vaient cinquante têtes menaçantes, cent bras pendaient autour de leur
corps
endurci aux fatigues ; ils étaient forts, violent
adies et de crimes ; la vieillesse n’altérait pas la vigueur de leurs
corps
; ils se livraient à la joie des festins, mais sa
rait cent ans. Les soins efféminés de leurs mères amollissaient leurs
corps
et leurs âmes, et lorsqu’ils arrivaient à la viri
doucissant, engendre l’héroïsme, c’est-à-dire la force de l’âme et du
corps
tempérée par l’humanité. A cette antique et belle
e le transporta donc dans le ciel, où il put reconnaître que tous les
corps
étaient animés par le feu. Il en prit donc une ét
de la création de l’homme. Suivant les livres saints, Dieu façonna le
corps
de l’homme avec le limon de la terre, et il y sou
l’animer. Prométhée fit la même chose, en employant l’argile pour le
corps
, et le feu céleste pour l’âme ; mais il y ajouta
de l’usage du feu, il ordonna à Vulcain de former avec de l’argile le
corps
d’une jeune vierge. Minerve rehaussa la beauté de
e monstrueuse ; leur force était en rapport avec leur taille, et leur
corps
se terminait en une queue de serpent recouverte d
es. Il est nu depuis la tête jusqu’à la ceinture ; et le reste de son
corps
est recouvert d’un manteau aux plis majestueux. L
récepteur d’Achille. Les Centaures étaient des monstres composés d’un
corps
de cheval terminé par le buste, les bras et la tê
issolus comme leur maître, et comme lui le front armé de cornes et le
corps
porté par des jambes de chèvre ou de bouc. Ces di
Triton était fils de Neptune et d’Amphitrite. Homme et poisson, son
corps
, surmonté d’une figure humaine, se terminait par
es fureurs d’Athamas, il se précipita dans les flots, et y périt. Son
corps
fut porté par un dauphin sur le rivage de Corinth
élèbre d’entre elles est Céléno. Ces monstres, au visage de femme, au
corps
de vautour, aux ongles crochus, causaient la fami
es mœurs. A sa mort, il recommanda à Mérope, sa femme, de laisser son
corps
sans sépulture. Il voulait ainsi éprouver son amo
înés de liens éternels aux portes du Tartare, du géant Titye, dont le
corps
couvre neuf arpents, et qu’un vautour déchire san
ion. Géryon, roi de l’île d’Érithie ou Gadès (Cadix), monstre à trois
corps
, nourrissait ses bœufs de la chair de ses sujets.
ombattre la Chimère, monstre terrible, formé d’une tête de lion, d’un
corps
de chèvre et d’une queue de serpent. Bellérophon
inrent à un combat singulier, où tous deux périrent. On dit que leurs
corps
furent placés sur un même bûcher, et que la flamm
e des fils d’Œdipe. Il défendit, sous peine de la vie, d’ensevelir le
corps
de Polynice. La pieuse Antigone voulut rendre les
cain. Il marcha contre Hector, tua ce héros, et traîna trois fois son
corps
autour des murailles de Troie. Enfin, touché des
s larmes de Priam qui pénétra la nuit dans sa tente, il lui rendit le
corps
de son fils. Bientôt, épris des charmes de Polyxè
qu’un trait, lancé par Pâris, le frappa au talon, seule partie de son
corps
que les eaux du Styx, où sa mère l’avait plongé,
divin, sortant d’une colonne, se précipita sur le monstre, et mit son
corps
en lambeaux. Après ces premiers exploits, Vichnou
re à sa demande et y engager sa parole ; alors Vamana, développant un
corps
prodigieux, mesura la terre d’un pas, le ciel de
amme sont dans ses mains ; le tigre a remplacé le taureau ; enfin son
corps
est tout entier d’un blanc cendreux, symbole terr
tion des convives. Il promet de le donner à celui d’entre eux dont le
corps
pourrait le remplir : comme il avait été fait sur
vive ; elle se couvrit d’habits de deuil et se mit à la recherche du
corps
de son époux bien-aimé. Des enfants lui apprirent
ompagnon un fils d’Osiris, le fidèle Anubis, étrange divinité dont le
corps
de forme humaine est surmonté d’une tête de chien
est surmonté d’une tête de chien. Cependant le coffre dépositaire du
corps
d’Osiris s’était arrêté sur la côte de Byblos, da
en lui mettant le doigt dans la bouche, et la nuit, pour purifier son
corps
, elle l’entourait de flammes célestes. Souvent, s
mais Typhon, chassant à la clarté de la lune, le découvrit, retira le
corps
d’Osiris et le partagea en quatorze lambeaux qu’i
rts. On dit qu’après la mort d’Osiris, l’âme de ce dieu passa dans le
corps
du bœuf Apis, autre divinité que révérèrent les É
utels qu’on vint de toutes parts chercher la guérison des maladies du
corps
et de l’esprit. Questionnaire. Quelles sont
mer était sans rivages. Le froid et le chaud, le sec et l’humide, les
corps
pesants et les corps légers se mêlaient et s’entr
s. Le froid et le chaud, le sec et l’humide, les corps pesants et les
corps
légers se mêlaient et s’entre-choquaient continue
u’ils exécutaient au son du tambour et des cymbales, imprimant à leur
corps
des mouvements convulsifs, et frappant leurs bouc
upable une frénésie qu’il tourna contre lui-même ; il se déchirait le
corps
, et allait, dans un accès de fureur, terminer ses
s femmes agonisantes, et coupait le fil qui attachait leur âme à leur
corps
: remplissant, au nom de Junon, ce pieux devoir.
Plus de douleurs, plus de maladies, plus de vieillesse. Aux biens du
corps
se joint l’absence des maux de l’âme. L’ambition,
gnation changea les cheveux de cette gorgone en serpents, couvrit son
corps
d’écailles, incrusta des ailes à ses épaules, déf
t à la main un glaive ou un rasoir, avec lequel ils se déchiraient le
corps
. Quand ils avaient terminé leurs courses et leurs
tout pour plaire : aux qualités de l’esprit, il joignait la beauté du
corps
, la fraîcheur de la jeunesse, une voix touchante,
llonge, ses bras deviennent des jambes longues et menues, et tout son
corps
est couvert d’un poil tacheté : il est métamorpho
a terre après mille ans écoulés, et les introduisait dans de nouveaux
corps
. — On représente Mercure jeune, leste, riant, et
rmures, et se mirent à frapper leurs rivales ; mais tout à coup leurs
corps
se couvrirent de plumes noires et blanches ; elle
. A en croire les anciens auteurs, Silène n’avait rien d’épais que le
corps
. Doué d’un esprit vif, subtil, enjoué, il était f
des serpents au lieu de cheveux, des mains de fer, des ailes d’or, le
corps
couvert d’écailles, et ne possédaient à elles tro
tacher. Épouvantée des hurlements de tous ces chiens cramponnés à son
corps
, elle se jette dans la mer, où elle est changée e
rbe, des sourcils épais, des cheveux flottants sur les épaules, et le
corps
terminé en queue de poisson. § 15. Les Fleuves
es Mânes. C’est le nom donné par les Romains aux âmes séparées des
corps
. On avait pour les mânes des parents le même resp
a reine Hippolyte. 10° Géryon, roi de Bétique, était un géant à trois
corps
, qui faisait garder nuit et jour ses riches troup
ait les voyageurs à lutter avec lui, et les accablait du poids de son
corps
. Il était si habile athlète qu’il avait fait vœu
es de cette armée lilliputienne fondirent sur chacun de ses bras ; le
corps
de bataille livra un assaut à la tête ; les arche
e Achéloüs devait épouser. Achéloüs refusa de céder sa fiancée, lutta
corps
à corps pour la conserver, et fut renversé par te
üs devait épouser. Achéloüs refusa de céder sa fiancée, lutta corps à
corps
pour la conserver, et fut renversé par terre. Il
e ce don inattendu ; mais à peine le vêtement fatal eut-il touché son
corps
, qu’il se sentit dévoré d’un feu intérieur : le p
jour par un horrible dragon, et par deux taureaux monstrueux dont le
corps
était impénétrable au fer, et dont les naseaux vo
plus tôt touché à ces ornements, que ses cheveux, sa robe et tout son
corps
s’embrasèrent et mirent le feu au palais : elle y
reur, et, malgré les efforts qu’il fait pour les fléchir, mettent son
corps
en pièces. Dans l’Èbre impétueux sa tête fut jet
, dont la gueule était armée d’une triple rangée de dents, et tout le
corps
couvert d’écailles jaunissantes. Dès qu’ils furen
spectacle s’offre à ses yeux ! L’énorme serpent était couché sur les
corps
de ses compagnons, buvait leur sang et se nourris
e au monstre son javelot, l’atteint à l’épine du dos, lui traverse le
corps
d’outre en outre, et lui arrache la vie. Vainqueu
a le même supplice. Mais la terre et la mer refusèrent de recevoir le
corps
d’un semblable scélérat, en sorte qu’il resta que
animal affreux, qui avait la tête d’un lion, la queue d’un dragon, le
corps
d’une chèvre, et dont la gueule béante vomissait
, et se tua. Les sœurs de Méléagre ne parent se résoudre à quitter le
corps
de leur frère ; elles se couchèrent sur son tombe
ête, le visage et les mains d’une jeune fille, la voix d’un homme, le
corps
d’un chien, la queue d’un serpent, les ailes d’un
la vigilance des gardes, sortit de Thèbes pendant la nuit, trouva le
corps
et le brûla. Surprise dans ce pieux devoir, elle
uvoir plus combattre, il prie ceux qui l’entourent d’aller enlever le
corps
de Mélanippe et de le lui apporter. Capanée s’éla
ion, ne put lui survivre, et saisissant le moment où y on brûlait son
corps
sur le bûcher, elle s’élança au milieu des flamme
e à la mort d’un mari volage, se laissa consumer de tristesse, et son
corps
fut réuni, dans la tombe, à celui de Pâris. Quant
ois le tour51. Non content de cette vengeance, Achille ordonne que le
corps
soit privé des honneurs de la sépulture et devien
revoir les lieux où était mort Hercule, son ami. Il alla donc avec un
corps
de Thessaliens, s’établir dans la Calabre, où il
qu’elle aura fini de broder la pièce de toile qui doit envelopper le
corps
de son beau-père Laërte, quand ce vieillard, acca
etraite où elle s’était cachée, s’approche du mûrier, et reconnaît le
corps
inanimé de Pyrame, près du voile fatal qui a caus
ent lentement vers la source fatale : mais elles n’y trouvent plus le
corps
de celui qu’elles regrettent. A sa place s’élève
ais sous une forme différente. En effet, lorsque la flamme consuma le
corps
de Memnon, on vit sortir de son bûcher des oiseau
el son plaintif, semblable au cri d’un oiseau. Quand elle fut près du
corps
de Céyx, elle s’y posa doucement, elle le couvrit
essait d’étendre ses regards sur la plaine blanchissante. A la vue du
corps
de son amant, elle ne put modérer l’excès de son
nce avec les Sirènes. Séduisantes et enchanteresses comme elles, leur
corps
se terminait en queue de poisson, et au lieu de m
ent des monstres ailés, qui avaient le visage d’une vieille femme, le
corps
et les griffes d’un vautour avec une crinière de
de son lit, et lui demanda comme une grâce « de ne point enterrer son
corps
. » Il mourut, et sa veuve obéit à cette injonctio
se plaignit à ce dieu de la barbarie de sa femme, qui refusait à son
corps
la sépulture, et sollicita la permission de retou
che, sa bouche écumait, un tremblement violent s’emparait de tout son
corps
. Dans cet état de crise et de souffrance, elle se
e plus loin que Ton pouvait ; 4° la Lutte, ou combat de deux athlètes
corps
à corps ; 5° le Pugilat, sorte d’escrime à coups
oin que Ton pouvait ; 4° la Lutte, ou combat de deux athlètes corps à
corps
; 5° le Pugilat, sorte d’escrime à coups de poing
iris, l’attira dans une embuscade, le tua, enferma dans un coffre son
corps
mutilé, et le jeta dans le Nil. Isis voulait avoi
l mourut, le peuple s’imagina que l’âme de ce roi avait passé dans le
corps
d’un bœuf, animal indispensable aux travaux du la
dogme de la métempsycose, ou transmigration des âmes dans différents
corps
d’hommes et de bêtes ; 3° sur l’utilité qu’on ret
e. Il est devenu chez les Chrétiens le symbole de la résurrection des
corps
. h) Le lac d’Achérusie. Non loin de Memphis
naissance des enfants. 8. L’ombre tenait le milieu entre l’âme et le
corps
; elle était immatérielle comme l’âme, et avait l
le corps ; elle était immatérielle comme l’âme, et avait la figure du
corps
. 9. Titye, un des géants, ayant offensé Latone,
es comme œuvres pies. L’Indou lave dans les eaux sacrées du Gange son
corps
et sa conscience. Le Persan schismatique, comme l
née une fête en commémoration de cette catastrophe. On se meurtrit le
corps
, on pousse des hurlements, on fait des cérémonies
i put leur faire oublier l’aviron. Charlemagne lutta trente-trois ans
corps
à corps avec la Saxe, et ne la réduisit qu’en l’a
ur faire oublier l’aviron. Charlemagne lutta trente-trois ans corps à
corps
avec la Saxe, et ne la réduisit qu’en l’arrachant
rend tristes, sombres, hagards ; il dépouille leur front, courbe leur
corps
, creuse leurs joues, fait trembler avant l’âge le
i n’a jamais été brûlé. Tous ont pu voir dans son cercueil nouveau le
corps
de ce grand homme ; tous cependant ont assuré qu’
il y était mort de nostalgie. Le préfet d’Égypte avait fait saler le
corps
et l’avait envoyé à Rome, où les curieux pouvaien
vipères. On lui mit des vipères sifflantes sur la tête et sur tout le
corps
. Enfin une belle queue de dragon compléta sa méta
« La pâleur aussitôt disparaît, les forces raniment soudain ce faible
corps
, tant le souffle d’une déesse a de puissante vert
lus grands que le ventre et la teste plus grosse que tout le reste du
corps
, avecques amples, larges et horrificques machouèr
de la forme humaine ; il leur donna des yeux, il dégagea les bras du
corps
, il sépara les jambes, il fit agir et marcher les
er par ces paroles les maladies causées par un démon qui loge dans le
corps
humain. Car il faut que vous sachiez que nous avo
Notre-Seigneur-Père, ce feu vient à prendre au démon, il le chasse du
corps
, et, l’ennemi mis en fuite, le corps demeure sain
rendre au démon, il le chasse du corps, et, l’ennemi mis en fuite, le
corps
demeure sain et vigoureux par la vertu de l’étern
quérants de la terre, des guerriers, des forts, de ceux qui luttaient
corps
à corps avec les ours, succède une race plus douc
de la terre, des guerriers, des forts, de ceux qui luttaient corps à
corps
avec les ours, succède une race plus douce et plu
t fort peu. Il a perdu, il est vrai, la faculté de voir à travers les
corps
opaques, que les anciens lui attribuaient, mais s
. Comme on supposait qu’un attrait invincible les ramenait vers leurs
corps
, tant que ceux-ci conservaient leur forme, on se
i n’offre à l’esprit du chrétien que des abstractions. Leur donner un
corps
, c’est tomber dans l’idolâtrie, c’est profaner le
s un dogme chez les anciens comme chez nous. Ne voyant d’eux que leur
corps
, c’était aussi dans leur corps qu’ils espéraient
me chez nous. Ne voyant d’eux que leur corps, c’était aussi dans leur
corps
qu’ils espéraient revivre, ou plutôt dans l’image
leur corps qu’ils espéraient revivre, ou plutôt dans l’image de leur
corps
. Car les corps eux-mêmes étaient destinés au bûch
ils espéraient revivre, ou plutôt dans l’image de leur corps. Car les
corps
eux-mêmes étaient destinés au bûcher : la mort ne
; l’action violente du feu les consume quand la vie s’est retirée du
corps
; mais l’âme, pareille à un songe, s’est déjà env
; c’est un souffle, une image, une représentation vide et creuse des
corps
qui ne sont plus. Ces images étaient, si l’on peu
es. Même après la mort, des liens mystérieux les rattachaient à leurs
corps
. Quand ceux-ci restaient sans sépulture, elles n’
u’elles erraient encore sans asile, on pouvait les rappeler auprès du
corps
, en répandant du vin autour du bûcher. Mais, une
et des formes, mais le sentiment n’y est plus. » Elles tenaient des
corps
par une foule d’autres points. Elles buvaient le
s cris plaintifs. Elles gardaient non-seulement la forme générale des
corps
qu’elles avaient quittés, mais l’empreinte des bl
funt, c’est de son âme qu’il s’agit, et non de la forme creuse de son
corps
. Cela est si vrai, que les deux mots s’emploient
la cause, les lois qu’ils découvrent, ils les voient avec les yeux du
corps
, ils les peignent, ils les désignent par de grand
s, élève sa tête de femme au-dessus, des sables qui ensevelissent son
corps
de lion. C’est le Sphinx, le gardien du désert, m
ent en chœur. — Ce sont les groupes, les mouvements, les attitudes du
corps
qui la font surtout ressortir. Je ne connais pas
ant : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage ; Tout prend un
corps
, une âme, un esprit, un visage, Chaque vertu devi
L’œil au-dessous du front se creusa sa retraite, Les bras au haut du
corps
se trouvèrent liés : La terre heureusement se dur
têtes menaçantes et cent bras vigoureux qui pendaient autour de leur
corps
. Tous ces fils du Ciel et de la Terre portèrent l
perfection. Elle transporta Prométhée au ciel, où il vit que tous les
corps
étaient animés d’un feu vivifiant, qui lui parut
ttentat de Prométhée, ordonna à Vulcain de former avec de l’argile le
corps
d’une jeune fille. Dès qu’elle fut sortie des mai
majesté ; il est nu jusqu’à la ceinture, et couvert, pour le reste du
corps
, d’une robe flottante, comme pour montrer qu’il é
nstres ayant la tête, les bras et le buste d’un homme, terminé par le
corps
et les jambes d’un cheval. C’étaient, en réalité,
de loin, paraissaient ne former avec leurs chevaux qu’un seul et même
corps
. 10° Le Capricorne (décembre). C’est, selon
e les âmes continuaient, sous le nom de Mânes, d’y séjourner avec les
corps
, et que c’étaient autant de génies propices : de
s mers, dont il précédait le char en sonnant d’une conque marine. Son
corps
se terminait en queue de poisson. Il commandait u
n par Neptune. Suivant une autre tradition, un dauphin recueillit son
corps
, et le porta sur le rivage de Corinthe. Sisyphe,
rochers. On les représente sous les traits de belles femmes, dont le
corps
se termine en forme de poissons ou d’oiseaux.
de la Mer, étaient des monstres marins, ayant un visage de femme, un
corps
du vautour et des ongles crochus. Elles causaient
, et même de ce qu’elles y avaient été ; alors, passant dans d’autres
corps
, elles revenaient à la vie et s’unissaient à des
amnées à errer cent ans sur les bords du fleuve, avec celles dont les
corps
avaient été privés des honneurs de la sépulture.
lèche. Sisyphe expirant recommanda à Mérope, sa femme, de laisser son
corps
sans sépulture. C’était pour mettre sa tendresse
endit coupable d’un crime pareil. Ce géant, fils de la Terre, dont le
corps
couvrait neuf arpents, voulut attenter à l’honneu
s latins, dans Virgile. Le bonheur ne s’y compose que des plaisirs du
corps
et des joies de la terre. Ce sont encore des cour
voiles, y est inconnue. Une lumière pure et douce se répand autour du
corps
de ces hommes justes et les environne de ses rayo
une gloire céleste qu’une lumière. Elle pénètre plus subtilement les
corps
les plus épais que les rayons du soleil ne pénètr
les hommes plongés dans la vie des sens n’admiraient que la force du
corps
. Ils ne pouvaient comprendre que la véritable glo
ait la Lycie. C’était un monstre affreux, ayant la tête d’un lion, le
corps
d’un bouc et la queue d’un dragon ; de sa gueule
ion, roi des îles Baléares, près de l’Espagne, était un géant à trois
corps
, qui nourrissait ses bœufs de la chair de ses suj
combe, je meurs brûlé d’un feu caché, Qu’allume en moi ce voile à mon
corps
attaché. Ainsi ce que n’ont pu, dans l’horreur de
and Dieu, témoin des maux dont l’excès me tourmente, Qu’est devenu ce
corps
que j’ai reçu de toi ? Mes membres t’offrent-ils
coupant ou leur allongeant les jambes avec effort jusqu’à ce que leur
corps
fût exactement de la longueur de ce lit. Thésée a
( J. Racine, les Frères ennemis.) Quelques auteurs racontent que les
corps
des deux frères furent mis sur le même bûcher par
ntre Hector, le tue et traîne trois fois autour des murs de Troie son
corps
attaché à son char victorieux. Priam vient dans l
rieux. Priam vient dans la tente d’Achille demander, en suppliant, le
corps
de son malheureux fils. Le héros, aussi généreux
ail merveilleux, promettant de le donner à celui des convives dont le
corps
en remplira exactement la capacité. Osiris s’y ét
sitôt elle part avec son fils Anubis, étrange divinité, ayant avec un
corps
d’homme une tête de chien et toute la sagacité de
tête de chien et toute la sagacité de cet animal. Il découvre que le
corps
d’Osiris a été transporté par les flots jusque su
in. Isis se rend dans cette ville, obtient la permission d’enlever le
corps
de son époux, le rapporte en Egypte, et le dépose
ieu devait réunir des conditions particulières : être noir de tout le
corps
, porter sur le front une tache blanche et carrée,
. Leur ordre de prééminence est clairement déterminé par la partie du
corps
d’où est sorti le chef de chacune de ces castes.
appelés encore Banians, est caractérisée par la partie inférieure du
corps
, à laquelle son chef doit la naissance. Il en est
par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du
corps
aux pensées. ( Brébeuf.) 63. Cet animal est l’
re ne parait pas avoir suivie, Achille était invulnérable par tout le
corps
, excepté au talon, par où le tenait Thétis, sa mè
ileau : Là pour nous enchanter tout est mis en usage : Tout prend un
corps
, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devi
’être née, Sans mouvements, sans forme et sans vigueur, N’était qu’un
corps
abattu de langueur, Un sombre amas de principes s
rts qui sont la lumière de l’esprit comme le soleil est la lumière du
corps
. Les Grecs le croyaient l’inventeur de la musique
nom de caducée. Les poëtes supposent que l’âme né peut se séparer du
corps
que lorsque d’un coup de son caducée Mercure a ro
des ou bacchantes, couraient sur les montagnes, les cheveux épars, le
corps
vêtu de peaux de tigres ou de panthères, portant
monstres qui ressemblaient à l’homme par la partie supérieure de leur
corps
et pour le reste depuis la ceinture à un poisson.
visage de femme, des oreilles d’ours, des ailes de chauves-souris, un
corps
de vautour et des griffes aux pieds et aux mains.
prêtes à souffrir de nouveau les misères de la vie et à reprendre un
corps
, comme le supposaient les défenseurs de la métemp
es sur la tête, le nez camus, la barbe et les cheveux négligés, et le
corps
d’un bouc depuis la ceinture jusqu’aux pieds. On
ssions. Toutes les pensées qui agitent l’intelligence humaine prirent
corps
et visage pour recevoir l’encens des mortels abus
convulsifs et des danses bizarres. Ils se faisaient aussi sur tout le
corps
des incisions, et croyaient agréable à Bellone le
a justice, et ceux qui l’emportaient sur les autres par la vigueur du
corps
abusaient de cet avantage au profit de leurs mauv
ter des plaisirs, rassure-toi, je t’en comblerai sans prescrire à ton
corps
ni à ton esprit des travaux pénibles. Tout sacrif
ndent le bonheur et l’éclat sur la vie des hommes. Si tu veux que ton
corps
devienne robuste et vigoureux, souviens-toi de l’
de chair humaine. Les poëtes ont fait de ce tyran un monstre à trois
corps
qui faisait garder ses troupeaux par un chien à d
ades qui avaient d’abord constitué Athènes, divisa le peuple en trois
corps
auxquels il accorda les plus grands privilèges, r
tre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son
corps
est couvert d’écailles jaunissantes ; Indomptable
Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ; Ils courent. Tout son
corps
n’est bientôt qu’une plaie. De nos cris douloureu
i rende… » A ces mots, ce héros expiré N’a laissé dans mes bras qu’un
corps
défiguré, Triste objet où des dieux triomphent la
ffroi du pays. Il avait la tête d’un lion, la queue d’un dragon et le
corps
d’une chèvre. Sa gueule béante vomissait des tour
Rhodope où les Bacchantes se vengèrent de ses dédains en mettant son
corps
en lambeaux et en jetant sa tête dans l’Hèbre. Vi
par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du
corps
aux pensées. L’histoire n’a pas pleinement conf
ui troublait les environs de Thèbes. Il avait la tête d’une femme, le
corps
d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, le
Parthénopée. Ils gardèrent les sept portes de Thèbes avec leurs sept
corps
d’armée. Dans une sortie Etéocle et Polynice se r
rès sa naissance dans les eaux du Styx, et avait ainsi rendu tout son
corps
invulnérable. Mais comme en le plongeant elle l’a
t baiser la main qui a tué mon fils. Achille avait juré de laisser le
corps
d’Hector sans sépulture et de l’abandonner en pât
donna la mort. Thétis vint avec une troupe de nymphes pleurer sur le
corps
de son fils ; les neuf Muses firent entendre leur
imait extraordinairement la force, la beauté et tous les avantages du
corps
; les exercices avaient spécialement pour but la
tion pour l’esprit, fit bientôt, dit Cantu, associer aux exercices du
corps
la musique, la poésie et la lecture. Alcibiade co
lamme sont dans ses mains ; le tigre a remplacé le taureau, enfin son
corps
est tout entier d’un blanc cendreux, symbole terr
iaires sont récompensées du bien qu’elles ont fait en passant dans le
corps
des brahmines, ou bien elles achèvent leur expiat
s extravagantes. Dans leurs fêtes religieuses, ils se meurtrissent le
corps
et s’imposent les supplices les plus cruels. L’id
e yogui, ne lit rien, ne s’occupe de rien, ne sent rien, dédaigne son
corps
et toutes les choses matérielles, éteint en lui l
l’urine de vache pour leur servir d’eau lustrale ; ils s’en lavent le
corps
et en boivent. Le plus grand bonheur pour un brah
er de devenir aussi pur que la lumière et de conserver son âme et son
corps
exempts de toute souillure. C’est pourquoi les Pe
ique et le promit à celui qui pourrait exactement le remplir avec son
corps
. Tous les seigneurs le tentèrent vainement. Osiri
rêt. 7. Typhon découvrit le tombeau d’Osiris, l’ouvrit et partagea le
corps
de son frère en quatorze lambeaux qu’il dispersa
rus, et recommença ses recherches. Elle retrouva tous les lambeaux du
corps
d’Osiris, à l’exception d’un seul, les ensevelit
lle apprit la mort de son époux ? Qui l’aida dans la recherche de son
corps
? Quelles furent ses aventures à Byblos ? 7. Que
nouveau monde se forma. Les fils de Bor, ou les dieux, traînèrent le
corps
du géant dans l’abime, et en fabriquèrent le glob
assins ; un dragon noir et ailé vole sans cesse autour, et dévore les
corps
des malheureux qui y sont renfermés. » Questio
moral. Là, pour nous enchanter tout est mis en usage ; Tout prend un
corps
, une ame, un esprit, un visage ; Chaque vertu dev
t par les traits divers de figures tracées Donner de la couleur et du
corps
aux pensées5. Le culte de Jupiter était fort éte
uvieux des Romains étendait les bras, et de toutes les parties de son
corps
tombaient des nappes d’eau qui figuraient les pli
ille de l’Océan. Sa principale fonction était de dégager les ames des
corps
au moment du trépas. Cette jeune divinité fait le
douleur de Vénus, lorsque à son retour elle vit étendu sur l’herbe le
corps
de son cher Adonis ! c’était le premier de ses am
onis furent instituées à Sidon. Les vierges portaient le simulacre du
corps
du beau chasseur, et faisaient retentir les airs
ux ; il excella dans tous les exercices qui développent les grâces du
corps
, et dans tous les arts qui font le charme de la v
s louanges et de sa flûte. Apollon passa en Lydie. Las de traîner un
corps
qui lui servait à peine, Sur la croupe d’un mont
, instruites de son malheur, coururent de tout côté pour chercher son
corps
. Ayant enfin découvert son tombeau, elles ne cess
les reconduisait sur la terre, pour les faire passer dans de nouveaux
corps
, après qu’elles avaient bu les eaux du fleuve Lét
deux autres dès leur naissance furent des nymphes monstrueuses : leur
corps
était couvert d’écailles impénétrables, leurs mai
hers qu’on y voit ; et sa tête, l’espèce de pointe qui la termine. Le
corps
d’Atlas s’accrut tellement qu’il devint capable d
ls, elles offraient aux regards de la déesse tous les défauts de leur
corps
, en la prient d’en dérober la connaissance aux ma
es doigts, en s’allongeant, vont dessiner la main. Bientôt de ce beau
corps
la taille souple et libre Sur sa double colonne a
es bords du fleuve Thermodoon ; de tuer Géryon, géant qui avait trois
corps
d’hommes réunis, de manière qu’on lui voyait six
pendant menaçait le rivage. Hercule, sur la droite appuyant tout son
corps
, Du roc qu’il déracine avec de longs efforts Pous
feu sacré, que le venin de l’hydre de Lerne se répandit par tout son
corps
. Son courage lui fit d’abord surmonter la douleur
tres sous les figures les plus bizarres : là, Géryon montre ses trois
corps
énormes réunis en un seul ; ici, sont couchés les
n seul ; ici, sont couchés les Centaures dont la partie supérieure du
corps
ressemble à celle de l’homme, tandis que leur dos
e de lion, l’autre de chèvre, la troisième de dragon, et dont tout le
corps
tient de ces trois animaux différents. Ce monstre
s flots des rochers ardents, qui, semblables à autant de parties d’un
corps
organisé, se rangèrent les uns auprès des autres,
endre aux deux extrémités du monde. Ce dieu a la partie supérieure du
corps
semblable à celle d’un homme, et l’autre pareille
heveux se tiennent, de manière qu’on ne peut les séparer. Le reste du
corps
est couvert d’une écaille aussi fine et aussi for
Dryades lui préparent un bûcher, et lorsqu’elles veulent prendre son
corps
, elles ne trouvent en sa place qu’une fleur qui p
vec des jambes, des pieds, et des oreilles de bouc ; le reste de leur
corps
conserve la figure de l’homme : on les appelle au
D’abord, ils perdent la raison ; Quelques moments après, leur
corps
et leur visage Prennent l’air et les traits d’ani
it que le culte des Dieux lares est venu de la coutume d’enterrer les
corps
dans les maisons, et sur les chemins. Les Lares é
ilieu de tant de divinités de toute sorte. Chacune des parties de son
corps
avait son dieu particulier : la tête était sous l
aine. Les Nymphes enlaçans leurs Thyrses en berceau, Ombragent de son
corps
l’immobile fardeau. De ses yeux incertains la fla
des cornes à la tête, des pieds de Chèvre, et la partie inférieure du
corps
, semblable à celle du Bouc. O Pan ! lor
te Imprime sur le sable une trace ondoyante. Autour du gouvernail son
corps
émaillé d’or Se roule, et sur la poupe il se repo
ux, Qu’aux plaines de l’Ether développant son aile, Elle abandonne un
corps
appesanti loin d’elle, Que son être est plus nobl
r l’homme assoupi Morphée est descendu. Sa paupière est fermée et son
corps
étendu. Qui remplira le vide où le sommeil le plo
: Tous ces flots de chasseurs, prudemment partagés Se forment en deux
corps
sur les ailes rangés ; Les chiens au milieu d’eux
e . Cependant le cerf vole, et les chiens sur sa voie Suivent ces
corps
légers que le vent leur envoie ; Par-tout où sont
bois, Perdra sans son secours l’adresse de ses doigts. Vous qui, des
corps
humains chassant la maladie, Renouez de nos jours
tre aimable… Les Grâces seules embellissent Nos esprits ainsi que nos
corps
, Et nos talens sont des ressorts Que leurs mains
ture entière ; Notre œil est offensé des traits de la lumière ; Notre
corps
affaissé, qui se traîne à pas lents, Fait plier,
dans leurs bras, Leur dardent le venin de leur langue subtile : Leur
corps
n’est point blessé : l’aiguillon du reptile Pénèt
e épaissie ; L’armure s’y dépose, et d’une onde attiédie On arrose ce
corps
, déjà froid et glacé. Tous pleuraient. Le héros s
pendant menaçait le rivage ; Hercule, sur la droite appuyant tout son
corps
, Du roc qu’il déracine avec de longs efforts Pous
essence précieuse ; Cette pure ambrosie embaume ses cheveux, Rend son
corps
plus agile et ses bras plus nerveux. Au sein
utels ; Et les faisant tomber sous les couteaux mortels, Laisse leurs
corps
sanglans dans la forêt profonde. Quand la neuvièm
Ville superbe et le fameux Empire de Priam. Invulnérable par tout son
corps
, excepté au talon, Achille fut atteint d’une flèc
les lamentables malheurs de cet illustre vieillard, et lui rendit le
corps
de son fils. Patrocle à Achille. « Héros, j’
le, S’arme et court, plein d’ardeur, où la gloire l’appelle. Tout son
corps
est caché sous un rempart d’airain ; La cuirasse
. Il veut les rappeler, et sa voix les effraie. Ils courent. Tout son
corps
n’est bientôt qu’une plaie. De nos cris douloureu
lui rende… » A ce mot ce héros expiré, N’a laissé dans mes bras qu’un
corps
défiguré ; Triste objet où des Dieux triomphe la
bientôt sa fureur Va sur le camp des Grecs repousser la terreur. D’un
corps
souple et léger, d’un pied rempli de grâce, On la
u carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la porte en trophée. Son
corps
en un instant, par leurs mains lacéré, Se dispers
se, est dans ces froides ondes. Ceux qui doivent un jour reprendre un
corps
humain, Perdent le souvenir de leur premier desti
et les Mers, D’un principe commun, d’une ame universelle, Dans leurs
corps
pleins de vie ont tous une étincelle. C’est de là
e ame a secoué sa chaîne Les vices, les penchans qui maîtrisaient son
corps
, Avec elle nourris, la suivent chez les morts : L
fils de Laërte : La terreur le devance, et la mort suit ses pas ; De
corps
ensanglantés la campagne est couverte. Pour t
a le voile, et croyant son amante dévorée, s’enfonça son épée dans le
corps
. Thisbé reparut un moment après, trouva Pyrame ex
pas sa couleur. Elle doute, examine, et sur l’herbe sanglante Voit un
corps
palpitant, recule, et d’épouvante. Frémit, comme
es, amis, l’un sur l’autre expirans ; On marche, on est porté sur les
corps
des mourans ; On veut fuir ; on revient, et la fo
rs du perfide nectar, Sur son âne tardif qu’il conduit avec peine, Le
corps
penché, déjà paraît le vieux Silène, Aux crins de
hevez, en serpent puissiez-vous me changer ! Cadmus avait parlé : son
corps
qui se resserre, S’arrondit en anneaux, et rampe
énétès éprouver ses efforts, Et traverse d’un coup sa cuirasse et son
corps
. Le soldat roule et mord la poussière sanglante.
r va droit au but, et ne s’écarte pas. Mais comme un mur d’airain son
corps
qui le repousse, Résiste, et retentit sous le fer
eptune le dérobe au vainqueur en furie. Achille a son armure ; et son
corps
, nous dit-on, Se change en oiseau blanc qui conse
enchanté : Il se contemple, il brûle, étonné de lui-même, Et prête un
corps
, hêlas ! à cette ombre qu’il aime. Avidement penc
ux, Semble lui demander leur frère malheureux. On cherche en vain son
corps
, on n’en voit plus la trace, Narcisse disparaît,
ermine. Il s’arrête, il m’appelle. Une froide sueur Coule de tout mon
corps
, transi par la frayeur : Mes humides cheveux se f
un sang noir couler de sa blessure, Et le froid de la mort glacer son
corps
sanglant. « Arrête, cher époux, dit-elle en gémis
s traits, On dirait qu’il sommeille endormi dans la paix. Rends à son
corps
glacé sa parure élégante… Quelque triste que soit
e a sa langue pressée, L’un et l’autre se dit adieu de la pensée : Le
corps
n’est tantôt plus que feuillage et que bois. D’ét
; on le déchire ; et son supplice effraie. Dépouillé de sa peau, son
corps
n’est qu’une plaie. Son sang à longs ruisseaux co
rop négligens à polir les ressorts De son esprit, plus charnu que son
corps
, Bien est-il vrai qu’ils mirent à sa suite Deux a
aisant le genou, Surent le rendre enfin tout-à-fait fou ; L’un de son
corps
vante l’air héroïque ; L’autre les dons de son am
a mort de Ceyx. Désespérée, elle courut au rivage où ayant aperçu son
corps
flottant, elle voulut se précipiter dans la mer.
nstante. Me trompez-vous encor, mes yeux ? Un
corps
flottant ! ô trouble extrême ! Cher C
grins secrets. Une affreuse maigreur dessèche ses attraits ; Tout son
corps
dépérit, tout son sang s’évapore. Ce qu’elle fut
ane Descendent aussitôt sur la cité profane……… Au milieu de leurs
corps
, étendus et sanglans, Veuve de son époux, veuve d
lle. Au dedans, au dehors, Un froid mortel en marbre a durci tout son
corps
. On voit pleurer encor son image sans vie. Un tou
dompte sa rage, Il a courbé sa tête ; et, tombant de langueur, De son
corps
monstrueux déployé la longueur ; Tandis que, reje
le ennoblie, Les champs en furent baignés ; Et du Céphise rapide, Son
corps
affreux et livide, Grossit les flots indignés.
rs Qui vont épouvanter l’air, la terre et les mers ; Géroyn, de trois
corps
formant un corps énorme ; Le Quadrupède humain, f
anter l’air, la terre et les mers ; Géroyn, de trois corps formant un
corps
énorme ; Le Quadrupède humain, fier de sa double
out ce qui porte au cœur, l’attendrit et l’enflamme, Et les grâces du
corps
, et la douceur de l’ame. L’homme seul contemplait
main désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide acier, Porte le
corps
sanglant auprès de son foyer, Et d’un bras que po
en fureur, Ils enfoncent la porte… O surprise ! ô terreur ! Près d’un
corps
tout sanglant, à leurs yeux se présente Une femme
ffre des Enfers, Epouvante la Terre, empoisonne les airs ; Et sur les
corps
pressés d’une foule mourante, Lève, de jour en jo
urs souillures, Eût osé revêtir ces dépouilles impures ! Soudain, son
corps
baigné par d’immondes humeurs, Se couvrait tout e
’immondes humeurs, Se couvrait tout entier de brûlantes tumeurs ; Son
corps
se desséchait, et ses chairs enflammées, Par d’in
u morale ? les faits qui l’entourent, les détails qui embellissent le
corps
de sa fable, l’image sensible qui le représente,
ée, et dans son repentir demande à Jupiter pour toutes les parties du
corps
de son fils le privilége de l’incorruptibilité. S
u ou un bélier, puis ces prêtres recevaient sur toutes les parties du
corps
ces douches ou aspersions de sang. Long-temps une
sous le nom du centaure Chiron, monstre à buste d’homme, porté sur un
corps
et des jambes de cheval. En voyant ce fruit de se
r plus tard la gloire de combattre seul le chef de tous les Dieux. Le
corps
des assiégés n’était pas moins bien composé. Il a
acher les bras et les jambes des statues, les laissa serrés contre le
corps
. Il en résulta des monumens historiques qui nous
vages les plus ignobles ; cent têtes de serpens se dressaient sur son
corps
gigantesque, qui dépassait, dit-on, les pics les
replis multipliés et l’enveloppaient de toutes parts. Le reste de son
corps
était couvert de plumes ; sa voix épouvantable po
e à la garde d’un autre monstre appelé Delphyne, à tête de femme et à
corps
de dragon. Après cette défaite, deux enfans de Ju
cile : car celles-ci avaient été si bien hachées par la faulx, que ce
corps
n’était plus qu’un composé de tranches de même gr
pède écrasé, a beaucoup été agrandie par les poètes. Pindare place le
corps
de ce monstre sous l’Etna, sa poitrine sous les e
de mourir, ordonna à sa femme, pour éprouver son amour, de jeter son
corps
sans sépulture, ce qu’elle fit ponctuellement. Un
se. Du reste, les statues de ce couple représentent habituellement le
corps
de chacun des deux vieillards à moitié enveloppé
vant de commencer, ils se faisaient frotter d’huile les membres et le
corps
, pour obtenir plus de souplesse, et donner moins
grandeur et la puissance de son empire ; la nudité supérieure de son
corps
indique qu’il se rendait visible aux intelligence
par leurs cris. Tirésias était donc un savant pour lequel les yeux du
corps
étaient censés ne pas être indispensables pour se
sente Mars comme un vieillard très-fort, avec ou sans barbe, ayant un
corps
robuste, une large poitrine, les bras vigoureux,
et de désespoir, demeura assise et pour toujours immobile, auprès des
corps
de ses enfans qu’elle venait d’arroser de ses lar
ait toutes les nuits à l’étude de la marche de la lune et de tous les
corps
célestes. Peut-être aussi cette fable n’est-elle
s noms de Tricéphale et de Triformis, ou aux trois têtes et aux trois
corps
, elle passait chez les Grecs pour fille de Jupite
e ses observations, avait découvert la marche du soleil et des autres
corps
célestes, que les Grecs avaient inventé ces fable
empêchaient les fidèles de venir sacrifier au temple de Delphes. Son
corps
, laissé sans sépulture, ne tarda pas à infecter t
qui ne ressemblait ni aux dieux ni aux hommes, qui avait la moitié du
corps
d’une belle nymphe et l’autre d’un serpent, affre
supposait à la Chimère la tête d’un lion, la queue d’un dragon et le
corps
d’une chèvre. On disait qu’elle avait été élevée
la fois comme expression et monument de sa douleur, il transporta son
corps
parmi les astres, et fit naître du sang qu’il per
men par les Romains ; c’étaient les tiraillemens de quelque partie du
corps
, particulièrement du cœur et des sourcils ; les t
grains de sable pour vivre plus de trois cents, au bout desquels son
corps
devait être consumé et réduit à rien, tout en con
rte à son père, ce prince la fit enterrer toute vive et jeter sur son
corps
un monceau de sable. Rien ne pouvant la faire rev
ts Pélion ou Ossa en Thessalie, et qui avaient un buste d’homme et le
corps
et les jambes de chevaux ou de bœufs, d’où leur v
eux en eurent ensuite une espèce de pitié, car ils transportèrent son
corps
aux cieux pour y devenir la constellation du serp
la terre, court à travers les ronces et les rochers, se jette sur le
corps
de son bien-aimé, déchire son voile et veut arrêt
happe de sa blessure, mais il était trop tard. En vain elle presse ce
corps
inanimé, en vain le souffle divin de sa bouche am
ébrans abandonnaient à la mer, dans un panier ou dans une nacelle, le
corps
du dieu, sous la tête duquel on plaçait des lettr
sur leurs côtes, la pieuse nacelle dans laquelle se trouvaient et le
corps
du dieu et les lettres d’Egypte, qui les engageai
embrassa étroitement et pria les dieux de maintenir à jamais les deux
corps
dans cet état d’union. Prière qui fut exaucée, et
de l’autre sexe, c’est-à-dire au sens moral qu’il réunit sur un même
corps
humain, les beautés spéciales à chacun des deux s
e l’enfantement. Déjà l’on allait porter au bûcher le cercueil où son
corps
était placé, quand une colombe vint à en sortir e
force et les vagues du matin ne ramenèrent au rivage de Sestos, qu’un
corps
inanimé. Héro désespérée ne peut survivre à cette
Epidamnios et Péristère. Les Jeux qui présidaient aux délassemens du
corps
et de l’esprit, étaient représentés comme de jeun
e le reste de la vie de cette mère du plus grand des héros grecs. Son
corps
, suivant quelques légendes, disparut et fut rempl
rirent et furent bien surpris de trouver dedans une pierre au lieu du
corps
de la princesse. Ils déposèrent cette masse mirac
ssait dans l’action, était regardée comme infâme. Alors on jetait son
corps
à l’eau, tandis qu’on reconduisait en triomphe ce
tres, fut le douzième de ses travaux. Ce Géant célèbre par son triple
corps
, muni de six mains, de six pieds, et de six ailes
éryon, dit-on encore, avait un oracle célèbre en Italie, et ces trois
corps
ne sont que la représentation de trois corps ne s
en Italie, et ces trois corps ne sont que la représentation de trois
corps
ne sont que la représentation de trois armées, de
ercule la perce de ses flèches ; puis il laisse Phorcus recueillir le
corps
de sa fille, dans un chaudron, et le faire étuver
omesse de le ramener, mais sa mort força le héros de faire brûler son
corps
et d’en envoyer les cendres à son père : ce fut,
encore messager de Mort, chargé de détacher entiérement les âmes des
corps
, de les conduire aux enfers, et rarement de les r
a tortue rappelle qu’il inventa la lyre. Mais quand on lui mettait un
corps
d’homme avec une tête de chien ou d’épervier et u
aissa la couronne à son fils Évandre, pendant que lui, à la tête d’un
corps
de Lyciens, fut prêter secours à Priam, attaqué p
; et il tombe sous les coups de Patrocle, l’ami intime d’Achille. Le
corps
de Sarpédon fut lavé dans le fleuve Xanthus, ensu
visage de vieille femme ridée, un bec crochu, des griffes énormes, un
corps
d’oiseau de proie et les mamelles pendantes. Elle
imaginé les Lamies, véritables vampires femelles, à buste de femme et
corps
de serpent, dont le seul plaisir était de dévorer
’Orthos et de la Chimère et présentant le buste d’une jeune fille, le
corps
d’un chien, les griffes d’un lion, les ailes d’un
a victoire resterait fidèle aux Athéniens tant qu’ils garderaient son
corps
au milieu d’eux, et pour le prouver, il fut seul
la sépulture, comme ayant combattu pour la défense de son pays, et le
corps
de Polynice fut abandonné pour la raison contrair
ix gueules et six têtes ; une foule de chiens tenaient en outre à son
corps
et étaient rangés autour de sa ceinture, de maniè
té, proposa une république, proclama la souveraineté du peuple, comme
corps
de nation, et organisa les assemblées populaires
t que son ami vive éternellement sous une autre forme, et aussitôt le
corps
d’Acis s’est changé en rocher et son sang en une
flottent sans voiles au gré des vents ; la partie supérieure de leur
corps
est toujours sans vêtement. Elles tiennent une ha
s attachés à la terre s’y implantèrent, formèrent des racines, et son
corps
se couvrit d’écorce, ses bras s’alongèrent en bra
ptune en eut pitié : des dauphins d’après ses ordres reçurent donc le
corps
de cet enfant et le portèrent dans l’isthme de Co
ace à cette aventure, les Corynthiens recueillirent précieusement son
corps
et l’inhumèrent dans le parvis du temple de Diane
enfin un lieu d’infortune, où erraient pendant cent ans les ames des
corps
privés de sépulture. Dans le second département d
s les champs Elysées, puis retournaient sur la terre habiter d’autres
corps
. Presque tout alors avait une fin : ainsi les cri
is parties dont les anciens croyaient les humains formés, savoir : le
Corps
, que l’on réduisait en cendres après la mort ; l’
en malheur et de crime en crime ; leur nom signifiait ame séparée du
corps
. Voici quelle était leur étymologie : on croyait
lée danacé, naule, ou denier de Charon ; mais malheur à l’ame dont le
corps
avait été privé de sépulture, car pendant cent an
morts devaient se baigner, pour perdre le souvenir des maux que leurs
corps
avaient soufferts sur la terre. Sur le bord de se
des portes du Tartare. Les ames destinées à aller animer de nouveaux
corps
, devaient encore, avant leur départ, boire à long
riere nouvelle, car cette croyance de la transmigration des ames d’un
corps
à un autre, croyance à laquelle on a donné le nom
ndaient tous, qu’après la mort, l’ame passait successivement dans les
corps
des animaux terrestres, aquatiques et aériens ; q
ns en trois mille ans, et, que ce temps révolu, elle revenait dans le
corps
de l’homme ; puis enfin, qu’après avoir expié ses
pour y chercher sa chère Euridice, et le fameux Hercule le combattit
corps
à corps, le musela et l’entraîna jusqu’au séjour
chercher sa chère Euridice, et le fameux Hercule le combattit corps à
corps
, le musela et l’entraîna jusqu’au séjour de la lu
sa suite on peut placer Viduns, dont la fonction était de séparer le
corps
de l’ame. La Fraude, que les Romains adoraient co
rt, avait pour retraite ordinaire le Cocyte, dans les eaux duquel son
corps
restait caché, car jamais elle ne laissait voir q
c des yeux hagards, le teint livide, la tête couronnée de serpens, le
corps
couvert de vêtemens déchirés et portant un poigna
s bords de l’empire de Pluton. Cette Hécate, nous le savons, avait un
corps
gigantesque, surmonté de trois têtes menaçantes :
t à Pandore-furie, elle avait, suivant les argonautiques d’Orphée, un
corps
de fer et la mission de tourmenter les vivans. L'
de grandes ailes de chauve-souris ; Patamnée, autre démon, se prenant
corps
à corps avec les hommes. Déjà nous connaissons la
es ailes de chauve-souris ; Patamnée, autre démon, se prenant corps à
corps
avec les hommes. Déjà nous connaissons la plupart
nuellement. Les têtes des Égyptides furent inhumées à Argos, et leurs
corps
à Lerne, théâtre de ces horribles fiançailles. Po
ombre d’Agamemnon ; et, pour dernière punition, ils enterrèrent leurs
corps
sans aucun honneur, hors de l’enceinte de la vill
a vue de se vieillard suppliant, Achille qui avait juré le laisser le
corps
d’Hector sans sépulture, en proie aux chiens et a
guerrière, ennemi redoutable des Grecs. Après la mort d’Achille, son
corps
fut enveloppé de laine, par l’atlantide Ia, chang
Onir, fils d’Achille et de Déidamie, qu’Oreste fit ainsi lapider. Le
corps
de Pyrrhus fut enterré sous le vestibule du templ
e vainement de l’épargner. On le voit aussi tenant sur ses épaules le
corps
inanimé d’Achille. Antiloque, fils de Nestor et
ènes. Ces enchanteresses qui, suivant les uns, avaient la tête et le
corps
de femme jusqu’à la ceinture, ou seulement la têt
rps de femme jusqu’à la ceinture, ou seulement la tête et le reste du
corps
en forme de celui d’un oiseau, quoique Horace les
par amour pour l’amazone Penthésilée ; il fut tué par Achille et son
corps
mis en croix ; Cléobule, tué par Ajax l’Oïlide ;
e vainqueur abusa de sa victoire, pour laisser ensuite sur l’arène le
corps
déchiré en lambeaux de sa victime, afin que, priv
ttaqua et blessa le premier Patrocle ; il voulut tenter d’enlever son
corps
étendu sur la poussière, mais Ajax l’arrêta en le
anchir le fossé du camp des Grecs. Il était un des chefs du cinquième
corps
d’armée de Priam ; Ajax et Teucer l’attaquèrent,
s. Il commandait conjointement avec Archiloque et Acamas le quatrième
corps
d’armée. Il vengea la mort d’Alcathoüs, son beau-
par Ajax et tua Médon et Iase. Il combattit courageusement autour du
corps
de Sarpédon. Plus tard, il ramena les Troyens fug
punir de son audace, le terrasse et lui passe son épée au travers du
corps
. Enée, après avoir rendu les honneurs funèbres au
sse Etrusque de la vengeance, représentée les mains collées contre le
corps
, les pieds joints l’un contre l’autre, la chevelu
t une main à la calomnie. Crepitus, dieu des éruptions sonores que le
corps
humain laisse quelquefois échapper. On le représe
soins, soucis et inquiétudes, à laquelle on attribue la formation du
corps
de l’homme que Jupiter ensuite anima. On la point
anciens comme la plus adroite. Cette déesse était représentée par un
corps
sans tête ou par une tête belle, mais sans corps.
t représentée par un corps sans tête ou par une tête belle, mais sans
corps
. Lima ou Limentine, déesse du vieux Latium, prési
rage admirable, et promet de le donner à celui qui le remplira de son
corps
: chacun essaya à son tour, mais en vain. Osiris
s, son épouse, désolée de la perte d’Osiris, se met à la recherche du
corps
de ce malheureux roi, et finit, avec l’aide d’Anu
emplaça par un morceau de bois de sycomore et recomposa en entier son
corps
sacré qu’elle ensevelit à Philes, à l’extrémité d
tème de métempsycose admis, supposa que cette ame avait passé dans le
corps
d’un bœuf appelé Apis, qui devint un véritable di
ssir. Enfin, aidée par Anubis, elle trouva le coffre qui contenait le
corps
d’Osiris sur la plage de Byblos. Elle revint ensu
me dans la tombe. Plus tard, il seconda Isis dans la recomposition du
corps
sacré d’Osiris, que Typhon, sans respect pour les
en sacrifiait. On le représente avec un cou et une tête de chien, son
corps
est couvert, tantôt d’une cotte d’armes, tantôt d
ance, c’est un personnage discocéphale, placé au-dessous du monstre à
corps
de laie, à pattes de lion et à queue de scorpion
maines, tantôt, sa tête d’homme et quelquefois de femme, surpasse son
corps
roulé en longs anneaux. Agathodémon est le bon pr
é, la tête couverte d’un bonnet pointu et orné de plumes, le reste du
corps
est habillé, mais toujours extrêmement sale. Kos
mangent la chair et dont ils prennent la graisse pour s’en frotter le
corps
. En traversant la mer des Indes, nous ne trouvons
s temples, des villes et institua des fêtes. On le représente avec un
corps
de poisson, les pieds d’un homme et deux têtes, d
ogonie de ces contrées. Dieux Indiens. L'Indianisme ou le
corps
de doctrines religieuses des Indes se compose de
d, il produisit les sept souargas, ou sphères étoilées, éclairant les
corps
resplendissans des dévatas, ou dieux et génies, q
ose que l’ame de Brahman, après sa mort, passa successivement dans 80
corps
différens, et finit par animer celui d’un éléphan
ouvrier qui donna des formes à toutes les parties de l’univers et des
corps
à toutes les pensées. Alors, sous la figure de Na
aisans, et de faire avoir des enfans aux gens mariés. On lui donne un
corps
jaune, deux mains seulement, avec de riches brace
emens aux oreilles, aux bras, au nez, au cou, aux pieds, et autour du
corps
; elle tient à la main la fleur appelée Tchankari
, de la mort et des enfers ; c’est lui qui juge les ames séparées des
corps
, et gouverne le Naraka, ou enfer, et les noirs es
le Iamolaka ; c’est là qu’il juge si l’ame qui vient de se séparer du
corps
mérite d’aller dans les Souargas on dans l’abîme
ose ; une autre fois les Daïtias réunis, l’enveloppent et brulent son
corps
, Soukra le ressuscite. Les Daïtias, génies malfai
dren qu’ayant reçu le tribut, il ne peut plus s’opposer au passage du
corps
. Devadi ou Debadi, Radjah de la race des Tchandr
serpent. Garoudha était le nom de cet oiseau : il porte Vichnou, son
corps
est celui d’un aigle, et sa tête celle d’un jeune
ueur n’avait encore mouillé que les lèvres de Rahou, le décapita. Son
corps
resta sur la terre, mais sa tête s’éleva dans les
; sur sa tête enflammée est un diadême formé de crânes humains ; son
corps
est ceint de serpens, ses mains sont armées de l’
de l’épée et de la flamme ; le tigre remplace le taureau ; enfin son
corps
est d’un blanc cendreux. Si nous voulons connaîtr
oreille pour pendans d’oreilles, des serpens entrelacés autour de son
corps
pour vêtemens, et des plumes de paon pour chevelu
dans son esquif, son père lui fit en outre cadeau d’un singe, dans le
corps
duquel séjourna quelque temps l’ame de Bhadrakali
s de Parvati et de Siva ; il avait une tête d’éléphant, placée sur un
corps
humain ; c’est lui qui veille à la porte de la de
int de Siva, en lui offrant le soma, en déchirant les lambeaux de son
corps
, en les brûlant sur son autel, enfin en se coupan
res, et habillés d’un simple pagne en toile, qui leur fait le tour du
corps
au-dessus des hanches, et dont un bout retombe pa
vées, ses disciples les écrivirent scrupuleusement et en formèrent un
corps
d’ouvrage de cent huit gros volumes qui prit le n
même légende, tu ne te parfumeras point, et tu ne te peindras pas le
corps
; 7° tu éviteras toutes paroles impures, 8° tu se
la grande ame ; Pranatma, ou la petite ame, et Bhoutatma, ou l’ame du
corps
, distinguées, rapprochées et combinées. Chez les
innombrables, venant aboutir à un centre commun. Enfin, c’est dans le
corps
du premier de ces chefs, que s’incarnise continue
e Dalaï-Lama ; puis les cinq Bouddhas ou fils de Bouddha occupent les
corps
des cinq premiers Lamas, et les cinq Boddhiçatoas
mas, et les cinq Boddhiçatoas, ou fils des cinq Bouddhas, animent les
corps
des cinq Lamas suivans. Ce Dalai-Lama, ou grand L
u simples moines ; et les Touppas, ou frères servans et aspirans. Les
corps
des grands Lamas sont conservés précieusement dan
roi du Thibet, il était une incarnation de Tseureci, descendu dans le
corps
de l’épouse du roi Mang-Kiaba, pour sauver les ho
Dieu infini et irrévélé, est représenté avec trois têtes sur un seul
corps
. La tête du milieu plus élevée, est couverte d’un
t sorties toutes choses, mais soutenant aussi que l’ame périt avec le
corps
, et de plus, une morale et une métaphysique se ra
es peines ; le cinquième préside à la réintroduction de l’ame dans un
corps
nouveau. Aucune ame ne peut pénétrer dans le séjo
poir dans un fourneau enflammé, mais à peine y fut-il plongé, que son
corps
devint une pâte superbe et prit les formes voulue
nte jeune et beau, vêtu d’un costume parsemé d’étoiles brillantes, le
corps
armé de quatre bras ; le premier tient un enfant,
e. Jemao, divinité du monde souterrain et juge des ames séparées des
corps
. Ce juge terrible ne peut être fléchi en faveur d
hingovins, est une des trois divinités qui président à la guerre. Son
corps
garni de quarante bras, est surmonté par trois tê
e sanglier est environnée d’une couronne brillante de pierreries, son
corps
est armé de quatre mains, dont l’une tient un sce
rbe, bâti à Osaka. La tête de cette idole est ornée d’une fleur ; son
corps
est armé de quatre bras, dont deux sont élevés en
ut embarrasser les bonzes. Lorsque la jeune fille se retire, tout son
corps
est couvert d’écailles qui ressemblent à celles d
derech, était un oiseau sacré, fameux comme prophète : il avait trois
corps
; son courage, sa vigilance, et son air martial a
t dans leur piédestal un cylindre fait des cendres des saints dans le
corps
desquels a passé le Bourkhan que l’on adore. Dia
ce qu’il mourût. On les représente ayant de la tête à la ceinture un
corps
humain, et de la ceinture en bas des pieds de bou
résentait tantôt avec des ailes et couronné de rayons, tantôt avec le
corps
d’un oiseau et des ailes déployées. Pogoda, géni
une ame qui doit vivre toujours, même après la dissolution entière du
corps
. Pour l’aider à gouverner le monde, Alfer créa le
, chaque individu a son Totam ; mais ces Totam étant incarnés dans le
corps
d’un animal, il faut bien prendre garde de faire
es qui doivent déposer à ses pieds tout ce qu’on ensevelit avec leurs
corps
. Cette fatale déesse les oblige en outre à la div
’assassinèrent et lui posèrent sur la tête une couronne d’épines. Son
corps
disparut, et les Périkouers, en Californie, le re
s ames après la mort, à leur récompense par leur transmission dans le
corps
des oiseaux les plus beaux et à la plus belle voi
es dans la maison du soleil, puis revenaient animer les nuages ou les
corps
des oiseaux pour chanter et se nourrir du suc des
jour de la fête, on l’immolait en offrant son cœur à la lune, et son
corps
était précipité du haut en bas de la grande pyram
vec les formes les plus hideuses ; pour l’honorer, on se déchirait le
corps
à coups de couteaux, et pour le fléchir on portai
s génie chez les Brésiliens : il enlevait furtivement de la terre les
corps
inhumés, si les parens du défunt n’avaient pas eu
assise, tantôt accroupie ; un linge rouge enveloppe un partie de son
corps
et de ses cuisses. Un ornement formé de deux long
e prétend qu’elles avaient une tête de femme, des oreilles d’ours, le
corps
d’un vautour, des ailes de chauve-souris, et des
er élevé. Les Dieux, sensibles à la douleur de Pan, transformèrent le
corps
de Pitys en pin, et c’est pourquoi cet arbre est
rnes sur la tête, une barbe en désordre, et l’extrémité inférieure du
corps
semblable à celle d’un bouc. Il tient à la main l
-même au mât de son vaisseau. On les représente ordinairement avec un
corps
de femme qui se termine en une queue de poisson ;
s avec une longue barbe, des cheveux flottants sur les épaules, et un
corps
terminé en forme de poisson. Questions. Quel
ne ; on a donné son nom aux nombreuses divinités maritimes qui ont le
corps
d’un homme terminé depuis la ceinture en forme de
re restées mille ans dans les enfers, elles allaient habiter d’autres
corps
. Elles perdaient ainsi la mémoire de leur premièr
brasiers ardents ; le géant Tithyus, qui couvrait neuf arpents de son
corps
et dont un vautour rongeait sans cesse le foie to
. Ce monstre passait pour invincible ; il avait la tête d’un lion, le
corps
d’une chèvre et la queue d’un dragon ; sa bouche
es, et emmena captive leur reine Hippolyte. 10° Géryon, géant à trois
corps
qui régnait sur les îles Baléares51, nourrissait
e, fils de la Terre, géant énorme, qui étouffait sous le poids de son
corps
tous les étrangers qu’il forçait à lutter avec lu
lyte, qu’ils entraînèrent le malheureux prince sur des roches, où son
corps
fut déchiré. Phèdre rendit trop tard témoignage à
pour lui ; ses compagnons ne le regrettèrent pas, car le poids de son
corps
chargeait le bâtiment outre mesure, et son appéti
les accès de fureur que leur inspirait le Dieu du vin, et mirent son
corps
en pièces. Questions. Qu’était Orphée ? — Le
chidne et de Typhon, avait la tête et les mains d’une jeune fille, le
corps
d’un chien, la queue d’un serpent, les ailes d’un
rs, et rendit la vie à Pélops, en réunissant tous les morceaux de son
corps
; l’épaule que Cérès avait mangée fut remplacée p
, et c’est pourquoi son fils pouvait être blessé dans cette partie du
corps
. L’éducation d’Achille fut confiée aux soins du c
oucher par les prières et les larmes du vieux Priam, et lui rendit le
corps
défiguré de son fils. Dans la dernière année du s
tre Ajax, fils d’Oïlée, célèbre par son adresse dans les exercices du
corps
et encore plus par son impiété. Lors de l’embrase
pendant résister aux larmes et aux prières de Priam, et lui rendit le
corps
de son fils. Questions. Qu’était Hector ? —
es faites aux idoles dont ils étaient les ministres. Ils formaient un
corps
nombreux et qui jouissait de grands priviléges. L
plus loin possible ; la lutte, dans laquelle deux athlètes nus et le
corps
frotté d’huile cherchaient à se terrasser ; enfin
e les Grecs ont attribuée à Mercure ; ce premier prêtre conduisait le
corps
à un second, qui avait un masque à trois têtes, d
avait été le propriétaire. Géryon, le géant à trois têtes et à trois
corps
, était un prince qui régnait sur les trois îles B
d. 57. Monstres habitant une contrée de la Thessalie, qui avaient le
corps
d’un cheval, avec le cou, la tête et les bras d’u
d’être née, Sans mouvement, sans forme et sans vigueur, N’était qu’un
corps
abattu de langueur, Un sombre amas de principes s
mer était sans rivages. Le froid et le chaud, le sec et l’humide, les
corps
durs et les corps mous, les pesans et les légers
ages. Le froid et le chaud, le sec et l’humide, les corps durs et les
corps
mous, les pesans et les légers s’entre-choquaient
’air le plus grossier. Le chaos ainsi débrouillé, Dieu établit chaque
corps
dans le lieu qu’il devait occuper : le feu, le pl
lutteurs combattaient nus. On leur frottait d’huile les membres et le
corps
, pour leur donner plus de souplesse, et laisser e
donna qu’elle fut enterrée toute vive, et qu’on jeta du sable sur son
corps
. Apollon, désespéré de sa perte, la transforma en
ygnus est couvert de plumes blanches comme la neige ; il nage vers le
corps
de Phaéton, et le couvre de ses ailes ; sa douleu
elle avait encore trois ans à vivre dans la langueur ; qu’alors, son
corps
épuisé et consumé serait réduit à rien, et que la
pouvanté. Le couple monstrueux Marche droit au grand-prêtre ; et leur
corps
tortueux D’abord vers ses deux fils en orbe se dé
par le milieu leurs plis l’ont embrassé Deux fois autour du cou leur
corps
s’est enlacé ; Ils redoublent leurs nœuds, et leu
a par sa robe, jusqu’à ce qu’elle l’eût conduite au puits où était le
corps
du malheureux Icarius. Erigone se pendit de déses
Amphitrite ; d’autres, la nymphe Céléno. La partie supérieure de son
corps
avait la figure d’un homme, et le bas finissait e
Ocypéto et Aëlo : ces monstres voraces avaient un visage de fille, un
corps
de vautour, des ailes aux côtés et des griffes au
, courut au lever de l’Aurore sur le rivage ; elle aperçut de loin un
corps
flottant qu’elle reconnut pour celui de son mari
ncapable de se laisser fléchir, repoussait avec rudesse ceux dont les
corps
n’avaient pas reçu la sépulture. Leurs âmes errai
avoir percé de leurs traits, le précipitèrent dans le Tartare, où son
corps
étendu couvre neuf arpens. Ixion Ixion,
sycose. La Métempsycose était le passage des âmes dans de nouveaux
corps
. Ceux qui adoptaient ce système disaient que les
nes et les autres quittaient ces lieux pour venir habiter de nouveaux
corps
; et afin de perdre le souvenir de ce qu’elles av
ans aucune restriction ; ils ont consenti à ce que leur âme passât du
corps
d’un homme dans celui d’un animal, et de celui-ci
e système peut offrir quelquefois d’agréables images. Dans le
corps
caverneux de cet antique ormeau Est renfer
umaine de la tête à la ceinture, et de celle de bête dans le reste du
corps
, représente assez bien l’univers, où l’on voit le
sion. Le soir, en descendant des montagnes, les Oréades aperçurent le
corps
immobile de Narcisse. A cette vue, les nymphes, v
ent lentement vers la rive fatale ; mais elles y cherchent en vain le
corps
de celui qu’elles regrettent ; elles ne trouvent
consumée par la douleur, elle se coucha sur les bords du Tibre ; son
corps
desséché disparut peu à peu et s’évapora dans les
, suivant l’ancienne latinité, signifiait l’âme de l’homme séparée du
corps
après la mort. Les païens regardaient les Lémures
onstre qui ravageait la Lycie. La Chimère avait la tête d’un lion, le
corps
d’une chèvre et la queue d’un serpent ; elle jeta
ne, autre tyran, tomba aussi sous ses coups. La fable lui donne trois
corps
, soit parce qu’il commandait à trois îles, Ebuse,
ttaient dans le sein de leur mère. On ajoute que quand on brûla leurs
corps
, la flamme du bûcher se partagea. Polynice était
le tua d’un coup de flèche, en lui perçant le talon, seule partie du
corps
qui n’eût pas été trempée dans les eaux du Styx.
a sa langue pressée ; L’un et l’autre se dit adieu de la pensée : Le
corps
n’est tantôt plus que feuillage et que bois. D’ét
jet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un
corps
, une ame, un esprit, un visage ; Chaque vertu dev
e d’être née, Sans mouvement, sans forme, sans vigueur, N’étoit qu’un
corps
abattu de langueur, Un sombre amas de principes s
nfortuné, » Qui vomissoit des feux de son flanc sillonné, » Et de son
corps
lancé sur des roches perçantes » Attacha les lamb
hideux s’alongent au-dehors, Grossis par la maigreur qui dessèche son
corps
. La nymphe, en lui parlant, n’ose s’approcher d’e
d’une conque en forme de trompette. Il avoit la partie supérieure du
corps
semblable à l’homme, et le reste semblable à un p
inquante filles appelées Néréides, ou nymphes de la mer. Elles ont le
corps
terminé en poisson, depuis la ceinture. D. Les an
ie ; » Dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, » Et de leurs
corps
épars couvrez au loin les eaux. » (Énéide de Vir
t des monstres qui avoient une tête de femme, des oreilles d’ours, le
corps
d’un vautour, des ailes de chauve-souris, et des
pable d’un pareil crime envers Latone ? R. Oui. Titye, géant dont le
corps
étendu couvroit neuf arpents de terre, voulut att
lle ennoblie, Les champs en furent baignés ; Et du Céphise rapide Son
corps
affreux et livide Grossit les flots indignés. ( R
ore de la mort de ce fils chéri, lui promit que quand on brûleroit le
corps
de Memnon, les cendres seroient changées en oisea
’homme assoupi Morphée est descendu ; Sa paupière est fermée, et son
corps
étendu. Qui remplira le vide où le sommeil le plo
t le même sort. 8°. Gérion, roi de la Bétique, étoit un géant à trois
corps
, qui avoit, pour garder ses troupeaux, un chien à
ssence précieuse : Cette pure ambroisie embaume ses cheveux, Rend son
corps
plus agile et ses bras plus nerveux. Au sein des
utels, Et, les faisant tomber sous les couteaux mortels, Laisse leurs
corps
sanglants dans la forêt profonde. Quand la neuviè
re lui, et massacroit ceux qu’il avoit vaincus. II avoit une force de
corps
si prodigieuse, qu’il courboit les plus gros arbr
es étoient si bons cavaliers, qu’ils paroissoient ne faire qu’un même
corps
avec leurs chevaux. C’est ce qui a donné lieu aux
tre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes ; Tout son
corps
est couvert d’écailles jaunissantes : Indomptable
Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ; Ils courent : tout son
corps
n’est bientôt qu’une plaie. De nos cris douloureu
lui rende… » A ce mot, ce héros expiré N’a laissé dans mes bras qu’un
corps
défiguré : Triste objet où des dieux triomphe la
ang du jeune prince, il l’envoya combattre les Solymes avec un foible
corps
de troupes. Bellérophon revint victorieux, contre
né en Lycie. Il avoit la tête d’un lion, la queue d’un dragon, et le
corps
d’une chèvre. Sa gueule béante vomissoit des tour
par les traits divers des figures tracées, Donner de la couleur et du
corps
aux pensées. Harmonie, femme de Cadmus, donna a
e par le Sphinx. C’étoit un monstre qui avoit la tête d’une fille, le
corps
d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, le
a mort même ne put éteindre leur haine implacable. Car, lorsque leurs
corps
furent mis sur le même bûcher pour être brûlés, l
Créon, leur oncle, succéda à la couronne. Il fit retirer du bûcher le
corps
de Polynice, et lui refusa la sépulture, parce qu
avoit transgressé ses ordres, fit veiller la nuit suivante auprès du
corps
. On surprit Antigone qui venoit pleurer son frère
le tenoit, ne reçut point la même vertu que les autres parties de son
corps
. Thétis, instruite par les oracles, que Troie ne
traîna trois fois autour des murs de Troie. Priam vint redemander le
corps
de son fils à son vainqueur, pour lui rendre les
t par le fils de Thétis, qui lui ôta la vie, et attacha à son char le
corps
de son ennemi, qu’il traîna plusieurs fois autour
se » L’enlève avant le temps ! qu’il meure sans secours, » Et que son
corps
sanglant reste en proie aux vautours ! » Voilà mo
ses que l’on trouve répréhensibles dans les autres. V. La félicité du
corps
consiste dans la santé, et celle de l’esprit dans
rapports différents ; sous le rapport du développement des forces du
corps
, sous celui de l’innocence des mœurs, et enfin so
s qu’ils peuvent en jouir. Les parents qui veulent voir les forces du
corps
croître et se développer promptement dans leurs e
éré auroient facilité en elles le développement et l’accroissement du
corps
! L’éducation publique des demoiselles est plus f
Pondoit touts les jours un œuf d’or. Il crut que dans son
corps
elle avoit un trésor. Il la tua, l’ouvrit, et la
peut-être de toutes les passions violentes, celle qui nuit le plus au
corps
même ; rien n’altère plus la santé que les emport
ut. Enfin il se trahit lui-même Par les esprits sortant de son
corps
échauffé. Miraut, sur leur odeur ayant philosophé
mier âge de la vie, destiné par la nature presque tout entier pour le
corps
, et que la raison commence à se dégager des ténèb
Métamorphoses d’ Ovide et les ouvrages des poëtes ne formant point un
corps
complet de mythologie, et les détails qu’ils cont
t que dans l’homme il existait de même une intelligence supérieure au
corps
, et qui était l’âme. Mais cette idée grande et su
és à la vue du soleil et des autres astres, ils s’imaginaient que ces
corps
lumineux étaient les maîtres du monde et les seul
réunir aux astres, d’où elles étaient sorties pour venir animer leur
corps
; ce fut ainsi qu’ils furent regardés comme le so
six ans jusqu’à dix. Leur naissance devait être sans tache, et leurs
corps
sans défauts. Le temps de leur consécration à Ves
ils avaient le regard effrayant et farouche ; la partie basse de leur
corps
ressemblait à celle des serpens. Leur demeure ord
outes les fois qu’il touchait la terre. Pallas le saisit au milieu du
corps
, et le transporta au-dessus du cercle de la lune,
os, lorsque ce dieu, arrachant une partie de cette île, en couvrit le
corps
de ce géant, ce qui en forma une nouvelle sous le
ec les ailes déployées, et enlevant Ganymède. La partie supérieure du
corps
de Jupiter était nue, et la partie inférieure cou
stabilité, marquait la sûreté de son empire. La partie supérieure du
corps
n’était point couverte, pour signifier qu’il étai
u plus haut du mont Atlas, il fut emporté par un coup de vent, et son
corps
ne put être retrouvé. Le peuple, touché de son so
tendaient que chacun des signes du zodiaque répondait à une partie du
corps
humain. Parmi les personnages placés au nombre de
t cent victimes, ou parce que c’était par ses ordres que les âmes des
corps
privés des honneurs de la sépulture restaient err
uses dispositions de son élève, lui donna l’habitude des exercices du
corps
et du maniement des armes. Il sut le préparer à d
avait le pouvoir de séparer, avec cette baguette, les âmes d’avec les
corps
. Il présidait aussi à la métempsycose, et faisait
Il présidait aussi à la métempsycose, et faisait passer dans d’autres
corps
les âmes qui avaient accompli le temps qu’elles d
lle, ses coursiers des veaux marins, ou des chevaux dont la moitié du
corps
avait la forme de poisson. Les Tritons en grand n
te, ou, selon quelques poëtes, de Céléno. La partie supérieure de son
corps
ressemblait à celle d’un homme, et la partie infé
figure de très-belles filles jusqu’à la ceinture, et le reste de leur
corps
ressemblait à celui des Tritons. Le mot Sirène vi
poursuivant un cerf. Épuisé de chaleur et de fatigue, il y périt. Son
corps
fut rejeté par la mer auprès du bois sacré de Dia
auprès du bois sacré de Diane, dans le marais Phœbéen. On enterra son
corps
dans le parvis du temple ; et, depuis ce temps, c
es. Au lever de l’aurore, elle courut sur le rivage ; elle aperçut un
corps
flottant, et reconnut Ceix ; n’écoutant plus que
es bois qu’elles avaient aimés pendant qu’elles étaient réunies à des
corps
. On avait pour ces lieux un respect religieux ; e
u’à la ceinture, pour représenter tous les hommes, et le reste de son
corps
représentait tous les animaux. L’origine de la te
enchanteur, un accident le fit périr à la chasse : on ne retrouva pas
corps
, et l’on publia que la magicienne Circé, désespér
c, dit-il, conducteur des âmes, était le prêtre chargé de recevoir le
corps
d’un Apis mort. Il le conduisait à un second prêt
. C’est là que se terminent les funérailles, et que sont enterrés les
corps
des Égyptiens. Dans les cérémonies funèbres, on c
les cérémonies funèbres, on commençait par désigner le jour auquel le
corps
serait inhumé. Les juges étaient les premiers ave
pour les morts était porté si loin, que souvent ils conservaient les
corps
de ceux à qui l’on avait refusé les honneurs de l
faisaient enterrer honorablement. Quelquefois on mettait en dépôt les
corps
embaumés ; pour cautionner un emprunt, on donnait
es corps embaumés ; pour cautionner un emprunt, on donnait son propre
corps
pour gage, et ceux qui manquaient à cet engagemen
es épaisses de ces temps, on croyait généralement qu’après la mort le
corps
matériel était réduit en poudre ou en cendres ; m
sent. De la métempsycose. Lorsque les âmes étaient sorties des
corps
qu’elles animaient, Mercure les conduisait dans l
lles servent à effrayer les ombres coupables. Le géant Tytie, dont le
corps
couvrait neuf arpens, ayant osé insulter Latone,
ement le foie. Il faut observer que les neuf arpens qui couvraient le
corps
du géant Tytie signifient que le lieu destiné à s
mer était sans rivages. Le froid et le chaud, le sec et l’humide, les
corps
pesants et les corps légers se livraient une guer
s. Le froid et le chaud, le sec et l’humide, les corps pesants et les
corps
légers se livraient une guerre perpétuelle. Un di
hommes, et des pierres de la terre, qui sont comme les os de ce grand
corps
. Ils en ramassèrent donc, et firent ce que Thémis
ello, Ocypète et Céléno. Elles avaient un visage de vieille femme, un
corps
de vautour, des oreilles d’ours, et des griffes a
rochers. On les représentait sous la figure de jeunes filles, dont le
corps
se terminait en poisson [Fig. 35]. On leur donnai
sur la tête, l’estomac couvert d’étoiles, et la partie inférieure du
corps
semblable à celle d’un bouc. Pan est un mot grec
ntée avec une tête humaine d’une physionomie agréable, et le reste du
corps
en forme de serpent, avec une queue de scorpion [
pays de la Chimère, monstre terrible, qui avait la tête d’un lion, le
corps
d’une chèvre et la queue d’un dragon, et dont la
nx 38. Ce monstre, qui avait la tête et le sein d’une jeune femme, le
corps
d’un chien, les griffes d’un lion, les ailes d’un
sépulture à Étéocle, et défendit, sous peine de mort, d’ensevelir le
corps
de Polynice. La pieuse Antigone brava cet ordre c
et affreux supplice en s’étranglant. Suivant une autre tradition, les
corps
d’Étéocle et de Polynice furent mis sur le même b
mer au lieu où elle avait dit adieu à son mari. Ayant vu de loin son
corps
flotter sur les eaux, elle se précipita dans la m
urir pendant l’obscurité, arrosa de nectar la terre qui recouvrait le
corps
de Leucothoé, et l’on en vit sortir l’arbre d’où
ler autour de l’étable. Alors une sueur froide se répand sur tout mon
corps
, des gouttes d’eau tombent de mes cheveux, comme
e de la création de l’homme. Suivant les livres saints, Dieu forma le
corps
de l’homme du limon de la terre et y souffla son
aient les environs de Thèbes. Ses griffes marquaient sa cruauté ; son
corps
de chien, ses désordres ; ses ailes, son adresse
s, le sphinx, représenté avec une tête d’homme ou de femme, unie à un
corps
de lion, était le symbole de l’intelligence et de
aine. Les Nymphes enlaçans leurs Thyrses en berceau, Ombragent de son
corps
l’immobile fardeau. De ses yeux incertains la fla
des cornes à la tête, des pieds de Chèvre, et la partie inférieure du
corps
, semblable à celle du Bouc. O Pan ! lor
ux, Qu’aux plaines de l’Ether développant son aile, Elle abandonne un
corps
appesanti loin d’elle, Que son être est plus nobl
r l’homme assoupi Morphée est descendu. Sa paupière est fermée et son
corps
étendu. Qui remplira le vide où le sommeil le plo
: Tous ces flots de chasseurs, prudemment partagés Se forment en deux
corps
sur les ailes rangés ; Les chiens au milieu d’eux
tre aimable… Les Grâces seules embellissent Nos esprits ainsi que nos
corps
, Et nos talens sont des ressorts Que leurs mains
ture entière ; Notre œil est offensé des traits de la lumière ; Notre
corps
affaissé, qui se traîne à pas lents, Fait plier,
ures, Y darde son venin par de sourdes piqûres ; Et sans blesser leur
corps
, infecte leur raison. Elle avoit apporté des bord
e épaissie ; L’armure s’y dépose, et d’une onde attiédie On arrose ce
corps
, déjà froid et glacé. Tous pleuroient. Le héros s
ssence précieuse ; Cette pure ambrosie embaume ses cheveux, Rend son
corps
plus agile et ses bras plus nerveux. Au sein
utels ; Et les faisant tomber sous les couteaux mortels, Laisse leurs
corps
sanglans dans la forêt profonde. Quand la neuvièm
Ville superbe et le fameux Empire de Priam. Invulnérable par tout son
corps
, excepté au talon, Achille fut atteint d’une flèc
ce fragile. Luce 138. Priam aux pieds d’ Achille , redemandant le
corps
d’ Hector . Achille, au nom des Dieux, dont
les lamentables malheurs de cet illustre vieillard, et lui rendit le
corps
de son fils. Patrocle à Achille. « Héros, j
lle, S’arme et court, plein d’ardeur, où la gloire l’appele. Tout son
corps
est caché sous un rempart d’arain ; La cuirasse é
. Il veut les rappeler, et sa voix les effraie. Ils courent. Tout son
corps
n’est bientôt qu’une plaie. De nos cris douloureu
lui rende… » A ce mot ce héros expiré, N’a laissé dans mes bras qu’un
corps
défiguré ; Triste objet où des Dieux triomphe la
bientôt sa fureur Va sur le camp des Grecs repousser la terreur. D’un
corps
souple et léger, d’un pied rempli de grâce, On la
rage, et bientôt leurs, efforts En lambeaux déchirés ont dispersé son
corps
. Un arbre aux premiers froids voit ses feuilles s
plice ! Et toi, qui de mon fils viens de percer le flanc, Qui, sur le
corps
d’un père, en fait jaillir le sang, Tu te vantes
en une nuit la couronne et la vie : Sa tête est sur le sable, et son
corps
étendu, Dans la foule des morts demeure confondu.
se, est dans ces froides ondes. Ceux qui doivent un jour reprendre un
corps
humain, Perdent le souvenir de leur premier desti
et les Mers, D’un principe commun, d’une ame universelle, Dans leurs
corps
pleins de vie ont tous une étincelle. C’est de-fà
e ame a secoué sa chaîne Les vices, les penchans qui maîtrisoient son
corps
, Avec elle nourris, la suivent chez les morts : L
fils de Laërte : La terreur le devance, et la mort suit ses pas ; De
corps
ensanglantés la campagne est couverte. Pour
a le voile, et croyant son amante dévorée, s’enfonça son épée dans le
corps
. Thisbé reparut un moment après, trouva Pyrame ex
es, amis, l’un sur l’autre expirans ; On marche, on est porté sur les
corps
des mourans ; On veut fuir ; on revient, et la fo
rs du perfide nectar, Sur son âne tardif qu’il conduit avec peine, Le
corps
penché, déjà paroît le vieux Silène, Aux crins de
issiez-vous en serpent me changer à jamais ! Il parle, et de son
corps
la moitié se resserre, Rampe, s’alonge en queue,
enchanté : Il se contemple, il brûle, étonné de lui-même, Et prête un
corps
, hêlas ! à cette ombre qu’il aime. Avidement pen
ux, Semble lui demander leur frère malheureux. On cherche en vain son
corps
, on n’en voit plus la trace, Narcisse disparoît,
pas la trace se termine, Une froide sueur me pénétré les os. Tout mon
corps
se dissout et distile à longs flots. Sous mes pie
un sang noir couler de sa blessure, Et le froid de la mort glacer son
corps
sanglant. « Arrête, cher époux, dit-elle en gémis
s traits, On diroit qu’il sommeille endormi dans la paix. Rends à son
corps
glacé sa parure élégante… Quelque triste que soit
e a sa langue pressée, L’un et l’autre se dit adieu de la pensée : Le
corps
n’est tantôt plus que feuillage et que bois. D’ét
i grand ? On suit malgré ses cris, l’arrêt impitoyable. Tout son
corps
n’offre plus qu’une plaie effroyable : Son sang
rop négligens à polir les ressorts De son esprit, plus charnu que son
corps
, Bien est-il vrai qu’ils mirent à sa suite Deux a
baisant le genou Surent le rendre enfin tout-à-fait fou ; L’un de son
corps
vante l’air héroïque ; L’autre les dons de son am
mort de Céyx. Désespérée, elle courut au rivage où ayant apperçu son
corps
flottant, elle voulut se précipiter dans la mer.
le ennoblie, Les champs en furent baignés ; Et du Céphise rapide, Son
corps
affreux et livide, Grossit les flots indignés.
e ; Cent monstres sont auprès : d’aboyantes Scyllas, Gérion aux trois
corps
, Briarée aux cent bras, Gorgone, la Harpie, et la
out ce qui porte au cœur, l’attendrit et l’enflamme, Et les grâces du
corps
, et la douceur de l’ame. L’homme seul contemploit
main désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide acier, Porte le
corps
sanglant auprès de son foyer, Et d’un bras que po
en fureur, Ils enfoncent la porte… O surprise ! ô terreur ! Près d’un
corps
tout sanglant, à leurs yeux se présente Une femme
ffre des Enfers, Epouvante la Terre, empoisonne les airs ; Et sur les
corps
pressés d’une foule mourante, Lève, de jour en jo
urs souillures, Eût osé revêtir ces dépouilles impures ! Soudain, son
corps
baigné par d’immondes humeurs ; Se couvroit tout
immondes humeurs ; Se couvroit tout entier de brûlantes tumeurs ; Son
corps
se desséchoit, et ses chairs enflammées » Par d’i
elle des chevaux, et même le vol des oiseaux. Il en prit deux dont le
corps
était hérissé de crins. Leurs peaux furent attach
) Ce monstre était de race immortelle, il avait la tête d’un lion, le
corps
d’une chèvre et la queue d’un dragon. Sa gueule v
de montrer les plus grands regrets de la mort de Minos, il rendit son
corps
à ses soldats, qui le firent enterrer secrètement
ans les cabinets des curieux. Dédale, en faisant ses statues, prit le
corps
humain pour modèle, et suivit exactement ses prop
forma des jeux, parvint jusqu’à la ressemblance, joignit des bras au
corps
, et les jambes parurent séparées comme celles d’u
it de fer, et on coupait à ces déplorables victimes la partie de leur
corps
qui excédait la longueur du lit. Pirithoüs, roi d
d’étrangers ne nuisît à l’ordre public ; il divisa le peuple en trois
corps
. Le premier fut composé de nobles ; le second, de
agne, saccagea l’île de Cos, et défit le fameux Géryon, géant à trois
corps
, c’est-à-dire qu’il défit un prince qui régnait s
rifier sur le mont Œta. Ce héros ne l’eut pas plus tôt placée sur son
corps
, qu’il entra dans une fureur effroyable, et se se
dit que Phryxus arriva heureusement chez Éétès, où il fit inhumer le
corps
de sa sœur ; et il consacra la proue de son vaiss
es qui lui disputaient la dépouille du sanglier, Althée rencontra les
corps
de ses deux frères, dans l’instant où elle allait
e du vainqueur survivait à son triomphe ; s’il ne pouvait outrager le
corps
de son ennemi et le priver de la sépulture, il tâ
outenait la statue d’Agrippa, placée sur un char à quatre chevaux. Le
corps
de l’édifice, qui subsiste encore en entier, est
, sa bouche écumait, et un tremblement violent s’emparait de tout son
corps
. Dans cet état, elle faisait des efforts pour éch
rius, envoyé pour savoir si ce lieu ne contenait pas des trésors. Son
corps
fut trouvé loin de là. Les prêtres, probablement
ement instruits de son dessein, le massacrèrent, et firent sortir son
corps
par l’issue dont ils se servaient eux-mêmes pour
ents ans. Elle avait encore trois cents ans à vivre ; après quoi, son
corps
étant dévoré par le temps, il ne devait plus lui
mémoire des grands événemens, et former la jeunesse aux exercices du
corps
. On distinguait dans ces jeux cinq manières d’y p
nverser son adversaire : les combattans étaient nus, se frottaient le
corps
d’huile, et répandaient sur eux une poussière trè
armes à la main. Dès qu’il eut rendu le dernier soupir, on porta son
corps
à Sigutna, où, conformément à l’usage qu’il avait
nouveau monde se forma. Les fils de Bor, ou des dieux, traînèrent le
corps
du géant dans l’abîme, et en fabriquèrent le glob
la clef de tous les phénomènes de la nature, sans exception. Tous les
corps
et tous les êtres agissaient d’après l’influence
ariées ; un dragon noir et ailé vole sans cesse autour, et dévore les
corps
des malheureux qui y sont renfermés. » Malgré l’o
sait était l’un des présages les plus respectés ; on ouvrait aussi le
corps
de ces victimes pour consulter leurs entrailles,
chose la plus sainte. Ce bois, nommé le bois d’Odin, était rempli des
corps
des hommes et des animaux que l’on avait sacrifié
nir la victoire, pour se préserver du poison, pour guérir les maux du
corps
, pour dissiper les chagrins. On employait les mêm
é la seule cérémonie essentielle de leurs funérailles. On étendait le
corps
sur une couche d’argile, au fond d’une fosse de s
ait à côté d’un guerrier son épée et douze flèches. On recouvrait son
corps
d’une seconde couche d’argile, sur laquelle on me
es. 7°. Les âmes sont immortelles. 8°. Les âmes passent dans d’autres
corps
après la mort de ceux qu’elles ont animés. 9°. Si
res il faut immoler un homme. On pourra prédire l’avenir selon que le
corps
tombera, selon que son sang coulera, ou selon que
jet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un
corps
, une ame, un esprit, un visage ; Chaque vertu dev
e d’être née, Sans mouvement, sans forme, sans vigueur, N’étoit qu’un
corps
abattu de langueur, Un sombre amas de principes s
tes-vous des Tritons ? R. Les Tritons avoient la partie supérieure du
corps
semblable à l’homme ; et le reste, depuis la cein
t des monstres qui avoient une tête de femme, des oreilles d’ours, le
corps
d’un vautour, des ailes de chauve-souris, et des
et les Romains mettoient une obole dans la bouche de leurs morts. Les
corps
privés de sépulture erroient cent ans sur le riva
cule le même sort. 11.° Il tua Géryon, roi d’Espagne ; il avoit trois
corps
, et nourrissoit ses bœufs de chair humaine. 12.°
es étoient si bons cavaliers, qu’ils paroissoient ne faire qu’un même
corps
avec leurs chevaux, ce qui a donné lieu aux Poëte
Il veut les rappeler, et sa voix les effraie. Ils courent ; tout son
corps
n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; je l’appel
prit de combattre la Chimère, monstre qui avoit la tête d’un lion, le
corps
d’une chèvre, la queue d’un serpent, et qui vomis
par les traits divers des figures tracées, Donner de la couleur et du
corps
aux pensées. Le Poëte Pindare devoit le jour à l
solée par un monstre appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme, le
corps
d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, le
airs, Et son ame en courroux s’enfuit dans les enfers. (Racine.) Les
corps
de ces deux malheureux frères furent mis sur le m
obtiendront toujours la préférence sur la fortune et les agrémens du
corps
. La vertu, les talens, la bonne conduite, remport
rite ; ses discours, ses gestes, ses regards, toute l’habitude de son
corps
, son ame toute entière. Ce vice méprisable est ju
e ces merveilles de l’art ? R. Elles étoient destinées à recevoir les
corps
des Rois et des Reines après leur mort. Les Pyram
es eut empoisonné, et ils assommèrent le malheureux Icare. On mit son
corps
dans une fosse au pied de quelques arbres. Sa chi
s monstres de la fable. Le Sphinx avoit la tête d’une jeune femme, le
corps
et les griffes d’un lion, et de grandes ailes. Sé
ours dévouée aux malheureux, brave tous les périls, et va chercher le
corps
de Polynice pour lui rendre les derniers devoirs.
xterminant le monstre Gérion, Roi d’Espagne, et géant qui avoit trois
corps
, trois têtes, six bras et six jambes. Après cette
courage. Médée leur ordonna d’égorger leur vieux père, de couper son
corps
en morceaux, et de le jeter dans la chaudière pos
sa mère le plongea dans le Styx pour le rendre invulnérable, tout son
corps
le devint excepté le talon par lequel Thétis le t
combattirent long-temps encore pour arracher des mains des ennemis le
corps
de Patrocle, ils y parvinrent et portèrent à Achi
mis le corps de Patrocle, ils y parvinrent et portèrent à Achille, le
corps
sanglant de son ami dépouillé de la divine armure
oucha jusqu’aux fondemens des enfers. Achille tua Hector, s’empara du
corps
de ce malheureux Prince et le traîna autour des m
étonnant dans le paganisme. Achille vouloit priver de la sépulture le
corps
d’Hector, mais il le rendit aux prières et aux la
ux dans les replis que ces monstres faisoient autour d’eux avec leurs
corps
. Cette fable est immortalisée par l’admirable gro
t remarquer que par sa beauté, son adresse dans tous les exercices du
corps
et sa valeur. Il fut aimé d’Œnone, bergère de ces
lle a une tête humaine et une physionomie séduisante, le reste de son
corps
à la forme d’un serpent tacheté de mille couleurs
d poison qui les gèle et les brûle, Et qui de là, porté dans tout son
corps
, En fait mouvoir les horribles ressorts. Son fron
c cette forme hideuse, ni même la bien connoître quand on brûloit les
corps
, et lorsqu’on n’avoit aucune connoissance anatomi
un tigre couché et deux colombes. La Perfection. Une femme, le
corps
dans le Zodiaque et traçant un cercle entier avec
ter : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un
corps
, une ame, un esprit, un visage, Chaque vertu devi
e d’être née, Sans mouvement, sans forme, sans vigueur, N’étoit qu’un
corps
abattu de langueur, Un sombre amas de principes s
lle ennoblie, Les champs en furent baignés ; Et du Céphise rapide Son
corps
affreux et livide Grossit les flots indignés. Ro
court les inégales routes Que tiennent les astres épars, Prévoit quel
corps
dans leur carrière Doit nous dérober leur lumière
rite des anciens Egyptiens étoit de se préparer des tombeaux où leurs
corps
fussent préservés de la corruption, et à l’abri d
par cent colonnes de porphyre. Quarante statues d’or renfermoient les
corps
d’autant de rois : elles environnoient un trône s
s Tritons et les Harpies. Les Tritons avoient la partie supérieure du
corps
semblable à l’homme ; et le reste, depuis la cein
t des monstres qui avoient une tête de femme, des oreilles d’ours, le
corps
d’un vautour, des aîles de chauve-souris, et des
éionée, son beau-père, dans un brasier ardent. Tithius, géant dont le
corps
couvroit un espace de neuf arpens, fut tué par Ap
Romains mettoient une obole dans la bouche de leurs morts. Quand les
corps
n’avoient pas été inhumés, leurs ombres erroient
id poison qui les gèle et les brûle, Et qui de-là porté dans tout son
corps
, En fait mouvoir les horribles ressorts. Son fron
vec un air enflammé, des cornes à la tête, et la partie inférieure du
corps
semblable à un bouc : quelquefois on ne lui donne
Andromède et Cassiope : Et quand la nuit aura tendu ses voiles, Vos
corps
semés de nouvelles étoiles, Du haut du ciel éclai
t sept. Hercule tua ces monstres, et Gérion lui-même, qui avoit trois
corps
, à ce que l’on disoit, soit parce qu’il étoit maî
ures étoient si bons cavaliers, qu’ils sembloient ne faire qu’un même
corps
avec leurs chevaux ; ce qui a donné lieu aux poët
Il veut les rappeller, et sa voix les effraie, Ils courent ; tout son
corps
n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; j’appelle
bord de combattre la Chimère, monstre qui avoit la tête d’un lion, le
corps
d’une chèvre à la queue d’un serpent, et qui vomi
solée par un monstre appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme, le
corps
d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, le
airs, Et son ame en courroux s’enfuit dans les enfers. Racine. Les
corps
de ces malheureux frères furent mis sur le même b
à une vie sauvage ; ce qui est, pour ainsi dire, donner une ame à des
corps
brutes et informes. On dit qu’Atlas portoit le ci
ur les blessés et les mourans, leur enfonçoient leurs griffes dans le
corps
et suçoient leur sang, et après les avoir achevés
de leurs pieds étoit de fer, l’autre d’âne, elles avoient toujours le
corps
couvert de sang. Les Mormolycies et les Striges é
stale n’étoit reçue que lorsqu’elle n’avoit rien de défectueux sur le
corps
; il falloit même qu’elle fût belle. Dès que la v
ublic que dans un char de son invention, dans lequel la moitié de son
corps
étoit cachée. Vulcain eut encore un autre fils no
de femmes, avoient un bec et des ongles crochus, un ventre énorme, le
corps
couvert de plumes hérissées, des mains et des pie
de flèches tous les enfans de Niobé. Pendant neuf jours entiers leurs
corps
restèrent exposés baignés dans le sang, personne
coupoit aussi ses cheveux dans le deuil, et pour les déposer sur les
corps
de ceux qu’on avoit aimés ou sur leurs tombeaux.
; les Muses furent les juges du combat. Après la mort de Marsyas, son
corps
fut remis à son élève Olympus, pour l’inhumer. Ai
solable de sa mort, sa douleur la consuma sur les bords du Tibre, son
corps
s’évapora dans les airs, il ne resta d’elle que l
quiétude posséderoit l’homme tant qu’il vivroit, qu’après sa mort son
corps
retourneroit à la Terre, et que son ame iroit se
fureur, se couvroient de sang en se faisant des incisions sur tout le
corps
. Aux lupercales, fêtes de Pan, ses prêtres, les L
irenzuola — L’asino d’oro d’Apulejo — lib. I. Par la gymnastique du
corps
et par celle de l’esprit, tout citoyen doit obten
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