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1 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
elles ! Tu donnes l’ame à mille êtres divers. L’Aube naissante est le char de l’Aurore ; L’Onde est Thétis qui règne sur les
t dans les airs, Quand les vents font rouler au milieu des éclairs Le char retentissant qui porte le tonnerre, Ton disque ou
en jeune homme parfaitement beau, assis ou sur un tonneau, ou sur un char traîné par des Tigres, des Lynx ou des Panthères,
Entrée de Bacchus dans Athènes.    Venu des bords du Gange, où son char conquérant Porta ses lois, son culte et sa gloire
ment égayés Par les vapeurs du vin où ses sens sont noyés.     Sur un char attelé de panthères agiles, De lynx obéissans et
ptune était celui d’Eubée. On le représente armé d’un trident, sur un char en forme de coquille, traîné par des chevaux mari
s coursiers aux crins d’or, armés de pieds d’airain. Il monte sur son char et fend le sein des ondes ; La baleine sortant de
uverain des eaux ; La mer se réjouit et sépare ses flots. L’essieu du char divin, dans sa course rapide, Effleure le crystal
insi l’ancre s’attache où paissaient les troupeaux, Ainsi roulent des chars où voguaient des vaisseaux, Et le monde vieilli,
d’ébène sur la tête, la clé du séjour des morts à la main, et sur un char traîné par des chevaux noirs.    Les Titans ench
l’horreur De l’Enfer ébranlé par leur vaine fureur ; Il monte sur son char qu’Alecton lui prépare ; Il vole en un instant ve
Bellone, sa sœur, qui préside également aux combats, lui attelait son char et ses chevaux. Elle porte un casque sur sa tête,
              Et la mort ses flambeaux.    Français, reconnaissez le char de la Victoire ; Aux armes, citoyens ! il faut te
e fut plus entendu Ni le bruit du marteau, ni le cri de la scie ; Les chars ne roulent plus sur la terre durcie. Par-tout un
i venait de naître. Dans les triomphes, on la suspendait au-dessus du char , pour préserver le triomphateur des prestiges de
Voyez, amis, dans ce vaste salon, Voyez errer sa jeune impatience. Un char étroit forme et soutient ses pas Sur des rouleaux
ée de fleurs, tantôt entourée de bêtes sauvages, tantôt assise sur un char traîné par quatre lions. Ses Prêtres, nommés Gall
e tendre ! Les Grecs, dans leurs doctes chansons, La plaçaient sur un char traîné par deux lions. Sans base, au sein des air
oyens. Son plus beau Temple était à Carthage. On la représente sur un char traîné par des paons, avec un de ces oiseaux aupr
le Ciel, (Voy. Nuit.) Hécate aux Enfers. Elle est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à la main, un
nt le cortége de la Déesse. Des Cygnes ou des moineaux traînaient son char . Rien de plus séduisant que sa cour, mais rien de
Et sème de corail les courans fortunés Qu’en glissant sur les eaux le char a sillonés. Vous, filles de Thétis, de vos grotte
me à fixer sa cour ; Elle n’a point de plus riant séjour : Jamais son char ne quitte l’Empirée, Sans aborder à ce rivage heu
. Proserpine a quitté la cour Du sombre époux qui l’a ravie ; Le même char qui l’entraîna A travers la flamme et la cendre,
la remplaça dans sa fonction. Hébé avait aussi l’honneur d’atteler le char de Junon. Elle épousa dans la suite Hercule, admi
la naissance du matin, elle ouvrait les portes du Ciel et attelait le char de Phébus. Assise elle-même sur un char de vermei
portes du Ciel et attelait le char de Phébus. Assise elle-même sur un char de vermeil, elle précédait la marche pompeuse de
ore, d’éclairs couronnée, Dans les champs obscurcis des cieux, Sur un char d’incarnat traînée, Porte ses regards radieux. Du
ntemps. Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil. On les représente soutenant des Cadran
trente portes de vermeil Conduisent aux douces demeures Qu’éclaire le char du Soleil. Toujours nouveau, toujours semblable M
pus d’ambrosie, abreuvés de nectar, Avec ordre rangés les attèlent au char . Ovide. —  Desaintange 94.    Dans ce beau pal
ir est plus frais : Phébus vers l’Occident Précipite sa course et son char moins ardent. Les mobiles sillons de sa pourpre b
eptre de plomb, à la main, parcourant silencieusement le Ciel, sur un char d’ébène, après le coucher du Soleil.    Les ombr
oiles Brunit l’azur du firmament : Les songes traînent en silence Son char parsemé de saphyrs ; L’Amour dans les airs se bal
s la surface des mers. Bernis 122.    Aux champs des airs, vois ce char emporté Par des coursiers que guidé une Déesse :
; C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il habite, Atteler à son char les monstres d’Amphitrite. Pallène est sa patrie 
s un repas. Après s’être souillée de ces crimes, elle se sauva sur un char traîné par des dragons ailés. Le divin chantre de
, impitoyable mère, Sur ses propres enfans se venge de leur père. Son char ailé l’emporte aux remparts de Pallas, Où vous, j
ncha 1a vie, et porta son cruel ressentiment jusqu’à l’attacher à son char , et à le traîner trois fois autour des murailles
t coupable, il ne fut que trop exaucé. Hippolyte se promenant dans un char sur les bords de la mer de Trézène, un monstre ma
u frein, et traînèrent le malheureux prince à travers les rochers. Le char se fracassa et Hippolyte périt. Phèdre ne put rés
u Ciel, aidé de Minerve, il présenta un flambeau à l’une des roues du char du Soleil, et anima son ouvrage. Jupiter irrité l
qui la lui contestait, Phaëton obtint de son père la conduite de son char pendant un jour. A peine fut-il élevé sur l’horis
ëton, qui tomba du Ciel dans les eaux de l’Eridan.    Phaëton sur le char s’élance plein de joie, Saisit avidement les rêne
s nuages mouvans, Et de leurs pieds ailés ils devancent les vents. Le char léger de poids sent qu’il n’a pas son guide ; Et
flotte une barque vide, Jouet mobile et vain du caprice des mers, Le char saute, ressaute, et bondit dans les airs. Des che
drait, heureux d’un destin plus vulgaire, N’avoir jamais monté sur le char de son père ! Qu’il voudrait de Mérops être appel
eur brûlante, Semblable à l’air qui sort d’une fournaise ardente : Le char brûle lui-même, il le sent s’échauffer. Sans hale
mée. Emporté dans l’amas de ces noirs tourbillons, Il ne voit plus du char les écarts vagabonds. Alors le sang brûlé de la r
africaine Répandit sur son teint la couleur de l’ébène ; Trop près du char de feu, la Lybie en ce temps Vit en sables désert
« Repose, Phaëton, ton nom est immortel. » Tu voulus t’élever sur le char de ton père ; » Si ta chûte a suivi ton essor tém
avec douleur ta mourante paupière.    Bientôt Phébé, du haut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté
sur ma vue.) Dans un chemin étroit je trouvai deux guerriers, Sur un char éclatant que traînaient deux coursiers, Il fallut
ma main furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueuse : Loin du char à l’instant ces guerriers élancés Avec fureur sur
mable, et Thisbé jeune et belle…    Le soir vient : dans les mers le char trop lent du jour Se replonge, et des mers la nui
son temps, un tombeau superbe, surmonté d’une pyramide qui portait un char de marbre attelé de quatre chevaux. Ce beau monum
assacré, Thèbes, sa capitale, aux feux abandonnée ; Et ma mère, à son char , en esclave traînée ! Hector, mon cher Hector ! t
ur des combats, suivi de la Victoire, Il entende le peuple, autour du char guerrier, Par-tout sur son passage à la fois s’éc
malicieux, Et tous de s’écrier : debout : allons, vieux père ? Sur un char couronné de pampre et de lière, Bacchus paraît en
e sacrée, Dirige les nochers égarés sur les flots ! Il dit, et de son char il s’élance à ces mots, De peur que son esprit, f
Argos, Cygnus, fils de Neptune, en a moissonné mille. Achille sur son char , l’impitoyable Achille, Renverse devant lui des b
année. Il pousse ses coursiers animés par sa voix, Et debout sur son char  : Guerrier, qui que tu sois, Console-toi ; tu meu
blessure. Le sang de Ménétès a rougi son armure.    Il saute de son char , et l’épée à la main, Attaque de plus près son en
nous verront encore. Par un même intervalle éloigné de deux mers, Le char du Jour embrase et les champs et les airs ; Suspe
à Hector le baudrier, qui servit dans la suite à lier son cadavre au char d’Achille. Après la mort du fils de Pélée, il dis
as précipités des coursiers pleins de cœur Ont fait voler au loin les chars dans la carrière ; L’aiguillon mord leur flanc, r
erté de Mars. Ils s’élancent : bientôt, emportés dans l’espace, Leurs chars semblent voler aussi prompts que les vents, Et le
N’y songe point, mais songe à mille autres rivaux            Que ton char a laissés derrière. » Lebailly 235. Jeux Pyt
l’honneur, Signalant non adresse, ainsi que sa vigueur, Court sur un char rapide, ou lutte dans l’arène. Le vainqueur autre
palais. Dans ces lieux Salmonée expiait ses forfaits : Sur un superbe char dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la main
uvrage en poudre, Et le monarque impie, enveloppé d’éclairs, Avec son char brûlant tomba dans les Enfers. Virgile. —  Lefra
Là, des coursiers sur l’herbe errant paisiblement ; Des armes et des chars le noble amusement, Ont suivi ces guerriers sur c
nes déployant leurs ailes, Vers les demeures immortelles Traînent son char étincelant.    Et toi, dont la Muse facile Soupi
ravers la noble poussière, Il semble encor dans la carrière Animer un char de sa voix,    O toi, victime de l’envie, Ovide
uth galant de Catulle, L’écho répète les soupirs. Je les vois dans le char des Grâces, Entraîner encor sur leurs traces, Les
Enfers. Quitte un moment les campagnes fleuries ; Où le Léthé, sur un char paresseux, Nonchalamment erre dans les prairies ;
Elle attend immobile, elle attend solitaire ; Lentement du Soleil le char baisse et s’enfuit : Son trouble, par degrés, s’a
leur raison. Au même instant, l’agile Renommée Grave leur nom sur son char lumineux. Jouet constant d’une vaine fumée, Le mo
uze palais, brillera tour-à-tour, Et qu’au sein du repos, roulant son char nocturne, La courrière des mois, Diane, au front
plaines, Et roidissant leurs bras, humiliant leurs fronts, Traîner un char pesant jusqu’au sommet des monts. Le loup même ou
as : Sa troisième visite était pour le Bon-homme ; De monter dans son char , seuls d’entre ses suivans,         Esope et Phèd
ense carrière, Et dès qu’elle est finie, il recommence encor. Sur son char de rubis, mêlé d’azur et d’or, Apollon va lançant
2 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
x et de tours, portant à la main un disque et une clef, assise sur un char traîné par quatre lions. Le pin lui était consacr
au moyen du feu du ciel qu’il avait dérobé, avec l’aide de Pallas, au char du soleil. Jupiter, irrité de cette audace, ordon
nt et un sceptre à la main ; elle est assise sur un trône, ou dans un char traîné par des paons9. Questions. Qu’est-ce
hébus quand on le considérait comme dieu du jour, chargé de guider le char du soleil. Il était fils de Jupiter et de Latone 
assa de l’Olympe et ne lui rendit ses bonnes grâces et la conduite du char du soleil qu’après l’avoir tenu pendant plusieurs
homme supplia son père de lui confier pendant un jour la direction du char lumineux qui répandait la chaleur et la lumière.
supplications du jeune ambitieux, qui s’élança plein de joie dans le char brillant du soleil. Mais sa présomption fut cruel
ant pas la main de leur guide accoutumé, s’emportent et entraînent le char hors de sa route ; tantôt se perdant au plus haut
e front ceint d’une auréole rayonnante, parcourant le zodiaque sur un char d’or traîné par quatre chevaux blancs. Question
e de chiens la suit en courant. Quelquefois aussi on la montre sur un char traîné par des biches ; cet animal lui était cons
main une coupe et un thyrse ; il est assis sur un tonneau, ou dans un char traîné par des panthères, des tigres et des lynx,
es cheveux blonds une couronne de myrte et de roses, et assise sur un char en forme de conque marine, que traînent des colom
yant persuadée par leur éloquence, la conduisirent à son époux sur un char en forme de coquille. Lorsque Cécrops eut bâti At
ue barbe, ayant pour sceptre un trident ; porté sur les flots dans un char en forme de coquille, traîné par des chevaux mari
é de toutes les divinités des eaux. Amphitrite est représentée sur un char de même forme, et avec les mêmes attributs, moins
les prairies d’Enna en Sicile, et l’entraîna, malgré ses cris, sur un char d’ébène ; puis, ayant entrouvert la terre d’un co
et des traits durs et menaçants, assis sur un trône d’ébène ou sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa couronne est noi
d’une main et un bouclier de l’autre. Quelquefois on le place sur un char traîné par deux chevaux qu’il dirige lui-même, ou
, de récolter, et de faire le pain. Elle lui fit ensuite présent d’un char attelé de deux dragons, au moyen duquel il parcou
nte cette déesse entourée d’instruments aratoires, quelquefois sur un char traîné par deux dragons, couronnée d’épis, tenant
t le métamorphosa en cigale. On représente Aurore franchissant sur un char étincelant le seuil d’un palais de vermeil. Elle
e toutes les nymphes Océanides. On la représente ordinairement sur un char en forme de coquille traîné par des dauphins et e
la ceinture en forme de poisson, et qui accompagnent ordinairement le char de Neptune, en faisant retentir des trompettes fo
ieu de sa capitale un pont de métal, sur lequel il faisait rouler des chars dont le bruit ressemblait à celui du tonnerre. Le
ouverte de longs habits de deuil parsemés d’étoiles, et portée sur un char traîné par des chauves-souris. Le Sommeil.
n donnait aux esclaves en les affranchissant). Près d’elle on voit un char avec un joug rompu. Le chat lui était consacré.
elle trahison ; mais en ce moment Médée s’enleva dans les airs sur un char traîné par des dragons ailés, et pour dernier adi
a donnerait en mariage qu’à celui qui l’aurait vaincu à la course des chars  ; cette condition n’était pas facile à remplir, c
’argent Myrtile, cocher d’Œnomaüs, qui s’engagea à scier les roues du char de son maître ; par suite de cette trahison, le r
ur, ayant attaché par les pieds le cadavre de son ennemi derrière son char , le promène trois fois autour de la ville qu’il a
çut d’Ajax un baudrier qui servit plus tard à attacher son cadavre au char d’Achille, et le fils de Priam donna au guerrier
nels se célébraient dans les cirques ; ils consistaient en courses de char , que l’on nommait jeux équestres ou curules ; en
d’une naissance illustre pouvaient seules prendre part à la course en char . Les vainqueurs recevaient une palme et une couro
cs. Polydamas, de Scétuse, en Thessalie, arrêtait d’une seule main un char attelé de plusieurs chevaux. Il mourut parce que,
pt mètres de hauteur et dix d’épaisseur, de telle sorte que plusieurs chars pouvaient y courir de front. Elles formaient un c
et Irène. C’étaient les portières du ciel, et elles prenaient soin du char et des chevaux du soleil. 26. On trouve encore l
3 (1800) Cours de mythologie pp. -360
elles ! Tu donnes l’ame à mille êtres divers. L’Aube naissante est le char de l’Aurore ; L’Onde est Thétis qui règne sur les
    Apprens-moi, père sans pitié, Tandis qu’avec éclat tu guides, Ton char et tes coursiers rapides, Pourquoi tes enfans von
t dans les airs, Quand les vents font rouler au milieu des éclairs Le char retentissant qui porte le tonnerre, Ton disque ou
en jeune homme parfaitement beau, assis ou sur un tonneau, ou sur un char traîné par des Tigres, des Lynx ou des Panthères,
Entrée de Bacchus dans Athènes.     Venu des bords du Gange, où son char conquérant Porta ses lois, son culte et sa gloire
ment égayés Par les vapeurs du vin où ses sens sont noyés.     Sur un char attelé de panthères agiles, De lynx obéissans et
ptune étoit celui d’Eubée. On le représente armé d’un trident, sur un char en forme de coquille, traîné par des chevaux mari
s coursiers aux crins d’or, armés de pieds d’airain. Il monte sur son char et fend le sein des ondes ; La baleine sortant de
uverain des eaux ; La mer se réjouit et sépare ses flots. L’essieu du char divin, dans sa course rapide, Effleure le crystal
d’ébène sur la tête, la clé du séjour des morts à la main, et sur un char traîné par des chevaux noirs.     Les Titans en
l’horreur De l’Enfer ébranlé par leur vaine fureur ; Il monte sur son char qu’Alecton lui prépare ; Il vole en un instant ve
Bellone, sa sœur, qui préside également aux combats, lui atteloit son char et ses chevaux. Elle porte un casque sur sa tête,
             Et la mort ses flambeaux.     François, reconnoissez le char de la Victoire ; Aux armes, Citoyens ! il faut te
e fut plus entendu Ni le bruit du marteau, ni le cri de la scie ; Les chars ne roulent plus sur la terre durcie. Par-tout un
i venoit de naître. Dans les triomphes, on la suspendoit au-dessus du char , pour préserver le triomphateur des prestiges de
ée de fleurs, tantôt entourée de bêtes sauvages, tantôt assise sur un char traîné par quatre lions. Ses Prêtres, nommés Gall
e tendre ! Les Grecs, dans leurs doctes chansons, La plaçoient sur un char traîné par deux lions. Sans base, au sein des air
oyens. Son plus beau Temple étoit à Carthage. On la représente sur un char traîné par des paons, avec un de ces oiseaux aupr
le Ciel, (Voy. Nuit), Hécate aux Enfers. Elle est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à la main, un
lui est consacrée. On représente Vénus avec Cupidon son fils, sur un char en forme de coquille, traîné, tantôt par des pige
Et sème de corail les courans fortunés Qu’en glissant sur les eaux le char a sillonnés. Vous, filles de Thétis, de vos grott
me à fixer sa cour ; Elle n’a point de plus riant séjour : Jamais son char ne quitte l’Empirée, Sans aborder à ce rivage heu
Proserpine a quitté la cour Du sombre Epoux qui l’a ravie ; Le même char qui l’entraîna A travers la flamme et la cendre,
la remplaça dans sa fonction. Hébé avoit aussi l’honneur d’atteler le char de Junon. Elle épousa dans la suite Hercule, admi
la naissance du matin, elle ouvroit les portes du Ciel et atteloit le char de Phébus. Assise elle-même sur un char de vermei
portes du Ciel et atteloit le char de Phébus. Assise elle-même sur un char de vermeil, elle précédoit la marche pompeuse de
ore, d’éclairs couronnée, Dans les champs obscurcis des cieux, Sur un char d’incarnat traînée, Porte ses regards radieux. Du
ntemps. Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil. On les représente soutenant des Cadran
trente portes de vermeil Conduisent aux douces demeures Qu’éclaire le char du Soleil. Toujours nouveau, toujours semblable
pus d’ambrosie, abreuvés de nectar, Avec ordre rangés les attèlent au char . Ovide.— Saint-Ange 92.     Dans ce beau palai
ir est plus frais : Phébus vers l’Occident Précipite sa course et son char moins ardent. Les mobiles sillons de sa pourpre b
eptre de plomb, à la main, parcourant silencieusement le Ciel, sur un char d’ébène, après le coucher du Soleil.     Les omb
oiles Brunit l’azur du firmament : Les Songes traînent en silence Son char parsemé de saphyrs ; L’Amour dans les airs se bal
la surface des mers. Bernis 120.     Aux champs des airs, vois ce char emporté Par des coursiers que guidé une Déesse :
; C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il habite, Atteler à son char les monstres d’Amphitrite. Pallène est sa patrie 
s un repas. Après s’être souillée de ces crimes, elle se sauva sur un char traîné par des dragons ailés. Le divin chantre de
t coupable, il ne fut que trop exaucé. Hippolyte se promenant dans un char sur les bords de la mer de Trézène, un monstre ma
u frein, et traînèrent le malheureux prince à travers les rochers. Le char se fracassa et Hippolyte périt. Phèdre ne put rés
u Ciel, aidé de Minerve, il présenta un flambeau à l’une des roues du char du Soleil, et anima son ouvrage. Jupiter irrité l
qui la lui contestoit, Phaéton obtint de son père la conduite de son char pendant un jour. A peine fut-il élevé sur l’horis
ton, qui tomba du Ciel dans les eaux de l’Eridan.     Phaéton sur le char s’élance plein de joie, Saisit avidement les rêne
s nuages mouvans, Et de leurs pieds ailés ils devancent les vents. Le char léger de poids sent qu’il n’a pas son guide ; Et
flotte une barque vide, Jouet mobile et vain du caprice des mers, Le char saute, ressaute, et bondit dans les airs. Des che
droit, plus sage et bien moins téméraire, N’avoir jamais monté sur le char de son père ! Qu’il voudroit de Mérops être appel
rûlante, Semblable à l’air qui sort d’une fournaise ardente : Déjà le char divin commence à s’échauffer ; Sans haleine et sa
Et ses yeux, dans l’amas de ces noirs tourbillons, Ne suivent plus du char les écarts vagabonds. Alors, du ciel en feu, l’ef
bre :     De Phaéton, la tombe est un autel.            Il guida le char de son père. Si sa chûte a suivi son essor téméra
avec douleur ta mourante paupière.     Bientôt Phébé, du haut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté
sur ma vue.) Dans un chemin étroit je trouvai deux Guerriers, Sur un char éclatant que traînoient deux coursiers, Il fallut
ma main furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueuse : Loin du char à l’instant ces Guerriers élancés Avec fureur sur
son temps, un tombeau superbe, surmonté d’une pyramide qui portoit un char de marbre attelé de quatre chevaux. Ce beau moent
assacré, Thèbes, sa capitale, aux feux abandonnée ; Et ma mère, à son char , en esclave traînée ! Hector, mon cher Hector !
ur des combats, suivi de la Victoire, Il entende le peuple, autour du char guerrier, Par-tout sur son passage à la fois s’éc
malicieux, Et tous de s’écrier : debout : allons, vieux père ? Sur un char couronné de pampre et de lièrre, Bacchus paroît e
e sacrée, Dirige les nochers égarés sur les flots ! Il dit, et de son char il s’élance à ces mots, De peur que son esprit, f
à Hector le baudrier, qui servit dans la suite à lier son cadavre au char d’Achille. Après la mort du fils de Pélée, il dis
as précipités des coursiers pleins de cœur Ont fait voler au loin les chars dans la carrière ; L’aiguillon mord leur flanc, r
erté de Mars. Ils s’élancent : bientôt, emportés dans l’espace, Leurs chars semblent voler aussi prompts que les vents, Et le
N’y songe point, mais songe à mille autres rivaux             Que ton char a laissés derrière. » Lebailly 246.          
ire excitoit la jeunesse. Là les prix de la lutte, et du ceste et des chars , Invitoient à courir de glorieux hasards ; Le chê
palais. Dans ces lieux Salmonée expioit ses forfaits : Sur un superbe char dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la main
uvrage en poudre, Et le monarque impie, enveloppé d’éclairs, Avec son char brûlant tomba dans les Enfers. Virgile. —  Lefra
Dans ces paisibles lieux sans soucis, sans alarmes, Ils ont encor des chars , des coursiers et des armes, Et conservent toujou
nes déployant leurs ailes, Vers les demeures immortelles Traînent son char étincelant.     Et toi, dont la Muse facile Soup
ravers la noble poussière, Il semble encor dans la carrière Animer un char de sa voix,     O toi, victime de l’envie, Ovid
uth galant de Catulle, L’ècho répète les soupirs. Je les vois dans le char des Grâces, Entraîner encor sur leurs traces, Les
Enfers. Quitte un moment les campagnes fleuries ; Où le Léthé, sur un char paresseux, Nonchalamment erre dans les prairies 
leur raison. Au même instant, l’agile Renommée Grave leur nom sur son char lumineux. Jouet constant d’une vaine fumée, Le mo
uze palais, brillera tour-à-tour, Et qu’au sein du repos, roulant son char nocturne, La courrière des mois, Diane, au front
plaines, Et roidissant leurs bras, humiliant leurs fronts, Traîner un char pesant jusqu’au sommet des monts. Le loup même o
as : Sa troisième visite étoit pour le Bon-homme ; De monter dans son char , seuls d’entre ses suivans,       Esope et Phèdre
ense carrière, Et dès qu’elle est finie, il recommence encor. Sur son char de rubis, mêlés d’azur et d’or, Apollon va lançan
4 (1823) Mythologie des dames
ant voulu tenter d’imiter la foudre de Jupiter, en faisant passer son char sur un pont d’airain et en lançant des feux de to
superflus Délicieux moments, vous ne reviendrez plus ! Adonis voit un char descendre de la nue : Cythérée y montant disparaî
ère, et demeure auprès d’elle pour servir ses desseins. Il attelle au char de Cythérée les cygnes ou les colombes, et amuse
ué Apollon. Il eut aussi sous sa direction le Soleil, et placé sur un char étincelant, traîné par quatre chevaux dont les na
mon carquois, ma lyre, et mes cheveux. « Aux murs du Capitole, où des chars de victoire « Des fiers triomphateurs promèneront
dans toutes ses fonctions, et de nouveau il lui donna la direction du char du soleil. Mais l’histoire d’un dieu qui avait ta
lui demanda rien moins que de lui laisser conduire un jour entier le char de la lumière. Le dieu eut beau lui représenter l
épartit point de sa demande, et Apollon fut obligé de lui confier son char , chef-d’œuvre immortel de Vulcain. L’essieu du c
lui confier son char, chef-d’œuvre immortel de Vulcain. L’essieu du char est d’or, et d’espace en espace Brille un rayon d
Éthon, Pyroïs, Éoüs, et Phlégon. A peine Phaéton est-il placé dans ce char magnifique, qu’il sent l’imprudence de sa demande
vait donnés Apollon pour se diriger dans ce voyage dangereux. Déjà le char est emporté dans les cieux hors de la foute ordin
, ne reconnaissant plus la voix de leur maître, oublient le frein. Le char enflammé du soleil passant trop près de la Terre,
ines, tarit les fleuves, et met à sec le lit des mers. Les flammes du char , élancées jusque sur les champs de l’Éthiopie, do
te les nuages, et elle tient les rênes des chevaux qui conduisent son char brillant des couleurs les plus agréables. Lorsqu’
t les vastes cieux de sa magnificence, De saison en saison conduit le char du jour, Nous attriste en partant, nous charme à
sant au-dessus du front ; quelquefois elle s’y présente montée sur un char traîné par deux cerfs ; enfin on la voit sur quel
ue d’une main et un bouclier de l’autre. Quelquefois, il monte sur un char traîné par deux chevaux plus prompts que les vent
et ayant à ses pieds des brodequins brochés d’or, était porté sur un char à moitié découvert, traîné par des tigres ou par
riant vallon d’Enna. Pluton l’emmena dans son royaume sombre, sur son char attelé de quatre chevaux noirs. La nymphe Cyane,
telé de quatre chevaux noirs. La nymphe Cyane, ayant voulu arrêter le char du ravisseur, fut changée en une fontaine qui gar
e de tout ce qui concernait l’agriculture. Bientôt elle lui prêta son char , attelé de deux dragons, et lui ordonna de parcou
n pavot. Quelquefois, sur les monuments, elle se montre assise sur un char attelé de deux dragons ; souvent elle est représe
st monté31. Jupiter enleva son fils dans le séjour des dieux, sur un char traîné par quatre chevaux : le bûcher parut envir
oir inutilement parcouru la terre pour la trouver, elle monte sur son char , traverse l’immense étendue des airs, et se prése
; Là, des coursiers sur l’herbe errant paisiblement, Des armes et des chars le noble amusement, Ont suivi ces guerriers sur c
de la trompette avec leurs conques recourbées ; ils environnaient le char d’Amphitrite, traîné par des chevaux marins plus
: leurs yeux étaient enflammés, et leurs bouches étaient fumantes. Le char de la déesse était une conque d’une merveilleuse
blancheur plus éclatante que l’ivoire, et les roues étaient d’or. Ce char semblait voler sur la face des eaux paisibles. Un
oupe de nymphes, couronnées de fleurs, nageaient en foule derrière le char  ; leurs cheveux pendaient sur leurs épaules, et f
dorées. Une grande voile de pourpre flottait dans l’air au-dessus du char  : elle était à demi enflée par le souffle d’une m
e chêne, ou bien une couronne murale chargée de tours ; assise sur un char traîné par deux lions ; et vêtue d’une robe chama
fermées par d’épais nuages. Les Saisons et les Heures entouraient le char d’Apollon. Les Heures suivaient aussi le char de
s Heures entouraient le char d’Apollon. Les Heures suivaient aussi le char de la Nuit, qui traversait les airs, escorté du S
és, se présentait sous la figure d’une femme couronnée de pavots. Son char était traîné par des hiboux et des chauves-souris
5 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
te Cérès tenant à la main un flambeau ou des pavots, et montée sur un char traîné par des serpens. Le célèbre Mignard a pein
t la course des chevaux. A la vingt-cinquième, on y joignit celle des chars . Cynisque, fille d’Archidamas, prince de Macédoin
elait le lis, la rose de Junon. Cette déesse était représentée sur un char brillant, traîné par deux paons ; elle tenait un
avec le cortége formidable qui annonce sa puissance. Il était sur un char d’airain, traîné par des chevaux fougueux. Leurs
vaient fait nommer la Terreur et la Crainte. Debout, sur le devant du char , Bellone, le regard furieux, les cheveux épars, t
ide, armées d’un poignard et d’une torche brûlante, accompagnaient le char , et traînaient après elles l’Innocence et la Faib
t comme la déesse de la guerre. C’était elle qui préparait à Mars son char et ses chevaux lorsqu’il allait à la guerre. On l
Sans rien décider, ils feignent que le dieu du jour est porté sur un char attelé de chevaux d’une vitesse extraordinaire ;
et qu’elle précède le dieu du jour. On représente cette déesse sur un char brillant, traîné par deux chevaux. Elle sème des
demanda pour preuve de sa naissance de lui permettre de conduire son char pendant un jour. Le Soleil résiste long-temps ; e
Heures matinales ; elles volent précédées de l’Aurore, et attèlent au char du Soleil le rapide Eoüs, l’ardent Phlégon, le fo
hlégon, le fougueux Ethon et le léger Piroïs. Phaéton s’élance sur le char radieux, saisit avec assurance les rênes étincela
arez l’absence         Du dieu qui nous donne le jour ;         Votre char lorsqu’il fait son tour,         Impose à l’unive
erte d’un grand voile parsemé d’étoiles. Quelquefois elle est dans un char traîné par des cerfs ; quelquefois on la voit cou
mot grec qui signifie proprement la tige d’une plante. Il avait à son char des tigres ou des panthères, pour montrer la fure
lances, portaient des tambours et des thyrses ; Bacchus, monté sur un char , traîné par deux tigres, portait un thyrse pour s
ses lettres. Il transporte à Pallène Castor et Pollux ; accompagne le char de Pluton enlevant Proserpine. C’est lui encore q
moment, ces oiseaux devinrent chers à Vénus, et elle les attela à son char . Péristère, nom grec, signifie une colombe ; tout
e dans l’île Atlantique, où des figures d’or le représentaient sur un char traîné par des chevaux ailés. Les Fleuves
entait Neptune. Au lieu de sceptre, Neptune porte un trident ; son char est une vaste coquille, ses coursiers des veaux m
Virgile la belle description où ce dieu est représenté volant sur son char , dont les roues touchent à peine l’eau, accompagn
ité de cette idée dans la peinture qu’il fait, dans son Télémaque, du char d’Amphitrite : « Alors, dit-il, nous aperçûmes de
de la trompette avec leurs conques recourbées ; ils environnaient le char d’Amphitrite traîné par des chevaux marins plus b
s la mer, leurs yeux étaient enflammés et leurs bouches fumantes ; le char de la déesse était une conque d’une merveilleuse
blancheur plus éclatante que l’ivoire, et les roues étaient d’or. Le char semblait voler sur la surface des eaux paisibles 
troupe de nymphes couronnées de fleurs nageaient en foule derrière le char  ; leurs beaux cheveux-pendaient sur leurs épaules
dorées : une grande voile de pourpre flottait dans l’air au-dessus du char  ; elle était à demi enflée par le souffle d’une m
re sa tête d’un casque qui le rend invisible ; alors il monte sur son char , s’élance du gouffre de l’Averne, et parcourt en
le jour, il se faisait traîner la nuit sur un pont d’airain, dans un char dont la rotation rapide imitait le roulement du t
Tartare, où le feu céleste le brûle sans le consumer. Sur un rapide char , dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la mai
uvrage en poudre, Et le monarque impie, enveloppé d’éclairs, Avec son char brûlant tomba dans les enfers. [Vergile] [Lefranc
cette divinité vêtue et couverte d’un grand voile noir, allant sur un char précédé par les astres. Les uns lui donnent des a
astres. Les uns lui donnent des ailes, d’autres la représentent sans char , tenant d’une main un grand voile, et tournant de
au vers la terre, pour l’éteindre ; enfin on la voit ailleurs sur son char , tenant un grand voile tout parsemé d’étoiles sur
ur une roue qui tourne, et l’autre en l’air ; l’autre la place sur un char traîné par des chevaux aveugles. Un ancien a dit
courut pour punir cette perfidie ; à son approche, Médée monta sur un char attelé de dragons volans, qui la transportèrent à
Myrtile ôta le fer qui retenait la roue : Œnomaüs fut renversé de son char et périt misérablement. Pélops ayant épousé Hippo
lère, perça les talons de son ennemi, avec une courroie, le lia à son char , et le traîna dans la poussière autour des murs d
6 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
terre renferme en hiver et qu’il donne en été. Elle est assise sur un char traîné par des lions ; quelquefois elle est entou
communiqué le mouvement et la vie en dérobant une parcelle de feu au char du Soleil. Jupiter, indigné de ce larcin, ordonna
plusieurs paons sont à ses pieds. Quelquefois deux paons traînent son char  ; derrière elle Iris déploie les couleurs variées
par les navigateurs ; il était le patron des athlètes aux courses de chars et de chevaux. Les jeux Isthmiques, à Corinthe, e
r azurée. Son sceptre est un trident ou fourche à trois pointes ; son char est une vaste coquille, traînée par des hippocamp
ommes et moitié poissons, et sonnent également de la conque devant le char majestueux du dieu des eaux § 8. Pluton. Da
; c’était Pluton roi des enfers. A cette nouvelle, Cérès monte sur un char attelé de deux dragons10, traverse l’espace des a
présente Proserpine à côté de Pluton, sur un trône d’ébène, ou sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa main tient des f
l’art de semer le blé et de faire le pain ; elle lui donna ensuite un char attelé de deux dragons, et l’envoya par toute la
, où elle fut accueillie par les Heures, qui la firent asseoir sur un char diaphane et la transportèrent dans l’Olympe : ell
ui passait pour un chef-d’œuvre. — On représente Vénus assise dans un char que traînent des colombes, des cygnes, ou des moi
des jambes torses, et qui, pour cacher cette difformité, inventa les chars  ; 3° le brigand Cacus, tué en Italie par Hercule.
r ou secoue un fouet. Un coq est à ses pieds. On le voit aussi sur un char traîné par des coursiers fougueux qu’il conduit l
ar Bellone. Bellone, déesse de la guerre, sœur de Mars, préparait le char de ce dieu lorsqu’il allait au combat. Les poètes
u un poignard. § 14. Apollon. Apollon ou Phébus, conducteur du char du soleil, est pris souvent pour le Soleil même.
a lumière, on le voit, couronné de rayons, parcourir les cieux sur un char attelé de quatre chevaux blancs. Ses principaux e
La mère conseille à Phaéton de demander au Soleil la conduite de son char pendant un jour, afin de prouver ainsi à ses détr
h bien, mon père, lui dit-il, laissez-moi conduire pendant un jour le char de la lumière : à cette marque de votre tendresse
s accourent, précédées de l’Aurore ; elles attellent les coursiers au char du soleil. Phaéton s’y élance avec orgueil, saisi
, tantôt il est assis sur un tonneau ; quelquefois on le voit dans un char attelé de tigres et de lions ; on le peint souven
. — Les poètes la représentent couverte d’un voile, et assise dans un char vermeil que traînent quatre chevaux blancs. Elle
forme bizarre et fantastique. — Téthys est représentée assise sur un char qui a la forme d’une coquille. Elle tient d’une m
vots, enveloppée d’un voile noir semé d’étoiles, et parcourant sur un char la vaste étendue des cieux. On lui immolait, de m
a la vie à cette masse insensible, en dérobant une parcelle de feu au char du Soleil. Jupiter no put voir sans jalousie cet
sse, ils mirent les animaux sous le joug, attelèrent des chevaux à un char , voguèrent sur les mers, et distinguèrent les pla
l’arc ; de Castor, à combattre tout armé ; d’Autolycus, à conduire un char  ; de Linus, à jouer de la lyre et à chanter. Conf
issaient leurs maisons avec des coquilles d’œufs, voyageaient sur des chars traînés par des perdrix, et coupaient leur blé av
ficaces de son art. Heureuse de plaire à son époux, elle monte sur un char aérien, parcourt diverses régions, y cueille des
n, les deux enfants de cet infidèle mari ; et, montant soudain sur un char traîné par des dragons, elle fendit les airs et p
complot fut découvert ; et Médée, objet d’exécration, remonta sur son char ailé, et chercha un dernier asile en Colchide, où
n’ayant pu désabuser son père ni le fléchir, monte tristement sur son char , et sort de Trézène. A peine est-il parvenu au bo
rie et se rompt : l’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embar
une condition difficile à remplir. Comme il excellait à conduire les chars , et qu’il avait des coursiers aussi rapides que l
le appartiendrait à celui des amants qui le vaincrait à la course des chars , mais que la mort serait le partage infaillible d
d’Œnomaüs, et le corrompit par des présents. Myrtile scia en deux le char du roi, et en rejoignit si bien les deux portions
bien les deux portions, que l’œil n’y découvrait aucune jointure. Le char se rompit au milieu de la carrière ; Œnomaüs mour
t quatre personnes, parmi lesquelles était un homme âgé, assis sur un char , qui lui enjoignit arrogamment de s’écarter de la
expédition, Jupiter, d’un coup de foudre, Payant précipité lui et son char dans les entrailles de la terre. Alcméon, informé
son meilleur ami, l’accompagnait ; l’écuyer Automédon conduisait son char . Arrivé devant Troie, Achille y déploya une étonn
pitié d’eux : il envoie Hector contre Patrocle. Hector descend de son char et commence l’attaque. Les deux héros luttent ave
courroie à travers la sanglante blessure, il attache le cadavre à son char , pousse ses coursiers vers les murailles, et en f
t présenté aux jeux pythiens pour y disputer le prix de la course des chars , avait brisé sa roue contre la borne et péri sous
e rendait en foule au sanctuaire d’Apollon, Niobé se promenait sur un char avec sa brillante famille, comme pour braver la d
ne la donnerait qu’à celui des prétendants qui pourrait atteler à un char deux bêtes féroces de différente espèce. Le roi d
er un lion et un sanglier apprivoisés, qui traînèrent paisiblement le char d’Alceste. Quelque temps après, Admète tomba dang
ux ; et il tâcha d’imiter le bruit de la foudre en faisant rouler son char sur un pont d’airain. Là, nouveau roi de l’Olympe
vrage en poudre ; Et le monarque impie, environné d’éclairs, Avec son char brûlant tomba dans les enfers. Delille. § 20
t : 1° la Course, qui se fit d’abord à pied, puis à cheval et sur des chars  ; 2° le Saut, qui consistait à franchir un fossé
ier, mais ils étaient reconduits en triomphe dans leur patrie, sur un char traîné par quatre chevaux blancs, et l’on pratiqu
enceinte. La pyramide qui couronnait le monument était surmontée d’un char de marbre attelé de quatre chevaux. Plusieurs scu
7 (1845) Mythologie de la jeunesse
tres enfants, les Tritons et les Harpies. Les Tritons précédaient son char , armés d’une conque recourbée qui leur servait de
d’immondices14 [Fig. 31]. [Fig. 31] On représentait Neptune sur un char en forme de coquille, traîné par des chevaux mari
tenant en sa main un trident [Fig. 32]. [Fig. 32] Il attelle son char , et, montant fièrement, Fend les flots écumeux de
fosse. On le représentait tantôt sur un trône d’ébène, tantôt sur un char traîné par des chevaux noirs, tenant de la main d
es et les Dieux Mânes. La Nuit, fille du Chaos, dormait assise sur un char , et couverte d’un voile noir parsemé d’étoiles [F
r. Sous le nom de Cybèle, elle était ordinairement représentée sur un char traîné par des lions, la tête couronnée de crénea
chaïe. On le représentait sous la figure d’un guerrier terrible qu’un char traîné par des coursiers fougueux emportait au mi
orme d’une jeune fille sortant du sein des eaux, tantôt assise sur un char traîné par des colombes [Fig. 55], quelquefois le
Grèce chantés par les poètes. Sous le nom de Phébus, il conduisait le char du Soleil [Fig. 60]. [Fig. 60] Il eut un grand
elle présidait à la chasse ; sous le nom de Phébé, elle conduisait le char de la Lune ; et, sous celui d’Hécate elle régnait
e pomme de pin [Fig. 65] ; tantôt assis sur un tonneau, tantôt sur un char traîné par des tigres ou des lions. [Fig. 65]
chargées d’ouvrir et de fermer les portes du jour, et avaient soin du char et des chevaux du Soleil. La Renommée. Vir
les enfants qu’elle avait eus de Jason [Fig. 95], et s’enfuit sur un char attelé de dragons ailés. Jason mena ensuite une v
r. Alors le jeune téméraire lui demande la permission de conduire son char pendant un jour seulement. Le Soleil se repentit
Phaéton persiste dans sa demande, et son père le conduit où était le char . L’Aurore, vêtue de pourpre, ouvre son palais sem
ride Libye. Là jamais d’aucune eau le sillon arrosé Ne rafraîchit mon char dans sa course embrasé. ………………………………………… Aussitôt
agiles ; Les coursiers du Soleil à sa voix sont dociles. Ils vont, le char s’éloigne, et plus prompt qu’un éclair Pénètre en
Lorsque Jupiter descendit sur la terre pour éteindre le feu que le char du Soleil y avait allumé, il s’éprit d’amour pour
pendant qu’il chassait un matin sur les montagnes, l’enleva dans son char et l’épousa. Jupiter, à la prière de l’Aurore, lu
soleil venaient à la frapper. On représentait l’Aurore assise sur un char lumineux, parsemé de rubis et de roses, pour expr
n amant ? Qu’aura de beau la guerre, à moins qu’on ne crayonne Ici le char de Mars, là celui de Bellone ; Que la victoire vo
8 (1850) Précis élémentaire de mythologie
taient verts par allusion à la parure de la terre au printemps, et le char où elle était montée était traîné par des lions,
e de Phrygie à Rome (25 mars), on conduisait cette même statue sur un char à l’endroit où l’Achéron se jette dans le Tibre,
s’avisa de faire des statues d’hommes avec du limon, et de dérober au char du soleil une étincelle pour les animer. Le souve
un paon, son oiseau favori. Quelquefois elle traverse les airs sur un char traîné par des paons, ou bien encore on la peint
épouser. 2. Cérès, inconsolable de la perte de sa fille, monta sur un char attelé de dragons volants et se mit à la recherch
dente quand on veut la représenter cherchant sa fille Proserpine. Son char est traîné par des lions ou par des serpents. Que
t irrévocable. Alors l’imprudent Phaéton le supplia de lui confier le char du soleil, pour qu’il pût prouver à ses envieux p
ils de ce dessein téméraire, son serment l’obligea à lui remettre son char et ses coursiers et à le laisser ainsi parcourir
, il est couronné de rayons de lumière et parcourt le zodiaque sur un char traîné par quatre chevaux. 13. Parmi les animaux,
uels furent ses enfants ? Pourquoi Phaéton demanda-t-il à conduire le char du soleil ? Qu’arriva-t-il ? Quel est le sens his
e sur la terre, et Hécate dans les enfers. Au ciel elle conduisait le char de la lune, sur la terre elle présidait à la chas
vous réparez l’absence     Du dieu qui nous donne le jour :     Votre char , lorsqu’il fait son tour, Impose à l’univers un a
nd pour la lune. Les poëtes disent encore qu’elle se promenait sur un char traîné par des biches et des cerfs blancs. 4. Le
un coq, symbole de la vigilance militaire. Quelquefois il est sur un char traîné par des chevaux fougueux conduits par Bell
, lorsqu’il devait aller au combat, et se mettait à ses côtés sur son char , le casque en tête, les cheveux épars, l’œil en f
thyrse. Quelquefois il est assis sur un tonneau ou bien monté sur un char traîné par des tigres ou des panthères. Une peau
ur des dieux pour se promener sur la terre. Elle montait alors sur un char formé par des coquilles et traîné par des colombe
i, et ce nom lui est resté. 9. On présente ordinairement Vénus sur un char traîné par des colombes, des cygnes ou des moinea
la main, et avait un monstre à ses côtés. Téthys était portée sur un char formé d’une conque parfaitement belle, plus éclat
et pour le reste depuis la ceinture à un poisson. Ils précédaient le char de Neptune et sonnaient d’une conque marine qui l
et sonnaient d’une conque marine qui leur servait de trompette. Leur char était trainé par des chevaux blancs, et les poëte
un trident à la main, debout sur les flots de la mer ou monté sur un char en forme de conque traîné par des chevaux marins.
ar en forme de conque traîné par des chevaux marins. Les roues de son char sont d’or et paraissent voler à la surface des on
férentes manières. Quelquefois il emporte Proserpine évanouie sur son char traîné par des chevaux noirs, ou bien il est sur
présentaient l’Aurore sortant de son palais de vermeil, montée sur un char couleur de feu que traînaient les chevaux Lampus
. On en faisait aussi une nymphe couronnée de fleurs et assise sur un char auquel était attelé Pégase, pour figurer qu’elle
malheur de sa fille, la retint près d’elle, la chargea d’atteler son char , et lui donna pour époux Hercule, qui fut ainsi r
Elle massacra elle-même ses propres enfants, et se fit enlever sur un char par des dragons volants qui la transportèrent à A
hargés de l’éducation de ce héros. Autolycus lui apprit à conduire un char et à lutter ; Euryte, roi d’Œchalie, à tirer de l
ort : A peine nous sortions des portes de Trézène ; Il était sur son char  ; ses gardes affligés Imitaient son silence autou
crie et se rompt. L’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embar
mber. Achille lui perça les talons, l’attacha avec une courroie à son char , et le traîna trois fois autour des remparts d’Il
saut, la lutte, le jet du disque et du dard. Il y avait la course des chars , la course des chevaux, la course des gens armés.
musique, la poésie et la lecture. Alcibiade conduisait à Olympie six chars dans un même jour ; Pythagore y discutait au mili
les guerres de Thèbes. Jupiter le foudroya et le fit entrer avec son char dans les entrailles de la terre. Calchas, qui dev
, et l’on voit des milliers de dévots se précipiter sous les roues du char , et se faire ainsi fracasser les bras et les jamb
s, 157. Couronne, const., 54. Course (jeu de la), 156. — Course des chars , des chevaux, des gens armés, 156. Création de M
9 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ouronne de tours et des clefs à la main. Des lions sont attelés à son char . Ses temples avaient une forme arrondie, pour rap
èrent sous diverses formes d’animaux. Cependant Jupiter, monté sur un char attelé de chevaux ailés, poursuivit le monstre à
n fuseau. Auprès d’elle est un paon. Deux de ces oiseaux traînent son char , dans ses voyages. Quelquefois on l’environne d’u
t enfin Jupiter, qui le rappela au ciel, et le chargea de conduire le char du soleil, sous le nom de Phœbus. Ce char était t
t le chargea de conduire le char du soleil, sous le nom de Phœbus. Ce char était traîné par quatre chevaux impétueux, Eoüs,
jeune téméraire demanda alors la faveur de conduire, un seul jour, le char du soleil. Apollon, lié par un serment irrévocabl
Bientôt la main faible et inexpérimentée de Phaéton laissa dévier le char de sa route, et embrasa la terre. Jupiter le préc
à la main, tandis qu’Apollon, qui est alors appelé Phœbus, dirige un char radieux, trainé par quatre chevaux (n° 36). Apoll
t qu’éprise de sa grande beauté, elle arrêtait, toutes les nuits, son char , pour le contempler endormi, dans la grotte du mo
son front est orné d’un croissant. Quelquefois elle est montée sur un char traîné par des cerfs blancs. On représentait enco
cle il est aussi le dieu de la peste. Bellone, sa sœur conduisait son char  ; la Terreur et l’Effroi, ses deux fils, l’accomp
’un casque, d’une lance et d’un bouclier. Souvent il est monté sur un char attelé de deux coursiers, appelés par les poëtes
rtant du sein des eaux. Souvent on la voit assise avec Cupidon sur un char traîné par des colombes, ou des cygnes, ou des mo
pampres et de lierre, couvert d’une peau de lion ou de léopard ; son char est traîné par des lions. Comme dieu des buveurs,
s Jupiter, le plus puissant des dieux. On le représente debout sur un char en forme de conque, traîné par des chevaux marins
Amphitrite, était le trompette du dieu des mers, dont il précédait le char en sonnant d’une conque marine. Son corps se term
oëtes représentent l’Aurore vêtue d’une robe de safran, montée sur un char vermeil traîné par des chevaux blancs. Elle ouvre
ser les ombres, tantôt une épée. On le place aussi quelquefois sur un char d’or traîné par quatre chevaux noirs39. Questi
fit construire sur l’Alphée un pont d’airain, qu’il traversait sur un char dont le bruit ressemblait au roulement du tonnerr
sirs du corps et des joies de la terre. Ce sont encore des courses de chars , des luttes dans l’arène, des festins, des danses
tue) par les Grecs. Elle était sœur ou femme de Mars et préparait le char de ce dieu partant pour les combats. Elle s’y mon
tirer de l’arc, Castor à combattre à cheval, Autolycus à conduire un char , Chiron lui donna des leçons de morale, de médeci
épée, et le fit reconnaître au peuple. Alors Médée s’envola dans son char ailé avec son fils Médus, qu’elle avait eu d’Egée
u l’exauça, et tandis qu’Hippolyte partant pour l’exil conduisait son char le long du rivage, un monstre marin s’élance de l
qu’elle avait eus de lui. Après cette vengeance, elle s’envola sur un char traîné par des dragons ailés. Jason mena dès lors
événement : Dans un chemin étroit j’ai trouvé deux guerriers Sur un char éclatant que traînaient deux coursiers : Il fallu
ma main furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueuse ; Loin du char à l’instant ces guerriers élancés Avec fureur sur
et traîne trois fois autour des murs de Troie son corps attaché à son char victorieux. Priam vient dans la tente d’Achille d
à la fête qui se célèbre, tous les ans, à Djaggernâth, tandis que le char qui porte la statue de Vichnou écrase sous ses ro
la foudre et des orages. Le bruit du tonnerre n’est que celui de son char , passant au-dessus des nuages. Thor est le fléau
10 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
es animer, monta au ciel, par le secours de Pallas, et vola du feu au char du soleil. Jupiter, irrité de cette audace, ordon
e la faire revenir. Cette déesse lui conseilla de faire placer sur un char une figure richement parée, et de faire annoncer
est-elle représentée ? R. Elle est ordinairement représentée sur un char brillant traîné par deux paons. Elle a le sceptre
digue. Si le voyage est long, n’en crains pas la fatigue : Prends mon char , mes dragons, et vole sur les vents. La nymphe p
nds mon char, mes dragons, et vole sur les vents. La nymphe prend le char et les dragons volants, S’élève dans les airs, ve
be de blé ou une branche de pavot. Quelquefois elle est montée sur un char traîné par des serpents. On lui donne de grosses
. Proserpine a quitté la cour Du sombre époux qui l’a ravie : Le même char qui l’entraîna A travers la flamme et la cendre,
l’onde ses feux amortis . Téthys est ordinairement représentée sur un char en forme de coquille, traîné par des dauphins. D.
esse2 en furie Vers ces antres, d’Eole orageuse patrie, Précipite son char . Là, sous de vastes monts, Le dieu tient enchaîné
ment Neptune étoit-il représenté ? R. On représentoit Neptune sur un char qui avoit la forme d’une vaste coquille et étoit
Proserpine qu’il avoit enlevée. On le représente ordinairement sur un char d’ébène, traîné par des chevaux noirs. Il est cou
ceptre de plomb à la main, parcourant silencieusement le ciel, sur un char d’ébène, après le coucher du soleil. La Nuit s’a
oiles Brunit l’azur du firmament ; Les Songes traînent en silence Son char parsemé de saphirs ; L’Amour, dans les airs, se b
ment représente-t-on Pluton ? R. On le représente communément sur un char traîné par des chevaux noirs, portant une couronn
fier, l’ame rassise, Porte en touts lieux la mort qu’elle méprise. Du char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’Activité tien
est-elle représentée ? R. Elle est ordinairement représentée sur un char traîné par des colombes ou par des cygnes, ou par
ange. Il est assis sur un tonneau avec une coupe à la main, ou sur un char traîné par des tigres, des lynx ou des panthères,
ière, Apollon est appelé Phébus ou le Soleil. On le représente sur un char rayonnant de feu, et tiré par quatre chevaux foug
nt que lorsque le Soleil sort du lit de Téthys, l’Aurore monte sur un char doré, attelé de deux chevaux plus blancs que la n
r doré, attelé de deux chevaux plus blancs que la neige. Les roues du char tracent dans l’air un léger sillon de pourpre nua
là, elle s’arrête sur un nuage, et d’un œil impatient elle attend le char de son père. Bientôt, au milieu de l’harmonie des
étoit fils de Laomédon, et frère de Priam. L’Aurore l’enleva dans son char . Elle demanda pour lui à Jupiter l’immortalité, e
sion d’éclairer le monde pendant un jour seulement, en conduisant son char . Le Soleil, engagé par un serment irrévocable, fi
ne connoît point de danger, persiste dans sa demande, et monte sur le char . Les chevaux du Soleil s’aperçoivent bientôt du c
arc à la main, sur la tête une couronne de laurier ; ou bien dans son char d’or traîné par quatre chevaux placés de front. D
ez l’absence          Du dieu qui nous donne le jour ;          Votre char , lorsqu’il fait son tour, Impose à l’univers un a
épaule, et un croissant sur le front. Quelquefois on la peint dans un char traîné par des biches. Génius D. Qu’est-ce
x. C’est lui que nous voyons, sur ces mers qu’il habite Atteler à son char les monstres d’Amphitrite. Pallène17 est sa patri
vois fondre la cire, et tu péris encor, » Là, tu vois Orion ; ici, le char de l’Ourse : » Vole entre l’un et l’autre ; imite
cha les chevaux d’Hippolyte. Le malheureux prince fut renversé de son char , et périt, traîné par ses propres chevaux. ……………
………………… A peine nous sortions des portes de Trézène, Il étoit sur son char  : ses gardes affligés Imitoient son silence ; aut
rie et se rompt : l’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé, Dans les rênes lui-même il tombe embarr
les deux fils qu’elle en avoit eus, et s’élevant dans les airs sur un char traîné par des dragons ailés, elle se retira à At
dans un sentier étroit qui conduisoit à Delphes. Laïus, monté sur son char , et escorté seulement de cinq personnes, ordonna
r d’Œnomaüs, et l’engagea à ôter la clavette qui tenoit les roues. Le char d’Œnomaüs fut renversé, et ce prince se cassa la
tua. Pour assouvir sa colère, il lia son ennemi par les talons à son char , et le traîna trois fois autour des murs de Troie
ls la forcèrent à prendre la fuite ; le Soleil la transporta dans son char , sur la côte d’Étrurie, nommée depuis le cap de C
ut défait par le fils de Thétis, qui lui ôta la vie, et attacha à son char le corps de son ennemi, qu’il traîna plusieurs fo
ur ; Tournez les yeux, voyez un spectacle d’horreur ! Voyez après son char dégouttant de carnage, Les pieds gonflés des nœud
rne avec douleur ta mourante paupière. Bientôt Phébé, du haut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté
11 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
ée choir en présence des dieux. Junon la chargea depuis d’atteler son char , et, lorsque Hercule fut admis au nombre des dieu
à la main un sceptre d’or. Quelquefois elle traverse les airs sur un char traîné par des paons. Iris, ou l’Arc-en-ciel est
; il fut le dieu du jour et de la poésie. C’est lui qui conduisait le char du Soleil, attelé de quatre chevaux, Pyroüs, Eoüs
Phaéton lui demanda de lui céder pour un seul jour la conduite de son char . Apollon, lié par son serment, y consentit, mais
ent, y consentit, mais l’inexpérience de ce nouveau guide détourna le char de sa route accoutumée, et embrasa la terre. Jupi
Soleil, Apollon prenait le nom de Phébus, et on le représente sur un char brillant attelé de quatre chevaux ; comme dieu de
a terre et des enfers. Au ciel on la nomme Phébé2, et elle conduit le char de la lune ; sur la terre on l’appelle Diane, et
se chargèrent de l’instruire et la conduisirent dans l’Olympe sur un char diaphane. Les dieux, transportés d’admiration, la
une jeune fille sortant du sein des eaux ; souvent on la place sur un char traîné par des colombes, ou des cygnes, ou des mo
ne clef. Sa tête est couronnée de tours, et quatre lions traînent son char . Quoique Cybèle porte le nom de Vesta, il ne faut
e du sein de la terre, enleva la fille de Cérès, et l’emporta sur son char dans le ténébreux empire. Cérès était absente ; e
es grappes de raisin ; une peau de léopard couvre ses épaules, et son char est traîné par des lions. Questionnaire. Qu
Neptune est le souverain des mers. On le représente debout sur un char en forme de conque et traîné par des chevaux mari
iens représentent Aurore vêtue d’une robe de safran, et montée sur un char de couleur de feu attelé des chevaux Lampus et Ph
e à chasser les ombres, ou une épée. Souvent aussi on le place sur un char d’or ou d’airain, traîné par quatre chevaux noirs
dieu, fit jeter sur l’Alphée un pont d’airain qu’il traversait sur un char dont le bruit ressemblait au roulement du tonnerr
yo : on la fait tantôt sœur et tantôt femme de Mars. Elle attelait le char de ce dieu et se montrait dans les combats, les c
et de Léda, lui apprit à combattre à cheval ; Autolycus à conduire un char  ; Linus, fils d’Apollon et d’une Muse, à jouer de
effraya les chevaux d’Hippolyte : le jeune héros fut renversé de son char et mis en lambeaux. Phèdre justifia Hippolyte en
Jason, égorgea en sa présence ses propres enfants, et s’enfuit sur un char attelé de dragons ailés. Jason mena depuis une vi
monstres et des génies ; le bruit de la foudre est le passage de son char d’airain au-dessus des nuages. Freyr, autre divin
12 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
………………………… Qu’aura de beau la guerre, à moins qu’on y crayonne Ici le char de Mars, là celui de Bellone ; Que la victoire vo
t parsemé de fleurs, une couronne composée de tours, et montée sur un char traîné par des lions. Il ne faut point la confond
les animer, monta au ciel par le secours de Pallas, et vola du feu au char du Soleil : Faisons de leur repos rougir les Immo
qui la fît appeller Samienne. Jupiter ordonna de conduire à Samos un char sur. lequel étoit une statue parée magnifiquement
s. Rousseau. Junon est représentée superbement vêtue, montée sur un char traîné par deux paons, ou assise tenant un sceptr
nom de Phébus, ou de Père du jour, et on le représente conduisant le char du Soleil, qui est tiré pat quatre chevaux fougue
dresse paternelle. Phaéton demande et obtient la grace de conduire le char du Soleil, pendant un jour. A peine est-il sur l’
arez l’absence         Du dieu qui nous donne le jour ;         Votre char , lorsqu’il fait son tour, Impose à l’univers un a
quelquefois assis sur un tonneau, avec une coupe à la main, ou sur un char traîné par des tigres, des lynx ou des panthères,
rarement, et avec horreur. Vénus est ordinairement représentée sur un char traîné par des colombes, ou par des cygnes, ou pa
fier, l’ame rassise, Porte en tous lieux la mort qu’elle méprise. Du char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’activité tien
e ;                 Et les filles du vieux Nérée Faisoient devant son char retentir leurs concerts. Rousseau. Neptune est
urs concerts. Rousseau. Neptune est ordinairement représenté sur un char en forme de coquille, et traîné par des chevaux m
, maître des dieux, mon père !… Cris impuissans et vains regrets ! Au char la terre ouvre une voie, Et déjà le Styx voit la
ement qu’on y veut résister. Quinault. Pluton est représenté sur un char tiré par des chevaux noirs, portant une couronne
crie et se rompt. L’intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé. Dans les rênes lui-même il tombe embarr
Médée échappa à la colère de Jason, en s’élevant dans les airs sur un char traîné par des dragons aîlés, et se rendit auprès
ort de son ami, attaque Hector, le tue, l’attache par les pieds à son char , et le traîne trois fois autour des murs de Troie
te au cadavre ; il lui perce les piés, Qui de sa main sanglante à son char sont liés ; Le traîne, et du tombeau faisant troi
t les murs de Troie, 41 — Se venge de Laomédon, ibid. — Conduit le char du Soleil, 41 — En confie la conduite à Phaéton,
Destin, 17 — Les Poëtes le font père de l’Erèbe et de la Nuit, 106 Char du Soleil, 31-42 Chaste Diane, 57 Chastes Sœurs
, 180 Chêne, consacré à Jupiter, 36 Cheval de bois, 183 Chevaux du char du Soleil, 42 Chevaux marins, 91 Cheveux d’or d
relle avec Epaphus, 42 — Monte au palais du Soleil, 44 — Conduit le char de son père ; est foudroyé par Jupiter, ibid. —
oie des Parques, 107-108 Soleil, adoré comme un dieu, 9 Soleil, son char , 42 — Différens noms qu’on lui donne, 17 Soleil
13 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
action les feuilles du myrte ; tandis qu’elle a les yeux fixés sur le char d’Hippolyte qu’on aperçoit dans l’éloignement. En
dans la pompe de leurs triomphes : on sait qu’on arrosoit de sang le char du vainqueur. La Mythologie offre quelques beaux
dans le Stade d’Olympie, c’étoit un écueil redouté contre lequel les chars s’étoient plusieurs fois brisés. Lorsque les mâne
e broder et de filer ; c’est elle qui enseigna aux hommes l’usage des chars et celui de l’olivier. C’étoit la divinité tutéla
onneurs du triomphe ; les tribuns entreprirent de le renverser de son char au milieu de la marche de son triomphe. La vestal
dia, sa fille, avoit suivi tous leurs mouvemens, elle se jeta dans le char au moment même où le tribun alloit renverser Clau
intes : il y avoit peine de mort pour quiconque se jetteroit sur leur char ou sur leur litière lorsqu’elles iroient dans la
e avec l’Amour et les Grâces, entourée des Jeux et des Ris, et sur un char traîné par des colombes ; voici pourquoi cet oise
les jambes si difformes, qu’il n’osoit paroître en public que dans un char de son invention, dans lequel la moitié de son co
Dans tous les jeux des anciens il y avoit des courses de chevaux, de chars , des combats à la lutte, etc. Les poëtes y célébr
orderoit une grâce qu’il avoit à lui demander. Alors il exigea que le char du Soleil lui fût confié. Phaéton monta sur ce ch
il exigea que le char du Soleil lui fût confié. Phaéton monta sur ce char , ne put conduire les coursiers, mit le feu à la t
eveux blonds, un carquois sur l’épaule, un arc à la main, ou dans son char d’or traîné par quatre chevaux placés de front. C
emant des roses sur la carrière qu’il doit parcourir ; chaque soir le char du Soleil descend dans la mer, et le Dieu adoucit
ouvroit les portes du Jour, et qui après avoir attelé les chevaux au char du Soleil, le précédoit sur le sien. Elle étoit f
robe de couleur safranée, sortant d’un palais de vermeil, montant un char de même métal, tiré par Pégase, parce qu’elle est
il fut blessé lui-même par Paris ; alors Nestor le fit monter sur son char et le conduisit dans sa tente, Machaon voulut ens
14 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
Junon ? R. C’étoit le Paon. Elle en avoit toujours deux attelés à son char . Argus, à cent yeux, dont cinquante étoient sans
ollon sur la terre, et Phébus dans le ciel, parce qu’il conduisoit le char du Soleil, qui étoit tiré par quatre chevaux foug
n considéré comme le Soleil ? R. Ils feignent qu’il est porté dans un char , qui va se coucher dans les eaux tous les soirs,
ton comme un jeune étourdi et un ambitieux. Il s’avisa de conduire le char du Soleil ; mais il le fit si maladroitement, qu’
ec une lyre à la main, sur la tête une couronne de laurier, et sur un char traîné par quatre chevaux, parcourant le zodiaque
arez l’absence         Du Dieu qui nous donne le jour ;         Votre char , lorsqu’il fait son tour, Impose à l’univers un a
épaule, et un croissant sur le front. Quelquefois on la peint dans un char traîné par des biches. Bacchus. D. Qui éto
ange. Il est assis sur un tonneau avec une coupe à la main, ou sur un char traîné par des tygres, des lynx ou des panthères,
nt représente-t-on Neptune ? R. On le représente ordinairement sur un char en forme de coquille, et traîné par des chevaux m
, maître des cieux, mon père !… Cris impuissans et vains regrets ! Au char la terre ouvre une voie, Et déjà le Styx voit la
D. Comment représente-t-on Pluton ? R. Pluton est représenté sur un char tiré par des chevaux noirs, portant une couronne
crie et se rompt. L’intrépide Hyppolite Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embar
Médée échappa à la colère de Jason en s’élevant dans les airs sur un char traîné par des dragons ailés et se retira à Athèn
rend les armes, attaque Hector, le tue, l’attache par les pieds à son char , et le traîne trois fois autour des murs de Troye
15 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
e y avait une grande célébrité. Pendant cette fête, on portait sur un char , et dans la plus grande pompe, la statue de la dé
ses jambes, c’est-à-dire sa liberté ; et ce dieu, étant monté sur un char tiré par des chevaux ailés, poursuivit Typhon à c
, dirigeant son travail par ses conseils ; et, près d’eux, on voit un char portant Psyché, symbole de l’âme, que l’on reconn
eau lui fut spécialement consacré ; on la représentait souvent sur un char traîné par deux paons. La mort d’Argus ne débarra
éobis et Biton, deux frères célèbres par leur piété, s’attachèrent au char de leur mère, un jour où elle devait aller au tem
à Cléobis et à Biton deux statues, qui les représentaient traînant le char de leur mère. Histoire d’Hymen ou Hyménéus et
tiquité nous a conservé les noms des quatre chevaux qui traînaient le char du Soleil. Ovide les nomme Eoüs, Pyroïs, Aéthon e
bois avant que le jour parût. Aurore le surprit, et l’enleva dans son char . La vue de la déesse ne l’empêcha pas de se livre
exigea que, pendant un jour seulement, il lui confiât la conduite du char qui porte la lumière. Le dieu du jour, ne pouvant
et rétabli dans ses droits. Jupiter lui confia le soin de conduire le char du soleil et de répandre la lumière sur la terre.
tant un arc et un carquois. Son front est orné d’un croissant, et son char est tiré par des biches. (Fig. 21.) Diane étai
dymion, roi d’Élide, et que, toutes les nuits, elle descendait de son char , pour aller le voir dans les montagnes de la Cari
espèce de caverne que l’on appelle toujours la grotte d’Endymion. Le char du soleil était d’or, et celui de la lune était d
vaient existé avant la lumière. Ou représentait la Nuit montée sur un char d’ébène, accompagnée par les étoiles, environnée
e lierre et de pampre de vigne. On le voit ordinairement monté sur un char traîné par des panthères et des tigres. On voulai
s poëtes la peignaient comme une divinité guerrière, qui préparait le char et les chevaux de Mars lorsqu’il partait pour les
ur le peindre sanguinaire et terrible. Dans les tableaux, on voit son char conduit par Bellone ; ses chevaux, fils de Borée
te de ce nom. La statue du célèbre Scopas la représente montée sur un char tiré par une chèvre marine, les Néréides et les d
commerce de la mer. Lorsque Vénus parcourt la terre ou les cieux, son char est tiré par des colombes ou des cygnes ; l’Amour
urs l’accompagnent. Un dessin de Béger représente Vénus placée sur un char traîné par deux lions ; un voile voltige au-dessu
ient torses et contrefaites ; pour les cacher, il inventa l’usage des chars et des attelages à quatre chevaux de front. Après
pire des eaux lui échut en partage. Son sceptre était un trident, son char une vaste coquille, ses coursiers des veaux marin
ueur. On la représentait avec des ailes, un gouvernail et une roue de char , pour annoncer qu’elle poursuivait le crime en to
t couverte d’un grand voile noir parsemé d’étoiles, parcourant sur un char d’ébène la vaste étendue des cieux, ou sans char,
s, parcourant sur un char d’ébène la vaste étendue des cieux, ou sans char , avec un voile qui voltigeait au gré des vents, p
; il crut imiter sa foudre, en faisant rouler sur un pont d’airain un char éclairé de flambeaux. Jupiter le précipita d’un c
16 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
onneurs et jouissaient de beaucoup de priviléges : elles sortaient en char , avaient la première place au spectacle, témoigna
es des Heures, toujours représentées planant dans l’espace, devant le char des Saisons, en jetant des fleurs sur leur passag
. Souvent il est assis sur un trône, ou bien il vole isolé ou dans un char à travers l’espace. Il ne fut pas grandement véné
la lune où il expire privé du secours de la terre, et fait rouler son char sur Encelade, qui veut alors fuir, mais qu’elle a
mouvement au moyen d’une étincelle vitale, et placent le Dieu sur un char attelé de deux chevaux ailés. Alors Jupiter s’éla
, dont il possède toute la protection, et par son secours va ravir au char du soleil une étincelle éthérée, la place dans un
iens, en Italie ; Molos, père de Mérion, que nous verrons conduire le char d’Idoménée devant le siége de Troie. Deucalion et
nt couvert de plaques métalliques sur lesquelles il faisait rouler un char où il se tenait majestueusement, en lançant sur l
urse à cheval ; puis, à la vingt-cinquième, on y joignit la course en chars . Ce fut à cette première course en char, qu’une f
e, on y joignit la course en chars. Ce fut à cette première course en char , qu’une femme nommée Cynisca, fille d’Archidamas,
ssommait un homme, et auquel une seule main suffisait pour arrêter un char attelé de six coursiers. Quant à Euthyme, nous le
unon Argiva. A cette prêtresse à laquelle on attribue l’invention des chars , on en vit succéder plusieurs autres, parmi lesqu
ue les Heures devant elle. Quelquefois aussi elle était assise sur un char traîné par deux paons, avait la tête couronnée de
Matrone à Junon, quoique la ville de Carthage fût censée posséder le char de cette déesse, la plus célèbre était celle d’Ar
de cette Junon d’Argos, n’ayant pas trouvé de bœufs pour conduire le char de leur mère au temple, les remplacèrent ; ils fu
enleva aux cieux. C'était elle qui était chargée alors de préparer le char de Junon. Elle épousa Hercule quand il fut divini
i avait bâti un temple hors la ville de Rome, il lui dédia ensuite un char attelé de quatre chevaux, et fit célébrer en son
aire ou d’un manteau. Sur les champs de bataille, il est porté sur un char traîné par des chevaux fougueux appelés la Fuite
e sous les numéros 88 et 157. Mais généralement Mars est porté sur un char traîné par ses chevaux fougueux appelés Deimos ou
considère comme sœur ou femme de Mars. C'était elle qui préparait son char quand il partait pour la guerre. Habituellement e
es la placent avec ses ailes brillantes déployées, sur un quadrige ou char à quatre chevaux, entourée d’une auréole en arc-e
Dieux lui plaça un croissant sur la tête. Aussitôt elle monta sur le char de la Lune, saisit les rènes de ses coursiers don
nous le savons, était son bel Endymion. Alors elle descendait de son char , et un nuage épais dérobait son absence aux yeux
un lion d’une main et de l’autre une panthère, ou bien assise sur un char attelé de cerfs blancs ou de deux génisses ; mais
i faire représenter la Lune, elle a un croissant sur le front, et son char est traîné par deux coursiers de couleur différen
déclara qu’il ne l’accorderait qu’à celui qui pourrait atteler à son char des bêtes féroces de différentes espèces. Le roi
donne un lion et un sanglier apprivoisés qui traînent et emportent le char de la princesse. Apollon ne fut pas le seul à ren
nées d’exil, Apollon retourna dans l’Olympe où son père lui confia le char du soleil. C'est alors qu’il prit le nom de Phébu
t alors qu’il prit le nom de Phébus ou le lumineux. Il conduisait son char attelé de quatre chevaux blancs éclatans de lumiè
taient appelés à les desservir. Les Carrousels étaient des courses de chars inventées, dit Tertulien, par Circé en l’honneur
’on spécialise le dieu du jour ou le soleil, il est représenté sur un char brillant attelé de quatre chevaux lancés au galop
un arrêt du Sénat dans lequel on avait défendu aux femmes l’usage des chars . On peut aux sibylles ajouter les magiciennes don
onjux ou femme de Tithon. Elle était chargée d’atteler les chevaux au char du soleil, et du haut du sien elle précédait celu
ou torche à la main, sortant d’un palais de vermeil et montée sur un char pareil et de couleur de feu. Deux chevaux blancs
n char pareil et de couleur de feu. Deux chevaux blancs traînaient ce char  : c’étaient Lampus et Phaéton ; ou même un seul,
, en avaient fait une grande divinité : ils le représentaient dans un char avec son père, et l’on appelait en Sicile Galéotè
ils exigea de lui l’imprudente permission de lui laisser conduire son char et d’éclairer le monde pendant un seul jour. En v
dissuader, il fallut céder. Aussitôt le jeune téméraire monte sur le char  ; mais bientôt les chevaux du soleil s’apercevant
allume deux torches au cratère de l’Etna, s’élance rapidement sur un char traîné par deux dragons ailés, puis va courir tou
de le faire mourir. D'abord il tua l’un des dragons qui tiraient son char , mais immédiatement après Cérès envoya un autre d
ourut le pays semant du blé ; mais il se laissa tomber du haut de son char attelé de dragons et se tua : l’amour paternel et
lequel les initiés faisaient une procession solennelle portant sur un char la corbeille sacrée de la déesse. Ils étaient sui
s n’allaient pas à pied à ces fêtes et qu’elles osaient y paraître en char . On célébrait encore plusieurs différentes fêtes
tout en étoffes de couleur jaune. Elle est quelquefois portée sur un char attelé d’éléphans et entouré de jeunes amours, ou
s amours, ou plus souvent seule ou en compagnie de Triptolème, sur un char attelé de dragons ; on connaît encore une Cérès-T
’en décrivant l’empire de Neptune. Vénus ne tarda point à fixer à son char et à courber sous sa loi tous les dieux de l’Olym
encontrer tous les jours avec son amant. En effet, dès qu’elle vit le char du soleil arriver à l’horizon, elle s’y présenta
s le nectar du bonheur et des voluptés, ils remontaient chacun sur le char de son astre, et s’éloignaient pour regagner en s
ipiter leur course étincelante jusque dans l’Océan, y faire entrer le char de Phébus et disparaître. A cette vue, Cypris est
sa résolution, appelle ses colombes, les fidèles conductrices de son char , et les dirige vers l’île de Chypre, où elle veut
représentée sous ses différens attributs. Ainsi nous la voyons sur un char traînée par des moineaux, le sein découvert, le f
igurer la Vénus marine ou Aphrodite, on la représentait assise sur un char traîné par une chèvre, ou sur une conque marine a
carquois de l’Amour jouant à ses pieds. On la représente aussi sur un char d’ivoire traîné par des cygnes ; sa taille est ma
l’amour adresse et courage ; d’autres fois il est placé conduisant un char ou monté sur des lions, des panthères ou des tigr
onnet phrygien ayant pour attributs, un sceptre, un joug rompu, et un char , et de plus, à ses pieds un chat. Lydie, fille d
la Corie des Arcadiens et suivant eux, l’inventrice des quadriges ou chars à quatre chevaux de front. La cinquième enfin, ar
res. Cet Erichthée ou Erichthonius auquel on attribue l’invention des chars , du van, du crible et des jeux Panathéens en Atti
lène, de Pan et d’Aristée, l’inventeur du miel. Il était monté sur un char , traîné par deux tigres ; un thyrse lui servait d
oirs, les cheveux blonds et ondoyant sur ses épaules, et monté sur un char traîné par des tigres ou des panthères. Sa tête é
par où passaient les héros. Hercule apprit d’Amphitryon à conduire un char  ; d’Autolycus, la lutte ; d’Euryte ou de Rhadaman
dre avait sept, neuf ou cinquante têtes. A peine Hercule monté sur un char , en avait-il coupé une, qu’il en renaissait une a
oïdes ; purifia les Danaïdes du meurtre de leurs maris, accompagna le char de Pluton, pendant qu’il enlevait Proserpine, tra
ffermir ou renverser à son gré les murailles, était représenté sur un char ayant la forme d’une vaste coquille et traîné par
e chevaux marins ou quelquefois par quatre dauphins ; les roues de ce char effleuraient la surface de l’onde, couverte de Tr
sant de Delphes à Daulis, il rencontra un riche voyageur monté sur un char qui, sans se faire connaître lui ordonna avec hau
oustraire à cette funeste expédition, monte alors avec courage sur le char qui doit le conduire à la mort, embrasse son fils
le long de l’Ismène. Soudain Jupiter entr’ouvre la terre et chevaux, char , écuyer, prince, tout s’engloutit et disparaît. I
able le fait élever par les Néréides, servir quelquefois à traîner le char du dieu de la mer, qui le donna à Caprée roi d’Ha
us adroits argonautes, il remporta les prix de la course à pied et en char , aux jeux funèbres, lors de la mort de l’argonaut
de Corynthe, qu’elle empoisonna ensuite. De là, elle s’envola sur un char traîné par des dragons volans, à Athènes, où elle
tant de Médée, qui, pour éviter la vengeance de Thésée, monta sur son char magique et disparut dans les airs. Les Pallantide
vite, car Hippolyte voulant fuir la colère de son père, monte sur un char pour s’éloigner ; mais à peine est-il sorti de Tr
, soumis aux ordres de Neptune et de son épouse, dont il précédait le char armé d’une conque marine qui lui servait de tromp
rnier qui le noya sous les flots. Parfois on voit Triton monté sur un char traîné par des chevaux bleus. On représente les t
oserpine et la portant évanouie dans le sombre empire ; debout sur un char d’or et de forme antique, attelé de quatre chevau
eauté jeune et brune, toujours accompagnée de son mari, tantôt sur un char traîné au milieu d’une épaisse fumée, par de vigo
rir les régions brillantes de l’Olympe. Tantôt, elle voyageait sur un char d’ébène traîné par deux chevaux noirs ; tantôt, e
t prête à s’éteindre. Quelquefois, on représente aussi la Nuit sur un char , couverte d’un voile parsemé d’étoiles et précédé
les traits d’une femme en deuil, couronnée de pavots et portée sur un char traîné par des chauves-souris ; le Sommeil et la
yrtyle, cocher d’Œnomaüs. Myrtile, ayant mal emboité une des roues du char de son maître, fut cause que le char se brisa au
ant mal emboité une des roues du char de son maître, fut cause que le char se brisa au milieu de la carrière, et qu’Œnomaüs
arrière, et qu’Œnomaüs périt victime de cette trahison, tandis que le char de Pélops conduit par Cillus continua rapidement
de Neptune, que ce dieu lui avait donné, pour joûter avec Œnomas, un char d’or et des chevaux blancs ailés. Pélops, institu
tour du cadavre de Patrocle, lutta contre Hector et se dirigea sur le char de Mérion, vers les vaisseaux qu’il défendit cont
s Méoniens ; Archiptolème, fils d’Iphite et roi d’Elis, conduisait le char d’Hector et fut tué par Teucer ; Archiloque, fils
Bore, père de Pheste, fut tué par Idoménée ; Calésius, conducteur du char d’Axyle, fut tué par Diomède ; Calétor, fils de C
pressantes sollicitations de son père, accepte le défi, attèle à son char ses deux célèbres coursiers, dont l’un portait le
or couvert d’une cuirasse, la tête couverte d’un casque, monté sur un char , tenant d’une main une lance et un bouclier, et d
nates, père de Camille, l’Amazone du Latium ; Métisque, conducteur du char de Turnus ; Messape ; Mézence, roi d’Agyle ou de
stituées en son honneur se célébraient par des jeux et des courses de char . Melchom était une divinité des Ammonites à laqu
me une fournaise. Il est habituellement monté sur un cheval ou sur un char nommé Pouchpaka, traîné par des chevaux blancs, m
sur les huit régions du monde. Arouna siége à la partie antérieure du char , et suivi de milliers de dieux et de génies bienf
Arouni, qui quelquefois conduisait le cheval à sept têtes, attelé au char du soleil. Atri ou Atterien, fut célèbre par la
ura vingt-six mille ans. Après ce temps expiré, Vichnou lui envoya un char brillant d’or qui l’enleva dans les cieux avec sa
bras leurs enfans, se précipitent pour être écrasés sous les roues du char sacré qui porte l’idole du dieu révéré, char que
crasés sous les roues du char sacré qui porte l’idole du dieu révéré, char que des milliers de dévots traînent pieusement à
lais composé de cinq cents quarante salles ; ce dieu est porté sur un char traîné par deux boucs, ses mains sont couvertes d
pour la chasse. La pl. 8 en regard de la page 94 offre Apollon sur le char du soleil, et au-dessous de lui, on aperçoit les
17 (1866) Dictionnaire de mythologie
mémorable qui m’a dédommagé de bien des déceptions, on promena sur un char une déesse, C’est la Raison ! criait le peuple en
   Point de cesse, point de relâche. Dès que l’Aurore, dis-je, en son char remontait, Un misérable coq à point nommé chantai
er son culte à l’antique déesse, fille d’Hypérion, qui, tombée de son char , n’est plus aujourd’hui que le crépuscule du mati
Cérès l’éleva, lui enseigna l’art d’ensemencer le blé et lui donna un char attelé de dragons, afin qu’il pût porter dans tou
valcades, je l’ai vue, la blonde déesse, portée triomphalement sur le char de l’Agriculture, au milieu d’une foule de païens
fs aux cornes dorées, destinés sans doute au sacrifice, traînaient le char emblématique, suivi du chœur des paysans. A Amien
rt ce jour-là, et Cérès avait l’onglée. A Lille, même spectacle, même char traîné par les mêmes bœufs ; même Cérès agitant l
nuage, il faudra bien que vous en reveniez à l’éternelle Cérès, à son char et à ses emblèmes. Comment amuserez-vous la foule
es serpents ailés que Cérès et Médée la magicienne attelaient à leurs chars étaient des dragons. L’hydre aux cent têtes que t
urpris aux dieux, ses hôtes, le secret de la vie ; il avait dérobé au char du soleil ses rayons de feu ; double crime : abus
18 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
frontières de ce pays, il rencontra, sans le connoître, Laïus dans un char , qui lui disputa le passage dans un chemin étroit
ier. Le lendemain la terre s’ouvrit sous lui, et l’engloutit avec son char et ses chevaux. Alcméon, fils d’Amphiaraüs, fut o
ut obtenir cette Princesse qu’à condition qu’il donneroit à Pélias un char traîné par un lion et par un sanglier. Apollon, r
t eus de Jason, ensuite elle mit le feu au palais et s’enfuit dans un char traîné par des dragons ailés. Médée alla se réfug
ns funestes, car le beaudrier qu’Hector reçut, servit à l’attacher au char d’Achille, lorsque celui-ci, après l’avoir tué, l
feuillages et courut implorer la Princesse qui lui dit de suivre son char . Ulysse fut parfaitement reçu par Alcinoüs et par
n nom. On représente la liberté, tenant un bonnet et debout près d’un char dont le joug est rompu. On lui donne pour attribu
19 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
s par l’aiguillon, l’emportèrent au travers des rochers ; l’essieu du char se rompit, les pieds du jeune héros s’embarrassèr
outant les fureurs de Jason, elle a recours à sa science magique : un char traîné par des dragons l’enlève au milieu des air
nteuse de n’avoir pu consommer ce nouveau crime, s’envola sur le même char dont elle s’était servie pour fuir la colère de J
entre eux les périls et la gloire : d’autres fois, montés sur un même char , l’un guidait les coursiers, tandis que l’autre é
qu’autrefois ce portique soutenait la statue d’Agrippa, placée sur un char à quatre chevaux. Le corps de l’édifice, qui subs
20 (1895) The youth’s dictionary of mythology for boys and girls
ed Night, eldest of all things, The consort of his reign.” Milton. Char ′on [Charon] was the son of Nox and Erebus. He was
21 (1898) Classic myths in english literature
oungest of the Charites; called also Aglaia (Aglaïa), wife of Vulcan. Char ′i-tes; see Graces. Cha′ron, 79, 347, 369. Charyb′
133-137; see Medusa. Gothland, Goths, 392, 393. Graces, (Gra′tiæ or Char ′i-tes), 64, 65; attributes of, and names, 71; Spe
22 (1909) The myths of Greece and Rome
nities, who ruled over confusion, 2; ejection of, 6; daughter of, 39 Char ′i-ties. The three Graces; attendants of Venus, 83
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