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1 (1823) Mythologie des dames
e] [Plan de l’ouvrage.] Une compagnie aimable passait les beaux jours de septembre dans la maison de campagne de
ations, dans la contemplation de la nature, et dans les exercices des beaux arts : ce séjour invitait à suivre ce genre de vi
es réunies avec soin par un des anciens propriétaires du château, les belles statues qui décoraient le jardin, lui donnèrent o
rres cruelles ; Léda d’une main caressante flatte le col d’albâtre du bel oiseau qui semblait implorer son secours. Cet ois
moureuses. Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie, était extrêmement belle , et d’une blancheur si éblouissante qu’on disait
enti l’injure. Son fanon à longs plis flotte sur ses genoux ; Le plus beau des taureaux, il en est le plus doux, Ses cornes
ntres nous ont faits de l’Olympe, on voit auprès de Jupiter une femme belle , le front chargé d’un diadème, et dont le visage
orphose, et feignant de l’ignorer, exigea que son époux lui donnât ce bel animal. Jupiter ne put résister à cette demande.
rès de nous cette pomme d’or sur laquelle on lit ces mots : à la plus belle . Tu vois devant toi, jeune berger, trois puissant
t tour-à-tour sur chacune d’elle : enfin, il offre-la pomme d’or à la belle Vénus. L’orgueilleuse Junon ne put se consoler de
a cause du peu de durée de sa vie. Apollon, dieu de la lumière et des beaux arts, brûlait pour Vénus des mêmes feux que Mars.
nt instituées à Sidon. Les vierges portaient le simulacre du corps du beau chasseur, et faisaient retentir les airs de sons
appelée dictame, qui guérissait de tous les maux. Virgile peignit en beaux vers les aventures d’Énée. Les Romains, fiers de
de Vénus, accueillirent l’Énéide avec les transports qu’inspirent les beaux vers et l’orgueil national. Vénus pria Vulcain de
inspirait les sentiments délicats, les passions nobles, et l’amour du beau dans les arts. Ce fut Vénus-Uranie ou Vénus pudiq
rois sœurs, divinités bienfaisantes, jeunes, riantes, et parfaitement belles  : elles étaient filles de Jupiter et d’Harmonie ;
e la transporter dans un séjour délicieux qu’il avait préparé pour sa belle amante. Là, le jeune dieu avait réuni toutes les
aimées de Jupiter, on doit distinguer Latone ; elle était extrêmement belle . Cette déesse était fille d’un de ces Titans qui
rocher sur le mont Sipyle. Apollon, admis dans l’Olympe, fut le plus beau des dieux ; il excella dans tous les exercices qu
égyas, roi de Béotie ; A la constance près, en mérite complète, Plus belle que Vénus, et plus fine coquette. Apollon l’aima
ls de Thésée, à la prière de Diane, qui connaissait l’innocence de ce beau chasseur, et la perfidie de Phèdre. Hippolyte sor
ir de ma victoire en votre appui se fonde ; « Déclarez-vous pour moi, belle moitié du monde, « Honneur de l’univers, dernier
r ; Mais changeant tout-à-coup par un froid stratagème, Pan contre le beau sexe insolemment blasphème, Et s’épuise en effort
ablir dans l’Olympe, s’empressa de rappeler le dieu de la lyre et des beaux arts : il le rétablit dans toutes ses fonctions,
les jeunes habitantes de la terre. Il vit la nymphe Clymène, la plus belle des Océanides, et l’aima comme il avait aimé l’in
put cacher à sa mère la douleur qu’il ressentait de ce doute ; et la belle Clymène l’engagea à se présenter devant Apollon,
ui laisser conduire un jour entier le char de la lumière. Le dieu eut beau lui représenter les dangers auxquels il s’exposer
front, couvert de fleurs, brille de rayons doux et modérés ; avec ses belles mains, dont les doigts ont la couleur des boutons
t, et se montrant à travers une voûte de nuages d’or, offrait le plus beau spectacle que l’œil de l’homme puisse admirer. « 
terminer notre entretien sur le dieu de la lumière qu’en récitant ces beaux vers de Delille, dignes également du sujet et du
cor, verse-moi cette flamme secrète, Le plus pur de tes feux, le plus beau de tes dons ; Encore une étincelle, encor quelque
beauté que de sa vertu. La fille de Dédalion ayant osé se croire plus belle que cette déesse, elle la perça de ses flèches, e
e déesse abandonnait le ciel pour venir sur le mont Lathmos auprès du beau chasseur. Quelques uns assurent qu’Endymion dorma
nt de Philomèle « Hâter seul le réveil de mon Endymion ! « Puisse sa belle bouche être toujours nourrie « Des trésors par l’
que c’est l’opinion qu’a adoptée M.  Girodet, lorsqu’il a composé le beau tableau où nous voyons le fils d’Ethlius endormi,
s rêveries. Personne n’a mieux peint que Le Mierre les agréments d’un beau clair de lune. Mais de Diane au ciel l’astre vie
champêtre ! Éloigne tes pavots, Morphée, et laisse-moi Contempler ce bel astre aussi calme que toi ; Cette voûte des cieux
hâtons-nous de faire succéder celle de la déesse de la sagesse et des beaux arts. Cette divinité n’était point sans défauts ;
s le temple de Minerve. La déesse irritée de ce sacrilège changea les beaux cheveux de la Gorgone en horribles serpents : tou
beauté qui me rendit si vaine           « Je n’ai plus ces cheveux si beaux ,           « Dont autrefois le dieu des eaux « Se
 Fut jalouse de mes appas, « Et me rendit affreuse autant que j’étais belle . « Mais l’excès étonnant de ma difformité,       
normité de sa taille ; mais Atlas, craignant qu’on ne lui dérobât les beaux fruits de son jardin, qu’il avait mis sous la gar
qui s’élançait sur le rivage, et le tue. Le fils de Jupiter épousa la belle Andromède ; mais, vers la fin du repas, Phinée, o
ille de la gauche. Lorsque Minerve est considérée comme la déesse des beaux arts, elle perte le voile nommé peplus ; elle le
stellation de la Vierge, un des signes du zodiaque. Bacchus épousa la belle Ariane, fille de Minos, roi de Crète, après que T
son protecteur ou son maître. De même que Minerve était la déesse des beaux arts, Vulcain était le dieu des arts mécaniques,
n ; Les doigts, en s’allongeant, vont dessiner la main. Bientôt de ce beau corps la taille souple et libre Sur sa double col
Cette circonstance de la vie d’Hercule faisait le sujet d’un des plus beaux tableaux de Zeuxis. L’éducation d’Hercule fut con
tion pour courir à des exploits d’une autre espèce. Il apprend que la belle Hésione, fille de Laomédon, roi de Troie, avait é
ait les feux. Un dieu vengeur, un dieu sauva notre patrie. Revenu des beaux champs de l’antique Ibérie, Dans ces riches vallo
les troupeaux de l’illustre étranger : Quatre jeunes taureaux, quatre belles génisses, Qui des herbages frais savouraient les
re à mener sur de lointains rivages Ses troupeaux engraissés dans ces beaux pâturages, Et des taureaux par-tout les gémissant
laquelle sont déposés les jugements des coupables. Dans une des plus belles tragédies de Racine, nous voyons Phèdre, brûlant
s bocages frais, Tout dit : Voici les lieux de l’éternelle paix ! Ces beaux lieux ont leur ciel, leur soleil, leurs étoiles :
s beaux lieux ont leur ciel, leur soleil, leurs étoiles : Là, de plus belles nuits éclaircissent leurs voiles ; Là, pour favor
ac et sous le ventre, des pattes comme aux dauphins39. » Un des plus beaux spectacles du monde poétique des anciens, était A
a Mythologie sur les objets qui nous environnent. Un proverbe dit : A beau mentir qui vient de loin ; il semblerait donc que
moire : chacune d’elles préside à un genre de littérature ou à un des beaux arts, et leurs noms sont relatifs au domaine de c
ans honneur dépouillé de verdure ; « Les crins sont du cheval la plus belle parure ; « La plume orne l’oiseau ; la toison la
dois le jour au roi de ton empire humide ; « Il sera ton beau-père, ô belle Néréide ! « Vois les maux que j’endure, adoucis t
La beauté de ses traits Des Nymphes d’alentour effaçait les attraits. Belle , mais inhumaine, elle avait par la fuite Du Faune
, de loin s’écria-t-elle. » Elle trembla, pâlit, et n’en fut que plus belle . Diane la transforme, et Pan qui sous les eaux Co
 : les ormes, les peupliers, les joncs, et les cyprès qui bordent ses belles rives, sont brûlés jusqu’à leurs racines ; les po
2 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
harme à nos sens tu rappelles Les plus doux noms, les formes les plus belles  ! Tu donnes l’ame à mille êtres divers. L’Aube na
s l’air les cris du vil corbeau. Tu plais toujours, tu seras toujours beau Comme les Cieux, les Mers et la Nature. Cournand
en pour elle, Que le soin d’annoncer à la race mortelle Le retour des beaux jours et celui des frimats. Myro, cit. de Corint
s Bacchanales ou Orgies. On le représente en jeune homme parfaitement beau , assis ou sur un tonneau, ou sur un char traîné p
ttacha le sacrilège Prométhée à un rocher du Caucase. On le figure en beau jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, e
e ce bienfait, on célébrait ses fêtes par des jeux équestres. Le plus beau Temple de Neptune était celui d’Eubée. On le repr
es longs crins vagabonds Superbe, l’œil en feu, les narines fumantes, Beau d’orgueil et d’amour, il vole à ses amantes. Quan
s berce entre les bras du Vice, Et de son souffle impur, fléau de nos beaux ans, Sèche et brûle en sa fleur le germe des tale
tendre Amour36. A Justine.           Ce jour, de tes jours le plus beau ,           De myrthe t’a donc couronnée,         
enseurs intraitables           De l’Hymen et de ses douceurs. Ils ont beau répéter que des liens durables           Ont plus
      Pour inspirer un feu constant           Il ne suffit pas d’être belle ,           C’est à la Beauté qu’on se rend ;     
s de l’Italie, un mal contagieux Corrompit autrefois l’air pur de ces beaux cieux : Et dans Rome soufflant ses vapeurs homici
cile, Les jardins de Pœstum, où la rose en tout temps Fleurit sons un beau ciel, demeure du Printemps ; Côtoie et Leucosie e
assent de vos desserts un aimable jardin ; Et que l’observateur de la belle nature S’extasie en voyant des fleurs en confitur
he, Et de Mutus portait le nom. Un autre en faisait une femme. Sur le beau sexe, lui dit-on, Monsieur fait-il une épigramme 
rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus belle Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades t
es charmes ! Qu’on goûte avec transport cette faveur des Cieux ! Quel beau jour peut valoir ce rayon précieux, Qui, du moins
s il mêle un doux espoir, Et je jouis malgré la froidure cruelle, Des beaux jours qu’il promet, des beaux jours qu’il rappell
e jouis malgré la froidure cruelle, Des beaux jours qu’il promet, des beaux jours qu’il rappelle.    Le Ciel devient-il somb
tre tant de troupeaux, Il livre au fer sacré, les plus gros, les plus beaux , Fait des libations, et plein de confiance Des Mâ
consume et me dévore, Sur mes pas sèche et décolore Les fleurs de la belle saison… Si l’amour, l’amitié, la gloire, Détruisa
pomme d’or, et se déclara l’ennemie implacable des Troyens. Son plus beau Temple était à Carthage. On la représente sur un
ajesté, Paraît Junon, superbe Déité ; Mille trésors surchargent cette belle . Le diamant, dans l’or pur incrusté, Mêle ses feu
tres avec respect demeurent suspendus, Fiers d’ouvrir un passage à la belle Vénus. Le Triton recourbé, fendant l’onde écumant
, ses véritables héros sont les héros pacifiques.    On voit Pallas, belle avec dignité, Qui brille encore, avec moins d’opu
ait été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueillait des fleurs dans les belles campagnes d’Enna. A cette triste nouvelle, Cérès
e, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère ! Belle Proserpine, à tes yeux, Déjà la moisson est tombé
eule à l’enrichir forces les élémens ; Elle doit à tes soins ses plus beaux ornemens. Sans toi, ces végétaux que tu sais repr
es.    C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau , Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
or… Venance 85.    Fleurs charmantes ! par vous la nature est plus belle  ; Dans ses brillans tableaux l’art vous prend pou
. Hébé ou Juventa, Fille de Junon, et Déesse de la Jeunesse. Belle et fraîche comme le Printemps dont elle est l’ima
’elle n’osa plus présenter à boire au maître de l’Olympe, Le jeune et beau Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hébé avait
a main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on qu’au-delà du bel âge, Tu nous coûteras tant de pleurs ? On cueille
fuis pour toujours ; Déjà se fane la couronne Que je portais dans mes beaux jours… Ainsi notre gloire s’envole Et vainement d
que extrémité.     Le Paon d’abord en conçoit quelque envie : Mais le bel Arc s’efface, et mon sot l’injurie. Sa parure, di
plus Iris, et son Arc radieux :                Il est clair à présent beau Sire,                Que vous vivez d’emprunt tou
sa vieillesse. Orion, Céphale et plusieurs autres mortels, jeunes et beaux comme Titon, furent après lui l’objet de sa tendr
rangés les attèlent au char. Ovide. —  Desaintange 94.    Dans ce beau palais du Soleil Que chanta le divin Homère, Est
’a compassé le Dieu du jour, A distance égale posées, En éclairent le beau contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser
varie sur leur origine. On les fait tantôt filles de Jupiter et de la belle Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâc
mets innocens, Du lait, des fruits, des herbages naissans ! Dans ces beaux jours vantés par nos ancêtres ; L’homme étranger
orat 103. Danses Provençales.    Venez : transportons-nous dans ces belles contrées, Des rayons d’un ciel pur en tout temps
e ivresse et le même transport. Sur des bras vigoureux on soulève une belle . On s’élance, on s’élève, on retombe avec elle. P
et du vin.    Divinités des bois, des campagnes, des eaux,           Belles Nymphes aux pieds de roses, Qui, sans courber les
us à propos,             Mais que la main reste cachée107 ! A une belle Source, à qui les habitans du Plessis-Villette on
le Source, à qui les habitans du Plessis-Villette ont donné le nom de Belle et Bonne.    Toi, dont l’urne limpide arrose ce v
able une pomme d’or, sur laquelle étaient écrits ces mots : A la plus Belle . Junon, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme f
rimes si bien tournées, De vos victoires, de vos lois, Et de tant de belles journées, Vous crurent le plus vieux des rois. Al
adie.           Lachésis tournait son fuseau, Filant avec plaisir les beaux jours d’Isabelle ; J’aperçus Atropos, qui, d’une
u destin. Forcé de renoncer au doux titre de père, Du moins, dans tes beaux jours par la douleur flétris,       Tu n’auras po
Créuse. Roi d’Italie avant l’arrivée d’Enée, il fonda dans cette belle contrée la Religion et les Lois. Ce fut chez Janu
ssables feux. Un Dieu vengeur, un Dieu sauva notre patrie. Revenu des beaux champs de l’antique Ibérie, Dans ces riches vallo
e des troupeaux de l’illustre étranger Quatre jeunes taureaux, quatre belles génisses, Qui des herbages frais savouraient les
re à mener sur de lointains rivages Ses troupeaux engraissés dans ces beaux pâturages. Et des taureaux par-tout les gémissant
ureux, si j’avais pu ravir à la mémoire Cette indigne moitié d’une si belle histoire. Racine 136. Voyez Ariane . Aristé
ple infortuné Par la contagion, par la faim moissonné : Aussitôt, des beaux lieux que le Pénée arrose, Vers la source sacrée
s de sa cour Filaient d’un doigt léger des laines verdoyantes ; Leurs beaux cheveux tombaient en tresses ondoyantes. Là, sont
s revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers. On a beau l’implorer, son cœur, sourd à la plainte, Résiste
t ses talens : il fut le plus sage comme le plus spirituel et le plus beau des Bergers. Daphnis mourut à la fleur de son âge
rs de Sicile a ux Mânes de Daphnis.    Berger, qui des Dieux Le plus bel ouvrage, Montras dans ces lieux Le rare assemblag
ue prodigue au Sage La faveur des Cieux. Heureuse l’aurore Qui de tes beaux ans Vit la fleur éclore Et parer nos champs ! Mal
 ! Malheureuse celle Qui vit se flétrir Tomber et mourir Une fleur si belle  ! Depuis ce malheur, Quelles sont nos peines ! Hé
pli de grâce, On la voit s’élancer sur un coursier de Thrace, Le plus beau qu’Orithye eût encor élevé, A son fougueux époux
, à pas précipités, Ramenant au combat ses fidèles compagnes, Du plus beau sang des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de
ier, son chef-d’œuvre nouveau : Il défiait les Dieux, en le voyant si beau  ; Moi-même j’admirais et l’artiste et l’ouvrage.
har de ton père ; » Si ta chûte a suivi ton essor téméraire, » Il est beau de tomber, quand on tombe du ciel ». Ovide — Des
le étendu. Virgile. —  Delille 163. Anchise, Prince Troyen. Beau et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux
Léthé ; Tels de nombreux essaims épris des fleurs nouvelles, Dans un beau jour d’été, bourdonnent autour d’elles, Et s’eniv
val de bois comme une ruse qui serait fatale aux Troyens. Mais il eut beau s’opposer à son introduction dans la ville, les T
u Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant mort. Pâris devint si beau , que Jupiter le nomma juge du différend élevé ent
comme il fut aimé d’elle ; Pyrame jeune, aimable, et Thisbé jeune et belle …    Le soir vient : dans les mers le char trop l
dit-on, célébra ces liens.    Tous deux étaient parés de la fleur du bel âge ; Du sang de Jupiter tous deux étaient sortis
e pyramide qui portait un char de marbre attelé de quatre chevaux. Ce beau monument fut compté parmi les sept merveilles du
e, Sa blonde chevelure aux vents abandonnée, D’un nuage de pleurs ses beaux yeux obscurcis, Et demandant Thésée aux flots sou
fidèle, Garde aujourd’hui les pommes d’or. Il les garde pour la plus belle , Et barricade son trésor. J’approche, son œil éti
age échauffée Ne peut plus s’assouvir que dans le sang d’Orphée. Il a beau les prier : sa voix, sa douce voix A perdu son po
e Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les Dieux l’avaient formé si beau , qu’il était l’objet de l’amour de toutes les Nym
saintange 198. Adonis, Fils de Cynire et de Myrrha. Le plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vé
s croit voir son fils, il en a tous les charmes ! Jamais rien de plus beau ne parut sous les Cieux ; Et le vainqueur de l’In
t, quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin, c’est le soir d’un beau jour. Philémon et Baucis nous en offrent l’exempl
agesse ; Notre galant demanda la richesse. Il devint riche, et fit de beaux statuts Pour gouverner les trésors de Plutus… Le
uru, Et, comme eux, les Enfers sont sourds à ma prière J’ai vu de mes beaux jours s’éteindre le flambeau ; Et je ne puis entr
vergers, et les Faunes des bois. Chaste comme Diane, elle était aussi belle  ; Et par son carquois seul on la distinguait d’el
ians entoure son berceau : L’enfant le plus heureux est aussi le plus beau . Jossaud 209. L’amour maternel. ………………………. Ave
non plus dans soi-même ; Et se montre, aux regards d’un époux éperdu, Belle de son enfant à son sein suspendu. Oui, ce fruit
au plus à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si beaux  ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles 
à ne répéter que la dernière syllabe des mots. Echo voulut plaire au beau Narcisse. Au désespoir de le trouver insensible,
La colère l’amène à la nouvelle fête ; Mais malgré sa colère elle est belle  : sa tête Rejetant ses cheveux sur son épaule épa
d’Œchalie effaça les attraits. Apollon sans l’aimer ne put la voir si belle  ; Et depuis Andrémon fut son époux fidèle.    D’
nos bergers font un récit fidelle, Que cet arbre sacré fut jadis une belle , Qui du Dieu des jardins fuyant l’impur amour, Pe
, ces superbes tableaux, Peu dignes d’attacher, sont plus tristes que beaux .        Eh bien ! fuyez ; rentrez dans cette vill
cette Déité, charme de l’Univers, Vénus qui de Lucrèce inspirait les beaux vers. Fontanes 229. Le Tempé Français, ou la
levait ses cornes menaçantes ; La génisse à pas lents, parcourait ces beaux lieux. Je ne sais quelle joie animait tous leurs
e l’art étaler les bienfaits. Lieu charmant, trop heureux qui dans ta belle plaine, Où l’hiver indulgent attiédit son haleine
les de la Nature, Elles se baignent dans ses bras, Et l’onde est plus belle et plus pure. Bernis 232. Fontaine de l’Idali
in d’or.    Jaloux de consacrer aux siècles à venir D’un triomphe si beau l’immortel souvenir, Il établit des jeux, solenni
que l’or. Verts rameaux du laurier, vous n’étiez point encor ; Et du bel Apollon la blonde chevelure De tout arbre sans ch
s bocages frais, Tout dit : voici les lieux de l’éternelle paix ! Ces beaux lieux ont leur ciel, leur soleil, leurs étoiles ;
out notre bonheur. Bruneau 242. Elysée p hilosophique.    Si ces beaux lieux sont destinés aux Sages, Pourquoi chercher
ante le Printemps : Tristes jouets de la Parque et du Temps, Nos plus beaux jours s’écoulent comme l’onde ; Et l’avenir, tel
s mains sèment les fruits, la verdure et les fleurs : Les rayons d’un beau jour naissent de ton sourire ; De ton souffle lég
t des pleurs l’intéressant langage, Et sa compagne enfin fut ton plus bel ouvrage. Pour elle tu choisis les trésors les plu
eux restent ouverts pour épier le jour. A peine de Tithon la jeune et belle amante Mêle à l’azur des cieux sa pourpre étincel
hemin. Elle cherche, elle attend : son ame impatiente Se fait d’un si beau jour une image charmante. L’Orient tout-à-coup s’
larmes ; » Il me l’a bien promis, il reviendra demain ». De ses plus beaux habits se parant à dessein, Elle sème de fleurs l
ochers d’une plage inconnue, Qu’un monde obscur, sans printemps, sans beaux jours, Et que des yeux éclipsés pour toujours. G
nos vers. O Mort ! puis-je te craindre, alors que de moi-même La plus belle moitié reste dans l’Univers ? Ovide. ― Le Bailli
dre Nisus,    Tous grands Héros, tous amis véritables : Ces noms sont beaux  ; mais ils sont dans les Fables. Voltaire 261.
de la Paresse. On l’appelait aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux Arts. Elle était représentée dans une contenance
Liberté et les Mœurs.    Dans une ville, (on n’en dit pas le nom) Un beau matin, deux étrangers parurent :             Aupr
      La Liberté venue hors de saison,          Ne serait plus qu’une belle chimère… Que dis-je ? Elle serait une drogue, un
ce ; Prêchez l’ordre, la paix, vertus de l’âge d’or, L’humanité, plus belle et plus touchante encor ; Prêchez sur-tout aux lo
eillesse    Oui, je sais qu’il est doux de voir dans ses jardins, Ces beaux fruits incarnats et de Perse et d’Epire, De savou
ancour 271. Peste des animaux.    Timave, Noricie, ô lieux jadis si beaux  ! Empire des Bergers, délices des troupeaux, C’es
 A vingt ans vouloir être sage !              Ami, le projet est fort beau . Mais, hélas ! je n’ai point ta force et ton cour
eu lui-même, Et d’un feu créateur échauffe les Mortels. Hélas ! de ce beau feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’
es, les saphyrs ; Et sa riche chevelure Est le jouet des Zéphyrs : Ce beau feu qui l’environne Tient de sa vivacité ; Et tou
lâtrant, habitent autour d’elle ; Les Calembourgs, fils bâtards de la Belle , Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeune
cherche en vain le fleuve de Jouvence : Pour remonter le cours de ses beaux ans, La Gaîté seule aux outrages du Temps, De ses
e était au tempéré ; On ne fait pas un portrait de caprice : Dans ces beaux jours de paix et d’équité, Les passions et les va
ans les suivre, entourent l’Immortelle ;        Elle portait ses plus beaux ornemens.        En un clin d’œil on dépouille la
tait ses plus beaux ornemens.        En un clin d’œil on dépouille la Belle ,        On lui ravit jusqu’à ses vêtemens.       
ée en pleurs ! Le couteau saint caché sous l’habit des Ministres ! La belle Iphigénie, à ces apprêts sinistres, Muette, se pr
e ! Quels lieux sont préférés aux lieux de la naissance ! Je vante ce beau Ciel, ce jour brillant et pur Qui répand dans les
de larmes, Le couvre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces beaux champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le fl
vre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces beaux champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le fleuve qu’il fenda
pour un instant, retrouva sa Patrie. Delille 290.    J’ai revu les beaux lieux qui m’ont donné le jour. O champs de la Lim
ance ! Souvent je m’écriais : Témoins de ma naissance, Témoins de mes beaux jours, de mes premiers desirs, Beaux lieux ! qu’a
de ma naissance, Témoins de mes beaux jours, de mes premiers desirs, Beaux lieux ! qu’avez-vous fait de mes premiers plaisir
cription pour une fontaine. 108. [Table des matières] Prélong. A une belle source. 109. [Table des matières] L’abbé Roman,
3 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
ce qu’on admiroit le plus dans cette ville immense étoit le temple de Bel , dans le centre duquel s’élevoient huit tours bât
r, lorsque Persée traversant les airs sur le cheval Pégase, vit cette belle Princesse prête à devenir la proie du monstre ; à
ses ceps de vignes sur des voitures et alla dans l’Attique porter ces beaux et dangereux présens. Il offrit de son vin à plus
ieux artiste de la Grèce. Il étoit sculpteur et mécanicien, il fit de belles statues, il inventa plusieurs instrumens utiles d
ia en Sicile chez le roi Cocalus qui lui fit faire un grand nombre de beaux ouvrages. Quelque temps après Minos aborda en Sic
ui aimoit cette princesse, se tua sur son tombeau. Eschyle a fait une belle tragédie sur ce sujet. Dans cette pièce, Etéocle
rris pour l’habiter et la défendre un jour au besoin ». On trouve ces belles sentences dans l’Œdipe de Sophocle : « Le temps
toujours l’innocence ». « La prudence et ta modération sont les plus beaux présens que les Dieux puissent faire aux hommes »
Péripnoüs qui vouloient lui faire violence. Hercule eut pour mère la belle Alcmène fille d’Electrion8. Alcmène épousa Amphit
igands entre autres d’Albion, du voleur Cacus, etc. L’une de ses plus belles actions fut d’abolir dans les Gaules les sacrific
agne. Hercule, auquel on peut reprocher tant de cruautés mêlées à ses belles actions, eut aussi de grandes foiblesses : il aim
erre de Troie. La mort d’Hercule forme le sujet des Trachiniennes 12, belle tragédie de Sophocle. Dans cette pièce, Hercule a
tragédie de Sophocle, qui a fourni à l’ auteur de Télémaque les plus beaux traits de l’épisode le plus touchant de son poëme
eux comme tous les personnages de la fable, perdit sa jeune épouse la belle Euridice le jour de ses noces. Il descendit aux e
gue chevelure flottant sur ses épaules, parut à toute l’assemblée, si beau et si majestueux, qu’on le prit pour le Dieu Mars
ient avec Jason au nombre des Argonautes. Ces jeunes héros avoient de beaux visages, une longue chevelure, les épaules couver
ent célèbres. Un autre Achille, fils de Jupiter et de Lamie, étoit si beau , qu’il remporta le prix de la beauté sur Vénus mê
s Troyens, attaqua Hector et fut tué par ce Prince qui lui enleva ses belles armes. Ménélas et Ajax combattirent long-temps en
Thétis, elle lui promit de nouvelles armes faites par Vulcain et plus belles encore que les premières, elle lui défendit de co
e qu’ Homère en devint aveugle. Cette fiction est si ingénieuse et si belle , qu’il est étonnant qu’elle n’ait jamais été retr
rable grouppe, chef-d’œuvre de la sculpture antique, et l’un des plus beaux ornemens du Musée impérial. Déiphobe fut, après H
ue lui offroit Minerve, et séduit par l’espérance de posséder la plus belle femme de l’univers, il donna la pomme à Vénus. Il
Tyndare,) sœur de Clytemnestre et de Castor et Pollux. Elle étoit si belle qu’à l’âge de dix ans elle inspira une grande pas
Troie, Agamemnon eut une violente dispute avec Achille au sujet d’une belle esclave appelée Briséis qu’il lui avoit enlevée e
e commun avec celles des pièces modernes sur le même sujet. Voici une belle sentence de cette tragédie ; « Le vice offre un
pas vengé sa mort ; mais dans l’Ajax furieux, de Sophocle, il joue un beau rôle par le courage qu’il oppose à la haine des A
eulent l’empêcher d’ensevelir Ajax. Les anciens qui ont inventé de si belles allégories, n’ont pris aucun soin de concilier le
retirez promptement cet enfant . Il semble que La Mothe ait imité ce beau mouvement dans sa tragédie d’Inès de Castro, lors
ment en nageant, dans l’île des Phéaciens. Il trouva sur le rivage la belle Nausicaa, fille du Roi Alcinoüs et d’Areté, qui v
icaa, fille du Roi Alcinoüs et d’Areté, qui venoit de laver ses plus belles robes , et qui, tandis que ces vêtemens séchoient
 ; enfin, son séjour dans l’île d’Ogygie où il passa sept ans avec la belle Calypso. Ce récit d’Ulysse remplit d’admiration t
nsi que la fable nous représente la chaste et fidelle Pénélope, et la belle Andromaque, qui, (dit Homère), formoit le double
Nausicaa sa fille allant au fleuve pour y laver, elle-même, ses plus belles robes, etc. Aussi, lorsqu’ Ovide veut peindre une
erie la plus révoltante, elle déclare sa passion, et quoiqu’elle soit belle , elle n’inspire que du mépris et de l’horreur. D’
it passer pour arriver à celui de l’honneur ; idée aussi juste, aussi belle , qu’elle est morale. Métastase, dans l’opéra de
ol contento sento per te39. On trouve dans la Jérusalem délivrée une belle peinture allégorique de la Vertu, mais le poëte l
poëte l’a peint sous des traits trop austères, car la Vertu est plus belle encore qu’elle n’est sévère. L’Amitié.
dédaigna d’animer, Il manque à votre ame sauvage Des humains le plus beau partage, Vous n’avez pas le don d’aimer. L’Es
ans Rome pour y établir à jamais sa demeure. Tout le monde connoît la belle ode à la Fortune, de J. B. Rousseau. Sous le règn
ocite, dont elle tire son affreux venin ; elle ne laisse voir que son beau visage. L’Envie. Elle a les yeux égarés, l
rance et la Méfiance, de l’autre côté venoit la Calomnie. C’étoit une belle femme qui paroissoit irritée, elle tenoit de sa m
rles, les saphirs, Et sa riche chevelure Est le jouet des zéphirs, Ce beau feu qui l’environne Tient de sa vivacité, Et tout
eds de loup et un voile noir sur sa tête. Tout le monde connoît cette belle maxime de La Rochefoucault : « L’hypocrisie est
recevant une couronne d’olivier. Dryden, a fait sur une Trève cette belle et frappante comparaison : Thus, when black clou
implicité, le calme et la tranquilité de la Vertu formeroient le plus beau contraste avec l’enthousiasme et le mouvement pas
e, la même que Saturne. (Voyez le premier volume). Lemière a fait un beau vers sur le Temps, il a dit : On se plaint que l
i, Il faut qu’il pèse ou qu’il échappe. M.  Thomas nous a laissé une belle Ode sur le Temps. Le Temps enlevant d’une main la
tenant un scèptre, des balances et des clefs. L’Harmonie. Une belle femme couronnée de pierreries, assise sur un trôn
3. La plus grande somptuosité des femmes de ce temps étoit d’avoir de beaux coffres. 34. En bouchant les oreilles de ses co
gesse et la gloire chez Calypso et chez Circé. 35. Dans une des plus belles provinces de France, en Bourgogne, (et aussi en A
les supplices. 51. Il est impossible de traduire littérallement ces beaux vers, et d’en rendre en français les expressions
4 (1800) Cours de mythologie pp. -360
harme à nos sens tu rappelles Les plus doux noms, les formes les plus belles  ! Tu donnes l’ame à mille êtres divers. L’Aube na
s l’air les cris du vil Corbeau. Tu plais toujours, tu seras toujours beau Comme les Cieux, les Mers et la Nature. Cournand
en pour elle, Que le soin d’annoncer à la race mortelle Le retour des beaux jours et celui des frimats. Myro, cit. de Corint
s Bacchanales ou Orgies. On le représente en jeune homme parfaitement beau , assis ou sur un tonneau, ou sur un char traîné p
ttacha le sacrilège Prométhée à un rocher du Caucase. On le figure en beau jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, e
e ce bienfait, on célébroit ses fêtes par des jeux équestres. Le plus beau Temple de Neptune étoit celui d’Eubée. On le repr
s berce entre les bras du Vice, Et de son souffle impur, fléau de nos beaux ans, Sèche et brûle en sa fleur le germe des tale
Amour36. A Justine.                 Ce jour, de tes jours le plus beau ,                 De myrthe t’a donc couronnée,   
s intraitables                 De l’Hymen et de ses douceurs. Ils ont beau répéter que des liens durables                 On
Pour inspirer un feu constant                 Il ne suffit pas d’être belle ,                 C’est à la Beauté qu’on se rend 
he, Et de Mutus portoit le nom. Un autre en faisoit une femme. Sur le beau sexe, lui dit-on, Monsieur fait-il une épigramme 
rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers Et vient offrir à la plus belle Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades t
ureux Enfant, attache ce présage :             Comme l’Amour tu seras beau ,             Et plus que lui tu seras sage61.
tre tant de troupeaux, Il livre au fer sacré, les plus gros, les plus beaux , Fait des libations, et plein de confiance Des Mâ
consume et me dévore, Sur mes pas sèche et décolore Les fleurs de la belle saison… Si l’amour, l’amitié, la gloire, Détruisa
pomme d’or, et se déclara l’ennemie implacable des Troyens. Son plus beau Temple étoit à Carthage. On la représente sur un
ajesté, Paroît Junon, superbe Déité ; Mille trésors surchargent cette Belle . Le diamant, dans l’or pur incrusté, Mêle ses feu
tres avec respect demeurent suspendus, Fiers d’ouvrir un passage à la belle Vénus. Le Triton recourbé, fendant l’onde écumant
nommée Athènes du nom grec de la savante Déesse.     On voit Pallas, belle avec dignité, Qui brille encore, avec moins d’opu
oit été enlevée par Pluton, lorsqu’elle cueilloit des fleurs dans les belles campagnes d’Enna. A cette triste nouvelle, Cérès
e, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère ! Belle Proserpine, à tes yeux, Déjà la moisson est tombé
eule à l’enrichir forces les élémens ; Elle doit à tes soins ses plus beaux ornemens. Sans toi, ces végétaux que tu sais repr
estes. C’est Thémis ; oui, c’est elle-meme : Orné de l’éclat le plus beau , Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
Hébé ou Juventa, Fille de Junon, et Déesse de la Jeunesse. Belle et fraîche comme le Printemps dont elle est l’ima
’elle n’osa plus présenter à boire au Maître de l’Olympe, Le jeune et beau Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hébé avoit
a main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on qu’au delà du bel âge, Tu nous coûteras tant de pleurs ? On cueill
fuis pour toujours ; Déjà se fane la couronne Que je portois dans mes beaux jours… Ainsi notre gloire s’envole Et vainement d
que extrémité.     Le Paon d’abord en conçoit quelque envie : Mais le bel Arc s’efface, et mon sot l’injurie. Sa parure, d
lus Iris, et son Arc radieux :                Il est clair à présent, beau Sire,                Que vous vivez d’emprunt tou
sa vieillesse. Orion, Céphale et plusieurs autres mortels, jeunes et beaux comme Titon, furent après lui l’objet de sa tendr
re rangés les attèlent au char. Ovide.— Saint-Ange 92.     Dans ce beau palais du Soleil Que chanta le divin Homère, Est
’a compassé le Dieu du jour, A distance égale posées, En éclairent le beau contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser
varie sur leur origine. On les fait tantôt filles de Jupiter et de la belle Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâc
mets innocens, Du lait, des fruits, des herbages naissans ! Dans ces beaux jours vantés par nos ancêtres ; L’homme étranger
rat 101. Danses Provençales.     Venez : transportons-nous dans ces belles contrées, Des rayons d’un ciel pur en tout temps
e ivresse et le même transport. Sur des bras vigoureux on soulève une belle . On s’élance, on s’élève, on retombe avec elle. P
vin.     Divinités des bois, des campagnes, des eaux,                 Belles Nymphes aux pieds de roses, Qui, sans courber les
dus à propos,             Mais que la main reste cachée105 ! A une belle Source, à qui les habitans du Piessis-Villette on
le Source, à qui les habitans du Piessis-Villette ont donné le nom de Belle et Bonne.     Toi, dont l’urne limpide arrose ce
ble une pomme d’or, sur laquelle étoient écrits ces mots : A la plus belle . Junon, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme
rimes si bien tournées, De vos victoires, de vos lois, Et de tant de belles journées, Vous crurent le plus vieux des Rois. Al
adie.           Lachésis tournoit son fuseau, Filant avec plaisir les beaux jours d’Isabelle ; J’apperçus Atropos, qui, d’une
u destin. Forcé de renoncer au doux titre de père, Du moins, dans tes beaux jours par la douleur flétris,           Tu n’aura
Créuse. Roi d’Italie avant l’arrivée d’Enée, il fonda dans cette belle contrée la Religion et les Lois. Ce fut chez Janu
ureux, si j’avois pu ravir à la mémoire Cette indigne moitié d’une si belle histoire. Racine 132. Voyez Ariane. Arist
e infortuné Par la contagion, par la faim moissonné : Aussi-tôt, des beaux lieux que le Pénée arrose, Vers la source sacrée
s de sa cour Filoient d’un doigt léger des laines verdoyantes ; Leurs beaux cheveux tomboient en tresses Ondoyantes. Là, sont
s revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers. On a beau l’implorer, son cœur, sourd à la plainte, Résiste
t ses talens : il fut le plus sage comme le plus spirituel et le plus beau des Bergers. Daphnis mourut à la fleur de son âge
de Sicile, Aux Mânes de Daphnis.     Berger, qui des Dieux Le plus bel ouvrage, Montras dans ces lieux Le rare assemblag
ue prodigue au Sage La faveur des Cieux. Heureuse l’aurore Qui de tes beaux ans Vit la fleur éclore Et parer nos champs ! Mal
 ! Malheureuse celle Qui vit se flétrir Tomber et mourir Une fleur si belle  ! Depuis ce malheur, Quelles sont nos peines ! Hé
li de grâce, On la voit s’élancer sur fin coursier de Thrace, Le plus beau qu’Orithye eût encor élevé, A son fougueux époux
à pas précipités, Ramenant au combat ses fidelles compagnes, Du plus beau sang des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de
ier, son chef-d’œuvre nouveau : Il défioit les Dieux, en le voyant si beau  ; Moi-même j’admirois et l’artiste et l’ouvrage.
son père. Si sa chûte a suivi son essor téméraire,            Il est beau de tomber du Ciel. Ovide.— Saint-Ange 156. D
ts redoublés, redoubleront sa honte,               Et le triomphe des beaux arts. Les vents impétueux, par d’éternels ravag
onfondu. Virgile. —  D. L. C. 163 Anchise, Prince Troyen. Beau et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux
Léthé ; Tels de nombreux essaims épris des fleurs nouvelles, Dans un beau jour d’été, bourdonnent autour d’elles, Et s’eniv
val de bois comme une ruse qui seroit fatale aux Troyens. Mais il eut beau s’opposer à son introduction dans la ville, les T
u Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant mort. Pâris devint si beau , que Jupiter le nomma juge du différend élevé ent
me il fut aimé d’elle ; Il étoit jeune, aimable ; elle étoit jeune et belle … Le jour trop long pour eux, coule trop lentement
t-on, célébra ces liens.,     Tous deux étoient parés de la fleur du bel âge ; Du sang de Jupiter tous deux étoient sortis
e pyramide qui portoit un char de marbre attelé de quatre chevaux. Ce beau moent fut compté parmi les sept merveilles du Mon
e, Sa blonde chevelure aux vents abandonnée, D’un nuage de pleurs ses beaux yeux obscurcis, Et demandant Thésée aux flots sou
fidelle, Garde aujourd’hui les Pommes d’or. Il les garde pour la plus belle , Et barricade son trésor. J’approche, son œil éti
, Et le triste oiseau sur le champ Mourut, dit-on, de jalousie, Non, beau Cygne, c’est trop mentir Il n’avoit pas tant de f
e Céphise, et de la Nymphe Lyriope. Les Dieux l’avoient formé si beau , qu’il étoit l’objet de l’amour de toutes les Nym
int-Ange 203. Adonis, Fils de Cynire et de Myrrha. Le plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vé
s croit voir son fils, il en a tous les charmes ! Jamais rien de plus beau ne parut sous les Cieux ; Et le vainqueur de l’In
t, quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin, c’est le soir d’un beau jour. Philémon et Baucis nous en offrent l’exempl
agesse ; Notre galant demanda la Richesse. Il devint riche, et fit de beaux Statuts Pour gouverner les trésors de Plutus… Le
, de la mer dont le calme infidelle Sembloit aux matelots présager un beau jour, Du malheureux Céyx, qu’envain sa voix rappe
vergers, et les Faunes des bois. Chaste comme Diane, elle étoit aussi belle , Et son arc servoit seul à la distinguer d’elle.
iras entoure son berceau : L’enfant le plus heureux est aussi le plus beau . Jossaud 216. à ma Femme, le jour de sa fête.
s, Dans leurs époux embrassoient des amans ! L’on rit de tout, et les beaux sentimens Sont devenus des sujets d’épigrammes.
au plus à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si beaux  ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles 
à ne répéter que la dernière syllabe des mots. Echo voulut plaire au beau Narcisse. Au désespoir de le trouver insensible,
mée, occuper les cent voix.                 Pour elle, désertant les beaux vallons du Tmole, Pour elle, désertant les rives
Niobé, superbement parée, Au milieu de sa cour, s’avance avec fierté, Belle à travers les traits d’un orgueil irrité. Ses che
halie effaçoit les attraits, Apollon, sans l’aimer, ne put la voir si belle , Et depuis, Andemon fut son époux fidelle.     D
, ces superbes tableaux, Peu dignes d’attacher, sont plus tristes que beaux .         Eh bien ! fuyez ; rentrez dans cette vil
cette Déité, charme de l’Univers, Vénus qui de Lucrèce inspiroit les beaux vers. Fontanes 241. Le Tempé François, ou la
levoit ses cornes menaçantes ; La genisse à pas lents, parcouroit ces beaux lieux. Je ne sais quelle joie animoit tous leurs
les de la Nature, Elles se baignent dans ses bras, Et l’onde est plus belle et plus pure. Bernis 243. Fontaine de l’Idalie
out notre bonheur. Bruneau 255. Elysée Philosophique.     Si ces beaux lieux sont destinés aux Sages, Pourquoi chercher
ante le Printemps : Tristes jouets de la Parque et du Temps, Nos plus beaux jours s’écoulent comme l’onde ; Et l’avenir, tel
t des pleurs l’intéressant langage, Et sa compagne enfin fut ton plus bel ouvrage. Pour elle tu choisis les trésors les plu
nfers, tous les fléaux des Cieux, En un vaste cercueil ont changé ces beaux lieux. René. — Richard-Castel 259. Paix, F
ochers d’une plage inconnue, Qu’un monde obscur, sans Printemps, sans beaux jours, Et que des yeux éclipsés pour toujours. G
nos vers. O Mort ! puis-je te craindre, alors que de moi-même La plus belle moitié reste dans l’Univers ? Ovide. ― Le Bailli
tendre Nisus, Tous grands Héros, tous amis véritables : Ces noms sont beaux  ; mais ils sont dans les Fables* Voltaire 274.
de la Paresse. On l’appeloit aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux Arts. Elle étoit représentée dans une contenance
rs .             Dans une ville, (on n’en dit pas le nom)         Un beau matin, deux étrangers parurent :                A
       La Liberté venue hors de saison,         Ne seroit plus qu’une belle chimère… Que dis-je ? Elle seroit une drogue, un
ce ; Prêchez l’ordre, la paix, vertus de l’âge d’or, L’humanité, plus belle et plus touchante encor ; Prêchez sur-tout aux lo
283.     Oui, je sais qu’il est doux de voir dans ses jardins, Ces beaux fruits incarnats et de Perse et d’Epire, De savou
s. Villemain Dabancour 286.     Timave, Noricie, ô lieux jadis si beaux  ! Empire des Bergers, délices des troupeaux, C’es
eu lui-même, Et d’un feu créateur échauffe les Mortels. Hélas ! de ce beau feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’
es, les saphyrs ; Et sa riche chevelure Est le jouet des Zéphyrs : Ce beau feu qui l’environne Tient de sa vivacité ; Et tou
lâtrant, habitent autour d’elle ; Les Calembourgs, fils bâtards de la Belle , Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeun
cherche envain le fleuve de Jouvence : Pour remonter le cours de ses beaux ans, La Gaîté seule aux outrages du Temps, De ses
e étoit au tempéré ; On ne fait pas un portrait de caprice : Dans ces beaux jours de paix et d’équité, Les passions et les va
sans les suivre, entourent l’Immortelle ;       Elle portoit ses plus beaux ornemens.       En un clin d’œil on dépouille la
rtoit ses plus beaux ornemens.       En un clin d’œil on dépouille la Belle ,       On lui ravit jusqu’à ses vêtemens.       J
ée en pleurs ! Le couteau saint caché sous l’habit des Ministres ! La belle Iphigénie, à ces apprêts sinistres, Muette, se pr
e ! Quels lieux sont préférés aux lieux de la naissance ! Je vante ce beau Ciel, ce jour brillant et pur Qui répand dans les
de larmes, Le couvre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces beaux champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le fl
vre de baisers. Mille objets pleins de charmes ; Ces beaux champs, ce beau Ciel qui le virent heureux, Le fleuve qu’il fendo
e. Métamorphoses. liv. II. 93. [Table des matières] Anonyme. Dans ce beau palais du Soleil. 94. [Table des matières] Berni
cription pour une Fontaine. 106. [Table des matières] Prélong. A une belle source. 107. [Table des matières] Roman, d’Avign
5 (1866) Dictionnaire de mythologie
la mythologie n’est pas morte. Elle vit jeune et souriante comme aux beaux jours de Phidias et d’ Homère, de Ronsard et de C
u ingénieux, est un profane, une intelligence fermée à la lumière des belles œuvres. Non-seulement il doit renoncer à comprend
eligion, quel triomphe pour moi ! C’était le pur polythéisme des plus beaux temps de la Grèce et de Rome. Ils croyaient au Pa
dieux immortels et attestaient Jupiter très-bon, très-grand. Oh ! les beaux jours que j’ai passés parmi ces dignes païens ! E
t il ouvrit une grande armoire à compartiments. Dans chacun était une belle paire d’ailes avec une inscription. Je lus : Aile
ines de toiles d’araignées. Je vis le rocher de Sisyphe surmonté d’un beau chien à trois têtes, qui n’aboya pas à ma vue, pa
a réponse. De retour chez moi, je dressai de mémoire un catalogue des belles choses que j’avais vues ; et, afin d’imiter nos c
, mais j’oserais affirmer que nous sommes plus propres. Adonis. Beau jeune homme, aimé de Vénus, tué par un sanglier.
rre se gonfle d’amour sous les caresses du printemps. Ces images sont belles , et les inventeurs de ce culte étaient de grands
cherche de son Thésée. (Genre roman-feuilleton et faits divers.) — Le beau tambour partait laissant une demi-douzaine d’Aria
harmant désespoir de cette Ariane plaintive, ses grâces éplorées, ses belles larmes, me donnaient la tentation de devenir son
lui-même paraît, avec raison, sensible à ce manque d’égards. On aura beau objecter que presque tous les enlèvements finisse
rit, que s’il a couleur romaine. Ils jouent sur leur grand théâtre de belles tragédies romaines, où Brutus, Pompée, César, et
t. Je m’y suis admiré, moi Cicéron, tonnant contre Catilina. Oh ! les beaux gestes que je faisais ! Il me semble, mon cher Tr
de nos princes fait construire à grands frais une maison romaine fort belle et fort incommode. Aussitôt la foule d’admirer. L
res chrétiens, vous vous croirez sur la voie Appienne. Vous verrez de beaux cénotaphes, de beaux mausolées, surmontés de bell
ous croirez sur la voie Appienne. Vous verrez de beaux cénotaphes, de beaux mausolées, surmontés de belles grandes urnes. — “
ne. Vous verrez de beaux cénotaphes, de beaux mausolées, surmontés de belles grandes urnes. — “Des urnes ! interrompis-je, à q
it des vipères sifflantes sur la tête et sur tout le corps. Enfin une belle queue de dragon compléta sa métamorphose. Ainsi f
qui m’inspire cette triste réflexion. Car à Douai, la mère-patrie des belles cavalcades, je l’ai vue, la blonde déesse, portée
er, elle brandit sa lance, elle se démène comme une possédée. Le plus beau du miracle, c’est qu’en un instant elle est deven
ouvement l’harmonie sociale. Remontez maintenant à la source de cette belle filiation : — L’Amour naît de l’Abondance, l’Abon
amoclès accepte. Aussitôt le maître fait installer notre homme sur un beau lit d’or, chargé de somptueux coussins et tendu d
evant la table, une troupe de jeunes esclaves, choisis parmi les plus beaux , ont l’ordre de se tenir debout, prêts à le servi
tête de l’heureux convive. Dès lors, il n’a plus de regards pour les beaux esclaves, pour le fin travail de l’argenterie ; s
auprès du roi Minos, qui lui fit un accueil empressé. Là il éleva une belle prison pour enfermer le Minotaure, issu de Pasiph
aussi difficile, je penche à croire que l’Athénien, soit regret de sa belle patrie, soit inquiétude naturelle de caractère, n
erdit pas son temps à se plaindre ; il songea à s’évader. Il fit deux belles paires d’ailes, mécanisme ingénieux de rames aér
’Amour a éternué à ta naissance ? » Je demande pardon aux amis de la belle littérature de cette traduction. Chez nous, l’éte
Soldats, le destin ne veut pas que nous combattions ici. Nous aurions beau faire, avec tout notre courage, nous ne gagnerion
les imaginations des hommes qui ont conservé pieusement le nom de la belle confidente du grave Numa. Aujourd’hui nous nous e
une autre origine ; elle vient de l’imagination des voyageurs. — « A beau mentir qui vient de loin, » dit le proverbe ; mai
e. …………………………………… Tout est petit, palais, usines, Sciences, commerce, beaux arts, De bonnes petites famines Désolent de petit
quelque temps silencieux et comme en extase Quand il revint à lui : «  Belle œuvre, dit-il, et grand travail ! Mais il lui man
à ces initiés qu’elles se révèlent. Dans les nuits du printemps, les belles danseuses, glissant sur la prairie éclairée des r
mble à Virgile et Dorat à Catulle. Les aînées sont nues, c’est-à-dire belles de leur immortelle beauté : ce sont celles-là qu’
ériodes de cinq ans ? — Parce que c’était l’usage chez les Romains. —  Belle raison ! C’était aussi leur usage de compter par
es œuvres d’autrui. Non content de critiquer les hommes, il mordait à belles dents les dieux ses confrères. Un jour, Neptune,
œur au lieu de l’effleurer. Nous n’avons guère jusqu’à présent que de beaux discoureurs. Il viendra quelqu’un qui rendra le p
province, à qui nous devons l’heureux terme de décentralisation, ont beau comparer à Sapho la muse qui pond tous les mois d
elquefois les maudissent. Ainsi vont se transformant d’âge en âge ces belles conceptions de l’esprit grec, immortelles comme l
ncluons par analogie du petit au faible et du grand au fort, comme du beau au bien et du laid au mal. Nous disons une âme pe
la folie des femmes !). C’était la pauvre Écho. Rebutée par le jeune beau , elle se dessécha au point qu’il ne resta d’elle
iers passent pour plus ridicules, je ne sais pourquoi. On les appelle beaux Narcisses, on les crible de traits qu’ils ne sent
e jeta sur la table une pomme d’or avec cette inscription : A la plus belle  ! comment Minerve, Junon et Vénus se disputèrent
ndeurs, il n’oublia pas la terre, sa patrie. Ne voulant pas qu’une si belle demeure restât inhabitée, il déroba au ciel le pr
t Pandore, c’est-à-dire la Bien Douée. Jupiter lui donna pour dot une belle boîte d’or qu’elle s’en fut offrir à Prométhée ;
nt et gagnent un sens chaque jour plus étendu. C’est le propre de ces belles conceptions du génie grec d’alimenter, sans s’épu
de le porter. Sirènes. Ce sont les filles de marbre de l’Océan. Belles comme Vénus jusqu’à la ceinture, elles cachaient
. Ulysse l’avisé avait entrevu le ventre écailleux du monstre sous la belle poitrine de la nymphe ; aussi le Grec, qui connai
ouverait personne à dévorer, et que nos interprètes de rébus auraient beau jeu avec lui. Mais on était alors à l’enfance du
rs charmants, et entre autres celui-ci tant cité : Ni la grâce, plus belle encor que la beauté. (Voir Œuvres diverses.) AR
corps qui la font surtout ressortir. Je ne connais pas de théorie du beau qui vaille cette allégorie charmante. MÉGÈRE. — V
nt la chasse jusqu’aux îles Strophades, où elles firent plus tard une belle peur au pieux Énée. 6. Proudhon. La Guerre et l
6 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ablier indique la mesure du temps, et les ailes sa rapidité. Voici le beau portrait que le poëte Rousseau nous en a laissé :
r ce mélange adultère D’adversités, dont l’influence altère. Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
r leur main Touts les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mériter le beau nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
tides ? R. Les Prœtides, filles de Prœtus, roi d’Argos, étoient fort belles . Elles eurent la hardiesse de comparer leur beaut
e, qu’elle n’osa plus y reparoître. Jupiter mit à la place d’Hébé, le beau Ganymède, fils de Tros, qu’il fit enlever par un
e, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa mère ! Belle Proserpine, à tes yeux Déjà la moisson est tombée
us de Scylla et de Charybde ? R. Scylla, fille de Phorcys, étoit une belle nymphe qui fut aimée de Glaucus. Mais Circé, par
a Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles :                  On a beau la prier, La cruelle qu’elle est, se bouche les o
ce larcin. Mercure, craignant qu’il ne le décelât, lui donna la plus belle des vaches qu’il avoit prises. Battus promit le s
décideroient en faveur de la divinité qui produiroit la chose la plus belle et la plus utile. Neptune frappa la terre de son
us utile. Neptune frappa la terre de son trident, et en fit sortir un beau cheval. Minerve, d’un coup de lance, fit naître l
onduisirent avec pompe dans le ciel. Touts les dieux la trouvèrent si belle , que chacun d’eux voulut l’épouser. Jupiter accor
e les géants. Ainsi, le plus laid des dieux devint l’époux de la plus belle des déesses. Vénus, mécontente d’un tel choix, eu
vengeance que Vénus tira de Psyché. R. Psyché étoit une princesse si belle , qu’elle fut aimée de l’Amour même. Ce dieu la fi
ceinture à Junon, et la fière épouse du maître des dieux, parut plus belle aux yeux de Jupiter. Homère nous a laissé une mag
t aussi des temples à Cythère, à Gnide, etc. Tout le monde connoît la belle description du temple de l’Amour, qui commence le
n est-il représenté ? R. Apollon est représenté sous les traits d’un beau jeune homme avec des cheveux blonds, un carquois
rappelle, Descend du ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus belle Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades t
vide soc empiétoit sur mon bien,               Crie aussitôt comme un beau diable : Alte-là, mon voisin, voisin insatiable,
syllabes de tout ce qu’elle entendroit dire. Echo devint amoureuse du beau Narcisse, fils de la nymphe Lyriope et du fleuve
enchant. C’est Thémis, oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau , Son front porte ce diadème Que Tireur prend pour
roit. Alors deux femmes de grande stature lui apparurent. L’une, fort belle , étoit la Vertu : elle avoit un visage majestueux
ple infortuné Par la contagion, par la faim moissonné : Aussitôt, des beaux lieux que le Pénée 8 arrose, Vers la source sacré
s de sa cour Filoient d’un doigt léger des laines verdoyantes ; Leurs beaux cheveux tomboient en tresses ondoyantes. Là, sont
s revers. Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers : On a beau l’implorer ; son cœur sourd à la plainte, Résiste
tend qu’il leur apprit l’art de l’écriture. Tout le monde connoît ces beaux vers de Brébœuf sur Cadmus. C’est de lui que nou
meux sculpteur. Il fit une statue de Vénus en ivoire, et la trouva si belle , qu’il pria la déesse d’animer cet ouvrage de son
u plus à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talents si beaux  ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles 
e. D. Quelle princesse Ménélas prit-il pour épouse ? R. Il épousa la belle Hélène, sœur de Clytemnestre, et succéda à son be
ez dompter. Et, déjà d’llion présageant la conquête, D’un triomphe si beau je préparois la fête. Je ne m’attendois pas que,
appréhendant la peine, Au sein de ce grand roi, digne d’un sort plus beau , Inspira Clytemnestre à porter le couteau, Prétex
are, qu’as-tu fait ? avec quelle furie As-tu tranché le coup d’une si belle vie ? Avez-vous pu, cruels, l’immoler aujourd’hui
fils d’Esculape, guérirent Philoctète de sa blessure. D. Récitez les beaux vers de La Harpe sur les malheurs de Philoctète.
grecs par leur courage. L’amour qu’il avoit pour sa jeune épouse, la belle Pénélope, lui fit chercher plusieurs moyens pour
appelé l’Odyssée. Il avoit fait auparavant un autre poëme encore plus beau , dans lequel il a célébré la colère d’Achille, si
le de ses armes. Mais puisque, condamnés à lui donner des larmes, Ses beaux jours par le ciel nous furent enviés, (Ulysse ess
illon le sujet d’une tragédie, et à l’ auteur de Télémaque celui d’un bel épisode. Une effroyable nuit, sur les eaux répan
sa mère en Épire. C’est cette tradition, que Racine a suivie dans sa belle tragédie d’Andromaque. Le poëte a feint qu’Androm
épouser Pyrrhus, que pour sauver la vie à son fils. D. Rapportez les belles scènes où Racine peint les combats d’Andromaque,
à des bergers du mont Ida, qui l’élevèrent. Il devint bientôt le plus beau et le plus célèbre des pasteurs. La nature le déd
a table du festin, une pomme d’or, avec cette inscription : à la plus belle . Junon, Vénus et Pallas prétendirent exclusivemen
le savoir et la vertu ; Vénus lui promit de le faire aimer de la plus belle femme de l’univers. Pâris adjugea la pomme à Vénu
le tient un fruit d’or, où ces mots sont écrits : « Le sort à la plus belle a réservé ce prix. » On sait quel fut le trouble
trouble entre les immortelles, Qui toutes prétendoient à l’empire des belles , Et qu’enfin Jupiter, qui n’osa les juger, Fit dé
e, pour redemander Hésione. C’est dans ce voyage, que Pâris enleva la belle Hélène, et donna lieu à la guerre qui amena la ru
firent périr misérablement. Cette aventure a donné lieu à un des plus beaux morceaux de sculpture grecque, que nous possédion
qui le taillèrent de concert d’un seul bloc de marbre. D. Récitez les beaux vers dans lesquels M.  Deguerle décrit, d’après P
Virgile, poëte latin, qui vivoit sous Auguste. Son Énéide est le plus beau monument qui nous reste de l’antiquité. Virgile t
use ta fuite ; L’autre, en fuyant cause ta mort. D. Récitez-nous les beaux vers dans lesquels le traducteur de Virgile a si
des galeries placées les unes au-dessus des autres et formées par de belles colonnes. Au haut de la tour, on allumoit touts l
culpture pouvoient offrir de plus rare et de plus précieux ; les plus beaux marbres, le bronze, l’or et l’ivoire décoroient l
Ce qu’il y a de plus ancien, c’est Dieu, car il est incréé ; de plus beau , le monde, parce qu’il est l’ouvrage de Dieu ; de
ia alors ces lois que la postérité a toujours regardées comme le plus beau monument d’Athènes. Les gens de bien devroient av
t du puits, laisse son compagnon ;                Et vous lui fait un beau sermon                Pour l’exhorter à patience.
iture-Sainte que l’amour des parents. L’Ecclésiastique, l’un des plus beaux livres de morale, nous dit : « Écoutez, enfants,
. La Mère et ses deux fils. Écoutez un mot, mes amis, Qui me paroît beau de tendresse : D’une veuve entre ses deux fils L’
l’aumône ; mais faites-la sur-tout aux vieillards. D. Récitez-nous le bel apologue de La Fontaine, intitulé le Vieillard et
isme historique, comme le meilleur livre sur cette matière. Plusieurs beaux traits de l’Écriture-Sainte ont été mis en vers,
la langue nationale. D. Ne suffit-il pas à une jeune personne d’être belle  ? La beauté ne peut-elle point lui tenir lieu d’i
de ne point nous laisser prendre aux apparences. Un renard voyant une belle tête : Belle tête, dit-il, mais de cervelle poin
us laisser prendre aux apparences. Un renard voyant une belle tête : Belle tête, dit-il, mais de cervelle point ! « La beaut
cien, une courte tyrannie, et le premier privilége de la nature ; les belles personnes portent sur le front des lettres de rec
st plus triste que la suite de la vie des femmes qui n’ont su qu’être belles . » Écoutons encore sur ce sujet madame Deshouliè
sujet madame Deshoulières :              Pourquoi s’applaudir d’être belle  ? Quelle erreur fait compter la beauté pour un bi
r les cœurs ses droits sont absolus ;              Que tant qu’on est belle , on fait naître Des desirs, des transports, et de
njour, Monsieur du Corbeau ! Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau  !       Sans mentir, si votre ramage       Se rap
s mots, le Corbeau ne se sent pas de joie ;       Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec ; laisse tomber sa pr
ute les masques pour parvenir à ses fins. M.  Arnault nous a donné le bel apologue suivant : Le Chien et le Chat.        
ute chaude et toute fumante :             Le secret sans doute en est beau             Pour la nature défaillante.          
plus honteux de touts les vices. La candeur est au contraire le plus bel ornement de l’ame. Voici un apologue de La Fontai
mitié est sincère, indulgente, généreuse. La Fontaine nous fournit un beau modèle d’une parfaite amitié dans l’apologue des
La Colombe, qui s’égayoit Au bord d’une fontaine où l’onde étoit fort belle ,            Vit se démener auprès d’elle         
e.            Une Grenouille vit un Bœuf            Qui lui sembla de belle taille ; Elle, qui n’étoit pas grosse en tout com
        Régnez sur vos propres desirs ?                 C’est le plus beau des diadèmes. ( La Fontaine, Daphné.) D. En quoi
il n’y manquoit qu’un homme Celui-ci se l’attache, et se pend bien et beau .                 Ce qui le consola, peut-être, Fu
r le vit, Se douta du dépôt, l’enleva sans rien dire. Notre avare, un beau jour, ne trouva que le nid. Voilà mon homme aux p
dont les œufs ne lui rapportoient rien, S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien.            Belle leçon pour les gens
oient rien, S’étant lui-même ôté le plus beau de son bien.             Belle leçon pour les gens chiches ! Pendant ces dernie
l’habitude aux jeunes gens ? R. C’est celle de la bienfaisance. Une belle ame ne goûte pas de grand plaisir que celui de so
a misère importune Qui tombera demain dans la même infortune : Il est beau de prévoir ces retours dangereux, Et d’être bienf
on temps : Plus il se tourmentoit, plus l’autre tenoit ferme ; Il eut beau faire agir le collet et les plis.            Sitô
e est si courte que ce n’est pas la peine de s’impatienter . Voici un bel apologue de La Motte. Un Pêcher, les amours et l
élicieux des arbres et des fleurs ; Cependant, paresseux, le zéphyr a beau faire,            Tu dors, quand tout est éveillé
e            Comme j’ai déjà travaillé ; Me voilà tout fleuri ; d’une belle espérance    Voilà déjà mon maître régalé. Je lui
e donc grand tort            De ne me pas presser si fort ? Zéphire a beau souffler, je crains encor la bise ; Sache qu’il f
7 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
cœur des jeunes gens, et de leur inspirer le goût de l’honnête et du beau . On leur met sous les yeux le tableau des devoirs
x dans les airs, nous représentent le sort des orgueilleux ; celle du beau Narcisse qui, trop épris de sa beauté, meurt vict
e une partie de ses agrémens ? R. Oui ; elle emprunte d’elle ses plus beaux ornemens. La fiction est ame de la Poésie, et par
vant de commencer leur histoire, nous avons cru devoir placer ici les beaux vers de Rousseau sur le Cahos. D. Qu’est-ce que l
les peuples entiers ; Dans le sang on cherche la gloire ; Et, sous le beau nom de Victoire, Le meurtre usurpe les lauriers.
, cygne, ou quel qu’autre chose ;               Je ne trouve pas cela beau , Et ne m’étonne pas si parfois on en cause. D. Q
nir ce mélange adultère D’adversités dont l’influence altère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore Fit mériter le beau nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
etc. Les filles de Prétus, parce qu’elles s’étoient vanté d’être plus belles que Junon, furent frappées d’un genre de folie qu
sa naissance, l’enlevèrent dans le ciel ; les Dieux la trouvèrent si belle , qu’ils la nommèrent Déesse de l’Amour. Jupiter,
mots de la ceinture de cette Déesse ? R. Cette ceinture étoit le plus bel ornement de Vénus. Elle renfermoit tous les attra
ée ? R. Elle avoit des temples dans tous les pays du monde ; les plus beaux et les plus célèbres étoient à Amathonte, à Lesbo
e décidèrent en faveur de la Divinité qui produiroit la chose la plus belle et la plus utile. Minerve, d’un coup de lance, fi
livier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de son trident, fit naître un beau cheval. Minerve l’emporta, et donna le nom d’Athè
it à son gré. Qu’Éole en ses gouffres enchaîne Les Vents ennemis des beaux jours ; Qu’il dompte leur bruyante haleine, Et ne
chant. C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau , Son front porte le diadême Que l’erreur prend po
Narcisse ? R. Narcisse, fils de Céphise et de Liriope, se trouvoit si beau , qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé
ide soc empiétoit sur mon bien,                Crie aussitôt comme un beau diable ; Alte-là, mon voisin, voisin insatiable,
er porta l’art de l’écriture dans la Grèce. Tout le monde connoît ces beaux vers de Brébeuf sur ce Prince : C’est de lui que
de Pénélope Minerve accorde secours, Les Lestrigons et le Cyclope Ont beau s’arrêter contre ses jours : Aidé de cette intell
es, fuit, et elle se donne la mort. C’est ce qui a donné lieu à cette belle épigramme d’ Aussonne : Infelix Dido, nulli bene
d sort du puits, laisse son compagnon,            Et vous lui fait un beau sermon,            Pour l’exhorter à patience : S
t donc jamais se laisser prendre aux apparences. Un Renard voyant une belle tête : Belle tête, dit-il, mais de cervelle poin
se laisser prendre aux apparences. Un Renard voyant une belle tête : Belle tête, dit-il, mais de cervelle point ! (La Font.,
e prix de l’homme est dans son ame, et non dans son coffre ou dans un beau masque. Qu’elles imposent donc silence aux sens,
oi les proposer ! hélas ! ils font pitié ;            Voyez un peu la belle espèce. (La Font., L. 7. F. 5.) Qu’arriva-t-il à
peu la belle espèce. (La Font., L. 7. F. 5.) Qu’arriva-t-il à cette belle dédaigneuse ? Écoutez-le de La Fontaine : Celle-
a gloire de vos jours. Il s’élèvera quelquefois des nuages : (le plus beau ciel n’a-t-il pas aussi les siens ?) Patience, mo
doit être de mettre notre conduite à l’abri de tout reproche. Il est beau d’imposer silence à la malignité de la censure pa
r le nœud le plus sacré, que de s’en servir pour tromper. Rien n’est beau que le vrai, le vrai seul est aimable. (Boileau.)
le vrai, le vrai seul est aimable. (Boileau.) La candeur est le plus bel ornement de l’ame : cette riche vertu mérite nos
les ingrats ! Que les ames bienfaisantes n’oublient jamais qu’il est beau de faire des ingrats. Il faut autant qu’on peut
ustement nommé une des sept Merveilles du monde. Il étoit un des plus beaux que l’on connut. On y admiroit sur-tout cent ving
’admiration de toute l’antiquité. D. Faites-nous la description de ce beau travail ? R. La statue étoit d’or et d’ivoire : e
culpture pouvoient offrir de plus rare et de plus précieux ; les plus beaux marbres, le bronze, l’or et l’ivoire, décoroient
de Sostrate, Gnidien. Di- Décrivez-nous les parties et l’usage de ce beau monument ? R. Au-dessus d’un palais de marbre bla
t un grand nombre ; mais il en reste peu de bien conservées. Les plus belles sont auprès du vieux Caire. Elles sont au nombre
8 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
ains ; mais, en général, les allégories non douteuses forment la plus belle partie de la Fable. Je dis non douteuses, car cel
ans leurs ouvrages des beautés admirables ; car le vrai sublime et le beau moral dans toute sa perfection, ne peuvent jamais
faite que lorsqu’elle offre l’expression de la mélancolie. Toutes les belles têtes grecques ont une expression de tristesse et
eunesse, de la fraicheur et de l’ingénuité ; mais elles ne sont point belles parce qu’elles sont riantes. Il y a, dans la véri
n arrosoit de sang le char du vainqueur. La Mythologie offre quelques beaux traits de morale, mais elle ne présente aucun enc
sistible, éclaira même les persécuteurs des premiers Chrétiens ; on a beau fermer les yeux à la clarté du soleil, alors on n
s la lumière ?… Ce dialogue doit nous paroître plus touchant et plus beau qu’il ne devoit l’être pour les Grecs ; ce n’est
s cette partie de l’Italie qu’on appeloit le Latium. Il y donna de si belles lois et gouverna ses peuples avec tant de douceur
ter prétendoit avoir seul le droit de créer les hommes, formèrent une belle femme, nommée Pandore, à laquelle ils donnèrent t
, les jeux Isthmiques, en l’honneur de Neptune. Thétis, surnommée la belle Thétis par Homère, n’étoit qu’une Néréide, et sel
fille de Chiron ou d’Actor. Elle fut élevée par Junon. Elle étoit si belle , que Jupiter, Apollon et Neptune desirèrent l’épo
im et de la soif, plongé dans un fleuve sans pouvoir boire, voyant de beaux fruits suspendus au-dessus de sa tête sans y pouv
n’avoit rien de défectueux sur le corps ; il falloit même qu’elle fût belle . Dès que la vestale avoit mis le pied dans le par
étoit rassemblé, une pomme d’or portant cette inscription : à la plus belle . Les Dieux décidèrent que Vénus, Junon et Minerve
enchréïs, épouse de Cynire, roi de Chypre, s’étant vantée d’être plus belle que Vénus, la Déesse, pour se venger, inspira à M
qui indiquoit ainsi tous les ans l’époque de ses funérailles. La plus belle des Déesses s’unit au plus laid des Dieux ; Vénus
Télèphe, on dit qu’elle surpassoit Hélène même en beauté. Hélène, si belle dès son enfance, que Thésée, devint amoureux d’el
n spécifique pour dissoudre les goîtres. Ainsi il est probable que la belle Aspasie avoit un goître dont elle fut guérie par
a mort d’Alcidice, épousa Sidero, qui fut une cruelle marâtre pour la belle Tyro. Salmonée fut un roi très-impie, Jupiter le
mes. Nirée, roi de Naxos, fils de Charopus et d’Aglaïa, étoit le plus beau des princes Grecs qui firent le siége de Troie. A
yen, étant né Crotoniate, uniquement à cause de sa grande beauté. Les belles paupières de Démétrius de Phalère, lui firent don
re), sur les paupières duquel siégent les Grâces. Callicrate, le plus bel homme non-seulement de Sparte, mais de la Grèce,
es en l’honneur de Junon et de Cérés. Il y avoit un prix pour la plus belle des femmes qui s’y trouvoit. Les Eléens célébroie
nt ces fêtes en l’honneur de Minerve, mais le prix étoit pour le plus bel homme. Le vainqueur étoit mené en triomphe la têt
c cette différence pourtant que les Grecs décernent le prix à la plus belle et les Barbares à la plus vertueuse ». Diodore d
pta en marbre, Bupales en or, etc, Pindare consacra à leur gloire une belle ode, la dernière de ses Olympiades. Les Lacédémon
n, reçut de Vénus un vase rempli de parfums, ce qui le rendit le plus beau des hommes. Il fut passionnément aimé de Sapho qu
piter, Diane la tua à coups de flèches, parce qu’elle se croyoit plus belle que cette déesse. Arganthone fut si touchée de la
es poëtes y célébroient les vainqueurs, et les immortalisoient par de beaux vers, et l’on doit à ce genre de triomphe les ode
ux larmes que les nymphes répandirent après sa mort. Apollon, le plus beau des immortels, malgré les talens enchanteurs de l
vol, promit de n’en point parler, parce que Mercure lui donna la plus belle vache du troupeau ; mais Mercure, pour éprouver l
ea neuf cents chameaux31. Apollon est représenté sous les traits d’un beau jeune homme avec des cheveux blonds, un carquois
, les Muses eurent la barbarie de lui crever les yeux, de lui ôter sa belle voix, et de lui faire oublier tout ce qu’il savoi
à garder le silence sur les intrigues de Vénus, lui fit présent d’une belle rose, la première qui ait paru sur la terre. Depu
si des jeux floraux (mais littéraires) en France, à Toulouse, doux et beau climat, où le Soleil semble avoir une influence é
née dans une forêt ou ils élevoient un autel de gazon au pied du plus beau chêne ; ils gravoient sur le tronc de l’arbre les
e nommé Eubatas, qui résista à toutes les séductions de Laïs, la plus belle courtisane de la Grèce, éperdument amoureuse de l
lantes, il enseigna cet art à Esculape, à Achille, à Hercule, etc. La belle Agamède, fille d’Augé, dont parle Homère, livre I
, et la connoissance de toutes les plantes et de leurs propriétés. Le beau Pâris, réduit à la condition de berger, vit Œnone
s-uns nomment Daphné, fille de Tirésias : elle rendoit ses oracles en beaux vers. Celle de Cumes les écrivoit sur des feuille
9 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
s de tous les vieux châteaux.         Toujours fraîche, toujours plus belle ,         La jeune et féconde Cybèle, A sa suite,
son avide soc empiétait sur mon bien,         Crie aussitôt comme un beau diable : Halte-là ! mon voisin, voisin insatiable
ir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influence altère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fit mériter le beau nom de Pandore. L’urne fatale où les afflictions,
lir en Italie, elle alla trouver Eole, et lui promit Déiopée, la plus belle de ses nymphes, s’il voulait le faire périr avec
e touchèrent peu la nymphe, et elle lui préféra Acis, berger jeune et beau . Polyphème, furieux de se voir dédaigné, s’en ven
d’ennui dans sa prison, lorsque Mercure, instruit de son sort par la belle Héribée, l’arracha des mains de ses persécuteurs.
nt son exil, Apollon vit Daphné, fille du fleuve Pénée : il la trouva belle et le lui dit ; mais Daphné, sans vouloir l’enten
it de la sauver, à condition que Laomédon lui donnerait les deux plus beaux chevaux de son écurie : le roi y consentit ; mais
des nymphes de l’Océan. Peu de temps après, il porta son hommage à la belle Leucothoé, fille d’Orchame roi de Babylone. Pour
belle Leucothoé, fille d’Orchame roi de Babylone. Pour entretenir la belle Leucothoé sans témoin, le dieu prit la figure d’E
tales allèrent au-devant de lui en grande pompe. Le dieu remarqua une belle île sur le Tibre, où il montra qu’il souhaitait q
filles de Piérus, roi de Macédoine. Ces filles, orgueilleuses de leur belle voix, osèrent défier les Muses de mieux chanter :
Cumes dans l’Eolide, et fut prêtresse d’Apollon. Ce dieu la trouvant belle , n’épargna rien pour la rendre sensible ; il lui
ans l’Océan. Chionée Chionée, petite fille du matin, et plus belle que l’Aurore, osa comparer ses attraits à ceux de
t craignant encore les funestes effets de la colère du dieu, cacha le beau berger sur le sommet d’une montagne. Les mytholog
nt vingt ans. Ce temple magnifique, décoré d’excellens tableaux et de belles statues, fut brûlé le jour même de la naissance d
e vieux berger Battus. Pour payer sa discrétion, il lui donna la plus belle vache du troupeau volé. Un moment après, le dieu
nus ne ressemble point à celle de la plupart des jeunes filles ; être belle sans orgueil, aimable sans coquetterie, instruite
nt le cœur et l’esprit de leur élève ; elles lui apprirent encore les belles manières et l’art de se rendre agréable, et elles
oquait les Grâces, et l’on buvait trois fois en leur honneur. La plus belle de toutes leurs prérogatives était de présider au
de son futur époux, dont, à l’en croire, la mise négligée cachait de beaux traits et un air noble ; il ajouta : « Mais que
endroit l’orateur s’arrêta ; ce n’est pas qu’il n’eût encore de fort belles choses à dire ; mais la vive émotion d’Amphitrite
accompagnaient, sonnant de la trompette. On peut lire dans Virgile la belle description où ce dieu est représenté volant sur
phes couronnées de fleurs nageaient en foule derrière le char ; leurs beaux cheveux-pendaient sur leurs épaules et flottaient
t pas confondre avec Téthys, la grande déesse des eaux, était la plus belle personne du monde. Jupiter voulait l’épouser ; ma
lie, où l’on prétend qu’elle mourut. Les Syrènes avaient la voix fort belle , et pinçaient le luth d’une manière admirable. Or
erpine, fille de Cérès, pendant qu’elle cueillait des fleurs dans les belles prairies d’Enna, en Sicile. Une nymphe, nommée Cy
, les pluies, la neige ne venaient point attrister les habitans de ce beau séjour. On y respirait un air pur, rafraîchi par
t plus en état de pratiquer cette leçon. Cette sentence est bonne et belle  ; Mais en enfer de quoi sert-elle ? Scaron.
ières syllabes qu’ils prononceraient. Echo devint éprise de Narcisse, beau jeune homme qui n’aimait que lui ; elle le suivit
t-à-dire, vers l’an 805 avant J.-C. Cette nymphe était sans doute une belle personne qui aimait la vie champêtre, et faisait
t de l’accabler d’injures et de reproches. Rousseau lui a adressé une belle ode, dont voici la première strophe : Fortune, d
nchant, C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau , Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
uite à tous ceux qui se rendirent célèbres par leur bravoure ou leurs belles actions. Persée, que la fable place au rang des
oi d’Ethiopie, et de la reine Cassiopée, qui avait osé se croire plus belle que Junon. Neptune, pour venger la déesse, envoya
tenait le ciel sur ses épaules. Ces pommes d’or étaient sans doute de belles oranges ou des citrons dont les jardins de la Mau
a suite il fut changé en cygne ; sa lyre brilla au ciel ornée de neuf belles étoiles, dont chaque Muse fournit la sienne.
vengeait sur les parens d’Europe l’impression que la beauté de cette belle personne avait faite sur Jupiter. Cadmus lui-même
èrent. Pâris, devenu grand, ne tarda pas à sa faire connaître par ses belles qualités. Ce que la renommée publiait à son avant
iscorde jeta dans rassemblée une pomme d’or avec ces mots : A la plus belle . Pâris adjugea la pomme à Vénus et s’attira ainsi
ôt, raconte son histoire dans l’Enéide. La reine de ces lieux est la belle Didon : Elle reçut le jour dans la riche Sidon ;
t, quitte-t-il ce séjour, Rien ne trouble sa fin : c’est le soir d’un beau jour. Philémon et Baucis nous en offrent l’exempl
de celui qui force à vous aimer. Vous joignez à ces dons l’amour des beaux ouvrages : Vous y joignez un goût plus sûr que no
10 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
ien que de plat. …………………………………………………… …………………………………………………… Qu’aura de beau la guerre, à moins qu’on y crayonne Ici le char d
les peuples entiers ; Dans le sang on cherche la gloire ! Et, sous le beau nom de Victoire, le meurtre usurpe des lauriers.
ir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influence altère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fît mériter le beau nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
rpent, cygne, ou quelqu’autre chose ;         Je ne trouve point cela beau , Et ne m’étonne pas si par fois on en cause. Mol
Cyrianesse, fille de Prétus et de Sténobée, se vantèrent d’être plus belles que Junon. Aussi-tôt la déesse les frappa d’un ge
Climène sa mère, qui le confirme dans son projet : Mon dessein sera beau , dussé-je y succomber ;                     Quell
succomber ;                     Quelle gloire si je l’achève ! Il est beau qu’un mortel jusques aux cieux s’élève,          
au qu’un mortel jusques aux cieux s’élève,                     Il est beau même d’en tomber. Quinault. En conséquence de c
oi de Calydon. Cette reine avoit prétendu que ses filles croient plus belles que Diane : Et toi, fille du dieu qui lance le t
’elle avoit à Ephése, ville d’Ionie, étoit le plus célèbre et le plus beau . C’étoit une des sept merveilles du monde. On avo
ribué pendant deux cents ans. On admiroit les tableaux excellens, les belles statues qui décoroient ce temple, et sur-tout cen
i, et ne pouvant point ou ne voulant point s’immortaliser par quelque belle action, brûla ce temple, le jour même qu’Alexandr
culpture pouvoient offrir de plus rare et de plus précieux ; les plus beaux marbres, le bronze, l’or et l’ivoire, décoroient
des restes précieux, dignes des recherches des savans ; mais les plus belles se trouvent près du vieux Caire, sur la rive gauc
conduisirent avec pompe dans le ciel. Tous les dieux la trouvèrent si belle , que chacun d’eux voulut l’épouser : Jupiter acco
e croit voir son fils, il en a tous les charmes ; Jamais rien de plus beau ne parut sous les cieux. Rousseau. Les poëtes l
……………… En prenant ce tissu, que Vénus lui présente, Junon n’étoit que belle  ; elle devint charmante ; Les Graces et les Ris,
Cette déesse avoit des temples dans tous les pays du monde. Les plus beaux et les plus célèbres étoient à Amathonte, à Lesbo
ent un fruit d’or, où ces mots sont écrits :        Le sort à la plus belle a réservé ce prix. On sait quel fut le trouble
trouble entre les immortelles, Qui toutes prétendoient à l’empire des belles 5 Et qu’enfin Jupiter, qui n’osa les juger, Fit d
ndre ; Les plaintes, les dégoûts, l’imprudence et la peur, Font de ce beau séjour un séjour plein d’horreur. La sombre Jalou
t alors on l’appelle Pallas ; ou comme la déesse de la sagesse et des beaux arts, et on l’appelle alors Minerve :           
faveur de la divinité qui produiroit, sur le champ, la chose la plus belle et la plus utile. Minerve, d’un coup de lance, fi
livier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de son trident, fit naître un beau cheval que plusieurs prétendent être le cheval Pé
  Fut jalouse de mes appas, Et me rendit affreuse, autant que j’étois belle  : Ma tête est fière encor d’avoir pour ornement  
d’un rocher : Qu’Eole en ses gouffres enchaîne Les Vents ennemis des beaux jours, Qu’il dompte leur bruyante haleine, Et ne
s parricides fureurs. Lamotte. Danaüs étoit roi d’Argos, et fils de Bel ou Bélus ; ce qui fait donner quelquefois aux Dan
chant. C’est Thémis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau , Son front porte ce diadème Que l’erreur prend po
s. Lamotte. Narcisse, fils de Céphise et de Liriope, se trouvoit si beau , qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé
Castor et Pollux, connus sous le nom de Tyndarides, sont le plus beau modèle que l’antiquité nous donne de l’amour frat
poids des années, elle le rajeunit : O ! que, pour avoir part en si belle aventure, Je me souhaiterois la fortune d’Eson, Q
une a son but. Cependant la nuit vient. Médée, après le coup d’une si belle amorce, Prépare de l’eau pure et des herbes sans
et François. Sophocle et Euripide y puisèrent le sujet de leurs plus belles tragédies ; Homère, celui de ses deux poëmes épiq
on attaché la conquête : Mais on sait que, pour prix d’un triomphe si beau , Ils ont aux champs Troyens marqué votre tombeau 
’enleva Briséis, Dans ma tente enfermé, tout brûlant de colère, J’eus beau voir la fortune aux Grecs par-tout contraire, Pou
appréhendant la peine, Au sein de ce grand roi, digne d’un sort plus beau , Inspira Clytemnestre à porter le couteau ; Préte
énélope Minerve accorde son secours, Les Lestrigons et le Cyclope Ont beau s’armer contre ses jours : Aidé de cette intellig
our, 41 — Considéré comme le dieu de la Poésie, de la Musique et des beaux Arts, 44 — Emblème de l’enthousiasme poëtique, 1
s, changée en pierre de touche, 71 Beauté, déesse qui y préside, 71 Bel , 102. Voyez Bélus. Bélides, nom donné aux Danaïd
Déesse de Mémoire, 49-55. De la sagesse, 79. Aux cent voix, 117. Des beaux Arts, 79. Des combats, 81. Des chasseurs, 57. De
gnoit sur le chaos, 16 — Elle jette la pomme d’or destinée à la plus belle , 74--75 Divinités, célestes, 16. Terrestres, 112
11 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
ar le fruit disparut, la jeune fille fut enceinte et donna le jour au bel Atys, que, suivant Pausanias, elle avait eu en ré
n, un sceptre dans l’autre et un tambour ou disque, et quelquefois le bel Atys à ses côtés. Son habillement était d’une cou
sons bien en détail l’antique Cybèle de Phrygie et ses amours avec le bel Atys, passons à la Cybèle de Crète, que l’on dési
ns ce fleuve. Les anciens représentaient Vesta avec un figure sévère, belle , noble et enveloppée d’un voile à la manière espa
et ses trois sœurs ; car cette Hora ou heure, pleine de jeunesse, de bel âge et de beauté, était bien faite, comme on deva
, ou la paix envisagée comme harmonie, et Eunomie ou Eurynomie ou les belles lois. Les Crétois les faisaient naître en outre d
Sthenios, ou le donneur de force à Argos ; Stratios, ou le donneur de belles armées chez les Cariens ; Supinalis, ou qui peut
omme divinisé arriva à la célébrité plutôt par ses crimes que par ses belles actions, puisqu’il alla jusqu’à tuer son père. Il
temps barbares et sans lois, était représentée sous les traits d’une belle femme, étranglant une femme hideuse et la frappan
fils unique, qu’ils firent Dieu du feu ; elle lui donna pour sœur, la belle Hébé. Une autre fois, le maître des dieux ayant a
curieux par leur bizarrerie, et méritent de prendre place ici. Cette belle et fière Junon, épouse de Jupiter, ayant éprouvé
nt, que Vénus sa mère, pour qui TyphŒ s’était épris tout-à-coup d’une belle passion, n’arriva sur les bords de l’Euphrate qu’
avoir le moindre soupçon, et moins sage que son auteur, accueillit la belle Pandore, en fit sa femme et ouvrit la boîte. Soud
avoir été le recéleur des vols continuels de Pandaré, et surtout d’un beau chien d’or qui appartenait à Jupiter, et d’avoir
la fille de Cérès, c’est Proserpine disputant à Vénus la conquête du bel Adonis ; c’est Mars se disputant avec Hercule. Ma
ou de Corinthe, Antophoros ou couverte de fleurs, Anthie et Anthéa ou belle à Argos, Ardéa ou d’Ardée, Argiva et Argienne ou
chèvres à Sparte, Elicius ou d’Etrurie, Enfant, Eribée, Évêmôn ou aux beaux habits, Fébrua ou Fébralis ou la purifiante, prés
un coucou, lequel transi et tout humide se réfugia dans le sein de la belle Junon qui céda bientôt charitablement à tous les
e son mariage avec Jupiter la naissance, comme en le sait déjà, de la belle Hébée, de Vulcain et même de Lucine, selon quelqu
ne épouse, fut alors de temps en temps conter fleurettes aux diverses belles de l’Olympe et de la terre. Ces nombreuses infidé
t comment faire sans se compromettre, elle fut secrètement trouver la belle Flore et lui demanda le moyen d’avoir aussi un fi
rons plus tard, par le courageux Persée, qui, après s’être marié à la belle qu’il venait de délivrer, obtint de Jupiter, son
sé le culte de Bacchus, dieu du vin, ou, qu’ayant osé se trouver plus belles que Junon, dont elles dépouillèrent la statue de
ut d’abord Thalaüs. Anaxibie eut aussi l’imprudence de se croire plus belle que Junon. Celle-ci, pour se venger, lui fit épou
is, fils de Priam, roi de Troie, n’avait pas voulu trouver Junon plus belle que Vénus et Minerve. Mais en parlant de la guerr
orze nymphes, connues sous le nom générique d’Hérésides, dont la plus belle d’après Virgile était Déiopée : elles étaient cha
n ; néanmoins habituellement on donne ce Vulcain et sa sœur aînée, la belle Hébé, comme les seuls enfans nés de l’alliance de
hef-d’œuvre : Acus, Ardulus, Brothé, Ethiops et Morgion, Olenus de la belle Aglaé, l’une des Graces ; Cacaüs ou Cacus, mari e
; Cacaüs ou Cacus, mari et frère de la titanide Phébé, et Caca, d’une belle inconnue ; Cœculus de Préneste, devenue enceinte
ymphe Cabira ; Cercyon et Corynète, de mère inconnue ; Cupidon, de la belle et brillante Vénus sa femme ; Erichthonius de la
ès et de Phrygie. Nous les verrons fabriquer avec les métaux les plus beaux ouvrages, pour remercier Jupiter de la liberté qu
ée en huppe ou épervier, et Itys en chardonneret, pour montrer que la belle voix de Philomèle ne put fléchir le cruel Thérée,
a sœur les conduit, Palior le précède, et Phygale le suit. On voit de beaux tableaux de Mars au musée sous les numéros 88 et
à la suite de Junon ; elles étaient au nombre de quatorze, et la plus belle d’entre elles était Déiopée, que la déesse donna
ante Iris, sa messagère, afin d’exécuter ses moindres caprices. Cette belle Iris, sœur d’Arcé, était fille de Thaumas le Tita
’est l’air placé entre le ciel et l’enfer, de bon augure quand il est beau , et triste d’avenir lorsqu’il est brumeux. On la
on à son vœu. Celle qui fit le plus de bruit fut son intrigue avec le bel Endymion, berger du mont Latmos en Carie, où se t
u du bœuf qu’ils venaient de manger, firent naître dans cette peau le bel Orion, chasseur célèbre, à la taille svelte, que
dressa dans un bocage de l’Arcadie sous la forme d’un bouc de la plus belle blancheur. Cependant ces diverses infractions à s
arrivant vers le sommet du mont Latmos où, nous le savons, était son bel Endymion. Alors elle descendait de son char, et u
u Musée, aux Tuileries et à Versailles. Apollon, dieu du jour et des beaux arts, portait les différens noms et surnoms qui s
la statue regardant le ciel, lesur mont Cœlius à Rome, Comeus ou à la belle chevelure, à Naucrate et à Séleucie, Cortinipoten
en Crète, Abellion dans les Gaules, Baul-Semen ou Semel en Phénicie, Bel ou Baal chez les Chaldéens, Moloch chez les Chana
contrée. Il prit soin de ses troupeaux et enseigna aux bergers de ces belles campagnes la vie pastorale. Il fut de la plus gra
rapporté : Admète alors n’était pas marié ; il devint amoureux de la belle Alceste, fille d’Anaxibie et de Pélias, roi d’Iol
esses. Chacune d’elles portait un nom significatif : Calliope, ou la belle voix, fixait l’esprit des auditeurs par son éloqu
mblait ni aux dieux ni aux hommes, qui avait la moitié du corps d’une belle nymphe et l’autre d’un serpent, affreux monstre a
lus de regrets. Il avait pour mère, ainsi que son frère Cynorthès, la belle Diomède, fille de Lapithès, et pour père Amyclas,
upiter enlever Europe ou la génisse en laquelle Junon métamorphosa la belle Io ; puis il arrivait dans le signe des Gémeaux o
e une de trente coudées, et à Mégare une de forme pyramidale. La plus belle qui soit parvenue jusqu’à nos jours est celle con
us, de Crinis et de Mélanippe. Il y eut deux Chrysès, l’un père de la belle Astynomé ou Chryséis que nous verrons devenir la
érans de ce territoire. On comptait en outre beaucoup de temples fort beaux destinés à ce dieu dans toute la Grèce et l’Itali
iser les découvertes phrénologiques avec la forme des crânes des plus belles têtes antiques : ainsi nous voyons Jupiter doué d
doué de la bosse de la plus haute intelligence, Apollon de celle des beaux arts, Homère de celle de la poésie, et tous les a
dont nous venons de parler, était né à Odryse, dans la Thrace, de la belle Argiope ou Argriope et du célèbre musicien Philam
sespoir, il renonça au plaisir d’avoir les moindres relations avec le beau sexe ; alors les femmes de Thrace, que ses accord
ur les rangs, fut déclaré vainqueur aux jeux pythiques, à cause de sa belle voix, et quoiqu’il eût chanté un hymne dont il n’
n essaya-t-elle de le rendre infidèle ; en vain lui fit-elle les plus belles promesses, toujours il resta insensible. A la fin
hale, et après l’avoir laissé retourner auprès de sa femme, enleva le bel Orion qui passait pour fils de Neptune et d’Eurya
s Aurore, que Vénus avait rendue amoureuse de lui, enleva ce jeune et beau forgeron et le porta dans l’île de Délos. Là il p
l’on attribuait encore à Apollon. Diane, fâchée d’avoir ôté la vie au bel Orion qui mourut dans le temps que le soleil parc
séjours, tant au ciel que sur la terre, eut de nombreuses intrigues : beau , brillant, offrant enfin la perfection des formes
que et Nomius. Apollon, à peine exilé du ciel, devint amoureux de la belle Daphné ou Pasiphaé, fille du fleuve Pénée, ce fut
e et la rouille des grains, Eububée ou le bon conseil, Euchloos ou la belle verdure, Euryanassa ou la puissante princesse, Fl
femme, faute d’avoir pu trouver parmi les déesses de l’Olympe quelque belle qui voulût accepter ses hommages. Lorsque Cérès e
anctorum s’ouvraient à deux battans, et alors ils voyaient une statue belle et parée des habits les plus resplendissans. Cett
ns offraient à Cérès les prémices de leurs fruits pour en obtenir des belles moissons ; elles portaient le nom de Calamées, ch
s grands mystères. On représentait Cérès avec une taille majestueuse, belle , haute en couleur, blonde ou brune, souriant et m
ritable ruine des grains, ou la rouille humide, qui consomme les plus belles récoltes ; personnage, par conséquent, ennemi bie
amante de Butès ; Byblia, ou de Biblos en Phénicie ; Callipige, ou la belle  ; Calva, ou la Chauve, en mémoire du don fait par
our le pauvre Vulcain. Celui-ci pourtant apprit les infidélités de sa belle épouse, car Apollon dont l’amour-propre avait été
secret, et en avait aussitôt fait part au dieu du feu. L'époux de la belle Déesse, étourdi de cette nouvelle, ne put d’abord
’était Apollon, le fils de Latone. Dieu du jour, des arts, et le plus beau de l’Olympe, il ne tarda point à gagner le cœur d
ris est attérée, sa bouche entr'ouverte ne peut articuler un son, ses beaux yeux contractés n’ont point de larmes à laisser é
r. Aussi, Vénus chercha vite à se distraire, et bientôt elle pensa au bel Adonis, qui fut pour elle un sujet de discussion
ment qu’il ait pu naître à Cypre. Quoi qu’il en soit, nous verrons ce bel Adonis passer alternativement du ciel aux enfers,
x légendes à propos de ce différent : d’après l’une on vit un jour la belle et séduisante Vénus, descendre jusque dans l’empi
ds de Jupiter qui, tout habitué qu’il est de lui céder, arrête que le bel Adonis devra tour-à-tour passer quatre mois avec
tres mois. Décision qui fut ponctuellement suivie, à cela près que le bel adolescent, préférant l’amabilité de Vénus au car
rs avec elle. Une autre légende fait mourir, comme nous le savons, ce beau jeune homme à la chasse. Cependant Vénus obtint q
nsuite on couchait sur ce lit la statue d’Adonis, pâle, mais toujours beau , et près de lui, ou sur un catafalque voisin, on
désirs incertains, elle descendit sur la terre, prit la figure de la belle Lycaste, épouse de Butès le Bébryce, descendant d
au milieu du festin une pomme d’or portant l’inscription : à la plus belle  ! Pour gagner leur juge chacune des déesses lui f
d’Hippomène, fils de Macarée, avec Atalante, fille de Schénée : cette belle avait déclaré qu’elle ne donnerait sa main qu’à s
onis devait le jour. Cette Cenchris ayant osé proclamer sa fille plus belle que Vénus, cette déesse inspira à Myrrha la passi
insi Deucalion, le poète Nicostrate, la reine de Carie Artémise et la belle Sapho, ayant voulu tenter ce moyen pour se guérir
ayant à ses pieds une tortue, pour indiquer que la pudicité, le plus bel ornement de la femme, doit l’empêcher de trop sor
avait choisi le sommeil pour époux. Les Grâces ont toujours brillé du beau idéal, elles font naître l’idée de vertus, sagess
d’avoir un autre fils. Ce fut, dit-on, à la suite de cet avis que la belle Cypris renoua ses liaisons avec le dieu de la Gue
n réveil, quel fut son étonnement quand elle se vit au milieu du plus beau des palais ; les lambris en étaient d’or, les voû
ambris en étaient d’or, les voûtes de marbre et de cristal ; les plus beaux tapis en ornaient les murs ; tout portait l’empre
el est donc cet époux ? que fait-il, que dit-il, est-il jeune, est-il beau . Psyché confuse leur répondit, mon époux est un j
rcha bientôt que le plaisir. On la représentait sous les traits d’une belle femme, aux longs regards et aux yeux languissans,
ujours peinte sur sa figure. Les anciens le regardaient comme le plus beau des habitans de l’Olympe. On le représentait sous
ortune, de ses conseils et de son appui ; l’amour de soi-même, est un beau jeune homme, qui se mire dans une fontaine limpid
he de la suite de Junon. Cette jeune nymphe était tellement éprise du beau Narcisse, qu’elle le suivit long-temps, sans pour
de l’enlèvement des Sabines, avait mérité qu’on lui accordât la plus belle en mariage, union dans laquelle il trouva le bonh
x pieds des brodequins de même couleur ; suivant d’autres, c’était un beau blond, couronné de fleurs, enveloppé d’une robe b
terrible qui fut fatale aux deux frères. Quant à Callisto ou la très belle , c’était une nymphe jeune et jolie de la suite de
epuis les gardes dès qu’il le désirait, l’introduisaient auprès de la belle captive. Europe, était fille d’Agénor, roi de Ph
i blanc et aussi brillant que celui de Junon. Bientôt Jupiter aima la belle Europe ; pour en triompher, il prit la forme d’un
rascible épouse n’osa pas la lui refuser. Aussitôt Junon confie cette belle génisse en garde à Argus aux cent yeux. Le chef d
l’Olympe. Junon à cette nouvelle plus irritée que jamais envoie à la belle génisse une Furie, d’autres disent un Taon, pour
ns ses bras. Elle est souvent aussi représentée avec les traits d’une belle et majestueuse matrone, tenant d’une main l’olivi
s. Enfin Minerve changea en serpent les cheveux de Méduse, la plus belle de trois Gorgones, que Neptune avait violée au pi
vait nécessairement avoir des temples en proportion. L'un de ses plus beaux était celui de la citadelle d’Athènes, et celui q
On la représente avec une taille imposante, un visage noble, jeune et beau , mais avec une beauté simple, modeste, et même av
âle sévérité ; souvent son air est méditatif et grave ; dans les plus belles statues, elle a les yeux légèrement baissés, marq
iclée fille de Dioclès ou d’Autolycus, devint père d’Alcimédon, de la belle Climène et du fameux Ulysse, époux de Pénélope fi
mbats et ses conquêtes ; mais auparavant il séduisit encore plusieurs belles , et les rendit sensibles à son amour, Alexirée mè
perbe tombeau. On représentait autrefois Bacchus aussi jeune et aussi beau qu’Apollon, avec ou sans barbe, ayant les yeux no
, est fils de Jupiter et d’Astérie sœur de Latone. Le cinquième nommé Bel est adoré dans les Indes, et le sixième est le fi
olupté et la vertu courageuse se disputèrent son cœur. L'une, grande, belle , majestueuse, et, cependant, avec la pudeur dans
son père Hipponoüs, puis reçue comme épouse par le roi de Calydon. La belle Déjanire ayant également séduit le fleuve Acheloü
contenta du second rang, puis une fois déifié, il épousa la jeune et belle Hébée. Hercule fit encore tomber sous les coups
nedée et de Lydos ; Iphionée, mere de Palémon ; Malie, suivante de la belle reine Omphale et mère d’Acelus et d’Alcée. Mégare
Polyphonte ; Hyrnéto, fille de Temène, épousa Déiphon ; Minos fils de Bel , et arrière petit-fils d’Hercule ; Phylas fils d’
ortas, épousa Péribée, et devint père d’Alétès, de Damasippe et de la belle et sage Pénéloppe, femme d’Ulysse. Locre, fils d
berger de Pylos, auquel il avait donné, pour prix du secret, la plus belle des vaches qu’il venait d’enlever, Mercure le sou
na, de même que Pellonia et Populonia, étaient invoqués pour avoir de belles moissons, et pour les prier d’arrêter les incursi
lui avait promis de le laisser tête à tête toute une nuit avec cette belle , s’il remportait le prix. Cependant, après sa vic
nt six jours. On représente Mercure sous les traits d’un jeune homme, beau , leste, et les épaules à moitié couvertes d’un ma
e Crète et mari de Pasiphaé ; chaque année, ce roi sacrifiait le plus beau taureau de ses troupeaux à Neptune : un jour il f
ue son épouse, qui fut changée en rocher, pour avoir osé se dire plus belle que les déesses. Opante, fils de Jupiter, était
Tritonide et voisines des Amazones ; les uns veulent qu’elles fussent belles , les autres qu’elles fussent si laides que leurs
illé son temple, Minerve en fit l’être le plus affreux. Au lieu de sa belle chevelure, elle fit naître des serpens sur sa têt
ve entre l’amour et l’ambition : il trompa beaucoup de jeunes nymphes belles et naïves, mais il ne put tromper Jupiter qui déc
yant été tué par Mars, parce qu’il avait fait violence à sa fille, la belle Alcippe, Neptune voulut que les Dieux condamnasse
eptune-Hippios ; mais les jeux isthmiques étaient assurément les plus belles fêtes de Neptune : elles se célébraient tous les
l laissa en mourant un fils nommé Polydore. Parthénopée, fils de la belle Atalante et de Méléagre, remporta le prix du tir
lui donner pour femme Chloris, fille d’Arcture, ils laissaient cette belle au seul Borée, et donnaient pour amante à Zéphyre
rrivé en Crète, ce héros rencontre Ariadne, fille du roi Minos. Cette belle princesse devient tout à coup amoureuse de Thésée
ager ses dangers, en échange de ce qu’il lui avait aidé au rapt de la belle Hélène. Pirithoüs succomba dans cette entreprise,
Acamas, fut aussi avec Eléphénor au siége de Troie. Loodice, la plus belle des filles de Priam et épouse d’Helicaon, devint
s l’atteignit sans le blesser, mais le rendit plus furieux ; alors la belle Atalante, amante du chef de la chasse, fut la pre
ble du festin une pomme sur laquelle on lisait la légende : a la plus belle , ce qui força Junon, Minerve et Vénus à prendre P
fils du dieu Faune et de la nymphe Simèthe, fut l’amant heureux de la belle Néréide Galatée, qui était l’objet des vœux du cy
, qu’il était à la chasse d’un sanglier, il aperçut Aréthuse, la plus belle des nymphes du cortége de Diane ; alors, il lui o
, était fils de Pontos et de Thalassa, il eut de la nymphe Liriope le beau Narcisse. Il avait près d’Orope un autel qu’il pa
la plus remarquable des néréides c’est Téthis ; elle en était la plus belle et fut l’objet des vœux d’Apollon, de Neptune et
festin, une pomme sur laquelle elle avait gravé ses mots : a la plus belle . Téthis eut plusieurs enfans qu’elle perdit en le
porte la fertilité ; Casta ou la chaste ; Cora et Coré ou la jeune et belle  ; Damna ou la puissante à Cyzique ; Dœta ou prési
vit donc arriver auprès d’elle, par le plus grand extraordinaire, la belle reine de Cythère, qui lui confia, comme nous le s
t à la main un glaive ou une faux, ou souvent avec des traits graves, beaux , ou lugubres, mais nobles ; on la voit aussi dans
vouloir troubler l’époux heureux dans la possession de cette jeune et belle Tyndaride. Ménélas, qu’elle choisit, devint donc
ux fût sacrifié à la sombre déesse Onis. Ce fut alors que commença ce beau combat de générosité, qui rendit l’amitié d’Orest
es plus célèbres prétendans d’Hélène, fille de ce roi. Cette jeune et belle princesse, donna la préférence à Ménélas, qui dev
Pédase, il devint furieux ; car après avoir tué Mynès, époux de cette belle , lors du combat de Lyrnesse, il en avait fait sa
s qu’il [ILLISIBLE]it à sa suite, au nombre desquelles se trouvait la belle Diomède, fille de Phorbas ; cependant il permit à
sa fille Tecmesse, sa prisonnière et sa concubine. Ajax était le plus beau et le plus brave des Grecs après Achille : on van
dans la Troade, il fut d’abord réclamer avec Ménélas et Palamède, la belle fugitive ; il décida Hécube à les faire évader de
d’Astérope, fille du fleuve Cébrène ; Evagore ; Gorgithion, né de la belle Cestianire d’Esime, fut tué par Teucer ; Hector o
mis à celui qui délivrerait sa fille et la Troade de ce monstre, deux beaux chevaux, et sa fille en mariage, Hercule se prése
Cette déesse était représentée par un corps sans tête ou par une tête belle , mais sans corps. Lima ou Limentine, déesse du vi
suivant les contrées où il fut honoré ; ainsi, on l’appelait : Baal, Bel , Béel, Bélus, Bélis, Bélénus, Belathes, Balanus e
soleil, venait le Baal des Carthaginois, ou Saturne, ou Moloch, ou le Bel , des Babyloniens, ou Jupiter ; puis l’on connaiss
t refusent de coopérer à ses travaux. Alors il se marie à sa sœur, la belle Souraçouati, et en a cent fils, dont l’aîné, Dakc
outes les parties de la nature, parmi lesquelles se trouvent les sept belles Gopis, ou laitières nourrices et bien aimées de K
12° Les Gandharvas, ou musiciens, à la tête desquels on remarque la belle Rambha. 13° Les six-cents millions d’Apsaras, ou
sur la terre et vers le soleil, qu’ils adorent ensuite comme la plus belle image de l’éternel. A midi, ils renouvellent leur
nent de précéder, nous trouvons : Aienar, ou Aiena Rapen, fils de la belle Mohani-Maïa, le dieu et protecteur du bon ordre,
sacré, se présenta à elle et chercha à la séduire, tant il la trouva belle  ; Amogha repoussa avec indignation ses propositio
a force aux vieillards, par le seul attouchement. Indra, jaloux de ce beau privilége, empêcha une seule goutte de pluie de t
se retira dans la solitude. Gaoutama, Radjah hindou, avait épousé la belle Ahalia. Les Richis lui firent subir les persécuti
a fiole divine qui contient l’Amrita ; c’est lui qui rend infidèle la belle Andjani, épouse du géant Jalendra en faveur de Si
r l’oreille le singe miraculeux Hanouman. Vichnou eut pour épouse la belle Lakchmi ou Lakchini et Mohanimaïa, qui se transfo
ation de Vichnou, il était fils de Daçaratha, roi d’Aïodhia, et de la belle Raouçalia, celle de ses femmes qu’il affectionnai
ama, qui l’ayant emporté sur ses nombreux concurrens, conduisit cette belle et jeune épouse au palais de ses pères. Alors Daç
e épouse dans le Vaikounta, sa céleste demeure d’où il veille avec la belle Sita au bonheur des hommes. Ce Ravana son ennemi
ième incarnation de Vichnou, naquit à Mathoura, de Vaçoudéva et de la belle Dévaki, de la race des Iadous. Cependant Kansa, f
vakavas le trouvèrent absorbé dans une profonde méditation, auprès du beau coursier ; ils le frappèrent et l’injurièrent ; à
ie irréconciliable de sa rivale Lakchmi, et de tout ce qui est bon et beau , laborieux et productif sur la terre comme aux ci
quel il abandonne l’empire, et sous celles de Radha, c’est une de ces belles Gopis ou laitières, qui se laissèrent fléchir par
nt charmés, et lui offraient en signe d’adoration les fleurs les plus belles , les bijous les plus précieux. Sur les sollicitat
’épouser, mais il fut obligé de la disputer à Devadat, oncle de cette belle , sur lequel il emporta le prix de sagesse et de g
verains de notre globe. Son père était Tsédent, c’est-à-dire, le plus beau , qui le mit au monde par suite d’une enflure qu’i
encore. Voici comme les Chinois racontent sa naissance : une jeune et belle vierge, disent-ils, ayant avalé une bulle composé
Son idole se trouve dans la plupart des Mias ou temples. Mais le plus beau temple consacré à Tensiodaitsin est à Iedo, et le
ion les ames des enfans et des jeunes gens. On le représente jeune et beau , vêtu d’un costume parsemé d’étoiles brillantes,
divinisé par les Japonais. Un jour, des voleurs prirent dans le plus beau Mia ou temple de Noumatsion, un Kama qui en faisa
cette bible formée de feuilles d’arbres qu’ils inscrivirent les plus belles maximes de Bouddha, et les principaux évènemens d
lle épousa Odour, c’est-à-dire l’irrité dont elle eut deux filles, la belle Hnossa, déesse de la perfection dont le nom serva
trée en contrée. Le géant Thrim voulut l’avoir en mariage, mais cette belle abandonnée qui toujours pleurait, et dont les lar
ui rendre. Balder, également fils d’Odin et de Frigga, était le plus beau des Ases. Son visage brillant était doué d’une sa
its de la terre, des richesses et de l’abondance. S'étant épris de la belle Gerda, fille d’Umer et d’Aourboda, il envoya son
Héla, déesse de la mort et du monde souterrain. Loke épousa encore la belle et vertueuse Signir, dont il eut un fils appelé N
k, fils de Sigurd, tua l’énorme dragon Orm, ce qui lui fit épouser la belle Thora, fille de Herrand, avec laquelle il eut deu
i. Ce fut lui qui arracha à son maître l’aveu de sa tendresse pour la belle Gerda. Il fut chargé d’aller lui présenter douze
d’Aquilée ; des autels lui avaient été élevés en reconnaissance de la belle défense qu’il avait faite de cette capitale de l’
na secrètement ordre à Eogan de tuer Naois et de faire prisonnière sa belle épouse : ce qu’il exécuta ponctuellement. Cette D
on pays ; fut le meurtrier du géant Meisgéadhra et le ravisseur de la belle Feidhlim-Nathkrotack, fille de Qonnor et épouse d
r des affaires humaines, souvent il apparaissait sous les traits d’un bel homme lorsqu’on l’invoquait, mais il fallait quat
és à ceux qui meurent par la flèche ou par l’épée. Niparaia épousa la belle Anaikondi, et la rendit mère de Qaïaïp. Qaïaïp
i, et la rendit mère de Qaïaïp. Qaïaïp est le plus jeune et le plus beau des trois fils de Niparaia ; il avait pour mère l
ne et le plus beau des trois fils de Niparaia ; il avait pour mère la belle Anaikondi qui le mit au monde sur les montagnes,
r récompense par leur transmission dans le corps des oiseaux les plus beaux et à la plus belle voix, était un polythéisme for
ur transmission dans le corps des oiseaux les plus beaux et à la plus belle voix, était un polythéisme fort grossier. Ces Mex
Bechak, 468. Bée, 353. Béel, 398, 403. Beelphégor, 89. Behramon, 468. Bel , 89, 230, 247, 398. Bela, 87. Bélate, 292. Belath
12 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
oint de s’entre-tuer sans se haïr : le comble de la gloire et le plus beau des arts a été celui de se détruire les uns les a
régulière, tels qu’on en voyait les représentations dans le temple de Bel . « Une femme, nommée Omorca, était la maîtresse d
de Bel. « Une femme, nommée Omorca, était la maîtresse de l’univers. Bel la divisa en deux : une de ces parties forma le c
tre la terre ; alors les monstres de formes irrégulières disparurent. Bel partagea ensuite les ténèbres, sépara le ciel d’a
rit de vie. Voilà sans doute ce qui fait dire à l’auteur chaldéen que Bel s’était fait couper la tête. Bérose conclut ensui
lus autour de lui que des traditions défigurées et confuses ; mais le bel ordre de l’univers avait tellement frappé ses reg
ter la définition qu’en a donnée le célèbre Zoroastre ; c’est la plus belle qu’ait produite l’antiquité. Eusèbe l’a conservée
immatérielle et invisible, ne trouvèrent rien dans la nature de plus beau que le soleil ; peut-être même que la reconnaissa
sculpteur différens les ayant représentées, leurs statues parurent si belles , que les neuf furent consacrées, et ce fut ainsi
s et d’Isis. L’un et l’autre s’étant extrêmement distingués par leurs belles actions, par l’invention de plusieurs arts utiles
ces des fables. On ne trouva point la vérité assez surprenante, assez belle  ; on la para d’ornemens étrangers ; et l’on crut
nt que l’usage des lettres fut introduit, les grands événemens et les belles actions n’avaient d’autres monumens que la mémoir
musiciens furent des Apollons, les grands médecins des Esculapes, les belles voix des Muscs, les oranges des pommes d’or, etc.
er de mille manières différentes. Cette idée du destin est le plus bel aveu que les hommes aient fait de la nécessité d’
ux, etc., etc. On admettait aussi parmi ces dieux les héros que leurs belles actions avaient élevés au rang des immortels. Le
t sans réserve. Il avait eu jusqu’alors trop d’empire sur la jeune et belle Claudia ; des doutes injurieux commençaient à s’é
rise lui-même dans Évhémère. Le père dom Pezron l’a mise dans le plus beau jour, en rapprochant, pour la soutenir, tous les
ande lumière sur ce point de discussion. A Londres, dans une des plus belles et des plus riches collections du monde, celle de
livrait au repos ; heureux s’il n’avait point terni sa gloire et ses belles actions par son goût immodéré pour le plaisir ! C
rtent à croire que Prométhée fut le premier inventeur des statues. Un beau monument respecté par les temps, et dont la gravu
Pâris lui eut préféré Vénus, lorsqu’il fut chargé de donner à la plus belle la pomme jetée par la Discorde. Pâris était fils
ain, qui, pour récompense, exigea qu’on le mariât avec Vénus, la plus belle des déesses. Cette punition ne corrigea point Jun
a muse Calliope. On représentait toujours ce dieu sous la figure d’un beau jeune homme couronné de fleurs et de marjolaine,
son secours, et tua le monstre. L’avare Laomédon osa refuser les deux beaux chevaux qu’il avait promis à Hercule. Le héros in
ue d’Hercule, parce que l’objet de la tragédie est de représenter les belles actions des héros, et le plus illustre de tous es
Parmi les monumens les plus célèbres qui restent de Bacchus, les plus beaux sont ceux qui représentent son mariage avec Ariad
fut blessé par Saturne son fils. Ce mélange bizarre produisit la plus belle des déesses ; elle parut aux environs de Cythérée
r les bêtes sauvages. Mars, jaloux des soins que Vénus accordait à ce beau jeune homme, suscita contre lui un énorme sanglie
à Vénus la pomme jetée par la Discorde, avec cette devise : A la plus belle . Il serait impossible de faire connaître toutes l
Grâces lui servent de cortége. (Fig. 26.) La plus parfaite et la plus belle de ses statues est celle appelée de Médicis ; on
La rose était particulièrement consacrée à Vénus, comme étant la plus belle des fleurs. La fable ajoutait que sa couleur étai
que Apelles voulut peindre Vénus recevant la pomme destinée à la plus belle , pour mieux forcer tous les regards à céder au ju
eur, la gaieté, l’éloquence, la sagesse ; mais la première et la plus belle de leurs prérogatives était de présider aux bienf
ves pour punir Junon, en consentant à son mariage avec Vénus, la plus belle des déesses. On lui donnait le surnom de Mulciber
Mercure, pour le séduire et lui faire garder le secret, lui donna une belle vache ; mais, n’osant encore se fier à sa discrét
e opinion des Sirènes. Les poëtes les représentent comme de jeunes et belles filles, habitant les rochers des côtes de la Sici
de la culture des jardins. On représente Pomone sous la figuré d’une belle et jeune femme, assise sur un panier de fruits, a
ois nymphes Écho, Syrinx et Pithys. Écho le rebuta pour s’attacher au beau Narcisse, qui, s’étant vu dans une fontaine, devi
Picus, père de Faunus, était un prince accompli. Devenu l’époux de la belle Canente, dont Ovide fait un portrait enchanteur,
m. La ville du Soleil est Héliopolis ; les plaines heureuses sont les belles campagnes situées aux environs du lac Achéruse, a
maisons les ancêtres embaumés, pour y perpétuer le souvenir de leurs belles actions. Le respect des Égyptiens pour les morts
der sur le rivage un taureau d’une extrême blancheur. Il le trouva si beau qu’il ne voulut point l’immoler, et le garda pour
s noces de Pélée, la fatale pomme, avec cette inscription : A la plus belle . Nous avons déjà dit que les Prières, ses sœurs,
ui bâtit un temple superbe sur ce lieu même, et l’on fit revêtir d’un beau marbre blanc tous les bords de l’île, en lui donn
que la-gloire même de l’avoir produit n’a pas osé soulever. Dans les beaux temps d’Athènes et de Rome, il eût été plus facil
13 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
éa sans peine ces conditions ; et Mélampe ayant réussi épousa la plus belle des trois sœurs. Le culte de Junon était universe
C’est à Neptune qu’est attribuée la création du cheval, un des plus beaux présents que les dieux aient pu faire aux hommes 
, que Minerve n’y pouvant découvrir aucun défaut, mit en pièces cette belle tapisserie, où les folles aventures de son père é
sans beaucoup de peine à donner le change à ses déplaisirs. Adonis, beau jeune homme, né en Arabie, aimait passionnément l
Cupidon sont les trois Grâces : Aglaé, Thalie et Euphrosine. Jeunes, belles et modestes, les cheveux négligemment noués, elle
e que nulle force humaine ne pouvait rompre ni percer. Parmi ses plus beaux ouvrages, il faut ranger le collier magique, dont
u fleuve Pénée. Le dieu éprouve aussitôt une violente passion pour la belle nymphe ; et la nymphe, loin de répondre à sa tend
d’obtenir des plants d’une qualité supérieure. Érigone était jeune et belle  : elle enflamma bien vite le cœur du dieu, qui ne
s reprend aussitôt son premier état, et peut enfin faire écouter à la belle indifférente une déclaration commencée tant de fo
e, les Filles de Mémoire, les Neuf Sœurs. — On les représente jeunes, belles , modestes, vêtues simplement, assises à l’ombre d
ilène, encore échauffé par le vin qu’il a bu la veille, développer en beaux vers les principes d’ Épicure sur le chaos et sur
re des ruches à miel. Un jour qu’il poursuivait dans les campagnes la belle Eurydice, femme d’Orphée, un serpent caché sous l
e magique ou philtre, qui pût attendrir Scylla. Glaucus était le plus beau des dieux marins. Circé en le voyant conçut pour
et des autels. Les Romains lui dédièrent dans la voie Sacrée le plus beau temple qui fût à Rome. Cet édifice, commencé par
qui ait existé sur la terre, fut appelée Pandore ; rien n’était plus beau qu’elle ; l’assemblée céleste en fut émerveillée,
Eurydice ! P. D. E. Lebrun. § 9. Cadmus. Cadmus, frère de la belle Europe, était fils d’Agénor, roi de Phénicie. Qua
voyait gendre de deux grandes divinités ; père de quatre filles aussi belles que séduisantes, Ino, Agavé, Autonoé et Sémélé ;
ges qu’il venait de causer en Attique. Peu après, Pirithoüs épousa la belle Hippodamie, (appelée Déidamie par quelques auteur
nobéa, tourmentée de remords, s’empoisonna. § 15. Orion. Orion, beau jeune homme et chasseur infatigable, surpassait p
l court sur ses oncles, les perce tous deux de son épée, et rend à la belle Atalante la dépouille du sanglier. Althéa aimait
vec Niobé sa sœur, et se retira en Grèce, où il demanda en mariage la belle Hippodamie, fille d’Œnomaüs, roi d’Élide. Seule h
l fait décapiter le moribond, saisit cette tête sanglante, la ronge à belles dents, ouvre le crâne et en arrache la cervelle…
issance, Ganymède unissait tous les dons extérieurs : c’était le plus beau des hommes, et ses mœurs ne déparaient point sa f
n’offrait à l’œil qu’un monceau de ruines, renaît plus grande et plus belle  ; l’empire s’étend et fleurit ; d’utiles alliance
tres, qui le cachèrent et prirent soin de l’élever. Il devint le plus beau , le plus adroit et le plus brave des bergers phry
a sur la table une pomme d’or où étaient gravés ces mots : à la plus belle . Ce fut le signal des contestations. Junon, Vénus
promit les richesses ; Minerve, la gloire des armes ; Vénus, la plus belle femme du monde. Vénus fut préférée : elle obtint,
et toute la nation troyenne. Vénus, qui avait promis à Pâris la plus belle femme du monde, lui désigna Hélène, fille de Tynd
Laërte et d’Anticléa. Il n’y avait pas deux ans qu’il avait épousé la belle Pénélope, fille d’Icarius, lorsque la guerre écla
nifique ; ses délicieux jardins produisaient en toute saison les plus belles fleurs et les plus beaux fruits. Sa famille offra
rdins produisaient en toute saison les plus belles fleurs et les plus beaux fruits. Sa famille offrait le tableau de l’innoce
ourroux s’exhalait par des plaintes et des reproches. « Il est temps, belle Pénélope, de faire un choix, lui disaient-ils ; s
tor partit pour aller au combat où il perdit la vie, sont un des plus beaux et des plus touchants morceaux de l’Iliade. Il es
elle était payée de retour. Mais Polyphème s’était aussi épris de la belle nymphe : Polyphème, le plus hideux des cyclopes.
t les Lyciens. Latone, fille du titan Céus, était si parfaitement belle qu’elle captiva le cœur du maître des dieux, et c
e ce vol. Mercure, craignant qu’il ne le dénonçât, lui offrit la plus belle des génisses s’il voulait garder le silence sur c
orsque Philomèle entra, parée de ses plus riches ornements, mais plus belle de ses attraits. A sa vue, le cœur de Térée s’enf
hé. Psyché, la plus jeune des trois filles d’un roi d’Asie, était belle comme le jour, mais d’un caractère si léger et si
ce mouvement fait pencher la lampe. Une goutte brûlante tombe sur le beau dormeur. Il se réveille en sursaut : « Ingrate Ps
Léandre, jeune homme d’Abydos ville d’Asie, aimait passionnément la belle Héro, jeune prêtresse qui demeurait à Sestos, en
vase de parfums, dont il n’eut qu’à faire usage pour devenir le plus beau des hommes. Toutes les dames de Mitylène cherchèr
alion. Pygmalion, sculpteur de l’île de Chypre, fit une statue si belle qu’il en devint amoureux, et pria le ciel de la r
enir sa promesse ; et le beau-père frustré vola à son gendre les plus beaux chevaux de son étable. Ixion dissimula d’abord sa
prix s’adjugeaient au concurrent qui avait composé et chanté le plus bel hymne à la louange du dieu dont les flèches avaie
sortes de formes qu’il serait trop long d’énumérer : tantôt c’est une belle femme dont la tête est armée de deux cornes, entr
14 (1880) Lezioni di mitologia
desiderano, di stampare le Lezioni da me recitate nell’Accademia di Belle Arti nel primo anno del mio Corso. Li prego nulla
. Basterà dirvi che il celebre Winkelman, tanto benemerito delle arti belle , ha scritto su questo soggetto un’operetta, che p
dall’alto Vegliano uniti in sull’Ettorea salma Venere e Febo: ella il bel corpo inonda D’ambrosio odor che delle fere edaci
triforme Co ’l sangue d’Ifigenia, allor che cinta Di sacra fascia il bel virgineo crine Vid’ella a se davante in mesto vol
on ottenea. Giaceva al suolo Palpitante una cerva, e vasto il corpo E belle avea le forme, e tutta avea Sparso del sangue suo
uora Telefuessa lo donò: d’Europa Presente illustre alfin divenne: in belle Opre il metallo variato; scolta V’era Flnachia fi
andida vitella. Poi fìnse per diporto e per ristoro. Andar godendo il bel luogo, ov’egli era; Giunon con gelosia, con gran
alla giovenca bella, Altri intorno facean la sentinella. Ovunque il bel pastor la faccia gira. Ch’ha di si ricche gemme i
vede. Lascia che pasca il dì l’erbose sponde, Che sparte son nel suo bel patrio regno; Acque fangose, ed erbe amare e fron
elle; Ma come le sue nuove altere corna Mira nell’acque cristalline e belle , S’adombra tutta, e si ritira e mugge, E mille vo
al morto capo quei cent’ occhi svelle, E fa le penne al suo pavon più belle . Empie di gioie la superba coda Del suo pavone,
llezze di cui ridonda possano in altra lingua trasportarsi. « Il più bel simulacro di Giove che ne abbia, come si esprime
todi offrendo disse: Ah non offenda mai l’asta romana Al mio Tazio il bel volto; — e allor che il primo Fumo scorgea sulla
piegava; fortunato foco. Che del mio Tazio a me le schiere insegni: O belle agli occhi miei tende sabine: Ahi, voglia il ciel
so. Adesso io scuso Scilla crudele alla paterna chioma, Onde latra il bel corpo, e l’onda freme, E te fanciulla, che il fra
lsa, Dolce ritrosa che negando invita, E ‘1 Silenzio che chiede, e ‘1 bel Mistero Col dito in su le labbra, e la soave Sosp
gentili, e quelle Arti celesti che dal bello han nome E son alma del bel , gli acconci Detti E i soavi Colloquìi, e quanto
nto si vedono legate al capo con un semplice nastro, come appunto nel bel marmo che ora spieghiamo. La fìsonomia fina e viv
ai tempi del Nardini, al sito dell’Esquilino dove fu scoperto questo bel marmo, e ch’egli sospetta esser potuto derivare d
tua, che l’intelligente Pussino non ha prese sopra altro marmo le più belle proporzioni della figura. E il numero delle copie
llineo ramo E l’atrio intero: lungi ite, profani, Lungi. Le porte col bel pie percote Febo: noi vedi? La Deliaca palma Di r
ade in equivoco. Se questa sola basta ad incantare chi osserva questo bel simulacro nel tutto insieme, cresce poi il piacer
statua l’Apollo di marmo di Prassitele che Plinio annovera fra le più belle opere di quello scultore, senza additare il sito
amor ti seguo; Misero me, che tu non cada, e il pruno Non ti punga il bel pie, che non è degno Di essere oifeso, che di pia
gura una sanità vivace che annunzia la forza, simile all’aurora di un bel giorno. Non pretendo però che tanta beltà si trov
eva. « Tale è la capigliatura di una figura muliebre in una delle più belle pitture dell’Ercolano, la quale presso ad un auto
ione, in un secolo specialmente pieno di gusto e d’intelligenza nelle belle arti, non abbia scelto fra i simulacri di Febo ch
oci alquanto dallo stupore in cui ci trasporta l’osservazione di così bel simulacro per esaminar ciò che d’istruttivo, circ
Fetonte, aprìa l’Aurora Le porte d’oriente, e vi spargea Le rose col bel pie: fuggon le stelle Che Lucifero aduna, e lasci
Cipolla. In questo si trovano lavorate molte delle più antiche e più belle statue greche. Diana succinta. « L’abito succinto
ciatrici si vedono figurate in tal guisa, e segnatamente Atalanta nel bel bassorilievo Borghesiano della morte di Meleagro.
ure bellissimi ne sono i piedi, nè più ben fatti si veggono nelle più belle greche figure. I capelli vengonle sulla fronte in
tutte le altre dee. Come Diana stessa, presso Omero, fra tutte le sue belle Oreadi distinguevasi: per lo più non ha che una c
Giove si celi. Allorché vide le compagne note Lascia ogni tema, e del bel numer’una Tosto diviene. Ah come mal si cela Nel
del sapere non poteva stare in compagnia più propria che quella delle Belle Arti, e il parto del cervello di Giove che colle
corrisponde. La statua di scalpello -infelice non ci conserva che il bel movimento dell’originale. MINERVA PACIFERA. « La
o la porta sopra molle spuma in mezzo al mare risonante. L’Ore (e che bel quadro sarebbe mai questo:), l’Ore coi capelli in
iterea rivolse altrove gli occhi impauriti, si coperse colla veste il bel volto, e gridò: Tu m’ ingannasti, diva: ma pietà
in un’ età più matura, e più grandi sono che la Venere dei Medici. Le belle forme dell’ adolescenza femminile che in questa s
Tal fregio di capo è stato pure attribuito a Teti nella pittura di un bel vaso di terra cotta esistente nella Biblioteca Va
carne. Languisce l’occhio sotto al morto ciglio; Dal labbro fugge il bel color di rosa, E intorno al labbro langue il mori
ori. Teco perì, nè più possiede incanto Olà sì pieno di grazia il mio bel cinto. Perchè, audace garzon, seguir la caccia. E
u gitta intanto, Poich’egli è morto, e tutti i fior morirò. Spargi il bel corpo con unguenti, spargi; Peran gli unguenti tu
iugarsi, che cade aggruppato sopra di un’urna, rende singolare questo bel simulacro di Venere, quanto il presentarci una im
aspetto; ivi conviti e feste Scorgi e letizia; leggiadretta sposa Al bel chiaror delle notturne faci Al desiato talamo si
, non trovasi certamente fra tutti i lavori degli antichi. Le due più belle figure di questo dio. soqo una statua sedente col
nume vicin, stridon le porte Di perenne adamante. Ecco ritorna, ^E le belle ire del valor guerriero Ha nel volto; di sangue I
ai, ha qualche volta il medio, o cesta, sul capo, e Winkelmann in due belle figure della Villa Negroni, credute Cariatidi, du
sacerdotessa Nicippe. Cerere in nessun luogo è stata effigiata con sì belle sembianze quanto in una moneta d’argento della ci
e bellezza: e diffìcilmente si troveranno ancora pel conio monete più belle di alcune siracusane rappresentanti una testa di
di moderno risarcimento, non siamo sicuri che siasi sempre in questo bel marmo ravvisata la dea dell’agricoltura. Straniss
li, e chi le tempia Coll’amaraco adorna, e va di rose Coronata, e del bel ligustro adorna Il sen, che tanto paragon non tem
e briglie, e al mio dolor soccorri. — Da tai detti il feroce, e dalle belle Lacrime è vinto, e del primiero amore Sente i sos
ronzo, e Prassitele ne aveva per l’ innanzi scolpito uno per loro del bel marmo del Monte Pentelico. I Tespiesi narravano c
Penetri ardito, i nostri carmi avrai; Nè la candida tua Psiche, e le belle Forme, e la notte, e gli amorosi guai Inonorati a
lo stesso Nume, che erano parte di quella preziosa raccolta delle più belle statue del mondo. Io non voglio defraudarvi di ta
ell’alleanza delle Muse col Sonno, noi possiamo considerare in questo bel marmo l’unico simulacro che ce ne resti. (Notate
ubblicato per antico da Montfaucon. Con questo Nume sia effigiato nel bel monumento che ora esponiamo, non accade porlo in
el Sonno con quella delle dee del Parnaso. Così appunto si vede in un bel basso rilievo del Palazzo Mattei, e in una statua
letterati d’Italia, il dottissimo abate Lanzi, tanto benemerito delle Belle Arti per la sua Storia Pittorica, quanto lo è del
Pausania nel suo Viaggio nella Grecia parla incessantemente delle belle opere delle quali era ripiena, ma egli conosceva
i. Esse trovansi generalmente espresse nella morte di Meleagro, e son belle fanciulle, ora con l’ali al capo, or senza, disti
, pubblicato nella seconda parte dei Vasi di Hamilton. Così giovani e belle vengono rappresentate queste vindici dee su varii
meste Seguiva il pianto, e de’ miei lumi l’onde Cadeano sopra le tue belle membra; E tu d’ogni pensier leggiero e scarco Mi
bellezza: e difficilmente si troveranno ancora pel conio, monete più belle di alcune siracusane, rappresentanti una testa di
generi di lavoro, ed in varii tempi. Così è rappresentata Nemesi nel bel vaso del Palazzo Chigi, così in un raro cippo rip
iene scambiata coli’ Aurora. Così in moltissime gemme antiche. Questo bel simulacro fu trovato nella Villa Adriana, mancant
mi, disse, la destra entro la chioma, E vedrai d’ogni intorno Liete e belle venture Venir con aureo piede al tuo soggiorno: A
l’Ellesponto al gran Nettuno. Corsi sul Nilo, e de l’egizia donna Al bel collo appressai l’aspre ritorte, E gemino veleno
collo appressai l’aspre ritorte, E gemino veleno Implacabile porsi Al bel candido seno: E pria ne l’antro avea Combattuta e
o nelle feste Panatenaiche. Il volume è attribuito a Clio anche dalle belle pitture dell’Ercolano, ove si leggono inoltre i n
iore ad Alessandro ed anteriore ad Attalo. « Non posso tralasciare un bel monumento appartenente a Clio dissotterrato fra l
e avere in mano per additare i segni. La Musa rappresentata in questo bel marmo è ornata di una gemma sull’orlo superiore d
mezzo in su, ma di eccellente scalpello, nella Villa Pinciana. « Nel bel bassorilievo cilindrico rappresentante Paride ed
. Polinnia, eh’ è la Musa del Gesto e dell’Azione, è qui posta per le belle maniere di Paride, come in altri simili monumenti
grati alle donne, mostra con quanta ragione abbia lo scultore di quel bel bassorilievo rappresentata Erato colla cetra, com
ondersi i Pelopidi in paragone delle spalle di Perseo, perchè essendo belle per sé stesse e di un vivo color sanguigno, la fa
con egual diligenza. Son tali insomma quali possiamo figurarci delle belle copie di bellissimi originali. Questa all’incontr
quale merita di essere con meraviglia considerata da chiunque ama le belle arti: essendo questo il lor più sublime grado di
gura di un Poeta coronato di edera e col volume fra le mani. « Questo bel simulacro è conforme a quello della Calliope ch’e
cavano nei conviti, e con tre brindisi era costume di onorarle. Mille belle allegorie possono da queste divinità rilevarsi. A
ra gì’ imperatori romani fu ritratto nelle sembianze di Apollo. In un bel cammeo del cavalier Wortley l’ultima Grazia a des
soddisfare che Visconti nella seguente illustrazione di una delle più belle statue che rappresentino il dio del Vino. « La s
orre. Bacia gli occhi al figlio, E della fronte illividita i giri. Le belle chiome del sanguigno capo, E gridando mandò tal v
iovine Satiro chiamato Ampelo, o la Vigna. Il poeta ci dipinge questo bel fanciullo, e le sue grazie nascenti, che a Bacco
ieno le cortecce di fuori di quel frutto, come si potrà osservare nel bel cammeo riportato dal mentovato Buonarroti. Tanto
crivere la perdita della metà inferiore del nostro Bacco, come di tre belle statue feminili del Museo Capitolino, e d’un Adri
tto, ed attesta di essere stato procreato dalla terra per amore di un bel giovinetto che piange quando è primavera. Ma non
iovine spartano giace là rovesciato sopra la terra: le sue forme sono belle , ed esercitate alla corsa. Apollo abbassa i suoi
in quel nappo istesso che gli si vedeva propinato dall’Ebrietà in un bel gruppo da Pausania osservato e descritto. La perf
entauri tirare il carro di Bacco. In questa guisa sono scolpiti in un bel cammeo di cinque strati di diverso colore riporta
e che vi è salito, chiude il bassorilievo. Centauro. « È stato questo bel simulacro di marmo bianco statuario recentemente
lio in topazio del Vaticano; la stessa appoggiata ad un Fauno è in un bel vaso etrusco riportato dall’Hancarville; la stess
estremamente a quelli coi quali è stato rappresentato da Salpione nel bel vaso di Gaeta, il cui soggetto è quasi la seconda
di qualunque nome più grande che illustrasse a quegli aurei secoli le Belle Arti. » Lezione sessantesimanona. Altri monum
mposizione ò così felice, la cui espressione sì vera, le cui parti sì belle che può estimarsi uno dei più eccellenti ohe sian
mpagnia di veri Satiri e Fauni lo fa arguire. « La Baccante di questo bel bassorilievo è quasi del tutto ignuda, se non che
15 (1845) Mythologie de la jeunesse
ux et six mois auprès de sa mère19. L’imagination a fait de Cérès une belle femme, couronnée d’une guirlande d’épis, et tenan
elle devait à son époux. Elle aima, entre autres, le dieu Mars, et le bel Adonis pour qui elle abandonna l’Olympe. Elle éta
gamemnon. [Fig. 56] Malgré sa difformité, il épousa Vénus, la plus belle des déesses. On le représentait noir et crasseux,
elphes, de Délos et de Claros. On le représentait sous la figure d’un beau jeune homme sans barbe, la tête ceinte d’une cour
u Belvédère [Fig. 62]. [Fig. 61] [Fig. 62] Diane. Diane, belle , chaste et sévère, était sœur d’Apollon. Jupiter
rmi les arbres, le laurier et le palmier. On les représentait jeunes, belles , modestes, simplement vêtues, ayant à leur tête A
ilieu des déesses la pomme d’or, sur laquelle était écrit : À la plus belle . On la représentait avec des yeux hagards et enfl
ix un temple magnifique. Elle était représentée sous les traits d’une belle femme, tenant d’une main une branche d’olivier, e
étis et de Pélée, et sur laquelle était cette inscription : À la plus belle  ! Plus tard, Pâris se rendit à Lacédémone, et, se
blanc. Il crut plaire à ce dieu en lui découvrant l’infidélité de la belle Coronis, fille de Phlégias. Apollon, dans le prem
asard vu le larcin. Mercure, pour l’engager au silence, lui donne une belle génisse, et le berger promet de se taire. Cependa
le et de Progné ont fourni à La Fontaine la matière d’une de ses plus belles fables, que voici :         Autrefois Progné l’h
s à quelque rustique ? Les déserts sont-ils faits pour des talents si beaux  ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles.
i l’accepta. La déesse, voyant que l’ouvrage de sa rivale était aussi beau que le sien, et honteuse de se voir surpassée par
trouver quelques attraits, je n’aspirais point à la réputation d’être belle  ; je rougissais même des louanges qu’on me donnai
éférence les vers de Corneille, qui sont les moins connus et les plus beaux . Qu’on fait d’injure à l’art de lui voler la fab
r ornement Les larmes d’une amante ou le sang d’un amant ? Qu’aura de beau la guerre, à moins qu’on ne crayonne Ici le char
ifie chèvre. 23. Endymion était un berger qui passait les nuits à la belle étoile. La Fable, qui embellit tout, en a fait un
espérides étaient filles d’Hespérus, frère d’Atlas, et possédaient un beau jardin rempli de fruits d’or. On devine aisément
16 (1897) Mitologia classica illustrata
un determinato concetto delle varie Divinità? Mitologia dunque e arti belle hanno molti punti di contatto; ed ecco perchè in
na appunto un alto grado di potenza, egli è che « fa la pioggia e, il bel tempo ». A queste attribuzioni si connette l’ Egi
atteggiamento appoggiata sullo scettro. Anche in altri Musei trovansi belle statue di Giove o in marino o in bronzo. In tutte
Espressione di questo pensiero è il mito di Giacinto (Hyacinthus), il bel giovane Spartano, amato da Apollo per la sua stra
nome. Quando poi è finita la caccia, la Dea si compiace tuffar le sue belle membra dentro qualche fresco corso d’ acqua, circ
icordano Artemide e le leggende che vi si riferiscono. Ma le lodi più belle , più sentite di Diana furono scritte dai Latini.
re al fanciullo, verso cui si volge con dolce sorriso il suo sguardo. Belle le fattezze del volto, e hanno una cotal finezza
rese infelice facendo che la matrigna Fedra innamorasse di lui, e il bel Narciso il quale sdegnava l’ amore della ninfa Ec
rire il suo senso primitivo naturalistico. Raccontavasi dunque che il bel giovane, onde Afrodite era innamorata, morisse du
a Parigi (fig. 28). Sebbene ora manchino le braccia, è sempre un gran bel lavoro, in cui tu non sai se debba ammirar più l’
le; di qui il dio Elio (Helios). Gli antichi se lo figuravano come un bel giovane cogli occhi lucenti, colla chioma tutta a
carro e le stelle in figura di giovanetti aerei che fuggono. Ne meno belle le descrizioni del tramonto; si dice che il sol c
enda che viveva segnatamente nella Caria e in Elide. Era Endimione un bel giovane, forse il genio della notte e del profond
i della dea Selene negli autori; con lei vengono paragonate spesso le belle donne; di lei si loda la candida luce. Un frammen
to cogli altri nel Tartaro, dicevasi che Eos avesse scelto a sposo il bel cacciatore Orione; ma neanche questa scelta fu fo
atto di scendere a volo sulla terra, già col piè destro al suolo; le belle forme del corpo si disegnano sotto gli svolazzi d
, e persino i filosofi ricamarono intorno al mito di Eros le loro più belle teorie; basti ricordare il Simposio di Platone. F
econdo che era in Tespie di Beozia era considerato come una delle più belle statue di tutta l’ antichità. L’ imperatore Neron
naee Hymen, o Hymen Hymenaee. » La statuaria lo rappresentava come un bel giovane, qualchevolta alato come Eros, ma più gra
cinquanta di numero, secondo leggende posteriori, cento. Eran esse le belle e graziose ninfe del mare, amiche dei naviganti,
di Icaria a quella di Nasso, Dioniso che aveva assunto la forma d’ un bel ragazzo col capelli ricciuti e il mantello di por
eggasi la statua dei così detto Sardanapalo in Vaticano (fig. 55), un bel saggio di tal tipo. Più tardi si prese a dare all
ed anche di Artemide cacciatrice e di Afrodite. Erano immaginate come belle e graziose donzelle, che si dicevano abitare nè p
li, ma ne esigevano una irreprensibile fedeltà; onde ad es. Dafni, il bel pastore siciliano, orgoglio della sua isola, amic
onde e tra catene di monti. Si narrava ch’ ella amasse alla follia il bel Narciso, figlio dei fiume Cefiso, il quale invece
iù facilmente si potevano volgere a riso. Il Ciclope d’ Euripide è un bel saggio di queste composizioni, che il popolino in
ileno, il Sileno educatore e il Sileno ebbro. Del Sileno educatore un bel saggio si ha nella statua del Louvre qui riprodot
latte e mosto. 3. Un antico inno che è tra gli Omerici, il 19o, è un bel monumento in onore di Pane; descritta con colori
o con tanta fatica. I Fauni in arte non differivano punto da Pane. Un bel Fauno in marmo rosso, dell’ età imperiale, s’ amm
improverolla della fierezza sua, e a un tratto prendendo figura d’ un bel giovane seppe farla sua. Così Pomona dicevasi fat
ch’ ella erasi scostata dalle compagne e dalla madre per cogliere un bel narciso, eccoti all’ improvviso aprirsi davanti a
dove descrisse in sonori versi le diverse scene di questo dramma con belle descrizioni, con parlate piene di sentimento, seb
po della morte, prevalendo sempre più l’ idea di raffigurarla come un bel giovane, come Endimione od Eros, ora alato or no,
ti da Teseo) contro la brutalità ferina. Nè vanno taciute le non meno belle rappresentazioni di Centauromachia che erano nel
Admeto fu più volte argomento di lavori poetici in Grecia; ma il più bel monumento innalzato a celebrare la fortuna di lui
ore di parecchie opere di pittura o scoltura. La fig. 77 riproduce un bel rilievo del palazzo Spada a Roma intorno a questo
l’ arte assai per tempo abbia fatto suo pro’ di questo terna ricco di belle situazioni, oltre ad alcuni antichi vasi n’ è pro
ita era di buon augurio. L’ arte soleva rappresentare i Dioscuri come bel giovani, solitamente nudi o con una leggiera clam
e fatta madre dei gemelli Calai e Zete, e Procri già felice sposa del bel cacciatore Cefalo, poi tormentata dalla gelosia e
ro e posseduto attualmente dal Museo di Berlino. Anche ricorderemo un bel rilievo della villa Albani in Roma, figurante Tes
iva del mare. Vide, in mezzo all’ armento regale che là pascolava, un bel toro bianco come la neve, con piccole e ben torni
agedie di Sofocle e di Euripide ve ne sono parecchie, e non delle men belle intorno ad Eracle; basti ricordare le Trachinie d
Posidone di prendere a suo bell agio qualunque forma desiderasse e di bel nuovo deporla. Finalmente ricordiamo qui la trage
mangono solo il torace e le cosce; ma questa reliquia è una delle più belle cose pervenuteci dall’ antichità, tanta è la gran
o. Si avverta quel non so che di malinconico che è nel viso di questo bel giovane. II. La spedizione degli Argonauti.
oi molto numerosi i monumenti d’ arte concernenti questa leggenda. Un bel bassorilievo è nel Museo Lateranense, e rappresen
seco un figlio di Atreo, di nome Plistene, e allevatolo come suo, un bel giorno lo mandò a Micene perchè uccidesse Atreo.
ille alquanto goffo e materiale. Anche il fratellastro Teucro ebbe un bel posto tra i guerrieri per la sua abilità nel trar
ia conservate, trasformandole a modo suo, quelle tanto vivaci e tanto belle tradizioni. Opera immensa sarebbe anche descriver
ce che salva dal furor nemico il cadavere di Achille. In ogni modo il bel corpo giovanile dell’ eroe morto colle membra abb
ad argomento i vati e poeti dell’ età mitica; qui ricordiamo solo un bel rilievo in marino che si conserva in Napoli, di c
» 11. « Già Venere Citerea al lume della luna dirige le danze, e le belle Grazie insiem colle Ninfe con alterno piede percu
17 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
a di forma rotonda per significare l’universo ch’è rotondo, e nel cui bel mezzo stassi, come in sua sede, il fuoco, secondo
ltra eran dodici stanze o piccioli palagi per gli Dei maggiori, e nel bel mezzo una sala magnifica sì per deliberare e sì p
e la frase ricoprire coll’egida significa proteggere, spfendere. Nel bel mezzo di essa era il capo della Gorgone, del qual
to e biondissimo oro ; ma fra le sorelle essa sola era mortale. Or sì bel pregio de’ capelli perdè per volere di Minerva, l
convertirono in pietra, ed il sangue che ne grondava, le tinse di un bel rosso. Questi sono i coralli, i quali, stando nel
sparviere, ch’è nemico del ciri. Vuolsi che sia opera di Virgilio un bel poemetto intitolato Ciris, nel quale diffusamente
il nome di Ammone, o arenario. Altri scrivono che un ariete mostrò un bel fonte a Bacco, il quale pe’deserti della Libia gu
sì lieto banchetto. Di che oltre modo sdegnata gettò sulla tavola un bel pomo d’oro, nel quale era scritto : Pulchriori d
assai a dire, ed i poeti stessi non lasciano di raccontarci grandi e belle cose della Regina degli Dei. Appresso Omero(1) Gi
in Omero(4) Ebe pone le ruote al cocchio di Giunone, e vi attacca il bel giogo e le leggiadre pettiere ; ma propriamente I
lui. Pindaro(2) volendo lodare l’isola di Rodi, cara a Minerva per le belle arti che vi fiorivano e per la doviziosa felicità
or nelle armi, dopo la sua morte fu tenuta come una Divinità che alle belle lettere ed alle armi soprantende, e ch’era uscita
fibbiavasi con molti fermagli. Ne’ greci poeti leggiamo l’epiteto dal bel peplo dato a molte donne per loro gran lode ; ed
ferta, niuna cosa più accetta e pregevole credeva poterle dare che un bel peplo. Callimaco(2) descrive Pallade e la sua nin
’ultima cosa è più verisimile. In quell’arazzo erano istoriate le più belle imprese di Pallade, e principalmente la pugna di
ne era montato di una sfinge ; ed in un cammeo si vede una Minerva di bel lavoro, sull’elmo della quale son quattro simboli
i e perseguitata tuttavia da Giunone, dopo lungo errare, giunse ad un bel lago della Licia, ove volle spegnere la sua gran
ciullo, il quale, morendo, fra le braccia di Apollo il piegò, come un bel papavero dall’aratro reciso piega sullo stelo il
per le case andava a diletto ; e le ramose corna fregiate di oro, un bel monile di gemme al collo ed altri ornamenti ne fa
a il Dio de’ carmi e della poesia, non che della musica e di tutte le belle arti. I poeti erano suoi sacerdoti e figliuoli ;
li ; essi credevansi da lui inspirati, come tutt’i cultori delle arti belle . Qual signore del canto, andava superbo di una be
un antro freschissimo ; un’ombra detta molle da Properzio ; infine il bel fonte Aganippe(4) il facevano quanto delizioso, a
ma di non aver bagnato le labbra nel fonte del cavallo. Era questo il bel fonte d’Ippocrene, che alcuni mal confondono coll
giorno sull’Elicona col piede percosse una pietra, da cui spicciò un bel fonte di chiarissima acqua, la quale bevuta dava
rcando nella Beozia un luogo per edificare una città, mentre su di un bel destriero girava per varie contrade, fu il primo
una fontana del suo nome. Il supplizio di Dirce è rappresentato in un bel gruppo del palazzo Farnese, detto il toro Farnese
quale da’ monti Acrocerauni si stende sino alle Termopili, e dal suo bel mezzo si spicca un ramo che forma il Parnaso, e c
I. Incumbenzè e breve iconologia delle Muse. Le Muse si dipingono belle e vestite con molta semplicità e modestia, di mod
e sorella di Adrasto, il quale, per iscoprire il cognato, le diede un bel monile di oro e gemmato, fatto da Vulcano ; ed el
adorna e l’aurea testa Di rose colte in Paradiso infiora. E come il bel colore dell’Aurora è simile a quello della rosa,
attribuiva un colore candido simile a quello della luna, misto ad un bel purpureo, come se, dice Tibullo, agli amaranti si
r che dalla vite cola. Quindi il Redi, parlando del vino, dice : Sì bel sangue è un raggio acceso Di quel Sol che in ciel
mai meno. Quindi da Orazio(2) fu detto candido, epiteto proprio di un bel volto ; e le arti del disegno fecero a gara per r
l suo cocchio. La corsa di Atalanta e d’Ippomene è il soggetto di due belle figure del giardino delle Tuilèries. Que’ pomi d’
rco Abile e lesto : i crini a l’aura sparsi, Nudo il ginocchio, e con bel nodo stretto Tenea raccolto de la gonna il seno.
. Caro. Le avventure di Enea sono descritte nell’Eneide di Virgilio, bel poema che pe’ Romani potea dirsi poema nazionale,
altra cosa nel genere suo quell’ultimo finimento, diciam così, che fa belle tutte le altre perfezioni e che n’è come il fiore
iene mani (ροδα βρυουσι). Il più si rappresentano quali giovani donne belle e ridenti, vestite più con garbo che con magnific
a il sacro capo cinto di verdeggiante ghirlanda ; ed Eufrosine, dalle belle guance e dalle rosee labbra. Qualche volta le Gra
uon costume, e s’invocava il suo nome nelle nozze. « Alcune delle più belle Sabine rapite dalla romana gioventù, come destina
ea. Essa fu trasportata nel Museo di Parigi, e si annovera fra le più belle statue di questa maniera. Invece del deifino dell
ille accender fiamme nell’acque. Ridean le labbra di rose, e facea sì bel riso giocondare ogni cuore. Colori celesti esprim
lle acque del mare e con una conchiglia in mano ; ed avea sul capo un bel serto di rosse e di bianche rose, mentre candide
le acque caduto. Fu poscia per compassione delle ninfe cangiato in un bel fiore che tiene il suo nome. In un dipinto di Pom
l suo nome. In un dipinto di Pompei rappresentasi Narciso in forma di bel garzone che al margine di un fonte si specchia ne
ì detto non solo da’ latini scrittori, ma eziandio da Omero(3). E con bel tropo i Greci ed i Latini per Marte intendevano l
bocca e si attacca alle orecchie di coloro che volea seco condurre ; bel simbolo della forza che ha l’eloquenza sul cuore
corporatura, e per lo più con un mantello alle spalle. Una delle più belle statue di Mercurio è quella del Museo Pio-Clement
l dir di Ovidio (4), in fistola fu trasformata Siringa, una delle più belle Naiadi che abitavano un monte vicino a Nonaera ,
un monte vicino a Nonaera , città di Arcadia, e figliuola del Ladone, bel fiume che si scarica nell’Alfeo. La quale fuggend
proposito di questa folla di boscherecci Iddii giova qui riferire un bel luogo di Lucrezio (5), il quale, parlando dell’ec
saglia, in disprezzo di Cerere tagliò una selva a lei consacrata, nel bel mezzo della quale era una ramosa quercia, intorno
ad Atreo, Atreo a Tieste, e questi ad Agamennone. Nè son da tacere il bel trono d’oro che Giunone promise al Sonno in guide
era e fabbrica uno scudo, di cui Omero fa una descrizione ch’è il più bel pezzo di poesia che ci abbia conservata la greca
onte detto Partenio. In esso Diana, stanca per la lunga caccia, in un bel giorno di està, si lavava. Or Atteone che là vici
soggetto di molte tragedie ; e l’Ifigenia in Tauride è una delle più belle di Euripide. V. Varie incumbenze di Diana.
irlo con quanto avea di più prezioso(4). Vi erano 127 colonne del più bel marmo, dono di altrettanti re dell’ Asia, e la st
e poetico, e pieno di sublimi immagini e di audaci metafore ; il loro bel cielo, il suolo, tutto era fatto per innalzare a
la Grecia, ricca di memorandi fatti, de’ quali la storia ci aprirà un bel campo di dilettevoli conoscenze, termina colla gu
uomo che si era reso celebre per prodigiosa forza, o per una serie di belle azioni, ed a cui dopo la morte prestavansi onori
abbatte l’idra e che s’impadronisce de’ pomi d’oro dell’Esperidi. Un bel vaso di marmo del Card. Albani rappresenta in ril
o assai delizioso fra l’Ossa, il Pelio e l’Olimpo, ed era bagnata dal bel fiume Peneo. Questa valle era ricca di tutt’i pre
nerva per la città di Atene, e come Nettuno fece uscir della terra un bel cavallo, che qual simbolo di guerra fu nel consig
a che le Nereidi in un antro ch’era nel fondo del mare, formavano il’ bel corteggio di Teti, madre di Achille, la quale con
glia, tirato da cavalli marini, e col tridente in mano. Una delle più belle statue di questo nume in piedi è quella del Museo
che la maga Circe, ingelosita di Scilla, de’ suoi veleni contaminò un bel fonte, ove quella vergine era solita stare al rez
e un luogo presso la palude Acherusia non lungi da Menfi, irrigato di belle acque ed ombreggiato di ameni boschetti di canne
l’inferno col passaporto del ramo dalle foglie d’oro, essendoche, pel bel racconto di Virgilio(3), niuno entrar potea ne’bu
18 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
r génie inventif, et ils rattachaient volontiers l’existence des plus belles plantes à l’aventure touchante de quelque nymphe
nivers ; le Tartare, abîme ténébreux de la terre, et l’Amour, le plus beau des immortels, tyran des dieux et des hommes. La
orce de l’âme et du corps tempérée par l’humanité. A cette antique et belle tradition, les poëtes postérieurs ont substitué l
ssemblée des dieux, qui furent frappés d’étonnement à la vue de cette belle créature, et la comblèrent de dons. Vulcain l’env
, à la Paix et à la Justice. Jupiter épousa ensuite Eurynome, la plus belle des filles de l’Océan, qui fut mère des trois Grâ
Cérès, sa quatrième femme, lui donna une fille nommée Proserpine. La belle Mnémosyne fut la mère des neuf Muses. Enfin, Apol
émosyne fut la mère des neuf Muses. Enfin, Apollon et Diane, les plus beaux des immortels, naquirent de l’union de Jupiter et
ra un roi béotien nommé Cithéron ; il feignit qu’il allait épouser la belle Platée, jeune nymphe, fille du fleuve Asope ; à c
ie sur sa beauté. La reine des Pygmées, Pigas, ayant osé se dire plus belle que la reine des dieux, fut changée en grue ; les
assainit la terre. Apollon, qu’on appelle aussi Phébus, était le plus beau des immortels ; il fut le dieu du jour et de la p
étique ont été décrits par un de nos poëtes (J. B. Rousseau) dans ces beaux vers : Ou tel que d’Apollon le ministre terrible
Le caractère vindicatif de Diane éclata contre Niobé qui, fière de sa belle et nombreuse famille, avait osé se préférer à Lat
reau. Jupiter prit la forme d’un taureau pour transporter en Grèce la belle Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie, qui devi
hoses, Ni ce charme secret dont l’œil est enchanté, Ni la grâce, plus belle encore que la beauté. Jupiter, pour récompenser
rône et son palais aux voûtes d’acier et d’airain, donna à Vulcain la belle déesse pour épouse. Elle portait une merveilleuse
la table du festin une pomme d’or avec cette inscription : A la plus belle . Toutes les déesses voulurent s’en emparer ; mais
rose, la seconde un dé, et la troisième un myrte. Cupidon, fils de la belle Vénus, est le dieu de l’amour. Il faut le disting
reste. Elles sont devenues chauves-souris9. » La Fontaine décrit en beaux vers ce triste dénoûment : Bacchus entre, et sa
vresse et à leurs fureurs. On représentait Bacchus sous la forme d’un beau jeune homme à la chevelure flottante, couronné de
ré la difformité de Vulcain, le donnèrent pour époux à Vénus, la plus belle de toutes les déesses. Vulcain se faisait remarqu
t à s’unir à lui : c’est pour cela qu’il enleva la fille de Cérès, la belle et chaste Proserpine. Ce dieu était généralement
19 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
stari. Ambe. lib. 3. de off. A nibili giovanetti studenti delle belle lettere nel seminario di cava L’autore F
tro fonte attinsero i più rinomati artefici di ogni tempo le idee più belle , onde effigiare le più magnifiche opere atte a ra
o ancora, come pur si pretende, superiori alle altre nazioni, pur con bel genio, ed animosa contesa troppo ciechi a fabbric
avasi negli affari, ed intrighi, e perciò in mezzo alle occasioni più belle , non abbia ancor commesse le sue galanterie. Sia
C on bionda chioma, e con aurata lira, Con fiamma in petto, e con bel lauro al crine, Dovunque il guardo dignitoso Ei g
Sue dissavventure. Un tal figlio però, che riuscir dovea pel padre un bel motivo d’allegrezza, fu per lui la cagione del pi
e altro fù il fulminar dall’alto ed infilzare a scoglio acuto nel più bel de’ suoi marittimi viaggi l’infelice Aiace di Oil
a crudelià però nol fé riguardar per tale, nè mai ottener gli fece il bel titolo di padre degli Dei a lui per natural dritt
denza, colla caparra sicura d’essere un giorno annoverato fra Dei col bel titolo di Dio della Pace(1). Sue imprese. Stabil
l guisa dalla dignità del portento, lasciandosi manudurre da guide si belle potessero ad onta dell’umana fralezza ascender di
Bene assai a mio credere si condottarono i Gentili nello adombrar il bel pregio della innocenza sotto le rappresentanze di
sventure, ma far, che siccome il disordinato affetto ce la tolse, un bel ordinato amore ce ne faccia fare nuovamente l’acq
e sola, al dir di Cic. lib. 1. de off. vengono i mortali decorati col bel titolo di uomini dabbene è appunto la giustizia,
estra un’ ancora poi fà Fissare al suol, che mobile non è, Chi questo bel problema scioglierà Scorgerà quello, che non trov
ta più espressiva per indicar la rea qualità de’ fraudolenti, che con bel garbo, e dolci lusinghe eseguono i loro infernali
e terza Delle istituzioni poetiche L a poesia prima fra le arti belle , al dir del melanconico cantor della notte, insie
Gange sino a’ Cretini delle Alpi, che non senza ragione si ammira il bel genio di que’popoli di contentarsi essere ignoran
rendono più lumeggiante, e più viva, presentano co’loro risalti delle belle scene, che colpiscono, e commuovono mirabilmente
adde pugnando a morte Cap. VIII. Dell’ode pindarica Questo bel metro, e del pari nobile, e melodioso dicesi pind
elenati dal depravato suo genio. Scrissero dopo lui molti altri delle belle pastorali, ma perchè le lavoravono a capriccio, n
o mio Godrò dolce piacere, e tu ’l godrai. Desta ormai nel tuo cor si bel desio, Non tardare, t’affretta, e se verrai Per g
mio Io dormo, e godo, e tu in vegliar godrai, Appaga qual tu vuoi si bel desio Vieni a veder qual sono, e se verrai Ti sap
O sanctas gentes, quibus haec nascuntur in hortis Numina ! (1). Un bel vantaggio morale risulta ancora dalla Mitologia.
ra, e così fin dalla tenera età dolcemente istillare nel lor cuore un bel genio a studio così interessante. La favola adunq
ato rapilo de Greci, ed altronde recato, pure per mezzo di Diomede di bel nuovo pervennc nelle mani del Trojano Enea, il qu
vulnere sanus abit. Chi fù Plutone. Suo ritratto. (1). Tra le più belle pitture, che rappresentano Plutone la più luminos
20 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
d’Iavan et ceux des Pélasges ne suffisaient point pour peupler cette belle et vaste contrée. La Phénicie et l’Égypte, voisin
ord Arundel, dont ils portent aujourd’hui le nom, et sont un des plus beaux ornemens de la bibliothèque de l’université d’Oxf
à rassembler ce que les temps fabuleux ont de plus certain et de plus beau . » Telles sont les principales époques où vécure
consacré pour désigner les hommes illustres par leur courage et leurs belles actions. Cette étymologie est la plus généralemen
oir déshonneurs, pour reconnaître leurs services et récompenser leurs belles actions. Ils devenaient par des décrets publics l
produit plusieurs chefs-d’œuvre, à la tête desquels on doit placer la belle tragédie de Racine. Les poëtes s’emparèrent de ce
ensemble plusieurs aventures, dont quelques-unes leur réussirent. La belle Hélène, fille de Tyndare, était célèbre dans tout
trompa la déesse, et lui dit qu’Alcmène venait de mettre au monde un bel enfant. Junon, surprise, quitta sa place, et dans
lus grande beauté ; Eurysthée ordonna à Hercule d’aller ravir le plus beau et de le lui amener : ce qu’il exécuta. La fable
à porter le ciel sur ses épaules. Atlas lui donna en présent les plus belles brebis du pays. Le même mot grec exprime une breb
de Castor et Pollux. Castor et Pollux se signalèrent par tant de belles actions, qu’ils méritèrent de passer pour les fil
ntrer un cygne dans leur fable. La beauté de Léda, la blancheur et la belle forme de son cou, la firent comparer à un cygne ;
rs mains sont armées de torches pour l’embraser : ce fut alors que la belle Cléopâtre, se jetant à ses pieds, le conjura de l
mme les principaux chasseurs, parmi lesquels on remarque Thésée et la belle Atalante, si célèbre par sa légèreté à la course.
nner à la porte du temple, parce qu’un ouvrier avait péri devant lui. Belle leçon d’humanité, mais trop tardive ! Temple d
es les beautés que l’on y remarquait. Le pavé du temple était du plus beau marbre, et dans l’intérieur on voyait un nombre i
gularité. Celui de Jupiter, sur le Capitole, était au nombre des plus beaux  ; mais le plus superbe et le plus solidement bâti
er, y fit ajouter le portique, qui en fait encore aujourd’hui le plus bel ornement. Une ouverture au milieu de la voûte, tr
cette forme, pour le même motif. Le portique, plus surprenant et plus beau que le temple même, est composé de seize colonnes
s de la rivalité. L’église de Saint-Paul de Londres est l’un des plus beaux monumens du monde, après celle de Saint-Pierre de
de sorte que la triste et languissante vieillesse vint succéder à ses belles années ; et du temps d’Énée, elle disait avoir dé
nd artisan des tromperies, l’opprobre des dieux et des hommes. Il est beau de sa figure, mais son esprit est méchant, et ses
steurs pouvaient les présenter. Les prémices des récoltes et les plus beaux fruits de la terre couvraient les autels des dieu
. Plus on approfondit l’histoire, plus elle apprend que ces riches et belles contrées furent la terre natale de nos premiers p
les temps, surent unir à la valeur fière des peuples libres les plus belles vertus des nations civilisées. La gloire d’un gra
euple éveille le génie de l’homme sensible que la nature a doué d’une belle imagination ; il brûle d’immortaliser son pays. L
ur trouver l’origine de ces romans de chevalerie, si singuliers et si beaux qu’ils causent encore aujourd’hui notre admiratio
lieu des orages et des vents. La mort ne détruisait pas le charme des belles  ; leurs ombres conservaient les traits et les for
21 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
e, avaient fini par s’unir, s’arranger d’eux-mêmes et par produire le bel ordre que nous voyons. Quel aveuglement ! Racine
Proserpine, femme de Pluton. 40. Aventure du chasseur Actéon ; du bel Endymion. Diane était regardée comme la déesse
ble, Jupiter prit la forme de cet animal pour transporter en Crète la belle Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie. Cette pr
chasseur Actéon ? et pourquoi ? Quel sentiment éprouvait-elle pour le bel Endymion ? Comment explique-t-on cette fable ? 41
l’éloquence. On représente Mercure sous les traits d’un jeune homme, beau de visage et d’une taille élancée. Comme messager
é les foudres dont il avait frappé les Géants. Cette union de la plus belle des déesses avec le plus difforme des immortels f
ta sur la table du festin une pomme d’or portant ces mots : A la plus belle . Toutes les déesses voulurent se l’adjuger ; mais
et vomissant des injures accompagnées de cris affreux. On connaît le bel épisode du quatrième livre des Géorgiques de Virg
s. Aussi, malgré sa laideur, obtint-il pour récompense Vénus, la plus belle des déesses (n° 51). Comme artiste, Vulcain s’est
lles furent changées en rochers. On les représente sous les traits de belles femmes, dont le corps se termine en forme de pois
vant les mets sur les tables et répandant une odeur infecte. On avait beau les chasser, elles revenaient sans cesse. La plus
m Saturne, détrôné par Jupiter. On la représente sous la figure d’une belle femme, couronnée de fleurs et tenant à la main un
semblables, mais de soi-même, c’est-à-dire de ses passions. La plus belle victoire est de vaincre son cœur. a dit La Fonta
parce que Cassiopée, sa mère, avait osé dire que sa fille était plus belle que les Néréides. Persée, touché du malheur de la
. On dit qu’à l’âge de plus de cinquante ans Thésée tenta de ravir la belle Hélène, qui n’en avait alors que dix, mais les de
aux cornes dorées, couché entre les joncs. Elle s’assit sur le dos du bel animal, qui à l’instant s’élança dans les flots.
ient leurs peuples. 7° Une autre fois, il prit le nom et la figure du beau prince Rama, dont les aventures sont le sujet du
des guerriers et des athlètes ; Balder, l’Apollon du Nord, comme lui beau , radieux, éloquent ; Braya, le dieu de la sagesse
li, Cal, Erat, Ura, Po, Mel. 22. Le mot italien belvedére signifie belle vue ; c’est un pavillon du Vatican, qui fut élevé
ris, et petite-fille de la première Téthys. 37. C’est le sujet de la belle ode d’ Horace : Pastor quum traheret. 38. Nom fo
consacré pour désigner les hommes illustres par leur courage et leurs belles actions. 50. De son ire (de sa colère), éteindre
crate. 57. Il faut lire, dans la tragédie de Phèdre, par Racine, ce beau récit de la mort d’Hippolyte : A peine nous sort
22 (1850) Précis élémentaire de mythologie
mière époque de la création. C’est ce que Rousseau a exprimé dans ces beaux vers : Avant que l’air, les eaux et la lumière,
ouvait ni déclarer la guerre, ni exécuter les coupables. C’eût été un beau souvenir de cet âge d’or, où la liberté régnait a
enir ce mélange adultère D’adversité dont l’influence altère Les plus beaux dons de la terre et des cieux ? L’antiquité nous
ar leur main Tous les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mériter le beau nom de Pandore. L’urne fatale, où les afflictions
t en butte à ses traits parce qu’il avait osé proclamer Vénus la plus belle des déesses. Ce ressentiment jaloux fut la cause
one de ce reptile affreux, en l’exterminant à coups de flèches. Cette belle victoire le couvrit de gloire et lui mérita le su
ts et la poursuite des parents d’Hyacinthe l’obligèrent à quitter ces belles contrées ! Il passa la mer à l’endroit des Dardan
premiers éléments de la civilisation. Boileau a rendu cette pensée en beaux vers : Avant que la raison, s’expliquant par la
ntre le vrai talent. 12. On représentait Apollon sous les traits d’un beau jeune homme sans barbe, le front couronné de laur
ec sa lance, et l’on en vit soudain sortir un olivier chargé des plus beaux fruits. C’était le symbole de la paix et de l’abo
x leçons de la jeunesse. 5. Minerve était représentée avec une figure belle , simple et modeste, un air grave et majestueux. E
ela Vulcain au céleste séjour et lui donna pour épouse Vénus, la plus belle des déesses. 2. Le rôle de Vulcain au ciel était
s cornes, symbole de sa force et de sa puissance. Il a la figure d’un beau jeune homme imberbe, au visage riant et à la chev
ôtés. Téthys était portée sur un char formé d’une conque parfaitement belle , plus éclatante que l’ivoire et paraissant voler
son avide soc empiétait sur mon bien,         Crie aussitôt comme un beau diable : Halte-là, mon voisin insatiable, C’est l
e ville par Titus. On représentait la Paix sous la figure d’une femme belle , douce et modeste, ayant sur la tête une couronne
m chez les anciens. Comme nous l’avons déjà dit, cette prérogative si belle a nécessairement la vertu pour compagne ; et, com
ns l’Hèbre. Virgile a raconté cette histoire, et Delille a traduit en beaux vers français cet épisode du prince des poëtes la
lui parla au nom de son père, et lui baissa la main en prononçant ces belles paroles : Juge de mon malheur en me voyant baiser
vivre heureux, mais à mourir tranquilles, en se confiant dans un plus bel avenir. L’hymne d’Orphée qu’on y chantait est un
t nous parle en même temps d’une idole de bois servie, sous le nom de Bel , par un grand nombre de prêtres qui faisaient cro
étaient Balder, le dieu de la bonté, le principe du bien, le type du beau  ; Tyr, je dieu de la guerre et le protecteur des
ép. de Philémon, 24. Bécubo, bonne vieille protégée par Cérès, 31. Bel , idole des Chaldéens, 172. Bélier, const., 34.
23 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
mmondo Entrò ne’ crudi petti de’ mortali ; E le pure virtù, candide e belle , Gîro a splender nel ciel fra l’ altre stelle. Un
E quinci e quindi avea le luci intente, Correndo a quei ch’ avean più bel colore. Quest’ era il maggior fin della sua mente
ro i Centauri (430), e che fu re d’Atene prima di Cecrope, per le sue belle azioni aveva meritato anche in vita onori divini 
l néttare agli Dei ; ma poichè un giorno le intravvenne di cadere nel bel mezzo della celeste assemblea, ella n’ebbe tanta
to rè d’Argo (462), Lisippa, Ifinoe ed Ifianasse, per essersi vantate belle quanto Giunone, furono assalite da tale impeto di
o anche a Cirra città della Focide, a piè del Parnaso. Aveva un altro bel tempio a Delo dov’era nato, e dove Teseo (402 e s
dorarono particolarmente quale Dio della poesia, della musica e delle belle arti. Fu maestro delle Muse (274) con le quali ab
l giovine Ciparisso, amico d’Apollo, s’allevava con grande affetto un bel cervo ; quand’ecco che inavvertentemente lo uccid
a 200 braccia di circuito, 70 di altezza, e sorgeva sulla sua cima un bel carro tirato da quattro cavalli. Le statue e i ba
erale poi i monumenti antichi rappresentano Apollo in sembianza di un bel giovine imberbe, con lunga e bionda chioma inghir
a in atto di far donativi alle Grazie (175) che animano il genio e le belle arti. Roma possiede la più celebre statua di ques
etra dove l’arco ei posa, E i bei nomi col dardo all’ ara incida. Due belle madri alfin, colme di pura Gioja, stringansi a ga
alle opere del genio greco, legga quel carme. Una delle sue parti più belle è la descrizione del velo delle Grazie. Pindaro v
ie una bella notte d’estate ; piglia le ali e le freccie ; va nel più bel punto di quell’ amena dimora, si stende sopra un
da me e dalle mie sorelle ? Ah ! è il dio Amore, egli stesso nel più bel fior dell’età ! Chi più felice di me ? Amore mi s
a, e ti sorride in volto. Mortale nacque, e son più care in cielo Sue belle doti ; e se a noi canta o danza, Se mesta siede o
i indicavano nel tempo stesso l’ardore e la purezza dei loro voti. Le belle lor chiome, o nere o bionde, scendevano sul candi
e le consacravano le loro chiome. Allora la sacerdotessa tagliava le belle trecce, e le appendeva agli altari della Dea. Que
vivere insieme con loro, statuì che la concordia fosse fondamento del bel collegio, e perciò volle che si chiamassero Muse,
guali, simili. 275. Esse presiedono tutte insieme alle scienze, alle belle arti ed alla poesia. Ora ponendo mente alla umilt
e pregio all’arte pigliando spesso a rappresentare purissimi affetti, belle e nobili passioni, e gl’interni moti di un’anima
277. Le Muse sono rappresentate con sembianze di vergini modestamente belle , con semplici vesti, e sovente con ali al tergo.
ta allorquando un antico Pireneo, re stolto e ignorante, nemico delle belle arti e delle lettere, scacciò dal suo regno i dot
mandi a dar l’amato alloro ec. Troppo lungo sarebbe il citare le più belle invocazioni dei sommi poeti dell’antico e del mod
à subalterne originate da Nereo e Doride (193), e rappresentate sotto belle sembianze di giovanette ; ma gli antichi non le o
assato. Son parole della Giustizia all’ Eterno : Libertà che alle belle alme s’apprende, Le spedisti dal ciel, di tua div
imento ch’ella preferisse di starsene celata in fondo a un pozzo. Con bel modo ne fa la dipintura il Pignoni nelle sue sest
! ti conosco al volto, al plettro, al canto, Giovin di Tracia, che il bel core occupi Sol di tua doglia, e d’ammansare hai
n mezzo a’suoi Dei, e quando appunto abbracciava l’altar di Giove. Un bel quadro di Pietro Benvenuti, e l’incisione che ne
vol tragedia. 607. Questa catastrofe è rappresentata in una delle più belle sculture greche, divenuta ormai patrimonio dell’I
bandonarsi ai trasporti della sua gioia ; la toccò di nuovo, e già le belle membra avevano il calor della vita, già il sangue
omi dei celebrati. Nè solamente dispensava lode il grand’uomo, ma con belle massime rammentava non esser vera gloria senza la
i Babilonesi ; e siccome osservavano continuamente gli astri sotto un bel cielo, così ne impararono a conoscere la posizion
24 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIII. Venère, Cupido e le Grazie » pp. 144-151
ntare aneddoti scandalosi su questo tema, che spesso deturpano le più belle poesie dei classici antichi. Perciò Ugo Foscolo n
e, come accenna Ugo Foscolo. Quando Vulcano sposò Venere le regalò un bel cinto, che elegantemente con voce greca e latina
ere ebbe il nome il più bello e rilucente dei pianeti primarii, « Lo bel pianeta che ad amar conforta, » come con perifra
ue il mio nome dimanda, « Ch’io mi son Lia, e vo movendo intorno « Le belle mani a farmi una ghirlanda. » 184. I vocabolar
25 (1855) Della interpretazione de’ miti e simboli eterodossi per lo intendimento della mitologia pp. 3-62
Giove, e che ne sia uscita fuori Minerva, Dea della sapienza e delle belle arti — cioè che il fuoco, di cui si servono le ar
ar un tipo di sapienza, e onde personificare il genio inventore delle belle arti e delle armi guerriere. La vogliono nata dal
ore, Erato, Polinnia, Vramia, Calliope. Noi, senza dire a quale delle belle arti ciascuna di esse voleva farsi presedere, chè
gonia(1). Di nove ie dico vergini leggiadre Del canto amiche e delle belle imprese : Melpomene, che grave il cor conquide ;
apienti altro non intendevasi, che personificazioni allegoriche delle belle arti, della poesia, della musica, delle danze, e
nificavasi il diletto, che si tragge da coloro, che hanno apparato le belle arti. Per Erato da ερατος amabile, la stima che i
abile, la stima che il tempe e la fama acquista a’saggi cultori delle belle arti. Per Polinnia πολυμνος celebre, di molta fam
ni periodi della istoria antica si rinviene portare il nome di oro le belle lane, onde presso il poeta della Iliade Atreo si
combatte con alcune donne guerriere, figlie di Marte, rapisce loro un bel cinto, e tragge una donzella dagli oltraggi di un
26 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXVI. Le Ninfe » pp. 279-284
è molto rammentata, specialmente dai poeti latini, come una delle più belle Ninfe ; e dicono che se ne fosse invaghito quel m
reggiato a rappresentar Galatea di bellissime forme, ed una delle più belle è quella che vedesi nella Galleria degli Uffizi i
a Galleria degli Uffizi in Firenze. Le Ninfe oltre ad esser giovani e belle , erano anche generalmente buone e cortesi ; e per
27 (1824) Breve corso di mitologia elementare corredato di note per uso de’ collegi della capitale, e del regno pp. 3-248
iù non ha rapporti colla Religione, ha però un tempio nel Regno delle belle arti : le sue antiche bizzarrìe sono tuttogiorno
pure lo è della musica, dell’eloquenza, della medicina, e di tutte le belle arti. Riguardavano gli antichi questo Dio come pa
in qualità di un giovane gajo di età sempre fresca, ed istruito nelle belle arti. Egli amò varie Ninfe ; ma fu sempre infelic
to Terpsicore, e danzar snella si vede. Col spirto animator dell’opre belle Le figlie di Memoria Apollo investe Le guida ogno
ra la Dea della sapienza, ed aveva la preminenza sulle scienze, sulle belle arti, e sulla pace. Sotto la seconda presedeva al
tati. Vedesi ordinariamente rappresentato Bacco sotto l’aspetto di un bel giovane imberbe1 con capelli biondi inanellati, e
iurato di mantenere. Era rappresentato Vertunno sotto l’aspetto di un bel giovine coronato di foglie di diverse piante, por
ime voci degli altrui discorsi. Ridotta a tale stato infelice vide il bel Narciso figliuolo del fiume Cefiso, e della ninfa
uno de’ compagni di Amore. I poeti sovente lo dipingono in aria di un bel garzone colle ali di farfalla. Le Sirene. Le
arisce in sogno a Nausicae sua figlia, e la consiglia a lavare le più belle sue vesti, con dirle di più, che le sue nozze era
ncor essa nel mare. Aconzio, e Cidippe. Era Cidippe una delle più belle di Delo. Aconzio la vide nel tempio di Diana, e l
i. Gareggia la nostra Patria con Roma istessa madre, e cultrice delle belle arti, e delle scienze. Dapertutto veggonsi de’ ca
28 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
sur la table une pomme d’or qui portait cette inscription : A la plus belle . Junon, Vénus et Pallas se disputèrent vivement c
les rives du Permesse17, et la fontaine d’Hippocrène. C’est dans ces beaux lieux, au milieu d’un bois de lauriers, qu’on le
représente sous les traits d’un jeune homme sans barbe, parfaitement beau , couronné de laurier, et tenant une lyre à la mai
la conduisirent avec pompe dans l’Olympe. Les Dieux la trouvèrent si belle , que chacun d’eux voulut l’épouser. Mais Jupiter
sur la table une pomme d’or sur laquelle elle avait écrit : A la plus belle . Junon, Pallas et Vénus élevèrent des prétentions
pouse de Céphée, roi d’Éthiopie, ayant eu la témérité de se dire plus belle que Junon et que les Néréides, avait vu un monstr
émise dans la ville d’Halicarnasse94. Ce magnifique monument, orné de belles sculptures des plus habiles artistes du temps, av
en Evagoras. Il était considéré comme l’homme le plus fort et le plus beau de sou temps ; il passa une grande partie de sa v
n de leurs crimes, comme les bons y trouveront la récompense de leurs belles actions. Les idolâtres avaient donc conservé cett
donna naissance au personnage de Caron, et on le conduisait dans les belles plaines des environs de Memphis, qui ont donné l’
des villes les plus célèbres dans l’histoire ancienne et une des plus belles qui aient jamais existé, avait été fondée par Bél
29 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLVI. Giasone e Medea » pp. 342-489
chiamate Egle, Aretusa ed Esperetusa 88. Avevano esse nell’Affrica un bel giardino con alberi che producevano pomi di solid
neti è attratto da forza preponderante verso quella costellazione. Le Belle Arti non si sono mai stancate a rappresentarci Er
uovo partorito da Leda, chiama la costellazione di questi gemelli il bel nido di Leda nella seguente terzina del C. xxvii
C. xxvii del Paradiso : « E la virtù che lo sguardo m’indulse, « Del bel nido di Leda mi divelse, « E nel ciel velocissimo
a e Fedra. Dipoi i Mitologi aggiunsero, che Pasifae, avendo veduto un bel toro bianco ed essendole molto piaciuto, partorì
ma si svelle « Del sangue più che sua colpa sortille. » Anche nelle Belle Arti furono rappresentati i Centuari secondo le d
questo barbaro sacrifizio, soggiunge : « Onde pianse Ifigènia il suo bel volto « E fe’ pianger di sè i folli e i savi « Ch
mirabili che furon copiate o imitate da tutti i poeti epici. Son però belle e mirabili colla lor veste poetica : diverrebbero
ù nè meno ; e notando le difficoltà di chiuder bene e senza sforzo un bel concetto poetico in un Sonetto, dissuade dal cime
olto Ritrovar puoi lo gran duca de’Greci, Onde pianse Ifigenia il suo bel volto ; ecc. » 116. Dante ammette che Ippoli
it. » (Ovid., Trist., i, 2ª.) 133. È famigerato ed assiomatico il bel verso di Orazio : « Dulce et decorum est pro pat
30 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
iorîr le carte argive E le latine, di spaventi ha pieno Delle Muse il bel regno. Arco e faretra Toglie ad Amor, ad Imeneo l
bella donna di statura alta e maestosa, che ha il seno abbondante, un bel colorito, gli occhi languidi, i capelli biondi, l
olo della rapidità e del potere dell’eloquenza. Si rapresenta come un bel giovine, snello di corpo, col caduceo in mano, qu
a il più magnifico tempio di quella grande città. Tutti coloro che le belle arti professavano, s’univano al tempio della Pace
ti, coronate di fiori, a truppe nuotavano dietro il carro di lei ; le belle chiome scendevano loro sulle spalle ed in balía d
o di ornamenti stranieri che con moderazione. Si dipingevano giovani, belle e vergini perchè le Grazie ed i piaceri sono semp
testa, colla lira in mano e coronato d’alloro. Si dipingono giovani, belle , modeste e vestite semplicemente. Siccome ciascun
ravvisa in Pireneo il nome di qualche principe il quale non amando le belle lettere distrusse i luoghi ove erano coltivate. C
che avventura, ma eziandio fino alle semplici pastorelle e a tutte le belle che i poeti fanno entrare nel soggetto de’loro ca
ura o degli armenti o dei frutti di una grande rendita. Siccome erano belle e ancor più sagge, Busiride, re d’Egitto tratto d
ene e delle seducenti promesse che gli facevano, di insegnargli mille belle cose, che fè cenno a’ suoi compagni di scioglierl
in grande venerazione perchè il loro apparire dicevasi apportator del bel tempo. Orfeo, Euridice Orfeo uno de’ più c
tosoni d’oro. Altri pretendono che questa favola tragga origine dalle belle lane di quel paese e che il viaggio fatto da alcu
dichiarò loro che vedendole coi loro vestimenti le trovava egualmente belle , e che per giudicare, eragli d’uopo di vederle ig
31 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
ssoluta penuria di opere nel genere della nostra, chè anzi varie sono belle che parlano delle diverse religioni dei popoli de
jeux et des combats, l’homme évoque de sa nature tout ce qu’elle à de beau , de fort ; se sculpte infaticablement a l’image d
n corno rovesciato da cui escono a profusione i fiori e le frutta più belle . Essa si salvò con Saturno allorchè questi fu sca
le al giglio, Le vaghe foglie in un momento aprio. Formarsi ancor nel bel vermiglio Le note che v’impresse il biondo Dio :
o, un faggio, Che verso il cielo alteramente cresce : E si domanda il bel loco selvaggio Bosco sacro agli dei, nè giammai p
n d’intorno, o quando spazia Per le piagge di Cento a l’aura sparsi I bel crin d’oro, e de l’amata fronde Le tempie avvolto
se Far sempre il nome suo splender nel cielo, E l’aurea sua corona al bel crin tolse ; Ed a farla immortal rivoltò il zelo 
o. — Gli antichi rappresentavano questa stagione sotto la figura d’un bel giovane, avente in mano un canestro di frutta e c
del mare su di un becco marino. 756. Beelfegob. — V. Baal-Fegor. 757. Bel . — Il Giove dei Caldei, il quale, secondo la trad
e ed acqua, e che conteneva mostruosi animali. I Caldei credevano che Bel , dopo aver formato il cielo e la terra, avesse ri
va, e riaccendeva il fuoco di una passione estinta. …. e dal seno il bel trapunto e vago Cinto si sciolse, in che raccolte
omunemente sotto il nome di Dedalione. 1387. Delopea. — Una delle più belle ninfe del seguito di Giunone, la quale la promise
la flotta di Enea. ….. Appo me sono Sette e sette leggiadre ninfe e belle  ; E di tutte più bella e più leggiadra È Dejopea 
. 1506. Dranceo. — Uno dei grandi della corte del re latino, felice e bel parlatore, ma uomo sleale e vigliacco. Fu uno dei
in tutto al geto, E di seta sottil varia e dipinta S’avea coperto il bel corporeo velo ; Dall’aura la gonnella alzata e vi
ene. 1594. Egia. — Ninfa figlia del Sole e di Nereo, fu una delle più belle fra le Naiadi. Allegra e spensierata, faceva sove
gioia di che sembrava aver da principio sparsa la loro esistenza. Un bel giorno Paride, figlio di Priamo, re di Troia, giu
692. Enone. — Figlia del fiume Cebreno nella Frigia. Fu una delle più belle abitatrici del monte Ida. Apollo se ne invaghì pe
giunse Per nodo marital suore e fratelli, Che avean degli anni il più bel fior sul volto. Omero — Odissea Lib. X. trad. di
to le sembianze umane. Onde si tiene che a Giove nascesse, Epafo, un bel figliuol che usci di lei, Ovidio — Metamorfosi —
i Alcmena. L’arte plastica ha fatto di Ercole l’oggetto delle sue più belle e ricche creazioni. Essa ha quasi dato fine a que
il ne faut que les laisser frapper. Conduisez ou suivez une fureur si belle  ; Revenez tout couvert du sang de l’infidéle ; Al
vi bovino, al cocchio il lega. Andar lasciando strascinato a terra Il bel capo. Sul carro indi salito Con l’elevate glorïos
e assediarono Troja. Omero ce lo addita come possessore delle due più belle cavalle dell’esercito, che secondo la tradizione
immondo Entrò nei crudi petti dei mortali, E le pure virtù candide e belle Giro a splender nel ciel fra l’altre stelle Ovid
i confidò del suo valore, E disse, un giorno voler esser duce Del suo bel carro e della sua gran luce Ovidio — Metamorfosi
di questi uccelli. Ovidio fa di questo avvenimento una delle sue più belle Metamorfosi. E mentre che per l’aria anch’ei s’a
i, disse, la destra entro la chioma, E vedrai d’ ogni intorno Liete e belle veuture Venir con aureo piede al tuo soggiorno :
vanetto Giacinto esalò l’estremo sospiro, curvando a somiglianza d’un bel fiore, la sua pallida e nobile testa, sul seno di
a rese : Di nove, io dico, vergini leggiadre Del canto amiche e delle belle imprese. MONTI — La Musogonia — Canto. Giove era
 Figlia dell’Oceano e madre della famosa Medea. Idia fu una delle più belle donne dei suoi tempi. 2241. Idmone. — Celebre ind
vessero mostrato un sacrilego disprezzo per la dea, proclamandosi più belle di Giunone stessa ; la quale, sdegnata contro le
opinione seguita dal Racine, nella sua Iphigénie, che è una delle più belle tragedie del teatro tragico francese ; e dove chi
edi sacri, una tazza d’oro pesantissima di grande valore, la quale un bel giorno fu rubata serza che si potesse scoprire l’
sposa, di adempiere al suo dovere, Issione lo traccheggiò sempre con belle parole e con larghe promesse ; finchè stanco Deio
lle dee. Simil ben parve alla celeste figlia Di saturno possente Nel bel volto la nube e nelle ciglia. Per lui le man di G
nomi di due sacerdoti, i quali scrissero su foglie di albero, le più belle massime della religione di Budda, e i principali
ssai quella della madre di lei, ritenuta anch’essa come una delle più belle donne dei suoi tempi. ….. Leucotea prole D’Eurin
754 Bebreci » 58 755 Becchi » ivi 756 Beelfegob pag. ivi 757 Bel » ivi 758 Belatucadua o Belertucadi » ivi 759
32 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte IV. Le Apoteòsi — LXVII. L’Apoteosi delle Virtù e dei Vizii » pp. 493-496
descrizioni antiche e moderne è ufficio dei professori di rettorica e belle lettere, e il descriverne le antiche e le moderne
sculture o pitture appartiensi ai professori gnostici ed estetici di Belle Arti, e non al Mitologo, poichè miti speciali non
33 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVIII. Le regioni infernali » pp. 195-202
a descrizione è tanto chiara ed evidente che molti cultori delle arti belle , e tra questi lo stesso Michelangiolo, hanno potu
castello « Sette volte cerchiato d’alte mura, « Difeso intorno da un bel fiumicello, » e finalmente, tralasciando ogni al
34 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLI. Perseo » pp. 309-316
u ‘l vedessi, « Nulla sarebbe del tornar mai suso. » Quanto poi alle belle arti sappiamo che gli antichi rappresentavano la
lle « E poi quasi talor la terra rade ; « E ne porta con lui tutte le belle « Donne che trova per quelle contrade : « Talment
35 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXXII. Gli Oracoli » pp. 242-252
a di Salamina, gloria eterna di Temistocle e della Grecia289). Le più belle massime antiche morali e filosofiche eran credute
iguità. Se ne trovano riportate alcune anche nei libri di rettorica e belle lettere, come quella che si suppone data a Pirro
36 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVII. I Mostri marini Mitologici e Poetici » pp. 184-194
po questa arditissima e veramente omerica invenzione, ornata di tante belle similitudini, di bene adattate idee classiche e m
nziano come se si scrivesse Sciglio. 229. Orazio annovera tra le più belle e mirabili descrizioni di Omero, (chiamandole spe
37 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXV. Bacco » pp. 161-172
to al suo allievo, cosa molto più facile che istillare il gusto delle belle lettere e delle scienze. E Bacco divenne il Nume
quale allude il Redi nel Bacco in Toscana, parlando del vino : « Sì bel sangue è un raggio acceso « Di quel Sol che in Ci
38 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIX. Plutone re dell’ Inferno e i suoi Ministri » pp. 203-215
i esser re, Plutone benchè nato in Cielo ed allevato in una delle più belle regioni della Terra, accettò di regnar nell’ Infe
e, « Che al mio Maestro piacque di mostrarmi « La creatura ch’ebbe il bel sembiante, « Dinanzi mi si tolse, e fe’ ristarmi,
39 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Avvertimento. » pp. 1-2
a specie d’Antologia Mitologica opportunissima anche ai cultori delle Belle Arti. » Ci siamo poi studiati di render profittev
40 (1836) Mitologia o Esposizione delle favole
udono sì di frequente. Nè men necessaria è a tutti gli studiosi delle belle arti, giacche le favole tanti soggetti hanno forn
i Glori o Flora Dea dei fiori; e come egli a noi porta comunemente il bel tempo, suole dipingersi in figura di alato giovin
, presso de’ naviganti, perchè il loro apparire dicevasi portator del bel tempo. Polluce erasi reso celebre nella lotta e b
vasi portator del bel tempo. Polluce erasi reso celebre nella lotta e bel combattimento de’ cesti, co’ quali uccise Amico,
41 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — II. Il Caos e i quattro elementi » pp. 11-14
ali della natura. Da questi studi scientifici traggono in oggi le più belle immagini quei pochi eletti che hanno intelletto a
42 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXIII. Osservazioni generali » pp. 260-263
conosce e s’intende dal significato del loro stesso nome ve n’era un bel numero nel Politeismo, come per esempio, il Dio R
43 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLII. Bellerofonte » pp. 317-320
o animalesco ond’ è composto questo mostro56. Quindi è che anco nelle Belle Arti è raro il trovar dipinta o sculta la figura
44 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — Introduzione » pp. 6-9
hanno preferito e trascelto quelli soltanto che racchiudevano le più belle immagini e i più chiari e notabili simboli dell’a
45 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVI. La dea Latona » pp. 86-91
 A parturir li due occhi del Cielo ; » ove è da notarsi tra le altre belle espressioni l’ardita e sublime metafora di chiama
46 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXI. Minerva » pp. 132-137
salvezza di Roma. Questa statua era chiamata il Palladio 170. Il più bel tempio però e la più famosa statua di questa Dea
47 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — X. Cerere dea delle biade e Proserpina sua figlia » pp. 48-54
che i pittori hanno trattato questo soggetto : basti il rammentare il bel quadro del Ratto di Proserpina, dipinto dal Turch
48 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXIX. Eolo e i Venti » pp. 295-
se « Per nodo marital suore e fratelli, « Che avean degli anni il più bel fior sul volto. « Costoro ciascun dì siedon tra i
49 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Cenni Preliminari » pp. 9-
gni divinità aveva le sue vittime diverse, ed erano scelte fra le più belle . Il nome di vittima era dato solamente agli ogget
50 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXV. I Satiri ed altre Divinità campestri » pp. 270-278
di lui i Classici latini ; e tra i Greci, dopo Esiodo che creò questo bel tipo di maldicente, gli fece le spese Luciano ne’
51 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVIII. Apollo considerato come Dio della Poesia e della Musica e maestro delle nove Muse » pp. 104-114
fosse riguardato ancora come dio della Musica e di tutte quelle altre belle arti speciali a cui presiedeva ciascuna delle nov
52 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLV. La spedizione degli Argonauti alla conquista del Vello d’oro » pp. 331-341
ra. « Prende la briglia e salta su gli arcioni « Dell’Ippogrifo ed il bel corno afferra ; « E con cenni allo scalco poi com
53 (1889) The student’s mythology (2e éd.)
Chapter II. Eastern Mythology. Deities of the Assyrians. Baal, or Bel — Moloch. Eastern Mythology — Divinities of th
 Moloch. Eastern Mythology — Divinities of the Assyrians — Baal or Bel — Tower of Babel — Proper Names of the Phœnicians
eities. Ques. Where was the Sun worshipped under the name of Baal or Bel (the Lord)? Ans. In Babylon. The famous tower of
stics — Divinities worshipped by the Druids — Esus — His Attributes —  Bel — Teutates — Camul — Tarann — Priests — Their Dut
other divinities. The Assyrian Baal was worshipped among the Celts as Bel or Belen. As he represented the sun, the Romans r
54 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo II pp. 3-387
ione è uno studio, per cui si procura d’imitare, ed anche superare le belle azioni altrui. Questa Virtù si dimostra giovine,
a pure il tempio, in cui si raccoglievano coloro, che professavano le Belle Arti, affinchè la presenza di questa Dea allontan
a a canto un Cané. E’ vestita nell’ anzidetta manicra per indicare le belle e artifiziose parole, che soglionsi usare dagli A
figlie di Priamo ; ed è fama, che fosse di singolare costumatezza. Sì belle doti le ottennero da Apollo il dono di conoscore
fatti di vinchi(e). Elena secondo Erodoto era invocata, onde rendesse belle le giovani deformi. Una ricchissima donna di Spar
ra comune a tutti i discendenti d’ Inaco, divenuti celebri colle loro belle azioni(a). (g). Declaustre Diction. Mythol. (
55 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
elios*; Roman, Sol*; Persian, Mithras* or Mithra*; Chaldean, Baal* or Bel *; Canaanite, Moloch*; Egyptian, Ra*, Osiris*, Hor
ourse of time to denote different gods. Thus the sun was worshiped as Bel *, or Baal*, the Lord, and as Moloch*, or the King
or origin of Deity, but he was too dimly comprehended to be popular. Bel * was also a favorite god, but Nin* and Nergal*, t
us. See Dionysus. Baldur, 228. Baltane, 232. Battus, 100. Baucis, 44. Bel , 23, 217. Bellerophon, 148, 149, 150, 151. Beller
56 (1832) A catechism of mythology
by various representations, called idols. The Babylonians worshipped Bel or Baal as their idol, and so on. The Chaldeans,
ch worshipped by the ancients. He was called Mithras by the Persians; Bel or Baal by the Chaldeans; Belphegor by the Moabit
egular form, representations of which were displayed in the temple of Bel . A woman by the name of Omorca, was the mistress
Bel. A woman by the name of Omorca, was the mistress of the universe. Bel divided her into two parts: one of these parts fo
e other, earth; after which, monsters of irregular forms disappeared. Bel next divided darkness, separated the heaven from
57 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo I pp. 3-423
otivo della di lui venuta, arse d’invidia, ch’egli fosse autore di sì bel dono ; ma tuttavia, fingendo amicizia, lo accolse
ta di tutti i doni, perchè varie Divinità la ornarono poscia di molte belle prerogative. Costei venne da Mercurio condotta a
e si disse, che quello era opera di Vulcano, e ch’era di bronzo, con bel gruppo di figure sul frontespizio, le quali davan
una gabbia di bronzo. Non avrebbe più riacquistata la libertà, se la bel Eribea, matrigna degli stessi Aloidi, non avesse
58 (1898) Classic myths in english literature
k notes, but a potentiality that should render the general reading of belles lettres more profitable. For, a previous acquaint
223, 224, 342; genealogy, Com. §§ 59,132,133. Compare the deity Baal. Bel ′vedere, the Apollo, Com. § 38. Berecyn′tia, see C
59 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
s from Swift’s Description of a City Shower: — “Boxed in a chair the beau impatient sits, While spouts run clattering o’er
60 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
holds the roll of the laws of agriculture. Cameo. G. M. 220. Acad. de Belles Lettres, i. 276. — 2. Athena Polias feeding the s
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