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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
s, on espéra la trouver dans le ciel ; mais le vrai Dieu n’étant plus connu , les élémens, les astres, et tous les événemens q
jeux et ces fêtes qui rendirent la Grèce si célèbre. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Grèce n’a pas toujours
e sa prononciation, ressemble à celui d’Ion ; et les premiers Ioniens connus étaient dans la Grèce. Ils en furent probablement
rent le commerce, et surtout l’écriture, qu’ils furent les premiers à connaître . Les Égyptiens y envoyèrent aussi des colonies. C
sante. Ce qu’on sait avec certitude, c’est que Javan, fils de Japhet, connu , par les Grecs sous le nom de Iapet, eut l’Occide
n et plus de bonheur. Parmi les conducteurs de ces colonies, les plus connus sont Inachus, Cécrops, Deucalion, Cadmus, Pélops
taux, qui jouissaient de tous les avantages des arts et des sciences, connaissaient beaucoup mieux ces mêmes temps. Inachus, en condu
ulte religieux ou de grands honneurs ; mais nous aurons soin de faire connaître les plus célèbres, et nous observerons, autant qu
verna son peuple avec beaucoup de douceur ; et la ville de Crète, peu connue jusqu’alors, devint très-célèbre sous son règne.
te des secrets de son père et de toutes ses résolutions, elle les fit connaître à Minos ; elle trouva même le moyen de lui faire
victoire sans ailes, pour marquer que le triomphe de Thésée avait été connu trop tard. Thésée, de retour à Athènes, rendit le
ulape pour avoir osé ressusciter un mortel. Cette fable n’était point connue par les Athéniens, et ne s’accorde nullement avec
garda comme un obstacle à ses desseins ; et, sachant que le roi ne le connaissait pas encore pour son fils, elle lui inspira des so
e prince, ayant entendu vanter les exploits du fils d’Égée, voulut le connaître et s’essayer contre lui ; mais ces deux héros, ap
connaître et s’essayer contre lui ; mais ces deux héros, après s’être connus , ne voulurent point se battre, et se jurèrent une
sœur Hélène. Cette guerre fut nommée des Tyndarides. Pour mieux faire connaître l’ingratitude des Athéniens, il est nécessaire de
a ville de Troie ne serait jamais prise, si l’on ne parvenait point à connaître le lieu de cette sépulture, et si l’on n’obtenait
ssister à cette expédition. L’art de la navigation était alors si peu connu , que l’on s’écartait rarement de la vue des côtes
ue c’étaient leurs maris, se préparèrent à les combattre ; mais ayant connu que c’étaient les Argonautes, elles les reçurent
indiquer la route qu’il fallait suivre. Cet essai des Argonautes fit connaître ce nouveau passage, et les Grecs s’en servirent d
us, avait infiniment de mots équivoques, et dont le sens n’était plus connu . Il n’est donc point surprenant que l’imagination
lons poursuivre les récits mêlés de fables qu’il est indispensable de connaître . Apollonius de Rhodes et Onomacrite racontent qu
lait inspirer à Médée une grande passion pour ce héros, parce qu’elle connaissait l’art des enchantemens, et pourrait le garantir d
araît n’être qu’un jeu de l’imagination, mais le célèbre Bochard, qui connaissait parfaitement le génie des langues orientales et l
ent ensuite vers la gauche, et parvinrent à l’île Peuceste, qui était connue du pilote Ancée. De là ils allèrent à l’île de Ci
s Athènes. Rien, dans l’histoire, ne constate l’horrible événement si connu sous le nom des Adieux de Médée. Une tradition co
s. Ce fut surtout pendant son voyage dans l’Égypte qu’Orphée apprit à connaître les mystères d’Osiris ou Bacchus, et ceux d’Isis
de retour dans la Grèce, s’y rendit respectable, en persuadant qu’il connaissait les moyens d’expier les crimes, de purifier les c
s ennemis. Il s’enferme avec sa femme Cléopâtre, et ne veut plus même connaître quelle est l’issue des combats qui se donnent. So
Les chefs-d’œuvre de ces poëtes illustres sont trop célèbres et trop connus , pour ne pas engager nos lecteurs à les lire. Nou
pes d’Étéocle de se renfermer dans les murs de Thèbes. « Les Grecs ne connaissaient pas encore l’art de s’emparer d’une place défendu
finiment trop d’étendue. Nous avons employé tous nos soins pour faire connaître les événemens principaux arrivés jusqu’à cette ép
t, et que l’on peut regarder comme un temple portatif, fut le premier connu , et servit de modèle à tous les autres. Ce temple
des anciens étaient composés de différentes parties, qu’il est bon de connaître pour entendre les descriptions qu’ils en font. La
ison. Nous nous bornerons à ces réflexions, et nous allons chercher à connaître quels étaient les premiers oracles. Thémis, Jupit
ilité de donner l’histoire de tous les oracles nous détermine à faire connaître seulement les plus anciens et les plus célèbres.
ui a duré le plus long-temps. Le temps auquel il fut établi n’est pas connu , ce qui prouve sa grande antiquité. Nous avons dé
a confiance générale. Des autres Oracles. Nous venons de faire connaître les oracles les plus célèbres. Il serait impossib
mparer et rapprocher tous les ouvrages qui peuvent instruire et faire connaître les coutumes, les mœurs et l’ancienne religion de
chait au faîte de la puissance, et ne voyait plus rien dans la partie connue du monde qui ne reconnût ses lois, lorsqu’un évén
p. Non-seulement il était grand poëte ; mais le premier il avait fait connaître aux Scandinaves les charmes de la poésie. Il étai
délires des Égyptiens, des Syriens, des Grecs après eux, et ce chaos connu sous le nom de mythologie. Dans le Nord, au contr
et sans semence : le soleil n’avait point de palais ; les étoiles ne connaissaient point leurs demeures ; la lune ignorait son pouvo
ns les combats. Sans ce monument de la mythologie islandaise, nous ne connaîtrions que très-imparfaitement ce point important de la
se terminait par des festins où l’on déployait toute la magnificence connue dans ces temps-là. Les rois et les principaux sei
alie, les Bretons, les Phéniciens, les Carthaginois, tous les peuples connus de l’Europe et de l’Asie se sont couverts du même
comme les actions visibles de la divinité, ils espérèrent parvenir à connaître ses goûts, ses inclinations et ses volontés. Les
de l’erreur des hommes ; ce que nous avons rapporté suffit pour faire connaître et sentir combien il était nécessaire que les hom
r. Dans le tableau général que nous avons essayé de tracer pour faire connaître l’origine de l’idolâtrie et l’ensemble de la myth
assez courageux pour résister aux Romains, maîtres du reste du monde connu . Leur gouvernement alors était un mélange de mona
ommunication avec les étrangers. Les Pictes et les Saxons leur firent connaître leur Andate, déesse de la victoire : les Romains
i fût généralement adoptée. Nous allons nous occuper du soin de faire connaître ce que l’histoire et les traditions ont conservé
onne et soyez courageux. Leur science, dit Pomponius Méla , était de connaître la forme et la grandeur de l’Être suprême, le cou
re suprême, le cours des astres et des révolutions ; ils prétendaient connaître l’ensemble de l’univers, et la retraite dans laqu
des druides, dit Jules-César , était mystérieuse, et ne pouvait être connue de personne. Les druides cultivaient aussi la mé
point une confiance sans bornes, parce que l’on était persuadé qu’ils connaissaient l’influence des astres, et qu’ils lisaient dans l
ils cueillaient leurs plantes, qu’il était facile de voir qu’ils n’en connaissaient qu’un très-petit nombre. Pline rapporte la maniè
était blessé, les dames s’empressaient à le servir, et presque toutes connaissaient l’art de panser les blessures. Elles ne se bornai
tous les autres. Les druides, après avoir persuadé aux peuples qu’ils connaissaient les influences des astres et les événemens futurs
elles des druides. Nous terminerons cet article en citant ce que l’on connaît de plus certain sur le moment où les druides et l
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nçais, regardant cette partie de la littérature comme indispensable à connaître , en a prescrit l’étude dans toutes les écoles du
e travail ayant été de donner l’ensemble de la mythologie et de faire connaître l’origine de l’idolâtrie, il a fallu nécessaireme
ura toujours besoin de le consulter pour soulager la mémoire, et pour connaître tous les noms consacrés par la fable. On pourra s
des anciens habitans du Nord. Ces deux supplémens achèveront de faire connaître dans quelles erreurs les hommes peuvent tomber, l
ne répéterons pas les instructions dictées par Dieu même ; elles sont connues de tous nos lecteurs. C’est dans cette source pur
de Moïse, les nations étaient perverties ; le vrai Dieu n’était plus connu en Égypte comme le Dieu de l’univers, mais seulem
e sous le fameux nom de Japhet. Cham et son fils n’ont, pas été moins connus parmi les Égyptiens et les Phéniciens, et la mémo
» Ces rapprochemens historiques de Bossuet suffisent pour nous faire connaître quels furent les premiers établissemens des homme
e. Pour concevoir quelque ordre dans les temps obscurs, et pour faire connaître la différence qui existe entre les dieux de l’Ori
citations. Tout être qui a reçu la raison en partage doit désirer de connaître l’idée que les premiers philosophes du monde avai
es que l’on cachait à la multitude. La suite de cet ouvrage nous fera connaître , à l’article des demi-dieux et des héros, quels f
histoire, dit avec assurance : Les Égyptiens furent les premiers qui connurent les noms des douze grands dieux, et c’est d’eux q
ouvrages mêmes de Zoroastre. Un Anglais très-savant, Thomas Hyde, qui connaissait mieux que Vossius la religion des anciens Perses,
On peut même assurer que tous les peuples dont la religion nous a été connue ont adoré cet astre ; il n’en faut excepter que l
nd qu’elle a commencé peu de temps après le déluge, puisqu’elle était connue d’Abraham, de Tharé, et de Sarug. Progrès de l
leur morale, à leurs gouvernemens, il est indispensable de chercher à connaître l’origine d’une erreur aussi générale et aussi fa
de la peau des animaux qu’ils tuaient à la chasse ; elles leur firent connaître que la terre étant cultivée rapporte des fruits p
rmi les Grecs ; plusieurs siècles s’écoulèrent pendant lesquels on ne connaissait les événemens remarquables que par tradition. Lor
ns, les Chaldéens, les Phéniciens et les anciens peuples de l’Orient, connaissaient beaucoup mieux les temps reculés. Ils avaient leu
l faut bien le remarquer, nous vient des Grecs et des Romains, qui ne connaissaient pas l’antiquité. Quoi qu’il en soit, ce sont les
tte partie de la mythologie soit très-intéressante, nécessaire même à connaître pour faire apercevoir l’origine de l’idolâtrie et
hefs-d’œuvre des poëtes et des arts, nous allons principalement faire connaître les détails qui tiennent à la mythologie des Grec
ès-grossiers, qu’ils vivaient sans religion. Ces premiers habitans ne connaissaient point le grand nombre de dieux que leurs descenda
l, peuple le plus ancien de la Grèce, honoraient leurs dieux sans les connaître et sans leur donner de noms. Ils les appelaient l
qu’ils sont venus d’Égypte ; et, si l’on me dit que les Égyptiens ne connaissaient point Neptune, Castor, Vesta, Thémis, les Grâces,
rêmes, que l’on nommait aussi dieux des nations, parce qu’ils étaient connus et révérés par toutes les nations. Ils étaient au
Magna Mater, la Grande Mère. On lui donna beaucoup de noms ; les plus connus sont Dindymène, Idea, Berrescynthya. Ils viennent
qu’elle est au-dessus de la crainte ; indignée des soupçons dont elle connaît l’injustice, sûre de sa vertu, elle adresse haute
té attribuées à celui qui avait été roi de Crète, comme étant le plus connu de tous. Les anciens ne sont nullement d’accord s
’histoire particulière d’un seul Jupiter. Nous nous bornerons à faire connaître ce que la mythologie a cru devoir conserver, et n
dition et l’histoire nous ont transmis. Nous dirons les noms les plus connus de Jupiter, la manière dont on le représentait, e
ble de Jupiter. La fable de Saturne et de Cybèle nous a déjà fait connaître la naissance de ce dieu. Cybèle, après avoir prés
partiennent pas au même Jupiter, nous allons la suivre en les faisant connaître , parce qu’on les retrouvera sans cesse parmi les
rir les étrangers qui arrivaient dans ses états. Il lui fit cependant connaître son rang suprême ; mais Lycaon, voulant éprouver
pouvoir pour commettre des crimes. Jupiter, avant de le punir, voulut connaître la vérité par lui-même ; il alla dans la cour de
ver des temples ou des autels. Il serait impossible de les faire tous connaître  ; nous ne parlerons que des principaux. Le plus o
nsi que celle de Minerve et de Mars. Nous allons nous arrêter à faire connaître ce que l’on a voulu figurer par les naissances ex
up de hache et par la douleur que ressentit Jupiter. On a voulu faire connaître en même temps que Jupiter étant le plus sage et l
ses, adoraient le Soleil long-temps avant que l’Apollon des Grecs fût connu . Tous les peuples de l’Orient l’adoraient ; les C
toutes les poésies anciennes et modernes. Nous nous bornerons à faire connaître les traits principaux et les fables les plus inté
aite de ce monstre donna lieu à l’établissement des jeux Pythiens, si connus dans la Grèce. On les célébrait tous les quatre a
ainqueur obtenait une couronne de laurier. Il est nécessaire de faire connaître l’idée que les Grecs, et généralement les anciens
vaient de victimes dans ces barbares sacrifices. Oreste et Pylade, si connus par leur tendre amitié, tuèrent le pontife Thoas,
de Calisto. Près du pôle arctique, on aperçoit aussi la petite Ourse, connue par les astronomes sous le nom de Cynosure : elle
pandent sur la terre, avaient une seconde origine, qu’il est utile de connaître  ; ils venaient de la mère de Latone, qui portait
du jour. Cet oracle étant celui de Delphes, il est indispensable d’en connaître l’origine. Diodore de Sicile rapporte que des ch
qu’au Bacchus d’Égypte. Fable de Bacchus. Il ne suffit pas de connaître les rapprochemens historiques entre Bacchus et Mo
issons à la poésie le soin d’embellir ses tableaux, et bornons-nous à connaître ce que la mythologie nous apprend sur l’origine d
e, avec cette devise : A la plus belle. Il serait impossible de faire connaître toutes les manières de représenter cette déesse.
s, dont naquirent Nérée et Doris, qui eurent un grand nombre d’enfans connus sous le nom de nymphes. Celles qui présidaient au
x. La perfection de ses chants, qu’il accompagnait avec son luth, fit connaître aux Sirènes toute sa supériorité. De dépit elles
s-prévoyant, avait le pouvoir de lire dans l’avenir. La difficulté de connaître ce qu’il voulait cacher, et le désir de l’embarra
nfin regardent la fable de Protée comme une allégorie servant à faire connaître que la vérité demeure cachée pour ceux qui ne s’a
rifice à la bonne déesse, divinité mystérieuse dont les femmes seules connaissaient le nom. Ce sacrifice, offert pour le salut et la
nt les supplices du Tartare comme éternels. Nous croyons devoir faire connaître l’idée que les anciens s’étaient formée du Tartar
itoyablement l’impiété. Les dieux Mânes n’étaient pas bien clairement connus par les anciens. Souvent ils les confondaient ave
es dieux honorèrent Tantale de leur visite ; il voulut éprouver s’ils connaissaient les choses cachées. Ce prince barbare égorgea Pél
ssions, les biens et les maux : nous nous bornerons à parler des plus connus . Les Grecs honoraient la Félicité sous le nom d’E
eur et la Peur. Les hommes frappés à la vue des événemens dont ils ne connaissaient pas la cause, et qui leur inspiraient de la fraye
e Momus. Comus présidait aux festins, à la bonne chère : il n’est connu que de nom. Tout peintre a le droit de prendre so
semble tiré des langues de l’Orient. Il est certain qu’Esculape était connu dans la Phénicie, avant de l’être dans la Grèce.
du Tasse. On croit que l’adresse que nous venons de citer ne fait pas connaître suffisamment le véritable auteur du chef-d’œuvre 
3 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
fréquent dans nos conversations, qu’il n’est plus permis de ne pas la connaître . formation des mondes. — Comme dans toutes les r
re, et personnifiés dans leur ensemble par un seul individu, que l’on connaît sous le simple nom de Titan. Mais pour peupler l’
riton, Diophore et les monstres Alcida et Egide. Maintenant que nous connaissons une partie des résultats des inconstances de la t
poitrine, puis Tellus ou Terra, chez les Latins. Plus tard, quand on connut la déesse suprême des Crétois, on la considéra co
re des Dieux. Sous cette forme de grande génératrice, la Terre, alors connue sous le nom de Cybèle, n’était plus d’origine cré
N’importe d’où lui vint cet enfant, la mère d’Atys, plus généralement connue sous le nom d’Agdistis, l’exposa de suite dans l’
ieuse dans le palais du roi, et se jette au col d’Atys en lui faisant connaître en même temps et son amour et sa qualité de mère.
ropre mouvement corporation sacerdotale, que des lois intérieures peu connues dirigeaient, tant sous le rapport du rang et des
es les plus indécentes qu’ils pouvaient imaginer. Maintenant que nous connaissons bien en détail l’antique Cybèle de Phrygie et ses
eunesse : on la trouve tout de suite femme de Chrone ou Saturne, déjà connu pour être fils de la Terre, laquelle n’est qu’un
ure. A cet enfantement se borne la vie active de la divinité crétoise connue sous le nom de Rhée. Son culte, semblable à peu p
métallurgiques que l’on confondait avec les Dactyles, nous les ferons connaître en détail, en parlant d’un fils unique de Junon a
. Les Curètes avaient des temples dans beaucoup de contrées ; le plus connu était celui de la Messénie où l’on sacrifiait des
qu’on attribue l’institution du culte de cette déesse. Tout le monde connaît ce culte. On sait que dans le Penus ou sanctuaire
u par de jeunes vierges appelées Vestales, dont une des premières est connue sous le nom de Tarpéia. Elles étaient d’abord au
monde un fils que l’on trouve quelquefois appelé Dolops, et que l’on connaît plus généralement sous le nom du centaure Chiron,
tête de singe, un torse d’homme et une queue de cochon. Ces pierres, connues aussi en Grèce, et faisant allégorie aux enfants
t à se rendre ainsi le maître de l’empire du monde. Ce Jupiter, ainsi connu chez les Romains, et appelé Zévs chez les Grecs,
, devenait toujours un surnom, pour montrer son origine ; ainsi, l’on connaissait Jupiter-Ammon des Libyens, c’était peut-être le p
eur Crès son fils. Cependant, les siècles historiques n’ont laissé de connus comme rois de Crète, que ceux appelés Astérius, M
acun d’eux. Cœos, Crios et Hypérion laissèrent les enfans qu’on leur connaît  ; seulement faisons remarquer qu’une assez grande
ns le soleil et la lune. Japet offre aussi des variantes utiles à connaître pour comprendre certains historiens ; ainsi tout
l. Jupiter ne tarda pas à découvrir cette trame perfide ; alors il ne connut plus les liens qui l’unissaient à son père. Aussi
s, les Dieux naturels, les Demi-Dieux et les Dieux allégoriques. Nous connaissons les douze Grands Dieux ou Du Majores, ou Dieux Ol
onna pour remplaçans Janus, Cybèle, Proserpine et l’Amour. Ensuite on connaissait les Dieux subalternes ou Dii minores, tels que Pa
, domestiques et tutélaires. La cinquième classe renfermait les Dieux connus et les Dieux inconnus, ou dont l’histoire était i
Titye, Thaon, Thurios, Typhée et Typhon. D'autres Géans sont encore connus  ; mais rien ne prouve qu’ils prirent part à la Ci
n, nous ne dirons rien de Castalius et d’Anax ; ils ne sont pas assez connus pour que nous en fassions le sujet de la moindre
dre observation. La famille des Géans fut peu nombreuse. En effet, on connaît une sœur à Cacus, portant le nom de Caca ; et, pa
on commerce avec Typhoé ou Typhon tous les désordres et les désastres connus sous divers noms allégoriques ; ainsi elle eut po
plus brave de la troupe éthérée, Mars, que l’on apprendra plus tard à connaître pour dieu de la guerre, s’élance contre ces audac
Cyllène que pour femme. Roi d’Arcadie, il bâtit Lycosure, et il y fit connaître , vers l’an 1753 avant Jésus-Christ, les premiers
r eut souvent à punir, il eut aussi quelquefois à récompenser. Qui ne connaît l’aventure de Philémon et Baucis, couple exemplai
e aventure, sur laquelle nous ne nous appesantirons pas tant elle est connue , est un mythe complexe, faisant encore allusion à
êter un char attelé de six coursiers. Quant à Euthyme, nous le ferons connaître en parlant des voyages d’Ulysse, lors de son reto
gues, et surtout par des sacrifices. Voici un aperçu de ceux que l’on connaissait  : les Aquilies étaient pour réclamer de lui un te
one, d’Ammon et de Trophonius ; mais nous nous réservons de les faire connaître plus en détail en parlant d’Apollon, le dieu spéc
éra ou Junon. Il en eut une fille appelée Hébée, et un seul fils déjà connu sous le nom de Vulcain, quoique Mars et quelques
première et la seule légitime de toutes les épouses de Jupiter, était connue en Grèce sous la désignation de Héra ou la maître
ût consacrée à la face de tous les Dieux par une cérémonie solennelle connue actuellement sous le nom de mariage, ou en grec T
rale des Dieux. Junon se faisait toujours suivre de quatorze nymphes, connues sous le nom générique d’Hérésides, dont la plus b
oucir. Junon fut considérée, sous la plupart des divers noms que l’on connaît , comme la grande divinité matrimoniale, présidant
eut de son auguste époux ou de sa propre volonté, seule ou sans mari connu , nous dirons de suite ici, quels furent ceux qui
t comme ses enfans. Argé, n’offrant rien d’intéressant, Typhoé étant connu , Angelo ne s’étant fait remarquer que par son ami
, et les chiens gardaient ses temples, dont l’un des prêtres les plus connus fut Darès, qui desservait aussi, disait-on, le cu
et de la Troade sont arrivés en petit nombre jusqu’à nous. Ainsi l’on connaît particulièrement : Acmon, originaire de la Scythi
s forges, aux Cyclopes, dont le nombre s’élevait à plus de cent. Nous connaissons déjà Argès, Brontès, Harpès, Stéropes ou l’Eclair
e à la fin du repas la tête du jeune Itys. Thérée, à cette vue, ne se connaît plus de colère, il demande des armes et veut immo
e que, pendant toute leur durée, l’on ne faisait rien d’important. On connaissait encore les jeux Arréiens, chez les Scythes, les A
jour elle avait aussitôt délivré sa mère d’un second enfant, que nous connaîtrons sous le nom d’Apollon. Ainsi dans cet embrouillem
is épouse de Nélée, et mère de Nestor, dont nous parlerons en faisant connaître le siège de Troie ; d’autres écrivains veulent l’
, on l’avait surnommé Trifomis ou aux trois formes. Nous allons faire connaître les différentes fables dont on l’a entouré dans c
t ils eurent à s’en louer. Parmi ces nombreux amateurs des forêts, on connaît Amarynthe qui donna son nom à une ville de l’Eubé
Quant à la lune, on ne lui attribuait guère qu’un fils, du reste peu connu , et qui, dit-on, portait le nom de Phlionte. Cepe
changea en une fontaine qui porta son nom. Calisto n’est pas la moins connue des nymphes de la suite de Diane ; nous savons co
e, dont nous aurons occasion de parler, le nom de Cométho est le plus connu parmi ceux de toutes ces prêtresses. Elles célébr
soleils, c’est Apollon, fils de Jupiter et de Latone ; c’est le plus connu et le seul dont nous nous occuperons. Le second,
sur la terre, Apollon inventa les accords mélodieux de la lyre et fit connaître à tous les peuples des campagnes qu’il parcourait
nombre s’augmenta. Dans l’origine, suivant Pausanias et Varron, on en connaissait trois ; Aœdé, Mélété et Mnémée. Cicéron a pensé q
tant de Muses particulières. Il en fut de même des Graces ; mais nous connaissons les premières, et nous retrouverons celles-ci en
us célèbres furent assurément Linus, Orphée et Arion, que nous ferons connaître plus loin en parlant des poètes qui précédèrent H
s-mêmes, avant d’aller plus loin, arrêtons-nous un instant pour faire connaître l’histoire de ce cheval merveilleux. Il était né,
symbole de la douleur et le compagnon pour ainsi dire de la tombe. On connaît encore Epyte, fils du roi arcadien Elate, tué à l
soleil, elles étaient fort nombreuses en Grèce et à Rome. Ainsi l’on connaissait  : les Actiaques, jeux qui se célébraient tous les
ramidale. La plus belle qui soit parvenue jusqu’à nos jours est celle connue sous le nom d’Apollon du Belvéder : elle représen
ement comme un des plus célèbres desservans des autels de ce dieu. On connaît encore parmi les noms de ses grands prêtres ceux
rêtre d’Apollon à Cyrène, et fut mis à mort par le tyran Niocrate. On connaît aussi quelques prêtresses d’Apollon, et entre aut
ait bien aussi quelquefois et dans quelques localités spéciales faire connaître l’avenir à ses croyans. Les oracles les plus fame
oit remonter à une époque fort éloignée. Le désir toujours inutile de connaître cet avenir, mais d’autant plus vif que l’on est p
tain relief religieux. On distinguait plusieurs sortes de méthodes de connaître l’avenir : d’abord les oracles et la divination,
que la nature était soumise à diverses intelligences célestes faisant connaître aux peuples de la terre leurs volontés par l’entr
ouver treize à table. Les oracles d’Apollon, les plus fameux que nous connaissions , se faisaient entendre dans les villes d’Aba, Aph
donnaient une liaison aux paroles de la Pythonisse, et les faisaient connaître aux fidèles. D'abord ils rendirent ces interpréta
de Jupiter n’étaient pas moins célèbres que ceux d’Apollon ; les plus connus étaient ceux d’Ammon, de Dodone et de Trophonius.
ait originaire des environs de Thèbes, ne nous étonnons pas qu’il fût connu dans la Haute-Egypte, où il était représenté avec
e interprétation et vous indiquaient les volontés sacrées. Enfin l’on connaissait encore plusieurs oracles assez suivis. Tels étaie
qu’il périrait dans cette expédition. Il épousa une Laothoé fort peu connue et il en eut Thestor, jadis père de Calchas, de T
dépositaire de bien douces faveurs. Nous allons donc maintenant faire connaître ses diverses et nombreuses maîtresses. Bientôt no
Hellénienne. Cependant, c’est plutôt sous le nom de Coronis que l’on connaît la mère d’Esculape ; nous en parlerons plus bas.
ssi Linus de ses amours avec le dieu du Parnasse. Si après avoir fait connaître les maîtresses d’Apollon, nous passons en revue l
épousa ensuite Autonoé, fille de Cadmus, et en eut Actéon, dont nous connaissons les tristes aventures. Après la perte de ce fils
les rencontrerons souvent dans le cours de cet ouvrage, et déjà nous connaissons le fameux Chiron, l’un des descendans du fils d’A
is et de Mercure, mais cette mère ayant été l’une des maîtresses bien connues d’Apollon, il est plus probable que c’était à ce
fois attribué la naissance comme héros à Pythie et à Apollon est plus connu comme fondateur de la Doride et fils de Neptune ;
rent encore ajouter à celles qui précèdent ; aussi, par la suite on y connaissait un Esculape enveloppé de la tête aux pieds, offra
péthuse, a déjà été indiquée parmi les Héliades ; Laodoque ou Laoduc, connu seulement pour fils d’Apollon et de Phthia ; Lapi
Amphion, autre célèbre musicien, 1389 ans avant J.-C ; Lycomède n’est connu que pour fils de Parthénope, fille elle-même de S
chers et les précipita au fond des flots. Telmesse n’a point de mère connue , il donna son nom à une ville maritime de la Lyci
la nymphe Syllis, succéda à Phestus, roi de Sicyone. Après avoir fait connaître Junon et ses enfans ainsi que Latone et tout ce q
nfans ; mais, ajoutèrent quelques autres savans, un oracle ayant fait connaître à Jupiter que Métis aurait un enfant plus sage et
nom d’Agelaste ou contraire au rire, près de la fontaine Enneacrusie, connue également sous les noms de Parthénios, Anthion ou
es que Jupiter, à la prière d’Eaque, métamorphosa plus tard en hommes connus sous le nom de Myrmidons. Philomèle ou le laborie
t son corps aux cieux pour y devenir la constellation du serpentaire, connue sous les noms de serpent, dragon ou anguille ; pl
e qu’il agissait peut-être sous les ordres de Dysaule et de Célée. On connaît cinq personnages de ce nom d’Eumolpe, l’un de l’A
e cinq en cinq ans ; cependant on assure que la portion de ces fêtes, connue sous le nom de petits mystères, ne se renouvelait
stère qui régnait dans cette initiation a toujours empêché de bien la connaître , seulement on est certain que les profanes en éta
et pourtant leur description était en dialecte dorique, que l’on n’y connut qu’après l’arrivée de ces descendans d’Hercule. P
fêtes étaient encore désignées par des noms particuliers, ainsi l’on connaissait les Airéennes ou Aloéennes, ou Aloées, dans lesqu
ule ou en compagnie de Triptolème, sur un char attelé de dragons ; on connaît encore une Cérès-Thesmophore montrant à Bacchus l
lquefois un culte à part quoique fort au-dessous du sien ; ainsi l’on connaissait chez les Romains : Bonus Eventus ou le bon succès
r la plus légère impression. Charlatanisme du reste, qui pouvait être connu autrefois, puisque nous le voyons encore répété p
de passer à Erysichton, le plus grand ennemi de Cérès et d’Athana. On connaît sur lui deux traditions : d’après l’une il était
ur femme ou au moins amante de Jupiter, et en eut Epaphe ; mais on en connaît une autre et probablement c’était la même, elle é
n détail de cette femme légitime du Titan Pallas, lorsque nous ferons connaître les fleuves de l’empire de Pluton. Arrêtons-nous
aux amans le lever du soleil. Avec le caractère volage que déjà nous connaissons à Vénus, on se persuadera facilement qu’elle ne r
es gouttes du sang de sa blessure et en fait éclore la fleur que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Anémone ; puis elle rem
a, dit-on, seulement alors de le rendre ; de là le différent que l’on connaît  ; de là aussi, par ordre de Jupiter une sentence
nymphe du mont Ida, mais cinq ans après, en recevant ce fils que nous connaîtrons plus tard sous le célèbre nom d’Enée, il avait vi
; ce fut là, on peut le dire, que se terminèrent les infidélités bien connues de la volage déesse, car, nous n’appellerons pas
erie des cérémonies que l’on y célébrait, mérite que nous le fassions connaître avec quelque détails, c’est celui de Leucade. Il
de leurs peines. Maintenant ajoutons quelques mots sur les personnes connues pour avoir été les plus religieuses au culte de V
e, en relevant les ruines du temple de Paphos fondé par Aerias ; nous connaissons toute la famille sacerdotale des Tamirades ; on s
sa dépendance la direction de l’une des sept planètes ; c’était celle connue sous le nom de Vénus, de Lucifer ou de l’étoile d
e personnages allégoriques, dont les noms nous sont déjà presque tous connus  ; mais entrons dans de plus grands détails, et co
en couronnant Vénus. Passons maintenant aux enfans de Vénus, que nous connaissons déjà sous les noms de l’Amour, de l’Hymen, de l’
de ces personnages ; ensuite les divers noms et surnoms que nous lui connaissons . Maintenant expliquons ces divers noms : d’abord
 ? Ces pensées redoublent sa curiosité, et le désir de le voir, de le connaître , lui rend la journée éternelle. Enfin la nuit ram
out de vous y laisser entraîner ; vos sœurs comme vous cherchent à me connaître . Demain elles vous appelleront, si vous leur répo
, j’aime mon époux et lui m’adore, cependant je ne puis le voir ni le connaître . Quoi ! dirent-elles, il vous tait son nom et cra
dant à leurs insinuations attendit la fin du jour avec l’espérance de connaître l’objet de ses désirs. Enfin la nuit arrive, son
dieux protecteurs de la maison ; Subigus, n’était que Subjugus, déjà connu , mais le Subjugus nocturne ; enfin Scython ou Amb
l’Océan fut aimée de Jupiter, il la rendit mère de Tantale, dont nous connaissons les vols et la terrible punition. Sithnides, éta
ont il adopta les fils, ou même qu’il fut le père des enfans que nous connaissons comme nés des amours d’Europe et de Jupiter ; fai
mythologiques de la Grèce. Quant à Latone, amante de Jupiter, nous la connaissons déjà ; nous avons vu ses malheureuses aventures,
s de Juvénal. Enfans de Jupiter, filles de ce dieu. Après avoir fait connaître les femmes et les maîtresses ou concubines de Jup
qui se rattache à la première de ces illustres déesses, puisque nous connaissons déjà la seconde, jetons un coup-d’œil rapide sur
enos ou vierge, et sous celui d’Athèna ; aussi Erichthonius, que nous connaissons pour son fils supposé, institua en son honneur le
rs de Thèbes aux sons de sa lyre. Amphion eut les enfans que nous lui connaissons  ; quant à Zéthus, il épousa Aédon sœur de Mérops
du vin ou le vin lui-même. Ce Bacchus est encore une personnification connue de tous les peuples, mais sous des noms différens
Cadmus, et le vainqueur des Indes, dont l’existence ne fut en réalité connue en Grèce, qu’après le retour d’Orphée qui venait
pendant un charme secret l’y ramenait ; il ne fut pas long-temps sans connaître le charme attractif qui l’avait ainsi attiré dans
ou Rhoéo. Le culte de Bacchus, originaire d’Égypte où ce Dieu était connu sous le nom d’Osiris, fut d’abord introduit dans
s mystères nocturnes, dont le secret était sacré et dont le peuple ne connaissait que les courses vagabondes qui se faisaient, la c
es ; puis ses temples furent desservis par des prêtres, dont les plus connus furent le Tyrrhenien Acetès et Coresus de Calydon
ironné de lierre. Il serait difficile de parler de Bacchus sans faire connaître les dieux et déesses subalternes qui venaient apr
rs il eut avec lui une discussion sur l’art de la musique, dont on ne connaît pas le résultat. Il eut aussi une dissertation ph
ins et demi dieux se subdivisaient en plusieurs variétés ; ainsi l’on connaissait les Pans et Egipans, ou enfans de Pan, que l’on v
d’OEbalus ; Soteres ou protecteurs des vaisseaux en danger. Déjà l’on connaît les amours de Léda avec Jupiter qui se transforma
es individus remarquables de ce nom. Cependant d’après Diodore, on ne connut dans l’origine que trois ou quatre Hercules : l’u
ien et, peut-être, un cinquième existait-il dans les Gaules, car on y connaissait du moins une divinité analogue à l’Hercule Grec,
ns les Gaules et se répandit pour ainsi dire dans toutes les contrées connues . Il fut, dit-on, introduit surtout en Italie, par
de même de ses enfans, ou du moins de ses fils ; car, ses filles bien connues , se bornent à Alexiare, fille d’Hébée ; Bargas de
ème se divisa dès le principe en Eurysthénides et en Proclides. L’on connaissait encore sous ce nom d’Héraclides la famille d’Anti
ls étaient en partie les enfans de Mercure, mais nous allons le faire connaître plus en détail : Angélia, dont la mère est restée
le dont nous venons de parler, paraît avoir été le premier industriel connu chez les Grecs ; il avait pour sœur Perdrix, mère
ur sœur Perdrix, mère de Tale ou Cale ou Acale ; leur généalogie déjà connue s’établit ainsi : Érecthée et Praxithée ayant don
e serpens, ainsi qu’à Chrysaor et à Pégase, coursier céleste que nous connaissons , leurs efforts furent inutiles, car Persée monte
résentait un mortier à la main. Il avait pour frère, Iarbas, que nous connaissons , et Picumne, avec lequel on le confond souvent ;
umne, avec lequel on le confond souvent ; cependant celui-ci est plus connu sous le nom de Sterquilinus, inventeur de la fumu
oici maintenant arrivé au Dieu des mers, au frère de Jupiter ; il est connu sous plusieurs noms et surnoms ; ainsi on l’appel
l de la Grèce, et vinrent y imposer leur loi. Aussi, d’après Vossius, connaissait -on au moins six Neptune, savoir : Le premier ou l
ans sa patrie, vers l’an 1194 av. J.-C., qu’il y tua son père sans le connaître , et qu’ayant appris son parricide, il se creva le
, il rencontra un riche voyageur monté sur un char qui, sans se faire connaître lui ordonna avec hauteur de lui abandonner un lib
st l’une des plus anciennes des divinités Égyptiennes, nous le ferons connaître en détail en parlant de ces divinités ; Béotus ou
cinq filles : Calycée, Canacé, Halcyone, Périmèdes et Pisidice. L’on connaît encore Eole le Deucalionide, troisième descendant
stor et Pollux. Puis Borée eut d’Orithye, quatre filles dont les plus connues sont : Chioné et Cléopâtre ou Cléobule. Quant à l
nes, dans lesquelles on célébrait l’enlèvement d’Orithye. Enfin, l’on connaissait encore dans la Grèce d’autres vents du nord, appe
’Ulysse, dont Circée avait fait son amant. Cet écueil ou gouffre très connu , ne pouvait être évité sans tomber sur celui de C
de Polycaon. Lycus, né de l’Atlantide Céléno et frère de Nycté ; nous connaissons déjà toutes ses aventures, nous savons qu’il épou
roi d’Iolchos en Élide, sur les bords de la Messénie, demande à être connu plus en détail. Nélée fut exposé par sa mère et r
e d’Hésiode. Ogygès, fils de Neptune et d’Alicra, fut le premier roi connu d’un plateau dont une partie était Béotienne et l
âtir Thèbes et Eleusis. Pendant son règne, une inondation effrayante, connue sous le nom de déluge d’Ogygès, vint submerger se
Cléodore et de deux père : Neptune et Cléopompe ; il inventa l’art de connaître l’avenir au moyen des oiseaux, et fit bâtir une v
ome ou Polymède ou Polyphème ou Théognète, et il en eut Jason d’abord connu sous le nom de Diomède, et celui-ci eut avec Médé
age, Chrysaor, le Dragon des Hespérides et Scylla, qui nous sont tous connus  ; de plus il en eut pour enfans les Gorgones, les
les Grées, Ento, Batthyllas et Thoosa. Phthios n’a pas de mère bien connue  : Polyphème, né de Thoosa, était le plus grand, l
one et plusieurs filles, dont Cabira, Idothée et Rhétie sont les plus connues . Les fils de Protée, étant devenus des brigands r
e, d’un aigle superbe ou d’un feu dévorant ou d’un torrent rapide. Il connaissait aussi l’avenir, mais il ne le révélait que lorsqu
r Jason. Grande fut la douleur des Argonautes, quand le lendemain ils connurent leur méprise ; alors ils firent de magnifiques ob
femme d’Egée, auquel elle conseilla d’empoisonner son fils, qu’il ne connaissait pas encore. Dès qu’il sut que Thésée était son fi
qui furent dévaster les côtes de la Colchide. Le nombre de leurs noms connus s’élève, avons-nous dit, jusqu’à 90, en effet, on
e, Castor et Pollux, Admète, Ancée, Esculape, Nélée, Orphée, que nous connaissons tous, et Calaïs et Zéthès, Ethalidès, Echion, Hyl
a chasse, par Pitthée son aïeul. Sans autre passion il n’avait jamais connu celle de l’amour, aussi fut-il atterré et sans vo
Grecs, réunit autour de lui ses plus fidèles amis, presque tous déjà connus , et fut avec eux combattre ce fameux sanglier de
simples fils de l’Océan, et pour mieux le prouver, nous allons faire connaître quelques-uns de ces fleuves de l’antiquité ; ils
fils, Ismène et Pélasgue, et vingt filles, dont quinze seulement sont connues , savoir : Aspis, Antiope, Cléone, Chalcis, Égine,
par Jupiter. Quant à Egialée il fonda le royaume de Sicyone, puis Io connue comme sa cousine, fut aimée du maître des Dieux,
nt pour amants les fils de Sylvain, dieu des forêts. Pour mieux faire connaître cette véritable armée féminine, nous allons indiq
tes ces nymphes, plusieurs avaient des noms individuels plus ou moins connus  ; en voici quelques-uns dont il est souvent parlé
elle ne troublât pas de ses cris les sacrifices qu’on lui offrait. On connaissait encore une autre Egérie, présidant aux accoucheme
e le 17 août. Sa mère fut changée par les Dieux en une déesse marine, connue sous le nom de Leucothoé chez les Grecs qui, à Co
allons donner quelques détails. Cette reine des enfers, généralement connue sous le nom de Proserpine chez les Romains, porta
, elle ne laissa pas d’héritier. Avec les nombreux attributs que nous connaissons à Proserpine, il ne faut pas s’étonner si son cul
é près du lac Averne. Une déesse ayant ses attributs, était également connue chez les Celtes et les Gaulois, qui l’appelaient
Romain, était habitée par les héros que des actes cruels avaient fait connaître , tels qu’Adraste, Parthénopée et Tydée ; alors on
peuplé d’une foule de personnages fabuleux, qu’il nous reste à faire connaître en détail. D’abord la masse de ses habitans étaie
qu’il ne faut pas confondre avec les Lares ou Dieux domestiques, déjà connus , ni avec les Larves ou Lemures. Ces manes que l’o
répandu dans le monde ancien, il ne faut pas s’étonner si leur culte connu d’abord des Egyptiens, des Assyriens, des Phénici
ndes bourbeuses. On donnait pour enfans, à ce fleuve, Ascalaphe, déjà connu , fils d’Orphné ou des ténèbres ou de Gorgyre ou l
nt pour avoir été les hommes les plus justes de leur temps. Déjà nous connaissons Minos II ; mais souvent on le confond avec son gr
ur, la Pétulance, la Pitié, la Fraude, et pour fils Dumilès, être peu connu  ; Epiphron, ou qui pense après coup ; Epaphe. La
Vengeance ; mais occupons-nous particulièrement de celle-ci, souvent connue sous le nom de Némésis. Cette Némésis ou Nortia o
méchans. Son culte fut apporté en Grèce par Orphée, et bientôt il fut connu à Rhamnunte, à Samos, à Smyrne, à Side, à Éphèse,
terreur, que l’on rencontrait une divinité dont nous avons déjà fait connaître en détail les divers attributs, en parlant de Dia
née, autre démon, se prenant corps à corps avec les hommes. Déjà nous connaissons la plupart des grands coupables qui étaient tortu
il, Thyeste rencontra dans un bois Pélopée sa fille, la viola sans la connaître suivant les uns, ou en sachant fort bien qui elle
ans la haine d’ Atrée et des Atrides, sans pourtant lui-même se faire connaître  ; puis, il envoya cet élève à la cour d’Atrée qui
Mais à peine ce jeune homme a-t-il tiré son épée, que Thyeste se fait connaître à son fils, et que Pélopée, amenée par le hasard
mme Philozoé, et fut tué par Sarpédon ; Ulysse roi d’Ithaque. Faisons connaître actuellement plus en détail quelques-unes de ces
d’Égisthe et de Clytemnestre. Ce Penthile, eut pour fils Damasias. On connaît encore à Oreste. Partout on eut l’honneur de cons
ent, revint aussitôt dans son palais et le trouva vide. Alors, il fit connaître à tous les chefs de la Grèce la grave insulte que
us allons remonter à l’origine traditionnelle des premiers souverains connus de ce pays ; voici comment on l’explique : Teuce
comptait parmi ses enfans également beaucoup de filles dont les plus connues étaient Aristomaque, femme de Cristolas, Alexandr
qui tombèrent sous ses coups, on distingue Patrocle. A peine Achille connut -il la mort de son ami, qu’il jura de la venger da
combats, les Grecs résolurent de le faire mourir ; mais sa mère ayant connu leur résolution, le cacha dans le tombeau d’Hecto
tiennent enlacé ainsi que ses fils ; ce qui forme le groupe célèbre, connu généralement sous le nom de Laocoon. Rhésus, roi
, fils d’ Evandre ; Patron, compagnon d’ Evandre. Les Latins les plus connus du côté de Turnus, se nommaient : Drèse, qui tua
s et des voyageurs fatigués. Fetries, déesses Romaines ou latines peu connues . Fidélité ou Fides, symbolysée à peu près comme l
cque. Janus ; en parlant de Saturne, nous avons dit que nous ferions connaître à part Janus, dieu suprême des Etrusques ; en eff
le, appelée pays des Aborigènes et depuis Latium, Janus mérite d’être connu  ; il paraît que tout en commandant sur les indigè
ne. Si nous retournons aux dieux divers que nous avons encore à faire connaître , nous trouvons : Jocus, dieu de la saillie et du
la vie. Dieux Egyptiens. Les faux-Dieux les plus anciennement connus sont probablement ceux d’Égypte, sans pour cela q
les appelait Mnévis, Bacis ou Pacis, Onuphis ou Omphis ; de plus, on connaissait une vache divine, Ahé, consacrée à Bouto, ou, pou
tice et la rend mère d’Harpokrat. Alors, nous le savons, Typhon ayant connu la demeure sépulcrale d’Osiris, l’enlève, et le l
a mort. D’après Eratosthène, le premier Dynaste ou souverain Egyptien connu étant Ménès, nous allons donner les noms des déca
, ou Chontaré. Raonosi, 13e dynaste, ou le 1er dynaste historiquement connu , a pour décan Charchumis, ou Chachnoumen, ou Ptia
fit de ce dynaste un être divin, que l’on appela Fré ou Piré que nous connaissons  ; on le supposa allié à Illith ou Poubasti ; cett
t après sa mort le khaméphioide égyptien, ou dieu suprême Amoun, déjà connu . Sa compagne fut la dynaste Saté ou la Junon des
, ou le ciel, ou l’Esculape des Grecs. Après ces dieux et déesses, on connaissait encore en Égypte un grand nombre de divinités don
aturne, ou Moloch, ou le Bel, des Babyloniens, ou Jupiter ; puis l’on connaissait Baal-Thurz, ou Mars, Baal-Pharas, ou la terre, et
éphon, ou Séphon, des Égyptiens, dieu terme à tête de chien, que nous connaissons  ; Baal-Zéboub, ou Baal-Zébach, dieu chasse-mouche
l. Les nègres de la Guinée adorent souvent aussi la plupart des dieux connus au Congo. Voici les noms de ces divinités de cett
es des principales contrées de l’Afrique, nous allons faire également connaître ceux de l’Asie. Ainsi, dans l’Arabie, pays mixte,
x assyriens, nous ferons remarquer non seulement Chrône, Cybèle, déjà connus , mais encore quelques divinités sur lesquelles no
rosée par l’Euphrate. C'est sous le nom d’Astarté qu’elle est le plus connue . On lui donnait une naissance extraordinaire : un
in, les Assyriens, les Phéniciens, et toutes les peuplades asiatiques connaissaient encore quelques dieux lares, au nombre desquels n
cette partie de l’Asie, c’est la religion de Bouddha, que nous ferons connaître lorsque nous aurons parlé de tout ce qui se ratta
s, les fleuves, les eaux, les montagnes et les quatre castes que nous connaissons . Enfin, Brahmâ créa l’espèce humaine en divisant
Quant aux rapports de Brahmâ avec les dieux grecs, romains, que nous connaissons déjà, ils sont trop sensibles pour avoir besoin d
ize groupes des différens êtres formés par Brahmâ ; puis, nous ferons connaître ensuite Vichnou et Siva, ainsi que tout ce qui se
millions quatre cent mille lieues par-delà la planète de Saturne. On connaît sept Richis célèbres, auxquels on donne les surno
-ouest ; il paraît une véritable incarnation de Siva, que nous ferons connaître plus tard ; c’est-à-dire, il est un dieu modifica
ue par extension la dénomination de Devatas, jusqu’aux mauvais génies connus sous le nom générique d’Asvapna. Quant aux Daiti
s sept Patalas ou régions inférieures du monde. L'un d’eux et le plus connu est Sambara, daitia voluptueux qui importuna Rati
tre, qu’il lui rend la vie qu’il avait perdue pour lui. Boudha, ayant connu ensuite qu’il était sorti d’une noble origine, re
ui le rapprochent du Christ, dont l’histoire, du reste, fut très-bien connue par les Hindous dès les premiers siècles du chris
carné plusieurs fois, mais ses plus célèbres incarnations sont celles connues sous les noms de Markandéia et de Kandopa. Puis o
le taureau ; enfin son corps est d’un blanc cendreux. Si nous voulons connaître l’entourage de Siva, commençons par étudier ses f
n incarnation en Bhadrakali, ou monstre femelle que nous allons faire connaître dans le paragraphe suivant ; d’autres fois, on la
iés, et brisa le trident de l’époux de sa mère. Un jour qu’il voulait connaître ceux qui lui rendaient des hommages ou qui le nég
es prêtres sont les Gourous, ou patriarches. A part les Brahmes, l’on connaît encore dans l’Inde les Anachorètes, martyrs vérit
êtes, se font suspendre à un croc par les chairs du dos. Lorsque l’on connaît l’exagération des prêtres et des anachorètes, il
n, Sakhya, Shaaka, Siddharta, Sogde ; Somonokhodom à Siam ; Xaca. On connaît de plus une innombrable quantité de noms, dont on
s qui se célèbrent dans l’Hindoustan, en l’honneur des dieux que nous connaissons . Nous avons dit que le Bouddhisme, chassé de l’Hi
tables de la loi. L'un des cinq juges prononce la culpabilité, qu’il connaît en mettant dans une balance le criminel et les li
ie d’un passeport signé par un Bonze. Ensuite, après ces dieux, on en connaît beaucoup d’autres plus inférieurs encore ; ainsi,
ys d’Irac, ou l’ancienne Perse, adora des Dieux actuellement fort peu connus  ; mais Zoroastre ou Zérétouchtro, en langue Zend,
nt les anges gardiens dans la religion de Zoroastre. Après avoir fait connaître Ormuzd ou principe du bien, et toutes les divinit
et qui sont rangées au-dessous de lui pour combattre Ahriman, faisons connaître ce principe du mal. Ahriman ou Arimane, fils aus
pposé à Bahman, le second Amschasfand. Sa science est si grande qu’il connaît parfaitement la vérité de la voix vivante, sortan
crées d’Ormuzd, mais sa discrétion est telle, qu’il se refuse à faire connaître ce qu’il sait et sent. Ce génie malfaisant fait t
tech, Khévézo et Vasirecth, n’ont point de fonctions déterminées bien connues . Cependant divers Devs, portant encore d’autres n
Iradj. A part tous les Dieux que nous venons de citer, les Perses en connaissaient encore un assez grand nombre, mais nous nous cont
et leurs divinités. Voici celles de ces divinités qui méritent d’être connues . Aghogok, dieu suprême des habitans des îles Alé
lement des sons. On l’invoquait dans les calamités publiques, et pour connaître l’avenir. Koughas, dieux aléoutes, pour lesquels
es. Une fois arrivés chez les Slaves qui jadis occupaient les pays connus aujourd’hui sous les noms de Russie, Pologne et B
e trente-deux dont quatorze étaient dieux et dix-huit déesses. Frigga connaissait l’avenir, mais elle ne le révélait à personne ; e
is enfans : le loup Fenrir, le grand serpent Iormoungandour, que nous connaissons , et Héla, déesse de la mort et du monde souterrai
na, était la déesse des vierges et de la virginité ; cette déesse qui connaissait l’avenir, recevait à son service toutes les femme
pour que les conjurations fussent efficaces, et jamais il ne faisait connaître sa volonté que quand ces jongleurs étaient au nom
du tonnerre, était chez les Brésiliens le seul être surnaturel qu’ils connussent . Ils croyaient qu’il présidait à l’agriculture.
re les systèmes des diverses religions fabuleuses que nous avons fait connaître . Explication et Placement des planches.
33. Dieux américains, amérique du nord, 493. Dieux choisis, 33. Dieux connus , 33. Dieux divers, 376. Dieux (les) de la mer, 33
4 (1823) Mythologie des dames
iées nous environnent ? Les anciens, fort peu savants en physique, ne connaissaient que quatre éléments, l’air, le feu, la terre, et
t oiseau accompagna le maître des dieux. On dit que Jupiter, desirant connaître où était le milieu de la terre, fit partir deux a
s Tritons. Au milieu de ce grand appareil, le maître des dieux se fit connaître à Europe, et la conduisit dans l’île de Crète, où
r l’aimable messagère des dieux. Aujourd’hui nos physiciens ont voulu connaître cette écharpe : ils y ont vu la décomposition des
beaux arts, brûlait pour Vénus des mêmes feux que Mars. Ce dieu, qui connaissait aussi la médecine, ne put trouver de remède contr
es vertueux : là, il jouit des embrassements de son père, qui lui fit connaître la suite de rois et de héros qui devaient descend
cours de personne, lui parurent bien plus extraordinaires ; car on ne connaissait pas alors l’instrument que nous appelons la harpe
dont les cordes sont animées par le souffle du vent. Cependant Psyché connut bientôt l’ennui de la solitude. Lorsque les ombre
de son époux ; mais l’Amour lui avait dit : « Ne cherchez point à me connaître . Hélas ! si vous braviez les arrêts du Destin à c
veulent analyser leurs plaisirs. psyché perdit l’amour en voulant le connaître  : telle est l’inscription que l’on a gravée sur l
tures, sont-ils des auteurs bien postérieurs à ceux qui nous ont fait connaître les autres parties de l’histoire des dieux. L’Amo
ues cordes sonores, Apollon en fit l’instrument si cher à l’harmonie, connu sous le nom de lyre. Il étudia les plantes, et pé
e, et ressuscita Hippolyte, fils de Thésée, à la prière de Diane, qui connaissait l’innocence de ce beau chasseur, et la perfidie d
ure de Diane, il entreprit de la séduire, et y réussit. Calisto ayant connu la métamorphose qui l’avait trompée, redoutait la
fit beaucoup de bruit dans l’Olympe, où l’amour platonique était peu connu . On prétend encore que cette déesse ne fut pas in
Il était fils de Jupiter et de Maïa, l’une des sept filles d’Atlas, connues sous le nom d’Atlantides. Le jour même de sa nais
’occasion pour s’enrichir. Les historiens parlent d’un autre Mercure, connu sous le nom de Mercure trimégiste, c’est-à-dire t
s ceux qui regardaient cette malheureuse amante étaient pétrifiés. On connaît une statue de Méduse assise sur un rocher, sa têt
ma difformité,           « Dont me punit sa cruauté,           « Fera connaître en dépit d’elle.           « Quel fut l’excès de
eau blanc, et une génisse indomptée. La Minerve de la ville de Troie, connue sous le nom de Palladium, tenait la pique de la m
Tel était l’enthousiasme qu’inspirait par-tout l’arrivée de ce dieu, connu en Grèce sous le nom de Dionysius. Il était fils
’abondance, et ayant auprès d’elle un Amour avec des ailes pour faire connaître l’étendue de son empire. Elle avait neuf temples
, « Sans cesse en haletant rode mon chien fidèle ; « Que mon troupeau connaisse et ma flûte et ma voix ; « Que le lait le plus pu
qu’on apprenait tous les secrets des Mystères. Le nombre des planètes connues des anciens n’était pas assez considérable pour e
tarder sa marche pendant deux nuits. Une comédie de Molière nous fait connaître les suites de cette métamorphose de Jupiter. Lors
onna de faire douze actions d’éclat les plus périlleuses, et qui sont connues sous le nom des douze travaux d’Hercule. Hercule
rchandant un jour le vin d’Ulysse, en avala d’abord une outre pour en connaître mieux la qualité. Le vin de l’île de Naxos, dans
ins : elle avait la faculté de rajeunir les hommes… Nos anciens preux connaissaient la Fontaine de Jouvence qui avait la même faculté
abitent ces profonds souterrains permettaient rarement aux mortels de connaître et de publier les mystères des Enfers. Parmi ceux
la sibylle accompagne Énée, et lui fait parcourir ces espaces si peu connus des hommes. Voilà qu’au jour naissant mugissent
e pénétrer dans les Champs-Élysées… Mais arrêtons-nous un moment pour connaître la demeure et la cour du roi des Enfers. Déjà nou
re, lorsqu’il dévoila à Vulcain sa tendresse pour le dieu Mars : elle connut les fureurs les plus humiliantes des feux de l’am
miliantes des feux de l’amour ; et ses deux filles, Phèdre et Ariane, connurent aussi les malheurs dont la cruelle Vénus est la c
éthée. Ayant épousé Pléione, fille de l’Océan, il en eut sept filles, connues sous le nom d’Atlantides : elles furent toutes un
dont les impressions Altèrent les esprits, changent les passions. On connaît Salmacis, source voluptueuse, Le lac d’Éthiopie,
vils animaux ; et créait dans ces lieux des objets d’un culte sacré, connus sous le nom de dieux domestiques. Là régnaient h
santes divinités de l’Olympe. De là vint la Chiromanchie, ou l’art de connaître les destinées des hommes par l’inspection de la m
je pense Qu’avec un peu d’intelligence, On pourrait sans être devin Y connaître votre destin. J’y trouve mainte et mainte ligne,
assez pour les anciens peuples d’examiner les traits de l’homme pour connaître ses destinées ; ils cherchèrent des signes de leu
5 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
s cet ouvrage élémentaire que les faits les plus importants, les plus connus , et qui peuvent le plus contribuer à l’intelligen
t l’avenir. Tous les dieux étaient obligés de consulter ce livre pour connaître les choses futures. Cette idée que les païens s’é
i naquirent du Chaos ? A quels dieux donnèrent-elles le jour ? Faites connaître trois Géants fameux. D’où vient le nom de Titans 
e Minerve, protectrice de cette ville. C’était un secret, qui n’était connu que des Vestales ou prêtresses de Vesta. Celles-c
ses États. Quoique Jupiter, en entrant dans son palais, lui eût fait connaître son rang suprême, Lycaon, voulut néanmoins mettre
déluge ? 25. Racontez la fable de Prométhée, d’Épiméthée. 26. Faites connaître la fable de Pandore. 27. Quel était le culte de J
yre à la main, et la tête ceinte d’une couronne de laurier. La statue connue sous le nom d’Apollon du Belvédère 22 est un des
le nom de Piérides ? Comment échappèrent-elles à Pyrénée ? 38. Faites connaître la manière dont se rendaient les oracles dans le
stellation brillante. 44. Le Zodiaque. Mais ce qu’il importe de connaître , c’est le cercle formé par douze constellations,
cie. Cette princesse donna son nom à l’une des trois parties du monde connues des anciens. 3° Les Gémeaux (mai) Les Gémea
ation ? Que voyaient les anciens dans les constellations ? 43. Faites connaître l’origine de la constellation appelée Calisto ? Q
s, parce que l’agriculture est pour l’homme un trésor inépuisable. On connaît la charmante fable de La Fontaine intitulée Le La
époque que ce fleuve roule un sable d’or. Midas, qui nous était déjà connu par un châtiment grotesque que lui infligea Apoll
e fussent pas tentés d’enfreindre une loi qu’il croyait salutaire. On connaît enfin l’histoire des filles de Minée, si bien rac
veux épars, et vomissant des injures accompagnées de cris affreux. On connaît le bel épisode du quatrième livre des Géorgiques
veilleuses de sa naissance. 59. Par qui Bacchus fut-il élevé ? Faites connaître Silène, précepteur de Bacchus. 60. Quelle preuve
Palès ? Quand se célébraient ses fêtes, quel était leur nom ? Faites connaître Flore et les jeux floraux ? 66. Dites ce qu’était
gorie que présente leur mariage ? Qu’était-ce que Priape ? 67. Faites connaître Pan et ce qu’on appelle terreur panique. 68. Qu’é
s filles, dansant en chœur autour de lui. Nérée avait le privilége de connaître l’avenir. Il prédit à Pâris les suites funestes d
phoques ou veaux marins, et lui donna, comme à Nérée, le privilége de connaître l’avenir. Mais Protée ne cédait qu’à la violence
à Eole douze enfants, qui représentent les vents principaux. Les plus connus sont : Borée, Auster, Eurus et Zéphire. Borée est
urs. Questionnaire. 76. De qui Protée était-il fils ? Faites-le connaître par quelques détails et par les vers de J .-B. Ro
lique-t-on cette fable ? Comment représente-t-on Glaucus ? 78. Faites connaître Mélicerte, son histoire, sa métamorphose, les hon
e qui Aurore était-elle fille ? Racontez l’histoire de Tithon. Faites connaître Memnon, fils de Tithon et de l’Aurore. Quelle fut
ipaux fleuves des Enfers ? Qu’étaient les Champs-Elysées ? 83. Faites connaître Pluton, monarque des Enfers. Pourquoi était-il gé
supplice dans les Enfers et le crime qui en fut la cause. 91. Faites connaître Titye, Tantale, les Danaïdes ; la raison de leur
s sont les principales divinités allégoriques ? Les énumérer et faire connaître l’origine et les attributs de chacune d’elles.
raconter, et que s’est écoulée la vie des héros que nous allons faire connaître . A partir de cette époque commence la troisième p
ros. Le nombre des héros de l’antiquité est immense ; nous ne ferons connaître que quelques-uns des plus célèbres : Persée, Bell
périr ? Comment Persée triompha-t-il des Grées, des Gorgones ? Faites connaître Atlas et le châtiment qui lui fut infligé. 107. R
nt, selon les poëtes, cette longue zone blanche, amas d’innombrables, connue sous le nom de voie lactée. L’éducation d’Hercule
té de sa naissance, pour imposer à son jeune rival ces rudes épreuves connues sous le nom des douze travaux d’Hercule, et désig
Hippomédon. Dix ans après la première expédition, ces jeunes princes, connus sous le nom d’Epigones ou de descendants, sont ap
he ? Quelle rencontre fit-il en Phocide ? Où va-t-il ensuite ? Faites connaître le Sphinx et l’énigme qu’il proposait. Récitez la
la cause de leur Discorde ? Que fit Polynice pour se venger ? Faites connaître les sept chefs et leur serment. Décrivez le comba
ui comptait à peine quelques milliers d’habitants, n’ont cessé d’être connus , depuis trois mille ans, dans toutes les parties
création, et Siva, le dieu destructeur. Nous allons essayer de faire connaître en peu de mots chacune de ces trois divinités.
chants ? Qu’est-ce que l’Edda ? Qu’est-ce que les Sagas ? 140. Faites connaître l’histoire de la création, Allfadher et les princ
l d’Allfadher ? Énumérez-les, ainsi que les douze déesses, en faisant connaître leurs attributions. 142. Qu’est-ce que le Valhall
mée, enfin, cette prompte courrière… 48. Ogygès est le premier roi connu de l’Attique. Son pouvoir s’étendait sur la Béoti
6 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
e la Fable ? R. Plusieurs très-considérables : 1.° La Fable nous fait connoître de quel aveuglement est capable l’homme livré à s
utrement dits par les anciens majorum Nationum ; parce qu’ils étoient connus et révérés par toutes les nations. On en comptait
ptible Qui s’élève encor contre lui. D. Saturne n’étoit-il pas aussi connu sous un autre nom ? R. Saturne est le même que le
ne de Rhée, Virent du Siècle d’or la trop courte durée. Cybèle étoit connue sous le nom de Vesta. On lui avoit consacré sous
uloureux Fut confiée à des soins dangereux. Fatal désir de voir et de connoître  ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître, Dans
nager et la rendit stable. D. Sous quels noms divers Apollon étoit-il connu  ? R. On le nommoit Apollon sur la terre, et Phébu
ir ta place entre les Dieux du ciel ! De la Noue achève de le faire connoître  :    Ce Dieu terrible, environné d’éclairs,    B
Doris qui se marièrent ensemble, et eurent un grand nombre de filles, connues sous le nom de Nymphes. Nymphes. D. Quels s
ient les Furies ? R. Elles étoient filles de la Nuit et de l’Achéron, connues aussi sous le nom d’Euménides. Elles étoient troi
tiques. D. Comment nommoit-on les Dieux domestiques ? R. Les plus connus étoient les Dieux Pénates ou Lares. Leur figure é
grand, il eut le malheur de tuer Acrise dans des jeux publics sans le connoître . D. Racontez-nous les grandes actions de Persée ?
t le vaste univers. L’éclat d’une fortune en mille biens féconde Fera connaître à tous que je suis son support, Et je mettrai tou
x. D. De qui étoient fils Castor et Pollux ? R. Castor et Pollux, connus aussi sous le nom de Tyndarides, étoient fils de
ne, pour mieux tromper Léda. D. Par où Castor et Pollux se firent-ils connoître particulièrement ? R. Ils se firent connoître sur
et Pollux se firent-ils connoître particulièrement ? R. Ils se firent connoître sur-tout par la tendre amitié qu’ils eurent toujo
d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses pieds. D. Par où Œdipe se fit-il connoître  ? R. Devenu grand, il apprit qu’il n’étoit pas fi
nt les malheurs d’Œdipe ? R. Œdipe avoit tué Laïus, son père, sans le connoître . Ici il épouse sa mère sans le savoir ; il règne,
s, oui, je le suis, ce fils abandonné, Je suis fils de Jocaste, et je connois mon crime ; Grands Dieux, ne tonnez plus ! Prenez
être brûlés. La flamme aussitôt se divisa d’elle-même, ce qui qui fit connoître , ajoute la Fable, que la mort n avoit pu éteindre
ux enchantemens de Circé, il se servit d’une herbe qui lui avoit fait connoître Minerve. Ce fut aussi avec cette herbe qu’il rend
Il faut encore d’autres soins de sa part. Elle doit s’attacher à bien connoître le naturel et le caractère de ses enfans : avec c
s : elles doivent en faire leur principale occupation. D. Faites-nous connoître par quelque exemple le mépris attaché à l’ignoran
n nombre d’hommes qui sont femmes. On ne peut donc trop s’attacher à connoître , à respecter la religion du secret ; l’homme d’un
une des sept Merveilles du monde. Il étoit un des plus beaux que l’on connut . On y admiroit sur-tout cent vingt-sept colonnes,
7 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
loureux, Fut confiée à des soins dangereux. Fatal desir de voir et de connoître  ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître, Dans
Jupiter sont souvent célébrées par les poëtes, voulez-vous nous faire connoître ces métamorphoses ? R. On appelle métamorphose l
du soin de gouverner ses états, et épousa Amphitrite. D. Faites-nous connoître plus particulièrement Amphitrite. R. Elle étoit
étis fut mariée avec Pélée, qui devint père d’Achille. D. Faites-nous connoître les autres enfants de l’Océan et de Téthys. R. I
t aux mains. Elles infectoient tout ce qu’elles touchoient : les plus connues s’appeloient Aëllo, Ocypète et Célæno. D. Raconte
nfondre avec Minos, son petit-fils et père d’Androgée. D. Faites-nous connoître les deux autres juges des enfers, Eaque et Rhadam
le Cocyte, le Phlégéton, le Styx, l’Erèbe et le Léthé. D. Faites-nous connoître chacun de ces fleuves, et commencez par l’Achéron
aussi pour une partie de l’enfer ou pour l’enfer même. D, Faites-nous connoître le Léthé. R. Le Léthé se nomme aussi fleuve d’Ou
r. Enée fut le fruit de l’union de Vénus avec Anchise. D. Faites-nous connoître le chasseur Adonis. R. Adonis étoit un jeune hom
viter d’en être aperçu. Il lui recommandoit de ne point chercher à le connoître . Mais Psyché, entraînée par une funeste curiosité
e de Diane même pour tromper la nymphe trop crédule. La déesse, ayant connu la faute de Calisto, la chassa de sa compagnie, J
que l’homme de Vulcain eût une petite fenêtre au cœur, pour qu’on pût connoître ses plus secrètes pensées. Enfin, la maison de Mi
re les Gorgones, et de lui apporter la tête de Méduse. D. Faites-nous connoître les Gorgones. R. Les Gorgones étoient trois sœur
s relevée : ses regards libres et ses habits magnifiques la faisoient connoître pour la déesse du plaisir. Chacune des deux tâcha
Tyndarides. D. Par où Castor et Pollux se firent-ils particulièrement connoître  ? R. Ils se firent connoître sur-tout par la ten
t Pollux se firent-ils particulièrement connoître ? R. Ils se firent connoître sur-tout par la tendre amitié qu’ils eurent l’un
. On le représente avec une lyre ou un luth à la main, D. Faites-nous connoître Aristée ? R. Aristée étoit fils d’Apollon et de
les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, essuie enfin tes larmes ; Tu connois ton destin. Eurydice autrefois Accompagnoit les c
dévorée, s’empoisonna. Jason et les Argonautes. D. Faites-nous connoître Jason. R. Jason étoit fils d’Eson, roi d’Iolchos
a poésie, sur les premiers hommes épars dans les bois. D. Faites-nous connoître Arion. R. Arion, cet illustre rival d’Amphion et
ppelé Sibylles certaines femmes auxquelles ils ont attribué le don de connoître et de prédire l’avenir La plus célébré de toutes
ur de lui laisser le passage libre ; ils en vinrent aux mains sans se connoître , et Laïus fut tué. D. Dans quelle ville se rendit
inconnu l’esclave et l’instrument. Voilà touts mes forfaits ; je n’en connois point d’antres, Impitoyables dieux ! mes crimes s
; Sarpédon, fils de Jupiter ; Enée ; Laocoon ; etc. Nous allons faire connoître plus particulièrement les principaux d’entre les
tte princesse sur le tombeau d’Achille. Pyrrhus. D. Faites-nous connoître les principaux faits de Pyrrhus. R. Pyrrhus, fil
seau, avec lequel il se rendit dans l’île d’Œa, chez Circé. D. Faites connoître Circé. R. Circé, fille du Soleil, étoit une magi
re les étoiles du ciel. L’art des empoisonnements lui étoit également connu . Le premier essai qu’elle fit de ses talents fut
malgré les dieux. Mais Pallas le frappa de la foudre. D. Faites-nous connoître l’autre Ajax. R. Le second Ajax étoit fils de Té
dit : c’est un Thersite. Sinon. D. Par quels faits Sinon est-il connu  ? R. Sinon, fils de Sisyphe, est connu par sa fo
Par quels faits Sinon est-il connu ? R. Sinon, fils de Sisyphe, est connu par sa fourberie. Lorsque les Grecs feignirent de
truit ce qu’épargnent les feux… Reine ! peut-être aussi desirez-vous connoître Comment de cet état périt l’auguste maître ? Voya
re effacés ; Qu’en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais connoître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu p
ma haine, et mon amour. (Acte 4e, scène Ire.) Pâris. D. Faites connoître Pâris. R. Pâris, fils de Priam et d’Hécube, fut
er sur les bords du Tibre. Là, l’accomplissement des oracles lui fait connoître que ses courses sont terminées. D. Didon et Énée
ai les portes d’airain. Le phare d’Alexandrie. D. Faites-nous connoître le phare d’Alexandrie. R. C’étoit un superbe édi
 ; le sixième Bias ; le septième Périandre. Thalès . D. Faites connoître Thalès. R. Thalès, le premier des sept sages de
n’y a rien de bon, III. La chose la plus difficile du monde est de se connoître soi-même ; la plus facile, de conseiller les autr
ui qui fit graver en lettres d’or ces maximes au temple de Delphes : Connois -toi toi-même, et ne desire rien de trop avantageu
sez dire les sots, le savoir a son prix. D. Continuez de nous faire, connoître le profit que les jeunes gens peuvent tirer des f
lecture des ouvrages d’éloquence et de poésie. » Les femmes doivent connoître les éléments de la littérature françoise. Il faut
nt : avant que d’apprendre une langue étrangère, il faut d’abord bien connoître la langue nationale. D. Ne suffit-il pas à une je
emi,             Qu’un bon ami qui m’égratigne. Celui qui s’est fait connoître une fois par quelque fourberie, mérite qu’on ne l
  Et feroient bien mieux de se taire. ( P. Villiers.) D. Faites-nous connoître la nécessité de réprimer de bonne heure le pencha
8 (1866) Dictionnaire de mythologie
était bon dans les derniers siècles, où la plupart des gens instruits connaissaient la religion des païens mieux que la leur, et où o
ans la conversation comme il l’entendra. Il y a certaines fables trop connues que je me contente d’exposer sommairement, d’autr
s dieux n’avons plus rien à faire chez un peuple oublieux qui ne nous connaît plus. Nous partons, nous désertons nos Thermes, n
ccorda l’apothéose à des tyrans qui auraient souillé les Gémonies. On connaît le mot de cet empereur mourant : « Je sens que j
e latin, comme nous apprenions le grec dans les nôtres. Leurs enfants connaissent nos institutions bien avant d’étudier celles de l
illes usées dont le temps, chaque jour, efface l’effigie. Mais on les connaît , on y est habitué, on les conserve par esprit de
g dans la mythologie américaine. Sans aller jusqu’en Amérique, chacun connaît l’exclamation d’une bonne femme de village, qui v
ne âme au-dessus de la superstition. Ils n’affrontent que des dangers connus , ils n’ont pas à redouter, à tous les parages nou
piter. — Je veux ce que je t’ai dit, que tu me fendes le crâne. Tu me connais . Tu sais ce qu’on gagne à me désobéir. A l’œuvre
des Socrate, des Platon, des Aristote, que les hommes commencent à se connaître , et, trouvant en eux les premières notions du dro
eu qui guérit les hommes et entretient leur santé. Tous trois étaient connus sous le nom d’Esculape. Nous ne parlerons que du
tiez sous l’écorce des aulnes, Vous qu’ Homère a créés, que Virgile a connus , Bons petits dieux des champs, qu’êtes-vous deven
ires ne pouvaient être habités que par des nains. Quand la Thrace fut connue , on ne renonça pas aux nains, on les transporta e
ympe reste en possession de soutenir la voûte du ciel, tant qu’ils ne connaissent pas de montagne plus haute. Quand ils deviennent
nt le passé et traitent volontiers de Pygmées leurs contemporains. On connaît la boutade d’ Horace : « Fils dégénérés de pères
re plus détestables que nous. » — Celle, de Béranger n’est pas moins connue  : Un peuple de nains nous remplace. ………………………………
conseillait à un de ses disciples de sacrifier aux Grâces. S’il avait connu Hegel et les Allemands, il aurait fait plus : il
us appelons poétique, et qui pour le peuple n’est que du grimoire. On connaît ce quatrain de Boileau : Mais aujourd’hui qu’enf
agne et au Canada, c’est-à-dire dans tous les pays que les anciens ne connaissaient pas ou connaissaient fort peu. Il a perdu, il est
est-à-dire dans tous les pays que les anciens ne connaissaient pas ou connaissaient fort peu. Il a perdu, il est vrai, la faculté de
m aux femmes savantes du xviie et du xviiie  siècle. Une Uranie bien connue fut la sèche Mme du Châtelet, qui étudiait avec V
un corps, c’est tomber dans l’idolâtrie, c’est profaner les mystères. Connaissez -vous le pays où fleurit l’abstraction ? C’est l’A
entrerons pas ici dans les détails de cette légende si poétique et si connue  ; nous nous contenterons d’en déduire le sens his
x du monstre sous la belle poitrine de la nymphe ; aussi le Grec, qui connaissait bien les hommes et leur fragilité, ne perdit pas
uvements, les attitudes du corps qui la font surtout ressortir. Je ne connais pas de théorie du beau qui vaille cette allégorie
9 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
tions préliminaires On appelle Mythologie la science qui apprend à connaître l’histoire et les attributions des divinités du P
rd’hui complètement oubliées, et nous ne nous occuperons que des plus connues . La théologie païenne distribuait les Dieux en qu
colère du ciel. Avant de sévir contre le genre humain, Jupiter voulut connaître par lui-même toute l’étendue du mal : il vint en
poëtes ont-ils accordés à Vénus ? — Quels furent ses enfants les plus connus  ? — Comment honorait-on son culte ? — Comment la
les de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux mains. Les plus connues se nommaient Aello, Ocypète et Celeno. On représe
plus ingénieuses et des plus utiles découvertes ; ce fut elle qui fît connaître aux hommes l’écriture, la peinture, l’usage des c
maritimes, domestiques, infernales et allégoriques. Nous allons faire connaître successivement les plus célèbres, car il serait i
enêtre devant le cœur, pour que sa véritable pensée pût toujours être connue . Ne trouvant rien à reprendre dans la personne de
tions. Qu’était-ce que Momus ? — Quels traits cite-t-on pour faire connaître son caractère ? — Comment le représente-t-on ?
nt au nombre de cinquante ; c’étaient les nymphes de la mer. Les plus connues sont : Calypso, qui donna l’hospitalité à Ulysse
ns parlé plus haut (p. 45) de Pluton, Dieu des Enfers. Avant de faire connaître les autres Dieux infernaux, nous allons parcourir
ait rempli. Le Tartare contenait un nombre immense de condamnés moins connus , parmi lesquels on peut encore citer les Titans,
jeu du palet, il donna involontairement la mort à son aïeul, qu’il ne connaissait pas, et qui venait à sa rencontre. Ainsi s’accomp
onquérir la précieuse toison. A peine la résolution de Jason fut-elle connue , qu’une foule de jeunes princes et de capitaines
na des arts utiles. On lui attribue l’honneur d’avoir le premier fait connaître à la Grèce les lettres de l’alphabet. Il épousa H
poursuivi par un impitoyable destin, après avoir tué son père sans le connaître , devint, sans le savoir, l’époux de sa propre mèr
Dieux n’était-il pas desservi par des prêtres ? — Quels sont les plus connus  ? — Par quels sacrifices honorait-on les divinité
ici quelques-unes de ses maximes : La première des sciences est de se connaître soi-même. — Voulez-vous bien vivre ? ne faites ri
dites pas davantage de vos ennemis. — C’est une grande science que de connaître et de saisir l’occasion.   Solon avait une tell
échappa à la colère de Minos sont probablement des voiles, dont on ne connaissait pas encore l’usage, et que cet habile artiste ada
s doit apprendre aux ignorants à ne pas se prononcer sur ce qu’ils ne connaissent pas, et avertir les grands que leurs défauts sont
onnaissent pas, et avertir les grands que leurs défauts sont toujours connus de tous, quelque soin qu’ils mettent à les cacher
leil, et qui opère sa révolution en 3 ans et 240 jours. 4. La Crète, connue aujourd’hui sous le nom de Candie, est une île im
ses volcans, dépend du royaume des Deux-Siciles. 39. Les anciens ne connaissaient que ces vents principaux ; les navigateurs modern
10 (1850) Précis élémentaire de mythologie
ns des enfants dans un certain nombre de maisons d’éducation. Nous en connaissons les raisons. Assurément elles sont assez graves p
eur chute, leur intelligence ne fut pas tellement obscurcie qu’ils ne connussent plus celui qui les avait créés. Nous les voyons a
s de Moïse les nations étaient perverties ; le vrai Dieu n’était plus connu en Egypte comme le Dieu de l’univers, mais seulem
L’étude de la mythologie est très-importante, parce qu’elle nous fait connaître toutes les erreurs dans lesquelles les hommes son
connaissance de l’hospitalité que lui avait donnée Janus, Saturne fit connaître à ce prince le passé et l’avenir, et le rendit le
loureux, Fut confiée à des soins dangereux. Fatal désir de voir et de connaître  ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître, Dans
t les plus odieuses. C’est assez d’en rappeler l’existence pour faire connaître jusqu’à quel point le monde était dégradé. 8. Dan
relevant : Midas, le roi Midas a des oreilles d’âne. Toute la Phrygie connut ainsi la vengeance d’Apollon. Ce même monarque fu
e répandit sur tous les peuples, à mesure que l’agriculture fut mieux connue et que les arts furent plus cultivés. 5. Après to
Nérée, qui épousa Doris sa sœur et en eut un grand nombre de filles, connues sous le nom de nymphes. Ces nymphes portaient dif
s fonctions ? 6. Qu’est-ce que les Harpies ? Quelles étaient les plus connues  ? 7. Quels sont les dieux marins les plus célèbre
peut se rendre compte. 5. Palès, la déesse des bergers n’a point été connue des Grecs. Ce sont les Romains qui inventèrent ce
reuses qu’il serait impossible de les énumérer. Nous ferons seulement connaître ici celles qui furent les plus célèbres. Chapit
Liberté, le plus noble don que Dieu ait fait à l’homme, n’était guère connue que de nom chez les anciens. Comme nous l’avons d
ins ? Que lui offrait-on en sacrifice ? 5. La Liberté était-elle bien connue des anciens ? Pourquoi n’en jouissaient-ils pas ?
distribuait, selon ses caprices, les biens et les maux. Les païens ne connaissaient pas le dogme si consolant d’une Providence sage e
1. Quelles sont les autres divinités allégoriques qu’il importe de connaître  ? 2. Quelles idées les païens se faisaient de la
e Junon, ordonna au jeune héros des entreprises gigantesques qui sont connues dans la table sous le nom des douze travaux d’Her
et de fumée. La frayeur les emporte ; et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein, ni la voix ; En efforts impuiss
de témoignages historiques prouvent que l’écriture alphabétique était connue en Grèce avant l’arrivée de Cadmus ; seulement ap
lui en disputa le passage. Ce vieillard était Laïus. Œdipe, qui ne le connaissait pas, entra en lutte avec lui et le mit à mort. Le
ncore les devins et les sibylles. Les devins avaient la réputation de connaître l’avenir. Les plus célèbres furent Tirésias, Amph
l a toujours été si bien gardé, que l’érudition la plus impatiente de connaître n’a pas encore pu satisfaire son avide curiosité,
t les dispositions des prêtres anciens par rapport aux vérités qu’ils connaissaient  ? Que faisait-on dans les mystères ? Quels furent
ous les autres peuples, leurs croyances furent pures à l’origine. Ils connurent l’unité de Dieu et sa trinité, la chute de l’homm
norance au profit de leur pouvoir. 3. Nos saintes Ecritures nous font connaître jusqu’où allaient ces déplorables égarements. Dan
la barbarie à la civilisation. Son épouse Isis eut le mérite de faire connaître aux peuples l’orge et le blé et de s’associer ain
et sans semence : le soleil n’avait point de palais ; les étoiles ne connaissaient point leurs demeures ; la lune ignorait son pouvo
e que la raconte Moïse. Les Scandinaves paraissent encore avoir mieux connu l’existence d’une autre vie et le dogme de la rui
42. Acrisius, roi d’Argos, 127. Actéon, chasseur, 40. Adam et Eve, connurent le vrai Dieu, 7. Admète, roi de Thessalie, 33, 7
de Chrysès, 144. Chrysès, prêtre d’Apollon, 144. Chute de l’homme, connue des Perses, 174 ; — des Scandinaves, 195. Cicér
11 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
des Mythologies inconvenantes ou insipides, remplies de noms à peine connus , de faits présentés sans ordre et sans choix. Je
lla jusqu’à reprocher à Phaéton de n’être pas le fils du Soleil. « On connaît ton origine, lui dit-il ; ta mère facile n’a imag
e char de la lumière : à cette marque de votre tendresse, mes ennemis connaîtront l’auteur de mon être. » Phébus avait juré par le
s à Bacchus par les Grecs et les Romains, six méritent surtout d’être connus . Il est appelé Dionysus ou Dionysius, mot d’une o
rne à son tour le doua d’une sagacité extraordinaire, par laquelle il connaissait le passé, le présent et l’avenir. — On représente
ête, un nez épaté, des cheveux et une barbe négligée23. Les Satyres, connus aussi sous les noms de Faunes et de Sylvains, hab
point de bornes déterminées ; tout était en commun, et les hommes ne connaissaient pas encore le tien et le mien. La cupidité donnan
orcus. Phorcus ou Phorcys, dieu marin, fils de Neptune, est moins connu par lui-même que par sa progéniture. Il donna le
ssance de chaque mortel, s’attachait à lui durant le cours de sa vie, connaissait toutes ses pensées, et le dirigeait dans toute sa
’un instant. Les Hespérides, étaient au nombre de sept, dont les plus connues sont Maïa et Ælectra ou Électre. Toutes sept fure
la rapidité des eaux. Le centaure Nessus, qui se trouvait là, et qui connaissait les endroits guéables du fleuve, offrit de transp
erse des larmes et reste muette ; mais pressée de répondre, elle fait connaître son nom, sa famille et le supplice injuste qu’ell
on étrange costume. Interrogé, pressé de répondre, il se fit à la fin connaître pour le fils d’Éson, et réclama fièrement de Péli
tait une des suivantes de Minerve. L’époque de sa naissance n’est pas connue . Ce qui est certain, c’est qu’il vécut plus de si
rône d’Athènes revenait de droit à Thésée. Mais ses cousins germains, connus dans l’histoire sous le nom de Pallantides (parce
Neptune épouvante les chevaux, qui frémissent et s’emportent Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix…. A travers les roche
ux et couvert de plaies, il expire après quelques instants. Thésée ne connut son erreur et sa faute que lorsqu’il était trop t
dit le deuil dans la ville de Calydon. Althéa, revenue de son délire, connut l’énormité de son crime, et se tua. Les sœurs de
pour éprouver si ses hôtes étaient réellement des divinités et s’ils connaissaient les choses cachées, égorgea son propre fils Pélop
yant fait rôtir, le servit avec d’autres viandes apprêtées. Les dieux connurent le crime, et s’abstinrent de toucher à ce mets ab
e querelle s’engagea. On tira l’épée ; Œdipe tua le vieillard sans le connaître  : ce vieillard était Laïus ! Après cette catastro
e serait pas délivrée de ce fléau avant que le meurtrier de Laïus fût connu et banni du royaume. Œdipe, qui ignorait le nom e
), Hector, Laocoon, Déiphobe, Hélénus, Troïle, Polydore ; et les plus connues de ses filles : Ilioné, Créuse, Polyxène et Cassa
u’un présent des Grecs ne couvre pas un piége ? Est-ce ainsi que vous connaissez Ulysse ? Ce bois perfide est rempli de leurs sold
œufs et quatre génisses qu’ils égorgèrent. Apollon n’eut pas plus tôt connu cette impiété qu’il pria Jupiter d’en tirer venge
la fureur des ondes, et parvient enfin au rivage de Corcyre, qu’il ne connaissait pas, et où ses yeux mourants ne découvraient ni h
§ 23. Énée. Énée, prince troyen, fils d’Anchise et de Vénus, est connu dans l’histoire par sa piété et sa valeur. Après
à son peuple une guerre prochaine et inévitable. Latinus, pour mieux connaître la vérité, alla consulter l’oracle de Faunus, qui
nse « que Narcisse parviendrait à une a vieillesse avancée s’il ne se connaissait jamais. » Un jour qu’il parcourait les campagnes,
n sur une statue élevée à sa mémoire : Mères fécondes, moi aussi j’ai connu vos joies : Puissiez-vous à jamais ignorer mes pe
ette pierre, indiscrète comme Battus, ne sait rien cacher : elle fait connaître la nature des métaux que l’on frotte à sa superfi
nistres pressentiments me troublent, depuis a que votre dessein m’est connu . Je rêve chaque nuit de tombeaux et de fantômes ;
ur. Il se réveille en sursaut : « Ingrate Psyché, lui dit-il, vous me connaissez maintenant. Votre bonheur dépendait de votre igno
ffrir. Les Harpyes étaient fort nombreuses, mais trois seulement sont connues  : Ocypétès, Aëllo et Céléno. — On varie beaucoup
n comptent trois, d’autres quatre, d’autres vont jusqu’à dix. La plus connue est sans contredit celle de Cumes. Apollon, qui l
des dieux qu’avec circonspection, puisque l’homme ne les peut jamais connaître qu’imparfaitement. f) L’ibis. L’Égypte rend
s poètes ; elle éclaircit l’histoire des nations païennes ; elle fait connaître dans quelles ténèbres étaient plongés les Égyptie
12 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
Je sais unir ma voix aux accords de ma lyre ; Je prédis l’avenir, je connais le passé. Nul au combat de Tare ne m’avait surpas
une flèche plus sûre, Dont mon cœur à ta vue a senti la blessure. Je connais les vertus des puissans végétaux ; Heureux de pos
he sans cesse à amollir, à corrompre les cœurs. Psyché l’aima sans le connaître , et Psyché fut malheureuse. On représente Cupidon
e, sans choix, aveugle, mercenaire ; Ce n’est point là l’Hymen. On le connaît bien mal. Ce Dieu des cœurs heureux est chez vous
ère          A son aspect trouble tes sens ?          C’est que je le connais , mon père ;          Et presque toujours sur la T
le dans Rome ; et vos maux sont finis.    Quand Rome de l’oracle eut connu la réponse, Et le séjour du Dieu que sa promesse
stamment étiques, Toujours mal engraissés par des soins ignorans ; Ne connaissez que ceux de la Bresse ou du Mans. J’ai toujours r
t la gaîté revient, exacte au rendez-vous. Ainsi dans l’Hiver même on connaît l’allégresse. Ce n’est plus ce Dieu sombre, amant
de la tristesse ; C’est un riant vieillard, qui sous le faix des ans Connaît encor la joie, et plaît en cheveux blancs. Delil
. Junon, comme Cérès, devint épouse et mère. Vesta, vous le savez, ne connut point d’époux. Faut-il donc s’étonner que, chaste
cultivaient en paix, Ils purent prononcer le saint nom de Patrie, Et connaître les mœurs, ornement de la vie. Bientôt les animau
lle, Sans cesse en haletant rôde mon chien fidelle ; Que mon troupeau connaisse et ma flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur
s préférable ! Trop heureux le mortel qui, goûtant tes douceurs, Sait connaître et sentir le prix de tes faveurs !. L’abbé Roman
tue, et le sang a parlé. A ces traits jadis chers, à ces voix qu’ils connaissent , La tendresse s’éveille, et les remords renaissen
es, Dont il paît les troupeaux dans les plaines profondes. Par lui tu connaîtras d’où naissent tes revers ; Mais il faut qu’on l’y
les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, essuie enfin tes larmes ; Tu connais ton destin : Euridice autrefois Accompagnait les
haine des forfaits qu’on ose m’imputer. C’est par-là qu’Hippolyte est connu dans la Grèce, J’ai poussé la vertu jusques à la
t ce qu’épargnent les feux….    Reine ! peut-être aussi desirez-vous connaître Comment de cet état périt l’auguste maître ! Voya
és ! quoi, la vie est-elle un si grand bien ! Ecoute, dit Anchise, et connais la nature ; Connais de ses secrets la profondeur
t-elle un si grand bien ! Ecoute, dit Anchise, et connais la nature ; Connais de ses secrets la profondeur obscure.    Apprend
dans un défilé de la Phocide, prend querelle avec lui, le tue sans le connaître . Il explique depuis, à Thèbes, l’énigme du Sphinx
r inconnu l’esclave et l’instrument. Voilà tous mes forfaits, je n’en connais point d’autres, Impitoyables Dieux, mes crimes so
alme sur l’onde, Promettaient aux humains un éternel bonheur ; Ils ne connaissaient point la cuisante douleur, Ni ces tourmens divers
qu’on aime. Du sang dont il naquit j’ai dû me défier, Et de Laomédon connaître l’héritier. Cruel, tu t’applaudis de ce triomphe
hoix :           Tout reconnaît sa loi suprême,           Lui seul ne connaît point de lois.              Dans les champs que
on tour ;           Mais si-tôt que l’Amour s’envole,           Il ne connaît plus de retour. Rousseau 179. Artémise, Épo
lancs infortunés renfermaient la victime ! Tu pleures !… ô mon fils ! connaîtrais -tu ton sort ? Sens-tu nos maux cruels, et prévois
èce : Egiste découvert lui fut amené. Mérope allait l’égorger sans le connaître . Polifonte promettait à cette mère infortunée, de
tant mon ame, Qu’en ce terrible excès de peine et de douleurs. Je ne connusse encor que mes moindres malheurs ? Nérine, entres-
les Grecs, de chefs et de soldats Ont au prix de leur vie appris à le connaître  ! La perte des Troyens n’est pas moindre peut-êtr
uit de ton nom signalé par tes coups, Ta valeur, tes exploits te font connaître à tous ; Cesse de t’étonner si je suis sans bless
e de Pélée est encore impuissante.    Achille est furieux : il ne se connaît plus. Tel frémit un taureau de ses efforts perdus
s poursuivi tant de fois. Il fuit les siens ! les siens ne peuvent le connaître . Hé ! je suis Actéon ; vous voyez votre maître, V
ie, sur l’obligation où sont les mères d’allaiter leurs enfans.    Tu connais les devoirs qu’un saint nœud nous impose ; Ton vœ
ux, Semblent mieux attirer les respects et les vœux. Sous un air plus connu , la Divinité peinte Trouverait moins d’encens, et
Qui rend ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du Génie, Je le connais à ses transports. Poussé par le Dieu qui l’inspir
rant s’unir à l’amitié : Ce couple pour jamais au Malheur fut lié. Il connut tes douceurs, flatteuse rêverie ; Il suivit tes d
u sus du genre humain fléchir l’orgueil sauvage, D’un amour mutuel il connut l’avantage ;             L’amour est le prix des
ombre douteuse aux feux mourans du jour, Le voyageur sensible et qui connut l’amour, Croit voir, en approchant du coteau roma
t-il, approchez, je vous offre un trésor             Que n’ont jamais connu vos pères, La Liberté. » Ce mot mille fois répété
      Raison, dois-je te regretter ?           Non, je ne t’ai jamais connue .           Raison, dois-je te souhaiter ?        
ibuts distinctifs de Vénus. Les Romains l’avaient divinisée.    Vous connaissez ce triangle physique, Qui divisant les sept rayon
devant toi je le confesse, Oui, j’ai pitié même d’un Grand, Qui n’est connu que par son rang, Et j’ai honte de sa noblesse. Q
les mondes,                Et tout nourrit le feu.    Et toi qui te connais , dont l’ame est immortelle, Sur ce globe au hasar
éunies : Quand tout-à-coup, parmi ces vertes colonies, Un arbre qu’il connut dès ses plus jeunes ans, Frappe ses yeux. Soudain
sa voix est entendue ; L’ame qui fuit ses bras y retombe éperdue. Qui connut son pouvoir, qui sentit sa douceur, Pourrait-il l
13 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
ttaquer son rival. L’aventure du monstre pétrifié auroit dû lui faire connoître combien ce héros étoit redoutable, mais l’envie n
ra qui la conduisit sur le tombeau et qui, par ses hurlemens, lui fit connoître le triste sort d’Icare. Érigone désespérée se pen
alla en Béotie, sur les frontières de ce pays, il rencontra, sans le connoître , Laïus dans un char, qui lui disputa le passage d
hes, Œdipe parvint à dévoiler le mystère affreux de sa naissance et à connoître tous ses crimes involontaires. La malheureuse Joc
nt un héros sous le nom de Télèphe ; ignorant sa naissance et n’étant connu de personne, il arriva à la Cour de Teuthras, au
n ayant près d’eux, et avec un bonnet surmonté d’une étoile. Ils sont connus dans les poëtes sous le nom de Dioscures 20 ou de
déclara qu’elle vouloit d’abord se revêtir de la superbe armure, pour connoître , dit-elle, si ces armes iroient bien à Achille qu
eur d’Atrée, prit la fuite. Quelque temps après il rencontra, sans la connoître , sa fille Pélopée dans un bois consacré à Minerve
s la mort d’Erope empoisonnée par Atrée, ce dernier, vit Pélopée sans connoître sa naissance, en devint amoureux et l’épousa sans
nemi, Tu m’ôtois à la fois la mort et mon ami ?… Oreste s’étant fait connoître à sa sœur, celle-ci fit adroitement suspendre le
d’abord les amours de Mars et de Vénus. Ulysse qui n’étoit pas encore connu , lui demanda de chanter les exploits d’Ulysse. Pe
insurmontable, il avoit appris ce nœud de Circé. Ulysse enfin se fit connoître et raconta ses aventures, ses combats chez les Ci
re, le reçut avec une hospitalité touchante. Ulysse ne se fit d’abord connoître qu’à son fils, qui, toujours sous le même déguise
ne pouvoit être familiarisé avec cette forme hideuse, ni même la bien connoître quand on brûloit les corps, et lorsqu’on n’avoit
silence we the tempest fear. L’Éternité. Son symbole le plus connu est un serpent qui se mord la queue. On lui donne
qu’il en faut chercher la description. On n’en citera que ces vers si connus  : …… La Molesse oppressée Dans sa bouche, à ce m
14 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
volution continuelle de ses mouvemens, mesure notre vie, et nous fait connaître la durée de toutes choses ; puisqu’en effet, tout
loureux, Fut confiée à des soins dangereux. Fatal désir de voir et de connaître  ! Elle l’ouvrit, et la terre en vit naître, Dans
r ses états. Jupiter alla loger chez lui. Lycaon affecta de ne le pas connaître  ; et, bravant sa puissance, il lui fit servir les
se, Malgré le temps, a conservé les traits ; Les rois, les dieux, ont connu la vieillesse : Les talens seuls ne vieillissent
a nymphe Perséis. Elle était fille de l’Océan, c’est-à-dire, qu’on ne connaissait point son père. Les généalogistes de ce temps-là
ir un grand nombre d’habitans par le fléau de la peste. Tout le monde connaît ce joli madrigal de mademoiselle Scudéri, pendant
en secret, les dames de sa suite se retirèrent : alors Apollon se fit connaître . Clytie, jalouse de la préférence que le dieu don
ner tes jours. Quinault. Cette fable, ainsi que celle d’Icare, fait connaître les funestes effets de l’ambition. Elle est fondé
in de se décider dans les affaires épineuses, et le plus souvent pour connaître l’avenir. Sitôt qu’ils furent établis, on alla le
l’on était que les Sybilles devaient vivre long-temps, et qu’Apollon connaissait l’avenir, a sans doute donné lieu à cette fable.
entive à troubler les plaisirs de son infidèle mari, n’eut pas plutôt connu sa rivale, qu’elle jura sa perte. Elle prit la fi
nes, les cheveux épars, et poussant des cris effroyables. Comme elles connaissaient les desseins de Penthée, elles se jetèrent sur lu
, s’étant mariés ensemble, mirent au monde un grand nombre de filles, connues sous le nom de nymphes. Les unes présidaient aux
répara ses pertes. Palès Il ne paraît pas que les Grecs aient connu cette déesse. Palès, invoquée chez les Romains pa
me on se les donne en signe de bienveillance. Ses prêtres, pour faire connaître qu’ils agissaient, avec une extrême sincérité, av
mes qu’Acrisius avait prises pour s’y soustraire : car Persée, qui ne connaissait point son aïeul, le tua dans un tournoi. Polydect
place. Les poètes lui comparent Arion . Songez par quel prodige on connaît Amphion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion ;
trouverait son père dans la Phocide. Il y alla, et tua Laïus, sans le connaître , dans une sédition populaire que ce roi cherchait
faire cesser ce fléau, il fallait bannir le meurtrier de Laïus. Œdipe connut enfin qu’il était coupable du crime d’avoir tué s
bergers qui l’élevèrent. Pâris, devenu grand, ne tarda pas à sa faire connaître par ses belles qualités. Ce que la renommée publi
héros éprouva un dépit amer d’être vaincu par un jeune homme qu’il ne connaissait pas, il se mit à le poursuivre â outrance ; mais,
le poursuivre â outrance ; mais, au moment où il allait le percer, il connut que Pâris était son frère. Sa fureur se changea e
15 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
me, où l’on rapporteroit les faits les plus considérables et les plus connus , et qui peuvent le plus contribuer à l’intelligen
double service à rendre aux jeunes gens, que de leur apprendre à bien connoître la Mythologie, et de meubler leur mémoire des end
e les dieux dont le nombre s’étoit prodigieusement augmenté ; et l’on connût alors les dieux du premier ordre, les dieux du se
utre Cybèle, fille du Ciel et de la terre, épouse de Saturne, et plus connue sous le nom de Rhée ou de Vesta : Les humains ve
loureux. Fut confiée à des soins dangereux. Fatal désir de voir et de connoître  ! Elle l’ouvrit ; et la terre en vit naître, Dans
s étoient changées en vaches : Des filles de Prétus les fureurs sont connues  : Leurs vains mugissemens insultèrent les nues, M
tre les dieux du ciel. Ce portrait de Mars achevera de le faire bien connoître  : Loin devant lui la farouche terreur, D’un bras
t aux mains. Elles infectoient tout ce qu’elles touchoient : les plus connues s’appeloient Aëllo, Ocypète et Celæno. L’Océan ét
Doris qui se marièrent ensemble, et eurent un grand nombre de filles connues sous le nom de Nymphes. Ces déesses ont des noms
; Puisses-tu, comme moi, sur ton fils, sur sa mère, Porter, sans les connoître , une main sanguinaire ! Que la reine des deux, do
le vaste univers. L’éclat d’une fortune en mille biens féconde, Fera connoître à tous que je suis son support ;         Et je me
Périphète, qui ne se nourrissoit que de chair humaine. Ce monstre est connu sous le nom du géant d’Epidaure, ville du Pélopon
ence et par emportement. [Castor et Pollux.] Castor et Pollux, connus sous le nom de Tyndarides, sont le plus beau modè
sa sa mère, et monta sur le trône de son père qu’il avoit tué sans le connoître . Les premiers momens de son règne parurent heureu
utes les occasions où l’on avoit besoin d’éclaircir ses doutes, et de connoître la volonté des dieux. La plupart des poëtes évoqu
is, oui, je le suis ce fils abandonné, Je suis fils de Jocaste, et je connois mon crime. Grands dieux ! ne tonnez plus, prenez
la haine des deux frères y mit toujours un obstacle invincible : Je connois Polinice et son humeur altière ; Je sais bien que
tems-là. On vit aussi-tôt la flamme se diviser d’elle-même, et faire connoître que la mort n’avoit pu éteindre une haine dont on
entrer dans le détail de la guerre de Troie, il est à propos de faire connoître les héros qui s’y sont distingués : nous commence
uvages, par le moyen d’un breuvage qu’elle leur présenta. Minerve fit connoître à Ulysse une plante dont il se servit pour finir
16 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
des faux dieux s’appelle idolâtrie1. Il faut, avant tout, chercher à connaître l’origine de ces fables, et pour cela il est néce
me de l’humanité. Dieu, en plaçant l’homme sur la terre, s’était fait connaître à lui comme son créateur, et lui avait commandé d
n’ait pas une cause ou un principe d’existence. Cette cause qu’il ne connaît plus, il la suppose, il l’invente. L’erreur a don
placer les croyances perdues par de nouvelles croyances. Puisque nous connaissons maintenant l’origine des fables, nous devons essa
el était toujours pur, l’air embaumé du parfum des fleurs, et l’on ne connaissait pas d’autre saison que le printemps. Cet âge de b
mes. Il n’est pas facile de les concilier entre eux, mais il faut les connaître . Questionnaire. Qu’est-ce que la mythologie
sa généreuse hospitalité, reçut de Saturne le don de la sagesse ; il connaissait le passé et prévoyait l’avenir : de sorte que sa
de Janus s’explique aussi facilement. La sagesse des rois consiste à connaître le temps, à le bien prendre et à bien l’employer.
e et à bien l’employer. Janus, qui possédait toutes ces qualités, qui connaissait le passé, et dont la prévoyance s’étendait sur l’
que le Temps est ancien, les hommes, comme l’a dit un poëte, ne l’ont connu que vieux , il est armé d’une faux, parce qu’il m
serpent Python a inspiré un des chefs-d’œuvre de la sculpture antique connu sous le nom de l’Apollon du Belvéder. Il ne faut
son de ses triples fonctions. Constellations. Après avoir fait connaître Apollon et Diane, divinités du soleil et de la lu
faits d’ordres différents ? — Dites les plus remarquables et les plus connues de ces allégories. — Les anciens n’ont-ils pas pe
fut pour obéir aux ordres de ce prince qu’il entreprit les exploits, connus sous le nom des douze travaux d’Hercule, que nous
crètement, et qu’Égée ne l’avait pas vu depuis sa naissance, il ne le connaissait pas. A l’arrivée de Thésée, la magicienne Médée g
17 (1845) Mythologie de la jeunesse
nser Janus de sa généreuse hospitalité, Saturne lui accorda le don de connaître l’avenir et de ne jamais oublier le passé. C’est
des jeux solennels, dont les plus célèbres ont été ceux de Corinthe, connus sous le nom de Jeux isthmiques, et ceux du cirque
[Fig. 50]. Enfin, comme fille de Saturne et de Rhéa, et c’est la plus connue , elle était la déesse du feu. Énée apporta son cu
erpent Python a inspiré un des chefs-d’œuvre de la sculpture grecque, connu sous le nom d’Apollon du Belvédère [Fig. 62]. [
un chemin étroit, où celui-ci lui disputa le pas, il le tua, sans le connaître , à la suite d’une rixe qui s’était engagée entre
arrue. Ulysse, craignant de blesser son fils, leva la charrue, et fit connaître par là que sa folie n’était que simulée. Thétis,
moyen de pénétrer jusqu’à Pénélope, Ulysse l’entretint sans se faire connaître , lui donna des nouvelles de son époux, et l’assur
s prétendants pâlissent. Ulysse se dépouille de ses haillons, se fait connaître , et, secondé de Télémaque et d’Eumée, il perce de
Nous citerons de préférence les vers de Corneille, qui sont les moins connus et les plus beaux. Qu’on fait d’injure à l’art d
n nom, c’est l’âme humaine, c’est le premier homme, qui, voulant tout connaître , porte la main à l’arbre de la science du bien et
ieusement, si subitement punie pour avoir touché une fleur qu’elle ne connaissait pas, est une vive image des dangers de l’ignoranc
18 (1800) Cours de mythologie pp. -360
Je sais unir ma voix aux accords de ma lyre ; Je prédis l’avenir, je connois le passé. Nul au combat de Tare ne m’avoit surpas
e plus sûre, Dont mon cœur, long-temps libre, a senti la blessure. Je connois les vertus des puissans végétaux ; Heureux de pos
he sans cesse à amollir, à corrompre les cœurs. Psyché l’aima sans le connoître , et Psyché fut malheureuse. On représente Cupidon
      A son aspect trouble tes sens ?                 C’est que je le connois , mon père ;                 Et presque toujours s
cultivoient en paix, Ils purent prononcer le saint nom de Patrie, Et connoître les mœurs, ornement de la vie. Bientôt les animau
s préférable ! Trop heureux le mortel qui, goûtant tes douceurs, Sait connoître et sentir le prix de tes faveurs !. Roman, d’Avi
les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, essuie enfin tes larmes ; Tu connois ton destin : Euridice autrefois Accompagnait les
haine des forfaits qu’on ose m’imputer. C’esi par-là qu’Hippolyte est connu dans la, Grèce, J’ai poussé la vertu jusques à la
s ! quoi, la vie est-elle un si grand bien ! Ecoute, dit Anchise, et connois la nature ; Connois de ses secrets la profondeur
-elle un si grand bien ! Ecoute, dit Anchise, et connois la nature ; Connois de ses secrets la profondeur obscure.     Appren
dans un défilé de la Phocide, prend querelle avec lui, le tue sans le connoître . Il explique depuis, à Thèbes, l’énigme du Sphinx
r inconnu l’esclave et l’instrument. Voilà tous mes forfaits, je n’en connois point d’autres, Impitoyables Dieux, mes crimes so
qu’on aime. Du sang dont il naquit j’ai dû me défier, Et de Laomédon connoître l’héritier. Cruel, tu t’applaudis de ce triomphe
èce : Egiste découvert lui fut amené. Mérope alloit l’égorger sans le connoître . Polifonte promettoit à cette mère infortunée, de
tant mon ame, Qu’en ce terrible excès de peine et de douleurs. Je ne connusse encor que mes moindres malheurs ? Nérine, entres-
s poursuivi tant de fois. Il fuit les siens : les siens ne peuvent le connoître . Hé ! je suis Actéon, secourez votre maître, Vou
Sur l’obligation où sont les mères d’allaiter leurs enfans.     Tu connois les devoirs qu’un saint nœud nous impose ; Ton vœ
ux, Semblent mieux attirer les respects et les vœux. Sous un air plus connu , la Divinité peinte Trouveroit moins d’encens, et
Qui rend ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du Génie, Je le connois à ses transports. Poussé par le Dieu qui l’inspir
rant s’unir à l’amitié : Ce couple pour jamais au Malheur fut lié. Il connut tes douceurs, flatteuse rêverie ; Il suivit tes d
u sus du genre humain fléchir l’orgueil sauvage, D’un amour mutuel il connut l’avantage ;             L’amour est le prix des
peu dignes de l’être, Que l’on apprend à mépriser En apprenant à les connoître  ; Profanant les sacrés liens, Que dans l’ombre, s
l, approchez, je vous offre un trésor                Que n’ont jamais connu vos pères, La Liberté. » Ce mot mille fois répété
        Raison, dois-je te regretter ?         Non, je ne t’ai jamais connue .         Raison, dois-je te souhaiter ?         N
Art sur qui s’épuise ici ton éloquence, Cet Art dont mieux que toi je connois l’influence,                Est, mon cher, le pur
buts distinctifs de Vénus. Les Romains l’avoient divinisée.     Vous connoissez ce triangle physique, Qui divisant les sept rayon
devant toi je le confesse, Oui, j’ai pitié même d’un Grand, Qui n’est connu que par son rang, Et j’ai honte de sa noblesse. Q
mondes,                    Et tout nourrit le feu.     Et toi qui te connois , dont l’ame est immortelle, Sur ce globe au hasar
unies : Quand tout-à-coup, parmi ces vertes colonies, Un arbre qu’il connut dès ses plus jeunes ans, Frappe ses yeux. Soudain
sa voix est entendue ; L’ame qui fuit ses bras y retombe éperdue. Qui connut son pouvoir, qui sentit sa douceur, Pourroit-il l
19 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
ans inconvénient le laisser entre les mains de la jeunesse ; et je ne connois point d’ouvrages sur la Mythologie, que l’on puis
el, ni fait pour être durable ? C’est le mécontentement étouffé, mais connu ou du moins soupçonné, qui produit l’inquiétude :
onis, des Dianes, etc. Il reste encore même, dans les Fables les plus connues , une foule de traits que la peinture n’a jamais r
es. Les Furies n’ont jamais été susceptibles d’amitié, mais elles ont connu l’amour ; la furie Alecton passant près du mont A
Aspasie avoit un goître dont elle fut guérie par ce remède, qui étoit connu des anciens. Tyro, princesse d’une beauté merveil
toujours les Grâces. Cette allégorie charmante mériteroit d’être plus connue . On lit, dans Pausanias , qu’on yoyoit à Elis le
la transporta dans un palais délicieux ; mais ne voulant pas se faire connoître , il l’épousa dans les ténèbres, lui cacha son nom
fus qu’il fit un jour de se baigner avec Daphné et ses compagnes, fit connoître sa supercherie ; alors Daphné et ses compagnes tu
isa en vieille, gagna sa confiance, lui persuada de se marier, se fit connoître , obtint sa tendresse et l’épousa. Flore, déesse d
inité. Il est étonnant que cette charmante allégorie ne soit pas plus connue . La Mythologie n’en offre point de plus ingénieus
licatesse inspirée par un sentiment particulier. Les anciens n’ont pu connoître cette espèce de délicatesse, la seule qui puisse
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