, dans la contemplation de la nature, et dans les exercices des beaux
arts
: ce séjour invitait à suivre ce genre de vie. Le
monde. Dans la guerre contre les Géants, Jupiter devint habile dans l’
art
de lancer la foudre ; un aigle la lui présentait
urs thébains en ordre s’élevaient4. Cadmus apporta dans la Grèce les
arts
qui y étaient inconnus. C’est de lui que nous vi
èce les arts qui y étaient inconnus. C’est de lui que nous vient cet
art
ingénieux De peindre la parole et de parler aux y
e du peu de durée de sa vie. Apollon, dieu de la lumière et des beaux
arts
, brûlait pour Vénus des mêmes feux que Mars. Ce d
sentiments délicats, les passions nobles, et l’amour du beau dans les
arts
. Ce fut Vénus-Uranie ou Vénus pudique que Praxitè
belle amante. Là, le jeune dieu avait réuni toutes les merveilles des
arts
. Psyché passa plusieurs heures à admirer tous ces
s les exercices qui développent les grâces du corps, et dans tous les
arts
qui font le charme de la vie. Le premier, il fit
e lyre. Il étudia les plantes, et pénétra ces secrets qui composent l’
art
de prolonger la vie des hommes. Il fut le conduct
es-tu pas content de ton partage ? « Et cet audacieux, superbe de son
art
, « Vient-il me déclarer la guerre de ta part ?… «
me un désert affreux. « Bientôt Apollon montra à tous ces bergers les
arts
qui peuvent rendre la vie agréable. Il chantait l
resse S’est fait un instrument des os de sa maîtresse, Et qui, dans l’
art
du chant prétendant exceller, Frémit qu’en sa pré
ce début, qu’il allait débiter Tout ce qu’aux cœurs galants apprend l’
art
de flatter ; Mais changeant tout-à-coup par un fr
hanter : Il suffit de savoir que du sexe adorable, Il fit avec tant d’
art
l’éloge inimitable, Que, sans délibérer, ses audi
yas, berger de Phrygie, et fils d’Olympus, un rival redoutable dans l’
art
de charmer les oreilles par les sons. Minerve, qu
dans l’Olympe, s’empressa de rappeler le dieu de la lyre et des beaux
arts
: il le rétablit dans toutes ses fonctions, et de
ée, Dans le tuf qu’elle-même a taillé de ses mains, Imita librement l’
art
savant des humains ; Et de la roche humide et cei
rs tresse la molle ébène ; Ismène aux doigts légers est habile en cet
art
, Et les siens négligés voltigent au hasard21. Ac
ois fois grand. Il enseigna aux Égyptiens l’agriculture et les autres
arts
utiles, et fut au bord du Nil l’objet d’une grand
-nous de faire succéder celle de la déesse de la sagesse et des beaux
arts
. Cette divinité n’était point sans défauts ; car
le bouclier qu’elle portait dans ses mains annonçait son amour pour l’
art
de.la guerre, qui lui fit donner le nom de Pallas
aiguille, et ne permettait point qu’on osât disputer avec elle dans l’
art
de la broderie. Une jeune fille, nommée Arachné,
e la gauche. Lorsque Minerve est considérée comme la déesse des beaux
arts
, elle perte le voile nommé peplus ; elle le quitt
ragons, et lui ordonna de parcourir toute la terre, pour enseigner un
art
si nécessaire à ses habitants, qui n’avaient jusq
otecteur ou son maître. De même que Minerve était la déesse des beaux
arts
, Vulcain était le dieu des arts mécaniques, et pr
que Minerve était la déesse des beaux arts, Vulcain était le dieu des
arts
mécaniques, et principalement de ceux qui emploie
an s’applaudit et poursuit son essor. Avec plus Je génie, avec plus d‘
art
encor, De ce noble édifice il embellit le faite ;
’antipathie. Tel est le couple humain, fier, jaloux, mais heureux. L’
art
n’obtenait encor qu’un triomphe douteux : L’autom
ux qui par des bienfaits vivent dans la mémoire ; Et ceux qui, de nos
arts
utiles inventeurs, Ont défriché la vie et cultivé
: chacune d’elles préside à un genre de littérature ou à un des beaux
arts
, et leurs noms sont relatifs au domaine de chacun
rrisson ; Et des jets déréglés réprimant la licence, Elle émonde avec
art
leur stérile abondance. Elle sait d’une source ég
us puissantes divinités de l’Olympe. De là vint la Chiromanchie, ou l’
art
de connaître les destinées des hommes par l’inspe
a bonne aventure, et cette science s’appelait la Podoscopie. Tous ces
arts
trompeurs étaient la suite naturelle des idées my
. 3. Ovide, Métam., trad. de de Saint-Ange. 4. Boileau Despréaux,
Art
poétique. 5. Brébeuf, trad. de la Pharsale de L
é de la Fable, les images, le coloris constituent essentiellement cet
Art
enchanteur. O ! par quel charme à nos sens t
chez Janus, roi d’Italie : il créa dans cette contrée, les lois, les
arts
et les mœurs, et civilisa les hommes presque sauv
st le Dieu de la Poésie, de la Musique, de la Médecine et de tous les
Arts
de l’esprit ; Apollon habitoit avec les Muses, le
. Je connois les vertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’
art
de guérir les maux. Malheureux que l’amour soit
érir les maux. Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Que mon
art
, pour moi seul, ne soit pas secourable ! Ovide.
e trident, il fit sortir de la terre le premier cheval, et enseigna l’
art
de dompter ce quadrupède naturellement fier et in
illonnant ; Soit qu’à des Nymphes d’or, qu’il anime à sa flamme, Son
art
donne la voix, le mouvement et l’ame ; Qu’il forg
maître habile, Esculape devint si profond dans tous les secrets de l’
art
de guérir, qu’il fut appelé le Dieu de la Médecin
pe Phrygienne, Qui ne voit que le Monde, à ces peuples heureux Doit l’
art
d’orner les champs de grains plus savoureux ? Si
le premier nom, elle est la Déesse de la Sagesse, des Sciences et des
Arts
; sous le second, celle de la Guerre. Minerve sor
lème, fils de ce Prince, et l’envoya ensuite enseigner ce premier des
Arts
aux différens peuples. Revenue en Sicile après se
se, Et des champs aux cités fit passer l’abondance : La victoire, les
arts
, la liberté, l’honneur, Fut le partage heureux du
Dans ces beaux jours vantés par nos ancêtres ; L’homme étranger à des
arts
malfaisans, Vivoit sans lois, sans besoins et san
le A sauvés de ses attentats ; Et là, sur le marbre et le cuivre, Les
arts
à ses yeux font revivre Des Dieux dont il vit le
lpomène, les yeux en larmes, De cris touchans vient me frapper ; Quel
art
me fait trouver des charmes Aux pleurs que je sen
On s’entend, on se voit agir. Tu blesses, tu plais tout ensemble, Ton
art
nous fait rire et rougir. Qu’entends-je ? Eu
epos ; Non ce repos obscur, enfant de la paresse, Eternel ennemi des
arts
et des progrès, Mais ce calme enchanteur que prod
te cesse, et dans un doux délire, On célèbre à l’envi le triomphe des
Arts
; On voudroit de ses pieds presser l’heureux navi
uelquefois, confusément épars, Des marbres ébauchés par le ciseau des
arts
. Le limon emprunté des fanges de la terre, S’anim
ine De tant de prodiges divers : Tout s’embellit dans la nature ; Des
arts
la magique imposture Fait éclore un autre Univers
oublés, redoubleront sa honte, Et le triomphe des beaux
arts
. Les vents impétueux, par d’éternels ravages,
thie : Mais bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, Roi des
arts
, il rendit grace aux Dieux ; Tu reçus le tribut d
sans maçons, Se bâtissoit en ville. Quand j’y pense, Cet
art
me plaît assez, dit-il. Il veut soudain
s les plus sourds A tes accens s’attendrissent. Arion qui dans l’
art
des sons S’étoit fait une gloire extrême, Qui sem
attendrit la nature, Une éloquence douce, un cœur plein de désirs, L’
art
fatal de séduire, et le goût des plaisirs ; Tous
C’est ainsi qu’en regrets sa douleur se déclare ; Mais bientôt de son
art
employant le secours, Pour rappeler l’objet de se
Périr est le sort des Mortels ! Celle qui sut charmer sans
art
, sans imposture, Celle dont la vertu mérita des a
Dans le tuf que le Temps a creusé des es mains, Semble avoir imité l’
art
savant des humains. Au pied de ce rocher, une on
ressés a renoué l’ébène : Sa main prompte et légère est habile en cet
art
, Et cependant les siens voltigent au hasard.
eu vainqueur, veux-tu qu’on me déchire ? Ah ! périsse à jamais et mon
art
et mon chant ! Pardonne, Dieu des vers ; mon crim
lanqué de chair, gabionné de lard, Tel, en un mot, que la nature et l’
art
, En maçonnant les remparts de son ame, Songèrent
es bois et des côteaux : Là, des jardins et des berceaux Où régnent l’
art
et l’imposture, Des tours, des flèches, des créna
une mère. Tu t’es choisi cette douce parure ; Elle est à toi : l’
art
ne s’y mêle pas, Et ton bouquet suspendu dans tes
ié de chanter à mon tour. Point n’ai reçu de l’avare Nature, Cet
art
charmant de moduler des sons Ma rauque voix fait
Arachné, dont la gloire attiroit tous les yeux, Devoit tout à son
art
, et rien à ses aïeux. Un obscur artisan, Idmon ét
ymphes des vergers, les Nymphes des côteaux Admiroient, à l’envi, son
art
et ses travaux. Voyez-vous, de ses doigts, l’élég
s’arrondir et rouler, Ou le métier tendu, que nuance l’aiguille ? A l’
art
presque divin dont son ouvrage brille, Vous eussi
ns. Ecoutez mes avis : Vantez-vous, j’y consens, De primer dans votre
art
et seule et sans partage ; Mais à Pallas, au moin
ue son adresse brigue, Et l’ardeur du travail en trompe la fatigue. L’
art
d’assortir les fils, émule du pinceau, De reflets
re N’a su dans les guérêts féconder la Nature, Mais grossière et sans
art
n’attend que de ses dons, Les précieux trésors de
avir. C’est envain qu’au Parnasse un téméraire auteur Pense de l’
art
des vers atteindre la hauteur. S’il ne sent point
ient des Dieux ou des amans : Tout a changé, tout dégénère, Et dans l’
art
d’écrire et de plaire… Mais vous êtes des premier
; Les Sylvains couronnés de rameaux verdoyans ; Les Nymphes, qui sans
art
, les mains entrelacées, Dansoient aux sons joyeux
ont les vers ont charmé les Dieux et les humains ; Les inventeurs des
arts
, et ceux qui dans l’histoire, Par d’immortels bie
ds débris, Ces villes, ces palais, ces temples, ces portiques, De nos
arts
florissans moens authentiques. Ainsi dans les rem
onde et les vents conspirent-ils sa perte, L’espoir est l’
art
des matelots. La gloire ouvre à mes yeux le
er les loisirs Qui partagent le cours de ma paisible vie ? Dire que l’
art
des vers, cet art noble et divin N’es
partagent le cours de ma paisible vie ? Dire que l’art des vers, cet
art
noble et divin N’est qu’un travail fr
x consacré, Séjour heureux de la Cour ignoré, S’élève un Temple, où l’
art
et ses prestiges, N’étalent point l’orgueil de le
Paresse. On l’appeloit aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux
Arts
. Elle étoit représentée dans une contenance timid
n esclavage* Ici j’offre aux cœurs purs tous les trésors du Sage, Les
arts
, les doux loisirs, des plaisirs sans transport, L
le garantit pas. Vainement les bergers changent de pâturage ; L’
art
vaincu cède au mal, ou redouble sa rage, Tisiphon
à tout la chaleur et la vie ; Il crée, en se jouant, les prodiges des
arts
. Des maisons vastes et mobiles
Puis gaîment l’Esprit poursuivit : Fier Génie ! avec l’
art
que la critique implore Et que ta fougue altière
ont sous l’Astre qui les dore, Avant que le Génie en rien le cède à l’
Art
. Va, dit l’Esprit, crois-moi, prends patience ; D
ompheras tôt ou tard ; Mais ne t’y trompe pas, ce rival n’est point l’
Art
. Sage, utile, estimé, digne en effet de l’être, L
l n’est point l’Art. Sage, utile, estimé, digne en effet de l’être, L’
Art
, ton guide fidelle et quelquefois ton maître,
s je ris de ta démence, Dit le brusque Génie à l’Esprit importun. Cet
Art
sur qui s’épuise ici ton éloquence, Cet Art dont
à l’Esprit importun. Cet Art sur qui s’épuise ici ton éloquence, Cet
Art
dont mieux que toi je connois l’influence,
s Que l’Aurore n’en fait naître, Et qu’Iris n’a de couleurs. Son
art
forme sa coiffure : L’or, les perles, les saphyrs
ette captive ; Les mets exquis, mais offerts simplement, Etoient sans
art
, comme chaque convive, Et prodigués comme leur en
siècles unis, la lente expérience T’a préparé les
arts
. La maison qui te couvre et qui te sert d’as
sa sagesse ? Sévère avec douceur, et tendre sans foiblesse, Elle a l’
art
de charmer sans rien devoir à l’art : Son devoir
t tendre sans foiblesse, Elle a l’art de charmer sans rien devoir à l’
art
: Son devoir est sa loi, sa défense un regard Qui
au-delà du temps. Quoi ! le Grand Homme, quoi ! le Sage, Qui des
arts
sur la Terre allume le flambeau ? Lui qui par des
[Table des matières] Bernard. Léda. 2. [Table des matières] Boileau.
Art
poëtique. ch. III. 3. [Table des matières] Anony
ille. Ariane. acte V. scène V. 190. [Table des matières] Verninac. L’
art
d’aimer. liv. I. Almanach des Muses, 1787. 191.
aint-Ange. Métamorphoses. liv. I. 232. [Table des matières] Boileau.
Art
poétique. ch. I. 233. [Table des matières] Volta
é de la Fable, les images, le coloris constituent essentiellement cet
Art
enchanteur. O ! par quel charme à nos sens tu
chez Janus, roi d’Italie : il créa dans cette contrée, les lois, les
arts
et les mœurs, et civilisa les hommes presque sauv
st le Dieu de la Poésie, de la Musique, de la Médecine et de tous les
arts
de l’esprit ; Apollon habitait avec les Muses, le
. Je connais les vertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’
art
de guérir les maux ! Malheureux que l’amour soit
érir les maux ! Malheureux que l’amour soit un mal incurable, Que mon
art
, pour moi seul, ne soit pas secourable ! Ovide.
e trident, il fit sortir de la terre le premier cheval, et enseigna l’
art
de dompter ce quadrupède naturellement fier et in
Mais alors je ne vis que ton espace immense : Combien l’homme et ses
arts
t’agrandissent encor ! Là, le génie humain prit s
uillonnant ; Soit qu’à des Nymphes d’or, qu’il anime à sa flamme, Son
art
donne la voix, le mouvement et l’ame ; Qu’il forg
maître habile, Esculape devint si profond dans tous les secrets de l’
art
de guérir, qu’il fut appelé le Dieu de la Médecin
vides. Tout ce peuple souffrant, lassé de tant de morts, Voyant que l’
art
humain se perd en vains efforts, N’attend rien qu
nt le fruit de votre heureuse chasse : Vous pouvez expliquer par quel
art
assassin Vous avez débusqué ce timide lapin ; Com
epas, marquer le dernier acte, Au secours du dessert appelez tous les
arts
; Sur-tout celui qui brille au quartier des Lomba
plairont davantage. Ah ! plutôt attaquez et savourez ces fruits Qu’un
art
officieux en compote a réduits. A la grâce, à l’é
aris Du vin de Risevalte ou de Côte-perdrix ; Et ne vous fiez pas à l’
art
des empiriques, Qui chargent vos boissons de méla
pe Phrygienne, Qui ne voit que le Monde, à ces peuples heureux Doit l’
art
d’orner les champs de grains plus savoureux ? Si
le premier nom, elle est la Déesse de la Sagesse, des Sciences et des
Arts
; sous le second, celle de la Guerre. Minerve sor
çonnés en olives. Imbert 75. Fêtes de Minerve. Jeunes amans des
arts
, apportez vos offrandes ; A l’autel de Pallas sus
la toile, au peigne à la lisser. Honorez ses autels, vous, que votre
art
illustre, Honorez ses autels, vous qui rendez leu
Cieux, où lisent nos regards, Invoquez-la : Pallas préside à tous les
arts
. Ovide. — Desaintange 76. Vesta, Fille de
lème, fils de ce Prince, et l’envoya ensuite enseigner ce premier des
Arts
aux différens peuples. Revenue en Sicile après se
se, Et des champs aux cités fit passer l’abondance : La victoire, les
arts
, la liberté, l’honneur, Fut le partage heureux du
es ! par vous la nature est plus belle ; Dans ses brillans tableaux l’
art
vous prend pour modelle, Simples tributs du cœur,
Dans ces beaux jours vantés par nos ancêtres ; L’homme étranger à des
arts
malfaisans, Vivait sans lois, sans besoins et san
le A sauvés de ses attentats ; Et là, sur le marbre et le cuivre, Les
arts
à ses yeux font revivre Des Dieux dont il vit le
lpomène, les yeux en larmes, De cris touchans vient me frapper ; Quel
art
me fait trouver des charmes Aux pleurs que je sen
On s’entend, on se voit agir. Tu blesses, tu plais tout ensemble, Ton
art
nous fait rire et rougir. Qu’entends-je ? Eut
repos ; Non ce repos obscur, enfant de la paresse, Eternel ennemi des
arts
et des progrès, Mais ce calme enchanteur que prod
te cesse, et dans un doux délire, On célèbre à l’envi le triomphe des
arts
; On voudrait de ses pieds presser l’heureux navi
ier vous pourriez voir épars | Des marbres ébauchés par le ciseau des
arts
. Le limon emprunté des fanges de la terre, D’une
ine De tant de prodiges divers : Tout s’embellit dans la nature ; Des
arts
la magique imposture Fait éclore un autre Univers
thie : Mais bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, roi des
arts
, il rendit grace aux Dieux ; Tu reçus le tribut d
cris Icare, et sur les eaux voit flatter ses débris. Il maudit de son
art
l’invention funeste ; De son malheureux fils il r
te et sans maçons, Se bâtissait en ville. Quand j’y pense, Cet
art
me plaît assez, dit-il. Il veut soudain
A tes accens s’attendrissent. Arion qui dans l’
art
des sons S’était fait une gloire extrêm
e, en ces fameux remparts, Vaste enceinte de brique, et merveille des
arts
, Pyrame aima Thisbé comme il fut aimé d’elle ;
attendrit la nature, Une éloquence douce, un cœur plein de desirs, L’
art
fatal de séduire, et le goût des plaisirs ; Tous
C’est ainsi qu’en regrets sa douleur se déclare ; Mais bientôt de son
art
employant le secours, Pour rappeler l’objet de se
; Périr est le sort des mortels ! Celle qui sut charmer sans
art
, sans imposture, Celle dont la vertu mérita des a
ée, Dans le tuf qu’elle-même a taillé de ses mains, Imita librement l’
art
savant des humains ; Et de la roche humide et cei
ars tresse la molle ébène. Ismène aux doigts légers est habile en cet
art
, Et les siens négligés voltigent au hasard. T
eu vainqueur, veux-tu qu’on me déchire ? Ah ! périsse à jamais et mon
art
et mon chant ! Pardonne, Dieu des vers ; mon crim
lanqué de chair, gabionné de lard, Tel, en un mot, que la nature et l’
art
, En maçonnant les remparts de son ame, Songèrent
es bois et des coteaux : Là, des jardins et des berceaux Où règnent l’
art
et l’imposture, Des tours, des flèches, des créne
Arachné, dont la gloire attirait tous les yeux, Devait tout à son
art
, et rien à ses aïeux. Un obscur artisan, Idmon ét
s Nymphes des vallons et les Nymphes des eaux Admiraient à l’envi son
art
et ses travaux. Voyiez-vous une laine artistement
ns. Ecoutez mes avis. Vantez-vous, j’y consens, D’exceller dans votre
art
et seule et sans partage ; Mais à Pallas au moins
; Je sais me conseiller. Que prétend ma rivale ? Me vaincre dans mon
art
? Que ne vient-elle ici ? N’ose-t-elle à mes yeux
sa tâche occupée, S’oublie : et du travail la fatigue est trompée. L’
art
d’assortir les fils, émule du pinceau, De reflets
e, N’a su dans les guérêts féconder la Nature, Mais grossière et sans
art
, n’attend que de ses dons, Les précieux trésors d
avir. C’est en vain qu’au Parnasse un téméraire auteur Pense de l’
art
des vers atteindre la hauteur. S’il ne sent point
; Les Sylvains couronnés de rameaux verdoyans ; Les Nymphes, qui sans
art
, les mains entrelacées, Dansaient aux sons joyeux
t la terre, par l’homme apportée à grands frais, D’un sol enfant de l’
art
étaler les bienfaits. Lieu charmant, trop heureux
qui, par des bienfaits, vivent dans la mémoire ; Et ceux qui, de nos
arts
utiles inventeurs, Ont défriché la vie et cultivé
onde et les vents conspirent-ils sa perte, L’espoir est l’
art
des matelots. La gloire ouvre à mes yeux les
er les loisirs Qui partagent le cours de ma paisible vie ? Dire que l’
art
des vers, cet art noble et divin N’est
partagent le cours de ma paisible vie ? Dire que l’art des vers, cet
art
noble et divin N’est qu’un travail friv
acré, Séjour heureux de la Cour ignoré, S’élève un temple, où l’
art
et ses prestiges, N’étalent point l’orgueil de
Paresse. On l’appelait aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux
Arts
. Elle était représentée dans une contenance timid
n esclavage. Ici j’offre aux cœurs purs tous les trésors du Sage, Les
arts
, les doux loisirs, des plaisirs sans transport, L
e le garantit pas. Vainement les bergers changent de pâturage ; L’
art
vaincu cède au mal, ou redouble sa rage, Tisiphon
à tout la chaleur et la vie ; Il crée, en se jouant, les prodiges des
arts
. Des maisons vastes et mobiles
rs Que l’Aurore n’en fait naître, Et qu’Iris n’a de couleurs. Son
art
forme sa coiffure : L’or, les perles, les saphyrs
ette captive ; Les mets exquis, mais offerts simplement, Etaient sans
art
, comme chaque convive, Et prodigués comme leur en
ingt siècles unis, la lente expérience T’a préparé les
arts
. La maison qui te couvre et qui te sert d’asi
sa sagesse ? Sévère avec douceur, et tendre sans faiblesse, Elle a l’
art
de charmer sans rien devoir à l’art : Son devoir
t tendre sans faiblesse, Elle a l’art de charmer sans rien devoir à l’
art
: Son devoir est sa loi, sa défense un regard Qui
au-delà du temps. Quoi ! le Grand Homme, quoi ! le Sage, Qui des
arts
sur la Terre allume le flambeau ? Lui qui par des
[Table des matières] Bernard. Léda. 2. [Table des matières] Boileau.
Art
poétique, ch. III. 3. [Table des matières] Anony
neille. Ariane, act. V, sc. V. 186. [Table des matières] Verninac. L’
Art
d’aimer, liv. I. 187. [Table des matières] Bern
ières] Desaintange. Mét., liv. I. 225. [Table des matières] Boileau.
Art
poétique, ch. I. 226. [Table des matières] Laugi
V. — Apollon. Apollon, Dieu de la poésie, de la musique et des
arts
, recevait aussi le nom de Phébus quand on le cons
l’inventeur de la musique et de la poésie, et excellait dans ces deux
arts
. Pan, le Dieu des campagnes, avait voulu faire lu
uand les poëtes considèrent Apollon comme le Dieu de la poésie et des
arts
, ils placent sa cour sur le double sommet du mont
Mnémosyne, auxquelles il se plaisait à enseigner les sciences et les
arts
dans lesquels il excellait. Ces déesses étaient a
x avaient la vertu d’inspirer l’enthousiasme poétique. Comme Dieu des
arts
, Apollon se représente sous les traits d’un jeune
e lui arriva-t-il en Thessalie ? — Où alla-t-il ensuite ? — Dans quel
art
excellait-il, et quelles luttes firent éclater sa
? — Où les poëtes placent-ils la demeure du Dieu de la poésie et des
arts
? — Qu’était-ce que les Muses, et quelles étaient
ypte, où il apprit aux hommes à cultiver la terre, et leur enseigna l’
art
de faire le vin. Dans toutes ses courses, il étai
Minéides ou filles de Minée, habiles ouvrières qui excellaient dans l’
art
de faire de la tapisserie, n’ayant pas voulu inte
touche ? — Quels gages d’amitié échangea-t-il avec Apollon ? — Quels
arts
enseigna-t-il aux hommes ? — Quelles missions pri
laé, Thalie et Euphrosine ; ces divinités, qui présidaient à tous les
arts
de goût et d’agrément, ainsi qu’aux qualités aima
l’emporta. Après avoir formé le cheval, Neptune enseigna aux hommes l’
art
de dompter cet animal et de le dresser aux différ
n eut-il un différend avec Minerve, et quelle en fut l’issue ? — Quel
art
Neptune enseigna-t-il aux hommes ? — Comment célé
on ? XIII. — Minerve. Minerve, Déesse de la sagesse et des
arts
, sortit, dit-on, tout armée et âgée de vingt ans,
hommes l’écriture, la peinture, l’usage des chiffres et du calcul, l’
art
de filer la laine, de tisser et de broder les éto
der le sein de la terre ; ce fut encore lui qui enseigna aux hommes l’
art
de l’attaque et de la défense, et qui soumit à de
t Mars vint-il au monde, et quelles étaient ses attributions ? — Quel
art
enseigna-t-il aux hommes ? — A quel sujet fut-il
ls Triptolème, se chargea du soin de son éducation, et lui enseigna l’
art
de labourer, de semer, de récolter, et de faire l
e dans le métier de la guerre, et c’est lui qui enseigna aux hommes l’
art
de ranger une armée en bataille. Ayant accompagné
ymphe Pitys qu’il voulait épouser ? — Ne se distingua-t-il pas dans l’
art
militaire ? — Comment Pan est-il représenté ?
preuves de leur courage et de leur adresse ; Castor excellait dans l’
art
de dompter les chevaux, et Pollux brillait surtou
Il les assujettit à des lois pleines de sagesse, et leur enseigna des
arts
utiles. On lui attribue l’honneur d’avoir le prem
es ? Les sept sages de la Grèce. En même temps que le goût des
arts
se développait dans la Grèce, l’amour de la sages
ième génération du côté de Caïn, et qui fut le premier inventeur de l’
art
de forger les métaux. Diodore rapporte que Neptu
es explications inconnues de la création et du système du monde, et l’
art
avec lequel il accompagnait ses chants des doux s
consacre ses chansons. Polymnie a du geste enseigné le langage, Et l’
art
de s’exprimer des yeux et du visage. Terpsichore
ports de Munichie et de Phalère. Cette ville, autrefois le centre des
arts
et de la civilisation, montre encore aujourd’hui,
ures que les antiquaires regardent comme le plus ancien monument de l’
art
de l’Europe. 47. Province septentrionale du Pélo
On a probablement voulu désigner ainsi une nation fort habile dans l’
art
de monter à cheval. Le plus célèbre d’entre eux é
em and absolute perfection, whether in legislation, in philosophy, in
art
, in science, in literature, in poetry, in war, or
, who would destroy a world that has so long been the treasury of the
arts
! a world, imaginary indeed, but delightful, and w
our hath come. Vestal, (clasping him). I will not quit thee; Thou
art
a man with human sympathies; Madness will touch m
ll, So thy worn form pursues me night and day, Smiling reproach. Wise
art
thou, firm and good, But vainly wouldst stand for
All the Gods vied in making presents. Venus gave her beauty, and the
art
of pleasing; Apollo taught her to sing; Mercury
is will, And smiling bade him his command fulfil; To use his greatest
art
, his nicest care, To frame a creature exquisitely
ing maid; Minerva next performed the task assigned, With every female
art
adorned her mind; To her the Beauties and the Gra
Hermes taught the fair the heart to move With all the false alluring
arts
of love, Her manners all deceitful, and her tongu
ealth and sober appetite demand, From fading good derives with chemic
art
That lasting happiness, a thankful heart. Hope wi
bele, was goddess of the productions of the earth. She taught man the
art
of agriculture, and is represented crowned with w
with a rapid flight.” Ovid. The attempts of Ceres to encourage the
art
of agriculture were not always favourably receive
the spear more than the reaping hook, having attempted to smother the
art
taught by Ceres in its infancy, was metamorphosed
ity, whose name still lives with us, as the presiding divinity of the
art
of song, was the son of Jupiter, by the beautiful
the world, as he granted to Æsculapius the secrets of this miraculous
art
, who afterwards sought to raise the dead, and whi
Jove the Muses forth; Blessed offsprings, happy maids, whose powerful
art
Can banish cares, and ease the painful heart. ………
m in their palace, and assembled together with him to converse on the
arts
and sciences. Among their possessions, the Muses
te of Midas, King of Lydia, wished also to compete with Apollo in the
art
of which the latter was master. Pan began the str
he three Graces, who are the animating deities of genius and the fine
arts
, and at his feet is placed a swan. Insérer image
had told them that the most difficult of all human knowledge was the
art
of knowing ourselves. Thales offered the tripod t
light! how fairly dost thou go Over those hoary crests, divinely led!
Art
thou that huntress of the silver bow Fabled of ol
of the silver bow Fabled of old? —————————— ………………………………………………… What
art
thou like? sometimes I see thee ride A far bound
ndymion asleep, Leaving thy splendour at the jagged porch! “Oh! thou
art
beautiful, however it be, Huntress, or Dian, or w
bricated arms even for her illegitimate children. “In this was every
art
and every charm, To win the wisest, and the colde
s educated by the nymphs of the sea, and trained in his youth in the
art
of working metals, and was able to cultivate thos
ed the rugged cave, or sheltering wood, Th’ inventive powers of dædal
art
to know, And all the joys from social life that f
e following epigram, written under one of his statues. “Whoe’er thou
art
, thy master see, Who was, or is, — or is to be.”
Minerva. Minerva, the Goddess of wisdom, war, and all the liberal
arts
, came forth, armed and grown up, from her father’
a trial of skill. “From famed Pactolus’ golden stream, Drawn by her
art
the curious Naiads came Nor would the work, when
Yet long the inflicted pangs thou shalt not mourn, Sprung since thou
art
from Jove, and heavenly born: Else singed with li
Sweet Venus! when the shaft he took, He sighed, and felt the urchin’s
art
, He sighed in agony of heart; ‘It is not light, I
Apollo singeth, while his chariot Waits at the door of heaven. Thou
art
not For scenes like this; an empire stern hast th
“A horrid dog and grim, couched on the floor, Guards, with malicious
art
, the sounding door; On each, who in the entrance
feast of solemn state, A joy by night or day, for those endowed With
art
and wisdom, who interrogate! It teaches, bubbling
easure of hearing her voice in reply. “In thy cavern-hall, Echo!
art
thou sleeping? By the fountain’s fall Dreamy
flowers to wreathe Beneath some stately forest’s antique boughs. Oh!
art
hath nought like this, the very air Breatheth of
ul deity, Archangel! power of desolation! Fast descending as thou
art
, Say, hath mortal invocation Spells to touch
grot disclose The well wrought fabric, to discerning eyes, Rather by
art
than nature seem to rise. A bridled dolphin, oft
ged his suit, with all that love could say: The nymph o’erpowered, to
art
for succour flies, And various shapes the eager y
ps Thou bear’st a sound and sign; A minstrel wild and strong thou
art
, With a mastery all thine own, And the spirit
llow roll of distant surge, The gathered billows roar. “Thou
art
come from forests dark and deep, Thou mighty,
old sounding wilderness, Have lent their soul to thee. “Thou
art
come from cities lighted up For the conqueror
rt come from cities lighted up For the conqueror passing by, Thou
art
wafting from their streets, a sound Of haught
far off shout of multitudes, Are in thy rise and fall. “Thou
art
come from kingly tombs and shrines, From anci
and shield, and helm, To his place of slumber’s gone. “Thou
art
come from long forsaken homes, Wherein our yo
sing surges with his tears; From the detested sorceress he flies, Her
art
reviles, and her address denies, Whilst happless
power! whose dark and gloomy sway Extends o’er all creation, what
art
thou? They call thee ‘King of Terrors!’ drear dis
to intimate the silence he maintains, and hence, all modern works of
art
adopt the same sign, when they wish to represent
nd became the patron of athletic exercises. Castor was skilful in the
art
of guiding chariots, and subduing the most fiery
dvances he securely makes Through singeing blasts: such wonders magic
art
Can work, when love conspires and plays his part.
r Iphiclus shrieked aloud in terror. He was early instructed in those
arts
in which he afterwards became so famous, for Cast
A mass of dim confusion gathers round me; Am I indeed Hippolytus, and
art
thou Phædra? Phæ. I am thy Phædra! Theseus ha
shameless, I dared not take the life I gave to him! Wretch that thou
art
, dost thou not answer me? Hip. Sire, I am not
tacy the rock with hoofed and horny feet.” But though this beautiful
art
was his master passion, he did not forget the cha
Where am I? Egisthus. Hast thou slain the tyrant? Now At length thou
art
worthy of me. Cly. See with blood The dagger dro
dness! I am here, Father! and where you are, will ever be. Aga. Thou
art
my child — yes, yes, thou art my child. All was n
where you are, will ever be. Aga. Thou art my child — yes, yes, thou
art
my child. All was not once what all now is! Come
face The poet loves to trace, Theme of the sculptor’s
art
, and poet’s story, How many a wan
no mortal resting place so fair As thine ideal breast; whate’er thou
art
Or wert, — a young Aurora of the air, The nymphol
it was born, in sighing, Share with immortal transports? could thine
art
Make them indeed immortal, and impart The purity
n their reading; those who travel, and visit museums and galleries of
art
, an interpreter of paintings and sculptures; thos
y are too closely connected with the finest productions of poetry and
art
, both ancient and modern, to pass into oblivion.
ssigned the presidence over some particular department of literature,
art
, or science. Calliope was the muse of epic poetry
ng over the banquet, the dance, and all social enjoyments and elegant
arts
. They were three in number. Their names were Euph
be comparatively independent of climate; and finally to introduce the
arts
and to coin money, the means of trade and commerc
e was incensed against them, and who taught them civilization and the
arts
. But as, in so doing, he transgressed the will of
alus and others stood on a hill and saw the race. The fox tried every
art
; he ran in a circle and turned on his track, the
n, Diana. In the extremity of the valley was a cave, not adorned with
art
, but nature had counterfeited art in its construc
valley was a cave, not adorned with art, but nature had counterfeited
art
in its construction, for she had turned the arch
es of Greece! Where burning Sappho loved and sung, Where grew the
arts
of war and peace, Where Delos rose and Phœbus
ettle, but a bell. A wooden jack, which had almost Lost by disuse the
art
to roast, A sudden alteration feels Increased by
she passed through the crowd of gambolling beasts, the victims of her
art
, and proceeded to the coast of Sicily, where Scyl
at seemed to be alive, and only prevented from moving by modesty. His
art
was so perfect that it concealed itself and its p
d and fell. The god, as pale as himself, raised him and tried all his
art
to stanch the wound and retain the flitting life,
you, and you only. Add to this, he is young and handsome, and has the
art
of assuming any shape he pleases, and can make hi
us prepared for the enjoyment of true and pure happiness. In works of
art
Psyche is represented as a maiden with the wings
e the altar I raised my eyes to heaven. ‘O Jupiter,’ I said, ‘if thou
art
indeed my father, and art not ashamed of thy offs
es to heaven. ‘O Jupiter,’ I said, ‘if thou art indeed my father, and
art
not ashamed of thy offspring, give me back my peo
ved by others; but it yet remains a test of strength and skill in the
art
of swimming sufficient to give a wide and lasting
e, and in complete armor. She presided over the useful and ornamental
arts
, both those of men — such as agriculture and navi
That mortal was Arachne, a maiden who had attained such skill in the
arts
of weaving and embroidery that the Nymphs themsel
Lady’s Embroidery “Arachne once, as poets tell, A goddess at her
art
defied, And soon the daring mortal fell The ha
submit, For you’ll most surely meet her hate, Who rival both her
art
and wit.” Tennyson, in his “Palace of Art,” des
e, Who rival both her art and wit.” Tennyson, in his “Palace of
Art
,” describing the works of art with which the pala
and wit.” Tennyson, in his “Palace of Art,” describing the works of
art
with which the palace was adorned, thus alludes t
: — “To stone the gods have changed her, but in vain; The sculptor’s
art
has made her breathe again.” Tragic as is the st
ce With sudden adoration and blank awe!” Armstrong, the poet of the
Art
of Preserving Health, thus describes the effect o
e Lost: — “Descend from Heaven, Urania, by that name If rightly thou
art
called, whose voice divine Following above the Ol
, and was renowned for his skill in hunting, medicine, music, and the
art
of prophecy. The most distinguished heroes of Gre
bolder steerage over ocean wave, Led by the golden stars, as Chiron’s
art
Had marked the sphere celestial,” etc. Hercules
taking part in them. Jason said to Medea, “My spouse, would that your
arts
, whose power I have seen so mighty for my aid, co
er’s.” Medea replied, “Not at such a cost shall it be done, but if my
art
avails me, his life shall be lengthened without a
w is, he was in his youthful days, forty years before. Medea used her
arts
here for a good purpose, but not so in another in
a and Ops. She was the wife of Cronos and mother of Zeus. In works of
art
she exhibits the matronly air which distinguishes
ous infant strangled them with his own hands. He was, however, by the
arts
of Juno rendered subject to Eurystheus and compel
ven, and installed in the vacant place. Tennyson, in his Palace of
Art
, describes among the decorations on the walls a p
, had become the wife of Ægeus, the father of Theseus. Knowing by her
arts
who he was, and fearing the loss of her influence
r who he was, and prevented the fatal draught. Medea, detected in her
arts
, fled once more from deserved punishment, and arr
cts of the ancient sculptors, and is commemorated in several works of
art
that are still extant. The friendship between The
aw the feathers floating on the water, and bitterly lamenting his own
arts
, he buried the body and called the land Icaria in
ad placed her son Perdix under his charge to be taught the mechanical
arts
. He was an apt scholar and gave striking evidence
, till growing weary of remaining in one place, I learned the pilot’s
art
and how to guide my course by the stars. It happe
et, And the songs of Sirens sweet;” etc. Armstrong, the poet of the
Art
of preserving Health, under the inspiration of Hy
With her most starry canopy;” etc. Tennyson, also, in his Palace of
Art
, gives us a glimpse of the royal lover expecting
th in the dust. “Finding that I was no match for him in the warrior’s
art
, I resorted to others and glided away in the form
n of Apollo, was endowed by his father with such skill in the healing
art
that he even restored the dead to life. At this P
tus, opposed the enterprise, for he was a soothsayer, and knew by his
art
that no one of the leaders except Adrastus would
oosing one of them for her husband. Penelope, however, employed every
art
to gain time, still hoping for Ulysses’ return. O
every art to gain time, still hoping for Ulysses’ return. One of her
arts
of delay was engaging in the preparation of a rob
incts of the inferior animals for his own advantage. Hence sprang the
art
of keeping bees. Honey must first have been known
wer your questions in order to get released, for he cannot by all his
arts
get away if you hold fast the chains. I will carr
u have only to keep him fast bound, and at last when he finds all his
arts
unavailing, he will return to his own figure and
eus, waking and finding himself captured, immediately resorted to his
arts
, becoming first a fire, then a flood, then a horr
ng in Comus: — “Sabrina fair! Listen where thou
art
sitting Under the glassy, cool, translucent wave
of Galatea and the Cyclops. “What not his father’s care nor tutor’s
art
Could plant with pains in his unpolished heart, T
’s bow wounded Machaon, son of Æsculapius, who inherited his father’s
art
of healing, and was therefore of great value to t
ounded by lions, tigers, and wolves, not fierce, but tamed by Circe’s
art
, for she was a powerful magician. These dreadful
entures. He announced himself as Mercury, and informed Ulysses of the
arts
of Circe, and of the danger of approaching her. A
s Calypso’s isle, and, as in the former case, the goddess tried every
art
to keep him with her, and offered to share her im
. For the Phæacian women as far exceeded all other women in household
arts
as the mariners of that country did the rest of m
ontributed to cheer and adorn life by their discoveries in the useful
arts
, and have made their memory blessed by rendering
he lived among the shepherds and brought up his daughter in woodland
arts
. While a child she was taught to use the bow and
allas, my son, my only hope and comfort. Under you he shall learn the
art
of war, and strive to emulate your great exploits
, and freedom from any transient expression, which in the language of
art
is called repose. The Venus de’ Medici. The
s placed. The artist is unknown. It is supposed to be a work of Roman
art
, of about the first century of our era. It is a s
l soar, And my renown endure forevermore. Where’er the Roman arms and
arts
shall spread There by the people shall my book be
he Brahmans, but they may follow mechanical occupations and practical
arts
, as painting and writing, or become traders or hu
,” said the giant, “but I need not ask thy name, for I know that thou
art
the god Thor. But what has become of my glove?” T
sat up, and stroking his cheek said, “An acorn fell on my head. What!
Art
thou awake, Thor? Me thinks it is time for us to
t needs say that thou wilt not be called so mighty a man here as thou
art
at home if thou showest no greater prowess in oth
to the cup-bearer. “I now see plainly,” said Utgard-Loki, “that thou
art
not quite so stout as we thought thee: but wilt t
thought thee: but wilt thou try any other feat, though methinks thou
art
not likely to bear any prize away with thee hence
such a feat to the great Thor if I had not already observed that thou
art
by no means what we took thee for.” As he finishe
,” said Utgard-Loki, “it behooves me to tell thee the truth, now thou
art
out of the city, which so long as I live and have
s owned by the Athenæum, Boston, and deposited, in the Museum of Fine
Arts
. 14. Proteus. 15. The punishment of Dirce is th
levate them to the love and enjoyment of the beautiful, in nature, in
art
, and in literature — to inspire a taste for the l
But we must preserve our old poetry, and its connexion with the fine
arts
, and with the fictions and superstitions of other
try, or to comprehend the beauty and propriety of the finest works of
art
, without some acquaintance with the history of an
ed Saturnia. Saturn taught his subjects agriculture, and other useful
arts
, and made them so happy that the time of his reig
y were probably, at that remote period, less instructed in the useful
arts
and the comforts of life, than the inhabitants of
piter and Latona. He has been called “the god of life, and light, and
arts
” He was the cause of disease, and the restorer of
day; and was supposed to be the patron of poetry, music, and the fine
arts
. Apollo was perfectly beautiful. He taught the ar
sic, and the fine arts. Apollo was perfectly beautiful. He taught the
arts
of divination and archery, or the management of t
There scarcely exists in any country a museum or gallery of the fine
arts
, which does not contain one or more statues of Ap
cury was the son of Jupiter and Maia. He was the god of eloquence, of
arts
and sciences, and the messenger of Jupiter. He wa
The ancient Egyptians are considered as the original inventors of the
arts
, science, and religion of Greece; though the arts
al inventors of the arts, science, and religion of Greece; though the
arts
and sciences flourishing at a later period in Gre
lowest state of savage life. The ancient Greeks sometimes imputed the
art
of forging metals to Prometheus. Perhaps Promethe
s first discovered that metals were capable of fusion, and taught the
art
of manufacturing them to mankind; but Vulcan, acc
. When they discover the use of vegetable substances, and acquire the
art
of procuring them from the fields, they have adva
industry and comfort. Ceres might have made some improvements in the
art
of cultivating the earth. The Egyptians worshippe
of manners and kindness of heart are sufficient, without disguise or
art
, to gain good will. Who was Cupid? What is signi
eyes. Shouting we4 seize the god; our force to evade, His various
arts
he summons to his aid. A lion now he curls a
d at Nysa in Arabia; that he taught the culture of the grape, and the
art
of converting its juice to wine, and the preparat
been of a pacific nature. They represented the triumph of the useful
arts
over brute force. Bacchus, drawn by wild beasts,
er buds, whatever blows, For thee it buds, for thee it grows. Nor yet
art
thou the peasant’s fear. To him thy friendly note
thou the peasant’s fear. To him thy friendly notes are dear; For thou
art
mild as matin dew, And still, when summer’s flowe
Who sang with all the raptures of a god: Worthies, who life by useful
arts
refined; With those, who leave a deathless name b
about shrieking through fright. Hercules was early instructed in the
arts
practised in that obscure age, (perhaps twelve ce
s vast mace in virtue’s cause sublime, Unmeasured strength with early
art
combined, Awed, served, protected, and amazed man
sses an herb called Moly, which preserved him from the effects of her
arts
, and he retained his human figure. Ulysses afterw
to be wounded. Achilles was instructed by Chiron, the Centaur, in the
arts
of war and music, and by Phœnix in eloquence. Whe
ece — and to them is also added the tradition of certain monuments of
art
, now perished. The latter were the Seven Wonders
ife of Brahma, and emblem of his creative power, the patroness of the
arts
and sciences. She is depicted as holding in her h
ther nations in the wisdom of their laws, and the perfection of their
arts
, they equally surpassed them in all degrading ido
in the history of all nations, that the more improved men are in the
arts
and comforts of life, the more intelligent they a
and an excellent example in his conduct. Quet-zal-cot also taught the
art
of dying cotton, and of producing corn. Under thi
e, abhorring all cruelty, and the very name of war, he taught all the
arts
of peace, besides many religious ceremonies, whic
represent the gods; and when the Greeks arrived at perfection in the
arts
, they produced such images as the Apollo, Venus,
lato, and was a tradition from some more ancient author: “O thou, who
art
the king of Heaven, grant us what is useful to us
ling salt, hearing strange voices, were deemed lucky and unlucky. The
art
of explaining all these to the credulous and igno
rators; and distinguished, in their most civilized stale, for love of
arts
, and for magnificent works. But their superstitio
is to be regretted that a great portion of these specimens of Grecian
art
were lost, with the vessel on board which they we
s of horses. Perhaps some notion may be conceived of the magic of his
art
, when it is related, that of a hundred horses int
ever perverted, is expressed everywhere, by the finest works of human
art
, and the universal concurrence of mankind. What
ut as human life knows no divorce of necessity from freedom, so human
art
knows neither an unrelieved Classical nor an unre
t., Boston), for the liberal collection of photographs, from works of
art
illustrating mythological subjects, that they hav
y. I also acknowledge the kindness of Mr. W. K. ickery (Publisher and
Art
Dealer, 224 Post St., San Francisco), who has len
ancisco), who has lent me many photographs and engravings of works of
art
that, otherwise, might have escaped my notice. In
m: Mus. Flor.] 108. Scylla. [Carved end of table: Chefs d’œuvres de l’
Art
Antique, Paris, 1867.] 109. Charon receiving a pa
ation and law, society and manners, philosophy, religion, literature,
art
, and even artistic appreciation, run readily shal
e imaginative garb of modern art. For though the phenomena of plastic
art
are not the same in one continent as in another,
them, purified and breathing of Elysian air, to the world of life and
art
and ever-young mankind. For the reader the study
ct, as much as for the poet. It assists him to thrid the labyrinth of
art
: not merely with the clue of tradition, but with
s led men broadly to appreciate the motives and conditions of ancient
art
and literature, and the uniform and ordered evolu
ings, abnormal and sensational, in literature, music, and the plastic
arts
, — as such a tutor and governor is the study of b
c. For, the study, when illustrated by masterpieces of literature and
art
, should lead to the appreciation of concrete arti
ings of old is the best incentive to an æsthetic estimate not only of
art
, but of nature to-day; but if our American pupils
tance with the literatures that we inherit. In respect of the plastic
arts
, a similar indirect instruction may well be conve
judgment, and heightens the enjoyment of such works of literature and
art
as not treating of mythical or classical subjects
flowing robes, a spirit, a truth, a potential poetry, and a beauty of
art
, the mere grace of which we Americans for lack of
f his own nature, of his relation to the world about him, of duty, of
art
, and of religion. § 7. Theory of Deterioration. —
a ready explanation of their wide diffusion.” Many products of early
art
— clay bowls and stone weapons — are peculiar to
paniment of their own upon the harp or lyre, they were skilled in the
art
of music as well as in that of verse. Orpheus, w
of Greek traditions concerning the primitive commodities of life, the
arts
of agriculture and navigation, the sacred calenda
tutional History of Iceland.40 While the main treatises on the poetic
art
are, in general, Snorri’s, the treatises on gramm
present day, in Iceland, it is common to hear the term “void of Eddic
art
,” or “a bungler in Eddic art.” A rearrangement of
Earth. He is, from the beginning, of incalculable years. In works of
art
his head is veiled, to typify his cunning and his
s and treasures from the earth, to develop commerce, science, and the
arts
. § 23. The Age of Gold. — Whether in this or in o
strument or verse, All prophecy, all medicine, are mine, All light of
art
or nature; — to my song, Victory and praise in th
in mist of ocean’s sullen tears. It is the Medicean: well I know The
arts
her ancient subtlety will show, — The stubble fie
no shadow nigh Where a weary man might lay him down and die, Lo! thou
art
there before me suddenly, With shade as if a summ
t and herald of Jupiter and the other gods. On his ankles (in plastic
art
), and his low-crowned, broad-brimmed petasus, or
them was assigned the presidence over some department of literature,
art
, or science. Calliope was the muse of epic poetry
Jove, he was translated to the ranks of Heaven. His function was the
art
of healing. (9) The Winds, — Boreas or Aquilo, th
ed in § 54. (3) The Satyrs, deities of the woods and fields. In early
art
, they appear as bearded creatures with snub noses
uttered her voice, saying, — “Whither bearest thou me, bull-god? What
art
thou? How dost thou fare on thy feet through the
drink is sweet to thee, what food shalt thou find from the deep? Nay,
art
thou then some god, for god-like are these deeds
o grant whate’er I asked: And straight I cried, ‘To know thee as thou
art
! To hold thee on my heart as Juno does! ‘ Come in
; or know the god — Or dare to know him —only as a man! O human love!
art
thou forever blind?”117 § 63. Ægina. — The exte
e the altar, I raised my eyes to Heaven. ‘O Jupiter,’ I said, if thou
art
indeed my father, give me back my people, or take
ettle, but a bell. A wooden jack, which had almost Lost by disuse the
art
to roast, A sudden alteration feels, Increased by
Minerva, as we have seen,125 presided over the useful and ornamental
arts
, both those of men — such as agriculture and navi
f Jove. This was Arachne, a maiden who had attained such skill in the
arts
of carding and spinning, of weaving and embroider
aid: “Nay, thou renegade, sit not by me and whine. Most hateful to me
art
thou of all gods that dwell in Olympus; thou ever
I scarce rule with words. Therefore I deem that by her prompting thou
art
in this plight. Yet will I no longer endure to se
t. Yet will I no longer endure to see thee in anguish; mine offspring
art
thou, and to me thy mother bare thee. But wert th
d and fell. The god, as pale as himself, raised him and tried all his
art
to stanch the wound and retain the flitting life,
! I see, I see it glimmering through a cloud. Artemis, thou at length
art
merciful: My children will not hear the fatal twa
f instructed by Apollo and Diana in hunting, medicine, music, and the
art
of prophecy. When the sage returned to his home b
world the third day rise! Lead her in, meanwhile; good and true thou
art
, Good, true, remain thou! Practise piety To stran
s will I treasure, even as thyself, Adonis, since, ah ill-fated, thou
art
fleeing me, thou art fleeing far, Adonis, and art
en as thyself, Adonis, since, ah ill-fated, thou art fleeing me, thou
art
fleeing far, Adonis, and art faring to Acheron, t
ah ill-fated, thou art fleeing me, thou art fleeing far, Adonis, and
art
faring to Acheron, to that hateful king and cruel
not follow thee! Persephone, take thou my lover, my lord, for thyself
art
stronger than I, and all lovely things drift down
to be alive, and that was prevented from moving only by modesty. His
art
was so perfect that it concealed itself, and its
l, and empires fade, Immaculately pure: Exchange this endless life of
art
For beauty that must die, And blossom with a beat
erman’s trade, which he had followed till he had acquired the pilot’s
art
of steering his course by the stars. It once happ
d I shall never need it more!” “Alas!” the voice returned, “‘tis thou
art
blind, Not I unmerciful; I can forgive, But have
white than is pressed milk to look upon, more delicate than the lamb
art
thou, than the young calf wantoner, more sleek th
ep him fast bound,” concluded Cyrene; “and at last, when he finds his
arts
of no avail, he will obey thy behest.” The nymph
ghty struggle. Finding he was no match for Hercules in the wrestler’s
art
, Acheloüs glided away in the form of a serpent. H
onsters. [Wall painting: H. and P.] “Sabrina fair, Listen where thou
art
sitting Under the glassy, cool, translucent wave.
bolder steerage over ocean wave, Led by the golden stars, as Chiron’s
art
Had marked the sphere celestial.302 Theseus, Me
ars younger. § 147. Pelias. 304 — In another instance, Medea made her
arts
the instrument of revenge. Pelias, the usurping u
ad placed her son Perdix under his charge to be taught the mechanical
arts
. He was an apt scholar, and gave striking evidenc
eparation from Jason,331 had become the wife of Ægeus. Knowing by her
arts
who the stranger was, and fearing the loss of her
on of Æsculapius, a brave warrior, who, having inherited his father’s
art
, was of great value to the Greeks as their surgeo
rounded by lions, tigers and wolves, not fierce, but tamed by Circe’s
art
, for she was a powerful magician. These animals h
entures. He announced himself as Mercury, and informed Ulysses of the
arts
of Circe, and of the danger of approaching her. A
. For the Phæacian women as far exceeded all other women in household
arts
as the mariners of that country did the rest of m
in choosing one of them for her husband. She, however, employed every
art
to gain time, still hoping for Ulysses’ return. O
every art to gain time, still hoping for Ulysses’ return. One of her
arts
of delay was by engaging in the preparation of a
icily. Fig. 108. Scylla. [Carved end of table: Chefs d’œuvres de l’
Art
Antique, Paris, 1867.] The Resentment of Juno. —
ontributed to cheer and adorn life by their discoveries in the useful
arts
, and have made their memory blessed by rendering
he lived among the shepherds and brought up his daughter in woodland
arts
. While a child she was taught to use the bow and
llas, my son, my only hope and comfort. Under thee he shall learn the
art
of war, and strive to emulate thy great exploits.
ertaking, and whatever may happen to me, I wish thee to be safe. Thou
art
younger than I and hast more of life in prospect.
,” said the giant, “but I need not ask thy name, for I know that thou
art
the god Thor. But what has become of my glove?” T
sat up, and stroking his cheek said, “An acorn fell on my head. What!
Art
, thou awake, Thor? Methinks it is time for us to
t needs say that thou wilt not be called so mighty a man here as thou
art
at home if thou showest no greater prowess in oth
to the cupbearer. “I now see plainly,” said Utgard-Loki, “that thou
art
not quite so stout as we thought thee; but wilt t
hought thee; but wilt thou try any other feat? — though methinks thou
art
not likely to bear any prize away with thee hence
such a feat to the great Thor if I had not already observed that thou
art
by no means what we took thee for.” As he finish
,” said Utgard-Loki, “it behooves me to tell thee the truth, now thou
art
out of the city, which so long as I live and have
y. I have done and I may not undo, I have given and I take not again;
Art
thou other than I, Allfather, wilt thou gather my
stress of the civil war, 1641-1649, away from poetry, music, and the
art
which he had sedulously cultivated, into the stor
name Mars, see Roscher (end of article on Apollo). Illustrative, in
Art
. — Of archaic figures, that upon the so-called Fr
resents Ares bearded and with the armor of an Homeric warrior. In the
art
of the second half of the fifth century b.c., he
s placed. The artist is unknown. It is conceded to be a work of Roman
art
, of about the first century of our era (and follo
isles of Greece! Where burning Sappho loved and sung, Where grew the
arts
of war and peace, Where Delos rose and Phœbus spr
n, Hymn to Nativity; H. K. White, Ode to Contemplation. In Art. — In
art
the goddess is represented high-girt for the chas
. 2: 1; 4: 3; Hamlet 3: 4; Milton, P. L. 3, “Though by their powerful
art
they bind Volatile Hermes”; P. L. 4: 717; 11: 133
irgins. (2) Hebe. — Thomas Lodge’s exquisite Sonnet to Phyllis, “Fair
art
thou, Phyllis, ay, so fair, sweet maid”; Milton,
inting. Ganymede. — Chaucer, H. of F. 81; Tennyson, in the Palace of
Art
, “There, too, flushed Ganymede, his rosy thigh Ha
io Romano; Terpsichore (picture) by Schützenberger. (5) The Hours, in
art
: Raphael’s Six Hours of the Day and Night. (6) Th
ῆ μήτηρ, δᾶ μάτηρ), means Mother Earth. The goddess is represented in
art
crowned with a wheat-measure (or modius), and bea
her was also called Cybele, Berecyntia, and Dindymene. The Cybele of
Art
. — In works of art, Cybele exhibits the matronly
Cybele, Berecyntia, and Dindymene. The Cybele of Art. — In works of
art
, Cybele exhibits the matronly air which distingui
ppy in these floating bowers abide,” etc.; Pope, Summer 7; Armstrong,
Art
of Preserving Health, “Come, ye Naiads! to the fo
e of the Camenæ: Byron, Childe Harold 4: 115-120; Tennyson, Palace of
Art
, “Holding one hand against his ear,” etc. Pan, et
gentle wind. But see p. 200. Illustrative. — Shelley, To the Moon: “
Art
thou pale for weariness Of climbing heaven and ga
Europa, a sonnet. See also a graceful picture in Tennyson’s Palace of
Art
. In Art.— The marble group in the Vatican, Europ
gave laws, the rudiments of culture (alphabet, etc.), and industrial
arts
to the older races of Greece. Many Theban names,
: — “To stone the gods have changed her, but in vain; The sculptor’s
art
has made her breathe again.” There is a headless
technical skill, especially in wood-cutting, carving, and the plastic
arts
used for industrial purposes. His flight from one
s, was Calypso’s isle; as in the former case, the goddess tried every
art
to keep the youth with her, and offered to share
lf-produced; mother of the sun; goddess, consequently, of wisdom, the
arts
of peace and of war. Likened by the Greeks to Ath
love-affairs, 53; other children of, 53; Greek conceptions of, 53; in
art
, statue of Olympian Jove by Phidias, 54; J. and A
ed to Apollo, as the Pasturer or Herdsman; see 241-245; Com. § 38, on
Art
. Norns, 367, 368, 382, 397. Norse gods, myths of,
ædra, Erechtheus; §§ 158-164, Tiresias. Syme, James. Nibelungenlied (
Art
Encyc. Brit.), 34 n . T Tabley, Lord de (p
lysses, 335-337; Com. § 33, The Talking Oak; §§ 43, 56, 61, Palace of
Art
; §§ 45, 105, Demeter and Persephone; § 96, Hero t
adventures, names, festivals, oracles, and his place a literature and
art
, see Commentary. For other particulars, see secti
d 5: 370, etc. 83. A popular etymology. 84. For Venus in poetry and
art
, see Commentary, § 40. 85. From the Venus of Mil
f Catullus LXlV, in § 165. 90. For references to poetry and works of
art
, see Commentary. 91. According to Thomas Moore’
le, see Commentary, § 51. 105. The references to poetry and works of
art
, see Commentary. 106. Iliad 14: 303. 107. For
que les guerres seraient éternelles ; on en fit le plus terrible des
arts
. Chacun sentit la nécessité de sacrifier une part
s monarchies, et surtout s’illustrer en cultivant les sciences et les
arts
. C’est par les Grecs que la poésie, l’éloquence,
uelques chefs de colonies civilisées leur apportent les sciences, les
arts
, des lois, un culte religieux. Habiles à profiter
t, et de tous les avantages que l’on peut retirer des sciences et des
arts
, leur apprit à chercher le repos sous la conduite
veaux climats : ils vinrent dans l’Occident, apportant avec eux leurs
arts
, leurs coutumes, leurs lois, leur religion. L’ido
mais les peuples orientaux, qui jouissaient de tous les avantages des
arts
et des sciences, connaissaient beaucoup mieux ces
s coutumes égyptiennes. Il est bien démontré qu’Athènes, la reine des
arts
, des sciences et de la politesse, doit ses commen
l’Égypte que la Grèce devait ses lois, ses coutumes, sa religion, les
arts
et les sciences. Arrivée de Pélops dans la Grè
aut de la citadelle de Minerve, mais que cette déesse protectrice des
arts
, l’avait changé en perdrix. Parmi les disciples d
es étaient des peuples de la Thessalie, qui les premiers trouvèrent l’
art
de dompter les chevaux, et de les employer à l’at
alydon. La fable du combat d’Hercule contre Achéloüs prouve avec quel
art
les poëtes défiguraient les événemens les plus si
par la naissance et la valeur, voulut assister à cette expédition. L’
art
de la navigation était alors si peu connu, que l’
à Médée une grande passion pour ce héros, parce qu’elle connaissait l’
art
des enchantemens, et pourrait le garantir de tous
t accepter cinq talens, à condition que le poëte emploierait tout son
art
à les justifier d’un crime qui rendait la mémoire
s mêmes jeux, Castor, son frère, se distinguait à la course et dans l’
art
de dompter les chevaux. Après le voyage de la Col
’une étoile. (Fig. 75.) Cette manière de les représenter prouve que l’
art
de l’équitation était antérieur au siége de Troie
emière expédition où les Grecs montrèrent quelques connaissances de l’
art
militaire. Jusqu’alors on avait vu des troupes sa
er dans les murs de Thèbes. « Les Grecs ne connaissaient pas encore l’
art
de s’emparer d’une place défendue par une forte g
t en longueur. « Avec de frêles bâtimens et de faibles lumières sur l’
art
de la navigation, les Grecs n’avaient pu établir
érables que ne le dit Hérodote. L’idée que nous avons aujourd’hui des
arts
et des forces mécaniques se confond devant de par
pût donner une idée de la majesté divine. On employa tout ce que les
arts
réunissaient de plus sublime ; et le génie de Phi
s les ont transmises étaient des poëtes. Odin, apportant avec lui des
arts
inconnus dans le Nord, une magnificence extraordi
sday, jour d’Odin. Ce dieu passait aussi pour l’inventeur de tous les
arts
: on crut qu’il répondait au Mercure des Grecs et
ions inconstantes ; personne parmi les mortels, ne le surpasse dans l’
art
des perfidies et des ruses. Il a eu plusieurs enf
ces expressions, tantôt sublimes, tantôt gigantesques, entassées sans
art
, les petitesses placées au milieu des peintures l
ransporter, et ces monumens grossiers sont plus durables que ceux des
arts
et de l’industrie. Dans tous les temps, les homme
ulement alors les lumières du christianisme, et qu’ils ignoraient les
arts
qui avaient adouci les mœurs des Romains et des G
é de dangers et de maux ; si la protection des lois et le secours des
arts
ne le rassurent point au sortir de l’enfance ; s’
omme pendant celle des hommes, les actions éclatantes sont rares, les
arts
et les sciences ne naissent qu’à la suite des siè
premiers pères, et qu’elles furent aussi le centre brillant d’où les
arts
et les sciences se répandirent sur le reste de l’
e fut sans doute l’origine de la poésie chez tous les peuples, et cet
art
faisait partie de la religion des druides. L’usag
que, pour attacher, ils avaient besoin d’être vraisemblables ; car l’
art
ne peut se faire aimer qu’en imitant bien la natu
s dames s’empressaient à le servir, et presque toutes connaissaient l’
art
de panser les blessures. Elles ne se bornaient pa
e their bread. Intercidona was invoked, because she first taught the
art
of cutting wood with a hatchet or an axe to make
of Saturn and Cybele. She is regarded as the first inventress of the
art
of cultivating the earth. She is said to have rep
er buds, whatever blows, For thee it buds, for thee it grows. Nor yet
art
thou the peasant’s fear, To him thy friendly note
thou the peasant’s fear, To him thy friendly notes are dear; For thou
art
mild as matin dew, And still, when summer’s flowe
resided over music, eloquence, medicine, poetry, divination, the fine
arts
, and archery. Having acquired his full stature as
o heav’n and bless me there, Her body straight embalm’d with heav’nly
art
, Did a sweet odour to the ground impart, And from
ghters of Jupiter and Mnemosynes, or Memory, and the goddesses of the
arts
and sciences. Their names are, Clio (history,) Th
in chorus to show the close and indissoluble relation of the liberal
arts
to the sciences. On their mountain, Pegasus is se
s progress, all submitted to him; and he instructed the people in the
arts
of cultivating the vine; of making honey, and of
years. The Epilenæa were games celebrated in the time of vintage; the
art
of squeezing the grapes being unknown, they trod
r with, and without, a beard; Brisæus, either because he invented the
art
of pressing grapes, or because he was born on the
the same as Noah, to whom the Scriptures ascribe the invention of the
art
of cultivating the vine. In conclusion, therefore
y. Minerva benefitted mankind with many inventions: those of the fine
arts
, the use of oil, the art of spinning, and that of
ind with many inventions: those of the fine arts, the use of oil, the
art
of spinning, and that of adorning tapestry. These
ntions were allegorically attributed to Minerva. The sciences and the
arts
are the true riches of the mind, not needing a go
one must apply closely to labour, in order to acquire knowledge. The
art
of spinning indicates that patience and persevera
Greek, Ergatis, or the “working-woman,” because she in vented various
arts
, liberal and useful; Musica, because the serpent
the first Mars, to whom were attributed the invention of arms and the
art
of ranging troops in order of battle, was Belus,
e smoke, A thousand bleeding hearts her pow’r invoke.” Cupid. “Thou
art
my strength, O son, and power alone.” Venus. “Y
id or Love was given her for her son, and all master-pieces which the
arts
and the poets could produce, were consecrated to
y the hand. They are naked, to intimate that they borrow nothing from
art
, and have no other charms than those of nature; t
, the god of fire, and the patron of those who worked in the metallic
arts
, was the son of Jupiter and Juno, or some say, of
xed his residence among them, and taught them the use of fire and the
art
of working metals. Vulcan was married to the beau
was accounted the god of thieves, as well as the inventor of several
arts
; for he was sly, dissembling, crafty, and cunning
profitted by their discourses to instruct himself in the sciences and
arts
. The delicate negociations, in which he was emplo
ercutus, or Sterculius, Sterquilinus, or Picumnus, first invented the
art
of manuring the earth. Proserpine caused the cor
Tutulina. Millers and bakers invoked Pilumnus. He first invented the
art
of grinding corn, and kneading and baking bread.
d. The poets ascribe the invention of making honey to Mellona. As the
art
of grinding wheat was unknown, the power of Forna
to preserve the productions of the earth? What god first invented the
art
of manuring the earth? What goddess produces the
nd particularly the dominion of the Infernal Regions. He invented the
art
of burying and honouring the dead with funeral ob
Who sang with all the raptures of a god: Worthies, who life by useful
arts
refined; With those, who leave a deathless name b
of the temple at Jerusalem. In the same temple all who professed the
arts
, assembled, when they had to sustain their rights
wards entrusted to the care of the Centaur Chiron, who taught him the
art
of medicine. He is fabled to have sprung out of a
l’d, and amorous love. Knew he could soon unlock the door, And by his
art
successful prove, Chang’d to a golden show’r.” W
s vast mace in Virtue’s cause sublime, Unmeasured strength with early
art
combined, Awed, served, protected, and amazed man
deemed the patron of the athletes. Castor excelled in running and the
art
of taming horses. These two heroes recovered thei
ccessful, that the work was attributed to Apollo, the god of the fine
arts
. Hercules deprived him of his crown. Priam was h
other weapons of war. Seraswatti, the wife of Brahma, patronizes the
arts
and sciences. She is represented as holding in he
ated to them a knowledge of letters and the sciences, taught them the
arts
, such as the manner of building cities and temple
Roman Saturn in improving rude men. He instructed the Mexicans in the
arts
of working metals, polishing gems, dying cotton,
ger than Herodotus describes them to be. The ideas we now have of the
arts
and mechanical powers, are confounded before such
difice was intended to give some idea of divine majesty. All that the
arts
could unite in sublimity was employed; and the ma
d conducted her to the sanctuary, when she said to him, “My son, thou
art
invincible.” At these words, Alexander exclaimed,
who have transmitted them to us, were poets. Odin, carrying with him
arts
before unknown in the north, an extraordinary mag
s-day, and Wednesday. This god was also accounted the inventor of the
arts
; and is thought to correspond with the Mercury of
inconstant in his inclinations; none among mortals surpass him in the
art
of perfidy and of cunning . He had several childr
nsported a great distance — monuments more lasting than any of modern
art
or industry. At all times, men have thought that
il that period that they received the lights of Christianity, and the
arts
which had softened the manners of the Greeks, and
ection of laws and the enlightening aid of science, religion, and the
arts
, do not soften his passions, and encourage him to
fancy of states, as during that of men, shining actions are rare: the
arts
and sciences do not arise but in succeeding ages.
irst parents; and that they were also the brilliant centre whence the
arts
and sciences irradiated spread over the rest of t
y: and hence, no doubt, is the origin of poetry among all nations; an
art
which constituted a considerable portion of the r
ounded, ladies were eager to serve him; and almost all understood the
art
of dressing wounds. But they were not confined to
onnu qu’on ne peut voyager utilement, apprécier les chefs-d’œuvre des
arts
, et lire avec fruit les ouvrages des poëtes et de
e humain sort peu à peu de l’ignorance : l’expérience l’instruit. Les
arts
sont inventés, les hommes se multiplient, la terr
aient des reptiles venimeux ou des animaux féroces ; des marais que l’
art
n’avait point encore appris à dessécher, des plai
’entre-tuer sans se haïr : le comble de la gloire et le plus beau des
arts
a été celui de se détruire les uns les autres. »
dans les terres. Les patriarches avaient transmis aux premiers leurs
arts
et de grandes idées ; aussi voit-on leurs ouvrage
es coutumes, des mœurs plus douces, et la plus grande partie de leurs
arts
. Par la suite des temps, les Grecs les transmiren
ance des lettres et des sciences ; il leur enseignait la pratique des
arts
, la manière de bâtir des villes, des temples, d’é
ent le soleil. On les voit déjà mêler à leur religion l’invention des
arts
utiles. Nous ne suivrons pas plus au long le frag
e temps que, lorsqu’ils y portèrent leurs lois, leurs coutumes, leurs
arts
et leurs dieux, ils conservaient encore eux-mêmes
arbre coupé ; celle de Samos une simple planche. Mais l’invention des
arts
rendit rapides les progrès de l’idolâtrie. Des st
in jusqu’à placer les grands hommes parmi les dieux. L’invention d’un
art
utile, la beauté d’un ouvrage, la reconnaissance
ent distingués par leurs belles actions, par l’invention de plusieurs
arts
utiles, on ne crut pouvoir reconnaître les biens
s climats d’Occident. Les premiers habitans de la Grèce vivaient sans
arts
, sans lois, sans coutumes réglées ; les rochers,
grecques étaient une imitation de celles des colonies orientales. Les
arts
et la politesse régnaient en Égypte, dans le temp
oyager avec fruit, et d’apprécier les chefs-d’œuvre des poëtes et des
arts
, nous allons principalement faire connaître les d
aille avec un ciseau et un maillet, preuve certaine qu’il s’agit de l’
art
des statues. Pour rendre le sens des fables des p
pu les faire sans le secours de Minerve, déesse de la sagesse et des
arts
. Cette première imitation de l’homme étonna telle
aturne et de Cybèle : on la regarde comme la première inventrice de l’
art
de cultiver la terre. Pluton, son frère, lui ayan
les. Maïa, l’aînée des sept, eut de Jupiter, Mercure, l’inventeur des
arts
. Les Grecs faisaient descendre presque tous leurs
sie, de la musique et de l’éloquence. Aucun dieu ne possédait mieux l’
art
de pénétrer dans l’avenir. Ses oracles étaient sa
Ce dernier, plutôt propre, à combattre les monstres qu’à cultiver les
arts
agréables, fut tellement irrité d’une réprimande
uyante ; mais, comme Bacchus n’avait d’autre projet que d’enseigner l’
art
de cultiver la vigne aux différens peuples qu’il
prétendues inventions n’étaient qu’allégoriques. Les sciences et les
arts
sont les véritables richesses de l’esprit ; il ét
pour s’instruire, il faut souvent consacrer des veilles au travail. L’
art
de filer indique la patience et la suite qu’il fa
que le premier de tous, auquel on attribue l’invention des armes et l’
art
de ranger les troupes en bataille, fut Belus ; l
donna pour fils Cupidon ou l’Amour, et tous les chefs-d’œuvre que les
arts
et les poëtes produisirent lui furent consacrés.
érentes manières de représenter Cupidon. Les Muses, les Grâces et les
arts
de tous les siècles en ont fait l’objet de leurs
rtiste n’imita point le berger du mont Ida. Fidèle aux règles, de son
art
, ses yeux ne se laissèrent point éblouir. Une seu
seules dispensaient le don général de plaire. Chaque science, chaque
art
avait sa divinité protectrice ; mais toutes les s
avait sa divinité protectrice ; mais toutes les sciences et tous les
arts
reconnaissaient l’empire des Grâces. Leur pouvoir
ération du côté de Caïn. Tel fut sans doute le premier inventeur de l’
art
de forger les métaux. Le second Vulcain était un
elle des déesses. On lui donnait le surnom de Mulciber, comme ayant l’
art
d’adoucir le fer, ou Tardipes, parce qu’il était
te le Vulcain grec, l’un des princes Titans, comme très-habile dans l’
art
de forger le fer et les métaux. Le feu, qu’il ava
employé, lui fut consacré, et portait souvent son nom. L’utilité de l’
art
de forger les métaux se fit si bien reconnaître,
servir dans l’administration de son royaume. Mercure fit fleurir les
arts
et le commerce dans toute l’Égypte. Occupé des sc
em. On rassemblait dans le même temple tous ceux qui professaient les
arts
, lorsqu’ils avaient à soutenir leurs droits et le
“Powerful divinity,” said Cupid, addressing himself to the god, “thou
art
discretion itself — the guide of the doubtful, an
the ignorant in planting trees, or in making bread, and other useful
arts
. One day it happened that Pluto, the king of the
eye of Minerva, or your own, my Licinia, and sweet and modest as thou
art
, I give to thee,” said she to Licinia. “This lily
n maids, not to harm, but to bless thee — to make thee my queen. Thou
art
lovelier than all the daughters of earth, than th
, took many days, perhaps weeks. Ann. Then, navigation is one of the
arts
in which men are improved. Mother. Yes; wonderfu
they might teach the ignorant a great deal. Their knowledge and their
arts
were their wisdom. Ann. Had the Egyptians and Gr
t over different countries, instructing the ignorant people in useful
arts
— in cultivating the grape, in making wine, and i
ood over the disfigured body of his grandson, “Beloved Pentheus! thou
art
indeed dead; killed by the madness and folly of t
a man who taught the ignorant to cultivate the grape, and some other
arts
, and after he was dead, he was worshipped as a go
Perseus, whom she imagined to be Mercury, whose wings he wore. “Thou
art
come to my relief, gracious power,” she exclaimed
ne, and knew how to make every body about him happy. That was all the
art
of government necessary in Seriphus. When Dictys
agan gods. Ann. Yes; marble and plaster images of them. Mother. The
art
of making these figures is sculpture. It is one o
. The art of making these figures is sculpture. It is one of the fine
arts
. Useful art, is the making of useful, necessary t
making these figures is sculpture. It is one of the fine arts. Useful
art
, is the making of useful, necessary things; the m
necessary things; the making of shoes, and weaving cloth, are useful
arts
, but making statues belongs to the fine arts. An
eaving cloth, are useful arts, but making statues belongs to the fine
arts
. Ann. I perceive that ornaments and luxuries are
Ann. I perceive that ornaments and luxuries are afforded by the fine
arts
; and that painting and sculpture are fine arts.
e afforded by the fine arts; and that painting and sculpture are fine
arts
. Mother. They are. Rich persons make collections
are. Rich persons make collections of the best specimens of the fine
arts
. The gallery of paintings at the Louvre, in Paris
d by this young man’s suspicions of thy mother’s veracity; truly thou
art
my own, and truly I love thee; to convince thee h
Ages. — All these are personified in mythology, in poetry, and in the
arts
. The Horæ, or Hours, are represented as lovely yo
their starry domes the gods depart, The shining monuments of Vulcan’s
art
: Jove on his couch reclined his awful head, And J
me acquainted with these fables? Ans. Because ancient literature and
art
cannot be fully understood or appreciated without
nd sculptor. These subjects keep their place to some extent in modern
art
, and mythological allusions are so frequent in ou
ppear to have had any regular mythology. When the Romans received the
arts
and sciences from the Greeks, they adopted, also,
his talents equally honorable? Ans. No; he was most skillful in the
art
of thieving. On the very day of his birth, he sto
ss of modest and virtuous women. Ques. Did Minerva excel only in the
art
of war? Ans. No; she invented the distaff and sp
ded over the banquet, the dance and all social enjoyments and elegant
arts
. Ques. How many were there? Ans. They were thre
d was obliged to take refuge in Italy, where he taught the people the
arts
of civilized life. Janus, king of Italy, made Sat
ruits and corn. It is supposed that she first invented and taught the
art
of tilling the earth, and sowing wheat and other
s, and wherever he went, instructed men in sowing, reaping, and other
arts
of husbandry. Triptolemus is usually represented
Mnemosyne [Mnemo′syne], and were supposed to preside over the liberal
arts
and sciences. Ques. How many Muses were there?
ber, and each presided over some particular department of literature,
art
or science. Their names were: Calliope [Calli′ope
passed the fatal coasts in safety. Orpheus overcame them in their own
art
; for he sang the praises of the gods, accompanyin
erished, had not Medea, the king’s daughter, saved him by her magical
arts
. Jason obtained the fleece, and fled by night fro
erned conjointly with his twin-brother Zethus. Amphion cultivated the
art
of music; he was instructed by Mercury, who gave
culture, the care of cattle, the raising of bees, etc. These peaceful
arts
had been much neglected in Italy during the civil
e for poetry at an early age, but was dissuaded from cultivating this
art
by his father, who wished him to apply exclusivel
t, on a pedestal of twelve feet. It was considered the finest work of
art
of the great Athenian sculptor, Phidias, and ther
supply is inexhaustible. Ques. Were the Persians attached to magical
arts
? Ans. Yes, their priests mingled the fables of a
According to the Triads, (Druidical verses,) he “wrote upon stone the
arts
and the sciences of the world.” In his more benef
le as the denunciation of the sacred bards. Music was the only gentle
art
known to the rude tribes of Gaul and Britain, and
vination with their observations of the celestial bodies. The healing
art
was also practised by the Druids. The effect of t
imes found in their tombs. Ques. Were the Druids acquainted with the
art
of writing? Ans. They were, at least in Gaul and
hat a single ear of corn was as much as a man could carry. The dyer’s
art
was not needed, for the cotton took, as it grew,
n by the Mexicans to some beneficent ruler who instructed them in the
arts
of civilized life. It is singular that he should
Oello Huaco, to form men into regular communities, and teach them the
arts
of civilized life. The celestial pair advanced al
upon their benevolent mission; Manco-Capac instructing the men in the
arts
of agriculture, while Mama Oello initiated the wo
sited the country in ancient times, and instructed the natives in the
arts
of civilized life. This legend recalls the Mexica
of his life would be also a history of his times. Cicero wrote on the
art
of public speaking, on philosophy and jurispruden
o of astronomy, biography, history, physiology, medicine and the fine
arts
. The portion which treats of animals possesses no
much quoted on these points, has rendered very little service to the
art
of medicine. The case is different where he speak
case is different where he speaks of geography, history and the fine
arts
. On all these points, he imparts much valuable in
d for his skill in every manly exercise, and a rare excellence in the
arts
of poetry and music, Sophocles was considered by
pt that they preceded the Peruvians, and were farther advanced in the
arts
of civilized life than any nation existing on the
Latium ? R. Il enseigna aux hommes l’agriculture, et fit fleurir les
arts
et la vertu. Tout le temps qu’il passa dans cette
enant par la main, pour montrer que les Grâces n’empruntent rien de l’
art
, et qu’elles n’ont d’autres charmes que ceux de l
ls sont les attributs du fils de Latone ? R. Apollon est le dieu des
arts
, de la poésie et de la médecine ; il est aussi co
ape, fils d’Apollon, avoit appris de son père et du centaure Chiron l’
art
de la médecine. Il y devint si habile, qu’il rend
, Et nous peint, en riant, nos vices et nos mœurs. Terpsichore, avec
art
règle ses pas agiles ; A la danse elle rend ses é
ieu des bergers, des bois et des prairies. Pan trouva le premier cet
art
ingénieux De former sur la flûte un son harmonieu
. C’étoit un composé de bosquets et de bâtiments disposés avec tant d’
art
, qu’il n’étoit plus possible d’en sortir dès qu’o
du génie Les lois de la nature et de la tyrannie. Des plumes que son
art
assortit avec choix, Par degrés à leur rang se pl
s ; Et, par un dernier pli, leur légère courbure Dans le travail de l’
art
, imite la nature. Icare auprès de lui l’observe,
r essor, L’œil tourné sur son fils, d’un vol hardi, mais sage, De son
art
périlleux il lui montre l’usage. Le pêcheur, près
cris Icare, et sur les eaux voit flotter ses débris. Il maudit de son
art
l’invention funeste ; De son malheureux fils il r
ils de Glaucus, roi de Corinthe. Il est le premier qui ait enseigné l’
art
de mener un cheval, avec le secours de la bride.
C’est par le secours de Médée, fille d’Aëte, et qui excelloit dans l’
art
des enchantements, que Jason surmonta toutes ces
ecs sont-ils redevables à Cadmus ? R. On prétend qu’il leur apprit l’
art
de l’écriture. Tout le monde connoît ces beaux ve
es beaux vers de Brébœuf sur Cadmus. C’est de lui que nous vient cet
art
ingénieux De peindre la parole et de parler aux y
ie, femme de Cadmus, donna aux Grecs les premières connoissances de l’
art
qui porte son nom. Amphion, Arion. D. Qui é
hion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion : Le premier, sans autre
art
, voit au son de sa lyre Les pierres se mouvoir et
monstre chaque jour, dans Thèbe épouvantée, Proposoit une énigme avec
art
concertée. ( Voltaire.) D. Quelle étoit l’énigme
ar le sort, leurs assauts repoussés, Les Grecs, courbant des ais avec
art
enchâssés. D’un cheval monstrueux en forment l’éd
agicienne si habile, qu’elle faisoit descendre les étoiles du ciel. L’
art
des empoisonnements lui étoit également connu. Le
as ; la sienne est dans sa langue, J’appris au champ de Mars le grand
art
des héros, Et n’ai point, comme lui, la science d
nts de sa splendeur, De son puissant génie imprime la grandeur ! Quel
art
a pu former ces enceintes profondes, Ou l’Euphrat
vifs et sublimes pour la vertu. D. Vous ne nous avez point parlé des
arts
d’agrément. Dites-nous si les demoiselles doivent
e préférence. R. On ne doit point interdire aux jeunes personnes les
arts
d’agrément. Mais il faut qu’elles ne s’y applique
ses, quand on ne sait point se plaire dans l’étude des lettres et des
arts
. D’ailleurs, Il n’est point sous le ciel de fort
Celui-ci parmi chaque espèce Manda des médecins : il en est de touts
arts
. Médecins au Lion viennent de toutes parts ; De t
oyez point surpris : Il change si souvent de mode, Que mon
art
, ne sachant où se déterminer, Lui donne de l’étof
: L’homme éclairé suspend l’éloge et la censure ; Il sait que sur les
arts
, les esprits et les goûts, Le jugement d’un seul
La Fontaine a dit : On cherche les rieurs, et moi je les évite ; Cet
art
veut sur tout autre un suprême mérite : Di
pologue ? R. Volontiers ; les voici : Après les grands travaux de l’
art
brillant des vers, Des genres plus bornés savent
l cache la leçon, Et par d’heureux détours nous mène à la raison. Cet
art
ingénieux, que la crainte a fait naître, Qu’inven
gaieté. Quel instinct enchanteur ! quelle simplicité ! Il ignore son
art
, et c’est son art suprême ; Il séduit d’autant pl
inct enchanteur ! quelle simplicité ! Il ignore son art, et c’est son
art
suprême ; Il séduit d’autant plus qu’il est sédui
ans ses vers l’orgueil du roi lion, Dédaigna La Fontaine, et crut son
art
frivole. Chantre aimable ! ta muse aisément s’en
le dans sa main ; Par le faux honneur qui la guide, Bientôt, dans son
art
parricide. S’instruisent les peuples entiers ; Da
in ; et auprès de lui sont tous les instrumens propres à désigner les
arts
. Il est le dieu des poëtes : lui seul les inspire
consacre ses chansons. Polymnie a du geste enseigné le langage, Et l’
art
de s’exprimer des yeux et du visage. Terpsichore
lpomène, les yeux en larmes, Des cris touchans vient me frapper. Quel
art
me fait trouver des charmes Aux pleurs que je sen
lesses, tu plais tout ensemble, Et d’un masque qui nous ressemble Ton
art
nous fait rire et rougir. Lamotte. Polymnie pré
t rire et rougir. Lamotte. Polymnie préside à la rhétorique, et à l’
art
du geste et de la déclamation dont elle est l’aut
lans de sa splendeur De son puissant génie imprime la grandeur ! Quel
art
a pu former ces enceintes profondes. Où l’Euphrat
ouverte de diamans. Les historiens qui ont parlé de ces miracles de l’
art
, écrivoient dans des tems si éloignés de celui où
’elles sont filles de Jupiter et de Vénus. Elles président à tous les
arts
de goût et d’agrément. On les fait compagnes des
specté par les tems : La nature en posa les premiers fondemens ; Et l’
art
, ornant depuis sa simple architecture, Par ses tr
s on l’appelle Pallas ; ou comme la déesse de la sagesse et des beaux
arts
, et on l’appelle alors Minerve :
eu des bergers, des bois et des prairies : Pan trouva le premier cet
art
ingénieux De former sur la flûte un son harmonieu
i. C’étoit un composé de bosquets et de bâtimens disposés avec tant d’
art
, qu’il n’étoit plus possible d’en sortir, dès qu’
na : Elle fait amitié, leur promet des merveilles, Du pouvoir de son
art
leur remplit les oreilles ; Et, pour mieux leur m
d’Apollon. Il en avoit reçu le talent de toucher la lyre avec tant d’
art
, que, par la vertu de ses sons, il égala au moins
ala au moins les plus grands héros de son tems : Je sais que par son
art
il entraîne les arbres, Que ses divins accords fo
hion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion : Le premier, sans autre
art
, voit au son de sa lyre Les pierres se mouvoir et
nstre, chaque jour, dans Thèbes épouvantée, Proposoit une énigme avec
art
concertée. Voltaire. Le Sphinx demandoit, Quel
J’ai le Soleil pour père, Et je tiens de lui ce grand
art
Qui, dans tous les lieux qu’il éclai
remonta aussi-tôt sur ses vaisseaux. Circé eut en vain recours à son
art
: Dans le sein de la mort ses noirs enchantemens
1 — Considéré comme le dieu de la Poésie, de la Musique et des beaux
Arts
, 44 — Emblème de l’enthousiasme poëtique, 13 —
e de Mémoire, 49-55. De la sagesse, 79. Aux cent voix, 117. Des beaux
Arts
, 79. Des combats, 81. Des chasseurs, 57. De la ve
s sont l’emblème des qualités aimables, 13 — Et président à tous les
arts
d’agrément, 75 — Sont admises à la table des die
r de tout votre pouvoir la culture et les progrès des sciences et des
arts
, vous ne pouvez manquer d’accueillir tout ce qui
des actions éclatantes, ou utiles au genre humain par l’invention des
arts
, ou toute autre découverte importante. La crai
le dans sa main : Par le faux Honneur qui la guide, Bientôt, dans son
art
parricide, S’instruisent les peuples entiers ; Da
one. On le regardoit comme le Dieu de la poésie, de la musique et des
arts
, et en général de tous les ouvrages d’esprit. Il
lles étoient filles de Jupiter et de Mnémosyne. Elles présidoient aux
arts
et aux sciences. D. A quoi chacune d’elles présid
ieu des bergers, des bois et des prairies. Pan trouva le premier cet
art
ingénieux De former sur la flûte un son harmonieu
i. C’étoit un composé de bosquets et de bâtimens disposés avec tant d’
art
, qu’il n’étoit plus possible d’en sortir dès qu’o
d’Apollon. Il en avoit reçu le talent de toucher la lyre avec tant d’
art
, qu’il passa pour le chantre le plus mélodieux de
pour le chantre le plus mélodieux de la Thrace. Je sais que par son
art
il entraîne les arbres ; Que ses divins accords f
ion ; Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion ; Le premier, sans autre
art
, voit au son de sa lyre, Les pierres se mouvoir,
ressant nous vient de Cadmus, roi de Phénicie, qui le premier porta l’
art
de l’écriture dans la Grèce. Tout le monde connoî
eaux vers de Brébeuf sur ce Prince : C’est de lui que nous vient cet
art
ingénieux De peindre la parole et de parler aux y
nstre, chaque jour, dans Thèbes épouvantée, Proposoit une énigme avec
art
concertée. (Voltaire.) Le Sphinx demandoit : « Q
ant de sa splendeur, De son puissant génie imprime la grandeur ! Quel
art
a pu former ces enceintes profondes, Où l’Euphrat
s nues. D. Exposez-nous en peu de mots l’usage de ces merveilles de l’
art
? R. Elles étoient destinées à recevoir les corps
Mythologies indiennes contiennent des récits et des détails dont nul
art
ne pourroit voiler l’indécence. Je me suis partic
de les fléchir en faveur de sa ville chérie, ce qu’elle fait avec un
art
admirable : ce discours de Minerve, même dans la
èvement de Proserpine. Minerve. Déesse de la sagesse et des
arts
. Jupiter épousa Métis : ayant appris du Ciel qu’e
armée, sortit de son cerveau. Cette divinité créa les sciences et les
arts
; on lui attribue l’art de broder et de filer ; c
eau. Cette divinité créa les sciences et les arts ; on lui attribue l’
art
de broder et de filer ; c’est elle qui enseigna a
t qu’il lui fût consacré ; car la Déïté inventrice et protectrice des
arts
, et surtout la Sagesse est amie de la paix. Elle
da, comme fils de Vulcain, tous ceux qui se rendirent célèbres dans l’
art
de forger les métaux ; Olenus, Albion, Brotée17,
e Jupiter et de Latone, et frère de Diane, étoit le Dieu du Jour, des
arts
, de la poésie et de la médecine. Latone, mère d’A
Apollon eut des concurrens ; le Dieu Pan, qui croyoit exceller dans l’
art
de jouer de la flûte, le défia ; Tmolus, roi de L
cien, et d’Argiope, et petit-fils d’Apollon, excella tellement dans l’
art
de chanter et de jouer de la lyre, que les Scythe
sité que devroient inspirer l’amour et la culture des sciences et des
arts
, les Muses eurent la barbarie de lui crever les y
rtes de tables votives qui étoient très-instructives pour apprendre l’
art
de guérir les diverses maladies. On croit qu’ Hip
oût pour la musique. Le Dieu lui offrit de le faire exceller dans cet
art
ou dans tout autre à son choix. Japis demanda que
t art ou dans tout autre à son choix. Japis demanda que ce fût dans l’
art
de la médecine, parce que son père, depuis long-t
ron connoissoit les propriétés de toutes les plantes, il enseigna cet
art
à Esculape, à Achille, à Hercule, etc. La belle A
bergère ne vit que son danger ; mais elle employa vainement tout son
art
pour le guérir. La flèche qui l’avoit blessé étoi
ntrée où régnait Janus), et enseigna à ses grossiers habitants divers
arts
utiles. On appela Age d’or cette heureuse époque.
, on suspendait l’exécution des criminels, et l’on n’exerçait d’autre
art
que celui de la cuisine. Les festins, les jeux, l
ux aient pu faire aux hommes ; mais en le créant, il enseigna aussi l’
art
de le dompter ; il apprivoisa ce quadrupède fougu
, voulut du moins le faire chérir du monde entier : elle lui apprit l’
art
de semer le blé et de faire le pain ; elle lui do
ttaque et la défense des règles certaines ; il réduisit en principe l’
art
de s’entre-tuer ; et le fer, jusqu’alors consacré
ence par un prélude mélancolique. Se livrant ensuite au délire de son
art
, il fit passer dans tous les cœurs l’ivresse de l
ds fleuris du Permesse et de la fontaine d’Hippocrène. Comme dieu des
arts
, on le représente sous la figure d’un jeune homme
andes villes, s’établit au milieu des places publiques, et y exerça l’
art
de l’éloquence. Les orateurs, les rhéteurs se mir
s rhéteurs se mirent sous sa protection, et il fut appelé le dieu des
arts
libéraux et des belles-lettres. Voulant joindre l
plein d’humanité, qui leur imposait de sages lois, leur enseignait l’
art
de cultiver les champs, et leur découvrait l’usag
inent à travailler, et, sous prétexte de plaire à Minerve, déesse des
arts
, elles dérobent à Bacchus les heures qui lui sont
de la Grèce, séjourna dans les états d’Icarius, auquel il enseigna l’
art
d’améliorer la culture de la vigne et d’obtenir d
ses. Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne, présidaient aux
arts
, aux lettres et aux sciences. On en compte ordina
une massue, pour faire comprendre aux auteurs que la tragédie est un
art
difficile, qui exige un génie puissant et une ima
nétrer dans les secrets de la nature, approfondir les difficultés des
arts
et des sciences, parvenir en un mot à la connaiss
ette au centaure Chiron, qui prit soin de lui, et lui enseigna divers
arts
essentiels, entre autres la médecine et l’astrono
leur promit ; et, afin de les mieux convaincre de la puissance de son
art
, elle découpa un vieux bélier, et le mit dans une
, ou qui rampent, en brillant, sur le tillac34. Castor excella dans l’
art
de dompter les chevaux. Pollux défia au combat du
e est sans doute que Dédale, qui, durant sa captivité, avait trouvé l’
art
de mettre des voiles à sa barque, se sauva ainsi
ses souffrances et de ses regrets, employa toutes les ressources de l’
art
pour le guérir. La flèche était empoisonnée : Pâr
é par le centaure Chiron, qui lui enseigna la musique, la médecine, l’
art
des combats, et lui donna de la vivacité et de la
linge, ses robes et les vêtements de ses frères. Minerve, déesse des
arts
, veillait sur elle, et la dirigeait dans toute sa
r. Les voiles sont déchirées, les antennes emportées, le mât brisé. L’
art
et le courage manquent à la fois. Les passagers n
n magnifique jardin, il fit construire un palais où il rassembla avec
art
tout ce qui peut réjouir la vue, tout ce qui peut
t la douleur de voir tous ses compagnons changés en pourceaux par les
arts
magiques de cette princesse ; il résista seul, au
oit de les expliquer. § 23. Les Magiciennes. On appelle magie l’
art
de produire des effets surnaturels avec le secour
autre genre signalèrent la fin du règne d’Isis. Elle perfectionna les
arts
, inventa les voiles des navires, et facilita de c
, le ressuscita, le rendit immortel, et lui enseigna la médecine et l’
art
de prédire l’avenir. — On le représente sous la f
t puiser dans cette contrée les principes de leur théologie, de leurs
arts
et de leurs sciences.) e) Harpocrate. Harp
s de chambres et une multitude d’escaliers qui s’entrecroisaient avec
art
, et formaient une sorte de labyrinthe. Sa hauteur
nd preserving the fruits of the earth. She is said to have taught the
art
of tilling the earth, and sowing corn, and making
sed to preside over music, physic, poetry, and rhetoric; to teach the
art
of divination, or foretelling future events; and
Giants and the Gods. What were the actions of Bacchus? He taught the
art
of cultivating the vine of making wine; of prepar
he goddess of wisdom and deliberate courage, and the patroness of the
arts
. What was the poetical fiction concerning her bir
lake Triton; Ergatis, the Workwoman, from her having invented various
arts
, especially weaving and spinning; Glaukopis, or B
Pallas disrobes, her radiant veil untied, With flowers adorn’d, with
art
diversified; The labour’d veil her heavenly finge
grace, to take refuge in the Isle of Lemnos, where he established the
art
of working iron and brass. What was his poetical
cribed to him? He was the God of fire; the inventor and patron of the
art
of fabricating arms and utensils from metals. The
To him the Egyptians were indebted for the flourishing state of their
arts
and commerce. He taught them geometry, and hierog
recian Mercury? The son of Jupiter and Maia; the God of eloquence, of
arts
and sciences, and the messenger of Jupiter. He wa
eyes, Shouting we seize the God; our force to evade, His various
arts
he summons to his aid. A lion now, he curls a s
ho sang with all the raptures of a God: Worthies, -who life by useful
arts
refin’d; With those, who leave a deathless name b
the vulture. Prometheus was venerated as the inventor of many useful
arts
. An altar was dedicated to him by the Athenians.
Jupiter, in his temple, in the city of Olympia, formed with wonderful
art
by Phidias, of ivory and gold, and of prodigious
ife of Brahmá, and emblem of his creative power, the patroness of the
arts
and sciences. She is depicted as holding in her h
nce and learning of the Egyptians were attributed. He taught them the
art
of writing, gave them laws, and instructed them i
nces unknown amongst them before, he was also worshiped as the god of
arts
and sciences. To him were ascribed the attributes
lic religion. Hence, even in those polished nations, amongst whom the
arts
and sciences flourished with progressive vigour,
counted sacred to him? What birds were sacred to Juno? Who taught the
art
of tilling the earth, raising corn, and making br
s? Who was the messenger of Jupiter, and the god of eloquence and the
arts
? What birds were imagined to have the power of st
me of Venus 61 Apis, a name of Jupiter 16 Apōllo, the god of the fine
arts
36 Arabian Mythology 213 Arēs, a name of Mars 57
déesse des blés et des moissons, parce qu’elle enseigna aux hommes l’
art
de l’agriculture. Ce fut à Triptolème, fils de Ce
ue Cérès a été une reine de Grèce, et qu’elle a appris à ses sujets l’
art
de cultiver la terre ; que, par ce moyen, les Gre
renaissant chaque jour, éternisait son supplice. Prométhée inventa l’
art
de faire des statues, et se livrait à l’étude de
ête du Très-Haut avant toute créature. Comme déesse des sciences, des
arts
, et surtout de la sagesse, les anciens honoraient
virginité. On lui consacrait l’olivier, parce que les sciences et les
arts
animent la paix. On représente cette déesse ayant
e Dieu de la lumière, sous le nom de Phébus. Il est aussi le dieu des
arts
; et c’est par cette raison que la fable nous le
ta la médecine. Esculape, son fils, avait fait de tels progrès dans l’
art
de guérir, sous la conduite de son père et du cen
le jour, L’ingénieux pasteur, dans le sein de l’étude, Fit éclore les
Arts
: ces frères de l’Amour Sont enfans du Loisir et
extraordinaire. Habile à composer des poisons, elle se servit de cet
art
dangereux pour se venger de ses ennemis en les fa
ar Icarius, séjourna quelque temps dans ses états ; il lui enseigna l’
art
de cultiver la vigne. Le temps des vendanges arri
om de Mercure s’appliquait à la magie et à la nécromancie, exerçant l’
art
mystérieux d’évoquer les âmes des morts, comme la
fait dire qu’il était le dieu des voleurs et l’inventeur de plusieurs
arts
; car il était fin, dissimulé, fourbe et artifici
it de leurs entretiens pour s’instruire dans les sciences et dans les
arts
. Les négociations délicates où il fut employé l’o
s établirent leur plan d’instruction, et lui disaient : « Méprisez l’
art
de la parure, « Il n’en faut que pour la laideur
t de leur élève ; elles lui apprirent encore les belles manières et l’
art
de se rendre agréable, et elles lui disaient : Ma
n. Elles sont nues pour montrer que les grâces n’empruntent rien de l’
art
, et qu’elles n’ont d’autres charmes que ceux de l
et aux tempêtes, parce que ce prince, habile pour ce temps-là dans l’
art
de la navigation, savait conduire un vaisseau sur
aures étaient des peuples de Thessalie, qui trouvèrent les premiers l’
art
de dompter les chevaux et de s’en servir à la gue
ceste, fut le premier modèle des athlètes. Castor était habile dans l’
art
de dompter les chevaux. Ils eurent en commun la g
hion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion ; Le premier, sans autre
art
, au son de sa lyre Les pierres se mouvoir et Thèb
nstre, chaque jour, dans Thèbes épouvantée, Proposait une énigme avec
art
concertée. Voltaire. Créon, frère de Jocaste, q
Il éprouva ensuite un violent mal de tête, et Minerve, la déesse des
arts
, sortit de son cerveau armée de pied en cap, ce q
) ils font naître les neuf Muses qui représentent les sciences et les
arts
. Toutes ces fictions se comprennent d’elles-mêmes
teur du monde, l’auteur de la fortune et de la santé, l’inventeur des
arts
, le suprême législateur, etc., etc. On ne pourrai
nfernales. 4. Dans ses voyages, la bonne déesse enseigna aux hommes l’
art
de cultiver la terre, et mérita d’être adorée com
ola cette contrée. 7. Apollon était aussi le dieu des sciences et des
arts
qui sont la lumière de l’esprit comme le soleil e
aient l’inventeur de la musique et de la poésie, et pensaient que ces
arts
avaient inspiré aux hommes les premières leçons d
faible innocence. Cet ordre fut, dit-on, le fruit des premiers vers…
Art
poét., ch. iv. 8. Les Grecs feignirent encore qu
longue chevelure blonde. A ses pieds étaient les emblèmes de tous les
arts
. Il tenait à la main sa lyre d’or dont les sons c
fiction ? 7. Apollon n’était-il pas aussi le dieu des sciences et des
arts
? Que disait de lui les Grecs sous ce rapport ? 8
’envieux Marsyas ? 12. Comment représente-t-on Apollon comme dieu des
arts
et des sciences ? Comment le représentait-on comm
s. Dès son enfance il avait mérité cet honneur, en déployant dans cet
art
funeste une étonnante habileté. Il prit à Neptune
ile. A les en croire, la jeune Arachné était devenue si habile dans l’
art
de manier l’aiguille qu’elle osa porter un défi à
in, Mars ne pouvait le nier. Néanmoins il plaida sa cause avec tant d’
art
qu’il fut absous. On bâtit un palais à l’endroit
eu du front et qui savaient travailler l’or, le fer et l’acier avec l’
art
le plus merveilleux. Non-seulement on supposait q
s les peuples, à mesure que l’agriculture fut mieux connue et que les
arts
furent plus cultivés. 5. Après toutes ses expédit
Chiron le Centaure lui enseigna les sciences et la morale, et Linus l’
art
de jouer de la lyre. Ce dernier maître lui ayant
les Centaures. C’étaient des hommes célèbres par leur habileté dans l’
art
de l’équitation. Ils se tenaient si bien à cheval
mus, comme l’a si bien dit Brébeuf : C’est de lui que nous vient cet
art
ingénieux De peindre la parole et de parler aux y
e Claros et de Patare. La prêtresse de Dodone s’illustra aussi dans l’
art
de la divination. Elle pénétrait les secrets de l
autres peuples ; ils regardent Mercure comme l’inventeur de tous les
arts
; ils pensent qu’il préside aux chemins, et qu’il
les maladies, qu’on doit à Minerve les éléments de l’industrie et des
arts
mécaniques, que Jupiter régit souverainement le c
us pictures and statuary, also, will show something of the debt which
art
, both ancient and modern, owes to the same inspir
s, Pytheus), god of the sun, of medicine, music, poetry, and all fine
arts
. “Bright-hair’d Apollo! — thou who ever art A bl
c, poetry, and all fine arts. “Bright-hair’d Apollo! — thou who ever
art
A blessing to the world — whose mighty heart Fore
rose.” Moore. Clytie. Lord Leighton. By Permission of the Fine
Art
Society, Ltd. The Story of Marsyas A young
ls, the strife was done, And the attentive Muses said: ‘Marsyas, thou
art
vanquished!’” Matthew Arnold. According to a pr
And pour his prayers of mingled awe and love, For like a God thou
art
, and on thy way Of glory sheddest with benignant
n, as chaste Dian, here thou deign’st to rove.’” Byron. In works of
art
this goddess is generally represented as a beauti
! I see, I see it glimmering through a cloud. Artemis, thou at length
art
merciful: My children will not hear the fatal twa
m its rank thine orb so long hath started, Thou, that no more
art
seen of mortal eye!” Hemans. Diana of Versa
ous ancient and some modern statues of this goddess grace the various
art
galleries, but among them all the most perfect is
their starry domes the gods depart, The shining monuments of Vulcan’s
art
: Jove on his couch reclin’d his awful head, And J
ns. “Shouting [we] seize the god: our force t’evade, His various
arts
he soon resumes in aid: A lion now, he curls a su
Apollo singeth, while his chariot Waits at the doors of heaven. Thou
art
not For scenes like this: an empire stem hast tho
nd beautiful of flowers, and provided with every charm that nature or
art
could supply. No storms or wintry winds ever came
o sang with all the raptures of a god: Worthies whose lives by useful
arts
refined; With those who leave a deathless name be
or know the god — Or dare to know him — only as a man! O human love!
art
thou for ever blind?” E. R. Sill. The infant Ba
land, where he taught the people the cultivation of the vine and the
art
of making wine. He travelled thus, it is said, th
The Return of Persephone. Lord Leighton. By Permission of the Fine
Art
Society, Limited. To commemorate her long search
d near. These forms were the genii of sleep and death, represented in
art
as crowned with poppies or amaranths, and sometim
cules’ Struggle with Death. Lord Leighton. By Permission of the Fine
Art
Society, Ltd. Hercules took a prominent part in m
s principally worshipped by young men. He is generally represented in
art
as a tall, powerfully built man, with a small, be
enown; (’Twas he who with an augur taught mechanics how to bore, — An
art
which the philosophers monopolised before.)” Sax
The Lament for Icarus. Herbert Draper. National Gallery of British
Art
. By special arrangement with the artist. All righ
between the conflicting parties has ever been a favourite subject in
art
, and is popularly known as the “Battle between th
Medea and Absyrtus. Herbert Draper. By Permission of the Corporation
Art
Gallery of Bradford. Unfortunately, Æson was now
alanta’s Race. Sir E. J. Poynter, P. R. A. By Permission of the Fine
Art
Society, Limited. In spite of these barbarous ter
ustice, nor to me his fame in arms Superior; but, by soft, persuasive
arts
He won the rebel city to his love.” Sophocles (
d I shall never need it more!’ ‘Alas!’ the voice returned, ‘’tis thou
art
blind, Not I unmerciful; I can forgive, But have
he greatest heroes in turn. From this instructor Achilles learned the
arts
of war, wrestling, poetry, music and song — all,
proposed a plan, and offered to carry it our. “Ulysses, man of many
arts
, Son of Laertes, reared in Ithaca, That rugged is
st lose thee, to go down to earth, For I shall have no hope when thou
art
gone, — Nothing but sorrow. Father have I none, A
……………………………………… “Hector, thou
Art
father and dear mother now to me, And brother and
and made them disperse. “‘If no man does thee violence, and thou
Art
quite alone, reflect that none escape Diseases; t
nquired how he came to pass out last of all. “‘My favourite ram, how
art
thou now the last To leave the cave? It hath not
st At the fresh stream, and first at eve to seek The stable; now thou
art
the last of all. Grievest thou for thy master, wh
or aid as he departs One who is hated by the blessed gods, — And thou
art
hated by the gods. Away!” Homer ( Bryant’s tr.).
ase, 73-81 Cyn′thi-us. Name given to Apollo, god of the sun and fine
arts
, 44 Cyp-a-ris′sus. Friend of Apollo; turned to a
e. Highest peak in, 24; alphabet introduced into, 34; nations of, 35;
art
in, 38; Cecrops comes to, 40; Neptune worshipped
gées en femmes [Fig. 11]. La terre, ainsi repeuplée, vit renaître les
arts
et le culte des dieux [Fig. 12]. [Fig. 11] [
humain. Elle voyagea longtemps avec Bacchus, enseignant aux hommes l’
art
d’ensemencer la terre. Inconsolable de la perte d
ribuait tous les ouvrages qui passaient pour des chefs-d’œuvre dans l’
art
de forger, comme la couronne d’Ariane, le bouclie
Minerve. Minerve, déesse de la sagesse, des - sciences et des
arts
, devait le jour à Jupiter seul. Elle sortit de so
one ; mais les plus anciens auteurs les distinguent. L’une figurait l’
art
militaire, et l’autre ne représentait, de la guer
l civilisa les peuples de ces contrées lointaines, et leur enseigna l’
art
de cultiver la vigne. [Fig. 64] On donnait à B
filles de Jupiter et de Mnémosyne28, présidaient aux sciences et aux
arts
; elles étaient au nombre de neuf [Fig. 68]. [F
s les genres de poésie. C’est que les Muses étaient sœurs, et que les
arts
relèvent tous des mêmes principes, qui sont la vé
taient la terreur des Nymphes. Toutefois, d’après les traditions de l’
art
antique, les Faunes étaient de jeunes hommes d’un
t et dans le combat du ceste ; Castor, de son côté, se signala dans l’
art
de dompter les chevaux. Après leur mort, ils fure
qui sont les moins connus et les plus beaux. Qu’on fait d’injure à l’
art
de lui voler la fable ! C’est interdire aux vers
e a transformé en divinités ou en actions divines les découvertes des
arts
, et a jeté sur ces faits un voile qu’il est quelq
es et les poëtes de l’antiquité ont épuisé toutes les ressources de l’
art
pour le peindre dans toute sa majesté. Homère, le
e, qu’il avait eu de la nymphe Coronis, et auquel il avait enseigné l’
art
de la médecine, fut aussi foudroyé par Jupiter po
l’astronomie. Ces déesses étaient représentées avec les attributs des
arts
auxquels elles président. Les Muses habitaient ta
sidait à l’industrie, fille de l’intelligence ; elle excellait dans l’
art
de filer, de tisser et de broder les étoffes ; el
chouette, symbole de la sagesse. Auprès d’elle sont les attributs des
arts
et des sciences. Questionnaire. Comment naq
urut la terre avec Bacchus, dieu de la vigne, enseignant aux hommes l’
art
d’ensemencer la terre et de faire du pain. Le sen
inent à travailler, et, sous prétexte de plaire à Minerve, déesse des
arts
, elles ravissent à Bacchus les heures qui lui son
s et couronnes de déesses, palais ; son zèle suffisait à tout, et son
art
faisait de tous ses ouvrages autant de chefs-d’œu
alion. On le représente un doigt sur la bouche. On apprenait de lui l’
art
de se taire à propos, non moins difficile que l’a
pprenait de lui l’art de se taire à propos, non moins difficile que l’
art
de bien parler. Le Sommeil, fils de la Nuit et fr
du centaure Chiron, il apprit de lui la connaissance des simples et l’
art
de guérir les maladies. Il devint si habile qu’il
les artifices par lesquels il triompha de ses ennemis l’emblème de l’
art
de la guerre. Questionnaire. De qui Persée é
ui firent cesser l’état de barbarie, et ils enseignèrent aux hommes l’
art
de cultiver la terre. Après avoir civilisé l’Égyp
e renaissait dans Paris avec ses lois, sa langue, sa politesse et ses
arts
, je fus pris d’un irrésistible désir de revoir ma
s premiers précepteurs du genre humain. Cérès l’éleva, lui enseigna l’
art
d’ensemencer le blé et lui donna un char attelé d
lui le premier moteur de l’activité humaine, le Ventre, ce maître ès
arts
, ce père de l’Invention : Magister artis, ingeni
thènes, et Minerve, la patronne de la ville, lui enseigna elle-même l’
art
de bâtir et de sculpter sur bois. Avant lui, les
salubre), il avait eu pour nourrice une chèvre et pour maître dans l’
art
de la médecine le Centaure Chiron. Il devint si h
…………………………… Tout est petit, palais, usines, Sciences, commerce, beaux
arts
, De bonnes petites famines Désolent de petits rem
l est donc le malheureux qui a fait dans notre langue un traité sur l’
art
de plaire ? La grâce est un don naturel dont pers
a jambe bien faite. L’âne de la fable croyait avoir appris du chien l’
art
de plaire : vous savez comment il profita de la l
ier aux Grâces, il aurait eu ce je ne sais quoi qui est tout dans les
arts
, et n’aurait pas mis dix ans à lécher ses ouvrage
Que les dieux marchent dans Homère. Poètes laborieux dont l’
art
achevé nous ennuie, sacrifiez aux Grâces. Regarde
un grand seigneur qui protégeait un artiste était un protecteur de l’
art
de Terpsichore. Uranie, le compas à la main, une
ourd’hui. Ils ont créé des mètres nouveaux, ciselé la strophe avec un
art
inconnu à leurs devanciers, enrichi de rimes nomb
connaisseurs et décourageaient les artistes en voulant encourager les
arts
. Un glorieux type de Midas, c’est ce bon M. Jourd
s réjouissantes naïvetés nous amusent encore. Lui aussi encourage les
arts
à sa manière. Il prend un maître de philosophie p
ècle suivant, M. Jourdain, devenu Turcaret, continue à encourager les
arts
. Il a conservé son goût pour la trompette marine,
arisen from the necessity of giving some account of the invention of
arts
and implements, and of assigning a cause for trad
d sufficiently evinced by the high degree of perfection in the poetic
art
which they themselves exhibit. Modern mythologist
schools, in which the verses of preceding bards were taught, and the
art
of making similar verses was acquired55. One of t
Aphrodite he says, that she was the first who reduced gallantry to an
art
, and made a trade of it, that she might not appea
zes to refresh The habitants ; because thou hast espoused Helena, and
art
son-in-law of Zeus. In the time of Hesiod112 th
e her terrific appearance, especially when she came summoned by magic
arts
. Apollonius307 describes her as having her head s
he elder poets is Crooked-counselled 331. This probably refers to his
art
in mutilating his sire. Chapter V. THE HOM
is productive of indifference, and the greatest charms of nature and
art
lose most of their attractions in the eyes of tho
Achilles to Peleus433 ; he is joined with Zeus as the teacher of the
art
of driving the chariot434; and when Menelaos char
the god from whose workshop proceeded so many elegant productions of
art
, and, as we are about to show, another physical v
ene are frequently joined together as the communicators to men of the
arts
which embellish life and promote civilization585.
our continued. All the goddesses, save Hera and Eileithyia, (whom the
art
of Hera kept in ignorance of this great event,) w
rn babe. The god repents when too late ; he tries in vain his healing
art
, and, dropping celestial tears, places her on the
he two brothers, who aiming their darts at the supposed beast, by her
art
pierced each other and died678. We have already n
clad. The Venus de’ Medici remains to us a noble specimen of ancient
art
and perception of the beautiful. The most usua
we shall see, favoured and aided by this goddess. As the patroness of
arts
and industry in general, Pallas-Athene was regard
leece, Athena gave him a cloak wrought by herself796. She taught this
art
to mortal females, who had won her affection797.
e united as the benefactors and civilisers of mankind by means of the
arts
which they taught them, and we shall find them in
named Arachne, proud of her skill in weaving and embroidery, in which
arts
the goddess had instructed her, ventured to deny
he earth. Her being represented in the poetic creed as the goddess of
arts
and war alone, need not cause us any hesitation,
in the epic poetry we find the idea of the goddess presiding over the
arts
still retained. Some of the ancients regarded Ath
e surprised, when, on going to drive the others on, he finds that the
art
of Hermes had rooted their feet to the ground. He
n of thieving ; in short, of everything relating to gain or requiring
art
and ingenuity. A certain good-humoured roguery wa
n grown old dedicate their implements to Hermes, either as the god of
arts
and trade, or as the deity presiding over increas
husbandry and planting. Polymnia, the muse of Eloquence and the Mimic
art
, had the fore-finger of her right hand on her mou
elatives and friends. In the same poem, when Hera1051 resolves by her
arts
and beauty to melt the soul of Zeus in love, and
hich always guides those poets who sing from inspiration and not from
art
, leading them to ascribe to the personages whom t
h, gave out that Dionysos was a native Indian, who, having taught the
art
of wine-making in that country, made a conquering
orld, to instruct mankind in the culture of the vine and other useful
arts
. And thus the knowledge of the vine came to Greec
esiod, and by the origin of philosophy and the advance of the elegant
arts
. We presently see magnificent temples raised to t
erior to Homer ; for if his contemporaries had known anything of that
art
, he needed not to have sent Odysseus to the nethe
her Cybele. When she grew up she displayed great skill in the healing
art
, and cured all the diseases of the children and c
ade her one with their Ops, the goddess of the earth1143. In works of
art
Cybele exhibits the matronly air and composed dig
and all persons who approached her dwelling were turned by her magic
art
into swine. When the comrades of Odysseus, whom h
r example, that she had been married to king Picus, whom by her magic
art
she changed into a bird1368. Another legend made
her1398 ; and being rejected, applied to Circe to exercise her magic
arts
in his favour. Circe wished him to transfer his a
, inventive genius of man (i. e. Prometheus) introduced fire, and the
arts
which result from it, and man henceforth became a
d possession of the gift of Zeus, but with it as a punishment for his
art
he got the thirst of the ass. Hence it is that th
an early period the abode of one race of men, who were devoted to the
arts
of peace and eminently skilled in agriculture. Th
had delivered the fleece to Pelias, entreated Medeia to exercise her
art
in his behalf. He sailed with his companions to t
ingratiated herself with the daughters of Pelias, and by vaunting her
art
of restoring youth, and proving it by cutting up
om the East having come to Greece and introduced civilisation and the
arts
. We will therefore here briefly examine it. In th
ridal couch1643. The invention of the culture of the olive and of the
art
of managing bees was ascribed to Aristæos1644. Tr
was entertained by Pelops, whose son Chrysippos he instructed in the
art
of driving a chariot. On the death of Amphiôn he
elebrated for his skill in architecture and statuary, of which latter
art
he was regarded as the inventor. His nephew, name
e government to the stranger who brought thither civilization and the
arts
. The people took the name of their new monarch, a
ûs, the son of Amythaôn a soothsayer, and the first who exercised the
art
of medicine, promised to restore them to their se
mply with the terms of Melampûs ; but the Mantis would not employ his
art
without another third of the realm being given to
de of making bread. He also showed them how to manufacture wool, — an
art
which he learned from Aristæos1987. In Callisto w
Meeting Apollo on the banks of the Alpheios, he was taught by him the
art
of reading futurity in the entrails of victims, a
tion respecting the mythic ages as we ourselves possess, and that the
art
of historic criticism was unknown in his time. Th
7. Minôs, before he let him depart, insisted on his communicating his
art
to Glaucos. He did so ; but as he was taking leav
e the brazen man, Talôs, prohibited their landing ; but Medeia by her
art
deprived him of life. On leaving Crete the night
it. Amphiaraos the son of Oïcles was a soothsayer, and he knew by his
art
that it was fated that Adrastos alone should surv
n was founded on peculiar views of the world and its periods, and the
art
of learning the will of the supernal powers by th
hardy tribes, and their religion was intimately connected with these
arts
; and consequently, we may suppose, bore much res
ct him in the mode of appeasing Jupiter, but that he must employ both
art
and violence to extract the knowledge from them.
easure with the Pallas-Athene of the Greeks. She was the patroness of
arts
and industry, and all the mental powers were unde
699. See below, chap. xii. Eileithyiæ. 700. Of Artemis-Callisto and
Art
.-Iphigencia, or Orthia, we shall treat in the Sec
. De là vint cette théogonie confuse, qui pourtant fut le berceau des
arts
et de la poésie. Tâchons maintenant de débrouille
e à son génie elle inventa les flûtes, les tambours, la médecine et l’
art
vétérinaire. Bientôt on vit Cybèle, jeune suivant
roducteur des alimens, est donc la personnalisation de la vie et de l’
art
agricole inspiré aux hommes par le Ciel, inspirat
ou Dieux enveloppés de la Grèce primitive et même de tout l’Orient. L'
art
, encore incapable de détacher les bras et les jam
rps. Il en résulta des monumens historiques qui nous ont appris que l’
art
, à sa naissance, supposa l’Être divin aussi dans
onne d’or, lui fait présent de l’intelligence et lui apprend tous les
arts
propres à son sexe. Vénus l’entoure de ce charme
c’est le feu principe de la vie ; c’est le génie inventif de tous les
arts
; c’est le premier devin ou sorcier ; c’est enfin
e de génie, faisant le premier l’application du feu aux forges et aux
arts
dans la Scythie, devenant le premier statuaire, e
ibe, qui donna son nom à une ville de la Lycie ; Itone, qui inventa l’
art
de façonner les métaux ; Locre, qui fonda le roya
e découvrit que ses frères, en jouant ensemble, venaient d’inventer l’
art
de la lutte. Le Dieu s’étant bientôt distingué da
ter l’art de la lutte. Le Dieu s’étant bientôt distingué dans le même
art
, les fils de Choricus en furent irrites, et s’en
siècles, et en lui donnant le privilége de devenir fort habile dans l’
art
des augures, au moyen d’un bâton qu’il avait à la
de leurs chefs. On rattache à Vulcain Glaucos de Chio, inventeur de l’
art
de souder le fer, et Pyrodos, fils de Clias, qui
ancien roi de Babylone, auquel on attribue l’invention des armes et l’
art
de ranger les troupes en bataille ; le second éta
actyles-Idéens le soin d’élever son fils. Ce fut lui qui lui apprit l’
art
de la guerre, en lui enseignant les danses furieu
tement ; celui-ci devint le Soleil personnifié ou Dieu du jour et des
arts
, et sa sœur fut la déesse de la chasse, ainsi que
e, aux Tuileries et à Versailles. Apollon, dieu du jour et des beaux
arts
, portait les différens noms et surnoms qui suiven
t bientôt dieu du jour, de la poésie, de la musique, des lettres, des
arts
, de l’éloquence, de la médecine et des augures. A
ofit les conseils de son maître, qu’il devint tellement habile dans l’
art
de la médecine que non seulement il guérissait le
Hipponoos, parce qu’on le considérait comme le premier qui enseigna l’
art
de conduire un cheval avec la bride, ayant eu le
nt Apollon à leur tête, ou dansant en rond, pour prouver que tous les
arts
et les sciences se tiennent. C'est ainsi qu’on le
e dieu s’apprête à le punir : en vain le malheureux satyre maudit son
art
et son chant, en vain il demande grace au dieu de
pplia de lui permettre de se contenter de la simple connaissance de l’
art
de guérir, pour pouvoir prolonger les jours de so
Déliades à Délos, et Engastrymithes dans plusieurs autres temples. L'
art
de dire la bonne aventure fut par conséquent fond
pécialement favorisés, entretint le culte des oracles, c’est-à-dire l’
art
d’exprimer aux oreilles du vulgaire les phrases o
lques esprits. Dans l’origine, les Grecs empruntèrent aux Chaldéens l’
art
des augures, sorte de divination qui consistait à
s étaient en rapport avec les douze signes du zodiaque. A la fin, cet
art
des augures inventé par Carès, dans la Carie, tom
de la bosse de la plus haute intelligence, Apollon de celle des beaux
arts
, Homère de celle de la poésie, et tous les autres
evant Troie. Carnos ou Carnus, et non Arnus, arcanien instruit dans l’
art
de la divination par Apollon. Il prédit de grands
compatriotes en Colchide, quoiqu’il eût prévu par les secrets de son
art
qu’il périrait dans cette expédition. Il épousa u
is et d’un Amycus ou d’Ampix. Munyque, fils de Dryas, célèbre par son
art
et par sa piété. Nannac ou Nannap, un des plus an
it-on, la première qui rendit des oracles ; elle apprit aux Toscans l’
art
de deviner par le tonnerre. On la croit la même q
aphore employée pour dire que la puissance de son éloquence et de son
art
groupa quelque peuple sauvage sur un point, et lu
la nymphe Chioné. Linus fit faire à Thamyris tant de progrès dans son
art
, que les Scythes en firent leur roi et qu’il osa
ien, et afin de montrer quelle était la perfection de ses talens et l’
art
merveilleux avec lequel il sut adoucir les mœurs
, et aussitôt il retourna se venger. Ensuite il devint célèbre dans l’
art
de Vulcain, et fit un palais souterrain pour Nept
prirent les travaux d’économie rurale, aussi devint-il célèbre dans l’
art
d’élever les abeilles. Amant d’Eurydice, Aristée
u l’huile ; Arabe était fils de Babylone, il avait reçu de son père l’
art
de la médecine qu’il enseigna aux Arabes auxquels
lape, fils d’Apollon et dieu d’Arcadie, inventeur de la sonde et de l’
art
de bander les plaies ; Esculape, frère de Mercure
pe, fils d’Arsippe et d’une Arsinoé, inventeur des purgations et de l’
art
d’arracher les dents ; Esculape, roi de Memphis e
ombreuses cavales qu’il possédait ; Pamphila avait, dit-on, inventé l’
art
de broder, sa mère est restée inconnue ; Partheno
e Minerve, ils étaient habiles dans la métallurgie, avaient inventé l’
art
de travailler le fer et l’airain, et avaient, dit
plaisirs, aux peines, aux espérances, aux rendez-vous, à l’étude, aux
arts
et aux saisons, elles se chargent de son éducatio
L'une devra chaque matin la rappeler au jour, l’autre lui apprendre l’
art
de plaire sans parure, la troisième lui offrir le
et le talent : c’était Apollon, le fils de Latone. Dieu du jour, des
arts
, et le plus beau de l’Olympe, il ne tarda point à
pyle, dont la beauté fixa auprès d’elle Bacchus qui montra à ce roi l’
art
de cultiver la vigne, et lui donna les royaumes d
cré à Vénus ; il fut ensuite relevé de ses ruines par Cinyre ; puis l’
art
des Aruspices, par les entrailles des chevaux, y
e son enfance ; par la suite, il devint le précepteur de Mars, dans l’
art
de la guerre ; puis il fut enseigner aux dames de
ue l’on doit rapporter l’origine de l’institution des oracles et de l’
art
entier de la divination ; cependant comme Apollon
hef-d’œuvre, à Minerve enfin, déesse de la sagesse, des sciences, des
arts
et même de la guerre. Elle portait différents nom
aux tours à Abdère ; Ergane ou l’artisan comme inventrice de tous les
arts
à Athènes ; Equestre ou Hipia ; Ethyia ou la Mine
ée de pied en cap des Eléens ; Hygiaea ou présidant comme Apollon à l’
art
de guérir ; Hyperdexia ou favorisant les mortels
e ou de Lindos dans l’île de Rhodes ; Machinatrix ou l’inventrice des
arts
en Arcadie ; Magarsis ou de Magarsus en Cilicie ;
Matera ou ornée de piques ; Mechanica et Mechanitès ou présidant aux
arts
mécaniques à Mégapolis ; Medica ou la guérisseuse
ronum ou Minerve-Nœma fille de Lameck qui avait, disait-on, inventé l’
art
de la filature et du tissage des toiles ; Oleria
s toiles ; Oleria ou d’Oléros en Crète ; Operaria ou l’inventrice des
arts
; Ophtalmetis et Optiletis ou du temple que lui a
nier elle ait donné le jour au monstre Erichthonius. Minerve prit les
arts
sous sa protection : elle inventa l’écriture, la
a protection de Minerve, l’aréopage consulté mit l’agriculture et les
arts
au-dessus de la simple navigation ; ou bien peut-
lois, adoucit leurs mœurs, institua le lien conjugal et leur apprit l’
art
de construire des maisons et de se faire des habi
on des esclaves ; son seul désir était de porter la civilisation et l’
art
de faire le vin dans les contrées les plus éloign
t subirent avec plaisir un joug aussi doux. Après leur avoir appris l’
art
de cultiver la vigne, avoir établi la plus parfai
us avons vu la triste fin, alors il eut avec lui une discussion sur l’
art
de la musique, dont on ne connaît pas le résultat
s de Mélas, a promis sa fille Iole à celui qui le surpasserait dans l’
art
de tirer de l’arc ; Hercule vole à sa cour, gagne
ui-ci rendit la couronne à son beau-frère, puis il fut se cacher, son
art
lui ayant appris qu’il mourrait dans une expéditi
nymphe Cléodore et de deux père : Neptune et Cléopompe ; il inventa l’
art
de connaître l’avenir au moyen des oiseaux, et fi
s d’Eson et d’Alcimède, avait été élevé par le centaure Chiron dans l’
art
de la guerre. Il ne craignait donc pas les diffic
s. Misène, trompette d’Enée, s’étant vanté de surpasser Triton dans l’
art
musical, fut saisi par ce dernier qui le noya sou
er dans la mer, où Téthys le métamorphosa en plongeon. Il possédait l’
art
merveilleux de la divination et avait prédit que
les oreilles et, depuis ce moment, ils furent tous deux fameux dans l’
art
de prédire l’avenir. Hélénus conduisait la troisi
se, mais dont les armes étaient simplement la musique, la poésie, les
arts
et le plaisir. Il passa d’abord en Ethiopie où le
Macédoine, et y chargea Triptolème d’aller enseigner aux Athéniens l’
art
d’ensemencer les terres. Pendant l’absence d’Osir
nt ses soins, tandis que son époux institua les lois, le culte et les
arts
. Ce fut Isis qui apprit à ses sujets à tirer part
mirent au monde plusieurs enfans, auxquels ils enseignèrent différens
arts
, mais surtout celui d’élever les bestiaux. Tikoa
éniciens. Ce fut ce Taaut qui inventa l’écriture, les sciences et les
arts
. Il fit graver la loi sur des tables sacrées, par
ées de la Babylonie, apprit aux hommes les lettres, les sciences, les
arts
, l’agriculture ; fit élever des temples, des vill
eigna aux hommes à se couvrir de la peau des bêtes, donna l’essor aux
arts
, à la civilisation dans la Phénicie. On le regard
un long voyage, se perfectionna dans les sciences, et surtout dans l’
art
de la guerre où plus tard il se distingua : il tu
Babourénou-Bakchi, lequel lui apprit la poésie, la musique, tous les
arts
d’agrément et les sciences exactes. Il fit de tel
rinpo et Prasrinmo, couple célèbre de singes, qui montra aux hommes l’
art
de procréer charnellement ; ce couple n’était qu’
ou femelles portent les noms suivans : Aban, présidant à l’eau, aux
arts
libéraux et mécaniques. Achtad, préside à l’abon
la civilisation et fut un véritable Orphée ; car il inventa tous les
arts
, puis la lyre résonna bientôt sous ses doigts ; e
s sa protection les naissances, les mariages, la mort, la guerre, les
arts
et la magie. Son caractère léger le faisait chang
e du dieu Fouri ; ils présidaient à toutes les sciences et à tous les
arts
, et les apprirent aux hommes. Parmi eux on cite :
uples Islandais le regardaient comme un Dieu marin fort habile dans l’
art
de la sorcellerie. Il habitait la caverne de Baar
igueur. Belisama ou Belisana, grande déesse Gauloise, inventrice des
arts
. Elle était honorée surtout à Cussi, comme force-
mplois ; il abolit l’esclavage, bâtit sept villes, et fit fleurir les
arts
et l’industrie ; ces peuples adoraient aussi la M
irlamb à la longue main, ainsi nommé à cause de son habileté dans les
arts
. Eirgeadmhar avait pour fils Badhurn, Diomain, Fi
t pour avoir été sa nourrice et pour lui avoir enseigné la magie et l’
art
difficile de régner : on le confond souvent avec
d’où bientôt il vint dans la plaine enseigner aux sauvages habitans l’
art
de l’agriculture, de se construire des cabanes, e
hica, furieux contre son épouse, la chassa de la terre. Elle, par son
art
magique, s’éleva dans les airs et devint la lune.
cchus laissa à Icare des outres remplies de vin, et il lui enseigna l’
art
de cultiver la vigne, Icare, suivant les ordres d
it de belles statues, il inventa plusieurs instrumens utiles dans les
arts
, la cognée, le niveau, le compas, la tarière. Tal
econnoissant des services que lui avoit rendus Admète, lui enseigna l’
art
de réduire sous un même joug deux animaux si féro
de laquelle il eut le malheureux Actéon. Aristée apprît aux hommes l’
art
de la chasse, à élever des troupeaux et des abeil
t enfin dans la ville capitale de la Colchide. Vénus apprit à Jason l’
art
de séduire la Magicienne Médée, fille du Roi Aëtè
Sparte. Ils se distinguèrent dans les jeux de la Grèce, Castor, par l’
art
de conduire les chevaux, ce qui le fit appeler do
es chevaux, ce qui le fit appeler dompteur de chevaux ; Pollux, par l’
art
de lutter, ce qui le fit regarder comme le patron
les et vertueux. Mais l’artiste, gagné par Egisthe, et abusant de son
art
, dégrada son talent ainsi que son caractère, en c
nt que Minerve, c’est-à-dire, la Sagesse elle-même, avoit inventé ces
arts
que nous dédaignons et qui nous paroissent des oc
leurs Que l’aurore n’en fait naître. Et qu’Iris n’a de couleurs. Son
art
forme sa coiffure, L’or, les perles, les saphirs,
poser sur un trophée d’armes et l’entourer de tous les attributs des
arts
. La Sagesse. Les Lacédémoniens la représen
Jeunesse, et de l’autre, répandant les attributs des sciences et des
arts
seroit une allégorie juste et consolante. Il nous
an name of Diana, and the festivals at Delphi were called Artemisia.
Arts
and Sciences, see Muses. Arus′pices [Aruspices],
dess of faith and honesty, and a temple in the Capitol of Rome. Fine
Arts
, see Minerva. Fire, see Salamander, Vesta, and V
me was Diana. She was a moon-goddess, and is generally represented in
art
with three bodies, standing back to back, a torch
d from Paradise and made a specter. Li′na [Lina]. The goddess of the
art
of weaving. Lin′dor [Lindor]. A lover in the sha
s geometry and hieroglyphics. Hermes is the Greek name of Mercury. In
art
he is usually represented as having on a winged c
nys. Miner′va [Minerva], the goddess of wisdom, war, and the liberal
arts
, is said to have sprung from the head of Jupiter
e. She was a great benefactress of mankind, and patroness of the fine
arts
. She was the tutelar deity of the city of Athens.
were nine daughters of Jupiter and Mnemosyne. They presided over the
arts
and sciences, music and poetry. Their names were,
n made her of clay, and gave her life. Venus gave her beauty; and the
art
of captivating was bestowed upon her by the Grace
see Aurora. Steren′tius [Sterentius]. The Roman god who invented the
art
of manuring lands. See also Picumnus. Ster′opes
nk that the Godhead is like unto gold, or silver, or stone, graven by
art
and man’s device. And the times of this ignorance
ily papers and magazines, and it is indispensable to the enjoyment of
art
and literature. It assists us to understand many
ibed to her influence. She was regarded as the patroness of all those
arts
which are connected with agriculture, by means of
corn, desired him to journey through the world, teaching mankind the
arts
of agriculture and husbandry. The Eleusinian* Mys
iters she is represented as the patroness of every branch of science,
art
, and manufacture. Parthenos* (virgin) was one of
ss was merged in that of the peaceful inventress and patroness of the
arts
and sciences, and of all handiwork of women. The
the shield rests on the ground. As the goddess that promoted domestic
arts
and progress, she is represented with a distaff a
igned, they were supposed to be present. Music, eloquence, poetry and
art
, though the direct work of the Muses, received fr
He was the god of light, prophecy, archery, music, poetry, and of the
arts
and sciences. He represented, first, the great or
g rain. Later poets make him the inventor of the alphabet, and of the
art
of interpreting languages. He was born in a caver
uch terrible reports, and he concealed himself behind a tree; but the
art
of Dionysus making him appear as a wild beast, he
s, of which a little satyr is endeavoring to take a taste. In earlier
art
he was generally depicted as majestic and grave.
earlier art he was generally depicted as majestic and grave. In later
art
he became more youthful. The statues of this peri
, but yielding to the earnest solicitations of Œdipus, he said: “Thou
art
the murderer of the old king, Laius, who was thy
art the murderer of the old king, Laius, who was thy father, and thou
art
wedded to his widow, thine own mother.” The old s
Minos. He built the Labyrinth, besides many other wonderful works of
art
, but afterwards, having lost the favor of the kin
mpus. Musæ, or Muses, presided over music, song, poetry, and the fine
arts
. Charites, or Graces, presided over social enjoym
son Gunnar. But Gunnar could not ride through the flame, and by magic
arts
Sigurd was made to assume the form and voice of G
ght, it was natural to attribute to the light-god the progress in the
arts
. Light came to be personified as the embodiment o
watched the spider spreading her web to catch flies, he invented the
art
of making nets for fish, and taught it to his des
e defined and taught by him; the maize was his gift, and the pleasant
art
of smoking was his invention.” Tanner . Michab
érature ancienne, et même la littérature moderne, les productions des
arts
, une foule d’allégories ingénieuses, et d’express
à-dire que les travaux de l’esprit, les lettres, les sciences, et les
arts
, sont les fruits de l’intelligence et de la mémoi
nnemis. 31. Vengeances de Minerve. Minerve se livra ensuite aux
arts
, dont on lui attribue l’invention19. Elle excella
consacré ses chansons. Polymnie a du geste enseigné le langage, Et l’
art
de s’exprimer des yeux et du visage. Terpsichore,
t, Ura, Po, Mel. Les Muses sont représentées avec les attributs des
arts
auxquels elles président. Elles se plaisent aux l
ompagnaient. Il fut élevé par Priape, un des Titans, qui lui apprit l’
art
des combats. Ses premiers essais ne furent pas he
ains ? Par qui fut-il élevé ? Quels furent ses premiers essais dans l’
art
de la guerre ? Quelles furent ses autres infortun
Elle parcourut la terre, comme on va le voir, enseignant aux hommes l’
art
d’ensemencer les champs et de faire du pain. Cérè
euples se soumettaient pleins de joie à un dieu qui leur enseignait l’
art
de cultiver la terre, de faire le vin et d’extrai
n, de la Genèse, le premier des hommes qui, avant le déluge, exerça l’
art
de travailler les métaux. Questionnaire. 65
monstre, chaque jour, dans Thèbe épouvantée Proposait une énigme avec
art
concertée ; Et si quelque mortel voulait nous sec
insi qu’un fleuve immense Où, la coupe à la main, venaient puiser les
arts
. Virgile sur toi seul attachait ses regards ; B
-tu point tracé dans ta vaste peinture ? Les champs et les cités, les
arts
et la nature, Ton ouvrage peint tout : tel brille
19. L’allégorie en est facile à pénétrer ; la pensée, qui produit les
arts
et les sciences, est naturellement fille de la Ré
ieux de la Phénicie et de l’Egypte : C’est de lui que nous vient cet
art
ingénieux De peindre la parole et de parler aux y
r’s breast — Demeter’s kisses comfort her. Calm Queen of Hades,
art
thou she Who stepped so lightly on the lea —
ea, Hung their heads, and then lay by. In sweet music is such
art
, Killing care and grief of heart Fall asl
and empires fade, Immaculately pure: Exchange this endless life of
art
For beauty that must die, And blossom with a b
yal palace and had great power over King Ægeus, and when by her magic
arts
she recognized Theseus, she resolved to destroy h
But he would have slain Medea. The enchantress, however, by her magic
arts
, called in a whirlwind, and in a moment was gone.
wooed her with immortal gifts, Rare treasures worked with cunning
art
, Spoils of wild streams and mountain rifts Not
nd Cassandra, 212); took vengeance on the Greeks before Troy, 184. In
art
, represented as young and handsome, and either wi
Calli΄ope (cal-li΄o-pe). One of the Muses. Mother of Orpheus, 65. In
art
, represented with a writing-tablet and pencil, or
e especially valuable because they have become an inseparable part of
art
and literature. They have a historical value, too
has had much experience in life. Be content to reign as queen of your
art
among women, but do not compare yourself with the
ea, Hung their heads, and then lay by. In sweet music is such
art
; Killing care and grief of heart. William S
my eyes were dim; I called him, “Oh, sweet love! I come, for thou
art
all to me; Go forth, and I will follow thee,
hed over him with great fatherly care, and the boy was taught all the
arts
which at that time were thought fitting for a pri
-eyed, dark-haired maiden, Medea, who was a witch and knew many magic
arts
. The king was seated on his throne, with his litt
n thou wert dying, From eyes unused to weep, And long, where thou
art
lying, Will tears the cold turf steep. When
alità, alla quale si aggiunge concessa per legge o per decreto reale (
Art
. 10).
Atreus, « Aut in avem Progne vertatur, Cadmus in anguem. » (Hor., De
Art
. Poet., v. 185.) 60. Nel 1821 fu pubblicato da
1. Mercuri, nam te docilis magistro movit Amphion lapides canendo. Et
Art
. Poet. v. 394 : Dictus et Amphion, Thebanae condi
. (3). Odyss. δ, v. 499, sqq. (4). Lucian. in Prometh. (5). Horat.
Art
. Poet. v. 385. (6). Cic. ad Fam, III, 1. (1). A
393. Propert. III, el. 2. (1). Virgil. Georg. IV, v. 506, sqq. (2).
Art
. Poet. v. 393, et lib. 1, od. 12. Propert. lib. I
(2). In Prolog. (1). Cycnus Dircaeus. Horat. IV. od. 2. v. 22. (2).
Art
. Poetic. v. 394. seq. et Od. lib. III, 2. v. 1. s
t ire Deum. (1). Macrob. Sat. 1. 17. Scalig. Poet. I, cap. 23. (1).
Art
. Poet. v. 345. Et Epist. I. ep. 20, v. 2. (2). I
hius heros. Sil. Ital. VIII, v. 218. (1). Lib. I, od. 7, v. 9. (1).
Art
. Poet. v. 90. (1). Thucyd. (1). Sedet acternumq
. (4). Part. I. (1). Il. α. v. (1). Catull. LXIX. v. 334. (2). De
Art
. poet. v. 120, sqq. (1). Odyss. ω, v. 36, sqq.
eneleus hostis Non potuit Juno vincere, vincit amor E nel secondo de
Art
: volendo annoverare le triste macchie di tal cru
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