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1 (1850) Précis élémentaire de mythologie
tions préliminaires. 1. La mythologie est l’histoire fabuleuse des divinités que les païens adoraient. Elle tire son nom de de
end un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité , Minerve est la prudence et Vénus la beauté. Ce n
s la seconde, des dieux d’un ordre inférieur ; dans la troisième, des divinités allégoriques, et dans la quatrième, des héros ou
ns plaçaient le Destin. Ils supposaient qu’il commandait à toutes les divinités et que ses décrets étaient irrévocables. On le re
mitif le Destin rappelle-t-il ? 3. Qu’est-ce que le Chaos ? 4. Quelle divinité est née du Chaos ? Qu’est-ce que la Nuit ? Quel c
n’avaient souillé ces réjouissances licencieuses. 7. Saturne est une divinité allégorique qui représente le Temps. On le dit fi
5. Cybèle eut pour fille Vesta, la déesse du feu. On distingua trois divinités de ce nom, la Terre, femme d’Uranus ou du Ciel et
déesse ? 5. Quelle fut la fille de Cybèle ? Combien distingue-t-on de divinités qui portèrent le nom de Vesta ? Qu’est-ce que les
Minerve, Apollon, Diane, Mars, Vulcain et Vénus, Chacune de ces douze divinités avait ses attributs particuliers. Jupiter les pré
 ? 2. Avec qui Jupiter partagea-t-il son empire ? Quelles étaient les divinités admises dans son conseil ? 3. Qu’est-ce que la gu
Plutus, le dieu des richesses, que nous retrouverons encore parmi les divinités infernales. 4. Dans ses voyages, la bonne déesse
e l’Aurore et Phaéton. Ce dernier, ayant entendu Epaphus contester la divinité de son origine, s’en vint un jour près de son pèr
es paroles qui enchaînaient tous les esprits et tous les cœurs. Comme divinité tutélaire des marchands, il tient une bourse d’un
Athènes, qui se trouvait placée sous la protection spéciale de cette divinité , lui éleva un temple magnifique, le Parthénon. Ph
ps captive sur un trône entre le ciel et la terre. En vain les autres divinités cherchèrent-elles à délivrer la malheureuse Junon
hef-d’œuvre de la sculpture grecque ? Chapitre XV. Neptune et les divinités maritimes. 1. Avant Neptune existaient l’Océan
maritimes. 1. Avant Neptune existaient l’Océan et Téthys. Ces deux divinités représentaient les deux mers, l’Océan et la Médit
e son mari, se précipita dans la mer, et Neptune la reçut au rang des divinités avec son fils. Les Grecs adoraient Ino sous le no
4. Neptune, qui avait sous son empire tous ces dieux, était la grande divinité des Libyens. Il avait de nombreux temples dans la
es d’or et d’argent, lui font cortége. Questionnaire. 1. Quelles divinités maritimes existaient avant Neptune ? Quels furent
. Comment ce dieu est-il représenté ? Chapitre XVI. Pluton et les divinités infernales. 1. Pluton était, comme Jupiter et
r. Les poëtes ont peuplé l’entrée de cet affreux séjour de toutes les divinités allégoriques les plus sombres. Devant le vestibu
rdentes et de monstres horribles. Là étaient les Furies ou Euménides, divinités vengeresses acharnées à tourmenter les méchants.
is, des serpents pour cheveux, et des torches à la main. 7. Outre ces divinités vengeresses, il y avait encore les Parques, fille
r. 11. Il ne faut pas confondre Pluton avec Plutus, qui est aussi une divinité infernale. Plutus est le dieu des richesses. Il a
and ses faveurs sur les bons comme sur les méchants. On en a fait une divinité infernale, soit parce que les richesses font souv
ue Plutus ? Comment était-il représenté ? Pourquoi en a-t-on fait une divinité infernale ? Deuxième partie. Des divinités d
uoi en a-t-on fait une divinité infernale ? Deuxième partie. Des divinités du second ordre. Indépendamment des grands die
ur les destinées du monde, les païens reconnaissaient encore d’autres divinités qui ne recevaient pas les mêmes honneurs, mais qu
i néanmoins exerçaient une profonde influence sur la vie humaine. Ces divinités subalternes n’habitaient pas dans le ciel, elles
ts qui frappaient leurs sens, il est impossible d’énumérer toutes les divinités particulières que renfermaient la terre, la mer e
s les comptaient par milliers. Nous nous bornerons à rappeler ici les divinités champêtres et domestiques et les dieux terrestres
les dieux terrestres qui offrent le plus d’intérêt. Chapitre I. Des divinités champêtres. 1. Après avoir divinisé la terre s
la terre sous le nom de Cybèle, les païens eurent une foule d’autres divinités du second ordre qui présidaient à tout ce que la
t à tout ce que la terre enfante et produit. Parmi cette multitude de divinités subalternes, les poëtes distinguent surtout Pan e
point été connue des Grecs. Ce sont les Romains qui inventèrent cette divinité , et l’on dit que Romulus la préposa le premier à
été roi du Latium après Picus, son père, et les Latins en firent une divinité champêtre, parce qu’ils supposaient qu’il avait e
ait enseigné aux hommes l’agriculture. Il donna naissance aux Faunes, divinités rustiques qui habitaient les forêts et les campag
son immobilité. Questionnaire. Quelles étaient les principales divinités champêtres ? 2. Qu’était le dieu Pan chez les Egy
ssion de terreur panique ? 5. Qu’est-ce que Palès ? Qui inventa cette divinité  ? Comment les bergers célébraient-ils sa fête ? 6
confondre avec eux. Les Romains étaient très-attachés au culte de ces divinités domestiques. Enée fut beaucoup loué pour avoir sa
épendamment des Pénates et des Lares, on peut encore placer parmi les divinités domestiques le Génie. Genius ou Génie était fils
célébrait-on en leur honneur ? Qu’étaient les Pénates ? Parmi quelles divinités étaient-ils choisis ? Quel était leur culte ? Pou
nt était représenté le mauvais ? Chapitre III. De quelques autres divinités du second ordre, Comus, le Sommeil, Morphée, Momu
Ganimède fut-il introduit dans l’Olympe ? Troisième partie. Des divinités allégoriques. Non contents de diviniser la ter
rirent corps et visage pour recevoir l’encens des mortels abusés. Ces divinités allégoriques furent si nombreuses qu’il serait im
nt les plus célèbres. Chapitre I. Des Vertus. 1. Les principales divinités que nous pouvons ranger sous ce titre glorieux so
eurent des autels. Nous allons passer aux biens qui furent érigés en divinités . Questionnaire. 1. Quels sont les principale
nnaire. 1. Quels sont les principales vertus qui furent érigées en divinités  ? 2. Comment la Vérité était-elle considérée ? So
d’ailleurs d’être protégée par le ciel. 4. La Victoire était une des divinités les plus honorées. On la disait fille du Styx et
nonçaient avec tant de respect et d’enthousiasme qu’ils en firent une divinité . Les statues de cette déesse représentaient une f
e ? Chapitre III. Des Vices. 1. Les principaux vices érigés en divinités furent la Méchanceté, la Vengeance, l’Envie, la D
stant de repos, et il plaçait pour ce motif la paresse au rang de ses divinités favorites. La tortue était l’emblème de cette dée
é. Questionnaire. 1. Quels furent les principaux vices érigés en divinités  ? 2. Comment les Grecs appelaient-ils la Méchance
torieux. Les temples de Comana dans la Cappadoce, consacrés à la même divinité , étaient aussi très-célèbres. Ils étaient servis
des sacrifices pour prévenir leur fureur. 4. La Vieillesse était une divinité couverte de rides ; on la disait fille de la Nuit
de l’homme, ni dans les sentiments de son cœur, qui ne fût changé en divinités , tant l’intelligence du peuple était profondément
es peintres la représentaient-ils ? Chapitre V. De quelques autres divinités allégoriques. 1. Nous en avons averti, nous n’
avons averti, nous n’avons point la prétention d’énumérer toutes les divinités allégoriques des Grecs et des Latins, parce que l
lus sévère justice. Ils admettaient, au lieu de cette Providence, une divinité aveugle, maîtresse de tous les événements, qu’ils
ertu, ni le talent, et qu’elle répand sans raison ses faveurs. Aucune divinité ne compta un aussi grand nombre de temples et d’a
, la bonne, la mauvaise Fortune, etc. Au reste on peut dire que cette divinité n’a point vu renverser ses idoles, car elle a tou
s et s’agenouiller devant ses autels. 3. La Nécessité était une autre divinité inventée par le fatalisme. On la disait sœur du D
. On plaçait ses statues sur la porte des temples pour montrer que la Divinité demande à être honorée par un recueillement profo
, Chevriau, Fouqier] Questionnaire. 1. Quelles sont les autres divinités allégoriques qu’il importe de connaître ? 2. Quel
crifiait des agneaux blancs parce qu’ils étaient considérés comme des divinités amies. 3. Ils étaient du nombre des héros qui sui
es. Ces trois sœurs descendaient de Neptune par Phorcys et Céto, deux divinités maritimes. Leurs mains étaient d’airain, leur che
escendit aux enfers pour la redemander à l’austère Pluton. Toutes les divinités infernales furent touchées de ses accents, et sa
ligue ; et on offrit des sacrifices communs à Cérès pour faire de la divinité et de la religion le centre et le lien de la conf
aine qui coulait au pied d’un chêne. Dans le premier âge du monde, la Divinité , comme l’attestent nos livres saints, s’était mis
présenté assis sur un taureau blanc, et il est entouré d’une foule de divinités qui lui rendent hommage. Rien de plus puissant, r
es animés jusqu’à ce qu’elles soient dignes d’entrer en union avec la Divinité . Cette doctrine fait voir à ces peuples abusés l’
er les bras et les jambes pour obtenir un sourire de leur sanguinaire divinité . D’après les rêveries du panthéisme, ils font con
qu’il y eut une succession de manifestations ou d’incarnations de la Divinité , pour instruire et améliorer les hommes et les êt
rds du Tigre et de l’Euphrate, les Perses s’agenouillaient devant une divinité impure appelée Mithra, et qu’ils lui offraient de
ui offraient des sacrifices déshonorants. C’était, absolument la même divinité que l’Astarté des Phéniciens, la Milytta des Chal
nom d’Hermès ; croyaient à la chute des âmes, aux incarnations de la Divinité , à la métempsycose, et ne voyaient dans le soleil
ne, le ciel, la terre, le Nil et toute la nature, que le reflet de la Divinité se transformant et se reproduisant sans cesse. Il
nait au peuple étaient extrêmement grossières. Chaque temple avait sa divinité particulière ; la puissance de ces divinités étai
s. Chaque temple avait sa divinité particulière ; la puissance de ces divinités était réglée par l’importance de la cité où le te
le principe passif, et il lui donnait pour symbole une génisse. A ces divinités bienfaisantes il opposait Typhon, le principe mal
Mercure une vénération particulière. Leur croyance, à l’égard de ces divinités , est presque la même que la croyance des autres p
plus triste et moins féconde, ne se créa pas un aussi grand nombre de divinités , et leur adressa un culte plus sauvage et moins m
Ce peuple n’avait point de temples, parce qu’il ne croyait pas que la Divinité pût être resserrée dans l’étroite enceinte de que
onnaire. 1. Quelle était la religion des Gaulois ? Quelle était la divinité qu’ils adoraient, spécialement ? 2. Y avait-il id
ncorruptible. Comme les Gaulois, ils ne voulaient pas qu’on adorât la Divinité dans des temples, ni qu’on lui élevât des statues
ont le pouvoir était subordonné au sien. Les plus remarquables de ces divinités étaient Balder, le dieu de la bonté, le principe
Thor, et les Suédois à Fréa. 5. Le conseil des dieux, présidé par ces divinités du premier ordre, se tenait, sous un grand frêne.
parmi les autres dieux ? Par quelle nation étaient adorées toutes ces divinités suprêmes ? 5. Où se tenait le conseil des dieux ?
ations. C. Contrée. Const. Constellation. Descr. Description. Div. Divinité . Ep. Epouse Fl. Fleuve. Hist. Histoire. Médit. Mé
mère de Vénus, 56. Discorde, habite l’enfer, 68, 95. Disque, 156. Divinité communiquant avec les hommes, 158, 166. Doctrine
Minervalia, fêtes de Minerve, 46. Minerve, l’une des douze grandes divinités , 21 ; sa naissance, 23 ; son histoire et son cult
s, 157. Ptolémée, roi d’Egypte, 59 ; — Ptolémée Lagus, 181. Pudeur, divinité , 90. Pugilat, 155. Pygas, reine des Pygmées, 28
2 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
nt avoir une puissance propre, indépendante de l’homme, devinrent des divinités . Le mouvement de l’air, le jaillissement de l’eau
ation des arbres, furent attribués à l’action particulière de quelque divinité . C’est de cette manière que le ciel, l’atmosphère
avoir repoussé les poursuites d’un dieu. L’allégorie a transformé en divinités ou en actions divines les découvertes des arts, e
les dieux de l’Olympe viendront ceux de la terre, et, plus tard, les divinités des enfers. Nous nous occuperons ensuite des divi
plus tard, les divinités des enfers. Nous nous occuperons ensuite des divinités allégoriques. Nous terminerons par l’histoire des
e la Providence, ils placèrent au-dessus d’eux et des dieux mêmes une divinité toute-puissante, mais aveugle et inflexible. Ils
x ? — Les anciens n’ont-ils pas placé au-dessus de tous les dieux une divinité aveugle et inflexible, et quel est le nom de cett
dieux une divinité aveugle et inflexible, et quel est le nom de cette divinité  ? — De qui le Destin est-il né ? — Quelle est la
Pandore ? — Que pensez-vous de cette tradition ? Première partie. Divinités du ciel. § 1. Saturne. Histoire de Satu
il et cour de Jupiter. Le conseil de Jupiter se composait de douze divinités . Jupiter le présidait. A côté de lui siégeait Jun
visage ; mais Lycaon, leur roi, prince impie et cruel, doutant de la divinité du voyageur, voulut l’éprouver en lui servant les
conseil de Jupiter ? — N’y avait-il pas à la cour des dieux une autre divinité  ? — Jupiter ne voyagea-t-il pas sur la terre ? — 
mier chant de l’Iliade : « Soudain, le cœur enflammé de colère, cette divinité s’élance des sommets de l’Olympe, portant sur son
. Constellations. Après avoir fait connaître Apollon et Diane, divinités du soleil et de la lune, c’est ici le lieu de par
le dieu de l’amour. Il faut le distinguer de l’Amour ou Éros, antique divinité qui sortit du chaos8 en même temps que le ciel et
it-elle adorée ? — Comment la représente-t-on ? Deuxième partie. Divinités de la terre. § 1. Cybèle. Naissance, cu
n. Le sens de cette allégorie est facile à saisir. Ce voyage des deux divinités indique la marche de la culture du blé et de la v
son honneur à Athènes ? — Comment représente-t-on Vulcain ? § 5. Divinités subalternes de la terre. Palès. — Flore. — P
roserpine le blé, Bacchus la vigne, Vulcain le feu. Après ces grandes divinités de la terre, il faut citer Palès, déesse des pâtu
ertumne, dieu des saisons. Palès n’a pas d’histoire ; cette innocente divinité n’a pas fait parler d’elle, et c’est un grand élo
ce qui veut dire que le vent caresse les fleurs. Pomone est aussi une divinité irréprochable. Vertumne, à force d’adresse et de
ne fut troublée par aucun orage. Les poëtes, en créant ces gracieuses divinités , se sont contentés de leur donner un nom, une fig
eds et sans mains, pour marquer son immobilité. Il faut ajouter à ces divinités Priape, dieu des jardins, fils de Vénus et de Jup
u Pan, fils de Jupiter et de la nymphe Calisto. Les mœurs de ces deux divinités n’étaient pas exemplaires ; elles contrastent ave
des jambes et des pieds de chèvre. Il est le chef des Satyres, autres divinités terrestres, dissolus comme leur maître, et comme
Picus, son père. Il fit fleurir l’agriculture et fut père des Faunes, divinités qu’on ne doit pas confondre avec les Satyres, aux
s. Ainsi non-seulement la Terre était une déesse, mais d’innombrables divinités présidaient à tout ce qu’elle contient, à tout ce
ent, à tout ce qu’elle enfante. Questionnaire. Quelles sont les divinités subalternes de la terre ? — Qu’est-ce que Palès,
nes ? — Quelles sont les nymphes de la terre ? Troisième partie. Divinités de la mer. § 1. Océan et Téthys. Océan.
et Téthys. Océan. — Téthys. — Océanides. Avant de parler des divinités de la mer, il faut dire un mot de la Mer, que les
t sans doute à la confusion qu’on a faite trop souvent entre ces deux divinités , et qu’il faut éviter avec soin : l’une est la pe
reine des mers, Amphitrite eut de Neptune Triton, une des principales divinités de la mer. On attribue à Neptune un très-grand no
ure de Laomédon ? — Neptune n’eut-il pas des différends avec quelques divinités  ? — Qui Neptune épousa-t-il ? — Quel dieu était N
cortége de Neptune. Les héros enviaient l’alliance de ces gracieuses divinités . On peut penser que les nymphes de la mer, Océani
ses filles ? — N’avait-il pas le don de lire dans l’avenir ? § 4. Divinités subalternes de la mer. Protée. Protée, fi
irent de cortége au dieu des mers avec Nérée et Doris. Glaucus, autre divinité marine, représente les pêcheurs. On le dit fils d
n de prophétie, et Nérée en fit son interprète. Il faut ajouter à ces divinités Mélicerte, fils d’Athamas, roi de Thèbes, et d’In
Sisyphe l’inhuma, et il fut transformé sous le nom de Palémon en une divinité marine que les Romains appelèrent Portumnus, et q
erte ; elles se précipitèrent dans la mer. Les Harpyes sont moins des divinités de la mer que des monstres marins. On les dit fil
ctions d’Aurore ? — Quel fut l’époux d’Aurore. Quatrième partie. Divinités des enfers. § 1. Description du Tartare et d
agréable au dieu des Enfers, tandis que le nombre impair plaisait aux divinités du Ciel. Le cyprès, le narcisse et la capillaire
bienveillantes. Cette flatterie de la peur ne les apaisait point. Ces divinités sont le symbole des remords qui déchirent le cœur
barque, il tient une rame à la main. Némésis. Némésis, terrible divinité des Enfers, veillait aux châtiments des crimes, e
erre. Les dieux étaient venus s’asseoir à sa table ; pour tenter leur divinité , il leur avait servi les membres de son fils Pélo
Enfers ? — Qu’est-ce que les champs Élysées ? Cinquième partie. Divinités allégoriques. Allégories. — Bellone, la Disc
scorde, etc. Il serait superflu et fastidieux de nommer toutes les divinités allégoriques des anciens qui personnifiaient tous
et tous les biens. Ce procédé avait engendré une foule innombrable de divinités  ; il suffira d’en citer quelques-unes. Bellone, p
nsports. Elle a recours aux prières ; elle invoque en vain toutes les divinités . Vénus la soumet à de nouvelles épreuves, qu’elle
de la création, et Siva, le dieu destructeur. La réunion de ces trois divinités compose la Trimourti, ou Trinité indienne. L’œuf
e d’incandescence et de destructions implacables17 » Telles sont les divinités et les fables principales de la mythologie des In
principales de la mythologie des Indous. Si l’on voulait énumérer les divinités subalternes, raconter toutes les aventures qu’on
pire du monde entre la lumière et les ténèbres. Seul entre toutes les divinités des Perses, il a des images, et un culte spécial
recélaient un sens que le vulgaire n’atteignait pas. Les principales divinités qu’ils proposèrent à l’adoration du peuple furent
e eût pris pour compagnon un fils d’Osiris, le fidèle Anubis, étrange divinité dont le corps de forme humaine est surmonté d’une
rt d’Osiris, l’âme de ce dieu passa dans le corps du bœuf Apis, autre divinité que révérèrent les Égyptiens, et qu’ils remplaçai
r cet objet de leur culte. Les Égyptiens honoraient encore, comme une divinité puissante, Hermès, auquel ils avaient donné le su
endait à Osiris se portèrent sur Sérapis. On pense que cette nouvelle divinité n’est autre qu’Osiris dans le tombeau. Quoi qu’il
rps et de l’esprit. Questionnaire. Quelles sont les principales divinités de l’Égypte ? — Racontez l’histoire d’Osiris et d
st le passage de son char d’airain au-dessus des nuages. Freyr, autre divinité puissante et courageuse, armée d’une épée dont le
dieux, Odin lui-même, périront, et de ce bouleversement sortiront des divinités plus puissantes et un monde meilleur. Il faut ajo
suprême, créateur du monde ; mais ils reconnaissaient encore d’autres divinités puissantes ; le terrible Teutatès, auquel on immo
erminera la lutte d’Odin et de Loki ? — Quels étaient les principales divinités des Gaulois ? — Le nom de leurs prêtres ? — Celui
roi de Carie. 5. Les Gorgones étaient filles de Phorcus et de Céto, divinités de la mer. Le héros Persée coupa la tête de Médus
e M.  Humbert de Genève. 10. Le nom de Consuales est tiré de Consus, divinité que l’on confond avec Neptune. 11. On prononce C
3 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
is beaucoup de détails et de noms célèbres dans le nombre immense des divinités , des héros, et des personnages que citent les anc
divisions des dieux du paganisme, et les histoires particulières des divinités . Plus on avancera dans l’étude du tableau général
oubliant les préceptes et les instructions qu’ils avaient reçus de la Divinité , ils ont voulu se former un culte au gré de leurs
e eut des autels, et que l’homme, troublé par ses remords, regarda la divinité comme ennemie, et crut ne pouvoir l’apaiser par l
onfondre ensemble les vérités historiques de l’histoire fabuleuse des divinités . L’observation fait concevoir aussi que les Orien
e l’idée que les premiers philosophes du monde avaient adoptée sur la divinité . Nous allons aussi rapporter la définition qu’en
er producteur de la nature entière. » Ces définitions sublimes de la Divinité prouvent qu’il existait quelques hommes supérieur
rvé les souvenirs. Dans le temps qu’on élevait des autels aux fausses divinités , on honorait du nom de théologie tout ce qui avai
Égypte. C’est delà qu’il avait rapporté la définition suivante de la Divinité . « Il y a un être inconnu, qui est le plus ancie
essentiellement bon, pût être l’auteur du mal ; ils inventèrent deux divinités égales en puissance et éternelles. Ils crurent qu
tte assertion ne s’accorde nullement avec la sublime définition de la Divinité , que nous avons citée plus haut, et qui a été tir
ent que l’adoration des astres est encore plus ancienne. L’idée de la divinité n’ayant pu s’effacer entièrement, il est probable
d’autre dieu que lui, ou que du moins cet astre était le trône de la Divinité . Les hommes n’ayant pu s’élever jusqu’à l’idée d’
ui brillent de toutes parts, ne doutèrent point qu’il n’y eût quelque divinité qui y présidât. Ils adorèrent le soleil et la lun
les astres, on voulut adorer la nature en détail. On fit présider une divinité à chacune de ses parties. La terre fut adorée sou
Cérès, la déesse des récoltes ; chaque fleuve, chaque fontaine eut sa divinité tutélaire ; les montagnes eurent leurs nymphes, l
vres saints nous ont instruits que ce culte avait été prescrit par la divinité même, et les rapprochemens que nous avons faits d
a poésie, qu’ils augmentèrent les progrès des fables et le nombre des divinités . L’ignorance de la physique a donné lieu aussi à
ser quand on les croyait irrités. Ce fut ainsi que l’on multiplia les divinités physiques et les fables astronomiques. Lorsqu’un
ie se trouve parmi les Orientaux ; voilà ce qui a fait distinguer les divinités du paganisme en deux classes : les dieux de l’Ori
s avaient senti la nécessité de croire et d’établir qu’il y avait une divinité supérieure aux autres. Elle se nommait le Destin
étaient point du conseil de Jupiter. Pan, Pomone, Flore et les autres divinités champêtres, étaient dans cet ordre. Le troisième
erve, Vesta, Diane et Vénus. La seconde classe était composée de huit divinités , qui n’assistaient point au conseil suprême. On l
us, la Terre et la Lune. On donnait les noms Indigètes et Semones aux divinités qui n’étaient point de la première et de la secon
parler de Saturne son père, et de Cybèle sa mère. Le rang de ces deux divinités était très-inférieur à celui de Jupiter, le premi
gure 3.) Histoire de Cybèle. Quoique Cybèle soit au nombre des divinités de la terre, nous allons donner son histoire, par
aient une grande vénération pour le feu, qu’ils regardaient comme une divinité . Il existe dans la province de Babylone une ville
faible et le plus coupable des hommes. Quelle idée avaient donc de la divinité ces Grecs et ces Romains, si vantés pour la délic
donné à Mercure, qui s’y rendit très-célèbre, et devint la principale divinité des Celtes. On ignore l’histoire des autres gouve
e que l’un et l’autre causent la fertilité de la terre. De toutes les divinités du paganisme, il n’y en avait point dont le culte
de feu, ou d’un jaune clair. Quoique les Romains eussent adopté cette divinité des Grecs, ils voulurent avoir aussi leur dieu du
e même que le Soleil. Cicéron dit que le Soleil et la lune sont deux, divinités , dont l’une s’appelle Apollon, et l’autre Diane.
thras ; les seuls Grecs et les Romains confondirent ensemble ces deux divinités . Le soleil était particulièrement adoré dans l’îl
honoraient Diane sous trois qualités différentes : la première, comme divinité céleste ; alors elle était la Lune ou Phœbé : la
inité céleste ; alors elle était la Lune ou Phœbé : la seconde, comme divinité terrestre ; sous ce rapport, on la nommait Dicté
, et qui, la première, inventa les filets : la troisième enfin, comme divinité des enfers ; elle y commandait sous le nom d’Héca
n disant qu’il s’avançait sans bruit au milieu des ombres de la Nuit, divinité particulière que l’on disait fille du Chaos. Elle
llesse, etc., etc. Nous parlerons dans un autre article de toutes ces divinités particulières, leur histoire interromprait trop c
tés particulières, leur histoire interromprait trop celle des grandes divinités . On donnait à Diane le nom d’Hécate, originaire d
temps ne pouvaient expliquer, les habitans du pays supposèrent qu’une divinité favorable, ou la Terre elle-même, rendait ses ora
ctuaire où l’on ne pouvait pénétrer sans payer de riches tributs à la divinité que l’on voulait consulter. Par la suite des temp
Diodore explique cette contradiction, en disant que le culte de cette divinité fut rapporté de l’Égypte dans la Grèce par Orphée
able Bacchus. L’histoire fait reconnaître aussi que le culte de cette divinité fut porté dans la Grèce par Cadmus. Sémélé, fille
aux différens peuples qu’il soumettait, il fut reçu partout comme une divinité bienfaisante. Bacchus porta ses conquêtes, ou plu
om. Minerve, Athénée et Pallas, n’étaient parmi les Grecs qu’une même divinité . Considérée comme Minerve, elle présidait à la sa
e. Cette dernière fonction la faisait souvent confondre avec Bellone, divinité différente dont nous parlerons en finissant l’art
èrent après avoir adopté le Soleil comme leur première et plus grande divinité . Les Athéniens, dans l’espoir de s’assurer la bie
choisis pour être les arbitres de ce différent. Ils décidèrent que la divinité qui produirait la chose la plus utile à la ville
bre était particulièrement consacré. La ville prit alors le nom de sa divinité tutélaire. Athènes devint fameuse par l’excellenc
t le plus ordinairement Duelliona. Les poëtes la peignaient comme une divinité guerrière, qui préparait le char et les chevaux d
ent consacrés. Cependant, quelque mauvaise idée que l’on eût de cette divinité , on la regardait comme l’une des plus puissantes,
yché signifie également âme et papillon. Les Grâces. Parmi les divinités imaginées par les anciens, les plus agréables san
nsaient le don général de plaire. Chaque science, chaque art avait sa divinité protectrice ; mais toutes les sciences et tous le
in était un des premiers rois des Égyptiens., ou plutôt leur première divinité . Le silence qu’ils gardent sur son origine porte
d’un volcan ; et des chiens veillaient à la garde du temple de cette divinité . Histoire et fable de Mercure. Les anciens
e plus occupé des dieux de l’Olympe. Confident et messager des autres divinités , il avait soin de toutes leurs entreprises. Il go
s l’espoir qu’il en écarterait les voleurs, dont il était le dieu. Divinités de la mer et des eaux. Les besoins de la vie,
existait des dieux chargés d’y présider. De là chaque élément eut sa divinité . L’impossibilité de concevoir ces êtres invisible
eu des mers. Chaque fleuve, chaque fontaine, chaque amas d’eau eut sa divinité particulière. Ce culte variait comme les coutumes
Les Perses ayant prétendu soutenir la prééminence du feu, leur grande divinité , les prêtres égyptiens acceptèrent le défi ; l’hy
e et d’idolâtrie en y joignant leurs fonctions. De là sont venues ces divinités dont le nombre surpasse celles du ciel et des aut
s Naïades, les Napées, les Lymniades, etc., etc., on trouvera que les divinités des eaux étaient innombrables. Nous nous borneron
araît que les anciens ont plus généralement regardé l’Océan comme une divinité physique. Ce dieu des eaux eut pour femme Téthys,
Nymphes, Dryades, Hamadryades, Napées, Oréades et Néréides. Ces divinités tiraient leur origine de l’eau, et doivent être r
tés tiraient leur origine de l’eau, et doivent être rangées parmi les divinités de la mer. Celles qui habitaient la terre portaie
ir le vaisseau qui les portait. La crainte inspirée par ces terribles divinités ne laissait entreprendre aucun voyage sans leur o
faire plier. Cette allégorie sert à peindre la vitesse des vents. Divinités de la terre Les souvenirs altérés et trop fai
gea ses fonctions son pouvoir, multiplia les dieux, et, prêtant à ces divinités de son imagination les passions qui l’agitaient l
, de la terre, de la mer et des enfers. La terre elle-même devint une divinité . Les bois, les campagnes, les moissons, les jardi
jardins, ou par quelques inventions utiles, on donna leurs noms à ces divinités inconnues, et bientôt on les confondit ensemble.
soin que les hommes avaient de leur secours. Démogorgon. Cette divinité allégorique était le génie de la terre. On avait
nne n’osait le prononcer hautement. Les philosophes regardaient cette divinité comme l’esprit de chaleur qui produit les plantes
tion que les poëtes nous ont transmise de cette obscure et singulière divinité . « Fatigué de l’ennui de son triste séjour, il f
ison du souverain pontife, pour faire un sacrifice à la bonne déesse, divinité mystérieuse dont les femmes seules connaissaient
ême dieu sous le nom de Béelphégor. De Palès et de quelques autres divinités champêtres. Palès était la divinité des berge
Palès et de quelques autres divinités champêtres. Palès était la divinité des bergers et la conservatrice des troupeaux. Sa
ue l’on célébrait la fondation de Rome. Anna perenna était une autre divinité champêtre du même rang que Palès. La joie la plus
t du dieu Pan. Les Satyres, les Faunes et les Égypans étaient des divinités champêtres, ou plutôt des demi-dieux, que les anc
us et de la nymphe Nicéa, fille de Sangar. Il paraît que ces bizarres divinités doivent leur culte à la frayeur et à la surprise
soins qu’il donna à la culture des terres le firent placer parmi les divinités champêtres, et on le représenta sous la forme de
fari en latin, signifie parler.) Les Romains admirent aussi parmi les divinités des champs Fauna, sa femme, et Silvanus, son fils
is il faut laisser aux contes de fées le plaisir de les dépeindre. Divinités des enfers. L’idée d’un Dieu qui punit le cri
aussi le dieu des richesses, il ne faut pas le confondre avec Pluton, divinité qui lui était très-supérieure. Plutus était fils
anière de les cultiver. Ils rapportèrent en même temps le culte de la divinité qui présidait à l’agriculture. Le mal que l’on ve
ent avec les âmes des morts, et quelquefois avec les dieux lares. Ces divinités présidaient aux sépultures et aux ombres, (pie I
il les éloignait de sa table pendant un an, et les privait même de la divinité pour neuf années. Lorsque les dieux juraient par
u culte des enfers. Jamais on n’élevait d’autels à ces redoutables divinités . On les réservait pour les dieux de la terre et d
l’élever vers le ciel. En général, on craignait et l’on haïssait les divinités infernales. On les regardait comme implacables. J
ais nous en parlerons à l’article des demi-dieux et des héros. Des divinités particulières. Il serait impossible de nommer
ulières. Il serait impossible de nommer et de désigner toutes les divinités particulières des anciens ; ils érigeaient en die
généalogies de leurs dieux prouvent qu’ils ne pouvaient concevoir la divinité sans commencement et sans fin. Le Temps était rep
destructeur de Numance, fut le premier qui consacra un temple à cette divinité . Marcellus voulut réunir dans un même temple la V
pontifes : ils déclarèrent qu’un seul temple ne pouvait contenir deux divinités aussi grandes. Marcellus en fit construire deux q
berté que l’était le peuple romain, ne pouvait manquer d’en faire une divinité  : elle avait plusieurs temples. On la représentai
tête, afin de laisser un moyen de la saisir. (Fig. 62.) Suite des divinités particulières. La Pâleur et la Peur. Les homm
aient pas la cause, et qui leur inspiraient de la frayeur, firent une divinité du trouble même qui les agitait ; et, pour s’en d
ait des sermens. Il serait aussi long qu’inutile de nommer toutes les divinités particulières. En général, les Romains, et les Gr
oint fatiguer nos lecteurs. Les poëtes et les anciens, en nommant ces divinités dans leurs ouvrages, s’attachent surtout à peindr
alors les charmes et les ornemens de la poésie. Cependant, parmi les divinités malfaisantes, il ne faut pas oublier Atée ou la D
. Cette fable fut crue par le peuple, et la foule venait adorer cette divinité de la santé. Les prêtres, habiles médecins, et po
e fut établi parmi les Romains. Nous ne terminerons pas l’article des divinités particulières, sans dire que les Grecs et les Rom
4 (1823) Mythologie des dames
ions, et elles finirent par l’inviter à leur présenter le tableau des divinités fabuleuses, qui jouent le plus grand rôle dans l’
ns des volcans conduisirent à l’idée d’un monde souterrain, peuplé de divinités puissantes et terribles ; la mer parut agitée par
nd un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque vertu devient une divinité  ; Minerve est la prudence et Vénus la beauté. Ce
éléments, l’air, le feu, la terre, et l’eau. Étudions aujourd’hui les divinités qui habitaient les parvis placés sous la voûte ét
t jamais, et qui jouissait d’un printemps éternel. C’était là que les divinités supérieures s’enivraient de nectar, ou s’occupaie
t des autels, et l’adorèrent sous le nom d’Isis, une des plus grandes divinités de ces peuples. Pour récompenser Argus de sa fidé
ait la parure et la propreté ; et comme les anciens n’eurent point de divinité appelée la Mode, il est probable qu’elle en tenai
n pouvait y présider sans déroger à sa dignité. Les Grecs avaient une divinité qui semblerait avoir quelque rapport avec celle q
était de dégager les ames des corps au moment du trépas. Cette jeune divinité fait le charme de l’Olympe : elle s’y présente av
ugène, en la faisant remarquer à ses auditeurs, un des domaines de la divinité dont nous allons étudier aujourd’hui l’histoire.
ssayé la vie que Zéphyre la porta dans cette île. Les Saisons, jeunes divinités filles de Jupiter et de Thémis, l’attendaient sur
e Thémis, l’attendaient sur le rivage : après l’avoir parée comme une divinité , elles la conduisirent dans l’Olympe. Cette prése
ours accompagnée des Grâces. Les Grâces. C’étaient trois sœurs, divinités bienfaisantes, jeunes, riantes, et parfaitement b
la main du cavalier qu’ils ne le sont à la mienne. » Il n’est pas de divinité qu’il n’ait percée de quelques traits, et raremen
llante cérémonie, dans laquelle Psyché fit l’admiration de toutes les divinités du ciel et de la terre. La Volupté naquit de cet
t toujours plus gaie. Mais je m’aperçois que nous nous occupons d’une divinité secondaire, avant d’avoir fini l’histoire des die
il se faisait précéder de l’Aurore, une des plus aimables des jeunes divinités , fille de Titan et de la Terre. La douce clarté q
ue l’Aurore, à sa prière, le métamorphosa en cigale. Le cœur de cette divinité s’ouvrit de nouveau aux plus tendres sentiments,
urore, et qui s’appelait Aure, elle crut qu’il appelait la séduisante divinité  ; et frémissant de jalousie, elle fit un léger br
us puissantes déesses. Les peuples la considéraient tour-à-tour comme divinité du Ciel, sous le nom.de lune, comme déesse des En
m.de lune, comme déesse des Enfers, sous le nom d’Hécate, et comme la divinité des chasseurs, sous celui de Diane ; c’est pour c
quelques monuments couverte d’un grand voile parsemé d’étoiles. Cette divinité est une de celles qui offrent aux peintres et aux
re succéder celle de la déesse de la sagesse et des beaux arts. Cette divinité n’était point sans défauts ; car personne n’était
tout armée ; c’était Minerve : elle fut admise au rang des premières divinités de l’Olympe, et devint l’ame des conseils de Jupi
rent, il fut convenu que cet avantage serait accordé à celle des deux divinités qui ferait le meilleur présent aux hommes. Neptun
que le pilote et les matelots tombèrent à ses pieds, et adorèrent sa divinité . Le mât du vaisseau se transforma en cep de vigne
s chez les peuples de l’antiquité. Le culte de quelques unes de leurs divinités était celui de la reconnaissance : les temples de
a Vertu ; pour m’en empêcher, il m’aveugla26. » Il y avait une autre divinité dont les attributions étaient les mêmes que celle
Palès. Les fêtes instituées à Rome en l’honneur de Palès, autre divinité des champs, n’étaient pas moins célèbres. Le jour
ète. Onzième entretien. Nous avons terminé hier l’histoire des divinités de l’Olympe, qu’on appelait les dieux du premier
plupart des qualités et des défauts des hommes personnifiés dans les divinités du paganisme : Hercule va aujourd’hui nous présen
allait donner naissance à Hercule, il jura, par le Styx et devant les divinités de l’Olympe, qu’il soumettrait tous les héros de
ossière        Qui l’attache à l’humanité ; Le ciel ouvert attend une divinité  :        Le fils d’Alcmène est en poussière ; Le
es avaient donné naissance. Il faut remarquer qu’il n’y avait que les divinités de l’Olympe qui eussent le privilège de se nourri
nétrèrent et en revinrent ; non sans beaucoup de difficultés, car les divinités qui habitent ces profonds souterrains permettaien
é par un autre rameau du même métal. Après les sacrifices d’usage aux divinités du Ciel et des Enfers, la sibylle accompagne Énée
ivides et formidables, roule une boue fumante mêlée de soufre. Si les divinités ayant juré par le Styx manquaient à leurs serment
oir n’est qu’un rêve de l’imagination. Treizième entretien. [ Divinités des eaux.] Sur quelle partie de l’univers la M
l’avons vue pénétrer dans les cavernes de la terre, et la peupler de divinités de toute sorte ; aujourd’hui, nous allons la voir
n des flots des personnages non moins merveilleux. Les plus anciennes divinités des eaux étaient l’Océan, fils du Ciel et de la T
les mers calmées à son aspect, et se montrant entourée de toutes les divinités qui composaient sa cour. Le jeune Télémaque, fils
a déesse40. » Quatorzième entretien. Nous avons contemplé les divinités du Ciel, de la Mer, et des Enfers : portons aujou
n fut point ainsi ; et le verger d’un villageois renfermait autant de divinités que les parvis de l’Olympe. La première déité qui
rt d’Atys, la déesse le métamorphosa en pin. Maintenant examinons les divinités de second ordre qui peuplaient les vastes flancs
morphoses ; d’autres étaient célèbres par la résidence de différentes divinités , et par les temples bâtis sur leurs sommets. Le m
C’était sur-tout dans les forêts que l’on rencontrait en foule des divinités , et que l’on trouvait des phénomènes merveilleux.
chêne majestueux et chéri de Cérès, cette déesse le livra à la Faim, divinité hideuse, dont nous avons vu l’image effrayante lo
ulement des masses d’eau roulant au milieu des terres ; c’étaient des divinités puissantes : ils étaient fils de l’Océan et de Té
des vallons. C’était dans leurs sites variés que se réunissaient les divinités les plus riantes : là, souvent les Sylvains, les
edescendait du firmament dans les vallons pour les peupler de riantes divinités , et pour en faire le séjour des plus aimables pre
. Lorsqu’on pénétrait dans les jardins, on trouvait bientôt une autre divinité , dont la figure bizarre était destinée à effrayer
Romains lui élevèrent un temple sur le mont Esquilin, et en firent la divinité protectrice de leurs jardins. Il était représenté
. [Brès] Sous les plus riants asiles des vergers, résidait une jeune divinité , dont la présence semblait répandre la fécondité
doyants et fleuris des jardins que l’on rendait un culte aux Saisons, divinités aimables qui présidaient aux quatre principales é
ancien Romain, on trouvait bientôt de nouveaux autels et de nouvelles divinités . Dans la première pièce, on remarquait souvent un
ait la statue du Silence ; elle portait un doigt sur sa bouche. Cette divinité , sous le nom d’Harpocrate et de Silanion, recevai
es, on trouvait le dieu Fumier, honoré par les Romains, comme une des divinités de l’Agriculture. Mais examinons l’homme lui-même
e l’Agriculture. Mais examinons l’homme lui-même au milieu de tant de divinités de toute sorte. Chacune des parties de son corps
chaque phalange des doigts était en rapport avec les plus puissantes divinités de l’Olympe. De là vint la Chiromanchie, ou l’art
, et sur-tout les rides du front, dont chacune était protégée par une divinité puissante. Quelquefois le devin n’avait besoin qu
5 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
la science qui apprend à connaître l’histoire et les attributions des divinités du Paganisme. Le nombre de ces divinités était tr
oire et les attributions des divinités du Paganisme. Le nombre de ces divinités était très-considérable ; on en comptait jusqu’à
orie renfermait les Demi-Dieux et les Héros de l’antiquité. Enfin les divinités de la quatrième classe étaient les vertus qui hon
uestions. Qu’est-ce que la Mythologie ? — Quel était le nombre des divinités de la Fable ? — En combien de classes les divisai
atrième ? — Quelle est la division de ce cours ? Première partie. Divinités du premier ordre. I. — Saturne ou le Temps.
s qui tombaient en son pouvoir. Ce prince cruel, pour s’assurer de la divinité de son hôte, lui servit à manger les membres d’un
était mis au service du roi Laomédon. Il se réunit à lui, et les deux divinités déchues travaillèrent à l’érection des murs de Tr
e nymphes qui la suivaient sans cesse. On la considère aussi comme la divinité de la pudeur, et elle exigeait si sévèrement l’ob
dû. Penthée, roi de Thèbes, et Lycurgue, roi de Thrace, ayant nié sa divinité , le premier fut changé en sanglier et massacré pa
a, l’une des Pléiades, était le ministre et le messager de toutes les divinités , mais particulièrement de son père. C’était lui q
ir ainsi dépouillé ; mais l’inimitié ne fut pas longue entre les deux divinités déchues : Mercure, qui ne voulait que prouver son
nna aussi le jour aux trois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosine ; ces divinités , qui présidaient à tous les arts de goût et d’agr
e coquille, traîné par des chevaux marins, et environné de toutes les divinités des eaux. Amphitrite est représentée sur un char
lui rendait-on ? — Comment la représentait-on ? Deuxième partie. Divinités du second ordre [Introduction.] Au-dessou
vait peuplé le ciel, la terre et les eaux. Chaque homme avait même sa divinité particulière. On divise ces divinités inférieures
eaux. Chaque homme avait même sa divinité particulière. On divise ces divinités inférieures en terrestres, champêtres, maritimes,
diquer toutes. Questions. La Fable ne reconnaissait-elle pas des divinités d’un rang inférieur aux Dieux suprêmes ? — Commen
és d’un rang inférieur aux Dieux suprêmes ? — Comment divise-t-on ces divinités du second ordre ? Chapitre premier. Divinités
ent divise-t-on ces divinités du second ordre ? Chapitre premier. Divinités terrestres. Thémis. Thémis, fille du Ciel
avec Tithon ? — Comment la représente-t-on ? Chapitre deuxième. Divinités champêtres. Pan. Pan, fils de Démogorgon
Dieu des bergers et des campagnes, figurait au premier rang parmi les divinités champêtres. On dit qu’il naquit en Arcadie, où on
aire ? — Comment Pan est-il représenté ? Palès. Palès était la divinité tutélaire des bergers, des pâturages et des troup
rablement Évandre en Italie. Il fut mis, après sa mort, au nombre des divinités champêtres, en considération des progrès qu’il av
ait du lait et un cochon. C’est de son nom qu’on a nommé Sylvains des divinités champêtres qui ne diffèrent en rien des Faunes. O
me était-il remarquable ? — Ne donne-t-on pas son nom à de nombreuses divinités  ? — Sous quelle figure le représente-t-on ? S
r, en très-grand nombre, qui habitaient les forêts, dont ils sont les divinités tutélaires. Ils formaient le cortége ordinaire de
uits ; mais cette Déesse, qui avait déjà refusé de s’unir à plusieurs divinités champêtres, s’était enfermée dans son jardin qu’e
t ? — Sous quelle forme le représentait-on ? Chapitre troisième. Divinités maritimes. L’Océan. L’Océan36, fils du Ci
naissance à un nombre considérable de filles nommées nymphes, et aux divinités des fleuves, des rivières et des fontaines. On re
îné involontairement au milieu des flots. Là il fut accueilli par les divinités maritimes, qui l’admirent parmi elles. Glaucus de
Triton était un fils de Neptune ; on a donné son nom aux nombreuses divinités maritimes qui ont le corps d’un homme terminé dep
nes. Question. Qu’était-ce que Triton ? Chapitre quatrième. Divinités domestiques. Lares et Pénates. Les Lares
iques. Lares et Pénates. Les Lares et les Pénates étaient les divinités particulières à chaque Etat, à chaque famille, à
ant sans les avoir consultés. Aussi s’en prenait-on quelquefois à ces divinités des afflictions qui venaient frapper les familles
plusieurs espèces ? — Comment Énée montra-t-il son respect envers ces divinités  ? — Quel usage observait-on à Rome à leur égard ?
le figure les représentait-on ? Génies. Les Génies étaient des divinités attachées à chaque homme, qui le suivaient depuis
ment les représentait-on ? Chapitre cinquième. Les Enfers et les divinités infernales. Nous avons parlé plus haut (p. 45)
lais les Dieux qui voyageaient sur la terre, et voulant éprouver leur divinité , leur avait servi dans un repas les membres de so
s ? — Le Tartare ne renfermait-il pas encore d’autres condamnés ? Divinités infernales. Les Parques. Les Parques étai
du Chaos, épousa l’Achéron et donna le jour aux Furies et à d’autres divinités infernales. On la représente couronnée de pavots,
La Mort, fille du Sommeil et de la Nuit, et la plus implacable des divinités infernales, se tenait à la porte du Tartare. On l
anciens nommaient ainsi les âmes des hommes qui étaient morts, et les divinités qui présidaient aux tombeaux. On leur portait un
Morphée ? — La Mort ? — Qu’étaient les Mânes ? Chapitre sixième. Divinités allégoriques. Le Destin. Le Destin, fils
té, fille de la Fortune, était considérée comme la plus puissante des divinités  ; Jupiter lui-même obéissait à son pouvoir suprêm
ravail et la Paresse. Le Travail et la Paresse avaient aussi leurs divinités allégoriques. Le premier était représenté sous le
Liberté. Les Romains étaient les plus fervents adorateurs de cette divinité  ; le père des Gracques fut le premier qui lui éle
culte de la Liberté ? — Comment les anciens représentaient-ils cette divinité  ? L’Occasion. L’Occasion présidait au mome
t Pollux obtinrent les honneurs divins, et on les regardait comme des divinités favorables aux navigateurs. On leur sacrifiait de
lui les Dieux qui voyageaient sur la terre, et voulant éprouver leur divinité , leur offrit à manger son propre fils Pélops, qu’
douze mètres de hauteur, et formées chacune d’un seul bloc85. Chaque divinité avait ses prêtres propres, qui étaient chargés de
stances et le but dans lequel ils étaient faits. Il y avait certaines divinités auxquelles on offrait des fruits, des fleurs, des
— Quels sont les plus connus ? — Par quels sacrifices honorait-on les divinités du paganisme ? II. — Les Oracles et les Sibyl
ent au hasard les pays environnants, feignant d’être dirigés par leur divinité . A l’approche d’Alexandre le Grand, ils s’empress
es que l’on regardait comme tenant le milieu entre les mortels et les divinités , et auxquelles on croyait que le ciel avait donné
t le culte qu’on leur rendait pour calmer leur fureur. L’histoire des divinités de la terre nous offre, comme celle des Dieux du
la fable de Neptune ? — Qu’y a-t-il de vrai dans ce que l’on dit des divinités de la terre ? — Comment explique-t-on les croyanc
a plupart des poëtes les confondent et n’en font qu’une seule et même divinité . 3. On a donné le nom de Vesta à une planète qui
ions de kilom., et qui opère sa révolution en 4 ans et 22 jours. 35. Divinité sous le nom de laquelle les anciens adoraient la
6 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
urront lui faire répéter ces petites leçons ; quand il aura nommé les divinités , on retournera l’estampe dans le sens de l’écritu
ard, on a eu soin d’orner chaque Arabesque des fleurs consacrées à la divinité dont il offre le nom. Le texte de ces Arabesques
santé me le permet, je donnerai l’année prochaine, les Arabesques des divinités allégoriques, des demi-Dieux, et des Héros de la
doit penser relativement à presque toutes les plantes consacrées aux divinités païennes. Pourquoi le pourpier est-il consacré à
ns par leurs vices et par les actions qu’on leur attribue, autant les divinités allégoriques sont heureusement imaginées et repré
battre, etc. : toutes ces allégories sont parfaites La généalogie des Divinités purement allégoriques, ou la manière dont elles s
ne produit rien et ne peut que détruire. La Pudeur, mise au rang des Divinités champêtres, fuyant le tumulte des villes et se ré
ce des Danaïdes, celui de Sisyphe, etc. Des peuples qui adoroient des Divinités cruelles, telle que Bellone, Déesse du carnage, l
éprisoient ceux de Bacchus et de Comus, etc., et cependant toutes ces Divinités , ennemies entre elles ; ces Divinités, qui perséc
, etc., et cependant toutes ces Divinités, ennemies entre elles ; ces Divinités , qui persécutoient avec autant d’acharnement que
d’acharnement que de cruauté ceux qui négligeoient leurs autels ; ces Divinités , qu’on ne pouvoit raisonnablement honorer à-la-fo
in, partageoient leur butin dans le bois sacré et sur l’autel de leur Divinité , la Déesse Laverne 7 . Chaque action coupable ou
ou des violences, ou des crimes, ou des malheurs ; et l’histoire des divinités en contient infiniment moins que celle des demi-D
. On ne pensoit pas qu’on dût l’aimer ; il ne falloit que redouter la divinité représentée toujours tenant un foudre. La fable d
vallée des larmes. Le nerprun, la fougère, etc. étoient consacrés aux divinités infernales. Outre Pluton, Proserpine, les Parques
es fêtes lugubres, on fermoit à Rome les temples de toutes les autres divinités et personne ne pouvoit se marier. Cette fête duro
ceux qui n’aimoient qu’eux-mêmes.   Les Praxidices, filles d’Ogigès, divinités vengeresses, étoient au nombre de trois : Alalcom
de hache, aussitôt Minerve, toute armée, sortit de son cerveau. Cette divinité créa les sciences et les arts ; on lui attribue l
seigna aux hommes l’usage des chars et celui de l’olivier. C’étoit la divinité tutélaire d’Athènes. Lorsque Cécrops bâtit cette
uée dans son Temple. Les Propétides, filles d’Amathonte, ayant nié la divinité de Vénus, la Déesse leur ôta toute pudeur ; elles
le plus actif et le plus laborieux de tous les Dieux, et la Paresse, divinité allégorique. La Mythologie nous apprend que la Pa
nte ; car les jeux de dés ne peuvent jamais être ceux des Grâces. Ces divinités charmantes avoient des temples à Elis, à Delphes,
he, à Bysance ; elles avoient aussi des temples communs avec d’autres divinités . Ordinairement les autels qui étoient consacrés à
en l’honneur des Grâces. Les anciens regardoient les Grâces comme des divinités bienfaisantes, dont le pouvoir heureux s’étendoit
r des autels ; et à ceux de l’Amour ils unissoient toujours une autre divinité , ou Vénus ou les Grâces, etc. Dans Iphigénie en A
ain, et il fut dévoré par ses propres chiens. Diane, comme toutes les Divinités de la Fable, étoit vindicative et barbare dans se
lon, ou à Bacchus. L’usage de couper ses cheveux et de les offrir aux divinités de la mer dans une tempête, avoit fait naître une
a de l’épouser, et il eut d’elle, la Loi et la Paix. On donne à cette divinité pour attributs, la balance et le compas qui marqu
nom de Flore, et célébra en son honneur des fêtes dignes d’une telle divinité . Des courtisanes toutes nues y formoient des dans
u Pan. Les Satyres, les Sylvains et les Faunes étoient des espèces de Divinités subalternes et champêtres qui habitoient les bois
esses de la classe des nymphes39. Il y avoit encore beaucoup d’autres Divinités subalternes, présidant aux champs et aux campagne
presque point de temple qui ne fût accompagné d’un bois consacré à la Divinité qu’on y révéroit. Les anciens avoient en général
du butin fait sur l’ennemi. Après sa mort elle fut révérée comme une divinité , et les Germains donnèrent son nom aux prophétess
jeunes filles qui quêtoient. Il paroît naturel que le culte rendu aux divinités champêtres ait subsisté long-temps après l’abolit
montagnes. Voilà pourquoi Jupiter, le maître des Dieux, et les autres Divinités du premier ordre41 tombèrent promptement dans le
ptement dans le plus profond oubli, tandis que les rites du culte des Divinités subalternes, des bois et de la campagne, se sont
s forêts étoient habités par les Sylvains, les Faunes et les Satyres, divinités odieuses que la Pudeur surtout devoit redouter et
able par sa sagesse et par l’intégrité de ses moeurs. C’étoit une des divinités qu’on nommoit littorales (Divinités de la mer). I
té de ses moeurs. C’étoit une des divinités qu’on nommoit littorales ( Divinités de la mer). Il y eut une autre Panope qu’Hercule
toient des nymphes qui présidoient à la décence des mœurs. Toutes ces Divinités n’avoient point d’attributs, ceux de cet Arabesqu
on corps retourneroit à la Terre, et que son ame iroit se réunir à la divinité . Il est étonnant que cette charmante allégorie ne
u deuil, ont paru des attributs faits pour caractériser cette lugubre Divinité . Britomarte. Fille de Jupiter, aima bea
ntion des filets qui servent à la chasse. Abéone et Adéone. Divinités qui présidoient aux voyages, Abéone au départ et
es autels des Dieux Lares.   On n’a placé dans ces Arabesques que les divinités grecques et romaines, à l’exception d’Isis et d’H
grecques et romaines, à l’exception d’Isis et d’Harpocrate, son fils, divinités égyptiennes ; mais une partie de l’histoire d’Isi
e de l’histoire d’Isis appartient à la Mythologie grecque. Les autres divinités dont on n’a point parlé sont : Osiris qui épousa
arquer que la providence ne fait rien qu’avec mesure. Le Dieu Canope, divinité des Chaldéens et des Egyptiens, représenté sous l
tôt d’une tête de femme, tantôt d’une tête d’homme. Mithras, ancienne divinité des Perses, qui adoroient en elle le Soleil ou le
eil ou le feu. Il y a dans la Mythologie grecque et romaine plusieurs divinités subalternes qu’il étoit impossible de représenter
7 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
La mythologie1, ou science de la fable, est l’histoire des fausses divinités que les païens2 adoraient. Cette adoration s’appe
end un corps, une âme, un esprit, un visage, Chaque vertu devient une divinité  : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; C
dieux, et les dieux inférieurs, ou du second ordre ; Le deuxième, les divinités allégoriques ; Le troisième, les demi-dieux et le
ique ; mais en le supposant sourd et inflexible, ils dépouillaient la Divinité d’un de ses principaux attributs, de cette bonté
rs prières. Le Destin était né du Chaos et de la Nuit, deux anciennes divinités que l’on croyait antérieures à toutes les autres.
haos périt par la création, et la Nuit par la lumière. Ainsi ces deux divinités , qui seules n’avaient point eu de commencement, e
, et la Terre, sous les noms de Tellus, de Rhéa et de Titea. Ces deux divinités , s’étant unies, donnèrent le jour à plusieurs enf
’avaient pu s’élever à l’idée de l’éternité. 7. Quelles sont les deux divinités qui naquirent du Chaos ? A quels dieux donnèrent-
t les trait-il ? Quel moyen employa la Terre pour se venger ? Quelles divinités naquirent du sang qui tomba de la blessure d’Uran
es Vestales. 13. Naissance de Cybèle. Quoique Cybèle soit une divinité terrestre et du second ordre, il paraît convenabl
ître son rang suprême, Lycaon, voulut néanmoins mettre à l’épreuve sa divinité  : il lui servit à table les membres d’un de ses h
Ses noces furent célébrées avec une grande magnificence ; toutes les divinités du ciel et de la terre y furent invitées, et s’y
longue durée. Jupiter préférait souvent à la reine des dieux d’autres divinités , dont elle se vengeait cruellement. Un jour, il m
dieu, l’ayant vaincu, le lia à un arbre et l’écorcha tout vif21. Les divinités champêtres le pleurèrent amèrement, et de leurs l
ne, en Arcadie. Son enfance fut confiée aux soins des Saisons. Aucune divinité du paganisme n’eut plus d’emplois divers. Les aut
vissante beauté : c’était Vénus27. Aussitôt les Tritons et les autres divinités de la mer l’environnent, la placent sur une conqu
ou des moineaux. Sa tête est couronnée de myrtes et de roses. Aucune divinité n’a été plus souvent représentée par les peintres
ge de la Genèse que voient en lui certains auteurs ? Chapitre XV. Divinités inférieures de la terre. Palès. – Flore. — Pomone
— Nymphes. Lares. – Pénates. 65. Palès. — Flore. Les grandes divinités terrestres étaient Cybèle ou la terre, Cérès ou l
la vigne, Vulcain ou le feu ; mais après celles-ci venaient plusieurs divinités inférieures qui présidaient aux diverses parties
t de tous les peuples, dit Rollin, a donné lieu à la multiplicité des divinités païennes : c’est la persuasion où l’on a toujours
ins. Mais les hommes, effrayés du détail immense où il fallait que la Divinité descendît, ont cru devoir la soulager, en donnant
des jambes et des pieds de bouc. Il était le chef des Satyres, autres divinités champêtres, semblables à Pan, et, comme lui, la t
fut adoré comme un dieu après sa mort. Son nom fut donné aux Faunes, divinités champêtres, à peu près semblables aux Satyres, qu
après une certaine révolution d’années. L’univers était peuplé de ces divinités . Les Nymphes qui habitaient la terre prenaient di
symbole de la vigilance. Questionnaire. 65. Quelles étaient les divinités supérieures de la terre ? A quoi présidaient les
taient les divinités supérieures de la terre ? A quoi présidaient les divinités inférieures ? A quelle cause peut-on attribuer le
lle est leur origine ? Quel culte leur rendait-on ? Chapitre XVI. Divinités de la mer. 71. Océan. — Téthys. — Les Océani
 Téthys. — Les Océanides. — Nérée les Néréides. Les plus anciennes divinités de la mer étaient Océan et Téthys, enfants d’Uran
ent non-seulement les Océanides, mais encore Nérée et Doris. Ces deux divinités s’unirent à leur tour et donnèrent naissance à ci
anciens. Questionnaire. 71. Quelles étaient les plus anciennes divinités de la mer ? Avec quelle autre déesse ne faut-il p
s leur nom ? De quelle union naquirent les Océanides ? Qu’étaient ces divinités  ? Quel culte leur rendait-on ? Qu’était-ce qu’Océ
ait-on ? Quelle fut la naissance de Nérée et de Doris ? 72. A quelles divinités donnèrent-ils le jour ? Comment représente-t-on N
le jour ? Comment représente-t-on Nérée et les Néréides ? De quoi ces divinités sont-elles l’emblème personnifié ? Chapitre X
ang des astres. Amphitrite eut de Neptune Triton, une des principales divinités de la mer. On attribue à Neptune beaucoup d’enfan
itution et le renouvellement ? Chapitre XVIII. Empire de Neptune. Divinités secondaires de la mer. 76. Protée. — Fable d
s bizarres, nés de l’imagination des poëtes païens, qui en firent des divinités secondaires ; voici les principales. Protée était
Mélicerte, puis, changeant son nom en celui de Palémon, il en fit une divinité marine, et institua en son honneur les jeux Isthm
qui infestent les mers et ravagent les côtes. On range Eole parmi les divinités de la mer, parce que c’est sur les eaux qu’il exe
urs de narcisse. 86. Les Mânes. — Charon. Les Mânes étaient des divinités infernales qui présidaient aux tombeaux. Aussi, c
hrygie. Il reçut un jour les dieux à sa table, et, pour éprouver leur divinité , il leur servit les membres de son fils Pélops ;
description que Fénelon en a faite dans le Télémaque. Livre II. Divinités allégoriques. Chapitre XXII. La Vérité.-La V
ieux. [La Motte] Comme il serait trop long d’énumérer ici toutes ces divinités allégoriques45, voici les principales : La Vérité
Vertu, fille de la Vérité, occupe avec elle le premier rang parmi les divinités de cet ordre. Les Romains lui élevèrent un temple
meau de chêne. A ses côtés est un lion, son attribut ordinaire. Cette divinité était fort honorée chez les anciens. Ils attachai
figurent appuyée sur une ancre. Voici le portrait qu’a tracé de cette divinité l’auteur de la Henriade : Du Dieu qui nous créa
t de l’autre une couronne de laurier. La Paix était honorée comme une divinité chez les anciens, qui lui élevèrent des temples.
ci son portrait, tracé dans la Henriade avec celui de quelques autres divinités allégoriques que le poëte place aux Enfers : Là
s que les anciens avaient personnifiés ? Quelles sont les principales divinités allégoriques ? Les énumérer et faire connaître l’
einte, que l’enfant qu’elle portait avait pour père Neptune la grande divinité des Trézéniens. Thésée annonça de bonne heure le
ut le berceau de l’idolâtrie (n° 2). Les premières et les principales divinités qu’elle adora furent Osiris et Isis. Voici un ape
l’Europe, répandant partout les lettres, les lois et le culte de ses divinités . Mais pendant son absence, Typhon son frère, qui
agique de son époux. Aussitôt elle part avec son fils Anubis, étrange divinité , ayant avec un corps d’homme une tête de chien et
qu’ils lui attribuaient l’invention de l’agriculture. 129. Autres divinités de l’Égypte. Les Egyptiens adoraient non-seule
Religion.) Questionnaire. 127. Quelles étaient les principales divinités de l’Égypte ? Quelle fut l’origine d’Osiris ? Qui
s sous les noms d’Osiris et d’Isis ? Comment représente-t-on ces deux divinités  ? 129. Quels étaient les autres dieux de l’Égypte
teur de tous les biens, et Ahriman, auteur de tous les maux. Ces deux divinités son dans une lutte perpétuelle. Ormuzd, principe
l’invincible Mithra. Les Romains, après les Grecs, adoptèrent cette divinité , et c’est par eux que nous en avons des images. I
allons essayer de faire connaître en peu de mots chacune de ces trois divinités . 136. Naissance et pouvoir de Brahma. Lorsq
essus de sa poitrine et un diadème autour de sa tête. Telles sont les divinités des Indous, tels sont les dogmes que renferment l
e la vérité primitive ? Quel est leur dieu suprême ? À quelles autres divinités a-t-il donné naissance ? Qu’appelle-t-on Trimourt
naves. 139. Les Scaldes ; l’Edda et les Sagas. L’histoire des divinités scandinaves porte l’empreinte du caractère dur et
tes connaître l’histoire de la création, Allfadher et les principales divinités Scandinaves. 141. Quels étaient les Ases ou grand
es superstitions des Gaulois ? 144. Quelles étaient leurs principales divinités  ? De qui paraissent-ils les avoir reçues ? Commen
belle ode d’ Horace : Pastor quum traheret. 38. Nom formé de Consus, divinité révérée par les anciens Romains, qui le confondai
sans compter la déesse-mère Bhavani, les Indous reconnaissent quatre divinités primitives : 1° Para-Brahma, 2° Brahma, 3° Vichno
8 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
, et ordonna à tous ses sujets de lui rendre le culte qui est dû à la divinité . A l’exemple des Assyriens, les nations voisines
eux si son cœur n’aspire Qu’aux douceurs de la liberté, Astrée est la divinité Qui lui fait chérir son empire : S’il s’élève au
r plaire, Etale ses dons ingénus ; Ce sont les Graces, c’est Vénus Sa divinité tutélaire : La sagesse qui brille en lui, C’est M
end un corps, une ame, un esprit, un visage, Chaque vertu devient une divinité  : Minerve est la Prudence, et Vénus la Beauté : C
son sein nous dispense. Rousseau. De ce Cahos est sorti le Destin, divinité allégorique, représentée tenant sous ses pieds le
ent remettre leur père sur le trône. Saturne est le même que le Tems, divinité allégorique, représentée sous la figure d’un Viei
tribuent pas moins à Jupiter les idées sublimes qui conviennent à une divinité suprême. Tantôt ils le regardent comme le maître
Troade, où il rencontra Neptune, que Jupiter avoir aussi privé de la divinité pour quelque tems. Ils allèrent ensemble offrir l
ses traits, sa modeste fierté : Dans son air, dans son port, tout est divinité . Rousseau. On l’appelle ordinairement la chaste
s pour juger ce différend, ne vouloient se décider qu’en faveur de la divinité qui produiroit, sur le champ, la chose la plus be
idon prirent la forme pour se dérober à la fureur du géant Tiphon. Divinités maritimes. Neptune. Ce dieu, fils de Sat
me appareil, mais elle n’a point de sceptre ni de trident. [Autres divinités .] Neptune eut de son mariage avec Amphitrite,
rtels indiscrets. Rousseau. Les poëtes placent encore au nombre des divinités maritimes Glaucus, Eole, les Syrènes, les deux Sc
émon à Mélicerte, qu’il fit le dieu des ports. Les poëtes placent une divinité maritime dans chaque fleuve. Soit que ce soit un
, de la rivière ou de la fontaine que l’on veut représenter par cette divinité . Divinités des Enfers. Pluton. Pluto
e ou de la fontaine que l’on veut représenter par cette divinité. Divinités des Enfers. Pluton. Pluton, troisième fi
mes tourmens dont vous gênez les ames. Pierre Corneille. [Autres divinités .] Les Furies, ou les Euménides, présidoient au
eux révoquoit ce serment, J’en jure par le Styx, il étoit privé de la divinité pendant cent ans :         Le Styx… est certain
évocations, on s’adresse à tout ce qui habite les enfers, comme à des divinités dont la puissance est suprême, et qui ont seules
e méthode pour en faciliter l’intelligence. Nous les distinguerons en divinités terrestres, champêtres, et domestiques. Les divin
istinguerons en divinités terrestres, champêtres, et domestiques. Les divinités allégoriques se trouveront avec les premières, pa
oriques se trouveront avec les premières, parce que, sous le titre de divinités terrestres, nous ne comprendrons pas seulement ce
quelque rapport. Ce sera sacrifier à la clarté un peu d’exactitude. Divinités terrestres. Cérès, fille de Saturne et de Cyb
epose sur un lit fermé de rideaux noirs, et environné par les Songes, divinités infernales qui lui sont subordonnées, et que l’on
e les Egyptiens appellent Harpocrate, et les Grecs Sigallion, est une divinité allégorique, réprésentée sous la figure d’un homm
on qu’il en fait est vive, animée, et dans le vrai caractère de cette divinité allégorique : Au pied du mont où le fils de Lato
t toutes les vertus deviennent, entre les mains des poëtes, autant de divinités allégoriques, dont le détail seroit infini, et co
ini, et conduiroit au delà des bornes prescrites dans cet ouvrage. Divinités champêtres. Pan, Diane, Apollon, les Faunes,
s. Rousseau. Pan, fils de Mercure, tenoit le premier rang parmi les divinités champêtres. Il étoit l’inventeur de la flûte, et
ils appellent indifféremment Satyres, Faunes ou Sylvains, toutes ces divinités qui président aux campagnes, aux prairies, aux bo
au. Si les bergers célèbrent leurs jeux, ils sont accompagnés de ces divinités champêtres, qui tantôt président à leurs chants,
bornes qui séparent les champs étoient même regardées comme autant de divinités , que l’on appeloit les dieux Termes. Les Lares et
les dieux tutélaires de cette ville. Chaque personne avoir encore une divinité qui lui étoit propre, et que l’on appeloit Génie.
s, 49-51 — Comment on la représente, 51 Calomnie, honorée comme une divinité , 11 Calpé, une des colonnes d’Hercule, 135 Caly
mphe qu’on dit être la mère de Vénus, 72 Discorde, honorée comme une divinité , 11 — Son caractère et son portrait, 120 — Elle
aos, 16 — Elle jette la pomme d’or destinée à la plus belle, 74--75 Divinités , célestes, 16. Terrestres, 112. Maritimes, 90-91-
née, fils de Vénus, 73 — Sa piété envers les dieux, 126 — Sauve les divinités tutélaires de sa patrie, 127 — Perd ses vaisseau
asme poétique ; à quoi on l’attribue, 44-45 Envie, honorée comme une divinité , 11 — Son portrait, 120. Sa demeure, ibid. — C
aune, Dieu des bois, 123 — Comment on le représente, ibid. Faunes, divinité champêres, 123-124 Favoris des Muses ; nom donné
68 Feu perpétuel, consacré à Vesta, 27 Fidélité, honorée comme une divinité , 11 Fil d’Ariadne, 143 Filles de Mémoire, nom d
36 Fourmis, changées en hommes, 107 Fraude, (la) honorée comme une divinité , 11 Fureur, (la) honorée comme une divinité, ibi
, (la) honorée comme une divinité, 11 Fureur, (la) honorée comme une divinité , ibid. Fureurs d’Oreste, 188 Furies, leur empl
daure, 141 Gémeaux, ou Jumeaux, 149 — Signe du Zodiaque, 89 Génie, divinité , 127 Génies, blancs et noirs, ibid. Gérion, ro
leurs chefs pendant cette guerre, 177 Guerre (la), honorée comme une divinité , 11 — Son portrait, 24 Guerre de Troie, 168 —
misto, 96 — Se précipite dans la mer, ibid. — Est mise au rang des divinité maritimes, 93-97 Io, fille d’Inachus, gardée par
u nombre des sept merveilles du monde, 61 Justice, honorée comme une divinité , 11 Justice, sa balance est changée en constella
des Héliades, 44 — des méchans, 105 Larundes, nymphe, 126 Larves, divinité infernales, 103 Latinus, père de Lavinie, 194 L
m donné à Diane, 60 Leucotoé, nymphe, 97 Liberté, honorée comme une divinité , 11 Lion de la forêt de Némée, 132 — Un des sig
abitent l’Elysée, 110 Marathon, ville de l’Attique, 141 Maritimes, ( divinités ) 90 Mars, mis au rang des dieux, 1l — Fils de J
du monde avec ses frères, 28 — Est chassé du Ciel, 41 — Privé de la divinité , 90 — Bâtit les murs de Troie, 41-90 — Epouse A
on, 35-171 Ouvrage de Pénélope, 193 P Paix, honorée comme une divinité , 11 — Fille de Jupiter et de Thémis, 106 — Comme
, mère de Phèdre, 145 — Mère du Minotaure, 142 Passions, érigées en divinités , 121 Patare, ville célèbre par les oracles d’Apo
tion, 130 A quel titre il est mis au rang des demi-dieux, 11 Pestes, divinités infernales, 102 Peupliers, 44 Phaéton, sa quere
45. Voyez Pinde. Pierre de touche, 71 Piété (la), honorée comme une divinité , 11 Pilade, ami d’Oreste, 188 — Veut mourir en
Saturne, planète, 86 Satyre Marsyas, puni par Apollon, 49 Satyres, divinité champêtres, 123-124 Sceptre de Junon, 39. De Pol
Gouffre voisin de la Sicile, ibid. — Ulysse l’évite, 190 Scylles, divinités maritimes, 96 — Ecueils fameux, 95 Scyros, île
s, ibid. Songes, ibid. Sophocle , poëte Grec, 167-168 Sort, (le) divinité allégorique, 17 Sostrate , architecte célèbre,
n devient invulnérable, 174 Sylvain, Dieu des forêts, 123 Sylvains, divinités champêtres, 124 Syrènes, divinités maritimes, 93
, Dieu des forêts, 123 Sylvains, divinités champêtres, 124 Syrènes, divinités maritimes, 93-94 Syrtes, écueils, 15 Syrinx, ny
, fils d’Ulysse, 176 — Son père lui cède ses Etats, 193 Temps, (le) divinité allégorique : il est le même que Saturne, 21 — E
iphone, une des Furies, 103 — Emblème de la frayeur, 13 Tisiphones, divinités infernales, 109 Titan, fils du Ciel, 20 — Ses e
représente, ibid. Vénus, planète, 86-87 Vérité, honorée comme une divinité , 11 — Cachée sous les portraits de la Fable, 12
du Zodiaque, 89 Vertumne, dieu de l’Automne, 113 Vertus, érigées en divinités , 14-121 — On leur rend les honneurs divins, 11
nsacre à Rome un feu perpétuel, 27 Vestales, ibid. Vices, érigés en divinités , 221 — On leur rend les honneurs divins, 11 Vic
9 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
irlandaise et celtique. Nous tâcherons de faire suivre cette foule de divinités fabuleuses le plus méthodiquement qu’il nous sera
fut, pour ainsi dire, comme tacitement chargé d’enfanter une foule de divinités et de contes merveilleux. En effet, vains, légers
individus mâles et femelles, qui tous héritèrent d’une partie de leur divinité . Cette nombreuse famille présente, en première li
igine crétoise : elle était toute phrygienne, car elle était aussi la divinité par excellence de la Phrygie, dont la théogonie p
as à instituer un culte en l’honneur de ce jeune amant de leur grande divinité . Ces fêtes nommees Dendrophories ou fêtes des Pin
soleil, et se rapprochant en cela d’Apollon, de Bacchus et d’Adonis, divinités que nous retrouverons par la suite. Seulement Aty
nonyme de Rhéa. Mais qu’on ne se blesse point de cette union, car ces divinités , venues de contrées éloignées les unes des autres
régulier de la nature. A cet enfantement se borne la vie active de la divinité crétoise connue sous le nom de Rhée. Son culte, s
ondre avec les Corybantes. Ces derniers célébraient les fêtes de leur divinité par des danses convulsives et délirantes, dans le
vaient peut-être pour supérieurs une caste plus rapprochée des hautes divinités  : c’étaient les Dactyles de Crète ou de la Troade
Dactyles de Crète ou de la Troade. Quant aux Cabires, aux Telchines, divinités métallurgiques que l’on confondait avec les Dacty
ient comme sorciers, sans s’abaisser à danser en l’honneur de quelque divinité , les Dactyles semblaient avoir laissé dans les so
à Rome dans les temps historiques, de celles de Cybèle ; car ces deux divinités , quoique fort différentes l’une de l’autre, furen
, l’été par Apollon ; l’automne par Bacchus, et l’hiver par Hercule ; divinités que nous retrouverons plus tard, et dont l’histor
s Dieux de leur religion ; il résume à lui seul l’ensemble des autres divinités de l’Olympe ; ses faits de puissance et d’amour s
é à Mercure, qui s’y rendit tellement célèbre, qu’il devint la grande divinité des Celtes. Quant à Jupiter, il s’était réservé l
e avec Electre, fille de l’Océan, il en avait eu Iris et les Harpyes, divinités qui se présenteront plus loin sous notre plume.
aussi à la justice, de même que Thémis et Dicé ; mais entre ces trois divinités , chargées pour ainsi dire de fonctions pareilles,
u’elle ne mérite ; il en est de même de la généalogie de ces diverses divinités  : la volonté seule du Dieu souverain les a fait s
oumettant au conseil de Minerve, un simple mortel vint au secours des divinités aux abois. Cela pressait d’autant, qu’un ancien o
de l’industrie, afin de les rapprocher aussi près que possible de la Divinité . Cette habitude de Prométhée fut regardée comme u
c’est enfin, l’humanité orgueilleuse et imprudente luttant contre la divinité , qui, pour la punir, l’accable de maux, en ne lui
ui donner une preuve de sa vénération, ou, suivant Ovide, éprouver sa divinité en lui offrant les membres bouillis ou rôtis d’un
et primordiale de l’Arcadie ; race féroce, impie et comprenant mal la Divinité  ; race enfin, punie de son ignorance par Jupiter
vaniteux et impudent, ainsi que de l’ingratitude des hommes envers la divinité  ; on le représente toujours attaché sur sa roue.
gueilleux qui souvent ne craignent pas de se placer aussi haut que la divinité . Sisyphe, frère de Salmonée ne fut pas non plus
hêne, que l’hospitalité d’un autre côté, ne sont jamais oubliés de la divinité qui toujours les récompense. Du reste, les statue
terre, et sous celui de chiennes du Styx dans les enfers ; après ces divinités malfaisantes, on en voyait une autre non moins te
ce qu’elle avait un jour voulu s’amuser à jeter du trouble parmi les divinités . Alors Jupiter son père la prit aux cheveux, et,
é, pour adoucir autant que possible la triste influence de toutes ces divinités , le maître des Dieux conservait continuellement a
ée, sous la plupart des divers noms que l’on connaît, comme la grande divinité matrimoniale, présidant à la solennité nuptiale,
nt surtout l’acte du mariage. Mais elle se fit encore remarquer comme divinité accoucheuse. Elle exerçait donc plusieurs degrés
nde obscurité sur leur histoire. C'étaient de grandes et mystérieuses divinités , dont le nom signifiait Puissance, et que l’on ad
dans, on citait Climène, fils de Cerdis. Quant aux Telchines, autres divinités métallurgiques dont Telchin, l’un d’entre eux, fu
alors la déesse par excellence des maisons et des mariages. C'est la divinité matrimoniale opposée à Vénus, personnification la
a mère de famille. Sous le nom d’Ilithye ou Eleutho, elle indique une divinité babylonienne ou arabe, importée dans la Grèce, et
e, importée dans la Grèce, et sous celui de Maïa : elle offre la même divinité , mais empruntée aux Indes, elles président l’une
ours alors en elle-même ces deux actes de la maternité. Cette Lucine, divinité toute romaine, est donc une Junon, mais une Junon
d’Apollon. Ainsi dans cet embrouillement causé par la translation des divinités d’un pays dans un autre, il en résulte que Zeus o
arlerons tout-à-fait à part. Mais auparavant indiquons rapidement les divinités qui se rattachaient plus ou moins directement à l
nt à l’une de ces grandes figures allégoriques. Dans le nombre de ces divinités , on trouve : Alémone déesse de l’allaitement, Cub
nes, Munychia ou de Munychie à Athènes, Mysie en Laconie, Nélée ou la divinité de Nélée, fondateur des Nélédies, Némorensis ou d
robablement en effeet rapport à quelque crime ou imprudence envers la divinité de son pays. Cependant, après sa mort, les Orchom
rge, fille de Borée et d’Orithye et sœur de la déesse Opis, était une divinité favorable aux chasseurs, et devait être plutôt un
; aussi il lui rendit les plus éminens services, et devint bientôt la divinité tutélaire de toute sa maison. Admète ayant été at
na avec une chaîne de diamant, et ne rendit la liberté à cette sombre divinité qu’après avoir reconduit Alceste à son mari. Quan
de de sept jeunes filles et de sept jeunes garçons au temple des deux divinités pour les supplier de revenir. Les Carnées étaient
du vulgaire les phrases ou l’expression des volontés supposées de la divinité interrogée. Quant à la divination, c’était la sci
qu’il faut placer Carmente d’Arcadie, ou Nicostrate, dont on fait une divinité romaine présidant aux compositions poétiques et à
t pour toujours interdite aux femmes. On disait même, pour prouver sa divinité , que les rossignols qui avaient leurs nids auprès
Siconiens avant l’arrivée chez eux de Cérès. Il fut honoré comme une divinité champêtre, d’une manière toute particulière par l
lectryone, fille du soleil et de Rhodès, mourut vierge et fut une des divinités des Rhodiens ; Eleuther était fils d’Ethuse ou d’
misto. Les Hybléens, peuples de la Sicile, en avaient fait une grande divinité  : ils le représentaient dans un char avec son pèr
’Eurynome avait la forme d’un poisson jusqu’à la ceinture, mais cette divinité n’était l’objet d’aucun culte sérieux. Mnémosyne
ènes, inventeur ou amateur des fèves. L'on pourrait encore, parmi ces divinités , placer Nemestinus ou le dieu des forêts chez les
t de la déesse des fleurs. Quelques écrivains placent après Flore une divinité qu’ils appellent Féronie, en lui donnant pour att
épété par tous les batteleurs de nos places publiques. Cette Féronie, divinité tout italiote, honorée surtout chez les Sabins, s
ain gauche et de la droite une corne d’abondance. Le sens de ces deux divinités est une simple allégorie des saisons. Vertumne à
ésidait aux prairies ainsi qu’à l’augmentation des troupeaux. D'abord divinité suprême et grande génératrice de l’Italie, elle j
tes n’étaient pas seulement des invocations, des hommages rendus à la divinité  : c’étaient encore des demandes expiatoires pour
. Il nous serait encore possible de donner des détails sur toutes les divinités que nous avons indiquées comme se rattachant de p
a première née ; car elle est fille de parens inconnus. Cependant une divinité de ce nom passa pour femme ou au moins amante de
gyptien ; Cyprigena, et Cyprine, et Cypris, ou de Cypre. Ce fut cette divinité qui, après avoir inspiré le fameux sculpteur de c
t pour les Romains, à la bataille d’Actium ; Tanais et Tanaide, ou la divinité tutélaire des esclaves, chez les Arméniens, les S
nchissante de la mer s’entr'ouvrir et laisser arriver cette gracieuse divinité à la surface des flots qui mollement la bercent d
dée fluviatile : aussi nous ne parlerons des ces compagnes des hautes divinités qu’en décrivant l’empire de Neptune. Vénus ne tar
Cypre, et qui se sont montrés d’une manière plus spéciale, à côté des divinités solaires que nous avons vues à la suite d’Apollon
dicité féminine et la prostitution. Elles passaient pour avoir nié la divinité , et bravé la puissance de Vénus. Celle-ci se veng
e plus près de la terre. Enfin l’on peut rattacher à Vénus, plusieurs divinités adorées en Grèce ou à Rome. Ainsi Cicinnie ou Cic
ux mariés, le soir de leurs noces. La Pudeur ou la Pudicité était une divinité grecque et romaine qui, indignée des vices et de
partie des trois Grâces. Si l’on cherche les fonctions de toutes ces divinités , on trouve d’abord les Heures sous les noms d’Hég
Cependant leur culte était presque toujours réuni à celui d’une autre divinité , ainsi on les invoquait en même temps que l’amour
de Vénus et de Vulcain ; ou de Vénus et de Mercure. Il n’est point de divinité dont l’origine ait plus de variantes. Cependant o
le exclusion. Dès que l’Amour eut acquis toute sa force et conquis sa divinité , il devint le premier ministre de sa mère et souv
non. Après ce second refus Psyché n’osa plus se présenter chez aucune divinité . Dans cette extrémité, confiante dans la générosi
arquois, des flèches et un baudrier. Si par cet Anteros on entend une divinité guérissant de l’amour, on pourrait le peindre sou
ou conseillère persuasive du mariage ; ainsi que Volumnus et Volumna, divinités que l’on invoquait le jour des noces, pour qu’ell
caille, soit par le dieu offensé de ses refus, soit par quelque autre divinité pour la soustraire aux poursuites de son amant. S
et l’amitié de tous les Crétois, fut honorée après sa mort comme une divinité . On institua même en son honneur une fête nommée
demander à son amant qu’il se montrât à elle dans tout l’éclat de sa divinité . Sémélée fit donc jurer par le Styx à Jupiter de
me sa fille, et la confondirent avec Io, d’où il résulte que ces deux divinités étaient en Grèce tout-à-fait les mêmes. Ces expli
porté encore enfant. Ce dieu est confondu quelquefois avec plusieurs divinités infernales et surtout avec Pluton, alors il porta
mbien elle est difficile à découvrir. Elle avait pour fille la Vertu, divinité également allégorique, à laquelle Marcellus fit b
fut après sa mort élevé au ciel par Jupiter ; les Egipans ses fils ou divinités agrestes ou aux pieds de chèvre, habitaient les b
l’on ait conservés : du reste, tous les Satyres [ILLISIBLE]aient des divinités fort redoutées par les bergers et les bergères. P
une vie de plusieurs siècles. Ils descendaient de Faunus et de Fauna, divinités tutélaires des Romains qui voulant également en d
Dioscures un événement, qui plus tard les fit regarder en outre comme divinités tutélaires de la navigation : à peine venait-on d
ns avec une queue de poisson. Ses descendans devinrent des espèces de divinités champêtres. Ellops, fils de Jupiter, donna son n
quième existait-il dans les Gaules, car on y connaissait du moins une divinité analogue à l’Hercule Grec, et peut-être était-ce
uteurs comme un des Anaces, et par d’autres comme un des Tritopators, divinités mystérieuses analogues dans l’Attique aux Cabires
rèce et l’Italie ; les Libyens, regardant ce Dieu comme leur première divinité , avaient pour lui un respect tout particulier. Se
et d’Électre ; elles étaient, disait-on, toujours au nombre de trois. Divinités malfaisantes, elles présidaient aux vents, aux te
t père de Babylon ; mais comme Belus est l’une des plus anciennes des divinités Égyptiennes, nous le ferons connaître en détail e
tés Égyptiennes, nous le ferons connaître en détail en parlant de ces divinités  ; Béotus ou Bootus d’Arné ou d’Itone ou de Mélani
-fils d’un autre Eole. Eole, avons-nous dit, était le Dieu des vents, divinités inférieures que l’on faisait enfans du ciel et de
e l’Attique. Ces Dieux secondaires et très-inférieurs, avaient peu de divinités qui vinssent se grouper autour d’eux. Cependant n
paraître. Une fois à Délos, ces députés offraient des sacrifices à la divinité de l’île, se rembarquaient et entraient dans Athè
s à la poitrine et au ventre. Maintenant si nous passons aux Dieux et Divinités qui étaient forcés d’obéir à Neptune, nous trouvo
e quelques-uns de ces fleuves de l’antiquité ; ils passaient pour des divinités auxquelles Neptune accordait le plus souvent une
uves que la Mythologie donne comme descendans primordiaux de ces deux divinités . Il combattit contre Hercule pour Déjamre, lorsqu
pine, lors de son enlèvement par Pluton. Néréides. Après les grandes Divinités de la mer, on voyait venir une troupe de jeunes f
nt égorgé, mais Hercule s’y opposa. Nymphes. Maintenant, parlons des divinités subalternes, que l’on désignait sous le nom de Ny
issues des dieux et des mortelles ; elles tenaient le milieu entre la divinité et l’humanité, elles étaient préposées à diverses
ition de ne l’avoir pas invité comme elles avaient fait de toutes les divinités champêtres, à un sacrifice qu’elles offraient aux
de cette déesse. A Argos, on donnait ce même nom aux prêtres de cette divinité . Glyphies, nymphes qui devaient leur nom au mont
tout citoyen. Pendant ces jours lugubres, tous les temples des autres divinités étaient fermés ; l’on ne faisait aucun mariage, e
asse de ses habitans étaient composée des Manes, espèces de génies ou divinités infernales, provenant de l’une des trois parties
qu’au bout de ces neuf années d’exil, reprendre leurs droits et leur divinité . Le fleuve entourait neuf fois les enfers ; ses e
qu’aux enfers ; il était le dieu du sarcasme et de la moquerie ; les divinités mêmes devaient supporter ses lazzis sans se fâche
des Cimmériens. Quoiqu’il n’eût ni temple, ni culte, il n’est pas de divinité que l’on ait invoquée plus souvent ; c’est lui qu
er des prières. Comme dieu des songes, il était le plus habile de ces divinités trop souvent trompeuses ; seul, il annonçait la v
entièrement rompu ; on voyait encore à la suite de la Discorde, comme divinités infernales : la Calomnie, toujours représentée un
oine, soit du mot grec ichnos, qui signifie Trace ; Nortia, nom d’une divinité que les Volsiniens, les Falisques, les Volaterrai
de Grande Déesse, quoiqu’on ne l’accordât ailleurs qu’à Cybèle. Cette divinité a été prise pour Némésis ou pour la Fortune. On a
à Samos, à Smyrne, à Side, à Éphèse, d’où il passa en Italie ; cette divinité reçut même à Rome le nom de Sainte, et au Capitol
ns que c’était dans cette sphère de terreur, que l’on rencontrait une divinité dont nous avons déjà fait connaître en détail les
à fait connaître en détail les divers attributs, en parlant de Diane, divinité infernale à laquelle on donnait le nom d’Hécate,
is que Plutarque n’admet qu’une seule furie qu’il nomme Adrastée. Ces divinités infernales, étaient chargées de châtier de leur f
appelés Besychides, et les Athéniens célébraient en l’honneur de ces divinités les Euménédies, à la célébration desquelles l’on
il le leur refusa et les força même de sortir de ses états. Ces deux divinités , l’on s’en souvient, pour le punir de son insigne
ans la religion une foule de dieux et déesses subordonnés aux grandes divinités  ; chacun d’eux présidait à une spécialité. Nous a
ans, et des cothurnes à ses pieds ; Ancules, c’est-à-dire serviteurs, divinités protectrices des esclaves ; Angeronne, déesse ita
en mémoire de Maïa, fille d’Atlas et femme de Vulcain ; il avait pour divinité tutélaire Apollon et pour emblème le signe des gé
uième, Juillet ou Quintilis, fut dédié à Julius César ; il avait pour divinité tutélaire Jupiter, et pour emblème zodiacal le Li
is. Le sixième, Aout ou sextilis, fut dédié à Auguste ; il avait pour divinité tutélaire Cérès, et pour emblème la Vierge portan
de roses, de damas et de jasmins. Le septième, Septembre, avait pour divinité Vulcain et pour emblème la balance. On le représe
s, c’est-à-dire l’auxiliaire ou la justice des Grecs ; arpa ou arpha, divinité subalterne, toujours associée à Jupiter et à Mine
ple à Athènes ; Cardée ou Cardinea, ou Cardo ou Carmo et mieux Carna, divinité latine présidant aux gonds des portes. Carna, dée
on de Rome et fut honorée pour la première fois sous Tatius. Coalème, divinité tutélaire de l’imprudence ; Collastrica et Collat
oles des enfans ; Farnus, dieu Romain, présidant à la parole. Faveur, divinité Romaine représentée sous la forme d’un jeune homm
tions mensuelles. Fon-[ILLISIBLE], déesse des foure, mise au rang des divinités par Numa, lors de l’invention des fours. Genius
ous voulions dire qu’ils fussent d’une origine antérieure à celle des divinités des Indiens ou des Chinois, puisque la nuit des t
d’autres dieux ; aussi, lui donnait-on les attributs symboliques des divinités dont il avait cumulé les pouvoirs ; ainsi, il éta
s il fut appelé généralement Sérapis, et devint la plus puissante des divinités égyptiennes. Osiris avait des fêtes très-nombreus
un fouet. Bouto, cette nourrice d’Haroéri, était dans l’origine une divinité égyptienne du premier rang, elle existait même av
on la portait avec beaucoup de pompe dans les processions de ces deux divinités  ; on élevait des chiens en son honneur et même on
âtit des temples, mais ils étaient toujours placés à côté de ceux des divinités bienfaisantes, et beaucoup plus petits. On les no
s ennemies de l’homme, de l’ordre et du bonheur. Nefté est plutôt une divinité passive qu’active. C’est la terre inféconde, mais
mbre de quarante-deux, le firent regarder comme une incarnation de la divinité , possédant l’intelligence au suprême dégré. Il fu
mère, dont elle n’est qu’une émanation : les Grecs ont vu dans cette divinité la fille de Latone, car, disaient-ils, elle aida
Au-dessous des décans et sous-décans, venaient des dieux planétaires, divinités également du second ordre, auxquelles on a donné
e, la dynaste, espèce de vesta grecque qui, en prenant rang parmi les divinités supérieures des Egyptiens, fut appelée Athor 1er.
dieux et déesses, on connaissait encore en Égypte un grand nombre de divinités dont nous n’allons pourtant citer que les plus im
pieux pélerins. Son culte était répandu dans toute l’ Egypte. Bésa, divinité égyptienne, était adorée à Antinoopolys et à Abyd
des lettres cachetées. Enfin, nous terminerons cette nomenclature de divinités égyptiennes, par Emeth et Noétarque, divinités su
cette nomenclature de divinités égyptiennes, par Emeth et Noétarque, divinités supérieures, essences suprêmes ; tandis qu’Emeth
es noms des dieux que Carthage adorait, nous allons indiquer quelques divinités dont nous n’avons rien dit ; ainsi : Achtoret, é
ieux de l’amour, dont la déesse était l’ame. Les Abaddirs étaient des divinités africaines, qui avaient un grand rapport avec les
et les prêtres des Abaddirs se nommaient Encaddirs. Baal était une divinité de premier ordre honorée à Carthage. On la regard
bien et comme tel ennemi de Gonaïotta, ou le principe du mal. Tyrme, divinité adorée aux Canaries, son idole était placée sur l
ent aussi la plupart des dieux connus au Congo. Voici les noms de ces divinités de cette partie de l’ Afrique : Bombo, est une i
gens de douze ans auxquels on en[ILLISIBLE] de jurer fidélité à cette divinité , et de s’abstenir de certaines viandes, et d’obse
is et leur enfer est au milieu de la mer. Les Zambi, ne sont d’autres divinités que les Mokissos. Les habitans de la côte d’ Afri
tots, sont fort peu religieux ; à peine adorent-ils quelques-unes des divinités du Congo. Cependant, ils ont plusieurs dieux d’un
n se mettait en voyage. C’était un des quatre dieux des Adites. Lat, divinité à laquelle on avait élevé à Somenat un temple mag
ontrée si riche, si populeuse, si commerçante, et qui fournit tant de divinités à la Théogonie grecque. Parmi les dieux assyriens
rquer non seulement Chrône, Cybèle, déjà connus, mais encore quelques divinités sur lesquelles nous allons donner de légers détai
eu tout puissant de l’Assyrie, était : Baal ou Béel, Belus ou Belis, divinité que l’on regardait ordinairement comme le soleil 
Cependant, cette Astarté est encore souvent confondue avec Achtoret, divinité que l’on trouve en rapport avec Baal, et qui géné
richesses, c’était le Plutus des peuples de la Syrie. Marnas, haute divinité de Gaza, il était honoré en Syrie, où il avait un
e célébraient par des jeux et des courses de char. Melchom était une divinité des Ammonites à laquelle Salomon, roi de Jérusale
et on le supposait issu de ces êtres qui tiennent le milieu entre la divinité et l’humanité ; aussi, après sa mort et en mémoir
e qui les faisait ressembler aux Canopes. Adramelech était la grande divinité des Sépharoïtes. En Syrie, quand on voulait initi
’agit point, il délègue ses pouvoirs à la trimourti et à une foule de divinités subalternes, préposées au gouvernement du monde.
enfantant les onze Roudras. 9° Les trois cent trente-deux millions de divinités inférieures, peuplant tous les mondes et animart
semi-céleste ; ce sont donc des espèces de pénitens absorbés dans la divinité  ; ils occupent, disent les Hindous, un espace sit
lations Zodiacales, qui se trouvèrent sous leur pouvoir ainsi que les divinités Indiennes auxquelles chacun obéit, et les divinit
oir ainsi que les divinités Indiennes auxquelles chacun obéit, et les divinités Greco-Romaines, auxquelles ils répondent. Varoun
lle arrive dans les bras de son époux. Si maintenant nous suivons les divinités subalternes échelonnées après celles qui viennent
s deux sexes ; c’est l’hermaphrodite des Indes, c’est l’emblème de la divinité avant qu’elle soit divinisée. Arouna, cocher du
conduire la planète de Mercure, et de présider au mercredi. Brouin, divinité suprême chez les Geogbis, secte des Banians, qui
rre, en s’incarnant sous les traits de Mecis, fervent serviteur de la divinité . Cintra-Poutrin est un dieu de la mort, qui tien
que son frère, malgré toutes ses ruses, était devenu dieu, il nia sa divinité et le défia de prouver par un prodige le haut ran
Moudévi sa rivale. On groupe aussi comme assesseurs ou adjoints à la divinité de ce couple, et on les révère autant que lui, Sé
s têtes. En parlant de Vichnou, il a encore été question de plusieurs divinités ou même de choses divines et réservées aux dieux 
les formes ; il est donc le grand modificateur de l’univers, c’est la divinité vue du mauvais côté, le mauvais génie environné d
s appelé Ratavaréia, et qu’elle est l’impure Tchandalas, ou la grande divinité des Parias, qui se figurent qu’elle guérit surtou
viennent toujours à se venger de Mahécha, avec le secours des grandes divinités , telles que Brahmâ, Vichnou ou Siva, qui s’adjoig
ns Ardachidhi, passa presque toute sa vie dans la contemplation de la divinité et des vertus immortelles. Enfin il résolut d’all
hisme vivent en communauté dans des couvens, et ne laissent jamais la divinité sans lui adresser des prières. Ces prières, de mê
ins à eau ou de tout autre mécanisme au milieu de lampes allumées, la divinité s’en contente. Du reste, ces temples sont soigneu
ur laquelle est un enfant. Tordchipamo ou Dordjipamo, est une grande divinité adorée dans les lieux qui environnent le lac Samt
sous de Foé ou Fô, autrement dit Bouddha, nous voyons se groupper les divinités suivantes qui, de même que Bouddha, ont leur cult
que les plus généralement adorés. Tacki ou le ciel matériel est une divinité rappelant Isis, ou la nature des égyptiens. Ousu
iculières et étant adoré dans toutes les communes de l’empire. Kang, divinité représentée par une idole de trente pieds d’éléva
cipal Dieu est Amida, puis autour de lui se rangent toutes les autres divinités . Cette principale secte du Japon donne le nom de
s. Ten-sio-dai-tsin, ou Ama-tarou-on-kami, est ensuite la plus haute divinité Japonaise : elle était considérée comme hermaphro
odite. Toutefois, le caractère femelle semble dominer. Cette première divinité céleste se dessine à la tête de la création et fa
des Tensinsitsidaï, et donna le jour aux quatre Tsi-sin-Godai. Cette divinité est regardée comme la patronne et la protectrice
t-ils consacrés, ou au moins elle partage cet honneur avec les autres divinités . Ses adorateurs lui font parvenir leurs prières p
lui font parvenir leurs prières par l’entremise des Siou-God-Sin, ou divinités tutélaires et protectrices. On célèbre tous les a
uré de 80, et le second de 40 Macias, ou petits temples consacrés aux divinités inférieures. Cependant son vrai temple est Fongou
urtant un être suprême, dominant sur tous les Kamis. Au nombre de ces divinités on remarque particulièrement : Xikouani, célèbre
. Les Japonais, outre les Kamis, adorent encore une foule d’autres divinités , au nombre desquelles ils placent : Bounsio, app
t sur une feuille de nymphéa, la tête entourée d’une auréole. Jemao, divinité du monde souterrain et juge des ames séparées des
de cavalerie, de nobles, de prêtres et de femmes. Daiboth, puissante divinité , représentée sous la forme d’une femme, ayant le
crépus et la tête ornée de rayons d’or, que surmontent des images de divinités inférieures ; ses mains en portent aussi quelques
ur le front. Denichi, dieu suprême des Chingovins, est une des trois divinités qui président à la guerre. Son corps garni de qua
mple du cheval blanc. Kombadaxe est un bonze, sous-incarnation de la divinité  ; il fit bâtir, à l’âge de huit ans, un temple ma
temples, ni autels ; les animaux formaient seuls les emblêmes de ses divinités , et le feu sacré que l’on entretenait sur les plu
a présider au feu mâle, et Behram au feu de la foudre. Anahid, grande divinité orientale, eut un culte fort célèbre, surtout dan
Après avoir fait connaître Ormuzd ou principe du bien, et toutes les divinités dont il se sert, et qui sont rangées au-dessous d
tous les peuples de la Sibérie avec leurs diverses croyances et leurs divinités . Voici celles de ces divinités qui méritent d’êtr
avec leurs diverses croyances et leurs divinités. Voici celles de ces divinités qui méritent d’être connues. Aghogok, dieu suprê
et ministre rapide des esprits du mal, chez les Iakoutes. Balakitg, divinité Kamtchadale, fils de Khoutkhou, avait épousé Zavi
e Khoubé-Khatoun, c’est-à-dire brillante de gloire. Khéçoubai-Toion, divinité bienfaisante des Iakoutes ; il intercède l’être s
ait et une bonne chasse. Son épouse est la déesse Aksit. Bourkhans, divinités des Kalmouks et des Bourettes, se divisent en bon
corps desquels a passé le Bourkhan que l’on adore. Dia est la grande divinité de la Sibérie ; on la représente avec trois figur
galait celui du roi. Voici quels étaient la plupart de leurs Dieux et divinités . Bielbog, ou Beloibog, bon principe, chez les Sl
méranie. Radgast, dieu de l’hospitalité chez les Varingues, était la divinité tutélaire de leur capitale. Il tenait une lance d
t les fruits de la terre. Paive, déesse du soleil, est une des trois divinités supérieures des Lapons. Quoiqu’elle n’eût pas de
de quelques-uns de leurs dieux ; cependant nous ajouterons que leurs divinités avaient la plus grande analogie avec celles des S
: Mannus, espèce de dieu-Mars, ou de Cybèle. Hertus ou Heria, ou la divinité présidant à la terre chez les Suèves, qui lui por
es de bête fauve, et chaque corne portait un grand anneau. Bouljane, divinité adorée chez les Nannettes, dans l’Armorique, dont
ronnée de rayons. Bélénus, semblable au Balder Scandinave, était une divinité de quelques parties de la Gaule, c’était le Balat
ges magiques, et en faisant pour elles de nombreux sacrifices à cette divinité . Edd ou Aedd, dieu suprême des Ploégriens, dont
uauté par des prières et des sacrifices. Les Alcis étaient de grandes divinités naharvales, filles de l’être suprême. Ces déesses
id, et Tuatha-Fergusleathdearg. Elle est l’amazone de l’Irlande et la divinité suprême de la race sacerdotale des Tuathadadan.
ohlda, avec lesquelles elle forme une trinité opposée à Dadan, grande divinité de la tribu Irlandaise des Thuatha-Dadans. Les ép
ua la fondation de la cité de Téamhuir. Dadan ou Danan devint grande divinité Irlandaise des Tuatha-Dadans : elle était fille d
e, qui le confondent avec le soleil. Ils appellent aussi Manitous les divinités inférieures, qu’ils supposent veiller à la conser
s des oiseaux pour chanter et se nourrir du suc des fleurs. Après ces divinités , venaient au Mexique les douze grands dieux suiva
eux, dont les membres se prétendant approcher spécialement de quelque divinité , étaient tous plus ou moins révérés. Amérique
nt Interrapa ou Illapa, est encore désignée comme étant une des trois divinités de cette trinité ; elle recevait en sacrifices à
esta vers l’est et forma l’Amérique. Fouttafoua ou Fouttaféhi est la divinité par excellence des mers de l’Archipel des amis. C
du bas des reins de la déesse jusqu’au-delà de son front. Ligobound, divinité bienfaisante, fille de Saboukour et d’Halmael, ou
e on les interroge, dépend de la nuance que le fétiche a prise. Mau, divinité des îles Sandwich, est représenté avec une énorme
sert un dîner que les assistans font disparaître. Ohira-Rine-Mouna, divinité polynésienne, était fille de Ti et d’Osira. Après
l nous a fallu nous limiter et nous nous sommes bornés à indiquer les divinités qui nous étaient indispensables pour faire compre
pour numéro. Elle représente Saturne et Cybèle, et au-dessous de ces divinités on voit l’enfance de Jupiter. La pl. n° 7 en rega
10 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
i l’on peut trouver très-étrange l’idée de dessiner les attributs des Divinités de la Fable ? Mes Arabesques ne sont que ces attr
Déesse Dercetis ou Derceto ou Atergatis lui donna le jour ; Dercetis, divinité monstrueuse et cruelle, étoit adorée sous une fig
orcer d’abdiquer ; après sa mort les Assyriens l’honorèrent comme une divinité , et l’adorèrent sous la figure d’une colombe.
qu’elle et sa fille surpassoient en beauté Junon et les Néréides. Les Divinités ne pardonnoient jamais et surtout ce genre d’offe
levés, Laomédon non seulement refusa le salaire, mais chassa les deux divinités disgraciées. Neptune, qui n’avoit pas le pouvoir
et le réduisit en cendres, ce qui fut regardé comme une preuve de sa divinité . On lui bâtit un tombeau sur le mont Œta et l’on
son autre fils Mélicerte et fut métamorphosée, ainsi que l’enfant en Divinités de la mer. Mélicerte est le même que Palémon, Die
e, Jason fit un sacrifice solennel à Jupiter, à Junon et à toutes les divinités de la mer. Tous les Argonautes étoient déjà dans
e rendirent au temple d’Apollon pour en remercier les Dieux ; car les divinités adorées par les payens avoient fait assez de crim
llégories, n’ont pris aucun soin de concilier les caractères de leurs Divinités avec leurs fonctions ; par exemple, dans l’Ajax f
a son vaisseau ; la petite fille de Cadmus, Ino, admise au nombre des divinités de la mer, vient à son secours, elle lui donne un
ité, la force physique, la grandeur d’ame et le courage intrépide. Divinités allégoriques. La Vertu. La Vertu, fil
e qui est moins ingénieux encore, est de représenter cette consolante divinité , tenant des cœurs, ou se faisant une incision pou
ui passent pour être reconnoissants, sont aussi des symboles de cette divinité . On lui donne quelquefois pour attribut un bouque
e de Pandore, pour adoucir tous les maux répandus sur la terre. Cette divinité eut plusieurs temples à Rome, les Grecs l’honoroi
u sang sur ses autels, ainsi les sacrifices qui honoroient les autres Divinités et même le maître des Dieux, eussent souillé ses
nommoient la Fortune Tyché. On éleva une infinité de temples à cette Divinité , elle en eut plusieurs à Rome. Les Romains préten
du groupe étoient écrits ces mots : E per non lasciarti. Autres divinités allégoriques43. La Renommée. Fille de la
it fort bien l’Encyclopédie, ils le lui devoient. On représente cette divinité avec des ailes, et les pieds nus. La Providenc
globe sur lequel elle fixe les yeux. Les Romains en avoient fait une divinité à laquelle ils donnoient pour compagnes, les Dées
l’Esprit et de la Fortune. Ce mot en latin est masculin, aussi cette divinité a été mise, par quelques auteurs, au nombre des D
nt les trois Parques, chargées d’exécuter les ordres de cette aveugle divinité . On représentoit le Destin couronné d’étoiles, te
ttribut un sablier renversé. Les anciens firent de la Vieillesse, une divinité infernale fille de l’Erèbe et de la Nuit. La Nuit
nnifié ainsi l’Imagination : Quel éclair perce la nue, Quelle est la Divinité Qui vient offrir à ma vue Tant de graces et de be
, de l’autre une clef et ayant à ses pieds un chien. On confond cette divinité allégorique avec la Constance. Voici la descripti
Les ailes, la trompette et une couronne de laurier suffiroient. Cette divinité qu’on n’a représentée qu’en accessoire, mériteroi
le cerf sont aussi des symboles de prudence. La Liberté. Cette divinité qui, dans l’ordre politique et social et avec les
nourrir Et qui s’éteint s’il ne s’augmente. Voltaire. Le Temps, divinité allégorique, la même que Saturne. (Voyez le premi
ucun autre Dictionnaire de la Fable. 20. Il y avoit plusieurs autres divinités adorées sous ce nom, et qui étoient particulièrem
11 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
ens qui s’élevaient au-dessus de la force humaine, furent adorés. Ces divinités imaginaires ne purent suffire ; on crut ajouter à
sité des bonnes lois, et celle d’inspirer aux hommes la crainte de la divinité . Malheureusement il était lui-même dans l’erreur 
ms ; de sorte que les habitans du pays s’accommodèrent sans peine des divinités de ces mêmes peuples orientaux, auxquels ils deva
om ; ce qui fit publier, selon la coutume de ce temps, qu’il était la divinité tutélaire de ce fleuve. Le royaume d’Argos eut un
habet, inconnu jusqu’alors dans la Grèce, Cadmus apporta le culte des divinités de l’Égypte, et surtout celui d’Osiris et de Bacc
celui des héros n’était point le même : on offrait des sacrifices aux divinités , on faisait des libations en leur honneur, et l’o
énates, et le reste de l’univers ignorait l’existence de ces obscures divinités . Mais il n’en était pas de même des grands hommes
l’infestaient. Ce service les fit placer, après leur mort, parmi les divinités favorables aux nautoniers. On crut leur devoir ce
élevèrent un temple à la Sibylle de Cumes, et l’honorèrent comme une divinité , dans le lieu même où elle avait rendu ses oracle
ée. La ville de Tibur ou Tivoli, sur le Téveron, l’honorait comme une divinité . On croyait généralement que la nature des Sibyll
ement que la nature des Sibylles tenait une espèce de milieu entre la divinité et les hommes. Le respect qu’on avait pour les ve
raordinaire, lui rendit de grands honneurs, et l’adora même comme une divinité . Cette opinion, favorisée par l’ignorance des peu
in chez ces nations, et que l’ignorance des âges suivans confondit la divinité avec le prêtre, et fit, des attributs de l’une, e
s bornes, une justice incorruptible. Il était défendu de présenter la divinité sous une forme corporelle : elle ne permettait pa
lui ériger des statues, paraissaient une extravagance impie. De cette divinité suprême émanait une infinité de génies subalterne
agent qui conservait les êtres et dispensait les événemens, Servir la divinité par les sacrifices et les prières ; ne faire aucu
paraît que ce conquérant, en se donnant aux peuples du Nord pour une divinité redoutable, n’eut d’autre but que d’assurer sa do
eligion, et les Scandinaves finirent par associer au dieu suprême les divinités subalternes. La crainte, les désirs, les besoins,
ils crurent devoir appeler à son secours des esprits, des génies, des divinités de tout genre. Mais leurs passions dominantes dev
célestes. Cependant, suivant l’ancienne mythologie islandaise, cette divinité terrible, qui se plaisait à répandre le sang des
cré par celui du jour de Mercure, Mercredi. Après Odin, la principale divinité du Nord était Frigga ou Fréa, sa femme. Tous les
aient que le dieu céleste s’était uni avec la terre pour produire les divinités subalternes, l’homme et toutes les créatures. C’é
tins nommaient dies Veneris, le jour de Vénus, Vendredi. La troisième divinité principale des Scandinaves se nommait Thor. Jules
rimitif de la religion du Nord, Thor n’était vraisemblablement qu’une divinité subalterne, née de l’union d’Odin avec la Terre.
s armes redoutables qu’il combattait les ennemis des dieux. Les trois divinités que nous venons de nommer composaient la cour ou
ait la fertilité, les richesses et la paix. Le nombre et l’emploi des divinités du second ordre n’est pas aussi facile à détermin
ment le Passé, le Présent et l’Avenir. Telles étaient les principales divinités du Nord, ou plutôt les idées que les poëtes en do
rriers ne suivaient pas cette croyance et ne reconnaissaient d’autres divinités subalternes que leur courage. Après avoir indiqué
sse humaine. En admettant cette action immédiate et continuelle de la divinité sur toutes les créatures, les Celtes regardaient
e. Dans tous les temps, les hommes ont cru que, pour mieux honorer la divinité , ils devaient faire pour elle des efforts prodigi
ple d’Upsal semblait être particulièrement consacré aux trois grandes divinités . On les y voyait caractérisées par leurs symboles
ure, ou plutôt ce qu’ils regardaient comme les actions visibles de la divinité , ils espérèrent parvenir à connaître ses goûts, s
druides. Les peuples regardaient comme les organes infaillibles de la divinité ces pontifes si célèbres par leurs divinations et
paraît certain que les premiers Bretons n’élevaient aucun temple à la divinité . On trouve même dans les poésies d’ Ossian, que c
ls instruisaient, regardaient la nature entière comme le temple de la divinité . On ne peut douter qu’ils avaient des notions sur
t à cette cause, sans doute, qu’il faut attribuer le petit nombre des divinités que l’on honorait en Angleterre ; il paraît même
toujours plus pure que celle des autres peuples : leurs idées sur la divinité étaient bien plus justes et bien plus spirituelle
t de vétusté. Ce respect tenait à la grande idée qu’ils avaient de la divinité  ; ils étaient persuadés que des temples ne pouvai
nd respect pour les lacs et les marais, parce qu’ils croyaient que la divinité se plaisait à les habiter : le plus célèbre de ce
futures, et ils allaient goûter un bonheur éternel dans le sein de la divinité . Eux seuls avaient des tombeaux, des épitaphes ;
in suivait, et lorsqu’il était terminé, on adressait des prières à la divinité , pour qu’elle attachât à cette plante un bonheur
12 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
la Fable ? R. La Mythologie ou la Fable est l’Histoire fabuleuse des Divinités , du Paganismes Mythologie est formé de deux mots
nd un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque vertu devient une divinité  : Minerve est la Prudence, et Vénus la Beauté. Ce
é le Destin, qui étoit supérieur à tous les autres Dieux. C’étoit une Divinité aveugle qui gouvernoit toutes choses par une néce
, n’avoient pas de place dans le ciel, ils étoient regardés comme des Divinités bourgeoises : Ovide les appelle de plebe Deos. Pa
e les appelle de plebe Deos. Pan, Pomone, Flore, Palès, et les autres Divinités champêtres, étoient de ce nombre. Demi-Dieux e
des immortels indigètes (è terrâ geniti). Les demi-Dieux étoient des Divinités qui tiroient leur origine d’un Dieu et d’une Mort
et même les misères de la vie, comme la Pauvreté, la Fièvre, etc. Ces Divinités formoient une quatrième classe. Première parti
aussi connu sous un autre nom ? R. Saturne est le même que le Temps, Divinité allégorique, représentée sous la figure d’un viei
qu’elle aima le berger Endymion ; mais alors elle est regardée comme Divinité céleste ? D. Comment la représente-t-on ? R. On l
ps venoit de bâtir. Les Dieux assemblés se décidèrent en faveur de la Divinité qui produiroit la chose la plus belle et la plus
il donna de petits boucliers, appelés Ancilles. Neptune, et autres divinités des eaux. Neptune. D. Qu’étoit Neptune ?
(Rousseau.) D. Les Poëtes ne nomment-ils pas encore quelques autres Divinités maritimes ? R. Ils parlent encore de plusieurs, e
appareil ; mais elle n’a ni sceptre ni trident. Pluton, et autres divinités des Enfers. Pluton. D. Qu’étoit Pluton ?
juroient les Dieux, et s’ils se parjuroient, ils étoient privés de la Divinité pendant cent ans. Le Cocythe ne grossissoit que d
e pour en donner une idée nette et précise. Nous les distinguerons en Divinités terrestres, champêtres et domestiques. Divinité
s distinguerons en Divinités terrestres, champêtres et domestiques. Divinités terrestres. Cérès. D. Qu’étoit Cérès ? R
a main. La Nuit. D. La nuit n’est-elle pas considérée comme une Divinité de la terre ? R. Oui, elle est la Déesse des ténè
nomme-t-on le Dieu du silence ? R. On le nomme Harpocrate ; c’est une Divinité allégorique, représentée sous la figure d’un homm
eau. (Lamotte.) La Paix. D. La Paix n’étoit-elle pas aussi une Divinité allégorique ? R. Oui ; on faisoit descendre la Pa
tes-nous quelque chose de la Discorde ? R. La Discorde est encore une Divinité allégorique ; chassée du ciel par Jupiter, elle e
pieds, Semble annoncer la mort aux peuples effrayés. (Voltaire.) Divinités champêtres. Pan. D. Quel Dieu tenoit le p
hampêtres. Pan. D. Quel Dieu tenoit le premier rang parmi les Divinités champêtres ? R. C’étoit le Dieu Pan ; il étoit l’
Génie. D. Chaque personne, selon les Anciens, n’avoit-elle pas sa Divinité particulière ? R. Oui, et le nom de cette Divinit
’avoit-elle pas sa Divinité particulière ? R. Oui, et le nom de cette Divinité étoit Génie. Il naissoit avec la personne, et pér
13 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
Introduction. La Fable est l’histoire fabuleuse des divinités du paganisme. On lui donne le nom de Mythologie.
Romains. Ceux-ci bâtirent le fameux temple du Panthéon, où toutes les divinités honorées dans divers pays furent rassemblées : ai
prétendu que venger l’outrage fait à sa fille Alcippe. Par ces douze divinités , il faut entendre les douze juges qui travaillère
s, il le bannit du ciel, et le priva pour un temps des honneurs de la divinité . Cette disgrâce réduisit Apollon dans un état si
pela dans le ciel, et lui rendit les honneurs et les priviléges de la divinité . Apollon, rétabli dans ses droits, répandit la lu
ce de toutes choses. Les Rhodiens, dont le soleil était la principale divinité , avaient érigé en son honneur un colosse d’airain
opres à représenter ces différentes parties, et les substituèrent aux divinités de l’Egypte. Ainsi, Apollon, un de leurs plus gra
rpine dans les enfers. Sous ces trois noms, elle n’était qu’une seule divinité  ; c’est pourquoi les poètes l’appellent Déesse à
d’un roc ; Apollon le changea en épervier. Endymion Comme la divinité du ciel, Diane ne put défendre son cœur des charm
service doit être accompagnée de prudence et de retenue. Ces aimables divinités ont eu des temples et des autels. Etéocle, roi d’
ssé du ciel avec Apollon pour avoir conspiré contre Jupiter, ces deux divinités fugitives s’unirent pour se consoler de leur disg
char, dont les roues touchent à peine l’eau, accompagné de toutes les divinités de la mer, et devant qui le poète dit que les ond
nt dans leur compagnie. Ino et Mélicerte On met au nombre des divinités de la mer, Ino et Mélicerte. Junon, toujours irri
yage à faire, on lui offrait un sacrifice. Les Vents. Les Vents, divinités fougueuses, étaient fils du titan Astrée et de l’
n l’honneur d’Eole. L’auteur du livre de la Sagesse met au nombre des divinités des Gentils l’Air et le Vent ; ainsi il est présu
pulture des morts. La Mort. Les anciens ont fait de la mort une divinité , qu’ils disent née de la Nuit ; elle est dans les
rsemée d’étoiles couvre les os luisans de son squelette livide. Cette divinité implacable est, suivant Orphée, la seule à qui la
s se dédire, sous peine d’être privés du nectar et des honneurs de la divinité pendant cent ans. Le Cocyte, qui ne grossit que d
pour détruire ses sujets, Jupiter le foudroya lui-même, et relégua sa divinité dans le Tartare, où le feu céleste le brûle sans
el), et Thitea (la Terre), de l’Océan et de la Nuit. On dépeint cette divinité vêtue et couverte d’un grand voile noir, allant s
eu des bergers et des montagnes, une des plus considérables parmi les divinités champêtres, était fils de Mercure. Il avait la tê
dans l’âge d’or, quand la simple innocence       Rendait hommage à la Divinité , Ses fêtes commençaient par la reconnaissance    
cette déesse avec une couronne. Les affranchis la prenaient pour leur divinité , parce que c’était dans son temple qu’ils prenaie
de ces dieux domestiques. L’idole domestique était choisie parmi les divinités du ciel, de la mer ou des enfers, selon le pencha
énie d’Antoine redoutait celui d’Auguste. On représentait ces petites divinités sous la figure d’un jeune homme tenant d’une main
auteurs font le Destin fils de la nuit : ils l’appellent Fatum. Cette divinité aveugle, supérieure à toutes les autres, gouverna
e l’avenir l’histoire irrévocable. Voltaire. La Foi La Foi, divinité que les Romains adoraient, fut introduite par Num
erpine lorsqu’elle fut enlevée. Cette déesse, quoiqu’aveugle, fut une divinité puissante et révérée chez les anciens, qui croyai
ant leur réponse, qu’un temple serait trop petit pour deux si grandes divinités , il se détermina à en faire ériger deux. Il les f
que, quand il y entra, Atlas se ressentit du poids de cette nouvelle divinité . Hercule, en mourant, avait laissé ses flèches tr
la mer de pirates ; ce qui les fit regarder par les marins comme des divinités favorables, surtout quand ces deux astres paraiss
Baucis Ni l’or ni la grandeur ne nous rendent heureux. Ces deux divinités n’accordent à nos vœux Que des biens peu certains
14 (1845) Mythologie de la jeunesse
un côté tout ce qu’il est essentiel de savoir sur la nature de chaque divinité en particulier, et en leur offrant, de l’autre, d
éesse Thémis, qui rendait les oracles au pied de ce mont. L’invisible divinité leur fit cette réponse mystérieuse : « Sortez du
Minerve, Vesta ou Cybèle, Apollon, Diane, Vénus, Mars et Vulcain. Divinités du premier ordre Le Destin. Au-dessus de
ordre Le Destin. Au-dessus de tous les dieux était le Destin, divinité toute puissante, née du Chaos et de la Nuit. Ses
es [Fig. 13]. [Fig. 13] Uranus et Tellus. Les plus anciennes divinités , après le Destin, étaient Uranus ou Cœlus (le Cie
paganisme. On retrouve cependant quelques attributs imparfaits de la divinité dans plusieurs de ses hymens. Ainsi il épousa suc
eu, et il n’était pas permis de les faire travailler. Les principales divinités auxquelles Neptune commandait en qualité de dieu
n, sur le tombeau d’une des Sirènes qui portait ce nom. Au nombre des divinités de la mer, on mettait aussi les Nymphes, dont les
nt était irrévocable ; celui qui se rendait parjure était privé de la divinité pendant cent ans. Les larmes des méchants, en tom
pait le fil avec des ciseaux [Fig. 43]. [Fig. 43] Parmi les autres divinités infernales, on comptait encore la Nuit, la Mort,
quelques années d’exil, il fut rappelé par Jupiter qui lui rendit sa divinité . Comme dieu des beaux-arts, Apollon présidait le
llon aux épaules. Son nom, en grec, signifie âme 27. [Fig. 67] Divinités du second ordre Les Muses. Les Muses, fil
lle, chaque maison, chaque individu avait ses dieux particuliers. Les divinités des villes se nommaient Pénates ; celles des mais
’appelaient Lares. Cependant on confondait souvent ces deux sortes de divinités . On donnait le nom de Génie au dieu qui veillait
animal. La figure des Pénates était le plus souvent celle de quelque divinité publique. Quant au Génie, il était ordinairement
. On les confondait avec les Silènes et les Sylvains. Ces différentes divinités étaient ordinairement représentées sous la forme
ntale, ayant reçu les dieux dans son palais, et voulant éprouver leur divinité , s’avisa d’égorger son fils Pélops et de le leur
la flûte, qu’il attirait auprès de lui tous les bergers et toutes les divinités de la campagne. Il eut l’imprudence de faire à Ap
15 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
ou dieux d’élite, dieux choisis, partageaient avec les douze grandes divinités le privilège d’être représentés en or, en argent
Grèce, et d’Ammon, en Libye. Ses principaux enfants furent, parmi les divinités du ciel, Minerve, Apollon, Diane, Mars, Mercure,
utels. Les habitants de la Libye le regardaient comme leur principale divinité . Il eut des temples sans nombre dans l’Asie-Mineu
ses les trois Parques ; à ses pieds repose le chien Cerbère. Seul des divinités supérieures, Pluton n’eut jamais de temples ni d’
le d’Attique, et institua des fêtes à l’honneur de cette bienfaisante divinité . Pour être initié aux Mystères d’Éleusis, il fall
à tour le trépas et l’apothéose du favori de Vénus. Le culte de cette divinité était universel, mais on ne lui sacrifiait pas de
habita quelque temps ce pays qu’il affectionnait, et dont il était la divinité principale. De là il parcourut la Grèce. Arrivé e
Les habitants de la Tauride (aujourd’hui Crimée) dont Diane était la divinité , croyaient lui plaire en égorgeant devant ses aut
sse de la justice, et elle ne forme avec sa mère qu’une seule et même divinité . Section deuxième. Dieux du second ordre.
m de Satyres tous les dieux chèvre-pieds. § 2. Silène. Silène, divinité champêtre, nous est représenté sous la figure d’u
lobe terrestre. § 3. Flore. — Palès. — Pomone. Flore ou Flora, divinité des Romains, épousa Zéphyre, qui lui accorda une
 5. Aristée. Aristée, honoré par les Siciliens comme une de leurs divinités champêtres, était fils de Cyrène, une des naïades
Nérée, était attachée au service de Diane, et préférait, comme cette divinité , les ardents plaisirs de la chasse aux charmes am
it mécontent de leur service. » § 18. Génius. Génius ou Génie, divinité des Grecs et des Romains, présidait à la naissanc
, avait son Génie. A Rome on adorait le Génie public, c’est-à-dire la divinité tutélaire de l’Empire. Chaque individu, lorsqu’il
nts le même respect que pour les dieux : on les envisageait comme des divinités protectrices, qui habitaient auprès des tombeaux,
u’elles se dissipent très-vite. Quelquefois on met Plutus au rang des divinités infernales, et on le confond avec Pluton, parce q
on, chacun a un penchant favori qui l’entraîne, et le domine. d) Divinités allégoriques. § 23. La Fortune. La Fortun
r l’atteindre de vains efforts. § 27. La Renommée. La Renommée, divinité allégorique des Grecs et des Romains, a cent yeux
 28. La Paix. Toute l’antiquité païenne éleva à cette bienfaisante divinité des statues et des autels. Les Romains lui dédièr
’amis intimes, rends-toi au temple d’Hécate. Là, en présence de cette divinité redoutable, tu me jureras amour et fidélité ; tu
ourut de cette blessure. Orphée, inconsolable, n’ayant pu fléchir les divinités du ciel, ne craignit pas de descendre aux enfers,
s plus heureux commencements. Cadmus se voyait gendre de deux grandes divinités  ; père de quatre filles aussi belles que séduisan
mpie et cruel, qui, pour éprouver si ses hôtes étaient réellement des divinités et s’ils connaissaient les choses cachées, égorge
t l’un et l’autre de ce qu’ils avaient de mortel, les changea en deux divinités marines : Ino sous le nom de Leucothoé, et Mélice
promenait sur un char avec sa brillante famille, comme pour braver la divinité de Thèbes et lui ravir l’encens des mortels. Offe
y recouvre ses sens, et adresse une ardente prière à cette inflexible divinité . Dans ce moment, et tandis que son visage est enc
nnait aussi ce nom à l’endroit où l’on recevait ces réponses, et à la divinité qu’on y interrogeait. On consultait les oracles p
is, savoir s’il guérirait d’une maladie : il allait consulter une des divinités qui avaient la réputation de prédire l’avenir. Ju
le magie l’art de produire des effets surnaturels avec le secours des divinités infernales, ou par le moyen de paroles cabalistiq
, soit dans la Grèce, soit à Rome, qui ne fussent consacrés à quelque divinité , et on ne les commençait jamais sans avoir préala
aient d’ache, plante funèbre. § 26. Mythologie Égyptienne. Les divinités égyptiennes qui tiennent le premier rang, sont Os
voir et tout entendre, mais parler peu. Les Romains adoptèrent cette divinité , dont ils placèrent la statue à l’entrée de leurs
ques ; et comme le dit élégamment Boileau : Chaque vertu devient une divinité  : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté… É
fondue avec Cybèle, et elles ne forment ensemble qu’une seule et même divinité . 4. En latin tellus veut dire terre, et ops seco
16 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
et, ordonna à touts ses sujets de lui rendre le culte qui est dû à la divinité . A l’exemple des Assyriens, les nations voisines
nd un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque vertu devient une divinité . Minerve est la prudence, et Vénus, la beauté. Ce
Demande. Qu’est-ce que le Destin ? Réponse . Le Destin étoit une divinité aveugle qui gouvernoit toutes choses par une néce
les attributs de Saturne ? R. Saturne étoit regardé comme le Temps, divinité allégorique, représentée sous la figure d’un viei
( Rousseau.) D. Les poëtes ne nomment-ils pas encore quelques autres divinités maritimes ? R. Ils en nomment plusieurs, telles
her, dans la mer. Les dieux, touchés de compassion, les changèrent en divinités maritimes. Les Grecs honoroient Ino sous le nom d
érident pas touts nos jours. ( Malherbe.) D. Quelles sont les autres divinités qu’on peut encore mettre au nombre des divinités
lles sont les autres divinités qu’on peut encore mettre au nombre des divinités infernales ? R. Ce sont la Nuit, le Sommeil, la
roubler le silence qui doit régner dans les tombeaux. La Mort est une divinité inexorable, sourde aux vœux et aux prières des hu
sacrifiée aux manes d’Achille. Ils appeloient pareillement Manes des divinités qui présidoient aux tombeaux ; Aussi trouve-t-on
ux, parce que les richesses se tirent du sein de la terre, séjour des divinités infernales. Tantôt on le fait aveugle, pour marqu
uger ce différent, déclarèrent qu’ils se décideroient en faveur de la divinité qui produiroit la chose la plus belle et la plus
enfers ; et sous ces trois différents noms, elle n’étoit qu’une même divinité  : c’est pourquoi les poëtes l’appellent déesse à
ue Diane aima le berger Endymion ; mais alors elle est regardée comme divinité céleste. D. Comment Diane punit-elle la nymphe Ca
énius ? R. Génius est le dieu de la nature. On le regardoit comme la divinité qui donnoit l’être et le mouvement à tout. Les em
s de sacrifices. Seconde partie. Dieux de la seconde classe. Divinités champêtres. Pan. Demande. Quel dieu
Pan. Demande. Quel dieu tenoit le premier rang parmi les divinités champêtres ? Réponse . C’étoit le dieu Pan ; il
res. D. Que raconte-t-on des Satyres ? R. Les Satyres étoient des divinités champêtres, qu’on représentoit comme de petits ho
un des plus anciens dieux des Romains ; ce fut Numa qui inventa cette divinité comme un frein plus capable que les lois d’arrête
erroit point. Narcisse fut changé en une fleur qui porte son nom. Divinités domestiques. Lares, Pénates. D. Quels son
’incendie de Troie les Pénates de cette ville. De quelques autres divinités du second ordre. Comus. D. Quel étoit l’e
, dieu Égyptien, fils d’Osiris et d’Isis, présidoit au silence. Cette divinité allégorique est représentée sous la figure d’un h
orde. D. Dites ce qu’étoit la Discorde ? R. La Discorde étoit une divinité malfaisante à laquelle on attribuoit les guerres
re, Qui, pour anéantir l’auguste vérité, Iroit, jusques au sein de la divinité , Percer de mille coups sa rivale étonnée, Et blas
17 (1800) Cours de mythologie pp. -360
Avant-propos La Poésie a créé la Fable ; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le Ciel, la Terre, la Mer, le Ténare,
il les brave ;         Est-ce au Compas à régler le Pinceau3 ? Les Divinités soit poétiques, soit allégoriques, sont presque i
Temps sera pour vous, l’Eternité pour moi. Thomas 7.     O Temps ! divinité terrible, Tu courbes sous ses humbles toits, Le d
   Long-tems avant que la matière                Reçut les lois de la Divinité  :          Tout fut en toi ; sans toi, rien n’eût
llant du Soleil. Bernis 51. Voyez Sommeil, Songes. Songes. Divinités subordonnées au Sommeil. Chacun d’eux avoit sa fo
Elle écrivit ; je ressuscite. Voltaire à Bourdic 64. Mânes. Divinités qui présidoient aux Tombeaux. Leur culte étoit ré
éternité Sans dépouiller la majesté sévère : Si, pour l’honneur de la Divinité , Ils ne pouvoient briser la chaîne austère De la
est fini, tout est perdu. Ma plainte est-elle légitime, Trop cruelle Divinité , Qu’encense notre vanité Pour en devenir la victi
t simplement du lait, du miel, de l’huile, des fleurs et du vin.      Divinités des bois, des campagnes, des eaux,               
Elle se vengea cruellement de n’avoir pas été invitée avec les autres Divinités aux nôces de Thétis et de Pélée. Elle jeta sur la
a triste influence, Feroit pleuvoir les maux sur les humains, A trois Divinités commirent l’assistance. Qu’ils nous devoient cont
des festons, bien plutôt que des chaînes. Bernard 121. Mort. Divinité cruelle et inexorable, sourde aux vœux et aux pri
non, je suis Déesse, et je ne puis mourir. Eh bien, Reine des morts, Divinité barbare, Puisque le Ciel cruel fait descendre ver
ieux.     Ni l’or, ni la grandeur ne nous rendent heureux ; Ces deux divinités n’accordent à nos vœux Que des biens peu certains
Chaque Temple étoit communément environné d’un bois consacré à la Divinité qu’on y adoroit, C’étoit dans ces forêts religieu
nt mieux attirer les respects et les vœux. Sous un air plus connu, la Divinité peinte Trouveroit moins d’encens, et feroit moins
Par le charme puissant de l’antique harmonie, Apollon dépouillé de sa divinité Ramenait l’abondance et la félicité… Tresséol 24
se facile Soupiroit d’un ton si touchant, Parois ici, tendre Virgile, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, E
er profonde, Va sans retour engloutir nos instans. Bernis 256. Divinités allégoriques Destin ou Destinée, Fils d
Amitié. Les Romains avoient emprunté des Grecs cette aimable Divinité , idole des cœurs vraiment vertueux et sensibles.
on réveil. Balze 295.     Quel éclair perce la nue ? Quelle est la Divinité Qui vient offrir à ma vue Tant de grâce et de bea
sa victime et non pas son complice. Imbert 301. Providence. Divinité bienfaisante, inaccessible au sommeil. Toujours é
18 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
Avant-propos. La Poésie a créé la Fable ; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le Ciel, la Terre, la Mer, le Ténare,
, il les brave ;         Est-ce au Compas à régler le Pinceau3 ? Les Divinités soit poétiques, soit allégoriques, sont presque i
Temps sera pour vous, l’Éternité pour moi. Thomas 7.    O Temps ! divinité terrible, Tu courbes sous ses humbles toits, Le d
         Long-tems avant que la matière          Reçut les lois de la Divinité  :      Tout fut en toi ; sans toi, rien n’eût été
llant du Soleil. Bernis 49. Voyez Sommeil, Songes . Songes. Divinités subordonnées au Sommeil. Chacun d’eux avait sa fo
jusqu’alors, Mon seul aspect a fait rire les Ombres64. Mânes. Divinités qui présidaient aux Tombeaux. Leur culte était ré
éternité Sans dépouiller la majesté sévère : Si pour l’honneur de la Divinité Ils ne pouvaient briser la chaîne austère De la c
est fini, tout est perdu. Ma plainte est-elle légitime, Trop cruelle Divinité , Qu’encense notre vanité Pour en devenir la victi
it simplement du lait, du miel, de l’huile, des fleurs et du vin.     Divinités des bois, des campagnes, des eaux,          Belle
Elle se vengea cruellement de n’avoir pas été invitée avec les autres Divinités aux noces de Thétis et de Pélée. Elle jeta sur la
a triste influence, Ferait pleuvoir les maux sur les humains, A trois Divinités commirent l’assistance. Qu’ils nous devaient cont
des festons, bien plutôt que des chaînes. Bernard 123. Mort. Divinité cruelle et inexorable, sourde aux vœux et aux pri
non, je suis Déesse, et je ne puis mourir. Eh bien, Reine des morts, Divinité barbare, Puisque le Ciel cruel fait descendre ver
dieux.    Ni l’or, ni la grandeur ne nous rendent heureux ; Ces deux divinités n’accordent à nos vœux Que des biens peu certains
Chaque Temple était communément environné d’un bois consacré à la Divinité qu’on y adorait, C’était dans ces forêts religieu
nt mieux attirer les respects et les vœux. Sous un air plus connu, la Divinité peinte Trouverait moins d’encens, et ferait moins
Par le charme puissant de l’antique harmonie, Apollon dépouillé de sa divinité Ramenait l’abondance et la félicité. Tresséol 23
se facile Soupirait d’un ton si touchant, Parais ici, tendre Virgile, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, E
mer profonde, Va sans retour engloutir nos instans. Bernis 243. Divinités allégoriques. Destin ou Destinée, Fils du C
ont les accens divers de ta brillante voix. Tantôt, dans les déserts, divinité terrible, Sur des sommets glacés, plaçant ton trô
Amitié. Les Romains avaient emprunté des Grecs cette aimable Divinité , idole des cœurs vraiment vertueux et sensibles.
son réveil. Balze 279.    Quel éclair perce la nue ? Quelle est la Divinité Qui vient offrir à ma vue Tant de grâce et de bea
sa victime et non pas son complice. Imbert 285. Providence. Divinité bienfaisante, inaccessible au Sommeil. Toujours é
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
nt heureux ou malheureux, étaient autant d’occasions de sacrifier aux divinités protectrices du foyer domestique. Or, chacun de c
à Alexandrie en Égypte, on promenait en grande pompe l’image de cette divinité mystérieuse. A Chypre, il avait un temple fameux.
e bienfaiteur d’une ville, étaient placés après leur mort au rang des divinités secondaires. Les peuples imploraient leur médiati
ient des mystères, et chaque coup de rame des matelots réveillait une divinité monstrueuse endormie sous ses vagues bleues. Nous
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