e] [Plan de l’ouvrage.] Une compagnie aimable passait les
beaux
jours de septembre dans la maison de campagne de
ations, dans la contemplation de la nature, et dans les exercices des
beaux
arts : ce séjour invitait à suivre ce genre de vi
es réunies avec soin par un des anciens propriétaires du château, les
belles
statues qui décoraient le jardin, lui donnèrent o
rres cruelles ; Léda d’une main caressante flatte le col d’albâtre du
bel
oiseau qui semblait implorer son secours. Cet ois
moureuses. Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie, était extrêmement
belle
, et d’une blancheur si éblouissante qu’on disait
enti l’injure. Son fanon à longs plis flotte sur ses genoux ; Le plus
beau
des taureaux, il en est le plus doux, Ses cornes
ntres nous ont faits de l’Olympe, on voit auprès de Jupiter une femme
belle
, le front chargé d’un diadème, et dont le visage
orphose, et feignant de l’ignorer, exigea que son époux lui donnât ce
bel
animal. Jupiter ne put résister à cette demande.
rès de nous cette pomme d’or sur laquelle on lit ces mots : à la plus
belle
. Tu vois devant toi, jeune berger, trois puissant
t tour-à-tour sur chacune d’elle : enfin, il offre-la pomme d’or à la
belle
Vénus. L’orgueilleuse Junon ne put se consoler de
a cause du peu de durée de sa vie. Apollon, dieu de la lumière et des
beaux
arts, brûlait pour Vénus des mêmes feux que Mars.
nt instituées à Sidon. Les vierges portaient le simulacre du corps du
beau
chasseur, et faisaient retentir les airs de sons
appelée dictame, qui guérissait de tous les maux. Virgile peignit en
beaux
vers les aventures d’Énée. Les Romains, fiers de
de Vénus, accueillirent l’Énéide avec les transports qu’inspirent les
beaux
vers et l’orgueil national. Vénus pria Vulcain de
inspirait les sentiments délicats, les passions nobles, et l’amour du
beau
dans les arts. Ce fut Vénus-Uranie ou Vénus pudiq
rois sœurs, divinités bienfaisantes, jeunes, riantes, et parfaitement
belles
: elles étaient filles de Jupiter et d’Harmonie ;
e la transporter dans un séjour délicieux qu’il avait préparé pour sa
belle
amante. Là, le jeune dieu avait réuni toutes les
aimées de Jupiter, on doit distinguer Latone ; elle était extrêmement
belle
. Cette déesse était fille d’un de ces Titans qui
rocher sur le mont Sipyle. Apollon, admis dans l’Olympe, fut le plus
beau
des dieux ; il excella dans tous les exercices qu
égyas, roi de Béotie ; A la constance près, en mérite complète, Plus
belle
que Vénus, et plus fine coquette. Apollon l’aima
ls de Thésée, à la prière de Diane, qui connaissait l’innocence de ce
beau
chasseur, et la perfidie de Phèdre. Hippolyte sor
ir de ma victoire en votre appui se fonde ; « Déclarez-vous pour moi,
belle
moitié du monde, « Honneur de l’univers, dernier
r ; Mais changeant tout-à-coup par un froid stratagème, Pan contre le
beau
sexe insolemment blasphème, Et s’épuise en effort
ablir dans l’Olympe, s’empressa de rappeler le dieu de la lyre et des
beaux
arts : il le rétablit dans toutes ses fonctions,
les jeunes habitantes de la terre. Il vit la nymphe Clymène, la plus
belle
des Océanides, et l’aima comme il avait aimé l’in
put cacher à sa mère la douleur qu’il ressentait de ce doute ; et la
belle
Clymène l’engagea à se présenter devant Apollon,
ui laisser conduire un jour entier le char de la lumière. Le dieu eut
beau
lui représenter les dangers auxquels il s’exposer
front, couvert de fleurs, brille de rayons doux et modérés ; avec ses
belles
mains, dont les doigts ont la couleur des boutons
t, et se montrant à travers une voûte de nuages d’or, offrait le plus
beau
spectacle que l’œil de l’homme puisse admirer. «
terminer notre entretien sur le dieu de la lumière qu’en récitant ces
beaux
vers de Delille, dignes également du sujet et du
cor, verse-moi cette flamme secrète, Le plus pur de tes feux, le plus
beau
de tes dons ; Encore une étincelle, encor quelque
beauté que de sa vertu. La fille de Dédalion ayant osé se croire plus
belle
que cette déesse, elle la perça de ses flèches, e
e déesse abandonnait le ciel pour venir sur le mont Lathmos auprès du
beau
chasseur. Quelques uns assurent qu’Endymion dorma
nt de Philomèle « Hâter seul le réveil de mon Endymion ! « Puisse sa
belle
bouche être toujours nourrie « Des trésors par l’
que c’est l’opinion qu’a adoptée M. Girodet, lorsqu’il a composé le
beau
tableau où nous voyons le fils d’Ethlius endormi,
s rêveries. Personne n’a mieux peint que Le Mierre les agréments d’un
beau
clair de lune. Mais de Diane au ciel l’astre vie
champêtre ! Éloigne tes pavots, Morphée, et laisse-moi Contempler ce
bel
astre aussi calme que toi ; Cette voûte des cieux
hâtons-nous de faire succéder celle de la déesse de la sagesse et des
beaux
arts. Cette divinité n’était point sans défauts ;
s le temple de Minerve. La déesse irritée de ce sacrilège changea les
beaux
cheveux de la Gorgone en horribles serpents : tou
beauté qui me rendit si vaine « Je n’ai plus ces cheveux si
beaux
, « Dont autrefois le dieu des eaux « Se
Fut jalouse de mes appas, « Et me rendit affreuse autant que j’étais
belle
. « Mais l’excès étonnant de ma difformité,
normité de sa taille ; mais Atlas, craignant qu’on ne lui dérobât les
beaux
fruits de son jardin, qu’il avait mis sous la gar
qui s’élançait sur le rivage, et le tue. Le fils de Jupiter épousa la
belle
Andromède ; mais, vers la fin du repas, Phinée, o
ille de la gauche. Lorsque Minerve est considérée comme la déesse des
beaux
arts, elle perte le voile nommé peplus ; elle le
stellation de la Vierge, un des signes du zodiaque. Bacchus épousa la
belle
Ariane, fille de Minos, roi de Crète, après que T
son protecteur ou son maître. De même que Minerve était la déesse des
beaux
arts, Vulcain était le dieu des arts mécaniques,
n ; Les doigts, en s’allongeant, vont dessiner la main. Bientôt de ce
beau
corps la taille souple et libre Sur sa double col
Cette circonstance de la vie d’Hercule faisait le sujet d’un des plus
beaux
tableaux de Zeuxis. L’éducation d’Hercule fut con
tion pour courir à des exploits d’une autre espèce. Il apprend que la
belle
Hésione, fille de Laomédon, roi de Troie, avait é
ait les feux. Un dieu vengeur, un dieu sauva notre patrie. Revenu des
beaux
champs de l’antique Ibérie, Dans ces riches vallo
les troupeaux de l’illustre étranger : Quatre jeunes taureaux, quatre
belles
génisses, Qui des herbages frais savouraient les
re à mener sur de lointains rivages Ses troupeaux engraissés dans ces
beaux
pâturages, Et des taureaux par-tout les gémissant
laquelle sont déposés les jugements des coupables. Dans une des plus
belles
tragédies de Racine, nous voyons Phèdre, brûlant
s bocages frais, Tout dit : Voici les lieux de l’éternelle paix ! Ces
beaux
lieux ont leur ciel, leur soleil, leurs étoiles :
s beaux lieux ont leur ciel, leur soleil, leurs étoiles : Là, de plus
belles
nuits éclaircissent leurs voiles ; Là, pour favor
ac et sous le ventre, des pattes comme aux dauphins39. » Un des plus
beaux
spectacles du monde poétique des anciens, était A
a Mythologie sur les objets qui nous environnent. Un proverbe dit : A
beau
mentir qui vient de loin ; il semblerait donc que
moire : chacune d’elles préside à un genre de littérature ou à un des
beaux
arts, et leurs noms sont relatifs au domaine de c
ans honneur dépouillé de verdure ; « Les crins sont du cheval la plus
belle
parure ; « La plume orne l’oiseau ; la toison la
dois le jour au roi de ton empire humide ; « Il sera ton beau-père, ô
belle
Néréide ! « Vois les maux que j’endure, adoucis t
La beauté de ses traits Des Nymphes d’alentour effaçait les attraits.
Belle
, mais inhumaine, elle avait par la fuite Du Faune
, de loin s’écria-t-elle. » Elle trembla, pâlit, et n’en fut que plus
belle
. Diane la transforme, et Pan qui sous les eaux Co
: les ormes, les peupliers, les joncs, et les cyprès qui bordent ses
belles
rives, sont brûlés jusqu’à leurs racines ; les po
harme à nos sens tu rappelles Les plus doux noms, les formes les plus
belles
! Tu donnes l’ame à mille êtres divers. L’Aube na
s l’air les cris du vil corbeau. Tu plais toujours, tu seras toujours
beau
Comme les Cieux, les Mers et la Nature. Cournand
en pour elle, Que le soin d’annoncer à la race mortelle Le retour des
beaux
jours et celui des frimats. Myro, cit. de Corint
s Bacchanales ou Orgies. On le représente en jeune homme parfaitement
beau
, assis ou sur un tonneau, ou sur un char traîné p
ttacha le sacrilège Prométhée à un rocher du Caucase. On le figure en
beau
jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, e
e ce bienfait, on célébrait ses fêtes par des jeux équestres. Le plus
beau
Temple de Neptune était celui d’Eubée. On le repr
es longs crins vagabonds Superbe, l’œil en feu, les narines fumantes,
Beau
d’orgueil et d’amour, il vole à ses amantes. Quan
s berce entre les bras du Vice, Et de son souffle impur, fléau de nos
beaux
ans, Sèche et brûle en sa fleur le germe des tale
tendre Amour36. A Justine. Ce jour, de tes jours le plus
beau
, De myrthe t’a donc couronnée,
enseurs intraitables De l’Hymen et de ses douceurs. Ils ont
beau
répéter que des liens durables Ont plus
Pour inspirer un feu constant Il ne suffit pas d’être
belle
, C’est à la Beauté qu’on se rend ;
s de l’Italie, un mal contagieux Corrompit autrefois l’air pur de ces
beaux
cieux : Et dans Rome soufflant ses vapeurs homici
cile, Les jardins de Pœstum, où la rose en tout temps Fleurit sons un
beau
ciel, demeure du Printemps ; Côtoie et Leucosie e
assent de vos desserts un aimable jardin ; Et que l’observateur de la
belle
nature S’extasie en voyant des fleurs en confitur
he, Et de Mutus portait le nom. Un autre en faisait une femme. Sur le
beau
sexe, lui dit-on, Monsieur fait-il une épigramme
rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus
belle
Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades t
es charmes ! Qu’on goûte avec transport cette faveur des Cieux ! Quel
beau
jour peut valoir ce rayon précieux, Qui, du moins
s il mêle un doux espoir, Et je jouis malgré la froidure cruelle, Des
beaux
jours qu’il promet, des beaux jours qu’il rappell
e jouis malgré la froidure cruelle, Des beaux jours qu’il promet, des
beaux
jours qu’il rappelle. Le Ciel devient-il somb
tre tant de troupeaux, Il livre au fer sacré, les plus gros, les plus
beaux
, Fait des libations, et plein de confiance Des Mâ
consume et me dévore, Sur mes pas sèche et décolore Les fleurs de la
belle
saison… Si l’amour, l’amitié, la gloire, Détruisa
pomme d’or, et se déclara l’ennemie implacable des Troyens. Son plus
beau
Temple était à Carthage. On la représente sur un
ajesté, Paraît Junon, superbe Déité ; Mille trésors surchargent cette
belle
. Le diamant, dans l’or pur incrusté, Mêle ses feu
tres avec respect demeurent suspendus, Fiers d’ouvrir un passage à la
belle
Vénus. Le Triton recourbé, fendant l’onde écumant
, ses véritables héros sont les héros pacifiques. On voit Pallas,
belle
avec dignité, Qui brille encore, avec moins d’opu
ait été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueillait des fleurs dans les
belles
campagnes d’Enna. A cette triste nouvelle, Cérès
e, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère !
Belle
Proserpine, à tes yeux, Déjà la moisson est tombé
eule à l’enrichir forces les élémens ; Elle doit à tes soins ses plus
beaux
ornemens. Sans toi, ces végétaux que tu sais repr
es. C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus
beau
, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
or… Venance 85. Fleurs charmantes ! par vous la nature est plus
belle
; Dans ses brillans tableaux l’art vous prend pou
. Hébé ou Juventa, Fille de Junon, et Déesse de la Jeunesse.
Belle
et fraîche comme le Printemps dont elle est l’ima
’elle n’osa plus présenter à boire au maître de l’Olympe, Le jeune et
beau
Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hébé avait
a main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on qu’au-delà du
bel
âge, Tu nous coûteras tant de pleurs ? On cueille
fuis pour toujours ; Déjà se fane la couronne Que je portais dans mes
beaux
jours… Ainsi notre gloire s’envole Et vainement d
que extrémité. Le Paon d’abord en conçoit quelque envie : Mais le
bel
Arc s’efface, et mon sot l’injurie. Sa parure, di
plus Iris, et son Arc radieux : Il est clair à présent
beau
Sire, Que vous vivez d’emprunt tou
sa vieillesse. Orion, Céphale et plusieurs autres mortels, jeunes et
beaux
comme Titon, furent après lui l’objet de sa tendr
rangés les attèlent au char. Ovide. — Desaintange 94. Dans ce
beau
palais du Soleil Que chanta le divin Homère, Est
’a compassé le Dieu du jour, A distance égale posées, En éclairent le
beau
contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser
varie sur leur origine. On les fait tantôt filles de Jupiter et de la
belle
Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâc
mets innocens, Du lait, des fruits, des herbages naissans ! Dans ces
beaux
jours vantés par nos ancêtres ; L’homme étranger
orat 103. Danses Provençales. Venez : transportons-nous dans ces
belles
contrées, Des rayons d’un ciel pur en tout temps
e ivresse et le même transport. Sur des bras vigoureux on soulève une
belle
. On s’élance, on s’élève, on retombe avec elle. P
et du vin. Divinités des bois, des campagnes, des eaux,
Belles
Nymphes aux pieds de roses, Qui, sans courber les
us à propos, Mais que la main reste cachée107 ! A une
belle
Source, à qui les habitans du Plessis-Villette on
le Source, à qui les habitans du Plessis-Villette ont donné le nom de
Belle
et Bonne. Toi, dont l’urne limpide arrose ce v
able une pomme d’or, sur laquelle étaient écrits ces mots : A la plus
Belle
. Junon, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme f
rimes si bien tournées, De vos victoires, de vos lois, Et de tant de
belles
journées, Vous crurent le plus vieux des rois. Al
adie. Lachésis tournait son fuseau, Filant avec plaisir les
beaux
jours d’Isabelle ; J’aperçus Atropos, qui, d’une
u destin. Forcé de renoncer au doux titre de père, Du moins, dans tes
beaux
jours par la douleur flétris, Tu n’auras po
Créuse. Roi d’Italie avant l’arrivée d’Enée, il fonda dans cette
belle
contrée la Religion et les Lois. Ce fut chez Janu
ssables feux. Un Dieu vengeur, un Dieu sauva notre patrie. Revenu des
beaux
champs de l’antique Ibérie, Dans ces riches vallo
e des troupeaux de l’illustre étranger Quatre jeunes taureaux, quatre
belles
génisses, Qui des herbages frais savouraient les
re à mener sur de lointains rivages Ses troupeaux engraissés dans ces
beaux
pâturages. Et des taureaux par-tout les gémissant
ureux, si j’avais pu ravir à la mémoire Cette indigne moitié d’une si
belle
histoire. Racine 136. Voyez Ariane . Aristé
ple infortuné Par la contagion, par la faim moissonné : Aussitôt, des
beaux
lieux que le Pénée arrose, Vers la source sacrée
s de sa cour Filaient d’un doigt léger des laines verdoyantes ; Leurs
beaux
cheveux tombaient en tresses ondoyantes. Là, sont
s revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers. On a
beau
l’implorer, son cœur, sourd à la plainte, Résiste
t ses talens : il fut le plus sage comme le plus spirituel et le plus
beau
des Bergers. Daphnis mourut à la fleur de son âge
rs de Sicile a ux Mânes de Daphnis. Berger, qui des Dieux Le plus
bel
ouvrage, Montras dans ces lieux Le rare assemblag
ue prodigue au Sage La faveur des Cieux. Heureuse l’aurore Qui de tes
beaux
ans Vit la fleur éclore Et parer nos champs ! Mal
! Malheureuse celle Qui vit se flétrir Tomber et mourir Une fleur si
belle
! Depuis ce malheur, Quelles sont nos peines ! Hé
pli de grâce, On la voit s’élancer sur un coursier de Thrace, Le plus
beau
qu’Orithye eût encor élevé, A son fougueux époux
, à pas précipités, Ramenant au combat ses fidèles compagnes, Du plus
beau
sang des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de
ier, son chef-d’œuvre nouveau : Il défiait les Dieux, en le voyant si
beau
; Moi-même j’admirais et l’artiste et l’ouvrage.
har de ton père ; » Si ta chûte a suivi ton essor téméraire, » Il est
beau
de tomber, quand on tombe du ciel ». Ovide — Des
le étendu. Virgile. — Delille 163. Anchise, Prince Troyen.
Beau
et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux
Léthé ; Tels de nombreux essaims épris des fleurs nouvelles, Dans un
beau
jour d’été, bourdonnent autour d’elles, Et s’eniv
val de bois comme une ruse qui serait fatale aux Troyens. Mais il eut
beau
s’opposer à son introduction dans la ville, les T
u Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant mort. Pâris devint si
beau
, que Jupiter le nomma juge du différend élevé ent
comme il fut aimé d’elle ; Pyrame jeune, aimable, et Thisbé jeune et
belle
… Le soir vient : dans les mers le char trop l
dit-on, célébra ces liens. Tous deux étaient parés de la fleur du
bel
âge ; Du sang de Jupiter tous deux étaient sortis
e pyramide qui portait un char de marbre attelé de quatre chevaux. Ce
beau
monument fut compté parmi les sept merveilles du
e, Sa blonde chevelure aux vents abandonnée, D’un nuage de pleurs ses
beaux
yeux obscurcis, Et demandant Thésée aux flots sou
fidèle, Garde aujourd’hui les pommes d’or. Il les garde pour la plus
belle
, Et barricade son trésor. J’approche, son œil éti
age échauffée Ne peut plus s’assouvir que dans le sang d’Orphée. Il a
beau
les prier : sa voix, sa douce voix A perdu son po
e Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les Dieux l’avaient formé si
beau
, qu’il était l’objet de l’amour de toutes les Nym
saintange 198. Adonis, Fils de Cynire et de Myrrha. Le plus
beau
des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vé
s croit voir son fils, il en a tous les charmes ! Jamais rien de plus
beau
ne parut sous les Cieux ; Et le vainqueur de l’In
t, quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin, c’est le soir d’un
beau
jour. Philémon et Baucis nous en offrent l’exempl
agesse ; Notre galant demanda la richesse. Il devint riche, et fit de
beaux
statuts Pour gouverner les trésors de Plutus… Le
uru, Et, comme eux, les Enfers sont sourds à ma prière J’ai vu de mes
beaux
jours s’éteindre le flambeau ; Et je ne puis entr
vergers, et les Faunes des bois. Chaste comme Diane, elle était aussi
belle
; Et par son carquois seul on la distinguait d’el
ians entoure son berceau : L’enfant le plus heureux est aussi le plus
beau
. Jossaud 209. L’amour maternel. ………………………. Ave
non plus dans soi-même ; Et se montre, aux regards d’un époux éperdu,
Belle
de son enfant à son sein suspendu. Oui, ce fruit
au plus à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si
beaux
? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles
à ne répéter que la dernière syllabe des mots. Echo voulut plaire au
beau
Narcisse. Au désespoir de le trouver insensible,
La colère l’amène à la nouvelle fête ; Mais malgré sa colère elle est
belle
: sa tête Rejetant ses cheveux sur son épaule épa
d’Œchalie effaça les attraits. Apollon sans l’aimer ne put la voir si
belle
; Et depuis Andrémon fut son époux fidèle. D’
nos bergers font un récit fidelle, Que cet arbre sacré fut jadis une
belle
, Qui du Dieu des jardins fuyant l’impur amour, Pe
, ces superbes tableaux, Peu dignes d’attacher, sont plus tristes que
beaux
. Eh bien ! fuyez ; rentrez dans cette vill
cette Déité, charme de l’Univers, Vénus qui de Lucrèce inspirait les
beaux
vers. Fontanes 229. Le Tempé Français, ou la
levait ses cornes menaçantes ; La génisse à pas lents, parcourait ces
beaux
lieux. Je ne sais quelle joie animait tous leurs
e l’art étaler les bienfaits. Lieu charmant, trop heureux qui dans ta
belle
plaine, Où l’hiver indulgent attiédit son haleine
les de la Nature, Elles se baignent dans ses bras, Et l’onde est plus
belle
et plus pure. Bernis 232. Fontaine de l’Idali
in d’or. Jaloux de consacrer aux siècles à venir D’un triomphe si
beau
l’immortel souvenir, Il établit des jeux, solenni
que l’or. Verts rameaux du laurier, vous n’étiez point encor ; Et du
bel
Apollon la blonde chevelure De tout arbre sans ch
s bocages frais, Tout dit : voici les lieux de l’éternelle paix ! Ces
beaux
lieux ont leur ciel, leur soleil, leurs étoiles ;
out notre bonheur. Bruneau 242. Elysée p hilosophique. Si ces
beaux
lieux sont destinés aux Sages, Pourquoi chercher
ante le Printemps : Tristes jouets de la Parque et du Temps, Nos plus
beaux
jours s’écoulent comme l’onde ; Et l’avenir, tel
s mains sèment les fruits, la verdure et les fleurs : Les rayons d’un
beau
jour naissent de ton sourire ; De ton souffle lég
t des pleurs l’intéressant langage, Et sa compagne enfin fut ton plus
bel
ouvrage. Pour elle tu choisis les trésors les plu
eux restent ouverts pour épier le jour. A peine de Tithon la jeune et
belle
amante Mêle à l’azur des cieux sa pourpre étincel
hemin. Elle cherche, elle attend : son ame impatiente Se fait d’un si
beau
jour une image charmante. L’Orient tout-à-coup s’
larmes ; » Il me l’a bien promis, il reviendra demain ». De ses plus
beaux
habits se parant à dessein, Elle sème de fleurs l
ochers d’une plage inconnue, Qu’un monde obscur, sans printemps, sans
beaux
jours, Et que des yeux éclipsés pour toujours. G
nos vers. O Mort ! puis-je te craindre, alors que de moi-même La plus
belle
moitié reste dans l’Univers ? Ovide. ― Le Bailli
dre Nisus, Tous grands Héros, tous amis véritables : Ces noms sont
beaux
; mais ils sont dans les Fables. Voltaire 261.
de la Paresse. On l’appelait aussi la Mère de l’Industrie et des
Beaux
Arts. Elle était représentée dans une contenance
Liberté et les Mœurs. Dans une ville, (on n’en dit pas le nom) Un
beau
matin, deux étrangers parurent : Aupr
La Liberté venue hors de saison, Ne serait plus qu’une
belle
chimère… Que dis-je ? Elle serait une drogue, un
ce ; Prêchez l’ordre, la paix, vertus de l’âge d’or, L’humanité, plus
belle
et plus touchante encor ; Prêchez sur-tout aux lo
eillesse Oui, je sais qu’il est doux de voir dans ses jardins, Ces
beaux
fruits incarnats et de Perse et d’Epire, De savou
ancour 271. Peste des animaux. Timave, Noricie, ô lieux jadis si
beaux
! Empire des Bergers, délices des troupeaux, C’es
A vingt ans vouloir être sage ! Ami, le projet est fort
beau
. Mais, hélas ! je n’ai point ta force et ton cour
eu lui-même, Et d’un feu créateur échauffe les Mortels. Hélas ! de ce
beau
feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’
es, les saphyrs ; Et sa riche chevelure Est le jouet des Zéphyrs : Ce
beau
feu qui l’environne Tient de sa vivacité ; Et tou
lâtrant, habitent autour d’elle ; Les Calembourgs, fils bâtards de la
Belle
, Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeune
cherche en vain le fleuve de Jouvence : Pour remonter le cours de ses
beaux
ans, La Gaîté seule aux outrages du Temps, De ses
e était au tempéré ; On ne fait pas un portrait de caprice : Dans ces
beaux
jours de paix et d’équité, Les passions et les va
ans les suivre, entourent l’Immortelle ; Elle portait ses plus
beaux
ornemens. En un clin d’œil on dépouille la
tait ses plus beaux ornemens. En un clin d’œil on dépouille la
Belle
, On lui ravit jusqu’à ses vêtemens.
ée en pleurs ! Le couteau saint caché sous l’habit des Ministres ! La
belle
Iphigénie, à ces apprêts sinistres, Muette, se pr
e ! Quels lieux sont préférés aux lieux de la naissance ! Je vante ce
beau
Ciel, ce jour brillant et pur Qui répand dans les
de larmes, Le couvre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces
beaux
champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le fl
vre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces beaux champs, ce
beau
Ciel qui le virent heureux, Le fleuve qu’il fenda
pour un instant, retrouva sa Patrie. Delille 290. J’ai revu les
beaux
lieux qui m’ont donné le jour. O champs de la Lim
ance ! Souvent je m’écriais : Témoins de ma naissance, Témoins de mes
beaux
jours, de mes premiers desirs, Beaux lieux ! qu’a
de ma naissance, Témoins de mes beaux jours, de mes premiers desirs,
Beaux
lieux ! qu’avez-vous fait de mes premiers plaisir
cription pour une fontaine. 108. [Table des matières] Prélong. A une
belle
source. 109. [Table des matières] L’abbé Roman,
ce qu’on admiroit le plus dans cette ville immense étoit le temple de
Bel
, dans le centre duquel s’élevoient huit tours bât
r, lorsque Persée traversant les airs sur le cheval Pégase, vit cette
belle
Princesse prête à devenir la proie du monstre ; à
ses ceps de vignes sur des voitures et alla dans l’Attique porter ces
beaux
et dangereux présens. Il offrit de son vin à plus
ieux artiste de la Grèce. Il étoit sculpteur et mécanicien, il fit de
belles
statues, il inventa plusieurs instrumens utiles d
ia en Sicile chez le roi Cocalus qui lui fit faire un grand nombre de
beaux
ouvrages. Quelque temps après Minos aborda en Sic
ui aimoit cette princesse, se tua sur son tombeau. Eschyle a fait une
belle
tragédie sur ce sujet. Dans cette pièce, Etéocle
rris pour l’habiter et la défendre un jour au besoin ». On trouve ces
belles
sentences dans l’Œdipe de Sophocle : « Le temps
toujours l’innocence ». « La prudence et ta modération sont les plus
beaux
présens que les Dieux puissent faire aux hommes »
Péripnoüs qui vouloient lui faire violence. Hercule eut pour mère la
belle
Alcmène fille d’Electrion8. Alcmène épousa Amphit
igands entre autres d’Albion, du voleur Cacus, etc. L’une de ses plus
belles
actions fut d’abolir dans les Gaules les sacrific
agne. Hercule, auquel on peut reprocher tant de cruautés mêlées à ses
belles
actions, eut aussi de grandes foiblesses : il aim
erre de Troie. La mort d’Hercule forme le sujet des Trachiniennes 12,
belle
tragédie de Sophocle. Dans cette pièce, Hercule a
tragédie de Sophocle, qui a fourni à l’ auteur de Télémaque les plus
beaux
traits de l’épisode le plus touchant de son poëme
eux comme tous les personnages de la fable, perdit sa jeune épouse la
belle
Euridice le jour de ses noces. Il descendit aux e
gue chevelure flottant sur ses épaules, parut à toute l’assemblée, si
beau
et si majestueux, qu’on le prit pour le Dieu Mars
ient avec Jason au nombre des Argonautes. Ces jeunes héros avoient de
beaux
visages, une longue chevelure, les épaules couver
ent célèbres. Un autre Achille, fils de Jupiter et de Lamie, étoit si
beau
, qu’il remporta le prix de la beauté sur Vénus mê
s Troyens, attaqua Hector et fut tué par ce Prince qui lui enleva ses
belles
armes. Ménélas et Ajax combattirent long-temps en
Thétis, elle lui promit de nouvelles armes faites par Vulcain et plus
belles
encore que les premières, elle lui défendit de co
e qu’ Homère en devint aveugle. Cette fiction est si ingénieuse et si
belle
, qu’il est étonnant qu’elle n’ait jamais été retr
rable grouppe, chef-d’œuvre de la sculpture antique, et l’un des plus
beaux
ornemens du Musée impérial. Déiphobe fut, après H
ue lui offroit Minerve, et séduit par l’espérance de posséder la plus
belle
femme de l’univers, il donna la pomme à Vénus. Il
Tyndare,) sœur de Clytemnestre et de Castor et Pollux. Elle étoit si
belle
qu’à l’âge de dix ans elle inspira une grande pas
Troie, Agamemnon eut une violente dispute avec Achille au sujet d’une
belle
esclave appelée Briséis qu’il lui avoit enlevée e
e commun avec celles des pièces modernes sur le même sujet. Voici une
belle
sentence de cette tragédie ; « Le vice offre un
pas vengé sa mort ; mais dans l’Ajax furieux, de Sophocle, il joue un
beau
rôle par le courage qu’il oppose à la haine des A
eulent l’empêcher d’ensevelir Ajax. Les anciens qui ont inventé de si
belles
allégories, n’ont pris aucun soin de concilier le
retirez promptement cet enfant . Il semble que La Mothe ait imité ce
beau
mouvement dans sa tragédie d’Inès de Castro, lors
ment en nageant, dans l’île des Phéaciens. Il trouva sur le rivage la
belle
Nausicaa, fille du Roi Alcinoüs et d’Areté, qui v
icaa, fille du Roi Alcinoüs et d’Areté, qui venoit de laver ses plus
belles
robes , et qui, tandis que ces vêtemens séchoient
; enfin, son séjour dans l’île d’Ogygie où il passa sept ans avec la
belle
Calypso. Ce récit d’Ulysse remplit d’admiration t
nsi que la fable nous représente la chaste et fidelle Pénélope, et la
belle
Andromaque, qui, (dit Homère), formoit le double
Nausicaa sa fille allant au fleuve pour y laver, elle-même, ses plus
belles
robes, etc. Aussi, lorsqu’ Ovide veut peindre une
erie la plus révoltante, elle déclare sa passion, et quoiqu’elle soit
belle
, elle n’inspire que du mépris et de l’horreur. D’
it passer pour arriver à celui de l’honneur ; idée aussi juste, aussi
belle
, qu’elle est morale. Métastase, dans l’opéra de
ol contento sento per te39. On trouve dans la Jérusalem délivrée une
belle
peinture allégorique de la Vertu, mais le poëte l
poëte l’a peint sous des traits trop austères, car la Vertu est plus
belle
encore qu’elle n’est sévère. L’Amitié.
dédaigna d’animer, Il manque à votre ame sauvage Des humains le plus
beau
partage, Vous n’avez pas le don d’aimer. L’Es
ans Rome pour y établir à jamais sa demeure. Tout le monde connoît la
belle
ode à la Fortune, de J. B. Rousseau. Sous le règn
ocite, dont elle tire son affreux venin ; elle ne laisse voir que son
beau
visage. L’Envie. Elle a les yeux égarés, l
rance et la Méfiance, de l’autre côté venoit la Calomnie. C’étoit une
belle
femme qui paroissoit irritée, elle tenoit de sa m
rles, les saphirs, Et sa riche chevelure Est le jouet des zéphirs, Ce
beau
feu qui l’environne Tient de sa vivacité, Et tout
eds de loup et un voile noir sur sa tête. Tout le monde connoît cette
belle
maxime de La Rochefoucault : « L’hypocrisie est
recevant une couronne d’olivier. Dryden, a fait sur une Trève cette
belle
et frappante comparaison : Thus, when black clou
implicité, le calme et la tranquilité de la Vertu formeroient le plus
beau
contraste avec l’enthousiasme et le mouvement pas
e, la même que Saturne. (Voyez le premier volume). Lemière a fait un
beau
vers sur le Temps, il a dit : On se plaint que l
i, Il faut qu’il pèse ou qu’il échappe. M. Thomas nous a laissé une
belle
Ode sur le Temps. Le Temps enlevant d’une main la
tenant un scèptre, des balances et des clefs. L’Harmonie. Une
belle
femme couronnée de pierreries, assise sur un trôn
3. La plus grande somptuosité des femmes de ce temps étoit d’avoir de
beaux
coffres. 34. En bouchant les oreilles de ses co
gesse et la gloire chez Calypso et chez Circé. 35. Dans une des plus
belles
provinces de France, en Bourgogne, (et aussi en A
les supplices. 51. Il est impossible de traduire littérallement ces
beaux
vers, et d’en rendre en français les expressions
harme à nos sens tu rappelles Les plus doux noms, les formes les plus
belles
! Tu donnes l’ame à mille êtres divers. L’Aube na
s l’air les cris du vil Corbeau. Tu plais toujours, tu seras toujours
beau
Comme les Cieux, les Mers et la Nature. Cournand
en pour elle, Que le soin d’annoncer à la race mortelle Le retour des
beaux
jours et celui des frimats. Myro, cit. de Corint
s Bacchanales ou Orgies. On le représente en jeune homme parfaitement
beau
, assis ou sur un tonneau, ou sur un char traîné p
ttacha le sacrilège Prométhée à un rocher du Caucase. On le figure en
beau
jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, e
e ce bienfait, on célébroit ses fêtes par des jeux équestres. Le plus
beau
Temple de Neptune étoit celui d’Eubée. On le repr
s berce entre les bras du Vice, Et de son souffle impur, fléau de nos
beaux
ans, Sèche et brûle en sa fleur le germe des tale
Amour36. A Justine. Ce jour, de tes jours le plus
beau
, De myrthe t’a donc couronnée,
s intraitables De l’Hymen et de ses douceurs. Ils ont
beau
répéter que des liens durables On
Pour inspirer un feu constant Il ne suffit pas d’être
belle
, C’est à la Beauté qu’on se rend
he, Et de Mutus portoit le nom. Un autre en faisoit une femme. Sur le
beau
sexe, lui dit-on, Monsieur fait-il une épigramme
rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers Et vient offrir à la plus
belle
Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades t
ureux Enfant, attache ce présage : Comme l’Amour tu seras
beau
, Et plus que lui tu seras sage61.
tre tant de troupeaux, Il livre au fer sacré, les plus gros, les plus
beaux
, Fait des libations, et plein de confiance Des Mâ
consume et me dévore, Sur mes pas sèche et décolore Les fleurs de la
belle
saison… Si l’amour, l’amitié, la gloire, Détruisa
pomme d’or, et se déclara l’ennemie implacable des Troyens. Son plus
beau
Temple étoit à Carthage. On la représente sur un
ajesté, Paroît Junon, superbe Déité ; Mille trésors surchargent cette
Belle
. Le diamant, dans l’or pur incrusté, Mêle ses feu
tres avec respect demeurent suspendus, Fiers d’ouvrir un passage à la
belle
Vénus. Le Triton recourbé, fendant l’onde écumant
nommée Athènes du nom grec de la savante Déesse. On voit Pallas,
belle
avec dignité, Qui brille encore, avec moins d’opu
oit été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueilloit des fleurs dans les
belles
campagnes d’Enna. A cette triste nouvelle, Cérès
e, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère !
Belle
Proserpine, à tes yeux, Déjà la moisson est tombé
eule à l’enrichir forces les élémens ; Elle doit à tes soins ses plus
beaux
ornemens. Sans toi, ces végétaux que tu sais repr
estes. C’est Thémis ; oui, c’est elle-meme : Orné de l’éclat le plus
beau
, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
Hébé ou Juventa, Fille de Junon, et Déesse de la Jeunesse.
Belle
et fraîche comme le Printemps dont elle est l’ima
’elle n’osa plus présenter à boire au Maître de l’Olympe, Le jeune et
beau
Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hébé avoit
a main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on qu’au delà du
bel
âge, Tu nous coûteras tant de pleurs ? On cueill
fuis pour toujours ; Déjà se fane la couronne Que je portois dans mes
beaux
jours… Ainsi notre gloire s’envole Et vainement d
que extrémité. Le Paon d’abord en conçoit quelque envie : Mais le
bel
Arc s’efface, et mon sot l’injurie. Sa parure, d
lus Iris, et son Arc radieux : Il est clair à présent,
beau
Sire, Que vous vivez d’emprunt tou
sa vieillesse. Orion, Céphale et plusieurs autres mortels, jeunes et
beaux
comme Titon, furent après lui l’objet de sa tendr
re rangés les attèlent au char. Ovide.— Saint-Ange 92. Dans ce
beau
palais du Soleil Que chanta le divin Homère, Est
’a compassé le Dieu du jour, A distance égale posées, En éclairent le
beau
contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser
varie sur leur origine. On les fait tantôt filles de Jupiter et de la
belle
Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâc
mets innocens, Du lait, des fruits, des herbages naissans ! Dans ces
beaux
jours vantés par nos ancêtres ; L’homme étranger
rat 101. Danses Provençales. Venez : transportons-nous dans ces
belles
contrées, Des rayons d’un ciel pur en tout temps
e ivresse et le même transport. Sur des bras vigoureux on soulève une
belle
. On s’élance, on s’élève, on retombe avec elle. P
vin. Divinités des bois, des campagnes, des eaux,
Belles
Nymphes aux pieds de roses, Qui, sans courber les
dus à propos, Mais que la main reste cachée105 ! A une
belle
Source, à qui les habitans du Piessis-Villette on
le Source, à qui les habitans du Piessis-Villette ont donné le nom de
Belle
et Bonne. Toi, dont l’urne limpide arrose ce
ble une pomme d’or, sur laquelle étoient écrits ces mots : A la plus
belle
. Junon, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme
rimes si bien tournées, De vos victoires, de vos lois, Et de tant de
belles
journées, Vous crurent le plus vieux des Rois. Al
adie. Lachésis tournoit son fuseau, Filant avec plaisir les
beaux
jours d’Isabelle ; J’apperçus Atropos, qui, d’une
u destin. Forcé de renoncer au doux titre de père, Du moins, dans tes
beaux
jours par la douleur flétris, Tu n’aura
Créuse. Roi d’Italie avant l’arrivée d’Enée, il fonda dans cette
belle
contrée la Religion et les Lois. Ce fut chez Janu
ureux, si j’avois pu ravir à la mémoire Cette indigne moitié d’une si
belle
histoire. Racine 132. Voyez Ariane. Arist
e infortuné Par la contagion, par la faim moissonné : Aussi-tôt, des
beaux
lieux que le Pénée arrose, Vers la source sacrée
s de sa cour Filoient d’un doigt léger des laines verdoyantes ; Leurs
beaux
cheveux tomboient en tresses Ondoyantes. Là, sont
s revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers. On a
beau
l’implorer, son cœur, sourd à la plainte, Résiste
t ses talens : il fut le plus sage comme le plus spirituel et le plus
beau
des Bergers. Daphnis mourut à la fleur de son âge
de Sicile, Aux Mânes de Daphnis. Berger, qui des Dieux Le plus
bel
ouvrage, Montras dans ces lieux Le rare assemblag
ue prodigue au Sage La faveur des Cieux. Heureuse l’aurore Qui de tes
beaux
ans Vit la fleur éclore Et parer nos champs ! Mal
! Malheureuse celle Qui vit se flétrir Tomber et mourir Une fleur si
belle
! Depuis ce malheur, Quelles sont nos peines ! Hé
li de grâce, On la voit s’élancer sur fin coursier de Thrace, Le plus
beau
qu’Orithye eût encor élevé, A son fougueux époux
à pas précipités, Ramenant au combat ses fidelles compagnes, Du plus
beau
sang des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de
ier, son chef-d’œuvre nouveau : Il défioit les Dieux, en le voyant si
beau
; Moi-même j’admirois et l’artiste et l’ouvrage.
son père. Si sa chûte a suivi son essor téméraire, Il est
beau
de tomber du Ciel. Ovide.— Saint-Ange 156. D
ts redoublés, redoubleront sa honte, Et le triomphe des
beaux
arts. Les vents impétueux, par d’éternels ravag
onfondu. Virgile. — D. L. C. 163 Anchise, Prince Troyen.
Beau
et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux
Léthé ; Tels de nombreux essaims épris des fleurs nouvelles, Dans un
beau
jour d’été, bourdonnent autour d’elles, Et s’eniv
val de bois comme une ruse qui seroit fatale aux Troyens. Mais il eut
beau
s’opposer à son introduction dans la ville, les T
u Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant mort. Pâris devint si
beau
, que Jupiter le nomma juge du différend élevé ent
me il fut aimé d’elle ; Il étoit jeune, aimable ; elle étoit jeune et
belle
… Le jour trop long pour eux, coule trop lentement
t-on, célébra ces liens., Tous deux étoient parés de la fleur du
bel
âge ; Du sang de Jupiter tous deux étoient sortis
e pyramide qui portoit un char de marbre attelé de quatre chevaux. Ce
beau
moent fut compté parmi les sept merveilles du Mon
e, Sa blonde chevelure aux vents abandonnée, D’un nuage de pleurs ses
beaux
yeux obscurcis, Et demandant Thésée aux flots sou
fidelle, Garde aujourd’hui les Pommes d’or. Il les garde pour la plus
belle
, Et barricade son trésor. J’approche, son œil éti
, Et le triste oiseau sur le champ Mourut, dit-on, de jalousie, Non,
beau
Cygne, c’est trop mentir Il n’avoit pas tant de f
e Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les Dieux l’avoient formé si
beau
, qu’il étoit l’objet de l’amour de toutes les Nym
int-Ange 203. Adonis, Fils de Cynire et de Myrrha. Le plus
beau
des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vé
s croit voir son fils, il en a tous les charmes ! Jamais rien de plus
beau
ne parut sous les Cieux ; Et le vainqueur de l’In
t, quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin, c’est le soir d’un
beau
jour. Philémon et Baucis nous en offrent l’exempl
agesse ; Notre galant demanda la Richesse. Il devint riche, et fit de
beaux
Statuts Pour gouverner les trésors de Plutus… Le
, de la mer dont le calme infidelle Sembloit aux matelots présager un
beau
jour, Du malheureux Céyx, qu’envain sa voix rappe
vergers, et les Faunes des bois. Chaste comme Diane, elle étoit aussi
belle
, Et son arc servoit seul à la distinguer d’elle.
iras entoure son berceau : L’enfant le plus heureux est aussi le plus
beau
. Jossaud 216. à ma Femme, le jour de sa fête.
s, Dans leurs époux embrassoient des amans ! L’on rit de tout, et les
beaux
sentimens Sont devenus des sujets d’épigrammes.
au plus à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si
beaux
? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles
à ne répéter que la dernière syllabe des mots. Echo voulut plaire au
beau
Narcisse. Au désespoir de le trouver insensible,
mée, occuper les cent voix. Pour elle, désertant les
beaux
vallons du Tmole, Pour elle, désertant les rives
Niobé, superbement parée, Au milieu de sa cour, s’avance avec fierté,
Belle
à travers les traits d’un orgueil irrité. Ses che
halie effaçoit les attraits, Apollon, sans l’aimer, ne put la voir si
belle
, Et depuis, Andemon fut son époux fidelle. D
, ces superbes tableaux, Peu dignes d’attacher, sont plus tristes que
beaux
. Eh bien ! fuyez ; rentrez dans cette vil
cette Déité, charme de l’Univers, Vénus qui de Lucrèce inspiroit les
beaux
vers. Fontanes 241. Le Tempé François, ou la
levoit ses cornes menaçantes ; La genisse à pas lents, parcouroit ces
beaux
lieux. Je ne sais quelle joie animoit tous leurs
les de la Nature, Elles se baignent dans ses bras, Et l’onde est plus
belle
et plus pure. Bernis 243. Fontaine de l’Idalie
out notre bonheur. Bruneau 255. Elysée Philosophique. Si ces
beaux
lieux sont destinés aux Sages, Pourquoi chercher
ante le Printemps : Tristes jouets de la Parque et du Temps, Nos plus
beaux
jours s’écoulent comme l’onde ; Et l’avenir, tel
t des pleurs l’intéressant langage, Et sa compagne enfin fut ton plus
bel
ouvrage. Pour elle tu choisis les trésors les plu
nfers, tous les fléaux des Cieux, En un vaste cercueil ont changé ces
beaux
lieux. René. — Richard-Castel 259. Paix, F
ochers d’une plage inconnue, Qu’un monde obscur, sans Printemps, sans
beaux
jours, Et que des yeux éclipsés pour toujours. G
nos vers. O Mort ! puis-je te craindre, alors que de moi-même La plus
belle
moitié reste dans l’Univers ? Ovide. ― Le Bailli
tendre Nisus, Tous grands Héros, tous amis véritables : Ces noms sont
beaux
; mais ils sont dans les Fables* Voltaire 274.
de la Paresse. On l’appeloit aussi la Mère de l’Industrie et des
Beaux
Arts. Elle étoit représentée dans une contenance
rs . Dans une ville, (on n’en dit pas le nom) Un
beau
matin, deux étrangers parurent : A
La Liberté venue hors de saison, Ne seroit plus qu’une
belle
chimère… Que dis-je ? Elle seroit une drogue, un
ce ; Prêchez l’ordre, la paix, vertus de l’âge d’or, L’humanité, plus
belle
et plus touchante encor ; Prêchez sur-tout aux lo
283. Oui, je sais qu’il est doux de voir dans ses jardins, Ces
beaux
fruits incarnats et de Perse et d’Epire, De savou
s. Villemain Dabancour 286. Timave, Noricie, ô lieux jadis si
beaux
! Empire des Bergers, délices des troupeaux, C’es
eu lui-même, Et d’un feu créateur échauffe les Mortels. Hélas ! de ce
beau
feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’
es, les saphyrs ; Et sa riche chevelure Est le jouet des Zéphyrs : Ce
beau
feu qui l’environne Tient de sa vivacité ; Et tou
lâtrant, habitent autour d’elle ; Les Calembourgs, fils bâtards de la
Belle
, Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeun
cherche envain le fleuve de Jouvence : Pour remonter le cours de ses
beaux
ans, La Gaîté seule aux outrages du Temps, De ses
e étoit au tempéré ; On ne fait pas un portrait de caprice : Dans ces
beaux
jours de paix et d’équité, Les passions et les va
sans les suivre, entourent l’Immortelle ; Elle portoit ses plus
beaux
ornemens. En un clin d’œil on dépouille la
rtoit ses plus beaux ornemens. En un clin d’œil on dépouille la
Belle
, On lui ravit jusqu’à ses vêtemens. J
ée en pleurs ! Le couteau saint caché sous l’habit des Ministres ! La
belle
Iphigénie, à ces apprêts sinistres, Muette, se pr
e ! Quels lieux sont préférés aux lieux de la naissance ! Je vante ce
beau
Ciel, ce jour brillant et pur Qui répand dans les
de larmes, Le couvre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces
beaux
champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le fl
vre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces beaux champs, ce
beau
Ciel qui le virent heureux, Le fleuve qu’il fendo
e. Métamorphoses. liv. II. 93. [Table des matières] Anonyme. Dans ce
beau
palais du Soleil. 94. [Table des matières] Berni
cription pour une Fontaine. 106. [Table des matières] Prélong. A une
belle
source. 107. [Table des matières] Roman, d’Avign
la mythologie n’est pas morte. Elle vit jeune et souriante comme aux
beaux
jours de Phidias et d’ Homère, de Ronsard et de C
u ingénieux, est un profane, une intelligence fermée à la lumière des
belles
œuvres. Non-seulement il doit renoncer à comprend
eligion, quel triomphe pour moi ! C’était le pur polythéisme des plus
beaux
temps de la Grèce et de Rome. Ils croyaient au Pa
dieux immortels et attestaient Jupiter très-bon, très-grand. Oh ! les
beaux
jours que j’ai passés parmi ces dignes païens ! E
t il ouvrit une grande armoire à compartiments. Dans chacun était une
belle
paire d’ailes avec une inscription. Je lus : Aile
ines de toiles d’araignées. Je vis le rocher de Sisyphe surmonté d’un
beau
chien à trois têtes, qui n’aboya pas à ma vue, pa
a réponse. De retour chez moi, je dressai de mémoire un catalogue des
belles
choses que j’avais vues ; et, afin d’imiter nos c
, mais j’oserais affirmer que nous sommes plus propres. Adonis.
Beau
jeune homme, aimé de Vénus, tué par un sanglier.
rre se gonfle d’amour sous les caresses du printemps. Ces images sont
belles
, et les inventeurs de ce culte étaient de grands
cherche de son Thésée. (Genre roman-feuilleton et faits divers.) — Le
beau
tambour partait laissant une demi-douzaine d’Aria
harmant désespoir de cette Ariane plaintive, ses grâces éplorées, ses
belles
larmes, me donnaient la tentation de devenir son
lui-même paraît, avec raison, sensible à ce manque d’égards. On aura
beau
objecter que presque tous les enlèvements finisse
rit, que s’il a couleur romaine. Ils jouent sur leur grand théâtre de
belles
tragédies romaines, où Brutus, Pompée, César, et
t. Je m’y suis admiré, moi Cicéron, tonnant contre Catilina. Oh ! les
beaux
gestes que je faisais ! Il me semble, mon cher Tr
de nos princes fait construire à grands frais une maison romaine fort
belle
et fort incommode. Aussitôt la foule d’admirer. L
res chrétiens, vous vous croirez sur la voie Appienne. Vous verrez de
beaux
cénotaphes, de beaux mausolées, surmontés de bell
ous croirez sur la voie Appienne. Vous verrez de beaux cénotaphes, de
beaux
mausolées, surmontés de belles grandes urnes. — “
ne. Vous verrez de beaux cénotaphes, de beaux mausolées, surmontés de
belles
grandes urnes. — “Des urnes ! interrompis-je, à q
it des vipères sifflantes sur la tête et sur tout le corps. Enfin une
belle
queue de dragon compléta sa métamorphose. Ainsi f
qui m’inspire cette triste réflexion. Car à Douai, la mère-patrie des
belles
cavalcades, je l’ai vue, la blonde déesse, portée
er, elle brandit sa lance, elle se démène comme une possédée. Le plus
beau
du miracle, c’est qu’en un instant elle est deven
ouvement l’harmonie sociale. Remontez maintenant à la source de cette
belle
filiation : — L’Amour naît de l’Abondance, l’Abon
amoclès accepte. Aussitôt le maître fait installer notre homme sur un
beau
lit d’or, chargé de somptueux coussins et tendu d
evant la table, une troupe de jeunes esclaves, choisis parmi les plus
beaux
, ont l’ordre de se tenir debout, prêts à le servi
tête de l’heureux convive. Dès lors, il n’a plus de regards pour les
beaux
esclaves, pour le fin travail de l’argenterie ; s
auprès du roi Minos, qui lui fit un accueil empressé. Là il éleva une
belle
prison pour enfermer le Minotaure, issu de Pasiph
aussi difficile, je penche à croire que l’Athénien, soit regret de sa
belle
patrie, soit inquiétude naturelle de caractère, n
erdit pas son temps à se plaindre ; il songea à s’évader. Il fit deux
belles
paires d’ailes, mécanisme ingénieux de rames aér
’Amour a éternué à ta naissance ? » Je demande pardon aux amis de la
belle
littérature de cette traduction. Chez nous, l’éte
Soldats, le destin ne veut pas que nous combattions ici. Nous aurions
beau
faire, avec tout notre courage, nous ne gagnerion
les imaginations des hommes qui ont conservé pieusement le nom de la
belle
confidente du grave Numa. Aujourd’hui nous nous e
une autre origine ; elle vient de l’imagination des voyageurs. — « A
beau
mentir qui vient de loin, » dit le proverbe ; mai
e. …………………………………… Tout est petit, palais, usines, Sciences, commerce,
beaux
arts, De bonnes petites famines Désolent de petit
quelque temps silencieux et comme en extase Quand il revint à lui : «
Belle
œuvre, dit-il, et grand travail ! Mais il lui man
à ces initiés qu’elles se révèlent. Dans les nuits du printemps, les
belles
danseuses, glissant sur la prairie éclairée des r
mble à Virgile et Dorat à Catulle. Les aînées sont nues, c’est-à-dire
belles
de leur immortelle beauté : ce sont celles-là qu’
ériodes de cinq ans ? — Parce que c’était l’usage chez les Romains. —
Belle
raison ! C’était aussi leur usage de compter par
es œuvres d’autrui. Non content de critiquer les hommes, il mordait à
belles
dents les dieux ses confrères. Un jour, Neptune,
œur au lieu de l’effleurer. Nous n’avons guère jusqu’à présent que de
beaux
discoureurs. Il viendra quelqu’un qui rendra le p
province, à qui nous devons l’heureux terme de décentralisation, ont
beau
comparer à Sapho la muse qui pond tous les mois d
elquefois les maudissent. Ainsi vont se transformant d’âge en âge ces
belles
conceptions de l’esprit grec, immortelles comme l
ncluons par analogie du petit au faible et du grand au fort, comme du
beau
au bien et du laid au mal. Nous disons une âme pe
la folie des femmes !). C’était la pauvre Écho. Rebutée par le jeune
beau
, elle se dessécha au point qu’il ne resta d’elle
iers passent pour plus ridicules, je ne sais pourquoi. On les appelle
beaux
Narcisses, on les crible de traits qu’ils ne sent
e jeta sur la table une pomme d’or avec cette inscription : A la plus
belle
! comment Minerve, Junon et Vénus se disputèrent
ndeurs, il n’oublia pas la terre, sa patrie. Ne voulant pas qu’une si
belle
demeure restât inhabitée, il déroba au ciel le pr
t Pandore, c’est-à-dire la Bien Douée. Jupiter lui donna pour dot une
belle
boîte d’or qu’elle s’en fut offrir à Prométhée ;
nt et gagnent un sens chaque jour plus étendu. C’est le propre de ces
belles
conceptions du génie grec d’alimenter, sans s’épu
de le porter. Sirènes. Ce sont les filles de marbre de l’Océan.
Belles
comme Vénus jusqu’à la ceinture, elles cachaient
. Ulysse l’avisé avait entrevu le ventre écailleux du monstre sous la
belle
poitrine de la nymphe ; aussi le Grec, qui connai
ouverait personne à dévorer, et que nos interprètes de rébus auraient
beau
jeu avec lui. Mais on était alors à l’enfance du
rs charmants, et entre autres celui-ci tant cité : Ni la grâce, plus
belle
encor que la beauté. (Voir Œuvres diverses.) AR
corps qui la font surtout ressortir. Je ne connais pas de théorie du
beau
qui vaille cette allégorie charmante. MÉGÈRE. — V
nt la chasse jusqu’aux îles Strophades, où elles firent plus tard une
belle
peur au pieux Énée. 6. Proudhon. La Guerre et l
ablier indique la mesure du temps, et les ailes sa rapidité. Voici le
beau
portrait que le poëte Rousseau nous en a laissé :
r ce mélange adultère D’adversités, dont l’influence altère. Les plus
beaux
dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
r leur main Touts les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mériter le
beau
nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
tides ? R. Les Prœtides, filles de Prœtus, roi d’Argos, étoient fort
belles
. Elles eurent la hardiesse de comparer leur beaut
e, qu’elle n’osa plus y reparoître. Jupiter mit à la place d’Hébé, le
beau
Ganymède, fils de Tros, qu’il fit enlever par un
e, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère !
Belle
Proserpine, à tes yeux Déjà la moisson est tombée
us de Scylla et de Charybde ? R. Scylla, fille de Phorcys, étoit une
belle
nymphe qui fut aimée de Glaucus. Mais Circé, par
a Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a
beau
la prier, La cruelle qu’elle est, se bouche les o
ce larcin. Mercure, craignant qu’il ne le décelât, lui donna la plus
belle
des vaches qu’il avoit prises. Battus promit le s
décideroient en faveur de la divinité qui produiroit la chose la plus
belle
et la plus utile. Neptune frappa la terre de son
us utile. Neptune frappa la terre de son trident, et en fit sortir un
beau
cheval. Minerve, d’un coup de lance, fit naître l
onduisirent avec pompe dans le ciel. Touts les dieux la trouvèrent si
belle
, que chacun d’eux voulut l’épouser. Jupiter accor
e les géants. Ainsi, le plus laid des dieux devint l’époux de la plus
belle
des déesses. Vénus, mécontente d’un tel choix, eu
vengeance que Vénus tira de Psyché. R. Psyché étoit une princesse si
belle
, qu’elle fut aimée de l’Amour même. Ce dieu la fi
ceinture à Junon, et la fière épouse du maître des dieux, parut plus
belle
aux yeux de Jupiter. Homère nous a laissé une mag
t aussi des temples à Cythère, à Gnide, etc. Tout le monde connoît la
belle
description du temple de l’Amour, qui commence le
n est-il représenté ? R. Apollon est représenté sous les traits d’un
beau
jeune homme avec des cheveux blonds, un carquois
rappelle, Descend du ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus
belle
Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades t
vide soc empiétoit sur mon bien, Crie aussitôt comme un
beau
diable : Alte-là, mon voisin, voisin insatiable,
syllabes de tout ce qu’elle entendroit dire. Echo devint amoureuse du
beau
Narcisse, fils de la nymphe Lyriope et du fleuve
enchant. C’est Thémis, oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus
beau
, Son front porte ce diadème Que Tireur prend pour
roit. Alors deux femmes de grande stature lui apparurent. L’une, fort
belle
, étoit la Vertu : elle avoit un visage majestueux
ple infortuné Par la contagion, par la faim moissonné : Aussitôt, des
beaux
lieux que le Pénée 8 arrose, Vers la source sacré
s de sa cour Filoient d’un doigt léger des laines verdoyantes ; Leurs
beaux
cheveux tomboient en tresses ondoyantes. Là, sont
s revers. Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers : On a
beau
l’implorer ; son cœur sourd à la plainte, Résiste
tend qu’il leur apprit l’art de l’écriture. Tout le monde connoît ces
beaux
vers de Brébœuf sur Cadmus. C’est de lui que nou
meux sculpteur. Il fit une statue de Vénus en ivoire, et la trouva si
belle
, qu’il pria la déesse d’animer cet ouvrage de son
u plus à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talents si
beaux
? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles
e. D. Quelle princesse Ménélas prit-il pour épouse ? R. Il épousa la
belle
Hélène, sœur de Clytemnestre, et succéda à son be
ez dompter. Et, déjà d’llion présageant la conquête, D’un triomphe si
beau
je préparois la fête. Je ne m’attendois pas que,
appréhendant la peine, Au sein de ce grand roi, digne d’un sort plus
beau
, Inspira Clytemnestre à porter le couteau, Prétex
are, qu’as-tu fait ? avec quelle furie As-tu tranché le coup d’une si
belle
vie ? Avez-vous pu, cruels, l’immoler aujourd’hui
fils d’Esculape, guérirent Philoctète de sa blessure. D. Récitez les
beaux
vers de La Harpe sur les malheurs de Philoctète.
grecs par leur courage. L’amour qu’il avoit pour sa jeune épouse, la
belle
Pénélope, lui fit chercher plusieurs moyens pour
appelé l’Odyssée. Il avoit fait auparavant un autre poëme encore plus
beau
, dans lequel il a célébré la colère d’Achille, si
le de ses armes. Mais puisque, condamnés à lui donner des larmes, Ses
beaux
jours par le ciel nous furent enviés, (Ulysse ess
illon le sujet d’une tragédie, et à l’ auteur de Télémaque celui d’un
bel
épisode. Une effroyable nuit, sur les eaux répan
sa mère en Épire. C’est cette tradition, que Racine a suivie dans sa
belle
tragédie d’Andromaque. Le poëte a feint qu’Androm
épouser Pyrrhus, que pour sauver la vie à son fils. D. Rapportez les
belles
scènes où Racine peint les combats d’Andromaque,
à des bergers du mont Ida, qui l’élevèrent. Il devint bientôt le plus
beau
et le plus célèbre des pasteurs. La nature le déd
a table du festin, une pomme d’or, avec cette inscription : à la plus
belle
. Junon, Vénus et Pallas prétendirent exclusivemen
le savoir et la vertu ; Vénus lui promit de le faire aimer de la plus
belle
femme de l’univers. Pâris adjugea la pomme à Vénu
le tient un fruit d’or, où ces mots sont écrits : « Le sort à la plus
belle
a réservé ce prix. » On sait quel fut le trouble
trouble entre les immortelles, Qui toutes prétendoient à l’empire des
belles
, Et qu’enfin Jupiter, qui n’osa les juger, Fit dé
e, pour redemander Hésione. C’est dans ce voyage, que Pâris enleva la
belle
Hélène, et donna lieu à la guerre qui amena la ru
firent périr misérablement. Cette aventure a donné lieu à un des plus
beaux
morceaux de sculpture grecque, que nous possédion
qui le taillèrent de concert d’un seul bloc de marbre. D. Récitez les
beaux
vers dans lesquels M. Deguerle décrit, d’après P
Virgile, poëte latin, qui vivoit sous Auguste. Son Énéide est le plus
beau
monument qui nous reste de l’antiquité. Virgile t
use ta fuite ; L’autre, en fuyant cause ta mort. D. Récitez-nous les
beaux
vers dans lesquels le traducteur de Virgile a si
des galeries placées les unes au-dessus des autres et formées par de
belles
colonnes. Au haut de la tour, on allumoit touts l
culpture pouvoient offrir de plus rare et de plus précieux ; les plus
beaux
marbres, le bronze, l’or et l’ivoire décoroient l
Ce qu’il y a de plus ancien, c’est Dieu, car il est incréé ; de plus
beau
, le monde, parce qu’il est l’ouvrage de Dieu ; de
ia alors ces lois que la postérité a toujours regardées comme le plus
beau
monument d’Athènes. Les gens de bien devroient av
t du puits, laisse son compagnon ; Et vous lui fait un
beau
sermon Pour l’exhorter à patience.
iture-Sainte que l’amour des parents. L’Ecclésiastique, l’un des plus
beaux
livres de morale, nous dit : « Écoutez, enfants,
. La Mère et ses deux fils. Écoutez un mot, mes amis, Qui me paroît
beau
de tendresse : D’une veuve entre ses deux fils L’
l’aumône ; mais faites-la sur-tout aux vieillards. D. Récitez-nous le
bel
apologue de La Fontaine, intitulé le Vieillard et
isme historique, comme le meilleur livre sur cette matière. Plusieurs
beaux
traits de l’Écriture-Sainte ont été mis en vers,
la langue nationale. D. Ne suffit-il pas à une jeune personne d’être
belle
? La beauté ne peut-elle point lui tenir lieu d’i
de ne point nous laisser prendre aux apparences. Un renard voyant une
belle
tête : Belle tête, dit-il, mais de cervelle poin
us laisser prendre aux apparences. Un renard voyant une belle tête :
Belle
tête, dit-il, mais de cervelle point ! « La beaut
cien, une courte tyrannie, et le premier privilége de la nature ; les
belles
personnes portent sur le front des lettres de rec
st plus triste que la suite de la vie des femmes qui n’ont su qu’être
belles
. » Écoutons encore sur ce sujet madame Deshouliè
sujet madame Deshoulières : Pourquoi s’applaudir d’être
belle
? Quelle erreur fait compter la beauté pour un bi
r les cœurs ses droits sont absolus ; Que tant qu’on est
belle
, on fait naître Des desirs, des transports, et de
njour, Monsieur du Corbeau ! Que vous êtes joli ! que vous me semblez
beau
! Sans mentir, si votre ramage Se rap
s mots, le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa
belle
voix, Il ouvre un large bec ; laisse tomber sa pr
ute les masques pour parvenir à ses fins. M. Arnault nous a donné le
bel
apologue suivant : Le Chien et le Chat.
ute chaude et toute fumante : Le secret sans doute en est
beau
Pour la nature défaillante.
plus honteux de touts les vices. La candeur est au contraire le plus
bel
ornement de l’ame. Voici un apologue de La Fontai
mitié est sincère, indulgente, généreuse. La Fontaine nous fournit un
beau
modèle d’une parfaite amitié dans l’apologue des
La Colombe, qui s’égayoit Au bord d’une fontaine où l’onde étoit fort
belle
, Vit se démener auprès d’elle
e. Une Grenouille vit un Bœuf Qui lui sembla de
belle
taille ; Elle, qui n’étoit pas grosse en tout com
Régnez sur vos propres desirs ? C’est le plus
beau
des diadèmes. ( La Fontaine, Daphné.) D. En quoi
il n’y manquoit qu’un homme Celui-ci se l’attache, et se pend bien et
beau
. Ce qui le consola, peut-être, Fu
r le vit, Se douta du dépôt, l’enleva sans rien dire. Notre avare, un
beau
jour, ne trouva que le nid. Voilà mon homme aux p
dont les œufs ne lui rapportoient rien, S’étant lui-même ôté le plus
beau
de son bien. Belle leçon pour les gens
oient rien, S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle
leçon pour les gens chiches ! Pendant ces dernie
l’habitude aux jeunes gens ? R. C’est celle de la bienfaisance. Une
belle
ame ne goûte pas de grand plaisir que celui de so
a misère importune Qui tombera demain dans la même infortune : Il est
beau
de prévoir ces retours dangereux, Et d’être bienf
on temps : Plus il se tourmentoit, plus l’autre tenoit ferme ; Il eut
beau
faire agir le collet et les plis. Sitô
e est si courte que ce n’est pas la peine de s’impatienter . Voici un
bel
apologue de La Motte. Un Pêcher, les amours et l
élicieux des arbres et des fleurs ; Cependant, paresseux, le zéphyr a
beau
faire, Tu dors, quand tout est éveillé
e Comme j’ai déjà travaillé ; Me voilà tout fleuri ; d’une
belle
espérance Voilà déjà mon maître régalé. Je lui
e donc grand tort De ne me pas presser si fort ? Zéphire a
beau
souffler, je crains encor la bise ; Sache qu’il f
cœur des jeunes gens, et de leur inspirer le goût de l’honnête et du
beau
. On leur met sous les yeux le tableau des devoirs
x dans les airs, nous représentent le sort des orgueilleux ; celle du
beau
Narcisse qui, trop épris de sa beauté, meurt vict
e une partie de ses agrémens ? R. Oui ; elle emprunte d’elle ses plus
beaux
ornemens. La fiction est ame de la Poésie, et par
vant de commencer leur histoire, nous avons cru devoir placer ici les
beaux
vers de Rousseau sur le Cahos. D. Qu’est-ce que l
les peuples entiers ; Dans le sang on cherche la gloire ; Et, sous le
beau
nom de Victoire, Le meurtre usurpe les lauriers.
, cygne, ou quel qu’autre chose ; Je ne trouve pas cela
beau
, Et ne m’étonne pas si parfois on en cause. D. Q
nir ce mélange adultère D’adversités dont l’influence altère Les plus
beaux
dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore Fit mériter le
beau
nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
etc. Les filles de Prétus, parce qu’elles s’étoient vanté d’être plus
belles
que Junon, furent frappées d’un genre de folie qu
sa naissance, l’enlevèrent dans le ciel ; les Dieux la trouvèrent si
belle
, qu’ils la nommèrent Déesse de l’Amour. Jupiter,
mots de la ceinture de cette Déesse ? R. Cette ceinture étoit le plus
bel
ornement de Vénus. Elle renfermoit tous les attra
ée ? R. Elle avoit des temples dans tous les pays du monde ; les plus
beaux
et les plus célèbres étoient à Amathonte, à Lesbo
e décidèrent en faveur de la Divinité qui produiroit la chose la plus
belle
et la plus utile. Minerve, d’un coup de lance, fi
livier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de son trident, fit naître un
beau
cheval. Minerve l’emporta, et donna le nom d’Athè
it à son gré. Qu’Éole en ses gouffres enchaîne Les Vents ennemis des
beaux
jours ; Qu’il dompte leur bruyante haleine, Et ne
chant. C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus
beau
, Son front porte le diadême Que l’erreur prend po
Narcisse ? R. Narcisse, fils de Céphise et de Liriope, se trouvoit si
beau
, qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé
ide soc empiétoit sur mon bien, Crie aussitôt comme un
beau
diable ; Alte-là, mon voisin, voisin insatiable,
er porta l’art de l’écriture dans la Grèce. Tout le monde connoît ces
beaux
vers de Brébeuf sur ce Prince : C’est de lui que
de Pénélope Minerve accorde secours, Les Lestrigons et le Cyclope Ont
beau
s’arrêter contre ses jours : Aidé de cette intell
es, fuit, et elle se donne la mort. C’est ce qui a donné lieu à cette
belle
épigramme d’ Aussonne : Infelix Dido, nulli bene
d sort du puits, laisse son compagnon, Et vous lui fait un
beau
sermon, Pour l’exhorter à patience : S
t donc jamais se laisser prendre aux apparences. Un Renard voyant une
belle
tête : Belle tête, dit-il, mais de cervelle poin
se laisser prendre aux apparences. Un Renard voyant une belle tête :
Belle
tête, dit-il, mais de cervelle point ! (La Font.,
e prix de l’homme est dans son ame, et non dans son coffre ou dans un
beau
masque. Qu’elles imposent donc silence aux sens,
oi les proposer ! hélas ! ils font pitié ; Voyez un peu la
belle
espèce. (La Font., L. 7. F. 5.) Qu’arriva-t-il à
peu la belle espèce. (La Font., L. 7. F. 5.) Qu’arriva-t-il à cette
belle
dédaigneuse ? Écoutez-le de La Fontaine : Celle-
a gloire de vos jours. Il s’élèvera quelquefois des nuages : (le plus
beau
ciel n’a-t-il pas aussi les siens ?) Patience, mo
doit être de mettre notre conduite à l’abri de tout reproche. Il est
beau
d’imposer silence à la malignité de la censure pa
r le nœud le plus sacré, que de s’en servir pour tromper. Rien n’est
beau
que le vrai, le vrai seul est aimable. (Boileau.)
le vrai, le vrai seul est aimable. (Boileau.) La candeur est le plus
bel
ornement de l’ame : cette riche vertu mérite nos
les ingrats ! Que les ames bienfaisantes n’oublient jamais qu’il est
beau
de faire des ingrats. Il faut autant qu’on peut
ustement nommé une des sept Merveilles du monde. Il étoit un des plus
beaux
que l’on connut. On y admiroit sur-tout cent ving
’admiration de toute l’antiquité. D. Faites-nous la description de ce
beau
travail ? R. La statue étoit d’or et d’ivoire : e
culpture pouvoient offrir de plus rare et de plus précieux ; les plus
beaux
marbres, le bronze, l’or et l’ivoire, décoroient
de Sostrate, Gnidien. Di- Décrivez-nous les parties et l’usage de ce
beau
monument ? R. Au-dessus d’un palais de marbre bla
t un grand nombre ; mais il en reste peu de bien conservées. Les plus
belles
sont auprès du vieux Caire. Elles sont au nombre
ains ; mais, en général, les allégories non douteuses forment la plus
belle
partie de la Fable. Je dis non douteuses, car cel
ans leurs ouvrages des beautés admirables ; car le vrai sublime et le
beau
moral dans toute sa perfection, ne peuvent jamais
faite que lorsqu’elle offre l’expression de la mélancolie. Toutes les
belles
têtes grecques ont une expression de tristesse et
eunesse, de la fraicheur et de l’ingénuité ; mais elles ne sont point
belles
parce qu’elles sont riantes. Il y a, dans la véri
n arrosoit de sang le char du vainqueur. La Mythologie offre quelques
beaux
traits de morale, mais elle ne présente aucun enc
sistible, éclaira même les persécuteurs des premiers Chrétiens ; on a
beau
fermer les yeux à la clarté du soleil, alors on n
s la lumière ?… Ce dialogue doit nous paroître plus touchant et plus
beau
qu’il ne devoit l’être pour les Grecs ; ce n’est
s cette partie de l’Italie qu’on appeloit le Latium. Il y donna de si
belles
lois et gouverna ses peuples avec tant de douceur
ter prétendoit avoir seul le droit de créer les hommes, formèrent une
belle
femme, nommée Pandore, à laquelle ils donnèrent t
, les jeux Isthmiques, en l’honneur de Neptune. Thétis, surnommée la
belle
Thétis par Homère, n’étoit qu’une Néréide, et sel
fille de Chiron ou d’Actor. Elle fut élevée par Junon. Elle étoit si
belle
, que Jupiter, Apollon et Neptune desirèrent l’épo
im et de la soif, plongé dans un fleuve sans pouvoir boire, voyant de
beaux
fruits suspendus au-dessus de sa tête sans y pouv
n’avoit rien de défectueux sur le corps ; il falloit même qu’elle fût
belle
. Dès que la vestale avoit mis le pied dans le par
étoit rassemblé, une pomme d’or portant cette inscription : à la plus
belle
. Les Dieux décidèrent que Vénus, Junon et Minerve
enchréïs, épouse de Cynire, roi de Chypre, s’étant vantée d’être plus
belle
que Vénus, la Déesse, pour se venger, inspira à M
qui indiquoit ainsi tous les ans l’époque de ses funérailles. La plus
belle
des Déesses s’unit au plus laid des Dieux ; Vénus
Télèphe, on dit qu’elle surpassoit Hélène même en beauté. Hélène, si
belle
dès son enfance, que Thésée, devint amoureux d’el
n spécifique pour dissoudre les goîtres. Ainsi il est probable que la
belle
Aspasie avoit un goître dont elle fut guérie par
a mort d’Alcidice, épousa Sidero, qui fut une cruelle marâtre pour la
belle
Tyro. Salmonée fut un roi très-impie, Jupiter le
mes. Nirée, roi de Naxos, fils de Charopus et d’Aglaïa, étoit le plus
beau
des princes Grecs qui firent le siége de Troie. A
yen, étant né Crotoniate, uniquement à cause de sa grande beauté. Les
belles
paupières de Démétrius de Phalère, lui firent don
re), sur les paupières duquel siégent les Grâces. Callicrate, le plus
bel
homme non-seulement de Sparte, mais de la Grèce,
es en l’honneur de Junon et de Cérés. Il y avoit un prix pour la plus
belle
des femmes qui s’y trouvoit. Les Eléens célébroie
nt ces fêtes en l’honneur de Minerve, mais le prix étoit pour le plus
bel
homme. Le vainqueur étoit mené en triomphe la têt
c cette différence pourtant que les Grecs décernent le prix à la plus
belle
et les Barbares à la plus vertueuse ». Diodore d
pta en marbre, Bupales en or, etc, Pindare consacra à leur gloire une
belle
ode, la dernière de ses Olympiades. Les Lacédémon
n, reçut de Vénus un vase rempli de parfums, ce qui le rendit le plus
beau
des hommes. Il fut passionnément aimé de Sapho qu
piter, Diane la tua à coups de flèches, parce qu’elle se croyoit plus
belle
que cette déesse. Arganthone fut si touchée de la
es poëtes y célébroient les vainqueurs, et les immortalisoient par de
beaux
vers, et l’on doit à ce genre de triomphe les ode
ux larmes que les nymphes répandirent après sa mort. Apollon, le plus
beau
des immortels, malgré les talens enchanteurs de l
vol, promit de n’en point parler, parce que Mercure lui donna la plus
belle
vache du troupeau ; mais Mercure, pour éprouver l
ea neuf cents chameaux31. Apollon est représenté sous les traits d’un
beau
jeune homme avec des cheveux blonds, un carquois
, les Muses eurent la barbarie de lui crever les yeux, de lui ôter sa
belle
voix, et de lui faire oublier tout ce qu’il savoi
à garder le silence sur les intrigues de Vénus, lui fit présent d’une
belle
rose, la première qui ait paru sur la terre. Depu
si des jeux floraux (mais littéraires) en France, à Toulouse, doux et
beau
climat, où le Soleil semble avoir une influence é
née dans une forêt ou ils élevoient un autel de gazon au pied du plus
beau
chêne ; ils gravoient sur le tronc de l’arbre les
e nommé Eubatas, qui résista à toutes les séductions de Laïs, la plus
belle
courtisane de la Grèce, éperdument amoureuse de l
lantes, il enseigna cet art à Esculape, à Achille, à Hercule, etc. La
belle
Agamède, fille d’Augé, dont parle Homère, livre I
, et la connoissance de toutes les plantes et de leurs propriétés. Le
beau
Pâris, réduit à la condition de berger, vit Œnone
s-uns nomment Daphné, fille de Tirésias : elle rendoit ses oracles en
beaux
vers. Celle de Cumes les écrivoit sur des feuille
s de tous les vieux châteaux. Toujours fraîche, toujours plus
belle
, La jeune et féconde Cybèle, A sa suite,
son avide soc empiétait sur mon bien, Crie aussitôt comme un
beau
diable : Halte-là ! mon voisin, voisin insatiable
ir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influence altère Les plus
beaux
dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fit mériter le
beau
nom de Pandore. L’urne fatale où les afflictions,
lir en Italie, elle alla trouver Eole, et lui promit Déiopée, la plus
belle
de ses nymphes, s’il voulait le faire périr avec
e touchèrent peu la nymphe, et elle lui préféra Acis, berger jeune et
beau
. Polyphème, furieux de se voir dédaigné, s’en ven
d’ennui dans sa prison, lorsque Mercure, instruit de son sort par la
belle
Héribée, l’arracha des mains de ses persécuteurs.
nt son exil, Apollon vit Daphné, fille du fleuve Pénée : il la trouva
belle
et le lui dit ; mais Daphné, sans vouloir l’enten
it de la sauver, à condition que Laomédon lui donnerait les deux plus
beaux
chevaux de son écurie : le roi y consentit ; mais
des nymphes de l’Océan. Peu de temps après, il porta son hommage à la
belle
Leucothoé, fille d’Orchame roi de Babylone. Pour
belle Leucothoé, fille d’Orchame roi de Babylone. Pour entretenir la
belle
Leucothoé sans témoin, le dieu prit la figure d’E
tales allèrent au-devant de lui en grande pompe. Le dieu remarqua une
belle
île sur le Tibre, où il montra qu’il souhaitait q
filles de Piérus, roi de Macédoine. Ces filles, orgueilleuses de leur
belle
voix, osèrent défier les Muses de mieux chanter :
Cumes dans l’Eolide, et fut prêtresse d’Apollon. Ce dieu la trouvant
belle
, n’épargna rien pour la rendre sensible ; il lui
ans l’Océan. Chionée Chionée, petite fille du matin, et plus
belle
que l’Aurore, osa comparer ses attraits à ceux de
t craignant encore les funestes effets de la colère du dieu, cacha le
beau
berger sur le sommet d’une montagne. Les mytholog
nt vingt ans. Ce temple magnifique, décoré d’excellens tableaux et de
belles
statues, fut brûlé le jour même de la naissance d
e vieux berger Battus. Pour payer sa discrétion, il lui donna la plus
belle
vache du troupeau volé. Un moment après, le dieu
nus ne ressemble point à celle de la plupart des jeunes filles ; être
belle
sans orgueil, aimable sans coquetterie, instruite
nt le cœur et l’esprit de leur élève ; elles lui apprirent encore les
belles
manières et l’art de se rendre agréable, et elles
oquait les Grâces, et l’on buvait trois fois en leur honneur. La plus
belle
de toutes leurs prérogatives était de présider au
de son futur époux, dont, à l’en croire, la mise négligée cachait de
beaux
traits et un air noble ; il ajouta : « Mais que
endroit l’orateur s’arrêta ; ce n’est pas qu’il n’eût encore de fort
belles
choses à dire ; mais la vive émotion d’Amphitrite
accompagnaient, sonnant de la trompette. On peut lire dans Virgile la
belle
description où ce dieu est représenté volant sur
phes couronnées de fleurs nageaient en foule derrière le char ; leurs
beaux
cheveux-pendaient sur leurs épaules et flottaient
t pas confondre avec Téthys, la grande déesse des eaux, était la plus
belle
personne du monde. Jupiter voulait l’épouser ; ma
lie, où l’on prétend qu’elle mourut. Les Syrènes avaient la voix fort
belle
, et pinçaient le luth d’une manière admirable. Or
erpine, fille de Cérès, pendant qu’elle cueillait des fleurs dans les
belles
prairies d’Enna, en Sicile. Une nymphe, nommée Cy
, les pluies, la neige ne venaient point attrister les habitans de ce
beau
séjour. On y respirait un air pur, rafraîchi par
t plus en état de pratiquer cette leçon. Cette sentence est bonne et
belle
; Mais en enfer de quoi sert-elle ? Scaron.
ières syllabes qu’ils prononceraient. Echo devint éprise de Narcisse,
beau
jeune homme qui n’aimait que lui ; elle le suivit
t-à-dire, vers l’an 805 avant J.-C. Cette nymphe était sans doute une
belle
personne qui aimait la vie champêtre, et faisait
t de l’accabler d’injures et de reproches. Rousseau lui a adressé une
belle
ode, dont voici la première strophe : Fortune, d
nchant, C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus
beau
, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
uite à tous ceux qui se rendirent célèbres par leur bravoure ou leurs
belles
actions. Persée, que la fable place au rang des
oi d’Ethiopie, et de la reine Cassiopée, qui avait osé se croire plus
belle
que Junon. Neptune, pour venger la déesse, envoya
tenait le ciel sur ses épaules. Ces pommes d’or étaient sans doute de
belles
oranges ou des citrons dont les jardins de la Mau
a suite il fut changé en cygne ; sa lyre brilla au ciel ornée de neuf
belles
étoiles, dont chaque Muse fournit la sienne.
vengeait sur les parens d’Europe l’impression que la beauté de cette
belle
personne avait faite sur Jupiter. Cadmus lui-même
èrent. Pâris, devenu grand, ne tarda pas à sa faire connaître par ses
belles
qualités. Ce que la renommée publiait à son avant
iscorde jeta dans rassemblée une pomme d’or avec ces mots : A la plus
belle
. Pâris adjugea la pomme à Vénus et s’attira ainsi
ôt, raconte son histoire dans l’Enéide. La reine de ces lieux est la
belle
Didon : Elle reçut le jour dans la riche Sidon ;
t, quitte-t-il ce séjour, Rien ne trouble sa fin : c’est le soir d’un
beau
jour. Philémon et Baucis nous en offrent l’exempl
de celui qui force à vous aimer. Vous joignez à ces dons l’amour des
beaux
ouvrages : Vous y joignez un goût plus sûr que no
ien que de plat. …………………………………………………… …………………………………………………… Qu’aura de
beau
la guerre, à moins qu’on y crayonne Ici le char d
les peuples entiers ; Dans le sang on cherche la gloire ! Et, sous le
beau
nom de Victoire, le meurtre usurpe des lauriers.
ir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influence altère Les plus
beaux
dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fît mériter le
beau
nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
rpent, cygne, ou quelqu’autre chose ; Je ne trouve point cela
beau
, Et ne m’étonne pas si par fois on en cause. Mol
Cyrianesse, fille de Prétus et de Sténobée, se vantèrent d’être plus
belles
que Junon. Aussi-tôt la déesse les frappa d’un ge
Climène sa mère, qui le confirme dans son projet : Mon dessein sera
beau
, dussé-je y succomber ; Quell
succomber ; Quelle gloire si je l’achève ! Il est
beau
qu’un mortel jusques aux cieux s’élève,
au qu’un mortel jusques aux cieux s’élève, Il est
beau
même d’en tomber. Quinault. En conséquence de c
oi de Calydon. Cette reine avoit prétendu que ses filles croient plus
belles
que Diane : Et toi, fille du dieu qui lance le t
’elle avoit à Ephése, ville d’Ionie, étoit le plus célèbre et le plus
beau
. C’étoit une des sept merveilles du monde. On avo
ribué pendant deux cents ans. On admiroit les tableaux excellens, les
belles
statues qui décoroient ce temple, et sur-tout cen
i, et ne pouvant point ou ne voulant point s’immortaliser par quelque
belle
action, brûla ce temple, le jour même qu’Alexandr
culpture pouvoient offrir de plus rare et de plus précieux ; les plus
beaux
marbres, le bronze, l’or et l’ivoire, décoroient
des restes précieux, dignes des recherches des savans ; mais les plus
belles
se trouvent près du vieux Caire, sur la rive gauc
conduisirent avec pompe dans le ciel. Tous les dieux la trouvèrent si
belle
, que chacun d’eux voulut l’épouser : Jupiter acco
e croit voir son fils, il en a tous les charmes ; Jamais rien de plus
beau
ne parut sous les cieux. Rousseau. Les poëtes l
……………… En prenant ce tissu, que Vénus lui présente, Junon n’étoit que
belle
; elle devint charmante ; Les Graces et les Ris,
Cette déesse avoit des temples dans tous les pays du monde. Les plus
beaux
et les plus célèbres étoient à Amathonte, à Lesbo
ent un fruit d’or, où ces mots sont écrits : Le sort à la plus
belle
a réservé ce prix. On sait quel fut le trouble
trouble entre les immortelles, Qui toutes prétendoient à l’empire des
belles
5 Et qu’enfin Jupiter, qui n’osa les juger, Fit d
ndre ; Les plaintes, les dégoûts, l’imprudence et la peur, Font de ce
beau
séjour un séjour plein d’horreur. La sombre Jalou
t alors on l’appelle Pallas ; ou comme la déesse de la sagesse et des
beaux
arts, et on l’appelle alors Minerve :
faveur de la divinité qui produiroit, sur le champ, la chose la plus
belle
et la plus utile. Minerve, d’un coup de lance, fi
livier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de son trident, fit naître un
beau
cheval que plusieurs prétendent être le cheval Pé
Fut jalouse de mes appas, Et me rendit affreuse, autant que j’étois
belle
: Ma tête est fière encor d’avoir pour ornement
d’un rocher : Qu’Eole en ses gouffres enchaîne Les Vents ennemis des
beaux
jours, Qu’il dompte leur bruyante haleine, Et ne
s parricides fureurs. Lamotte. Danaüs étoit roi d’Argos, et fils de
Bel
ou Bélus ; ce qui fait donner quelquefois aux Dan
chant. C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus
beau
, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
s. Lamotte. Narcisse, fils de Céphise et de Liriope, se trouvoit si
beau
, qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé
Castor et Pollux, connus sous le nom de Tyndarides, sont le plus
beau
modèle que l’antiquité nous donne de l’amour frat
poids des années, elle le rajeunit : O ! que, pour avoir part en si
belle
aventure, Je me souhaiterois la fortune d’Eson, Q
une a son but. Cependant la nuit vient. Médée, après le coup d’une si
belle
amorce, Prépare de l’eau pure et des herbes sans
et François. Sophocle et Euripide y puisèrent le sujet de leurs plus
belles
tragédies ; Homère, celui de ses deux poëmes épiq
on attaché la conquête : Mais on sait que, pour prix d’un triomphe si
beau
, Ils ont aux champs Troyens marqué votre tombeau
’enleva Briséis, Dans ma tente enfermé, tout brûlant de colère, J’eus
beau
voir la fortune aux Grecs par-tout contraire, Pou
appréhendant la peine, Au sein de ce grand roi, digne d’un sort plus
beau
, Inspira Clytemnestre à porter le couteau ; Préte
énélope Minerve accorde son secours, Les Lestrigons et le Cyclope Ont
beau
s’armer contre ses jours : Aidé de cette intellig
our, 41 — Considéré comme le dieu de la Poésie, de la Musique et des
beaux
Arts, 44 — Emblème de l’enthousiasme poëtique, 1
s, changée en pierre de touche, 71 Beauté, déesse qui y préside, 71
Bel
, 102. Voyez Bélus. Bélides, nom donné aux Danaïd
Déesse de Mémoire, 49-55. De la sagesse, 79. Aux cent voix, 117. Des
beaux
Arts, 79. Des combats, 81. Des chasseurs, 57. De
gnoit sur le chaos, 16 — Elle jette la pomme d’or destinée à la plus
belle
, 74--75 Divinités, célestes, 16. Terrestres, 112
ar le fruit disparut, la jeune fille fut enceinte et donna le jour au
bel
Atys, que, suivant Pausanias, elle avait eu en ré
n, un sceptre dans l’autre et un tambour ou disque, et quelquefois le
bel
Atys à ses côtés. Son habillement était d’une cou
sons bien en détail l’antique Cybèle de Phrygie et ses amours avec le
bel
Atys, passons à la Cybèle de Crète, que l’on dési
ns ce fleuve. Les anciens représentaient Vesta avec un figure sévère,
belle
, noble et enveloppée d’un voile à la manière espa
et ses trois sœurs ; car cette Hora ou heure, pleine de jeunesse, de
bel
âge et de beauté, était bien faite, comme on deva
, ou la paix envisagée comme harmonie, et Eunomie ou Eurynomie ou les
belles
lois. Les Crétois les faisaient naître en outre d
Sthenios, ou le donneur de force à Argos ; Stratios, ou le donneur de
belles
armées chez les Cariens ; Supinalis, ou qui peut
omme divinisé arriva à la célébrité plutôt par ses crimes que par ses
belles
actions, puisqu’il alla jusqu’à tuer son père. Il
temps barbares et sans lois, était représentée sous les traits d’une
belle
femme, étranglant une femme hideuse et la frappan
fils unique, qu’ils firent Dieu du feu ; elle lui donna pour sœur, la
belle
Hébé. Une autre fois, le maître des dieux ayant a
curieux par leur bizarrerie, et méritent de prendre place ici. Cette
belle
et fière Junon, épouse de Jupiter, ayant éprouvé
nt, que Vénus sa mère, pour qui TyphŒ s’était épris tout-à-coup d’une
belle
passion, n’arriva sur les bords de l’Euphrate qu’
avoir le moindre soupçon, et moins sage que son auteur, accueillit la
belle
Pandore, en fit sa femme et ouvrit la boîte. Soud
avoir été le recéleur des vols continuels de Pandaré, et surtout d’un
beau
chien d’or qui appartenait à Jupiter, et d’avoir
la fille de Cérès, c’est Proserpine disputant à Vénus la conquête du
bel
Adonis ; c’est Mars se disputant avec Hercule. Ma
ou de Corinthe, Antophoros ou couverte de fleurs, Anthie et Anthéa ou
belle
à Argos, Ardéa ou d’Ardée, Argiva et Argienne ou
chèvres à Sparte, Elicius ou d’Etrurie, Enfant, Eribée, Évêmôn ou aux
beaux
habits, Fébrua ou Fébralis ou la purifiante, prés
un coucou, lequel transi et tout humide se réfugia dans le sein de la
belle
Junon qui céda bientôt charitablement à tous les
e son mariage avec Jupiter la naissance, comme en le sait déjà, de la
belle
Hébée, de Vulcain et même de Lucine, selon quelqu
ne épouse, fut alors de temps en temps conter fleurettes aux diverses
belles
de l’Olympe et de la terre. Ces nombreuses infidé
t comment faire sans se compromettre, elle fut secrètement trouver la
belle
Flore et lui demanda le moyen d’avoir aussi un fi
rons plus tard, par le courageux Persée, qui, après s’être marié à la
belle
qu’il venait de délivrer, obtint de Jupiter, son
sé le culte de Bacchus, dieu du vin, ou, qu’ayant osé se trouver plus
belles
que Junon, dont elles dépouillèrent la statue de
ut d’abord Thalaüs. Anaxibie eut aussi l’imprudence de se croire plus
belle
que Junon. Celle-ci, pour se venger, lui fit épou
is, fils de Priam, roi de Troie, n’avait pas voulu trouver Junon plus
belle
que Vénus et Minerve. Mais en parlant de la guerr
orze nymphes, connues sous le nom générique d’Hérésides, dont la plus
belle
d’après Virgile était Déiopée : elles étaient cha
n ; néanmoins habituellement on donne ce Vulcain et sa sœur aînée, la
belle
Hébé, comme les seuls enfans nés de l’alliance de
hef-d’œuvre : Acus, Ardulus, Brothé, Ethiops et Morgion, Olenus de la
belle
Aglaé, l’une des Graces ; Cacaüs ou Cacus, mari e
; Cacaüs ou Cacus, mari et frère de la titanide Phébé, et Caca, d’une
belle
inconnue ; Cœculus de Préneste, devenue enceinte
ymphe Cabira ; Cercyon et Corynète, de mère inconnue ; Cupidon, de la
belle
et brillante Vénus sa femme ; Erichthonius de la
ès et de Phrygie. Nous les verrons fabriquer avec les métaux les plus
beaux
ouvrages, pour remercier Jupiter de la liberté qu
ée en huppe ou épervier, et Itys en chardonneret, pour montrer que la
belle
voix de Philomèle ne put fléchir le cruel Thérée,
a sœur les conduit, Palior le précède, et Phygale le suit. On voit de
beaux
tableaux de Mars au musée sous les numéros 88 et
à la suite de Junon ; elles étaient au nombre de quatorze, et la plus
belle
d’entre elles était Déiopée, que la déesse donna
ante Iris, sa messagère, afin d’exécuter ses moindres caprices. Cette
belle
Iris, sœur d’Arcé, était fille de Thaumas le Tita
’est l’air placé entre le ciel et l’enfer, de bon augure quand il est
beau
, et triste d’avenir lorsqu’il est brumeux. On la
on à son vœu. Celle qui fit le plus de bruit fut son intrigue avec le
bel
Endymion, berger du mont Latmos en Carie, où se t
u du bœuf qu’ils venaient de manger, firent naître dans cette peau le
bel
Orion, chasseur célèbre, à la taille svelte, que
dressa dans un bocage de l’Arcadie sous la forme d’un bouc de la plus
belle
blancheur. Cependant ces diverses infractions à s
arrivant vers le sommet du mont Latmos où, nous le savons, était son
bel
Endymion. Alors elle descendait de son char, et u
u Musée, aux Tuileries et à Versailles. Apollon, dieu du jour et des
beaux
arts, portait les différens noms et surnoms qui s
la statue regardant le ciel, lesur mont Cœlius à Rome, Comeus ou à la
belle
chevelure, à Naucrate et à Séleucie, Cortinipoten
en Crète, Abellion dans les Gaules, Baul-Semen ou Semel en Phénicie,
Bel
ou Baal chez les Chaldéens, Moloch chez les Chana
contrée. Il prit soin de ses troupeaux et enseigna aux bergers de ces
belles
campagnes la vie pastorale. Il fut de la plus gra
rapporté : Admète alors n’était pas marié ; il devint amoureux de la
belle
Alceste, fille d’Anaxibie et de Pélias, roi d’Iol
esses. Chacune d’elles portait un nom significatif : Calliope, ou la
belle
voix, fixait l’esprit des auditeurs par son éloqu
mblait ni aux dieux ni aux hommes, qui avait la moitié du corps d’une
belle
nymphe et l’autre d’un serpent, affreux monstre a
lus de regrets. Il avait pour mère, ainsi que son frère Cynorthès, la
belle
Diomède, fille de Lapithès, et pour père Amyclas,
upiter enlever Europe ou la génisse en laquelle Junon métamorphosa la
belle
Io ; puis il arrivait dans le signe des Gémeaux o
e une de trente coudées, et à Mégare une de forme pyramidale. La plus
belle
qui soit parvenue jusqu’à nos jours est celle con
us, de Crinis et de Mélanippe. Il y eut deux Chrysès, l’un père de la
belle
Astynomé ou Chryséis que nous verrons devenir la
érans de ce territoire. On comptait en outre beaucoup de temples fort
beaux
destinés à ce dieu dans toute la Grèce et l’Itali
iser les découvertes phrénologiques avec la forme des crânes des plus
belles
têtes antiques : ainsi nous voyons Jupiter doué d
doué de la bosse de la plus haute intelligence, Apollon de celle des
beaux
arts, Homère de celle de la poésie, et tous les a
dont nous venons de parler, était né à Odryse, dans la Thrace, de la
belle
Argiope ou Argriope et du célèbre musicien Philam
sespoir, il renonça au plaisir d’avoir les moindres relations avec le
beau
sexe ; alors les femmes de Thrace, que ses accord
ur les rangs, fut déclaré vainqueur aux jeux pythiques, à cause de sa
belle
voix, et quoiqu’il eût chanté un hymne dont il n’
n essaya-t-elle de le rendre infidèle ; en vain lui fit-elle les plus
belles
promesses, toujours il resta insensible. A la fin
hale, et après l’avoir laissé retourner auprès de sa femme, enleva le
bel
Orion qui passait pour fils de Neptune et d’Eurya
s Aurore, que Vénus avait rendue amoureuse de lui, enleva ce jeune et
beau
forgeron et le porta dans l’île de Délos. Là il p
l’on attribuait encore à Apollon. Diane, fâchée d’avoir ôté la vie au
bel
Orion qui mourut dans le temps que le soleil parc
séjours, tant au ciel que sur la terre, eut de nombreuses intrigues :
beau
, brillant, offrant enfin la perfection des formes
que et Nomius. Apollon, à peine exilé du ciel, devint amoureux de la
belle
Daphné ou Pasiphaé, fille du fleuve Pénée, ce fut
e et la rouille des grains, Eububée ou le bon conseil, Euchloos ou la
belle
verdure, Euryanassa ou la puissante princesse, Fl
femme, faute d’avoir pu trouver parmi les déesses de l’Olympe quelque
belle
qui voulût accepter ses hommages. Lorsque Cérès e
anctorum s’ouvraient à deux battans, et alors ils voyaient une statue
belle
et parée des habits les plus resplendissans. Cett
ns offraient à Cérès les prémices de leurs fruits pour en obtenir des
belles
moissons ; elles portaient le nom de Calamées, ch
s grands mystères. On représentait Cérès avec une taille majestueuse,
belle
, haute en couleur, blonde ou brune, souriant et m
ritable ruine des grains, ou la rouille humide, qui consomme les plus
belles
récoltes ; personnage, par conséquent, ennemi bie
amante de Butès ; Byblia, ou de Biblos en Phénicie ; Callipige, ou la
belle
; Calva, ou la Chauve, en mémoire du don fait par
our le pauvre Vulcain. Celui-ci pourtant apprit les infidélités de sa
belle
épouse, car Apollon dont l’amour-propre avait été
secret, et en avait aussitôt fait part au dieu du feu. L'époux de la
belle
Déesse, étourdi de cette nouvelle, ne put d’abord
’était Apollon, le fils de Latone. Dieu du jour, des arts, et le plus
beau
de l’Olympe, il ne tarda point à gagner le cœur d
ris est attérée, sa bouche entr'ouverte ne peut articuler un son, ses
beaux
yeux contractés n’ont point de larmes à laisser é
r. Aussi, Vénus chercha vite à se distraire, et bientôt elle pensa au
bel
Adonis, qui fut pour elle un sujet de discussion
ment qu’il ait pu naître à Cypre. Quoi qu’il en soit, nous verrons ce
bel
Adonis passer alternativement du ciel aux enfers,
x légendes à propos de ce différent : d’après l’une on vit un jour la
belle
et séduisante Vénus, descendre jusque dans l’empi
ds de Jupiter qui, tout habitué qu’il est de lui céder, arrête que le
bel
Adonis devra tour-à-tour passer quatre mois avec
tres mois. Décision qui fut ponctuellement suivie, à cela près que le
bel
adolescent, préférant l’amabilité de Vénus au car
rs avec elle. Une autre légende fait mourir, comme nous le savons, ce
beau
jeune homme à la chasse. Cependant Vénus obtint q
nsuite on couchait sur ce lit la statue d’Adonis, pâle, mais toujours
beau
, et près de lui, ou sur un catafalque voisin, on
désirs incertains, elle descendit sur la terre, prit la figure de la
belle
Lycaste, épouse de Butès le Bébryce, descendant d
au milieu du festin une pomme d’or portant l’inscription : à la plus
belle
! Pour gagner leur juge chacune des déesses lui f
d’Hippomène, fils de Macarée, avec Atalante, fille de Schénée : cette
belle
avait déclaré qu’elle ne donnerait sa main qu’à s
onis devait le jour. Cette Cenchris ayant osé proclamer sa fille plus
belle
que Vénus, cette déesse inspira à Myrrha la passi
insi Deucalion, le poète Nicostrate, la reine de Carie Artémise et la
belle
Sapho, ayant voulu tenter ce moyen pour se guérir
ayant à ses pieds une tortue, pour indiquer que la pudicité, le plus
bel
ornement de la femme, doit l’empêcher de trop sor
avait choisi le sommeil pour époux. Les Grâces ont toujours brillé du
beau
idéal, elles font naître l’idée de vertus, sagess
d’avoir un autre fils. Ce fut, dit-on, à la suite de cet avis que la
belle
Cypris renoua ses liaisons avec le dieu de la Gue
n réveil, quel fut son étonnement quand elle se vit au milieu du plus
beau
des palais ; les lambris en étaient d’or, les voû
ambris en étaient d’or, les voûtes de marbre et de cristal ; les plus
beaux
tapis en ornaient les murs ; tout portait l’empre
el est donc cet époux ? que fait-il, que dit-il, est-il jeune, est-il
beau
. Psyché confuse leur répondit, mon époux est un j
rcha bientôt que le plaisir. On la représentait sous les traits d’une
belle
femme, aux longs regards et aux yeux languissans,
ujours peinte sur sa figure. Les anciens le regardaient comme le plus
beau
des habitans de l’Olympe. On le représentait sous
ortune, de ses conseils et de son appui ; l’amour de soi-même, est un
beau
jeune homme, qui se mire dans une fontaine limpid
he de la suite de Junon. Cette jeune nymphe était tellement éprise du
beau
Narcisse, qu’elle le suivit long-temps, sans pour
de l’enlèvement des Sabines, avait mérité qu’on lui accordât la plus
belle
en mariage, union dans laquelle il trouva le bonh
x pieds des brodequins de même couleur ; suivant d’autres, c’était un
beau
blond, couronné de fleurs, enveloppé d’une robe b
terrible qui fut fatale aux deux frères. Quant à Callisto ou la très
belle
, c’était une nymphe jeune et jolie de la suite de
epuis les gardes dès qu’il le désirait, l’introduisaient auprès de la
belle
captive. Europe, était fille d’Agénor, roi de Ph
i blanc et aussi brillant que celui de Junon. Bientôt Jupiter aima la
belle
Europe ; pour en triompher, il prit la forme d’un
rascible épouse n’osa pas la lui refuser. Aussitôt Junon confie cette
belle
génisse en garde à Argus aux cent yeux. Le chef d
l’Olympe. Junon à cette nouvelle plus irritée que jamais envoie à la
belle
génisse une Furie, d’autres disent un Taon, pour
ns ses bras. Elle est souvent aussi représentée avec les traits d’une
belle
et majestueuse matrone, tenant d’une main l’olivi
s. Enfin Minerve changea en serpent les cheveux de Méduse, la plus
belle
de trois Gorgones, que Neptune avait violée au pi
vait nécessairement avoir des temples en proportion. L'un de ses plus
beaux
était celui de la citadelle d’Athènes, et celui q
On la représente avec une taille imposante, un visage noble, jeune et
beau
, mais avec une beauté simple, modeste, et même av
âle sévérité ; souvent son air est méditatif et grave ; dans les plus
belles
statues, elle a les yeux légèrement baissés, marq
iclée fille de Dioclès ou d’Autolycus, devint père d’Alcimédon, de la
belle
Climène et du fameux Ulysse, époux de Pénélope fi
mbats et ses conquêtes ; mais auparavant il séduisit encore plusieurs
belles
, et les rendit sensibles à son amour, Alexirée mè
perbe tombeau. On représentait autrefois Bacchus aussi jeune et aussi
beau
qu’Apollon, avec ou sans barbe, ayant les yeux no
, est fils de Jupiter et d’Astérie sœur de Latone. Le cinquième nommé
Bel
est adoré dans les Indes, et le sixième est le fi
olupté et la vertu courageuse se disputèrent son cœur. L'une, grande,
belle
, majestueuse, et, cependant, avec la pudeur dans
son père Hipponoüs, puis reçue comme épouse par le roi de Calydon. La
belle
Déjanire ayant également séduit le fleuve Acheloü
contenta du second rang, puis une fois déifié, il épousa la jeune et
belle
Hébée. Hercule fit encore tomber sous les coups
nedée et de Lydos ; Iphionée, mere de Palémon ; Malie, suivante de la
belle
reine Omphale et mère d’Acelus et d’Alcée. Mégare
Polyphonte ; Hyrnéto, fille de Temène, épousa Déiphon ; Minos fils de
Bel
, et arrière petit-fils d’Hercule ; Phylas fils d’
ortas, épousa Péribée, et devint père d’Alétès, de Damasippe et de la
belle
et sage Pénéloppe, femme d’Ulysse. Locre, fils d
berger de Pylos, auquel il avait donné, pour prix du secret, la plus
belle
des vaches qu’il venait d’enlever, Mercure le sou
na, de même que Pellonia et Populonia, étaient invoqués pour avoir de
belles
moissons, et pour les prier d’arrêter les incursi
lui avait promis de le laisser tête à tête toute une nuit avec cette
belle
, s’il remportait le prix. Cependant, après sa vic
nt six jours. On représente Mercure sous les traits d’un jeune homme,
beau
, leste, et les épaules à moitié couvertes d’un ma
e Crète et mari de Pasiphaé ; chaque année, ce roi sacrifiait le plus
beau
taureau de ses troupeaux à Neptune : un jour il f
ue son épouse, qui fut changée en rocher, pour avoir osé se dire plus
belle
que les déesses. Opante, fils de Jupiter, était
Tritonide et voisines des Amazones ; les uns veulent qu’elles fussent
belles
, les autres qu’elles fussent si laides que leurs
illé son temple, Minerve en fit l’être le plus affreux. Au lieu de sa
belle
chevelure, elle fit naître des serpens sur sa têt
ve entre l’amour et l’ambition : il trompa beaucoup de jeunes nymphes
belles
et naïves, mais il ne put tromper Jupiter qui déc
yant été tué par Mars, parce qu’il avait fait violence à sa fille, la
belle
Alcippe, Neptune voulut que les Dieux condamnasse
eptune-Hippios ; mais les jeux isthmiques étaient assurément les plus
belles
fêtes de Neptune : elles se célébraient tous les
l laissa en mourant un fils nommé Polydore. Parthénopée, fils de la
belle
Atalante et de Méléagre, remporta le prix du tir
lui donner pour femme Chloris, fille d’Arcture, ils laissaient cette
belle
au seul Borée, et donnaient pour amante à Zéphyre
rrivé en Crète, ce héros rencontre Ariadne, fille du roi Minos. Cette
belle
princesse devient tout à coup amoureuse de Thésée
ager ses dangers, en échange de ce qu’il lui avait aidé au rapt de la
belle
Hélène. Pirithoüs succomba dans cette entreprise,
Acamas, fut aussi avec Eléphénor au siége de Troie. Loodice, la plus
belle
des filles de Priam et épouse d’Helicaon, devint
s l’atteignit sans le blesser, mais le rendit plus furieux ; alors la
belle
Atalante, amante du chef de la chasse, fut la pre
ble du festin une pomme sur laquelle on lisait la légende : a la plus
belle
, ce qui força Junon, Minerve et Vénus à prendre P
fils du dieu Faune et de la nymphe Simèthe, fut l’amant heureux de la
belle
Néréide Galatée, qui était l’objet des vœux du cy
, qu’il était à la chasse d’un sanglier, il aperçut Aréthuse, la plus
belle
des nymphes du cortége de Diane ; alors, il lui o
, était fils de Pontos et de Thalassa, il eut de la nymphe Liriope le
beau
Narcisse. Il avait près d’Orope un autel qu’il pa
la plus remarquable des néréides c’est Téthis ; elle en était la plus
belle
et fut l’objet des vœux d’Apollon, de Neptune et
festin, une pomme sur laquelle elle avait gravé ses mots : a la plus
belle
. Téthis eut plusieurs enfans qu’elle perdit en le
porte la fertilité ; Casta ou la chaste ; Cora et Coré ou la jeune et
belle
; Damna ou la puissante à Cyzique ; Dœta ou prési
vit donc arriver auprès d’elle, par le plus grand extraordinaire, la
belle
reine de Cythère, qui lui confia, comme nous le s
t à la main un glaive ou une faux, ou souvent avec des traits graves,
beaux
, ou lugubres, mais nobles ; on la voit aussi dans
vouloir troubler l’époux heureux dans la possession de cette jeune et
belle
Tyndaride. Ménélas, qu’elle choisit, devint donc
ux fût sacrifié à la sombre déesse Onis. Ce fut alors que commença ce
beau
combat de générosité, qui rendit l’amitié d’Orest
es plus célèbres prétendans d’Hélène, fille de ce roi. Cette jeune et
belle
princesse, donna la préférence à Ménélas, qui dev
Pédase, il devint furieux ; car après avoir tué Mynès, époux de cette
belle
, lors du combat de Lyrnesse, il en avait fait sa
s qu’il [ILLISIBLE]it à sa suite, au nombre desquelles se trouvait la
belle
Diomède, fille de Phorbas ; cependant il permit à
sa fille Tecmesse, sa prisonnière et sa concubine. Ajax était le plus
beau
et le plus brave des Grecs après Achille : on van
dans la Troade, il fut d’abord réclamer avec Ménélas et Palamède, la
belle
fugitive ; il décida Hécube à les faire évader de
d’Astérope, fille du fleuve Cébrène ; Evagore ; Gorgithion, né de la
belle
Cestianire d’Esime, fut tué par Teucer ; Hector o
mis à celui qui délivrerait sa fille et la Troade de ce monstre, deux
beaux
chevaux, et sa fille en mariage, Hercule se prése
Cette déesse était représentée par un corps sans tête ou par une tête
belle
, mais sans corps. Lima ou Limentine, déesse du vi
suivant les contrées où il fut honoré ; ainsi, on l’appelait : Baal,
Bel
, Béel, Bélus, Bélis, Bélénus, Belathes, Balanus e
soleil, venait le Baal des Carthaginois, ou Saturne, ou Moloch, ou le
Bel
, des Babyloniens, ou Jupiter ; puis l’on connaiss
t refusent de coopérer à ses travaux. Alors il se marie à sa sœur, la
belle
Souraçouati, et en a cent fils, dont l’aîné, Dakc
outes les parties de la nature, parmi lesquelles se trouvent les sept
belles
Gopis, ou laitières nourrices et bien aimées de K
12° Les Gandharvas, ou musiciens, à la tête desquels on remarque la
belle
Rambha. 13° Les six-cents millions d’Apsaras, ou
sur la terre et vers le soleil, qu’ils adorent ensuite comme la plus
belle
image de l’éternel. A midi, ils renouvellent leur
nent de précéder, nous trouvons : Aienar, ou Aiena Rapen, fils de la
belle
Mohani-Maïa, le dieu et protecteur du bon ordre,
sacré, se présenta à elle et chercha à la séduire, tant il la trouva
belle
; Amogha repoussa avec indignation ses propositio
a force aux vieillards, par le seul attouchement. Indra, jaloux de ce
beau
privilége, empêcha une seule goutte de pluie de t
se retira dans la solitude. Gaoutama, Radjah hindou, avait épousé la
belle
Ahalia. Les Richis lui firent subir les persécuti
a fiole divine qui contient l’Amrita ; c’est lui qui rend infidèle la
belle
Andjani, épouse du géant Jalendra en faveur de Si
r l’oreille le singe miraculeux Hanouman. Vichnou eut pour épouse la
belle
Lakchmi ou Lakchini et Mohanimaïa, qui se transfo
ation de Vichnou, il était fils de Daçaratha, roi d’Aïodhia, et de la
belle
Raouçalia, celle de ses femmes qu’il affectionnai
ama, qui l’ayant emporté sur ses nombreux concurrens, conduisit cette
belle
et jeune épouse au palais de ses pères. Alors Daç
e épouse dans le Vaikounta, sa céleste demeure d’où il veille avec la
belle
Sita au bonheur des hommes. Ce Ravana son ennemi
ième incarnation de Vichnou, naquit à Mathoura, de Vaçoudéva et de la
belle
Dévaki, de la race des Iadous. Cependant Kansa, f
vakavas le trouvèrent absorbé dans une profonde méditation, auprès du
beau
coursier ; ils le frappèrent et l’injurièrent ; à
ie irréconciliable de sa rivale Lakchmi, et de tout ce qui est bon et
beau
, laborieux et productif sur la terre comme aux ci
quel il abandonne l’empire, et sous celles de Radha, c’est une de ces
belles
Gopis ou laitières, qui se laissèrent fléchir par
nt charmés, et lui offraient en signe d’adoration les fleurs les plus
belles
, les bijous les plus précieux. Sur les sollicitat
’épouser, mais il fut obligé de la disputer à Devadat, oncle de cette
belle
, sur lequel il emporta le prix de sagesse et de g
verains de notre globe. Son père était Tsédent, c’est-à-dire, le plus
beau
, qui le mit au monde par suite d’une enflure qu’i
encore. Voici comme les Chinois racontent sa naissance : une jeune et
belle
vierge, disent-ils, ayant avalé une bulle composé
Son idole se trouve dans la plupart des Mias ou temples. Mais le plus
beau
temple consacré à Tensiodaitsin est à Iedo, et le
ion les ames des enfans et des jeunes gens. On le représente jeune et
beau
, vêtu d’un costume parsemé d’étoiles brillantes,
divinisé par les Japonais. Un jour, des voleurs prirent dans le plus
beau
Mia ou temple de Noumatsion, un Kama qui en faisa
cette bible formée de feuilles d’arbres qu’ils inscrivirent les plus
belles
maximes de Bouddha, et les principaux évènemens d
lle épousa Odour, c’est-à-dire l’irrité dont elle eut deux filles, la
belle
Hnossa, déesse de la perfection dont le nom serva
trée en contrée. Le géant Thrim voulut l’avoir en mariage, mais cette
belle
abandonnée qui toujours pleurait, et dont les lar
ui rendre. Balder, également fils d’Odin et de Frigga, était le plus
beau
des Ases. Son visage brillant était doué d’une sa
its de la terre, des richesses et de l’abondance. S'étant épris de la
belle
Gerda, fille d’Umer et d’Aourboda, il envoya son
Héla, déesse de la mort et du monde souterrain. Loke épousa encore la
belle
et vertueuse Signir, dont il eut un fils appelé N
k, fils de Sigurd, tua l’énorme dragon Orm, ce qui lui fit épouser la
belle
Thora, fille de Herrand, avec laquelle il eut deu
i. Ce fut lui qui arracha à son maître l’aveu de sa tendresse pour la
belle
Gerda. Il fut chargé d’aller lui présenter douze
d’Aquilée ; des autels lui avaient été élevés en reconnaissance de la
belle
défense qu’il avait faite de cette capitale de l’
na secrètement ordre à Eogan de tuer Naois et de faire prisonnière sa
belle
épouse : ce qu’il exécuta ponctuellement. Cette D
on pays ; fut le meurtrier du géant Meisgéadhra et le ravisseur de la
belle
Feidhlim-Nathkrotack, fille de Qonnor et épouse d
r des affaires humaines, souvent il apparaissait sous les traits d’un
bel
homme lorsqu’on l’invoquait, mais il fallait quat
és à ceux qui meurent par la flèche ou par l’épée. Niparaia épousa la
belle
Anaikondi, et la rendit mère de Qaïaïp. Qaïaïp
i, et la rendit mère de Qaïaïp. Qaïaïp est le plus jeune et le plus
beau
des trois fils de Niparaia ; il avait pour mère l
ne et le plus beau des trois fils de Niparaia ; il avait pour mère la
belle
Anaikondi qui le mit au monde sur les montagnes,
r récompense par leur transmission dans le corps des oiseaux les plus
beaux
et à la plus belle voix, était un polythéisme for
ur transmission dans le corps des oiseaux les plus beaux et à la plus
belle
voix, était un polythéisme fort grossier. Ces Mex
Bechak, 468. Bée, 353. Béel, 398, 403. Beelphégor, 89. Behramon, 468.
Bel
, 89, 230, 247, 398. Bela, 87. Bélate, 292. Belath
oint de s’entre-tuer sans se haïr : le comble de la gloire et le plus
beau
des arts a été celui de se détruire les uns les a
régulière, tels qu’on en voyait les représentations dans le temple de
Bel
. « Une femme, nommée Omorca, était la maîtresse d
de Bel. « Une femme, nommée Omorca, était la maîtresse de l’univers.
Bel
la divisa en deux : une de ces parties forma le c
tre la terre ; alors les monstres de formes irrégulières disparurent.
Bel
partagea ensuite les ténèbres, sépara le ciel d’a
rit de vie. Voilà sans doute ce qui fait dire à l’auteur chaldéen que
Bel
s’était fait couper la tête. Bérose conclut ensui
lus autour de lui que des traditions défigurées et confuses ; mais le
bel
ordre de l’univers avait tellement frappé ses reg
ter la définition qu’en a donnée le célèbre Zoroastre ; c’est la plus
belle
qu’ait produite l’antiquité. Eusèbe l’a conservée
immatérielle et invisible, ne trouvèrent rien dans la nature de plus
beau
que le soleil ; peut-être même que la reconnaissa
sculpteur différens les ayant représentées, leurs statues parurent si
belles
, que les neuf furent consacrées, et ce fut ainsi
s et d’Isis. L’un et l’autre s’étant extrêmement distingués par leurs
belles
actions, par l’invention de plusieurs arts utiles
ces des fables. On ne trouva point la vérité assez surprenante, assez
belle
; on la para d’ornemens étrangers ; et l’on crut
nt que l’usage des lettres fut introduit, les grands événemens et les
belles
actions n’avaient d’autres monumens que la mémoir
musiciens furent des Apollons, les grands médecins des Esculapes, les
belles
voix des Muscs, les oranges des pommes d’or, etc.
er de mille manières différentes. Cette idée du destin est le plus
bel
aveu que les hommes aient fait de la nécessité d’
ux, etc., etc. On admettait aussi parmi ces dieux les héros que leurs
belles
actions avaient élevés au rang des immortels. Le
t sans réserve. Il avait eu jusqu’alors trop d’empire sur la jeune et
belle
Claudia ; des doutes injurieux commençaient à s’é
rise lui-même dans Évhémère. Le père dom Pezron l’a mise dans le plus
beau
jour, en rapprochant, pour la soutenir, tous les
ande lumière sur ce point de discussion. A Londres, dans une des plus
belles
et des plus riches collections du monde, celle de
livrait au repos ; heureux s’il n’avait point terni sa gloire et ses
belles
actions par son goût immodéré pour le plaisir ! C
rtent à croire que Prométhée fut le premier inventeur des statues. Un
beau
monument respecté par les temps, et dont la gravu
Pâris lui eut préféré Vénus, lorsqu’il fut chargé de donner à la plus
belle
la pomme jetée par la Discorde. Pâris était fils
ain, qui, pour récompense, exigea qu’on le mariât avec Vénus, la plus
belle
des déesses. Cette punition ne corrigea point Jun
a muse Calliope. On représentait toujours ce dieu sous la figure d’un
beau
jeune homme couronné de fleurs et de marjolaine,
son secours, et tua le monstre. L’avare Laomédon osa refuser les deux
beaux
chevaux qu’il avait promis à Hercule. Le héros in
ue d’Hercule, parce que l’objet de la tragédie est de représenter les
belles
actions des héros, et le plus illustre de tous es
Parmi les monumens les plus célèbres qui restent de Bacchus, les plus
beaux
sont ceux qui représentent son mariage avec Ariad
fut blessé par Saturne son fils. Ce mélange bizarre produisit la plus
belle
des déesses ; elle parut aux environs de Cythérée
r les bêtes sauvages. Mars, jaloux des soins que Vénus accordait à ce
beau
jeune homme, suscita contre lui un énorme sanglie
à Vénus la pomme jetée par la Discorde, avec cette devise : A la plus
belle
. Il serait impossible de faire connaître toutes l
Grâces lui servent de cortége. (Fig. 26.) La plus parfaite et la plus
belle
de ses statues est celle appelée de Médicis ; on
La rose était particulièrement consacrée à Vénus, comme étant la plus
belle
des fleurs. La fable ajoutait que sa couleur étai
que Apelles voulut peindre Vénus recevant la pomme destinée à la plus
belle
, pour mieux forcer tous les regards à céder au ju
eur, la gaieté, l’éloquence, la sagesse ; mais la première et la plus
belle
de leurs prérogatives était de présider aux bienf
ves pour punir Junon, en consentant à son mariage avec Vénus, la plus
belle
des déesses. On lui donnait le surnom de Mulciber
Mercure, pour le séduire et lui faire garder le secret, lui donna une
belle
vache ; mais, n’osant encore se fier à sa discrét
e opinion des Sirènes. Les poëtes les représentent comme de jeunes et
belles
filles, habitant les rochers des côtes de la Sici
de la culture des jardins. On représente Pomone sous la figuré d’une
belle
et jeune femme, assise sur un panier de fruits, a
ois nymphes Écho, Syrinx et Pithys. Écho le rebuta pour s’attacher au
beau
Narcisse, qui, s’étant vu dans une fontaine, devi
Picus, père de Faunus, était un prince accompli. Devenu l’époux de la
belle
Canente, dont Ovide fait un portrait enchanteur,
m. La ville du Soleil est Héliopolis ; les plaines heureuses sont les
belles
campagnes situées aux environs du lac Achéruse, a
maisons les ancêtres embaumés, pour y perpétuer le souvenir de leurs
belles
actions. Le respect des Égyptiens pour les morts
der sur le rivage un taureau d’une extrême blancheur. Il le trouva si
beau
qu’il ne voulut point l’immoler, et le garda pour
s noces de Pélée, la fatale pomme, avec cette inscription : A la plus
belle
. Nous avons déjà dit que les Prières, ses sœurs,
ui bâtit un temple superbe sur ce lieu même, et l’on fit revêtir d’un
beau
marbre blanc tous les bords de l’île, en lui donn
que la-gloire même de l’avoir produit n’a pas osé soulever. Dans les
beaux
temps d’Athènes et de Rome, il eût été plus facil
éa sans peine ces conditions ; et Mélampe ayant réussi épousa la plus
belle
des trois sœurs. Le culte de Junon était universe
C’est à Neptune qu’est attribuée la création du cheval, un des plus
beaux
présents que les dieux aient pu faire aux hommes
, que Minerve n’y pouvant découvrir aucun défaut, mit en pièces cette
belle
tapisserie, où les folles aventures de son père é
sans beaucoup de peine à donner le change à ses déplaisirs. Adonis,
beau
jeune homme, né en Arabie, aimait passionnément l
Cupidon sont les trois Grâces : Aglaé, Thalie et Euphrosine. Jeunes,
belles
et modestes, les cheveux négligemment noués, elle
e que nulle force humaine ne pouvait rompre ni percer. Parmi ses plus
beaux
ouvrages, il faut ranger le collier magique, dont
u fleuve Pénée. Le dieu éprouve aussitôt une violente passion pour la
belle
nymphe ; et la nymphe, loin de répondre à sa tend
d’obtenir des plants d’une qualité supérieure. Érigone était jeune et
belle
: elle enflamma bien vite le cœur du dieu, qui ne
s reprend aussitôt son premier état, et peut enfin faire écouter à la
belle
indifférente une déclaration commencée tant de fo
e, les Filles de Mémoire, les Neuf Sœurs. — On les représente jeunes,
belles
, modestes, vêtues simplement, assises à l’ombre d
ilène, encore échauffé par le vin qu’il a bu la veille, développer en
beaux
vers les principes d’ Épicure sur le chaos et sur
re des ruches à miel. Un jour qu’il poursuivait dans les campagnes la
belle
Eurydice, femme d’Orphée, un serpent caché sous l
e magique ou philtre, qui pût attendrir Scylla. Glaucus était le plus
beau
des dieux marins. Circé en le voyant conçut pour
et des autels. Les Romains lui dédièrent dans la voie Sacrée le plus
beau
temple qui fût à Rome. Cet édifice, commencé par
qui ait existé sur la terre, fut appelée Pandore ; rien n’était plus
beau
qu’elle ; l’assemblée céleste en fut émerveillée,
Eurydice ! P. D. E. Lebrun. § 9. Cadmus. Cadmus, frère de la
belle
Europe, était fils d’Agénor, roi de Phénicie. Qua
voyait gendre de deux grandes divinités ; père de quatre filles aussi
belles
que séduisantes, Ino, Agavé, Autonoé et Sémélé ;
ges qu’il venait de causer en Attique. Peu après, Pirithoüs épousa la
belle
Hippodamie, (appelée Déidamie par quelques auteur
nobéa, tourmentée de remords, s’empoisonna. § 15. Orion. Orion,
beau
jeune homme et chasseur infatigable, surpassait p
l court sur ses oncles, les perce tous deux de son épée, et rend à la
belle
Atalante la dépouille du sanglier. Althéa aimait
vec Niobé sa sœur, et se retira en Grèce, où il demanda en mariage la
belle
Hippodamie, fille d’Œnomaüs, roi d’Élide. Seule h
l fait décapiter le moribond, saisit cette tête sanglante, la ronge à
belles
dents, ouvre le crâne et en arrache la cervelle…
issance, Ganymède unissait tous les dons extérieurs : c’était le plus
beau
des hommes, et ses mœurs ne déparaient point sa f
n’offrait à l’œil qu’un monceau de ruines, renaît plus grande et plus
belle
; l’empire s’étend et fleurit ; d’utiles alliance
tres, qui le cachèrent et prirent soin de l’élever. Il devint le plus
beau
, le plus adroit et le plus brave des bergers phry
a sur la table une pomme d’or où étaient gravés ces mots : à la plus
belle
. Ce fut le signal des contestations. Junon, Vénus
promit les richesses ; Minerve, la gloire des armes ; Vénus, la plus
belle
femme du monde. Vénus fut préférée : elle obtint,
et toute la nation troyenne. Vénus, qui avait promis à Pâris la plus
belle
femme du monde, lui désigna Hélène, fille de Tynd
Laërte et d’Anticléa. Il n’y avait pas deux ans qu’il avait épousé la
belle
Pénélope, fille d’Icarius, lorsque la guerre écla
nifique ; ses délicieux jardins produisaient en toute saison les plus
belles
fleurs et les plus beaux fruits. Sa famille offra
rdins produisaient en toute saison les plus belles fleurs et les plus
beaux
fruits. Sa famille offrait le tableau de l’innoce
ourroux s’exhalait par des plaintes et des reproches. « Il est temps,
belle
Pénélope, de faire un choix, lui disaient-ils ; s
tor partit pour aller au combat où il perdit la vie, sont un des plus
beaux
et des plus touchants morceaux de l’Iliade. Il es
elle était payée de retour. Mais Polyphème s’était aussi épris de la
belle
nymphe : Polyphème, le plus hideux des cyclopes.
t les Lyciens. Latone, fille du titan Céus, était si parfaitement
belle
qu’elle captiva le cœur du maître des dieux, et c
e ce vol. Mercure, craignant qu’il ne le dénonçât, lui offrit la plus
belle
des génisses s’il voulait garder le silence sur c
orsque Philomèle entra, parée de ses plus riches ornements, mais plus
belle
de ses attraits. A sa vue, le cœur de Térée s’enf
hé. Psyché, la plus jeune des trois filles d’un roi d’Asie, était
belle
comme le jour, mais d’un caractère si léger et si
ce mouvement fait pencher la lampe. Une goutte brûlante tombe sur le
beau
dormeur. Il se réveille en sursaut : « Ingrate Ps
Léandre, jeune homme d’Abydos ville d’Asie, aimait passionnément la
belle
Héro, jeune prêtresse qui demeurait à Sestos, en
vase de parfums, dont il n’eut qu’à faire usage pour devenir le plus
beau
des hommes. Toutes les dames de Mitylène cherchèr
alion. Pygmalion, sculpteur de l’île de Chypre, fit une statue si
belle
qu’il en devint amoureux, et pria le ciel de la r
enir sa promesse ; et le beau-père frustré vola à son gendre les plus
beaux
chevaux de son étable. Ixion dissimula d’abord sa
prix s’adjugeaient au concurrent qui avait composé et chanté le plus
bel
hymne à la louange du dieu dont les flèches avaie
sortes de formes qu’il serait trop long d’énumérer : tantôt c’est une
belle
femme dont la tête est armée de deux cornes, entr
desiderano, di stampare le Lezioni da me recitate nell’Accademia di
Belle
Arti nel primo anno del mio Corso. Li prego nulla
. Basterà dirvi che il celebre Winkelman, tanto benemerito delle arti
belle
, ha scritto su questo soggetto un’operetta, che p
dall’alto Vegliano uniti in sull’Ettorea salma Venere e Febo: ella il
bel
corpo inonda D’ambrosio odor che delle fere edaci
triforme Co ’l sangue d’Ifigenia, allor che cinta Di sacra fascia il
bel
virgineo crine Vid’ella a se davante in mesto vol
on ottenea. Giaceva al suolo Palpitante una cerva, e vasto il corpo E
belle
avea le forme, e tutta avea Sparso del sangue suo
uora Telefuessa lo donò: d’Europa Presente illustre alfin divenne: in
belle
Opre il metallo variato; scolta V’era Flnachia fi
andida vitella. Poi fìnse per diporto e per ristoro. Andar godendo il
bel
luogo, ov’egli era; Giunon con gelosia, con gran
alla giovenca bella, Altri intorno facean la sentinella. Ovunque il
bel
pastor la faccia gira. Ch’ha di si ricche gemme i
vede. Lascia che pasca il dì l’erbose sponde, Che sparte son nel suo
bel
patrio regno; Acque fangose, ed erbe amare e fron
elle; Ma come le sue nuove altere corna Mira nell’acque cristalline e
belle
, S’adombra tutta, e si ritira e mugge, E mille vo
al morto capo quei cent’ occhi svelle, E fa le penne al suo pavon più
belle
. Empie di gioie la superba coda Del suo pavone,
llezze di cui ridonda possano in altra lingua trasportarsi. « Il più
bel
simulacro di Giove che ne abbia, come si esprime
todi offrendo disse: Ah non offenda mai l’asta romana Al mio Tazio il
bel
volto; — e allor che il primo Fumo scorgea sulla
piegava; fortunato foco. Che del mio Tazio a me le schiere insegni: O
belle
agli occhi miei tende sabine: Ahi, voglia il ciel
so. Adesso io scuso Scilla crudele alla paterna chioma, Onde latra il
bel
corpo, e l’onda freme, E te fanciulla, che il fra
lsa, Dolce ritrosa che negando invita, E ‘1 Silenzio che chiede, e ‘1
bel
Mistero Col dito in su le labbra, e la soave Sosp
gentili, e quelle Arti celesti che dal bello han nome E son alma del
bel
, gli acconci Detti E i soavi Colloquìi, e quanto
nto si vedono legate al capo con un semplice nastro, come appunto nel
bel
marmo che ora spieghiamo. La fìsonomia fina e viv
ai tempi del Nardini, al sito dell’Esquilino dove fu scoperto questo
bel
marmo, e ch’egli sospetta esser potuto derivare d
tua, che l’intelligente Pussino non ha prese sopra altro marmo le più
belle
proporzioni della figura. E il numero delle copie
llineo ramo E l’atrio intero: lungi ite, profani, Lungi. Le porte col
bel
pie percote Febo: noi vedi? La Deliaca palma Di r
ade in equivoco. Se questa sola basta ad incantare chi osserva questo
bel
simulacro nel tutto insieme, cresce poi il piacer
statua l’Apollo di marmo di Prassitele che Plinio annovera fra le più
belle
opere di quello scultore, senza additare il sito
amor ti seguo; Misero me, che tu non cada, e il pruno Non ti punga il
bel
pie, che non è degno Di essere oifeso, che di pia
gura una sanità vivace che annunzia la forza, simile all’aurora di un
bel
giorno. Non pretendo però che tanta beltà si trov
eva. « Tale è la capigliatura di una figura muliebre in una delle più
belle
pitture dell’Ercolano, la quale presso ad un auto
ione, in un secolo specialmente pieno di gusto e d’intelligenza nelle
belle
arti, non abbia scelto fra i simulacri di Febo ch
oci alquanto dallo stupore in cui ci trasporta l’osservazione di così
bel
simulacro per esaminar ciò che d’istruttivo, circ
Fetonte, aprìa l’Aurora Le porte d’oriente, e vi spargea Le rose col
bel
pie: fuggon le stelle Che Lucifero aduna, e lasci
Cipolla. In questo si trovano lavorate molte delle più antiche e più
belle
statue greche. Diana succinta. « L’abito succinto
ciatrici si vedono figurate in tal guisa, e segnatamente Atalanta nel
bel
bassorilievo Borghesiano della morte di Meleagro.
ure bellissimi ne sono i piedi, nè più ben fatti si veggono nelle più
belle
greche figure. I capelli vengonle sulla fronte in
tutte le altre dee. Come Diana stessa, presso Omero, fra tutte le sue
belle
Oreadi distinguevasi: per lo più non ha che una c
Giove si celi. Allorché vide le compagne note Lascia ogni tema, e del
bel
numer’una Tosto diviene. Ah come mal si cela Nel
del sapere non poteva stare in compagnia più propria che quella delle
Belle
Arti, e il parto del cervello di Giove che colle
corrisponde. La statua di scalpello -infelice non ci conserva che il
bel
movimento dell’originale. MINERVA PACIFERA. « La
o la porta sopra molle spuma in mezzo al mare risonante. L’Ore (e che
bel
quadro sarebbe mai questo:), l’Ore coi capelli in
iterea rivolse altrove gli occhi impauriti, si coperse colla veste il
bel
volto, e gridò: Tu m’ ingannasti, diva: ma pietà
in un’ età più matura, e più grandi sono che la Venere dei Medici. Le
belle
forme dell’ adolescenza femminile che in questa s
Tal fregio di capo è stato pure attribuito a Teti nella pittura di un
bel
vaso di terra cotta esistente nella Biblioteca Va
carne. Languisce l’occhio sotto al morto ciglio; Dal labbro fugge il
bel
color di rosa, E intorno al labbro langue il mori
ori. Teco perì, nè più possiede incanto Olà sì pieno di grazia il mio
bel
cinto. Perchè, audace garzon, seguir la caccia. E
u gitta intanto, Poich’egli è morto, e tutti i fior morirò. Spargi il
bel
corpo con unguenti, spargi; Peran gli unguenti tu
iugarsi, che cade aggruppato sopra di un’urna, rende singolare questo
bel
simulacro di Venere, quanto il presentarci una im
aspetto; ivi conviti e feste Scorgi e letizia; leggiadretta sposa Al
bel
chiaror delle notturne faci Al desiato talamo si
, non trovasi certamente fra tutti i lavori degli antichi. Le due più
belle
figure di questo dio. soqo una statua sedente col
nume vicin, stridon le porte Di perenne adamante. Ecco ritorna, ^E le
belle
ire del valor guerriero Ha nel volto; di sangue I
ai, ha qualche volta il medio, o cesta, sul capo, e Winkelmann in due
belle
figure della Villa Negroni, credute Cariatidi, du
sacerdotessa Nicippe. Cerere in nessun luogo è stata effigiata con sì
belle
sembianze quanto in una moneta d’argento della ci
e bellezza: e diffìcilmente si troveranno ancora pel conio monete più
belle
di alcune siracusane rappresentanti una testa di
di moderno risarcimento, non siamo sicuri che siasi sempre in questo
bel
marmo ravvisata la dea dell’agricoltura. Straniss
li, e chi le tempia Coll’amaraco adorna, e va di rose Coronata, e del
bel
ligustro adorna Il sen, che tanto paragon non tem
e briglie, e al mio dolor soccorri. — Da tai detti il feroce, e dalle
belle
Lacrime è vinto, e del primiero amore Sente i sos
ronzo, e Prassitele ne aveva per l’ innanzi scolpito uno per loro del
bel
marmo del Monte Pentelico. I Tespiesi narravano c
Penetri ardito, i nostri carmi avrai; Nè la candida tua Psiche, e le
belle
Forme, e la notte, e gli amorosi guai Inonorati a
lo stesso Nume, che erano parte di quella preziosa raccolta delle più
belle
statue del mondo. Io non voglio defraudarvi di ta
ell’alleanza delle Muse col Sonno, noi possiamo considerare in questo
bel
marmo l’unico simulacro che ce ne resti. (Notate
ubblicato per antico da Montfaucon. Con questo Nume sia effigiato nel
bel
monumento che ora esponiamo, non accade porlo in
el Sonno con quella delle dee del Parnaso. Così appunto si vede in un
bel
basso rilievo del Palazzo Mattei, e in una statua
letterati d’Italia, il dottissimo abate Lanzi, tanto benemerito delle
Belle
Arti per la sua Storia Pittorica, quanto lo è del
Pausania nel suo Viaggio nella Grecia parla incessantemente delle
belle
opere delle quali era ripiena, ma egli conosceva
i. Esse trovansi generalmente espresse nella morte di Meleagro, e son
belle
fanciulle, ora con l’ali al capo, or senza, disti
, pubblicato nella seconda parte dei Vasi di Hamilton. Così giovani e
belle
vengono rappresentate queste vindici dee su varii
meste Seguiva il pianto, e de’ miei lumi l’onde Cadeano sopra le tue
belle
membra; E tu d’ogni pensier leggiero e scarco Mi
bellezza: e difficilmente si troveranno ancora pel conio, monete più
belle
di alcune siracusane, rappresentanti una testa di
generi di lavoro, ed in varii tempi. Così è rappresentata Nemesi nel
bel
vaso del Palazzo Chigi, così in un raro cippo rip
iene scambiata coli’ Aurora. Così in moltissime gemme antiche. Questo
bel
simulacro fu trovato nella Villa Adriana, mancant
mi, disse, la destra entro la chioma, E vedrai d’ogni intorno Liete e
belle
venture Venir con aureo piede al tuo soggiorno: A
l’Ellesponto al gran Nettuno. Corsi sul Nilo, e de l’egizia donna Al
bel
collo appressai l’aspre ritorte, E gemino veleno
collo appressai l’aspre ritorte, E gemino veleno Implacabile porsi Al
bel
candido seno: E pria ne l’antro avea Combattuta e
o nelle feste Panatenaiche. Il volume è attribuito a Clio anche dalle
belle
pitture dell’Ercolano, ove si leggono inoltre i n
iore ad Alessandro ed anteriore ad Attalo. « Non posso tralasciare un
bel
monumento appartenente a Clio dissotterrato fra l
e avere in mano per additare i segni. La Musa rappresentata in questo
bel
marmo è ornata di una gemma sull’orlo superiore d
mezzo in su, ma di eccellente scalpello, nella Villa Pinciana. « Nel
bel
bassorilievo cilindrico rappresentante Paride ed
. Polinnia, eh’ è la Musa del Gesto e dell’Azione, è qui posta per le
belle
maniere di Paride, come in altri simili monumenti
grati alle donne, mostra con quanta ragione abbia lo scultore di quel
bel
bassorilievo rappresentata Erato colla cetra, com
ondersi i Pelopidi in paragone delle spalle di Perseo, perchè essendo
belle
per sé stesse e di un vivo color sanguigno, la fa
con egual diligenza. Son tali insomma quali possiamo figurarci delle
belle
copie di bellissimi originali. Questa all’incontr
quale merita di essere con meraviglia considerata da chiunque ama le
belle
arti: essendo questo il lor più sublime grado di
gura di un Poeta coronato di edera e col volume fra le mani. « Questo
bel
simulacro è conforme a quello della Calliope ch’e
cavano nei conviti, e con tre brindisi era costume di onorarle. Mille
belle
allegorie possono da queste divinità rilevarsi. A
ra gì’ imperatori romani fu ritratto nelle sembianze di Apollo. In un
bel
cammeo del cavalier Wortley l’ultima Grazia a des
soddisfare che Visconti nella seguente illustrazione di una delle più
belle
statue che rappresentino il dio del Vino. « La s
orre. Bacia gli occhi al figlio, E della fronte illividita i giri. Le
belle
chiome del sanguigno capo, E gridando mandò tal v
iovine Satiro chiamato Ampelo, o la Vigna. Il poeta ci dipinge questo
bel
fanciullo, e le sue grazie nascenti, che a Bacco
ieno le cortecce di fuori di quel frutto, come si potrà osservare nel
bel
cammeo riportato dal mentovato Buonarroti. Tanto
crivere la perdita della metà inferiore del nostro Bacco, come di tre
belle
statue feminili del Museo Capitolino, e d’un Adri
tto, ed attesta di essere stato procreato dalla terra per amore di un
bel
giovinetto che piange quando è primavera. Ma non
iovine spartano giace là rovesciato sopra la terra: le sue forme sono
belle
, ed esercitate alla corsa. Apollo abbassa i suoi
in quel nappo istesso che gli si vedeva propinato dall’Ebrietà in un
bel
gruppo da Pausania osservato e descritto. La perf
entauri tirare il carro di Bacco. In questa guisa sono scolpiti in un
bel
cammeo di cinque strati di diverso colore riporta
e che vi è salito, chiude il bassorilievo. Centauro. « È stato questo
bel
simulacro di marmo bianco statuario recentemente
lio in topazio del Vaticano; la stessa appoggiata ad un Fauno è in un
bel
vaso etrusco riportato dall’Hancarville; la stess
estremamente a quelli coi quali è stato rappresentato da Salpione nel
bel
vaso di Gaeta, il cui soggetto è quasi la seconda
di qualunque nome più grande che illustrasse a quegli aurei secoli le
Belle
Arti. » Lezione sessantesimanona. Altri monum
mposizione ò così felice, la cui espressione sì vera, le cui parti sì
belle
che può estimarsi uno dei più eccellenti ohe sian
mpagnia di veri Satiri e Fauni lo fa arguire. « La Baccante di questo
bel
bassorilievo è quasi del tutto ignuda, se non che
ux et six mois auprès de sa mère19. L’imagination a fait de Cérès une
belle
femme, couronnée d’une guirlande d’épis, et tenan
elle devait à son époux. Elle aima, entre autres, le dieu Mars, et le
bel
Adonis pour qui elle abandonna l’Olympe. Elle éta
gamemnon. [Fig. 56] Malgré sa difformité, il épousa Vénus, la plus
belle
des déesses. On le représentait noir et crasseux,
elphes, de Délos et de Claros. On le représentait sous la figure d’un
beau
jeune homme sans barbe, la tête ceinte d’une cour
u Belvédère [Fig. 62]. [Fig. 61] [Fig. 62] Diane. Diane,
belle
, chaste et sévère, était sœur d’Apollon. Jupiter
rmi les arbres, le laurier et le palmier. On les représentait jeunes,
belles
, modestes, simplement vêtues, ayant à leur tête A
ilieu des déesses la pomme d’or, sur laquelle était écrit : À la plus
belle
. On la représentait avec des yeux hagards et enfl
ix un temple magnifique. Elle était représentée sous les traits d’une
belle
femme, tenant d’une main une branche d’olivier, e
étis et de Pélée, et sur laquelle était cette inscription : À la plus
belle
! Plus tard, Pâris se rendit à Lacédémone, et, se
blanc. Il crut plaire à ce dieu en lui découvrant l’infidélité de la
belle
Coronis, fille de Phlégias. Apollon, dans le prem
asard vu le larcin. Mercure, pour l’engager au silence, lui donne une
belle
génisse, et le berger promet de se taire. Cependa
le et de Progné ont fourni à La Fontaine la matière d’une de ses plus
belles
fables, que voici : Autrefois Progné l’h
s à quelque rustique ? Les déserts sont-ils faits pour des talents si
beaux
? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles.
i l’accepta. La déesse, voyant que l’ouvrage de sa rivale était aussi
beau
que le sien, et honteuse de se voir surpassée par
trouver quelques attraits, je n’aspirais point à la réputation d’être
belle
; je rougissais même des louanges qu’on me donnai
éférence les vers de Corneille, qui sont les moins connus et les plus
beaux
. Qu’on fait d’injure à l’art de lui voler la fab
r ornement Les larmes d’une amante ou le sang d’un amant ? Qu’aura de
beau
la guerre, à moins qu’on ne crayonne Ici le char
ifie chèvre. 23. Endymion était un berger qui passait les nuits à la
belle
étoile. La Fable, qui embellit tout, en a fait un
espérides étaient filles d’Hespérus, frère d’Atlas, et possédaient un
beau
jardin rempli de fruits d’or. On devine aisément
un determinato concetto delle varie Divinità? Mitologia dunque e arti
belle
hanno molti punti di contatto; ed ecco perchè in
na appunto un alto grado di potenza, egli è che « fa la pioggia e, il
bel
tempo ». A queste attribuzioni si connette l’ Egi
atteggiamento appoggiata sullo scettro. Anche in altri Musei trovansi
belle
statue di Giove o in marino o in bronzo. In tutte
Espressione di questo pensiero è il mito di Giacinto (Hyacinthus), il
bel
giovane Spartano, amato da Apollo per la sua stra
nome. Quando poi è finita la caccia, la Dea si compiace tuffar le sue
belle
membra dentro qualche fresco corso d’ acqua, circ
icordano Artemide e le leggende che vi si riferiscono. Ma le lodi più
belle
, più sentite di Diana furono scritte dai Latini.
re al fanciullo, verso cui si volge con dolce sorriso il suo sguardo.
Belle
le fattezze del volto, e hanno una cotal finezza
rese infelice facendo che la matrigna Fedra innamorasse di lui, e il
bel
Narciso il quale sdegnava l’ amore della ninfa Ec
rire il suo senso primitivo naturalistico. Raccontavasi dunque che il
bel
giovane, onde Afrodite era innamorata, morisse du
a Parigi (fig. 28). Sebbene ora manchino le braccia, è sempre un gran
bel
lavoro, in cui tu non sai se debba ammirar più l’
le; di qui il dio Elio (Helios). Gli antichi se lo figuravano come un
bel
giovane cogli occhi lucenti, colla chioma tutta a
carro e le stelle in figura di giovanetti aerei che fuggono. Ne meno
belle
le descrizioni del tramonto; si dice che il sol c
enda che viveva segnatamente nella Caria e in Elide. Era Endimione un
bel
giovane, forse il genio della notte e del profond
i della dea Selene negli autori; con lei vengono paragonate spesso le
belle
donne; di lei si loda la candida luce. Un frammen
to cogli altri nel Tartaro, dicevasi che Eos avesse scelto a sposo il
bel
cacciatore Orione; ma neanche questa scelta fu fo
atto di scendere a volo sulla terra, già col piè destro al suolo; le
belle
forme del corpo si disegnano sotto gli svolazzi d
, e persino i filosofi ricamarono intorno al mito di Eros le loro più
belle
teorie; basti ricordare il Simposio di Platone. F
econdo che era in Tespie di Beozia era considerato come una delle più
belle
statue di tutta l’ antichità. L’ imperatore Neron
naee Hymen, o Hymen Hymenaee. » La statuaria lo rappresentava come un
bel
giovane, qualchevolta alato come Eros, ma più gra
cinquanta di numero, secondo leggende posteriori, cento. Eran esse le
belle
e graziose ninfe del mare, amiche dei naviganti,
di Icaria a quella di Nasso, Dioniso che aveva assunto la forma d’ un
bel
ragazzo col capelli ricciuti e il mantello di por
eggasi la statua dei così detto Sardanapalo in Vaticano (fig. 55), un
bel
saggio di tal tipo. Più tardi si prese a dare all
ed anche di Artemide cacciatrice e di Afrodite. Erano immaginate come
belle
e graziose donzelle, che si dicevano abitare nè p
li, ma ne esigevano una irreprensibile fedeltà; onde ad es. Dafni, il
bel
pastore siciliano, orgoglio della sua isola, amic
onde e tra catene di monti. Si narrava ch’ ella amasse alla follia il
bel
Narciso, figlio dei fiume Cefiso, il quale invece
iù facilmente si potevano volgere a riso. Il Ciclope d’ Euripide è un
bel
saggio di queste composizioni, che il popolino in
ileno, il Sileno educatore e il Sileno ebbro. Del Sileno educatore un
bel
saggio si ha nella statua del Louvre qui riprodot
latte e mosto. 3. Un antico inno che è tra gli Omerici, il 19o, è un
bel
monumento in onore di Pane; descritta con colori
o con tanta fatica. I Fauni in arte non differivano punto da Pane. Un
bel
Fauno in marmo rosso, dell’ età imperiale, s’ amm
improverolla della fierezza sua, e a un tratto prendendo figura d’ un
bel
giovane seppe farla sua. Così Pomona dicevasi fat
ch’ ella erasi scostata dalle compagne e dalla madre per cogliere un
bel
narciso, eccoti all’ improvviso aprirsi davanti a
dove descrisse in sonori versi le diverse scene di questo dramma con
belle
descrizioni, con parlate piene di sentimento, seb
po della morte, prevalendo sempre più l’ idea di raffigurarla come un
bel
giovane, come Endimione od Eros, ora alato or no,
ti da Teseo) contro la brutalità ferina. Nè vanno taciute le non meno
belle
rappresentazioni di Centauromachia che erano nel
Admeto fu più volte argomento di lavori poetici in Grecia; ma il più
bel
monumento innalzato a celebrare la fortuna di lui
ore di parecchie opere di pittura o scoltura. La fig. 77 riproduce un
bel
rilievo del palazzo Spada a Roma intorno a questo
l’ arte assai per tempo abbia fatto suo pro’ di questo terna ricco di
belle
situazioni, oltre ad alcuni antichi vasi n’ è pro
ita era di buon augurio. L’ arte soleva rappresentare i Dioscuri come
bel
giovani, solitamente nudi o con una leggiera clam
e fatta madre dei gemelli Calai e Zete, e Procri già felice sposa del
bel
cacciatore Cefalo, poi tormentata dalla gelosia e
ro e posseduto attualmente dal Museo di Berlino. Anche ricorderemo un
bel
rilievo della villa Albani in Roma, figurante Tes
iva del mare. Vide, in mezzo all’ armento regale che là pascolava, un
bel
toro bianco come la neve, con piccole e ben torni
agedie di Sofocle e di Euripide ve ne sono parecchie, e non delle men
belle
intorno ad Eracle; basti ricordare le Trachinie d
Posidone di prendere a suo bell agio qualunque forma desiderasse e di
bel
nuovo deporla. Finalmente ricordiamo qui la trage
mangono solo il torace e le cosce; ma questa reliquia è una delle più
belle
cose pervenuteci dall’ antichità, tanta è la gran
o. Si avverta quel non so che di malinconico che è nel viso di questo
bel
giovane. II. La spedizione degli Argonauti.
oi molto numerosi i monumenti d’ arte concernenti questa leggenda. Un
bel
bassorilievo è nel Museo Lateranense, e rappresen
seco un figlio di Atreo, di nome Plistene, e allevatolo come suo, un
bel
giorno lo mandò a Micene perchè uccidesse Atreo.
ille alquanto goffo e materiale. Anche il fratellastro Teucro ebbe un
bel
posto tra i guerrieri per la sua abilità nel trar
ia conservate, trasformandole a modo suo, quelle tanto vivaci e tanto
belle
tradizioni. Opera immensa sarebbe anche descriver
ce che salva dal furor nemico il cadavere di Achille. In ogni modo il
bel
corpo giovanile dell’ eroe morto colle membra abb
ad argomento i vati e poeti dell’ età mitica; qui ricordiamo solo un
bel
rilievo in marino che si conserva in Napoli, di c
» 11. « Già Venere Citerea al lume della luna dirige le danze, e le
belle
Grazie insiem colle Ninfe con alterno piede percu
a di forma rotonda per significare l’universo ch’è rotondo, e nel cui
bel
mezzo stassi, come in sua sede, il fuoco, secondo
ltra eran dodici stanze o piccioli palagi per gli Dei maggiori, e nel
bel
mezzo una sala magnifica sì per deliberare e sì p
e la frase ricoprire coll’egida significa proteggere, spfendere. Nel
bel
mezzo di essa era il capo della Gorgone, del qual
to e biondissimo oro ; ma fra le sorelle essa sola era mortale. Or sì
bel
pregio de’ capelli perdè per volere di Minerva, l
convertirono in pietra, ed il sangue che ne grondava, le tinse di un
bel
rosso. Questi sono i coralli, i quali, stando nel
sparviere, ch’è nemico del ciri. Vuolsi che sia opera di Virgilio un
bel
poemetto intitolato Ciris, nel quale diffusamente
il nome di Ammone, o arenario. Altri scrivono che un ariete mostrò un
bel
fonte a Bacco, il quale pe’deserti della Libia gu
sì lieto banchetto. Di che oltre modo sdegnata gettò sulla tavola un
bel
pomo d’oro, nel quale era scritto : Pulchriori d
assai a dire, ed i poeti stessi non lasciano di raccontarci grandi e
belle
cose della Regina degli Dei. Appresso Omero(1) Gi
in Omero(4) Ebe pone le ruote al cocchio di Giunone, e vi attacca il
bel
giogo e le leggiadre pettiere ; ma propriamente I
lui. Pindaro(2) volendo lodare l’isola di Rodi, cara a Minerva per le
belle
arti che vi fiorivano e per la doviziosa felicità
or nelle armi, dopo la sua morte fu tenuta come una Divinità che alle
belle
lettere ed alle armi soprantende, e ch’era uscita
fibbiavasi con molti fermagli. Ne’ greci poeti leggiamo l’epiteto dal
bel
peplo dato a molte donne per loro gran lode ; ed
ferta, niuna cosa più accetta e pregevole credeva poterle dare che un
bel
peplo. Callimaco(2) descrive Pallade e la sua nin
’ultima cosa è più verisimile. In quell’arazzo erano istoriate le più
belle
imprese di Pallade, e principalmente la pugna di
ne era montato di una sfinge ; ed in un cammeo si vede una Minerva di
bel
lavoro, sull’elmo della quale son quattro simboli
i e perseguitata tuttavia da Giunone, dopo lungo errare, giunse ad un
bel
lago della Licia, ove volle spegnere la sua gran
ciullo, il quale, morendo, fra le braccia di Apollo il piegò, come un
bel
papavero dall’aratro reciso piega sullo stelo il
per le case andava a diletto ; e le ramose corna fregiate di oro, un
bel
monile di gemme al collo ed altri ornamenti ne fa
a il Dio de’ carmi e della poesia, non che della musica e di tutte le
belle
arti. I poeti erano suoi sacerdoti e figliuoli ;
li ; essi credevansi da lui inspirati, come tutt’i cultori delle arti
belle
. Qual signore del canto, andava superbo di una be
un antro freschissimo ; un’ombra detta molle da Properzio ; infine il
bel
fonte Aganippe(4) il facevano quanto delizioso, a
ma di non aver bagnato le labbra nel fonte del cavallo. Era questo il
bel
fonte d’Ippocrene, che alcuni mal confondono coll
giorno sull’Elicona col piede percosse una pietra, da cui spicciò un
bel
fonte di chiarissima acqua, la quale bevuta dava
rcando nella Beozia un luogo per edificare una città, mentre su di un
bel
destriero girava per varie contrade, fu il primo
una fontana del suo nome. Il supplizio di Dirce è rappresentato in un
bel
gruppo del palazzo Farnese, detto il toro Farnese
quale da’ monti Acrocerauni si stende sino alle Termopili, e dal suo
bel
mezzo si spicca un ramo che forma il Parnaso, e c
I. Incumbenzè e breve iconologia delle Muse. Le Muse si dipingono
belle
e vestite con molta semplicità e modestia, di mod
e sorella di Adrasto, il quale, per iscoprire il cognato, le diede un
bel
monile di oro e gemmato, fatto da Vulcano ; ed el
adorna e l’aurea testa Di rose colte in Paradiso infiora. E come il
bel
colore dell’Aurora è simile a quello della rosa,
attribuiva un colore candido simile a quello della luna, misto ad un
bel
purpureo, come se, dice Tibullo, agli amaranti si
r che dalla vite cola. Quindi il Redi, parlando del vino, dice : Sì
bel
sangue è un raggio acceso Di quel Sol che in ciel
mai meno. Quindi da Orazio(2) fu detto candido, epiteto proprio di un
bel
volto ; e le arti del disegno fecero a gara per r
l suo cocchio. La corsa di Atalanta e d’Ippomene è il soggetto di due
belle
figure del giardino delle Tuilèries. Que’ pomi d’
rco Abile e lesto : i crini a l’aura sparsi, Nudo il ginocchio, e con
bel
nodo stretto Tenea raccolto de la gonna il seno.
. Caro. Le avventure di Enea sono descritte nell’Eneide di Virgilio,
bel
poema che pe’ Romani potea dirsi poema nazionale,
altra cosa nel genere suo quell’ultimo finimento, diciam così, che fa
belle
tutte le altre perfezioni e che n’è come il fiore
iene mani (ροδα βρυουσι). Il più si rappresentano quali giovani donne
belle
e ridenti, vestite più con garbo che con magnific
a il sacro capo cinto di verdeggiante ghirlanda ; ed Eufrosine, dalle
belle
guance e dalle rosee labbra. Qualche volta le Gra
uon costume, e s’invocava il suo nome nelle nozze. « Alcune delle più
belle
Sabine rapite dalla romana gioventù, come destina
ea. Essa fu trasportata nel Museo di Parigi, e si annovera fra le più
belle
statue di questa maniera. Invece del deifino dell
ille accender fiamme nell’acque. Ridean le labbra di rose, e facea sì
bel
riso giocondare ogni cuore. Colori celesti esprim
lle acque del mare e con una conchiglia in mano ; ed avea sul capo un
bel
serto di rosse e di bianche rose, mentre candide
le acque caduto. Fu poscia per compassione delle ninfe cangiato in un
bel
fiore che tiene il suo nome. In un dipinto di Pom
l suo nome. In un dipinto di Pompei rappresentasi Narciso in forma di
bel
garzone che al margine di un fonte si specchia ne
ì detto non solo da’ latini scrittori, ma eziandio da Omero(3). E con
bel
tropo i Greci ed i Latini per Marte intendevano l
bocca e si attacca alle orecchie di coloro che volea seco condurre ;
bel
simbolo della forza che ha l’eloquenza sul cuore
corporatura, e per lo più con un mantello alle spalle. Una delle più
belle
statue di Mercurio è quella del Museo Pio-Clement
l dir di Ovidio (4), in fistola fu trasformata Siringa, una delle più
belle
Naiadi che abitavano un monte vicino a Nonaera ,
un monte vicino a Nonaera , città di Arcadia, e figliuola del Ladone,
bel
fiume che si scarica nell’Alfeo. La quale fuggend
proposito di questa folla di boscherecci Iddii giova qui riferire un
bel
luogo di Lucrezio (5), il quale, parlando dell’ec
saglia, in disprezzo di Cerere tagliò una selva a lei consacrata, nel
bel
mezzo della quale era una ramosa quercia, intorno
ad Atreo, Atreo a Tieste, e questi ad Agamennone. Nè son da tacere il
bel
trono d’oro che Giunone promise al Sonno in guide
era e fabbrica uno scudo, di cui Omero fa una descrizione ch’è il più
bel
pezzo di poesia che ci abbia conservata la greca
onte detto Partenio. In esso Diana, stanca per la lunga caccia, in un
bel
giorno di està, si lavava. Or Atteone che là vici
soggetto di molte tragedie ; e l’Ifigenia in Tauride è una delle più
belle
di Euripide. V. Varie incumbenze di Diana.
irlo con quanto avea di più prezioso(4). Vi erano 127 colonne del più
bel
marmo, dono di altrettanti re dell’ Asia, e la st
e poetico, e pieno di sublimi immagini e di audaci metafore ; il loro
bel
cielo, il suolo, tutto era fatto per innalzare a
la Grecia, ricca di memorandi fatti, de’ quali la storia ci aprirà un
bel
campo di dilettevoli conoscenze, termina colla gu
uomo che si era reso celebre per prodigiosa forza, o per una serie di
belle
azioni, ed a cui dopo la morte prestavansi onori
abbatte l’idra e che s’impadronisce de’ pomi d’oro dell’Esperidi. Un
bel
vaso di marmo del Card. Albani rappresenta in ril
o assai delizioso fra l’Ossa, il Pelio e l’Olimpo, ed era bagnata dal
bel
fiume Peneo. Questa valle era ricca di tutt’i pre
nerva per la città di Atene, e come Nettuno fece uscir della terra un
bel
cavallo, che qual simbolo di guerra fu nel consig
a che le Nereidi in un antro ch’era nel fondo del mare, formavano il’
bel
corteggio di Teti, madre di Achille, la quale con
glia, tirato da cavalli marini, e col tridente in mano. Una delle più
belle
statue di questo nume in piedi è quella del Museo
che la maga Circe, ingelosita di Scilla, de’ suoi veleni contaminò un
bel
fonte, ove quella vergine era solita stare al rez
e un luogo presso la palude Acherusia non lungi da Menfi, irrigato di
belle
acque ed ombreggiato di ameni boschetti di canne
l’inferno col passaporto del ramo dalle foglie d’oro, essendoche, pel
bel
racconto di Virgilio(3), niuno entrar potea ne’bu
r génie inventif, et ils rattachaient volontiers l’existence des plus
belles
plantes à l’aventure touchante de quelque nymphe
nivers ; le Tartare, abîme ténébreux de la terre, et l’Amour, le plus
beau
des immortels, tyran des dieux et des hommes. La
orce de l’âme et du corps tempérée par l’humanité. A cette antique et
belle
tradition, les poëtes postérieurs ont substitué l
ssemblée des dieux, qui furent frappés d’étonnement à la vue de cette
belle
créature, et la comblèrent de dons. Vulcain l’env
, à la Paix et à la Justice. Jupiter épousa ensuite Eurynome, la plus
belle
des filles de l’Océan, qui fut mère des trois Grâ
Cérès, sa quatrième femme, lui donna une fille nommée Proserpine. La
belle
Mnémosyne fut la mère des neuf Muses. Enfin, Apol
émosyne fut la mère des neuf Muses. Enfin, Apollon et Diane, les plus
beaux
des immortels, naquirent de l’union de Jupiter et
ra un roi béotien nommé Cithéron ; il feignit qu’il allait épouser la
belle
Platée, jeune nymphe, fille du fleuve Asope ; à c
ie sur sa beauté. La reine des Pygmées, Pigas, ayant osé se dire plus
belle
que la reine des dieux, fut changée en grue ; les
assainit la terre. Apollon, qu’on appelle aussi Phébus, était le plus
beau
des immortels ; il fut le dieu du jour et de la p
étique ont été décrits par un de nos poëtes (J. B. Rousseau) dans ces
beaux
vers : Ou tel que d’Apollon le ministre terrible
Le caractère vindicatif de Diane éclata contre Niobé qui, fière de sa
belle
et nombreuse famille, avait osé se préférer à Lat
reau. Jupiter prit la forme d’un taureau pour transporter en Grèce la
belle
Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie, qui devi
hoses, Ni ce charme secret dont l’œil est enchanté, Ni la grâce, plus
belle
encore que la beauté. Jupiter, pour récompenser
rône et son palais aux voûtes d’acier et d’airain, donna à Vulcain la
belle
déesse pour épouse. Elle portait une merveilleuse
la table du festin une pomme d’or avec cette inscription : A la plus
belle
. Toutes les déesses voulurent s’en emparer ; mais
rose, la seconde un dé, et la troisième un myrte. Cupidon, fils de la
belle
Vénus, est le dieu de l’amour. Il faut le disting
reste. Elles sont devenues chauves-souris9. » La Fontaine décrit en
beaux
vers ce triste dénoûment : Bacchus entre, et sa
vresse et à leurs fureurs. On représentait Bacchus sous la forme d’un
beau
jeune homme à la chevelure flottante, couronné de
ré la difformité de Vulcain, le donnèrent pour époux à Vénus, la plus
belle
de toutes les déesses. Vulcain se faisait remarqu
t à s’unir à lui : c’est pour cela qu’il enleva la fille de Cérès, la
belle
et chaste Proserpine. Ce dieu était généralement
stari. Ambe. lib. 3. de off. A nibili giovanetti studenti delle
belle
lettere nel seminario di cava L’autore F
tro fonte attinsero i più rinomati artefici di ogni tempo le idee più
belle
, onde effigiare le più magnifiche opere atte a ra
o ancora, come pur si pretende, superiori alle altre nazioni, pur con
bel
genio, ed animosa contesa troppo ciechi a fabbric
avasi negli affari, ed intrighi, e perciò in mezzo alle occasioni più
belle
, non abbia ancor commesse le sue galanterie. Sia
C on bionda chioma, e con aurata lira, Con fiamma in petto, e con
bel
lauro al crine, Dovunque il guardo dignitoso Ei g
Sue dissavventure. Un tal figlio però, che riuscir dovea pel padre un
bel
motivo d’allegrezza, fu per lui la cagione del pi
e altro fù il fulminar dall’alto ed infilzare a scoglio acuto nel più
bel
de’ suoi marittimi viaggi l’infelice Aiace di Oil
a crudelià però nol fé riguardar per tale, nè mai ottener gli fece il
bel
titolo di padre degli Dei a lui per natural dritt
denza, colla caparra sicura d’essere un giorno annoverato fra Dei col
bel
titolo di Dio della Pace(1). Sue imprese. Stabil
l guisa dalla dignità del portento, lasciandosi manudurre da guide si
belle
potessero ad onta dell’umana fralezza ascender di
Bene assai a mio credere si condottarono i Gentili nello adombrar il
bel
pregio della innocenza sotto le rappresentanze di
sventure, ma far, che siccome il disordinato affetto ce la tolse, un
bel
ordinato amore ce ne faccia fare nuovamente l’acq
e sola, al dir di Cic. lib. 1. de off. vengono i mortali decorati col
bel
titolo di uomini dabbene è appunto la giustizia,
estra un’ ancora poi fà Fissare al suol, che mobile non è, Chi questo
bel
problema scioglierà Scorgerà quello, che non trov
ta più espressiva per indicar la rea qualità de’ fraudolenti, che con
bel
garbo, e dolci lusinghe eseguono i loro infernali
e terza Delle istituzioni poetiche L a poesia prima fra le arti
belle
, al dir del melanconico cantor della notte, insie
Gange sino a’ Cretini delle Alpi, che non senza ragione si ammira il
bel
genio di que’popoli di contentarsi essere ignoran
rendono più lumeggiante, e più viva, presentano co’loro risalti delle
belle
scene, che colpiscono, e commuovono mirabilmente
adde pugnando a morte Cap. VIII. Dell’ode pindarica Questo
bel
metro, e del pari nobile, e melodioso dicesi pind
elenati dal depravato suo genio. Scrissero dopo lui molti altri delle
belle
pastorali, ma perchè le lavoravono a capriccio, n
o mio Godrò dolce piacere, e tu ’l godrai. Desta ormai nel tuo cor si
bel
desio, Non tardare, t’affretta, e se verrai Per g
mio Io dormo, e godo, e tu in vegliar godrai, Appaga qual tu vuoi si
bel
desio Vieni a veder qual sono, e se verrai Ti sap
O sanctas gentes, quibus haec nascuntur in hortis Numina ! (1). Un
bel
vantaggio morale risulta ancora dalla Mitologia.
ra, e così fin dalla tenera età dolcemente istillare nel lor cuore un
bel
genio a studio così interessante. La favola adunq
ato rapilo de Greci, ed altronde recato, pure per mezzo di Diomede di
bel
nuovo pervennc nelle mani del Trojano Enea, il qu
vulnere sanus abit. Chi fù Plutone. Suo ritratto. (1). Tra le più
belle
pitture, che rappresentano Plutone la più luminos
d’Iavan et ceux des Pélasges ne suffisaient point pour peupler cette
belle
et vaste contrée. La Phénicie et l’Égypte, voisin
ord Arundel, dont ils portent aujourd’hui le nom, et sont un des plus
beaux
ornemens de la bibliothèque de l’université d’Oxf
à rassembler ce que les temps fabuleux ont de plus certain et de plus
beau
. » Telles sont les principales époques où vécure
consacré pour désigner les hommes illustres par leur courage et leurs
belles
actions. Cette étymologie est la plus généralemen
oir déshonneurs, pour reconnaître leurs services et récompenser leurs
belles
actions. Ils devenaient par des décrets publics l
produit plusieurs chefs-d’œuvre, à la tête desquels on doit placer la
belle
tragédie de Racine. Les poëtes s’emparèrent de ce
ensemble plusieurs aventures, dont quelques-unes leur réussirent. La
belle
Hélène, fille de Tyndare, était célèbre dans tout
trompa la déesse, et lui dit qu’Alcmène venait de mettre au monde un
bel
enfant. Junon, surprise, quitta sa place, et dans
lus grande beauté ; Eurysthée ordonna à Hercule d’aller ravir le plus
beau
et de le lui amener : ce qu’il exécuta. La fable
à porter le ciel sur ses épaules. Atlas lui donna en présent les plus
belles
brebis du pays. Le même mot grec exprime une breb
de Castor et Pollux. Castor et Pollux se signalèrent par tant de
belles
actions, qu’ils méritèrent de passer pour les fil
ntrer un cygne dans leur fable. La beauté de Léda, la blancheur et la
belle
forme de son cou, la firent comparer à un cygne ;
rs mains sont armées de torches pour l’embraser : ce fut alors que la
belle
Cléopâtre, se jetant à ses pieds, le conjura de l
mme les principaux chasseurs, parmi lesquels on remarque Thésée et la
belle
Atalante, si célèbre par sa légèreté à la course.
nner à la porte du temple, parce qu’un ouvrier avait péri devant lui.
Belle
leçon d’humanité, mais trop tardive ! Temple d
es les beautés que l’on y remarquait. Le pavé du temple était du plus
beau
marbre, et dans l’intérieur on voyait un nombre i
gularité. Celui de Jupiter, sur le Capitole, était au nombre des plus
beaux
; mais le plus superbe et le plus solidement bâti
er, y fit ajouter le portique, qui en fait encore aujourd’hui le plus
bel
ornement. Une ouverture au milieu de la voûte, tr
cette forme, pour le même motif. Le portique, plus surprenant et plus
beau
que le temple même, est composé de seize colonnes
s de la rivalité. L’église de Saint-Paul de Londres est l’un des plus
beaux
monumens du monde, après celle de Saint-Pierre de
de sorte que la triste et languissante vieillesse vint succéder à ses
belles
années ; et du temps d’Énée, elle disait avoir dé
nd artisan des tromperies, l’opprobre des dieux et des hommes. Il est
beau
de sa figure, mais son esprit est méchant, et ses
steurs pouvaient les présenter. Les prémices des récoltes et les plus
beaux
fruits de la terre couvraient les autels des dieu
. Plus on approfondit l’histoire, plus elle apprend que ces riches et
belles
contrées furent la terre natale de nos premiers p
les temps, surent unir à la valeur fière des peuples libres les plus
belles
vertus des nations civilisées. La gloire d’un gra
euple éveille le génie de l’homme sensible que la nature a doué d’une
belle
imagination ; il brûle d’immortaliser son pays. L
ur trouver l’origine de ces romans de chevalerie, si singuliers et si
beaux
qu’ils causent encore aujourd’hui notre admiratio
lieu des orages et des vents. La mort ne détruisait pas le charme des
belles
; leurs ombres conservaient les traits et les for
e, avaient fini par s’unir, s’arranger d’eux-mêmes et par produire le
bel
ordre que nous voyons. Quel aveuglement ! Racine
Proserpine, femme de Pluton. 40. Aventure du chasseur Actéon ; du
bel
Endymion. Diane était regardée comme la déesse
ble, Jupiter prit la forme de cet animal pour transporter en Crète la
belle
Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie. Cette pr
chasseur Actéon ? et pourquoi ? Quel sentiment éprouvait-elle pour le
bel
Endymion ? Comment explique-t-on cette fable ? 41
l’éloquence. On représente Mercure sous les traits d’un jeune homme,
beau
de visage et d’une taille élancée. Comme messager
é les foudres dont il avait frappé les Géants. Cette union de la plus
belle
des déesses avec le plus difforme des immortels f
ta sur la table du festin une pomme d’or portant ces mots : A la plus
belle
. Toutes les déesses voulurent se l’adjuger ; mais
et vomissant des injures accompagnées de cris affreux. On connaît le
bel
épisode du quatrième livre des Géorgiques de Virg
s. Aussi, malgré sa laideur, obtint-il pour récompense Vénus, la plus
belle
des déesses (n° 51). Comme artiste, Vulcain s’est
lles furent changées en rochers. On les représente sous les traits de
belles
femmes, dont le corps se termine en forme de pois
vant les mets sur les tables et répandant une odeur infecte. On avait
beau
les chasser, elles revenaient sans cesse. La plus
m Saturne, détrôné par Jupiter. On la représente sous la figure d’une
belle
femme, couronnée de fleurs et tenant à la main un
semblables, mais de soi-même, c’est-à-dire de ses passions. La plus
belle
victoire est de vaincre son cœur. a dit La Fonta
parce que Cassiopée, sa mère, avait osé dire que sa fille était plus
belle
que les Néréides. Persée, touché du malheur de la
. On dit qu’à l’âge de plus de cinquante ans Thésée tenta de ravir la
belle
Hélène, qui n’en avait alors que dix, mais les de
aux cornes dorées, couché entre les joncs. Elle s’assit sur le dos du
bel
animal, qui à l’instant s’élança dans les flots.
ient leurs peuples. 7° Une autre fois, il prit le nom et la figure du
beau
prince Rama, dont les aventures sont le sujet du
des guerriers et des athlètes ; Balder, l’Apollon du Nord, comme lui
beau
, radieux, éloquent ; Braya, le dieu de la sagesse
li, Cal, Erat, Ura, Po, Mel. 22. Le mot italien belvedére signifie
belle
vue ; c’est un pavillon du Vatican, qui fut élevé
ris, et petite-fille de la première Téthys. 37. C’est le sujet de la
belle
ode d’ Horace : Pastor quum traheret. 38. Nom fo
consacré pour désigner les hommes illustres par leur courage et leurs
belles
actions. 50. De son ire (de sa colère), éteindre
crate. 57. Il faut lire, dans la tragédie de Phèdre, par Racine, ce
beau
récit de la mort d’Hippolyte : A peine nous sort
mière époque de la création. C’est ce que Rousseau a exprimé dans ces
beaux
vers : Avant que l’air, les eaux et la lumière,
ouvait ni déclarer la guerre, ni exécuter les coupables. C’eût été un
beau
souvenir de cet âge d’or, où la liberté régnait a
enir ce mélange adultère D’adversité dont l’influence altère Les plus
beaux
dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
ar leur main Tous les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mériter le
beau
nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
t en butte à ses traits parce qu’il avait osé proclamer Vénus la plus
belle
des déesses. Ce ressentiment jaloux fut la cause
one de ce reptile affreux, en l’exterminant à coups de flèches. Cette
belle
victoire le couvrit de gloire et lui mérita le su
ts et la poursuite des parents d’Hyacinthe l’obligèrent à quitter ces
belles
contrées ! Il passa la mer à l’endroit des Dardan
premiers éléments de la civilisation. Boileau a rendu cette pensée en
beaux
vers : Avant que la raison, s’expliquant par la
ntre le vrai talent. 12. On représentait Apollon sous les traits d’un
beau
jeune homme sans barbe, le front couronné de laur
ec sa lance, et l’on en vit soudain sortir un olivier chargé des plus
beaux
fruits. C’était le symbole de la paix et de l’abo
x leçons de la jeunesse. 5. Minerve était représentée avec une figure
belle
, simple et modeste, un air grave et majestueux. E
ela Vulcain au céleste séjour et lui donna pour épouse Vénus, la plus
belle
des déesses. 2. Le rôle de Vulcain au ciel était
s cornes, symbole de sa force et de sa puissance. Il a la figure d’un
beau
jeune homme imberbe, au visage riant et à la chev
ôtés. Téthys était portée sur un char formé d’une conque parfaitement
belle
, plus éclatante que l’ivoire et paraissant voler
son avide soc empiétait sur mon bien, Crie aussitôt comme un
beau
diable : Halte-là, mon voisin insatiable, C’est l
e ville par Titus. On représentait la Paix sous la figure d’une femme
belle
, douce et modeste, ayant sur la tête une couronne
m chez les anciens. Comme nous l’avons déjà dit, cette prérogative si
belle
a nécessairement la vertu pour compagne ; et, com
ns l’Hèbre. Virgile a raconté cette histoire, et Delille a traduit en
beaux
vers français cet épisode du prince des poëtes la
lui parla au nom de son père, et lui baissa la main en prononçant ces
belles
paroles : Juge de mon malheur en me voyant baiser
vivre heureux, mais à mourir tranquilles, en se confiant dans un plus
bel
avenir. L’hymne d’Orphée qu’on y chantait est un
t nous parle en même temps d’une idole de bois servie, sous le nom de
Bel
, par un grand nombre de prêtres qui faisaient cro
étaient Balder, le dieu de la bonté, le principe du bien, le type du
beau
; Tyr, je dieu de la guerre et le protecteur des
ép. de Philémon, 24. Bécubo, bonne vieille protégée par Cérès, 31.
Bel
, idole des Chaldéens, 172. Bélier, const., 34.
mmondo Entrò ne’ crudi petti de’ mortali ; E le pure virtù, candide e
belle
, Gîro a splender nel ciel fra l’ altre stelle. Un
E quinci e quindi avea le luci intente, Correndo a quei ch’ avean più
bel
colore. Quest’ era il maggior fin della sua mente
ro i Centauri (430), e che fu re d’Atene prima di Cecrope, per le sue
belle
azioni aveva meritato anche in vita onori divini
l néttare agli Dei ; ma poichè un giorno le intravvenne di cadere nel
bel
mezzo della celeste assemblea, ella n’ebbe tanta
to rè d’Argo (462), Lisippa, Ifinoe ed Ifianasse, per essersi vantate
belle
quanto Giunone, furono assalite da tale impeto di
o anche a Cirra città della Focide, a piè del Parnaso. Aveva un altro
bel
tempio a Delo dov’era nato, e dove Teseo (402 e s
dorarono particolarmente quale Dio della poesia, della musica e delle
belle
arti. Fu maestro delle Muse (274) con le quali ab
l giovine Ciparisso, amico d’Apollo, s’allevava con grande affetto un
bel
cervo ; quand’ecco che inavvertentemente lo uccid
a 200 braccia di circuito, 70 di altezza, e sorgeva sulla sua cima un
bel
carro tirato da quattro cavalli. Le statue e i ba
erale poi i monumenti antichi rappresentano Apollo in sembianza di un
bel
giovine imberbe, con lunga e bionda chioma inghir
a in atto di far donativi alle Grazie (175) che animano il genio e le
belle
arti. Roma possiede la più celebre statua di ques
etra dove l’arco ei posa, E i bei nomi col dardo all’ ara incida. Due
belle
madri alfin, colme di pura Gioja, stringansi a ga
alle opere del genio greco, legga quel carme. Una delle sue parti più
belle
è la descrizione del velo delle Grazie. Pindaro v
ie una bella notte d’estate ; piglia le ali e le freccie ; va nel più
bel
punto di quell’ amena dimora, si stende sopra un
da me e dalle mie sorelle ? Ah ! è il dio Amore, egli stesso nel più
bel
fior dell’età ! Chi più felice di me ? Amore mi s
a, e ti sorride in volto. Mortale nacque, e son più care in cielo Sue
belle
doti ; e se a noi canta o danza, Se mesta siede o
i indicavano nel tempo stesso l’ardore e la purezza dei loro voti. Le
belle
lor chiome, o nere o bionde, scendevano sul candi
e le consacravano le loro chiome. Allora la sacerdotessa tagliava le
belle
trecce, e le appendeva agli altari della Dea. Que
vivere insieme con loro, statuì che la concordia fosse fondamento del
bel
collegio, e perciò volle che si chiamassero Muse,
guali, simili. 275. Esse presiedono tutte insieme alle scienze, alle
belle
arti ed alla poesia. Ora ponendo mente alla umilt
e pregio all’arte pigliando spesso a rappresentare purissimi affetti,
belle
e nobili passioni, e gl’interni moti di un’anima
277. Le Muse sono rappresentate con sembianze di vergini modestamente
belle
, con semplici vesti, e sovente con ali al tergo.
ta allorquando un antico Pireneo, re stolto e ignorante, nemico delle
belle
arti e delle lettere, scacciò dal suo regno i dot
mandi a dar l’amato alloro ec. Troppo lungo sarebbe il citare le più
belle
invocazioni dei sommi poeti dell’antico e del mod
à subalterne originate da Nereo e Doride (193), e rappresentate sotto
belle
sembianze di giovanette ; ma gli antichi non le o
assato. Son parole della Giustizia all’ Eterno : Libertà che alle
belle
alme s’apprende, Le spedisti dal ciel, di tua div
imento ch’ella preferisse di starsene celata in fondo a un pozzo. Con
bel
modo ne fa la dipintura il Pignoni nelle sue sest
! ti conosco al volto, al plettro, al canto, Giovin di Tracia, che il
bel
core occupi Sol di tua doglia, e d’ammansare hai
n mezzo a’suoi Dei, e quando appunto abbracciava l’altar di Giove. Un
bel
quadro di Pietro Benvenuti, e l’incisione che ne
vol tragedia. 607. Questa catastrofe è rappresentata in una delle più
belle
sculture greche, divenuta ormai patrimonio dell’I
bandonarsi ai trasporti della sua gioia ; la toccò di nuovo, e già le
belle
membra avevano il calor della vita, già il sangue
omi dei celebrati. Nè solamente dispensava lode il grand’uomo, ma con
belle
massime rammentava non esser vera gloria senza la
i Babilonesi ; e siccome osservavano continuamente gli astri sotto un
bel
cielo, così ne impararono a conoscere la posizion
ntare aneddoti scandalosi su questo tema, che spesso deturpano le più
belle
poesie dei classici antichi. Perciò Ugo Foscolo n
e, come accenna Ugo Foscolo. Quando Vulcano sposò Venere le regalò un
bel
cinto, che elegantemente con voce greca e latina
ere ebbe il nome il più bello e rilucente dei pianeti primarii, « Lo
bel
pianeta che ad amar conforta, » come con perifra
ue il mio nome dimanda, « Ch’io mi son Lia, e vo movendo intorno « Le
belle
mani a farmi una ghirlanda. » 184. I vocabolar
Giove, e che ne sia uscita fuori Minerva, Dea della sapienza e delle
belle
arti — cioè che il fuoco, di cui si servono le ar
ar un tipo di sapienza, e onde personificare il genio inventore delle
belle
arti e delle armi guerriere. La vogliono nata dal
ore, Erato, Polinnia, Vramia, Calliope. Noi, senza dire a quale delle
belle
arti ciascuna di esse voleva farsi presedere, chè
gonia(1). Di nove ie dico vergini leggiadre Del canto amiche e delle
belle
imprese : Melpomene, che grave il cor conquide ;
apienti altro non intendevasi, che personificazioni allegoriche delle
belle
arti, della poesia, della musica, delle danze, e
nificavasi il diletto, che si tragge da coloro, che hanno apparato le
belle
arti. Per Erato da ερατος amabile, la stima che i
abile, la stima che il tempe e la fama acquista a’saggi cultori delle
belle
arti. Per Polinnia πολυμνος celebre, di molta fam
ni periodi della istoria antica si rinviene portare il nome di oro le
belle
lane, onde presso il poeta della Iliade Atreo si
combatte con alcune donne guerriere, figlie di Marte, rapisce loro un
bel
cinto, e tragge una donzella dagli oltraggi di un
è molto rammentata, specialmente dai poeti latini, come una delle più
belle
Ninfe ; e dicono che se ne fosse invaghito quel m
reggiato a rappresentar Galatea di bellissime forme, ed una delle più
belle
è quella che vedesi nella Galleria degli Uffizi i
a Galleria degli Uffizi in Firenze. Le Ninfe oltre ad esser giovani e
belle
, erano anche generalmente buone e cortesi ; e per
iù non ha rapporti colla Religione, ha però un tempio nel Regno delle
belle
arti : le sue antiche bizzarrìe sono tuttogiorno
pure lo è della musica, dell’eloquenza, della medicina, e di tutte le
belle
arti. Riguardavano gli antichi questo Dio come pa
in qualità di un giovane gajo di età sempre fresca, ed istruito nelle
belle
arti. Egli amò varie Ninfe ; ma fu sempre infelic
to Terpsicore, e danzar snella si vede. Col spirto animator dell’opre
belle
Le figlie di Memoria Apollo investe Le guida ogno
ra la Dea della sapienza, ed aveva la preminenza sulle scienze, sulle
belle
arti, e sulla pace. Sotto la seconda presedeva al
tati. Vedesi ordinariamente rappresentato Bacco sotto l’aspetto di un
bel
giovane imberbe1 con capelli biondi inanellati, e
iurato di mantenere. Era rappresentato Vertunno sotto l’aspetto di un
bel
giovine coronato di foglie di diverse piante, por
ime voci degli altrui discorsi. Ridotta a tale stato infelice vide il
bel
Narciso figliuolo del fiume Cefiso, e della ninfa
uno de’ compagni di Amore. I poeti sovente lo dipingono in aria di un
bel
garzone colle ali di farfalla. Le Sirene. Le
arisce in sogno a Nausicae sua figlia, e la consiglia a lavare le più
belle
sue vesti, con dirle di più, che le sue nozze era
ncor essa nel mare. Aconzio, e Cidippe. Era Cidippe una delle più
belle
di Delo. Aconzio la vide nel tempio di Diana, e l
i. Gareggia la nostra Patria con Roma istessa madre, e cultrice delle
belle
arti, e delle scienze. Dapertutto veggonsi de’ ca
sur la table une pomme d’or qui portait cette inscription : A la plus
belle
. Junon, Vénus et Pallas se disputèrent vivement c
les rives du Permesse17, et la fontaine d’Hippocrène. C’est dans ces
beaux
lieux, au milieu d’un bois de lauriers, qu’on le
représente sous les traits d’un jeune homme sans barbe, parfaitement
beau
, couronné de laurier, et tenant une lyre à la mai
la conduisirent avec pompe dans l’Olympe. Les Dieux la trouvèrent si
belle
, que chacun d’eux voulut l’épouser. Mais Jupiter
sur la table une pomme d’or sur laquelle elle avait écrit : A la plus
belle
. Junon, Pallas et Vénus élevèrent des prétentions
pouse de Céphée, roi d’Éthiopie, ayant eu la témérité de se dire plus
belle
que Junon et que les Néréides, avait vu un monstr
émise dans la ville d’Halicarnasse94. Ce magnifique monument, orné de
belles
sculptures des plus habiles artistes du temps, av
en Evagoras. Il était considéré comme l’homme le plus fort et le plus
beau
de sou temps ; il passa une grande partie de sa v
n de leurs crimes, comme les bons y trouveront la récompense de leurs
belles
actions. Les idolâtres avaient donc conservé cett
donna naissance au personnage de Caron, et on le conduisait dans les
belles
plaines des environs de Memphis, qui ont donné l’
des villes les plus célèbres dans l’histoire ancienne et une des plus
belles
qui aient jamais existé, avait été fondée par Bél
chiamate Egle, Aretusa ed Esperetusa 88. Avevano esse nell’Affrica un
bel
giardino con alberi che producevano pomi di solid
neti è attratto da forza preponderante verso quella costellazione. Le
Belle
Arti non si sono mai stancate a rappresentarci Er
uovo partorito da Leda, chiama la costellazione di questi gemelli il
bel
nido di Leda nella seguente terzina del C. xxvii
C. xxvii del Paradiso : « E la virtù che lo sguardo m’indulse, « Del
bel
nido di Leda mi divelse, « E nel ciel velocissimo
a e Fedra. Dipoi i Mitologi aggiunsero, che Pasifae, avendo veduto un
bel
toro bianco ed essendole molto piaciuto, partorì
ma si svelle « Del sangue più che sua colpa sortille. » Anche nelle
Belle
Arti furono rappresentati i Centuari secondo le d
questo barbaro sacrifizio, soggiunge : « Onde pianse Ifigènia il suo
bel
volto « E fe’ pianger di sè i folli e i savi « Ch
mirabili che furon copiate o imitate da tutti i poeti epici. Son però
belle
e mirabili colla lor veste poetica : diverrebbero
ù nè meno ; e notando le difficoltà di chiuder bene e senza sforzo un
bel
concetto poetico in un Sonetto, dissuade dal cime
olto Ritrovar puoi lo gran duca de’Greci, Onde pianse Ifigenia il suo
bel
volto ; ecc. » 116. Dante ammette che Ippoli
it. » (Ovid., Trist., i, 2ª.) 133. È famigerato ed assiomatico il
bel
verso di Orazio : « Dulce et decorum est pro pat
iorîr le carte argive E le latine, di spaventi ha pieno Delle Muse il
bel
regno. Arco e faretra Toglie ad Amor, ad Imeneo l
bella donna di statura alta e maestosa, che ha il seno abbondante, un
bel
colorito, gli occhi languidi, i capelli biondi, l
olo della rapidità e del potere dell’eloquenza. Si rapresenta come un
bel
giovine, snello di corpo, col caduceo in mano, qu
a il più magnifico tempio di quella grande città. Tutti coloro che le
belle
arti professavano, s’univano al tempio della Pace
ti, coronate di fiori, a truppe nuotavano dietro il carro di lei ; le
belle
chiome scendevano loro sulle spalle ed in balía d
o di ornamenti stranieri che con moderazione. Si dipingevano giovani,
belle
e vergini perchè le Grazie ed i piaceri sono semp
testa, colla lira in mano e coronato d’alloro. Si dipingono giovani,
belle
, modeste e vestite semplicemente. Siccome ciascun
ravvisa in Pireneo il nome di qualche principe il quale non amando le
belle
lettere distrusse i luoghi ove erano coltivate. C
che avventura, ma eziandio fino alle semplici pastorelle e a tutte le
belle
che i poeti fanno entrare nel soggetto de’loro ca
ura o degli armenti o dei frutti di una grande rendita. Siccome erano
belle
e ancor più sagge, Busiride, re d’Egitto tratto d
ene e delle seducenti promesse che gli facevano, di insegnargli mille
belle
cose, che fè cenno a’ suoi compagni di scioglierl
in grande venerazione perchè il loro apparire dicevasi apportator del
bel
tempo. Orfeo, Euridice Orfeo uno de’ più c
tosoni d’oro. Altri pretendono che questa favola tragga origine dalle
belle
lane di quel paese e che il viaggio fatto da alcu
dichiarò loro che vedendole coi loro vestimenti le trovava egualmente
belle
, e che per giudicare, eragli d’uopo di vederle ig
ssoluta penuria di opere nel genere della nostra, chè anzi varie sono
belle
che parlano delle diverse religioni dei popoli de
jeux et des combats, l’homme évoque de sa nature tout ce qu’elle à de
beau
, de fort ; se sculpte infaticablement a l’image d
n corno rovesciato da cui escono a profusione i fiori e le frutta più
belle
. Essa si salvò con Saturno allorchè questi fu sca
le al giglio, Le vaghe foglie in un momento aprio. Formarsi ancor nel
bel
vermiglio Le note che v’impresse il biondo Dio :
o, un faggio, Che verso il cielo alteramente cresce : E si domanda il
bel
loco selvaggio Bosco sacro agli dei, nè giammai p
n d’intorno, o quando spazia Per le piagge di Cento a l’aura sparsi I
bel
crin d’oro, e de l’amata fronde Le tempie avvolto
se Far sempre il nome suo splender nel cielo, E l’aurea sua corona al
bel
crin tolse ; Ed a farla immortal rivoltò il zelo
o. — Gli antichi rappresentavano questa stagione sotto la figura d’un
bel
giovane, avente in mano un canestro di frutta e c
del mare su di un becco marino. 756. Beelfegob. — V. Baal-Fegor. 757.
Bel
. — Il Giove dei Caldei, il quale, secondo la trad
e ed acqua, e che conteneva mostruosi animali. I Caldei credevano che
Bel
, dopo aver formato il cielo e la terra, avesse ri
va, e riaccendeva il fuoco di una passione estinta. …. e dal seno il
bel
trapunto e vago Cinto si sciolse, in che raccolte
omunemente sotto il nome di Dedalione. 1387. Delopea. — Una delle più
belle
ninfe del seguito di Giunone, la quale la promise
la flotta di Enea. ….. Appo me sono Sette e sette leggiadre ninfe e
belle
; E di tutte più bella e più leggiadra È Dejopea
. 1506. Dranceo. — Uno dei grandi della corte del re latino, felice e
bel
parlatore, ma uomo sleale e vigliacco. Fu uno dei
in tutto al geto, E di seta sottil varia e dipinta S’avea coperto il
bel
corporeo velo ; Dall’aura la gonnella alzata e vi
ene. 1594. Egia. — Ninfa figlia del Sole e di Nereo, fu una delle più
belle
fra le Naiadi. Allegra e spensierata, faceva sove
gioia di che sembrava aver da principio sparsa la loro esistenza. Un
bel
giorno Paride, figlio di Priamo, re di Troia, giu
692. Enone. — Figlia del fiume Cebreno nella Frigia. Fu una delle più
belle
abitatrici del monte Ida. Apollo se ne invaghì pe
giunse Per nodo marital suore e fratelli, Che avean degli anni il più
bel
fior sul volto. Omero — Odissea Lib. X. trad. di
to le sembianze umane. Onde si tiene che a Giove nascesse, Epafo, un
bel
figliuol che usci di lei, Ovidio — Metamorfosi —
i Alcmena. L’arte plastica ha fatto di Ercole l’oggetto delle sue più
belle
e ricche creazioni. Essa ha quasi dato fine a que
il ne faut que les laisser frapper. Conduisez ou suivez une fureur si
belle
; Revenez tout couvert du sang de l’infidéle ; Al
vi bovino, al cocchio il lega. Andar lasciando strascinato a terra Il
bel
capo. Sul carro indi salito Con l’elevate glorïos
e assediarono Troja. Omero ce lo addita come possessore delle due più
belle
cavalle dell’esercito, che secondo la tradizione
immondo Entrò nei crudi petti dei mortali, E le pure virtù candide e
belle
Giro a splender nel ciel fra l’altre stelle Ovid
i confidò del suo valore, E disse, un giorno voler esser duce Del suo
bel
carro e della sua gran luce Ovidio — Metamorfosi
di questi uccelli. Ovidio fa di questo avvenimento una delle sue più
belle
Metamorfosi. E mentre che per l’aria anch’ei s’a
i, disse, la destra entro la chioma, E vedrai d’ ogni intorno Liete e
belle
veuture Venir con aureo piede al tuo soggiorno :
vanetto Giacinto esalò l’estremo sospiro, curvando a somiglianza d’un
bel
fiore, la sua pallida e nobile testa, sul seno di
a rese : Di nove, io dico, vergini leggiadre Del canto amiche e delle
belle
imprese. MONTI — La Musogonia — Canto. Giove era
Figlia dell’Oceano e madre della famosa Medea. Idia fu una delle più
belle
donne dei suoi tempi. 2241. Idmone. — Celebre ind
vessero mostrato un sacrilego disprezzo per la dea, proclamandosi più
belle
di Giunone stessa ; la quale, sdegnata contro le
opinione seguita dal Racine, nella sua Iphigénie, che è una delle più
belle
tragedie del teatro tragico francese ; e dove chi
edi sacri, una tazza d’oro pesantissima di grande valore, la quale un
bel
giorno fu rubata serza che si potesse scoprire l’
sposa, di adempiere al suo dovere, Issione lo traccheggiò sempre con
belle
parole e con larghe promesse ; finchè stanco Deio
lle dee. Simil ben parve alla celeste figlia Di saturno possente Nel
bel
volto la nube e nelle ciglia. Per lui le man di G
nomi di due sacerdoti, i quali scrissero su foglie di albero, le più
belle
massime della religione di Budda, e i principali
ssai quella della madre di lei, ritenuta anch’essa come una delle più
belle
donne dei suoi tempi. ….. Leucotea prole D’Eurin
754 Bebreci » 58 755 Becchi » ivi 756 Beelfegob pag. ivi 757
Bel
» ivi 758 Belatucadua o Belertucadi » ivi 759
descrizioni antiche e moderne è ufficio dei professori di rettorica e
belle
lettere, e il descriverne le antiche e le moderne
sculture o pitture appartiensi ai professori gnostici ed estetici di
Belle
Arti, e non al Mitologo, poichè miti speciali non
a descrizione è tanto chiara ed evidente che molti cultori delle arti
belle
, e tra questi lo stesso Michelangiolo, hanno potu
castello « Sette volte cerchiato d’alte mura, « Difeso intorno da un
bel
fiumicello, » e finalmente, tralasciando ogni al
u ‘l vedessi, « Nulla sarebbe del tornar mai suso. » Quanto poi alle
belle
arti sappiamo che gli antichi rappresentavano la
lle « E poi quasi talor la terra rade ; « E ne porta con lui tutte le
belle
« Donne che trova per quelle contrade : « Talment
a di Salamina, gloria eterna di Temistocle e della Grecia289). Le più
belle
massime antiche morali e filosofiche eran credute
iguità. Se ne trovano riportate alcune anche nei libri di rettorica e
belle
lettere, come quella che si suppone data a Pirro
po questa arditissima e veramente omerica invenzione, ornata di tante
belle
similitudini, di bene adattate idee classiche e m
nziano come se si scrivesse Sciglio. 229. Orazio annovera tra le più
belle
e mirabili descrizioni di Omero, (chiamandole spe
to al suo allievo, cosa molto più facile che istillare il gusto delle
belle
lettere e delle scienze. E Bacco divenne il Nume
quale allude il Redi nel Bacco in Toscana, parlando del vino : « Sì
bel
sangue è un raggio acceso « Di quel Sol che in Ci
i esser re, Plutone benchè nato in Cielo ed allevato in una delle più
belle
regioni della Terra, accettò di regnar nell’ Infe
e, « Che al mio Maestro piacque di mostrarmi « La creatura ch’ebbe il
bel
sembiante, « Dinanzi mi si tolse, e fe’ ristarmi,
a specie d’Antologia Mitologica opportunissima anche ai cultori delle
Belle
Arti. » Ci siamo poi studiati di render profittev
udono sì di frequente. Nè men necessaria è a tutti gli studiosi delle
belle
arti, giacche le favole tanti soggetti hanno forn
i Glori o Flora Dea dei fiori; e come egli a noi porta comunemente il
bel
tempo, suole dipingersi in figura di alato giovin
, presso de’ naviganti, perchè il loro apparire dicevasi portator del
bel
tempo. Polluce erasi reso celebre nella lotta e b
vasi portator del bel tempo. Polluce erasi reso celebre nella lotta e
bel
combattimento de’ cesti, co’ quali uccise Amico,
ali della natura. Da questi studi scientifici traggono in oggi le più
belle
immagini quei pochi eletti che hanno intelletto a
conosce e s’intende dal significato del loro stesso nome ve n’era un
bel
numero nel Politeismo, come per esempio, il Dio R
o animalesco ond’ è composto questo mostro56. Quindi è che anco nelle
Belle
Arti è raro il trovar dipinta o sculta la figura
hanno preferito e trascelto quelli soltanto che racchiudevano le più
belle
immagini e i più chiari e notabili simboli dell’a
A parturir li due occhi del Cielo ; » ove è da notarsi tra le altre
belle
espressioni l’ardita e sublime metafora di chiama
salvezza di Roma. Questa statua era chiamata il Palladio 170. Il più
bel
tempio però e la più famosa statua di questa Dea
che i pittori hanno trattato questo soggetto : basti il rammentare il
bel
quadro del Ratto di Proserpina, dipinto dal Turch
se « Per nodo marital suore e fratelli, « Che avean degli anni il più
bel
fior sul volto. « Costoro ciascun dì siedon tra i
gni divinità aveva le sue vittime diverse, ed erano scelte fra le più
belle
. Il nome di vittima era dato solamente agli ogget
di lui i Classici latini ; e tra i Greci, dopo Esiodo che creò questo
bel
tipo di maldicente, gli fece le spese Luciano ne’
fosse riguardato ancora come dio della Musica e di tutte quelle altre
belle
arti speciali a cui presiedeva ciascuna delle nov
ra. « Prende la briglia e salta su gli arcioni « Dell’Ippogrifo ed il
bel
corno afferra ; « E con cenni allo scalco poi com
Chapter II. Eastern Mythology. Deities of the Assyrians. Baal, or
Bel
— Moloch. Eastern Mythology — Divinities of th
Moloch. Eastern Mythology — Divinities of the Assyrians — Baal or
Bel
— Tower of Babel — Proper Names of the Phœnicians
eities. Ques. Where was the Sun worshipped under the name of Baal or
Bel
(the Lord)? Ans. In Babylon. The famous tower of
stics — Divinities worshipped by the Druids — Esus — His Attributes —
Bel
— Teutates — Camul — Tarann — Priests — Their Dut
other divinities. The Assyrian Baal was worshipped among the Celts as
Bel
or Belen. As he represented the sun, the Romans r
ione è uno studio, per cui si procura d’imitare, ed anche superare le
belle
azioni altrui. Questa Virtù si dimostra giovine,
a pure il tempio, in cui si raccoglievano coloro, che professavano le
Belle
Arti, affinchè la presenza di questa Dea allontan
a a canto un Cané. E’ vestita nell’ anzidetta manicra per indicare le
belle
e artifiziose parole, che soglionsi usare dagli A
figlie di Priamo ; ed è fama, che fosse di singolare costumatezza. Sì
belle
doti le ottennero da Apollo il dono di conoscore
fatti di vinchi(e). Elena secondo Erodoto era invocata, onde rendesse
belle
le giovani deformi. Una ricchissima donna di Spar
ra comune a tutti i discendenti d’ Inaco, divenuti celebri colle loro
belle
azioni(a). (g). Declaustre Diction. Mythol. (
elios*; Roman, Sol*; Persian, Mithras* or Mithra*; Chaldean, Baal* or
Bel
*; Canaanite, Moloch*; Egyptian, Ra*, Osiris*, Hor
ourse of time to denote different gods. Thus the sun was worshiped as
Bel
*, or Baal*, the Lord, and as Moloch*, or the King
or origin of Deity, but he was too dimly comprehended to be popular.
Bel
* was also a favorite god, but Nin* and Nergal*, t
us. See Dionysus. Baldur, 228. Baltane, 232. Battus, 100. Baucis, 44.
Bel
, 23, 217. Bellerophon, 148, 149, 150, 151. Beller
by various representations, called idols. The Babylonians worshipped
Bel
or Baal as their idol, and so on. The Chaldeans,
ch worshipped by the ancients. He was called Mithras by the Persians;
Bel
or Baal by the Chaldeans; Belphegor by the Moabit
egular form, representations of which were displayed in the temple of
Bel
. A woman by the name of Omorca, was the mistress
Bel. A woman by the name of Omorca, was the mistress of the universe.
Bel
divided her into two parts: one of these parts fo
e other, earth; after which, monsters of irregular forms disappeared.
Bel
next divided darkness, separated the heaven from
otivo della di lui venuta, arse d’invidia, ch’egli fosse autore di sì
bel
dono ; ma tuttavia, fingendo amicizia, lo accolse
ta di tutti i doni, perchè varie Divinità la ornarono poscia di molte
belle
prerogative. Costei venne da Mercurio condotta a
e si disse, che quello era opera di Vulcano, e ch’era di bronzo, con
bel
gruppo di figure sul frontespizio, le quali davan
una gabbia di bronzo. Non avrebbe più riacquistata la libertà, se la
bel
Eribea, matrigna degli stessi Aloidi, non avesse
k notes, but a potentiality that should render the general reading of
belles
lettres more profitable. For, a previous acquaint
223, 224, 342; genealogy, Com. §§ 59,132,133. Compare the deity Baal.
Bel
′vedere, the Apollo, Com. § 38. Berecyn′tia, see C
s from Swift’s Description of a City Shower: — “Boxed in a chair the
beau
impatient sits, While spouts run clattering o’er
holds the roll of the laws of agriculture. Cameo. G. M. 220. Acad. de
Belles
Lettres, i. 276. — 2. Athena Polias feeding the s
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