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1 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
re des fausses divinités que les païens2 adoraient. Cette adoration s’ appelle idolâtrie3. Pour en expliquer l’origine, il faut
t dans laquelle les éléments de tous les êtres étaient confondus. Ils appelaient Chaos ce premier état : ils en avaient emprunté l
apprit à cultiver la terre et les rendit si heureux, que ce règne fut appelé l’âge d’or. Saturne, voulant récompenser l’hospit
et des saisons. Il est le dieu du temps, et, à ce titre, les Grecs l’ appelaient Kronos. Son histoire, expliquée d’après ce nom, e
turne dans le Latium, les Romains établirent en son honneur les fêtes appelées Saturnales. Elles se célébraient tous les ans, au
rtait son nom ? 11. A quoi présida Saturne revenu au Ciel ? Comment l’ appelaient les Grecs comme dieu du temps ? Expliquez les div
cachées sous ce nom ? Comment représente-t-on Saturne ? 12. Comment s’ appelaient les fêtes de Saturne ? Quand et comment étaient-e
e de Cybèle fut apporté de Phrygie en Grèce et en Italie. Ses fêtes s’ appelaient Mégalésiennes. Elles se célébraient au bruit du t
e Cybèle ? 14. Par qui son culte fut-il apporté en Italie ? Comment s’ appelaient ses fêtes ? Comment se célébraient-elles ? Quels
ils accompagnaient leurs danses. Jupiter fut nourri par deux Nymphes appelées Mélisses (mot grec qui signifie mouches à miel),
sa sur Pélion, et essaient ainsi d’escalader le ciel. Jupiter effrayé appelle à son secours tous les dieux et toutes les déesse
stin que les Géants seraient invincibles, si un simple mortel n’était appelé aussi à les combattre. Hercule arrive, et bientôt
ntier ; il parcourait souvent la terre, sous diverses formes que l’on appelle métamorphoses : il voulait éprouver ainsi les hom
il, et en déroba une étincelle, qu’il cacha dans la tige d’une plante appelée férule, et dont la moelle se consume lentement. I
els dieux, quelles déesses s’y distinguèrent ? Comment Hercule fut-il appelé à y prendre part ? Qu’était-ce que Typhée ? Quel
et de la terre y furent invitées, et s’y rendirent. Une seule nymphe, appelée Cheloné, y manqua, et reçut le juste châtiment de
inerve. 30. Naissance et premier exploit de Minerve. Minerve, appelée par les Grecs Athéna, était fille de Jupiter. Ce
déesse frappa l’imprudente de sa navette, et la changea en araignée ( appelée en grec, arachné). Minerve dirigea la constructio
a paix. Les dieux lui adjugèrent le prix ; et la ville de Cécrops fut appelée Athènes, du nom de sa bienfaitrice. 33. Culte
nnelles, revenaient chaque année. C’est dans ces fêtes que les poëtes appelés rapsodes chantaient les vers d’ Homère. A Rome, p
mes jours, les disciples allaient porter à leurs maîtres des présents appelés minervales. On représente Minerve avec un air gra
pent Python, et couvrit de sa peau le trépied sur lequel la prêtresse appelée Pythonisse rendait ses oracles. Lui-même reçut dè
es oracles. Lui-même reçut dès lors le surnom de Pythien, et des jeux appelés Pythiques furent institués en son honneur. Ils se
ter le précipita d’un coup de foudre dans le fleuve Eridan (autrement appelé le Pô). Quelques interprètes ont vu dans cette fa
du fleuve Permesse, inspiraient, dit-on, l’enthousiasme poétique. On appelle quelquefois les muses Piérides ; voici l’origine
ayons, et tenant un globe à la main, tandis qu’Apollon, qui est alors appelé Phœbus, dirige un char radieux, trainé par quatre
, pour ses trois emplois, trois séjours et trois noms distincts. On l’ appela Diane ou Artémise sur la terre, Phébé ou la Lune
nés de ses statues. 42. Histoire de quelques constellations. On appelle constellation un certain nombre d’étoiles qui, vu
cessivement, dans sa marche apparente autour de la terre. Ce cercle s’ appelle Zodiaque, d’un mot grec (zôon), qui signifie anim
les ? Par qui fut-il détruit ? Comment représente-t-on Diane ? 42. Qu’ appelle-t -on constellation ? Que voyaient les anciens dans
s constellations ? 43. Faites connaître l’origine de la constellation appelée Calisto ? Quelle est celle d’Orion ? 44. Qu’appel
la constellation appelée Calisto ? Quelle est celle d’Orion ? 44. Qu’ appelle-t -on Zodiaque ? Enumérez les douze signes du Zodiaq
es rues des pierres carrées surmontées d’une tête de Mercure : on les appelait Hermès, nom de ce dieu dans la langue grecque.
s. 49. Naissance et aventures de Mars. Selon les Grecs, qui l’ appelaient Arès, Mars était fils de Jupiter et de Junon. Sel
céleste siégea, dit-on, à Athènes, sur une éminence qui fut dès lors appelée Aréopage, ou colline de Mars ; elle fut, à ce qu’
bouclier. Souvent il est monté sur un char attelé de deux coursiers, appelés par les poëtes l’Épouvante et la Fuite. Deux oise
elles furent ses autres infortunes ? Quelle fut l’origine du tribunal appelé Aréopage ? 50. Quel était le culte de Mars chez l
-ce que les anciles ? Quelles victimes immolait-on à Mars ? Comment s’ appelait ce dieu chez les Gaulois ? Comment représente-t-o
épouse Vulcain. Vénus, déesse de la beauté chez les Romains, était appelée par les Grecs Aphrodite, c’est-à-dire, née de l’é
mencer les champs et de faire du pain. Cérès eut de Jupiter une fille appelée Proserpine. Un jour que celle-ci jouait avec les
t là qu’elle recevait le plus d’honneurs. Parmi ses fêtes, les unes s’ appelaient thesmophories, du mot thesmophore, législatrice,
s aux hommes en les civilisant par l’agriculture ; ses autres fêtes s’ appelaient ambarvalies, parce qu’elles consistaient à faire
té des terres et l’abondance des fruits31. Enfin il y avait des fêtes appelées éleusines, de la ville d’Eleusis, où elles furent
transporter Bacchus dans la ville de Nysa, située près d’une montagne appelée Méros. Comme ce mot grec signifie cuisse, les poë
perdus. 62. Culte et images de Bacchus. Les fêtes de Bacchus s’ appelaient à Athènes Dionysiaques, de son nom grec Dionysios
cchus contre Penthée, Lycurgue et les filles de Minée ? 62. Comment s’ appelaient les fêtes de Bacchus à Athènes et à Rome ? Pourqu
s’appelaient les fêtes de Bacchus à Athènes et à Rome ? Pourquoi les appela-t -on du nom d’orgies, et que signifie ce mot ? Comm
° 7). Il avait encore des ateliers dans les îles voisines de l’Italie appelées Eoliennes et Vulcaniennes, et dans les cavernes d
ulcain. On célébrait à Athènes, en l’honneur de Vulcain, des fêtes appelées lampadodromies : c’étaient des courses dans lesqu
? Par quels ouvrages s’est-il distingué comme artiste ? 64. Comment s’ appelaient à Athènes les fêtes de Vulcain, et comment se cél
le. » Palès était la déesse des pâturages et des bergers. Ses fêtes, appelés Palilies, se célébraient à Rome, le 21 avril, le
Pénates. On confond souvent ces deux espèces de dieux ; cependant on appelle plus particulièrement Lares les dieux du foyer, d
riage ? Qu’était-ce que Priape ? 67. Faites connaître Pan et ce qu’on appelle terreur panique. 68. Qu’était-ce que le dieu Term
ités s’unirent à leur tour et donnèrent naissance à cinquante filles, appelées Néréides, et révérées aussi comme Nymphes de la m
rve l’honneur de donner son nom à la capitale de la Cécropie, qui fut appelée Athènes. Il eut le même différend au sujet de la
i se célébraient à l’isthme de Corinthe. Chez les Romains ces fêtes s’ appelaient Consuales38. On en attribuait la première institu
Quels jeux furent institués par les Grecs en son honneur ? Comment s’ appelaient ses fêtes à Rome ? A qui en attribuait-on la prem
é marine, et institua en son honneur les jeux Isthmiques. Les Romains appelèrent le même dieu Portumnus, comme protégeant les vais
s de profondes cavernes. Il régnait sur les îles de la mer de Sicile, appelées d’abord Vulcanies et ensuite Eolies, du nom de le
stinée de l’âme humaine s’accomplit dans des lieux souterrains qu’ils appelaient les Enfers. Là se trouvaient le Tartare, lieu de
la vie et s’unissaient à des hommes ou à des animaux. C’est ce qu’on appelait la métempsycose, ou transmigration des âmes. 8
, Eaque et Rhadamanthe. Le lieu dans lequel s’élevait leur tribunal s’ appelait le champ de la vérité. Le Mensonge et la Calomnie
heureux. Eaque, fils aussi de Jupiter, gouverna l’île d’Œnopie, qu’il appela Egine, du nom de sa mère. On raconte qu’une famin
aque mérita, par la justice et la douceur de son gouvernement, d’être appelé après sa mort, parmi les juges des Enfers. Il ava
couleuvres. Les Grecs, pour ne pas irriter ces terribles déesses, les appelaient Euménides, c’est-à-dire bienveillantes. Elles son
n soin de mettre dans la bouche des morts une pièce de monnaie, qu’on appelait le denier de Charon. Nul mortel n’entrait vivant
lles étaient les trois Parques, leur naissance, leur emploi ? 86. Qui appelait -on Mânes chez les anciens ? De qui Charon était-i
es anciens ? De qui Charon était-il fils ? Quel était son emploi ? Qu’ appelle-t -on denier de Charon ? Comment est représenté le n
ses trésors42 [Desmarets] Danaüs, roi d’Argos, eut cinquante filles, appelées de son nom Danaïdes. Egyptus, roi d’Egypte, avait
oltaire.) 96. La Justice. — L’Amitié. — La Force. La Justice, appelée aussi Thémis par les Grecs, est représentée sous
couronnée de fleurs et tenant à la main une corne remplie de fruits, appelée corne d’abondance, dont on a vu l’origine (n° 17)
qu’il inspire. Bellone, déesse de la guerre chez les Romains, était appelée Enyô (qui tue) par les Grecs. Elle était sœur ou
e déesse, soit d’un dieu et d’une mortelle ; par cette raison, on les appelait aussi demi-dieux. Doués, la plupart, d’une force
avoir se vaincre et réprimer les flots De son orgueil, c’est ce que j’ appelle être Grand par soi-même : et voilà les héros. Le
rriva-t-il à la cour du roi d’Argos ? Expliquez l’origine de ce qu’on appelle lettres de Bellérophon. Qu’était-ce que la Chimèr
anée et de l’Océan, il sépara les deux montagnes de Calpé et d’Abyla, appelées depuis colonnes d’Hercule, et aujourd’hui détroit
ois. Agénor, roi de Phénicie, avait un fils nommé Cadmus et une fille appelée Europe. Cette jeune princesse, folâtrant un jour
donner au pays le nom de Béotie (bous, génisse). La nouvelle ville s’ appela Thèbes. Mais elle fut en butte à la haine de Juno
jeunes princes, connus sous le nom d’Epigones ou de descendants, sont appelés à venger leurs pères par Adraste, qui seul avait
t que les Furies ne cesseraient de poursuivre le sang d’Œdipe, et ils appelèrent au trône une autre famille. Trois générations apr
t volontiers avec Patrocle, son ami, pour une expédition à laquelle l’ appelait son courage. L’armée, forte d’environ cent mille
t avec la nymphe Io, qui fut métamorphosée en génisse (n° 28) ; ils l’ appelaient encore du nom de Cérès, parce qu’ils lui attribua
un autre. Le bœuf que l’on supposait renfermer ainsi l’âme du dieu s’ appelait Apis. La fête solennelle que l’on célébrait chaqu
e qu’Osiris ou Apis, honoré dans le tombeau. Par cette raison, il fut appelé d’abord Sorapis (soros, tombeau, et Apis). Il éta
aux superstitions les moins grossières. Aussi les auteurs anglais les appellent-t -ils puritains du paganisme. Ils avaient admis le
La doctrine de Zoroastre est contenue dans le livre sacré des Perses appelé Zend-Avesta 69, nom qui signifie parole vivante.
Commode. Il ne fut aboli que vers le quatrième siècle. Dans les fêtes appelées mithriaques, qui se célébraient en l’honneur de c
tre. Qu’était-ce que Zervane-Akérène, Ormuzd ou Oromaze, Ahriman ? Qu’ appelle-t -on Amschaspands, Izeds, Devs ? Comment explique-t
senté ? A quelle époque son culte fut-il introduit à Rome ? Comment s’ appelaient les fêtes de ce dieu ? Quel était leur caractère 
r la création, la conservation et la destruction des êtres. Ce dieu s’ appelle Para-Brahma ou simplement Brahm. Le premier être
de son bras droit, de sa cuisse et de son pied quatre fils qui furent appelés , le premier Brahman (c’est à lui qu’il donna les
a troisième caste, celle des Waïshias ou agriculteurs et commerçants, appelés encore Banians, est caractérisée par la partie in
ervateur du monde, ses métamorphoses ou incarnations, que les Indiens appellent Avatar, sont plus nombreuses que celles de Brahma
dieu suprême ? À quelles autres divinités a-t-il donné naissance ? Qu’ appelle-t -on Trimourti ? Comment se compose cette trinité i
xplication peut-on donner de cette doctrine ? 137. Comment les Indous appellent -ils les métamorphoses ou incarnations de Vichnou 
distinctes destinées aux hommes qui ont quitté la vie. La première s’ appelle Valhalla, c’est le palais d’Odin, séjour des bien
ros qui sont morts en combattant. Là, ils sont servis par des vierges appelées Valkiries, qui leur versent à grands flots l’hydr
é sanglante sont précipités dans un lieu de ténèbres et de supplices, appelé le Nilsheim : c’est l’enfer des Scandinaves ; il
. Qu’est-ce que le Valhalla ? Qu’est-ce que les Valkiries ? Comment s’ appelle l’enfer des Scandinaves ? Quels sont ceux qui son
x incultes où la main de l’homme n’avait pas pénétré. Leurs prêtres s’ appelaient druides, d’un mot celtique qui signifie chêne78,
e comme les Gaulois, le dieu souverain fût le dieu de la guerre. Il s’ appelait Hésus ; on le représentait armé d’une hache, et o
vec le fleuve des enfers qui porte le même nom. 13. Quelques auteurs appellent ce géant Typhon ; d’autres infligent à Encelade l
es ; cette baguette, qu’il ne cessa dès lors de porter à la main, fut appelée caducée, et devint un symbole de paix. 26. Selon
, en 1522, par plusieurs poëtes qui se réunirent pour former ce qu’on appela le Collège de la gaie Science. Clémence Isaure le
t, telles que la violette, l’églantine, le souci, l’amarante. 35. On appelle terreur panique l’espèce de crainte qui n’est pro
s-Elysées, soit au centre de la terre, soit aux îles Canaries, qu’ils appelaient îles Fortunées, ou bien encore au delà des Colonn
autant d’honneur à son génie qu’à son âme tendre et aimante. 45. On appelle allégorie une fiction ingénieuse qui rend sensibl
e le mot héros vient de Hero, nom d’un fils de Junon, qui elle-même s’ appelait , en grec, Hera. Ce nom fut consacré pour désigner
es auteurs les confondent avec les Gorgones. 52. C’est de là qu’on a appelé lettres de Bellérophon des lettres écrites contre
situé aux environs du mont Atlas, en Afrique. 56. Cette députation s’ appelait en grec theoria, visite au dieu. Pendant la durée
et l’âge mûr, et s’appuie sur un bâton dans la vieillesse. 64. Il s’ appelait Podarcès ; il reçut alors le nom de Priam, du mot
; Diomède, Arpi, villes situées dans cette partie de l’Italie qui fut appelée Grande-Grèce, à cause de ces mêmes colonies qui v
es traditions historiques et mythologiques de ces peuples du Nord. On appelle Edda deux livres ou codes religieux qi contiennen
2 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
ne de notre époque, nous n’avons parlé que des religions vulgairement appelées païennes, et nous avons respectueusement laissé d
om d’Ophion, puis celui de Chaos. Elle supposait qu’un être supérieur appelé Démogorgon ou Génie de la terre avait tiré les él
s ou Uranus, ou le Ciel, et le marièrent à sa sœur Titée ou la Terre, appelée aussi Gê, Géa, Géris et Apia. Cette alliance ne t
Titans. Un jour donc qu’Uranus allait la rendre mère de nouveau, elle appelle Chrone, autrement dit Saturne, lui met dans les m
n de Chrone ou Saturne avec Rhîa ou Rhéa, on vit naître trois filles, appelées Hestia ou Vesta, Damater ou Cérès, Héra ou Junon 
île de Crète, donnant pour père à Uranus et à la Terre, un roi scythe appelé Acmon, fils lui-même de Manès. Mais ce roi, qui e
Midas, roi de Phrygie, avec Gorgias, et Zagrée ou Bacchus, de Crète, appelé Iacchos à Eleusis, avec Jupiter, dont elle eut en
que épouse d’Uranus, c’est-à-dire la matière brute sortie du Chaos, s’ appelait Gê ou Titée chez les Grecs, Apie chez les Lydiens
se suprême des Crétois, on la considéra comme mère des Dieux, et on l’ appela Rhéa ou Silvia, en lui donnant le surnom synonyme
et Ops chez les Latins. Mais le peuple d’Athènes plus vulgairement l’ appelait encore Damia ou bonne déesse, ou Gynécie, puis Pl
ui donna lieu à un génie hermaphrodite, ou réunissant les deux sexes, appelé Adagoüs ou Agdistis. Les Dieux effrayés à l’aspec
ent tellement l’envie d’une nymphe, fille de Sangare, et vulgairement appelée Sangaride, qu’elle en cueillit un et le mit dans
t de cette légende, on voit autre part qu’Atys est fils d’un phrygien appelé Calaüs, qu’il est né impuissant, que, devenu gran
rler de la fête d’Atys, parlons de suite des fêtes de Cybèle. Elles s’ appelaient Cybélées ou Cybébées, et les prêtres qui les prés
, était donné aux membres de cette corporation, et leur chef suprême, appelé Archi-Galle, était tenu de pratiquer sur lui-même
la Phrygie. Peut-être aussi ils se confondirent avec une autre caste appelée Dactyles, que nous retrouverons plus loin en parl
aux trompeuses prières de sa femme, il but un breuvage fourni par une appelée Métis. C’était un violent vomitif qui lui fit ren
de Cybèle, en différait cependant. Il était desservi par des prêtres appelés Curètes qu’il ne faut pas confondre avec les Cory
lène, fils d’Anchiale et frère du dactyle Titye, et Eleuthère. Rhée, appelée aussi par Orphée Protogone, ou fille du premier h
t victorieux, se met à braire de joie ; aussitôt Vesta se réveille et appelle à son secours tous les autres Dieux qui rient bea
ais laisser éteindre, il s’y trouvait entretenu par de jeunes vierges appelées Vestales, dont une des premières est connue sous
u feu, de l’intérieur, de la terre, et la patrone de la virginité. On appelait Estiées les sacrifices qu’on lui offrait. Le 9 ju
’adoration de quelques peuples anciens. Chrone ou Saturne, également appelé Archigenetle, ou auteur de naissances, Ancyclomèt
suivant les autres, il tomba sur cette langue de terre que les Grecs appelaient Hespérie, et que nous nommons Italie. Alors il fu
l leur père. Ces trois sœurs de Hora, et comme elle filles du Ciel, s’ appelaient primitivement dans la Béotie et dans l’Attique, A
Les noms des Heures n’étaient pas les mêmes en Crète, elles y étaient appelées Dicé, ou la justice ; Irène, ou la paix envisagée
ntôt dans toute la Grèce, la journée fut subdivisée en dix fractions, appelées  : Augê ou Ͱl’aube du jour, Anatolê ou le lever du
Pélasgiques, où elle mit au monde un fils que l’on trouve quelquefois appelé Dolops, et que l’on connaît plus généralement sou
èrent, lassés enfin de ses plaintes continuelles. Ce fils de Saturne, appelé le sage par Plutarque, se retira dès qu’il fut gr
quatorze étoiles ; ou selon d’autres, dans la constellation australe appelée centaure, contenant quarante-huit étoiles ; car e
avec lesquelles il gouverna, lui gagnèrent tous les cœurs, et firent appeler son règne l’âge d’or. Cet âge porte aussi le nom
seurs humains, ses disciples, ses apôtres et leurs successeurs. L’un, appelé Picus, est un volatile aérien destiné à porter au
, dont nous retrouverons plus loin des synonymes dans les personnages appelés Cécrops et Cadmus. Saturne est, par conséquent, d
é et orné d’aventures amusantes. Il reçut beaucoup de surnoms, et fut appelé Ancylômètès, ou à esprit recourbé, Acmonide ou pe
à Ellis, à Drépanne, en Sicile, où l’on se vantait d’avoir sa harpé, appelée aussi faulx ou drépanon. On le représentait sous
 ; et enfin, on y ajouta encore plus tard deux jours complémentaires, appelés sigillaria, à cause de petites statues que l’on s
nt le premier mars sous le nom de Matronales. Les prêtres de Saturne, appelés Basiles, lui sacrifiaient la tête découverte, pou
ussi en Grèce, et faisant allégorie aux enfants qu’il avait avalés, s’ appelaient Abadir, Abdir ou Bœtyles. Jupiter. — Maintenant
re de l’empire du monde. Ce Jupiter, ainsi connu chez les Romains, et appelé Zévs chez les Grecs, et Dén ou Dan chez les Créto
pouvoir en parcourant la plupart de ses noms et surnoms. Ainsi, on l’ appelait Zevs ou Jupiter, Abresse ou d’Abretam, en Nysie ;
urs de ses surnoms remontent à des causes fort naturelles. Ainsi on l’ appelait Jupiter Olympien, Idéen, Cénéen, Capitolin, Cassi
cles historiques n’ont laissé de connus comme rois de Crète, que ceux appelés Astérius, Minos 1er, Lycaste, Minos II et Androgé
inisation ; et de là vint Jupiter, qu’en style burlesque les premiers appelaient aussi Jupin. Si maintenant nous l’admettons comm
-à-dire la Grèce, les îles, les environs et toute la partie orientale appelée Arménie, d’où venaient ses ancêtres. Alors il se
r son enfant, alla faire un voyage en Crète, où, cachée dans un autre appelé Dictée, elle accoucha de Jupiter qu’elle laissa s
. Etait-ce une femme lui faisant sucer le lait d’une chèvre favorite, appelée Ega, qu’elle avait sauvée de la main des Titans,
itan Prométhée, les trois hécatonchires ou centimanes Cottus, Briarée appelé aussi Egéon, et Gigès, les trois cyclopes primiti
s produisaient, elles recevaient des Grecs divers surnoms : aussi les appelait -on claires, fumeuses, sèches, dans les livres ful
nt faisait beaucoup de mal, ou par l’avis du Conseil des douze Dieux, appelés à cause de cela fulminateurs ; c’était pour punir
garde d’un dragon. Atlas épousa Pleione ou Ethra ; il en eut un fils appelé Byas, et douze filles, savoir : Maia, Electre, Ta
is ou saison propre à la navigation qu’elles annoncent. Elles étaient appelées aussi Atlantides du nom de leur père, et Vergilie
ir : Eglée, Erythie et Aréthuse, auxquelles on ajoute une autre fille appelée Vesta ; quelquefois on les nomme aussi Hypéréthus
e céleste. Astré, uni à Eos ou Aurore, ou à Héribée, en eut une fille appelée également Astrée, attribuée aussi à son mariage a
ne autre guerre, de compagnie avec des individus à force prodigieuse, appelés géants. En ne le considérant ici qu’en sa qualité
e la Concorde, en l’honneur de laquelle on célébrait à Rome les fêtes appelées Charitès, durant lesquelles on s’envoyait des pré
elon d’autres, elle périt beaucoup plus tard sous les coups d’un dieu appelé Bacchus, courroucé de lui voir ravager les vignob
mploté contre lui, allaient le charger de chaînes, lorsqu’une nymphe, appelée Thétis, voulant le secourir, plonge, non pas vers
ans le ciel, au-dessus d’une montagne fort élevée de la Thessalie, on appela en conséquence le séjour des dieux Olympe ou Ciel
qui n’avaient pas le droit de prendre part aux délibérations ; ils s’ appelaient  : Pluton, Bacchus, Cupidon ou l’Amour, Saturne, l
uze mois de l’année, et à Rome on célébrait en leur honneur des fêtes appelées Consenties. Puis vinrent les huit grands Dieux a
appelées Consenties. Puis vinrent les huit grands Dieux auxiliaires appelés Patrices ou Dieux choisis, et nommés Uranus, Satu
t Chrone, délivré par son fils, les géans, dans cette seconde guerre, appelée la Gigantomachie, attaquèrent Jupiter, qui ne dut
et Télégone. A l’aspect du véritable danger qui le menaçait, Jupiter appelle à son secours tous les Dieux et toutes les Déesse
le pétrifie ainsi qu’Echion, en leur montrant une tête hideuse, qu’on appelait tête de Méduse ; puis elle enlève Alcyonée au-del
ommander un parti redoutable contre une troupe de valeureux guerriers appelés les Argonautes ; Périphète et Cercyon, succomber
ils d’Anax ; d’Alope, fille de Cercyon, et de cinq filles d’Alcyonée, appelées  : Alcipe, Anthé, Astérie, Drimo et Méthone. Nous
d’un monstre, fils de la Terre, auquel on attribue sa naissance. Il s’ appelait Égiéis, lançait le feu par la bouche, et ravageai
tre au jour dans la Cilicie, et de s’établir dans une caverne immense appelée Typhonium. C'était une réunion des formes de l’ho
ché, au fond de son antre, et le confie à la garde d’un autre monstre appelé Delphyne, à tête de femme et à corps de dragon. A
és, l’enfermèrent dans un antre de la Cilicie, autrement anciennement appelée Syrie : quelques auteurs pourtant placent sa pris
ui de Colchos, le vautour de Prométhée, les vents orageux et funestes appelés Notus et Borée, et même Zéphyre. Cependant nous a
, périrent malheureusement à la chasse. On donne aux Aloïdes une sœur appelée Pancratin, qui fut enlevée par Butès, fils de Bor
règne. Seul, d’entre les hommes, il échappa, dans une barque ou arche appelée Larnasse, avec Pyrrha, son épouse. Après neuf jou
adie, passant, suivant les uns, pour fils de Pélasgue et d’une nymphe appelée Cyllène, ou d’une Océanide portant le nom de Méli
de Méra plusieurs enfans, au nombre desquels il compta cinquante fils appelés Ancior, Aliphère, Acacus, tuteur de Mercure ou d’
e loup, ayant servi à désigner diverses constellations, le vulgaire a appelé Lycaon la constellation du loup ; mais les astron
us tard sa roue s’arrêta aux accords harmonieux d’un musicien célèbre appelé Orphée, serviteur d’Apollon et que nous verrons d
cherche le fond de cette fable, on est porté à supposer qu’un prince appelé Jupiter ayant accordé l’hospitalité à un roi des
ns criminelles de son hôte, envoya à la place de sa femme une esclave appelée Néphélée ou la nuée. Mais par la suite Ixion s’ét
et son fils Pélops fut obligé de se réfugier en Elide qui depuis fut appelée Péloponèse. Habituellement on considère le suppli
me de Corinthe après le départ de cette ville d’une grande magicienne appelée Médée, vers l’an 1326 av. J.-C. Cependant on croi
onies étaient des fêtes athéniennes, dans lesquelles un sacrificateur appelé Buphone immolait un grand nombre de bœufs en l’ho
s Romains. Elle avait des ailes à Rome, mais au contraire les Grecs l’ appelaient Aptère, et la figuraient sans ailes, croyant ains
s malfaisantes, on en voyait une autre non moins terrible, elle était appelée Até chez les Grecs, et la Discorde ou l’Injure ch
e il eut pour femme sa propre sœur Héra ou Junon. Il en eut une fille appelée Hébée, et un seul fils déjà connu sous le nom de
le reçut dans ses translations un grand nombre de surnoms. Ainsi on l’ appelait Junon, Acrœa ou de la citadelle de Corinthe, Adul
ère : il fallait un homme, un devin pour prononcer : ils convinrent d’ appeler Tirésias, qui vint, et se rangea du côté de Jupit
res : c’est la constellation boréale composée de soixante étoiles, et appelée aussi le Trône ou la Chaise, parce que les poètes
el, donné par dérision, pour trône, une simple chaise. Les Proetides, appelées Lysippe, Iphinoé, ou Iphione, ou Hippodoé et Iphi
’Argos Prœtus, frère d’Acrisius, époux de Sténobée, et père d’un fils appelé Mégapenthe. On dit qu’ayant méprisé le culte de B
ur affliction, pour ainsi dire perpétuelle, venait de ce qu’un berger appelé Pâris, fils de Priam, roi de Troie, n’avait pas v
us rien conservé de divin. On sait que cette planète de second ordre, appelée souvent aussi Hercule, fut découverte en 1804 par
culture et de ménage. On dit qu’une jeune fille de Piras ou Piranthe, appelée Callithéa ou vulgairement Io-Callithye, fut la pr
autres, parmi lesquelles on trouve le nom de Calybé. Ces prêtresses, appelées encore Hérésides à Argos, étaient au nombre de de
rofitèrent de l’offre des esclaves qui proposèrent par l’une d’elles, appelée Philotis, de se rendre au camp ennemi en place de
les jeunes gens ne portaient que des couronnes de lierrre. Vulcain, appelé aussi Opas, Aphatas ou Aphthas en Egypte, Hephest
ant neuf jours dans l’espace, tomba dans l’île de Lemnos, près celles appelées Lipari, Eoliennes, Ephestiades ou Vulcaniennes. S
un réseau imperceptible, y prend les deux amans, et fait la sottise d’ appeler tous les dieux pour les rendre témoins des infidé
cain était particulièrement honoré en Grèce et à Memphis, ses fêtes s’ appelaient Céramicies à Athènes, ou Héphestiennes ; pendant
Énée. Les fêtes de ces dieux particuliers se célébraient la nuit et s’ appelaient Cabiries ; l’initié, ceint d’une écharpe pourpre,
ore assez de lait pour nourrir son fils, qui fut d’après ce phénomène appelé Aphénus ; Nérienne était particulièrement femme d
s, onze pareils, et il en donna la garde à ces prêtres, dont le chef, appelé Prœsul, marchait toujours à leur tête. Ils faisai
robe, serrée par une ceinture de cuivre, d’un baudrier et d’un bonnet appelé Galerus ; ils étaient armés d’une épée ou d’une p
rêtres avaient les Saliennes, jeunes filles portant l’habit de guerre appelé paludamentum. Plus tard, Tullus Hostilius doubla
de bataille, il est porté sur un char traîné par des chevaux fougueux appelés la Fuite et la Terreur, enfans de Mars et de Vénu
néralement Mars est porté sur un char traîné par ses chevaux fougueux appelés Deimos ou la Terreur et Fuga ou la Fuite, et cond
e Tullus Hostilius, édifia un temple desservi par des prêtres Saliens appelés Palloriens et Pavoriens, qui leur sacrifiaient un
les ambassadeurs, et qui était desservi par une multitude de prêtres, appelés Bellonaires, dont le chef ou pontife appartenait
rèce par Oreste et Iphigénie sa sœur. Maintenant revenons aux nymphes appelées Bérésides, qui marchaient à la suite de Junon ; e
tions ; honneur qu’elle partage du reste avec divers dieux et déesses appelés Gamenœ Deœ ou Gamèles, et non Camiles. Avant de
on, mais une Junon-Ilithye ou accoucheuse, et, comme une autre déesse appelée Diane ou Lune, possède aussi cette propriété de p
et on lui donnait pour fils Cupidon. Catule, poète de l’antiquité, l’ appelait Hera-Phosphoros, ou Junon lumineuse ; aussi dériv
s plus tard. Si à Rome Ilithye était considérée comme une accoucheuse appelée Lucine, elle était en Crète considérée sous cette
té par son frère Jupiter, amant de cette pauvre Latone, fixe Astérie, appelée depuis l’île de Délos, errante également sur les
en faisant connaître le siège de Troie ; d’autres écrivains veulent l’ appeler Amycle ou Mélibée, et font périr avec les autres
upiter et sœur d’Apolon, portant diveres noms et surmons : ainsi on l’ appelait AErera en Argolile, Apogéa du temple qu’elle avai
la considérait dans le ciel éclairant le monde pendant la nuit, on l’ appelait la Lune, ou Phébée ou Séléné ; puis on lui donnai
chirent, impitoyablement. Ces chiens fidèles, et cruels malgré eux, s’ appelaient  : Aello, Agriode, Alcé, Amarinthe, Asbole, Canace
per l’obscurité de la nuit. On donne encore à Endymion plusieurs fils appelés Poson, Péon, Epée et Etolus, père de Pleuron, et
ionte. Cependant les légendes anciennes assurent qu’un fils d’Apollon appelé Amphithémis, la rendit mère de Caphaurus et de Na
ou de Neptune et d’Euryale, fille de Minos, ou d’un homme fort pauvre appelé Œnopeus, ou Œnopium, ou Hyrié, chez lequel Jupite
même le seul bœuf qu’il possédait, aussitôt qu’il eut entendu Neptune appeler par mégarde Jupiter par son nom, lui laissèrent l
rès sa mort placé par sa maîtresse dans la constellation du scorpion, appelée aussi Orion. On donnait encore Clonie, mère de Ny
phes ou Océanies, filles de l’Océan, et de vingt autres jeunes filles appelées Asies qui avaient soin de son équipage de chasse.
ment divinisée dans la personne de Diane, sœur d’Apollon ; alors on l’ appela Diane céleste ou Phébée, ou plus communément simp
en son honneur, tous les mois le soir de la nouvelle lune, des fêtes appelées Hécatésies, pendant lesquelles les gens riches do
ant ces fêtes on sacrifiait un bouc ou une chèvre ; de jeunes filles, appelées Arctoi, âgées de cinq à dix ans, et vêtues en rob
hion dans la pleine lune et à la lueur des torches, de petits gâteaux appelés Aphiphantes ou resplandissans de lumière. Les Nél
arts, portait les différens noms et surnoms qui suivent : ainsi on l’ appelait Abœus d’Aba en Phocide, Acersecomes ou à longue c
d’Hercule. Le troisième soleil était fils d’un Vulcain des Egyptiens appelé par eux Opas, Aphtas ou Phtas. Ils considéraient
nes ; le second, né en Crète, avait Corybas pour père ; le troisième, appelé Nomios, venait d’Arcadie ; le quatrième était le
anément interrompue par un cruel événement. Ce fut à propos d’un fils appelé Esculape qu’il eut de la nymphe Coronie ou de tou
mer, quand Hercule descendit à terre avec une foule de ses compagnons appelés Argonautes. Dès qu’il eut appris l’infortune de c
oque qu’il présida au concert des Muses, tantôt sur le mont Parnasse, appelé anciennement Parnassus et actuellement Japera, mo
aient dans leur ensemble divers noms ; ainsi, au lieu de toujours les appeler Muses, on les nommait indifféremment Aganipes et
u’il fallait ajouter à ces trois Muses primitives une quatrième qu’il appelait Thelxiope et qui pourrait bien en réalité n’avoir
s dans la constellation zodiacale toujours placée proche l’horizon et appelée Croton. Jupiter même, pour mieux le récompenser,
, Rhésus qui fut secourir Troie lors de sa destruction, et de Mars un appelé Biston, habitant également de la Thrace, mais don
fans d’Eole, dont il faisait partie. Ce protégé de Minerve, également appelé Hipponoos, parce qu’on le considérait comme le pr
res de son gendre, il ordonna à son hôte d’aller combattre un monstre appelé la Chimère, né d’un autre monstre, que nous avons
odamie dont Jupiter eut Sarpédon. Il eut encore avec Astérie un fils, appelé Hydissus. Malheureusement Bellérophon, enivré de
mmencement et à la fin de ces repas qu’on les invoquait. Leurs fêtes, appelées Musées, avaient lieu en Grèce avec plus ou moins
t d’Harpa, fut changée par ce Dieu pour un fait inconnu, en un oiseau appelé Aiphius en Grèce ; le pasteur Cragalée d’Ambracie
ore Epyte, fils du roi arcadien Elate, tué à la chasse par un serpent appelé Seps, d’où vint à la contrée où il mourut le nom
ations répondant aux divers mois. Ces constellations, que les anciens appelaient les douze maisons du soleil ; portent les noms su
ordre de Diane, devait avoir piqué Orion au talon ; c’était lui qu’on appelait formidolosus, parce qu’il était regardé comme fun
ne laisse aucun doute sur la puissance qu’on lui prêtait. Ses fêtes, appelées Mithriaques, se célébraient à Rome comme en Perse
dont le souverain pontife avait sous lui des ministres des deux sexes appelés patres et matres sacrorum, passa rapidement de Ro
et de poésie, lors de chaque pleine lune. Les ministres de ces fêtes appelés Carnéates ne pouvaient se marier pendant les quat
éates ne pouvaient se marier pendant les quatre années qu’ils étaient appelés à les desservir. Les Carrousels étaient des cours
ou Galaxius, lui offrir des rameaux de laurier. Le chef de la troupe, appelé Daphnéphore était un jeune homme qui portait une
domicile, lorsqu’ils furent de Mélite s’établir dans un bourg voisin appelé Diomée. Les Mitylénies se célébraient en l’honneu
iens de la terre dont on leur offrait les prémices cuits dans un vase appelé Thargélos. Elles se ressentaient de la barbarie d
célébraient en Grèce en l’honneur d’Apollon le divin, parce que l’on appelait Thries, du nom de ses nourrices, les sorts ou bul
mples ne portaient pas partout les mêmes noms. Ainsi, à Didyme, ils s’ appelaient Branchides ; chez les Romains, Phœbades ; dans qu
ant de présages à leur superstition : s’étaient les paroles fortuites appelées Phêmen et Klédona par les Grecs, ou Omen pour Ori
. Le dieu faisait entendre ses volontés par la bouche d’une prêtresse appelée Pythie, Pythonisse ou Phœbas, dont la plus célèbr
enait également à Apollon. Il était desservi par des Branchides ainsi appelés parce que Branchus, le premier de ces prêtres, av
ir une source. Alors on lui dressa dans cet endroit un autel que l’on appela Ammé, mot signifiant sable. Plus tard les Lybiens
ein, car les Carnées célébrées surtout à Lacédémone par des ministres appelés Carnéates obligés de servir dans ces fêtes durant
lors de son retour dans sa patrie. Mops, fils d’Apollon et de Manto, appelée aussi Artémise ou Daphné, femme de Rhacios et fil
t de Lathoé, passe aussi pour père du devin Calchas et de deux filles appelées Théonoé et Leucippe. La première de ses filles ay
t poètes de la Grèce antique, ce fut assurément Orphée, que l’on peut appeler en outre le civilisateur sacerdotal de la Thrace.
upiter. On rattache toujours à Apollon, la blonde et brillante Aurore appelée aussi Eoos ou l’orientale chez les Grecs, Angelei
our enfans les Vents et les Zéphirs, ainsi que les Astres et Lucifer, appelé aussi de même que sa mère Eoos. Aurore étant deve
i fit deux présens qui leur furent bien funestes. L'un était un chien appelé Lœlaps que Minos, Aurore ou Diane lui avait donné
s bois où, à force de pleurer, elle fut changée en une fontaine qu’on appelait les Pleurs de Biblis. Une autre version la fait s
e à cette dernière, la naissance de Milet dont la mère était en outre appelée Acacallis qui, de ses amours avec Apollon, eut en
s désirs vers Climène, la séduisit, et la rendit mère de trois filles appelées Héliades : Phaétuse, Lampétie, Lampétuse ou Phébé
Egla, Etérie, Hélie, Myrope et Phœbé. Manto, la prophétesse grecque, appelée aussi Artémise ou Daphné, ne doit pourtant pas êt
portait le même nom. Naupidame eut avec le soleil ou Phorbas, un fils appelé Augias. Othréis devint mère avec Apollon de Phagr
is devint mère avec Apollon de Phagrus, puis cette nymphe eut un fils appelé Milet avec Jupiter. Ocyrhoé l’océanide fut maître
mphe qui accepta les offres amoureuses du même Dieu et en eut un fils appelé Zeuxippe ; Thalie ou Phytia, fille de Niobé, fut
un des deux grands prêtres d’Apollon ; cependant on lui donne un fils appelé Andros et trois filles OEno ou le vin, Spermo ou
Argonautes, nous ie retrouverons en parlant d’Hercule, il eut un fils appelé Philée ; Branchus était un devin, fils de Canacée
et d’Apollon, donna son nom à la ville de Chéronée, en Béotie, qui s’ appelait auparavant Arnée ; Chias, né d’Anathrippe, donna
roie, en parlant d’Ulysse, avec lequel elle eut Cassiphone et un fils appelé Télégone et même, dit-on, Agrius ou Latinius ; Cl
ma sous ce nom la constellation boréale de 85 étoiles que les anciens appelaient aussi la Croix ; Cydon, le premier roi de Cydonie
ns la Grèce antique, on l’adorait sous différens noms, ainsi il était appelé  : Apollinea Prolès ou enfant d’Apollon, Aulonias
Telphus, le font allaiter par une chèvre et recueillir par un berger appelé Aresthana, ou Aristhène, ou Autolas, fils d’Arcas
res merveilleuses qu’il fit en accompagnant Hercule et un autre héros appelé Jason dans une expédition en Colchide. Il porta m
les dents et inventa les purgatifs, ou l’Esmoun des Phéniciens, ou un appelé Tosorthos des Égyptiens, ne sont que des médecins
, dit-on, marié à une femme dont le nom est très-incertain ; car on l’ appelle ou Epione, ou Hésione, ou Xanthione, ou Coronis,
ne, ou Xanthione, ou Coronis, ou Arsinoé de laquelle il eut une fille appelée Eglée, ou l’éclatante, et deux fils Podalyre et M
, buvant dans une coupe qu’elle tient de l’autre main. Hygie à Rome s’ appelait Salus, et on lui donnait le surnom d’Aréthuse de
es étaient célébrées en l’honneur du Dieu de la médecine ; les unes s’ appelaient Epidauries à Athènes et Esculapies à Rome ; les a
égorie astronomique, et ils avancent qu’Esculape est la constellation appelée Ophieus par les poètes, Anguitenens par les Latin
sacrifiait un jeune agneau. Quant aux fêtes d’Esculape, elles étaient appelées Epidauries. Mais revenons aux autres enfans d’Ap
divinité : ils le représentaient dans un char avec son père, et l’on appelait en Sicile Galéotès les devins qui se prétendaient
autres enfans, mais tous allégoriques. La troisième femme de Jupiter appelée Eurynome est une océanide dont l’histoire est for
rynome avait eu de ce dernier les trois Graces ou Charitès des Grecs, appelées  : Aglaé ou Eglé, Euphrosyne et Thalie Elles portè
fférens noms, suivant les pays où elle avait été importée. Ainsi on l’ appelait Cérès Achœa, ou Achtheia, ou la gémissante à caus
upiter et de Neptune : le premier épris de sa beauté en eut une fille appelée d’abord Perephata et ensuite Proserpine ; Neptune
se. Un autre jour, elle se repose dans un désert de l’Attique, depuis appelé Eleusis, où, pour ne pas être reconnue, elle pren
idice, Clisidice, Demo et Callithoé, d’autres disent trois seulement, appelées Diogénée, Pammérope et Sésara ; surprise de la do
se mit à voyager seul ou avec Cérès : il parcourut l’une des contrées appelées Scythie. Arrivé dans la capitale de cet état, son
es maisons et même des villes. Cet Eumèle avait, ajoute-t-on, un fils appelé Anthée, qui devint jaloux de Triptolème. Un jour,
oserpine ; alors Cérès court près d’Aréthuse ou d’un berger de Paros, appelé Cabarne, bientôt elle apprend que le ravisseur de
point quitté la jeune déesse depuis son arrivée, aussi dès qu’il est appelé à la barre céleste, il s’y rend et dépose qu’il a
uatre, on le regarde généralement comme ayant institué ces cérémonies appelées ensuite Eleusinies, seulement on peut croire qu’i
ces supérieures d’Érechthée, le deuxième du nom probablement, ceux-ci appelèrent les Thraces à leur secours ; Eumolpe accourut à l
usieurs documens épars, et il arriva à savoir que les fêtes de Cérès, appelées Eleusinies, dans lesquelles cette déesse était ho
pas le désobliger par un refus imagina de nouvelles cérémonies qu’il appela petits mystères et y admit le héros qui crut alor
s ou grandes Eleusinies étaient des fêtes qui duraient neuf jours. On appelait le premier Agyrme ou de rassemblement. C'était un
esse des gâteaux de millet et d’orge cueillis dans un champ d’Eleusis appelé Rharion, puis on rompait le jeûne en mangeant que
ille sacrée de la déesse. Ils étaient suivis par une troupe de femmes appelées Cistophores à cause des corbeilles remplies de gâ
e belle et parée des habits les plus resplendissans. Cette cérémonie, appelée Phôtagogie ou déduction lumineuse, ressemblait be
de Cérès : la plus après les Eleusimes, était celle des Thesmophories appelée aussi Télitée ou mystères, quoiqu’elle s’en disti
initiés et des prêtres. Les Thesmophories se célébraient dans un lieu appelé Thesmophorien, sur le territoire d’Athènes, la nu
puces. Venaient ensuite les jours des processions. Ceux de ces jours appelés Diogme et Apodiogme sont restés mal fixés, et les
quatrième jour ; mais le cinquième on faisait un sacrifice expiatoire appelé la Zémie ; puis les femmes faisaient la translati
au mois de Damatrion ou juillet, des espèces de Tesmophories lugubres appelées Mégalasties, en l’honneur de Cérès Cabirique, dan
e avec les Asinéens, offraient à Cérès Chtonia des sacrifices annuels appelés Chthonies, pendant lesquels les prêtres, les magi
te fête on jetait des torches ardentes au fond d’une fosse, et Cérès, appelée dans cette contrée Prosymna, recevait les adorati
férences près. En Arcadie, à Petrona, les mystères nocturnes de Cérès appelés aussi Phenéatiques ou de Phénéos, étaient célébré
es statues de Cérès et de sa fille, et se terminaient par des courses appelées Oscophories, que faisaient des jeunes gens tenant
l’honoraient beaucoup et lui immolaient, lors de fêtes particulières appelées Robigalies, une brebis et un chien avec de l’ence
avec de l’encens et du feu ; on en faisait aussi quelquefois un dieu appelé Robigus ; Ruana, déesse maintenant les grains de
Rutine, déesse des exploitations agricoles : on avait un pareil dieu appelé Rusor ou Rutor ; Sarritor, dieu des sarclages ; S
nous citerons la Flore des Romains, dont l’analogue chez les Grecs s’ appelait Chloris, mais n’y a jamais joui d’une aussi grand
lement dans cette ville à célébrer annuellement le 28 avril des fêtes appelées Florales, qui duraient six jours, et dont le Gran
orales, qui duraient six jours, et dont le Grand-Prêtre ou Flamine, s’ appelait Floralis. Elles se faisaient remarquer par les fa
es fleurs. Quelques écrivains placent après Flore une divinité qu’ils appellent Féronie, en lui donnant pour attribut de présider
tard elle fut métamorphosée en simple déité champêtre dont les fêtes appelées Palilies ou Parilies se célébraient le 21 avril o
nt supprimées que l’an 692 de J.-C. par le concile de Constantinople, appelé Pseudosexte, qui supprima les feux des Néoménies.
us avons dit que l’on donnait pour femme à Jupiter une fille de Céres appelée Proserpine, déesse cosmopolite adorée partout, et
te épouse de Jupiter portant le nom générique de Nature ou de Physis, appelée aussi Primigénie, chez les Orphiques, nous n’en p
on lui prêtait, elle portait une foule de noms et surnoms, ainsi on l’ appelait  : Vénus ou Aphrodite, Acidalis et Acibadie, ou de
nt de larmes à laisser échapper ; à la fin, elle prend sa résolution, appelle ses colombes, les fidèles conductrices de son cha
huit jours, dans quelques contrées. La première partie de ces fêtes s’ appelait l’Aphanisme ou disparition, et n’était consacrée
t les voix des assistans faisaient retentir l’air des hymnes de deuil appelées adonidies. A la fin du jour on ensevelissait le d
onie de l’Aphanisme, on voyait succéder aux larmes les réjouissances, appelées Hévrères ou découvertes. Alors on célébrait avec
l’origine de cette fable et reconnaître dans Vénus la déesse Syrienne appelée Astarté, espèce de Cybèle ou de Vénus Uranie, il
uels, après la mort de sa femme, il institua en son honneur des fêtes appelées Orgies, pareilles à celles que nous trouverons en
inèrent les infidélités bien connues de la volage déesse, car, nous n’ appellerons pas ainsi l’influence que sa beauté ou son pouvoi
femmes qui manquaient envers elle de dévotion ; les femmes de Lemnos, appelées Lemniades ou Lemniennes, en furent encore une pre
mme elle allait perdre, elle se fit aider par une nymphe de sa suite, appelée Peristère ou Colombe ; alors elle gagna la gageur
nlevée pour la placer parmi les astres, et en former la constellation appelée Chevelure de Bérénice, qui se voit près de la que
trop sortir de sa maison. Virginalie ou Virginensis, ou Virginicuris, appelée par les Grecs Diane Lysizone, présidait au dénoue
nçons par les compagnes chéries de la déesse, par les Grâces. Elles s’ appelaient Charitès chez les Grecs, et quelquefois comme les
es uns les faisaient filles de Jupiter et d’Euryméduse ou d’Evanthès, appelée aussi Eurynome, ou même de Junon ou du soleil et
avec l’amour, ce fils bien-aimé de Vénus. Eros ou l’ Amour, que l’on appelait aussi Cupidon ou Iméros et Protogone ou le premie
er ; vos sœurs comme vous cherchent à me connaître. Demain elles vous appelleront , si vous leur répondez, vous êtes perdue. A ces m
si brillant. En arrivant tour-à-tour sur le rocher, l’une et l’autre appellent Zéphyre qui jusqu’alors avait été fidèle à leurs
nta l’ambrosie. Peu de temps après, Psyché devint mère de la Volupté, appelée aussi Volupie, nouvelle Vénus, qui ne chercha bie
e tient une baguette, tandis que de l’autre elle porte une des fleurs appelées Narcisses et un paon qui contemple sa queue. L'am
es qu’il recevait seul, ou qu’il partageait avec sa mère. Ces fêtes s’ appelaient les Eleuthéries chez les Samiens, qui les célébra
s l’invoquèrent comme un dieu et célébrèrent en son honneur des fêtes appelées Hyménées. Plus tard à Rome, on adora de la même m
jeux et plaisirs obscènes ; on le disait fils d’une nymphe ou naïade appelée Chioné et de Bacchus ou de Vénus, et de Jupiter,
Lampsaque, capitale de la Mysie. On lui offrait dans ses fêtes, qu’on appelait Ornées ou Priapées, des grains, du raisin, du mie
du cerveau de Jupiter. Cyrno eut de ses amours avec Jupiter un fils appelé Cyrnus, qui pourrait fort bien être le même perso
son amant fut se cacher dans l’ile d’Oenone, ou actuellement Lépante, appelée depuis Egine ; elle y mit au monde Eaque. A tort
ou Thassus ; quelques uns y ajoutent Phénix, Atymne et Phinée. Elle s’ appela Europe, à cause de ses grands yeux, ou peut-être
re fonda leur première ville. Quelques personnes prétendent qu’il est appelé fils d’Inachus, parce qu’il habitait le bord d’un
re que ce fut vers l’année 1805 av. J. C. qu’il réunit ces peuples et appela Phoronium son premier établissement qui prit ensu
obé sa fille eut en outre de ses amours avec Jupiter un fils que l’on appela également Apis, mais que rien ne rendit célèbre.
lement à Jupiter. Pour les deux autres y compris une troisième fille, appelée Timandra, on les croit enfans légitimes de Tindar
vec l’autre, et l’une des deux avait donné son nom à la ville d’Epire appelée Dodone, célèbre par son oracle, sa forêt et sa fo
r allusion aux richesses que renferme la terre. Plutus avait un frère appelé Philomèle, qui, négligé par son aîné dont il ne r
surnoms, suivant les peuples chez lesquels on l’adorait : ainsi on l’ appelait Achœa, ou du temple Daurien, dont la garde était
ide et chez les Mirrhinusiens ; Tritogenia ou née la troisième, ainsi appelée , on ne sait trop pourquoi ; soit, disait-on, parc
es Grecs, et dont ils ornèrent la Neith ou Minerve égyptienne, qu’ils appelèrent Athâna, parce qu’elle avait suivant eux, présidé
des deux sexes, fut d’abord confié à trois nourrices, filles d’Ogygès appelées Aulis, Alalcomenia et Teleidia ou dans leur ensem
e fit sortir de terre d’un coup de trident un superbe cheval que l’on appela Scyphios, et Minerve simplement un olivier. Pourt
connaissons pour son fils supposé, institua en son honneur les fêtes appelées Athénées, auxquelles, plus tard, Thésée, roi d’At
aux combats. Les Troyens y gardaient précieusement sa statue, qu’ils appelaient le Palladium, et auquel ils croyaient que le sort
on ; ou bien enfin, c’est la dépouille d’un monstre terrible que nous appellerons dragon. Né de la terre sur le sol phrygien, il vo
simple navigation ; ou bien peut-être, en admettant que la Cécropie s’ appelait autrefois Posidonie, décida-t-il tout naturelleme
qui donnaient à Cécrops la terre pour mère, l’avaient en conséquence appelé Gègénès. On le surnommait aussi Bifrons ou Biform
x de Dionysios, de Bacchipœan, de Theænus et d’Iocchos. Les Romains l’ appelaient beaucoup plus généralement Bacchus, Eleutherius o
des cornes, était fils de Jupiter et de Proserpine, et le troisième, appelé le Bacchus Thébain, avait encore Jupiter pour pèr
, et il eut, en sa qualité de Liber-pater, une épouse que les Romains appelaient Libera. Quant à Macris, fille d’Aristée, elle fut
à Limna en Attique, et étaient dirigées par quatorze vieilles femmes appelées Vénérables ; les Arcadiques étaient en Arcadie, d
estérion ; alors, les maîtres servaient les esclaves. Dans le premier appelé Pithœgia, on mettait les tonneaux en perce, penda
appelé Pithœgia, on mettait les tonneaux en perce, pendant le second appelé Chœ, c’était à qui boirait le plus, et le vainque
ecevait une couronne de lierre et une coupe ; puis au troisième jour, appelé Chytri, ou jour des marmites, on offrait de ces v
urent le Tyrrhenien Acetès et Coresus de Calydon. Ces prêtres étaient appelés Bacchans ou Orgeanes ou Orgiophantes, comme sacri
es présidaient aux mystères de Bacchus et à ses fêtes. Ces prêtresses appelées aussi Bacchantes, portaient encore les noms et su
ers, était après Silène le plus célèbre des suivans de Bacchus ; on l’ appelait encore Actius, ou présidant aux rivages ; Agresti
et Rémus avaient été, croyait-on, nourri par une louve dans un champ appelé Lupercal, situé au pied du mont Aventin, près du
avait à Rome des autels et des prêtres pour les deservir. Ces prêtres appelés Luperces ou Luperques, étaient divisés en deux co
destruction des loups. Après ce Dieu, nous allons parler des Satyres, appelés aussi Capripèdes, ressemblant en tout point à Sil
es. Ce Faunus était fils de Picus et frère et époux de Fauna, d’abord appelée Marica et puis Bonne-Déesse ; l’on croyait qu’il
us ou Fatuelius et Fatua. On avait institué en leur honneur des fêtes appelées Faunalies qui avaient lieu le 9 novembre ou 5 déc
ux, excepté le Dieu terme qui resta toujours à la même place, aussi l’ appelait -on Placidus ou l’immobile, et Quadratus ou le car
, aux danses nocturnes, à la toilette et à la joie ; les Spartiates l’ appelaient Kéraon. Pour le fêter, les jeunes garçons et les
nce douteuse, vinrent les noms et surnoms qu’on leur donnait : on les appelait donc : Dioscures ou fils de Jupiter, quand on les
our signe de beau temps ; mais quand il n’en paraissait qu’une, ils l’ appelaient alors Hélène, et la croyaient le présage infailli
it des enfers, il se mettait à parcourir la terre sur un petit cheval appelé Cyllarus. Plusieurs années après, Jupiter voulant
s agneaux blancs, et l’on célébrait en leur honneur de joyeuses fêtes appelées Anacées, Anactés et Dioscuries. On les représenta
hus, fils de Jupiter, donna son nom à la ville d’Ephyre, qui depuis s’ appela Corinthe. Crès, fils de Jupiter et de la nymphe
agés par une peste effroyable, il obtint de son père que les Fourmis, appelées en grec Myrmex, fussent changées en hommes, Ce qu
la les états d’Egine, avec quelques émigrés Thessaliens, probablement appelés Myrmidons. Egipan, cru fils de Jupiter, et d’Ega
célèbre des Demi-Dieux, portait aussi plusieurs noms et surnoms. On l’ appelait  : Acœus et Alcimus ou le puissant, Adamanus ou l’
t jaillit et se répandit dans l’espace aérien où il forma ce que nous appelons maintenant la voie Lactée, tache blanche que l’on
vèrent ces bestiaux, lors de son passage dans la province des Gaules, appelée Ligurie, et les conduisirent en Etrurie, d’où il
rs de son arrivée aux environs de Naples, un autre brigand redoutable appelé Lacinius, qui ravageait les côtes de la Grande Gr
oncle. On compte trois, sept ou même treize Hespérides ou Atlantides, appelées aussi Pléïades : Aréthuse ou probablement Hypérét
Andronice ou Démonice, fille d’Agénor, avait eu non-seulement un fils appelé Eurypyle, tué par Méléagre, mais encore ces cinqu
e de Pleuron et de Xantippe mère d’Althaca et Léda. Ces Thespiades s’ appelaient  : Aglaïa, mère d’Antias et d’Onesippus ; Althaea 
s cornes et le force à courir cacher sa honte au fond du fleuve Thoas appelé ensuite Acheloüs. Quant à la corne, elle fut remp
Aaathyrsus, fondateur des peuples efféminés de la Sarmatie Européenne appelés Agathyrses. Agélaüs d’Omphale ; Alcée de Malie ;
té d’Hercule, Hyllus épousa Iole sa belle mère ; puis celui-ci revint appeler en combat singulier, Atrée, successeur d’Eurysthé
risse, Eole et Hyacinthe ; de ce dernier survinrent les Hyacinthides, appelés selon les uns : Anthéis, Egléis, Euthémis et Lyri
yndare. Cette Gorgophone eut encore avec Périérès, deux autres enfans appelés Apharée et Leucippe. Ce dernier fut père d’Arsino
la fable de ce Dieu, nous trouvons que suivant les Grecs, ce Mercure appelé chez eux, Hermès, était également fils de Jupiter
es enfans, chantait leur destinée ; elle fut la tige des devineresses appelées Carmentes, était honorée par des filles, appelées
ge des devineresses appelées Carmentes, était honorée par des filles, appelées Carmentales, le 11 et 15 janvier, et avait pour p
e, sa beauté séduisit le messager divin, et il en résulta deux enfans appelés Lares. Plus tard, les dames romaines ayant fait d
issance, Heros et Eros ou l’amour, Tychis et Tyché ou la fortune ; on appelait aussi Laterculus, le Dieu particulier du foyer. O
orte, ou dans les vestibules des palais ou dans une chapelle spéciale appelée Laraire chez les grands seigneurs. Les esclaves l
ans l’endroit le plus secret et le plus retiré de la maison, que l’on appelait Pénétralia ; on les consultait dans toutes les af
Pasiphaé finit par mettre au monde, un monstre épouvantable, que l’on appela Minotaure, dont le nom indiquait l’origine monstr
ttre un terme à tant de malheurs, non seulement d’instituer des fêtes appelées Androgéonies, en mémoire de la mort d’Androgée, m
ion ou par simple accident. Dédale avait encore eu d’une Corynthienne appelée Iapygie, un fils nommé Iapix ; il laissa aussi po
e de Béote, qui le rendit père d’un fils nommé Minyas, et d’une fille appelée Élara. Sa mère le fit périr on ne sait pour quel
ses ailes et ses talonnières, et Vulcain son glaive de diamant, qui s’ appelait aussi Harpé ; c’est-à-dire que les Dieux lui insp
de Jupiter ; il est connu sous plusieurs noms et surnoms ; ainsi on l’ appelait  : Alexicacus ou le libérateur, Asphalion et Aspha
il eut de cette dernière, Albion et Bergion ou Birgion, et une fille appelée Bentésémélée et Bentisicyme. Ensuite, il eut pou
tions sur terre que les furies remplissaient dans les enfers ; on les appelait chiens ailés de Jupiter et de Junon. On les repré
donner un trône à son père. Cadmus eut encore, dit-on, un autre fils appelé Illyrus, fondateur de l’Illyrie, mais qui, le plu
a et tomba dans les flots ; alors les Dieux les changèrent en oiseaux appelés Alcyons, que l’on consacrait à Thétis. Les autres
me de Phthiotide, et donna le nom d’Eoliens à ses sujets précédemment appelés Helléniens ; il épousa Enarète, fille d’un Déimaq
des cavales de Dardanus. Ce roi des vents avait des fêtes à Athènes, appelées Boréasmes ou Borésines, dans lesquelles on célébr
Enfin, l’on connaissait encore dans la Grèce d’autres vents du nord, appelés Etésiens, que Jupiter, à la demande d’Alistée, fa
her par Jupiter. Il y avait à Anthédon en Béotie, un endroit que l’on appelait saut de Glaucus, et près de là se trouvait un ora
malheurs de ses fils ; mais son frère maternel Eson, épousa une femme appelée Alcimède ou Amphinome ou Polymède ou Polyphème ou
illante. Alors il fit monter tout son monde sur un seul navire, qu’il appela Argo, d’ou vint à ces guerriers navigateurs, le n
vait Éthra, fille de Pitthée fils de Pélops ; aussi, il était souvent appelé Érechthéide par les poètes, et il fut élevé par s
l dura plus de mille ans ; aussi, les poètes le disaient immortel, et appelaient cette galère d’abord Parale, puis Déliaque. Thésé
lieu tous les ans ; alors, on envoyait d’Athènes à Délos, des députés appelés Déliastes ou Theores, sur le vaisseau Déliaque, o
guerre, il fit prisonnière leur reine Hippolyte, dont il eut un fils appelé Hippolyte. Il fut ensuite, dit-on assez légèremen
oalisés étaient au nombre de quarante, sans compter Méléagre ; on les appelait  : Admète, fils de Phérès ; Adraste ; Alcon, fils
, le Méandre, l’Evenus, l’Indus, l’Inachus, et de trois mille nymphes appelées Océanides. Cependant, le nombre des fleuves ne s
sa rive, et les cinq nymphes submergées formèrent cinq îles, que l’on appelait Échinades, aujourd’hui Curzole. Il épousa Perimèl
mers et donna son nom à un fleuve père de la nymphe Io, fleuve qui s’ appelait d’abord Amphiloque, et qui servit d’arbitre dans
des Dieux, ensuite on vit Argos gouverné par une longue suite de rois appelés Inachides, parmi lesquels on distingue Argus, Cri
son nom souvent était pris pour celui de la mer elle-même. Ses filles appelées Néréides ou Dorides, auxquelles on prêtait le pou
quelquefois on leur sacrifiait une chèvre ou un mouton. Leurs fêtes s’ appelaient Nymphées. On représente les nymphes demi-nues, po
groupes, avec les attributs mythologiques qui leur appartenaient. On appelait donc : Amnisiades, les nymphes des bords du fleuv
liée. Quelquefois on les personnifie dans une seule nymphe, que l’on appelle alors Hamadryade. Elles ressentaient tous les cou
hes qui présidaient aux lacs, aux étangs et aux marais. Lysiades, on appelait ainsi les nymphes des eaux où l’on allait se rafr
enterrer sous le nom de Palémon, qui depuis passa pour un dieu marin appelé par les Romains Portumnus. Ils le peignaient une
lle avait un temple dans lequel on célébrait en son honneur des fêtes appelées Matrales. On lui offrait des gâteaux de farine, d
ait sa tête vers la terre et lui ouvrait le ventre avec un instrument appelé secespita ; le sang coulait dans une fosse prépar
éparée d’avance, et se mêlait au vin des libations. Cette cérémonie s’ appelait Taurobole, elle avait lieu le vingt juin ou, suiv
nt d’autres, au mois de février, jour des fêtes expiatoires de Pluton appelées februales ou fébruaries. A cette époque, le templ
acchos, ou Dyonisios, ainsi que Tritopatrée et Eubulée, trio que l’on appela Anacès ou princes de même que les Dioscures Tynta
ardes et chez les Locriens, tous la révéraient ; chez les Sabins on l’ appelait Féronie, et sa fête était des plus brillantes. El
tributs, était également connue chez les Celtes et les Gaulois, qui l’ appelaient leur mère, et les Arcadiens l’invoquaient pour re
abillait en chasseresse et on la coiffait du boisseau que les Romains appelaient Calathus, pour indiquer qu’elle se servait de ce
rêt qui couvrait le Tenare ou promontoire de la Laconie, actuellement appelé cap Matapan ; d’autres écrivains ont enfin suppos
me de Céphale, la crédule Ariadne, Cénée, qui d’abord était une femme appelée Cenis, que Neptune métamorphosa en homme, après e
et Tydée ; alors on passait dans la sixième région des enfers, région appelée Tartare ou lieu des tourmens : à son entrée se te
e géographe, dans les îles Blanches, d’autres dans les îles Canaries, appelées aussi les îles Fortunées ou Heureuses, Homère et
a mort ; l’Esprit ou ame qui retournait au ciel, et l’ombre ou manes, appelée aussi Umbrum et Simulacrum, qui descendait aux en
du sombre asile où ils étaient déposés ; de là venait l’usage de les appeler en faisant trois fois le tour du tombeau : ils re
n l’honneur de sa victime, des sacrifices expiatoires, fêtes que l’on appela d’abord Rémuries, puis Lémuries, qui duraient du
l’habitude de mettre dans la bouche des défunts, une pièce de monnaie appelée danacé, naule, ou denier de Charon ; mais malheur
avait trois têtes. On disait qu’il était né, ainsi qu’un autre chien appelé Orthe, de Typhon et d’Échidna ; son cou était hér
ytre, qui fonda le pays des Eurytres, en Ionie. La Nuit, ou Euphrone, appelée aussi Erebennis, c’est à dire l’épouse de l’Érebe
reux enfans de la Nuit, nous distinguons en première ligne : La Mort, appelée aussi Kère par Hésiode, et Libitine par les Latin
tait caché, car jamais elle ne laissait voir que sa tête. Le Chagrin, appelé aussi Curœ ou les Soucis, ou l’ Inquiétude et Mœr
antes somnifères. A Délos, le sommeil était représenté par une déesse appelée Brizo, que les habitans honoraient en lui offrant
puissance divine. La Nuit avait pour fille la Discorde ou la Dispute, appelée Eris par les Grecs, Altercatio par les Latins, Dy
rière d’un mortel. L'on supposait que les Parques étaient trois sœurs appelées généralement Clotho, Lachésis et Atropos, ou Moir
t lui présentaient du miel pour apaiser cette déesse redoutable, et l’ appelaient sept fois à grands cris ; alors si le silence de
Empuse, spectre féminin à formes hideuses. Quant aux Furies que l’on appelait aussi Palestines, à Paleste en Épire ; Potniades
l’aune, du genièvre et du cyprès. Les prêtres de ces temples étaient appelés Besychides, et les Athéniens célébraient en l’hon
lement de ses fouets vengeurs, leur présentait des serpens furieux et appelait à hauts cris ses sœurs pour venir la seconder. El
ta Olympie, plusieurs autres districts et forma un vaste empire qu’il appela Péloponèse. Pélops avait été, disait-on, tellemen
Parisot. Les relations de ces deux frères Thyeste et Atrée, que l’on appelait aussi Dioscures Pélopides ou Tantalides, à cause
rempli des os énormes d’un géant de sept coudées de hauteur, qu’on a appelé Lichès, il avait été trouvé à Tégée. Quant à Pyla
Pélée, roi des Myrmidons, en Thessalie, et de Thétis, fille de Nérée appelée aussi Philomèle ou Polymèle ; Achille fut le plus
ord, puis encouragé par Neptune et Minerve, il résiste au Xanthe, qui appelle à son secours le Simoïs et ses fleuves tributaire
it, un fils né de Déidamie ou d’Iphigénie, à Scyros, c’était Pyrrhus, appelé aussi Néoptolème ; cependant il enleva aussi Lana
’Amyntor, roi Dolope, sut plaire à une concubine favorite de son père appelée Clytie ; mais Amyntor, pour l’en punir lui fit cr
e lui éleva un temple, et institua en son honneur des fêtes annuelles appelées Eantées, ou Ajaxties, ou Ajacies. Ajax l’Oïlide
loutit ainsi cet audacieux blasphémateur, qui laissa, dit-on, un fils appelée Phylée. On représente cet Ajax, ayant à ses pieds
r sous ses coups Arétaon et une foule de Troyens. Il laissa une fille appelée Néso ou Arisbe, ou Batie ou Batée, qui devint l’é
aki et Atakos, dont on attribuait la fondation à trois frères jumeaux appelés Ithaque, Nérite et Polyctor. Ce héros était fils
re, de s’enivrer en buvant des flots de vin ; alors ce Cyclope, ayant appelé Elpe, sa fille, et ses compagnons à son secours,
océanide deux fils Nausithoüs et Nausinoüs, et peut-être un troisième appelé Auson ; alors Jupiter envoya Mercure à la nymphe,
Ulysse ensuite vécut en paix, puis il eut de Pénélope encore un fils, appelé Ptoliporthos, et il gouverna tranquillement ses é
bias, Marse et Paphlagon, fils qu’il eut de Circé, ainsi qu’une fille appelée Cassiphone ; Auson, Nausithoüs et Télédame de Cal
exil dans cette Phrygie ou partie de l’Asie que nous verrons bientôt appelée Troade. Grace à sa valeur, il se fit admirer par
ou Teucris, ou Nyso, ou Néso ; il la maria à une espèce d’aventurier appelé Dardanus, qui avait fui l’Italie pour se soustrai
da, une ville à laquelle il donna le nom de Dardanie et que depuis on appela Troye ; il laissa en mourant le trône à Erichthon
eut avec Eurydice sa femme, fille d’Adraste, roi de Phrygie, un fils appelé Laomédon. Ce Laomédon gouverna la ville de Troie
d’une des provinces de Thrace, et sœur d’Hécube : il en eut une fille appelée Crino, qui fut emmenée captive ainsi que Déinome
u’il avait parlé contre leurs ordres, envoyèrent deux serpens énormes appelés Porcès et Charibée qui, venant de Ténédos, se jet
d du mont Ida, sur les bords du Simoïs, et fut élevé par une nourrice appelée Caiète ou par les Dryades, jusqu’à l’âge de cinq
mère de Roma, grand’-mère de Romulus. Enée laissa en outre une fille appelée Étias. Ici, peut-être, faudrait-il rappeler les p
d’Electre, fille de ce Latinus. 3° A la famille d’Ulysse, par un fils appelé Romulus ou Romus, ou par le fils d’un Latinus, fi
de voir figurer dans cette colonisation guerroyante d’Enée. Ascagne, appelé d’abord Iule, était encore enfant lorsqu’il fut o
naire, chez les Romains, se divisait en douze mois, dont le premier s’ appelait Mars ; il était présidé par Minerve et avait le b
par April ou jeune homme couronné de myrte. Le troisième, Mai, ainsi appelé par Romulus, en mémoire de Maïa, fille d’Atlas et
ceptre à la main et deux colonnes à ses pieds. Ciones ou colonnes, on appelait ainsi tous les dieux représentés par de grosses p
des Etrusques ; en effet, Dieu particulier de cette Italie centrale, appelée pays des Aborigènes et depuis Latium, Janus mérit
et Fontus ; quant à Vénilie, elle le rendit père d’une fille-déesse, appelée Canente, qui fut ensuite mariée à Picus, fils de
s réjouissances ; on célébrait en son honneur, le 8 juillet, une fête appelée Vitulation, dans laquelle on lui offrait les prém
d’admettre dans leur dogme deux principes, l’un bon, que nous verrons appelé Osiris, et l’autre mauvais, nommé Typhon. A tort,
voix, principe de l’animation du monde. Le grand synonyme de Knef, s’ appelle Amoun ou Amon. Cet Amoun ou Amon est un dieu égy
’oasis de Siouha, dans la Lybie septentrionale, un temple magnifique, appelé à Rome, comme tous ses temples, Ammonium. Ce Dieu
ion d’organiser le monde physique, ordonna à un autre Dieu supérieur, appelé Thoth premier, la mission d’organiser le monde im
mmé Macédo, et une fille nommée Poubasti, il eut même un dernier fils appelé Anébô, ou vulgairement Anubis, d’un commerce invo
u. Une fois dans son tombeau, Osiris changea de nom, car alors il fut appelé généralement Sérapis, et devint la plus puissante
cose admis, supposa que cette ame avait passé dans le corps d’un bœuf appelé Apis, qui devint un véritable dieu. Apis, était
trois autres dieux taureaux entièrement analogues à celui-ci ; on les appelait Mnévis, Bacis ou Pacis, Onuphis ou Omphis ; de pl
uefois, on personnifiait Isis sous la forme d’une déesse souterraine, appelée Ambo ou Titrambo, et passant pour femme d’ Osiris
du Zodiaque. Chaque signe en avait trois, et ces trente-six figures s’ appelaient Decans, ayant chacune également au-dessous d’elle
d’une massue. A sa mort, on fit de ce dynaste un être divin, que l’on appela Fré ou Piré que nous connaissons ; on le supposa
ynaste Saté ou la Junon des Grecs, ou la déesse supérieure égyptienne appelée Neith. Ertosi, le troisième dynaste, équivalant
i, en prenant rang parmi les divinités supérieures des Egyptiens, fut appelée Athor 1er. Cette Anouke ou Anouki était représent
souvent. Cependant, habituellement, on personnifie le Nil en un dieu appelé Noute-Feu, qui donna le jour à une fille du nom d
porta divers noms suivant les contrées où il fut honoré ; ainsi, on l’ appelait  : Baal, Bel, Béel, Bélus, Bélis, Bélénus, Belathe
autres divinités que les Mokissos. Les habitans de la côte d’ Afrique appelés Hottentots, sont fort peu religieux ; à peine ado
ux. Tikoa ou Toukoa, est encore un dieu suprême des Hottentos, qui l’ appellent l’être malfaisant sans en trop savoir la cause. I
en porta une à Rome qui était d’un aspect ferrugineux. Cette Astarté appelée aussi Addirdaga ou Addidag, et souvent Atergatis,
neur ; Naraïana Parabara, ou l’excellent ; et même, comme Brahm, ou l’ appelle  : Parabrahmâ, ou le grand Brahmâ ; Parama, ou le
a, ou première émanation de Brahmâ, à la suite de son mariage avec un appelé Satadroupaï, une fille nommée Aghdi ou Dévaghdi,
en personne, l’être suprême, le créateur des mondes. Suivant un poème appelé le Lathaka ou Panischat faisant également partie
ce entra dans les eaux pour les éclairer, ce qui fit naître les dieux appelés Taumâtras, ou molécules sensitives, dieux qui dev
remens obligatoires pour les chefs de famille Brahmanique, sacrifices appelés  : Ahouta, ou celui des sages ; Houta, ou l’oblati
type du monde ou Macrocosme, et de l’homme ou Microscome. Puis il fut appelé Porch ou Pouroucha, ou homme créé par l’homme-die
de paradis, ou demeures sacrées. Le premier est le plus élevé, il est appelé Brahmâ Locka, ou Sastialoka ; il est réservé pour
fin, dans la partie la plus basse, on tombe dans un cinquième paradis appelé Souarga ou Sorgon, c’est celui d’Indra ; c’est là
es huit Vaçous, protecteurs et régulateurs des huit régions du monde, appelés Indra, Iama, Nirouti, Agni, Varouna, Kouvéra, Vaï
maça, Raivata, Tchakchoucha, Vaivaçouata. Les Richis, indifféremment appelés Mounis ou Pradjapatis ou Brahmadikas, c’est-à-dir
ils des opérations des Brahmadikas ou génies bienfaisans. Les Vaçous, appelés aussi Achta-Dikon-Palagas, figurent presque imméd
au cou, aux pieds, et autour du corps ; elle tient à la main la fleur appelée Tchankarinirpou. Son image, ainsi que celle de sa
il est également fils d’Aditi et de Kaçiapa. L'endroit où il réside s’ appelle Iamolaka ; c’est là qu’il juge si l’ame qui vient
e Mahanatma ou l’ame universelle. C'est le père d’un célèbre musicien appelé Hanouman et qui semble au fond s’identifier avec
routa-Pavana, a sous ses ordres un grand nombre de génies subalternes appelés Maroutas ; il est habillé de bleu et monté sur un
ou Souras, dieux et genies bienfaisans ayant bu de la divine liqueur, appelée Amrita, Dieux que les Indiens divisent en plusieu
is dont six furent primitivement distingués et même divinises ; ils s’ appellent Bhairava, Malava, Sriraga, Hindola ou Vaçanta, Di
eintures allégoriques du système musical, chez les Indiens, peintures appelées Ragamana, montre une Ragini dansant sur la margel
son cornu et gigantesque, tua Haïagriva, et devint le septième Menou, appelé Vaivaçouata. La deuxième incarnation ou Kourmâva
le courroux de Vichnou. Cette fois, il prit la forme d’un homme-lion, appelé Naracingh, car ce géant ne pouvait être vaincu ni
vaste serpent Adicécha, c’est-à-dire la durée primordiale, autrement appelée Ananta ou sans fin, dont les têtes innombrables f
tes de Vichnou, la première qui se présente à nous, c’est : Lakchmi, appelée aussi Sri ou la fortunée et mère du monde ; Kamal
abhadra, résultat de sa sueur. Il habite ordinairement le mont Mérou, appelé aussi Mahamérou ; Soumérou, Kailaça, Alaïa ou Sou
i attribue d’autres incarnations moins bien fixées, telles que celles appelées Mahécha et Mahéchaçoura, et Koumbhakarna, Irania
riller au milieu de cette partie de son visage, une femme gigantesque appelée Bhadrakali, ou Pétrakari Pagoda, ayant huit visag
ama, seulement nous ajouterons que Mariatale eut encore un autre fils appelé Ratavaréia, et qu’elle est l’impure Tchandalas, o
’habillent d’étoffes jaunes ; puis arrivent les religieux de Vichnou, appelés Pandaroux, Tabachi et Casé-Patié-Pandaroux ; les
 ; du reste, les idoles de ces dieux sont renfermées dans des temples appelés Pagodes ou mias, dont quelques-uns sont très-rich
l, ou de Siddharta en Samskrit, dans une eau divine, par un autre roi appelé Khourmousta-Tingri chez les Mogols, ou incarnatio
suite il ait compté pour disciples favoris cinq personnages célèbres appelés Djanchi-Godinia, Datol, Langba, Mingtsan et Jangd
D'où il résulta qu’après son entrée il institua la cinquième station appelée  : la place du trône primïtif de tous les saints.
carnise continuellement l’ame universelle que la théologie bouddhique appelle Adibouddha. Voici comme on explique l’histoire d
, puis il fut surnommé Adibouddha, et il se révéla dans ses cinq fils appelés Bouddhas, d’où résulta d’autres enfans que l’on d
système sacré du Bouddhisme, sont contenues dans une espèce de bible appelée Gandjour, formée de 108 volumes de texte, accompa
maires, le tout présentant une encyclopédie religieuse de 232 volumes appelée Dandjour, et dont la traduction en Mongol ne se v
es qui, de même que Bouddha, ont leur culte desservi dans des temples appelés Pagodes, par des prêtres nommés Bonzes. Cependant
te pendant douze ans ; au bout de ce temps, elle mit au monde un fils appelé Fohi. Chang-ko est une déesse honorée des célib
nnes doctrines firent secte à part, et, prenant le nom d’une ville, s’ appelèrent Sintoïstes. De tous temps, ces vieux sectaires ad
des Sintoïstes se placent les Jenxuans, adorateurs de l’un des Kamis appelé Foben : ils ont une confession et des indulgences
es Boudsoïtes, ou adorateurs de Boudso, autrement dit Bouddha, qu’ils appellent aussi Xaca, secte dont les superstitions, leur do
edo, et les trois plus célèbres sont à Icié : il y en a deux surtout, appelés Gekon et Naikon, très-remarquables, en ce que le
oule d’autres divinités, au nombre desquelles ils placent : Bounsio, appelée ensuite Bensaïten, héroïne célèbre, était une fil
e l’année, la deuxième des cinq grandes fêtes japonaises, et elle est appelée la fête des pèches. Ce sont les jeunes filles qui
son marteau. Dina, dieu de la guerre, est le grand dieu d’une secte appelée des Xingovins. Diodoo est le dieu des voyageurs
gode qui fut élevée en son honneur immédiatement après son arrivée, s’ appelle-t -elle le temple du cheval blanc. Kombadaxe est un
rvane-Akérène, se balancent entr'eux les destinées humaines, ils sont appelés Ormuzd ou le bon principe, et Ahriman ou le mauva
prits. A ces bons princes étaient opposés sept autres mauvais princes appelés Devs. Leur lutte commence et finit avec celle d’O
e la terre et à la grandeur de l’univers, au dixième mois de l’année, appelé , en conséquence, Ardibéhecht ; il préside en outr
t habitant au centre du monde dans une partie de la demeure d’Ormuzd, appelée Korchidpai ; souvent on l’omet sur la liste des I
celui qui parait avoir été le premier homme d’après cette religion, s’ appelle Hom, et voici ce qu’en dit la tradition : Hom ét
oujours couvert de mouches, qui se nourrissaient de son sang. Ce Dieu appelé aussi Boug, ou Belbog ou Bog, ou le Dieu blanc, é
s et sa sœur, sur trois montagnes, dont deux, du nom de ses frères, s’ appelèrent Schekovitsa et Khorivitsa ; la troisième, qui ser
disent les légendes Islandaises, était lumineux et inhabitable ; il s’ appelait Muspelsheim, et était gouverné par Surtur ou Sour
s du feu, envahir le ciel, briser le pont Brifrost, écraser les Dieux appelés Ases, tuer un Dieu puissant nommé Frei et les Ase
e glace fondue, il se forma un géant nommé Ime ou Iimer, et une vache appelée OEdumia ou Audoumbla, dont les mamelles laissèren
primordiale, à force de lécher la glace, fit naître le premier homme appelée Bure ou Boure, qui de son côté eut Bore pour fils
r avoir plus de droits au respect des hommes, les prêtres Scandinaves appelés Druides, prétendaient-ils descendre de Bore, en l
nt dix ans, ensuite il eut une lutte fameuse à soutenir contre un roi appelé Gifle. Il habitait le superbe palais Valholl. Les
lui révéler continuellement le passé, le présent et l’avenir : l’un s’ appelait Hougin, ou l’esprit, et l’autre, Mounin, ou la mé
les trois fils de Bore firent surgir de leurs mains le premier homme appelé Aske ou Askour ; c’est-à-dire le frêne et la prem
e avec le cadavre de Balder, au milieu de la mer, sur un grand navire appelé Ringhorn. Après sa mort, Balder laissa un fils ap
un grand navire appelé Ringhorn. Après sa mort, Balder laissa un fils appelé Forsète, dieu de la paix, de la concorde et de l’
ts d’or. Il était fils d’Odin et des neuf filles du géant Geirrendour appelées Angéia, Arla, Elgia, Gialpa, Greipe, Imrouçaa, Ou
Loke épousa encore la belle et vertueuse Signir, dont il eut un fils appelé Nare. Tous les Ases s’étant un jour ligués contr
des cavernes reçoivent les ames des morts que Radien-Atcié dédaigne d’ appeler auprès de lui dans sa demeure céleste. Aussitôt,
i eux on cite : Modsigner, Dourenn, Daioun et Nalbi. Einhériars. On appelait ainsi les héros qu’Odin recevait dans le Valholl,
-on rarement. Ils demeurent dans le Vérald, espèce de paradis, où ils appellent , dit-on, les ames des justes. Ceux qu’ils abandon
x sorts, aux présages et légèrement à la métempsycose. Leurs prêtres, appelés Druides, avaient un pouvoir immense ; leurs prêtr
nt on croit que les prêtresses étaient les mêmes que les devineresses appelées Néhalennia. Pepenouth. Les Saxons l’adoraient c
. Ces peuples donnèrent le nom de cette déesse à leur capitale, qui s’ appela Rothomagna. Proudéno ou Broudéno était regardé c
tous les êtres malfaisans, soit animés, soit inanimés ; ses prêtres, appelés Chamans, anéantissaient sa cruauté par des prière
personnification des fins, était né de Bath, et fut père de deux fils appelés Nionnuall et Nioul Fenius était un savant que ses
ineurs se croyaient protégés dans leurs travaux par des génies qu’ils appelaient Knokkers, génies dont la voix se faisait continue
chefs des Firbolgs, et qui avaient sous leur domination les contrées appelées l’Enbher Kolpa, l’Ulster et le Drobhain, jusqu’à
ath, et donna le jour à trois fils, Brias ou Uar, Juchor et Juchorba, appelés aussi Jurka, Jurbata, Ces trois frères, dont le c
la pêche, de la santé, des saisons étaient soumis à ses ordres. On l’ appelait aussi Guacarapita, Guacamonoan, Momona, Tiella.
s de l’Amérique septentrionale, qui le confondent avec le soleil. Ils appellent aussi Manitous les divinités inférieures, qu’ils
ne, et son corps était précipité du haut en bas de la grande pyramide appelée Téocalli, au milieu des chants et des danses. Les
Rahai est l’être suprême par excellence à Otaïti, où il est également appelé Ta-roa-teai-étoumou. Sa femme O-té-papad est d’un
de la mort chez les habitans des îles des Amis ; il habite un empire appelé Boulerta. Kaléaoko, déesse honorée dans les île
e ou la mer ; de Matai ou le vent ; et de Taunou-Mahanna ou le soleil appelé aussi Euroa-Taboa, lorsqu’ils la considèrent comm
r, 490. Consiva, 6, 150. Conso, 379. Consentes, 32. Consenties (fêtes appelées ), 33. Consevius, 150. Consternation (la), 71. Con
3 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
t les anciens auteurs, la nature entière n’était qu’une masse informe appelée Chaos. Les éléments étaient confondus : le soleil
, Jupiter, Neptune, Vulcain, Mars, Apollon et Mercure. Les dix autres appelés Selecti ou dieux d’élite, dieux choisis, partagea
êtres, dieux Marins, dieux Domestiques et dieux Allégoriques. III. On appelait Héros ou Demi-Dieux les hommes nés d’un dieu et d
Janus), et enseigna à ses grossiers habitants divers arts utiles. On appela Age d’or cette heureuse époque. Alors, point de l
mois, les siècles, à mesure qu’il les produit. Les fêtes de Saturne, appelées Saturnales chez les Romains, commençaient le seiz
sœur et femme de Saturne, a plusieurs noms chez les poètes. Elle est appelée Dindymène, Bérécynthie et Idéa, de trois montagne
récynthe et Ida), où elle était principalement adorée. Elle est aussi appelée la Grande-Mère, parce que la plupart des dieux du
Phrygiens avaient institué, en l’honneur de Cybèle, des Jeux publics appelés Mégalésiens, qui furent introduits à Rome pendant
tèrent l’avantage ; Jupiter fut vaincu, et, dans son extrême frayeur, appela les dieux à sa défense ; mais les dieux tremblère
notre mère commune, et que les pierres qu’elle renferme peuvent être appelées ses os, il en ramassa quelques-unes et les jeta r
n’avait qu’un moyen de débarrasser Io de cet incommode satellite : il appelle Mercure, et lui intime l’ordre de le tuer. Mercur
et de la gauche un javelot ou une corne d’abondance. Ses prêtresses, appelées Vestales, furent d’abord choisies par les rois et
mme au plus jeune, que fut abandonné le triste royaume des enfers. On appelle Enfers les demeures souterraines où vont les âmes
ns les Champs élysées, et les méchants précipités dans le Tartare. On appelle Élysée ou Champs élysées le séjour destiné aux bi
es frappent sans mesure et sans pitié les malfaiteurs dont les crimes appellent une sévère punition. C’est dans le tartare que Ti
quelles les gens riches offraient dans les carrefours un repas public appelé Repas d’Hécate, destiné surtout aux pauvres de la
entendu était un crime odieux et punissable de mort. Une autre fête, appelée Thesmophories, fut instituée dans l’Attique en mé
le de la paix. Les dieux se déclarèrent pour la déesse, et la ville s’ appela Athènè (Athènes) : c’est, en grec, le nom de Mine
cortége les Ris, les Grâces et les Jeux12. Sa ceinture merveilleuse, appelée ceste, ajoutait encore à sa puissance et à ses at
ans vie. Elle arrosa de nectar son sang, qu’elle changea en une fleur appelée anémone. Mais incapable de surmonter la douleur q
mant, au plus fort de la mêlée, le courage des soldats. Ses prêtres s’ appelaient Bellonaires. Dans les fêtes de leur déesse, ils p
eprésentations inutiles et le jeune homme de plus en plus obstiné, il appelle en soupirant les Heures matinales. Elles accouren
tes sauvages sur le mont Cithéron, et que le soleil était brûlant, il appelle ses compagnons qui se livraient encore, au traver
e. Les orateurs, les rhéteurs se mirent sous sa protection, et il fut appelé le dieu des arts libéraux et des belles-lettres.
rda pas à être en honneur chez les marchands et les négociants, qui l’ appelèrent le dieu du commerce. L’exil de Mercure faisait un
des champs, ou à indiquer la route aux voyageurs égarés. Ces statues, appelées en grec Hermès, se plaçaient aussi au milieu des
é à un arbre, l’y abandonna aux bêtes féroces. Les fêtes de Bacchus s’ appelaient Orgies ou Bacchanales. Les femmes qui les célébra
les Grecs et les Romains, six méritent surtout d’être connus. Il est appelé Dionysus ou Dionysius, mot d’une origine controve
pelé Dionysus ou Dionysius, mot d’une origine controversée ; — il est appelé Liber, c’est-à-dire libre, parce que le vin, en é
ie (ou Béotie). Le cheval Pégase leur servait de monture. Jupiter les appelait souvent auprès de lui sur le mont Olympe, où elle
célébraient dans leurs hymnes les dieux et les héros. Les poètes les appellent tantôt Piérides, du mont Piérus où elles naquiren
réfugia au ciel, et y fut placée dans cette partie du zodiaque qu’on appelle la Vierge. Astrée, fille de Thémis, est souvent
s réunit sur une même ligne ; il forma ainsi la flûte pastorale qu’on appelle chalumeau, et dont il sut tirer des accords plein
es et les craintes frivoles ou imaginaires, qui par cette raison sont appelées terreurs paniques. Faune ou Faunus, fils de Picu
n esprit vif, subtil, enjoué, il était fort agréable aux dieux, qui l’ appelaient à leurs festins pour y jouir de ses saillies piqu
us lui éleva le premier un temple à Rome. Les fêtes de cette déesse s’ appelaient Florales et duraient six jours. On les institua v
paille, litière des bestiaux. On célébrait, au mois d’avril, sa fête appelée Palilie. Ce jour-là les bergers, pour se divertir
leur apprirent à se nourrir de plantes, de châtaignes et de miel. On appelait Napées les nymphes qui présidaient aux collines,
’étendue et les limites. Cette borne fut honorée comme un dieu, qu’on appela Terme, et dont le culte fut institué chez les Rom
bras, que l’on plaçait sur une borne pyramidale. Le jour de sa fête ( appelée Terminales), les deux possesseurs de terres conti
s. c) Dieux domestiques. § 17. Les Pénates ou Lares. On appelait chez les Romains Pénates ou Lares les dieux domes
les Mânes sont confondus avec les dieux Lares et avec les Lémures. On appelait Lémures ou Larves une sorte de déesses-fantômes,
, nous ne sommes plus. L’abbé Mangenot. La déesse des funérailles s’ appelait Libitine, chez les Romains, et était la protectri
Prométhée. Cette femme, la première qui ait existé sur la terre, fut appelée Pandore ; rien n’était plus beau qu’elle ; l’asse
t sur ses épaules la voûte écrasante des cieux26. Les nièces d’Atlas, appelées Hespérides, demeuraient en Mauritanie, près de le
l Hercule, par un décret du sort, se trouvait assujetti27. Ce tyran l’ appelle à sa cour, l’y reçoit durement, et lui intime l’o
ment, et lui intime l’ordre d’exécuter douze périlleuses entreprises, appelées Travaux d’Hercule, et dont nous allons faire le r
touchait la rive opposée, lorsqu’il entend les cris de Déjanire, qui appelle et implore du secours : le centaure l’enlevait et
dversaire, en lui proposant une entreprise lointaine et glorieuse. Il appelle Jason au palais, et lui dit : « Fatigué par des s
e force, tu peux l’entreprendre ; le devoir t’y engage, l’honneur t’y appelle . Je jure par Jupiter de te restituer, après cet e
t se noya. Hercule ne le voyant pas revenir, descendit sur le rivage, appela mille fois Hylas ! Hylas !… et fit retentir les c
atifs de son départ. Suivi de Médée, il regagne de nuit son navire, y appelle ses compagnons, et s’éloigne de la Colchide, char
refuser des larmes à son malheur. Pluton même se laissa émouvoir. Il appelle Eurydice, qui se trouvait parmi les Ombres nouvel
ment qu’auraient pu le faire les meilleurs yeux. Les poètes anciens l’ appellent le Devin par excellence, le Prophète sublime, l’A
es lois et en établir de nouvelles. Il agrandit la ville d’Athènes, y appela les étrangers, et pour constituer une sorte de ré
conduite d’Hippolyte n’ait poussé Phèdre à cet acte de désespoir. Il appelle son fils, l’accable de reproches, le bannit de Tr
causer en Attique. Peu après, Pirithoüs épousa la belle Hippodamie, ( appelée Déidamie par quelques auteurs). Les Centaures, pe
à la douleur de ces jeunes filles, les métamorphosa en oiseaux qu’on appelle méléagrides. § 17. Pélops. Atrée et Thyeste.
re. » L’enfant naquit, et Laïus, pour éviter de plus grands malheurs, appela un de ses confidents intimes, et lui dit : « Va,
e, qui paissait les troupeaux de Polybe, roi de Corinthe. Ce berger s’ appelait Phorbas ; il eut pitié de l’enfant, le prit dans
errogea avec anxiété, à diverses reprises, celle qu’il avait toujours appelée sa mère ; mais Péribée, qui le chérissait, se gar
par les troupes argiennes que commandaient sept vaillants capitaines, appelés par excellence les Sept Chefs. C’étaient Adraste,
es se détachent ; et, dans le moment ou, poussant un cri d’effroi, il appelait Dédale à son secours, il tombe et trouve la mort
dale à son secours, il tombe et trouve la mort dans cette mer qui fut appelée de son nom icarienne 47. Le sens naturel de cette
Tros, fils d’Erichthonius, donna le nom de Troie à sa ville capitale, appelée jusqu’alors Dardanie. Ses fils, Ilus, Assaracus e
ccupé à le déchirer et à épuiser son sang. Une si importante victoire appelait un juste salaire : Laomédon nia sa promesse et re
Salamine. § 2. Priam. Priam, fils et successeur de Laomédon, s’ appelait d’abord Podarcès. Quand son père frustra le libér
c Hécube, devient le gendre d’un roi puissant de la Thrace : ce roi s’ appelait Dymas. Les plus célèbres des fils de Priam furent
ains avec lui. Hécube et Priam, tremblant pour la vie de leur fils, l’ appellent , lui tendent les bras, le conjurent de rentrer da
s, avec lesquels il alla bâtir, dans l’île de Chypre, une ville qu’il appela Salamine, et où ses descendants régnèrent plusieu
ne créature d’Ulysse, dressé par lui au rôle qu’il devait jouer. Il s’ appelait Sinon, fils de Sisyphe. Quand on l’eut présenté à
saient aux Grecs, et par leur éloignement pour les étrangers : on les appela Oiseaux de Diomède. § 12. Philoctète. Phil
te sur le rivage de la Campanie, au milieu de peuples anthropophages, appelés Lestrigons. Ulysse députa trois de ses compagnons
d’ogresse aussi haute qu’une montagne, les admit en sa présence, fit appeler son époux, et, en attendant, avala un de ces malh
ment, qui lui permette de paraître avec décence. Nausicaa, attendrie, appelle ses compagnes, et les engage à secourir cet étran
ient en maîtres. Pénélope fut obligée de céder en apparence. Elle les appelle donc auprès d’elle, et leur déclare qu’elle est r
ade. Thoas apprend leur fuite et le larcin commis dans le temple ; il appelle son pilote, fait équiper un navire, et ordonne qu
rantes, auraient voulu s’établir ; mais la volonté immuable des dieux appelait Énée en Italie ; il résista aux sollicitations de
partement de flamme et de fumée. Ce prodige étonna tout le monde : on appela les devins, qui présagèrent à Lavinie une brillan
? Apaise tes sanglots : apprends à soutenir la haute fortune où tu es appelée . Une partie de fumet vers portera désormais ton n
ans l’excès de son dépit, elle forma le plus infâme des projets. Elle appelle Tisiphone, et lui dit : « Je veux que la maison d
lui qu’elles regrettent. A sa place s’élève une fleur nouvelle, qu’on appela narcisse, et qui fut consacrée à Pluton, à Proser
Pandion roi d’Athènes, épousa Térée roi de Thrace, et en eut un fils appelé Itys. Il y avait cinq ans que Progné vivait en Th
je soulèverai contre toi ton peuple et le mien ; et, en attendant, j’ appelle sur ta tête scélérate les foudres de Jupiter ! »
le tyran. Les dames de Thrace célébraient alors les fêtes de Bacchus, appelées orgies ; le mont Rhodope retentissait du bruit de
re les autres, et faire de leur sang une libation en son honneur : on appela ces oiseaux Memnonides. Mais cette distinction ac
t cruel : il ne recula pas devant le plus monstrueux des forfaits. Il appelle ses filles près de lui, il les arme d’un poignard
voulait jouer. § 9. Gygès. Gygès, courtisan d’un roi de Lydie appelé Candaule, se distingua par la magnificence des do
nsformèrent en une ville capitale. Cette ville est la fameuse Naples, appelée anciennement Parthénope. Les Lamies ont certains
ar hasard se reposer sous un arbre voisin, et, d’un accent passionné, appela le souffle rafraîchissant du zéphyr : « Viens, do
magiques de cette princesse ; il résista seul, au moyen d’une plante appelée moly, dont Mercure lui avait fait présent, pénétr
roi de Bithynie, épousa en secondes noces une des filles de Dardanus, appelée Idæa. Cette femme, d’un naturel jaloux et pervers
phe imagina une supercherie des plus étranges et des plus hardies. Il appela sa femme au chevet de son lit, et lui demanda com
§ 20. Les Oracles. Les réponses faites aux hommes par les dieux, s’ appelaient oracles. On donnait aussi ce nom à l’endroit où l
ière d’annoncer la volonté du ciel. A Delphes, c’était une prêtresse, appelée Pythie, qui remplissait cette fonction. A Dodone,
thie à la prêtresse qui rendait les oracles d’Apollon à Delphes ; ils appelaient pythonisses, toutes les devineresses et toutes le
ent à Rome, sous le règne de Tarquin le Superbe, les livres poétiques appelés Sibyllins. Couverte d’un long voile, elle s’avanç
. A la conservation de ces livres était préposé un collége de prêtres appelés Quindécemvirs, qui seuls avaient le droit de les
ls avaient le droit de les expliquer. § 23. Les Magiciennes. On appelle magie l’art de produire des effets surnaturels av
avait violé les lois du pays, on le jetait dans une espèce de voirie appelée tartare ; s’il s’était conduit en homme de bien,
ou d’un autre personnage de distinction. VII. Phare d’Alexandrie. On appelle phare, une tour bâtie à l’entrée d’un port ou aux
nts que fait Encelade pour se remuer ou changer de position. 7. On l’ appelait Lucine, ou Junon-Lucine, ou Ilithye, lorsqu’elle
s, quoiqu’un seul d’entr’eux fût fils de Tyndare. 34. Ces météores s’ appellent aujourd’hui le feu Saint-Elme. 35. Ce Glaucus ét
meilleures traditions, Cadmus se contenta de construire une citadelle appelée , d’après lui, Cadmée, et de jeter les premiers fo
um. Elle épousa Tibérinus, dieu du Tibre, qui la rendit mère d’Ocnus ( appelé aussi Bianor), fondateur de Mantoue, ville ainsi
mère d’Ocnus (appelé aussi Bianor), fondateur de Mantoue, ville ainsi appelée du nom de la prophétesse Manto. 39. Dans la tra
ondée ; la princesse tyrienne ne fit qu’y bâtir une citadelle qu’elle appela Byrsa. Byrsa, en grec, signifie cuir, peau. 63.
ite Laërte, roi d’Ithaque, et donna le jour à Ulysse. 71. D’autres l’ appellent Hérophile ; d’autres Démophile ; d’autres font de
tre chaque célébration un intervalle de quatre ans pleins, intervalle appelé Olympiade, et qui servit aux Grecs (dès l’année 7
(dès l’année 776, ou 777 avant J.-C.), à supputer les temps. 73. On appelait pancrace un combat où les athlètes réunissaient l
4 (1850) Précis élémentaire de mythologie
. 3. Le Destin avait pour père le Chaos, le plus ancien des dieux. On appelait Chaos cette masse informe dans laquelle le ciel,
’existence éléments immobiles. Dans ce chaos (ainsi par nos aïeux Fut appelé ce désordre odieux) En pleine paix sur son trône
temps de son règne fut cette époque d’innocence et de bonheur qu’on a appelé l’âge d’or. Après cet âge fortuné vînt l’âge d’ar
ains instituèrent aussi des fêtes en l’honneur de Saturne. Ces fêtes, appelées Saturnales, avaient lieu tous les ans au mois de
fut-il exilé du ciel par Jupiter ? 4. Où se réfugia Saturne ? Comment appelle-t -on l’âge où il régna dans le Latium ? Comment les
le, sœur et femme de Saturne, donna naissance à plusieurs dieux. On l’ appela pour ce motif la grande mère (alma mater). On lui
alancée dans les airs par son propre poids. 3. Les fêtes, de Cybèle s’ appelaient Mégalésies ou jeux mégalésiens, d’un mot grec qui
ou jeux mégalésiens, d’un mot grec qui signifie grand, parce qu’on l’ appelait elle-même la grande déesse. On les célébrait au b
surnommer corybantes, d’un mot qui signifie frapper. On les a encore appelés curètes, parce qu’ils élevèrent Jupiter dans île
it-elle représentée ? Que figuraient tous ces symboles ? 3. Comment s’ appelaient les fêtes célébrées en son honneur ? Quelles étai
onneur ? Quelles étaient celles qu’on célébrait à Rome ? 4. Comment s’ appelaient ses prêtres ? D’où leur venaient ces noms ? Quels
la chèvre Amalthée et par deux nymphes, Adrastée et Ida qu’on a aussi appelées Mélisses (abeilles). Par reconnaissance, le souve
nt montagnes sur montagnes et menacèrent d’escalader le ciel. Jupiter appela tous les dieux à son secours. Déjà les géants éta
Apollon la connaissance de la musique, Mercure l’éloquence, etc. On l’ appela Pandore, de deux mots grecs qui signifient tout d
ille de Saturne et de Cybèle. Elle eut de Jupiter son frère une fille appelée Proserpine. Pluton, le dieu des enfers, qui ne po
s Athéniens avaient pour elle un culte tout spécial. Ses fêtes furent appelées Eleusines, parce qu’elles se célébraient en Attiq
Eleusines, parce qu’elles se célébraient en Attique à Eleusis. On les appelait aussi les mystères par excellence, parce que c’ét
l’ouvrage fut terminé, il refusa de tenir sa promesse. Alors Neptune appela les eaux de la mer, et détruisit par une inondati
e Capricorne, le Verseau et les Poissons, sont placées dans le cercle appelé zodiaque. Le soleil fait son entrée dans le premi
de ses lèvres. Dévoré par les angoisses de la soif et de la faim, il appela Bacchus à son secours. Le dieu lui ordonna de se
d’Hécate, Le sévère Pluton rompt lui-même ses lois. 2. Les poëtes l’ appellent la chaste Diane, parce qu’elle ne voulut jamais c
dans la Grèce beaucoup de fêtes en l’honneur de cette déesse : on les appelait Artémisies, parce que les Grecs donnaient à Diane
caducée. 6. On lui donnait des noms divers comme ses fonctions. On l’ appelait Cyllenicus du nom de la montagne qui l’avait vu n
résidait aux chemins. Ses statues, qui n’avaient ni pieds ni mains, s’ appelaient hermès. On plaçait son image au-dessus des portes
le nommait en cette qualité Stropheus : comme dieu du commerce, il s’ appelait Empolius : dieu de la ruse, Dolius ; dieu conduct
encore sous les ordres de Jupiter combattre un monstre épouvantable, appelé Egide. Ce monstre vomissait le feu et la flamme e
ait aussi les fêtes de Minerve. C’était dans le mois d’avril ; on les appelait Quinquatria. Les élèves offraient des présents à
y établit un tribunal qui prit le nom d’Aréopage, parce que les Grecs appelaient Mars, Arès. Seulement, pour mettre les juges à l’
aient le nom de Lampadophories ou porte-flambeaux. On les avait ainsi appelées , parce que dans ces fêtes il y avait des jeux où
nstellation qu’on a nommé la Couronne d’or. 6. Les fêtes de Bacchus s’ appelaient orgies ou Bacchanales. Les hommes et les femmes s
ux qui ne s’associaient pas à leur fureur. Les prêtresses de ce dieu, appelées ménades ou bacchantes, couraient sur les montagne
lors en aversion. Un sanglier énorme suscité par Diane que Mars avait appelée à son secours dévora le jeune prince, et Vénus fu
lation. On ne douta pas que ce ne fût la chevelure de Bérénice ; on l’ appela ainsi, et ce nom lui est resté. 9. On présente or
ieux. Il habitait dans les îles de la mer de Sicile, qui de son nom s’ appelèrent Eolides. Ce sont aujourd’hui les îles de Lipari.
le nom de Leucothoé, et les Romains sous celui de Matuta. Son fils s’ appelait Portumnus, et on le représentait avec une clef à
aient les jeux Isthmiques qui avaient lieu tous les trois ans. On les appelait ainsi parce qu’ils se tenaient dans l’isthme de C
pour sa justice en Béotie que sa loyauté était passée en proverbe. On appelait un jugement équitable, un jugement de Rhadamanthe
t périr leurs maris, à l’exception d’Hypermestre qui conserva le sien appelé Lyncée. En punition de leur forfait, ces femmes c
ssi bien que dans les temples. Numa institua des fêtes en son honneur appelées Terminales, et lui éleva un temple sur le mont Ta
Chapitre II. Les dieux domestiques. 1. Les dieux domestiques s’ appelaient Lares ou Pénates. Les Lares étaient les dieux pro
protecteurs de chaque maison et les gardiens de chaque famille. Ils s’ appelaient Viales quand ils étaient placés sur les chemins,
un hibou, oiseau de mauvais augure. Questionnaire. 1. Comment s’ appelaient les dieux domestiques ? Quels étaient les attribu
lié l’étroite union qui règne entre toutes les vertus. 4. La Justice, appelée Thémis par les Grecs, était fille du Ciel et de l
, l’Envie, la Discorde et la Paresse. 2. La Méchanceté, que les Grecs appelaient Até, était une déesse malfaisante qui ne prenait
La Vengeance ou Némésis était la fille de l’Océan et de la Nuit. On l’ appelait encore Adrastée. Elle devait châtier les méchants
urent les principaux vices érigés en divinités ? 2. Comment les Grecs appelaient -ils la Méchanceté ? Quel était le rôle de cette d
l’Envie ? Quelle physionomie lui prêtaient-ils ? 5. Comment les Grecs appelaient -ils la Discorde ? Qu’en disent Hésiode et Virgile
vitesse sur le tranchant d’un rasoir, sans se blesser. 5. Le Silence, appelé aussi Sigalion et Harpocrate, était également rév
. Le navire Argo était le plus considérable de toute la flotte, et on appela pour ce motif les guerriers qui le montaient les
braltar qui unit la Méditerranée à l’Océan. Ces deux montagnes furent appelées les Colonnes d’Hercule, et on prétendit qu’Hercul
’Italie lui ont élevé des temples. Le plus célèbre était à Rome, on l’ appelait le temple du grand Hercule ; ni chiens, ni mouche
ntes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’ appelle , et, me tendant la main, Il ouvre un œil mourant
es tenant par la bride. Ayant eu ensuite le malheur de tuer son frère appelé Beller, bien que cet accident fût involontaire, o
, et par allusion à l’aventure qui lui était arrivée chez Iobatès, on appelait Lettres de Bellérophon toutes celles qui renferma
uchant sa lyre, et charmant son veuvage, Tendre épouse ! c’est toi qu’ appelait , son amour, Toi qu’il pleurait la nuit, toi qu’il
e toi. Elle dit, et soudain dans les airs s’évapore. Orphée en vain l’ appelle , en vain la suit encore, Il n’embrasse qu’une omb
sfaction proportionnée à l’outrage qu’il leur avait fait. Les Atrides appelèrent la Grèce entière aux armes, et les princes les pl
lés. Le Xanthe irrité se soulève alors contre le héros victorieux. Il appelle à son secours le Simoïs et toutes les rivières qu
ia Ulysse de lui dire son nom. Mon père et ma mère, lui dit Ulysse, m’ appellent , Personne. Eh bien ! reprit le Cyclope, en récomp
nol et Progné en hirondelle, et Térée, leur persécuteur, en un oiseau appelé la huppe ; Pyrame et Thisbé, qui étaient si étroi
ut choisi pour tenir les assemblées ; on promulgua des lois générales appelées amphictyoniques, pour régler le but et les condit
aient spécialement pour but la lutte, le pugilat ou la course. On les appelait jeux ou fêtes. Les plus célèbres étaient les jeux
lutte, de la course, du saut, du disque et du javelot. C’est ce qu’on appelait le pentathle. D’après Plutarque, il y avait aussi
ieu où l’on courait était une arène de huit cents pieds de long qu’on appela stade et qui servit de mesure de distance aux Gre
n’avoir pu deviner des énigmes que lui avait proposées un autre devin appelé Mopsus. — Les sibylles étaient des femmes qui sav
tes les destinées de Rome. Ces livres étaient gardés par deux prêtres appelés duumvirs, et ils étaient consultés dans toutes le
et vivait dans le célibat le plus austère ; le second ministre était appelé dadouche ou porte-flambeau ; le troisième kéryx o
rent une fête solennelle en l’honneur d’une herbe très-commune qu’ils appellent darba. Le bœuf et la vache sont parmi eux en très
de l’Euphrate, les Perses s’agenouillaient devant une divinité impure appelée Mithra, et qu’ils lui offraient des sacrifices dé
avec celle des Hébreux. 5. Zoroastre admet un premier principe qu’il appelle le Temps sans borne, ou l’Eternel (Zérouane Akéré
ble, et son nom exprimait l’étendue de son efficacité : les druides l’ appelaient d’un mot qui signifie guérit tout. 7. « Il devait
influence supposaient-ils à ces esprits sur la nature ? 4. Comment s’ appelaient les prêtres gaulois ? Quelle était l’origine de c
e ses victoires pour se faire adorer par le peuple. Les Scandinaves l’ appelaient le maître de l’univers, le chef suprême des armée
s déesses du Nord, comme Odin était le roi des dieux. Les Scandinaves appelaient Fréa la terre-mère, la mère des dieux, et son all
ux bonnes mœurs, etc. Fréa avait une messagère comme Junon. Mais on l’ appelait Gna au lieu d’Iris. 4. De l’alliance d’Odin et de
regardait comme le défenseur et le protecteur des dieux, et l’Edda l’ appelle le plus vaillant des enfants d’Odin. Il a une mas
pents enchaînés s’efforcent de le détruire ; dans une source voisine, appelée la fontaine des choses passées, trois vierges pui
Il en naquit une meilleure, qui s’allia avec celle du géant Ymer. On appelait celle-ci la famille de Bor, du nom du premier de
ous les désirs de ces héros morts au champ de l’honneur. Leur enfer s’ appelait Niflheim. Tous ceux qui n’étaient pas morts de la
5 (1845) Mythologie de la jeunesse
Destin, étaient Uranus ou Cœlus (le Ciel) et Tellus (la Terre), qu’on appelait aussi Titéa. Uranus épousa la Terre, et de leur m
it son trône ; mais Saturne, ayant appris du destin que Jupiter était appelé à commander un jour à l’univers, chercha tous les
urne, exilé, se réfugia dans cette partie de l’Italie, qui depuis fut appelée Latium (de latere, se cacher). Janus, qui régnait
18]. [Fig. 17] [Fig. 18] Les Romains l’honoraient par des fêtes appelées Saturnales, qui se célébraient au mois de décembr
grotte du mont Ida par la chèvre Amalthée, et soigné par deux nymphes appelées Mélisses6 [Fig. 20]. Les Curètes, appelés aussi C
et soigné par deux nymphes appelées Mélisses6 [Fig. 20]. Les Curètes, appelés aussi Corybantes ou Dactyles, prêtres de Cybèle,
n entassant montagnes sur montagnes. Jupiter, les voyant s’approcher, appela les dieux à son secours ; mais la plupart, saisis
’éloquence ; enfin les Grâces en firent une créature accomplie. Ils l’ appelèrent Pandore, c’est-à-dire assemblage de tous les dons
49]. [Fig. 49] Les Grecs avaient institué en son honneur des fêtes appelées Éleusinies, du nom de la ville d’Éleusis, où l’on
entre autres surnoms, ceux de Bonne Déesse et de Mère des Dieux. On l’ appelait encore Bérécynthie, Dyndimène et Idée, du nom de
lte en Italie, et Numa lui bâtit un temple à coupole, où des vierges, appelées Vestales, entretenaient un feu perpétuel dans une
la paix. Les dieux prononcèrent en faveur de Minerve, et la ville fut appelée Athènes, du nom d’Athéna, que les Grecs donnaient
nsacrée. [Fig. 58] Athènes institua en son honneur des fêtes qu’on appelait Panathénées, et lui éleva un temple, le Parthénon
citadelle de Troie. Les Troyens y gardaient précieusement sa statue, appelée palladium, qu’ils regardaient comme un talisman e
fonctions, trois séjours et trois noms différents. Sur la terre, on l’ appelait Diane, et elle présidait à la chasse ; sous le no
ssi Trivia, parce qu’on l’adorait dans les carrefours, qui en latin s’ appelaient trivia. Il était aisé de la reconnaître dans ses
aîné par des tigres ou des lions. [Fig. 65] Les fêtes de ce dieu s’ appelaient Orgies ou Bacchanales. Des femmes, demi-nues, éch
mythologie vulgaire, l’Amour était le fils de Vénus et de Mars, et s’ appelait aussi Cupidon. On le représentait sous les traits
elles, modestes, simplement vêtues, ayant à leur tête Apollon. On les appelait quelquefois Piérides, à cause de leur victoire su
Les divinités des villes se nommaient Pénates ; celles des maisons s’ appelaient Lares. Cependant on confondait souvent ces deux s
, et quelquefois, chez les riches, dans un oratoire particulier qu’on appelait Laraire. On leur offrait des fruits, des fleurs,
rs, toute la nature qu’on adorait. Flore. Flore, que les Grecs appelaient Chloris, était, comme l’indique son nom, la déess
es : tels étaient les principaux attributs de Némésis [Fig. 79]. On l’ appelait aussi Adrastée. [Fig. 79] La Fortune. La
urysthée, il exécuta, d’après ses ordres, ces périlleuses entreprises appelées communément les douze travaux d’Hercule. Il étran
Atlantique, il sépara les deux montagnes de Calpé et d’Abyla, depuis appelées les Colonnes d’Hercule, et sur lesquelles il insc
nd le bûcher eut consumé ce qu’il y avait de mortel en lui, Jupiter l’ appela au ciel, l’admit à la table des dieux et lui donn
evaux. Après leur mort, ils furent placés parmi les astres, et on les appelle les Gémeaux. Bellérophon. Hipponoüs, fils d
ante armée. Sept chefs intrépides commandaient cette armée ; ils sont appelés les sept chefs devant Thèbes : c’étaient Polynice
lydore, fils d’Hippomédon, s’armèrent pour venger leurs pères. On les appela les Épigones ou dépendants. Thèbes fut prise et l
quêtes dans la plus grande partie de la contrée, qui, de son nom, fut appelée Péloponèse. Il eut de son mariage avec Hippodamie
du don précieux qu’il avait reçu des dieux. Les prétendants l’avaient appelé auprès d’eux pour chanter pendant leur repas, et
père, et incontinent elle fut changée en l’arbre qui, de son nom, fut appelé laurier 41 [Fig. 107]. Apollon en détacha un rame
rirent d’une nymphe qu’il avait été changé en cette fleur jaune qu’on appelle Narcisse. [Fig. 110] Pyrame et Thisbé.
ue toutes les fourmis d’un vieux chêne fussent changées en hommes, et appela ses nouveaux sujets Myrmidons 43. Cet Éaque est l
te de Zéphyre en disant : Aura, veni 44. Procris, s’imaginant qu’il appelait une nymphe, entr’ouvrit le feuillage pour regarde
une fleur qui se tourne toujours vers le soleil, et qui pour cela est appelée Héliotrope ou Tournesol. Alphée et Aréthuse.
d’un nuage épais. Alphée me cherche sans pouvoir me découvrir ; il m’ appelle et ne peut se résoudre à s’éloigner du nuage. Je
et elle est elle-même métamorphosée en lotos. Elle n’a que le temps d’ appeler sa sœur pour prendre l’enfant, qui aurait été enf
upiter fut allaité par la chèvre Amalthée et nourri par deux nymphes, appelées Mélisses, la mythologie nous fait entendre que le
Grèce, et surtout d’un canton de Thessalie qu’habitaient les peuples appelés Myrmidons. Comme ce mot ressemble au nom que les
ité. 46. Le cheveu de Nisus est une ingénieuse allégorie de ce qu’on appelle communément le faible d’une place ou d’un homme.
6 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
ions héroïques. C’est ainsi que Jupiter, roi de l’île de Crète, qu’on appelle à présent Candie, fut mis au rang des dieux à cau
çurent les mêmes honneurs. Neptune commandait une armée navale : on l’ appela dieu des mers. Pluton fut nommé le Dieu des enfer
’existence, élémens immobiles. Dans le Chaos (ainsi par nos aïeux Fut appelé ce désordre odieux), En pleine paix sur son trône
e du séjour que Saturne avait fait en Italie, on y institua des fêtes appelées Saturnales, qui tombaient dans le mois de décembr
e du Ciel et de la Terre, a plusieurs noms dans les poètes : elle est appelée Dindymène, Bérécynthe et Idée ; ces noms sont tir
ontagnes de Phrygie : Dindyme, Bérécynthe et Ida, où elle était aussi appelée la Grand’mère, parce qu’elle est la mère de la pl
les dames romaines dans un temple qui était en un lieu retiré, qu’on appelait Opertum, c’est-à-dire, lieu caché ; il n’était pa
 Aréthuse. — Ascalaphe. Cérès, fille de Saturne et de Cybèle, est appelée la déesse des blés et des moissons, parce qu’elle
eurs deux autres fêtes en l’honneur de Cérès : les Tesmophores, ainsi appelées de deux mots grecs qui signifient loi et je porte
moins d’empire qu’au siècle précédent. De la vertu le second âge Fut appelé l’âge d’argent : Mais, dès cette époque, on préte
le nom de Jupiter hospitalier, comme ayant vengé l’hospitalité. On l’ appelait aussi Dici Pater, le père du jour ; Stator, en mé
ie ; Mars, le général de ses troupes ; Cornus, son maître-d’hôtel. On appela l’académie des muses quelques chanteuses ou danse
violette, dont l’éclat trace dans les nues un sillon de lumière qu’on appelle arc-en-ciel. Junon avait en partage les royaumes,
es, le dictame, le pavot et le lis surtout, lui étaient agréables. On appelait le lis, la rose de Junon. Cette déesse était repr
s les célébraient avec beaucoup de pompe. Ils établirent des courses, appelées Lampadophories du mot Lampadophore, qui signifie
signifie dommage, à cause des maux que la guerre cause. Les Latins l’ appelaient Gradivus, du verbe gradior, je marche, ou Quirinu
javelot. C’est pour cela que Romulus, qui prétendait en descendre, s’ appelait Quirinus. On a donné le nom de Mars à la plupart
des fils imperceptibles autour de Mars et de Vénus ; ensuite il alla appeler tous les dieux pour les rendre témoins de sa hont
nt aux combats. Les Troyens gardaient soigneusement sa statue, qu’ils appelaient le Palladion ou Palladium, descendue du ciel, et
oursuivait était près de l’atteindre, la nymphe tombant de lassitude, appela son père à son secours ; aussitôt elle fut métamo
par des métamorphoses d’hommes, de femmes et de différens animaux. On appelle aussi les signes du Zodiaque, Maisons du Soleil ;
s, Jupiter fit naître, des cendres du bûcher de son fils, des oiseaux appelés de son nom Memnonides. Pour perpétuer la mémoire
har pendant un jour. Le Soleil résiste long-temps ; enfin il cède. Il appelle en soupirant les Heures matinales ; elles volent
oms, elle n’était qu’une seule divinité ; c’est pourquoi les poètes l’ appellent Déesse à trois formes et Triple Hécate. Brillant
upiter, pour les récompenser, les plaça dans le ciel : c’est ce qu’on appelle aujourd’hui la constellation des Hyades, nommées
. Noms de Bacchus On donnait à Bacchus différens noms. Il est appelé Dionysius, qui signifie Jupiter, par allusion au
tre, une javeline entourée de lierre et de pampres ; cette javeline s’ appelle thyrse : mot grec qui signifie proprement la tige
ourgeons de la vigne. Fêtes de Bacchus Les fêtes de Bacchus s’ appelaient parmi les Grecs Dionysia ; les Latins les nommaie
hommes travestis en satyres, en silènes, etc. Ces fêtes étaient aussi appelées orgies à cause de la fureur des Bacchantes. Ce mo
es noms convenables à leur caractère et à leurs actions. Elles furent appelées Ménades, d’un mot grec qui signifie être en fureu
rcadie et la Syrie ; c’étaient les provinces voisines seulement qu’on appelait les Indes. Cette armée bruyante et tumultueuse ét
s un puits. Icarius était alors accompagné d’une petite chienne qu’il appelait Méra. Cet animal courut informer Érigone, fille d
re. Mercure eut plusieurs noms pris de ces différens emplois. Il s’ appelait Agoreus, dieu des marchés : sous ce nom, il avait
cer sa statue auprès de celle de Minerve et sur le même piédestal. On appelait ce double buste Hermathènes, mot composé de Mercu
Mars son épée, à Neptune son trident ; et c’est à bon droit qu’il est appelé le dieu des voleurs. Selon quelques-uns, par ces
persuader. Vénus avait pour ornement particulier, une ceinture qu’on appelait ceste ; ce tissu mystérieux renfermait tout ce qu
orps de vautour, des ailes aux côtés et des griffes aux mains. On les appelait aussi oiseaux stymphalides ; tout ce qu’elles tro
s. Les unes présidaient aux forêts, aux prairies, aux montagnes, et s’ appelaient Dryades, Hamadryades ou Napées et Oréades ; les N
ines. Néréïdes Les nymphes qui commandaient sur la mer furent appelées Néréïdes, du nom de leur père Nérée. La plus illu
ôt en un gouffre, qui est à l’opposite de celui de Scylla. Charybde s’ appelle aujourd’hui Galopharo et Scylla Scyllo ; l’un et
st pour cette raison que certains sacrifices usités en son honneur, s’ appelaient Februa. Ces cérémonies se célébraient pendant le
Suivant la fable, il y avait cinq fleuves dans l’enfer : l’Achéron, appelé aussi l’Érèbe, que Jupiter y précipita pour avoir
ire tantôt blanche ; noire quand elles sont irritées, et alors on les appelle Némèses, furieuses ; blanche, quand elles s’adouc
; ils lui offraient du lait et du miel. Les Romains avaient les fêtes appelées Lupercales. Le mot Lupercalia vient de Lupercal,
t autour de cette grotte. D’autres disent que ces fêtes étaient ainsi appelées , parce que le dieu Pan, qu’on y honorait, garanti
mble dans un ordre et un concert admirable. Terreur Panique. On appelle terreur panique une frayeur qui n’a aucun fondeme
n mauvais morceau de bois, aima mieux en faire un dieu qu’un banc. On appelle Silènes les satyres avancés en âge. Le plus ancie
Vertumne Vertumne, dieu des jardins et des vergers, est ainsi appelé du mot latin vertere, tourner, changer, parce qu’
leurs mystères nous viennent des Samothraces et des Phrygiens. Ils s’ appelaient les dieux, les bons dieux et les puissans dieux.
t petites : on les tenait ordinairement dans un oratoire particulier, appelé Lararium, Laraire. Là, on leur consacrait des Lam
Le Destin Quelques auteurs font le Destin fils de la nuit : ils l’ appellent Fatum. Cette divinité aveugle, supérieure à toute
, elle monta au ciel, et se plaça dans cette partie du zodiaque qu’on appelle le signe de la Vierge. Virgile feint ingénieuseme
ée On fait venir le mot de héros du nom de Junon, qui, en grec, s’ appelait Héra. Un de ses fils se nomma Héros, et ce nom, q
le faire périr. C’est de cette aventure qu’il est passé en proverbe d’ appeler lettres de Bellérophon celles qui contiennent que
fameux naquit de Jupiter et d’Alcmène. On le nomme encore Alcide. On appelle Héraclides les descendans d’Hercule qui régnèrent
er quelques gouttes, il forma dans le ciel cette partie blanche qu’on appelle la voie lactée. La bonté de la déesse n’était qu’
, pour faire monter sa réputation au souverain degré ; c’est ce qu’on appelle les douze travaux d’Hercule. 1er. Il étrangla le
première est en Espagne, et la seconde sur les côtes d’Afrique, sont appelées les Colonnes d’Hercule. Ce héros voulant qu’elles
revinrent à Athènes pour reprendre leur sœur Hélène : cette guerre s’ appela la guerre des Tyndaridée. Thésée accompagna Hercu
après la défaite de ces femmes guerrières, il épousa leur reine qu’on appelait Hippolyte ou Antiope. Il en eut un fils, qu’on no
en suivant un ingrat. De la Fosse. Médée eut de ce mariage un fils appelé Médus. Pour le faire succéder à son père, elle vo
…………… Elle dit, et soudain dans les airs s’évapore ; Orphée en vain l’ appelle , en vain la suit encore. Il n’embrasse qu’une omb
de ses états, auxquels il donna son nom : c’est le Péloponèse, qu’on appelle aujourd’hui la Morée. Pélops laissa un grand nomb
e, fils de Laërte, était roi de deux petites îles de la mer Ionienne, appelées Ithaque et Dulichium. Après avoir essuyé les fati
ir auprès d’elle ; mais ce fut en vain : les dieux avaient parlé, ils appelaient le héros troyen en Italie. Ni les avantages d’un
urg, dit Jupin, je veux punir les fautes : Suivez-nous. Toi, Mercure, appelle les vapeurs. O gens durs ! vous n’ouvrez vos logi
t peints sur le lambris. Loin, bien loin les tableaux de Zeuxis et d’ Appelle  ! Ceux-ci furent tracés d’une main immortelle. No
7 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
e de Bellérophon ; tantôt des dragons, comme dans celle de Médée ; on appela les oranges, des pommes d’or. L’or fut regardé co
tels que Pan, Pomone, Vertumne, et une multitude d’autres, qu’ Ovide appelle la populace des dieux . On plaçoit dans la trois
le Contient de l’avenir l’histoire irrévocable. Le Chaos D. Qu’ appelez -vous Chaos ? R. Le Chaos est cette masse informe
’existence éléments immobiles. Dans ce chaos (ainsi par nos aïeux Fut appelé ce désordre odieux), En pleine paix, sur son trôn
accueillit, et partagea son trône avec lui. Cette contrée fut ensuite appelée le Latium, d’un mot latin qui signifie se cacher,
s arts et la vertu. Tout le temps qu’il passa dans cette contrée, fut appelé l’âge d’or. Voici la description que Boileau nous
ls noms donna-t-on aux âges qui suivirent le siècle d’or ? R. On les appela l’âge d’argent,  l’âge d’airain, et l’âge de fer,
cynthe et Ida, où elle étoit principalement honorée. Elle étoit aussi appelée la grande mère, parce qu’elle est la mère de la p
lle pas aussi regardée comme déesse du feu ? R : Oui ; et alors on l’ appelle Vesta. Les poëtes distinguent jusqu’à trois Vesta
m de Vesta, un feu perpétuel, dont le soin étoit confié à des vierges appelées vestales. On ne pouvoit rallumer ce feu qu’avec l
upiter put-il tout seul venir à bout de tant d’ennemis ? R. Il avoit appelé les autres dieux pour combattre et pour partager
la sagesse ; Vénus, la beauté ; Mercure, l’éloquence ; etc., et on l’ appela Pandore, nom composé de deux mots grecs qui signi
s poëtes, voulez-vous nous faire connoître ces métamorphoses ? R. On appelle métamorphose la transformation ou le changement d
ais que de bonnes nouvelles, la transporta au ciel. C’est ce que nous appelons l’arc-en-ciel. Cérès. D. De qui Cérès fu
éternels décrets, On ne peut voir ensemble et la Faim et Cérès, Elle appelle une nymphe, Oréade légère, Et l’instruit en ces m
paroît, ton cœur palpite, Tes pas volent devant ses pas : Quand tu l’ appelles dans tes bras, L’amour vers toi la précipite. Un
reste semblable à un poisson. La plupart des dieux marins sont aussi appelés Tritons, et sont représentés de la même manière a
Amphitrite, et Téthys, qui donna le jour à un grand nombre de nymphes appelées Océanitides ou Océanides, du nom de leur père. Il
, qui se marièrent ensemble et donnèrent naissance à cinquante filles appelées Néréides, ou nymphes de la mer. Elles ont le corp
ne donnèrent-ils le nom de nymphes qu’aux déesses de la mer ? R. Ils appelèrent nymphes plusieurs autres déesses, auxquelles ils
ne urne d’où sort de l’eau. Les nymphes des bois et des forêts furent appelées Dryades, et l’on donna le nom d’Hamadryades aux n
et des prairies furent nommées Napées, et celles des montagnes furent appelées Oréades. D. Quelle fut la plus célèbre des Néréid
erse leur onde blanchissante. Enfin, l’Océan et Téthys eurent un fils appelé Protée. Ce dieu marin avoit la garde du troupeau
Sirènes, de dépit, se précipitèrent dans la mer, à un endroit depuis appelé de leur nom Sirénusse, où elles furent changées e
 ; Ligée, qui joue de la flûte ; et Leucosie, qui joue du luth. D. Qu’ appelez -vous Harpies ? R. Les Harpies étoient des monstr
. Il donna le nom de sa mère à l’île dans laquelle il régna, et qui s’ appelle aujourd’hui Engia 3. La peste avoit dépeuplé ses
Il obtint de son père que les fourmis fussent changées en hommes, et appela ses nouveaux sujets Myrmidons. D’autres prétenden
autres sœurs parmi ses déesses ? R. Oui : ce sont les trois Parques, appelées , quelquefois Sœurs filandières. Elles étoient fil
du diadème ; De l’esclave et du roi, la poussière est la même, D. Qu’ appelle-t -on Manes ? R. Les anciens donnoient le nom de Ma
it-on, fille de l’Océan et de Téthys. Elle eut de l’Achéron une fille appelée la Victoire. Lorsque Jupiter, pour punir les Tita
ne fille appelée la Victoire. Lorsque Jupiter, pour punir les Titans, appela les immortels à son secours, Styx accourut la pre
’histoire des Danaïdes. R. Danaüs, roi d’Argos, eut cinquante filles appelées Danaïdes, du nom de leur père. Égyptus, son frère
de Pallas ; lorsqu’elle préside à la sagesse et aux beaux-arts, on l’ appelle Minerve. D. Quel fut le fameux différent de Miner
paix, et obtint la victoire. Elle donna son nom à la ville d’Athènes, appelée auparavant Cécropie, du nom de Cécrops, son fonda
les cavernes du mont Etna. Ses compagnons étoient les Cyclopes, ainsi appelés , parce qu’ils n’avoient qu’un œil au milieu du fr
énus eut-elle des enfants de Bacchus ? R. Oui ; elle en eut l’Hymen, appelé aussi Hyménée, qui présidoit au mariage. On le re
tribuer la lumière à l’univers. Comme père de la lumière, Apollon est appelé Phébus ou le Soleil. On le représente sur un char
ps de Memnon, les cendres seroient changées en oiseaux. Ces oiseaux s’ appelèrent Memnonides. On érigea une statue à Memnon, dans l
uf Muses, avec lesquelles il habite le mont sacré : cette demeure est appelée le Parnasse, l’Hélicon, le Piérius ou le Pinde, p
que toutes ces montagnes sont consacrées à Apollon et aux Muses. On l’ appelle encore le sacré vallon. Ce vallon, est arrosé par
noms, elle n’étoit qu’une même divinité : c’est pourquoi les poëtes l’ appellent déesse à trois formes ou triple Hécate. Les trois
vec une troupe de nymphes qu’elle occupoit toujours à la chasse. On l’ appelle la chaste Diane, parce qu’elle ne voulut jamais s
t honoré en Arcadie. Les Romains célébroient en son honneur des fêtes appelées Lupercales. Ce mot vient du nom d’une grotte situ
ouvent avec le dieu Pan et avec le dieu Faune. C’est de son nom qu’on appela Sylvains, les dieux champêtres qui paroissent êtr
jumeaux, dont l’un nommé Eurysthée fut fils d’Amphitrion, et l’autre appelé Hercule y eut pour père Jupiter. D. Quelles pers
odigieux d’étoiles qui font une longue trace du nord au sud, et qu’on appelle la voie Lactée. D. Quel choix important Hercule e
la modestie dans touts ses gestes, et la robe blanche. L’autre, qu’on appelle la Mollesse ou la Volupté y avoit beaucoup d’embo
nda les choses les plus dures et les plus difficiles : c’est ce qu’on appelle les douze travaux d’Hercule. 1°. Un lion d’une ta
e détroit de Gibraltar, en séparant deux montagnes qui se joignoient, appelée Calpé, du côté de l’Espagne, et l’autre Abyla, du
e, elle envoya à son époux la tunique de Nessus, par un jeune esclave appelé Lichas. Hercule reçut avec joie ce fatal présent 
ente couvert de la peau d’un lion, et armé d’une massue. Les poëtes l’ appellent souvent Alcide ; c’est le premier nom qu’il porta
ppellent souvent Alcide ; c’est le premier nom qu’il porta. Il ne fut appelé Hercule qu’après la victoire qu’il remporta dans
e toi. Elle dit, et soudain dans tes airs s’évapore. Orphée en vain l’ appelle , en vain la suit encore Il n’embrasse qu’une ombr
u labyrinthe, et les mains vers les oiseaux Au secours de Thésée elle appelle les dieux. ( La Motte.) D. Donnez-nous quelques
R. Le labyrinthe de Crète, si célèbre parmi les poëtes, est souvent appelé le Dédale, du nom de celui qui l’avoit bâti. C’ét
it qu’il l’embrassoit pour la dernière fois. Il s’élève dans l’air, l’ appelle sur sa trace, Et d’un vol inquiet craint pour sa
es fondues ; De ses bras, mais en vain, il frappe encor les nues : Il appelle son père, et tombe au fond des mers Fameuses par
Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare, où te trouver ? Il appelle à grands cris Icare, et sur les eaux voit flotter
t que son fils avoit péri, et se précipita dans la mer qui depuis fut appelée , de son nom, mer Égée. D. A quelle occasion Thésé
oir voulu attenter à son honneur. Ce père crédule chassa son fils, et appela sur lui la vengeance de Neptune. Et toi, Neptune
ntes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’ appelle  ; et me tendant la main, Il ouvre un œil mourant
ue, et le prioit d’en tirer vengeance. C’est de là que vint l’usage d’ appeler Lettres de Bellérophon, celles qui renfermoient q
it des vagues, se laissa tomber dans la mer qui pour cette raison fut appelée l’Hellespont 22. Phryxus aborda heureusement dans
éros qui entreprirent la conquête de la toison d’or ? R. Ils ont été appelés Argonautes, parce que le vaisseau qu’ils montoien
lle épousa un des plus grands rois de ce pays-là. Elle en eut un fils appelé Médus qui succéda à son père, et donna à ses suje
Phocide une génisse qui lui servit de guide. La ville qu’il bâtit fut appelée Thèbes, et la contrée prit le nom de Béotie. D. C
Sibylles. D. Dites ce qu’étoient les Sibylles. R. Les anciens ont appelé Sibylles certaines femmes auxquelles ils ont attr
ts deux rois. A ces conditions vous daignâtes souscrire, Le sort vous appela le premier à l’empire, Vous montâtes au trône, il
ictoire ne se déclaroit pour aucun des deux partis, les deux frères s’ appelèrent à un combat singulier. Ils s’entre-tuèrent l’un l
ar un berger qui le fit nourrir par une chèvre. C’est de là qu’il fut appelé Egisthe. Reconnu par son père, il se chargea de f
l’Asie-Mineure, fut fondée sur le bord de la mer, par Dardanus, qui l’ appela Dardanie. Tros, petit-fils de Dardanus, et troisi
la fin. Fille d’Agamemnon, c’est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père ; C’est moi qui, si long-t
 ! Que de gémissements ! que de cris douloureux ! « Oreste !… » Qui m’ appelle en ce séjour affreux ! Egysthe ! ah ! c’en est tr
es vents au rivage des Lotophages, en Afrique. Ces peuples sont ainsi appelés de l’arbre lotos qui croît dans leur pays, et don
lle de l’Océan et de Téthys, régnoit dans une île de la mer Ionienne, appelée Ogygie. Elle reçut Ulysse, et l’arrêta pendant se
l a chanté les voyages et les malheurs d’Ulysse, dans un poëme épique appelé l’Odyssée. Il avoit fait auparavant un autre poëm
ites connoître Pâris. R. Pâris, fils de Priam et d’Hécube, fut aussi appelé Alexandre. Pendant que sa mère le portoit dans so
r leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs mains embarrassées Appellent , mais en vain, un secours fraternel : Sur leurs y
guerre. Il se livra une sanglante bataille sur les bords du Numicius, appelé depuis Numicio. Énée disparut dans cette journée.
. de M.  Delille.) Des sept merveilles du monde. Demande. Qu’ appelez -vous les sept merveilles du monde ? Réponse . C
royaume, entre le palais du roi et le temple de Vénus. Ce tombeau fut appelé Mausolée, du nom de celui à qui il étoit consacré
, l’astronomie, et la philosophie. Il fonda une secte de philosophes, appelée la secte Ionique. Il recommandoit sans cesse à se
 ! trop vain soulagement !… Quels que soient ces états où le destin m’ appelle Que m’importe sans toi ma fortune nouvelle ? Que
ions auxquelles la nature et la société les ont destinées. Elles sont appelées à être épouses et mères. Or, l’instruction leur e
t précipitamment au tombeau. Les personnes sujettes à la colère, ne l’ appellent que vivacité ; mais qu’importe quel nom on lui do
patience gâte tout. (Liv. 4, fab. 2.) D. Quel est le défaut que l’on appelle suffisance ? R. C’est une sotte vanité qui fait
l’Imagination.) 1. Nom des peuples de la Sicile. La Sicile étoit appelée Trinacrie, à cause de ses trois promontoires. 2.
s campagnes voisines de ce fleuve étoient couvertes de faisans, ainsi appelés du lieu de leur origine. Le pays qu’arrose la Pha
. 10. Le Lycus est un fleuve de la Bithynie, province de l’Anatolie, appelée maintenant Beesangil. Le Lycus se jette dans la m
se. 17. Ville de la Macédoine. 18. C’est une partie de la mer Égée, appelée depuis Archipel. 19. Ile de la Méditerranée, l’u
8 (1823) Mythologie des dames
meura pendant quelques siècles en Italie ; et cet espace de temps est appelé l’âge d’or, qui fut suivi de l’âge d’argent, et e
qui tombaient sur la terre y faisaient des montagnes. Jupiter effrayé appela les dieux à son secours, mais, frappés de crainte
st leur empire qui jouit de ce privilège, et c’est pour cela qu’ils l’ appellent l’empire du milieu. Jupiter était fier du droit d
excepté cinq qui furent employés à bâtir la ville de Cadmus, que l’on appela Cadmée, et ensuite Thèbes. Cette ville sous ce de
Junon une nouvelle offense. La déesse fait naître l’espèce de mouche appelée taon, qui ne cessa de poursuivre Io. Tourmentée p
eux plaça les cent yeux de ce gardien sévère sur la queue de l’oiseau appelé paon, et qui s’enorgueillit de cette nouvelle par
rure et la propreté ; et comme les anciens n’eurent point de divinité appelée la Mode, il est probable qu’elle en tenait lieu.
qui se présentait en un instant sous mille formes différentes, nous l’ appelons Fantaisie. On sacrifiait à Junon des agneaux et d
s agneaux et des laies. Le lis lui était consacré : cette fleur était appelée la rose de Junon, rosa junonia. L’épouse de Jupit
essage, elle étale son écharpe qui brille en demi-cercle, et que nous appelons arc-en-ciel. Les riantes couleurs de cette écharp
haleine : Tout ce qu’il vient de voir lui semble une ombre vaine. Il appelle Vénus, fait retentir les bois, Il n’entend qu’un
Enfers, dont l’entrée se trouvait sous une caverne près de Cumes, et appelée l’Averne. Des vapeurs infectes s’exhalaient sans
is ; tantôt pansait ses blessures, en y versant les sucs de la plante appelée dictame, qui guérissait de tous les maux. Virgil
âté de l’Olympe est fils de Vénus et de Mars : c’est l’Amour que l’on appelle aussi Cupidon. Il est impossible de le suivre dan
traordinaires ; car on ne connaissait pas alors l’instrument que nous appelons la harpe d’Éole, et dont les cordes sont animées
ui tantôt semble être son ami fidèle, tantôt son mortel ennemi ; il s’ appelle Hymen. Comme l’Amour, il tient un flambeau sa fig
ut de neuf jours, elle fut changée en héliotrope, plante vulgairement appelée tournesol, parcequ’elle se tourne du côté du Sole
plusieurs végétaux présentent ce phénomène. Mais gardons-nous bien d’ appeler les physiciens dans le domaine de la Mythologie ;
alheureux Phaéton. Le fils d’Apollon tomba dans l’Éridan, aujourd’hui appelé le Pô, fleuve bien éloigné du pays qui avait vu n
toi. » Elle dit, et soudain dans les airs s’évapore. Orphée en vain l’ appelle , en vain la suit encore, Il n’embrasse qu’une omb
es couleurs les plus agréables. Lorsqu’elle se montre, un vent frais, appelé Aure, se répand sur la terre, et annonce son reto
et implorer la fraîcheur du vent léger qui précède l’Aurore, et qui s’ appelait Aure, elle crut qu’il appelait la séduisante divi
t léger qui précède l’Aurore, et qui s’appelait Aure, elle crut qu’il appelait la séduisante divinité ; et frémissant de jalousi
des chasseurs, sous celui de Diane ; c’est pour cette raison qu’on l’ appelait la triple déesse, la déesse à trois têtes : on lu
nt leur ceinture, et l’apportaient dans son temple. Diane est souvent appelée Délie, du nom de l’île de Délos où elle naquit ;
te dont il se servait pour conduire les troupeaux d’Admète : elle fut appelée caducée depuis que Mercure l’ayant présentée à de
mé le nom de son père et celui de sa mère ; car Mercure était souvent appelé Hermès, et Vénus Aphrodite. La nymphe Driope, aya
ssai de toutes les infortunes. Les habitants de la Cécropie, province appelée depuis Attique, voulant donner un nom à la cité q
ui conduisit les Argonautes à la conquête de la toison d’or, et qui s’ appelait le vaisseau Argo. La proue était formée d’un bois
rve, sous le nom de Parthénos, c’est-à-dire vierge, le temple célèbre appelé Parthénon, et qui était orné des sculptures de Ph
char traîné par deux chevaux plus prompts que les vents, et qui sont appelés la Terreur et l’Épouvante. Ce dieu est à la fleur
té de voir les cérémonies qu’on pratiquait dans les fêtes de Bacchus, appelées Dionysiaques ou Orgies, fut déchiré par sa propre
ant d’amour, alla se tuer le même jour au bord d’une fontaine qui fut appelée de son nom. Bacchus aima avec tendresse la jeu
tres. Le culte de Bacchus était très répandu : ses prêtresses étaient appelées Ménades, Bacchantes, et Thyades. Le sapin, l’if,
tolème, de retour à Éleusis, institua en l’honneur de Cérès les fêtes appelées Thesmophories, et dans lesquelles cette déesse ét
ssons : ils ont rendu les mêmes honneurs à Minerve, et sa planète est appelée Pallas, Nous chercherions en vain ces deux astres
dans les antres du mont Mosycle ses ateliers et ses fourneaux ; il y appela les Cyclopes, géants qui n’avaient qu’un œil au m
Nous avons terminé hier l’histoire des divinités de l’Olympe, qu’on appelait les dieux du premier ordre ; mais il y avait un n
ui servit de vêtement, et la tête de casque. Bientôt Eurysthée le fit appeler , et lui ordonna d’exécuter les douze travaux qu’i
et donna cette fonction au jeune Ganymède. Cette aimable déesse était appelée Dia chez les Grecs et Juventas chez les Romains :
de la Nuit : leurs noms étaient Tisiphone, Alecto, et Mégère. On les appelait aussi Érynnies et Furies à cause de la fureur qu’
pour lui qu’un moment. La déesse pâlit, tremble, se désespère ; Elle appelle à grands cris ses compagnes, sa mère ; Sa mère, h
il lui fait le tableau de la grandeur de cette Rome que les Destins l’ appellent à fonder, et qui doit remplir tous les siècles du
cinquante nymphes, non moins célèbres que les Océanides, et qui sont appelées Néréides. Nérée était doué de la connaissance de
devant avec deux pieds de cheval. La plupart des dieux marins étaient appelés Tritons ; mais les poëtes désignent particulièrem
rins : il avait dans la Sicile un repaire extrêmement vaste, que l’on appelle encore aujourd’hui l’antre de Polyphème. Au retou
bouc ; le reste de leur corps conserve la figure de l’homme : on les appelle aussi Satyres et Sylvains. Les habitants de la ca
ndait des oracles. Les Arcadiens célébraient en son honneur des fêtes appelées Lycées, et qui étaient les mêmes que les Lupercal
héros, pour se soustraire aux enchantements de Circé, employa l’herbe appelée moly, et dont Mercure lui avait fait présent. Bie
taines. Lacs et Fontaines. Les lacs étaient peuplés de nymphes, appelées Limniades, et qu’on voyait sans cesse occupées à
l’année : elles étaient filles de Jupiter et de Thémis. Les Grecs les appelaient  : Eunomie, Dicé, Irène, et Thallo. On leur offrai
ains portaient un vase à deux anses, et quelquefois une petite statue appelée Palladium. On croit que le nom de vestibule, donn
s leur était spécialement consacré : c’était par trois fois qu’on les appelait sur les tombeaux. Les Larves étaient regardées co
miner le bout du pied pour dire la bonne aventure, et cette science s’ appelait la Podoscopie. Tous ces arts trompeurs étaient la
9 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
Arcas, de Cassiopée, des Pléiades, des Hyades, etc. Et voilà ce qu’on appelle les fictions les plus riantes !… La même imaginat
les rendre favorables ; ceux qui s’embarquoient sur la mer, que nous appelons Mer-Noire, la nommoient Mer-Hospitalière, quoiqu’
os ; le plus ancien des Dieux ; il eut pour épouse la Terre, sa sœur, appelée Ghé ou Titéa, nom qui signifie : nourrice. Il fut
ronos), fils d’Uranus, eut pour femme Rhéa, la même que Cybèle, qu’on appelle encore Bérécinthe, Ops, Dindimène. Saturne eut po
lois et gouverna ses peuples avec tant de douceur, que son règne fut appelé le règne de l’âge d’or. Saturne est représenté so
Les Flamines étoient des prêtres ou sacrificateurs, celui de Jupiter, appelé Flamine Diale, étoit le plus respecté. Le Flamme
nus et de Ghé, elle épousa l’Océan qui la rendit mère de 3000 filles, appelées Océanides. Océan, ou Pontus, ou Nérée, fils d’Ura
adoucie, des fêtes que Romulus institua en son honneur, et qui furent appelées lemurales ou remurales. Pendant la célébration de
unes, que son nom passa en proverbe pour dire un homme malheureux. On appela , jalémies de son nom, plusieurs chants funèbres.
ces chants étoient ordinairement vides de sens, on en prit occasion d’ appeler Nénies les mauvais vers. Nœnies, qui s’écrit diff
ère du Tartare : Jupiter la tua. Les Euménides. Les Furies, appelées aussi Dirées, Erinnyes ou Euménides, filles de la
s que des libations d’eau et non de vin ; c’est pourquoi Sophocle les appelle les sobres déesses . Lorsqu’on avoit commis un c
Il y avoit encore, dans l’antiquité, des expiations plus solemnelles, appelées taurobolia, c’est-à-dire, aspersion de sang de ta
étoit consacré. Les Athéniens célébroient, en son honneur, des fêtes appelées les grandes et les petites panathénées. On représ
es Bacchantes. Le lierre lui étoit consacré depuis qu’un jeune homme, appelé Cissus, se tua en faisant une chute après avoir d
Thymélée, fameuse baladine qui fut agréable à l’empereur Domitien. On appela , par la même raison, Thyméliens, les gens de théâ
se trouvoient là sans dessein et seulement par hasard. Elles étoient appelées en témoignage et entendues en justice, mais elles
spitalité religieuse, dit Valère Maxime , que les sacrifices ont été appelés depuis cérémonies, du nom même de la ville de Cér
méens, jeux funèbres où les vainqueurs se couronnoient d’ache. Vénus, appelée encore Cypris, étoit surtout adorée à Paphos, à C
souvent sur les rosiers sauvages, une espèce d’éponge végétale qu’on appelle dans les boutiques, Bédeguar, et qui, desséchée e
al et le tua. Galatée changea le sang de son amant en un fleuve qu’on appela depuis Acis. Ulysse eut beaucoup de peine à se ti
harme le plus touchant, elle embellissoit Vénus même ; c’est ce qu’on appelle le ceste de Vénus. Etéocle, roi d’Orchomène, leur
nt de préférence les bords du Céphise ; c’est pourquoi les poëtes les appellent souvent Déesses de Céphise et d’Orchomène. Pitho,
nt que le cap Leucade devoit sa dénomination à l’aventure d’un enfant appelé Leucatée, qui s’élança du haut de cette montagne
ent, et fut guéri de sa passion pour la cruelle Tittigigée ; l’autre, appelé Charinus, qui se cassa la cuisse, et mourut quelq
rité tua le ravisseur. Neptune, désespéré de la mort de son fils, fit appeler Mars en jugement devant un conseil composé des do
ds Dieux. Mars fut absous. Ce fameux conseil s’assembla à Athènes. On appela le lieu où fut porté ce jugement l’aréopage, nom
toit assemblé sur une colline. Telle fut l’origine du fameux tribunal appelé l’aréopage. A Rome les prêtres de Mars, appelés S
ine du fameux tribunal appelé l’aréopage. A Rome les prêtres de Mars, appelés Saliens, gardoient les anciles ou boucliers sacré
ce aux ambassadeurs. A la porte de ce temple étoit une petite colonne appelée la guerrière, contre laquelle on lançoit un javel
entour, et Mercure voulut depuis la porter ainsi en signe de paix. On appelle cette baguette un caducée. On représente Mercure
us et de Ghé, ou de Neptune et de Ghé. On compte trois Harpies, qu’on appelle Aello, Ocypète et Celeno. C’étoient des monstres
ter et de Latone, et sœur d’Apollon. Considérée comme la Lune, elle s’ appelle Phébé ou Sélène ; elle étoit regardée aussi comme
Les brauronies étoient des fêtes en l’honneur de Diane, dans le bourg appelé Brauron ; on y voyoit de jeunes filles depuis l’â
utes aux brauronies. Diane, considérée comme protectrice des mânes, s’ appelle Hécate : de toutes ces fonctions Diane a pris le
s Béotiens instituèrent en l’honneur d’Apollon et de Daphné des fêtes appelées Daphnéphories, et qui se célébroient de neuf ans
n considéré comme Dieu du jour ; ils lui élevèrent une énorme statue, appelée le Colosse de Rhodes. Ce Colosse d’airain, d’une
rent des temples. Les Athéniens célébroient une fête en leur honneur, appelée Horæa. Apollon étoit le conducteur des Muses, il
duse, il naquit du sang de cette tête un Géant armé d’une épée, qu’on appela Chrysaor, et un cheval ailé, qui fut Pégase. Chry
eçu dans l’Olympe. Elle en eut une fille, nommée Alexiare, et un fils appelé Anicétus. A la prière d’Hercule, elle rajeunit Io
x. C’étoit en son honneur qu’on avoit institué les fêtes licencieuses appelées Lupercales. Pan en grec signifie tout. On croit q
bâtit elle-même, dans la rue Longue, un temple à la Pudicité, qu’elle appela plébéienne, où les femmes qui n’étoient point de
e, est le Dieu des Vents du Midi ; il régnoit sur les îles Vulcaines, appelées depuis Eolides. Sa résidence étoit à Lipara, une
on. 26. Il y a eu dix Sibylles, la plus ancienne étoit la Delphique, appelée Artemis, que quelques-uns nomment Daphné, fille d
e, les Fées ont été substituées aux Nymphes et aux Faunes. Les Perses appellent les Fées Péri, et les Arabes Gimn de la province
Diane, Bacchus, Mercure, Vénus, Neptune et Pluton. Les autres étoient appelés Dieux inférieurs. Enfin, il y avoit les demi-Dieu
10 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
n, lui apportoient dans leur bec du miel et des fruits, ce qui la fit appeler Sémiramis, nom syriaque de cet oiseau. Des berger
dit que dans ces courses triomphales, voulant gravir le mont escarpé appelé Bagiston, elle fit faire par ses soldats, une esp
a suite Persée fut assassiné par Mégapenthe dont il avoit tué le père appelé Prætus. Après sa mort, les Dieux placèrent ce Hér
ne grappe de raisin il séduisit Érigone, et il en eut un fils qui fut appelé Staphylus 1. Bacchus laissa à Icare des outres re
On fit périr tous les meurtriers d’Icare, et l’on institua des fêtes appelées Jeux icariens qui consistoient à se balancer sur
xposition sur le mont Cithéron, conserva de l’enflure aux pieds, on l’ appela Œdipe, nom composé de deux mots grecs qui signifi
e il jette un long manteau sur ses épaules, il se voile la tête et il appelle Thésée, pour lui recommander encore sa fille. Alo
s qu’il avoit sauvé, la dansa pour la première fois autour de l’autel appelé Cératon, parce que cet autel étoit formé de corne
sonnages célèbres de la Fable. Hercule. Hercule fut d’abord appelé Alcide, par la suite la Pythie de Delphes lui don
Amphitrion, pour le combattre, emprunta de son ami Céphale, un chien appelé Lelax auquel nul animal ne pouvoit échapper, et u
crivit à Hercule des entreprises extraordinaires et périlleuses qu’on appelle les douze travaux d’Hercule dont voici le détail 
ciel dont ses épaules étoient chargées. Il sépara les deux montagnes appelées depuis les Colonnes d’Hercule. Il vainquit Erix à
un grand effet au théâtre, surtout dans un opéra. Il y eut une femme appelée aussi Admète, elle étoit fille d’Euristhée, elle
tions. Laomédon fils d’Ilus Roi de Troye, épousa Strimo, que d’autres appellent Thoosa, il en eut plusieurs fils entre autres Pri
le lui rendit le royaume de son père. Hésione eut de Télamon, un fils appelé Teucer. Hercule, eut la plus tendre amitié pour l
du fleuve Thermodon, elles étoient originaires |de la Scythie. On les appela d’abord Acropates, c’est-à-dire, ennemies et alté
nymphe Cyrène fille d’Hyséus, il eut d’elle Aristée, dans la contrée appelée depuis Cyrène, du nom de la Nymphe. Apollon confi
et la plus noire, et néanmoins on est universellement convenu de les appeler de riantes fictions ; et trouver le contraire est
x, Hellé, effrayée, chancela, tomba et se noya dans cet endroit qu’on appela depuis l’Hellespont. Phrixus, arrivé dans la Colc
. Les Princes qui s’engagèrent dans l’expédition de la Toison d’or, s’ appelèrent Argonautes15, du nom du navire appelé Argo sur le
dition de la Toison d’or, s’appelèrent Argonautes15, du nom du navire appelé Argo sur lequel ils s’embarquèrent. Ce vaisseau f
éduire la Magicienne Médée, fille du Roi Aëtès et d’Idya que d’autres appellent Hécate. Ce fut par le moyen de l’oiseau d’amour n
de la Grèce, Castor, par l’art de conduire les chevaux, ce qui le fit appeler dompteur de chevaux ; Pollux, par l’art de lutter
éides. Pour avoir ainsi passé par les flammes, le jeune Prince qui, s’ appela d’abord Higyron, fut surnommé Pyrisoüs. Il eut po
e grecque et grand-prêtre d’Apollon et il enleva à Achille sa captive appelée Hipodamie et surnommée Briséïs du nom de son père
chilléïde, mais la mort l’empêcha de l’achever. Une île du Pont-Euxin appelée Leuce, fut surnommée Achillée parce qu’on y rendo
ea en mémoire d’Achille, à qui l’on y rendoit des honneurs divins. On appela Achilléenes, des fêtes célébrées dans la Laconie
Oreste. Pâris. On a déjà vu que Priam, fils de Laomédon, s’ appela d’abord Podarcès, qu’il fut emmené captif en Grèc
e touchante sensibilité ne pouvoir s’allier à la férocité de ce qu’on appelle les mœurs des temps héroïques. La sensibilité dan
trie. Aussitôt que Pâris fut né, Priam ordonna à un de ses officiers, appelé Archéloüs, de le faire mourir ; Archéloüs, par l’
s temps de ce mariage furent heureux, les deux époux eurent une fille appelée Hermione. Après son enlèvement Hélène éprouva les
la main. Creüse sa femme le suivoit, elle disparut tout-à-coup, il l’ appela et la chercha vainement ; peu de temps après il e
qui fournit une assez grande étendue, et bâtit une citadelle qui fut appelée birsa cuir de bœuf : Didon qui avoit refusé d’épo
éleva comme ses propres enfans, c’est delà que ces deux Princes sont appelés Atrides, et fils d’Atrée quoiqu’ils ne fussent qu
qui fut mère de Pylade. Atrée, outre Plisthènes, eut encore un frère appelé Thieste. Atrée épousa Erope fille d’Euristhée Roi
on eut une violente dispute avec Achille au sujet d’une belle esclave appelée Briséis qu’il lui avoit enlevée et qu’il fut obli
Tecmesse sa captive, fille du Phrygien Téleuthas, dont il eut un fils appelé Eurysacès, ce mot veut dire large bouclier ; Ajax
ts grecs qui signifient j’ai vu le soleil, d’où la montagne fut aussi appelée ldalie, elle étoit dans l’isle de Chipre et consa
Pirène, il alla se réfugier chez Proclus roi d’Argos, dont la femme, appelée Sthénobée ou Antée, conçut pour lui une passion c
ine de Mars, parce que ce fut, dit-on, en ce lieu que Mars, ayant été appelé en jugement devant douze Dieux, fut renvoyé absou
rpèse, s’il remportoit la victoire, se précipita dans un fleuve qu’on appela depuis Evène. Alyattes. Alyattes étoit pèr
. B. Rousseau. La Calomnie. La Calomnie fut personnifiée par Appelles d’une manière un peu compliquée, mais ingénieuse.
e corne la vertu de produire ce qu’elles desireroient. C’est ce qu’on appelle la Corne d’abondance. 12. Cette tragédie prend s
t célèbre par les écoles de philosophie qui s’y tinrent et qui furent appelés Académies du nom d’Académus. 24. Nom qu’on donno
bations sur le tombeau d’Agamemnon. 29. C’est dans cette pièce qu’on appelle la sépulture dans une terre étrangère, une étern
t de la nature. 58. André Alciat de Milan, professeur en droit, fut appelé en France par François I. Pour se délasser de ses
11 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
rroit se trouver dans un sujet dénué des graces de la Fable, que l’on appelle communément les graces de la poésie ? Qu’Enée et
l’existence élémens immobiles. Dans ce chaos (ainsi par nos aïeux Fut appelé ce désordre odieux) En pleine paix sur son trône
éesse de la terre, et la mère de tous les dieux ; c’est pourquoi on l’ appelle la grande mère. On lui attribue la fécondité de t
tinguées. Jupiter. Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit appelé le Père des Dieux et des Hommes. Il fut élevé sec
 : elle leur produisoit tout ce qu’elles vouloient. C’est ce que l’on appelle la corne d’Abondance. Aussi-tôt que Jupiter fut e
, et mère de Castor, de Pollux, d’Hélène et de Clytemnestre, que l’on appelle souvent les Tyndarides : Satyre, aigle, serpent,
n le changea en ours avec Calysto. Jupiter les plaça au ciel : on les appelle la grande Ourse, et Boote, ou la petite Ourse. Al
lacée entre la Thessalie et la Macédoine ; de-là vient que les poëtes appellent le Ciel, l’Olympe, quand ils le considèrent comme
nouvelles, la changea en arc, et la plaça au ciel : c’est ce que nous appelons l’Arc-en~ciel, et quelquefois l’Iris. Apollon.
Phaéton, et le précipite dans le Pô, fleuve d’Italie, que les Poëtes appellent communément l’Eridan. Climène auroit dû prévenir
que toutes ces montagnes sont consacrées à Apollon et aux Muses. On l’ appelle encore le sacré Vallon, et on dit que les poëtes
rs plus doux concerts. Lamotte. Elles inspirent les poëtes que l’on appelle les nourrissons des Muses, ou leurs favoris, et l
’est en vain qu’aujourd’hui des chants mélodieux         Sur la scène appellent les graces ; Si la danse n’amuse et ne charme les
ts différens ; ce qui lui a fait donner le nom de triple Hécate. On l’ appelle la Lune ou Phébé dans le ciel ; Diane sur la terr
té : Dans son air, dans son port, tout est divinité. Rousseau. On l’ appelle ordinairement la chaste Diane, parce qu’elle ne v
tomne, avec une licence qui alloit jusqu’à la fureur. Ses prêtresses, appelées Bacchantes, bu Ménades, couroient alors sur les m
uite une baguette où étoient deux serpens entrelacés ; c’est ce qu’on appelle un Caducée : il est le symbole de la paix et de l
e sous deux rapports : ou comme la déesse de la guerre, et alors on l’ appelle Pallas ; ou comme la déesse de la sagesse et des
Pallas ; ou comme la déesse de la sagesse et des beaux arts, et on l’ appelle alors Minerve :                         O Minerv
eprésenté armé de toutes pièces, et ne respirant que le carnage. On l’ appelle souvent le dieu de la Thrace, soit parce que les
ms des principaux habitans de l’Olympe se retrouvent dans ce que l’on appelle le ciel céleste poétique. On a même emprunté de l
du monde. Il est environné de cinq autres petites planètes, que l’on appelle ses Satellites. Jupiter décrit son cercle en douz
bèle, et frère de Jupiter, reçut en partage l’empire des eaux, et fut appelé le Dieu de la mer. Cibèle, pour tromper Saturne q
es ; et les Oréades, celles des montagnes. L’Océan eut encore un fils appelé Prothée, qui conduisoit les troupeaux de Neptune 
n représente les Vents sous la figure de jeunes enfans aîlés ; on les appelle les fils ou les sujets d’Eole. Les Syrènes, fille
fois on lui donne pour sceptre un bident. Son royaume est communément appelé le séjour des ombres ou des morts : Là, règne en
ux est orné de vipères. Rousseau. En arrivant aux enfers, les ames, appelées communément Ombres ou Mânes, trouvoient Caron, vi
int que les fourmis de son royaume fussent changées en hommes, et les appela Myrmidons : ils suivirent Achille au siège de Tro
nes illusions sortoient par la seconde. Le Silence, que les Egyptiens appellent Harpocrate, et les Grecs Sigallion, est une divin
de Jupiter et de la Nécessité, étoit la déesse de la vengeance. On l’ appelle aussi Adrastée. Elle punit ou récompense, selon l
er de la flûte. Les Arcadiens l’honoroient particulièrement ; et on l’ appelle presque toujours le dieu de l’Arcadie. Il est rep
es poëtes confondent assez souvent Sylvain et Faune avec Pan ; et ils appellent indifféremment Satyres, Faunes ou Sylvains, toute
ont Atlas est fort élevé, soit parce qu’il y eut un célèbre astronome appelé Atlas. Du sang de Méduse naquit le cheval Pégase,
former cette espèce de tache blanche que l’on voit au ciel, et qu’on appelle la voie lactée. Quoiqu’il en soit, ce héros n’en
quels elle espéroit de le voir périr : on en compte douze principaux, appelés communément les travaux d’Hercule ; nom que l’on
furieux tous les étrangers qui abordoient dans ses Etats : le second, appelé Busiris, étoit roi d’Egypte, fils de Neptune et d
ue l’on disoit, soit parce qu’il étoit maître de trois isles que nous appelons aujourd’hui Majorque, Minorque et Evisse, soit pa
spé rides. Ces douze travaux heureusement terminés, Hercule, que l’on appelle souvent Alcide, parcourut l’univers pour le purge
remière est dans l’Andalousie, et la seconde sur la côte d’Afrique, s’ appellent les Colonnes d’Hercule. Ce héros, voulant les fai
au labyrinthe, et les mains vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle les dieux. Lamotte. Le Minotaure étoit renfermé
r tué le Minotaure. Ce labyrinte est célèbre parmi les poëtes : ils l’ appellent souvent le Dédale, du nom de celui qui l’avoit bâ
je, sur les aîles Dont Dédale fut possesseur, Voler aux lieux où tu m’ appelles , Et de tes chansons immortelles Partager l’aimabl
Ils courent ; tout son corps n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; j’ appelle  ; et, me tendant la main, Il ouvre un œil mourant
ts, mères d’une armée, En étoient les affreux remparts. Lamotte. On appelle ces héros les Argonautes, soit parce que le vaiss
dans un chemin fort étroit, Thèbes étoit alors désolée par un monstre appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme, le corps d
us deux rois. A ces conditions vous daignâtes souscrire. Le sort vous appela le premier à l’empire : Vous montâtes au trône ;
Calisto. Il fut changé en ours, et placé au ciel : c’est ce que nous appelions la petite Ourse. Térée, roi de Thrace, fut métamo
Plisthène, fils d’Atrée, fut père d’Agamemnon et de Ménélas, que l’on appelle souvent les Atrides, du nom de leur aïeul. O ma
r. Lamotte. Apollon le fit vivre trois cens ans ; ce que les poëtes appellent trois âges d’hommes ; et, quand ils offrent à que
partie de la Phrygie la plus voisine du Bosphore de Thrace, que nous appelons le détroit de Constantinople. Le premier roi qui
; Ganimède, Assaracus, et Ilus qui lui succéda, et voulut que Troie s’ appelât Ilion. Ilus eut pour successeur Laomédon, père de
par une vaine espérance, et plus encore par les discours d’un fourbe appelé Sinon, que les Grecs avoient laissé sur le rivage
r : de-là vient que, pour désigner un ouvrage fort long à finir, on l’ appelle l’ouvrage de Pénélope. On regarde cette reine com
cien des dieux, 19 — Leur assigne des places, 19-87-88 Ciel, il est appelé l’Olympe, 57 — On y place les dieux du premier o
Persécuté par Junon, 38-88 — Ses douze travaux, 132-133-134 — On l’ appelle Alcide, 134 — Il joint la Méditerranée à l’Océan
side, 55 Homè r e , comparé à Amphion, 13 — En quel sens on peut l’ appeler le père des dieux, 12 — Ses poëmes, 51 Honneurs
président aux sciences, aux beaux-arts, et à la poésie, 51 — On les appelle chastes Sœurs, 46 Muses, on les appelle Neuf Sœu
et à la poésie, 51 — On les appelle chastes Sœurs, 46 Muses, on les appelle Neuf Sœurs, 50 — —      Filles de Mémoire, 47 —
n ils ont contribué à étendre et à perfectionner la Fable, 12 — Sont appelés Favoris et Nourrissons des Muses, 44 — Montent l
tué par Apollon, 46 Pithonisse, prêtresse d’Apollon ; pourquoi on l’ appelle ainsi, ibid. Q Quenouille des Parques, 108
ars, 85 Renommée, son emploi ; comment on la représente, 117 — On l’ appelle Déesse ou Nymphe aux cent voix, 25 Rhadamanthe,
12 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
des Romains. Introduction. Origine de la mythologie. On appelle mythologie l’ensemble des fables ou croyances err
emier signifie fable et le second discours. Le culte des faux dieux s’ appelle idolâtrie1. Il faut, avant tout, chercher à conna
mpruntés : 1º à l’histoire du monde, à la création : cette histoire s’ appelle cosmogonie ; 2º à la théologie ou science des cho
’histoire réelle des hommes ; 5º à l’histoire de l’âme humaine, qu’on appelle psychologie ; 6º à la politique et à la morale. L
rsonnage allégorique, car il n’existe nulle part un être vivant qu’on appelle l’Innocence : la fable ne donne à ces sortes de p
mêmes une divinité toute-puissante, mais aveugle et inflexible. Ils l’ appelèrent le Destin, et lui donnèrent pour père le Chaos et
ne, l’un des Titans, était fils du Ciel et de la Terre, que les Grecs appelaient Uranus et Titéa. Uranus dérobait tous ses enfants
talie, dans la province gouvernée par le roi Janus, et qui fut depuis appelée Latium en mémoire de cet événement. Latium est fo
itua à Rome des fêtes en l’honneur de Saturne, et, de son nom, on les appela Saturnales. Pendant ces fêtes, dont notre carnava
la chèvre Amalthée et nourri par deux nymphes, Adrastée et Ida, qu’on appelle Mélisses, ce qui signifie mouches à miel. On voit
t montagnes sur montagnes, Ossa sur Pélion. Jupiter, dans son effroi, appela à son aide tous les dieux et toutes les déesses.
Cette race nouvelle se ressentit de sa dure origine. Cet événement s’ appelle le déluge de Deucalion. Nous n’avons pas besoin d
évérait sous le nom d’Ammon, la Grèce sous celui de Zeus ; l’Égypte l’ appelait Osiris. Son culte surpassait en magnificence celu
u soleil qui dessèche les marais et assainit la terre. Apollon, qu’on appelle aussi Phébus, était le plus beau des immortels ;
n, où le dieu rendait des oracles par la bouche de sa prêtresse qu’on appelait la Pythie ou Pythonisse. La Pythie s’asseyait sur
nomme Phébé2, et elle conduit le char de la lune ; sur la terre on l’ appelle Diane, et elle préside à la chasse ; aux enfers o
n bélier à la toison d’or, à l’aide duquel ils passèrent la mer qui s’ appelle l’Hellespont, du nom d’Hellé. C’est ce bélier qui
èbres par leur amitié fraternelle autant que par leur courage. On les appelle tantôt Dioscures ou fils de Jupiter, tantôt Tynda
igestion faisaient travailler son cerveau. Voulant le dégager, il fit appeler Vulcain, et lui ordonna de lui assener sur la têt
ent que la déesse l’avait emporté sur Neptune. Minerve, que les Grecs appellent Athéné, donna son nom à la ville de Cécrops, qui
erve ? — Ne prit-elle point part à la guerre des Géants ? — Comment s’ appelait le bouclier de Minerve ? — Qu’est-ce que Méduse ?
punit-elle pas Tirésias ? — Qu’est-ce que les Panathénées ? — Comment appelle-t -on le temple que les Athéniens consacrèrent à Min
beaucoup de pierres carrées surmontées d’une tête de Mercure : on les appelait des Hermès. Les Égyptiens vénéraient un de leurs
qui la possédait. Jugement de Pâris. Tous les dieux avaient été appelés aux noces de Pélée, roi d’Égine, avec Thétis, fil
il passa dans la Grèce et dans l’Italie. Les prêtres de Cybèle, qu’on appelle Galles, Curètes, Corybantes, Dactyles ou Idéens,
nt demeurés impénétrables. On célébrait en son honneur d’autres fêtes appelées Thesmophories. Cérès est représentée tenant une f
mais perdus. Culte et images de Bacchus Les fêtes de Bacchus s’ appelaient Bacchanales, et étaient le signal de tous les exc
éniens instituèrent des fêtes en son honneur ; c’étaient des courses, appelées Lampadophories, dans lesquelles les coureurs se p
une. Naissance et exploits de Neptune. Neptune, que les Grecs appellent Poseidon, est fils de Saturne et de Rhéa ; il reç
la Grèce entière à l’isthme de Corinthe. Chez les Romains ces fêtes s’ appelaient Consuales10. On immolait à ce dieu le cheval et l
nsformé sous le nom de Palémon en une divinité marine que les Romains appelèrent Portumnus, et qui protége l’entrée des vaisseaux
vents et des tempêtes, régnait sur les îles de la mer de Sicile qu’on appelait Vulcanies, et qui prirent de leur roi le nom d’Éo
tres assiégent l’entrée de ce fatal séjour. Ce vestibule de l’Enfer s’ appelle l’Averne. De là un chemin ténébreux conduit à l’A
trêve ni repos. L’Enfer était traversé par cinq fleuves. Le premier s’ appelait l’Achéron ; c’est le fleuve des Angoisses l’Achér
ois de l’île de Crète. La sagesse de son gouvernement et son équité l’ appelèrent après sa mort, aux fonctions de juge des Enfers.
ation de la guerre, fait double emploi avec le dieu Mars. Les Grecs l’ appelaient Ényo : on la fait tantôt sœur et tantôt femme de
goutte de son lait traça dans le ciel cette longue zone blanche qu’on appelle la voie lactée. Pendant qu’Alcmène portait Hercul
s. Ainsi mourut Hercule, sur le mont Œta. Après ce sacrifice, Jupiter appela son fils dans l’Olympe, l’admit à la table des di
retour de Thésée, du crime qu’il n’avait pas voulu commettre. Thésée appela sur son fils la colère de Neptune. Le dieu des me
héros. Jason fit équiper un vaisseau, qui reçut le nom d’Argo 14, et appela tous les guerriers de la Grèce à partager les pér
s d’Hippomédon, s’armèrent pour venger l’échec de leurs pères. On les appela Épigones ou descendants. Cette fois, Tirésias pré
cesseraient de poursuivre le sang d’Œdipe, et ils prirent le parti d’ appeler au trône une autre famille. Questionnaire.
ù il est maintenant, pour mettre un terme à cette fantasmagorie qu’un appelle la vie de l’humanité. Alors il prendra la forme d
vis par les Walkyries. Le Valhalla Le paradis des Scandinaves s’ appelle Valhalla : les héros admis dans ce séjour y retro
intact, toujours renaissant, pour satisfaire leur appétit. L’enfer s’ appelle Nifflein, lieu de ténèbre et de douleur, traversé
13 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
artage-t-on les Dieux ? R. Nous les partageons en deux classes ; nous appelons ceux de la et première les Dieux suprêmes, autrem
Janus, la Terre et la Lune. Les Dieux compris dans la seconde classe, appelés par les Latins Dii minorum Gentium, n’avoient pas
iel, ils étoient regardés comme des Divinités bourgeoises : Ovide les appelle de plebe Deos. Pan, Pomone, Flore, Palès, et les
l’existence élémens immobiles. Dans le cahos (ainsi par nos ayeux Fut appelé ce désordre odieux) En pleine paix sur son trône
us, roi du pays Latin, le reçut avec bonté. Cette contrée fut ensuite appelée le Latium, du mot latin Latere, parce qu’elle avo
es ; il leur apprit à fumer les terres ; et le temps de son règne fut appelé Age d’or. Voici la description de cet Age heureux
nt nomme-t-on les trois Ages qui suivirent le Siècle d’or ? R. On les appelle l’Age d’argent, l’Age d’airain, et l’Age de fer.
e est regardée comme la mère de plusieurs Dieux ; c’est pourquoi ou l’ appelle la Grande-mère, Magna mater. On la nommait encore
e nom un feu perpétuel, dont le soin étoit confié à de jeunes Vierges appelées Vestales. Ce feu se renouveloit tous les ans avec
a manière de célébrer les Fêtes de Cybèle ? R. Les Prêtres de Cybèle, appelés Corybantes, célébroient les Fêtes du premier de c
ce, avec la vertu de produire ce quelles désireroient. C’est ce qu’on appelle la corne d’abondance. D. Comment représente-t-on
ollon, la connoissance de la musique ; Mercure, l’éloquence ; et on l’ appela Pandore, nom composé de deux mots grecs, qui sign
bons services, la changea en arc et la plaça au ciel ; c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-ciel, et quelquefois l’Iris. Apollon.
es Muses, avec lesquelles il habite le Mont sacré : cette demeure est appelée le Parnasse, l’Hélicon, le Piérus ou le Pinde, pa
que toutes ces montagnes sont consacrées à Apollon et aux Muses. Ou l’ appelle encore le sacré Vallon. Ce Vallon est arrosé par
ts différens ; ce qui lui a fait donner le nom de Triple Hécate. On l’ appelle la Lune ou Phébé dans le ciel ; Diane sur la terr
vec une troupe de Nymphes qu’elle occupoit toujours à la chasse. On l’ appelle la chaste Diane, parce qu’elle ne voulut jamais s
utomne avec une licence qui alloit jusqu’à la fureur. Ces Prêtresses, appelées Bacchantes, couraient alors sur les montagnes, et
Pallas ; ou comme la Déesse de la sagesse et des beaux-arts, et on l’ appelle Minerve :                 O Minerve savante !   
rues. Numa en institua douze, auxquels il donna de petits boucliers, appelés Ancilles. Neptune, et autres divinités des eau
eptune, fils de Saturne et de Cybèle, avoit l’empire des Eaux, et fut appelé le Dieu de la Mer. Amphitrite. D. Quelle fu
bène sur la tête, et des clefs à la main. Son royaume est communément appelé le royaume des Ombres et des Morts. Juges des
Parques. D. Qu’étoient les Parques ? R. Les Parques, quelquefois appelées les Sœurs filandières, étoient trois, Clotho, Lac
ans. Le Phlégéton ne rouloit que des flammes liquides. Le Léthé étoit appelé le Fleuve d’oubli, parce que ses eaux faisoient o
slatrice, parce qu’elle avait donné des lois aux Athéniens. Enfin, on appela ces Fêtes Ambarvalies, mot qui signifie faire le
ur figure étoit conservée dans l’endroit le plus secret de la maison, appelé Lararium. Les uns présidoient aux royaumes et aux
ravaux aussi difficiles que dangereux. On en compte douze principaux, appelés communément les travaux d’Hercule. Les voici : 1.
et opéra la jonction de l’Océan avec la Méditerranée. Ces montagnes s’ appellent les Colonnes d’Hercule. Ce héros voulant les fair
au labyrinthe et les mains vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle les Dieux. (Lamotte.) D. De qui Thésée fut-il ai
ce Labyrinthe ? R. Ce Labyrinthe est célèbre parmi les poëtes ; ils l’ appellent souvent le Dédale, du nom de celui qui l’avoit bâ
sement auprès de Thésée son mari. Le père furieux chassa son fils, et appela toute la colère de Neptune contre lui : Et toi,
courent ; tout son corps n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; je l’ appelle , et me tendant la main, Il ouvre un œil mourant q
Grèce à réunir leurs efforts aux siens pour enlever cette Toison. On appelle ces Héros les Argonautes, soit parce que le vaiss
ion populaire. Dans ce même temps Thèbes étoit désolée par un monstre appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme, le corps d
ictoire ne se déclarant pour aucun des deux partis, les deux frères s’ appelèrent à un combat singulier : ils paraissent au milieu
14 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ses, on changeait souvent les noms des personnes déifiées, Osiris fut appelé Sérapis, Dionysius, Pluton, Jupiter, Pan ; de mêm
llis de ses couleurs les plus brillantes et les plus séduisantes : on appela ces histoires fabuleuses du nom de mythologie, mo
t Mysraïm lui-même, fils de Cham, qui, après la mort de son père, fut appelé Zoroastre, c’est-à-dire astre vivant, parce qu’il
. Les Arabes lui offraient chaque jour de l’encens, des parfums, et l’ appelaient Adonée ; les Mohabites, Beelphegor ; les Perses,
us les peuples de ce vaste continent adoraient le soleil. Les Incas s’ appelaient ses fils, comme les héros grecs se disaient les f
t leurs dieux sans les connaître et sans leur donner de noms. Ils les appelaient les dieux, et les regardaient comme les maîtres d
monies de la religion avec beaucoup de sagesse. Il fut le premier qui appela Jupiter le dieu suprême, le très-haut. Il défendi
le premier. Dans le second ordre étaient compris les dieux qu’ Ovide appelait le peuple dieu . Ils se nommaient, dieux moindre
nt. La contrée soumise à Janus prit son nom de cette aventure, et fut appelée Latium, nom qui vient du mot latere, cacher. En m
pratiquait pendant ce mois en l’honneur des morts. Le mois de Mars s’ appelait ainsi du dieu Mars, dont Romulus prétendait desce
tium, que la montagne qui fut par la suite nommée le mont Capitolin s’ appelait Saturnin ; et nous trouvons dans Denys d’Halicarn
de différentes montagnes où on lui rendait un culte particulier. On l’ appelait aussi Ops et Tellus, parce qu’elle présidait à la
donné à cause de l’île de Crète, où ils avaient élevé Jupiter. On les appelait aussi Dactyle, d’un mot grec qui veut dire doigts
e, ni comment elle fut reconnue par son père, roi de Phrygie, et on l’ appela Cybèle, du nom de la montagne sur laquelle elle a
ommé Dicté ; deux nymphes du pays, nommées Adrastée et Ida, autrement appelées les Mélisses, prirent soin de son enfance, et le
nt Ossa sur le mont Pélion. Jupiter, effrayé à la vue de ses ennemis, appela tous les dieux et toutes les déesses à son secour
ces, étant plus grands et plus robustes que les autres hommes, furent appelés Géans ; et depuis ce temps on a souvent confondu
oiqu’il faille bien les distinguer. Uranus, selon les anciens, ne fut appelé de ce nom que parce qu’il s’appliquait beaucoup à
re, il épousa sa sœur, nommée Junon par les Romains, et que les Grecs appelaient Héra ou la maîtresse. On donnait aussi le nom de
on, le très-grand. Homère lui donne le nom de Jupiter roi . Virgile l’ appelle le tout-puissant . Aux ides de juin, les Romains
omains célébraient sa fête sous le titre de Jupiter invincible ; on l’ appelait Stator, parce qu’il avait arrêté l’armée des Roma
ient Héra, la maîtresse, ou Mégalè, la grande. Chez les Romains, on l’ appelait Juno, de Juvans, secourable (nom commun entre ell
dans l’autre, ou bien avec un fouet et un sceptre. Pendant les fêtes appelées Lupercales, les femmes désiraient être frappées a
illante des planètes. Atlas eut sept filles très-célèbres, qui furent appelées Atlantides, mais dont les véritables noms étaient
s vint s’établir dans l’Occident ; et c’est d’après lui que les Grecs appelèrent Hespéries toutes les régions occidentales de la G
céron dit que le Soleil et la lune sont deux, divinités, dont l’une s’ appelle Apollon, et l’autre Diane. Plutarque dit la même
l les parcourt tous pendant le courant de l’année ; ce qui les a fait appeler les douze maisons du soleil. Mars, signe du Béli
la statue de la déesse, et vinrent la déposer en Italie, où elle fut appelée Phazelis, parce qu’ils la cachèrent dans un fagot
ent. On voit encore sur le mont Latmus une espèce de caverne que l’on appelle toujours la grotte d’Endymion. Le char du soleil
été sauvés des eaux. Bacchus fut élevé dans l’Arabie sur une montagne appelée Nisa ; c’est dans le même pays que Moïse a passé
par Mercure son messager, dans Nisa, ville située près d’une montagne appelée Méros, mot qui signifie cuisse. Cette fable n’a p
surnom de Pallas n’était pas le seul que l’on donnait à Minerve. On l’ appelait Parthenia, parce qu’elle était vierge ; Cæsia, à
a. Quelquefois on la nommait Hippia, cavalière. Les fêtes de Minerve, appelées Quinquatria, se célébraient à Rome au mois d’avri
lle de Phorcys et de Céto ; elle était sœur de Mars, et les anciens l’ appelaient le plus ordinairement Duelliona. Les poëtes la pe
lus belliqueux du monde, le nom de dieu de la guerre ; le même Odin s’ appelait souvent Mars Hyperboréen. Le quatrième Mars était
témérité lui coûta la vie. Neptune, désespéré de la mort de son fils, appela Mars en jugement. Les plus braves Athéniens s’éta
e vient-il aussi du mot hébreu Arists, fort et terrible. Les Latins l’ appelaient Gradivus pendant la paix, et Quirinus pendant la
ets que la poésie veut produire, lorsqu’elle s’abandonne à ce qu’elle appelle son génie. Elle peut orner, agrandir même un évén
s amours, une terrestre, qui présidait aux mariages, et une troisième appelée Aversative, qui éloignait les passions criminelle
avait été changée en étoiles, et placée dans le ciel. Cette fable fit appeler chevelure de Bérénice une étoile nouvellement déc
(Fig. 26.) La plus parfaite et la plus belle de ses statues est celle appelée de Médicis ; on l’attribue au célèbre Phidias. Un
iaient autant que ses fables et les lieux où elle était honorée. On l’ appelait Uranie, ou Céleste, lorsqu’on la confondait avec
ait boiteux. Après sa retraite ou son exil dans l’île de Lemnos, on l’ appela Lemnius. La fable lui attribue les ouvrages les p
ed dans l’île de Lemnos, située près de celles nommées Liparos, qui s’ appelèrent d’abord Vulcanies, et ensuite Éolies. Ces îles, r
Polyphème était fils de Neptune et d’une fille du géant Titye, qui s’ appelait Europe, comme la sœur de Cadmus enlevée par Jupit
hènes ; celles adossées à l’Amour, se nommaient Hermérotes, etc. On l’ appelait Mercure, de mercatura, négoce, parce qu’il y prés
u, selon quelques poëtes, parce qu’il eut trois filles d’Hécate. On l’ appelait Cyllenius, du nom de la montagne de Cyllène, sur
tatues, dans ces cas, n’avaient ni pieds ni mains : c’est ce que nous appelons des bustes. Mercure fut l’inventeur des poids et
ntagnes se nommaient Oréades, et celles qui commandaient sur la mer s’ appelaient Néréides, du nom de leur père. La plus illustre d
. Quelques auteurs disent que Protée fut un des magiciens que Pharaon appela lorsque Moïse fit ses miracles à la sortie d’Égyp
rins. Le nom d’Ino fut changé en celui de Leucothoé, et Mélicerte fut appelé Palémon. On le peignait avec une clef à la main d
t et mouraient, se nommaient Hamadryades. Les nymphes des montagnes s’ appelaient Oréades, et celles de la mer portaient toutes le
ns ce nombre immense, on en comptait douze du premier ordre, que l’on appelait Consentes. Ils différaient des douze grands dieux
héa, Diane, ou Cybèle. Parmi les différentes fêtes de la Terre, celle appelée la fête de la bonne déesse était si célèbre, que
ons mélodieux, en coupa quelques-uns, et en composa sa flûte, qui fut appelée Syrinx. La nymphe Pithys fut plus sensible à la t
son attachement et sa fidélité. Lorsqu’un enfant quittait l’ornement appelé bulla, on le déposait aux pieds des dieux domesti
cause de tous les maux. Les femmes avaient aussi leurs génies, qui s’ appelaient Junones. On ne croyait pas la puissance de ces gé
les bords de ce lac. Des ouvriers amenaient une barque, et le pilote, appelé Caron par les Égyptiens, s’apprêtait à la gouvern
t toujours une pièce de monnaie sous la langue du mort. Cette pièce s’ appelait naulage ; celle des rois était ordinairement d’or
s par des dogues. L’enfer avait cinq fleuves principaux. Le premier s’ appelait l’Achéron. Il fut repoussé dans les enfers, parce
les anciens plaçaient ordinairement ce séjour délicieux dans les îles appelées aujourd’hui Canaries. Il est probable que la trad
ge. Des dieux de la médecine. Le nom d’Esculape, que les Grecs appelaient Asclépios, paraît étranger, et semble tiré des la
dit les honneurs divins. On le plaça dans le ciel ; il forme le signe appelé le Serpentaire. Ses descendans régnèrent dans une
15 (1866) Dictionnaire de mythologie
Quelles énigmes ! Quelle nuit profonde ! Dans son embarras, elle nous appelle à son aide, et, notre dictionnaire en main, attaq
le peuple en courant derrière elle. — Courage ! mes braves Parisiens, appelez -la Minerve,” répondais-je en courant avec eux. Hé
it un temple fameux. Des hauteurs du Liban, coulait un ruisseau qu’on appelait Adonis et qui roulait du sang, disait-on, pendant
mer de l’orge et du froment, et faire des plantations d’arbres qu’ils appelaient les Jardins d’Adonis. Les Assyriens l’honoraient
bœuf gras, et rester bons chrétiens comme ils sont. Ariane. On appelle ainsi une femme abandonnée par son amant. Voici d
ent ils en ont changé les inflexions et ont substitué un ordre qu’ils appellent grammatical à l’ordre logique, qui est celui de l
ntrer par raisons physiques et philosophiques l’absurdité de ce qu’il appelait un conte, il prenait les croyants à partie et les
i fait, Cerbère ne laissa pas d’être un geôlier assez présentable. On appelle de nos jours Cerbères les gardiens ou gardiennes
fant perdu sans ressource. « Elle salue la mère (c’est Métanira qu’on appelait la bonne femme), elle ne dédaigne pas de poser se
’enlèvement. A Athènes, de longues processions en l’honneur de Cérès, appelées Thesmophories, étaient conduites par un chœur de
ensif. Les deux sœurs du détroit ont perdu jusqu’à leur nom. Scylla s’ appelle La Rema, et Charybde, Calofaro. De leur prestige
n : Magister artis, ingenique largitor, venter. Celui que Rabelais appelle révérencieusement Messer Gaster, comme qui dirait
la personne du dieu Manduce, le patron des goinfres, ou, comme il les appelle lui-même, des gastrolâtres : « C’estoyt une effig
dale, celle qui est restée la plus fameuse, c’est le jardin de Crète, appelé Labyrinthe ou Dédale, du nom de l’inventeur. On d
ervé vos goûts impurs et la violence sauvage de vos instincts. On les appelle faunes, on les appelle satyres, et ils sont les b
t la violence sauvage de vos instincts. On les appelle faunes, on les appelle satyres, et ils sont les biens nommés. Fourche
d’idoles, répandaient du vin à table en l’honneur de ces idoles. Ils appelaient cela faire des libations. « Donc, suivez bien mon
chnie. Voilà une des mille infirmités de cette langue à part que nous appelons poétique, et qui pour le peuple n’est que du grim
. Et cependant le lynx n’est pas un animal fabuleux : il existe, il s’ appelle loup cervier ; on le trouve en Russie, en Sibérie
s clairvoyant des animaux ; la taupe est presque aveugle. Virgile l’ appelle  : oculis captus (privée du regard). » Cette note
ur existence étaient attachés des êtres surnaturels ou démons, qu’ils appelaient génies. Ces génies naissaient avec les hommes, vi
collègues, qui elle-même va s’éteignant tous les jours. Walter Scott appelle un schérif le Rhadamanthe du quartier. Voltaire
’honore plus du nom d’Uranie les dames qui se mêlent d’écrire. Il les appelle insolemment bas bleus. Les journaux de province,
onorable loisir, au culte paisible des Muses. Tout recueil poétique s’ appelait Abeille du Parnasse, ou Jardin du Parnasse, ou Co
front le souffle vivifiant de leurs ailes. Ils leur parlent, ils les appellent leurs sœurs, leurs fées bienfaisantes ; ils les i
provisa ainsi un peuple en quelques instants. Ces nouveaux Éginètes s’ appelèrent Myrmidons, d’un mot grec qui veut dire fourmi. N
oins haut que vous la tête sur cette terre où nous rampons : vous les appelez nains, avortons, pygmées, liliputiens, myrmidons,
chez d’être plus charitables. Mythologie. Les novateurs qu’on a appelés , Dieu sait pourquoi, romantiques, ont porté hardi
Les premiers passent pour plus ridicules, je ne sais pourquoi. On les appelle beaux Narcisses, on les crible de traits qu’ils n
ur eux quelquefois que ses rebuts. En public ils le flattaient, ils l’ appelaient Mécène, — et Midas en secret, pour se venger. Si
et les Palladium avec elles. Je me souviens du temps où les journaux appelaient la charte le Palladium de nos libertés. Où est la
ots, avec Pélée, un simple mortel, c’est l’empire que les hommes sont appelés à exercer sur la mer. L’Europe et l’Asie-se dispu
ins du forgeron divin, que les dieux l’ornèrent de tous les dons et l’ appelèrent Pandore, c’est-à-dire la Bien Douée. Jupiter lui
face. — Il roule la tête la première, l’âne lui détache une ruade. Il appelle ses compagnons, il crie : Miséricorde ! — Et Saty
et laisseront périr de froid à leurs portes d’autres Chinois, qu’ils appelleront leurs compatriotes et leurs frères, dans leurs ac
adoxe, sans esprit de parti, qui nient absolument ce que notre siècle appelle le progrès. Ils comparent le travail de l’humanit
descendants en profitent. Tente d’Achille. Lorsque Achille eut appelé Agamemnon chien d’ivrogne , il rentra dans sa te
un grand rôle dans le mobilier de la diseuse de bonne aventure, qui s’ appelait Pythie ou Pythonisse. C’est la première table tou
e a inspiré au vieil Eschyle une trilogie. (C’est ainsi que les Grecs appelaient une action développée en trois drames.) On avait
16 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
œurs, et civilisa les hommes presque sauvages. Son heureux siècle est appelé l’Age d’or. Rome lui éleva un temple et lui consa
celui de l’Univers. Blin de Sainmore. Comme père de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le Soleil. Palais du Soleil.
ent en Arcadie, sur les monts Lycée et Ménale. En célébrant ses fêtes appelées Lupercales, on lui offrait du lait, du miel et du
usa d’assortir,           Et qui ne savent auprès d’elles           L’ appeler ni le retenir. Jeune épouse, veux-tu dans le nœud
devint si profond dans tous les secrets de l’art de guérir, qu’il fut appelé le Dieu de la Médecine. Jupiter le foudroya, pour
Doit, de votre repas, marquer le dernier acte, Au secours du dessert appelez tous les arts ; Sur-tout celui qui brille au quar
aussi personnifié de la même manière. On le figurait encore en Femme, appelée alors Muta ou Tacita chez les Latins, que Mercure
ieux,           Que par le murmure amoureux           De l’onde qui l’ appelle encore.    On y trouve ces mots gravés sur un ro
vaut les autres sans doute.    Sur ses progrès l’aimable nourrisson Appelle ici l’œil de la bienveillance ; Voyez, amis, dans
Vois-tu, dès qu’elle arrive en sa magnificence, Et, d’un regard muet, appelle l’abondance, Vois-tu l’argent et l’or joncher tou
indiscrétion de la regarder au bain. La biche lui est consacrée. On l’ appelle Diane sur la Terre, Phébé dans le Ciel, (Voy. Nui
paraît : ton cœur palpite, Tes pas volent devant ses pas : Quand tu l’ appelles dans tes bras, L’amour vers toi la précipite. Un
sacs et de pratique, Hurle tous les matins une Sybille étique ; On l’ appelle Chicane ; et ce monstre odieux Jamais pour l’équi
Ciel par cette Déesse en récompense de ses services : c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-Ciel. La Reine des Dieux l’aimait beauco
97. Astrée ou l’Age d’or, Fille de Jupiter et de Thémis. On appelle l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse des
ste opulence, Ce ne sont pas les bois, les palais de la France ? Tu l’ appelles sans cesse aux échos étrangers, Tu comptes ses co
Motte 101. Muses, Filles de Jupiter et de Mnémosyne. On les appelle les neuf Sœurs. Clio préside à l’Histoire et embo
d’après le nom du séjour qu’elles habitaient. Les Nymphes de la mer s’ appelaient Néréides ; celles des fleuves, des rivières et de
es ! Pour s’écrouler, ces murs attendent tes regards : L’or de Rome t’ appelle . Et toi, rival de Mars, Invincible Pompée ! Où do
s fois De son triple gosier pousse une triple voix. La déesse de loin appelle les Furies, Déités que les pleurs n’ont jamais at
Colchide avec les héros Thessaliens, jaloux de partager sa gloire. On appelle ces braves, les Argonautes, du nom de leur vaisse
leur ; Que mes cris jusqu’au Ciel puissent se faire entendre ; Qu’ils appellent la foudre et la fassent descendre : Qu’il réveill
es ! Que de gémissemens ! que de cris douloureux ! « Oreste ! » Qui m’ appelle en ce séjour affreux ! Égiste ? Ah ! c’en est tro
orsure. Les cruels !… de Chrysa vers les bords Phrygiens, La victoire appelait leurs vaisseaux et les miens. Nous touchons à Lem
à ses ordres fidelle, S’arme et court, plein d’ardeur, où la gloire l’ appelle . Tout son corps est caché sous un rempart d’airai
ntes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’ appelle  ; et me tendant la main, Il ouvre un œil mourant,
ne sais si mon cœur se flatte en mon amour, Mais peut-être le Ciel m’ appelait à sa cour. Son malheur est le mien ; ma fortune e
lots ; l’humide Souverain Du trident redoutable a désarmé sa main. Il appelle Triton au dos couvert d’écaille, Triton qui, sur
jamais monté sur le char de son père ! Qu’il voudrait de Mérops être appelé le fils ! Il se trouble, semblable au pilote indé
es fondues ; De ses bras, mais en vain, il frappe encor les nues : Il appelle son père, et tombe au fond des mers Fameuses par
Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare, où te trouver ? Il appelle à grands cris Icare, et sur les eaux voit flatter
t vous dont les conseils guident ma destinée ; Votre voix m’a souvent appelé chez les morts. De Cume en ce moment ma flotte vo
r leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs mains embarrassées Appellent , mais en vain, un secours fraternel : Sur leurs y
t t’ai-je perdu, dit-elle ? Cher Pyrame, réponds ; c’est Thisbé qui t’ appelle .    L’amant, à ce doux nom, soulève avec effort
mourrai ; mais ma haine vivra. Tu vas fonder le trône où le destin t’ appelle , Et moi je te déclare une guerre immortelle…. Él
sujets. Chassée par eux, elle se réfugia sur un promontoire d’Italie, appelé de son nom, le Cap Circéen, et y bâtit un palais
Monde. C’est du nom de cet époux si chéri, si pleuré, qu’on a depuis appelé Mausolées, les magnifiques tombeaux élevés à la g
t hors d’haleine Entre dans son palais, où règne un sombre deuil ; Il appelle Andromaque, il la cherche de l’œil : Andromaque e
il traverse Pergame, Revoit la porte Scée, on la rouvre : sa femme L’ appelle , et de la tour, descendant à grands pas, L’arrête
dit-elle, en se frappant le sein ? L’ingrat, il m’a laissée, et je l’ appelle en vain. Que devenir ? soudain les tymbales bruya
it lui donner la loi. Pollux.    Vois dans les Cieux la gloire qui t’ appelle . Castor.    J’immole au seul plaisir qui m’appro
uchant sa Lyre, et charmant son veuvage, Tendre épouse ! c’est toi qu’ appelait son amour, Toi qu’il pleurait la nuit, toi qu’il
i. Elle dit, et soudain dans les airs s’évapore.    Orphée en vain l’ appelle , en vain la suit encore, Il n’embrasse qu’une omb
ensanglantent leurs dents. Ils cherchent Actéon : comme absent, ils l’ appellent  : De moment en moment leurs cris se renouvellent.
examine La place où de mes pas la trace se termine. Il s’arrête, il m’ appelle . Une froide sueur Coule de tout mon corps, transi
e ses gémissemens, Et ses cheveux épars sont le jouet des vents. Elle appelle à grands cris l’objet de sa tendresse ; Dans des
urg, dit Jupin, je veux punir les fautes ; Suivez-nous. Toi, Mercure, appelle les vapeurs. O gens durs ! vous n’ouvrez vos logi
! Troie où pour mon malheur les Dieux m’ont envoyé ? Vous que ma voix appelle à cette dernière heure, Recevez mes adieux ; il e
du tombeau ! Mais c’est peu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton fils la mort ou les douleurs ; Le lait, l
suis ? Est-ce que tu me fuis ! on répond, tu me fuis. Surpris d’être appelé lorsque lui seul appelle : Joignons-nous, reprend
fuis ! on répond, tu me fuis. Surpris d’être appelé lorsque lui seul appelle  : Joignons-nous, reprend-il ; joignons-nous, redi
les bois erre encor sans repos. Sa voix répond encore à la voix qui l’ appelle , Mais ce n’est plus qu’un son qui vit encore en e
baines, de laurier courez ceindre vos têtes ; Latone sur mes pas vous appelle à ses fêtes. On se rend dans le temple : et déjà
la changea en arbre. Au moment de sa métamorphose, Dryope eut soin d’ appeler sa sœur Iole, et de lui remettre son fils, qui, s
un double sommet, ce qui l’a fait nommer aussi le Double-Mont. L’un, appelé Nisa, était consacré à Bacchus ; l’autre, à Apoll
s airs en humide fumée, Et des arbres voisins humecte les sommets. On appelle Tempé ce vallon toujours frais. Là, s’ouvre dans
es plaisirs ; De vifs roucoulemens exprimaient ses desirs. Ses accens appelaient une compagne tendre ; Il s’envole, il revient ; l
son de sa musette ; Ainsi Pan, par son souffle animant le haut-bois, Appelle les Sylvains et les Nymphes des bois. Tel, sur le
argentés. Hermite, de Maillane 233. Champs Olympiques. Ainsi appelés d’Olympie, ville de l’Elide. On y célébrait tous
ie, Et dit au Temps : exécute mes lois244. Nature. La Fable l’ appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la Fille de
x et des mœurs. Je n’y rentre jamais sans transports d’allégresse ; J’ appelle mes enfans, ils viennent m’entourer. Au plus jeun
ds ramènera l’amour. Demain ! combien de fois ses plaintes amoureuses Appellent de la nuit les heures paresseuses ! La nuit vient
hyle, Plaute, Euripide et Ménandre, Tous aux mêmes honneurs vous êtes appelés  ; De la Parque vainqueurs, vos noms doivent s’éte
Pauvreté, Fille du Luxe et de l’Oisiveté ou de la Paresse. On l’ appelait aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux Arts. E
foule idolâtre              Mêler d’indécentes clameurs. L’honneur t’ appelle à Rome ou dans le sein d’Athène. Là, ton premier
rien : mon ame impatiente, Des rapides coursiers accusant la lenteur, Appelait , implorait ce lieu cher à mon cœur. Je le vis ; j
 Homme immortel, salut ! jamais ma lyre sainte              N’osera t’ appeler mortel              Des cieux en un jour solennel
17 (1800) Cours de mythologie pp. -360
œurs, et civilisa les hommes presque sauvages. Son heureux siècle est appelé l’Age d’or. Rome lui éleva un temple et lui consa
ère ; Enrichis les bons seulement. 14 Comme père de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le Soleil. Palais du Soleil.
ent en Arcadie, sur les monts Lycée et Ménale. En célébrant ses Fêtes appelées Lupercales, on lui offroit du lait, du miel et du
ir,                 Et qui ne savent auprès d’elles                 L’ appeler ni le retenir. Jeune épouse, veux-tu dans le nœud
devint si profond dans tous les secrets de l’art de guérir, qu’il fut appelé le Dieu de la Médecine. Jupiter le foudroya, pour
aussi personnifié de la même manière. On le figuroit encore en Femme, appelée alors Muta ou Tacita chez les Latins, que Mercure
es lieux,         Que par le murmure amoureux         De l’onde qui l’ appelle encore. On y trouve ces mots gravés sur un roche
Vois-tu, dès qu’elle arrive en sa magnificence, Et, d’un regard muet, appelle l’abondance, Vois-tu l’argent et l’or joncher tou
ndiscrétion de la regarder au bain. La biche lui est consacrée. On l’ appelle Diane sur la Terre, Phébé dans le Ciel, (Voy. Nui
paroît : ton cœur palpite, Tes pas volent devant ses pas : Quand tu l’ appelles dans tes bras, L’amour vers toi la précipite. Un
sacs et de pratique, Hurle tous les matins une Sybille étique ; On l’ appelle Chicane ; et ce monstre odieux Jamais pour l’équi
Ciel par cette Déesse en récompense de ses services : c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-Ciel. La Reine des Dieux l’aimoit beauco
Astrée ou l’Age d’or, Fille de Jupiter et de Thémis. On appelle l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse des
ste opulence, Ce ne sont pas les bois, les palais de la France ? Tu l’ appelles sans cesse aux échos étrangers, Tu comptes ses co
yolle 99. Muses, Filles de Jupiter et de Mnémosyne. On les appelle les neuf Sœurs. Clio préside à l’Histoire et embo
es ! Pour s’écrouler, ces murs attendent tes regards : L’or de Rome t’ appelle . Et toi, rival de Mars, Invincible Pompée ! Où do
De son triple gosier pousse une triple voix, L’Enfer s’ouvre : Junon appelle les Furies. Ces exécrables Sœurs, d’elle, hélas !
Colchide avec les héros Thessaliens, jaloux de partager sa gloire. On appelle ces braves, les Argonautes, du nom de leur vaisse
leur ; Que mes cris jusqu’au Ciel puissent se faire entendre ; Qu’ils appellent la foudre et la fassent descendre : Qu’il réveill
es ! Que de gémissemens ! que de cris douloureux ! « Oreste ! » Qui m’ appelle en ce séjour affreux ! Egiste ? Ah ! c’en est tro
ntes Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’ appelle  ; et me tendant la main, Il ouvre un œil mourant,
jamais monté sur le char de son père ! Qu’il voudroit de Mérops être appelé le fils ! Il se trouble, semblable au pilote indé
t vous dont les conseils guident ma destinée ; Votre voix m’a souvent appelé chez les morts. De Cume en ce moment ma flotte vo
r leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs mains embarrassées Appellent , mais envain, un secours fraternel : Sur leurs ye
t’ai-je perdu, dit-elle ! « Cher Pyrame, réponds : c’est Thisbé qui t’ appelle . »     L’amant, à ce doux nom, soulève avec effo
mourrai ; mais ma haine vivra. Tu vas fonder le trône où le destin t’ appelle , Et moi je te déclare une guerre immortelle…. El
sujets. Chassée par eux, elle se réfugia sur un promontoire d’Italie, appelé de son nom, le Cap Circéen, et y bâtit un palais
Monde. C’est du nom de cet époux si chéri, si pleuré, qu’on a depuis appelé Mausolées, les magnifiques tombeaux élevés à la g
t hors d’haleine Entre dans son palais, où règne un sombre deuil ; Il appelle Andromaque, il la cherche de l’œil : Andromaque e
il traverse Pergame, Revoit la porte Scée, on la r’ouvre : sa femme L’ appelle , et de la tour, descendant à grands pas, L’arrête
dit-elle, en se frappant le sein ? L’ingrat, il m’a laissée, et je l’ appelle envain. Que devenir ? soudain les tymbales bruyan
doit lui donner la loi. POLLUX. Vois dans les Cieux la gloire qui t’ appelle . Castor . J’immole au seul plaisir qui m’approc
i. Elle dit, et soudain dans les airs s’évapore.     Orphée envain l’ appelle , envain la suit encore, Il n’embrasse qu’une ombr
bus resserroit l’ombre et brûlait la verdure, Actéon, hors d’haleine, appelle à haute voix Ses compagnons épars dans les détour
ensanglantent leurs dents. Ils cherchent Actéon : comme absent, ils l’ appellent  ; De moment en moment leurs cris se renouvellent.
moi d’un outrage. La Déesse, à ces mots, me couvre d’un nuage. Alphée appelle envain : interdit et confus, Il vient, passe, rev
e ses gèmissemens, Et ses cheveux épars sont le jouet des vents. Elle appelle à grands cris l’objet de sa tendresse ; Dans des
urg, dit Jupin, je veux punir les fautes ; Suivez-nous. Toi, Mercure, appelle les vapeurs. O gens durs ! vous n’ouvrez vos logi
! Troie où pour mon malheur les Dieux m’ont envoyé ? Vous que ma voix appelle à cette dernière heure, Recevez mes adieux ; il e
du tombeau ! Mais c’est peu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton fils la mort ou les douleurs ; Le lait, l
uis ? Est-ce que tu me fuis ? On répond : Tu me fuis. Surpris d’être appelé lorsque lui seul appelle ; Joignons-nous, reprend
uis ? On répond : Tu me fuis. Surpris d’être appelé lorsque lui seul appelle  ; Joignons-nous, reprend-il : Joignons-nous, lui
les bois erre encor sans repos ; Elle écoute, répond à la voix qui l’ appelle , Mais ce n’est plus qu’un son qui vit encore en e
ez-moi ; de lauriers couronnez votre tête ; Latone, sur mer pas, vous appelle à sa fête. On court, on obéit ; et déjà, sur l’a
la changea en arbre. Au moment de sa métamorphose, Dryope eut soin d’ appeler sa sœur Iole, et de lui remettre son fils, qui, s
i l’ombrage à mes yeux. Son fils, pressant le sein de sa mère chérie, Appelle envain des sucs dont la source est tarie. Quel sp
un double sommet, ce qui l’a fait nommer aussi le Double-Mont. L’un, appelé Nisa, étoit consacré à Bacchus ; l’autre, à Apoll
s airs en humide fumée, Et des arbres voisins humecte les sommets. On appelle Tempé ce Vallon toujours frais. Là s’ouvre dans l
son de sa musette ; Ainsi Pan, par son souffle animant le haut-bois, Appelle les Sylvains et les Nymphes des bois. Tel, sur le
s argentés. Hermite, de Maillane 244. Champs Olympiques. Ainsi appelés d’Olympie, ville de l’Elide. On y célébroit tous
ie, Et dit au Temps : exécute mes lois257. Nature. La Fable l’ appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la Fille de
x et des mœurs. Je n’y rentre jamais sans transports d’allégresse ; J’ appelle mes enfans, ils viennent m’entourer. Au plus jeun
hyle, Plaute, Euripide et Ménandre, Tous aux mêmes honneurs vous êtes appelés  ; De la Parque vainqueurs, vos noms doivent s’éte
dans mon cœur Habiter avec la Nature ! Du fond de mon obscurité Je t’ appelle sans imposture, J’ignore la cupidité. Ah ! si dan
               Elle est chancelante, imbécille ; Dans l’âge où tout t’ appelle à des plaisirs divers, Vil esclave des sens, elle
ule idolâtre                 Mêler d’indécentes clameurs. L’honneur t’ appelle à Rome ou dans le sein d’Athène. Là, ton premier
Homme immortel, salut ! jamais ma lyre sainte              N’osera t’ appeler mortel              Des cieux en un jour solemnel
18 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
atre-vingts ans avant Jésus-Christ. Il s’établit dans le pays qui fut appelé Péloponèse. Il fit creuser un lit au fleuve Amphi
s historiques, commencent au rétablissement des olympiades. Les temps appelés inconnus, par Varron, l’étaient effectivement par
répandirent leurs colonies dans la partie de l’Asie Mineure, qui fut appelée Ionie ; les colonies éoliennes se firent à peu pr
partie de la Béotie, fit bâtir une citadelle qui, d’après son nom, s’ appela Cadmée ; et ce fut là qu’il établit le siége de s
e après sa mort, et donna son nom à la péninsule qui, depuis lui, fut appelée Péloponèse. Sa domination s’étendit beaucoup plus
eut rapporter à cette date ce qu’il y a de remarquable dans les temps appelés fabuleux ou héroïques : fabuleux, par les fables
emps sont enveloppées ; héroïques, à cause de ceux que les poëtes ont appelés les enfans des dieux et des héros. Leur vie n’est
du mot grec héra, que portait Junon. L’un des fils de cette déesse s’ appelait héro, et son nom fut consacré pour désigner les h
ervait à peindre un volcan placé sur l’une des montagnes. Un proverbe appelait lettres de Bellérophon celles qui contenaient que
gouttes échappées de sa bouche blanchirent la partie du ciel que l’on appela depuis la voie lactée. (Amas immense d’étoiles qu
es petites îles ; Alcméon les habita, et s’y fit un asile. Ces îles s’ appelaient Eschinades. La fable, pour peindre leur origine,
ses passions l’entraînaient au point d’oublier le soin de sa gloire. Appelé en Lydie pour combattre un serpent qui désolait l
ns les flots. La partie de la mer où elle se noya fut depuis ce temps appelée l’Hellespont. Telle est l’histoire dont les poëte
les yeux fixés sur les campagnes de Troie, sur ces lieux où la gloire appelait à grands cris les princes qui n’avaient pas été d
lla dans la Libye consulter Jupiter Ammon, le prêtre, en le voyant, l’ appela fils de Jupiter : c’était le seul but de son voya
la fable, mêlée avec l’histoire, nous apprend sur cette Sibylle. On l’ appelait Déiphobe. Elle était fille de Glaucus et prêtress
e faisaient dans le cirque dédié à Neptune ou au Soleil. Les seconds, appelés agonales, étaient des luttes ou des combats entre
des jeux se nommaient Hellanodiques, ou juges des Grecs. Jamais on n’ appelait de leurs décisions. Ils n’étaient d’abord que deu
porté (selon les annales islandaises), et qui passa à ses descendans, appelés de son nom Scioldungiens, Odin, plus satisfait de
ains ; selon le rapport de Tacite . L’ancienne mythologie islandaise appelait Dieu l’auteur de tout ce qui existe, l’éternel, l
ouvait veiller à toutes les parties de l’univers ; ils crurent devoir appeler à son secours des esprits, des génies, des divini
sus qu’était fondée la vénération qu’ils avaient pour la terre. Ils l’ appelaient la terre mère, la mère des dieux. Les Phéniciens
ureux. Elle dispensait les plaisirs, le repos, les voluptés. L’Edda l’ appelle la plus favorable des déesses. Fréa partageait av
i donne un autre nom, qui a plus de rapport avec celui de Thor : il l’ appelle Taranis, nom qui, chez les Gallois, signifie enco
ne divinité subalterne, née de l’union d’Odin avec la Terre. L’Edda l’ appelle le plus vaillant des fils d’Odin ; et la massue d
sur son tronc, s’efforcent de le détruire : dans une source voisine, appelée la fontaine des choses passées, trois vierges pui
Il en naquit une meilleure, qui s’allia avec celle du géant Ymer. On appelait celle-ci la famille de Bor, du nom du premier de
s l’année. La première se célébrait au solstice d’hiver. Cette nuit s’ appelait la nuit mère, comme étant celle qui produisait to
pris pour les temples et le culte d’Odin, dieu des Scandinaves, qu’il appelle Loda. Ossian représente ces peuples invoquant leu
représente ces peuples invoquant leur dieu, autour d’une statue qu’il appelle la pierre du pouvoir. Il blâme ce culte, et le re
19 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
r chez leurs élèves. MYTHOLOGIE ÉPURÉE Notions préliminaires On appelle Mythologie la science qui apprend à connaître l’h
la première comprenait les Dieux suprêmes ou Dieux des nations, ainsi appelés parce que leur culte était honoré généralement et
s le nom de l’âge d’or. Les temps qui suivirent furent successivement appelés l’âge d’argent, l’âge d’airain, et l’âge de fer,
le, Déesse de la terre, est fille du Ciel et épouse de Saturne ; on l’ appelait aussi Rhée ou la bonne déesse, et encore Grand’mè
char traîné par quatre lions. Le pin lui était consacré. Ses prêtres, appelés Galles, Corybantes, Dactyles, l’honoraient en dan
du dans un seul toutes les aventures et toutes les attributions. On l’ appelait souvent Jupiter Olympien, parce qu’il tenait, dis
s empires. Elle était la protectrice du mariage ; c’est pourquoi on l’ appelait Pronuba ; elle présidait aussi à la naissance des
n vaste demi-cercle revêtu de brillantes couleurs : c’est ce que nous appelons l’arc-en-ciel. On représente Junon avec des trait
ms, comme elle avait trois fonctions et trois séjours distincts. On l’ appelait Hécate dans les enfers, la Lune 19 ou Phœbé au ci
me Déesse de la guerre ; et alors elle prend le nom de Bellone ; on l’ appelle aussi Pallas, du nom d’un des Titans qu’elle tua
aucune considération étrangère aux affaires dans lesquelles elle est appelée à prononcer ; un lion est couché à ses pieds. Jup
s hommes, alla habiter dans le ciel cette partie du Zodiaque que l’on appelle le signe de la Vierge. On lui avait dédié à Rome
pouvoir presque toute la presqu’île méridionale de la Grèce, qui fut appelée , du nom de son conquérant, le Péloponèse. Ce prin
e, il fit céder ses sentiments paternels à ses devoirs de général, et appela sa fille à son camp sous prétexte de la donner po
égorgeait cent animaux de la même espèce, et cette sorte d’offrande s’ appelait une hécatombe ; on nommait holocauste le sacrific
; l’Hellespontique, née à Marpèze, dans la Troade ; la Tiburne, qu’on appelait Albunée, et qui prophétisait à Tibur, aujourd’hui
Chapitres supplémentaires. Les sept merveilles du monde. On appelait ainsi sept monuments de l’antiquité qui semblaien
é en Égypte sous le nom de Jupiter Ammon, et l’on sait que l’Écriture appelle terre d’Ammon l’Égypte, où Cham alla fixer sa rés
cipité dans cette partie de mer qui, en souvenir de cet accident, fut appelée mer Icarienne. Quant à Dédale, il atteignit heure
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