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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
tions qu’ils avaient reçus de la Divinité, ils ont voulu se former un culte au gré de leurs passions et de leurs caprices.
à ses passions, songea d’autant moins à conserver les préceptes et le culte du vrai Dieu, qu’il en avait déjà perdu la connai
qui prouvera d’une manière incontestable que les Grecs reçurent leur culte et leurs dieux des colonies égyptiennes et phénic
âtrie. Le mot idolâtrie dérive de deux mots grecs, qui signifient culte et représentation. Il paraît que c’est dans la fa
rs passions, ils cherchèrent des objets sensibles pour leur offrir un culte superstitieux. Les deux fils de Cham, Chanaan et
formellement que les Égyptiens furent les premiers qui rendirent un culte solennel aux dieux . Hérodote, au commencement de
ion, les augures, l’interprétation des songes, malheureux fruits d’un culte superstitieux . Dès le temps de Moïse, l’idolâtri
vivant, parce qu’il avait porté les Égyptiens à rendre aux astres un culte religieux ; mais cette assertion ne s’accorde nul
principe, créateur du ciel et de la terre ; mais ayant trouvé que le culte des astres et des planètes était la religion domi
assage de Diodore prouve à la fois que, de son temps, on regardait le culte des astres comme le plus ancien, et que ce fut en
tres astres, vous ne tombiez dans l’erreur, et que vous ne rendiez un culte d’adoration à des créatures que le Seigneur votre
celles qu’il rencontrerait parmi les autres peuples ; car dès lors le culte des astres était presque universel. Il avait pass
les fondemens de la théologie païenne. On donna le nom de Sabisme au culte qui a pour objet les astres et les planètes. Les
crées, et ce fut ainsi que l’on augmenta le nombre de ces déesses. Du culte des astres on passa à celui du ciel, des élémens,
onorer des portraits, consacrer des bois, des asiles ; cette sorte de culte commença dans l’Égypte peu de temps après la mort
ls furent regardés comme le soleil et la lune, et l’on confondit leur culte avec celui de ces deux astres. Il paraît que c’es
taient dans la dépendance de ce grand être, et qu’ils lui devaient un culte . Les livres saints nous ont instruits que ce cult
ls lui devaient un culte. Les livres saints nous ont instruits que ce culte avait été prescrit par la divinité même, et les r
tte de ces derniers, on craignait leur influence ; on leur rendait un culte pour les apaiser quand on les croyait irrités. Ce
, surtout ceux qui désignaient les lois nouvelles, les coutumes et le culte qu’ils apportaient aux Grecs. Ces derniers, en le
iété ; c’est d’eux qu’ils reçurent les cérémonies de la religion ; le culte des dieux, les sacrifices ; et les Grecs, en adop
es Grecs, en adoptant leur religion, s’approprièrent leurs fables. Le culte de Bacchus fut formé sur celui d’Osiris. La fable
’Osiris. La fable de Vénus et d’Adonis était originaire de Syrie ; le culte de cette déesse était arrivé à Chypre, à Cythère,
oms étaient venus de l’Égypte. » Le même auteur nous apprend que le culte de Bacchus ou Dionysius fut introduit dans la Grè
t pour assurer que Cécrops, en venant s’établir à Athènes, y porta le culte de Minerve, qui était honorée à Saïs, sa patrie.
Saïs, sa patrie. Ce fut le même prince, selon Pausanias, qui régla le culte des dieux et les cérémonies de la religion avec b
venus par la suite, n’aient apporté avec eux et la connaissance et le culte de leurs dieux. En effet, des chefs de colonies n
lir, il est probable que leur premier soin est d’y faire adopter leur culte . Souvent ils y trouvent de la résistance. Cadmus,
ils y trouvent de la résistance. Cadmus, avant essayé d’introduire le culte de Bacchus dans la Béotie, fit naître la guerre q
d des dieux, était soumis à ses décrets. Le destin avait son genre de culte  ; mais, comme il ne pouvait être compris par l’in
escynthya. Ils viennent de différentes montagnes où on lui rendait un culte particulier. On l’appelait aussi Ops et Tellus, p
, qui arrivait le 25 de mars, fut instituée en mémoire du temps où le culte de Cybèle fut apporté de Phrygie à Rome. Les Roma
e, condamnée à enfanter avec douleur, est cachée sous cette fable. Le culte de Cybèle et de la Terre est extrêmement ancien.
temps que la lune, sous le nom d’Isis. Telle paraît être l’origine du culte de la terre, qui passa, avec les autres cérémonie
suivi la même marche. Les Romains se distinguèrent extrêmement par le culte qu’ils rendaient à la mère des dieux. On donne so
r nombre fut augmenté jusqu’à sept. Les vierges romaines destinées au culte de Vesta étaient choisies depuis l’âge de six ans
e sur laquelle était une inscription honorable. Il est certain que le culte de Vesta et du feu avait été apporté de Phrygie p
titre d’Avesta, ou garde du feu, à celui de ses livres où il parle du culte du feu. Jupiter. On s’effraie lorsqu’on veu
les plus connus de Jupiter, la manière dont on le représentait, et le culte qu’on lui rendait. En donnant cette étendue à son
la mer. Sem, troisième fils de Noé, hérita du reste de l’Asie, où le culte du feu devint presque général, et où plusieurs vi
grec, et veut dire sable. La fable dit que cette représentation et ce culte viennent de ce que Bacchus, s’étant égaré dans le
rouvera dans les fables des dieux, des demi-dieux et des héros. Du culte rendu à Jupiter. On ne peut pas douter que le
à Jupiter. On ne peut pas douter que le plus solennel de tous les cultes rendus aux dieux du paganisme était celui que l’o
s. Parmi les arbres, le chêne et l’olivier lui étaient consacrés. Son culte était presque universel : mais personne ne l’hono
avoir vue naître : Samos surtout, et Argos où elle était honorée d’un culte particulier. Homère dit qu’elle fut élevée par Oc
où elle reprit sa première forme. Elle eut un fils nommé Épaphus. Le culte que les Égyptiens rendaient à la déesse Iris, sou
. De toutes les divinités du paganisme, il n’y en avait point dont le culte fût plus solennel et plus répandu. Les prodiges q
qu’on n’oubliait rien pour l’honorer et la fléchir ; de sorte que son culte était presque plus général que celui de Jupiter.
er celle d’Hymen. Ce fut pour consacrer son souvenir et lui rendre un culte , que les Grecs donnèrent le nom d’hyménée aux fêt
; ce que l’on n’observe jamais dans les représentations d’Apollon. Le culte du Soleil est le premier de tous les cultes idolâ
résentations d’Apollon. Le culte du Soleil est le premier de tous les cultes idolâtres ; nous l’avons déjà désigné sous le nom
de la lune. La fière Niobé, piquée de ce que l’on rendait à Latone un culte religieux, tandis qu’on la délaissait, quoique pa
fêtes qu’elle célébrait en son honneur. Toutes les cérémonies de son culte avaient rapport au soleil, dont il était le symbo
ait presque autant de noms qu’il y avait de pays où on lui rendait un culte . Nous avons cité les principaux, mais nous allons
on son frère. Diodore explique cette contradiction, en disant que le culte de cette divinité fut rapporté de l’Égypte dans l
le de Cadmus l’histoire et la fable du Bacchus égyptien. En effet, le culte que l’on rendait à ce dieu et celui que l’on rend
e rapprochement sert à prouver de plus en plus que la Grèce devait le culte de ses dieux et même la plupart de leurs noms aux
ir été le véritable Bacchus. L’histoire fait reconnaître aussi que le culte de cette divinité fut porté dans la Grèce par Cad
ses adorateurs, lorsqu’on osait troubler ses fêtes ou s’opposer à son culte . Penthée, fils d’Echion et d’Agavé, voulut empêch
e Jupiter ; mais long-temps avant eux, les Égyptiens lui rendaient un culte . Parmi cinq déesses de ce nom, que Cicéron reconn
d’autant plus vraisemblable, que l’on ignorait à Saïs le temps où le culte de Minerve avait commencé : tout porte à croire q
une colonie dans la Grèce, où l’on adopta bientôt ses coutumes et son culte . Ce prince avait une fille qu’il avait fait nomme
rve, Les habitans de l’île de Rhodes se distinguèrent beaucoup par le culte qu’ils rendirent d’abord à Minerve ; mais ils le
représentait. Les Athéniens, pour donner encore plus de solennité au culte de Minerve, célébraient en son honneur les fêtes
pour lequel le terrain se trouve très-convenable. Il fit recevoir le culte de Minerve, à qui cet arbre était particulièremen
coulait de ces blessures, mais cette cruauté n’était que simulée. Le culte de Bellone, très-célèbre à Rome, l’était beaucoup
en l’honneur de Vénus, que l’on nomma orgies ; et, pour veiller à son culte , il forma un collège de prêtres. Tacite, Évhémère
dire la planète de ce nom ; et, par la suite des temps, on mêla à son culte celui d’Astarté, femme d’Adonis. Lorsque les Phén
eur beauté ; mais les plus profanés par la licence et le désordre. Le culte de Vénus variait à l’infini. Dans quelques lieux,
bles appartiennent beaucoup plus à la poésie qu’à la mythologie. Leur culte , leurs temples et leurs autels se confondaient av
ns nombre. On dit que ce fut Étéocle, roi d’Orchomène, qui régla leur culte , et fit élever leur premier temple. Par la suite
éroglyphiques, qui, par la suite, servirent à conserver la mémoire du culte religieux et des mystères. Diodore de Sicile, d’
ases et des mots. Après avoir fixé les pratiques des sacrifices et le culte des dieux, il forma quelques hommes dans la conna
, chaque fontaine, chaque amas d’eau eut sa divinité particulière. Ce culte variait comme les coutumes et les opinions des di
ait comme les coutumes et les opinions des différens peuples, mais le culte de l’eau était général. Les Égyptiens avaient la
les plus surprenans, et les poëtes étendirent infiniment ce genre de culte et d’idolâtrie en y joignant leurs fonctions. De
s’empara de l’argent amassé dans le temple de Neptune, et négligea le culte d’Apollon. Une violente irruption de la mer détru
dieux pénates, et chacun d’eux eut ses honneurs, ses fonctions et son culte . On les considéra d’abord comme des êtres invisib
onctions et leurs noms prouvent qu’ils ne devaient leur origine et le culte qu’on leur rendait qu’au besoin que les hommes av
sur le mont Tarpeïen, institua des fêtes en son honneur, et régla son culte . Il fit représenter ce nouveau dieu sous la forme
ine. Les Romains honorèrent une seconde Flore, et lui attribuèrent le culte rendu à la première, qui n’était probablement qu’
maladie de la rouille. Bonus Eventus, bon succès, était honoré d’un culte particulier : sa statue, faite par Praxitèle, éta
a, fille de Sangar. Il paraît que ces bizarres divinités doivent leur culte à la frayeur et à la surprise qu’inspira la vue d
ême temps. Après la mort de Silène, on l’honora comme demi-dieu ; son culte était indépendant de celui qu’on rendait à Bacchu
familles y joignaient les âmes de leurs parens et de leurs amis. Leur culte se bornait à renfermer de petites figures dans le
it fort commun, les magistrats nommaient ceux qui devaient veiller au culte des dieux lares, que l’enfant adoptif semblait ab
gine avaient seules donné lieu à cette généalogie. Il paraît que leur culte était venu de Phrygie, et avait été apporté par É
s, avec la manière de les cultiver. Ils rapportèrent en même temps le culte de la divinité qui présidait à l’agriculture. Le
er les mystères de la déesse. Dans le même temps, Triptolème reçut le culte dans Éleusis, où il régnait ; il voulut même être
sins, de leur apprendre les travaux de Cérès, et de faire adopter son culte . Telle est l’origine de la fable de Cérès et de T
n du paradis terrestre a fait naître l’idée des Champs-Élysées, Du culte des enfers. Jamais on n’élevait d’autels à ces
ième livre de la Cité de Dieu, par saint Augustin, quelques traces du culte qu’on lui rendait. Scipion, le destructeur de Num
des vœux, des prières. Il est impossible de désigner le moment où ce culte commença. Dans les combats, on donnait au dieu de
r le véritable Esculape. Honoré comme un dieu dans ces deux pays, son culte passa dans la Grèce, et fut apporté par des colon
le dessin d’un grand vaisseau. Ce fut ainsi que, l’an de Rome 462, le culte d’Esculape fut établi parmi les Romains. Nous ne
2 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
a à l’idée d’un dieu bon celle d’un génie malfaisant. Vint ensuite le culte de la nature, dans laquelle les hommes crurent tr
tte race fut prompte à se corrompre et à rendre à des objets créés le culte qui n’est dû qu’au Créateur. Les fils de Cham, Ch
u’elle changea en pin, et cet arbre lui fut dès lors consacré. 14. Culte de Cybèle. Le culte de Cybèle fut apporté de P
et cet arbre lui fut dès lors consacré. 14. Culte de Cybèle. Le culte de Cybèle fut apporté de Phrygie en Grèce et en I
a fille, déesse du feu et de la chasteté. Ce fut Enée qui apporta son culte en Italie. Le roi Numa Pompilius lui bâtit un tem
après Diodore, la naissance et l’histoire de Cybèle ? 14. Par qui son culte fut-il apporté en Italie ? Comment s’appelaient s
t elle porte quelquefois le nom ? Qui est-ce qui apporta en Italie le culte de Vesta ? Quel roi de Rome lui bâtit un temple ?
apet Représente enchaîné sur son triste sommet. La Fontaine. 27. Culte et attributs de Jupiter. Toutes les nations pa
us le nom d’Osiris, et le reste de l’Afrique sous le nom d’Ammon. Son culte surpassait en solennité tous les autres. On offra
piméthée. 26. Faites connaître la fable de Pandore. 27. Quel était le culte de Jupiter, et que sacrifiait-on sur ses autels ?
lus tard à quel prix Latone devint mère d’Apollon et de Diane. 29. Culte et attributs de Junon. Dans le sens allégoriqu
ets de sa haine, on ne négligeait rien pour se la rendre propice. Son culte était répandu partout ; mais elle était particuli
ine des dieux, que protégeait-elle ? Quelles villes l’honoraient d’un culte particulier ? A quoi présidait Junon ? Comment la
lle de Cécrops fut appelée Athènes, du nom de sa bienfaitrice. 33. Culte et images de Minerve. Athènes reconnaissante é
brisé dans sa chute, il paya de sa vie son criminel attentat. 38. Culte et attributs d’Apollon. Le culte d’Apollon éta
vie son criminel attentat. 38. Culte et attributs d’Apollon. Le culte d’Apollon était répandu partout ; mais la ville d
er, pendant la nuit, le cours de la lune et des autres astres. 41. Culte et attributs de Diane. Le culte de Diane s’acc
lune et des autres astres. 41. Culte et attributs de Diane. Le culte de Diane s’accordait avec ses mœurs sauvages. On
os, lieu de sa naissance, où elle était particulièrement honorée, son culte s’était répandu partout. Entre tous les temples q
n ? Comment explique-t-on cette fable ? 41. De quelle nature était le culte de Diane ? Quelles victimes lui étaient offertes
x honneurs de l’Olympe, avait osé outrager la reine des dieux. 48. Culte et images de Mercure. Le culte de Mercure étai
outrager la reine des dieux. 48. Culte et images de Mercure. Le culte de Mercure était répandu en Egypte, en Grèce et e
e, quels services Mercure rendit-il aux dieux ? 48. Dans quel pays le culte de Mercure était-il répandu ? Quelle singularité
, à ce qu’on croyait, l’origine du célèbre tribunal de ce nom. 50. Culte et images de Mars. Mars était peu honoré chez
z les Grecs, beaucoup chez les Thraces ; les Romains lui rendaient un culte particulier. Ils le regardaient comme le père de
Quelle fut l’origine du tribunal appelé Aréopage ? 50. Quel était le culte de Mars chez les Grecs et chez les Romains ? Quel
e le caractère et les effets de la funeste passion de l’amour. 54. Culte et images de Vénus. Le culte de Vénus était fo
la funeste passion de l’amour. 54. Culte et images de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu chez les Grecs. Les S
légorique de son histoire ? 54. Pourquoi les Romains rendaient-ils un culte particulier à Vénus ? Dans quels lieux étaient si
’Erisichthon le prouve. C’était un Thessalien qui, par mépris pour le culte de Cérès, abattit une forêt qui lui était consacr
écouvert, le malheureux finit par dévorer ses propres membres. 57. Culte et images de Cérès. Le culte de Cérès était fo
r dévorer ses propres membres. 57. Culte et images de Cérès. Le culte de Cérès était fort répandu. Cependant la Sicile
ut délivré qu’en Phrygie par Cybèle, qui l’initia aux mystères de son culte . Pendant ce voyage, il s’était endormi dans l’île
lui sont dus : Les jours donnés à Dieu ne sont jamais perdus. 62. Culte et images de Bacchus. Les fêtes de Bacchus s’a
fatal aux femmes qui le portèrent, et le sceptre d’Agamemnon. 64. Culte et images de Vulcain. On célébrait à Athènes,
avec les corps, et que c’étaient autant de génies propices : de là le culte qu’on leur rendait. Il consistait dans de petites
nt les Lares, les Pénates, les Mânes ? Quelle est leur origine ? Quel culte leur rendait-on ? Chapitre XVI. Divinités de
r, au nombre de plus de trois mille. Les nautoniers leur rendaient un culte particulier. Dans les temps calmes, on immolait e
sur les fleuves, dont il était le père. Les anciens lui rendaient un culte solennel et lui confiaient le soin de leur vie lo
uelle union naquirent les Océanides ? Qu’étaient ces divinités ? Quel culte leur rendait-on ? Qu’était-ce qu’Océan ? Quel éta
s ? Quel culte leur rendait-on ? Qu’était-ce qu’Océan ? Quel était le culte qu’on lui rendait ? Comment le représentait-on ?
cumulé sur un seul ce qui appartient à plusieurs. 75. Attributs et culte de Neptune. Comme souverain des mers, Neptune
les Tritons et les Néréides l’accompagnent et forment son cortége. Le culte de Neptune passa de la Libye, où il prit naissanc
75. Comment représente-t-on Neptune ? Dans quel pays se répandit son culte  ? Quels jeux furent institués par les Grecs en so
lait la métempsycose, ou transmigration des âmes. 83. Pluton ; son culte  ; ses attributs. Pluton, troisième fils de Sat
Enfers. Pourquoi était-il généralement haï et redouté ? Quel fut son culte en Grèce et en Italie ? Comment le représente-t-o
lle présente à des enfants. La Pitié présidait elle-même à son propre culte . On lui offrait des sacrifies, particulièrement c
ernissaient souvent l’éclat par des actions infâmes, ils obtinrent un culte et des autels. C’est que, à ces époques reculées,
iquité crédule a perdu ses miracles ; Tous ces dieux que tu fis, leur culte , leurs oracles, Tout est anéanti : tes autels son
t revient par l’Europe, répandant partout les lettres, les lois et le culte de ses divinités. Mais pendant son absence, Typho
ays. Ces animaux étaient, pendant leur vie, l’objet d’un soin et d’un culte particuliers, et, après leur mort, on les embauma
était de la part des Egyptiens l’objet des plus grands honneurs et du culte le plus solennel. Ils croyaient qu’après la mort
ieurs villes de la Grèce. L’empereur Alexandre-Sévère introduisit son culte à Rome l’an 146 de Jésus-Christ. Mais ces fêtes é
es autres dieux de l’Égypte ? A quelle espèce d’animaux rendait-on un culte particulier ? 130. Qu’était-ce que le bœuf Apis ?
ellent-t-ils puritains du paganisme. Ils avaient admis le sabéisme ou culte des astres. Ils adoraient le Soleil, la Lune, les
oleil, lorsqu’il entre, au mois d’avril, dans le signe du taureau. Le culte de Mithra, qui s’était introduit à Rome vers l’an
comparée à celle des autres peuples de l’antiquité ? Quel était leur culte  ? Qu’étaient les Mages ? Qu’était-ce que Zoroastr
blème présente-t-il ? Comment est-il représenté ? A quelle époque son culte fut-il introduit à Rome ? Comment s’appelaient le
ur, qui doit unir tous les hommes entre eux sans aucune exception. Le culte des Indous est rempli de pratiques superstitieuse
t parmi eux les eubages, ou sacrificateurs, chargés des cérémonies du culte , et les bardes, qui chantaient des hymnes divins
ns de Carnac (Morbihan) sont couverts des monuments grossiers de leur culte . Ce sont d’énormes pierres brutes, tressées dans
ur l’arbre sacré des druides, sur le chêne. On a peine à concevoir le culte national dont cette plante était l’objet et les c
trie vient aussi du grec : de eidôlon, idole ou image, et de latreia, culte , adoration. 4. Prononcez comme si ce nom était é
ent on l’explique : Les Phéniciens ayant très-anciennement apporté le culte de Vénus dans l’île de Chypre, puis dans l’île de
31. On voit le rapport qui existe entre ces fêtes et les rogations du culte chrétien. 32. Le thyrse était un javelot environ
3 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
mots grecs, dont le premier signifie fable et le second discours. Le culte des faux dieux s’appelle idolâtrie1. Il faut, ava
dépend pas de la volonté de l’homme fut divinisé. Le premier objet du culte de l’homme, abandonné à ses propres lumières, dut
leur donna une famille, et multiplia de cette sorte les objets de son culte  ; il mêla à leur histoire, qui n’était d’abord qu
s eurent perdu la connaissance du vrai Dieu, quel fut l’objet de leur culte  ? — Quelles créatures commencèrent-ils à adorer ?
uxième guerre punique, et la troisième pendant le règne d’Auguste. Culte de Saturne. On institua à Rome des fêtes en l’
ment dans une humble chaumière, habitée par deux vieillards soumis au culte des dieux ; c’étaient Philémon et Baucis, sa femm
qu’une tradition défigurée du déluge universel raconté par Moïse. Culte de Jupiter. Nous retrouverons souvent Jupiter
, avant d’arriver aux autres dieux, nous devons dire quelque chose du culte que les hommes lui rendaient et de la manière don
’Ammon, la Grèce sous celui de Zeus ; l’Égypte l’appelait Osiris. Son culte surpassait en magnificence celui des autres dieux
 ? — Que firent Deucalion et Pyrrha après le déluge ? — Quel était le culte de Jupiter ? — Que sacrifiait-on sur ses autels ?
Après sa mort, elle fut honorée des Égyptiens sous le nom d’Isis. Culte et attributs de Junon. Junon représente l’air
res. Ses villes de prédilection étaient Samos, Argos et Carthage. Son culte était répandu partout. Elle présidait aux mariage
tes, même involontaires, étaient punies avec une extrême sévérité. Culte , temples et images de Diane. Le culte de cette
vec une extrême sévérité. Culte, temples et images de Diane. Le culte de cette déesse était en rapport avec son caractè
? — Diane n’était-elle pas la déesse de la chasteté ? — Quel était le culte de Diane, et quels sont les temples les plus célè
funeste des Labdacides, dont nous aurons plus tard à nous occuper. Culte et image de Minerve. Athènes ne se montra pas
rt de sa bouche et s’attache aux oreilles de ceux qui l’écoutent. Son culte était universellement répandu en Égypte, en Crète
? — Comment le représente-t-on ? — Qu’est-ce que le caducée ? — Où le culte de Mercure était-il surtout répandu ? — Quel nom
eil des dieux, et que l’assemblée, tenue dans Athènes, l’acquitta. Culte de Mars chez les Romains. Les Romains l’ont be
urs ; Elle passe à gémir et les nuits et les jours. La Fontaine. Culte de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu
ir et les nuits et les jours. La Fontaine. Culte de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu dans la Grèce et dans
ième partie. Divinités de la terre. § 1. Cybèle. Naissance, culte , images de Cybèle. Cybèle, fille d’Uranus et d
our son prêtre, Atys, berger phrygien. Elle lui confia le soin de son culte , et lui commanda de faire vœu de chasteté. Le jeu
ui-même. Cybèle le changea en pin, et cet arbre lui fut consacré. Son culte était originaire de la Phrygie, d’où il passa dan
, il ne faut pas la confondre avec la déesse dont Numa introduisit le culte dans Rome. Cette Vesta était le symbole du feu sa
impitoyable envers un Thessalien nommé Érésichton, qui, méprisant son culte , rasa une forêt qui lui était consacrée. Ce malhe
ons, et, suivant le proverbe, mangent leur blé en herbe. Plutus. —  culte et images de Cérès. Cérès est la mère de Plutu
n d’Orchomène y prenait part. Les Minéides seules, qui méprisaient un culte extravagant, ne veulent quitter ni leurs navettes
lui sont dus : Les jours donnés aux dieux ne sont jamais perdus. Culte et images de Bacchus Les fêtes de Bacchus s’ap
-t-on Bacchus ? § 4. Vulcain. Naissance, disgrâces, travaux, culte et images de Vulcain. Vulcain, le dieu du feu,
n comptait pas moins de trois mille. Ces Nymphes étaient l’objet d’un culte particulier ; les nautoniers leur offraient des l
t sur les fleuves dont il était le père. Les anciens lui rendaient un culte solennel, et l’invoquaient au départ des expéditi
les maritimes, qui se disaient fils du dieu des mers. Attributs et culte de Neptune. Neptune est le souverain des mers.
à la main un trident. Les Tritons et les Néréides l’accompagnent. Le culte de Neptune prit naissance en Libye et se répandit
tait-on de fleuves dans l’Enfer ? § 2. Pluton. Pluton. — son culte et ses images. Pluton, que les Grecs nomment A
ans la voûte céleste, où il forma la constellation du Serpentaire. Le culte d’Esculape se répandit dans la Grèce et dans l’It
antiquité dénaturé les pures croyances de la révélation primitive. Le culte des anciens Perses était d’une simplicité extrême
s. Seul entre toutes les divinités des Perses, il a des images, et un culte spécial accompagné de cérémonies sacrées. Les prê
-Avesta, livre sacré, composé par Zoroastre, prêtre et réformateur du culte des Mages. Questionnaire. Quels furent les
e des Mages. Questionnaire. Quels furent les premiers objets du culte des Perses ? — Quel noms les Perses donnent-ils a
ent toutes les fois que la mort venait leur enlever cet objet de leur culte . Les Égyptiens honoraient encore, comme une divin
t d’Isis ? — Qu’est-ce qu’Hermès ? — A quelle époque s’introduisit le culte de Sérapis ? IV. Croyances des Scandinaves et
elques mots sur les croyances des anciens habitants de la Gaule. Leur culte n’avait d’autre temple que les sombres forêts, l’
mée de deux mots grecs, dont l’un signifie idole ou image, et l’autre culte , adoration. 2. Il faut distinguer Diane de l’anc
4 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
les Dieux suprêmes ou Dieux des nations, ainsi appelés parce que leur culte était honoré généralement et en tous lieux. Ces D
ans la troisième, des Demi-Dieux et des Héros ; dans la quatrième, du culte rendu aux faux Dieux, des jeux publics, des monum
orsions épouvantables3. Questions. Qu’est-ce que Cybèle ? — Quel culte lui rendait-on sous le nom de Vesta ? — Comment l
rphosa en cerf, et il fut aussitôt déchiré par ses propres chiens. Le culte de cette Déesse était très-honoré par les anciens
le nom de Diane, quelles étaient ses fonctions sur la terre ? — Quel culte lui rendait-on ? — Comment la représente-t-on ?
punit souvent de la manière la plus sévère ceux qui se refusaient au culte qui lui était dû. Penthée, roi de Thèbes, et Lycu
conquérant ? — Comment ce Dieu punit-il ceux qui n’honoraient pas son culte  ? — Comment célébrait-on ses fêtes ? — N’avait-il
us la figure de trois jeunes filles dont les bras sont entrelacés. Le culte de Vénus était honoré partout ; on ne lui sacrifi
 Quels furent ses enfants les plus connus ? — Comment honorait-on son culte  ? — Comment la représente-t-on ? X. — Vulcain
e lui étaient consacrés ; on lui immolait le cheval et le taureau. Le culte de Neptune était très-honoré, car ce Dieu était r
à son époux et devint la reine des Enfers ; l’antiquité honorait son culte en cette qualité. On lui donnait aussi le nom d’H
nion de Mars avec Rhea Silvia, fille de Numitor, roi d’Albe. Aussi le culte du fils de Junon était-il plus honoré à Rome que
lectryon de sa négligence ? — Les Romains ne lui rendaient-ils pas un culte particulier ? — Comment le représentait-on ?
l dans l’Attique ? — Parvint-elle enfin à retrouver sa fille ? — Quel culte lui rendait-on ? — Comment la représentait-on ?
e lui sacrifiait aucune victime ; mais ceux qui voulaient honorer son culte couraient pendant la nuit de maison en maison, ma
Quelles étaient les fonctions de Comus ? — Comment honorait-on son culte  ? — Comment le représentait-on ? Cupidon.
Cupidon, fils de Vénus, était le Dieu des tendres attachements. Le culte que l’on rendait à sa mère lui était commun. A pe
ités champêtres. On dit qu’il naquit en Arcadie, où on lui rendait un culte particulier sur les monts Ménale et Lycée. Ce fut
, fuyant sa patrie, où il avait tué son père par accident, apporta le culte de ce Dieu dans le Latium. Romulus créa en son ho
ucille. Questions. Qu’était-ce que Pan ? — Où naquit-il, et quel culte lui rendait-on ? — A quelle occasion inventa-t-il
ois et des forêts. A Rome, les hommes seuls pouvaient prendre part au culte rendu à Sylvain ; on lui sacrifiait du lait et un
s par Apollon. Questions. Qu’était-ce que Sylvain ? — En quoi le culte qu’on lui rendait à Rome était-il remarquable ? —
es Néréides ? — Quelles sont les plus célèbres ? — Leur rendait-on un culte  ? — Comment les poëtes et les peintres les ont-il
déposaient leurs chaînes au pied de leurs autels. On leur rendait un culte continuel dans l’intérieur de chaque maison, et l
gle. Bien qu’il ne figurât pas parmi les principaux Dieux, et que son culte fût peu honoré, son pouvoir était regardé comme s
Questions. Qu’est-ce que la Fortune ? — Était-elle l’objet d’un culte empressé ? — Comment la représente-t-on ? La
Fable considérait-elle la Nécessité ? — En quoi était remarquable le culte qu’on lui rendait ? — Quels sont les attributs au
cré. Questions. Quel peuple se montra particulièrement dévoué au culte de la Liberté ? — Comment les anciens représentai
habitants de Céphallénie, île de la mer Ionienne, les honoraient d’un culte particulier ; chez les Romains il était d’usage q
— Quel établissement fonda-t-il en Italie ? Quatrième partie. Culte rendu aux Dieux du paganisme. I. — Les Templ
mples, les Prêtres et les Sacrifices. On croit généralement que le culte des faux Dieux est originaire de l’Orient. Il fut
inité avait ses prêtres propres, qui étaient chargés de veiller à son culte et qui vivaient des offrandes faites aux idoles d
gir leurs autels de sang humain. Questions. De quelle contrée le culte des faux Dieux tira-t-il son origine ? — Où furen
e cités ? — Quel fut le principal temple élevé par les Romains ? — Le culte des faux Dieux n’était-il pas desservi par des pr
les vents inspiraient à ceux qui s’aventuraient sur les flots, et le culte qu’on leur rendait pour calmer leur fureur. L’his
ne année de famine, chercher des grains en Égypte, en rapportèrent le culte de la Bonne Déesse. Le Dieu Terme dut sa création
en grec, veut dire tout ; de sorte que, suivant quelques auteurs, le culte que l’on rendait à ce dieu s’adressait à l’ensemb
5 (1850) Précis élémentaire de mythologie
es voyons au contraire lui offrir des sacrifices et s’efforcer par le culte de la prière d’apaiser son courroux. Pendant plus
homme, était mort auparavant, et il établit parmi ses serviteurs son culte et des sacrifices. Par la suite, cette coutume im
dait la Nuit comme la mère des dieux et des hommes. On lui rendait un culte solennel, et l’on immolait sur ses autels des bre
 ? 4. Quelle divinité est née du Chaos ? Qu’est-ce que la Nuit ? Quel culte lui rendait-on ? Comment était-elle représentée ?
pourrait énumérer tous les titres sous lesquels il fut adoré. 13. Son culte fut vraiment universel. Il avait des temples chez
i légitime ces applications et ces rapprochements ? 13. Quel était le culte de Jupiter ? Quelles victimes lui offrait-on ? Où
lait tout l’Olympe par son humeur rancunière et vindicative, avait un culte très-répandu et très-solennel. Ses vengeances et
comme la déesse de l’agriculture. Les Athéniens avaient pour elle un culte tout spécial. Ses fêtes furent appelées Eleusines
romenait sur un char traîné par des biches et des cerfs blancs. 4. Le culte de cette déesse était cruel et farouche comme son
 ? Comment était-elle représentée ? 4. Quel était le caractère de son culte  ? Où était le plus célèbre de ses temples ? Comme
es Romains et les peuples du Nord ont eu pour le dieu de la guerre un culte plus profond et plus éclatant que les Grecs et le
ruauté ? 5. En quel lieu était-il spécialement honoré ? Quel était le culte des Romains pour Mars ? Quel était le premier de
es et tumultueuses qui rappelaient le retour d’Adonis à la vie. 7. Le culte de Vénus fut universel comme la corruption qu’il
s lieux eut-il des temples ? Comment se célébraient ses fêtes ? 7. Le culte de Vénus était-il bien répandu ? Où était-elle pa
ccupations des heureux mortels qui y séjournaient ? 10. Quel était le culte de Pluton ? Quelles plantes lui étaient consacrée
u des bergers et le vénérèrent comme le protecteur des troupeaux. Son culte était surtout répandu en Arcadie où la population
champ, et c’est ici le mien. On dit que Numa introduisit à Rome le culte de ce dieu, ce qui signifie que sous ce prince la
le dieu Pan chez les Egyptiens et chez les Grecs ? Dans quel lieu son culte était-il spécialement répandu ? Quelle fête se cé
atues dans le lieu le plus secret de la maison, et on leur offrait un culte et des sacrifices dans l’intérieur de la famille
souvent fait confondre avec eux. Les Romains étaient très-attachés au culte de ces divinités domestiques. Enée fut beaucoup l
nates ? Parmi quelles divinités étaient-ils choisis ? Quel était leur culte  ? Pourquoi les a-t-on confondus avec les Lares ?
Paresse était fille du Sommeil et de la Nuit. Il nous semble que son culte était aussi digne des habitants des villes que de
épargner les infirmités qui lui font cortége. On rendait également un culte public à la Fièvre, à la Goutte et à une foule de
la Vieillesse était-elle fille ? Que lui demandaient les Grecs ? Quel culte rendaient-ils aux Maladies ? 5. Quelle était l’or
e déesse pour compagnie, et consacrent à cette dualité monstrueuse un culte infâme et déshonorant. 2. Brahma, le premier memb
elle du ciel. Tout en admettant l’unité de Dieu, ils adressaient leur culte au feu et aux astres, et ils poussèrent peut-être
tion de tous les dieux d’or, d’argent et de bois, qu’on honorait d’un culte à Babylone. Le livre d’Esther nous apprend égalem
hra, le plus brillant des izeds. Cet esprit médiateur avait aussi son culte et ses autels. On le représentait sous la figure
charmer et d’obtenir leurs faveurs. C’est ainsi qu’il prostituait son culte au bélier qui féconde les troupeaux, au chien qui
ne se créa pas un aussi grand nombre de divinités, et leur adressa un culte plus sauvage et moins mélancolique. Au lieu d’adm
. Suivant. V. Ville. A Abimelech, roi de Gérare, 7. Abraham ; culte du vrai Dieu au temps de ce patriarche, 7. Absyr
Dieu, 7. Admète, roi de Thessalie, 33, 70. Adonis, son hist. et son culte , 58. Adraste, roi d’Argos, 138. Adrastée, nymph
, bœuf, 181. Apollon, un des douze grands dieux, 21 ; son hist., son culte , 32 et suiv. Apollonius de Rhodes, poëte, 109.
Démons, 174. Diane, une des douze grandes div., 21 ; son hist., son culte , 39 et suiv. Didon, reine de Carthage, 148. Di
mmes, 8, 178 ; feu sacré entretenu par les Vestales, 19. Fièvre, son culte chez les Grecs, 98. Flore, son culte et ses attr
les Vestales, 19. Fièvre, son culte chez les Grecs, 98. Flore, son culte et ses attributs, 78. Foi, bonne Foi, div. allég
ce, fille de Thémis, 90. Fortune, div. allégorique, 99. Fraude, son culte , 97. Fréa et Frigga, ép. d’Odin, 191. Frya, 191
’Océan, 44. Gorgones, sœurs issues de Neptune, 44, 127. Goutte, son culte chez les Grecs, 98. Grâces, 56. Grèce, 104, 136
ces, 56. Grèce, 104, 136, 142, 152, 154. Grecs, leurs dieux et leur culte , 42, 35, 47, 76, 98, 99 ; leurs expéditions héroï
t suiv. Jupiter, fils de Saturne, sa naissance, 14 ; son hist., son culte et ses attributs, 20 et suiv. Justice, fille de
ouze grands dieux, 21 ; voyage avec Jupiter, 24 ; son histoire et son culte , 41 et suiv. Messénie, c. du Pélop., 139. Méte
douze grandes divinités, 21 ; sa naissance, 23 ; son histoire et son culte , 44 et suiv., 85, 128, 136. Minorque, lie des Ba
ls de Saturne, 14 ; un des douze grands dieux, 20 ; son histoire, son culte , ses fêtes, 61 et suiv. Nérée, div. maritime, 6
nte, 92 Pallas, vaincue par Minerve, 44. Pan, dieu des bergers, son culte , 76. Panathénées, fêtes, 46. Parses et Parsis,
Vénus, 56. Rollin , auteur cité, 181. Romains, leurs dieux et leur culte , 48, 77, 78, 89, 100, 126. Rome, protégée de Mar
onoré chez les Perses, 173. Térée, changé en huppe, 152. Terme, son culte , 79. Terminales, fêtes du dieu Terme 80. Terre,
rore, 85, 98. Vénus, une des douze grandes div., 21 ; son hist., son culte , 56 et suiv., 144. Verbe créateur, chez les Pers
es Romains, 92. Vieillesse, habite le vestibule de l’enfer, 68 ; son culte , 98. Vierge, const., 34. Vischnou, div. de l’In
orique, 111. Vulcain, un des douze grands dieux, 24 ; son hist., son culte , 50 et suiv., 145. X Xanthe, ou Scamandre,
6 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
e : car il est généralement reconnu que les Égyptiens n’avaient aucun culte pour les demi-dieux. Ils n’accordaient ce titre à
lonies civilisées leur apportent les sciences, les arts, des lois, un culte religieux. Habiles à profiter des leçons de leurs
l composa le royaume d’Athènes. Il y établit les lois de son pays, le culte de ses dieux, et surtout celui de Minerve, si par
utre l’alphabet, inconnu jusqu’alors dans la Grèce, Cadmus apporta le culte des divinités de l’Égypte, et surtout celui d’Osi
n la respectait ; mais les Grecs furent les premiers à leur rendre un culte . C’est aussi de leur langue que dérivé le mot hér
es allaient habiter le séjour des dieux ; cette opinion donna lieu au culte qu’on leur rendit. Le culte des dieux et celui de
r des dieux ; cette opinion donna lieu au culte qu’on leur rendit. Le culte des dieux et celui des héros n’était point le mêm
ons. Il est très-difficile de fixer avec précision le temps auquel le culte des héros commença. Les anciens ne disent rien de
l ils avaient vécu ; souvent d’autres peuples les adoptaient, et leur culte avait le même éclat et la même étendue que leur r
es noms de tous ceux auxquels la Grèce et l’Italie avaient accordé un culte religieux ou de grands honneurs ; mais nous auron
it de veiller à la sûreté des lois. Ce fut alors qu’il introduisit le culte de la déesse Pitho, ou la Persuasion, afin qu’ell
it sur les initiations, sur les funérailles et sur d’autres points du culte religieux, des lumières fort supérieures à celles
es deux pays qu’il faut chercher l’origine de tout ce qui concerne le culte et l’usage des temples. Le système de l’idolâtrie
it ainsi l’oracle.Trophonius, dit Pausanias , prescrivit lui-même le culte qu’il désirait. Il paraît, d’après ce récit, que
Apollon. Elle parle de Loth, et se dit chrétienne. Elle recommande le culte des faux dieux, ordonne des sacrifices de victime
te les malheurs qui menacent les Romains s’ils n’abandonnent point le culte des idoles pour embrasser la religion chrétienne.
inspiré par les dieux, soit qu’il fût le premier prêtre ou le chef du culte qu’on rendait au dieu Odin. On sait que plusieurs
ont-Euxin et la mer Caspienne. Leur ville principale était Asgard. Le culte qu’on y rendait au dieu suprême était célèbre dan
u suprême. Après avoir soumis autant de peuples à suivre les rites du culte de sa patrie, Odin prit la route de la Scandinavi
régnait un prince nommé Gylphe, qui, regardant l’auteur d’un nouveau culte , consacré par de si brillantes conquêtes, comme u
la sûreté publique, rendre la justice au peuple, présider au nouveau culte , et conserver fidèlement le dépôt des connaissanc
t-être plus simple de ne voir dans Odin que le fondateur d’un nouveau culte inconnu aux Scandinaves. Peut-être, en effet, lui
eur doctrine. Ceux-ci, réduits à demeurer simples spectateurs de leur culte , ne pouvaient en saisir l’esprit qu’avec peine. C
gèreté. Cependant, à la longue, les Scythes laissèrent corrompre leur culte par un mélange de cérémonies, les unes ridicules
ves, les montagnes, les vents, la foudre, les tempêtes, obtenaient un culte religieux, mais qui, dans les commencemens, ne se
se dirigeait que vers l’intelligence qui les animait. Le motif de ce culte était la crainte d’un dieu irrité par les péchés
plus forts, leur premier soin était de détruire tous les objets d’un culte idolâtre. Les funestes effets de l’exemple et du
crainte, les désirs, les besoins, les passions fuient l’origine de ce culte coupable, et l’on n’ignore pas que les mêmes caus
r leurs opinions. Il reste même encore aujourd’hui quelques traces du culte qu’on lui rendait parmi les peuples du Nord. Le q
t la terre comme une épouse du dieu suprême ; Tacite attribue le même culte aux Germains, et surtout aux peuples du nord de l
r ou le conseil suprême des dieux ; ils étaient le principal objet du culte . Mais tous les Scandinaves n’étaient point d’acco
Suite de la religion des peuples du Nord, et particulièrement de leur culte . La religion celtique enseignait généralemen
gnent encore que les anciens Danois n’étaient pas moins attachés à ce culte que les autres peuples du Nord. Le grand temple d
ssian, que ce barde sublime témoigne du mépris pour les temples et le culte d’Odin, dieu des Scandinaves, qu’il appelle Loda.
, autour d’une statue qu’il appelle la pierre du pouvoir. Il blâme ce culte , et le regarde comme impie. Les druides, les bard
ndant plus loin ces recherches, on retrouverait aussi des vestiges du culte des Phéniciens ; car tout sert à prouver que, dès
étain ; mais nous n’entrerons pas dans de plus grands détails sur ces cultes venus des étrangers, puisque toutes les histoires
usqu’au fond de l’occident ; de là, sans doute, cette ressemblance de culte entre des peuples séparés par tant de mers et tan
ent un feu éternel dans leurs forêts. Les Perses rendaient à l’eau un culte religieux ; les Gaulois rendaient les mêmes honne
uel on jetait l’or et l’argent pris sur les ennemis. On joignait à ce culte celui des fleuves, des rivières, des fontaines et
es Gaulois avaient au milieu de leurs forêts des espaces consacrés au culte et aux cérémonies religieuses. C’était là qu’ils
7 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
res, dès qu’une comparaison sera utile pour expliquer tel dieu ou tel culte . Mythologie Grecque-Romaine. Plus qu
rant par essence, l’homme d’Athènes ou de Sparte reçut facilement les cultes étrangers, et vit sans opposition se confondre en
ant sculpté une statue d’Atys, furent amenés par Midas à instituer un culte en l’honneur de ce jeune amant de leur grande div
s n’était-ce qu’une caste dérivant du phrygien Coribas qui importa le culte de Cybèle en Crète ; mais plus tard cette caste f
les Phrygiens leur avaient imposé. Seulement on peut affirmer que le culte de Cybèle phrygienne passa d’abord à Samothrace,
la vie active de la divinité crétoise connue sous le nom de Rhée. Son culte , semblable à peu près à celui de Cybèle, en diffé
ue les Curètes, d’origine crétoise, et voués plus particulièrement au culte de Rhée, se caractérisaient par une danse armée,
res surhumains, propagandistes de la religion de Jupiter, et voués au culte particulier de Rhée, sa mère, qui au fond n’est q
dans leur théogonie, car c’est à Numa qu’on attribue l’institution du culte de cette déesse. Tout le monde connaît ce culte.
ibue l’institution du culte de cette déesse. Tout le monde connaît ce culte . On sait que dans le Penus ou sanctuaire d’un tem
te des Dieux, dont nous verrons bientôt la description. Sans avoir un culte spécial, ces déesses avaient pourtant dans Argos
ure été exclu de l’Olympe, il ne faut pas s’étonner s’il n’eut pas un culte bien célèbre dans la Grèce. Cependant il avait un
imes humaines. Si l’exil de Saturne en Italie fut préjudiciable à son culte dans la Grèce, il lui fut au contraire fort utile
nis des Gaulois. Pourtant tous ces Dieux dans leur patrie, avaient un culte fort différent de celui qu’on rendait au personna
r, trop au-dessus de l’intelligence humaine. Le Destin n’eut point de culte particulier, aussi l’on respectait sa statue sans
et Charon. La troisième classe comprenait les Dieux publics dont le culte était ordonné par les lois, et les Dieux indigète
bâti que la ville d’Ascra en Béotie, dans laquelle ils établirent le culte des Muses, nous n’aurions point encore à parler d
an, ou Ezée, ou Phégée, né d’Inachus, civilisateur et introducteur du culte de Jupiter ; et Lycaon II, fils de Pélasgue et de
ne civilisation encore bien grossière, de lois fort incomplètes et du culte , car il institua la religion de Jupiter, qu’il en
avait donc des fêtes chez la plupart des peuples de l’antiquité ; son culte , partout respecté, exigeait qu’on lui consacrât d
oreilles et de longues ailes garnies d’yeux en dessous. Elle avait un culte chez les Athéniens et un temple à Rome. Après cel
obée, et père d’un fils appelé Mégapenthe. On dit qu’ayant méprisé le culte de Bacchus, dieu du vin, ou, qu’ayant osé se trou
. On présume, et tout porte à le croire, que ce fut en Arcadie que le culte de Junon prit naissance ; car chez les peuples de
a d’important, à Argos, qu’il servait à y compter les années. Mais ce culte ne resta pas seulement dans l’Europe, il pénétra
couvert de lames d’airain. Mais Junon jouissait, à Rome surtout, d’un culte très-sérieux : on y célébrait, sous un figuier sa
rêtres les plus connus fut Darès, qui desservait aussi, disait-on, le culte de Neptune. On représentait Vulcain entouré de fo
urs du feu, et pour des espèces de magiciens métallurgiques, voués au culte d’Uranus et de la Terre. Les noms de ces dieux mé
domestiques, ou pendant les tempêtes et les cérémonies funèbres. Leur culte mystérieux dont l’origine est égyptienne, et date
à la Thrace ; Triballe, fils de Térène ; Tmole, fils de Théogène. Le culte de Mars fut très-peu honoré en Grèce, puisqu’il n
rois statues, dont une assez renommée à Sparte. C'était à Rome que ce culte brillait de tout son lustre ; à Rome, dont il éta
s Grecs l’honoraient sous le nom de Ares et de Mars. Numa institua un culte et son honneur ; ses prêtres, tous patriciens, et
plus tard ces blessures ne furent plus que simulées. On assure que ce culte , emprunté à celui de la Diane taurique, fut impor
e dont elle était souveraine, deviendrait par la suite le centre d’un culte généralement honoré si elle parvenait à cacher sa
ant les forces brutes de la nature, combattant pour soutenir le vieux culte de la terre, contre Apollon, menaçant de lui fair
culte de la terre, contre Apollon, menaçant de lui faire succéder le culte du Soleil ; on pourrait aussi à la rigueur, le pr
mérite de Latone en lui opposant sa fécondité, elle s’opposa même au culte qu’on lui rendait, en disant qu’elle en était ind
, cele d’une Lune, adorés et abondonnés en Grèce, à l’introduction du culte des Latonides ; quant aux sept fils et aux sept f
ans toute la Béotie, des statues en bronze, et l’honorèrent même d’un culte particulier. Mélanippe fut aussi puni par la dées
érobait son absence aux yeux des mortels. Les Grecs ayant confondu le culte de cet astre avec celui de Diane, nous renvoyons
sse ; Lunus cependant, considéré comme astre masculin, jouissait d’un culte particulier, surtout à Carrhe en Mésopotamie. Dan
Enfers, celles de ces ames qui avaient été privées de sépulture. Son culte , importé par Orphée d’Egypte dans la Grèce, se mê
de Délia, comme elle emprunta celui de Cyncthia du mont Cyncthus, le culte de cette déesse ne tarda pas à se répandre dans t
ques, ou espèce de Corybantes primitifs, en Grèce où ils fondèrent le culte de ces déesses. Chacune d’elles portait un nom si
Sphinx, le Lion de Némée et la Chimère, et auquel la Crainte éleva un culte en Asie vers l’an 1900 av. J.-C. On supposait à l
uses dans plusieurs parties de la Grèce et de la Macédoine avaient un culte particulier. Leur autel à Athènes était magnifiqu
e l’adoration des Grecs et surtout des Rhodiens, qui lui rendaient un culte pompeux et solennel. Devant lui on jurait de teni
ant ; l’empereur Héliogabale, ancien pontife de Syrie, transporta son culte à Rome où il fit élever en son honneur un temple
jeune homme et leur expliquaient, dit-on, comment les symboles de ce culte étaient une suite d’images représentant les diffé
iver dans celle du soleil où il doit ensuite rester pour toujours. Ce culte dont le souverain pontife avait sous lui des mini
haute considération. A peine Apollon fut-il retourné au ciel que son culte prit sur la terre le plus grand développement, ta
corbeau, la corneille, le flamant, le lion, le loup et le phénix. Son culte était répandu dans toute la Grèce, dans les îles
représentant ce dieu à toutes les époques de sa vie. Apollon avait un culte généralement répandu sur toute la terre ; en Pers
’entremise de certains individus spécialement favorisés, entretint le culte des oracles, c’est-à-dire l’art d’exprimer aux or
initier. A son retour il établit en Grèce l’expiation des crimes, le culte d’Hécate Chthonia ou terrestre, de Cérès, de Bacc
chantait ces hymnes à Athènes et célébrait les mystères orphiques. Ce culte , fondé par Orphée, exigeait une vie pure, religie
orèrent pour le punir de son ignorante et orgueilleuse imprudence. Le culte d’Apollon fut, comme on le voit, le plus brillant
iége de Troie, guerre dont nous parlerons plus tard, l’importation du culte d’Esculape en Grèce, et vers 1900 ans av. J.-C.,
on origine en Afrique, où il était adoré sous le nom de Tosorthos. Ce culte montra d’abord, dans les sanctuaires antiques d’E
ant de préservatifs puissans contre toutes les maladies. En Grèce, ce culte importé à Pergame par Aristechme, était desservi
e celle du Jupiter olympien qu’on voyait à Athènes. Les prêtres de ce culte à Titanès admettaient à côté de la statue d’Escul
lape ; cependant on peut croire avec quelques motifs de raison que le culte du premier médecin divinisé prit son origine en P
ient fort peu interessantes. Les Grecs et les Romains rattachaient au culte d’Esculape les dieux Apotropéeos et Averrunci, ou
sson jusqu’à la ceinture, mais cette divinité n’était l’objet d’aucun culte sérieux. Mnémosyne, qui remplit aussi auprès de
mpe où ils se trouvaient et se retirèrent en Phrygie pour y fonder le culte de Cérès ou de la grande mère, cependant la légen
e qu’elle avait fait le plus long séjour, et c’était là aussi que son culte avait pris naissance. Célée, nous l’avons dit, bâ
ar M. Parisot : « Les rapports de la Cérès d’Eleusis, dit-il, avec le culte de Samothrace et avec celui de l’Isis égyptienne
era soumise. Dès-lors cette guerre, après avoir été une lutte de deux cultes rivaux, celui d’Athânâ ou Minerve et de Posidon o
umolpe à ne plus être autre chose que le grand prêtre de Cérès. » Le culte créé par Eumolpe, dont l’importation en Grèce est
ent d’Eleusis sur le mont Taygète en Laconie, et non pas à Sparte, le culte de Cérès Eleusine à quelques différences près. En
aux choses qu’elle présidait, avaient fini par obtenir quelquefois un culte à part quoique fort au-dessous du sien ; ainsi l’
ait-on, avait épousé Zéphyre ; on fait remonter l’introduction de son culte à Rome, jusqu’à Tatius, roi des Sabins, du temps
t encore de son pouvoir, rajeunit Pomone et se rajeunit avec elle. Le culte de cette déesse, sans être très-important, jouiss
suivre les Tamiras et les Tamirades, familles sacerdotales vouées au culte de Vénus, ainsi que les Céphale, les Tithon, les
mouvemens de vengeance assez terribles ; ainsi pour avoir méprisé son culte , Glaucus, fils de Sizyphe et père de Bellérophon,
ouverons plus tard, en parlant de Thésée et de la guerre de Troie. Le culte de Vénus fut un des plus honorés, ou du moins dom
tropole, ainsi que dans la ville d’Amathonte, sa succursale. Comme ce culte comprenait toutes les déesses qui pouvaient avoir
Climène, fils de Phoronée et frère de Chthonie, comme le fondateur du culte de Vénus-Chthonienne, mais ce fut Hermocharès qui
rix, et recevaient en revanche un phalle et du sel. Mais à Paphos, ce culte étant tombé en un impur libertinage, exigeait que
mots sur les personnes connues pour avoir été les plus religieuses au culte de Vénus : déjà l’on a vu Cinyre expier les torts
erons que Climène, fils d’un Phoronée, fonda avec sa sœur Chthonie le culte de Vénus-Chthonienne et qu’Hermocharès d’Athènes
ns un temple de Diane, où Ctésylle se trouvait alors pour célèbrer le culte de cette déesse. Aussitôt la jeune fille ramasse
âges et de présider surtout aux bienfaits et à la reconnaissance. Le culte des Grâces, institué pour la première fois par Et
puis il se répandit en Grèce et en Italie. Dans ces transmissions le culte des Grâces subit une foule de changemens, car les
nthe et dans d’autres villes de la Grèce ou de Thrace. Cependant leur culte était presque toujours réuni à celui d’une autre
éleva un temple où l’on fit brûler de l’encens en son honneur, et le culte de Vénus fut presque abandonné. Cette préférence
ue. L'amour avec l’entourage de puissance qu’on lui prêtait, avait un culte des plus répandus dans la Grèce et à Rome, aussi
attribuaient la gloire d’avoir introduit le premier dans la Grèce le culte des Graces, et ils regardaient le temple qu’il av
auxquels Plutarque donne pour père Adramus dieu de la Sicile, dont le culte fut apporté dans cette ile par une colonie Syrien
e fut apporté dans cette ile par une colonie Syrienne ou Phénicienne, culte que l’on croit le même que celui d’Adrameleck app
ar Aquilon ministre de Borée. Europe, qui, dit-on, avait introduit le culte de Séléna dans la Crète, s’étant attiré l’estime
Nysa, ville d’Arabie ou sur le mont Méros chez les Indiens. Dans les cultes mystérieux de la Grèce, Sémélée tenait une des pr
t au nom d’Isis, on pense qu’Inachus ayant porté d’Égypte en Grèce le culte d’Isis, les Grecs regardèrent cette déesse comme
r ainsi dire inconnue dans la Grèce, elle jouissait au contraire d’un culte très brillant à Rome où elle eut jusqu’à dix temp
se plaçait au-dessus des portes en Grèces ; Saïs et Saitès ou dont le culte était supposé avoir été apporté en Grèce, de Saïs
ville de Troie était attachée. Minerve avait dans toute la Grèce un culte qui fut toujours des plus respectés ; il y fut im
sagesse est sortie de la tête du Très-Haut, avant tous les êtres. Ce culte de Minerve fut bientôt universel ; Saïs lui avait
ie d’or le jour de sa naissance ; ensuite, ils la négligèrent pour le culte du Soleil. Mais, c’était surtout à Athènes qu’ell
i. Puisque nous avons parlé de Cécrops, parlons de cet importateur du culte de Minerve à Athènes. Il vint, dit-on, ou de Phén
s’appelait autrefois Posidonie, décida-t-il tout naturellement que le culte de Minerve remplacerait dorénavant celui de Posid
ois filles : Molpadia, Parthenor ou Parthénore et Rhoio ou Rhoéo. Le culte de Bacchus, originaire d’Égypte où ce Dieu était
l’avons vu. De la Thrace les filles de Cadmus portèrent en Béotie le culte de Bacchus ; mais leur neveu Penthée, fils du spa
Ce Dieu punissait quelquefois cruellement ceux qui s’opposaient à son culte . Ainsi, sans compter Penthée déchiré, comme nous
r ou Bacchus lui-même, qui d’effroi se serait jeté dans la mer ou son culte . Alors, pour punition de son impiété, il aurait é
auve-souris et leurs tapisseries en feuilles de lierre. De Thèbes, le culte de Bacchus vint à Argos ; alors deux fois on tent
, la férule, le figuier et le chène. Les premiers propagateurs de son culte , furent les satyres, et ses premières prêtresses
tagnes. Ce dieu fut assez faiblement honoré chez les Grecs ; mais son culte au contraire fut très brillant à Rome, parce que
nt les satyres. Les Sylvains, originaires de Sicile, n’eurent donc un culte sérieux qu’en Italie ; leur père ou Sylvain, rece
trées à faire croire à leur réapparition sur la terre ; du reste leur culte jouissait partout de la plus haute vénération. On
hébains et les Grecs érigèrent des temples à ce nouveau dieu, dont le culte passa chez les Romains, sous le nom du grand Herc
s phéniciens, et auxquelles on donna le nom de colonnes d’Hercule. Ce culte ensuite passa dans les Gaules et se répandit pour
ho ou Palathie, déesse italique, femme de Latinus. Dans l’origine, le culte d’Hercule était desservi par deux familles célèbr
t admises par les Lacédémoniens, et on dit qu’il fut l’auteur de leur culte . Apres sa mort, ses sujets lui élevèrent une chap
e, qui intercédaient les Dieux, pour leurs parens et amis, aussi leur culte était généralement répandu chez les romains. On r
de Rhéné. Par suite de ses nombreuses attributions, Mercure avait un culte généralement répandu en Égypte, en Grèce et en It
ille de Mycènes. Ensuite, après y avoir d’abord refusé, puis admis le culte de Bacchus, il mourut on ne sait trop comment, qu
ur la côte d’Eubée, l’isthme de Corynthe, le cap Tenare, Oncheste. Le culte de Neptune était répandu dans toute la Grèce et l
ns. Dans l’île de Samothrace, il lia connaissance avec les prêtres du culte pélasgique. Dans la Thrace, il fit exploiter les
ère ou protéger les na[ILLISIBLE]niers ; aussi jouissaient-elles d’un culte assez étendu ; on leur adressait des prières ; on
ait le pouvoir d’agiter ou de calmer les ondes, étaient honorées d’un culte particulier par les matelots, qui leur adressaien
, aux vallons, aux collines et aux bosquets ; on leur rendait le même culte à peu près qu’aux Naïades. Néréides, nymphes que
du Tibre. Vallones, nymphes des vallons et des bocages, ayant le même culte à peu près que les Naïades. Parmi toutes ces nymp
ts que nous connaissons à Proserpine, il ne faut pas s’étonner si son culte était universel ; en effet, les Siciliens croyant
et les Arcadiens l’invoquaient pour retrouver les choses perdues. Son culte souvent était mystérieux, ou permis aux femmes se
lement répandu dans le monde ancien, il ne faut pas s’étonner si leur culte connu d’abord des Egyptiens, des Assyriens, des P
ient qu’il avait su rappeler au jour l’ombre d’Eurydice. Plus tard le culte des manes se répandit dans tout le Péloponèse, où
les régions ténébreuses des Cimmériens. Quoiqu’il n’eût ni temple, ni culte , il n’est pas de divinité que l’on ait invoquée p
Égyptiens plaçaient la dernière demeure des bons et des méchans. Son culte fut apporté en Grèce par Orphée, et bientôt il fu
lle appartient en réalité la fondation de Rome, quoique, par suite du culte des Pénates, des Idoles secrètes, des palladiums
overbe de naître sous une heureuse ou fatale étoile. On lui devait un culte  : ainsi les étrusques et le vulgaire lui offraien
e à un roi divinisé du nom de Jupiter, et régla tout le cérémonial du culte . Après avoir instruit et civilisé l’Egypte, il vo
ands honneurs, principalement à Memphis, et surtout à Alexandrie. Son culte prit dans la suite une si grande étendue, qu’il é
articulièrement ses soins, tandis que son époux institua les lois, le culte et les arts. Ce fut Isis qui apprit à ses sujets
valut un grand nombre d’offrandes de la part des pieux pélerins. Son culte était répandu dans toute l’ Egypte. Bésa, divini
particulière, l’ognon. Nous pourrions nous étendre longuement sur le culte des Egyptiens, sur leurs emblèmes sacrés qui nous
toutes choses. A Carthage, on lui bâtit des temples magnifiques. Son culte n’était point sanglant : on lui offrait des gâtea
nté du roi. La paix, la guerre, sont sous l’invocation de ce dieu. Le culte d’adoration qu’on lui rend, consiste dans une asp
le représente dans une attitude élevée contre le temple destiné à son culte et dans un panier ayant la forme d’une ruche. Les
ant les honneurs divins. Les Singhiles, qui toujours ont conservé son culte , le regardent comme le conducteur de la foudre, e
sans s’occuper aucunement des hommes. Aussi ne lui rendent-ils aucun culte . Mourimo est aussi un dieu suprême chez les Hott
omme le dispensateur des biens et des maux. Il possède donc plutôt un culte de crainte que d’amour à cause des maux qu’il env
aux pratiques religieuses, et tiennent peu à avoir ou n’avoir pas de culte . Noh et Hingnoh forment le premier couple primit
, était-elle regardée comme le vaste utérus, où tout s’organisait. Le culte qu’on rendait à Élagbaal était magnifique et volu
s étoiles, et se personnalisant dans la planète Vénus ou la Lune. Son culte consistait en processions, qui avaient lieu au pr
autel dans le temple même de Jérusalem ; depuis, Josias détruisit le culte de Melchom. Melkarth était l’hercule phénicien,
des Phéniciens. Il est probable qu’il fut d’abord un dieu-soleil, son culte fleurit surtout chez les Ammonites, qui sacrifiai
adopte la trinité entière ; mais des millions de sectaires offrent un culte spécial aux membres réunis ou isolés de la trinit
divines efflorescences ne prirent naissance que lors de la fusion des cultes . Trois d’entr'elles Brahmi, Kaouméri, Kaouari, ap
ultes. Trois d’entr'elles Brahmi, Kaouméri, Kaouari, appartiennent au culte de Brahmâ ; Vaichnavi, Varahi, Naracigni ou Narai
e Brahmâ ; Vaichnavi, Varahi, Naracigni ou Naraiani, appartiennent au culte de Vichnou. Mahéçouari, Tchamounda et Tchandika,
gle ; tantôt Hanouman. La grande abeille bleue lui est consacrée. Son culte est répandu dans l’Inde tout entière, et ses temp
te des mamelles remplies de lait avec une corde nouée à son bras. Son culte est lié à celui de Vichnou, et tous deux reçoiven
mes, des animaux et des êtres inanimés ; néanmoins, ce Bhavanisme, ou culte antique de Bhavani, dut se fondre avec celui des
Bhavani à Siva, lorsque pour pacifier les Indes, on réunit les trois cultes pour former une Trimourti mâle, comme symbole cen
ne en Asie seulement plus de 139 millions de croyans, c’est-à-dire le culte le plus répandu après celui de Jésus-Christ, en a
tend Rilter, il dut, à l’époque la plus reculée de l’Inde, exister un culte primitif de Bouddha, distinct du Bouddhisme propr
ment le bouddhisme dans toutes les Indes, Bouddhisme qui emprunta aux cultes ses devanciers au moins une partie de ses mythes
ment dit Delphes de la Sérique. De là, il fut succéder, à Ceylan, aux cultes de Siva et de Vichnou ; puis il se répandit dans
la Sogdriane et de la Bactriane, où le Bouddhisme rencontra enfin le culte scandinave des ases avec lequel probablement plus
in pontife du Bouddhisme au Thibet, habite Lahsa, grande métropole du culte , et exerca autrefois les pouvoirs spirituels et t
e groupper les divinités suivantes qui, de même que Bouddha, ont leur culte desservi dans des temples appelés Pagodes, par de
onzes. Cependant tout prouve que, dans les temps les plus reculés, le culte des anciens Chinois reconnaissait un Dieu unique
rceaux, en pleine campagne. Le souverain devint le grand prêtre de ce culte dont il reste encore beaucoup de traces dans cet
s’y rattache, s’introduisirent en Chine, en s’appuyant sur ce que ce culte n’était autre chose que la lumière que Confucius
maine par la petite vérole, et qu’il habite le nord. Les dévots à son culte l’invoquent plus souvent et avec plus d’ardeur qu
s étaient les prêtres chinois, ce sont eux en effet qui desservent le culte Fo-histe, à la manière des Brahmes et des Lamas ;
ent Sintoïstes. De tous temps, ces vieux sectaires admirent dans leur culte une foule de pratiques superstitieuses, des pèler
eur des terres, pour y répandre sa doctrine, et fit parvenir ainsi le culte d’Amida, jusque dans la Chine et au Japon. Sotok
Behram au feu de la foudre. Anahid, grande divinité orientale, eut un culte fort célèbre, surtout dans la région du Caucase e
 ; ses temples étaient magnifiques, les principales cérémonies de son culte consistaient en processions, pendant lesquelles o
Mages et des Parses ; c’est le soleil dans sa glorieuse majesté. Son culte était tout mystérieux. Pour être initié aux mystè
e Tiermes des Lapons est le dieu protecteur de la nature vivante ; le culte qu’on lui rendait était un culte d’amour ; on lui
protecteur de la nature vivante ; le culte qu’on lui rendait était un culte d’amour ; on lui sacrifiait des rennes mâles et a
ranches de pin en hiver, et de bouleau en été ; les cérémonies de son culte consistent en festins et en sacrifices. Les Valki
ornerons les généralités qu’il était utile d’indiquer relativement au culte obscur et souvent sanguinaire de ces divers peupl
à cette divinité. Edd ou Aedd, dieu suprême des Ploégriens, dont le culte passa des bords de la Loire inférieure dans la Gr
ruisit le système sacerdotal des Tuatha-Dadans, pour établir un autre culte . Dhna ou Adhna, fils de Bath, était le messager
; alors Erreamhon rétablit l’ancienne forme sociale Irlandaise, et le culte primitif, qui avait pour grands dieux et déesses,
lande ; l’on y entretenait un feu perpétuel, et le siége principal du culte Druidique y résidait. Plus tard, les rois et les
vaincre son frère Erreamhou, chef des Tuatha-Dadans, et à établir le culte druidique sur les ruines du culte des Tuatha-Dada
des Tuatha-Dadans, et à établir le culte druidique sur les ruines du culte des Tuatha-Dadans, qui n’était alors qu’un vérita
l’Irlande. Malgré la dureté de son usurpation, il laissa subsister le culte qu’il avait trouvé. Les légendes irlandaises lui
’en avaient pas, si toutefois nous en exceptons les Mexicains, sur le culte desquels nous nous étendrons un peu davantage. Ai
maladie. Pérou. Nous voici maintenant dans les contrées où le culte des astres et du soleil était dans toute sa puiss
uprès des Péruviens comme les enfans des fils du soleil. Du reste, le culte de ces rois pontifes était doux et pastoral. Ils
e. Botchica fit alors écouler les eaux, bâtit des villes, institua le culte du soleil, et civilisa le reste des habitans sauv
peuples de la Polynésie ont des idées religieuses se rattachant à un culte unitaire, nous allons simplement, pour terminer c
8 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
es divinités honorées dans divers pays furent rassemblées : ainsi, le culte des faux dieux fut répandu, avec la puissance rom
urne ; et que l’ancienne Vesta est la même que Cybèle et la Terre. Le culte de l’une et de l’autre est à peu près le même ; o
re de cérémonies pour honorer la déesse Vesta. Pour mieux établir son culte , il consacra un autel où des vierges, nommées Ves
es semences. Cérès, pour punir les Phigaliens, qui avaient oublié son culte et négligé ses fêtes depuis que la statue de cett
recours à l’oracle, qui leur répondit que s’ils ne rétablissaient son culte , la disette serait si grande dans leur pays, qu’i
e dieu Terme, lui bâtit un temple sur le mont Tarpéien, et fit de son culte un des principaux points de sa religion, pour met
te loi étaient dévoués aux furies, et il était permis de les tuer. Le culte du dieu Terme ne se bornait pas à celui qu’on lui
out aux mariages et aux accouchemens, sous le nom de Lucine. Comme le culte de cette déesse a été très-répandu, le nombre de
lui qui trompa Rhéa-Sylvia, et la rendit mère de Rémus et Romulus. Culte du dieu Mars. Les Romains principalement renda
us. Culte du dieu Mars. Les Romains principalement rendaient un culte au dieu Mars : ils l’honoraient comme le protecte
vallons rassemblez vos troupeaux :          Voilà mes lois, voilà mon culte .          Je n’exerce point les horreurs         
icule. Penthée Bacchus ne pouvait souffrir qu’on méprisât son culte . Penthée, Lycurgue et les Ménéides osèrent braver
d-père. Voulant s’opposer à la licence qui s’était introduite dans le culte et les mystères de Bacchus, il alla sur le mont C
es obstacles qu’elle lui opposait, le changea en statue de pierre. Culte qu’on rendait à Mercure. Mercure avait un temp
rchomène, fut le premier qui leur en éleva un, et qui leur assigna un culte particulier. On leur rendit des honneurs à Byzanc
scita des monstres marins qui ravagèrent cette malheureuse contrée. Culte rendu à Neptune. Les Romains célébraient des f
quel on voyait sa statue faite d’airain et haute de sept coudées. Son culte était si universel, qu’en parcourant les rivages
s l’Air et le Vent ; ainsi il est présumable que les Grecs prirent ce culte des Orientaux. Les auteurs varient sur le nombre
l’inventeur. Les Lupercales. Les peuples d’Arcadie rendaient un culte particulier au dieu Pan ; ils lui offraient du la
confondent avec Cybèle ou Vesta. Sa parure était aussi simple que son culte  : on la peint couverte d’un voile, un peu de laur
nna l’empire des fleurs, et la fit jouir d’un printemps perpétuel. Le culte de Flore fut établi chez les Sabins long-temps av
g-temps avant la fondation de Rome. Ce fut Tatius qui introduisit son culte à Rome : il lui consacra un temple dans cette vil
onoraient cette déesse, dont Praxitèle même fit la statue : aussi son culte passa de la Grèce en Italie. Dans la suite, une c
ologies grecques et latines de ce mot Pénates, puisque leur nom, leur culte et leurs mystères nous viennent des Samothraces e
laine et une petite partie de ce qu’on servait sur la table. Outre ce culte particulier, on honorait publiquement les dieux L
ui-même étaient soumis à ses décrets. Ce dieu avait des oracles et un culte  ; les trois Parques se chargeaient du soin de fai
ns leurs palais une statue d’or de la Fortune, qu’ils honoraient d’un culte particulier, afin qu’elle leur fut toujours favor
e Serons-nous toujours éblouis ? Jusqu’à quand, trompeuse idole, D’un culte honteux et frivole Honorons-nous tes autels ? Ver
Elle établit dans ses états les lois, la religion, les cérémonies du culte , et tout ce qui maintient l’ordre et la paix parm
9 (1823) Mythologie des dames
de cette fuite et de cette métamorphose qui fit établir en Egypte le culte des animaux. Enfin, avec le secours d’Hercule, le
de figures tracées Donner de la couleur et du corps aux pensées5. Le culte de Jupiter était fort étendu. Ce dieu avait des t
charmée, Inutile aux mortels, et sans soins de leurs vœux, Renonce au culte vain de ses temples fameux. Pour dissiper ce brui
on sacrifia des victimes humaines sur le tombeau d’Adonis, et que le culte qu’on lui rendait ressemblait à celui du génie du
le cœur de Jupiter tous les feux des premiers jours de leur hymen. Le culte de Vénus était presque autant répandu que celui d
; et sa modestie ne put empêcher que les mortels ne lui rendissent un culte semblable à celui de la reine de Cythère. Cupidon
isse admirer. « Certes, dit alors Eugène, on doit être peu surpris du culte presque universel qu’obtint cet astre sous différ
de Mercure, devint mère de Pan, dieu des bergers et des chasseurs. Le culte de Mercure était principalement répandu dans les
, Saïs et Rhode se distinguèrent sur toutes les autres villes dans le culte qu’elles rendaient à cette déesse. Jupiter, charm
e forme, conduisit le vaisseau dans l’île de Naxos, où il institua le culte de Bacchus. Bientôt ce dieu descendit dans les en
ne d’or, ouvrage de Vulcain, qu’il plaça ensuite parmi les astres. Le culte de Bacchus était très répandu : ses prêtresses ét
inte qui a fait élever des autels chez les peuples de l’antiquité. Le culte de quelques unes de leurs divinités était celui d
t les attributions étaient les mêmes que celles de Plutus, et dont le culte eut encore plus de célébrité ; c’était la Fortune
ent elle est représentée portée sur un brancard par quatre femmes. Le culte que l’on rendait à cette déesse variait dans les
sous la figure d’Apollon et sous celle de Vulcain, devenir l’objet du culte des anciens peuples. Les Romains rendaient un cul
evenir l’objet du culte des anciens peuples. Les Romains rendaient un culte à ce même élément, sous les attributs de Vesta.
bles des plus vils animaux ; et créait dans ces lieux des objets d’un culte sacré, connus sous le nom de dieux domestiques.
la pierre qui servait de borne. Numa Pompilius fut le fondateur de ce culte  ; il éleva au dieu Terme un temple sur le mont Ta
us les berceaux verdoyants et fleuris des jardins que l’on rendait un culte aux Saisons, divinités aimables qui présidaient a
le nom de vestibule, donné à la pièce d’entrée d’une maison, vient du culte que l’on y rendait à Vesta. Lorsqu’on pénétrait d
ains en firent d’abord les protecteurs de leur ville. On croit que le culte des Dieux lares est venu de la coutume d’enterrer
cérémonies religieuses en l’honneur des Mânes. Les tombeaux ont leur culte . O vous, parents pieux ! Apaisez en ces jours l’o
10 (1866) Dictionnaire de mythologie
u ou Racine et un évêque comme Fénelon, il ne faut pas être initié au culte des Grecs ? J’ai honte d’être obligé de vous appr
ères doctrines. On fermait les églises chrétiennes, on proscrivait le culte du Christ, on chassait ses ministres, on les pers
ai recueilli pieusement les tristes débris du dernier naufrage de mon culte . Entrez, me dit-il, venez voir l’ombre d’une reli
quinze cents ans elles avaient perdu la vie réelle par le triomphe du culte chrétien : la vie allégorique qui leur restait le
qu’un garçon qui étudie pour être prêtre et qui sent la pommade. » Le culte d’Adonis était si répandu dans toute l’antiquité
religion païenne s’altère en vieillissant. On s’attache à la forme du culte et on en oublie le sens. Les efforts des savants
s systèmes, continue à les célébrer sans les comprendre. L’origine du culte d’Adonis, déjà obscure pour les anciens, exerçait
aresses du printemps. Ces images sont belles, et les inventeurs de ce culte étaient de grands poëtes. Antée. Géant, fil
pauvre solitaire, sans craindre ni meute, ni chasseurs, perpétuer son culte à l’antique déesse, fille d’Hypérion, qui, tombée
le tort d’abuser. Bacchus. Bacchus est le Noé des anciens. Son culte va s’étendant tous les jours sur cette planète, à
tion de la . Car il est certain que l’intention des fondateurs de son culte n’était pas qu’il fût un jour le patron des Apici
un en prose, l’autre en vers, ont tracé aux initiés les règles de son culte . Les membres du caveau l’ont fêté longtemps au so
uines d’Épidaure. Seuls quelques apothicaires de province, fidèles au culte du dieu, conservent pieusement ses armoiries sur
ui à la table commune, devant ce foyer dont elle allait être la joie. Culte simple et touchant, le plus ancien, le plus sacré
. Culte simple et touchant, le plus ancien, le plus sacré de tous les cultes . Le père en est le grand prêtre, la table en est
ombe n’est pas pour eux un domicile à perpétuité. Pour avoir renié le culte de Vesta, valons-nous moins que les anciens ? Je
sement pas le temps de résoudre. Mânes. Mânes (voir Ombres). Le culte des Mânes était l’adoration des ancêtres. Les Lat
ent des dieux infernaux auxquels on rendait, sous le nom de Mânes, un culte de Dulie. Comme on supposait qu’un attrait invinc
haque offrande funèbre. La superstition altéra bientôt la pureté d’un culte doublement saint, parce qu’il rattachait les viva
et la balance de Thémis pour se livrer, dans un honorable loisir, au culte paisible des Muses. Tout recueil poétique s’appel
e dimanche seulement, et souvent le lundi, il y avait trêve. Les deux cultes transigeaient au cabaret, et le soir au retour s’
11 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
t et qu’ils aiment. Les Dieux, pour récompenser le berger Cytheron du culte qu’il leur avoit rendu, le changèrent en montagne
es, toutes opposées les unes aux autres par leur doctrine et par leur culte , et néanmoins toutes réunies par la même croyance
oyance. Les adorateurs de Vesta et de la chaste Diane, détestoient le culte de Vénus. Les sectateurs de Minerve méprisoient c
étoit légitimée par une dévotion particulière, qui faisoit partie du culte général. Que ne doit-on pas à la religion bienfai
admettoit et même commandoit mille doctrines diverses en exigeant un culte pour les différens Dieux. Les anciens philosophes
les Cabires, les Telchines (espèces de demi-Dieux qui même avoient un culte ), les Corybantes, les Curétes, les Dactyles ou Id
dyssée, Thésée et Pirithoüs restèrent aux enfers. La Sicile rendit le culte le plus solennel à Proserpine. Les Locriens et le
u, pour la même raison. Les femmes de l’île de Lemnos négligèrent son culte , Vénus les punit d’une manière bizarre, et peut-ê
champs de Troie, périrent sous ses traits. Les Rhodiens rendoient un culte particulier à Apollon considéré comme Dieu du jou
mps après la chute du paganisme. Les Druïdes étoient les ministres du culte idolâtre chez les Gaulois. Leur nom est pris d’un
tre à cause des jeunes filles qui quêtoient. Il paroît naturel que le culte rendu aux divinités champêtres ait subsisté long-
aux divinités champêtres ait subsisté long-temps après l’abolition du culte des grands Dieux. On pouvoit en peu de temps détr
èrent promptement dans le plus profond oubli, tandis que les rites du culte des Divinités subalternes, des bois et de la camp
ez les différens peuples du monde. Les anciens Romains rendoient leur culte aux Dieux la tête couverte. Selon l’ancienne cout
à l’imitation de la statue d’Hercule, soit parce que cet autel et le culte d’Hercule existoient avant le temps d’Énée, qui,
de Télèphe. Il reçut les honneurs héroïques dans la Messénie, où son culte fut introduit par Gloncus. Mélampe, fils d’Amitha
12 (1845) Mythologie de la jeunesse
mes [Fig. 11]. La terre, ainsi repeuplée, vit renaître les arts et le culte des dieux [Fig. 12]. [Fig. 11] [Fig. 12] Le
sous la forme de différents animaux et même de plantes. De là vint le culte que les Égyptiens rendaient aux animaux et aux pl
Idée, du nom de trois montagnes de Phrygie où elle était honorée d’un culte particulier. Sous le nom de Cybèle, elle était or
t c’est la plus connue, elle était la déesse du feu. Énée apporta son culte en Italie, et Numa lui bâtit un temple à coupole,
de la vigilance, lui était consacré. [Fig. 53] C’est à Rome que le culte de Mars était le plus en honneur. Les Romains le
pour l’inventeur de la flûte à sept tuyaux [Fig. 72]. [Fig. 72] Le culte de Pan fut porté dans l’Italie par Évandre, qui é
était originaire de l’Arcadie, et les Romains honoraient ce dieu d’un culte particulier, en mémoire de Romulus et de Rémus al
ait principalement honoré à Lampsaque, capitale de la Mysie, d’où son culte passa à Rome. On le représentait sous la forme d’
me, dieu latin, présidait aux bornes des champs. Numa introduisit son culte à Rome, et lui bâtit un petit temple sur la roche
Phrygie, que Cybèle aimait et à qui elle avait confié le soin de son culte , à condition qu’il ne se marierait jamais. Il oub
surnom de Vénus, vient d’un mot grec aphros, qui veut dire écume. Le culte de cette déesse avait été introduit en Grèce par
13 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
d’une bienveillance particulière et à qui elle confia le soin de son culte , à condition qu’il ne se marierait point. Atys ou
ns ; et Mélampe ayant réussi épousa la plus belle des trois sœurs. Le culte de Junon était universel, et la plus grande solen
a. Vesta, déesse du feu, était fille de Saturne et de Cybèle. Son culte fut introduit en Italie par Énée, prince troyen ;
eigner l’agriculture. De retour de ses voyages, Triptolème établit le culte de Cérès à Éleusis, ville d’Attique, et institua
r marquer tour à tour le trépas et l’apothéose du favori de Vénus. Le culte de cette divinité était universel, mais on ne lui
des Troyens, et combattit sous la figure d’Acamas, roi de Thrace. Le culte de Mars était surtout répandu chez les Romains, n
ion d’Orchomène y prenait part. Les Minéides seules, qui méprisent un culte extravagant, ne veulent quitter ni leurs navettes
x armées une aile droite et une aile gauche. L’Arcadie lui rendait un culte particulier sur les monts Ménale et Lycée. Évandr
Évandre, roi d’Arcadie, obligé de fuir son pays natal, transporta le culte du dieu Pan dans le Latium, où ses fêtes furent n
déesse des pâturages et des bergeries, a une parure simple comme son culte  ; ses cheveux sont couronnés de laurier et de rom
Cette borne fut honorée comme un dieu, qu’on appela Terme, et dont le culte fut institué chez les Romains par Numa Pompilius.
en queue de poisson. § 15. Les Fleuves. Les Païens rendaient un culte aux Fleuves, à cause des avantages qu’ils en reti
gardiens de chaque famille. Énée, prince troyen, avait introduit leur culte en Italie. Lorsque les enfants de qualité, parven
le médecin. Des honneurs divins lui furent rendus après sa mort : son culte s’établit à Épidaure, sa patrie ; de là il se rép
e des lettres de l’alphabet, et qui introduisit dans cette contrée le culte des dieux de l’Égypte et de la Phénicie. §  10.
nt que la chasse, d’autre parure que son arc et ses javelots, d’autre culte que celui de Diane, reine des forêts. Vénus, irri
uel il succéda. Ce fut Dardanus qui popularisa dans l’Asie-Mineure le culte de Cybèle ; ce fut lui qui bâtit au pied du mont
Égérie était une nymphe du Latium à laquelle les Romains rendaient un culte religieux. Numa Pompilius voulant rédiger des loi
Mais tout entière à ses devoirs domestiques, elle négligeait trop le culte des dieux de la patrie. Latone surtout, qui n’ava
e qu’imparfaitement. f) L’ibis. L’Égypte rendait aux animaux un culte particulier : les temples de ce pays étaient plei
rrés honorablement dans les catacombes qui leur étaient destinées. Ce culte était fondé, 1° sur la persuasion où était le peu
cette superstition ! Mais nous-mêmes ne rendons-nous pas une sorte de culte aux hirondelles, à ces oiseaux si utiles et si co
s confondu avec Faunus. Les Romains lui élevèrent des temples, et son culte fut toujours chez eux en grande vénération. 24.
14 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
la statue de son père, et ordonna à tous ses sujets de lui rendre le culte qui est dû à la divinité. A l’exemple des Assyrie
es géans. Ses noms varioient avec ceux des lieux où on lui rendoit un culte plus particulier. On le nommoit communément le Pè
e se retira dans l’isle de Samos, où on lui rendit, dans la suite, un culte particulier ; ce qui la fît appeller Samienne. Ju
à Cythère. L’Isle de Chypre lui étoit particulièrement consacrée. Le culte qu’on lui rendoit, étoit un composé de jeux, de c
donna l’immortalité. On la représente avec des aîles de papillon. Le culte que l’on rendoit à ce dieu, lui étoit commun avec
coutume de leur immoler des agneaux blancs. On leur rendoit à Rome un culte particulier. Les hommes juroient par le temple de
emple, 77 — Son caractère, 76 — Comment on le représente, ibid. — Culte qu’on lui rend, 77 Cyanée, nymphe changée en rui
lessée au siége de Troie, 176 — Quels furent ses Temples, 74 — Quel culte on lui rendoit, ibid. — Comment on la représent
15 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
la statue de son père et, ordonna à touts ses sujets de lui rendre le culte qui est dû à la divinité. A l’exemple des Assyrie
dieux et Jupiter lui-même, étoient soumis à ses décrets. Il avoit son culte et ses oracles. Il passoit pour être fils de la N
r le mont Ida. D. Quels étoient les lieux principalement consacrés au culte de Junon ? R. Cette déesse étoit particulièremen
el on lui avoit érigé une statue d’airain, haute de sept coudées. Son culte étoit si universel, qu’en parcourant les rivages
es Furies. Des déesses si redoutables ne pouvoient manquer d’avoir un culte très-étendu. Le respect pour elles étoit si grand
. Il a des ailes, et porte un carquois rempli de flèches ardentes. Le culte que l’on rendoit à ce dieu, lui étoit commun avec
ntérieur des maisons, derrière la porte ou bien autour des foyers. Le culte de ces dieux est venu de ce que l’on enterroit au
polyte. Peu de temps après sa mort, il reçut les honneurs divins. Son culte fut établi d’abord à Épidaure, lieu de sa naissan
n qui désoloit l’Etolie. Diane, irritée de ce qu’on avoit négligé son culte , avoit envoyé ce monstre pour punir les Étoliens
16 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
fit adorer comme le Dieu du vin. Penthée, ennemi de la gloire de son culte , éprouva sa vengeance. Il terrassa tous ses ennem
  Venu des bords du Gange, où son char conquérant Porta ses lois, son culte et sa gloire en courant, Bacchus veut dans Athène
les bords de la Seine il a porté lui-même, Loin des rives du Nil, son culte et ses autels, Et ses prêtres savans, bienfaiteur
se cacher.    Mais on voit chaque jour s’affaiblir ton empire ; Ton culte est dédaigné des mortels insensés : A la seule fo
u char, pour préserver le triomphateur des prestiges de l’orgueil. Le culte de ce Dieu simple et naïf était confié aux mains
Ombres64. Mânes. Divinités qui présidaient aux Tombeaux. Leur culte était répandu dans la Grèce. On entourait leurs a
Cérémonies pieuses en l’honneur des Morts.    Les tombeaux ont leur culte . O vous, parens pieux, Apaisez en ces jours l’omb
être enterrées vives dans une caverne où elles mouraient de faim. Le culte de Vesta remontait jusqu’au temps d’Enée. Numa lu
nnuelle Ramena de Palès la fête solennelle, Avant qu’elle eût reçu le culte de Vesta. C’est toi qui l’établis, pacifique Numa
de Thèbes, Fils d’Échion et d’Agavé. Ennemi des Dieux et de leur culte , il osa braver Bacchus à son retour de la conquêt
t de ce nouveau Dieu, les vierges et les mères, Célèbrent à l’envi le culte et les mystères. Ovide — Desaintange 161. Ar
de ne céder qu’à l’auguste Junon, Si vous ne me vengez, on abolit mon culte . C’est peu de m’offenser : Niobé vous insulte. La
17 (1800) Cours de mythologie pp. -360
fit adorer comme le Dieu du Vin. Penthée, ennemi de la gloire de son culte , éprouva sa vengeance. Il terrassa tous ses ennem
  Venu des bords du Gange, où son char conquérant Porta ses lois, son culte et sa gloire en courant, Bacchus veut dans Athène
les bords de la Seine il a porté lui-même, Loin des rives du Nil, son culte et ses autels, Et ses prêtres savans, bienfaiteur
t à se cacher. Mais on voit chaque jour s’affoiblir ton empire ; Ton culte est dédaigné des mortels insensés : A la seule fo
u char, pour préserver le triomphateur des prestiges de l’orgueil. Le culte de ce Dieu simple et naïf étoit confié aux mains
urdic 64. Mânes. Divinités qui présidoient aux Tombeaux. Leur culte étoit répandu dans la Grèce. On entouroit leurs a
être enterrées vives dans une caverne où elles mouroient de faim. Le culte de Vesta remontoit jusqu’au temps d’Enée. a lui r
doux et tranquille, Rendez grace à Vesta, méritez ses bienfaits ; Son culte doit remplir et borner vos souhaits. Déjà la nuit
de Thèbes, Fils d’Échion et d’Agave. Ennemi des Dieux et de leur culte , il osa braver Bacchus à son retour de la conquêt
’encens fume, et le peuple animé d’un saint zèle, Consacre un nouveau culte au Dieu fils de Semèle. Ovide.— Saint-Ange 161.
de ne céder qu’à la seule Junon, Si vous ne me vengez, on abolit mon culte . C’est peu de m’offenser : Niobé vous insulte. La
18 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
même, étoient soumis à ses décrets. Il s’appeloit Fatum. Il avoit son culte et ses oracles ; mais on ne lui érigea jamais auc
t à Cythère. L’île de Chypre lui étoit particulièrement consacrée. Le culte qu’on lui rendoit étoit un composé de jeux, de ch
au. Il porte des ailes, et un carquois rempli de flèches ardentes. Le culte qu’on lui rend lui est commun avec sa mère. Dans
19 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXI. Minerva » pp. 132-137
compiono senza il favore di quella. Tutti i migliori poeti delle più culte nazioni hanno accolta gradevolmente questa invenz
20 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
l fonda le royaume d’Athènes, il y établit les lois de son pays et le culte de ses dieux. Il laissa trois filles, Aglaure, He
e il communiqua les connoissances qu’il avoit acquises, il réforma le culte des Grecs, introduisit de nouvelles cérémonies, i
ameux qu’on célébroit dans cette île de la mer Égée. On rendoit là un culte particulier à Cérès, à Proserpine et aux dieux Ca
21 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
s Fabularum, Libri X. 40. Fortuita Critica. 41. Origine de tous les Cultes . 42. Lobeck terms these writers synchytic mythol
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