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1 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
ux du second ordre, et les demi-dieux. Les premiers étoient placés au ciel , ou tenoient le premier rang sur la terre, dans l
Chaos, et conviennent que c’étoit une masse informe, dans laquelle le ciel , la terre, la mer, et tous les élémens se trouvoi
riant leurs formes assorties, De ce grand tout animer les parties. Le ciel reçut, en son vaste contour, Les yeux brillans de
périr. Jupiter, après avoir vaincu Saturne, le chassa honteusement du ciel . Le dieu exilé se réfugia dans cette partie de l’
tous. Lamotte. L’Age d’argent marque le tems où Saturne, chassé du ciel , se réfugia dans l’Italie, et y enseigna l’agricu
es appellées Vestales. On ne pouvoit rallumer ce feu qu’avec celui du ciel , ou avec les rayons du soleil : s’il s’éteignoit
malthée, qu’il changea dans la suite en constellation, et la plaça au ciel . Les Nymphes qui avoient pris soin de son enfance
re sur le trône, l’en chassa peu de tems après et se rendit maître du ciel et de la terre. Il épousa Junon, sa sœur ; partag
irent plusieurs montagnes les unes sur les autres afin d’escalader le ciel  : Comme la rébellion, Dont la fameuse folie Fit
u’Encelade jettoit. Malherbe. Tous les Dieux effrayés quittèrent le ciel , excepté Bacchus, et se sauvèrent en Egypte où il
montagnes principales dont les Titans se servirent pour escalader le ciel . Les poëtes ont prétendu que Typhoé étoit ensevel
nd des dieux, fit des statues de terre, et, pour les animer, monta au ciel par le secours de Pallas, et vola du feu au char
te femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel , prodiguant par leur main Tous les présens dont l
aigle, il enleva Ganimède, fils de Tros, roi de Troie, et le porta au ciel , pour en faire son échanson, à la place d’Hébé, f
ssée tomber, et avoit fait rire tous les dieux. Il n’y avoit point au ciel d’autre table que celle de Jupiter ; on y servoit
ut Arcas, Junon le changea en ours avec Calysto. Jupiter les plaça au ciel  : on les appelle la grande Ourse, et Boote, ou la
esse ; Mars, dieu de la Guerre ; et Vulcain, que Jupiter précipita du ciel , à cause de sa difformité. Junon étoit d’un carac
épouse et la sœur du maître du tonnerre ! Moi, la reine des dieux, du ciel et de la terre ! Ah ! périsse ma gloire ; et fais
oit toujours d’heureuses nouvelles, la changea en arc, et la plaça au ciel  : c’est ce que nous appelons l’Arc-en~ciel, et qu
gea en arc, et la plaça au ciel : c’est ce que nous appelons l’Arc-en~ ciel , et quelquefois l’Iris. Apollon. Apollon, f
avoient fourni des foudres à Jupiter : cette action le fit chasser du ciel . Il se retira chez Admète, roi de la Thessalie, d
ar la peste. Cependant Jupiter, oubliant son ressentiment, rappela au ciel Apollon, et lui confia le soin d’éclairer le mond
rdinairement, prennent le mors aux dents. Tantôt le Soleil embrase le ciel  ; tantôt il s’approche si près de la terre, qu’il
eut bu les eaux, Il effraya le Parnasse Par des prodiges nouveaux. Le ciel vit ce monstre impie, Né de la fange croupie Au p
donner le nom de triple Hécate. On l’appelle la Lune ou Phébé dans le ciel  ; Diane sur la terre ; Hécate dans les enfers. Le
son tour, Impose à l’univers un auguste silence, Et tous les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vo
it au moins le plus courageux : il fut le seul qui osa rester dans le ciel pendant la guerre des géans. On dit qu’il s’étoit
nourrir ; et, bientôt après, elles la conduisirent avec pompe dans le ciel . Tous les dieux la trouvèrent si belle, que chacu
dieu du feu. Il étoit fils de Junon et de Jupiter qui le précipita du ciel , à cause de sa difformité. Il se cassa la jambe e
temple célèbre, où étoit le Palladium, statue qui étoit descendue du ciel , et s’étoit placée d’elle-même sur l’autel. On as
si un Palladium, qu’ils prétendoient être le seul qui fût descendu du ciel . Quoi qu’il en soit, l’oracle avoit prédit que le
ner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les dieux du ciel . Ce portrait de Mars achevera de le faire bien c
me De son sang immortel vit bouillonner les flots. Rousseau. [Le ciel céleste poétique.] Les noms des principaux ha
cipaux habitans de l’Olympe se retrouvent dans ce que l’on appelle le ciel céleste poétique. On a même emprunté de la fable
n supposant que les dieux, fatigués d’habiter la terre, retournent au ciel où ils doivent recevoir leur apanage : Tout ce g
ux ; c’est-à-dire, Castor et Pollux. L’Ecrevisse ; elle fut placée au ciel par Junon, après avoir été écrasée sous les pieds
fois celui de la forêt de Némée, qui fut tué par Hercule, et placé au ciel , à la recommandation de Junon. La Vierge, Astrée
ère, La balance d’Astrée, déesse de la Justice, qui se retira dans le ciel pendant le siècle de fer. Le Scorpion, que Diane
evenu grand, forma une conspiration contre Jupiter, se fit chasser du ciel , et se trouva réduit à la nécessité de travailler
e Mille supplices renaissans. Là, sur une rapide roue, Ixion, dont le ciel se joue, Expie à jamais son amour : Là, le cœur d
ur des hommes vertueux. Le bonheur que l’on y goûte est parfait : Un ciel plus pur, des astres plus sereins, Furent créés p
Des Dieux du second Ordre. La Terre avoit ses dieux, ainsi que le ciel , la mer et les enfers, mais ils n’étoient que des
un flambeau. Momus, fils du Sommeil et de la Nuit, se fit chasser du ciel , eu punition de ses plaisanteries :         Tu v
x,             Dans le censeur de leurs caprices ; Ils m’ont banni du ciel , et le maître des cieux             Veut jouir en
présidoit à l’âge d’or, et en faisoit tout le bonheur : Descends du ciel , divine Astrée ; Ramène-nous ces jours heureux, O
infectée Fait éprouver le sort de Prométhée. La Discorde, chassée du ciel par Jupiter, est venue exciter encore plus de tro
son germe infecté ; Les épis renversés sur la terre languissent : Le ciel s’en obscurcit, les astres en pâlissent ; Et la f
éduse, et le changea en une haute montagne : on dit qu’il soutient le ciel sur ses épaules, soit parce que le mont Atlas est
c’étoit son aïeul, il se condamna à l’exil ; mais Jupiter le plaça au ciel , parmi les constellations, avec Andromède et Cass
ra tendu ses voiles, Vos corps semés de nouvelles étoiles, Du haut du ciel éclairant les mortels, Leur apprendront qu’il vou
mber assez pour former cette espèce de tache blanche que l’on voit au ciel , et qu’on appelle la voie lactée. Quoiqu’il en so
re, avoit produit pour la ruine entière de la Grèce ; En soutenant le ciel sur ses épaules, à la place d’Atlas qui lui cueil
a ville de Troie. Hercule fut mis au rang des dieux, et placé dans le ciel , où il épousa Hébé, déesse de la jeunesse. On le
services aux hommes, et qu’ils passeroient alternativement un jour au ciel , et un jour aux enfers : Jupiter fit l’homme sem
os, Et montrons ce que peut la vertu d’un héros,           Lorsque le ciel la favorise. Gresset. Athamas, fils d’EoIe, roi
            L’enfer la favorise,         Elle confond les élémens, Le ciel même est troublé par ses enchantemens. Quinault.
uridice. Les Bacchantes le mirent en pièces, et sa lyre fut placée au ciel . Campistron retrace dans ces vers toutes les mer
rouver Europe ma sœur ; Après avoir en vain cherché son ravisseur, Le ciel termine ici ma course vagabonde ; Et c’est pour o
et fils de Jupiter et de Calisto. Il fut changé en ours, et placé au ciel  : c’est ce que nous appelions la petite Ourse. Té
, et enlèvent ce Palladium, statue de Minerve, qui étoit descendue du ciel , et s’étoit placée d’elle-même sur l’autel. On pr
r ? d’où vient que je frissonne ! Quelle horreur me saisit ? Grace au ciel , j’entrevoi… Dieux ! quels ruisseaux de sang coul
ys Latin, fonde l’Empire Romain ; et, après sa mort, il est enlevé au ciel par Vénus. On l’honoroit à Rome sous le nom de Ju
er une ame à des corps brutes et informes. On dit qu’Atlas portoit le ciel sur ses épaules, parce qu’il montoit souvent sur
lthée, nom de la chèvre qui allaita Jupiter, 28 — Elle est placée au ciel , ibid. — Au nombre des signes du Zodiaque, 89
l’Age d’or, 13 — Déesse de la Paix, 116 — Sa balance est placée au ciel , 89 Astres, 54-55 Astronomie, la déesse qui y p
les astres, 195 — Est changée en rocher, 128 — Hercule soutient le ciel en sa place, 134 Atrée, aïeul d’Agamemnon, 148
is au rang des dieux, 11 — Sa naissance, 65-66 — Reste seul dans le ciel avec Jupiter, 29 — Ses conquêtes ; son courage p
en astre, 148 — Mis au nombre des signes du Zodiaque, 88 — Placé au ciel avec son frère, 149 — Dont il partage l’immortal
— Leur nombre, la différence mise entr’eux, 10-87 — Ils quittent le ciel , 29 — Habitent la terre, 15-19 — Sont indignés
en ours, 171 — Foudroie Phaéton, 43 — Précipite Vulcain du haut du ciel , 78 — Sous quelle idée les poëtes le représenten
Va reprendre sa sœur Hélène, 145 — Est changé en astre, et placé au ciel avec son frère, 149 — A quel titre il est compté
s, Mercure en étoit le-dieu, 70 Vulcain, fils de Junon, précipité du ciel par Jupiter, 37 — Est le Dieu du feu, forge les
2 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
edech, roi de Salem, était le pontife du Dieu très-haut qui a fait le ciel et la terre. Abimelech, roi de Gérar, et son succ
sse de l’univers. Bel la divisa en deux : une de ces parties forma le ciel , et l’autre la terre ; alors les monstres de form
rrégulières disparurent. Bel partagea ensuite les ténèbres, sépara le ciel d’avec la terre, et arrangea l’univers. Après avo
nonça que la piété de Xixutrus lui avait mérité d’être enlevé dans le ciel , et d’être mis au rang des dieux avec ceux qui l’
en rapportant la tradition des Égyptiens, dit : « Au commencement le ciel et la terre n’avaient qu’une forme, étant mêlée e
s plus raisonnables à la connaissance d’un seul principe, créateur du ciel et de la terre ; mais ayant trouvé que le culte d
les barbares, savoir, le soleil, la lune, la terre, les astres et le ciel . C’est aussi le sentiment de Sanchoniaton ; mais
Prenez garde, disait-il aux Israélites, qu’élevant vos yeux vers le ciel , et y voyant le soleil, la lune et tous les autre
Dieu a faites pour le service de toutes les nations qui sont sous le ciel . C’était après la sortie d’Égypte et dans le dé
nom de Bélus ou de Baal, ou de Baal Semen, qui veut dire seigneur du ciel . Les Arabes lui offraient chaque jour de l’encens
nta le nombre de ces déesses. Du culte des astres on passa à celui du ciel , des élémens, des mers, des fleuves, etc. ; l’on
x, les Grecs et les Romains, imitèrent les Égyptiens, de sorte que le ciel se trouva peuplé de mortels déifiés ; on publiait
r étudier le mouvement des astres ; la fable le représenta portant le ciel sur ses épaules. Protée était un prince sage, pré
fs de ces colonies bienfaisantes furent regardés comme des envoyés du ciel  ; on finit par les placer au rang des dieux, et c
e. Les Grecs en firent un fils de Jupiter et de Junon, qui, chassé du ciel à cause de sa difformité, se cassa la jambe en to
lus naturelles. Les dieux du paganisme peuvent se diviser en dieux du ciel , dieux de la mer, dieux de la terre, et dieux des
séjour desquels on n’avait pas d’idée bien positive. Les dieux du ciel . Varron , le plus grand théologien du pagani
ent, dieux moindres des nations. Ils n’avaient point de place dans le ciel , et n’étaient point du conseil de Jupiter. Pan, P
s dieux. Cybèle et Saturne n’étaient point comptés parmi les dieux du ciel  ; mais les notions que nous allons donner serviro
employât tous les moyens pour remonter sur son trône, il le chassa du ciel . Le roi détrôné vint se réfugier en Italie, auprè
sage, sous la conduite d’un bon prince, est le plus grand bien que le ciel puisse accorder à la terre ! II n’est que trop né
qu’elle présidait à la terre, comme Saturne, son époux, présidait au ciel  ; elle eut aussi le nom de Rhea, qui dérive du gr
le Hérodote, était le Jupiter des Assyriens. Selon le même auteur, le ciel était le Jupiter des Perses. Les Grecs, au contra
voyant les maîtres du monde, le partagèrent entre eux. Jupiter eut le ciel pour sa part, Neptune eut la mer, et Pluton les e
lu de se venger de Jupiter, entreprirent de l’assiéger jusque dans le ciel , c’est-à-dire sur le mont Olympe, où il faisait s
inaire était aux champs Phlégréens. Dans l’assaut qu’ils donnèrent au ciel , ils lançaient des rochers énormes, des chênes, d
dieux que tous les autres Géans ensemble. De sa tête il atteignait le ciel  ; il était demi-homme et demi-serpent ; la vue de
dieux qui étaient venus au secours de Jupiter, qu’ils s’enfuirent du ciel et se sauvèrent en Égypte. Cette retraite ayant c
dieux, sous le nom de Très-Haut. Uranus, dont le nom en grec signifie ciel , fils et successeur d’Acmon, épousa Titée ou la T
de ce nom que parce qu’il s’appliquait beaucoup à la connaissance du ciel et des astres ; ses descendans, habiles à profite
de Jupiter, qui représente ce dieu avec la foudre, symbole du dieu du ciel  ; il la tient dans sa main droite ; dans sa gauch
mont Olympe : ce qui donna lieu aux poëtes de dire qu’il habitait le ciel . Les lieux qui nous ont vus naître, et ceux où l’
fertile des Grecs ; les pays orientaux furent désignés par le nom de ciel , et les pays occidentaux ou inférieurs par celui
pe une citadelle inaccessible : les poëtes la représentèrent comme le ciel même, et les travaux que les ennemis de Jupiter f
x ailes déployées, on voulait faire entendre qu’il était le maître du ciel comme l’aigle l’est des plaines de l’air. Par la
presque animées. Minerve, déesse de la sagesse, lui dit que le feu du ciel aurait seul le pouvoir de les animer : l’ambitieu
de de la déesse de la sagesse. On le peignit de même volant le feu du ciel , parce qu’il fut le premier qui établit des forge
enlèvement de Ganymède. La fable dit qu’une chute qu’elle fit dans le ciel fit oublier aux dieux leur gravité ; ce qui décid
erre. Vulcain fut le troisième fils de Junon. Jupiter le précipita du ciel à cause de sa difformité. Nous donnerons par la s
emploi auprès d’elle, et, pour la récompenser, elle la plaça dans le ciel sous la forme de l’arc-en-ciel. Les enfans de Cad
ment une moitié de l’année dans les enfers, et l’autre moitié dans le ciel . Ce partage de l’année peut s’expliquer de deux m
s leur mort, on les honora comme les déesses, et on les plaça dans le ciel sous le nom de Pleïades. Elles se nommèrent aussi
fardeau du monde. Le mont Atlas est si élevé, qu’il semble toucher au ciel  : son sommet se perd dans les nues ; et les poëte
r la vue des crimes que les hommes commettaient, elle remonta dans le ciel avec les autres dieux ; elle fut la dernière à qu
le fut la dernière à quitter la terre, et se retira dans la partie du ciel qui fait le signe de la Vierge. Septembre, signe
s plaintes, lui accordèrent sa demande. Il mourut, fut enlevé dans le ciel et placé parmi les signes du zodiaque. Décembre,
nt les deux plus célèbres. Aurore ouvre tous les matins les portes du ciel  ; elle précède son père, et annonce son retour. U
te milieu qu’ils devaient tenir dans leur course ; ils embrasèrent le ciel et la terre. Jupiter foudroya Phaéton, et le préc
in un temple auquel il joignit une bibliothèque. Apollon fut banni du ciel pour avoir mis à mort, à coup de flèches, les Cyc
s plaintes. Jupiter vengea la mort des Cyclopes en exilant Apollon du ciel (c’est-à-dire du royaume dont il lui avait confié
e la colère d’Apollon. L’oracle, consulté sur les moyens d’apaiser le ciel , répondit que tous les ans il fallait exposer une
-dieu. Quelque temps après ces aventures, Apollon fut rappelé dans le ciel et rétabli dans ses droits. Jupiter lui confia le
étant l’inventrice de l’harmonie : ses regards qui s’élèvent vers le ciel , annoncent qu’elle préside à l’ode. (Fig. 18.) 8.
ont Hélicon ; on y ajoute Pégase déployant ses ailes pour s’élever au ciel , et faisant, d’un coup de pied, jaillir la fontai
rrible, le métamorphosa en ours, et les plaça l’un et l’autre dans le ciel . Telle est la fable que les poëtes ont imaginée s
primer par ce surnom la rapidité avec laquelle ses rayons arrivent du ciel sur la terre. On donnait à ces rayons le nom de f
ns, se voyant, par le consentement des autres dieux, maître absolu du ciel et de la terre, épousa Métis, qui passait pour la
ous avons déjà dit que Métis signifie la providence.) Ayant appris du ciel qu’elle allait mettre au monde une fille d’une sa
lier d’une forme inconnue jusqu’alors fit croire qu’il était tombé du ciel  ; l’oracle consulté, dit que l’empire du monde ét
es, chargées de son éducation, la reçoivent, et la conduisent dans le ciel . Elle a pour cortége les Ris, les Grâces et les J
rent que sa chevelure avait été changée en étoiles, et placée dans le ciel . Cette fable fit appeler chevelure de Bérénice un
Vulcain trop laid et trop contrefait pour lui permettre d’habiter le ciel , le précipita d’un coup de pied dans l’île de Lem
s à quatre chevaux de front. Après sa mort, la fable le plaça dans le ciel , et dit qu’il était chargé de conduire la constel
Mercure le nom de dieu à trois têtes, à cause de sa puissance dans le ciel , sur la terre et dans les enfers, ou, selon quelq
ns. De là sont venues ces divinités dont le nombre surpasse celles du ciel et des autres parties de l’univers. Océan avait e
est peint par Homère comme un redoutable géant. Ovide le dit fils du ciel et de la Terre. Il habitait la mer, il en sortit
e. Ce fut ainsi que l’homme étendit sans cesse le nombre des dieux du ciel , de la terre, de la mer et des enfers. La terre e
’assit, et, s’étant élevé en l’air, il environna la terre et forma le ciel . Ayant passé sur les monts Acrocérauniens, qui je
nt des flammes, il en tira de la boue enflammée, qu’il envoya dans le ciel pour éclairer le monde, et former avec cette mati
Titée ou Titaïa, qui signifie boue ou terre, comme Uranus signifie le ciel . Le chaos seul était plus ancien que le ciel et l
comme Uranus signifie le ciel. Le chaos seul était plus ancien que le ciel et la terre. On le nommait arbitrairement Ops, Te
dieux, pour la récompenser de sa tendresse, l’avaient enlevée dans le ciel , Des dieux Lares et des dieux Pénates. Ces
is que l’âme, cette partie spirituelle de l’homme, retournait dans le ciel . Les païens distinguaient l’âme de l’esprit. Ils
nne de sept étoiles, et avait à la main une quenouille, qui tenait au ciel et touchait à la terre. La robe de Lachésis était
rières, baissaient la main vers la terre, au lieu de l’élever vers le ciel . En général, on craignait et l’on haïssait les di
mpire dans les enfers était aussi absolu que celui de Jupiter dans le ciel . Principaux coupables punis dans les enfers.
uptions de l’Etna sont les efforts qu’il fait encore pour attaquer le ciel . Sisyphe est forcé de rouler une pierre énorme ju
berté de tous. (Fig. 56.) On représentait la Licence foudroyée par le ciel , dans l’instant où elle s’efforce de briser une t
après sa mort, on lui rendit les honneurs divins. On le plaça dans le ciel  ; il forme le signe appelé le Serpentaire. Ses de
nes et de Rome, il eût été plus facile de croire qu’il était tombé du ciel que d’attribuer ce silence à la seule modestie. C
3 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
ction particulière de quelque divinité. C’est de cette manière que le ciel , l’atmosphère, la surface et les entrailles de la
ux de lait et de nectar leur fournissaient de délicieux breuvages. Le ciel était toujours pur, l’air embaumé du parfum des f
der Prométhée à achever son ouvrage ; elle le transporta donc dans le ciel , où il put reconnaître que tous les corps étaient
ue pensez-vous de cette tradition ? Première partie. Divinités du ciel . § 1. Saturne. Histoire de Saturne.
upiter, Neptune et Pluton, qui régnèrent plus tard, le premier sur le ciel , le second sur la mer et le troisième dans les en
ts de son fils, Jupiter lui fit la guerre à son tour, et le chassa du ciel pour régner à sa place. Séjour de Saturne sur
es anciens l’adoraient comme le plus puissant des dieux, le maître du ciel et de la terre. Nous savons déjà les circonstance
a l’empire avec ses deux frères, Neptune et Pluton ; il se réserva le ciel  : Neptune régna sur les mers et Pluton dans les e
es enfants de la Terre entreprirent d’assiéger Jupiter jusque dans le ciel . Pour y parvenir, ils entassèrent montagnes sur m
se forma, les montagnes sortirent de son sein, en s’élançant vers le ciel  ; la foudre frappe souvent leur sommet, et semble
piter châtia sévèrement son épouse rebelle ; il la suspendit entre le ciel et la terre avec une chaîne d’or, et attacha une
ses pieds. Vulcain, qui essaya de délivrer sa mère, fut précipité du ciel et tomba dans l’île de Lemnos. Conseil et cour
Troyens, jeune homme d’une grande beauté, que Jupiter fit enlever au ciel par l’aigle qui portait sa foudre. Les dieux avai
pargnaient personne, pas même le maître des dieux ; il remplissait au ciel le rôle que les fous des rois ont joué à la cour
e Jupiter sur la terre. — Lycaon. Jupiter quitta plusieurs fois le ciel pour visiter la terre. La fable raconte de lui be
e cette déesse furent célébrées avec magnificence : tous les dieux du ciel et de la terre s’y rendirent avec empressement ;
s dieux contre son époux, et tenta de mettre la guerre civile dans le ciel  ; nous savons aussi quel châtiment lui fut inflig
nfligé. La déesse, dans son ressentiment, résolut enfin de quitter le ciel  : elle se retira dans l’île d’Eubée, en faisant l
, qui regrettait les compagnons de ses travaux, le dieu fut chassé du ciel . Séjour d’Apollon sur la terre. Pendant son
ailes au dos. C’est la monture sur laquelle les poëtes s’envolent au ciel  ; mais elle est difficile à manier, et elle a dés
s séjours et trois noms différents : elle est tout ensemble déesse du ciel , de la terre et des enfers. Au ciel on la nomme P
elle est tout ensemble déesse du ciel, de la terre et des enfers. Au ciel on la nomme Phébé2, et elle conduit le char de la
e, et donna son nom à l’une des trois parties du monde. Transporté au ciel , le taureau devint le second signe du Zodiaque. —
si ils ne se voyaient plus qu’au passage. On les réunit à la voûte du ciel , où leur lumière, d’heureux présage, protége et d
contre l’hydre de Lerne ; elle fut écrasée par le héros et placée au ciel . — Le Lion. C’est le lion de la forêt de Némée, t
ette balance est celle d’Astrée, qui quitta la terre pour remonter au ciel lorsque commença le siècle de fer. — Le Scorpion.
e l’adresse reconnue de Mercure pouvait être utile, il fut rappelé au ciel et reçut d’importantes missions. Ce fut lui qui t
s ? — Que fit-il dans son enfance ? — Mercure ne fut-il pas chassé du ciel  ? — Où se réfugia-t-il ? — Ne rentra-t-il pas en
ort comme la voix de dix mille guerriers. Il se réfugia alors dans le ciel , où Jupiter lui fit de violents reproches : Va,
t de petits boucliers nommés anciles. L’un de ces boucliers, tombé du ciel , au temps de Numa, était le gage de la durée de l
e de Troie ? — Comment fut-il traité par Jupiter à son retour dans le ciel  ? — N’eut-il pas un jugement à subir ? — Les Roma
r ou Éros, antique divinité qui sortit du chaos8 en même temps que le ciel et la terre, et dont la naissance précéda celle d
eu parut si difforme, que Jupiter, d’un coup de pied, le précipita du ciel en terre. La chute ne fut pas mortelle, mais Vulc
parle Homère . Il délivra Junon, que Jupiter avait suspendue entre le ciel et la terre. Il serait trop long de compter tous
estionnaire. De qui Neptune était-il fils — Ne fut-il pas exilé du ciel  ? — Que devint-il pendant son exil ? — Quelle fut
siode, le Tartare est aussi distant de la terre que la terre l’est du ciel . Une enclume d’airain tombant du ciel roulerait n
la terre que la terre l’est du ciel. Une enclume d’airain tombant du ciel roulerait neuf nuits et neuf jours, et arriverait
ches enflammées qui imitaient les foudres de Jupiter. Mais le dieu du ciel envoya d’en haut ses foudres véritables, qui fire
ie mais l’Amour, la prenant en pitié, vint la réveiller, l’emporta au ciel , où Jupiter, malgré les ressentiments et la résis
ue cette déesse l’allaita, et qu’une goutte de son lait traça dans le ciel cette longue zone blanche qu’on appelle la voie l
dit que Bellérophon, monté sur Pégase, avait voulu s’élever jusqu’au ciel , et que Jupiter envoya contre lui un taon qui fit
la coque brisée se divisa en deux parties, dont la première forma le ciel , et la seconde la terre : entre la terre et le ci
première forma le ciel, et la seconde la terre : entre la terre et le ciel , Brahmâ plaça l’éther. Il créa successivement les
Vamana, développant un corps prodigieux, mesura la terre d’un pas, le ciel de l’autre, et du troisième il allait embrasser l
les montagnes ; ses dents, les pierres ; son crâne devint la voûte du ciel , sa cervelle, les nuages. Les étincelles de feu q
; le monde créé, ils en devinrent les dieux, et prirent possession du ciel  ; puis ils firent l’homme et la femme pour peuple
e la sphère. Les poëtes ont feint, par cette raison, qu’il portait le ciel sur ses épaules. 7. Le caducée était une baguett
4 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
s était regardée comme la demeure des dieux ; le prince bannissait du ciel celui qu’il exilait. Ceux qui s’enfuyaient, ou qu
eilles de la création de l’univers. Avant que la mer, la terre, et le ciel qui les environne, eussent été produits, la natur
riant leurs formes assorties, De ce grand tout animer les parties, Le ciel reçut en son vaste contour Les feux brillans de l
u’un Dieu ou la nature elle-même, termina ces combats, en séparant le ciel d’avec la terre, la terre d’avec les eaux, et l’a
n cinq zones ou parties, qui répondaient à celles qui partageaient le ciel . La zone du milieu était inhabitable par ses gran
n, l’Ether ou l’air le plus subtil devint la matière dont se forma le ciel . Les astres brillèrent dans la voûte céleste sous
imaux ont la tête penchée vers la terre, l’homme seul la lève vers le ciel . Aussitôt que l’univers fut créé, l’âge d’or comm
nces : il succomba, et, selon l’arrêt du destin, Jupiter le chassa du ciel . Saturne, dépouillé de ses états, vint sur la ter
er et février. Dans le sens moral, Saturne est l’emblème du temps. Le ciel , par la révolution continuelle de ses mouvemens,
er la succession des mois, des années, des siècles. Le temps, fils du ciel , s’envole avec vitesse, sans qu’on puisse l’arrêt
Tellus veut dire la terre ; parce que, comme Saturne avait présidé au ciel , de même elle présidait à la terre, et procurait
es dansent à l’entour.         L’aimable déité voyage         Sous un ciel pur et sans nuage. Les vents impétueux, enclos da
Jupiter était fils de Saturne et de Cybèle. Ayant chassé son père du ciel , il se rendit maître de l’empire du monde, qu’il
eut la mer ; les enfers échurent au second, et Jupiter se réserva le ciel . Dès le commencement de son règne, Jupiter se vit
rce prodigieuse. Ils entassèrent rocher sur rocher et escaladèrent le ciel  ; mais Jupiter les terrassa à coups de foudre, et
et Typhon, demi-homme et demi-serpent, qui, de sa tête atteignait le ciel . La vue de ce monstre épouvanta tellement les die
un des Titans, ayant fait quelques statues d’hommes, déroba le feu du ciel pour les animer. Cette hardiesse irrita tellement
te femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel , prodiguant par leur main Tous les présens dont l
rranée, avec ses côtes et ses îles. Dès lors on prit l’Olympe pour le ciel , et l’on ne parla plus de l’Espagne, où Pluton fa
u moment de sa naissance, Jupiter, d’un coup de pied, le précipita du ciel . Junon ayant pris parti contre son mari dans la g
. Vulcain Vulcain, fils de Junon, repoussé si impoliment du ciel à sa naissance, tomba dans la mer. Il en fut quit
cile. On raconte qu’un bouclier qu’on nomma Ancile, étant tombé du ciel , les Aruspices, consultés sur ce prodige, répondi
sa statue, qu’ils appelaient le Palladion ou Palladium, descendue du ciel , et d’elle-même se placer sur l’autel. Cette peti
elle resta comme pétrifiée. Dès son enfance, Apollon fut reçu dans le ciel , où il devint le Dieu de la lumière, sous le nom
alens seuls ne vieillissent jamais. Demoustier. Apollon banni du ciel . Apollon inventa la médecine. Esculape, son fi
ux ; oubliant la tendresse qu’il avait pour son fils, il le bannit du ciel , et le priva pour un temps des honneurs de la div
Neptune ayant conspiré contre Jupiter, venait aussi d’être banni du ciel . Apollon et lui s’étant rencontrés, s’unirent ens
s malheurs d’Apollon apaisèrent enfin Jupiter ; il le rappela dans le ciel , et lui rendit les honneurs et les priviléges de
tions dont les dieux ont embelli le Zodiaque et les autres parties du ciel , par des métamorphoses d’hommes, de femmes et de
ar un serpent, Diane, dont il était le garde-chasse, l’avait placé au ciel et changé en serpent, pour reconnaître les servic
a perte de son fils qu’il regrettait vivement, reçut Esculape dans le ciel . Apollon en fit un astre nommé Ophieus ou Serpent
s. Les poètes disent que l’Aurore ouvre tous les matins les portes du ciel , et qu’elle précède le dieu du jour. On représent
a main novice qui les guidait, ils prirent l’écart, et embrasèrent le ciel et la terre. Jupiter craignant pour lui-même, fou
e brise ! II voudrait au moins l’embrasser pour la dernière fois ! Le ciel seconde ses vœux : soudain Cygnus est couvert de
e Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon. On la nommait Lune dans le ciel , Diane sur la terre, et Hécate ou Proserpine dans
   Impose à l’univers un auguste silence,         Et tous les feux du ciel composent votre cour.         En descendant des c
ulant prévenir un parricide, enleva Arcas et sa mère, et les plaça au ciel , où ils forment les constellations de la grande e
Apollon le changea en épervier. Endymion Comme la divinité du ciel , Diane ne put défendre son cœur des charmes d’End
ance. Dans la suite, Jupiter, pour les récompenser, les plaça dans le ciel  : c’est ce qu’on appelle aujourd’hui la constella
de pleurer sa mort, et que Jupiter, par compassion, les transporta au ciel . Les pluies abondantes qu’elles produisent sont r
chus fut le seul de tous les dieux de l’Olympe qui n’abandonna pas le ciel  ; transformé en lion, il contribua par sa valeur
e pierre carrée ; Triceps, à trois têtes, ses fonctions l’appelant au ciel , sur la terre et dans les enfers ; Vialis, de via
empêchèrent pas qu’il ne tombât dans leur disgrâce ; il fut chassé du ciel , et se vit réduit à garder les troupeaux. Mercure
circonvoisins ; aussi est-il regardé comme dieu de la mer. Chassé du ciel avec Apollon pour avoir conspiré contre Jupiter,
n fils qui serait plus grand et plus illustre que son père, le roi du ciel renonça à ses prétentions, et Thétis épousa Pélée
se. Après en avoir fait son étude, Eole présidait par l’inspection du ciel quel vent devait souffler. Le peuple ignorant se
des Zéphyrs. Une douce lumière régnait sans jamais décroître.    Un ciel pur, des astres plus sereins, Furent créés pour c
e Mille supplices renaissans. Là, sur une rapide roue, Ixion, dont le ciel se joue, Expie à jamais son amour. Là, le cœur du
ns le Tartare. Typhon Les Géans ou Titans ayant escaladé le ciel , Jupiter précipita les uns dans le Tartare, et il
domestiques. L’idole domestique était choisie parmi les divinités du ciel , de la mer ou des enfers, selon le penchant de ch
l’ouvrage de Bupale, fameux sculpteur : il la représentait portant le ciel sur sa tête ; et tenant dans une main la corne d’
e dura l’âge d’or ; mais les crimes l’en ayant chassée, elle monta au ciel , et se plaça dans cette partie du zodiaque qu’on
qu’Hercule en ayant laissé tomber quelques gouttes, il forma dans le ciel cette partie blanche qu’on appelle la voie lactée
illait les pommes d’or, et, pendant ce temps-là, Hercule soutenait le ciel sur ses épaules. Ces pommes d’or étaient sans dou
ouiller pour enlever ce précieux métal. On feint qu’Atlas soutient le ciel sur ses épaules, soit parce que le mont Atlas est
onna à Philoctète d’y mettre le feu et s’y brûla. Il fut reçu dans le ciel , où il épousa Hébé, déesse de la jeunesse. Ovide
nt de cette manière jusqu’à ce qu’ils furent tous deux transportés au ciel , sous le signe des Gémeaux. Pollux, remarquable p
t en pièces. Dans la suite il fut changé en cygne ; sa lyre brilla au ciel ornée de neuf belles étoiles, dont chaque Muse fo
ement à la reine, qui n’ayant point d’enfant le reçut comme un don du ciel  ; elle l’éleva comme son fils, et le nomma Œdipe
nous le conservons : Usez-en : saluez ces pénates d’argile. Jamais le ciel ne fut aux humains si facile, Que quand Jupiter m
ouvrages : Vous y joignez un goût plus sûr que nos suffrages ; Don du ciel , qui peut seul tenir lieu des présens Que nous fo
5 (1850) Précis élémentaire de mythologie
édech, roi de Salem, était le pontife du Dieu Très-Haut qui a fait le ciel et la terre. Abimélech, roi de Gérare et son succ
ien des dieux. On appelait Chaos cette masse informe dans laquelle le ciel , la terre, la mer et tous les éléments fuient con
riant leurs formes assorties, De ce grand tout animer les parties, Le ciel reçut, en son vaste contour, Les feux brillants d
e malheur, il résolut de le faire périr. La guerre recommença dans le ciel entre le père et les enfants. Jupiter victorieux
ns le ciel entre le père et les enfants. Jupiter victorieux chassa du ciel Saturne et régna à sa place. 4. Le vieil exilé se
rce que le temps voit périr tout ce qu’il a engendré. On l’a exilé du ciel où l’éternité seule réside, et on l’a fait l’alli
succès de la révolte des Titans ? 3. Pourquoi Saturne fut-il exilé du ciel par Jupiter ? 4. Où se réfugia Saturne ? Comment
rtels, et Tellus parce qu’elle présidait à la terre, comme Saturne au ciel . Enfin on la surnommait Rhéa, d’un mot grec qui s
connaissance, le souverain des dieux plaça la chèvre Amalthée dans le ciel , et donna aux nymphes une de ses cornes. Ce fut l
a l’empire de la mer, à Pluton celui des enfers, et garda pour lui le ciel . Il admit dans son conseil Junon, Neptune, Cérès,
Ils entassèrent montagnes sur montagnes et menacèrent d’escalader le ciel . Jupiter appela tous les dieux à son secours. Déj
es. Il était moitié homme et moitié serpent, et sa tête atteignait le ciel . Tous les dieux s’enfuirent à son aspect et se ré
ober au char du soleil une étincelle pour les animer. Le souverain du ciel et de la terre, irrité de tant d’audace, chargea
te femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel , prodiguant par leur main Tous les présents dont
porterons pas ici ces actions infâmes qui supposent dans le maître du ciel et de la terre les passions les plus viles et les
nce, le président des douze grands dieux qui ont voix délibérative au ciel , le père des dieux et des hommes, le créateur de
pportait que de bonnes nouvelles, elle la récompensa en la plaçant au ciel , après l’avoir métamorphosée en arc-en-ciel. 5. C
ses foudres et les tua à coups de èches. Jupiter irrité le chassa du ciel , et pendant plusieurs années le dieu exilé se vit
a en Phrygie. Il y rencontra Neptune que Jupiter avait aussi exilé du ciel avec plusieurs autres dieux, pour les punir d’une
s, Œthon, Eoüs et Phlégon ; que l’Aurore sa fille ouvre les portes du ciel et annonce le retour de son père ; et qu’enfin ce
donner des noms différents. Ainsi on la nommait Lune ou Phébé dans le ciel , Diane sur la terre, et Hécate dans les enfers. A
Phébé dans le ciel, Diane sur la terre, et Hécate dans les enfers. Au ciel elle conduisait le char de la lune, sur la terre
son tour, Impose à l’univers un auguste silence, Et tous les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux vou
étaient ses principales fonctions ? Quels noms lui donnait-on dans le ciel , sur la terre et dans les enfers ? 2. Comment les
enta la sphère et que les poëtes ont pour ce motif représenté avec le ciel sur les épaules. Ses attributs étaient très-varié
ner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les dieux du ciel . 2. Cette colère du souverain de l’Olympe avait
nommés ancilles, qu’on disait semblables à un bouclier sacré tombé du ciel . Chaque année, à un jour déterminé, ces prêtres f
aid et si difforme qu’il lui donna un coup de pied et le précipita du ciel . Il alla tomber dans l’île de Lemnos et se cassa
our épouse Vénus, la plus belle des déesses. 2. Le rôle de Vulcain au ciel était d’apaiser tous les troubles qui s’élevaient
les chaînes qui la retinrent longtemps captive sur un trône entre le ciel et la terre. En vain les autres divinités cherchè
areil de sa puissance. Sémélé ne put soutenir la majesté du maître du ciel et de la terre, et tomba frappée de mort. Jupiter
hes lui avaient prodigués, et par reconnaissance il les plaça dans le ciel . Ce sont les étoiles qui forment la constellation
ter, touché des charmes de la déesse, résolut de l’introduire dans le ciel et de la faire paraître devant les immortels. Tou
s ne manquèrent pas de dire que la déesse de la beauté avait placé au ciel la chevelure de la reine, et il se trouva un astr
tronome assez heureux et assez habile pour découvrir aussitôt dans le ciel une nouvelle constellation. On ne douta pas que c
uelles leçons lui donnaient les Grâces ? 2. Qui l’introduisit dans le ciel  ? A qui fut-elle mariée ? 3. Quels sont ses enfan
Tel que le vieux pasteur des troupeaux de Neptune, Protée, à qui le ciel , père de la fortune,         Ne cache aucuns secr
ur la vie humaine. Ces divinités subalternes n’habitaient pas dans le ciel , elles résidaient sur la terre, et c’est pour ce
rsonne dans ses satires, et son caractère caustique le fit chasser du ciel . Neptune, Vulcain et Minerve l’avaient un jour ch
se. Ils furent tous deux changés en étoiles et attachés à la voûte du ciel . 8. Les peintres représentaient l’Aurore sortant
oriques. Non contents de diviniser la terre et ses productions, le ciel et tous ses phénomènes, les païens donnèrent enco
été ensuite bannie par les crimes des hommes. Elle était remontée au ciel , où elle forme maintenant le signe de la Vierge d
est unie, et que son union a besoin d’ailleurs d’être protégée par le ciel . 4. La Victoire était une des divinités les plus
iter, son père, irrité de tous les maux qu’elle faisait, la chassa du ciel et jura quelle n’y rentrerait plus. Depuis ce tem
son germe infecté ; Les épis renversés sur la terre languissent ; Le ciel s’en obscurcit, les astres en pâlissent ; Et la f
s Bruits incertains. La déesse elle-même voit ce qui se passe dans le ciel , dans l’Océan et sur la terre, et son regard scru
voulut même le nourrir de son lait. Hercule en laissa tomber dans le ciel quelques gouttes, et les poëtes ont dit que la vo
urut. 8. Après son trépas, Hercule fut mis au rang des dieux. Dans le ciel les poëtes lui ont fait épouser Hébé, la déesse d
replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s
tendant la main, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. « Le ciel , dit-il, m’arrache une innocente vie. Prends soin
trop fréquents, on statua que les deux frères seraient placés dans le ciel et formeraient la constellation des Gémeaux. Une
ude d’animaux, et fit reconnaître son innocence par les succès que le ciel lui assurait. Iobatès n’hésita pas à lui donner e
il fallait le sang d’Iphigénie, la fille de ce prince, pour calmer le ciel  : Vous armez contre Troie une puissance vaine, S
ane en ces lieux n’ensanglante l’autel. Pour obtenir les vents que le ciel vous dénie,         Sacrifiez Iphigénie. Racine
colossale machine, comme un présent offert à Minerve pour obtenir du ciel un retour favorable. Les Troyens, trompés, firent
par la splendeur des génies bienfaisants (devatas). Ensuite il fit le ciel et la terre, le soleil et la lune, et forma les s
chef de l’Etat par leur volonté propre qu’ils disaient être celle du ciel . Tout en admettant l’unité de Dieu, ils adressaie
vinité, à la métempsycose, et ne voyaient dans le soleil, la lune, le ciel , la terre, le Nil et toute la nature, que le refl
industrie et des arts mécaniques, que Jupiter régit souverainement le ciel , et que Mars est le dieu de la guerre. » 2. Il
vents. Ils savaient aussi que la mort ne rompt point les rapports du ciel et de la terre, et qu’au delà de la tombe le just
t, et qui permettait aux prêtres de se mêler à tout. Ainsi, au nom du ciel , ils commandaient aux chefs des villes et des arm
ont les cornes étaient liées pour la première fois, et l’on priait le ciel de rendre son présent salutaire à ceux qu’ils en
ongé les siens, affermi la gloire de sa patrie et fait monter vers le ciel un encens de prédilection‌ 11 .» Questionnaire
ux, et son alliance avec Odin était pour eux le symbole de l’union du ciel et de la terre. La mythologie islandaise place so
ni zéphyrs rafraîchissants. On ne voyait point de terre en bas, ni de ciel en haut ; tout n’était qu’un vaste abime, sans he
t des fragments de ses os brisés. Ils firent de son crâne la voûte du ciel , qui est soutenue par quatre nains nommés Sud, No
t à d’autres feux l’espace qu’ils devaient parcourir, les uns dans le ciel , les autres sous le ciel. Les jours furent distin
e qu’ils devaient parcourir, les uns dans le ciel, les autres sous le ciel . Les jours furent distingués, et les années euren
6 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
is, de Phébus, d’Apollon, et la lune sous ceux d’Isis et de Diane. Le ciel même fut divinisé sous le nom d’Uranus, l’air sou
ur place une pierre emmaillotée. C’étaient Jupiter, qui devint roi du ciel , Neptune, souverain des mers, et Pluton, monarque
excité secrètement par sa mère, conspira contre Saturne, le chassa du ciel et régna à sa place. 10. Saturne exilé sur la
à sa place. 10. Saturne exilé sur la terre. Saturne, chassé du ciel , se réfugia en Italie, dans la contrée où régnait
ées sous le nom et les attributs de Saturne. Saturne, de retour au ciel , présida au cours régulier des heures, des jours
il chassé de nouveau ? 10. Dans quel pays se réfugia Saturne exilé du ciel  ? Par qui et comment fut-il reçu ? Quels furent s
et de Cybèle. Il fut le plus grand des dieux, le maître souverain du ciel et de la terre. Sa mère, pour le dérober à la vor
mers à Neptune, les enfers à Pluton, et se réserva la souveraineté du ciel . Il n’en jouit pas longtemps en paix. Les Géants,
tagne sur montagne, Ossa sur Pélion, et essaient ainsi d’escalader le ciel . Jupiter effrayé appelle à son secours tous les d
sortir de son sein le redoutable Typhée13, dont la tête atteignait le ciel . A cette vue, les dieux épouvantés s’enfuirent en
s scènes de la nature. Les montagnes ne semblent-elles pas menacer le ciel de leurs cimes élevées, que la foudre frappe souv
le signal de la révolte. Il la suspend, par une chaîne d’or, entre le ciel et la terre, et lui attache une pesante enclume à
nymède, jeune Troyen d’une grande beauté, qu’il avait fait enlever au ciel par l’aigle qui est représenté portant sa foudre.
s ; mais ce bouffon, devenu insupportable, fut honteusement chassé du ciel . On le représente tenant un masque d’une main, et
Jupiter sur la terre. Lycaon. Jupiter, en s’attribuant l’empire du ciel , s’était réservé un droit de souveraineté sur le
œuvre, voulut contribuera sa perfection. Elle transporta Prométhée au ciel , où il vit que tous les corps étaient animés d’un
dre il les fait tous rentrer. Au seul nom de sa voix, la mer fuit, le ciel tremble ; Il voit comme un néant tout l’univers e
rent célébrées avec une grande magnificence ; toutes les divinités du ciel et de la terre y furent invitées, et s’y rendiren
ur, tua les Cyclopes qui avaient fabriqué la foudre, et fut chassé du ciel en punition de cet attentat. Réduit à garderies t
Troie. Il y travailla de ses mains avec Neptune, chassé comme lui du ciel . Le prince troyen les ayant frustrés du salaire p
son nom (hélios, soleil ; trepô, tourner). 36. Apollon rappelé au ciel  ; aventure de Phaéton. L’exil et les malheurs
et les malheurs d’Apollon fléchirent enfin Jupiter, qui le rappela au ciel , et le chargea de conduire le char du soleil, sou
ncts. On l’appela Diane ou Artémise sur la terre, Phébé ou la Lune au ciel , et Hécate dans les enfers. Sous ce dernier nom,
moins déterminée. L’idolâtrie ne s’était pas contentée de peupler le ciel de ses faux dieux ; elle en voyait l’image, elle
cide, le changea lui-même en ours et transporta la mère et le fils au ciel , où ils forment la grande et la petite Ourse, con
’elle aimait et qui ne lui était pas fidèle, le plaça pareillement au ciel , où il forme une constellation brillante. 44.
le mordit au talon. Hercule écrasa ce nouvel ennemi, qui fut placé au ciel . 5° Le Lion (juillet). C’est le lion de la
celle que laissa sur la terre la déesse de la justice, retournant au ciel , lorsque le siècle de fer commença. 8° Le Scor
i venait d’être disgraciée. Ganymède n’avait pas encore été enlevé au ciel . Mais le jeune dieu poussa trop loin ses licences
issance ? Quels furent ses divers larcins ? Pourquoi fut-il chassé du ciel  ? Quel présent fit-il à Apollon ? Qu’en reçut-il
la garde d’un bouclier sacré nommé ancile, que l’on croyait tombé du ciel . Comme les destinées de l’empire étaient attachée
ain naquit si difforme, que Jupiter d’un coup de pied le précipita du ciel sur la terre. Dans cette chute il se cassa la cui
ans. Mécontent ensuite de ce que son frère s’était arrogé l’empire du ciel et de la terre, il conspira avec les autres dieux
r le détrôner (n° 20). Ce complot ayant échoué, Neptune fut chassé du ciel . Relégué sur la terre, il travailla avec Apollon,
L’immense étendue des eaux ne manqua pas d’être peuplée, comme le ciel et la terre, d’une foule d’êtres, aux formes biza
est aussi avant dans le sein de la terre que celle-ci est éloignée du ciel . Une enclume d’airain tombant du ciel roulerait n
re que celle-ci est éloignée du ciel. Une enclume d’airain tombant du ciel roulerait neuf jours et neuf nuits avant de touch
coupables, et, pour les atteindre, traversait d’une course rapide le ciel , la terre et les mers. C’est ce qu’expriment les
mais Jupiter, irrité de tant d’impiété et d’audace, lança du haut du ciel ses foudres véritables, et précipita Salmonée dan
93. La Vérité. Les païens ne s’étaient pas contentés de remplir le ciel et la terre de leurs faux dieux : ils avaient per
es ailes ; dans une main une cassolette fumante qu’elle élève vers le ciel , dans l’autre une corne d’abondance, qu’elle prés
t et sœur de Némésis, des Parques et de la Mort. Jupiter la chassa du ciel à cause des dissensions qu’elle excitait sans ces
aves entourée ; La tendre Hypocrisie, aux yeux pleins de douceur : Le ciel est dans ses yeux, l’enfer est dans son cœur ; Le
cesseur au trône de Lycie. On dit que Bellérophon essaya de monter au ciel sur le cheval Pégase, mais que Jupiter envoya un
lait, pour le rendre immortel ; quelques gouttes, en tombant dans le ciel , y formèrent, selon les poëtes, cette longue zone
être prise, d’après l’arrêt du destin. Jupiter reçut son fils dans le ciel et lui donna pour épouse Hébé, déesse de la jeune
ent mendié Les refus insultants d’une avare pitié. Il semblait que le ciel , adoucissant l’outrage, Aux malheurs de mon père
Thèbes. Sur un bouclier noir, sept chefs impitoyables Epouvantent le ciel de serments effroyables. Près d’un taureau mouran
ane en ces lieux n’ensanglante l’autel. Pour obtenir les vents que le ciel vous déni,        Sacrifiez Iphigénie. ( J. Racin
nos ou Saturne et de Rhéa, eut pour femme Isis, sa sœur. Descendus du ciel sur la terre, les deux époux régnèrent en Egypte,
t le soleil, le principe qui vivifie le monde matériel ; il serait le ciel et même le Nil, ce fleuve bienfaiteur de l’Egypte
it ; la coque brisée se divisa en deux parties : la première forma le ciel , et la seconde la terre, entre lesquels, il plaça
s les montagnes, ses dents les pierres ; son crâne devint la voûte du ciel , sa barbe et ses cheveux les plantes et les arbre
ainsi créé le monde, en devinrent les dieux et prirent possession du ciel . Ils animèrent ensuite deux troncs d’arbre dont i
mme si ce nom était écrit kao. 5. « Au commencement Dieu a créé le ciel et la terre, et la terre était inutile, informe,
7 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ille ; aussi Juvénal nous représente Atlas gémissant sous le poids du ciel , à cause du nombre des Dieux qu’on y logeoit.
és par les Latins Dii minorum Gentium, n’avoient pas de place dans le ciel , ils étoient regardés comme des Divinités bourgeo
. R. On conçoit par le Cahos cette masse informe, dans laquelle le ciel , la terre, la mer, tous les élémens étoient confo
riant leurs formes assorties, De ce grand tout animer les parties, Le ciel reçut, en son vaste contour, Les feux brillans de
ecours aux humains, et qu’elle présidoit à la terre, comme Saturne au ciel . Nous omettons plusieurs autres de ses noms, comm
eut les enfers, et Neptune régna sur les eaux ; Jupiter se réserva le ciel . D. Comment Jupiter fut-il élevé ? R. Au son des
ère. Il fut nourri du lait de la chèvre Amalthée, qu’il plaça dans le ciel , en reconnoissance des bons offices qu’il en avoi
ce dernier étoit moitié homme, moitié serpent ; sa tête atteignoit le ciel . Quinault célèbre ainsi la victoire de Jupiter su
Titans, ayant formé quelques statues d’hommes, avoit dérobé le feu du ciel pour les animer. Ce larcin fâcha Jupiter au point
te femme mystique, Fille des Dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel prodiguant par leur main Tous les présens dont l’
en récompense de ses bons services, la changea en arc et la plaça au ciel  ; c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-ciel, et quelqu
t-il connu ? R. On le nommoit Apollon sur la terre, et Phébus dans le ciel , parce qu’il conduisoit le char du Soleil, qui ét
eux où vous revenez. (Quinault.) D. Pourquoi Apollon fut-il banni du ciel  ? R. Pour avoir mis à mort les Cyclopes, ministre
l’Aurore et Phaëton. L’Aurore, selon les Poëtes, ouvre les portes du ciel , et annonce tous les matins le retour de son père
du Soleil ; mais il le fit si maladroitement, qu’il pensa embraser le ciel et la terre. Roi des Dieux, armez-vous ; il n’es
donner le nom de Triple Hécate. On l’appelle la Lune ou Phébé dans le ciel  ; Diane sur la terre ; Hécate dans les enfers. Le
son tour, Impose à l’univers un auguste silence, Et tous les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vo
oit au moins le plus courageux. Il fut le seul qui osa rester dans le ciel pendant la guerre des géans : il s’étoit changé e
se de la beauté. Les Heures, sitôt sa naissance, l’enlevèrent dans le ciel  ; les Dieux la trouvèrent si belle, qu’ils la nom
’histoire de la chevelure de Bérénice changée en étoile, et placée au ciel . D. Quels furent les enfans de Vénus ? R. Les Poë
ain ? R. Il étoit le fils de Junon et de Jupiter, qui le précipita du ciel à cause de sa difformité. Il se cassa la jambe en
ner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les Dieux du ciel  ! De la Noue achève de le faire connoître :   
e présidoit à l’Age d’or, et en faisoit tout le bonheur. Descends du ciel , divine Astrée ; Ramène-nous ces jours heureux, O
rde ? R. La Discorde est encore une Divinité allégorique ; chassée du ciel par Jupiter, elle est sans cesse occupée à semer
son germe infecté ; Les épis renversés sur la terre languissent : Le ciel s’en obscurcit, les astres en pâlissent ; Et la f
ea en montagne qui conserva son nom. On dit d’Atlas qu’il soutient le ciel sur ses épaules, soit parce que le mont Atlas est
dit, de tuer son aïeul, il se condamna à l’exil. Jupiter le plaça au ciel avec Andromède et Cassiope, mère de la princesse.
son ami Philoctète, et mises dans une urne. Hercule fut placé dans le ciel , où il épousa Hébé, Déesse de la jeunesse. On le
ils vécurent et moururent alternativement. Enfin ils furent placés au ciel sous le nom de Jumeaux ou Gémeaux. Ce sont deux é
voir méprisées par lui, le mirent en pièces, et sa lyre fut placée au ciel . Campistron retrace dans ces vers toutes les mer
ays Latin, fonde l’empire Romain ; et après sa mort, il est enlevé au ciel par Vénus. On l’honoroit à Rome sous le nom de Ju
nservation du Palladium : c’étoit une statue de Minerve, descendue du ciel , et qui s’étoit plantée comme d’elle-même sur l’a
ui fait un beau sermon,            Pour l’exhorter à patience : Si le ciel t’eût, dit-il, donné par excellence Autant de jug
urs. Les jeunes personnes doivent avant tout invoquer les lumières du ciel pour les conduire et les éclairer dans ce choix.
ire de vos jours. Il s’élèvera quelquefois des nuages : (le plus beau ciel n’a-t-il pas aussi les siens ?) Patience, modérat
bien ne reste jamais sans récompense. Si les hommes sont injustes, le ciel accorde toujours à la vertu le prix mérité. D. Qu
8 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
e mille ; et Juvénal nous représente Atlas gémissant sous le poids du ciel , à cause du grand nombre de dieux qu’on y avoit p
z-vous Chaos ? R. Le Chaos est cette masse informe, dans laquelle le ciel , la terre, la mer, touts les éléments étoient con
faire périr. Mais Jupiter le vainquit, et le chassa pour toujours du ciel . D. Où se réfugia Saturne ? R. Il se réfugia en
terre, parce qu’elle présidoit à la terre, comme Saturne présidoit au ciel . Enfin, elle eut le nom de Rhée, d’un mot grec qu
comme le plus grand et le plus puissant des dieux : c’étoit le roi du ciel et de la terre. Une voie en tout temps par les d
il faut le dire en langage mortel, La cour de Jupiter, et le sénat du ciel . Le dieu, le sceptre en main, se place sur son tr
ain. Il fut nourri du lait de la chèvre Amalthée, qu’il plaça dans le ciel , en reconnoissance des bons offices qu’il en avoi
na l’empire des eaux Neptune, celui des enfers à Pluton ; et garda le ciel pour lui. D. Après ce partage de l’univers, Jupit
a Thessalie, et entassèrent montagnes sur montagnes pour escalader le ciel . Mais Jupiter les renversa à coups de foudre, et
de la terre, quelques statues d’hommes, et, pour les animer, monta au ciel , par le secours de Pallas, et vola du feu au char
te femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel , prodiguant par leur main Touts les présents dont
sœur du plus puissant des dieux, » Armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, » Vainement je me lasse à lui livrer
qui ne lui apportoit jamais que de bonnes nouvelles, la transporta au ciel . C’est ce que nous appelons l’arc-en-ciel. Cér
t le maître des dieux, ayant découvert cette conspiration, l’exila du ciel avec Apollon et les autres conjurés. Laomédon éle
aves, entourée ; La tendre Hypocrisie aux yeux pleins de douceur, (Le ciel est dans ses yeux, l’enfer est dans son cœur) ; L
étoiles, un sceptre de plomb à la main, parcourant silencieusement le ciel , sur un char d’ébène, après le coucher du soleil.
omme il avoit, fourni de l’eau aux Titans, lorsqu’ils escaladèrent le ciel , Jupiter, pour le punir de cette perfidie, le pré
quit si difforme, que Jupiter, indigné de sa laideur, le précipita du ciel . Il roula un jour entier dans le vague des airs,
nourrir ; et, bientôt après, elles la conduisirent avec pompe dans le ciel . Touts les dieux la trouvèrent si belle, que chac
eut bu les eaux, Il effraya le Parnasse Par des prodiges nouveaux. Le ciel vit ce monstre impie, Né de la fange croupie Au p
foudre. Le maître des dieux en fut si irrité, qu’il chassa Apollon du ciel . D. Que devint Apollon pendant son exil ? R. Apo
llon ? R. La colère de Jupiter s’apaisa. Apollon fut rappelé dans le ciel , où il reprit son rang, et fut chargé de distribu
a ciselé les flots, Et l’orbe de la Terre environné de l’onde, Et le ciel radieux, voûte immense du monde. L’onde a ses die
de la route ordinaire ; et tantôt montant trop haut, ils menacent le ciel d’un embrasement inévitable ; tantôt descendant t
u’il possède ; L’or qu’il a desiré punit ses vains desirs. Il lève au ciel les mains, il pousse des soupirs, Il s’écrie : ô
Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon ; on là nommoit Lune dans le ciel , Diane sur la terre, Hécate dans les enfers ; et
son tour, Impose à l’univers un auguste silence, Et touts les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vo
rse ; mais Jupiter l’enleva avec son fils Arcas, et les plaça dans le ciel , où ils forment les constellations de la grande e
ront superbe des ormeaux. L’Amour, que l’Automne rappelle, Descend du ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus belle
L’ambre qui pare nos coteaux. Un second printemps vient d’éclore, Le ciel répand des rayons d’or, L’amaranthe et le tricolo
voit un mauvais voisin. L’humeur satirique de Momus le fit chasser du ciel  : on le représente démasquant un visage ; et tena
omme la justice, et souvent confondue avec sa mère. Elle descendit du ciel , dans l’âge d’or, pour habiter la terre. Mais les
itter successivement les villes, puis les campagnes. Elle retourna au ciel , où les poëtes disent qu’elle forma le signe de l
t la gloire, et la honte. ( Virgile, trad. de M. Delille.) Entre le ciel , la terre, et l’empire des ondes, S’élève un vieu
guerres et les querelles qui divisent les hommes. Jupiter l’exila du ciel , parce qu’elle ne cessoit de brouiller les dieux.
son germe infecté ; Les épis renversés sur la terre languissent : Le ciel s’en obscurcit, les astres en pâlissent ; Et la f
et le changea en montagne. Les poëtes ont feint qu’Atlas soutient le ciel sur ses épaules, soit parce que le mont Atlas est
de cet accident, qu’il se condamna à l’exil. Jupiter le plaça dans le ciel , parmi les constellations septentrionales, avec A
Junon, qu’il en rejaillit une grande quantité, d’où se forma dans le ciel cet amas prodigieux d’étoiles qui font une longue
dres de son ami, et les plaça dans une urne. Hercule fut reçu dans le ciel , où il épousa Hébé, déesse de la jeunesse. On le
ient et mourroient alternativement ; enfin, ils furent placés dans le ciel , et forment le signe des gémeaux : des deux étoil
c de Paros, Le jeune ambitieux, follement intrépide, Pour s’élever au ciel , abandonne son guide. Trop voisin du soleil, un o
n replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s
tendant la main, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain : « Le ciel , dit-il, m’arrache une innocente vie, » Prends so
de Colchos, Et montrons ce que peut la valeur d’un héros, Lorsque le ciel la favorise. ( Gresset.) D. Qu’étoit-ce que la t
um. C’étoit une statue de Minerve, qu’on prétendoit être descendue du ciel , et s’être placée d’elle-même sur l’autel. On dit
n grand voile ont couvert les travaux des humains, Et la terre, et le ciel , et les Grecs, et leur trame. Un silence profond
ait briller ses feux sur la poupe royale. A cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, Qu’une folle pitié protégea contre n
onne qu’elle expire ; Un oracle dit-il tout ce qu’il semble dire ? Le ciel , le juste ciel, par le meurtre honoré, Du sang de
crimes. Mais quoi ! quelle vapeur vient obscurcir les airs ? Grâce au ciel , on m’entr’ouvre un chemin aux enfers ! Descendon
Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel  ! de ta persévérance : Appliqué sans relâche au s
ir ? d’où vient que je frisonne ? Quelle horreur me saisit ? grâce au ciel , j’entrevoi… Dieux ! quels ruisseaux de sang coul
procurer ces flèches, frappa du pied à l’endroit qui les recéloit. Le ciel punit cruellement son parjure. Pendant qu’il allo
it une magicienne si habile, qu’elle faisoit descendre les étoiles du ciel . L’art des empoisonnements lui étoit également co
vage, Et le port de Sigée, et la flotte, et la mer, Les bras levés au ciel , il dit : O Jupiter ! C’est devant les vaisseaux
is puisque, condamnés à lui donner des larmes, Ses beaux jours par le ciel nous furent enviés, (Ulysse essuie alors des pleu
des vents opposés les vagues ramassées, De l’abyme profond jusques au ciel , poussées, Dans les airs embrasés agitoient mes v
l’accusèrent d’impiété, pour avoir violé un don offert à Minerve. Le ciel même parut bientôt punir Laocoon de sa témérité.
Ilion, dit-il, un prêtre criminel » Arma par son forfait la colère du ciel  ? » Ce cheval est sacré ! protecteur de Pergame,
ous son père, » Cet appui des Troyens, ce sauveur de ses dieux ! » Ah ciel  ! lorsque l’ingrat s’échappoit de ces lieux, » Ne
fait un beau sermon                Pour l’exhorter à patience. Si le ciel t’eût, dit-il, donné par excellence. Autant de ju
ens de la mer orageuse ; Regarde : on ne voit plus que les eaux et le ciel  ;             Les arbres sont cachés sous l’onde 
ma fortune nouvelle ? Que m’importe un empire où tu ne seras pas ? Le ciel n’a pas voulu qu’en ces heureux climats, Où m’att
l’étude des lettres et des arts. D’ailleurs, Il n’est point sous le ciel de fortune assurée. ( La Thuilerie.) On peut tom
9 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
à ce danger, et pour se venger il arma contre son père, le chassa du ciel et s’empara de sa puissance. Déchu de sa grandeur
des plus grands désastres, et on ne pouvait le rallumer qu’au feu du ciel ou aux rayons du soleil ; la Vestale dont la négl
roi des eaux ; Pluton régna sur les enfers, et Jupiter se réserva le ciel , avec le droit de présider à l’univers. Dès le co
 ; d’autres étaient moitié homme et moitié serpent. Pour escalader le ciel , ils entassèrent l’une sur l’autre les montagnes
atues d’hommes avec de la terre délayée, les anima au moyen du feu du ciel qu’il avait dérobé, avec l’aide de Pallas, au cha
terre, et les hommes attirèrent sur eux par leurs crimes la colère du ciel . Avant de sévir contre le genre humain, Jupiter v
nt récompenser ses bons offices et sa fidélité, elle la plaça dans le ciel , où elle la transforma en un vaste demi-cercle re
traînent le char hors de sa route ; tantôt se perdant au plus haut du ciel ils privent le monde de lumière, tantôt s’approch
— Quel fut son premier exploit ? — A quelle occasion fut-il banni du ciel  ? — Que lui arriva-t-il en Thessalie ? — Où alla-
stincts. On l’appelait Hécate dans les enfers, la Lune 19 ou Phœbé au ciel , et Diane sur la terre. C’est de là que viennent
er en cachette avec le secours des Hyades, qu’il plaça depuis dans le ciel , pour les récompenser21. Le vieux Silène, satyre
e il osa rester auprès de son père lorsque les géants escaladèrent le ciel , et, sous la figure d’un lion, il combattit avec
os. Cette princesse avait une couronne d’or que Bacchus plaça dans le ciel , entre la constellation du Dragon et celle du Ser
es. Après avoir mis un jour entier à parcourir l’espace qui sépare le ciel de la terre, Vulcain tomba dans l’île de Lemnos29
. Questions. Qu’est-ce que Neptune ? — Pourquoi fut-il chassé du ciel , et comment employa-t-il le temps de son exil ? —
itans qu’elle tua lorsque ces fils de la Terre voulurent escalader le ciel . On fait honneur à Minerve des plus ingénieuses e
ation des anciles, ou boucliers sacrés que l’on disait être tombés du ciel , et auxquels on croyait que la destinée de l’empi
nombre en était infini ; l’imagination des poëtes en avait peuplé le ciel , la terre et les eaux. Chaque homme avait même sa
 ; un lion est couché à ses pieds. Jupiter plaça ses balances dans le ciel , et en fit l’un des signes du Zodiaque. Questio
et qui, chassée enfin par les crimes des hommes, alla habiter dans le ciel cette partie du Zodiaque que l’on appelle le sign
sente-t-on ? La Discorde. La Discorde, ou Éris, fut chassée du ciel par Jupiter, à cause des différends qu’elle ne ce
dans les nuages, ce qui fit dire aux poëtes qu’Atlas43 supportait le ciel sur ses épaules. Un autre exploit vint mettre le
de nouveau à l’exil ; Jupiter, touché de sa douleur, le plaça dans le ciel avec son épouse Andromède au nombre des constella
ant, formèrent cette longue traînée blanche que l’on remarque dans le ciel , et que l’on a nommée la voie lactée. Cependant J
i-ci cueillait les pommes, Hercule, ayant pris sa place, soutenait le ciel sur ses épaules. 12° Enfin il descendit au Tartar
onna à son ami Philoctète d’y mettre le feu. Jupiter le reçut dans le ciel au nombre des Dieux, et lui donna pour épouse Héb
e seule existence, jusqu’à ce qu’ils fussent transportés tous deux au ciel , où ils sont l’un des signes du Zodiaque, sous le
u entre les mortels et les divinités, et auxquelles on croyait que le ciel avait donné connaissance de l’avenir. Varron en
e exactement Noé. La tentative des fils de la terre pour escalader le ciel ne rappelle-t-elle pas exactement la téméraire en
stoire des divinités de la terre nous offre, comme celle des Dieux du ciel , des traits d’histoire perdus et confondus an mil
ntagnes tellement élevées, que l’on a pu dire qu’elles soutenaient le ciel , et il cueillit des fruits d’or, qui n’étaient au
s l’âge d’or des poëtes, le déluge, la tentative des Titans contre le ciel  ? — De quels personnages historiques a-t-on fait
Elles se nommaient Eunomie, Dicé et Irène. C’étaient les portières du ciel , et elles prenaient soin du char et des chevaux d
10 (1845) Mythologie de la jeunesse
’une couronne d’étoiles, pour indiquer que tout lui était soumis : le ciel , la terre et les enfers. Il tenait en main un liv
fabriquée avec le fer tiré de son sein [Fig. 14]. Saturne remonta au ciel , attendit son père à l’écart et le frappa du tran
s moyens de perdre son fils, qui prévint ses desseins et le chassa du ciel . [Fig. 15] Saturne, exilé, se réfugia dans cet
e régna sur la mer, et Pluton dans les enfers ; Jupiter se réserva le ciel . [Fig. 20] [Fig. 21] Les commencements de s
volte des Géants 7, enfants de la Terre, qui tentèrent d’escalader le ciel en entassant montagnes sur montagnes. Jupiter, le
s du Titan Japet, ayant formé un homme du limon de la terre, monta au ciel par le secours de Minerve, et y déroba un rayon d
e de ses femmes fut Junon, qui s’asseyait à ses côtés sur le trône du ciel . Comme cette déesse était d’une humeur querelleus
gle aux ailes déployées [Fig. 27]. D’un signe de tête il ébranlait le ciel et la terre. [Fig. 27] Il avait des temples da
on, fille de Saturne et de Rhéa, épousa Jupiter et devint la reine du ciel et des dieux. Elle était d’un caractère impérieux
remplacée dans cette fonction par Ganymède, prince troyen, enlevé au ciel par l’aigle de Jupiter ; Mars, dieu de la guerre,
re dont Jupiter avait frappé son fils. Cet attentat le fit chasser du ciel . [Fig. 59] Réduit à la condition de simple mor
ssé de l’aimer, vint l’arracher à ce sommeil de mort, et l’emporta au ciel où Jupiter légitima leur mariage. De leur union n
sur les yeux [Fig. 78]. [Fig. 78] Astrée, sa fille, descendit du ciel , dans l’âge d’or, pour habiter la terre. Au comme
habiter la terre. Au commencement de l’âge d’airain, elle retourna au ciel . Comme présidant à la justice, on la confondait s
enfanta en même temps que la Mort et le Sommeil. Jupiter la chassa du ciel , parce qu’elle brouillait continuellement les die
er eut consumé ce qu’il y avait de mortel en lui, Jupiter l’appela au ciel , l’admit à la table des dieux et lui donna pour é
ssa des embûches à Persée et le fit périr. Ce héros fut placé dans le ciel , parmi les constellations, avec Andromède, son ép
rtent, et tantôt, s’élevant jusqu’à l’Empyrée, menacent d’embraser le ciel  ; tantôt, descendant trop bas, brûlent les montag
le métamorphosa lui-même en ours, et les transporta tous deux dans le ciel , où ils formèrent les constellations de la Grande
ait encouru par ses mensonges la haine de la déesse, qui la chassa du ciel et la condamna à ne pouvoir répéter que la derniè
aos ténébreux. « Au commencement, dit l’ écrivain sacré, Dieu créa le ciel et la terre. Mais la terre était informe et stéri
nes et les volcans, dont les cimes ou les flammes semblent menacer le ciel  ; et Jupiter, dieu des régions supérieures de l’a
e ciel ; et Jupiter, dieu des régions supérieures de l’air, serait le ciel , dont la foudre frappe ordinairement les hauts li
11 (1823) Mythologie des dames
e. Les dieux du premier ordre avaient un palais magnifique dans le ciel  ; voici la description de ce séjour divin selon O
a l’oro. Jupiter ne demeura point paisible possesseur de l’empire du ciel . Les Titans et les Géants, enfants de la Terre, l
ls entassèrent plusieurs montagnes d’où ils essayèrent d’escalader le ciel  ; ils jetaient contre le maître des dieux de si g
ajesté vont rarement ensemble. Ce dieu, père des dieux, devant qui le ciel tremble, Dont la main flamboyante étincelle d’écl
Ce n’était point assez, ajouta-t-il, de donner à Jupiter l’empire du ciel et de la terre, les peuples de l’antiquité étendi
uit couvre entièrement la voûte céleste ; jouissons du spectacle d’un ciel étoilé, et remettons à demain l’histoire du dieu
s tous ses mouvements et dans toutes ses actions. Il va sans cesse du ciel sur la terre, et de la terre dans le ciel : il de
ctions. Il va sans cesse du ciel sur la terre, et de la terre dans le ciel  : il descend dans les enfers, et le fond des mers
nie, dans laquelle Psyché fit l’admiration de toutes les divinités du ciel et de la terre. La Volupté naquit de cet hymen. L
Ses cheveux sur sa tête en feuillage verdissent ; Ses bras tendus au ciel s’allongent en rameaux ; Ses pieds, des vents lég
r. L’arbre, rebelle encor, semble s’y refuser. « Hé bien ! puisque du ciel la volonté jalouse, « Dit-il, ne permet pas que t
uvre le Ténare ; Et sur un tourbillon de bitume et de poix, Pousse au ciel obscurci sa foudroyante voix : « Est-ce de ton av
duit à être berger, lui racontait ainsi l’histoire d’Apollon exilé du ciel  : « Apollon, dépouillé de tous ses rayons, fut c
ne rencontra Neptune, dieu des mers, que Jupiter avait aussi banni du ciel , pour avoir conspiré contre lui. Ces deux illustr
s’était cachée pour éviter l’incendie général, lève ses mains vers le ciel , et implore Jupiter, qui met fin à ces désastres
éclipses de lune annonçaient le moment où cette déesse abandonnait le ciel pour venir sur le mont Lathmos auprès du beau cha
ue Le Mierre les agréments d’un beau clair de lune. Mais de Diane au ciel l’astre vient de paraître : Qu’il luit paisibleme
, à rêver occupé, « Mon oreille a reçu tes sons qui m’ont frappé. « O ciel  ! qu’ils sont touchants ! que je hais l’inhumaine
ible           « Qu’un regard de mes yeux. « Les plus grands dieux du ciel , de la terre et de l’onde, « Du soin de se venger
corps d’Atlas s’accrut tellement qu’il devint capable de soutenir le ciel et le firmament. Andromède. Le lendemain Pe
le chérie, obtint de Jupiter que Proserpine habiterait tour-à-tour le ciel et les enfers. Aussitôt l’abondance reparut sur l
ous les soins que demandait son état. Dès qu’il eut été admis dans le ciel , sa figure fut pour les autres dieux un sujet de
arracher sans le secours des autres dieux. Vulcain ayant bâti dans le ciel un palais magnifique où il établit ses ateliers,
remiers hommes, et les avait animés avec le feu qu’il avait dérobé du ciel . Le maître des dieux croyait le punir de son auda
ieux ou héros qui semblaient destinés à remplir l’intervalle entre le ciel et la terre. Pour se ranger parmi les demi-dieux,
détruit l’enveloppe grossière        Qui l’attache à l’humanité ; Le ciel ouvert attend une divinité :        Le fils d’Alc
dit : Voici les lieux de l’éternelle paix ! Ces beaux lieux ont leur ciel , leur soleil, leurs étoiles : Là, de plus belles
rs voiles ; Là, pour favoriser ces douces régions, Vous diriez que le ciel a choisi ses rayons. Tantôt ce peuple heureux, su
Maïa, mère de Mercure. Après leur mort, elles furent placées dans le ciel , où elles forment la constellation des Pléiades.
t-il, vous passez vos compagnes ; « Je suis dieu, je vous aime, et le ciel m’est témoin… » A peine a-t-il parlé, la nymphe e
12 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
t, lorsqu’un dieu, pour mettre fin à cette lutte prolongée, sépara le ciel d’avec la terre, la terre d’avec les eaux, et l’a
les hommes qui avaient mérité par des actions d’éclat d’être admis au ciel après leur mort. Section première. Dieux supé
, ne garda plus de ménagement, livra bataille à Saturne, le chassa du ciel et s’établit pour jamais monarque des cieux. Le d
ès d’elle. Sa robe est parsemée de fleurs. Quand Saturne fut exilé du ciel , Rhéa le suivit en Italie, où elle seconda ses vu
res et de plantes. Un ancien oracle avait prédit que les habitants du ciel auraient le dessous tant qu’un mortel ne viendrai
mmon, en Libye. Ses principaux enfants furent, parmi les divinités du ciel , Minerve, Apollon, Diane, Mars, Mercure, Vulcain
, sœur et femme de Jupiter, était la reine des dieux, la maîtresse du ciel et de la terre, la protectrice des royaumes et de
épiait jusqu’aux moindres actions de Jupiter, et faisait retentir le ciel des cris que la jalousie lui arrachait. Jupiter,
ui lier les mains avec une chaîne d’or, et la suspendre à la voûte du ciel . Les dieux ne purent la dégager de ses entraves :
char attelé de deux dragons10, traverse l’espace des airs, arrive au ciel , et se présente devant Jupiter. Les yeux pleins d
rme en naissant, que son père, effrayé de sa laideur, le précipita du ciel . L’avorton céleste roula un jour entier dans le v
nit à Jupiter, et Jupiter accueillit sa juste plainte. Mars quitta le ciel , se retira en Thrace, et habita quelque temps ce
cles. La compagne inséparable de Bellone était la Discorde, exilée du ciel à cause des contestations et des troubles qu’elle
e la foudre ; mais cette barbarie eut son châtiment ; il fut banni du ciel et condamné à errer sur la terre, soumis aux même
accoutumée ; tantôt ils s’élèvent trop haut et menacent d’embraser le ciel  ; tantôt ils descendent trop bas et dessèchent le
re, calcinée jusque dans ses fondements, gémit, s’agite, lève vers le ciel sa tête brûlante, et conjure le souverain des die
aient donnés sur la terre19 ; mais on rappelait Lune ou Phébé dans le ciel  ; Hécate ou Proserpine dans les enfers. De là, le
gts l’en empêcha. Tant de friponnerie et d’audace le firent bannir du ciel  : il vint sur la terre, en Thessalie, où il passa
i enseignèrent le chant et la danse. Quand les géants escaladèrent le ciel , Bacchus revêtit la forme d’un lion, et combattit
ur inculqua l’amour de ce qui est juste et honnête. Saturne chassé du ciel choisit le Latium pour sa retraite ; et Janus pou
ais les crimes de l’âge de fer l’ayant épouvantée, elle se réfugia au ciel , et y fut placée dans cette partie du zodiaque qu
à rire, enveloppa l’enfant chèvre-pied dans une peau, et le porta au ciel , où sa bizarre structure fut un sujet de divertis
s met en liberté. S’il oubliait un seul moment de veiller sur eux, le ciel , la terre, la mer, seraient bouleversés et tous l
’il faut nourrir, Et qui s’éteint s’il ne s’augmente. Voltaire. Le ciel , par les travaux veut qu’on monte à la gloire : P
t que les dieux touchés de leur déplorable état les transportèrent au ciel , où elles furent changées en étoiles pluvieuses,
t cueillit les pommes d’or, tandis qu’à son tour Hercule soutenait le ciel sur ses épaules. 12° Le dernier de ses travaux fu
connue voltiger sur la tête de ces deux frères, et au même instant le ciel s’éclaircit et l’ouragan s’apaisa : de là, on a d
e blessure. Orphée, inconsolable, n’ayant pu fléchir les divinités du ciel , ne craignit pas de descendre aux enfers, pour y
s dévoué de ses chasseurs, Diane obtint que Jupiter le transportât au ciel et le plaçât parmi les astres, où il forme la con
du mont Ida, où les passions ne venaient point chercher son cœur. Le ciel envia à la terre un jeune homme digne d’un meille
n Ilus trouva près de sa tente le palladium, qu’il crut être tombé du ciel  : c’était une petite statue qui représentait Mine
onça un naufrage prochain et inévitable. Idoménée levant les mains au ciel , invoquait Neptune : « Puissant dieu, s’écria-t-i
ds un capitaine étranger, dont le sang mêlé au nôtre élèvera jusqu’au ciel la gloire du nom latin. » Vers ce temps-là, en ef
émisse d’horreur. » — « Vous serez obéie, grande reine : retournez au ciel . » A ces mots Tisiphone revêt sa robe ensanglanté
e nous paraître un siècle à tous deux, je vous jure, par la clarté du ciel , que si les destins ne s’opposent invinciblement
voir et d’entretenir son amante. Il partit : l’air était agité et le ciel obscur. Il lutta quelque temps contre l’impétuosi
es, elle fit habilement tomber la conversation sur Jupiter. « Plût au ciel , dit-elle, que ce fût Jupiter lui-même qui vous a
d’achever ; il n’était plus temps. Pénétré de douleur, il remonta au ciel , où il assembla les nuages, le tonnerre, les écla
dans toute la Grèce ; Épiménide y fut regardé comme un homme chéri du ciel , et on vint le consulter comme un oracle. Il mour
Chypre, fit une statue si belle qu’il en devint amoureux, et pria le ciel de la rendre vivante et sensible. « Grands dieux,
recours à Jupiter, qui daigna prendre pitié de lui, le transporta au ciel , et le fit asseoir à la table des dieux. Mais dan
Chaque oracle avait une manière particulière d’annoncer la volonté du ciel . A Delphes, c’était une prêtresse, appelée Pythie
ersuadés que les Magiciennes (ou Sorcières) exerçaient leur empire au ciel , sur la terre et dans les enfers ; qu’elles pouva
ucalion rappelle le déluge de Noé ; dans les Géants qui escaladent le ciel , on reconnaît les fils des hommes élevant, avec u
battant entre eux ou contre les hommes ; des dieux pauvres, exilés du ciel et obligés d’embrasser sur la terre la profession
13 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
, ne trouvèrent plus d’asile sur la terre ; elles remontèrent dans le ciel , et furent remplacées par tous les vices. On n’éc
ion plus puissante que celle des hommes, on espéra la trouver dans le ciel  ; mais le vrai Dieu n’étant plus connu, les éléme
r aller combattre la Chimère. Ce héros, ayant voulu s’élever jusqu’au ciel , fut précipité, et Pégase placé parmi les astres.
ux motifs, joints à l’éclat de ses actions, le firent élever jusqu’au ciel par les poëtes ; ils en firent un demi-dieu, et d
ette prévoyance les conduisit sans, doute à chercher un appui dans le ciel  ; mais il est probable aussi qu’ils avaient quelq
ance de Minos ; il alla mettre le siége devant la ville d’Athènes. Le ciel lui-même servait sa colère. Une sécheresse extrao
s dieux par ses prières. Une partie de la Grèce fut soulagée, mais le ciel fut d’airain pour Athènes et le reste de l’Attiqu
s assurèrent qu’il n’était pas mort, et qu’il avait été placé dans le ciel parmi les constellations, comme conducteurs du ch
car l’Hercule qu’on adore est un fantôme de grandeur, élevé entre le ciel et la terre comme pour en combler l’intervalle. L
ait. Quelques gouttes échappées de sa bouche blanchirent la partie du ciel que l’on appela depuis la voie lactée. (Amas imme
lactée. (Amas immense d’étoiles qui rend plus claire cette portion du ciel .) Le tonnerre se fit entendre à l’instant de la n
t laissé tomber quelques gouttes du lait de Junon sur cette partie du ciel . De même, les secours qu’Hercule donna à Atlas da
ntre Busiris donnèrent lieu à la fable qu’il l’avait aidé à porter le ciel sur ses épaules. Atlas lui donna en présent les p
lia qu’il avait été reçu parmi les dieux, et qu’à son arrivée dans le ciel il avait épousé Hébé, déesse de la jeunesse. (All
esse. (Allusion à l’immortalité.) Atlas, dit la fable, qui portait le ciel sur ses épaules, sentit fortement le nouveau poid
de Corinthe, et les fables des poëtes finirent par le placer dans le ciel . Ce voyage célèbre eut lieu environ trente années
dans toute son étendue. « L’inceste triomphait sur la terre ; mais le ciel se hâta d’en arrêter le cours. Des lumières odieu
fice semblable rappelle le pigeon qui portait à Mahomet les ordres du ciel , et montre la superstition des hommes qui leur ob
tout ce qui est bas, ce qui est grand, ce qui est petit. Il a fait le ciel , l’air et l’homme qui doit toujours vivre ; et av
t le ciel, l’air et l’homme qui doit toujours vivre ; et avant que le ciel et la terre fussent, ce dieu était déjà avec les
l était leur portier. L’arc-en-ciel était le pont qui communiquait du ciel à la terre ; Hiemdal veillait à ses extrémités po
iemdal veillait à ses extrémités pour empêcher les géans de monter au ciel  ; il dormait aussi légèrement que les oiseaux ; p
ythologie du Nord. Le dieu suprême était regardé comme le créateur du ciel et de la terre. Ce que la mythologie islandaise n
ni zéphyrs rafraîchissans. On ne voyait point de terre en has, ni de ciel en haut ; tout n’était qu’un vaste abîme, sans he
et des fragmens de ses os brisés. Ils firent de son crâne la voûte du ciel , qui est soutenue par quatre nains, nommés Sud, N
t à d’autres feux l’espace qu’ils devaient parcourir, les uns dans le ciel , les autres sous le ciel. Les jours furent distin
e qu’ils devaient parcourir, les uns dans le ciel, les autres sous le ciel . Les jours furent distingués, et les années euren
t ; le loup Fenris, déchaîné, ouvrira sa gueule énorme, qui touche au ciel et à la terre ; le feu sortira de ses naseaux et
es torrens de venin. Dans cette confusion les étoiles s’enfuiront, le ciel sera fendu, et l’armée des mauvais génies et des
réveillent et se rassemblent ; le grand frêne agite ses branches ; le ciel et la terre sont pleins d’effroi. Les dieux s’arm
exhale en mourant. Le feu consume tout, et la flamme s’élève jusqu’au ciel  ; mais bientôt une nouvelle terre sort du sein de
inations et celle de leurs femmes, par leur prétendu commerce avec le ciel , et par leur manière de vivre qui était aussi aus
aucille d’or pour le couper. 3°. Tout ce qui naît tire son origine du ciel . 4°. On ne doit pas confier le secret des science
14 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
sitôt ce fils, déjà irrité de la disparition de ses frères, frappe le ciel , et annihile ainsi d’un seul coup pour toujours s
yrée, fut agité pendant son sommeil par un songe impur, et du haut du ciel laissa tomber sur la terre une écume divine qui d
de la mère des Dieux et la plus sainte, parce qu’elle était tombée du ciel . Pierre sacrée météorite ou d’aimant, elle n’arri
te des Romains lui a donné pour femme, probablement après sa chute du ciel , Entorie, fille d’Icarius et mère de Janus, qu’il
justice, fille de l’Aurore et d’Astérus, roi d’Arcadie, descendit du ciel sur la terre pour ajouter au bonheur des hommes.
ours. Saturne, après un assez long exil sur la terre, remonta vers le ciel , où il fut spécialement chargé de la marche de la
ur et destructeur ; puis il est Chrone, père des Siècles, rejetons du ciel  ; l’époux de Rhée, le générateur primordial ; ens
re d’une nombreuse et illustre famille. Dès que Jupiter eut chassé du ciel son propre père, il fit courber tous les Dieux so
se, et que nous allons maintenant suivre en détail. Un oracle, que le ciel et la terre avaient rendu, ayant prédit à Saturne
comme fils de Jupiter, par une tradition. Entraîné dans la guerre du ciel par ce mouvement courageux qui nous empêche de re
use de Sisyphon, ou peut-être Electre, femme de Dardanus, disparut du ciel vers le temps de la guerre de Troie ; les cinq au
les uns, précipité dans le Tartare, ou, selon les autres, attaché au ciel comme astre. Aussi, quelques historiens en font-i
storiens en font-ils encore un prince astronome fort habile, élevé au ciel par les Dieux, grace à la vive douleur que lui in
me on supposait en Grèce que cet aréopage sacré se réunissait dans le ciel , au-dessus d’une montagne fort élevée de la Thess
reçus pendant les diverses guerres que nous avons vues, fut chassé du ciel et jeté sur la terre. Ce qui nous prouve que chez
ude de Prométhée fut regardée comme un nouveau crime par le maître du ciel , qui fut une autre fois bien plus justement irrit
a pas à Esculape sa rigoureuse et vindicative jalousie : il chassa du ciel Apollon, pour avoir percé de ses flèches les Cycl
st à genoux, père de Mégiste, qui fut changé en ours et placé dans le ciel avec lui, Caucon, Carèthe, Cartéron, Cromus, Décé
e l’Achéron et de la Nuit, elles ne portaient pas d’autre nom dans le ciel , où elles étaient destinées à recevoir les ordres
rer, obtint de Jupiter, son père, que Cassiopée serait placée dans le ciel , et mise au rang des astres : c’est la constellat
leuse prétention à la beauté, lui avaient, tout en la plaçant dans le ciel , donné par dérision, pour trône, une simple chais
une chaîne de cuivre ou d’or, et la suspend avec une enclume entre le ciel et la terre ; il était même si furieux, que Vulca
teuse de lui avoir donné le jour, le précipita, d’un coup de pied, du ciel dans la mer ; cependant on attribue ce coup de pi
rveau de Jupiter en lui fendant la tête. Après avoir été précipité du ciel , il resta long-temps au fond de ses foyers, sans
les coups. Mars ne fut guéri que par les soins d’Hébé et de Péon. Au ciel il se trouva pris avec Vénus dans les réseaux inv
n eut lieu cette institution : lors d’une peste, un bouclier tombé du ciel ayant fait cesser le fléau, la nymphe Egérie préd
hologie scandinave, est tout allégorique : c’est l’air placé entre le ciel et l’enfer, de bon augure quand il est beau, et t
s, et par suite, en Grèce, aux ports. Quand on la considérait dans le ciel éclairant le monde pendant la nuit, on l’appelait
ci en chassant alalit percer sa mère à coups de flèches, les plaça au ciel pour y former les constellations de la Grande-Our
om du Dormeur de Latma, ont prétendu qu’après avoir été admis dans le ciel comme petit-fils de Jupiter, et ayant manqué de r
argé de rendre les oracles du dieu Cœlispex ou la statue regardant le ciel , lesur mont Cœlius à Rome, Comeus ou à la belle c
voir rendu les plus grands services à ses sœurs de lait, fut élevé au ciel par Jupiter et rangé parmi les étoiles dans la co
Bellérophon, enivré de ses victoires, voulut conduire Pégase jusqu’au ciel . Cette audace ne plaisant point à Jupiter, ce maî
Muses de Jules Romain à Florence. Apollon, tout en étant de retour au ciel , revenait donc sur la terre où ses talens lui sus
hasard leur fit rencontrer à Nisa, Apollon qui venait d’être exilé du ciel , le hasard voulut aussi que Marsyas, d’une force
il parcourait la portion d’un cercle que l’on supposa exister dans le ciel , et auquel on donna le nom de Zodiaque ; puis on
servie sur la terre pour purger les hommes avant qu’elle retournât au ciel  ; ensuite il venait dans celui du Scorpion ou oct
us, le fils d’Euphémée et le favori des Muses qui le firent placer au ciel après sa mort. Pendant l’hiver le soleil passait
corda la plus haute considération. A peine Apollon fut-il retourné au ciel que son culte prit sur la terre le plus grand dév
Troyens achetèrent croyant sur parole qu’il l’avait fait descendre du ciel . Cette statue devint ensuite le fameux Palladium
r la manière dont les météores et les phénomènes paraissaient dans le ciel . Cette inspection terminée, les faits étant recue
court le signe du scorpion, obtint de Jupiter qu’il fût placé dans le ciel où il forme une constellation de quatre-vingt-dix
au matin du solstice d’été, le dragon se couche ; puis être chassé du ciel et devenir berger en Thessalie dans le pays des C
u des poètes et de la médecine. Apollon, pendant ses séjours, tant au ciel que sur la terre, eut de nombreuses intrigues : b
Agètes, Agrée ou Argée, Autoque et Nomius. Apollon, à peine exilé du ciel , devint amoureux de la belle Daphné ou Pasiphaé,
des filles d’Apollon : étant morte encore enfant il la plaça dans le ciel sans qu’on sache trop quel rang elle y occupait ;
inaire : aussi, tantôt montant trop haut, ils menacent d’embrasser le ciel  ; tantôt descendant trop bas, ils tarissent les r
pite dans l’Eridan, ce qui fit supposer que ce fleuve coulait dans le ciel . C'est, dit-on, depuis cette catastrophe, que le
ent des vases, se faisait lentement, en contemplant successivement le ciel et la terre et en prononçant un mot mystique mal
tre Vénus, savoir : la Vénus Uranie, ou Néleste, fille d’Uranus ou du ciel et de Dies ou du jour ; la seconde Aphrodite, née
t la plupart des attributs, était généralement reconnue pour fille du ciel et de la mer ; on la disait née de l’écume marine
iste de l’empire Ethérée. Cette union purement politique, eut dans le ciel les tristes résultats qui suivent souvent de pare
i tous les dieux de l’Olympe ; bientôt elle compta pour amant tant au ciel que sur la terre, Jupiter, Mars, Mercure, Apollon
i qu’il en soit, nous verrons ce bel Adonis passer alternativement du ciel aux enfers, des enfers au ciel, et presque toujou
e bel Adonis passer alternativement du ciel aux enfers, des enfers au ciel , et presque toujours delà dans les jardins de Cyp
ment la curiosité exerçait ses malices dans le sombre empire comme au ciel et sur la terre, elle s’attache donc aussitôt à P
t l’amabilité de Vénus au caractère de Proserpine, et les douceurs du ciel aux ennuis des bords du Cocyte, consacra ses quat
t est calme et serein ; sa tête est élevée, et ses yeux fixés vers le ciel  ; quelquefois même elle porte un globe dans une m
66,000 lieues, et quand on voit en plein jour une étoile brillante au ciel , c’est Vénus, à son périgée, c’est-à-dire arrivée
ses, enfanta Eros, et que Vénus l’adopta. Sapho le donne pour fils au ciel et à la terre ; Alcée à Erix ou la discorde, féco
t en eut Mnémosyne déesse de la mémoire, que l’on a vue déjà fille du ciel et de la terre, et qui fut également séduite par
on la regarde souvent comme Calisto, laquelle après son ascension au ciel , sous la transformation de la grande ourse, aurai
e assomption. Cependant on vient de voir qu’elle ne dut pas monter au ciel , puisque Jupiter lui fit épouser Rhadamante, l’un
se faire des habits. Nous avons vu comment la fable le fait monter au ciel  ; mais avant il épousa Léanire dont il eut trois
ux pendant de longues années, puis enfin mourut et fut transportée au ciel où elle brille parmi les astres sous le nom de co
a nymphe Thymbris, ou de Calisto, ou de Mercure, et de Pénélope ou du ciel et de la terre ; il vint au monde avec les cuisse
Mercure qui rit beaucoup, l’enveloppa d’une peau de bête, le porta au ciel et fit rire tous les habitans de l’Olympe auxquel
eur Crottus, qui sous le nom de Sagittaire fut après sa mort élevé au ciel par Jupiter ; les Egipans ses fils ou divinités a
oulant récompenser cette tendre amitié, transporta ces deux frères au ciel , pour y former dans le Zodiaque, la constellation
ppelons maintenant la voie Lactée, tache blanche que l’on aperçoit au ciel et que les anciens regardaient comme la porte du
intes ; un autre jour il atteignit Pluton qui fut obligé de monter au ciel pour se faire guérir par le médecin de l’Olympe ;
vient purifier les restes de ce mortel, que Jupiter élève aussitôt au ciel pour l’agréger au nombre des douze grands Dieux,
cure, Tricephace et Triceps ou qui possède un triple pouvoir, tant au ciel , sur la terre, que dans les enfers ; Trismégiste
tre Mercures, l’un fils de Jupiter et de l’Atlantide Maïa, l’autre du ciel et du jour, le troisième de Bacchus-Liber et de P
digné, le jeta dans la mer. Plus tard, on supposa qu’il fut enlevé au ciel par son père, et placé dans la Constellation du C
er Jupiter qui découvrit qu’il conspirait contre lui, et le chassa du ciel ainsi qu’Apollon, et les condamna, nous l’avons v
t le Dieu des vents, divinités inférieures que l’on faisait enfans du ciel et de la terre, ou à Athènes, d’Astréus et d’Héri
leur chevelure. On prétendit aussi que les Dieux l’avaient enlevé au ciel et placé parmi les constellations sous le nom de
allons dire quelques mots. Cet Océan, comme on le sait, était fils du ciel et de la terre, il régnait sur la mer, les fleuve
aux eaux divines, dans lesquelles ils vont se baigner pour mériter le ciel . On lui donnait pour fille la rivière Tiase en La
que faut-il voir dans cette déesse, vivant ou avec Adonis, ou dans le ciel , ou dans les enfers ? Les savans les plus érudits
eut être considérée comme un de ces astres qui passent tour à tour du ciel placé au-dessus de l’horizon, aux enfers, quand i
re et les mers, il était placé à une égale distance des enfers que du ciel et était environné d’un triple mur d’airain. Là é
éduisait en cendres après la mort ; l’Esprit ou ame qui retournait au ciel , et l’ombre ou manes, appelée aussi Umbrum et Sim
Jupiter la conjuration des Titans réunis pour le détrôner. Le roi du ciel prévint leur complot, et la Victoire le seconda s
lée aussi Erebennis, c’est à dire l’épouse de l’Érebe, était fille du ciel et de la terre, suivant quelques auteurs, ou plus
il pour son père ; aussi, préférant la lumière, il habitait plutôt au ciel qu’aux enfers ; il était le dieu du sarcasme et d
e ; elle était cette déesse malfaisante que nous avons vue chassée du ciel par Jupiter et se venger cruellement en jetant le
à la naissance des hommes ; elle tenait une quenouille descendant du ciel jusque sur la terre et chargée de laine blanche o
ngeresses, alors confondues avec les Dires, furies qui se tenaient au ciel près de Jupiter avec Némésis, Manès ou l’indignat
s lesquelles il perdit la vie. Erynnis avait été forcée de quitter le ciel , parce qu’elle le troublait par ses fureurs : ell
nd qu’alors le Palladium ou petite statue de Minerve vint à tomber du ciel  ; aussitôt Ilos, pour conserver cette relique, fi
dont j’ai refusé l’alliance ; mais va, tes maux ne sont pas finis, le ciel te prépare d’autres malheurs, et tu n’arriveras e
tre à crochet et de plus un croissant, dont la concavité regardant le ciel reçoit un disque jaune et strié, différent, par c
déesses élémens, quelques auteurs ont placé Imuthis ou Imôouth, ou le ciel , ou l’Esculape des Grecs. Après ces dieux et dées
habitans de Benin comme l’être suprême, comme l’invisible créateur du ciel et de la terre, et comme souverainement bon. Ils
nu, Baal coupa Omorka en deux ; alors, la partie supérieure devint le ciel , et la partie inférieure fut la terre. De sa tête
il était fils d’Omorka et de Baal, car il représentait à lui seul le ciel tout entier. Il était le fécondateur par excellen
l entreprit. Il fut navigateur, guerrier et commerçant sur terre ; au ciel , il était le soleil. On le représentait armé d’un
tait un dieu moitié poisson et moitié homme ; il passait pour fils du ciel et de la Terre. Ce fut lui qui montra aux habitan
vais génies, et les Manoucha, ou hommes, et en même temps il forma le ciel pour les dieux, les lieux inférieurs ou Patalas,
accorder, aussitôt Vichnou, dans ces trois pas, embrasse la terre, le ciel et l’enfer. A cette vue, Bali s’avoue vaincu et s
éveloppe ses jambes immenses, mesure d’un pas la terre, de l’autre le ciel , et du troisième va embrasser les enfers. Alors M
u aux trois yeux ; Tripourandaga, ou l’habitant des trois villes : le ciel , la terre et l’enfer ; Vamadeva, ou le dieu nain 
in ; Viroubakcha, ou aux yeux hideux ; Vioma-Gécha, ou le seigneur du ciel . Siva est la troisième personne de la trinité hi
éateur, du conservateur, et du destructeur, j’ai donc fait le tour du ciel et de la terre, ainsi mon voyage est terminé. Ska
nt dit Adiboudha ou le grand Bouddha. Ce dieu homme mort, et monté au ciel tout en venant réhabiliter l’espèce humaine sur l
nous n’indiquerons ici que les plus généralement adorés. Tacki ou le ciel matériel est une divinité rappelant Isis, ou la n
nne le nom de Daïri, ou Kenrei ou de Tensin, c’est-à-dire, de fils du ciel à son grand-Prêtre, qui est aussi honoré que le D
Hemmés, ou de ce premier homme-prophète ; supposa avoir reçu, dans le ciel , cette parole divine, et introduisit dans ces con
e les mauvais génies. Alors surgiront de ce vaste incendie un nouveau ciel et une nouvelle terre, dégagés de toute ombre, de
, et d’entretenir l’harmonie de l’univers. Asman, génie tutélaire du ciel ou le ciel lui-même ; on l’invoque pour aller dan
etenir l’harmonie de l’univers. Asman, génie tutélaire du ciel ou le ciel lui-même ; on l’invoque pour aller dans le Behect
iel lui-même ; on l’invoque pour aller dans le Behecth, ou portion du ciel qu’habite Ormuzd. Barzo, Ized présidant aux rése
aux eaux de pluie et à la terre. Il est sur terre ce qu’est Ormuzd au ciel  ; aussi l’invoque-t-on après lui. Il habite avec
. Ensuite, de ce vaste incendie, sortira un nouveau monde, un nouveau ciel plus parfait que ne le fut l’ancien, et destiné à
teur du genre humain, sorti de l’arbre Rivas. Ce couple, créé pour le ciel , vivait dans la pure innocence, ignorant le mal.
e funeste qui doit venir un jour, suivi des génies du feu, envahir le ciel , briser le pont Brifrost, écraser les Dieux appel
ses dents les pierres, son sang les eaux et les fleuves, son crâne le ciel , ses sourcils la ville du milieu, et sa cervelle
visage brillant était doué d’une sagesse sublime, sa demeure dans le ciel se nommait Breidablik, rien d’impur ne pouvait ap
Forsète, dieu de la paix, de la concorde et de l’amitié, habitant au ciel le palais de Gletner dont le toit est d’argent et
arde du pont Bifrost, ou arc-en-ciel, placé à l’entrée de la ville du ciel , était confiée à Heindal. On lui donnait la vue s
ra à la fin des siècles lorsque les enfans de Muspell escaladeront le ciel . Alors Heimdall succombera malgré le pouvoir de s
après l’infidèle Frigga. Au bout de dix ans, Odin, consolé, revint au ciel et chassa Mithothin et ses adhérens. Modgoudour,
esfelgr, géant terrible, habitant vers les limites septentrionales du ciel . Il a des ailes d’aigle d’une envergure si large,
al, et elle préside à la mort. Elle fut, dit la tradition, chassée du ciel , à cause de sa méchanceté. Elle devint la reine d
aïa, principe bienfaisant de la Californie, passe pour le créateur du ciel et de la terre ; mais bientôt Touparan, ou le pri
prières, réalisait leurs désirs, et habitait dans une grande ville du ciel avec son épouse, Omécihuati, dont la fonction éta
il donne la mort à tous les êtres vivans. Gouénoupillan, ou l’ame du ciel , est l’être suprême des Araucaniens. Sous lui app
. Tarra, son épouse, le rendit père de Po, ou la nuit ; de Arié ou le ciel  ; d’Avié ou l’eau douce ; d’Alié ou Temide ou la
e. Après la naissance de tous ces enfans, Tane et Tarra quittèrent le ciel pour habiter la terre, excepté Taunou. Les Tavid
487, 489, 489. Lumière (la), 3. Lundi, 378. Lune (la), ou la Diane du ciel , 4, 4, 33, 73, 79, 80, 378, 385, 395. Lunus, 84,
15 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
re appelé Prætus. Après sa mort, les Dieux placèrent ce Héros dans le ciel parmi les constellations septentrionales avec And
elle désola le royaume, l’oracle consulté de nouveau, répondit que le ciel ne s’appaiseroit que lorsque le meurtrier de Laïu
dans la terre, il disparoît, la terre se referme, se raffermit, et le ciel redevient serein4. Après la mort d’Œdipe, Etéocle
é sur le mont Caucase. Il soulagea Atlas qui ployoit sous le poids du ciel dont ses épaules étoient chargées. Il sépara les
llon, réduit à garder les troupeaux se retira lorsqu’il fut chassé du ciel . Admète ayant voulu épouser Alceste fille de Péli
tous se tournèrent vers l’orient, les yeux attachés sur la partie du ciel d’où le soleil devoit sortir, un seul regardoit v
te d’Até, Déesse malfaisante, autre fille de Jupiter, qui, chassée du ciel , ne songe qu’à nuire aux hommes. Les Prières cher
anza in dio sicura S’alzar volando alle celesti spere Come va foco al ciel per sua natura45. La Gerusalemme Liberata.
aînoit par les cheveux un jeune garçon, qui tendoit les mains vers le ciel . Devant elle marchoit une figure hydeuse qui avoi
les bras ensanglantés, Homère dit que Jupiter chassa la Discorde du ciel parce qu’elle y causoit d’éternelles brouilleries
nité infernale fille de l’Erèbe et de la Nuit. La Nuit étoit fille du ciel et de la terre, elle épousa l’Acheron dont elle e
e, la tête rayonnante, couronnée de lauriers, les yeux élevés vers le ciel , tenant d’une main un verre ardent qu’elle échauf
ans le sein, et un compas rompu à ses pieds. L’Hypocrisie. Le ciel est dans ses yeux, l’enfer est dans son cœur.
pérance, s’élèvent aux célestes sphères, comme le feu s’élève vers le ciel par sa propre nature. 46. Le Tmolus, montagne de
16 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
, chaque vice avoit des temples sur la terre et un protecteur dans le ciel . Les brigands même, les voleurs de grand chemin,
que le hêtre. Jupiter partagea le monde avec ses frères ; il garda le ciel , donna l’empire des eaux à Neptune et celui des e
s un chêne vert, etc. Il ne pouvoit faire divorce. Jupiter, maître du ciel et de la terre, n’avoit point créé les hommes, au
ndit aux Troyens qui crurent sur sa parole que cette statue venoit du ciel . D’autres prétendoient que cette statue descendue
e venoit du ciel. D’autres prétendoient que cette statue descendue du ciel , s’étoit placée elle-même dans un temple de Miner
le est le nom qu’on donna à un bouclier que Numa assura être tombé du ciel et à la conservation duquel il prétendit qu’étoit
e parce que cette plante étoit révérée comme ayant renfermé le feu du ciel dérobé par Prométhée. Quelques auteurs disent que
la bière et délioit la vestale ; le pontife levoit les mains vers le ciel et adressoit aux Dieux une prière secrète. Ensuit
n seule, qui, honteuse de le voir si malfait, le précipita du haut du ciel , ce qui le rendit boiteux. On conte différemment
que cependant, par le crédit de Bacchus, Vulcain fut rappelé dans le ciel où il s’étoit bâti un palais d’airain parsemé d’é
quelle Jupiter foudroya Esculape. Cette action fit chasser Apollon du ciel  ; ce fut pendant cet exil qu’il se retira chez Ad
s’appeloient : Eunomie, Irène et Dicé. Elles gardoient les portes du ciel . Elles eurent des temples. Les Athéniens célébroi
17 (1866) Dictionnaire de mythologie
n mort, et le lendemain on dit qu’il est ressuscité et on l’envoie au ciel . » Nous remarquerons plus d’une fois, dans la su
oserpine. Enfin, il renaît plus jeune et plus souriant ; il rentre au ciel en conquérant. Vénus revient auprès de son bien-a
s idées que les modernes. Atlas. Dans les idées des anciens, le ciel étant une voûte solide, qui tournait sur nos tête
épandront les flammes du jour, pour chasser devant eux les étoiles du ciel , nous, reprendrons, mon cher Télémaque, l’histoir
r de Abondance, dont nous naquit Amour, ce noble enfant, médiateur du ciel et de la terre. » Quelle admirable mythologie !
t la géographie. L’Olympe reste en possession de soutenir la voûte du ciel , tant qu’ils ne connaissent pas de montagne plus
x-arts. Selon les plus anciennes traditions, elles sont les filles du ciel , qui nous les envoya pour adoucir les maux de not
Palladium. Les Palladium étaient des images sacrées tombées du ciel , et à la conservation desquelles le salut des vil
lexandre, ils la transforment en un grand drame qui a pour théâtre le ciel et la terre, et où les dieux interviennent pour p
Ne voulant pas qu’une si belle demeure restât inhabitée, il déroba au ciel le principe de la vie et le communiqua à un morce
cipe de toute existence et de toute végétation. Prométhée l’enleva au ciel et l’apporta sur la terre. C’était peu de lui avo
’emploi des breuvages salutaires. Cependant Jupiter, oisif au fond du ciel , suivait d’un œil jaloux et inquiet les progrès d
les moyens de la satisfaire. — S’il lui prenait envie d’escalader le ciel et de détrôner les dieux pour se mettre à leur pl
18 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
Les jardins de Pœstum, où la rose en tout temps Fleurit sons un beau ciel , demeure du Printemps ; Côtoie et Leucosie et l’î
jour fuit, l’éclair brille, et le tonnerre gronde ; Et la terre et le ciel , et la foudre et les flots, Tout présente la mort
Tel un trait de lumière Des sept couleurs d’iris peint les voûtes du ciel . Le monstre doucement s’approche de l’autel, Parm
mense. Ouvrage d’Archimède, un globe est en suspens Dans l’air, qu’un ciel de verre emprisonne au dedans. Sphérique en ses c
nomie. Les Heures naquirent au printemps. Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil. On l
On appelle l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et vint habiter la terre. Enchantée de l’innocenc
ais voyant leurs mœurs s’altérer dans l’Age d’Argent, elle remonta au ciel . Sa retraite fut suivie des vices de l’Age d’aira
mère ; Et par ces doux tableaux, à ton pays rendu, Ton cœur revoit le ciel que tes yeux ont perdu, O combien la mémoire a d’
  Venez : transportons-nous dans ces belles contrées, Des rayons d’un ciel pur en tout temps colorées : Déjà l’air est plus
vec elle. Provence fortunée, asile aimé des cieux, Que j’aimerais ton ciel , ton délire et tes jeux ! Le même 104. Lever
eurs tombeaux ; Dût le Parthe vengeur me trouver sans défense, Dût le ciel égaler le supplice à l’offense, Trône, à t’abando
tir ; Il vaut mieux mériter le sort le plus étrange. Tombe sur moi le ciel pourvu que je me venge. La même à Antiochus, aprè
oureuse Revient à chaque instant se placer sur mon cœur.          Le ciel veut que je te survive, Cher enfant ; mais jamais
ls, lui conseilla d’aller consulter Protée pâtre de Neptune, à qui le ciel révélait tous les secrets. Ce Dieu apprit à Arist
r des entrailles de ses victimes un essaim d’abeilles. Ce bienfait du ciel le consola de ses pertes. Il est particulièrement
crimes. Mais quoi ! quelle vapeur vient obscurcir les airs ? Grace au ciel , on m’entr’ouvre un chemin aux Enfers ! Descendon
ux, Ordonne à l’Aquilon de leur livrer la guerre, Et rend la terre au ciel , et le ciel à la terre.    La mer calme ses flot
à l’Aquilon de leur livrer la guerre, Et rend la terre au ciel, et le ciel à la terre.    La mer calme ses flots ; l’humide
sur les flots élevant son trident, Trois fois ose braver les feux du ciel ardent, Et trois fois suffoqué se replonge dans l
suivi ton essor téméraire, » Il est beau de tomber, quand on tombe du ciel  ». Ovide — Desaintange 157. Dédale. Athé
r toujours, Fais-moi mourir, ingrat ! sans exposer tes jours. Vois ce ciel orageux, cette mer menaçante ! Perfide ! est-ce l
Tu te crus trop heureuse, et tu cessas de l’être.    L’interprête du ciel , l’organe de ses loix, Manto sort de son temple,
indulgent attiédit son haleine, Au sein d’un doux abri peut, sous ton ciel vermeil, Avec tes orangers partager ton soleil, R
dit : voici les lieux de l’éternelle paix ! Ces beaux lieux ont leur ciel , leur soleil, leurs étoiles ; Là, de plus douces
rs voiles ; Là, pour favoriser ces douces régions, Vous diriez que le ciel a choisi ses rayons. Tantôt ce peuple heureux, su
n ami sûr, Et vit indépendant sous le toit de ses pères ! Pour lui le ciel se peint d’un éternel azur ; L’innocence embellit
auvre et sans appui, Il se vit dédaigné de ses parens avares. Sous un ciel rigoureux, chez des peuples barbares, Il résolut,
ment ; Et d’un amour si rare admirant la constance, Il rend graces au ciel qui créa l’Espérance. J. B. de Saint-Victor 256.
19 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
Dea d’ogni umano sapere. Cap. XI. Venere Sonetto D el ciel figlia, e del mar possente, e bella, Madre d’ogni
piacer, madre d’amore, Fonte d’immense grazie, e dolce ardore, Che in ciel non fù chi somigliasse ad ella. Febo, e Marte pro
siem Diana detta, Allor che notte al viator sovrasta Luna nomata è in ciel bella, e perfetta. Negli abissi tien reggia orren
irabil potere. Suo potere e suoi nomi. Essa qual celeste divinità dal ciel tramandava i suoi benefici influssi, e co’suoi ra
troppo severa Par che a figli togliesse ogni speranza, Ebbe primo nel ciel divina stanza Quando formò de’ Dei la vasta schie
non è mai muto, Apre la bocca ognor di sangue lorda Per bestemiare il ciel , eccovi Pluto. Dichirazione, e sviluppo Mi
tesso. Col guardo a terra timido, e dimesso, Non osa alzarlo verso il ciel sereno, Ogni raggio del Sol gli par baleno, Mira
m serena Fà la gioia de’ cambi, ed è funesta Ove si volge par, che il ciel balena Premio, e tormento all’uom l’estade è ques
sempre rüine. Corrono gonfii fiumi a lui da presso, Sembra coverto il ciel da buio eterno, Ne par, che sïa il respirar conce
n fugge Cou più scelte cose Più gioia non v’è. Gettando vi va. Al ciel si ricorre Ma cresce la fiamma Con alma dispost
plora la sua mandra tradotta via da una furiosa tempesta. Torvo il ciel di nubi carco Ma il flagel comun vedea Strepita
enuta del Verbo in Carne, siccome molte statue non sò in che modo dal ciel percosse caddero nel Campidoglio, e si disfecero,
20 (1880) Lezioni di mitologia
’altra parte Volan dardi, cagion di pianto alterno. D’ambo la voce al ciel stellato arriva E della zuffa l’ululato; e Giove
paventa. Non temer, che quel dio vero e soprano, Ch’ha lo scettro del ciel , mai gliel consenta Quel dio, che con la sua sicu
i gliel consenta Quel dio, che con la sua sicura mano Il tremendo dal ciel folgore avventa. Non fuggir, ninfa, a me, che son
l ciel folgore avventa. Non fuggir, ninfa, a me, che son quell’io Del ciel signore, e folgorante dio. Fugge la bella ninfa,
erra L’han generata, riguardando intorno. Del marito ha timor, che in ciel non vede, E conosce i suoi furti e la sua fede.
Laddove giunta, prostrata sul lito, Sol col volto e con gli occhi al ciel s’eresse, E con un sospirar, con un muggito, Che
dubbiosa sotto voce a dire; E poi che’l caso suo conobbe espresso, Il ciel ringraziò del buon successo. » Metamorfosi, lib
schiere insegni: O belle agli occhi miei tende sabine: Ahi, voglia il ciel che nuova preda ai vostri Penati io venga, e del
. Quasi dessa non pargli, e al par sorpreso Di lei, di se: Tu qui dal ciel ? domanda, Compagna amata, e che ti guida? — sposo
gno: in te rispetto. Adoro in te quanto d’augusto e caro Può darmi il ciel ; tu mia delizia e vanto; Sposo insieme e german,
ti ovunque il corso Volga, sopra la terra, o sopra il mare. Va per lo ciel rapidamente a volo. Indi prende la verga onde ha
è sorella Alle Pleiadi la madre, ed avo Atlante, Quel potente che il ciel sostiene e i numi Sull’eguale cervice, ed ho per
a alcuno ordin dispensa Su tutti i figli. Le livide braccia Inalza al ciel dall’infelice amplesso, E grida: Del dolor nostro
ivenne: Io questo sol ti negherei, se fosse II non darlo permesso: il ciel non vuole Ch’io ti sconsigli. Ah tu. Fetonte, ign
min: lo vince appena Il recente vis^or d’Eto e Piroo: Altissima è del ciel mezzo la via: Sempre nuovo terror mi scote il pet
e ove si vede Certi vestigi delle nostre rote. Perchè la terra con il ciel divida Egual calore, il sommo evita e l’imo: Sicu
cia Il pallido nocchiero al vento, ai voti, Che si faccia non sa: del ciel gran parte A tergo stassi, e più davanti: i lumi
onte oppose, e disse L’universo scotendo: O Giove Padre, Che fanno in ciel le tue saette? Almeno Col tuo fuoco perisca, e il
ore a Giove Le minacele e i comandi. A lui diceva Marte il primo: dal ciel che rechi? a questo Cielo, alle nevi mie, certo n
anelar sembra nel corso, I penetrali delle sacre cose Apritemi, e del ciel vostro i secreti, E narrate con qual face l’amore
civile tromba Empie insegne sollevi, onde ai profani Giganti sian del ciel le strade aperte? Dimanda a Giove una consorte, e
onte la riva. — O tu d’Atlante Tegeo nipote, deità comune A Dite e al ciel , che l’una e l’altra soglia Puoi varcar solo, e c
dritto, dei fratelli il più crudel? Non tolse La rea fortuna a me col ciel le forze E l’armi? forse oppresso e vii mi stima
ò Cibelle Dai recessi, e volgea le prone torri Ai baci della dea. Dal ciel mirava Giove gli eventi, e a Citerea rivela Gli
, e con qual legge avea Vinta natura la discordia antica. Il fuoco al ciel salì per sua natura, E la terra piombò nel mezzo,
i rispose Cibele: I detti tuoi disperda il vento: Non sì gli ozii del ciel Giove avviliro Che alla difesa di cotanto pegno I
ire ad Evandro. « Saturno il primo fu che in queste parti Venne, dal ciel cacciato, e vi si ascose; E quelle rozze genti, c
mmassa, E in Lenno scende alla tremenda pena Accinta: l’accompagna il ciel coi nembi E con luce sonora: accresce il Padre Co
21 (1800) Cours de mythologie pp. -360
Tel un trait de lumière Des sept couleurs d’iris peint les voûtes du ciel . Le monstre doucement s’approche de l’autel, Parm
nomie. Les Heures naquirent au printemps. Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil. On l
On appelle l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et vint habiter la terre. Enchantée de l’innocenc
ais voyant leurs mœurs s’altérer dans l’Age d’argent, elle remonta au ciel . Sa retraite fut suivie des vices de l’Age d’aira
mère ; Et par ces doux tableaux, à ton pays rendu, Ton cœur revoit le ciel que tes yeux ont perdu, O combien la mémoire a d’
  Venez : transportons-nous dans ces belles contrées, Des rayons d’un ciel pur en tout temps colorées : Déjà l’air est plus
vec elle. Provence fortunée, asile aimé des cieux, Que j’aimerois ton ciel , ton délire et tes jeux ! Le même 102. Nymp
leurs tombeaux. Dût le Parthe vengeur me trouver sans défense, Dût le ciel égaler le supplice à l’offense, Trône, à t’abando
tir ; Il vaut mieux mériter le sort le plus étrange. Tombe sur moi le ciel pourvu que je me venge115. La même à Antiochu
se Revient à chaque instant se placer sur mon cœur.               Le ciel veut que je te survive, Cher enfant ; mais jamais
s, lui conseilla d’aller consulter Protée, pâtre de Neptune, à qui le ciel révéloit tous les secrets. Ce Dieu apprit à Arist
r des entrailles de ses victimes un essaim d’abeilles. Ce bienfait du ciel le consola de ses pertes. Il est particulièrement
tourbillons, Ne suivent plus du char les écarts vagabonds. Alors, du ciel en feu, l’effroyable incendie Noircit les habitan
n ami sûr, Et vit indépendant sous le toit de ses pères ! Pour lui le ciel se peint d’un éternel azur ; L’innocence embellit
22 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
del ferro. Il ver, la fede e ogni bontà dal mondo Fuggiro, e verso il ciel spiegaro l’ali, E in terra usciro dal tartareo fo
i de’ mortali ; E le pure virtù, candide e belle, Gîro a splender nel ciel fra l’ altre stelle. Un cieco e vano amor d’ onor
nde lo stesso poeta nel Trionfo della Divinità : Da poi che sotto ’l ciel cosa non vidi Stabile e ferma, tutto sbigottito M
ti ovunque il corso Volga, o sopra la terra o sopra ’l mare Va per lo ciel rapidamente a volo. Virgilio, Encide, lib. IV.
pariscono quali genii o fanciulli alati. 173. Cupido o l’Amore, che’l ciel governa (Dante, Parad. c. I) detto dai poeti figl
. Mostri di cader col capo innanzi fitto in un’ ombra più folta, e ’l ciel d’intorno sia d’azzurro più carico, e sparso di m
sti le fatiche altrui. Crescete, erbette e fior, crescete lieti, Se’l ciel benigno a voi giammai non neghi Tepidi soli e tem
iche madri, e, il fero ingegno Mansuefatto e il barbaro costume, Del ciel cangiato si godean superbe. Ed essa, la gentil Ni
iva appieno Quel, ch’ i’ vo’ dir in semplici parole ? Era dintorno il ciel tanto sereno, Che per tutto ’l desio ch’ardea nel
r udire orecchi. Vola di notte per l’oscure tenebre Della terra e del ciel , senza riposo Stridendo sempre, e non chiude occh
Eterno : Libertà che alle belle alme s’apprende, Le spedisti dal ciel , di tua divina Luce adornata e di virginee bende 
o figliuol di Giove. Noto a Giuno superba, il divin germe Godea del ciel sereno, E col fratei posava in crocei veli : Ma l
ti nodi Disgroppar con le man tentava indarno, E d’orribili strida il ciel feriva, Qual mugghia il toro, allor che dagli alt
suri. Lieti favor non durano, Benchè ad alcun ne mandi Gran copia il ciel propizio. Nullo a gran vanti ascende Senza travag
23 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXX. Stato delle anime dopo la morte, secondo la Mitologia » pp. 216-231
Caro, e in nota i versi stessi del poeta latino : « Primieramente il ciel , la terra e ’l mare « L’aer, la luna, il sol, qua
esci, « E ciò che vola, e ciò che serpe, han vita, « E dal foco e dal ciel vigore e seme « Traggon, se non se quanto il pond
24 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
udice risiede Nel formidabil regno di Acheronte, Eaco dal re ch’ha in ciel la maggior sede, Trasse il sembiante dell’umana f
a corona al bel crin tolse ; Ed a farla immortal rivoltò il zelo : Al ciel ver quella parte il braccio sciolse Onde settentr
arte il braccio sciolse Onde settentrion n’apporta il gelo ; Prese al ciel la corona il volo, e corse Ver dove Arturo fa la
o, e corse Ver dove Arturo fa la guardia all’ Orse. L’aurea corona al ciel più ognor si spinge E di lume maggior sè stessa i
pestre Peso, le membra e ognun fatica e scaglia : Tre volte all’arduo ciel diero la scossa Sopra Pelio imponendo Olimpo ed O
Larissea, Che la beltà restar fatta avria nulla Di qual si voglia in ciel superba dea. La vede il corvo un di che si trastu
tutta Desiata e ricerca……. …… A questa il mio paterno Oracolo, e del ciel molti prodigi Vietan ch’io dia marito altro ch’es
ro ch’esterno, D’esterna parte (tal d’Italia è ’l fato) Un genero dal ciel mi si promette, Per la cui stirpe il mio nome e ’
rese carche di spavento, Giusta cosa mi par che ’l suo gran lume, Nel ciel risplenda e sia celeste Nume. Ovidio — Metamorfo
accomplis : Et je meurs par les mains, quand je retruove un fils ! Le ciel est juste. Voltaire — Eriphile — Tragedie Acte V
r udire orecchi, Vola di notte per l’oscure tenebre De la terra e del ciel senza riposo. Stridendo sempre, e non chiude occh
e natura. Il ver, la fede e ogni bontà dal mondo Fuggiro, e verso il ciel spiegaro l’ali, E ’n terra usciro dal tartareo fo
etti dei mortali, E le pure virtù candide e belle Giro a splender nel ciel fra l’altre stelle Ovidio — Metamorfosi — Libro
facella. E per l’aria all’ingiù gran tratto spinto, Sembra quando dal ciel cade una stella. …………… Lontan dalla sua patria il
ncheggiata dalle dimore degli dei più potenti. Una splendida via nel ciel riluce : Candida si, che del latte s’ appella : L
l ciel riluce : Candida si, che del latte s’ appella : La nobiltà del ciel vi si riduce, La plebe alberga in questa parte e
i due famosi Tindaridi, Castore e Polluce. Il fratel racquista, e in ciel si annida. Ove a vicenda or l’uno, or l’altro sie
lpestre Peso le membra, e ognun fatica e scaglia, Tre volte all’arduo ciel diero la scossa. Sovra Pel o imponendo Olimpo ed
Indi rivolio Lo sguardo al mar, vedemmo un’onda enorme. Che tanto al ciel s’alzava, che la vista Delle Scironie rupi ne imp
sti nodi Disgroppar colle man tentava indarno, E d’orribili strida il ciel feriva, Virgilio — Eneide — Libro II. trad. di A
25 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLVI. Giasone e Medea » pp. 342-489
che lo sguardo m’indulse, « Del bel nido di Leda mi divelse, « E nel ciel velocissimo m’impulse. » L Minosse re e leg
ricorda il ratto : « In sogno mi parea veder sospesa « Un’aquila nel ciel con penne d’oro, « Con l’ale aperte ed a calare i
disse lui « Ch’ei fu dell’alma Roma e del suo Impero « Nell’empireo ciel per padre eletto. » Ma poichè noi troviamo ad un
Ode delle Nemee : « Noto a Giunon superba il divin germe « Godea del ciel sereno, « E col fratel posava in crocei veli : « 
26 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — VI. Il regno, la prigionia e l’eŚilio di Saturno » pp. 28-30
25. « Morir non puote alcuna Fata mai, « Finchè ’l sol gira, o il ciel non muta stile. » (Ariosto, Orl. Fur., c. x.)
27 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XI. Giove re del Cielo » pp. 55-59
ta v’attaccate, o Divi, « E voi Dee, e traete. E non per questo « Dal ciel trarrete in terra il sommo Giove, « Supremo senno
28 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XIX. La Dea Triforme cioè Luna in Cielo, Diana in Terra ed Ecate nell’Inferno » pp. 115-122
lenilunii sereni « Trivia ride tra le ninfe eterne « Che dipingono il ciel per tutti i seni, ecc. (Parad., C. xxiii, 25.)
29 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XII. La Titanomachia e la Gigantomachia » pp. 60-68
da lui invocato come una divinità : « O gran padre Alighier, se dal ciel miri « Me tuo discepol non indegno starmi, « Dal
30 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLI. Perseo » pp. 309-316
famiglia, « E chi a finestre e chi fuor nella via, « Tener levati al ciel gli occhi e le ciglia, « Come l’ecclisse o la com
31 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVII. Apollo considerato come Dio del Sole, degli Arcieri e della Medicina » pp. 92-103
aettava il giorno « Lo sol ch’avea colle saette conte « Di mezzo ’l ciel cacciato il capricorno. » (Purg., ii, 55.) 1
32 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
precipitò nel Po, ovvero Eridano, come quel fuoco scintillante che a ciel sereno vedesi di notte trascorrere per l’aria(1).
el vino, dice : Sì bel sangue è un raggio acceso Di quel Sol che in ciel vedete, E rimase avvinto e preso Di più grappoli
segno. Ed il dimani fattosi il popolo innanzi alla reggia di Numa, a ciel sereno tuonò tre volte e tre volte balenò, e con
ovunque il corso Volga, o sopra la terra, o sopra il mare, Va per lo ciel rapidamente a volo. Indi prende la verga, ond’ha
pra il capo le stette, e d’oro un filo Ne svelse e disse : Io qui dal ciel mandata Quest’a Pluto consacro, e te disciolgo Da
33 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
za) a te dolenti Alzan la voce, e chieggono vendetta. E la chiede dal ciel la luna e il sole E le stelle non più rapite in g
34 (1897) Mitologia classica illustrata
lazione; così l’ apparire di Orione nell’ estate al primo mattino nel ciel d’ oriente e il subito suo impallidire al sorgere
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