nt le premier signifie fable et le second discours. Le culte des faux
dieux
s’appelle idolâtrie1. Il faut, avant tout, cherch
la suppose, il l’invente. L’erreur a donc un fond de vérité, les faux
dieux
attestent le Dieu véritable, et ils ne sont venus
tmosphère, la surface et les entrailles de la terre furent peuplés de
dieux
et de déesses innombrables, et que, suivant l’exp
esses innombrables, et que, suivant l’expression de Bossuet, tout fut
dieu
, excepté Dieu lui-même . Tout ce qui se meut dans
onnes divines, l’homme donna des noms et attribua des aventures à ces
dieux
qu’il avait créés ; il les maria, leur donna une
quelque nymphe métamorphosée pour avoir repoussé les poursuites d’un
dieu
. L’allégorie a transformé en divinités ou en acti
Cérès sera enlevée par Pluton, et sera dérobée à tous les yeux par le
dieu
qui règne dans les entrailles de la terre. Ce n’e
endus à leurs semblables, et pour les rapprocher davantage des autres
dieux
, on les fit naître de l’union des dieux avec de s
pprocher davantage des autres dieux, on les fit naître de l’union des
dieux
avec de simples mortelles. Hercule, dieu de la fo
s fit naître de l’union des dieux avec de simples mortelles. Hercule,
dieu
de la force, destructeur des monstres, est devenu
ivision de la mythologie. Pour étudier avec méthode l’histoire des
dieux
qu’adoraient les anciens, il convient de les clas
partient au Destin, que les idolâtres ont placé au-dessus de tous les
dieux
, et qui les régit par sa puissance aveugle et inf
nter ensuite le débrouillement du Chaos, la naissance du monde et des
dieux
, et les premiers âges de l’humanité. Nous placero
dieux, et les premiers âges de l’humanité. Nous placerons ensuite les
dieux
de l’Olympe ou du Ciel, et nous décrirons le séjo
pe ou du Ciel, et nous décrirons le séjour qu’ils occupent. Après les
dieux
de l’Olympe viendront ceux de la terre, et, plus
par l’histoire des demi-dieux et des héros, qui sont placés entre les
dieux
et les hommes, et qui tiennent des uns et des aut
ependant que le monde fût abandonné au hasard ou livré au caprice des
dieux
, pleins de vices et de passions, qu’ils adoraient
e idée obscure de la Providence, ils placèrent au-dessus d’eux et des
dieux
mêmes une divinité toute-puissante, mais aveugle
nt le Destin, et lui donnèrent pour père le Chaos et la Nuit, anciens
dieux
antérieurs à la naissance de tous les autres. Le
à la naissance de tous les autres. Le Chaos et la Nuit sont les seuls
dieux
qui n’aient pas eu de commencement ; mais ils ont
aos périt par la création, et la Nuit par la lumière. Tous les autres
dieux
ont eu un commencement, mais ils ne doivent pas m
il est éternel. Chez les anciens l’éternité n’appartenait à aucun des
dieux
, puisque le Chaos et la Nuit avaient cessé d’être
sque le Chaos et la Nuit avaient cessé d’être, et que tous les autres
dieux
avaient commencé. Le Destin commande à tous les d
tous les autres dieux avaient commencé. Le Destin commande à tous les
dieux
, et tient dans ses mains le sort de tous les mort
d’airain, et nulle puissance ne saurait les effacer. On représente ce
dieu
sous la figure d’un vieillard aveugle, ayant sous
sance et de son inflexibilité. Création du monde. — Génération des
dieux
. Voici comment Hésiode, l’un des plus anciens
tes, raconte dans sa Théogonie l’origine du monde et la naissance des
dieux
: Avant tout, dit-il, fut le Chaos ; ensuite paru
ébreux de la terre, et l’Amour, le plus beau des immortels, tyran des
dieux
et des hommes. La Terre ou Titéa produisit d’abor
d le Ciel, Uranus, dont la voûte étoilée devait devenir le palais des
dieux
. Elle produisit les hautes montagnes, qui reçoive
nt plus tard les foudres de Jupiter. Semblables d’ailleurs aux autres
dieux
, ils n’avaient qu’un œil qui s’ouvrait comme un l
e l’humanité, quatre races différentes avaient paru sur la terre. Les
dieux
firent d’abord paraître la race d’or. Ces hommes,
la race d’or. Ces hommes, gouvernés par Saturne, vivaient, comme des
dieux
, exempts de guerres, de maladies et de crimes ; l
é, ils se plongeaient dans les plaisirs. Ils oubliaient de servir les
dieux
et de les adorer. Jupiter les rappela dans le sei
ont la terre fut arrosée, lorsque ces monstres furent vaincus par les
dieux
, mêla l’impiété à la corruption du genre humain.
elle lui plaça sur la tête. Jupiter la conduisit dans l’assemblée des
dieux
, qui furent frappés d’étonnement à la vue de cett
, seul bien qui soit demeuré aux mortels. Cette jeune vierge, que les
dieux
avaient nommée Pandore, devint l’épouse d’Epiméth
x que la mythologie raconte sur la création du monde et l’origine des
dieux
et des hommes. Il n’est pas facile de les concili
s hommes remplacèrent-ils la croyance du vrai Dieu par celle des faux
dieux
? — Lorsque les hommes eurent perdu la connaissan
e allégorique ? — Qu’est-ce qu’un emblème ? — Comment divise-t-on les
dieux
? — Les anciens n’ont-ils pas placé au-dessus de
n les dieux ? — Les anciens n’ont-ils pas placé au-dessus de tous les
dieux
une divinité aveugle et inflexible, et quel est l
t par allégorie qu’on a pu dire qu’il avait donné asile à Saturne. Ce
dieu
est ordinairement représenté sous la forme d’un v
s Uranus et Titéa. Les anciens l’adoraient comme le plus puissant des
dieux
, le maître du ciel et de la terre. Nous savons dé
Ossa sur Pélion. Jupiter, dans son effroi, appela à son aide tous les
dieux
et toutes les déesses. Styx, fille de l’Océan et
des enfers qui porte le même nom, fussent inviolables. Le combat des
dieux
et des Géants fut long et terrible ; cependant le
e combat des dieux et des Géants fut long et terrible ; cependant les
dieux
étaient vainqueurs ; Porphyrion, Éphialte et Otus
ble Typhon ou Typhée, qui devait venger la défaite de ses frères. Les
dieux
, épouvantés à la vue de ce nouvel ennemi, prirent
femme et moitié serpent. Mercure et Pan le délivrèrent, et le roi des
dieux
poursuivit Typhon, le foudroya et le précipita da
ie renfermée dans ce combat des Géants contre Jupiter. Jupiter est le
dieu
des régions supérieures de l’air, que les hautes
vents favorables aux mortels, Borée, Notus et Zéphyre, sont issus des
dieux
immortels. Mariages de Jupiter. La victoire
les Géants assura son empire, et lui permit de régner en paix sur les
dieux
et sur les hommes. Hésiode raconte que Jupiter,
s allégories. Il épousa d’abord Métis, qui surpassait en lumières les
dieux
et les hommes. Mais craignant d’être vaincu par l
unomie ou la bonne Législation, la Paix et la Justice. Complot des
dieux
contre Jupiter. Jupiter et Junon ne vécurent p
ympe. Elle associa à ses ressentiments Neptune, Minerve et les autres
dieux
, qui résolurent de détrôner Jupiter et de l’encha
mphes de la mer, avertie du danger, n’eût amené au secours du roi des
dieux
le terrible Briarée, géant aux cent bras, fils in
elui-ci, éclatant de gloire, se plaça près du fils de Saturne, et les
dieux
, frappés de crainte, renoncèrent à leur entrepris
idait. A côté de lui siégeait Junon, sa sœur et son épouse ; Neptune,
dieu
des mers, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain, Cérè
tels. Nous verrons dans la suite quelles étaient les attributions des
dieux
et des déesses que nous venons de nommer. Les loi
s des dieux et des déesses que nous venons de nommer. Les loisirs des
dieux
étaient remplis par la musique et les festins. L’
iter et de Junon, suivant Homère, versait le nectar dans la coupe des
dieux
; elle fut privée de cet emploi pour s’être laiss
le fut privée de cet emploi pour s’être laissée choir en présence des
dieux
. Junon la chargea depuis d’atteler son char, et,
epuis d’atteler son char, et, lorsque Hercule fut admis au nombre des
dieux
, elle devint son épouse. Hébé fut remplacée dans
ue Jupiter fit enlever au ciel par l’aigle qui portait sa foudre. Les
dieux
avaient encore, pour compléter leur cour et pour
s dieux avaient encore, pour compléter leur cour et pour l’égayer, un
dieu
subalterne nommé Momus, dont les railleries n’épa
s, dont les railleries n’épargnaient personne, pas même le maître des
dieux
; il remplissait au ciel le rôle que les fous des
sque de la folie. On le représente avec un masque et une marotte. Les
dieux
, fatigués de ses sarcasmes, finirent par le chass
une humble chaumière, habitée par deux vieillards soumis au culte des
dieux
; c’étaient Philémon et Baucis, sa femme. Ils s’e
ivés sur une hauteur voisine, une tempête déchaînée par le maître des
dieux
submergea le pays et noya tous les habitants. Mai
pour y consulter l’oracle d’Apollon : « Sortez du temple, s’écrie le
dieu
, et, la tête couverte d’un voile, jetez derrière
er dans la suite de cette histoire ; mais, avant d’arriver aux autres
dieux
, nous devons dire quelque chose du culte que les
ppelait Osiris. Son culte surpassait en magnificence celui des autres
dieux
: il avait partout des temples et des autels sur
Dodone. Jupiter était, dans la religion des Grecs et des Romains, le
dieu
suprême ; sa puissance était supérieure à celle d
eu suprême ; sa puissance était supérieure à celle de tous les autres
dieux
. Le mouvement de sa tête faisait trembler l’Olymp
les membres du conseil de Jupiter ? — N’y avait-il pas à la cour des
dieux
une autre divinité ? — Jupiter ne voyagea-t-il pa
e Saturne et de Rhée, sœur de Jupiter, fut la principale épouse de ce
dieu
; elle aurait voulu être la seule ; mais Jupiter,
lu être la seule ; mais Jupiter, usant de son privilége comme roi des
dieux
et des hommes, prit pour femmes plusieurs déesses
s noces de cette déesse furent célébrées avec magnificence : tous les
dieux
du ciel et de la terre s’y rendirent avec empress
unon, de son côté, donna naissance à Vulcain, d’autres disent à Mars,
dieu
de la guerre. Nous verrons plus tard avec quel ac
ous savons déjà que, pour se venger de ces affronts, elle souleva les
dieux
contre son époux, et tenta de mettre la guerre ci
tira dans l’île d’Eubée, en faisant le serment de ne jamais revoir le
dieu
qui l’avait outragée. Jupiter la ramena par un st
pe. Cependant la paix ne fut jamais sincère dans le ménage du roi des
dieux
. Comptons maintenant les principales victimes de
ine des Pygmées, Pigas, ayant osé se dire plus belle que la reine des
dieux
, fut changée en grue ; les filles de Prœtus, en p
: reléguée sur la terre, elle eut d’abord à éviter les poursuites du
dieu
Pan ; plus tard, elle s’éprit de Narcisse, jeune
que Jupiter et Junon faisaient mauvais ménage. Comme femme du roi des
dieux
, elle était la protectrice des royaumes et des em
qu’il en soit, le monstre succomba sous ses coups, et le triomphe du
dieu
fit instituer les jeux Pythiques, qui se célébrai
on appelle aussi Phébus, était le plus beau des immortels ; il fut le
dieu
du jour et de la poésie. C’est lui qui conduisait
l’enthousiasme qui échauffe leur génie. Disgrâces d’Apollon. Ce
dieu
fut éprouvé par de cruelles disgrâces. Un de ses
plaintes de Vulcain, qui regrettait les compagnons de ses travaux, le
dieu
fut chassé du ciel. Séjour d’Apollon sur la te
en lui dérobant son arc et son troupeau. Sa flûte seule lui resta. Le
dieu
Pan et le satyre Marsyas osèrent le défier. Le pr
roi Midas, dont l’oreille était peu musicale, donna la préférence au
dieu
Pan. Apollon, pour se venger de cet arrêt, allong
re méconnaît leur génie, et celle-ci leur dispute la gloire. Mercure,
dieu
des voleurs, triomphe impunément du poëte qui se
vec Apollon ; celui-ci le tua par mégarde d’un coup de son palet : le
dieu
le fit revivre dans la fleur qui porte son nom. C
. Dans sa course impétueuse, les dards ont retenti sur les épaules du
dieu
courroucé. Il s’avance semblable à la nuit ; l’ar
aut pas confondre Apollon avec le Soleil lui-même, il n’en est que le
dieu
: le Soleil était l’un des Titans, et les anciens
l’un des Titans, et les anciens lui donnent le nom d’Hypérion. Comme
dieu
du Soleil, Apollon prenait le nom de Phébus, et o
n le représente sur un char brillant attelé de quatre chevaux ; comme
dieu
des beaux-arts, on le peint sous la forme d’un je
ace de la terre, s’élevait un temple fameux consacré à Apollon, où le
dieu
rendait des oracles par la bouche de sa prêtresse
beaux vers : Ou tel que d’Apollon le ministre terrible, Impatient du
dieu
dont le souffle invincible Ag
uel fut le sort d’Apollon sur la terre ? — Ne fut-il pas défié par le
dieu
Pan ? — Quelle fut la punition de Midas ? — Comme
e berger Endymion, qu’elle visitait dans la grotte de Latmos, pour le
dieu
Pan et le géant Orion. Vengeances de Diane.
tre Œnée, roi de Calydon, qui l’avait oubliée dans ses sacrifices aux
dieux
, elle déchaîna un sanglier terrible qui dévasta l
nt Vénus et son fils au delà de l’Euphrate, pendant la guerre que les
dieux
soutinrent contre Typhon. Suivant d’autres, ce so
ce. Minerve naquit à propos pour seconder son père dans la guerre des
dieux
contre les géants. Elle l’aida de ses conseils et
ris adjugea à la mère de Cupidon ; elle fut en rivalité avec Neptune,
dieu
des mers, pour l’honneur de donner un nom à la vi
om à la ville que Cécrops venait de fonder en Attique. Le conseil des
dieux
se porta juge de leur différend ; on décida que l
eptune frappa la terre de son trident et en fit sortir un cheval. Les
dieux
furent saisis d’admiration à la vue de cet animal
lance. Un olivier chargé de fruits sortit du sein de la terre, et les
dieux
décidèrent que la déesse l’avait emporté sur Nept
rmès, fils de Jupiter et de Maïa, l’une des filles d’Atlas6, était le
dieu
de l’éloquence, du commerce et des voleurs ; les
tlas6, était le dieu de l’éloquence, du commerce et des voleurs ; les
dieux
en firent leur messager : c’est par son entremise
é de cette espièglerie, confia à son jeune fils le soin de servir aux
dieux
le nectar et l’ambroisie. Hébé venait d’être disg
nu berger. Vous savez déjà qu’il ne l’épargna pas plus que les autres
dieux
. Services rendus aux dieux par Mercure. Cep
il ne l’épargna pas plus que les autres dieux. Services rendus aux
dieux
par Mercure. Cependant, comme l’adresse reconn
nctions de Mercure sont très-variées : il servait d’intermédiaire aux
dieux
dans toutes leurs affaires ; il présidait aux jeu
Ne rentra-t-il pas en grâce ? — Quels services Mercure rendit-il aux
dieux
? — Comment le représente-t-on ? — Qu’est-ce que
es champs d’Olène, ville de l’Achaïe. Quoi qu’il en soit, Mars est le
dieu
de la guerre. Pendant le combat des Géants, il fu
Mercure, après une longue captivité. Aventures de Mars. Pour le
dieu
de la guerre, c’était mal débuter. Les Grecs en f
parti contre eux pour les Troyens. Diomède le blessa de sa lance. Le
dieu
blessé poussa un cri terrible, fort comme la voix
l, où Jupiter lui fit de violents reproches : Va, tyran des mortels,
dieu
barbare et funeste. Va faire retentir tes regrets
aussi qu’ayant tué Halirrhotus, fils de Neptune, Mars fut cité par le
dieu
de la mer au conseil des dieux, et que l’assemblé
, fils de Neptune, Mars fut cité par le dieu de la mer au conseil des
dieux
, et que l’assemblée, tenue dans Athènes, l’acquit
ils lui ont consacré leur ville, dont ils rattachaient l’origine à ce
dieu
, regardé par eux comme père de Romulus et de Rému
ars ! plaçant ainsi leurs armes sous la vigilance et la protection du
dieu
. Les Saliens, prêtres de Mars, formaient à Rome u
uze boucliers. Ils dansaient et chantaient des hymnes en l’honneur du
dieu
Mars. On représente Mars sous la figure d’un guer
e cérémonie faisaient-ils tous les ans ? — Comment représente-t-on le
dieu
Mars ? § 9. Vénus. Naissance de Vénus.
’instruire et la conduisirent dans l’Olympe sur un char diaphane. Les
dieux
, transportés d’admiration, la proclamèrent déesse
jeunesse à celle qui la possédait. Jugement de Pâris. Tous les
dieux
avaient été appelés aux noces de Pélée, roi d’Égi
dé, et la troisième un myrte. Cupidon, fils de la belle Vénus, est le
dieu
de l’amour. Il faut le distinguer de l’Amour ou É
temps que le ciel et la terre, et dont la naissance précéda celle des
dieux
eux-mêmes. Jupiter, qui prévoyait les troubles qu
ur les animaux avant d’en percer le cœur des hommes. Cupidon était un
dieu
puissant et impitoyable. Nous verrons plus loin s
r ? — Comment Cupidon fut-il nourri ? — Quelle est la puissance de ce
dieu
et comment se fit-il des armes ? — Que fit Vénus
t plusieurs surnoms, entre autres ceux de Bonne Déesse et de Mère des
dieux
. Cybèle choisit pour son prêtre, Atys, berger phr
r une fille nommée Proserpine. Cérès parcourut la terre avec Bacchus,
dieu
de la vigne, enseignant aux hommes l’art d’enseme
x divinités indique la marche de la culture du blé et de la vigne. Le
dieu
des enfers, le terrible Pluton, dont aucune déess
implorer l’assistance de Jupiter en faveur de sa fille. Le maître des
dieux
décida que Proserpine serait rendue à sa mère, si
Plutus. — culte et images de Cérès. Cérès est la mère de Plutus,
dieu
des richesses. Le dieu est représenté sous la fig
ages de Cérès. Cérès est la mère de Plutus, dieu des richesses. Le
dieu
est représenté sous la figure d’un vieillard aveu
Il y consentit, quoique à regret, et Sémélé tomba morte à l’aspect du
dieu
armé de la foudre. Jupiter renferma dans sa cuiss
élevé par Silène, fils de Mercure et de la Terre, d’autres disent du
dieu
Pan et d’une nymphe. Ce vieillard, gros, gras, co
de ce privilége lorsqu’il voulut boire et manger ; aussi pria-t-il le
dieu
de l’en débarrasser. Il y parvint en se lavant le
eances de Bacchus. — Penthée. — Lycurgue. —Les filles de Minée. Ce
dieu
, père de la joie, n’en était pas moins terrible d
e. Leurs métiers sont brisés ; on élève en leur place Une chapelle au
dieu
, père du vrai nectar. Le poëte tire de cette ave
Le poëte tire de cette aventure la conséquence qu’il faut honorer les
dieux
: Chômons, c’est faire assez qu’aller de temple
re à chaque immortel les vœux qui lui sont dus : Les jours donnés aux
dieux
ne sont jamais perdus. Culte et images de Bac
sance, disgrâces, travaux, culte et images de Vulcain. Vulcain, le
dieu
du feu, est fils de Jupiter et de Junon, et, selo
t fils de Jupiter et de Junon, et, selon d’autres, de Junon seule. Ce
dieu
parut si difforme, que Jupiter, d’un coup de pied
de leurs marteaux, qui frappaient en cadence de lourdes enclumes. Les
dieux
, malgré la difformité de Vulcain, le donnèrent po
le de toutes les déesses. Vulcain se faisait remarquer entre tous les
dieux
par son caractère officieux et débonnaire. Il éta
u de Ganymède, l’office d’échanson. C’est alors que s’éleva parmi les
dieux
ce rire inextinguible dont parle Homère . Il déli
nsmettent dans la succession des âges. On représente ordinairement ce
dieu
appuyé sur une enclume ; sa barbe est touffue ; s
e des fleurs ; Pomone, déesse des vergers et des fruits, et Vertumne,
dieu
des saisons. Palès n’a pas d’histoire ; cette inn
esse et de soumission, lui fit agréer ses hommages, et l’union de ces
dieux
ne fut troublée par aucun orage. Les poëtes, en c
entés de leur donner un nom, une figure et quelques attributs. Terme,
dieu
romain, présidait aux bornes des champs. On le re
pour marquer son immobilité. Il faut ajouter à ces divinités Priape,
dieu
des jardins, fils de Vénus et de Jupiter, et le d
ivinités Priape, dieu des jardins, fils de Vénus et de Jupiter, et le
dieu
Pan, fils de Jupiter et de la nymphe Calisto. Les
de cornes et le corps porté par des jambes de chèvre ou de bouc. Ces
dieux
railleurs et lascifs étaient la terreur des Nymph
ascifs étaient la terreur des Nymphes. Il ne faut pas oublier Faunus,
dieu
des bergers, qui régna sur le Latium après Picus,
a terre ? — Qu’est-ce que Palès, Flore et Pomone ? — Qu’est-ce que le
dieu
Pan, et quelle était sa résidence ? — Qu’est-ce q
les anciens avaient divinisée sous les noms d’Océan et de Téthys. Ces
dieux
antiques étaient fils d’Uranus et de Titéa, et to
né le géant Égéon ou Briarée, dont l’apparition déjoua le complot des
dieux
contre Jupiter. Cela tient sans doute à la confus
t le change, et Neptune fut sauvé. Il se distingua dans la guerre des
dieux
contre les Géants ; mais son ambition le porta bi
pollon. Briarée, choisi pour arbitre, adjugea l’isthme de Corinthe au
dieu
des mers et le promontoire à son rival. Neptune é
ateurs et des fondateurs de villes maritimes, qui se disaient fils du
dieu
des mers. Attributs et culte de Neptune. Ne
Chez les Romains ces fêtes s’appelaient Consuales10. On immolait à ce
dieu
le cheval et le bœuf, et les devins lui offraient
fférends avec quelques divinités ? — Qui Neptune épousa-t-il ? — Quel
dieu
était Neptune et comment le représente-t-on ? — Q
hys, d’autres disent de Neptune, était le gardien des troupeaux de ce
dieu
, troupeaux composés des phoques ou veaux marins.
dont les conseils l’aideront à réparer sa perte. Aristée surprend le
dieu
endormi sur le rivage de la mer et le charge de l
monté d’une figure humaine, se terminait par une queue de dauphin. Ce
dieu
était le trompette de Neptune. Dans la guerre des
olent, que les fils de la Terre, épouvantés, cédèrent la victoire aux
dieux
. Les enfants de Triton conservèrent le nom de leu
e Triton conservèrent le nom de leur père, et servirent de cortége au
dieu
des mers avec Nérée et Doris. Glaucus, autre divi
elui de Matuta. Phorcys. — Les Sirènes. — Les Harpyes. Phorcys,
dieu
marin, était fils de Neptune et père des Gorgones
amène les naufrages qui ont rendu si fameux le détroit de Messine. Ce
dieu
est le symbole des monstres marins. Les Sirènes,
nfestent les mers et pillent les côtes. Éole et les Vents Éole,
dieu
des vents et des tempêtes, régnait sur les îles d
les tempêtes, les autres, favorables aux mortels, étaient enfants des
dieux
. Les quatre vents principaux étaient : Eurus, Aus
la cause de leur mort ? — Qu’est-ce que les Harpyes ? — Quel était le
dieu
des vents et des tempêtes ? — N’y avait-il pas pl
s cet abîme roulerait un an entier sans trouver un point d’appui. Les
dieux
mêmes redoutent ce chaos, séjour odieux où sommei
ron, environnait sept fois les Enfers. C’est par lui que juraient les
dieux
, et le serment prononcé sur son nom était inviola
l, il vivait dans l’isolement, loin de la table et de l’assemblée des
dieux
; il ne reprenait son rang parmi les immortels qu
ela qu’il enleva la fille de Cérès, la belle et chaste Proserpine. Ce
dieu
était généralement haï et redouté ; il avait peu
couples, parce que le nombre pair, nombre funeste, était agréable au
dieu
des Enfers, tandis que le nombre impair plaisait
Tartare en punition de son orgueil. Ce prince voulant passer pour un
dieu
, fit jeter sur l’Alphée un pont d’airain qu’il tr
des torches enflammées qui imitaient les foudres de Jupiter. Mais le
dieu
du ciel envoya d’en haut ses foudres véritables,
evient mère d’Esculape, ce prince osa piller le temple de Delphes. Le
dieu
irrité le tua à coups de flèches et le précipita
terre, le coupable eut recours à Jupiter, qui l’admit à la table des
dieux
. Ixion s’éprit de Junon ; la déesse avertit Jupit
xion. Mais, comme celui-ci ne cessait de débiter contre le maître des
dieux
les propos les plus impies, Jupiter le foudroya,
es saisir. C’est Tantale, roi lydien jadis puissant sur la terre. Les
dieux
étaient venus s’asseoir à sa table ; pour tenter
se laissa tromper : elle dévora l’épaule de Pélops ; mais les autres
dieux
ne touchèrent pas à ce mets sacrilége. Ils ressus
s. Bellone, personnification de la guerre, fait double emploi avec le
dieu
Mars. Les Grecs l’appelaient Ényo : on la fait ta
fait tantôt sœur et tantôt femme de Mars. Elle attelait le char de ce
dieu
et se montrait dans les combats, les cheveux épar
cheveux qu’il faut saisir au passage. Le Silence est révéré comme un
dieu
, sous le nom d’Harpocrate et de Sigalion. On le r
ien faire, [La Fontaine] raconte ainsi une visite à la demeure de ce
dieu
, dont il encensait volontiers les autels : Sous
uisseau coule auprès et forme un doux murmure. Les simples, dédiés au
dieu
de ce séjour, Sont les seules moissons qu’on recu
e, Troupe qui sait charmer le plus profond ennui, Prête aux ordres du
dieu
, volait autour de lui. Là cent figures d’air dans
oracle avait annoncé qu’elle serait l’épouse d’un monstre, tyran des
dieux
et des hommes, et avait ordonné qu’elle fût expos
ux et des héros, bienfaiteurs de l’humanité, nous placerons Esculape,
dieu
de la médecine. Esculape ou Asclépius, dieu de la
nous placerons Esculape, dieu de la médecine. Esculape ou Asclépius,
dieu
de la médecine, était fils d’Apollon et de la nym
aires dans l’exercice de la médecine. Questionnaire. Quel est le
dieu
de la médecine ? — Quel fut le maître d’Esculape
§ 2. Hercule. Naissance et éducation d’Hercule. Hercule,
dieu
de la force, est le fils de Jupiter et d’Alcmène.
rifice, Jupiter appela son fils dans l’Olympe, l’admit à la table des
dieux
, et lui donna pour épouse Hébé, déesse de la jeun
et un carquois renferme ses flèches. Questionnaire. Quel est le
dieu
de la force ? — Quel fut le premier exploit d’Her
trône au fidèle Dictys. Après ce nouvel exploit, le héros rendit aux
dieux
les armes dont il s’était servi pendant le cours
voulu commettre. Thésée appela sur son fils la colère de Neptune. Le
dieu
des mers envoya un monstre marin qui effraya les
ner leur vaisseau. Le retour fut lent et périlleux ; la vengeance des
dieux
poursuivit les meurtriers d’Absyrte. Après avoir
dement à Agamemnon, frère de Ménélas. Cet honneur lui coûta cher. Les
dieux
misent le départ de la flotte assemblée à Aulis a
et secondé les paroles du devin Calchas, interprète de la volonté des
dieux
, ravit à ce héros Briséis sa captive. Irrité de c
té de la croyance primitive, paraissent avoir conservé la notion d’un
dieu
unique, existant de toute éternité, dont la puiss
yance si vraie et si pure s’altéra : au lieu de Brahm, il y eut trois
dieux
, Brahmâ, Siva et Vichnou. Ces dieux sont fils de
au lieu de Brahm, il y eut trois dieux, Brahmâ, Siva et Vichnou. Ces
dieux
sont fils de Bhavani. On raconte que cette déesse
anisateur du monde, Vichnou, conservateur de la création, et Siva, le
dieu
destructeur. La réunion de ces trois divinités co
it Brahmâ flotta pendant une année à la surface des eaux ; lorsque le
dieu
en sortit, la coque brisée se divisa en deux part
dre sa place auprès de ses frères Vichnou et Siva, dans le séjour des
dieux
, il parut sur la terre sous quatre formes success
du géant, le tua, et rapporta les livres sacrés parmi les hommes. Les
dieux
ayant inventé un breuvage qui donnait l’immortali
nnait l’immortalité, les mauvais génies, toujours en lutte contre les
dieux
, voulurent s’en emparer. Leur attaque fut terribl
t devenu, par sa tyrannie et son usurpation, l’objet de la colère des
dieux
. Vichnou se chargea de la vengeance commune. Ayan
, quand le géant, tombant à genoux, reconnut humblement le pouvoir du
dieu
suprême. Vichnou lui laissa la souveraineté du so
ès d’accord. Questionnaire. Quel est chez les Indiens le nom du
dieu
suprême ? — Comment raconte-t-on la naissance des
iens le nom du dieu suprême ? — Comment raconte-t-on la naissance des
dieux
? — Quelles sont les aventures de Brahmâ ? — Qu’e
nt point de temples : c’est sur les montagnes qu’ils honoraient leurs
dieux
, auxquels ils offraient en sacrifice le sang des
aient en sacrifice le sang des animaux. Les Perses reconnaissaient un
dieu
suprême, éternel et immense, dont la durée et l’é
tendue sont infinies. Ils le nommaient Zervane-Akérène. Du sein de ce
dieu
, qui n’a pas eu de commencement et qui n’aura poi
blème de l’année solaire qui expire pour renaître. Les mystères de ce
dieu
se célébraient au fond d’une grotte par l’entremi
Ahriman. — Qu’est-ce que Mithra, et que savez-vous des mystères de ce
dieu
? III. Croyances des Égyptiens. Osiris,
eption d’un seul, et fit élever sur tous les points où les membres du
dieu
avaient été retrouvés des tombeaux et des temples
légué dans les déserts. On dit qu’après la mort d’Osiris, l’âme de ce
dieu
passa dans le corps du bœuf Apis, autre divinité
placée à Alexandrie, dans un temple magnifique, le crédit des autres
dieux
fut ruiné, tous les hommages se portèrent sur Sér
? IV. Croyances des Scandinaves et des Gaulois. Origine des
dieux
, du monde et des hommes. Les Scandinaves, peup
errier sorti d’Asie et établi au nord de la Germanie, formèrent leurs
dieux
à leur image : tout dans leurs croyances respire
aient mis la main à cet ouvrage ; le monde créé, ils en devinrent les
dieux
, et prirent possession du ciel ; puis ils firent
devait les protéger contre les incursions des géants. Conseil des
dieux
. Les Scandinaves reconnaissaient douze grands
tre de l’univers, chef suprême des armées ; il préside le conseil des
dieux
; son immense regard embrasse l’univers. Il trave
, la lance à la main, et montées sur des chevaux ardents. Thor est le
dieu
de la force, le maître du tonnerre, le fléau des
i qu’on invoquait pour obtenir d’abondantes moissons. Après ces trois
dieux
qui dominent le conseil, il faut placer Niord, di
Après ces trois dieux qui dominent le conseil, il faut placer Niord,
dieu
des mers ; Tyr, le soutien des guerriers et des a
le soutien des guerriers et des athlètes ; Braga, l’Apollon du Nord,
dieu
du chant et de la poésie ; Heimdall, le gardien d
eimdall, le gardien du pont céleste, ou l’arc-en-ciel, par lequel les
dieux
communiquent avec la terre. Les sens de ce dieu s
ciel, par lequel les dieux communiquent avec la terre. Les sens de ce
dieu
sont si déliés, qu’il distingue les plus petits o
entend croître l’herbe des champs et la laine des brebis ; Balder, le
dieu
bon et aimable, principe du bien, symbole de la b
ole de la beauté ; Vidar, qui doit tuer un jour le terrible ennemi du
dieu
, le loup Fenris, auxiliaire des génies ; Vali, ha
ataille ; Freya déesse de l’amour ; Eyra, qui veille sur la santé des
dieux
et des hommes. Le conseil des dieux se tenait sou
Eyra, qui veille sur la santé des dieux et des hommes. Le conseil des
dieux
se tenait sous le frêne Ygdrasil, dont les racine
’hydromel coule à grands flots, et où les sangliers sont dévorés, les
dieux
sont servis par les Walkyries. Le Valhalla
ée. Au sortir du combat, les vainqueurs vont s’asseoir à la table des
dieux
, et ils savourent le lait de la chèvre Heidrun, l
fleuves d’une eau noire et fangeuse : c’est le séjour des lâches. Ces
dieux
ne doivent pas durer toujours. A côté d’eux subsi
et autre Ahriman, qui appartient à la race des géants ; semblable aux
dieux
par l’intelligence et la beauté extérieure, ses v
a terre, Héla ou la mort qui règne aux enfers, et le loup Fenris. Les
dieux
sont parvenus à enchaîner ces monstres ; mais un
moment la liberté ; alors, dans une lutte horrible des éléments, des
dieux
et des génies du mal, les esprits malfaisants ser
énies du mal, les esprits malfaisants seront détruits. La plupart des
dieux
, Odin lui-même, périront, et de ce bouleversement
les sombres forêts, l’autel était un bloc de pierre. Ils adoraient un
dieu
suprême, créateur du monde ; mais ils reconnaissa
tatès, auquel on immolait des victimes humaines ; Hésus, qui était le
dieu
des batailles ; Bélénus, dieu de la lumière. Les
victimes humaines ; Hésus, qui était le dieu des batailles ; Bélénus,
dieu
de la lumière. Les druides, prêtres de cette reli
’origine de la terre ? — Combien les Scandinaves reconnaissent-ils de
dieux
? — Quels sont les noms de ces dieux et leurs fon
Scandinaves reconnaissent-ils de dieux ? — Quels sont les noms de ces
dieux
et leurs fonctions ? — Quelles sont les principal
s ? — Quel est l’emploi des Walkyries ? — Où se tenait le conseil des
dieux
? — Quel est le nom du paradis des Scandinaves ?
nserva sa vertu prophétique. 15. Le Mérou est le séjour habituel des
dieux
. Au sommet de cette montagne s’élève le Lingam, a
emandes et par réponses, aurait suffi pour donner la connaissance des
dieux
de la fable ; mais il existe tant d’ouvrages de c
et ils pourront commencer par leur faire apprendre les divisions des
dieux
du paganisme, et les histoires particulières des
; les sens décidèrent de tout, et firent, malgré la raison, tous les
dieux
qu’on adore, sur la terre. « Du temps d’Abraham e
squ’à immoler leurs enfans, et à les briller au lieu d’encens à leurs
dieux
. » Après avoir fixé nos regards sur ces première
re, et qu’aussitôt que la corruption eut conduit jusqu’à imaginer des
dieux
, on dut confondre ensemble les vérités historique
s obscurs, et pour faire connaître la différence qui existe entre les
dieux
de l’Orient et les dieux de l’Occident, nous allo
connaître la différence qui existe entre les dieux de l’Orient et les
dieux
de l’Occident, nous allons donner les principales
s ; et c’est pour ne pas confondre les époques, que l’on a séparé les
dieux
du paganisme en deux classes : celle des dieux de
que l’on a séparé les dieux du paganisme en deux classes : celle des
dieux
de l’Orient, et celle des dieux de l’Occident.
paganisme en deux classes : celle des dieux de l’Orient, et celle des
dieux
de l’Occident. Tradition des Chaldéens. C’
l’éclat de la lumière, et voyant le monde désert, il ordonna à un des
dieux
de lui couper la tête à lui-même, de mêler avec d
la tradition des Chaldéens sur l’origine du monde : on y voit que les
dieux
étaient antérieurs à sa formation ; mais il n’y e
fille et le pilote ; il adora la terre, éleva un autel, sacrifia aux
dieux
; ensuite lui et tous ceux qui l’avaient accompag
ui avait mérité d’être enlevé dans le ciel, et d’être mis au rang des
dieux
avec ceux qui l’accompagnaient. La même voix les
rouver que les Phéniciens avaient adopté les idées religieuses et les
dieux
des Égyptiens. Quelques auteurs croient que les P
ient que ces corps lumineux étaient les maîtres du monde et les seuls
dieux
qui le gouvernaient. « Ils nommèrent le soleil O
de Jupiter et Junon. Selon ces derniers, Jupiter enfanta cinq autres
dieux
: Osiris, Isis, Typhon, Apollon, et Aphrodite ou
s, et Isis la même que Cérès. » Nous venons de citer les noms de ces
dieux
, parce qu’on les retrouvera sans cesse parmi les
es noms de ces dieux, parce qu’on les retrouvera sans cesse parmi les
dieux
de l’Occident, c’est-à-dire les dieux adoptés par
retrouvera sans cesse parmi les dieux de l’Occident, c’est-à-dire les
dieux
adoptés par les Grecs et les Romains, ce qui prou
’une manière incontestable que les Grecs reçurent leur culte et leurs
dieux
des colonies égyptiennes et phéniciennes qui, par
t de l’idolâtrie la plus absurde. Il ne faut donc point confondre les
dieux
et les fables des poëtes avec les traditions cons
nnaissance de la mythologie, plus nous apercevrons que la plupart des
dieux
notaient que des hommes que leurs actions avaient
par Jupiter. L’empirée, le profond tartare, la terre et l’océan, les
dieux
immortels et les déesses, tout ce qui est, tout c
; il est le père primitif : il n’y a qu’une seule puissance, un seul
dieu
, un seul roi universel de tout… » Telles étaient
orsqu’ils y portèrent leurs lois, leurs coutumes, leurs arts et leurs
dieux
, ils conservaient encore eux-mêmes des souvenirs
les Égyptiens furent les premiers qui rendirent un culte solennel aux
dieux
. Hérodote, au commencement de son histoire, dit
escendans des anciens Perses. Hyde ajoute qu’ils n’adorent qu’un seul
dieu
, principe de tous les êtres, et que s’ils honoren
à des hommes ignorans et déjà corrompus qu’il n’y avait point d’autre
dieu
que lui, ou que du moins cet astre était le trône
iers hommes qui habitèrent la Grèce ne reconnaissaient point d’autres
dieux
que ceux qu’adorent encore aujourd’hui les barbar
s Commentaires, dit aussi que les anciens Germains n’avaient d’autres
dieux
que ceux dont ils recevaient quelque bien, comme
issance malfaisante. Macrobe avait entrepris de prouver que tous les
dieux
du paganisme pouvaient se réduire au soleil et à
tues bien faites attirèrent le respect ; on commença à croire que les
dieux
qu’elles représentaient se plaisaient à les habit
etc. ; l’on parvint enfin jusqu’à placer les grands hommes parmi les
dieux
. L’invention d’un art utile, la beauté d’un ouvra
reconnaître les biens qu’on leur devait qu’en les élevant au rang des
dieux
; mais comme on ne pouvait, sans ridicule, nommer
esque dans le même temps, les Chaldéens mirent leur Bélus au rang des
dieux
. Les Phéniciens, les Syriens, et, après eux, les
llon, etc. ; la lune, sous ceux de Diane, d’Isis, etc. Bacchus fut le
dieu
du vin ; Cérès, la déesse des récoltes ; chaque f
e ; les montagnes eurent leurs nymphes, leurs satyres ; Pluton fut le
dieu
des enfers, etc., etc. On divinisa les passions,
ter, mais elle ne s’occupait qu’à faire du mal. Objet de la haine des
dieux
et des hommes, Jupiter la saisit par les cheveux,
, jusqu’à l’évidence, que tous les hommes ont senti la nécessité d’un
dieu
suprême, ordonnateur et créateur de toutes choses
r Vulcain. On alla jusqu’à prodiguer aux héros tous les attributs des
dieux
. C’est ainsi que la vanité et les autres passions
e, l’Odyssée, l’Énéide, ne seraient presque rien sans la présence des
dieux
et sans le mélange des fictions ingénieuses et at
ardés comme des envoyés du ciel ; on finit par les placer au rang des
dieux
, et c’est dans les histoires altérées de ces chef
remonté trois ou quatre générations, on se trouvait à l’histoire des
dieux
, où l’on rencontrait toujours Jupiter, Saturne, l
omme ils voulaient passer pour anciens, ils se plaisaient à citer des
dieux
, des héros, des rois, qui n’avaient jamais existé
Grecs qu’il faut chercher l’origine des anciens peuples, des premiers
dieux
et des premières fables. Leur histoire ne commenc
st d’eux qu’ils reçurent les cérémonies de la religion ; le culte des
dieux
, les sacrifices ; et les Grecs, en adoptant leur
e. Avant Homère, la prise de Troie était généralement chantée, et les
dieux
de la Grèce étaient honorés avant l’histoire de c
ns les cantiques, où il célèbre avec tant de majesté les victoires du
dieu
des armées sur les ennemis de son peuple. Homère
le. Homère n’a donc été que le chantre et non pas l’inventeur de ses
dieux
; il se soumet à la théologie de son temps ; et,
e faut donc point le regarder comme l’inventeur et le père de tant de
dieux
et d’usages bizarres. Des dieux des Grecs, des
l’inventeur et le père de tant de dieux et d’usages bizarres. Des
dieux
des Grecs, des Romains, et des autres peuples de
ui a fait distinguer les divinités du paganisme en deux classes : les
dieux
de l’Orient et les dieux de l’Occident. Nous n’ét
divinités du paganisme en deux classes : les dieux de l’Orient et les
dieux
de l’Occident. Nous n’étendrons pas plus loin nos
de l’Occident. Nous n’étendrons pas plus loin nos recherches sur les
dieux
de l’Orient, quoique cette partie de la mythologi
ue l’on voudra faire une étude approfondie de l’histoire générale des
dieux
du paganisme. Jamais religion ne fut chargée d’un
u paganisme. Jamais religion ne fut chargée d’un plus grand nombre de
dieux
que celle des Grecs et des Romains, puisque, outr
gion. Ces premiers habitans ne connaissaient point le grand nombre de
dieux
que leurs descendans adorèrent par la suite, et t
Pélasges, dit-il, peuple le plus ancien de la Grèce, honoraient leurs
dieux
sans les connaître et sans leur donner de noms. I
ans les connaître et sans leur donner de noms. Ils les appelaient les
dieux
, et les regardaient comme les maîtres de toutes c
un temps très-éloigné de leur origine, qu’ils surent que les noms des
dieux
étaient venus d’Égypte : ils allèrent alors consu
ancien de la Grèce, et lui demandèrent s’ils recevraient les noms des
dieux
qui leur venaient des barbares. Sur la réponse de
racle qu’ils devaient les recevoir, ils sacrifièrent en invoquant les
dieux
par leurs noms, et ce fut des Pélasges que les Gr
Grecs reçurent ces mêmes noms. On ignore jusqu’à présent d’où chaque
dieu
est venu, s’il existe de tout temps, quelle est s
Samothraces, parmi lesquels ils avaient vécu. Quant à tous les autres
dieux
, leurs noms étaient venus de l’Égypte. » Le mêm
atrie. Ce fut le même prince, selon Pausanias, qui régla le culte des
dieux
et les cérémonies de la religion avec beaucoup de
ion avec beaucoup de sagesse. Il fut le premier qui appela Jupiter le
dieu
suprême, le très-haut. Il défendit qu’on sacrifiâ
upiter le dieu suprême, le très-haut. Il défendit qu’on sacrifiât aux
dieux
rien qui fût animé, et il régla les lois et les c
ite, n’aient apporté avec eux et la connaissance et le culte de leurs
dieux
. En effet, des chefs de colonies ne changent poin
de la Grèce. Il faut observer en outre que les Grecs, en recevant des
dieux
étrangers, changeaient leurs noms. Nous savons, p
nt très-ordinaires dans les apothéoses qui donnèrent tant de nouveaux
dieux
aux Grecs et aux Romains. Hérodote nous apprend
apprend que l’on changeait aussi les fonctions et les généalogies des
dieux
. Par exemple, Vulcain tenait le premier rang parm
gies des dieux. Par exemple, Vulcain tenait le premier rang parmi les
dieux
d’Égypte. Les Grecs en firent un fils de Jupiter
s Grecs, en général, ont mêlé tant de fables dans l’histoire de leurs
dieux
, ils ont tellement défiguré les traditions orient
ons nous servir des divisions qui paraissent les plus naturelles. Les
dieux
du paganisme peuvent se diviser en dieux du ciel,
ent les plus naturelles. Les dieux du paganisme peuvent se diviser en
dieux
du ciel, dieux de la mer, dieux de la terre, et d
turelles. Les dieux du paganisme peuvent se diviser en dieux du ciel,
dieux
de la mer, dieux de la terre, et dieux des enfers
ux du paganisme peuvent se diviser en dieux du ciel, dieux de la mer,
dieux
de la terre, et dieux des enfers. Nous viendrons
t se diviser en dieux du ciel, dieux de la mer, dieux de la terre, et
dieux
des enfers. Nous viendrons ensuite aux dieux suba
r, dieux de la terre, et dieux des enfers. Nous viendrons ensuite aux
dieux
subalternes, sur le séjour desquels on n’avait pa
s, sur le séjour desquels on n’avait pas d’idée bien positive. Les
dieux
du ciel. Varron , le plus grand théologien d
eurs, lorsque des nations ou des villes différentes adoraient le même
dieu
sous le nom de Jupiter, chacune de ces nations ou
Varron en compte plus de trois cents. Il en était de même des autres
dieux
et des demi-dieux. On comptait plus de quarante H
mi-dieux. On comptait plus de quarante Hercules : mais, comme tant de
dieux
différens pouvaient cesser de s’accorder entre eu
ivinité supérieure aux autres. Elle se nommait le Destin ou Fatum. Ce
dieu
, que l’on supposait aveugle, gouvernait toutes ch
nécessité absolue. Jupiter lui-même, le premier et le plus grand des
dieux
, était soumis à ses décrets. Le destin avait son
re, de sorte que jamais on n’adorait sa statue comme celle des autres
dieux
. On essayait cependant de le représenter sous la
n livre dans lequel l’avenir était écrit. (Voyez la fig. 1.) Tous les
dieux
, sans exception, devaient consulter ce livre, par
n est le plus bel aveu que les hommes aient fait de la nécessité d’un
dieu
suprême et unique ; mais il n’était plus en leur
Dieu avait données aux premiers patriarches. Différens ordres des
dieux
. Les dieux étaient partagés en quatre ordres
nées aux premiers patriarches. Différens ordres des dieux. Les
dieux
étaient partagés en quatre ordres différens. Le p
partagés en quatre ordres différens. Le premier ordre comprenait les
dieux
suprêmes, que l’on nommait aussi dieux des nation
e premier ordre comprenait les dieux suprêmes, que l’on nommait aussi
dieux
des nations, parce qu’ils étaient connus et révér
nt Jupiter était le premier. Dans le second ordre étaient compris les
dieux
qu’ Ovide appelait le peuple dieu . Ils se nomma
second ordre étaient compris les dieux qu’ Ovide appelait le peuple
dieu
. Ils se nommaient, dieux moindres des nations. I
pris les dieux qu’ Ovide appelait le peuple dieu . Ils se nommaient,
dieux
moindres des nations. Ils n’avaient point de plac
me ordre était composé des demi-dieux, qui tiraient leur origine d’un
dieu
et d’une mortelle, ou d’une déesse et d’un mortel
, Esculape, Castor et Pollux, etc., etc. On admettait aussi parmi ces
dieux
les héros que leurs belles actions avaient élevés
les misères de la vie, comme la pauvreté, la douleur, etc. Les vingt
dieux
du premier ordre étaient séparés en deux classes.
a première formait le conseil de Jupiter ; elle était composée de six
dieux
et de six déesses. Les six dieux étaient : Jupite
Jupiter ; elle était composée de six dieux et de six déesses. Les six
dieux
étaient : Jupiter, Neptune, Mercure, Apollon, Mar
n’assistaient point au conseil suprême. On les nommait dii selecti :
dieux
choisis. Leurs noms étaient : Cœlus, Saturne, Gén
et de la seconde classe. Le mot indigètes signifie agissant comme des
dieux
; et le mot semones signifie demi-hommes, parce q
t le mot semones signifie demi-hommes, parce qu’ils étaient fils d’un
dieu
et d’une mortelle, ou d’une déesse et d’un mortel
telle, ou d’une déesse et d’un mortel. Histoires particulières des
dieux
. Avant de donner l’histoire de Jupiter, nous c
it très-inférieur à celui de Jupiter, le premier et le plus grand des
dieux
. Cybèle et Saturne n’étaient point comptés parmi
grand des dieux. Cybèle et Saturne n’étaient point comptés parmi les
dieux
du ciel ; mais les notions que nous allons donner
que les Grecs nommaient Uranus, était, selon eux, le plus ancien des
dieux
. De même Vesta prisca, ou Titée, ou Tellus, noms
t ce mois en l’honneur des morts. Le mois de Mars s’appelait ainsi du
dieu
Mars, dont Romulus prétendait descendre, et sous
x qui formaient le conseil de Jupiter. On doit placer Janus parmi les
dieux
indigètes. Dans ses tableaux, on plaçait une bagu
’était fermé que pendant la paix : ce qui fit regarder Janus comme le
dieu
de la paix. Il est bon de remarquer que ce temple
e parmi les Grecs. Si l’on s’étonne de voir Saturne occuper parmi les
dieux
et dans la mémoire des hommes un rang supérieur à
bientôt l’histoire, et qui devint le plus puissant et le premier des
dieux
du paganisme. La réputation de Saturne devint si
r. Cybèle était généralement regardée comme la mère de la plupart des
dieux
; ce qui lui fit donner le nom de Magna Mater, la
cet ouvrage), qu’ils devaient honorer Cybèle comme étant la mère des
dieux
, ils envoyèrent une brillante ambassade en Phrygi
gie, où ils introduisirent les mystères de la Terre et de la mère des
dieux
. Ils assurent que Cybèle donna son nom à cette dé
oilà ce qui, par la suite, a fait croire que Cybèle était la mère des
dieux
. Ce qu’il y a de certain, c’est que la grande dée
distinguèrent extrêmement par le culte qu’ils rendaient à la mère des
dieux
. On donne souvent à Cybèle le nom de Vesta prisca
le feu sacré on conservait dans le temple de Testa le Palladium, les
dieux
pénates et d’autres images des dieux que le pieux
emple de Testa le Palladium, les dieux pénates et d’autres images des
dieux
que le pieux Énée avait rapportés de Phrygie, et
u’on veut approfondir l’idée que les païens avaient de ce premier des
dieux
. La plus grande partie de leurs philosophes croya
t l’air grossier qui nous environne. Ceux qui le regardaient comme un
dieu
animé, ou comme l’un de ces hommes à qui des acti
rimes énormes. Ils le peignaient à la fois comme le maître absolu des
dieux
et des hommes, comme le principe de toute justice
tait Cham lui-même, que son fils Mysraïm ou Mesraïm plaça au rang des
dieux
. On sait que ce patriarche et sa famille allèrent
en Égypte, puisqu’au rapport d’ Hérodote, ce fut une prêtresse de ce
dieu
qui alla dans la Grèce établir le premier oracle.
echerches des savans les différences qui existent entre ces différens
dieux
. L’histoire de Jupiter se trouvant sans cesse mêl
istoire de Jupiter se trouvant sans cesse mêlée avec celle des autres
dieux
, il nous paraît indispensable de la donner avec s
étendue à son histoire, nous faciliterons infiniment celle des autres
dieux
, et l’on saisira beaucoup mieux l’ensemble de la
de Saturne et de Cybèle nous a déjà fait connaître la naissance de ce
dieu
. Cybèle, après avoir présenté la pierre nommée Ab
de l’Europe, ce qui servit par la suite à le faire regarder comme le
dieu
de la mer. Sem, troisième fils de Noé, hérita du
les furent consumées par les flammes, ce qui lui fit donner le nom de
dieu
des enfers. Nous reviendrons encore à ce partage,
ont Pélion. Jupiter, effrayé à la vue de ses ennemis, appela tous les
dieux
et toutes les déesses à son secours. La déesse St
is avec un des fleuves de l’enfer) seraient inviolables pour tous les
dieux
et pour lui-même. Ils ne pouvaient manquer à ce s
t qu’il était dit que les Géans seraient invincibles, et qu’aucun des
dieux
ne pourrait leur ôter la vie si quelque mortel ne
loëus et d’Iphimédie, que l’on surnommait les Aloïdes, attaquaient le
dieu
de la guerre ; mais le premier fut mis hors de co
vec une massue de fer rouge, terrassait Clytius. Encelade, voyant les
dieux
victorieux, commençait à prendre la fuite, lorsqu
à travers les flots de la mer, et touchait à celle de Cos, lorsque ce
dieu
, arrachant une partie de cette île, en couvrit le
ir de son sein le redoutable Typhon, qui seul donna plus de peine aux
dieux
que tous les autres Géans ensemble. De sa tête il
-homme et demi-serpent ; la vue de ce monstre épouvanta tellement les
dieux
qui étaient venus au secours de Jupiter, qu’ils s
t armé contre lui. Ce formidable ennemi ne laissant aucun relâche aux
dieux
, les poursuivit en Égypte, où ils se métamorphosè
nt à Jupiter ses mains et ses jambes, c’est-à-dire sa liberté ; et ce
dieu
, étant monté sur un char tiré par des chevaux ail
es faisant connaître, parce qu’on les retrouvera sans cesse parmi les
dieux
, les demi-dieux et les héros. Métamorphosé en cyg
ousa Lydie ; de Torrébie, Arcésilas ; d’Ora, Colaxès ; de Thalie, les
dieux
Palices ; de Garamantis, Hiarbas, Philée et Pilum
il mourut pour s’être trop fatigué à la chasse. On le mit au rang des
dieux
, sous le nom de Très-Haut. Uranus, dont le nom en
t l’on y joignit le mot père, pour désigner qu’il était le maître des
dieux
. L’impossibilité de régir à lui seul d’aussi vast
ules et de l’Espagne ; ce que nous rappellerons dans l’histoire de ce
dieu
. Après la mort de Pluton, le gouvernement fut don
e livrer à leur imagination ; et, retrouvant sans cesse à la tête des
dieux
Jupiter, Neptune et Pluton, ils ont cru pouvoir d
uton, ils ont cru pouvoir désigner la portion d’empire échue à chaque
dieu
. Pour mieux l’établir, ils ont consulté leurs plu
é, qui les guidèrent lorsqu’ils voulurent désigner l’empire de chaque
dieu
. Nous devons ajouter que le partage du monde entr
M. Townley, on voit une statue antique de Jupiter, qui représente ce
dieu
avec la foudre, symbole du dieu du ciel ; il la t
antique de Jupiter, qui représente ce dieu avec la foudre, symbole du
dieu
du ciel ; il la tient dans sa main droite ; dans
dans sa main droite ; dans sa gauche il tient un trident, symbole du
dieu
de la mer, et l’on voit à ses côtés un Cerbère, s
le du dieu de la mer, et l’on voit à ses côtés un Cerbère, symbole du
dieu
des enfers. Ce morceau, très-précieux et très-bie
tonchires ou géans à cent bras. Il faut expliquer de même la fable du
dieu
Neptune qui emprisonnait les Titans par la mer. C
onde. C’était dans ce temple que l’on voyait le trône et la statue du
dieu
, chef-d’œuvre du célèbre Phydias. Chaque peuple a
’avait point d’oreilles, pour apprendre, disaient les Crétois, que le
dieu
de l’univers ne doit écouter personne en particul
Tros, roi des Troyens, qu’il chargea du soin de verser le nectar aux
dieux
à la place d’Hébé, déesse de la jeunesse. Cette m
offrir un sacrifice sur le rivage ; pendant qu’il rendait hommage aux
dieux
, on vit un aigle voler vers lui, et s’arrêter sur
eur à Jupiter en lui sacrifiant un enfant ; mais que ce prince, ou ce
dieu
, pénétré d’horreur, le punit sur-le-champ. Nous a
l fut nourri avec le lait de la chèvre Amalthée : la fable dit que le
dieu
, pour la récompenser, la plaça parmi les astres a
amorphoses de Jupiter, parce qu’on les retrouvera dans les fables des
dieux
, des demi-dieux et des héros. Du culte rendu à
ne peut pas douter que le plus solennel de tous les cultes rendus aux
dieux
du paganisme était celui que l’on rendait à Jupit
rquables était placé près du Capitole, et dédié à Jupiter Vengeur. Le
dieu
était représenté avec des flèches à la main pour
e parlerons que des principaux. Le plus ordinairement on donnait à ce
dieu
le titre optimus, maximus : le très-bon, le très-
e ; Hospitalis, parce qu’il était le père de l’hospitalité ; père des
dieux
, modérateur, recteur, pour marquer sa souverainet
eux, modérateur, recteur, pour marquer sa souveraineté sur les autres
dieux
; maître des tempêtes et des vents, et souvent Se
s, ces ouvrages devinrent semblables à ceux de Jupiter. Le maître des
dieux
, pour punir ce larcin, ordonna à Mercure d’attach
ans cesse ; ce qui rendait son supplice éternel. (Fig. 7.) Les autres
dieux
, jaloux de ce que Jupiter s’attribuait à lui seul
ndre ses noces plus solennelles, chargea Mercure d’y inviter tous les
dieux
, tous les hommes et tous les animaux. La nymphe C
trois enfans : Hébé, déesse de la jeunesse, qui servait le nectar aux
dieux
avant l’enlèvement de Ganymède. La fable dit qu’u
e. La fable dit qu’une chute qu’elle fit dans le ciel fit oublier aux
dieux
leur gravité ; ce qui décida Jupiter à prendre un
qu’elle l’aurait touchée. Junon en fit l’essai, et mit au monde Mars,
dieu
de la guerre. Vulcain fut le troisième fils de Ju
tre en même temps que Jupiter étant le plus sage et le plus grand des
dieux
, la déesse de la sagesse était sortie de son cerv
était sortie de son cerveau dans toute sa perfection. La naissance du
dieu
de la guerre a une tout autre origine, quoiqu’ell
était celui qu’elle chérissait le plus : voilà ce qui fit dire que le
dieu
de la guerre était son fils. Son origine, tirée d
our se venger de ce qu’elle l’avait mis au monde tout contrefait. Les
dieux
ne purent la tirer de ses entraves. Il fallut rec
ipita dans la mer avec son fils Polycerte, que depuis on honora comme
dieu
des ports, sous le nom de Palémon. Agavé, femme d
Éacus, fils d’Égine pria Jupiter, son père, de repeupler le pays ; ce
dieu
fit sortir d’un vieux chêne de la forêt de Dodone
înant le char de leur mère. Histoire d’Hymen ou Hyménéus et autres
dieux
du mariage. A la suite de l’histoire de Junon
ner de l’éclat à sa naissance inconnue, on publia qu’il était fils du
dieu
du Jour et de la muse Calliope. On représentait t
s du dieu du Jour et de la muse Calliope. On représentait toujours ce
dieu
sous la figure d’un beau jeune homme couronné de
ssent adopté cette divinité des Grecs, ils voulurent avoir aussi leur
dieu
du mariage. Un événement à peu près semblable à c
mêmes honneurs qu’Hyménéus. Les Romains honoraient encore deux autres
dieux
du mariage, Jugatinus et Domiducus. Histoire d
e de Cérès. L’histoire et la fable de Cérès tiennent à celles des
dieux
des enfers ; mais nous croyons devoir les rapport
re dans l’Espagne), Cérès se plaignit de cet enlèvement à Jupiter. Ce
dieu
décida qu’elle irait aux enfers redemander sa fil
oin l’histoire de Cérès ; on la retrouvera lorsque nous parlerons des
dieux
des enfers. Diodore de Sicile rapporte qu’après
t, et se souvenant de ses vertus, crut qu’il avait été enlevé par les
dieux
, et lui accorda les honneurs divins. Pour conserv
ue les hommes commettaient, elle remonta dans le ciel avec les autres
dieux
; elle fut la dernière à quitter la terre, et se
s douleurs si cruelles, qu’il désira de mourir, quoique immortel. Les
dieux
, touchés de ses plaintes, lui accordèrent sa dema
du Verseau. Il représente Ganymède versant le nectar à Jupiter et aux
dieux
. Il désigne aussi les pluies abondantes qui tombe
en ; mais, pour les régaler, il tua le seul bœuf qui lui restait. Les
dieux
, admirant le bon cœur et la générosité de cet hon
obligé de prendre une femme. Sa demande lui fut accordée ; les trois
dieux
firent naître Orion dans la peau de ce même bœuf
son retour. Un jour elle enleva Tithon, fils de Laomédon, et pria les
dieux
de le rendre immortel. Ils cédèrent à sa demande
avages ne pouvaient atteindre Aurore, douée de tous les attributs des
dieux
, tandis que chaque jour, chaque instant précipita
e insupportable ; il implora de nouveau le crédit d’Aurore auprès des
dieux
; l’immortalité n’était plus pour lui qu’un doulo
eulement, il lui confiât la conduite du char qui porte la lumière. Le
dieu
du jour, ne pouvant plus refuser, fut forcé de cé
laçait des branches de laurier devant sa maison, dans l’espoir que le
dieu
épargnerait ceux qui rendaient cet honneur à la n
s de Niobé restèrent sans sépulture pendant neuf jours ; mais que les
dieux
, après ce terme, les ensevelirent eux-mêmes. L’hi
sépulture, et, pour flatter le désespoir de Niobé, on publia que les
dieux
les avaient enterrés. Amphion mourut presque auss
homme le pasteur des troupeaux d’Admète, et le fit regarder comme le
dieu
des bergers. Elle ajoute que Mercure l’ayant aper
faible ne pouvait plus la faire échapper aux poursuites d’Apollon. Le
dieu
voulut que cet arbre lui fût consacré, et que son
ux de le voir jouer au palet avec Apollon. Il souffla sur le palet du
dieu
avec tant de violence, qu’il alla briser la tête
s princes, ils les aient confondus avec l’Apollon égyptien. Parmi les
dieux
du paganisme, il n’en est aucun dont les poëtes a
omme l’inventeur de la poésie, de la musique et de l’éloquence. Aucun
dieu
ne possédait mieux l’art de pénétrer dans l’aveni
uvoir de charmer par son esprit et les sons harmonieux de sa lyre. Le
dieu
du jour, par le seul éclat de son nom, efface tou
oulut que cet arbre fût consacré aux funérailles. Il n’y eut point de
dieu
plus honoré qu’Apollon. Ses temples étaient sans
Piérides, en mémoire de leur triomphe. Ces sortes de défis contre les
dieux
étaient toujours dangereux, et très-rarement impu
e que les accords d’Apollon sur sa lyre. Des juges furent choisis. Le
dieu
, vainqueur du satyre, l’écorcha vif, pour le puni
lles. Histoire de Diane ou la lune Diane était sœur d’Apollon,
dieu
du jour, et elle se nommait Phœbé : l’un et l’aut
ord cette espèce d’héritage, mais bientôt on n’y consulta plus que le
dieu
du jour. Cet oracle étant celui de Delphes, il es
L’orgueil et l’ambition des Grecs les portaient à croire que tous les
dieux
et tous les héros avaient pris naissance dans leu
s auteurs ne peuvent convenir qu’à ce roi d’Égypte. Ils disent que ce
dieu
vint au secours de Jupiter dans la guerre contre
a fable du Bacchus égyptien. En effet, le culte que l’on rendait à ce
dieu
et celui que l’on rendait à Osiris se ressemblaie
nt sert à prouver de plus en plus que la Grèce devait le culte de ses
dieux
et même la plupart de leurs noms aux colonies ori
à Moïse d’aller dans la Palestine exterminer une nation idolâtre. Le
dieu
Pan donne un chien à Bacchus, pour le suivre dans
plir. La malheureuse Sémélé ne put soutenir l’éclat du plus grand des
dieux
: les rayons de lumière embrasèrent le palais ; e
ns dans ce moment à dire que la fable le peint ordinairement comme le
dieu
des buveurs, ainsi qu’elle peint Bacchus comme le
ement comme le dieu des buveurs, ainsi qu’elle peint Bacchus comme le
dieu
du vin, parce qu’on lui attribuait l’invention de
s étoiles que l’on nomme les Hyades, nom qui vient de Hyie, surnom du
dieu
du vin. Dans les représentations de Bacchus, on l
le second, parce qu’il ronge les bourgeons de la vigne. Les fêtes du
dieu
du vin se célébraient avec de grandes clameurs pa
les montagnes vêtues de peaux de tigres. Lorsqu’elles invoquaient le
dieu
, leurs cheveux étaient épars, et dans leurs mains
es Thébains, dont il était roi, de célébrer les fêtes de Bacchus ; le
dieu
inspira à sa mère Agavé une fureur si aveugle, qu
us, elles affectèrent de travailler à des ouvrages de tapisserie : le
dieu
les changea en chauve-souris, et leur ouvrage en
la regarda comme une punition de l’insulte qu’il avait voulu faire au
dieu
du vin. Bacchus, ayant réuni une immense armée d’
modèle : et pendant dix jours ses soldats célébrèrent les fêtes de ce
dieu
avec tous les emportemens de l’ivresse. Parmi les
rté des torches et des flambeaux. Le nom de Dionysius venait de dios,
dieu
, et Nysa, ville où il avait été élevé. On le nomm
après la guerre des Titans, se voyant, par le consentement des autres
dieux
, maître absolu du ciel et de la terre, épousa Mét
n faisait une déclaration de guerre. Bellone avait son rang parmi les
dieux
communs ; elle était égale au dieu Mars. Ses prêt
Bellone avait son rang parmi les dieux communs ; elle était égale au
dieu
Mars. Ses prêtres étaient installés dans leur sac
rès-difficile de la distinguer de Pallas. Histoire de Mars. Le
dieu
Mars, que les Grecs nommaient Arès, était fils de
lui apprit qu’en se couvrant de gloire il pourrait monter au rang des
dieux
les plus illustres, et s’élever au-dessus de la f
dieux les plus illustres, et s’élever au-dessus de la foule de petits
dieux
parmi lesquels sa naissance le plaçait. C’était p
les de Priape, qu’on lui donnait la dîme des dépouilles consacrées au
dieu
Mars. Il y eut beaucoup de princes de ce nom, et
e orna son front, et les descendans de ces mêmes peuples en firent un
dieu
. Le savant Hygin nous apprend que le nom Belus fu
qu’il mérita parmi ce peuple, le plus belliqueux du monde, le nom de
dieu
de la guerre ; le même Odin s’appelait souvent Ma
s humaines. Les Scythes, avec leur simplicité ordinaire, adoraient le
dieu
de la guerre sous la forme d’une épée ; et les Pe
meux Nemrod, lui donnèrent le nom d’Orion, et le regardèrent comme le
dieu
des combats. Les Grecs, toujours jaloux d’orner l
u des combats. Les Grecs, toujours jaloux d’orner l’histoire de leurs
dieux
, attribuèrent à leur Mars les aventures de tous c
tant que sa passion, eut l’audace de l’enlever. Il ne put échapper au
dieu
de la guerre, et sa folle témérité lui coûta la v
is dans les familles les plus illustres d’Athènes. Les noms donnés au
dieu
Mars avaient différentes significations. Celui d’
bataille de Philippes, sous le nom de Mars vengeur. Les prêtres de ce
dieu
se nommaient Saliens ; ils gardaient les anciles
ffaire importante. Les anciens monumens représentent ordinairement le
dieu
Mars sous la figure d’un homme très-fort, armé d’
charmes. Telle était la Vénus des poëtes lorsqu’elle parut devant les
dieux
. Laissons à la poésie le soin d’embellir ses tabl
élèbres, celle du mariage de Vénus avec Vulcain, le plus difforme des
dieux
, signifie que l’empire de la beauté s’étend même
par ceux de la fortune.) Dans la fable de Mars, on voit le redoutable
dieu
des combats, couronné par la victoire, ne plus at
ulu désigner par-là qu’elle lance plus sûrement ses traits lorsque le
dieu
du vin et les plaisirs de la table sont réunis av
es disait fils de la Nuit et de l’Éther. Les poëtes le disent fils du
dieu
des richesses et de la déesse de la pauvreté, pou
ccupaient une place dans les temples de Mercure, pour désigner que le
dieu
de l’éloquence ne peut se passer de leur secours.
les peuples anciens les Égyptiens sont ceux qui ont le plus honoré ce
dieu
. Il avait à Memphis un temple magnifique, devant
s mots. Après avoir fixé les pratiques des sacrifices et le culte des
dieux
, il forma quelques hommes dans la connaissance de
e ; ce qui donna lieu aux poëtes de le peindre comme l’interprète des
dieux
. Dans ses voyages en Égypte, il était parvenu à s
on adresse et de son éloquence, le fit regarder comme le messager des
dieux
. Ses succès dans plusieurs traités de paix lui fi
ccès dans plusieurs traités de paix lui firent aussi donner le nom de
dieu
de la paix. Il contribua beaucoup à polir les mœu
, fils de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas, était le plus occupé des
dieux
de l’Olympe. Confident et messager des autres div
harangues, y répondait ; enfin, il était le surintendant général des
dieux
. Pour exprimer sa promptitude à remplir tant de f
ans. Quelquefois les Romains adossaient ces statues à celles d’autres
dieux
. Celles adossées à Minerve, se nommaient Hermathè
soupçonnait de protéger aussi la fourberie, on le regardait comme le
dieu
des voleurs. Son aventure avec Battus prouve qu’i
sert à découvrir la nature des métaux. On donnait à Mercure le nom de
dieu
à trois têtes, à cause de sa puissance dans le ci
ius, à cause des lois dont il était l’auteur ; Camillus, qui sert les
dieux
, nom qui depuis fut donné à ceux qui servaient da
nom qui depuis fut donné à ceux qui servaient dans les sacrifices des
dieux
; Vialis, parce qu’il présidait aux grands chemin
brûlait en son honneur les langues des victimes, parce qu’il était le
dieu
de l’éloquence, On plaçait sa statue devant la po
isons dans l’espoir qu’il en écarterait les voleurs, dont il était le
dieu
. Divinités de la mer et des eaux. Les beso
ation cause la mort, portèrent les hommes à croire qu’il existait des
dieux
chargés d’y présider. De là chaque élément eut sa
une, célèbre parce qu’il commandait les flottes de Jupiter, devint le
dieu
des mers. Chaque fleuve, chaque fontaine, chaque
ême Siris, par abréviation d’Osiris. Chez eux ce fleuve, ou plutôt le
dieu
de l’eau, était représenté par un vase percé de t
galait le respect des Égyptiens pour l’hydria, qu’ils nommaient aussi
dieu
Canope, selon eux, le Nil, ou l’eau en général, é
Ciel et de la Terre. Il était à juste titre regardé comme le premier
dieu
des eaux, puisqu’il en contient le plus grand ama
ont plus généralement regardé l’Océan comme une divinité physique. Ce
dieu
des eaux eut pour femme Téthys, dont naquirent Né
e déterrée à Rome vers le milieu du seizième siècle : il fait voir ce
dieu
assis sur les ondes de la mer, sous la figure d’u
nvoyé par Neptune pour déterminer Amphitrite à devenir son épouse. Ce
dieu
, par reconnaissance, plaça le dauphin parmi les a
yen, et très-anciennement honoré dans ce pays ; mais il paraît que ce
dieu
des Libyens ne présidait point à la mer. Il avait
es contre la mer étaient si solides, qu’on attribuait cet ouvrage aux
dieux
. L’avare Laomédon, loin de les honorer, s’empara
u’il faut rapporter ses métamorphoses. On représente ordinairement le
dieu
de la mer voguant sur les eaux, dans une conque à
n. Triton était trompette de Neptune : il en sonna dans la guerre des
dieux
contre les Géans. Ce bruit extraordinaire, dit la
uvanta tellement, qu’ils prirent la fuite et cédèrent la victoire aux
dieux
. Cette fable ne serait-elle pas une tradition alt
rpine, lorsque Pluton enleva cette fille de Cérès. Elles prièrent les
dieux
de leur accorder des ailes pour la chercher autou
ts par elles, en chantant lui-même les batailles et les victoires des
dieux
. La perfection de ses chants, qu’il accompagnait
prouver, et, dès qu’il l’eut touchée, il s’élança dans la mer, où les
dieux
marins le reçurent dans leur compagnie. Glaucus é
Pour se rendre plus recommandable, il se vantait d’être reçu par les
dieux
de la mer ; il finit par se noyer, et donna lieu
mment, et tombèrent dans la mer, où ils périrent. La fable en fit des
dieux
marins. Le nom d’Ino fut changé en celui de Leuco
n’avaient pas le droit d’entrer dans son temple. Phorcys ou Phorcus,
dieu
marin, était fils de Pontus et de la Terre ; d’au
Charibde, situé à son opposite, fit honorer l’un et l’autre comme des
dieux
marins. Le gouffre de Charibde prit son nom d’une
voyageurs ; Hercule en purgea la terre. Saron était regardé comme le
dieu
particulier des mortels. Il était roi de Corinthe
n’écoutant plus que son désespoir, elle se précipita dans la mer. Les
dieux
, touchés de compassion, les changèrent l’un et l’
très-inutile de les nommer toutes. D’Éole et des vents. Éole,
dieu
des vents et des tempêtes, doit être placé parmi
. Éole, dieu des vents et des tempêtes, doit être placé parmi les
dieux
de la mer. Il passait pour fils de Jupiter, et de
re cette prédiction d’Éole. Ils feignirent qu’à la prière d’Ulysse ce
dieu
avait renfermé les Vents dans des peaux, et lui e
nt fils d’Aurore et d’Astrée, l’un des Géans qui firent la guerre aux
dieux
. Ses enfans furent aussi turbulens que lui. Les q
t trop effrayé ; il partagea ses fonctions son pouvoir, multiplia les
dieux
, et, prêtant à ces divinités de son imagination l
davantage. Ce fut ainsi que l’homme étendit sans cesse le nombre des
dieux
du ciel, de la terre, de la mer et des enfers. La
s, les campagnes, les moissons, les jardins, les prairies, eurent des
dieux
protecteurs ; les maisons eurent leurs dieux lare
les prairies, eurent des dieux protecteurs ; les maisons eurent leurs
dieux
lares, leurs dieux pénates, et chacun d’eux eut s
t des dieux protecteurs ; les maisons eurent leurs dieux lares, leurs
dieux
pénates, et chacun d’eux eut ses honneurs, ses fo
végétation, étaient les seconds. Cérès, déesse des blés, et Bacchus,
dieu
du vin, étaient les troisièmes. Robigus et Flore
, veillait à procurer de bonnes récoltes. Tels étaient les principaux
dieux
de la terre. Leurs fonctions et leurs noms prouve
plantes et leur donne la vie. Le peuple l’honorait comme un véritable
dieu
. On le représentait sous la forme d’un vieillard
n représentait ordinairement la Terre sous la forme d’un globe. Du
dieu
Terme. Le respect pour le droit sacré de prop
urer les propriétés, sut persuader au peuple romain qu’il existait un
dieu
protecteur des limites et vengeur des usurpations
tes en son honneur, et régla son culte. Il fit représenter ce nouveau
dieu
sous la forme d’un rocher inébranlable. La fête d
ujours invoquée par les assistans. Un événement accrédita beaucoup le
dieu
Terme. Tarquin le Superbe voulut faire bâtir sur
les ; on les éloigna de ce lieu sans éprouver de résistance ; mais le
dieu
Terme, plus solidement établi par Numa, brava tou
ple que l’on faisait construire. Les pontifes publièrent que tous les
dieux
, par respect pour Jupiter, avaient cédé leurs pla
ait assuré une place au milieu de son temple ; Telle est l’origine du
dieu
Terme ; cependant, avant Numa, Jupiter était hono
it sur cette pierre. Par la suite des temps, on représenta souvent le
dieu
Terme par une borne pyramidale surmontée d’une tê
urmontée d’une tête. (Fig. 33.) Flore, Pomone, Vertumne et Priape,
dieux
des jardins. Flore était la déesse des fleurs
ne le couvre qu’à demi. (Fig. 36.) Priape était aussi regardé comme
dieu
des jardins : on le disait fils de Vénus et de Ba
r écarter les voleurs et les oiseaux. Les Orientaux adoraient ce même
dieu
sous le nom de Béelphégor. De Palès et de quel
a était celle des collines. Jugatinus présidait aux coteaux. Tous ces
dieux
avaient été imaginés par les Latins ; ils tenaien
noms des emplois qu’ils avaient, et jamais on ne les trouve parmi les
dieux
des Grecs. Des Satyres, des Faunes, des Égypan
mi les dieux des Grecs. Des Satyres, des Faunes, des Égypans et du
dieu
Pan. Les Satyres, les Faunes et les Égypans é
emiers singes. On ne leur trouve aucune autre origine raisonnable. Le
dieu
Pan tenait le premier rang parmi les dieux antiqu
tre origine raisonnable. Le dieu Pan tenait le premier rang parmi les
dieux
antiques. Les poëtes le disaient fils de Jupiter
Syrinx. (Fig. 37.) Les Arcadiens honoraient très-particulièrement ce
dieu
. Les Romains célébraient, au mois de février, des
ncertaine. Quelques auteurs l’attribuent à la frayeur soudaine que le
dieu
Pan excita parmi les Gaulois, lorsque, sous leur
nt à piller le temple de Delphes. D’autres la font venir de ce que le
dieu
Pan habite les forêts ; et, lorsqu’on s’égare sou
souvent au premier bruit que l’on entend. Les poëtes racontent que le
dieu
Pan aima les trois nymphes Écho, Syrinx et Pithys
se servit de son souffle pour la précipiter du haut d’un rocher, Les
dieux
, pendant sa chute, la changèrent en pin, arbre co
Les dieux, pendant sa chute, la changèrent en pin, arbre consacré au
dieu
Pan. De Silène et de Midas. Silène, nourri
agner et le ramener lui-même à Bacchus. (Ici recommence la fable.) Le
dieu
charmé de revoir son nourricier, dont l’absence l
a les mets de sa table. Pressé par la faim, il recourut à Bacchus. Le
dieu
lui dit de se laver les mains dans le Pactole, et
arler, et se cacha dans la plus profonde solitude ; on publia que les
dieux
, pour la récompenser de sa tendresse, l’avaient e
a récompenser de sa tendresse, l’avaient enlevée dans le ciel, Des
dieux
Lares et des dieux Pénates. Ces dieux étaient
tendresse, l’avaient enlevée dans le ciel, Des dieux Lares et des
dieux
Pénates. Ces dieux étaient protecteurs des em
nlevée dans le ciel, Des dieux Lares et des dieux Pénates. Ces
dieux
étaient protecteurs des empires, des villes, des
re, et chacun choisissait le sien à sa dévotion. On plaçait parmi ces
dieux
les âmes de ceux qui avaient bien servi l’état, e
enfant quittait l’ornement appelé bulla, on le déposait aux pieds des
dieux
domestiques ; et lorsqu’une famille romaine faisa
mmun, les magistrats nommaient ceux qui devaient veiller au culte des
dieux
lares, que l’enfant adoptif semblait abandonner.
l’enfant adoptif semblait abandonner. Dans les fêtes publiques de ces
dieux
, nommées Compitales, on suspendait dans les rues
spendait dans les rues de petites figures de cire, et l’on priait les
dieux
lares et pénates de ne faire sentir leur colère q
r leur colère qu’à ces petites figures. Les Romains disaient tous ces
dieux
fils de Jupiter et de Lorunda. La ressemblance du
ait venu de Phrygie, et avait été apporté par Énée. Jacob emporta les
dieux
lares et pénates de la maison de son beau-père La
onne le nom de Téraphim. Les génies avaient aussi leur rang parmi ces
dieux
. Les hommes en avaient deux ; un bon, qui produis
ie. Ils relevaient sa justice, sa piété, son courage, et priaient les
dieux
infernaux de le recevoir dans le séjour du bonheu
ue pratiquaient les Égyptiens. Pluton, Cérès, Proserpine et autres
dieux
des enfers. Pluton, troisième fils de Saturne
triste et sombre. Orcus vient du latin urgere, pousser, parce que ce
dieu
poussait vers la mort. Februus vient de februare,
ré jusqu’aux enfers et s’en était emparé. Quoique Plutus fût aussi le
dieu
des richesses, il ne faut pas le confondre avec P
leva. Cyane, cherchant à s’y opposer, fut changée en fontaine ; et le
dieu
des enfers, entrouvrant la terre d’un coup de son
oint l’immoler, et le garda pour en faire le chef de son troupeau. Le
dieu
de la mer, irrité, se vengea de Minos en rempliss
lis, selon l’étendue ou la brièveté de la vie. (Fig. 41.) Némésis,
dieux
mânes, la nuit, le sommeil et la mort. Némési
nsait les bonnes actions, et punissait impitoyablement l’impiété. Les
dieux
Mânes n’étaient pas bien clairement connus par le
ils les confondaient avec les âmes des morts, et quelquefois avec les
dieux
lares. Ces divinités présidaient aux sépultures e
ur, que le serment le plus inviolable était de jurer par le Styx. Les
dieux
eux-mêmes ne pouvaient l’enfreindre. Si quelques
r le Styx. Les dieux eux-mêmes ne pouvaient l’enfreindre. Si quelques
dieux
y manquaient, Jupiter ordonnait à Iris de leur pr
an, et les privait même de la divinité pour neuf années. Lorsque les
dieux
juraient par le Styx, ils devaient avoir une main
evait d’autels à ces redoutables divinités. On les réservait pour les
dieux
de la terre et de la mer, que l’on nommait dieux
s réservait pour les dieux de la terre et de la mer, que l’on nommait
dieux
supérieurs. Ceux des enfers se nommaient dieux in
mer, que l’on nommait dieux supérieurs. Ceux des enfers se nommaient
dieux
inférieurs. On faisait des fosses dans lesquelles
itans furent précipités dans les enfers, pour avoir fait la guerre au
dieu
Jupiter. La fable les peint accablés sous le mont
de Crète ; d’autres enfin racontent qu’ayant été admis à la table des
dieux
, il avait révélé leurs secrets, et volé du nectar
plus généralement à rapporter son crime de la manière suivante : Les
dieux
honorèrent Tantale de leur visite ; il voulut épr
ils, et fit entremêler ses membres avec les mets que l’on servait aux
dieux
. Ils témoignèrent leur colère à l’aspect de cet h
t de sa fille Proserpine, mangea une épaule sans y prendre garde. Les
dieux
ressuscitèrent le jeune Pélops, et Jupiter rempla
ès avait mangée. Pour punir Tantale de son double attentat contre les
dieux
et contre la tendresse qu’il devait à son fils, i
er toutes les divinités particulières des anciens ; ils érigeaient en
dieux
les vertus, les passions, les biens et les maux :
ue les anciens avaient de l’Éternité. Toutes les généalogies de leurs
dieux
prouvent qu’ils ne pouvaient concevoir la divinit
, qu’ils nommaient Ageronia. (Fig. 57.) Ces derniers avaient aussi le
dieu
de la parole, qu’ils nommaient Aïus Locutius. La
igner le moment où ce culte commença. Dans les combats, on donnait au
dieu
de la guerre la Peur et la Fuite pour cortége. Le
rainte d’un châtiment sévère. On joignait toujours la Peur aux autres
dieux
lorsqu’on prononçait des sermens. Il serait aussi
jusqu’aux événemens imprévus. Chacun pouvait créer à son gré quelque
dieu
nouveau. Lorsque des voyageurs, en traversant une
ssée de l’Olympe par Jupiter, parce qu’elle cherchait à brouiller les
dieux
, elle vint sur la terre exercer toutes ses fureur
antait dans les repas. Momus, fils du Sommeil et de la Nuit, était le
dieu
de la raillerie et des bons mots. (Fig. 66.) Sati
raillerie et des bons mots. (Fig. 66.) Satirique jusqu’à l’excès, les
dieux
et Jupiter même étaient les objets de ses plus sa
railleries. Son nom vient du mot grec momos, reproche. Il blâmait les
dieux
de n’avoir pas mis une ouverture au cœur de l’hom
ur laisser la possibilité de distinguer la vérité du mensonge. Des
dieux
de la médecine. Le nom d’Esculape, que les Gr
s l’Égypte qu’il faut chercher le véritable Esculape. Honoré comme un
dieu
dans ces deux pays, son culte passa dans la Grèce
cine, et devint si habile, qu’il passa pour l’inventeur et ensuite le
dieu
de la médecine. Esculape, contemporain d’Hercule
plaignit à Jupiter de ce qu’il rendait son royaume désert, et que ce
dieu
, pour apaiser le dieu des enfers, foudroya le méd
ce qu’il rendait son royaume désert, et que ce dieu, pour apaiser le
dieu
des enfers, foudroya le médecin. Nous avons déjà
ris par lui. Le coq et le serpent étaient spécialement consacrés à ce
dieu
. La fable publie qu’Esculape était sorti d’un œuf
lape, faisaient prendre des remèdes aux malades, et laissaient à leur
dieu
tout l’honneur de la guérison. Le serpent devint
u Tibre, elle en sortit, et se cacha dans les roseaux. On crut que le
dieu
avait choisi ce lieu pour demeure ; on lui bâtit
temples ; il y eût même obtenu des hommages. Le prestige est fini, le
dieu
n’a plus d’autels ; mais le temple du goût est ét
plé de divinités puissantes et terribles ; la mer parut agitée par un
dieu
, et protégée par une déesse environnée de nymphes
s ou moins puissante sur la terre et sur les mers. L’Olympe. Les
dieux
du premier ordre avaient un palais magnifique dan
tion de ce séjour divin selon Ovide : Une voie en tout temps par les
dieux
fréquentée Blanchit l’azur des cieux : on la nomm
ouvrir à deux battants des portes magnifiques, Vestibules pompeux des
dieux
patriciens. Ailleurs sont confondus les toits des
les toits des plébéiens. Au milieu du parvis, la façade présente Des
dieux
du premier rang la demeure imposante : C’est là,
vé, et nos ballons nous y auraient conduits facilement. Ce séjour des
dieux
était sur une montagne de la Grèce où les vents n
raient de nectar, ou s’occupaient à diriger les choses d’ici-bas. Les
dieux
du second ordre y étaient rarement admis. Les hab
nectar, et Iris faisait leurs messages. Jupiter. Le premier des
dieux
qui frappe nos regards dans l’Olympe est Jupiter,
ls essayèrent d’escalader le ciel ; ils jetaient contre le maître des
dieux
de si grosses pierres que celles qui tombaient da
nt sur la terre y faisaient des montagnes. Jupiter effrayé appela les
dieux
à son secours, mais, frappés de crainte, ils se r
en Egypte le culte des animaux. Enfin, avec le secours d’Hercule, les
dieux
terrassèrent leurs redoutables ennemis, parmi les
redoutables ; et depuis ce temps cet oiseau accompagna le maître des
dieux
. On dit que Jupiter, desirant connaître où était
un pont d’airain et en lançant des feux de toute part, le maître des
dieux
le frappa du véritable tonnerre, et le précipita
e tonnerre, et le précipita dans les enfers. On ne peut douter que ce
dieu
, si jaloux de ses droits, n’eût foudroyé Franckli
ue Junon a quelquefois lancé la foudre contre ses ennemis. Le roi des
dieux
s’ennuyait quelquefois à la cour céleste, et vena
t était Vénus, qui avait consenti à servir les desseins du maître des
dieux
. Les peintres se sont plu souvent à nous montrer
irs à des jeux innocents. Amour et majesté vont rarement ensemble. Ce
dieu
, père des dieux, devant qui le ciel tremble, Dont
innocents. Amour et majesté vont rarement ensemble. Ce dieu, père des
dieux
, devant qui le ciel tremble, Dont la main flamboy
ueille des fleurs que sa main lui présente. De ces soins en secret le
dieu
s’enorgueillit ; Il baise avec respect la main qu
3. A peine Jupiter fut-il au milieu des flots que Neptune son frère,
dieu
des mers, courut à sa rencontre, accompagné des N
éréides et des Tritons. Au milieu de ce grand appareil, le maître des
dieux
se fit connaître à Europe, et la conduisit dans l
et du corps aux pensées5. Le culte de Jupiter était fort étendu. Ce
dieu
avait des temples dans la plupart des villes de l
ns. Mais c’était à Olympie que Phydias montra aux Grecs le maître des
dieux
dans la plus grande pompe : sa statue était d’ivo
; auprès d’elle est un paon étalant son magnifique plumage ; tous les
dieux
semblent lui accorder plus de respect que d’amour
der plus de respect que d’amour : c’est Junon, épouse du monarque des
dieux
. Junon. Lorsque ces divins époux célébrèrent
divins époux célébrèrent leur mariage, ils y firent inviter tous les
dieux
, tous les hommes, et même les animaux. Tous les ê
, pour se soustraire à la fureur jalouse de Junon, pria le maître des
dieux
de lui donner la forme d’une génisse ; mais Junon
s de ces peuples. Pour récompenser Argus de sa fidélité, la reine des
dieux
plaça les cent yeux de ce gardien sévère sur la q
ent celui de Samos et celui d’Olympie. Le temple élevé à la reine des
dieux
dans l’île de Samos était le plus grand que renfe
it à ses ordres Iris, qui faisait quelquefois les messages des autres
dieux
. Iris. Elle était fille de Thaumas et d’Éle
’espoir du voyageur, qui se croit protégé par l’aimable messagère des
dieux
. Aujourd’hui nos physiciens ont voulu connaître c
à la cour céleste tut le premier triomphe de Vénus. L’admiration des
dieux
parut égale à la jalousie des déesses. Elle but l
la direction des Cyclopes occupés à forger les foudres du maître des
dieux
. Vulcain était boiteux, et d’une figure si bizarr
eux. Vulcain était boiteux, et d’une figure si bizarre qu’un jour les
dieux
le voyant verser le nectar furent saisis d’un rir
t long-temps le monde du bruit de ses aventures amoureuses. Parmi les
dieux
favorisés de Vénus, Mars obtint le premier rang.
cture extraordinaire fut la cause du peu de durée de sa vie. Apollon,
dieu
de la lumière et des beaux arts, brûlait pour Vén
ère et des beaux arts, brûlait pour Vénus des mêmes feux que Mars. Ce
dieu
, qui connaissait aussi la médecine, ne put trouve
ut trouver de remède contre la jalousie : un jour, ayant rencontré le
dieu
de la guerre avec Cythérée, il alla en prévenir V
é le dieu de la guerre avec Cythérée, il alla en prévenir Vulcain. Le
dieu
boiteux quitte ses fourneaux, arrive, et couvre l
les deux amants d’un filet tressé en or. Vulcain voulut que tous les
dieux
de l’Olympe fussent témoins de la perfidie de son
crétion officieuse : elle jura de s’en venger sur toute la race de ce
dieu
; et notre théâtre nous montre un des résultats d
econd de Priape, qui était principalement adoré à Lampsaque. Neptune,
dieu
des mers, fut aussi aimé de Vénus. Nous avons eu
aussi aimé de Vénus. Nous avons eu déjà occasion de remarquer que les
dieux
s’ennuyaient souvent dans l’Olympe. Quelque bien
it avec l’amour qu’inspiré un jeune héros, mais le Destin, maître des
dieux
et des hommes, avait décidé que le fils de Vénus
s oiseaux qui y passaient en volant tombaient morts sur la terre. Les
dieux
permirent à Énée d’entrer dans les Enfers, accomp
ns du spectacle d’un ciel étoilé, et remettons à demain l’histoire du
dieu
ennemi du repos que donne Morphée. Quatrième
nne Morphée. Quatrième entretien. L’Amour. Dans le banquet des
dieux
, on remarque un enfant au souris malin ; deux ail
ndeau, et à tenir un flambeau dans sa main. Il est craint de tous les
dieux
et de toutes les déesses, qui le caressent tour-à
jour délicieux qu’il avait préparé pour sa belle amante. Là, le jeune
dieu
avait réuni toutes les merveilles des arts. Psych
se tomber quelques gouttes d’une huile brûlante sur l’épaule du jeune
dieu
. L’Amour s’éveille. « Cruelle Psyché ! s’écrie-t-
eune épouse; funeste curiosité ! J’étais l’épouse du plus aimable des
dieux
; j’étais reine ; j’étais aimée. O trop chers sou
lut qu’un hymen solennel l’unît à l’objet de ses affections. Tous les
dieux
furent invités à cette brillante cérémonie, dans
ceux qui nous ont fait connaître les autres parties de l’histoire des
dieux
. L’Amour avait des autels dans les temples de Vén
s de sentiment qu’inspire la blessure de ses flèches. Il est un autre
dieu
, un peu plus âgé que Cupidon, et qui tantôt sembl
un voile de couleur jaune ; car la couleur jaune était affectée à ce
dieu
. Dans les mariages, on l’invoquait par ces mots :
occupons d’une divinité secondaire, avant d’avoir fini l’histoire des
dieux
du premier ordre ; ceux-ci pourraient s’en fâcher
peine Apollon eut-il vu le jour, qu’il se montra sous la figure d’un
dieu
dans la fleur de l’âge, et fit périr sous ses tra
ur le mont Sipyle. Apollon, admis dans l’Olympe, fut le plus beau des
dieux
; il excella dans tous les exercices qui développ
le charme de la vie. Le premier, il fit entendre la douce poésie aux
dieux
, et l’enseigna aux mortels. Mercure lui ayant fai
e Pénée, avec le premier de ces traits, et Apollon avec le second. Ce
dieu
fut le plus malheureux des amants : en vain il pe
devant lui ; et craignant de ne pouvoir résister à la poursuite de ce
dieu
: « O Pénée ! ô mon père ! s’écrie-t-elle, viens
ut aimée d’Apollon ; elle le payait du plus tendre retour, lorsque ce
dieu
l’abandonna pour Leucothoé, fille d’Orchame, roi
le, découvrit à Orchame l’amour de sa fille pour Apollon. Dès-lors ce
dieu
ne la regarda plus qu’avec mépris. La nymphe, inc
pour calmer l’esprit de son frère irrité, Il lance un coup mortel au
dieu
de la santé. L’atteinte en est certaine, et la br
d’Apollon, reçut les honneurs de l’apothéose, et prit rang parmi les
dieux
de l’Olympe. Il eut plusieurs temples célèbres, e
s temples célèbres, entre autres celui d’Epidaure. On représentait ce
dieu
avec de la barbe, tenant un bâton entouré d’un se
s, qui avaient forgé les foudres. Irrité de son audace, le maître des
dieux
l’exila en Thessalie, et le condamna à garder les
nsons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient Apollon. Ce
dieu
leur enseignait à remporter le prix de la course,
mier y parut : Pan, d’un buisson voisin, à la hâte y courut ; Pan, le
dieu
des forêts, dont la rustique adresse S’est fait u
l, devant la compagnie, Il propose un défi de vers et d’harmonie : Le
dieu
des vers l’accepte en modeste berger, Midas avec
tous prêtent silence. Alors, entremêlant sa flûte avec ses chants, Le
dieu
Pan de ces vers fit retentir les champs : « L’esp
oi, belle moitié du monde, « Honneur de l’univers, dernier effort des
dieux
, « Doux supplice de l’âme, et délice des yeux ; «
mma l’œil qui perce en tout lieu ! Le berger indigné cache à peine le
dieu
; Et, sans l’ordre absolu qui borne sa puissance,
, Et, porté sur leur aile, entre par les oreilles. Le sauvage Tmolus,
dieu
du mont sourcilleux, Baisse, pour applaudir, son
on goût ennemi déclaré, Méprisa le talent de la troupe admiré ; Et du
dieu
des Forêts, aux yeux des nymphes mornes, De leur
nymphes mornes, De leur noble guirlande il embellit les cornes16. Le
dieu
de Délos ne voulant pas que les oreilles d’un si
milieu des richesses, exposé à mourir de faim, il eut recours au même
dieu
pour le prier de lui ôter un privilège si incommo
jaloux de ce jeune homme, dirigea sur sa tête le disque d’Apollon. Ce
dieu
vit aussi mourir Cyparisse, jeune homme qu’il ché
n cyprès. Arrivé dans la Troade, le fils de Latone rencontra Neptune,
dieu
des mers, que Jupiter avait aussi banni du ciel,
r la forteresse de Mégare, ville d’Attique. La pierre sur laquelle le
dieu
avait posé sa lyre, toutes les fois qu’on la touc
’Ennui menaçait de s’établir dans l’Olympe, s’empressa de rappeler le
dieu
de la lyre et des beaux arts : il le rétablit dan
eau il lui donna la direction du char du soleil. Mais l’histoire d’un
dieu
qui avait tant d’attributions diverses ne peut êt
ner une preuve irrécusable de l’honneur qu’il avait d’être le fils du
dieu
de la lumière. Phaéton arrive dans le palais de s
que de lui laisser conduire un jour entier le char de la lumière. Le
dieu
eut beau lui représenter les dangers auxquels il
avec choix, Et du feu des rubis l’émeraude enrichie Répété au loin du
dieu
l’image réfléchie18. Quatre chevaux le conduisen
i inspira la perte de ses abeilles. Orphée fut le fruit des amours du
dieu
de la lumière pour Calliope, une des Muses. A la
ait sa voix au son de cet instrument, il enchantait les hommes et les
dieux
, suspendait le cours des fleuves les plus rapides
tit de joie. Eurydice s’écrie : « O destin rigoureux ! « Hélas ! quel
dieu
cruel nous a perdus tous deux ? « Quelle fureur !
r, où traîner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le
dieu
des morts ? Déjà cette ombre froide arrive aux so
antaient avec plus de force et de mélodie que les autres. De tous les
dieux
de l’Olympe, Apollon est un de ceux qui a été le
cer les destinées des empires. Quand on sacrifiait à Apollon comme au
dieu
des bergers, on lui immolait un épervier ou un lo
er et le laurier étaient ses arbres favoris : le palmier, parceque ce
dieu
naquit au pied d’un arbre de cette espèce ; le la
amour. Plusieurs fois en effet l’Aurore fut soumise à la puissance du
dieu
de Paphos. Le premier objet de sa tendresse fut T
ifférents noms. Nous ne pouvons mieux terminer notre entretien sur le
dieu
de la lumière qu’en récitant ces beaux vers de De
» Eh ! qui méritait mieux d’usurper notre hommage Que cet astre, des
dieux
la plus brillante image, Qui dispense les ans, la
ource immense de feu, Ah ! sois toujours son roi, si tu n’es plus son
dieu
! Plaisirs, talents, vertus, tout s’allume à ta f
Il commença ainsi : Les mêmes peuples qui virent dans le soleil un
dieu
toujours brillant de l’éclat de la jeunesse, fure
urent aisément conduits à considérer la lune comme une femme, sœur du
dieu
qui dirigeait le flambeau du jour. Diane, comme A
le fils et la mère en étoiles. Mais Junon, toujours ennemie, pria les
dieux
de la mer de ne laisser jamais descendre ces deux
la jeune Aurore. Orion fut placé au rang des astres. On ajoute que le
dieu
Pan, transformé en un bélier blanc, sut attirer l
Quel tour ! quels vers nombreux ! quelle heureuse cadence ! « Non, le
dieu
du Parnasse, entouré des neuf Sœurs, « Ne frappe
nd pour lui-même. Plus son admirateur s’empresse à l’écouter, Plus le
dieu
complaisant s’épuise à répéter ; De ses amours ch
fance du fils de Maïa fut employé à jouer de pareils tours aux autres
dieux
. Un jour, en causant avec Neptune, dieu des mers,
de pareils tours aux autres dieux. Un jour, en causant avec Neptune,
dieu
des mers, il lui déroba son trident ; une autre f
struments des Cyclopes : s’il ne déroba point la foudre du maître des
dieux
, par la crainte de se brûler, il lui enleva du mo
n intendant et même pour son ministre. Il versa d’abord le nectar aux
dieux
en qualité d’échanson jusqu’à l’arrivée de Ganymè
is bientôt il fut chargé de fonctions plus importantes. Le maître des
dieux
, pour le rendre plus agile, lui donna un bonnet a
te. La nymphe Driope, ayant été aimée de Mercure, devint mère de Pan,
dieu
des bergers et des chasseurs. Le culte de Mercure
ation. Les anciens donnèrent à Mercure, comme à la plupart des autres
dieux
, un domaine dans les astres : il obtint la planèt
nète la plus voisine du soleil, et qui porte son nom. A l’histoire du
dieu
des fourbes et des fripons, hâtons-nous de faire
om de Pallas. Quelquefois, elle lançait la foudre comme le maître des
dieux
; elle prolongeait à son gré la vie des hommes, e
élève. Arachné osa même concourir avec la déesse. Minerve peignit les
dieux
dans tout leur éclat ; Arachné les montra sous le
us. Méduse. Les Gorgones étaient trois sœurs, filles de Phocrys,
dieu
marin, et de Céto, fille de la Terre. Méduse, l’u
entre elles, avait des cheveux d’une beauté extraordinaire : Neptune,
dieu
des mers, en fut épris, et parvint à lui donner d
« Je n’ai plus ces cheveux si beaux, « Dont autrefois le
dieu
des eaux « Sentit lier son cœur d’une si douce ch
t alternativement pour faire sentinelle. Comme Persée était chéri des
dieux
, Minerve lui prêta son égide, bouclier formé de v
mpts que les vents, et qui sont appelés la Terreur et l’Épouvante. Ce
dieu
est à la fleur de l’âge ; et le courage impétueux
oint surpris dans les visites qu’il rendait à la reine de Cythère, ce
dieu
avait un serviteur, nommé Alectryon, qui faisait
guerre, étaient fiers de compter parmi leurs premiers rois un fils du
dieu
des combats ; ils élevèrent à ce dieu plusieurs t
leurs premiers rois un fils du dieu des combats ; ils élevèrent à ce
dieu
plusieurs temples pour lesquels ils créèrent des
remuait les boucliers sacrés et secouait la pique de la statue de ce
dieu
, en lui criant : « Mars, veille à notre conservat
ur24. Tel était l’enthousiasme qu’inspirait par-tout l’arrivée de ce
dieu
, connu en Grèce sous le nom de Dionysius. Il étai
le déguisée en vieille femme, et lui persuada d’engager le maître des
dieux
à la visiter avec tout l’appareil de sa grandeur.
nt couvert de la peau d’un tigre, il secourut vaillamment le père des
dieux
dans la guerre contre les Géants. Un jour, ayant
u dans l’île de Naxos, où il institua le culte de Bacchus. Bientôt ce
dieu
descendit dans les enfers pour en retirer sa mère
char à moitié découvert, traîné par des tigres ou par des lynx. Pan,
dieu
des forêts, et le vieux Silène, étaient à ses côt
Par-tout il vit les hommes lui dresser des autels sur son passage. Ce
dieu
montra quelquefois un caractère vindicatif et cru
ou Orgies, fut déchiré par sa propre mère et par ses tantes, dont le
dieu
troubla tellement l’esprit, qu’elles croyaient vo
le cortège de Bacchus pendant les Orgies, Jupiter, à la prière de ce
dieu
, le rendit aveugle. Les filles de Minée, après av
oé, et n’obtint d’elle que des mépris. Dans sa douleur, il supplia le
dieu
de lui être favorable. Pour venger son prêtre de
Un thyrse à la main, et le front couronné de lierre, elle suivait le
dieu
des vendanges, qui la regardait comme sa conquête
larmes, et ne pouvant vaincre sa douleur, elle se donna la mort. Les
dieux
placèrent cette fille si pieuse parmi les astres,
maternité. Mais un jour cette fille si chère fut enlevée par Pluton,
dieu
des Enfers, lorsqu’elle cueillait des fleurs dans
sitôt l’abondance reparut sur la terre. L’Attique, province chère aux
dieux
, avait beaucoup souffert pendant le courroux de C
ides, se détermina à l’épouser, et que de cet hymen naquit Plutus, le
dieu
des richesses, qui fut élevé par la Paix. Plut
te déesse, pour obtenir la conservation des fruits de la terre. Tout
dieu
veut aux mortels se faire reconnaître. On ne voit
De même que Minerve était la déesse des beaux arts, Vulcain était le
dieu
des arts mécaniques, et principalement de ceux qu
être fort sévère sur la chronologie, lorsqu’on étudie l’histoire des
dieux
de l’Olympe. Quoi qu’il en soit, Vulcain fut rega
. Dès qu’il eut été admis dans le ciel, sa figure fut pour les autres
dieux
un sujet de raillerie : nous en avons vu plusieur
vu plusieurs preuves dans l’histoire de Vénus dont il fut l’époux. Ce
dieu
fit de l’île de Lemnos l’objet de sa sollicitude
isie par les bras, et ne put s’en arracher sans le secours des autres
dieux
. Vulcain ayant bâti dans le ciel un palais magnif
’eux-mêmes s’avançaient devant son trône, et qui étaient l’ouvrage du
dieu
boiteux. Vulcain était aussi chargé de fabriquer
ussi chargé de fabriquer les armures destinées aux héros, enfants des
dieux
. Le bouclier d’Hercule, celui d’Achille étaient s
es avait animés avec le feu qu’il avait dérobé du ciel. Le maître des
dieux
croyait le punir de son audace, en lui présentant
, en lui présentant la femme tirée des ateliers de Vulcain, et que ce
dieu
avait pétrie avec de l’argile et des larmes. Tous
et que ce dieu avait pétrie avec de l’argile et des larmes. Tous les
dieux
et toutes les déesses firent un présent à cette f
peut le résoudre ; Il relève son front sillonné par la foudre : « Des
dieux
qui m’ont vaincu soyons encor l’égal, « Dit-il ;
s encor l’égal, « Dit-il ; dût mon orgueil me devenir fatal, « De ces
dieux
détestés bravons la tyrannie. « Sans le feu de l’
age et qu’une froide argile. Le souffle de la vie est le bienfait des
dieux
: Prométhée osera, dans le palais des cieux, Ravi
terminé hier l’histoire des divinités de l’Olympe, qu’on appelait les
dieux
du premier ordre ; mais il y avait un nombre cons
se ranger parmi les demi-dieux, il fallait, en général, être né d’un
dieu
et d’une mortelle, ou d’une déesse et d’un mortel
re les suites de cette métamorphose de Jupiter. Lorsque le maître des
dieux
prévit que son amante allait donner naissance à H
le rendit insensible et furieux ; mais cédant au Destin, il reçut des
dieux
diverses armes, parmi lesquelles on distinguait u
ant. Ce monstre horrible à voir, fier de sa taille immense, Devait au
dieu
du feu sa funeste naissance ; Et, tel qu’un noir
e son gosier affreux Des brasiers paternels il vomissait les feux. Un
dieu
vengeur, un dieu sauva notre patrie. Revenu des b
eux Des brasiers paternels il vomissait les feux. Un dieu vengeur, un
dieu
sauva notre patrie. Revenu des beaux champs de l’
e main, A des chaînes de fer a suspendu Vulcain, S’enferme, oppose au
dieu
cette vaine défense. Hercule est accouru respiran
urs découvrait à nos yeux Le Styx craint des mortels, abhorré par les
dieux
, De ce royaume affreux, désolé, lamentable, L’œil
. Alors le monstre, en proie à son bras implacable, Se ressouvient du
dieu
qui lui donna le jour : De son gosier brûlant, da
hes, pour la guérison d’une maladie qui lui avait été envoyée par les
dieux
, et l’oracle ayant refusé de lui répondre, il ten
er le trépied sacré. Apollon s’y étant opposé, il se battit contre ce
dieu
, et l’on ignore ce qui serait arrivé, si Jupiter
tys, qui était épris des charmes de cette princesse. Hercule livra au
dieu
son rival un combat célèbre. Achéloüs prit en com
ait élevé un autel à Jupiter. Voulant ensuite faire un sacrifice à ce
dieu
, il envoya demander à Déjanire, par un de ses ser
ans l’Olympe est monté31. Jupiter enleva son fils dans le séjour des
dieux
, sur un char traîné par quatre chevaux : le bûche
es fonctions dans l’Olympe étaient de verser le nectar à la table des
dieux
. Il serait impossible à nous autres mortels de no
e qui eussent le privilège de se nourrir de nectar et d’ambrosie. Les
dieux
terrestres s’accommodaient de ce qu’ils pouvaient
ort avec le nectar. Hébé ayant fait un faux pas devant le banquet des
dieux
, Jupiter ne lui permit plus de verser le nectar,
le rendait des oracles. La prêtresse d’Apollon annonça à Énée que les
dieux
lui permettaient l’entrée des Enfers ; mais qu’il
r, et se précipite en bouillonnant. Le Styx, dont Jupiter et tous les
dieux
n’attestent qu’avec crainte les ondes livides et
ces formées par les larmes, devant la porte du palais de l’inflexible
dieu
des Enfers. Les ames, conduites par Mercure, doiv
e distingua Phèdre, qui semble craindre de pénétrer jusqu’au trône du
dieu
des Enfers, où son aïeul est le juge suprême des
tôt ils voient, à leur gauche, les lieux consacrés aux vengeances des
dieux
, environnés d’un triple rempart. Autour, le Phlé
ur jusqu’aux cieux lève son front immense : Les mortels conjurés, les
dieux
et Jupiter Attaqueraient en vain ces murailles de
le sommeil de ses yeux : Jour et nuit, elle veille aux vengeances des
dieux
. De là partent des cris, des accents lamentables,
ables, Le sifflement des fouets dont l’air au loin gémit. Le fils des
dieux
s’arrête, il écoute, il frémit35. Bientôt la por
es exécutent ses ordres. Là, sont les Titans qui osèrent assiéger les
dieux
dans l’Olympe ; les fils d’Aloée qui, dès l’âge d
déclarèrent la guerre ; l’insensé Salmonée, qui voulut]passer pour un
dieu
, et imiter la foudre de Jupiter ; Thésée qui avai
trouve aussi dans cet affreux séjour Tantale, qui, pour éprouver les
dieux
qu’il reçut chez lui, leur servit à souper les me
invisible celui qui le portait, et ils en firent présent à Pluton. Ce
dieu
tient en main un sceptre à deux pointes, et quelq
e Aréthuse Enferme entre deux ports les murs de Syracuse36. Enfin le
dieu
, d’un coup de son sceptre fourchu qu’il enfonce d
t se présente devant Jupiter les yeux pleins de larmes. Le maître des
dieux
décida que sa fille lui serait rendue, pourvu tou
t mangé quelques grains. Ascalaphe, qui révéla cette circonstance aux
dieux
, fut changé en hibou. Tout ce que put faire Jupit
lon. Cette princesse fut victime de la haine que Vénus avait vouée au
dieu
de la lumière, lorsqu’il dévoila à Vulcain sa ten
dieu de la lumière, lorsqu’il dévoila à Vulcain sa tendresse pour le
dieu
Mars : elle connut les fureurs les plus humiliant
de la Grèce qui fit tellement régner la justice et l’équité, que les
dieux
, après sa mort, le crurent digne d’être juge dans
rencontre son père parmi ces ombres heureuses. Le vieillard, aimé des
dieux
, annonce à son fils sa gloire future et celle de
Amour se plaisait à leur tendre des pièges. Nérée fut un des premiers
dieux
marins, fils de l’Océan et de la Terre : il épous
u’Eurysthée lui avait ordonné d’aller cueillir et de lui apporter. Ce
dieu
faisait son séjour ordinaire dans la mer Égée, où
s Cyclopes un trident en guise de sceptre : après Jupiter, c’était le
dieu
qui avait le plus de puissance ; elle s’étendait
e ; Pluton sort de son trône, il pâlit, il s’écrie ; Il a peur que ce
dieu
, dans cet affreux séjour, D’un coup de son triden
t empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des dieux38. Le
dieu
des mers pouvait aussi faire naître des îles, nou
, sans le secours d’un Dauphin qui la fit enfin résoudre à prendre ce
dieu
pour époux. Neptune, en récompense du service que
l’empire des eaux avec son mari. Il la rendit mère de Triton, un des
dieux
marins, et de Rhode, qui donna son nom à une île
om à une île de la mer Égée. Les poëtes donnent de Triton l’idée d’un
dieu
puissant, qui règne sur les abymes de la mer, et
rbée, dont le bruit se fait entendre aux deux extrémités du monde. Ce
dieu
a la partie supérieure du corps semblable à celle
on le représente par-devant avec deux pieds de cheval. La plupart des
dieux
marins étaient appelés Tritons ; mais les poëtes
commander aux vagues, de l’autre elle portait sur ses genoux le petit
dieu
Palémon son fils, pendant à sa-mamelle : elle ava
s, connues sous le nom d’Atlantides : elles furent toutes unies à des
dieux
ou à des héros. Parmi elles, on distinguait Maïa,
ers affermis sur la terre. Sa hauteur est immense, et par l’ordre des
dieux
, Ce colosse à jamais porte le poids des cieux41.
Atlas du poids du firmament. Lorsque nous avons observé le séjour des
dieux
du premier ordre, notre attention s’est fixée sur
tait fils de Neptune et de la nymphe Thoosa, fille de Phorcys, un des
dieux
marins : il avait dans la Sicile un repaire extrê
Ces chants étaient inutiles ; Galatée aimait le berger Acis, fils du
dieu
Faune et de la nymphe Séméthis. Enfin le Cyclope,
tre ce berger, lança sur lui un rocher sous lequel il fut écrasé. Les
dieux
changèrent aussitôt Acis en un fleuve qui porte s
s mots des phrases. Avant cette condamnation, Écho avait été aimée du
dieu
Pan, qui ne put réussir à lui plaire. Bientôt apr
vorant lui-même. C’est aussi dans les forêts qu’on trouve les Faunes,
dieux
champêtres, qu’on voit errer çà et là avec des ja
s sacrifices dans lesquels ils immolaient un agneau ou une chèvre. Le
dieu
Pan, fils de Mercure et de la nymphe Dryope, étai
ite. Mercure l’enveloppa de peaux d’animaux, et alla le présenter aux
dieux
, qui ne purent se défendre de rire en le voyant.
ésenter aux dieux, qui ne purent se défendre de rire en le voyant. Ce
dieu
était l’effroi des nymphes qu’il poursuivait dans
i son arc était d’or, Et souvent toutefois on s’y trompait encor. Le
dieu
Pan l’aperçoit ; il descend des montagnes : « En
gnes : « En beauté, lui dit-il, vous passez vos compagnes ; « Je suis
dieu
, je vous aime, et le ciel m’est témoin… » A peine
la voilà dans ce lieu, Entre les eaux du fleuve et les transports du
dieu
. « Nymphes, à mon secours, de loin s’écria-t-elle
ée, en étant devenu jaloux, la précipita du haut d’un rocher ; et les
dieux
, touchés de son sort, la changèrent en pin. Cet a
es côtes de Sicile, étaient célèbres par le séjour qu’y faisait Éole,
dieu
des Vents, un des descendants de Prométhée. Ce ro
incertains. Ils abordèrent un rivage, Où la fille du
dieu
du jour, Circé, tenait alors sa cour.
. Toute la plaine est embrasée, et les eaux commencent à diminuer. Le
dieu
tourne toutes ses flammes contre le fleuve : les
en feu, et dans cet état, il s’écrie : “Vulcain, il n’y a pas un des
dieux
qui puisse vous résister : comment entreprendrais
tous ceux qui buvaient de son onde, ou qui s’y baignaient. Celle des
dieux
Palices, en Sicile, décelait les parjures, sans j
les Sylvains, les Oréades, les Nappées, les Dryades, conduits par le
dieu
Pan, venaient célébrer leurs fêtes joyeuses. Écho
e. Le premier jour qu’elle le vit, elle prit la fuite ; mais le jeune
dieu
l’atteignit, lui peignit son amour, et depuis ce
d jour Attend le retour. Le jeune Zéphire A ses pieds soupire ; Et le
dieu
badin, Volant autour d’elle, Du bout de son aile
ait dans ces lieux des objets d’un culte sacré, connus sous le nom de
dieux
domestiques. Là régnaient humblement les dieux h
connus sous le nom de dieux domestiques. Là régnaient humblement les
dieux
hospitaliers. Je ne sais quoi me plaît dans leurs
lant son épouse, et son fils et sa fille, Présenter pour tribut à ces
dieux
innocents, Quelques gouttes de lait et quelques g
on entrait dans le domaine d’un villageois, on rencontrait d’abord le
dieu
Terme, protecteur des limites, et vengeur des usu
t de borne. Numa Pompilius fut le fondateur de ce culte ; il éleva au
dieu
Terme un temple sur le mont Tarpéien à Rome. Tarq
nt résolu d’abattre les autres temples qui y étaient élevés, tous les
dieux
, à qui ces temples étaient consacrés, cédèrent vo
s étaient consacrés, cédèrent volontiers la place à Jupiter ; mais le
dieu
Terme s’obstina à garder la sienne, et on fut obl
eu Terme s’obstina à garder la sienne, et on fut obligé de laisser le
dieu
immobile dans l’enceinte du nouveau temple. Cette
u nouveau temple. Cette obstination ne pouvait déplaire au maître des
dieux
, qui, sous le nom de Jupiter terminal, avait été
iter terminal, avait été protecteur des limites, avant l’existence du
dieu
Terme. Lorsqu’on pénétrait dans les jardins, on t
écarter les voleurs ; c’était Priape, fils de Vénus et de Bacchus. Ce
dieu
naquit à Lampsaque, ville de l’Asie mineure, dans
es voleurs, ou émonder les arbres. Dans le printemps on immolait à ce
dieu
un jeune bouc, et on lui offrait une couronne de
erme ses jardins, Enclos impénétrable aux amoureux Sylvains. Tous les
dieux
des hameaux enviaient sa conquête : Pan qui du so
Pan qui du sombre pin se couronne la tête, Les Faunes bocagers, et ce
dieu
dont la faux De nos fruits mûrissants écarte les
fois, Pour cacher leur dépit, s’enfuirent dans les bois50. Vertumne,
dieu
des vergers, fut plus constant et plus heureux. I
r. Il reprit alors sa première forme, et devint l’époux de Pomone. Ce
dieu
est représenté sous la figure d’un jeune homme co
Nuit, qui traversait les airs, escorté du Sommeil et des Songes. Ces
dieux
devaient leur naissance à la Nuit, fille du Chaos
esta. Lorsqu’on pénétrait dans les appartements, on voyait les Lares,
dieux
domestiques, Génies particuliers à chaque famille
rent d’abord les protecteurs de leur ville. On croit que le culte des
Dieux
lares est venu de la coutume d’enterrer les corps
r la maison, et l’on entretenait du feu devant elles. On immolait aux
Dieux
lares un porc et les premiers fruits de l’année :
née : chaque famille leur faisait un sacrifice particulier. Parmi les
dieux
domestiques, on plaçait aussi les Mânes, qui étai
be demande. Pour honorer les morts, le cœur est riche assez, Et leurs
dieux
ne sont pas des dieux intéressés. De couronnes de
er les morts, le cœur est riche assez, Et leurs dieux ne sont pas des
dieux
intéressés. De couronnes de fleurs, une tuile cou
mes on pénétrait dans les étables et dans les écuries, on trouvait le
dieu
Fumier, honoré par les Romains, comme une des div
divinités de toute sorte. Chacune des parties de son corps avait son
dieu
particulier : la tête était sous la protection de
sourcils sous celle de l’orgueilleuse Junon ; les yeux sous celle du
dieu
de Paphos ; les doigts sous celle de Minerve : qu
ar l’inspection de la main. La Métoposcopie, pour annoncer ce que les
dieux
nous réservaient de biens et de maux, se bornait
les entrailles des animaux qu’ils immolaient sur les autels de leurs
dieux
. C’était sans doute un spectacle humiliant pour l
upiter, Neptune, Hercule, et plusieurs autres, furent mis au rang des
dieux
, du consentement unanime de tous les peuples. Bi
es peuples. Bientôt une foule d’idoles Usurpa l’encens des mortels ;
Dieux
sans force, ornemens frivoles De leurs ridicules
intes ; Et par ses desirs et ses craintes. L’homme aveugle compta ses
dieux
. Lamotte. Les Grecs, qui passoient pour les pl
plus savans, apprirent aux autres à mettre de la différence entre les
dieux
dont le nombre s’étoit prodigieusement augmenté ;
le nombre s’étoit prodigieusement augmenté ; et l’on connût alors les
dieux
du premier ordre, les dieux du second ordre, et l
ement augmenté ; et l’on connût alors les dieux du premier ordre, les
dieux
du second ordre, et les demi-dieux. Les premiers
remiers, dont ils dépendoient même, pour la plupart : tels étoient le
dieu
Pan ; les déesses Flore, Palès et Pomone ; les Ny
s Flore, Palès et Pomone ; les Nymphes, les Tritons, etc. et tous les
dieux
des fleuves, des rivières, des bois, des campagne
ns, etc. Les demi-dieux étoient les héros qui descendoient de quelque
dieu
, soit du côté paternel (soit du côté maternel, ou
les honneurs divins aux vices et aux vertus, que l’on transformoit en
dieux
ou en déesses : on bâtissoit des temples et l’on
à la perfectionner ; et qu’ Homère pourroit être appellé le père des
Dieux
, comme celui des poëtes. Oui, c’est toi, peintre
s les yeux de Cérès Croître les trésors de la terre : Il reconnoît le
dieu
des mers, A ces sons qui calment la guerre Qu’Eol
plaire sans agrément. Boileau. Première partie de la Fable. Les
Dieux
du premier ordre. Tous les poëtes remontent j
arrêts irrévocables : son pouvoir étoit si grand, que tous les autres
dieux
lui étoient subordonnés. On l’appelloit indiffére
cris perçans et ces voix lamentables N’arrivent point aux oreilles du
dieu
. A ses regards un bronze incorruptible Offre en u
re. Le Ciel. Le Ciel passoit pour le père et le plus ancien des
dieux
. Il fut détrôné par Saturne, l’un de ses fils ; m
de son pouvoir est très-bien exprimée. Jupiter parle ainsi aux autres
dieux
: Suivez-moi donc : venez, troupe choisie, Goûte
n d’une terre importune à nos yeux ; Et chez le Ciel, père commun des
dieux
, Allons chercher dans un plus noble étage Notre d
ranchi les vastes champs de l’air, Au firmament, demeure pacifique Du
dieu
des Cieux, reprend sa place antique. Le Ciel les
uille, au gré de vos chagrins, Abandonner la Terre à ses destins. Aux
dieux
créés les passions permises Sont devant moi tremb
piter, après avoir vaincu Saturne, le chassa honteusement du ciel. Le
dieu
exilé se réfugia dans cette partie de l’Italie où
roi de cette contrée, qui fut lui-même honoré dans la suite comme un
dieu
. On lui éleva à Rome un temple dont les portes ét
lui. Lamotte. Les poëtes feignent que, pendant l’Age d’or, tous les
dieux
habitoient la terre, et contribuoient à rendre le
durée De cet Age radieux, Qui vit la terre honorée De la présence des
Dieux
, L’homme instruit par l’habitude, Marchant avec c
mère de Saturne, étoit la déesse de la terre, et la mère de tous les
dieux
; c’est pourquoi on l’appelle la grande mère. On
r. Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit appelé le Père des
Dieux
et des Hommes. Il fut élevé secrettement, dans l’
réserva celui du Ciel avec un droit sur tout l’Univers : Les
dieux
ont partagé le monde, Et leur pouvoir est
omprend. Les cieux, l’enfer, la terre et l’onde : Les
dieux
ont partagé le monde, Mais, tu réunis tout sous u
les roches Qu’Encelade jettoit. Malherbe. Tous les
Dieux
effrayés quittèrent le ciel, excepté Bacchus, et
, Jadis, de sa prison profonde, Donna des secousses au monde, Dont le
dieu
des morts s’étonna. Lamotte. Quinault célèbre
méthée, fils de Japet et de Climène, voulant imiter le plus grand des
dieux
, fit des statues de terre, et, pour les animer, m
des tems, Hercule tua le vautour, et détacha du rocher Prométhée. Les
dieux
indignés que Jupiter prétendît seul avoir le droi
source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des
dieux
, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodigua
lédictions, Jusqu’à ce tems des humains ignorées, Avoient été par les
dieux
resserrées, Pour le malheur des mortels douloureu
ar, parce qu’elle s’étoit laissée tomber, et avoit fait rire tous les
dieux
. Il n’y avoit point au ciel d’autre table que cel
une fois pour devenir immortel ; et le nectar, boisson ordinaire des
dieux
, dont la privation étoit leur plus grand supplice
ôt ils lui donnent une puissance souveraine, même sur tous les autres
dieux
: Et Jupiter assis sur le trône des airs, Ce die
r tous les autres dieux : Et Jupiter assis sur le trône des airs, Ce
dieu
qui d’un clin d’œil ébranle l’univers, Et dont le
rs, Ce dieu qui d’un clin d’œil ébranle l’univers, Et dont les autres
dieux
ne sont que l’humble escorte, Leur imposa silence
culier. On le nommoit communément le Père et le Roi des Hommes et des
Dieux
, le Souverain de l’Univers, le maître du Tonnerre
lent le Ciel, l’Olympe, quand ils le considèrent comme la demeure des
dieux
. Junon. Junon, fille de Saturne et de Cybèl
e Saturne et de Cybèle, sœur et épouse de Jupiter, étoit la reine des
dieux
, et la déesse qui présidoit aux royaumes. Elle eu
royaumes. Elle eut trois enfans ; Hébé, déesse de la Jeunesse ; Mars,
dieu
de la Guerre ; et Vulcain, que Jupiter précipita
: Moi, l’épouse et la sœur du maître du tonnerre ! Moi, la reine des
dieux
, du ciel et de la terre ! Ah ! périsse ma gloire
e la terre ! Ah ! périsse ma gloire ; et faisons voir à tous, Que ces
dieux
si puissans ne sont rien près de nous. Qu’ils vie
de Jupiter : En ce moment, Iris, plus vîte que Borée, Messagère des
dieux
, fend la plaine azurée. Lamotte. Junon, voulant
roit sur la terre où elle pût s’arrêter. Esculape, fils d’Apollon, et
dieu
de la Médecine qu’il avoit apprise du Centaure Ch
fougueux, dont voici les noms ; Ethon, Pyroïs, Eoüs, et Phlégon : O
dieu
de la clarté ! vous réglez la mesure
envie ; Malgré vous, ils seront ouverts ; J’espère que le
dieu
qui m’a donné la vie. M’avouera pour son fils aux
la terre, qu’il lui fait craindre une combustion prochaine : Roi des
dieux
! armez-vous ; il n’est plus tenu d’attendre :
it prédit : Le sort de Phaéton se découvre à mes yeux.
Dieux
! je frémis ! que vois-je ? ô dieux ! Tremblez po
écouvre à mes yeux. Dieux ! je frémis ! que vois-je ? ô
dieux
! Tremblez pour votre fils, ambitieuse mère !
trouver la mort dans la gloire où tu cours. En vain le
dieu
qui nous éclaire, En pâlissant pour toi, se décla
rs larmes en ambre. Apollon est plus particulièrement honoré comme le
dieu
de la Poésie, de la Musique et des Beaux-Arts. On
e lui sont tous les instrumens propres à désigner les arts. Il est le
dieu
des poëtes : lui seul les inspire ; et l’enthousi
quel souffle divin m’enflâme ? D’où naît cette soudaine horreur ? Un
dieu
vient échauffer mon ame D’une prophétique fureur.
respectez sa présence, Prêtez l’oreille à mes accens. Rousseau. Le
dieu
de la poésie est en même tems le chef ou le maîtr
oilé, Et je vois jaillir l’Hippocrène Sous le pied du cheval aîlé. Un
dieu
, car j’en crois cette flâme Que son aspect verse
savans résonne Sa lyre, maîtresse des cœurs. Apollon étoit encore le
dieu
des oracles. On alloit le consulter à Delphes, vi
sant ouvrage Des mains de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du
dieu
qui donne le jour, Lava dans son sang horrible L’
écrivoient. Ou tel que d’Apollon le ministre terrible, Impatient du
dieu
dont le souffle invincible Agite
e, évitant les poursuites d’Apollon, fut métamorphosée en laurier. Ce
dieu
s’en fit une couronne qu’il porta toujours, et vo
avoit eus en mettant en musique les hymnes composés en l’honneur des
dieux
, osa défier Apollon, et prétendit chanter mieux q
rapide essor, Uranie à nos yeux Dévoile la nature et les secrets des
dieux
. Des empires divers Clio chante la gloire, Des r
les miracles, Et pour triompher des obstacles, Dispose du pouvoir des
dieux
. Lamotte. Melpomène est la déesse de la tragédi
ingénieux, Fait des guirlandes immortelles, Ornement des rois et des
dieux
? Elle chante, au gré de son zèle, Le fils enjoué
le fils de Vénus ; Et quelquefois dans les alarmes, Elle ose, pour le
dieu
des armes, Négliger l’Amour et Bacchus. Lamotte.
s vers : Brillant astre des nuits, vous réparez l’absence Du
dieu
qui nous donne le jour ; Votre char, lors
endu que ses filles croient plus belles que Diane : Et toi, fille du
dieu
qui lance le tonnerre, Diane, qui toujours m’a dé
s les pompes funèbres. Le Jupiter Olympien : c’étoit la statue de ce
dieu
, placée dans le temple qu’il avoit à Olympie, vil
l’antiquité. La statue étoit d’or et d’ivoire : elle représentoit le
dieu
assis sur un trône d’or enrichi de pierres précie
rme de l’olivier : la chaussure et le manteau étoient aussi d’or ; le
dieu
tenoit de la main droite une victoire d’or et d’i
iment dont l’architecture étoit admirable. On dit que Phidias pria le
dieu
de lui marquer par quelque signe, si son travail
ar le Styx il jure de descendre Avec tout l’appareil du souverain des
dieux
, Tel qu’aux yeux de Junon il paroît dans les cieu
Bacchus sont célèbres : on le regarde même comme le plus puissant des
dieux
après Jupiter. Il en étoit au moins le plus coura
res vaincus. Rousseau. Il est ordinairement regardé, moins comme le
dieu
des guerriers, que comme celui du vin, parce que
vigne, et inventa la vendange. Prends part à la juste louange De ce
dieu
si cher aux guerriers, Qui, couvert de mille laur
couronne de pampres, telle que lui-même en avoit toujours : Puissant
dieu
des raisins, digne objet de mes vœux, C’e
Ménades révoltées Craignons l’impétueux courroux. Tu sais jusqu’où ce
dieu
jaloux Porte ses fureurs irritées, Et quelles tra
coupa les jambes. Penthée étoit un roi de Thèbes. Par mépris pour les
dieux
, il fit emprisonner Bacchus qui passoit dans ses
les dieux, il fit emprisonner Bacchus qui passoit dans ses Etats. Le
dieu
s’échappa de la prison, et Penthée fut mis en piè
sa propre famille, qui avoit été frappée de fureur. Mercure. Ce
dieu
, fils de Jupiter et de Maïa, avoit la charge d’in
e Jupiter et de Maïa, avoit la charge d’interprête et de messager des
dieux
, mais sur-tout de Jupiter : Moi qui suis, comme
sait, en terre et dans les cieux, Le fameux messager du souverain des
dieux
; Et qui, sans rien exagérer, Par
utât plus promptement ses ordres. Mercure, en qualité de messager des
dieux
, entroit dans toutes leurs intrigues, avec soin d
d ma triste amitié. Lamotte. Mercure étoit lui-même honoré comme le
dieu
de l’éloquence, du commerce et des voleurs. Il pa
e dieu de l’éloquence, du commerce et des voleurs. Il passoit pour le
dieu
de l’éloquence, parce qu’en qualité d’interprète
oit pour le dieu de l’éloquence, parce qu’en qualité d’interprète des
dieux
, étant chargé d’entendre les harangues qu’on leur
les il semble tenir ses auditeurs enchaînés. On le regardoit comme le
dieu
du commerce, parce qu’il avoit inventé les poids,
l vient du mot latin mercatura, qui signifie le commerce. Il étoit le
dieu
des voleurs, parce qu’il aidoit à voler, et qu’il
ientôt après, elles la conduisirent avec pompe dans le ciel. Tous les
dieux
la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l
i lui donnoit pour époux le plus laid et le plus difforme de tous les
dieux
. Elle s’attacha au dieu Mars, à Anchise, prince T
le plus laid et le plus difforme de tous les dieux. Elle s’attacha au
dieu
Mars, à Anchise, prince Troyen, à Bacchus, et à A
e venger de n’y avoir point été invitée : Au superbe festin tous les
dieux
invités, Partageoient le bonheur des époux enchan
gnité cruelle ; et, quoiqu’enfant, il passe pour le plus puissant des
dieux
: Ce dangereux enfant, si tendre et si cruel
représente avec des aîles de papillon. Le culte que l’on rendoit à ce
dieu
, lui étoit commun avec sa mère. Il avoit cependan
ignés de pleurs. Voltaire. Vulcain. On le regardoit, comme le
dieu
du feu. Il étoit fils de Junon et de Jupiter qui
res : C’est Vulcain qui fait le tonnerre, Dont le maître des
Dieux
épouvante la terre. Lamotte. II avoit sous ses
mont Ethna. Les poëtes le font travailler lui-même aux armes donc les
dieux
vouloient faire présent aux héros qu’ils protégeo
ux enflammés, A grand bruit l’enclume résonne. Rousseau. Ce
dieu
est représenté sous un air hideux et difforme, av
cerveau de Jupiter, armée de pied en cap. Pour la mettre au monde, ce
dieu
se fit donner un coup de hache sur la tête, par V
s poëtes, en la faisant sortir du cerveau du maître des hommes et des
dieux
, ont prétendu tracer un emblème de la raison qui
us qu’à sa suite, Et se précipite avec lui. Rousseau. Après que les
dieux
eurent quitté la terre, on prétend que le Ciel en
enfin, dans les terrestres lieux, Leur tenir lieu de tous les autres
dieux
. Ils trouveront en vous leur bien solide : Nul di
tous les autres dieux. Ils trouveront en vous leur bien solide : Nul
dieu
ne manque où Minerve réside. Rousseau. Les Grec
e de la Grèce, que Cécrops, riche Egyptien, venoit de bâtir. Tous les
dieux
, assemblés pour juger ce différend, ne vouloient
voulut qu’il présidât à la guerre et aux combats. Le caractère de ce
dieu
est bien rendu dans ces vers que Rousseau met dan
que Rousseau met dans la bouche de Jupiter : Va, tyran des mortels,
dieu
barbare et funeste, Va faire retentir tes regrets
ne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les
dieux
du ciel. Ce portrait de Mars achevera de le fair
s, ses coursiers indomptables Sèment au loin des feux inévitables. Ce
dieu
terrible, environné d’éclairs, Brise, en passant,
outes pièces, et ne respirant que le carnage. On l’appelle souvent le
dieu
de la Thrace, soit parce que les peuples de cette
ance, Mars voulut que cet oiseau lui fût consacré. Mercure délivra ce
dieu
de la prison où Vulcain l’avoir mis. Il lui avoit
il t’en délivrer ? Rousseau. Pendant le siège de Troie, où tous les
dieux
, divisés entr’eux de sentimens et d’intérêts, avo
C’est ainsi que Rousseau entre dans ces détails, en supposant que les
dieux
, fatigués d’habiter la terre, retournent au ciel
e, élevé jusqu’à moi, Est le séjour dont je l’ai nommé roi. Entre les
Dieux
nés pour lui rendre hommage, Trois seulement auro
ir ministres empressés, Lui formeront une cour sans égale, Digne d’un
dieu
que ma faveur signale. Au second rang, Jupiter et
uille, au gré de vos chagrins, Abandonner la terre à ses destins. Aux
dieux
créés les passions permises, Sont devant moi trem
Verseau, ou Ganimède, que Jupiter enleva pour en faire l’échanson des
dieux
, à la place d’Hébé. Les Poissons, dont Vénus et C
fureur du géant Tiphon. Divinités maritimes. Neptune. Ce
dieu
, fils de Saturne et de Cibèle, et frère de Jupite
illot d’enfant, et fit élever secrètement Neptune par des bergers. Ce
dieu
, devenu grand, forma une conspiration contre Jupi
Quand il fit marcher à sa suite L’Hyménée et le
dieu
d’amour. Rousseau. Amphitrite est représentée d
nt d’une conque marine, qui leur servoit de trompette. La plupart des
dieux
marins sont appellés Tritons, et on les représent
e Neptune : C’est ici que Prothée amène les troupeaux Du
dieu
qui règne sur les eaux ; Il se plaît
. Neptune le changea en Triton. m> Eole, fils de Jupiter, étoit le
dieu
des vents, qu’il tenoit enchaînés dans le creux d
e permette qu’aux Amours De voler sur l’humide plaine. Rousseau. Ce
dieu
avoit un empire absolu sur les vents, qu’il gouve
et se précipitèrent dans la mer. Neptune en eut pitié, les changea en
dieux
marins ; donna à Ino le nom de Leucotoé, en la pl
çant parmi les nymphes, et celui de Palémon à Mélicerte, qu’il fit le
dieu
des ports. Les poëtes placent une divinité mariti
placent une divinité maritime dans chaque fleuve. Soit que ce soit un
dieu
ou une nymphe, on les représente couronnés de jon
mpagnes de Sicile : O mes compagnes ! ô ma mère ! O vous, maître des
dieux
, mon père !… Cris impuissans et vains regrets ! A
plus qu’un ruisseau. ……………………………………………………… ……………………………………………………… Les
dieux
n’ont pu souffrir qu’une nymphe sincère
Elle est à vous, on ne peut vous l’ôter ; Aux arrêts du Destin les
dieux
doivent souscrire, C’est vainement qu’on
Tantale, fils de Jupiter et de la nymphe Plota, voulant éprouver les
dieux
, leur avoit servi les membres de Pélops, son fils
ives errans, Par vos éternelles ténèbres, Par les sermens des
dieux
, dont vous êtes garans, Ecoutez-nous, die
r les sermens des dieux, dont vous êtes garans, Ecoutez-nous,
dieux
redoutables ; Que nos vœux, que nos cris vous tro
de tous ces fleuves, faisoit sept fois le tour des enfers. Quand les
dieux
avoient juré par ses eaux, ils n’osoient point êt
changement d’air. Pour la moindre petite chose Qu’un
dieu
l’atteste faussement, Il est irrémissible
e des cinq fleuves. Souvent on le prend pour la nuit même, ou pour le
dieu
qui préside à cette nuit éternelle dont les affre
e, ou d’Egire, avoit rendu ses sujets si heureux, qu’ils en firent un
dieu
; mais les poëtes disent que le Sort le nomma seu
er les arrêts que le Ciel prononce pour punir la malice des hommes :
Dieux
souverains des demeures profondes Que le Cocyte a
c Pluton. Ceux qui les distinguent disent également que Plutus est le
dieu
des richesses, le même que les Phéniciens appello
le, et tantôt faisant un usage éclairé de ses dons : Aimable
dieu
, de qui la main dispense Ce qui rend
rite encore le désir. Lamotte. Seconde partie de la Fable. Des
Dieux
du second Ordre. La Terre avoit ses dieux, ai
partie de la Fable. Des Dieux du second Ordre. La Terre avoit ses
dieux
, ainsi que le ciel, la mer et les enfers, mais il
, ainsi que le ciel, la mer et les enfers, mais ils n’étoient que des
dieux
du second ordre. Leur nombre est si prodigieux, q
limats divers ; Et, quand de tant de biens j’ai comblé l’univers, Les
dieux
percent mon cœur d’une douleur mortelle. Quinaul
Cybèle. Pomone présidoit aux fruits. Elle étoit l’épouse de Vertumne,
dieu
de l’automne. Flore, déesse des fleurs et du prin
une couronne de fleurs. Priape, fils de Vénus et de Bacchus, étoit le
dieu
des jardins. On le représente avec la barbe et la
ans, d’un lait pur une coupe t’est due, Priape ; c’est assez pour un
dieu
tel que toi : Si mon troupeau s’accroît, j’ornera
ans tous nos jardins nous chérirons ta loi. Gresset. Comus étoit le
dieu
des festins, et présidoit aux fêtes et aux parure
ition de ses plaisanteries : Tu vois l’objet de la haine des
dieux
, Dans le censeur de leurs caprices ;
deuil, parsemé d’étoiles. Elle épousa l’Erèbe, dont elle eut Morphée,
dieu
du sommeil. Ce dieu n’est quelquefois considéré q
iles. Elle épousa l’Erèbe, dont elle eut Morphée, dieu du sommeil. Ce
dieu
n’est quelquefois considéré que comme le principa
s. Le fleuve d’oubli roule doucement ses eaux autour de ce palais. Le
dieu
repose sur un lit fermé de rideaux noirs, et envi
: Viens voir tes temples relevés, Et ramène au sein de nos villes Ces
dieux
bienfaisans et tranquilles Que nos crimes ont sou
ore plus de troubles parmi les hommes, qu’elle n’en causoit parmi les
dieux
. On la représente armée d’un flambeau, d’un serpe
tagnes. La ville est le séjour des profanes humains ; Les
dieux
règnent dans les campagnes. Rousseau. Pan, fils
rmi les divinités champêtres. Il étoit l’inventeur de la flûte, et le
dieu
des bergers, des bois et des prairies : Pan trou
harmonieux. Pan règne sur nos bois ; il aime nos prairies ; C’est le
dieu
des bergers et de leurs bergeries. Gresset. Il
de Syrinx, nymphe d’Arcadie, qu’il poursuivit un jour : Pour fuir le
dieu
des bois, plongée au fond des eaux, Syrinx fut tr
s l’honoroient particulièrement ; et on l’appelle presque toujours le
dieu
de l’Arcadie. Il est représenté avec un air enfla
atyres, les Faunes, les Sylvains, dont on dit que Pan est le père. Le
dieu
Sylvain présidoit aux bois et aux forêts. On le r
la main. Faune, fils de Picus, roi des Latins, fut mis au nombre des
dieux
champêtres, parce qu’il avoit contribué à perfect
Il est représenté sous la figure d’un Satyre. D’autres disent que ce
dieu
étoit fils de Mercure et de la Nuit. Les poëtes c
et tantôt ne dédaignent point de danser au son de leurs voix : Quel
dieu
sur leurs doux sons formera notre voix : Ne rever
même, Il s’échappe sans cesse, et toujours se poursuit. Lamotte.
Dieux
domestiques. Le nombre de ces dieux, ainsi qu
rs se poursuit. Lamotte. Dieux domestiques. Le nombre de ces
dieux
, ainsi que le pouvoir qu’on leur attribuoit, dépe
ion des familles. Chaque maison, et même chaque appartement avoir ses
dieux
domestiques. On les appelloit communément Lares,
oient même regardées comme autant de divinités, que l’on appeloit les
dieux
Termes. Les Lares et les Pénates étoient fils de
oit pour obtenir des succès heureux. Les Romains consacroient à leurs
dieux
domestiques les anneaux, en forme de cœur, que le
uatorze ans. Enée, prince Troyen, est célèbre par sa piété envers les
dieux
, mais sur-tout pour avoir sauvé de l’incendie de
les dieux, mais sur-tout pour avoir sauvé de l’incendie de Troie les
dieux
tutélaires de cette ville. Chaque personne avoir
rt glorieux, Je n’ai pu m’empêcher d’exciter la colère De l’épouse du
dieu
de la terre et des cieux. J’ai comparé ma gloire
et ma gloire ; Et c’est pour une épouse un triomphe bien doux, Qu’un
dieu
ne puisse aller où je descends pour vous. La Gra
on ne pouvoit prendre la ville de Troie. Hercule fut mis au rang des
dieux
, et placé dans le ciel, où il épousa Hébé, déesse
e, et les mains vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle les
dieux
. Lamotte. Le Minotaure étoit renfermé dans un l
mme semblable A ces deux jumeaux que la Fable Plaça jadis au rang des
dieux
; Couple de déités bizarre, Tantôt habitans du Té
e, roi de Thèbes, conservoit avec soin un bélier qu’il avoit reçu des
dieux
, et dont la toison étoit d’or. Phryxus, fils de c
oison à Aëte, roi de la Colchide, qui la mit dans un bois consacré au
dieu
Mars, sous la garde d’un dragon furieux qui ne do
cultés qui s’opposoient à cette conquête, étoient insurmontables : le
dieu
Mars lui-même avoit pourvu à sa conservation, par
l vous la faut attendre. Comme votre Phryxus l’a consacrée à Mars, Ce
dieu
même lui fit d’effroyables remparts, Contre qui t
ête de la Toison d’or. Orphée. Divin Orphée, à qui les
dieux
Ont prodigué des sons la science charmante ;
termine ici ma course vagabonde ; Et c’est pour obéir aux oracles des
dieux
, Qu’il faut m’arrêter en ces lie
Va, Cadmus, que rien ne t’étonne ; Va, ne crains ni Junon, ni le
dieu
des combats : Ose secourir Hermi
se dit votre père, Exposa votre enfance en ce lien solitaire. Quelque
dieu
bienfaisant guida vers vous mes pas ; La pitié me
mains Pour jamais à son trône enchaînoient les destins. Déjà même les
dieux
nous sembloient plus faciles : Le monstre, en exp
ur ce funeste bord, Bientôt, avec la faim, nous rapporta la mort. Les
dieux
nous ont conduits de supplice en supplice : La fa
n avoit besoin d’éclaircir ses doutes, et de connoître la volonté des
dieux
. La plupart des poëtes évoquent même l’ombre de L
ppeller sans horreur. Nous avons déjà dit que Tantale avoit servi aux
dieux
son fils Pélops, et qu’il fut condamné à une soif
rêter mes transports furieux ; Je voudrois me venger, fût-ce même des
dieux
; Du plus puissant de tous j’ai reçu la naissance
imenter cette paix simulée par un motif de religion ; et, prenant les
dieux
à témoin de sa réconciliation, il présenta à Thye
yez donc les garans du salut de Thyeste, Coupe de nos aïeux, et vous,
dieux
que j’atteste ! ……………………………………………………… Mais, que v
cas, afin de s’assurer s’il exerçoit l’hospitalité envers le père des
dieux
. Arcas étoit petit-fils de Lycaon, et fils de Jup
héros : On sait qu’a votre tête I.cs
dieux
ont d’Ilion attaché la conquête : Mais on sait qu
aîné, eût seul soutenu et repoussé tous les efforts des Grecs, si les
dieux
ne lui avoient pas été contraires : Ne vous souv
qu’Hector leur a ravis. Racine. Les poëtes conviennent que tous les
dieux
prirent part à cette guerre, et se partagèrent, l
de Tros, roi de Troie, et lui donna la charge de verser le nectar des
dieux
, à la place d’Hébé, déesse de la jeunesse, et fil
mée : Mais Calchas est ici ; Calchas si renommé, Qui des secrets des
dieux
fut toujours informé. Le Ciel souvent lui parle :
s efforts nos escadrons en proie, Je fis plus pour Ptiam que tous les
dieux
de Troie. Th. Corneille. Hector remporte chaque
d des rois A l’univers entier sembloit donner des lois, Qu’a fait aux
dieux
cruels sa malheureuse fille ? Quel crime contre E
je frissonne ! Quelle horreur me saisit ? Grace au ciel, j’entrevoi…
Dieux
! quels ruisseaux de sang coulent autour de moi !
ourmenté, déchiré de ce crime odieux, Egalement haï des hommes et des
dieux
, Il en traînoit par-tout l’idée épouvantable ; Et
a Grèce, Où mon crime par-là doit enfin s’effacer, Ma sœur, parmi nos
dieux
nous irons la placer. La Grange-Chancel. Oreste
t l’immoler. Crébillon. Idoménée immola son fils à Neptune ; et les
dieux
punirent cet attentat par une peste cruelle, qui
épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la main, et emporta les
dieux
tutélaires de sa patrie. Il étoit destiné à fonde
e le nom Troyen. Ce prince vertueux appaise la colère de la reine des
dieux
; aborde à Carthage, dans le tems que Didon, fill
oir ; elle se perce d’un poignard, et expire, après avoir demandé aux
dieux
qu’une haine implacable divise Rome et Carthage.
ce que l’on peut trouver de repréhensible dans la morale et dans les
dieux
du Paganisme, doit servir à mettre sous les yeux
Polixène est immolée, 185 — A quel titre il étoit placé au rang des
dieux
, 11 — Il a été chanté par Homère, 12 Acris, roi
e, 159 Aglaïe, une des trois Graces, 76 Aigle, de Jupiter, 36 — Ce
dieu
en prend la forme, 34 Ailes, du tems, 21 — De M
thoüs, 145 Ambre, larmes des Héliades, 44 Ambroisie, nourriture des
dieux
, 34 Ammon, nom que les Egyptiens donnent à Jupit
nthiope, 13-33 — Musicien célèbre, 160 Amphitrite, mise au rang des
dieux
, 11 — Epouse de Neptune, 90 — Comment on la rep
us, 134 Apollon, fils de Jupiter et de Latone, 40 — Mis au rang des
dieux
, 11 — Père d’Orphée, 157 — Dieu des bergers, 40
43 — Est surnommé Phébus, et Pére du jour, 41 — Considéré comme le
dieu
de la Poésie, de la Musique et des beaux Arts, 44
en-ciel, 39-40 Arcadie, 123 Arcadiens, honorent particulièrement le
dieu
Pan, ibid. Arcas, fils de Jupiter et de Calisto
es Grecs s’y rassemble, 180 Autel de Diane, en Tauride, 60 Automne,
dieu
qui préside à cette saison, 113 Avares, représen
ée, 159 Bacchus, fils de Jupiter et de Sémélé, 65 — Mis au rang des
dieux
, 11 — Sa naissance, 65-66 — Reste seul dans le
2 Bergers, chargés d’élever Neptune, 90 — Pourquoi Apollon est leur
dieu
, 40 Biche aux pieds d’airain, 13 Biche, substit
Cadmus, père de Sémelé, 65 — A quel titre il étoit placé parmi les
dieux
, 11 Caducée, son origine, 71 — Son usage, ibid.
Dont il partage l’immortalité, 148 — A quel titre il est au rang des
dieux
, 11 Caucase, mont célèbre, sur lequel Prométhée
74 Ciel, confondu dans le chaos, 16 — Le père et le plus ancien des
dieux
, 19 — Leur assigne des places, 19-87-88 Ciel, i
places, 19-87-88 Ciel, il est appelé l’Olympe, 57 — On y place les
dieux
du premier ordre, 10 Ciel céleste poétique, 86
esse qui y préside, 52 Comète, fille de Ptérilaüs, 130 Commerce, le
dieu
qui y préside, 70 Comus, dieu des festins, 114
fille de Ptérilaüs, 130 Commerce, le dieu qui y préside, 70 Comus,
dieu
des festins, 114 Conque marine, trompette des Tr
ée, nymphe changée en ruisseau, 99 Cybèle, 26-27 — Mise au rang des
dieux
, 11 — Sauve Jupiter, 20 — Et Neptune, 90 — Ell
nt, 11 Dés, (jeux de) 176 Destin, son origine, 17-18 — Combien les
dieux
lui sont soumis, 99 — Comment on le représente,
e, 18 Deucalion, 47 Diane, sa naissance, 40 — Est mise au rang des
dieux
, 11 — Sous quels rapports les poëtes la distingu
dore, ibid. — Se partagent en faveur des Grecs et des Troyens, 177
Dieux
domestiques, 126 Dieux Termes, ibid. Dimas, pè
gent en faveur des Grecs et des Troyens, 177 Dieux domestiques, 126
Dieux
Termes, ibid. Dimas, père d’Hécube, 179 Diomèd
hrace, 133 Diomède, se distingue au siège de Troie, 176 — Blesse le
dieu
Mars, 86 — Enlève le Palladium, 83-183 Dioné, n
ine Aganiemnon, 186 — En est puni, 188 Egypte, sert de retraite aux
dieux
, 29 — Ses pyramides, 64 Egyptus, oncle des Dana
e d’Alcmène, 130 Elémens, confondus dans le chaos, 16 Eloquence, le
dieu
qui y préside, 70 — La déesse qui y préside, 51
cé, 192 Endymion, 57 Enée, fils de Vénus, 73 — Sa piété envers les
dieux
, 126 — Sauve les divinités tutélaires de sa patr
rde en Italie, 194 Enéide, poëme de Virgile, 51 Enfers, 98 — Quels
dieux
y tiennent le premier rang, 11 Enigme proposée p
rait, 120. Sa demeure, ibid. — Comment on la représente, 119 Eole,
dieu
marin, 93. Dieu des vents, ibid. — Ecarte les T
s, 123-124 Favoris des Muses ; nom donné aux poëtes, 50 Festins, le
dieu
qui y préside, 114 Fées de Bacchus, 68 Feu perp
illes de l’Achéron, nom donné aux Parques, 59 Firmament, demeure des
dieux
, 20-86 Flambeau de la Discorde, 121 Flèches de
ée de douze cents quatre-vingt-dix voiles, 180 Flûte, inventée par le
dieu
Pan, 122 — De Pan, 15 — D’Euterpe, 50-54 Forge
oi de Corinthe, père de Bellérophon, 149 Glaucus, pêcheur, changé en
dieu
marin, 93 Gnide, temple célèbre, 74 Gorgone, em
ésident à tous les arts d’agrément, 75 — Sont admises à la table des
dieux
, 35 — Et invoquées par les poëtes, 75 Grecs, ap
les poëtes, 75 Grecs, apprennent à mettre de la différence entre les
dieux
, 10 — Quelle étoit leur ambition, 81 — Surprenn
Déjanire, 138 — Sa mort et son apothése, 139 — Est mis au rang des
dieux
, 10 — A quel titre, 11 Hermione, 96 — Délivrée
, comparé à Amphion, 13 — En quel sens on peut l’appeler le père des
dieux
, 12 — Ses poëmes, 51 Honneurs divins, rendus au
mes et son supplice, 100 J Janus, roi d’Italie, mis au rang des
dieux
, 22 Japet, pèe de Prométhée, 31 Jardins de Baby
s Hespéides 128 — — Hercule en enlève les pommes d’or, 134 Jardins,
dieu
qui y préside, 113 Jasion, père de Plutus, 110
émeaux, 149 — Un des signes du Zodiaque, 89 Junon, mise au rang des
Dieux
, 11 — Fille de Saturne et de Cybèle, 37 Junon,
Troie, 177 — Comment on la représente, 39 Jupiter, mis au rang des
dieux
, 10-11 — Sauvé par Cibèle, 20 — Défait les Tita
ssalie, ibid. Lapria, nom donné à Diane, 60 Lara, nayade, mère des
dieux
domestiques, 126 Lares, dieux domestiques, ibid.
né à Diane, 60 Lara, nayade, mère des dieux domestiques, 126 Lares,
dieux
domestiques, ibid. Larmes, des Héliades, 44 —
e de l’Attique, 141 Maritimes, (divinités) 90 Mars, mis au rang des
dieux
, 1l — Fils de Junon, 37. Père de Cupidon, 76 —
a fureur de Thémisto, 97 — Se précipite dans la mer, y est changé en
dieu
marin, 93-97 Melpomène, une des neuf Muses, 44-5
ère de Patrocles, 181 Mer, (la) confondue dans le chaos, 16 — Quels
dieux
y tiennent le premier rang, 11 Mère, (la grande)
ibèle, 26 Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, 69 — Mis au rang des
dieux
, 11 — Ses différens emplois, 69-70 — Présent qu
érens emplois, 69-70 — Présent qu’il fait à Pandore, 32 — Il est le
dieu
de l’éloquence, du commerce et des voleurs, 70-71
dieu de l’éloquence, du commerce et des voleurs, 70-71 — Le père des
dieux
domestiques, 126 — Il tire Mars de sa prison, 85
t, 60 — Leurs noms et leur description, 60-61-62-63-64 Messager des
dieux
, 69 Messagèe de Junon, 39-40 Mesures inventées
uit, 114 Mont-sacré, demeure d’Apollon et des Muses, 45-46 Morphée,
dieu
du Sommeil, 115 Murs de Babylone, une des sept m
ontaines, 92-124 Nécessité, mère de Némésis, 28 Nectar, boisson des
dieux
, 34-35-177 Nélée, père de Nestor, 172 Némée, fo
ment on la représente, 119 Néphélès, épouse d’Athamas, 151 Neptune,
dieu
de la mer ; sa naissance, 15-90 — Est mis au ran
Neptune, dieu de la mer ; sa naissance, 15-90 — Est mis au rang des
dieux
, 10-11 Neptune partage l’empire du monde avec se
feu perpéuel, 27 Nymphes, 92 — Le rang qu’elles tiennent parmi les
dieux
, 11 — Leurs danses, 14 — Elles élèvent Jupiter,
tte déesse, 80 Olympe, montagne de Thessalie, 28-30-62 — Séjour des
dieux
, 36 — Noms de ses habitans, 86 Olympie, ville c
eil, 115 Palamède invente les jeux de dés et d’échecs, 196 Palémon,
dieu
des ports de mer, 97. Voyez Mélicerte. Palès, dé
nte, frère d’Egée, 140 Pallantides, enfans de Pallante, ibid. Pan,
dieu
des bergers, 122 — Le rang qu’il tenoit sur la t
Ses danses, 124 — Comment on le représente, 123 Pandore, fille des
dieux
, 32-33 — Reçoit un préent (je chacun d’eux, 32
e Tantale, 102 — Rendu à la vie, il épouse Hippodamie, 169 Pénates,
dieux
domestiques, 126 Pénée, père de Daphné, 48 Péné
88 — Enlève le bélier qui portoit la Toison d’or, 151 Picus, pèe du
dieu
Faune, 113 Pie, pourquoi on immoloit cet oiseau
, 33-138 Pluton, fils de Saturne et de Cybèle, 98 — Mis au rang des
dieux
, 11 — Partage l’empire du monde avec ses frères,
ond souvent avec Plutus, 110 — Comment on le représente, 99 Plutus,
dieu
des richesses, 110 Pô, fleuve d’Italie, 43 Poés
euple grossier, 195 Proserpine, fille de Cérès, est mise au rang des
dieux
, 11 — Est enlevé par Pluton, 98-99 — Refuse de
ituation, 12 — Ses fondateurs, 85 — Est particulièement consacré an
dieu
Mars, ibid. Romulus, fils de Mars, fondateur de
turne et de Jupiter, 86 Saturne, fils du Ciel, 20 — Mis au rang des
dieux
, 11 — La place que le Ciel lui assigne, 87 — A
la terre fut l’âge d’or, 22-23 — Comme il récompensa Janus, 22 — Ce
dieu
est un emblème du Temps, 195 — Comment il est re
onné aux Muses, 50 Soie des Parques, 107-108 Soleil, adoré comme un
dieu
, 9 Soleil, son char, 42 — Différens noms qu’on
écueils, 15 Syrinx, nymphe changée en roseaux, 122 T Table des
Dieux
, 34-35 Tantale, un des ancêtres d’Agamemnon, 168
our tromper les Troyens, 183 Térée, changé en épervier, 171 Termes,
dieux
domestiques, 127 Terpsichore, une des neuf Muses
on la représente, 55 Terre, (la) confondue dans le chaos, 16 — Les
dieux
qui y tenoient le premier rang, 10 Terreur Paniq
s, fils et gardes de Neptune, 90 — Le rang qu’ils tenoient parmi les
dieux
, 11 — Comment on les représente, 91 Troade, sa
Vénus, emblème des qualités aimables, 13 — Elle est mise au rang des
dieux
, 11 — Fait son présent à Pandore, 32 — Epouse V
ts de la Fable, 12 Verseau, un des signes du Zodiaque, 89 Vertumne,
dieu
de l’Automne, 113 Vertus, érigées en divinités,
hologie. Ce sont des récits inventés par les anciens en l’honneur des
dieux
et des héros qu’ils regardaient comme leurs premi
e l’île de Crète, qu’on appelle à présent Candie, fut mis au rang des
dieux
à cause de sa valeur et de sa puissance, qui le f
les mêmes honneurs. Neptune commandait une armée navale : on l’appela
dieu
des mers. Pluton fut nommé le Dieu des enfers, pa
longer. C’est ainsi qu’Esculape, médecin célèbre, fut honoré comme un
dieu
. La cour des rois et des princes était regardée c
. La cour des rois et des princes était regardée comme la demeure des
dieux
; le prince bannissait du ciel celui qu’il exilai
d’ Hésiode ; on érigea des temples, et l’on offrit des victimes à des
dieux
qui tenaient leur existence de ces deux poètes. D
ps de l’idolâtrie, quand on commença à offrir des sacrifices aux faux
dieux
, on ne faisait point usage d’encens ni d’autres p
uctions de la terre. Les libations étaient d’eau pure. On offrait aux
dieux
, en sacrifice, les mêmes choses dont on avait cou
nourrir de la chair des animaux, ils crurent faire plus d’honneur aux
dieux
en leur offrant des bœufs et des béliers, que des
hes, qui ne pouvaient faire la dépense de béliers et de taureaux. Les
dieux
imaginaires des anciens leur parurent sans doute
norées dans divers pays furent rassemblées : ainsi, le culte des faux
dieux
fut répandu, avec la puissance romaine, jusqu’aux
ste influence Des doux présens que son sein nous dispense. Ainsi, des
dieux
le suprême vouloir De l’harmonie établit le pouvo
réé, l’âge d’or commença. Saturne Le Ciel, le plus ancien des
dieux
, selon les poètes, eut deux fils : Titan et Satur
ts ans. Pour récompenser les vertus de Janus, on le mit au nombre des
dieux
. Les anciens le représentaient avec un bâton, com
si appelée la Grand’mère, parce qu’elle est la mère de la plupart des
dieux
et surtout des dieux du premier ordre. On la nomm
ère, parce qu’elle est la mère de la plupart des dieux et surtout des
dieux
du premier ordre. On la nommait aussi Ops et Tell
vait apaiser. Métra, sa fille, désirant venir à son secours, pria les
dieux
de lui donner la vertu de se transformer à son gr
ille était aux enfers. Aussitôt la déesse monte au palais du père des
dieux
, elle lui fait ses plaintes et demande justice de
avant ils ne vivaient que de ceux qu’on apportait d’ailleurs. Le
dieu
Terme Terme était un des plus anciens des di
ailleurs. Le dieu Terme Terme était un des plus anciens des
dieux
chez les Romains. Il marquait les limites des cha
qu’on voulut bâtir un temple à Jupiter sur le mont Capitole, tous les
dieux
cédèrent la place, et qu’il n’y eut que le Dieu T
lever. Numa Pompilius, qui, dans l’intérêt du bien public, imagina le
dieu
Terme, lui bâtit un temple sur le mont Tarpéien,
aient dévoués aux furies, et il était permis de les tuer. Le culte du
dieu
Terme ne se bornait pas à celui qu’on lui rendait
erte au-dessus de sa statue ; on regardait comme un crime de tenir le
dieu
Terme caché, parce que les bornes et les limites
es doivent être à la vue de tout le monde. Ovide fait parler ainsi au
dieu
Terme, le possesseur d’un champ : Terme, qui que
Terme, qui que tu sois, ou de bois ou de pierre, Tu n’es pas moins un
dieu
que le dieu du tonnerre, Garde que mon voisin ne
ue tu sois, ou de bois ou de pierre, Tu n’es pas moins un dieu que le
dieu
du tonnerre, Garde que mon voisin ne me dérobe ri
C’est-là ton champ, et c’est ici le mien. Avant qu’on eût inventé ce
dieu
, on invoquait Jupiter comme protecteur des limite
tête atteignait le ciel. La vue de ce monstre épouvanta tellement les
dieux
qui étaient accourus au secours de Jupiter, qu’il
’idolâtrie des Egyptiens, qui adoraient les plantes et les bêtes. Ces
dieux
poltrons, pour ne pas être reconnus par leurs enn
eant le Nil d’un regard curieux, A deux genoux, crut voir les
dieux
Nager incognito sous son onde tranquille, Croî
extraordinaire. Le supplice de Prométhée parut trop sévère aux autres
dieux
. Ils virent avec douleur que Jupiter voulait s’at
à vint le nom de Pandore, qui signifie tout don. Cette entreprise des
dieux
déplut à Jupiter. Pour tromper leur espérance et
source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des
dieux
, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodigua
lédictions, Jusqu’à ce temps des humains ignorés, Avaient été par les
dieux
resserrés, Pour le malheur des mortels douloureux
qu’il en fut adoré comme Jupiter, ce qui irrita si fort le maître des
dieux
, qu’il voulut le foudroyer ; mais, par compassion
uton faisait travailler aux mines, que comme du séjour des morts. Les
dieux
que les poètes ont associés à Jupiter, marquent s
mais seulement pour la gloire. Après avoir offert un sacrifice aux
dieux
, on ouvrait la carrière préparée pour la course,
versait le nectar à Jupiter, avant que, sous la forme de l’aigle, ce
dieu
n’eût enlevé Ganymède, fils de Tros, troisième ro
r vengeance de ce que Junon l’avait mis au monde tout contrefait. Les
dieux
ne purent dégager la déesse de ses entraves, il f
nt devenu grand, il se fit forgeron, et travailla pour le service des
dieux
. Lorsqu’il fut assez habile, Jupiter lui donna la
édommageait en lui prodiguant les dons du génie. Il fit par ordre des
dieux
cette célèbre Pandore, si admirable par ses perfe
poètes ont feint que Vulcain travaillait lui-même aux armes dont les
dieux
faisaient présent aux héros. C’est à Vulcain que
nt les gens de bien et dévoraient les hypocrites. Mars Mars,
dieu
de la guerre, était fils de Junon seule. Cette dé
. C’est ainsi que Mars vit le jour. Les inclinations guerrières de ce
dieu
le rendirent célèbre. Il se trouva à la guerre qu
par Diomède. Lors de la guerre de Troyes, Jupiter fit défense aux
dieux
de prendre parti pour ou contre les Troyens : Mar
ngeance de la mort d’Ascalaphus, son fils, tué au siége de Troyes, le
dieu
se rendit en armes devant cette ville. Minerve qu
e conduisait le bras. Mars porta sa plainte à Jupiter ; le maître des
dieux
, loin de l’écouter favorablement, lui reprocha sa
meurtre d’Hallirrhothius, fils de Neptune, comparut devant les douze
dieux
, plaida sa cause, et fut déclaré innocent, vu qu’
s ce célèbre jugement, l’endroit où il s’était rendu, porta le nom du
dieu
qu’on y avait absous : de là vient le nom d’Aréop
e les suffrages des juges. Noms de Mars. Les Grecs ont donné au
dieu
Mars le nom d’Arès, qui signifie dommage, à cause
rompa Rhéa-Sylvia, et la rendit mère de Rémus et Romulus. Culte du
dieu
Mars. Les Romains principalement rendaient un
lte du dieu Mars. Les Romains principalement rendaient un culte au
dieu
Mars : ils l’honoraient comme le protecteur de l’
ptibles autour de Mars et de Vénus ; ensuite il alla appeler tous les
dieux
pour les rendre témoins de sa honte. Mars, outré
honoré, et Vénus se sauva en Cypre. Les Saliens. Les prêtres du
dieu
Mars se nommaient Saliens, parce que, pendant la
il disait avoir apprises de la nymphe Egérie. Il fit entendre que les
dieux
l’avaient envoyé pour le salut de la ville. Afin
on disait : Chère et repas des Saliens. Comment on représentait le
dieu
Mars. Dans les anciens monumens, Mars était re
sur les épaules. Demoustier, usant du privilége de poète, présente le
dieu
Mars dans un appareil qui mérite de trouver place
nte le dieu Mars dans un appareil qui mérite de trouver place ici. Ce
dieu
, dit-il, voulant plaire à Vénus, s’offrit aux yeu
, tenait les rênes d’une main, et de l’autre un fouet ensanglanté. Le
dieu
, le front couvert d’un casque d’or, surmonté d’un
devint le Dieu de la lumière, sous le nom de Phébus. Il est aussi le
dieu
des arts ; et c’est par cette raison que la fable
e la jeunesse, Malgré le temps, a conservé les traits ; Les rois, les
dieux
, ont connu la vieillesse : Les talens seuls ne vi
Cyclopes qui forgeaient la foudre. Cette audace offensa le maître des
dieux
; oubliant la tendresse qu’il avait pour son fils
plus redoutable des troupeaux. On raconte que Mercure ayant aperçu le
dieu
dans sa nouvelle condition, lui enleva adroitemen
n père à son secours ; aussitôt elle fut métamorphosée en laurier. Le
dieu
n’embrassant plus qu’un arbre insensible, en déta
palais avec Apollon, qu’avec son haleine, il dirigea le disque de ce
dieu
sur la tête d’Hyacinthe, et le tua. Le sang qui s
gine était inconnue. Perséis ne fut pas insensible à l’amour du jeune
dieu
, et elle devint mère de la célèbre Circé. Cyp
alheurs, consulta l’oracle : on lui répondit qu’il devait apaiser les
dieux
en exposant, chaque année, une fille troyenne sur
distinguent Apollon du soleil. Sans rien décider, ils feignent que le
dieu
du jour est porté sur un char attelé de chevaux d
, ont même cru, que, sous le nom du soleil étaient renfermés tous les
dieux
du paganisme, et toutes les déesses sous celui de
s. — Le Corbeau. Le Corbeau était consacré à Apollon, parce que ce
dieu
présidait aux oracles, et que le vol et le chant
fable dit que d’abord cet oiseau avait le plumage blanc, mais que ce
dieu
le noircit pour le punir de lui avoir découvert l
dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux, sont les
dieux
Tyntarides, Castor et Pollux. L’Ecrevisse, les po
n voulait décrire en détail toutes les autres constellations dont les
dieux
ont embelli le Zodiaque et les autres parties du
ci entre autres choses ce que la fable nous apprend d’Orion. Fils des
dieux
, il naquit sans mère. Jupiter, Neptune et Mercure
demment être père sans prendre de femme. Il obtint cette faveur : les
dieux
firent naître Orion dans la peau du bœuf dont leu
e roi de Babylone. Pour entretenir la belle Leucothoé sans témoin, le
dieu
prit la figure d’Eurynome, mère de la princesse ;
ors Apollon se fit connaître. Clytie, jalouse de la préférence que le
dieu
donnait à sa rivale, et voulant s’en venger, inst
e qui porte l’encens. Loin de rendre son cœur à la nymphe jalouse, le
dieu
n’eut plus pour elle que du mépris ; elle s’en ap
cette science, que, dans la suite, il fut regardé et honoré comme le
dieu
de la médecine. Ayant rendu la vie au malheureux
n irrité s’en plaignit à Jupiter qui le foudroya ; mais le maître des
dieux
voulant consoler Apollon de la perte de son fils
fit cesser ce fléau. Valère Maxime raconte ainsi de quelle manière ce
dieu
favorisa les Romains de sa présence : « La peste,
eussent la charité de leur laisser emporter à Rome la statue de leur
dieu
, qui, infailliblement ferait cesser la maladie. L
le grand matin, les ambassadeurs se mirent en prières pour savoir du
dieu
s’il désirait qu’on lui dressât à Epidaure un aut
être, qui reconnut la métamorphose d’Esculape rassura les Romains. Le
dieu
, suivi des ambassadeurs, traversa la ville aux ye
e sénat et les Vestales allèrent au-devant de lui en grande pompe. Le
dieu
remarqua une belle île sur le Tibre, où il montra
e Théa : Titan et la Terre. Les anciens, qui ont prodigué les noms de
dieux
et de déesses au soleil, à la lune et aux autres
urore ouvre tous les matins les portes du ciel, et qu’elle précède le
dieu
du jour. On représente cette déesse sur un char b
ô, fleuve d’Italie. Le sort de Phaéton se découvre à mes yeux ;
Dieux
! Je frémis ! que vois-je ? ô dieux ! Tremblez po
ton se découvre à mes yeux ; Dieux ! Je frémis ! que vois-je ? ô
dieux
! Tremblez pour votre fils, ambitieuse mère !
? Tu dois trouver la mort dans la gloire où tu cours. En vain le
dieu
qui nous éclaire, En pâlissant pour toi se déclar
lement affligées du malheur de leur frère, qu’elles en moururent. Les
dieux
, touchés de compassion, les changèrent en peuplie
. Pan joua le premier, ensuite Apollon : Tmolus prononça en faveur du
dieu
de la musique ; mais Midas, en riche ignorant et
flûte de Pan aux accords doux et harmonieux de la lyre d’Apollon. Ce
dieu
, pour se venger, lui allongea les oreilles. Le ba
tats de Midas. Ce roi qui avait appris que Silène, père nourricier du
dieu
, aimait fort le vin, en remplit une fontaine, où
x pour charmer tout le monde, et même pour intimider Apollon, mais ce
dieu
qui joignait aux accords de sa lyre les accens de
racles avaient pour seul et unique but, le commerce immédiat avec les
dieux
, afin de se décider dans les affaires épineuses,
étaient pas propres ; il fallait attendre le temps où il plaisait aux
dieux
d’en rendre. La Pythie à Delphes ne donnait de ré
is. Les Oracles se rendaient de diverses manières : tantôt c’était le
dieu
lui-même qui répondait, tantôt la prêtresse ; une
dieu lui-même qui répondait, tantôt la prêtresse ; une autre fois le
dieu
s’expliquait dans le sommeil, ou par billet cache
us. Elle naquit à Cumes dans l’Eolide, et fut prêtresse d’Apollon. Ce
dieu
la trouvant belle, n’épargna rien pour la rendre
mme la plupart des mortels, attachait du prix à la vie ; elle pria le
dieu
de lui accorder autant d’années qu’elle tenait al
umane, inspirée par Apollon, rendait ses oracles dans le temple de ce
dieu
, au fond d’un antre d’où sortaient par cent porte
, ils le font mourir dans les plus cruelles souffrances, comme si les
dieux
eussent voulu le punir de son peu de respect pour
ls, nous offre un effrayant tableau de la mort de Laocoon. Prêtre du
dieu
des mers, pour le rendre propice, Laocoon offrait
Hécate. Brillant astre des nuits, vous réparez l’absence Du
dieu
qui nous donne le jour ; Votre char lorsq
astres nouveaux, Junon entra dans une telle fureur, qu’elle pria les
dieux
de la mer de ne pas permettre qu’ils se couchasse
e son favori, et craignant encore les funestes effets de la colère du
dieu
, cacha le beau berger sur le sommet d’une montagn
r par la dépense, la perfection de l’ouvrage, et leur zèle envers les
dieux
qu’ils adoraient. Ces colonnes avaient environ so
gers qui faisaient naufrage sur ces côtes. Bacchus Bacchus,
dieu
du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé. Les p
erfides, elle lui inspira des doutes sur l’honneur que lui faisait le
dieu
; lui faisant entendre que Jupiter ne se déguiser
qu’on lui tendait ; elle fit cette demande indiscrète. Le maître des
dieux
, pour la satisfaire, vint la voir avec le magnifi
nourricier de Bacchus ; il n’avait qu’un âne pour monture. Lorsque le
dieu
passa dans les Indes pour en faire la conquête, S
noms. Il est appelé Dionysius, qui signifie Jupiter, par allusion au
dieu
de qui il tenait le jour, ou de la ville de Nisa,
van, Évohé, dans la guerre des géans, Bacchus fut le seul de tous les
dieux
de l’Olympe qui n’abandonna pas le ciel ; transfo
r les monstrueux enfans de la terre. Pendant le combat, le maître des
dieux
lui criait : Évohé ! c’est-à-dire, courage ! Libe
s, et buvez au vainqueur. Demoustier. Persuadées de la sincérité du
dieu
, toutes les villes lui ouvrirent leurs portes. Lo
dent d’eux-mêmes. Demoustier. Prends part à la juste louange De ce
dieu
si cher aux guerriers, Qui, couvert de mille laur
nnés jusqu’au bord du Gange, A trouvé mille fois plus grand D’être le
dieu
de la vendange, Que de n’être qu’un conquérant.
s l’île de Naxos l’infortunée Ariane, que Thésée avait abandonnée. Le
dieu
l’épousa, et lui donna une couronne d’or enrichie
meurtriers de malédictions. Méra mourut aussi de douleur. Depuis les
dieux
les placèrent tous trois à la voûte céleste : Ica
. Penthée, Lycurgue et les Ménéides osèrent braver la puissance de ce
dieu
, et ils éprouvèrent les effets de son courroux.
ailler à des ouvrages de tapisserie, le jour destiné à ses fêtes ; ce
dieu
, pour les punir, les changea en chauve-souris, et
ercure Mercure. Ce nom vient de Mercatura, négoce ; parce que ce
dieu
y présidait. Si l’on en croit Cicéron, il y a eu
plusieurs noms pris de ces différens emplois. Il s’appelait Agoreus,
dieu
des marchés : sous ce nom, il avait une statue en
sa statue des chaînes sortant de sa bouche, pour marquer qu’étant le
dieu
de l’éloquence, il enchaînait et captivait les au
Jupiter donna à Mercure l’emploi de messager et d’ambassadeur des
dieux
; il gouvernait leurs affaires et se chargeait de
e de paix et d’alliance. Mercure avait plus d’occupation que tous les
dieux
ensemble. Dès le point du jour, il nettoyait la s
it l’idée populaire : il semblait qu’on ne pouvait mourir sans que ce
dieu
, avec sa verge d’or, n’eût rompu les liens qui at
eiller sur sa conduite. Si Junon garde son appartement, le maître des
dieux
, qui vient d’entamer une intrigue, l’envoie porte
pagne le char de Pluton enlevant Proserpine. C’est lui encore que les
dieux
nomment pour concilier les trois déesses prétenda
is. Mais tous les services que Mercure rendit à Jupiter et aux autres
dieux
n’empêchèrent pas qu’il ne tombât dans leur disgr
et se vit réduit à garder les troupeaux. Mercure est regardé comme le
dieu
des voleurs. Apollon, exilé aussi de l’Olympe, me
pour achever de le mortifier, détacha adroitement le carquois que ce
dieu
portait sur l’épaule, et le lui enleva. Ce n’étai
pée, à Neptune son trident ; et c’est à bon droit qu’il est appelé le
dieu
des voleurs. Selon quelques-uns, par ces vols fai
ppelé le dieu des voleurs. Selon quelques-uns, par ces vols faits aux
dieux
, on donne à entendre que Mercure était habile nav
l lui donna la plus belle vache du troupeau volé. Un moment après, le
dieu
reparaissant sous la figure d’Admète, demande à B
ent, et formèrent ainsi le caducée, principal attribut de Mercure. Ce
dieu
le portait toujours comme plénipotentiaire ; et c
omains célébraient ses fêtes au mois de mai, consacré à Maïa, mère du
dieu
. Ils lui immolaient une truie pleine, quelquefois
efois un veau, mais principalement les langues des victimes, comme au
dieu
de l’éloquence. En Egypte, on lui sacrifiait la c
t des Gaules. Les qualités de son esprit ont fait dire qu’il était le
dieu
des voleurs et l’inventeur de plusieurs arts ; ca
il fut employé l’ont fait passer pour l’interprète et le messager des
dieux
. Vénus. Vénus naquit de l’écume de la mer
« Ne dédaignez pas l’indigence. « Le plus noble attribut des
dieux
, « Ma fille, c’est la bienfaisance. « Si
e telle éducation, l’élève des Heures se trouva si accomplie, que les
dieux
voulurent la voir, pour s’assurer eux-mêmes de to
es, son modeste embarras lui gagnèrent tous les cœurs : le maître des
dieux
lui donna la couronne de la beauté. Mars, Apollon
portait alors Adonis dans son sein. Lasse de l’exil, Myrrha pria les
dieux
de terminer ses peines ; ils la métamorphosèrent
r de Byblos en Phénicie, où Vénus éprise de sa beauté, le préféra aux
dieux
mêmes. Pour le voir sans cesse, elle parcourait l
donner. Vénus, pour le soustraire aux desseins funestes du maître des
dieux
, prit son fils dans ses bras, et faible encore, e
les îles et tous les lieux circonvoisins ; aussi est-il regardé comme
dieu
de la mer. Chassé du ciel avec Apollon pour avoir
ient le mois de février, pendant lequel ils tâchaient de se rendre le
dieu
favorable pour l’époque prochaine de la nouvelle
chaine de la nouvelle navigation. Les libations, qui, pour les autres
dieux
, étaient composées de vin, de lait et de miel, se
ouvait dans le moindre hameau un temple ou au moins un autel dédié au
dieu
de la mer. Malgré la pompe de ces fêtes, on y éta
it de fleurs, ne travaillaient point : ils honoraient par le repos le
dieu
auquel ils devaient l’existence. Neptune avait au
ent sur un char traîné par des chevaux ailés. Les Fleuves Les
dieux
auxquels Neptune confiait une portion de son auto
immolait des taureaux blancs, quelquefois même des chevaux, comme aux
dieux
de la mer. Les Fleuves étaient représentés nus, c
ut Amphitrite, fille de Doris et de l’Océan ; il la vit et l’aima. Le
dieu
pensa aussitôt qu’une compagne si aimable répandr
en industrie. Neptune, mis au rang des immortels, et regardé comme le
dieu
de la mer, était sans doute un prince, un héros o
de la trompette. On peut lire dans Virgile la belle description où ce
dieu
est représenté volant sur son char, dont les roue
ommander aux vagues ; de l’autre elle portait sur ses genoux le petit
dieu
Palémon son fils, pendant à sa mamelle ; elle ava
uphins. Triton, trompette de Neptune, en sonna dans la guerre que les
dieux
eurent à soutenir contre les Géans ; ces colosses
antés d’un son si extraordinaire, prirent la fuite, et laissèrent aux
dieux
la victoire. Les tritons protégeaient la navigati
piter et de Junon. Phinée, roi de Thrace, connaissant les secrets des
dieux
fut assez téméraire pour les révéler aux hommes.
ondamna à perdre la vue. Le soleil exécuta la sentence. Le maître des
dieux
voulut encore que l’infortuné éprouvât une faim p
luth, sur lequel il chanta avec tant de perfection les batailles des
dieux
, que de désespoir, elles devinrent muettes, et je
composés de phoques ou veaux marins. Protée se distinguait des autres
dieux
de la mer par la connaissance de l’avenir ; mais
épreuve : dès qu’il en eut mangé, il se précipita dans la mer, où les
dieux
marins le reçurent dans leur compagnie. Ino e
ipita dans les flots. Neptune les reçut l’un et l’autre au nombre des
dieux
marins. Ino prit le nom de Leucothé, et Mélicerte
de Leucothé, et Mélicerte celui de Palémon. Phorcys Phorcys,
dieu
marin du second ordre, auquel les pilotes adressa
mari ; elle allait s’élancer dans la mer pour le rejoindre, quand les
dieux
, touchés de son amour conjugal, la changèrent ain
la changèrent ainsi que son mari en Alcyons. Eole Entre les
dieux
marins, Eole, arbitre de la mer, tient un rang di
bondant en mines très-riches que ses sujets exploitèrent. On peint ce
dieu
avec un visage livide, des sourcils épais, des ye
des morts vertueux ; les larves, ou les âmes des méchans ; enfin les
dieux
Mânes commis à la garde des tombeaux. Aussi trouv
res initiales, D. M., qui indiquent ces deux mots : Diis Manibus, aux
dieux
Mânes, comme pour recommander à leurs soins la sé
besoin de la prier. Demoustier. Plutus Plutus était le
dieu
des richesses. Les uns le font descendre de Rhée
Styx, qui en faisait neuf fois le tour. C’était par ce fleuve que les
dieux
avaient coutume de jurer ; lorsqu’ils avaient fai
amour pour la justice, ont fait dire aux poètes, qu’après sa mort les
dieux
l’avaient établi juge dans les enfers.
s, monta sur le trône d’Argos. Les Danaïdes furent condamnées par les
dieux
à remplir continuellement un tonneau percé sans e
nneurs dus au maître des cieux : Insensé, qui croyait, faux émule des
dieux
, Que, sur un pont d’airain, construit pour cet us
ntinuellement aux ombres : Apprenez par mon exemple, à respecter les
dieux
et la justice. Mais comme dit fort plaisamment S
ncore moins affreux que son crime. Ce prince impie et cruel reçut les
dieux
dans son palais. Pour savoir s’ils avaient connai
ce mets exécrable ; Cérès seule mangea, par mégarde, une épaule. Les
dieux
saisis d’horreur et de pitié, ressuscitèrent Pélo
’ébène couvert d’un rideau noir, c’était là, que reposait le paisible
dieu
du Sommeil, environné des Songes. Morphée, son pr
lie ; Ce rossignol, Anacréon. Demoustier. Pan Pan,
dieu
des bergers et des montagnes, une des plus consid
upercales. Les peuples d’Arcadie rendaient un culte particulier au
dieu
Pan ; ils lui offraient du lait et du miel. Les R
e. D’autres disent que ces fêtes étaient ainsi appelées, parce que le
dieu
Pan, qu’on y honorait, garantit les troupeaux des
. On nommait Luperces ou Luperques les ministres et les prêtres du
dieu
Pan. Dans les solennités, ces prêtres quittaient
la nature sous différens noms, adorèrent l’univers sous l’emblème du
dieu
Pan : c’est ce que désigne son nom, qui, en grec
el. L’origine de ce mot est incertaine ; quelques-uns l’attribuent au
dieu
Pan. Pausanias raconte que Brennus, à la tête d’u
craindre. En effet, les Gaulois éprouvèrent à l’instant la colère des
dieux
: le terrain sur lequel campait l’armée trembla e
nuit fut encore plus affreuse : une terreur soudaine inspirée par le
dieu
Pan, s’empara de leurs âmes ; ils prirent l’alarm
lui faire croire qu’il l’aimait ; la nymphe alarmée des poursuites du
dieu
, et voulant s’y soustraire, prit la fuite. Lorsqu
Echo et Pitys. Pitys Pitys, moins sage que Syrinx, écouta le
dieu
; mais Borée, qui aimait éperdument cette nymphe,
fureur jalouse, la précipita du haut d’un roc ; pendant sa chute, les
dieux
la métamorphosèrent en pin, arbre qui se plaît su
une guirlande. Echo Echo, nymphe des bois, qui fut aimée du
dieu
Pan, avait un esprit fort agréable. Elle sut plai
um, qui signifie fumier, engrais. Les Romains l’ont mis au nombre des
dieux
, en reconnaissance de ce qu’il leur avait appris
s. Ses autres enfans furent les Faunes, qu’on mit de même au rang des
dieux
champêtres. Fauna ayant perdu son époux, s’enferm
e Fatua ou Fatidica. Les Satyres. — Priape. — Les Sylènes Les
dieux
qui ressemblent le plus aux enfans de Fauna, sont
ambourin pour faire danser les nymphes. Priape marche à leur tête. Ce
dieu
préside aux jardins, et l’on mettait ordinairemen
, voulant employer un mauvais morceau de bois, aima mieux en faire un
dieu
qu’un banc. On appelle Silènes les satyres avancé
Le plus ancien est le père nourricier de Bacchus. Sylvain Le
dieu
Sylvain, qui présidait aux forêts, protégeait aus
sidait aux forêts, protégeait aussi les troupeaux, partageait avec le
dieu
Terme la garde des limites champêtres. L’Italie p
es anciens regardaient comme la déesse des jardins et des fruits. Les
dieux
champêtres s’en disputaient la conquête ; mais Ve
fut celui de tous qui montra le plus d’empressement à lui plaire. Ce
dieu
, après avoir pris différentes formes pour avoir o
r la conservation des fruits de la terre. Vertumne Vertumne,
dieu
des jardins et des vergers, est ainsi appelé du m
laissa persuader, et elle devient sa femme. Les Pénates Les
dieux
Pénates étaient regardés comme les dieux de la pa
me. Les Pénates Les dieux Pénates étaient regardés comme les
dieux
de la patrie. En vain cherche-t-on des étymologie
nous viennent des Samothraces et des Phrygiens. Ils s’appelaient les
dieux
, les bons dieux et les puissans dieux. Les Pénate
es Samothraces et des Phrygiens. Ils s’appelaient les dieux, les bons
dieux
et les puissans dieux. Les Pénates Troyens avaien
Phrygiens. Ils s’appelaient les dieux, les bons dieux et les puissans
dieux
. Les Pénates Troyens avaient été transportés par
re de deux jeunes hommes assis, armés chacun d’une pique. Lorsque ces
dieux
sont regardés comme les protecteurs des maisons p
les protecteurs des maisons particulières, ils ne diffèrent point des
dieux
Lares. Dans le palais d’Auguste il y avait un gra
es. Dans le palais d’Auguste il y avait un grand appartement pour les
dieux
Pénates. Les Pénates domestiques se prenaient par
douze Tables ordonnait de célébrer religieusement les sacrifices des
dieux
Pénates. D’abord ces dieux ne furent que les mâne
célébrer religieusement les sacrifices des dieux Pénates. D’abord ces
dieux
ne furent que les mânes des ancêtres qu’on honora
uit, furent instituées par Romulus. Au commencement on représenta les
dieux
Lares sous la figure d’un chien, sans doute parce
inaire, était derrière la porte ou autour des foyers. Les statues des
dieux
Lares étaient fort petites : on les tenait ordina
ulla, qu’ils portaient au cou, qu’ils le déposassent aux pieds de ces
dieux
domestiques. L’idole domestique était choisie par
rs, modéré dans ses désirs, s’adressait ainsi à ses Pénates : Petits
dieux
avec qui j’habite, Compagnons de ma pauvreté, Vou
it couleur de carmélite Et mon armoire de noyer : O mes Pénates ! mes
dieux
Lares ! Chers protecteurs de mon foyer ! Si mes m
ain, Avec les grâces de son âge, De quoi ne pas mourir de faim. O mes
dieux
Pénates d’argile, Attirez-les sous mon asile ! S’
r pour eux. Mais qu’un sot vienne à m’apparaître Exaucez ma prière, ô
dieux
! Fermez vite et porte et fenêtre ! Après m’avoir
e des génies propices et secourables, et il les honora sous le nom de
dieu
. La coutume s’étant introduite d’enterrer les mor
s en devinrent les protecteurs. Presque tous les jours on offrait aux
dieux
domestiques du vin, de l’encens, une couronne de
ur la table. Outre ce culte particulier, on honorait publiquement les
dieux
Lares dans les carrefours sous le nom de Compital
petites figures d’hommes, faite de cire ou de laine, et de prier les
dieux
de détourner toute leur colère sur ces simulacres
it l’univers par une fatale et inévitable nécessité : tous les autres
dieux
, et Jupiter lui-même étaient soumis à ses décrets
es autres dieux, et Jupiter lui-même étaient soumis à ses décrets. Ce
dieu
avait des oracles et un culte ; les trois Parques
destin avec un livre où tout l’avenir était écrit, et que les autres
dieux
consultaient ; il tient dans ses mains l’urne qui
cris perçans et ces voix lamentables N’arrivent point aux oreilles du
dieu
. A ses regards un bronze incorruptible Offre en u
mmeil et de la Nuit, s’occupait uniquement à examiner les actions des
dieux
et des hommes, et à les reprendre librement : cel
hommes, et à les reprendre librement : cela le fit regarder comme le
dieu
de la raillerie, et représenter levant le masque
nger de place quand on avait un mauvais voisin. Harpocrate Le
dieu
du silence se nommait Harpocrate chez les Egyptie
s : l’ayant dompté, il l’emmena à Athènes, et en fit un sacrifice aux
dieux
. Mais de tous les exploits de ce genre, le plus c
oici l’histoire en deux mots : Athamas, roi de Thèbes, avait reçu des
dieux
, en présent, un bélier dont la toison était d’or,
es de Bacchus, profitant de la fureur prétendue que leur inspirait ce
dieu
, elles le mirent en pièces. Dans la suite il fut
parmi les Illyriens, où ils menèrent une vie triste et obscure ; les
dieux
, touchés enfin de leurs malheurs, les changèrent
se dit votre père, Exposa votre enfance en ce lieu solitaire. Quelque
dieu
bienfaisant guida vers vous mes pas. La pitié me
évouement de Ménécée, fils de Créon, qui se donna la mort, rendit les
dieux
favorables aux Thébains, et plusieurs chefs des e
delle, et il y réussit si bien, que l’ouvrage fut attribué à Apollon,
dieu
des beaux-arts. Priam, fils de Laomédon, et qui l
Agamemnon avait enlevé Chryséis, fille du grand-prêtre d’Apollon : ce
dieu
vengeant l’injure faite à son ministre, envoya un
ur mère. Après la ruine de sa patrie, ce héros fugitif, chargé de ses
dieux
, de son père, et accompagné d’Ascagne, son fils,
’Enée, chercha à le retenir auprès d’elle ; mais ce fut en vain : les
dieux
avaient parlé, ils appelaient le héros troyen en
our. Non, au sang de Teucer tu ne dois pas le jour : N’impute pas aux
dieux
la naissance d’un traître, Non, du sang des héros
r. Jupiter résolut d’abolir cette engeance. Il part avec son fils, le
dieu
de l’éloquence ; Tous deux en pèlerins vont visit
s vont visiter ces lieux. Mille logis y sont, un seul, ne s’ouvre aux
dieux
. Prêts enfin à quitter un séjour si profane Ils v
son. Mercure frappe : on ouvre, aussitôt Philémon Vient au-devant des
dieux
, et leur tient ce langage : Vous me semblez tous
gués du voyage, Reposez-vous. Usez du peu que nous avons ; L’aide des
dieux
a fait que nous le conservons : Usez-en : saluez
: Et pour tromper l’ennui d’une attente importune, Il entretient les
dieux
, non point sur la fortune, Sur les jeux, sur la p
, sont peu délicieux : Mais quand nous serions rois, que donner à des
dieux
? C’est le cœur qui fait tout : que la terre et q
ain : La volatille échappe à sa tremblante main ; Entre les pieds des
dieux
elle cherche un asile. Ce recours à l’oiseau ne f
s vallons Voyaient l’ombre en croissant tomber du haut des monts. Les
dieux
sortent enfin, et font sortir leurs hôtes. De ce
; Un appui de roseau soulageait leurs vieux ans : Moitié secours des
dieux
, moitié peur, se hâtant, Sur un mont assez proche
vèrent, A leurs pieds aussitôt cent nuages crevèrent Des ministres du
dieu
les escadrons flottans, Entraînèrent sans choix,
Font voir par ces faveurs que Jupiter les aime. Si quelque enfant des
dieux
les possède, c’est vous ; Je l’ose dans ces vers
es nations, pour expliquer l’origine du mal, on associa à l’idée d’un
dieu
bon celle d’un génie malfaisant. Vint ensuite le
s animaux et les plantes, de sorte que, du temps de Moïse, tout était
dieu
chez les païens excepté Dieu même , selon l’expre
sous les noms de Rhéa, de Tellus, de Cybèle et d’Ops. Neptune fut le
dieu
de la mer et Pluton celui des enfers. Les montagn
quatre parties qui forment autant de livres. Le premier comprend les
dieux
du premier ordre, ou les grands dieux, et les die
mier comprend les dieux du premier ordre, ou les grands dieux, et les
dieux
inférieurs, ou du second ordre ; Le deuxième, les
en de parties est divisé ce traité de mythologie ? Livre premier.
Dieux
du premier ordre, ou grands dieux, et dieux infér
ogie ? Livre premier. Dieux du premier ordre, ou grands dieux, et
dieux
inférieurs, ou du second ordre. Chapitre Ier
. Chapitre Ier. Le Destin. — Le Chaos4. — Naissance des premiers
dieux
, Uranus, Tellus, les Titans. 5. Le Destin.
Les païens, obéissant au sentiment de l’unité, avaient reconnu un
dieu
supérieur à tous les autres, c’était le Destin, o
ls, et devant lui un livre dans lequel était écrit l’avenir. Tous les
dieux
étaient obligés de consulter ce livre pour connaî
’avaient point eu de commencement, eurent une fin, et tous les autres
dieux
, qui devaient être immortels, avaient été engendr
pu s’élever à l’idée d’un Dieu éternel. 7. Naissance des premiers
dieux
: Uranus, Tellus, les Titans. Du Chaos naquire
la suite de forger les foudres de Jupiter. D’ailleurs semblables aux
dieux
, ils n’avaient, comme l’indique leur nom7, qu’un
. 7. Quelles sont les deux divinités qui naquirent du Chaos ? A quels
dieux
donnèrent-elles le jour ? Faites connaître trois
oire de cet événement. Janus partagea généreusement son trône avec le
dieu
fugitif. Celui-ci s’occupa de civiliser les homme
ida au cours régulier des heures, des jours et des saisons. Il est le
dieu
du temps, et, à ce titre, les Grecs l’appelaient
présida Saturne revenu au Ciel ? Comment l’appelaient les Grecs comme
dieu
du temps ? Expliquez les diverses allégories cach
ce qu’elle fut femme de Saturne et mère de Jupiter, le plus grand des
dieux
. Cybèle, fille d’Uranus et de Tellus, fut, comme
mme on l’a vu, fils de Saturne et de Cybèle. Il fut le plus grand des
dieux
, le maître souverain du ciel et de la terre. Sa m
i d’escalader le ciel. Jupiter effrayé appelle à son secours tous les
dieux
et toutes les déesses. Styx, fille de l’Océan et
edoutable Typhée13, dont la tête atteignait le ciel. A cette vue, les
dieux
épouvantés s’enfuirent en Égypte, et s’y cachèren
ivants, la défaite de Typhée ; Les superbes Géants, armés contre les
dieux
, Ne nous donnent plus d’épouvante ; Ils so
l prit cette vertu pour compagne inséparable. 20. Conspiration des
dieux
contre Jupiter. L’union de Jupiter avec Junon
che une pesante enclume à chaque pied. Bientôt, sur les instances des
dieux
, Junon fut rendue à la liberté, et reprit sa plac
tel. Hébé, déesse de la jeunesse, versait le nectar dans la coupe des
dieux
; un jour, s’étant laissé choir, elle fut privée
ar l’aigle qui est représenté portant sa foudre. Il y avait encore un
dieu
subalterne, chargé d’égayer la céleste cour par s
ccueil plus hospitalier ; Mille logis y sont, un seul ne s’ouvre aux
dieux
. [La Fontaine] Enfin ils sont reçus dans une hum
ards, Philémon, et Baucis sa femme, qui craignaient et honoraient les
dieux
. Les soins empressés du couple pieux envers leurs
hrygie, convaincu de la méchanceté des hommes, résolut, de l’avis des
dieux
, de les détruire par le déluge. Il excepta de cet
jeune fille. Dès qu’elle fut sortie des mains de l’artiste, tous les
dieux
la comblèrent de présents, ce qui la fit nommer P
rêt de Dodone, en Epire, et celui d’Ammon, en Libye. Jupiter était le
dieu
suprême ; tous les autres, à l’exception du Desti
rps, d’une robe flottante, comme pour montrer qu’il était visible aux
dieux
, et invisible aux mortels. Il avait à Olympie, da
ance de Jupiter ? Quelle fut la cause de la guerre des Géants ? Quels
dieux
, quelles déesses s’y distinguèrent ? Comment Herc
ariages allégoriques ? 20. Quelle fut la cause de la conspiration des
dieux
contre Jupiter ? Quelle en fut l’issue ? Comment
en fut l’issue ? Comment Junon fut-elle punie ? 21. Quels étaient les
dieux
et les déesses qui formaient le conseil et la cou
ent le conseil et la cour de Jupiter ? Quelle était la nourriture des
dieux
? Qu’était-ce qu’Hébé, Ganymède, Momus ? 22. Pour
s trois premiers seuls eurent Jupiter pour père. Blessée de ce que ce
dieu
avait produit Minerve de son cerveau, elle voulut
iments contre son époux allèrent jusqu’à soulever contre lui tous les
dieux
(n° 20). Le châtiment qu’elle en recueillit la re
ne fut pas de longue durée. Jupiter préférait souvent à la reine des
dieux
d’autres divinités, dont elle se vengeait cruelle
s dissensions domestiques attribuées aux deux époux. Junon, reine des
dieux
, était la protectrice des villes et des empires.
mment est considérée Junon dans le sens allégorique ? Comme reine des
dieux
, que protégeait-elle ? Quelles villes l’honoraien
Minerve, appelée par les Grecs Athéna, était fille de Jupiter. Ce
dieu
ayant épousé Métis, déesse de la réflexion (n° 49
la ville que Cécrops venait de fonder dans l’Attique. Le conseil des
dieux
, choisi pour arbitre, décida que cet honneur appa
ein de la terre, et en fit sortir un olivier, symbole de la paix. Les
dieux
lui adjugèrent le prix ; et la ville de Cécrops f
’un oiseau, et mit au jour Apollon et Diane. Le premier soin du jeune
dieu
fut de venger sa mère : il tua à coups de flèches
sens allégorique, il est certain que le soleil, dont Apollon était le
dieu
, en desséchant, par l’action de ses rayons, les e
la vie Glaucus, fils de Minos, et Hippolyte, fils de Thésée. Pluton,
dieu
des enfers, se plaignit de ce qu’on lui enlevait
, pour comble de disgrâce, lui eut dérobé son arc et son troupeau. Le
dieu
Pan osa rivaliser de talent avec lui, et le défie
r la flûte, osa défier aussi Apollon ; il en fut cruellement puni. Le
dieu
, l’ayant vaincu, le lia à un arbre et l’écorcha t
ait tendrement, Zéphire jaloux détourna le palet lancé par la main du
dieu
, et le dirigea contre la tête de son ami, qui exp
isse, autre jeune homme que son talent pour la poésie rendait cher au
dieu
des vers, ayant tué par mégarde un cerf qu’il nou
poétique d’une sécheresse qui aurait désolé la terre. 37. Apollon,
dieu
de la poésie ; les Muses. Apollon est le dieu
rre. 37. Apollon, dieu de la poésie ; les Muses. Apollon est le
dieu
de la poésie : à ce titre il préside l’assemblée
ide, à mi-côte du mont Parnasse, possédait un temple magnifique où le
dieu
rendait ses oracles par la bouche d’une prêtresse
par an ; dans la suite ses oracles furent moins rares. La présence du
dieu
qui l’inspirait était annoncée par le retentissem
confondaient quelquefois Apollon avec le Soleil, dont il n’est que le
dieu
. Le Soleil était fils d’Hypérion. On le représent
, dirige un char radieux, trainé par quatre chevaux (n° 36). Apollon,
dieu
des beaux-arts, est représenté sous la forme d’un
est un des chefs-d’œuvre qui nous restent de la sculpture antique. Le
dieu
tient son arc tendu, et vient de lancer ses flèch
, autant cette statue l’emporte sur toutes les autres figures du même
dieu
. Questionnaire. 34. De qui Latone était-ell
. L’idolâtrie ne s’était pas contentée de peupler le ciel de ses faux
dieux
; elle en voyait l’image, elle en lisait l’histoi
s, la chèvre Amalthée, qui nourrit Jupiter ; selon d’autres, c’est le
dieu
Pan, qui se transforma en chèvre à l’aspect de Ti
Aucune divinité du paganisme n’eut plus d’emplois divers. Les autres
dieux
l’avaient pris pour leur interprète, et il se cha
cain ses outils. Jupiter, charmé de l’adresse et de la grâce du jeune
dieu
, lui confia le soin de verser le nectar à la plac
raciée. Ganymède n’avait pas encore été enlevé au ciel. Mais le jeune
dieu
poussa trop loin ses licences : il essaya de port
Mercure ne tarda pas à être rappelé dans l’Olympe, où il rendit aux
dieux
, par son adresse et son courage, d’importants ser
qui, admis aux honneurs de l’Olympe, avait osé outrager la reine des
dieux
. 48. Culte et images de Mercure. Le culte d
talie. Il n’avait rien de remarquable, si ce n’est qu’on offrait à ce
dieu
les langues des animaux immolés, comme emblème de
une homme, beau de visage et d’une taille élancée. Comme messager des
dieux
, il a des ailes aux pieds, aux épaules, à son cad
, espèce de coiffure ronde dont il a toujours la tête couverte. Comme
dieu
du commerce, il porte une bourse à la main. Enfin
. Comme dieu du commerce, il porte une bourse à la main. Enfin, comme
dieu
de l’éloquence, on lui voit souvent une chaîne d’
surmontées d’une tête de Mercure : on les appelait Hermès, nom de ce
dieu
dans la langue grecque. Questionnaire. 45.
e ? 47. De retour dans l’Olympe, quels services Mercure rendit-il aux
dieux
? 48. Dans quel pays le culte de Mercure était-il
dans les champs d’Olène, ville d’Achaïe (voir le n° 8). Mars était le
dieu
de la guerre ; dans Sophocle il est aussi le dieu
° 8). Mars était le dieu de la guerre ; dans Sophocle il est aussi le
dieu
de la peste. Bellone, sa sœur conduisait son char
ombats. Ses premiers essais ne furent pas heureux. Dans la guerre des
dieux
contre les Titans, Mars fut fait prisonnier, et d
cieux : cité pour ce meurtre par le souverain des mers au conseil des
dieux
, il se défendit si bien, qu’il fut renvoyé absous
ant ainsi le salut de l’État sous la vigilance et la protection de ce
dieu
. Les Saliens, prêtres de Mars, formaient à Rome u
ête commençait le 15 mars, et durait quatorze jours. On immolait à ce
dieu
des taureaux, des béliers et des chevaux, quelque
s et chez les Romains ? Quels hommages les consuls rendaient-ils à ce
dieu
avant d’aller à la guerre ? Qu’était-ce que les S
anciles ? Quelles victimes immolait-on à Mars ? Comment s’appelait ce
dieu
chez les Gaulois ? Comment représente-t-on le die
ment s’appelait ce dieu chez les Gaulois ? Comment représente-t-on le
dieu
Mars ? Quels oiseaux lui étaient consacrés ?
eures se chargent de l’instruire, et la conduisent dans l’Olympe. Les
dieux
, ravis d’admiration, la proclament la déesse de l
ec le plus difforme des immortels fut souvent troublée. Vénus aima le
dieu
Mars, Bacchus, Anchise, prince troyen, dont elle
is, fille de Nérée et de Doris, épousa Pélée, roi de Phthie, tous les
dieux
furent invités aux noces, excepté la Discorde. Po
et des ris de la jeunesse. Cupidon, fils de Vénus et de Mars, est le
dieu
de l’amour. Jupiter, prévoyant les troubles qu’il
uait avec les Nymphes dans les plaines d’Enna, en Sicile, le terrible
dieu
des enfers, Pluton, dont aucune déesse ne voulait
te dans l’Olympe, et implore l’intervention de Jupiter. Le maître des
dieux
essaie en vain de lui faire accepter Pluton pour
terre et reparaît ensuite pour être moissonné. L’allégorie de Plutus,
dieu
des richesses, est plus transparente encore. On l
profité surtout aux méchants, qui sont les plus ardents à obséder le
dieu
et à lui arracher ses faveurs. Cependant les vrai
Chapitre XIII. Bacchus. 58. Naissance de Bacchus. Bacchus,
dieu
du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé, fille
n d’autres, de Pan et d’une nymphe. Silène s’était rendu agréable aux
dieux
par son humeur joyeuse et son caractère railleur
tre lui, pendant son sommeil, un serpent à deux têtes ; mais le jeune
dieu
l’étouffa entre ses mains. Alors elle le frappa d
de Naxos. Des pirates tyrrhéniens, inspirés par Junon, surprennent le
dieu
et l’enchaînent ; à son réveil il brise ses liens
ardis ravisseurs. Bacchus se signala par sa valeur dans la guerre des
dieux
contre les Géants. Transformé en lion, il contrib
e coûta pas de sang ; les peuples se soumettaient pleins de joie à un
dieu
qui leur enseignait l’art de cultiver la terre, d
ent en festins et en réjouissances. Lorsqu’il le rendit à Bacchus, le
dieu
par reconnaissance lui accorda le don de converti
suivants de la vie de Bacchus attestent que le vin, dont il était le
dieu
, inspire la vengeance et la rend cruelle. Penthée
était introduite dans la célébration des mystères de Bacchus. Mais le
dieu
, entrant en courroux, déchaîna contre lui les Bac
peau de lion ou de léopard ; son char est traîné par des lions. Comme
dieu
des buveurs, Bacchus est représenté assis sur un
ulcain. 63. Naissance, disgrâce, travaux de Vulcain. Vulcain,
dieu
du feu, était fils de Jupiter et de Junon. Quelqu
upiter et de Junon. Quelques-uns prétendent que ce fut lui, et non le
dieu
Mars, que Junon conçut toute seule, afin d’imiter
olcans répandus dans ces contrées, et qui tirent leur nom de celui du
dieu
du feu33, justifient cette tradition. Vulcain ren
tradition. Vulcain rendit de grands services à Jupiter et aux autres
dieux
dans la guerre contre les Géants, en forgeant les
t le nom de volcan ? Quels services rendit Vulcain dans la guerre des
dieux
contre les Géants ? Par quels ouvrages s’est-il d
a Divinité descendît, ont cru devoir la soulager, en donnant à chaque
dieu
en particulier une fonction propre et personnelle
Pomone présidait aux fruits et aux vergers. Elle épousa Vertumne,
dieu
des saisons. Comme il avait le pouvoir de changer
eurs, ayant l’une et l’autre à la main une corne d’abondance. Priape,
dieu
des jardins, était fils de Vénus et de Bacchus, s
la nature, l’univers entier. Chez les Grecs, Pan était simplement le
dieu
des campagnes. On le croyait fils de Mercure et d
se dérobait à sa poursuite. 68. Terme — Sylvain. Terme était un
dieu
d’origine romaine. Le roi Numa l’inventa pour pro
pieds et sans mains, comme emblème de l’immobilité. Sylvain était le
dieu
des forêts. Il passait pour le fils de Faunus, av
, et lui succéda. Il fit fleurir l’agriculture, et fut adoré comme un
dieu
après sa mort. Son nom fut donné aux Faunes, divi
9. Nymphes. On donnait ce nom aux jeunes filles issues du sang des
dieux
et des hommes. Elles conservaient leur jeunesse,
u’elles protégeaient ; elles naissaient et mouraient avec lui. 70.
Dieux
domestiques ; Lares et Pénates. Les anciens n’
s ; Lares et Pénates. Les anciens n’avaient pas seulement créé des
dieux
pour chaque partie de la terre, ils en avaient pl
le nom de Lares et de Pénates. On confond souvent ces deux espèces de
dieux
; cependant on appelle plus particulièrement Lare
pèces de dieux ; cependant on appelle plus particulièrement Lares les
dieux
du foyer, de la maison, et quelquefois Pénates le
nt Lares les dieux du foyer, de la maison, et quelquefois Pénates les
dieux
protecteurs des villes et des empires. Ils doiven
cial chez les grands personnages. On entretenait une lampe devant ces
dieux
, et le chien leur était consacré, comme symbole d
aître Pan et ce qu’on appelle terreur panique. 68. Qu’était-ce que le
dieu
Terme, que Sylvain ? 69. Enumérez les diverses es
eunes filles assises sur des dauphins, tenant à la main le trident du
dieu
des mers et quelquefois des guirlandes de fleurs.
ploits de Neptune. Neptune, fils de Saturne et de Cybèle, était le
dieu
souverain des mers ; il en obtint l’empire dans l
’elle cachait Neptune, son fils réel, dans une bergerie d’Arcadie. Ce
dieu
, devenu grand, aida Jupiter dans la guerre contre
t arrogé l’empire du ciel et de la terre, il conspira avec les autres
dieux
pour le détrôner (n° 20). Ce complot ayant échoué
oi de Trézène et à Minerve celui de protectrice de la ville. Enfin le
dieu
des mers eut encore à soutenir un débat avec Apol
ouverain des mers, Neptune était, après Jupiter, le plus puissant des
dieux
. On le représente debout sur un char en forme de
i Evandre et le renouvellement à Romulus. Ce prince prétendait que le
dieu
Consus lui avait inspiré le dessein de l’enlèveme
e était fils de l’Océan et de Téthys ; d’autres disent de Neptune. Ce
dieu
lui confia la garde de ses troupeaux, composés de
, qui lui indiquera le moyen de réparer sa perte. Aristée surprend le
dieu
, comme avait fait Ménélas, et en obtient un secre
cus Triton, fils de Neptune et d’Amphitrite, était le trompette du
dieu
des mers, dont il précédait le char en sonnant d’
ta dans la mer. Océan et Téthys le recueillirent, et le changèrent en
dieu
marin. On explique cette fable par les progrès de
ant restait longtemps sous les eaux. On le représente, comme tous les
dieux
marins, avec une longue barbe, des cheveux flotta
rs de son père, il se précipita dans les flots et fut métamorphosé en
dieu
marin par Neptune. Suivant une autre tradition, u
ua en son honneur les jeux Isthmiques. Les Romains appelèrent le même
dieu
Portumnus, comme protégeant les vaisseaux qui ent
t les vaisseaux qui entraient dans le port. Phorcis ou Phorcus, autre
dieu
marin, était aussi fils de Neptune. Il eut de sa
gnes de Proserpine, et désolées de son enlèvement, elles prièrent les
dieux
de leur accorder des ailes pour voler à la poursu
Lorsque Ulysse eut été jeté par la tempête dans les États d’Eole, le
dieu
l’accueillit avec bienveillance et lui donna des
de flammes et de bitume ; le Styx, fleuve redoutable, par lequel les
dieux
craignaient de faire un serment, qui devait être
s, parce que le nombre pair, regardé comme funeste, était consacré au
dieu
des Enfers. Aussi le second mois de l’année, et d
s, Tisiphone, Mégère et Alecton. Elles exécutaient les vengeances des
dieux
et les arrêts de Minos. On les représente avec un
t-on sur ces monuments les lettres initiales D. M., c’est-à-dire aux
dieux
Mânes, comme pour mettre sous leur protection la
rgueilli de la conquête de ce pays, il voulut se faire passer pour un
dieu
. Dans ce but, il fit construire sur l’Alphée un p
implora Jupiter, qui, touché de son repentir, l’admit à la table des
dieux
. Mais il osa outrager Junon, qui s’en plaignit à
ls de Jupiter, était un puissant roi de Phrygie. Il reçut un jour les
dieux
à sa table, et, pour éprouver leur divinité, il l
s’étaient pas contentés de remplir le ciel et la terre de leurs faux
dieux
: ils avaient personnifié de pures abstractions :
des autels. Bientôt une foule d’idoles Usurpa l’encens des mortels,
Dieux
sans force, ornements frivoles De leurs ridicules
aintes ; Et par ses désirs et ses craintes L’homme aveugle compta ses
dieux
. [La Motte] Comme il serait trop long d’énumérer
que les païens donnaient à ce mot, c’est-à-dire le respect envers les
dieux
, est figurée par une vierge ayant des ailes ; dan
euse, parcourt la terre d’un pied léger en blessant les hommes et les
dieux
; les humbles Prières la suivent pour réparer les
ères : Les Prières, mon fils, devant vous éplorées, Du souverain des
dieux
sont les filles sacrées. Humbles, le front baissé
é. Elles demandent grâce… Et lorsqu’on les refuse, C’est au trône des
dieux
que leur voix vous accuse ; On les entend crier,
e silence de cette paisible demeure. Le Silence était révéré comme un
dieu
, sous les noms de Sigalion et d’Harpocrate, et re
un flambeau renversé, des épis de blé et une petite statue de Plutus,
dieu
des richesses, pour signifier que l’agriculture,
fanta pour se venger des cieux Elle aime à publier les faiblesses des
dieux
: Digne sœur des Géants qu’écrasa leur tonnerre,
du ciel à cause des dissensions qu’elle excitait sans cesse parmi les
dieux
. Ce fut elle qui, aux noces de Thétis et de Pélée
es Grecs. Elle était sœur ou femme de Mars et préparait le char de ce
dieu
partant pour les combats. Elle s’y montrait elle-
arrière où disparaissent les ténèbres qui enveloppaient l’origine des
dieux
. Nous sommes encore dans le domaine de la fable,
es païens, des hommes nés soit d’un mortel et d’une déesse, soit d’un
dieu
et d’une mortelle ; par cette raison, on les appe
le fils de Danaé périrait dans cette périlleuse entreprise. Mais les
dieux
vinrent à son secours. Minerve lui prêta son égid
met sur le trône, à sa place, le généreux Dictys. Il rend ensuite aux
dieux
les armes qui l’avaient protégé pendant son voyag
rent Iobate de l’innocence de Bellérophon et de la protection que les
dieux
lui accordaient ; il lui donna sa fille en mariag
XXV. Hercule. 109. Naissance et éducation d’Hercule. Hercule,
dieu
de la force, et le plus illustre des héros de la
upiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de Thèbes. Le maître des
dieux
, pour tromper Alcmène, prit les traits de son mar
de rapporter ici. 112 Mort d’Hercule ; il est admis au nombre des
dieux
. Hercule, comme Jupiter, eut pluieurs femmes.
de Marathon ; il le dompte, le promène dans Athènes, et l’immole aux
dieux
. Mais bientôt un dévouement plus glorieux lui mér
oulu commettre. Thésée, dans sa colère, pria Neptune de le venger. Le
dieu
l’exauça, et tandis qu’Hippolyte partant pour l’e
cipitent leur retour, qui fut long et plein de périls. La justice des
dieux
faisait expier aux coupables le meurtre d’Absyrte
dent à coups pressés. La victoire entre nous ne fut point incertaine,
Dieux
puissants ! je ne sais si c’est faveur ou haine,
e voix Thèbe offrit son empire A l’heureux interprète inspiré par les
dieux
Qui nous dévoilerait ce sens mystérieux ; Nos sag
la main dans le sang, jurent de se venger : Ils en jurent la Peur, le
dieu
Mars et Bellone. ( Eschyle, trad. de Boileau) Ce
voulait garder sa captive, une peste cruelle désolait l’armée, et le
dieu
avait déclaré, par la bouche de Calchas, que le f
la mort, Priam ne contient plus son douloureux transport : « Que les
dieux
, s’il en est qui vengent l’innocence, « T’accorde
ailes ; Phidias sur le tien tailla son Jupiter. Tel que tu peins ce
dieu
sur le trône de l’air. Bien loin des autres dieux
Tel que tu peins ce dieu sur le trône de l’air. Bien loin des autres
dieux
qui devant lui s’abaissent, Ainsi tous tes rivaux
ignais ce souverain des cieux, De sa puissante main enlevant tous les
dieux
, Les maîtres du pinceau, les rois de l’harmonie,
n charme nouveau. L’antiquité crédule a perdu ses miracles ; Tous ces
dieux
que tu fis, leur culte, leurs oracles, Tout est a
int de tombeau, mais ton temple est partout Accepte donc mon hymne, ô
dieu
de l’harmonie ! ( Delille, poëme de l’Imagination
es sous les noms d’Osiris et d’Isis. Suivant quelques auteurs, ces
dieux
de l’Egypte ne sont que des allégories, que l’on
marche du soleil, qui répand partout la fécondité. On représentait ce
dieu
de bien des manières : quelquefois par un sceptre
nt dans un autre. Le bœuf que l’on supposait renfermer ainsi l’âme du
dieu
s’appelait Apis. La fête solennelle que l’on célé
l et la douleur jusqu’à ce qu’on eût découvert un autre Apis ; car ce
dieu
devait réunir des conditions particulières : être
caractères que ceux-ci ne pouvaient réunir naturellement. Lorsque le
dieu
était enfin trouvé, la joie succédait à la douleu
ls il rendait ses oracles. 131. Sérapis. Sérapis était aussi un
dieu
puissant de l’Egypte. On pense que c’était le mêm
d’abord Sorapis (soros, tombeau, et Apis). Il était regardé comme le
dieu
de la santé et on lui attribuait des guérisons mi
d’une corbeille ou d’un boisseau, comme signe de l’abondance dont ce
dieu
, pris pour le soleil, est la source. Les Egyptien
et de désordres, que le sénat fut obligé de les abolir. Tels sont les
dieux
qu’inventa le peuple réputé le plus sage et le pl
e peuple réputé le plus sage et le plus savant de l’antiquité. A des
dieux
mugissants l’Égypte rend hommage : Et dans ce bœu
rend hommage : Et dans ce bœuf impur qu’elle daigne honorer, C’est un
dieu
cependant qu’elle croit adorer, L’esprit humain s
nt représente-t-on ces deux divinités ? 129. Quels étaient les autres
dieux
de l’Égypte ? A quelle espèce d’animaux rendait-o
it-on un culte particulier ? 130. Qu’était-ce que le bœuf Apis ? Quel
dieu
représentait-t-il ? Que se passait-il à sa mort ?
-t-on à ce sujet ? Où et comment se faisait l’inauguration du nouveau
dieu
? 131. Qu’était-ce que Sérapis ? Que signifie ce
. Qu’était-ce que Sérapis ? Que signifie ce nom ? A quoi présidait ce
dieu
? Comment était-il représenté ? Où étaient ses pr
ent-elles été introduites ? Quelles réflexions suggère cet aperçu des
dieux
de l’ancienne Égypte ? Chapitre XXXI. Mytholo
ou Oromaze — Ahriman Selon la doctrine de Zoroastre, il existe un
dieu
unique, immuable, infini. Zervane-Akérène (le tem
e, infini. Zervane-Akérène (le temps sans limites) est son nom. De ce
dieu
sont sortis Ormuzd (Oromase selon les Grecs), aut
ndique cette inscription que l’on trouve sur plusieurs monuments. Au
dieu
du soleil, l’invincible Mithra. Les Romains, apr
les fêtes appelées mithriaques, qui se célébraient en l’honneur de ce
dieu
, on immolait, dit-on, des victimes humaines. Tout
culte fut-il introduit à Rome ? Comment s’appelaient les fêtes de ce
dieu
? Quel était leur caractère ? Dans quel siècle fu
érité primitive. Ces peuples paraissent avoir conservé la notion d’un
dieu
unique, éternel, invisible, qui manifeste sa puis
ance par la création, la conservation et la destruction des êtres. Ce
dieu
s’appelle Para-Brahma ou simplement Brahm. Le pre
rois œufs qui se formèrent sur les mains de celle-ci, sortirent trois
dieux
, qui composent la Trimourti ou trinité indienne72
anisateur du monde, Vichnou, conservateur de la création, et Siva, le
dieu
destructeur. Nous allons essayer de faire connaît
BÂrahma, après avoir organisé le monde, devint si orgueilleux, que le
dieu
suprême, Brahm, le précipita dans l’abîme. Avant
re les livres sacrés. 2° Une lutte terrible s’était engagée entre les
dieux
et les mauvais génies. Le monde fut ébranlé, et l
auvais génies. Le monde fut ébranlé, et le mont Mérou, sur lequel les
dieux
peuvent seuls habiter, tomba dans la mer. L’unive
de la plus cruelle tyrannie ; il était donc l’objet de la colère des
dieux
. Vichnou se chargea de le punir. Il prit la forme
rs. 138. Siva. Siva, troisième personne de la Trimourti, est le
dieu
destructeur, et, à ce titre, l’ennemi implacable
? Quelles traces y trouve-t-on de la vérité primitive ? Quel est leur
dieu
suprême ? À quelles autres divinités a-t-il donné
é, appliqué ici, est inexact, puisque les Indous reconnaissent quatre
dieux
primitifs. 136. Comment Brahma créa-t-il l’espèce
qui chantaient les mystères de leur religion, les aventures de leurs
dieux
les exploits des rois et des guerriers. Ils vivai
. En voici les traits principaux. 140. Allfadher et les principaux
dieux
. Au commencement des temps, le créateur Allfad
ages. Odin et ses frères, ayant ainsi créé le monde, en devinrent les
dieux
et prirent possession du ciel. Ils animèrent ensu
hennissements de son cheval. Après Odin vient son fils aîné Thor, le
dieu
de la force, le maître de la foudre et des orages
us des nuages. Thor est le fléau des mauvais génies et le vengeur des
dieux
. Niord, qui vient ensuite, est le Neptune des Sca
s dieux. Niord, qui vient ensuite, est le Neptune des Scandinaves, le
dieu
puissant de la mer et des tempêtes, qu’il déchaîn
yr, son fils, est le dispensateur des pluies et des jours sereins, le
dieu
de la paix et des richesses. On l’invoque pour ob
chesses. On l’invoque pour obtenir des moissons abondantes. Après ces
dieux
paraissent, dans un ordre inférieur, Tyr, le dieu
ndantes. Après ces dieux paraissent, dans un ordre inférieur, Tyr, le
dieu
des combats, le protecteur des guerriers et des a
der, l’Apollon du Nord, comme lui beau, radieux, éloquent ; Braya, le
dieu
de la sagesse et de la poésie ; Heimdall, le gard
eimdall, le gardien du pont céleste, de l’arc-en-ciel, par lequel les
dieux
communiquent avec la terre. Les sens de ce dieu s
ciel, par lequel les dieux communiquent avec la terre. Les sens de ce
dieu
sont si subtils qu’il aperçoit les objets à d’éno
re l’herbe des champs et la laine des brebis. Viennent ensuite Vidar,
dieu
du silence, qui doit tuer le loup Fenris, lorsqu’
lorsqu’au dernier jour ce mauvais génie aura dévoré le soleil ; Wali,
dieu
de la valeur, puissant à tirer de l’arc ; Uller,
ine de ses patins rapides la surface des glacières, enfin Forsate, le
dieu
de la concorde, le conciliateur des querelles, le
Snotra est la déesse des sciences et des bonnes mœurs. Le conseil des
dieux
se tient sous le chêne d’Idrasil ; les racines de
ses et de peines. Pendant longtemps ils ne représentèrent point leurs
dieux
: ils les adoraient dans les forêts les plus somb
s avec lesquelles il était découvert et cueilli chaque année. 144.
Dieux
des Gaulois ; Hésus, Taranis ; Teutatès, Ogham.
. On conçoit que chez une nation belliqueuse comme les Gaulois, le
dieu
souverain fût le dieu de la guerre. Il s’appelait
ez une nation belliqueuse comme les Gaulois, le dieu souverain fût le
dieu
de la guerre. Il s’appelait Hésus ; on le représe
rait surtout par l’effusion du sang. Venaient ensuite quelques autres
dieux
, que l’on croit avoir été introduits en Gaule par
été introduits en Gaule par les Romains, c’étaient Taran ou Taranis,
dieu
du tonnerre (le Jupiter des Latins) ; Teutatès (l
ieu du tonnerre (le Jupiter des Latins) ; Teutatès (leur Mercure), le
dieu
du commerce, de l’intelligence et de la parole ;
le soleil (Apollon) ; enfin Ogham, ou en latin, Ogmius (Hercule), le
dieu
de la force et de l’éloquence. Ces ténèbres de l’
e contemporain d’ Homère, et auteur d’une théogonie ou généalogie des
dieux
, ne compte que ces trois cyclopes ; mais, selon d
diquée dans la note de la page 16. 14. Que cette image de la vie des
dieux
dans l’Olympe est misérable, en comparaison des i
r l’origine de cette expression. Les anciens croyaient que c’était le
dieu
Pan qui inspirait aux hommes ce sentiment. La plu
Orcus paraît venir d’un mot latin qui signifie pousser, parce que ce
dieu
poussait vers la mort. La foule des humains est
Afrique. 56. Cette députation s’appelait en grec theoria, visite au
dieu
. Pendant la durée du voyage on ne faisait mourir
2. Cadmus passe pour avoir apporté en Grèce l’écriture, avec les faux
dieux
de la Phénicie et de l’Egypte : C’est de lui que
ltitude des étoiles, l’abîme des eaux, le soleil, la lune : voilà les
dieux
que les hommes ont cru les arbitres du monde. De
son fils qui lui avait été trop tôt ravi ; il commença à adorer comme
dieu
Celui qui, comme homme, était mort auparavant, et
este. C’est dans ce sens qu’on a pu dire que la crainte multiplia les
dieux
. 5. L’imagination des poëtes revêtit toutes ces e
de la nature leurs propres fictions. Ils marièrent ensemble tous ces
dieux
divers, en formèrent des familles semblables aux
que et romaine en quatre parties. Nous parlerons dans la première des
dieux
du premier ordre ; dans la seconde, des dieux d’u
ns dans la première des dieux du premier ordre ; dans la seconde, des
dieux
d’un ordre inférieur ; dans la troisième, des div
on est basée sur la manière dont les anciens classent eux-mêmes leurs
dieux
. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que la mytholog
ction. De la mythologie grecque et romaine. Première partie. Des
dieux
du premier ordre. Chapitre I. Du Destin et d
du premier ordre. Chapitre I. Du Destin et de la génération des
dieux
. 1. Au-dessus de tous les dieux les païens pla
Du Destin et de la génération des dieux. 1. Au-dessus de tous les
dieux
les païens plaçaient le Destin. Ils supposaient q
t de tous les humains. On lui donnait aussi un livre d’airain que les
dieux
allaient consulter pour y lire l’avenir, qui s’y
nde entier. 3. Le Destin avait pour père le Chaos, le plus ancien des
dieux
. On appelait Chaos cette masse informe dans laque
Achéron, le fleuve des enfers. On regardait la Nuit comme la mère des
dieux
et des hommes. On lui rendait un culte solennel,
Uranus, avec sa voûte étoilée dont les poëtes ont fait le palais des
dieux
, les montagnes dont les vallées devaient être peu
e ou le Temps. Questionnaire. 1. Quel est le premier de tous les
dieux
? Qu’est-ce que le Destin ? Comment était-il repr
. 1. Cybèle, sœur et femme de Saturne, donna naissance à plusieurs
dieux
. On l’appela pour ce motif la grande mère (alma m
1. Jupiter, que les Grecs regardaient comme l’arbitre souverain des
dieux
et des hommes, était, comme nous l’avons déjà dit
si appelées Mélisses (abeilles). Par reconnaissance, le souverain des
dieux
plaça la chèvre Amalthée dans le ciel, et donna a
montagnes et menacèrent d’escalader le ciel. Jupiter appela tous les
dieux
à son secours. Déjà les géants étaient vaincus ;
itié homme et moitié serpent, et sa tête atteignait le ciel. Tous les
dieux
s’enfuirent à son aspect et se réfugièrent en Egy
. Bacchus seul combattit sous la forme d’un lion à côté du maître des
dieux
, et contribua par son courage à la défaite du mon
faire dévorer par un vautour son foie toujours renaissant. Les autres
dieux
virent avec douleur Prométhée si sévèrement puni.
source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des
dieux
, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodigua
édictions, Jusqu’à ce temps des humains ignorées, Avaient été par les
dieux
resserrées, Pour le malheur des mortels douloureu
alliances allégoriques, les poëtes racontent encore du souverain des
dieux
une foule de métamorphoses qu’ils ont sans doute
cette contrée, ne sachant s’il recevait dans sa maison un homme ou un
dieu
, résolut de l’éprouver. Il l’invita à sa table et
le et lui servit les membres d’un enfant qu’il avait fait égorger. Le
dieu
reconnut sur-le-champ le crime du tyran, et le pu
Baucis, qui avaient conservé dans leur cœur la crainte et l’amour des
dieux
, leur accordèrent seuls l’hospitalité. Leur demeu
cette aïeule était la terre, les os des pierres, et firent ce que le
dieu
leur avait ordonné. Aussitôt une nouvelle race d’
aisemblables que Jupiter a toujours été reconnu pour le souverain des
dieux
et qu’à ce titre on lui a donné toutes les espèce
des douze grands dieux qui ont voix délibérative au ciel, le père des
dieux
et des hommes, le créateur de l’humanité, le chef
s pour représenter dans toute sa grandeur et sa majesté le maître des
dieux
. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que Jupiter ? C
sœur de Jupiter, et à ce titre elle était honorée comme la reine des
dieux
. Elle donnait, disait-on, les sceptres et les cou
endant que les autres se livraient au sommeil. Le puissant maître des
dieux
, ennuyé d’être retenu par un gardien aussi vigila
es, pour avoir prétendu l’emporter par leurs charmes sur la reine des
dieux
. Pâris, fils de Priam, roi de Troie, fut constamm
lle eut de Jupiter son frère une fille appelée Proserpine. Pluton, le
dieu
des enfers, qui ne pouvait trouver une épouse, pa
ne fontaine dont les eaux se perdaient sous terre, avait vu passer le
dieu
avec sa proie. Elle en avertit Cérès. La déesse a
it six mois sur la terre. 3. Cérès donna aussi naissance à Plutus, le
dieu
des richesses, que nous retrouverons encore parmi
quelques grains de grenade aux enfers, contrairement à l’ordre de ce
dieu
qui lui avait défendu d’y rien prendre. Elle méta
mère s’y était cachée pour éviter le courroux de Junon. La reine des
dieux
avait suscité contre elle le serpent Python et la
érateur fut troublée par la mort d’Esculape. Ce fils chéri, auquel le
dieu
du jour avait appris la science de la médecine, e
teur. Apollon, ne pouvant se venger contre son père, le souverain des
dieux
, s’en prit aux Cyclopes qui forgeaient ses foudre
hes. Jupiter irrité le chassa du ciel, et pendant plusieurs années le
dieu
exilé se vit contraint de voyager sur terre. 3. I
étourna le palet qu’Apollon lançait et causa la mort de son rival. Le
dieu
changea son ami en la fleur qui porte son nom, ma
a Neptune que Jupiter avait aussi exilé du ciel avec plusieurs autres
dieux
, pour les punir d’une conspiration qu’ils avaient
ut chargé du soin de répandre la lumière dans l’univers et devint, le
dieu
du soleil. On lui donne pour exprimer ce ministèr
, qui signifient lumière et vie. Quand la fable le considère comme le
dieu
du soleil, « elle dit qu’il va, tous les soirs, s
les portes du ciel et annonce le retour de son père ; et qu’enfin ce
dieu
possède, dans la région des astres, douze maisons
soleil fait son entrée dans le premier vers la fin de mars1. » 6. Le
dieu
du soleil eut plusieurs enfants, parmi lesquels o
yx qu’il lui accorderait tout ce qu’il lui demanderait. Pour tous les
dieux
ce serment était irrévocable. Alors l’imprudent P
grande sécheresse qui désola cette contrée. 7. Apollon était aussi le
dieu
des sciences et des arts qui sont la lumière de l
goisses de la soif et de la faim, il appela Bacchus à son secours. Le
dieu
lui ordonna de se baigner dans les eaux du Pactol
s arts. Il tenait à la main sa lyre d’or dont les sons charmaient les
dieux
et les hommes. — Quand il est pris pour le dieu d
sons charmaient les dieux et les hommes. — Quand il est pris pour le
dieu
du soleil, il a un coq sur la main, il est couron
mpe ? Comment la fable le peint-elle quand elle le considère comme le
dieu
du jour ? 6. Quels furent ses enfants ? Pourquoi
sens historique de cette fiction ? 7. Apollon n’était-il pas aussi le
dieu
des sciences et des arts ? Que disait de lui les
oëtes et aux Muses ? Qu’était Pégase ? 10. Quelles épreuves essuya le
dieu
des vers ? Quel fut le châtiment du roi Midas ? Q
elui de l’envieux Marsyas ? 12. Comment représente-t-on Apollon comme
dieu
des arts et des sciences ? Comment le représentai
omme dieu des arts et des sciences ? Comment le représentait-on comme
dieu
du jour ? 13. Quelles plantes et quels animaux lu
Diane comme Apollon naquit de Jupiter et de Latone. Apollon était le
dieu
au soleil et Diane la déesse de la lune. Son frèr
s ces vers : Brillant astre des nuits, vous réparez l’absence Du
dieu
qui nous donne le jour : Votre char, lorsqu’i
épaules. Ses attributs étaient très-variés. Il était le messager des
dieux
et traitait en leur nom des affaires les plus imp
ique de commander au sommeil et aux songes. 3. Mercure était aussi le
dieu
des voleurs. Dès son enfance il avait mérité cet
ts qu’elle doit traiter. 4. Car Mercure était surtout honoré comme le
dieu
de l’éloquence. Il devait partout porter les ordr
ces l’exigeaient, répondre à celles qui lui étaient adressées par les
dieux
. C’est lui qui inventa la musique et la médecine
s poids et mesures pour les ventes en détail, et fut regardé comme le
dieu
des marchands. Son nom de Mercure lui vient même
fonctions variées l’ont fait représenter de bien des manières. Comme
dieu
de l’éloquence, on le voit avec une chaîne d’or q
ens avaient besoin pour parcourir les mers. Enfin, comme messager des
dieux
, il avait la figure d’un jeune homme, la taille s
rner les voleurs, et on le nommait en cette qualité Stropheus : comme
dieu
du commerce, il s’appelait Empolius : dieu de la
qualité Stropheus : comme dieu du commerce, il s’appelait Empolius :
dieu
de la ruse, Dolius ; dieu conducteur, Hegemonius,
dieu du commerce, il s’appelait Empolius : dieu de la ruse, Dolius ;
dieu
conducteur, Hegemonius, etc., etc. Questionnair
se forma cette baguette enchantée ? 3. Mercure n’est-il pas aussi le
dieu
des voleurs ? Qu’est-ce qui lui a mérité cet honn
poëtes à ce sujet ? 4. Quelles étaient les fonctions de Mercure comme
dieu
de l’éloquence ? Sous quel autre titre était-il e
n nom à la cité nouvelle que Cécrops venait de fonder en Attique. Les
dieux
tinrent conseil à ce sujet. Ils décidèrent entre
tit un coursier magnifique. C’était le symbole de la valeur. Tous les
dieux
furent dans l’admiration. Minerve de son côté ouv
rve était-elle représentée ? Chapitre XI. Mars. 1. Mars est le
dieu
de la guerre. Ou n’est pas d’accord sur sa naissa
me Jupiter l’avait donné à Minerve. Rousseau peint le caractère de ce
dieu
en mettant ces vers dans la bouche de Jupiter :
ne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les
dieux
du ciel. 2. Cette colère du souverain de l’Olym
e colère du souverain de l’Olympe avait ses motifs dans la lâcheté du
dieu
de la guerre. Car, si l’on en juge par ses exploi
t inventé ces fictions, avaient plus de confiance dans l’éloquence du
dieu
de la guerre que dans sa valeur. Car ils nous rap
e fils de Neptune, Halirrothius, l’affaire fut évoquée au conseil des
dieux
qui se réunit à Athènes pour juger ce procès. Le
ver de l’aurore. 5. Les Romains et les peuples du Nord ont eu pour le
dieu
de la guerre un culte plus profond et plus éclata
ant que les Grecs et les Orientaux. Les Romains avaient rattaché à ce
dieu
l’existence de leur ville, en supposant que Romul
ême temps ils couraient et chantaient des hymnes en l’honneur de leur
dieu
. 6. On représente Mars sous la figure d’un guerri
s sont les fonctions de cette déesse ? Quelles victimes offrait-on au
dieu
de la guerre ? Chapitre XII. Vulcain. 1. V
rès-souvent le théâtre. Pour regagner les bonnes grâces du maître des
dieux
, le chef de ces terribles Cyclopes, Vulcain, lui
avait établies à Lipari, à Lemnos et dans les environs de l’Etna, le
dieu
du feu continuait à produire avec ses Cyclopes to
memnon, et une foule d’autres merveilles sortirent des ateliers de ce
dieu
industrieux. 3. Les fêtes célébrées en son honneu
animal imite par ses rugissements le bruit d’un volcan embrasé. 4. Ce
dieu
n’a point été embelli par les fictions de la poés
nt-ils ? Comment Vulcain regagna-t-il les bonnes grâces du maître des
dieux
? Quelle récompense lui donna Jupiter ? 2. Quel é
ntait-on Vulcain ? Chapitre XIII. Bacchus. 1. Bacchus était le
dieu
de la joie et des festins. La fable a environné s
Jupiter lui apparût dans tout l’éclat de sa gloire, le souverain des
dieux
, qui avait juré par le Styx de lui accorder tout
de mort. Jupiter sauva le jeune Bacchus. 2. A sa naissance, l’enfant
dieu
fut déposé dans file de Naxos, d’où Mercure le tr
lus de courage. 4. Dans la guerre contre les Titans, lorsque tous les
dieux
s’étaient enfuis en Egypte sous la forme de vils
é de Jupiter, et prit la figure d’un lion pour aider le souverain des
dieux
à remporter la victoire, en jetant la frayeur par
sens de cette allégorie, et nous fait comprendre que les conquêtes du
dieu
de la gaieté et des festins ne sont qu’une person
nue ceux qui ne s’associaient pas à leur fureur. Les prêtresses de ce
dieu
, appelées ménades ou bacchantes, couraient sur le
e. Leurs métiers sont brisés ; on élève en leur place Une chapelle au
dieu
, père du vrai nectar. La Fontaine conclut de c
ectar. La Fontaine conclut de cette fiction qu’il faut honorer les
dieux
dans les jours qui leur sont consacrés : Chômons
dre à chaque immortel les vœux qui lui sont dus. Les jours donnés aux
dieux
ne sont jamais perdus. 8. On représente Bacchus
lheureux : Ne dédaignez point l’indigence. Le plus noble attribut des
dieux
, Ma fille, c’est la bienfaisance. Si vous saviez
e dans le ciel et de la faire paraître devant les immortels. Tous les
dieux
admirèrent sa beauté, et toutes les déesses en de
r parce qu’il prévoyait tous les maux que cet enfant devait faire aux
dieux
et aux hommes. Mais sa mère le cacha dans les for
é naturelle. 5. La fable dit que Vénus quittait souvent le séjour des
dieux
pour se promener sur la terre. Elle montait alors
eviendrait sur la terre. On fit de ce mortel privilégié une espèce de
dieu
. Il eut ses temples et ses autels en Cypre, en Ph
t comment, après avoir tramé une conspiration contre le souverain des
dieux
, Neptune avait été exilé sur la terre où il eut b
soutint contre Minerve à l’occasion de la fondation d’Athènes4. 4. Le
dieu
des mers épousa une des filles de Nérée et de Dor
use était Céléno, et après elle Aëllo et Ocypète. 7. Parmi les autres
dieux
marins on distinguait encore Protée, les Sirènes,
ssa outre. Les Sirènes désespérées se jetèrent à la mer. 10. Eole, le
dieu
des vents, régnait dans les mêmes lieux. Il habit
ls de Jupiter, et commandait aux vents et aux tempêtes. Le maître des
dieux
lui avait donné cette puissance, et il en usait a
homme agile qui fuit avec une incroyable rapidité. 11. Glaucus, antre
dieu
marin, naquit de Neptune et de la nymphe Naïs. C’
épouillèrent de ce qu’il avait de mortel pour le placer au nombre des
dieux
marins. Peut-être Glaucus fut-il le premier pêche
qui les traversaient. 14. Neptune, qui avait sous son empire tous ces
dieux
, était la grande divinité des Libyens. Il avait d
x en l’honneur de Neptune. Le cheval était spécialement consacré à ce
dieu
, parce qu’on dirait qu’il l’avait fait sortir de
ue les Harpies ? Quelles étaient les plus connues ? 7. Quels sont les
dieux
marins les plus célèbres ? 8. Qu’était Protée ? Q
ort que Charybde ? 14. Où était honoré Neptune, le maître de tous ces
dieux
? Quels étaient les plus grands jeux célébrés en
s offrait-on, et quel animal consacrait-on à Neptune ? 15. Comment ce
dieu
est-il représenté ? Chapitre XVI. Pluton et l
eut à soutenir contre les géants. Après sa victoire, le souverain des
dieux
lui donna l’empire des enfers. Les païens se figu
i donna l’empire des enfers. Les païens se figuraient le palais de ce
dieu
au centre de la terre et le croyaient entouré de
gence en lambeaux, l’inflexible Trépas, Et le Sommeil son frère et le
dieu
des combats ; Le Travail qui gémit ; la Terreur q
fois le tour de cette terrible demeure. C’était par ce fleuve que les
dieux
juraient, et une fois qu’ils avaient prononcé son
spitalité, en servant sur sa table les membres de Pélops son fils aux
dieux
qui le visitaient. Jupiter voulut qu’il fût dévor
nfin tous trouvaient le bonheur dans l’activité et le travail. 10. Le
dieu
des enfers était haï sur la terre. Il eut peu de
uton avec Plutus, qui est aussi une divinité infernale. Plutus est le
dieu
des richesses. Il a la figure d’un vieillard, la
ce motif qu’on les plaçait dans une catégorie intérieure à celle des
dieux
dont nous avons décrit la puissance et les attrib
rnerons à rappeler ici les divinités champêtres et domestiques et les
dieux
terrestres qui offrent le plus d’intérêt. Chapi
surtout Pan et Palès, Faune et Sylvain, Flore, Pomone, Vertumne et le
dieu
Terme. Pan et Palès. 2. En grec Pan signifie
2. En grec Pan signifie tout. Chez les Egyptiens particulièrement, ce
dieu
avait été d’abord considéré comme le symbole de t
considéré comme le symbole de tout l’univers. Les Grecs en firent le
dieu
des bergers et le vénérèrent comme le protecteur
ans de délicieuses vallées du produit de leurs nombreux troupeaux. Ce
dieu
eut aussi ailleurs des temples. A Rome, on célébr
ue Romulus et Rémus avaient été nourris par une louve. Les prêtres du
dieu
Pan se nommaient luperci. 3. On ne versait point
es êtres se trouvait en lui renfermée. Souvent aussi en sa qualité de
dieu
des bergers, on lui donnait une houlette et une f
. » 7. Sylvain était un des fils de Faune. Les Romains en firent le
dieu
des forêts. Quelquefois on le confond avec Pan et
une son père. On le représentait à peu près de la même manière que le
dieu
Pan, avec cette différence qu’il tenait une branc
donne généralement les noms de Sylvains, de Faunes ou de Satyres aux
dieux
champêtres. Les Satyres ressemblaient aux Faunes
’extérieur, mais ils ne s’occupaient pas comme eux d’agriculture. Ces
dieux
railleurs et lascifs étaient la terreur des berge
des fruits et des jardins. Elle est unie par la fable à Vertumne, le
dieu
de l’automne, parce que c’est dans cette saison q
rce que la vendange se faisait sous ses auspices. 10. Priape était le
dieu
chargé du même empire que Pomone. Comme elle, il
ruments de jardinage ou une verge pour faire peur aux oiseaux. 11. Le
dieu
Terme était le gardien des propriétés. Il veillai
fait à peu près parler ainsi le maître d’un champ qui s’adresse à ce
dieu
: Terme, qui que tu sois, ou de bois ou de pierr
Terme, qui que tu sois, ou de bois ou de pierre, Tu n’es pas moins un
dieu
que le dieu du tonnerre, Garde que mon voisin ne
ue tu sois, ou de bois ou de pierre, Tu n’es pas moins un dieu que le
dieu
du tonnerre, Garde que mon voisin ne me dérobe ri
’est ici le mien. On dit que Numa introduisit à Rome le culte de ce
dieu
, ce qui signifie que sous ce prince la propriété
propriété commença à être respectée chez les Romains. On honorait ce
dieu
sur les bornes des champs aussi bien que dans les
La borne elle-même était revêtue de guirlandes et frottée d’huile. Le
dieu
Terme n’était dans l’origine qu’une pierre grossi
Quelles étaient les principales divinités champêtres ? 2. Qu’était le
dieu
Pan chez les Egyptiens et chez les Grecs ? Dans q
é ? Comment les bergers célébraient-ils sa fête ? 6. Qu’est-ce que le
dieu
Faune ? Quelle fut son histoire ? Comment Fénelon
le manière était-il représenté ? 11. Quelles étaient les fonctions du
dieu
Terme qui l’introduisit, à Rome ? Où était-il hon
n sur ses autels ? Comment était-il représenté ? Chapitre II. Les
dieux
domestiques. 1. Les dieux domestiques s’appela
ait-il représenté ? Chapitre II. Les dieux domestiques. 1. Les
dieux
domestiques s’appelaient Lares ou Pénates. Les La
ieux domestiques s’appelaient Lares ou Pénates. Les Lares étaient les
dieux
protecteurs de chaque maison et les gardiens de c
timents mérités par les crimes des hommes. 2. Les Pénates étaient les
dieux
protecteurs des villes et des empires. Chaque fam
vait le droit de choisir ses Pénates et les prenait souvent parmi les
dieux
du premier ordre. Les Pénates avaient leurs statu
t un culte et des sacrifices dans l’intérieur de la famille comme aux
dieux
Lares, et c’est ce qui les a souvent fait confond
Enée fut beaucoup loué pour avoir sauvé dans l’incendie de Troie les
dieux
tutélaires de cette grande cité. 3. On consacrait
d’argent qu’ils avaient pris avec la robe prétexte. On offrait à ces
dieux
de l’encens, du vin et quelquefois des animaux. 4
au de mauvais augure. Questionnaire. 1. Comment s’appelaient les
dieux
domestiques ? Quels étaient les attributs des Lar
eil, Morphée, Momus, l’Aurore, Hébé et Ganimède. 1. Comus était le
dieu
des festins et de la joie. Son nom lui vient d’un
a moitié de sa vie à encenser ses autels, nous a fait du palais de ce
dieu
une charmante description. Sous les lambris mous
uisseau coule auprès et forme un doux murmure. Les simples, dédiés au
dieu
de ce séjour, Sont les seules moissons qu’on recu
e, Troupe qui sait charmer le plus profond ennui, Prête aux ordres du
dieu
, volait autour de lui. Là cent figures d’air dans
èreté. 4. Momus était aussi fils du Sommeil et de la Nuit. C’était le
dieu
de la raillerie et des bons mots. Son nom en grec
sporter ailleurs quand on avait un mauvais voisin. On représentait ce
dieu
bizarre le masque levé, parce que la raillerie dé
on devint tellement cassé par les ans, qu’il conjura le souverain des
dieux
de le changer en cigale, et il obtint ce triste a
nesse. On la supposait fille de Junon et de Jupiter. Le souverain des
dieux
lui avait confié le soin de verser du nectar aux
de ses illustres travaux. Ganimède avait mérité d’être l’échanson des
dieux
par l’innocence de ses mœurs et la pureté de sa v
Momus ? Que signifie ce mot ? Comment critiqua-t-il les ouvrages des
dieux
? De quelle manière était-il représenté ? 5. Qu’é
et des roses, symbole de ses douceurs et de ses plaisirs. Plutus, le
dieu
des richesses, reposait sur son sein. 3. La Conco
es de la république. Ce temple était dans le Capitole, la demeure des
dieux
. C’était sans doute pour signifier qu’une nation
Tempêtes étaient renfermées avec les Vents dans l’antre d’Eole, et ce
dieu
avait sur elles toute puissance. Jupiter les fais
té, que le christianisme a ennoblie, était elle-même placée parmi les
dieux
funestes à la terre. On la faisait naître du Luxe
orateurs. A Rome, elle en avait à elle seule plus que tous les autres
dieux
. On la vénérait sous tous les noms. Il y avait la
. On la disait sœur du Destin et souvent même on la confondit avec ce
dieu
irrésistible. Ses arrêts étaient irrévocables, et
er. 4. L’Occasion était la déesse de l’à-propos. En Grèce, c’était un
dieu
; à Rome, une déesse. Elle présidait au moment le
appelé aussi Sigalion et Harpocrate, était également révéré comme un
dieu
. On plaçait ses statues sur la porte des temples
e ses défauts pour ne tenir compte que de ses bienfaits, et en fit un
dieu
. Telle fut l’origine des héros et des grands homm
vré des attaques d’Eétès, n’en fut pas plus heureux. La vengeance des
dieux
sembla s’être attachée aux meurtriers d’Absyrte.
ploits, et Pallas fléchit la colère de Junon contre lui. La reine des
dieux
voulut même le nourrir de son lait. Hercule en la
nt les plaisirs. Ce n’est qu’au prix des soins et des travaux que les
dieux
répandent le bonheur et l’éclat sur la vie des ho
r qu’elle en mourut. 8. Après son trépas, Hercule fut mis au rang des
dieux
. Dans le ciel les poëtes lui ont fait épouser Héb
e sanglante écume. On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux, Un
dieu
qui d’aiguillons pressait leurs flancs poudreux.
ré N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré, Triste objet où des
dieux
triomphent la colère, Et que méconnaîtrait l’œil
protecteurs de leur patrie, et après leur mort on les mit au rang des
dieux
marins. Ils étaient invoqués par les matelots, et
frère la vie et de lui accorder l’immortalité. Mais le souverain des
dieux
ne pouvait exaucer une telle demande. Le Destin a
’ailleurs faire d’un homme un immortel. Seulement dans le conseil des
dieux
on convint que l’immortalité dont jouissait Pollu
ains vénéraient beaucoup ces deux héros. Ils les honorèrent comme les
dieux
tutélaires de la navigation, et leur élevèrent so
rrible et lui amena le cheval Pégase. Le héros, ainsi protégé par les
dieux
, dompta encore une multitude d’animaux, et fit re
ge aux douceurs de la vie civilisée. Divin Orphée, à qui les
dieux
Ont prodigué des sons la science charmante,
r, où traîner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le
dieu
des morts Déjà cette ombre froide arrive aux som
nait elle-même les enfants de ce monarque. Les poëtes ont dit que les
dieux
l’avaient métamorphosée en chienne ; c’était sans
r. Le pieux Enée, fils d’Anchise et de Vénus, chargea sur son dos les
dieux
pénates de sa patrie, prit son fils Ascagne par l
n rocher, et dans son orgueil il s’écria : J’en échapperai malgré les
dieux
. Neptune, irrité par ce blasphème, fendit le roch
avait dans ces communications célestes, ils se dirent inspirés par le
dieu
qu’ils servaient et se mirent à faire des prédict
présidait ? Quels grands hommes y furent couronnés ? 4. Quel était le
dieu
renommé par ses oracles ? Qu’est-ce qui donna nai
traires : Brahma est créateur, Vischnou conservateur, et Shiva est le
dieu
de la mort et de la destruction. Pour comble d’ab
et déshonorant. 2. Brahma, le premier membre de la Trimourti, est le
dieu
créateur. Il naquit avec quatre têtes, et un loto
brahmanisme. 4. Shiva, la troisième personne de la Trimourti, est le
dieu
de la mort et de la destruction. C’est l’ennemi d
n. C’est l’ennemi de Brahma et de Vischnou. On dit aussi qu’il est le
dieu
qui produit, parce que la vie naît de la corrupti
aspect sous lequel on l’envisage. Quand Shiva est considéré comme le
dieu
producteur, il est représenté assis sur un taurea
vénèrent comme inspirés les livres des Védas. Ils se donnent pour les
dieux
de la terre, et prétendent sérieusement que quand
ntes incarnations ? 4. Quels sont les attributs de Shiva ? Comment ce
dieu
est-il représenté ? 5. D’où est venue la métempsy
rreurs ont produites ? Que font-ils dans leurs fêtes pour honorer les
dieux
? En quoi font-ils consister la perfection ? Qu’e
d’autres auteurs anciens attestent qu’ils ne croyaient pas que leurs
dieux
eussent des formes humaines, et qu’ils ne leur él
grand nombre de prêtres qui faisaient croire à la multitude que leur
dieu
inanimé consommait chaque jour douze mesures de f
trangère, leur écrit une lettre où il fait la description de tous les
dieux
d’or, d’argent et de bois, qu’on honorait d’un cu
blème de l’année solaire qui expira pour renaître. Les mystères de ce
dieu
se célébraient au fond d’une grotte par l’entremi
t, et la dignité de chaque prêtre dépendait ensuite de l’élévation du
dieu
qu’il servait. Thèbes étant l’une des villes les
de toute l’Egypte. L’Egyptien grossier ne voyait guère dans tous ces
dieux
que la nature matérielle. Osiris était pour lui l
ranée. Alors désespérée, elle se fit aider dans ses recherches par le
dieu
Anubis qui a la forme d’un chien. Ce dieu la cond
dans ses recherches par le dieu Anubis qui a la forme d’un chien. Ce
dieu
la conduisit en Phénicie près de Byblos. Là le co
ns toute l’Egypte que festins et réjouissances. On amenait le nouveau
dieu
à Memphis pour y prendre possession de sa nouvell
t le plus célèbre de ces animaux ? A quels signes reconnaissait-on le
dieu
Apis ? Chapitre IV. De la religion des Gau
aniques, que Jupiter régit souverainement le ciel, et que Mars est le
dieu
de la guerre. » 2. Il ne faudrait cependant pas
sait immoler des victimes humaines, soit pour apaiser le courroux des
dieux
, soit pour chercher le secret de l’avenir dans le
ns à leur origine. Leurs premiers sages enseignaient qu’il y avait un
dieu
suprême, maître de l’univers, auquel tout est sou
blimes. 2. La notion de Dieu fut ainsi altérée. On confondit avec, le
dieu
suprême un conquérant ambitieux, le superbe Odin,
rême des armées, et supposaient qu’il y avait au-dessous de lui douze
dieux
dont le pouvoir était subordonné au sien. Les plu
né au sien. Les plus remarquables de ces divinités étaient Balder, le
dieu
de la bonté, le principe du bien, le type du beau
, le dieu de la bonté, le principe du bien, le type du beau ; Tyr, je
dieu
de la guerre et le protecteur des braves ; Niord,
la guerre et le protecteur des braves ; Niord, le Neptune du Nord, le
dieu
des mers ; Braga, le dieu de l’éloquence et de la
des braves ; Niord, le Neptune du Nord, le dieu des mers ; Braga, le
dieu
de l’éloquence et de la poésie ; Hiemdall, le gar
l qui, près de ces barbares, passait pour un pont au moyen duquel les
dieux
communiquaient avec la terre. Odin embrassait de
ga ou Fréa, la reine des déesses du Nord, comme Odin était le roi des
dieux
. Les Scandinaves appelaient Fréa la terre-mère, l
des dieux. Les Scandinaves appelaient Fréa la terre-mère, la mère des
dieux
, et son alliance avec Odin était pour eux le symb
sous sa dépendance douze déesses subalternes, comme elle a mis douze
dieux
sous la domination d’Odin. Chacune de ces déesses
lieu d’Iris. 4. De l’alliance d’Odin et de Fréa étaient nés plusieurs
dieux
du second ordre. Le plus célèbre est le dieu Thor
a étaient nés plusieurs dieux du second ordre. Le plus célèbre est le
dieu
Thor qui s’éleva jusqu’au premier rang parmi les
célèbre est le dieu Thor qui s’éleva jusqu’au premier rang parmi les
dieux
des Scandinaves, il présidait aux vents, à la fou
aux tempêtes. On le regardait comme le défenseur et le protecteur des
dieux
, et l’Edda l’appelle le plus vaillant des enfants
de renouveler sa vigueur à mesure qu’il en a besoin. Enfin, c’est le
dieu
de la force, et il n’est pas étonnant que des bar
nant que des barbares l’aient mis à côté d’Odin et de Fréa. Ces trois
dieux
se partagèrent les honneurs suprêmes ; mais les D
Odin, les Norwégiens à Thor, et les Suédois à Fréa. 5. Le conseil des
dieux
, présidé par ces divinités du premier ordre, se t
sa famille. Alors un nouveau monde se forma. Les fils de Bor, ou les
dieux
, traînèrent le corps du géant dans l’abime, et en
s duquel ils placèrent des géants. Un jour que les fils de Bor ou des
dieux
s’y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de
ue ses vices ont fait déchoir de l’état de perfection dans lequel les
dieux
l’avaient créé, sera anéanti avec ses enfants qui
efforts, ils seront anéantis avec la nature entière et la plupart des
dieux
. « Alors, continue l’Edda , le puissant, le vaill
lles obscurcies ? 2. Qu’était Odin ? Quels étaient les principaux des
dieux
qui lui obéissaient ? 3. Quels étaient les attrib
sous d’elle ? Comment se nommait sa messagère ? 4. De qui était né le
dieu
Thor ? Quel était son rang parmi les autres dieux
. De qui était né le dieu Thor ? Quel était son rang parmi les autres
dieux
? Par quelle nation étaient adorées toutes ces di
dorées toutes ces divinités suprêmes ? 5. Où se tenait le conseil des
dieux
? Décrivez le lieu de cette assemblée, et l’arbre
eux ? Décrivez le lieu de cette assemblée, et l’arbre sous lequel les
dieux
étaient assis. 6. Comment les poëtes scandinaves
ée, un des sept chefs devant Thèbes, 139, 140. Capitole, demeure des
dieux
à Rome, 90, 92, 159. Capricorne, const., 34. Ca
Chaldéens, 172. Champs-Elysées, 71, 73. Chaos, le plus ancien des
dieux
, 12. Charon, nocher des enfers, 69. Charybde, g
na, v.de Cappadoce, 97. Compitales, div. des carrefours, 81. Comus,
dieu
des festins, 83. Concorde, div. allégorique, 92.
de, div. allégorique, 92. Connaissance du vrai Dieu, 7. Conseil des
dieux
, 7. Constellations parcourues par le soleil, 34.
. Enna, campagne de Sicile, 30, Envie, fille de la Nuit, 95. Eole,
dieu
des vents, 64, 98. Eolides et Eoliennes, îles de
d, 114. Gibraltar, détroit. Glaucé, rivale de Médée, 109. Glaucus,
dieu
marin, 65. Glaucus, roi de Corinthe, 129. Gna,
recs, 98. Grâces, 56. Grèce, 104, 136, 142, 152, 154. Grecs, leurs
dieux
et leur culte, 42, 35, 47, 76, 98, 99 ; leurs exp
74. Mnémosyne, mère des Muses, déesse de la mémoire, 23, 36. Momus,
dieu
de la raillerie, 83, 84. Mopsus, devin, 159. Mo
rontières de la Thessalie, regardée comme le séjour de Jupiter et des
dieux
, 51, 87. Olympiades, système de chronologie, 156
emple à Rome, 15. Palamède, pr. grec, de l’île d’Eubée, 142. Palès,
dieu
des bergers, 76. Pâleur, habite l’enfer, 71. Pa
te l’enfer, 71. Pallante, 92 Pallas, vaincue par Minerve, 44. Pan,
dieu
des bergers, son culte, 76. Panathénées, fêtes,
de Tantale, 72, 156. Pelvi, langue sacrée des mages, 175. Pénates,
dieux
domestiques, 81. Pénée, fl. de Thessalie, 32. P
156. Pluton, fils de Saturne, 14 ; son hist., 68 et suiv. Plutus,
dieu
des richesses, 30, 74, 92. Podalire, fils d’Escu
21. Proserpine, enlevée par Pluton, 29 ; ses mystères, 160. Protée,
dieu
marin, 63. Providence, 99. Prudence, 90. Prytan
accompagnent Vénus, 56. Rollin , auteur cité, 181. Romains, leurs
dieux
et leur culte, 48, 77, 78, 89, 100, 126. Rome, p
. Styx, fl. des enfers, 69. Suédois, peuple du Nord, 192. Sylvain,
dieu
des bois, 78. Sylla, dictateur romain, 159. T
e, changé en huppe, 152. Terme, son culte, 79. Terminales, fêtes du
dieu
Terme 80. Terre, son hist., 43 ; mère d’Anthée,
rseau, const., 34. Vertu, div. allégorique, 88, 111, 112. Vertumne,
dieu
de l’automne, 79. Vesta, déesse du feu, 19. Ves
du vulgaire, d’entourer de fables les personnages dont ils firent des
dieux
. Plus il leur a été possible de rendre obscures c
utes les autres, dès qu’une comparaison sera utile pour expliquer tel
dieu
ou tel culte. Mythologie Grecque-Romain
vit les Phéniciens, les Egyptiens et les Syriens leur apporter leurs
dieux
, leurs héros et leurs fables. De là vint cette th
théogonie grecque : l’Erèbe, le Tartare et l’Amour. généalogie des
dieux
. — D’après ces diverses manières de voir sur les
ulut les précipiter, enchaînés dans le Tartare, entre les mains de ce
dieu
ténébreux, que l’on supposait devoir se trouver a
e. Cependant il obtint de ses sujets l’honneur d’être mis au rang des
dieux
, avec le titre de Très-Haut. La Terre, de son côt
c le Soleil, Corybas avec Josion, Dolos ou la Douleur avec l’Éther ou
dieu
cosmogonique, représentant l’espace atmosphérique
connut la déesse suprême des Crétois, on la considéra comme mère des
Dieux
, et on l’appela Rhéa ou Silvia, en lui donnant le
Mangeuse de béliers, Fauna ou la Favorisante, Pasithée ou la Mère des
Dieux
. Sous cette forme de grande génératrice, la Terre
rodite, ou réunissant les deux sexes, appelé Adagoüs ou Agdistis. Les
Dieux
effrayés à l’aspect de ce fait imprévu retranchèr
t arbre des incisions allégoriques rappelant les mutilations du jeune
dieu
, ou celles qui avaient fait mourir sa maîtresse.
es Phrygiens regardaient comme la plus antique effigie de la mère des
Dieux
et la plus sainte, parce qu’elle était tombée du
rs travaux métallurgiques. Enfin les Corybantes, de prêtres se firent
Dieux
, puis terminèrent par se faire de méprisables jon
e de méprisables jongleurs. Ce fut alors que pour honorer la mère des
Dieux
, ils pratiquèrent leurs danses dévergondées, dans
re véritablement considérée comme femme de Saturne et mère des grands
Dieux
de la Grèce. Car la Cybèle de Phrygie est bien un
sortit sans que son honneur en ait souffert. Voici le fait : tous les
Dieux
étaient réunis, et ils étaient nombreux, comme on
les plus épais. Un seul d’entre eux ne dormait pas : c’était Priape,
dieu
des voluptés brutales : toute la soirée, il avait
; aussitôt Vesta se réveille et appelle à son secours tous les autres
Dieux
qui rient beaucoup de l’aventure, et forcent par
s à ouvrir et à fermer les portes de l’Olympe, habitation céleste des
Dieux
, dont nous verrons bientôt la description. Sans a
ours, la douleur de Philyre redoubla, et pour grâce, elle demanda aux
Dieux
de la changer en tilleul, prière qu’ils exaucèren
t métamorphosé en pivert, comme l’indique son nom latin, soit par les
Dieux
, soit par Circé sa femme, pour laquelle il n’avai
n’avait eu que de la froideur. Ses peuples le mirent au rang de leurs
Dieux
. Les autres enfans de Saturne étaient : Phtonia,
s, est un volatile aérien destiné à porter aux hommes les paroles des
Dieux
; l’autre, sous le nom de Faune, est en réalité l
terre, peut dévorer le monde ; enfin, en laissant pour fils Jupiter,
dieu
suprême, Jupiter planète, Jupiter l’engendreur et
int un sobriquet, et ne signifia plus que vieux radoteur. Ce père des
Dieux
ayant de bonne heure été exclu de l’Olympe, il ne
e Jupiter eut chassé du ciel son propre père, il fit courber tous les
Dieux
sous sa loi. Mais cherchons comment il arriva gra
suprême des Grecs et des Romains. C’est le plus puissant de tous les
Dieux
de leur religion ; il résume à lui seul l’ensembl
r, ou le Dieu père ; Dikaspolos, ou le grand justicier ; Dijouvis, le
dieu
de lumière ; Dodoneen, ou de Dodone ; Drymnius, o
présent partout ; Epistatérius, ou présidant au monde ; Epistius, ou
dieu
des foyers ; Erygdoupos, ou au vaste fracas, ou l
secourable, fulgens, fulgur, fulgurator, fulminans, fulminator, ou le
dieu
du tonnerre et des éclairs ; Gamelius, ou le dieu
, fulminator, ou le dieu du tonnerre et des éclairs ; Gamelius, ou le
dieu
des noces ; Généthlios, ou aux horoscopes astrolo
nt ; Homogyne, ou d’Egium ; Homorios, ou des limites ; Icésios, ou le
dieu
des supplians ; Idœen ou du mont Ida, en Crète ;
u, Ithomate, ou d’Ithome en Messénie ; Labradeus et Labraudeus, ou le
dieu
à la hache de Labraude en Carie ; Laphiste, ou d’
ou protecteur des fuyards ; Pluvius, ou le pluvieux ; Prostropœos, ou
dieu
des suppliantes ; Phratrios, protecteur de la fon
villes ; Poudreux, à la statue poudreuse de Mégare ; Prœdator, ou le
dieu
des dépouilles ennemies ; Prodigialis, ou détourn
au D, du D au Z, et du Z au J. Dès-lors, Jupiter est donc le Dieu des
Dieux
, le Dieu par excellence, dans lequel tous les aut
diverses montagnes qui portaient ces noms. D'autres fois, c’était aux
Dieux
des pays les plus éloignés qu’il empruntait ses s
il empruntait ses surnoms ; cependant il est à observer que le nom du
dieu
importé d’une contrée éloignée dans la Grèce, dev
s ; J.-Chronos des Arabes ; J.-Taranis des Gaulois. Pourtant tous ces
Dieux
dans leur patrie, avaient un culte fort différent
éserva pour plus tard la gloire de combattre seul le chef de tous les
Dieux
. Le corps des assiégés n’était pas moins bien com
rarement faisait beaucoup de mal, ou par l’avis du Conseil des douze
Dieux
, appelés à cause de cela fulminateurs ; c’était p
grandes existences et les masses, ou par le Conseil des vingt grands
Dieux
; alors c’était pour bouleverser les empires, dis
ses oncles. Du reste, époux de Styx, il en eut plusieurs enfans, tous
Dieux
purement allégoriques ; savoir : deux fils, Zélos
ont-ils encore un prince astronome fort habile, élevé au ciel par les
Dieux
, grace à la vive douleur que lui inspiraient les
e Tartare, tandis, au contraire, qu’on a pu le croire fixé auprès des
Dieux
, lorsqu’on a vu ces étoiles s’élancer dans les ai
e, lors de cette révolte de TyphŒ, l’Olympe était formé ; et tous les
Dieux
étaient déjà classés suivant leur degré et leur q
des familles. Quant à la Paix qui, chez les Athéniens, tenait Plutus,
dieu
des richesses, sur ses genoux, elle était représe
de. Selon d’autres, elle périt beaucoup plus tard sous les coups d’un
dieu
appelé Bacchus, courroucé de lui voir ravager les
our son séjour habituel. En effet, un jour Neptune, Junon et un autre
dieu
portant le nom d’Apollon, fatigués du despotisme
lle lui donna pour sœur, la belle Hébé. Une autre fois, le maître des
dieux
ayant avalé Métis ou la méditation, la pensée, la
ître tout a coup, également armé jusqu’aux dents, Mars, le redoutable
dieu
de la guerre, qui doit présider à la destruction.
e fort élevée de la Thessalie, on appela en conséquence le séjour des
dieux
Olympe ou Ciel, qui, peut-être dans l’origine, n’
nnel de cet Olympe, plus habituellement considéré comme assemblée des
Dieux
que comme simple localité de leur séjour. D'abord
es Grecs, et le fatum des Latins, puissance souveraine à laquelle les
dieux
même furent soumis ; il fut convenu que ses décre
ersonne ne pourrait ni les changer ni en éviter l’effet, mais que les
dieux
auraient la faculté d’y puiser la connaissance de
viterne ou l’Eternité. Il s’entoura, pour son conseil privé, de douze
dieux
consentes, ou fulmigateurs, ou délibérans, qui, p
, étaient les mêmes que les Divipotes ou Dieux-Puissans, savoir : six
dieux
et six déesses. On leur donnait les noms grecs su
il plaça au second rang les Grands-Dieux ou Selecti, c’est-à-dire les
Dieux
d’élite, qui n’avaient pas le droit de prendre pa
, Cybèle, Proserpine et Amphitrite ; ce qui faisait en totalité vingt
Dieux
supérieurs. Peut-être était-ce parmi ces Dieux. P
sait en totalité vingt Dieux supérieurs. Peut-être était-ce parmi ces
Dieux
. Puissans et ces Grands-Dieux qu’on rencontrait l
x. Puissans et ces Grands-Dieux qu’on rencontrait les involuti Dii ou
Dieux
enveloppés de la Grèce primitive et même de tout
si communes en Égypte, et dont on aperçoit une forme adoucie dans les
Dieux
liés, représentant Junon, Héraclès et Diane. Enfi
és, comme tout à coup, autour de l’aréopage divin, une foule d’autres
Dieux
, parmi lesquels on remarquait les Médionimes ou D
foule d’autres Dieux, parmi lesquels on remarquait les Médionimes ou
Dieux
Æriens, mitoyens ou Demi-Dieux. Cette masse sacré
années pendant la lutte des Titans. Cet âge si enfantin du maître des
Dieux
n’est donc qu’une grande époque allégorique à laq
ogiques. Cependant puisque l’habitude a formé diverses classes de ces
Dieux
, nous allons en présenter le tableau ; ces classe
t au nombre de cinq. La première renferme cinq espèces différentes de
Dieux
, savoir les Grands Dieux, les Dieux subalternes,
remière renferme cinq espèces différentes de Dieux, savoir les Grands
Dieux
, les Dieux subalternes, les Dieux naturels, les D
ferme cinq espèces différentes de Dieux, savoir les Grands Dieux, les
Dieux
subalternes, les Dieux naturels, les Demi-Dieux e
érentes de Dieux, savoir les Grands Dieux, les Dieux subalternes, les
Dieux
naturels, les Demi-Dieux et les Dieux allégorique
eux, les Dieux subalternes, les Dieux naturels, les Demi-Dieux et les
Dieux
allégoriques. Nous connaissons les douze Grands D
mi-Dieux et les Dieux allégoriques. Nous connaissons les douze Grands
Dieux
ou Du Majores, ou Dieux Olympiens. C'étaient Jupi
légoriques. Nous connaissons les douze Grands Dieux ou Du Majores, ou
Dieux
Olympiens. C'étaient Jupiter, Neptune, Mars, Merc
honneur des fêtes appelées Consenties. Puis vinrent les huit grands
Dieux
auxiliaires appelés Patrices ou Dieux choisis, et
. Puis vinrent les huit grands Dieux auxiliaires appelés Patrices ou
Dieux
choisis, et nommés Uranus, Saturne, Genius, Bacch
çans Janus, Cybèle, Proserpine et l’Amour. Ensuite on connaissait les
Dieux
subalternes ou Dii minores, tels que Pan, Pomone,
eux subalternes ou Dii minores, tels que Pan, Pomone, Flore et autres
Dieux
champêtres. Après eux on rangeait les Dieux natur
, Pomone, Flore et autres Dieux champêtres. Après eux on rangeait les
Dieux
naturels qui étaient le Soleil, la Lune, les Étoi
ions ; ainsi Esculape, Castor et Pollux, Hercule et autres. Enfin les
Dieux
allégoriques n’étaient que des positions sociales
par exemple, l’Envie, la Pauvreté, la Pudeur. La seconde classe des
Dieux
possédait les Dieux supérieurs ou du Ciel, Dii su
e, la Pauvreté, la Pudeur. La seconde classe des Dieux possédait les
Dieux
supérieurs ou du Ciel, Dii superi, tels que Uranu
r, Mars, Vulcain, Mercure, Apollon, Junon, Minerve, Diane, etc. ; les
Dieux
de la Terre, Cybèle, Vesta, Pan, les Faunes, les
e, Cybèle, Vesta, Pan, les Faunes, les Nymphes, les Muses, etc. ; les
Dieux
de la mer, l’Océan, Thétys, Neptune, Amphitrite,
éides, les Tritons, les Nayades, les Sirènes, Éole et les Vents ; les
Dieux
de l’Enfer, ou Dii inferi, Pluton, Proserpine, Ea
les Furies, les Manes et Charon. La troisième classe comprenait les
Dieux
publics dont le culte était ordonné par les lois,
it les Dieux publics dont le culte était ordonné par les lois, et les
Dieux
indigètes ou particuliers, que chacun adorait à s
anes, les Lares, les Pénates. La quatrième classe était composée des
Dieux
nuptiaux, domestiques et tutélaires. La cinquième
ptiaux, domestiques et tutélaires. La cinquième classe renfermait les
Dieux
connus et les Dieux inconnus, ou dont l’histoire
et tutélaires. La cinquième classe renfermait les Dieux connus et les
Dieux
inconnus, ou dont l’histoire était ignorée, mais
mais que l’on voulait pourtant honorer d’autels ou de sacrifices. Les
Dieux
dans cet Olympe organisé par Jupiter étaient cens
Homère, devait être d’une couleur rouge. Enfin pour caractériser les
Dieux
, on supposait toujours leur tête brillante d’un n
itable danger qui le menaçait, Jupiter appelle à son secours tous les
Dieux
et toutes les Déesses. A sa voix on les vit arriv
res. Bientôt ils furent assez élevés pour en venir aux mains avec les
Dieux
. Alors le combat devint des plus acharnés ; tout
t honteusement la fuite, et se réfugièrent en Égypte. Trois ou quatre
Dieux
ou Déesses seulement restèrent et résistaient à p
cle avait annoncé que les Géans seraient invincibles, à moins que les
Dieux
n’appelassent un mortel à leur secours. Alors Jup
t à lui faire violence. A la vue de ces exploits, le petit nombre des
Dieux
restés auprès de Jupiter reprend courage, imite c
nt de nombre. Ainsi, Damastor n’ayant plus d’arme à lancer contre les
Dieux
, soulève Pallas, que Minerve venait de pétrifier,
t remplacée par la race humaine actuelle, plus douce, plus docile aux
Dieux
, et figurée dans la gigantomachie par Hercule. Pe
llement ses ordres. Mais elle oubliait alors que sur le traversin des
Dieux
de l’Olympe, ainsi que sur celui des hommes, la v
es mains. Bientôt il escalade le Ciel, et force à s’enfuir encore les
Dieux
, qui se réfugient à l’envi l’un de l’autre, en Ég
coup le monstre se retourne, arrive d’un bond aux pieds du maître des
Dieux
, l’embarrasse de ses plis mille fois contournés,
de Sicile ; déjà il touchait le sol de cette île, lorsque le roi des
Dieux
l’écrase sous le mont Pithécune, ou, d’après la v
dre, ou sous les traits d’Apollon, ou même sous les coups de tous les
Dieux
réunis, et le plongent ensuite au fond du Tartare
passans, et commit les plus grands ravages, jusqu’à l’instant où les
Dieux
, justement irrités, l’enfermèrent dans un antre d
a troupe éthérée, Mars, que l’on apprendra plus tard à connaître pour
dieu
de la guerre, s’élance contre ces audacieux ; mai
aux diverses révoltes dont les Titans et les Géans avaient menacé les
Dieux
, fut complètement détruite par un déluge universe
des turbulens qui l’inquiétaient, et rend ainsi la paix au séjour des
Dieux
. Cependant les eaux s’étant retirées et la terre
ir, après avoir déplu par sa supériorité intellectuelle au maître des
Dieux
, qui ne songeait plus aux services nombreux rendu
chassé du ciel et jeté sur la terre. Ce qui nous prouve que chez les
Dieux
d’autrefois comme chez les hommes de tous les siè
es les beautés matérielles ; ensuite il la présente à l’assemblée des
Dieux
. Minerve ensuite la couvre d’une robe d’une blanc
plus d’ombrage à Jupiter, fut, sans contredit, Esculape ou Asclépias,
dieu
de la médecine et fils d’Apollon ; car il se perm
nnaissance, il cherche à la séduire. Celle-ci fait part au maître des
Dieux
de l’audace du téméraire. A peine Jupiter peut-il
vait éloigné de l’Olympe. Fatigué d’une telle jactance, le maître des
Dieux
se fâche sérieusement, précipite l’impudent au fo
ccidentellement du répit : il fut délié un instant lorsque Pluton, le
dieu
des Enfers, introduisit sa femme au sein de son e
me le ravisseur de sa fille Europe ; 4° d’avoir, étant à la table des
Dieux
, dérobé du nectar et de l’ambrosie dans le dessei
aux simples mortels ; 5° d’avoir dévoilé au grand jour le secret des
Dieux
qu’il desservait ; 6° enfin, et voilà le crime qu
e qu’on lui reproche le plus communément, d’avoir servi pour plat aux
Dieux
qu’il avait conviés les membres de son fils Pélop
ée par une autre en ivoire. Indignés d’une pareille cruauté, tous les
Dieux
prièrent Jupiter de faire peser sur cet audacieux
qui fût en harmonie avec la gravité de son crime. Alors le maître des
Dieux
ordonne qu’il sera dorénavant en proie à une soif
ièce, fille de Salmonée, mais surtout pour avoir révélé le secret des
Dieux
, c’est-à-dire, peut-être pour avoir indiqué à Aso
eux, c’est-à-dire, peut-être pour avoir indiqué à Asope le maître des
Dieux
comme le ravisseur de sa fille. Cependant il est
ut même, bien des années après, que Mercure, sur un ordre positif des
Dieux
vînt le saisir et le ramener de force auprès de P
de Deucalion, et femme d’Astynomé. On dit qu’il avait osé défier les
Dieux
de l’empêcher d’entrer dans cette ville, et qu’il
ppé d’un coup de foudre pour avoir refusé d’offrir des sacrifices aux
Dieux
, au-dessus desquels il s’estimait : impiété que l
ent punir, afin de contenir le peuple dans la croyance du pouvoir des
Dieux
du Paganisme. Les Arimes, peuple astucieux qui n’
caverne Jovienne, ou grotte dans laquelle Jupiter avait été élevé. Ce
dieu
aussitôt les changea tous les quatre en oiseaux,
éfait. Néophron, fils de Timandra, fut changé en vautour par ce même
dieu
. Ophionée était un des génies qui, après avoir f
’affection ne plurent point à la jalousie chatouilleuse du maître des
Dieux
, qui d’abord voulut jeter au fond des enfers ce m
éfenseur de l’opprimé, et, par l’effet de son éloquence, il obtint du
dieu
courroucé que le bon, que l’homme par excellence,
le pense, grande rumeur au ménage. Comment faire pour réconforter des
Dieux
? Rien ne doit pouvoir leur suffire ; rien ne doi
égétation des plantes et l’animalisation humaine. Quant au voyage des
Dieux
, quoique de fabrique Phrygienne, il semble modern
u punir les mortels n’était pas le plus grand travail de Jupiter. Les
Dieux
eux-mêmes lui donnaient beaucoup de tracas, et ch
xigeait qu’on les commençât par un sacrifice en l’honneur de tous les
Dieux
, mais surtout de Jupiter et d’Apollon en particul
neur de Jupiter ; les Panhellenies étaient des fêtes offertes au même
dieu
; tous les peuples de la Grèce y prenaient part ;
e et en Italie, avaient servi à nourrir les hommes. Les prêtres de ce
dieu
étaient de puissans fonctionnaires ; le Flamine D
es, de fournir le feu sacré propre aux sacrifices, ou de conjurer les
dieux
contre les ennemis de l’empire ; son pouvoir étai
ervons de les faire connaître plus en détail en parlant d’Apollon, le
dieu
spécial de la Divination. Ce maître des Dieux est
en parlant d’Apollon, le dieu spécial de la Divination. Ce maître des
Dieux
est le plus habituellement assis sur un aigle ou
la terre, disait Virgile, avait enfantée pour publier les crimes des
dieux
qui avaient exterminé les Géans ses enfans. Depui
ciel, où elles étaient destinées à recevoir les ordres du maître des
Dieux
pour ronger de remords et tourmenter l’ame des mé
e possible la triste influence de toutes ces divinités, le maître des
Dieux
conservait continuellement autour de son trône le
seul fils déjà connu sous le nom de Vulcain, quoique Mars et quelques
dieux
ou déesses à noms allégoriques soient encore rega
lliances légitimes, Juga ou déesse des mariages, d’où à Rome, Jugatin
dieu
également des mariages, Jugalis et Junxia ou prot
sement que cette jonction furtive fût consacrée à la face de tous les
Dieux
par une cérémonie solennelle connue actuellement
Thérène. Jupiter ordonna à Mercure de faire ses invitations. Tous les
Dieux
et Déesses se rendirent à cette noce brillante. U
y manqua ou n’arriva qu’à la fin ; ce fut Chélonée, que le maître des
Dieux
punit de sa lenteur, en la transformant en tortue
et mordante, Junon ne fixa pas long-temps auprès d’elle le maître des
Dieux
qui, pour se distraire des gentillesses aigres-do
ssans, ce que Junon fit aussitôt ; alors elle devint mère de Mars, le
dieu
de la guerre. On dit encore que sa vengeance ne s
’empêcher de voir dans l’avenir, et de révéler aux mortels ce que les
Dieux
désiraient leur cacher. Cependant quoiqu’il fût p
fils appelé Mégapenthe. On dit qu’ayant méprisé le culte de Bacchus,
dieu
du vin, ou, qu’ayant osé se trouver plus belles q
lon, conspiration que la vue seule de Briarée aux côtés du maître des
Dieux
fit de suite évanouir. A la fin, Jupiter, irrité
init par la détacher quelque temps après, sur la demande générale des
Dieux
. Junon se faisait toujours suivre de quatorze nym
t déjà au système astronomique ; car, faisant partie des douze grands
Dieux
, elle présidait au signe du Verseau, d’où l’on a
vaches, parce que lors de la guerre des Géans ou de Typhoé contre les
Dieux
, elle s’était enfuie en Égypte sous la figure d’u
fit produire Typhoé, et son jaloux orgueil fit surgir de la terre le
dieu
Mars. Cependant quelques mythologues font honneur
onnification de la jeunesse. Elle était chargée du soin de verser aux
Dieux
le nectar et l’ambrosie. Mais un jour, ayant dans
ercice de ses fonctions fait une chute qui dérida jusqu’au maître des
dieux
, celui-ci la laissa au service de Junon seulement
Jupiter, ou tenant une coupe d’or à la main et versant le nectar aux
Dieux
. Elle avait un temple à Sicyone, sous le nom de D
e Lemnos, Liparœus, ou de Lipari, Opifex trisuli fulminis deus, ou le
dieu
forgeron des foudres, Pamphanès, ou tout resplend
aient resplendissantes et les murs polis comme une glace ; chacun des
Dieux
y avait son appartement. Il construisit encore le
ptible, y prend les deux amans, et fait la sottise d’appeler tous les
dieux
pour les rendre témoins des infidélités de son ép
esta long-temps au fond de ses foyers, sans vouloir remonter vers les
Dieux
. Cependant un jour Bacchus lui fit boire quelques
tallurgiques, voués au culte d’Uranus et de la Terre. Les noms de ces
dieux
métallurgiques de la Crète et de la Troade sont a
u Celmis, passant aussi pour un Curète, nourricier de Jupiter, que ce
dieu
transforma en diamant, pour le punir d’avoir eu l
mi les fils d’Apollon. Les Cabires, au contraire, semblaient de vrais
dieux
pénates que l’on invoquait dans les infortunes do
es Samothraces, puis fut importé en Italie par Énée. Les fêtes de ces
dieux
particuliers se célébraient la nuit et s’appelaie
en outre, ils en avaient aussi dans la Sicile sous les ordres du même
dieu
. Les Cyclopes tombèrent percés par Apollon qui ve
lon qui vengea sur eux la mort de son fils Esculape que le maître des
dieux
avait foudroyé. On représente les Cyclopes comme
, qui le premier fit sortir du feu des caillous. Arès ou Mars, le
dieu
de la guerre des Grecs et des Romains, portait le
des Sabins, Mavors ou le producteur de grands changemens, Necys ou le
dieu
de la mort en Ibérie, et en Grèce le guerrier à b
° 131 et 134, Villicus ou l’étranger à Jupiter. Mars ou Arès, est un
dieu
cosmopolite, réunissant dans un seul personnage l
r des champs d’Olène, et que cet acte suffit pour donner le jour à ce
dieu
terrible. Junon confia à Priape l’un des Titans o
Neptune, l’an 1532 avant J.-C., fit citer Mars devant le conseil des
dieux
, et l’assemblée tenue à Athènes sous Cranaüs l’ac
Neptune, elle fut enlevée par Halyrothius, fils de Neptune ; mais le
dieu
de la guerre ayant puni de mort ce jeune audacieu
acieux, fut alors seulement traduit devant le grand conseil des douze
Dieux
qui, dit-on, se tint près d’Athènes, dans une loc
e de Jupiter et d’Electre et femme de Cadmus. On prétend que tous les
dieux
, excepté Junon, lui firent des présens lors de se
u au temple de Delphes, et pour le punir d’avoir ainsi osé braver les
Dieux
, il fut précipité dans le Tartare pour y voir un
sauveur, il portait le nom de Quirinus, parce que, dans l’origine, le
dieu
de la guerre n’y était représenté que par un fer
fit bâtir un temple à Mars Altor. Presque tous les temples élevés au
dieu
de la guerre étaient hors des villes. On représen
ent la Fureur, le Tumulte, ou la Consternation, l’Effroi, ou Formido,
Dieux
allégoriques, que l’on regardait comme enfans de
sacré des générations ; honneur qu’elle partage du reste avec divers
dieux
et déesses appelés Gamenœ Deœ ou Gamèles, et non
ondre les fêtes de Lucine avec les Lupercales ou orgies consacrées au
dieu
Pan, que nous rencontrerons plus tard. Si à Rome
les animaux, Ingénicole, c’était Ilithye à Tégée, Intercidua était un
dieu
protecteur des enfantemens, Jugatin était un autr
idua était un dieu protecteur des enfantemens, Jugatin était un autre
dieu
latin du mariage, Lalle était le dieu du balbutie
ntemens, Jugatin était un autre dieu latin du mariage, Lalle était le
dieu
du balbutiement enfantin, Levana déesse latine, p
aturne était à Rome la déesse de la maternité, Nixi Dii étaient trois
dieux
protecteurs des femmes en couche, à Rome, Nundina
e qui présidait à la gestation et aux accouchemens ; Vagilan était un
dieu
latin protecteur de l’enfant qui crie ; Vitumne é
de ne pas fournir la plus petite place où cette maîtresse du Dieu des
Dieux
puisse faire ses couches ; puis enfin, elle détac
celle de Délos ; conte absurde, ne reposant sur rien. Comme tous les
Dieux
, Diane et Apollon grandirent promptement ; celui-
lequel par ses violences s’attira la haine de ses sujets et celle des
dieux
. Latone après avoir été poursuivie par Junon, sem
ubite de Niobée en rocher, fait ensevelir les quatorze enfans par les
dieux
, et laisse Niobée en proie à ses chagrins, erre d
contrée jusqu’en Lydie. Alors, elle y répandit tant de larmes que les
dieux
, touchés de ses douleurs, la métamorphosèrent en
ollon le massacre des Niobides, et l’on supposa que les flèches de ce
dieu
étaient les rayons brûlans de l’astre qui nous éc
e de Lycaon. Malheureusement sa beauté fixa les regards du maître des
Dieux
qui, prenant l’apparence de Diane, la rendit mère
poursouite d’un cerf. Après cet accident, les Mégariens en firent le
dieu
de la mer et des mariniers. Il avait à kéfélikioj
t Minerve furent loger un jour en faisant un voyage sur la terre. Ces
Dieux
voyant qu’il les recevait aussi bien qu’il pouvai
bien avoir un fils, mais sans prendre de femme avec lui. Aussitôt les
Dieux
, après avoir détrempé de la terre avec de l’eau,
usque dans le temple de Diane, affront qui fut plus tard puni par les
Dieux
. Aura et non Auta, fille de Lélas et de Péribée,
les Titans, s’y précipita elle-même du haut de son palais ; mais les
Dieux
en eurent pitié et les changèrent en astres, de s
re. Pour la mettre en possession de sa nouvelle charge, le maître des
Dieux
lui plaça un croissant sur la tête. Aussitôt elle
eaucoup de statues au Musée, aux Tuileries et à Versailles. Apollon,
dieu
du jour et des beaux arts, portait les différens
it les jours et dont buvait le prêtre chargé de rendre les oracles du
dieu
Cœlispex ou la statue regardant le ciel, lesur mo
, Delphinios et Delphinien ou de Delphes, ou, parceque, disait-on, ce
dieu
avait, sous la forme d’un dauphin, guidé Castaliu
ou de Troie, Isménien ou des bords du fleuve Isménus à Thèbes, ou le
dieu
des savans, Ixios ou d’Ixius dans l’île de Rhodes
Latogénès, et Latoïdès, et Latoius ou fils de Latone, Leschenor ou le
dieu
des philosophes et orateurs, Lexios ou qui parle
Egyptiens appelé par eux Opas, Aphtas ou Phtas. Ils considéraient ce
dieu
des forgerons comme fils du Nil. Le quatrième sol
Diane, déesse de la chasse, ensuite Apollon, que Jupiter fit bientôt
dieu
du jour, de la poésie, de la musique, des lettres
ups de flèches par Apollon pour avoir voulu en défendre l’entrée à ce
dieu
redoutable. On a expliqué la fable de ce serpent
ont conservé afin d’indiquer la constellation du dragon. Lorsque les
Dieux
furent rétablis dans l’Olympe, Apollon se disting
cain se faisait aider pour forger les foudres terribles du maître des
Dieux
. Jupiter à son tour s’irrite de l’audace de son f
allait mourir de chagrin, quand il eut recours à Apollon. Aussitôt le
dieu
lui donne un lion et un sanglier apprivoisés qui
ors Hercule, inspiré par Apollon, se décida à la retirer des mains du
dieu
des enfers ; à peine avait-il passé le fleuve Ach
tte fable, il montre que l’amour conjugal est toujours récompensé des
Dieux
. Après avoir mené la vie pastorale pendant une an
a aux cieux ; mais il en fut exilé une seconde fois par le maître des
Dieux
pour avoir, d’accord avec Neptune, conspiré contr
de Troie. Du reste, le sens moral des aventures de Laomédon avec les
Dieux
nous enseigne qu’il ne faut jamais balancer à ten
e où l’on portait à neuf, du moins chez les Sabins, les Novenciles ou
dieux
qui avaient les plus grands rapports avec les Mus
is au monde Crotos ou Crocas, ou la cadence qu’elle avait eue avec le
dieu
Pan, elle prit les Muses en nourrice avec son fil
Jupiter les Corybantes, Achéloüs, les Syrènes, et surtout Ialème, le
dieu
des chants lugubres, qui présidait aux funéraille
vint de former un cercle académique, dont on remit la présidence à ce
dieu
. Pendant une délibération sur les moyens les plus
comme nous le verrons plus tard en parlant en détail des enfans de ce
dieu
. Déjà Pégase avait été à moitié dompté par Neptun
Chrisaor, frère de Pégase, d’Echidna enfin, qui ne ressemblait ni aux
dieux
ni aux hommes, qui avait la moitié du corps d’une
usqu’au ciel. Cette audace ne plaisant point à Jupiter, ce maître des
Dieux
envoya un taon qui piqua si fortement le cheval q
harriot sur lequel il était venu en Phrygie. Ce roi avait pour ami le
dieu
Pan. Celui-ci, s’applaudissant une fois de la bea
ession ; ce Tmole fut pour Apollon, mais Midas adjugea la victoire au
dieu
Pan. Apollon, afin de se venger de cette petite m
marquable sur la flûte, ait eu l’audacieuse idée de porter un défi au
dieu
de l’harmonie, défi qui fut accepté à la conditio
déclaré vainqueur. Indigné de l’audacieuse résistance de Marsyas, ce
dieu
s’apprête à le punir : en vain le malheureux saty
ureux satyre maudit son art et son chant, en vain il demande grace au
dieu
des vers, celui-ci reste inflexible, l’attache à
nymphe Chésias et du fleuve Imbrasus la transporta à Milet, alors le
dieu
pour le punir le changea en coquille ; le jeune L
ant également refusé de céder à quelques fantaisies peu honorables du
dieu
, s’élança du haut du mont Leucate dans la mer, et
l avait spolié les environs du temple de Delphes. D'un autre côté, le
dieu
avait beaucoup de protégés ; ainsi nous citerons
le purifia après sa victoire sur le serpent Python ; Iapis, auquel le
dieu
du Parnasse voulu donner un arc, des flèches, et
fin Hyacinthe est l’un des favoris d’Apollon, dont la mort causa à ce
dieu
le plus de regrets. Il avait pour mère, ainsi que
ces derniers, piqué de la préférence que le jeune homme accordait au
dieu
des Muses, profita, pour se venger, qu’un jour Ap
au disque avec lui, de détourner de son souffle un palet lancé par ce
dieu
, et le dirigea sur Hyacinthe, qui fut tué sur le
doptèrent encore, l’année 687 de la fondation de leur ville, un autre
dieu
soleil qu’ils empruntèrent aux Perses : C'était M
issance à une pierre. Il ne nous est pour ainsi dire rien resté de ce
dieu
. Cependant une inscription latine qui portait : «
ient à Rome comme en Perse le 25 décembre, jour de la naissance de ce
dieu
, avec beaucoup de solennité, dans des grottes où
eux sacrifices, les hyérophantes ou prêtres montraient aux initiés le
dieu
sous la figure d’un jeune homme et leur expliquai
particulièrement en Lycie. Quant aux fêtes spéciales d’Apollon, comme
dieu
de l’harmonie ou comme soleil, elles étaient fort
nus, fils de Jupiter et d’Europe et favori d’Apollon, pour honorer ce
dieu
par des combats de musique et de poésie, lors de
à Lacédémone un deuil de trois jours en mémoire de la douleur que le
dieu
du Parnasse avait éprouvée à la mort de son favor
a plus grande pompe et l’on offrait des sacrifices surtout à Apollon,
dieu
du jour, des mois et des saisons. Riches et pauvr
hiction, ou bien au conseil entier des Amphictions. On disait que les
Dieux
avaient pris part à la première de ces fêtes, don
la fin de ces fêtes on offrait un sacrifice à l’ensemble de tous les
Dieux
. Enfin les Thrio se célébraient en Grèce en l’hon
n passant dans l’antiquité pour le plus jeune et le plus brillant des
Dieux
, on le représentait comme un homme de vingt-cinq
t celle connue sous le nom d’Apollon du Belvéder : elle représente le
dieu
tuant de ses traits le monstre qui désolait le te
ns, la phorminx ou lyre, la syrinx et la flûte. Si l’on spécialise le
dieu
du jour ou le soleil, il est représenté sur un ch
grands adorateurs du soleil, comme nous le verrons, représentaient ce
dieu
par un sceptre surmonté d’un œil, ou par un cercl
ré du vent, couronné de laurier, et comme Apollon Lyriste ou Vates ou
dieu
de la poésie et de la musique, qu’il paraissait a
ique, qu’il paraissait aux festins de Jupiter. Quand on le prend pour
dieu
de la médecine, il est entouré de nuages et un se
ds. Nos musées sont remplis de statues et de tableaux représentant ce
dieu
à toutes les époques de sa vie. Apollon avait un
, probablement comme un des plus célèbres desservans des autels de ce
dieu
. On connaît encore parmi les noms de ses grands p
oyage d’Apollon au pays des Hyperboréens, fut fait grand prêtre de ce
dieu
, et reçut de lui, outre l’esprit de la divination
s pour ne pas être obligées de suivre Agamemnon au siège de Troie, ce
dieu
les métamorphosa en colombes, c’est-à-dire, qu’el
étruire lui-même à coups de flèches tous ces animaux, d’où vient à ce
dieu
le surnom de Sminthé, lequel aussi, par suite pro
nt des temples dont plusieurs étaient célèbres par les oracles que ce
dieu
y rendait, et que ses prêtres ou prêtresses trans
racles de Dodone, d’Ammon et de Trophonius. Le plus superbe temple du
dieu
du jour était celui de Delphes. Ses oracles étant
e Delphes. Ses oracles étant les plus chers à obtenir, on comblait le
dieu
de riches présens ; aussi son trésor fut-il souve
re. On comptait en outre beaucoup de temples fort beaux destinés à ce
dieu
dans toute la Grèce et l’Italie. Les prêtres de c
ux populations superstitieuses qui couraient consulter les autels des
Dieux
. Toutes les religions païennes ont eu leur genre
onius. Le plus célèbre de tous les oracles était celui de Delphes. Le
dieu
faisait entendre ses volontés par la bouche d’une
s ; mais plus d’un incrédule s’étant moqué de la détestable poésie du
dieu
de l’harmonie, ses prêtres s’abaissèrent à le fai
elle des beaux arts, Homère de celle de la poésie, et tous les autres
dieux
importans portent les divers renflemens auguraux
smettre aux fidèles les paroles d’avenir prononcées par le maître des
Dieux
. Les Phéniciens qui avaient enlevé deux prêtresse
lle de Rome. Ces oracles furent primitivement supposés rendus par les
Dieux
et transmis au peuple par des prêtres portant éga
, fils d’Alcméon et de Manto, et neveu du précédent, fut honoré comme
dieu
à Orope dans l’Attique. Andre, fils d’Anius, gran
que la poésie servait à composer les hymnes chantés en l’honneur des
Dieux
ou des héros des temps anciens. Le vieux Olen, le
Il fut aussi le premier poète qui composa des hymnes pour adorer les
Dieux
; cependant Anthès d’Anthédon lui dispute cet hon
de vers en l’honneur des Graces. Phémios, poète musicien inspiré des
Dieux
, suivant Homère. On pense qu’il fut le maître et
roi. Aussi, comme dit Horace, c’était le ministre et l’interprète des
Dieux
. Il eut plusieurs aventures remarquables : un jou
avait révélé les mystères sacrés aux profanes ; Platon assure que les
Dieux
le punirent pour avoir voulu feindre à la mort d’
lire sur Apollon, il est facile de comprendre qu’il fut l’un des faux
dieux
les plus importans de l’antiquité. On pourrait dé
e des astres, nous le voyons faire partie du conseil des douze grands
Dieux
, présider alors aux Jumeaux, et se trouver enfant
eur aux esprits vitaux des hommes et des plantes, on en avait fait le
dieu
des poètes et de la médecine. Apollon, pendant se
a au contraire dans la mer pour éviter ses poursuites, sagesse que le
dieu
lui-même admira et récompensa en lui rendant la v
succombé aux sollicitations d’Apollon. Elle fut métamorphosée par ce
dieu
ou par d’autres dieux en une fontaine dont les ea
tations d’Apollon. Elle fut métamorphosée par ce dieu ou par d’autres
dieux
en une fontaine dont les eaux coulant au pied du
ivant d’autres, du fleuve Pénée et de la Terre, attira l’attention du
dieu
, qui la transporta en Libye où elle devint mère d
nt la fable, dont le sens moral semble rappeler la protection que les
Dieux
accordent toujours à la sagesse. Déione passe en
nt voulu, dit-on, porter une main sacrilège sur un arbre consacré aux
Dieux
, elle fut métamorphosée en Lotos, l’une des fleur
Apollon, déguisé en berger. Lycie, fille du fleuve Xanthus, eut de ce
dieu
Patare et Icadius. Mélie, était une fille de l’Oc
hœron. Uranie passait pour avoir eu aussi Linus de ses amours avec le
dieu
du Parnasse. Si après avoir fait connaître les ma
sur le mont Hémus, puis il disparut tout-à-coup et fut placé par les
Dieux
entre les étoiles sous le nom du verseau, constel
adie, Cotylée à Amyclas, Daron en Macédoine, Déménète ou loué par les
Dieux
aux environs du mont Saurus près de l’Alphée, Epi
rcadie, Paeonius Draco ou le serpent médecin, Paeon ou le médecin des
Dieux
, Phaebeius Anguis ou le serpent de Phébus ; Phaeb
aladies avec tant de succès, qu’il fut reconnu pour l’inventeur et le
dieu
de la médecine, surtout par suite des cures merve
ence continuait à se mettre au-dessus du destin ; alors le maître des
Dieux
, pour arrêter cette audacieuse habileté, foudroya
ir été les premiers médecins de tel ou tel pays, ne firent qu’un seul
dieu
de la médecine, quoique adoré sous plusieurs noms
lape d’une famille allégorique fort nombreuse composée d’une foule de
dieux
ou de déesses tenant à la médecine ; ainsi on lui
e nous trouverons commandées par Vulcain. Il fut aussi l’Hynodoter ou
dieu
apportant le sommeil, par allusion à la mort cons
de la tête aux pieds, offrant le caractère de l’ancien des jours, du
dieu
mystérieux ou être à secrets, et de plus un Escul
le, santé, guérison, longevité et même divination. La conception d’un
dieu
de la médecine n’a rien de surprenaut ; elle se r
d’abord, dans les sanctuaires antiques d’Epidaure et de la Grèce, le
dieu
guérisseur sous des formes âgées, avec un air sév
êtres merveilleux, on ne vit dans ces serpens que des incarnations du
dieu
de la médecine. Adoré sous cette forme, il eut un
aure le plus riche et le plus remarquable de tous ceux consacrés à ce
dieu
, construit peut-être par Ascèle, roi du pays, éta
ques nomades, et qu’il prit ainsi rang au milieu des noms de tous les
dieux
que ces peuplades avaient rassemblés et qu’ils or
ait donc par suite de ces aglomérations sous le nom d’un seul et même
dieu
: Esculape, fils d’Apollon et dieu d’Arcadie, inv
ions sous le nom d’un seul et même dieu : Esculape, fils d’Apollon et
dieu
d’Arcadie, inventeur de la sonde et de l’art de b
santes. Les Grecs et les Romains rattachaient au culte d’Esculape les
dieux
Apotropéeos et Averrunci, ou détournant les maux
s offraient leurs prières à Apalexicacus, Alexicacus et Averruncès ou
dieux
chassant les maux, à Mana, déesse des maladies pé
s. Mais revenons aux autres enfans d’Apollon : Eurynome, fille de ce
dieu
, et femme de Talas, fut mère d’Adraste, roi d’Arg
plaindre à Clymène, sa mère. Celle-ci le renvoya auprès d’Apollon. Ce
dieu
, pour lui prouver la vérité de sa naissance, jura
rs les Héliades qu’elles le pleurèrent quatre mois entiers, alors les
Dieux
les changèrent en peupliers et leurs larmes en gr
e rattache aux Latonides, parlons des femmes ordinaires du maître des
Dieux
. L'on a vu comment Thémis eut de lui les Heures e
l’Olympe, et fut se cacher au fond d’une caverne inconnue à tous les
Dieux
. Elle y resta si long-temps que la terre, frappée
rdit sa fille chérie, Proserpine, elle lui fut enlevée par Pluton, le
dieu
des enfers. Cette jeune déesse était alors occupé
os à Eleusis qu’elle montra l’agriculture à Triptolème dont on fit un
dieu
dans l’Attique où il semble, d’après les traditio
ant se donner la mort, au milieu d’un accès de demence. Cependant les
Dieux
en eurent ensuite une espèce de pitié, car ils tr
il suprême, et en accusant son frère redemande sa fille au maître des
Dieux
; celui-ci pesant le procès avec toute la sagesse
le foudroya. Cette punition ne l’empêcha pas d’être admis auprès des
Dieux
et de recevoir des mains de Jupiter même le secre
Orithye, une des filles d’Erechihée, avait été enlevée par Borée, le
dieu
de la Thrace. De cette union résulta Chioné ou la
use de cette aventure elle envoya le fruit de sa faute à son père, le
dieu
des eaux, avec lequel elle l’avait commise, c’est
ticulier qu’à l’instant de cette révélation sacrée de la présence des
Dieux
, le grand prêtre élevait solennellement le phalle
xaltation qu’on retrouve dans la célébration des fêtes de beaucoup de
dieux
et de déesses, indique combien les anciens vénéra
retour de la procession, alors on consacrait cette journée entière au
dieu
de la médecine. C'était donc l’instant de l’initi
uelques savans ont cru pouvoir y reconnaître l’enseignement d’un seul
dieu
gouverneur du monde, d’une autre vie, ainsi que d
ur leurs têtes à Eleusis. Ensuite on faisait l’autopsie ou vision des
Dieux
par soi-même, et l’exaltation du mylle ou ctys ;
nt dans le mois de Scicorophion ou juin étaient consacrées à tous les
Dieux
, mais surtout à Cérès, Proserpine, Minerve, le So
conservation des bœufs et des vaches ; Conditor, Convector, déesse et
dieu
présidant au transport des gerbes ; Consevius, di
vector, déesse et dieu présidant au transport des gerbes ; Consevius,
dieu
de l’ensemencement ; Deverra et Devorona, déesse
toyage des grains ; Consiva et Ops, la semence de la terre ; Falacer,
dieu
romain des arbres fruitiers ; Faustitas, déesse p
urs ; Fructesia ou Frugerie, déesse des abondantes moissons ; Hadrée,
dieu
de la maturité des grains ; Hippone présidait aux
présidait aux chevaux ; Hostilina, déesse des moissons ; Imporcitor,
dieu
du troisième labour après les semailles ; Insitor
; Imporcitor, dieu du troisième labour après les semailles ; Insitor,
dieu
de la greffe et de l’horticulture ; Lactens et La
et de l’horticulture ; Lactens et Lactucine et Lactunus et Lactucie,
dieux
et déesses de la conservation des blés en lait ;
ervation des blés en lait ; Lympha, déesse des irrigations ; Maturne,
dieu
des blés mûrs ; Mellone, déesse du miel et des ab
s mûrs ; Mellone, déesse du miel et des abeilles ; Messor et Messies,
dieu
et déesse des moissons ; Napées, déesse des plain
Napées, déesse des plaines ; Nodinus, Nodotis, Nodotus et Nodutus ou
dieu
des nœuds des chaumes ; Noduterus et Noduterensis
et Nodutus ou dieu des nœuds des chaumes ; Noduterus et Noduterensis,
dieu
italique du battage des grains ; il passait pour
a mouture et génie des femmes mariées ; Nomios, (voyez Pan) Obarator,
dieu
italique du premier labour avant les semailles ;
rator, dieu italique du premier labour avant les semailles ; Occator,
dieu
italique du hersage ; Opora, déesse de la fécondi
les, déesse des prairies et de la multiplication des troupeaux ; Pan,
dieu
rural suprême des Pélasgues ; Panis, dieu sabin d
cation des troupeaux ; Pan, dieu rural suprême des Pélasgues ; Panis,
dieu
sabin du pain ; Patelena, Patella et Patellana, d
lasgues ; Panis, dieu sabin du pain ; Patelena, Patella et Patellana,
dieu
présidant aux épis prêts à s’ouvrir ; Pomone, dée
sidant aux épis prêts à s’ouvrir ; Pomone, déesse des fruits ; Porus,
dieu
de l’abondance ; Populonie protégeait les moisson
es ou de la guerre ; Puta, déesse de la taille des arbres ; Promitor,
dieu
de la dépense des cultivateurs ; Ruana présidait
; Ruana présidait au maintien des grains dans leurs épis ; Redarator,
dieu
des seconds labours avant les semailles ; Robigo
chien avec de l’encens et du feu ; on en faisait aussi quelquefois un
dieu
appelé Robigus ; Ruana, déesse maintenant les gra
ne ou Rutine, déesse des exploitations agricoles : on avait un pareil
dieu
appelé Rusor ou Rutor ; Sarritor, dieu des sarcla
agricoles : on avait un pareil dieu appelé Rusor ou Rutor ; Sarritor,
dieu
des sarclages ; Sator, dieu des semailles ; Ségét
il dieu appelé Rusor ou Rutor ; Sarritor, dieu des sarclages ; Sator,
dieu
des semailles ; Ségétius, dieu italique des moiss
Sarritor, dieu des sarclages ; Sator, dieu des semailles ; Ségétius,
dieu
italique des moissons : Seïa, dieu italique, prés
or, dieu des semailles ; Ségétius, dieu italique des moissons : Seïa,
dieu
italique, présidant à la conservation des semence
e des semailles ; Sessies, déesses latines des ensemencemens ; Siton,
dieu
syracusain du blé ; Spinensis Deus, dieu latin de
s des ensemencemens ; Siton, dieu syracusain du blé ; Spinensis Deus,
dieu
latin des épines, protégeant les guérets contre l
tin des épines, protégeant les guérets contre les chardons ; Stercès,
dieu
ou inventeur des fumiers et père de Picumne ; Ste
père de Picumne ; Stercutius, Stercutus, Sterculinus ou Sterquilinus,
dieu
latin des engrais et de la végétation, confondu s
ondu souvent avec Tellurus ou Picumne ; Subruncator ou Subruncinator,
dieu
latin des sarclages ; Tellurus ou dieu de la terr
Subruncator ou Subruncinator, dieu latin des sarclages ; Tellurus ou
dieu
de la terre cultivable ; Terensis, dieu latin du
n des sarclages ; Tellurus ou dieu de la terre cultivable ; Terensis,
dieu
latin du battage des grains ; Thallo présidant à
t en son honneur, vers la fin de novembre, les Vacunales ; Vervactor,
dieu
latin du premier labour de printemps ; Volutine o
u Volutrine, déesse de la balle qui enveloppe les grains, et Cyamite,
dieu
d’Athènes, inventeur ou amateur des fèves. L'on p
s. L'on pourrait encore, parmi ces divinités, placer Nemestinus ou le
dieu
des forêts chez les Romains ; les Intercidores, o
estinus ou le dieu des forêts chez les Romains ; les Intercidores, ou
dieux
de la coupe des bois et le dieu Terme : mais ains
z les Romains ; les Intercidores, ou dieux de la coupe des bois et le
dieu
Terme : mais ainsi que les Silvains et les Dryade
nt beaucoup plus à Pan, après lequel nous les retrouverons. Parmi ces
dieux
et déesses, plusieurs méritent une explication, s
nt à cette déesse, à laquelle, du reste, on donnait pour époux Anxur,
dieu
sabin, dont les latins firent un Jupiter. Alors F
sayé de lui plaire, tous avaient été éconduits. Vertumne lui-même, le
dieu
des saisons et de toutes les récoltes, lui fit lo
se marièrent, vécurent de longs jours, et, après bien des siècles, ce
dieu
, profitant encore de son pouvoir, rajeunit Pomone
les qui avaient lieu en octobre et dans lesquelles on sacrifiait à ce
dieu
les prémices des fleurs et des fruits. On le repr
it encore rangées dans ses attributs. De là naissait la transition du
dieu
du changement au dieu des pensées, au dieu de l’a
ses attributs. De là naissait la transition du dieu du changement au
dieu
des pensées, au dieu de l’année, puis à celui des
naissait la transition du dieu du changement au dieu des pensées, au
dieu
de l’année, puis à celui des saisons ; mais les R
etée dans un groupe soumis à la puissance de Neptune. Tous les autres
dieux
rustiques sans importance, dont nous avons vu la
érie, et comme elle était amante de Posîdon et qu’elle avait reçu des
Dieux
le don de pouvoir se métamorphoser à volonté, ell
uellement considérée comme épouse légitime de Pluton ; c’est après le
dieu
des Enfers que nous la placerons. Quant à cette é
ît, c’est un triomphe qu’il lui faut ; aussi, les Tritons et tous les
Dieux
marins se groupent autour d’elle, la posent sur u
èrent sa taille d’une ceinture mystérieuse qui devait fasciner et les
dieux
et les hommes. On a supposé que sur cette ceintur
e précieux talisman, fut donc présentée par les Heures au conseil des
dieux
, suivie, dit-on, à tort probablement d’Eros ou l’
d’Eros ou l’amour et de Pothos ou le désir, car nous pensons que ces
dieux
ne furent de son cortège, que quelque temps après
s, ses charmes naïfs et son abandon voluptueux lui gagnèrent tous les
dieux
et imposèrent silence à la jalousie des déesses.
s y obtenait l’exécution de ses moindres fantaisies. Bientôt tous les
dieux
se mirent sur les rangs pour obtenir sa main, Jup
ême, et il en fit l’épouse de Vulcain, son fils, le plus difforme des
dieux
, mais le plus artiste de l’empire Ethérée. Cette
que Sparte honorait marchant après l’Amour, comme le plus aimable des
dieux
et dont les fêtes en Thessalie respiraient la gai
s ne tarda point à fixer à son char et à courber sous sa loi tous les
dieux
de l’Olympe ; bientôt elle compta pour amant tant
a seule Junon, ne recula pas devant le danger d’enlever au maître des
dieux
sa maîtresse, il se présenta donc bravement et en
eurs plaisirs, surpris leur secret, et en avait aussitôt fait part au
dieu
du feu. L'époux de la belle Déesse, étourdi de ce
A peine a-t-il posé ses filets, qu’il convoque à grand bruit tous les
dieux
pour rendre l’Olympe assemblé témoin de leur réve
eil cas doit simplement garder le silence ; aussi qu’arriva-t-il, les
dieux
sourirent, et dès qu’à leurs prières les filets f
ment qu’elle ne resta pas long-temps sans se consoler de l’absence du
dieu
de la guerre. En effet, depuis son mariage avec V
En effet, depuis son mariage avec Vulcain, on voyait dans l’olympe un
dieu
brillant qui revenait de passer un long exil sur
de son astre, et s’éloignaient pour regagner en silence le séjour des
dieux
. Vénus, confiante en sa beauté, ne supposait pas
nes de deuil appelées adonidies. A la fin du jour on ensevelissait le
dieu
au milieu des parfums, et l’on terminait les funé
andonnaient à la mer, dans un panier ou dans une nacelle, le corps du
dieu
, sous la tête duquel on plaçait des lettres annon
s côtes, la pieuse nacelle dans laquelle se trouvaient et le corps du
dieu
et les lettres d’Egypte, qui les engageaient à se
nus, pour se consoler de la perte d’Adonis, se souvint du propos d’un
dieu
qui, voyant Mars pris dans les filets de Vulcain,
ne pouvant toucher son cœur, elle l’embrassa étroitement et pria les
dieux
de maintenir à jamais les deux corps dans cet éta
Anchise sa passion ; puis un jour pressée de se rendre au conseil des
Dieux
, elle s’éleva dans les cieux, laissant le pauvre
n des mortels, Vénus retourna dans l’Olympe offrir son cœur à quelque
dieu
, qui pût lui rendre par compensation et bonheur e
mpensation et bonheur et plaisir. Ce fut à Bacchus, au plus jeune des
dieux
, qu’en arrivant elle sourit : bientôt ils se comp
disparu, l’astrologue Conon annonça qu’elle avait été si agréable aux
Dieux
, que Jupiter l’avait enlevée pour la placer parmi
environs, prêts à recueillir les malades qui venaient à l’exemple des
dieux
, demander aux flots la guérison de leur cœur. Ain
re les surnoms suivant : Ales ou sans aile, parce que, disait-on, les
dieux
le punirent un jour de ses malices, en lui coupan
e fécondité active. Hésiode le fait s’unir au Chaos pour enfanter les
Dieux
, même avant la création, puis les hommes et les a
t expliquons ces divers noms : d’abord comme Protogone, il indique un
dieu
Phénicien de première origine, et il est alors le
bla et l’on créa Cupidon ou Imeros. Sous cette forme il fut encore un
dieu
générateur, mais un dieu violent, sans cesse dési
ou Imeros. Sous cette forme il fut encore un dieu générateur, mais un
dieu
violent, sans cesse désireux et emportant dans so
va une querelle entre eux. L'Amour proposa d’assembler le conseil des
dieux
, pour juger leur différent ; mais la folie n’ayan
x qu’il en perdit la vue. Vénus aussitôt en demanda vengeance, et les
Dieux
d’un commun accord condamnèrent la Folie à toujou
Vénus s’en plaignit à Thémis, déesse de la justice et conseillère des
Dieux
. Alors, celle-ci lui donna le conseil, pour le fa
la suite de cet avis que la belle Cypris renoua ses liaisons avec le
dieu
de la Guerre, et devint mère d’Anteros, mot grec
randit à vue d’œil. Cependant quelquefois on regarde Antéros comme un
dieu
guérissant et ennemi de l’Amour ; mais alors il e
cherchait sans cesse l’occasion de le réconcilier avec le maître des
Dieux
. Enfin le moment favorable arriva, car Pèlée, dev
e moment favorable arriva, car Pèlée, devant épouser Thétis, tous les
Dieux
furent invités à leurs noces, excepté l’Amour et
ut le présenter à Jupiter qui, à sa prière et à celle de la reine des
Dieux
, lui accorda sa grace. Aussitôt, l’Amour vola sur
venger, qu’un oracle vient épouvanter la contrée. Il annonce que les
Dieux
ordonnent aux parens de Psyché de la conduire sur
s à donner son consentement. Psyché alors entra dans l’Olympe, et les
dieux
reçurent leur nouvelle sœur avec des transports d
vu Psyché, le temps se passa et l’amour prit des années ; pourtant ce
dieu
volage conserva toujours les traits, la taille et
ce de le serrer entre ses bras ; l’amour muet est un Harpocrate ou le
dieu
du silence ailé, c’est-à-dire que l’amour alors e
eux époux s’aimèrent avec une passion si long-temps soutenue, que les
Dieux
pour les récompenser, changèrent Crocos en safran
depuis, en mémoire de cet heureux mariage, ils l’invoquèrent comme un
dieu
et célébrèrent en son honneur des fêtes appelées
ui présidait probablement à l’allégement du joug marital ; Jugatinus,
dieu
des mariages ; Domicius, qui faisait chérir le to
Cylléniens ; Pelops en Elide, et Tychon, dans l’Attique. Il était le
dieu
des jardins comme Pan, et l’on croyait que c’étai
égligèrent leurs maris ; alors, ceux-ci se fâchèrent, et bannirent ce
dieu
de leur ville ; mais il fut bientôt rappelé ; car
s cris avait réveillé ou Rhée, ou la nymphe Lotos, à l’instant que ce
dieu
allait abuser de son sommeil. On le représentait
ns ; quant à sa crête de coq, elle exprimait toute la lascivité de ce
dieu
des jardins, dont le grand rôle était de passer p
nds générateurs de la nature. On peut rattacher à Priape une foule de
dieux
qui chez nous n’offriraient qu’une idée plus ou m
ation des êtres dans la nature. Ainsi l’on adorait les Conférentes ou
dieux
incubes ayant une forme Phallique ; le Conisale o
s Athéniens, mais différent de lui étant privé d’aventures ; Dardion,
dieu
obscène auquel les courtisanes offraient des prés
t phalle ou Priape, et le pendaient au cou de tous les enfants. Inuus
dieu
latin qui présidait aux jouissances physiques de
r en garder l’entrée ; et alors ils étaient des espèces de Lares, des
dieux
protecteurs de la maison ; Subigus, n’était que S
connu, mais le Subjugus nocturne ; enfin Scython ou Ambiguus était un
dieu
qu’Ovide a indiqué comme pouvant se changer de se
le était née de deux espèces différentes, elle avait eu de Jupiter le
dieu
Pan. Lardane fut maîtresse de Jupiter, qui la r
iane ayant eu connaissance de ses liaisons intimes avec le maître des
dieux
la perça de ses flèches, mais plus tard elle fut
s deux Paliques ou Palices, frères jumeaux qui furent mis au rang des
Dieux
, suivant Eschyle ; et auxquels Plutarque donne po
ieux, suivant Eschyle ; et auxquels Plutarque donne pour père Adramus
dieu
de la Sicile, dont le culte fut apporté dans cett
it-on, elle résista, dès lors elle fut changée en caille, soit par le
dieu
offensé de ses refus, soit par quelque autre divi
nom que Diane portait également. Egine, une des nombreuses filles du
dieu
fleuve Asope. Jupiter pour triompher de sa vertu,
e, Thébaine célèbre, fille de Nyctée et de Polixo, selon les uns ; du
dieu
fleuve Asope, selon d’autres ; sa beauté, des plu
ane elle-même ; car on voit souvent dans les anciennes religions, les
dieux
affecter les formes de quelque animal, pour prouv
pte où il se rendit si fameux qu’après sa mort il fut mis au rang des
Dieux
sous le nom de Sérapis. Niobé sa fille eut en out
ès sa mort elle monta dans les cieux, et fut s’asseoir à la table des
dieux
sous le nom de Chioné. D'autres la font retirer d
ioné. D'autres la font retirer des enfers et présenter au conseil des
dieux
par Bacchus. Ici comme on le voit, les généalogis
hez les Romains du temps de Juvénal. Enfans de Jupiter, filles de ce
dieu
. Après avoir fait connaître les femmes et les maî
ière passe pour une fille de Jupiter et d’Europe ; mais on dit que ce
dieu
eut la seconde d’un commerce illicite avec Euterp
t de l’art entier de la divination ; cependant comme Apollon était le
dieu
de cette espèce de science, c’est en parlant de l
émésis, les Parques et Adrastée. Quant à Plutus, c’était également le
dieu
des richesses ; généralement il passait suivant l
l’agriculture et du travail. Mais Platon lui donnait pour père Porus
dieu
de l’abondance et fils de Métis, et pour mère Pœn
s leur attribuaient, en disant qu’après un grand festin donné par les
Dieux
Pænia étant venue pour ramasser les restes, Porus
c’était par la statue de la paix qu’il était porté encore enfant. Ce
dieu
est confondu quelquefois avec plusieurs divinités
à la nouvelle déesse, et qu’on lui offrît un sacrifice. Le maître des
dieux
pour récompenser ceux qui participaient à cet hom
uite placée dans l’Olympe presque sur la même ligne que le maître des
Dieux
. Jupiter craignant qu’un autre ne fût plus heureu
s d’ordre, à cultiver le précieux olivier, et à reconnaître plusieurs
dieux
nouveaux. Bientôt on supposa que l’érection de ce
ville nouvelle avait tellement excité la protection bienveillante des
Dieux
qu’il y avait eu concurrence pour savoir qui lui
vivant tous de piraterie, ayant reconnu Neptune pour le chef de leurs
dieux
, et le peuple ou le sénat s’étant mis sous la pro
rs descendans les plus importans, nous passons aux fils du maître des
Dieux
, nous en trouverons beaucoup sur lesquels il sera
flambeaux ; Laphystius ou du Mont-Laphystius en Béotie ; Leneus ou le
dieu
des pressoirs, Leucyante ou des bords de la riviè
es de taureau ; Thioneus ou de Thyoné son aïeul maternel ; Theænus ou
dieu
du vin ; Threix ou de la Thrace ; Tragebon ou à l
teurs anciens ont émis des opinions fort opposées sur l’origine de ce
dieu
. Diodore compte trois Bacchus : l’un surnommé le
, prenons Bacchus tel que la fable grecque nous le transmet. Bacchus,
dieu
du vin, était fils de Jupiter et de Sémélée, peti
le nom signifiait Cuisse. Une fois retiré de la cuisse du maître des
dieux
, Bacchus passa entre les mains des nourrices, tan
e envoya pour l’étouffer un amphisbène ou serpent à deux têtes que le
dieu
, réveillé à temps, mit à mort de ses propres main
par Junon, firent violence à leur pilote Acétès et vinrent enlever ce
dieu
. C'étaient Alcimédon, Dictys, Ethalion, Libys, Ly
barre du gouvernail en place du pilote ; malheureusement pour eux, le
dieu
vint à se réveiller, et dans sa colère, aussitôt
er avec les satyres, jusqu’à ce qu’il soit tombé mort de fatigue ; ce
dieu
le récompensa, en le métamorphosant en lierre ; L
encore à cet âge où la pudeur est dans tout son pouvoir. Cependant le
dieu
finit par s’apercevoir qu’elle aimait passionnéme
endre aux vœux de Bacchus ; ensuite il sut se la rendre favorable. Le
dieu
du vin finit par s’ennuyer dans le sombre empire
thyrée, sœur d’Aoris. On le croyait également fils de Cisus et non du
dieu
du vin Staphyle, habituellement supposé fils d’Er
ssister aux fêtes de Bacchus, furent punies en étant inspirées par ce
dieu
du désir affreux de manger de la chair humaine. A
. La marche s’arrêtait sous un chêne ou un figuier ; là, on posait le
dieu
sur un autel, puis on lui sacrifiait un bouc, par
s tendres boutons. Ensuite, on rapportait avec pompe la victime et le
dieu
. Les habitans à son passage lui immolaient un por
s les Muses qu’il inspirait. D'autres fois on le représente, comme le
dieu
des buveurs, assis sur un tonneau, le front couve
re. Il serait difficile de parler de Bacchus sans faire connaître les
dieux
et déesses subalternes qui venaient après lui et
apparence. Aussi le faisaient-ils admettre souvent aux assemblées des
dieux
, pour les égayer et les éclairer en même temps de
ie, marchait toujours à la tête des Muses, des Nymphes et de tous les
dieux
champêtres. Pan, dieu des bergers, était après S
la tête des Muses, des Nymphes et de tous les dieux champêtres. Pan,
dieu
des bergers, était après Silène le plus célèbre d
t aux rivages ; Agrestis et Agrius ou l’agreste ; Arcadius Deus ou le
dieu
d’Arcadie ; Auchméeis ou le malpropre ; Auxetés o
ds de chèvre ; Egoceros ou aux pieds de chèvre ; Hirtuosus Deus ou le
dieu
velu, Lampeus ou du mont Lampea, en Arcadie, Lupe
u le dieu velu, Lampeus ou du mont Lampea, en Arcadie, Lupercus ou le
dieu
des Lupercales ; Lyceus ou du mont Lycée ; Lytéri
agephore ou à la peau de bouc, Tragocélès ou aux pieds de chèvre ; ce
dieu
rural avait, dit-on, reçu le jour de Jupiter, et
galement fut l’objet des soupirs de Pan, mais elle lui préféra Borée,
dieu
des vents, lequel ayant vu Pan la tuer en la jeta
femme la nymphe Alexirrhoé ou Alenthoé. Ce fut lui qui conseilla aux
dieux
de prendre la forme d’animaux, pour se soustraire
ouvertes musicales de Pan l’enorgueillirent ; il se crut supérieur au
dieu
de l’harmonie, le défia, et l’on sait ce qu’il en
a, et l’on sait ce qu’il en advint pour le pauvre Midas. Pan était le
dieu
des pasteurs, des vallées, des brillants pâturage
plaisir était de parcourir les bois, les prairies, les montagnes. Ce
dieu
fut assez faiblement honoré chez les Grecs ; mais
célébraient chaque année à Rome, le 15 février. Alors on offrait à ce
dieu
du lait de chèvre et du miel ; puis on lui sacrif
he tous ceux qu’ils rencontraient. Malgré ses dédains, Echo rendit le
dieu
Pan, père d’Irinx ou Syrinx, que nous verrons fou
bitaient les bois et les montagnes ; et les Panisques ou Petits Pans,
dieux
champêtres de la taille des Pygmées, dont nous av
gas la reine métamorphosée en Grue par Junon, étaient aussi enfans du
dieu
Pan. Ici se borne la fable grecque et romaine mai
son expédition des Indes avec Anubis et Macédo ; il était en outre le
dieu
suprême des Pélasgues. Enfin on rattachait à Pan,
ces de leurs fruits et de leurs troupeaux. Ces animaux divins et demi
dieux
se subdivisaient en plusieurs variétés ; ainsi l’
on peuple, il fit élever un temple à Pan, sur le mont Palatin, fit un
dieu
de son père, et fut divinisé lui-même après sa mo
ardaient en outre Nemestinus ou Nemestrinus, fils de Faunus, comme le
dieu
souverain des Faunes et des Dryades, nymphes que
ement des terres, on le représentait sous forme d’une borne, comme le
dieu
Terme. Sylvain avait deux temples à Rome, savoir
ent contre lui Intercida, Pilumnus et Deverra ou Deverrona. Quant au
dieu
Terme, pour lequel on prenait souvent Sylvain ; c
uant au dieu Terme, pour lequel on prenait souvent Sylvain ; c’est un
dieu
également tout Romain, inventé par Numa pour limi
erbe éleva un temple à Jupiter, sur le Capitole, on dérangea tous les
dieux
, excepté le Dieu terme qui resta toujours à la mê
, espèces d’esprits follets qui servaient de gardes et de bouffons au
dieu
du vin, nous dirons que les Romains honoraient to
ffons au dieu du vin, nous dirons que les Romains honoraient tous ces
dieux
et demi-dieux sous le nom générique de Patellarii
us ces dieux et demi-dieux sous le nom générique de Patellarii Dii ou
dieux
des libations, et qu’ils rendaient encore hommage
suite de quelque longue abstinence. Ces festins avaient surtout pour
dieu
Comus qui présidait en outre aux plaisirs, aux da
ioscures ou fils de Jupiter, quand on les considérait comme nés de ce
dieu
, et Tyndarides ou fils de Tyndare, lorsqu’on ne l
nt de Jupiter et de Léda. Quoi qu’il en soit, Mercure par ordre de ce
dieu
, prit les deux frères aussitôt après leur naissan
pirates que l’on y voyait. Ce premier exploit les fit passer pour des
Dieux
marins et invoquer pendant les tempêtes ; ensuite
de Troie. Alors de simples mortels, les Dioscures devinrent de grands
Dieux
pour toute la Grèce et particulièrement pour l’il
lés Myrmidons. Egipan, cru fils de Jupiter, et d’Ega, épouse de Pan,
dieu
des vergers. Ce fut cet Egipan qui prêta son seco
on secours à Mercure, pour réunir les membres dispersés du maître des
Dieux
, et lui rendre la vie après sa défaite par Typhoé
e avec Phaéthon, dans laquelle il lui reprocha de n’être pas issu des
dieux
. Mais la preuve que Phaéthon lui en donna, fit mo
iadès ou fils d’Amphitrion, Anicete ou l’invisible, Æonius Deus ou le
dieu
de l’Aonie ou Béotie à Thèbes, Astralogus ou le d
n fut effrayé ; mais Hercule prouva qu’il était le fils du maître des
dieux
en étranglant les deux reptiles. Junon, malgré la
t. D'abord, dit-on, il ne le voulut pas ; mais l’épouse du maître des
dieux
, pour le punir le frappa d’un délire furieux, en
pas recevoir cette victoire pour l’un des douze travaux auxquels les
Dieux
avaient condamné Hercule. On explique ce mythe, e
vant le prince ; puis lui donne la liberté, car il était consacré aux
Dieux
, et avait été, disait-on, l’amant heureux de Pasi
de l’Italie, qui le renvoient à Nérée. Aussitôt le héros va saisir ce
dieu
maritime, pendant son sommeil, et le force à lui
vant dans l’empire de Pluton, déchaîna Cerbère, l’arracha du trône du
dieu
près duquel il s’était réfugié et l’emmena dans l
il porta beaucoup plus haut sa valeur, car il fut jusqu’à menacer les
Dieux
mêmes. Ainsi fatigué des persécutions de Junon, i
iter élève aussitôt au ciel pour l’agréger au nombre des douze grands
Dieux
, mais il refusa et se contenta du second rang, pu
d’Augée et un autre du même nom, l’un des Géans qui combattaient les
Dieux
; Hippocoon, fils d’OEbalus et de Gorgophone et f
es. Puis les Thébains et les Grecs érigèrent des temples à ce nouveau
dieu
, dont le culte passa chez les Romains, sous le no
int de ce que le jour qu’il tua Cacus, Evandre reconnut Hercule comme
dieu
et choisit pour desservir ses autels deux vieilla
que, dit un oracle, ils étaient rentrés avant le temps voulu par les
Dieux
. Ils retournèrent donc attendre à Athènes où, sui
place à la suite de ce dernier ou parmi les enfants du premier de ces
dieux
et c’est là que nous le plaçons. Mercure portait
ade et Atlantide ou petit fils d’Atlas, par Maia ; Blandiloquus ou le
dieu
de l’éloquence ; Cadmillus et Camillus et Casmill
ou le dieu de l’éloquence ; Cadmillus et Camillus et Casmillus ou le
dieu
serviteur des autres Dieux ; Caduceator et Caduci
; Cadmillus et Camillus et Casmillus ou le dieu serviteur des autres
Dieux
; Caduceator et Caducifer ou le porteur de Caducé
ure-Osiris. Avant de passer à la fable dont les Grecs avaient orné ce
dieu
tout d’invention, commençons par dire que plusieu
isant marcher à reculons, afin d’en faire perdre les traces ; mais le
dieu
berger vint réclamer ses bœufs au jeune enfant, q
de ses amours, après qu’il l’eût entendu dire en présence de tous les
Dieux
venus pour voir Mars et Vénus, pris dans le résea
parce que dit-on, il se brûla les doigts et fit un cri, le maître des
Dieux
, alors se fâcha sérieusement, le priva de sa char
. Cependant, malgré sa bravoure, il fut obligé, comme tous les autres
Dieux
, de fuir en Égypte sous la forme d’un Ibis. Merc
veillait Junon, était le négociateur de guerre ou de paix ; parmi les
dieux
, il présidait comme intendant général de l’Olympe
, par Faunus, roi du Latium. Après sa mort, elle fut admise parmi les
Dieux
indigètes, elle présidait à la naissance des enfa
on, ce qui fit échouer les desseins de Jupiter, alors la colère de ce
dieu
n’eut plus de bornes ; il ordonna à Mercure de co
u Pénates, enfans de Mercure et de Lara ou de Mania ; ils étaient les
Dieux
, domestiques des romains, qui en distinguaient un
lles qui en outre avaient encore les grands lares ou les douze Grands
Dieux
, pour les protéger, savoir : Apollon, Cérès, Dian
nisés, que l’on chargeait d’être les interprètes de l’état auprès des
Dieux
. Quant aux rurales ils étaient les petits lares,
ient les ames des hommes vertueux sur la terre, qui intercédaient les
Dieux
, pour leurs parens et amis, aussi leur culte étai
s à celles des lares, mais représentant toujours quelqu’un des Grands
Dieux
, et surtout Jupiter ou le plus souvent Vesta. On
dateur de Phérès en Messénie ; Polybe, fils d’Eubée, était le père du
dieu
marin Glaucus, mais Mercure avait encore eu un fi
double-figures, se plaçaient devant les temples pour les garder. Les
Dieux
qui se rapprochent naturellement de Mercure sont
, ainsi que Prœtus. A peine sorti de l’enfance, ce fils du maître des
Dieux
protégea sa mère contre le tyran de Seriphe, Poly
l que ce jeune héros serait bientôt victime de sa témérité ; mais les
Dieux
en eurent pitié. Pour assurer le succès de son au
glaive de diamant, qui s’appelait aussi Harpé ; c’est-à-dire que les
Dieux
lui inspirèrent la discrétion, la prudence, la pr
met sur son trône Dictys, le protecteur de sa mère ; puis il rend aux
Dieux
les armes qu’ils lui avaient prêtées, et reprend
lle que soit l’époque de cette mort, il fut bientôt placé au rang des
Dieux
, puis des statues et des autels lui furent élevés
mais Hésiode, continuant la fable, dit que ces trois sœurs, filles du
dieu
marin Phorcus, habitaient au-delà de l’Océan, prè
iter ou de Stercès et de la nymphe Garamontès : on le regardait comme
dieu
de l’agriculture, il présidait particulièrement a
, Mélampe ou Eurymedon et Tmole. Ces Tritopators étaient adorés comme
dieux
générateurs, protecteurs des accouchemens ; domin
le cavalier ; Erechthée et Erichthonius ou le père d’Orithyie, roi et
dieu
originaire d’Athènes avant Minerve ; Géaochus ou
s de fer. Après la victoire, Neptune eut l’empire des mers. Quand les
Dieux
, chassés par les enfans de la terre, se retirèren
it fait violence à sa fille, la belle Alcippe, Neptune voulut que les
Dieux
condamnassent Mars ; mais Minerve s’y opposa, et
, c’était pendant le mois de février que l’on tâchait de se rendre ce
dieu
favorable pour l’époque prochaine de la nouvelle
ue étaient des combats de taureaux que l’on finissait par immoler aux
Dieux
; les Thynnies étaient célébrées en l’honneur de
aient la surface de l’onde, couverte de Trytons et de Néréides, et le
dieu
avait le front ceint du diadème. D’une main, il c
ie ou Hermione, fille d’Arès ou Mercure et d’Aphrodite ou Vénus ; les
Dieux
assistèrent à ses noces, et firent présent à son
ombre. Adraste seul survécut, emporté par Arion, coursier du sang des
Dieux
. Voici comment finirent ces héros ; Amphiaraüs o
, comme nous nous en souvenons, sans avoir besoin de l’assistance des
Dieux
. Hippomédon, fils de Mnésimaque ou Aristomaque e
ui se fit tuer par Mars pour avoir voulu abuser d’Alcipe, fille de ce
dieu
; Almops d’Helié ; Amyre fut argonaute, Althepe d
fait élever par les Néréides, servir quelquefois à traîner le char du
dieu
de la mer, qui le donna à Caprée roi d’Haliarte,
Neptune. Cependant il n’était généralement pas admis pour fils de ce
dieu
, car c’était Hippotès, époux de Ménècle, fille d’
r lui porter secours, elle glissa et tomba dans les flots ; alors les
Dieux
les changèrent en oiseaux appelés Alcyons, que l’
en excepte pourtant les vents favorables qu’il adopte pour enfans des
Dieux
. Les vents les plus honorés, étaient en Grèce au
Zethès, dont on fit des dioscures Thrace-Athéniens ou jeunes fils de
Dieux
à la manière des dioscures de Sparte, Castor et P
temps et dans l’hiver, dans l’intérêt des campagnes de l’Attique. Ces
Dieux
secondaires et très-inférieurs, avaient peu de di
. Avant de mettre à la voile, ils offrirent un sacrifice solennel aux
Dieux
. Ensuite, Jason, le chef suprême de l’expédition,
ques à l’infortuné roi leur ami, offrirent un sacrifice à la mère des
Dieux
et instituèrent des fêtes et des jeux funèbres en
nt de rendre les honneurs funèbres à ce tendre père, de remercier les
Dieux
de son voyage, et de faire le vœu, pour Athènes,
marier, allaient y pendre leur chevelure. On prétendit aussi que les
Dieux
l’avaient enlevé au ciel et placé parmi les const
yant oublié Diane ou Cérès, dans un sacrifice qu’il offrit à tous les
dieux
en l’honneur de cette naissance, la déesse oublié
de et fille de Nérée et de Doris. Nous avons vu de quelle manière les
Dieux
célébrèrent cette union et comment la discorde se
nageoires à la poitrine et au ventre. Maintenant si nous passons aux
Dieux
et Divinités qui étaient forcés d’obéir à Neptune
quefois pour l’un des titans, par conséquent pour le père de tous les
dieux
et même de tous les êtres. On le faisait toujours
u géant Egéon, avait remis en liberté Jupiter, un jour que les autres
Dieux
l’avaient attaché. Cette Téthys que l’on prenait
c. Achéron, nous le trouverons en parlant des enfers. Acis, fils du
dieu
Faune et de la nymphe Simèthe, fut l’amant heureu
moins à la poursuivre jusque dans l’île d’Ortygie, en Sicile, où les
Dieux
la changèrent en fontaine, pour la soustraire aux
se venger de Jupiter, enfla ses eaux pour submerger le pays ; mais le
dieu
du tonnerre irrité, lança la foudre et força les
ciel. On lui donnait pour fille la rivière Tiase en Laconie. Évenus,
dieu
fleuve de l’Étolie. Haleze, fleuve de Sicile, sur
el Proserpine cueillait des fleurs lors de son enlèvement. Haliagmon,
dieu
fleuve fils de l’Océan et de Téthys. Inachus, fon
de Sicyone, puis Io connue comme sa cousine, fut aimée du maître des
Dieux
, ensuite on vit Argos gouverné par une longue sui
ils de Pelasgue, n’était autre que le Ladon, auquel il donna son nom,
dieu
fleuve, dont les eaux coulaient en Arcadie, il ép
de Carpo et Samic. Ménane ou Aménane, dieu-fleuve de Sicile. Nessus,
dieu
fleuve fils de l’Océan et de Téthys ; ils étaient
de leurs noces, allaient lui offrir leur virginité, ce que souvent le
dieu
voulait bien accepter. Alors il conduisait la jeu
e eut pour fille Strymno, femme de Loamédon et mère de Tithon ; comme
dieu
, le Scamandre eut pour grand-prêtre Dolopion, pèr
au, il eut pour fille Astioche mère de Tros, et Hieromnème. Soloon,
dieu
fleuve de la Bithynie, fut amant d’une amazone ou
d’Argus, roi d’Argos. Tibre, fleuve du Latium, fut mis au nombre des
Dieux
indigènes, par les Romains, et fut regardé comme
par suite de l’enlèvement d’Hélène. On le nommait le plus ancien des
dieux
, et son nom souvent était pris pour celui de la m
ut l’objet des vœux d’Apollon, de Neptune et de Jupiter. Pourtant les
Dieux
ayant appris qu’un vieil oracle de Thémis, déesse
que ce mariage eut lieu sur les monts Pélion, en présence de tous les
dieux
assemblés, qui firent les uns après les autres le
de Neptune. On donnait le nom de Nymphes aux jeunes filles issues des
dieux
et des mortelles ; elles tenaient le milieu entre
îcheur et d’amabilité. Elles avaient pour amants les fils de Sylvain,
dieu
des forêts. Pour mieux faire connaître cette véri
outes les divinités champêtres, à un sacrifice qu’elles offraient aux
dieux
; mais Neptune en eut pitié et les changea en île
de Carie, protectrice d’une fontaine du même nom. On sait comment les
Dieux
la fixèrent à Hermaphrodite, après l’avoir vu se
amante de Crocos, dont nous avons vu la tendresse récompensée par les
Dieux
; Syma, amante de Neptune ; Syrinx, fille de Lado
yphe le fit enterrer sous le nom de Palémon, qui depuis passa pour un
dieu
marin appelé par les Romains Portumnus. Ils le pe
eur, ils célébraient une fête le 17 août. Sa mère fut changée par les
Dieux
en une déesse marine, connue sous le nom de Leuco
l’inhumèrent dans le parvis du temple de Diane, le mirent au rang des
dieux
de la mer, et bientôt il devint le dieu tutélaire
Diane, le mirent au rang des dieux de la mer, et bientôt il devint le
dieu
tutélaire des mariniers. Pluton, frère de Jupite
iniers. Pluton, frère de Jupiter et de Neptune, était le premier des
Dieux
souterrains nommés Chthonii Dei : c’était le Dieu
t voici les principaux : Adès et Haïdès et Aïdonée, ou l’obscur ou le
dieu
de la mort et des tombeaux ; Agélaste ou qui ne r
nius ou le sous-terrestre ; Climène ou l’incliné ; Deus Féralis ou le
dieu
des funérailles ; Deus Niger et Deus Tartareus, o
alis ou le dieu des funérailles ; Deus Niger et Deus Tartareus, ou le
dieu
noir et du tartare ; Divus Salutaris, ou le dieu
eus Tartareus, ou le dieu noir et du tartare ; Divus Salutaris, ou le
dieu
sauveur ; Dis ou qui préside aux richesses du sei
s ; Larthy-Tytival ou le Pluton des Etrusques ; Manus et Mantus ou le
dieu
des mânes ; Moeragètes ou le conducteur des parqu
s-Jupiter ou le Jupiter des lieux-bas ; Summanus ou le plus grand des
Dieux
manes ; Soranus ou le dieu des cercueils chez les
lieux-bas ; Summanus ou le plus grand des Dieux manes ; Soranus ou le
dieu
des cercueils chez les Sabins ; Tellumo et Tellun
ges, prirent les mineurs pour des êtres infernaux et leur roi pour le
dieu
des enfers. Pluton offrit souvent ses hommages à
t même présent d’un glaive d’or avec lequel il vengea ses injures. Ce
dieu
du noir séjour se battit trois fois avec Hercule.
à Rome. Car Pluton y était considéré comme l’un des huit plus Grands
Dieux
qu’il était permis de représenter en or, en argen
ux. Dans les calamités publiques, on immolait une victime humaine aux
Dieux
infernaux, croyant qu’elle devait être plus effic
taient les espaces du temps par nuits et prétendaient descendre de ce
dieu
. On réservait pour les sacrifices que l’on offrai
; pourtant la tradition la plus suivie en fait une fille épouse de ce
dieu
; c’est-à-dire que de père, il devint séducteur i
cha et lui donna l’ordre de s’éloigner ; mais l’ancienne maîtresse du
dieu
s’irrita naturellement de se voir délaissée pour
rnelles ; car il n’était plus d’espoir ni de retour pour ceux que les
Dieux
précipitaient dans ce lieu d’horribles tourmens.
eu d’horribles tourmens. Plus loin on trouvait le Tartare, prison des
Dieux
: il supportait la terre et les mers, il était pl
e mur d’airain. Là étaient renfermés pour ne plus revoir le jour, les
dieux
qui tour-à-tour avaient été chassés de l’Olympe ;
r que la plus sombre nuit et fermée par des portes de diamant que les
Dieux
mêmes ne pouvaient briser. Là se trouvaient renfe
nom générique de manes, qu’il ne faut pas confondre avec les Lares ou
Dieux
domestiques, déjà connus, ni avec les Larves ou L
ne manquaient pas d’inscrire ces mots diis manibus, c’est-à-dire aux
Dieux
manes, en tête de toutes les épitaphes pour rappe
s’écriait à haute voix et en frappant sur un vase d’airain : Lémures,
Dieux
des enfers, sortez de ce séjour, et l’on terminai
t rendu, Jupiter en fit le premier fleuve des enfers, décréta que les
dieux
qui auraient juré par le Styx et qui seraient par
isciple de Jupiter se retirait tous les neuf ans dans un antre, où le
dieu
dictait ces lois à son fils. Cependant, Josephe,
l’accusé, quand les témoins manquaient, et la défense d’invoquer les
Dieux
en prêtant serment. Ce fut en mémoire de sa justi
La Nuit, souvent, était considérée par les anciens, comme la mère des
dieux
et des hommes, ou comme le principe de tous les ê
e retour de la lumière. L'on peut rattacher à cette déesse Nocturnus,
dieu
des ténèbres chez les Romains. Enfans de la Nuit
nt la lumière, il habitait plutôt au ciel qu’aux enfers ; il était le
dieu
du sarcasme et de la moquerie ; les divinités mêm
ce éternel dans la sombre demeure de son maître. Ce Morphée, était le
dieu
des Songes, fils du sommeil et de la nuit, il éta
it personne qui ne fût en position de lui adresser des prières. Comme
dieu
des songes, il était le plus habile de ces divini
Jupiter et se venger cruellement en jetant le trouble même parmi les
Dieux
lors des noces de Thétis et de Pélée. On représen
ainsi dire à l’aveugle destin, en tirant à son choix de l’urne de ce
dieu
, les biens et les maux. Elle punissait sévèrement
ns : Carmènes à Rome, Clotès du nom de l’une d’elles ; Esès ou Alsar,
dieux
étrusques, souvent confondus à tort avec les Parq
les Deæ ou les déesses fatales ; Librariæ Deûm ou les archivistes des
dieux
; Matres ou les mères, et Matrones ou qui favoris
, ou en Élide. Il fut haché en morceaux par son père, un jour que les
Dieux
l’ayant honoré de leur visite, ce père indigne se
lèvres, qu’il annonça aux convives le crime de leur hôte ; alors les
dieux
résolurent de ressusciter Pélops ; ce qu’ils fire
onèse. Pélops avait été, disait-on, tellement aimé de Neptune, que ce
dieu
lui avait donné, pour joûter avec Œnomas, un char
n de sa mère, pour courir massacrer Atrée, qui déjà rendait grace aux
Dieux
de la mort de son frère. Après la mort d’Atrée, É
en attendant qu’Egisthe et Clytemnestre y vinssent rendre graces aux
dieux
de les avoir délivrés d’un pareil ennemi. Le mome
vint à gagner un rocher, qu’alors il s’écria, j’échapperai malgré les
Dieux
, mais que Neptune frappa le roc avec son trident
s, qui était venue au secours d’Énée, et même, il se mesura contre le
dieu
Mars, dans le ventre duquel il plongea sa lance.
siége, était repartie pour la Grèce, après avoir voulu l’immoler aux
Dieux
. Il leur dit que le cheval de bois laissé sur la
. Ulysse redemanda les vents, mais Eole le regardant comme maudit des
Dieux
, lui refusa cette seconde grace et le chassa de s
uvèrent en présence ; mais le magnanime Hector abandonné par tous les
Dieux
, ne put long-temps résister à Achille et tomba vi
a le jour même un taureau à Neptune ; mais, pendant le sacrifice, les
Dieux
, pour prouver à Laocoon qu’il avait parlé contre
seulement comme un héros victime de la guerre, mais comme un fils des
dieux
, comme un de leurs protégés, comme un sage, et en
iter de l’éternelle persécution de Junon. Mais aussitôt le maître des
Dieux
la console en lui dévoilant ce que les destins ré
llement l’un pour l’autre s’évanouissent. Enée, forcé par l’ordre des
Dieux
de quitter Carthage, en avertit Didon : cette rei
le retenir, mais il demeura inébranlable dans sa résolution, car les
Dieux
avaient parlé. Alors Didon, se livrant à tout ce
ur méprisé peut avoir de fureur, lui dit : c’est moins pour obéir aux
Dieux
que pour fuir la présence de celle qui t’a sauvé
mpêcher les restes de Camille de tomber entre les mains des Troyens.
Dieux
divers. Chez les Grecs et surtout chez les Romain
urtout chez les Romains, on introduisit dans la religion une foule de
dieux
et déesses subordonnés aux grandes divinités ; ch
e, que l’on confond avec elle, présidait à l’arrivée ; Afer, était un
dieu
solaire de l’Afrique ; Agénorie, ou Agéronie, éta
yages, et semblait réunir en elle Abéone et Adéone ; Alèze ou Haleze,
dieu
de la guerre ou héros italiote chez les Véies, le
me, Octobre, dédié à l’empereur Domitien, était sous la protection du
dieu
Mars et avait pour emblème le signe du scorpion.
; et Munichion à Avril. Quant aux jours des mois, voici les noms ou
Dieux
qui correspondaient aux jours de notre semaine, S
Vendredi ; et Saturne, Samedi. Si nous reprenons la continuation des
Dieux
divers, nous trouvons : Anthéles, espèces de Die
continuation des Dieux divers, nous trouvons : Anthéles, espèces de
Dieux
lares ou pénates Grecs, placés à l’extérieur et p
rieur et près l’entrée des maisons ; Antithées, génies malfaisans, ou
Dieux
ennemis des Dieux importés de l’orient chez les R
trée des maisons ; Antithées, génies malfaisans, ou Dieux ennemis des
Dieux
importés de l’orient chez les Romains ; aphtas ou
Dieux importés de l’orient chez les Romains ; aphtas ou Fta Egyptien,
dieu
du feu ; arcule, dieu Romain des citadelles, des
ient chez les Romains ; aphtas ou Fta Egyptien, dieu du feu ; arcule,
dieu
Romain des citadelles, des coffres et des armoire
, dieu Romain des citadelles, des coffres et des armoires ; argentin,
dieu
Romain de la monnaie d’argent, il passait pour fi
u Romain de la monnaie d’argent, il passait pour fils d’Æsculanus, ou
dieu
de celle de cuivre ; arogos, c’est-à-dire l’auxil
vinité subalterne, toujours associée à Jupiter et à Minerve. asylée,
dieu
qui présidait à l’asile ou temple ouvert par Romu
tie, déesse du hasard, à laquelle Timoléon éleva un temple. Auxilium,
dieu
du secours ; Béneficium dieu Romain des bienfaits
elle Timoléon éleva un temple. Auxilium, dieu du secours ; Béneficium
dieu
Romain des bienfaits ; Bia ou la violence en Grèc
; Bia ou la violence en Grèce, Bondieu ou Bonus Deus, ou Agatostéos,
dieu
bon-principe des Arcadiens. Bonus Eventus ou le s
, et de l’autre une coupe. Brizo, déesse grecque du sommeil. Buclope,
dieu
Romain des mouches, Capre ou Caprus, ou Calabrus,
meil. Buclope, dieu Romain des mouches, Capre ou Caprus, ou Calabrus,
dieu
cabire, auquel ou offrait des poissons salés à Ph
des poissons salés à Phasélide en Pamphylie. Caligo ou les ténèbres,
dieu
cosmogonique antérieur au chaos suivant Hygin. Ca
s, dieu cosmogonique antérieur au chaos suivant Hygin. Callistagoras,
dieu
de l’île de Ténos. Calomnie, déesse qui avait un
n. Cathares ou les Purs et Immortels de l’Arcadie. Catius ou Cautius,
dieu
qui rendait les hommes fins et circonspects. Ceru
, dieu qui rendait les hommes fins et circonspects. Cerus Manus ou le
dieu
bon créateur des Etrusques. Cérus, ou l’apropos p
colonnes à ses pieds. Ciones ou colonnes, on appelait ainsi tous les
dieux
représentés par de grosses pierres, tels que Herm
ibérations ; c’est la Voltumna des Etrusques et l’analogue femelle du
dieu
Consus imaginé par Romulus. Cotys, déesse suprême
Ignorance et du Soupçon, et tendant une main à la calomnie. Crepitus,
dieu
des éruptions sonores que le corps humain laisse
. On la point tenant l’occasion par les cheveux. Demogorgon, génie ou
dieu
de la terre en Arcadie. Démon, génie invisible qu
es, avec cette légende sur le socle : Deo Dolichenio, c’est-à-dire au
dieu
Dolichène. Echéchirie, déesse des trèves, dont la
liques qui séchaient ce que l’on étendait à l’air. Erès et Æsculanus,
dieu
romain des monnaies de cuivre. Ethon ou Erysichth
Eusèbie, ou la piété ; Euthymie ou Vitula ; Evintégres, la masse des
dieux
et autres immortels chez les romains ; Fabulinus
es dieux et autres immortels chez les romains ; Fabulinus ou Fabulus,
dieu
des premières paroles des enfans ; Farnus, dieu R
Fabulinus ou Fabulus, dieu des premières paroles des enfans ; Farnus,
dieu
Romain, présidant à la parole. Faveur, divinité R
la forme d’un jeune homme ailé prêt à s’envoler. Forcule ou Foricule,
dieu
des portes des maisons. Februus, dieu Etrusque de
s’envoler. Forcule ou Foricule, dieu des portes des maisons. Februus,
dieu
Etrusque des purifications et des enfers, ou Plut
mains, enlacées l’une dans l’autre. Fidius, Sancus ou Semi-pater, ou
dieu
de la foi et des sermens, dont la fête se célébra
vinités par Numa, lors de l’invention des fours. Genius ou le Génie,
dieu
Etrusque, père de Tagès, ange ou être céleste et
t de Saturne, nous avons dit que nous ferions connaître à part Janus,
dieu
suprême des Etrusques ; en effet, Dieu particulie
de Bifrons ou à double front ; Claviger ou porte-clef ; Clusius ou le
dieu
des portes ; Curatius, ou le chef des Curiaces ;
i fut ensuite mariée à Picus, fils de Saturne. Si nous retournons aux
dieux
divers que nous avons encore à faire connaître, n
ivers que nous avons encore à faire connaître, nous trouvons : Jocus,
dieu
de la saillie et du badinage. Jugatin, dieu latin
e, nous trouvons : Jocus, dieu de la saillie et du badinage. Jugatin,
dieu
latin du sommet des montagnes. Jurita, déesse rom
ommet des montagnes. Jurita, déesse romaine des sermens. Jusjurandum,
dieu
qui personnifiait le serment et qu’Hygin a fait f
ns d’encens sur un trépied qui sert d’autel. Latéragus ou Laterculus,
dieu
latin des foyers, parce qu’ils étaient revêtus de
, déesse du vieux Latium, présidait au seuil des portes, ainsi que le
dieu
mâle Limentin. Lua, déesse italiote des purificat
Lua, déesse italiote des purifications, surtout par l’eau. Manducus,
dieu
ou ogre romain, servant d’épouvantail aux enfans
r. Miséricorde ou la Pitié, avait un autel célèbre à Athènes. Montin,
dieu
romain des montagnes ; Nascio ou Natio, déesse ro
arithmétique, elle était invoquée par les femmes enceintes. Occasion,
dieu
grec et déesse romaine de l’a-propos. Les Grecs e
sermens. Promylé, déesse des meules ou des portes et môles. Promitor,
dieu
latin, présidant aux dépenses. Providence fut, so
s des anciens, tenant le milieu entre l’homme et la brute. Rédiculus,
dieu
du ridicule, auquel on éleva un autel sous Anniba
Rusina et Rutor, la première, déesse latine des champs, et le second,
dieu
latin des renouvellemens et modifications. Revére
maine du respect, fille de l’honneur et de la majesté. Ros ou Drosos,
dieu
de la rosée, passant pour fils de l’air et de la
aussi divinisée sous les noms d’Hersé et de Pandrose. Sabon ou Sabus,
dieu
national et tout puissant des Sabins. San ou Sang
bus, dieu national et tout puissant des Sabins. San ou Sang ou Sanct,
dieu
des sermens chez les Sabins. Saturitas, déesse la
s parasites. Scabies, déesse romaine, personnifiant la gale ; Senius,
dieu
latin de la vieillesse. Stata, déesse romaine, pr
courage. Strenia, déesse romaine des étrennes du nouvel an. Summanus,
dieu
tusco-romain des orages et foudres nocturnes. Tac
que des délibérations, de même que Consus et Volumnius en étaient les
dieux
. Vulturne, dieu-fleuve de la Campanie, était l’Eu
et la bonne santé des animaux, on invoquait en Grèce les Zoogones ou
dieux
protecteurs de la vie. Dieux Egyptiens. Le
n invoquait en Grèce les Zoogones ou dieux protecteurs de la vie.
Dieux
Egyptiens. Les faux-Dieux les plus anciennemen
s premiers jours des religions de ces peuples. Si nous parcourons les
dieux
égyptiens, nous trouvons que leurs fondateurs ava
erreur que nous allons éclaircir, en donnant quelques détails sur les
dieux
supérieurs de la téogonie égyptienne, telle que l
ations individuelles, soit humaines, soit divines. Piromi est donc un
dieu
, ne se révélant pas encore par la création. Cet ê
Cnouf, Cnouphis, Cnoubis, Cnoumis, Choumis, était l’être suprême, le
dieu
créateur, se révélant par la création et la premi
qui agit, qui commence les révélations du grand être ; c’est donc un
dieu
se révélant par la force mouvante et agissante ;
synonyme de Knef, s’appelle Amoun ou Amon. Cet Amoun ou Amon est un
dieu
égyptien, dont la puissance active se confond ave
portait avec beaucoup de pompe la châsse qui renfermait l’image de ce
dieu
sous la forme d’un bélier. Amoun s’identifiait so
un bélier. Amoun s’identifiait souvent, mais partiellement à d’autres
dieux
; aussi, lui donnait-on les attributs symboliques
, ou Amoun générateur. Ce Knef ou Amoun ou Knef-Amoun, le premier des
dieux
égyptiens, avait pour femme Neith, fut père de Ft
présente presque toujours de face ; elle est la nourrice mystique des
dieux
. Fré ou Phré ou Piré, est la troisième personne
sateurs égyptiens dans leurs travaux. Osiris, le plus célèbre de ces
Dieux
civilisateurs de l’Egypte, épousa sa sœur Isis, d
it dans la suite une si grande étendue, qu’il éclipsa tous les autres
Dieux
. Ses oracles étaient infaillibles et même il ress
it passé dans le corps d’un bœuf appelé Apis, qui devint un véritable
dieu
. Apis, était donc un dieu-bœuf, célèbre dans l’
l’ame d’Osiris ; il était consacré à la lune et habitait Memphis. Le
dieu
Apis ne devait vivre que vingt-cinq ans ; aussi,
ent de faire découvrir. Quand les prêtres avaient trouvé leur nouveau
dieu
Apis, ils le conduisaient avec de grandes cérémon
de bon ou de mauvais augure. L’Egypte comptait en outre trois autres
dieux
taureaux entièrement analogues à celui-ci ; on le
ne, appelée Ambo ou Titrambo, et passant pour femme d’ Osiris, devenu
dieu
et juge des enfers. Les fêtes d’Isis, que l’on re
une divinité égyptienne du premier rang, elle existait même avant les
dieux
, auxquels les égyptiens ont accordé la sublime fa
onsulter sur l’avenir. Har-Pokrat, issu d’Osiris et d’Isis, était le
dieu
du silence ; on le représentait un doigt sur la b
Anubis avait une tête de chakal au lieu d’une tête de chien. Typhon,
dieu
célèbre des Egyptiens, était frère d’ Osiris, d’I
avec Nefté qu’il prit pour Isis, et il en résulta Anbo ou Anubis, ou
dieu
à tête de chien, dont nous appelerons les analogu
r s’attacher au jeune Haroéri. Thoth, ou Thaaut, ou Theuth, était un
dieu
Egyptien auquel les Grecs donnèrent le nom d’Herm
t fait ; aussi, pour récompenser sa mémoire, ces prêtres firent de ce
dieu
la personnification de l’ame intellectuelle du mo
une biche, combattant Typhon, ennemi d’ Osiris. En Egypte, les grands
Dieux
supérieurs déjà cités avaient au-dessous d’eux ce
dit-on, cinq autres sous-ministres. Les Décans étaient donc de vrais
dieux
secondaires, ayant chacun le tiers d’un des signe
Ptébiou pour décan. Après avoir donné la liste de tous ces décans, ou
Dieux
secondaires, nons allons présenter quelques détai
s, il porte à la main, dans le zodiaque rectangulaire, le sceptre des
dieux
bienfaiteurs ; on a vu qu’il était pris pour les
ire par un hiéracocéphale, coiffé d’un vautour et armé du sceptre des
dieux
bienfaisans ; mais, dans le planisphère, c’est un
le placé dans le zodiaque rectangulaire, entre l’hiéracocéphale et le
dieu
à tête de chakal ; il correspond aux 17, 28, 35 o
enté dans le zodiaque rectangulaire, portant à la main le sceptre des
dieux
bienfaisans, et pour coiffures deux cornes de bou
ale, coiffé du disque avec l’urée ou symbole du soleil, c’est donc un
dieu
Fré ; il correspond aux 2, 11, 13, 29e dynastes.
3 et 32e dynastes. Au-dessous des décans et sous-décans, venaient des
dieux
planétaires, divinités également du second ordre,
nt du second ordre, auxquelles on a donné le nom de Treize-Douze. Ces
dieux
planétaires, tous correspondant à des Kaméphioïde
ouze. Ces dieux planétaires, tous correspondant à des Kaméphioïdes ou
dieux
supérieurs, formaient un groupe de douze personna
es treize-douze, il devint après sa mort le khaméphioide égyptien, ou
dieu
suprême Amoun, déjà connu. Sa compagne fut la dyn
Ertosi, le troisième dynaste, équivalant au Mars-Vulcain, était le
dieu
égyptien supérieur Fta ou du moins son incarnatio
planétaire, correspond au Lucifer, soleil des Grecs, et porte, comme
dieu
supérieur égyptien, le nom de Fré. Il eut pour fe
Piermôoii, le cinquième dynaste planétaire ou le Mercure grec, est le
dieu
supérieur Piromis ; on lui donne pour épouse la d
cé Imuthis ou Imôouth, ou le ciel, ou l’Esculape des Grecs. Après ces
dieux
et déesses, on connaissait encore en Égypte un gr
ourtant citer que les plus importantes ; tels étaient : Agathodémon,
dieu
égyptien, auquel on donnait le rôle sublime de bi
suite de la nouvelle peau qu’il reprend chaque année. On figurait le
dieu
Agathodémon sous la forme d’un serpent se mordant
t sa queue se terminait par des fleurs de lotos ou d’épis. Tantôt, ce
dieu
est porté sur des jambes humaines, tantôt, sa têt
tifie souvent. Cependant, habituellement, on personnifie le Nil en un
dieu
appelé Noute-Feu, qui donna le jour à une fille d
e fille du nom de Memphis et épouse d’ Epaphe. Baal Tséphon était un
dieu
célèbre dans la théologie des Egyptiens ; on l’av
r s’opposer à la fuite des esclaves égyptiens ; c’était une espèce de
dieu
terme, chargé de faire respecter la propriété égy
tête de chien. Lorsque, à la prière de Moïse, toutes les statues des
dieux
tombèrent sous les coups de l’ange exterminateur,
urnent comme dans un fleuve immense. Nous ne rappellerons pas ici les
dieux
égyptiens que l’on a vus tour-à-tour adoptés par
en outre plusieurs plantes comme sacrées, et les consacraient à leurs
dieux
. Ainsi, le nymphée, le pavot, l’olyra, le papyrus
processions publiques, dans lesquelles on portait en grande pompe les
dieux
supérieurs à la surface ou sur les bords du Nil,
l’humble et modeste Tunis. Sans nous arrêter à rappeler les noms des
dieux
que Carthage adorait, nous allons indiquer quelqu
e, sa physionomie avait plutôt du rapport avec Junon, comme épouse du
dieu
suprême, du grand fécondateur, dont elle était la
vait besoin pour sa prospérité, il en résulta une immense quantité de
dieux
portant ce nom. Mais pour éclaircir ce qui les re
, ou Baal-Chamen ou le dieu-soleil des Assyriens et de Carthage, mais
dieu
sidérique tout puissant. Baal par excellence, ou
Vénus-Uranie, qui présidait à la fortune. Ensuite, comme n’étant plus
dieux
sidériques, on adorait Baal Péor, ou Baalphégor,
dieux sidériques, on adorait Baal Péor, ou Baalphégor, ou Belphégor,
dieu
syrien des Moabites, des Madianites et des Amnoni
un démon. Enfin l’on trouvait Baal-Tséphon, ou Séphon, des Égyptiens,
dieu
terme à tête de chien, que nous connaissons ; Baa
à tête de chien, que nous connaissons ; Baal-Zéboub, ou Baal-Zébach,
dieu
chasse-mouche des Accaronites, ou Baal-Zébaoth, o
Baal-Zébach, dieu chasse-mouche des Accaronites, ou Baal-Zébaoth, ou
dieu
des armées auquel les Juifs sacrifièrent aussi qu
s auquel les Juifs sacrifièrent aussi quelquefois ; puis Baal-Pharas,
dieu
syrien que l’on croit un génie funeste et Baal-Ga
res. En passant de Carthage à Téréniffe, où l’on adorait beaucoup des
dieux
du continent nous trouvons : Achgouaïa Xerax, di
ait beaucoup des dieux du continent nous trouvons : Achgouaïa Xerax,
dieu
conservateur de Ténériffe, auteur de tout bien et
Africain, nous apercevons chez les nègres de la Sénégambie : China,
dieu
de l’agriculture, est particulièrement honoré en
états de la Guinée, où les nègres adorent encore aujourd’hui quelques
dieux
spéciaux auxquels ils attribuent plus ou moins de
: Agoïe regardé chez les nègres de Guinée et de l’Ethiopie, comme le
dieu
du bon conseil ; aussi ses adorateurs ont-ils une
du mal. Les nègres de la Guinée adorent souvent aussi la plupart des
dieux
connus au Congo. Voici les noms de ces divinités
accompagne de sourds mugissemens la cérémonie de la circoncision. Ce
dieu
est d’un appétit extrême : dès que les nègres cro
usqu’à ce qu’on lui donne des alimens en plus grand nombre. Kikokko,
dieu
des indigènes du Loango, c’est lui qui veille au
orps est habillé, mais toujours extrêmement sale. Kossi est un autre
dieu
fétiche du Congo, il préside aux pluies et au ton
e petite hutte ombragée par des bananiers. Makemba, au Congo, est un
dieu
chargé de présider à la santé du roi. La paix, la
r à la santé du roi. La paix, la guerre, sont sous l’invocation de ce
dieu
. Le culte d’adoration qu’on lui rend, consiste da
des os, des plumes, des sonnettes et un petit panier. Maramba est un
dieu
adoré par les peuples du Congo, du Loango, d’ Ang
petite boîte, contenant de petites images, représentant la statue du
dieu
. On le représente dans une attitude élevée contre
e et dans un panier ayant la forme d’une ruche. Les Mokissos sont des
dieux
de second ordre, au Congo ; ils sont soumis à un
mes d’oiseaux ou de mammifères grossièrement taillés. Moumbo-Ioumbo,
dieu
nègre, présidant à l’union conjugale au Congo et
lus sacré des nègres est de jurer par Moumbo-Ioumbo. On représente le
dieu
, haut de huit à neuf pieds, vêtu d’une écorce d’a
ls quelques-unes des divinités du Congo. Cependant, ils ont plusieurs
dieux
d’un aspect particulier ; ainsi : Goundja Tikoa,
sieurs dieux d’un aspect particulier ; ainsi : Goundja Tikoa, est le
dieu
suprême des Hottentots, ils lui supposent une for
s hommes. Aussi ne lui rendent-ils aucun culte. Mourimo est aussi un
dieu
suprême chez les Hottentots ; ils le regardent co
surtout celui d’élever les bestiaux. Tikoa ou Toukoa, est encore un
dieu
suprême des Hottentos, qui l’appellent l’être mal
ont ils sont les anges gardiens. Asie. Après avoir indiqué les
dieux
tant anciens que modernes des principales contrée
ou Allata, déesse arabe, que l’on regardait comme l’une des filles du
dieu
suprême. Elle avait un temple à Taïe. Mahomet fit
ngt neuf ans av. J.-C. On lui sacrifiait des jeunes filles. Dysares,
dieu
arabe, honoré surtout à Pétra et dans un canton d
et dans un canton de l’Arabie nommé Dysarène. La représentation de ce
dieu
était une pierre quadrangulaire et noire ; elle a
e sur une base d’or. On lui offrait des victimes humaines. Hafedhah,
dieu
préservateur des Arabes ; on l’invoquait lorsqu’o
ile, et surtout lorsqu’on se mettait en voyage. C’était un des quatre
dieux
des Adites. Lat, divinité à laquelle on avait él
ssant ensuite de l’Arabie en Assyrie, nous rencontrerons une foule de
dieux
dont plusieurs tenaient un rang important dans l’
e, et qui fournit tant de divinités à la Théogonie grecque. Parmi les
dieux
assyriens, nous ferons remarquer non seulement Ch
emble s’identifier avec l’un des deux personnages suivans : Khouçor,
dieu
ouvreur ou première émanation de l’essence célest
cyniques. Ce genre d’adoration s’adressait également quelquefois à un
dieu
. Quant à la déesse Addirdaga, on l’unissait toujo
l’unissait toujours à Adad. Cet Adad ou Adod était un des principaux
dieux
de l’Assyrie et de la Phénicie ; on le regardait
e l’Assyrie et de la Phénicie ; on le regardait même comme le roi des
dieux
, car il venait immédiatement après Chrône. On le
e, et dont la totalité réunie formait la puissance suprême. Après ces
dieux
, nous voyons venir : Lunus, ou la lune-dieu, hono
ambeau et même une montagne. Quand on voulait faire un sacrifice à ce
dieu
Androgyne, les hommes s’habillaient en femmes et
s’habillaient en femmes et les femmes en hommes. Mammon ou Mammoun,
dieu
syrien célèbre par ses richesses, c’était le Plut
s lui étaient immolées ; on lui sacrifiait aussi des cailles. Taaut,
dieu
phénicien, analogue au Thoth Egyptien, était plac
Sidick. Il fit les images d’Uranus et de Chrône, de Dagon et d’autres
dieux
. Son nom se trouve ainsi à la tête de toutes les
mportant personnage historien. Ce Dagon qui nous est inconnu était un
dieu
moitié poisson et moitié homme ; il passait pour
surtout à Azoth, ville de la Phénicie. L'on peut supposer qu’après le
dieu
civilisateur Taaut, il vint quelques autres souve
lle d’un homme. Xisutrus, chef de la dixième génération, apprit d’un
dieu
supérieur qu’un déluge détruirait le genre humain
tissez Babylone au confluant du Tigre et de l’Euphrate, et adorez les
dieux
. Ils marchèrent, trouvèrent les livres et bâtiren
it expirer dans les tortures les plus atroces, toutes les statues des
dieux
de l’univers vinrent se réunir dans le temple de
etournèrent dans leurs temples. Les Assyriens, en voyant ce deuil des
dieux
, instituèrent des fêtes en l’honneur du dieu-prop
et de la chaleur ; il est fils de Sidik ou du dieu-soleil. Le père du
dieu
de la médecine ne pouvait être qu’un tel dieu, pu
dieu-soleil. Le père du dieu de la médecine ne pouvait être qu’un tel
dieu
, puisqu’en Phénicie, le feu en général était cons
er jusqu’à ce qu’il eût consenti à condescendre à ses vœux. Après ces
dieux
, pour ainsi dire, bons principes, venaient : Mol
rincipes, venaient : Moloch, le plus célèbre et le plus terrible des
dieux
mauvais principes des Phéniciens. Il est probable
ens, et toutes les peuplades asiatiques connaissaient encore quelques
dieux
lares, au nombre desquels nous mettons : Les Patè
quelques dieux lares, au nombre desquels nous mettons : Les Patèques,
dieux
gardiens et défenseurs, dont les Phéniciens plaça
i était considéré comme la constellation de Céphée. Pour terminer les
dieux
Assyriens, nous rappellerons qu’Abad passait pour
re lui devait-on une partie de la Théogonie de ces contrées.
Dieux
Indiens. L'Indianisme ou le corps de doctrines
ement de sa pureté originelle ; cependant comme elle réunit plusieurs
dieux
que d’autres adorent isolément, d’une manière tou
nations, dont l’ensemble forme une trinité ou trimourti, composée des
dieux
Brahmâ, Vichnou et Siva. Brahm est tout en lui ;
sphères étoilées, éclairant les corps resplendissans des dévatas, ou
dieux
et génies, que nous allons voir naître et dont no
, et seuls capables d’enseigner la loi et de desservir les autels des
Dieux
; les Radjahs ou Razeputes, ou rois nés de ses br
religion de Brahmâ, lesquels, avant d’enseigner aux Hindous la loi de
dieu
, écrite dans les védas, devaient, pendant 37 ans,
, il est la parole de vie, ou Pranava ou verbe incarné, antérieur aux
dieux
et aux mondes, type du feu servant à allumer la f
ice. De ce feu sont issus les Védas ou les sciences, les Dévas ou les
dieux
et les Lokas ou les mondes. Le Brahmane est donc
évas ou les dieux et les Lokas ou les mondes. Le Brahmane est donc le
dieu
Brahmâ en personne, l’être suprême, le créateur d
ment partie des védas, voici comme eut lieu l’origine des mondes : Le
dieu
créateur étant un foyer immense, ce dieu jeta le
eu l’origine des mondes : Le dieu créateur étant un foyer immense, ce
dieu
jeta le Tapas ou embrasement de l’amour divin dan
karman, ou le grand ouvrier de l’univers : c’est-à-dire, Brahmâ ou le
dieu
créateur, dont la caste des Shoudras ou Parias à
ble Vulcain ; car ils supposent que le Tedschas ou la splendeur de ce
dieu
accompagne chaque être vivant à sa naissance et s
osait à sa volonté ; car Aum, dans lequel résident les Pousourchas ou
dieux
des sens, c’est-à-dire, le dieu de la parole, de
s lequel résident les Pousourchas ou dieux des sens, c’est-à-dire, le
dieu
de la parole, de la vue, de l’ouie, du tact, de l
réatrice entra dans les eaux pour les éclairer, ce qui fit naître les
dieux
appelés Taumâtras, ou molécules sensitives, dieux
qui fit naître les dieux appelés Taumâtras, ou molécules sensitives,
dieux
qui devinrent les élémens des Mahabhoutas, ou gra
roduisit l’Hiraniagarbha, ou fœtus lumineux, d’où Brahmâ sortit enfin
dieu
parfait et dieu tout puissant. Dès lors, ce Mahan
iagarbha, ou fœtus lumineux, d’où Brahmâ sortit enfin dieu parfait et
dieu
tout puissant. Dès lors, ce Mahanâtma, ou grand e
a, ou celui des sages ; Houta, ou l’oblation au feu, ou sacrifice des
dieux
; Prahouta, ou sacrifice des esprits, composé des
houta, ou sacrifice des esprits, composé des miettes du sacrifice des
dieux
, Brâhmyahouta, ou l’offrande de l’hospitalité, ou
tous les êtres inanimés ; alors on vit se dérouler successivement les
dieux
, les génies, le sacrifice, les védas, le feu, l’a
ordre de Padma-Pani, créa les ovipares, les vivipares, les Dévas, ou
dieux
, les Daïtias, ou démons, ou mauvais génies, et le
t les Manoucha, ou hommes, et en même temps il forma le ciel pour les
dieux
, les lieux inférieurs ou Patalas, véritables enfe
assa ou Kailaça, ou paradis de Siva, dans lequel les adorateurs de ce
dieu
se livrent aux plaisirs des sens, sous la directi
adis appelé Souarga ou Sorgon, c’est celui d’Indra ; c’est là que les
dieux
du second ordre s’abreuvent de l’amrita, et des d
rvas et les Apsaras, par leurs musiques et leurs danses, charment les
dieux
d’une voluptueuse mélodie ; puis, enfin, c’est au
sept belles Gopis, ou laitières nourrices et bien aimées de Krichna,
dieu
des pasteurs, autrement dit Vichnou. 10° Les Tcho
es indiens, chefs des sectaires de Brahmâ, invoquent régulièrement ce
dieu
matin et soir, en jetant trois fois de l’eau avec
et aux larges ailes de l’aigle. Quant aux rapports de Brahmâ avec les
dieux
grecs, romains, que nous connaissons déjà, ils so
de Brahmâ, mais elle finit par succomber et le rendit père de Naréda,
dieu
de la sagesse, de Dakcha, et de six Radjas, ou ro
outa, Içania ou Içana. Les trois premiers sont les plus grands de ces
dieux
secondaires. Indra, le premier des huit Vaçous,
Iama, un des huit Vaçous, commande à la région du Sud, et il est le
dieu
de la nuit, de la mort et des enfers ; c’est lui
e Siva, que nous ferons connaître plus tard ; c’est-à-dire, il est un
dieu
modificateur du monde ; il est habillé de noir ou
est le premier enfant de la création, il sortit du grand orteil de ce
dieu
, dont il est le pontife par excellence. C'est lui
e sont donc les analogues des treize douze d’Egypte, des douze grands
Dieux
de Rome et de l’Etrurie. Voici quels sont ces Adi
uel ou hebdomadaire chez les Indiens, nous allons donner les noms des
dieux
hindous, et des jours auxquels ils président. Ain
Dévatas, ou Dévétas, ou Dewtahs, ou Dewtas, ou Dewrkerts, ou Souras,
dieux
et genies bienfaisans ayant bu de la divine lique
et genies bienfaisans ayant bu de la divine liqueur, appelée Amrita,
Dieux
que les Indiens divisent en plusieurs catégories,
5° les Richis, Dévarchis, Radjarchis ; 6° les deux Marouas, avec les
dieux
fils des membres de la Trimourti ; 7° les Kimaras
et de Kaciapa, et qui ne purent arriver à boire de l’Amrita. Quoique
dieux
très inférieurs, on les voit lutter contre les di
’Amrita. Quoique dieux très inférieurs, on les voit lutter contre les
dieux
supérieurs. On les représente sous la forme de se
rva qui reçoit des mains de Souaiambhouva, la fiancée, et la remet au
dieu
Aghin, ou dieu du feu, pour qu’il la sanctifie av
des mains de Souaiambhouva, la fiancée, et la remet au dieu Aghin, ou
dieu
du feu, pour qu’il la sanctifie avant qu’elle arr
trouvons : Aienar, ou Aiena Rapen, fils de la belle Mohani-Maïa, le
dieu
et protecteur du bon ordre, c’était lui qui surve
onde ; il présidait à la prospérité des biens de la terre, et quoique
dieu
bienfaisant, c’est celui auquel on a offert le pl
n ses propositions, et le menaça de la vengeance de Brahmâ ; alors le
dieu
voyant qu’il ne pourrait la vaincre, se retira. L
lifique, la rendit mère du célèbre dieu-singe Hanouman. Arddhanari,
dieu
hindou, est représenté avec les deux sexes ; c’es
Arouna siége à la partie antérieure du char, et suivi de milliers de
dieux
et de génies bienfaisans qui chantent ses louange
élèbre par la pénitence qu’il fit sur le mont Trikoudam. Un jour, les
dieux
Brahmâ, Vichnou et Siva, accompagnés de leurs fem
me. Celui dont nous allons parler, était fils de Tara et de Tchandra,
dieu
de la lune, qui avait enlevé Tara à son époux Vri
haspati, charmé de sa beauté, l’adopte et lui enseigne la science des
dieux
. Au bout d’une année, Soukra s’empare de l’enfant
que Boudha ne jouit pas de toute la gloire qu’il mériterait parmi les
dieux
, et qu’il a tout simplement été chargé de conduir
ts de Mecis, fervent serviteur de la divinité. Cintra-Poutrin est un
dieu
de la mort, qui tient registre des actes des ames
vînt au monde ; mais, malgré tous ses efforts, Vichnou naquit, et les
Dieux
Brahmâ et Siva descendirent des cieux pour lui re
emps, se rendit célèbre dans la médecine, dont on le regarde comme le
dieu
. Ce fut lui qui se lança de la cime du mont Mérou
roue à douze crans, que six jeunes gens font tourner ; 2° Pardjamia,
dieu
de la pluie, monté sur Agni, dieu du feu, qui a p
s gens font tourner ; 2° Pardjamia, dieu de la pluie, monté sur Agni,
dieu
du feu, qui a pris la forme d’un cheval. Les fils
si les noms de Yama, ou le dompteur des hommes, de Shraddadéva, ou le
dieu
des holocaustes funèbres, et de Lokapala, ou l’un
s du monde visible, placés aux points cardinaux. Mrithyou est donc le
dieu
des enfers ; c’est le fils de Vivasvat, autrement
Vivasvat, autrement dit le soleil ; c’est lui qui installe parmi les
dieux
ancêtres ou Pitris les ames auxquelles il fait tr
s vivans, au nord de la terre, dans l’Inde septentrionale, séjour des
Dieux
. Mrithyou a pour ministres les Amatias, et pour m
me degré. Voyant que son frère, malgré toutes ses ruses, était devenu
dieu
, il nia sa divinité et le défia de prouver par un
revenir à la jeunesse, il pria conjointement avec son épouse Souta le
dieu
Soukra de lui accorder cette faveur. Le Dieu lui
uata. La deuxième incarnation ou Kourmâvataram, eut lieu lorsque les
dieux
et les Daitias se réunirent pour composer l’amrit
ontenter ; alors, l’amrita fut recueillie dans un vase et offerte aux
dieux
par Dhanouantari. La troisième incarnation Couva
lion, appelé Naracingh, car ce géant ne pouvait être vaincu ni par un
dieu
ni par un homme, ni par un animal ; il l’étrangla
anda à l’impie Bali-Mahabali, puissant Açoura qui voulait dominer les
dieux
, la concession de trois pas de terrain. Cet Açour
chnouisme et élevé au-dessus de la Trimourti, comme le grand dieu des
dieux
, et reconnu pour Adhibouddha, Mahadéva, Souïambho
beaucoup plus humble encore d’Aditia ou soleil mensuel, car Indra, ce
dieu
Brahmaïte, par sa pureté, sa bienfaisance, son éc
ac, d’un fleuve ; il fut donc obligé de le livrer à l’Océan. Alors le
dieu
poisson se mit à parler, et lui dit : dans sept j
que Vichnou eut à combattre et aux principales transformations de ce
dieu
; le premier des ennemis de Vichnou que nous aper
ounia dans l’origine était tellement dévot qu’il mérita d’obtenir des
Dieux
la faveur de n’être tué, ni par les Dieux eux-mêm
qu’il mérita d’obtenir des Dieux la faveur de n’être tué, ni par les
Dieux
eux-mêmes, ni par les hommes. Fier de ces préroga
le rendit tellement arrogant, qu’il se regardait comme supérieur aux
Dieux
. Cependant Vichnou, fatigué de cette arrogance, p
livre aux délices de l’amour, la famille de Bharata, dans laquelle ce
dieu
a pris naissance, réclame son intervention, car D
rent à errer en invoquant la vengeance. Ce cri entendu de Krichna, ce
dieu
accourut à leurs secours et prit pour compagnon A
t inutile de faire sentir les rapprochemens de Krichna avec plusieurs
dieux
gréco-romains. Chacun facilement reconnaîtra dans
eurs prêtres aient modifié la fable et les légendes de leurs antiques
dieux
, d’après les évangiles qu’ils venaient de recevoi
oudévi, sa rivale, naquit des flots de l’Océan lacté, battus, par les
Dieux
et les Daitias, réunis pour en extraire l’Amrita
es sinistres. Cette glaçante déesse ne trouva point d’époux parmi les
dieux
; cependant à la fin, dit-on, Vichnou s’en charga
auquel ils finirent par s’arrêter. Lors de la création du monde, les
dieux
, alors simples mortels, résolurent de faire une l
ion de plusieurs divinités ou même de choses divines et réservées aux
dieux
; ainsi tels sont : L'Amrita, ou breuvage d’immo
x dieux ; ainsi tels sont : L'Amrita, ou breuvage d’immortalité. Les
Dieux
qui, avant la confection de ce breuvage divin, ét
immortels, après en avoir bu. Pour composer cette divine liqueur, les
Dieux
transportèrent l’immense mont Merou jusque sur le
igiosa, est un arbre fétiche, supposé avoir été envoyé du Nil par les
Dieux
pour abriter Vichnou-Tortue ou Bouddha, suivant l
ses ordres : à la cérémonie de l’inauguration de ce temple, tous les
Dieux
furent invités et conduits auprès du roi par Brah
es. Moutchou-Kountha, Radja de la dynastie des Souriavansi, aida les
dieux
à combattre les Daitias. Les Dieux lui donnèrent
dynastie des Souriavansi, aida les dieux à combattre les Daitias. Les
Dieux
lui donnèrent en récompense le privilége de dormi
e du Sivaïsme. Mais voyons les fables dont les Indiens ont entouré le
dieu
de cette secte importante, ou du moins le troisiè
e seigneur des sages ; Choulis, ou armé du trident ; Divanicha, ou le
dieu
des montagnes ; Gangadhara, ou portant le gange s
e mari de la vache ; Rhoudra, ou qui fait pleurer ; Sivalingha, ou le
dieu
phallique ; Tchandradhara, ou qui porte la lune s
Tchandradhara, ou qui porte la lune sur la tête ; Trilotchana, ou le
dieu
aux trois yeux ; Tripourandaga, ou l’habitant des
ant des trois villes : le ciel, la terre et l’enfer ; Vamadeva, ou le
dieu
nain ; Viroubakcha, ou aux yeux hideux ; Vioma-Gé
roisième personne de la trinité hindoue. On considère vulgairement ce
dieu
comme le destructeur, et par conséquent comme l’e
ur Bhavani, devenue son épouse et dont il a deux enfans, l’un Ganéça,
dieu
de l’année, de l’intelligence et des nombres ; l’
, dieu de l’année, de l’intelligence et des nombres ; l’autre Skanda,
dieu
de la guerre. Pour engendrer Ganéça, il se métamo
sur son front couvert de cheveux épais. Quand on le représente comme
dieu
du mal, on lui donne des dents aiguës ; alors le
nne, jouant le rôle d’enchanter les jeunes mortelles qui plaisent aux
dieux
, et de les unir à ces mêmes dieux ; toujours prin
s jeunes mortelles qui plaisent aux dieux, et de les unir à ces mêmes
dieux
; toujours principe d’activité, elle opère ou pro
i la voit-on ivre de joie d’avoir été créée par Bramh, l’adorer comme
dieu
suprême, le célébrer dans ses hymnes en dansant e
des trois grands dieux, et par conséquent à celle de tous les autres
dieux
ainsi que des hommes, des animaux et des êtres in
isme, ou culte antique de Bhavani, dut se fondre avec celui des trois
dieux
, d’où vint l’union de Bhavani à Siva, lorsque pou
suivant ; d’autres fois, on la voit représentée même sur le front des
dieux
par le signe de l’Ioni, composé de deux lignes bl
a à faire le tour du monde ; après ce voyage assez facile, il dit aux
Dieux
, j’ai tourné autour du créateur, du conservateur,
tte contrée ; plus tard, on le vit reparaître dans Lauka comme un des
Dieux
supérieurs de l’île. On représente Skanda monté s
c’est lui qui humilia Brahmâ lorsqu’il se proclama le plus grand des
Dieux
et lui coupa sa cinquième tête. Il reçut dans le
e l’on nomme Açouras. Ce roi à tête de buffle attaque quelquefois les
Dieux
et les force à aller mendier sur la terre. Mais,
x et les force à aller mendier sur la terre. Mais, en définitive, les
Dieux
viennent toujours à se venger de Mahécha, avec le
ent, on le voit, au fond de leur doctrine, l’idée de la présence d’un
dieu
dans tout ce qui est, et d’une vie éternelle plus
divers systèmes, le bienfait de l’égalité, même dans l’adoration des
dieux
, n’existe pas ; il est enlevé par la division des
asser les mauvais esprits, de publier l’almanach indien, d’offrir aux
dieux
le poutsche ou sacrifice, et de garder les mias o
poutsche ou sacrifice, et de garder les mias ou temples. Chacun des
dieux
de la Trimourti a ses Brahmes particuliers ; du r
nt les aumônes qu’on leur donne. Tous ces religieux n’ont pas le même
dieu
spécial pour objet de leurs dévotions. Les uns se
ou en faisant entendre des clochettes suspendues à leur cou. D'autres
dieux
ont aussi leurs religieux, tels sont ceux de Supr
le les simples Hindous se torturent ou sacrifient leur vie pour leurs
dieux
; aussi, pendant le Tirounnal ou fête du chariot,
t pour être écrasés sous les roues du char sacré qui porte l’idole du
dieu
révéré, char que des milliers de dévots traînent
l et du soleil sont aussi très célèbres ; du reste, les idoles de ces
dieux
sont renfermées dans des temples appelés Pagodes
très-brillans. Thibet. Bouddhisme et Lamaisme. Bouddha, le
dieu
suprême de cette nombreuse secte, porte les noms
e Déva en Samskrit, ou de Tingrien-Tingri, en Mogol ; c’est-à-dire de
dieu
des Dieux. Ses premières années furent confiées a
Samskrit, ou de Tingrien-Tingri, en Mogol ; c’est-à-dire de dieu des
Dieux
. Ses premières années furent confiées aux soins d
ils furent vaincus par les deux disciples de Gotama. La sagesse de ce
dieu
se trouva bientôt dans le plus grand des dangers
histoire du Bouddhisme : dans l’origine, dit-on, l’essence suprême ou
dieu
chez les Hindous se nommait Bouddha, puis il fut
a le nom de Foé ou Fô ; et enfin dans les îles du Japon en 552, où ce
dieu
reçut le nom de Bout ou Pout ; puis enfin, un peu
d, l’ame universelle, autrement dit Adiboudha ou le grand Bouddha. Ce
dieu
homme mort, et monté au ciel tout en venant réhab
fférer de celles qui se célèbrent dans l’Hindoustan, en l’honneur des
dieux
que nous connaissons. Nous avons dit que le Boudd
eurs à Bouddha, ou comme souvent se groupant autour de lui, plusieurs
dieux
jouissant également de la vénération publique ; p
ieurs dieux jouissant également de la vénération publique ; parmi ces
dieux
, nous ferons remarquer : Ghongor ou Tsagan-Makhh
nous ferons remarquer : Ghongor ou Tsagan-Makhhah, un des principaux
dieux
malfaisans, qui n’en protége pas moins le monde,
e lui sont des esprits aux formes hideuses. Giam-Liang ou Giam-Iang,
dieu
de la sagesse, a pour séjour la lune. C'est lui q
, dieu de la sagesse, a pour séjour la lune. C'est lui qui apprit aux
dieux
que pour faire naître l’homme, il fallait qu’un d
qui apprit aux dieux que pour faire naître l’homme, il fallait qu’un
dieu
et une déesse prissent la forme d’un singe. On le
s dans l’ensemble des trois systèmes religieux précédens ; aussi, les
Dieux
et les idoles de la Chine sont très multipliés. C
sous ses ordres la guerre, l’agriculture et les naissances. Ti-Kang,
dieu
présidant aux enfers, a sous ses ordres huit mini
’elle est munie d’un passeport signé par un Bonze. Ensuite, après ces
dieux
, on en connaît beaucoup d’autres plus inférieurs
oup d’autres plus inférieurs encore ; ainsi, l’on trouve. Chin-Hoan,
dieu
protecteur des villes et des provinces, ayant des
ornée d’une couronne brillante d’or et de pierreries. Kouil-Kiabsti,
dieu
dont les dévots chinois n’approchent jamais qu’av
on pied sur un homme de petite stature comme pour l’écraser. Ninifo,
dieu
de la volupté et ayant de nombreux autels. Kouan
ntée avec plusieurs mains, comme pour prodiguer ses dons. Lao-Kioum,
dieu
qui a été un des sages les plus illustres ; aussi
i les Chinois croient-ils que leurs sages sont des incarnations de ce
dieu
; en conséquence, les surnoms les plus magnifique
, en le montrant de la main, voilà mon nom de famille. Manipa est un
dieu
des Tangutains, qui célèbrent en son honneur une
ent la ville en frappant tout ce qu’ils rencontrent. On représente ce
dieu
avec neuf têtes s’élevant en forme de pyramide.
rmose. Les habitans de cette île étaient tellement corrompus, que les
dieux
se décidèrent à l’anéantir ; cependant, pour sauv
incipe, suivant les habitans de l’île de Formose ; ils croyent que ce
dieu
se plaît à enlaidir l’espèce humaine par la petit
u Japon, cependant il n’étouffa pas la religion consacrée aux anciens
Dieux
indigènes ; il fut même obligé d’adopter une part
r de leurs intérêts. Ces Sectaires n’adorent, par conséquent, que des
Dieux
inférieurs, au nombre desquels figurent surtout l
empire. Les Ten-sin-Sitsi-Daï sont au nombre de sept et sont de grand
Dieux
spirituels, de purs esprits qui ont habité le Jap
to, 6 Oomotarnomikotto, 7 Isanaginomikotto. Les trois premiers de ces
Dieux
ne s’étant pas mariés, voici les noms des femmes
us vivans, eurent ensemble un commerce éternel. Après ces sept grands
Dieux
spirituels viennent : Les Tsisingodaï, ou Dieux t
Après ces sept grands Dieux spirituels viennent : Les Tsisingodaï, ou
Dieux
terrestres au nombre de cinq, qui apparurent à la
ieux terrestres au nombre de cinq, qui apparurent à la suite des sept
Dieux
supérieurs précédens ces Dieux terrestres, précéd
nq, qui apparurent à la suite des sept Dieux supérieurs précédens ces
Dieux
terrestres, précédèrent l’ordre commun des mondes
té céleste se dessine à la tête de la création et fait suite aux sept
Dieux
célestes, dont elle est la manifestation : elle a
les est celui de Boungo, il est nommé Ousa-fatsman. Après ces grands
Dieux
viennent les Kamis, ou héros indigènes du Japon,
perroquet. Tossitokou ou Kourokouci, est un Kami et l’un des quatre
dieux
protecteurs des marchands qui l’invoquent surtout
us à un tel état de perversité, qu’ils méprisaient même le maître des
dieux
; il fit périr toute l’humanité, excepté une seul
’on donne dans une salle remplie de jouets d’enfans. Dabis ou Debis,
dieu
japonais de l’île de Niphon, où il a une statue c
une fille ont presque toujours pour but d’obtenir un mari. Daikokou,
dieu
des Sintoïstes. Ses adorateurs sont surtout les a
ent, suivant sa volonté, lorsqu’il le frappe avec son marteau. Dina,
dieu
de la guerre, est le grand dieu d’une secte appel
est le grand dieu d’une secte appelée des Xingovins. Diodoo est le
dieu
des voyageurs. Iebicon, dieu des eaux, et surtou
appelée des Xingovins. Diodoo est le dieu des voyageurs. Iebicon,
dieu
des eaux, et surtout de celles de la mer. Il est
igne dans la main droite et dans sa gauche le poisson Taï. Jacousi,
dieu
de la médecine et père des Jakousis, esprits suba
its des ténèbres, qui sont chargés d’enregistrer ses jugemens. Jène,
dieu
présidant aux ames des gens mariés et des vieilla
pecteur et le chef de cette rivière nommée Noumatsi. Dai-Mo-No-Gini,
dieu
auquel les Japonais ont élevé une statue, portée
Elle a des oreilles très-larges et une flamme sur le front. Denichi,
dieu
suprême des Chingovins, est une des trois divinit
t la troisième la masse des élémens. Les Fotoah ou Fotoques, sont des
dieux
ayant beaucoup de rapports avec les Bouddhas. Le
les eaux et arriva ainsi dans l’île de Mitokama. Gotsitemo ou Givon,
dieu
de la religion sintoïque, que l’on invoque pour ê
chaque mois. On place son image sur la porte des maisons. Maristin,
dieu
de la guerre. Les Japonais célèbrent en son honne
ombattant porte sur l’épaule l’image de Maristin. Mirokou ou Fottée,
dieu
présidant à la richesse et au bonheur des marchan
une richesse, ne manquent jamais de lui demander des enfans. Souva,
dieu
de la chasse. Le jour de sa fête annuelle, des mu
e d’un point de la ville vers le Mia, ou temple de Souva. Tiedebaik,
dieu
des Sintoïstes : sa tête de sanglier est environn
ses pieds expire un monstre qui semble un génie funeste. A Osaka, ce
dieu
a une statue d’or et enrichie de pierreries. Aprè
statue d’or et enrichie de pierreries. Après avoir passé en revue les
Dieux
anciens du Japon ou du Sintoïsme, il nous reste f
u Sintoïsme, il nous reste fort peu de choses à dire sur les nouveaux
Dieux
; aussi, ne parlerons-nous ici que d’Amida, de Go
e quelle manière on devait le révérer et invoquer sa protection.
Dieux
des Parses, ou Des anciens Persans. Magism
Magisme. L'Iran ou le pays d’Irac, ou l’ancienne Perse, adora des
Dieux
actuellement fort peu connus ; mais Zoroastre ou
heur ou au malheur de l’ordre et du monde réel. Quant aux deux grands
Dieux
qui, placés au-dessous de Zervane-Akérène, se bal
ou le mauvais principe ; puis, autour d’eux, se groupent une foule de
Dieux
inférieurs, dont un surtout méritera de notre par
si long-temps brillante et entourée de respect, n’avait ni statues de
Dieux
, ni temples, ni autels ; les animaux formaient se
Ormuzd ; il est le régulateur et le roi du monde et de la lumière, le
dieu
de la paix, chef de tous les autres Amchasfands ;
ire à ses trois fils : Salm, Tour et Irets ou Iradj. A part tous les
Dieux
que nous venons de citer, les Perses en connaissa
Ahriman, ensuite on les personnalisa et elles furent regardées comme
dieux
, sans perdre toutefois leur origine primitive.
rdées comme dieux, sans perdre toutefois leur origine primitive.
Dieux
de la Sibérie. Si nous abandonnons la Perse, a
Dieux de la Sibérie. Si nous abandonnons la Perse, ainsi que ses
Dieux
et ses mages, ou prêtres, pour nous diriger vers
Voici celles de ces divinités qui méritent d’être connues. Aghogok,
dieu
suprême des habitans des îles Aléoutiennes, qui c
le seul animal se soumettant à notre volonté. Aimak ou Tiis sont des
dieux
pénates, invoqués dans les calamités publiques et
urné vers l’orient ; pour eux il était Dieu unique, et n’ayant aucuns
Dieux
subalternes pour exécuter ses volontés. Slata-Ba
t dans les calamités publiques, et pour connaître l’avenir. Koughas,
dieux
aléoutes, pour lesquels ces peuples ont une grand
l se montre sous la forme d’un oiseau, ou sous celle d’un cheval.
Dieux
Slaves. Une fois arrivés chez les Slaves qui j
prêtre égalait celui du roi. Voici quels étaient la plupart de leurs
Dieux
et divinités. Bielbog, ou Beloibog, bon principe
é, leur frère aîné. Koupalo, Dieu de la foudre, était le premier des
Dieux
après Peroun ; il présidait aux fruits de la terr
faire regarder comme une déesse marine. Niemiza ou Nemiza, était le
dieu
des vents et de l’air. On le représentait tantôt
enfuyait à leur approche, ne pouvant soutenir leur présence. Polkan,
dieu
dont on a fait un Volcan. On le représentait avec
ait son menton, de la gauche il touchait aux étoiles. Prono était le
dieu
de la justice dans la Poméranie. Radgast, dieu d
iles. Prono était le dieu de la justice dans la Poméranie. Radgast,
dieu
de l’hospitalité chez les Varingues, était la div
de satyres. Les Russes croient encore à leur existence. Suantowith,
dieu
du soleil de la Poméranie. Séva, ou Siva, ou Sib
verglas, il avait une haleine de glace et une couronne de grêle.
Dieux
Scandinaves. Sous le nom de Dieux scandinaves,
ce et une couronne de grêle. Dieux Scandinaves. Sous le nom de
Dieux
scandinaves, nous réunirons ici tous ceux qui se
génies du feu, envahir le ciel, briser le pont Brifrost, écraser les
Dieux
appelés Ases, tuer un Dieu puissant nommé Frei et
Belsta, fille du géant Bergthoser, devint le père des trois Ases, ou
dieux
, Odin, Vilé et Vé ; aussi, pour avoir plus de dro
ivine donnant l’immortalité ; lui seul avait droit d’en présenter aux
dieux
pour les faire vivre éternellement, ou aux poètes
rteresse d’Asgard, qu’ils destinèrent pour demeure à tous les Ases ou
dieux
leurs descendans, et à leurs familles. Enfin Odin
et Thor. Mais avant de continuer, faisons observer que ces Ases, ou
dieux
placés au-dessous d’Odin, étaient protecteurs du
t ennemis des géans qui toujours cherchent à le détruire. Ces ases ou
dieux
Scandinaves étaient au nombre de trente-deux dont
ux Scandinaves étaient au nombre de trente-deux dont quatorze étaient
dieux
et dix-huit déesses. Frigga connaissait l’avenir,
son mari sur le trône Hlidskialf, elle tenait aussi une assemblée des
Dieux
dans le palais Vingolf où les ames des justes dev
ans cette région un palais composé de cinq cents quarante salles ; ce
dieu
est porté sur un char traîné par deux boucs, ses
fermant des pommes d’or dont la vertu était de rendre la jeunesse aux
Dieux
; en vain Loke essaya-t-il de la lui enlever, il
pas fait serment de respecter les jours de ce radieux Ase. Aucun des
dieux
n’osa venger sa mort, excepté Vidar, fils d’Odin.
ux n’osa venger sa mort, excepté Vidar, fils d’Odin. Presque tous les
dieux
, les déesses et les bons génies assistèrent à ses
appelé Ringhorn. Après sa mort, Balder laissa un fils appelé Forsète,
dieu
de la paix, de la concorde et de l’amitié, habita
’or massif. Hermode, Ase, quatrième fils d’Odin, est le messager des
Dieux
et le grand médiateur. Il fut avec Braga chercher
ou Heimdallour : ses surnoms sont Veurdour Gouda, ou le guerrier des
dieux
; Seunour Niou Maedra, ou le fils aux neuf mères
; Seunour Niou Maedra, ou le fils aux neuf mères ; Goullintani, ou le
dieu
aux dents d’or ; aussi voilà pourquoi il est touj
. Il fut élevé à Vanheilmr ; mais les Vanes le donnèrent en otage aux
dieux
pour recevoir Hamer à sa place, ce qui rétablit l
l’entend pas lorsqu’il marche au milieu des airs. Quant aux Vanes, ou
dieux
du second ordre, ils présidaient, comme leur chef
le des Alfes lumineux, ses sujets, est l’Alfhémir. Après ces Ases, ou
dieux
bienfaisans, nous placerons leurs ennemis, à la t
sautait par dessus un filet, Thor le saisit par la queue ; alors les
dieux
le lièrent à trois rochers aigus, dont l’un lui p
a taille fine, les lèvres minces, l’esprit insinuant ; nul homme, nul
dieu
ne l’égale en science ; mais il n’use de tous ces
au fleuve Vam. La captivité de Fenrir durera jusqu’au crépuscule des
dieux
, époque fixée pour la destruction du monde. Aussi
du monde. Aussitôt il brisera ses fers et engloutira Odin, le roi des
dieux
et le père de tout. Puis, à son tour, il périra é
encore dans les religions du nord de l’Europe, comme appartenant aux
dieux
ennemis des hommes et du monde, les personnages q
Odin, descendu sur la terre. Alors Agnar, âgé de dix ans, présenta au
dieu
enchaîné un breuvage rafraîchissant. Alors aussi,
ttres de l’alphabet Scandinave. Barara-Kied ou Radienkiedde, fils du
dieu
suprême Radien-Atcié des Lapons, qui le chargea d
es colonnes, emblème de ses bras et de sa force. Baiva est tantôt un
dieu
feu-chaleur-lumière et tantôt le soleil. Les Lapo
mettre à l’abri des attaques des démons. Ce Tiermes des Lapons est le
dieu
protecteur de la nature vivante ; le culte qu’on
re à feu. Brock, nain célèbre par le don qu’il fit, pour monture, au
dieu
Freir, d’un sanglier dont les soies étaient d’or,
es pieds sur notre globe ; de là on leur donne trois rôles ; ils sont
dieux
, juges et pontifes. Les Dvergars ou Douergars fil
t l’écho est la voix. Ils donnèrent naissance au sanglier, monture du
dieu
Fouri ; ils présidaient à toutes les sciences et
oll ; il fut insatiable, et Odin ne put arriver à le rassasier. Fro,
dieu
de l’air et des tempêtes. A Upsal, on lui immolai
era de même des hommes et des femmes. Mimir ou Mimis, géant célèbre,
dieu
mystérieux des forgerons, qui peut, en donnant un
rtaient-ils soigneusement avec eux dans des sacs de cuir. Horagalls,
dieu
créé par Perkel, l’esprit du mal, fut élevé par I
s, régissant le dimanche, le vendredi et le samedi. Perkoun était le
dieu
du tonnerre, son temple à Kiev était hors de la c
es oreilles et ses moustaches d’or, ses pieds de fer. Radien-athcié,
dieu
suprême, irrévélé, invisible, ne s’occupant jamai
aventureuse qui toujours fut couronnée de nouvelles victoires. Rava,
dieu
suprême des Finnois. Il ne tient l’être de person
onne ; il n’existe que par lui-même ; il a deux fils, Ilmarenen ou le
dieu
de l’air, et Vainamoinen ou le dieu du feu. Iouma
; il a deux fils, Ilmarenen ou le dieu de l’air, et Vainamoinen ou le
dieu
du feu. Ioumala, le bon principe, et Perkel, le m
e qui, un jour, disaient les légendes, sera la cause de la mort de ce
dieu
. Soerimner, sanglier énorme servant de nourritur
eprésentait d’une taille colossale, et portant une barbe épaisse.
Dieux
Germains et Gaulois Si la place nous le per
pourrions entrer ici dans une foule de suppositions relativement aux
dieux
des Gaulois et des Germains, mais forcés de nous
ples, et nous ne ferons qu’indiquer les noms de quelques-uns de leurs
dieux
; cependant nous ajouterons que leurs divinités a
. Les forêts leurs servaient à placer leurs autels, pour adorer leurs
dieux
, et l’on ne vit de temples dans ces contrées qu’a
sanguinaire de ces divers peuples, et nous passerons de suite à leurs
dieux
, dont le plus élevé probablement était l’Alfader
empire et la mort. Enfin, il partageait l’empire du monde avec Taran,
dieu
de la lumière et du tonnerre, qui lui était oppos
t la disposition des couleurs indiquait l’avenir. Tarvos-Trigaranos,
dieu
gaulois, représenté sous la forme d’un taureau d’
Vata, était le Janus des peuples qui habitaient la Hongrie. Pouster,
dieu
Germain, que les prêtres consultaient devant tout
nde, lorsqu’ils avaient envie d’avoir quelques présens. L'idole de ce
dieu
était de bronze ; elle avait deux pieds un pouce
ient avec bruit, alors aussi les crédules adorateurs qui croyaient le
dieu
irrité, ne manquaient pas d’enrichir les prêtres,
s d’enrichir les prêtres, et faisaient de nombreuses offrandes à leur
dieu
. Irminsul ou Irmensaeule était le dieu suprême d
e nombreuses offrandes à leur dieu. Irminsul ou Irmensaeule était le
dieu
suprême des habitans de la ville d’Eresbourg, où
. Lorsqu’on marchait au combat, les prêtres portaient la statue de ce
dieu
au milieu des batailles et lui immolaient les pri
ses appelées Néhalennia. Pepenouth. Les Saxons l’adoraient comme le
dieu
de la guerre. Il avait un temple où l’on nourriss
our les assister pendant les batailles. Teut ou Teutat, ou Teutatès,
dieu
germanique qui présidait au commerce, à l’intelli
ermanique que le peuple invoquait en partant pour les combats. Fost,
dieu
Frison qui avait à Forteland un temple dont les e
son piédestal étaient des épées, des lances et autres armes. Pennin,
dieu
suprême des montagnards des Alpes pennines. Sur l
uelle était une escarboucle nommée œil de Pennin. Maroun ou Marunus,
dieu
tutélaire qui présidait dans les Alpes à la sûret
a sûreté des voyageurs sur les chemins. Ogham, ou Ogmios, ou Ogmius,
dieu
Hercule et en même temps dieu de l’éloquence chez
chemins. Ogham, ou Ogmios, ou Ogmius, dieu Hercule et en même temps
dieu
de l’éloquence chez les Celtes, qui le représenta
et deux serpens, dont les queues se perdaient dans les airs. Hennil,
dieu
terme des Vandales. Cependant il différait de cel
la forme d’un bâton, avec une main et un anneau de fer. Heu ou Heus,
dieu
de la guerre chez les Celtes, était invoqué avec
la guerre chez les Celtes, était invoqué avec plus de crainte que les
dieux
supérieurs. On lui immolait des victimes humaines
on lui immolait même des victimes humaines ; on l’opposait à Tuiston,
dieu
du sombre empire et de la mort, ou le principe du
vire. Aesus, ou le seigneur, véritable Odin dont on a voulu faire un
dieu
Mars. Dis ou Pluton Gaulois qui avait un temple
Mars. Dis ou Pluton Gaulois qui avait un temple à Autun. Kernunos,
dieu
de la chasse chez les Gaulois ; il était représen
r an à Nannettes, ou Nantes, pour rendre hommage à son idole. Belis,
dieu
d’Aquilée ; des autels lui avaient été élevés en
s, les pieds croisés et la tête penchée sur sa main droite. Bergine,
dieu
des Cénomans ou manceaux, avait un temple à Brixi
les traits d’un jeune homme, revêtu de la toge romaine. Vourchaito,
dieu
domestique des anciens habitans de la Prusse, pré
ait vers le cinquième siècle et était frère de Vaidevant. Pikollos,
dieu
des morts, apparaissait toujours lorsque la mort
homme mort, et l’on brûlait du suif en son honneur. Potrimp était le
dieu
de la terre et de tout ce qui a vie, et avec Piko
terre et de tout ce qui a vie, et avec Pikollos et Perkoun ou Péroun,
dieu
du tonnerre, il formait une trinité divine chez l
u tonnerre, il formait une trinité divine chez les Pruczes. Perdoit,
dieu
des eaux et des vents ; il était le protecteur de
raient dans une grange un dîner magnifique en poissons. Pergoubrios,
dieu
de la végétation chez les Pruczes. Au commencemen
ant pour elles de nombreux sacrifices à cette divinité. Edd ou Aedd,
dieu
suprême des Ploégriens, dont le culte passa des b
Boun, principe du mal chez les Toungouses, était le plus puissant des
dieux
après Boa. Il avait sous ses ordres tous les être
s adoraient aussi la Mort, ou Hercule, sous le nom de Nethon. Plius,
dieu
vandale, était honoré dans la Lusace. Les habitan
in Siéba, espèce de Cérès ou Pomone, et Trigla, véritable Hécate.
Dieux
Irlandais. La religion des peuples primitifs d
eligion des peuples primitifs de l’Irlande semble n’avoir adopté pour
dieux
que les hommes les plus habiles ou les plus coura
ou les plus despotes des temps anciens : ainsi, dans la liste de ces
dieux
, nous trouvons : Eirgeadmhar ou Airgiomdhar, fil
ya à bâtir des habitations pour les Némèdes et des temples pour leurs
dieux
. De ces Africains une partie secoua e joug et fut
nité suprême de la race sacerdotale des Tuathadadan. Bath ou Baath,
dieu
suprême, est considéré d’abord comme Androgyne, e
Dhna ou Adhna, fils de Bath, était le messager intermédiaire entre le
dieu
son père et les êtres humains. D'autres supposaie
ue les échos de leurs souterrains. Slainge et Rughraidhe étaient des
dieux
irlandais, que l’on croit avoir été chefs des Fir
les Irlandais y ajoutèrent des idées cabiriques, et de plus quelques
dieux
et déesses parmi lesquels on rencontre : Téa, fi
ent, de pouvoir seules fournir des prêtres au service des autels.
Dieux
Américains. Amérique du Nord. Il reste f
ins. Amérique du Nord. Il reste fort peu de documens sur les
dieux
primitifs de l’Amérique septentrionale ; cependan
; cependant nous allons recueillir et grouper ici quelques-uns de ces
dieux
, sans exposer la théorie religieuse des peuples d
éricaines que l’on rencontre dans l’Océan, nous trouvons : Les Zèmes,
dieux
malfaisans des Antilles, auxquels la crainte offr
ait la mère de l’être suprême chez les habitans de l’île d’Haïti. Les
dieux
de la chasse, de la pêche, de la santé, des saiso
ppelait aussi Guacarapita, Guacamonoan, Momona, Tiella. Toïa, était
dieu
du mal à la Floride. Quand on célébrait quelque f
es fêtes, trois prêtres s’enfoncaient dans la forêt pour consulter le
dieu
; ils y restaient deux jours, pendant lesquels le
lus rigoureux ; ensuite venaient les réjouissances. Kiouasa était le
dieu
des Virginiens : directeur des affaires humaines,
l’on s’exposerait à perdre la vie à l’instant. Kiouchtan ou Kichtan,
dieu
suprême des sauvages de la nouvelle Angleterre. I
et au bien-être des êtres vivans Matchi-Manitou, ou la lune, est le
dieu
malfaisant des Américains du nord ; c’est lui qui
ors des tempêtes, tout ce qu’ils ont de plus précieux pour apaiser ce
dieu
méchant. Ataenlsic est la femme primordiale des
et d’Afrique. Ces anciens peuples du Mexique admettaient parmi leurs
dieux
: Théotl, ou le grand Dieu sans forme et invisib
es ou leur faire du mal. Miclantemcli, époux de Lancihuati, était le
dieu
du Miclan ou enfer, placé au milieu de la terre :
s avaient demandé ces deux astres pour les éclairer. Tlaloc était le
dieu
des montagnes, et on le représentait par une gros
e de vert. Xinteuchtli était le maître de l’année, de l’herbe, et le
dieu
du feu : aussi célébrait-on trois grandes fêtes e
les leurs enfans pendant la nuit. Vitslibochtli, le plus célèbre des
dieux
Mexicains, était le dieu de la guerre et de la di
a nuit. Vitslibochtli, le plus célèbre des dieux Mexicains, était le
dieu
de la guerre et de la divination. Ce fut, dit-on,
du Mexique, encouragés pendant leur campagne par les miracles de leur
dieu
, que quatre prêtres portaient dans une arche en r
poca, ou Teskatlibochtli, ou Tlaloch, ou le miroir brillant, était le
dieu
vengeur des crimes, le régulateur de la vie pénit
ommes, en leur envoyant soit la famine, la peste ou des épidémies. Ce
dieu
redoutable était cependant moins puissant que Téo
du Mexique, et plus spécialement de la vallée de Cholula. C'était le
dieu
de l’air, le législateur de cette région, et le f
ée Téocalli, au milieu des chants et des danses. Les adorateurs de ce
dieu
se faisaient des blessures à la manière des coryb
Les prêtres Mexicains étaient, pour ainsi dire, autant adorés que les
dieux
; aussi étaient-ils fort nombreux. A leur tête, o
ous longions l’isthme de Panama, nous apercevons : Dabaiba, mère des
dieux
chez les habitans de Panama ; elle vint sur la te
etites figurines qui lui ressemblaient. Opoiam était au contraire le
dieu
bienfaisant des Caraïbes, il n’était honoré que p
nom sans avoir d’abord craché à terre. A la Floride, on regardait ce
dieu
comme le souverain du monde inférieur et on le cr
e le souverain du monde inférieur et on le croyait toujours opposé au
dieu
du monde supérieur. En parcourant les autres cont
puis viennent le soleil et son épouse Antoumalgouen et Epounamoun, le
dieu
de la guerre. Gouénoupillan n’a point de temple.
sur les animaux qu’ils ont pris. Kamachtlé était le plus célèbre des
dieux
des Tlascaltèques. Ses prêtres, pour l’honorer, j
ent avec des couteaux de nombreuses blessures à la langue. Khiappen,
dieu
de la guerre, était adoré surtout chez les Tuniat
tous les temps de la protection des divers partis. Tatousio était le
dieu
des Maguacikas, anciens habitans du Paraguay ; il
jamais d’aller enlever secrètement pendant la nuit. Marakas était le
dieu
protecteur des maisons et il était invoqué dans l
u’ils connussent. Ils croyaient qu’il présidait à l’agriculture.
Dieux
de la Polynésie. Sans nous arrêter à chercher
lons simplement, pour terminer cet ouvrage, indiquer quelques-uns des
dieux
qu’ils adorent. Dans ce nombre on trouve : Barha
ux qu’ils adorent. Dans ce nombre on trouve : Barhalamaicapal, ou le
dieu
créateur et fabricateur chez les habitans des île
hez les habitans des îles Philippines, dont l’esprit grossier fait un
dieu
de tout ; aussi adorent-ils les animaux, les astr
arai, Oumar-Ceo, Orre-Orre. Ces trois frères forment une Trimourti de
dieux
supérieurs qui se partagent le monde. Le premier
le nom de O'Maouve. Après la naissance d’Ohina, Etoua-Rahai créa les
dieux
inférieurs et toutes les parties de l’univers, ai
hi est la divinité par excellence des mers de l’Archipel des amis. Ce
dieu
a pour épouse la déesse Faikava Kadjiha, et pour
jour des semailles, et une autre à l’instant de la moisson. Goulého,
dieu
de la mort chez les habitans des îles des Amis ;
a Polynésie, le plus ancien des êtres, la source du tout, la mère des
dieux
; aussi les nomment-ils Fampô, ou enfans de Po.
re, et ayant le cou plus gros que les deux cuisses réunies. Tane, le
dieu
suprême, suivant les habitans de l’Archipel de la
le en adopte un, et le place dans son Morai, où elle l’adore comme un
dieu
. Les Ti bienfaisans, protecteurs des hommes, s’op
du jour. Ici nous terminerons cette longue énumération des principaux
Dieux
adorés jadis ou encore actuellement sur la terre
. La pl. 20 en regard de la page 391 nous montre les trois principaux
dieux
Egyptiens. La pl. 19 en regard de la page 407 est
me primitif. La pl. 21 en regard de la page 473 montre l’ensemble des
dieux
scandinaves. La pl. 30 en regard de la page 193 e
, 79. Didymées, 104. Didymœus, 87. Dies, 94. Diespiter, 20. Dieu, 22.
Dieux
aériens, 32. Dieux allégoriques, 33. Dieux améric
. Didymœus, 87. Dies, 94. Diespiter, 20. Dieu, 22. Dieux aériens, 32.
Dieux
allégoriques, 33. Dieux américains, amérique du n
. Diespiter, 20. Dieu, 22. Dieux aériens, 32. Dieux allégoriques, 33.
Dieux
américains, amérique du nord, 493. Dieux choisis,
32. Dieux allégoriques, 33. Dieux américains, amérique du nord, 493.
Dieux
choisis, 33. Dieux connus, 33. Dieux divers, 376.
ques, 33. Dieux américains, amérique du nord, 493. Dieux choisis, 33.
Dieux
connus, 33. Dieux divers, 376. Dieux (les) de la
éricains, amérique du nord, 493. Dieux choisis, 33. Dieux connus, 33.
Dieux
divers, 376. Dieux (les) de la mer, 33. Dieux de
du nord, 493. Dieux choisis, 33. Dieux connus, 33. Dieux divers, 376.
Dieux
(les) de la mer, 33. Dieux de la Polynésie, 497.
, 33. Dieux connus, 33. Dieux divers, 376. Dieux (les) de la mer, 33.
Dieux
de la Polynésie, 497. Dieux (les) de la terre, 33
x divers, 376. Dieux (les) de la mer, 33. Dieux de la Polynésie, 497.
Dieux
(les) de la terre, 33. Dieux (les) d’élite, 32. D
la mer, 33. Dieux de la Polynésie, 497. Dieux (les) de la terre, 33.
Dieux
(les) d’élite, 32. Dieux (les) de l’enfer, 53. D
Polynésie, 497. Dieux (les) de la terre, 33. Dieux (les) d’élite, 32.
Dieux
(les) de l’enfer, 53. Dieux africains, 398. Dieu
e la terre, 33. Dieux (les) d’élite, 32. Dieux (les) de l’enfer, 53.
Dieux
africains, 398. Dieux américains, 491. Dieux asia
(les) d’élite, 32. Dieux (les) de l’enfer, 53. Dieux africains, 398.
Dieux
américains, 491. Dieux asiatiques, 402. Dieux chi
x (les) de l’enfer, 53. Dieux africains, 398. Dieux américains, 491.
Dieux
asiatiques, 402. Dieux chinois, 451. Dieux de Sib
Dieux africains, 398. Dieux américains, 491. Dieux asiatiques, 402.
Dieux
chinois, 451. Dieux de Sibérie, 469. Dieux egypti
98. Dieux américains, 491. Dieux asiatiques, 402. Dieux chinois, 451.
Dieux
de Sibérie, 469. Dieux egyptiens, 391. Dieux gaul
91. Dieux asiatiques, 402. Dieux chinois, 451. Dieux de Sibérie, 469.
Dieux
egyptiens, 391. Dieux gaulois, 482. Dieux germain
402. Dieux chinois, 451. Dieux de Sibérie, 469. Dieux egyptiens, 391.
Dieux
gaulois, 482. Dieux germains, 482. Dieux (grands)
451. Dieux de Sibérie, 469. Dieux egyptiens, 391. Dieux gaulois, 482.
Dieux
germains, 482. Dieux (grands), 33. Dieux envelopp
, 469. Dieux egyptiens, 391. Dieux gaulois, 482. Dieux germains, 482.
Dieux
(grands), 33. Dieux enveloppés, 32. Dieux inconnu
ns, 391. Dieux gaulois, 482. Dieux germains, 482. Dieux (grands), 33.
Dieux
enveloppés, 32. Dieux inconnus, 33. Dieux indiens
, 482. Dieux germains, 482. Dieux (grands), 33. Dieux enveloppés, 32.
Dieux
inconnus, 33. Dieux indiens, 407. Dieux indigète,
s, 482. Dieux (grands), 33. Dieux enveloppés, 32. Dieux inconnus, 33.
Dieux
indiens, 407. Dieux indigète, 33. Dieux irlandais
s), 33. Dieux enveloppés, 32. Dieux inconnus, 33. Dieux indiens, 407.
Dieux
indigète, 33. Dieux irlandais, 484. Dieux lies (l
ppés, 32. Dieux inconnus, 33. Dieux indiens, 407. Dieux indigète, 33.
Dieux
irlandais, 484. Dieux lies (les), 32. Dieux japon
us, 33. Dieux indiens, 407. Dieux indigète, 33. Dieux irlandais, 484.
Dieux
lies (les), 32. Dieux japonais, 454. Dieux mitoye
407. Dieux indigète, 33. Dieux irlandais, 484. Dieux lies (les), 32.
Dieux
japonais, 454. Dieux mitoyens ou demi-dieux, 32.
33. Dieux irlandais, 484. Dieux lies (les), 32. Dieux japonais, 454.
Dieux
mitoyens ou demi-dieux, 32. Dieux naturels, 33. D
ies (les), 32. Dieux japonais, 454. Dieux mitoyens ou demi-dieux, 32.
Dieux
naturels, 33. Dieux nuptiaux, domestiques et tuté
japonais, 454. Dieux mitoyens ou demi-dieux, 32. Dieux naturels, 33.
Dieux
nuptiaux, domestiques et tutélaires, 33. Dieux ol
2. Dieux naturels, 33. Dieux nuptiaux, domestiques et tutélaires, 33.
Dieux
olympiens, 33. Dieux mexicains, 493. Dieux public
. Dieux nuptiaux, domestiques et tutélaires, 33. Dieux olympiens, 33.
Dieux
mexicains, 493. Dieux publics, 33. Dieux perses,
stiques et tutélaires, 33. Dieux olympiens, 33. Dieux mexicains, 493.
Dieux
publics, 33. Dieux perses, 478. Dieux péruviens,
es, 33. Dieux olympiens, 33. Dieux mexicains, 493. Dieux publics, 33.
Dieux
perses, 478. Dieux péruviens, 495. Dieux polynési
iens, 33. Dieux mexicains, 493. Dieux publics, 33. Dieux perses, 478.
Dieux
péruviens, 495. Dieux polynésiens, 497. Dieux sub
ins, 493. Dieux publics, 33. Dieux perses, 478. Dieux péruviens, 495.
Dieux
polynésiens, 497. Dieux subalternes, ou Dii minor
33. Dieux perses, 478. Dieux péruviens, 495. Dieux polynésiens, 497.
Dieux
subalternes, ou Dii minores, 33. Dieux subalterne
, 495. Dieux polynésiens, 497. Dieux subalternes, ou Dii minores, 33.
Dieux
subalternes, 33. Dieux supérieurs, 33. Dieux scan
s, 497. Dieux subalternes, ou Dii minores, 33. Dieux subalternes, 33.
Dieux
supérieurs, 33. Dieux scandinaves, 473. Dieux sla
nes, ou Dii minores, 33. Dieux subalternes, 33. Dieux supérieurs, 33.
Dieux
scandinaves, 473. Dieux slaves, 470. Dieux thibét
Dieux subalternes, 33. Dieux supérieurs, 33. Dieux scandinaves, 473.
Dieux
slaves, 470. Dieux thibétains, 444. Digénès, 211.
33. Dieux supérieurs, 33. Dieux scandinaves, 473. Dieux slaves, 470.
Dieux
thibétains, 444. Digénès, 211. Digonos, 211. Dii
Saturne, Jupiter, Hercule, et plusieurs autres furent mis au rang des
dieux
, du consentement unanime de touts les peuples. B
es peuples. Bientôt une foule d’idoles Usurpa l’encens des mortels ;
Dieux
sans force, ornements frivoles De leurs ridicules
saintes Et par ses desirs et ses craintes L’homme aveugle compta ses
dieux
. ( La Motte.) D. A quoi peut nous servir la conn
jours écloses. D. Les anciens reconnoissoient-ils un grand nombre de
dieux
? R. Oui. Varron en compte jusqu’à trente mille
nte Atlas gémissant sous le poids du ciel, à cause du grand nombre de
dieux
qu’on y avoit placés. D. En combien de classes le
t placés. D. En combien de classes les anciens partageoient-ils leurs
dieux
? R. Ils les partageoient en quatre classes. La
R. Ils les partageoient en quatre classes. La première comprenoit les
dieux
suprêmes, ou les grands dieux ; ils étoient au no
chus, l’Amour, Cybèle et Proserpine. La seconde classe renfermoit les
dieux
subalternes, qui veilloient aux champs, aux fleur
rtumne, et une multitude d’autres, qu’ Ovide appelle la populace des
dieux
. On plaçoit dans la troisième classe les demi-di
me classe les demi-dieux, ainsi nommés, parce qu’ils étoient nés d’un
dieu
et d’une mortelle, ou d’un homme et d’une déesse,
ébrés ; tels que Agamemnon, Achille, Ulysse, etc. Première partie.
Dieux
de la première classe. Le Destin. Demand
qui gouvernoit toutes choses par une nécessité inévitable. Les autres
dieux
et Jupiter lui-même, étoient soumis à ses décrets
umains, et un livre où l’avenir est écrit d’une manière immuable. Les
dieux
alloient consulter ce livre, mais ils ne pouvoien
is perçants, et ces voix lamentables N’arrivent point aux oreilles du
dieu
. A ses regards un bronze incorruptible Offre en u
ne étoit-il fils ? R. Saturne étoit fils du Ciel, le plus ancien des
dieux
, et de la Terre, la plus ancienne des déesses. Le
i appelée la grande mère, parce qu’elle est la mère de la plupart des
dieux
. On la nommoit encore Ops et Tellus : Ops, veut d
el, l’autre femme de Saturne, et une troisième qui seroit fille de ce
dieu
. Numa Pompilius, second roi de Rome, avoit consac
toutes vives. Jupiter. D. Quel rang tient Jupiter parmi les
dieux
? R. Jupiter, fils de Saturne et Cybèle, est reg
ne et Cybèle, est regardé comme le plus grand et le plus puissant des
dieux
: c’étoit le roi du ciel et de la terre. Une voi
’étoit le roi du ciel et de la terre. Une voie en tout temps par les
dieux
fréquentée, Blanchit l’azur des cieux ; on la nom
ouvrir à deux battants des portes magnifiques, Vestibules pompeux des
dieux
patriciens. Ailleurs, sont confondus les toits de
s les toits des plébéiens. Au milieu du parvis la façade présente Des
Dieux
du premier rang la demeure imposante. C’est là, s
e dire en langage mortel, La cour de Jupiter, et le sénat du ciel. Le
dieu
, le sceptre en main, se place sur son trône ; L’i
s accabla sous les montagnes qu’ils avoient amassées. La demeure des
dieux
ne fut pas respectée. On dit que des géants l’aud
iter, Entassant monts sur monts, escalada l’éther. Mais le maître des
dieux
, armant sa main puissante, Foudroya de leurs mont
seul venir à bout de tant d’ennemis ? R. Il avoit appelé les autres
dieux
pour combattre et pour partager le péril avec lui
es dieux pour combattre et pour partager le péril avec lui ; mais les
dieux
furent si épouvantés à la vue des géants, qu’ils
êtes des honneurs divins ; Bacchus eut plus de courage que les autres
dieux
: car, ayant pris la figure d’un lion, il combatt
ée. D. Quel dessein le châtiment de Prométhée inspira-t-il aux autres
dieux
? R. Les autres dieux, indignés que Jupiter prét
châtiment de Prométhée inspira-t-il aux autres dieux ? R. Les autres
dieux
, indignés que Jupiter prétendit avoir seul le dro
si son présent à Pandore ? R. Oui. Jupiter, pour punir l’orgueil des
dieux
, feignit de vouloir aussi combler Pandore de ses
source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des
dieux
, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodigua
lédictions, Jusqu’à ce temps des humains ignorés, Avoient été par les
dieux
resserrés, Pour le malheur des mortels douloureux
alier, parce qu’il étoit regardé comme le protecteur des hôtes, et le
dieu
particulier de l’hospitalité. Il y avoit encore J
toit nommé Jupiter-Ammon et Jupiter-Stator. D. Pourquoi le maître des
dieux
fut-il surnommé Jupiter-Ammon ? R. Ammon, en gre
aimer de ses sujets, qu’il fut adoré comme Jupiter. Le souverain des
dieux
en fut si violemment irrité, qu’il voulut foudroy
er qu’à condition qu’il l’épouseroit. Junon devint ainsi la reine des
dieux
. Elle étoit la déesse des royaumes ; mais elle pr
nanime, humain, religieux : Tant de fiel entre-t-il dans les ames des
dieux
?… Une autre injure parle à son ame indignée : Pa
au souverain des cieux, » Moi, l’épouse, la sœur du plus puissant des
dieux
, » Armant contre un seul peuple et le ciel et la
de la jeunesse. Elle fut chargée par Jupiter de verser le nectar aux
dieux
; Mais s’étant laissée tomber un jour dans leur a
non aima tendrement Iris, sa confidente et sa messagère. La reine des
dieux
, contente des services d’Iris, qui ne lui apporto
ée. D. Racontez l’histoire de l’enlèvement de Proserpine. R. Pluton,
dieu
des enfers, étoit si noir, et avoit un royaume si
s vives oppositions de la nymphe Cyanè, qu’il changea en fontaine. Le
dieu
, ayant ouvert la terre d’un coup de son trident,
ce du genre humain. O Cérès ! presse ton retour : Sur nos plaines le
dieu
du jour Répand les chaleurs et la vie. Proserpine
l’arbre fécond de Pyrame, Le ver à soie ourdit sa trame, Qui pare les
dieux
et les rois : Les fraises parfument les bois, L’é
de Jupiter ? R. Neptune conspira contre son frère ; et le maître des
dieux
, ayant découvert cette conspiration, l’exila du c
entreprise. Mais lorsque les murs furent achevés, Laomédon refusa aux
dieux
la récompense qu’il leur avoit promise. Pour s’en
n y envoya la peste. L’oracle consulté répondit que, pour apaiser les
dieux
offensés, il falloit exposer touts les ans une je
e point se marier, elle rejeta d’abord la demande de Neptune. Mais le
dieu
des eaux lui envoya un dauphin qui la trouva au p
mblable à l’homme, et le reste semblable à un poisson. La plupart des
dieux
marins sont aussi appelés Tritons, et sont représ
avec des coquillages. D. Quels sont les principaux d’entre les autres
dieux
marins ? R. Nous nommerons d’abord l’Océan, beau
nchissante. Enfin, l’Océan et Téthys eurent un fils appelé Protée. Ce
dieu
marin avoit la garde du troupeau de Neptune. Il r
ybde. D. Qu’étoit Éole ? R. Éole, roi des vents, est mis au rang des
dieux
de la mer, parce qu’il avoit le pouvoir de soulev
ole orageuse patrie, Précipite son char. Là, sous de vastes monts, Le
dieu
tient enchaînés dans leurs gouffres profonds Les
lgré Junon, » Ose aux champs des Latins transporter Ilion, » Avec ses
dieux
vaincus, fend les mers d’Etrurie : » Commandez à
ses bras, et se jeta avec lui, du haut d’un rocher, dans la mer. Les
dieux
, touchés de compassion, les changèrent en divinit
t à Rome sous le nom de Portunus. D. Comment Glaucus devint-il un des
dieux
de la mer ? R. Glaucus étoit un pêcheur de la vi
t sauta aussitôt lui-même dans les eaux, où il fut reçu au nombre des
dieux
marins. Je suis un dieu des mers, et, nouveau Pa
dans les eaux, où il fut reçu au nombre des dieux marins. Je suis un
dieu
des mers, et, nouveau Palémon, Je suis au même ra
; Et je cours dans les flots me plonger sans retour. Téthys parmi ses
dieux
me reçoit dans sa cour, Et le vieux Océan efface,
ient le mois de février, pendant lequel ils tâchoient de se rendre le
dieu
favorable pour l’époque prochaine de la nouvelle
chaine de la nouvelle navigation. Les libations, qui, pour les autres
dieux
, étoient composées de vin, de lait et de miel, se
oit dans les moindres hameaux un temple ou au moins un autel dédié au
dieu
de la mer. Pluton. D. Qu’étoit Pluton ?
euvage qui le força de rejeter Pluton de son sein. C’est ainsi que ce
dieu
revit le jour. Il eut pour son partage la région
ence en lambeaux, l’inflexible Trépas, Et le Sommeil son frère, et le
dieu
des combats ; Le Travail qui gémit, la Terreur qu
ivinités infernales ? R. Ce sont la Nuit, le Sommeil, la Mort et les
dieux
Manes. D. Qu’est-ce que la Nuit ? R. La Nuit est
l’entrée, croissent des pavots et d’autres herbes assoupissantes. Le
dieu
repose sur un lit d’ébène fermé de rideaux noirs.
une roche profonde, Repose le Sommeil au fond d’un antre frais, De ce
dieu
nonchalant solitaire palais. D’une antique forêt
r la plume oiseuse, Endormi dans les bras d’une mollesse heureuse, Ce
dieu
silencieux, couronné de pavots, Savoure les douce
ettres initiales D. M., qui indiquent ces deux mots Diis Manibus, aux
Dieux
Manes, comme pour recommander à leurs soins la sé
à leurs soins la sépulture du mort. On immoloit des brebis noires aux
dieux
Manes, et l’on offroit aux manes de ses amis, du
à son secours, Styx accourut la première avec sa fille. Le maître des
dieux
, pour reconnoître ce service, la combla de bienfa
ur reconnoître ce service, la combla de bienfaits, et décréta que les
dieux
jureroient par son nom, et que ceux qui violeroie
ambroisie et du nectar. L’ambroisie étoit la nourriture ordinaire des
dieux
; et le nectar étoit leur breuvage. D. Qu’étoit l
dace, à son œil plein de feu, On reconnoît d’abord la vieillesse d’un
dieu
. (Trad. de M. Delille.) D. Quels sont les plus
ts les étrangers qui tomboient entre ses mains. Thésée le tua, et les
dieux
le précipitèrent dans les enfers, ou il fut conda
Salmonée, frère de Sisyphe, eut la témérité de vouloir passer pour un
dieu
. Pour y parvenir, il fit construire un pont d’air
freux délire. Jupiter, touché de son repentir, l’admit à la table des
dieux
; mais il osa concevoir une passion criminelle po
. Tantale étoit fils de Jupiter, et roi de Phrygie. Pour éprouver les
dieux
, il leur servit les membres de son fils Pélops. C
e lui causoit l’enlèvement de sa fille, dévora une épaule. Les autres
dieux
eurent horreur de cet horrible festin ; ils ressu
efs à la main. D. Pluton est-il le même que Plutus ? R. Non. Plutus,
dieu
des richesses, étoit fils de Cérès et de Jasion.
richesses, étoit fils de Cérès et de Jasion. On le met au nombre des
dieux
infernaux, parce que les richesses se tirent du s
re, fils de Jupiter et de Maïa, étoit l’interprète et le messager des
dieux
, et en particulier de son père. Il conduisoit aux
de l’union. D. Quels étoient les attributs de Mercure considéré comme
dieu
de l’éloquence ? R. On le représentoit avec des
s esprits. D. Quels étoient les attributs de Mercure, considéré comme
dieu
du commerce ? R. On le peignoit avec une bourse
catura, qui signifie négoce. D, Mercure n’est-il pas en même temps le
dieu
des voleurs ? R. Oui ; et il étoit lui-même un v
a seule le jour par l’attouchement d’une fleur des champs d’Olène. Ce
dieu
présidoit à la guerre. De la Noue nous a tracé so
e voix menaçante, Chasse la Peur et la froide Epouvante. Plus près du
dieu
, l’intrépide Valeur, Le glaive haut, L’œil fier,
s, ses coursiers indomptables Sèment au loin des feux inévitables. Ce
dieu
terrible, environné d’éclairs, Brise, en passant,
mbler la terre en peuplant les enfers. D. Comment représente-t-on le
dieu
Mars ? R. On le représente toujours armé de pied
elles fonctions la fable attribue-t-elle à Vulcain ? R. Elle le fait
dieu
du feu et chef des forgerons qui fabriquoient les
entôt après, elles la conduisirent avec pompe dans le ciel. Touts les
dieux
la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l
us en forgeant des foudres contre les géants. Ainsi, le plus laid des
dieux
devint l’époux de la plus belle des déesses. Vénu
n carquois rempli de flèches ardentes. Le culte que l’on rendoit à ce
dieu
, lui étoit commun avec sa mère. D. Vénus eut-elle
inaire. Vénus l’aima si passionnément, qu’elle quitta l’Olympe et les
dieux
pour le suivre. Elle l’accompagnoit dans les forê
é étoit une princesse si belle, qu’elle fut aimée de l’Amour même. Ce
dieu
la fit transporter dans un palais somptueux, où e
on. Malheureusement, une goutte d’huile brûlante tombe sur le sein du
dieu
qui se réveille et s’enfuit sans retour. Vénus, d
rêta un jour cette ceinture à Junon, et la fière épouse du maître des
dieux
, parut plus belle aux yeux de Jupiter. Homère nou
ar le Styx il jure de descendre Avec tout d’appareil du souverain des
dieux
, Tel qu’aux yeux de Junon il paroît dans les cieu
ccomplir son serment. Sémélé fut brûlée par la foudre ; le maître des
dieux
prit le petit Bacchus dont elle étoit enceinte, e
igna aux hommes l’agriculture, planta la vigne, et fut adoré comme le
dieu
du vin. D. Comment représente-t-on Bacchus ? R.
omme, avec un teint vermeil et un visage réjoui, comme il convient au
dieu
de la vendange. Il est assis sur un tonneau avec
vêtues de peaux de tigres, courir par les montagnes, et invoquer leur
dieu
. Elles avoient les cheveux épars, et portoient en
ller pendant qu’on célébroit les orgies, furent métamorphosées par ce
dieu
en chauve-souris, et leurs toiles furent changées
, qui la poursuivoit sans relâche. La Terre avoit juré à la reine des
dieux
de ne point donner d’asile, à sa rivale. Latone,
du monstre ; mais Neptune vint au secours de l’infortunée Latone. Le
dieu
de la mer poussa contre le rivage l’île de Délos,
e. D. Quels sont les attributs du fils de Latone ? R. Apollon est le
dieu
des arts, de la poésie et de la médecine ; il est
rts, de la poésie et de la médecine ; il est aussi considéré comme le
dieu
du jour. D. Comment Apollon délivra-t-il la terre
ssant ouvrage Des mains de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du
dieu
qui donne le jour, Lava dans son sang horrible L’
ps de flèches les cyclopes qui avoient forgé la foudre. Le maître des
dieux
en fut si irrité, qu’il chassa Apollon du ciel. D
ète, roi de Thessalie ; c’est ce qui l’a fait honorer depuis comme le
dieu
des pasteurs. Il aima Daphné, fille du fleuve Pén
sur un char rayonnant de feu, et tiré par quatre chevaux fougueux. O
dieu
de la clarté ! vous réglez la mesure Des jo
é de l’onde, Et le ciel radieux, voûte immense du monde. L’onde a ses
dieux
marins, et Protée, et Triton, Triton la conque en
ses cités, ses fleuves et ses bois, Et les nymphes de l’onde, et les
dieux
du bocage. Au-dessus luit des cieux la rayonnante
comme l’inventeur de la poésie et de la musique ? R. Apollon, comme
dieu
de la poésie et des beaux-arts, est le maître des
lumeau. Il fut le premier qui mit en musique les hymnes consacrés aux
dieux
. Attaché à Cybèle, il l’accompagna dans ses voyag
er de ses nouvelles découvertes, Marsyas eut la hardiesse de faire au
dieu
un défi qui fut accepté, à condition que le vainc
et. L’oiseau avoit découvert à Apollon l’infidélité de Coronis que ce
dieu
aimoit. Apollon, dans un premier transport de jal
en ses vers nobles, harmonieux, Célèbre les exploits des héros et des
dieux
. Un poignard à la main, la triste Melpomène Tien
s vers. Brillant astre des nuits, vous réparez l’absence Du
dieu
qui nous donne le jour ; Votre char, lor
des biches. Génius D. Qu’est-ce que Génius ? R. Génius est le
dieu
de la nature. On le regardoit comme la divinité q
doit point de sang dans ces sortes de sacrifices. Seconde partie.
Dieux
de la seconde classe. Divinités champêtres.
de classe. Divinités champêtres. Pan. Demande. Quel
dieu
tenoit le premier rang parmi les divinités champê
premier rang parmi les divinités champêtres ? Réponse . C’étoit le
dieu
Pan ; il étoit l’inventeur de la flûte, et le die
ponse . C’étoit le dieu Pan ; il étoit l’inventeur de la flûte, et le
dieu
des bergers, des bois et des prairies. Pan trouv
harmonieux. Pan règne sur nos bois ; il aime nos prairies : C’est le
dieu
des bergers et de leurs bergeries. ( Gresset.) O
nt l’expression de terreur panique. R. Les Grecs ont attribué à leur
dieu
Pan l’origine de cette terreur subite dont la cau
Que j’aime à revoler vers ces fêtes champêtres Où Rome célébroit les
dieux
de ses ancêtres, La déesse des blés et le dieu de
Où Rome célébroit les dieux de ses ancêtres, La déesse des blés et le
dieu
des raisins, Les nymphes des forêts, les faunes,
e préside aux fruits et aux vergers. Elle étoit l’épouse de Vertumne,
dieu
de l’automne. On la représente une serpette à la
it le trésor d’Hébé. Nymphes, enlevez vos corbeilles, Allez offrir au
dieu
des eaux. La pourpre qui couvre nos treilles, L’a
Picus ou de Mars, et petit-fils de Saturne. Il fut mis au nombre des
dieux
champêtres, parce qu’il introduisit dans ses état
représente tenant un cyprès à la main. On le confond souvent avec le
dieu
Pan et avec le dieu Faune. C’est de son nom qu’on
n cyprès à la main. On le confond souvent avec le dieu Pan et avec le
dieu
Faune. C’est de son nom qu’on appela Sylvains, le
an et avec le dieu Faune. C’est de son nom qu’on appela Sylvains, les
dieux
champêtres qui paroissent être les mêmes que les
ndes frayeurs. Priape. D. Qu’étoit Priape ? R. Priape étoit le
dieu
des jardins. On croyoit que c’étoit lui qui les g
s ans, d’un lait pur une coupe t’est due, Priape, c’est assez pour un
dieu
tel que toi ; Si mon troupeau s’accroît, j’ornera
loi. ( Gresset.) Terme D. Qu’étoit Terme ? R. Terme étoit le
dieu
protecteur des bornes que l’on met dans les champ
les champs, et le vengeur des usurpations. C’est un des plus anciens
dieux
des Romains ; ce fut Numa qui inventa cette divin
, et il étoit permis de les tuer. Le maître d’un champ parle ainsi au
dieu
Terme : Terme, qui que tu sois, ou de bois ou de
Terme, qui que tu sois, ou de bois ou de pierre, Tu n’es pas moins un
dieu
que le dieu du tonnerre ; Garde que mon voisin ne
ue tu sois, ou de bois ou de pierre, Tu n’es pas moins un dieu que le
dieu
du tonnerre ; Garde que mon voisin ne me dérobe r
tés domestiques. Lares, Pénates. D. Quels sont les principaux
dieux
domestiques ? R. Ce sont les Lares et les Pénate
omestiques ? R. Ce sont les Lares et les Pénates. Les Lares sont les
dieux
des maisons particulières. Les Pénates sont les d
Lares sont les dieux des maisons particulières. Les Pénates sont les
dieux
des villes, des pays. On confond souvent les Péna
maisons, derrière la porte ou bien autour des foyers. Le culte de ces
dieux
est venu de ce que l’on enterroit autrefois les m
et propices. Enée, prince Troyen, est célèbre par sa piété envers les
dieux
, et sur-tout pour avoir sauvé de l’incendie de Tr
. Comus. D. Quel étoit l’emploi de Comus ? R. Comus étoit le
dieu
des festins, et présidoit à la toilette et aux fê
présidoit Momus ? R. Momus, fils du Sommeil et de la Nuit, étoit le
dieu
de la raillerie et du badinage. Rien ne trouvoit
a raillerie et du badinage. Rien ne trouvoit grâce à ses yeux, et les
dieux
mêmes étoient l’objet de ses plus sanglantes rail
me le ministre du Sommeil, son père. Quelques-uns le prennent pour le
dieu
même du sommeil. On le représente avec des ailes
Legouvé.) Harpocrate. D. Qu’étoit Harpocrate ? R. Harpocrate,
dieu
Égyptien, fils d’Osiris et d’Isis, présidoit au s
ta, pour se venger des cieux ; Elle aime à publier les foiblesses des
dieux
: Digne sœur des géants qu’écrasa leur tonnerre,
s. Jupiter l’exila du ciel, parce qu’elle ne cessoit de brouiller les
dieux
. On lui donne une chevelure hérissée de serpents,
erre, étoit sœur de Mars. C’étoit elle qui atteloit les chevaux de ce
dieu
, lorsqu’il partoit pour la guerre. Les poëtes la
es Gorgones. R. Les Gorgones étoient trois sœurs, filles de Phorcus,
dieu
marin, et de Céto. Elles s’appeloient Méduse, Eur
urs seuls regards elles pétrifioient les hommes. Persée, favorisé des
dieux
, obtint, pour cette expédition, le bouclier de Mi
s affermis sur la terre ; Sa hauteur est immense, et, par l’ordre des
dieux
, Ce colosse à jamais porte le poids des cieux. (T
les persécutions Junon fit-elle éprouver à Hercule ? R. La reine des
dieux
épuisa touts les efforts de sa fureur jalouse con
ipel des pirates qui l’infestoient, ce qui les fit mettre au rang des
dieux
marins, et, par la suite, invoquer dans les tempê
on, lorsque l’autre paroît. Pollux, seul, parle ainsi : Présent des
dieux
, doux charme des humains, O divine amitié ! viens
re ; et, plus digne des cieux, Je reverrai Castor, et mon père et les
dieux
. ( Bernard.) Esculape. D. De qui Esculape étoit-
ls d’Apollon et de la nymphe Coronis. Il passe pour l’inventeur et le
dieu
de la médecine. Il accompagna Hercule et Jason da
son infortune, il descendit aux enfers, et la redemanda à Pluton. Le
dieu
des enfers, touché des sons de sa lyre, lui rendi
e ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, Hélas ! du sang des
dieux
n’as-tu formé ton fils Que pour l’abandonner aux
Où sont donc ces honneurs où je devois prétendre ? Hélas ! parmi les
dieux
j’espérois des autels, Et je languis sans gloire
Pour charmer leur ennui, Clymène au milieu d’elles Leur racontoit des
dieux
les amours infidelles. Du malheureux berger la gé
il paroisse à mes yeux ; Mon fils a droit d’entrer dans le palais des
dieux
: Fleuve, retire-toi. L’onde respectueuse, A ces
monts de cristal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune
dieu
descend ; il s’étonne, il admire Le palais de sa
s Nymphes, les Tritons, touts, jusqu’au vieux Nérée, Respectent de ce
dieu
la science sacrée. Ses regards pénétrants, son va
enir, Embrassent le présent, le passé, l’avenir ; Précieuse laveur du
dieu
puissant des ondes, Dont il pait les troupeaux da
e l’ombre, Je guiderai tes pas vers une grotte sombre Où sommeille ce
dieu
sorti du sein des flots : Là, tu le surprendras d
sombre arrive Lorsque le loup s’irrite aux cris du tendre agneau, Le
dieu
, sur son rocher, compte au loin son troupeau. A p
à Protée : L’ordre des immortels m’amène devant vous : Daignez… — Le
dieu
, roulant des yeux pleins de courroux, A peine de
ence ; Et, tout bouillant encor, rompt ainsi le silence : Tremble, un
dieu
te poursuit : pour venger ses douleurs, Orphée a
etentit de joie, Eurydice s’écrie : ô destin rigoureux ! Hélas ! quel
dieu
cruel nous a perdus touts deux ? Quelle fureur !
? où traîner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le
dieu
des morts ? Déjà cette ombre froide arrive aux so
, et les mains vers les oiseaux Au secours de Thésée elle appelle les
dieux
. ( La Motte.) D. Donnez-nous quelques détails su
s voyager dans les cieux, S’étonne, les admire, et les prend pour des
dieux
. ( Ovide, trad. de Saintange.) D. Icare suivit-i
e sanglante écume. On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux, Un
dieu
qui d’aiguillons pressoit leurs flancs poudreux.
é N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré : Triste objet où des
dieux
triomphe la colère, Et que méconnoîtroit l’œil mê
nnoissant l’innocence de ce héros, et la protection spéciale dont les
dieux
l’honoroient, lui donna sa seconde fille en maria
it-ce que la toison d’or ? R. C’étoit la toison d’un bélier dont les
dieux
avoient fait présent à Athamas, roi de Thèbes. La
histoire : « Dans une forêt sombre, un dragon furieux » Conservoit du
dieu
Mars le dépôt précieux. » Ses yeux étinceloient d
et Baucis, qui seuls le reçurent. Pour les récompenser, le maître des
dieux
leur ordonna de le suivre au haut d’une montagne.
vue, demande ses armes, et veut poursuivre les princesses ; mais les
dieux
changèrent Progné en hirondelle, Philomèle en ros
se dit votre père, Exposa votre enfance en ce lieu solitaire. Quelque
dieu
bienfaisant guida vers vous mes pas : La pitié me
ar un mélange affreux, Inceste et parricide, et pourtant vertueux. Un
dieu
plus fort que moi m’entraînoit vers le crime ; So
ilà touts mes forfaits ; je n’en connois point d’antres, Impitoyables
dieux
! mes crimes sont les vôtres, Et vous m’en puniss
trie ! ô vénérable asile ! Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les
dieux
! Quatre fois près d’entrer, le colosse odieux S’
nous, nous malheureux qu’attendoit le trémas, Nous rendions grâce aux
dieux
; et notre aveugle joie Faisoit fumer l’encens da
e, par Racine, Agamemnon attend sa fille à l’autel pour l’immoler aux
dieux
. Mais, comme elle tarde trop long-temps à paroîtr
ng-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les
dieux
, Et pour qui, tant de fois prodiguant les caresse
. Ma fille, il est trop vrai ; j’ignore pour quel crime La colère des
dieux
demande une victime. Mais ils vous ont nommée. Un
mon rang, ma sûreté. Arcas alloit du camp vous défendre l’entrée. Les
dieux
n’ont pas voulu qu’il vous ait rencontrée, Ils on
sance : Quel frein pourroit d’un peuple arrêter la licence. Quand les
dieux
, nous livrant à son zèle indiscret, L’affranchiss
ue moi. Montrez, en expiant, de qui vous êtes née ; Faites rougir ces
dieux
qui vous ont condamnée. Allez, et que les Grecs,
outs les droits de l’empire en vos mains confiée, Cruel ! c’est à ces
dieux
que vous sacrifiez ; Et, loin de repousser le cou
son sein, et d’un œil curieux, Dans son cœur palpitant consultera les
dieux
! Et moi, qui l’amenai, triomphante, adorée, Je m
œur n’est point complice ; J’éprouve cependant des tourments infinis.
Dieux
! les plus criminels seroient-ils plus punis ? (
orizon se couvroit des ombres de la nuit, L’infortuné vieillard qu’un
dieu
même a conduit, Entre et paroît soudain dans la t
sont tissus de regrets et d’alarmes, » Lui dit-il ; par mes mains les
dieux
vous ont frappé : » Dans le malheur commun moi-mê
moi. » Je voue à votre fils une amitié de père, ; » J’en atteste les
dieux
, je le jure à sa mère ; » Pour touts mes ennemis
il fait ? à quel titre ? Qui te l’a dit ? Oreste. Qui te l’a dit ?Oh
dieux
! quoi ! ne m’avez-vous pas Vous-même, ici, tantô
près l’assassinat de Pyrrhus. R. Oreste s’exprime ainsi : Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
e je frisonne ? Quelle horreur me saisit ? grâce au ciel, j’entrevoi…
Dieux
! quels ruisseaux de sang coulent autour de moi !
Hermione l’embrasser ! Elle vient l’arracher au coup qui le menace !
Dieux
! quels affreux regards elle jette sur moi ! Quel
les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait touts ces maux : que les
dieux
les leur rendent ! Ulysse. D. Qui étoit Ul
forêts, Que sans trouver la mort nul n’aborda jamais, Cet ennemi des
dieux
que son orgueil blasphème, Soumis à ton empire, i
s de Sicile ? R. Il fut jeté par les vents dans les états d’Éole. Ce
dieu
l’accueillit favorablement, et lui fit présent d’
sauva sur un rocher, et dit arrogamment : J’en échapperai malgré les
dieux
. Mais Pallas le frappa de la foudre. D. Faites-no
Je tremblai, Sophronyme, et tremblai pour moi-même… Pour apaiser les
dieux
, je priai… je promis… Non, je ne promis rien, die
Pour apaiser les dieux, je priai… je promis… Non, je ne promis rien,
dieux
cruels ! j’en frémis… Neptune, l’instrument d’une
chevaux de Rhésus, qu’il enlève le palladium ; enfin, qu’il blesse le
dieu
Mars, et Vénus même, qui venoit secourir son fils
, Priam fut tué par Pyrrhus, à la vue de sa femme et au milieu de ses
dieux
. Énée raconte ainsi à Didon la mort de Priam. J’
ssaim de colombes timides, Se pressoient, embrassoient les images des
dieux
. Dès qu’elle voit Priam vainement furieux, Moins
Mon Hector même en vain renaîtroit de sa cendre. » Approchez : de nos
dieux
l’autel va nous défendre, » Ou sous le même fier
la mort, Priam ne contient plus son douloureux transport : « Que les
dieux
, s’il en est qui vengent l’innocence, » T’accorde
reux, à sa pâle victime, Triomphe d’un cadavre, et, bravant touts les
dieux
, De son sang qui ruisselle il enivre ses yeux. D
e fut la dispute qui s’éleva entre Junon, Minerve et Vénus. Touts les
dieux
avoient été invités aux noces de Thétis et de Pél
Junon et de Minerve contre les Troyens. Au superbe festin touts les
dieux
invités Partageoient le bonheur des époux enchant
t d’Apollon qui l’aimoit, le don de prédire l’avenir. Mais ensuite ce
dieu
, irrité des dédains de la princesse, empêcha qu’o
veau qu’un repentir pieux, Pour les calmer, dit-on, offre enfin à tes
dieux
; Tout flattoit ta pensée, et l’heureuse Phrygie
s mots, de sa main qu’anime un noble effort, Un trait part… Mais quel
dieu
rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pi
ortunée succomba, Énée chargea sur son dos son père Anchise, avec ses
dieux
pénates, prit son fils Ascagne par la main, et se
fils de Vénus et ses compagnons. Éole cède aux desirs de la reine des
dieux
. La flotte d’Énée auroit été submergée dans les f
ussitôt, arrachant sa blonde chevelure, Se meurtrissant le sein : « O
dieux
! quoi ! ce parjure, » Quoi ! ce lâche étranger a
a noblement sous son père, » Cet appui des Troyens, ce sauveur de ses
dieux
! » Ah ciel ! lorsque l’ingrat s’échappoit de ces
elle : » Soleil, dont les regards embrassent l’univers ! » Reine des
dieux
, témoin de mes affreux revers ! » Triple Hécate,
e hurlements funèbres ! » Pâles filles du Styx ! vous touts, lugubres
dieux
! » Dieux de Didon mourante, écoutez donc mes vœu
ts funèbres ! » Pâles filles du Styx ! vous touts, lugubres dieux ! »
Dieux
de Didon mourante, écoutez donc mes vœux ! » S’il
Qu’entendez-vous par le Jupiter Olympien ? R. C’est la statue de ce
dieu
, qui étoit placée dans le temple d’Olympie, ville
soixante pieds et d’une grosseur proportionnée. Elle représentoit le
dieu
assis sur un trône d’or et d’ivoire enrichi de pi
t les acteurs employés dans l’apologue ? R. Ce sont des animaux, des
dieux
, des hommes, des arbres, etc. Le Fabuliste peut a
olennels acquitteront mes vœux. Enfin, bénissons touts la volonté des
dieux
! Nous voici, sur sa tombe, et sur sa cendre même
er les vieillards. Suspends tes pas, jeune homme, arrête, Au nom des
dieux
et de la loi ; Baisse profondément la tête, Un vi
nts du voisinage : Assurément il radotoit. Car, au nom des
dieux
, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vou
e l’Olympe entendue. Mercure vient. Elle n’est pas perdue, Lui dit ce
dieu
; la connoîtras-tu bien ? Je crois l’avoir près d
fois. Je suis content si j’ai cette dernière. — Tu les auras, dit le
dieu
, toutes trois : Ta bonne foi sera récompensée. —
de perdre leur outil, Et de crier pour se le faire rendre. Le roi des
dieux
ne sait auquel entendre. Son fils Mercure aux cri
Aussi brillante que la veille ; Le premier qui la reconnut, S’écria :
Dieux
! comme elle est vieille ! D. Que doit-on penser
a divinité, Percer de mille coups sa rivale étonnée, Et blasphémer le
dieu
dont elle est émanée. ( Le cardinal de Bernis.)
Et jaune et rouge et bleue, Sur le bec de l’oiseau du souverain des
dieux
. L’aigle rit, et lui dit ; Étranger assez leste,
Vous auriez pu sans peine y puiser à toute heure. A toute heure, bons
dieux
! ne tient-il qu’à cela ? L’argent vie
nconvénient, nous avons séparé les métamorphoses et les aventures des
dieux
de leur généalogie et de leurs attributs. La clar
implement, comme nous l’avons dit, la généalogie et les attributs des
dieux
, et la seconde leurs aventures et leurs métamorph
ncipales : La première traitera de la généalogie et des attributs des
dieux
, et de l’histoire des demi-dieux et des héros. La
s pesants et les corps légers se livraient une guerre perpétuelle. Un
dieu
inconnu mit fin à ce désordre, en marquant à chaq
11]. La terre, ainsi repeuplée, vit renaître les arts et le culte des
dieux
[Fig. 12]. [Fig. 11] [Fig. 12] Les anciens
[Fig. 11] [Fig. 12] Les anciens reconnaissaient trois classes de
dieux
: les grands dieux, les dieux subalternes, et les
nciens reconnaissaient trois classes de dieux : les grands dieux, les
dieux
subalternes, et les demi-dieux, au nombre desquel
Divinités du premier ordre Le Destin. Au-dessus de tous les
dieux
était le Destin, divinité toute puissante, née du
ter lui-même ne pouvait en empêcher l’exécution 5. On représentait ce
dieu
sous la figure d’un vieillard aveugle, ayant un p
g. 16]. Comme son règne avait été fort paisible, ils firent de lui le
dieu
de la paix, et Numa Pompilius, second roi de Rome
ter, fils de Saturne et de Rhéa, qu’on nommait aussi Cybèle, était le
dieu
suprême des Grecs et des Romains. Pour le soustra
Saturne, Rhéa le fit élever secrètement dans l’île de Crète. Le jeune
dieu
fut allaité dans une grotte du mont Ida par la ch
montagnes sur montagnes. Jupiter, les voyant s’approcher, appela les
dieux
à son secours ; mais la plupart, saisis d’épouvan
à ses vœux propice, Et croire follement maîtres de ses destins. Ces
dieux
nés du fumier porté dans ses jardins. [Boileau]
uellement ses entrailles toujours renaissantes8 [Fig. 24]. Les autres
dieux
virent avec douleur que Jupiter voulait s’attribu
mmes. De concert entre eux, ils formèrent une femme à laquelle chaque
dieu
ou déesse fit un don particulier. Minerve lui don
s plaisirs. Ce que la Fable raconte de la vie privée de ce maître des
dieux
fait peu d’honneur au paganisme. On retrouve cepe
cendait souvent sur la terre pour s’y désennuyer10. On se figurait ce
dieu
avec un air majestueux, une longue barbe, assis s
Saturne et de Rhéa, épousa Jupiter et devint la reine du ciel et des
dieux
. Elle était d’un caractère impérieux, jaloux et v
ui donne trois enfants : Hébé, déesse de la jeunesse, qui servait aux
dieux
le nectar et l’ambroisie13 [Fig. 28], et fut plus
anymède, prince troyen, enlevé au ciel par l’aigle de Jupiter ; Mars,
dieu
de la guerre, et Vulcain, dieu du feu et des forg
au ciel par l’aigle de Jupiter ; Mars, dieu de la guerre, et Vulcain,
dieu
du feu et des forges. [Fig. 28] Iris, ou l’ar
D’aise on entend sauter les pesantes baleines ; L’eau frémit sous le
dieu
qui lui donne sa loi, Et semble avec plaisir reco
ie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s’écrie ; Il a peur que ce
dieu
, dans cet affreux séjour, D’un coup de son triden
ux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des
dieux
. ( Boileau , trad. d’ Homère.) Neptune avait un
r cheval, on couronnait les chevaux de fleurs pendant les fêtes de ce
dieu
, et il n’était pas permis de les faire travailler
Les principales divinités auxquelles Neptune commandait en qualité de
dieu
des mers étaient : l’Océan et Téthys 15, Nérée et
tée, fils de l’Océan ou de Neptune, était le gardien des troupeaux du
dieu
des mers, qui, pour le récompenser de ses soins,
épouillèrent de ce qu’il avait de mortel, et l’admirent au nombre des
dieux
marins17. Éole, dieu des Vents, habitait les île
l avait de mortel, et l’admirent au nombre des dieux marins17. Éole,
dieu
des Vents, habitait les îles Vulcaniennes ou Éoli
en Sicile, sur les bords de la fontaine Aréthuse [Fig. 37]. Femme du
dieu
des morts, elle était pâle et stérile. [Fig. 37
, le Phlégéton et le Léthé. Le Styx en faisait neuf fois le tour. Les
dieux
juraient par ses eaux, et le serment était irrévo
Tartare, où les attendaient les Furies, ministres de la vengeance des
dieux
. On en comptait trois : Tisiphone, Mégère et Alec
s, on comptait encore la Nuit, la Mort, le Sommeil, les Songes et les
Dieux
Mânes. La Nuit, fille du Chaos, dormait assise su
ersé. [Fig. 44] Elle avait enfanté la Mort sans le secours d’aucun
dieu
. Celle-ci était accroupie au pied du trône de Plu
ait d’autre bruit que le murmure de ses eaux. C’est là que, autour du
dieu
couché et endormi, voltigeaient les Songes, aussi
l, entretenait dans son palais un silence perpétuel. [Fig. 45] Les
Dieux
Mânes étaient pris, tantôt pour les âmes des mort
x Mânes étaient pris, tantôt pour les âmes des morts, tantôt pour des
dieux
infernaux ou génies des morts, qui veillaient sur
anciens ces deux lettres initiales DM, c’est-à-dire Diis Manibus, aux
Dieux
Mânes, comme pour leur recommander l’ombre du mor
implorer l’assistance de Jupiter en faveur de sa fille. Le maître des
dieux
décida que Proserpine serait rendue à sa mère, si
, et avait, entre autres surnoms, ceux de Bonne Déesse et de Mère des
Dieux
. On l’appelait encore Bérécynthie, Dyndimène et I
Jupiter et de l’Atlantide Maïa, était l’interprète et le messager des
dieux
. On le regardait aussi comme le dieu de l’éloquen
l’interprète et le messager des dieux. On le regardait aussi comme le
dieu
de l’éloquence, du commerce et des voleurs. C’éta
vint depuis l’emblème de la concorde. [Fig. 52] Mars. Mars,
dieu
de la guerre, était, suivant l’ancien poète Hésio
le père de Romulus et le protecteur de leur empire. Les prêtres de ce
dieu
se nommaient Saliens, d’un mot latin qui signifie
rut dans l’Olympe, toutes les déesses frémirent de dépit, et tous les
dieux
, séduits par sa beauté, la demandèrent en mariage
à la fidélité qu’elle devait à son époux. Elle aima, entre autres, le
dieu
Mars, et le bel Adonis pour qui elle abandonna l’
onèse. Vulcain. Vulcain, fils de Jupiter et de Junon, était le
dieu
du feu et des forgerons. Lorsqu’il vint au monde,
sta boiteux toute sa vie. Chargé de fournir des foudres au maître des
dieux
, il établit ses forges dans l’île de Lemnos et da
uirait la chose la plus utile à cette ville lui donnerait son nom. Le
dieu
des eaux, d’un coup de son trident, fit sortir de
oup de sa lance, donna naissance à l’olivier, symbole de la paix. Les
dieux
prononcèrent en faveur de Minerve, et la ville fu
talisman et le gage du salut de leur patrie. Apollon. Apollon,
dieu
du jour, de la divination, de la médecine et des
La joie de ce triomphe fut troublée par la mort de son fils Esculape,
dieu
de la médecine [Fig. 59], que Jupiter foudroya po
d’exil, il fut rappelé par Jupiter qui lui rendit sa divinité. Comme
dieu
des beaux-arts, Apollon présidait le chœur des Mu
le rivage étaient immolés sur ses autels25. Bacchus. Bacchus,
dieu
du vin, devait le jour à Jupiter et à Sémélé. Sém
char traîné par des tigres ou des lions. [Fig. 65] Les fêtes de ce
dieu
s’appelaient Orgies ou Bacchanales. Des femmes, d
n oracle avait prédit qu’elle serait l’épouse d’un monstre, tyran des
dieux
et des hommes, et avait ordonné qu’elle fût expos
ec, qui signifie égales, pareilles. Pénates et Lares. Outre les
dieux
publics, chaque ville, chaque maison, chaque indi
dieux publics, chaque ville, chaque maison, chaque individu avait ses
dieux
particuliers. Les divinités des villes se nommaie
t souvent ces deux sortes de divinités. On donnait le nom de Génie au
dieu
qui veillait sur la vie et la conduite de chaque
ailes, et presque toujours une coupe à la main. Comus. Comus,
dieu
de la bonne chère et des danses nocturnes, inspir
e s’appuyait sur un pieu [Fig. 69]. [Fig. 69] Momus. Momus,
dieu
de la raillerie et des bons mots, était fils du S
ls du Sommeil et de la Nuit. Ses sarcasmes n’épargnaient pas même les
dieux
. Livré à la paresse, et ne sachant rien faire de
nt une marotte [Fig. 70]. [Fig. 70] Harpocrate. Harpocrate,
dieu
égyptien, fils d’Osiris et d’Isis, était, chez le
te, dieu égyptien, fils d’Osiris et d’Isis, était, chez les Grecs, le
dieu
du silence. On le représentait sous la figure d’u
esse Angerona qui présidait au silence. [Fig. 71] Pan. Pan,
dieu
des bergers, des troupeaux et des campagnes, étai
ndre, qui était originaire de l’Arcadie, et les Romains honoraient ce
dieu
d’un culte particulier, en mémoire de Romulus et
t Vertumne. Pomone, déesse des fruits, avait pour époux Vertumne,
dieu
des jardins. On la représentait couronnée de feui
une corne d’abondance [Fig. 74]. [Fig. 74] Priape. Priape,
dieu
des jardins et des arbres fruitiers, était fils d
Latins, et petit-fils de Saturne, fut mis, après sa mort, au rang des
dieux
. C’est de lui que descendaient les Faunes, génies
s allongées et une queue de chèvre. [Fig. 76] Terme. Terme,
dieu
latin, présidait aux bornes des champs. Numa intr
upiter un temple au même endroit, il, fallut déplacer les statues des
dieux
qui y étaient déjà. La légende raconte que tous l
statues des dieux qui y étaient déjà. La légende raconte que tous les
dieux
cédèrent sans résistance la place qu’ils occupaie
cupaient, mais que nul effort humain ne put faire bouger la statue du
dieu
Terme, et qu’il fallut nécessairement le laisser
sur un globe mobile et glissant. [Fig. 80] Plutus. Plutus,
dieu
des richesses [Fig. 81], avait originairement la
piter la chassa du ciel, parce qu’elle brouillait continuellement les
dieux
. Irritée de n’avoir point été invitée aux noces d
ros les personnages privilégiés, qui tiraient leur origine, soit d’un
dieu
et d’une mortelle, soit d’un mortel et d’une dées
it de mortel en lui, Jupiter l’appela au ciel, l’admit à la table des
dieux
et lui donna pour épouse Hébé, déesse de la jeune
de Mars, suspendit la dépouille à un arbre dans un bois consacré à ce
dieu
, et le mit sous la garde d’un énorme dragon35 [Fi
cence de Bellérophon ; forcé de reconnaître en lui un mortel aimé des
dieux
, Iobate lui donna sa fille Philonoé en mariage, e
on lui succéda ; mais, sur la fin de sa vie, il encourut la haine des
dieux
, et tomba dans une profonde mélancolie, qui le po
ale, père de Pélops et de l’infortunée Niobé. Tantale, ayant reçu les
dieux
dans son palais, et voulant éprouver leur divinit
’Anchise ; Sarpédon et Elpénor ; Penthésilée, reine des Amazones. Les
dieux
eux-mêmes prirent parti dans cette grande querell
sicien Phémius, en considération du don précieux qu’il avait reçu des
dieux
. Les prétendants l’avaient appelé auprès d’eux po
de la majesté de son visage, et voulant s’assurer si ce n’est pas un
dieu
, il lui fait servir de la chair humaine. À l’inst
et n’en était point aimé. Un jour, pour se dérober aux poursuites du
dieu
, qui était sur le point de l’atteindre, la- nymph
, frappés de ses soupirs, les roseaux rendent des sons harmonieux. Le
dieu
, charmé de la douceur de ces nouveaux sons, joint
enseveli. Elles le pleurèrent pendant quatre mois entiers ; puis, les
dieux
, prenant en pitié leur douleur, les métamorphosèr
s du fleuve. Il déplora son sort avec une voix si mélodieuse, que les
dieux
le changèrent en cygne. Cet oiseau, qui se souvie
acré à Apollon, avait autrefois le plumage blanc. Il crut plaire à ce
dieu
en lui découvrant l’infidélité de la belle Coroni
inqueur. Les Muses, choisies pour arbitres, prononcèrent en faveur du
dieu
du Pinde. Celui-ci attacha son rival à un arbre,
ria Bacchus de lui retirer le funeste don qu’il lui avait fait, et le
dieu
lui ordonna d’aller se baigner dans le Pactole, d
ésie et qu’Apollon aimait. Zéphyre, qui l’aimait aussi, fut jaloux du
dieu
du Pinde. Un jour qu’Apollon jouait au disque ave
in pour guérir Hyacinthe les plantes qui avaient le plus de vertu. Le
dieu
, pour consacrer sa mémoire, le changea en une fle
à l’exception de leur humble cabane, qui fut changée en un temple. Le
dieu
promit alors à ce couple fidèle de leur accorder
alla redemander sa fille à Jupiter, et obtint, par l’entremise de ce
dieu
, que Proserpine passerait alternativement six moi
raye ; je regagne à l’instant le bord, et je vois paraître Alphée, le
dieu
du fleuve. Il vient à moi, et je fuis comme la co
pervier [Fig. 116]. Je cours à travers les bois et les campagnes ; le
dieu
me suit toujours. Enfin, ne pouvant plus marcher,
vait assouvir. Métra, sa fille, que Neptune avait aimée, obtint de ce
dieu
le don de prendre toutes sortes de formes. Érésic
it en ces aimables lieux, J’y ferais, malgré vous, trépigner tous les
dieux
. 2. Métamorphose est un mot dérivé du grec,
dont les cimes ou les flammes semblent menacer le ciel ; et Jupiter,
dieu
des régions supérieures de l’air, serait le ciel,
cesser la sécheresse. Depuis ce temps, Trophonius fut honoré comme un
dieu
, et son antre devint un des plus célèbres oracles
us célèbres oracles de la Grèce. 13. Le nectar était le breuvage des
dieux
, et l’ambroisie, leur nourriture. 14. Les Harpie
Méduse, une des Gorgones. Ces Gorgones étaient trois sœurs, filles du
dieu
marin Phorcus et de Céto, qui habitaient l’extrém
s légers se mêlaient et s’entre-choquaient continuellement, lorsqu’un
dieu
, pour mettre fin à cette lutte prolongée, sépara
commencèrent des chants harmonieux. L’univers fut ainsi créé, et les
dieux
veillèrent à sa conservation. Des diverses cla
et les dieux veillèrent à sa conservation. Des diverses classes de
dieux
. Les païens divisaient leurs dieux en trois cl
ion. Des diverses classes de dieux. Les païens divisaient leurs
dieux
en trois classes : les Grands dieux, les dieux In
aïens divisaient leurs dieux en trois classes : les Grands dieux, les
dieux
Inférieurs et les Demi-dieux. I. Les Grands dieux
dieux, les dieux Inférieurs et les Demi-dieux. I. Les Grands dieux ou
dieux
Supérieurs étaient au nombre de vingt-deux, dont
Cybèle (ou Vesta), Junon, Cérès, Minerve, Vénus et Diane ; parmi les
dieux
, Jupiter, Neptune, Vulcain, Mars, Apollon et Merc
Vulcain, Mars, Apollon et Mercure. Les dix autres appelés Selecti ou
dieux
d’élite, dieux choisis, partageaient avec les dou
Apollon et Mercure. Les dix autres appelés Selecti ou dieux d’élite,
dieux
choisis, partageaient avec les douze grandes divi
rne, Pluton, Bacchus, Janus, les Muses, le Destin et Thémis1. II. Les
dieux
Inférieurs ou dieux du Second Ordre se divisaient
, Janus, les Muses, le Destin et Thémis1. II. Les dieux Inférieurs ou
dieux
du Second Ordre se divisaient en dieux Champêtres
1. II. Les dieux Inférieurs ou dieux du Second Ordre se divisaient en
dieux
Champêtres, dieux Marins, dieux Domestiques et di
nférieurs ou dieux du Second Ordre se divisaient en dieux Champêtres,
dieux
Marins, dieux Domestiques et dieux Allégoriques.
ieux du Second Ordre se divisaient en dieux Champêtres, dieux Marins,
dieux
Domestiques et dieux Allégoriques. III. On appela
se divisaient en dieux Champêtres, dieux Marins, dieux Domestiques et
dieux
Allégoriques. III. On appelait Héros ou Demi-Dieu
llégoriques. III. On appelait Héros ou Demi-Dieux les hommes nés d’un
dieu
et d’une mortelle, ou d’un mortel et d’une déesse
s d’éclat d’être admis au ciel après leur mort. Section première.
Dieux
supérieurs. § 1. Le Ciel et la Terre. Le
ieux supérieurs. § 1. Le Ciel et la Terre. Le plus ancien des
dieux
était le Ciel ou Cœlus, qui épousa la Terre ou Ti
ne, le chassa du ciel et s’établit pour jamais monarque des cieux. Le
dieu
détrôné alla cacher sa défaite en Italie, près du
orée. Elle est aussi appelée la Grande-Mère, parce que la plupart des
dieux
du premier ordre lui doivent la naissance, entre
antage ; Jupiter fut vaincu, et, dans son extrême frayeur, appela les
dieux
à sa défense ; mais les dieux tremblèrent aussi e
t, dans son extrême frayeur, appela les dieux à sa défense ; mais les
dieux
tremblèrent aussi en présence des Géants, et se s
ora l’assistance d’Hercule, un des Dactyles idéens5 ; et aussitôt les
dieux
reprenant courage, quittèrent l’Égypte, s’armèren
r par un vautour. Lycaon, tyran d’Arcadie, se plaisait à immoler aux
dieux
des victimes humaines, et faisait périr, avec une
ua de leur puérile crédulité ; et pour s’assurer si son hôte était un
dieu
, il égorgea un enfant, le coupa par morceaux, et
§ 5. Junon. Junon, sœur et femme de Jupiter, était la reine des
dieux
, la maîtresse du ciel et de la terre, la protectr
s mains avec une chaîne d’or, et la suspendre à la voûte du ciel. Les
dieux
ne purent la dégager de ses entraves : il fallut
ouleurs variées de l’arc-en-ciel. Iris, fille de Junon, messagère des
dieux
, portait leurs ordres sur la terre, sous les eaux
emples aux novices qu’elles initiaient. § 7. Neptune. Neptune,
dieu
de la mer, était fils de Saturne et de Cybèle. Da
travail et d’élever de fortes digues contre la violence de la mer. Le
dieu
se fit maçon, travailla sous les ordres de ce mon
ie. Pluton sort de son trône ; il pâlit, il s’écrie. Il a peur que le
dieu
, dans cet affreux séjour, D’un coup de son triden
t attribuée la création du cheval, un des plus beaux présents que les
dieux
aient pu faire aux hommes ; mais en le créant, il
ssons, et sonnent également de la conque devant le char majestueux du
dieu
des eaux § 8. Pluton. Dans le partage du Mo
gré les remontrances de Minerve. Ivre d’amour et fier de sa proie, le
dieu
pousse avec vigueur ses chevaux noirs, ouvre la t
la voix altérée, elle demande justice de cet enlèvement. Le père des
dieux
essaie de l’apaiser, en lui représentant qu’elle
ouronne est faite de bois d’ébène, dont la couleur obscure annonce le
dieu
des ténèbres ; quelquefois sa tête est couverte d
des surnoms de Pluton, a été appliqué au royaume même que gouverne ce
dieu
; « descendre dans l’Orcus » est l’équivalent de
rtit armée de pied en cap et âgée de vingt ans. Admise au conseil des
dieux
, elle y obtint les plus grandes prérogatives. Ell
r Jupiter transformé en taureau ; Astérie se débattant contre le même
dieu
changé en aigle ; Léda dont il se fait aimer sous
il trompe sous les traits d’Amphitryon. On y voyait encore le roi des
dieux
s’introduire en pluie d’or dans la tour de Danaé,
ue Cécrops venait de bâtir en Attique : Neptune y aspirait aussi. Les
dieux
promirent cet honneur à celui des deux prétendant
ve d’un coup de sa lance produisit l’olivier, symbole de la paix. Les
dieux
se déclarèrent pour la déesse, et la ville s’appe
encore à sa puissance et à ses attraits. Quand elle parut devant les
dieux
, ils en furent épris, et chacun la demandait en m
ole, prêta une oreille complaisante aux flatteries des courtisans. Le
dieu
des buveurs, le dieu des guerriers, Adonis fils d
e complaisante aux flatteries des courtisans. Le dieu des buveurs, le
dieu
des guerriers, Adonis fils de Myrrha, et bien d’a
douleur qu’elle éprouvait de cette perte, elle demanda au maître des
dieux
que son cher Adonis revînt à la vie et lui fût re
ois dans les enfers. On lui éleva des temples ; on le mit au rang des
dieux
, et l’on institua des fêtes en son honneur sous l
était son arbre de prédilection. Cupidon ou l’Amour, fils de Vénus,
dieu
malin, séduisant et trompeur, eut à peine reçu le
s’en défaire. Celle-ci, pour le soustraire aux regards du maître des
dieux
, le cacha dans les forêts, où il suça le lait des
a la première femme, et il sut l’embellir de tant d’attraits, que les
dieux
invitèrent à leur assemblée cette admirable créat
t. Mais Jupiter le dédommagea des disgrâces de l’amour, en le nommant
dieu
du feu, honneur auquel il avait d’autant plus de
d’eux-mêmes et sans impulsion à l’amphithéâtre où se réunissaient les
dieux
. — On représente Vulcain dans sa forge, tout couv
et ; ses cheveux et sa barbe sont négligés. Les principaux fils de ce
dieu
furent : 1° Cécrops, fondateur et roi d’Athènes ;
le brigand Cacus, tué en Italie par Hercule. § 13. Mars. Mars,
dieu
de la guerre, fils de Jupiter et de Junon15, fut
urtout répandu chez les Romains, nation belliqueuse, qui regardait ce
dieu
comme le père de Romulus et le protecteur de l’em
es vœux dans le temple de Mars, touchaient avec solennité la lance du
dieu
, et s’écriaient : « Dieu de la guerre, protège ce
Bellone, déesse de la guerre, sœur de Mars, préparait le char de ce
dieu
lorsqu’il allait au combat. Les poètes et les pei
se des contestations et des troubles qu’elle y occasionnait parmi les
dieux
. — On la représente coiffée de serpents au lieu d
à Apollon, il décocha la seconde à Daphné, fille du fleuve Pénée. Le
dieu
éprouve aussitôt une violente passion pour la bel
Hyacinthe, fils d’Amyclas, était le plus intime ami d’Apollon ; et ce
dieu
, pour le voir plus souvent, s’était chargé de lui
dans l’Olympe, et Jupiter lui rendit son premier emploi. De tous les
dieux
, Apollon est celui dont les poètes ont publié le
t celui dont les poètes ont publié le plus de merveilles. Il était le
dieu
de la Médecine, l’inventeur de la Poésie et de la
colossale de bronze, qui passait pour une merveille. En sa qualité de
dieu
de la poésie, Apollon instruisait les Muses, et h
t les bords fleuris du Permesse et de la fontaine d’Hippocrène. Comme
dieu
des arts, on le représente sous la figure d’un je
re flottante, une lyre à la main, et le front ceint de laurier. Comme
dieu
de la lumière, on le voit, couronné de rayons, pa
re chevaux blancs. Ses principaux enfants furent l’Aurore ; Esculape,
dieu
de la médecine ; Circé, magicienne fameuse ; Linu
gite, lève vers le ciel sa tête brûlante, et conjure le souverain des
dieux
de mettre fin à ses tourments… Jupiter alarmé sai
nversa d’un croc-en-jambe, et lui vola son carquois. Au moment où les
dieux
le félicitaient de sa victoire, il déroba l’épée
fond d’une forêt. Ces larcins multipliés le firent envisager comme le
dieu
des voleurs et des filous. Cependant Apollon ayan
e pastorale qu’avait menée Mercure, en Thessalie, le fit adorer comme
dieu
des bergers. L’invention de la lutte, et les exer
rels dans lesquels il se montrait supérieur, le firent passer pour le
dieu
des athlètes. Mais peu satisfait de ces honneurs
teurs, les rhéteurs se mirent sous sa protection, et il fut appelé le
dieu
des arts libéraux et des belles-lettres. Voulant
en honneur chez les marchands et les négociants, qui l’appelèrent le
dieu
du commerce. L’exil de Mercure faisait un vide à
essager de l’Olympe. En cette qualité, il exécute les commissions des
dieux
, leurs négociations publiques ou secrètes, import
d’espion, d’ambassadeur, de satellite et de bourreau. Par l’ordre des
dieux
, il tua l’incommode Argus, cloua Prométhée sur le
géants, porta Bacchus aux nymphes de Nysa, accompagna Pluton quand ce
dieu
enleva Proserpine… Il serait trop long de poursui
alons, à son bonnet et à son caducée, parce qu’il est le messager des
dieux
; une chaîne d’or lui sort de la bouche, pour mar
conciliateur ; de la main gauche, il présente une bourse, symbole du
dieu
qui protège les marchands. A ses pieds est un coq
l, du lait, et surtout les langues des victimes, parce qu’il était le
dieu
de l’éloquence. § 17. Bacchus. Bacchus, di
ce qu’il était le dieu de l’éloquence. § 17. Bacchus. Bacchus,
dieu
du vin, fils de Jupiter et de Sémélé, vint au mon
a Libye, il implora le secours de Jupiter ; et aussitôt le maître des
dieux
fit paraître un bélier, qui conduisit Bacchus à u
tia sans ménagements ceux qui ne voulurent pas le reconnaître pour un
dieu
, ou qui méprisèrent ses bienfaits. Les Minéides e
vie, et admise au séjour des immortels ; — enfin Lénéus, c’est-à-dire
dieu
des pressoirs, ou qui en fut l’inventeur. Dans le
re. Érigone était jeune et belle : elle enflamma bien vite le cœur du
dieu
, qui ne rêva plus qu’aux moyens de plaire, et dép
mænes ou Chanteuses, parce qu’elles célébraient dans leurs hymnes les
dieux
et les héros. Les poètes les appellent tantôt Pié
mathématiques. § 21. Le Destin. — Les Parques Le Destin est un
dieu
aveugle, fils du Chaos et de la Nuit. Il tient so
es mortels. Ses arrêts sont irrévocables. Son pouvoir s’étend sur les
dieux
mêmes. Les Parques, filles de Thémis, exécutent s
rme avec sa mère qu’une seule et même divinité. Section deuxième.
Dieux
du second ordre. a) Dieux champêtres.
même divinité. Section deuxième. Dieux du second ordre. a)
Dieux
champêtres. § 1. Pan. — Faune. — Les Satyres
§ 1. Pan. — Faune. — Les Satyres. Pan, né en Arcadie, était le
dieu
des campagnes et des bergers. Il vint au monde av
ciel, où sa bizarre structure fut un sujet de divertissement pour les
dieux
. Dans le feu de sa jeunesse, Pan poursuivait, prè
ris, et il n’avait plus qu’un pas à faire pour l’atteindre, quand les
dieux
, touchés de l’angoisse de cette nymphe, la métamo
pouvant se la rendre favorable, la précipita du haut d’un rocher. Les
dieux
changèrent son cadavre en pin, arbre qui se plaît
ire et contribua à ses triomphes. Ce fut dans cette expédition que le
dieu
Pan perfectionna la tactique militaire, inventa l
roi d’Arcadie, obligé de fuir son pays natal, transporta le culte du
dieu
Pan dans le Latium, où ses fêtes furent nommées L
otecteur de l’agriculture, il mérita d’être associé après sa mort aux
dieux
champêtres, et d’obtenir un temple et des autels.
taient inconnus aux Grecs, qui désignaient du nom de Satyres tous les
dieux
chèvre-pieds. § 2. Silène. Silène, divinit
e soutenir. L’enfance de Bacchus lui fut confiée, et il accompagna ce
dieu
dans ses pacifiques expéditions. Au retour des In
rps. Doué d’un esprit vif, subtil, enjoué, il était fort agréable aux
dieux
, qui l’appelaient à leurs festins pour y jouir de
res, à les greffer, à les arroser. Recherchée en mariage par tous les
dieux
champêtres, elle n’en voulut écouter aucun, leur
t l’entrée de ses domaines, et fit clore de murs ses jardins. Mais le
dieu
des saisons, Vertumne, ne se laissa pas rebuter.
ché sous l’herbe piqua cette nymphe, et la blessure fut mortelle. Les
dieux
, pour le punir, envoyèrent parmi ses abeilles une
lé de soupirs : « Ma mère, lui dit-il, à quoi me sert d’être issu des
dieux
et fils d’Apollon, si je dois être à jamais en bu
igna lui-même l’initier aux mystères des Orgies. § 6. Terme. Le
dieu
Terme était le gardien des propriétés, le protect
en marquât l’étendue et les limites. Cette borne fut honorée comme un
dieu
, qu’on appela Terme, et dont le culte fut institu
lte fut institué chez les Romains par Numa Pompilius. La statue de ce
dieu
n’était d’abord qu’une tuile, une pierre ou un tr
deux familles réunies. Un événement miraculeux accrédita beaucoup le
dieu
Terme. Tarquin-le-Superbe voulant bâtir un temple
il fallut déplacer les statues, les niches, les piédestaux. Tous les
dieux
abandonnèrent sans opposition l’endroit qu’ils oc
dieux abandonnèrent sans opposition l’endroit qu’ils occupaient ; le
dieu
Terme résista seul aux efforts qu’on fit pour l’e
ilège qui aurait l’audace de les changer. § 7. Priape. Priape,
dieu
de l’horticulture et de la fructification, naquit
faucille pour moissonner les blés et tailler les arbrisseaux. b)
Dieux
marins. § 8. L’Océan et Téthys. L’Océan,
mander aux vagues ; de l’autre, elle soutient sur ses genoux le petit
dieu
Palémon. Les Tritons conduisent ses chevaux. On l
’huile et du miel24. § 9. Nérée. — Les Néréides. Nérée, un des
dieux
de la mer, épousa Doris, fille de l’Océan, et fut
à ses pas, mais en vain : la nymphe refusait d’écouter ses vœux. Les
dieux
, voulant mettre un terme à des poursuites aussi i
tels, du lait, des fruits et des fleurs. § 12. Protée. Protée,
dieu
marin, né à Pallène en Macédoine, avait pour occu
ques, ou veaux marins, qui composaient le troupeau de Neptune ; et ce
dieu
, pour récompenser son zèle, lui avait donné la co
oue toute espèce de rôles.) § 13. Phorcus. Phorcus ou Phorcys,
dieu
marin, fils de Neptune, est moins connu par lui-m
résistible, il se précipita au sein des flots, et fut métamorphosé en
dieu
marin. Un jour qu’il côtoyait le bord de la mer,
ou philtre, qui pût attendrir Scylla. Glaucus était le plus beau des
dieux
marins. Circé en le voyant conçut pour lui une vi
ssemblent assez aux cornes de ce quadrupède. § 16. Éole. Éole,
dieu
des Vents, petit-fils d’Hippotas, habitait au cen
ent bouleversés et tous les éléments confondus. » Ce monarque, ou ce
dieu
, joue un grand rôle dans la poésie, comme excitan
ïs et Zèthès, argonautes fameux, et Chioné, mère d’Eumolpus. c)
Dieux
domestiques. § 17. Les Pénates ou Lares.
énates ou Lares. On appelait chez les Romains Pénates ou Lares les
dieux
domestiques, les dieux du foyer, les génies prote
appelait chez les Romains Pénates ou Lares les dieux domestiques, les
dieux
du foyer, les génies protecteurs de chaque maison
portaient au cou en guise de collier, ils offraient cet ornement aux
dieux
Lares ; quand un esclave recevait sa liberté, il
dieux Lares ; quand un esclave recevait sa liberté, il consacrait aux
dieux
Lares sa chaîne, en témoignage de reconnaissance.
nommée laraire, et avaient un esclave pour les servir. On offrait aux
dieux
Lares du vin et des fruits ; on les couronnait de
rps. On avait pour les mânes des parents le même respect que pour les
dieux
: on les envisageait comme des divinités protectr
les sépulcres. Les Romains avaient coutume d’inscrire ces mots : Aux
dieux
Mânes ! sur les marbres funéraires, pour rappeler
les Enfers et Pluton. Souvent aussi les Mânes sont confondus avec les
dieux
Lares et avec les Lémures. On appelait Lémures ou
mme redoutables et malfaisantes. § 21. Plutus. Plutus était le
dieu
des richesses. Privé de la vue, il ne pouvait dis
rgent se tirent des entrailles de la terre. § 22. Comus Comus,
dieu
des festins, de la joie et des danses nocturnes,
emment un flambeau renversé. A Comus est ordinairement associé Momus,
dieu
du badinage, de la raillerie et des bons mots. Sa
e, entouré de rideaux noirs : là repose, sur la plume et le duvet, le
dieu
paisible, environné de Songes de toute espèce. Mo
et ne mit dans l’autre que des os ; il présenta ensuite au maître des
dieux
ces deux offrandes, en le priant de choisir. Jupi
don de prophétie, qu’il lisait dans l’avenir, et que la jalousie des
dieux
s’acharnait sur lui. § 2. Atlas. Atlas, fi
es, chargés de pommes d’or, faisaient la convoitise des hommes et des
dieux
. Un dragon à sept têtes, préposé à la garde de ce
ues sont Maïa et Ælectra ou Électre. Toutes sept furent mariées à des
dieux
ou à des héros, et placées après leur mort dans l
n tel désespoir qu’elles le pleurèrent pendant des années, et que les
dieux
touchés de leur déplorable état les transportèren
e d’y mettre le feu. Déjà les flammes enveloppaient le bûcher, et les
dieux
, du haut de l’Olympe, voyaient avec douleur périr
s célestes, et vous approuverez cette distinction méritée. » Tous les
dieux
applaudirent à l’apothéose d’Hercule ; Junon même
ous les jeunes princes qui la demandèrent en mariage. Mais le roi des
dieux
, qui l’aimait, voulant s’introduire près d’elle,
orage au milieu des flots. Leur mort paraissait inévitable ; mais un
dieu
veillait sur cette nacelle, que le vent poussa ju
i l’envisageaient. Persée accepta sans crainte la proposition, et les
dieux
vinrent à son aide. Minerve lui prêta son bouclie
os, en Thessalie. Éson ayant été détrôné par son frère Pélias 30, les
dieux
annoncèrent à l’usurpateur qu’il serait à son tou
antir la piraterie dans l’Archipel, ce qui les fit mettre au rang des
dieux
marins. Ensuite ils accompagnèrent Jason en Colch
exploit qui le fit regarder, dans la suite, comme le protecteur et le
dieu
des athlètes. Castor, qui était né mortel, ayant
tour parmi ses compatriotes, il leur apprit l’origine du monde et des
dieux
, l’explication des songes, l’expiation des crimes
a voix, unie aux sons de cet instrument, enchantait les hommes et les
dieux
: la nature entière était sensible à ses accords.
du ciel, ne craignit pas de descendre aux enfers, pour y implorer le
dieu
des morts et lui redemander sa chère compagne. Il
e douleur. Enfin, après avoir accusé cent et cent fois de barbarie le
dieu
des enfers, il se retira en Thrace, sur le mont R
un et l’autre sous le faix des années et du chagrin, ils prièrent les
dieux
de mettre un terme à leurs maux, et furent métamo
res de l’alphabet, et qui introduisit dans cette contrée le culte des
dieux
de l’Égypte et de la Phénicie. § 10. Amphion .
atès, reconnaissant à de pareils exploits une protection spéciale des
dieux
, retint le héros dans ses États, lui donna sa sec
. Vingt ans après, Œnée ayant offert un sacrifice solennel à tous les
dieux
, pour leur rendre grâces de l’abondance des récol
Atrée et Thyeste. Pélops était fils de Tantale, roi de Lydie. Les
dieux
voyageant dans l’Asie-Mineure sous la figure huma
et l’ayant fait rôtir, le servit avec d’autres viandes apprêtées. Les
dieux
connurent le crime, et s’abstinrent de toucher à
ur réconciliation. Mais, à la fin du repas, lorsqu’on eut invoqué les
dieux
, et que les deux frères se furent juré de vivre e
, on dormait dessus, et l’on recevait durant le sommeil la réponse du
dieu
. § 21. Capanée. — Parthénopée. Capanée, pr
, il se vantait de prendre cette ville quand même Jupiter et tous les
dieux
réunis la défendraient. Il avait pour emblème, su
beau, avec cette devise en lettres d’or : « Je brûlerai Thèbes. » Les
dieux
fatigués de sa criminelle jactance, prièrent Jupi
à Neptune un taureau blanc, qu’il avait promis de lui immoler, et le
dieu
, pour le punir, empoisonna sa vie de malheurs. Ph
ablée de honte, cette infortunée alla se précipiter dans la mer ; les
dieux
la soutinrent au moment de sa chute, et la métamo
, fondit sur le mont Ida, et transporta de là Ganymède à la table des
dieux
. Ilus prit un soin particulier d’embellir la vil
s de Pâris ; Mercure vanta les mérites de ce troyen, et conseilla aux
dieux
de le choisir pour arbitre dans le fameux débat q
ors partageait l’Olympe. Aux noces de Thétis et de Pélée, où tous les
dieux
et toutes les déesses avaient été conviés, la Dis
, où l’attendait Calchas. Calchas couronne la victime, il invoque les
dieux
, marque de l’œil l’endroit où il doit frapper. Il
t avec bonheur sur un rocher, et s’écria : « Je suis sauvé malgré les
dieux
! ». Neptune, témoin de ce blasphème, fendit le r
Arpi). A sa mort, ses compagnons le pleurèrent si amèrement, que les
dieux
touchés de leur douleur les changèrent en cygnes.
le. Idoménée levant les mains au ciel, invoquait Neptune : « Puissant
dieu
, s’écria-t-il, toi qui gouvernes ce l’empire des
age fameux, où la fille d’Apollon, Lampétie, gardait les troupeaux du
dieu
son père : troupeaux innombrables auxquels il éta
te impiété qu’il pria Jupiter d’en tirer vengeance ; et le maître des
dieux
envoya aux profanateurs un signe effrayant de sa
sse seul, qui n’avait point eu de part au sacrilège fut épargné : les
dieux
lui avaient ménagé un fragment de gouvernail qui
ation et l’attachement pour son hôte croissaient de jour en jour. Les
dieux
intervinrent : Mercure le rappela à ses devoirs d
nt à le distraire, durant quelques jours, de ses justes craintes. Les
dieux
protégèrent tant de dévouement filial, et Minerve
ports d’une joie féroce, courent au temple d’Apollon pour y bénir les
dieux
immortels de cette délivrance, et leur offrir des
lui eut accordé ce privilège, elle refusa de tenir sa parole ; et ce
dieu
irrité lui déclara, pour la punir, que personne n
fortunée, il se sauva, la nuit, au travers des flammes, chargé de ses
dieux
pénates, portant son vieux père sur ses épaules,
ses errantes, auraient voulu s’établir ; mais la volonté immuable des
dieux
appelait Énée en Italie ; il résista aux sollicit
n mariage par Turnus, roi des Rutules et neveu de la reine ; mais les
dieux
semblaient s’opposer à cet hyménée et faire éclat
ller, le fit massacrer dans le temple, au moment où il sacrifiait aux
dieux
. Pygmalion réussit d’abord à cacher ce meurtre, f
avec autant de cordialité que d’empressement. A la fin du repas, les
dieux
s’annoncèrent pour ce qu’ils étaient ; et, ayant
4. Midas. Midas, riche et stupide roi de Phrygie, était l’ami du
dieu
Pan et de Bacchus. Un jour que Pan, au milieu des
la lyre d’Apollon ; il eut même l’audace de proposer un défi, que le
dieu
de l’harmonie accepta sans balancer. Les deux riv
es applaudirent à ce jugement. Midas seul réclama la victoire pour le
dieu
Pan, et débita un long discours en faveur de son
n lettres d’or : A Jupiter Bienfaiteur et Conservateur. Le maître des
dieux
ne put voir sans jalousie un simple mortel obteni
fille d’Orchame roi de Babylone. Clytie inconsolable des froideurs du
dieu
, se retira dans le désert, où elle se nourrissait
us, était si parfaitement belle qu’elle captiva le cœur du maître des
dieux
, et causa tant de dépit à Junon que cette reine j
entière à ses devoirs domestiques, elle négligeait trop le culte des
dieux
de la patrie. Latone surtout, qui n’avait que deu
s accepta sans peine la génisse, et promit de se taire. Mais comme le
dieu
prudent se défiait de la discrétion du berger, il
lie les mains derrière le dos, et tandis qu’elle implore la pitié des
dieux
, lui saisit la langue avec des tenailles, et l’ar
ses, et que sa tête paraissait donner des marques de sensibilité. Les
dieux
, touchés du sort de ces malheureux époux, les ava
frapper de ce fer. Elle approche davantage, elle est près de lui : «
Dieux
immortels ! Quoi ! l’Amour est mon amant ! Et c’e
ompées par de simples mortels, qui avaient emprunté le nom de quelque
dieu
! S’il est vrai que Jupiter ait tant d’affection
ns la lui spécifier d’avance. « Vous pouvez exiger de moi, lui dit ce
dieu
, tout ce que vous voudrez : vous ne serez point r
urs Adonis, et pleurait sa perte, eut recours à la science d’Apollon,
dieu
de la médecine, qui lui conseilla le saut de Leuc
, eut recours à Apollon dont il avait été jadis le bienfaiteur, et ce
dieu
s’empressa de lui amener un lion et un sanglier a
chassa du palais. Mais cette cruauté ne tarda pas à être punie : les
dieux
le rendirent aveugle à son tour, et lancèrent à s
pitié de lui, le transporta au ciel, et le fit asseoir à la table des
dieux
. Mais dans cette haute fortune, son hypocrite per
mour, et la conjurer à genoux d’y répondre : affront que la reine des
dieux
paya de dédain, mais qui reçut de Jupiter un autr
on formelle. Parvenu à la demeure de Pluton, Sisyphe se plaignit à ce
dieu
de la barbarie de sa femme, qui refusait à son co
exigea de ses sujets qu’ils lui rendissent les mêmes honneurs qu’aux
dieux
; et il tâcha d’imiter le bruit de la foudre en f
lle. § 20. Les Oracles. Les réponses faites aux hommes par les
dieux
, s’appelaient oracles. On donnait aussi ce nom à
ertains endroits on recevait en songe, pendant la nuit, la réponse du
dieu
. A Claros, le consultant ne posait pas de questio
’elle aucune instruction : il suffisait qu’elle pût répéter ce que le
dieu
lui dictait. Elle ne prophétisait qu’une fois l’a
jetait l’effroi dans l’assemblée. Enfin, ne pouvant plus résister au
dieu
qui la subjuguait, elle proférait par intervalle
en vers ; mais quelques malins voyageurs ayant trouvé étrange que le
dieu
de la poésie fît des vers dépourvus de poésie, la
ns la main. Son souhait lui fut accordé ; mais alors elle se moqua du
dieu
trop crédule, et prit la fuite. Le dieu à son tou
; mais alors elle se moqua du dieu trop crédule, et prit la fuite. Le
dieu
à son tour se moqua d’elle, parce qu’elle avait o
prédire l’avenir, et qui étaient en quelque sorte les interprètes des
dieux
. On avait pour eux une vénération sans bornes, et
la condition humaine : « Ce n’était plus un homme, dit-il, c’était un
dieu
. » b) Jeux Pythiques. Les Jeux Pythiques o
current qui avait composé et chanté le plus bel hymne à la louange du
dieu
dont les flèches avaient abattu le reptile monstr
r74. A sa mort, les Égyptiens reconnaissants la placèrent au rang des
dieux
sous la figure d’une vache, et la qualifièrent de
s confia au cercueil : circonstance qui le fit envisager comme un des
dieux
de Tenter. — On représente Anubis sous la figure
le aux travaux du labourage. Ils adorèrent le bœuf ; ils en firent un
dieu
sous le nom d’Apis. Mais ils ne reconnaissaient p
un dieu sous le nom d’Apis. Mais ils ne reconnaissaient pas pour leur
dieu
et pour leur Osiris incarné, toute espèce de bœuf
e leurs arts et de leurs sciences.) e) Harpocrate. Harpocrate,
dieu
du silence, chez les Égyptiens, est ordinairement
ue à l’entrée de leurs temples, pour marquer qu’il ne faut parler des
dieux
qu’avec circonspection, puisque l’homme ne les pe
Ce culte était fondé, 1° sur la persuasion où était le peuple que les
dieux
, poursuivis par le géant Typhon, s’étaient cachés
du même ciseau, s’inclinaient mollement sur la tête du souverain des
dieux
. Quand Phidias eut terminé son ouvrage, il pria J
logue. La Mythologie ou la Fable est le nom donné à l’histoire des
dieux
, des demi-dieux et des héros de l’antiquité païen
e des fables qui la composent sont invraisemblables et absurdes : des
dieux
boiteux, aveugles, matériels, se battant entre eu
aveugles, matériels, se battant entre eux ou contre les hommes ; des
dieux
pauvres, exilés du ciel et obligés d’embrasser su
es Romains, s’étant égayé, dans un de ses ouvrages, sur le compte des
dieux
, encourut le blâme de ses contemporains. Au Chris
. 9. Titye, un des géants, ayant offensé Latone, mère d’Apollon, ce
dieu
le tua d’un coup de flèche. — Tantale, assassin d
e de cette immortalité à laquelle aspirent les poètes. 23. Sylvain,
dieu
des forêts, est quelquefois confondu avec Faunus.
nto quitta l’Asie et s’établit dans le Latium. Elle épousa Tibérinus,
dieu
du Tibre, qui la rendit mère d’Ocnus (appelé auss
fectionna la tactique militaire, et fut mis après sa mort au rang des
dieux
. 55. Ogygie, petite île que l’on croit située p
65. Apollon et Diane. 66. Selon Ovide, Alcyone était fille d’Éole,
dieu
des Vents. Mais, selon d’autres auteurs, elle des
s que la folie des hommes prétendit par la suite élever aux rangs des
dieux
. Il faudrait une plume beaucoup plus éloquente et
rière, et disparaissent les ténèbres qui enveloppaient les fables des
dieux
. Nous rencontrons encore des fables à chaque pas,
ait lui-même dans l’erreur ; il n’apporta que sa religion et ses faux
dieux
. Nous avons déjà parlé dans cet ouvrage de l’igno
gion. L’idolâtrie la plus grossière régnait alors dans la Grèce ; les
dieux
qu’on y adorait n’avaient pas même de noms ; de s
t le déluge d’Ogygès : c’était dans cet intervalle qu’on trouvait les
dieux
dont nous avons déjà parlé dans cet ouvrage. Les
royaume d’Athènes. Il y établit les lois de son pays, le culte de ses
dieux
, et surtout celui de Minerve, si particulièrement
l’antiquité. Ce fut lui, dit Eusèbe , qui le premier donna le nom de
dieu
à Jupiter, et lui éleva un autel. La grande ress
u’après l’écoulement des eaux, Deucalion alla à Athènes remercier les
dieux
de l’avoir préservé de l’inondation de son pays.
héroïques, à cause de ceux que les poëtes ont appelés les enfans des
dieux
et des héros. Leur vie n’est pas éloignée de cett
mot de éros, amour, pour signifier que les héros étaient les fils des
dieux
et des femmes mortelles, ou des déesses et des ho
s généralement adoptée. Ce nom ne fut d’abord donné qu’aux enfans des
dieux
et des mortels, mais par la suite il fut accordé
s la mort des grands hommes leurs âmes allaient habiter le séjour des
dieux
; cette opinion donna lieu au culte qu’on leur re
x ; cette opinion donna lieu au culte qu’on leur rendit. Le culte des
dieux
et celui des héros n’était point le même : on off
Messéniens et les Thébains commençaient par offrir des sacrifices aux
dieux
, ensuite ils invoquaient les héros de leurs pays.
pays. On croyait généralement que ces derniers concouraient avec les
dieux
à punir l’impiété. Les héroïnes jouissaient des m
élébrité ne s’étendait pas au-delà de la famille ; ils en étaient les
dieux
pénates, et le reste de l’univers ignorait l’exis
. Les monumens élevés aux héros du pays ressemblaient aux temples des
dieux
, et, pour leur rendre un hommage encore plus sole
e faisait surnommer Jupiter, comme nous l’avons dit à l’article de ce
dieu
, trouva moyen de corrompre la fidélité des gardes
lance ; mais Acrise, refusant de croire à la visite du plus grand des
dieux
, fit mourir la nourrice de Danaé, et fit enfermer
en lui ordonnant d’aller tuer Méduse et de lui rapporter sa tête. Les
dieux
vinrent au secours de Persée ; Minerve lui prêta
ec autant de bonheur que de sagesse et de rapidité, on publia que les
dieux
lui avaient prêté leurs armes, Mercure ses ailes
histoire de Persée. Persée, de retour dans la Grèce, remercia les
dieux
de son heureux voyage. Il consacra la proue de so
vaisseau se nommait Pégase ; l’Olympe passait pour être le séjour des
dieux
. Les poëtes embellirent ces deux circonstances, e
sta qu’un instant sur la terre, et dirigea son vol vers le séjour des
dieux
. Persée consacra quelques autres parties de son v
Bellérophon, porteur de la lettre. Le héros partit sous la garde des
dieux
protecteurs de l’innocence, et parvint heureuseme
mps, il fit célébrer des fêtes pendant neuf jours, pour remercier les
dieux
de l’arrivée du jeune prince. Le dixième jour, il
ce. L’oracle consulté répondit que le seul Éacus pourrait apaiser les
dieux
par ses prières. Une partie de la Grèce fut soula
s transporter en Crète, grand nombre de sacrifices furent offerts aux
dieux
pour se les rendre favorables. Thésée, parvenu au
c lequel on exécuta toujours, par la suite, le vœu fait par Thésée au
dieu
Apollon. Tous les ans on envoyait à Délos des amb
branches d’olivier. Cette ambassade se nommait Theoria, ou visite au
dieu
. On employait pour ce voyage le même vaisseau qui
s de Neptune et réclama l’accomplissement de la promesse faite par ce
dieu
d’exaucer son premier vœu. Ce père trop crédule e
ains dans le sang de son fils, l’abandonna au courroux de Neptune. Ce
dieu
fit sortir des abîmes de la mer un monstre horrib
trop tard, l’innocence de son fils ; et la fable ajoute qu’Esculape,
dieu
de la médecine, l’avait ressuscité. Les Athéniens
eté cette fable. Par la suite des temps. Hippolyte fut adoré comme un
dieu
dans Trézène. Diomède lui fit élever un temple, e
alcodon, et se rendit lui-même au bourg de Gagette, où il adressa aux
dieux
ses malédictions contre les ingrats Athéniens. Ce
près sa mort, on se rappela ses actions et sa grande piété envers les
dieux
; on lui rendit les honneurs accordés aux héros ;
s : enfin, plusieurs siècles après, les Athéniens placèrent parmi les
dieux
le héros qui était né parmi eux. Thésée, pendant
e différait des autres hommes que par sa force, et ne ressemblait aux
dieux
des Grecs que par ses faiblesses. » Parmi les He
ssibilité de l’égaler fit dire qu’il devait le jour au plus grand des
dieux
. Jupiter, dit la fable, prit la forme d’Amphitryo
mphes de ce nom ayant oublié Achéloüs dans un de leurs sacrifices, le
dieu
de ce fleuve les entraîna, et les métamorphosa en
s poëmes et de leurs fables. On publia qu’il avait été reçu parmi les
dieux
, et qu’à son arrivée dans le ciel il avait épousé
u à la fable que nous avons déjà citée, et qui le place au nombre des
dieux
de la mer. De là les Argonautes entrèrent dans l’
les à Cysicus ; ensuite il offrit un sacrifice solennel à la mère des
dieux
, et lui fit bâtir un temple sur le mont Dindyme.
ant, et les employer à défricher quatre arpens d’un champ consacré au
dieu
Mars, et qui n’avait jamais été labouré. Après ce
raînée au vice que par une espèce de fatalité, ou par le courroux des
dieux
; par celui de Vénus surtout, qui persécuta sans
oire par ses conquêtes dans la basse Asie ; qu’on l’y honora comme un
dieu
, et qu’après sa mort, Médus, son fils, bâtit la v
t, avec Orphée, les vœux de s’initier aux mystères de Samothrace. Les
dieux
qu’on adorait dans ce pays se nommaient Cabires,
gyptien, adoré dans l’Égypte comme le plus puissant et le premier des
dieux
. Rien n’était plus célèbre et plus sacré que ces
tères de Samothrace. On leur croyait surtout le pouvoir de rendre les
dieux
propices pendant les grandes navigations. Dans ce
à celle de roi. On le regardait comme le ministre et l’interprète des
dieux
. Avant lui, la flûte était presque le seul instru
upables, de guérir les maladies inconnues et de fléchir la colère des
dieux
. Les cérémonies funèbres des Égyptiens lui fourni
corps de ses deux frères, dans l’instant où elle allait remercier les
dieux
de la victoire de son fils. N’écoutant plus alors
moyens de lui plaire ; il ne put la toucher. Il invoqua Bacchus ; le
dieu
, protégeant son ministre, inspira aux Calydoniens
que l’on trouve dans le Voyage du jeune Anacharsis. « La colère des
dieux
s’appesantissait depuis long-temps sur le royaume
e l’enfance, instruit des dangers qu’il avait courus, il consulta les
dieux
; et leurs ministres ayant confirmé par leur répo
les cérémonies ne l’ont été que peu à peu. D’abord on honora les faux
dieux
d’une manière grossière. Les autels de pierre ou
ur des temples était toujours très-orné. On y plaçait les statues des
dieux
, qui souvent étaient d’or, d’ivoire, d’ébène ou d
dait d’autres plus anciens ; mais ils étaient érigés en l’honneur des
dieux
; Hérodote cite, entre autres, celui de Vulcain,
na dans l’Égypte après le temps où les Égyptiens prétendaient que les
dieux
seuls régnaient sur eux. Temple de Diane à Ép
est consacré, comme dans le temps du paganisme il l’était à tous les
dieux
. On croit le plus généralement qu’il fut bâti par
es pièces d’artillerie qui sont au palais Saint-Ange. Les statues des
dieux
, qui remplissaient les niches, ont été pillées ou
nt seuls autrefois des oracles ; mais, par la suite, presque tous les
dieux
et un grand nombre de héros obtinrent ce privilég
pendant un mois de l’année. Cette méthode changea par la suite, et le
dieu
ne parlait plus alors que pendant un seul jour de
s tous de la même manière. Quelquefois la prêtresse parlait au nom du
dieu
: d’autrefois le dieu lui-même proférait ses répo
ère. Quelquefois la prêtresse parlait au nom du dieu : d’autrefois le
dieu
lui-même proférait ses réponses. Dans quelques li
on avec une tête de bélier et des cornes. Quatre-vingts prêtres de ce
dieu
portaient sa statue sur leurs épaules, dans un na
; ils ne tenaient aucune route certaine, et laissaient croire que le
dieu
les poussait. Une nombreuse troupe de jeunes fill
et depuis ce temps l’oracle de Delphes ne parla plus qu’au nom de ce
dieu
. Dans les premiers temps de la découverte de cet
nir à cette dignité. Il suffisait que la Pythie pût répéter ce que le
dieu
lui dictait. La coutume de choisir de jeunes vier
es assistans d’une sainte frayeur. Enfin, ne pouvant plus résister au
dieu
qui l’agitait, elle s’abandonnait à lui, et profé
ontenelle ) aux cérémonies mystérieuses des oracles. Presque tous les
dieux
et le plus grand nombre des demi-dieux et des hér
nombre des demi-dieux et des héros avaient leurs oracles ; aucun des
dieux
cependant n’en avait un aussi grand nombre qu’Apo
uverneur de Cilicie, dit Plutarque, voulut envoyer un espion chez les
dieux
. Il donna à son émissaire un billet bien cacheté
lait Déiphobe. Elle était fille de Glaucus et prêtresse d’Apollon. Ce
dieu
voulut la rendre sensible, et lui promit de lui a
on, rendait ses oracles du fond d’un antre placé dans le temple de ce
dieu
. Cet antre avait cent portes, d’où sortaient auta
arle de Loth, et se dit chrétienne. Elle recommande le culte des faux
dieux
, ordonne des sacrifices de victimes humaines, et
, les néméens et les isthmiens. Ils furent institués pour honorer les
dieux
, célébrer la mémoire des grands événemens, et for
table nom était Frige, fils de Fridulphe. Il avait pris celui à Odin,
dieu
suprême des Scythes, soit qu’il eût su se faire p
thes, soit qu’il eût su se faire passer pour un homme inspiré par les
dieux
, soit qu’il fût le premier prêtre ou le chef du c
soit qu’il fût le premier prêtre ou le chef du culte qu’on rendait au
dieu
Odin. On sait que plusieurs nations donnaient à l
n. On sait que plusieurs nations donnaient à leurs pontifes le nom du
dieu
qu’ils servaient. Frige, rempli de ses projets am
enne. Leur ville principale était Asgard. Le culte qu’on y rendait au
dieu
suprême était célèbre dans tous les pays voisins
même des autres princes Anglo-Saxons. Le nom d’Odin désignait donc le
dieu
suprême des Scythes et des Celtes. On sait aussi
si que les héros de toutes ces nations se prétendaient issus de leurs
dieux
, et surtout du dieu de la guerre. Les historiens
outes ces nations se prétendaient issus de leurs dieux, et surtout du
dieu
de la guerre. Les historiens de ces temps (c’est-
ent les louanges, et multipliaient ainsi les descendans d’Odin, ou du
dieu
suprême. Après avoir soumis autant de peuples à s
te, en mourant, qu’il allait en Scythie prendre place avec les autres
dieux
, à un festin éternel, où il recevrait, avec de gr
cythie et des confins de la Perse. Il est plus probable encore que le
dieu
dont il se dit le prophète et le pontife se nomma
es runiques ; mais ce qui contribua le plus à le faire passer pour un
dieu
, c’est la croyance où l’on était qu’il excellait
p d’adresse, et des talens peu communs, put facilement passer pour un
dieu
dans un pays où personne ne l’égalait, et dans le
de leurs sages. Cette religion des sages enseignait qu’il y avait un
dieu
suprême maître de l’univers, auquel tout était so
tre de l’univers, auquel tout était soumis et obéissant. Tel était le
dieu
des Germains ; selon le rapport de Tacite . L’an
e, le scrutateur des choses cachées, l’immuable. Elle attribuait à ce
dieu
une puissance infinie, une science sans bornes, u
elligence qui les animait. Le motif de ce culte était la crainte d’un
dieu
irrité par les péchés des hommes, mais clément, e
uples, vaincus par les armes et le luxe des Romains, adoptaient leurs
dieux
et se soumettaient à leur joug. Il est donc proba
que la plus sensible altération quelle éprouva concerna le nombre des
dieux
que I on devait adorer. Les Scythes adoptaient, c
licité de cette religion, et les Scandinaves finirent par associer au
dieu
suprême les divinités subalternes. La crainte, le
evinrent la mesure déshonneurs qu’ils rendaient ; ce fut ainsi que le
dieu
suprême, dont l’idée première embrassait tout ce
ut plus honoré par le plus grand nombre des Scandinaves, que comme le
dieu
de la guerre. Nul objet, suivant eux, ne pouvait
euses qui, dans la mythologie islandaise, nous montrent Odin comme le
dieu
terrible et le sévère, le père du carnage, le dép
ui doit toujours vivre ; et avant que le ciel et la terre fussent, ce
dieu
était déjà avec les géans. Il est vraisemblable q
dialectes, Odensdag, Ousdag, Wodensdag et Wednesday, jour d’Odin. Ce
dieu
passait aussi pour l’inventeur de tous les arts :
nciens Syriens, et les premiers habitans de la Grèce croyaient que le
dieu
céleste s’était uni avec la terre pour produire l
ls avaient pour la terre. Ils l’appelaient la terre mère, la mère des
dieux
. Les Phéniciens adoraient ces deux principes, sou
s, Saturne et Ops. Les Scythes servaient la terre comme une épouse du
dieu
suprême ; Tacite attribue le même culte aux Germa
des Scandinaves se nommait Thor. Jules César parle expressément d’un
dieu
des Gaulois qui présidait aux vents, aux tempêtes
igne la foudre. Il était regardé comme le défenseur et le vengeur des
dieux
. Outre cette massue qui revenait d’elle-même dans
; c’était avec ces armes redoutables qu’il combattait les ennemis des
dieux
. Les trois divinités que nous venons de nommer co
e nous venons de nommer composaient la cour ou le conseil suprême des
dieux
; ils étaient le principal objet du culte. Mais t
mmédiate protection de Thor ; et les Suédois avaient choisi pour leur
dieu
tutélaire Freya, qui, suivant l’Edda, présidait a
ner ; nous ne ferons qu’indiquer les principales. L’Edda compte douze
dieux
et douze déesses, qui recevaient les honneurs div
s dont le pouvoir était subordonné à celui d’Odin, le plus ancien des
dieux
, et le principe de toutes choses. Tel était Niord
ait sur l’a mer et sur les vents. Les Celtes le plaçaient au rang des
dieux
élémentaires ; mais l’importance et l’étendue de
ainte est la plus superstitieuse des passions. Balder était un autre
dieu
, fils d’Odin, sage, éloquent et doué d’une si gra
Grecs nommaient Apollon. Tyr, qu’il faut distinguer de Thor, était un
dieu
guerrier, protecteur des braves et des athlètes.
dieu guerrier, protecteur des braves et des athlètes. Bragé était le
dieu
de l’éloquence et de la poésie. Sa femme Iduna av
la poésie. Sa femme Iduna avait la garde de certaines pommes dont les
dieux
mangeaient quand ils se sentaient vieillir, et do
ent le nom de Loke au mauvais principe, et le plaçaient au nombre des
dieux
. C’est, dit l’Edda, le calomniateur des dieux, le
plaçaient au nombre des dieux. C’est, dit l’Edda, le calomniateur des
dieux
, le grand artisan des tromperies, l’opprobre des
lomniateur des dieux, le grand artisan des tromperies, l’opprobre des
dieux
et des hommes. Il est beau de sa figure, mais son
serpent Migdard, et Héla, ou la Mort. Tous les trois sont ennemis des
dieux
, qui, après divers efforts, ont enfermé le loup F
é jeté dans la mer, on il restera jusqu’à ce qu’il soit vaincu par le
dieu
Thor ; et Héla, ou la Mort, est reléguée dans les
ait le partage entre ceux qui lui sont envoyés. Loke, enfermé par les
dieux
dans une caverne fermée par trois pierres trancha
fin des siècles ; mais alors il sera tué par Hiemdal, l’huissier des
dieux
. La mythologie islandaise comptait douze déesses,
ent, ainsi que la victoire, qu’à la seule volonté d’Odin. La cour des
dieux
se tient ordinairement sous un grand frêne ; c’es
courage. Après avoir indiqué les noms et les attributs des principaux
dieux
, nous exposerons quelques autres dogmes de la rel
cents vers, et renferme un abrégé de toute la mythologie du Nord. Le
dieu
suprême était regardé comme le créateur du ciel e
sa famille. Alors un nouveau monde se forma. Les fils de Bor, ou des
dieux
, traînèrent le corps du géant dans l’abîme, et en
s duquel ils placèrent des géans. Un jour que les fils de Bor, ou des
dieux
, s’y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de
e femelle et un mâle naissent de ses flancs ; cette race des fils des
dieux
, ce déluge, dont un seul homme échappa avec sa fa
uit le déluge ; ce premier homme, cette première femme, créés par les
dieux
, et qui en reçoivent le mouvement, tout cela ne p
xistante, mais sans forme et sans vie, fut animée et disposée par les
dieux
dans l’ordre où nous l’admirons aujourd’hui. Null
es songes, les visions, comme des instructions ou des inspirations du
dieu
suprême. De là les oracles, les divinations, les
n celte se bornaient à se montrer intrépide à la guerre, à servir les
dieux
, à les apaiser par des sacrifices, à n’être pas i
s et des géans, conduite par leurs princes, entrera pour attaquer les
dieux
; mais Hiemdal, l’huissier des dieux, se lève, il
inces, entrera pour attaquer les dieux ; mais Hiemdal, l’huissier des
dieux
, se lève, il fait résonner sa trompette bruyante
sier des dieux, se lève, il fait résonner sa trompette bruyante ; les
dieux
se réveillent et se rassemblent ; le grand frêne
ne agite ses branches ; le ciel et la terre sont pleins d’effroi. Les
dieux
s’arment, les héros se rangent en bataille ; Odin
eltes, et c’était sur elle qu’était fondée l’obligation de servir les
dieux
et d’être brave dans les combats. Sans ce monumen
coupables. La première était le palais d’Odin, nommé Valhalla, où ce
dieu
recevait tous ceux qui étaient morts d’une manièr
La religion celtique enseignait généralement que c’était offenser les
dieux
que de prétendre les renfermer dans une enceinte
faisaient reconnaître la déesse du plaisir. On honorait Odin comme le
dieu
des combats et de la victoire : Thor, comme celui
vec beaucoup d’éclat, à l’entrée du printemps, et l’on demandait à ce
dieu
des combats des succès heureux dans les expéditio
coltes et les plus beaux fruits de la terre couvraient les autels des
dieux
. Par la suite, on immola des animaux. On offrit à
ur principe que l’effusion du sang des animaux apaisait la colère des
dieux
, et que leur justice détournait sur ces innocente
ns. Les peuples du Nord croyaient que le nombre trois était chéri des
dieux
. Chaque neuvième mois ou trois fois trois, on ren
onsulter leurs entrailles, et démêler dans leurs cœurs la volonté des
dieux
, les biens ou les maux à venir. Les tristes reste
e peuple, en partie sur le bois sacré ; on en arrosait les images des
dieux
, les autels, les bancs et les murs du temple au-d
eigneurs portaient les premiers des santés ou saluts en l’honneur des
dieux
; chacun buvait ensuite en faisant sa prière ou s
éral sur la terre. Les Gaulois ont offert longtemps des hommes à leur
dieu
suprême, Esus ou Teutat. Les premiers habitans de
de la propriété ; de là cet impie préjugé qui leur fait imaginer les
dieux
sanguinaires comme eux ; de là ces lois de sang q
fait remarquer que toutes les nations se donnent pour fondateurs des
dieux
ou des héros imaginaires ; nous avons montré les
iennent des monumens qui déposent en faveur de la vérité. Le nom d’un
dieu
, celui d’un sage inconnu jusqu’alors, et qu’il a
La fonction de ces druides, d’un rang inférieur, était de chanter les
dieux
et les héros. Les vainqueurs, jaloux d’immortalis
barde sublime témoigne du mépris pour les temples et le culte d’Odin,
dieu
des Scandinaves, qu’il appelle Loda. Ossian repré
ves, qu’il appelle Loda. Ossian représente ces peuples invoquant leur
dieu
, autour d’une statue qu’il appelle la pierre du p
e certain qu’Ésus, Dis, Pluton, Samothès, Teutatès et quelques autres
dieux
n’étaient parvenus à leur connaissance que par le
a victoire : les Romains leur apportèrent aussi quelques-uns de leurs
dieux
. Tacite et Dion Cassius assurent que ce furent l
istres de leur religion. Les mages rejetaient l’opinion qui donne aux
dieux
une origine humaine, et ne les séparaient point e
ui donne aux dieux une origine humaine, et ne les séparaient point en
dieux
et en déesses. Il en était de même parmi les drui
dégradation. Les conquêtes de Jules César introduisirent de nouveaux
dieux
dans les Gaules, et l’on y bâtit alors les premie
et particulières, science de prédire l’avenir, soin de consulter les
dieux
, de répondre en leur nom, d’étudier la nature ; d
ts fondamentaux de cette doctrine se réduisaient à trois : Adorez les
dieux
, ne nuisez à personne et soyez courageux. Leur sc
rmés dans des paniers d’osier, pour être brûlés vifs en l’honneur des
dieux
. 12°. Il ne faut pas permettre le commerce avec l
orale des druides se réduisait à trois points principaux. Honorez les
dieux
, ne nuisez à personne, et soyez courageux. Commen
a forme de ceux qui le suivront. Homère doit figurer à la tête de ses
Dieux
, de ses Héros, et des autres Personnages célèbres
ton mode assorti de sons mélodieux, Porte le nom divin de Langage des
Dieux
. Mais les Dieux sont encor l’œuvre de ton génie.
de sons mélodieux, Porte le nom divin de Langage des Dieux. Mais les
Dieux
sont encor l’œuvre de ton génie. L’antique mervei
l’Univers adopta ; C’est toi qui l’as créé : ton génie inventa De ces
Dieux
mensongers la brillante chimère ; L’Olympe de la
jours beau Comme les Cieux, les Mers et la Nature. Cournand 6.
Dieux
Saturne, Fils du Ciel et de Vesta. S
s, Dans leur palais inaccessible ! Du haut de la sphère des airs, Les
Dieux
seuls, d’un air immobile, Contemplent les êtres d
drai sans gloire Dans la tombe de mes aïeux : Mais si j’ai révéré les
Dieux
, Tu dois épargner ma mémoire. Légier 8. Jup
Fils de Saturne et de Cybèle. Le plus grand et le Souverain des
Dieux
. Sa mère le déroba à la cruauté de Saturne, en le
a l’empire de la Mer à Neptune, celui des Enfers à Pluton. Les autres
Dieux
ayant voulu se soustraire à sa domination, il les
Embrasse la Terre et les Cieux, Jupiter, ignoré des Mortels et des
Dieux
, Voyoit la Crète élever son enfance. L
les murs de Troie, sous Laomédon, avec son frère Neptune. Le Père des
Dieux
sensible à ses malheurs, le rappela dans la Cour
x est le secret du Sage : Triomphant, il revint s’asseoir au rang des
Dieux
: Là, faisant plus d’heureux, il le fut davantage
l’onde, Et le cercle des Cieux, voûte immense du Monde. L’Onde a ses
Dieux
marins, et Prothée et Triton, Triton la conque en
t escalader le Ciel. Bacchus fut, après Jupiter, le plus puissant des
Dieux
. Orphée établit en son honneur les Bacchanales ou
Mercure, messager céleste, Méprisoit fort les autres
Dieux
. Tous à son gré, de défauts très-nombreux
Termine sa course incertaine. Mon ami, lui dit-il, des
Dieux
Je voudrois bien acheter les Statues.
ats, en honneur ! Ce n’est pas mettre à sa valeur Des
Dieux
et des hommes le maître. — Et Junon ? — Tout auta
rçans élevés jusqu’aux Cieux, Imploroient le secours du Souverain des
Dieux
. Jupiter, armez-vous du Foudre, Tonnez, renverse
i luit sur sa tête guerrière, Le place au rang des
Dieux
. Lebrun 24. Le jour fatal se lève, et la t
œuds tissus par la nature, Que l’amour forme, et que l’honneur épure,
Dieux
! quel plaisir d’aimer publiquement, Et de porter
s d’Alcmène, après ses longs travaux, Fut reçu dans le Ciel, tous les
Dieux
s’empressèrent De venir au-devant de ce fameux Hé
ore ; Et vous, fils de Chiron, élèves d’Epidaure, Venez : la main des
Dieux
, sensible à tous nos maux, En cacha le remède au
otte à la main. Curieux et malin, Momus épioit toutes les actions des
Dieux
, et les reprenoit avec une liberté franche et cau
s le firent chasser du Ciel. Le mauvais Ménage. Jadis le Roi des
Dieux
, soit ennui, soit caprice, Chargea Momus,
. Pétrone. — Deguerle 44. Pénates ou Lares. C’étoient des
Dieux
domestiques et particuliers à chaque famille. On
Villes et les Empires avoient aussi leurs Pénates, qui étoient leurs
Dieux
protecteurs. Protecteurs de mon toit rustiqu
’une douce étude Décide mon front sérieux. Vous mes Pénates, vous mes
Dieux
, Ecartez ce qu’elle a de rude ; Et que les vents
, Portant le désordre et l’effroi, Sépara les
Dieux
de la Terre. La Terre, en ces
ercle nombreux On disputoit sur le Silence, On le mettoit au rang des
Dieux
, Et l’on avoit raison, je pense. Son emblême étoi
de.— Saint-Ange 50. Sur ces demeures solitaires, Veillez, ô mes
Dieux
tutélaires. Déjà Morphée au teint vermeil Abaisse
sur ces bords, amis, près du tombeau d’Anchise, Faudra-t-il, que des
Dieux
la faveur nous conduise, Sans que nous acquittion
ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère des
Dieux
. On la représente avec une tour sur la tête,
d’effrayantes contorsions. C’est sur tant de bienfaits que, des
Dieux
qu’on révère, De l’homme, de la brute, on la nomm
ingrat, Qui se livrant sans honte au plus noir attentat, Outrage les
Dieux
même en ceux dont il tient l’être, D’âge en âge,
Elle persécuta ses nombreuses amantes ; elle osa même se joindre aux
Dieux
révoltés contre lui. Aussi orgueilleuse que jalou
(on rit peu dans les Cieux.) Je la plaindrois, je plaindrois tous les
Dieux
D’être immortels, si ces Dieux qu’on révère Devoi
la plaindrois, je plaindrois tous les Dieux D’être immortels, si ces
Dieux
qu’on révère Devoient traîner leur triste éternit
our ce cœur si fier, Il est flatteur de marcher la première Parmi les
Dieux
, et près de Jupiter. Il faut pourtant à cette Rei
Apperçut un lieu solitaire, Où le Fils de Vénus et les
Dieux
de Cythère Dormoient sous un ombrag
prompte colère S’exhale en ce discours qu’elle adresse tout bas A ces
Dieux
endormis qui ne l’entendent pas : Vous, par
pproche, et ses Nymphes timides Portant sans bruit leurs pas vers ces
Dieux
homicides, D’une tremblante main saisissent leurs
perfides Sèment les plaines et les bois. Tous les
Dieux
des forêts, des fleuves, des montagnes, Viennent
avec pompe dans l’Olympe, où ses attraits ravissans enchantèrent les
Dieux
. Vénus eût été parfaite, si à la beauté, elle eût
N’éprouvent plus cette frayeur sacrée Que fait sentir la présence des
Dieux
: Si d’un nuage elle marche entourée, On reconnoî
Pour réparer l’affront qu’à l’Infidelle Il fit jadis en présence des
Dieux
. Il n’appartient qu’aux Grâces de décrire Tous le
front, façonnés en olives. Imbert 74. Les Arbres protégés par les
Dieux
. Les Immortels, du haut des airs
sembloit toucher les Cieux, Eut les premiers regards du souverain des
Dieux
, Vénus avec un doux sourire, C
œurs épurés, Aux devoirs, aux vertus sont ici consacrés, Pour qui les
Dieux
ont fait, dans ce paisible asile, Loin des erreur
rès alla conjurer Jupiter de lui faire rendre Proserpine. Le Père des
Dieux
le lui promit, pourvu qu’elle n’eût rien mangé da
l’arbre fécond de Pyrame, Le ver à soie ourdit sa trame, Qui pare les
Dieux
et les Rois : Les fraises parfument les bois, L’é
ter voulut l’épouser ; Thémis s’étant refusée à ses vœux, le Père des
Dieux
triompha de sa résistance, et eut d’elle la Paix
Que j’aime à revoler vers ces fêtes champêtres Où Rome célébroit les
Dieux
de ses ancêtres, La Déesse des blés et le Dieu de
er le Nectar à Jupiter. Ayant eu le malheur de tomber en présence des
Dieux
, elle fut si honteuse de sa chûte, qu’elle n’osa
e char de Junon. Elle épousa dans la suite Hercule, admis au rang des
Dieux
, et rajeunit à sa prière son vieux cocher Jolas.
de ses services : c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-Ciel. La Reine des
Dieux
l’aimoit beaucoup, parce qu’elle ne lui avoit jam
e, Est un sallon peint en vermeil Et tout éclatant de lumière, Où les
Dieux
tiennent leur conseil. Trois cent soixante-cinq c
rs tours et retours faciles, Malgré leurs circuits éternels, Pour les
Dieux
ils sont immobiles, Mais ils courent pour les mor
ngères : Rien ne peut y blesser vos yeux. Votre frère est le seul des
Dieux
, Dont vous verrez chez moi l’image… Vos bienfaits
rintemps pour saison ; Des lits de fleurs, un antre pour maison ; Les
Dieux
pour rois, la vertu pour noblesse ; Point d’indig
là, sur le marbre et le cuivre, Les arts à ses yeux font revivre Des
Dieux
dont il vit le trépas. Nouvel ordre ! chaque
les miracles, Et pour triompher des obstacles, Dispose du pouvoir des
Dieux
. Melpomène, les yeux en larmes, De cris touc
malfaisante qui se plaisoit à semer la haine et la division parmi les
Dieux
. Chassée du Ciel, elle vint troubler la Terre. En
alors fortunée, Dirigea son vol destructeur ; Mais les
Dieux
prévoyant que sa triste influence, Feroit pleuvoi
us, où affluoit toute la Grèce. Cléopâ tre. Enfin, graces aux
Dieux
, j’ai moins d’un ennemi ; La mort de Séleucus m’a
nt au nombre de trois, Alecton, Tisiphone et Mégère. Chargées par les
Dieux
de venger le crime, elles tourmentoient les scélé
lampe héréditaire, Dont la flamme incertaine éclaire La table où les
Dieux
sont assis. Errant sur des tapis de mousse, Le ve
son nom ma superbe espérance…. Destin cruel ! impitoyables
Dieux
! Vous vous jouez ainsi de notre attent
e126. Ambrosie et Nectar L’Ambrosie étoit la nourriture des
Dieux
de l’Olympe : le Nectar étoit leur breuvage. Ils
nheur et l’immortalité. De Jupiter on célébroit la fête, Et tous les
Dieux
, grands, moyens et petits, Devant son trône, ayan
alais de ses bienfaiteurs Du peuple la fouie entraînée, Imploroit les
Dieux
protecteurs. Aux vœux qu’on faisoit pour Aug
and la lumière ; Et son front large, inquiet et troublé, Soutient des
Dieux
le palais ébranlé. Bernis 130. Hercule mouran
e ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, Hélas ! du sang des
Dieux
, n’as-tu formé ton fils Que pour l’abandonner aux
Où sont donc ces honneurs où je devois prétendre ? Hélas ! parmi les
Dieux
j’espérois des autels, Et je languis sans gloire,
Pour charmer leur ennui, Climène au milieu d’elles Leur racontoit des
Dieux
les amours infidelles, Et Vénus de Vulcain trompa
il paroisse à mes yeux ; Mon fils a droit d’entrer dans le palais des
Dieux
; Fleuve, retire-toi. L’onde respectueuse, A ces
Les Bergers de Sicile, Aux Mânes de Daphnis. Berger, qui des
Dieux
Le plus bel ouvrage, Montras dans ces lieux Le ra
pousse un long cantique, L’Arbre s’écrie : il est, il est au rang des
Dieux
. Virgile. — Domergue 135. Héros Ja
Achille , redemandant le corps d’ Hector . Achille, au nom des
Dieux
, dont vous êtes l’image. Rappelez-vous un père, u
oi l’affront d’un refus odieux ; Soyez compatissant, et respectez les
Dieux
. Songez à votre père : ah ! je suis plus à plaind
cruelle piété, égarée par l’oracle de Chalcas, lui fit sacrifier aux
Dieux
sa fille Iphigénie. Non moins jaloux de son rang
cœur n’est point complice ; J’éprouve cependant des tourmens infinis.
Dieux
! les plus criminels seroient-ils plus punis ? C
ns les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux : que les
Dieux
les leur rendent ! Sophocle. — La Harpe 144.
, Et rien ne peut, barbare, appaiser ton Courroux ! Me préservent les
Dieux
de ces transports jaloux ! Si tu livres la Grèce
vant moi, Et croiront voir Achille entrant dans la carrière. Fils des
Dieux
, laisse-toi fléchir à ma prière : Tu peux sauver
, N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré ; Triste objet où des
Dieux
triomphe la colère, Et que méconnoîtroit l’œil mê
infortunée, il se sauva la nuit du milieu des flammes, chargé de ses
Dieux
Pénates, portant son vieux père sur ses épaules,
’avoir vengée d’Iarbe, roi des Gétules, il l’abandonna pour obéir aux
Dieux
. Il aborda ensuite en Sicile, et de là en Italie,
De leurs fouets déchirans frappant ses mains impies ; Elle promet aux
Dieux
d’expier son erreur Dans le sang de ces Grecs que
par le mélange heureux Des dons les plus parfaits que dispensent les
Dieux
… D’une dure cuirasse elle presse ses charmes
ni l’éclat de leurs yeux. L’incarnat de leur teint brille du sang des
Dieux
. Envain à les dompter l’homme oseroit prétendre,
t de son temps qu’arriva le fameux déluge qui a illustré son nom. Les
Dieux
irrités des crimes des hommes, engloutirent la te
ise humblement la pierre. Si jamais, dirent-ils, l’homme a fléchi les
Dieux
Si ses maux ont trouvé grace devant leurs yeux, O
s vains, Lui dit-il, ou du Ciel l’oracle est légitime : Non, non, les
Dieux
jamais n’ont ordonné le crime. La terre est en ef
Contemploit d’un air fier, son chef-d’œuvre nouveau : Il défioit les
Dieux
, en le voyant si beau ; Moi-même j’admirois et l’
peut le résoudre, Il relève son front sillonné par la foudre, « Des
Dieux
qui m’ont vaincus soyons encor l’égal, « Dit-il :
encor l’égal, « Dit-il : dût mon orgueil me devenir fatal ; « De ces
Dieux
détestés bravons la tyrannie, « Sans le feu de l’
ué d’un vol audacieux, A tes pieds, Roi des arts, il rendit grace aux
Dieux
; Tu reçus le tribut de ses ailes fragiles : Il c
Penthée, Roi de Thèbes, Fils d’Échion et d’Agave. Ennemi des
Dieux
et de leur culte, il osa braver Bacchus à son ret
urs. Non, Arion espère, admire, Les
Dieux
prennent soin de ton sort : Un Dauphin attiré par
erbe laurier, dont les rameaux antiques Formoient un sanctuaire à ses
Dieux
domestiques. Hécube et ses enfans, fuyant le coup
douleur et d’effroi, Ne peut se contenir : s’il est quelque justice,
Dieux
vengeurs, au forfait mesurez le supplice ! Et toi
Dans de profondes eaux d’autres sont englouties, Et par leurs propres
Dieux
nos ames sont punies. On nous admet enfin dans ce
veau qu’un repentir pieux, Pour les calmer, dit-on, offre enfin à tes
Dieux
; Tout flattoit ta pensée, et l’heureuse Phrygie
rrêter mes transports furieux. Je voudrois me venger, fût-ce même des
Dieux
. Du plus puissant de tous j’ai reçu la naissance
evient le sien. Cet affreux hymen excite l’horreur et le courroux des
Dieux
: ils frappent les Thébains de la peste. Malheure
à moi-même, à moi-même odieux, Ma vertu n’osa point lutter contre les
Dieux
, Je m’arrachai des bras d’une mère éplorée ; Je p
el enchantement J’oubliois jusqu’ici ce grand événement ; La main des
Dieux
sur moi si long-temps suspendue Semble ôter le ba
dent à coups pressés. La victoire entre nous ne fut point incertaine.
Dieux
puissans ! je ne sais si c’est faveur ou haine ;
Voilà tous mes forfaits, je n’en connois point d’autres, Impitoyables
Dieux
, mes crimes sont les vôtres ; Et vous m’en puniss
étoit Roi de Phrygie ou de Corinthe. Honoré un jour de la visite des
Dieux
, il les éprouva d’une manière barbare, en leur se
x, Et fit trembler les mers de sa voix menaçante : La colère des
Dieux
suivra dans ton palais Hélène qui naquit pour le
eil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père et le maître des
Dieux
. Le Ciel, tout l’Univers est plein de mes aïeux.
ne 175. Pandore. Statue faite et animée par Vulcain. Tous les
Dieux
concoururent à sa perfection. Vénus lui donna la
substance ; Lui donna de Vénus la grâce et la beauté, De la Reine des
Dieux
la fière majesté, Le savoir de Minerve et l’espr
aussi fatal que le premier. Enée sacrifia sa tendresse aux ordres des
Dieux
; il prit la fuite et abandonna la malheureuse Di
nanime, et ce mortel pieux, Qui sauva de la flamme et son père et les
Dieux
! Le parjure abusoit de ma foiblesse extrême ; Et
me La fuite d’un parjure, et l’excès de ma flamme, Contre lui, justes
Dieux
, ne les exaucez pas. (elle se frappe.) Mourons… à
lui-même l’eût épousée, si Prométhée n’avoit pas prédit au maître des
Dieux
qu’elle donneroit la vie à un fils dont la gloire
Pélée, Roi de Thessalie. Ses noces furent très-brillantes : fous les
Dieux
du Ciel, de la Terre, des Eaux, des Enfers y assi
ps Thessaliens, Thétis s’unit avec Pélée, De tous les
Dieux
la brillante assemblée Avec, pompe, dit-on, céléb
urpris ; Amour fatal ! ta haine en est le prix : Tant de tendresse, ô
Dieux
, est-elle un crime, Pour mériter de si cruels mép
ler l’objet de ses tristes amours, Elle invoque à grand cris tous les
Dieux
du Ténare, Les Parques, Némésis, Cerbère, Phlégét
cle sur le sort de cet époux adoré. Il ne peut vivre, répondirent les
Dieux
, si personne ne rachète ses jours par les siens.
uviez conserver votre Epouse et la vie… Mais ils vous ont trahi : les
Dieux
l’ont ordonné ; A pleurer mon trépas vous étiez d
? Ne dois-je pas mon sang au bien de mon pays ? Mes efforts, par les
Dieux
, peuvent être trahis ; Je le sais : le jour vient
un maître qui te brave, Et qui s’ose vanter de t’avoir pour esclave !
Dieux
! toute ma vertu succombe à ce revers !… Non, je
t l’élevant aux Cieux : « Grand Jupiter, dit-il, et vous tous, justes
Dieux
, Que mon fils d’Ilion étende aussi la gloire ! Qu
’Usurpateur périt de la main d’Egiste. Me rendrez-vous mon fils,
Dieux
témoins de mes larmes ? Egiste est-il vivant ? Av
z-vous ce reste précieux Du plus juste des Rois, et du plus grand des
Dieux
, L’image de l’époux, dont j’adore la cendre187 ?
autels ; Il monte, il y saisit, d’une main assurée Pour les fêtes des
Dieux
la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts
l’ai vu qui frappoit ce monstre audacieux. Meurs, tyran, disoit-il :
Dieux
! prenez vos victimes. Erox qui de son maître a s
is dérobé ma vengeance. Dérobé ma vengeance ? A quoi pensai-je ? Ah !
Dieux
! L’ingrate ! On la verroit triompher à mes yeux
argile céleste, un limon précieux Que pétrit Prométhée à l’image des
Dieux
; Soit qu’un Dieu bienfaisant qui le forma peut-ê
deux Astres qu’on nomma les Gémeaux. Pollux, seul. Présent des
Dieux
, doux charme des humains, O divine Amitié ! viens
. C’est peu de te rendre à la vie, Le sort t’élève au rang des
Dieux
. Castor . Qu’entends-je ? qu
ns puiser de l’eau à la fontaine de Dircé pour faire un sacrifice aux
Dieux
, mais ils y furent dévorés par un Dragon. Cadmus
dents la semence guerrière Fut-elle de nos maux la semence première.
Dieux
qui me punissez, si tels sont mes forfaits, Puiss
foudroyé par Jupiter, il versa mille larmes sur son triste sort. Les
Dieux
touchés de son inconsolable douleur, le changèren
Narcisse, Fils du fleuve Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les
Dieux
l’avoient formé si beau, qu’il étoit l’objet de l
cesse à ses pas ; elle refusoit toujours de répondre à ses vœux. Les
Dieux
voulant mettre un terme à ces poursuites importun
s vont visiter ces lieux : Mille logis y sont, un seul ne s’ouvre aux
Dieux
. Prêts enfin de quitter un séjour si profane, Ils
son, Mercure frappe ; on ouvre, aussitôt Philémon Vient au devant des
Dieux
et leur tient ce langage : Vous me semblez tous d
gués du voyage, Reposez-vous. Usez du peu que nous avons ; L’aide des
Dieux
a fait que nous le conservons : Usez-en ; saluez
s ; Et pour tremper l’ennui d’une attente importune, Il entretint les
Dieux
: non point sur sa fortune, Sur ses jeux, sur la
s vallons Voyoient l’ombre en croissant tomber du haut des monts. Les
Dieux
sortent enfin, et font sortir leurs hôtes. De ce
ne, Un appui de roseau soulageoit leurs vieux ans. Moitié secours des
Dieux
, moitié peur se hâtans, Sur un mont assez proche
e mon sort, Rend un dernier service à qui cherche la mort. O vous ! ô
Dieux
puissans ! exaucez ma prière. Je ne demande pas u
u moins dans l’instant où je perdrai le jour, De Teucer en ces lieux,
Dieux
, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’i
ble peuple d’Athène, à mon sang allié ! Troie où pour mon malheur les
Dieux
m’ont envoyé ? Vous que ma voix appelle à cette d
es transparentes, Ses muscles dépouillés, ses veines palpitantes. Les
Dieux
, hôtes des bois, des monts et des vergers, Les Fa
e 208. On lisoit un recueil, et de vers et de prose, A tous les
Dieux
du Pinde rassemblés : Comme ils bailloient, e
s oreilles d’âne. Du Dieu Plutus tâchez d’être chéri, Des autres
Dieux
vous serez favori… A ce sujet, il faut que je rap
: Voix de glapir, chalumeaux de s’enfler ; Tout le fretin des petits
Dieux
terrestres Forme pour lui mille petits orchestres
son départ. Soupirant sans cesse après son retour, elle fatiguoit les
Dieux
de ses vœux et de ses larmes. Le plus triste des
pperçu son corps flottant, elle voulut se précipiter dans la mer. Les
Dieux
touchés de cet amour conjugal, changèrent en Alcy
e En est ébranlé. Quel spectacle, grands
Dieux
! pour la triste Alcyone, Ses sens en sont troubl
e son amour, Céyx mourant… les yeux encor fixés sur elle…
Dieux
injustes s’écria-t-elle, Dieux auteurs de mes mau
yeux encor fixés sur elle… Dieux injustes s’écria-t-elle,
Dieux
auteurs de mes maux, arrachez-moi le jour… Oh ! j
mœurs de la Dryade, Syrinx étoit son nom. Elle éluda cent fois Et les
Dieux
des vergers, et les Faunes des bois. Chaste comme
ous leurs, doigts en tissu, l’or se mêle à la soie, Et l’histoire des
Dieux
en longs fils se déploie… L’envie aux yeux p
et de dépit, Minerve Rompt la toile ou sont peints tous lescrimes des
Dieux
. L’ouvrage, l’ouvrière est coupable à ses yeux Et
ine altière. Quoi ! dit-elle, osez-vous préférer à mes yeux, Aux
Dieux
que vous voyez, vos invisibles Dieux ? Latone a d
ez-vous préférer à mes yeux, Aux Dieux que vous voyez, vos invisibles
Dieux
? Latone a des autels, et sa race fatale ! Et j’e
! Et j’en attends encor, moi, fille de Tantale ! Seul Mortel, par les
Dieux
, admis à leurs repas, Moi, qui reçus le jour d’un
Le Phrygien me craint, le Thébain me révère. Epouse d’Amphion, né des
Dieux
dont je sors, Je règne dans les murs bâtis par se
’est peu de m’offenser : Niobé vous insulte. La fille de Tantale, aux
Dieux
nés de mon sang, Préfère, avec orgueil, les fils
lainte et ses adieux : Au nom de mes malheurs, j’en jure par les
Dieux
, Je n’ai point mérité le destin qui m’accable : D
puis long-temps sur l’empire de l’Onde, Cherchoit ses
Dieux
et ses Etats ; Son sort le conduisit vers ces riv
de Circé. Cieux, gardez vos eaux fécondes Pour le myrte aimé des
Dieux
; Ne prodiguez plus vos ondes A cet if contagieux
rbe, s’élevoit le trône éclatant de Jupiter. Jupiter consultant les
Dieux
contre les Géan s. Une voie, en tout temps,
nt les Dieux contre les Géan s. Une voie, en tout temps, par les
Dieux
fréquentée, Brille aux plaines du Ciel : on la no
Lactée. Elle sert de parvis à ce palais doré, Séjour de Jupiter, des
Dieux
même adoré. On voit aux deux côtés, sous de brill
’ouvrir à deux battans des portes magnifiques, Vestibules pompeux des
Dieux
patriciens. L’Olympe, loin de là, loge ses Plébéi
là, loge ses Plébéiens. Au milieu du parvis, la façade présente, Des
Dieux
du premier rang la demeure imposante. C’est là, s
angage mortel, La Cour de Jupiter et le Sénat du Ciel. Parmi les
Dieux
assis sur des siéges d’ivoire, Jupiter, se plaçan
servir à la calomnie, A la rage, à l’ignominie, Le langage sacré des
Dieux
! Sans doute les premiers poëtes, Inspirés,
ute les premiers poëtes, Inspirés, ainsi que vous l’êtes, Etoient des
Dieux
ou des amans : Tout a changé, tout dégénère, Et d
inels qui s’offrent en ces lieux, Offensent la Nature en révérant les
Dieux
. Là, du sang des humains on voit suer les marbres
orfaits, Craint ce lieu si coupable, et n’y tombe jamais. Là, de cent
Dieux
divers les grossières images Impriment l’épouvant
moins de crainte ; Tant aux foibles mortels il est bon d’ignorer Les
Dieux
qu’il leur faut craindre, et qu’il faut adorer. L
t, en abordant ces lieux, D’y voir ce qu’il adore, et d’y trouver ses
Dieux
. Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges
uver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges, Les
Dieux
même, les Dieux n’ont point de priviléges ; César
Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges, Les Dieux même, les
Dieux
n’ont point de priviléges ; César veut qu’à l’ins
respect de ces lieux, Et seul, je prends sur moi le vain courroux des
Dieux
, A ces mots, tous les siens cédant à la contraint
a contrainte Dépouillent le respect, sans, dépouiller la crainte. Les
Dieux
parlent encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule
qui s’étendoit entre l’Olympe et l’Ossa, et qu’arrosoit le Pénée. Les
Dieux
enchantés de la beauté de ce séjour, le préféroie
els rouloit environnée ! L’Olympe en tes bosquets, vit errer tous ses
Dieux
: Pan qui sut animer les joncs mélodieux, Diane a
onneurs dûs au maître des Cieux ; Insensé qui croyoit, faux émule des
Dieux
, Que sur un pont d’airain, construit pour cet usa
rêtres vertueux, et ces Mortels divins ; Dont les vers ont charmé les
Dieux
et les humains ; Les inventeurs des arts, et ceux
r des Grâces, Entraîner encor sur leurs traces, Les Héros et même les
Dieux
. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Aus
délicieuses, Tous les plaisirs naissent de la raison. Esprit des
Dieux
, soutien de l’Elysée, Sage Minerve, éclaire l’Uni
s. Ses arrêts étoient irrévocables, et son pouvoir s’étendoit sur les
Dieux
mêmes. Loin de la Sphère où grondent les ora
onté, l’homme chérit le mieux ; Toi qui naquis un jour du sourire des
Dieux
, Beauté, je te salue. Hélas ! d’épais nuages A me
Ciel la voûte inaccessible, Et vint porter sa plainte au Monarque des
Dieux
. Mais le grand Jupiter dont la présence aug
ne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les
Dieux
du Ciel, Ah ! lorsque ton orgueil languissoi
Les plus infortunés aiment toujours le plus. Loin de vous accuser, ô
Dieux
! je vous rends grace De m’avoir fait connoitre e
que d’apanage : L’un étoit le Bonheur, ayant tout en partage, Et des
Dieux
complaisans épuisant la bonté : L’autre étoit le
r qui fait le bonheur même. Pourquoi donc, insensé, querellois-je les
Dieux
? Quelle erreur ! J’avois cru que leur pouvoir su
f, du présent qui s’envole, L’homme fixa le souvenir. Aux
Dieux
, il emprunta le sublime langage ; Sur la toile mu
: Mais nul ne peut percer la nuit de l’avenir : Tel qui se plaint aux
Dieux
de son sort déplorable, Demain va les
acher dans la poussière Le trône où leur orgueil crut s’approcher des
Dieux
. La Nécessité cruelle To
mpe et n’éblouit les yeux, Où tout est vrai, simple, et fait pour les
Dieux
. De bons Gaulois de leurs mains le fondèrent \ A
peut-être. Oui, les vrais amis devroient être Immortels ainsi que les
Dieux
. Beauharnois 276. Pauvreté, Fille du Luxe
aux. Elle est aussi figurée par le vieux Saturne, le plus antique des
Dieux
. O Mortel, dont le cœur avide Vole après un
ue N’auroit revu les murs d’Ithaque, S’il n’eût eu pour guide Mentor.
Dieux
! sous mes pas la terre s’ouvre ! Quels objets !
la matière, Plus mon esprit rompt la barrière Qui sépare l’homme des
Dieux
. de Laurès 282. Sur ma Vieillesse .
qu’à Sparte, Disent les anciens écrits. Oh
Dieux
! combien je m’en écarte, Moi qui suis
Peste, Fille de la Nuit. Fléau destructeur, par lequel les
Dieux
punissent quelquefois les crimes des hommes. On r
t teint ; On n’ose interroger ses fibres corrompues, Et les fêtes des
Dieux
restent interrompues. Tout meurt dans le bercail
, Et jamais les soucis n’ont hâté leur réveil. Pour appaiser les
Dieux
, on dit que ces contrées Préparoient à Junon des
Flottent sur l’abîme des eaux. Les citoyens zélés, les
Dieux
et les Héros Respirent sur le marbre et sur l’air
ton encens. Tu n’as pas oublié ces sacrés homicides Qu’à tes indignes
Dieux
présentoient tes Druides » Du haut du Capitole il
le monde ; Il est l’ame de tout : c’est envain qu’on nous dit Que les
Dieux
sont à table ou dorment dans leur lit : J’interro
Que les Dieux sont à table ou dorment dans leur lit : J’interroge les
Dieux
, l’Air et la Terre et l’Onde. Le puissant Jupiter
portons à leurs pieds ces métaux recherchés Qu’au fond du Potosi les
Dieux
avoient cachés. Assis tranquillement sous nos foy
illement sous nos foyers antiques, Nous trouvons, dans le sein de nos
Dieux
domestiques, Cette douceur, ce calme, objet de no
mper tous les débris épars… Comme l’encens qui s’évapore, Et des
Dieux
parfume l’autel, Le feu sacré qui me dévore Brûl
le. Guerre civile de Pétrone. 45. [Table des matières] Bernis. A mes
Dieux
Pénates. Epître VII. 46. [Table des matières] An
tamorphoses d’Ovide. liv. II. 51. [Table des matières] Bernis. A mes
Dieux
pénates. épître. VII. 52. [Table des matières] C
ch. I. 75. [Table des matières] Riveri. Les arbres protégés par les
Dieux
. 76. [Table des matières] Dubois-Fontanelles. Er
es] Anonyme. Epitaphe. 127. [Table des matières] Parni. Le dîner des
Dieux
. 128. [Table des matières] Anonyme. Nos adieux à
a forme de ceux qui le suivront. Homère doit figurer à la tête de ses
Dieux
, de ses Héros, et des autres personnages célèbres
ton mode assorti de sons mélodieux, Porte le nom divin de Langage des
Dieux
. Mais les Dieux sont encor l’œuvre de ton génie.
de sons mélodieux, Porte le nom divin de Langage des Dieux. Mais les
Dieux
sont encor l’œuvre de ton génie. L’antique mervei
l’Univers adopta ; C’est toi qui l’as créé : ton génie inventa De ces
Dieux
mensongers la brillante chimère ; L’Olympe de la
oujours beau Comme les Cieux, les Mers et la Nature. Cournand 5.
Dieux
. Saturne, Fils du Ciel et de Vesta. So
s, Dans leur palais inaccessible ! Du haut de la sphère des airs, Les
Dieux
seuls, d’un air immobile, Contemplent les êtres d
drai sans gloire Dans la tombe de mes aïeux : Mais si j’ai révéré les
Dieux
, Tu dois épargner ma mémoire. Légier 8. Jupi
Fils de Saturne et de Cybèle. Le plus grand et le Souverain des
Dieux
. Sa mère le déroba à la cruauté de Saturne, en le
a l’empire de la Mer à Neptune, celui des Enfers à Pluton. Les autres
Dieux
ayant voulu se soustraire à sa domination, il les
Embrasse la Terre et les Cieux, Jupiter, ignoré des Mortels et des
Dieux
, Voyait la Crète élever son enfance. L
mats. Myro, cit. de Corinthe. — ***. Les Géans. La demeure des
dieux
ne fut pas respectée. On dit que des Géans l’auda
iter, Entassant monts sur monts, escalada l’Éther. Mais le maître des
Dieux
, armant sa main puissante, Foudroya de leurs mont
les murs de Troie, sous Laomédon, avec son frère Neptune. Le Père des
Dieux
sensible à ses malheurs, le rappela dans la cour
x est le secret du Sage : Triomphant, il revint s’asseoir au rang des
Dieux
: Là, faisant plus d’heureux, il le fut davantage
é de l’onde, Et le Ciel radieux, voûte immense du Monde. L’Onde a ses
Dieux
marins, et Prothée, et Triton, Triton la conque e
ses cités, ses fleuves et ses bois. Et les Nymphes de l’onde, et les
Dieux
du bocage. Au-dessus lui des Cieux la rayonnante
t escalader le Ciel. Bacchus fut, après Jupiter, le plus puissant des
Dieux
. Orphée établit en son honneur les Bacchanales ou
Mercure, messager céleste, Méprisait fort les autres
Dieux
. Tous à son gré, de défauts très-nombreux
Termine sa course incertaine. Mon ami, lui dit-il, des
Dieux
Je voudrais bien acheter les statues.
ats, en honneur ! Ce n’est pas mettre à sa valeur Des
Dieux
et des hommes le maître. — Et Junon ? — Tout auta
rçans élevés jusqu’aux Cieux, Imploraient le secours du Souverain des
Dieux
. Jupiter, armez-vous du foudre,
me qui luit sur sa tête guerrière, Le place au rang des
Dieux
. Lebrun 24. Le jour fatal se lève, et la tr
œuds tissus par la nature, Que l’amour forme, et que l’honneur épure,
Dieux
! quel plaisir d’aimer publiquement, Et de porter
mieux ; La jeunesse, par fois, a trop de confiance : Au monarque des
Dieux
, Plutus déclare un jour, Que parmi les mortels, i
s d’Alcmène, après ses longs travaux, Fut reçu dans le Ciel, tous les
Dieux
s’empressèrent De venir au-devant de ce fameux Hé
otte à la main. Curieux et malin, Momus épiait toutes les actions des
Dieux
, et les reprenait avec une liberté franche et cau
ns le firent chasser du Ciel. Le mauvais Ménage. Jadis le Roi des
Dieux
, soit ennui, soit caprice, Chargea Momus, p
ireras mieux que les filles du Pinde ; Verse-moi ton nectar, dont les
Dieux
sont jaloux, Et mes vers vont couler plus faciles
nous, affranchis des fureurs politiques, » N’être plus séparés de nos
Dieux
domestiques !!… » J. B. 43 Pénates ou Lares
x domestiques !!… » J. B. 43 Pénates ou Lares. C’étaient des
Dieux
domestiques et particuliers à chaque famille. On
villes et les Empires avaient aussi leurs Pénates, qui étaient leurs
Dieux
protecteurs. Protecteurs de mon toit rustique
’une douce étude Décide mon front sérieux. Vous mes Pénates, vous mes
Dieux
, Écartez ce qu’elle a de rude ; Et que les vents
ercle nombreux On disputait sur le Silence, On le mettait au rang des
Dieux
, Et l’on avait raison, je pense. Son emblême étai
. — Desaintange 48. Sur ces demeures solitaires, Veillez, ô mes
Dieux
tutélaires. Déjà Morphée au teint vermeil Abaisse
, J’aime à porter mes pleurs en tribut à ta cendre. Malheur à qui les
Dieux
accordent de longs jours ! Consumé de douleurs ve
mbe demande. Pour honorer les morts le cœur est riche assez, Et leurs
Dieux
ne sont pas des Dieux intéressés. De couronnes de
rer les morts le cœur est riche assez, Et leurs Dieux ne sont pas des
Dieux
intéressés. De couronnes de fleurs une tuile couv
sur ces bords, amis, près du tombeau d’Anchise, Faudra-t-il, que des
Dieux
la faveur nous conduise, Sans que nous acquittion
ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère des
Dieux
. On la représente avec une tour sur la tête,
t d’effrayantes contorsions. C’est sur tant de bienfaits que, des
Dieux
qu’on révère, De l’homme, de la brute, on la nomm
ingrat, Qui se livrant sans honte au plus noir attentat, Outrage les
Dieux
même en ceux dont il tient l’être, D’âge en âge,
Elle persécuta ses nombreuses amantes ; elle osa même se joindre aux
Dieux
révoltés contre lui. Aussi orgueilleuse que jalou
(on rit peu dans les Cieux.) Je la plaindrais, je plaindrais tous les
Dieux
D’être immortels, si ces Dieux qu’on révère Devai
la plaindrais, je plaindrais tous les Dieux D’être immortels, si ces
Dieux
qu’on révère Devaient traîner leur triste éternit
our ce cœur si fier, Il est flatteur de marcher la première Parmi les
Dieux
, et près de Jupiter. Il faut pourtant à cette Rei
orêts Aperçut un lieu solitaire, Où le fils de Vénus et les
Dieux
de Cythère Dormaient sous un ombrage fr
prompte colère S’exhale en ce discours qu’elle adresse tout bas A ces
Dieux
endormis qui ne l’entendent pas : V
pproche, et ses nymphes timides Portant sans bruit leurs pas vers ces
Dieux
homicides, D’une tremblante main saisissent leurs
èches perfides Sèment les plaines et les bois. Tous les
Dieux
des forêts, des fleuves, des montagnes, Viennent
avec pompe dans l’Olympe, où ses attraits ravissans enchantèrent les
Dieux
. Vénus eût été parfaite, si à la beauté, elle eût
N’éprouvent plus cette frayeur sacrée Que fait sentir la présence des
Dieux
: Si d’un nuage elle marche entourée, On reconnaî
Pour réparer l’affront qu’à l’infidelle Il fit jadis en présence des
Dieux
. Il n’appartient qu’aux Grâces de décrire Tous le
esta. C’est toi qui l’établis, pacifique Numa ; Roi plein, envers les
Dieux
, de respect et de crainte ! Son temple, dont le j
rès alla conjurer Jupiter de lui faire rendre Proserpine. Le Père des
Dieux
le lui promit, pourvu qu’elle n’eût rien mangé da
l’arbre fécond de Pyrame, Le ver à soie ourdit sa trame, Qui pare les
Dieux
et les Rois : Les fraises parfument les bois, L’é
ter voulut l’épouser ; Thémis s’étant refusée à ses vœux, le Père des
Dieux
triompha de sa résistance, et eut d’elle la Paix
Que j’aime à revoler vers ces fêtes champêtres Où Rome célébrait les
Dieux
de ses ancêtres, La Déesse des blés et le Dieu de
er le Nectar à Jupiter. Ayant eu le malheur de tomber en présence des
Dieux
, elle fut si honteuse de sa chûte, qu’elle n’osa
e char de Junon. Elle épousa dans la suite Hercule, admis au rang des
Dieux
, et rajeunit à sa prière son vieux cocher Jolas.
de ses services : c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-Ciel. La Reine des
Dieux
l’aimait beaucoup, parce qu’elle ne lui avait jam
re, Est un salon peint en vermeil Et tout éclatant de lumière, Où les
Dieux
tiennent leur conseil. Trois cent soixante-cinq c
rs tours et retours faciles, Malgré leurs circuits éternels, Pour les
Dieux
ils sont immobiles, Mais ils courent pour les mor
ngères : Rien ne peut y blesser vos yeux. Votre frère est le seul des
Dieux
, Dont vous verrez chez moi l’image… Vos bienfaits
rintemps pour saison ; Des lits de fleurs, un antre pour maison ; Les
Dieux
pour rois, la vertu pour noblesse ; Point d’indig
là, sur le marbre et le cuivre, Les arts à ses yeux font revivre Des
Dieux
dont il vit le trépas. Nouvel ordre ! chaque
les miracles, Et pour triompher des obstacles, Dispose du pouvoir des
Dieux
. Melpomène, les yeux en larmes, De cris touch
ta, pour se venger des Cieux ; Elle aime à publier les faiblesses des
Dieux
. Digne sœur des Géans qu’écrasa leur tonnerre, So
malfaisante qui se plaisait à semer la haine et la division parmi les
Dieux
. Chassée du Ciel, elle vint troubler la Terre. En
alors fortunée, Dirigea son vol destructeur ; Mais les
Dieux
prévoyant que sa triste influence, Ferait pleuvoi
mnus, où affluait toute la Grèce. Cléopâtre . Enfin, graces aux
Dieux
, j’ai moins d’un ennemi ; La mort de Séleucus m’a
nt au nombre de trois, Alecton, Tisiphone et Mégère. Chargées par les
Dieux
de venger le crime, elles tourmentaient les scélé
lampe héréditaire, Dont la flamme incertaine éclaire La table où les
Dieux
sont assis. Errant sur des tapis de mousse, Le ve
s sur son nom ma superbe espérance… Destin cruel ! impitoyables
Dieux
! Vous vous jouez ainsi de notre attente !
eur129. Ambrosie et Nectar. L’ambrosie était la nourriture des
Dieux
de l’Olympe : le Nectar était leur breuvage. Ils
ur et l’immortalité. De Jupiter on célébrait la fête, Et tous les
Dieux
, grands, moyens et petits, Devant son trône, ayan
alais de ses bienfaiteurs Du peuple la foule entraînée, Implorait les
Dieux
protecteurs. Aux vœux qu’on faisait pour Augu
and la lumière ; Et son front large, inquiet et troublé, Soutient des
Dieux
le palais ébranlé. Bernis 133. Combat d’Hercul
urs découvrait à nos yeux Le Styx craint des mortels, abhorré par les
Dieux
, De ce royaume affreux, désolé, lamentable, L’œil
e ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, Hélas ! du sang des
Dieux
, n’as-tu formé ton fils Que pour l’abandonner aux
Où sont donc ces honneurs où je devais prétendre ? Hélas ! parmi les
Dieux
j’espérais des autels, Et je languis sans gloire,
Pour charmer leur ennui, Climène au milieu d’elles Leur racontait des
Dieux
les amours infidelles, Et Vénus de Vulcain trompa
il paraisse à mes yeux ; Mon fils a droit d’entrer dans le palais des
Dieux
; Fleuve, retire-toi. L’onde respectueuse, A ces
u. Les Bergers de Sicile a ux Mânes de Daphnis. Berger, qui des
Dieux
Le plus bel ouvrage, Montras dans ces lieux Le ra
pousse un long cantique, L’Arbre s’écrie : il est, il est au rang des
Dieux
. Virgile. — Domergue 139. Héros. Jaso
sont tissus de regrets et d’alarmes, » Lui dit-il ; par mes mains les
Dieux
vous ont frappé : » Dans le malheur commun, moi-m
cruelle piété, égarée par l’oracle de Chalcas, lui fit sacrifier aux
Dieux
sa fille Iphigénie. Non moins jaloux de son rang
cœur n’est point complice ; J’éprouve cependant des tourmens infinis.
Dieux
! les plus criminels seraient-ils plus punis ? C
ns les piéges qu’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux : que les
Dieux
les leur rendent ! Sophocle. — Laharpe. Pat
e, Et rien ne peut, barbare, apaiser ton Courroux ! Me préservent les
Dieux
de ces transports jaloux ! Si tu livres la Grèce
vant moi, Et croiront voir Achille entrant dans la carrière. Fils des
Dieux
, laisse-toi fléchir à ma prière : Tu peux sauver
, N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré ; Triste objet où des
Dieux
triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l’œil mê
infortunée, il se sauva la nuit du milieu des flammes, chargé de ses
Dieux
Pénates, portant son vieux père sur ses épaules,
’avoir vengée d’Iarbe, roi des Gétules, il l’abandonna pour obéir aux
Dieux
. Il aborda ensuite en Sicile, et de là en Italie,
De leurs fouets déchirans frappant ses mains impies ; Elle promet aux
Dieux
d’expier son erreur Dans le sang de ces Grecs que
par le mélange heureux Des dons les plus parfaits que dispensent les
Dieux
… D’une dure cuirasse elle presse ses charmes
ni l’éclat de leurs yeux. L’incarnat de leur teint brille du sang des
Dieux
. En vain à les dompter l’homme oserait prétendre,
t de son temps qu’arriva le fameux déluge qui a illustré son nom. Les
Dieux
irrités des crimes des hommes, engloutirent la te
é, Atteint Deucalion seul avec sa compagne. Ils adorent tous deux les
Dieux
de la montagne : Aux nymphes de Coryce, à la sage
aient à leur race, Tous deux faisant le bien, tous deux craignant les
Dieux
; Il écarte aussitôt les brouillards pluvieux, Or
ise humblement la pierre. Si jamais, disent-ils, l’homme a fléchi les
Dieux
, Si ses maux ont trouvé grace devant leurs yeux,
pris, N’exige rien de nous qui ne soit légitime. Non, non, jamais les
Dieux
n’ont ordonné le crime. La Terre est en effet l’a
Contemplait d’un air fier, son chef-d’œuvre nouveau : Il défiait les
Dieux
, en le voyant si beau ; Moi-même j’admirais et l’
e peut le résoudre, Il relève son front sillonné par la foudre, « Des
Dieux
qui m’ont vaincus soyons encor l’égal, » Dit-il :
encor l’égal, » Dit-il : dût mon orgueil me devenir fatal ; » De ces
Dieux
détestés bravons la tyrannie, » Sans le feu de l’
ué d’un vol audacieux, A tes pieds, roi des arts, il rendit grace aux
Dieux
; Tu reçus le tribut de ses ailes fragiles : Il c
Penthée, Roi de Thèbes, Fils d’Échion et d’Agavé. Ennemi des
Dieux
et de leur culte, il osa braver Bacchus à son ret
t ses malheurs. Non, Arion espère, admire, Les
Dieux
prennent soin de ton sort : Un Dauphin attiré
ssaim de colombes timides, Se pressaient, embrassaient les images des
Dieux
. Dès qu’elle voit Priam vainement furieux, Moins
? Mon Hector même en vain renaîtrait de sa cendre. Approchez : de nos
Dieux
l’autel va nous défendre, Ou sous le même fer nou
e la mort, Priam ne contient plus son douloureux transport, « Que les
Dieux
, s’il en est qui vengent l’innocence, T’accordent
Dans de profondes eaux d’autres sont englouties, Et par leurs propres
Dieux
nos ames sont punies. On nous admet enfin dans ce
veau qu’un repentir pieux, Pour les calmer, dit-on, offre enfin à tes
Dieux
; Tout flattait ta pensée, et l’heureuse Phrygie
rrêter mes transports furieux. Je voudrais me venger, fût-ce même des
Dieux
. Du plus puissant de tous j’ai reçu la naissance
evient le sien. Cet affreux hymen excite l’horreur et le courroux des
Dieux
: ils frappent les Thébains de la peste. Malheure
à moi-même, à moi-même odieux, Ma vertu n’osa point lutter contre les
Dieux
, Je m’arrachai des bras d’une mère éplorée ; Je p
el enchantement J’oubliais jusqu’ici ce grand évènement ; La main des
Dieux
sur moi si long-temps suspendue Semble ôter le ba
dent à coups pressés. La victoire entre nous ne fut point incertaine.
Dieux
puissans ! je ne sais si c’est faveur ou haine ;
Voilà tous mes forfaits, je n’en connais point d’autres, Impitoyables
Dieux
, mes crimes sont les vôtres ; Et vous m’en puniss
était Roi de Phrygie ou de Corinthe. Honoré un jour de la visite des
Dieux
, il les éprouva d’une manière barbare, en leur se
ux, Et fit trembler les mers de sa voix menaçante : La colère des
Dieux
suivra dans ton palais Hélène qui naquit pour le
enfonce dans son cœur, et meurt sur son amant. Son vœu fut exaucé des
Dieux
qui les plaignirent : De pourpre, en mûrissant, l
eil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père et le maître des
Dieux
. Le Ciel, tout l’Univers est plein de mes aïeux.
ne 175. Pandore. Statue faite et animée par Vulcain. Tous les
Dieux
concoururent à sa perfection. Vénus lui donna la
substance ; Lui donna de Vénus la grâce et la beauté, De la reine des
Dieux
la fière majesté, Le savoir de Minerve et l’espri
aussi fatal que le premier. Enée sacrifia sa tendresse aux ordres des
Dieux
; il prit la fuite et abandonna la malheureuse Di
pudeur, ce trésor précieux, Qui me rendait si fière, et m’égalait aux
Dieux
. Ah prince ! puisqu’enfin la fortune jalouse Défe
nanime, et ce mortel pieux, Qui sauva de la flamme et son père et les
Dieux
! Le parjure abusait de ma faiblesse extrême ; Et
me La fuite d’un parjure, et l’excès de ma flamme, Contre lui, justes
Dieux
, ne les exaucez pas. (elle se frappe.) Mourons… à
lui-même l’eût épousée, si Prométhée n’avait pas prédit au maître des
Dieux
qu’elle donnerait la vie à un fils dont la gloire
Pélée, Roi de Thessalie. Ses noces furent très-brillantes : tous les
Dieux
du Ciel, de la Terre, des Eaux, des Enfers y assi
Thessaliens, Thétis s’unit avec Pélée, De tous les
Dieux
la brillante assemblée Avec, pompe, dit-on
Amour fatal ! ta haine en est le prix : Tant de tendresse, ô
Dieux
, est-elle un crime, Pour mériter de si cru
ler l’objet de ses tristes amours, Elle invoque à grand cris tous les
Dieux
du Ténare, Les Parques, Némésis, Cerbère, Phlégét
cle sur le sort de cet époux adoré. Il ne peut vivre, répondirent les
Dieux
, si personne ne rachète ses jours par les siens.
uviez conserver votre épouse et la vie… Mais ils vous ont trahi : les
Dieux
l’ont ordonné ; A pleurer mon trépas vous étiez d
? Ne dois-je pas mon sang au bien de mon pays ? Mes efforts, par les
Dieux
, peuvent être trahis ; Je le sais : le jour vient
un maître qui te brave, Et qui s’ose vanter de t’avoir pour esclave !
Dieux
! toute ma vertu succombe à ce revers !… Non, je
t l’élevant aux Cieux : « Grand Jupiter, dit-il, et vous tous, justes
Dieux
, Que mon fils d’Ilion étende aussi la gloire ! Qu
l’Usurpateur périt de la main d’Egiste. Me rendrez-vous mon fils,
Dieux
témoins de mes larmes ? Egiste est-il vivant ? Av
z-vous ce reste précieux Du plus juste des rois, et du plus grand des
Dieux
, L’image de l’époux, dont j’adore la cendre183 ?
autels ; Il monte, il y saisit d’une main assurée, Pour les fêtes des
Dieux
la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts
l’ai vu qui frappait ce monstre audacieux. Meurs, tyran, disait-il :
Dieux
! prenez vos victimes. Erox qui de son maître a s
is dérobé ma vengeance. Dérobé ma vengeance ? A quoi pensai-je ? Ah !
Dieux
? L’ingrate ! On la verrait triompher à mes yeux
argile céleste, un limon précieux Que pétrit Prométhée à l’image des
Dieux
; Soit qu’un Dieu bienfaisant qui le forma peut-ê
s deux Astres qu’on nomma les Gémeaux. Pollux, seul. Présent des
Dieux
, doux charme des humains, O divine Amitié ! viens
ère ; et plus digne des Cieux, Je reverrai Castor, et mon Père et les
Dieux
. Pollux, Castor et les Ombres. Pollux.
est peu de te rendre à la vie, Le sort t’élève au rang des
Dieux
. Castor. Qu’entends-je ? quel bon
ns puiser de l’eau à la fontaine de Dircé pour faire un sacrifice aux
Dieux
, mais ils y furent dévorés par un Dragon. Cadmus
dents la semence guerrière Fut-elle de nos maux la semence première.
Dieux
! si c’est un serpent que vous voulez venger, Ach
foudroyé par Jupiter, il versa mille larmes sur son triste sort. Les
Dieux
touchés de son inconsolable douleur, le changèren
Narcisse, Fils du fleuve Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les
Dieux
l’avaient formé si beau, qu’il était l’objet de l
cesse à ses pas ; elle refusait toujours de répondre à ses vœux. Les
Dieux
voulant mettre un terme à ces poursuites importun
s vont visiter ces lieux : Mille logis y sont, un seul ne s’ouvre aux
Dieux
. Prêts enfin de quitter un séjour si profane, Ils
son, Mercure frappe ; on ouvre, aussitôt Philémon Vient au-devant des
Dieux
et leur tient ce langage : Vous me semblez tous d
gués du voyage, Reposez-vous. Usez du peu que nous avons ; L’aide des
Dieux
a fait que nous le conservons : Usez-en ; saluez
s ; Et pour tremper l’ennui d’une attente importune, Il entretint les
Dieux
: non point sur sa fortune, Sur ses jeux, sur la
s vallons Voyaient l’ombre en croissant tomber du haut des monts. Les
Dieux
sortent enfin, et font sortir leurs hôtes. De ce
ne, Un appui de roseau soulageait leurs vieux ans. Moitié secours des
Dieux
, moitié peur se hâtans, Sur un mont assez proche
e mon sort, Rend un dernier service à qui cherche la mort. O vous ! ô
Dieux
puissans ! exaucez ma prière. Je ne demande pas u
u moins dans l’instant où je perdrai le jour, De Teucer en ces lieux,
Dieux
, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’i
ble peuple d’Athène, à mon sang allié ! Troie où pour mon malheur les
Dieux
m’ont envoyé ? Vous que ma voix appelle à cette d
Desaintange 203. Du Dieu Plutus tâchez d’être chéri, Des autres
Dieux
vous serez favori… A ce sujet, il faut que je rap
: Voix de glapir, chalumeaux de s’enfler ; Tout le fretin des petits
Dieux
terrestres Forme pour lui mille petits orchestres
son départ. Soupirant sans cesse après son retour, elle fatiguait les
Dieux
de ses vœux et de ses larmes. Le plus triste des
aperçu son corps flottant, elle voulut se précipiter dans la mer. Les
Dieux
touchés de cet amour conjugal, changèrent en Alcy
tant ! ô trouble extrême ! Cher Ceyx ?… Détournez, grands
Dieux
!… Si c’était !… O Ciel !… C’est lui-
t lui-même ! Voilà vos jeux, voilà vos coups,
Dieux
sans pitié, destin perfide ! Ce cœur
œurs de la Dryade. Syrinx était son nom : elle éluda cent fois Et les
Dieux
des vergers, et les Faunes des bois. Chaste comme
Sous leurs, doigts en tissu l’or se mêle à la soie, Et l’histoire des
dieux
en longs fils se déploie… L’envie aux yeux pe
d’un succès odieux, Rompt la toile où sont peints tous les crimes des
dieux
, S’arme de sa navette, et la frappe au visage. Sa
est votre folie ? Dit-elle : osez-vous bien préférer, à mes yeux, Aux
dieux
que vous voyez, vos invisibles dieux ? Latone a d
s bien préférer, à mes yeux, Aux dieux que vous voyez, vos invisibles
dieux
? Latone a des autels où votre encens s’exhale :
: Et j’en attends encor ! moi, fille de Tantale, Seul mortel par les
dieux
admis à leurs repas, Moi, qui reçus le jour d’une
Le Phrygien me craint : le Thébain me révère. Epouse d’Amphion né des
dieux
dont je sors, Je règne dans les murs bâtis par se
’est peu de m’offenser : Niobé vous insulte. La fille de Tantale, aux
dieux
nés de mon sang, Préfère avec orgueil les fils né
lainte et tes adieux : Vous qui voyez mon sort, j’en jure par les
dieux
, Dryope est du destin l’innocente victime. S’il m
, Depuis long-temps sur l’empire de l’Onde, Cherchait ses
Dieux
et ses Etats ; Son sort le conduisit vers ces riv
t dans son sein ; D’horribles ossemens pavent l’antre assassin. Lui, (
dieux
! d’un tel fleau n’affligez plus la terre !) Semb
chair, le vin, le sang jaillissaient de sa bouche, Nous invoquons les
Dieux
, nous l’entourons : soudain Chacun fond à l’envi
de Circé. Cieux, gardez vos eaux fécondes Pour le myrte aimé des
Dieux
; Ne prodiguez plus vos ondes A cet if contagieux
cime superbe, s’élevait le trône éclatant de Jupiter. Assemblée des
Dieux
. Une voie en tout temps par les Dieux fréquent
t de Jupiter. Assemblée des Dieux. Une voie en tout temps par les
Dieux
fréquentés, Blanchit l’azur des Cieux ; on la nom
’ouvrir à deux battans des portes magnifiques, Vestibules pompeux des
Dieux
patriciens. Ailleurs sont confondus les toits des
s les toits des plébéiens. Au milieu du parvis la façade présente Des
Dieux
du premier rang la demeure imposante. C’est là, s
inels qui s’offrent en ces lieux, Offensent la Nature en révérant les
Dieux
. Là, du sang des humains on voit suer les marbres
orfaits, Craint ce lieu si coupable, et n’y tombe jamais. Là, de cent
Dieux
divers les grossières images Impriment l’épouvant
moins de crainte ; Tant aux faibles mortels il est bon d’ignorer Les
Dieux
qu’il leur faut craindre, et qu’il faut adorer. L
t, en abordant ces lieux, D’y voir ce qu’il adore, et d’y trouver ses
Dieux
. Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges
uver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges, Les
Dieux
même, les Dieux n’ont point de priviléges ; César
Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges, Les Dieux même, les
Dieux
n’ont point de priviléges ; César veut qu’à l’ins
respect de ces lieux, Et seul, je prends sur moi le vain courroux des
Dieux
, A ces mots, tous les siens cédant à la contraint
a contrainte Dépouillent le respect, sans, dépouiller la crainte. Les
Dieux
parlent encor à ces cœurs agités, Mais quand Jule
qui s’étendait entre l’Olympe et l’Ossa, et qu’arrosait le Pénée. Les
Dieux
enchantés de la beauté de ce séjour, le préféraie
els roulait environnée ! L’Olympe en tes bosquets, vit errer tous ses
Dieux
: Pan qui sut animer les joncs mélodieux, Diane a
onneurs dûs au maître des Cieux ; Insensé qui croyait, faux émule des
Dieux
, Que sur un pont d’airain, construit pour cet usa
r des Grâces, Entraîner encor sur leurs traces, Les Héros et même les
Dieux
. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Aus
délicieuses, Tous les plaisirs naissent de la raison. Esprit des
Dieux
, soutien de l’Elysée, Sage Minerve, éclaire l’Uni
s. Ses arrêts étaient irrévocables, et son pouvoir s’étendait sur les
Dieux
mêmes. Loin de la Sphère où grondent les orag
onté, l’homme chérit le mieux ; Toi qui naquis un jour du sourire des
Dieux
, Beauté, je te salue. Hélas ! d’épais nuages A me
de ces mêmes lieux, Forge, aux flancs de l’Etna, des foudres pour les
Dieux
. Sans la mer frémissante il trempe le tonnerre ;
Ciel la voûte inaccessible, Et vint porter sa plainte au Monarque des
Dieux
. Mais le grand Jupiter dont la présence augus
ne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les
Dieux
du Ciel, Ah ! lorsque ton orgueil languissait
Les plus infortunés aiment toujours le plus. Loin de vous accuser, ô
Dieux
! je vous rends grace De m’avoir fait connaitre e
que d’apanage : L’un était le Bonheur, ayant tout en partage, Et des
Dieux
complaisans épuisant la bonté : L’autre était le
r qui fait le bonheur même. Pourquoi donc, insensé, querellais-je les
Dieux
? Quelle erreur ! J’avais cru que leur pouvoir su
f, du présent qui s’envole, L’homme fixa le souvenir. Aux
Dieux
, il emprunta le sublime langage ; Sur la toile mu
ne ; A pas bruyans, pressés, il approche, il fend l’air : C’est lui ;
Dieux
! oui, c’est lui… Plus prompte que l’éclair, Elle
: Mais nul ne peut percer la nuit de l’avenir : Tel qui se plaint aux
Dieux
de son sort déplorable, Demain va les
acher dans la poussière Le trône où leur orgueil crut s’approcher des
Dieux
. La Nécessité cruelle Touj
et n’éblouit les yeux, Où tout est vrai, simple, et fait pour les
Dieux
. De bons Gaulois de leurs mains le fondèrent ;
peut-être. Oui, les vrais amis devraient être Immortels ainsi que les
Dieux
. Beauharnois 262. Pauvreté, Fille du Luxe e
aux. Elle est aussi figurée par le vieux Saturne, le plus antique des
Dieux
. O Mortel, dont le cœur avide Vole après un b
’aurait revu les murs d’Ithaque, S’il n’eût eu pour guide Mentor.
Dieux
! sous mes pas la terre s’ouvre ! Quels objets !
la matière, Plus mon esprit rompt la barrière Qui sépare l’homme des
Dieux
. De Laurès 267. Sur ma Vieillesse.
qu’à Sparte, Disent les anciens écrits. Oh
Dieux
! combien je m’en écarte, Moi qui suis
Peste, Fille de la Nuit. Fléau destructeur, par lequel les
Dieux
punissent quelquefois les crimes des hommes. On r
t teint ; On n’ose interroger ses fibres corrompues, Et les fêtes des
Dieux
restent interrompues. Tout meurt dans le bercail
il, Et jamais les soucis n’ont hâté leur réveil. Pour apaiser les
Dieux
, on dit que ces contrées Préparaient à Junon des
les Flottent sur l’abîme des eaux. Les citoyens zélés, les
Dieux
et les Héros Respirent sur le marbre et sur l’air
ton encens. Tu n’as pas oublié ces sacrés homicides Qu’à tes indignes
Dieux
présentaient tes Druides. Du haut du Capitole il
e monde ; Il est l’ame de tout : c’est en vain qu’on nous dit Que les
Dieux
sont à table ou dorment dans leur lit : J’interro
Que les Dieux sont à table ou dorment dans leur lit : J’interroge les
Dieux
, l’Air et la Terre et l’Onde. Le puissant Jupiter
portons à leurs pieds ces métaux recherchés Qu’au fond du Potosi les
Dieux
avaient cachés. Assis tranquillement sous nos foy
illement sous nos foyers antiques, Nous trouvons, dans le sein de nos
Dieux
domestiques, Cette douceur, ce calme, objet de no
amper tous les débris épars… Comme l’encens qui s’évapore, Et des
Dieux
parfume l’autel, Le feu sacré qui me dévore Brûle
es] J. Berchoux. Gastronomie. 44. [Table des matières] Bernis. A mes
dieux
Pénates, Epître VII. 45. [Table des matières] Bo
Métamorph. d’Ovide, liv. II. 49. [Table des matières] Bernis. A mes
Dieux
pénates, Epître VII. 50. [Table des matières] Co
d’Estelle Finguerlin. 130. [Table des matières] Parny. Le dîner des
Dieux
. 131. [Table des matières] Anonyme. Nos adieux à
er sévèrement. Nous ne nous flattons pas d’avoir écrit l’histoire des
dieux
de la Fable mieux que nos devanciers ; mais nous
occuperons que des plus connues. La théologie païenne distribuait les
Dieux
en quatre classes : la première comprenait les Di
distribuait les Dieux en quatre classes : la première comprenait les
Dieux
suprêmes ou Dieux des nations, ainsi appelés parc
ieux en quatre classes : la première comprenait les Dieux suprêmes ou
Dieux
des nations, ainsi appelés parce que leur culte é
parce que leur culte était honoré généralement et en tous lieux. Ces
Dieux
principaux étaient au nombre de vingt : c’étaient
it derniers n’y assistaient pas. La seconde classe était composée des
Dieux
indigètes ou Dieux inférieurs des nations, tels q
istaient pas. La seconde classe était composée des Dieux indigètes ou
Dieux
inférieurs des nations, tels que Thémis, Plutus,
e cours en quatre parties : dans la première nous nous occuperons des
Dieux
principaux ; dans la seconde, des Dieux du second
ière nous nous occuperons des Dieux principaux ; dans la seconde, des
Dieux
du second ordre ; dans la troisième, des Demi-Die
Demi-Dieux et des Héros ; dans la quatrième, du culte rendu aux faux
Dieux
, des jeux publics, des monuments et des usages de
ait reçu des païens le nom de chaos. Le Ciel était le plus ancien des
Dieux
, et Vesta, ou la Terre, la première déesse. Ils e
lle l’univers ayant la création ? — Quels furent les plus anciens des
Dieux
et quels furent leurs enfants ? — Lequel des deux
et encore Grand’mère, parce qu’elle avait donné naissance à plusieurs
Dieux
. Sous le nom de Vesta, on la regardait comme rein
tre les montagnes de la Thessalie, et causèrent une telle frayeur aux
Dieux
, que la plupart se réfugièrent en Égypte, où ils
é auprès de Jupiter sous la figure d’un lion. Mais bientôt les autres
Dieux
revinrent ; Hercule se déclara leur champion, et
squ’à ce qu’Hercule vînt y mettre un terme et délivrât Prométhée. Les
Dieux
, jaloux du droit exclusif que s’attribuait Jupite
lais en poussière ; Lycaon parvint à s’échapper, mais le courroux des
Dieux
le suivit dans les bois où il avait cherché un re
rne et de Cybèle, sœur et épouse de Jupiter, Junon était la reine des
Dieux
, la Déesse des royaumes et des empires. Elle étai
e qu’elle fût remplacée dans cet emploi par Ganymède ; et Vulcain, le
dieu
du feu. Jupiter ayant créé Pallas de lui-même, en
la faisant sortir de son cerveau, Junon donna de son côté le jour au
dieu
Mars. Junon avait un caractère orgueilleux et vin
s arts, recevait aussi le nom de Phébus quand on le considérait comme
dieu
du jour, chargé de guider le char du soleil. Il é
eux Esculape12. Apollon, ne pouvant venger son fils sur le maître des
Dieux
, lança ses flèches contre les Cyclopes qui avaien
salie, dont il garda les troupeaux ; ce qui l’a fait honorer comme le
dieu
des bergers. Il devint épris de la nymphe Daphné
célèbre par son courage, et fut considéré comme le plus puissant des
Dieux
après Jupiter. Seul de tous les habitants de l’Ol
es voyageurs, du commerce et des voleurs. Interprète et confident des
Dieux
, il dirigeait leurs intrigues, intervenait dans l
et bientôt après elles la conduisirent avec pompe dans l’Olympe. Les
Dieux
la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l
dres au moyen desquels Jupiter put écraser les géants, et le père des
Dieux
l’en récompensa en lui donnant Vénus pour épouse.
esquelles Jupiter suspendit Junon dans les airs, après la révolte des
Dieux
; les armes de Mars ; le trident de Neptune ; le
il partagea l’empire du monde. Ayant pris part à la conspiration des
Dieux
contre Jupiter, il fut exilé sur la terre avec Ap
disputèrent le droit de donner un nom à cette ville. L’assemblée des
Dieux
décida que cet honneur appartiendrait à celui des
oppresseur. Poursuivi pour ce fait par Neptune devant le tribunal des
Dieux
, il plaida sa cause lui-même, et fut absous. Ale
es ? — A quel sujet fut-il traduit par Neptune devant le tribunal des
Dieux
? — Comment punit-il Alectryon de sa négligence ?
tie. Divinités du second ordre [Introduction.] Au-dessous des
Dieux
principaux ou du premier ordre, dont le pouvoir é
était considéré comme supérieur, le paganisme reconnaissait d’autres
Dieux
et Déesses auxquels on attribuait une autorité se
Fable ne reconnaissait-elle pas des divinités d’un rang inférieur aux
Dieux
suprêmes ? — Comment divise-t-on ces divinités du
e critiquer avec la plus grande liberté toutes les actions des autres
Dieux
. Neptune ayant créé le taureau, Momus trouva que
un tourbillon de vent, et la précipita du haut d’un rocher élevé. Les
Dieux
, sensibles à la douleur de Pan, transformèrent le
e figure le représente-t-on ? Satyres. Les Satyres étaient des
Dieux
d’un ordre inférieur, en très-grand nombre, qui h
ellement de monture. Questions. Qu’étaient les Satyres ? — Quels
Dieux
accompagnaient-ils ordinairement ? — Sous quelle
i se trouvaient sur l’emplacement destiné au nouvel édifice. Tous les
Dieux
cédèrent la place sans résistance au maître du to
tait-on ? Nérée. Nérée, fils de l’Océan et de Téthys, était un
dieu
marin qui épousa Doris, dont il eut cinquante fil
é que le fils qui naîtrait d’elle serait plus grand que son père, ces
Dieux
se retirèrent, et elle épousa Pélée, roi de Phthi
ythologiques de leur donner des ailes et des pattes d’oiseau, car les
Dieux
leur avaient permis de voler autour de la mer à l
rsque leur protection s’était montrée inefficace. On représentait ces
Dieux
domestiques sous la forme de statuettes faites de
. 45) de Pluton, Dieu des Enfers. Avant de faire connaître les autres
Dieux
infernaux, nous allons parcourir les lieux qu’ils
plus célèbre de tous ; il repassait neuf fois autour des Enfers ; les
Dieux
eux-mêmes avaient un tel respect pour ce fleuve,
ui avait régné en Phrygie et en Lydie, ayant reçu dans son palais les
Dieux
qui voyageaient sur la terre, et voulant éprouver
ebis noires. Les anciens croyaient que le feu était très-agréable aux
Dieux
mânes ; c’est pourquoi ils avaient l’habitude de
a Nuit, était aveugle. Bien qu’il ne figurât pas parmi les principaux
Dieux
, et que son culte fût peu honoré, son pouvoir éta
iter, à cause des différends qu’elle ne cessait de soulever entre les
Dieux
. Ce fut alors qu’elle descendit sur la terre, où
s et aux combats. Furieuse de n’avoir pas été conviée avec les autres
Dieux
aux noces de Thétis et de Pélée, elle s’en vengea
loits ou leurs vertus avaient acquis l’honneur d’être mis au rang des
Dieux
. On doit regarder les récits qui les concernent c
’hésita pas à aller se mesurer contre ces ennemis redoutables, et les
Dieux
voulurent l’aider dans sa courageuse entreprise.
é avait répondu qu’il n’y avait qu’un moyen de calmer le courroux des
Dieux
: c’était de livrer au monstre Andromède, fille d
ndé par Minerve et monté sur le cheval Pégase, que lui envoyèrent les
Dieux
, n’hésita pas à attaquer la Chimère et la tua. Dé
qu’en Égypte il poignarda Busiris, roi de ce pays, qui immolait à ses
Dieux
tous ceux qui abordaient dans ses États. Il déliv
octète d’y mettre le feu. Jupiter le reçut dans le ciel au nombre des
Dieux
, et lui donna pour épouse Hébé, Déesse de la jeun
lespont58. Arrivé en Colchide59, Phrixus y consacra la Toison d’or au
dieu
Mars, la suspendit à un arbre, et la renferma dan
e la ville qu’il devait construire, il voulut offrir un sacrifice aux
Dieux
et envoya ses compagnons puiser de l’eau à une fo
et envoya ses compagnons puiser de l’eau à une fontaine consacrée au
dieu
Mars ; mais ils furent tous dévorés par un énorme
Accablés de vieillesse et de chagrin, les deux exilés supplièrent les
Dieux
de mettre un terme à leurs souffrances, et ils fu
ls de Tantale, roi de Phrygie66 ; ce dernier, ayant reçu chez lui les
Dieux
qui voyageaient sur la terre, et voulant éprouver
s yeux du monde entier étaient fixés sur cette guerre, à laquelle les
Dieux
eux-mêmes prirent part, s’intéressant les uns pou
lutta pendant dix ans contre les tempêtes et contre la vengeance des
dieux
, qui l’éloignaient sans cesse de sa patrie. Il fu
ge, se réfugia sur un rocher en s’écriant : Je me sauverai malgré les
Dieux
. Neptune, irrité de cette impiété, l’engloutit so
chise et gendre de Priam, est surtout célèbre par sa piété envers les
Dieux
et par son émigration en Italie après la ruine de
que dévoraient les flammes, emportant sur ses épaules son père et ses
Dieux
Pénates, tenant par la main son fils Ascagne, et
ement fonda-t-il en Italie ? Quatrième partie. Culte rendu aux
Dieux
du paganisme. I. — Les Temples, les Prêtres
res et les Sacrifices. On croit généralement que le culte des faux
Dieux
est originaire de l’Orient. Il fut apporté en Eur
les approprièrent en mettant leurs rois et leurs héros au nombre des
Dieux
, en leur élevant des monuments magnifiques dont l
les du monde.) Parmi les temples innombrables que Rome éleva aux faux
Dieux
, on distingue surtout le Panthéon, consacré à tou
aux faux Dieux, on distingue surtout le Panthéon, consacré à tous les
Dieux
, bâti ou terminé par Agrippa. On admire sa vaste
ient les Flamines, prêtres de Jupiter, de Mars et de plusieurs autres
Dieux
, ainsi nommés de ce qu’ils se ceignaient le front
venir d’après le vol des oiseaux. Les sacrifices que l’on faisait aux
Dieux
étaient de différentes espèces, suivant les circo
entièrement consumée par le feu, sans qu’il en restât rien. Les faux
Dieux
furent quelquefois honorés d’une manière plus cru
s de sang humain. Questions. De quelle contrée le culte des faux
Dieux
tira-t-il son origine ? — Où furent construits le
l fut le principal temple élevé par les Romains ? — Le culte des faux
Dieux
n’était-il pas desservi par des prêtres ? — Quels
Oracles et les Sibylles. Les Oracles étaient les réponses que les
Dieux
faisaient à ceux qui venaient les consulter. Il e
yen de quelques artifices grossiers, persuadaient aux peuples que les
Dieux
eux-mêmes consentaient à leur dévoiler l’avenir e
t des présents considérables de tous ceux qui venaient interroger les
Dieux
. L’oracle de Dodone 86 est regardé comme le plus
uvrit les ruses au moyen desquelles les ministres imposteurs des faux
Dieux
avaient longtemps abusé les peuples. Les Sibylles
e vous avez résolu. — Ne vous hâtez jamais de parler. — Rapportez aux
Dieux
ce que vous faites de bien. Pittacus, de Mityl
la vraie religion. Des ennemis, des envieux l’accusèrent de nier les
Dieux
reconnus dans la république, et le firent condamn
on croit reconnaître Moïse : et en effet l’on voit dans l’histoire du
dieu
des coïncidences frappantes avec ce que nous savo
vaient coutume de représenter sous les traits de la Lune. La fable du
dieu
Mars est composée de l’histoire de plusieurs rois
s qu’avec le secours du Dieu de la mer. Le nombre et la diversité des
Dieux
marins d’un ordre inférieur s’expliquent par l’im
eur. L’histoire des divinités de la terre nous offre, comme celle des
Dieux
du ciel, des traits d’histoire perdus et confondu
oi législateur, qui feignait d’écrire ses lois sous l’inspiration des
Dieux
, afin de les rendre plus respectables, imagina, p
es fleurs, les fruits, les arbres, etc., et dont les Grecs firent des
Dieux
d’un ordre inférieur. Au milieu de leurs plus gra
histoire des Demi-Dieux et des Héros, comme dans celle des principaux
Dieux
, on trouve un fond de faits historiques modifiés
nt est aujourd’hui occupé par un village nommé Castri. 12. Esculape,
dieu
de la médecine, était adoré à Epidaure, sous la f
e sorte que, suivant quelques auteurs, le culte que l’on rendait à ce
dieu
s’adressait à l’ensemble de la création. 36. On
s roses de l’abbé Chaulieu, comme les lauriers de l’abbé Delille. Les
Dieux
ont fait leur temps. Jupiter a mis la clef sous l
. La littérature est guérie du paganisme. Le romantisme a détrôné les
dieux
. Ceci a tué cela. Apollon et les Muses n’inspiren
seillez-vous de le publier ? — Publiez, Monsieur, publiez, et que les
dieux
immortels vous soient propices ! I Je m’étai
e notre Sénat était intolérant lorsqu’il proscrivait les mages et les
dieux
de l’Asie ? Est-ce Jupiter qu’il défendait contre
nt. Leurs prêtres mêmes, que dis-je ? leurs pontifes juraient par les
dieux
immortels et attestaient Jupiter très-bon, très-g
s. Les églises se rouvrirent, les prêtres revinrent et chassèrent les
dieux
sans retour. Des poëtes barbares montèrent à l’as
énus, ses sandales dorées et sa robe transparente. En quel état, bons
dieux
! Moins fanés, moins déteints, moins fripés, sont
ce siècle par l’impiété des novateurs dits romantiques. Ni moi ni mes
dieux
n’avons plus rien à faire chez un peuple oublieux
la replonger. » VII Je voulais le consoler et lui dire que ses
dieux
notaient pas aussi oubliés qu’il le pensait ; que
on les néglige. A Rome et en Grèce, outre les sacrifices publics aux
dieux
de la patrie, il y avait dans chaque famille des
ne pourrait le boire sans sacrifier, c’est-à-dire sans en offrir aux
dieux
une partie, et il n’a pas les mains pures. Admiro
ait Adonis et qui roulait du sang, disait-on, pendant les fêtes de ce
dieu
. Les Athéniens avaient aussi leurs Adonies, penda
scure pour les anciens, exerçait la sagacité de leurs mythologues. Ce
dieu
, selon les uns, représentait le germe précieux du
de ces lumineuses contrées d’Orient de ne plus voir le visage aimé du
dieu
qui leur verse à torrents la joie et la fécondité
i, pouvant peupler à volonté leur Olympe, créaient tous les jours des
dieux
nouveaux. Une apothéose était donc chez eux un ac
nc chez eux un acte religieux important. C’était la canonisation d’un
dieu
. Un héros, un grand inventeur, le bienfaiteur d’u
econdaires. Les peuples imploraient leur médiation auprès de Zeus, le
dieu
suprême, comme nous implorons celle des saints du
onnaît le mot de cet empereur mourant : « Je sens que je vais passer
dieu
. Sentio me fieri deum. » Ne rions pas de cette c
urtant n’était pas un païen, s’était écrié : « O rois, vous êtes des
dieux
! » Il était temps que la Révolution arrêtât sur
En effet, les Égyptiens laissaient vivre leur bœuf, autant qu’un bœuf
dieu
peut vivre, et nous conduisons le nôtre à l’abatt
oujours. La Fontaine, plus enjoué, non moins fervent, badine avec les
Dieux
, comme Aristophane avec Jupiter, comme les auteur
les brouillards d’octobre rampent sous les pampres jaunis, le sang du
dieu
ruisselle des cuves sacrées et teint les pieds de
de son sang pour y puiser la joie, et la santé, fille de la joie. Le
dieu
qui les aime leur enlumine le teint, leur rougit
mélange qui n’a du sang divin ni le goût, ni la couleur vermeille. Le
dieu
les hait ; il leur donne, pour punir leur sacrilé
Panthéon, un Odéon, un Hippodrome, un Cirque. Mais quel cirque, bons
dieux
! Le dernier municipe d’Italie aurait rougi d’en
it, et quelque chose de tiède et de brillant comme une larme (car les
dieux
ne pleurent point) glissa de ses yeux sur sa robe
nalent, d’échouer contre un écueil vivant ou de jeter la sonde sur un
dieu
. Combien étaient plus hardis et plus dignes de no
aissé des dialogues pleins de malice, où il s’égaye sur le compté des
dieux
avec une liberté qui nous semble irrévérencieuse,
Rabelais fait un magnifique éloge de l’influence civilisatrice de ce
dieu
, dont on peut dire que tous les autres sont sorti
et devint le type de la sensualité, la personnification du ventre, le
dieu
de la ripaille. La table fut son autel et ses prê
elais nous donne une caricature amusante de Comus dans la personne du
dieu
Manduce, le patron des goinfres, ou, comme il les
us haut) assure que chez les Grecs l’éternuement était réputé pour un
dieu
. Sur quoi l’auteur que nous citons remarque que,
é pour un dieu. Sur quoi l’auteur que nous citons remarque que, si ce
dieu
avait eu des autels, la fumée des sacrifices n’au
énophon , un soldat éternua ; aussitôt toute l’armée fit sa prière au
dieu
. » On sait par les relations des voyageurs que,
l est nommé général. Il fallait que Xénophon fût parfaitement venu du
dieu
Éternuement pour le trouver toujours à point nomm
s organes de cette révélation ; ils communiquent directement avec les
dieux
; ils s’inspirent de leurs volontés, dont ils son
sent les premiers fondements des sociétés grecques sur la crainte des
dieux
; ils envoient Némésis sur les pas du coupable ;
Esculape. Les anciens adoraient sous trois types différents le
dieu
qui guérit les hommes et entretient leur santé. T
buveurs d’ambroisie conserveraient ils sur les fils de la Terre ? Le
dieu
, gardien inflexible des limites assignées par le
son, deux déesses rayonnantes d’une jeunesse immortelle. Aux pieds du
dieu
veillaient un coq et un chien. Lui-même tenait en
pidaure. Seuls quelques apothicaires de province, fidèles au culte du
dieu
, conservent pieusement ses armoiries sur leurs en
. Faune. Horace a résumé dans une ode tous les attributs de ce
dieu
. Essayons de la traduire : O dieu dont la flûte,
s une ode tous les attributs de ce dieu. Essayons de la traduire : O
dieu
dont la flûte, à peine entendue, Fait pâlir au bo
s, enfants de l’année, Achève en dansant sa course ordonnée, Tu sais,
dieu
jaloux, si nous te fêtons ; Du sang d’un chevreau
longs travaux. En ce jour béni, la forêt sauvage Verse aux pieds du
dieu
son pâle feuillage. Le loup suit au pré la brebis
, liv. 3.) L’imagination des anciens avait peuplé la campagne de ces
dieux
velus, cornus, aux pieds de chèvre, aux oreilles
fluence enrichissait la ferme, leur vue donnait la mort. Bons petits
dieux
des champs, Pans, Satyres et Faunes, Nymphes, qui
es aulnes, Vous qu’ Homère a créés, que Virgile a connus, Bons petits
dieux
des champs, qu’êtes-vous devenus ? Êtes-vous mor
nuit, étaient rangées les statues du Génie, du Lare, des Pénates, ces
dieux
dont la présence au foyer consacrait tous les act
tait une sorte de solennité religieuse), on offrait des libations aux
dieux
domestiques. Le repas terminé, on leur adressait
r-là, l’austère matrone le sert elle-même à table. Sous le regard des
dieux
protecteurs, il oublie sa misère, il se croit pre
loge en garni et déménage, pour ainsi dire, à chaque terme, avec ses
dieux
domestiques, au grand risque de les perdre en rou
ient pas leur temps à disserter sur la grâce ; ils la demandaient aux
dieux
. Trois déesses, trois sœurs, la dispensaient aux
e ses pas. Elle semblait raser les airs à la manière Que les
dieux
marchent dans Homère. Poètes laborieux dont l’a
hinée, roi de Thrace, avait fait crever les yeux à ses deux fils. Les
dieux
, pour le punir, lâchèrent contre lui les horrible
a mort avait rompu cette mystérieuse union, les génies devenaient des
dieux
infernaux auxquels on rendait, sous le nom de Mân
ts des oiseaux nuancés. Si, fidèle aux rites antiques, la crainte des
dieux
vous réveille, vous vous levez, et, les pieds nus
ge bouffonne. Il porte le masque et les grelots du carnaval. C’est le
dieu
de la farce. Un enfant de Momus est un enfant de
ait été fondé sous l’invocation de Momus. Il va sans dire que le gros
dieu
Comus n’y était pas oublié. Tous les initiés du t
et de la Nuit, il ne démentait pas sa ténébreuse origine. C’était un
dieu
jaloux, chagrin, mécontent, hargneux, dont l’uniq
i. Non content de critiquer les hommes, il mordait à belles dents les
dieux
ses confrères. Un jour, Neptune, Minerve et Vulca
rvices. Mais, par la barbe de Jupiter ! fallait-il brûler les anciens
dieux
, pour en adorer de nouveaux ? La poésie ne vit-el
t : « Goûtez-moi cela, monsieur ; quelle écorce ! c’est un nectar des
dieux
. » La haute éloquence compare quelquefois la flat
du nectar, attendu qu’il importe peu à nos lecteurs de savoir si les
dieux
buvaient le nectar et mangeaient l’ambroisie, ou
n goûter, pour être si bien renseigné. Hébé, la Jeunesse, versait aux
dieux
le divin breuvage. Ganymède lui succéda dans cet
sorte de nuage, pareil à celui dans lequel Homère fait descendre les
dieux
. Ce nuage, c’est l’ombre. Son ombre vers mon lit
ontons la légende de Midas. C’était au bon temps où les hommes et les
dieux
vivaient fraternellement sur la terre. Midas, roi
t traité magnifiquement Silène, le précepteur et l’ami de Bacchus. Le
dieu
reconnaissant permit au monarque de faire un vœu,
rt du dernier paysan, il maudit sa sottise et les faveurs perfides du
dieu
, il le supplie de lui retirer un pouvoir qui l’en
féra sottement la flûte à la lyre, l’idylle à l’épopée. Apollon était
dieu
, il était artiste, partant doublement susceptible
t en un grand drame qui a pour théâtre le ciel et la terre, et où les
dieux
interviennent pour personnifier le génie, les int
de jetée entre Rome et Carthage. » Prométhée. Au temps où les
dieux
n’avaient pas encore oublié leur parenté avec les
, était admis dans la maison de l’Olympe et s’asseyait à la table des
dieux
. Au milieu de ses grandeurs, il n’oublia pas la t
aire. — S’il lui prenait envie d’escalader le ciel et de détrôner les
dieux
pour se mettre à leur place ! — Cette pensée trou
e cette créature fut-elle sortie des mains du forgeron divin, que les
dieux
l’ornèrent de tous les dons et l’appelèrent Pando
le s’en fut offrir à Prométhée ; mais celui-ci, devinant la fourbe du
dieu
et sa vengeance, secoua tristement la tête et ref
à se venger de l’auteur de ses craintes. Prométhée avait surpris aux
dieux
, ses hôtes, le secret de la vie ; il avait dérobé
hairs, enveloppa les deux parts dans les peaux des victimes et dit au
dieu
: « Choisissez. » Jupiter prit au hasard et tomba
On lit dans des légendes que ce furent les hommes qui dénoncèrent au
dieu
leur bienfaiteur après le vol du feu céleste. On
er jamais, les hypothèses les plus hardies des modernes. Pareilles au
dieu
des mystères orphiques qui porte l’univers entier
inent les autres hommes par leur génie. Prométhée communique avec les
dieux
; — ils passent pour inspirés. Prométhée comble l
elle et de ses effets merveilleux, les Grecs l’ont personnifiée en un
dieu
marin, Protée, le père des métamorphoses. Heureus
, le premier de tous les êtres, le principe de toute la nature ; « Le
dieu
qui modifie la matière sacrée en mille formes par
l crie : Miséricorde ! — Et Satyres d’accourir. On rit du bonhomme de
dieu
, qui, les joues livides et bouffies, traîne en cl
e et en affranchir les hommes. Le premier avait essayé de dérober aux
dieux
l’ambroisie, principe d’immortalité ; l’autre de
es oracles ? — Un siége où s’asseyait la pythonisse, pour attendre le
dieu
? — Une grande coupe pleine de poussière ? — Une
cou. Rien de plus ridicule qu’un poëte qui s’y débat, en attendant le
dieu
qui ne vient pas. Vulcain. Cyclopes. Vulcai
s ordres. Il y a encore des écrivains qui invoquent le souvenir de ce
dieu
et de ses redoutables ouvriers pour embellir leur
veloppaient de légendes la vie de leurs artistes comme celle de leurs
dieux
! 4. Selon Aristote, les Pygmées habitaient dans
t existé, et l’amour et la reconnoissance des peuples en ont fait des
Dieux
. Tous les premiers bons rois ont été divinisés ch
e donner une explication satisfaisante de tous les attributs des faux
Dieux
; ceux qui nous paroissent les plus insignifians,
t aussi que la plupart des Fables qui déshonorent l’histoire des faux
Dieux
, ont été successivement inventées long-temps aprè
voient avoir entre elles le moindre rapport. Voilà pourquoi aucun des
Dieux
de la Mythologie n’a un caractère distinctif, ils
e le fait comparoître en suppliant devant un conseil composé de douze
Dieux
; le souverain de l’Olympe et des Dieux est toujo
t un conseil composé de douze Dieux ; le souverain de l’Olympe et des
Dieux
est toujours tremblant pour son autorité, il crai
les peuples qui adoptèrent de telles fables et qui adorèrent de tels
Dieux
? Cependant la croyance de ces Dieux valoit mieux
fables et qui adorèrent de tels Dieux ? Cependant la croyance de ces
Dieux
valoit mieux que l’athéisme, parce qu’on croyoit
eux, n’est tout simplement qu’une pure Fable. Autant presque tous les
Dieux
de l’Olympe sont révoltans par leurs vices et par
, il en est une surtout bien étrange et qu’on n’a jamais relevée. Les
Dieux
emploient continuellement les mêmes moyens pour p
bjets de leur courroux et ceux qu’ils protègent et qu’ils aiment. Les
Dieux
, pour récompenser le berger Cytheron du culte qu’
du culte qu’il leur avoit rendu, le changèrent en montagne. Ces mêmes
Dieux
, pour punir Hémon d’une passion incestueuse, le m
émon d’une passion incestueuse, le métamorphosèrent en montagne ; les
Dieux
, touchés des vertus de Crocus et de Smylax, les c
ation et le crime n’étoient pas seulement autorisés par l’exemple des
Dieux
, chaque vice avoit des temples sur la terre et un
doit mille doctrines diverses en exigeant un culte pour les différens
Dieux
. Les anciens philosophes n’ont été ni inconséquen
été ni inconséquens, ni systématiques, dès qu’ils ne nioient pas les
Dieux
; ils ne pouvoient rien écrire qui fut contraire
Uranus ou le Ciel, fils du Jour et du Chaos ; le plus ancien des
Dieux
; il eut pour épouse la Terre, sa sœur, appelée G
qui l’aida dans ce travail, fit les hommes imprudens et stupides. Les
Dieux
, choqués de ce que Jupiter prétendoit avoir seul
ométhée pour avoir révélé cet oracle fut délivré de son supplice. Les
Dieux
renoncèrent à la main de Thétis qui fut demandée
ves infernaux étoit l’Erèbe, il existoit avant tout et même avant les
Dieux
; il s’unit à la Nuit, sa sœur, et de cet hymen,
uirent les Titans ; il soutint ses enfans dans leur guerre contre les
Dieux
, ce qui le fit précipiter dans les enfers. La fon
rs ; il voulut qu’elle fût à l’avenir le gage sacré des promesses des
Dieux
. En jurant par le Styx, il falloit que les Dieux
ré des promesses des Dieux. En jurant par le Styx, il falloit que les
Dieux
eussent une main étendue sur la terre et l’autre
mais la dixième partie de ses eaux est réservée pour la punition des
Dieux
parjures. Le Dieu coupable demeure un an sans res
oisie. Ensuite il est exclu encore pendant neuf ans de la société des
Dieux
, et ce n’est qu’après ce temps qu’il peut rentrer
en punition d’avoir égorgé son fils Pélops, qu’il servit à manger aux
Dieux
. Titie, auquel un vautour dévore le foie pour avo
ter le supplice d’Ixion pour un crime plus horrible encore ; mais les
Dieux
l’en avoient absous. Pour se dispenser de faire à
est assurément l’une des plus absurdes de la mythologie, puisque les
Dieux
accordèrent au repentir d’un crime atroce ce qu’i
et alloient chercher de nouvelles victimes. Hésiode divise ainsi les
Dieux
mânes : les premiers habitans du globe, ceux qui
en frappant sur un vase d’airain : « Mânes de mes ancêtres, Lémures,
Dieux
des enfers, sortez de ce séjour ! » Aussitôt on a
r mort à errer long-temps sur les bords du Styx ou de l’Achéron ; les
Dieux
leur avoient donné le pouvoir d’épouvanter les mé
re fois qu’on buvoit du vin nouveau. On ne sacrifioit à Pluton et aux
Dieux
infernaux que des victimes noires. La Fable dit q
tune se disputèrent l’honneur de lui donner un nom ; les douze grands
Dieux
furent choisis pour arbitres et décidèrent que ce
mnes et de cantiques en l’honneur de Bacchus, d’Apollon et des autres
Dieux
; on fit même des pæans pour illustrer les grands
iqués diversement. Quelques-uns veulent que ce fut l’image des grands
Dieux
, d’autres croyent que c’étoit celle de Castor et
a vestale ; le pontife levoit les mains vers le ciel et adressoit aux
Dieux
une prière secrète. Ensuite il tiroit la vestale
mblé, une pomme d’or portant cette inscription : à la plus belle. Les
Dieux
décidèrent que Vénus, Junon et Minerve pouvoient
nut à sa démarche ; les anciens appeloient Aorasie l’invisibilité des
Dieux
, et ils pensoient que les Dieux n’étoient jamais
appeloient Aorasie l’invisibilité des Dieux, et ils pensoient que les
Dieux
n’étoient jamais reconnaissables vus en face, mai
de ses funérailles. La plus belle des Déesses s’unit au plus laid des
Dieux
; Vénus épousa Vulcain. Vénus étoit représentée a
d’étoiles brillantes. D’autres enfin, disent qu’après la défaite des
Dieux
auxquels Junon, dans leur révolte, s’étoit jointe
ui avoir lié les mains derrière le dos avec une chaîne d’or ; que les
Dieux
n’ayant pu rompre la chaîne, eurent recours à Vul
liaison entre Vulcain, le plus actif et le plus laborieux de tous les
Dieux
, et la Paresse, divinité allégorique. La Mytholog
ait pas précisément quel mortel osa le premier suivre cet exemple des
Dieux
; les uns disent que ce fut Deucalion, trop sensi
retrouver cette épouse chérie, s’étoit noyé en traversant la mer. Les
Dieux
, pour récompenser leur fidélité, les métamorphosè
t appeler Mars en jugement devant un conseil composé des douze grands
Dieux
. Mars fut absous. Ce fameux conseil s’assembla à
Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, et Messager des
Dieux
. Ce nom vient, dit-on, de marchands ou marchandis
En y conduisant Lara, par ordre de Jupiter, il l’épousa et en eut les
Dieux
Lares. Il vit un jour, sur le Mont-Cithéron, deux
r butin. Iris. Fille de Thaumas et d’Electra, Messagère des
Dieux
et surtout de Junon. On la représente portée sur
ujours errante et partout poursuivie, invoquoit en vain le maître des
Dieux
qui l’abandonnoit et la laissoit sans défense, li
a plus féroce barbarie se renouvellent sans cesse dans l’histoire des
Dieux
. D’après une ancienne fable, Minerve, dans ses vo
haétuse, Lampétie et Lampétuse, furent inconsolables de sa mort ; les
dieux
les changèrent en peupliers et leurs larmes en am
ette occasion, avoient forgé les foudres de Jupiter, et le maître des
Dieux
, en punition de ce meurtre, bannit Apollon du Cie
. Il fut bienfaiteur des hommes, et les Romains le mirent au rang des
Dieux
. Ce fut celui de la paix. On lui bâtit un temple
nné par Apollon. Hébé fut chargée de l’emploi de servir le nectar aux
Dieux
. Mais un jour, ayant fait un faux pas, elle tomba
toient les bois. La Fable donne aux Satyres, et en général à tous les
Dieux
et demi-Dieux des champs et des bois, des mœurs i
plus beau chêne ; ils gravoient sur le tronc de l’arbre les noms des
Dieux
qu’ils croyoient les plus puissans. Ensuite un Dr
mpêtres ait subsisté long-temps après l’abolition du culte des grands
Dieux
. On pouvoit en peu de temps détruire les autels e
s vallées et sur les montagnes. Voilà pourquoi Jupiter, le maître des
Dieux
, et les autres Divinités du premier ordre41 tombè
férens peuples du monde. Les anciens Romains rendoient leur culte aux
Dieux
la tête couverte. Selon l’ancienne coutume, dans
re pour s’occuper de l’institution des jeux, des fêtes, etc. tous les
Dieux
, pour honorer sa vertu, lui firent différens prés
elle avoit cessé d’être, elle fut mise, avec son mari, au nombre des
Dieux
indigètes. Bolina, nymphe qui se jeta dans la mer
’immortalité. Ea, nymphe qui, en fuyant le fleuve Phasis, implora les
Dieux
qui la changèrent en île. Aréthuse, en fuyant le
t Arabesque, sur un bâton de voyageur le bonnet de la Liberté. Les
Dieux
Lares ou Pénates. C’étoient des Dieux qu’o
et de la Liberté. Les Dieux Lares ou Pénates. C’étoient des
Dieux
qu’on regardoit comme les protecteurs des maisons
soit même des chapelles particulières que l’on appeloit Lararium. Ces
Dieux
étoient jumeaux et enfans de Mercure et de Lara.
’ail préserve du mauvais air. On couvroit de violettes les autels des
Dieux
Lares. On n’a placé dans ces Arabesques que les
, elle y plaça, par la suite, la tête de Méduse. 14. Serment que les
Dieux
ne pouvoient rompre. 15. Roi de Thèbes, fils d E
s propriétés médicinales. 41. Les Païens comptoient douze principaux
Dieux
qu’ils appeloient les Grands Dieux et qui sont :
Païens comptoient douze principaux Dieux qu’ils appeloient les Grands
Dieux
et qui sont : Saturne, Cybèle, Jupiter, Junon, Cé
acchus, Mercure, Vénus, Neptune et Pluton. Les autres étoient appelés
Dieux
inférieurs. Enfin, il y avoit les demi-Dieux ; ce
eur origine de quelque Dieu ou Déesse. On donnoit le nom d’Indigètes (
Dieux
Indigètes), aux hommes illustres qu’on honoroit c
ètes (Dieux Indigètes), aux hommes illustres qu’on honoroit comme des
Dieux
, après leur mort, dans le pays où ils étoient nés
s avec Junon plus solemnelles, ordonna à Mercure d’y inviter tous les
Dieux
et tous les hommes. Tous s’y rendirent, excepté l
e la Mythologie. On ne sauroit se refuser d’avouer que l’Histoire des
Dieux
et les Fables du Paganisme, font une partie consi
des autels. Bientôt une foule d’idoles Usurpa l’encens des mortels ;
Dieux
sans force, ornemens frivoles De leurs ridicules
ntes ; Et, par ses désirs et ses craintes, L’homme aveugle compta ses
dieux
. (Lamotte.) La corruption, 2.e cause de l’ido
voulut autoriser ses déportemens dans tous les genres à l’exemple des
Dieux
. Delà un Jupiter incestueux, un Mars adultère, un
tc. La vanité, 3.e cause de l’idolâtrie. On a élevé au rang des
Dieux
une foule d’hommes qui se sont rendus célèbres pa
Ils les craignirent, et cherchoient souvent à les appaiser comme des
Dieux
ennemis et irrités. Primus in orbe Deus fecit ti
s, Et trouve sons sa main des fleurs toujours écloses. Nombre des
Dieux
chez les Payens. D. Le nombre des Dieux étoit-
rs écloses. Nombre des Dieux chez les Payens. D. Le nombre des
Dieux
étoit-il considérable chez les Payens ? R. Varron
présente Atlas gémissant sous le poids du ciel, à cause du nombre des
Dieux
qu’on y logeoit. Le Destin. D. Quel étoit l
qu’on y logeoit. Le Destin. D. Quel étoit le plus puissant des
Dieux
? R. Les Payens avoient inventé le Destin, qui ét
yens avoient inventé le Destin, qui étoit supérieur à tous les autres
Dieux
. C’étoit une Divinité aveugle qui gouvernoit tout
ouvernoit toutes choses par une nécessité inévitable. Tous les autres
Dieux
, et Jupiter lui-même, étoient soumis à ses décret
nnoit aussi un livre, où tout l’avenir étoit écrit, et que les autres
Dieux
alloient consulter. Le Destin marque ici l’insta
ient de l’avenir l’histoire irrévocable. (Voltaire.) Division des
Dieux
en deux classes et leurs noms. D. En combien d
x classes et leurs noms. D. En combien de classes partage-t-on les
Dieux
? R. Nous les partageons en deux classes ; nous a
partageons en deux classes ; nous appelons ceux de la et première les
Dieux
suprêmes, autrement dits par les anciens majorum
ve, Vesta, Apollon, Diane, Mars, Vénus et Vulcain. Ces douze premiers
Dieux
formoient le Conseil suprême ; on les appeloit Di
e, Génius, le Soleil, Orcus, Bacchus, Janus, la Terre et la Lune. Les
Dieux
compris dans la seconde classe, appelés par les L
s formoient une quatrième classe. Première partie de la Fable. Des
Dieux
du premier ordre. Avant de commencer leur his
r. Saturne. Le Ciel passe communément pour le plus ancien des
Dieux
; comme la Terre ou Tellus passe pour la plus anc
e est femme de Saturne ; elle est regardée comme la mère de plusieurs
Dieux
; c’est pourquoi ou l’appelle la Grande-mère, Mag
épouvantables. Jupiter. D. Quel rang tenoit Jupiter parmi les
Dieux
? R. Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit
iter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit considéré comme le père des
Dieux
et des hommes. Et Jupiter assis sur le trône des
rs, Ce Dieu qui d’un clin-d’œil ébranle l’Univers, Et dont les autres
Dieux
ne sont que l’humble escorte, Leur imposa silence
n fut adoré à l’égal de Jupiter ; ce qui irrita si fort le maître des
Dieux
, qu’il voulut le foudroyer ; mais par compassion
source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des
Dieux
, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel prodiguan
édictions, Jusqu’à ce temps des humains ignorées, Avoient été par les
Dieux
resserrées, Pour le malheur des mortels douloureu
de Saturne et de Rhée, sœur et épouse de Jupiter, étoit la Reine des
Dieux
, et la Déesse qui présidoit aux royaumes. On la n
: Moi, l’épouse et la sœur du maître du tonnerre ! Moi, la Reine des
Dieux
, du Ciel et de la Terre ! Ah ! périsse ma gloire
e la Terre ! Ah ! périsse ma gloire ; et faisons voir à tous, Que ces
Dieux
si puissans ne sont rien près de nous. Qu’ils vie
si maladroitement, qu’il pensa embraser le ciel et la terre. Roi des
Dieux
, armez-vous ; il n’est plus temps d’attendre,
ar le Styx il jure de descendre Avec tout l’appareil du souverain des
Dieux
, Tel qu’aux yeux de Junon il paroît dans les cieu
la conquête des Indes. On le regarde même comme le plus puissant des
Dieux
après Jupiter ; il en étoit au moins le plus cour
re, fils de Jupiter et de Maïa, étoit l’interprète et le messager des
Dieux
, mais sur-tout de Jupiter. Il avoit des ailes à l
auté. Les Heures, sitôt sa naissance, l’enlevèrent dans le ciel ; les
Dieux
la trouvèrent si belle, qu’ils la nommèrent Déess
ner un nom à la capitale de la Grèce que Cécrops venoit de bâtir. Les
Dieux
assemblés se décidèrent en faveur de la Divinité
ne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les
Dieux
du ciel ! De la Noue achève de le faire connoît
rives errans, Par vos éternelles ténèbres, Par les sermens des
Dieux
, dont vous êtes garans, Écoutez-nous, Dieux
Par les sermens des Dieux, dont vous êtes garans, Écoutez-nous,
Dieux
redoutables ; Que nos vœux, que nos cris, vous tr
sept fois le tour des Enfers ; c’étoit par ce fleuve que juroient les
Dieux
, et s’ils se parjuroient, ils étoient privés de l
e Tantale s’étoit-il rendu coupable ? R. Tantale voulant éprouver les
Dieux
, leur avoit servi les membres de son fils Pélops.
rite encor le désir. (Lamotte.) Seconde partie de la Fable. Des
Dieux
du second ordre. La Terre avoit ses Dieux, ai
partie de la Fable. Des Dieux du second ordre. La Terre avoit ses
Dieux
, ainsi que le Ciel, la Mer et les Enfers. Leur no
limats divers ; Et, quand de tant de biens j’ai comblé l’univers, Les
Dieux
percent mon cœur d’une douleur mortelle. (Quinaul
lables à lui, et dont on le dit le père. Faune, mis aussi au rang des
Dieux
champêtres, parce qu’il avoit contribué à perfect
me, Il s’échappe sans cesse, et toujours se poursuit. (Lamotte.)
Dieux
domestiques. D. Comment nommoit-on les Dieux
uit. (Lamotte.) Dieux domestiques. D. Comment nommoit-on les
Dieux
domestiques ? R. Les plus connus étoient les Dieu
ent nommoit-on les Dieux domestiques ? R. Les plus connus étoient les
Dieux
Pénates ou Lares. Leur figure étoit conservée dan
là aux portes et aux grands chemins. Les Romains consacroient à leurs
Dieux
domestiques les anneaux, en forme de cœur, que le
uatorze ans. Énée, prince Troyen, est célèbre par sa piété envers les
Dieux
, mais sur-tout pour avoir sauvé de l’incendie de
les Dieux, mais sur-tout pour avoir sauvé de l’incendie de Troye les
Dieux
tutélaires de cette ville. Terme. D. Ne rega
télaires de cette ville. Terme. D. Ne regardoit-on pas comme des
Dieux
les pierres qui servoient de bornes ou de limites
t de bornes ou de limites aux champs ? R. Oui, et on les appeloit les
Dieux
Termes. Les vers suivans donneront une idée de le
he et les mains vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle les
Dieux
. (Lamotte.) D. De qui Thésée fut-il aidé dans so
mme semblable A ces deux jumeaux que la Fable Plaça jadis au rang des
Dieux
; Couple de Déités bisarre, Tantôt habitant du Té
er des pirates qui l’infestoient. De là ils étoient honorés comme des
Dieux
marins, et on leur immoloit des agneaux blancs.
termine ici ma course vagabonde, Et c’est pour obéir aux oracles des
Dieux
Qu’il faut m’arrêter en ces lieux. (Quinau
abandonné, Je suis fils de Jocaste, et je connois mon crime ; Grands
Dieux
, ne tonnez plus ! Prenez votre victime. Mon sang
a Grèce, Où mon crime par-là doit enfin s’effacer, Ma sœur, parmi nos
Dieux
nous irons la placer. (La Grange-Chancel.) Orest
épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la main, et emporta les
Dieux
tutélaires de sa patrie. D. Racontez-nous les ave
Baucis, sa femme, malgré leur pauvreté, leur firent bon accueil. Les
Dieux
, pour les récompenser, changèrent leur cabane en
e n’a réfuté et par des faits qu’on ne peut contester. L’histoire des
Dieux
que j’ai déjà donnée, est remplie de crimes, de m
it en pierre tous ceux qui osoient la regarder. Mais Persée, aimé des
Dieux
, reçut pour cette expédition tous les secours sur
égapenthe dont il avoit tué le père appelé Prætus. Après sa mort, les
Dieux
placèrent ce Héros dans le ciel parmi les constel
du moins lui ravissoit toute sa sécurité, et qui ne laissoit pour les
Dieux
qu’une crainte vague, sinistre, et non ce respect
naissent de l’admiration, de la gratitude et de l’espérance ; car ces
Dieux
impuissans ou barbares sembloient se jouer des ma
bien dit, l’un de nos plus ingénieux écrivains2 : qu’est-ce que des
Dieux
qui n’ont pas fait l’homme ? Œdipe étoit fils de
». « La prudence et ta modération sont les plus beaux présens que les
Dieux
puissent faire aux hommes ». Amphiaras.
e de Vénus et de Mars, avec Cadmus, furent très-brillantes ; tous les
dieux
y assistèrent, et firent des présens aux nouveaux
édiction à ce fils innocent ; il demanda à Neptune de le venger ; les
Dieux
cruels du paganisme ne refusoient jamais la venge
yaume d’Athènes, il y établit les lois de son pays et le culte de ses
dieux
. Il laissa trois filles, Aglaure, Hersé et Pandro
ercule, avant même qu’il eût reçu la vie, déclara dans rassemblée des
Dieux
, lorsque Alcmène fut au moment d’accoucher, que l
exactitude à un Roi si exigeant et si poltron. Mais c’étoit obéir aux
Dieux
qui lui ordonnoient de se soumettre. Hercule atte
. Il la poursuivit sur le mont Ménale en Arcadie, montagne chérie des
Dieux
, séjour ordinaire du Dieu Pan, et sur laquelle Ap
r Diane oubliée par Admète dans un sacrifice solennel fait aux autres
Dieux
; Apollon appaisa la colère de sa sœur qui depuis
nt et de mauvaise foi, passa toute sa vie à tromper les hommes et les
Dieux
. Il bâtit les murs de Troye. Apollon et Neptune b
de désespoir. Les sœurs de Méléagre pleurèrent tant sa mort, que les
Dieux
touchés de compassion les changèrent en oiseaux,
ussitôt, la peste ravagea le pays, l’Oracle consulté répondit que les
Dieux
s’appaiseroient si on leur immoloit les dernières
ce combat, Glaucus disparut miraculeusement, et fut mis au nombre des
dieux
de la mer. Ensuite ils allèrent en Samothrace, po
Égée. On rendoit là un culte particulier à Cérès, à Proserpine et aux
dieux
Cabires. On y venoit consulter un oracle aussi cé
autour de leur tête les firent placer, après leur mort, au nombre des
Dieux
tutélaires des nautoniers. Ces feux continuèrent
e Leucipe, quelques-uns dirent qu’elles étoient Prêtresses, l’une des
Dieux
, l’autre de Minerve. Ce rapt coûta la vie à Casto
t en conduisant un autre à vide. La Grèce les compta parmi ses grands
Dieux
, ils eurent des autels à Sparte et dans Athènes.
ien gouverneur lui dit : Quelque grand que tu sois Achille, égal aux
Dieux
, tu le dois à mes leçons 21. Achille, inflexible
usé Creüse fille de Priam. Il s’échappa de Troye en flammes, avec ses
dieux
Pénates, il chargea son père Anchise sur ses épau
. Atrée, s’applaudissant de sa vengeance alla offrir un sacrifice aux
Dieux
en action de grâce ; pendant cette cérémonie Egis
de joie qu’ils se rendirent au temple d’Apollon pour en remercier les
Dieux
; car les divinités adorées par les payens avoien
il se sauva sur un rocher où il s’écria : J’en échapperai malgré les
Dieux
; Neptune, indigné fendit le rocher avec son trid
meurtre qu’il fut cité en jugement devant un conseil composé de douze
Dieux
. Ce mot Aréopage (Tribunal d’Athènes) est formé d
it-on, en ce lieu que Mars, ayant été appelé en jugement devant douze
Dieux
, fut renvoyé absous. Évène. Roi d’Etolie,
sacrifices qui honoroient les autres Divinités et même le maître des
Dieux
, eussent souillé ses temples. Ces inconséquences
aussi cette divinité a été mise, par quelques auteurs, au nombre des
Dieux
. Apelles l’avoit représenté sous la figure d’un j
e, suivant les Païens, Jupiter lui-même étoit assujéti. Ce maître des
Dieux
, et cependant sans prévoyance et sans puissance a
l étoit né du Chaos et de la Nuit. Quoiqu’il fut le plus puissant des
Dieux
, il n’eut point d’adorateurs parce que ses arrêts
d’éternelles brouilleries, et cependant ce même poëte représente les
Dieux
se querellant sans-cesse. Les Potaiades étoient l
roient la Pâleur conjointement avec la Peur ; ils en avoient fait des
Dieux
, parce qu’en latin leurs noms sont masculins. La
on le plus rare des cieux, Fleur brillante, l’amour des hommes et des
dieux
, Le plus riche ornement de la plus riche plaine,
nt dans l’Œdipe à Colonne de Sophocle « j’achève de mourir ». 5. Les
Dieux
dansèrent à ces noces, Minerve y joua de la flûte
24. Nom qu’on donnoit aux hommes illustres qu’on honoroit comme des
Dieux
, après leur mort, dans le pays où ils étoient nés
et ne peut jamais être un tort. 39. O soutien du monde, ornement des
Dieux
et des hommes, adorable Vertu tu formes mes plais
ient presque tous avec ceux qu’on a déjà vu. 44. C’est parce que les
Dieux
sont clémens qu’on les adore sur la terre ; le pl
sa beauté, atteindre la hauteur héroïque, ressembler de trés-près aux
dieux
— D’une incessante activitè, par les combats, où
out à coup Télémaque, prompt, comme la foudre que la main du pére des
dieux
lance du haut de l’Olympe sur les têtes coupables
se, Même au pied des autels que je faisois fumer, J’offrois tout à ce
dieu
que je n’osois nommer. Racine — Phèdre — Tragèdi
terrassèrent Le peuple des Titans, et ses fiers souverains, Du jeune
dieu
les Jeux et l’Innocence, Et la Gaîte, compagne de
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