s et terribles ; la mer parut agitée par un dieu, et protégée par une
déesse
environnée de nymphes. Les forêts se peuplèrent d
pagnons, le fils d’Agénor tua le monstre, et, par l’ordre de Minerve,
déesse
de la sagesse, il en sema les dents qui firent na
. Les Hespérides lui ayant apporté des pommes d’or de leur jardin, la
déesse
fut si charmée de la beauté de ce fruit qu’elle e
e la tête d’Argus. Cette mort fut pour Junon une nouvelle offense. La
déesse
fait naître l’espèce de mouche appelée taon, qui
dait les troupeaux sur les coteaux du mont Ida. Un jour, il vit trois
déesses
s’avancer dans le bosquet : c’était Junon, Minerv
: à la plus belle. Tu vois devant toi, jeune berger, trois puissantes
déesses
: je suis l’épouse du grand Jupiter. Prends cette
à celle de nous qui la mérite. » Pâris, intimidé en voyant les trois
déesses
sans aucune espèce de parure, demeura quelque tem
e, et qu’en tombant sur la terre il se cassa la jambe. L’orgueilleuse
déesse
, indignée de ces outrages, conspira contre Jupite
ira contre Jupiter, de concert avec Apollon et Neptune ; mais Thétis,
déesse
des mers, dévoila le complot. Junon avait un gran
et ce sont elles aussi qui font célébrer des jeux en l’honneur de la
déesse
. Ces jeux consistent à voir les filles disputer l
plaine par où l’on va d’Olympie à Elis. « Dans le temple de Junon, la
déesse
est assise sur un trône. Jupiter est auprès : il
femmes dans l’enfantement. Quelquefois Junon a été regardée comme la
déesse
de l’air ; on l’invoquait pour obtenir une saison
l’histoire. La plus brillante des planètes devait être consacrée à la
déesse
de la beauté. C’est donc sous l’influence de Vesp
luence de Vesper que nous aller parler de Vénus. Vénus. Cette
déesse
naquit de l’écume de la mer, près de l’île de Cyp
iomphe de Vénus. L’admiration des dieux parut égale à la jalousie des
déesses
. Elle but le nectar et devint immortelle. On dit
uit de ses amours Paphos est alarmée. On dit qu’au fond d’un bois, la
déesse
charmée, Inutile aux mortels, et sans soins de le
ausa de douleurs ! Un jour que son amant la voyait tout en pleurs : «
Déesse
, lui dit-il, qui cause vos alarmes, « Quel ennui
ayant paru dans les bois, le jeune chasseur oublia les conseils de la
déesse
: il combattit ce monstre, et mourut d’une blessu
e. Dans l’un d’eux les jeunes filles venaient déposer aux pieds de la
déesse
leurs poupées, lorsqu’elles devenaient nubiles. C
taient la Vénus populaire et la Vénus-Uranie. Sous ce dernier nom, la
déesse
de la beauté inspirait les sentiments délicats, l
de ce chef-d’œuvre de Praxitèle. Les Lacédémoniens adoraient aussi la
déesse
de la beauté sous le nom de Vénus armée. Soit que
et d’Harmonie ; leurs noms étaient Aglaé, Thalie, et Euphrosine. Ces
déesses
présidaient aux libéralités, aux services rendus
ostituées. Lorsque ces aimables filles de Jupiter accompagnaient la
déesse
de la beauté, l’Amour se mêlait parmi elles. Rare
ambeau dans sa main. Il est craint de tous les dieux et de toutes les
déesses
, qui le caressent tour-à-tour, et qui lui prodigu
l attelle au char de Cythérée les cygnes ou les colombes, et amuse la
déesse
du récit de ses tours perfides. Quelquefois on le
iter, on doit distinguer Latone ; elle était extrêmement belle. Cette
déesse
était fille d’un de ces Titans qui firent à Jupit
’affligeant, Eût grossi par ses pleurs le nombre des fontaines, Si la
déesse
enfin, pour terminer ses peines, N’eût obtenu du
histoire de Diane, et il voyait avec plaisir l’astre consacré à cette
déesse
répandre déjà ses douces clartés sur le lieu de l
que le jeune chasseur est métamorphosé en cerf : il veut implorer la
déesse
, mais sa voix est éteinte ; il fuit, et voyant sa
Calisto, fille de Lycaon, était une des compagnes favorites de cette
déesse
. Jupiter en voyageant pour réparer les maux causé
métamorphose qui l’avait trompée, redoutait la présence de la chaste
déesse
; mais un jour que les nymphes se plongeaient dan
vertu. La fille de Dédalion ayant osé se croire plus belle que cette
déesse
, elle la perça de ses flèches, et la changea en é
t durant la nuit. Les éclipses de lune annonçaient le moment où cette
déesse
abandonnait le ciel pour venir sur le mont Lathmo
e, où l’amour platonique était peu connu. On prétend encore que cette
déesse
ne fut pas insensible à la beauté d’Orion, et qu’
endant Diane n’en fut pas moins honorée comme une des plus puissantes
déesses
. Les peuples la considéraient tour-à-tour comme d
raient tour-à-tour comme divinité du Ciel, sous le nom.de lune, comme
déesse
des Enfers, sous le nom d’Hécate, et comme la div
s celui de Diane ; c’est pour cette raison qu’on l’appelait la triple
déesse
, la déesse à trois têtes : on lui faisait des sac
Diane ; c’est pour cette raison qu’on l’appelait la triple déesse, la
déesse
à trois têtes : on lui faisait des sacrifices dan
ple, après avoir aboli les horribles sacrifices que l’on faisait à la
déesse
. Les peuples de la Grèce immolaient ordinairement
des fourbes et des fripons, hâtons-nous de faire succéder celle de la
déesse
de la sagesse et des beaux arts. Cette divinité n
leurs à sa tête, il se la fit ouvrir par Vulcain, et il en sortit une
déesse
déjà grande et tout armée ; c’était Minerve : ell
oduit l’olivier, remporta la victoire ; et comme le nom grec de cette
déesse
était Athéné, la nouvelle ville reçut le nom d’At
oint avouer qu’elle fût son élève. Arachné osa même concourir avec la
déesse
. Minerve peignit les dieux dans tout leur éclat ;
rendre pour charmer les jeunes mortelles ; et elle obtint le prix. La
déesse
, ne pouvant vaincre sa colère, s’arme de sa navet
t à lui donner des marques de son amour dans le temple de Minerve. La
déesse
irritée de ce sacrilège changea les beaux cheveux
sur toutes les autres villes dans le culte qu’elles rendaient à cette
déesse
. Jupiter, charmé de voir les Rhodiens élever des
des statuaires grecs ; le même peuple institua en l’honneur de cette
déesse
des fêtes célèbres sous le nom de Panathénées. L’
une quenouille de la gauche. Lorsque Minerve est considérée comme la
déesse
des beaux arts, elle perte le voile nommé peplus
celle de Mars, qui voyait quelquefois une rivale de gloire dans cette
déesse
. Mars. Il se présente le casque en tête, t
les de Cérès semblent avoir été élevés par ce noble sentiment. Cérès,
déesse
des fruits et des moissons, était fille de Saturn
a plus de voix ; Du destin de sa fille elle sut toutefois Donner à la
déesse
un signe manifeste. La ceinture échappée à la vie
x dieux, avait beaucoup souffert pendant le courroux de Cérès ; cette
déesse
s’y rendit, et séjourna à Éleusis, où elle instru
r de Cérès les fêtes appelées Thesmophories, et dans lesquelles cette
déesse
était honorée comme ayant donné les lois aux peup
donné les lois aux peuples de la Grèce. Pendant les courses de cette
déesse
, il lui arriva plusieurs aventures. Un jour, acca
brûlé de l’encens, sur ses autels, elles offraient aux regards de la
déesse
tous les défauts de leur corps, en la prient d’en
des processions autour de leurs champs, en portant la statue de cette
déesse
, pour obtenir la conservation des fruits de la te
es. Le jour même de la fondation de Rome, on célébra la fête de cette
déesse
, qui protégeait principalement les pâturages et l
sur un brancard par quatre femmes. Le culte que l’on rendait à cette
déesse
variait dans les différents pays. Sous le nom de
à cette déesse variait dans les différents pays. Sous le nom de bonne
déesse
, les dames romaines célébraient tous les ans une
mort quiconque se trouvait à la célébration des mystères de la bonne
déesse
, sans avoir été initié. On ÿ portait des torches
s, et se célébrait à Éleusis dans le mois d’août. La fête de la bonne
déesse
à Rome était une imitation des mystères d’Éleusis
r une planète à laquelle ils se sont empressés de donner le nom de la
déesse
des moissons : ils ont rendu les mêmes honneurs à
s l’Olympe son protecteur ou son maître. De même que Minerve était la
déesse
des beaux arts, Vulcain était le dieu des arts mé
gardé comme le fils de Junon. Nous avons vu, dans l’histoire de cette
déesse
, comment son fils ayant voulu rompre la chaîne à
é sur sa figure bizarre, il fit un fauteuil d’or qu’il offrit à cette
déesse
: Junon s’y étant assise, se trouva saisie par le
t pétrie avec de l’argile et des larmes. Tous les dieux et toutes les
déesses
firent un présent à cette femme séduisante ce fut
et de Rhée. Numa Pompilius fut le premier qui éleva un temple à cette
déesse
: il n’était pas permis aux hommes de pénétrer da
œur le feu de l’amour que de laisser éteindre sur l’autel celui de la
déesse
. Quinze d’entre elles, dans l’espace de onze cent
il fallait, en général, être né d’un dieu et d’une mortelle, ou d’une
déesse
et d’un mortel. Or nous avons vu les voyages que
er et de Junon. Sa fraîcheur et sa beauté lui firent donner le nom de
déesse
de la jeunesse. Ses fonctions dans l’Olympe étaie
le desir de ceux qui en mangeaient. C’était aussi un parfum, dont les
déesses
ne manquaient pas de faire usage pour leurs cheve
et pour leurs habits : l’odeur d’ambrosie annonçait l’approche d’une
déesse
une lieue à la ronde. L’huile de Macassar n’eût s
e avait la propriété de guérir toutes les blessures des mortels : les
déesses
s’en servirent plusieurs fois pour guérir les hér
r le nectar, et donna cette fonction au jeune Ganymède. Cette aimable
déesse
était appelée Dia chez les Grecs et Juventas chez
u posséder dans un nuage auquel Jupiter avait donné la forme de cette
déesse
, et qui est condamné à tourner toujours sur une r
sse de son royaume et de son caractère, résolut d’enlever la première
déesse
qu’il trouverait de son goût. Un jour qu’il était
oureux tourment, La voir et l’enlever n’est pour lui qu’un moment. La
déesse
pâlit, tremble, se désespère ; Elle appelle à gra
aient l’Océan, fils du Ciel et de la Terre ; il épousa Téthys, grande
déesse
des mers, une des Titanides. De cette union naqui
r elle avait fait vœu de virginité. La rigueur et les mépris de cette
déesse
mirent long-temps sa constance à l’épreuve, et pe
x étaient enflammés, et leurs bouches étaient fumantes. Le char de la
déesse
était une conque d’une merveilleuse figure ; elle
cheveux pendaient sur leurs épaules, et flottaient au gré du vent. La
déesse
tenait d’une main un sceptre d’or pour commander
nts lieux sous le nom de Rhée, d’Ops, de Vesta, de Cybèle ou la Bonne
Déesse
. Cybèle. Elle était fille d’Uranus ou le Cie
, et mère de Jupiter, de Neptune, et de Pluton. On représentait cette
déesse
sous la figure d’une femme, dont le sein était co
cruellement sur son amant et sur sa rivale. Après la mort d’Atys, la
déesse
le métamorphosa en pin. Maintenant examinons les
moureuse, a pour son partage les poésies galantes. Polymnie est la
déesse
de la musique vocale. Calliope est la souveraine
pçons jaloux de Junon, elle l’amusait par différents récits ; mais la
déesse
ayant découvert son artifice, la condamna à ne pa
une nymphe enfermée dans un chêne majestueux et chéri de Cérès, cette
déesse
le livra à la Faim, divinité hideuse, dont nous a
leurs. Zéphire, le plus léger des vents, est l’amant de cette aimable
déesse
. Le premier jour qu’elle le vit, elle prit la fui
la première pièce, on remarquait souvent une statue de Vesta : cette
déesse
était vêtue d’une longue robe, son visage était c
puis Tellus ou Terra, chez les Latins. Plus tard, quand on connut la
déesse
suprême des Crétois, on la considéra comme mère d
e peuple d’Athènes plus vulgairement l’appelait encore Damia ou bonne
déesse
, ou Gynécie, puis Placiana en Mysie, Sipylène en
de la Phrygie, dont la théogonie plaçait la matière féminisée ou une
déesse
à la tête de la création. Si nous voulons savoir
vement épris, et chez les autres simple berger, faisant à la reine ou
déesse
serment de fidélité ; quelques-uns lui font dédai
l’habileté d’amener un lion roux à dévoiler ce mystère à cette grande
déesse
de la Phrygie. Enfin, en admettant Cybèle fille d
ie la plus remarquable de cette fête était de tremper la statue de la
déesse
dans les eaux de l’Almo. Beaucoup plus tard, vers
rygie dès l’an 1580 av. J.-C., le véritable rôle d’une Cérès grecque,
déesse
des moissons, que nous rencontrerons avec le titr
. — Sous le point de vue que ce nouveau nom entraîne après lui, cette
déesse
est la seule qui doivent être véritablement consi
e et lumineux de la nature. Rhéa, ou Rheîa, ou Rhée, était la grande
déesse
de la Crète ; elle offrait l’idée d’une femme for
omains enrichirent, comme on l’a vu, leur capitale de la statue de la
déesse
protectrice des peuplades grecques qu’ils venaien
tièrement ce qui regarde Cybèle et Rhée, jetons un coup-d’œil sur une
déesse
que trop souvent on confond avec elles, sur cette
aquelle n’était pas plus Cybèle que Titée, Gê, Ops ou Rhée. En effet,
déesse
du feu et spécialement du feu central de la terre
ez les anciens, le vulgaire seul ne comprenant pas l’essence de cette
déesse
symbolique, la scindait en deux individus. Son ha
tiques. Ovide seul en raconte une attribuée encore à plusieurs autres
déesses
, et dont en outre elle sortit sans que son honneu
onie, car c’est à Numa qu’on attribue l’institution du culte de cette
déesse
. Tout le monde connaît ce culte. On sait que dans
u’elles rencontraient par hasard sur leur chemin. Vesta était donc la
déesse
du feu, de l’intérieur, de la terre, et la patron
s et les meûniers y prenaient la plus grande part ; pour se rendre la
déesse
favorable, on priait les vestales de lui offrir l
nous verrons bientôt la description. Sans avoir un culte spécial, ces
déesses
avaient pourtant dans Argos une chapelle, et dans
eu égard à Thia, lui a donné pour femme Euryphæsse, c’est-à-dire, la
déesse
à ample lumière, ou la nymphe Néere, et pour fill
sur la proue duquel elle appuie son pied droit ; tantôt c’est Thémis,
déesse
de la justice, qui passe plus souvent pour avoir
nous rencontrons est une femme ; c’est la Titanide Thémis, qui fut la
déesse
de la justice. Son alliance avec Jupiter lui fit
voit sortir, armée de pied en cap, la brillante Minerve, qui sera la
déesse
de la sagesse, de l’intelligence et du courage da
mêmes que les Divipotes ou Dieux-Puissans, savoir : six dieux et six
déesses
. On leur donnait les noms grecs suivans, à la sui
menaçait, Jupiter appelle à son secours tous les Dieux et toutes les
Déesses
. A sa voix on les vit arriver ; mais Styx, fille
ement la fuite, et se réfugièrent en Égypte. Trois ou quatre Dieux ou
Déesses
seulement restèrent et résistaient à peine, lorsq
e, quoique vulgairement on ne reconnaisse que Mars pour fils de cette
déesse
. Les détails de la naissance de Typhoé sont curie
sortis des bras de leur nourrice, qu’ils aspirent à la possession des
déesses
: Éphialte veut avoir Junon, et son frère a des p
lui ordonna de ne parler que des hommes. On la représentait comme une
déesse
énorme, ayant cent bouches, cent oreilles et de l
bâti par Sylla, et l’on voyait une de ses statues dans la main de la
déesse
Rome, au sénat et au Capitole ; elle fut même la
e des Dieux conservait continuellement autour de son trône les Œtœ ou
déesses
des supplians, et les Lites ou déesses des prière
autour de son trône les Œtœ ou déesses des supplians, et les Lites ou
déesses
des prières, afin de pouvoir toujours être instru
déjà connu sous le nom de Vulcain, quoique Mars et quelques dieux ou
déesses
à noms allégoriques soient encore regardés par un
des enfers, Interduca, ou directrice des alliances légitimes, Juga ou
déesse
des mariages, d’où à Rome, Jugatin dieu également
ra à Egium, Tebennis et Togata ou à la toge, Télia et Télessigamos ou
déesse
du mariage, Ténée ou la captive, ou aux roseaux,
s de Pelasgue avait pris soin de son enfance ; Samos soutenait que la
déesse
avait ouvert les yeux sur le fleuve Imbrasus ; ma
Jupiter ordonna à Mercure de faire ses invitations. Tous les Dieux et
Déesses
se rendirent à cette noce brillante. Une nymphe c
bée, de Vulcain et même de Lucine, selon quelques savans ; mais cette
déesse
, présidant particulièrement aux accouchemens, est
ment il est né, et nous savons que ce n’est pas dans le sein de cette
déesse
, mais seulement par sa volonté et sur la terre qu
ir vu Minerve sortant du bain avec Chariclo, nymphe et favorite de la
déesse
; les autres, que ce fut pour l’empêcher de voir
taient chargées spécialement de préparer le bain et la toilette de la
déesse
. Junon, la grande déesse de Carthage, fut success
ent de préparer le bain et la toilette de la déesse. Junon, la grande
déesse
de Carthage, fut successivement adorée chez les G
tisanes seules n’avaient pas leur Junon, car elles étaient pour cette
déesse
un objet de haine si implacable que, pour éviter
auté ; les Épidémies chez les Milésiens avaient pour but de rendre la
déesse
favorable au peuple ; les Fébruales instituées pa
e Lysandre après la victoire d’Ægo-Potamos. Junon paraît avoir été la
déesse
primordiale de l’Argolide ; puis les Crétois, les
nt la blancheur est due à une goutte de lait, tombée du sein de cette
déesse
, sur la terre. Quoique pour mieux l’honorer, les
on, quoique la ville de Carthage fût censée posséder le char de cette
déesse
, la plus célèbre était celle d’Argos dont la stat
emple, les remplacèrent ; ils furent récompensés de leur piété par la
déesse
, à la demande de Cydippe, en étant pris dans le t
beauté proverbiale, mérite de notre part un peu plus d’égards. Cette
déesse
n’était autre chose que la personnification de la
nombreuses, on dit cependant qu’il eut pour femme, d’abord Vénus, la
déesse
de la beauté, et pour maîtresses, Aglaé ou Charis
re d’un Alcippe. Ménalippe ou Mélanippe, fils de Thritta ; les Moles,
déesses
des meuniers, que l’on croyait filles de Mars, pa
nimaux : un cochon, une brebis et un taureau. Mars partageait avec la
déesse
de la paix les fêtes que l’on célébrait dans le t
, et était nommé à vie. Ces prêtres, pour célébrer les fêtes de cette
déesse
, se faisaient d’abord sérieusement des incisions
bre de quatorze, et la plus belle d’entre elles était Déiopée, que la
déesse
donna un jour à Eole pour l’engager à faire naîtr
tre portait les surnoms d’Aellopus ou au pied rapide, de Clara dea ou
déesse
brillante, et de Thaumantia ou fille de Thaumas ;
par Mercure. Junon, d’après ce que l’on vient de dire, était la haute
déesse
, la génératrice femelle et passive de la Grèce, p
emelle et passive de la Grèce, pourtant elle était moins reine, moins
déesse
que Cybèle, car elle partageait de sa puissance a
et Latone, qui toutes ensemble avec elle ne sont qu’une seule et même
déesse
, soit qu’on les considère comme ses rivales, soit
endant que, prise sous l’un de ces quatre noms, elle devient alors la
déesse
par excellence des maisons et des mariages. C'est
s générations ; honneur qu’elle partage du reste avec divers dieux et
déesses
appelés Gamenœ Deœ ou Gamèles, et non Camiles. A
œ ou Gamèles, et non Camiles. Avant de terminer ce qui regarde cette
déesse
, montrons quels sont les caractères spéciaux qui
ans avant l’ère chrétienne dans le temple de Délos, comme celui de la
déesse
salutaire présidant à la délivrance, revint ensui
e la déesse salutaire présidant à la délivrance, revint ensuite à une
déesse
funeste dont la colère était redoutée des femmes
une Junon, mais une Junon-Ilithye ou accoucheuse, et, comme une autre
déesse
appelée Diane ou Lune, possède aussi cette propri
e enfant, les parens payaient un droit pour grossir les trésors de la
déesse
. On célébrait en son honneur, tous les ans, des f
es allégoriques. Dans le nombre de ces divinités, on trouve : Alémone
déesse
de l’allaitement, Cuba qui présidait, à Rome, au
nt, Cuba qui présidait, à Rome, au coucher des enfans, Cuna ou Cunina
déesse
romaine des enfans au berceau, Egerie ou Lucine,
mes romaines invoquaient pendant la gestation, Geneta ou Mama-Geneta,
déesse
latine qui présidait à la génération de tous les
atin du mariage, Lalle était le dieu du balbutiement enfantin, Levana
déesse
latine, protégeait les nouveaux nés, Maturne étai
a déesse latine, protégeait les nouveaux nés, Maturne était à Rome la
déesse
de la maternité, Nixi Dii étaient trois dieux pro
eux protecteurs des femmes en couche, à Rome, Nundina présidait comme
déesse
romaine à la purification des enfans, Orbona prot
résidait à la flagellation annuelle des enfans, Ossilégo ou Ossipaga,
déesse
latine qui présidait à la formation des os, Parte
éesse latine qui présidait à la formation des os, Partes étaient deux
déesses
latines que les femmes enceintes de neuf à dix mo
ésidant au temps de la grossesse, Pota ou Potica ou Pontina était une
déesse
qui présidait à Rome au boire des enfans, Prorsa
Rumina protectrice romaine des enfans à la mamelle, Sentia et Sentine
déesse
qui protégeait les nouveaux nés chez les Latins,
fermissait les pieds des enfans en bas âge à Rome ; Utérina était une
déesse
latine qui présidait à la gestation et aux accouc
tait un dieu latin protecteur de l’enfant qui crie ; Vitumne était la
déesse
, à Rome, protectrice de l’enfant après sa concept
particulier seulement influencé par Junon ; puis ils ajoutent que ces
déesses
adressèrent à Ilithye, Iris, la messagère, et que
le Soleil personnifié ou Dieu du jour et des arts, et sa sœur fut la
déesse
de la chasse, ainsi que la personnification de la
one, après ce massacre, devint une puissance crainte et redoutée, une
déesse
de mort, une Diane Lucifer, adorée par la peur. O
Nélée ou la divinité de Nélée, fondateur des Nélédies, Némorensis ou
déesse
des bois, OEnoatis ou d’Oenée en Argolide, Omniva
Sarpédon en Cicile, Sciatis de Scias près Lacédomone, Sœva Dea ou la
déesse
cruelle de Tauride, Sotira ou la conservatrice, c
de Jupiter, sœur aînée d’Apollon, reçut de son père l’honneur d’être
déesse
de la chasse et des forêts. Après avoir secours s
e le petit faon, femme d’Elide, pour nourrice, chez les Éléens. Cette
déesse
, malgré tous ces noms, était adorées sous trois d
ont on l’a entouré dans ces diveres fonctions : parlons d’abord de la
déesse
de la chasse. Jupiter, après avoir accordé à Dian
, après avoir accordé à Diane la permission de rester vierge, la créa
déesse
de la chasse et reine des bois ; il l’arma de flè
rendit mère d’Arcas. Alors la paubre nymphe encourut la haine de deux
déesses
, car ayant refusé de sa baigner avec ses compagne
é, soit pour impiété, en ayant voulu manger des viandes offertes à la
déesse
en sacrifice, soit pour avoir eu la vanité de se
norèrent même d’un culte particulier. Mélanippe fut aussi puni par la
déesse
pour avoir aimé Comito, l’une de ses prêtresses,
Dédalion, ayant eu la témérité de préférer sa beauté à celle de cette
déesse
, Diane la tua d’une flèche et laiss son père se p
une ville de l’Eubée, Apis d’Etolie, Eryme de Cyzique, Gration que la
déesse
tua parce qu’il avait percé accidentellement sa b
e où l’on trouvait aussi cell de Diane. Nous venons de dire que cette
déesse
passa toujours pour vierge ; cependant on l’accus
sait trop comment, moururent de douleur. On dit encore que la chaste
déesse
se prit de passion pour Hippolyte, fils de Thésée
siennes. Argé ou Hécaerge, fille de Borée et d’Orithye et sœur de la
déesse
Opis, était une divinité favorable aux chasseurs,
contre une bête sauvage. Sa mère fut si affligée de sa perte, que la
déesse
la changea en une fontaine qui porta son nom. Cal
tre personnage que Diane chasseresse. En effet, la Lune est la grande
déesse
céleste de la plupart des peuples. Elle répond à
ne, nous renvoyons à l’explication que nous donnons de celui de cette
déesse
; Lunus cependant, considéré comme astre masculin
arrefours et aux chemins, Zéa ou présidant à la vie. Hécate était une
déesse
multiple, comme l’indiquent ses noms de Tricéphal
d’Aristée, ou du titan Persès et d’Astérie, aussi, tantôt elle était
déesse
bienfaisante distribuant les biens et la victoire
èbres magiciennes Médée et Circée. Mais si l’on en fait une véritable
déesse
, elle se confond entièrement avec Diane, et prési
s et ses statues avaient trois faces. Les Athéniens regardaient cette
déesse
comme protectrice des familles et des enfans, pla
riches donnaient, dans les carrefours, un repas public présidé par la
déesse
et destiné aux pauvres. On la représentait, soit
e elle emprunta celui de Cyncthia du mont Cyncthus, le culte de cette
déesse
ne tarda pas à se répandre dans toute la Grèce. S
n remarque Preugène qui, après avoir enlevé de Sparte la statue de la
déesse
, lui éleva un temple à Maphore en Achaïe ; puis C
cinq à dix ans, et vêtues en robes jaunes, venaient se consacrer à la
déesse
, et l’on appliquait un léger coup d’épée sur la t
pendant lesquelles on fouettait de jeunes enfans sur l’autel de cette
déesse
pour leur apprendre à supporter la fatigue et la
que Neptune fixa exprès pour elle, elle y mit au monde d’abord Diane,
déesse
de la chasse, ensuite Apollon, que Jupiter fit bi
n des poètes de l’antiquité, le vieux Olen, attaché à Latone. Thémis,
déesse
de la justice, se chargea de l’enfance d’Apollon.
muse sicilienne ; mais on pourrait également y rattacher Cumène ou la
déesse
du chant de l’ancienne Italie où l’on portait à n
ce de Corybantes primitifs, en Grèce où ils fondèrent le culte de ces
déesses
. Chacune d’elles portait un nom significatif : C
tte muse, de ses amours avec Jupiter, étant devenue mère d’Orphée, la
déesse
de la beauté inspira aux femmes de la Thrace une
ntrigue qu’elle avait avec Adonis, elle fut également punie par cette
déesse
qui lui inspira aussitôt une passion amoureuse, à
vant Apollon, et cela par suite d’une protection toute spéciale de la
déesse
pour Bellérophon, fils de Glaucus, roi d’Epire ou
s invoquait en les confondant souvent avec les Bacchantes ou avec des
déesses
guerrières ; mais le plus souvent avec les Graces
x sibylles ajouter les magiciennes dont fit partie la nymphe Cratéis,
déesse
des sorciers et des enchanteurs, mère de la fameu
e en l’honneur d’Opis et d’Hécaërge dans laquelle il disait que cette
déesse
était venue du pays des Hyperboréens en Achaïe et
ter à outrance sa beauté et la mettre au-dessus de celle de Junon, la
déesse
la punit en la précipitant aux enfers. Alors Orio
lence à Opis, une de ses compagnes ou parce qu’il avait osé forcer la
déesse
à jouer au disque avec lui, ou pour avoir touché
us ; passons de suite à celles qui sont les plus célèbres après cette
déesse
: Achalide qui devint mère de Delphus que l’on do
mphe, dont le nom grec signifiait laurier, fut honorée à Sparte comme
déesse
, sous la désignation de Pasiphaé, et elle y renda
coup d’autres les fassent passer pour fils de la mer. Néère était une
déesse
aimée du soleil, qui la rendit mère de deux fille
t d’avoir une entrevue avec Adonis, et fut privée de la vue par cette
déesse
: alors Apollon pour le venger, fit naître, de co
amille allégorique fort nombreuse composée d’une foule de dieux ou de
déesses
tenant à la médecine ; ainsi on lui donne encore
e particulier de prêtres ayant seuls le droit de voir la statue de la
déesse
; ils ne pouvaient l’interroger qu’en temps de pa
xicacus, Alexicacus et Averruncès ou dieux chassant les maux, à Mana,
déesse
des maladies périodiques des femmes, à Thermora e
déesse des maladies périodiques des femmes, à Thermora et à Valenti,
déesses
des bains. Les Apotropes étaient figurés un fouet
et les Parques, et l’on sait que Métis développa dans son cerveau la
déesse
de la sagesse. Cette Métis, mère de Minerve, est
veloppé dans un ample manteau. Cérès. Maintenant parlons d’une autre
déesse
qui passa pour avoir vécu conjugalement avec Jupi
n, tyran de Pise, à bâtir un temple à Cérès, Chloé ou la verte, comme
déesse
de la verdure à Athènes, Chrysaoros ou au glaive
portant le glaive, Zeidora et Zidora ou donnant la vie. Cérès, cette
déesse
toute puissante, puisqu’elle était censée dispose
sur la terre. Aussi depuis ce jour, elle fut pour la Grèce la grande
déesse
, la déesse par excellence des moissons et de l’ag
re. Aussi depuis ce jour, elle fut pour la Grèce la grande déesse, la
déesse
par excellence des moissons et de l’agriculture.
ine, elle lui fut enlevée par Pluton, le dieu des enfers. Cette jeune
déesse
était alors occupée avec Minerve, Junon, Venus, l
oir séjour pour en faire sa femme, faute d’avoir pu trouver parmi les
déesses
de l’Olympe quelque belle qui voulût accepter ses
tard en une fille de Cercyon. Après ce refus de la part de la grande
déesse
, Iambé, suivante de Métanire, se présente, et sou
version prétend que Baubo fit ce geste indécent pour se venger de la
déesse
qui, nourrie par le chagrin, n’avait pas voulu bo
laisante est Misma ou Hespere, ou étoile du soir, qu’elle présenta la
déesse
à son fils Ascalabe ou Stellio, qui s’étant mis à
cependant la métamorphose d’Ascalabe en lézard semble indiquer que la
déesse
, un peu moins désolée vers le coucher du soleil,
berceau ou en troisième que l’on indique sous le nom de Démophon. La
déesse
voulant laisser une marque de sa reconnaissance à
t si près d’obtenir, d’autres disent la mort qu’elle lui a causée, la
déesse
n’ayant pu ensuite l’empêcher d’avoir été consumé
uple lui fait part des évènemens de la nuit, et des injonctions de la
déesse
: tout le monde aussitôt se prosterne, et se met
tait habitant de l’empire de Pluton, il n’avait point quitté la jeune
déesse
depuis son arrivée, aussi dès qu’il est appelé à
aux noces de l’Harmonie et de Cadmus ; son extrême beauté enflamma la
déesse
des moissons qui lui accorda toutes les faveurs m
’avons dit, bâtit un temple à Eleusis d’après les ordres de la grande
déesse
, puis Dysaule, qui passe pour son père, institua
sent plus qu’avec mollesse, avec découragement, ils ont entre eux une
déesse
retrempée par ce sang vermeil et pur qu’elle a go
retrempée par ce sang vermeil et pur qu’elle a goûté, et leur Dieu ou
Déesse
à eux ne les seconde plus avec une égale efficaci
ir que les fêtes de Cérès, appelées Eleusinies, dans lesquelles cette
déesse
était honorée sous le nom d’Echtheia ou l’affligé
e par des jeux gymniques, qui n’avaient de religieux que le nom de la
déesse
sous la protection de laquelle ils se donnaient.
blutions. Le troisième jour on sacrifiait un mulet, l’on offrait à la
déesse
des gâteaux de millet et d’orge cueillis dans un
e procession solennelle portant sur un char la corbeille sacrée de la
déesse
. Ils étaient suivis par une troupe de femmes appe
lles devenaient ensuite. Ces courses étaient pour imiter celles de la
déesse
quand elle chercha sa fille. Le sixième jour ou I
’on retrouve dans la célébration des fêtes de beaucoup de dieux et de
déesses
, indique combien les anciens vénéraient le passag
es deux été accusés de révélation ; mais les petites fautes contre la
déesse
Eleusinine étaient beaucoup plus productives pour
rémonies, soit qu’on se fût assis sur un puits, comme l’avait fait la
déesse
, soit que l’on eût mangé des fèves ou du millet,
u moins avoir été introduite par Danaüs dans ce pays, avant que cette
déesse
eût pénétré dans l’Attique. C'était pour célébrer
la prêtresse Nicippe, de Polos, qui apporta les mystères de la grande
déesse
à Mégapolosis, d’Hiérax qui bâtit un temple à Cér
, nous le répétons, en finissant cette longue description d’une seule
déesse
, est la personnification allégorique de la terre
homme que lorsqu’il la lui demande par le travail. Différens Dieux ou
Déesses
se rattachant de loin aux choses qu’elle présidai
autel avec une coupe dans une main et des épis dans l’autre ; Bubona,
déesse
de la conservation des bœufs et des vaches ; Cond
sse de la conservation des bœufs et des vaches ; Conditor, Convector,
déesse
et dieu présidant au transport des gerbes ; Conse
es gerbes ; Consevius, dieu de l’ensemencement ; Deverra et Devorona,
déesse
présidant au transport et au nettoyage des grains
de la terre ; Falacer, dieu romain des arbres fruitiers ; Faustitas,
déesse
présidant à la fécondité des troupeaux ; Féronie,
; Faustitas, déesse présidant à la fécondité des troupeaux ; Féronie,
déesse
des fruits naissans et de la liberté ; Flore, dée
peaux ; Féronie, déesse des fruits naissans et de la liberté ; Flore,
déesse
des fleurs ; Fructesia ou Frugerie, déesse des ab
et de la liberté ; Flore, déesse des fleurs ; Fructesia ou Frugerie,
déesse
des abondantes moissons ; Hadrée, dieu de la matu
e la maturité des grains ; Hippone présidait aux chevaux ; Hostilina,
déesse
des moissons ; Imporcitor, dieu du troisième labo
horticulture ; Lactens et Lactucine et Lactunus et Lactucie, dieux et
déesses
de la conservation des blés en lait ; Lympha, dée
tucie, dieux et déesses de la conservation des blés en lait ; Lympha,
déesse
des irrigations ; Maturne, dieu des blés mûrs ; M
mpha, déesse des irrigations ; Maturne, dieu des blés mûrs ; Mellone,
déesse
du miel et des abeilles ; Messor et Messies, dieu
Mellone, déesse du miel et des abeilles ; Messor et Messies, dieu et
déesse
des moissons ; Napées, déesse des plaines ; Nodin
s abeilles ; Messor et Messies, dieu et déesse des moissons ; Napées,
déesse
des plaines ; Nodinus, Nodotis, Nodotus et Nodutu
bour avant les semailles ; Occator, dieu italique du hersage ; Opora,
déesse
de la fécondité terrestre ; Oréades, déesses des
lique du hersage ; Opora, déesse de la fécondité terrestre ; Oréades,
déesses
des montagnes ; Pales, déesse des prairies et de
e de la fécondité terrestre ; Oréades, déesses des montagnes ; Pales,
déesse
des prairies et de la multiplication des troupeau
ella et Patellana, dieu présidant aux épis prêts à s’ouvrir ; Pomone,
déesse
des fruits ; Porus, dieu de l’abondance ; Populon
âts de la grêle, des mondations, des insectes ou de la guerre ; Puta,
déesse
de la taille des arbres ; Promitor, dieu de la dé
tor, dieu des seconds labours avant les semailles ; Robigo ou Rubigo,
déesse
protectrice des blés contre la rouille et la niel
feu ; on en faisait aussi quelquefois un dieu appelé Robigus ; Ruana,
déesse
maintenant les grains de blé dans la balle de leu
e maintenant les grains de blé dans la balle de leurs épis ; Rumcina,
déesse
du sarclage ; Rupinie, déesse ombrienne, protégea
dans la balle de leurs épis ; Rumcina, déesse du sarclage ; Rupinie,
déesse
ombrienne, protégeant les blés contre la rouille
les blés contre la rouille et la nielle ; Rurine ou Rusine ou Rutine,
déesse
des exploitations agricoles : on avait un pareil
talique, présidant à la conservation des semences en terre ; Segetia,
déesse
des moissons ; Semina et Séra, déesse latine des
es semences en terre ; Segetia, déesse des moissons ; Semina et Séra,
déesse
latine des semailles ; Sessies, déesses latines d
des moissons ; Semina et Séra, déesse latine des semailles ; Sessies,
déesses
latines des ensemencemens ; Siton, dieu syracusai
roissement des grains ; Tutela ou Tutelina, ou Tutilena, ou Tutulina,
déesse
conservatrice des moissons ; Vertumne, déesse lat
Tutilena, ou Tutulina, déesse conservatrice des moissons ; Vertumne,
déesse
latine des jardins, des vergers, des saisons et d
r, dieu latin du premier labour de printemps ; Volutine ou Volutrine,
déesse
de la balle qui enveloppe les grains, et Cyamite,
up plus à Pan, après lequel nous les retrouverons. Parmi ces dieux et
déesses
, plusieurs méritent une explication, sinon par l’
de fleurs ; puis elles portaient processionnellement la statue de la
déesse
leur patronne, couronnée de guirlandes de fleurs,
ur ainsi dire d’une corbeille de roses et delys, était donc à Rome la
déesse
du printemps et des fleurs. A tort on a prétendu
ait l’idée de courtisane que toujours on rapprochait intimement de la
déesse
des fleurs. Quelques écrivains placent après Flor
consumé jadis un bois situé sur le mont Soracte, et consacré à cette
déesse
, les habitans voisins accoururent pour sauver sa
vint à couvrir le bois. Ce conte une fois admis, les prêtres de cette
déesse
, voulant se donner un nouveau relief, se mirent à
aquelle les Latins et les Sabins se rendaient en commun pour fêter la
déesse
; et où les esclaves allaient recevoir la liberté
evaient en effet, coupaient leur chevelure et la consacraient à cette
déesse
, à laquelle, du reste, on donnait pour époux Anxu
devait chez ces peuples se rapprocher de Junon. Mais la véritable
déesse
des fruits était encore toute romaine : c’était P
rd il s’offrit comme un vigneron ; mais rien ne put fléchir la sévère
déesse
qui, sans rien écouter, restait tranquillement à
pouvoir, rajeunit Pomone et se rajeunit avec elle. Le culte de cette
déesse
, sans être très-important, jouissait cependant de
l’année agricole par le nom d’Anna Perenna dont ils avaient fait une
déesse
. Pour ne pas revenir sur ces saisons qui, sans êt
’hiver un lièvre, pour signifier la saison de la chasse. Une dernière
déesse
également originaire d’Italie et se rattachant à
ion expiatoire, les bergers se mettaient en prières et offraient à la
déesse
un sacrifice composé de gâteaux de miel et de fèv
foyer, et demandant à Palès d’heureux et faciles accouchemens. Cette
déesse
, comme on le voit, avait conservé une liaison de
coltes ; personnage, par conséquent, ennemi bien déclaré de Cérès, la
déesse
par excellence des richesses agricoles. Plus tard
n donnait pour femme à Jupiter une fille de Céres appelée Proserpine,
déesse
cosmopolite adorée partout, et commandant sur tou
ples sous différens noms, elle se rapporte aux unes et aux autres des
déesses
dont nous avons parlé. Seulement, nous ajouterons
euves de l’empire de Pluton. Arrêtons-nous donc un instant sur Dionê,
déesse
qui passe également pour avoir été l’une des femm
de Jupiter ; à la Vénus des Latins, ou Aphrodite des Grecs. C'est la
déesse
des Graces, de la beauté, de l’amour, du plaisir.
esse des Graces, de la beauté, de l’amour, du plaisir. C'est la haute
déesse
de la génération, entourée par les Grecs de tous
d’ivoire de Galathée si parfaite, qu’il en devint amoureux. Alors, la
déesse
, pour l’en récompenser, anima la statue, et Pygma
um dans le Brutium et la Cilicie, ou Paphlagonie. Il paraît que cette
déesse
était encore une personnification multiple ; car
lui gagnèrent tous les dieux et imposèrent silence à la jalousie des
déesses
. Jupiter alors l’adopta pour fille et lui dit de
t, et en avait aussitôt fait part au dieu du feu. L'époux de la belle
Déesse
, étourdi de cette nouvelle, ne put d’abord y croi
à lui faire pardonner le mauvais tour qu’il venait de lui jouer ; la
déesse
fut même étonnée de ne l’avoir pas distingué plus
comme Astarté : d’abord, il semble avoir fait l’indifférent ; mais la
déesse
le fit adroitement circonvenir, et dut enfin sa c
saisir. Grande alors fut la discussion, on le conçoit, entre les deux
déesses
. L'affaire est portée par Vénus aux pieds de Jupi
ennuis des bords du Cocyte, consacra ses quatre mois de liberté à la
déesse
de la beauté, et les passa toujours avec elle. Un
ulait retrouver l’origine de cette fable et reconnaître dans Vénus la
déesse
Syrienne appelée Astarté, espèce de Cybèle ou de
iques devaient toujours être la suite de l’union d’un mortel avec une
déesse
; mais Vénus le rassura en lui disant qu’elle dev
le dire, que se terminèrent les infidélités bien connues de la volage
déesse
, car, nous n’appellerons pas ainsi l’influence qu
t l’inscription : à la plus belle ! Pour gagner leur juge chacune des
déesses
lui fit ses promesses ; Junon lui accordait puiss
, elles eurent l’imprudence de négliger long-temps les fêtes de cette
déesse
, qui, pour se venger, leur donna, dit-on, une ode
tte Cenchris ayant osé proclamer sa fille plus belle que Vénus, cette
déesse
inspira à Myrrha la passion criminelle que nous l
ille d’Amathonte, sa succursale. Comme ce culte comprenait toutes les
déesses
qui pouvaient avoir quelques rapports avec Cypris
Chthonienne, mais ce fut Hermocharès qui fit bâtir en l’honneur de la
déesse
de la beauté le premier temple à Athènes. Cependa
nons dirons que les fêtes les plus remarquables en l’honneur de cette
déesse
de la beauté, se nommaient Aphrodisies, instituée
né de myrte, s’avançaient vers le sanctuaire, et allaient offrir à la
déesse
du lait et du miel, en lui présentant deux colomb
endait au-dessus de l’autel en forme d’ex-voto. On consacrait à cette
déesse
le myrte, la pomme, la rose, l’éperlan, la dorade
ent dans la mer ; ce qui probablement satisfaisait tout autant, et la
déesse
et les prêtres, dont les pêcheurs ne devaient ass
Diane, où Ctésylle se trouvait alors pour célèbrer le culte de cette
déesse
. Aussitôt la jeune fille ramasse la pomme et répo
aucune légende n’a laissé le nom de Héro, parmi les prêtresses de la
déesse
de Cythère. Si maintenant nous voulons reconnaîtr
ir aucune puissance sans Cérès et Bacchus. Du reste, généralement, la
déesse
de la beauté était représentée : chez les Eléens,
ête une couronne. Tout le monde comprend le sens allégorique de cette
déesse
; c’est la personnification de l’idéal de la beau
idait aux débauches de la volupté ; Colyllo ou Colyttis, qui était la
déesse
de l’impudicité. On célébrait en son honneur à At
ulat, on éleva un temple à la Pudicité Plébéia. On représentait cette
déesse
sous la forme d’une Vénus ayant à ses pieds une t
de plus grands détails, et commençons par les compagnes chéries de la
déesse
, par les Grâces. Elles s’appelaient Charitès chez
u les Vierges. Elles étaient d’après beaucoup d’auteurs filles de la
déesse
de la beauté et de Jupiter ou de Bacchus. Cependa
ou les ris, de Comasis ou la Grâce des festins, et de Léchoris, ou la
déesse
des moelleux couchers. Triade qui semble vouloir
nsmissions le culte des Grâces subit une foule de changemens, car les
déesses
pour lesquelles il avait été institué, n’avaient
es bords charmans du Céphise ; aussi les surnommait-on, Ethéoclées et
Déesses
du Céphise ou d’ Orchomène. Elles avaient des tem
sombres ailes, et donna naissance à l’Amour. Platon assure que Pénia,
déesse
de la pauvreté, fécondée par Jupiter ou par Porus
resta fort long-temps enfant ; à la fin Vénus s’en plaignit à Thémis,
déesse
de la justice et conseillère des Dieux. Alors, ce
le. D'abord on la compara à Vénus, ensuite on osa la préférer à cette
déesse
. On lui éleva un temple où l’on fit brûler de l’e
était un temple dédié à Cérès, là elle se met à genoux et supplie la
déesse
de lui accorder un asile ; mais Cérès ne voulut p
générosité de Vénus, elle fut se jeter à ses genoux, mais la superbe
déesse
dont l’inflexible jalousie n’avait fait qu’augmen
e traverse le Styx et arrive au pied du trône où siége Proserpine. La
déesse
infernale lui donne la boîte qu’elle demandait, e
erniers mots de la demande qu’on lui ferait. D'un autre côté Némésis,
déesse
de la vengeance, ayant pris parti pour Echo, se c
ue Vénus, ainsi que Jupiter étaient mariés, avant les amours de cette
déesse
avec Bacchus ; comment se fait-il que l’Hymen bri
onne volonté. Lorsque son pouvoir avait échoué, alors on invoquait la
déesse
Viriplaca, dont le temple était sur le mont Palat
emme de Japet, elle se laissa séduire par Jupiter et en eut Mnémosyne
déesse
de la mémoire, que l’on a vue déjà fille du ciel
s elle fut, comme nous l’avons vu, en butte à la haine des puissantes
déesses
Diane et Junon. Une tradition la fait vivre jusqu
Junon, et qu’Angélo lui donna après l’avoir volé à la toilette de la
déesse
sa mère, le teint lui devint aussi blanc et aussi
porté d’Égypte en Grèce le culte d’Isis, les Grecs regardèrent cette
déesse
comme sa fille, et la confondirent avec Io, d’où
ant d’indiquer tout ce qui se rattache à la première de ces illustres
déesses
, puisque nous connaissons déjà la seconde, jetons
laquelle les légendes n’ont rien laissé de particulier. Auli est une
déesse
praxilienne honorée à Hatiarte, fille de Jupiter
e lui que nous avons indiqué tout ce qui tient aux oracles. Fortune.
Déesse
des richesses, des plaisirs et des peines ; elle
us-Pollion le fit reconstruire. Un second temple fut consacré à cette
déesse
, par les ordres du sénat, après que César vainque
ons à sa fille chérie, à son véritable chef-d’œuvre, à Minerve enfin,
déesse
de la sagesse, des sciences, des arts et même de
aux yeux bleus ; Catuliana ou à l’étendard de Catulus, Cecropia ou la
déesse
de Cecrops ; Céleuthée, Chalcidice et Chalcixos o
elques explications préliminaires sur son existence. C'est encore une
déesse
multiple ; ainsi Pausanias en fait une fille aux
aissance, Apollon voulut qu’à Rhodes on élevât un autel à la nouvelle
déesse
, et qu’on lui offrît un sacrifice. Le maître des
n autre ne fût plus heureux que lui auprès de Minerve, permit à cette
déesse
de renoncer pour toujours à l’hymen et à l’amour.
le d’Idmon dans un défi qu’elle avait osé lui porter, ayant vaincu la
déesse
par la perfection avec laquelle elle représenta s
ibue l’invention du fuseau. Bussa fille d’Eumele, ayant méprisé cette
déesse
fut également punie et changée en oiseau. On dit
trois Gorgones, que Neptune avait violée au pied de ses autels. Cette
déesse
portait la chasteté si loin qu’on lui attribue au
pauvre Marsyas qui succomba sous le poids de cette malédiction. Comme
déesse
de la guerre, Minerve portait le nom de Pallas qu
gonautes dans leurs lointaines et périlleuses aventures. Cette Pallas
déesse
de la guerre, avait la vivacité, la vigilance et
l’épaule et ornée de desseins représentant les actions célèbres de la
déesse
, de Jupiter et de plusieurs héros. Lors de ces fê
d’olivier aux poètes et musiciens, en mémoire de la protection de la
déesse
pour l’olivier ; aussi les assistans des deux sex
es bracelets et des pendans d’oreilles complètent le costume de cette
déesse
. Cependant la statue de Phidias avait un aspect p
rénavant celui de Posidon et que cette contrée prendrait le nom de la
déesse
. Cécrops eut de sa femme Aglaure fille d’Actée, t
rait difficile de parler de Bacchus sans faire connaître les dieux et
déesses
subalternes qui venaient après lui et formaient s
en outre le dieu suprême des Pélasgues. Enfin on rattachait à Pan, la
déesse
Latine qui présidait à la destruction des loups.
de leurs mains en changeant continuellement de formes ; à la fin, la
déesse
irritée punit ces mauvais surveillans en leur don
e. Faunus passait pour avoir eu de Fauna Dryas, ennemie des hommes et
déesse
de la pudeur, à laquelle aucun homme ne pouvait o
ou dieux des libations, et qu’ils rendaient encore hommage à Méthyne,
déesse
du vin nouveau et du vin pur, à Bibésie et à Edés
rs et de fruits par les nymphes de ses bords et offerte, dit-on, à la
déesse
de l’abondance. Cette fable semble indiquer un fl
ter des secours à Enée et pour fille Palantho ou Palotho ou Palathie,
déesse
italique, femme de Latinus. Dans l’origine, le cu
cure sont : Drimaque, ou le Dieu des voleurs, à Chio ; Laverne, ou la
Déesse
latine du vol ; Mercedone, ou la déesse latine du
eurs, à Chio ; Laverne, ou la Déesse latine du vol ; Mercedone, ou la
déesse
latine du commerce ; Sisyphe, génie grec de la ma
qui fut changée en rocher, pour avoir osé se dire plus belle que les
déesses
. Opante, fils de Jupiter, était une personnifica
a ensuite pour mère. Il voulut, on s’en souvient, faire violence à la
déesse
Latone ; mais Apollon et Diane le percèrent à cou
remporte le prix. Il fut également vaincu une autre fois par la même
Déesse
au sujet de Trézène ; alors Jupiter, pour tout co
s, fondé par Inachus qui fut pris pour arbitre et donna la palme à la
Déesse
, décision dont Neptune se vengea en mettant à sec
ippe pour éloigner, comme il arriva, de ce cruel exilé de Calydon, la
déesse
de la Sagesse ; enfin après s’être couvert de glo
nt cette belle au seul Borée, et donnaient pour amante à Zéphyre leur
déesse
des fleurs et des jardins, la jolie Flore à laque
ui vinssent se grouper autour d’eux. Cependant nous citerons Eunosto,
déesse
des moulins à vents, comme une des plus remarquab
et d’une tempête épouvantable qui dura douze jours. Orphée appaisa la
déesse
par un sacrifice solennel, et peu de temps après,
virons de Trézène, et prétexta qu’elle allait offrir ses vœux à cette
déesse
. Enfin, Thésée partit avec Pirithoüs, pour l’aide
ice qu’il offrit à tous les dieux en l’honneur de cette naissance, la
déesse
oubliée fut irritée, et pour se venger, envoya un
endue. Il voulut donc venger sa mort : et pour cela, il s’allia à une
déesse
, à Thétis, sœur du roi de Scyros Lycomède et fill
upiter. Pourtant les Dieux ayant appris qu’un vieil oracle de Thémis,
déesse
de la justice, portait que le fils de Téthis sera
t aux arbres en général, qu’elles prenaient sous leur protection. Ces
Déesses
étaient immortelles, séparées de l’arbre qu’elles
le figuier. Hérésides, nymphes de Junon, préposées aux bains de cette
déesse
. A Argos, on donnait ce même nom aux prêtres de c
. On les voit souvent figurer à la suite de Bacchus. On offrait à ces
déesses
du vin, du miel, des fruits, des fleurs. On leur
t près d’elles Hercule, ou Pan ou les Dioscures. Elles passaient pour
déesses
des eaux thermales, quand elles étaient accompagn
glée était la plus jolie, d’après Virgile, résidaient à la cour de la
déesse
des fleurs, et étaient chargées d’arroser avec le
maritime de la Grèce ; Doxo Dryas, nymphe italiotte, fille de Faune,
déesse
de la pudeur et de la modestie ; Dryope, d’Arcadi
jaillit de l’endroit où était la pierre et forma un fleuve auquel la
déesse
donna le nom de son amie. Dans la suite, on lui é
braient une fête le 17 août. Sa mère fut changée par les Dieux en une
déesse
marine, connue sous le nom de Leucothoé chez les
u des enfers. Pluton offrit souvent ses hommages à un grand nombre de
déesses
, mais toujours en vain. Les unes lui trouvaient u
se voir rebuté par tout le sexe divin, il résolut de s’approprier une
déesse
de quelque manière que ce fut. Un jour donc, ayan
a vie ; Brimo, ou la violente ou l’auteur des terreurs ; Cabira ou la
déesse
des Cabires ; Carmente ou la prophétesse ; Caspho
réunissait donc sur elle comme on le voit, les attributs spéciaux des
déesses
, avec lesquelles elle a quelque coïncidence. Cepe
ie, d’où venait que les chevelures des morts étaient offertes à cette
déesse
. Généralement, on la considérait comme fille de C
piter être forcé d’intervenir. Maintenant que faut-il voir dans cette
déesse
, vivant ou avec Adonis, ou dans le ciel, ou dans
nce ou la stérilité ; le serment qu’ils faisaient en jurant par cette
déesse
, était tout puissant, et pour l’honorer, ils immo
r où Pluton était rentré dans les enfers, après l’enlèvement de cette
déesse
. Il en était de même à Éleusis, à Mégalopolis et
temple à Rome, et un bois lui était consacré près du lac Averne. Une
déesse
ayant ses attributs, était également connue chez
ises contre ces fêtes, établies en l’honneur de Cotytto, ou Cotittis,
déesse
de la débauche, que l’on confond toujours, mais à
nia, et dont l’on faisait dériver le nom, suivant quelques-uns, de la
déesse
Mania, que l’on disait leur mère, ou suivant d’au
pendant la nuit le retour de la lumière. L'on peut rattacher à cette
déesse
Nocturnus, dieu des ténèbres chez les Romains. E
e aussi Kère par Hésiode, et Libitine par les Latins ; elle était une
déesse
gréco-romaine, fille de la Nuit. Elle avait pour
ès et le coq ; on donnait la Fraude et le Chagrin pour enfans à cette
déesse
. A sa suite on peut placer Viduns, dont la foncti
tres plantes somnifères. A Délos, le sommeil était représenté par une
déesse
appelée Brizo, que les habitans honoraient en lui
Altercatio par les Latins, Dysnomia ou l’Anarchie ; elle était cette
déesse
malfaisante que nous avons vue chassée du ciel pa
le nom de Némésis. Cette Némésis ou Nortia ou Mursia des Étrusques ou
déesse
de la vengeance, portait les noms et surnoms suiv
Volaterrains et tous les Étrusques, honoraient sous le nom de Grande
Déesse
, quoiqu’on ne l’accordât ailleurs qu’à Cybèle. Ce
, faisons donc connaissance avec ces femmes redoutables. Les Parques,
déesses
entre les mains desquelles se trouvaient le comme
is bien plus semblables aux ases des Scandinaves ; Fatales Deæ ou les
déesses
fatales ; Librariæ Deûm ou les archivistes des di
uchemens en Italie et chez les Gaulois ; Triplices Deæ ou les triples
déesses
; Tenites ou tenant les destinées ; Xantries ou l
estinée, noms tous analogues, ou chez les Romains Nona, Décima ou les
déesses
des neuf ou dix premiers mois, et Morta ou la mor
nuit une brebis noire et lui présentaient du miel pour apaiser cette
déesse
redoutable, et l’appelaient sept fois à grands cr
nommait Hécatées, sortaient de terre, et prédisaient l’avenir. Cette
déesse
n’était, par conséquent, qu’une espèce de Tithram
rendaient furieux ; les filles d’enfer ; Cunes ou les chiennes ; les
déesses
sévères ; les déesses vengeresses, alors confondu
es filles d’enfer ; Cunes ou les chiennes ; les déesses sévères ; les
déesses
vengeresses, alors confondues avec les Dires, fur
n’en diffère en rien. Furine espèce d’Erynnis des anciens Romains et
déesse
du hasard chez les Toscans ; elle avait de grande
pond qu’une victime doit être immolée pour conjurer le courroux de la
déesse
des bois, et qu’il faut qu’elle soit du sang d’Ag
ient incessamment autour de lui. Oreste, pour fuir les épouvantables
déesses
, se mit à errer de contrée en contrée. Ayant inte
de son royaume exigeaient que l’un des deux fût sacrifié à la sombre
déesse
Onis. Ce fut alors que commença ce beau combat de
te, elle part avec les deux amis, emportant avec elle la statue de la
déesse
qu’elle desservait. De retour en Grèce, Oreste co
l fallait employer pour obtenir des vents favorables, répondit que la
déesse
, irritée, ne s’apaiserait que lorsqu’on lui aurai
r elle. Elle garda toujours sa virginité qu’elle avait consacrée à la
déesse
dont elle était prêtresse. Cependant, au bout de
sseau qui lui restait. Le héros allait être englouti quand Leucothoé,
déesse
marine, mit sous lui une planche qui le soutint s
lle de Pàris, le fils et le premier des bergers de Priam, le juge des
déesses
, la cause enfin de la ruine de Troie. Ce Paris, o
dans le temple de Minerve, où ils trouvent un abri sous l’égide de la
déesse
. On représente Laocoon au moment où les serpents
Là, Ajax fils d’Oïlée lui fit violence au pied même de l’autel de la
déesse
. L'infortunée Cassandre, lors du partage du butin
ez les Romains, on introduisit dans la religion une foule de dieux et
déesses
subordonnés aux grandes divinités ; chacun d’eux
était un dieu solaire de l’Afrique ; Agénorie, ou Agéronie, était la
déesse
grecque de l’activité, de l’energie et de la vail
osée à Vacuna ou la fainéantise, et à Murcia ou la couardise ; Alcée,
déesse
de la force, comme Bia et Cratos, mais fille de l
le de l’Olympe et de Cycnus ; Alcona, c’est-à-dire la force, était la
déesse
des voyages, et semblait réunir en elle Abéone et
ote chez les Véies, les Ausones, les Arunces et les Osques. Ambition,
déesse
qui avait un temple à Rome ; elle était représent
eprésentée avec des ailes au dos et les pieds nus. Amitié ou Philia,
déesse
allégorique, elle était vêtue d’une robe agrafée,
si, elle avait un chien à ses pieds. Anaédia ou Anédée ou Impudence,
déesse
qui avait un temple à Athènes ; Ancarie, déesse E
Anédée ou Impudence, déesse qui avait un temple à Athènes ; Ancarie,
déesse
Etrusque de la vengeance, représentée les mains c
t-à-dire serviteurs, divinités protectrices des esclaves ; Angeronne,
déesse
italique du silence, dont la statue placée dans l
s dieux-ames des Italiens. Anna Perenna ou l’année entière, était la
déesse
symbolique romaine de l’année lunaire. On supposa
endant l’ombre de la nuit, tomba dans le fleuve et fut alors reconnue
déesse
et nymphe du Numicius. On célébrait sa fête le 15
es asiles qui s’y trouvaient. Ata ou Até ou l’injustice ; Automatie,
déesse
du hasard, à laquelle Timoléon éleva un temple. A
nt d’une main des pavots et des épis, et de l’autre une coupe. Brizo,
déesse
grecque du sommeil. Buclope, dieu Romain des mouc
chaos suivant Hygin. Callistagoras, dieu de l’île de Ténos. Calomnie,
déesse
qui avait un temple à Athènes ; Cardée ou Cardine
t mieux Carna, divinité latine présidant aux gonds des portes. Carna,
déesse
Romaine, présidant aux muscles humains ; elle ava
rusques. Cérus, ou l’apropos personnifié. Chagrin ou Mœror. Chasteté,
déesse
Romaine, ayant un sceptre à la main et deux colon
és par de grosses pierres, tels que Hermès, Terme et autres. Clathra,
déesse
des grilles, des verrous et des serrures, elle ét
m de Diane Clathra, sur le mont Quirinus chez les Romains. Clémence,
déesse
symbolisée par un aigle immobile sur la foudre, e
nt de l’autre une flèche et foulant des armes à ses pieds. Cloacine,
déesse
Romaine des égoûts et cloaques, avait un temple d
é tutélaire de l’imprudence ; Collastrica et Collatine et Collina, ou
déesse
des collines. Concorde, déesse Romaine qui avait
ollastrica et Collatine et Collina, ou déesse des collines. Concorde,
déesse
Romaine qui avait un temple sur le forum, près du
’Homonée des Grecs, qui lui avaient élevé un autel à Olympie ; Conso,
déesse
Romaine des délibérations ; c’est la Voltumna des
ques et l’analogue femelle du dieu Consus imaginé par Romulus. Cotys,
déesse
suprême des Thraces et de Chio. Crédulité, on la
e pour l’adorer, par un enfant accroupi se pressant le ventre ; Cura,
déesse
des soins, soucis et inquiétudes, à laquelle on a
e socle : Deo Dolichenio, c’est-à-dire au dieu Dolichène. Echéchirie,
déesse
des trèves, dont la statue à Olympie était couron
san armé d’un manche de charrue ou Echétlé. Éduca et Edulia et Édusa,
déesse
italique, présidant à l’éducation, c’est-à-dire,
cation, c’est-à-dire, à l’alimentation primitive des enfans. Egnatie,
déesse
du feu instantané en Apulie. Eleuthérie, déesse d
des enfans. Egnatie, déesse du feu instantané en Apulie. Eleuthérie,
déesse
de la liberté personnifiée ; Elpis ou Spes, déess
pulie. Eleuthérie, déesse de la liberté personnifiée ; Elpis ou Spes,
déesse
de l’espérance et sœur du sommeil et de la mort ;
ant à la main des fleurs, des épis ou une corne d’abondance. Empanda,
déesse
protectrice des bourgs, villages et autres locali
ce des bourgs, villages et autres localités ouvertes. Envie ou Ethon,
déesse
allégorique ayant la tête hérissée de couleuvres,
rd louche et les lèvres couvertes d’une écume vunimeuse, [ILLISIBLE],
déesse
Romaine des écuries et des palefreniers. Épunda e
, déesse Romaine des écuries et des palefreniers. Épunda et Vallonia,
déesses
Italiques qui séchaient ce que l’on étendait à l’
in des monnaies de cuivre. Ethon ou Erysichthon ou l’Envie ; Eubulie,
déesse
du bon conseil à Rome. Euché, déesse de la prière
rysichthon ou l’Envie ; Eubulie, déesse du bon conseil à Rome. Euché,
déesse
de la prière imaginée par Lucien. Eudemonie et Fe
, déesse de la prière imaginée par Lucien. Eudemonie et Felicitas, ou
déesses
du bonheur et de la félicité à laquelle les Romai
usque des purifications et des enfers, ou Pluton italique. Ferentine,
déesse
latine qui avait un bois sacré et un temple auprè
qui avait un bois sacré et un temple auprès de Ferentinum. Fessonie,
déesse
des soldats et des voyageurs fatigués. Fetries, d
num. Fessonie, déesse des soldats et des voyageurs fatigués. Fetries,
déesses
Romaines ou latines peu connues. Fidélité ou Fide
s, dont la fête se célébrait le 5 Juin sur le mont Quirinal. Fluonie,
déesse
Romaine des évacuations mensuelles. Fon-[ILLISIBL
Fluonie, déesse Romaine des évacuations mensuelles. Fon-[ILLISIBLE],
déesse
des foure, mise au rang des divinités par Numa, l
arine à Castalie, fut un des plus riches de la contrée. Hérès-Martea,
déesse
Romaine de l’hérédité, à laquelle on sacrifiait à
ou une lance, ou bien une branche d’olivier, en place d’arme. Hormé,
déesse
de l’impétuosité, de l’élan ou de l’activité, ava
uosité, de l’élan ou de l’activité, avait un temple à Athènes. Horta,
déesse
romaine de la jeunesse, son temple n’était jamais
chesses terrestres les heureux possesseurs de ces coiffures. Ivresse,
déesse
Romaine et Grecque. Janus ; en parlant de Saturn
et du badinage. Jugatin, dieu latin du sommet des montagnes. Jurita,
déesse
romaine des sermens. Jusjurandum, dieu qui person
qu’Hygin a fait fils de l’Ether et de la terre. Juventa et Juventas,
déesse
de la jeunesse, présidait à l’intervalle qui sépa
u latin des foyers, parce qu’ils étaient revêtus de briques. Laverne,
déesse
romaine des voleurs et des filoux ; on l’adorait
a main gauche, regardée chez les anciens comme la plus adroite. Cette
déesse
était représentée par un corps sans tête ou par u
sans tête ou par une tête belle, mais sans corps. Lima ou Limentine,
déesse
du vieux Latium, présidait au seuil des portes, a
présidait au seuil des portes, ainsi que le dieu mâle Limentin. Lua,
déesse
italiote des purifications, surtout par l’eau. Ma
voquait comme une Volumnia ou inspiratrice de bonnes idées. Méphitis,
déesse
des exhalaisons méphitiques. Métanoéa, était la p
lèbre à Athènes. Montin, dieu romain des montagnes ; Nascio ou Natio,
déesse
romaine de l’heureuse naissance des enfans. Nomia
o ou Natio, déesse romaine de l’heureuse naissance des enfans. Nomia,
déesse
arcadienne de la vie pastorale ; Numérie, déesse
e des enfans. Nomia, déesse arcadienne de la vie pastorale ; Numérie,
déesse
latine de l’arithmétique, elle était invoquée par
elle était invoquée par les femmes enceintes. Occasion, dieu grec et
déesse
romaine de l’a-propos. Les Grecs en faisaient le
de à la main et n’avait de longs cheveux que sur les tempes, Opinion,
déesse
à la démarche timide et au regard très-assuré. Pa
à la démarche timide et au regard très-assuré. Paresse ou Segnities,
déesse
allégorique, fille du Sommeil et de la Nuit, que
cain changea en tortue, pour avoir été dupe de ses flatteries. Panda,
déesse
latine des routes. Patella et Patellana, déesse l
es flatteries. Panda, déesse latine des routes. Patella et Patellana,
déesse
latine des choses ouvertes. Pellonia, déesse lati
s. Patella et Patellana, déesse latine des choses ouvertes. Pellonia,
déesse
latine, qui présidait à l’expulsion de l’ennui ;
pulsion de l’ennui ; Phobos, la peur personnifiée ; Pieté c’était une
déesse
romaine à laquelle Acilius-Glabrion bâtit un temp
ne déesse romaine à laquelle Acilius-Glabrion bâtit un temple. Poena,
déesse
italique et africaine du supplice, de même que Po
upplice, de même que Poené l’était chez les anciens Grecs. Pollentie,
déesse
allégorique de la puissance, adorée par les Romai
r, fille de Pallas et de Styx, sans cependant être Cratos. Populonie,
déesse
italique, protégeant de toute espèce de ravages.
ce de ravages. Praxidice, fille de Sôter ou le conservateur, était la
déesse
grecque des intentions, et avec ses filles Homoné
, elle formait à Haliaste une triade, présidant aux sermens. Promylé,
déesse
des meules ou des portes et môles. Promitor, dieu
ésidant aux dépenses. Providence fut, sous les empereurs romains, une
déesse
aux traits vénérables, tenant à la main une corne
ondence et touchant de l’autre un globe figurant l’univers. Prudence,
déesse
que l’on représentait tenant à la main ou une lam
auquel on éleva un autel sous Annibal. Rusina et Rutor, la première,
déesse
latine des champs, et le second, dieu latin des r
e second, dieu latin des renouvellemens et modifications. Revérentia,
déesse
allégorique et romaine du respect, fille de l’hon
s. San ou Sang ou Sanct, dieu des sermens chez les Sabins. Saturitas,
déesse
latine des parasites. Scabies, déesse romaine, pe
ens chez les Sabins. Saturitas, déesse latine des parasites. Scabies,
déesse
romaine, personnifiant la gale ; Senius, dieu lat
, personnifiant la gale ; Senius, dieu latin de la vieillesse. Stata,
déesse
romaine, protégeant contre les incendies. Stimula
sse. Stata, déesse romaine, protégeant contre les incendies. Stimula,
déesse
latine de l’émulation, comme Strenua, qui inspira
tion, comme Strenua, qui inspirait l’activité et le courage. Strenia,
déesse
romaine des étrennes du nouvel an. Summanus, dieu
Summanus, dieu tusco-romain des orages et foudres nocturnes. Tacita,
déesse
latine du silence. Tempête fut divinisée à Rome,
divinisée à Rome, sous Marcellus, qui lui éleva un temple. Trestonie,
déesse
romaine, qui protégeait contre la lassitude dans
geait contre la lassitude dans les promenades et les voyages ; Unxia,
déesse
romaine des essences. Vacuna, déesse latine du re
omenades et les voyages ; Unxia, déesse romaine des essences. Vacuna,
déesse
latine du repos, en l’honneur de laquelle on fêta
lternativement, tout en affectant la plus grande immobilité. Vibilie,
déesse
latine des voyageurs égarés. Victa, déesse latine
rande immobilité. Vibilie, déesse latine des voyageurs égarés. Victa,
déesse
latine des vivres et de l’alimentation. Vitula, d
égarés. Victa, déesse latine des vivres et de l’alimentation. Vitula,
déesse
romaine des réjouissances ; on célébrait en son h
ui offrait les prémices des biens de la terre ; Voltumna et Volumnia,
déesse
étrusque des délibérations, de même que Consus et
ne, dieu-fleuve de la Campanie, était l’Euros des Grecs. Ziva ou Giva
déesse
de la vie, on la représentait habillée, mais port
tiri ou le Ciel, regardé alors comme un être femelle. Athor, célèbre
déesse
égyptienne, est fille et épouse de Fta ou même de
ment l’Égypte. Quelquefois, on personnifiait Isis sous la forme d’une
déesse
souterraine, appelée Ambo ou Titrambo, et passant
ient-ils, des larmes de cette fidèle épouse. Ils représentaient cette
déesse
sous les traits d’une femme, avec les cornes d’un
de l’assassinat d’ Osiris par Typhon, Isis cacha Haroéri chez Bouto,
déesse
égyptienne, qui le garda secrètement. Plus tard,
, on le sait, naquit des rapports involontaires d’Osiris et de Nefté,
déesse
des élémens. Etant venu au monde avant le terme,
e et la terre ; et, par conséquent, ayant sous sa domination les cinq
déesses
, élémens que nous allons voir nommés Neith, ou l’
à connu. Sa compagne fut la dynaste Saté ou la Junon des Grecs, ou la
déesse
supérieure égyptienne appelée Neith. Ertosi, le
uto II, ou Latone grecque, transfiguration de la grande et supérieure
déesse
Bouto. Remfa, ou Péthé ou Sovk, ou Réfan ou Rem
e la dynaste Nefté ou Natfé, ou Rhée ou Cérès, ou la Terre des Grecs,
déesse
formant la transition de Bouto à Athor ; alors, R
ucun spécialement. Enfin, entre ces rois planétaires divinisés et ces
déesses
élémens, quelques auteurs ont placé Imuthis ou Im
s ou Imôouth, ou le ciel, ou l’Esculape des Grecs. Après ces dieux et
déesses
, on connaissait encore en Égypte un grand nombre
doux ombrage pour se livrer au bonheur mystérieux de l’amour, dont la
déesse
était l’ame. Les Abaddirs étaient des divinités a
s l’Arabie, pays mixte, pour les mœurs, on trouve : Allat ou Allata,
déesse
arabe, que l’on regardait comme l’une des filles
e cette idole au grand regret de ses adorateurs. Al-Ouzza, était une
déesse
arabe honorée par les tribus de Koréich et de Ken
ia ou au prunier sauvage, et l’honorait sous ce nom. L’idole de cette
déesse
fut détruite environ six cent vingt neuf ans av.
x colonnes d’or massif. Au milieu de ce temple, était la statue de la
déesse
. Cette idole fut renversée par les mains mêmes de
ui élevèrent des autels. Baal avait épousé Omorka ou Omoroka, antique
déesse
chaldéenne ; elle ne présentait à l’imagination q
ssi Addirdaga ou Addidag, et souvent Atergatis, était la plus célèbre
déesse
phénicienne ; elle était surtout adorée à Mabog,
là on fit Addirdaga qui, par suite de cette naissance, fut la grande
déesse
des poissons, et n’est autre que la Vénus des Phé
us des Phéniciens ; tandis qu’Astarté doit être considérée comme leur
déesse
de la production et de la reproduction. Cependant
lon, Typhon et Nérée. Achtoret est l’étoile de Vénus, et, comme cette
déesse
, elle est la déesse de la beauté, mais elle est d
. Achtoret est l’étoile de Vénus, et, comme cette déesse, elle est la
déesse
de la beauté, mais elle est de plus la fécondatri
us les attributs de la Vénus grecque sont les siens. Plusieurs de ces
déesses
se perdaient, ou du moins se confondaient dans la
daient, ou du moins se confondaient dans la personne D'Anahid, grande
déesse
de la nature, embrassant en elle l’esprit et la m
e d’adoration s’adressait également quelquefois à un dieu. Quant à la
déesse
Addirdaga, on l’unissait toujours à Adad. Cet Ad
er de cette espèce d’apathie, il ne fallut rien moins que la brûlante
déesse
Astronoé, ou espèce d’Astarté, dont la passion fu
araçakti, ou Adi-Sacti, laquelle par conséquent est la plus haute des
déesses
, ou plutôt l’unique déesse. C'est la grande énerg
elle par conséquent est la plus haute des déesses, ou plutôt l’unique
déesse
. C'est la grande énergie, la vitalité patente de
ent au groupe des Matris. Ces Matris ou Sacris sont donc huit ou dix
déesses
; elles sont sorties du sein de la haute Mahamaïa
a nuit, la roue est l’année Hindoue, divisée en six saisons. Dourga,
déesse
hindoue, est l’emblème de la sagesse armée et inv
unati, au grand regret de ses peuples dont il était l’idole. Gaourd,
déesse
de l’abondance ; on célèbre avec beaucoup de pomp
es en son honneur. Ses adorateurs portent de petites statues de cette
déesse
, formées d’une certaine terre sacrée, gardée par
de leurs maris. Ensuite vient la procession, on porte la statue de la
déesse
, dont la tête est ornée d’épis et de pierres préc
emples sa statue, derrière celle de Samanakodom. Ratoc Laout-Kidoul,
déesse
adorée à Batavia, surtout par les chasseurs qui s
que la terre changeât de face et s’abimât sous les eaux. Alors, trois
déesses
sortirent des eaux, savoir : Saraswadi, déesse de
es eaux. Alors, trois déesses sortirent des eaux, savoir : Saraswadi,
déesse
des sciences et de l’harmonie, que Brahmâ prit po
des sciences et de l’harmonie, que Brahmâ prit pour épouse. Lakchini,
déesse
des richesses qui, étant parue la première, échut
première, échut à Vichnou, le sauveur du monde ; puis, Mondévi ou la
déesse
de la discorde, laide et verte, dont Siva fut obl
e des larmes, seconde femme de Vichnou, et rivale de Lakchmi, est une
déesse
noire et funeste produisant la discorde et la mis
lieu de laquelle un corbeau étend ses ailes sinistres. Cette glaçante
déesse
ne trouva point d’époux parmi les dieux ; cependa
ères, qui se laissèrent fléchir par le jeune Krichna. Kouki ou Loki,
déesse
des graines et de l’abondance, est aussi une des
la vierge ; Bhagavati, ou la sainte ; Chiva, ou la bonne ; Dévi ou la
déesse
; Dourga, ou la guerrière ; Ganga, ou le Gange ;
auprès de Vichnou et Brahmâ ; Bhavani est donc l’une des trois hautes
déesses
dont l’ensemble forme chez les Indiens une vérita
rrasse le gigantesque Mahéchaçouara ; cependant, d’autres fois aussi,
déesse
redoutable, nous l’apercevons châtier les coupabl
sur ses genoux. Bhavani est regardée par quelques écrivains comme une
déesse
qui portait aussi le nom de Bhadrakali ; cependan
ent, on la fait jaillir de la tête de Siva, sans le concours d’aucune
déesse
; sa vie ne fut pas sans orage, car le géant Dari
es lieux les plus retirés, les plus secrets, on voit la tête de cette
déesse
, tandis qu’on la figure par des statues sans tête
utant d’incarnations : Asadavi, forme de Bhavani-vierge ; c’était la
déesse
des guerriers et des amazones ; elle était adorée
Ganga-Grannuca, ou le Gange personnifié ; ce n’est autre chose que la
déesse
Bhavani, ou du moins Mariatala, autant que rivièr
offre des victimes humaines ; de cette Kali sont venues les Kalis ou
déesses
protectrices des villes. A la suite de ces épouse
er sa passion, en se faisant passer auprès de lui pour Bhavani. Cette
déesse
pour se venger de son esclave, la défigura, et je
u nombre de ses femmes et la fit demander à Bhavani par Sougriva ; la
déesse
lui répondit qu’elle ne serait l’épouse que de so
aux dieux que pour faire naître l’homme, il fallait qu’un dieu et une
déesse
prissent la forme d’un singe. On le représente en
’Erlik Kan, Dieu suprême des enfers, dans la religion Lamaïque. Cette
déesse
est représentée ordinairement d’une couleur bleue
ngan-dara-eke, fille née par les yeux de Choutchi-Boddiçatoa, est une
déesse
protectrice, invoquée dans les dangers. Elle prit
e ce temps, elle mit au monde un fils appelé Fohi. Chang-ko est une
déesse
honorée des célibataires, et présente l’idée de l
résente l’idée de la Minerve des Grecs. Pouça ou Puzza est une autre
déesse
chinoise, que l’on croit la même que la Bhavanie
, dieu de la volupté et ayant de nombreux autels. Kouang-In-Pou-Tsa,
déesse
de l’abondance ; elle est représentée avec plusie
rmad ou Espendamar, est le quatrième Amchasfand ; seulement c’est une
déesse
, née d’Ormuzd ; elle préside à la terre et à l’ag
s Dieux subalternes pour exécuter ses volontés. Slata-Baba était une
déesse
adorée par les peuples, habitans des bords du fle
ardé comme le créateur de toutes choses ; on lui donne pour épouse la
déesse
Khoubé-Khatoun, c’est-à-dire brillante de gloire.
ages, de l’eau-de-vie, du lait et une bonne chasse. Son épouse est la
déesse
Aksit. Bourkhans, divinités des Kalmouks et des
et de fleurs, et un miroir. Dia est une espèce de trinité. Enachsis,
déesse
Iakoute, est l’ennemie des vaches et des veaux ;
s les luttes qu’ils soutinrent contre les mauvais génies. Jaga Baba,
déesse
de la guerre, était une vieille sorcière, tour-à-
mpagnée du Dieu des mers, ce qui pourrait la faire regarder comme une
déesse
marine. Niemiza ou Nemiza, était le dieu des ven
onne de fleurs bleue. L'on voyait toujours à ses côtés Simzerla ou la
déesse
des fleurs ; mais Zémargla, le Dieu de l’hiver et
Suantowith, dieu du soleil de la Poméranie. Séva, ou Siva, ou Siba,
déesse
de la beauté et des végétaux ; elle était surtout
e fille de Silabe, roi des Gots. Simzerla était, nous l’avons vu, la
déesse
des fleurs et l’amante de Pogoda, le Dieu du prin
ient au nombre de trente-deux dont quatorze étaient dieux et dix-huit
déesses
. Frigga connaissait l’avenir, mais elle ne le rév
bras son fils Thor. Les Suédois cependant préféraient à cette grande
déesse
: Frey ou Freia, déesse de l’amour, fille de Nio
Suédois cependant préféraient à cette grande déesse : Frey ou Freia,
déesse
de l’amour, fille de Niordr, et de la déesse Scad
déesse : Frey ou Freia, déesse de l’amour, fille de Niordr, et de la
déesse
Scada, et sœur de Fréir. Elle épousa Odour, c’est
ur, c’est-à-dire l’irrité dont elle eut deux filles, la belle Hnossa,
déesse
de la perfection dont le nom servait à désigner l
nger sa mort, excepté Vidar, fils d’Odin. Presque tous les dieux, les
déesses
et les bons génies assistèrent à ses tristes funé
iordr, ou Niordour, le premier des Vanes, et père de Fréia, la grande
déesse
suédoise. Il préside aux vents ; il calme les flo
nrir, le grand serpent Iormoungandour, que nous connaissons, et Héla,
déesse
de la mort et du monde souterrain. Loke épousa en
da, et sœur du loup Fenrir et du serpent Iormoungandour ; elle est la
déesse
et la souveraine du Niflheim, ou monde souterrain
de Fenrir, et que l’on nommait Skoll et Hate. Iabmé-Akko, l’une des
déesses
des enfers. Iambek ou Iabmékérul, un des plus pu
a demeure céleste. Aussitôt, les Saivos conduisent les ames devant la
déesse
Iabmé-Akko, qui leur fait infliger les supplices
e put lui reprendre la divine liqueur. Gefeione ou Gefiona, était la
déesse
des vierges et de la virginité ; cette déesse qui
ne ou Gefiona, était la déesse des vierges et de la virginité ; cette
déesse
qui connaissait l’avenir, recevait à son service
lle de la Nuit et d’Annar, femme d’Odin et mère de Thor. Cette grande
déesse
était honorée comme la bienfaitrice suprême. Iou
de marier les fleurs ensemble pour les faire se propager. Kouan-in,
déesse
Finoise qui, disait-on, guérissait les femmes de
la contrée où ses recherches l’avaient amené. Les Nornes étaient des
déesses
par excellence, de vraies parques ; mais elles ne
son gré les produits de la chasse et les fruits de la terre. Paive,
déesse
du soleil, est une des trois divinités supérieure
culte consistent en festins et en sacrifices. Les Valkiries sont des
déesses
habitant soit la Terre, où elles vont sur les cha
e chez les Suèves, qui lui portaient le plus grand respect. Tanfana,
déesse
Germaine, qui avait un temple chez les Marses ; e
t armés d’une puissance temporelle inflexible. Néhallénie, espèce de
déesse
mère, présidant à la lune, à la navigation, et do
ttirait les hommes qui semblaient le suivre volontairement. Onouava,
déesse
celte dont on représentait la tête seule ornée de
bienfaisant, jeune et plein de vigueur. Belisama ou Belisana, grande
déesse
Gauloise, inventrice des arts. Elle était honorée
les qui habitaient la Neustrie. Ces peuples donnèrent le nom de cette
déesse
à leur capitale, qui s’appela Rothomagna. Proudé
le chef de la colonie druidique des Éduens. Andaté était en outre la
déesse
de la victoire dans toute la Grande-Bretagne. Bo
taient de grandes divinités naharvales, filles de l’être suprême. Ces
déesses
, toujours brillantes de beauté et de jeunesse, gu
es de la Germanie, le prêtre était revêtu d’habits de femme. Andaté,
déesse
de la victoire, était surtout honorée par les Tri
ls fondèrent un empire. Mongh-Ruadh, ou Macha, héroïne Irlandaise et
déesse
des Némèdes, l’une des premières races de l’Irlan
e leur fit bâtir un palais qui fut ensuite la demeure des rois. Cette
déesse
est la seule femme qui ait gouverné l’Irlande. El
asar, ou Kesaire, fille, femme, sœur et mère de Bath. C'est la grande
déesse
de la force génératrice même, lorsqu’elle apparaî
onne naissance à toutes les guerres qui ont succédé. Fodhla, seconde
déesse
primitive de l’Irlande, était en Irlande la muse
ée dans Sliabh-Eibhline, qui prit le nom de Fodhla, elle en devint la
déesse
principale, de même que de toute l’Irlande. Banb
lèse ou Miless, Spain, était donc un héros fameux, époux de la grande
déesse
Scota, dont il eut Amrgin, Ir, Kolpa, Erreamhon e
Milésiens. Scota ou Scuith était par conséquent la grande et unique
déesse
des Miléadhs Irlandais, dont elle fut la mère ; e
iale Irlandaise, et le culte primitif, qui avait pour grands dieux et
déesses
, Bath, Kéalos et Macha, Fodhla, Banba et leurs fa
ndais y ajoutèrent des idées cabiriques, et de plus quelques dieux et
déesses
parmi lesquels on rencontre : Téa, fille de Luig
s. Elle eut un fils qui devint père du bon principe. Ataenlsic est la
déesse
du mal, et elle préside à la mort. Elle fut, dit
er à ses pieds tout ce qu’on ensevelit avec leurs corps. Cette fatale
déesse
les oblige en outre à la divertir par des danses,
à la nuit, et souvent passait pour être la lune. Joalticitl était la
déesse
du berceau ; aussi les mères lui recommandaient-e
elébrées en son honneur avait lieu le 19 mai. Ilamateuchtli était la
déesse
de la vieillesse au Mexique. On célébrait sa fête
excellence des mers de l’Archipel des amis. Ce dieu a pour épouse la
déesse
Faikava Kadjiha, et pour subalternes Vaha-Fonoua,
des îles des Amis ; il habite un empire appelé Boulerta. Kaléaoko,
déesse
honorée dans les îles Sandwich ; on la représente
ornement formé de deux longues bandes s’élève du bas des reins de la
déesse
jusqu’au-delà de son front. Ligobound, divinité
na, laquelle devint la seconde femme de Tétouba-Amatou-Hatou. Pélé,
déesse
des volcans, fort redoutée, dans les îles Sandwic
s dieux ; aussi les nomment-ils Fampô, ou enfans de Po. Takchanpada,
déesse
de la pluie, chez les habitans de l’île de Formos
oux Tamagisanhach, lorsqu’il refuse de la pluie aux hommes. Tanatéa,
déesse
des îles Sandwich, est représentée la figure tato
2, 378, 378. Dédale, 257. Dédalies, 53. Dédalion, 81, 121, 252, 277.
Déesses
sévères, 329. Déesses vengeresses, 329. Defensor,
57. Dédalies, 53. Dédalion, 81, 121, 252, 277. Déesses sévères, 329.
Déesses
vengeresses, 329. Defensor, 228. Déicoon, 246, 35
Grâces (les), 41, 94, 115, 134, 160, 160, 176. Gragalée, 100. Grande
Déesse
, 326. Grand Prêtre, 494. Grands Lares, 254. Grati
1. Rœcus, 293. Rogani, 421. Rama, 374. Ramana, 57. Rome, 53. Rome (la
déesse
), 55. Romé, ou la Force, 69 Romulus, 53, 69, 112,
a surface et les entrailles de la terre furent peuplés de dieux et de
déesses
innombrables, et que, suivant l’expression de Bos
livré à l’imagination des poëtes ? Ils en feront une fille de Cérès,
déesse
de l’Agriculture : ainsi transformé, il n’y a plu
iter, dans son effroi, appela à son aide tous les dieux et toutes les
déesses
. Styx, fille de l’Océan et de Téthys, arriva la p
hyie furent ses enfants. Nous raconterons bientôt l’histoire de cette
déesse
, véritable épouse de Jupiter. Les autres alliance
ongtemps en bonne intelligence. L’humeur jalouse et emportée de cette
déesse
troubla l’Olympe. Elle associa à ses ressentiment
rrons dans la suite quelles étaient les attributions des dieux et des
déesses
que nous venons de nommer. Les loisirs des dieux
L’ambroisie était leur nourriture, et le nectar leur breuvage. Hébé,
déesse
de la jeunesse, fille du Ciel et de la Terre, sui
ivilége comme roi des dieux et des hommes, prit pour femmes plusieurs
déesses
et un grand nombre de simples mortelles. Junon se
souvent le trouble dans l’Olympe et sur la terre. Les noces de cette
déesse
furent célébrées avec magnificence : tous les die
t de ses vengeances. Lorsque Jupiter eut tiré de son cerveau Minerve,
déesse
de la sagesse, Junon, de son côté, donna naissanc
e dans le ciel ; nous savons aussi quel châtiment lui fut infligé. La
déesse
, dans son ressentiment, résolut enfin de quitter
tons maintenant les principales victimes de la colère de Junon. Cette
déesse
n’entendait pas raillerie sur sa beauté. La reine
nce, Calliope l’épopée, enfin Uranie a pour domaine l’astronomie. Ces
déesses
étaient représentées avec les attributs des arts
nymphes, avec lesquelles elle se livra au plaisir de la chasse. Cette
déesse
a trois fonctions distinctes, trois séjours et tr
ctes, trois séjours et trois noms différents : elle est tout ensemble
déesse
du ciel, de la terre et des enfers. Au ciel on la
elquefois avec Proserpine, femme de Pluton. Le cœur farouche de cette
déesse
s’attendrit, dit-on, pour le berger Endymion, qu’
qui dévasta les campagnes de l’Étolie3. Diane était regardée comme la
déesse
de la chasteté. Les nymphes de sa suite devaient
sévérité. Culte, temples et images de Diane. Le culte de cette
déesse
était en rapport avec son caractère intraitable ;
es nommait Artémisies, d’Artémis, nom que les Grecs donnaient à cette
déesse
. Comme déesse de la chasse, on la représente ordi
émisies, d’Artémis, nom que les Grecs donnaient à cette déesse. Comme
déesse
de la chasse, on la représente ordinairement chau
le chien, et tantôt le taureau, le chien et le lion. Elle était alors
déesse
triforme, en raison de ses triples fonctions.
chantes. Questionnaire. De qui Diane était-elle fille ? — Cette
déesse
ne porte-t-elle pas différents noms ? — Que racon
ue raconte-t-on des vengeances de Diane ? — Diane n’était-elle pas la
déesse
de la chasteté ? — Quel était le culte de Diane,
ter s’élança une jeune vierge armée de pied en cap : c’était Minerve,
déesse
de la sagesse et symbole de la pensée. Les Grecs
de fruits sortit du sein de la terre, et les dieux décidèrent que la
déesse
l’avait emporté sur Neptune. Minerve, que les Gre
si fameuse sous le nom d’Athènes. Vengeances de Minerve. Cette
déesse
présidait à l’industrie, fille de l’intelligence
, roi de Colophon, qui opposa ses ouvrages de tapisserie à ceux de la
déesse
. Minerve, irritée de son audace et jalouse de son
ouait un jour de la flûte en présence de Vénus et de Junon ; ces deux
déesses
se prirent à rire en voyant la bouche un peu grim
vue pour avoir surpris Minerve se baignant dans l’Hippocrène. Mais la
déesse
, touchée de la douleur de Chariclo, qu’elle chéri
te et image de Minerve. Athènes ne se montra pas ingrate envers la
déesse
qui lui avait donné l’olivier, source de ses rich
urs, Phidias, en fit les ornements, et plaça dans le sanctuaire de la
déesse
une statue en or et en ivoire. On institua en l’h
dieu Mars ? § 9. Vénus. Naissance de Vénus. Vénus est la
déesse
de la beauté. Elle est fille du Ciel et de la Mer
flots, ils se couvrirent d’écume, et de cette écume sortit une jeune
déesse
d’une ravissante beauté : c’était Vénus. Les Grâc
n char diaphane. Les dieux, transportés d’admiration, la proclamèrent
déesse
de la beauté. Notre La Fontaine a fait de cette d
a proclamèrent déesse de la beauté. Notre La Fontaine a fait de cette
déesse
un portrait charmant dont il faut au moins citer
t son palais aux voûtes d’acier et d’airain, donna à Vulcain la belle
déesse
pour épouse. Elle portait une merveilleuse ceintu
n une pomme d’or avec cette inscription : A la plus belle. Toutes les
déesses
voulurent s’en emparer ; mais on remit la décisio
il gardait les troupeaux sur le mont Ida. Les prétentions des autres
déesses
avaient été écartées, il ne restait que trois riv
rdinairement à ses côtés son fils Cupidon et les trois Grâces. Aucune
déesse
n’a été plus souvent chantée par les poëtes et re
ulte, images de Cybèle. Cybèle, fille d’Uranus et de Titéa, est la
déesse
de la terre. On lui donne les noms de Rhéa, d’Ops
t de Pluton. Elle avait plusieurs surnoms, entre autres ceux de Bonne
Déesse
et de Mère des dieux. Cybèle choisit pour son prê
teté. Le jeune prêtre désobéit en s’alliant à la nymphe Sangaride. La
déesse
lui inspira alors une telle frénésie que, dans se
que Cybèle porte le nom de Vesta, il ne faut pas la confondre avec la
déesse
dont Numa introduisit le culte dans Rome. Cette V
vement de Proserpine. Cérès, fille de Saturne et de Cybèle, est la
déesse
de l’agriculture. Elle eut de Jupiter une fille n
é et de la vigne. Le dieu des enfers, le terrible Pluton, dont aucune
déesse
ne voulait habiter le séjour, fut réduit à se pro
s troublèrent l’eau d’une fontaine où elle voulait se désaltérer ; la
déesse
irritée les changea en grenouilles. Ce châtiment
se avait préparée. Un enfant, nommé Stellio ou Stellé, se moqua de la
déesse
, qui lui jeta à la figure la moitié de sa boisson
se lui apprit alors que sa fille était devenue l’épouse de Pluton. La
déesse
alla implorer l’assistance de Jupiter en faveur d
Où célébrait-on les fêtes de Cérès ? — Comment représente-t-on cette
déesse
? §.3 Bacchus. Naissance, éducation et c
ils, victime de sa vanité mise en jeu par un artifice de Junon. Cette
déesse
prit la forme de Béroé, nourrice de Sémélé, et lu
lles s’obstinent à travailler, et, sous prétexte de plaire à Minerve,
déesse
des arts, elles ravissent à Bacchus les heures qu
Vulcain, le donnèrent pour époux à Vénus, la plus belle de toutes les
déesses
. Vulcain se faisait remarquer entre tous les dieu
trie : foudres de Jupiter, armures de héros, colliers et couronnes de
déesses
, palais ; son zèle suffisait à tout, et son art f
le feu. Après ces grandes divinités de la terre, il faut citer Palès,
déesse
des pâturages et des prairies ; Flore, déesse des
e, il faut citer Palès, déesse des pâturages et des prairies ; Flore,
déesse
des fleurs ; Pomone, déesse des vergers et des fr
se des pâturages et des prairies ; Flore, déesse des fleurs ; Pomone,
déesse
des vergers et des fruits, et Vertumne, dieu des
ades peuplaient les montagnes. Ainsi non-seulement la Terre était une
déesse
, mais d’innombrables divinités présidaient à tout
incu dans sa lutte contre Minerve, qui donna son nom à Athènes. Cette
déesse
lui disputa encore l’honneur de donner un nom à l
s’affligeant, Eût accru par ses pleurs le nombre des fontaines, Si la
déesse
enfin, pour terminer ses peines, N’eût obtenu du
portait. Pluton resta longtemps seul dans son triste royaume. Aucune
déesse
ne consentait à s’unir à lui : c’est pour cela qu
autre un fouet de couleuvres. Les mortels, pour apaiser ces terribles
déesses
, leur donnaient le nom d’Euménides ou déesses bie
r apaiser ces terribles déesses, leur donnaient le nom d’Euménides ou
déesses
bienveillantes. Cette flatterie de la peur ne les
esquels les Parques filaient de l’or et de la soie. On représente ces
déesses
sous la figure de femmes au visage sévère, la têt
upiter, qui l’admit à la table des dieux. Ixion s’éprit de Junon ; la
déesse
avertit Jupiter, qui se contenta de renvoyer sur
vinité, il leur avait servi les membres de son fils Pélops. Une seule
déesse
, l’avide Cérès, se laissa tromper : elle dévora l
emant l’une ou l’autre à travers le monde. Les poëtes en ont fait une
déesse
énorme, aux cent bouches, toute couverte d’oreill
ait qu’elle contenait le fard qui entretient l’éternelle jeunesse des
déesses
. Elle s’endormit alors dans une funeste léthargie
nt sans doute la haine de Junon contre Hercule, ont supposé que cette
déesse
l’allaita, et qu’une goutte de son lait traça dan
’Olympe, l’admit à la table des dieux, et lui donna pour épouse Hébé,
déesse
de la jeunesse. Telle est l’histoire de ce héros,
é Thoas, qui sacrifiait des victimes humaines sur les autels de cette
déesse
. Oreste fit épouser à Pylade, son ami, Électre, s
Siva et Vichnou. Ces dieux sont fils de Bhavani. On raconte que cette
déesse
, créée sans doute par Brahm, heureuse de sentir l
reine voulut la voir et se l’attacha comme nourrice de son enfant. La
déesse
le nourrissait en lui mettant le doigt dans la bo
rprit une nuit pendant que les flammes entouraient son fils et que la
déesse
voltigeait autour de la colonne. Effrayée, elle p
x. Les Scandinaves reconnaissaient douze grands dieux et autant de
déesses
: à leur tête se présente Odin, maître de l’unive
a présence et entendent le hennissement de son cheval. Les Walkyries,
déesses
du camp, le suivent dans ses courses, la tête cou
te, le conciliateur des disputes, le juge des rois. Parmi les grandes
déesses
on distingue Frigga, femme d’Odin, qui partage av
vec lui les âmes de ceux qui meurent sur le champ de bataille ; Freya
déesse
de l’amour ; Eyra, qui veille sur la santé des di
noms de ces dieux et leurs fonctions ? — Quelles sont les principales
déesses
de la mythologie des Scandinaves ? — Quel est l’e
s les oracles, il craint jusqu’aux enfans des simples mortelles ; les
Déesses
implacables, les Furies mêmes, sont souvent sensi
l’Amour s’envolant quand le mystère est dévoilé ; l’histoire de Cura,
déesse
de l’inquiétude ; la Vertu représentée sous les t
Des peuples qui adoroient des Divinités cruelles, telle que Bellone,
Déesse
du carnage, les Praxidices, Déesses des vengeance
nités cruelles, telle que Bellone, Déesse du carnage, les Praxidices,
Déesses
des vengeances, les Furies, etc., devoient avoir
ent leur butin dans le bois sacré et sur l’autel de leur Divinité, la
Déesse
Laverne 7 . Chaque action coupable ou vile étoit
soit de grandes prérogatives. Junon, sœur et épouse de Jupiter, étoit
Déesse
des richesses et des royaumes ; jalouse de Jupite
bûcher funéraire, pour fléchir Proserpine. Les Grecs appeloient cette
Déesse
Perséphoné. On dit que Proserpine, dans sa jeunes
eureux. On appela, jalémies de son nom, plusieurs chants funèbres. La
déesse
des funérailles se nommoit Nénie. On donnoit auss
d’eau et non de vin ; c’est pourquoi Sophocle les appelle les sobres
déesses
. Lorsqu’on avoit commis un crime, on faisoit des
fut dans cet état qu’Enée le vit dans les enfers. Némésis.
Déesse
des vengeances célestes, selon les uns, fille de
i en consacroit la représentation en argent. On adoroit surtout cette
Déesse
à Rhamnus, ville de l’Attique ; elle y avoit un m
, victime de l’amour propre, devoit naturellement être consacrée à la
Déesse
qui punissoit ceux qui n’aimoient qu’eux-mêmes.
tit un temple. Cérès. Cérès, fille de Saturne et de Cybèle,
Déesse
des moissons et mère de Proserpine qu’elle eut de
eaux du lac, le voile de sa fille, et la nymphe Aréthuse apprit à la
Déesse
l’enlèvement de Proserpine par Pluton. Cérès obti
offroit aussi un spectacle fort triste, en mémoire des douleurs de la
Déesse
, pour l’enlèvement de Proserpine. Minerve.
urs de la Déesse, pour l’enlèvement de Proserpine. Minerve.
Déesse
de la sagesse et des arts. Jupiter épousa Métis :
al, et Minerve fit naître l’olivier. On lui adjugea le prix. Comme la
Déesse
s’appeloit en grec Athéné, la ville fut nommée At
elque action barbare, étoient exclues de cette fête. Vesta.
Déesse
du feu, fille de Saturne et de Rhéa. Les prêtress
rissement une Sœur de la Charité ? Vénus et Vulcain. Vénus,
Déesse
de la beauté, mère de l’Amour et des Grâces, naqu
e Priam, roi de Troie, fut choisi pour juge des prétentions des trois
Déesses
. Il donna la pomme à Vénus. Anchise, prince troye
Cynire, roi de Chypre, s’étant vantée d’être plus belle que Vénus, la
Déesse
, pour se venger, inspira à Myrrha, fille de Cynir
voulut le garder ; il s’éleva alors une grande dispute entre les deux
Déesses
: Jupiter décida qu’Adonis resteroit la moitié de
oit ainsi tous les ans l’époque de ses funérailles. La plus belle des
Déesses
s’unit au plus laid des Dieux ; Vénus épousa Vulc
Acidalie, nom qu’on donnoit à Vénus lorsqu’on la considéroit comme la
Déesse
qui cause les soins et les inquiétudes : Acidalie
es Propétides, filles d’Amathonte, ayant nié la divinité de Vénus, la
Déesse
leur ôta toute pudeur ; elles périrent misérablem
nt consacrés à Vénus. Il y avoit une autre Vénus, considérée comme la
Déesse
des plaisirs purs de l’esprit et de l’ame ; on l’
énus. Etéocle, roi d’Orchomène, leur éleva le premier des autels. Ces
Déesses
habitoient de préférence les bords du Céphise ; c
es bords du Céphise ; c’est pourquoi les poëtes les appellent souvent
Déesses
de Céphise et d’Orchomène. Pitho, ou Suada, ou Su
éphise et d’Orchomène. Pitho, ou Suada, ou Suadela, fille de Vénus et
Déesse
de la persuasion, suivoit toujours les Grâces. Ce
tua à coups de flèches, parce qu’elle se croyoit plus belle que cette
déesse
. Arganthone fut si touchée de la mort de Rhésus s
l. Le frêne et le chiendent lui étoient consacrés. Bellone.
Déesse
du carnage, étoit fille de Phorcys et de Céto, et
ts aux Enfers. Outre Mercure, Dieu des voleurs, il y avoit encore une
Déesse
des voleurs, nommée Laverne ; chez les Romains el
te portée sur l’arc-en-ciel. La Fable donne d’horribles sœurs à cette
Déesse
, elle dit que les Harpies sont filles aussi de Th
fils, sur une fausse accusation de leur belle-mère. Diane.
Déesse
de la chasse, fille de Jupiter et de Latone, et s
une, elle s’appelle Phébé ou Sélène ; elle étoit regardée aussi comme
Déesse
des Vierges et de la chasteté. Elle changea Actéo
; un jour, ayant mis à mort un monstrueux sanglier, il n’offrit à la
Déesse
que la tête qu’il suspendit à un arbre, il s’endo
Lucifer, eut la témérité de se préférer à Diane pour sa beauté, et la
Déesse
la tua d’un coup de flèche. Niobé, fille de Tanta
lle Hécate : de toutes ces fonctions Diane a pris le surnom de triple
Déesse
. On a fait dériver le nom d’Hécate du mot grec ec
toit parmi eux une ancienne tradition que des serpens, envoyés par la
déesse
, venoient le dévorer. Des fruits, du pain et surt
Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosine,
Déesse
de la mémoire. Elles étoient neuf sous la conduit
il eut l’impiété de défier les Muses à qui chanteroit le mieux : les
Déesses
acceptèrent le défi, à condition que s’il étoit v
moient Sigalion. Les lentilles et le pêcher lui étoient consacrés. La
déesse
du Silence s’appeloit Angérone. Voici une Fable q
jourd’hui que le symbole de l’amour et de la gaîté. Thémis.
Déesse
de la Justice, fille du Ciel et de la Terre, c’es
tie ou brûlée et le reste obligé de prendre la fuite. Hébé.
Déesse
de la Jeunesse, fille de Jupiter et de Junon. Que
t tenant une coupe d’or. Pomone, Vertumne et Flore. Pomone,
Déesse
des fruits, étoit décidée à garder sa liberté, Ve
se marier, se fit connoître, obtint sa tendresse et l’épousa. Flore,
déesse
des fleurs, épousa Zéphire. Les florales, ou fêt
la terre. Les Limoniades présidoient aux fleurs, etc. Palès étoit la
déesse
des bergers et des troupeaux. Faune ou Faunus, fi
sa femme étoit honorée de même, on la regardoit comme la première des
Déesses
Fanes, Déesses de la classe des nymphes39. Il y a
honorée de même, on la regardoit comme la première des Déesses Fanes,
Déesses
de la classe des nymphes39. Il y avoit encore bea
ore et de Bacchus. Dryas, Callianasse et Callianire. Dryas,
Déesse
de la Pudeur, fille de Faune, aimoit l’ombre et l
urtout devoit redouter et fuir. Les Romains firent de la Pudicité une
Déesse
, qui avoit à Rome des temples et des autels. On d
es temples en plusieurs villes de la Grèce. Pœnie ou Pénie.
Déesse
de la pauvreté. Platon raconte que Plutus s’unit
es festins, on a mis à cet Arabesque des couronnes de cette fleur. La
Déesse
de la gourmandise s’appeloit Adéphagie. Morphé
ues-uns, le Dieu même du Sommeil. Le pavot lui étoit consacré. Brizo,
Déesse
honorée à Délos, présidoit aux Songes ; c’étoit e
e toutes sortes de maladies. Hygiée, fille aussi d’Esculape, étoit la
Déesse
de la santé, et Télesphore ou Evémérion, le Dieu
attribue l’invention de purger par les médecines. Strénua.
Déesse
du travail. Elle agissoit et faisoit agir avec vi
ctivité et le travail. Il ne faut pas confondre Strénua avec Strenia,
déesse
romaine, qui présidoit aux présens qu’on se faiso
ée, et qu’on nommoit Stréna, étrennes. Agénorie ou Agérona étoit la
Déesse
de l’industrie. Murcie. Déesse de la
énorie ou Agérona étoit la Déesse de l’industrie. Murcie.
Déesse
de la paresse. Son nom venoit de murcus, murcidus
e. La tortue et le colimaçon lui étoient consacrés43. Cura.
Déesse
de l’inquiétude. Cura (dit Hygin ), ayant vu de
uisque l’homme a été fait de terre (ex humo) ; mais il ordonna que la
Déesse
de l’inquiétude posséderoit l’homme tant qu’il vi
sseau, non brisée, mais ne tenant plus qu’à un fil. Achlys.
Déesse
des ténèbres et de la tristesse. La Fable ne lui
s ces Arabesques, du moins avec quelque agrément, telles que Vibilie,
Déesse
des voyageurs égarés. Carna ou Cardea, qui présid
fans. Alemona, qui les protégeoit dans le sein de leur mère. Déverra,
Déesse
du balayage. Robigo ou Rubigos qui préservoit les
rtelles ou de pères mortels, tiroient leur origine de quelque Dieu ou
Déesse
. On donnoit le nom d’Indigètes (Dieux Indigètes),
, le profond tartare, la terre et l’océan, les dieux immortels et les
déesses
, tout ce qui est, tout ce qui sera, était contenu
culape, Atys, Pan et plusieurs autres. De même, selon lui, toutes les
déesses
servaient à représenter la lune ; il nomme Cérès,
nter la lune ; il nomme Cérès, Diane, Lucine, Vénus-Uranie, la grande
déesse
de Syrie, Cybèle, Isis, Vesta, Astarté, Junon, Mi
furent consacrées, et ce fut ainsi que l’on augmenta le nombre de ces
déesses
. Du culte des astres on passa à celui du ciel, de
us ceux de Diane, d’Isis, etc. Bacchus fut le dieu du vin ; Cérès, la
déesse
des récoltes ; chaque fleuve, chaque fontaine eut
le de Vénus et d’Adonis était originaire de Syrie ; le culte de cette
déesse
était arrivé à Chypre, à Cythère, et dans les île
ieux, qui tiraient leur origine d’un dieu et d’une mortelle, ou d’une
déesse
et d’un mortel. Tels étaient Hercule, Esculape, C
it le conseil de Jupiter ; elle était composée de six dieux et de six
déesses
. Les six dieux étaient : Jupiter, Neptune, Mercur
taient : Jupiter, Neptune, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain. Les six
déesses
étaient : Junon, Cérès, Minerve, Vesta, Diane et
mmes, parce qu’ils étaient fils d’un dieu et d’une mortelle, ou d’une
déesse
et d’un mortel. Histoires particulières des di
Tellus, noms qui tous désignent la terre, était la plus ancienne des
déesses
. Ils eurent pour fils Titan et Saturne, qui était
au nombre de dix comme les doigts de la main. Les fêtes de la grande
déesse
se célébraient au bruit des tambours, avec des hu
on portait sur un char, et dans la plus grande pompe, la statue de la
déesse
. Un immense cortége l’accompagnait jusqu’à l’endr
e Tibre. Lorsqu’on était parvenu à ce lieu, on lavait la statue de la
déesse
dans les eaux du fleuve. Cette solennité, qui arr
ent une brillante ambassade en Phrygie, pour demander la statue de la
déesse
, qui était d’une pierre noire. La demande ayant é
l’injustice, sûre de sa vertu, elle adresse hautement sa prière à la
déesse
, attache sa ceinture au vaisseau, et, dans l’inst
ymphe Sangaride, fille de Sangar, roi de Phrygie. La fable dit que la
déesse
se vengea d’Atys sur la personne de Sangaride : l
t de la mère des dieux. Ils assurent que Cybèle donna son nom à cette
déesse
, et que les corybantes, ses prêtres, prirent leur
était la mère des dieux. Ce qu’il y a de certain, c’est que la grande
déesse
de Syrie est la même que Rhéa. La déesse Astergat
certain, c’est que la grande déesse de Syrie est la même que Rhéa. La
déesse
Astergatis était le symbole de la terre, et les É
aut la distinguer de la seconde Vesta, fille de Saturne, qui était la
déesse
du feu, et qui présidait à la virginité. Nous all
rginité. Nous allons donner son histoire. Des vestales ; de Vesta,
déesse
du feu et de la virginité. Numa Pompilius éle
effrayé à la vue de ses ennemis, appela tous les dieux et toutes les
déesses
à son secours. La déesse Styx, fille de l’Océan e
nnemis, appela tous les dieux et toutes les déesses à son secours. La
déesse
Styx, fille de l’Océan et de Téthys, arriva la pr
e sa diligence, qu’il ordonna que tous les sermens faits au nom de la
déesse
Styx (que l’on confondit depuis avec un des fleuv
rcule et Junon ; mais ce redoutable géant, surpris de la beauté de la
déesse
, suspendit un instant ses coups pour la considére
llon et Diane ; de Dioné, Vénus ; de Métis ou la Providence, Minerve,
déesse
de la sagesse ; de Sémélé, fille de Cadmus, Bacch
u’il chargea du soin de verser le nectar aux dieux à la place d’Hébé,
déesse
de la jeunesse. Cette métamorphose de Jupiter ne
rendre si parfaites, qu’elles paraissaient presque animées. Minerve,
déesse
de la sagesse, lui dit que le feu du ciel aurait
nt animées, et qu’il n’avait pu les faire sans le secours de Minerve,
déesse
de la sagesse et des arts. Cette première imitati
ce qui donna lieu de dire qu’il avait formé l’homme avec l’aide de la
déesse
de la sagesse. On le peignit de même volant le fe
s anciens comme le symbole du silence. Junon eut trois enfans : Hébé,
déesse
de la jeunesse, qui servait le nectar aux dieux a
unon, jalouse de ce que Jupiter avait enfanté de son cerveau Minerve,
déesse
de la sagesse, voulut produire quelque chose d’au
e, voulut produire quelque chose d’aussi surprenant. Elle consulta la
déesse
Flore, qui lui dit que dans les champs d’Olène il
e temps que Jupiter étant le plus sage et le plus grand des dieux, la
déesse
de la sagesse était sortie de son cerveau dans to
ne tout autre origine, quoiqu’elle soit de même une allégorie. Junon,
déesse
altière et jalouse, déclara souvent la guerre à J
pour récompense, exigea qu’on le mariât avec Vénus, la plus belle des
déesses
. Cette punition ne corrigea point Junon ; s’étant
issance de Junon, la métamorphosa en vache. La ruse ne put tromper la
déesse
; elle demanda impérieusement que cette vache lui
n la mit sous la garde d’Argus, qui avait cent yeux. Cet espion de la
déesse
ne pouvait être surpris, parce que cinquante de s
s ne débarrassa point la malheureuse Io des persécutions de Junon. La
déesse
fit sortir de la terre un taon qui poursuivait sa
eut un fils nommé Épaphus. Le culte que les Égyptiens rendaient à la
déesse
Iris, sous la forme d’une vache, a sûrement donné
aire, au-dessus de laquelle on voyait les Grâces et les Heures. Cette
déesse
présidait principalement aux empires et aux riche
victime la plus ordinaire qu’on lui sacrifiait. Le respect pour cette
déesse
allait si loin, que chacun ayant son génie, celui
té métamorphosée en fontaine par Diane, dont elle était nymphe. Cette
déesse
eut recours à cette métamorphose pour soustraire
leurs héros des Atlantides. Après leur mort, on les honora comme les
déesses
, et on les plaça dans le ciel sous le nom de Pleï
au. Orion devint un grand chasseur. Un serpent l’ayant blessé, Diane,
déesse
de la chasse, le changea en la constellation qui
our parût. Aurore le surprit, et l’enleva dans son char. La vue de la
déesse
ne l’empêcha pas de se livrer à tout le désespoir
nit d’avoir de nouvelles rivales parmi les nymphes, ou même parmi les
déesses
. Elle alla se cacher au milieu d’un épais feuilla
Ils ne comptaient que neuf Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne,
déesse
de la mémoire. Elles étaient vierges, et la fable
our désigner ces trois qualités différentes qu’on lui donna le nom de
déesse
à trois formes. Les bergers de Thessalie se vanta
ent accordés. Les filles qui se mariaient croyaient devoir apaiser la
déesse
, et lui consacraient leur ceinture ; ce qui la fi
l’une et l’autre sous ce nom. La plupart des autres noms donnés à la
déesse
venaient des lieux où elle était particulièrement
tendre amitié, tuèrent le pontife Thoas, emportèrent la statue de la
déesse
, et vinrent la déposer en Italie, où elle fut app
est tiré par des biches. (Fig. 21.) Diane était regardée comme la
déesse
de la chasteté. Les nymphes de sa suite devaient
t les nymphes de sa suite prenaient le bain : dans l’instant même, la
déesse
le métamorphosa en cerf, et il fut dévoré par ses
é par ses propres chiens. Calisto, nymphe d’Arcadie et favorite de la
déesse
, ne put éviter sa vengeance. Jupiter, pour la séd
s la forme de Diane elle-même. Cette excuse ne la garantit point ; la
déesse
la chassa de sa cour, et l’abandonna à la jalousi
fille ayant eu la témérité de préférer sa beauté à celle de Diane, la
déesse
la perça d’une flèche. Dédalion, ne pouvant se co
ue l’on disait fille du Chaos. Elle passait pour la plus ancienne des
déesses
, afin d’exprimer que les ténèbres avaient existé
signer le nombre cent, parce que, dans les sacrifices offerts à cette
déesse
pour l’apaiser, on immolait cent victimes, ou par
ong-temps avant eux, les Égyptiens lui rendaient un culte. Parmi cinq
déesses
de ce nom, que Cicéron reconnaissait, il dit que
alement le nom de Minerve ou de Pallas. Les fables de ces différentes
déesses
ayant presque toujours été confondues ensemble, n
croient que cette inscription mystérieuse, placée sur le temple de la
déesse
de la sagesse, a été tirée des livres de Moïse, o
té de Cécrops fit, par la suite des temps, confondre sa fille avec la
déesse
dont elle portait le nom. Minerve, Athénée et Pal
ns, dans l’espoir de s’assurer la bienveillance particulière de cette
déesse
, la déclarèrent la protectrice de leur ville, et
a d’une statue d’or et d’ivoire ; son génie sut la rendre digne de la
déesse
qu’elle représentait. Les Athéniens, pour donner
e elle-même ne pouvait l’égaler. Elle étala ses ouvrages, et défia la
déesse
de leur comparer les siens. Minerve, indignée, dé
te environnée de serpens, et cette armure, inspiraient la terreur. La
déesse
s’en servait pour effrayer les coupables. Le hibo
faisant des incisions à la cuisse. Ils offraient en sacrifice à leur
déesse
le sang qui coulait de ces blessures, mais cette
tage dans deux villes principales particulièrement consacrées à cette
déesse
, et qui l’une et l’autre se nommaient Comane. Sur
ictoire, et le dictateur Sylla établit des jeux en l’honneur de cette
déesse
. Sur les marbres et les médailles, on la voit, vo
des Zéphyrs jusqu’au pied du mont Cythérée. Les pieds délicats de la
déesse
touchent la terre, et les fleurs naissent sous se
par Saturne son fils. Ce mélange bizarre produisit la plus belle des
déesses
; elle parut aux environs de Cythérée, d’où elle
cette origine à Vénus. Les fables et les récits des poëtes sur cette
déesse
, ne peuvent rien éclaircir, parce que l’on y trou
e physique, de morale et d’histoire. Souvent ils la considèrent comme
déesse
, quelquefois comme planète, et presque toujours s
se crurent le droit d’imiter ses écarts. On représenta Vénus comme la
déesse
des plaisirs ; On lui donna pour fils Cupidon ou
cès favorable, dans la guerre contre Séleucus, voua la sienne à cette
déesse
, et la fit suspendre dans son temple. Elle dispar
mpossible de faire connaître toutes les manières de représenter cette
déesse
. Les ouvrages de peinture et de sculpture variaie
le myrte, parce qu’il vient ordinairement sur le bord des eaux, où la
déesse
avait paru pour la première fois, La fable se pla
de l’Éther. Les poëtes le disent fils du dieu des richesses et de la
déesse
de la pauvreté, pour signifier que la fortune et
tude de beautés qui l’environnait, surprise et confuse à la vue de la
déesse
, se prosterna devant elle, et toutes ne semblèren
es : la Grèce et plusieurs autres pays reconnaissaient souvent quatre
déesses
de ce nom. Il est vrai qu’alors elles représentai
ent cesse d’être une grâce . Tous les attributs et les surnoms de ces
déesses
étaient allégoriques. Elles se nommaient Charites
unir Junon, en consentant à son mariage avec Vénus, la plus belle des
déesses
. On lui donnait le surnom de Mulciber, comme ayan
avait le don de prendre à son gré toutes les formes. Épris de Pomone,
déesse
des jardins, il choisit pour la persuader la form
il choisit pour la persuader la forme d’une vieille à laquelle cette
déesse
accordait toute sa confiance. Ce stratagème lui r
ent beaucoup Leucothoé ; mais elles n’osaient offrir des vœux à cette
déesse
qu’en faveur de leurs neveux, parce qu’elles redo
Cette nymphe, aimée par Neptune, excita la jalousie d’Amphitrite ; la
déesse
empoisonna la fontaine où elle se baignait. Scyll
lement sur les récoltes et la végétation, étaient les seconds. Cérès,
déesse
des blés, et Bacchus, dieu du vin, étaient les tr
it arbitrairement Ops, Tellus, et souvent on lui donnait les noms des
déesses
Vesta, Cérès, Proserpine, Rhéa, Diane, ou Cybèle.
les différentes fêtes de la Terre, celle appelée la fête de la bonne
déesse
était si célèbre, que nous croyons devoir en donn
ns la maison du souverain pontife, pour faire un sacrifice à la bonne
déesse
, divinité mystérieuse dont les femmes seules conn
nnaissance des mystères de Cérès Éleusine, a couvert ceux de la bonne
déesse
. On n’en peut parler avec certitude, et tous les
ce sujet ne méritent aucune croyance. Le peuple était persuadé que la
déesse
aurait sur-le-champ frappé d’aveuglement celui qu
re, Pomone, Vertumne et Priape, dieux des jardins. Flore était la
déesse
des fleurs et l’épouse de Zéphire. Il paraît qu’i
ce, on assimila Laurentia à l’ancienne Flore, et on l’honora comme la
déesse
des bosquets et des fleurs. Ses fêtes firent inst
et des fleurs. Ses fêtes firent instituer les jeux floraux. Pomone,
déesse
des vergers, devint l’épouse de Vertumnus, ou Pro
s, ou Protée, comme nous l’avons dit précédemment. L’adresse de cette
déesse
à cultiver les arbres fruitiers et les jardins lu
u de paille, autour duquel ils dansaient ; ensuite ils offraient à la
déesse
du lait, du fromage, du vin cuit et des gâteaux d
es plaisirs les plus simples animaient toujours les fêtes de ces deux
déesses
. Bubonna, déesse des bouviers, présidait à la co
s simples animaient toujours les fêtes de ces deux déesses. Bubonna,
déesse
des bouviers, présidait à la conservation des bœu
, le premier, enseigné l’usage de fumer les terres. Hippona était la
déesse
des écuries et des jumens ; Collina était celle d
es Furies les punissent. Des serpens horribles servent de fouet à ces
déesses
impitoyables : elles en frappent les victimes, et
ton et l’obscurité de son royaume l’ayant fait rebuter par toutes les
déesses
, il s’en plaignit à son frère Jupiter, et obtint
c lui la fille de Cérès. Nous avons déjà vu, dans l’histoire de cette
déesse
, quels furent ses regrets et les courses qu’elle
a crainte de le voir se renouveler, firent adopter les mystères de la
déesse
. Dans le même temps, Triptolème reçut le culte da
ile à découvrir. La Concorde, la Paix et la Fidélité, étaient, trois
déesses
différentes. Le pouvoir de la Concorde s’étendait
utenir leurs droits et leurs prérogatives, afin que la présence de la
déesse
de la Paix pût bannir toute haine et toute aigreu
toute haine et toute aigreur de leurs disputes. On représentait cette
déesse
sous la forme d’une femme couronnée de laurier, d
de deux femmes qui se donnent la main représente ordinairement cette
déesse
. (Fig. 55.) Un peuple autant idolâtre de sa liber
doraient sous le nom d’Harpocrate, et les Romains en avaient fait une
déesse
, qu’ils nommaient Ageronia. (Fig. 57.) Ces dernie
ur la terre exercer toutes ses fureurs. On attribuait à cette cruelle
déesse
les guerres, les querelles entre les particuliers
erre que toutes choses proviennent. On représente ordinairement cette
déesse
assise, pour montrer la stabilité de la terre, po
hé ; il n’était pas permis aux hommes d’y entrer. On nommait aussi la
déesse
Cybèle Vesta. Cependant Vesta est le nom de la mè
ette occasion de prouver sa vertu : elle fit sa prière tout haut à la
déesse
, et, ayant attaché sa ceinture au vaisseau, elle
ys des Sabins, institua un grand nombre de cérémonies pour honorer la
déesse
Vesta. Pour mieux établir son culte, il consacra
— Ascalaphe. Cérès, fille de Saturne et de Cybèle, est appelée la
déesse
des blés et des moissons, parce qu’elle enseigna
r à boire. La vieille, touchée de compassion de l’état où était cette
déesse
, lui donna, entre autres rafraîchissemens, un peu
gea en lésard. Érésichton fut aussi victime de la vengeance de cette
déesse
. Il avait eu l’audace de couper plusieurs pieds d
pieds d’arbres dans une forêt consacrée à Cérès ; pour l’en punir, la
déesse
l’affligea d’une faim qu’on ne pouvait apaiser. M
it ; elle instruisit Cérès que sa fille était aux enfers. Aussitôt la
déesse
monte au palais du père des dieux, elle lui fait
t oublié son culte et négligé ses fêtes depuis que la statue de cette
déesse
qu’ils avaient en vénération, fut brûlée par acci
devint sa femme. Elle eut trois enfans : Hébé, Mars et Vulcain. Hébé,
déesse
de la jeunesse, versait le nectar à Jupiter, avan
l’avait mis au monde tout contrefait. Les dieux ne purent dégager la
déesse
de ses entraves, il fallut avoir recours à celui
a préférence que le berger Pâris donna à Vénus, au préjudice de cette
déesse
. Sa vengeance ne fut pas même satisfaite par les
eureusement pour ce prince, Vénus le protégeait. La jalousie de cette
déesse
parut encore dans les persécutions qu’elle exerça
sque les uns étaient fermés par le sommeil, les autres veillaient. La
déesse
lui donna en garde la nymphe Io, fille d’Inachus
a mémoire, attacha ses yeux à la queue du paon, oiseau chéri de cette
déesse
. Dans le temps, Junon, satisfaite d’Iris, sa conf
s et aux accouchemens, sous le nom de Lucine. Comme le culte de cette
déesse
a été très-répandu, le nombre de ses surnoms est
t, lui étaient agréables. On appelait le lis, la rose de Junon. Cette
déesse
était représentée sur un char brillant, traîné pa
Mars Mars, dieu de la guerre, était fils de Junon seule. Cette
déesse
, jalouse de ce que Jupiter avait fait sortir Pall
elle alla en chercher les moyens en Orient. Fatiguée de la route, la
déesse
se reposa près du temple de Flore, qui, instruite
ars l’ayant aperçu, courut aussitôt sur lui pour l’attaquer ; mais la
déesse
détourna le coup qu’il portait à Diomède, et il f
. Ce dieu, dit-il, voulant plaire à Vénus, s’offrit aux yeux de cette
déesse
avec le cortége formidable qui annonce sa puissan
sœur de Mars, et, selon d’autres, sa femme. On la regardait comme la
déesse
de la guerre. C’était elle qui préparait à Mars s
u’elle est sortie de la tête du Très-Haut avant toute créature. Comme
déesse
des sciences, des arts, et surtout de la sagesse,
, et il en sortit un cheval ; Minerve lui fit produire un olivier. La
déesse
remporta les suffrages ; parce que la paix, dont
rce que les sciences et les arts animent la paix. On représente cette
déesse
ayant sur la tête un casque surmonté d’une chouet
mé Égide, qui vomissait des tourbillons de flammes. Dans la suite, la
déesse
y fit graver la tête de Méduse. Arachné. On
hné, fille d’Idmond, du pays de Lydie, habile ouvrière, osa défier la
déesse
de la surpasser ; Minerve, en colère de la voir r
itement, entra dans un si grand désespoir, qu’elle alla se pendre. La
déesse
en ayant compassion, la soutint en l’air, et la c
mit ; pendant son sommeil, l’île de Délos s’approcha du rivage, et la
déesse
, en s’éveillant, se mit en chemin pour rejoindre
u soleil étaient renfermés tous les dieux du paganisme, et toutes les
déesses
sous celui de la lune. Le soleil a été adoré sous
Balance, Thémis. Le Scorpion, c’est Orion changé en cet animal par la
déesse
Diane. Le Sagittaire, c’est Chiron le Centaure, q
an et la Terre. Les anciens, qui ont prodigué les noms de dieux et de
déesses
au soleil, à la lune et aux autres constellations
rtes du ciel, et qu’elle précède le dieu du jour. On représente cette
déesse
sur un char brillant, traîné par deux chevaux. El
t sur le Mont-Parnasse. Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne,
déesse
de la mémoire, étaient vierges, et gardaient la c
quand elle en jouait, qu’elle excitait la risée de toutes les autres
déesses
. Marsyas perfectionna cet instrument ; et, comme
e mêler toujours des fifres dans les sacrifices qu’on faisait à cette
déesse
. Ce satyre fut assez téméraire pour défier Apollo
tile S’éloigne, et de Pallas gagnant l’auguste asile, Aux pieds de la
déesse
, et sous son bouclier D’un air tranquille et fier
tranquille et fier va se réfugier. [Delille"] Diane Diane,
déesse
de la chasse, était fille de Jupiter et de Latone
n’était qu’une seule divinité ; c’est pourquoi les poètes l’appellent
Déesse
à trois formes et Triple Hécate. Brillant astre
vaient soin de son équipage de chasse. Actéon L’amour de cette
déesse
pour la chasteté, l’engagea à punir sévèrement Ac
s un lieu solitaire, le chasseur Actéon y fut conduit par hasard : la
déesse
irritée le métamorphosa en cerf, de sorte que ses
Sa honte éclata par le refus qu’elle fit de se baigner avec Diane. La
déesse
indignée la chassa de sa cour, et Junon, portant
arer ses attraits à ceux de Diane. Cette témérité lui coûta cher : la
déesse
la perça d’une flèche. Deucalion, son père, outré
devint suspect à Jupiter, qui le condamna à un sommeil perpétuel. La
déesse
touchée du malheur de son favori, et craignant en
pine. C’est lui encore que les dieux nomment pour concilier les trois
déesses
prétendant au prix de la beauté, et pour être tém
térieux renfermait tout ce que les charmes ont de plus séduisant : la
déesse
eut soin de l’étaler lorsqu’elle voulut avoir le
Péristère Péristère était une nymphe de la suite de Vénus. Cette
déesse
, se trouvant avec son fils dans un endroit charma
, et supportait sans se plaindre toutes les fatigues de la chasse. La
déesse
, s’oubliant elle-même, ne tremblait que pour Adon
prince, employa le secours de Diane pour faire périr son rival. Cette
déesse
suscita un sanglier énorme auquel elle lança son
. Psyché Psyché, dont le nom signifie cœur ou âme, était la
déesse
de la volupté. Vénus fut si jalouse de ce qu’elle
eurs yeux étaient enflammés et leurs bouches fumantes ; le char de la
déesse
était une conque d’une merveilleuse figure ; elle
eveux-pendaient sur leurs épaules et flottaient au gré des vents ; la
déesse
tenait d’une main un sceptre d’or pour commander
de amère, sortaient à la hâte de leurs grottes profondes pour voir la
déesse
. » Triton Le premier Triton, qui, selon
étis. Cette nymphe qu’il ne faut pas confondre avec Téthys, la grande
déesse
des eaux, était la plus belle personne du monde.
ne ne lui disputait, songea à prendre une femme. Rebuté de toutes les
déesses
à cause de son teint noir et de la tristesse de s
sans secours. Demoustier. Les anciens regardaient la Nuit comme une
déesse
. Ils la disaient fille aînée du Chaos. On lui don
point de détourner son attention de la conduite volage de Jupiter. La
déesse
s’apercevant de l’artifice, lui interdit la parol
ertes. Palès Il ne paraît pas que les Grecs aient connu cette
déesse
. Palès, invoquée chez les Romains par les pasteur
les maladies. Les Romains confondaient Fauna avec Cybèle, ou la bonne
déesse
, et lui donnaient les mêmes attributs. Les dames
consacrés. Flore Flore, nommée Cloris chez les Grecs, est la
déesse
des fleurs. On dit que Zéphyre en étant devenu am
cette ville. Les Phocéens, fondateurs de Marseille, honoraient cette
déesse
, dont Praxitèle même fit la statue : aussi son cu
dire, le 28 avril, l’an de Rome 513, avant J.-C. 241. La statue de la
déesse
paraissait dans ces jeux, couronnée de guirlandes
x, les édiles jetaient ces légumes au peuple de Rome. Féronie
Déesse
à laquelle les anciens donnaient l’intendance des
du mont Soracte, aujourd’hui Saint-Sylvestre, au sommet duquel cette
déesse
avait un temple. Sur la même montagne il y avait
d ; aussitôt les habitans se hâtèrent d’aller prendre la statue de la
déesse
pour la transporter ailleurs, mais tout-à-coup le
ice en ce lieu. Les voyageurs s’y arrêtaient pour rendre hommage à la
déesse
. Horace, qui avait passé dans ce canton, dit qu’i
du bois. Il existe encore des médailles d’Auguste où l’on voit cette
déesse
avec une couronne. Les affranchis la prenaient po
one Pomone était une nymphe que les anciens regardaient comme la
déesse
des jardins et des fruits. Les dieux champêtres s
cueillaient des fleurs avec Proserpine lorsqu’elle fut enlevée. Cette
déesse
, quoiqu’aveugle, fut une divinité puissante et ré
s on lui met un bandeau sur les yeux : faut-il s’étonner si l’aveugle
déesse
met l’esclave à la place du prince, et le prince
es des mortels ? Le même poète, en parlant de l’inconstance de cette
déesse
, dit ailleurs : Pourquoi d’une plainte importune
me la mère de la Fortune. Le pas que les poètes lui donnent sur cette
déesse
marque que, toute grande qu’est la Fortune, et qu
armes. Phidias, célèbre sculpteur d’Athènes, fit la statue de cette
déesse
avec une couronne taillée en bois de cerf ; elle
is Thémis, fille du Ciel et de la Terre, était regardée comme la
déesse
de la justice, dont elle porta le nom. On dit que
Astrée, fille de Jupiter et de Thémis, se confond avec sa mère la
déesse
de la justice. Elle habita parmi les hommes tant
était retirée à la campagne parmi les laboureurs. On représente cette
déesse
tenant d’une main une balance et de l’autre une é
de aux sollicitations et incapable de se vendre. Je vois une auguste
déesse
, De qui la droite vengeresse Fait briller un glai
rend que les anciens honoraient aussi le Silence sous la figure d’une
déesse
qu’on nommait Tacita ou Muta. La Vertu — L’Hon
qui avait osé se croire plus belle que Junon. Neptune, pour venger la
déesse
, envoya un monstre épouvantable qui ravagea les é
Méduse, qui fut gravée avec ses serpens sur la redoutable égide de la
déesse
. Les vertus de ce prince égalèrent sa valeur. Apr
iel cette partie blanche qu’on appelle la voie lactée. La bonté de la
déesse
n’était qu’apparente, car bientôt elle envoya con
tre le feu et s’y brûla. Il fut reçu dans le ciel, où il épousa Hébé,
déesse
de la jeunesse. Ovide dit que, quand il y entra,
pour juge du différend qui s’éleva entre Junon, Minerve et Vénus. Ces
déesses
étant aux noces de Thétis et de Pélée, la Discord
terminât à immoler sa fille Iphigénie pour apaiser Diane ; mais cette
déesse
substitua une biche à la place d’Iphigénie, et tr
ous les étrangers qui aborderaient sur la côte, seraient immolés à la
déesse
; c’est pourquoi Oreste et Pylade qui l’accompagn
our l’autre. Le sort ayant désigné Oreste, Iphigénie, prêtresse de la
déesse
, allait l’immoler lorsqu’elle reconnut son frère.
ls dépendoient même, pour la plupart : tels étoient le dieu Pan ; les
déesses
Flore, Palès et Pomone ; les Nymphes, les Tritons
divins aux vices et aux vertus, que l’on transformoit en dieux ou en
déesses
: on bâtissoit des temples et l’on faisoit des sa
tte. Cybèle. Cybèle, épouse du Ciel, mère de Saturne, étoit la
déesse
de la terre, et la mère de tous les dieux ; c’est
el, pour en faire son échanson, à la place d’Hébé, fille de Junon, et
déesse
de la Jeunesse, qui fut privée de la charge de ve
it la forme de Diane pour tromper Calysto, l’une des nymphes de cette
déesse
. Il en eut Arcas, Junon le changea en ours avec C
de Cybèle, sœur et épouse de Jupiter, étoit la reine des dieux, et la
déesse
qui présidoit aux royaumes. Elle eut trois enfans
t la déesse qui présidoit aux royaumes. Elle eut trois enfans ; Hébé,
déesse
de la Jeunesse ; Mars, dieu de la Guerre ; et Vul
au sous sa protection. Ces vers caractérisent bien l’orgueil de cette
déesse
impérieuse : Moi, l’épouse et la sœur du maître
de Sténobée, se vantèrent d’être plus belles que Junon. Aussi-tôt la
déesse
les frappa d’un genre de folie, qui leur fit croi
i de l’hymen défend les sacrés nœuds, O Junon ! puissante
déesse
! Reçois notre encens et nos vœux, Et
Muses. Les Muses étoient filles de Jupiter et de Mnémosyne, ou la
déesse
de Mémoire. Elles étoient au nombre de neuf : Cal
n les désigne souvent sous les noms de neuf Sœurs, de doctes Fées, de
Déesses
du sacré vallon, de chastes Filles de mémoire, de
obstacles, Dispose du pouvoir des dieux. Lamotte. Melpomène est la
déesse
de la tragédie : on, la représente avec un air sé
e la main droite une trompette, et un livre dans la gauche : Mais la
déesse
de mémoire, Favorable aux noms éclatans, Soulève
x, les ombres de ceux qui n’avoient point été inhumés. Diane étoit la
déesse
des chasseurs. Elle habitoit les bois et les forê
ndant qu’elle aima le berger Endymion ; mais elle n’est plus alors la
déesse
de la chasse : Dans cette cour c
hasse : Dans cette cour charmante La
déesse
qui vous conduit, Brille comme, au milieu des ast
u danger : et le chasseur en fleuve, pour le punir de sa témérité. La
déesse
tira une vengeance plus cruelle d’Altée, épouse d
e roi avoit oublié Diane dans ses sacrifices : quoi qu’il en soit, la
déesse
irritée envoyé dans les plaines de Calydon un san
s ou ravit le repos. Lamotte. Vénus. Vénus, ou Cypris, est la
déesse
de la beauté. Les poëtes varient sur son origine
rpris, cherchent Vénus ; doutent qui l’est des deux. Lamotte. Cette
déesse
avoit des temples dans tous les pays du monde. Le
it compagnes des Muses, et les Poëtes leur adressent même des vœux :
Déesses
, jadis adorées Dans ces abondantes contrées Où Cé
donner un coup de hache sur la tête, par Vulcain. On distingue cette
déesse
sous deux rapports : ou comme la déesse de la gue
r Vulcain. On distingue cette déesse sous deux rapports : ou comme la
déesse
de la guerre, et alors on l’appelle Pallas ; ou c
me la déesse de la guerre, et alors on l’appelle Pallas ; ou comme la
déesse
de la sagesse et des beaux arts, et on l’appelle
par la retraite de tous les immortels. Je prétends donc que l’unique
déesse
Qui, sous mes loix, préside à la sagesse, Minerve
voile quelquefois ce crime, sous un air de jalousie de la part de la
déesse
: Pallas, la barbare Pallas,
de désespoir, en apprenant la mort de son père, La balance d’Astrée,
déesse
de la Justice, qui se retira dans le ciel pendant
eurent un grand nombre de filles connues sous le nom de Nymphes. Ces
déesses
ont des noms différens, selon la différence de le
premier des trois sceptres du monde. Quinault. On assure qu’aucune
déesse
ne vouloit épouser Pluton, à cause de sa laideur,
lle, et de l’autre une poignée d’épis mêlés de pavots. Palès étoit la
déesse
des pâturages, des bergers et des troupeaux. On l
ux fruits. Elle étoit l’épouse de Vertumne, dieu de l’automne. Flore,
déesse
des fleurs et du printems, avoit épousé Zéphire.
il démasque un visage, et tient une marotte à la main. La Nuit est la
déesse
des ténèbres, et fille du Ciel et de la Terre. On
un doigt sur la bouche. Thémis, fille du Ciel et de la Terre, est la
déesse
de la justice. Elle a eu deux enfans de Jupiter ;
une balance d’une main, et de l’autre une épée : Je vois une auguste
déesse
, De qui la droite vengeresse Fait briller un glai
u’elle a cent bouches. Les poëtes lui donnent assez souvent le nom de
déesse
aux cent voix : Quelle est cette déesse énorme,
nent assez souvent le nom de déesse aux cent voix : Quelle est cette
déesse
énorme, Ou plutôt ce monstre difforme, Tout couve
é. Rousseau. Némésis, fille de Jupiter et de la Nécessité, étoit la
déesse
de la vengeance. On l’appelle aussi Adrastée. Ell
erre et des cieux. J’ai comparé ma gloire à sa gloire immortelle ; La
déesse
punit ma fierté criminelle. Quinault. Persée pé
fut mis au rang des dieux, et placé dans le ciel, où il épousa Hébé,
déesse
de la jeunesse. On le représente couvert de la pe
nventeur de la poésie lyrique : Viens servir l’ardeur qui m’inspire,
Déesse
, prête-moi ta lyre. Ou celle de ce Grec vanté, Do
rois-je, de la terre inutile fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une
déesse
, Attendre chez mon père une obscure vieillesse, E
le armant ces jeunes mains, Par ce discours guerrier, d’un fils d’une
déesse
Il augmente l’ardeur, et hâte les destins :
t et la colère de Junon furent la cause de tant de maux, et que cette
déesse
impérieuse voulut venger ses propres injures. Dar
lui donna la charge de verser le nectar des dieux, à la place d’Hébé,
déesse
de la jeunesse, et fille de Junon. Le jugement de
lle de Junon. Le jugement de Pâris mit le comble aux griefs que cette
déesse
avoit contre la nation Troyenne. La cause immédia
celle des Grecs. Enée, prince du sang royal, fils d’Anchise et de la
déesse
Vénus, échappa à la ruine de Troie, par les ordre
royen, 178 Astrée, ou la Justice, 116 — Emblème de l’Age d’or, 13 —
Déesse
de la Paix, 116 — Sa balance est placée au ciel,
6 — Sa balance est placée au ciel, 89 Astres, 54-55 Astronomie, la
déesse
qui y préside, 54 Astyanax, fils d’Hector, 185
arque de Caron, 104 Battus, changée en pierre de touche, 71 Beauté,
déesse
qui y préside, 71 Bel, 102. Voyez Bélus. Bélide
roi de Tyr, père de Didon, 194 Bélus, père de Danaüs, 102 Bellone,
déesse
de la Guerre, 82 — Emblème du courage, 13 — Com
, 61 Combat singulier d’Etéocle et de Polinice, 166-167 Combats, la
déesse
qui y préside, 82 Comédie, la déesse qui y prési
Polinice, 166-167 Combats, la déesse qui y préside, 82 Comédie, la
déesse
qui y préside, 52 Comète, fille de Ptérilaüs, 13
eur supplice aux Enfers, 101-102 Danaüs, roi d’Argos, 102 Danse, la
déesse
qui y préside, 55 Daphné, sa métamorphose, 48 D
— Avoit trouvé le moyen de faire aller les vaisseaux à la voile, 196
Déesse
de Mémoire, 49-55. De la sagesse, 79. Aux cent vo
x Arts, 79. Des combats, 81. Des chasseurs, 57. De la vengeance, 117
Déesse
des Eaux, 92. Des forêts, 92. Du sacré vallon, no
nfondus dans le chaos, 16 Eloquence, le dieu qui y préside, 70 — La
déesse
qui y préside, 51 Elysée, séjour des hommes vert
Enfers, 100-104-105 Floraux, Jeux en l’honneur de Flore, 113 Flore,
déesse
des fleurs, ibid. — Le rang qu’elle tenoit sur
une et d’Amphitrite, 91 Harpocrate, nom donné au Silence, 115 Hébé,
déesse
de la jeunesse, 14-37-177 Hébé remplacée par Gan
47 — Sauvé par Diane, 147 Hirondelle, 171. Voyez Progné. Histoire,
déesse
qui y préside, 55 Homè r e , comparé à Amphion,
ne des neuf Muses, 44-52. — Comment on la représente, 52. Mémoire, (
déesse
de) 49 Ménades, 68. Voyez Bacchantes. Ménale, m
-177 Nélée, père de Nestor, 172 Némée, forêt célèbre, 132 Némésis,
déesse
de la vengeance, 118 — Comment on la représente,
lée, 74-75 Nourissons des Muses, nom donnéaux poëtes, 50 Nuit, (la)
déesse
des ténèbres,104 Nuit, épouse du Chaos, 106 — C
Stymphate, 133 Olivier, produit par Minerve, 79 — Consacré à cette
déesse
, 80 Olympe, montagne de Thessalie, 28-30-62 — S
cs, 196 Palémon, dieu des ports de mer, 97. Voyez Mélicerte. Palès,
déesse
des bergers, etc. 113 — Le rang qu’elle tenoit s
De Troie, 83-183 — Est enlevé par Ulysse et Diomède, 78-183 Pallas,
déesse
de la guerre, 79-82 — Emblème de la prudence mil
s de Priam ; sa naissance et son éducation, 179 Pâris juge les trois
déesses
qui se disputoient la Pomme d’Or, 75 — Est recon
— Comment il convient d’en régler l’usage, 14-15 Poésie héroïque, la
déesse
qui y préside, 50 — Lyrique, la déesse qui y pré
e, 14-15 Poésie héroïque, la déesse qui y préside, 50 — Lyrique, la
déesse
qui y préside, 53 — Pastorale, la déesse qui y p
préside, 50 — Lyrique, la déesse qui y préside, 53 — Pastorale, la
déesse
qui y préside, 54 Poëtes, combien ils ont contri
la beauté 38-74-75 Pomme d’or du jardin des Hespérides, 134 Pomone,
déesse
des fruits,113 Pomone, le rang qu’elle tenoit su
Hector à Achille, 182 — Meurt de la main de Pyrrhus, 184 Printemps,
déesse
qui préside à cette saison, 113 — Fable qui dési
Renommée, son emploi ; comment on la représente, 117 — On l’appelle
Déesse
ou Nymphe aux cent voix, 25 Rhadamanthe, un des
5 Rhécus, un des Titans, 67 Rhée, 26. Voyez Cybèle. Rhétorique, la
déesse
qui y préside, 53 Rhodes, île célèbre, 61 — Hél
mps, 21 Sacré Vallon, séjour d’Apollon et des Muses, 45 Sagesse, la
déesse
qui y préside, 79-80 Sagittaire, un des signes d
165 — Cette ville est célèbre dans l’Histoire poétique, 11 Thémis,
déesse
de la justice, 115 Thémis, comment on la représe
d le maître, 20 Tour d’airain qui renfermoit Danaé, 33 Tragédie, la
déesse
qui y préside, 49-52 Travaux d’Hercule, 132-133-
par Minerve, 80 — Echappe à mille dangers par la protection de cette
déesse
, 191-192 — Arrive enfin à Ithaque, 193 — Tombe
— De Tithius, 101 Vendange, quel en est l’inventeur, 67 Vengeance,
déesse
qui y préside, 118 Vents, soumis à l’empire d’Eol
nd les eaux se furent tout à fait retirées, ils allèrent consulter la
déesse
Thémis, qui rendait les oracles au pied de ce mon
concert entre eux, ils formèrent une femme à laquelle chaque dieu ou
déesse
fit un don particulier. Minerve lui donna la sage
t Junon, qui s’asseyait à ses côtés sur le trône du ciel. Comme cette
déesse
était d’une humeur querelleuse, il descendait sou
ne, elle présidait à la naissance. On lui donne trois enfants : Hébé,
déesse
de la jeunesse, qui servait aux dieux le nectar e
. Le royaume qui lui était échu en partage était si triste, qu’aucune
déesse
ne voulut le partager avec lui. Aussi fut-il obli
rrêta chez Triptolème, roi d’Éleusis, qui l’accueillit avec bonté. La
déesse
, par reconnaissance, lui enseigna l’agriculture.
de Mystères. Vesta. On adorait, sous le nom de Vesta, plusieurs
déesses
, qu’il n’est pas toujours aisé de distinguer. Fem
munément nommée Cybèle, et avait, entre autres surnoms, ceux de Bonne
Déesse
et de Mère des Dieux. On l’appelait encore Bérécy
e fille de Saturne et de Rhéa, et c’est la plus connue, elle était la
déesse
du feu. Énée apporta son culte en Italie, et Numa
ve celle qui se trouvait convaincue d’y avoir manqué. [Fig. 50] La
déesse
était représentée vêtue d’une longue robe, le fro
s de Mars, ils dansaient en chantant des hymnes. Vénus. Vénus,
déesse
de la beauté et de l’amour, naquit de l’écume de
ne des nymphes de l’Océan. Quand elle parut dans l’Olympe, toutes les
déesses
frémirent de dépit, et tous les dieux, séduits pa
[Fig. 56] Malgré sa difformité, il épousa Vénus, la plus belle des
déesses
. On le représentait noir et crasseux, avec une ba
eau et des tenailles [Fig. 57]. [Fig. 57] Minerve. Minerve,
déesse
de la sagesse, des - sciences et des arts, devait
fut appelée Athènes, du nom d’Athéna, que les Grecs donnaient à cette
déesse
. On la représentait avec un casque à visière, une
aient trivia. Il était aisé de la reconnaître dans ses statues. Comme
déesse
de la chasse, elle était représentée sous les tra
avant la naissance de son fils, victime de l’artifice de Junon. Cette
déesse
s’était introduite auprès de la fille de Cadmus,
us, qu’elle n’avait pu attendrir par ses pleurs, elle reçoit de cette
déesse
l’ordre de descendre aux Enfers, et d’aller deman
que la boîte contenait le fard qui entretenait l’éternelle beauté des
déesses
. Alors elle tomba dans une profonde léthargie ; m
à la chaussure, et se taire sur le reste, c’était rendre hommage à la
déesse
. On le représentait levant le masque de dessus so
it à l’entrée de la plupart des temples. Chez les Romains, c’était la
déesse
Angerona qui présidait au silence. [Fig. 71]
que les Grecs appelaient Chloris, était, comme l’indique son nom, la
déesse
des fleurs, et femme de Zéphyre. On la représenta
de fleurs [Fig. 73]. [Fig. 73] Pomone et Vertumne. Pomone,
déesse
des fruits, avait pour époux Vertumne, dieu des j
s pieds. [Fig. 77] Palès. Palès était, chez les Romains, la
déesse
des bergers, des troupeaux et des pâturages. On l
Némésis. Némésis, fille de Jupiter et de la Nécessité, était la
déesse
de la vengeance. Elle châtiait les méchants et ce
bons et des méchants. [Fig. 81] La Nécessité. La Nécessité,
déesse
inflexible, était adorée par toute la terre. Sa p
été invitée aux noces de Thétis et de Pélée, elle jeta au milieu des
déesses
la pomme d’or, sur laquelle était écrit : À la pl
origine, soit d’un dieu et d’une mortelle, soit d’un mortel et d’une
déesse
, ou qui s’étaient illustrés sur la terre par de g
au ciel, l’admit à la table des dieux et lui donna pour épouse Hébé,
déesse
de la jeunesse. Thésée. Thésée était fils
ses compagnons. Le héros arrive et se jette, l’épée à la main, sur la
déesse
, comme pour lui ôter la vie. Celle-ci, effrayée,
uva seul dans l’île de Calypso. Il y passa sept ans, retenu par cette
déesse
qui lui offrit l’immortalité, s’il voulait l’épou
l passa près d’une fontaine où Diane se baignait avec ses nymphes. La
déesse
, honteuse de se voir ainsi surprise, puise de l’e
de la suite de Junon, avait encouru par ses mensonges la haine de la
déesse
, qui la chassa du ciel et la condamna à ne pouvoi
lement Proserpine par ses chants et les accords de sa lyre, que cette
déesse
la lui fit rendre par Pluton, mais à condition qu
de lui en donner, et lui offrit même de la bouillie. En voyant cette
déesse
boire et manger avec avidité, un petit enfant nom
de perfection, qu’elle osa faire un défi à Minerve, qui l’accepta. La
déesse
, voyant que l’ouvrage de sa rivale était aussi be
pendant l’amour que l’Aurore avait pour lui ne put le captiver, et la
déesse
le laissa retourner auprès de Procris, mais en lu
te et se retira dans les bois, où elle se mit à la suite de Diane. La
déesse
lui donna un chien d’une vitesse si merveilleuse,
des prières à Junon, pour obtetenir qu’il revînt heureusement. Cette
déesse
lui envoya Morphée pendant la nuit, pour lui appr
, ne pouvant plus marcher, j’implore la protection de Diane, et cette
déesse
, touchée de ma prière, m’enveloppe d’un nuage épa
n avait que deux, et voulut empêcher qu’on fît des sacrifices à cette
déesse
. Apollon et Diane, à la prière de leur mère, desc
osé porter la cognée sur les arbres d’une forêt consacrée à Cérès. La
déesse
, irritée de cette impiété, l’en punit par une fai
il ne se marierait jamais. Il oublia le serment qu’il avait fait à la
déesse
, et épousa la nymphe Sangaride. La déesse irritée
rment qu’il avait fait à la déesse, et épousa la nymphe Sangaride. La
déesse
irritée lui inspira un tel accès de frénésie, qu’
s, vient d’un mot grec aphros, qui veut dire écume. Le culte de cette
déesse
avait été introduit en Grèce par les Phéniciens ;
n immolait sur ses autels des brebis noires, pour signifier que cette
déesse
était la reine des ténèbres, et un coq, parce que
st de la terre que tous les biens découlent. 2. On représentait cette
déesse
sous les traits d’une femme robuste avec une cour
t grec qui signifie grand, parce qu’on l’appelait elle-même la grande
déesse
. On les célébrait au bruit des tambours, avec des
onie de la lavation. L’anniversaire du jour où la statue de la grande
déesse
avait été transportée de Phrygie à Rome (25 mars)
s étaient dix comme les doigts des deux mains. Dans les fêtes de leur
déesse
, ils frappaient leurs boucliers avec des lances,
fices des taureaux, des chèvres ou des truies, et consacraient à leur
déesse
le buis et le pin ; le buis, parce que c’était de
bèle, qui l’avait tendrement aimé. 5. Cybèle eut pour fille Vesta, la
déesse
du feu. On distingua trois divinités de ce nom, l
Quels sacrifices offraient-ils ? Quels arbres consacraient-ils à leur
déesse
? 5. Quelle fut la fille de Cybèle ? Combien dist
n lui-même. Il éprouva ensuite un violent mal de tête, et Minerve, la
déesse
des arts, sortit de son cerveau armée de pied en
le serviteur zélé qui avait été victime de sa fidélité. L’impuissante
déesse
plaça sur la queue de cet oiseau les yeux qui ava
à ses traits parce qu’il avait osé proclamer Vénus la plus belle des
déesses
. Ce ressentiment jaloux fut la cause de la ruine
u ciel, après l’avoir métamorphosée en arc-en-ciel. 5. Cette terrible
déesse
, qui troublait tout l’Olympe par son humeur rancu
e dieu des enfers, qui ne pouvait trouver une épouse, parce qu’aucune
déesse
ne voulait habiter dans son ténébreux empire, vit
rre, avait vu passer le dieu avec sa proie. Elle en avertit Cérès. La
déesse
adressa aussitôt ses plaintes à Jupiter, et en ob
encore parmi les divinités infernales. 4. Dans ses voyages, la bonne
déesse
enseigna aux hommes l’art de cultiver la terre, e
x hommes l’art de cultiver la terre, et mérita d’être adorée comme la
déesse
de l’agriculture. Les Athéniens avaient pour elle
. Le vin et les fleurs ne paraissaient jamais sur les autels de cette
déesse
. On lui sacrifiait des porcs, parce qu’ils détrui
tellio, parce qu’il s’était moqué de l’avidité avec laquelle la bonne
déesse
avait pris son repas chez la vieille Bécubo ; enf
e que Proserpine était devenue ? Quelle prière fit à Jupiter la bonne
déesse
? Qu’en obtint-elle ? 3. Quel fut le fils de Cérè
’en obtint-elle ? 3. Quel fut le fils de Cérès ? 4. Pourquoi la bonne
déesse
fut-elle honorée sur la terre ? Quelles sont les
de Jupiter et de Latone. Apollon était le dieu au soleil et Diane la
déesse
de la lune. Son frère présidait au jour et elle p
mphes des regards indiscrets. 3. Sur la terre on la vénérait comme la
déesse
de la chasse. La fable raconte qu’elle errait dan
char traîné par des biches et des cerfs blancs. 4. Le culte de cette
déesse
était cruel et farouche comme son caractère. Souv
e. On célébrait dans la Grèce beaucoup de fêtes en l’honneur de cette
déesse
: on les appelait Artémisies, parce que les Grecs
souffert d’un violent mal de tête. Aussitôt après sa naissance, cette
déesse
vint au secours de son père et l’aida de ses cons
s l’art de manier l’aiguille qu’elle osa porter un défi à Minerve. La
déesse
, blessée de tant d’audace et d’orgueil, entra en
r un char traîné par des chevaux fougueux conduits par Bellone. Cette
déesse
était son épouse. Elle préparait ses armes, lorsq
résenté ? Qu’est-ce que Bellone ? Quelles sont les fonctions de cette
déesse
? Quelles victimes offrait-on au dieu de la guerr
n au céleste séjour et lui donna pour épouse Vénus, la plus belle des
déesses
. 2. Le rôle de Vulcain au ciel était d’apaiser to
nte lui était consacrée ? Chapitre XIV. Vénus. 1. Vénus est la
déesse
de la beauté. Quelques-uns disent qu’elle était f
ière de porter un tel fardeau. Mais Zéphyre accourut et transporta la
déesse
dans l’île, qui devint aussitôt un séjour enchant
les plus exquises. Les Grâces et les Ris s’empressèrent autour de la
déesse
, et les Heures se chargèrent de l’instruire. L’un
ut été formée par ces sages leçons, Jupiter, touché des charmes de la
déesse
, résolut de l’introduire dans le ciel et de la fa
ant les immortels. Tous les dieux admirèrent sa beauté, et toutes les
déesses
en devinrent jalouses. Vénus n’obtint cependant p
ème un myrte. Sans avoir tous les charmes et tous les agréments de la
déesse
de la beauté, elles plaisaient par leur candeur e
qui ne ces- sait de poursuivre dans les forêts les bêtes sauvages. La
déesse
lui accorda ses faveurs, mais elle n’a pu le déli
ue au temple disparut. Les flatteurs ne manquèrent pas de dire que la
déesse
de la beauté avait placé au ciel la chevelure de
n fils Cupidon nage à ses côtés. Les poëtes ont souvent célébré cette
déesse
; les peintres et les sculpteurs se sont efforcés
embres avec leurs torches enflammées un feu dévorant. Ces redoutables
déesses
étaient représentées avec des habits noirs et ens
sombre et mélancolique dont on ne peut se rendre compte. 5. Palès, la
déesse
des bergers n’a point été connue des Grecs. Ce so
fre, de laurier, de romarin, de buis et d’olivier. Ils offraient à la
déesse
du vin cuit, du lait et du millet, et faisaient t
us. Flore, Pomone, Vertumne, Priape et Terme. 8. Flore était la
déesse
des fleurs et du printemps. On la représentait so
pettes, et elles portaient le nom de jeux floraux. 9. Pomone était la
déesse
des fruits et des jardins. Elle est unie par la f
t dans cette saison que les fruits parviennent à leur maturité. Cette
déesse
tient dans ses mains une corne d’abondance, en si
uoi était-elle unie à Vertumne ? Quels étaient les attributs de cette
déesse
? 10. Qu’était Priape ? Quelle était sa puissance
ssipe les ténèbres qui voilaient la clarté du jour. 9. Hébé était la
déesse
de la jeunesse. On la supposait fille de Junon et
re temple qu’elle dédia à la Pudeur plébéienne. On représentait celle
déesse
sous la figure d’une femme voilée ou d’une vierge
ces temples ? Qui en bâtit un à la Pudeur plébéienne ? Comment cette
déesse
était-elle représentée ? 7. Dans quelles villes l
e par excellence, mit longtemps à achever celui qu’elle bâtit à cette
déesse
. Ce fut dans ce temple qu’on déposa toutes les dé
sait sur son sein. 3. La Concorde avait aussi à Rome un temple. Cette
déesse
était représentée sous l’image d’une jeune fille
et d’enthousiasme qu’ils en firent une divinité. Les statues de cette
déesse
représentaient une femme vêtue de blanc, symbole
De qui ont-ils fait naître la Paix ? Quels temples éleva-t-on à cette
déesse
à Rome et à Athènes ? Comment était-elle représen
la Paresse. 2. La Méchanceté, que les Grecs appelaient Até, était une
déesse
malfaisante qui ne prenait plaisir qu’à tourmente
ces mots : Guerres, confusion et querelles. Voltaire a fait de cette
déesse
un affreux tableau : Ce monstre impérieux, sangu
u rang de ses divinités favorites. La tortue était l’emblème de cette
déesse
, et on lui offrait pour victimes des limaçons. 7.
les Grecs appelaient-ils la Méchanceté ? Quel était le rôle de cette
déesse
? Quelle mission avaient reçu les Prières ? Quel
et de la Pauvreté. 2. Bellone, comme nous l’avons déjà dit5, était la
déesse
de la guerre, l’épouse de Mars. Elle avait un tem
res. Ils étaient servis par une foule de prêtres qui honoraient cette
déesse
au jour de ses fêtes par des gestes convulsifs et
eption des prêtres, n’avait le droit d’entrer. 4. L’Occasion était la
déesse
de l’à-propos. En Grèce, c’était un dieu ; à Rome
tait la déesse de l’à-propos. En Grèce, c’était un dieu ; à Rome, une
déesse
. Elle présidait au moment le plus favorable pour
lle avait cent bouches pour annoncer ses nouvelles. Quelle est cette
déesse
énorme, Ou plutôt ce monstre difforme Tout couver
la vaine Joie, les Terreurs, la Sédition et les Bruits incertains. La
déesse
elle-même voit ce qui se passe dans le ciel, dans
rang des dieux. Dans le ciel les poëtes lui ont fait épouser Hébé, la
déesse
de la jeunesse. Les peuples de la Grèce et de l’I
roux de Diane qu’il avait excité en tuant une biche consacrée à cette
déesse
, et il ajouta qu’il fallait le sang d’Iphigénie,
ers l’un et l’autre en Tauride, où l’on immolait sur les autels de la
déesse
tous les étrangers qu’on saisissait. On avait déc
tel, lr reconnut. Ils s’enfuirent ensemble, emportant la statue de la
déesse
. Oreste épousa Hermione, la fille de Ménélas, et
comble d’absurdité, ils donnent à chacune de ces trois personnes une
déesse
pour compagnie, et consacrent à cette dualité mon
et on interrogea Isis sur son origine et le motif de ses voyages. La
déesse
raconta ses aventures, et demanda au roi de Byblo
s cornes de vache, symbole sons lequel on représentait toujours cette
déesse
. Mais Typhon fut constamment vaincu, et la paix e
des guerriers. 3. Odin avait pour épouse Frigga ou Fréa, la reine des
déesses
du Nord, comme Odin était le roi des dieux. Les S
de la terre. La mythologie islandaise place sous sa dépendance douze
déesses
subalternes, comme elle a mis douze dieux sous la
omme elle a mis douze dieux sous la domination d’Odin. Chacune de ces
déesses
a des fonctions particulières. Eira présidait à l
saient ? 3. Quels étaient les attributs de Fréa ? Quelles étaient les
déesses
placées au-dessous d’elle ? Comment se nommait sa
gand, 119. Cérès, une des douze grandes div., 24 ; détails sur cette
déesse
, 29 et suiv. Ses mystères, 160. César , 182. C
106. Harpocrate, ou le Silence, 100. Hasard, ou Fortune, 99. Hébé,
déesse
de la jeunesse, 86 ; épouse Hercule, 116. Hèbre,
, 90. Mithra, div. des Perses, 173, 174. Mnémosyne, mère des Muses,
déesse
de la mémoire, 23, 36. Momus, dieu de la railler
ope, 151. Polyxène, fille de Priam, 146. Pommes d’or, 114. Pomone,
déesse
des fruits, 79. Pont-Euxin, 105. Porphyrion, gé
allégorique, 88, 111, 112. Vertumne, dieu de l’automne, 79. Vesta,
déesse
du feu, 19. Vestales, prêtresses de Vesta, 19.
des dieux. Cybèle, fille d’Uranus et de Tellus, fut, comme celle-ci,
déesse
de la Terre. Tellus ne représentait en quelque so
e Prisca (l’ancienne), pour ne pas la confondre avec Vesta, sa fille,
déesse
du feu et de la chasteté. Ce fut Enée qui apporta
l. Jupiter effrayé appelle à son secours tous les dieux et toutes les
déesses
. Styx, fille de l’Océan et de Téthys, arriva la p
n de Jupiter avec Junon fut souvent troublée par la jalousie de cette
déesse
. Elle osa même, un jour, conspirer contre lui, et
isie et le nectar, qui avaient la puissance de rendre immortel. Hébé,
déesse
de la jeunesse, versait le nectar dans la coupe d
? Quelle fut la cause de la guerre des Géants ? Quels dieux, quelles
déesses
s’y distinguèrent ? Comment Hercule fut-il appelé
e ? Comment Junon fut-elle punie ? 21. Quels étaient les dieux et les
déesses
qui formaient le conseil et la cour de Jupiter ?
es voyages. Quelquefois on l’environne d’un arc-en-ciel, parce que la
déesse
Iris était sa confidente et sa messagère. Ques
les Grecs Athéna, était fille de Jupiter. Ce dieu ayant épousé Métis,
déesse
de la réflexion (n° 49), craignit que les enfants
. Une jeune vierge en sortit, armée de pied en cap : c’était Minerve,
déesse
de la sagesse et symbole de la pensée. Elle naqui
des Géants. Elle s’y distingua par son courage, et mérita le titre de
déesse
de la guerre. Le géant Pallas étant tombé sous se
ec elle, en représentant sur une tapisserie les amours de Jupiter, la
déesse
frappa l’imprudente de sa navette, et la changea
’elle jouait de cet instrument, en présence de Junon et de Vénus, ces
déesses
, voyant les contorsions qu’elle faisait, se miren
Neptune ? 33. Quels honneurs Athènes reconnaissante rendit-elle à la
déesse
? Qu’est-ce que les Panathénées ? Comment célébra
u chasseur Actéon ; du bel Endymion. Diane était regardée comme la
déesse
de la chasteté ; elle punissait avec rigueur la m
Actéon, petit-fils de Cadmus, roi de Thèbes, ayant vu, par hasard, la
déesse
au moment où elle se baignait, fut aussitôt chang
ificence qui surpassait encore la première. On représente Diane comme
déesse
de la chasse, vêtue d’une tunique légère, chaussé
e chien ; tantôt le taureau, le chien et le lion. Elle était alors la
déesse
triforme, à raison de ses triples fonctions, et o
43. Callisto. Callisto, l’une des Nymphes qui accompagnaient la
déesse
de la chasse, inspira une vive passion à Jupiter
. 6° La Vierge (août). Cette vierge est, selon les uns, Thémis,
déesse
de la justice et seconde femme de Jupiter ; selon
lance est celle de Thémis, ou encore celle que laissa sur la terre la
déesse
de la justice, retournant au ciel, lorsque le siè
e contre le géant Orion, coupable d’avoir excité la jalousie de cette
déesse
. 9° Le Sagittaire (novembre). C’est le cent
. Vénus. 51. Naissance de Vénus ; elle épouse Vulcain. Vénus,
déesse
de la beauté chez les Romains, était appelée par
par les flots, ils formèrent un flocon d’écume d’où sortit une jeune
déesse
d’une ravissante beauté : c’était Vénus27. Aussit
uisent dans l’Olympe. Les dieux, ravis d’admiration, la proclament la
déesse
de la beauté. Chacun d’eux voulut l’avoir pour ép
res dont il avait frappé les Géants. Cette union de la plus belle des
déesses
avec le plus difforme des immortels fut souvent t
cours, le changea en anémone. 52. Jugement de Pâris. Lorsque la
déesse
Thétis, fille de Nérée et de Doris, épousa Pélée,
festin une pomme d’or portant ces mots : A la plus belle. Toutes les
déesses
voulurent se l’adjuger ; mais Jupiter mit fin à c
a représentaient tout armée. Les Romains croyaient descendre de cette
déesse
par Enée, fils d’Anchise. Elle était particulière
ûler de l’encens et d’autres parfums sur ses autels. On représente la
déesse
de la beauté de bien des manières. Quelquefois c’
par Praxitèle ? Qu’offrait-on à Vénus ? Comment représente-t-on cette
déesse
? Chapitre XII. Cérès. 55. Naissance de
a fille Proserpine. Cérès, fille de Saturne et de Cybèle, était la
déesse
de l’agriculture. Elle parcourut la terre, comme
s d’Enna, en Sicile, le terrible dieu des enfers, Pluton, dont aucune
déesse
ne voulait partager le triste séjour, sortant tou
roi du pays, qui la reçut avec bonté. Pour reconnaître ce service, la
déesse
enseigna l’agriculture à Triptolème, fils de ce p
s troublèrent l’eau d’une fontaine où elle voulait se désaltérer ; la
déesse
irritée les changea en grenouilles (on sait que l
pour le culte de Cérès, abattit une forêt qui lui était consacrée. La
déesse
, irritée de cette impiété, l’en punit par une fai
ependant la Sicile et l’Attique étaient le séjour privilégié de cette
déesse
. C’est là qu’elle recevait le plus d’honneurs. Pa
taient les principales fêtes de Cérès ? Comment représente-t-on cette
déesse
? Chapitre XIII. Bacchus. 58. Naissance
malgré sa laideur, obtint-il pour récompense Vénus, la plus belle des
déesses
(n° 51). Comme artiste, Vulcain s’est distingué p
en particulier une fonction propre et personnelle. » Palès était la
déesse
des pâturages et des bergers. Ses fêtes, appelés
ur que l’anniversaire de la fondation de la ville par Romulus. Flore,
déesse
des fleurs, est la gracieuse allégorie du printem
es étaient les plus anciennes divinités de la mer ? Avec quelle autre
déesse
ne faut-il pas confondre Téthys, sœur et épouse d
Vents, parce que, en effet, ils naissent ordinairement lorsque cette
déesse
sort du sein des flots, pour annoncer la venue du
Tithon et Céphale. Le premier était frère de Priam, roi de Troie. La
déesse
obtint de Jupiter l’immortalité pour l’objet de s
rtage l’empire des Enfers ; mais ce séjour était si triste, qu’aucune
déesse
ne voulait s’unir à lui pour l’habiter. Il crut d
un fouet de couleuvres. Les Grecs, pour ne pas irriter ces terribles
déesses
, les appelaient Euménides, c’est-à-dire bienveill
andis que les méchants en étaient privés. 87. Némésis. Némésis,
déesse
de la vengeance, était fille de Jupiter et de la
un hommage à la paix, qui favorise leurs travaux. On représente cette
déesse
avec un air doux, portant d’une main une corne d’
vait un temple à Athènes et à Rome. Les poëtes la désignent comme une
déesse
énorme, ayant cent bouches et cent oreilles, avec
l déchire, Et lui-même il punit les forfaits qu’il inspire. Bellone,
déesse
de la guerre chez les Romains, était appelée Enyô
selon les idées des païens, des hommes nés soit d’un mortel et d’une
déesse
, soit d’un dieu et d’une mortelle ; par cette rai
n. Jupiter reçut son fils dans le ciel et lui donna pour épouse Hébé,
déesse
de la jeunesse. Hercule avait eu sur la terre, de
le Para-Brahma ou simplement Brahm. Le premier être qu’il créa fut la
déesse
Bhavani. De trois œufs qui se formèrent sur les m
er, les Scandinaves admettent douze Ases ou grands dieux et autant de
déesses
, Odin, le plus ancien et le plus puissant, est le
uerelles, le juge des hommes et des rois. À la tête des douze grandes
déesses
est Frigga ou Frya, fille de Niord et épouse d’Od
es, tandis qu’Odin les reçoit dans les palais célestes. Frigga est la
déesse
de l’amour, la Vénus du Nord77, sans doute parce
e de Frigga ; Fulla, sa confidente, préside à sa parure ; Egra est la
déesse
de la médecine ; Gelione celle de la virginité ;
ra reçoit leurs serments et punit ceux qui les violent. Snotra est la
déesse
des sciences et des bonnes mœurs. Le conseil des
t à grands flots l’hydromel et la bière la plus pure. Odin envoie ces
déesses
sur les champs de bataille, couper la trame des g
composant le conseil d’Allfadher ? Énumérez-les, ainsi que les douze
déesses
, en faisant connaître leurs attributions. 142. Qu
une, et Sem sous celui de Pluton. 12. On a confondu dans la suite la
déesse
Styx avec le fleuve des enfers qui porte le même
continent de la Grèce, cela suffit aux poëtes pour chanter que cette
déesse
était née de l’écume des flots. Cependant Homère,
el était le plus ancien des Dieux, et Vesta, ou la Terre, la première
déesse
. Ils eurent pour enfants Titan et Saturne, ou le
t représente-t-on Saturne ? II. — Cybèle ou Vesta. Cybèle,
Déesse
de la terre, est fille du Ciel et épouse de Satur
e du Ciel et épouse de Saturne ; on l’appelait aussi Rhée ou la bonne
déesse
, et encore Grand’mère, parce qu’elle avait donné
Cybèle, sœur et épouse de Jupiter, Junon était la reine des Dieux, la
Déesse
des royaumes et des empires. Elle était la protec
nce on l’invoquait sous le nom de Lucine. Elle eut pour enfants Hébé,
Déesse
de la jeunesse, qui servit le nectar à son père,
mité des plumes de cet oiseau, qu’elle prit sous sa protection. Cette
Déesse
avait Iris pour messagère et pour confidente ; vo
à enseigner les sciences et les arts dans lesquels il excellait. Ces
déesses
étaient au nombre de neuf ; voici quels étaient l
portait une couronne de laurier, un livre et une trompette. Thalie,
déesse
de la comédie, était une jeune fille couronnée de
e rose, tenant d’une main une lyre et de l’autre un archet. Euterpe,
déesse
de la musique, est couronnée de fleurs ; elle tie
sur la terre. C’est de là que viennent les noms de triple Hécate, de
Déesse
à trois formes, de triple Déesse, que lui donnent
ennent les noms de triple Hécate, de Déesse à trois formes, de triple
Déesse
, que lui donnent souvent les poëtes. Sous le nom
souvent les poëtes. Sous le nom de Diane, elle était considérée comme
Déesse
de la chasse, et elle habitait constamment les bo
et il fut aussitôt déchiré par ses propres chiens. Le culte de cette
Déesse
était très-honoré par les anciens, qui l’adoraien
le représente-t-on ? IX. — Vénus. Vénus ou Cypris était la
Déesse
de la beauté. Les poëtes ne sont pas d’accord sur
l’anémone. Les poëtes ont épuisé leur imagination pour peindre cette
Déesse
sous les dehors les plus séduisants ; non content
i ; d’un coup de son trident Neptune fit naître un cheval ; ce fut la
déesse
qui l’emporta. Après avoir formé le cheval, Neptu
e compagne. Voyant ses vœux repoussés par les mortelles comme par les
Déesses
, il prit le parti d’enlever de vive force Proserp
Comment représente-t-on Pluton ? XIII. — Minerve. Minerve,
Déesse
de la sagesse et des arts, sortit, dit-on, tout a
âgée de vingt ans, du cerveau de Jupiter. On la considère aussi comme
Déesse
de la guerre ; et alors elle prend le nom de Bell
phon nommée Arachné se vantait de broder aussi habilement qu’elle, la
Déesse
irritée déchira l’œuvre de sa rivale. Arachné, dé
rops venait de bâtir. La création de l’olivier assura l’avantage à la
déesse
, qui nomma la ville Athènes, et depuis ce temps l
l’olivier, symbole de la paix, lui fut consacré. On représente cette
Déesse
avec des traits qui respirent une douce majesté ;
XV. — Cérès. Cérès, fille de Saturne et de Cybèle, est la
Déesse
de l’agriculture et des moissons. La disparition
tolème fonda dans sa patrie un temple et des fêtes en l’honneur de la
Déesse
des moissons. Enfin Cérès, qui avait vainement pa
étaient punis de mort. On lui immolait des porcs. On représente cette
déesse
entourée d’instruments aratoires, quelquefois sur
nsidéré comme supérieur, le paganisme reconnaissait d’autres Dieux et
Déesses
auxquels on attribuait une autorité secondaire. L
fille du Ciel et de la Terre, mère de la Loi et de la Paix, était la
Déesse
de la justice. On la représente tenant une balanc
occasion on faisait des libations de vin et de lait, on offrait à la
déesse
des gâteaux de millet, et l’on promenait les trou
t. Sa femme Fauna, ayant imité ses vertus, fut aussi rangée parmi les
Déesses
, et les dames romaines l’honoraient sous le nom d
s Déesses, et les dames romaines l’honoraient sous le nom de la bonne
Déesse
. Aucun homme n’était admis aux cérémonies qui se
ns. Qu’était-ce que Faune ? — N’honorait-on pas sa femme comme une
Déesse
? — Comment représentait-on Faune ? Sylvain.
un empire souverain sur les fleurs ; on la considérait aussi comme la
Déesse
du printemps. Les prêtresses de cette Déesse célé
nsidérait aussi comme la Déesse du printemps. Les prêtresses de cette
Déesse
célébraient ses fêtes, nommées Florales, en coura
s trompettes, le front couronné de fleurs. On orne la figure de cette
Déesse
de guirlandes, et on l’entoure de corbeilles remp
mne et des vergers. Il désirait vivement épouser Pomone, qui était la
Déesse
des fruits ; mais cette Déesse, qui avait déjà re
vivement épouser Pomone, qui était la Déesse des fruits ; mais cette
Déesse
, qui avait déjà refusé de s’unir à plusieurs divi
fils du Ciel et de Vesta, était le Dieu de la mer. Il épousa Téthys,
déesse
de la mer, et cette union donna naissance à un no
es hommes en coupant le fil avec ses ciseaux. La Nuit. La Nuit,
Déesse
des ténèbres, et fille du Chaos, épousa l’Achéron
t le mal, l’opulence et la misère, les souffrances et la santé. Cette
Déesse
avait de nombreux et fervents adorateurs ; on com
, et le berger Pâris, chargé par Jupiter de prononcer entre les trois
Déesses
, termina la querelle en faveur de Vénus, ce qui r
tue ? La Victoire. La Victoire, ou Nicée, était la fille de la
Déesse
Styx et du géant Pallas. On la peint sous les tra
eçut dans le ciel au nombre des Dieux, et lui donna pour épouse Hébé,
Déesse
de la jeunesse. Questions. Qu’était Hercule,
tation, Agamemnon se résigna à satisfaire à la cruelle exigence de la
Déesse
; mais, au moment où le prêtre tenait le couteau
d’immenses proportions, pour que les Troyens ne pussent se rendre la
Déesse
favorable en introduisant cette offrande dans leu
à son camp sous prétexte de la donner pour épouse à Achille ; mais la
Déesse
ne voulut pas laisser achever cet odieux sacrific
oisi par l’Olympe pour adjuger le prix de la beauté à l’une des trois
Déesses
qui se le disputaient. En prononçant en faveur de
par cent vingt-sept rois différents. Selon Xénophon, la statue de la
Déesse
était en or. Pendant cinq siècles, ce temple atti
, chercher des grains en Égypte, en rapportèrent le culte de la Bonne
Déesse
. Le Dieu Terme dut sa création à la sagesse de Nu
l’on voit encore les ruines du temple magnifique élevé à Vénus. 25.
Déesses
, filles de Jupiter et de Thémis, qui présidaient
la Nouvelle-Hollande à l’est. 37. Il ne faut pas confondre Téthys,
déesse
des eaux, avec Thétis, fille de Nérée, et mère d’
gueilleusement au-dessus de Latone, mère d’Apollon et de Diane. Cette
déesse
en fut tellement irritée, qu’elle fit tuer par se
u’ils étoient nés d’un dieu et d’une mortelle, ou d’un homme et d’une
déesse
, tels que Hercule, Castor et Pollux ; etc. Enfin,
Ciel, le plus ancien des dieux, et de la Terre, la plus ancienne des
déesses
. Le Ciel s’appeloit encore Uranus, et la Terre ét
it aussi nommée Vesta. Mais elle doit être alors distinguée de Vesta,
déesse
du feu et de la virginité. D. Le Ciel n’eut-il de
grec qui signifie grande, parce que c’étoient les fêtes de la grande
déesse
. Elles se célébroient au son des tambours, avec d
avec des hurlements et des cris extraordinaires. Les prêtres de cette
déesse
se nommoient Corybantes. D. Cybèle n’est-elle pas
e nommoient Corybantes. D. Cybèle n’est-elle pas aussi regardée comme
déesse
du feu ? R : Oui ; et alors on l’appelle Vesta.
r de Jupiter, qui se transforma en un oiseau pour la séduire. Mais la
déesse
le reconnut, et ne voulut l’écouter qu’à conditio
il l’épouseroit. Junon devint ainsi la reine des dieux. Elle étoit la
déesse
des royaumes ; mais elle présidoit sur-tout aux m
éros, Et servit de Junon la haine infatigable. Que n’imagina point la
déesse
implacable ? Muse, raconte-moi ces grands événeme
l’Italie aborder malgré moi !… » O fureur ! Quoi ! Pallas, une simple
déesse
, » A bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce
lles eurent la hardiesse de comparer leur beauté à celle de Junon. La
déesse
, indignée de ce téméraire orgueil, rendit les Prœ
mos. Jupiter consulta Vénus sur les moyens de la faire revenir. Cette
déesse
lui conseilla de faire placer sur un char une fig
eil prodige. Elle en parla à Flore, qui lui indiqua une fleur, que la
déesse
toucha et aussitôt elle devint mère de Mars. D. Q
evint mère de Mars. D. Quel étoit l’emploi d’Hébé ? R. Hébé étoit la
déesse
de la jeunesse. Elle fut chargée par Jupiter de v
ient les lieux principalement consacrés au culte de Junon ? R. Cette
déesse
étoit particulièrement honorée à Samos. Mais c’ét
lle fille ? R. Elle fut fille de Saturne et de Cybèle. Elle étoit la
déesse
des moissons. Elle enseigna aux hommes l’agricult
enfers, étoit si noir, et avoit un royaume si affreux, que toutes les
déesses
avoient rejeté ses hommages. Il vit un jour Prose
s changea-t-elle Stellio en lézard ? R. On raconte qu’un jour, cette
déesse
, fatiguée de ses courses, et épuisée de besoin, e
ec tant d’avidité, qu’un enfant nommé ne put s’empêcher d’en rire. La
déesse
offensée, lui jeta le reste de sa bouillie, et le
ce de couper plusieurs arbres dans une forêt consacrée à Cérès. Cette
déesse
, pour l’en punir, lui envoya une faim si horrible
neur, Vont conjurer Cérès de venger leur injure. Elle les vengera, la
déesse
le jure : L’or des moissons s’ébranle au signe de
e-t’on un air plus frais, Qu’à l’ombre incertaine d’un arbre Cher aux
déesses
des forêts ? La dryade, en robe légère, Brave, so
nt Atlas, et vainquit sa résistance. C’est ainsi qu’Amphitrite devint
déesse
de la mer. Neptune, pour récompenser le dauphin,
hys avec Thétis, mère d’Achille. Quelquefois Téthys est prise pour la
déesse
de la mer, et pour la mer elle-même : ainsi, Virg
la ceinture. D. Les anciens ne donnèrent-ils le nom de nymphes qu’aux
déesses
de la mer ? R. Ils appelèrent nymphes plusieurs
u’aux déesses de la mer ? R. Ils appelèrent nymphes plusieurs autres
déesses
, auxquelles ils donnèrent des noms particuliers,
leines, Sût, tantôt resserrer, tantôt lâcher les rênes. Devant lui la
déesse
, abaissant sa hauteur : « Roi des vents, lui dit-
nt d’Ouest ou du couchant. Les Latins donnent pour femme à Zéphire la
déesse
Flore. On le peint sous la figure d’un jeune homm
offrit à la Grèce un exemple effrayant de la sévérité des Furies. Des
déesses
si redoutables ne pouvoient manquer d’avoir un cu
rterelles. D. L’enfer ne compte-t-il pas trois autres sœurs parmi ses
déesses
? R. Oui : ce sont les trois Parques, appelées,
ort et les dieux Manes. D. Qu’est-ce que la Nuit ? R. La Nuit est la
déesse
des ténèbres : elle est fille du Ciel et de la Te
de hache, et Minerve en sortit, armée de pied en cap. Minerve est la
déesse
de la sagesse et de la guerre. Lorsqu’elle présid
r sur la toile et sur ta tapisserie. Elle osa même faire un défi à la
déesse
. Minerve, indignée d’une telle témérité, rompit l
tre nommé Égiès, qui vomissoit feu et flammes, et que Minerve tua. La
déesse
, pour rendre son bouclier plus effroyable, y atta
u du front. Vénus D. Racontez l’origine de Vénus. R. Vénus,
déesse
de la beauté et des amours, étoit fille de Jupite
ts. Ainsi, le plus laid des dieux devint l’époux de la plus belle des
déesses
. Vénus, mécontente d’un tel choix, eut plusieurs
êts. Mars, jaloux, employa pour se venger, le secours de Diane. Cette
déesse
suscita un sanglier énorme, qu’Adonis irrita, en
acent dans l’air un léger sillon de pourpre nuancé d’or et d’azur, La
déesse
arrive aux portes transparentes de l’Orient, et l
-elles filles ? R. Les Muses sont filles de Jupiter et de Mnémosine,
déesse
de la mémoire. On en compte neuf, savoir, Calliop
n’étoit qu’une même divinité : c’est pourquoi les poëtes l’appellent
déesse
à trois formes ou triple Hécate. Les trois foncti
oit-elle considérée sur la terre ? R. Elle étoit considérée comme la
déesse
des chasseurs. Elle habitoit les bois et les forê
prit la figure de Diane même pour tromper la nymphe trop crédule. La
déesse
, ayant connu la faute de Calisto, la chassa de sa
Rémus et Romulus. Palès D. Qu’étoit Palès ? R. Palès étoit la
déesse
des bergers ; elle avoit les troupeaux sous sa pr
ces fêtes champêtres Où Rome célébroit les dieux de ses ancêtres, La
déesse
des blés et le dieu des raisins, Les nymphes des
res. ( Delille.) Flore. D. Qu’étoit Flore ? R. Flore étoit la
déesse
des fleurs et du printemps ; elle épousa Zéphire.
ient un doigt sur la bouche. Thémis, Astrée D. Quelle est la
déesse
de la justice ? R. C’est Thémis, fille du Ciel e
s-uns la représentent tenant une épée à la main. Je vois une auguste
déesse
, De qui la droite vengeresse Fait briller un glai
mée étoit la messagère de Jupiter. Les poëtes la dépeignent comme une
déesse
énorme, qui a cent oreilles et cent bouches. On l
estins, Enfants toujours douteux de rapports incertains, Entourent la
déesse
en nouveautés féconde ; Et ses yeux sont ouverts
les coins du monde. ( Ovide, trad. de Saintange.) Quelle est cette
déesse
énorme, Ou plutôt ce monstre difforme, Tout couve
La fortune. D. Qu’étoit la Fortune ? R. La Fortune étoit une
déesse
qui présidoit à touts les événements, et distribu
ésis ? R. Némésis, que quelques-uns nomment aussi Adrastée, étoit la
déesse
de la vengeance. Elle châtioit ceux qui abusoient
aire a-t-il fait de la Discorde ? R. Il dépeint ainsi cette affreuse
déesse
: Ce monstre impérieux, sanguinaire, inflexible,
rt aux peuples effrayés. Bellone. D. Qu’étoit Bellone ? R. Bellone,
déesse
de la guerre, étoit sœur de Mars. C’étoit elle qu
se, qui, depuis ce temps-là, fut gravée sur la redoutable égide de la
déesse
. D. Comment fut accomplie la prédiction qui avoit
ans son berceau. Hercule saisit ces monstres et les mit en pièces. La
déesse
, se radoucit alors, à la prière de Pallas, et con
gards libres et ses habits magnifiques la faisoient connoître pour la
déesse
du plaisir. Chacune des deux tâcha de le gagner p
R. Elle ne fit au contraire que redoubler les emportements de cette
déesse
toujours transportée de jalousie. Junon inspira à
sser le héros de ses flèches. Cupidon servit à souhait les vues de la
déesse
. Bientôt on vit Hercule couvert d’un habit de fem
laça dans une urne. Hercule fut reçu dans le ciel, où il épousa Hébé,
déesse
de la jeunesse. On le représente couvert de la pe
t, tout baigné de pleurs, A sa mère en ces mots exhale ses douleurs :
Déesse
de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me
re qui y avoit pris naissance. Viens servir l’ardeur qui m’inspire :
Déesse
, prête-moi la lyre, Ou celle de ce Grec vanté, Do
t une statue de Vénus en ivoire, et la trouva si belle, qu’il pria la
déesse
d’animer cet ouvrage de son ciseau. Vénus l’exauç
ts. Ce fut avec une de ces pommes, que la Discorde brouilla les trois
déesses
. Ce fut avec ce même fruit qu’Hippomène vainquit
omène, instruit et favorisé par Vénus, se présenta avec confiance. La
déesse
lui avoit fait présent de trois pommes d’or du ja
vînt au siége de la ville ; et ce descendant étoit Achille, né de la
déesse
Thétis et de Pélée, fils d’Eaque. 2°. Il falloit
lui étoit consacrée, refusoit aux Grecs un vent favorable, et que la
déesse
ne pouvoit être apaisée que par le sang d’une pri
oyé par Jupiter, pour ordonner à Calypso de laisser partir Ulysse. La
déesse
fit équiper un vaisseau, et le prince se remit en
outragea Cassandre qui s’étoit réfugiée dans le temple de Minerve. La
déesse
, irritée de ce sacrilége, submergea sa flotte, pr
Télamon. Homère représente ce prince comme le favori de Pallas. Cette
déesse
le suit par-tout. C’est par son secours, qu’il tu
se le dieu Mars, et Vénus même, qui venoit secourir son fils Énée. La
déesse
en conçut un tel dépit, qu’elle inspira à sa femm
rent un juge impartial. Jupiter chargea Mercure de conduire les trois
déesses
sur le mont Ida, pour y subir le jugement de Pâri
lus que l’esprit et la-beauté, Vous y fûtes toujours chérie. Lors la
déesse
à touts ces foux Répondit : Messieurs, j’y demeur
le tour est bizarre, et plus elle est contente. Cette
déesse
inconstante Se mit alors en l’esp
ent leur origine d’un Dieu et d’une Mortelle, ou d’un Mortel et d’une
Déesse
: tels étoient Hercule, Esculape, Castor et Pollu
des Dieux ; comme la Terre ou Tellus passe pour la plus ancienne des
Déesses
. Ils eurent pour fils Titan et Saturne, autrement
Cybèle, appelés Corybantes, célébroient les Fêtes du premier de cette
Déesse
au son des tambours, avec des hurlemens extraordi
t de Rhée, sœur et épouse de Jupiter, étoit la Reine des Dieux, et la
Déesse
qui présidoit aux royaumes. On la nommoit Lucine,
u’elle présidoit aux accouchemens, et Pronuba, parce qu’elle étoit la
Déesse
des alliances. D- Quel caractère attribue-t-on à
la préférence que le berger Pâris donna à Vénus au préjudice de cette
Déesse
. Son caractère altier et impérieux est bien peint
se ouverts pour voir tout ce qui se passoit, servoit d’espion à cette
Déesse
. Mercure vint à bout de l’endormir au son de sa f
ploi d’Iris auprès de Junon ? R. C’étoit de faire ses messages. Cette
Déesse
, en récompense de ses bons services, la changea e
toit-elle considérée sur la terre ? R. Elle étoit considérée comme la
Déesse
des chasseurs. Elle habitoit les bois et les forê
sortie de l’écume de la mer. On la nomme encore Cypris ; elle est la
Déesse
de la beauté. Les Heures, sitôt sa naissance, l’e
dans le ciel ; les Dieux la trouvèrent si belle, qu’ils la nommèrent
Déesse
de l’Amour. Jupiter, pour récompenser Vulcain des
it épouser Vénus. D. Dites-nous quelques mots de la ceinture de cette
Déesse
? R. Cette ceinture étoit le plus bel ornement de
t donner un coup de hache sur la tête par Vulcain. On distingue cette
Déesse
sous deux rapports ou comme la Déesse de la guerr
par Vulcain. On distingue cette Déesse sous deux rapports ou comme la
Déesse
de la guerre, et alors on lui donne le nom de Pal
se de la guerre, et alors on lui donne le nom de Pallas ; ou comme la
Déesse
de la sagesse et des beaux-arts, et on l’appelle
us le nom de Pallas ou de Bellone ? R. Elle étoit considérée comme la
Déesse
de la guerre et des combats. A leurs légions ind
lle écrase les humains. (Rousseau.) D. Comment représente-t-on cette
Déesse
? R. On la représente armée d’une cuirasse, avec
t dans les Enfers. Ce Dieu étoit si laid, qu’il ne pouvoit trouver de
Déesse
qui voulût l’épouser. Il enleva Proserpine, fille
s fleurs dans les campagnes de Sicile. Les cris et les plaintes de la
Déesse
le trouvèrent inflexible. Cybèle. O mes co
utour des champs. Palès. D. Qu’étoit Palès ? R. Palés étoit la
Déesse
des pâturages, des bergers et des troupeaux. P
Dieu de l’Automne. Flore. D. Qu’étoit Flore ? R. Flore étoit la
Déesse
des fleurs et du Printemps. Elle avoit épousé Zép
e pas considérée comme une Divinité de la terre ? R. Oui, elle est la
Déesse
des ténèbres, et fille du Ciel et de la Terre. On
toit Thémis ? R. Thémis, fille du Ciel et de la Thémis. Terre, est la
Déesse
de la Justice. On la représente avec un bandeau s
une balance d’une main, et de l’autre une épée. Je vois une auguste
Déesse
, De qui la droite vengeresse Fait briller un glai
qu’elle a cent bouches. Les Poëtes lui donnent fréquemment le nom de
Déesse
aux cent voix. Quelle est cette Déesse énorme, O
donnent fréquemment le nom de Déesse aux cent voix. Quelle est cette
Déesse
énorme, Ou plutôt ce monstre difforme, Tout couve
y tenir préparé. (Rousseau.) Némésis. D. Comment nommoit-ou la
Déesse
de la Vengeance ? R. Son nom étoit Némésis. On l’
ux ? R. On entend des Héros nés d’un Dieu et d’une Mortelle, ou d’une
Déesse
et d’un Mortel. D. Compte-t-on beaucoup de demi-D
eut le droit de lui commander. Ce fut à l’instigation de l’implacable
Déesse
qu’Euristhée exigea d’Hercule des travaux aussi d
incre ce Héros. (Lamotte.) Cupidon servit à souhait les désirs de la
Déesse
. Bientôt on vit ce grand homme couvert d’un habit
ses dans une urne. Hercule fut placé dans le ciel, où il épousa Hébé,
Déesse
de la jeunesse. On le représente couvert de la pe
D. De qui Énée étoit-il fils ? R. Enée étoit fils d’Anchise et de la
Déesse
Vénus. II échappa à la ruine de Troye ; il charge
iens relançoient : cet animal furieux se jeta sur lui, et le tua : la
Déesse
de l’Amour le changea en anémone. Traité som
posaient la cour céleste et y pouvaient délibérer ; savoir, parmi les
déesses
: Cybèle (ou Vesta), Junon, Cérès, Minerve, Vénus
x les hommes nés d’un dieu et d’une mortelle, ou d’un mortel et d’une
déesse
, comme Hercule, Pollux, Énée ; et ce nom s’étendi
t aux hommes protection, secours et richesses4. — On représente cette
déesse
comme une femme robuste, chargée d’embonpoint. Sa
s, et allait, dans un accès de fureur, terminer ses jours, lorsque la
déesse
, émue enfin du spectacle de ses douleurs, le méta
aient en robe de pourpre ; les dames y dansaient devant l’autel de la
déesse
; les esclaves n’osaient y paraître, sous peine d
plissant, au nom de Junon, ce pieux devoir. § 6. Vesta. Vesta,
déesse
du feu, était fille de Saturne et de Cybèle. Son
son visage, la dureté de son caractère, éloignaient de lui toutes les
déesses
, dont aucune ne voulait consentir à l’épouser : i
quivalent de descendre au séjour des morts. § 9. Cérès. Cérès,
déesse
des blés et des moissons, chercha longtemps Prose
son père. Cérès y entra ; et Céléus lui fit un si bon accueil que la
déesse
, pleine de reconnaissance pour cette hospitalité,
yait Cérès. Elle se cacha dans un coin de l’appartement, et voyant la
déesse
prête à mettre son fils dans le feu, elle poussa
erre, y détruit le germe des moissons. § 10. Minerve. Minerve,
déesse
de la sagesse, vint au monde d’une manière extrao
ges, elle osa disputer de beauté avec Minerve, et se préférer à cette
déesse
. Minerve dans son indignation changea les cheveux
epté : elles se mirent l’une et l’autre à l’ouvrage. Le travail de la
déesse
fut très-beau sans doute, mais celui d’Arachné ne
entiment jusqu’à frapper Arachné, qui alla se pendre de désespoir. La
déesse
, touchée d’une pitié tardive, la soutint en l’air
s remarquable de la vie de Minerve est son différend avec Neptune. La
déesse
voulait donner son nom à la ville que Cécrops ven
uisit l’olivier, symbole de la paix. Les dieux se déclarèrent pour la
déesse
, et la ville s’appela Athènè (Athènes) : c’est, e
porta la peau en mémoire de son triomphe. § 11. Vénus. Vénus,
déesse
de la beauté et de l’amour, naquit, avec tous ses
nuyée d’avoir pour mari un forgeron boiteux, noir et farouche, Vénus,
déesse
inconsidérée et frivole, prêta une oreille compla
n jour surtout, emporté par son courage, il oublia les conseils de la
déesse
. Ayant blessé un sanglier sur le mont Liban, il f
opophages, qui n’avaient qu’un œil au milieu du front. Marié à Vénus,
déesse
de la beauté, Vulcain ne trouva pas dans cette al
at de ses armes, son héroïque valeur, l’embellissaient aux yeux de la
déesse
, dont la vanité voyait avec plaisir trembler à se
qu’il conduit lui-même ou qu’il laisse diriger par Bellone. Bellone,
déesse
de la guerre, sœur de Mars, préparait le char de
soldats. Ses prêtres s’appelaient Bellonaires. Dans les fêtes de leur
déesse
, ils parcouraient les rues comme des furieux, ten
génie et la science peuvent rendre l’homme immortel. Mais cette même
déesse
, habituée à combattre les animaux les plus féroce
iel ; Hécate ou Proserpine dans les enfers. De là, les noms de Triple
Déesse
, de Triple Hécate, de Déesse à trois formes, qu’o
ns les enfers. De là, les noms de Triple Déesse, de Triple Hécate, de
Déesse
à trois formes, qu’on trouve quelquefois dans les
lles s’obstinent à travailler, et, sous prétexte de plaire à Minerve,
déesse
des arts, elles dérobent à Bacchus les heures qui
ppelle la Vierge. Astrée, fille de Thémis, est souvent prise pour la
déesse
de la justice, et elle ne forme avec sa mère qu’u
nce. Tatius lui éleva le premier un temple à Rome. Les fêtes de cette
déesse
s’appelaient Florales et duraient six jours. On l
a nuit, aux flambeaux, et avec des désordres de toute espèce. Palès,
déesse
des pâturages et des bergeries, a une parure simp
la fête par un festin. Pomone était honorée, chez les Romains, comme
déesse
des fruits. Elle ne se plaisait que dans les verg
4. Les Dryades et les Oréades. Les Dryades étaient des nymphes ou
déesses
qui présidaient aux arbres et aux bois. Leur nom
an et Téthys. L’Océan, fils du Ciel et de la Terre, épousa Téthys
déesse
des eaux, et de ce mariage naquirent les Fleuves
d’oublier la fille de Phorcus qui le méprisait, pour s’attacher à une
déesse
, fille du Soleil, et plus digne de sa tendresse.
és à son corps, elle se jette dans la mer, où elle est changée en une
déesse
malfaisante, qui effraie et tourmente les navigat
d) Divinités allégoriques. § 23. La Fortune. La Fortune,
déesse
toute-puissante, fille de Jupiter, était la dispe
tait enrichi d’offrandes et de présents magnifiques ; la statue de la
déesse
y rendait des oracles ; elle répondait aux demand
peut supporter aucune contrainte. § 26. L’Occasion. C’était la
déesse
de l’à-propos, c’est-à-dire qu’elle présidait au
a Grèce ne lui éleva ni temples ni autels ; et, quoique reconnue pour
déesse
, elle n’eut jamais aucun prêtre dans cette contré
es ; Quand elle est, nous ne sommes plus. L’abbé Mangenot. La
déesse
des funérailles s’appelait Libitine, chez les Rom
me y donna son assentiment, et lui accorda pour épouse sa fille Hébé,
déesse
de la Jeunesse. Iolas, neveu et ami d’Hercule, l’
un nouveau peuple. » Cadmus obéit sans bien comprendre l’ordre de la
déesse
, laboure la terre, et y répand les dents du monst
is ; mais Junon n’envisageait pas d’un œil tranquille cette félicité.
Déesse
jalouse, pouvait-elle oublier que Cadmus était le
abondance des récoltes, oublia par malheur Diane dans cet hommage. La
déesse
se vengea de cet oubli, en faisant naître dans le
mpe. Aux noces de Thétis et de Pélée, où tous les dieux et toutes les
déesses
avaient été conviés, la Discorde seule fut exclue
prétendirent à la pomme : Pâris fut désigné pour juge entre les trois
déesses
, qui mirent en usage toutes les séductions pour s
hissait son linge, ses robes et les vêtements de ses frères. Minerve,
déesse
des arts, veillait sur elle, et la dirigeait dans
la dirigeait dans toute sa conduite, dans toutes ses démarches. Cette
déesse
protégeait aussi le sage Ulysse, errant de mers e
la Chersonèse Taurique enlever du temple de Diane la statue de cette
déesse
. » il s’embarqua, et Pylade avec lui : Pylade, so
in sourire, et près d’elle son fils, tenant son arc détendu. Quand la
déesse
eut assez joui de ce barbare plaisir : « Modère,
nglots, interrompirent plus d’une fois les sacrifices de Diane. Cette
déesse
, émue de pitié, la changea en une fontaine, qui f
de l’avidité qu’elle apportait à ce chétif repas, se mit à rire : la
déesse
, dans un mouvement de colère, lui jeta au visage
omène, favorisé par Vénus, se présenta pour cette lutte difficile. La
déesse
lui avait donné trois pommes d’or, cueillies au j
l’aida même, par quelques secours d’argent, à continuer sa route. La
déesse
, touchée de ce bienfait, lui donna un vase de par
quemment des descentes dans les États de Phinée ; d’autres enfin, des
déesses
malfaisantes qui présidaient aux Vents, aux Tempê
igure d’une vache, et la qualifièrent de Mère de toutes choses, et de
Déesse
universelle. Osiris est le soleil et Isis la lune
rnative de deuil et de fêtes a été l’origine de la fable d’Adonis. La
déesse
Isis, représentée sous la figure d’une vache, n’e
leurs qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus qu’à la jeune
Déesse
…. Tandis qu’à l’objet qui l’enchante I
peine, De mes feux méprisés c’est l’unique secours. Mais déjà la
Déesse
a passé le rivage, Que les mortels ne
, auprès de ma Mère, Je pourrai retrouver mon cœur. Doigni 66.
Déesses
Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la T
, Qui, sans baisser les yeux, sans fléchir les genoux, Pourroit de la
Déesse
, affronter le courroux. Vois-tu, dès qu’elle
u. Oui, c’est pour rappeler ces jeux mêlés d’alarmes, Qu’autour de la
Déesse
on est encor en armes ; Ou, par ce grand spectacl
. — Leblanc-de-Guillet 67. Junon, Femme de Jupiter. Cette
Déesse
troubla souvent les plaisirs effrénés de son infi
à la pourpre immortelle. Sa noble écharpe, à replis onduleux Ceint la
Déesse
, et retombe avec grace ; Divin tissu, dont la spl
lis ont franchi l’épaisseur. Roucher 71. Vénus ou Cythérée
Déesse
de la Beauté, Mère de l’Amour et des Grâces. Elle
nard 73. Minerve ou Pallas Sous le premier nom, elle est la
Déesse
de la Sagesse, des Sciences et des Arts ; sous le
en fleurs ; et Cécropie fut nommée Athènes du nom grec de la savante
Déesse
. On voit Pallas, belle avec dignité, Qui bri
Ah ! ma fille, tu nous instruis, Repartit Jupiter, embrassant la
Déesse
; Tu sais apprécier les choses par leurs fruits,
de l’autre, ou une lampe. Ar élie grande Prétresse de Vesta , A la
Déesse
. De l’Empire Romain, Déesse protectrice, Vie
ie grande Prétresse de Vesta , A la Déesse. De l’Empire Romain,
Déesse
protectrice, Vierge auguste, Vesta, sois-nous tou
sa fille passeroit six mois de l’année avec elle sur la terre. Cette
Déesse
préside particulièrement aux moissons ; sa princi
e-t-on un air plus frais, Qu’à l’ombre incertaine d’un arbre Cher aux
Déesses
des forêts ? La Driade, en robe légère, Brave, so
rs. Saint-Lambert 78. Thémis, Fille du Ciel et de la Terre, et
Déesse
de la Justice. On la figure avec une balance d
, humble serpent il se glisse sous l’herbe. Boileau 80. Palès,
Déesse
des Pasteurs. Elle présidoit aux pâturages e
ces fêtes champêtres Où Rome célébroit les Dieux de ses ancêtres, La
Déesse
des blés et le Dieu des raisins, Les Nymphes des
nge 86. Voyez Vertumne. Hébé ou Juventa, Fille de Junon, et
Déesse
de la Jeunesse. Belle et fraîche comme le Pri
Par qui tout plait, tout intéresse, Et sans qui tout manque d’appas :
Déesse
aimable et fugitive Arrête, que ma voix plaintive
idente de Junon, elle fut changée en arc, et placée au Ciel par cette
Déesse
en récompense de ses services : c’est ce qu’on ap
s Dieux, Dont vous verrez chez moi l’image… Vos bienfaits, charmantes
Déesses
, Sont prodigués dès le berceau, Et jusques au fon
et de Thémis. On appelle l’Age d’or, ce siècle heureux où cette
Déesse
descendit du ciel et vint habiter la terre. Encha
n’étoit qu’harmonie. Thompson. — Léonard 96. Mnémosyne, ou la
Déesse
Mémoire. Elle préside au Souvenir. Jupiter q
allons, les neuves, les côteaux, Je vous salue, ô
Déesses
charmantes ! Veillez aux jours chéris du plus bea
onde. Prélong 106. Voyez Aristée . Hygie, Fille d’Escutape,
Déesse
de la Santé. Elle avoit un temple à Rome. On
destins, Enfans toujours douteux de rapports incertains, Entourent la
Déesse
en nouveautés féconde, Et ses yeux sont ouverts s
Ange 110. Discorde. La plus maligne et la plus turbulente des
Déesses
. Elle se vengea cruellement de n’avoir pas été in
parlé : l’Univers est en feu. Pétrone. — Deguerle 112. Até.
Déesse
malfaisante qui se plaisoit à semer la haine et l
raison pour les précipiter dans le malheur. Até,
Déesse
du malheur, Par ses forfaits du Ci
ans le Ciel fabuleux on vieillissoit ainsi. L’affreuse
Déesse
au contraire Alerte, maigre et trè
ent la grace ? Young. — Colardeau 114. Némésis ou Adrastée,
Déesse
de la Vengeance. Elle châtioit les scélérats
balance Sur l’aile humide des zéphyrs. O toi, si long-temps redoutée,
Déesse
paisible des airs ! O Lune ! embellis l’Univers,
champs des airs, vois ce char emporté Par des coursiers que guidé une
Déesse
: Il vole, il fuit loin du jour qui la presse ; E
cœur et des entrailles de fer. Pour tâcher d’appaiser la colère de la
déesse
inflexible, on lui sacrifioit un coq. La Mort, r
Tu n’auras point à consoler sa mère, Vigée 123. Libitine,
Déesse
des Funérailles et des Tombeaux. C’étoit la même
t, tout baigné de pleurs, A sa mère en ces mots exhale ses douleurs :
Déesse
de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me
i consulta l’oracle de Thémis, sur le moyen de repeupler le monde. La
Déesse
leur ordonna de jeter par-derrière et par-dessus
eut repeupler le monde. Jette sur l’Univers des yeux compatissans, La
Déesse
, propice à leurs vœux innocens, Fit entendre ces
et l’homme est modelé. Colardeau 153. Terre, éveille-toi ; la
Déesse
(Minerve.) Vient éclairer tous les humains : La G
eau et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux de Vénus. Cette
Déesse
l’épousa secrètement, et en eut Enée, dont elle a
gnoit avec ses Nymphes dans les eaux d’une claire fontaine. La chaste
Déesse
, irritée de sa profane curiosité, le changea en c
hes, et leur voix Frappe d’un cri soudain les rochers et les bois. La
Déesse
, au milieu de ses Nymphes fidelles, Majestueuse e
frappe le front de l’onde vengeresse. Alors, avec dédain, la pudique
Déesse
Lui prononce, en ces mots, son destin malheureux
oris. Aréthuse, nymphe et compagne de Diane, préféroit, comme la
Déesse
, les plaisirs de la chasse aux peines de l’amour.
ntends mes vœux ; Viens, et si je te plus, sauve-moi d’un outrage. La
Déesse
, à ces mots, me couvre d’un nuage. Alphée appelle
plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vénus. Cette
Déesse
l’ayant vu périr sous la dent cruelle d’un sangli
ouler de ses pieds délicats, Et les rochers sont teints du sang d’une
Déesse
; C’en est fait, il n’est plus, malheureuse Vénus
te Sans cesse iroit chercher ton image charmante ; Mais, non, je suis
Déesse
, et je ne puis mourir. Eh bien, Reine des morts,
e parcours les déserts, seule avec mes douleurs ; Adonis ne vit plus,
Déesse
inexorable, Pourrois-je encor redouter tes fureur
nce de jaser sur la conduite de Junon ; elle amusa même un jour cette
Déesse
par des contes agréables, pendant que Jupiter éto
souvent, sans elle, Eût surpris les larcins d’un époux infidelle. La
Déesse
le sut : Quoi ! fertile en détours, Ta langue me
de Jupiter accepta le défi. Arachné fit un ouvrage si superbe, que la
Déesse
en devint jalouse. Dans son dépit, elle frappa l’
âge, à ta postérité, Ces chatimens, trop dûs à ta témérité. La
Déesse
, à ces mots, sur cette infortunée, Répand le suc
enfans. Trop fière de sa fécondité, elle osa se préférer à Latone. La
Déesse
offensée de son orgueil, l’en puni de la manière
palais regorger la richesse : Je joins à tant de biens, le port d’une
déesse
; Sept filles et sept fils, doux gages de l’amour
éluge de Deucalion. Junon, jalouse de Latone, le lança contr’elle. La
Déesse
ne put se soustraire à sa fureur qu’en se jetant
content de peu, Et qui ne se voit point sans cesse Jouet de l’aveugle
Déesse
, Ou dupe de l’aveugle Dieu !… En promenant vos rê
eux : Pan qui sut animer les joncs mélodieux, Diane au carquois d’or,
Déesse
bocagère, Qui la flèche à la main, de sa robe lég
njustement punie De l’inhumanité de ses persécuteurs ? Equitable
Déesse
; entends nos voix plaintives, Vois ces champs ra
Bacchus ne l’eût montrée en pleurs. Un Prince vertueux que guide une
Déesse
, Veut d’un jeune Héros éprouver la sagesse ; Il b
qu’au tombeau. Les Grecs et les Romains élevèrent des Temples à cette
Déesse
, amie de l’humanité. Ne dites point : l’
. Castilhon 267. Fortune, Fille de Jupiter et de Némésis.
Déesse
fantasque et volage ; elle présidoit à-la-fois au
lorable, Demain va les bénir. Pindare. — *** 268.
Déesse
d’Antium, ô Déesse fatale ! Fortune, à ton pouvoi
Demain va les bénir. Pindare. — *** 268. Déesse d’Antium, ô
Déesse
fatale ! Fortune, à ton pouvoir, qui ne se soumet
de fer. L’Espérance te suit, compagne plus propice ; Et la Fidélité,
Déesse
protectrice, Au Ciel tendant les bras
Qu’à ses traits, sa gentillesse, Et qu’à mon émotion, Je reconnois ma
Déesse
! C’est l’Imagination. Reine aimable des men
le. Guerre civile de Pétrone. 113. [Table des matières] Fallet. Até,
Déesse
du malheur, etc. 114. [Table des matières] Cola
miramis naquit à Ascalos, ville de Syrie, vers l’an du monde 2754. La
Déesse
Dercetis ou Derceto ou Atergatis lui donna le jou
orail. Persée attacha au bouclier de Minerve la tête de Méduse, et la
Déesse
voulut qu’elle y resta toujours, comme un monumen
nt du temple il se rendit sur le bord de la mer et là, il immola à sa
Déesse
protectrice une chèvre qui tout-à-coup fut métamo
e alors donna à Vénus le surnom peu élégant d’Epitragia, qui signifie
Déesse
du bouc. Thésée ensuite s’embarqua, arriva en Crè
e gloire de Junon lui fut donné pour avoir été le libérateur de cette
Déesse
en exterminant les deux géans Anonymus et Péripno
ns un coffre. Œnée ayant un jour oublié Diane dans ses sacrifices, la
Déesse
, pour s’en venger, suscita un sanglier qui vint r
ère Médée17. Ils s’unirent en secret dans le temple redouté d’Hécate,
Déesse
sombre et terrible, digne de présider à ces noire
uyoit les poursuites amoureuses de Jupiter. Cet Achille persuada à la
Déesse
d’épouser Jupiter, et le Dieu, en reconnoissance
hétis le tenoit en le plongeant. Afin de lui donner l’immortalité, la
Déesse
le frotta d’Ambroisie et le mit dans un brâsier p
retira, ce qui détruisit sans retour l’effet du charme heureux que la
Déesse
alloit opérer. Thétis, fut si irritée de ce contr
pousa. Il fut choisi par Jupiter pour terminer le différend des trois
Déesses
, Junon, Pallas et Vénus. Il fut insensible aux ri
Grecs s’assembloient à Aulis, il tua une biche consacrée à Diane. La
Déesse
en fut si irritée, qu’elle fit naître un calme qu
dans l’armée. Les devins furent consultés, et Calchas répondit que la
Déesse
ne s’appaiseroit que par le sacrifice d’Iphigénie
er la statue de Diane et sa sœur Iphigénie, qui, jadis enlevée par la
Déesse
, avoit été transportée en Tauride où elle étoit p
, elle prit la fuite avec, les deux amis en emportant la statue de la
Déesse
. Pylade épousa Electre, sœur et libératrice de so
rieux, de Sophocle, la première scène est entre Minerve et Ulysse, la
Déesse
dit qu’elle a égaré la raison d’Ajax, ce qui ne c
t qu’elle a égaré la raison d’Ajax, ce qui ne convient nullement à la
Déesse
de la sagesse ; cette scène est indigne de la tra
e la proposition ; Ajax vient, et comme il a les yeux fascinés par la
Déesse
, il ne voit qu’elle, quoique Ulysse soit présent.
ent. Automatia étoit le nom sous lequel on adoroit la Fortune, comme
Déesse
de l’heureux hazard. Timoléon, après ses victoire
un nombre infini d’yeux, d’oreilles et de bouches. Quelle est cette
Déesse
énorme, Ou plutôt ce monstre difforme, Tout couve
prince Eugène. La Victoire. La Victoire ou Nicé, fille de la
Déesse
Styx et du géant Pallas, étoit représentée sous l
our la fixer près d’eux. Les anciens avoient fait de la Violence, une
Déesse
, sœur de la Victoire. L’Histoire. Fille du
voient fait une divinité à laquelle ils donnoient pour compagnes, les
Déesses
Antevorta et Portvorta. Elle avoit un temple dans
ter, sont ridées, louches et boiteuses ; elles sont à la suite d’Até,
Déesse
malfaisante, autre fille de Jupiter, qui, chassée
résente les Dieux se querellant sans-cesse. Les Potaiades étoient les
Déesses
de la fureur. La Terreur ou Formido. Une f
Qu’à ses traits, sa gentillesse, Et qu’à mon émotion Je reconnois ma
Déesse
, C’est l’Imagination, etc. Pour exprimer la crai
la pointe est baissée vers la terre. Echéchiria ou Ecéchiria étoit la
Déesse
des Trèves, on la représentoit recevant une couro
rniroit le sujet du plus charmant tableau : Il est une jeune
Déesse
Plus agile qu’Hébé, plus fraiche que Vénus, Elle
leurs qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus qu’à la jeune
Déesse
. ………………………………………………… Tandis qu’à l’obj
peine, De mes feux méprisés c’est l’unique secours. Mais déjà la
Déesse
a passé le rivage, Que les mortels ne
oins, auprès de ma Mère, Je pourrai retrouver mon cœur. Doigni.
Déesses
. Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Ter
, Qui, sans baisser les yeux, sans fléchir les genoux, Pourrait de la
Déesse
, affronter le courroux. Vois-tu, dès qu’elle
u. Oui, c’est pour rappeler ces jeux mêlés d’alarmes, Qu’autour de la
Déesse
on est encor en armes ; Ou, par ce grand spectacl
e. — Leblanc-de-Guillet 67. Junon, Femme de Jupiter. Cette
Déesse
troubla souvent les plaisirs effrénés de son infi
à la pourpre immortelle. Sa noble écharpe, à replis onduleux Ceint la
Déesse
, et retombe avec grace ; Divin tissu, dont la spl
même attendrissent les cœurs. Delille 72. Vénus ou Cythérée.
Déesse
de la Beauté, Mère de l’Amour et des Grâces. Elle
compagnes, et Cupidon ou l’Amour son fils formaient le cortége de la
Déesse
. Des Cygnes ou des moineaux traînaient son char.
onard 74. Minerve ou Pallas. Sous le premier nom, elle est la
Déesse
de la Sagesse, des Sciences et des Arts ; sous le
en fleurs ; et Cécropie fut nommée Athènes du nom grec de la savante
Déesse
. Ses favoris, ses véritables héros sont les héros
mble à la voûte du Ciel. On veut savoir pourquoi, seule entre les
déesses
, Vesta se fait servir par des Vierges prêtresses.
sa fille passerait six mois de l’année avec elle sur la terre. Cette
Déesse
préside particulièrement aux moissons ; sa princi
e-t-on un air plus frais, Qu’à l’ombre incertaine d’un arbre Cher aux
Déesses
des forêts ? La Driade, en robe légère, Brave, so
urs. Saint-Lambert 79. Thémis, Fille du Ciel et de la Terre, et
Déesse
de la Justice. On la figure avec une balance d
t, humble serpent il se glisse sous l’herbe. Boileau 81. Palès,
Déesse
des Pasteurs. Elle présidait aux pâturages e
ces fêtes champêtres Où Rome célébrait les Dieux de ses ancêtres, La
Déesse
des blés et le Dieu des raisins, Les Nymphes des
. On célébrait tous les ans les jeux floraux en l’honneur de la jeune
Déesse
. Elle est représentée ornée de guirlandes, et cou
ntange 88. Voyez Vertumne . Hébé ou Juventa, Fille de Junon, et
Déesse
de la Jeunesse. Belle et fraîche comme le Pri
Par qui tout plaît, tout intéresse, Et sans qui tout manque d’appas :
Déesse
aimable et fugitive Arrête, que ma voix plaintive
idente de Junon, elle fut changée en arc, et placée au Ciel par cette
Déesse
en récompense de ses services : c’est ce qu’on ap
s Dieux, Dont vous verrez chez moi l’image… Vos bienfaits, charmantes
Déesses
, Sont prodigués dès le berceau, Et jusques au fon
et de Thémis. On appelle l’Age d’or, ce siècle heureux où cette
Déesse
descendit du ciel et vint habiter la terre. Encha
n’était qu’harmonie. Thompson. — Léonard 99. Mnémosyne, Ou la
Déesse
Mémoire. Elle préside au Souvenir. Jupiter q
nchissez les vallons, les neuves, les coteaux, Je vous salue, ô
Déesses
charmantes ! Veillez aux jours chéris du plus bea
on onde. Prélong 108. Voyez Aristée . Hygie, Fille d’Escutape,
Déesse
de la Santé. Elle avait un temple à Rome. On
destins, Enfans toujours douteux de rapports incertains, Entourent la
Déesse
en nouveautés féconde ; Et ses yeux sont ouverts
les coins du monde. Ovide. — Desaintange 113. Quelle est cette
Déesse
énorme, Ou plutôt ce monstre difforme, Tout couve
seau 114. Discorde. La plus maligne et la plus turbulente des
Déesses
. Elle se vengea cruellement de n’avoir pas été in
entendre ses sons, signal des funérailles. Delille 117. Até.
Déesse
malfaisante qui se plaisait à semer la haine et l
raison pour les précipiter dans le malheur. Até,
Déesse
du malheur, Par ses forfaits du Ci
ans le Ciel fabuleux on vieillissait ainsi. L’affreuse
Déesse
au contraire Alerte, maigre et trè
ollicitent la grace ? Young. — Colardeau. Némésis ou Adrastée,
Déesse
de la Vengeance. Elle châtiait les scélérats
et Cerbère trois fois De son triple gosier pousse une triple voix. La
déesse
de loin appelle les Furies, Déités que les pleurs
es. Mais à peine à travers les ténèbres humides, Elles ont reconnu la
Déesse
: à sa voix, Ces sœurs avec respect se lèvent à l
balance Sur l’aile humide des zéphyrs. O toi, si long-temps redoutée,
Déesse
paisible des airs ! O Lune ! embellis l’Univers,
champs des airs, vois ce char emporté Par des coursiers que guidé une
Déesse
: Il vole, il fuit loin du jour qui la presse ; E
cœur et des entrailles de fer. Pour tâcher d’apaiser la colère de la
Déesse
inflexible, on lui sacrifiait un coq. La Mort
fils à leurs fils la rediront toujours. Fontanes 126. Libitine,
Déesse
des Funérailles et des Tombeaux. C’était la mê
t, tout baigné de pleurs, A sa mère en ces mots exhale ses douleurs :
Déesse
de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me
i consulta l’oracle de Thémis, sur le moyen de repeupler le monde. La
Déesse
leur ordonna de jeter par derrière et par dessus
t repeupler le monde : Jette sur l’Univers des yeux compatissans ! La
Déesse
propice à leurs vœux innocens, Leur répond en ces
, et l’homme est modelé. Colardeau 155. Terre, éveille-toi ; la
Déesse
(Minerve.) Vient éclairer tous les humains : La G
eau et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux de Vénus. Cette
Déesse
l’épousa secrètement, et en eut Enée, dont elle a
gnait avec ses Nymphes dans les eaux d’une claire fontaine. La chaste
Déesse
, irritée de sa profane curiosité, le changea en c
hes, et leur voix Frappe d’un cri soudain les rochers et les bois. La
Déesse
, au milieu de ses Nymphes fidelles, Majestueuse e
oris. Aréthuse, Nymphe et compagne de Diane, préférait, comme la
Déesse
, les plaisirs de la chasse aux peines de l’amour.
e pâlis. Diane ! entends mes vœux ; Toi qu’adore Dictine, ô puissante
Déesse
! Viens, m’écriai-je, viens secourir ma faiblesse
plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vénus. Cette
Déesse
l’ayant vu périr sous la dent cruelle d’un sangli
ouler de ses pieds délicats, Et les rochers sont teints du sang d’une
Déesse
; C’en est fait, il n’est plus, malheureuse Vénus
te Sans cesse irait chercher ton image charmante ; Mais, non, je suis
Déesse
, et je ne puis mourir. Eh bien, Reine des morts,
e parcours les déserts, seule avec mes douleurs ; Adonis ne vit plus,
Déesse
inexorable, Pourrais-je encor redouter tes fureur
nce de jaser sur la conduite de Junon ; elle amusa même un jour cette
Déesse
par des contes agréables, pendant que Jupiter éta
s habile à la tromper, Ménageait aux amans le temps de s’échapper. La
Déesse
le sut. Va, pour prix de tes ruses, Tu parleras s
de Jupiter accepta le défi. Arachné fit un ouvrage si superbe, que la
Déesse
en devint jalouse. Dans son dépit, elle frappa l’
enfans. Trop fière de sa fécondité, elle osa se préférer à Latone. La
Déesse
offensée de son orgueil, l’en puni de la manière
on palais ! quel amas de richesses ! Je suis par ma beauté rivale des
déesses
. Sept filles et sept fils attendent dans ma cour
éluge de Deucalion. Junon, jalouse de Latone, le lança contr’elle. La
Déesse
ne put se soustraire à sa fureur qu’en se jetant
content de peu, Et qui ne se voit point sans cesse Jouet de l’aveugle
Déesse
, Ou dupe de l’aveugle Dieu !… En promenant vos rê
eux : Pan qui sut animer les joncs mélodieux, Diane au carquois d’or,
Déesse
bocagère, Qui la flèche à la main, de sa robe lég
et sa richesse. Beautés de la Nature. ……… O séduisante et sublime
Déesse
, Que tes traits sont divers ! tu fais naître dans
injustement punie De l’inhumanité de ses persécuteurs ? Equitable
Déesse
, entends nos voix plaintives, Vois ces champs rav
Bacchus ne l’eût montrée en pleurs. Un Prince vertueux que guide une
Déesse
, Veut d’un jeune Héros éprouver la sagesse ; Il b
qu’au tombeau. Les Grecs et les Romains élevèrent des Temples à cette
Déesse
, amie de l’humanité. Ne dites point : l’E
Saint-Victor 256. Fortune, Fille de Jupiter et de Némésis.
Déesse
fantasque et volage ; elle présidait à la fois au
déplorable, Demain va les bénir. Pindare. — ***257.
Déesse
d’Antium, ô Déesse fatale ! Fortune, à ton pouvoi
Demain va les bénir. Pindare. — ***257. Déesse d’Antium, ô
Déesse
fatale ! Fortune, à ton pouvoir, qui ne se soumet
du fer. L’Espérance te suit, compagne plus propice ; Et la Fidélité,
Déesse
protectrice, Au Ciel tendant les bras,
Qu’à ses traits, sa gentillesse, Et qu’à mon émotion, Je reconnais ma
Déesse
! C’est l’Imagination. Reine aimable des mens
les héros étaient les fils des dieux et des femmes mortelles, ou des
déesses
et des hommes ; mais saint Augustin, dans ses rec
éro vient du mot grec héra, que portait Junon. L’un des fils de cette
déesse
s’appelait héro, et son nom fut consacré pour dés
ve secondant Persée pendant qu’il attaquait Méduse, et raconte que la
déesse
, surprise de la mélodie que formaient les gémisse
de ses charmes, lui déclara sa passion dans un temple de Minerve. La
déesse
, irritée de cette profanation, changea ses cheveu
l’avait précipité du haut de la citadelle de Minerve, mais que cette
déesse
protectrice des arts, l’avait changé en perdrix.
r à la sûreté des lois. Ce fut alors qu’il introduisit le culte de la
déesse
Pitho, ou la Persuasion, afin qu’elle réunît tous
’Alcide. Galanthis, suivante d’Alcmène, s’en étant aperçue, trompa la
déesse
, et lui dit qu’Alcmène venait de mettre au monde
ise, quitta sa place, et dans ce même instant Hercule vit le jour. La
déesse
, irritée contre Galanthis, se vengea d’elle en la
orte que Junon avait suscité le lion, et qu’Alcide l’ayant vaincu, la
déesse
l’avait placé parmi les astres. Les rois de Syrie
rmi les dieux, et qu’à son arrivée dans le ciel il avait épousé Hébé,
déesse
de la jeunesse. (Allusion à l’immortalité.) Atlas
es de cette île, dit la fable, ayant manqué de respect à Vénus, cette
déesse
les en punit en inspirant à leurs maris de les ab
emple d’Hécate, où l’un et l’autre allaient implorer le secours de la
déesse
. Jason, charmé à la vue de Médée, lui demanda son
son récit, auquel il ne mêle d’autre fiction que l’intervention de la
déesse
Diane. Nous rapporterons ensuite ce que les autre
re pour se venger d’Œnée, qui l’avait oubliée dans ses sacrifices. La
déesse
, indignée de voir ses autels délaissés, envoya un
n’était pas satisfaite. Les Étoliens et les Curètes ; excités par la
déesse
, se disputent entre eux la dépouille du monstre ;
ppomène se présenta ; Vénus, qu’il avait invoquée, le favorisait : la
déesse
lui donna trois pommes du jardin des Hespérides.
au, signifie une femme. Dans la suite des temps, cette Fréa devint la
déesse
de l’amour et de la débauche, la Vénus du Nord, s
isirs, le repos, les voluptés. L’Edda l’appelle la plus favorable des
déesses
. Fréa partageait avec Odin les âmes de ceux qui é
erons qu’indiquer les principales. L’Edda compte douze dieux et douze
déesses
, qui recevaient les honneurs divins, mais dont le
iemdal, l’huissier des dieux. La mythologie islandaise comptait douze
déesses
, à la tête desquelles était Fréa ou Frigga, l’épo
din. Chacune d’elles avait ses fonctions particulières. Eira était la
déesse
de la médecine ; Gélione, celle de la virginité :
inité : Fulla, confidente de Fréa, prenait soin de la parure ; Freya,
déesse
des amans, et plus fidèle que Vénus, pleure sans
a reçoit leurs sermens, et punit ceux qui les violent ; Snotra est la
déesse
des sciences et des bonnes mœurs ; Gna est la mes
s et des bonnes mœurs ; Gna est la messagère de Fréa. Outre ces douze
déesses
, il y a d’autres vierges dans le Valhalla, ou le
était représentée avec divers attributs qui faisaient reconnaître la
déesse
du plaisir. On honorait Odin comme le dieu des co
dispense les pluies, la sécheresse et la fertilité ; Frigga, comme la
déesse
de l’amour et du mariage. Il y avait trois grande
es. La seconde fête était instituée en l’honneur de la Terre on de la
déesse
Frigga. On demandait les plaisirs, la fécondité,
profonde ; on y précipitait quelquefois une victime dévouée à Frigga,
déesse
de la terre. Elle était agréable à la déesse, si
ictime dévouée à Frigga, déesse de la terre. Elle était agréable à la
déesse
, si elle allait promptement au fond ; la déesse a
e était agréable à la déesse, si elle allait promptement au fond ; la
déesse
alors l’avait reçue. Dans le cas contraire, la dé
nt au fond ; la déesse alors l’avait reçue. Dans le cas contraire, la
déesse
la refusait, et on la suspendait dans la forêt sa
trangers. Les Pictes et les Saxons leur firent connaître leur Andate,
déesse
de la victoire : les Romains leur apportèrent aus
dieux une origine humaine, et ne les séparaient point en dieux et en
déesses
. Il en était de même parmi les druides. Les uns e
qui m’a dédommagé de bien des déceptions, on promena sur un char une
déesse
, C’est la Raison ! criait le peuple en courant de
Adonis. Beau jeune homme, aimé de Vénus, tué par un sanglier. La
déesse
obtint de Proserpine qu’elle ne le garderait que
sans craindre ni meute, ni chasseurs, perpétuer son culte à l’antique
déesse
, fille d’Hypérion, qui, tombée de son char, n’est
— Ma mère, dit la petite fille (et ce nom de mère alla au cœur de la
déesse
) que fais-tu seule parmi ces rochers déserts ?” «
it à l’étrangère l’abri de sa cabane, si humble que fût le gîte. « La
déesse
refuse. Elle avait pris la forme d’une vieille fe
méprise pas le pauvre asile de ma chaumière.” « — Conduis-moi, dit la
déesse
, tu as trouvé le secret de me persuader.” — Et qu
tourmente ses longues nuits. « Avant d’entrer sous l’humble toit, la
déesse
cueille dans la prairie sauvage des pavots calman
t, les forces raniment soudain ce faible corps, tant le souffle d’une
déesse
a de puissante vertu ! « Toute la maison est dans
dans tout l’univers le bienfait qui allait en renouveler la face. La
déesse
enfin retrouva sa fille, et Pluton consentit à la
e inépuisable des riches moissons, se vantait d’être le berceau de la
déesse
: c’est dans les plaines d’Enna, au cœur même de
éniennes, enseignaient à de nombreux initiés les mystères de la bonne
déesse
. Mais les dogmes révélés ne devaient pas sortir d
à Douai, la mère-patrie des belles cavalcades, je l’ai vue, la blonde
déesse
, portée triomphalement sur le char de l’Agricultu
es si fréquentes dans ces encaissements de la mer : deux femmes, deux
déesses
, Charybde et Scylla, leur barraient le passage. A
d’étranges visions passaient sous leurs yeux. Ils voyaient la sombre
déesse
s’avancer en traînant la meute hurlante attachée
s à Esculape ; ils lui donnèrent deux filles, Santé et Guérison, deux
déesses
rayonnantes d’une jeunesse immortelle. Aux pieds
ncore des devoirs qui en maintiennent la perpétuité. La sévère Vesta,
déesse
du foyer, ne souffre autour d’elle ni crime ni so
temps à disserter sur la grâce ; ils la demandaient aux dieux. Trois
déesses
, trois sœurs, la dispensaient aux hommes : Aglaé,
ront et qui mangeaient des hommes tout crus. Dans une île régnait une
déesse
qui tuait les naufragés ; dans une autre, une mag
es prières qu’ils leur murmuraient à voix basse, les nommaient bonnes
déesses
, bienveillantes, vénérables, et éprouvaient pour
r sur la mer. L’Europe et l’Asie-se disputent l’honneur de jeter à la
déesse
leur anneau de fiançailles. Laquelle l’emportera
ls ma main brûloit l’enncens : Quand ma bouche imploroit le nom de la
déesse
, J’adorois Hippolyte ; et, le royant sans cesse,
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