titans ; le Styx, qui en faisait neuf
t d’Europe, ou plutôt d’Astérius, roi de Crète, auquel il succéda. Il
donna
des lois aux Crétois, et on le regarde comme un d
ter et d’Égine, fille d’Asope. Il régna dans l’île de Delos, à qui il
donna
le nom de sa mère. Il épousa deux femmes : la sec
om de sa mère. Il épousa deux femmes : la seconde, nommée Endéis, lui
donna
Télamon et Pélée. On le représente, ainsi que Rha
sans cesse d’un mouvement rapide, lui disloquait les membres sans lui
donner
jamais de repos. Les Danaïdes Danaüs et E
a Nuit comme une déesse. Ils la disaient fille aînée du Chaos. On lui
donne
pour enfans l’Ether et le Jour, dont le père étai
nd voile noir, allant sur un char précédé par les astres. Les uns lui
donnent
des ailes, d’autres la représentent sans char, te
Picus avait épousé la nymphe Canente, à qui la beauté de sa voix fit
donner
ce nom. Canente aimait si tendrement son mari, qu
s, de sorte qu’il ne resta plus d’elle que la voix. Le nom de Canente
donné
au lieu où cette princesse expira, est l’unique f
es Romains confondaient Fauna avec Cybèle, ou la bonne déesse, et lui
donnaient
les mêmes attributs. Les dames romaines célébraie
élébraient les mystères. Le talent que Fauna avait de prédire lui fit
donner
le nom de Fatua ou Fatidica. Les Satyres. — P
yre en étant devenu amoureux, l’enleva pour en faire sa femme. Il lui
donna
l’empire des fleurs, et la fit jouir d’un printem
umes au peuple de Rome. Féronie Déesse à laquelle les anciens
donnaient
l’intendance des bois et des vergers. Elle prenai
; ceux des villes, urbani ; ceux des carrefours, compitales. On leur
donnait
en général le nom de præstare opem, secourir. Sel
a main, ou par deux mains passées l’une dans l’autre, comme on se les
donne
en signe de bienveillance. Ses prêtres, pour fair
é les honneurs, les richesses et les autres biens de la vie. Elle les
donne
en effet, ou les ôte selon son caprice, sans aucu
nant dans une main la corne d’abondance. Chaque poète s’est plu à lui
donner
une forme nouvelle : l’un la peint debout avec de
t la Nécessité comme la mère de la Fortune. Le pas que les poètes lui
donnent
sur cette déesse marque que, toute grande qu’est
une éminence près de Rhamnus, ville de l’Attique ; ce qui lui a fait
donner
le nom de Rhamnusie. Les Athéniens instituèrent e
r la pratique de la vertu ; et, pour suivre le conseil des augures ou
donner
une leçon d’humilité à ceux qui y entreraient, il
ses fils se nomma Héros, et ce nom, qu’il illustra par sa valeur, fut
donné
sans doute dans la suite à tous ceux qui se rendi
tes feignent qu’avant qu’il partît pour cette expédition, Minerve lui
donna
son miroir, Mercure ses ailes, Pluton son casque,
secours de Minerve, qui lui amena le cheval Pégase. Quelques auteurs
donnent
le nom de Chimère à une montagne de la Lycie, où
our de Prétus, qui, admirant sa valeur, lui rendit son amitié, et lui
donna
sa fille en mariage. Hercule. Il y a plusie
naissance d’Hercule, Junon se déclara son implacable ennemie, et lui
donna
un rival dans Eurysthée, fils de Sthénélus, roi d
rière de Minerve, Junon s’adoucit en faveur d’Hercule, et qu’elle lui
donna
de son lait ; on ajoute qu’Hercule en ayant laiss
t la Grèce. 7e. II défit les Amazones auprès du fleuve Thermodoone et
donna
Hippolyte, leur reine, à Thésée, son compagnon d’
roi d’Espagne, autre tyran, tomba aussi sous ses coups. La fable lui
donne
trois corps, soit parce qu’il commandait à trois
ne ; il étouffa dans ses bras Antée, fils de la Terre, à qui la fable
donne
soixante-quatre coudées de hauteur. Il entreprit
rne. Le centaure en tira une affreuse vengeance : avant d’expirer, il
donna
à Déjanire sa robe teinte de sang ; il la conjura
ir. Ariane, fille de Minos, touchée de pitié pour le jeune héros, lui
donna
un peloton de fil qui lui aida à retrouver son ch
se jurèrent une amitié éternelle. Ils eurent bientôt occasion de s’en
donner
des preuves. Pirithoüs épousa Hippodamie ; il inv
culape lui ayant rendit la vie, Diane le transporta en Italie, et lui
donna
le nom de Virbius, c’est-à-dire, homme pour la de
t découvert, elle se sauva dans une contrée de l’Asie à laquelle on a
donné
son nom. Les chronologistes fixent l’expédition d
rmonie de sa lyre et de sa voix, il suspendit le cours des fleuves et
donnait
du mouvement aux rochers. Mais jamais son talent
yant appris de l’oracle que l’enfant dont sa femme était enceinte lui
donnerait
la mort, ordonna à la reine de le faire périr sit
Polybe, roi de Corinthe, le trouva dans cet état ; il l’emporta et le
donna
secrètement à la reine, qui n’ayant point d’enfan
e Laïus, s’était emparé du royaume, fit publier par des hérauts qu’il
donnerait
le trône de Thèbes, et la veuve de Laïus en maria
ur le trône ; mais l’année étant finie, il refusa d’en descendre pour
donner
la place à son frère, selon leur convention. Tell
s qui s’y trouvèrent. Le dévouement de Ménécée, fils de Créon, qui se
donna
la mort, rendit les dieux favorables aux Thébains
rangère contre sa patrie ; Créon, pour l’en punir, défendit qu’on lui
donna
la sépulture. Antigone, sœur de Polynice, bravant
imait si tendrement sa fille, que pour éloigner les prétendans, il ne
donnait
Hippodamie qu’à condition de le vaincre à la cour
t. Pélops ayant épousé Hippodamie, s’empara de ses états, auxquels il
donna
son nom : c’est le Péloponèse, qu’on appelle aujo
richthonius, fils de Dardanus, eut pour successeur et fils, Tros, qui
donna
son nom à la ville de Troyes, et celui de Troade
ssaracus père de Capys et aïeule d’Anchise, et enfin Ilus, ce dernier
donna
le nom d’Illion à une citadelle qu’il bâtit à Tro
la haine de Junon et de Minerve. A peu près dans le même temps Priam
donna
un superbe tournoi à la noblesse troyenne. Pâris
auquel Laomédon, son père, l’avait exposée par ordre de l’oracle, la
donna
en mariage à son ami Télamon, roi de Salamine. Pr
eur que pour empêcher les Troyens de l’introduire dans leur ville. On
donna
dans le piége ; on abattit un grand pan de murail
s du cheval, en fit descendre les soldats qui y étaient renfermés, et
donna
le signal aux Grecs. Ceux-ci, faisant voile à pet
ient été les Troyens à son égard, puisque Clytemnestre, sa femme, lui
donna
la mort. Un jour, au milieu d’un festin, cette pr
tous trois avec la statue, qu’ils cachèrent dans un faisceau. Oreste
donna
sa sœur en mariage à Pylade ; lui-même épousa Her
lanche, et il arriva à l’île de Corcyre. Alcinoüs, roi de ce pays lui
donna
des vaisseaux qui enfin le conduisirent heureusem
sorti à l’occasion de quelque tumulte, une flèche tirée au hasard lui
donna
la mort. Énée Enée était du sang royal de
a mort. Énée Enée était du sang royal de Troyes. La fable lui
donne
Vénus pour mère. Après la ruine de sa patrie, ce
qu’un vain luxe environne, Que la Fortune vend ce qu’on croit qu’elle
donne
. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour, Rie
ous l’avouons, sont peu délicieux : Mais quand nous serions rois, que
donner
à des dieux ? C’est le cœur qui fait tout : que l
, fils de Deucalion qui régna en Phthiotide, pays de la Thessalie, et
donna
son nom à toute la Grèce. Il est remarquable que
; elle nous écarterait même de notre but. Nous nous bornerons donc à
donner
des notions suffisantes pour prouver que les demi
it creuser un lit au fleuve Amphiloque, très-sujet à déborder, et lui
donna
son nom ; ce qui fit publier, selon la coutume de
onée, et qui se nommait Égialée, fonda le royaume de Sicyone. Nous ne
donnerons
pas la liste des rois de ces divers royaumes ; on
t d’Égypte s’établir dans l’Attique. Il épousa la fille d’Actéus, qui
donna
son nom au pays, et il fonda douze bourgs dont il
estés par toute l’antiquité. Ce fut lui, dit Eusèbe , qui le premier
donna
le nom de dieu à Jupiter, et lui éleva un autel.
éleva un autel. La grande ressemblance entre les lois que ce prince
donna
aux Athéniens, et celles du peuple hébreu, porte
apprises des Israélites pendant leur séjour dans l’Égypte. Les poëtes
donnaient
à Cécrops le nom Diphnès, c’est-à-dire composé de
de Laconie fut fondé, pendant le règne de Cécrops, par Lélex, qui lui
donna
le nom de Lélégie. La première dynastie des rois
rois de ce pays était composée de douze. Le premier fut Eurotas, qui
donna
son nom au fleuve principal qui coule dans le pay
principal qui coule dans le pays. Lacédémon son frère lui succéda, et
donna
son nom à la ville capitale et au royaume. Le tro
raît avoir eu les mêmes causes que le déluge d’Ogygès. Les poëtes lui
donnèrent
cependant beaucoup plus de célébrité mais il faut
roi de Pise. Il monta sur le trône de son beau-père après sa mort, et
donna
son nom à la péninsule qui, depuis lui, fut appel
l’annoncer, et nous nous bornons au précis que l’illustre Bossuet en
donne
dans son Discours sur l’Histoire universelle. «
te étymologie est la plus généralement adoptée. Ce nom ne fut d’abord
donné
qu’aux enfans des dieux et des mortels, mais par
s héros et des héroïnes étant presque infini, il serait impossible de
donner
l’histoire, et même seulement les noms de tous ce
rgones. Tel est le commencement de l’histoire de Persée : nous allons
donner
sa fable, et l’on s’apercevra combien l’une et l’
s portait, le pouvoir de tout voir sans être vu. Ces secours puissans
donnèrent
à Persée les moyens de surprendre Méduse et de lu
Acrise ne put le sauver de l’accomplissement de l’oracle : Persée lui
donna
la mort de la manière que nous dirons. Cette part
aient d’airain ; des serpens formaient leur chevelure, et leur regard
donnait
la mort. Pindare dit que les Gorgones pétrifiai
les sifflemens des serpens, inventa une flûte qui les imitait, et la
donna
aux hommes. Il ajoute que Minerve, après avoir do
onna aux hommes. Il ajoute que Minerve, après avoir dompté Pégase, le
donna
à Bellérophon pour aller combattre la Chimère. Ce
ent : elle lui servit dans toutes ses expéditions, et il finit par la
donner
à Minerve, qui la plaça au milieu de son égide.
ent de cette tête se changèrent en serpens. Telle est l’origine qu’il
donne
aux reptiles venimeux que l’on rencontre à chaque
élever jusqu’au ciel par les poëtes ; ils en firent un demi-dieu, et
donnèrent
à lui et à la famille de sa femme des places parm
explications suffisent pour laisser apercevoir combien les poëtes ont
donné
carrière à leur imagination, lorsqu’ils ont voulu
utre personne considérable de Corinthe, qui se nommait Beller, on lui
donna
le nom de Bellérophon, meurtrier de Beller. Il fu
on sortit toujours vainqueur, Iobate, convaincu de son innocence, lui
donna
en mariage sa fille Philonoé, et le déclara succe
er comme l’un des plus grands législateurs de l’antiquité : pour leur
donner
plus de force, et les rendre plus sacrées, il fei
rquer que presque tous les anciens législateurs ont cru nécessaire de
donner
une origine céleste à leurs lois. Zoroastre avait
vaient quelque connaissance de la manière éclatante dont le vrai Dieu
donna
à Moïse les tables de la loi sur le mont Sinaï ;
ur sort : on consulta de nouveau l’oracle ; il répondit qu’il fallait
donner
à Minos une entière satisfaction. Des ambassadeur
fille de Minos : elle ne voulut point le laisser périr : elle lui fit
donner
un peloton de fil, pour l’aider à se retrouver da
éprise de Thésée, lui fournit des armes pour combattre Taurus, et lui
donna
le plan du labyrinthe, après l’avoir obtenu de Dé
os, où il consacra une statue de la main de Dédale, qui lui avait été
donnée
par Ariadne, et lui rappelait trop douloureusemen
sa force, son adresse et sa grâce en se livrant à ses exercices. Elle
donna
elle-même à ce temple le nom d’Hippolytion, et, p
et le désespoir d’une déclaration inutile la firent résoudre à se la
donner
; et, ne voulant point mourir sans vengeance, ell
les ; mais rien ne le rendit plus célèbre que la perfection qu’il sut
donner
à la sculpture. On disait ses statues animées, et
daure, et assommait les passans avec une massue de cuivre. Thésée lui
donna
la mort, et conserva toujours cette massue comme
evaux : on les peignit comme moitié hommes et moitié chevaux. On leur
donna
le nom d’hippocentaures, du mot hippos, cheval. N
mère de cet Hippolyte dont nous avons rapporté l’histoire. Hercule la
donna
en mariage à Thésée, pour le récompenser de l’avo
sprits. Il renouvela les jeux Isthmiques en l’honneur de Neptune ; il
donna
tous ses soins à la religion ; il sentit qu’elle
alheureuse épouse ne put soutenir les douleurs de l’absence ; elle se
donna
la mort. Les poëtes publièrent qu’elle avait été
de ce nom paraît venir du mot phénicien karokel, marchand. Ce nom se
donnait
généralement aux chefs des colonies, aux navigate
de Pallas, s’adoucit en faveur d’Hercule ; elle alla même jusqu’à lui
donner
de son lait. Quelques gouttes échappées de sa bou
d courage qu’il montra dès ses premières années détermina Créon à lui
donner
pour épouse Mégare, sa fille, dont il eut quelque
t qu’en les étouffant, il se fit reconnaître pour fils de Jupiter. Il
donna
la chasse à quelques lions dans la forêt de Némée
qu’il tua, et dont il porta la peau pendant le reste de sa vie. Pour
donner
plus de merveilleux à ce combat, la fable rapport
revisse. La forêt d’Érymanthe était pleine de sangliers. Hercule leur
donna
la chasse, les détruisit, et présenta le plus gro
ns l’Élide, le vainquit, le fit mourir, ainsi que son fils Euryte, et
donna
la couronne à Philée, fils d’Augias, parce qu’il
et vint attaquer Busiris, qu’il tua. Atlas, pour le récompenser, lui
donna
des leçons d’astronomie. Hercule devint habile da
it de Junon sur cette partie du ciel. De même, les secours qu’Hercule
donna
à Atlas dans la guerre contre Busiris donnèrent l
fable qu’il l’avait aidé à porter le ciel sur ses épaules. Atlas lui
donna
en présent les plus belles brebis du pays. Le mêm
poux. L’histoire ne laisse aucune trace qui prouve le perfide conseil
donné
par Médée aux filles de Pélias. On trouve au cont
remporta la victoire ; et, pour récompenser le secours que lui avait
donné
Thésée dans cette guerre, il lui fit épouser Anti
tes ; il offrit de délivrer cette princesse, à la condition qu’on lui
donnerait
six chevaux légers comme le vent, et qui courraie
, la prit, enleva Hésione, la fit épouser à Télamon, tua Laomédon, et
donna
la couronne à Podarce, frère d’Hésione. Le monstr
l’hydre, et le blessa mortellement. Nessus se sentant près de mourir,
donna
sa robe à Déjanire, en l’assurant qu’elle aurait
ou vaincu, n’osa pas trahir son serment : mais il eut la faiblesse de
donner
une sorte d’indication avec le bout de son pied ;
émée. La tête de ce lion sert quelquefois à couvrir la sienne, et lui
donne
un air encore plus redoutable. Ses cheveux parais
cule. Ce héros est si célèbre, qu’il nous paraît indispensable de
donner
une histoire abrégée de ses successeurs. Céyx eut
art à cet événement, et les fables en parlant sans cesse, nous allons
donner
les détails les plus essentiels sur son origine.
eune prince, en effet, accepta sur-le-champ la proposition ; et, pour
donner
plus d’éclat à cette expédition, il fit inviter t
’origine de son nom. Les uns disent qu’Argus en fit le dessin, et lui
donna
son nom. D’autres l’attribuent au mot grec argos,
les accords de sa lyre, charmait les ennuis de la navigation. Nous ne
donnerons
pas l’histoire particulière de tous les Argonaute
l’apporta dans le moment où l’on venait d’achever les sacrifices. Il
donna
ses conseils, et ses vœux accompagnèrent les adie
es vaisseaux et des galères). Le roi les reçut favorablement, et leur
donna
des vivres. Ils partirent de Cysique ; mais un ve
èrent depuis cette punition ; Phinée les reçut favorablement, et leur
donna
même un pilote pour les conduire à travers les ro
ls les perdirent de vue. Ce fut alors que Phinée, reconnaissant, leur
donna
des pilotes pour les conduire au travers des Cyan
olombe, dont parle la fable, était le bâtiment léger que Phinée avait
donné
pour indiquer la route qu’il fallait suivre. Cet
par l’argent des Corinthiens, pour flétrir la mémoire de Médée. Nous
donnerons
ces détails à l’histoire de cette princesse, et n
édée, lui demanda son secours ; elle le promit, à condition qu’il lui
donnerait
sa foi. Après des sermens mutuels, il se séparère
bres, afin d’arrêter ses soldats par le soin de les réunir et de leur
donner
la sépulture. Ce trait, tiré du poëme d’ Onomacr
assurent que la mort d’Absyrthe eut lieu dans le combat naval qui se
donna
sur le Pont-Euxin, lorsque la flotte d’Éétès eut
te sur les côtes de la Libye, un prince du pays, nommé Eurypile, leur
donna
de grands secours et des guides pour sortir du pa
même les deux enfans qu’elle avait eus de Jason. D’autres auteurs lui
donnent
des éloges, assurent qu’elle aimait la vertu, et
chés avec l’histoire, font apercevoir que les anciens tragiques, pour
donner
plus de pathétique à leurs pièces, ont entièremen
dans leurs fables, leurs poëmes et leurs tragédies. Médée, selon eux,
donne
à sa rivale une robe empoisonnée, semblable à la
l’idée d’un seul Dieu créateur et tout-puissant. Œagre, son père, lui
donna
les premières idées de religion, en l’instruisant
uérit ; mais une seconde maladie, qui survint peu de temps après, lui
donna
la mort, et fit imaginer la fable d’une rechute d
e. L’histoire de cette chasse se trouve dans Homère ; nous allons
donner
son récit, auquel il ne mêle d’autre fiction que
et ne veut plus même connaître quelle est l’issue des combats qui se
donnent
. Son absence rend tout le courage aux Curètes ; i
e de ses transports, ne put soutenir cet horrible spectacle : elle se
donna
la mort, et les deux sœurs de Méléagre moururent
présenta ; Vénus, qu’il avait invoquée, le favorisait : la déesse lui
donna
trois pommes du jardin des Hespérides. Hippomène
énéreuse tendresse de Corésus, ne voulut point lui survivre ; elle se
donna
la mort auprès de la fontaine de Calydon, et, dep
rt auprès de la fontaine de Calydon, et, depuis ce temps, son nom fut
donné
à cette fontaine. Des deux guerres de Thèbes.
à cette fontaine. Des deux guerres de Thèbes. Pour achever de
donner
l’histoire des temps héroïques, il nous reste à p
pour voir encore des lieux témoins de ses forfaits, et la vie pour la
donner
à des enfans plus coupables et aussi malheureux q
descendre. Polynice se rendit auprès d’Adraste, roi d’Argos, qui lui
donna
sa fille en mariage, et lui promit de puissans se
re parmi eux. » Guerre de Troie. L’extrait que nous venons de
donner
des deux guerres de Thèbes suffira sans doute pou
s de butin. Les uns et les autres se montraient avec cette fierté que
donne
la victoire ; et, racontant à leurs enfans, à leu
ère, qui venait d’épouser Hélène, héritière du royaume de Sparte, lui
donnait
une grande influence sur cette partie de la Grèce
plus effrayant ; aussitôt les chefs, devenus soldats, plus jaloux de
donner
de grands exemples que de sages conseils, se préc
ons ajouter à l’extrait du Voyage d’Anacharsis serait insuffisant, et
donnerait
à cet ouvrage infiniment trop d’étendue. Nous avo
la vue des nations voisines des lieux qu’ils parcoururent, a pu leur
donner
l’idée d’en construire chez eux. Le temple de Dag
es furieux perdaient tout respect et profanaient les temples. Nous ne
donnerons
pas la description des temples de l’Égypte. Les p
enait un stade de longueur. (Le stade avait cent vingt toises, ce qui
donnait
un demi-mille de circuit.) Tout l’ouvrage était c
teur ; et Strabon, qui fait aussi la description de ce temple, ne lui
donne
qu’un stade de haut et un de chaque côté. Du temp
nt on vient de parler ; mais ce monarque, au rapport de Bérose , lui
donna
beaucoup plus d’étendue par les édifices qu’il fi
odonosor avait consacrée dans les plaines de Dura. Diodore de Sicile
donne
quarante pieds à cette statue ; l’Écriture Sainte
cile donne quarante pieds à cette statue ; l’Écriture Sainte lui en
donne
quatre-vingt-dix ; mais on peut l’entendre de la
e ce temple, était une grande statue de Jupiter, en or ; mais il n’en
donne
ni le poids ni la mesure : il dit seulement que l
sile depuis qu’elles avaient fui les bords du Thermodon. Nous allons
donner
la description que Pline en a faite. Dans l’espo
remblemens de terre, on le bâtit dans un lieu marécageux ; mais, pour
donner
de la solidité aux fondemens d’un édifice si cons
isons qui causaient une sorte d’ivresse à ceux qui s’en approchaient,
donna
, comme nous l’avons dit précédemment, naissance à
construire le temple de Jupiter Olympien. On voulut que l’édifice pût
donner
une idée de la majesté divine. On employa tout ce
forme du Panthéon est ronde ; il paraît que l’architecte a voulu lui
donner
la forme du globe de la terre, et un très-grand n
et grand sculpteur, fit un testament, dans lequel il déclara n’avoir
donné
aux piliers qui portent la coupole, que la force
classes de lecteurs. Le système de Van-Dale et la seule origine qu’il
donne
aux oracles, contrariant en tout point la traditi
ls de Jupiter : c’était le seul but de son voyage. L’impossibilité de
donner
l’histoire de tous les oracles nous détermine à f
doivent l’un et l’autre leur établissement aux Égyptiens. Nous allons
donner
l’explication de ce trait historique. Deux colomb
er, dont elle avait été prêtresse à Thèbes. Hérodote ajoute que l’on
donna
le nom de colombe, Peleiai, à cette femme. Person
les prophètes recueillaient avec soin : ils les arrangeaient et leur
donnaient
, avec la forme du vers, une liaison qu’elles n’av
’abîme que couvrait le trépied. Ils recueillaient ses paroles, et les
donnaient
aux poëtes, autre sorte de ministres, qui les met
e Cilicie, dit Plutarque, voulut envoyer un espion chez les dieux. Il
donna
à son émissaire un billet bien cacheté pour le do
ez les dieux. Il donna à son émissaire un billet bien cacheté pour le
donner
à Malée, où était l’oracle de Mopsus. L’envoyé co
On saisit les envoyés, mais on n’osa les punir sans jugement. On leur
donna
pour juges deux prêtresses et deux hommes. Les de
avis contraire, et ils furent absous. Des Sibylles. Les anciens
donnèrent
le nom de Sibylles à un certain nombre de filles
dit qu’elle était souvent éprise d’une fureur divine ; ce qui lui fit
donner
le nom de Sibylle. 4°. La Sibylle de Cumes ou la
ts. Jules César, dictateur perpétuel et maître absolu de Rome, voulut
donner
encore plus d’éclat à sa puissance, en se faisant
it. Tarquin craignant alors qu’elle ne brûlât les trois derniers, lui
donna
la somme qu’elle demandait. Après que ce roi en e
l’avantage de s’instruire dans M. Mallet lui-même : nous allons leur
donner
l’extrait des divers articles de son ouvrage, qui
ef du culte qu’on rendait au dieu Odin. On sait que plusieurs nations
donnaient
à leurs pontifes le nom du dieu qu’ils servaient.
descendans, appelés de son nom Scioldungiens, Odin, plus satisfait de
donner
des couronnes à ses fils que de régner lui-même,
n secret dans les esprits des nations du Nord ; mais, le signal étant
donné
, d’un commun accord elles fondirent sur cet ambit
pour un dieu dans un pays où personne ne l’égalait, et dans lequel on
donnait
le nom de prodiges à tout ce dont on était étonné
s et leurs anciennes poésies sont les seuls monumens qui peuvent nous
donner
quelques lumières sur l’ancienne religion des hab
nage, le dépopulateur, l’incendiaire, l’aigle, le bruyant y celui qui
donne
la victoire, qui ranime le courage dans le combat
ux tempêtes. Il le désigne par le nom latin Jupiter ; mais Lucain lui
donne
un autre nom, qui a plus de rapport avec celui de
aire Freya, qui, suivant l’Edda, présidait aux saisons de l’année, et
donnait
la fertilité, les richesses et la paix. Le nombre
nt le bruit se faisait entendre dans tous les mondes. Les Scandinaves
donnaient
le nom de Loke au mauvais principe, et le plaçaie
principales divinités du Nord, ou plutôt les idées que les poëtes en
donnaient
aux peuples crédules. C’était par les fictions, q
rent, et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîné des fils leur
donna
l’âme et la vie ; le second, le mouvement et la s
avec plus de magnificence, ou plutôt cette magnificence consistait à
donner
de plus grandes proportions à ces autels. On en t
incertaines. Nous avons déjà fait remarquer que toutes les nations se
donnent
pour fondateurs des dieux ou des héros imaginaire
heureux ou malheureux de leurs amis. Aucune nation dans le monde n’a
donné
plus de croyance aux apparitions. Les montagnards
seuls ministres de leur religion. Les mages rejetaient l’opinion qui
donne
aux dieux une origine humaine, et ne les séparaie
uides étaient chargés de tous les détails de la religion, ce qui leur
donnait
un pouvoir sans bornes ; sacrifices, offrandes, p
ibuait au peuple. Principales maximes des Druides. Nous allons
donner
les maximes principales des druides, telles qu’el
rs dans l’autre monde. 16°. Il y a un autre monde, et les amis qui se
donnent
la mort pour accompagner leurs amis y vivront ave
oyez courageux. Comment concilier avec ces maximes sublimes celle qui
donne
aux pères de famille droit de vie et de mort sur
Nous croyons donc pouvoir douter de la vérité de la maxime atroce qui
donnait
aux druides l’horrible droit d’abuser de la force
pu se plaire à remplir de terreur les compagnes qui seules pouvaient
donner
des charmes à leur solitude, les enfans qui devai
urs, tout ce qui put autoriser leur licence, flatter leur orgueil, ou
donner
carrière à leurs songes métaphysiques ; peuple sa
la théogonie grecque reconnaissait une matière primordiale ; elle lui
donna
d’abord le nom d’Ophion, puis celui de Chaos. Ell
dre à l’univers un aspect régulier, nous dirons que les Grecs ensuite
donnèrent
pour enfans à Démogorgon, le Soleil, la Discorde,
, appelée aussi Gê, Géa, Géris et Apia. Cette alliance ne tarda pas à
donner
naissance à une foule d’individus mâles et femell
Phébé : Lato ou Latone, ou la Lune, et Astérie, unie à Persès. On lui
donne
aussi pour fille Astarté, probablement la même qu
s, suivant Diodore, et Epiméthée, qui par la suite épousa Pandore, et
donna
le jour à Pyrrha. Comme on l’a vu, les enfans de
Harpyes. Quant à Phorcys et Céto, sa sœur, ils s’unirent ensemble, et
donnèrent
le jour aux Gorgones, dont Méduse, la principale,
tte imprudence, car le fruit disparut, la jeune fille fut enceinte et
donna
le jour au bel Atys, que, suivant Pausanias, elle
. Le nom générique de Galles, venu de Gallus, un de leur chefs, était
donné
aux membres de cette corporation, et leur chef su
t enfin sauver son dernier enfant, et pour duper l’omnivore, elle lui
donna
une grosse pierre emmaillotée de manière à imiter
cent Dactyles idéens étaient nés neuf Curètes qui à leur tour avaient
donné
naissance à quatre-vingt-dix autres Dactyles. Peu
elques mots : leurs ancêtres en réalité sont inconnus, quoiqu’on leur
donne
pour mère la reine Mélissa dont le nom grec signi
it. Le 9 juin on célébrait les Vestalies, fêtes pendant lesquelles on
donnait
des festins dans les rues. Les boulangers et les
ayant une sphère dorée ou tour sur la tête. Les modernes souvent lui
donnent
une taille légère avec une lampe ou une petite st
fficile de deviner pourquoi la mythologie composite des Romains lui a
donné
pour femme, probablement après sa chute du ciel,
Saturne, et à la seule aventure un peu sérieusement galante, qui lui
donna
du tourment. Un jour il aperçoit Philyre ou Naïs,
tatues que l’on s’envoyait mutuellement en présent, et que les parens
donnaient
surtout aux enfans pendant ces deux jours. Afin d
mun à tout ; Epicarpius, ou le producteur de fruits ; Epidote, ou qui
donne
tout ; Epiphanès, ou présent partout ; Epistatéri
gislateur doux comme le miel ; Mélissœos, ou qui force les abeilles à
donner
du miel ; Moiragetès, ou le directeur du sort en
; Ombrios, ou le pluvieux ; Opiter, Opitulator et Opitulatus, ou qui
donne
secours ; Optimus maximus, ou le très-bons et trè
re des volumes pour expliquer les noms symboliques que nous venons de
donner
fort en détail ; mais leur traduction, que nous a
anciens considéraient Jupiter. Cependant ce Dieu, dont nous venons de
donner
les principaux surnoms, avait un nom qui lui-même
tient à l’application que l’on fit en Crète du mot Jupiter, que l’on
donna
aux rois de Crète, comme on donna celui de Pharao
t en Crète du mot Jupiter, que l’on donna aux rois de Crète, comme on
donna
celui de Pharaon et de Ptolémée à ceux d’Égypte,
scription : « Ci-gît Zan, que l’on nommait Jupiter. » Ensuite, on lui
donne
pour successeur Crès son fils. Cependant, les siè
l’Espagne et des Gaules. Après la mort de Pluton, ce gouvernement fut
donné
à Mercure, qui s’y rendit tellement célèbre, qu’i
s cris du divin marmot, et d’empêcher Saturne de les entendre. On lui
donne
pour père nourricier, Télémène, fils de Pélasgue,
eut, en outre, pour nourrices, les nymphes Mélissides, auxquelles on
donnait
pour père Mélisse, roi de Crète, et quelquefois A
main et une bouteille de l’autre ; Hélice, et sa sœur Ega ; Ida, qui
donna
son nom à une montagne de l’Asie-Mineure ; Ithôme
couvrir son bouclier de la peau de sa bonne chèvre-nourrice ; ce qui
donna
au porteur de ce bouclier, l’avantage immense de
nymphe Bygoïs ou Amalthée, sibylle sacrée ou prophétesse Etrusque. On
donnait
encore une foule d’interprétations aux signes don
se Etrusque. On donnait encore une foule d’interprétations aux signes
donnés
par la foudre, que du reste Jupiter lançait ou pa
te, nous allons, avant de les abandonner à leurs éternelles tortures,
donner
quelques détails sur chacun d’eux. Cœos, Crios e
n règne sur Hypérion. Ainsi Homère, sans avoir eu égard à Thia, lui a
donné
pour femme Euryphæsse, c’est-à-dire, la déesse à
ître pour comprendre certains historiens ; ainsi tout le monde ne lui
donne
pas Climène, c’est-à-dire, une océanide ou fille
ustice, qui passe plus souvent pour avoir été la femme de Jupiter. On
donne
pour fils à Japet Atlas, Epiméthée, Ménœtius et P
ent éprouva une défaite désastreuse, et enfin un savant. La fable lui
donne
de nombreux troupeaux et des jardins remplis d’ar
te Pradice, Thyène et Dioné, fille d’Hyas et de l’Océanide Ethra ; on
donne
encore aux Hyades les noms de Phœsile, Phœo, Ciss
ée nue d’une main et une balance de l’autre. Quant à Astrée qu’on lui
donne
pour fille, quoique déjà attribuée à l’alliance d
mme, étranglant une femme hideuse et la frappant à coups de bâton. On
donnait
encore pour filles à Thémis Irène ou la Paix, qui
e s’y opposa, et fut tuée par le petit fils de celui qui lui en avait
donné
la garde. Selon d’autres, elle périt beaucoup plu
n eut Vulcain, leur fils unique, qu’ils firent Dieu du feu ; elle lui
donna
pour sœur, la belle Hébé. Une autre fois, le maît
ruction. Bientôt Jupiter délaissa un peu son auguste épouse ; puis il
donna
naissance à Mercure avec Maïa, fille d’Atlas ; à
ot. Jupiter lui laissa les Parques pour ministres inflexibles, et lui
donna
pour compagne Eviterne ou l’Eternité. Il s’entour
vipotes ou Dieux-Puissans, savoir : six dieux et six déesses. On leur
donnait
les noms grecs suivans, à la suite desquels nous
, Pluton, la Terre, le Soleil et la Lune, auxquels on joignit et l’on
donna
pour remplaçans Janus, Cybèle, Proserpine et l’Am
bilement soulevée par Saturne, vint le troubler dans son repos et lui
donner
de vives inquiétudes sur le sort futur de sa cour
rayeur il le poursuivit et le tua sur le mont Niphate, auquel Jupiter
donna
depuis le nom du berger. Enfin, nous ne dirons ri
, et de sa peau couvrit son bouclier : d’où le nom d’Égide fut depuis
donné
à cette arme défensive. Déjà, comme on le voit, c
ette taille avait été le résultat de la volonté de Neptune, qui, pour
donner
à leur origine une teinte plus étonnante, leur pr
quelques-uns, ou même de huit cents aunes, d’après Diodore, qui leur
donnait
en outre une grosseur de vingt-sept coudées. S'il
ntreprises les plus hardies, périrent malheureusement à la chasse. On
donne
aux Aloïdes une sœur appelée Pancratin, qui fut e
ter long-temps seul. Il prend donc une boule d’argile, la pétrit, lui
donne
la forme d’un homme, consulte Minerve, dont il po
ide qui fait naître les désirs inquiets et les soins pénibles, et lui
donne
l’amabilité et la coquetterie. Mercure lui accord
mens les plus séduisans et en même temps des défauts les plus graves,
donnée
pour compagne à l’homme, afin de modérer ses qual
; Hellen, roi de la Phtiotide, vers 1461 ans avant Jésus-Christ, qui
donna
le nom d’Helléniens à ses sujets, nom que les aut
s Grecs n’adoptèrent qu’au commencement des Olympiades ; Candibe, qui
donna
son nom à une ville de la Lycie ; Itone, qui inve
n, qui imposa son nom aux Ioniens. Eole épousa Enarète, laquelle lui
donna
six fils : Athamas, Créthée, Sisyphe, Macaré, Cer
res, pour fils de Déjanire et d’Azan, fils de Pélasgue, ce qui ne lui
donne
plus Cyllène que pour femme. Roi d’Arcadie, il bâ
r l’hospitalité, Lycaon, qui probablement l’avait reconnu, voulut lui
donner
une preuve de sa vénération, ou, suivant Ovide, é
l’Arcadie, d’où lui est venu le surnom de Diane-Pélasgique qu’on lui
donne
souvent. Le nom du chef des Lycaonides voulant di
Hypsée. Cet Ixion avait pour mère Perimèle, fille d’Amythaon ; on lui
donnait
aussi pour père Mars lui-même, ou Phlégyas, fils
a Dia, fille de Déionée ; mais son beau-père, auquel il ne voulut pas
donner
les présens qu’il lui avait promis en échange de
ardens. Après ce crime, il fut obligé de fuir. Personne ne voulut lui
donner
asyle, personne ne se crut capable de le purifier
s et tournant sans relâche. Cependant deux événemens par la suite lui
donnèrent
accidentellement du répit : il fut délié un insta
s la divinité ; on le représente toujours attaché sur sa roue. On lui
donnait
pour fils Phlégrée et Pnocus, issus, disait-on, d
nt passait pour son fils ou pour celui de Tmole, fils de Mars. On lui
donnait
pour mère la nymphe Pluto ou Plote. Il régnait da
laindre de Tros, qui ne l’avait pas invité à la première fête par lui
donnée
à Troie, lui fit une guerre assez vive et lui enl
ez grande pauvreté ; mais ils avaient été soutenus par le bonheur que
donne
toujours la tranquillité d’un cœur sans reproches
n’était pas le plus grand travail de Jupiter. Les Dieux eux-mêmes lui
donnaient
beaucoup de tracas, et chaque jour il fallait qu’
r d’huile les membres et le corps, pour obtenir plus de souplesse, et
donner
moins de prise à leurs adversaires. Alors ils ent
ce bas monde comme la partie inférieure de son torse. Les Crétois ne
donnaient
pas d’oreilles à ses statues, pour marquer son om
niscience et son impartialité. Au contraire, les Lacédémoniens lui en
donnaient
quatre, pour qu’il pût mieux entendre les prières
nt loin de plaire à Junon ; elles l’aigrirent de plus en plus, et lui
donnèrent
le caractère boudeur, complément très-propre à re
gues, peu soucieux de sa réputation de sagesse, vont même jusqu’à lui
donner
pour amans le géant Eurymédon et quelques autres.
iations. La jalousie seule surpassait chez elle la sagesse ; elle lui
donnait
un désir de vengeance que le temps n’éteignait pa
prétention à la beauté, lui avaient, tout en la plaçant dans le ciel,
donné
par dérision, pour trône, une simple chaise. Les
e de Troie, accablée par le ressentiment de l’épouse de Jupiter, nous
donnerons
de longs détails sur cette aventure. Junon luttai
les confédérés de vin et d’amour, puis, du haut d’un figuier sauvage,
donnèrent
le signal de l’instant du combat aux Romains, qui
ysandries étaient les anciennes fêtes de Junon auxquelles les Samiens
donnèrent
le nom de Lysandre après la victoire d’Ægo-Potamo
cette déesse, sur la terre. Quoique pour mieux l’honorer, les Romains
donnassent
le nom de Reine ou Matrone à Junon, quoique la vi
ulcain de cette merveilleuse apparition ; néanmoins habituellement on
donne
ce Vulcain et sa sœur aînée, la belle Hébé, comme
orant le troisième. Il était si laid que Junon, honteuse de lui avoir
donné
le jour, le précipita, d’un coup de pied, du ciel
a flûte, d’où vient aux muses le surnom d’Ardalides. Brothée que l’on
donne
aussi pour fils de Vulcain et de Minerve, était d
le monde, il se jeta de désespoir dans le cratère de l’Etna. Ethiops,
donna
son nom à l’Ethiopie dont les habitans de couleur
puissances de l’Enfer, Pluton, Proserpine et Mercure ; les autres les
donnent
comme les représentans de Jupiter et de Bacchus ;
font représenter une plus grande quantité de personnages : alors, ils
donnent
pour Cabires, Axieros de Samothrace ou Pluton, Ax
lla toucher une fleur des champs d’Olène, et que cet acte suffit pour
donner
le jour à ce dieu terrible. Junon confia à Priape
les danses furieuses et sanguinaires des Corybantes. Cependant on lui
donne
aussi Théro pour mère ou nourrice. Dans la guerre
énus dans les réseaux invisibles tendus par Vulcain son époux. On lui
donne
pour femme ou maîtresses : Aglaure, fille de Cécr
qui, dit-on, se tint près d’Athènes, dans une localité à laquelle on
donna
ensuite le nom d’Aréopage ou champ de Mars. Aphne
d’OEtole et de Pronoé, et mieux de Mars et de cette Néreïde ; Chalibe
donna
son nom aux Chalibes. Cycnus, fils de Pyrène, com
ent le feu par la bouche. Il les nourrissait de chair humaine et leur
donnait
à dévorer les étrangers qui avaient eu le malheur
ment faire son cadeau, et pour se venger de l’infidélité de Vénus, il
donna
à sa fille Harmonia un habit teint de tous les cr
les Béotiens d’Orchomène au siége de Troie ; Ismarus, fils de Thracé,
donna
son nom au mont Ismarus, renommé du temps d’Ulyss
Athènes avant d’avoir pu être rejointes par le roi des Thraces. Pour
donner
plus de charme à ce fait, Ovide a supposé que Pro
hrax, enfans de Nérienne, furent ceux que l’on fait passer pour avoir
donné
leur nom à la Thrace ; Triballe, fils de Térène ;
il en fit fabriquer, par Veturinus Mamurrius, onze pareils, et il en
donna
la garde à ces prêtres, dont le chef, appelé Prœs
quatorze, et la plus belle d’entre elles était Déiopée, que la déesse
donna
un jour à Eole pour l’engager à faire naître une
aller couper le cheveu fatal des femmes à l’agonie. Plus tard, on lui
donna
les missions de guerre, en laissant à Mercure, me
fans. Cependant on la faisait fille de Jupiter et de Junon, et on lui
donnait
pour fils Cupidon. Catule, poète de l’antiquité,
er dans cette île, lorsqu’elle est encore flottante ; sa présence lui
donne
de la fixité, car des flèches s’élèvent du fond d
e de la chasse, ainsi que la personnification de la Lune. Nous allons
donner
dans un instant leur histoire détaillée, mais pou
’amour criminel de son père, qui pour y échapper tue ses enfans et se
donne
ensuite la mort ; c’est une peste qui fait dispar
é douloureuse, avait été transformée en rocher ; mais nous ne pouvons
donner
à cette fable le sens allégorique, qui prend Niob
le de Latone, celle qui passait en même temps pour sœur d’Apollon. On
donnait
à Diane Elaphion, c’est-à-dire le petit faon, fem
ant la nuit, on l’appelait la Lune, ou Phébée ou Séléné ; puis on lui
donnait
le nom d’Hécate ou quelquefois de Proserpine, lor
e la chasse et reine des bois ; il l’arma de flèches et d’arcs et lui
donna
pour cortège quatre-vingts nymphes, dont soixante
uer. Parmi ces nombreux amateurs des forêts, on connaît Amarynthe qui
donna
son nom à une ville de l’Eubée, Apis d’Etolie, Er
ant souvent lorsque la lune vient dissiper l’obscurité de la nuit. On
donne
encore à Endymion plusieurs fils appelés Poson, P
si à Chromia, fille d’Itome, et à Iphianasse. Ces amours de Diane ont
donné
naissance à deux charmans tableaux, l’un de Girod
maîtresse dans la constellation du scorpion, appelée aussi Orion. On
donnait
encore Clonie, mère de Nyctée, pour femme à Hyrié
e passion pour Hippolyte, fils de Thésée, qu’elle ressuscita pour lui
donner
une place auprès d’elle dans l’Olympe, et qu’elle
duite du soleil, et Sélénée celle de la lune. Depuis ce temps, on lui
donna
encore le nom de Men, ou Mêné, ou l’astre qui mes
’aurore sur Tithon, son époux, ou sur Memnon, son fils. Plus tard, on
donna
le nom masculin de Lunus à l’astre dirigé par Sél
et astre avec celui de Diane, nous renvoyons à l’explication que nous
donnons
de celui de cette déesse ; Lunus cependant, consi
ne, des fêtes appelées Hécatésies, pendant lesquelles les gens riches
donnaient
, dans les carrefours, un repas public présidé par
de son berceau, et, armé d’une des flèches que Vulcain venait de lui
donner
, il parcourut la plaine, portant en même temps un
es Argonautes, et l’un des chasseurs d’un sanglier terrible auquel on
donna
le nom de Sanglier de Calydon. Mais nous verrons
urir de chagrin, quand il eut recours à Apollon. Aussitôt le dieu lui
donne
un lion et un sanglier apprivoisés qui traînent e
te offre généreuse, Laomédon promit de son côté pour sa récompense de
donner
au héros des chevaux invincibles si légers qu’ils
ême temps il assiégea Troie, saccagea cette ville, enleva Hésione, et
donna
ainsi prétexte à un Troyen d’enlever par la suite
rizon et appelée Croton. Jupiter même, pour mieux le récompenser, lui
donna
des pieds de cheval afin d’indiquer sa célérité,
celle qui chante les vers héroïques, présidait à la tragédie. On lui
donnait
la figure d’une jeune femme à l’air sérieux, maje
uerres, [ILLISIBLE]tans et autres instrumens de mathématiques. On lui
donnait
aussi le célèbre poète Linus pour fils, comme à C
illustre famille, et passa par la suite pour fils des Muses, afin de
donner
à la postérité une plus juste idée de son immense
: Apollon les ayant rencontrées sur le sommet de cette montagne, leur
donna
le baiser fraternel, et de suite on convint de fo
nt l’ordre d’Iobate, et montant sur le cheval Pégase, que Minerve lui
donna
, il s’avança hardiment contre le monstre, le comb
les nymphes Corycides qui habitaient la grotte Coryque, Cassotie qui
donna
son nom à la fontaine Cassotide, Castalie, fille
uné, et ces larmes, dit-on, ou, suivant d’autres, le sang de Marsyas,
donne
aussitôt naissance au fleuve de Phrygie qui porta
la mer, et se déroba ainsi aux poursuites d’Apollon, qui par souvenir
donna
le nom de cet enfant à ce promontoire de l’île de
toire sur le serpent Python ; Iapis, auquel le dieu du Parnasse voulu
donner
un arc, des flèches, et la science augurale, mais
rtion d’un cercle que l’on supposa exister dans le ciel, et auquel on
donna
le nom de Zodiaque ; puis on divisa ce cercle en
avaient cela de particulier que l’on y faisait un simulacre d’assaut
donné
au temple d’Apollon. Les Thargélies étaient des f
sentait comme un homme de vingt-cinq à trente ans. Quelquefois on lui
donnait
plusieurs têtes ; mais presque toujours on le mon
n serpent d’or et ailé, contourné sur lui-même, et les Hiéropolitains
donnaient
à ses statues une barbe pointue et les couronnaie
de zèle lui valut enfin son pardon, et lui mérita de voir Apollon se
donner
la peine de détruire lui-même à coups de flèches
e Sminthé, lequel aussi, par suite probablement de cet événement, fut
donné
à l’île où ce champ était placé. Melanippe était
ge, étaient plus crédules. L'imposture, on le conçoit, ne tarda pas à
donner
à ces charlatans un certain relief religieux. On
n : les Chinois, les Slaves, en avaient. Les Egyptiens semblent avoir
donné
naissance à la divination, et de l’Egypte cette p
précipice, on en ferma l’entrée par trois barres de fer auxquelles on
donna
la forme et le nom d’un trépied. Mais on ne venai
te sur ses bords des feuilles de laurier. Peu de jours après, Apollon
donnait
le signal de son arrivée en faisant trembler le t
s au Dieu. Alors les ministres d’Apollon dont le premier fut Corétas,
donnaient
une liaison aux paroles de la Pythonisse, et les
pour successeur Evangèle, d’où vint aussi le nom d’évangiles que l’on
donna
souvent aux paroles de ces prêtres. Quelques orac
mot Peleiai qui signifiait en grec ou colombe, ou vieille femme. Pour
donner
un prestige plus merveilleux à la manière de fair
xprimer l’effet que produisent les paroles fatigantes d’un bavard. On
donnait
le nom de Dodonides ou Péléades à trois vieilles
un tableau ce que l’on avait vu et entendu ; ensuite les prêtres vous
donnaient
une interprétation et vous indiquaient les volont
mort, on la fit disparaître en élevant à Apollon un temple auquel on
donna
depuis le nom d’Apollon Carnéen, et on institua d
rron en comptait dix qu’il nommait : la Persique ou Sambète ; elle se
donnait
pour bru de Noé dans les vers sibyllins qu’elle é
aient silence, et les fleuves arrêtaient leurs cours. Les voyages lui
donnèrent
une haute connaissance de la théologie égyptienne
s d’Orphée à l’athénien Onomacrite, qui vivait 600 ans av. J.-C. On a
donné
pour fils à Orphée Mithon et Musée. Mais ce derni
'un était un chien appelé Lœlaps que Minos, Aurore ou Diane lui avait
donné
; l’autre un javelot qui ne manquait jamais son c
voisin du centaure et du sagittaire. Puis, comme les rayons du soleil
donnent
de la chaleur aux esprits vitaux des hommes et de
res après cette déesse : Achalide qui devint mère de Delphus que l’on
donne
aussi pour fils à Céléno ou à Thya ; Alcyonée qui
s de laquelle elle fut reçue par les nymphes qui en eurent pitié, lui
donnèrent
l’immortalité et l’admirent au milieu d’elles en
ou Astynomie, ou Astyonée, ou Chryséis, mère de Chrysès auquel on la
donne
quelquefois pour fille. Babylone eut d’Apollon Ar
itôt on en vit sortir l’arbre d’où l’on extrait l’encens et auquel on
donna
plus tard le nom de Leucothoée, fable assez obscu
sol, et que le voisinage de celui-ci fit mourir le premier. Les Grecs
donnèrent
encore le nom de Leucothoée à une sœur de Sémélée
dit qu’un prince, du nombre de ceux auxquels l’amour des lettres fit
donner
le nom d’Apollon, étant devenu amoureux de Daphné
voir eu une intrigue avec le Dieu du soleil ; Dryope, fille d’Euryte,
donna
Amphissus pour fils à Apollon ; Evippe, fille de
sa violence, après avoir été surprise dans un bois auquel ensuite on
donna
son nom. Hypermnestre fille de Thestius, eut Amph
ne nymphe qu’Apollon séduisit et qui en eut Macare et Orchime, on lui
donnait
aussi quelquefois Phaéton pour fils ainsi que Cer
et de Déiphile, fille d’Adraste, roi d’Argos, à laquelle Déiphile on
donne
encore Tydée pour époux : Théro fut aimée d’Apoll
ns parmi ses fils : Acréphée dont la mère est restée inconnue, et qui
donna
son nom à une ville de Béotie ; Agète, Argée, Ari
e premier prix. Ambracia était une fille d’Apollon et de Dryope, elle
donna
son nom à une ville d’Epire. Cependant, suivant q
s’il était l’un des deux grands prêtres d’Apollon ; cependant on lui
donne
un fils appelé Andros et trois filles OEno ou le
e son père l’art de la médecine qu’il enseigna aux Arabes auxquels il
donna
son nom ; Augias ou Augeas, dont la mère est rest
randit en errant dans les bois, un jour Apollon l’ayant rencontré lui
donna
un sceptre et une couronne, puis aussitôt il prop
; Castalius passait pour fils de la terre, mais habituellement on lui
donne
Apollon Delphique pour père sans dire quelle étai
hiron et mère d’Ocyroé ; Chæron ou Charron, né de Théro et d’Apollon,
donna
son nom à la ville de Chéronée, en Béotie, qui s’
en Béotie, qui s’appelait auparavant Arnée ; Chias, né d’Anathrippe,
donna
son nom à l’île de Chio ; Chrysotémis fut une des
ère réel Agamemnon, mais pour cacher cette intrigue au public, on lui
donna
une naissance divine et il fut regardé comme fils
on, mais cette opinion n’est pas généralement admise ; Climenides, on
donne
aussi ce nom aux Héliades ; Coronus était fils de
ns ; Eleuther était fils d’Ethuse ou d’Aréthuse, fille de Neptune, il
donna
son nom à une ville de Béotie ; Erymanthe, dont l
porteur de la santé ; Triccœus ou de Trica en Thessalie. Les légendes
donnent
à ce médecin diverses origines : les Thessaliens
légyas, héros que nous verrons mourir plus tard, et sœur d’Ixion. Ils
donnaient
à ce premier médecin Lacérie ou Dotion sur le lac
mais la légende la plus suivie, celle d’Epidaure, se contente de lui
donner
cette ville pour lieu de naissance, et pour père
’une foule de dieux ou de déesses tenant à la médecine ; ainsi on lui
donne
encore pour enfans : Acésos ou le guérisseur, Acé
’elle tient de l’autre main. Hygie à Rome s’appelait Salus, et on lui
donnait
le surnom d’Aréthuse de Sicile. On la représentai
voire ; elle avait été sculptée par le fameux Trasymède qui lui avait
donné
la moitié de la grandeur de celle du Jupiter olym
il eut Céphalion de Tritémis et fut père de la nymphe Garamantis. Il
donna
son nom aux Garamantes. Heliades : quoique ce nom
aéton laissa pour fils Ligyste, fondateur des Ligyes ou Lygures, on a
donné
aussi le nom d’Héliades aux fils d’Hélius, roi de
uverons avec les Argonautes : Ion, né de Créuse, fille d’Erecthée, il
donna
son nom à l’Ionie, et avait Achéus pour père puta
styagée, fille d’Iphéus, en eut Antion, dont l’alliance avec Périmèle
donna
naissance à Angelaüs, à Amycus, à Coronis et à Ix
’Eulerpe, ou même, dit-on, d’Uranie et de Mercure ; Apollon lui ayant
donné
la lyre à trois cordes en lin, et ce mortel ayant
son frère Ténagès, puis se réfugia dans l’île de Lesbos à laquelle il
donna
le nom de Macaria ; Macarée ou Mégaréus le Mégari
rie, dont il eut Cydippe pour fille ; Oncos ou Oncus, fils d’Apollon,
donna
son nom à l’Oncéatide, en Arcadie, et se faisait
s précipita au fond des flots. Telmesse n’a point de mère connue, il
donna
son nom à une ville maritime de la Lycie et fut l
sanon, fils du Soleil et de Leucothoé ; Triope, fils du Soleil, avait
donné
son nom à une ville de Carie ; Zeuxippe, fils de
une femme qu’elle supposa avoir existé avant Jupiter. Ce fut elle qui
donna
le breuvage à Saturne pour lui faire rendre au jo
irchinonte, Auxithales, ou qui augmente la végétation, Biodora ou qui
donne
la vie, Caberia et Cabiria et Cabirique ou de Sam
nt dans la grotte du mont Elaïus, près de Phigalie, Magalortos ou qui
donne
de grands pains, Milesia ou de Milet à Egée, Mica
t Ops, Vesta ou Cybèle étant souvent confondues avec Rhée, on les lui
donne
aussi quelquefois pour mères. Cérès était donc s
éère, qui l’engage à s’asseoir, ce qu’elle refuse. Cette Méganire est
donné
aussi pour femme à Hippothoon, un des anciens roi
’acceptant pas l’entrée de Cérès dans le palais de Métanire, lui font
donner
l’hospitalité par cette vieille Baubo, qui pour l
harrue, des semailles et de la herse. Cependant on assure que Minerve
donna
la première charrue qui parut sur la terre à Myrm
ragon et arrêta Carnobuta dans ses actes de jalousie en le faisant se
donner
la mort, au milieu d’un accès de demence. Cependa
par leurs processions où l’on portait des pains. Quelques légendes ne
donnent
pas à l’habileté de Triptolème une origine aussi
a de l’amour à Posidon ou Neptune ; Chioné devint enceinte et bientôt
donna
le jour au jeune Eumolpe. Confuse de cette aventu
ligieux que le nom de la déesse sous la protection de laquelle ils se
donnaient
. On sait que suivant les contrées ils étaient cél
ois. Ce conte une fois admis, les prêtres de cette déesse, voulant se
donner
un nouveau relief, se mirent à marcher sur des br
chevelure et la consacraient à cette déesse, à laquelle, du reste, on
donnait
pour époux Anxur, dieu sabin, dont les latins fir
nous dirons que les Grecs n’en reconnaissant que trois, leur avaient
donné
les noms des Heures primordiales ; savoir : Auxo
ux bergers les cendres expiatoires. Il nous serait encore possible de
donner
des détails sur toutes les divinités que nous avo
ellence des richesses agricoles. Plus tard en parlant de Minerve nous
donnerons
quelques détails sur ce Cécrops civilisateur d’At
rysichton, ou du moins un prince du même nom. Nous avons dit que l’on
donnait
pour femme à Jupiter une fille de Céres appelée P
Dieu suprême ; c’était donc Ilithye, Maïa et même Diane. On ne peut
donner
aucune explication sur Protogénie, ou la première
d’elle Bacchus qui montra à ce roi l’art de cultiver la vigne, et lui
donna
les royaumes de Byblos et de Cypre dans lesquels,
vec Atalante, fille de Schénée : cette belle avait déclaré qu’elle ne
donnerait
sa main qu’à son vainqueur à la course, mais qu’e
liger long-temps les fêtes de cette déesse, qui, pour se venger, leur
donna
, dit-on, une odeur si désagréable qu’elles devinr
rvait, grace à la puissance d’une essence divine, que Vénus lui avait
donnée
. refusait de rendre amour pour amour aux beautés
étroit des Dardanelles et non dans le Bosphore, quoique les Européens
donnent
le nom de tour de Léandre, à un ilot sur la côte
s de la déesse de la beauté et de Jupiter ou de Bacchus. Cependant on
donnait
encore aux Grâces une autre origine ; les uns les
u’une appélée Charis, qui ne paraît pas différer de Vénus, car on lui
donne
Vulcain pour époux. Plus tard, d’après Pausanias,
e ou par Ether pondit un œuf qu’elle couva sous ses sombres ailes, et
donna
naissance à l’Amour. Platon assure que Pénia, dée
le Dieu des richesses, enfanta Eros, et que Vénus l’adopta. Sapho le
donne
pour fils au ciel et à la terre ; Alcée à Erix ou
être la réunion de plusieurs personnages distincts, et dès lors, on a
donné
une naissance et des attributs particuliers à cha
leur différent ; mais la folie n’ayant pas la patience d’attendre lui
donna
un coup si furieux qu’il en perdit la vue. Vénus
s, déesse de la justice et conseillère des Dieux. Alors, celle-ci lui
donna
le conseil, pour le faire grandir, d’avoir un aut
re m’avait ordonné de vous livrer à un monstre pour époux, je me suis
donné
moi-même, maintenant je ne puis plus être à vous.
arrive au pied du trône où siége Proserpine. La déesse infernale lui
donne
la boîte qu’elle demandait, et lui recommande de
contenue dans la boîte, elle désobéit aux ordres qui lui avaient été
donnés
, tout-à-coup une vapeur infernale se répand autou
. Le maître du tonnerre exauça la prière de l’amour, et força Vénus à
donner
son consentement. Psyché alors entra dans l’Olymp
ultérin d’Eros, et comme fils de Vénus et de Bacchus ; et puis on lui
donne
Ascale, fondateur d’Ascalon, pour propre fils. De
igion payenne des Grecs et des Romains. Quelques auteurs, cherchant à
donner
à l’hymen un sens allégorique fort entortillé, se
e de fleurs, et portant dans ses mains un flambeau et un arrosoir. On
donne
habituellement pour fils à Hyménée, Ascale, comma
nt le pouvoir de les garantir des fascinations et maléfices ; ils lui
donnaient
la forme d’un petit phalle ou Priape, et le penda
: Anaxithée. Souvent elle est regardée comme une Danaïde, dont on ne
donne
pas le nom dans les listes ordinaires, et dont l’
pelé Cyrnus, qui pourrait fort bien être le même personnage auquel on
donnait
Hercule pour père. Ega, nymphe chèvre, ce fut el
, ou Danaïde ou fille de Sélinus fils de Neptune et mariée à Ion, qui
donna
son nom à l’Ionide et frère d’Acheus. Enfin comme
; d’autres la font mère de Teucer qu’elle eut du fleuve Scamandre. On
donne
encore ce nom à une nymphe Phrygienne qui eut de
ne arche, d’où il ne sortit au bout de quarante jours, qu’après avoir
donné
la liberté à un corbeau. Méra, était une nymphe,
furent mis au rang des Dieux, suivant Eschyle ; et auxquels Plutarque
donne
pour père Adramus dieu de la Sicile, dont le cult
Deucalion. Jupiter la séduisit et eut d’elle l’héroïne Macédonie qui
donna
son nom à la Macédoine. Si nous passons maintena
dans une île de la mer Egée où elle fut changée en caille, ce qui fit
donner
à cette île le nom d’Ortygie, nom que Diane porta
i de Mycênes et d’Anaxo ou de Lysidice ou d’Eurimède ; elle ne voulut
donner
sa main qu’au prince qui vengerait la mort de ses
eux. L'Océan et Téthys, à la prière de la jalouse Junon, ne voulurent
donner
aucun repos à Callisto : c’est pour cela, suivant
mère de Britomartis, espèce de Diane, qu’elle eut de Jupiter. On lui
donne
pour patrie, ou la Crète, ou la Phénicie, ou la B
front. Au moyen du cosmétique dont se servait Junon, et qu’Angélo lui
donna
après l’avoir volé à la toilette de la déesse sa
t lui inspira de la confiance, elle s’approche de lui, le flatte, lui
donne
des herbes qu’elle avait cueillies, l’entoure de
re pense qu’elle fut séduite par un capitaine nommé Taurus, qu’on lui
donne
même quelquefois pour fils, et de ce capitaine, e
dopter faute d’avoir pu lui-même en avoir. D'autres écrivains afin de
donner
à cette fable une couleur plus historique encore,
yant cru que cette princesse, dont le nom exprime la blancheur, avait
donné
son nom à l’Europe, où elle fut transportée, repr
tait, et l’enferma dans sa cuisse, jusqu’au moment où il pourrait lui
donner
le jour. D'autres légendes portent que Jupiter
cure ; que Macris, fille d’Aristée reçut l’enfant dans ses bras et le
donna
à son père, qui le mit dans sa cuisse, où il le f
ait, d’être la même chose, ou de Triopos septième roi d’Argos. On lui
donnait
pour mère Argie femme d’Inachus ou Ismène femme d
rd incertain sur le parti qu’il devait prendre, pourtant, à la fin il
donne
la commission à Mercure de le débarrasser de ce s
ice ou, disait-on encore, fille d’Ion, descendant de Deucalion ; elle
donna
son nom à une ville de la baie de Corynthe, dispa
it on les confond souvent l’une avec l’autre, et l’une des deux avait
donné
son nom à la ville d’Epire appelée Dodone, célèbr
a théogonie grecque qu’assez tard. Voici les surnoms divers qu’on lui
donnait
: Acrœa ou du mont Acré près Corynthe ; Antœa et
c Jasion c’est-à-dire de l’agriculture et du travail. Mais Platon lui
donnait
pour père Porus dieu de l’abondance et fils de Mé
tains écrivains leur attribuaient, en disant qu’après un grand festin
donné
par les Dieux Pænia étant venue pour ramasser les
principaux du temps, tenant un sablier ou un globe à la main. On lui
donne
pour symbole un phénix. Les Egyptiens la représen
mbeau avec celui de Ménélas. Hydarnis, fille d’Europe et de Jupiter,
donna
son nom à une ville de la Crète. La Liberté, à la
er, était femme de Memphis. Macédonia, fille de Jupiter et de Thyia,
donna
son nom à la Macédoine, ou plutôt Macédonie n’est
n que ce nom fût analogue à ceux de Tritonia et de Tritonis qu’on lui
donnait
en Béotie, comme fille ou élève de Triton. Cepend
te. Avant d’indiquer la fable dont les Grecs avaient entouré Minerve,
donnons
quelques explications préliminaires sur son exist
leurs prières, quoique par suite des importunités du dernier elle ait
donné
le jour au monstre Erichthonius. Minerve prit les
broder et de coudre. Un jour Neptune voulut lui disputer l’honneur de
donner
son nom à la ville d’Athènes. Alors pour terminer
rve simplement un olivier. Pourtant l’olivier eut le prix, et Minerve
donna
son nom à cette ville naissante. Quoique Minerve
vivacité, la vigilance et l’amour du tumulte. Elle lançait la foudre,
donnait
l’esprit de prophétie, protégeait la vie des homm
êtes appelées Athénées, auxquelles, plus tard, Thésée, roi d’Athènes,
donna
un lustre magnifique, en les nommant Panathénées
ifférentes troupes, armées de pierres et de bâtons. Au moment où l’on
donnait
le signal du combat, elles se précipitaient avec
rais Tritonien, furent transférées à Athènes, lorsque Minerve lui eut
donné
son nom. Pendant les grandes Panathénées, la foul
ble. Ainsi, d’un côté, voilà l’égide de Minerve ; mais d’un autre, on
donne
aussi ce nom au bouclier que lui avait donné Jupi
ve ; mais d’un autre, on donne aussi ce nom au bouclier que lui avait
donné
Jupiter, et qui se trouvait recouvert de la peau
et ensuite Attique, réunit sur ce point des peuplades sauvages, leur
donna
les élémens d’une civilisation, leur enseigna l’a
nveillante des Dieux qu’il y avait eu concurrence pour savoir qui lui
donnerait
son nom ; Arès ou Mars et Posidon ou Neptune s’ét
si fille d’Actée le premier roi d’Athènes ; Hersé et Pandrose. On lui
donne
encore symboliquement pour filles Athèna et Phryg
Athèna et Phrygie. L'existence supposée de ce personnage auquel on a
donné
le nom de Cécrops, est tellement douteuse que, da
u Erichton, que nous savons enfant de Vulcain et de Minerve. Ceux qui
donnaient
à Cécrops la terre pour mère, l’avaient en conséq
sauvages de l’Arcadie qui le prirent bientôt pour leur chef. Il leur
donna
des lois, adoucit leurs mœurs, institua le lien c
. Arcésius fils de Jupiter et d’Europe, est remarquable parce qu’il
donna
le jour à Laërte, qui après avoir épousé Anticlée
adie ; Aglamorphe ou aux formes brillantes, nom quelquefois également
donné
à Apollon ; Alysius ou qui délivre des soucis ; A
s fêtes. Déliez la ceinture ? d’où vint le nom de Dithyrambe que l’on
donna
ensuite aux hymnes que l’on chantait en son honne
eleus et Elelen et Eleutherios ou libre de toutes peines, nom que lui
donnaient
encore les bacchantes ; Enorchos nom qu’on lui do
nom que lui donnaient encore les bacchantes ; Enorchos nom qu’on lui
donnait
par suite des danses qui avaient lieu dans ses fê
e Nysa en Arabie, et fut un conquérant des Indes ; un autre auquel on
donne
des cornes, était fils de Jupiter et de Proserpin
Thyoné et fille de Cadmus roi de Thèbes et d’Hermione. Les Orphiques
donnaient
encore Misée pour mère à Bacchus. Il perdit sa mè
ant en lierre ; Lusus était, dit-on, un lieutenant de Bacchus, lequel
donna
son nom à la Lusitanie actuellement le Portugal ;
arcé de Physcoa, institua des sacrifices en l’honneur de son père, et
donna
le nom de sa mère à un chœur de musique des fêtes
a, ce qu’il annonça au monarque, lequel en fit du vin, d’où les Grecs
donnèrent
son nom Oinos à cette liqueur. Staphyle ensuite é
ux de manger de la chair humaine. Aussitôt elles tirent au sort à qui
donnerait
son enfant, et Leucippe ayant été désignée, elle
e, festin que l’on faisait précéder par des fêtes, dans lesquelles on
donnait
une coupe pour prix, et que l’on terminait en buv
on Placidus ou l’immobile, et Quadratus ou le carré. En effet, on lui
donnait
toujours la forme d’une borne carrée, à tête huma
et lui élevèrent un temple magnifique sur une montagne à laquelle ils
donnèrent
son nom. Carne ou Carnée, fils de Jupiter et d’E
. De cette naissance douteuse, vinrent les noms et surnoms qu’on leur
donnait
: on les appelait donc : Dioscures ou fils de Jup
duisit Castor et Clytemnestre, tous deux mortels, l’autre de Jupiter,
donna
naissance à Pollux et à Hélène, héritant de l’imm
gnèrent les autres habitans, qui, en souvenir de cette clémence, leur
donnèrent
le surnom d’Anaces ou de rois bienfaiteurs, et le
de la foudre en mémoire de sa naissance. Corinthus, fils de Jupiter,
donna
son nom à la ville d’Ephyre, qui depuis s’appela
lui succéda au trône, et fut père de Tros. Dioscures, nom que l’on
donne
à un grand nombre de héros et demi-dieux, mais c’
u Egine de nouveaux habitans, auxquels en mémoire de leur origine, il
donna
le nom de Myrmidons ; allégorie qui prêterait à c
inrent des espèces de divinités champêtres. Ellops, fils de Jupiter,
donna
son nom à une tribu de l’île d’Eubée, qui prit de
ocha de n’être pas issu des dieux. Mais la preuve que Phaéthon lui en
donna
, fit mourir ce fils d’Apollon. Ethalion, fils de
rotogénie, fille de Deucalion. Ethlétères ou Lutteurs, noms que l’on
donnait
à Caslor et Pollux, fils de Jupiter. Ethlios, fi
emier roi des Eléens. Gargare, fils de Jupiter, naquit en Troade, et
donna
son nom à une montagne, une ville et un lac, situ
ville et un lac, situés en cette province. Géreste, fils de Jupiter,
donna
son nom à une ville de l’île d’Eubée. Hercule, l
Callinique ou le brillant et excellent vainqueur, nom que Télamon lui
donna
pour se faire pardonner d’être entré dans la vill
tentrionale, Mélampyge ou aux fesses noires : nom bizarre qui lui fut
donné
parce qu’une mère ayant menacé ses deux enfans, A
rères Cécropes cherchant querelle à tout le monde, avec menace de les
donner
au Mélampyge, ils rencontrèrent Hercule, qui aprè
nité analogue à l’Hercule Grec, et peut-être était-ce celui auquel on
donnait
Europs pour père. Cicéron compte six Hercules qu’
ge, aussi elle se radoucit à la prière de Pallas, et consentit même à
donner
son sein à ce jeune héros, mais Hercule aspira le
es couleurs et ses brillans habits. Mais Hercule ne balança point, et
donna
la préférence à la valeur. Hercule pendant le tem
urt, dompte le terrible animal et l’amène devant le prince ; puis lui
donne
la liberté, car il était consacré aux Dieux, et a
re, à l’exception de Priam, son fils, qu’il mit sur le trône et qu’il
donna
à Télamon, son ami, Hésione en mariage. Plus tard
e de Minos. Ce qui fut cause de la fameuse guerre de Troie, dont nous
donnerons
bientôt la description. 11° Antée, fils de la Ter
les peuples adorateurs de ce héros, en lui prêtant ce trait fabuleux,
donnèrent
à ces deux rochers, le nom de Colonnes d’Hercule.
s fait prisonnières Antiope, Astérie et même la reine Hippolyte qu’il
donna
ensuite en mariage à son ami et compagnon, le bra
ur jardin un arbre qui portait des pommes d’or, arbre que Junon avait
donné
à Jupiter le jour de leurs noces. Les fruits de c
lus rebelles, comme Hippomène l’éprouva avec la fière Atalante, ou de
donner
de l’éloquence. Aussi avait-on mis pour défendre
euse est fort obscure, et toutes les explications que l’on a voulu en
donner
, n’ont rien présenté de bien clair. Ici les pomme
et Thésée, combattre également plusieurs de ces monstres auxquels on
donnait
le nom de Centaures. Après cette victoire, Hercul
passant d’Italie en Sicile, il tue le vorace Scylla et plus tard, il
donne
la mort aux brigands Termère et Cycnus. Mais rev
ontrées, fut tellement charmé du courage de ce jeune héros, qu’il lui
donna
en mariage ses cinquante ou cinquante-deux filles
Hippodamie ; Hypermnestre, mère d’Amphiaraüs et d’Iphianire ; on lui
donne
aussi pour époux Oidée, avec lequel elle aurait é
icratie, mère d’Euryops ; Toxicrate, mère de Lycius. Quelquefois l’on
donne
encore à Thespius le nom de Tethras ou Teuthras,
donna qu’on le vendit publiquement et que l’argent de cette vente fût
donné
aux enfans d’Iphitus ; alors Mercure fit cette ve
’il avait avec sa fille ; Théodamas, roi des Dryopes, avait refusé de
donner
quelque nourriture à Hercule, et enfin les nombre
dère, qui fut devoré par les chevaux de Diomède, qu’Hercule lui avait
donnés
à garder pendant qu’il était allé exterminer les
unéraire. Baleus fut inhumé dans les iles Baléares, auxquelles il
donna
son nom ; Chalcodon, père d’Elpénor et l’époux d’
ait deux colonnes chargées de caractères phéniciens, et auxquelles on
donna
le nom de colonnes d’Hercule. Ce culte ensuite pa
en mémoire du secours [ILLISIBLE] neveu et cocher d’Hercule lui avait
donné
pour combattre l’Hydre de Lerne. Ces fêtes célèbr
efféminés. Sans compter Omphale, Déjanire et les Thespiades, la fable
donne
encore une assez grande quantité de maîtresses à
Psophis en Arcadie, et mère d’Echephron et de Promachus ; Pyrène, qui
donna
son nom aux Pyrénées ; Rhéa, la prêtresse, mère d
sp. Stratonice ; Atys d’Omphale ; Aventinus, de la prêtresse Rhéa, et
donna
son nom au mont Aventin ; Bargalus de Barga, conf
Laonomène ; Céleustanor de la Thesp. Laothoé ; Celtus de Celtine, il
donna
son nom aux Celtes ; Chersibius de Mégare, tué pa
nnus et Helvétik, fils de mère inconnue et frères de Boïus, le second
donna
son nom à l’Helvétie ; Hippeus d’une Thespiade ;
ns son accès de folie ; Thassala d’Epicaste ; Thessalus de Chalciope,
donna
son nom à la Thessalie ; Tiburnus ou Tiburtus, fo
avait pour père, selon d’autres Amphiaraüs ; Tigasis ou Tusculus, qui
donna
son nom aux Tusci ou Etruriens, Souvent dans le c
da la macédoine l’an 807 av. J.-C. ; Céryne, fils du roi d’Argos, qui
donna
son nom à la coline sur laquelle Hercule surprit
ait, vers l’an 1437 av. J.-C. ; il bâtit plusieurs petites villes, et
donna
à l’une d’elles le nom de son épouse. Il érigea s
sommet d’une montagne, sur laquelle croissaient des grues, ce qui fit
donner
à cette montagne, le nom de géranienne. Mélitée,
émoin de son vol de bestiaux Battus, berger de Pylos, auquel il avait
donné
, pour prix du secret, la plus belle des vaches qu
ses marteaux. Jupiter enchanté de ses malices et de son adresse, lui
donna
les fonctions d’Échanson, et le choisit pour le c
alors se fâcha sérieusement, le priva de sa charge d’Échanson, et la
donna
à Ganymède ; puis le chassa de l’Olympe et l’envo
ces deux têtes et se fit ainsi un sceptre, symbole de paix, auquel il
donna
le nom de Caducée. Cependant, on raconte aussi qu
ux naïades des environs de la recevoir, mais Lara eut l’imprudence de
donner
avis de cette défense à Juturne et à Junon, ce qu
Alcidamie bâtit un temple à Junon, à Corynthe ; Caïcus, né d’Ocythoé,
donna
son nom à un fleuve de Mysie ; Céphale, fils de M
is, né d’Ogygès ou d’Ogygus, ou de Mercure et de l’Océanide Daïre, il
donna
son nom à Eleusis ; Érytus, fils d’Antianire, frè
ns, qui vint habiter la Sardaigne ; Palestre, née de mère inconnue et
donnée
aussi pour fille à Hercule, avait inventé la lutt
, roi des Argiens, et il eut pour successeur Adraste, auquel il avait
donné
asile à sa cour ; Priape, que nous savons fils de
ne bourse à la main, comme Dieu des négocians et des voleurs ; on lui
donne
des ailes noires ou blanches, suivant qu’il est m
i d’Itone, fille de Lycius, dont il eut Lycaste, père de Minos II. On
donne
encore pour fils à Minos premier, Eurymédon, Chry
s la maison de Dédale, et que la reine accoucha d’un enfant auquel on
donna
le nom de Minotaure, par suite de la ressemblance
sur tous les rivages, des colonies sur tous les points ; au dedans il
donna
plus de force aux lois instituées par son aïeul,
généalogie déjà connue s’établit ainsi : Érecthée et Praxithée ayant
donné
le jour à Mérope et à Métion ou Eumelion, celui-c
prince, dans la crainte d’encourir la haine de Minos, ne voulant lui
donner
asile, il fut chercher et trouver l’hospitalité v
pour fils de Jupiter et d’Euryméduse ; il régna dans la Thessalie, et
donna
son nom aux habitans d’Égine, île du golfe Sérani
a sa mère contre le tyran de Seriphe, Polydecte, qui, après lui avoir
donné
asile, voulut de force l’obtenir pour épouse ; Po
venger leur sœur ; mais son sang qui vient de toucher la terre, ayant
donné
naissance à une foule de serpens, ainsi qu’à Chry
s son arrivée, propose à Céphée de délivrer sa fille s’il veut la lui
donner
en mariage ; le père accepte, et Persée aussitôt
ythologues ne sont pas tout-à-fait d’accord sur cette famille, ils ne
donnent
pour enfans de Persée qu’Alcée, Electryon, Mestor
de sa belle chevelure, elle fit naître des serpens sur sa tête et lui
donna
une teinte couleur de rouille pour remplacer la b
ttant au monde, d’où l’on supposa qu’il sortit de la terre, qu’on lui
donna
ensuite pour mère. Il voulut, on s’en souvient, f
Libye, mais comme simple dompteur de chevaux. Puis, quand on lui eut
donné
la puissance des eaux on admit sous son nom les d
; il en fut de même lorsqu’il voulut disputer à Minerve l’honneur de
donner
son nom à la ville d’Athènes : cet honneur était
soudain le cheval s’élance du sein de la terre ; mais la sage Minerve
donne
naissance à l’olivier, symbole de la paix, et de
même Déesse au sujet de Trézène ; alors Jupiter, pour tout concilier,
donna
le titre de roi de Trézène à Neptune, et celui de
si le royaume d’Argos, fondé par Inachus qui fut pris pour arbitre et
donna
la palme à la Déesse, décision dont Neptune se ve
Ainsi ni lui, ni le Cephise, ni l’Astérion, ni le Phoronée ne purent
donner
d’eau qu’après le temps des pluies. Plus tard enf
crifiait un bélier et l’on faisait de nombreuses cavalcades ; puis on
donnait
, pendant toute la durée de ces fêtes, congé aux c
t d’exister après la ruine de Corynthe par Mummius ; mais les Romains
donnèrent
alors aux Sicyoniens le droit d’y présider comme
ce fut toujours Amphitrite qui fut son épouse légitime, à laquelle on
donne
encore les noms de Vénilie, ou le flux ou l’agita
sentation, dont la naissance est attribuée à Amphitrite, quoique l’on
donne
aussi quelquefois ce nom à Bacchus. Benthésicyme,
ôtes du Péloponèse. Lamies, eut avec Jupiter la Sibylle Hérophile. On
donnait
aussi ce nom à une reine, dont la férocité du car
de Neptune, voici l’énorme liste de ses fils : Abas, fils d’Aréthuse,
donna
le nom d’Abantis à l’île d’Eubée, Achée ou Akhée,
’Egypte la ville de Thèbes, la Béotienne, à laquelle ce fils d’Agénor
donna
de sages lois. Il eut quatre filles de son épouse
is presque toujours on le confond avec Polydore, son oncle, auquel on
donne
aussi quelquefois le nom de Penthée. Puis Agavé é
vé épousa Lycotherse, roi de Thèbes, en Illyrie, et le fit périr pour
donner
un trône à son père. Cadmus eut encore, dit-on, u
d’enfans, l’adopta d’un commun accord avec Péribée sa femme, qui lui
donna
le nom d’OEdipe ou aux pieds enflés. Si nous suiv
ênes du gouvernement Thébain, proposa, pour faire cesser ce fléau, de
donner
la couronne et la main de sa fille à celui qui dé
énigmes que le sphinx leur présentait, quand la reine déclara qu’elle
donnait
son consentement aux propositions publiées par so
ne ; mais on ajoute encore Agria et Thersandre, père de Tisamène, qui
donna
le jour à Autésion, enfant peut-être d’Euryganie
our à Autésion, enfant peut-être d’Euryganie ou d’Hyperphas, que l’on
donne
à OEdipe pour seconde femme. Après quelques année
re Thèbes avec une armée commandée par sept chefs, d’où vint que l’on
donna
à cette campagne le nom d’expédition des sept che
n et d’Hypermnestre, fille du roi Thestius ou Thespius, mais comme on
donne
aussi pour mère à Amphiaras Clytemnestre fille de
ement, Eriphyle, séduite par la promesse que lui fit Polynice, de lui
donner
le collier et la robe d’Harmonie, indiqua le lieu
par Amphiaras qui, jaloux d’avoir vu Minerve descendre des cieux pour
donner
ses soins à Tydée qu’il n’aimait pas, lui avait e
que l’oracle le lui avait ordonné et pour obéir encore à l’oracle, il
donna
en mariage Argie, à un lion dans la personne de P
ête des fils des premiers chefs, d’où vint le nom d’Épigone, que l’on
donna
à ces chefs de la seconde expédition contre Thèbe
éides, servir quelquefois à traîner le char du dieu de la mer, qui le
donna
à Caprée roi d’Haliarte, lequel en fit présent à
e et de Symé ou Zyma, imposa le nom de sa mère à une île. Cromus, qui
donna
le nom de Cromyon à un village de la Corynthie ;
re d’Alébius et tué comme lui par Hercule ; Dicoeus, fils de Neptune,
donna
son nom à la ville de Dicée, il avait un frère no
ls de Callirhoé ; Dictys d’Agamède ; Dorus d’Alope, fille de Cercyon,
donna
son nom à la Doride Carienne ; Dyrrhaque d’Epidam
était Hippotès, époux de Ménècle, fille d’Hyllus ou Jupiter qu’on lui
donnait
pour père, néanmoins on prétend aussi qu’Égeste f
succéda à son père dans le gouvernement du royaume de Phthiotide, et
donna
le nom d’Eoliens à ses sujets précédemment appelé
urant la mer Thyrrénienne, s’empara des îles vulcanies, auxquelles il
donna
son nom et où il fit construire la ville de Lipar
gurer en Italie avec Enée, un quatrième personnage, du nom d’Eole. On
donne
aussi pour enfans à ces divers Eoles : Agathirne,
e, Phérée, mère d’Hécate et Tanagre, fils ou fille d’un Eole, puis on
donne
Pisos fondateur de Pise, comme petit-fils d’un au
Latins l’ont entouré des plus aimables images. Ainsi, au lieu de lui
donner
pour femme Chloris, fille d’Arcture, ils laissaie
hloris, fille d’Arcture, ils laissaient cette belle au seul Borée, et
donnaient
pour amante à Zéphyre leur déesse des fleurs et d
son frère Otus, fils d’Iphimédie ; Épopée ou Épaphus, fils de Canacé,
donna
asile, vers l’an 1363 avant J.-C., à Antiope, fil
rès l’avoir purifié, l’associèrent à leur immortalité, et Apollon lui
donna
le don de prophétie. Après sa métamorphose il aim
re n’était pas représenté de même par tous les écrivains, les uns lui
donnaient
six cous et six têtes, et à chaque tête six rangs
inos dans une ville à laquelle lui ou Megareus, fils d’Apollon, avait
donné
son nom ; Melas, né de mère inconnue, est confond
, de diamètre, de figure et de cours. D’origine inconnue, les uns lui
donnèrent
Neptune pour père, comme le supposant venu par me
on règne, que la Béotie prit le nom d’Ogygie, nom, du reste, que l’on
donnait
en Grèce à tout ce qu’une antiquité reculée envel
l’avenir au moyen des oiseaux, et fit bâtir une ville, à laquelle il
donna
son nom, et qui fut inondée lors du déluge de Deu
a guerre de Troye. C’est lui, dit-on, encore, qui, après une tempête,
donna
asile à Hélène et à Pàris, puis chassa ce dernier
ce fut lui qui conduisit une colonie à l’île de Taphos, à laquelle il
donna
son nom. Taras, dont la mère était une nymphe res
pposé fils de Neptune, en sa qualité d’habile navigateur, mais on lui
donnait
aussi Agnius ou Phorbas pour père ; il fut le pre
e avec le titre de sa légitime épouse ; Jason accepta. Alors elle lui
donna
une fiole remplie de sucs magiques, avec lesquels
use légitime. Jason se soumit à toutes ses volontés ; alors, elle lui
donna
, comme nous l’avons vu, les moyens de remporter l
resse déclare à Jason que le meurtre d’Absyrte, dont elle ne veut pas
donner
l’expiation, sera la cause des malheurs qui signa
n, fils de Comètès et d’Antigone fille de Phérès, naquit à Pirésie et
donna
son nom à la ville d’Astérium, dans la Thessalie.
princesse devient tout à coup amoureuse de Thésée, lui propose de lui
donner
un moyen de ne pas s’égarer dans le labyrinthe, e
célébrait tous les cinq ans, en l’honneur de Vénus, dont une statue,
donnée
par Ariadne à son amant, avait été déposée dans l
lement la garde des armées et le commandement des lois ; puis afin de
donner
plus de force à la religion, il institua plusieur
, ivres de leur victoire après la première expédition, défendirent de
donner
la sépulture aux ennemis succombés sous leurs arm
ourir. Aussitôt Thésée furieux et égaré par le mensonge de ce billet,
donne
ordre à son fils de se présenter à lui. Alors arr
er de Calydon, que l’on disait de la grandeur d’un taureau, auquel on
donnait
des soies en fers de lance, des défenses pareille
l’envoya avec les Grecs à la guerre de Troie. Alors, Pélée auquel on
donne
aussi pour femme Laodamus fille d’Alcméon, vécut
sion à l’humidité qui nourrit toutes les productions de la nature. On
donnait
encore pour épouses à l’Océan Pampholyge et Parth
céan et de Téthys, était un des trois cents fleuves que la Mythologie
donne
comme descendans primordiaux de ces deux divinité
strales, sous le même nom. Erymante fils d’Arcas et père de Xanthus,
donna
son nom à un fleuve et à une montagne d’Arcadie.
nes, dans lesquelles ils vont se baigner pour mériter le ciel. On lui
donnait
pour fille la rivière Tiase en Laconie. Évenus, d
pour fils de l’Océan et de Téthys, comme étant arrivé par les mers et
donna
son nom à un fleuve père de la nymphe Io, fleuve
anor. Ismenus fils de Pelasgue, n’était autre que le Ladon, auquel il
donna
son nom, dieu fleuve, dont les eaux coulaient en
hné, Syrinx et Telphusse, nymphe et fontaine, dont les eaux glaciales
donnèrent
la mort au devin Tirésias lorsqu’il en but. Méan
ens soutenaient qu’elle reparaissait chez eux sous le nom d’Asope. On
donnait
encore pour fils à Méandre, Calame, amant de Carp
ns lequel le sage Dolopion fut un des premiers sacrificateurs. On lui
donne
le nom de Xanthe, parce que ses eaux rendaient le
e, ou un fils de Mars ; il fut à peu près comblé par Hercule ; on lui
donne
Néère pour femme, Brangas pour fils, et pour fill
e trouvaient. Les filles de l’Océan et de Téthys, auxquelles on avait
donné
le nom d’Océanides, et dont le nombre dépassait p
d’eau bouillante, pour voir s’ils étaient immortels ; cependant ayant
donné
le jour au vaillant Achille, Pélée empêcha l’épre
ar ces raisons, décidés à les placer toutes à la suite de Neptune. On
donnait
le nom de Nymphes aux jeunes filles issues des di
i demeuraient sur le mont Cithéron ainsi que les Muses, auxquelles on
donnait
le même nom. Commoties, nymphes du lac Catiliensi
s, nymphes de Junon, préposées aux bains de cette déesse. A Argos, on
donnait
ce même nom aux prêtres de cette divinité. Glyph
nt, elle passa à côté d’un lotos et en cueillit une fleur pour la lui
donner
; son étonnement fut grand en voyant le sang coul
e. C’est elle qui inspirait Numa et lui dictait les lois qu’il devait
donner
au peuple Romain. Son amour pour lui était tel qu
t de l’endroit où était la pierre et forma un fleuve auquel la déesse
donna
le nom de son amie. Dans la suite, on lui éleva u
avait pour épouse sa nièce, fille de Cérès, sur laquelle nous allons
donner
quelques détails. Cette reine des enfers, général
même elle s’éprend d’un véritable amour quoiqu’on ait bien voulu lui
donner
pour amans Thésée et Pirithoüs. En effet, s’ils d
s de l’horizon, aux enfers, quand ils se cachent sous cette ligne. On
donne
à Proserpine, pour fils, comme épouse de Jupiter,
lui reconnaît aussi pour fils Zagrée, ou le grand chasseur, et on lui
donnait
pour filles les Euménides, dont nous allons parle
ait universel ; en effet, les Siciliens croyant que Jupiter lui avait
donné
leur île, l’honoraient particulièrement ; ils lui
l’on confond toujours, mais à tort, avec Proserpine, à laquelle on ne
donne
le surnom de Cotytto, que pour montrer la rapidit
puyé sur une urne renversée, d’où s’écoulent des ondes bourbeuses. On
donnait
pour enfans, à ce fleuve, Ascalaphe, déjà connu,
Achon-Charon ou marais de Charon, car une fable également égyptienne
donna
du relief à ce marais, et plus tard la fable se t
ansmigration des ames d’un corps à un autre, croyance à laquelle on a
donné
le nom de Métempsycose, était reçue chez tous les
rrosives. Le nom de ce fleuve voulait dire haïssable et lui avait été
donné
probablement à cause de la mauvaise qualité de se
lui-ci était roi de Crète et fils de Jupiter-Astérius et d’Europe, il
donna
des lois si sages à son empire, qu’Homère assure
er et de la nymphe Égine, et régna dans l’île d’Europe, à laquelle il
donna
le nom de sa mère. Quant à Rhadamanthe, troisième
, ou en Syrie, et il y fonda un grand nombre d’établissemens. Il leur
donna
de sages lois, civilisa ces peuples ignorans, ens
Achéron les Dires, ou Imprécations ; et avec le soleil, Momus. On lui
donne
beaucoup d’autres enfans dont elle seule fut mère
l’autre, blanc, emblème du Sommeil et du Jour ; souvent enfin, on lui
donne
les traits d’une femme en deuil, couronnée de pav
t de dormir. L'on consacrait à la Mort l’if, le cyprès et le coq ; on
donnait
la Fraude et le Chagrin pour enfans à cette déess
aroles, personnifications de maux auxquels déjà plusieurs auteurs ont
donné
la Nuit pour mère. Le premier des enfans de la Di
une lance dans l’autre, ou un frein et un compas ; les Étrusques lui
donnaient
un diadème de pierres égyptiennes, et les habitan
useau en un fil représentant les jours et l’existence humaine. On lui
donnait
un air riant et aimable, et pour vêtement une rob
ou le présent, et la troisième des ciseaux ou l’avenir. Hésiode leur
donnait
un visage noir, des dents meurtrières et des rega
ois sœurs l’invention de quelques lettres de l’alphabet grec. On leur
donnait
pour demeure ou un antre ténébreux du Tartare, sy
vers attributs, en parlant de Diane, divinité infernale à laquelle on
donnait
le nom d’Hécate, lorsqu’elle exerçait son pouvoir
mbo ou Isis souterraine des Égyptiens, adoptée par les Grecs, qui lui
donnèrent
alors pour fils, Egialée, comme né de son allianc
vait été, disait-on, tellement aimé de Neptune, que ce dieu lui avait
donné
, pour joûter avec Œnomas, un char d’or et des che
par la sagesse avec laquelle il administra son gouvernement, puis il
donna
sa fille Ethra en mariage à Égée, roi d’Athènes.
ait rendu père de trois fils, Alcon, Eumolus et Mélampus, auxquels on
donna
, comme aux Tyndarides, le surnom d’Anaces ou Dios
Atrée avait trouvé le bélier à toison d’or chrysomalle, qui avait été
donné
par Mercure, de la part de Jupiter, à Pélops, ave
tant toujours le rapt de sa sœur Hésione, qu’Hercule avait enlevée et
donnée
à son ami Télamon, père d’Ajax le Télamonide, env
r y recueillir sa succession ; reçu avec aménité par Ménélas, qui lui
donna
l’hospitalité, il eut la lâcheté de profiter d’un
t l’histoire fabuleuse de la Grèce a propagé le souvenir, nous allons
donner
les noms des guerriers les plus célèbres de ces d
r les assassins d’Agamemnon du trône et de la vie. Oreste, vainqueur,
donna
Electre en mariage à Pylade, son ami et le compag
rt aussitôt pour la Tauride ; là, on lui dit qu’Iphigénie elle-même a
donné
le coup de la mort à son frère. Soudain, elle s’e
prétendans d’Hélène, fille de ce roi. Cette jeune et belle princesse,
donna
la préférence à Ménélas, qui devint par là l’héri
par Pandare contre la foi jurée. A la prise de Troie, ce fut lui qui
donna
des ordres pour qu’on respectât la maison d’Antén
r qui disent les uns, livra son pays à Pâris, ou, suivant les autres,
donna
d’abord l’hospitalité à ce ravisseur, puis le ren
plus assuré de sa fidélité ; aussi, de là, vinrent que les Arcadiens
donnaient
aux eunuques le nom de Péritanes. Après la mort d
s mutilations qu’ils exercèrent sur ce malheureux prince avant de lui
donner
le coup de la mort. Alors, Ménélas reprit Hélène
et Astyanasse, qui lui vola, dit-on, une ceinture que Vénus lui avait
donnée
; enfin, la mort enleva Ménélas et Hélène fut reç
rt, il ne put refuser de suivre les autres Grecs en Asie. Sa mère lui
donna
en pleurant des armes forgées par Vulcain. Il s’e
t eu avec Iphigénie ou mieux avec Déidamie, fille de Licomède. On lui
donnait
en outre pour fils Euphorion, né, disait-on, de s
t fit reculer Hector ; mais il fut blessé par Pâris aux jeux funèbres
donnés
par Achille, en l’honneur de Patrocle ; il emport
tous ses ennemis, ce qu’il exécuta. Daunus, pour le récompenser, lui
donna
tous les pays qu’il avait conquis et Diomède se t
ou on le voit dix ans après recevoir Télémaque dans son palais et lui
donner
des conseils sur les moyens de retrouver Ulysse.
de Cypre, où il bâtit un temple à Jupiter et une ville à laquelle il
donna
le nom de Salamine, où ses descendans régnèrent l
ée, car Antyclée avant son mariage avait eu Sisyphe pour amant ; elle
donna
à Ulysse deux sœurs, Climène, épouse d’Euryloque,
ue ceux-ci avaient enlevés ; il fut reçu par Orsiloque, et Iphite lui
donna
des flèches et un arc que lui seul pouvait bander
e expédition, par sa bravoure et surtout par les conseils sages qu’il
donna
aux Grecs. Ce fut lui qui fit par adresse arriver
ant les rois assemblés, et Ulysse remporta la victoire. C'est lui qui
donna
ou du moins appuya l’idée du cheval de bois, que
e et fut ensuite dans les îles Éoliennes, où le roi des vents les lui
donna
tous, renfermés dans des outres, excepté Zéphyre,
le conduisit au palais de son père qui l’accueillit avec distinction,
donna
des jeux en son honneur, et lui fournit les moyen
sans se faire reconnaître, une entrevue avec Pénélope, à laquelle il
donne
des nouvelles de son époux, en l’assurant qu’il s
le, on le conçoit, de citer tous les noms. Ainsi, à part Alcinoüs qui
donne
des fêtes à ce célèbre naufragé, c’est Anabasmée
Alors il fit construire, au pied du mont Ida, une ville à laquelle il
donna
le nom de Dardanie et que depuis on appela Troye
on le fait époux de Nyso, c’est une fille du nom de Sibylla qu’on lui
donne
. Ses descendans prirent ensuite le nom de Dardani
re de Tros, dont le nom semble signifier roi ou seigneur. Ce Tros qui
donna
le nom de Troie à la ville de Dardanie, eut de Ca
la ville, la prit d’assaut, tua Laomédon et s’empara d’Hésione qu’il
donna
à son ami Télamon. Laomédon avait épousé ou Strym
sa beauté ; comment elle l’enleva pour le présenter à Jupiter qui lui
donna
l’immortalité, et comment, ayant eu l’imprévoyanc
Néoptolème ayant quitté Andromaque pour Hermione, fille d’Hélène, il
donna
cette épouse d’Hector à Hélénus frère de ce héros
s après ce procès, un des fils de Priam lui enleva un taureau pour le
donner
au vainqueur dans les jeux funèbres qu’on célébra
antôt il découvrit aux Grecs les desseins des Troyens, tantôt il leur
donna
des conseils. Il leur fit passer le palladium, le
originaire de la Troade, lui fit l’accueil le plus affectueux et lui
donna
les plus riches présens. En quittant la Sicile po
s instructions de son père, fonde, en Sicile, une ville à laquelle il
donne
le nom d’Aceste, et laisse les troyennes et les v
époux d’Amate. Ce roi le reçut on ne peut plus favorablement, et lui
donna
sa fille Lavinie en mariage, ce qui fit naître un
ntée, ville capitale de ce roi, qui le reçoit avec distinction et lui
donne
quatre cents chevaux commandés par son fils Palla
une ville en l’honneur de Lavigie, son épouse, fille de Latinus, lui
donna
le nom de Lavinium, et il y régna en paix pendant
toute-puissante cité s’arrogea la possession du vrai palladium et se
donna
les titres d’héritière directe, de fille et d’ima
A la famille d’Enée, par un fils d’Enée et de Lavinie, fils auquel on
donne
trois frères, ou par un fils d’Ascagne ou par le
s pertes qu’ils ont faites et les dangers qu’ils ont courus. Elle lui
donne
un asile dans son palais, elle prodigue à ses com
ait au mois de mai, et voici quels étaient les noms que les Athéniens
donnaient
à leur division mensuelle, Maios, Mai ; Delphinio
eurs et tenant une corne d’abondance ; quant au mauvais Génie, on lui
donnait
la figure d’un vieillard avec une barbe longue, d
rsé celui de la vertu, autrement dit, peut-être, celui du courage. On
donnait
pour attributs à l’Honneur une couronne de laurie
is institua le mariage, les lois, l’écriture et l’agriculture. On lui
donnait
les noms et surnoms de Bifrons ou à double front
e l’Italie, et pour sœur Camasène ou Camesène et Vénilie ; on les lui
donne
également pour femmes, ainsi que Juturne ; il eut
é manger jusque dans l’autre monde, quand ils n’étaient pas sages. On
donnait
à ce croquemitaine de grandes joues, une grande b
enfaisance, se composait de Knef, de Fta et de Fré. Knef, auquel on
donne
pour synonyme Cneph, Nef, Nev, Nouf, Nouv, Noub,
rcher. On le représente tantôt sous la forme humaine ; tantôt, on lui
donne
une tête de bélier ; tantôt, sous celle d’un béli
identifiait souvent, mais partiellement à d’autres dieux ; aussi, lui
donnait
-on les attributs symboliques des divinités dont i
ion et d’un crocodile. Il laissa pour enfans ou du moins se scinda et
donna
naissance à To ou la Terre, supposée ainsi être u
génératrice humide unie à Fta, c’est-à-dire au feu par excellence. On
donne
à Athor pour emblème le vautour, signe de la mate
re, car les Egyptiens en firent le dieu-soleil ou fils du feu. On lui
donne
pour épouse la lune ou soleil gumide, d’où résult
èbes. Les prêtres Egyptiens supposèrent ensuite que Knef, après avoir
donné
à Fta, ou principe vivifiant de la chaleur, la mi
ein, il confia le gouvernement de ses états à Isis son épouse, et lui
donna
pour conseiller le sage Hermès, et pour chef des
yphon fait apporter un coffre d’un ouvrage admirable, et promet de le
donner
à celui qui le remplira de son corps : chacun ess
s, mais Osiris au tombeau et semblant se ranimer. Si l’on crut devoir
donner
un nouveau nom à Osiris au tombeau, on en fit tou
enfaits de la civilisation, et surtout l’agriculture, à laquelle elle
donna
particulièrement ses soins, tandis que son époux
lit cet époux à Philes, où elle institue des fêtes en son honneur, et
donne
à son tombeau la forme d’un bœuf. Isis, après avo
, sa mère, ayant trouvé son cadavre dans le Nil, le ressuscita et lui
donna
l’immortalité, la connaissance de la médecine et
; alors, Typhon fut chargé de chaînes et conduit devant Isis, qui lui
donna
la liberté ; mais, ayant recommencé de nouvelles
Thoth, ou Thaaut, ou Theuth, était un dieu Egyptien auquel les Grecs
donnèrent
le nom d’Hermès : il fut chargé par Osiris d’aide
premier Dynaste ou souverain Egyptien connu étant Ménès, nous allons
donner
les noms des décans que, tour à tour, selon Dupui
urnom de Phrouron, car il a comme lui Ptébiou pour décan. Après avoir
donné
la liste de tous ces décans, ou Dieux secondaires
eux planétaires, divinités également du second ordre, auxquelles on a
donné
le nom de Treize-Douze. Ces dieux planétaires, to
égyptien supérieur Fta ou du moins son incarnation sidérique ; on lui
donne
pour épouse Anouke, la dynaste, espèce de vesta g
planétaire ou le Mercure grec, est le dieu supérieur Piromis ; on lui
donne
pour épouse la dynaste Bouto II, ou Latone grecqu
s importantes ; tels étaient : Agathodémon, dieu égyptien, auquel on
donnait
le rôle sublime de bienfaiteur. Le serpent inoffe
abituellement, on personnifie le Nil en un dieu appelé Noute-Feu, qui
donna
le jour à une fille du nom de Memphis et épouse d
héniciens, qui en firent un synonyme de Crone ; puis, les Crétois lui
donnèrent
le nom d’Abélios. Cependant Baal, dans l’origine,
n chez les nègres de la Guinée, qui le supposent blanc, tandis qu’ils
donnent
la couleur noire à Démonio, le principe du mal. L
t, et bientôt ces alimens se trouvent absorbés. Si le repas qu’on lui
donne
est abondant, il ne fait pas de mal ; mais si l’o
on encore circoncis, et le garde dans son ventre jusqu’à ce qu’on lui
donne
des alimens en plus grand nombre. Kikokko, dieu
r leurs femmes. Celles-ci ne manquent jamais d’obéir aux ordres qu’il
donne
; le serment le plus sacré des nègres est de jure
éjà connus, mais encore quelques divinités sur lesquelles nous allons
donner
de légers détails ; ainsi : Kolpiah, était l’êtr
ellence des Phéniciens ; il épousa Baaut, la nuit primordiale, et ils
donnèrent
naissance à Protogone et à Eon, ou le temps qui n
hrate. C'est sous le nom d’Astarté qu’elle est le plus connue. On lui
donnait
une naissance extraordinaire : un œuf, disait-on,
C'est lui qui enseigna aux hommes à se couvrir de la peau des bêtes,
donna
l’essor aux arts, à la civilisation dans la Phéni
monites, qui sacrifiaient des enfans vivans en son honneur, et lui en
donnaient
aussi à dévorer, lorsque quelque malheur les acca
n et avait les bras étendus comme afin d’embrasser ses victimes. Pour
donner
à cette idole une horrible puissance, ses prêtres
egardé comme le premier législateur des Indes. Brahmaisme. L'on
donne
le nom de Brahmaïsme à une secte toute puissante
orent Brahmâ seul, ce qui forme le Brahmaisme, d’où le nom de Brahmes
donné
aux prêtres indiens ; d’autres réservent toute le
i Abaricédi ou l’illimité ; Achariri ou l’incorporel ; Açouara, ou le
donné
au dernier ; Adajavaïa, ou semblable à lui-même ;
t voir tous les mondes gisant en germe et comme endormis, puis il lui
donne
le pouvoir de faire sortir ces mondes de ce lumin
cette création de Menou par Brahmâ, nous ajouterons que celui-ci lui
donna
en outre pour femme Sataroupa, et qu’il leur dit
Indiens prétend que Brahmâ ne peupla point ainsi la terre, mais qu’il
donna
naissance à quatre fils, Brahmân, Kchatriia, Vaic
de sa cuisse droite, et le quatrième de son pied droit ; puis il leur
donna
pour épouse, savoir : une femme de la race impie
on du destin de la mythologie Grecque. Pourtant la mythologie Hindoue
donne
aussi à Souaïambhouva, ou première émanation de B
tres sœurs sortirent de membres moins nobles. Ce fut à lui que Brahmâ
donna
les quatre Védams ou Védas, ou livres sacrés comm
s’en plaignit à son père ; celui-ci, fatigué de ses plaintes, lui en
donna
une de la race maudite des géans. C'est de ce lie
ce créatrice, se manifesta dans le Vishvakarman, ou grand ouvrier qui
donna
des formes à toutes les parties de l’univers et d
es, sur lesquelles bientôt on vit flotter Brahmanda, ou œuf d’or, qui
donna
naissance à Brahmâ, nommé pour cette raison Hiran
stes, dont l’un d’eux, grace à l’opération mystérieuse de Padma-Pani,
donna
naissance à la trinité hindoue ; seulement alors
à la planète de Saturne. On connaît sept Richis célèbres, auxquels on
donne
les surnoms de Maharchis, ou grands Richis, de De
rits malfaisans, et de faire avoir des enfans aux gens mariés. On lui
donne
un corps jaune, deux mains seulement, avec de ric
créateur des idéalités prototypes, dut épouser Sacti, de ce que l’on
donne
souvent pour femme de Brahmâ, de cette Sacti, le
u temps annuel, mensuel ou hebdomadaire chez les Indiens, nous allons
donner
les noms des dieux hindous, et des jours auxquels
n de Siva ; enfin, Brahmâ s’incarna dans le sein de cette épouse, qui
donna
le jour à Tchandra, ou dieu-lune. Boudha, génie
urtant ne pouvait sortir sans briser l’enveloppe qui le contenait, et
donner
inévitablement la mort à Soukra. Celui-ci, vaincu
itias se réunirent pour composer l’amrita, liqueur divine, qui devait
donner
l’immortalité ainsi que l’empire et le pouvoir de
et abnégation de soi-même ; alors, à lui seul, il fait les saints, et
donne
la mouki ou la béatitude éternelle ; car alors il
le et jeune épouse au palais de ses pères. Alors Daçaratha voulut lui
donner
l’empire, mais la reine Bharata voyant dans cet a
son existence, ses dix têtes et dix mains. Siva les lui rendit et lui
donna
le privilége de n’être tué qu’après qu’il aurait
iadjit, adorateur du soleil, était d’une telle piété, que le Dieu lui
donna
en récompense une escarboucle magnifique. Krichna
chna lui demanda cette pierre précieuse, mais il ne voulut pas la lui
donner
et la confia à son frère Praçana qui la mit dans
et la remet à Satiadjit qui, voulant le remercier de ce bienfait, lui
donne
sa fille Satiabhama pour épouse. Plus tard il mou
gée d’un lotos. Elle tient quelquefois un enfant dans ses bras et lui
donne
ses mamelles ; elle a aussi près d’elle un sac ou
ère contre les géans funestes, et lui apporta l’Amrita ou liqueur qui
donne
l’immortalité. Quant au grand serpent mythologiqu
es Souriavansi, aida les dieux à combattre les Daitias. Les Dieux lui
donnèrent
en récompense le privilége de dormir jusqu’à la v
glantes. Siva, comme Dieu feu, est l’esprit vital du monde ; alors il
donne
la vie aux uns, et détruit les autres ; tel est v
, ou le protecteur des mois, des saisons et de l’année et Içania. On
donne
à Siva cinq têtes, quatre mains et trois yeux à s
rt de cheveux épais. Quand on le représente comme dieu du mal, on lui
donne
des dents aiguës ; alors le feu sort de sa bouche
Cependant, forcé de paraître devant elle, il se coupa un doigt et lui
donna
à boire le sang qui s’échappa de cette blessure ;
erte de boutons. Alors Içouara, pour apaiser sa redoutable fille, lui
donne
deux suivans : Virapatra et Kouétrakouéla, plus u
édictions et de cadeaux ce pauvre Paria ; ensuite, son père lui ayant
donné
une armée d’Açouras ou génies funestes, elle fut
concernant Bhadrakali n’est plus la même ; dans cette contrée on lui
donne
le plus communément le nom de Mariatala, ou Renou
t de Siva. Kali ou Mahakali change de nom suivant l’emploi qu’on lui
donne
. Elle est Bhavani-Dourga, lorsqu’elle accompagne
sitôt après leur naissance. Santanou sauva le dernier, l’éleva et lui
donna
le nom de Bhichma qui devint un des plus illustre
eurs de l’île. On représente Skanda monté sur un superbe paon, on lui
donne
six têtes ; il habite ordinairement Kailaça, ou l
e lunaire, régnait dans l’empire de Sikata ; il eut deux filles qu’il
donna
en mariage à Kansa qui périt dans la guerre qu’il
ifier les souillures, de célébrer les mariages et les funérailles, de
donner
un nom aux nouveaux nés, de bénir les maisons, de
rappant les mains, va presque nu et mange sur place tout ce qu’on lui
donne
; ensuite, on aperçoit les Santadaven, qui formen
ête un vase en cuivre, dans lequel ils mettent les aumônes qu’on leur
donne
. Tous ces religieux n’ont pas le même dieu spécia
des mémoires de l’Orient, de M. Abel Rémusat. Le Bouddhisme auquel on
donne
en Asie seulement plus de 139 millions de croyans
son épouse le rendit père d’un fils que l’on nomma Rakholi. Elle lui
donna
ensuite une fille. Bouddha, ou du moins Ardachidh
int de salut ; au contraire, la religion samanéenne ou de Bouddha, ne
donne
point de limites terrestres à ses élus, et bien l
me ou huitième siècle de Jésus-Christ, le Brahme Sankara Acharia, qui
donna
au Sivaïsme sa dernière forme, et expulsa définit
t dans la Chine, où, dès le deuxième siècle de l’ère chrétienne, l’on
donna
à Bouddha le nom de Foé ou Fô ; et enfin dans les
t, tandis que ces derniers reçoivent seulement les aumônes qu’on leur
donne
. Les Chrâvakas lisent les saintes écritures au pu
ent être ornés leurs habits sacerdotaux ; mais l’empereur de la Chine
donna
sa protection au Lama jaune, qui obtint ainsi, de
au monde par suite d’une enflure qu’il eut au bras droit. Gné-Tséden
donna
le jour à un fils sorti de l’une de ses hanches.
Dieu lunaire Giam-Liang avait conseillé cette métamorphose. Le couple
donna
naissance à trois fils et trois filles. Pirrids
onna naissance à trois fils et trois filles. Pirrids ou Birrids, nom
donné
aux ames des damnés. Ils habitent les trente-six
nciens Chinois reconnaissait un Dieu unique et tout puissant ; on lui
donnait
le nom de Chang-ti, et quatre fois l’an, pour le
e ce dieu ; en conséquence, les surnoms les plus magnifiques lui sont
donnés
. Lao-Tseu est ensuite le plus célèbre des sages
rangent toutes les autres divinités. Cette principale secte du Japon
donne
le nom de Daïri, ou Kenrei ou de Tensin, c’est-à-
qui ont habité le Japon pendant des siècles innombrables, et qui ont
donné
naissance aux Japonais. On les nomme 1er Kunitoko
e avait reçu l’existence d’Isanagi, le dernier des Tensinsitsidaï, et
donna
le jour aux quatre Tsi-sin-Godai. Cette divinité
us de part à cette solennité, très-remarquable par le festin que l’on
donne
dans une salle remplie de jouets d’enfans. Dabis
euses pénitences et par ses miracles. Enfin, fatigué de la vie, il se
donna
volontairement la mort, d’où vient que ses adorat
eu, dans la mystérieuse entrevue avec cette jeune et belle fille, lui
donne
la solution de tout ce qui peut embarrasser les b
nt à celles des poissons. Xedor, saint célèbre, issu de race royale,
donna
, pendant sa vie, l’exemple de toutes les vertus.
ère et bonté, la plus haute et la plus sainte expression d’Ormuzd. Il
donne
l’abondance aux purs et purifie ceux qui aiment e
ibéhecht ; il préside en outre aux 3, 8, 15 et 23e jours du mois ; il
donne
l’éloquence ; il est le Hamkar ou coopérateur du
esse, née d’Ormuzd ; elle préside à la terre et à l’agriculture, elle
donne
du courage aux hommes et de douces chaleurs à la
t sous sa protection. Chahriver préside aux richesses métalliques et
donne
aux mortels tous les autres biens ; il a pour Ham
mois de l’année ; c’est lui qui distribue aux purs l’eau de pûreté et
donne
des alimens aux hommes. Il a pour auxiliaires Tac
ques. Achtad, préside à l’abondance, aux fruits et aux moissons ; il
donne
la force de remplir ses devoirs. Aver ou Aser, I
nt et le plus actif des Izeds, il est à la tête de tous les êtres. Il
donne
la santé, et combat toujours contre les Devs. Il
plaisirs durables. Il est d’une bienfaisance sans bornes ; aussi lui
donne-t
-on le nom d’oiseau protecteur du monde. Rachné-R
En l’absence de ce mauvais principe, Ormuzd continua sa création, et
donna
naissance aux sept Amchasfands, aux vingt-huit Iz
morts, ou le premier homme. Cependant, Ahriman ne resta pas oisif, il
donna
de son côté naissance aux devs, et à peine la tro
avons dit qu’Aboudad, taureau primordial, avait, suivant les Parses,
donné
naissance à Kaïomorts, le premier homme ; cependa
, voulut se jeter sur Ganéça, mais celui-ci lui sauta sur le dos, lui
donna
une meilleure ame, et s’en servit pour monture. L
eur fait consistent en petits animaux, viandes ou cuirs. Schkai, nom
donné
à l’être suprême, chez les peuples de la Russie A
des Iakoutes, est regardé comme le créateur de toutes choses ; on lui
donne
pour épouse la déesse Khoubé-Khatoun, c’est-à-dir
nord de l’Europe, c’est Alfra ou Alfader, ou le père universel, ayant
donné
aux hommes une ame qui doit vivre toujours, même
tait le superbe palais Valholl. Les merveilleuses épithètes qu’on lui
donne
sont au nombre de cent vingt-six. Il portait deux
Embla ou l’aulne, qu’ils formèrent d’un gros bloc de bois ; puis Odin
donna
à ce couple la vie et l’ame, Vilé, la marche et l
placé à l’entrée de la ville du ciel, était confiée à Heindal. On lui
donnait
la vue si perçante qu’il voyait à cent milles aut
all : Har, Ialnhar, Zhridi ou Zhrall. Ce Zhrall, par son fils Aparfi,
donna
naissance aux esclaves. Heimdall, ensuite, s’inca
rs et mineurs invoquent. Il fut élevé à Vanheilmr ; mais les Vanes le
donnèrent
en otage aux dieux pour recevoir Hamer à sa place
e pour l’empêcher de mordre le cable. De sa gueule sort une écume qui
donne
naissance au fleuve Vam. La captivité de Fenrir d
notre atmosphère, et posent les pieds sur notre globe ; de là on leur
donne
trois rôles ; ils sont dieux, juges et pontifes.
ables habitant au milieu des rochers, et dont l’écho est la voix. Ils
donnèrent
naissance au sanglier, monture du dieu Fouri ; il
sang mêlé à du miel, ils préparèrent l’hydromel, liqueur divine, qui
donnait
l’imagination, la sagesse et l’inspiration poétiq
ns la mer ; mais il les en retira lorsqu’ils lui eurent promis de lui
donner
l’hydromel. Gounlenda, fille du géant Souttoung,
nuages, qui surgit de l’énorme corne du daim colossal Eskthirnir, et
donna
naissance aux nombreux fleuves. Dans les profonde
rda, ou le passé, Vérandi, ou le présent, Skalda, ou l’avenir. Skalda
donna
son nom aux Scaldes, prêtres Scandinaves qui préd
t chargé d’aller lui présenter douze pommes d’or pour la déterminer à
donner
sa main à Fréi, mais il ne put jamais en obtenir
énus des Véliocasses, peuples qui habitaient la Neustrie. Ces peuples
donnèrent
le nom de cette déesse à leur capitale, qui s’app
e croyaient qu’il rendait la vie aux morts : aussi cette superstition
donnait
un courage audacieux à leurs guerriers. On le rep
à leurs dissentions, convinrent de gouverner chacun pendant un temps
donné
. Leur règne fut si doux et si juste que leurs suj
ogyne, et, sous ce rapport, il est quelquefois Ire, ou la matière, et
donne
naissance à la force vitale renfermée dans son se
t, sous cette forme, elle peuple l’Irlande, puis est immolée ; ce qui
donne
naissance à toutes les guerres qui ont succédé.
ples furent détronés par les Miléads ou guerriers, dont la domination
donna
naissance en Irlande à l’époque héroïque. Fenius
ou le fils de l’héritage, était fils aîné de Fenius-Forsa, ce qui lui
donne
un rapport presque identique avec les Fatochda, a
aire du minerai, les placèrent sous la garde des Firgaillans, et leur
donnèrent
le nom de Fin-Domhnan. Ces mineurs se croyaient p
daise des Tuatha-Dadans : elle était fille de Déal-Baoith ou Bath, et
donna
le jour à trois fils, Brias ou Uar, Juchor et Juc
s’établirent, une colonie de Tuatha-Dadans ou d’un peuple auquel ils
donnèrent
le nom de leur mère. Luighaidh-Lamhfada, de la r
t frères de Qonnor ; ils moururent sans postérité : seulement, Béanna
donna
son nom au comté de Béantry, Lamba au canton de L
sion de rentrer dans ses états ; mais le roi, tout en ayant consenti,
donna
secrètement ordre à Eogan de tuer Naois et de fai
avec Néaça, sa mère, restait à la cour de l’Ulster. Son père l’ayant
donné
en otage, viola son serment ; alors Qormaq irrité
a subsister le culte qu’il avait trouvé. Les légendes irlandaises lui
donnent
quatre fils : Er, Arbha, Fearon et Feargua. Enfi
Chili ; c’est le destructeur et le dévastateur de tous les biens ; il
donne
la mort à tous les êtres vivans. Gouénoupillan,
traire à la sienne ; de leur union naquit une fille nommée Ohina, qui
donna
le jour à trois fils, Te-ouettou-matarai, Oumar-C
et le maître des étoiles, le second règne sur la mer à laquelle il a
donné
naissance, et le troisième préside aux vents. Cet
re ; elle n’est pas aussi complète que nous aurions désiré pouvoir la
donner
, mais il nous a fallu nous limiter et nous nous s
demander à l’enfant raison des attributs, par exemple, pourquoi l’on
donne
au Temps une faux et des ailes, pourquoi Mercure
t servir à son éducation. Il seroit encore beaucoup moins possible de
donner
à la jeunesse celui de M. Noël, qui n’a été fait
obtient le suffrage des jeunes mères, et si ma santé me le permet, je
donnerai
l’année prochaine, les Arabesques des divinités a
ne première fable. Après avoir déïfié un grand roi, on imagina de lui
donner
des attributs faits pour retracer allégoriquement
loit remarquable et particulier ; voilà pourquoi il est impossible de
donner
une explication satisfaisante de tous les attribu
s, incestueux, etc. Des peuples privés de la seule lumière qui puisse
donner
l’idée parfaite de la véritable morale, auront sa
vindicatifs, injustes, équitables, barbares et compatissans. La Fable
donne
un amant à la chaste Diane ; quelquefois elle rep
Une chose très-remarquable, et dont (à ma connoissance) on n’a jamais
donné
de raisons ; c’est cette teinte de profonde mélan
des jeux et des ris ; mais ils le représentent avec des ailes et lui
donnent
des flèches de cyprès… L’Aurore sème des roses su
d’un amant malheureux qui rougit les fruits du mûrier. Le sang d’Ajax
donna
naissance au pied-d’alouette. Ces Fables lugubres
ette religion, cette croyance et le dogme reçu de la fatalité, ont dû
donner
aux anciens cette mélancolie habituelle si frappa
ut ce qui ne tient pas au souvenir et aux regrets qui l’occupent, lui
donne
l’air du calme et de l’indolence ; sa sensibilité
pandue du temps d’ Epictète et de Marc-Aurèle, contribua sans doute à
donner
plus de perfection à leurs ouvrages, qui néanmoin
certaines craintes, portoit malheur. Cette idée leur faisoit souvent
donner
de fausses épithètes aux choses qu’ils redoutoien
ur des Poëmes modernes et sur des représentations théâtrales qui n’en
donnent
nullement l’idée ; et que les savans n’ont vu dan
les plus odieuses ; et 2.° que les effets de son influence furent de
donner
au génie grec et romain une profonde mélancolie,
réfugia dans cette partie de l’Italie qu’on appeloit le Latium. Il y
donna
de si belles lois et gouverna ses peuples avec ta
hêtre. Jupiter partagea le monde avec ses frères ; il garda le ciel,
donna
l’empire des eaux à Neptune et celui des enfers à
les hommes, formèrent une belle femme, nommée Pandore, à laquelle ils
donnèrent
toutes les perfections. Jupiter, sous prétexte de
rfections. Jupiter, sous prétexte de lui faire aussi son présent, lui
donna
une boîte, dans laquelle tous les maux de la natu
-temps sur les bords du Styx ou de l’Achéron ; les Dieux leur avoient
donné
le pouvoir d’épouvanter les médians par d’effraya
le cou du malheureux pâtre, celui-ci en fut étranglé. Cette mort fit
donner
le nom de Cithéron à la montagne où le berger avo
voir recevoir l’expiation ; on enfonçoit en terre le glaive qui avoit
donné
la mort, l’expiateur faisoit immoler un jeune pou
des arts. Jupiter épousa Métis : ayant appris du Ciel qu’elle alloit
donner
le jour à une fille d’une sagesse surnaturelle, i
bâtit cette ville, Minerve et Neptune se disputèrent l’honneur de lui
donner
un nom ; les douze grands Dieux furent choisis po
des deux qui pourroit produire la chose la plus utile à la ville, lui
donneroit
son nom. Neptune, d’un coup de trident, fit sorti
ladium ressemble à celle du bouclier de Numa. Ancile est le nom qu’on
donna
à un bouclier que Numa assura être tombé du ciel
sommeil. Quand les Thyades furent réveillées, les Amphissiennes leur
donnèrent
à manger et les reconduisirent ensuite en lieu de
et à moitié nu. L’élégance de ce costume a beaucoup contribué à nous
donner
pour les vestales un intérêt que nos religieuses
ou sur leur litière lorsqu’elles iroient dans la ville. Auguste leur
donna
aux spectacles une place d’honneur vis-à-vis cell
ife, il se hâta de s’ôter lui-même la vie. La vestale Posthumia ayant
donné
de violens soupçons contre elle, par son luxe et
ice, d’autres le prévinrent, trouvèrent le moyen de s’évader ou de se
donner
la mort. Caparonia se pendit, Floronia se poignar
de Troie, fut choisi pour juge des prétentions des trois Déesses. Il
donna
la pomme à Vénus. Anchise, prince troyen, épousa
ophonos (homicide) et Anosia (impitoyable). Le premier surnom lui fut
donné
parce qu’elle fit périr par la peste un grand nom
s punit d’une manière bizarre, et peut-être aussi cruelle ; elle leur
donna
une odeur si désagréable, que leurs maris les aba
sipile, devenue esclave, fut vendue à Lycurgue, roi de Némée, qui lui
donna
son fils Archemore à nourrir ; cet enfant fut lai
ande beauté. Les belles paupières de Démétrius de Phalère, lui firent
donner
le surnom de Charitoblepharos (c’est-à-dire), sur
chaîne, eurent recours à Vulcain, qui la délia à condition qu’on lui
donneroit
Vénus en mariage. Vulcain forgeoit les foudres de
Vulcain ; peu après sa naissance Pallas le mit dans un panier qu’elle
donna
aux trois filles de Cécrops, nommées Aglaure, Her
ut frappée d’une étincelle qui la rendit mère d’un enfant auquel elle
donna
le nom de Cœculus, parce qu’il avoit les yeux for
ut que de vols et de brigandages et bâtit la ville de Préneste. Ayant
donné
des jeux publics, il exhorta les citoyens à aller
’est de cette île, qui sans doute tire son nom de Vulcain, que l’on a
donné
le nom de volcans à toutes les montagnes qui jett
ut le géant Polyphême, qui n’étoit point forgeron, et auquel la fable
donne
des mœurs pastorales qui s’accordoient fort mal a
che de myrte et la troisième un dé à jouer ; symboles dont cet auteur
donne
lui-même l’explication suivante : c’est que le my
urri dans son enfance de la moelle des tigres et des ours, ce qui lui
donna
cette cruauté qu’on lui a tant reprochée depuis.
connoître, il l’épousa dans les ténèbres, lui cacha son nom et ne lui
donna
rendez-vous que dans l’obscurité. Tant de mystère
aturelle et beaucoup plus agréable. On ne peut parler de l’Amour sans
donner
l’histoire abrégée du fameux rocher de Leucade, q
ns le partage des biens de son père, le territoire du cap de Leucade,
donna
son nom à ce petit domaine ; d’autres tirent le n
ls de Junon, qui, en s’asseyant sur une fleur que lui enseigna Flore,
donna
la naissance à Mars. Le pays que Mars habita le p
surtout de Junon. On la représente portée sur l’arc-en-ciel. La Fable
donne
d’horribles sœurs à cette Déesse, elle dit que le
assée du Ciel par Junon, qui fit promettre à la Terre de ne point lui
donner
d’asile. L’infortunée, toujours errante et partou
es Nymphes baignèrent Apollon naissant, dans leurs ondes ; Thétis lui
donna
du nectar et de l’ambroisie, et le jeune Dieu, se
de leur éclat et qu’il fut moins glorieux d’y vaincre, on imagina de
donner
une couronne d’or. Dans tous les jeux des anciens
noir son plumage qui étoit d’une blancheur éclatante. Une autre fable
donne
une autre origine au plumage noir du corbeau : el
le plumage du corbeau, le plaça vis-à-vis de la coupe pleine d’eau et
donna
au serpent l’ordre et le pouvoir de l’empêcher de
témoin de ce vol, promit de n’en point parler, parce que Mercure lui
donna
la plus belle vache du troupeau ; mais Mercure, p
exposer sa fille Hésione, Hercule la délivra â condition qu’on la lui
donneroit
pour épouse ; Laomédon, incorrigible dans sa mauv
e foi, manqua encore de parole dans cette occasion, Hercule le tua et
donna
Hésione à Télamon. Cycnus, fils d’Apollon et de l
, malheureusement pour lui, fut maître de lyre d’Hercule ; un jour il
donna
un coup à son élève pour le rendre plus attentif,
sées étoient des fêtes instituées en l’honneur des Muses, d’où l’on a
donné
le nom de Musées, aux académies, aux cabinets des
du Silence. Ainsi la rose devint le symbole de la discrétion, ce qui
donna
même lieu à une expression proverbiale, être sub
upiter la força de l’épouser, et il eut d’elle, la Loi et la Paix. On
donne
à cette divinité pour attributs, la balance et le
s fêtes de Janus, que l’on célébroit à Rome le premier de janvier. On
donna
à l’une des portes de Rome le nom de Janualis à l
Jupiter et de Junon. Quelques auteurs disent de Junon seule, qui lui
donna
naissance après avoir mangé beaucoup de chicorée
issance après avoir mangé beaucoup de chicorée sauvage dans un festin
donné
par Apollon. Hébé fut chargée de l’emploi de serv
e peuple, par reconnoissance, fit l’apothéose de sa bienfaitrice, lui
donna
le nom de Flore, et célébra en son honneur des fê
loraux commence le premier de mai par une messe en musique ; le 3, on
donne
les prix qui sont au nombre de cinq. Un prix de d
Divinités subalternes et champêtres qui habitoient les bois. La Fable
donne
aux Satyres, et en général à tous les Dieux et de
r étoit qu’il y eût un oracle en ce lieu. On ajoute que Jupiter avoit
donné
ces deux colombes à sa fille Thébé. Les oracles s
i. Après sa mort elle fut révérée comme une divinité, et les Germains
donnèrent
son nom aux prophétesses. A gui l’an neuf étoit l
ux, pour honorer sa vertu, lui firent différens présens ; Minerve lui
donna
un voile ; Vulcain une massue et une cuirasse ; N
s’évapora dans les airs, il ne resta d’elle que la voix. Son nom fut
donné
au lieu où elle avoit cessé d’être, elle fut mise
ites d’Apollon. Ce Dieu, touché de sa vertu, lui rendit la vie et lui
donna
l’immortalité. Ea, nymphe qui, en fuyant le fleuv
phosa cette malheureuse nymphe en pin. Borée, métamorphosé en cheval,
donna
naissance à douze poulains d’une telle vitesse qu
ns. Son nom venoit d’un mot grec qui signifie manger. La Fable ne lui
donne
point d’attributs ; mais comme les anciens se cou
examinèrent les symptômes et la marche des maladies ; ce qui leur fit
donner
ainsi qu’à leurs disciples, le nom de cliniques,
t Ida, étoit une bergère d’une grande beauté. Apollon qui l’aima, lui
donna
le don de prophétie, et la connoissance de toutes
isoit agir avec vigueur. Elle avoit un temple à Rome. La Fable ne lui
donne
point d’attributs. Une ruche a paru être celui qu
d’animer son ouvrage, et l’obtint. Cela fait, il fut question de lui
donner
un nom : la Terre prétendoit que cet honneur lui
onnue. La Mythologie n’en offre point de plus ingénieuse. La Fable ne
donne
point d’attributs à Cura. On a imaginé de la cara
chlys. Déesse des ténèbres et de la tristesse. La Fable ne lui
donne
point d’attributs. Une ancre brisée prête à se dé
et tua le monstre. En mémoire de cet événement les Locriens d’Italie
donnèrent
le nom de Sybaris à l’une de leurs villes. Dic
t dans les supplices. 6. Euphémisme est le nom que les grammairiens
donnent
à cette manière de parler. L’euphémisme, disent-i
’engagea à passer de la Samothrace dans l’Asie mineure, où Teucer lui
donna
en mariage sa fille Batea. Il avoit épousé en pre
’est la planète de Vénus lorsqu’elle paroît un peu avant l’aurore. On
donne
à cette même planète le nom de Hesper ou Vesper,
des faits qu’on ne peut contester. L’histoire des Dieux que j’ai déjà
donnée
, est remplie de crimes, de monstres et de fables
rs l’an du monde 2754. La Déesse Dercetis ou Derceto ou Atergatis lui
donna
le jour ; Dercetis, divinité monstrueuse et cruel
es secours surnaturels qui devoient en assurer le succès. Minerve lui
donna
son bouclier et son égide qui préservoit de tous
cire, ses ailes se détachèrent, il tomba dans la mer à laquelle il a
donné
son nom. Dédale se réfugia en Sicile chez le roi
it combattu pour la ville, et il défendit sous peine de la vie, de la
donner
à Polynice qui avoit pris les armes contre sa pat
s de Phégée, dont il épousa la fille Arsinoé ou Alphésibée, et il lui
donna
le fatal collier qu’il avoit emporté avec lui. Se
vec Arsinoé, à laquelle même il alla reprendre le collier qu’il avoit
donné
pour en faire présent à sa nouvelle femme. Téménu
ils consacrèrent le fatal collier à Apollon. Properce, un de ceux qui
donnent
le nom d’Alphésibée à la fille de Phégée, au lieu
rent, et firent des présens aux nouveaux époux. Minerve ou la Sagesse
donna
à la jeune épouse un voile ou péplum, symbole de
l’infortunée Jocaste, mère de Polynice ; ce dernier en hérita, il le
donna
à Éryphile ; et ensuite, comme on l’a vu, après l
ce une chèvre qui tout-à-coup fut métamorphosée en bouc. Thésée alors
donna
à Vénus le surnom peu élégant d’Epitragia, qui si
édée, Hermione, Cometho, Circé, Calypso, Didon, Scylla6, etc. Ils ont
donné
une touchante sensibilité aux héroïnes qu’ils ont
que, Iphigénie, Antigone, etc. ; mais ils se sont bien gardés de leur
donner
cette impétuosité de sentiment et ce langage pass
Phèdre désespérée, l’accusa du crime dont elle étoit coupable, Thésée
donna
sa malédiction à ce fils innocent ; il demanda à
cule fut d’abord appelé Alcide, par la suite la Pythie de Delphes lui
donna
le nom d’Hercule ou d’Héraclès d’où ses descendan
lides. Selon d’autres, ce surnom qui signifie gloire de Junon lui fut
donné
pour avoir été le libérateur de cette Déesse en e
s, retarda l’accouchement d’Alcmène ; Nicippe accoucha avant elle, et
donna
le jour à Eurysthée, auquel Hercule se trouva ass
fille de Pélias, ne put obtenir cette Princesse qu’à condition qu’il
donneroit
à Pélias un char traîné par un lion et par un san
, elle étoit fille d’Euristhée, elle inspira à son père l’ordre qu’il
donna
à Hercule de lui apporter la ceinture de la Reine
volontaire et se retira dans l’île de Salamine où le Roi Céchréïs lui
donna
sa fille Glaucé en mariage et le nomma son succes
fille Hésione ; Hercule délivra Hésione à condition que Laomédon lui
donneroit
de superbes chevaux dont Jupiter lui avoit fait p
n empara, tua Laomédon et tous ses fils à l’exception de Podarcès, et
donna
Hésione pour épouse à Télamon. On accorda à cette
fs, elle choisit son jeune frère Podarcès, pour la rançon duquel elle
donna
son voile et le bandeau d’or qui ceignoit sa tête
du Roi et l’affermit sur le trône, Teuthras reconnoissant voulut lui
donner
pour épouse Augé, sa fille adoptive ; mais Hercul
du fleuve Thoas, qui en reçut le nom d’Achéloüs. Le malheureux vaincu
donna
au héros victorieux, la corne d’Amalthée ou d’abo
u Centaure qui, se sentant mourir, ne songea plus qu’à se venger ; il
donna
à Déjanire sa tunique ensanglantée, en l’assurant
et altérées du sang des hommes. Les Grecs les nommèrent Amazones. On
donne
à ce nom diverses étymologies. Ilinus et Scolopit
. Mais les peuples qui l’habitoient les massacrèrent tous. Ce carnage
donna
occasion à l’origine des Amazones. Les femmes de
Ces guerriers se rendirent à Thémiscyre, la Reine Antiope refusant de
donner
sa ceinture, on combattit, mais la Reine vaincue
ceinture, et Thésée emmena Hypolite, sœur de la Reine, à laquelle on
donna
le nom d’Antiope ; cette Princesse épousa Thésée
, fut l’ami et le compagnon fidèle d’Hercule. Ce héros en mourant lui
donna
ses redoutables flèches, dont l’atteinte étoit in
introduisit de nouvelles cérémonies, inventa de nouvelles fables, il
donna
du poids à ces fictions par son éloquence, et par
avoit chargé de cette entreprise. L’emploi de pilote du vaisseau fut
donné
à Typhis ; après sa mort, Ancée lui succéda. Zéth
mbrassé, ainsi que les autres héros, presque tous ses élèves, il leur
donna
des avis pour leur voyage, et fit des vœux pour l
. La seule Alceste refusa d’obéir ; mais la crédulité des autres leur
donna
cet horrible courage. Médée leur ordonna d’égorge
t sa composition magique. Mais, au lieu de faire revivre Pélias, elle
donna
le signal convenu aux Argonautes ; aussitôt Iolco
i Egée, dont elle eut un fils nommé Médus, qui, suivant quelques-uns,
donna
son nom aux Mèdes. On prétend aussi qu’un des fil
nard qu’il reçut de cette affreuse magicienne, et que par la suite il
donna
son nom à la Thessalie où il régna. Médée, après
pté le talon par lequel Thétis le tenoit en le plongeant. Afin de lui
donner
l’immortalité, la Déesse le frotta d’Ambroisie et
demander pour lui des armes à Vulcain. Le Dieu ne consentît à lui en
donner
, qu’à condition qu’elle répondroit à son amour, e
Troyens, et son seul aspect les fit fuir. A cette admirable idée que
donne
Homère, de la valeur et de la renommée de son hér
près la mort d’Achille il s’éleva une querelle pour savoir à qui l’on
donneroit
ses armes, on décida qu’Ajax, fils de Télamon, et
sa patrie et que Pyrrhus, qui profita de sa trahison, l’emmena et lui
donna
la souveraineté de la Chaonie, contrée de l’Épire
’Hector, près d’un ruisseau qu’elle appeloit le Simoïs. Hélénus avoit
donné
le nom de Pergame et d’Ilion à la ville de Buthro
e fit de riches dons à Anchise, à Énée et au jeune Ascagne, elle leur
donna
des tissus merveilleux, ouvrages de ses mains. Ce
loüs, de le faire mourir ; Archéloüs, par l’ordre secret d’Hécube, le
donna
à des bergers du mont Ida qui l’élevèrent parmi e
duit par l’espérance de posséder la plus belle femme de l’univers, il
donna
la pomme à Vénus. Il s’attira sa protection, mais
sister et de défendre celui d’entre eux qui seroit choisi, ensuite il
donna
Hélène à Ménélas. Les premiers temps de ce mariag
ison nommée Hélénium. Homère conserve ce caractère à Hélène : et pour
donner
une idée de sa beauté, il la fait louer par des h
fit pendre à un arbre. Hélène eut de Pâris une fille à laquelle elle
donna
son nom. Après la prise de Troye, Hécube, furieus
s horreurs y jettent beaucoup de confusion ; on s’attachera surtout à
donner
de la clarté à cet épouvantable récit. Plisthènes
ervir leurs membres déchirés dans les mets d’un festin solemnel qu’il
donna
à Thieste, et il lui fit boire leur sang mêlé dan
s les deux adversaires, charmés de leur valeur mutuelle, voulurent se
donner
une marque d’estime, avant de se quitter ils se f
ce qu’elles ne peuvent exister qu’avec la perfection de la morale qui
donne
à l’esprit une rectitude dont l’heureuse influenc
e cette morale divine, nul poëte, nul écrivain célèbre n’a imaginé de
donner
au héros d’un poëme ou d’un ouvrage dramatique, u
evés ; ce fut à cette occasion qu’Ulysse se lia avec Iphitus, qui lui
donna
l’arc devenu si célèbre entre ses mains lorsqu’il
mise au nombre des divinités de la mer, vient à son secours, elle lui
donne
une écharpe divine avec laquelle il doit aborder
et des biens et des maux, il fut privé de la vue, mais les Muses lui
donnèrent
un chant divin32 ». Il chanta d’abord les amours
es et dans les festins de laisser voir ses larmes. La Reine Areté lui
donna
le plus précieux de ses coffres33 qui contenoit d
s, au milieu du front, les détails de son entrevue avec Eole, qui lui
donna
des outres dans lesquels étoient renfermés les ve
’admiration toute la cour d’Alcynoüs, on le combla de présens, on lui
donna
un vaisseau bien équipé avec un bon pilote, pour
on va parler encore de quelques autres personnages auxquels on n’a pu
donner
d’attributs particuliers Nestor. Il étoit
mbeau du célèbre Crotone, il y jeta les fondemens d’une ville, et lui
donna
le nom de cet homme illustre. Chalcénor. L
broder, on ne veut point étudier, méditer et lire, peu de femmes s’en
donnent
la peine, mais on a la prétention de se distingue
ntiment qu’Énée, voulant faire un présent considérable à Segeste, lui
donna
une esclave Crétoise, nommée Pholoé, parce qu’ell
ux funérailles de Patrocle, on célébra des jeux funèbres dont Achille
donna
les prix. Homère, dit que l’un des premiers prix
vieillard tenant une massue, symbole de la force ; quelquefois on lui
donne
des ailes déployées qui signifient qu’elle s’élèv
re plus tendre encore dans les disgrâces, que dans les succès. On lui
donne
pour attributs différentes fleurs, et surtout cel
tre reconnoissants, sont aussi des symboles de cette divinité. On lui
donne
quelquefois pour attribut un bouquet de fèves, pa
peint quelquefois, devant un brasier, brûlant des armes. Aristophane
donne
à la Paix, pour compagnes, Vénus et les Graces. L
résente un pied sur une roue pour marquer sa mobilité. Les poëtes lui
donnent
des ailes, mais on ne la voit ailée sur aucun mon
coq. Les modernes représentent un squelete tenant une faulx, ils lui
donnent
pour attribut un sablier renversé. Les anciens fi
imoit tellement la flûte, qu’en l’écoutant il se laissoit prendre. On
donne
aussi pour attributs à la Flatterie, des soufflet
ter à cette figure des oreilles de Midas. La Médisance. On lui
donne
pour attributs un poignard et un rat qui mord et
e tenant à un crin suspendu sur sa tête. Le Déshonneur. On lui
donne
des ailes de chauves-souris et une trompette.
Son symbole le plus connu est un serpent qui se mord la queue. On lui
donne
encore pour attributs, un globe, le phénix et l’é
ant un bonnet et debout près d’un char dont le joug est rompu. On lui
donne
pour attribut un chat, c’est-à-dire, l’animal le
us ravit un âge brillant et des agrémens frivoles, mais lui seul peut
donner
la Science, la Sagesse et perfectionner de grands
alcyon. La Bonté est vêtue, dit Alciat 58 , d’une gaze d’or, il ne
donne
pas de raison de cette magnificence, d’autant plu
isseau. Allégorie si morale qu’elle justifie seule le surnom de Sage,
donné
à ce héros qui si long-temps oublia la sagesse et
ux de la chapelle de Christ’s church à Oxford. 43. Dont on n’a point
donne
les attributs pour ne pas multiplier à l’infini l
e ou dans une autre occasion, avoient sauvé l’armée. 55. Les Chinois
donnent
quatre yeux et quelquefois davantage à la représe
Jupiter et Junon, ne présenta à son époux que cette dernière, et lui
donna
, à la place de son fils, une pierre emmaillotée,
, Saturne voulut assurer le bonheur des habitants du Latium ; il leur
donna
des lois, leur inspira l’amour de la vertu, et le
n plus de leur innocence et de leur félicité primitive. Saturne ayant
donné
à Janus la connaissance du passé et de l’avenir,
e, emblème du cercle perpétuel et de la révolution des temps ; on lui
donne
encore pour attributs un sablier et un aviron1.
si Rhée ou la bonne déesse, et encore Grand’mère, parce qu’elle avait
donné
naissance à plusieurs Dieux. Sous le nom de Vesta
lthée ; plus tard il transforma celle chèvre en constellation, et lui
donna
une place dans les cieux ; une de sescornes qu’il
ation, et lui donna une place dans les cieux ; une de sescornes qu’il
donna
aux nymphes qui avaient pris soin de son enfance
poids. Jupiter avait pour femme Junon, sa sœur ; mais la Fable lui en
donne
en même temps plusieurs autres ; pour se soustrai
emmes ; c’est ainsi que la terre se couvrit de nouveaux habitants. On
donnait
à Jupiter un grand nombre de noms, suivant les li
t créé Pallas de lui-même, en la faisant sortir de son cerveau, Junon
donna
de son côté le jour au dieu Mars. Junon avait un
ar des paons9. Questions. Qu’est-ce que Junon, et quels noms lui
donnait
-on ? — Quels furent ses enfants ? — Quel était so
e Délos10, qui jusqu’alors n’était qu’un rocher flottant, et Latone y
donna
le jour à Apollon et à Diane. Le premier exploit
; il fut honteusement vaincu. Cependant Midas, roi de Phrygie, ayant
donné
la préférence à Pan, Apollon lui fit pousser deux
Phaéton, que son imprudence et son malheur ont rendu célèbre. Voulant
donner
une preuve irrécusable de sa divine origine, ce j
s. Calliope présidait à l’éloquence et à la poésie héroïque ; on lui
donnait
un air majestueux, et on la paraît de guirlandes
de triple Hécate, de Déesse à trois formes, de triple Déesse, que lui
donnent
souvent les poëtes. Sous le nom de Diane, elle ét
. Qu’est-ce que Diane, et quels sont les différents noms qu’on lui
donne
? — Sous le nom de Diane, quelles étaient ses fon
iris, les Indiens sous celui de Dionysius, et les Romains lui avaient
donné
le surnom de Liber. Il épousa Ariane, fille de Mi
assemblées, et répondait aux harangues publiques. Dès sa jeunesse il
donna
des preuves de son adresse au vol en dérobant le
avait aperçu les animaux dérobés, lui offrant deux vaches s’il lui en
donnait
des nouvelles ; Battus ne put résister à une si f
’il venait de fabriquer de l’écaille d’une tortue. En retour, Apollon
donna
à son frère une baguette qui avait la puissance d
tte magique, qui fit aussitôt cesser le combat. Depuis ce moment on a
donné
pour attribut à Mercure un caducée, c’est-à-dire
ouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l’épouser. Mais Jupiter la
donna
à Vulcain, comme une récompense du service que ce
uivaient partout leur mère, et faisaient l’ornement de sa cour. Vénus
donna
aussi le jour aux trois Grâces, Aglaé, Thalie et
ops eut bâti Athènes31, Neptune et Minerve se disputèrent le droit de
donner
un nom à cette ville. L’assemblée des Dieux décid
des Enfers ; l’antiquité honorait son culte en cette qualité. On lui
donnait
aussi le nom d’Hécate ; le narcisse et le pavot l
eut un différend célèbre avec Neptune, qui lui disputait l’honneur de
donner
un nom à la ville que Cécrops venait de bâtir. La
ri33. Questions. Qu’est-ce que Minerve, et quels autres noms lui
donne-t
-on ? — Par quelles inventions mérita-t-elle la re
-t-on ? XIV. — Mars. Junon, jalouse de ce que Jupiter avait
donné
naissance à Pallas en la tirant de son cerveau, v
nt la nuit de maison en maison, masqués et déguisés. Les peintres lui
donnent
une figure jeune et enluminée ; il est coiffé d’u
mais Jupiter, sur les instances de Cupidon, lui rendit la vie et lui
donna
l’immortalité. On représente Cupidon sous la form
olé de cet accident, qu’il se perça le cœur du même javelot qui avait
donné
la mort à Procris. Aurore épousa Tithon, jeune pr
En quoi le culte qu’on lui rendait à Rome était-il remarquable ? — Ne
donne-t
-on pas son nom à de nombreuses divinités ? — Sous
montrent aussi souvent dansant autour de Vénus et des Grâces. On leur
donne
une figure railleuse, des cornes et des jambes de
t d’abord que la nymphe Chloris, qui épousa Zéphire, et à qui ce Dieu
donna
, avec son nouveau nom, un empire souverain sur le
de bois. Quand on le représentait avec des formes humaines, on ne lui
donnait
ni bras ni jambes, afin qu’il ne pût ni reculer n
le Dieu de la mer. Il épousa Téthys, déesse de la mer, et cette union
donna
naissance à un nombre considérable de filles nomm
c’étaient les nymphes de la mer. Les plus connues sont : Calypso, qui
donna
l’hospitalité à Ulysse dans son île d’Ogygie, et
n ; mais il semble plus conforme aux traditions mythologiques de leur
donner
des ailes et des pattes d’oiseau, car les Dieux l
résente-t-on ? Tritons. Triton était un fils de Neptune ; on a
donné
son nom aux nombreuses divinités maritimes qui on
étaient souvent placées auprès du foyer ou derrière la porte. On leur
donnait
aussi quelquefois la figure d’un chien ; on les r
vait dans sa barque que celles qui avaient une pièce de monnaie à lui
donner
; celles qui ne pouvaient payer ce tribut erraien
La Nuit, Déesse des ténèbres, et fille du Chaos, épousa l’Achéron et
donna
le jour aux Furies et à d’autres divinités infern
d’un bois de cerf. Questions. Quels noms et quelles attributions
donnait
-on à la Vengeance ? — Comment la représente-t-on
silence en signe de respect. Questions. Quels traits distinctifs
donnait
-on au Silence ? — Où plaçait-on ordinairement sa
u quand on voulait désigner une victoire navale. Les Athéniens ne lui
donnaient
pas d’ailes, de crainte qu’elle ne s’en servît po
lanc, tenant un sceptre et coiffée du bonnet phrygien (celui que l’on
donnait
aux esclaves en les affranchissant). Près d’elle
; mais Jupiter s’y introduisit sous la forme d’une pluie d’or. Danaé
donna
naissance à Persée. Informé de cet événement, Acr
valeur par de brillants exploits ; sa réputation ne tarda même pas à
donner
de l’ombrage à Polydecte, qui, pour se défaire de
es Dieux voulurent l’aider dans sa courageuse entreprise. Minerve lui
donna
son bouclier, Pluton lui fit don d’un casque qui
t sur le monstre au moment où celui-ci allait saisir sa proie, et lui
donna
la mort. Pour prix de son courage il épousa celle
où Acrisius l’avait rappelé, quand, en s’exerçant au jeu du palet, il
donna
involontairement la mort à son aïeul, qu’il ne co
écrites ; le héros démontra son innocence, et le roi, après lui avoir
donné
sa fille en mariage, le retint dans ses États, le
tre le feu. Jupiter le reçut dans le ciel au nombre des Dieux, et lui
donna
pour épouse Hébé, Déesse de la jeunesse. Questi
contre les Amazones, et épousa leur reine, nommée Hippolyte, qui lui
donna
un fils. Ce qui mit le comble à la gloire de Thés
touchèrent les filles de Minos, Phèdre et Ariane ; cette dernière lui
donna
des conseils sur la manière d’attaquer son redout
e précipita de désespoir dans la mer, à laquelle cet événement a fait
donner
le nom de mer Egée 56. Bien qu’il fût devenu roi
femme, la répudia pour épouser Créuse, fille du prince qui lui avait
donné
l’hospitalité. Médée cacha d’abord sa fureur, mai
étaient fils de Léda, épouse de Tyndare, roi de Lacédémone, laquelle
donna
en même temps le jour à Clytemnestre et à Hélène.
même temps le jour à Clytemnestre et à Hélène. Ces deux jeunes héros
donnèrent
de bonne heure des preuves de leur courage et de
et de Pollux ? — Comment signalèrent-ils leur jeunesse ? — Pollux ne
donna-t
-il pas une preuve frappante d’amour fraternel ? —
r, sous la forme d’un taureau, avait enlevée et transportée en Crète,
donna
ordre aux trois frères de cette princesse de cour
her devant lui, et il le suivit jusque dans une contrée à laquelle il
donna
le nom de Béotie. Avant de s’occuper de la ville
s, suivant le conseil de Minerve, et les sema sur la terre. Ces dents
donnèrent
aussitôt naissance à des hommes armés qui combatt
recevoir la mort de la main du fils que Jocaste, sa femme, allait lui
donner
, saisit cet enfant aussitôt après sa naissance, e
dopta le pauvre orphelin, l’éleva comme s’il eût été son fils, et lui
donna
le nom d’Œdipe, composé de deux mots grecs qui fo
et comme il ne voulait pas s’en séparer, il avait déclaré qu’il ne la
donnerait
en mariage qu’à celui qui l’aurait vaincu à la co
ichthonius, fils de ce prince, eut pour successeur son fils Tros, qui
donna
son nom à la ville de Troie, et celui de Troade à
e Troie, et celui de Troade à toute la contrée. Ilus, un de ses fils,
donna
à une citadelle qu’il avait bâtie le nom d’Ilion,
ce cheval était une statue offerte à Minerve, et à laquelle on avait
donné
d’immenses proportions, pour que les Troyens ne p
devoirs de général, et appela sa fille à son camp sous prétexte de la
donner
pour épouse à Achille ; mais la Déesse ne voulut
lier merveilleux qui le mettait à l’abri de tous les coups ; elle lui
donna
des chevaux immortels. Achille ne tarda pas à sig
ort d’Hector, lui décocha une flèche qui l’atteignit au talon, et lui
donna
la mort. Les Grecs lui firent de magnifiques funé
us tard à attacher son cadavre au char d’Achille, et le fils de Priam
donna
au guerrier grec une épée avec laquelle il se don
le fils de Priam donna au guerrier grec une épée avec laquelle il se
donna
la mort de sa propre main. Après la mort d’Achill
Rendu à la liberté, il monta sur le trône après la mort de son père,
donna
une nouvelle splendeur à sa capitale, et étendit
rquable ? — Comment reprit-il la position à laquelle sa naissance lui
donnait
droit ? — Quelle fut sa conduite durant le siége
n du trône des Latins. Ce mélange de Troyens et des sujets de Latinus
donna
naissance à la nation romaine, qui regarda toujou
pendant son séjour dans ces lieux souterrains, et les prêtres lui en
donnaient
l’explication. Il y avait un nombre infini d’orac
mortels et les divinités, et auxquelles on croyait que le ciel avait
donné
connaissance de l’avenir. Varron en désigne dix
e sagesse, que les Athéniens, ses compatriotes, le chargèrent de leur
donner
des lois et promirent de les observer. Après avoi
e que Neptune fut le nom du premier qui commanda une armée navale. On
donna
aussi ce nom à tous les princes qui tentèrent, da
ère : on lui faisait traverser le Nil dans une barque, dont le pilote
donna
naissance au personnage de Caron, et on le condui
e conduisait dans les belles plaines des environs de Memphis, qui ont
donné
l’idée des Champs-Élysées. Suivant l’opinion de p
ne pouvons ici rappeler tous les actes propres à chaque héros pour en
donner
l’explication ; nous nous arrêterons seulement su
a aux barques qui l’emportaient sur la mer à laquelle la mort d’Icare
donna
son nom. L’expédition des Argonautes, entreprise
logie autre chose que des traits d’histoire défigurés ? 1. On a
donné
le nom de Saturne à une planète qui est à 1,316 m
s les confondent et n’en font qu’une seule et même divinité. 3. On a
donné
le nom de Vesta à une planète qui se trouve à 828
s la Thessalie, séparée du mont Ossa par la vallée de Tempé. 8. On a
donné
le nom de Jupiter à une planète qui est à 720 mil
a terre, et emploie près de douze ans à faire sa révolution. 9. On a
donné
le nom de Junon à une planète qui est à 368 milli
e, de raisin et de lierre, et terminé par une pomme de pin. 23. On a
donné
le nom de Mercure à une planète située à 53 milli
meuse statue de Vénus Gnidienne, chef-d’œuvre de Praxitèle. 28. On a
donné
le nom de Vénus à une planète située à 100 millio
de la Sicile, la plus grande de l’archipel volcanique, auquel elle a
donné
son nom ; sa montagne de Campo-Bianco est renommé
. On nomme ainsi toute l’étendue d’eau qui environne la terre. On lui
donne
différents noms : 1° le grand Océan (mer du Sud o
e, où il termina ses jours. 56. La mer Égée ou l’Archipel. Ce nom se
donne
particulièrement à cette partie de la Méditerrané
mme versé dans l’enseignement et éclairé par ces lumières du cœur que
donne
l’affection paternelle. L’épreuve de la publicité
la nature étant par ce moyen transformé en personnes divines, l’homme
donna
des noms et attribua des aventures à ces dieux qu
ibua des aventures à ces dieux qu’il avait créés ; il les maria, leur
donna
une famille, et multiplia de cette sorte les obje
ste nulle part un être vivant qu’on appelle l’Innocence : la fable ne
donne
à ces sortes de personnages ni histoire ni famill
sante, mais aveugle et inflexible. Ils l’appelèrent le Destin, et lui
donnèrent
pour père le Chaos et la Nuit, anciens dieux anté
tenant dans ses mains l’urne qui renferme le sort des humains. On lui
donne
une couronne surmontée d’étoiles pour indiquer qu
nt les abîmes sont immenses et les flots indomptables. La Terre seule
donna
aussi naissance aux Cyclopes. Brontès, Stérope et
avaient ni villes fortifiées, ni armes de guerre ; et, comme la terre
donnait
d’elle-même des fruits abondants, ils ne cherchai
e ne contribua-t-elle pas à achever l’ouvrage de Vulcain ? — Quel nom
donna-t
-on à la vierge ouvrage de Vulcain ? — A qui Pando
produisirent plus tard les Furies. Saturne, auquel les Grecs avaient
donné
le nom de Chronos, après avoir dépossédé et mutil
ps à sa puissance, et c’est par allégorie qu’on a pu dire qu’il avait
donné
asile à Saturne. Ce dieu est ordinairement représ
upiter fit alliance avec la raison. Sa seconde épouse fut Thémis, qui
donna
le jour aux Heures, à Eunomie, à la Paix et à la
Grâces : Aglaé, Euphrosyne et Thalie. Cérès, sa quatrième femme, lui
donna
une fille nommée Proserpine. La belle Mnémosyne f
it vu partout la corruption et le brigandage ; l’impiété de Lycaon en
donne
la mesure ; il résolut donc d’anéantir les hommes
iré de son cerveau Minerve, déesse de la sagesse, Junon, de son côté,
donna
naissance à Vulcain, d’autres disent à Mars, dieu
ens, fut persécuté pendant toute sa vie, lui et les siens, pour avoir
donné
à Vénus le prix de la beauté, que lui disputaient
tte aux persécutions de Junon, qui fit promettre à la Terre de ne lui
donner
aucun asile ; mais Neptune, touché de compassion,
ts l’île de Délos, où Latone se réfugia sous la forme d’un oiseau, et
donna
le jour à Apollon et à Diane. Junon avait suscité
enfant, s’arma de flèches, et tua le monstre. Cette victoire lui fit
donner
le nom de Pythien. D’autres font naître le serpen
dans la Phrygie, et le roi Midas, dont l’oreille était peu musicale,
donna
la préférence au dieu Pan. Apollon, pour se venge
e dans la fleur qui porte son nom. Cyparisse, jeune homme de Céos, se
donna
la mort, désespéré d’avoir tué à la chasse un jeu
est que le dieu : le Soleil était l’un des Titans, et les anciens lui
donnent
le nom d’Hypérion. Comme dieu du Soleil, Apollon
pas à comprendre les desseins de cet hôte perfide ; mais Apollon leur
donna
des ailes pour s’enfuir. Pyrénée, voulant les sui
de sa bouche écumante ; les prêtres du temple les recueillaient, leur
donnaient
la forme de vers, et les livraient ainsi à la cur
de la triste destinée de sa mère, fit vœu de virginité. Son père lui
donna
un nombreux cortége de nymphes, avec lesquelles e
ur de Diane ; on les nommait Artémisies, d’Artémis, nom que les Grecs
donnaient
à cette déesse. Comme déesse de la chasse, on la
roissant. Les femmes qui l’invoquaient à la naissance des enfants lui
donnaient
le nom de Lucine ou d’Ilithyie, et la confondaien
ou d’Ilithyie, et la confondaient avec Junon ou avec sa fille. On lui
donnait
aussi le nom de Trivia, parce qu’on l’adorait dan
énor, roi de Phénicie, qui devint mère de Minos et de Rhadamanthe, et
donna
son nom à l’une des trois parties du monde. Trans
Minerve, déesse de la sagesse et symbole de la pensée. Les Grecs lui
donnent
le nom d’Athéné. Cette singulière fiction nous en
; elle fut en rivalité avec Neptune, dieu des mers, pour l’honneur de
donner
un nom à la ville que Cécrops venait de fonder en
l’avait emporté sur Neptune. Minerve, que les Grecs appellent Athéné,
donna
son nom à la ville de Cécrops, qui devint si fame
imaces ici-bas ; toutefois elle ne défigure que les hommes : la leçon
donnée
par Minerve n’a pas été perdue pour tout le monde
ais la déesse, touchée de la douleur de Chariclo, qu’elle chérissait,
donna
à son fils, en échange de la vue qu’elle lui avai
e. Athènes ne se montra pas ingrate envers la déesse qui lui avait
donné
l’olivier, source de ses richesses : elle lui éle
ucée ? — Où le culte de Mercure était-il surtout répandu ? — Quel nom
donnait
-on à ses statues ? — Les Égyptiens n’avaient-ils
upiter et de Junon. Les Romains le font fils de Junon, qui lui aurait
donné
le jour après avoir respiré, sur le conseil de Fl
t son foudre, son trône et son palais aux voûtes d’acier et d’airain,
donna
à Vulcain la belle déesse pour épouse. Elle porta
belle déesse pour épouse. Elle portait une merveilleuse ceinture qui
donnait
grâces, beauté, attraits jeunesse à celle qui la
Cybèle, fille d’Uranus et de Titéa, est la déesse de la terre. On lui
donne
les noms de Rhéa, d’Ops et de Vesta. Épouse de Sa
de mort. Questionnaire. Qu’est-ce que Cybèle ? — Quels noms lui
donne-t
-on encore ? — Comment traita-t-elle Atys, l’un de
core ? — Comment traita-t-elle Atys, l’un de ses prêtres ? — Quel nom
donnait
-on aux prêtres de Cybèle ? — Comment représente-t
Vesta des Romains ? — Quelle était la fonction de Vesta ? — Quel nom
donnait
-on à ses prêtresses ? — Quels vœux faisaient-elle
jamais, s’il faut en croire Virgile, cuvé le vin de la veille. On lui
donne
pour monture un âne sur lequel il se tient à gran
temple Rendre à chaque immortel les vœux qui lui sont dus : Les jours
donnés
aux dieux ne sont jamais perdus. Culte et ima
e de lourdes enclumes. Les dieux, malgré la difformité de Vulcain, le
donnèrent
pour époux à Vénus, la plus belle de toutes les d
poëtes, en créant ces gracieuses divinités, se sont contentés de leur
donner
un nom, une figure et quelques attributs. Terme,
métamorphosée en roseau lorsqu’elle se dérobait à ses poursuites. On
donne
à Pan des cornes sur la tête, un nez camus, des c
é du prix de sa victoire, saccagea la ville de Troie, tua Laomédon et
donna
Hésione à Télamon, roi de Salamine, et l’un des A
des Argonautes. Neptune fut vaincu dans sa lutte contre Minerve, qui
donna
son nom à Athènes. Cette déesse lui disputa encor
donna son nom à Athènes. Cette déesse lui disputa encore l’honneur de
donner
un nom à la ville de Trézène : Jupiter mit fin à
s cheveux flottants sur ses épaules, et d’épais sourcils. Apollon lui
donna
le don de prophétie, et Nérée en fit son interprè
tabli gardien des vents renfermés dans de profondes cavernes. Il leur
donnait
l’essor et les rappelait à son gré. Il les confia
phale, jeune chasseur d’un rare beauté, fut aimé de l’Aurore, qui lui
donna
un javelot dont les coups étaient inévitables. La
ur ténébreux au centre de la terre, et voici la description qu’ils en
donnent
. Sur le seuil des Enfers, paraissent la Douleur e
ointaines ; il faut lire dans le Télémaque la description que Fénelon
donne
de cette demeure fortunée. Questionnaire. Co
é par quatre chevaux noirs, Orphnée, Éthon, Nyctée et Alastor. On lui
donne
quelquefois le nom de Dis et celui d’Orcus. Qu
de couleuvres. Les mortels, pour apaiser ces terribles déesses, leur
donnaient
le nom d’Euménides ou déesses bienveillantes. Cet
reuse Psyché se trouve seule dans un désert. Désespérée, elle veut se
donner
la mort ; mais son époux invisible arrête ses tra
istance de l’Amour. Elle pénètre jusqu’aux enfers. Là, Proserpine lui
donne
une boîte avec défense de l’ouvrir. Psyché ne peu
nus, fils d’Apollon et d’une Muse, à jouer de la lyre ; et Chiron lui
donna
les leçons de la science et de la morale. Hercule
lèche qui blesse mortellement le centaure. Celui-ci, avant d’expirer,
donne
à Déjanire sa tunique teinte de sang, comme un ta
man capable de faire revivre l’amour d’Hercule. L’infidélité du héros
donna
bientôt à Déjanire l’occasion de s’en servir. Her
édit qu’il serait esclave pendant trois ans. Omphale, reine de Lydie,
donna
raison à l’oracle. Elle asservit Hercule, qui véc
r appela son fils dans l’Olympe, l’admit à la table des dieux, et lui
donna
pour épouse Hébé, déesse de la jeunesse. Telle es
par le secours de Pluton qui lui prêta son casque, de Minerve qui lui
donna
son bouclier, et de Mercure qui détacha en sa fav
marin. Persée promit de la délivrer, si son père consentait à la lui
donner
en mariage. Le héros s’élança sur le monstre et l
te de Méduse à Polydecte, qui fut incontinent changé en pierre, et il
donna
son trône au fidèle Dictys. Après ce nouvel explo
. Iobate, persuadé par ces marques de l’innocence de Bellérophon, lui
donna
sa fille et partagea son royaume avec lui. On a d
e honteux tribut. Ariane, fille de Minos, touchée de ses dangers, lui
donna
un fil qui devait le guider dans le labyrinthe et
par un berger que ses cris attirèrent. L’enflure de ses pieds lui fit
donner
le nom d’Œdipe. Cet enfant fut élevé à la cour de
it aux passants une énigme, et qui les dévorait s’ils ne pouvaient en
donner
le mot. Jocaste, veuve de Laïus, avait promis son
efs argiens n’eurent-ils pas des vengeurs ? — Quel surnom leur a-t-on
donné
? — Thersandre régna-t-il longtemps ? § 8. Gu
ils furent réunis, Tyndare leur fit jurer de défendre celui auquel il
donnerait
la préférence. Ménélas, roi de Sparte et frère d’
riam, vint à leur cour. Ce jeune favori de Vénus, à laquelle il avait
donné
le prix de la beauté, séduisit Hélène, qui consen
tes étaient trop étroites, ils abattirent un pan de muraille pour lui
donner
passage. Pendant la nuit, à un signal donné, Sino
pan de muraille pour lui donner passage. Pendant la nuit, à un signal
donné
, Sinon ouvrit les flancs du cheval : les héros qu
ine, Brahmâ tira d’abord de sa tête un homme nommé Brahman, auquel il
donna
les Védas, livres sacrés, où la vérité était dépo
cle noir, siècle de fer des Indous, il vint, sous le nom de Kalidaça,
donner
à l’Inde les poëmes dramatiques qu’on admire enco
vres sacrés parmi les hommes. Les dieux ayant inventé un breuvage qui
donnait
l’immortalité, les mauvais génies, toujours en lu
ana, il se présenta devant le monarque orgueilleux, et le pria de lui
donner
trois pas de terrain : Bali voulut bien condescen
tyrannie des mauvais princes et des brigandages des voleurs. Il leur
donnait
en même temps des préceptes et des exemples de ve
rribles géants qui menaçaient sans cesse l’œuvre de la création. « On
donne
à Siva cinq têtes, quatre mains et trois yeux à s
rent les premiers objets du culte des Perses ? — Quel noms les Perses
donnent
-ils au Créateur ? — Les Perses n’admettent-ils pa
ravail, dont la vue excite l’admiration des convives. Il promet de le
donner
à celui d’entre eux dont le corps pourrait le rem
ient encore, comme une divinité puissante, Hermès, auquel ils avaient
donné
le surnom de Trismégiste, ou trois fois grand. He
géant Ymer et la vache Audumbla, dont le lait nourrit le géant. Ymer
donna
naissance à la race des géants. Audumbla, de son
ont dégradé, et il aime le mal pour le mal. La fille d’un géant lui a
donné
pour progéniture le serpent Midgard, dont les ann
ile l’étude des auteurs anciens, des poëtes tout spécialement et nous
donne
également l’intelligence de toutes les œuvres de
mains une urne où était renfermé le sort de tous les humains. On lui
donnait
aussi un livre d’airain que les dieux allaient co
temps la Discorde ennemie, Jusques au jour pompeux et florissant, Qui
donna
l’être à l’univers naissant ; Quand l’harmonie, a
nt être peuplées de nymphes, et la mer avec ses abîmes immenses. Elle
donna
aussi naissance aux fameux Cyclopes Bronté, Stéro
e ? 5. Quels furent les enfants de la Terre ? Pourquoi dit-on qu’elle
donna
le jour aux Cyclopes ? 6. Quels furent les enfant
vorait ses fils, aussitôt que Cybèle son épouse et sa sœur leur avait
donné
le jour. 2. Cette mère infortunée, ayant mis au m
our tromper la barbarie de son époux. Au lieu de ses enfants elle lui
donna
une pierre à dévorer. Elle eut recours à de sembl
œux ; La faim aux animaux ne faisait point la guerre, Le blé, pour se
donner
, sans peine ouvrant la terre, N’attendait pas qu’
ns les plaines. 5. En reconnaissance de l’hospitalité que lui avait
donnée
Janus, Saturne fit connaître à ce prince le passé
ne ? Que faisait-on pendant ces fêtes ? 7. Quelle explication peut-on
donner
de la fable de Saturne ? 8. De quelle manière les
é ? Chapitre III. Cybèle. 1. Cybèle, sœur et femme de Saturne,
donna
naissance à plusieurs dieux. On l’appela pour ce
dieux. On l’appela pour ce motif la grande mère (alma mater). On lui
donnait
aussi les noms de Bérécynthie, de Dindymène et d’
. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que Cybèle ? Quels noms lui a-t-on
donnés
? Pour quel motif lui donnait-on tous ces noms di
st-ce que Cybèle ? Quels noms lui a-t-on donnés ? Pour quel motif lui
donnait
-on tous ces noms divers ? 2. Comment était-elle r
nt l’avidité cruelle de son époux. Au lieu de son fils elle lui avait
donné
une pierre à dévorer. La fable dit qu’il fut nour
nce, le souverain des dieux plaça la chèvre Amalthée dans le ciel, et
donna
aux nymphes une de ses cornes. Ce fut la corne d’
r partagea son empire avec Neptune et Pluton ses frères. A Neptune il
donna
l’empire de la mer, à Pluton celui des enfers, et
une femme qu’ils enrichirent chacun d’un don particulier. Pallas lui
donna
la sagesse, Vénus la beauté, Apollon la connaissa
nir, lui remit une boîte magnifique bien fermée, et lui ordonna de la
donner
à Prométhée. L’illustre coupable se défia du prés
urs été reconnu pour le souverain des dieux et qu’à ce titre on lui a
donné
toutes les espèces de surnoms. C’est le sage par
iter, et à ce titre elle était honorée comme la reine des dieux. Elle
donnait
, disait-on, les sceptres et les couronnes, et cet
que année du noir séjour et passerait six mois sur la terre. 3. Cérès
donna
aussi naissance à Plutus, le dieu des richesses,
ille d’une main ou une gerbe de blé, et de l’autre des pavots. On lui
donne
une torche ardente quand on veut la représenter c
pandre la lumière dans l’univers et devint, le dieu du soleil. On lui
donne
pour exprimer ce ministère le surnom de Phœbus. C
sur les monts célèbres du Parnasse, de l’Hélicon et du Pinde Apollon
donnait
des leçons aux neuf Muses, filles de Jupiter et d
Quelles furent ses aventures chez Laomédon ? 5. Quelles fonctions lui
donna
Jupiter quand il rentra dans l’Olympe ? Comment l
dépendamment de cette fonction, elle en avait d’autres qui lui firent
donner
des noms différents. Ainsi on la nommait Lune ou
Brillant astre des nuits, vous réparez l’absence Du dieu qui nous
donne
le jour : Votre char, lorsqu’il fait son tour
eur de cette déesse : on les appelait Artémisies, parce que les Grecs
donnaient
à Diane le nom d’Artémis. Questionnaire. 1.
le fille ? Quelles étaient ses principales fonctions ? Quels noms lui
donnait
-on dans le ciel, sur la terre et dans les enfers
ait en leur nom des affaires les plus importantes. A ce titre, on lui
donnait
des ailes à la tête et aux pieds, pour qu’il pût
lte et dégagée, et tenait à la main le merveilleux caducée. 6. On lui
donnait
des noms divers comme ses fonctions. On l’appelai
voleurs ? Qu’est-ce qui lui a mérité cet honneur ? Quel sens peut-on
donner
aux fictions imaginées par les poëtes à ce sujet
sentait-on ? Quelle était chacune de ces manières ? 6. Quels noms lui
donnait
-on ? D’où venaient ces noms ? Chapitre X. Min
lle couvrit son bouclier de la peau de cette bête sauvage, ce qui fit
donner
à cette espèce d’arme défensive le nom d’égide. P
s se prêtaient tour à tour. 2. Minerve disputa à Neptune l’honneur de
donner
un nom à la cité nouvelle que Cécrops venait de f
Méduse et les Gorgones ? 2. A qui Minerve disputa-t-elle l’honneur de
donner
un nom à la cité de Cécrops ? De quelle manière r
quit de Jupiter et de Junon ; d’autres prétendent que Junon-seule lui
donna
le jour, comme Jupiter l’avait donné à Minerve. R
s prétendent que Junon-seule lui donna le jour, comme Jupiter l’avait
donné
à Minerve. Rousseau peint le caractère de ce dieu
tait retiré. Alectryon s’endormit et oublia l’ordre qui lui avait été
donné
. Mars fut surpris par les premiers feux du jour,
de saliens. Numa Pompilius avait institué leur collège. Il leur avait
donné
de petits boucliers nommés ancilles, qu’on disait
il vint au monde, son père le trouva si laid et si difforme qu’il lui
donna
un coup de pied et le précipita du ciel. Il alla
e courroux de Jupiter, qu’il rappela Vulcain au céleste séjour et lui
donna
pour épouse Vénus, la plus belle des déesses. 2.
cain seul en fut capable, et il ne le fît qu’à la condition qu’on lui
donnerait
Vénus pour épouse. Dans ses forges, qu’il avait é
na-t-il les bonnes grâces du maître des dieux ? Quelle récompense lui
donna
Jupiter ? 2. Quel était son rôle dans l’Olympe ?
artout les semences d’une brillante civilisation. Au lieu d’armes, il
donnait
à tous ceux qui raccompagnaient des thyrses et de
Ce dernier trait, sur lequel la fable appuie tout spécialement, nous
donne
le sens de cette allégorie, et nous fait comprend
acchus la consola des perfidies de Thésée, la prit pour épouse et lui
donna
une couronne d’or qui, après la mort de cette pri
temple Rendre à chaque immortel les vœux qui lui sont dus. Les jours
donnés
aux dieux ne sont jamais perdus. 8. On représen
n’obtint cependant pas pour époux celui qu’elle désirait. Jupiter la
donna
au difforme et hideux Vulcain, pour le récompense
sur un sable d’or, entre des rives bordées de fleurs. Les poëtes lui
donnent
les surnoms de Cythérée et de Cypris par allusion
éra dans cette île ? Qui présida à son éducation ? Quelles leçons lui
donnaient
les Grâces ? 2. Qui l’introduisit dans le ciel ?
honorée ? Quel était le plus célèbre de ses temples ? Quels noms lui
donnaient
les poëtes ? 8 Quelle offrande lui faisaient les
l’ivoire et paraissant voler sur la surface des ondes. Aux fleuves on
donnait
la figure d’un vieillard, une barbe épaisse, une
dans une écurie. Lorsque Jupiter se fut rendu maître de l’univers, il
donna
l’empire des mers à Neptune son frère. Nous avons
t commandait aux vents et aux tempêtes. Le maître des dieux lui avait
donné
cette puissance, et il en usait avec une entière
se nommaient les nymphes ? 3. De qui Neptune était-il fils ? Qui lui
donna
l’empire des mers ? Quelles furent ses aventures
é ? Qu’est-ce que la fable raconte sur sa vie ? Quel sens pourrait-on
donner
à cette fiction ? 12. De qui Mélicerte était-il f
enir contre les géants. Après sa victoire, le souverain des dieux lui
donna
l’empire des enfers. Les païens se figuraient le
ne, dans un marais qui répandait des vapeurs si malfaisantes qu’elles
donnaient
la mort à tous les oiseaux qui essayaient de le t
; la Terreur qui frissonne Et la Faim qui frémit des conseils qu’elle
donne
; Et l’Ivresse du crime et les filles d’Enfer Rep
ui renfermée. Souvent aussi en sa qualité de dieu des bergers, on lui
donnait
une houlette et une flûte à sept tuyaux. La fable
qu’ils supposaient qu’il avait enseigné aux hommes l’agriculture. Il
donna
naissance aux Faunes, divinités rustiques qui hab
, avec cette différence qu’il tenait une branche de pin à la main. On
donne
généralement les noms de Sylvains, de Faunes ou d
de chèvre, une couronne de feuilles de vigne ou de laurier, et on lui
donnait
un panier pour porter les fruits, une faucille po
était dans l’origine qu’une pierre grossière carrée. Plus tard on lui
donna
une forme humaine ; mais la base resta pyramidale
-ce que Flore ? Comment était-elle représentée ? Quel nom les Romains
donnaient
-ils à ses fêtes ? 9. Qu’est-ce que Pomone ? Pourq
ou Génie était fils du Ciel et de la Nature, et l’on supposait qu’il
donnait
à tout l’être et le mouvement. Les empires, les v
l’Aurore, Jupiter avait accordé l’immortalité à Tithon, mais sans lui
donner
le privilège de ne jamais vieillir. Tithon devint
récieuse liqueur. Par cette maladresse elle perdit sa charge, qui fut
donnée
à Ganimède, fils de Tros, roi de Troie et le prot
a fille, la retint près d’elle, la chargea d’atteler son char, et lui
donna
pour époux Hercule, qui fut ainsi récompensé de s
terre et ses productions, le ciel et tous ses phénomènes, les païens
donnèrent
encore lu vie et le mouvement aux êtres les plus
ailes déployées, parce qu’elle élève les cœurs où elle habite. On lui
donnait
cet air simple et modeste qui sied si bien au mér
d’un combat perpétuel ; elle portait un sceptre pour rappeler qu’elle
donne
à celui qui la pratique un empire souverain sur l
jours flétrie comme un vice infiniment honteux et déshonorant. On lui
donnait
la physionomie d’une vieille femme horriblement m
pents et attachée par des bandelettes ensanglantées. Les peintres lui
donnaient
un air hagard, des vêtements déchirés, et lui fai
Qu’est-ce que l’Occasion ? Comment la représente-t-on ? 5. Quels noms
donnait
-on au Silence ? Où plaçait-on ses statues ? Comme
mot, tous les hommes les plus distingués répondirent à son appel. On
donna
le nom d’Argo au vaisseau qu’ils montaient, soit
ire de l’âme et de l’exercer au milieu des fatigues et des sueurs. Je
donne
le bonheur et la gloire à ceux qui écoulent ma vo
e parce que toutes les fois qu’Anthée tombait, la Terre, sa mère, lui
donnait
de nouvelles forces. Hercule s’en étant aperçu, s
ches empoisonnées. Tout en expirant, Nessus songea à sa vengeance. Il
donna
sa robe toute teinte de son sang à Déjanire, en l
ont Œta, remit ses armes à Philoctète son compagnon et son ami, et se
donna
lui-même la mort. Déjanire, en apprenant la fin t
e du grand Hercule ; ni chiens, ni mouches, dit-on, n’y entraient. On
donne
ordinairement à Hercule le nom d’Alcide, parce qu
on après sa mort ? Où était le plus célèbre de ses temples ? Quel nom
donne-t
-on ordinairement à Hercule ? Comment est-il repré
eter du merveilleux dans sa vie et autour de son berceau. Sa mère lui
donna
le jour dans le Péloponèse. Egée, en la quittant
outa que son impétuosité téméraire et tomba dans la mer. Sa chute fit
donner
à cet endroit de la Méditerranée le nom de mer Ic
de Minos, fut touchée de son courage et vint à son secours. Elle lui
donna
le fil à l’aide duquel il devait sortir du labyri
nds ? 4. Quel fut le plus brillant des exploits de Thésée ? Qui avait
donné
le jour au Minotaure ? Où était- il renfermé ? Qu
s de Glaucus, roi de Corinthe, et d’Epimède, fille de Sisyphe. On lui
donna
le surnom d’Hipponoüs parce qu’il apprit le premi
n frère appelé Beller, bien que cet accident fût involontaire, on lui
donna
le surnom de Bellérophon qui signifie meurtrier d
révélait l’accusation portée contre Bellérophon, et le priait de lui
donner
la mort. Iobatès se mit d’abord à célébrer des fê
e par les succès que le ciel lui assurait. Iobatès n’hésita pas à lui
donner
en mariage sa fille Philonoé et à le déclarer son
e ? 6. Quels service rendit-il à son beau-père Acrisius ? Comment lui
donna-t
-il involontairement la mort ? Quelle fut la fin d
tion ? 7. De qui Bellérophon était-il fils ? Quels surnoms lui a-t-on
donnés
? D’où lui vient le nom de Bellérophon ? Quelles
et à en semer les dents dans un champ voisin. Il le fit, et ces dents
donnèrent
aussitôt naissance à des guerriers qui attaquèren
e et de parler aux yeux, Et par les traits divers de figures tracées,
Donner
de la couleur et du corps aux pensées. L’histoi
de la noblesse de ses traits qu’elle l’adopta pour son fils. Elle lui
donna
le nom d’Œdipe (pieds enflés), parce qu’il conser
fondée ? 2. Quel fut le sort des compagnons de Cadmus ? Quel conseil
donna
Minerve à ce prince ? Quelle invention lui attrib
ce monstre ? Quelle énigme proposa-t-il aux Thébains ? Quel sens lui
donna
Œdipe ? Quels furent les enfants d’Œdipe et de Jo
rs qui vinrent au secours de Polynice ? Comment les frères ennemis se
donnèrent
-ils mutuellement la mort ? 8. Quel fut le sort de
et usa de représailles. Il enleva Hélène, l’épouse du prince qui lui
donnait
l’hospitalité, et refusa de donner aux Atrides un
élène, l’épouse du prince qui lui donnait l’hospitalité, et refusa de
donner
aux Atrides une satisfaction proportionnée à l’ou
était vulnérable, le blessa au talon d’une flèche empoisonnée qui lui
donna
la mort. Thétis vint avec une troupe de nymphes p
lement périrait. Alors il y eut un combat d’amitié pour savoir lequel
donnerait
sa vie pour son ami. Le sort tomba sur Oreste. Il
ie, à l’île d’Eubée, à l’isthme de Corinthe et à Calaurie. Ces ligues
donnèrent
naissance à de grandes confédérations, et contrib
opté que les Grecs ne comptèrent que par olympiades. Dans ces jeux on
donnait
des prix pour la course, le saut, la lutte, le je
de grandeur des mystères déjà si profonds. Nous nous contenterons de
donner
les noms de ceux qui remplissaient quelques fonct
onnés ? 4. Quel était le dieu renommé par ses oracles ? Qu’est-ce qui
donna
naissance à cette superstition ? Quelle était l’i
t les devins les plus célèbres ? Dites un mot de leur histoire. A qui
donnait
-on le nom de sibylles ? Combien en a-t-on compté
le dieu de la mort et de la destruction. Pour comble d’absurdité, ils
donnent
à chacune de ces trois personnes une déesse pour
être, et les ténèbres s’enfuirent alors devant lui. Le grand dieu lui
donna
en spectacle tous les mondes endormis et gisant d
e des castes, et vénèrent comme inspirés les livres des Védas. Ils se
donnent
pour les dieux de la terre, et prétendent sérieus
s au contraire était la lune, la terre, le principe passif, et il lui
donnait
pour symbole une génisse. A ces divinités bienfai
ang dans une coupe ; la couleur de ce sang, sa rapidité, sa direction
donnaient
autant de signes prophétiques qu’on interprétait
es trois dieux se partagèrent les honneurs suprêmes ; mais les Danois
donnèrent
la préférence à Odin, les Norwégiens à Thor, et l
rent, et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîné des fils leur
donna
l’âme et la vie ; le second, le mouvement et la s
Odin reçoit tous les braves morts sur les champs de bataille. Il leur
donne
pour compagnes des vierges d’une ravissante beaut
se ou Cancer, const., 34. Ecriture sainte, explications qu’elle nous
donne
sur l’origine du monde, 7, 12. Ecriture, son inv
e monde, et qui fût faite exprès pour les jeunes gens… On pourroit en
donner
une, renfermée en un seul Tome, où l’on rapporter
rement avoir recours à d’autres. On n’a pas dit qu’on se proposoit de
donner
des modèles de poésie, mais « de meubler la mémoi
es qualités qui la distinguent : lui seul l’embellit, l’élève, et lui
donne
ces charmes propres à orner tous les sujets qu’el
-tems la Discorde ennemie, Jusques au jour pompeux et florissant, Qui
donna
l’être à l’univers naissant ; Quand l’harmonie, a
nt la paix, et ouvertes pendant la guerre. On prétend que Saturne lui
donna
, par reconnoissance, toutes les vertus d’un bon r
igna l’agriculture, et la manière de policer les peuples ; ce qui fit
donner
à son règne le nom d’Age d’or. Avant que de régn
l épousa Junon, sa sœur ; partagea avec ses frères l’empire du Monde,
donna
celui des Eaux à Neptune, celui des Enfers à Plut
; et, pour la rendre parfaite, chacun lui fit son présent. Vénus lui
donna
la beauté ; Pallas, la sagesse ; Mercure, l’éloqu
n dos, et la conduisit dans cette partie de l’univers à laquelle elle
donna
son nom : Par quel enchantement Ce f
le regardent comme le maître absolu de l’univers ; et tantôt ils lui
donnent
une puissance souveraine, même sur tous les autre
ur imposa silence, et parla de la sorte. Rousseau. Muses !
donnez
au maître du tonnerre Le premier rang dan
ne pardonna à Paris, fils de Priam, roi de Troie, de ne lui avoir pas
donné
la pomme d’or, sur le mont Ida, lorsqu’elle dispu
Malgré vous, ils seront ouverts ; J’espère que le dieu qui m’a
donné
la vie. M’avouera pour son fils aux yeux de l’uni
age Des mains de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du dieu qui
donne
le jour, Lava dans son sang horrible L’honneur du
révèle, Temple que la nature élève jusqu’aux cieux, A qui le printems
donne
une beauté nouvelle, Chênes divin
ue lui. Apollon l’écorcha vif, et le changea en un fleuve de sang. Il
donna
des oreilles d’âne à Midas, roi de Phrygie, qui a
uée par les poëtes, sous trois rapports différens ; ce qui lui a fait
donner
le nom de triple Hécate. On l’appelle la Lune ou
lant astre des nuits, vous réparez l’absence Du dieu qui nous
donne
le jour ; Votre char, lorsqu’il fait son
elle est quelquefois montée sur un chat traîné par des biches. On lui
donne
un port majestueux, et un air de modestie mêlée d
ce flambeau fatal, Ses jours sont attachés à ce don infernal ; Il te
donne
sur eux un empire suprême ; Jamais le feu sans to
s sept merveilles du monde : de-là vient le nom de mausolées que l’on
donne
aux monumens élevés à la gloire des grands hommes
Et qui, sans rien exagérer, Par tous les emplois qu’il me
donne
, Auroit besoin, plus que personne,
étoit le dieu des voleurs, parce qu’il aidoit à voler, et qu’il avoit
donné
en ce genre des preuves de son talent. Il enleva
rien de plus beau ne parut sous les cieux. Rousseau. Les poëtes lui
donnent
plusieurs enfans ; Cupidon ou l’Amour, les trois
’elle pourroit employer pour regagner le cœur de Jupiter : Vénus lui
donne
alors sa divine ceinture, Ce chef-d’œuvre sorti d
’Amour son bandeau, Vous rendez le repos au monde. Rousseau. On lui
donne
un caractère de malignité cruelle ; et, quoiqu’en
tendre et si cruel, Porte en sa foible main les destins de la terre ;
Donne
avec un souris, ou la paix, ou la guerre, Et répa
oint de la faire mourir de douleur. Jupiter lui rendit la vie, et lui
donna
l’immortalité. On la représente avec des aîles de
ruits de Pomone, et les présens de Flore ; Et la terre n’attend, pour
donner
ses moissons, Ni les vœux des humains, ni l’ordre
et demeura boiteux. Pour le consoler de cette disgrace, son père lui
donna
l’intendance de ses foudres : C’est Vulc
upiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde, ce dieu se fit
donner
un coup de hache sur la tête, par Vulcain. On dis
s et des dieux, ont prétendu tracer un emblème de la raison qui a été
donnée
à l’homme pour le conduire. De la vertu qui nous
de Minerve. Ils disoient qu’elle avoir disputé à Neptune l’honneur de
donner
un nom à la Capitale de la Grèce, que Cécrops, ri
que plusieurs prétendent être le cheval Pégase. Minerve l’emporta, et
donna
le nom d’Athènes à cette ville qui fut, dans la s
e une insulte que Jupiter lui avoit faite ; afin de s’en venger, elle
donna
seule le jour à Mars, et voulut qu’il présidât à
ette contrée étoient fort belliqueux, soit parce que sa fille Thracia
donna
son nom à ce pays. Rome lui étoit particulièremen
Hellé, effrayée de se voir au milieu des flots, se laissa tomber, et
donna
son nom à l’Hellespont. Phryxus, étant arrivé en
r sa confidente Ino même qu’elle ne connoissoit pas, et la chargea de
donner
des habits blancs aux deux plus jeunes enfans d’A
rent dans la mer. Neptune en eut pitié, les changea en dieux marins ;
donna
à Ino le nom de Leucotoé, en la plaçant parmi les
ronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la main. Quelquefois on lui
donne
pour sceptre un bident. Son royaume est communéme
tte. Danaüs étoit roi d’Argos, et fils de Bel ou Bélus ; ce qui fait
donner
quelquefois aux Danaïdes le nom de Bélides. Tel
es, sœurs, si jamais notre commerce étroit Sur vous et vos serpens me
donna
quelque droit. Sortez de vos cachots avec les mêm
verte d’yeux et d’oreilles, et qu’elle a cent bouches. Les poëtes lui
donnent
assez souvent le nom de déesse aux cent voix : Q
artie inférieure du corps semblable à un bouc : quelquefois on ne lui
donne
que la tête et les pieds de cet animal. C’est ain
Persée pétrifia le monstre, et rendit Andromède à Céphée qui la lui
donna
pour épouse. Il se disposoit à de nouveaux exploi
lier qu’il avoit obtenu de Minerve. Les poëtes prétendent par-là nous
donner
dans ce demi-dieu le modèle d’un héros dont la pr
e de Pallas, Junon s’adoucit un peu en faveur d’Hercule ; qu’elle lui
donna
même de son lait, et qu’il en laissa tomber assez
principaux, appelés communément les travaux d’Hercule ; nom que l’on
donne
souvent aux entreprises qui demandent autant de p
l exécuta, en tuant le monstre. Mais le parjure Laomédon, refusant de
donner
les chevaux qu’il avoit promis, fut tué ; et les
it une résolution digne de son courage : Montrons que Jupiter nous a
donné
le jour ; Par l’abîme profond, voisin de ce séjou
flèche. Nessus, près d’expirer, trempa un voile dans son sang, et le
donna
à Déjanire, en l’assurant qu’il avoit la vertu d’
ouvert de la peau d’un lion et armé d’une massue. Les poëtes nous ont
donné
dans Hercule le modèle d’un héros supérieur à tou
éraire, oubliant un avis si sage, s’éleva au haut des airs, tomba, et
donna
son nom à la mer Icarienne : Quand je de
s le nom de Tyndarides, sont le plus beau modèle que l’antiquité nous
donne
de l’amour fraternel. Ils étoient fils de Léda, é
eur père, en faisant bouillir ses membres avec une herbe qu’elle leur
donna
: Elle fait amitié, leur promet des merveilles,
yant parcouru inutilement toute l’Asie, consulta l’Oracle, qui ne lui
donna
point d’autre réponse, que l’ordre de bâtir une v
ne qui, n’ayant point d’enfans, le fait élever comme son fils, et lui
donne
le nom d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses pieds
rurent heureux ; et les Thébains se félicitoient que le sort leur eût
donné
un roi si vertueux et si sage : Hélas ! nous nou
rrible sur la scène ; et les spectateurs en furent si touchés, qu’ils
donnèrent
à l’auteur le gouvernement de l’isle de Samos.
a princesse, ou périr si l’on avoit le malheur d’être vaincu. Neptune
donna
à Pélops des chevaux dont la vitesse lui assura l
changé en aigle, enleva Ganimède, fils de Tros, roi de Troie, et lui
donna
la charge de verser le nectar des dieux, à la pla
de Rome. Dardanus eut pour successeur Erictonius ; ensuite Tros, qui
donna
son nom à la ville. Il eut trois fils ; Ganimède,
ttant Pâris au monde, s’imagina accoucher d’une torche ardente. Priam
donna
ordre de tuer cet enfant : Hécube le fit élever s
le hommes avant la prise de leur ville. La flotte des vainqueurs vint
donner
contre le promontoire Capharée, voisin de l’isle
ans les lieux d’où le plus grand des rois A l’univers entier sembloit
donner
des lois, Qu’a fait aux dieux cruels sa malheureu
Qui, dans tous les lieux qu’il éclaire, Aux honneurs de son rang me
donne
tant de part. Th. Corneille. Circé, pour reteni
rossier et accoutumé à une vie sauvage ; ce qui est, pour ainsi dire,
donner
une ame à des corps brutes et informes. On dit qu
u’il montoit souvent sur un lieu élevé pour y observer les astres. On
donne
des aîles à Dédale, à l’aide desquelles il fend l
ur Admète, 136 — Est retiré des enfers par Hercule, 137 Alcide, nom
donné
à Hercule, 131-134 Alcmène, trompée par Jupiter,
44 Ambroisie, nourriture des dieux, 34 Ammon, nom que les Egyptiens
donnent
à Jupiter, 36 Amour, fils de Vénus, 73-76. Voyez
emnon, 148 — Sa haine contre Thyeste, 169-170 Atrides, nom que l’on
donne
à Agamemnon et à Ménélas, 171 Atropos, une des t
eauté, déesse qui y préside, 71 Bel, 102. Voyez Bélus. Bélides, nom
donné
aux Danaïdes, 102 Bélier, sous la forme duquel l
haste Diane, 57 Chastes Sœurs, Filles de Mémoire, etc. noms que l’on
donne
aux Muses, 50 Chersonèse-Taurique, 180 Chêne, c
Cygnes consacrés à Vénus, 74 Cygnus, ami de Phaéton, 44 Cypris, nom
donné
à Vénus, 72 Cyrianesse, punie par Junon, 39 Cyr
eance, 117 Déesse des Eaux, 92. Des forêts, 92. Du sacré vallon, nom
donné
aux Muses, 50 Déïdamie, épouse d’Achille, 175 Mè
, 121 — Allégoriques, 17-21-112-121 Doctes Fées, doctes Sœurs, noms
donnés
aux Muses, 50 Dodone, forêt célèbre, dont les ar
e par les poëes, 12 — Elle seule embellit la poésie, 13-25 — Et lui
donne
des graces, 13 — L’usage que l’on en doit faire,
ibid. Faunes, divinité champêres, 123-124 Favoris des Muses ; nom
donné
aux poëtes, 50 Festins, le dieu qui y préside, 1
ée comme une divinité, 11 Fil d’Ariadne, 143 Filles de Mémoire, nom
donné
aux Muses, 50 Filles de l’Achéron, nom donné aux
Filles de Mémoire, nom donné aux Muses, 50 Filles de l’Achéron, nom
donné
aux Parques, 59 Firmament, demeure des dieux, 20
6-17 Harpies, Filles de Neptune et d’Amphitrite, 91 Harpocrate, nom
donné
au Silence, 115 Hébé, déesse de la jeunesse, 14-
caractère, 37-38 — Se brouille et se raccommode avec Jupiter, 37 —
Donne
le jour à Mars, 83 — Présidoit aux mariages et a
rphoses, 33-34-35-131 — Renferme Bacchus dans sa cuisse, 65 Jupiter
donne
le jour à Minerve, 79 — Fait son présent à Pando
— Sous quelle idée les poëtes le représentent, 36 — Noms qu’on lui
donne
, 27-36 — La forêt de Dodone lui étoit consacrée,
d’Apollon, 144 Lapithes, peuple de la Thessalie, ibid. Lapria, nom
donné
à Diane, 60 Lara, nayade, mère des dieux domesti
04-105 — Il coule autour du palais du Sommeil, 125 Leucophryne, nom
donné
à Diane, 60 Leucotoé, nymphe, 97 Liberté, honor
17-18-21 — De Clio, 55 Loi, (la) fille de Thémis, 116 Lucine, nom
donné
à Junon, 39 Lune, (la) est adorée par les hommes
Lune, (la) est adorée par les hommes, 9 — Différens noms qu’on lui
donne
, 17 — — Voyez Diane. Lune, planète, 86 Lybie,
voit un temple magnifique, 60 Maïa, mère de Mercure, 69 Mammon, nom
donné
à Plutus, 110 Mânes, 104 — Par qui elles étoien
— Quels dieux y tiennent le premier rang, 11 Mère, (la grande) nom
donné
à Cibèle, 26 Mercure, fils de Jupiter et de Maïa
iter l’envoie sur la terre, 80 — Se dispute avec Neptune, 81 — Elle
donne
un nom à la capitale de la Grèce, ibid. Minerve
ouse Amphitrite, 91 — Favorise Latone, 40 — Fait périr Ajax, 176 —
Donne
des chevaux à Pélops, 169 — Exauce les vœux de T
retour dans ses états, après la guerre de Troie, 186 Neuf Sœurs, nom
donné
aux Muses, 50 Ninus, empereur des Assyriens, 9
artagé l’autorité souveraine entre ses fils, 166 — Œil du monde, nom
donné
au Soleil, 110 Œnée, roi de Calydon, 58 — Père
filles de l’Enfer et de la Nuit, 108 — Leur emploi, ibid. — Elles
donnent
à Altée un flambeau auquel sont attachés les jour
e de Télémaque, 193 Penthée, puni par Bacchus, 69 Père du jour, nom
donné
àApollon, 41 Périphète, géant puni par Thésée, 1
side, 79-80 Sagittaire, un des signes du Zodiaque, 89 Samienne, nom
donné
à Junon, 37 Samos, retraite de Junon, 37 Sangli
tête de Méduse, 82. Siége de Troie ; on le forme, 181 Sigalion, nom
donné
au Silence, 115 Sigée, promontoire où l’on éleva
Troyens, 184 Sisyphe, fameux brigand, 102-158 Sœurs d’Apollon, nom
donné
aux Muses, 50 Soie des Parques, 107-108 Soleil,
ré comme un dieu, 9 Soleil, son char, 42 — Différens noms qu’on lui
donne
, 17 Soleil, planète, 86-87 Solymes, vaincus par
les oracles, 47 Trident, sceptre de Neptune, 91 Triple Hécate, nom
donné
à Diane, 56 Tritons, fils et gardes de Neptune,
dant dix ans sur toutes les mers, 193 — Est bien reçu d’Eole qui lui
donne
des vents, 93-94 — Évite les piéges des Syrènes,
temps la Discorde ennemie, Jusqu’à ce jour pompeux et florissant, Qui
donna
l’être à l’univers naissant ; Quand l’Harmonie, a
ntrée, fut appelé l’âge d’or. Voici la description que Boileau nous a
donnée
de ce siècle où les hommes furent si heureux : T
ux : La faim aux animaux ne faisoit point la guerre ; Le blé, pour se
donner
, sans peine ouvrant la terre, N’attendoit pas qu’
t des ruisseaux de lait serpentoient dans les plaines. D. Quels noms
donna-t
-on aux âges qui suivirent le siècle d’or ? R. On
la main droite, et de l’autre un serpent qui se mord la queue. On lui
donne
des ailes, et l’on place près de lui un sablier.
’étoit Cybèle ? R. Cybèle étoit femme de Saturne. Les poëtes lui ont
donné
différents noms. Ceux de Dindymène, de Bérécynthi
la terre renferme dans son sein, et qui en sortent avec bruit. On lui
donne
une couronne de tours et de créneaux de murailles
le ciel, en reconnoissance des bons offices qu’il en avoit reçus. Il
donna
une de ses cornes aux nymphes qui avoient pris so
partagea l’empire du monde avec ses deux frères Neptune et Pluton. Il
donna
l’empire des eaux Neptune, celui des enfers à Plu
et, pour la rendre parfaite, chacun lui fit son présent. Pallas, lui
donna
la sagesse ; Vénus, la beauté ; Mercure, l’éloque
é Fut le canal de notre adversité. D. Quels sont les différents noms
donnés
à Jupiter ? R. Le principal surnom de Jupiter ét
Persée ; il prit la figure d’un taureau, pour enlever Europe, qui lui
donna
Minos et Rhadamante ; il se métamorphosa en satyr
it la taille et la figure d’un jeune homme, pour plaire à Sémélé, qui
donna
le jour à Bacchus. Il emprunta les traits de Dian
femmes qui furent aimées de Jupiter, et même les enfants qu’elles lui
donnèrent
. D. Racontez quelques-uns des traits de la vengea
phose, demanda la vache à Jupiter, qui n’osa la lui refuser. Junon la
donna
à garder à Argus, qui avoit cent yeux, dont cinqu
oie ? R. Junon ne put jamais pardonner à Pâris de ne lui avoir point
donné
la pomme d’or sur le mont Ida, lorsqu’elle disput
terre, Agiter sur leur tête une corne étrangère. D. Pouvez-vous nous
donner
encore quelques exemples de l’humeur vindicative
enfants ? R. Vulcain fut le seul fruit de leur union. D. La fable ne
donne-t
-elle pas d’autres enfants à Junon ? R. La fable
hesmophories, du mot thesmophore où législatrice, parce qu’elle avoit
donné
des lois ; aux Athéniens, secondement, les Ambarv
elquefois elle est montée sur un char traîné par des serpents. On lui
donne
de grosses mamelles, pour indiquer qu’elle est la
Laomédon. Mais Hercule la délivra. Laomédon, qui s’étoit engagé à la
donner
à son libérateur, trahit encore sa promesse. Herc
eu plusieurs femmes, savoir Doris, mère d’Amphitrite, et Téthys, qui
donna
le jour à un grand nombre de nymphes appelées Océ
? R. Ils eurent encore Nérée et Doris, qui se marièrent ensemble et
donnèrent
naissance à cinquante filles appelées Néréides, o
nt le corps terminé en poisson, depuis la ceinture. D. Les anciens ne
donnèrent
-ils le nom de nymphes qu’aux déesses de la mer ?
? R. Ils appelèrent nymphes plusieurs autres déesses, auxquelles ils
donnèrent
des noms particuliers, suivant les différents emp
. Les nymphes des bois et des forêts furent appelées Dryades, et l’on
donna
le nom d’Hamadryades aux nymphes que l’on croyoit
prison profonde, Entassa des rochers sur cet affreux séjour, Et leur
donna
pour maître un roi qui, tour à tour Irritant par
ud ou du midi, et Zéphire, le vent d’Ouest ou du couchant. Les Latins
donnent
pour femme à Zéphire la déesse Flore. On le peint
la Terreur qui frissonne, Et la Faim qui frémit des conseils qu’elle
donne
, Et l’Ivresse du crime, et les Filles d’enfer, Re
barbares maximes ; Et l’Intérêt enfin, père de touts les crimes. D.
Donnez
-nous une idée du gouvernement des enfers. R. On
fers ? R. Minos, fils de Jupiter et d’Europe, étoit roi de Crète. Il
donna
à ses sujets des lois qui subsistèrent jusqu’au t
’est la sagesse de ses lois, et sur-tout son équité, qui lui ont fait
donner
, après sa mort, la fonction de juge souverain des
, Eaque et Rhadamante. R. Eaque étoit fils de Jupiter et d’Égine. Il
donna
le nom de sa mère à l’île dans laquelle il régna,
e l’Achéron. On en compte trois, Alecto, Tisiphone et Mégère. On leur
donne
des couleuvres pour cheveux. Elles tiennent une t
nt horreur de cet horrible festin ; ils ressuscitèrent Pélops, et lui
donnèrent
une épaule d’ivoire, au lieu de celle que Cérès a
illes appelées Danaïdes, du nom de leur père. Égyptus, son frère, qui
donna
son nom au pays où il régnoit, eut cinquante fils
seul témoin de ce larcin. Mercure, craignant qu’il ne le décelât, lui
donna
la plus belle des vaches qu’il avoit prises. Batt
fit naître l’olivier, symbole de la paix, et obtint la victoire. Elle
donna
son nom à la ville d’Athènes, appelée auparavant
D. De qui Mars étoit-il fils ? R. Mars étoit fils de Junon, qui lui
donna
seule le jour par l’attouchement d’une fleur des
llement qu’elle la fit mourir. Mais Jupiter lui rendit la vie, et lui
donna
l’immortalité, en faveur de Cupidon. D. Qu’étoit-
it sans relâche. La Terre avoit juré à la reine des dieux de ne point
donner
d’asile, à sa rivale. Latone, arrivée au bord de
rage Des mains de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du dieu qui
donne
le jour, Lava dans son sang horrible L’honneur du
ant astre des nuits, vous réparez l’absence Du dieu qui nous
donne
le jour ; Votre char, lorsqu’il fait son
xila du ciel, parce qu’elle ne cessoit de brouiller les dieux. On lui
donne
une chevelure hérissée de serpents, et attachée a
eux, et faisant retentir dans les airs son fouet ensanglanté : on lui
donne
aussi pour arme un fléau, ou une verge teinte de
ir ce malheur, il enferma la princesse dans une tour d’airain, et lui
donna
des gardes, afin qu’aucun homme ne pût en approch
vrer, et pétrifia le monstre en lui présentant la tête fatale. Céphée
donna
sa fille pour épouse à Persée. Mais Phinée, oncle
déesse, se radoucit alors, à la prière de Pallas, et consentit même à
donner
de son lait à l’enfant, pour le rendre immortel.
retiré dans un lieu à l’écart, pour penser à quel genre de vie il se
donneroit
. Alors deux femmes de grande stature lui apparure
s alla chercher ces guerrières, les défit, et enleva leur reine qu’il
donna
à Thésée pour prix de sa valeur. 7°. Hercule déli
coups de flèches. Nessus, avant que d’expirer songea à se venger ; il
donna
à Déjanire une robe teinte de son sang, et lui fî
lequel il se plaça, et pria son ami Philoctète d’y mettre le feu. Il
donna
à cet ami ses flèches teintés du sang de l’hydre
u même supplice qu’il avoit fait souffrir à tant d’autres. Les poëtes
donnent
aussi le nom de Scinis a ce brigand. Périphète,
e Minos, lui fut d’un grand secours dans son entreprise. La princesse
donna
à ce héros un peloton de fil, à la faveur duquel
oiseaux Au secours de Thésée elle appelle les dieux. ( La Motte.) D.
Donnez
-nous quelques détails sur le labyrinthe. R. Le l
carienne18. Le malheureux Dédale aborda en Sicile. Le roi Cocalus lui
donna
un asile. Mais il le fit ensuite étouffer dans un
ueule béante vomissoit des tourbillons de flammes et de feux. Neptune
donna
le cheval Pégase à Bellérophon. Le prince, monté
ce héros, et la protection spéciale dont les dieux l’honoroient, lui
donna
sa seconde fille en mariage, et le déclara son su
consacré à Mars. Aëte, parent de Phryxus, et roi de la Colchide, lui
donna
sa fille en mariage. Mais ensuite il envia les tr
essein de reconquérir la toison d’or. D. Quel nom, les poëtes ont-ils
donné
aux héros qui entreprirent la conquête de la tois
pays-là. Elle en eut un fils appelé Médus qui succéda à son père, et
donna
à ses sujets le nom de Mèdes. C’est peu que dans
t de parler aux yeux ; Et, par les traits divers des figures tracées,
Donner
de la couleur et du corps aux pensées. Harmonie
r de la couleur et du corps aux pensées. Harmonie, femme de Cadmus,
donna
aux Grecs les premières connoissances de l’art qu
ndit habile dans la musique, et Mercure, dont il fut le disciple, lui
donna
une lyre, au son de laquelle il bâtit les murs de
liable divisoit les parents de ces jeunes amants. Pyrame et Thisbé se
donnèrent
un jour rendez-vous hors des murs de Babylone, so
persévérance, envoya chercher les augures qui engagèrent le prince à
donner
la somme que la Sibylle exigeoit pour ses trois v
oint d’enfants, elle l’adopta et prit soin de son éducation. Elle lui
donna
le nom d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses pieds
ênes du gouvernement à Thèbes, fit publier dans toute la Grèce, qu’il
donneroit
la couronne et la main de Jocaste à celui qui exp
sœur d’Étéocle et de Polynice, déclara qu’elle avoit aidé Antigone à
donner
la sépulture à Polynice, et voulut subir le même
. Pélops se présenta le quatorzième. Neptune, qui l’aimoit, lui avoit
donné
des chevaux ailés. Pélops gagna d’ailleurs Myrtil
it le temps d’un sacrifice pour l’assassiner. Egisthe, dans la suite,
donna
la mort à Agamemnon, fils d’Atrée, lorsque ce pri
Dardanie. Tros, petit-fils de Dardanus, et troisième roi de Dardanie,
donna
son nom à la ville, fils de Tros, succéda à son p
e Laomédon. Cette princesse avoit été enlevé par Hercule, qui l’avoit
donnée
en mariage à Télamon, roi de Salamine. Pâris arri
, qui les fit élever comme ses propres enfants. C’est ce qui leur fit
donner
le nom d’Atrides. Agamemnon fut chassé du trône
coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m’avez
donné
. Si pourtant ce respect, si cette obéissance, Par
ure est arrivée. Songez bien dans quel rang vous êtes élevée. Je vous
donne
un conseil qu’à peine je reçoi ; Du coup qui vous
la statue de Diane, et revinrent dans la Grèce avec Iphigénie. Oreste
donna
sa sœur Électre en mariage à Pylade ; ensuite il
ages sur les assiégés. Mais Hector s’avança pour le combattre, et lui
donna
la mort. Achille, pour venger son ami, retourna a
n diadème, Sur le front d’Andromaque il l’a posé lui-même : « Je vous
donne
, a-t-il dit, ma couronne et ma foi ; » Andromaque
Philoctète, arrivé au camp, blessa Pâris d’une de ses flèches, et lui
donna
la mort. Bientôt Ilion fut réduit en cendres. Mac
changea en pourceaux par la vertu d’une liqueur magique. Mais Minerve
donna
à Ulysse une herbe qui le préserva des charmes de
na à Télégone d’épouser Pénélope, et de ce mariage naquit Italus, qui
donna
son nom à l’Italie. D. Par qui les aventures d’Ul
irions d’Achille, Achille de ses armes. Mais puisque, condamnés à lui
donner
des larmes, Ses beaux jours par le ciel nous fure
de Chloris, étoit roi de Pylos. Il échappa seul au fer d’Hercule qui
donna
la mort à touts ses frères, parce qu’ils avoient
ts d’Andromaque, entre la crainte de perdre son fils, et l’horreur de
donner
sa main à Pyrrhus. R. Céphise, confidente d’Andr
i-même il porteroit votre ame à la douceur. Andromaque. Quoi ! je lui
donnerois
Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut
ls exploits il sut se couronner : Enfin, voilà l’époux que tu veux me
donner
. (Acte 3e, Scène 8e.) Enfin Andromaque s’est déc
ours de son fils. Elle déclare à Céphise le dessein où elle est de se
donner
la mort, après avoir engagé sa foi à Pyrrhus. An
faire. Sur le courroux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va
donner
un père au fils d’Hector. Je vais donc, puisqu’il
serviteur, touché de la beauté de Pâris et des larmes de sa mère, le
donna
à des bergers du mont Ida, qui l’élevèrent. Il de
digné d’avoir été défait par un berger, le poursuivit, et vouloit lui
donner
la mort. Mais Pâris se fit reconnoître de son frè
roi reçut son fils avec joie, oublia les fatales prédictions, et lui
donna
un appartement dans son palais. Bientôt après, il
ection de Vénus. Il blessa Diomède, Machaon, Antilochus, Palamède, et
donna
lâchement la mort à Achille. Philoctète le perça
hage. Lorsqu’Énée l’eut quittée, elle s’abandonna au désespoir, et se
donna
la mort. Tel est le récit de Virgile, qui a donné
chappoit de ces lieux, » Ne pouvois-je saisir, déchirer le parjure, »
Donner
à ses lambeaux la mer pour sépulture, » Ou massac
lieues. Le Mausolée. D. Que signifie le mot mausolée ? R. On a
donné
ce nom à touts les tombeaux magnifiques. Il vient
ar cent vingt-sept colonnes de soixante pieds, dont chacune avoit été
donnée
par un souverain. La charpente étoit de cèdre, et
premier en magnificence. Il reste de ce temple quelques fragments qui
donnent
l’idée d’une sculpture riche et de bon goût. L
e statue qui fut regardée comme un prodige. Il n’oublia rien pour lui
donner
la dernière perfection. Avant que de l’achever en
Lesbos. Il chassa de sa patrie le tyran Méléagre. Ses concitoyens lui
donnèrent
la souveraineté de leur ville. Il les gouverna en
raineté de leur ville. Il les gouverna en philosophe et en père, leur
donna
des lois sages qu’il mit en vers, et se démit ens
t qui instruit toujours d’autant mieux qu’elle amuse. Florian nous a
donné
sur ce sujet une très-jolie fable que je vais rap
yez, je gèle ; Aux passants je demande en vain. De me
donner
une retraite, Je leur fais peur à touts. Hélas !
Pour l’exhorter à patience. Si le ciel t’eût, dit-il,
donné
par excellence. Autant de jugement que de barbe a
voir du respect pour ceux de qui on a reçu la vie, et il faut leur en
donner
des marques extérieures, en les saluant avec honn
sse pour caresse. Maman, lui dit un jour l’aîné, Vous m’avez sûrement
donné
Des preuves d’un amour extrême ; Malgré tout votr
evront cet ombrage : Hé bien ! défendez-vous au sage De se
donner
des soins pour le plaisir d’autrui ? Cela même es
plus profondes… Rien n’est donc si mal entendu que l’éducation qu’on
donne
aux jeunes personnes. » Et dans son Traité de la
git de pensions de demoiselles. Pour justifier la préférence que nous
donnons
à l’éducation des pensions, et mettre quelque ord
l y soit dans un absolu repos ! Ses mouvements vous incommodent, vous
donnent
de l’impatience. Vous ignorez donc que le mouveme
z tenir pour une vérité constante, que quelques instructions que vous
donniez
à vos enfants, quelques maîtres que vous mettiez
ue les compagnies qu’ils fréquenteront, et les exemples que vous leur
donnerez
. Les enfants agissent par imitation, vous ne deve
t le vertueux Rollin, que vient le mal, par le mauvais exemple qu’ils
donnent
à leurs enfants. Ceux-ci voient touts les jours e
t. Aussi les opérations de calcul sont-elles promptement oubliées. «
Donnez
-leur des histoires grecques et romaines ; elles y
riomphent de la mémoire la plus dure et la plus obstinée. » On pourra
donner
aussi aux jeunes personnes d’autres morceaux de p
emier rang, parce qu’elle sert de base à notre religion, on devra lui
donner
successivement l’histoire grecque, l’histoire rom
divisions de cette histoire et les faits principaux. Il doit ensuite
donner
plus d’étendue au récit des événements, soit de m
eure. Mais l’excès nuit même dans ce qui est bon. On doit craindre de
donner
trop de temps à ces ouvrages dans les maisons d’é
resque irréparable. Il est fâcheux pour des parents d’être obligés de
donner
des maîtres à leurs enfants, après qu’ils les ont
ne parlons point de l’étude des langues étrangères. Quelques parents
donnent
à leurs filles des maîtres de langue angloise, de
vre de toute les masques pour parvenir à ses fins. M. Arnault nous a
donné
le bel apologue suivant : Le Chien et le Chat.
fidie Retourne sur son auteur. (Liv. 4, fab. 9.) Le même poëte nous
donne
encore la même leçon dans la fable suivante : L
our une bête De ne pas dire aussitôt : la voilà ! Mercure, au lieu de
donner
celle-là, Leur en décharge un grand coup sur la t
vertus. … L’honnête homme à la reconnoissance Sur toute autre vertu
donne
la préférence. ( Piron.) Écoutons cet apologue d
qu’il portoit, De sa flèche la plus fidelle Il alloit lui
donner
une atteinte mortelle ; Mais la Fourmi
ue de conserver un sentiment qui nous fait aimer et espérer, qui nous
donne
un avenir agréable, qui accorde touts les temps,
nge si souvent de mode, Que mon art, ne sachant où se déterminer, Lui
donne
de l’étoffe, afin qu’il s’accommode Co
la déesse à touts ces foux Répondit : Messieurs, j’y demeure, Et leur
donna
le rendez-vous Le lendemain à la même heure. Le
colère, ne l’appellent que vivacité ; mais qu’importe quel nom on lui
donne
, si cette vivacité dégénère presque toujours en b
uer encore plus que les hommes à corriger ce défaut. La nature leur a
donné
là douceur en partage : on diroit qu’une femme qu
ujours heureux ? Le sage Esope dans ses fables. Nous en
donne
un exemple ou deux. Celui qu’en ces vers j
n doit être avare. ( Nicole, sur Perse.) Soyons avares du temps ; ne
donnons
aucun de nos moments sans en recevoir la valeur ;
explicatives les interprétations, quelquefois arbitraires, qu’on peut
donner
des fables, soit historiques, soit allégoriques,
nir et de ne jamais oublier le passé. C’est pour cela que les Romains
donnaient
deux visages à Janus [Fig. 16]. Comme son règne a
que le temps détruit tout et s’écoule incessamment [Fig. 17]. On lui
donnait
aussi pour attribut un serpent qui se mord la que
à laquelle chaque dieu ou déesse fit un don particulier. Minerve lui
donna
la sagesse, Vénus la beauté ; Apollon lui enseign
ndore, c’est-à-dire assemblage de tous les dons. Pour Jupiter, il lui
donna
une boîte mystérieuse, avec ordre de la présenter
age, et, sous le nom de Lucine, elle présidait à la naissance. On lui
donne
trois enfants : Hébé, déesse de la jeunesse, qui
tend sauter les pesantes baleines ; L’eau frémit sous le dieu qui lui
donne
sa loi, Et semble avec plaisir reconnaître son ro
de leur union naquirent Nérée et Doris, qui se marièrent ensemble et
donnèrent
naissance aux Nymphes. [Fig. 33] Protée, fils
roupeaux du dieu des mers, qui, pour le récompenser de ses soins, lui
donna
la connaissance du passé, du présent et de l’aven
unes filles, dont le corps se terminait en poisson [Fig. 35]. On leur
donnait
quelquefois des ailes18. [Fig. 35] La ville de
n crime de révéler ce qui s’y était passé. C’est pour cela qu’on leur
donnait
aussi le nom de Mystères. Vesta. On adorait
, fils de Jupiter et de Junon ; mais, selon d’autres, Junon seule lui
donna
le jour en touchant une fleur, qui croissait dans
x, séduits par sa beauté, la demandèrent en mariage ; mais Jupiter la
donna
à Vulcain pour le récompenser de ce qu’il avait a
et Euphrosine [Fig. 54]. Elle portait une merveilleuse ceinture, qui
donnait
une puissance irrésistible à celle qui la posséda
Elle sortit de son cerveau tout armée21. On conte que Jupiter se fit
donner
un coup de hache sur la tête pour la mettre au mo
elui des deux qui produirait la chose la plus utile à cette ville lui
donnerait
son nom. Le dieu des eaux, d’un coup de son tride
un cheval, emblème de la guerre ; et Minerve, d’un coup de sa lance,
donna
naissance à l’olivier, symbole de la paix. Les di
erve, et la ville fut appelée Athènes, du nom d’Athéna, que les Grecs
donnaient
à cette déesse. On la représentait avec un casque
ait fils de Jupiter et de Latone. La Terre avait promis à Junon de ne
donner
aucun asile à cette fille du Titan Cœus ; mais Ne
t Python, que Junon avait suscité contre elle. Cette victoire lui fit
donner
le nom de Pythien. La joie de ce triomphe fut tro
nfondait alors avec Proserpine. De là le nom de triple Hécate que lui
donnent
quelquefois les poètes. On la surnommait aussi Tr
ntaines, et leur enseigna l’art de cultiver la vigne. [Fig. 64] On
donnait
à Bacchus les traits d’un jeune homme riant et sa
u milieu d’un affreux désert [Fig. 67]. Dans sa douleur, elle veut se
donner
la mort, mais son invisible époux arrête ses tran
r les filles de Piérus. (V. Métamorphoses.) Quoique la Fable leur ait
donné
à chacune des fonctions particulières, les poètes
res. Cependant on confondait souvent ces deux sortes de divinités. On
donnait
le nom de Génie au dieu qui veillait sur la vie e
us près des yeux, pour frapper plus sûrement, ou des épaules, afin de
donner
des coups plus violents. Quant à l’homme, il aura
ritions, la terreur parmi les bêtes sauvages. De là le nom de panique
donné
à cette terreur qui saisit tout à coup sans qu’on
omulus et de Rémus allaités par une louve. De là le nom de Lupercales
donné
à ses fêtes, qui se célébraient dans le mois de f
forme d’une borne ou d’un pieu fiché en terre ; dans la suite on lui
donna
une tête humaine placée sur une pierre pyramidale
ain une branche d’olivier, et de l’autre un caducée [Fig. 86]. On lui
donnait
encore pour attributs la corne d’abondance, des é
e Lerne, et le blessa mortellement [Fig. 91]. Nessus, pour se venger,
donna
à Déjanire sa tunique ensanglantée, comme un tali
en lui, Jupiter l’appela au ciel, l’admit à la table des dieux et lui
donna
pour épouse Hébé, déesse de la jeunesse. Thésé
où ce montre était enfermé, à l’aide du peloton de fil que lui avait
donné
Ariane, fille de Minos. Après la mort de son père
rter une lettre de Bellérophon. Iobate, suivant l’usage, commença par
donner
l’hospitalité à Bellérophon, et ce ne fut qu’au b
on ; forcé de reconnaître en lui un mortel aimé des dieux, Iobate lui
donna
sa fille Philonoé en mariage, et partagea son roy
rdonna de bâtir une ville à l’endroit où un bœuf le conduirait, et de
donner
au pays le nom de Béotie. Il se remit donc en che
èrent de la malédiction attachée à la race de Cadmus. Ces deux frères
donnèrent
l’exemple unique d’une inimitié invincible, qui a
es. Polynice alla implorer le secours d’Adraste, roi d’Argos, qui lui
donna
en mariage sa fille Argie, et organisa en sa fave
re de Jocaste, se trouva, par cette mort, possesseur du trône. Il fit
donner
la sépulture à Étéocle, et défendit, sous peine d
ant causerait la ruine de sa patrie, Priam, aussitôt qu’il fut né, le
donna
à un de ses esclaves pour le faire périr ; mais H
es aventures d’Ulysse, en qui Homère, auteur de l’Odyssée 39, a voulu
donner
un modèle de prudence, de courage, de patience et
pour reconnaître le pays deux de ses compagnons, à qui les habitants
donnèrent
à goûter de ce fruit ; mais il attendit en vain l
rer jusqu’à Pénélope, Ulysse l’entretint sans se faire connaître, lui
donna
des nouvelles de son époux, et l’assura qu’il ser
eler ses coursiers. Il couronne de rayons la tête de son fils, et lui
donne
des instructions dont une partie a été ainsi expr
vait par hasard vu le larcin. Mercure, pour l’engager au silence, lui
donne
une belle génisse, et le berger promet de se tair
fin de cette contrainte, ils prirent la résolution de s’enfuir, et se
donnèrent
rendez-vous sous un mûrier, à quelque distance de
et pour demander un peu d’eau. Une bonne vieille s’empressa de lui en
donner
, et lui offrit même de la bouillie. En voyant cet
fils de Jupiter et d’Égine, régna dans l’île d’Énopie, à laquelle il
donna
le nom d’Égine, en l’honneur de sa mère. La peste
devant qui il exposa des parures et des diamants, offrant de les lui
donner
, à condition qu’elle l’épouserait. La princesse s
tira dans les bois, où elle se mit à la suite de Diane. La déesse lui
donna
un chien d’une vitesse si merveilleuse, qu’aucune
courait les bois avec le chien et le javelot que son épouse lui avait
donnés
. Procris, qui n’était point guérie de la jalousie
, depuis ce moment, roulent un sable d’or. Quelque temps après, Midas
donna
une autre preuve de sa stupidité, en préférant la
enlèvement de sa fille, mais qu’elle s’est ouverte, malgré elle, pour
donner
passage au ravisseur. Elle lui apprend que Proser
la réputation d’être belle ; je rougissais même des louanges qu’on me
donnait
, et je me faisais un crime de plaire par d’autres
pin. La nymphe Égérie. Numa Pompilius, second roi de Rome, pour
donner
plus d’autorité à ses lois, feignait d’avoir des
t de Dieu. Le mal de tête de Jupiter et le coup de hache qu’il se fit
donner
par Vulcain enseignent aussi qu’il faut longtemps
euples appelés Myrmidons. Comme ce mot ressemble au nom que les Grecs
donnaient
aux fourmis, on imagina la métamorphose de fourmi
ms de Tellus, de Rhéa et de Titea. Ces deux divinités, s’étant unies,
donnèrent
le jour à plusieurs enfants. Les plus célèbres so
nt le nom générique de Titans, de celui de Titea, leur mère. Celle-ci
donna
encore naissance aux Cyclopes Brontès (tonnerre),
uelles sont les deux divinités qui naquirent du Chaos ? A quels dieux
donnèrent
-elles le jour ? Faites connaître trois Géants fam
tre trois Géants fameux. D’où vient le nom de Titans ? A qui était-il
donné
? Qu’était-ce que les Cyclopes ? Expliquez leur n
. Celui-ci s’occupa de civiliser les hommes, encore sauvages. Il leur
donna
des lois, leur apprit à cultiver la terre et les
ne, voulant récompenser l’hospitalité qu’il avait reçue de Janus, lui
donna
la connaissance du passé et de l’avenir. C’est ce
régnait aux jours de l’âge d’or. Les folies de notre carnaval peuvent
donner
une idée de ces fêtes, dont il est peut-être un s
lème de la fécondité et la mère des plus grands dieux. En effet, elle
donna
le jour non-seulement à Jupiter, mais à Junon, à
e, pour rappeler celle de la terre. 16. Vesta, les Vestales. On
donne
quelquefois à Cybèle le nom de Vesta ; mais on y
raconte que cette chèvre s’étant un jour cassé une corne, Jupiter la
donna
aux Nymphes qui avaient pris soin de son enfance,
-même l’empire du monde, il en fit le partage avec ses deux frères11,
donna
les mers à Neptune, les enfers à Pluton, et se ré
Typhée ; Les superbes Géants, armés contre les dieux, Ne nous
donnent
plus d’épouvante ; Ils sont ensevelis sous la mas
eut Hébé et Vulcain. II. eut encore plusieurs autres femmes, qui lui
donnèrent
un grand nombre d’enfants. De Mnémosyne il eut le
ent auprès du trône de Jupiter, et saisit Junon au moment où celle-ci
donne
le signal de la révolte. Il la suspend, par une c
jour, s’étant laissé choir, elle fut privée de cet emploi. Jupiter le
donna
à Ganymède, jeune Troyen d’une grande beauté, qu’
nsi sur la terre le feu céleste, dont il anima sa statue d’argile. Il
donna
à cette âme la timidité du lièvre, la finesse du
a fit nommer Pandore (en grec : pan, tout, dôron, présent). Vénus lui
donna
la beauté, Apollon le talent de la musique, Mercu
? Qu’était-ce que Typhée ? Quel fut son supplice ? Quelle explication
donne-t
-on de toute cette fable de la guerre des Géants ?
ut souvent troublée par le caractère jaloux et superbe de Junon. Elle
donna
le jour à quatre enfants : Hébé, Lucine, Mars et
e contestation dont les suites furent moins graves : il s’agissait de
donner
un nom à la ville que Cécrops venait de fonder da
e. Elle suscita contre elle le serpent Python, et pria la Terre de ne
donner
à sa rivale aucun asile. Alors Neptune, touché de
mégarde un cerf qu’il nourrissait, en conçut tant de regret qu’il se
donna
la mort. Apollon le changea en cyprès, et voulut
uels jeux furent institués en son honneur ? Quelle double explication
donne-t
-on de leur origine ? La victoire d’Apollon n’est-
mère lui inspira une profonde aversion pour le mariage. Son père lui
donna
un nombreux cortége de jeunes Nymphes, vierges co
ète la belle Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie. Cette princesse
donna
son nom à l’une des trois parties du monde connue
estionnaire. 59. De qui Diane était-elle fille ? Quels emplois lui
donna
son père ? Quels sont ses différents noms ? 40. C
alors que Mercure, afin de charmer ses ennuis, inventa la lyre. Il la
donna
à son compagnon d’infortune, et reçut en échange
singularité offrait-il ? Comment Mercure est-il représenté ? Quel nom
donnait
-on à ses statues à Athènes ? Chapitre X. Mars
nt venger sa fille Alcippe, enlevée par Allyrothius, fils de Neptune,
donna
la mort à ce jeune audacieux : cité pour ce meurt
se de la beauté. Chacun d’eux voulut l’avoir pour épouse : Jupiter la
donna
à Vulcain, pour le récompenser d’avoir forgé les
ésiode ? Comment explique-t-on cette tradition ? A qui Vénus fut-elle
donnée
pour épouse ? Qui aima-t-elle ? Quel fut le sort
thesmophories, du mot thesmophore, législatrice, parce qu’elle avait
donné
des lois aux hommes en les civilisant par l’agric
emple Rendre au maître immortel les vœux qui lui sont dus : Les jours
donnés
à Dieu ne sont jamais perdus. 62. Culte et im
lène, précepteur de Bacchus. 60. Quelle preuve de force et de courage
donna
Bacchus encore enfant ? Quelle fut la cause de so
l’agriculture, et fut adoré comme un dieu après sa mort. Son nom fut
donné
aux Faunes, divinités champêtres, à peu près semb
Il avait à Rome un temple sur le mont Viminal. 69. Nymphes. On
donnait
ce nom aux jeunes filles issues du sang des dieux
is encore Nérée et Doris. Ces deux divinités s’unirent à leur tour et
donnèrent
naissance à cinquante filles, appelées Néréides,
uelle fut la naissance de Nérée et de Doris ? 72. A quelles divinités
donnèrent
-ils le jour ? Comment représente-t-on Nérée et le
à passer. Hercule promit de la délivrer si Laomédon consentait à lui
donner
ses chevaux invincibles. Le prince sans foi promi
père de tenir sa parole. Hercule mit ce jeune prince sur le trône et
donna
Hésione en mariage à Télamon, roi de Salamine et
On a vu (n° 31) que Neptune disputa en vain à Minerve l’honneur de
donner
son nom à la capitale de la Cécropie, qui fut app
tures et de métamorphoses. Cela provient de ce que les premiers Grecs
donnaient
le nom de Neptune à tous les princes étrangers qu
avec Apollon ? Quelle est l’épouse la plus célébré de Neptune ? A qui
donna-t
-elle le jour ? Pourquoi attribue-t-on à Neptune b
a garde de ses troupeaux, composés de phoques ou veaux marins, et lui
donna
, comme à Nérée, le privilége de connaître l’aveni
qu’il exerce le plus sa puissance. Il était fils de Jupiter, qui lui
donna
la garde des vents, renfermés dans de profondes c
dans les États d’Eole, le dieu l’accueillit avec bienveillance et lui
donna
des outres où les vents étaient renfermés ; mais
t jetèrent Ulysse bien loin de sa patrie, sur les côtes d’Afrique. On
donne
à Eole douze enfants, qui représentent les vents
ère ; mais celui-ci fut forcé de le rendre, après un breuvage que lui
donna
Jupiter. Aussi, Pluton prêta-t-il un appui dévoué
ù cette destinée s’accomplit ? Quelle est l’idée que le poëte Hésiode
donne
du Tartare ? Quelle est la description qu’en fait
ce. Minos, fils de Jupiter et d’Europe, régna sur l’île de Crète, lui
donna
de bonnes lois, et rendit son peuple heureux. Eaq
dans le Tartare, et le châtiment auquel on les croyait condamnés. 92.
Donnez
une idée des Champs Elysées, d’après la descripti
Pitié. — Les Prières. La Pitié, prise dans le sens que les païens
donnaient
à ce mot, c’est-à-dire le respect envers les dieu
ie d’or, c’est-à-dire en corrompant les gardes avec de l’or, et Danaé
donna
le jour à Persée. Acrisius furieux fit mettre la
ellérophon et de la protection que les dieux lui accordaient ; il lui
donna
sa fille en mariage avec la moitié de ses Etats,
qui était fils Bellérophon ? Que signifie son nom, et d’où lui fut-il
donné
? Que lui arriva-t-il à la cour du roi d’Argos ?
as, Junon calma sa haine à l’égard d’Hercule, et consentit même à lui
donner
de son lait, pour le rendre immortel ; quelques g
Castor à combattre à cheval, Autolycus à conduire un char, Chiron lui
donna
des leçons de morale, de médecine et d’astronomie
Celui-ci s’associant aux ressentiments de Junon, usa du droit que lui
donnait
la priorité de sa naissance, pour imposer à son j
nourrissait ses chevaux de chair humaine. Hercule le vainquit, et le
donna
à dévorer à ces mêmes chevaux. 8° Les Amazones ét
ineure. Hercule les vainquit, fit captive leur reine Hippolyte, et la
donna
pour épousa à Thésée, qui l’avait accompagné dans
une de ses flèches et le blesse mortellement. Nessus, pour se venger,
donne
en mourant à Déjanire sa tunique, teinte de son s
r sur le mont Œta, s’y place et prie Philoctète d’y mettre le feu. Il
donne
auparavant à cet ami fidèle les flèches redoutabl
d’après l’arrêt du destin. Jupiter reçut son fils dans le ciel et lui
donna
pour épouse Hébé, déesse de la jeunesse. Hercule
fille de Minos, éprise de la beauté et du courage du jeune héros, lui
donne
un fil qui doit le guider dans les détours du lab
Thésée, devenu roi d’Athènes par la mort de son père, s’appliqua à
donner
au gouvernement une forme plus stable et plus rég
avait fondés, et il en composa une sorte de république, à laquelle il
donna
de sages lois. Puis, renonçant au pouvoir souvera
dit-on quelquefois fils de Neptune ? Quel fut le premier indice qu’il
donna
de son courage ? Quels furent ses premiers exploi
il en faut croire les poëtes, sur un bélier à toison d’or59, que leur
donna
Jupiter. Mais Hellé, saisie d’effroi, tomba dans
n. Eétès, roi du pays et parent de Phryxus, le reçut avec joie et lui
donna
sa fille en mariage. Mais bientôt il le fit périr
, Médée qui déjà avait rajeuni Eson, détermina les filles de Pélias à
donner
la mort à leur père, leur promettant de le faire
tte forme, emmena Europe dans cette partie du monde à laquelle elle a
donné
son nom. Cadmus, envoyé par son père à la recherc
llait bâtir une ville à l’endroit où il rencontrerait une génisse, et
donner
au pays le nom de Béotie (bous, génisse). La nouv
ée, qui occupaient alors le trône, l’élevèrent comme leur fils et lui
donnèrent
, à cause de l’enflure de ses pieds, le nom d’Œdip
prédit, qu’ils se partageraient son héritage, le fer à la main, et se
donneraient
mutuellement la mort. Devenus maîtres du trône, E
re. Polynice implore le secours d’Adraste, roi d’Argos, qui lui avait
donné
sa fille en mariage et qui lui fournit une puissa
irent-ils ? 123. Qui hérita du trône de Thèbes ? Quel ordre rigoureux
donna
Créon ? Quelles en furent les conséquences ? Lui-
is, leur fit jurer de défendre celui d’entre eux auquel Hélène aurait
donné
la préférence. Son choix tomba sur Ménélas, fils
la conduit à l’autel, Pâris le frappe d’une flèche au talon66, et lui
donne
la mort. Pyrrhus succède à son père, sous le nom
nt un pan, pour lui livrer passage. La nuit venue, Sinon, à un signal
donné
, ouvre les flancs du cheval : les guerriers desce
il fait apporter un coffre d’un travail merveilleux, promettant de le
donner
à celui des convives dont le corps en remplira ex
tions devait se réunir le bœuf adoré sous ce nom ? Quelle explication
donne-t
-on à ce sujet ? Où et comment se faisait l’inaugu
noms portent ces livres ? Qui est-ce qui les dicta à Zoroastre ? 135.
Donnez
une idée de la doctrine de Zoroastre. Qu’était-ce
quatre fils qui furent appelés, le premier Brahman (c’est à lui qu’il
donna
les Védas ou livres sacrés des Indous) ; le secon
doctrine n’est autre que celle de la métempsycose appliquée ici pour
donner
de l’importance et de l’autorité aux divers écrit
n, qui lui ordonne de tendre un arc gigantesque, dont la vertu est de
donner
la mort à quiconque le touchait. Crichna le brise
tive ? Quel est leur dieu suprême ? À quelles autres divinités a-t-il
donné
naissance ? Qu’appelle-t-on Trimourti ? Comment s
les furent ses principales métamorphoses ? Quelle explication peut-on
donner
de cette doctrine ? 137. Comment les Indous appel
ncarnations de Vichnou ? En quoi diffèrent-elles de celle de Brahma ?
Donnez
-en une idée, en faisant remarquer la plus célèbre
des vapeurs, d’où sortirent le géant Ymer et la vache Audumbla. Ymer
donna
naissance à la race des géants, et la vache, en l
firent Askur, le premier homme, et Embra, la première femme, qui ont
donné
naissance au genre humain. 141. Conseil des as
able, en comparaison des idées magnifiques que la vraie religion nous
donne
des délices toutes spirituelles de la vie future
e par les anciens Romains, qui le confondaient avec Neptune. 39. On
donnait
à Pluton les noms de Dis, d’Adès et d’Orcus. Dis
s nymphes auxquelles était confiée la garde des pommes d’or que Junon
donna
à Jupiter le jour de ses noces. Leur jardin était
et de parler aux yeux ; Et, par les traits divers de figures tracées,
Donner
de la couleur et du corps aux pensées. ( Brébeuf.
n, savant orientaliste français, frère de l’historien de ce nom. Il a
donné
cet ouvrage curieux une traduction en 3 volumes i
rita l’approbation du Conseil royal, qui décida qu’elle pourrait être
donnée
en prix dans les écoles. En même temps la Société
ans les études littéraires de leurs élèves. Ces témoignages de faveur
donnés
à ce Manuel ne m’ont point fermé les yeux sur ses
ésigne les trésors que le sein de la terre renferme en hiver et qu’il
donne
en été. Elle est assise sur un char traîné par de
faite de Saturne, Jupiter partagea l’empire avec ses deux frères ; il
donna
les eaux à Neptune, les enfers à Pluton, et se ré
tout aux pauvres de la ville et aux voyageurs indigents. Les poètes
donnent
quelquefois aux régions infernales les dénominati
e du vulgaire y avait placé le vestibule de l’enfer. Érèbe est le nom
donné
à la partie la plus ténébreuse du sombre empire ;
elle lui apprit l’art de semer le blé et de faire le pain ; elle lui
donna
ensuite un char attelé de deux dragons, et l’envo
tue de Cérès magnifiquement parée ; mais, tandis que la foule étonnée
donnait
l’essor à son admiration, la lumière disparaissai
ves. Elle avait comme Jupiter le privilège de lancer la foudre ; elle
donnait
l’esprit prophétique, prolongeait la vie des mort
ailles, incrusta des ailes à ses épaules, défigura ses traits, et lui
donna
un regard si affreux que son seul aspect tuait ou
e la vie de Minerve est son différend avec Neptune. La déesse voulait
donner
son nom à la ville que Cécrops venait de bâtir en
de Pallas, elle préside à la guerre et aux batailles. Ce nom lui fut
donné
quand elle vainquit le géant Pallas, dont elle po
fils de Myrrha, et bien d’autres, réussirent sans beaucoup de peine à
donner
le change à ses déplaisirs. Adonis, beau jeune h
assemblée cette admirable créature, la comblèrent de présents, et lui
donnèrent
le nom de Pandore. Après ce premier succès, Vulca
déploya beaucoup de valeur dans la guerre contre les géants ; mais il
donna
dans une embuscade, et fut fait prisonnier par le
tira aussitôt de son carquois deux flèches, dont l’une à pointe d’or
donnait
l’amour, et l’autre à pointe de plomb inspirait l
ible usage la flagellation. Les noms de Diane ou de Délie lui étaient
donnés
sur la terre19 ; mais on rappelait Lune ou Phébé
l’amiable : Apollon reçut de Mercure une lyre à trois cordes, et lui
donna
en retour une baguette de coudrier, qui avait la
ivresse ou d’en affaiblir le fâcheux effet. Entre les noms et surnoms
donnés
à Bacchus par les Grecs et les Romains, six mérit
oucit la férocité de leurs mœurs, les rassembla dans des villes, leur
donna
des lois, leur fit sentir les charmes de l’innoce
ire. Quelquefois Apollon est à leur tête, jouant de la lyre : on lui
donne
alors le surnom de Musagète, c’est-à-dire de cond
litaire, inventa la manière de ranger les troupes en phalanges, et de
donner
aux armées une aile droite et une aile gauche. L’
e la religion eussent déclaré que les nymphes l’avaient abandonné. On
donnait
le nom d’Oréades aux nymphes des montagnes. Elles
qu’une tuile, une pierre ou un tronc d’arbre ; dans la suite, on lui
donna
la figure d’un homme sans pieds et sans bras, que
arter des jardins les oiseaux qui les dévastent, ou d’une massue pour
donner
la chasse aux voleurs, ou d’une sorte de faucille
roupeau de Neptune ; et ce dieu, pour récompenser son zèle, lui avait
donné
la connaissance du passé, du présent et de l’aven
s de Neptune, est moins connu par lui-même que par sa progéniture. Il
donna
le jour à divers monstres de la fable, et princip
nt compromise la paix domestique. § 20. Les Mânes. C’est le nom
donné
par les Romains aux âmes séparées des corps. On a
monte au règne de Servius Tullius. Le nom de Libitine est quelquefois
donné
à Hécate et à Proserpine. Section troisième.
irable, et ordonna à Vulcain de former à son tour une femme, et de la
donner
pour épouse à Prométhée. Cette femme, la première
lée céleste en fut émerveillée, et la combla de présents. Minerve lui
donna
la sagesse ; Mercure, l’éloquence ; Apollon, le t
maître des dieux ces deux offrandes, en le priant de choisir. Jupiter
donna
dans le piége ; il choisit la peau qui ne renferm
nt groupées, et forment la constellation des pléiades. Quelquefois on
donne
aux Hespérides le nom d’Atlantides ; on les envis
horrible géant, le terrassa, mais en vain ; caria Terre, sa mère, lui
donnait
des forces nouvelles toutes les fois qu’il la tou
ur amuser une maîtresse capricieuse qui jouit de son embarras, et lui
donne
des soufflets avec sa pantoufle chaque fois qu’il
et prenait la fuite. « Téméraire, lui crie Hercule, la vitesse que te
donnent
tes quatre pieds pourra bien te garantir de ma po
e à se venger : il prend sa tunique, infectée de sang et de venin, la
donne
à Déjanire, et lui persuade que ce vêtement a la
» Tous les dieux applaudirent à l’apothéose d’Hercule ; Junon même y
donna
son assentiment, et lui accorda pour épouse sa fi
alors déchue et dispersée ; il assemble les Héraclides : c’est le nom
donné
aux fils, petits-fils, neveux et arrière-neveux d
iroir ; Mercure, ses talonnières et un glaive de diamant ; Pluton lui
donna
un casque qui rendait invisible. Avec ce triple s
evait les transporter en Colchide, avait cinquante rames ; Minerve en
donna
le dessin, et aida même à le construire. Le bois
à découvrir la trahison de sa fille ; il équipe des vaisseaux, il en
donne
le commandement à son fils Absyrthe. Le combat s’
upiter, qui fut le père de Pollux, et Tyndare, roi de Lacédémone, qui
donna
le jour à Castor33. Le premier exploit de Castor
même instant le ciel s’éclaircit et l’ouragan s’apaisa : de là, on a
donné
le nom de Castor et Pollux à certains feux, à cer
xpiation des crimes, et institua les fêtes de Bacchus et de Cérès. Il
donna
aux Grecs de savantes notions d’astronomie, chant
uis sa trace, bâtis une ville dans le pâturage où elle s’arrêtera, et
donne
le nom de Béotie à ce canton »36. Cadmus avait à
rphée, Hercule et Thamyris furent ses disciples. Dans une leçon qu’il
donnait
à Hercule, il eut le malheur de reprocher trop vi
ire environ deux cents ans. Il était aveugle ; mais Minerve lui avait
donné
un bâton, ou baguette magique, qui le dirigeait a
les branches, en se relevant, écartelaient ces malheureux. Thésée lui
donna
la mort. Mais un plus grand triomphe l’attendait
byrinthe. Ariane l’éclaira de ses avis, l’aida de ses secours, et lui
donna
un peloton de fil pour conduire ses pas dans les
ne protection spéciale des dieux, retint le héros dans ses États, lui
donna
sa seconde fille en mariage, et le nomma son succ
ète, ses épaules dominaient les eaux. » Diane le prit à sa suite, lui
donna
les premiers emplois de sa cour, et, lui prodigua
tance, suscita contre ce géant un simple scorpion, dont la piqûre lui
donna
la mort, inconsolable de la perte du plus dévoué
trembler ses ennemis, sa réputation s’étendit au loin, et son nom fut
donné
à la presqu’île méridionale de la Grèce (le Pélop
le sont encore plus par les crimes qui s’ensuivirent, et dont un seul
donnera
l’idée des autres. Après de longues querelles, le
as éclairer de pareilles horreurs. Un frère d’Atrée, nommé Plisthène,
donna
le jour à Agamemnon et à Ménélas, qui sont souven
rêt propre à l’intérêt public, fit annoncer dans toute la Grèce qu’il
donnerait
Jocaste et la couronne de Thèbes à celui qui déli
l trouva un asile honorable en Argolide, chez le roi Adraste, qui lui
donna
en mariage une de ses filles : la seconde venait
trépas le modèle des héros de sa patrie. § 22. Les Épigones. On
donne
ce nom aux fils aînés des Sept Chefs, qui, except
e le roi Scamandre, digne appréciateur du mérite de cet étranger, lui
donna
en mariage sa fille unique, et le désigna pour so
plus opulent des monarques de l’Asie. » Tros, fils d’Erichthonius,
donna
le nom de Troie à sa ville capitale, appelée jusq
r ; et quand il eut terminé ses longs travaux, il pria Jupiter de lui
donner
un gage visible de la durée et de la prospérité d
gea la ville de Troie, massacra le roi-parjure, enleva Hésione, et la
donna
en mariage à Télamon, roi de Salamine. § 2. Pr
Polyxo, qui l’accueillit d’abord avec un semblant de faveur, mais qui
donna
ordre, le jour suivant, qu’elle fut étouffée dans
, qui lui enseigna la musique, la médecine, l’art des combats, et lui
donna
de la vivacité et de la force en le nourrissant d
le feu. La foule incertaine flottait entre ces deux avis, quand, pour
donner
à tous l’exemple, Laocoon, grand prêtre de Neptun
et d’armures bien propre à inspirer des soupçons : mais le peuple n’y
donne
aucune suite. En ce moment, des bergers phrygiens
des intelligences avec Ulysse, favorisé l’enlèvement du palladium, et
donné
l’idée aux Grecs de construire le cheval de bois.
r exaucé sa prière ; mais bientôt un pressentiment de son malheur lui
donna
un cuisant repentir de son vœu indiscret ; il app
s côtes de la Calabre, où il fonda la ville de Salente, à laquelle il
donna
des lois pleines de sagesse et dignes de son aïeu
et de l’éloquence d’Ulysse, il le combla de marques d’estime, et lui
donna
de grandes outres, dans lesquelles étaient renfer
es ; ses fils n’avaient d’autres serviteurs qu’eux-mêmes ; son épouse
donnait
l’exemple du travail et de l’économie. Sa fille,
piter, leur dit-elle, qui nous envoie les pauvres et les suppliants ;
donnez
-lui à manger, et menez-le au bord de la rivière,
s audacieux amants avaient envahi le palais, s’y étaient installés, y
donnaient
des festins et y commandaient en maîtres. Pénélop
siste, il invoque l’équité des juges, les lois du combat et la parole
donnée
par la reine. On ne peut lui refuser ce qu’il exi
lui ôter la vie, si les satellites, accourus au bruit, lui en eussent
donné
le temps. Ils la chassent des appartements, et la
lui tant d’affection « qu’elle soignait elle-même ses chevaux et leur
donnait
à manger et à boire, » selon la remarque d’ Homèr
eveu avec tous les témoignages d’une affection paternelle, et lui fit
donner
la même éducation qu’à Pylade, son fils aîné. Il
fille de Priam, avait promis à Apollon de l’épouser, s’il voulait lui
donner
la connaissance de l’avenir et le don de prophéti
’île de Chypre, d’où elle fit enlever cinquante jeunes filles qu’elle
donna
pour épouses à ses compagnons de fortune. Faisant
Babylone à la faveur de la nuit ; et, afin de ne pas s’égarer, ils se
donnèrent
un rendez-vous au mausolée de Ninus, et sous le m
du rendez-vous ; il y arrose de larmes le voile de son amante, et se
donne
la mort d’un coup d’épée. Cependant Thisbé, reven
pelée. Une partie de fumet vers portera désormais ton nom63. » — On a
donné
à cette fable diverses explications : voici une d
que Numa ne feignit des conférences avec une nymphe inspirée que pour
donner
à ses lois une sanction divine, et rendre le peup
evant les cadavres de ses enfants ; elle y demeure immobile ; elle ne
donne
plus aucun signe de vie ; elle est métamorphosée
rs dans un état d’immobilité, dont un rocher battu par les flots peut
donner
quelque idée. Couverte de voiles funèbres, pâle,
d’heure en heure, il ne sait plus quel parti prendre, ni quels ordres
donner
. Les voiles sont déchirées, les antennes emportée
, qui vous apprend l’histoire de son malheur. Levez-vous promptement,
donnez
des larmes au plus tendre des époux, revêtez vos
ment que Céyx semblait ému de ses caresses, et que sa tête paraissait
donner
des marques de sensibilité. Les dieux, touchés du
ait de prise sur son cœur : le souffle du zéphyr, le vol du papillon,
donneraient
une idée imparfaite de sa volage humeur. Un princ
rps de son amant, elle ne put modérer l’excès de son désespoir, et se
donna
la mort. — Cette aventure a été le sujet de plusi
s en mariage pour ses 50 fils, et les obtint. Mais Danaüs eut à peine
donné
son consentement à cette alliance, qu’il se souvi
d’amants, Atalante leur annonça, de concert avec son père, qu’elle ne
donnerait
sa main qu’à celui d’entre eux qui pourrait la va
ar Vénus, se présenta pour cette lutte difficile. La déesse lui avait
donné
trois pommes d’or, cueillies au jardin des Hespér
instruit de l’usage qu’il en devait faire. Le signal de la course est
donné
: Hippomène s’élance le premier dans la lice, et
vrai que Jupiter ait tant d’affection pour vous, exigez qu’il vous en
donne
une marque infaillible ; qu’il vienne vous voir d
’argent, à continuer sa route. La déesse, touchée de ce bienfait, lui
donna
un vase de parfums, dont il n’eut qu’à faire usag
er son cœur. Elle se trompait. Phaon, d’un caractère froid et morose,
donnait
à peine quelque attention à ses prévenances. Mais
raver son effigie sur leur monnaie. Le surnom de dixième Muse lui fut
donné
par la Grèce entière, admiratrice de ses élégies
re, pour se délivrer de leurs poursuites importunes, jura qu’il ne la
donnerait
qu’à celui des prétendants qui pourrait atteler à
es réponses faites aux hommes par les dieux, s’appelaient oracles. On
donnait
aussi ce nom à l’endroit où l’on recevait ces rép
A Dodone, on faisait parler des colombes et des chênes. Jupiter-Ammon
donnait
ses oracles nettement et sans détour. Dans certai
Claros, le consultant ne posait pas de question ; il se contentait de
donner
son nom par écrit : la réponse résolvait la quest
on expédition d’Asie, vint à Delphes, dans un des mois où l’oracle ne
donnait
pas de réponses, et où la Pythie n’avait pas le d
e confiance à la conquête de l’Asie. § 21. La Pythie. Les Grecs
donnaient
le nom de Pythie à la prêtresse qui rendait les o
recueillaient avec soin, arrangeaient à leur guise, et auxquelles ils
donnaient
un rhythme, une liaison et un sens qu’elles n’ava
orcellerie et aux enchantements. § 24. Les Augures. Les Romains
donnaient
ce nom à neuf magistrats chargés de prédire l’ave
it établi chez les Païens des jeux publics, sorte de spectacles qu’on
donnait
dans un cirque, ou dans un stade, ou dans d’autre
ée : Hypsipyle, réduite en esclavage par Lycurgue, roi de Némée, fut
donnée
pour nourrice à Archémore, fils nouveau-né de ce
es mœurs sauvages de ses sujets, leur enseigna l’agriculture, et leur
donna
des lois sages et équitables. Quand il crut sa tâ
iris. Ce deuil continuait jusqu’à ce qu’il convînt aux prêtres de lui
donner
un successeur. Alors éclatait la joie ; alors on
cette coutume. § 27. Les sept merveilles du monde. Les anciens
donnèrent
ce nom à sept monuments d’une grandeur et d’une m
il pria Jupiter de témoigner par un signe décisif l’approbation qu’il
donnait
à ce travail : et aussitôt les tonnerres commencè
ient enrichi de statues et de bas-reliefs. — Le nom de mausolée a été
donné
depuis à tous les monuments funèbres élevés en l’
composait de plusieurs étages, qui, allant chacun en se rétrécissant,
donnaient
à l’ensemble une forme pyramidale : chaque étage,
l’infidélité. Épilogue. La Mythologie ou la Fable est le nom
donné
à l’histoire des dieux, des demi-dieux et des hér
t l’amour exagéré de soi-même. La mort tragique d’Icare est une leçon
donnée
aux fils désobéissants. Phaéton est le type des o
pides. 12. Homère fait naître Vénus de Jupiter et de Dioné. Virgile
donne
le surnom de Dionæus à Jules César qui descendait
se. 13. De la viennent les noms de Cypris, de Cythérée et d’Érycine,
donnés
à Vénus. 14. L’Amour n’est pas toujours un enfan
Suivant une tradition bien différente, Ariane, trahie par Thésée, se
donna
la mort. Racine y fait allusion dans ces vers de
du côté de l’Asie, à l’île de Crète. 64. Quelques-uns disent qu’on a
donné
à cette plante le nom d’héliotrope ou tournesol,
6]. 70. Cette même Anticlée épousa ensuite Laërte, roi d’Ithaque, et
donna
le jour à Ulysse. 71. D’autres l’appellent Hérop
iétaires du château, les belles statues qui décoraient le jardin, lui
donnèrent
occasion de montrer le fruit de ses études dans l
-en-ciel, étaient produits par la volonté d’êtres auxquels ces hommes
donnèrent
une figure, une voix, des passions. Les terribles
e, il la rendit mère de Minos, de Sarpédon, et de Rhadamanthe. Europe
donna
son nom à cette partie du monde que nous habitons
, et vous bâtirez une ville dans le pâturage où elle s’arrêtera. Vous
donnerez
le nom de Béotie à cette contrée. » Cadmus trouva
le et de parler aux yeux, Et par les traits divers de figures tracées
Donner
de la couleur et du corps aux pensées5. Le culte
il était quelquefois représenté sans oreilles : les Spartiates lui en
donnaient
quatre. Sur quelques médailles il est présenté av
une planète d’un vif éclat : Ce n’était point assez, ajouta-t-il, de
donner
à Jupiter l’empire du ciel et de la terre, les pe
es peuples de l’antiquité étendirent son domaine jusqu’aux astres, et
donnèrent
son nom à cette planète que nous voyons briller s
straire à la fureur jalouse de Junon, pria le maître des dieux de lui
donner
la forme d’une génisse ; mais Junon ayant su cett
ette métamorphose, et feignant de l’ignorer, exigea que son époux lui
donnât
ce bel animal. Jupiter ne put résister à cette de
surveiller la fille d’Inachus. Cependant Jupiter ordonne à Mercure de
donner
la mort à Argus, afin de soustraire son amante à
s déesses : je suis l’épouse du grand Jupiter. Prends cette pomme, et
donne
-la à celle de nous qui la mérite. » Pâris, intimi
éhensible qu’il l’était pour les anciens peuples. Le nom d’Iris a été
donné
à une plante dont les couleurs ont quelque ressem
dieux de l’Olympe fussent témoins de la perfidie de son épouse, et il
donna
ainsi un nouveau sujet de rire à ses dépens. Vénu
leur courage : « Des daims et des chevreuils en fuyant devant vous «
Donneront
à vos sens des plaisirs bien plus doux. « Je vous
l’anémone. On dit que le sang qui s’échappait de la blessure d’Adonis
donna
à la rose, qui jusqu’alors avait été blanche, la
lumer, dans la cour de son palais, un grand bûcher sur lequel elle se
donna
la mort avec l’épée de son amant, seul objet qui
étoilé, et remettons à demain l’histoire du dieu ennemi du repos que
donne
Morphée. Quatrième entretien. L’Amour. Dan
n palais ses deux sœurs, jalouses en secret de sa félicité, elles lui
donnèrent
un poignard et une lampe, et l’engagèrent à profi
te, et il en sort une vapeur noire qui s’attache à son visage, et qui
donne
à ses traits, jadis si doux, la couleur des nègre
arriva métamorphosée par Jupiter en une caille ; et ce fut là qu’elle
donna
naissance à Apollon et à Diane. A peine Apollon e
eût ressuscité. Au moyen du sang de la Gorgone, que Minerve lui avait
donné
, il rendit la vie à Capanée, à Lycurgue, roi de M
r bâtir la ville de Troie. L’ouvrage achevé, ce prince refusa de leur
donner
le prix convenu ; mais il fut puni de son ingrati
arts : il le rétablit dans toutes ses fonctions, et de nouveau il lui
donna
la direction du char du soleil. Mais l’histoire d
mène l’engagea à se présenter devant Apollon, et à le supplier de lui
donner
une preuve irrécusable de l’honneur qu’il avait d
imprudence de sa demande : il ne peut profiter des avis que lui avait
donnés
Apollon pour se diriger dans ce voyage dangereux.
s. Les flammes du char, élancées jusque sur les champs de l’Éthiopie,
donnent
aux habitants de ces contrées la couleur noire qu
par le milieu, et soutenu par trois branches de métal qui lui firent
donner
le nom de trépied. Une prophétesse prononçait les
u’on était persuadé que les vapeurs de ses feuilles étaient propres à
donner
l’inspiration poétique. L’Aurore. Lorsqu
ursuivent : il meurt enfin en poussant de tristes gémissements. Diane
donna
plusieurs autres preuves de son extrême sévérité.
nait. La triste Calisto eut un fils nommé Arcas, et qui dans la suite
donna
son nom à l’Arcadie. Alors l’impitoyable Junon, p
t trois rues ou trois chemins ; de là le surnom de Trivia qu’on lui a
donné
. Elle était quelquefois invoquée sous le nom de L
plus importantes. Le maître des dieux, pour le rendre plus agile, lui
donna
un bonnet ailé, nommé pétuse, et attacha à ses pi
avait tendu sept cordes en l’honneur des sept Atlantides. Apollon lui
donna
en échange la baguette dont il se servait pour co
s, et fut au bord du Nil l’objet d’une grande vénération. Les anciens
donnèrent
à Mercure, comme à la plupart des autres dieux, u
ns ses mains annonçait son amour pour l’art de.la guerre, qui lui fit
donner
le nom de Pallas. Quelquefois, elle lançait la fo
es habitants de la Cécropie, province appelée depuis Attique, voulant
donner
un nom à la cité qu’ils venaient de bâtir, Neptun
ils venaient de bâtir, Neptune et Minerve disputèrent entre eux à qui
donnerait
son nom à cette ville qui devait être un jour une
e reconnut qu’en effet cet instrument la rendait difforme, et elle le
donna
au satyre Marsyas. On sait qu’Alcibiade renonça à
traordinaire : Neptune, dieu des mers, en fut épris, et parvint à lui
donner
des marques de son amour dans le temple de Minerv
mé de verre poli, et qui préservait de tous les dangers ; Mercure lui
donna
une épée faite en forme de faux, et ses talonnièr
, qu’il offre à Céphée son père de la délivrer, s’il consent à la lui
donner
pour épouse. Céphée accepte avec joie cette propo
lle l’arrosa de ses larmes, et ne pouvant vaincre sa douleur, elle se
donna
la mort. Les dieux placèrent cette fille si pieus
he ; elle n’a plus de voix ; Du destin de sa fille elle sut toutefois
Donner
à la déesse un signe manifeste. La ceinture échap
la cour de Lyncus. Ce tyran, jaloux de la préférence que Cérès avait
donnée
au prince grec, voulut l’assassiner ; mais Lyncus
smophories, et dans lesquelles cette déesse était honorée comme ayant
donné
les lois aux peuples de la Grèce. Pendant les cou
parvenus à découvrir une planète à laquelle ils se sont empressés de
donner
le nom de la déesse des moissons : ils ont rendu
e Minerve de son cerveau, voulut imiter en ceci son époux, et qu’elle
donna
naissance à Vulcain. S’il en était ainsi, Vulcain
omba dans l’île de Lemnos, dont les habitants l’accueillirent, et lui
donnèrent
tous les soins que demandait son état. Dès qu’il
ntr’ouvre autour d’elle. Un arc demi-courbé, qui s’abaisse sur l’œil,
Donne
encore au regard plus d’audace et d’orgueil. Le t
ts ans que dura le feu de Vesta, furent enterrées vivantes pour avoir
donné
des preuves de la faiblesse de leur cœur. On hono
parut devant elle sous la figure de son époux absent après avoir fait
donner
ordre à Phébus de retarder sa marche pendant deux
de Jupiter. Lorsque le maître des dieux prévit que son amante allait
donner
naissance à Hercule, il jura, par le Styx et deva
éclairs, vers ces roches fidèles Il court, vole ; à ses pieds la peur
donne
des ailes : Il fait tomber ce roc que, d’une adro
nstre, en proie à son bras implacable, Se ressouvient du dieu qui lui
donna
le jour : De son gosier brûlant, dans son hideux
Euryte, roi d’Œchalie, et sachant que son père avait déclaré qu’il la
donnerait
à celui qui tirerait de l’arc mieux que lui et se
incesse. Iphitus, l’aîné des frères d’Iole, était d’avis qu’on la lui
donnât
; mais il ne fut point écouté, parcequ’on craigna
e pourpre, travaillait la laine, et souffrait, dit-on, qu’Omphale lui
donnât
quelquefois des coups de sa pantoufle pour le pun
r elle, envoya à son mari la tunique que le centaure Nessus lui avait
donnée
en mourant. Avant de commencer le sacrifice, le f
toutes les douleurs. Il élève un bûcher sur le Mont Œta, après avoir
donné
à Philoctète son arc et ses flèches ; il étend su
it fille de Jupiter et de Junon. Sa fraîcheur et sa beauté lui firent
donner
le nom de déesse de la jeunesse. Ses fonctions da
servirent plusieurs fois pour guérir les héros auxquels elles avaient
donné
naissance. Il faut remarquer qu’il n’y avait que
banquet des dieux, Jupiter ne lui permit plus de verser le nectar, et
donna
cette fonction au jeune Ganymède. Cette aimable d
vu le séjour des morts ; et c’est l’historique de son voyage qui peut
donner
les idées les plus exactes sur ces contrées soute
de Carthage, qui, n’ayant pu supporter la fuite de ce héros, s’était
donné
la mort sur un bûcher. Elle parut insensible aux
uit Junon qu’il avait cru posséder dans un nuage auquel Jupiter avait
donné
la forme de cette déesse, et qui est condamné à t
ronne à l’entour D’un rideau de verdure impénétrable au jour. L’ombre
donne
au gazon une fraîcheur plus vive : Un éternel pri
i. Il la rendit mère de Triton, un des dieux marins, et de Rhode, qui
donna
son nom à une île de la mer Égée. Les poëtes donn
, et de Rhode, qui donna son nom à une île de la mer Égée. Les poëtes
donnent
de Triton l’idée d’un dieu puissant, qui règne su
urface de notre planète. Le berger Atys fut aimé de Cybèle : elle lui
donna
la garde du temple qu’elle avait en Phrygie, à co
rne l’oiseau ; la toison la brebis ; « La barbe sied à l’homme et lui
donne
son prix, « L’œil que je porte au front me rend-i
nte de Délos devint stable par l’ordre de Jupiter, lorsque Latone eut
donné
naissance à Apollon et à Diane ; et nous avons vu
llon la transporta sur les côtes d’Italie, dans l’île à laquelle elle
donna
son nom, et dans laquelle elle bâtit un palais ma
ne petite statue appelée Palladium. On croit que le nom de vestibule,
donné
à la pièce d’entrée d’une maison, vient du culte
mme d’acolyte et de pendant à ma Mythologie. On m’a aussi engagé à le
donner
à l’Imprimeur, afin que ces deux petits Traités f
couleurs propres à leur en dévoiler toute la turpitude, et à leur en
donner
la plus forte aversion. Le tout est accompagné de
temps la Discorde ennemie, Jusques au jour pompeux et florissant, Qui
donna
l’être à l’Univers naissant ; Quand l’harmonie, a
ce pays ? R. D’abord, pour reconnoître les services de Janus, il lui
donna
toutes les qualités qui font un bon Roi. Il ensei
n règne fut appelé Age d’or. Voici la description de cet Age heureux,
donnée
par le célèbre Despréaux : Tous les plaisirs cou
ux ; La faim aux animaux ne faisoit point la guerre ; Le bled pour se
donner
sans peine ouvrant la terre, N’attendoit pas qu’u
le ciel, en reconnoissance des bons offices qu’il en avoit reçus. Il
donna
une de ses cornes aux Nymphes qui avoient pris so
Léda, dont il eut Castor et Pollux ; en taureau pour Europe, qui lui
donna
Minos et Radamante ; en pluie d’or pour Danaé, do
ils concoururent ensemble pour former une femme parfaite. Pallas lui
donna
la sagesse ; Vénus, la beauté ; Apollon, la conno
us prétexte de faire aussi son présent à Pandore, la fit venir et lui
donna
une boëte, avec ordre de la porter à Prométhée. E
e ce que coûta à la nation Troyenne la préférence que le berger Pâris
donna
à Vénus au préjudice de cette Déesse. Son caractè
re Marsyas, qui osa le défier, et prétendit chanter mieux que lui. Il
donna
aussi des oreilles d’âne à Midas, roi de Phrygie,
érée par les Poëtes sous trois rapports différens ; ce qui lui a fait
donner
le nom de Triple Hécate. On l’appelle la Lune ou
ant astre des nuits2, vous réparez l’absence Du Dieu qui nous
donne
le jour ; Votre char, lorsqu’il fait son
étoit le Dieu des voleurs, parce qu’il aidoit à voler, et qu’il avoit
donné
en ce genre des preuves de ton talent. Il enleva
ambe en tombant, et demeura boiteux. Pour l’en consoler, son père lui
donna
l’intendance de ses foudres. C’est Vulca
upiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde, ce Dieu se fit
donner
un coup de hache sur la tête par Vulcain. On dist
e sous deux rapports ou comme la Déesse de la guerre, et alors on lui
donne
le nom de Pallas ; ou comme la Déesse de la sages
erve avec Neptune ? R. Neptune et Minerve se disputoient l’honneur de
donner
un nom à la capitale de la Grèce que Cécrops veno
coup de son trident, fit naître un beau cheval. Minerve l’emporta, et
donna
le nom d’Athènes à cette ville, qui devint dans l
la paix. Mars. D. De qui Mars étoit-il fils ? R. Jupiter avoit
donné
seul la naissance à Pallas ; Junon de même donna
s ? R. Jupiter avoit donné seul la naissance à Pallas ; Junon de même
donna
seule le jour à Mars. C’étoit le Dieu de la guerr
dansant et sautant dans les rues. Numa en institua douze, auxquels il
donna
de petits boucliers, appelés Ancilles. Neptune
appelé le royaume des Ombres et des Morts. Juges des Enfers. D.
Donnez
-nous une idée du gouvernement des Enfers ? R. On
x, qu’il seroit difficile de les placer avec assez de méthode pour en
donner
une idée nette et précise. Nous les distinguerons
hesmophories, du mot Thesmophore ou Législatrice, parce qu’elle avait
donné
des lois aux Athéniens. Enfin, on appela ces Fête
verte d’yeux et d’oreilles, et qu’elle a cent bouches. Les Poëtes lui
donnent
fréquemment le nom de Déesse aux cent voix. Quel
hamps ? R. Oui, et on les appeloit les Dieux Termes. Les vers suivans
donneront
une idée de leurs fonctions ; c’est le maître d’u
elon les Poëtes, tous ses brillans succès. Ils prétendent par-là nous
donner
dans ce demi-Dieu le modèle d’un Héros, dont la p
é ? R. C’est Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène. Dès le berceau il
donna
des preuves de sa force, en étouffant deux serpen
e flèche. Nessus prêt d’expirer, trempa un voile dans son sang, et le
donna
à Déjanire comme un remède à l’indifférence de so
na à Déjanire comme un remède à l’indifférence de son époux. Celle-ci
donna
ce voile à Hercule. Aussitôt il sentit un feu dév
Labyrinthe, dont il n’étoit pas possible de trouver l’issue. Ariadne
donna
à Thésée un peloton de fil, par le moyen duquel i
éraire, oubliant un avis si sage, s’éleva au haut des airs, tomba, et
donna
son nom à la mer Icarienne. Un Poëte dit figuréme
t de parler aux yeux ; Et, par les traits divers des figures tracées,
Donner
de la couleur et du corps aux pensées. Le Poëte
et, le présente à la reine qui le fait élever comme son fils, et lui
donne
le nom d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses pieds
ince Troyen, qu’elle avoit épouse en secondes noces, fuit, et elle se
donne
la mort. C’est ce qui a donné lieu à cette belle
ient même qu’il n’y en a jamais eu d’autres que celle-ci. Ce qui a pu
donner
croyance à l’existence de plusieurs, c’est qu’ell
bé s’aimoient tendrement, malgré les défenses de leurs parens. Ils se
donnèrent
un jour rendez-vous hors de la ville de Babylone,
morale sans doute est l’ame de la Fable, C’est une fleur qui doit
donner
son fruit, …………………………………………………… L’homme n’eût poi
on, Pour l’exhorter à patience : Si le ciel t’eût, dit-il,
donné
par excellence Autant de jugement que de barbe au
finit avec le déclin du jour qui l’a fait naître. Le mérite seul peut
donner
du prix à la beauté. La vertu et les talens ne vi
bien ce vice est bas et honteux, et nous rend méprisables. On ne peut
donner
aucune confiance au menteur. La parole est le pre
rcure que celle qui étoit d’or leur appartenoit. Mercure, au lieu de
donner
celle-là, Leur en décharge un grand coup sur la t
chameaux. Le Mausolée. D. Que signifie le mot Mausolée ? R. On
donne
ce nom aux monumens élevés à la gloire des grands
ue ? Il faut bien croire que je me suis trompé, puisque le Destin m’a
donné
tort. J’ai succombé, et le polythéisme avec moi.
ieille horloge. Boileau, comme je l’appris de mon guide, la lui avait
donnée
un jour par charité ; mais depuis la mort du poët
continuel, cette ronde sans fin de personnages gravement affairés, me
donnait
le vertige. Je m’éloignai sans demander d’explica
eux que j’ai passés depuis plus de trois mille ans que je travaille !
Donner
une pareille besogne à un pauvre batelier qui ne
e loin en loin une ombre de poëte ! Il ne tient à rien que je ne vous
donne
un bon coup d’aviron sur la tête, pour apprendre
rs passagers furent les membres du Caveau. Ces grosses ombres pansues
donnèrent
à la barque le coup de grâce. Les joyeux buveurs
de la panoplie la massue d’Hercule, et, la soulevant à deux mains, je
donnai
sur la troupe féroce, qui s’évanouit comme un rêv
de cette Ariane plaintive, ses grâces éplorées, ses belles larmes, me
donnaient
la tentation de devenir son Bacchus. (Mauvais gen
ne mine de Thésée, qui devait être la proie du Minotaure, qu’elle lui
donna
un peloton de fil, par le moyen duquel il sortit
orgie. » Saturnales est plus usité dans ce sens. Les fêtes de Saturne
donnaient
aux esclaves quelques jours de liberté dont ils a
culte va s’étendant tous les jours sur cette planète, à laquelle il a
donné
la vigne pour la consoler d’être si petite. Il rè
divin ni le goût, ni la couleur vermeille. Le dieu les hait ; il leur
donne
, pour punir leur sacrilége, une soif que les liba
uriez croire quels efforts font ces bonnes gens pour nous imiter. Ils
donnent
des noms romains à leurs temples, à leurs théâtre
ndrés, comme sa peau. Sans être petit, il n’avait pas la taille qu’on
donne
ordinairement aux Centaures. Fréret, qui discu
ndit sa loge, qui se changea en un antre profond et ténébreux. On lui
donna
trois têtes et trois gueules béantes. Ces trois g
humain. Cérès l’éleva, lui enseigna l’art d’ensemencer le blé et lui
donna
un char attelé de dragons, afin qu’il pût porter
trefois nous paraît aussi triste qu’un souper refroidi. Rabelais nous
donne
une caricature amusante de Comus dans la personne
épond que l’usage est l’arbitre souverain du langage, et que, si on a
donné
ce titre à Fénelon, c’est pour l’opposer à l’aigl
’en emprunte le récit à Cicéron, et le lecteur m’en saura gré. Je lui
donne
le tableau d’un maître. — « Un jour un des flatt
, le premier, anima ces représentations de la forme humaine ; il leur
donna
des yeux, il dégagea les bras du corps, il sépara
en cet endroit qu’on est réduit aux conjectures. S’il m’est permis de
donner
la mienne dans une question aussi difficile, je p
ire de ses ailes ; il tomba et se noya dans la mer Égée. Grande leçon
donnée
aux ambitieux ; mais nous ne voyons pas qu’elle e
ez nous, l’éternuement n’est pas un Dieu, et il est bien difficile de
donner
un tour noble à cette pensée. Théocrite aussi fa
Il ne paraît pas que ces présages fussent aussi méprisés que Pline le
donne
à entendre, puisque les dévots étaient allés jusq
es hommes, reconnaissants, élevèrent des temples à Esculape ; ils lui
donnèrent
deux filles, Santé et Guérison, deux déesses rayo
et de terreur, car, si leur influence enrichissait la ferme, leur vue
donnait
la mort. Bons petits dieux des champs, Pans, Sat
on de bienfaits, veillent sur les enfants, multiplient les troupeaux,
donnent
au maître la paix et l’abondance. L’esclave lui-m
archer seuls dans la vie et à ne compter que sur eux-mêmes. Elle leur
donne
le courage d’oser et de faire mieux que leurs dev
champ de bataille. Les Pygmées l’entourent pendant son sommeil et lui
donnent
l’assaut. Le héros se réveille, d’une main se cou
l’infiniment petit, à une seule condition, c’est qu’après nous avoir
donné
la taille de leurs personnages, ils gardent les p
ent. Au siècle dernier, elles portaient des mouches et des paniers et
donnaient
de l’éventail sur les doigts à ce fripon d’Amour.
u la conque d’un triton, celui-là le chant des sirènes. Chaque voyage
donnait
naissance à une nouvelle histoire merveilleuse qu
histoire merveilleuse qui courait aussitôt la Grèce, et dont le récit
donnait
le frisson aux plus intrépides. Une des plus étra
elle antérieure ou postérieure à celle du lynx ? Est-ce l’homme qui a
donné
son nom à l’animal, ou l’animal à l’homme ? Quest
les ont des inscriptions de païens, ce n’était pas une raison pour en
donner
une à Guillaume, qui est mort en bon chrétien, et
ée de terreur. On ne s’est plus souvenu que de leurs vipères, et on a
donné
le nom de Furies à ce qu’il y a de plus repoussan
n, une sphère sur les genoux, observait les mouvements célestes. Elle
donna
son nom aux femmes savantes du xviie et du xviii
, le bon sens, l’horreur de l’emphase et de l’obscurité. Mais ils ont
donné
des ailes à la muse lyrique. Elle rampait, elle v
ne ! La foi n’offre à l’esprit du chrétien que des abstractions. Leur
donner
un corps, c’est tomber dans l’idolâtrie, c’est pr
ter en vers ; il faudra qu’il en fasse une ombre lumineuse, qu’il lui
donne
des ailes, une robe blanche, ou qu’il se résigne
lles ne se montrent pas encore, mais cela viendra : il faut bien leur
donner
le temps de se familiariser. Oracles. Il se
à divers animaux les principaux traits de leur caractère pour les lui
donner
; qu’ainsi il lui attribua la poltronnerie du liè
ntrer dans la boue dont il était sorti. Le plus pressant était de lui
donner
le feu dont il manquait. Le feu, dont le soleil e
pouvait devenir redoutable. Il n’ignorait pas que Prométhée lui avait
donné
une parcelle de l’intelligence divine, et, avec u
dons et l’appelèrent Pandore, c’est-à-dire la Bien Douée. Jupiter lui
donna
pour dot une belle boîte d’or qu’elle s’en fut of
Pour punir, il ne lui manquait plus qu’un prétexte : Prométhée le lui
donna
bientôt. Comme tous les inventeurs, il avait en s
angeait ses enfants aussitôt venus au monde, et que Rhéa sa femme lui
donna
le change en lui présentant une grosse pierre emm
mps à les interpréter. Aujourd’hui qu’une critique moins frivole nous
donne
la vraie clef de ces mythes antiques, on commence
nouvelle encore et à peine remise des grandes convulsions qui lui ont
donné
la forme que nous lui voyons aujourd’hui. Autour
lieu du travail, s’interrompe et dise à ses compagnes : — « Nous nous
donnons
, mes sœurs, une peine inutile : voilà plus de qui
ils du vent du nord, les poursuivirent à grands coups d’ailes et leur
donnèrent
la chasse jusqu’aux îles Strophades, où elles fir
eriori del corpo ; i Centauri, metà cavalli e metà uomini ; le Arpie,
donne
fino alla cintura e avvoltoi nelle parti posterio
li la Duchessa di Grammont chiesto se almeno sarebbero risparmiate le
donne
, egli rispose : Voi, Signora, e molte altre illus
danza. — Divinità allegorica che si rappresenta sotto le forme di una
donna
giovane e bellissima, circondata di tutti i beni
tà, non si sarebbe mai presa, lo inviò alla corte di Scio in abito da
donna
, e sotto il nome di Pirra, per tenerlo a tutti ce
completamente nel suo disegno, poichè Achille, quantunque vestito da
donna
, appena vide le armi, non guardò nemmeno i ricchi
nivano accompagnati da tutt’i contrassegni di pubblica afflizione. Le
donne
ministre di questo culto piangendo correvano per
ssime forme, morto sul flore degli anui. Nel corso delle cerimonie le
donne
vestite a bruno andavano a toglierle per celebrar
uravano queste cerimonie si passavano nel lutto e nella tristezza. Le
donne
vestite a bruno piangevano per delle ore intere.
di Priamo. 166. Agdelfo, Agdifio o Agdisto. — Mostro metà uomo e metà
donna
che la favola fa nascere dal commercio di Giove e
r ripopolare il mondo. Giove innamorato di questa pietra la cangiò in
donna
e n’ebbe un figlio che fu detto Agdelfo. 170. Age
irlo. Ma la principessa non seppe vincere la curiosità, propria della
donna
e infranse l’ordine di Minerva, ed aprì il canest
e Aedone, figlia del re Zeteus, fratello d’Anfione. Questa sventurata
donna
concepì una invidia mortale contro la moglie d’An
re, la cangiarono in uccello. La favola fa menzione anche di un’altra
donna
a nome Aedone, figlia di Pandareo Efeso, la quale
giganti più ricordati dalle cronache mitologiche, il quale sposò una
donna
per nome Ifimedia. La favola racconta, che, essen
d un tribunale composto di dodici Numi. Vi furono anche diverse altre
donne
conosciute sotto questo nome ; una, figlia di Oen
e su cui vedesi scolpita. Viene rappresentata con le sembianze di una
donna
giovane e bella, con un corno dell’abbondanza nel
omani, ci ripete che essi la rappresentavano come una bella e giovane
donna
, vestita di ruvida stoffa, con la testa scoperta
Re della Licia. La tradizione favolosa dice che egli fu marito d’una
donna
a nome Chimera, la quale aveva due fratelli noti
sorella. Da ciò la favola che dà al mostro detto chimera il volto di
donna
, il corpo di leonessa e le ali di drago. Vedi Chi
’ella fece per ritrovare sua figlia Proserpina, rapita da Plutone. Le
donne
di Megara avevano una grande venerazione per ques
fi veniva, per lo spazio di 40 giorni, segretamente nutrito da alcune
donne
a cui solo era permesso di avvicinare il dio, e c
o e l’olivo erano consacrati al Apollo, perchè fra i mortali uomini e
donne
che ebbero contatto con lui, molti furono cangiat
a le più cospicue ed illustri famiglie. L’archigallo vestiva come una
donna
, con una tonaca ed un mantello che gli scendevano
e i Lacedemoni adoravano Venere in memoria della vittoria che le loro
donne
avevano riportata sopra i Messeni. 579. Armifera
llo. Climeneo allora non potendo sopravvivere alla perdita della sola
donna
che avesse amata, si tolse di propria mano la vit
V. Crise. 641. Astiosea. — Moglie di Telefo. Si chiama anche così una
donna
da cui Ercole ebbe diversi figli. 642. Astipaleo.
re della famosa Semiramide. Al dire di Luciano essa aveva la testa di
donna
e il rimanente di pesce. Vossio nelle sue opere d
Grecia furono stabiliti i baccanali, vi prendevano parte solamente le
donne
; in seguito poi vi furono ammessi gli uomini, e
in alcuna parte d’ Italia. 729. Baccanti. — Si chiamavano così quelle
donne
, specie di seguaci del culto di Bacco, le quali l
dei nove mesi. L’infante che nel corpo era imperfetto Dell’infelice
donna
che s’accese. Che dal seme di Giove avea concetto
osso seguito, più che da un’armala, da un popolo intero di uomini, di
donne
, di fanciulli, di animali, ecc : e mosse alla con
come un dio. 752. Baubo. — Detta anche Becubo. Così avea nome quella
donna
che ospitò Cerere, quando essa cercava la figlia
rad. di Dell’ Anguillara. 753. Bauci. — Era una povera e vecchissima
donna
, la quale col marito Filemone, vecchio quanto lei
an porte, a piede Dei gradi ove sta un pian fra’l tempio e l’onde, La
donna
far del suo marito vede I canuti capei silvestri
E mentre il guarda e la cagion ne chiede, L’arbor vede ei che la sua
donna
asconde : E più ch’un mira e attende al fin che n
— La chioma di Berenice. trad. di Ugo Foscolo 782. Beroe. — Vecchia
donna
d’Epidauro, di cui Giunone prese la figura per in
cò una città della Tracia, a cui dette il suo nome. 804. Bistonidi. —
Donne
della Tracia e probabilmente della stessa città d
precipitò in un pozzo. Altri scrittori dicono che Buteo sposasse una
donna
, la quale, per la sua incomparabile bellezza, fos
iritta, con un libro nella sinistra, e seguita da altre tre figure di
donne
, in cui l’allegoria favolosa vede la personificaz
dell’Odissea e dell’Eneide. 907. Callipatira. — Ebbe questo nome una
donna
greca, la quale, ricorrendo il tempo dei giuochi
ricorrendo il tempo dei giuochi olimpici, a cui non era permesso alle
donne
di prender parte, si travestì da maestro degli es
nore di Venere, nelle quali veniva conferito un premio alla più bella
donna
. Questo vocabolo Callistee deriva dal greco Κάλλο
che il vero sesso di Campea fosse rimasto un mistero. Molti la dicono
donna
; altri vogliono che fosse un uomo dalle forme gi
e in onore di Giunone, che venivano celebrate il 9 di luglio. Le sole
donne
avevano il ministero di queste feste, la cui prin
. — Soprannome di Diana, a lei venuto dalla festa detta Caria, che le
donne
della Laconia celebravano in onore di lei, nel te
io nello stretto della Sicilia. La Favola racconta essere Cariddi una
donna
la quale, avendo involato dei buoi ad Ercole, fu
delle Nereidi. Che non solo osó dir, che in tutto il mondo Di beltà
donna
a lei non era pare, Ma che non era viso più gioco
amento degli uomini ; e Acastor, cioè tempio di Castore, quello delle
donne
. Al dire di Giustino, Castore e Polluce appariron
, quando il sole abbandona la terra, quasi un amante che lasci la sua
donna
. 1010. Cavalli di Enea. — Al dire di Omero i cava
gli venisse dall’aver fatto delle leggi sull’unione dell’uomo e della
donna
, per mezzo del matrimonio ; ed altri perchè essen
la tradizione mitologica sotto il nome di Ceneo, il quale fu dapprima
donna
e si chiamò Cena, ed ottenne da Nettuno il doppio
nni misteri delle sue feste. Veniva rappresentata sotto figura di una
donna
giovane e bella, avendo nella mano destra una fal
o a Giunone forse perchè Giove l’abbandonò assai di sovente per altre
donne
. 1078. Cherone. — Figlio di Apollo. Dette il suo
io di Saturno e di Filira. Saturno, perdutamente innamorata di questa
donna
bellissima, tutte le volte che si recava da lei s
a la stessa che la terra ; viene raffigurata sotto le sembianze d’una
donna
bellissima, con una corona di torri sul capo, cir
co la loro città capitale, chiamata Imarte. La favola racconta che le
donne
dei Ciconi avessoro ucciso Orfeo, perchè le avea
nelo. Egli durante l’assedio di Troja s’impadronì degli stati e della
donna
di Diomede. 1108. Cillaruso. — Uno dei Centauri.
e patria di Medea, la quale veniva perciò detta Citae-Virgo, ossia la
donna
di Cita. 1148. Citera. — Isola del mediterraneo.
contro di Giove vedendosi di continuo abbandonata da questo per altre
donne
, avesse deciso di dividersi da lui per mezzo di u
presiedeva alla storia. I poeti la rappresentano sotto figura di una
donna
giovane, d’imponente e maestosa bellezza, con la
glia di Giove e di Temi ; veniva rappresentata sotto la figura di una
donna
vestita di una lunga tunica di diversi colori, e
i faceva per mezzo d’un crivello o staccio. 1211. Cocitia-Virgo. — La
donna
infernale, così veniva denominata Alettone o Alec
vinità che presiedeva alle gioje notturne ed allo abbigliamento delle
donne
e dei garzoni seguaci dell’eleganza della moda. V
uo novello amante ; ma non potendo interamente porre in oblio l’amata
donna
, quando l’ebbe uccisa, tirò dal grembo di lei un
onde sottrarla agli insulti del vincitore. ….. e men tra loro Era la
donna
mia….. Mentre cosi tra furioso e mesto Per la cit
ranno già me dardania prole, E di Priamo figlia, e nuora a Venere, Nè
donna
lor, nè di lor donne ancella, Che la gran genitri
prole, E di Priamo figlia, e nuora a Venere, Nè donna lor, nè di lor
donne
ancella, Che la gran genitrice de gli dei Appo se
nera figlia Acrisio avea. Nomata Danae, si leggiadra e bella, Che non
donna
mortal, ma vera dea Sembrava al viso, a’modi, e a
Bianchi hanno dato a questo passo della divina Commedia : « Pasifae,
donna
di Minosse re di Creta, soggiacque ad un toro, ch
rano propriamente quelli che avevano per padre un dio e per madre una
donna
mortale : o viceversa per madre una dea e per pad
Dei venivano anche annoverati, dopo la morte, quegli uomini e quelle
donne
che per le loro eroiche azioni avessero meritato
e a sè il marito, tutte le volte ch’egli si fosse innamorato di altre
donne
. Morto Nesso, la credula Dejanira venne a sapere
tro e di seta, Lo sparso sangue all’occhio asconde e vieta. Pioché la
donna
dal centauro intese. Che il sangue al morto amor
a in pesce. Gli Assiri a doravano una divinità sotto la figura di una
donna
, che dalla cintura in giù aveva il corpo di pesce
cquero altrettanti uomini gìà adulti e da quelle di Pirra altrettante
donne
. Escon dal tempio, e si bendan la fronte, Indi c
o gittati Tutti sortir faccia virile e sesso : Fur tutti gli altri in
donne
trasformatì… Ovidio — Metamor. — Lib. I trad. dí
csise con un pugnale, e ciò le valse il nome di Didone, che vuol dire
donna
risoluta. Il Metastasio per l’effetto scenico del
persone che venivano designate sotto i nomi d’indovini o di maghi. Le
donne
che esercitavano la divinazione, venivano chiamat
uidi lo stato matrimoniale, e quando essi avevano tolta in moglie una
donna
, questa si chiamava Druidessa, ed aveva diritto a
e di Latona, madre di Apollo e di Diana. 1540. Echidna. — Mostro metà
donna
e metà serpente. Secondo la favola esso generò Ce
re in segreto al re Polinnestore ; ed avendolo condotto in mezzo alle
donne
Trojane, che l’avevano seguita, queste si avventa
izione mitologica ripete che il nome di questa città derivasse da una
donna
chiamata Efeso, la quale dette origine alle Amazz
con un colpo di bastone : nell’istesso momento egli fu trasformato in
donna
, e secondo la tradizione mitologica, restò tale p
tatua di Tiresia, che all’andare era vestito da uomo ed al ritorno da
donna
. Vedi Tiresia che mutò sembiante. Quando di masc
ancora un’altra Egeria, che presiedeva allo sgravo, ed alla quale le
donne
incinta facevano continui sagrifizii ed offerte,
1579. Egghitree. — Con questa denominazione i Greci indicavano quelle
donne
e quelle fanciulle, che nelle funebri cerimonie p
omede si ricoverò nel tempio di Apollo e poi abbandonò la disgraziata
donna
. 1585. Egina. — Figlia del flume Asopo, la quale
dra, madre di Neofronte, la quale era tenuta in conto della più bella
donna
de’suoi tempi, la sedusse a forza di oro, ma non
a spegnere colla sazietà del possesso, l’ardente desiderio che questa
donna
bellissima gli aveva acceso nel sangue. Neofronte
urioso fin sulla vetta di un’altissima montagna, onde farne dono alla
donna
che amava. La cronaca tradizionale ripete che la
Ebbe fama d’essere insieme la più bella e la più lasciva e corrotta
donna
dei suoi tempi. La bellezza di lei levò tanto gri
va nel tempio di Diana, la danza detta dell’Innocenza, nella quale le
donne
ballavano nude innanzi al simulacro della Dea. Il
. Era inoltre Emitea ritenuta come protettrice dei parti ond’è che le
donne
incinta ne invocavano la protezione con ricchissi
. Eona. — Presso i Fenicii era l’Eva della creazione ; ossia la prima
donna
del mondo, la quale consigliò ai suoi figliuoli d
all’assedio di Troja. Essendo stata in un conflitto riconosciuta per
donna
, i suoi concittadini la lapidarono credendola una
ovessero vivere sempre in pace tra loro. La parola Eratelea significa
donna
perfetta e si dava a Giunone in tali occasione, p
significare che le fanciulle vanno a marito quando sono completamente
donne
. Questo vocabolo viene da due parole greche : Ηρα
donne. Questo vocabolo viene da due parole greche : Ηρα che significa
donna
, e ϰλιος perfetta. 1761. Erato. — Nome della sest
tere a qual genere di vita si sarebbe dato : allora gli apparvero due
donne
di grande statura di cui una bellissima, che era
rrenze era espressamente proibito d’introdurre nel sacro corteggio nè
donne
, nè schiavi nè cani. Il culto di Ercole fioriva a
dell’antichità si trova di sovente data questa denominazione a quelle
donne
che furono cagione di grave danno al proprio paes
a, che era cieco, disse di essere stato avvertito in sogno, che se le
donne
di Eritrea avessero voluto tutte tagliarsi i cape
, avrebbero senza fatica tirato la statua alla loro spiaggia. Però le
donne
di Eritera, non vollero acconsentire a sacrificar
on vollero acconsentire a sacrificare la loro capigliatura. Allora le
donne
Tracie che servivano in Eritrea, spontaneamente a
o che in avvenire nel tempio di Ercole, avessero accesso solamente le
donne
. In quanto al pescatore, la tradizione ripete che
cconci allo stato : e questo ancora Concilia amor. Non la hellezza, o
donna
, Ma le virtù legan de’sposi il core. Tu, se alqua
edicato un tempio nella città di Clazomene nel quale era inibito alle
donne
di entrare. 1810. Ero o Eros. — Sacerdotessa di V
ea e per padre un uomo, o viceversa, per padre un dio e per madre una
donna
. La maggioranza di questi scrittori trae il nome
sovente ricordato che gli onori eroici furono spesso rese anche alle
donne
. 1812. Erofila. — Nome di una sibilla figlia del
one della moneta di rame. Veniva rappresentata sotto la figura di una
donna
in piedi, con la mano sinistra poggiata su di un
à, confonde le Esperidi con le Atlantidi, alle quali dà per madre una
donna
, per nome Esperide, da cui trassero il nome colle
o alcun tempio nè altare. Veniva rappresentata sotto la figura di una
donna
, con la testa circondata di raggi ; con una Fenic
overata fra le divinità. Veniva raffigurata sotto le sembianze di una
donna
in piedi, che ha nella mano sinistra una picca e
ad una divinità chiamata Eunosta. Essendo espressamente vietato alle
donne
di entrare in quel tempio, era generale credenza
n simili congiunture le più severe ricerche, per conoscere se qualche
donna
fosse penetrata nel tempio anche per combinazione
caccia e l’uccise. Secondo riferisce Plutarco, Faja fu il nome di una
donna
, che vivea di prostituzione, di assassinio e di f
o. Un giorno il dio di Epidauro, Esculapio, gli mandò per mezzo d’una
donna
chiamata Anite, una lettera suggellata, con ordin
a, con ordine di aprirla e leggerla. Falisio credette da prima che la
donna
volesse prendersi giuoco di lui, insultando, per
propria patria. La Fame veniva raffigurata sotto la sembianza di una
donna
smunta, pallida, emaciata ; cogli occhi incavati
entò di una bellezza simile a quello di un dio, per modo che tutte le
donne
di Mitilene furono pazze di lui. ……… Eccolo : ei
, in commemorazione di quel fatto. Peraltro Faone non fu con tutte le
donne
insensibile come lo fu con la disgraziata poetess
stessa che sotto il nome di Buona Dea prediceva l’avvenire alle sole
donne
, e riceveva i sacrifizii in certi luoghi appartat
a rimaneva sempre muto per gli uomini ; e non rispondeva neanche alle
donne
, quando talune di esse la interrogava per cosa ch
ano personificato questo mese e lo dipingevano sotto la figura dì una
donna
vestita di una tunica succinta, che lasciava scop
vente confusa con la dea Tellure, che non è altro se non la Terra. Le
donne
romane invocavano la Fecondità, per avere dei fig
trettanto ridicola. Narrano le cronache dell’antichità, che quando le
donne
si recavano nel tempio della dea, per invocare la
. Sulle antiche medaglie si trova la fecondità rappresentata come una
donna
appariscente per florida bellezza, col seno inter
crebbe così fattamente la fiamma colpevole nel seno della disgraziata
donna
, che temendo di dover ritornare in Atene, e di re
Eudemonia. V. Eudemonia. Veniva rappresentata sotto la figura di una
donna
giovane e sorridente, con un cornucopia nella sin
estra. 1979. Femonea — Ai tempi di Acrisio, avo di Perseo, viveva una
donna
così chiamata, la quale fu la prima Pitia, o sace
un Sole Esse or son pioppi, ambre i disfatti lumi : Queste adornan le
donne
. e quelli i fiumi. Ovidio — Metamorfosi — Libro
invecchiano mai. 1998. Fia. — Al dire di Erodoto, così aveva nome una
donna
ateniese, di un’altezza quasi gigantesca ed assai
utti quei fanciulli che la sfrenata libidine sacerdotale, aveva dalle
donne
che i ministri della divinità subornavano nei tem
rnarie d’accanto. Al dire d’Igino, Demofoonte rispose all’innammorata
donna
, fissandole perfino il giorno del suo arrivo. Ven
a nella Tracia, con grande solennità, e nella quale era permesso alle
donne
di correre sole a traverso i campi, l’animosa gio
vista, Tereo forsennato si gittò sulle sue armi, onde uccidere le due
donne
, ma queste si dettero ad una precipitosa fuga, e
veut l’attaquer, il est blessé lui-même par un coup de lance que lui
donne
Amphimaque,……………... il perdait son sang et ses fo
ntato al pudore di lei. Fineo perdutamente innammorato della perversa
donna
, credè alle sue parole e fece cavar gli occhi ai
iumi, li avessero rappresentati come giovanetti e talvolta anche come
donne
. È questa però un’ opinione respinta’ dalla gran
dans sa riche corbeille. Assortit un tribul de ruses et de lis, Et le
donne
au Zéphyr pour l’offrir à son fils, Les plaisirs
orrore prodotto negli spettatori, che la tradizione ripete che molte
donne
si sconciarono, e molti fanciulli morirono di pau
orirono di paura. Esse venivano raffigurate sotto le sembianze di tre
donne
con faccia tetra e spaventosa ; con serpenti inve
murosamente in quello, avesse osservato presso alla porta una vecchia
donna
immobile in un atteggiamento assai strano. Sospet
ni di acqua limpida. Dopo di aver invocato i demonii, si prendeva una
donna
incinta od un fanciullo e si faceva osservare att
Gerere. — Si chiamavano così nella città di Atene, quelle quattordici
donne
, che servivano la regina dei sacrifizi, in occasi
ro vento, fu condotto in Lenno, dove essendo quell’isola governata da
donne
sole, le quali sprezzando l’imperio dei mariti gl
ntrie, erano queste presso i greci le appellazioni che si davano alle
donne
dei sacerdoti Gierofanti. Però questa opinione è
ice. 2152. Gineccocratumeni. — Dalle due parole greche γυνη, γυαιϰος,
donna
, e ϰρατουμενος, vinto, e si dava questo nome, sec
sarebbero nati da questo connubio, sarebbero stati Amazzoni, se erano
donne
, e sacerdoti se fossero uomini. 2153. Ginniel. —
ente il nome di Lætizia ; e la raffiguravano sotto le sembianze d’una
donna
giovane e sorridente, con una corona nella mano d
inile, cosi i pagani raffiguravano il giorno sotto le sembianze d’una
donna
; mentre il Crepuscolo, in greco ορδρος che è di
tte. Anche il Mezzogiorno veniva raffigurato sotto le sembianze d’una
donna
, essendo la parola greca μιοημβρια che significa
nti di Giove, ma i figli che egli ebbe, tanto da altre dee, quanto da
donne
mortali, il cui numero raggiunge una cifra incalc
. Presso i pagani era generale credenza, che Giunone odiasse tutte le
donne
di facili costumi, e questa credenza fu maggiorme
sso i romani, allorquando il loro re Numa Pompilio, proibi a tutte le
donne
pubbliche, di entrare nei templi consacrati a Giu
fonte avessero la strana prerogativa, di ritoruare la verginità alle
donne
che l’avevano perduta. Ma se in molti punti opini
dinariamente però, Giunone veniva rappresentata sotto la figura d’una
donna
d’imponente e maestosa bellezza ; ricoperta d’un
noni — Nome collettivo che i pagani davano ai genii particolari delle
donne
. Era credenza generalizzata presso gli antichi, c
le donne. Era credenza generalizzata presso gli antichi, che tutte le
donne
avessero una loro Giunone particolare e tutti gli
la Giunone di Giunia Torquata celeste protettrice . Presso i greci le
donne
giuravano comunemente per la loro Giunone, e ques
e questa fu introdotta presso i romani anche nei misteri Eleusini. Le
donne
gioravano ordinariamente per le loro Giunoni, e g
la giustizia veniva comunemente raffigurata sotto le sembianze di una
donna
maestosamente severa, colla mestizia negli occhi
iano, l’arte della divinazione era così naturale, che perfino le loro
donne
e i loro fanciulli eseguivano gl’incantesimi e pr
3. Gorgoni — Queste tre sorelle figlie di Forco, dio marino, e di una
donna
per nome Ceto, formavano la triade che insieme al
vano la Lidia, vicino al lago Tritonide, e che altro non erano se non
donne
guerriere governate da Medusa, loro regina, e che
i dall’essere degli animali mostruosi e terribili, erano invece delle
donne
giovani e bellissime, largamente fornite di tutti
he fu detto caugiassero in pietre gli uomini. Plinio ne parla come di
donne
selvagge, abitatrici delle Gorgati, da cui venne
cartaginesi, fosse penetrato fino alla loro dimora ; ove trovò alcune
donne
le quali avevano la prerogativa di correre così v
Fenici, i quali avevano un loro capo per nome Perseo. Queste erano le
donne
coperte di peli di cui parla Plinio, le quali gen
Le cerimonie ibristiche, furono istituite in onore di quelle valorose
donne
che, senza aiuto degli uomini, presero le armi e
a dell’Oceano e madre della famosa Medea. Idia fu una delle più belle
donne
dei suoi tempi. 2241. Idmone. — Celebre indovino
il colorito del suo volto, lasciando quella tinta rosea propria della
donna
, acquistava un tono più bruno e maschile ; vide c
sua statua, ricoperta interamente da un velo, e innanzi alla quale le
donne
di Sicione andavano ad offrire le loro chiome all
. Generalmente i pagani rappresentavano Igiea, sotto la figura di una
donna
giovane ed imponente d’aspetto ; coi tratti del v
esse al doloroso mistero dello sgravo. Durante i dolori del parto, le
donne
facevono dei sacrifizi a questa dea, credendo cos
ata alle feste e spinto dell’amore concepì il pensiero di vestirsi da
donna
onde poter rimanere vicino alla sua amata durante
a del suo cuore, una mano di corsari piombarono improvvisamente sulle
donne
ateniesi e profittando della confusione se ne imp
iunto, radunò il popolo e propose ai magistrati, di liberare le altre
donne
ateniesi dalle mani dei corsari richiedendo in pr
erchè ritenevano che questi genii dividessero la notte il letto delle
donne
. 2279. Indicanie. — Soprannome che si dava ad Erc
vano fatta una divinità, e la rappresentavano sotto lo aspetto di una
donna
tranquilla e sorridente ; dallo sguardo dolce e m
o, che la dea Intercidona era onorata anche come la protettrice delle
donne
gravide e che la invocavano insieme a Deverra e P
a il nome d’Intercidona e la protezione che credevano accordasse alle
donne
incinte. 2288. Intestina delle vittime. — L’incar
dedito solo allo studio e alla caccia avea in altissimo dispregio le
donne
; perlocchè si tirò sopra il terribile sdegno di
ed aveva così agio a vedere il giovanetto bellissimo di cui la misera
donna
era così perdutamente innamorata V. Ippolito. Col
à ci ricordano un singolare avvenimento. Dice la favola che avendo le
donne
di Lenno trascurati gli altari di Venere, la dea
ti. Irritate da questo crudele, sebbene non ingiusto procedimento, le
donne
di Lenno si unirono tutte, e concordi nel desider
rso quel torno di tempo, una novella e profonda ferita nell’enima. Le
donne
di Lenno scoprirono finalmente che Toante padre d
Virgilio, il suo incarico più importante era quello di tagliare alle
donne
moribonde il fatale capello. …… De l’affannosa m
condiscese al volere di Giove e questi allora formò di una nuvola una
donna
a cui dette le sembianze della propria moglie e l
città ne devasta, e lei, qual vedi, Fa qui condur, non senza cura, o
donna
, Nè in sembianza di schiava : Sofocle — Le Trach
tre grandi numi tenuti in tanta venerazione dai Tuatadanici, sono tre
donne
, tre dee possenti e benefattrici, tre madri occid
ni e le cronache mitologiche irlandesi, le quali parlano tutte di tre
donne
che prendono possesso di quella contrada, dànno i
in. — Nella Cina è questo il nome della dea, che si crede guarisca le
donne
dalla sterilità. Viene rappresentata con un bambi
ni di Kansa. Appena giunti in Nundagroma, si presentarono loro alcune
donne
dalle forme gigantesche, che erano segrete mandat
de morì uccisa a colpi di spillone, in un tempio di Venere, da alcune
donne
di Corinto, invidiose della suprema bellezza di l
a alla simbolica esistenza delle Lamie, specie di mostri dal volto di
donna
, che attirano i passeggieri e poi li divorano. La
ndo il carattere della nostra opera, parleremo partitamente di quelle
donne
che così ebbero nome e che sono ricordate dagl’au
una regina di Cappadocia, di cui la tradizione serba memoria come di
donna
crudelmente ambiziosa. Ariarate, suo consorte, mo
l’appellativo di S. Giovanni di Laona. Presso i greci ed i romani, le
donne
adoravano Latona come protettrice delle partorien
andro. — Amante di Ero : egli mori annegato nell’ andare a trovare la
donna
dell’amor suo. V. Ero. 2462. Leargo. — Figlio di
ento a martoriare il suo bellissimo corpo. Qualche ora dopo l’ eroica
donna
moriva, orribilmente straziata ; ma i suoi numero
Odissea — Libro X. Trad. di I. Pindemonte. Non appena la mostruosa
donna
vide i due stranieri, chiamò a sè il marito Antif
a costumanza generalizzata presso tutti i pagani, i quali, appena una
donna
aveva partorito, posavano sulla nuda terra il neo
capelli un sacrifizio al fiume Alfeo, se li lasciò crescere a modo di
donna
, e rivestito un abito femminile, andò a ritrovar
ppo di far parte del suo seguito ; e siccome egli, se pure vestito da
donna
conservava tutta la sua forza e la sua destrezza,
uella della madre di lei, ritenuta anch’essa come una delle più belle
donne
dei suoi tempi. ….. Leucotea prole D’Eurinome la
davano a pregare pei proprii figliuoli. Era severamente proibito alle
donne
schiave di entrare in quel tempio, e se per disav
figie si vede ancora sulle medaglie antiche. È rappresentata come una
donna
con un cornucopia in una mano, e nell’altra una t
uale usciva da un sasso che imitava così perfettamente il seno di una
donna
che pareva l’acqua scaturisse da due mammelle, nè
cender la Luna sopra la terra ; e Petronio medesimo asserisce, che le
donne
di Crotona attiravano la Luna coi loro sortilegi.
lle loro divinità, personificandole sovente come uomo, e sovente come
donna
. Da ciò il dio Luno altro non era che la Luna med
e adoravano la dea Luna, andavano facilmente soggetti al potere delle
donne
, ed erano dominati da esse ; mentre per contrario
ante i sacrifizi che si facevano al dio Luno, gli uomini vestivano da
donna
, e le donne da uomo. Forse per mostrare la promis
fizi che si facevano al dio Luno, gli uomini vestivano da donna, e le
donne
da uomo. Forse per mostrare la promiscuità dei du
e col quale battevano tutti quelli che incontravano e segnatamente le
donne
, che per altro ricevevano quei colpi assai volent
navano scalzi. Iside viene comunemente rappresentata in figura di una
donna
con le corna di vacca. 11. .Brahma. — Voce sansc
fessavano le più oscene dottrine, vivendo in completo divorzio con le
donne
e ammettendo, come principio di fede, l’amore con
mini e soprattutto coi fanciulli ; vivendo completamente divisi dalle
donne
, da cui si allontanavano con sacro giuramento, al
mini e soprattutto coi fanciulli ; vivendo completamente divisi dalle
donne
, da cui si allontanavano con sacro giuramento, al
mini e soprattutto coi fanciulli ; vivendo completamente divisi dalle
donne
, da cui si allontanavano con sacro giuramento, al
olta viva. Vesta si rappresenta talvolta sotto le forme di una bella
donna
con un disco in una mano, ed una chiave nell’altr
rzo ; che molti ebbero il nome di Giove, ed avendo abusato di diverse
donne
con vari stratagemmi, tutti questi furono attribu
Marte senza di lui. Sotto il nome di Lucina presiedeva ai parti delle
donne
, e sotto quello di Pronuba ai matrimoni. Era la d
donne, e sotto quello di Pronuba ai matrimoni. Era la divinità delle
donne
costumate, e quelle di cattiva vita non potevano
porco. Cerere si rappresenta comunemente sotto le forme di una bella
donna
di statura alta e maestosa, che ha il seno abbond
tutte le parti della Grecia. Viene questa Dea rappresentata come una
donna
di una bellezza semplice, nobile e grave ; armata
e nol palesasse ad alcuno ; le additò poi un fiore sopra il quale una
donna
sedendo concepiva immediatamente ; e dicesi di pi
immediatamente ; e dicesi di più che al solo toccarlo bastasse ad una
donna
per divenir madre. Giunone fece quanto le aveva F
i sieno state annoverate nella storia, e che le dissolutezze di molte
donne
di questo nome siano state attribuite ad una sola
o feste in onor suo. Questa Dea si rappresenta sotto la figura di una
donna
giovine, nel fiore della bellezza, in abito da ca
facesse ritornare in Tracia. Si rappresentavano sotto le sembianze di
donna
vecchia, con lunghi crini, con volto sempre smunt
a contro le sue amanti, assunte le forme e la figura di Beroe vecchia
donna
di Epidauro, nutrice di Semele, andò a visitare q
questo Dio andò a conquistare le Indie con un esercito di uomini e di
donne
, che invece di armi portavano dei tirsi, specie d
e di edera e dei tamburi. Erano essi agitati da un divino furore. Le
donne
erano scapigliate e vestite di pelli di cerve e d
le più note sono le Baccanti. Le Ninfe che allevarono questo Dio, le
donne
che lo accompagnarono nella conquista delle Indie
a esso fatte. Celebri sono i tripodi che camminavano da sè stessi, le
donne
d’oro che aiutavanlo ne’suoi lavori, i cani d’arg
diritto di creare gli nomini, ordinarono a Vulcano di fabbricare una
donna
cui diedero il nome di Pandora, e che per renderl
inspirava una tale avversione a tutti, che non potè ritrovare alcuna
donna
che volesse sposarlo, e fu per questo che si dete
in certi tempi dell’anno le venivano offerti dei sacrifici. Quando le
donne
celebravano le feste di questa Dea, chiamate giuo
gli era accaduto, promettendo di far ritornare in Atene tutte quelle
donne
, purchè gli fosse stata accordata la mano di quel
cui si celebrava la sua festa era permesso agli uomini di vestire da
donna
, ed alle donne di abbigliarsi da uomo. I suoi seg
va la sua festa era permesso agli uomini di vestire da donna, ed alle
donne
di abbigliarsi da uomo. I suoi seguaci correvano
statue che le furono dedicate si distinguono all’aspetto di una bella
donna
, con un braccio intorno del quale sta avviticchia
di suo padre a Sicione, una statua coperta di un velo, alla quale le
donne
di quella città dedicavano la loro capigliatura.
irone, sul monte Tittone in vicinanza di Epidauro ; fu nutrito da una
donna
chiamata Trigone, e passando la sua vita ne’giard
nascere dal Cielo e dalla Terra. Si rappresenta sotto le forme di una
donna
sempre allegra, con l’ali alle spalle, una corona
proprie. La testuggine è il simbolo del ritiro e del silenzio, che a
donna
maritata contanto si addicono. Urania e Bacco era
mostri immaginati dai poeti. Asseriscono alcuni che le Gorgoni erano
donne
guerriere le quali abitavano la Libia presso il l
ato che al mondo vi fossero delle nazioni sottoposte al dominio delle
donne
. Pretendono altri che le Gorgoni fossero vere bes
ie di Orfeo era una Driade. Venivano rappresentate sotto la figura di
donne
di fresco e robusto aspetto, la cui parte inferio
dolci momenti di tua vita ; all’ombra di queste foglie incontrasti la
donna
che ti rese il più felice fra i mariti e fra i pa
esi la parte superiore del corpo a un dipresso simile a quello di una
donna
. Le Oceanidi, Le Nereidi, Teti, l’Oceano e Nettun
sue manifatture di tela, esponevano nelle loro feste la figura di una
donna
avente nella mano destra il subbio, intorno al qu
presentemente Napoli. Le Sirene dipingonsi colla testa ed il corpo di
donna
fino alla cintura e la forma di uccello dalla cin
cintura al basso ; oppure con tutto il corpo di augello e la testa di
donna
. Si danno loro in mano degli stromenti di musica
ro per caso i poeti avuto in mira con tale racconto di eccitare nelle
donne
il nobile sentimento dell’amicizia sì raro nel lo
e coste della Sicilia e portava su la prua la mostruosa figura di una
donna
il cui corpo era circondato di cani. Aggiungesi c
ente nei vortici, hanno dato motivo alla favola. Cariddi nome di una
donna
voracissima che avendo rubato ad Ercole certi buo
Teseo che gli era stato compagno in quell’impresa. Le Amazzoni erano
donne
guerriere che abitavano le ripe del Termodonte in
e ch’ebbe per Onfale regina di Lidia fu sì ardente, che si vestiva da
donna
per piacerle e silava con lei. La morte di Ercole
Giove per questo attentato ordinò a Vulcano di formare una bellissima
donna
, di cui è già parlato all’articolo Vulcano stesso
il più giusto degli uomini, e Pirra sua sposa la più virtuosa tra le
donne
, i soli che per essere gente dabbene gli Dei voll
da Deucalione si convertirono in uomini e quelle gettate da Pirra in
donne
. Gli altri animali, secondo alcuni mitologi, rina
ale di Calidona e secondo alcuni alle due guerre di Tebe. Rapì alcune
donne
fra le quali Elena, Arianna e Fedra, ma le restit
e nozze essi risolvettero di rapire Ippodamia sposa di lui e le altre
donne
che assistevano a questa festa. Ercole, Teseo e g
ile all’amore ricusò costantemente di legarsi con un nuovo imeneo. Le
donne
di Tracia tentarono ogni via per fargli rinunciar
i Tracia che nel mar Egeo mette le sue foci. Così la morte di una sol
donna
rapì ad Orfeo la pace e la vendetta di molte gli
feo fu trasportata in ciclo e gli Dei ne fecero una costellazione. Le
donne
omicide furono da Bacco mutate in piante ; e i du
ssaglia. Approdarono all’isola di Lenno che trovarono abitata da sole
donne
, le quali per vivere in loro balìa, avevano uccis
’ei lo facesse morire ; giacchè è noto che niuno è più crudele di una
donna
il cui risentimento sia punto dalla vergogna di u
si riferisce, questa scienza era tanto naturale che passava fin nelle
donne
e nei fanciulli. A misura ch’egli andava avvicina
o alato nato da Tifone e da Echidna che aveva la testa ed il petto di
donna
, il corpo di cane, le zampe di leone, la coda di
a delle armi. Venere s’impegnò di renderlo possessore della più bella
donna
dell’universo. Giunone si abbigliò poscia nel mod
in Isparta da Menelao marito di Elena, che era riputata la più bella
donna
di quell’età, colse Paride l’occasione che Menela
li quanto pei sacrifici. Nel predire il futuro si distinsero anche le
donne
, e famose in questa professione furono le Sibille
fessione furono le Sibille. Così chiamavano i Greci ed i Romani certe
donne
ch’essi dicevano invase di spirito profetico ed a
i. alle Sibille la quale conteneva i destini di Roma. Narrasi che una
donna
si presentò un giorno a Tarquinio Prisco, o al Su
vveniva al tempo delle loro Feste. Eglino vestivano alla foggia delle
donne
, e andavano quà e là mendicando, fingendo che Cib
di Sacerdoti di varie Divinità e di Magistrati. Li seguivano uomini,
donne
, e fanciulli, vestiti a bianco, inghirlan, dati d
tto Callicoro, ossia bella danza, da’ balli sacri, che vi facevano le
donne
in onore di questa Dea. Non molto lungi eravi un
io, anzi tutte le Nazioni concorrevano (c). V’ erano ammesse anche le
donne
sotto il nome di Melisse. Credevasi, che l’essere
à dell’ Acaja. Si solemizzavano pel corso di tre giorni. Nel terzo le
donne
scacciavano dal tempio gli uomini e i cani, vi si
no instituite da Trittolemo, re d’ Eleusi (g) (15). Si celebravano da
donne
nobili e di onesta vita, e due di loro ciascun gi
dalla corona, che portava in capo. Al tempo di tali Feste le predette
donne
portavano sulla testa sino ad Eleusi alcuni libri
er ricordare quelle, delle quali ne fu inventrice Cerere. Le medesime
donne
innoltre porgevano allora preci a Cerere, a Prose
stì da pescatore. Non molto dopo Metra ritornò alla primiera forma di
donna
; ed Erisittone, avvedutosi del privilegio, che g
ati da Deucalione, in breve tempo si viddero cangiati in uomini, e in
donne
quelli di Pirra (a). Deucalione, allora offrì sol
ori doveano spogliarsi delle loro vesti. Diede motivo a tal legge una
donna
d’Elea, chiamata Callipatera. Costei, sapendo, ch
legge una donna d’Elea, chiamata Callipatera. Costei, sapendo, che le
donne
venivano precipitate da una rupe, qualora avesser
ato da Plutarco, soggiunge, che Teseo le istituì in memoria di Ecale,
donna
vecchia e povera, ma virtuosissima, la quale avea
nterdetto l’avvicinarvisi gran fatto. A qualche distanza d’intorno le
donné
con danze e canti festeggiavano la sacra ceremoni
o (g). Ronolo ricercò a’ Sabini e a’ vicini popoli alcune delle loro
donne
per popolare la città, che avea fabbricato ? nè a
ucesse in casa propria, e non gli presentasse subito del sale (m). Le
donne
lavavano i piedi agli ospiti (n). A questi pure s
questo nuovo insulto, commise al Dio Vulcano, ch’ei pure formasse una
donna
, a cui si diede il nome di Pandora, ossia fornita
cui diedesi parimenti il nome di Calamo (g). Giove amò altresì molte
donne
, e per avvicinarsi ad esse si trasformò in varie
on cui lo perseguitava Giunone. Egli radunò moltitudine d’uomini e di
donne
, e seco loro s’accinse alla grande impresa. Oppon
concorso, benchè ne fossero esclusi i forestieri (g). Gli uomini e le
donne
si coronavano allora d’ ellera. Non si udivano ch
n Alea, città d’Arcadia. Per comando dell’ Oracolo di Delfo allora le
donne
si battevano con verghe all’ altare di Bacco, e l
anie erano parimenti Feste notturne, le quali si solennizzavano dalle
donne
Greche, coronate d’ellera. Elleno le cominciavano
gli Orcomenj di Beozia v’ avea di particolate in queste Feste, che le
donne
n’erano escluse. Quindi un sacerdote di Bacco con
perchè presiedeva alle purificazioni, alle quali si sottomettevano le
donne
dopo il parto (c). Altri però così la denominaron
rificò un becco. Colla pelle di questa vittima furono sferzate quelle
donne
, ed esse al decimo mese ebbero un pronto e felice
o un pronto e felice parto. Dicesi che da ciò ne sia derivato, che le
donne
, le quali desideravano di aver prole, si sottomet
fulmine (b). Questa Dea, perchè Giove avea preso ad amare molte altre
donne
, si divise da lui, e ritirossi in Eubea. Il Nume
no quelle truppe, che le medesime caddero tutte in profondo sonno. Le
donne
allora dalla cima d’ una ficaja selvaggia, detta
erra di Troja (b). Ebbe pure nell’Isola di Lesbo un tempio, in cui le
donne
si radunavano per celebrare le Feste, dette Calli
si denominarono, perchè si credette che la pestilenza, insorta nelle
donne
gravide, fosse derivata dal fetore delle carni de
apì la Pitonessa di quel tempo, si pubblicò una legge, per cui quelle
donne
doveano avere più di cinquanta anni(b). Tralle me
e modo superba. Giunto il tempo, in cui la fatidica Manto esortava le
donne
Tebane ad offerire voti e incensi a Latona, come
atona, come madre d’ Apollo o di Diana, Niobe andava sgridando quelle
donne
riguardo al culto, che rendevano a Latona ; e ten
desimo avessero ricordato il di lui nome. Non v’ acconsentirono, e le
donne
in vece si spogliarono di tutti i loro preziosi o
ano, che Pigmalione concepì un disprezzo e un odio grandissimo per le
donne
a cagione delle impudiche Propetidi, abia tatrici
ò fece sì, che mentr’egli per lo innanzi erasi dichlarato odiatore di
donne
, e nemico di nozze, fu poi veduto a sposare pieno
hè i Romani e i Sabini, dopo aver combattuto tra loro pel ratto delle
donne
Sabine, si riconciliarono, si purificarono dal sa
ona, significa omicida, e fu attribuita a Venere, attesochè una certa
donna
Greca, di noma Laide, figlia di Timandra, restò u
di Timandra, restò uccisa nel di lei tempio a colpi d’aghi da alcune
donne
Tessale, ch’erano divenute gelose della di lei be
ine di guerra(b). L’altro tempio le fu fabbricato, perchè le predette
donne
, essendosi rasa la testa a motivo di certa malatt
iglia di Patercolo, e moglie di Fulvio Flacco, come quella, ch’era la
donna
la più pudica di Roma(f). Venere Verticordia al t
tene a’piedi, impostele da Tindaro, per indicare che la fedeltà delle
donne
verso i loro mariti dev’essere inviolabile(e). La
nava, la ricordanza de’loro amori (a). Venere castigò Anasarete, e le
donne
di Lenno. Ad Ifide, leggiadro giovinetto di Salam
e de’funerali di Arceofonte, che morì per non poterla sposare (b). Le
donne
di Lenno sacrificarono a tutte le Deità, fuorchè
mplorarono il soccorso di Poliso. Costei era Sacerdotessa d’Apollo, e
donna
fatidica. La celebrità degli avverati suoi vatici
verla provocata, sicura di conseguirlo. Aracne trattò da insensata la
donna
, e protestò che non sarebbe mai per mutarsi di pa
cro alla Dea ; e però erano detti Tallofori(b). V’erano altresì certe
donne
, chiamate Idriafore, perchè elleno portavano dell
bbondanza (f). Venne appellato Ginecotene da que’ di Tegea, quando le
donne
di quella città gli offerirono un sacrifizio, cui
sposto, presiedeva alle nozze e a’ parti. Al tempo di queste Feste le
donne
ricevevano dei regali da’ loro mariti, come a que
sti si davano i medesimi da quelle al tempo delle Feste Saturnali. Le
donne
inoltre trattavano allora a convito i servi per e
in Clazomene, ove a motivo del mentovato tradimento era proibito alle
donne
il mettervio piede(e). Finalmente è famoso il fat
nne cangiata in fontana, che ritenne il di lei nome, e la quale dalle
donne
spezialmente si onorava, perchè speravano d’incon
a anche una Divinità misteriosa, il di cui nome non era noto che alle
donne
. Plutarco la confonde con Flora, detta da’ Greci
i in volto verun altro uomo, che il suo marito(e). Per questo le sole
donne
Romane le sacrificavano : e perchè ciò facevano d
l), e Pausania la dice Erofile(m). Vuolsi chisia stata la prima delle
donne
fatidiche, la quale in versi esametri predicesse
colle Ficeo. Esso avea la voce d’uomo, le ali d’uccello, il volto di
donna
, il corpo di cane, la coda di dragone, e le unghi
nde concorso vide Ancira, città della Frigia, da dove questa fatidica
donna
dava le sue risposte. La Tiburtina venne così det
. Fast. l. 4. (4). Core nel linguaggio de’ Molossi significava bella
donna
. Proserpina ebbe delle Feste, chiamate dal predet
odio d’ Agenore, figlio di Triopa, re d’Argo, e dove avea sposato una
donna
, da cui ebbe i due figli, Trittolemo ed Eubuleo.
ano potiato dall’ Egitto le Feste Tesmoforie, e ne abbiano erudito le
donne
Pelasge (b). Altri dicono, che tali Feste s’insti
volle sostituirsi nel di lui luogo (h). E quì parlando della predetta
donna
, si noti altresì, che la stessa instituì il Popol
iove, come vedremo, avea posta al mondo Minerva senza il mezzo di una
donna
, pregò il Cielo, la Terra, e tutti gli altri Dei
5. (10). Cinisca, figliuola di Archidamo, re di Sparta, fu la prima
donna
, la quale siasi esercitata ne’Giuochi Olimpici, e
’consigli, li avea suggeriti a Romolo, onde effettuare il ratto delle
donne
Sabine (d). Tito Livio sotto il nome di Conso ric
ucesse in casa propria, e non gli presentasse subito del sale (m). Le
donne
lavavano i piedi agli ospiti (n). A questi pure s
atelli, Achemone o Acmone, e Passalo. La loro madre, di nome Sennone,
donna
fatidica, li avea avvertiti di schivare dall’inco
he dormivano, e col loro peso fortemente li opprimevano(d). Quindi le
donne
Incinte ricorrevano alla protezione delle tre Div
e al vino (d). Melampode liberò pure dalla predetta malattia tutte le
donne
d’Argo, le quali erano divenute per causa di quel
leutò (c), ovvero Ilitia quella, che presiedeva a’ parti, ed a cui le
donne
vicine a partorire consecravano delle aste, e pro
ti, e con quell’acqua soleano anche lavarsi i piedi. Finalmente certe
donne
di sperimentata pudicizia chiudevano la stanza de
leste rugiada, quando ritornava dall’Inferno (b) ; e il recidere alle
donne
il crine, detto fatale, perchè, tagliato quello,
cane mostruoso, nato dal Gigante Tifone, renda un altro mostro, mezzo
donna
e mezzo serpente, chiamato Echidna(b). Questo Can
o, come la Dea de’ sogni, per mezzo de’ quali dava i suoi oracoli. Le
donne
di quella città offerivano a questa Deità delle p
colla sua immagine nello specchio, come se si fosse trovata con altra
donna
. A tale pazzia poi ella ve ne aggiungeva varie al
e, che nè catti vi si alimentavano, nè alcuno vi si seppelliva, nè le
donne
vi partorivano(b). Si sa inoltre, che i Persiani,
ripeteva gli applausi alla decantata celebrità de’vaticinj di questa
donna
(e). (10). Nicostrata si trasferì in Italia. Quì
atini la chiamarono Carmenta(f). Dopo morte fu ammessa tralle Dee. Le
donne
Romane le eressero un tempio vicino al Tevere nel
in cui immaginarono, che colei fosse stata convertita da Diana(b). Le
donne
le sacrificavano, onde procurasse loro un facile
dopo la morte di Euridice non siasi più unito in matrimonio con altre
donne
, e che da’ alcune di queste al tempo delle Orgie
ola di bronzo con due figure. L’ una rappresenta Apollo, l’ altra una
donna
con uno strumento da suono, detto sistro, con un
me e da Solone fu vietato agli Ateniesi, e da’ Decemviri a’Romani. Le
donne
però non vollero mai ubbidire a tale proibizione,
, se volgare e povero(d). Al suono di tali strumenti certe prezzolate
donne
, dette Prefiche, intuonavano le Nenie, ch’erano l
voli versi di lode al defonto(a). Dicono che alla ceremonia di queste
donne
presiedesse la Dea Nenia, a cui i Romani aveano e
o di velo nero, e le figlie scoperte, e co’capegli scapigliati(e). Le
donne
in Grecia e in Roma deponevano ogni ornamento, e
. Mythol. (4). Vi fu una Dea, detta Genetlia, o Genetillide, cui le
donne
sacrificavano dei cani, e celebravano una festa,
ani riconoscevasi il Dio Mutino, o Tutino, o Tutuno, o Tutano, cui le
donne
sacrificavano col capo coperto d’un velo. La vitt
nque se ne andava. Sotto mentite spoglie si frammischiò tralle nobili
donne
Ateniesi, allorchè lungo le rive del mare celebra
d Atene, raccontò l’avvenuto, e promise di ricondurvi tutte le rapite
donne
, qualora gli si fosse accordata in isposa quella,
sens tu rappelles Les plus doux noms, les formes les plus belles ! Tu
donnes
l’ame à mille êtres divers. L’Aube naissante est
ire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence ; De
donner
à Thémis ni bandeau, ni balance, De figurer aux y
t briller dans sa main Son Sceptre redouté, dont le charme divin Peut
donner
ou ravir aux mortels misérables, Du paisible somm
n. Jupiter choqué de sa laideur et de sa grotesque structure, lui
donna
un coup de pied d’abord après sa naissance, et le
onnant ; Soit qu’à des Nymphes d’or, qu’il anime à sa flamme, Son art
donne
la voix, le mouvement et l’ame ; Qu’il forge ces
en jeune homme blond, couronné de roses, et un flambeau à la main. On
donnait
aussi le nom d’Hyménée aux vers qu’on chantait au
ar un autre heurté. Second service. Il arrive : déjà le signal est
donné
. Des rôtis imposans ont la première place ; Sans
sse… Défendez que personne, au milieu d’un banquet, Ne vous vienne
donner
un avis indiscret. Ecartez ce fâcheux qui vers vo
des empiriques, Qui chargent vos boissons de mélanges chimiques.
Donnez
-vous, en buvant, les airs d’un connaisseur ; Dite
une porte de corne ; les Songes faux par une porte d’ivoire. On leur
donnait
des ailes noires. Quand ce Dieu taciturne aba
a Nature De ses ornemens superflus ; L’air négligé dans la parure, Te
donne
une beauté de plus. Les fruits plus nombreux que
-temps des camps rivaux le succès est égal. Enfin l’heureux vainqueur
donne
l’échec fatal, Se lève, et du vaincu proclame la
ches de cyprès et on leur offrait des libations et des sacrifices. On
donne
aussi le nom de Mânes aux ames des morts. Cérémo
ait l’olivier autant que le laurier. Neptune lui disputa l’honneur de
donner
un nom à la nouvelle ville de Cécrops ; il crut l
; Le laurier vous permet de parer la victoire ; Plus d’un hameau vous
donne
en prix à la pudeur. L’autel même où de Dieu repo
d’une vieille femme. Après avoir admiré les fruits de Pomone, il lui
donna
un baiser, et reprenant ensuite ses traits divins
ir injurieux : A ta douceur on s’abandonne, On chérit tout ce qu’elle
donne
, On s’enivre de voluptés ; Vains plaisirs, un si
ictoire. Des oiseaux l’entouraient, (il en est de flatteurs.) Ils lui
donnent
le prix, et lui vantent sa gloire. Mais tandis qu
t beaux comme Titon, furent après lui l’objet de sa tendresse. On lui
donne
des doigts de rose, parce qu’à son lever elle dor
es polissent. Les Grâces entourent de fleurs Le sage compas d’Uranie,
Donnent
le charme des couleurs Au pinceau brillant du gén
s, Driades. (Les Hamadriades présidaient chacune à un seul arbre.) On
donnait
le nom de Napées aux Nymphes des bocages et des p
! A une belle Source, à qui les habitans du Plessis-Villette ont
donné
le nom de Belle et Bonne. Toi, dont l’urne lim
vainqueur du. Sort ; D’autres nous livrent à la mort ; Gonnelle nous
donne
la vie111. Renommée. Toujours errante, to
nité respire, et la nature espère. Mais du départ fatal le signal est
donné
; Chacun d’eux aussitôt baisse un front consterné
ire, des ailes aux épaules, une faux, ou des filets à la main. On lui
donne
aussi un cœur et des entrailles de fer. Pour tâch
fatale où mon œil égaré Suivait dans tes regards ton ame fugitive. Je
donnerai
toujours des larmes à ton sort : Toujours j’aurai
es mains infatigables Mineront sourdement ces marbres imposteurs, Qui
donnent
trop souvent, à des hommes coupables,
champ, que ma cendre repose : Ah ! mon destin fut celui de la rose ;
Donne
à ma tombe une larme, une fleur129. Ambrosie
us, était ouvert en temps de guerre, et se fermait durant la paix. On
donne
à Janus deux visages comme présidant au jour et à
éclairs, vers ses roches fidèles Il court, vole ; à ses pieds la peur
donne
des ailes : Il fait tomber ce roc que, d’une adro
nstre, en proie à son bras implacable, Se ressouvient du Dieu qui lui
donna
le jour : De son gosier brûlant, dans son hideux
’amour des combats, et devint le premier des héros Grecs. Sa mère lui
donna
le choix, ou d’une vie immortelle, mais obscure,
couche, De ses sons prolongés tout au loin retentit ; Tout au signal
donné
rentre en l’ordre prescrit. Les fleuves ont des b
ux dans la mer t’eût suivie ! Fils du grand Prométhée, ô s’il m’était
donné
D’animer un limon sous mes doigts façonné ! Mais
descend chez Prométhée Qu’elle embrase par ce discours : « Viens
donner
une ame nouvelle » Aux mortels à l’erreur soumis
l fondit la cire de ses ailes, et il tomba dans la mer, à laquelle il
donna
son nom. Le père se sauva en Sicile, ou Cocalus,
is, Faisant parler jadis sa flûte sous ses doigts, Aux arbres étonnés
donnait
l’ame et la vie ; Que l’ours, le loup, le tigre,
guerle 165. Atrée, Fils de Pélops. Jamais Prince offensé ne
donna
un plus terrible exemple de vengeance. Son frère
Jupiter vous menace, il apprête sa foudre. A combien de Héros vois-je
donner
la mort, Et combien de palais vois-je réduire en
conde, Mille fruits différens dont ce jardin abonde ; Chaque saison y
donne
avec égalité, Et les fleurs du printemps, et les
t par leur fin tragique. Leurs parens s’opposant à leur hymen, ils se
donnèrent
un rendez-vous pour quitter ensemble leur patrie,
e par Vulcain. Tous les Dieux concoururent à sa perfection. Vénus lui
donna
la beauté ; Minerve la sagesse ; Mercure l’éloque
ureux. D’une jeune mortelle il (Jupiter) forma la substance ; Lui
donna
de Vénus la grâce et la beauté, De la reine des D
cacher ton départ odieux ? Quoi ! notre amour ! la foi que tu m’avais
donnée
! Quoi ! la triste Didon, à mourir condamnée ? Ri
épousée, si Prométhée n’avait pas prédit au maître des Dieux qu’elle
donnerait
la vie à un fils dont la gloire éclipserait celle
he ; Il jette un cri plaintif : les époux attendris A son naïf effroi
donnent
un doux souris, Hector pose son casque aux pi
oble et aimable, fut effrayée du danger qu’il allait courir. Elle lui
donna
un fil qui le guida dans les détours du labyrinth
roubler ce favorable asile, J’y viens goûter la paix que vous
donnez
C’est ici des héros la demeure tranquille. Chère
ers dont ma main te délivre. Castor . Le fils de Jupiter doit lui
donner
la loi. Pollux. Vois dans les Cieux la gloire
ont découvert sa trace. Mélampe le premier, par ses rauques abois, A
donné
le signal dans l’épaisseur du bois. Hylé, Labros,
qu’un vain luxe environne, Que la fortune vend ce qu’on croit qu’elle
donne
. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour ? Ri
aleur, cessèrent de combattre et se firent des présens funestes. Ajax
donna
à Hector le baudrier, qui servit dans la suite à
cez-vous à la triste Alcyone ? Ceyx ! est-ce un avis que le destin me
donne
? Ceyx ! t’ai-je embrassé pour la dernière fois ?
Et d’un fils, par degrés, dégageant la paupière, Une seconde fois lui
donne
la lumière… Legouvé 210. Philomèle, Fille d
ontaine.211 Sur Madame Villette. Ce n’est pas un mortel qui lui
donna
le jour ! Quels traits divins, quelle voix raviss
Fille de Tantale et femme d’Amphion, Roi de Thèbes. Elle avait
donné
le jour à quatorze enfans. Trop fière de sa fécon
e ! O ma sœur ! Je te perds pour toujours ; Je le vois, et ne puis te
donner
du secours. Je m’oppose aux progrès de l’écorce c
Des mains de Deucalion. Mais, le bras sûr et terrible Du Dieu qui
donne
le jour, Lava, dans son sang horrible, L’honneur
De vos brûlantes froidures, Sécher ces feuilles impures, Dont l’ombre
donne
la mort. Rousseau 222. Chimère. Elle éta
heval Pégase, en délivra les malheureux habitans de cette contrée. On
donne
encore le nom de Chimère à tous les objets vains,
Nisa, était consacré à Bacchus ; l’autre, à Apollon et aux Muses. On
donne
encore au Parnasse le nom de Pinde et d’Hélicon.
la Terreur qui frissonne, Et la Faim qui frémit des conseils qu’elle
donne
; Et l’ivresse du crime, et les Filles d’enfer, R
flancs de la terre, En rubis enflammés tu transformes la pierre ; Tu
donnes
en secret leurs couleurs aux métaux, Au diamant s
as le papillon volage, Toi-même, au tigre horrible, au lion indompté,
Donnas
leur menaçante et sombre majesté. Tu départis aux
cherche les prés, l’amour et les combats. A l’aigle, au moucheron, tu
donnas
leur parure : Mais tu traitas en Roi le Roi de la
son chagrin, Il se nourrit des pleurs qui tombent dans son sein ; Il
donna
la naissance à cette enchanteresse, Qui trompant
de sentir mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a
donné
ta mère ; Que mon sein malheureux te serve de tom
uissamment. Hélas ! que leur servit de sillonner nos plaines, De nous
donner
leur lait, de nous céder leurs laines ? Pourtant
ins peintre que créateur, et nouveau Prométhée, il souffle la vie, il
donne
le mouvement aux êtres inanimés. On peut représen
e et sur l’airain dociles. L’effet magique des pinceaux Me
donne
des erreurs et des plaisirs utiles. Le bois harmo
son sang soit illustre, et qu’elle ait la première Au grand Agamemnon
donné
le nom de père ? De ses bourreaux sacrés le corté
’as toujours paru sage : Tu fis mon cœur pour le chagrin, Mais tu lui
donnas
le courage. L’homme de bien verse des pleurs, Et
uva sa Patrie. Delille 290. J’ai revu les beaux lieux qui m’ont
donné
le jour. O champs de la Limagne ! ô fortuné séjou
ua madre. Questa Dea ci viene rappresentata sotto le sembianze di una
donna
robusta, coronata di foglie di quercia, avendo in
a guerra de’ Titani sposò Meti ; ma avendogli detto Urano, che questa
donna
avrebbe dato alla luce una bambina dotata di una
rra conquistò le Indie. Tutta la sua armata era composta di uomini, e
donne
, che portavano un tirso, cioè frecce circondate d
vano però alla classe della divinità marine. Erano mostri col viso di
donna
fornite di ali con orecchi di orso, ed artigli al
tigli alle mani, ed a’ piedi. Cariddi, e Scilla. Cariddi era una
donna
crudele, che dava addosso, o assassinava i passeg
i il silenzio nel numero degl’Iddii, e lo dipingevano in forma di una
donna
che chiamarono Muta. Temi. Figliuola del Ciel
Temi Dea della Giustizia. Fu creduta da Eusebio quella tale Carmenta
donna
savissima di Arcadia, che presagiva il futuro. Le
dalle mani de’ corsari, e che restituì ai proprj genitori, era dalle
donne
invocato allorchè si maritavano. Vedesi Imenèo so
i di quanto potevano temere, o sperare. Eccone un esempio. Assisa una
donna
con ispada in una mano, e nell’altra una bilancia
ubblica. L’Abbondanza. Vedesi l’abbondanza sotto la figura di una
donna
robusta, rovesciando un corno pieno di frutta di
overtà. Era questa figliuola del Lusso, e dell’Ozio dipinta come una
donna
pallida, magra, e coverta di cenci, spesso in att
nore. La virtù è figlia della verità. La sua figura era quella di una
donna
di fresca età con veste bianca, e sedendo sopra d
si attorciglia un serpente. La Fama. I Moderni la dipingono qual
donna
con alí larghissime, e due trombe per palesare il
a credevano messaggiera di Giove. Virgilio ce la rappresenta come una
donna
di statura orribile, e gigantesca, ornata di pium
ovente malconce1. Il Pudore. Vedesi il Pudore in sembianza di una
donna
coverta da un velo. La Sanità. Vien espressa
e sovrastava a quanto esiste, e vediamo. Vien ella rappresentata qual
donna
robusta, avendo doppio ordine di mammelle per ind
i antichi a lei ben molti ne innalzarono. I Romani la figuravano qual
donna
vestita di una tunica, nel di cui lembo si leggev
a la morte1. Il Terrore. Una testa di lione sopra il corpo di una
donna
disegnava il Terrore. Portava in mano un pugnale,
i, e la barba bianca sono coverti di ghiaccio1. La Discordia. Una
donna
con serpenti sulla testa, una fiaccola in una man
zione che godeva. In compagnia di Ercole fece la guerra alle Amazoni,
donne
sommamente guerriere, e sposò la loro regina Anti
si l’affetto di Onfale si ridusse colla conocchia a filare tra le sue
donne
. Vedesi quì tra le Meonie ancelle Favoleggiar co
afflisse in modo, che giurò di fuggire per sempre la compagnia delle
donne
. Le femmine di Tracia furono sì offese da tale di
flissero Tebe. Un mostro alato chiamato Sfinge colla testa, e mani di
donna
, il corpo di un cane desolava le campagne di Tebe
spensarci dal nominare Tiresia famoso indovino, che per sette anni fu
donna
. Suscitatasi fra Giove, e Giunone la quistione su
e gli promose degli onori : Minerva la saggezza : Venere la più bella
donna
ch’ esistesse. La lite fu decisa a favore di ques
suo padre, ebbe colà l’occasione di vedere Elena la più bella tra le
donne
di que’ tempi : se ne invaghi, e favorito dalla D
l figlio morirebbe nell’assedio, lo aveva vestito sotto le spoglie di
donna
col nome di Pirra, e lo aveva inviato alla corte
strada, ed introdottosi nella reggia di Licomede, espose innanzi alle
donne
varj giojelli, e fra questi si fece scappare dell
a ad Enea, e che colà aveva questi lasciata. Accorre Anna mente colle
donne
per impedirla : muore l’infelice Didone, trafitta
e de’ giuochi dopo avere adempiuto alle funebri cerimonie. Stanche le
donne
Trojane dalla navigazione, e temendo d’incontrare
bra di Anchise, che lo consigliò a lasciare in Trapani i vecchi, e le
donne
, ed a condur seco soltanto gli uomini d’armi. Gl’
. Alcune gocce di sangue caddero da questa pianta che prima era stata
donna
, ed inseguita da Pane aveva perduta l’antica bell
nimento, innalzarono un tempio ad Eunosto, dove non era permesso alle
donne
l’ingresso. Ciò diede occasione ai Napoletani di
ita Proserpina. Tra i ministri di questa Dea erano ammesse altresì le
donne
. I sacrifizj erano segreti, e tutti dovevano cons
nzone sulla Fortuna dell’immortale Alessandro Guidi, che comincia Una
donna
superba al par di Giuno. 1. Descrizione pur trop
core Più che innanzi chiedeva, e guerra a gara Moveano tutti, uomi e
donne
, i figli Di Saturno, i Titani, e quei che Giove D
ma, narrata ad Ecuba dal nunzio: Perchè vuoi che il dolor rinnovi, o
donna
, Narrando il fato di tua figlia? Assai Piansi in
o il padre Quando placò con imeneo segreto I brevi sdegni alla rapita
donna
. Io vidi, io stesso dei nascosi amori Questo frut
; al che allude l’eleofante Ariste lieto in una sua lettera, dove una
donna
di sue bellezze gloriosa scrive che norma il semb
e parea Veramente veder due terre in lite. Per lei sembianza avean di
donna
entrambe: Una è simile a peregrina; ha l’altra Le
testa, E il cor le palpitava. Assisa e muta Stette gran tempo: le due
donne
ancora Eran negli occhi. Alfin proruppe: sogni. P
e La mentita sembianza, e sciolse il cinto Alla donzella, che divenne
donna
E chiara madre alla sperata prole. Lezione ot
el che credea palese. Giove, che tal venuta avea scoperta, Fé’ che la
donna
un’altra forma prese, E fé’ la violata ninfa bell
reggia: Non umil dote, la tradita Roma Ti porto. Ahi: tu delle rapite
donne
Compensa i danni con ingiuria alterna, E me rapis
i continui furti di Giove; i quali sempre ingiustamente puniva nelle
donne
deluse, nei figli innocenti, e nelle intere nazio
di Elide fossero stabiliti per ogni quinto anno giuochi, nei quali le
donne
si disputavano la palma per la celerità maggiore
ngue di un’agnella le propiziavano, a tenore di una legge di Numa, le
donne
famose per impudicizia che avessero osato di prof
orone, dette volgarmente diademi, erano appunto di quelle usate dalle
donne
greche, chiamate στεφαναι, e coronœ dai Latini. I
bello in te risplende, e tutto M’empie lo spirto e ‘1 cor: No dea, no
donna
Non fu giammai, che con sì cara e degna Seduzion
iamata per diverse ragioni, fra le quali la più comune è perchè delle
donne
nei dolori del parto affidata le era la tutela. N
ione più probabile e più seguitata è che Apollo ha sempre avuto delle
donne
per interpreti delle sue risposte. « Si pretende
celebrò Torgie in onore del dio; dal che, dicono, è nato che tutte le
donne
prese d’ una santa ebbrezza hanno voluto praticar
ed Ifi accanto, sembrano ammirare la bellezza di Elena. Questa bella
donna
è seduta: presso di lei è Eu ribate araldo d’ Uli
ei è Eu ribate araldo d’ Ulisse, benché manchi di barba. Elena ha due
donne
seco, Pantali ed Elettra. La prima è vicina alla
altri nomi nell’Iliade, quando ci sappresenta Elena che va colle sue
donne
verso le mura della città. Sopra Elena vi è un uo
remanti bende L’orror s’innalza delle chiome, e grida: Affollatevi, o
donne
, e date ai figli Di Latona ed a lei preghi ed inc
Le lascia arbitrio della morte il Fato. Ahi: trionfo miglior fora una
donna
Per quelle vie che incatenato scorse Giugurta. Av
i, e mi mescolerò solamente coi luoghi abitati dagli uomini quando le
donne
, oppresse da acerbe doglie, mi chiameranno in soc
illustrato. Fra i piccoli busti dell’ Ercolano è un Ercole vestito da
donna
con corona e abbiggliamento da baccaute. Questo b
cchi con recisi capelli piangono sopra i figliuoli, muoion le gravide
donne
, o partoriscono nell’esilio figli che non si regg
i: la più cognita fra queste si chiamava Figalia. » Non solamente le
donne
seguaci furono di Diana, ma fra gli uo’mini ancor
braccia: Lascia il dono, esclamaro, e i nostri vanti Non usurparti, o
donna
: ah non t’inganni La fiducia del volto, e il nuov
’ Gemini, del Cancro e del Leone, e sul quale sembran danzare quattro
donne
alate con serti e corone ed archi nelle mani, cre
, E sente, e fu2ri?e: col delitto il nume Si manifesta: quanto lice a
donna
Ella repugna (ah men crudel saresti Se la vedessi
l’attonite ninfe al sen materno. Che esclama Ciutia: Dal mio ceto, o
donna
, Va lungi, e non macchiar 1’ onde scerete. — Sape
no che Teducazione di lei fu subito confidata a Dedale ingegnosissima
donna
, che in ogni buona arte ammaestrò la fanciulla. N
suoi compagni in questo loco, ove, ardendo le navi di lui, le Troiane
donne
fuggire poterono la servitù sovrastante. Minerva
lli il suon confuso Delli scudi percossi orribilmente. Oggi, ondifere
donne
, i bagni usati Lasciate, e solo beva Argo dai fon
. Tutto ha Palla del padre, e solo a lei Fra le figlie il concesse: o
donne
, alcuna Madre non srenerò la dea di Giove. Balzò
navigò con questa a Cipro, onde Stazio facendo l’elogio di una bella
donna
fa dire alla dea: Questa sarebbe degna di sorgere
i nascevano sotto i piedi divini. Venere la prima mescolò gli Dei con
donne
mortali, e Giove per vendicarsi la fé’ soggiacere
va un piede sopra una testuggine per indicare (secondo Plutarco) alle
donne
che il loro dovere era di custodire la casa come
, che lo appella spinther, e lo spiega: genere di braccialetto che le
donne
sogliono portare nella sommità del braccio sinist
conchiglia dal mare in forma di giovinetta, ma pure con sembianze di
donna
che teneva la stessa conchiglia ornata di rose, e
ia dell’ amore improvviso, che nacque nel loro core, quando videro le
donne
svelare la loro nudità per difendersi dall’ impet
e Ne raddoppian la gioia, e su le soglie Garrula frotta di donzelle e
donne
Mesce domande e meraviglie e plausi. Ma d’altra p
enti della nutrice. Scorse il padre fra le tenebre in agguato, che la
donna
lo nascondeva fra le fiamme; gridò, e Cerere irat
conoscer le pratiche dell’idolatria. Presedevano alle Tesmoforie due
donne
maritate, di legittimi natali, scelte da un’assem
udio di castità. Per togliere ancora il sospetto dell’impudicizia, le
donne
che ministravano alle cose sacre erano alimentate
e l’avea rapita. Irata con gli Dei, lasciò il cielo, e simile fatta a
donna
mortale, pervenne ad Eleusi. Mestissima si assise
o sopra le sue labbra, mercè una vecchia detta Jambe. Quindi è che le
donne
Eleusine, istituito un coro, cantarono un inno al
vanda composta di molti liquori, che Cerere per le persuasioni di una
donna
chiamata Baubone, bevve nel suo dolore per la fig
so dall’ opera di Barthélemy, che combina il gusto e l’erudizione. Le
donne
che a Cerere in tal maniera si consacravano furon
dal celebre Zoega. Dopo questo, che lentamente procedeva, veniano le
donne
con le ceste mistiche di purpurea fascia circonda
tutta la solennità erano i rei e i debitori sicuri. Era vietato alle
donne
di andare ad Eleusi colle bighe, e gli asini avea
eto. Ecateo Milesio nelle Genealogie dice che Vesta si figura in una
donna
sedente circondata da delle piante, e da ogni gen
gna tra Ercole ed Anteo, la Terra è rappresentata nella figura di una
donna
assisa sopra una rupe. Ella avea luogo nella comp
to, ma che non esiste più, la Notte era effigiata nella figura di una
donna
nuda con delle lunghe ali di pipistrello, e con u
ntando le azioni e i costumi dei tempi andati, e la Sapienza poi è la
donna
velata e quasi in abito di filosofessa immersa in
arrano che non poteva essere spinta più innanzi, e che Quinta Claudia
donna
d’illustre famiglia, ma di contrastata onestà, ch
rema, ed è rappresen tato molto vecchio. Vi sono nella barca uomini e
donne
, la maggior parte sconosciuti. Vi si distingue Te
ccheggiati i tempi degli Dei: egli è punito del suo sacrilegio da una
donna
perita nella composizione dei veleni, e so prattu
e Ifidemea. Augea passò in Misia presso il re Teutra, e fra tutte le
donne
ch’ebbero commercio con Ercole fu quella che part
aveva avuti, la repudiò come una sposa disgraziata. Al di sopra delle
donne
delle quali abbiamo parlato è la figlia di Salmon
a le spalle coperte da una pelle di leopardo. Più in alto vi sono due
donne
che portano dell’acqua in idrie rotte, onde quest
particolare, ma una sola comune ad ambedue, la quale nota che queste
donne
sono fra le non iniziate. Più alto si vede Callis
per la maggior parte non sono stati trattati. Dopo Callisto e l’altre
donne
che la circondano si vede una balza dirupata. Sis
n gruppo di figure composto di un vecchio, di un fanciullo e di molte
donne
poste sopra uno scoglio: una di queste è accanto
uando la sera, o la montana pioggia Nell’inverno gli caccia. Uomini e
donne
E magnanimi Eroi che morte spense. Pargoletti, fa
i Dei Piangeva i vani doni, onde sprezzate Dal fedele dolor le Tracie
donne
, Fra le feste dei numi e le notturne Orgie di Bac
al sonno E dal cibo e dal vin ciascun oppresso Sicur giaceva alla sua
donna
in braccio; E profonda quiete intorno aveva Argo
pagno agli altri suoi malnati amanti. Io son pur, lassa me: vergine e
donna
Per gli anni umile, per natura pia, Nè son confor
ondottiero Achille, che ad Eaco fu nipote. Egli ebbe tre figli da due
donne
. Foco da Sam mete figlia di Nereo, Telamone e Pel
da lui con ragione dissente, come udirete, Visconti. La figura di una
donna
alata, che in un quadro dell’ Ercolano sembra con
ittoria è rappresentata, come per l’ordinario, sotto la figura di una
donna
seduta, mezza vestita, che tiene il caduceo nella
i bellissime immagini, onde io credo che vi sarà utile udirla. « Una
donna
superba al par di Giuno Con le trecce dorate a l’
ttoso e lento Già non può star su l’ale il gran momento. — Una felice
donna
ed immortale, Che da la mente è nata de gli Dei,
nde orme di morte? Squarciai le bende imperiali e il crine A tre gran
donne
in fronte, E le commisi a le stagion funeste: Ben
Fatto su l’Ellesponto al gran Nettuno. Corsi sul Nilo, e de l’egizia
donna
Al bel collo appressai l’aspre ritorte, E gemino
sacro e vaticinante. È ancora Oropo rappresentato giovine in mezzo a
donne
di color glauco: esse denotano il mare. È dipinto
pettinerai la chioma, e dividerai sull’imbelle cetra versi grati alle
donne
. — Quell’epiteto grati alle donne, mostra con qua
sull’imbelle cetra versi grati alle donne. — Quell’epiteto grati alle
donne
, mostra con quanta ragione abbia lo scultore di q
ò di fragil canna: Lieto pel mar move i vessilli, e pieni D’armenti e
donne
i trionfali legni, Di barbariche vesti hanno coll
Ch’arde i mariti, e che nei freddi letti Dolce preda verran le Tracie
donne
: Di qui il principio a te: dolore accenda Le furi
nna Esul me pure dal diletto albergo La Fama, e sopra i carri errante
donna
Sta sulle piume mie. — Sì dice, e tronca Le quere
ta sulle piume mie. — Sì dice, e tronca Le querele, e lasciò la mesta
donna
In lacrime e timor. Le furie istesse D’Ifinoe e d
errore impugnar l’armi. Terribili sembrar la dea nemica Fa le perfide
donne
: odono voce Della nota maggior: gli occhi soltant
a la crudel consorte, e torna, Visto il ferro, all’incendio. Altre le
donne
Tracie, causa al furor, sbranano. Ascolti Misto a
sì parla e prega Penteo, ma non l’udiva Agave. Intorno Turba d’atroci
donne
ondeggia, ed alza Ver lui le mani nel furor conco
egli vi ha trasportate tutte le sue amanti, e i figli che ha avuti da
donne
mortali. Callisto occupa le vicinanze del polo. L
o, miele. Ecco là un grosso salcio rovesciato, forza maravigliosa per
donne
che non siano invase da Bacco. Le scellerate hann
tutto questo da una rupe con le gote gonfie pel corruccio, e punge le
donne
coi suoi sdegni violenti. Elleno non s’ avveggono
en stoltezza il non avere infuriato con Bacco: Ma ciò che accade alle
donne
è degno di gran compassione: quel che non conobbe
o corpo morto in mezzo alle fiamme, più grande dell’ordinario, questa
donna
che si getta disperatamente nel fuoco, tutto ciò
uni e dei Centauri. L’ordine prefissomi mi conduce a favellarvi delle
donne
compagne di Bacco, che si distinguono tra loro co
sania tiene la seconda sentenza, e da Tuia dice derivato quel coro di
donne
attiche, che insieme con le delfiche donne andava
dice derivato quel coro di donne attiche, che insieme con le delfiche
donne
andavano ogni anno in Parnaso, e quivi a Bacco ce
ualche particolar distinzione, giacché Bacco l’onorò molto. Tale è la
donna
che dà a bere a Bacco presso Tischbein: e quella,
ontro Bacco, scorgonsi due figure, una di giovin seminudo, l’altro di
donna
, involte ambedue nella sintesi, e fìsse ambedue c
quattro corrisponde alla tradizione dell’anonimo, che assegna quattro
donne
al Nume tebano. La sola circostanza contraria sar
presente scultura: il sito campestre, la bellezza e la gioventù della
donna
estinta avran dato luogo a rappresentarla quasi u
di quei giuochi percuotevano quelli che incontravano, specialmente le
donne
che speravano riportarne fecondità. Quindi Silio
in ambe le mani corone di fiori secondo il costume de’ banchetti. La
donna
che presso al cocchio par che lo guardi con af fe
rustico altare. Innanzi un Fauno ed una Canefora, cioè una di quelle
donne
che portavano nei canestri le primizie delle frut
che spurii appellavansi. « Segue una coppia d’altri prigionieri: una
donna
acconciata nel capo come l’Indiano sull’elefante,
n altare in marmo di Giove e rappresenta il tiranno seduto, a cui una
donna
in piedi, la moglie Rea, porge un involto che il
isdegnò, secondo la leggenda, di cercar sollazzo negli amori di molte
donne
e immortali e mortali, destando così la gelosia d
e due figliuoli, Ares (Marte) ed Efesto (Hephaistos, Vulcano). Tra le
donne
mortali amate da Zeus, la più celebre è Semele, f
losa e maligna e tale che non esitava a perseguitare accanitamente le
donne
amate da Zeus e la loro discendenza; do ve ricord
lebrata come rappresentante del vincolo coniugale, e la nobiltà della
donna
che serba costante fede al marito trovava in lei
omane, cui essa assisteva in tutti gli atti della vita. Anzi ciascuna
donna
di Roma si diceva aver la sua Giunone, come ogni
onuba presiedeva alle nozze (dal latino nubere, sposarsi, detto delle
donne
); Iuno Domiduca (domum ducere condurre a casa) co
bera della selvaggia natura e colla caccia, e fatta protettrice delle
donne
. Un antichissimo tempio in onor di lei era in un
uale ultima è invocata come Ilizia perchè benedica la maternità delle
donne
romane e faccia prosperare le novelle generazioni
ozze da Posidone ed Apollo, aveva opposto un deciso rifiuto. Anche le
donne
che attendevano al culto di lei dovevano esser ve
la terra; e raccontavasi che quando i Sabini, dopo il ratto delle lor
donne
, facevan guerra ai Romani, e per una porta aperta
a dea Selene negli autori; con lei vengono paragonate spesso le belle
donne
; di lei si loda la candida luce. Un frammento di
rontone orientale del Partenone. Anche veniva figurata come una bella
donna
a cavallo; tale la fece Fidia nella base del suo
dotta nella fig. 39 che è nella Gliptoteca di Monaco. « Raffigura una
donna
di nobile bellezza appoggiata colla destra ad un
a di Ilizia sole va dagli artisti greci essere rappresentata come una
donna
tutta vestita, con una mano distesa in atto di po
glia (o secondo alcuni, moglie) di Asclepio, in figura di una giovane
donna
, sana e robusta e nell’ atteggiamento simbolico d
appresentar le Moire; il tipo che divenne prevalente fu quello di tre
donne
che filano, ovvero di donne che annunziano la ven
o che divenne prevalente fu quello di tre donne che filano, ovvero di
donne
che annunziano la ventura e pero tengono in mano
ace e impetuosa. Queste ultime erano credute esseri alati col viso di
donna
e il corpo pennuto di uccello con lunghi artigli.
VIII. Ino, Leucotea e Melicerte. 1. Come Glauco, così Ino era
donna
mortale, ma ottenne la divinità per essersi butta
antica narrava che le deità marine, accolta benevolmente la disperata
donna
e l’ innocente fanciullo, all’ una e all’ altro d
lus. — La statuaria antica rappresentava Gea come una mezza figura di
donna
che sorge dal suolo; tale si vede in un rilievo c
re suo figlio Erittonio ad Atena. Più tardi si rappresentava come una
donna
distesa al suolo, contorniata di bambini, una cor
in regioni montuose e di notte al lume delle fiaccole. Uno stuolo di
donne
e fanciulle (giacchè gli uomini erauo esclusi), d
d’ improvviso gli armenti e uccidessero le bestie, perseguitassero le
donne
in forma di spiriti folletti, spaventassero la ge
azione che si credeva douasse prosperità e fortuna; e tra l’ altro le
donne
sterili solevano offrirai spontanee alle sferzate
suo culto. È da ricordare specialmente la festa che in onor di lei le
donne
celebravano nella notte dal 3 al 4 Dicembre nella
patrocinio di Flora. Infine come Flora mater era invocata anche dalle
donne
che speravano diventar madri. — Due templi erano
sì Demetra entrò nella reggia di Celeo. Il suo aspetto era più che di
donna
, e la regina stessa sentivasi inclinata a una cot
Tesmoforie. Duravan cinque giorni e vi potevan prendere parte solo le
donne
maritate. Il culto di Demetra per il senso ripost
quella dell’ autoctonia, in quanto si faceva un Dio sposo di qualche
donna
terrestre; così Giove unito con Pirra aveva gener
igure d’ argilla. Dapprima si attribui questa origine solo alla prima
donna
sorgente d’ ogni male; a cominciare dal 5º secolo
. Ordinò ad Efesto di plasmare con terra ed acqua una bella figura di
donna
; gli Dei andarono a gara per adornarla delle più
a non ricever doni da Zeus, non seppe resistere alle attrattive della
donna
e l’ accolse e la fè sua sposa. Da quel momento t
nelle leggende greche non meno che nella tradizione mosaica la prima
donna
fu cagione di tutti i mali che afflissero l’ uman
nico di Londra; sono varie scene, ora è un centauro che porta via una
donna
da lui rapita tenendola strettamente abbracciata;
e divina (Tantalo suo padre era figlio di Zeus), voleva impedire alle
donne
tebane il culto alla dea Latona e a’ suoi figli,
riconosce alla lira che è scolpita vicino a lui; l’ altro è Zeto; la
donna
davanti, in atto di chieder pietà, è Dirce, mentr
questi felicemente. Allora fu mandato contro le terribili Amazoni, le
donne
guerriere che formavano Stato da sè, senza uomini
astore e Polluce (Pollux, grecamente Polycleuces) e delle due celebri
donne
Clitennestra ed Elena. Più tardi Tindareo fu rest
o con Eracle, ma nato da Anfitrione, si disse Ificle. Eracle, nato di
donna
mortale, non doveva sfuggire all’ odio e alla per
erva. Dicevasi dunque che Eracle era vissuto per quei tre anni tra le
donne
di Onfale, filando lana come loro, anzi vestito d
anni tra le donne di Onfale, filando lana come loro, anzi vestito da
donna
anch’ egli, avendo lasciato che Onfale indossasse
iamento. In nome d’ Ercole giuravano specialmente gli uomini, come le
donne
preferibilmente in quello di Castore. Anche pei R
la vita deva scegliere e percorrere, se quella del piacere che da una
donna
apparsagli, tutta vezzi e lusinghe, gli vien desc
descritta piena di gioie e di riso, o quella della virtù che da altra
donna
, più severa nell’ aspetto, gli vien additata, asp
destra in atto di riguardare con aria di dileggio l’ eroe vestito da
donna
colla rocca in mano. Capitolo terzo. Legge
ie (Helle, la viva luce). Ma poi lasciò la moglie celeste per sposare
donna
terrena, Ino figlia di Cadmo, dalla quale ebbe Le
famosa Sfinge. Era questa un mostro col corpo di leone e la faccia di
donna
, mandato da Era, adirata contro Laio, a infestar
signoria e ricchezza, Atena sapienza e fama, ed Afrodite la più bella
donna
del mondo. Egli assegnò il pomo ad Afrodite; di q
eri troiani morirono combattendo, ben pochi scamparono, come Enea; le
donne
e i bambini caddero in ischiavitù, salvo Astianat
di Paride avevala sposata. Menelao nel suo sdegno contro la infedele
donna
avrebbela uccisa, se l’ incanto della sua bellezz
le accoglienza da Aceste figlio dei fiume Crimiso e di Egesta, nobile
donna
troiana. Però ebbe il dolore di perdere allora il
un noto gruppo del Museo Ludovisi di Roma rappresentante una giovine
donna
colla chioma tagliata, che fa gentile accoglienza
Orl. Fur. 33, str. 120. Erano sette in una schiera, e tutte Volto di
donna
avean, pallide e smorte, Per lunga fame attenuate
, fra’ maschi, Nettuno, Vulcano, Marte, Mercurio, ed Apollo, e fra le
donne
Giunone, Cerere, Vesta, Minerva, Venere, e Diana.
bracciava tutti que’Dei, che riconoscevano la loro origine da qualche
donna
mortale esibitasi a qualche Dio, oppure da uomo m
sollennizzarsi da nudi Atleti, e perciò vietati all’intervento delle
donne
sotto pena della stessa loro vita. Gl’ albori a q
ole a colpi di frecce i sette suoi figli maschi, come pur colle sette
donne
fece la sorella Diana, restandola cosi senza figl
a somiglia, Spesso geloso amor turba, e sconsiglia, E spesso lancia a
donne
infide il telo. Europa, Danae, ed Alcmene un gior
er stige l’obbligò a serbarle la promessa. Manifestò quindi l’incauta
donna
il suo concepito desìo, e Giove prevedendone le s
rsi padrone dell’ Arcadia, e della Siria con poche forze di uomini, e
donne
radunate da lui stesso in soccorso : benchè per a
Dei vocabuntur. Capitolo V. Pietà Sonetto L eggiadra
donna
d’un gran monte in vetta Siede con dolci sguardi,
nte di vita, primo, ed ultimo conforto degli uomini pingesi qual vaga
donna
, che con una mano spinge ognuno ad ogni benchè ar
zioni. La misericordia virtù veramente divina pingesi in figura di
donna
, che preme la destra sua mammella in bene degli a
L’allegrezza dolce moto del cuore pinta venne sotto l’aria di giovane
donna
, perchè il sesso feminile nell’età verde è sempre
minus Deus eius. Capitolo XVI. Fama. Sonetto G arrula
donna
, irrequïeta, alata, Che silenzio, e ritiro insiem
Collera Sonetto C on mezza veste orribile, e feroce Alata
donna
di colore ardente, Con sguardo acceso, e suffocat
usa. Annatazione. Pingesi la calunnia sotto l’aspetto di bella
donna
, perchè bellamente s’induce nell’animo di chi l’a
imum suum. Capitolo XXIV. Discordia. Sonetto Tremenda
donna
di fatal colore Con chioma agguernita di più serp
spumar de’suoi labri fan veramente orrore. Del mantice ella la iniqua
donna
fa uso per muovere gli affetti allo sdegno ; del
overtà Sonetto G rama, dolente, e priva di conforto Vecchia
donna
su sterpi urlando siede, Lacera, e nuda äita a tu
lbergo. Annotazioni Sotto le sembianze di questa afflittissima
donna
rappresentasi la povertà, onde chiare s’intendano
ide, un Salomone, un Ezechia, un Tobia, e tanti altri, non che fra le
donne
istesse una Maria, un’ Anna, una Debora, una Giud
esse però ne lunghi, e vistosi poemi son come nei in faccia di bella
donna
, ma nei piccoli componimenti sanno del mostruoso,
ro. Lucrezia che si uccide. Chiama i congiunti Sol vendetta La
donna
offesa, Voglio in tal fato E all’alta impresa L
guente. Eccone l’esempio. Telesilla disposta a combattere con altre
donne
contro gli assediatori Spartani. Mentre crudel
i avventa E disarmando gli uomini Allor lo stuol femineo Tutte le
donne
armò. Fassi di se maggior, Dicendo : giacchè l’
n : se andremo a batterci Meglio sarà di togliere Chi batterem ? le
donne
A lor cotal rampogna O vincitori, o in perdite
ma del suo sen, Presa da doppio ardor Il suo sposo, il suo ben La
donna
afflitta Colà giacea Presso l’urna sen va La to
e soccombe Inopinato scempio. Alla fatal sventura L’iniqua infame
donna
Per opra degli Dei Perchè restò delusa Forma ca
E fà l’ordin del campo spiegar. Venne Pirro qual’uom condannato, E la
donna
rëale il seguì Alla tomba del padre arrivato Stup
eggio le porte, Veggo la reggia oppressa, e desolata Che più ti resta
donna
sventurata Senza tron, senza regno, e senza corte
però molti non senza fondamento per le dette Sirene intendono alcune
donne
di depravati costumi, che dimorando nelle vicinan
r questo appunto chiamato Mosè ? Bacco con grande armata di uomini, e
donne
varcò l’Eritreo per la conquista delle Indie, e c
aver Mosè tragettato il mare istesso con nnmeroso stuolo di uomini, e
donne
per andar nella terra promessa ? Bacco prese vend
sens tu rappelles Les plus doux noms, les formes les plus belles ! Tu
donnes
l’ame à mille êtres divers. L’Aube naissante est
ire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence ; De
donner
à Thémis ni bandeau, ni balance, De figurer aux y
des Muses, la tête ceinte de lauriers. Le Souverain du Ciel m’a
donné
la naissance ; Mille peuples fameux révèrent ma p
t briller dans sa main Son Sceptre redouté, dont le charme divin Peut
donner
ou ravir aux mortels misérables, Du paisible somm
n. Jupiter choqué de sa laideur et de sa grotesque structure, lui
donna
un coup de pied d’abord après sa naissance, et le
nnant ; Soit qu’à des Nymphes d’or, qu’il anime à sa flamme, Son art
donne
la voix, le mouvement et l’ame ; Qu’il forge ces
a Nature De ses ornemens superflus ; L’air négligé dans la parure, Te
donne
une beauté de plus. Les fruits plus nombreux que
ches de cyprès et on leur offroit des libations et des sacrifices. On
donne
aussi le nom de Mânes aux ames des morts. Honne
oit l’olivier autant que le laurier. Neptune lui disputa l’honneur de
donner
un nom à la nouvelle ville de Cécrops ; il crut l
ettre l’honneur à prix. Pour venger l’olivier d’un injuste mépris, Je
donne
mon suffrage à ses rameaux utiles.
ir injurieux : A ta douceur on s’abandonne, On chérit tout ce qu’elle
donne
, On s’enivre de voluptés ; Vains plaisirs, un si
ictoire. Des oiseaux l’entouroient, (il en est de flatteurs.) Ils lui
donnent
le prix, et lui vantent sa gloire. Mais tandisqu’
es polissent. Les Grâces entourent de fleurs Le sage compas d’Uranie,
Donnent
le charme des couleurs Au pinceau brillant du gén
5 ! A une belle Source, à qui les habitans du Piessis-Villette ont
donné
le nom de Belle et Bonne. Toi, dont l’urne l
ire, des ailes aux épaules, une faux, ou des filets à la main. On lui
donne
aussi un cœur et des entrailles de fer. Pour tâch
fatale où mon œil égaré Suivoit dans tes regards ton ame fugitive. Je
donnerai
toujours des larmes à ton sort : Toujours j’aurai
es mains infatigables Mineront sourdement ces marbres imposteurs, Qui
donnent
trop souvent, à des hommes coupables,
us, étoit ouvert en temps de guerre, et se fermoit durant la paix. On
donne
à Janus deux visages comme présidant au jour et à
’amour des combats, et devint le premier des héros Grecs. Sa mère lui
donna
le choix, ou d’une vie immortelle, mais obscure,
n époux dans la mer t’eût suivie. O savant Prométhée ! ô s’il m’étoit
donné
. D’animer un limon sous mes doigts façonné ! Mais
descend chez Prométhée Qu’elle embrase par ce discours : « Viens
donner
une ame nouvelle « Aux mortels à l’erreur soumis
l fondit la cire de ses ailes, et il tomba dans la mer, à laquelle il
donna
son nom. Le père se sauva en Sicile, ou Cocalus,
uerle 165. Atrée, Fils de Pélops. Jamais Prince offensé ne
donna
un plus terrible exemple de vengeance. Son frère
Jupiter vous menace, il apprête sa foudre. A combien de Héros vois-je
donner
la mort, Et combien de palais vois-je réduire en
conde, Mille fruits différens dont ce jardin abonde ; Chaque saison y
donne
avec égalité, Et les fleurs du printemps, et les
t par leur fin tragique. Leurs parens s’opposant à leur hymen, ils se
donnèrent
un rendez-vous pour quitter ensemble leur patrie,
e par Vulcain. Tous les Dieux concoururent à sa perfection. Vénus lui
donna
la beauté ; Minerve la sagesse ; Mercure l’éloque
reux. D’une jeune mortelle il (Jupiter) forma la substance ; Lui
donna
de Vénus la grâce et la beauté, De la Reine des D
épousée, si Prométhée n’avoit pas prédit au maître des Dieux qu’elle
donneroit
la vie à un fils dont la gloire éclipseroit celle
he ; Il jette un cri plaintif : les époux attendris A son naïf effroi
donnent
un doux souris, Hector pose son casque aux p
oble et aimable, fut effrayée du danger qu’il alloit courir. Elle lui
donna
un fil qui le guida dans les détours du labyrinth
r ce favorable asile, J’y viens goûter la paix que vous
donnez
C’est ici des Héros la demeure tranquille. Chère
fers dont ma main te délivre. Castor , Le fils de Jupiter doit lui
donner
la loi. POLLUX. Vois dans les Cieux la gloire qu
qu’un vain luxe environne, Que la fortune vend ce qu’on croit qu’elle
donne
. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour ? Ri
aleur, cessèrent de combattre et se firent des présens funestes. Ajax
donna
à Hector le baudrier, qui servit dans la suite à
Fille de Tantale et femme d’Amphion, Roi de Thèbes. Elle avoit
donné
le jour à quatorze enfans. Trop fière de sa fécon
onde, Errante sur les mers, comme elle dans le monde, L’accueille, et
donne
enfin un asile à ses maux, Asile encor mobile et
cle ! ô ma Sœur, je te perds pour toujours. Je le vois, et ne puis te
donner
du secours. J’arrête les progrès de l’écorce crue
es mains de Deucalion. Mais, le bras sûr et terrible Du Dieu qui
donne
le jour, Lava, dans son sang horrible, L’honneur
De vos brûlantes froidures, Sécher ces feuilles impures, Dont l’ombre
donne
la mort. Rousseau 228. Chimère. Elle éto
heval Pégase, en délivra les malheureux habitans de cette contrée. On
donne
encore le nom de Chimère à tous les objets vains,
Nisa, étoit consacré à Bacchus ; l’autre, à Apollon et aux Muses. On
donne
encore au Parnasse le nom de Pinde et d’Hélicon.
flancs de la terre, En rubis enflammés tu transformes la pierre ; Tu
donnes
en secret leurs couleurs aux métaux, Au diamant s
as le papillon volage, Toi-même, au tigre horrible, au lion indompté,
Donnas
leur menaçante et sombre majesté. Tu départis aux
cherche les prés, l’amour et les combats. A l’aigle, au moucheron, tu
donnas
leur parure : Mais tu traitas en Roi le Roi de la
son chagrin, Il se nourrit des pleurs qui tombent dans son sein ; Il
donna
la naissance à cette enchanteresse, Qui trompant
de sentir mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a
donné
ta mère ; Que mon sein malheureux te serve de tom
uissamment. Hélas ! que leur servit de sillonner nos plaines, De nous
donner
leur lait, de nous céder leurs laines ? Pourtant
ins peintre que créateur, et nouveau Prométhée, il souffle la vie, il
donne
le mouvement aux êtres inanimés. On peut représen
sur l’airain dociles. L’effet magique des pinceaux Me
donne
des erreurs et des plaisirs utiles. Le bois harm
son sang soit illustre, et qu’elle ait la première Au grand Agamemnon
donné
le nom de père ? De ses bourreaux sacrés le corté
’as toujours paru sage : Tu fis mon cœur pour le chagrin, Mais tu lui
donnas
le courage. L’homme de bien verse des pleurs, Et
Drago custode del giardino delle Esperidi, la mostruosa Echidna mezzo
donna
e mezzo serpente, che unita al procelloso Tifone
orella; da cui nacque Ebe, Marte, Ilitia e Vulcano. Da molte altre e
donne
e ninfe, secondo gli altri Mitologi, ebbe egli po
e avendo molti avuto il nome di Giove, e avendo essi abusato di molte
donne
con varii stratagemmi, e ornati colie favole dell
da’ Sabini, venuti a vendicare il rapimento da essi fatto delle loro
donne
. Altri templi innalzaronsi poscia a Giove Vincito
lli, che incontravano, a titolo di purgarli o espiarli, nè le giovini
donne
queste percosse fuggivano, persuase che utili fos
elebri presso Omero sono i tripodi; che camminavano per se stessi, le
donne
d’ oro che aiutavanlo ne’ suoi lavori, i cani d’
aggio nella casa del Pontefice massimo con gran mistero, e dalle sole
donne
, senza che alcun uomo potesse intervenirvi. Nelle
ivo, o, come dice Orazio, l’ uno bianco e l’ altro nero. I Geni delle
donne
più comunemente erano detti Giunoni. Dal Genio e
triplicali denti con cui divorava i passaggieri. Cariddi fu prima una
donna
voracissima, che avendo rubato ad Ercole certi bu
gettossi Deucalione si convertirono in uomini, e quelle che Pirra in
donne
. Gli altri animali, secondo Ovidio, rinacquero pe
lse le vacche custodite dal cane Orto nato da Tifone e da Echidna. Le
donne
di Eripilo insofferenti di veder condotte da Erco
mostro nato da Tifone e da Echidna, che avea la testa, e il petto di
donna
, il corpo di cane, de zampe di leone, la codardi
. Giunti gli Argonauti all’ isola di Lenno trovaronla abitata da sole
donne
: perocchè esse, onde vivere in lor balìa, uccisi
o aggiunge Celeno figlia di Taumante e di Elettra. Erano queste mezze
donne
, e mezzo uccelli, che divorando e lordandogli tut
rio i pe’ boschi piangendo continuamente la sua perdita, nè amore, di
donna
più il potè muovere; di che indispettite le madri
te che avvenissi per morderlo venne da Apollo cangiato in sasso, e le
donne
omicide furon da Bacco mutate in piante. Capo
Egeo, corse grave pericolo di esser vittima della malvagità di questa
donna
, perciocchè o temesse di lui o d’ esso accesa ne
vagli il regno, la seconda la sapienza, e la terza la più bella delle
donne
, ei diede a Venere la preferenza. Concorso in Tro
in Isparta da Menelao marito di Elena, ch’ era riputata la più bella
donna
di quell’ età, colse Paride l’ occasione che Mene
i; ragionò coll’ anima della madre Anticrea, con quelle delle antiche
donne
più illustri; tenne discorso con Agamennone e con
io Naute consigliò ad Enea di lasciare in Sicilia presso di Aceste le
donne
e i vecchi, e seco guidare in Italia soltanto i g
ebano veggendo due serpi accoppiati li percuote col bastone e diventa
donna
. Rivedendoli otto anni dopo li percuote di nuovo,
rigone in quello della Vergine, e Mera in quello elei la canicola. Le
donne
di Euripilo sono cangiate in vacche. Parte II. Ca
sacro egli è da Cibele cangiato in leone, e Atalanta in leonessa. Le
donne
dei Ciconi assassine di Orfeo sono da Bacco mutat
arebbe l’ annoverare gli oracoli si rendevano in altri luoghi. Fra le
donne
che professarono di conoscere, e di predire il fu
morir le genti armate Sotto l’ offese de’ lor fieri artigli ; Onde le
donne
afflitte e sconsolate Piangono i morti lor mariti
a è sua figliuola. 44. A ragione immaginarono Cibele con sembianze di
donna
veneranda e forte, e le posero in capo una ghirla
oria delle savie leggi da essa date ai mortali. Erano celebrate dalle
donne
più distinte, le quali parecchi giorni prima dove
cce ed altri simboli. In Sicilia, nel tempo di questa processione, le
donne
correvano qua e là con fiaccole accese chiamando
to di creare gli uomini, si concertarono fra di loro, e formarono una
donna
facendole ciascuno di essi un dono particolare. P
mo, perchè la superstizione credeva che questa pianta procurasse alle
donne
un parto pronto e felice. Secondo alcuni poeti Lu
ella. Fu adorata anche in Egitto sotto la forma di una vacca o di una
donna
con le corna in capo ; ma cosi gli Egiziani la co
rò tutta la terra e conquistò le Indie con un esercito d’ uomini e di
donne
che per armi avevano tirsi e tamburi ; indi si tr
la Venere Celeste, così rappresentata dai Greci, era l’immagine della
donna
virtuosa, della eletta fra le creature, di quell’
era acceso col ginepro e coll’acanto. Intanto altre vergini ed altre
donne
si appressavano all’ ara di Venere nuziale che te
poli, ossia città nuova. Queste Sirene avevano la testa e il corpo di
donna
fino alla cintura, e nel rimanente erano uccelli.
e e trangugia. Dal mezzo in su, la faccia, il collo, e ’l petto Ha di
donna
e di vergine : il restante D’una pistrice immane,
dei mortali, senza portar rispetto nè a grado nè ad ingegno : Ed una
donna
involta in vesta negra, Con un furor qual’io non
ppresentante una figura con testa e crine di cavallo, viso e collo di
donna
, corpo e piedi d’uccello, coda di pesce. » La Lic
i suoi contemporanei il futuro. Quindi il suo nome fu dato a tutte le
donne
che pretendevano d’imitarla, e furon dette Fatue
posa e della madre, alzò un tempio alla Fortuna femminile, perchè due
donne
avevan salvato la patria. Domiziano, dopo aver so
onorata gente ……. E qui si fa a nominare una lunga lista d’uomini e
donne
illustri di tutti i tempi e di tutte le nazioni.
a quale non può sussistere. La rappresentavano sotto l’emblema di una
donna
armata all’amazzone, che abbraccia con la destra
ella camera per lo finestrone che si è detto. La sua forma sia di una
donna
alta, spedita, valorosa, con gli occhi ben aperti
origine della favola. Ecco il principio di quel componimento : « Una
donna
più bella assai del Sole, E più lucente, e di mag
o inventato. 375. Le Amazzoni (a, senza ; mazòs, mammella, gr.) furon
donne
guerriere abitatrici della Cappadocia nell’Asia M
io padre d’Admeto, che vorrebbe impedire il sacrifizio della generosa
donna
: Già il mio giuro terribile dai cupi Suoi regni
ere che se Ercole volesse mai indossarla, non avrebbe più amato altra
donna
che lei. 396. La donna troppo credula accettò il
se mai indossarla, non avrebbe più amato altra donna che lei. 396. La
donna
troppo credula accettò il dono, e aspettò l’ occa
usarlo di tradimento a Teseo. 437. Il padre, ingannato dalla malvagia
donna
, bandì il figliuolo, e lo abbandonò alla vendetta
ore e Polluce. 441. Questi due eroi furono figli d’ una bellissima
donna
dell’ Etolia, chiamata Leda (74), la quale ebbe d
te il beneficato. 458. Cotanta infedeltà spinse al furore la malvagia
donna
, la quale, dissimulando lo sdegno, perseguitò la
oeti lo dicono nato dal gigante Tifone (69) e da Echidna mostro mezzo
donna
e mezzo serpente. 90 467. L’ eroe protetto da Mi
ogo dove rinvennero la sua spoglia ; ma ne era vietato l’accesso alle
donne
. Quindi suo padre lo cangiò in cigno ; e la celeb
di Venere (170) e di Marte (255) ; e ben si rileva dal nome di questa
donna
quale arte ella debba avere insegnato ai Greci. 4
La Sfinge, figlia d’Echidna (466) e di Tifone (69), aveva la testa di
donna
, il corpo canino, le ali d’uccello, la coda di dr
distornare questa predizione funesta, vestì il giovinetto in abiti da
donna
, e mentre dormiva lo tolse a Chirone, e lo mandò
licissima madre entrò furibonda nel palazzo dell’assassino, con altre
donne
trojane che la seguivano in schiavitù, ed avventa
le facea volger sempre gli sguardi su quella tomba, tradì l’infelice
donna
; perchè Ulisse scoperse l’asilo d’Astianatte, ed
; Minerva sapienza e virtù ; e Venere il possedimento della più bella
donna
del mondo. 600. Paride, che tanto era bello quant
le (541), operando sempre da vile qual si conveniva ad un rapitore di
donne
. 603. Ferito a morte da Filotlete (546) con una f
r vendicar la sorella ; laonde Tereo infuriato chiese le armi ; ma le
donne
fuggirono sopra una nave che le aspettava, e si r
che era il piu giusto fra gli uomini, e Pirra sua moglie, che era la
donna
più virtuosa, andarono illesi dall’esterminio, e
che quelle di Deucalione si cangiavano in uomini e quelle di Pirra in
donne
. Chi non riscontra nella durezza delle pietre div
ti avviticchiati fra loro, li colpì con la sua verga, e tosto diventò
donna
, e dopo essere stato così per sette anni, ritrova
ta tra Giove (63) e Giunone (85) su chi sia più felice, o l’uomo o la
donna
. Vedi senno da Numi di prima classe ! Tiresia giu
. Vedi senno da Numi di prima classe ! Tiresia giudicò a favore delle
donne
; ma Giunone, che era di contrario parere, se l’e
Mopso. Le Sibille. 665. Gli antichi chiamarono Sibille certe
donne
alle quali attribuivano la cognizione del futuro
attribuita alla profetessa di Delfo, e poi diventò comune a tutte le
donne
che pronunziavano oracoli. Chi annovera tre, chi
ipio fu rigorosamente vietato di pigliar parte in questi giuochi alle
donne
; ma con l’andar del tempo alcune vi si recarono
di Macedonia trionfò nella corsa dei carri o delle bighe. Molte altre
donne
macedoni la imitarono, e furono anch’esse incoron
ue veniva nutrito per quaranta giorni a Nilopoli, e lo custodivano le
donne
che sole avevano il diritto di vederlo ; indi era
e le cose e di Dea universale, spesso è rappresentata in sembianza di
donna
con le corna di vacca, simbolo delle fasi lunari,
o di frecce e piantatele in terra, trasse da questo germe l’uomo e la
donna
. Riconoscono essi pure dei cattivi Genii cui cons
i giovinelll in giro Dai flautl accompagaala a dalle cetre, Maatre le
donne
sulla soglia ritte Stan la pompa a guardar maravi
era inspirata dai trasporti di furore divino ; a Dodona parlavano le
donne
, le colombe e gli alberi : Giove Ammone pronunzia
di Satùrno, ed avea per moglie Fauna, la quale dava gli oracoli alle
donne
, come il marito agli uomini. Virgilio(2) pone l’o
apeto, ordinò a Vulcano che di fango eziandio formasse il corpo della
donna
, alla quale Minèrva donò l’anima o la sapienza ;
volea per se solo il poter formare degli uomini, fabbricarono questa
donna
e tutti l’arricchirono de’ loro doni ; e che Giov
questa favola col racconto di Mosè sulla creazione dell’uomo e della
donna
, il vede anche un fanciullo mezzanamente istruito
Deucaliòne trasformarsi mirabilmente in uomini, e quelle da Pirra, in
donne
; e così rinnovellossi l’umana generazione. Al te
aletto degli Argivi, significava la luna, della quale era simbolo una
donna
col capo coronato ; e da ciò ha potuto avere orig
elasgi, il più antico popolo della Grecia ; o secondo Erodoto, da una
donna
Egiziana che ne fu la prima sacerdotessa. Omero c
rtagine, ov’erano le sue armi ed il cocchio, tanto che meditava farla
donna
e signora di tutte le altre città. I Cartaginesi
l tradito Menelao. Vi fu chi disse, quest’Elena essere stata una vera
donna
non già, ma un essere immaginario inventato per s
d orribili presagi ; ed ahi ! gli disse, con infausto augurio una tal
donna
tu meni a casa, donna che tutta in armi ripeterà
d ahi ! gli disse, con infausto augurio una tal donna tu meni a casa,
donna
che tutta in armi ripeterà la Grecia congiurata a
ovea recarvi l’abbondanza. Avea particolar cura degli ornamenti delle
donne
; e Giunoni furon detti i Genii delle donne ; per
ura degli ornamenti delle donne ; e Giunoni furon detti i Genii delle
donne
; percui una donna giurava per la sua Giunone, co
delle donne ; e Giunoni furon detti i Genii delle donne ; percui una
donna
giurava per la sua Giunone, come un uomo, pel suo
uomo, pel suo Genio(2). Ella soprantendeva a’ parti, e però a lei le
donne
incinte facevan voti per la felicità del parto, e
capo a guisa di corona, detto volgarmente diadema, che usavasi dalle
donne
greche ; il quale come le fionde (σφενδονη, funda
a iscrizione : Iunoni Lucinae. E perchè questa Dea era il Genio delle
donne
, per ciò ne’ vasi etruschi si vede spesso dipinta
asi pure Iuno natalis, perchè assisteva alla nascita degli uomini. Le
donne
nel giorno della loro nascita sacrificavano in di
è non poca confusione negli antichi scrittori. Solo può dirsi che le
donne
greche nel parto invocavano Diana Ilitia ; e le r
facevano de’ giuochi in di lei onore, a’ quali soprintendevano sedici
donne
, e schiere di donzelle si disputavano il premio d
llo stadio degli olimpici giuochi, ch’era una corona di ulivo. Quelle
donne
ricamavano un velo o stoffa detta peplo, che cons
ini allo squittino, gli uomini tennero per Nettuno, e per Minerva, le
donne
. La quale vinse per un suffragio di più ; e però
e s’ingegnò di acchetare col trarre dalla sua parte principalmente le
donne
. E ciò vuol dire la vittoria dell’ulivo di Minerv
, da cui venne l’agricoltura. A Sais Iside era rappresentata come una
donna
che ordisce ; e Diodoro afferma ch’ella proteggev
rmagli. Ne’ greci poeti leggiamo l’epiteto dal bel peplo dato a molte
donne
per loro gran lode ; ed Omero(1) dal peplo e dall
er loro gran lode ; ed Omero(1) dal peplo e dall’aurea fibbia loda le
donne
Attiche ; ed anche l’Aurora va lieta del suo croc
κροκόπεπλος). Questa veste era in gran pregio in guisa che quando una
donna
a qualche Dea far voleva un’offerta, niuna cosa p
molta superbia. La fatidica Manto, fig. di Tiresia, imposto avea alle
donne
Tebane di offrir sacrificii a Latona. Niobe ne fu
e che quivi vide una rupe, la quale di lontano avea sembianza di una
donna
mesta e piangente. In Firenze vi è un’antichissim
na fontana si chiami figliuola di un fiume. L’Ariosto, parlando delle
donne
che acquistaron fama nel poetare, disse : Poichè
πομαι, cano), era la Musa della tragedia, e si dipingeva qual giovane
donna
, superbamente vestita e co’ coturni a’ piedi. In
sso con voto da Camillo, e non trovandosi tant’ oro che bastasse ; le
donne
romane diedero i più cari ornamenti per giungere
nassero alla primiera forma umana. Eraclito(2) dice che Circe era una
donna
d’indole malvagia, che co’suoi artificii rendeva
sa che presso gli orientali il sole per gli uomini, e la luna per le
donne
esprimono la più alta bellezza. I suoi lunghi cri
e l’altra, il sonno, fratello della morte. La Notte si dipingeva qual
donna
sopra un carro, alata, coperta di un gran velo, o
una, in una gemma si rappresenta con una fiaccola in mano ; percui le
donne
ne’ sacrificii di questa Dea detti Artemia, agl’i
Giovenale(3) festivamente descrive l’intollerabile loquacità di una
donna
letterata e saccente, la quale, col solo suo perp
rcossi da Apollo o dal Sole, come percosse dalla Luna appellavansi le
donne
colpite da morbi veementi(1). Così percossi da Gi
a città aveva ripiena Tebe de’ clamori delle sue feste, obbligando le
donne
Tebane a far pazze allegrezze sul Citerone, monte
orgie di Bacco. Tiresia(1), dopo il fatto di Penteo, avea invitato le
donne
Tebane a fare una gran festa in onore di quel num
acciando lo sdegno di lui a chiunque avesse ricusato di farla. Quelle
donne
corrono volenterose a celebrare Bacco, lasciando
ce che le Mineidi erano trè sorelle di saviezza, e di onestà, quale a
donna
ben nata si conviene, le quali, amando la fatica,
elebre spedizione nelle Indie, accompagnato da Pan, da Trittolemo, da
donne
assai esperte nel canto, delle quali era capo Apo
n erasi mai veduto altro più strano. Era esso composto di uomini e di
donne
, tutti agitati dal divino furore del loro duce. M
invece di armi portavane tirsi, cembali, flauti e tamburi, mentre le
donne
aveano le chiome sciolte ed eran vestite di pelli
celebravano da’ Tebani ogni terzo anno con notturni, discorrimenti di
donne
, e con arcane cerimonie sul monte Citerone ; e pe
tempo poi di queste solennità, una turba innumerabile di uomini e di
donne
vestite in modo assai strano correva per le strad
ne’ Saturnali di Roma. Le Baccanti si chiamavan pure Bistonidi, cioè
donne
Tracie, perchè Bistonii erano gli abitanti di una
schiuma del mare presso l’isola di Cipro ; percui Museo(2) la chiama
donna
e signora del mare ; e da Orazio(3) appella vasi
vestivasi a lutto, e non si udivano per tutto che pianti e grida. Le
donne
correvano per le strade co’ capelli sparsi e si b
a Roma avea una cappelletta, ove andavano alcune volte a piangerlo le
donne
. I porci ed i cinghiali sono odiosi a Venere per
ta a Giunone, qual’era Cartagine, e per la naturale incostanza di una
donna
, il suo Enea non avesse quivi a ritrovare stanza
se a piene mani (ροδα βρυουσι). Il più si rappresentano quali giovani
donne
belle e ridenti, vestite più con garbo che con ma
teva la parola Talassio, per ricordare alla sposa il dovere ehe ha la
donna
, quando va a marito, di attendere alla fatica ed
βιου). Il Genio era il dio tutelare degli uomini, come Giunone, delle
donne
, e si onorava specialmente nel giorno natale di c
a naiade Armonia ; o da Marte e da Venere. E veramente una nazione di
donne
bellicosissime, com’eran le Amazzoni, con molta r
ssai viva, così i poeti posteriori ad Omero introdussero anche queste
donne
bellicose nella guerra di Troia, e finsero che un
d’oro L’adusta mamma, ardente e furiosa Tra mille e mille, ancor che
donna
e vergine, Di qual sia cavalier non teme intoppo.
ndo Con femminei ululati. Caro. Le Amazzoni poi, come si finse, eran
donne
bellicose nell’Asia, che formavano un popolo pres
o sulle rive del Termodonte, ed il loro nome significa un’eroina, una
donna
guerriera e capace di ardite e pericolose imprese
fiaccole in mano. Negli antichi monumenti figuravasi il più come una
donna
robusta, coronata di spighe, bionda e quasi rossi
a di Vulcano. Per comando di Giove egli ancora di fango fece la prima
donna
, detta Pandora, che presentò agli Dei coperta di
rto e pensieroso medita sul partito da abbracciare, gli apparvero due
donne
di grande statura, una di sembianza nobile ed avv
viaggio molte disgrazie. Approdarono in prima a Lenno, ove abitavano
donne
forti e bellicose simili alle Amazzoni, delle qua
vano il paese. Erano queste mostruosi uccelli di rapina, col volto di
donna
, sempre pallido per la fame, con lunghi crini, e
lo Spanheim, si suole anche rappresentare come una sirena, cioè mezzo
donna
e mezzo pesce. Virgilio(2) elegantemente descrive
alcuni rami di corallo. Alle volte però ritrovansi rappresentate metà
donne
e metà pesci, e spesso si veggono assise sopra Tr
tre cose non dissimili, li presentano sotto il tipo or di uomo, or di
donna
. Ne’ primi tempi tutto era simbolico e conceputo
a vanità delle nozze naturali, cui un tempo l’uomo congiungevasi alla
donna
, come le belve alle belve. E i Proci invadono la
ole(1), cui presso gli antichi romani era vieto a’plebei impalmare le
donne
patrizie, e non l’ottennero che dopo lunga lotta
rva od a Venere, ei donollo a Venere, che gli prometteva la più bella
donna
del mondo : favola mista di allegoria, perchè con
portando i parti alla luce ; di Dea Mena, presedendo a’mestrui delle
donne
; di Lucina, invocandosi dalle parturienti ; di O
, che si davano a questa Dea — si rappresentava sotto le forme di una
donna
a tre teste, interpetrazione di questa forma — Al
dà vita e moto a’viventi, o dal credersi esser larga di soccorso alle
donne
ne’dolori del parto. Ma di questi e di altri tito
la fune al collo per significare la forza fatta da’giganti alle prime
donne
; con la fune legate le mani, la quale poi appo t
i disse di lei tutto era una simbolica. Ella rappresentavasi come una
donna
robusta e possente, onde dare una immagine della
adre e natura — Rappresentavasi sotto le sembianze allegoriche di una
donna
a tre taste, di cavallo, di cane e di cignale, o
e fede merta la nostra maggior Musa » E l’Ariosto del pari(3), « Le
donne
antiche hanno mirabil cose Fatto nell’armi e nell
u la nave Argo per la conquista del vello di oro, combatte con alcune
donne
guerriere, figlie di Marte, rapisce loro un bel c
ve fu fatta la pace tra i romani e Sabiri dopo di aver pugnato per le
donne
rapite. Così Phirio lib. XX. (3). Segezia o Sei
pera pro pecunia. (1). Flora — Alcuni eredono che sia Acca Larenzia
donna
di partito, la quale avendo mutato colore nel tem
ologia di questi due nomi a libramento, chè il maschio in unirsi alla
donna
mercè il beneficio di Libero, emissis seminibus,
eneficio di Libero, emissis seminibus, vien liberato. Lo stesso della
donna
mercè di Libera. (3). Carmente — si vuole da’
aste d’ Apollonio dice, ch’ Ercole mise a morte non uccelli, ma certe
donne
Stinfalidi, perchè erano figlie d’un eroe, di nom
ino Liberale(e) e Ovidio(f) dicono, che coloro erano governati da una
donna
, la quale, per essersi creduta superinore in bell
scirvi. Un pescatore cieco d’Eritrea fu avvertito in sogno, che se le
donne
si fossero tagliati i capelli, e ne avessero form
za fatica a terca. Nessuna delle femmine Eritree volle farlo, e certe
donne
Tracie, le quali, benchè fossero nate libere, tut
ue’ d’Eritrea conseguirono la statua d’Ercole, nè permisero, che alle
donne
Tracie l’ingresso del di lui tempio (d). Qualsiv
maggiore di tutte le altre. Ad essa si portava la decima de’ buoi. Le
donne
non potevano accostarsi alla medesima, nè mangiar
desima, nè mangiare cosa alcuna ivi posta : e ciò in pena d’avere una
donna
ricusato di somministrare dell’ acqua ad Ercole s
a ad Ercole sitibondo, perchè ella celebrava là festa della Dea delle
donne
, al tempo della quale non era lecito agli uomini
Là non veniva rappresentato sotto alcuna figura, nè era permesso alle
donne
l’entrarvi. I Sacerdoti di quel tempio doveano se
sua protezione spezialmente verso Fillio, giovine della Beozia. Iria,
donna
pure della Beozia, avea un figlio di rara bellezz
di lui fecero anche gli altri Centauri la stessa violenza alle altre
donne
, che loro venivano alle mani, o più piacevano. Vi
elle armi ; e Venere s’impegnò di renderlo possessore della più bella
donna
, che vi fosse stata al mondo. Paride diede il pom
). Acesse, re di quel paese, e figlio del fiume Criniso, e di Egesta,
donna
Trojana, con tutta la benevolenza lo accolse. Ene
he de’Trojani(21). Nel riparto, che si fece tra’Greci Capitani, delle
Donne
Trojane, Cassandra, figlia di Priamo, e sposa di
una figlia verso sua madre. Valerio Massimo(a) la racconta così : una
donna
, convinta di capitale delitto, era stata condanna
sse alla madre qualche cibo. Erano ormai trascorsi molti giorni, e la
donna
ancora conservavasi in vita. Ne stupì il Triumvir
e illustri azioni aveasi acquistata tanta gloria, quanta qualsivoglia
donna
della sua città potea vantarne in forza de’ suoi
tempio alla stessa Dea Pudicizia sotto il nome di Plebea ; eccitò le
donne
più considerabili del popolo a concorrervi ; e le
stato alzato da’ discendenti d’Ercole, e che non fosse permesso alle
donne
, le quali aveano avuto più d’un marito, il toccar
lerio Massimo, il quale riferisce, che gli Antichi risguardavano come
donne
pudiche quelle, che non passavano a seconde nozze
impudicizia, tollerata dalle leggi(c). La Pudicizia avea la figura di
donna
velata, e modestissima nel portamento. Obbedie
olone II. 229. 285. Domiduca I. 181. Domiduco I. 200. Domizio I. 200.
Donne
di Lenno I. 351. 363. Dorila II. 115. Draconigeni
loro un colpo di basione, o in pena di tale delitto venne cangiato in
donna
. Dopo sette anni trovò nello stesso modo que’due
none insorse giocoso contrasto, se amore si facesse più sentire dalla
donna
, che dall’uomo. Tiresia, perchè era stato dell’un
detto alle schiave ; e se alcuna v’entrava, veniva battuta(a). Ivi le
donne
libere ricorrevano per chiedere grazie pe’ figli
(13). Gorgofone fu la prima moglie di Periere, ela prima di tutte le
donne
, che sia passata alle seconde nozze, mentre le fe
. Quì a di lui onore si fecero dei Giuochi, detti Tlepolemj. Uomini e
donne
vi concorrevano, e il premio del vincitore era un
, e la quale consisteva nel formare un circolo, mescolato d’ uomini e
donne
. Eustazio però vuole, che gli uni danzassero sepa
idio(b) ; Virgilio poi soggiunge, che non in votatile, ma di nuovo in
donna
venne convertito(c). Ceneo ebbe un figlio di nome
edirono loro alcuni ambasciatori per chiedere pacificamente la rapita
donna
. Antimaco, Capitano Trojano, corrotto dall’oro e
olidoro, com’era stato il trasmessogli ne’ tempi scorsi da Priamo. La
donna
diede un’occhiata torbida e fiera e quello spergi
tto a ritornarsene in Itaca, lasciò Ecuba nel Greco campo. L’infelice
donna
, che preferiva la morte ad una vengognosa schiavi
(a). Hom. Iliad. l. 2. (1). Secondo alcuni la madre di Enea fu una
donna
Trojana, che portava il nome di Venere(a). (b).
acquistò il nome di Elisa parola Fenicia, la quale dicono significare
donna
forte (d) ; e fu in Cartagine adorata come Dea (e
guerra, la fame, e le altre pubbliche calamità (a). I Genj poi delle
donne
si chiamavano Giunoni (b). Nè solamente ciascun u
i chiamarono Esimnete. Nove de’principali della città, e altre ttante
donne
presiedevano alla sacra ceremonia. Nel primo gior
nne convertita in giovenca, altri dicono in orsa, ed altri in vecchia
donna
(f). Virgilio ci fa credere, che realmente siasi s
cagione della guerra, in cui era morto il suo marito, ordinò a certe
donne
, che si fingessero furibonde, che la strangolasse
era invocata, onde rendesse belle le giovani deformi. Una ricchissima
donna
di Sparta partorì una bruttissima bambina, la man
ale, come abbiamo esposto, era toccata a Neottolemo nel riparto delle
donne
Trojane ; e formò il progetto di farla perire, me
Scoliaste d’Omero(b) e Tolommeo. Efestione(c)narrano, che l’anzidetta
donna
vinse ed uccise Achille ; ma che questo Eroe per
si diede la morte(c). Omero per altro dice solamente, che l’anzidetta
donna
morì di dolore per la lunga assenza di suo figlio
nnero trasformate in mostri, poichè comparvero mezzo uccelli, e mezzo
donne
. Dicesi, che ciò sia avvenuto, perchè essendosi t
zzo l’altro loro fratello, Crisippo, perchè que sti era nato da altra
donna
(a). Pelope li cacciò in esilio, ed eglino si riti
sept. ante Theb. , Eurip. in Phoeniss. , Senec. in Thebaid. (7). Le
donne
dì Lenno, come scuoprirono, che Ipsipile avea sol
della ninfa Calliope, erano rappresentate dalla testa ai fianchi come
donne
e nel rimanente del corpo come mostruosi pesci co
immagina di aver fatto un sogno, nel quale, per quanto parvogli, una
donna
« Io son, cantava, io son dolce sirena « Che i m
to dopo soggiunge : « Ancor non era sua bocca richiusa, « Quando una
donna
apparve santa e presta « Lunghesso me per far col
arve santa e presta « Lunghesso me per far colei confusa. » E questa
donna
santa era la Virtù, che stracciando le pompose ve
nimali carnivori che divorassero gli uomini e tanto più volentieri le
donne
; e credettero che talvolta uscisser dal mare, e
ia dieci centimetri circa ; e quindi non può trangugiare nè uomini nè
donne
e neppure un bambino appena nato : di fatti suo c
alla sua poesia una efficacia pari a quella di Anfione : « Ma quelle
donne
aiutino il mio verso, « Che aiutaro Anfione a chi
ove poi le trovò Enea, come diremo. 6ª Fatica : Le Amazzoni Le
Donne
antiche eran più fiere delle moderne. Oltre quell
o, » e si costituirono in repubblica, troviamo ora un regno tutto di
donne
, le quali non solo avevano ucciso tutti li maschi
sue imprese eroiche, avesse avuto la debolezza di filare, vestito da
donna
fra le ancelle di Onfale regina di Lidia ; e fu d
o natura più bestiale che umana, tentando di rapire la sposa ed altre
donne
convitate : onde che nacque una tal mischia così
mostro col capo e le zampe di leone alato, e col petto e la testa di
donna
. Essa fermava i passeggieri e proponeva loro un e
cchezze del mondo, Minerva la più gran sapienza e Venere la più bella
donna
per moglie. Il pastore consegnò l’aureo pomo a Ve
promessafatta al giudice, di procurargli cioè per moglie la più bella
donna
del mondo. Ma la più bella donna che allor vivess
urargli cioè per moglie la più bella donna del mondo. Ma la più bella
donna
che allor vivesse era la spartana Elena, rapita p
ro « L’adusta mamma, ardente e furïosa « Tra mille e mille, ancor che
donna
e vergine, « Di qual sia cavalier, non teme intop
ccidendo chi resisteva e facendo schiavi gl’ inermi, gl’ imbelli e le
donne
che non furono in tempo a mettersi in salvo altro
dell’orme sedeano e fuor dell’onde. « Sol dal suo regno e dalla casta
donna
« Rimanea lungi Ulisse. » (Om., Odiss., i. Trad.
e e Giunone, se cioè fosse più felice la condizione dell’uomo o della
donna
; e poichè egli diede ragione a Giove, che cioè f
a ; e poichè egli diede ragione a Giove, che cioè fosse più felice la
donna
, Giunone per dispetto lo acciecò, e Giove in comp
delle Sibille, non si può così facilmente dare una sentenza su queste
donne
straordinarie e misteriose 162. Infatti neppur Da
etta tra i fatti istorici che Tarquinio Prisco avesse comprato da una
donna
misteriosa, creduta una Sibilla, i libri sibillin
ano i così detti libri sibillini comprati da Tarquinio. Se poi quelle
donne
girovaghe e misteriose che si spacciavano per Sib
o della Colchide. Perciò Medea da Ovidio è chiamata ancora Phasis (la
donna
del Fasi o Fasso). Dalle rive del Fasi furono por
la trasfusione del sangue di una bestia nelle vene dell’ uomo o della
donna
non è proibita ; ed anche in Italia, e precisamen
e le vicine convalli. Tutti perirono, fuorchè un sol uomo ed una sola
donna
, Deucalione e Pirra, che si salvarono in una nave
raviglia che le pietre scagliate dietro di sè da Pirra erano divenute
donne
e quelle di Deucalione uomini. Ecco perchè, dicon
distanza le pietre già prima scagliate divenir gradatamente uomini e
donne
. La qual trasformazione graduale è significata ne
favola di Deucalione e Pirra che trasformarono le pietre in uomini e
donne
; biblica secondo la Genesi, che Adamo fu compost
’Oracolo di Giove Ammone, rispose, che gli Oracoli erano buoni per le
donne
, i fanciulli, e gl’ignoranti. Cominciarono dunque
ente, e Catone ad asserire che gli Oracoli eran buoni soltanto per le
donne
, i fanciulli e gl’ignoranti. E il Paganesimo cadd
an comprese in due versi : Divina Salamina, tu perderai i figli delle
donne
, o Cerere si disperda, oppure si unisca. Molti in
era contro i Persiani, i quali dall’oracolo eran chiamati figli delle
donne
per indicare la loro effemminatezza e il loro poc
ll’Ariosto : « Ecco all’orecchie un gran romor lor viene. « Disse la
donna
: o glorïosa Madre, « O re del Ciel, che cosa sar
l gli occhi e le ciglia, « Come l’ecclisse o la cometa sia. « Vede la
donna
un’altra maraviglia « Che di leggier creduta non
poi quasi talor la terra rade ; « E ne porta con lui tutte le belle «
Donne
che trova per quelle contrade : « Talmente che le
adoratori devoti e ferventi non solo fra gli uomini, ma ancor fra le
donne
. Accompagnato da una turba magna di zelanti segua
esto era il rumore che facevano i seguaci di Bacco, e specialmente le
donne
che furon chiamate Baccanti ; e in tal modo clamo
ivi di Bacco accennati di sopra. Le Baccanti erano rappresentate come
donne
furibonde colla testa alta e piegata indietro, co
Romana accepimus Isim. » Di questa Dea eran devote principalmente le
donne
; tra le quali è rammentata da Tibullo la sua Del
egolari colpi e movimenti. I Romani adoravano Iside sotto la forma di
donna
; ma gli Egiziani sotto quella di vacca, perchè c
appellativi o titoli era invocata dalle matrone, e in generale dalle
donne
: sebbene altri poeti, e tra questi Orazio95), at
teggesse, o fossero parenti od anche soltanto connazionali di qualche
donna
preferita da Giove. Vi sarebbe da riempire un gro
a risaltar la bellezza e vi aggiungeva un fáscino irresistibile. E le
donne
antiche e le moderne ne capiron bene il significa
i che Cupido si occupasse sempre a saettar colle sue freccie uomini e
donne
, Dei e Dee, senza pensar mai a scegliersi una spo
» come dice Dante ; e vi giunsero appunto dopo l’atroce fatto che le
donne
di quell’isola, malcontente delle leggi e dei tra
odor delle vivande. « Erano sette in una schiera, e tutte « Volto di
donne
avean pallide e smorte, « Per lunga fame attenuat
ichè in questa classe si trovano i più degl’italiani e quasi tutte le
donne
italiane, ho creduto che un libro facile e popola
cedè ad Atalanta. Ciò dispiacque ai suoi zii, mal tollerando che una
donna
con tal distintivo di onore potesse vantarsi di e
in Italia, e in Roma stessa più che altrove. Rappresentavasi come una
donna
stante in equilibrio con un sol piede sopra una r
ose, asserirono il loro diritto, esercitandolo di fatto e creando una
donna
fornita di tutte le più rare doti di corpo e di s
vano alcune delle Inferiori Divinità. Erano figli o d’un Dio e di una
donna
mortale, quali furono Perseo ed Ercole ; oppure d
ebbe da essa Marte, Vulcano ed Ebe ; e poi da altre Dee, ed anche da
donne
mortali, altri figli in gran numero, tra i quali
sso duplice significato primitivo, cioè di Dea inferiore e di giovane
donna
, perchè credevasi che le Ninfe non invecchiassero
inile significa tela, e al maschile ragno, e Plinio asserisce che una
donna
chiamata Aracne inventò le tele, e Clostère, figl
sonno le bramose ciglia « In traforati e attappezzati letti « Con le
donne
pudiche i fidi sposi. » Alcuni Mitologi dissero
arra che essendovisi introdotto il licenzioso P. Clodio travestito da
donna
, egli fu stimato sacrilego ; e questo scandalo fu
noo. L’onore dell’ apoteosi fu talora conferito dai Romani anche alle
donne
, massime alle mogli degl’imperatori. — Ora in sen
In tempi più civili si rappresentò Ecate con tre faccie, ma tutte di
donna
; e questa triplice immagine ponevasi nei trivii,
Cupido 146 Curèti 42 D Dafne 111 Dànae 308 Dànao 228 Danaidi (
donne
) 228 Danaide (pianta) 231 Danaide (ruota) 231
ome : « E anch’io in quell’ardua immagine dell’arte « Che al genio è
donna
e figlia è di natura, « E in parte ha forma della
i Giove, 29 ; — collocata in cielo, 77. Amatunta, V. Cipro. Amazzoni,
donne
guerriere vinte da Ercole, 375 ; — vinte da Teseo
▲