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1 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
ommence à se lasser des Romulus, des Mutius Scévola, des Régulus, des Vénus , des Adonis, des Dianes, etc. Il reste encore mêm
ué les riantes fictions de la Mythologie ; mais nous avons tant vu de Vénus et d’Amours, que l’imagination a pris la multipli
res, ne rappellent que de déplorables aventures ; la rose consacrée à Vénus , est teinte du sang d’Adonis, de ce sang naquit a
es adorateurs de Vesta et de la chaste Diane, détestoient le culte de Vénus . Les sectateurs de Minerve méprisoient ceux de Ba
voir sans respect et sans attendrissement une Sœur de la Charité ? Vénus et Vulcain. Vénus, Déesse de la beauté, mè
attendrissement une Sœur de la Charité ? Vénus et Vulcain. Vénus , Déesse de la beauté, mère de l’Amour et des Grâc
portant cette inscription : à la plus belle. Les Dieux décidèrent que Vénus , Junon et Minerve pouvoient seules se la disputer
oisi pour juge des prétentions des trois Déesses. Il donna la pomme à Vénus . Anchise, prince troyen, épousa secrètement Vénus
Il donna la pomme à Vénus. Anchise, prince troyen, épousa secrètement Vénus  : ayant osé s’en vanter, Jupiter, pour le punir,
i ne l’écrasa pas, et ne fit que le blesser légèrement. De l’union de Vénus et d’Anchise naquit Enée. Après la prise de Troie
e l’union de Vénus et d’Anchise naquit Enée. Après la prise de Troie, Vénus déguisée en chasseresse, se laissa poursuivre par
naissables vus en face, mais seulement lorsqu’ils tournoient le clos. Vénus aima le Dieu Mars et Adonis. Ce dernier dut sa na
Mars et Adonis. Ce dernier dut sa naissance à une vengeance atroce de Vénus  : Cenchréïs, épouse de Cynire, roi de Chypre, s’é
épouse de Cynire, roi de Chypre, s’étant vantée d’être plus belle que Vénus , la Déesse, pour se venger, inspira à Myrrha, fil
mphes se chargèrent de son éducation. Il avoit une beauté ravissante. Vénus le présenta à Proserpine, qui voulut le garder ;
qu’Adonis resteroit la moitié de l’année aux Enfers, et le reste avec Vénus . Adonis étoit grand chasseur ; Mars, jaloux d’Ado
sseur ; Mars, jaloux d’Adonis, se métamorphosa en sanglier et le tua. Vénus changea son sang en anémone, de ce sang naquit la
unérailles. La plus belle des Déesses s’unit au plus laid des Dieux ; Vénus épousa Vulcain. Vénus étoit représentée avec l’Am
lle des Déesses s’unit au plus laid des Dieux ; Vénus épousa Vulcain. Vénus étoit représentée avec l’Amour et les Grâces, ent
oici pourquoi cet oiseau lui fut consacré. L’Amour un jour paria avec Vénus qu’il cueilleroit plus de fleurs qu’elle en une h
leurs qu’elle en une heure de temps. La Nymphe Péristère se joignit à Vénus , ce qui fit perdre à l’Amour sa gageure. L’Amour,
r sa gageure. L’Amour, en colère, métamorphosa la Nymphe en colombe ; Vénus voulut depuis que la colombe lui fût consacrée. V
uis que la colombe lui fût consacrée. Voici les principaux surnoms de Vénus  : Aphrodite (mot qui vient du grec et qui signifi
nom sous lequel les Perses et les Arméniens l’adoroient ; Artympasa, Vénus adorée par les Scythes ; Armata Venus ou Vénus ar
adoroient ; Artympasa, Vénus adorée par les Scythes ; Armata Venus ou Vénus armée. Les Lacédémoniens adoroient Vénus sous ce
es Scythes ; Armata Venus ou Vénus armée. Les Lacédémoniens adoroient Vénus sous ce nom, en mémoire de la victoire que les fe
mmes avoient remportée sur les Messéniens ; Nephté ou Nephti étoit la Vénus des Egyptiens ; Acidalie, nom qu’on donnoit à Vén
u Nephti étoit la Vénus des Egyptiens ; Acidalie, nom qu’on donnoit à Vénus lorsqu’on la considéroit comme la Déesse qui caus
âces alloient se baigner. L’atrocité et la barbarie des vengeances de Vénus la fit aussi surnommer Androphonos (homicide) et
Temple. Les Propétides, filles d’Amathonte, ayant nié la divinité de Vénus , la Déesse leur ôta toute pudeur ; elles périrent
pudeur ; elles périrent misérablement, et furent changées en rochers. Vénus se vengea en ce genre de Diomède qui la blessa à
la même raison. Les femmes de l’île de Lemnos négligèrent son culte, Vénus les punit d’une manière bizarre, et peut-être aus
jeux Néméens, jeux funèbres où les vainqueurs se couronnoient d’ache. Vénus , appelée encore Cypris, étoit surtout adorée à Pa
pre, à Amathonte, à Gnide, à Cythère. Le géant Typhon fut amoureux de Vénus , il la poursuivit un jour sur les bords de l’Euph
rate, mais deux poissons sortirent tout-à-coup de la mer et portèrent Vénus et l’Amour au-delà du fleuve. Ce Typhon étoit un
isibles et destructeurs. Les Latins nommoient aux osselets le coup de Vénus , le coup qui arrivoit quand toutes les faces des
du festin. C’est à ce sujet qu’ Horace dit, voyons au sort celui que Vénus établira roi de la table . Héro étoit une prêtres
elui que Vénus établira roi de la table . Héro étoit une prêtresse de Vénus  ; Léandre l’aima, il passoit à la nage l’Hellespo
ir, se précipita dans la mer. Le myrte et la rose étoient consacrés à Vénus . Il y avoit une autre Vénus, considérée comme la
. Le myrte et la rose étoient consacrés à Vénus. Il y avoit une autre Vénus , considérée comme la Déesse des plaisirs purs de
t de l’ame ; on l’appeloit Vénus Uranie, c’est-à-dire, Céleste. Cette Vénus eut peu d’autels et l’on n’institua point de fête
n’institua point de fêtes en son honneur. A la suite de l’histoire de Vénus , on croit devoir faire mention des beautés célèbr
de mettre en poudre quelques roses sèches, des couronnes consacrées à Vénus et de les appliquer sur son mal ; Aspasie suivit
urent recours à Vulcain, qui la délia à condition qu’on lui donneroit Vénus en mariage. Vulcain forgeoit les foudres de Jupit
ter et d’Eurinome, ou selon la plus commune opinion, de Bacchus et de Vénus , s’appeloient Thalle, Aglaé, Euphrosine. Leur cei
re donnoit à la beauté son charme le plus touchant, elle embellissoit Vénus même ; c’est ce qu’on appelle le ceste de Vénus.
nt, elle embellissoit Vénus même ; c’est ce qu’on appelle le ceste de Vénus . Etéocle, roi d’Orchomène, leur éleva le premier
sses de Céphise et d’Orchomène. Pitho, ou Suada, ou Suadela, fille de Vénus et Déesse de la persuasion, suivoit toujours les
 : c’est que le myrte et la rose sont consacrés aux Grâces ainsi qu’à Vénus , et que le dé désigne le penchant naturel que la
ur ou Cupidon, que les Grecs nommoient Éros, étoit fils de Mars et de Vénus . Il se fit d’abord un arc de frêne et des flèches
l s’envola et il abandonna Psyché qui se trouva livrée à la colère de Vénus , jalouse de sa beauté. Après avoir souffert beauc
un adolescent. Le myrte et les roses lui étoient consacrés ainsi qu’à Vénus et aux Grâces. Psyché est représentée avec des ai
; et à ceux de l’Amour ils unissoient toujours une autre divinité, ou Vénus ou les Grâces, etc. Dans Iphigénie en Aulide d’ E
fameux sous le nom de saut de Leucade. Phaon, jeune Lesbien, reçut de Vénus un vase rempli de parfums, ce qui le rendit le pl
qu’en venant s’asseoir sur la roche Leucadienne. On disoit aussi que Vénus , inconsolable de la mort d’Adonis, recourut à la
uns le font naître d’Uranie, d’autres d’Apollon et de Calliope, ou de Vénus et de Bacchus. Les attributs sont deux flambeaux
Le pays que Mars habita le plus souvent fut la Thrace. Il fut aimé de Vénus et de plusieurs nymphes. Les Grecs appeloient ce
our, pour engager Harpocrate à garder le silence sur les intrigues de Vénus , lui fit présent d’une belle rose, la première qu
eut un fils nommé Corythus. Entraîné depuis par la funeste faveur de Vénus , l’infidèle Pâris enleva Hélène et combattit au s
nnoncer le jour, dont sa mère ouvroit les portes. C’est la planète de Vénus lorsqu’elle paroît un peu avant l’aurore. On donn
rne, Cybèle, Jupiter, Junon, Cérès, Apollon, Diane, Bacchus, Mercure, Vénus , Neptune et Pluton. Les autres étoient appelés Di
2 (1823) Mythologie des dames
sage ; Chaque vertu devient une divinité ; Minerve est la prudence et Vénus la beauté. Ce n’est plus la vapeur qui produit le
Cet oiseau était Jupiter lui-même ; l’aigle qui le poursuivait était Vénus , qui avait consenti à servir les desseins du maît
trois déesses s’avancer dans le bosquet : c’était Junon, Minerve, et Vénus . « Nous venons vers toi, jeune berger, dit Junon,
-à-tour sur chacune d’elle : enfin, il offre-la pomme d’or à la belle Vénus . L’orgueilleuse Junon ne put se consoler de la pr
société se réunit un peu plus tard que de coutume. Déjà la planète de Vénus brillait sur l’horizon. Voici, dit Eugène, en la
eauté. C’est donc sous l’influence de Vesper que nous aller parler de Vénus . Vénus. Cette déesse naquit de l’écume de
est donc sous l’influence de Vesper que nous aller parler de Vénus. Vénus . Cette déesse naquit de l’écume de la mer,
ympe. Cette présentation à la cour céleste tut le premier triomphe de Vénus . L’admiration des dieux parut égale à la jalousie
eux le voyant verser le nectar furent saisis d’un rire inextinguible. Vénus obéit ; mais, infidèle à son époux, elle remplit
de du bruit de ses aventures amoureuses. Parmi les dieux favorisés de Vénus , Mars obtint le premier rang. Cupidon est regardé
tint le premier rang. Cupidon est regardé comme le fils de Mars et de Vénus  ; il eut pour frère Antéros ou le contre amour. C
e sa vie. Apollon, dieu de la lumière et des beaux arts, brûlait pour Vénus des mêmes feux que Mars. Ce dieu, qui connaissait
son épouse, et il donna ainsi un nouveau sujet de rire à ses dépens. Vénus ne put pardonner à Apollon cette indiscrétion off
s de cette haine, lorsque la malheureuse Phèdre s’écrie : O haine de Vénus  ! ô fatale colère ! Dans quels égarements vous je
our blessée, Vous mourûtes aux lieux où vous fûtes laissée !… Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable, Je péris la derni
et la plus misérable8. Mercure et Bacchus furent aussi favorisés de Vénus  : le premier la rendit mère d’Hermaphrodite, et l
palement adoré à Lampsaque. Neptune, dieu des mers, fut aussi aimé de Vénus . Nous avons eu déjà occasion de remarquer que les
l’Olympe. Quelque bien que l’on soit, l’on veut changer de place9. Vénus descendit plus d’une fois sur la terre. Un jour,
 : Tout ce qu’il vient de voir lui semble une ombre vaine. Il appelle Vénus , fait retentir les bois, Il n’entend qu’un écho q
cho qui répond à sa voix10. Adonis, inconsolable de l’éloignement de Vénus , cherchait à distraire ses douleurs par les exerc
urut d’une blessure qu’il reçut à la cuisse. Quelle fut la douleur de Vénus , lorsque à son retour elle vit étendu sur l’herbe
le peu de durée devait rappeler l’existence trop courte de l’amant de Vénus  : cette fleur est l’anémone. On dit que le sang q
tentir les airs de sons lugubres, pendant qu’on immolait un sanglier. Vénus assistait quelquefois à cette triste cérémonie. O
qu’on lui rendait ressemblait à celui du génie du mal. La douleur que Vénus ressentit de ce trépas ne lui ôta point son pench
mère avait obtenu sur la sienne dans le jugement de Pâris. Le fils de Vénus fut poussé par les tempêtes sur les côtes d’Afriq
e Destin, maître des dieux et des hommes, avait décidé que le fils de Vénus irait fonder la ville de Rome. Didon fut abandonn
ieurs fois dans les combats Énée fut sur le point de succomber ; mais Vénus , tantôt le dérobait dans une nue à la fureur de s
vers les aventures d’Énée. Les Romains, fiers de descendre du fils de Vénus , accueillirent l’Énéide avec les transports qu’in
vec les transports qu’inspirent les beaux vers et l’orgueil national. Vénus pria Vulcain de forger pour Énée un bouclier divi
it, même dans cette circonstance ; car personne ne pouvait résister à Vénus . Elle devait ce charme tout-puissant à une ceintu
ensiblement surprend l’esprit et le cœur des plus sensés11. » Un jour Vénus prêta complaisamment cette ceinture à Junon, et c
e Jupiter tous les feux des premiers jours de leur hymen. Le culte de Vénus était presque autant répandu que celui de Jupiter
son temple de Paphos. Cythère était aussi une des îles de la Grèce où Vénus se plaisait le plus à être honorée : c’est de cet
vé sur le mont Éryx, en Sicile, un temple magnifique, sous les-nom de Vénus érycine : les victimes y marchaient d’elles-mêmes
ché par les fleurs et les gazons qu’il faisait naître. Les temples de Vénus étaient fort nombreux à Rome. Dans l’un d’eux les
n spectacle curieux pour les philosophes. On sacrifiait quelquefois à Vénus des sangliers et des colombes. Les sages de l’ant
angliers et des colombes. Les sages de l’antiquité distinguèrent deux Vénus  ; c’étaient la Vénus populaire et la Vénus-Uranie
bes. Les sages de l’antiquité distinguèrent deux Vénus ; c’étaient la Vénus populaire et la Vénus-Uranie. Sous ce dernier nom
ions nobles, et l’amour du beau dans les arts. Ce fut Vénus-Uranie ou Vénus pudique que Praxitèle exposa à l’adoration des Gr
s Lacédémoniens adoraient aussi la déesse de la beauté sous le nom de Vénus armée. Soit que Vénus habitât l’Olympe ou qu’elle
ent aussi la déesse de la beauté sous le nom de Vénus armée. Soit que Vénus habitât l’Olympe ou qu’elle descendît sur la terr
rchomène. Elles avaient des statues dans les temples de Mercure et de Vénus , pour faire entendre que la beauté, et l’éloquenc
aient la déesse de la beauté, l’Amour se mêlait parmi elles. Rarement Vénus marchait sans son fils ; c’est de lui qu’il faut
qui lui prodiguent le nectar. Cet enfant gâté de l’Olympe est fils de Vénus et de Mars : c’est l’Amour que l’on appelle aussi
ait de tout l’éclat de la beauté. Les peuples en la voyant oubliaient Vénus et négligeaient ses autels ; et sa modestie ne pu
c crainte l’expression des tendres sentiments qu’elle faisait naître. Vénus , indignée de voir une faible mortelle usurper ses
nirs ! Mort, viens finir mes tourments… » Ce fut alors que la cruelle Vénus s’empara de Psyché, et lui fit éprouver tous les
laves de son père. Obéissant aux caprices impérieux de l’orgueilleuse Vénus , elle descendit dans les Enfers pour y chercher l
use de Cupidon fut la plus malheureuse des femmes… Enfin la colère de Vénus s’apaisa ; son fils, son aimable fils, obtint le
de l’histoire des dieux. L’Amour avait des autels dans les temples de Vénus , à Paphos, à Cythère, et quelquefois dans le temp
cheveux blonds tombent sur ses épaules : il est fils de Bacchus et de Vénus . Sa tête est souvent couronnée de fleurs, sur-tou
de Béotie ; A la constance près, en mérite complète, Plus belle que Vénus , et plus fine coquette. Apollon l’aima, malgré s
aphné : Phaéton fut le fruit de cet amour. Sa beauté le rendit cher à Vénus . Fier de ses avantages, il fut indigné d’entendre
a beauté un air de gravité qui ne permettait point qu’on la prît pour Vénus . A peine était-elle née, qu’elle s’arma d’un arc
lui enleva son épée et ne lui laissa que le fourreau ; un autre jour, Vénus le caressant et l’ayant mis sur ses genoux, il pr
d’avoir quelques aventures galantes. Nous avons vu qu’il fut aimé de Vénus , et qu’il la rendit mère d’Hermaphrodite, mot qui
jour que Minerve jouait de la flûte, qu’elle avait inventée, Junon et Vénus ne purent s’empêcher de rire du gonflement de ses
é de l’un et la fierté de l’autre. Nous avons vu que Mars fut aimé de Vénus , et que l’Amour et le contre Amour furent ses fil
lever du Soleil, qui avait dévoilé à Vulcain les amours de Mars et de Vénus . Mars fut aussi le père de Rémus et de Romulus, q
veille à notre conservation. » La planète la plus voisine de celle de Vénus était consacrée à Mars. Neuvième entretien.
e présents magnifiques. On dit que, le premier avril, jour consacré à Vénus , les jeunes Romaines, sur le point de se marier,
de raillerie : nous en avons vu plusieurs preuves dans l’histoire de Vénus dont il fut l’époux. Ce dieu fit de l’île de Lemn
istingue Hercule, Pirithoüs, Orphée, Bacchus, Ulysse, et Énée fils de Vénus . Énée est le dernier qui, vivant, ait vu le séjou
les idées les plus exactes sur ces contrées souterraines. Ce fils de Vénus , conduit par les Destins en Italie, où il devait
rameau d’or qui brillait sur un chêne de la forêt voisine. Le fils de Vénus vit ce rameau s’offrir de lui-même à sa main, et
éto, et Céléno. Ces monstres exhalaient une odeur infecte. Le fils de Vénus , effrayé à l’aspect de tant d’êtres affreux, tira
, écrasé sous le poids du mont Etna, l’Amour qui jouait alors près de Vénus , sur le mont Éryx, l’aperçut, et, par l’ordre de
asiphaé, fille d’Apollon. Cette princesse fut victime de la haine que Vénus avait vouée au dieu de la lumière, lorsqu’il dévo
illes, Phèdre et Ariane, connurent aussi les malheurs dont la cruelle Vénus est la cause. Minos tient dans les Enfers l’urne
frayer les oiseaux et à écarter les voleurs ; c’était Priape, fils de Vénus et de Bacchus. Ce dieu naquit à Lampsaque, ville
3 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
me Saturne, Cybèle, Jupiter, Junon, Apollon, Diane, Bacchus, Mercure, Vénus , Mars, Neptune, Amphitrite, Pluton, Proserpine, e
nt Pandore ; et, pour la rendre parfaite, chacun lui fit son présent. Vénus lui donna la beauté ; Pallas, la sagesse ; Mercur
d’or, sur le mont Ida, lorsqu’elle disputa le prix de la beauté avec Vénus et Pallas. Son ressentiment fut même une des caus
te, au gré de son zèle, Le fils enjoué de Sémèle Ou l’aveugle fils de Vénus  ; Et quelquefois dans les alarmes, Elle ose, pour
oids pavots, Impose aux yeux mortels ou ravit le repos. Lamotte. Vénus . Vénus, ou Cypris, est la déesse de la beauté.
s, Impose aux yeux mortels ou ravit le repos. Lamotte. Vénus. Vénus , ou Cypris, est la déesse de la beauté. Les poëte
in de la mer : Rendez à cette reine un éclatant hommage ;     Jamais Vénus , sortant du sein des mers, Ne fit voir à vos yeux
            De graces et d’attraits divers. Rousseau. Zéphire porta Vénus dans l’isle de Chypre, où les heures se chargèren
ompenser des services qu’il avoit rendus pendant la guerre des Géans. Vénus fut très-mécontente d’un choix qui lui donnoit po
its enfans aîlés, On raconte beaucoup de merveilles de la ceinture de Vénus  : c’étoit un tissu qui renfermoit toutes les grac
ement aimer la personne qui le portoit. Junon vint un -jour consulter Vénus sur les moyens qu’elle pourroit employer pour reg
moyens qu’elle pourroit employer pour regagner le cœur de Jupiter : Vénus lui donne alors sa divine ceinture, Ce chef-d’œuv
ature. ……………………………………………… ……………………………………………… En prenant ce tissu, que Vénus lui présente, Junon n’étoit que belle ; elle devi
 ; Les Graces et les Ris, les plaisirs et les Jeux Surpris, cherchent Vénus  ; doutent qui l’est des deux. Lamotte. Cette dé
uches infâmes. Les poëtes n’en parlent que rarement, et avec horreur. Vénus est ordinairement représentée sur un char traîné
dépendre ce droit de l’arrêt d’un berger. Lamotte. Junon, Pallas et Vénus se soumirent volontiers au Jugement de Pâris, fil
issu du sang des rois, Juge les trois beautés soumises à son choix : Vénus reçoit la pomme…………………… Lamotte. De sa grace e
, Aglaïe, Thalie et Euphrosine, étoient les compagnes inséparables de Vénus  : on dit qu’elles sont filles de Jupiter et de Vé
inséparables de Vénus : on dit qu’elles sont filles de Jupiter et de Vénus . Elles président à tous les arts de goût et d’agr
nouveaux. Lamotte. Cupidon. Cupidon ou l’Amour, étoit fils de Vénus et de Mars. On le représente sous la figure d’un
udir des maux qu’il avoit faits. Voltaire. Cupidon aima Psyché, que Vénus persécuta au point de la faire mourir de douleur.
sion de l’amour personnifiée, elle peut cependant convenir au fils de Vénus  : Sur les bords fortunés de l’antique Idalie, Li
ouloient faire présent aux héros qu’ils protégeoient. C’est à lui que Vénus s’adressoit pour faire forger les armes de Cupido
gine par ce trait de la fable, qui est de leur invention. Mars aimoit Vénus , avec laquelle Vulcain le surprit un jour, et l’e
Ces planètes sont au nombre de sept, Saturne. Jupiter, Mars, Mercure, Vénus , la Lune, et le Soleil. Saturne est le plus élevé
de quatre satellites. Mars y emploie deux ans ; Mercure, trois mois, Vénus , sept ; la Lune, vingt-sept jours, et à peu près
sous ses drapeaux, Lui serviront de gardes et de flambeaux. Mars, et Vénus , et Mercure son frère, Iront, comme eux, régir ch
en faire l’échanson des dieux, à la place d’Hébé. Les Poissons, dont Vénus et Cupidon prirent la forme pour se dérober à la
prix à la course, recevoient une couronne de fleurs. Priape, fils de Vénus et de Bacchus, étoit le dieu des jardins. On le r
e rendit immortel par mille exploits, et sur-tout en blessant Mars et Vénus . Il y avoit un autre Ajax, fils de Télamon, l’un
des Grecs. Enée, prince du sang royal, fils d’Anchise et de la déesse Vénus , échappa à la ruine de Troie, par les ordres et a
fonde l’Empire Romain ; et, après sa mort, il est enlevé au ciel par Vénus . On l’honoroit à Rome sous le nom de Jupiter Indi
4 Ammon, nom que les Egyptiens donnent à Jupiter, 36 Amour, fils de Vénus , 73-76. Voyez Cupidon. Amour fraternel, 147-148
éthée fut enchaîné, 31 Cecrops, fondateur d’Athènes, 81 Ceinture de Vénus , 73-74 Celæno, une des Harpies, 91 Centaure Chi
chille, 89 — Un des signes du Zodiaque, 89 Chypre, isle consacrée à Vénus , 74 Ciel, confondu dans le chaos, 16 — Le père
yte, fleuve des enfers, 104-105 Colchide, 88 Colombes, consacrées à Vénus , 74 Colonnes d’Hercule, 135 Colosse de Rhodes,
pouse de Jason, 155 Croissant de Diane, 57 Cupidon, 73-74 — Fils de Vénus et de Mars, 76 — Description de son temple, 77
Apollon, 40 Cygne, Jupiter en prend la forme, 34 Cygnes consacrés à Vénus , 74 Cygnus, ami de Phaéton, 44 Cypris, nom donn
onsacrés à Vénus, 74 Cygnus, ami de Phaéton, 44 Cypris, nom donné à Vénus , 72 Cyrianesse, punie par Junon, 39 Cyrrha, vil
Junon, 39 Cyrrha, ville de la Phocide, 46 Cythère, isle consacrée à Vénus , 74 Cythéron, mont célèbre, 71-162 D Danaé,
mens, de Médée, 153-154 — De Circé, 192 Endymion, 57 Enée, fils de Vénus , 73 — Sa piété envers les dieux, 126 — Sauve le
— Combattues par Persée, 128 — Leurs noms, ibid. Graces, filles de Vénus , 73 — Leurs noms, 75 Graces, elles sont l’emblè
Reprise par Pâris, ibid. Hespérides, 134 Heures, elles nourrissent Vénus , 72 Hibou, consacré à Pallas, 82 Hippocrène, 45
et métamorphosé en fleur, 41 Hydre de Lerne, 88-132 Hymen, fils de Vénus , 73 Hypermnestre, l’une des Danaïdes, sauve la v
— A quel titre-il est mis au rang des demi-dieux, 11 Jeux, enfans de Vénus , 73 Jeux Floraux, 113 — D’Echecs, 176. De Dés,
ns, 39 — Dispute le prix de la beauté, 75 — Emprunte la ceinture de Vénus , 73-74 — Effets de sa jalousie, 37-38 — — de sa
par Thésée, 143 Mnémosyne, mère des Muses, 49 Moineaux, consacré à Vénus , 74 Momus, fils du Sommeil et de la Nuit, 114 M
ù il étoit descendu pour enlever Proserpine, 145 Plaisirs, enfans de Vénus , 73 Planètes, 86-87 Platée, fille d’Asope, 37
ette saison, 113 — Fable qui désigne son retour, 94 Priape, fils de Vénus , 73 — Dieu des jardins, 113 — Comment on le rep
es, 93 — Il prédit le malheur de Phaéton, 42 Psyché, persécutée par Vénus , 76 — Comment on la représente, 77 Ptérélaüs, r
bre, 61 — Hélène s’y retire et y trouve la mort, 148 Ris, enfans de Vénus , 73 Rocher de Sisyphe, 102 Romains, comment ils
eulent le piller, 123 Temples d’Apollon, 46-47 — De Diane, 60 — De Vénus , 74 Ténare, 100. Voyez Tartare. Ténédos, île cé
ille énorme, 29 — ensevelis sous le motn Ethna, 30 Typhon fait fuir Vénus et Cupidon, 89 U Ulysse, fils de Laërte, ve
Vents, soumis à l’empire d’Eole, 93 — Comment on les représente, 94 Vénus , son origine, 72 — Emblème de la beauté, 14 Vén
s représente, 94 Vénus, son origine, 72 — Emblème de la beauté, 14 Vénus , emblème des qualités aimables, 13 — Elle est mi
uel culte on lui rendoit, ibid. — Comment on la représente, ibid. Vénus , planète, 86-87 Vérité, honorée comme une divini
-33 — Enchaîne Prométhée sur le mont Caucase, 31 — Surprend Mars et Vénus , 85 — Comment on le représente, 79 Z Zéphi
nt on le représente, 79 Z Zéphire, époux de Flore, 103 — Porte Vénus dans l’île de Cypre, 72 Zétus, fils de Jupiter e
4 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ta cinq autres dieux : Osiris, Isis, Typhon, Apollon, et Aphrodite ou Vénus . Ils ajoutaient qu’Osiris était le même que Bacch
fables. Le culte de Bacchus fut formé sur celui d’Osiris. La fable de Vénus et d’Adonis était originaire de Syrie ; le culte
ans les îles de la Grèce, par des vaisseaux étrangers : on publia que Vénus était sortie de l’écume de la mer. La nymphe Io,
ne, leur Bubaste ; Déméter, leur Isis ; Zeus ou Jupiter, leur Ammon ; Vénus ou Aphrodite, leur Astarté. Ces changemens furent
ain. Les six déesses étaient : Junon, Cérès, Minerve, Vesta, Diane et Vénus . La seconde classe était composée de huit divinit
elques étymologistes le tirent aussi du mot grec aphrodite, surnom de Vénus , à qui ce mois était particulièrement consacré. L
Apollon en corbeau, Bacchus en bouc, Diane en chatte, Junon en vache, Vénus en poisson, et Mercure en cygne ; c’est-à-dire qu
aïa, fille d’Atlas, Mercure ; de Latone, Apollon et Diane ; de Dioné, Vénus  ; de Métis ou la Providence, Minerve, déesse de l
unirent pour former une femme parfaite. Minerve lui donna la sagesse, Vénus la beauté, Apollon la connaissance de la musique,
ne et de Rhéa ; elle était sœur de Jupiter, de Neptune, de Pluton, de Vénus et de Cérès. Les Grecs la nommaient Héra, la maît
e firent cruellement sentir après que le berger Pâris lui eut préféré Vénus , lorsqu’il fut chargé de donner à la plus belle l
recourir à Vulcain, qui, pour récompense, exigea qu’on le mariât avec Vénus , la plus belle des déesses. Cette punition ne cor
chesses ; elle les offrit vainement à Pâris, pour qu’il la préférât à Vénus , et lui donnât la pomme. Elle présidait aussi aux
avales, on la voit sur une proue de vaisseau. Histoire et fable de Vénus . Emprunter à la vérité son pouvoir et son lan
ientôt leurs complices et s’empresseraient de lui dresser des autels. Vénus sort de l’écume de la mer ; une conque marine, vo
la porte, ajoute encore à sa puissance, à ses charmes. Telle était la Vénus des poëtes lorsqu’elle parut devant les dieux. La
s-nous à connaître ce que la mythologie nous apprend sur l’origine de Vénus . Hésiode dit qu’elle naquit de l’écume de la mer
s célèbre, la dit fille de Jupiter et de Dioné. Cicéron compte quatre Vénus  : la première, fille du Ciel et de la Lumière ; l
a variété d’opinions qui régnait parmi les anciens poëtes au sujet de Vénus . Parmi les modernes, l’illustre chevalier Newton
es modernes, l’illustre chevalier Newton paraît ne reconnaître qu’une Vénus . Il la nomme Calycopis : elle était fille d’Otreu
s l’île de Chypre et à Biblos ; il institua des fêtes en l’honneur de Vénus , que l’on nomma orgies ; et, pour veiller à son c
s sur lesquels l’illustre Newton se fonde pour donner cette origine à Vénus . Les fables et les récits des poëtes sur cette dé
ions. Il paraît certain que différens personnages ont porté le nom de Vénus  ; mais sa véritable origine se trouve dans la Phé
itable origine se trouve dans la Phénicie. Ce peuple oriental adorait Vénus , Uranie ou Céleste, c’est-à-dire la planète de ce
et l’amour du merveilleux leur fit publier que c’était parmi eux que Vénus avait paru pour la première fois. On la nomma Aph
vée par la mer. Le temple de Cythère était le plus ancien de ceux que Vénus avait dans la Grèce. L’histoire d’Astarté fut bie
’histoire d’Astarté fut bientôt confondue par les Grecs avec celle de Vénus . L’incertitude des faits historiques, l’impossibi
nt les matériaux dont ils se servirent pour former l’histoire de leur Vénus . La peinture et la sculpture, sœurs de la poésie,
de la poésie, se crurent le droit d’imiter ses écarts. On représenta Vénus comme la déesse des plaisirs ; On lui donna pour
é ; mais les plus profanés par la licence et le désordre. Le culte de Vénus variait à l’infini. Dans quelques lieux, on le bo
ellement découverte. Le mélange de l’histoire d’Astarté avec celle de Vénus , donna lieu à la fable d’Adonis. Il était fils de
fance. Élevé dans les bois, la chasse devint son plus grand plaisir ; Vénus l’y accompagnait, et, lorsqu’elle était forcée de
u’il ne fût blessé par les bêtes sauvages. Mars, jaloux des soins que Vénus accordait à ce beau jeune homme, suscita contre l
mort, il lui resta assez de force pour le déchirer avec ses défenses. Vénus accourut à son secours, mais vainement ; il était
es enfers et six mois sur la terre. On éleva des temples au favori de Vénus . Dans celui de Chypre, le plus magnifique de tous
. Nous n’essayerons pas de rapporter toutes les fables des poëtes sur Vénus  ; elles sont sans nombre, et nous avons déjà dit
artage de la médiocrité. Parmi les plus célèbres, celle du mariage de Vénus avec Vulcain, le plus difforme des dieux, signifi
rdre de Jupiter ; il met un prix à ce service ; il devient l’époux de Vénus . (Images de ces unions inégales, dans lesquelles
et ce peintre immortalise son nom, en animant une toile sur laquelle Vénus paraît avec tous ses charmes. Les regards attrist
e, croit l’entendre confirmer le jugement de Pâris, lorsqu’il donna à Vénus la pomme jetée par la Discorde, avec cette devise
s fables. Lorsqu’elle tient un globe dans sa main, elle représente la Vénus céleste, ou la planète de ce nom. La statue du cé
our désigner les richesses que produit le commerce de la mer. Lorsque Vénus parcourt la terre ou les cieux, son char est tiré
avec elle. Deux amours l’accompagnent. Un dessin de Béger représente Vénus placée sur un char traîné par deux lions ; un voi
e est fermée par un Satyre qui joue de la flûte. Le dessin représente Vénus victorieuse. L’histoire du saut de Leucate tient
énus victorieuse. L’histoire du saut de Leucate tient trop à celle de Vénus , pour ne pas la rapporter. Il y avait en Leucadie
se baignait dans ses eaux. La rose était particulièrement consacrée à Vénus , comme étant la plus belle des fleurs. La fable a
à raconter l’occasion qui lui fit consacrer les colombes. L’Amour et Vénus se trouvant ensemble dans un lieu couvert de fleu
u couvert de fleurs, Cupidon se vanta d’en cueillir plus que sa mère. Vénus accepta le défi ; mais l’Amour, en se servant de
leurs, allait remporter la victoire, lorsque la nymphe Péristère aida Vénus . L’Amour, piqué de sa défaite, changea la nymphe
du mot grec peristera qui signifie une colombe. Les surnoms donnés à Vénus variaient autant que ses fables et les lieux où e
s poëtes. Cicéron en admettait trois, parce qu’il reconnaissait trois Vénus . Hésiode n’en reconnaît qu’un seul, produit en mê
nions légitimes ; et l’autre, qu’ils nommaient Antéros, était fils de Vénus et de Mars ; il présidait aux passions. (Fig. 27.
eur culte, leurs temples et leurs autels se confondaient avec ceux de Vénus . Notes sur la manière de représenter Cupidon.
jet. Ce chef-d’œuvre nous rappelle que lorsque Apelles voulut peindre Vénus recevant la pomme destinée à la plus belle, pour
à chacune d’elles son trait le plus parfait, que le peintre forma sa Vénus . A peine eut-il achevé le chef-d’œuvre, que la mu
ynome ; mais l’opinion la plus commune est qu’elles étaient filles de Vénus et de Bacchus. Le nombre des Grâces est incertain
me un dé à jouer : le myrte et la rose, parce qu’ils sont consacrés à Vénus  ; le dé à jouer, parce que la jeunesse aime les j
honneur, mais le printemps leur était principalement consacré comme à Vénus . On trouvait que les fleurs rappelaient leur imag
forgé des entraves pour punir Junon, en consentant à son mariage avec Vénus , la plus belle des déesses. On lui donnait le sur
es faire mûrir ; Flore veillait à la naissance des fleurs. Minerve et Vénus étaient les cinquièmes. La première avait fait na
ape était aussi regardé comme dieu des jardins : on le disait fils de Vénus et de Bacchus. Il naquit à Lampsaque. Sa figure h
e, et de l’autre le caducée. (Fig. 54.) On lui donnait pour compagnes Vénus et les Grâces. La Fidélité présidait à la bonne f
5 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
nides, dont Doris et Styx, auxquelles certains généalogistes ajoutent Vénus , mère de l’Amour. De l’union de Coeos avec Phébé
naissance de Basilée, dans l’ancienne Asie, de Bethyle, de Hora et de Vénus , attribuée déjà et plus généralement à l’Océan. E
oleil ; Héra ou Junon, Hesta ou Vesta, Damater ou Cérès, Aphrodite ou Vénus et Arthémis ou Diane. Ensuite il plaça au second
Neptune, Mars, Mercure, Vulcain, Apollon, Vesta, Junon, Cérès, Diane, Vénus et Minerve. Ils présidaient aux douze mois de l’a
n sont tués par les Parques, qui les assomment de leur massue de fer. Vénus également se distingue, en faisant succomber Cébr
Junon en vache, Bachus en bouc, Mercure en cigogne, Diane en chatte, Vénus en poisson, attributs vivans d’Osiris, d’Isis et
t à ce déguisement ; pourtant le danger était tellement pressant, que Vénus sa mère, pour qui TyphŒ s’était épris tout-à-coup
nt de l’intelligence et lui apprend tous les arts propres à son sexe. Vénus l’entoure de ce charme perfide qui fait naître le
’est Pluton, enlevant la fille de Cérès, c’est Proserpine disputant à Vénus la conquête du bel Adonis ; c’est Mars se disputa
e et Latone. Souvent même on remplace quelques unes d’entre elles par Vénus , Proserpine, Styx, la Nature ou Physis, Dioné et
e Priam, roi de Troie, n’avait pas voulu trouver Junon plus belle que Vénus et Minerve. Mais en parlant de la guerre et de la
es descendans du berger Pâris, que nous verrons préférer la beauté de Vénus à la sienne, et les sacrifices les plus grands ne
le collier d’Hermione, si fatals à ceux qui les portaient. Il épousa Vénus , mais elle ne tarda pas à le trahir pour Mars. Ap
d’un coup de marteau, enchaînant Prométhée sur le Causase, surprenant Vénus et Mars, forgeant les armes soit d’Achille, soit
soient peu nombreuses, on dit cependant qu’il eut pour femme, d’abord Vénus , la déesse de la beauté, et pour maîtresses, Agla
yon et Corynète, de mère inconnue ; Cupidon, de la belle et brillante Vénus sa femme ; Erichthonius de la sage Minerve, ou d’
nius, on les retrouvera quand nous parlerons d’Hercule, de Thésée, de Vénus et de Minerve. Mais il nous reste à parler des Ca
Cabires, Axieros de Samothrace ou Pluton, Axiocersa ou Proserpine, ou Vénus , Axiocersus ou Cérès, Carmibus ou Hécate. Ces Cab
i que par les soins d’Hébé et de Péon. Au ciel il se trouva pris avec Vénus dans les réseaux invisibles tendus par Vulcain so
ace, Thrittia, fille de Triton et nourrice ou prêtresse de Minerve et Vénus . On sait peu de choses sur ces diverses maîtress
chasse, et se laissa aimer de Mars dont elle eut deux enfans. Quant à Vénus , nous la retrouverons dans quelques pages. Mars e
us, fils de Stérope, fut roi d’Étolie, Harmonia ou Hermione, fille de Vénus , était plutôt, suivant Diodore de Sicile, une des
ulut également faire son cadeau, et pour se venger de l’infidélité de Vénus , il donna à sa fille Harmonia un habit teint de t
rrhasius, fils de Philonomé ; la Peur, fille symbolique de Mars et de Vénus  ; Phlégyas, fils de Chrysé ou de Datis, fut père
chevaux fougueux appelés la Fuite et la Terreur, enfans de Mars et de Vénus , ou d’Erynnis et de Borée. Bellone, sa sœur les c
des maisons et des mariages. C'est la divinité matrimoniale opposée à Vénus , personnification lascive et libre de l’amour. Ju
ctium, où se trouvait un oracle célèbre, Erythios ou le guérisseur de Vénus , à Cypre, Eryctibios ou le meilleur, à Rhodes, Eu
nnaissons les premières, et nous retrouverons celles-ci en parlant de Vénus qu’elles élevèrent encore plus spécialement qu’el
Calliope ayant été juge arbitre dans un différent entre Proserpine et Vénus au sujet d’Adonis qu’elles se disputaient, et l’a
et d’Adonis qu’elles se disputaient, et l’ayant adjugé à la première, Vénus s’en vengea, car cette muse, de ses amours avec J
guitare. On rapporte qu’un jour ayant voulu faire des remontrances à Vénus sur une intrigue qu’elle avait avec Adonis, elle
lle était habituellement suivie ou de la Terreur, fille de Mars et de Vénus , toujours furieuse, marchant à grands pas, sonnan
de Leucade, lequel, par la suite, comme nous le verrons en parlant de Vénus , devint une expiation à la mode ; Phorbas, chef d
signe des Poissons ou février ; on supposait qu’ils étaient ceux dont Vénus et l’Amour s’étaient servis pour traverser l’Euph
ocus, poète aveugle, chanta, suivant Homère, les amours de Mars et de Vénus , à la cour d’Alcinoüs en présence d’Ulysse. Melan
et fit un palais souterrain pour Neptune, son père. Alors Aurore, que Vénus avait rendue amoureuse de lui, enleva ce jeune et
verses et nombreuses maîtresses. Bientôt nous verrons ses amours avec Vénus  ; passons de suite à celles qui sont les plus cél
 ; Erymanthe, dont la mère est inconnue, eut le malheur de surprendre Vénus au bain, à l’instant qu’elle sortait d’avoir une
fils de la nymphe Rhodé ou d’Aurore, était si brillant de beauté, que Vénus en fut éprise et lui confia la garde de ses templ
is, on fut même jusqu’à le supposer avoir été enlevé encore jeune par Vénus pour le placer dans son temple, parce qu’elle aim
s devaient le plaisir qu’ils trouvaient à détruire, à une punition de Vénus qu’ils avaient outragée, mais à la fin Jupiter le
ou la persuasion ; mais nous les retrouverons plus tard en parlant de Vénus qu’elles accompagnent partout. On attribue encore
uivant les Crétois fit de cette Dioné l’une de ses épouses, et en eut Vénus que nous allons voir naître d’une tout autre mani
Jupiter, on peut indifféremment la considérer comme une Junor ou une Vénus . C'est une importation embrouillée, à moitié disp
e importation embrouillée, à moitié disparue, et à moitié existante. Vénus . Nous voici maintenant arrivés à l’une des femmes
nt arrivés à l’une des femmes les plus remarquables de Jupiter ; à la Vénus des Latins, ou Aphrodite des Grecs. C'est la dées
ait, elle portait une foule de noms et surnoms, ainsi on l’appelait : Vénus ou Aphrodite, Acidalis et Acibadie, ou de la font
logra, ou retardant la vieillesse en charmant la vie ; Anadyomène, ou Vénus marine, en sortant des eaux, et qui sauve des nau
ou d’Argynnis, favori d’Agamemnon, noyé dans le Céphise ; Armata, ou Vénus armée, chez les Lacédémoniens, dont les femmes av
soumises et fidèles, avait mis des chaînes aux pieds de la statue de Vénus  ; Myrtie et Murcie, ou du Myrte, ou de la nonchal
ne, ou de Paphos ; Pandémos, ou populaire, ou à tout le peuple, comme Vénus , lascive et courtisane ; Pélasgie ou maritime ; P
tait encore une personnification multiple ; car Cicéron compte quatre Vénus , savoir : la Vénus Uranie, ou Néleste, fille d’Ur
la Belisama des Gaulois ; mais en Grèce et à Rome, ce fut toujours la Vénus marine, qui domina et absorba en elle seule toute
marine, qui domina et absorba en elle seule toutes les autres, aussi Vénus dont on connait la plupart des attributs, était g
son coucher. Après avoir écouté les leçons de ces filles de Jupiter, Vénus bientôt fut accomplie, cependant les heures ajout
s, les trahisons, la jalousie, et l’hypocrisie démasquée par l’amour. Vénus , revêtue de ce précieux talisman, fut donc présen
our elle fut toute-puissante dans l’Olympe, et si Junon y commandait, Vénus y obtenait l’exécution de ses moindres fantaisies
istes résultats qui suivent souvent de pareils mariages sur la terre. Vénus accepta tout en boudant ; mais se promit en secre
rtout : Péristère, qui fut changée en colombe pour avoir aidé un jour Vénus , à gagner un pari contre l’Amour son fils en rama
la confidente de ses plaisirs et Acmênès. Les nymphes de la suite de Vénus étaient toutes célestes, mais la plus grande part
s compagnes des hautes divinités qu’en décrivant l’empire de Neptune. Vénus ne tarda point à fixer à son char et à courber so
à Phèdre, à Hélène, à Atalante et à Médée. La première infidélité de Vénus paraît avoir été en faveur de Jupiter avec lequel
car Apollon dont l’amour-propre avait été blessé de la préférence que Vénus avait accordé à Mars, s’étant caché dans un nuage
lever du soleil. Avec le caractère volage que déjà nous connaissons à Vénus , on se persuadera facilement qu’elle ne resta pas
s, et le plus beau de l’Olympe, il ne tarda point à gagner le cœur de Vénus , et à lui faire pardonner le mauvais tour qu’il v
habituellement. Un jour donc, et l’on dit même le jour du mariage de Vénus et de Vulcain ; Apollon chanta les erreurs de l’i
ore, la tendresse de ses expressions et de ses regards, tout séduisit Vénus , et bientôt son cœur s’envola au devant de celui
astre, et s’éloignaient pour regagner en silence le séjour des dieux. Vénus , confiante en sa beauté, ne supposait pas que l’o
eur fanerait sa beauté, et son cœur a toujours besoin d’aimer. Aussi, Vénus chercha vite à se distraire, et bientôt elle pens
de Cynire et de Métharme, née de Pygmalion. Elles furent ennemies de Vénus qui, pour se venger, leur inspira une passion dés
, et presque toujours delà dans les jardins de Cypre et de Paphos, où Vénus l’enivrait de ses faveurs. A peine Adonis fut-il
nges, il se rendit à Biblos en Phénicie, et là, il fit la conquête de Vénus , que l’on regarde alors comme Astarté : d’abord,
es suivantes, qui plus tard fut adorée dans Epidaure, sous l’image de Vénus , par ceux qui voulaient des succès rapides. Cette
Adonis aimait pour la première fois avec la candeur du jeune âge, et Vénus profitant de l’occasion vidait à longs traits la
r sans en sortir victime. Ce fut la triste destinée du jeune amant de Vénus . Mars, après quelque temps de courses vagabondes,
ir des combats, la soif des dangers. Aussi l’on vit ensuite Adonis et Vénus courir à la chasse à travers les bois et les préc
ine une blessure mortelle. Zéphyre à cette vue se dépêche de porter à Vénus le cri du mourant ; aussitôt celle-ci se précipit
de ce différent : d’après l’une on vit un jour la belle et séduisante Vénus , descendre jusque dans l’empire des morts et veni
s’attache donc aussitôt à Proserpine, et la pousse après le départ de Vénus à visiter l’intérieur de ce coffre. Mais à peine
sion, on le conçoit, entre les deux déesses. L'affaire est portée par Vénus aux pieds de Jupiter qui, tout habitué qu’il est
t suivie, à cela près que le bel adolescent, préférant l’amabilité de Vénus au caractère de Proserpine, et les douceurs du ci
rir, comme nous le savons, ce beau jeune homme à la chasse. Cependant Vénus obtint qu’il pût revenir à la lumière. Mais Prose
ente de Jupiter. Maintenant quel était le terrible sanglier qui priva Vénus de son tendre amant ? Mars suivant les uns, ou su
terminée à le venger, que déjà elle-même avait du ressentiment contre Vénus , dont les caprices avaient causé la mort d’Hippol
les caprices avaient causé la mort d’Hippolyte, l’un de ses protégés. Vénus , après ce cruel accident, fit élever par ses ador
beau, et près de lui, ou sur un catafalque voisin, on apercevait une Vénus épitymbie, souvent représentée par une actrice, s
e, mais quelquefois elle était précédée de l’Hévrère pour montrer que Vénus avait éprouvé la joie et le bonheur avec son aman
ajouterons qu’une tradition populaire faisait remonter à l’instant où Vénus courait nu-pieds à travers les ronces et les épin
i l’on voulait retrouver l’origine de cette fable et reconnaître dans Vénus la déesse Syrienne appelée Astarté, espèce de Cyb
es Tamiras et les Tamirades, familles sacerdotales vouées au culte de Vénus , ainsi que les Céphale, les Tithon, les Phaéton,
côté des divinités solaires que nous avons vues à la suite d’Apollon. Vénus , pour se consoler de la perte d’Adonis, se souvin
main, les beautés spéciales à chacun des deux sexes. Cette passion de Vénus pour Mercure n’ayant pas durée fort long-temps, e
t mère d’Ascagne ou d’Iule ; mais une autre légende ne reconnaît pour Vénus qu’une mère d’Enée et de Lyrus, qu’elle avait eu
que nous trouverons en parlant de Bacchus. Puis il fit élever à cette Vénus des temples à Paphos et à Amathonte. Néanmoins, q
s et à Amathonte. Néanmoins, quoi qu’il en soit de l’origine de cette Vénus callicopie, elle fit partager à Anchise sa passio
toujours être la suite de l’union d’un mortel avec une déesse ; mais Vénus le rassura en lui disant qu’elle deviendrait mère
frappant d’un affaissement prémature et incurable ; suivant d’autres Vénus en partant, et après lui avoir annoncé qu’il sera
ter. Nullement satisfaite de l’orgueilleuse indiscrétion des mortels, Vénus retourna dans l’Olympe offrir son cœur à quelque
naître, lors des noces de Thétis et de Pélée, entre Junon, Minerve et Vénus , la perfide Discorde, en jetant au milieu du fest
accordait puissance et fortune sans bornes, Minerve la vertu, quant à Vénus , on ne sait ce qu’elle lui promit ; mais il lui a
penser ce jugement, protéger de tout son pouvoir l’armée des Troyens. Vénus protégea aussi le mariage d’Hippomène, fils de Ma
ls furent métamorphosés l’un en lion, et l’autre en lionne. Cependant Vénus , malgré la douceur de son caractère, eut des mouv
d’une passion invincible, en rejetèrent la faute sur la puissance de Vénus . Quelques personnes rattachent la punition des Pr
es personnes rattachent la punition des Prœtides, filles de Prœtus, à Vénus , parce qu’elles considèrent leur course, après le
Elles passaient pour avoir nié la divinité, et bravé la puissance de Vénus . Celle-ci se vengea en leur inspirant une passion
i, fait bientôt de la femme un être aussi insensible que les rochers. Vénus , comme on le voit, était assez susceptible, et pu
emniades ou Lemniennes, en furent encore une preuve. Ayant oublié que Vénus conservait une aversion particulière contre l’île
fille de ce prince et de Métharne ; elles encoururent la vengeance de Vénus , qui les changea en une espèce d’oiseaux, que l’o
s, qui les changea en une espèce d’oiseaux, que l’on nommait Alcyons. Vénus punit aussi Cenchris ou Cenchréis, femme de ce mê
t le jour. Cette Cenchris ayant osé proclamer sa fille plus belle que Vénus , cette déesse inspira à Myrrha la passion crimine
et de Thrassa, compagne de Diane. Elle crut pouvoir impunément braver Vénus , et devint amoureuse d’un ours. Elle eut de cette
étamorphosant en oiseaux la mère et les enfans. L'action influente de Vénus sur Pasiphaé, Phèdre, Médée, Hélène, fut égalemen
plus tard, en parlant de Thésée et de la guerre de Troie. Le culte de Vénus fut un des plus honorés, ou du moins domina tous
vit Aérias élever à Paphos pour la première fois un temple consacré à Vénus  ; il fut ensuite relevé de ses ruines par Cinyre 
éorologiques et astronomiques y tinrent le premier rang. Les fêtes de Vénus se composaient de rites mystérieux, et, sans parl
recs sacrifiaient un porc, ni des Callistées, qui se célébraient pour Vénus comme pour Junon, nons dirons que les fêtes les p
es Anagogies célébraient tous les ans, à Erix en Sicile, le départ de Vénus pour la Libye, et les Catagogies, également à Eri
ogies, également à Erix, célébraient au contraire le retour annuel de Vénus en Sicile. Mais les premières de ces fêtes ou aph
te, qui ne devait pas paraître bien pénible à Corinthe, où la fête de Vénus était particulièrement célébrée par les courtisan
d’Aspende en Pamphylie, on sacrifiait aussi à la porte des temples de Vénus , des porcs et peut-être des sangliers, en mémoire
et le vendredi. Déjà l’on sait que la pomme rappelait la victoire de Vénus sur ses compagnes, que la rose devait sa couleur
ure de Bérénice, qui se voit près de la queue du lion. Les temples de Vénus dans lesquels se célébraient ces fêtes étaient fo
rôle important. C'est là, dans les flots de cette mer, disait-on, que Vénus , conseillée par Apollon avait enfin trouvé sans s
aut de cette roche dans la mer, on était soudain guéri des fureurs de Vénus . Bientôt cette croyance domina, l’on oublia que l
e précipiter du promontoire dans les flots. Souvent moins heureux que Vénus , on trouvait la mort avec la fin de ses peines. A
ait-il, se conservait, grace à la puissance d’une essence divine, que Vénus lui avait donnée. refusait de rendre amour pour a
r si désespéré de l’infidélité de la nymphe Argyre, sa maîtresse, que Vénus en eut pitié et le transforma en un fleuve, qui b
les personnes connues pour avoir été les plus religieuses au culte de Vénus  : déjà l’on a vu Cinyre expier les torts de sa fa
ale des Tamirades ; on sait aussi que Mera fut une prêtresse zélée de Vénus  ; d’après Stace enfin, nous ajouterons que Climèn
Vénus-Chthonienne et qu’Hermocharès d’Athènes construisit un temple à Vénus , à Ioulis dans l’île de Céos. Voici comme il y fu
st encore ici que se rattache l’histoire fabuleuse de la prêtresse de Vénus , désignée sous le nom de Hero. Elle était de Sest
e, à un ilot sur la côte d’ Anatolie. L'ayant aperçu dans une fête de Vénus , il en devint amoureux et s’en fit aimer. Leur pr
ureux et s’en fit aimer. Leur première entrevue eut lieu au temple de Vénus , qui semblait les protéger. Par la suite afin de
esses de la déesse de Cythère. Si maintenant nous voulons reconnaître Vénus , d’après ses statues ou ses portraits, nous la tr
s lèvres. Plus habituellement pour rappeler son origine et figurer la Vénus marine ou Aphrodite, on la représentait assise su
’un bandeau et portant un carquois rempli de traits enflammés : c’est Vénus céleste présidant à l’amour chaste et pur. Mais q
couvert de chaîne d’or et de pierreries, alors au contraire, c’est la Vénus facile des courtisanes. Enfin, l’on a encore repr
’est la Vénus facile des courtisanes. Enfin, l’on a encore representé Vénus couronnée d’épis, tenant dans la main droite troi
de grappes, et accompagné de deux Cupidons, jouant à ses pieds. Cette Vénus est celle que Térence avait indiquée n’avoir aucu
tion de l’une des sept planètes ; c’était celle connue sous le nom de Vénus , de Lucifer ou de l’étoile du Berger ; elle fait
s, et quand on voit en plein jour une étoile brillante au ciel, c’est Vénus , à son périgée, c’est-à-dire arrivée à l’endroit
it de sa course le plus près de la terre. Enfin l’on peut rattacher à Vénus , plusieurs divinités adorées en Grèce ou à Rome.
même temps que Némésis. Compagne de la beauté, elle suivait toujours Vénus pudique, et on la représentait avec des ailes et
ique, et on la représentait avec des ailes et un lys à la main. Cette Vénus pudique était adorée particulièrement à Rome, sou
la Pudicité Plébéia. On représentait cette déesse sous la forme d’une Vénus ayant à ses pieds une tortue, pour indiquer que l
 ; Volumnius avait à peu près les mêmes fonctions. Nous avons dit que Vénus avait toujours autour d’elle une foule de personn
. Mais la tradition la plus suivie les porte toujours comme filles de Vénus  ; elles étaient au nombre de trois : Aglaé ou Egl
râces n’en forme qu’une appélée Charis, qui ne paraît pas différer de Vénus , car on lui donne Vulcain pour époux. Plus tard,
semble vouloir plus particulièrement harmoniser ensemble la beauté ou Vénus avec la joie et les plaisirs des sens de toute na
, puisque si d’habitude nous les prenons pour filles de Bacchus et de Vénus , souvent aussi elles passaient pour filles de Jup
on buvait aussi trois coups en l’honneur des Grâces. Ces compagnes de Vénus avaient plusieurs fêtes, dont les principales éta
qui s’ouvrant à volonté laissaient apercevoir ces jeunes suivantes de Vénus  : idée ingénieuse rapprochant, de la laideur spir
Nous avons dit qu’après les Grâces, on trouvait encore à la suite de Vénus  : les jeux, les ris, Pothos ou le désir, Pitho ou
rtés sur les ailes de papillons, ou voltigeant et folâtrant autour de Vénus . Le Dieu des ris ou Gelasios, adoucissait les pei
cette ville une statue, que l’on plaçait toujours auprès de celle de Vénus en compagnie des Grâces et des amours, et les Rom
recs, ou Suada et Suadela des Romains, elle était prise pour fille de Vénus . Egialée lui fit bâtir un temple à Mégare, parce
pté une autre sur les marches du trône de Jupiter Olympien couronnant Vénus . Passons maintenant aux enfans de Vénus, que nous
e Jupiter Olympien couronnant Vénus. Passons maintenant aux enfans de Vénus , que nous connaissons déjà sous les noms de l’Amo
s, faisons plus ample connaissance avec l’amour, ce fils bien-aimé de Vénus . Eros ou l’ Amour, que l’on appelait aussi Cupid
Claviger ou le porte-clefs, comme gardien de la chambre à coucher de Vénus  ; Cannius ou de Cannes ; Cythereus et de Cythérée
par Jupiter ou par Porus, le Dieu des richesses, enfanta Eros, et que Vénus l’adopta. Sapho le donne pour fils au ciel et à l
u le rapprochement. Il en est d’autres qui le font simplement fils de Vénus et de Vulcain ; ou de Vénus et de Mercure. Il n’e
t d’autres qui le font simplement fils de Vénus et de Vulcain ; ou de Vénus et de Mercure. Il n’est point de divinité dont l’
plus de variantes. Cependant on le regarde généralement comme fils de Vénus et de Mars, ou bien enfin de Vénus et de Jupiter 
regarde généralement comme fils de Vénus et de Mars, ou bien enfin de Vénus et de Jupiter ; mais cet Eros ou amour exprimant
s, on lui reconnut un père, une mère, et il fut fils de Jupiter et de Vénus . Plustard on le dédoubla et l’on créa Cupidon ou
d’après Hésiode, fils du Chaos et de la Terre ; d’après Simonide, de Vénus et de Mars ; d’après Alcée, de Zéphyre et d’Erix
’après Alcée, de Zéphyre et d’Erix ou la discorde ; d’après Sapho, de Vénus et de Cœlus ; d’après Sénèque, de Vénus et de Vul
discorde ; d’après Sapho, de Vénus et de Cœlus ; d’après Sénèque, de Vénus et de Vulcain ; d’après Cicéron, de l’Hérèbe et d
ience d’attendre lui donna un coup si furieux qu’il en perdit la vue. Vénus aussitôt en demanda vengeance, et les Dieux d’un
er, qui pressentait tous les maux dont il serait cause un jour. Alors Vénus le confia aux habitans des forêts de l’île de Chy
ent celui de sa mère, l’Amour resta fort long-temps enfant ; à la fin Vénus s’en plaignit à Thémis, déesse de la justice et c
se confiant dans la rapidité de ses ailes, il lui proposa un défi que Vénus accepta. Ce défi était, qu’il cueillerait en quel
it peut-être gagner la gageure, mais la nymphe Péristère, compagne de Vénus , se mit à aider la reine de Paphos. Alors sur le
xilé de l’Olympe dès son enfance par Jupiter ; mais pendant son exil, Vénus cherchait sans cesse l’occasion de le réconcilier
r et la Discorde, qui n’eurent pas la permission d’y venir. Cependant Vénus , saisissant la circonstance, dit à Thétis : Jupit
r ministre de sa mère et souvent l’exécuteur de ses vengeances. Ainsi Vénus ayant appris un jour que certain peuple de la ter
nte excitait partout une admiration générale. D'abord on la compara à Vénus , ensuite on osa la préférer à cette déesse. On lu
temple où l’on fit brûler de l’encens en son honneur, et le culte de Vénus fut presque abandonné. Cette préférence enfin exc
fut presque abandonné. Cette préférence enfin excita dans le cœur de Vénus une telle jalousie qu’elle fut trouver son fils,
fut la vengeance que l’amour tira de leur perfidie. Après ce malheur, Vénus apprit de la renommée que son fils était malade,
ucune divinité. Dans cette extrémité, confiante dans la générosité de Vénus , elle fut se jeter à ses genoux, mais la superbe
mais un secours invisible l’aidait à vaincre toutes ces difficultés. Vénus que tant de soumission aurait dû apaiser, lui ord
re hymen. Le maître du tonnerre exauça la prière de l’amour, et força Vénus à donner son consentement. Psyché alors entra dan
ès, Psyché devint mère de la Volupté, appelée aussi Volupie, nouvelle Vénus , qui ne chercha bientôt que le plaisir. On la rep
our. Le myrte était son emblème, en même temps qu’il était consacré à Vénus , parce que, dit-on, l’eau distillée de ces feuill
ion du mariage ; habituellement il suivait l’Amour dans le cortége de Vénus . Il passait quelquefois pour fils d’Uranus, ou bi
ent, on le considérait comme frère adultérin d’Eros, et comme fils de Vénus et de Bacchus ; et puis on lui donne Ascale, fond
brouillée ; car, puisqu’il est la personnification du mariage, et que Vénus , ainsi que Jupiter étaient mariés, avant les amou
n, que l’on sait avoir appartenu aux Philistins. Le dernier enfant de Vénus fut Priape, qui portait les noms : d’Avistupor, l
disait fils d’une nymphe ou naïade appelée Chioné et de Bacchus ou de Vénus , et de Jupiter, ou plus habituellement il passait
us, et de Jupiter, ou plus habituellement il passait pour le fruit de Vénus et de Bacchus triomphateur des Indes. Junon, jalo
es Indes. Junon, jalouse de la reine de Cypris, nuisit à l’enfant que Vénus portait dans son sein. A peine fut-il au monde, q
ité et de l’énorme développement du caractère distinctif de son sexe. Vénus , honteuse d’avoir mis au jour un tel être, l’aban
r aperçue un jour sur les bords de l’Eurotas. Aussitôt il fit changer Vénus en aigle, et prenant lui-même la figure d’un cygn
sait à jouer de temps en temps, elle fut un jour raillée par Junon et Vénus qui se moquaient de ses contorsions : aussitôt el
r prix, et que l’on terminait en buvant un coup à Bacchus, un autre à Vénus , et un troisième à l’injure. Quant aux mystères q
lacer beaucoup plus convenablement comme principe mâle, à la suite de Vénus . Nous allons donc actuellement dire quelques mots
’une partie de cette île, par Erix fils de Butès, ou de Neptune et de Vénus  ; Hercule l’ayant vaincu, l’enterra sur la montag
ût entendu dire en présence de tous les Dieux venus pour voir Mars et Vénus , pris dans le réseau invisible : qu’il ne serait
ollon, Cérès, Diane, Junon, Jupiter, Mars, Mercure, Minerve, Neptune, Vénus , Vesta et Vulcain ; les viales présidaient aux ch
lier, le fameux Chrysomallon ou bélier à toison d’or des Argonautes ; Vénus enfin eut Rhodos avec Neptune ; Thoosa fut mère d
yto, fille de Mytilène, fonda la ville de Mytilène ; Rhodos, fille de Vénus et amante d’Apollon. Fils de Neptune. Après les
ousa, Harmonie ou Hermione, fille d’Arès ou Mercure et d’Aphrodite ou Vénus  ; les Dieux assistèrent à ses noces, et firent pr
Coronis, et les emmena en Thessalie, où il épousa Lycaste, espèce de Vénus dont il eut Erix : mais Bacchus pour le punir d’a
ou 250 avant Deucalion. Sous ce règne, on vit, dit-on, la planète de Vénus changer de couleur, de diamètre, de figure et de
e l’expédition, il se précipita du vaisseau dans la mer. Heureusement Vénus le saisit à temps et le transporta en Sicile, où
nom de Délies : l’une se célébrait tous les cinq ans, en l’honneur de Vénus , dont une statue, donnée par Ariadne à son amant,
de deux fils, Acamas et Démophon, puis Phèdre, inspirée, dit-on, par Vénus , toujours rancuneuse contre les descendans d’Apol
s, pour avoir occasion de le voir souvent, elle fit bâtir un temple à Vénus aux environs de Trézène, et prétexta qu’elle alla
n lisait la légende : a la plus belle, ce qui força Junon, Minerve et Vénus à prendre Pâris, fils de Priam, pour juger, en lu
e de Castalie, à Delphes, était sous sa protection, et dans ses eaux, Vénus et les Graces se plaisaient à se baigner. Un autr
souvent confondues avec les muses. Cythériades nymphes de la cour de Vénus , habitant l’île de Cythère. Crénées, nymphes cha
ne fût jaloux dans l’Olympe, il fut jusqu’à critiquer la chaussure de Vénus . On le représente un masque et une marotte à la m
t des Ténèbres selon Sophocle, et même Épiménide les suppose sœurs de Vénus et des Parques, et d’autres les disent nées de Pl
thère où d’Hélène, dans la ville de Migonium, où depuis on en fit une Vénus sous le nom de Migonotis, car ce fut là qu’Hélène
s furent Alcipe et Astyanasse, qui lui vola, dit-on, une ceinture que Vénus lui avait donnée ; enfin, la mort enleva Ménélas
e, Echémon, Chromius, et fut blessé par Pandore. Plus tard, il blessa Vénus , qui était venue au secours d’Énée, et même, il s
breux troupeaux de son père et fut, nous le savons, l’un des amans de Vénus , dont il eut Énée qui dans le sac de Troie se fit
e, et il eût indubitablement succombé sans le secours d’Apollon et de Vénus , sa mère, qui le sauvèrent. Ensuite il revint au
te de sa flotte, et à jeter l’ancre devant les côtes d’Afrique. Alors Vénus se plaignit à Jupiter de l’éternelle persécution
on fils Ascagne, resté sur la flotte, qu’Enée l’envoya chercher. Mais Vénus qui venait de l’enlever pour le transporter à Cyp
tre à la tête des Tyrrhéniens, et de marcher contre le tyran Mézence. Vénus , mère d’Enée, lui apporte aussitôt des armes d’un
pour emblème et signe zodiacal. Le deuxième, Avril, était présidé par Vénus et représenté par April ou jeune homme couronné d
che ; Lune, Lundi ; Mars, Mardi ; Mercure, Mercredi ; Jupiter ; Jeudi Vénus , Vendredi ; et Saturne, Samedi. Si nous reprenon
. Il eut pour femmes : Athor, la dynaste planétaire, ou Anadyomène ou Vénus ou Amphitrite des Grecs, devenues, comme Diane, l
es divinités dont nous n’avons rien dit ; ainsi : Achtoret, était la Vénus tyrienne ; mais, à Carthage, sa physionomie avait
e naissance, fut la grande déesse des poissons, et n’est autre que la Vénus des Phéniciens ; tandis qu’Astarté doit être cons
rouve en rapport avec Baal, et qui généralement est regardée comme la Vénus tyrienne. Pourtant, à Carthage, ses traits princi
uis Jupiter-Belus, Apollon, Typhon et Nérée. Achtoret est l’étoile de Vénus , et, comme cette déesse, elle est la déesse de la
le centre créateur de l’univers. D'ailleurs, tous les attributs de la Vénus grecque sont les siens. Plusieurs de ces déesses
u le nombre immense des étoiles, et se personnalisant dans la planète Vénus ou la Lune. Son culte consistait en processions,
ion de Mécha, ou le Bélier. Souria, soumis à Lakchmi ou Sri, répond à Vénus et préside à Vaiçakha ou Avril, et à la constella
mblable en beaucoup de points à Cybèle, à Isis, à Vesta, et surtout à Vénus . Elle forme avec Saraçouati, femme de Brahmâ, et
es rapprochemens qui existent entre Bhavani et Diane, Junon, Ilithye, Vénus , Ariadne et Europe ; ils sont trop sensibles ; no
evaux, aux bêtes de somme et à tous les quadrupèdes. Roth ou Rothou, Vénus des Véliocasses, peuples qui habitaient la Neustr
167 montre la mort d’Adonis, à l’instant de l’arrivée trop tardive de Vénus . La pl. 4 en regard de la page 181 est une Vénus
ivée trop tardive de Vénus. La pl. 4 en regard de la page 181 est une Vénus écoutant son fils qui la prie de faire grace à Ps
Vengeance, 159, 326. Vénilie, 267, 382. Vents (les), 4, 33, 118, 278. Vénus , 4, 5, 33, 35, 41, 51, 55, 60, 65, 68, 73, 94, 10
6 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain, Cérès, Minerve, Vesta, Diane, et Vénus , complétaient cette auguste assemblée qui délibér
persécuté pendant toute sa vie, lui et les siens, pour avoir donné à Vénus le prix de la beauté, que lui disputaient Junon e
nson de Jupiter. — Les Poissons. Ces poissons sont ceux qui portèrent Vénus et son fils au delà de l’Euphrate, pendant la gue
Dispute de Minerve et de Neptune. Minerve disputa avec Junon et Vénus le prix de la beauté que le berger Pâris adjugea
un peu de coquetterie. Elle jouait un jour de la flûte en présence de Vénus et de Junon ; ces deux déesses se prirent à rire
tout l’Olympe fut en émoi : Neptune cherchait vainement son trident, Vénus sa ceinture, Mars son épée et Vulcain ses outils.
-ils tous les ans ? — Comment représente-t-on le dieu Mars ? § 9. Vénus . Naissance de Vénus. Vénus est la déesse
ment représente-t-on le dieu Mars ? § 9. Vénus. Naissance de Vénus . Vénus est la déesse de la beauté. Elle est fi
sente-t-on le dieu Mars ? § 9. Vénus. Naissance de Vénus. Vénus est la déesse de la beauté. Elle est fille du Cie
cette écume sortit une jeune déesse d’une ravissante beauté : c’était Vénus . Les Grâces et les Ris accoururent aussitôt pour
rmant dont il faut au moins citer quelques traits : Rien ne manque à Vénus , ni les lis, ni les roses, Ni le mélange exquis d
ent été écartées, il ne restait que trois rivales : Junon, Minerve et Vénus  ; elles comparurent devant leur juge. Vénus obtin
vales : Junon, Minerve et Vénus ; elles comparurent devant leur juge. Vénus obtint le prix, et nous verrons plus tard comment
donis. Les trois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosyne, compagnes de Vénus , étaient filles de Jupiter et d’Eurynome. On les
la seconde un dé, et la troisième un myrte. Cupidon, fils de la belle Vénus , est le dieu de l’amour. Il faut le distinguer de
x-mêmes. Jupiter, qui prévoyait les troubles que causerait le fils de Vénus , voulait le faire périr ; mais sa mère le cacha d
e. Un jour, un sanglier furieux s’élance sur lui et le met en pièces. Vénus , dont il était aimé, accourue trop tard à son sec
mone. Prêtez-moi des soupirs, ô vents ! qui sur vos ailes Portâtes à Vénus de si tristes nouvelles. Elle accourt aussitôt, e
e passe à gémir et les nuits et les jours. La Fontaine. Culte de Vénus . Le culte de Vénus était fort répandu dans la
nuits et les jours. La Fontaine. Culte de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu dans la Grèce et dans l’Italie
r le chef-d’œuvre de la sculpture antique. Questionnaire De qui Vénus était-elle fille ? — Quel est son cortége ? — Que
ui fut choisi pour juge du débat suscité par la Discorde entre Junon, Vénus et Minerve ? — Quelles furent les conséquences du
onséquences du jugement de Pâris ? — Quelles étaient les compagnes de Vénus  ? — De qui Cupidon était-il fils ? — Cupidon est-
st la puissance de ce dieu et comment se fit-il des armes ? — Que fit Vénus à la mort d’Adonis ? — Où Vénus était-elle adorée
mment se fit-il des armes ? — Que fit Vénus à la mort d’Adonis ? — Où Vénus était-elle adorée ? — Comment la représente-t-on 
Les dieux, malgré la difformité de Vulcain, le donnèrent pour époux à Vénus , la plus belle de toutes les déesses. Vulcain se
té. Il faut ajouter à ces divinités Priape, dieu des jardins, fils de Vénus et de Jupiter, et le dieu Pan, fils de Jupiter et
jeune princesse d’une surprenante beauté qui rivalisait avec celle de Vénus , fut aimée de Cupidon. Un oracle avait annoncé qu
le a recours aux prières ; elle invoque en vain toutes les divinités. Vénus la soumet à de nouvelles épreuves, qu’elle surmon
rta au ciel, où Jupiter, malgré les ressentiments et la résistance de Vénus , confirma l’union de Psyché et de l’Amour. Cette
x, lorsque Pâris, fils de Priam, vint à leur cour. Ce jeune favori de Vénus , à laquelle il avait donné le prix de la beauté,
uerre de Troie. Énée, du sang royal de Troie, fils d’Anchise et de Vénus , emmena sur ses vaisseaux les débris des vaincus 
7 (1845) Mythologie de la jeunesse
n, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta ou Cybèle, Apollon, Diane, Vénus , Mars et Vulcain. Divinités du premier ordre
dieu ou déesse fit un don particulier. Minerve lui donna la sagesse, Vénus la beauté ; Apollon lui enseigna la musique, et M
que, dans les fêtes de Mars, ils dansaient en chantant des hymnes. Vénus . Vénus, déesse de la beauté et de l’amour, na
es fêtes de Mars, ils dansaient en chantant des hymnes. Vénus. Vénus , déesse de la beauté et de l’amour, naquit de l’é
utrefois forgé les foudres qui avaient servi à exterminer les Géants. Vénus manqua souvent à la fidélité qu’elle devait à son
le sceptre d’Agamemnon. [Fig. 56] Malgré sa difformité, il épousa Vénus , la plus belle des déesses. On le représentait no
ipes des êtres. Dans la mythologie vulgaire, l’Amour était le fils de Vénus et de Mars, et s’appelait aussi Cupidon. On le re
tait une jeune princesse d’une si grande beauté, qu’on la comparait à Vénus , et qu’elle se fit aimer de l’Amour même. Un orac
, et s’approchant du lit, reconnaît, au lieu d’un monstre, le fils de Vénus . Tandis qu’elle se penchait pour contempler ses t
is son invisible époux arrête ses transports. Toujours persécutée par Vénus , qu’elle n’avait pu attendrir par ses pleurs, ell
s’évanouirent sous ses pas. Proserpine lui remit la boîte destinée à Vénus , en lui recommandant de ne pas l’ouvrir. Mais Psy
tée en cas de mauvais voisinage. Momus critiqua aussi la chaussure de Vénus  ; mais s’arrêter à la chaussure, et se taire sur
ns et des arbres fruitiers, était fils de Jupiter ou de Bacchus et de Vénus . Il était principalement honoré à Lampsaque, capi
t pour arbitre du différend qui s’était élevé entre Junon, Minerve et Vénus , au sujet de la pomme d’or jetée par la Discorde
plus belle ! Plus tard, Pâris se rendit à Lacédémone, et, secondé par Vénus , à qui il avait adjugé la pomme, il se fit aimer
ls ; Memnon, fils de l’Aurore ; Rhésus, roi de Thrace ; Énée, fils de Vénus et d’Anchise ; Sarpédon et Elpénor ; Penthésilée,
prirent parti dans cette grande querelle ; Jupiter seul resta neutre. Vénus , Mars et Apollon défendaient les Troyens ; Junon,
eul qui échappa à la mort ou à l’esclavage. Protégé dans sa fuite par Vénus , sa mère, il alla s’établir en Italie, où il fond
nce l’une de l’autre, trois pommes d’or du jardin des Hespérides, que Vénus lui avait données. Atalante, s’étant amusée à les
l’aurore pour courir les bois et les montagnes, malgré les prières de Vénus , qui l’aimait tendrement. Un jour, ses chiens aya
ça d’une flèche ; mais cet animal furieux se jeta sur lui, et le tua. Vénus accourut à son secours, mais trop tard. Inconsola
pendant six mois dans le sein de la terre. 20. Aphrodite, surnom de Vénus , vient d’un mot grec aphros, qui veut dire écume.
8 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
ert entre eux, ils formèrent une femme. Pallas lui donna la sagesse ; Vénus , la beauté ; Apollon, la connaissance de la musiq
coûta à la nation troyenne, la préférence que le berger Pâris donna à Vénus , au préjudice de cette déesse. Sa vengeance ne fu
ait le faire périr avec sa flotte ; mais heureusement pour ce prince, Vénus le protégeait. La jalousie de cette déesse parut
armes dont les dieux faisaient présent aux héros. C’est à Vulcain que Vénus s’adressait pour armer Cupidon. Dans ces antres
x, où Vulcain, nuit et jour, Forge de Jupiter les foudroyantes armes, Vénus faisait remplir le carquois de l’amour ;     Les
e sujet. Alectryon ou Gallus. Un jour que Mars rendait visite à Vénus , il chargea un jeune soldat, son confident, de fa
Vulcain. Celui-ci tendit des fils imperceptibles autour de Mars et de Vénus  ; ensuite il alla appeler tous les dieux pour les
ssé de ses filets, s’enfuit en Thrace, où il était surtout honoré, et Vénus se sauva en Cypre. Les Saliens. Les prêtres
il qui mérite de trouver place ici. Ce dieu, dit-il, voulant plaire à Vénus , s’offrit aux yeux de cette déesse avec le cortég
et le lui enleva. Ce n’était qu’un jeu d’enfant. Plus tard, il vola à Vénus sa ceinture, à Mars son épée, à Neptune son tride
oyé l’ont fait passer pour l’interprète et le messager des dieux. Vénus . Vénus naquit de l’écume de la mer. Lorsqu’el
ait passer pour l’interprète et le messager des dieux. Vénus. Vénus naquit de l’écume de la mer. Lorsqu’elle sortit d
pre, où les Heures se chargèrent du soin de l’élever : Éducation de Vénus . Si l’on en croit certain poète, l’éducation d
Éducation de Vénus. Si l’on en croit certain poète, l’éducation de Vénus ne ressemble point à celle de la plupart des jeun
services qu’il lui avait rendus dans la guerre des Géans. On donne à Vénus les noms des lieux où elle était particulièrement
comme sa compagne. Pitho vient d’un mot grec qui signifie persuader. Vénus avait pour ornement particulier, une ceinture qu’
’elle voulut avoir le suffrage de Pâris. Les savans prétendent que la Vénus de la fable fut une reine de Phénicie, nommée Ast
arbe ; mais il est probable que toutes les histoires publiées sur les Vénus de plusieurs pays ont été mises ensuite sur le co
sur le compte d’une seule à laquelle on a donné différens noms, comme Vénus marine, Vénus céleste, etc. Les trois Grâces.
d’une seule à laquelle on a donné différens noms, comme Vénus marine, Vénus céleste, etc. Les trois Grâces. Aglaé, Tha
Thalie et Euphrosyne, surnommées les trois Grâces, étaient filles de Vénus , et elles ne la quittaient point. On les peint nu
, Elis, Perges, Périnthe et à l’île de Paros. Les temples consacrés à Vénus l’étaient très-souvent aux Grâces, et elles avaie
rs noms. Péristère Péristère était une nymphe de la suite de Vénus . Cette déesse, se trouvant avec son fils dans un
s ailes, il était prêt de remporter la victoire ; mais Péristère aida Vénus , et lui fit gagner la gageure. L’Amour, piqué d’ê
ea la nymphe en colombe. Dès ce moment, ces oiseaux devinrent chers à Vénus , et elle les attela à son char. Péristère, nom gr
. Adonis, devenu grand, se rendit à la cour de Byblos en Phénicie, où Vénus éprise de sa beauté, le préféra aux dieux mêmes.
en poursuivant les bêtes sauvages. Mars, jaloux de la préférence que Vénus donnait à ce jeune prince, employa le secours de
e sanglier s’en étant déféré, se jeta sur Adonis et le mit en pièces. Vénus vint trop tard au secours de son favori, il venai
le dernier soupir : elle le changea en anémone. On consacra la rose à Vénus , parce que cette fleur qui était blanche, ayant p
s la mer, et périt. Cupidon ou l’Amour Cupidon était fils de Vénus et de Mars. A peine eut-il vu le jour, que Jupite
tout le mal qu’il ferait aux hommes, engagea sa mère à l’abandonner. Vénus , pour le soustraire aux desseins funestes du maît
ché, dont le nom signifie cœur ou âme, était la déesse de la volupté. Vénus fut si jalouse de ce qu’elle avait charmé son fil
it choisir pour juge du différend qui s’éleva entre Junon, Minerve et Vénus . Ces déesses étant aux noces de Thétis et de Pélé
pomme d’or avec ces mots : A la plus belle. Pâris adjugea la pomme à Vénus et s’attira ainsi la haine de Junon et de Minerve
. Énée Enée était du sang royal de Troyes. La fable lui donne Vénus pour mère. Après la ruine de sa patrie, ce héros
Lavinie. Turnus, roi des Rutules, se déclara son concurrent. Junon et Vénus prirent part à cette guerre, dans laquelle Enée p
9 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
ptune, Mercure, Apollon, Mars, Vulcain, Junon, Cérès, Vesta, Minerve, Vénus , Diane, Uranus, Saturne, Genius, le Soleil, Pluto
ne pomme d’or qui portait cette inscription : A la plus belle. Junon, Vénus et Pallas se disputèrent vivement cette pomme, et
ie, de décerner le prix de la beauté. L’arbitre prononça en faveur de Vénus , et Junon, furieuse de cet échec, devint l’ennemi
e de Jupiter, le trident de Neptune, l’épée de Mars et la ceinture de Vénus . Pour le punir, son père l’exila sur la terre ; m
-il par l’ordre de Jupiter ? — Comment le représente-t-on ? IX. —  Vénus . Vénus ou Cypris était la Déesse de la bea
e de Jupiter ? — Comment le représente-t-on ? IX. — Vénus. Vénus ou Cypris était la Déesse de la beauté. Les poëte
ndu en forgeant les foudres qui l’avaient rendu vainqueur des géants. Vénus , frappée de sa laideur, ne l’accepta qu’avec répu
r d’une grande beauté, qui fut tué par un sanglier, et du sang duquel Vénus fit naître l’anémone. Les poëtes ont épuisé leur
issu merveilleux qui ajoutait à ses attraits un pouvoir irrésistible. Vénus eut un grand nombre d’enfants ; les plus célèbres
lés, suivaient partout leur mère, et faisaient l’ornement de sa cour. Vénus donna aussi le jour aux trois Grâces, Aglaé, Thal
ure de trois jeunes filles dont les bras sont entrelacés. Le culte de Vénus était honoré partout ; on ne lui sacrifiait pas d
e26, de Gnide27, de Cythère, et du mont Eryx en Sicile. On représente Vénus sous les traits d’une femme d’une grande beauté,
be et la rose lui étaient consacrées28. Questions. Qu’est-ce que Vénus , et quelle est son origine suivant la Fable ? — C
l’épouse de Vulcain ? — Quels avantages les poëtes ont-ils accordés à Vénus  ? — Quels furent ses enfants les plus connus ? — 
raser les géants, et le père des Dieux l’en récompensa en lui donnant Vénus pour épouse. Il avait établi ses forges dans les
des Dieux ; les armes de Mars ; le trident de Neptune ; le collier de Vénus  ; la statue de Pandore ; le bouclier d’Achille ;
oujours être connue. Ne trouvant rien à reprendre dans la personne de Vénus , il se moqua de sa chaussure ; enfin il trouvait
lte ? — Comment le représentait-on ? Cupidon. Cupidon, fils de Vénus , était le Dieu des tendres attachements. Le culte
être fatale aux hommes. Il épousa Psyché à l’insu de sa mère. Lorsque Vénus fut instruite de cette union, elle fit mourir Psy
 Comment le représente-t-on ? Hymen. Hymen ou Hyménée, fils de Vénus , présidait aux mariages. On le représente sous le
monuments de l’antiquité les montrent aussi souvent dansant autour de Vénus et des Grâces. On leur donne une figure railleuse
’or sur laquelle elle avait écrit : A la plus belle. Junon, Pallas et Vénus élevèrent des prétentions égales sur cette pomme,
e prononcer entre les trois Déesses, termina la querelle en faveur de Vénus , ce qui rendit Junon l’ennemie acharnée des Troye
tait aux derniers par suite du jugement de Pâris, qui avait accordé à Vénus le prix de la beauté, qu’elle lui disputait. D’in
e des trois Déesses qui se le disputaient. En prononçant en faveur de Vénus , il attira sur lui et sur tout son peuple le cour
tit cependant Ménélas, et il allait succomber sous ses coups, lorsque Vénus vint l’arracher à son ennemi victorieux. Il bless
oniennes, où l’on voit encore les ruines du temple magnifique élevé à Vénus . 25. Déesses, filles de Jupiter et de Thémis, qu
principales de la Doride, sur la côte occidentale de l’Asie-Mineure ; Vénus y avait plusieurs temples, dans l’un desquels se
Vénus Gnidienne, chef-d’œuvre de Praxitèle. 28. On a donné le nom de Vénus à une planète située à 100 millions de kilomètres
10 (1850) Précis élémentaire de mythologie
visage. Chaque vertu devient une divinité, Minerve est la prudence et Vénus la beauté. Ce n’est plus la vapeur qui produit le
s, Vesta la jeune, Mercure, Minerve, Apollon, Diane, Mars, Vulcain et Vénus , Chacune de ces douze divinités avait ses attribu
enrichirent chacun d’un don particulier. Pallas lui donna la sagesse, Vénus la beauté, Apollon la connaissance de la musique,
fut constamment en butte à ses traits parce qu’il avait osé proclamer Vénus la plus belle des déesses. Ce ressentiment jaloux
on trident, à Apollon ses flèches et son carquois, à Mars son épée, à Vénus sa ceinture, mais il laissa à Jupiter sa foudre.
ter, qu’il rappela Vulcain au céleste séjour et lui donna pour épouse Vénus , la plus belle des déesses. 2. Le rôle de Vulcain
en fut capable, et il ne le fît qu’à la condition qu’on lui donnerait Vénus pour épouse. Dans ses forges, qu’il avait établie
ui offrait-on ? Quelle plante lui était consacrée ? Chapitre XIV. Vénus . 1. Vénus est la déesse de la beauté. Quelques
 ? Quelle plante lui était consacrée ? Chapitre XIV. Vénus. 1. Vénus est la déesse de la beauté. Quelques-uns disent q
s malheurs, De mêler nos soupirs aux leurs ! [Demoustier] 2. Lorsque Vénus eut été formée par ces sages leçons, Jupiter, tou
ux admirèrent sa beauté, et toutes les déesses en devinrent jalouses. Vénus n’obtint cependant pas pour époux celui qu’elle d
s souterrains son trône, son palais et ses foudres. 3. Les enfants de Vénus furent l’Hymen et Cupidon. L’Hymen était représen
acha dans les forêts, où il se nourrit du lait des bêtes sauvages. 4. Vénus avait pour compagnes les trois Grâces, Aglaé, Tha
nt par leur candeur et leur simplicité naturelle. 5. La fable dit que Vénus quittait souvent le séjour des dieux pour se prom
Diane que Mars avait appelée à son secours dévora le jeune prince, et Vénus fut réduite à changer en anémone son favori. 6. E
aintes, de profonds gémissements en mémoire du deuil et du chagrin de Vénus  ; puis venaient les joies, les danses dissolues e
ultueuses qui rappelaient le retour d’Adonis à la vie. 7. Le culte de Vénus fut universel comme la corruption qu’il autorisai
aconte que Bérénice, l’épouse de Ptolémée, roi d’Egypte, ayant fait à Vénus un semblable sacrifice pour le bonheur des armes
l’appela ainsi, et ce nom lui est resté. 9. On présente ordinairement Vénus sur un char traîné par des colombes, des cygnes o
d’œuvre de la sculpture grecque. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que Vénus  ? De qui était-elle fille ? Comment fut-elle tran
l était le caractère de Cupidon ? 4. Quelles étaient les compagnes de Vénus  ? De qui étaient-elles filles ? Comment étaient-e
ent étaient-elles, représentées ? 5. Que dit la fable des voyages que Vénus faisait sur la terre ? Quelle fut la destinée d’A
sait sur la terre ? Quelle fut la destinée d’Adonis ? 6. Quelle grâce Vénus obtint pour lui de Proserpine ? En quels lieux eu
ut-il des temples ? Comment se célébraient ses fêtes ? 7. Le culte de Vénus était-il bien répandu ? Où était-elle particulièr
nventa la flatterie à propos de la chevelure de Bérénice ? 9. Comment Vénus était-elle représentée ? Quel était le chef-d’œuv
a fable ajoute qu’ils furent dévorés par un dragon fils de Mars et de Vénus . Minerve engagea Cadmus à tuer ce monstre et à en
l et bien plus fréquent‌ 8. 3. Cadmus avait épousé Hermione, fille de Vénus et de Mars. Un oracle lui ayant annoncé que sa po
inqueur. Ménélas remporta la victoire, et c’en était fait de Pâris si Vénus ne l’eût soustrait aux coups de son adversaire en
tu des plantes, il ne put guérir. Le pieux Enée, fils d’Anchise et de Vénus , chargea sur son dos les dieux pénates de sa patr
’Albe et de Rome. Cet illustre fondateur disparut, dit-on, enlevé par Vénus dans un combat contre les Rutules. Virgile a chan
des Phéniciens, la Milytta des Chaldéens, l’Anaïtis des Arméniens, la Vénus des Grecs. 4. Les mages, qui se faisaient à tous
ion de Vischnou, 165. Crissa, v. de la Grèce, 155. Cupidon, fils de Vénus , 57. Cybèle, sœur et ép. de Saturne, 14 ; son hi
Médit., 56,58. Cyprien (Saint), cité, 171. Cypris, un des noms de Vénus , 59. Cyrinas, roi de Cypre, 58. Cythère, île de
i de Cypre, 58. Cythère, île de Vénus. 59. Cythérée, un des noms de Vénus , 59. D Dactyles, prêtres de Cybèle, 18. D
noms de Mercure, 43 ; — div. des Egyptiens, 177. Hermione, fille de Vénus , 136. Hermione, fille de Ménélas, 149. Hérodot
. Hespérides, jardin aux pommes d’or, 114. Heures, 34 ; instruisent Vénus , 56. Hibou, oiseau de Cérès, 31. Hiemdall, div.
pollon, 33. Hyades, const.,53. Hydre de Lerne, 113. Hymen, fils de Vénus , 57. Hymne d’Orphée, 162. Hypermnestre, une des
la mer Egée, 141. Rhodope, mont, de Thrace, 132. Ris, accompagnent Vénus , 56. Rollin , auteur cité, 181. Romains, leurs
s, 168. Vengeance ou Némésis, 94. Vents, fils de l’Aurore, 85, 98. Vénus , une des douze grandes div., 21 ; son hist., son
11 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
savoir, parmi les déesses : Cybèle (ou Vesta), Junon, Cérès, Minerve, Vénus et Diane ; parmi les dieux, Jupiter, Neptune, Vul
Pallas, dont elle porta la peau en mémoire de son triomphe. § 11. Vénus . Vénus, déesse de la beauté et de l’amour, na
nt elle porta la peau en mémoire de son triomphe. § 11. Vénus. Vénus , déesse de la beauté et de l’amour, naquit, avec
fort ennuyée d’avoir pour mari un forgeron boiteux, noir et farouche, Vénus , déesse inconsidérée et frivole, prêta une oreill
asse et se livrait sans relâche à cet exercice, malgré les prières de Vénus , qui craignait pour lui la dent cruelle des bêtes
r l’animal furieux, qui l’atteignit, le renversa et le mit en pièces. Vénus accourut trop tard au secours de son amant : il é
ances, pour marquer tour à tour le trépas et l’apothéose du favori de Vénus . Le culte de cette divinité était universel, mais
Sicile13. Le sculpteur Praxitèle fit pour les Cnidiens une statue de Vénus qui passait pour un chef-d’œuvre. — On représente
une statue de Vénus qui passait pour un chef-d’œuvre. — On représente Vénus assise dans un char que traînent des colombes, de
e myrte était son arbre de prédilection. Cupidon ou l’Amour, fils de Vénus , dieu malin, séduisant et trompeur, eut à peine r
révoyant les maux dont cet enfant serait la cause, voulut contraindre Vénus à s’en défaire. Celle-ci, pour le soustraire aux
e défauts dans l’objet de sa tendresse14. Les compagnes ordinaires de Vénus et de Cupidon sont les trois Grâces : Aglaé, Thal
s anthropophages, qui n’avaient qu’un œil au milieu du front. Marié à Vénus , déesse de la beauté, Vulcain ne trouva pas dans
firent l’étonnement et l’effroi des guerriers troyens ; sollicité par Vénus , il forgea des armes pour Énée ; par ordre de Jup
vré par Mercure, il revint dans l’Olympe, où il s’efforça de plaire à Vénus . Un costume guerrier, l’éclat de ses armes, son h
cette victoire, Apollon osa braver l’Amour et ses traits. Le fils de Vénus tira aussitôt de son carquois deux flèches, dont
oire, il déroba l’épée de Mars, le trident de Neptune, la ceinture de Vénus et le sceptre de Jupiter ; il allait escamoter la
royale, le châtiment que lui-même subirait, et dont la protection de Vénus ne pourrait le garantir. Les filles de Nérée ou N
ranche d’olivier et de l’autre une corne d’abondance. Les colombes de Vénus faisant leur nid dans le casque de Mars, sont une
rdre et la paix37. Il épousa ensuite Harmonie (ou Hermione), fille de Vénus et de Mars. Ce mariage eut les plus heureux comme
et ses javelots, d’autre culte que celui de Diane, reine des forêts. Vénus , irritée de ses mépris, résolut sa mort. Elle ins
s mots : à la plus belle. Ce fut le signal des contestations. Junon, Vénus et Minerve prétendirent à la pomme : Pâris fut dé
able. Junon lui promit les richesses ; Minerve, la gloire des armes ; Vénus , la plus belle femme du monde. Vénus fut préférée
; Minerve, la gloire des armes ; Vénus, la plus belle femme du monde. Vénus fut préférée : elle obtint, au milieu des applaud
, résolurent de perdre Pâris, sa famille et toute la nation troyenne. Vénus , qui avait promis à Pâris la plus belle femme du
Sparte, dans le palais de son époux. Aucun obstacle n’arrête Pâris : Vénus le conduit et le favorise. Il part sur un brillan
on adversaire, qui, plus fort et plus adroit, allait triompher, quand Vénus vient au secours de son favori, l’enveloppe d’un
y brilla par son héroïque valeur. Il se battit contre Hector, blessa Vénus qui était accourue au secours d’Énée, plongea sa
d’Argos. § 23. Énée. Énée, prince troyen, fils d’Anchise et de Vénus , est connu dans l’histoire par sa piété et sa val
l plaira à une étrangère de t’imposer. » Telles étaient ses plaintes. Vénus l’écoutait avec un malin sourire, et près d’elle
e des eaux. L’abîme les reçoit et les engloutit. Mais à la demande de Vénus , Neptune prit en compassion leur triste sort ; et
sur l’autre rive. Elle se décide alors d’aller interroger l’oracle de Vénus à Paphos. Mais Vénus, qui en voulait à Psyché de
e se décide alors d’aller interroger l’oracle de Vénus à Paphos. Mais Vénus , qui en voulait à Psyché de ce qu’elle avait réus
rée. Son courage la fait triompher deux fois. Pour troisième épreuve, Vénus lui dit : « Va chez Proserpine, et demande-lui po
ouit ; on craint pour sa vie ; on la transporte au pied des autels de Vénus . Elle y recouvre ses sens, et adresse une ardente
visage de la jeune princesse, et ils passèrent tous deux du temple de Vénus dans le temple de l’Hyménée. La joie présida à la
le où te conduiront tes pieds rapides et le souffle des vents. Pars ! Vénus et la nuit te favorisent. » Lyncée, c’était son n
rétendants avaient déjà perdu la vie, lorsque Hippomène, favorisé par Vénus , se présenta pour cette lutte difficile. La déess
ent se guérir de leur passion, et perdre le souvenir de leurs peines. Vénus , qui regrettait toujours Adonis, et pleurait sa p
le bonheur. Quel fut le mortel qui osa le premier suivre l’exemple de Vénus  ? On l’ignore ; mais on sait que nulle femme ne s
tait un jeune batelier de la ville de Mitylène, dans l’île de Lesbos. Vénus s’étant présentée un jour, déguisée en mendiante,
u : Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté… Écho n’est plus un son qui dans l’air
é. Virgile donne le surnom de Dionæus à Jules César qui descendait de Vénus par Énée, fils d’Anchise. 13. De la viennent les
De la viennent les noms de Cypris, de Cythérée et d’Érycine, donnés à Vénus . 14. L’Amour n’est pas toujours un enfant jouant
12 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
sage, Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n’est plus la vapeur qui produit l
Apollon et Diane ; d’Alcmène, Hercule ; de Maïa, Mercure ; de Dioné, Vénus , et de Sémélé, Bacchus. Plusieurs de ces mariages
puis venaient Neptune, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain ; à gauche, Vénus , Diane, Vesta, Minerve et Cérès. C’étaient les gr
, ce qui la fit nommer Pandore (en grec : pan, tout, dôron, présent). Vénus lui donna la beauté, Apollon le talent de la musi
riam, et toute la nation troyenne, parce que ce berger avait adjugé à Vénus le prix de la beauté, qu’elle lui disputait, ains
un jour qu’elle jouait de cet instrument, en présence de Junon et de Vénus , ces déesses, voyant les contorsions qu’elle fais
2. Dispute de Minerve et de Neptune. Minerve disputa avec Junon et Vénus le prix de la beauté, qui fut accordé à cette der
ois et ses flèches. Dans l’Olympe, il dérobe à Neptune son trident, à Vénus sa ceinture, à Mars son épée, à Jupiter son scept
le dieu Mars ? Quels oiseaux lui étaient consacrés ? Chapitre XI. Vénus . 51. Naissance de Vénus ; elle épouse Vulcai
lui étaient consacrés ? Chapitre XI. Vénus. 51. Naissance de Vénus  ; elle épouse Vulcain. Vénus, déesse de la bea
itre XI. Vénus. 51. Naissance de Vénus ; elle épouse Vulcain. Vénus , déesse de la beauté chez les Romains, était appe
dans l’île de Chypre. Là les Grâces, les Ris et les Jeux, enfants de Vénus , selon quelques-uns, forment son cortége ; les He
des déesses avec le plus difforme des immortels fut souvent troublée. Vénus aima le dieu Mars, Bacchus, Anchise, prince troye
êts du Liban, l’animal furieux s’élança sur lui, et le mit en pièces. Vénus , accourue trop tard à son secours, le changea en
e mont Ida. Il eut à prononcer entre trois rivales, Junon, Minerve et Vénus . Elles comparurent devant lui, et Vénus obtint le
is rivales, Junon, Minerve et Vénus. Elles comparurent devant lui, et Vénus obtint le prix. Ce fut là l’origine de la guerre
isent que les trois Grâces, Aglaé, Thalie et Euphrosine, compagnes de Vénus , étaient filles de Jupiter et d’Eurynome28. Elles
e un dé, symbole des jeux et des ris de la jeunesse. Cupidon, fils de Vénus et de Mars, est le dieu de l’amour. Jupiter, prév
es effets de la funeste passion de l’amour. 54. Culte et images de Vénus . Le culte de Vénus était fort répandu chez les
e passion de l’amour. 54. Culte et images de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu chez les Grecs. Les Spartiates
fs-d’œuvre de la sculpture antique. On n’immolait point de victimes à Vénus , on se contentait de brûler de l’encens et d’autr
e par les poëtes. Questionnaire. 51. Quelle fut la naissance de Vénus , d’après la tradition d’ Hésiode ? Comment expliq
tradition d’ Hésiode ? Comment explique-t-on cette tradition ? A qui Vénus fut-elle donnée pour épouse ? Qui aima-t-elle ? Q
toire ? 54. Pourquoi les Romains rendaient-ils un culte particulier à Vénus  ? Dans quels lieux étaient situés ses temples les
es ? Qu’avez-vous à dire de sa statue par Praxitèle ? Qu’offrait-on à Vénus  ? Comment représente-t-on cette déesse ? Chap
outables ennemis. Aussi, malgré sa laideur, obtint-il pour récompense Vénus , la plus belle des déesses (n° 51). Comme artiste
a main une corne d’abondance. Priape, dieu des jardins, était fils de Vénus et de Bacchus, selon l’opinion la plus commune. O
la suite de son poëme, Virgile nous montre Enée, fils d’Anchise et de Vénus , partant, par l’ordre des destins, avec vingt vai
t naître de la Terre et des Ténèbres ; Epiménide les suppose sœurs de Vénus et des Parques, et filles de Saturne et d’Evonyme
explique : Les Phéniciens ayant très-anciennement apporté le culte de Vénus dans l’île de Chypre, puis dans l’île de Cythère,
’autres les disent filles de Jupiter et de Junon, ou de Bacchus et de Vénus . 29. Psyché veut dire âme ; c’est une allégorie
13 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
sage ; Chaque vertu devient une divinité. Minerve est la prudence, et Vénus , la beauté. Ce n’est plus la vapeur qui produit l
iter, Junon, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta, Apollon, Diane, Vénus , Mars et Vulcain. Les huit autres étoient le Dest
parfaite, chacun lui fit son présent. Pallas, lui donna la sagesse ; Vénus , la beauté ; Mercure, l’éloquence ; etc., et on l
la pomme d’or sur le mont Ida, lorsqu’elle disputa de la beauté avec Vénus et Pallas : elle se déclara dès lors l’ennemie ir
lui-même. Elle le quitta donc, et se retira à Samos. Jupiter consulta Vénus sur les moyens de la faire revenir. Cette déesse
insi appelés, parce qu’ils n’avoient qu’un œil au milieu du front. Vénus D. Racontez l’origine de Vénus. R. Vénus,
qu’un œil au milieu du front. Vénus D. Racontez l’origine de Vénus . R. Vénus, déesse de la beauté et des amours, ét
, le plus laid des dieux devint l’époux de la plus belle des déesses. Vénus , mécontente d’un tel choix, eut plusieurs amants,
troyen, et Adonis jeune chasseur. D. Quel enfant naquit des amours de Vénus et de Mars ? R. Ce fut Cupidon ou l’Amour. On le
e culte que l’on rendoit à ce dieu, lui étoit commun avec sa mère. D. Vénus eut-elle des enfants de Bacchus ? R. Oui ; elle
d, couronné de roses, et tenant un flambeau à la main. On prétend que Vénus eut encore de Bacchus, les trois Grâces, Aglaé, T
es de Jupiter et d’Eurynome. Elles sont les compagnes inséparables de Vénus . Elles suivent aussi assez ordinairement la cour
tres charmes que ceux de la nature. D. Que dit la fable des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable dit que Vénus, ayant
dit la fable des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable dit que Vénus , ayant pris du goût pour Anchise, descendant de T
la foudre qui ne fit que l’effleurer. Enée fut le fruit de l’union de Vénus avec Anchise. D. Faites-nous connoître le chasseu
Adonis. R. Adonis étoit un jeune homme d’une beauté extraordinaire. Vénus l’aima si passionnément, qu’elle quitta l’Olympe
irrita, en l’attaquant. L’animal furieux se jeta sur lui, et le tua. Vénus , au désespoir, regrettoit d’être immortelle. Elle
ortelle. Elle changea Adonis en anémone. D. Racontez la vengeance que Vénus tira de Psyché. R. Psyché étoit une princesse si
te tombe sur le sein du dieu qui se réveille et s’enfuit sans retour. Vénus , déjà jalouse de la beauté de Psyché, fut bien pl
’immortalité, en faveur de Cupidon. D. Qu’étoit-ce que la ceinture de Vénus  ? R. Cette ceinture, dont on raconte tant de mer
er. Homère nous a laissé une magnifique description de la ceinture de Vénus . D. En quels lieux Vénus étoit-elle particulièrem
une magnifique description de la ceinture de Vénus. D. En quels lieux Vénus étoit-elle particulièrement honorée ? R. Elle ét
enture, afin d’éteindre sa malheureuse passion pour Phaon, D. Comment Vénus est-elle représentée ? R. Elle est ordinairement
e lui étoit consacrée, comme ayant été teinte du sang d’Adonis, ou de Vénus elle-même blessée par une des épines de cette fle
alion ? R. Pygmalion étoit un fameux sculpteur. Il fit une statue de Vénus en ivoire, et la trouva si belle, qu’il pria la d
va si belle, qu’il pria la déesse d’animer cet ouvrage de son ciseau. Vénus l’exauça, et Pygmalion épousa sa statue, dont il
ent la vie de cette manière. Mais Hippomène, instruit et favorisé par Vénus , se présenta avec confiance. La déesse lui avoit
re Pâris, et le vainquit. Le ravisseur d’Hélène alloit périr, lorsque Vénus , sa protectrice, l’enveloppa d’un nuage, et le dé
sus, qu’il enlève le palladium ; enfin, qu’il blesse le dieu Mars, et Vénus même, qui venoit secourir son fils Énée. La déess
de Pâris ? R. Ce fut la dispute qui s’éleva entre Junon, Minerve et Vénus . Touts les dieux avoient été invités aux noces de
tin, une pomme d’or, avec cette inscription : à la plus belle. Junon, Vénus et Pallas prétendirent exclusivement à la pomme,
e berger le pouvoir et la richesse ; Minerve, le savoir et la vertu ; Vénus lui promit de le faire aimer de la plus belle fem
e aimer de la plus belle femme de l’univers. Pâris adjugea la pomme à Vénus . De la vint la haine de Junon et de Minerve contr
as, et ne se déroba aux coups du héros grec, que par la protection de Vénus . Il blessa Diomède, Machaon, Antilochus, Palamède
s principaux traits de la vie d’Énée ? R. Énée, fils d’Anchise et de Vénus , avoit épousé Créuse, fille de Priam. Il montra b
nts, et lui demande d’exciter une tempête pour faire périr le fils de Vénus et ses compagnons. Éole cède aux desirs de la rei
t calmé l’orage, et fait rentrer les vents dans leur antre. Cependant Vénus s’adresse à Jupiter, et lui rappelle ses promesse
le ses promesses en faveur du pieux Énée. Jupiter assure de nouveau à Vénus que son fils arrivera heureusement en Italie, où
carnasse, capitale du royaume, entre le palais du roi et le temple de Vénus . Ce tombeau fut appelé Mausolée, du nom de celui
14 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
’exemple des Dieux. Delà un Jupiter incestueux, un Mars adultère, une Vénus impudique, un Mercure voleur, etc. La vanité,
Junon, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta, Apollon, Diane, Mars, Vénus et Vulcain. Ces douze premiers Dieux formoient le
nsemble pour former une femme parfaite. Pallas lui donna la sagesse ; Vénus , la beauté ; Apollon, la connoissance de la musiq
coûta à la nation Troyenne la préférence que le berger Pâris donna à Vénus au préjudice de cette Déesse. Son caractère altie
rpens entrelacés : elle étoit le symbole de la paix et de l’union. Vénus . D. Que nous disent les Poëtes sur la naissan
nion. Vénus. D. Que nous disent les Poëtes sur la naissance de Vénus  ? R. Les uns la disent fille du Ciel et de la Ter
ompenser Vulcain des services qu’il lui avoit rendus, lui fit épouser Vénus . D. Dites-nous quelques mots de la ceinture de ce
ure de cette Déesse ? R. Cette ceinture étoit le plus bel ornement de Vénus . Elle renfermoit tous les attraits, tous les agré
en fait une magnifique description. (Iliad. l. 44). D. En quels lieux Vénus étoit-elle particulièrement adorée ? R. Elle avoi
e changée en étoile, et placée au ciel. D. Quels furent les enfans de Vénus  ? R. Les Poëtes en comptent un grand nombre, mais
Aglaé, Thalie et Euphrosine. Elles sont les compagnes inséparables de Vénus . Elles suivent aussi assez ordinairement la cour
eux, où Vulcain nuit et jour Forge de Jupiter les foudroyantes armes, Vénus faisoit remplir le carquois de l’Amour,         L
des trompettes. Priape. D. Qu’étoit Priape ? R. Priape, fils de Vénus et de Bacchus, étoit le Dieu des Jardins. On le r
qui Énée étoit-il fils ? R. Enée étoit fils d’Anchise et de la Déesse Vénus . II échappa à la ruine de Troye ; il chargea son
, fonde l’empire Romain ; et après sa mort, il est enlevé au ciel par Vénus . On l’honoroit à Rome sous le nom de Jupiter indi
imée. Il en devint éperdument amoureux. Pygmalion devint amant De la Vénus dont il fut père. Il fit mille extravagances pou
l fut père. Il fit mille extravagances pour cette statue. Ayant prié Vénus de l’animer, il fut exaucé. Il épousa sa statue,
e dit-on d’Adonis ? R. Adonis, fils de Myrrha, fut aimé tendrement de Vénus . Il aimoit passionnément la chasse ; il perça d’u
15 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
nture, et dont la partie inférieure se terminoit en queue de poisson. Vénus , qu’elle avoit offensée, lui inspira une violente
de crimes et de malheurs. Les noces d’Hermione ou Harmonie, fille de Vénus et de Mars, avec Cadmus, furent très-brillantes ;
mbole de la pudeur ; Cérès offrit du bled ; Mercure une lyre, etc.5 ; Vénus qui vouloit faire un magnifique présent à sa fill
environné de laine blanche. L’Oracle lui dit de se laisser guider par Vénus  ; en sortant du temple il se rendit sur le bord d
hèvre qui tout-à-coup fut métamorphosée en bouc. Thésée alors donna à Vénus le surnom peu élégant d’Epitragia, qui signifie D
e périls, ils arrivèrent enfin dans la ville capitale de la Colchide. Vénus apprit à Jason l’art de séduire la Magicienne Méd
r et de Lamie, étoit si beau, qu’il remporta le prix de la beauté sur Vénus même qui le lui disputa. Ce fut le Dieu Pan qui r
it ce jugement, en punition de cette décision, l’Amour à la prière de Vénus , inspira au Dieu Pan une passion aussi violente q
upiter pour terminer le différend des trois Déesses, Junon, Pallas et Vénus . Il fut insensible aux richesses que lui promit l
nce de posséder la plus belle femme de l’univers, il donna la pomme à Vénus . Il s’attira sa protection, mais il encourut la h
exterminée à l’exception d’Enée, Prince Troyen, fils d’Anchise et de Vénus , et petit fils d’Assaracus, il fut élevé par le C
e soutint d’autres guerres avec autant de gloire ; ensuite enlevé par Vénus , il disparut de la terre. Les Romains l’honorèren
èrent un chant divin32 ». Il chanta d’abord les amours de Mars et de Vénus . Ulysse qui n’étoit pas encore connu, lui demanda
gialée. Il se trouva au siége de Troie, et dans un combat il y blessa Vénus à la main ; il tua l’espion Dolon ; et il aida à
porta Diomède à s’exiler de son pays. Il alla s’établir en Italie, où Vénus changea ses compagnons en hérons. On terminera ce
aussi appelée ldalie, elle étoit dans l’isle de Chipre et consacrée à Vénus . Cette fable de Chalcénor rappelle l’histoire de
ier, brûlant des armes. Aristophane donne à la Paix, pour compagnes, Vénus et les Graces. Les colombes de Vénus faisant leur
donne à la Paix, pour compagnes, Vénus et les Graces. Les colombes de Vénus faisant leur nid dans le casque de Mars est une i
        Il est une jeune Déesse Plus agile qu’Hébé, plus fraiche que Vénus , Elle écarte les maux, les langueurs, les foibles
16 (1800) Cours de mythologie pp. -360
encor l’œuvre de ton génie. L’antique merveilleux de la Théogonie, Et Vénus et Cybèle, et Jupiter tonnant, De mille Déités l’
n, un plat rimailleur ;             Le vieux Atlas, un radoteur :      Vénus , une catin ; Diane, une coureuse,             Et
en tombant et resta boiteux. Sa difformité ne l’empêcha pas d’épouser Vénus , qui oublia souvent ce qu’elle devoit à son époux
s’empressèrent De venir au-devant de ce fameux Héros. Mars, Minerve, Vénus , tendrement l’embrassèrent ; Junon même lui fit u
rs les forêts               Apperçut un lieu solitaire, Où le Fils de Vénus et les Dieux de Cythère               Dormoient s
ur, Du rempart des taillis ont franchi l’épaisseur. Roucher 71. Vénus ou Cythérée Déesse de la Beauté, Mère de l’A
ompe dans l’Olympe, où ses attraits ravissans enchantèrent les Dieux. Vénus eût été parfaite, si à la beauté, elle eût joint
phos, à Gnide, à Cythère. La colombe lui est consacrée. On représente Vénus avec Cupidon son fils, sur un char en forme de co
vec respect demeurent suspendus, Fiers d’ouvrir un passage à la belle Vénus . Le Triton recourbé, fendant l’onde écumante, Cha
nouveaux, Le dépit vous oblige à rentrer sous les eaux72. Gnide.      Vénus à Gnide aime à fixer sa cour ; Elle n’a point de
ille ; Le fruit renaît sous la main qui le cueille : Les Gnidiens que Vénus y conduit Foulent envain l’émail de la verdure :
ouvoir, rival de la nature, Le vrai gazon est soudain reproduit.      Vénus permet à ses Nymphes légères De se mêler aux dans
ieux, Eut les premiers regards du souverain des Dieux,                 Vénus avec un doux sourire,     Choisit le myrthe ; et
ôt filles de Jupiter et de la belle Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus . Les Grâces sont représentées jeunes, riantes, le
aisirs innocens folâtrent sous ses pas ; Mars lui doit sa vigueur, et Vénus ses appas. Sans elle, tout languit dans la natur
aquelle étoient écrits ces mots : A la plus belle. Junon, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme fatale, et leur rivalité
l’œil même de son père. Racine 149. Énée, Fils d’Anchise et de Vénus . Ce héros fut aussi célébre par sa valeur qu
rrive aux Troyens malheureux. Une fière beauté, (c’étoit Penthésilée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient, la h
rvé. Aussi prompt que l’éclair, sous la vive Amazone, Il croit porter Vénus , la Victoire ou Bellone. Les femmes des Troyens q
           Votre rival construisit une ville :                 Mais à Vénus il ne faut qu’un jardin. Dorat 160. Penthée
Troyen. Beau et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux de Vénus . Cette Déesse l’épousa secrètement, et en eut Ené
, que Jupiter le nomma juge du différend élevé entre Junon, Pallas et Vénus , au sujet de la pomme d’or : le Prince berger déc
énus, au sujet de la pomme d’or : le Prince berger décerna la pomme à Vénus , Pâris ne vérifia que trop dans la suite la prédi
t, Et combien de palais vois-je réduire en poudre ?     La faveur de Vénus a troublé ta raison : Triomphant au milieu des Da
e et animée par Vulcain. Tous les Dieux concoururent à sa perfection. Vénus lui donna la beauté ; Minerve la sagesse ; Mercur
  D’une jeune mortelle il (Jupiter) forma la substance ; Lui donna de Vénus la grâce et la beauté, De la Reine des Dieux la f
rha. Le plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vénus . Cette Déesse l’ayant vu périr sous la dent cruel
bres et des cris lamentables, dans la Phénicie et dans la Grèce.      Vénus croit voir son fils, il en a tous les charmes ! J
rs affligés en répandent des larmes. Sors du lit nuptial, ô plaintive Vénus , Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse,
Flore, Le rappellent envain dans leurs tendres accens… Pour la triste Vénus , interdite, égarée, L’œil sombre, les pieds nus,
ints du sang d’une Déesse ; C’en est fait, il n’est plus, malheureuse Vénus  ! L’écho redit sans cesse, il n’est plus, il n’es
t plus, Déesse inexorable, Pourrois-je encor redouter tes fureurs ?.. Vénus dans les déserts est triste et solitaire, Les amo
l’Immortelle, Les Graces à l’envi soupirent avec elle. Cesse, tendre Vénus , d’errer dans les forêts ; Vois sur un lit pompeu
é, c’en est fait, il n’est plus, Disent-elles, encor plus tristes que Vénus  ; La fille du Cahos dans ses chansons funèbres, L
erts, Et l’enchaîne à jamais dans le sein des ténèbres. Cesse, tendre Vénus , mets fin à tes douleurs, Une autre année encor f
doux.                 Dans nos charmantes retraites,                  Vénus se plait avec sa cour ;                 Nous y go
rmeil, ceint de grappes rougies, Et cette Déité, charme de l’Univers, Vénus qui de Lucrèce inspiroit les beaux vers. Fontane
Léonard 296. Gaîté. C’étoit un des attributs distinctifs de Vénus . Les Romains l’avoient divinisée.     Vous conno
17 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
encor l’œuvre de ton génie. L’antique merveilleux de la Théogonie, Et Vénus et Cybèle, et Jupiter tonnant, De mille Déités l’
n, un plat rimailleur ;             Le vieux Atlas, un radoteur :      Vénus , une catin ; Diane, une coureuse,             Et
en tombant et resta boiteux. Sa difformité ne l’empêcha pas d’épouser Vénus , qui oublia souvent ce qu’elle devait à son époux
s’empressèrent De venir au-devant de ce fameux Héros. Mars, Minerve, Vénus , tendrement l’embrassèrent ; Junon même lui fit u
travers les forêts           Aperçut un lieu solitaire, Où le fils de Vénus et les Dieux de Cythère           Dormaient sous
leurs De ses assassins même attendrissent les cœurs. Delille 72. Vénus ou Cythérée. Déesse de la Beauté, Mère de l’A
ompe dans l’Olympe, où ses attraits ravissans enchantèrent les Dieux. Vénus eût été parfaite, si à la beauté, elle eût joint
vec respect demeurent suspendus, Fiers d’ouvrir un passage à la belle Vénus . Le Triton recourbé, fendant l’onde écumante, Cha
nouveaux, Le dépit vous oblige à rentrer sous les eaux73. Gnide.     Vénus à Gnide aime à fixer sa cour ; Elle n’a point de
ille ; Le fruit renaît sous la main qui le cueille : Les Gnidiens que Vénus y conduit Foulent en vain l’émail de la verdure :
pouvoir, rival de la nature, Le vrai gazon est soudain reproduit.     Vénus permet à ses nymphes légères De se mêler aux dans
ôt filles de Jupiter et de la belle Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus . Les Grâces sont représentées jeunes, riantes, le
aisirs innocens folâtrent sous ses pas ; Mars lui doit sa vigueur, et Vénus ses appas. Sans elle, tout languit dans la nature
laquelle étaient écrits ces mots : A la plus Belle. Junon, Pallas et Vénus se disputèrent la pomme fatale, et leur rivalité
l’œil même de son père. Racine 151. Énée, Fils d’Anchise et de Vénus . Ce héros fut aussi célèbre par sa valeur qu
rrive aux Troyens malheureux. Une fière beauté, (c’était Penthésilée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient, la h
rvé. Aussi prompt que l’éclair, sous la vive Amazone, Il croit porter Vénus , la Victoire ou Bellone. Les femmes des Troyens q
Troyen. Beau et bien fait dans sa jeunesse, il charma les yeux de Vénus . Cette Déesse l’épousa secrètement, et en eut Ené
, que Jupiter le nomma juge du différend élevé entre Junon, Pallas et Vénus , au sujet de la pomme d’or : le Prince berger déc
énus, au sujet de la pomme d’or : le Prince berger décerna la pomme à Vénus . Pâris ne vérifia que trop dans la suite la prédi
rt, Et combien de palais vois-je réduire en poudre ?    La faveur de Vénus a troublé ta raison : Triomphant au milieu des da
e et animée par Vulcain. Tous les Dieux concoururent à sa perfection. Vénus lui donna la beauté ; Minerve la sagesse ; Mercur
  D’une jeune mortelle il (Jupiter) forma la substance ; Lui donna de Vénus la grâce et la beauté, De la reine des Dieux la f
rha. Le plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vénus . Cette Déesse l’ayant vu périr sous la dent cruel
ubres et des cris lamentables, dans la Phénicie et dans la Grèce.     Vénus croit voir son fils, il en a tous les charmes ! J
rs affligés en répandent des larmes. Sors du lit nuptial, ô plaintive Vénus , Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse,
lore, Le rappellent en vain dans leurs tendres accens… Pour la triste Vénus , interdite, égarée, L’œil sombre, les pieds nus,
ints du sang d’une Déesse ; C’en est fait, il n’est plus, malheureuse Vénus  ! L’écho redit sans cesse, il n’est plus, il n’es
it plus, Déesse inexorable, Pourrais-je encor redouter tes fureurs ?… Vénus dans les déserts est triste et solitaire, Les Amo
l’immortelle, Les Grâces à l’envi soupirent avec elle. Cesse, tendre Vénus , d’errer dans les forêts ; Vois sur un lit pompeu
é, c’en est fait, il n’est plus, Disent-elles, encor plus tristes que Vénus  ; La fille du Cahos dans ses chansons funèbres, L
erts, Et l’enchaîne à jamais dans le sein des ténèbres. Cesse, tendre Vénus , mets fin à tes douleurs, Une autre année encor f
es plus doux.             Dans nos charmantes retraites,              Vénus se plaît avec sa cour ;             Nous y goûton
rmeil, ceint de grappes rougies, Et cette Déité, charme de l’Univers, Vénus qui de Lucrèce inspirait les beaux vers. Fontane
. Léonard 280. Gaîté. C’était un des attributs distinctifs de Vénus . Les Romains l’avaient divinisée.    Vous connai
es] Delille. Géorg. franç., ch. I. 73. [Table des matières] Anonyme. Vénus . 74. [Table des matières] Léonard. Alexis, roman
18 (1866) Dictionnaire de mythologie
un cabinet à la porte duquel je lus cette inscription : « Toilette de Vénus . » Sur l’invitation de mon guide, j’y pénétrai, e
yons poudreux (pleurez, Grâces et Amours !) traînaient la ceinture de Vénus , ses sandales dorées et sa robe transparente. En
que nous sommes plus propres. Adonis. Beau jeune homme, aimé de Vénus , tué par un sanglier. La déesse obtint de Proserp
e l’année, se développe, grandit et prospère sous les regards amis de Vénus (la douceur fécondante de l’atmosphère). Selon d’
t cruelle, l’astre pâlit, il perd ses forces et sa chaleur ; la tiède Vénus le croit mort pour jamais, elle s’exile, elle fai
renaît plus jeune et plus souriant ; il rentre au ciel en conquérant. Vénus revient auprès de son bien-aimé, qui la vivifie d
avec cette inscription : A la plus belle ! comment Minerve, Junon et Vénus se disputèrent ce présent, et comment enfin Paris
rier, tempéré par la discipline et la prudence. Du côté de l’Asie est Vénus , c’est-à-dire les plaisirs, les amours et la moll
sie est Vénus, c’est-à-dire les plaisirs, les amours et la mollesse7. Vénus est vaincue par ses deux rivales, ou, pour parler
Sirènes. Ce sont les filles de marbre de l’Océan. Belles comme Vénus jusqu’à la ceinture, elles cachaient dans la mer
19 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
Ménélas, les Ulysse, Hector, Sarpédon, fils de Jupiter, Énée, fils de Vénus , que les Romains reconnaissaient pour leur fondat
. Pour mieux cacher sa sépulture, ils bâtirent par-dessus un temple à Vénus qui devint très-célèbre par la suite. Quelques si
coupable et la plus funeste passion. Elle feignit de vouloir apaiser Vénus , l’implacable ennemie de sa maison ; elle lui fit
temple le nom d’Hippolytion, et, par la suite, on le nomma temple de Vénus spéculatrice. L’indifférence et les mépris d’Hipp
nos. Les femmes de cette île, dit la fable, ayant manqué de respect à Vénus , cette déesse les en punit en inspirant à leurs m
r une espèce de fatalité, ou par le courroux des dieux ; par celui de Vénus surtout, qui persécuta sans cesse la race du Sole
Clytemnestre. La fable dit que Jupiter s’étant métamorphosé en cygne, Vénus prit la forme d’un aigle et se mit à sa poursuite
eurs concurrens avaient perdu la vie, lorsque Hippomène se présenta ; Vénus , qu’il avait invoquée, le favorisait : la déesse
e le prétendant courrait le premier. Hippomène, d’après le conseil de Vénus , laisse tomber une pomme, la légère Atalante se p
tires, qu’on représentait sur le théâtre, en l’honneur de Bacchus, de Vénus et d’Apollon. Les jeux de la Grèce les plus célèb
C’est ce même jour que les Latins nommaient dies Veneris, le jour de Vénus , Vendredi. La troisième divinité principale des S
enait soin de la parure ; Freya, déesse des amans, et plus fidèle que Vénus , pleure sans cesse son mari Odrus, qui est absent
20 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
the Aphrodite of Praxiteles. G. M. 179. Lachau, Sur les Attributs de Vénus , p. 71. — 2. Psyche in terror of Venus. Statue in
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