es Égyptiens adoptèrent huit grands dieux : le Soleil, Saturne, Rhéa, Jupiter , Junon, Vulcain, Vesta et Mercure ou Hermès. Chro

t épousé Rhéa, devint père d’Osiris et d’Isis, ou, selon d’autres, de Jupiter et Junon. Selon ces derniers, Jupiter enfanta cin

d’Isis, ou, selon d’autres, de Jupiter et Junon. Selon ces derniers, Jupiter enfanta cinq autres dieux : Osiris, Isis, Typhon,

des personnes déifiées, Osiris fut appelé Sérapis, Dionysius, Pluton, Jupiter , Pan ; de même Isis sa femme fut honorée sous les

t, il donne un nom à cet être inconnu. « L’univers a été produit par Jupiter . L’empirée, le profond tartare, la terre et l’océ

tout ce qui sera, était contenu originairement dans le sein fécond de Jupiter , et en est sorti. Jupiter est le premier et le de

ntenu originairement dans le sein fécond de Jupiter, et en est sorti. Jupiter est le premier et le dernier, le commencement et

s’appelaient ses fils, comme les héros grecs se disaient les fils de Jupiter ou d’Hercule. On peut même assurer que tous les p

trouve ceux que nous avons déjà nommés ; mais encore Cœlus, Saturne, Jupiter , Mars, Apollon, Mercure, Ammon, Bacchus, Sérapis,

remiers idolâtres. Du temps de Cécrops, les Athéniens ils offraient à Jupiter que de simples gâteaux. Les premiers Scythes ador

Néréides, des Nymphes, des Naïades ; l’air et les vents, sous ceux de Jupiter et d’Éole ; le soleil, sous ceux d’Osiris, d’Apol

ues préceptes propres à régler les mœurs. Telle est celle qui dit que Jupiter envoie les étoiles sur la terre, pendant le jour,

torique, comme celle d’Até, rapportée par Homère. Elle était fille de Jupiter , mais elle ne s’occupait qu’à faire du mal. Objet

ccupait qu’à faire du mal. Objet de la haine des dieux et des hommes, Jupiter la saisit par les cheveux, la précipita du haut d

rt toute la terre avec une célérité incroyable ; ses sœurs, filles de Jupiter comme elle, et que l’on nomme les Prières, vont t

, on se trouvait à l’histoire des dieux, où l’on rencontrait toujours Jupiter , Saturne, le Ciel, la Terre. Les Grecs ne savaien

ait également un taureau ou un navire. De là les Grecs publièrent que Jupiter changé en taureau avait enlevé la jeune Europe, a

de la religion avec beaucoup de sagesse. Il fut le premier qui appela Jupiter le dieu suprême, le très-haut. Il défendit qu’on

Pan, leur Mendes, Diane, leur Bubaste ; Déméter, leur Isis ; Zeus ou Jupiter , leur Ammon ; Vénus ou Aphrodite, leur Astarté. C

premier rang parmi les dieux d’Égypte. Les Grecs en firent un fils de Jupiter et de Junon, qui, chassé du ciel à cause de sa di

tions ou des villes différentes adoraient le même dieu sous le nom de Jupiter , chacune de ces nations ou de ces villes prétenda

Jupiter, chacune de ces nations ou de ces villes prétendait avoir son Jupiter particulier : Varron en compte plus de trois cent

upposait aveugle, gouvernait toutes choses par une nécessité absolue. Jupiter lui-même, le premier et le plus grand des dieux,

révérés par toutes les nations. Ils étaient au nombre de vingt, dont Jupiter était le premier. Dans le second ordre étaient co

avaient point de place dans le ciel, et n’étaient point du conseil de Jupiter . Pan, Pomone, Flore et les autres divinités champ

re étaient séparés en deux classes. La première formait le conseil de Jupiter  ; elle était composée de six dieux et de six dées

tait composée de six dieux et de six déesses. Les six dieux étaient : Jupiter , Neptune, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain. Les

Histoires particulières des dieux. Avant de donner l’histoire de Jupiter , nous croyons devoir parler de Saturne son père,

a mère. Le rang de ces deux divinités était très-inférieur à celui de Jupiter , le premier et le plus grand des dieux. Cybèle et

es notions que nous allons donner serviront à éclaircir l’histoire de Jupiter leur fils. Saturne, Janus, Age d’or. Cœlus,

re de Saturne dévorant ses fils. Cependant Cybèle, ayant mis au monde Jupiter en même temps que Junon, trouva moyen de le cache

rs divins, et on la nomma Abadir ou Abdir. Cybèle, voulant soustraire Jupiter à la vue de Saturne, le fit transporter secrèteme

es poëtes racontent que, pour empêcher Saturne d’entendre les cris de Jupiter , les prêtres de Cybèle inventèrent une sorte de d

e Cybèle, dans une étroite prison, où ils restèrent jusqu’au temps où Jupiter , devenu grand, combattit pour eux, et leur rendit

Jupiter, devenu grand, combattit pour eux, et leur rendit la liberté. Jupiter , avant de délivrer son père, s’était emparé du ro

ne furent jamais au rang des grands dieux qui formaient le conseil de Jupiter . On doit placer Janus parmi les dieux indigètes.

op généreux pour refuser un asile à Saturne malheureux et détrôné par Jupiter . Il fit plus que l’accueillir, il voulut partager

aurateur de l’âge d’or, il faut l’attribuer à l’éclatante renommée de Jupiter , fils de Saturne, dont nous verrons bientôt l’his

nom leur était donné à cause de l’île de Crète, où ils avaient élevé Jupiter . On les appelait aussi Dactyle, d’un mot grec qui

u garde du feu, à celui de ses livres où il parle du culte du feu. Jupiter . On s’effraie lorsqu’on veut approfondir l’idé

r des dieux. La plus grande partie de leurs philosophes croyaient que Jupiter était l’air le plus pur, l’æther, et que Junon, s

esse de leur esprit ? Ce qui obscurcit encore davantage l’histoire de Jupiter , c’est qu’il y en a eu beaucoup de ce même nom, e

nnu de tous. Les anciens ne sont nullement d’accord sur le nombre des Jupiter . Diodore de Sicile en reconnaît deux : le premier

était né dans l’île de Crète, et l’on y voyait son tombeau. Le nom de Jupiter est beaucoup plus ancien que ne paraissent le cro

, est aussi très-ancien. Jupiter Bélus, dont parle Hérodote, était le Jupiter des Assyriens. Selon le même auteur, le ciel étai

tait le Jupiter des Assyriens. Selon le même auteur, le ciel était le Jupiter des Perses. Les Grecs, au contraire, regardaient

rand-père de Jupiter. On doit aussi placer au nombre des plus anciens Jupiter celui de Thèbes en Égypte, puisqu’au rapport d’ H

lla dans la Grèce établir le premier oracle. Les Scythes avaient leur Jupiter  ; chaque peuple lui donnait un nom particulier. L

de Troie. De là vient que tant de peuples différens se vantaient que Jupiter était né parmi eux, et presque tous montraient de

né de cette même époque. Nous ne donnerons pas l’histoire de tous ces Jupiter  : il est probable que les événemens arrivés à cha

ux que l’on a réunis pour en former l’histoire particulière d’un seul Jupiter . Nous nous bornerons à faire connaître ce que la

les différences qui existent entre ces différens dieux. L’histoire de Jupiter se trouvant sans cesse mêlée avec celle des autre

l’histoire nous ont transmis. Nous dirons les noms les plus connus de Jupiter , la manière dont on le représentait, et le culte

l’on saisira beaucoup mieux l’ensemble de la mythologie. Fable de Jupiter . La fable de Saturne et de Cybèle nous a déjà

ui la dévora sur-le-champ, confia aux Curètes le soin de l’enfance de Jupiter  ; et c’était pour empêcher qu’on n’entendît ses c

frappant sur leurs boucliers avec leurs lances. Avant la naissance de Jupiter , Saturne avait déjà dévoré Vesta, sa fille aînée,

aînée, Cérès, Junon, Pluton et Neptune. Rhéa, sentant qu’elle portait Jupiter dans son sein, le sauva comme nous venons de le d

le lait de la chèvre Amalthée lui servit de nourriture. Aussitôt que Jupiter fut devenu grand, il s’associa avec Métis, nom qu

ui signifie également enfermer et dévorer. Nous apercevrons alors que Jupiter , conseillé par la prudence, trouva le moyen de dé

es parens. Après cette guerre, qui dura dix années, la Terre prédit à Jupiter qu’il remporterait une victoire complète sur ses

lors que les Cyclopes, dont nous parlerons dans la suite, donnèrent à Jupiter la foudre, qui depuis a été son symbole ordinaire

et un trident à Neptune. Avec ces armes, ils vainquirent Saturne, que Jupiter traita comme le même Saturne avait traité Uranus,

ois frères, se voyant les maîtres du monde, le partagèrent entre eux. Jupiter eut le ciel pour sa part, Neptune eut la mer, et

Explication du partage du monde. Avant de poursuivre la fable de Jupiter , nous allons dire la manière dont les savans expl

’apparence que ce fut lui qui fut désigné par la suite sous le nom de Jupiter , car il y avait en Égypte une ville consacrée en

e partage, lorsque nous rapporterons ce que l’histoire a conservé sur Jupiter . Suite de la fable de Jupiter. Les Titans

ons ce que l’histoire a conservé sur Jupiter. Suite de la fable de Jupiter . Les Titans et les Géans ayant résolu de se v

de Jupiter. Les Titans et les Géans ayant résolu de se venger de Jupiter , entreprirent de l’assiéger jusque dans le ciel,

résidence ordinaire. Ils entassèrent le mont Ossa sur le mont Pélion. Jupiter , effrayé à la vue de ses ennemis, appela tous les

e de ses enfans : la Victoire, la Puissance, l’Émulation et la Force. Jupiter lui sut si bon gré de sa diligence, qu’il ordonna

il demeurerait dans le lieu de sa naissance. Ce qui effrayait le plus Jupiter , c’est qu’il était dit que les Géans seraient inv

rait leur ôter la vie si quelque mortel ne venait au secours du Ciel. Jupiter alors défendit à l’Aurore, au Soleil et à la Lune

es coups pour la considérer ; les flèches d’Hercule et les foudres de Jupiter lui firent perdre la vie. Ephilate et Otus son fr

monstre épouvanta tellement les dieux qui étaient venus au secours de Jupiter , qu’ils s’enfuirent du ciel et se sauvèrent en Ég

en Égypte. Cette retraite ayant considérablement affaibli le parti de Jupiter , donna lieu de dire que Typhon lui avait coupé le

ue Typhon lui avait coupé les mains avec la même faux de diamant dont Jupiter s’était armé contre lui. Ce formidable ennemi ne

figures à leurs proues. Typhon ayant coupé les mains et les jambes de Jupiter avec la faux de diamant, le porta dans la Cilicie

Mercure et Pan ayant surpris la vigilance de ce gardien, rendirent à Jupiter ses mains et ses jambes, c’est-à-dire sa liberté 

a en Thrace, où le géant ayant déraciné une montagne, la lança contre Jupiter , qui, d’un coup de foudre, la repoussa contre lui

contre lui. Enfin Typhon, s’étant enfui en Sicile, y fut accablé par Jupiter sous le mont Etna. Les tremblemens de terre, dit

r la montagne qui F écrase. Après la défaite des Titans et des Géans, Jupiter ne songea plus qu’à gouverner l’univers et à veil

verner l’univers et à veiller au bonheur des hommes. Hésiode dit que Jupiter se maria sept fois. Ses épouses furent Méthis, Th

ns. Quoique tous ceux nommés par la fable n’appartiennent pas au même Jupiter , nous allons la suivre en les faisant connaître,

de Sémélé, fille de Cadmus, Bacchus. Cette longue liste des enfans de Jupiter ne doit pas surprendre, en se rappelant qu’un trè

s ont réuni dans son histoire les traits les plus brillans des autres Jupiter . Il serait impossible de rapporter à chacun d’eux

Ces époques et ces preuves établissent suffisamment la différence des Jupiter . Histoire de Jupiter et des princes Titans.

es établissent suffisamment la différence des Jupiter. Histoire de Jupiter et des princes Titans. L’histoire que nous al

tion de sexe. Rhéa, désolée de cette cruauté, eut l’adresse de sauver Jupiter , et de l’envoyer de l’Arcadie, où elle était alor

nt ses enfans, et celle de la pierre qui lui fut présentée au lieu de Jupiter  ; fable expliquée par l’équivoque du mot phénicie

e saisirent de sa personne, et l’enfermèrent dans une étroite prison. Jupiter , très-jeune alors, mais rempli de courage, sortit

e de ses enfans. Dès-lors il chercha tous les moyens de se défaire de Jupiter  ; il lui dressa des embûches, que celui-ci sut év

ls ; mais ceux qui la gouvernaient pour lui s’étant rangés du côté de Jupiter , il fut obligé de se retirer avec précipitation d

la partie de la Grèce qui, par la suite, porta le nom de Péloponèse. Jupiter l’y suivit, le vainquit, et le força d’aller cher

té défaits, ils allèrent avec Saturne se cacher au fond de l’Espagne. Jupiter commença par délivrer ses frères et ses sœurs ; e

te dernière victoire et à la mort de Saturne que commença le règne de Jupiter . Son véritable nom était Jou, c’est-à-dire jeune,

ite, on y ajouta la qualité de pater, père, d’où l’on fit Joupater et Jupiter . Devenu le maître d’un vaste empire, il épousa sa

s appelaient Héra ou la maîtresse. On donnait aussi le nom de Jovis à Jupiter  ; et l’on y joignit le mot père, pour désigner qu

. On ignore l’histoire des autres gouverneurs ; on sait seulement que Jupiter s’était réservé tout l’Orient, la Grèce, ses îles

u partage du monde entre les trois frères. Il paraît au contraire que Jupiter demeura seul maître de l’empire, et ne donna que

er à leur imagination ; et, retrouvant sans cesse à la tête des dieux Jupiter , Neptune et Pluton, ils ont cru pouvoir désigner

ire de chaque dieu. Nous devons ajouter que le partage du monde entre Jupiter , Neptune et Pluton, n’était point généralement ad

lections du monde, celle de M. Townley, on voit une statue antique de Jupiter , qui représente ce dieu avec la foudre, symbole d

urage, la prudence, la justice et les vertus civiles et militaires de Jupiter . Leurs ouvrages n’existent plus en originaux ; ma

a reconnaissance ? Les soins de l’empire du monde n’empêchaient point Jupiter d’aller souvent dans l’île de Crète ; c’est là qu

contre lui Junon, son épouse, qu’elle entra dans une conjuration que Jupiter dissipa dès qu’il en fut informé. Ce fut là le de

s de cette île, avec cette inscription : Ci gît Zan, que l’on nommait Jupiter . Il vécut cent vingt ans ; on comptait soixante-d

Les Curètes, ses parens, prirent soin de ses funérailles. L’empire de Jupiter eut le sort des grands états, dont la splendeur s

portion de cet empire qui subsista le plus long-temps. Crès, fils de Jupiter , y régna après la mort de son père. Les anciens n

s régnèrent long-temps. Telle est l’histoire des princes Titans et de Jupiter , le plus grand dieu des Grecs et des Romains : hi

d’histoire toutes les traditions répandues dans la Grèce au sujet de Jupiter et de sa famille ; mais on a préféré celle qui av

de quelques-unes des fables contenues dans l’histoire et la fable de Jupiter . Nous nous bornerons à donner l’explication d

rincipaux ; ils serviront à répandre plus de clarté sur l’histoire de Jupiter . Pour entendre la fable où il est dit que Jupiter

é sur l’histoire de Jupiter. Pour entendre la fable où il est dit que Jupiter précipita dans les enfers son père Saturne, il fa

mencèrent une nouvelle conspiration en s’alliant au parti de Saturne. Jupiter les battit, les poussa au fond de l’Espagne, et,

es par lesquels les Titans auraient pu s’échapper. Nous avons dit que Jupiter détruisit les brigands qui dévastaient la Thessal

avons rapporté plus haut prouve que les Titans étaient de ce nombre. Jupiter avait fait construire sur le mont Olympe une cita

représentèrent comme le ciel même, et les travaux que les ennemis de Jupiter firent pour attaquer cette forteresse furent dépe

rir. On voit par tous les fragmens qui restent de cette histoire, que Jupiter fut attaqué par mer et par terre. Parmi les fable

par mer et par terre. Parmi les fables conservées sur la manière dont Jupiter fut élevé dans l’île de Crète, il est dit que des

dans l’Élide. Ce fut là, qu’en mémoire de la guerre entre Saturne et Jupiter il établit une course, et régla que celui qui rem

e ou Typhon, représenté si formidable dans le combat des géans contre Jupiter n’est autre chose que le Typhon des Égyptiens. Le

ajoutèrent à toutes celles qu’ils ont placées dans l’histoire de leur Jupiter . Manière dont on représentait Jupiter. On

cées dans l’histoire de leur Jupiter. Manière dont on représentait Jupiter . On représentait le plus ordinairement Jupite

nt on représentait Jupiter. On représentait le plus ordinairement Jupiter sous la figure d’un homme majestueux avec de la b

les déployées, et enlevant Ganymède. La partie supérieure du corps de Jupiter était nue, et la partie inférieure couverte. (Fig

bre Phydias. Chaque peuple avait sa manière différente de représenter Jupiter . Dans l’île de Crète, il n’avait point d’oreilles

nssent, La figure de la justice se trouvait toujours placée à côté de Jupiter , et l’on y joignait les Heures et les Grâces, pou

ant égaré dans les sables de la Libye, et mourant de son, s’adressa à Jupiter , qui vint à lui sous la forme d’un bélier pour lu

ornes de bélier, et lui donna le nom de Jupiter Ammon. Homère dépeint Jupiter avec des sourcils noirs, le front couvert de nuag

al, qu’il répand à son gré sur les hommes. Il ajoute que la foudre de Jupiter était composée de trois rayons de grêle, de trois

ayeur, des éclairs, du bruit et de la colère. Des métamorphoses de Jupiter . Il serait impossible de rendre un compte exa

t impossible de rendre un compte exact de toutes les métamorphoses de Jupiter  ; nous nous bornerons à citer une des principales

dieux à la place d’Hébé, déesse de la jeunesse. Cette métamorphose de Jupiter ne fut point la seule cause qui fit représenter u

ellement aimer de son peuple, que ses sujets voulurent l’adorer comme Jupiter lui-même, c’est-à-dire n’avoir pas d’autre souver

r comme Jupiter lui-même, c’est-à-dire n’avoir pas d’autre souverain. Jupiter offensé voulut foudroyer ce mortel ; mais il se c

squ’il voulait traverser les airs. On aperçoit dans cette fiction que Jupiter le dépouilla de son royaume, et lui donna quelque

a quelque emploi dans sa cour. L’on trouve aussi dans l’histoire, que Jupiter avant de partir de Naxe pour aller combattre les

ux, on vit un aigle voler vers lui, et s’arrêter sur sa tête. Lorsque Jupiter voulait parcourir la terre, il conservait raremen

son rang suprême ; mais Lycaon, voulant éprouver si c’était vraiment Jupiter , lui fit servir les membres d’un de ses hôtes qu’

ion de cette fable, nous trouvons que Lycaon, prince très-inférieur à Jupiter , abusait souvent de son pouvoir pour commettre de

à Jupiter, abusait souvent de son pouvoir pour commettre des crimes. Jupiter , avant de le punir, voulut connaître la vérité pa

s disent que Lycaon, fanatique et cruel, crut rendre plus d’honneur à Jupiter en lui sacrifiant un enfant ; mais que ce prince,

le punit sur-le-champ. Nous avons vu qu’au moment de la naissance de Jupiter il fut nourri avec le lait de la chèvre Amalthée 

produire tous les biens n’était autre chose que la promesse faite par Jupiter de ne jamais refuser les demandes qu’elles voudra

éloüs. Nous n’étendrons pas davantage l’histoire des métamorphoses de Jupiter , parce qu’on les retrouvera dans les fables des d

es fables des dieux, des demi-dieux et des héros. Du culte rendu à Jupiter . On ne peut pas douter que le plus solennel d

s cultes rendus aux dieux du paganisme était celui que l’on rendait à Jupiter . Il était aussi le plus varié, puisque chaque peu

ble superstition. Les victimes les plus ordinaires que l’on offrait à Jupiter étaient une chèvre, ou une brebis, ou un taureau

onius, et celui d’Ammon dans la Libye. Des noms que l’on donnait à Jupiter . La plupart des noms donnés à Jupiter tiraien

Des noms que l’on donnait à Jupiter. La plupart des noms donnés à Jupiter tiraient leur origine des lieux où il était honor

mus, maximus : le très-bon, le très-grand. Homère lui donne le nom de Jupiter roi . Virgile l’appelle le tout-puissant . Aux id

. Aux ides de juin, les Romains célébraient sa fête sous le titre de Jupiter invincible ; on l’appelait Stator, parce qu’il av

ère dont il sauva le Capitole pendant que les Gaulois l’assiégeaient. Jupiter avertit la garnison d’employer à faire du pain to

il expiait les crimes des hommes. Tels sont les principaux surnoms de Jupiter . Histoire de Japet, de Prométhée, d’Épyméthée

e des Titans, nous allons placer leur histoire à la suite de celle de Jupiter . Japet, de qui les Grecs se vantaient de tirer le

et d’Épyméthée, qui signifie souvenir du passé. Prométhée, voyant que Jupiter avait créé l’homme, essaya de l’égaler en formant

me céleste à ses statues, ces ouvrages devinrent semblables à ceux de Jupiter . Le maître des dieux, pour punir ce larcin, ordon

it son supplice éternel. (Fig. 7.) Les autres dieux, jaloux de ce que Jupiter s’attribuait à lui seul le droit de créer des hom

mer Pandore, nom qui vient de deux mots grecs, et veut dire tout don. Jupiter voulut la voir ; et, sous le prétexte de lui fair

riosité d’Épyméthée ne put se modérer à la vue de la boîte donnée par Jupiter  ; elle fut indiscrètement ouverte. Elle contenait

nt. Prométhée fut du nombre des Titans qui se rendirent redoutables à Jupiter . Forcé de fuir devant ce roi victorieux, il se re

e premier qui établit des forges dans la Scythie. Lorsque l’empire de Jupiter fut assez solidement établi pour ne pouvoir plus

t détaché du Caucase, et qu’il avait tué le vautour. Cependant, comme Jupiter avait fait le serment que l’exil durerait trente

non. Junon était fille de Saturne et de Rhéa ; elle était sœur de Jupiter , de Neptune, de Pluton, de Vénus et de Cérès. Les

, on l’appelait Juno, de Juvans, secourable (nom commun entre elle et Jupiter ) ; on la nommait aussi la reine. Plusieurs pays s

tans, on suivait encore quelques usages des premiers patriarches ; et Jupiter , à l’exemple de son père et de son aïeul, épousa

s du pays, et tous les ans on y rappelait la cérémonie de ce mariage. Jupiter , pour rendre ses noces plus solennelles, chargea

e fit dans le ciel fit oublier aux dieux leur gravité ; ce qui décida Jupiter à prendre un échanson. Mars, son second fils, fut

nd fils, fut conçu par la vertu d’une fleur. Junon, jalouse de ce que Jupiter avait enfanté de son cerveau Minerve, déesse de l

onde Mars, dieu de la guerre. Vulcain fut le troisième fils de Junon. Jupiter le précipita du ciel à cause de sa difformité. No

es naissances extraordinaires de Minerve et de Mars. La fable dit que Jupiter sentit une très-grande douleur dans son cerveau,

qui a été figuré par le coup de hache et par la douleur que ressentit Jupiter . On a voulu faire connaître en même temps que Jup

r que ressentit Jupiter. On a voulu faire connaître en même temps que Jupiter étant le plus sage et le plus grand des dieux, la

égorie. Junon, déesse altière et jalouse, déclara souvent la guerre à Jupiter  ; elle prit même parti contre lui dans la guerre

ureux Troyens qu’il conduisait avec lui. Toutes les femmes aimées par Jupiter , ainsi que leurs enfans, devinrent les objets de

s de son implacable colère. Tant de haines et de vengeances lassèrent Jupiter , et le portèrent à punir Junon d’avoir pris parti

déesses. Cette punition ne corrigea point Junon ; s’étant aperçue que Jupiter aimait la nymphe Io, fille d’Inachus et d’Ismène,

, fille d’Inachus et d’Ismène, elle en fit l’objet de ses vengeances. Jupiter , pour soustraire cette nymphe à la connaissance d

sse ; elle demanda impérieusement que cette vache lui fût confiée, et Jupiter n’osa la refuser. Junon la mit sous la garde d’Ar

l (image parfaite de la jalousie). Cependant Mercure, à la demande de Jupiter , trouva moyen d’endormir entièrement Argus par le

t être autre chose qu’un voyage par mer. Mercure était le messager de Jupiter  ; Junon choisit Iris pour remplir le même emploi

e de l’arc-en-ciel. Les enfans de Cadmus, frère d’Europe, enlevée par Jupiter , furent les déplorables victimes de la jalousie d

de Cadmus, ayant cédé au conseil que lui fit donner Junon d’exiger de Jupiter qu’il se fît voir à elle dans toute sa gloire, fu

gea de la beauté d’Europe, et du pouvoir qu’elle avait eu de plaire à Jupiter . Égine, fille d’Asope, reine du pays d’Égine, dev

ar une horrible peste, parce qu’Égine avait inspiré de la tendresse à Jupiter . Éacus, fils d’Égine pria Jupiter, son père, de r

ine avait inspiré de la tendresse à Jupiter. Éacus, fils d’Égine pria Jupiter , son père, de repeupler le pays ; ce dieu fit sor

lui de Samia : quelquefois on la nommait la Terre, comme on donnait à Jupiter le nom de pluie ou d’air, parce que l’un et l’aut

chir ; de sorte que son culte était presque plus général que celui de Jupiter . On le trouvait dans l’Europe, l’Asie, l’Afrique,

(c’est-à-dire dans l’Espagne), Cérès se plaignit de cet enlèvement à Jupiter . Ce dieu décida qu’elle irait aux enfers redemand

nce et sa sagesse engagèrent Minerve à le prendre sous sa protection. Jupiter , voulant apaiser et consoler Cérès, permit à Pros

e disparaît. On l’explique encore plus naturellement en disant que le roi Jupiter lui permit de passer une partie de l’année dans l

et furent les chefs de grands peuples. Maïa, l’aînée des sept, eut de Jupiter , Mercure, l’inventeur des arts. Les Grecs faisaie

s de leur marâtre. Avril, signe du Taureau. Il représente celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Mai, signe de

. Mai, signe des Gémeaux. Ils représentent Castor et Pollux, fils de Jupiter et de Léda. Juin, signe de l’Écrevisse. On croit

Amalthée, ou la princesse Mélisse, qui avait eu soin de l’enfance de Jupiter , Janvier, signe du Verseau. Il représente Ganymè

Janvier, signe du Verseau. Il représente Ganymède versant le nectar à Jupiter et aux dieux. Il désigne aussi les pluies abondan

zodiaque, il faut remarquer Orion, dont nous allons donner la fable, Jupiter , Neptune et Mercure, faisant ensemble le tour de

, fils du Soleil, a trop de célébrité pour la taire. Epaphus, fils de Jupiter et de la nymphe Io, lui ayant un jour disputé l’h

evaient tenir dans leur course ; ils embrasèrent le ciel et la terre. Jupiter foudroya Phaéton, et le précipita dans l’Éridan.

Molosses, et se noya dans le Pô. Histoire et fable d’Apollon. Jupiter ayant abandonné Junon pour Latone, en eut deux en

à mort, à coup de flèches, les Cyclopes qui forgeaient les foudres de Jupiter . La fable rapporte à ce sujet qu’Esculape, fils d

s de Thésée, dont nous rapporterons l’histoire à l’article des héros. Jupiter , irrité qu’un mortel usurpât ses droits, foudroya

s, foudroya le médecin trop habile. Apollon, ne pouvant se venger sur Jupiter lui-même, tua les Cyclopes à coups de flèches. Ri

e, ne lui laissait plus même la force de faire entendre ses plaintes. Jupiter vengea la mort des Cyclopes en exilant Apollon du

ille. Ce fut là qu’il rencontra Neptune, qui, disgracié comme lui par Jupiter , parcourait la terre. L’ingrat Laomédon, après le

entures, Apollon fut rappelé dans le ciel et rétabli dans ses droits. Jupiter lui confia le soin de conduire le char du soleil

e après lui. Les Grecs confondaient presque toujours Osiris avec leur Jupiter  ; il n’est donc nullement surprenant qu’ayant don

re Hésiode et les poëtes. Ils ne comptaient que neuf Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne, déesse de la mémoire. Elles étai

one. Les douleurs qu’elle lui vit souffrir, l’engagèrent à demander à Jupiter le don de la virginité, et de présider aux accouc

ymphe d’Arcadie et favorite de la déesse, ne put éviter sa vengeance. Jupiter , pour la séduire, avait pris la forme de Diane el

re sans la reconnaître. Calisto, retrouvant en lui tous les traits de Jupiter , qu’elle ne pouvait oublier, ne songea plus à fui

fixèrent sur le jeune prince, qui s’apprêtait à la percer d’un dard. Jupiter , pour empêcher ce crime horrible, le métamorphosa

a composent représentent les nymphes qui prirent soin de l’enfance de Jupiter . Diane, aussi fière que Junon, ne souffrait pas q

sensibilité pour les plaisirs firent dire aussi qu’il avait obtenu de Jupiter le don de dormir éternellement. On voit encore su

venir qu’à ce roi d’Égypte. Ils disent que ce dieu vint au secours de Jupiter dans la guerre contre les Géans ; ensuite ils le

outent que Bacchus, couvert d’une peau de tigre, secourut puissamment Jupiter , mais que les Géans le mirent en pièces. Cette de

Géans descendans d’Énoc ; une verge est l’instrument de ses miracles. Jupiter envoie Iris à Bacchus, pour lui ordonner d’aller

ssance, telle qu’on la trouve dans les poëtes grecs. Il était fils de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus. Cette princesse ha

ourrice de sa rivale, et, sous cette forme, lui conseilla d’exiger de Jupiter qu’il se fît voir à elle la foudre à la main, et

environnait lorsqu’il se montrait à Junon. La crédule Sémélé prévient Jupiter qu’elle avait une demande à lui faire, et lui fit

i faire, et lui fit jurer par le Styx qu’elle ne serait pas refusée ; Jupiter prononça le serment, et, malgré les suites fatale

umière embrasèrent le palais ; elle périt dans les flammes. Cependant Jupiter , voulant sauver l’enfant dont elle était enceinte

auver l’enfant dont elle était enceinte. Aussitôt après sa naissance, Jupiter le fit transporter, par Mercure son messager, dan

it aussi Evan et Hyie, mots qui signifient courage , mon fils, et que Jupiter répétait souvent pendant que Bacchus combattait c

les Romains, Minerve était regardée comme la plus noble production de Jupiter  ; mais long-temps avant eux, les Égyptiens lui re

e Saturne ; elle avait inventé la guerre. La troisième était fille de Jupiter  : la quatrième était Athénienne et fille de Vulca

ous allons donner celle que la mythologie a principalement conservée. Jupiter , après la guerre des Titans, se voyant, par le co

armée et assez grande déjà pour être en état de secourir puissamment Jupiter dans la guerre des géans. Cette fiction de la nai

to signifie aussi cerveau ; et, comme elle était sortie du cerveau de Jupiter , ce fut peut-être ce nom qui la fit surnommer Tri

oncent qu’il faut chercher à les embellir. Minerve sort de la tête de Jupiter , pour montrer que la sagesse n’a pas été inventée

e Mars. Le dieu Mars, que les Grecs nommaient Arès, était fils de Jupiter et de Junon. La fable que nous avons rapportée pr

, pour peindre la jalousie qu’éprouva Junon en voyant la manière dont Jupiter avait enfanté la sagesse. Junon confia l’éducatio

endant Homère, aussi ancien et beaucoup plus célèbre, la dit fille de Jupiter et de Dioné. Cicéron compte quatre Vénus : la pre

née de l’écume de la mer, et mère de Cupidon ; la troisième, fille de Jupiter et de Dioné, femme de Vulcain et mère d’Anteros ;

barrasse Junon des entraves que lui-même avait forgées par l’ordre de Jupiter  ; il met un prix à ce service ; il devient l’épou

ccordaient nullement sur leur origine. Les uns les disaient filles de Jupiter et de Junon, d’autres les disaient filles de Jupi

saient filles de Jupiter et de Junon, d’autres les disaient filles de Jupiter et d’Eurynome ; mais l’opinion la plus commune es

remiers, et de ce qu’ils y ont ajouté, était un prince Titan, fils de Jupiter , qu’une disgrâce força de se retirer dans l’île d

sa fable, telle que les Grecs nous l’ont transmise. Il était fils de Jupiter et de Junon. Il vint au monde avant terme et cont

de Jupiter et de Junon. Il vint au monde avant terme et contrefait : Jupiter le récompensa de lui avoir fourni des foudres pen

d’Hermione, la couronne d’Ariadne, et le chien d’airain qu’il anima. Jupiter fit présent de ce chien à Europe. Procris le reçu

and prix qu’il eut à ses yeux, fut le pouvoir de le donner à Céphale. Jupiter finit par le métamorphoser en pierre. On reconnaî

statuaire, qui, pour le faire, employa la pierre au lieu de l’airain, Jupiter , trouvant Vulcain trop laid et trop contrefait po

ant Titye, qui s’appelait Europe, comme la sœur de Cadmus enlevée par Jupiter . Galatée, nymphe marine, fille de Nérée et de Dor

iens, contemporains d’Osiris. Le second était, selon Hésiode, fils de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas. L’antiquité n’a point

nous est resté du plus ancien des Mercure. Le second Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, devint extrêmement célèbre parmi les

èrent une guerre dans laquelle il fut vaincu par les autres enfans de Jupiter . Il se retira dans l’Égypte, où il mourut. Ce Mer

rvé le souvenir. Fable des Grecs sur Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas, était le plus occupé d

et à la lune. Neptune, célèbre parce qu’il commandait les flottes de Jupiter , devint le dieu des mers. Chaque fleuve, chaque f

l’on nommait aussi Thétis, doit être distinguée de la femme d’Océan. Jupiter l’aima ; mais ayant lu dans le livre des destins

on père, l’employa pour s’opposer par mer aux entreprises des Titans. Jupiter son frère, s’étant emparé de l’empire de Saturne,

s fidèle à seconder ses desseins. Les princes Titans ayant fui devant Jupiter jusque dans les pays occident taux, Neptune les e

rre. Il habitait la mer, il en sortit pour secourir les Titans contre Jupiter . Neptune le vainquit, et le força de rentrer sous

s, doit être placé parmi les dieux de la mer. Il passait pour fils de Jupiter , et devait ce titre à son seul mérite. Ce prince,

ifféraient des douze grands dieux dont nous avons parlé précédemment. Jupiter et la Terre étaient les deux premiers. Le Soleil

âtir sur le Mont Capitole le Temple que Tarquin l’Ancien avait voué à Jupiter . Il fallut, pour le construire, déplacer beaucoup

struire. Les pontifes publièrent que tous les dieux, par respect pour Jupiter , avaient cédé leurs places ; mais que Jupiter lui

dieux, par respect pour Jupiter, avaient cédé leurs places ; mais que Jupiter lui-même, par respect pour le droit de propriété,

n temple ; Telle est l’origine du dieu Terme ; cependant, avant Numa, Jupiter était honoré sous le nom de Jupiter Terminalis, e

premier rang parmi les dieux antiques. Les poëtes le disaient fils de Jupiter et de la nymphe Calisto, ou fils de Mercure et de

qu’à ces petites figures. Les Romains disaient tous ces dieux fils de Jupiter et de Lorunda. La ressemblance du nom et l’ignora

e l’ayant fait rebuter par toutes les déesses, il s’en plaignit à son frère Jupiter , et obtint de lui la permission de se choisir une

ur désigner le temps où les semences restent enfermées dans la terre. Jupiter arrange ce différent et réconcilie Cérès avec Plu

d’Astérius, était le premier. Il voulut se faire passer pour fils de Jupiter et d’Europe. Pour obtenir qu’on le crût, il promi

re à l’article des demi-dieux. Rhadamanthe passait aussi pour fils de Jupiter et d’Europe. Forcé de fuir la Crète, parce qu’il

ie, où il épousa Alcmène, veuve d’Amphitryon. Éacus ou Éaque, fils de Jupiter et d’Égine, fille d’Asope, régnait dans l’île d’Æ

arce qu’il avait apaisé la soif des Titans pendant leur combat contre Jupiter . Son nom veut dire angoisse ou hurlement. Ce fleu

tyx une fille de l’Océan, dont la Victoire était fille. Elle secourut Jupiter dans la guerre des Titans. On dit qu’elle fut mèr

eux-mêmes ne pouvaient l’enfreindre. Si quelques dieux y manquaient, Jupiter ordonnait à Iris de leur présenter une coupe plei

dressait. Leur empire dans les enfers était aussi absolu que celui de Jupiter dans le ciel. Principaux coupables punis dans

furent précipités dans les enfers, pour avoir fait la guerre au dieu Jupiter . La fable les peint accablés sous le mont Etna. T

vécu très-long-temps. Salmonée, prince d’Élide, voulut s’égaler à Jupiter  ; il crut imiter sa foudre, en faisant rouler sur

en faisant rouler sur un pont d’airain un char éclairé de flambeaux. Jupiter le précipita d’un coup de foudre. Phlégias, ayant

Ixion, ayant porté l’insolence jusqu’au point de se déclarer rival de Jupiter , fut précipité dans le Tartare, et attaché sur un

ironnée de serpens. (Fig. 48.) Tantale, roi de Phrygie, était fils de Jupiter et de la nymphe Pluto. On rapporte diversement so

nt son crime. On dit qu’il avait découvert au fleuve Asope le lieu où Jupiter avait caché sa fille Égine, après l’avoir enlevée

près l’avoir enlevée. D’autres disent qu’il laissa voler un chien que Jupiter lui avait confié, et avec lequel il faisait garde

le sans y prendre garde. Les dieux ressuscitèrent le jeune Pélops, et Jupiter remplaça par une épaule d’ivoire celle que Cérès

s allons rapporter. Danaüs et Égyptus, fils de Bélus, descendaient de Jupiter et de la nymphe Io. Égyptus s’empara du royaume q

t pas oublier Atée ou la Discorde. (Fig. 64.) Chassée de l’Olympe par Jupiter , parce qu’elle cherchait à brouiller les dieux, e

et des bons mots. (Fig. 66.) Satirique jusqu’à l’excès, les dieux et Jupiter même étaient les objets de ses plus sanglantes ra

ulape allait jusqu’à ressusciter des morts ; que Pluton se plaignit à Jupiter de ce qu’il rendait son royaume désert, et que ce

rcule, dieu de la force, destructeur des monstres, est devenu fils de Jupiter et d’Alcmène. On divinisa aussi les vertus, les v

diges de force et d’insolence. Ils forgèrent plus tard les foudres de Jupiter . Semblables d’ailleurs aux autres dieux, ils n’av

ns les plaisirs. Ils oubliaient de servir les dieux et de les adorer. Jupiter les rappela dans le sein de la terre, et ils devi

inrent aussi des génies terrestres inférieurs à ceux de la race d’or. Jupiter fit paraître ensuite la race d’airain. C’étaient

e, ils descendirent dans les enfers. Lorsque cette race fut anéantie, Jupiter la remplaça par la race plus juste et plus vailla

eur et d’innocence dura aussi longtemps que le règne de Saturne. Sous Jupiter commença l’âge d’argent. Le printemps eut moins d

’image de la bête. Prométhée expia son larcin par un supplice cruel ; Jupiter le fit clouer et enchaîner sur le Caucase, et mit

durer trente mille ans ; mais après trente ans, Hercule, de l’aveu de Jupiter , délivra l’illustre victime, qui reçut sur la ter

ui reçut sur la terre les honneurs divins. Origine de la femme. Jupiter n’essaya point de détruire l’ouvrage de Prométhée

rlandes de fleurs et une couronne d’or qu’elle lui plaça sur la tête. Jupiter la conduisit dans l’assemblée des dieux, qui fure

es ressemblent aux avides frelons, qui dévorent le miel des abeilles. Jupiter les a données à l’homme pour doubler le poids de

fit élever secrètement tous ses enfants, parmi lesquels se trouvaient Jupiter , Neptune et Pluton, qui régnèrent plus tard, le p

erre à son frère, le vainquit et le renferma dans une étroite prison. Jupiter , encore enfant, délivra Saturne, et lui rendit so

son trône ; mais, comme celui-ci oubliait les bienfaits de son fils, Jupiter lui fit la guerre à son tour, et le chassa du cie

frère ? — Que faisait-il de ses enfants ? — Que fit Rhéa pour sauver Jupiter  ? — Saturne n’eut-il pas à combattre Titan, son f

ut-il pas à combattre Titan, son frère ? — Par qui fut-il rétabli ? —  Jupiter ne fit-il pas la guerre à son père ? — Où Saturne

l’histoire de Saturne ? — Comment représente-t-on Saturne ? § 2. Jupiter . Enfance de Jupiter. Jupiter, le Zeus des

— Comment représente-t-on Saturne ? § 2. Jupiter. Enfance de Jupiter . Jupiter, le Zeus des Grecs, fils de Saturne e

présente-t-on Saturne ? § 2. Jupiter. Enfance de Jupiter. Jupiter , le Zeus des Grecs, fils de Saturne et de Rhéa, a

ssance. D’après la convention faite entre Saturne et Titan son frère, Jupiter aurait été dévoré comme les autres enfants mâles

son époux en lui faisant avaler une pierre à la place de son enfant. Jupiter , sauvé par cet artifice, fut élevé dans une grott

r des cris qu’ils poussaient en dansant et par le bruit des tambours. Jupiter fut allaité par la chèvre Amalthée et nourri par

ait furent la nourriture du fils de Saturne. Guerre des Géants. Jupiter , encore enfant, signala sa force en délivrant Sat

ême pour le punir de son ingratitude. Lorsque Saturne eut été vaincu, Jupiter , devenu le maître du monde, en partagea l’empire

ptune régna sur les mers et Pluton dans les enfers. Après ce partage, Jupiter eut bientôt à soutenir une guerre terrible contre

étrables. Ces redoutables enfants de la Terre entreprirent d’assiéger Jupiter jusque dans le ciel. Pour y parvenir, ils entassè

y parvenir, ils entassèrent montagnes sur montagnes, Ossa sur Pélion. Jupiter , dans son effroi, appela à son aide tous les dieu

déesses. Styx, fille de l’Océan et de Téthys, arriva la première, et Jupiter , en reconnaissance de ce bienfait, ordonna que to

ns du volcan sont causés par les mouvements et la colère de ce Géant. Jupiter était vainqueur, lorsque la Terre, par un dernier

hosèrent en animaux pour échapper à la poursuite de Typhon. Cependant Jupiter fut pris et renfermé dans un antre, sous la garde

facile de voir l’allégorie renfermée dans ce combat des Géants contre Jupiter . Jupiter est le dieu des régions supérieures de l

voir l’allégorie renfermée dans ce combat des Géants contre Jupiter. Jupiter est le dieu des régions supérieures de l’air, que

rée, Notus et Zéphyre, sont issus des dieux immortels. Mariages de Jupiter . La victoire de Jupiter sur les Géants assura

issus des dieux immortels. Mariages de Jupiter. La victoire de Jupiter sur les Géants assura son empire, et lui permit d

régner en paix sur les dieux et sur les hommes. Hésiode raconte que Jupiter , avant d’épouser Junon, eut successivement plusie

ngendre la sagesse. Ce prétendu mariage veut dire que la puissance de Jupiter fit alliance avec la raison. Sa seconde épouse fu

, qui donna le jour aux Heures, à Eunomie, à la Paix et à la Justice. Jupiter épousa ensuite Eurynome, la plus belle des filles

ollon et Diane, les plus beaux des immortels, naquirent de l’union de Jupiter et de Latone. Junon, sœur de Jupiter, ne fut donc

mortels, naquirent de l’union de Jupiter et de Latone. Junon, sœur de Jupiter , ne fut donc que la septième de ses femmes : Hébé

s raconterons bientôt l’histoire de cette déesse, véritable épouse de Jupiter . Les autres alliances sont d’ingénieuses allégori

ieuses allégories dont le sens est facile à saisir ; ainsi l’union de Jupiter , c’est-à-dire de la puissance souveraine avec Thé

bonne Législation, la Paix et la Justice. Complot des dieux contre Jupiter . Jupiter et Junon ne vécurent pas longtemps en

ation, la Paix et la Justice. Complot des dieux contre Jupiter. Jupiter et Junon ne vécurent pas longtemps en bonne intel

ents Neptune, Minerve et les autres dieux, qui résolurent de détrôner Jupiter et de l’enchaîner. Ils auraient exécuté leur dess

rne, et les dieux, frappés de crainte, renoncèrent à leur entreprise. Jupiter châtia sévèrement son épouse rebelle ; il la susp

récipité du ciel et tomba dans l’île de Lemnos. Conseil et cour de Jupiter . Le conseil de Jupiter se composait de douze d

dans l’île de Lemnos. Conseil et cour de Jupiter. Le conseil de Jupiter se composait de douze divinités. Jupiter le prési

de Jupiter. Le conseil de Jupiter se composait de douze divinités. Jupiter le présidait. A côté de lui siégeait Junon, sa sœ

sse de la jeunesse, fille du Ciel et de la Terre, suivant Hésiode, de Jupiter et de Junon, suivant Homère, versait le nectar da

, fils de Tros, roi des Troyens, jeune homme d’une grande beauté, que Jupiter fit enlever au ciel par l’aigle qui portait sa fo

de ses sarcasmes, finirent par le chasser honteusement. Voyage de Jupiter sur la terre. — Lycaon. Jupiter quitta plusieu

chasser honteusement. Voyage de Jupiter sur la terre. — Lycaon. Jupiter quitta plusieurs fois le ciel pour visiter la ter

dans les forêts de la Grèce. Philémon et Baucis. On raconte que Jupiter et Mercure, parcourant la Phrygie sous une forme

x s’agenouillèrent : A ce signe d’abord leurs yeux se dessillèrent. Jupiter et Mercure, résolus de châtier cette contrée inho

é. Ils désirèrent encore de n’être jamais séparés, même par la mort ; Jupiter fut également favorable à cette nouvelle prière,

. Déluge de Deucalion. Pendant ce séjour au milieu des hommes, Jupiter avait vu partout la corruption et le brigandage ;

radition défigurée du déluge universel raconté par Moïse. Culte de Jupiter . Nous retrouverons souvent Jupiter dans la sui

raconté par Moïse. Culte de Jupiter. Nous retrouverons souvent Jupiter dans la suite de cette histoire ; mais, avant d’a

les hommes lui rendaient et de la manière dont ils le représentaient. Jupiter était adoré de toutes les nations : l’Afrique le

et il rendait des oracles par la voix de ceux de la forêt de Dodone. Jupiter était, dans la religion des Grecs et des Romains,

tagnes que le tonnerre frappe si souvent. On représente ordinairement Jupiter assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant d’une

c, se sont surpassés dans cette peinture. Questionnaire. De qui Jupiter était-il fils ? — Saturne ne voulut-il pas le dév

ls ? — Saturne ne voulut-il pas le dévorer à sa naissance ? — Comment Jupiter fut-il sauvé ? — Où Jupiter fut-il élevé ? — Quel

pas le dévorer à sa naissance ? — Comment Jupiter fut-il sauvé ? — Où Jupiter fut-il élevé ? — Quelles furent les nourrices de

sauvé ? — Où Jupiter fut-il élevé ? — Quelles furent les nourrices de Jupiter  ? — Quel fut le premier exploit de Jupiter ? — Qu

es furent les nourrices de Jupiter ? — Quel fut le premier exploit de Jupiter  ? — Que fit-il ensuite ? — Ne partagea-t-il pas l

rrible à soutenir contre les Géants ? — Que signifie cette guerre ? —  Jupiter eut-il plusieurs femmes ? — Ces mariages sont-ils

— Jupiter eut-il plusieurs femmes ? — Ces mariages sont-ils réels ? —  Jupiter et Junon vécurent-ils en bonne intelligence ? — J

ent-ils en bonne intelligence ? — Junon ne conspira-t-elle pas contre Jupiter  ? et quel fut l’issue de ce complot ? — Quel fut

l pas de délivrer sa mère ? — Quels étaient les membres du conseil de Jupiter  ? — N’y avait-il pas à la cour des dieux une autr

piter ? — N’y avait-il pas à la cour des dieux une autre divinité ? —  Jupiter ne voyagea-t-il pas sur la terre ? — Quel fut le

acontez l’histoire de Philémon et de Baucis. — Quelle résolution prit Jupiter en voyant la corruption des hommes ? — N’épargna-

firent Deucalion et Pyrrha après le déluge ? — Quel était le culte de Jupiter  ? — Que sacrifiait-on sur ses autels ? — Quel arb

autels ? — Quel arbre lui était consacré ? — Comment représente-t-on Jupiter  ? § 3. Junon. Mariage de Junon. Junon

. Junon, Héré chez les Grecs, fille de Saturne et de Rhée, sœur de Jupiter , fut la principale épouse de ce dieu ; elle aurai

principale épouse de ce dieu ; elle aurait voulu être la seule ; mais Jupiter , usant de son privilége comme roi des dieux et de

guère que le récit de ses ressentiments et de ses vengeances. Lorsque Jupiter eut tiré de son cerveau Minerve, déesse de la sag

qui devait être mère d’Apollon et de Diane, ainsi qu’Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène. Nous savons déjà que, pour se venge

faisant le serment de ne jamais revoir le dieu qui l’avait outragée. Jupiter la ramena par un stratagème que lui suggéra un ro

unie d’avoir trompé Junon, sa maîtresse, en lui cachant les amours de Jupiter , et condamnée à ne plus répéter que la dernière s

 ; C’est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse. Boileau . Jupiter , voulant soustraire Io, fille d’Inachus, roi d’Ar

terrestre ; c’est pour cela qu’on l’a mariée à l’air pur, l’Éther ou Jupiter  ; et, comme les agitations de cette atmosphère tr

e cette atmosphère troublent la paix de l’air supérieur, on a dit que Jupiter et Junon faisaient mauvais ménage. Comme femme du

ses noces ? — Quel était le caractère de Junon ? — Par quel artifice Jupiter la ramena-t-il dans l’Olympe ? — Quelles furent l

u guide détourna le char de sa route accoutumée, et embrasa la terre. Jupiter le foudroya et le précipita dans l’Éridan, fleuve

auquel il avait enseigné l’art de la médecine, fut aussi foudroyé par Jupiter pour avoir rendu la vie à Glaucus, fils de Minos,

lon sur la terre, jusqu’au moment où il fut rappelé dans l’Olympe par Jupiter . Clytie, fille de l’Océan et de Téthys, mourut de

se, Pyrénée, les filles de Piérus, la Pythie. Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne, c’est à dire de l’intelligence e

Naissance et attributs de Diane. Diane, sœur d’Apollon, fille de Jupiter et de Latone, témoin de la triste destinée de sa

amas, roi de Thèbes, menacés par les intrigues d’Ino, s’enfuirent, et Jupiter leur envoya un bélier à la toison d’or, à l’aide

bélier qui a formé la constellation qui porte son nom. — Le Taureau. Jupiter prit la forme d’un taureau pour transporter en Gr

tant que par leur courage. On les appelle tantôt Dioscures ou fils de Jupiter , tantôt Tyndarides ou fils de Tyndare. Ils étaien

roi de Sparte, et frères d’Hélène et de Clytemnestre. Pollux, fils de Jupiter , était immortel ; Castor, fils de Tyndare, devait

fils de Tyndare, devait mourir. A la mort de Castor, Pollux obtint de Jupiter que son frère reverrait la lumière pendant six mo

rge. Selon les uns, cette vierge est Thémis, la seconde des femmes de Jupiter , et, selon d’autres, Astrée ou la Paix, fille de

e Capricorne. Ce signe est occupé par la chèvre Amalthée, nourrice de Jupiter . — Le Verseau. On croit que c’est Ganymède, l’éch

de Jupiter. — Le Verseau. On croit que c’est Ganymède, l’échanson de Jupiter . — Les Poissons. Ces poissons sont ceux qui portè

, l’une des nymphes qui composaient le cortége de Diane, fut aimée de Jupiter  ; dès ce moment, la malheureuse Calisto encourut

t, la malheureuse Calisto encourut la haine implacable de l’épouse de Jupiter  ; Junon, par une cruelle vengeance, la transforma

a chasse, et il allait lancer un trait mortel contre sa mère, lorsque Jupiter , pour prévenir ce parricide, le métamorphosa en o

Ourse se compose d’étoiles qui représentent les nymphes nourrices de Jupiter . — Les Hyades ou les Pluvieuses sont les filles d

Minerve. Naissance, attributs et premier exploit de Minerve. Jupiter éprouva un jour un mal de tête insupportable ; il

che : le remède était violent, mais il opéra. Du crâne entr’ouvert de Jupiter s’élança une jeune vierge armée de pied en cap :

. Naissance et larcins de Mercure. Mercure ou Hermès, fils de Jupiter et de Maïa, l’une des filles d’Atlas6, était le d

Mars son épée et Vulcain ses outils. Le nouveau-né les avait dérobés. Jupiter , dont il avait respecté la foudre, enchanté de ce

Junon de la surveillance d’Io. Il fut le ministre de la vengeance de Jupiter contre Prométhée, qu’il transporta sur le Caucase

la naissance de Mars : les Grecs le nomment Arès et le disent fils de Jupiter et de Junon. Les Romains le font fils de Junon, q

la voix de dix mille guerriers. Il se réfugia alors dans le ciel, où Jupiter lui fit de violents reproches : Va, tyran des mo

ti suivit-il pendant la guerre de Troie ? — Comment fut-il traité par Jupiter à son retour dans le ciel ? — N’eut-il pas un jug

nt l’œil est enchanté, Ni la grâce, plus belle encore que la beauté. Jupiter , pour récompenser l’artiste divin auquel il devai

s, Aglaé, Thalie et Euphrosyne, compagnes de Vénus, étaient filles de Jupiter et d’Eurynome. On les représente ornées de guirla

et la terre, et dont la naissance précéda celle des dieux eux-mêmes. Jupiter , qui prévoyait les troubles que causerait le fils

de Saturne et de Cybèle, est la déesse de l’agriculture. Elle eut de Jupiter une fille nommée Proserpine. Cérès parcourut la t

t devenue l’épouse de Pluton. La déesse alla implorer l’assistance de Jupiter en faveur de sa fille. Le maître des dieux décida

renade, et son gardien Ascalaphe l’avait vue. Il fallut transiger, et Jupiter décida que Proserpine demeurerait l’épouse de Plu

nfance, il s’était promis de ne favoriser que les gens de bien ; mais Jupiter , pensant que la vertu serait trop bien traitée si

Qu’est-ce que Cérès ? — N’eût-elle pas une fille de son mariage avec Jupiter  ? — Racontez-nous l’histoire de Proserpine. — Ind

, éducation et conquêtes de Bacchus. — Silène. Bacchus est fils de Jupiter et de Sémélé. Sémélé, fille de Cadmus, roi de Thè

la forme de Béroé, nourrice de Sémélé, et lui conseilla de demander à Jupiter de se montrer à elle dans tout l’éclat de sa gloi

à regret, et Sémélé tomba morte à l’aspect du dieu armé de la foudre. Jupiter renferma dans sa cuisse le jeune Bacchus, qui en

, culte et images de Vulcain. Vulcain, le dieu du feu, est fils de Jupiter et de Junon, et, selon d’autres, de Junon seule.

n, et, selon d’autres, de Junon seule. Ce dieu parut si difforme, que Jupiter , d’un coup de pied, le précipita du ciel en terre

s l’île de Lemnos. Il y établit des forges et fabriqua les foudres de Jupiter  ; il avait pour compagnons et pour ouvriers les C

dieux ce rire inextinguible dont parle Homère . Il délivra Junon, que Jupiter avait suspendue entre le ciel et la terre. Il ser

esquels brillait son infatigable et ingénieuse industrie : foudres de Jupiter , armures de héros, colliers et couronnes de déess

Questionnaire. Qu’est-ce que Vulcain ? — Comment fut-il traité par Jupiter  ? — Quelle fut l’épouse de Vulcain ? — Quel était

ajouter à ces divinités Priape, dieu des jardins, fils de Vénus et de Jupiter , et le dieu Pan, fils de Jupiter et de la nymphe

ieu des jardins, fils de Vénus et de Jupiter, et le dieu Pan, fils de Jupiter et de la nymphe Calisto. Les mœurs de ces deux di

géon ou Briarée, dont l’apparition déjoua le complot des dieux contre Jupiter . Cela tient sans doute à la confusion qu’on a fai

bientôt à s’associer aux ressentiments de Junon et à conspirer contre Jupiter . Nous savons que ce complot échoua par la présenc

lui disputa encore l’honneur de donner un nom à la ville de Trézène : Jupiter mit fin à ce débat en donnant à son fils le titre

qu’on appelait Vulcanies, et qui prirent de leur roi le nom d’Éolies. Jupiter l’avait établi gardien des vents renfermés dans d

d’une éternelle jeunesse, devint si cassé avec l’âge, que, par pitié, Jupiter le transforma en cigale. Céphale, jeune chasseur

nt été des rois de la terre renommés par leur sagesse. Minos, fils de Jupiter et d’Europe, fut le législateur et un des premier

mes : auprès de lui étaient Éaque et Rhadamanthe. Éaque était fils de Jupiter et d’Égine. Il régna dans l’île d’Énopie, qu’il n

ient filles de l’Érèbe et de la Nuit, ou, suivant quelques poëtes, de Jupiter et de Thémis. Ces trois sœurs présidaient à la na

harnement et finissait toujours par les atteindre. On la dit fille de Jupiter et de la Nécessité, ou de l’Érèbe et de la Nuit.

côté de Sisyphe on voyait Salmonée, son frère, tyran de l’Élide, que Jupiter avait foudroyé et précipité dans le Tartare en pu

r les spectateurs des torches enflammées qui imitaient les foudres de Jupiter . Mais le dieu du ciel envoya d’en haut ses foudre

l envoya d’en haut ses foudres véritables, qui firent justice du faux Jupiter et de sa parodie sacrilége. Phlégyas. Phlég

ce crime ne pouvait s’expier sur la terre, le coupable eut recours à Jupiter , qui l’admit à la table des dieux. Ixion s’éprit

dmit à la table des dieux. Ixion s’éprit de Junon ; la déesse avertit Jupiter , qui se contenta de renvoyer sur la terre l’audac

ait de débiter contre le maître des dieux les propos les plus impies, Jupiter le foudroya, et ordonna à Mercure de le conduire

cevait chez les Grecs le nom d’Éris. Hésiode la dit fille de la Nuit. Jupiter la chassa du Ciel ; elle accompagnait Bellone dan

’Amour, la prenant en pitié, vint la réveiller, l’emporta au ciel, où Jupiter , malgré les ressentiments et la résistance de Vén

r les maladies. Il devint si habile qu’il triomphait de la mort même. Jupiter le foudroya. Nous avons vu dans l’histoire d’Apol

dans l’histoire d’Apollon quelles furent les suites de cet événement. Jupiter plaça Esculape dans la voûte céleste, où il forma

et éducation d’Hercule. Hercule, dieu de la force, est le fils de Jupiter et d’Alcmène. Junon envoya près du berceau d’Herc

mme de Sthénélus, roi d’Argos, était enceinte. Junon fit déclarer par Jupiter que celui des deux enfants qui naîtrait le premie

uryte, roi d’Œchalie, lui enseigna à tirer de l’arc ; Castor, fils de Jupiter et de Léda, lui apprit à combattre à cheval ; Aut

s mortels. Ainsi mourut Hercule, sur le mont Œta. Après ce sacrifice, Jupiter appela son fils dans l’Olympe, l’admit à la table

ue devint-il après sa mort ? § 3. Persée. Persée était fils de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, père de cette

sur une petite nacelle ; mais son espoir fut trompé, la protection de Jupiter sauva Persée et sa mère ; la nacelle aborda sur l

érophon, monté sur Pégase, avait voulu s’élever jusqu’au ciel, et que Jupiter envoya contre lui un taon qui fit cabrer le cours

se mit en campagne pour courir les aventures, à l’exemple du fils de Jupiter , emportant l’épée de son père que celui-ci, avant

nt d’Hélène fut la cause de la guerre de Troie. Hélène était fille de Jupiter et de Léda, sœur de Clytemnestre, de Castor et de

r histoire : Osiris, fils de Chronus et de Rhéa, selon les uns, ou de Jupiter et de Junon, selon d’autres, eut pour sœur et pou

e la mer. Le héros Persée coupa la tête de Méduse. 6. Atlas, fils de Jupiter et de Clymène, excellait dans l’astronomie, et fu

s hommes, qui avoient paru s’élever au-dessus de l’humanité. Saturne, Jupiter , Neptune, Hercule, et plusieurs autres, furent mi

rang sur la terre, dans la mer et aux enfers ; comme Saturne, Cybèle, Jupiter , Junon, Apollon, Diane, Bacchus, Mercure, Vénus,

us la Beauté : Ce n’est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible a

par ces vers où la supériorité de son pouvoir est très-bien exprimée. Jupiter parle ainsi aux autres dieux : Suivez-moi donc :

r tous les fils qu’elle mettoit au monde, ayant eu d’une seule couche Jupiter et Junon, cacha Jupiter, et ne montra à Saturne q

mettoit au monde, ayant eu d’une seule couche Jupiter et Junon, cacha Jupiter , et ne montra à Saturne que Junon. Titan en fut i

de lui rendre l’empire du Monde. Saturne fut vaincu et mis aux fers. Jupiter le tira de sa prison, et défit les Titans qui pré

le produit. Rousseau. Saturne ayant lu dans le livre du Destin, que Jupiter envahiroit son royaume, voulût prévenir ce malheu

à son fils, et lui tendit des embûches où il croyoit le faire périr. Jupiter , après avoir vaincu Saturne, le chassa honteuseme

choisissoit ordinairement parmi les familles les plus distinguées. Jupiter . Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, étoit

ordinairement parmi les familles les plus distinguées. Jupiter. Jupiter , fils de Saturne et de Cybèle, étoit appelé le Pè

loient. C’est ce que l’on appelle la corne d’Abondance. Aussi-tôt que Jupiter fut en âge de se signaler, il remit son père sur

tan, entreprirent de rétablir leur père sur le trône, et d’en chasser Jupiter . Ils s’assemblèrent dans les champs de Thessalie,

e ils adoroient jusqu’aux légumes qui croissoient dans leurs jardins. Jupiter , qui s’étoit déjà rendu maître du tonnerre, foudr

des morts s’étonna. Lamotte. Quinault célèbre ainsi la victoire de Jupiter sur les Géans : Ils sont ensevelis sous la masse

mber leur chef audacieux                 Sous une montagne brûlante ; Jupiter l’a contraint de vomir à nos yeux Les restes enfl

à nos yeux Les restes enflammés de sa rage mourante.                  Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa mai

iter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa main foudroyante. Jupiter , n’ayant plus d’ennemis à com battre, s’occupa du

e respire,               Soyez aussi prompts que mes vœux. Lamotte. Jupiter , pour punir cette orgueilleuse au dace, ordonna à

ua le vautour, et détacha du rocher Prométhée. Les dieux indignés que Jupiter prétendît seul avoir le droit de créer des hommes

lui donna la beauté ; Pallas, la sagesse ; Mercure, l’éloquence, etc. Jupiter , feignant de vouloir aussi combler Pandore de ses

ité Fut le canal de notre adversité. Rousseau. Les métamorphoses de Jupiter sont souvent célébrées par les Poëtes. Il se chan

r ; Si tu vis Danaé sensible, Tu ne fus pas heureux encor. Lamotte. Jupiter se métamorphosa en taureau pour enlever Europe, f

tous les dieux. Il n’y avoit point au ciel d’autre table que celle de Jupiter  ; on y servoit l’ambroisie, mets exquis, dont il

hoisie, Vous assaisonnez l’ambroisie. Et rendez le nectar plus doux. Jupiter prit la forme de Diane pour tromper Calysto, l’un

cette déesse. Il en eut Arcas, Junon le changea en ours avec Calysto. Jupiter les plaça au ciel : on les appelle la grande Ours

de Ourse, et Boote, ou la petite Ourse. Alcmène fut aussi trompée par Jupiter , qui avoit pris la figure d’Amphitrion son époux 

age, A la nature humaine il s’en vouloir tenir :         Mais de voir Jupiter taureau,         Serpent, cygne, ou quelqu’autre

r fois on en cause. Molière. Les poëtes n’en attribuent pas moins à Jupiter les idées sublimes qui conviennent à une divinité

onnent une puissance souveraine, même sur tous les autres dieux : Et Jupiter assis sur le trône des airs, Ce dieu qui d’un cli

terre, Il dispense à nos champs les jours et les moissons. Gresset. Jupiter est ordinairement représenté la foudre à la main,

Junon. Junon, fille de Saturne et de Cybèle, sœur et épouse de Jupiter , étoit la reine des dieux, et la déesse qui prési

bé, déesse de la Jeunesse ; Mars, dieu de la Guerre ; et Vulcain, que Jupiter précipita du ciel, à cause de sa difformité. Juno

’un caractère impérieux, jaloux et vindicatif. S’étant brouillée avec Jupiter , elle se retira dans l’isle de Samos, où on lui r

ans la suite, un culte particulier ; ce qui la fît appeller Samienne. Jupiter ordonna de conduire à Samos un char sur. lequel é

t qu’augmenter. Elle chargea Argus d’observer toutes les démarches de Jupiter , et de lui en rendre compte. Elle lui confia la g

vint à bout de l’endormir au son de la flûte et le tua, pour délivrer Jupiter d’un surveillant si incommode. Junon métamorphosa

ment Iris, qui étoit sa messagère, comme Mercure étoit le messager de Jupiter  : En ce moment, Iris, plus vîte que Borée, Messa

l’Arc-en~ciel, et quelquefois l’Iris. Apollon. Apollon, fils de Jupiter et de Latone, frère de Diane, naquit dans l’isle

iron, ayant rendu la vie à Hypolite, fils de Thésée, fut foudroyé par Jupiter . Apollon vengea la mort de son fils, en tuant les

t de son fils, en tuant les Cyclopes qui avoient fourni des foudres à Jupiter  : cette action le fit chasser du ciel. Il se reti

d’Hyacinte, il se retira dans la Troade, où il rencontra Neptune, que Jupiter avoir aussi privé de la divinité pour quelque tem

es travaux ; et Apollon, en ravageant le pays par la peste. Cependant Jupiter , oubliant son ressentiment, rappela au ciel Apoll

         Dans les lieux où vous revenez. Quinault. Ephatus, fils de Jupiter et d’Io, jouant un jour avec Phaéton, eut une que

fois ;               Les cieux ne peuvent s’en défendre… Quinault. Jupiter , surpris de ce désordre, foudroie Phaéton, et le

Quinault. Cygnus, ami de Phaéton, fut si touché de cette mort, que Jupiter le métamorphosa en cygne. Lampétuse, Lampétie et

Phaéton leur frère avec tant de sincérité, que, pour les récompenser, Jupiter les changea en peuplier, et leurs larmes en ambre

u. Il y avoit auprès de Dodone, ville d’Epire, une forêt consacrée à Jupiter , dont les arbres rendoient des oracles ; on l’app

, sans le changer en or. Les Muses. Les Muses étoient filles de Jupiter et de Mnémosyne, ou la déesse de Mémoire. Elles é

eurs traces. Fuselier. Diane. Diane, sœur d’Apollon, fille de Jupiter et de Latone, est distinguée par les poëtes, sous

s de la nuit, Du jeune Endymion on voit briller l’amante. Rousseau. Jupiter ayant trouvé ce berger dans l’appartement de Juno

de sa compagnie la nymphe Calysto, qui s’étoit laissée surprendre par Jupiter . Aréthuse, étant poursuivie par le chasseur Alphé

ssein, étoit entièrement oublié. Bacchus. Bacchus étoit fils de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi d’Athènes : C

quer sa vanité. Vous pouvez, lui disoit-elle, passer pour l’épouse de Jupiter  ; Exigez qu’aux Thébains lui-même il vienne appr

ccoucher sur le champ ; et le feu du tonnerre la réduisit en cendres. Jupiter enferma dans sa cuisse le petit Bacchus, jusqu’au

célèbres : on le regarde même comme le plus puissant des dieux après Jupiter . Il en étoit au moins le plus courageux : il fut

lle, qui avoit été frappée de fureur. Mercure. Ce dieu, fils de Jupiter et de Maïa, avoit la charge d’interprête et de me

oit la charge d’interprête et de messager des dieux, mais sur-tout de Jupiter  : Moi qui suis, comme on sait, en terre et dans

n, plus que personne,         D’avoir de quoi me voiturer. Molière. Jupiter lui avoit attaché des aîles à la tête et aux pied

se servit de cette lyre pour endormir Argus, qu’il tua par l’ordre de Jupiter  : il changea Battus en pierre de touche, pour le

est fille du Ciel et de la terre ; les autres, qu’elle doit le jour à Jupiter et à la nymphe Dioné. La plupart prétendent qu’el

les dieux la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l’épouser : Jupiter accorda la préférence à Vulcain, pour le récompen

nus sur les moyens qu’elle pourroit employer pour regagner le cœur de Jupiter  : Vénus lui donne alors sa divine ceinture, Ce c

ortelles, Qui toutes prétendoient à l’empire des belles 5 Et qu’enfin Jupiter , qui n’osa les juger, Fit dépendre ce droit de l’

les compagnes inséparables de Vénus : on dit qu’elles sont filles de Jupiter et de Vénus. Elles président à tous les arts de g

a Psyché, que Vénus persécuta au point de la faire mourir de douleur. Jupiter lui rendit la vie, et lui donna l’immortalité. On

On le regardoit, comme le dieu du feu. Il étoit fils de Junon et de Jupiter qui le précipita du ciel, à cause de sa difformit

Cupidon : Dans ces antres fameux, où Vulcain, nuit et jour, Forge de Jupiter les foudroyantes armes, Venus faisoit remplir le

au à la main. Minerve. Minerve, ou Pallas, sortit du cerveau de Jupiter , armée de pied en cap. Pour la mettre au monde, c

chèvre Amalthée, dont le nom, est Egide en grec. Pallas avoit reçu de Jupiter ce bouclier : elle le rendit encore plus redoutab

ux ; Tout se change en rocher, à mon aspect horrible : Les traits que Jupiter lance du haut des cieux,             N’ont rien d

ars. Junon regardoit la naissance de Pallas, comme une insulte que Jupiter lui avoit faite ; afin de s’en venger, elle donna

dieu est bien rendu dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de Jupiter  : Va, tyran des mortels, dieu barbare et funeste

des signes du Zodiaque. Ces planètes sont au nombre de sept, Saturne. Jupiter , Mars, Mercure, Vénus, la Lune, et le Soleil. Sat

nné de cinq autres petites planètes, que l’on appelle ses Satellites. Jupiter décrit son cercle en douze ans : il est aussi acc

ur sans égale, Digne d’un dieu que ma faveur signale. Au second rang, Jupiter et sa cour, Plus loin de moi, mais plus voisins d

’Hellespont. Phryxus, étant arrivé en Colchide, sacrifia son Bélier à Jupiter . Le Taureau ; c’est celui dont Jupiter prit la fo

olchide, sacrifia son Bélier à Jupiter. Le Taureau ; c’est celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux ;

ine à Esculape. Le Capricorne ; c’est la chèvre Amalthée, qui nourrit Jupiter dans son enfance. Le Verseau, ou Ganimède, que Ju

e, qui nourrit Jupiter dans son enfance. Le Verseau, ou Ganimède, que Jupiter enleva pour en faire l’échanson des dieux, à la p

par des bergers. Ce dieu, devenu grand, forma une conspiration contre Jupiter , se fit chasser du ciel, et se trouva réduit à la

suscita un monstre marin, qui désoloit le rivage. Il fit sa paix avec Jupiter , s’occupa du soin de gouverner l’empire des eaux,

cipita dans la mer. Neptune le changea en Triton. m> Eole, fils de Jupiter , étoit le dieu des vents, qu’il tenoit enchaînés

prétend que, peu content de son sort, il se plaignoit du partage que Jupiter avoit fait du royaume de leur père : Je suis roi

roi de l’onde ;       Nous regardons avec des yeux jaloux              Jupiter , plus heureux que nous ; Son sceptre est le premi

e sa mère. Cérès ne pouvant la persuader, eut recours à l’autorité de Jupiter , qui s’engagea de la lui rendre, si elle n’avoit

neuf arpens, fut tué par Apollon et Diane, pour avoir insulté Latone. Jupiter le fit enchaîner aux enfers, où un vautour lui dé

ontagne escarpée un rocher qui retomboit sans cesse. Tantale, fils de Jupiter et de la nymphe Plota, voulant éprouver les dieux

e, ayant fourni de l’eau aux Titans, lorsqu’ils faisoient la guerre à Jupiter , fut précipité dans les enfers, et changé en fleu

t devant les trois juges, Minos, Eaque, et Rhadamante. Minos, fils de Jupiter et d’Europe, étoit le chef de ces juges : il teno

laquelle les destinées des hommes étoient renfermées. Eaque, fils de Jupiter et d’Egine, ayant perdu tous ses sujets par la pe

    Sous l’heureux ministère Du vieux Eaque et de Minos son frère, De Jupiter tous deux fils adorés, Et tous deux rois sur la t

s sur la terre honorés. Rousseau. Rhadamante, roi de Lycie, fils de Jupiter et d’Europe, ou d’Egire, avoit rendu ses sujets s

et de la Terre, est la déesse de la justice. Elle a eu deux enfans de Jupiter  ; la Loi, et la Paix. On la représente avec un ba

illes Que nos crimes ont soulevés. Rousseau. La Paix étoit fille de Jupiter et de Thémis : elle porte souvent le nom d’Astrée

s caprices, C’est de s’y tenir préparé. Rousseau. Némésis, fille de Jupiter et de la Nécessité, étoit la déesse de la vengean

Fait éprouver le sort de Prométhée. La Discorde, chassée du ciel par Jupiter , est venue exciter encore plus de troubles parmi

es premiers rangs parmi les héros et les demi-dieux. Il étoit fils de Jupiter et de Danaé. Acrise avoit fait enfermer sa fille

, qui lui faisoit craindre de périr sous les coups de son petit-fils. Jupiter pénétra dans la tour, sous la forme d’une pluie d

pect fatal devint un grand rocher. Pierre Corneille. Atlas, fils de Jupiter et de Climène, refusa de recevoir chez lui Persée

s. Ayant appris que c’étoit son aïeul, il se condamna à l’exil ; mais Jupiter le plaça au ciel, parmi les constellations, avec

ement résistance. Quinault. [Hercule.] Hercule étoit fils de Jupiter et d’Alcmène, épouse d’Amphitrion. Electrion, roi

nt attachés. Tandis qu’Amphitrion étoit occupé à la guerre de Thèbes, Jupiter vint tromper Alcmène, sous la forme de son mari,

Molière. Junon épuisa tous les efforts de sa haine contre ce fils de Jupiter . Elle fît naître Eurystée avant lui, afin qu’en q

siris, étoit roi d’Egypte, fils de Neptune et de Lybie. Il immoloit à Jupiter tous les étrangers, et préparoit à Hercule le mêm

l’amitié, il prit une résolution digne de son courage : Montrons que Jupiter nous a donné le jour ; Par l’abîme profond, voisi

haine qu’elle avoit conçue contre Hercule, parce qu’il étoit fils de Jupiter . Voyant que les dangers ne servoient qu’à augment

fils de Léda, épouse de Tyndare, roi d’Œbalîe, contrée du Péloponèse. Jupiter s’étoit changé en cygne pour surprendre Léda : el

t Pollux, Castor et Clytemnestre. Les deux premiers étoient enfans de Jupiter , et les deux autres de Tyndare. Hélène épousa Mén

Egisthe et Clytemnestre. Pollux étoit immortel, en qualité de fils de Jupiter . La tendresse qu’il avoit pour son frère, l’engag

oit pour son frère, l’engagea à partager son immortalité avec Castor. Jupiter y consentit, à condition qu’ils rendroient de gra

passeroient alternativement un jour au ciel, et un jour aux enfers : Jupiter fit l’homme semblable A ces deux jumeaux que la F

uroient par le temple de Pollux : et les femmes, par celui de Castor. Jupiter les métamorphosa en astres : ils forment le trois

ns de Néphèles, sa belle-mère, emporta avec lui ce bélier, l’immola à Jupiter , et fit présent de la toison à Aëte, roi de la Co

ce, Et des enfers au jour ramenant Euridice. Cadmus. Après que Jupiter eut enlevé Europe, sœur de Cadmus, et fille d’Agé

e les pierres venoient se ranger au son de la lyre d’Amphion, fils de Jupiter et d’Antiope, reine de Thèbes. Les poëtes ne parl

à une faim d’autant plus cruelles, que tout contribuoit à l’irriter. Jupiter rassembla les membres de Pélops, les ranima, et m

donc ils furent suivis. Lycaon, roi d’Arcadie, fut changé en loup par Jupiter , à qui il avoit servi les membres du jeune Arcas,

nvers le père des dieux. Arcas étoit petit-fils de Lycaon, et fils de Jupiter et de Calisto. Il fut changé en ours, et placé au

s injures. Dardanus, fondateur et premier roi de Troie, étoit fils de Jupiter et d’Electre ; ce qui suffisoit pour devenir odie

ce qui suffisoit pour devenir odieux à Junon. Dans la suite des tems, Jupiter , changé en aigle, enleva Ganimède, fils de Tros,

n qui lui avoit enlevé sa captive Briséis, fille de Brisès, prêtre de Jupiter , et ne voulant plus mener ses troupes au combat,

est retenu pendant quelque tems, quitte cette contrée par l’ordre de Jupiter . Didon en est au désespoir ; elle se perce d’un p

Cadmus et d’Europe, 159 Aglaïe, une des trois Graces, 76 Aigle, de Jupiter , 36 — Ce dieu en prend la forme, 34 Ailes, du t

cule, 137 Alcide, nom donné à Hercule, 131-134 Alcmène, trompée par Jupiter , 35 — Epouse d’Amphitrion, et mère d’Hercule, 13

e, 59 — Se tue elle-même, 60 Amalthée, nom de la chèvre qui allaita Jupiter , 28 — Elle est placée au ciel, ibid. — Au nomb

sie, nourriture des dieux, 34 Ammon, nom que les Egyptiens donnent à Jupiter , 36 Amour, fils de Vénus, 73-76. Voyez Cupidon.

us, 73-76. Voyez Cupidon. Amour fraternel, 147-148 Amphion, fils de Jupiter et d’Anthiope, 13-33 — Musicien célèbre, 160 Am

65 Antre habité par l’Envie, 119 — Par Cacus, 134 Apollon, fils de Jupiter et de Latone, 40 — Mis au rang des dieux, 11 —

adiens, honorent particulièrement le dieu Pan, ibid. Arcas, fils de Jupiter et de Calisto, 35 — Mis à mort par Lycaon, 171

, 12 Argos, ville du royaume de la Grèce, 148 Argus, surveillant de Jupiter , 37 — Garde Io, ibid. — Est endormi, tué par M

cbus, ibid. — Elles mettent en pièces Orphée, 159 Bacchus, fils de Jupiter et de Sémélé, 65 — Mis au rang des dieux, 11 —

des dieux, 11 — Sa naissance, 65-66 — Reste seul dans le ciel avec Jupiter , 29 — Ses conquêtes ; son courage pendant la gue

x Danaïdes, 102 Bélier, sous la forme duquel les Egyptiens adoroient Jupiter , 36 Bélier, qui portoit la Toison d’or, 151 Bél

un des Titans, 29 Briséis, captive d’Achille, 181 Brisès, prêtre de Jupiter , ibid. Brodequins, 52 Bûcher d’Hercule, 139 B

Ulysse l’évite, ibid. Cassiope, punie par Junon, 129 — Changée par Jupiter en constellation, ibid. Castalie, nymphe changé

l’on donne aux Muses, 50 Chersonèse-Taurique, 180 Chêne, consacré à Jupiter , 36 Cheval de bois, 183 Chevaux du char du Sole

ense de poëtes, 48 Créon, roi de Corinthe, 155 Crète, isle célèbre, Jupiter y est élevé, 27 — Elle est ravagée par la peste,

en ruisseau, 99 Cybèle, 26-27 — Mise au rang des dieux, 11 — Sauve Jupiter , 20 — Et Neptune, 90 — Elle est distinguée de C

6 Cyclopes, forgerons de Vulcain, 78 — Tués par Apollon, 40 Cygne, Jupiter en prend la forme, 34 Cygnes consacrés à Vénus,

ttent le ciel, 29 — Habitent la terre, 15-19 — Sont indignés contre Jupiter , 32 — Font leurs présens à Pandore, ibid. — Se

E Eaque, l’un des trois Juges aux Enfers, 107-108 Echanson de Jupiter , 34 Echecs, (jeu d’), 176 Echo, nymphe, 14-124

e des Vents, 14 Eoüs, un des chevaux du Soleil, 42 Epaphus, fils de Jupiter et d’Io, sa querelle avec Phaéton, ibid. Epée d

s Graces, 75 Euridice, épouse d’Orphée, 158-159 Europe, enlevée par Jupiter , 34 — Mère de Minos et de Rhadamanthe, 107 — Un

rpe, 50-54 Forges de Vulcain, 78 Fortune (la), 117 Foudre, (la) de Jupiter , 36 Fourmis, changées en hommes, 107 Fraude, (l

u des Parques, 108 G Ganimède, fils de Tros, 178 — Enlevé par Jupiter , 34-177 — Un des signes du Zodiaque, 89 Gaulois

élébré sa gloire, 121 Hécube, épouse de Priam, 179 Hélène, fille de Jupiter et de Léda, 34-147 — Enlevée par Thésée et Pirit

5 Hellé, 88 Hellespont, origine de ce nom, ibid. Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmèe, 130 — Sa brillante destinée, 131 —

ux, 11 — Fille de Saturne et de Cybèle, 37 Junon, sœur et épouse de Jupiter , 31 — Ses enfans, 37. Son caractère, 37-38 — Se

enfans, 37. Son caractère, 37-38 — Se brouille et se raccommode avec Jupiter , 37 — Donne le jour à Mars, 83 — Présidoit aux

colère cause la guerre de Troie, 177 — Comment on la représente, 39 Jupiter , mis au rang des dieux, 10-11 — Sauvé par Cibèle

s métamorphoses, 33-34-35-131 — Renferme Bacchus dans sa cuisse, 65 Jupiter donne le jour à Minerve, 79 — Fait son présent à

arque, fils d’Athamas, 97 Léda, Epouse de Tyndare, 147 — Trompé par Jupiter , 34 — Ses enfans, 148 Lemnos, Isle célèbre par

rang, 11 Mère, (la grande) nom donné à Cibèle, 26 Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, 69 — Mis au rang des dieux, 11 — Se

de Junon, 39-40 Mesures inventées par Mercure, 70 Métamorphoses de Jupiter , 33-34-35 — De Prothée, 91-93 Méthrès, père de

est l’emblème de la Sagesse, 13 — Son nom désigne la Prudence, 14 — Jupiter l’envoie sur la terre, 80 — Se dispute avec Nept

illes du monde, 63 Muses, 49 — Disciples d’Apollon, 45 — Filles de Jupiter et de Mnémosyne, 49 — Leurs noms et leurs différ

les tiennent parmi les dieux, 11 — Leurs danses, 14 — Elles élèvent Jupiter , 28 — Elles sont chargées de l’éducation de Bacc

6 — Noms de ses habitans, 86 Olympie, ville célèbre, 61 Olympien, ( Jupiter ) une-des sept merveilles du monde, ibid. Ombres

énélope, 193 P Paix, honorée comme une divinité, 11 — Fille de Jupiter et de Thémis, 106 — Comment on la représente, ib

sée, 141 Permesse, fontaine consacrée aux Muses, 45 Persée, fils de Jupiter et de Danaé, 33-128 — Combat les Gorgones, 128

alais du Soleil, 44 — Conduit le char de son père ; est foudroyé par Jupiter , ibid. — Les regrets que cause sa mort, ibid.

eau de ce héros, 185 Polixo fait pendre Hélène, 148 Pollux, fils de Jupiter et de Léda, 34-147 — Partage son immortalité ave

par Thésée, 141 Progné changée en hirondelle, 171 Prométhée, imite Jupiter , et en est puni, 31 — Il est délivré par Hercule

59 — D’Erimanthe, 133 — D’Etolie, 141 Satellites de Saturne et de Jupiter , 86 Saturne, fils du Ciel, 20 — Mis au rang des

6 Tartare, séjour des méchans après leur mort, 100-103 Taureau dont Jupiter prit la forme, 34-88 — Des campagnes de Marathon

es demi-dieux, 11 Thessalie, fameuse par la guerre des Titans contre Jupiter , 28-30 — Est ravagée par la peste, 136 Thétys,

, 20 — Déclare la guerre à Saturne, ibid. Titans, font la guerre à Jupiter , 28-29 — Leur défaite, 66-21 Tithius, géant, so

— Son enlèvement est célèbre dans l’Histoire poétique, 11 Tonnerre, Jupiter s’en rend le maître, 20 Tour d’airain qui renfer

e en étoit le-dieu, 70 Vulcain, fils de Junon, précipité du ciel par Jupiter , 37 — Est le Dieu du feu, forge les foudres de J

é du ciel par Jupiter, 37 — Est le Dieu du feu, forge les foudres de Jupiter , 78-79 — Fabrique Pandore, 32-33 — Enchaîne Pro

de Flore, 103 — Porte Vénus dans l’île de Cypre, 72 Zétus, fils de Jupiter et d’Antiope, 33 Zodiaque, 86 — Ses douze Signe

a giant with fifty heads and one hundred hands, who was imprisoned by Jupiter under Mount Etna. See Briareus. Æ′gis [Ægis], th

Jupiter under Mount Etna. See Briareus. Æ′gis [Ægis], the shield of Jupiter , so called because it was made of goat-skin. “Wh

cks on his back.” Butler. Æo′lus [Æolus] was the god of the winds. Jupiter was his reputed father, and his mother is said to

oted for his cures that Pluto became jealous of him, and he requested Jupiter to kill him with a thunderbolt. To revenge his so

ncense at the altar. Amal′thæ′a [Amalthæa], the goat which nourished Jupiter . Am′azons [Amazons] were a nation of women-soldi

Ami′ca [Ami′ca], a name of Venus. Amphi′on [Amphion] was the son of Jupiter and Antiope. He was greatly skilled in music; and

f Ulysses. Anti′ope [Antiope] was the wife of Lycus, King of Thebes. Jupiter , disguised as a satyr, led her astray and corrupt

ph′rodi′te [Aphrodite], a Greek name of Venus. Apis, a name given to Jupiter by the inhabitants of the Lower Nile. Also the mi

[Apollo]. This famous god, some time King of Arcadia, was the son of Jupiter and Latona. He was known by several names, but pr

ottles were used in the games to jump on. Aso′pus [Asopus]. A son of Jupiter , who was killed by one of his father’s thunderbol

father’s thunderbolts. Assabi′nus [Assabinus], the Ethiopian name of Jupiter . Ass’s ears, see Midas. Astar′te [Astarte], one

of Venus. Aste′ria [Asteria], daughter of Cæus, was carried away by Jupiter , who assumed the shape of an eagle. Astre′a [Ast

s of discord and all evil. She was banished from heaven by her father Jupiter . “With Ate by his side come hot from hell.” Sha

ra’s bed.” Shakespeare. Aus′ter [Auster], the south wind, a son of Jupiter . Aver′nus [Avernus], a poisonous lake, referred

sses of Bacchus. Bac′chus [Bacchus], the god of wine, was the son of Jupiter and Semele. He is said to have married Ariadne, d

is′to [Calisto], an Arcadian nymph, who was turned into a she-bear by Jupiter . In that form she was hunted by her son Arcas, wh

rm she was hunted by her son Arcas, who would have killed her had not Jupiter turned him into a he-bear. The nymph and her son

ing the health of the deities. Capitoli′nus [Capitolinus]. A name of Jupiter , from the Capitoline hill, on the top of which a

s, from the fountain Castalia or Castalius. Cas′tor [Castor], son of Jupiter and Leda, twin brother of Pollux, noted for his s

s was the type of constancy. Cerau′nius [Ceraunius]. A Greek name of Jupiter , meaning The Fulminator, from his thunderbolts.

r who taught Achilles hunting, music, and the use of medicinal herbs. Jupiter placed him among the stars, where he appears as S

es, from Mount Citheron. Cli′o [Clio]. One of the Muses, daughter of Jupiter and Mnemosyne. She presided over history. Cloaci

earer, see Ganymede. Cu′pid [Cupid], the god of love, was the son of Jupiter and Venus. He is represented as a naked, winged b

on’s hounds which limped. Cyn′osure [Cynosure]. One of the nurses of Jupiter , turned by the god into a conspicuous constellati

′ae [Danae] was a daughter of Acrisius and Eurydice. She had a son by Jupiter , who was drifted out to sea in a boat, but was sa

t-bound, that fled Apollo.” Milton. Dar′danus [Dardanus], a son of Jupiter , who built the city of Dardania, and by some writ

racle of Apollo was given. De′marus [Demarus]. The Phœnician name of Jupiter . De′mogor′gon [Demogorgon] was the tyrant genius

d Pyrra. He and his wife, by making a ship, survived the deluge which Jupiter sent on the earth, circa 1503 b.c. Devil, see D

unting and of chastity. She was the sister of Apollo, and daughter of Jupiter and Latona. She was known among the Greeks as Dia

o dumb.” Di′es Pa′ter [Dies Pater], or Father of the Day, a name of Jupiter . Dii Selec′ti [Dii Selecti] composed the second

s. Diony′sius [Dionysius]. A name of Bacchus, either from his father Jupiter (Dios), or from his nurses, the nymphs called Nys

hs called Nysæ. Dios′curi [Dioscuri]. Castor and Pollux, the sons of Jupiter . Di′ræ [Diræ]. A name of the Furies. Dis. A nam

s. A surname of Bacchus. Dodo′na [Dodona] was a celebrated oracle of Jupiter . “O where, Dodona, is thine aged grove, Propheti

fount, and oracle divine?” Byron. Dodonæ′us [Dodonæus]. A name of Jupiter , from the city of Dodona. Dog, see Lares. Dola′

andinavian god of the Echo — a pigmy. E E′acus [Eacus], son of Jupiter and Egina, one of the judges of the infernal regi

ed.” Ovid. Egeon. A giant sea-god, who assisted the Titans against Jupiter . Ege′ria [Egeria]. A nymph who is said to have s

se it was covered with the skin of the goat Amalthæa, which nourished Jupiter . See Ægis. Eleusin′ian Mysteries [Eleusinian]. R

e heathen deity. Endym′ion [Endymion]. A shepherd, who acquired from Jupiter the faculty of being always young. One of the lov

agreeable. Eu′vyhe [Euvyhe], an expression meaning “Well done, son.” Jupiter so frequently addressed his son Bacchus by those

Tros, King of Troy. He succeeded Hebe in the office of cup-bearer to Jupiter . He is generally represented sitting on the back

im happiness, the other misery. Gen′itor [Genitor]. A Lycian name of Jupiter . Geometry, see Mercury. Ge′ryon [Geryon] was a

ty against all external enemies. Gra′gus [Gragus]. The name by which Jupiter was worshiped in Lycia. Granaries, see Tutelina.

ia. Granaries, see Tutelina. Grap′sios [Grapsios]. A Lycian name of Jupiter . Grasshopper, see Tithonus. Grief, see Niobe.

en] see Belisama. God of, see Cœlus. He′be [Hebe], daughter of Zeus ( Jupiter ) and Hera (Juno), was the goddess of youth. She w

ter) and Hera (Juno), was the goddess of youth. She was cup-bearer to Jupiter and the gods, until she had an awkward fall at a

al, causing her to alight in an indecent posture, which so displeased Jupiter that she was deprived of her office, and Ganymede

pontiacus]. A title of Priapus. Hemph′ta [Hemphta]. The Egyptian god Jupiter . Hephæs′tus [Hephæstus]. The Greek Vulcan, the s

racles] is the same as Hercules. Her′cules [Hercules] was the son of Jupiter and Alcmena. The goddess Juno hated him from his

of desperation he cast himself into a funeral pile on Mount Œta; but Jupiter had him taken to heaven in a four-horse chariot,

Italy. They were appointed to guard the golden apples which Juno gave Jupiter on their wedding day. See Hercules. Hes′perus [H

ere is a grove sacred to Venus. Impera′tor [Imperator] was a name of Jupiter , given to him at Præneste. I′nachus [Inachus] wa

I′o [Io] was a daughter of Inachus, and a priestess of Juno at Argos. Jupiter courted her, and was detected by Juno, when the g

the god turned Io into a beautiful heifer. Juno demanded the beast of Jupiter , and set the hundred-eyed Argus to watch her. Jup

ed the beast of Jupiter, and set the hundred-eyed Argus to watch her. Jupiter persuaded Mercury to destroy Argus, and Io was se

of Phlegyas, King of the Lapithæ. For attempting to produce thunder, Jupiter cast him into hell, and had him bound to a wheel,

say of Apollo; he sheltered Saturn when he was driven from heaven by Jupiter . Janus presided over highways, gates, and locks,

ring the fatal mistake, hanged herself. Jove. A very general name of Jupiter . “From the great father of the gods above My mus

was the daughter of Saturn and Ops, alias Cybele. She was married to Jupiter , and became queen of all the gods and goddesses,

, Vulcan, Hebe, and Lucina. She prompted the gods to conspire against Jupiter , but the attempt was frustrated, and Apollo and N

t was frustrated, and Apollo and Neptune were banished from heaven by Jupiter . Juno is the goddess of marriage, and the protect

cks, with a diadem on her head, and a scepter in her hand. Ju′piter [ Jupiter ], son of Saturn and Cybele [or Ops], was born on

t Ida, in Crete, and nourished by the goat Amalthæa. When quite young Jupiter rescued his father from the Titans; and afterward

ted the giants, the sons of earth, when they made war against heaven. Jupiter was worshiped with great solemnity under various

tes] were sons of Mercury and Lara, or, as other mythologists say, of Jupiter and Lamida. They belonged to the lower order of R

Cœlus and Phœbe, mother of Apollo and Diana. Being admired so much by Jupiter , Juno was jealous, and Latona was the object of t

Le′da [Leda] was the mother of Castor and Pollux, their father being Jupiter , in the shape of a swan. After her death she rece

goddess who presides at the birth of children. She was a daughter of Jupiter and Juno, or, according to others, of Latona. “L

caon′ian Food [Lycaonian]. Execrable viands, such as were supplied to Jupiter by Lycaon. To test the divine knowledge of the go

e Cama, Hymen, Juno, Jugatinus. Mars, the god of war, was the son of Jupiter and Juno. Venus was his favorite goddess, and amo

at time of ripening. Max′imus [Maximus]. One of the appellations of Jupiter , being the greatest of the gods. Measures and We

Satyavrata. Merchants, see Mercury. Mer′cury [Mercury], the son of Jupiter and Maia, was the messenger of the gods, and the

m, war, and the liberal arts, is said to have sprung from the head of Jupiter fully armed for battle. She was a great benefactr

r shield, covered with the skin of Amalthæa, the goat which nourished Jupiter ; and for the boss of the shield is the head of Me

. Mnemos′yne [Mnemosyne]. Mother of the Muses and goddess of memory. Jupiter courted the goddess in the guise of a shepherd.

perched on Odin’s shoulder. Musca′rius [Muscarius]. A name given to Jupiter because he kept off the flies from the sacrifices

ies from the sacrifices. Mu′ses, The [Muses], were nine daughters of Jupiter and Mnemosyne. They presided over the arts and sc

tune], god of the sea, was a son of Saturn and Cybele, and brother to Jupiter and Pluto. He quarreled with Jupiter because he d

aturn and Cybele, and brother to Jupiter and Pluto. He quarreled with Jupiter because he did not consider that the dominion of

the celestial regions, after having conspired with Pluto to dethrone Jupiter . Neptune was married to Amphitrite, daughter of O

not but be wise.” Shakespeare. Niceph′orus [Nicephorus]. A name of Jupiter , meaning the bearer of victory. Nid′hogg [Nidhog

tone statues. Olives, see Aristæus. Olym′pius [Olympius]. A name of Jupiter , from Olympia, where the god had a splendid templ

es. She was taught singing by Apollo, and Mercury taught her oratory. Jupiter gave her a box, the famous “Pandora’s Box,” which

hone]. The Greek name of Proserpine. Per′seus [Perseus] was a son of Jupiter and Danae, the daughter of Acrisius. His first fa

lame because fortunes come so slowly. Plu′vius [Pluvius]. A name of Jupiter , because he had the rain in his control. Podalir

f wisdom. Pol′lux [Pollux]. Twin brother of Castor. Their father was Jupiter and their mother Leda. He and his brother form th

epol. Polybo′tes [Polybotes]. One of the giants who made war against Jupiter . He was killed by Neptune. Polydec′tes [Polydect

es]. The Greek name of Pollux. Polyhym′nia [Polyhymnia]. Daughter of Jupiter and Mnemosyne. One of the Muses who presided over

te them with fire which he had stolen from heaven. This so displeased Jupiter that he sent him a box full of evils, which Prome

not so cautious, opened it, and the evils spread over all the earth. Jupiter then punished Prometheus by commanding Mercury to

free. Prophecy, see Nereus. Proser′pine [Proserpine]. A daughter of Jupiter and Ceres. Pluto carried her off to the infernal

nus [Quirinus]. A name given to Mars during wartime; Virgil refers to Jupiter under the same name. Quoit, see Hyacinthus. R

see Quies. Revenge, see Ate. Rhadaman′thus [Rhadamanthus], a son of Jupiter and Europa, was the ruler of the Greeks in the As

see Momus. Sa′ron [Saron], a sea-god. Sarpe′don [Sarpedon], son of Jupiter by Europa. He accompanied Glaucus, when the latte

by Patroclus. Sat′urn [Saturn], king of the Universe, was father of Jupiter , Neptune, and Pluto. These gods quarreled amongst

emselves as to the division of their father’s kingdom, which ended in Jupiter having heaven and earth, Neptune the sea, and Plu

ich generally attended them. Satur′nius [Saturnius]. A name given to Jupiter , Neptune, and Pluto, as sons of Saturn. Satya′vr

ther of Bacchus (Dionysus), who was born in a miraculous manner after Jupiter had visited her, at her special request, in all h

She is called the “saving goddess.” So′ter [Soter]. A Greek name of Jupiter , meaning Savior or deliverer. Soul, see Psyche.

perion. The′mis [Themis], a daughter of Cœlus and Terra, and wife of Jupiter , was the Roman goddess of laws, ceremonies, and o

ar-god (son of Odin), who had rule over the aerial regions, and, like Jupiter , hurled thunder against his foes. Thor′s Belt is

read of Life, see Fates. Thunderbolts, see Cyclops. Thunderer, The, Jupiter . See Tonitrualis. “O king of gods and men, whose

of Saturn, who made war against him, and was ultimately vanquished by Jupiter . Ti′tans [Titans] were the supporters of Titan i

s [Titans] were the supporters of Titan in his war against Saturn and Jupiter . They were the sons of Uranus and Gæa, men of gig

lt as it gets old, and grows young again. Tit′yus [Tityus]. A son of Jupiter . A giant who was thrown into the innermost hell f

eus. Tonitrua′lis [Tonitrualis], or Tonans. The Thunderer; a name of Jupiter . Towers, see Cybele. Tragedy, see Melpomene. T

protection of newly married people. Ura′nia [Urania]. A daughter of Jupiter and Mnemosyne — one of the Muses who presided ove

e as Vejovis. Vejo′vis [Vejovis]. “Little Jupiter” — a name given to Jupiter when he appeared without his thunder. Veju′piter

a], see Angeronia. Vul′can [Vulcan], the god of fire, was the son of Jupiter and Juno. He offended Jupiter, and was by him thr

ulcan], the god of fire, was the son of Jupiter and Juno. He offended Jupiter , and was by him thrown out of heaven; he was nine

son of Antiope and Zeus. See Amphion. Zeus (zūs). The Greek name of Jupiter , the greatest god in Grecian mythology. He was th

. Le ciel même fut divinisé sous le nom d’Uranus, l’air sous celui de Jupiter , la terre sous les noms de Rhéa, de Tellus, de Cy

us la beauté ; Ce n’est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible,

(rapide)6, qui furent chargés dans la suite de forger les foudres de Jupiter . D’ailleurs semblables aux dieux, ils n’avaient,

en lui faisant avaler à leur place une pierre emmaillotée. C’étaient Jupiter , qui devint roi du ciel, Neptune, souverain des m

ainquit et l’enferma dans une étroite prison. Saturne fut délivré par Jupiter et rétabli sur le trône ; mais comme il redoutait

sseins ambitieux de son libérateur, il lui tendit des embûches. Alors Jupiter , excité secrètement par sa mère, conspira contre

e des plus grands dieux. En effet, elle donna le jour non-seulement à Jupiter , mais à Junon, à Neptune et à Pluton. Si l’on en

casque ; de Curètes, à cause de l’île de Crète, où ils avaient élevé Jupiter  ; enfin de Dactyles, parce qu’ils étaient, comme

mpte-t-on qui furent reconnues coupables et punies ? Chapitre IV. Jupiter . 17. Enfance de Jupiter. Jupiter était, c

s coupables et punies ? Chapitre IV. Jupiter. 17. Enfance de Jupiter . Jupiter était, comme on l’a vu, fils de Satur

et punies ? Chapitre IV. Jupiter. 17. Enfance de Jupiter. Jupiter était, comme on l’a vu, fils de Saturne et de Cyb

it des tambours et par les cris dont ils accompagnaient leurs danses. Jupiter fut nourri par deux Nymphes appelées Mélisses (mo

urrice). On raconte que cette chèvre s’étant un jour cassé une corne, Jupiter la donna aux Nymphes qui avaient pris soin de son

nt célébrée par les poëtes. 18. Guerre des Géants. L’enfance de Jupiter fut merveilleuse comme le reste de sa vie. Une an

s, comme eux fils de la Terre, entreprirent, à leur tour, de détrôner Jupiter . Ils étaient d’une taille énorme, d’une force pro

sur montagne, Ossa sur Pélion, et essaient ainsi d’escalader le ciel. Jupiter effrayé appelle à son secours tous les dieux et t

céan et de Téthys, arriva la première, et, eu récompense de son zèle, Jupiter ordonna que tous les serments faits au nom de Sty

u nom de Styx seraient inviolables12. Le combat fut long et terrible. Jupiter , Junon, Neptune, Vulcain, Minerve, Mercure, Apoll

en Égypte, et s’y cachèrent sous diverses formes d’animaux. Cependant Jupiter , monté sur un char attelé de chevaux ailés, pours

ons vu tomber leur chef audacieux        Sous une montagne brûlante : Jupiter l’a contraint de vomir à nos yeux Les restes enfl

de vomir à nos yeux Les restes enflammés de sa rage mourante :         Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa mai

ernes ont vu, avec plus de raison, dans cette lutte des Géants contre Jupiter , un souvenir confus et altéré de la révolte des m

uche vomit des tourbillons de flammes et de fumée ? 19. Mariage de Jupiter . Jupiter, vainqueur de ses ennemis, ne songea

es tourbillons de flammes et de fumée ? 19. Mariage de Jupiter. Jupiter , vainqueur de ses ennemis, ne songea plus qu’à go

riages sont d’ingénieuses allégories. Ainsi, les Muses sont filles de Jupiter et de Mnémosyne, c’est-à-dire que les travaux de

ces, et les arts, sont les fruits de l’intelligence et de la mémoire. Jupiter , que Thémis rend père de trois Parques, chargées

e à ses sujets les peines et les récompenses. La fable dit encore que Jupiter épousa Métis, la prudence : cela signifie qu’il p

vertu pour compagne inséparable. 20. Conspiration des dieux contre Jupiter . L’union de Jupiter avec Junon fut souvent tro

éparable. 20. Conspiration des dieux contre Jupiter. L’union de Jupiter avec Junon fut souvent troublée par la jalousie d

’Olympe. Ce géant aux cent bras se place fièrement auprès du trône de Jupiter , et saisit Junon au moment où celle-ci donne le s

té, et reprit sa place auprès de son époux. 21. Cour et conseil de Jupiter . Le trône de Jupiter s’élevait au milieu de l’

uprès de son époux. 21. Cour et conseil de Jupiter. Le trône de Jupiter s’élevait au milieu de l’Olympe ; il était souten

t Cérès. C’étaient les grands dieux, formant la cour et le conseil de Jupiter , et représentant, avec lui, les douze mois de l’a

dieux ; un jour, s’étant laissé choir, elle fut privée de cet emploi. Jupiter le donna à Ganymède, jeune Troyen d’une grande be

ne tête bizarrement coiffée et garnie de grelots14. 22. Voyages de Jupiter sur la terre. Lycaon. Jupiter, en s’attribuant

rnie de grelots14. 22. Voyages de Jupiter sur la terre. Lycaon. Jupiter , en s’attribuant l’empire du ciel, s’était réserv

périr, disait-on, les étrangers qui venaient dans ses États. Quoique Jupiter , en entrant dans son palais, lui eût fait connaît

signifie loup.) 23. Philémon et Baucis. De cette terre ingrate, Jupiter passe en Phrygie, accompagné de son fils Mercure.

le pieux envers leurs hôtes reçurent la récompense qu’ils méritaient. Jupiter leur apparaît dans tout l’éclat de sa majesté, le

te a embellie des grâces de son style. 24. Déluge de Deucalion. Jupiter , après son séjour en Arcadie et en Phrygie, conva

t celui de la fable à l’image de la bête. 26. Fable de Pandore. Jupiter , irrité de l’attentat de Prométhée, ordonna à Vul

uence ; Minerve, la sagesse et l’habileté dans le travail des doigts. Jupiter l’envoya à Prométhée, avec une boîte mystérieuse.

ométhée, avec une boîte mystérieuse. Celui-ci, se défiant des dons de Jupiter , ne voulut recevoir ni Pandore ni la boîte. Mais

nfuse de la perte du genre humain par la faute d’une femme. Cependant Jupiter , voulant punir Prométhée, ordonna à Vulcain de l’

né sur son triste sommet. La Fontaine. 27. Culte et attributs de Jupiter . Toutes les nations païennes adoraient Jupiter

lte et attributs de Jupiter. Toutes les nations païennes adoraient Jupiter  : les Grecs, sous le nom de Zeus, les Egyptiens s

nt celui de la forêt de Dodone, en Epire, et celui d’Ammon, en Libye. Jupiter était le dieu suprême ; tous les autres, à l’exce

n’étaient pas. Tragédie d’Esther. Questionnaire. 17. De qui Jupiter était-il fils ? Comment sa mère le déroba-t-elle

de Saturne ? Où et par qui fut-il élevé ? 18. Quelle fut l’enfance de Jupiter  ? Quelle fut la cause de la guerre des Géants ? Q

te fable de la guerre des Géants ? 19. Nommez les diverses épouses de Jupiter et les enfants qu’il en eut ? Comment explique-t-

oriques ? 20. Quelle fut la cause de la conspiration des dieux contre Jupiter  ? Quelle en fut l’issue ? Comment Junon fut-elle

aient les dieux et les déesses qui formaient le conseil et la cour de Jupiter  ? Quelle était la nourriture des dieux ? Qu’était

iture des dieux ? Qu’était-ce qu’Hébé, Ganymède, Momus ? 22. Pourquoi Jupiter parcourait-il souvent la terre ? Racontez l’histo

26. Faites connaître la fable de Pandore. 27. Quel était le culte de Jupiter , et que sacrifiait-on sur ses autels ? Quels étai

tels ? Quels étaient ses principaux oracles ? Comment représente-t-on Jupiter  ? Chapitre V. Junon. 28. Naissance, mari

unon était fille de Saturne et de Cybèle. Quoi qu’elle fût la sœur de Jupiter , elle devint néanmoins son épouse16. Ses noces fu

: Hébé, Lucine, Mars et Vulcain, dont les trois premiers seuls eurent Jupiter pour père. Blessée de ce que ce dieu avait produi

renonça alors au séjour de l’Olympe, et se retira dans l’île d’Eubée. Jupiter , pour la rappeler au domicile conjugal, stimula s

revint auprès de son époux, mais la paix ne fut pas de longue durée. Jupiter préférait souvent à la reine des dieux d’autres d

qui enveloppe la terre, est unie à l’air plus élevé et plus pur dont Jupiter est l’emblème. Les agitations de l’atmosphère tro

un d’entre eux ? Quel était le caractère de Junon ? Par quel artifice Jupiter la ramena-t-il dans l’Olympe ? Pourquoi Io fut-el

de Minerve. Minerve, appelée par les Grecs Athéna, était fille de Jupiter . Ce dieu ayant épousé Métis, déesse de la réflexi

rivaliser avec elle, en représentant sur une tapisserie les amours de Jupiter , la déesse frappa l’imprudente de sa navette, et

t la naissance merveilleuse de Minerve ? Quels services rendit-elle à Jupiter dans la guerre des Géants ? D’où lui vient le nom

Latone, fille de Céus, un des Titans, et de Phébé, était aimée de Jupiter . Junon, ayant appris qu’elle allait devenir mère,

enfers, se plaignit de ce qu’on lui enlevait ainsi ses sujets. Alors Jupiter foudroya Esculape. Apollon, dans sa douleur, tua

ture de Phaéton. L’exil et les malheurs d’Apollon fléchirent enfin Jupiter , qui le rappela au ciel, et le chargea de conduir

ée de Phaéton laissa dévier le char de sa route, et embrasa la terre. Jupiter le précipita d’un coup de foudre dans le fleuve E

réside l’assemblée des Muses, ses compagnes ordinaires. Ces filles de Jupiter et de Mnémosyne, c’est-à-dire de l’intelligence e

e Diane ; ses emplois divers. Diane était, comme Apollon, fille de Jupiter et de Latone. La triste destinée de sa mère lui i

qui accompagnaient la déesse de la chasse, inspira une vive passion à Jupiter  ; Diane la bannit de sa présence, et Junon la pun

et, ne la reconnaissant pas, il allait la percer d’une flèche ; mais Jupiter , pour prévenir un parricide, le changea lui-même

le-mère Ino, s’enfuirent sur un bélier à toison d’or, que leur envoya Jupiter . Ce bélier forme la première constellation. Elle

respond au mois de Mars. 2° Le Taureau (avril). Selon la fable, Jupiter prit la forme de cet animal pour transporter en C

est, selon les uns, Thémis, déesse de la justice et seconde femme de Jupiter  ; selon d’autres, c’est Astrée ou la Paix, fille

(décembre). C’est, selon les uns, la chèvre Amalthée, qui nourrit Jupiter  ; selon d’autres, c’est le dieu Pan, qui se trans

° Le Verseau (janvier). On croit que c’est Ganymède, l’échanson de Jupiter . 12° Enfin, les Poissons (février). Ce sont

de l’Euphrate Vénus et son fils, pendant la guerre des Géants contre Jupiter . D’autres prétendent que ce sont les dauphins qui

cure. 45. Naissance et attributs de Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, une des filles d’Atlas, naquit sur le

dérobe à Neptune son trident, à Vénus sa ceinture, à Mars son épée, à Jupiter son sceptre, et à Vulcain ses outils. Jupiter, ch

ure, à Mars son épée, à Jupiter son sceptre, et à Vulcain ses outils. Jupiter , charmé de l’adresse et de la grâce du jeune dieu

trop loin ses licences : il essaya de porter la main sur la foudre de Jupiter , qui l’envoya partager l’exil d’Apollon. Ce fut a

e Mars. Selon les Grecs, qui l’appelaient Arès, Mars était fils de Jupiter et de Junon. Selon les Romains, il était fils de

ent la déesse de la beauté. Chacun d’eux voulut l’avoir pour épouse : Jupiter la donna à Vulcain, pour le récompenser d’avoir f

s : A la plus belle. Toutes les déesses voulurent se l’adjuger ; mais Jupiter mit fin à ce débat en choisissant pour arbitre un

s, Aglaé, Thalie et Euphrosine, compagnes de Vénus, étaient filles de Jupiter et d’Eurynome28. Elles sont ordinairement représe

jeunesse. Cupidon, fils de Vénus et de Mars, est le dieu de l’amour. Jupiter , prévoyant les troubles qu’il exciterait dans l’O

illes ? Comment les représente-t-on ? Qu’est-ce que Cupidon ? Comment Jupiter le traita-t-il ? Où et comment fut-il élevé ? Que

ommes l’art d’ensemencer les champs et de faire du pain. Cérès eut de Jupiter une fille appelée Proserpine. Un jour que celle-c

uton. Aussitôt elle monte dans l’Olympe, et implore l’intervention de Jupiter . Le maître des dieux essaie en vain de lui faire

rès, dans sa douleur, changea en hibou le révélateur indiscret. Enfin Jupiter décida par accommodement, que Proserpine resterai

, dans sa jeunesse, qu’il ne favoriserait que la vertu et la science. Jupiter le priva de la vue, afin qu’il répartît indistinc

ent apprit-elle le nom du ravisseur de Proserpine ? Qu’obtint-elle de Jupiter  ? Quelle allégorie trouve-t-on dans le double séj

58. Naissance de Bacchus. Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi de Thèbes. Cet

a figure de Béroé, nourrice de Sémélé, et lui conseilla de demander à Jupiter qu’il se montrât à elle dans tout l’éclat de sa g

flammes. Cependant l’enfant qu’elle portait dans son sein fut sauvé ; Jupiter l’enferma dans sa cuisse, où il le garda jusqu’à

était parvenu à sauver son enfant. D’autres interprètes ajoutent que Jupiter avait fait transporter Bacchus dans la ville de N

u merveilleux, feignirent que Bacchus avait été mis dans la cuisse de Jupiter . 59. Éducation de Bacchus ; Silène. Bacchus

à Athènes Dionysiaques, de son nom grec Dionysios, formé de celui de Jupiter et de la ville de Nysa. A Rome elles portaient le

disgrâce, travaux de Vulcain. Vulcain, dieu du feu, était fils de Jupiter et de Junon. Quelques-uns prétendent que ce fut l

lui, et non le dieu Mars, que Junon conçut toute seule, afin d’imiter Jupiter , qui avait enfanté Minerve de son cerveau. Quoi q

e de son cerveau. Quoi qu’il en soit, Vulcain naquit si difforme, que Jupiter d’un coup de pied le précipita du ciel sur la ter

eu33, justifient cette tradition. Vulcain rendit de grands services à Jupiter et aux autres dieux dans la guerre contre les Géa

aire. 65. De qui Vulcain était-il fils ? Comment fut-il traité par Jupiter au moment de sa naissance ? Où fixa-t-il sa résid

e dieu souverain des mers ; il en obtint l’empire dans le partage que Jupiter fit du domaine paternel. On sait que Saturne dévo

avait réussi à le tromper en lui présentant une pierre à la place de Jupiter , lui fit croire, cette fois, qu’elle avait mis au

n fils réel, dans une bergerie d’Arcadie. Ce dieu, devenu grand, aida Jupiter dans la guerre contre les Titans. Mécontent ensui

ènes. Il eut le même différend au sujet de la ville de Trézène ; mais Jupiter le termina en donnant à Neptune le titre de roi d

t culte de Neptune. Comme souverain des mers, Neptune était, après Jupiter , le plus puissant des dieux. On le représente deb

robé à la voracité de Saturne ? Comment se comporta-t-il à l’égard de Jupiter  ? Comment fut-il traité par le maître de l’Olympe

emme de Sicile qui, ayant volé des bœufs à Hercule, fut foudroyée par Jupiter , et changée en un gouffre qui porte son nom. 7

’est sur les eaux qu’il exerce le plus sa puissance. Il était fils de Jupiter , qui lui donna la garde des vents, renfermés dans

e. Le premier était frère de Priam, roi de Troie. La déesse obtint de Jupiter l’immortalité pour l’objet de sa tendresse, mais

l ne vieillît point. Tithon parvint à un tel état de décrépitude, que Jupiter , par pitié, le transforma en cigale. Memnon, fils

mais celui-ci fut forcé de le rendre, après un breuvage que lui donna Jupiter . Aussi, Pluton prêta-t-il un appui dévoué à son f

re des rois renommés par leur sagesse et leur justice. Minos, fils de Jupiter et d’Europe, régna sur l’île de Crète, lui donna

na de bonnes lois, et rendit son peuple heureux. Eaque, fils aussi de Jupiter , gouverna l’île d’Œnopie, qu’il appela Egine, du

, ayant dévasté ses Etats, il pria son père de repeupler son royaume. Jupiter exauça la prière de son fils, et changea en homme

Atropos, étaient filles de l’Erèbe et de la Nuit, d’autres disent de Jupiter et de Thémis. Elles présidaient à la naissance et

s. 87. Némésis. Némésis, déesse de la vengeance, était fille de Jupiter et de la Nécessité, d’autres disent de l’Erèbe et

e, il lançait sur ses malheureux sujets des torches enflammées ; mais Jupiter , irrité de tant d’impiété et d’audace, lança du h

se ardente. Bientôt dévoré de remords, détesté des hommes, il implora Jupiter , qui, touché de son repentir, l’admit à la table

eux. Mais il osa outrager Junon, qui s’en plaignit à son époux. Alors Jupiter précipita le coupable dans le Tartare. Là, attach

u (n° 27) ce genre de châtiment infligé à Prométhée. Tantale, fils de Jupiter , était un puissant roi de Phrygie. Il reçut un jo

ent de sa fille, se laissa tromper, et mangea une épaule de l’enfant. Jupiter le ressuscita, et remplaça par une épaule d’ivoir

d le nom de Pitié filiale. Les Prières, selon Homère, sont filles de Jupiter . Boiteuses, timides, elles marchent les mains joi

à leur tour dans ses besoins, et portent ses vœux au pied du trône de Jupiter . Un poëte a imité ainsi la peinture qu’ Homère fa

l aime qu’on endure ; « Que le barbare apprenne à gémir comme vous. » Jupiter les exauce, et son juste courroux S’appesantit bi

Abondance, selon la fable, suivit dans le Latium Saturne, détrôné par Jupiter . On la représente sous la figure d’une belle femm

pied est en l’air. 100. La Renommée. La Renommée, messagère de Jupiter , avait un temple à Athènes et à Rome. Les poëtes

était fille de la Nuit et sœur de Némésis, des Parques et de la Mort. Jupiter la chassa du ciel à cause des dissensions qu’elle

Naissance de Persée. — Ses premiers exploits. Persée était fils de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, père de cette

main de son petit-fils, enferma sa fille dans une tour d’airain. Mais Jupiter s’introduisit auprès d’elle en se transformant en

une frêle barque et les abandonna à la merci des flots. Protégée par Jupiter , la nacelle aborda à l’île de Sériphe, une des Cy

uritanie, où régnait Atlas. Ce prince refuse l’hospitalité au fils de Jupiter , qui l’en punit sur l’heure. Persée lui présente

e Bellérophon essaya de monter au ciel sur le cheval Pégase, mais que Jupiter envoya un taon qui piqua le coursier et renversa

de la force, et le plus illustre des héros de la Fable, était fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de Thèbes.

rgos, était aussi enceinte. Junon, toujours jalouse, fit déclarer par Jupiter que celui des deux enfants qui naîtrait le premie

Mort d’Hercule ; il est admis au nombre des dieux. Hercule, comme Jupiter , eut pluieurs femmes. Le plus célèbre est Déjanir

s la ville de Troie ne pouvait être prise, d’après l’arrêt du destin. Jupiter reçut son fils dans le ciel et lui donna pour épo

faut croire les poëtes, sur un bélier à toison d’or59, que leur donna Jupiter . Mais Hellé, saisie d’effroi, tomba dans la mer q

ou de mer d’Hellé. Phryxus, arrivé heureusement en Colchide, immola à Jupiter le bélier auquel il devait son salut, et il en co

e dos du bel animal, qui à l’instant s’élança dans les flots. C’était Jupiter , qui, sous cette forme, emmena Europe dans cette

ursuivait sur la famille d’Europe l’enlèvement de cette princesse par Jupiter , son infidèle époux. Cadmus62, accablé de malheur

lle fut la cause d’une guerre qui dura dix ans. Hélène était fille de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte. Sa r

on, fils de Tithon et de l’Aurore, roi d’Ethiopie ; Sarpédon, fils de Jupiter , roi d’une partie de la Lycie, et beaucoup d’autr

à Bossuet prêtait souvent ses ailes ; Phidias sur le tien tailla son Jupiter . Tel que tu peins ce dieu sur le trône de l’air.

ule par les Romains, c’étaient Taran ou Taranis, dieu du tonnerre (le Jupiter des Latins) ; Teutatès (leur Mercure), le dieu du

artageant l’empire du monde. Cham est le même qu’Ammon, c’est-à-dire, Jupiter . Japhet fui adoré sous le nom de Neptune, et Sem

tre Vénus de Jupiter et de Dioné. 28. D’autres les disent filles de Jupiter et de Junon, ou de Bacchus et de Vénus. 29. Psyc

s auxquelles était confiée la garde des pommes d’or que Junon donna à Jupiter le jour de ses noces. Leur jardin était situé aux

nus la beauté. Ce n’est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter , armé pour foudroyer la terre. Un orage, terrible

ce fluide, elles sont loin d’être aussi favorables à la poésie que le Jupiter tonnant des anciens. Toutefois, chaque chose a so

cieux : on la nomme lactée. Elle sert d’avenue à l’auguste séjour Où Jupiter réside au milieu de sa cour. On voit aux deux côt

imposante : C’est là, s’il faut le dire en langage mortel, La Cour de Jupiter , et le Sénat du Ciel1. L’Olympe, selon Homère, n

dre y étaient rarement admis. Les habitants de l’Olympe étaient Rhée, Jupiter , Junon, Minerve, Cérès, Diane, Mars, Mercure, Vul

Ganymède leur versaient le nectar, et Iris faisait leurs messages. Jupiter . Le premier des dieux qui frappe nos regards d

ter. Le premier des dieux qui frappe nos regards dans l’Olympe est Jupiter , qui nous paraît                                

Veramente il secol d’oro è questo, Poichè sol vince, e regna l’oro. Jupiter ne demeura point paisible possesseur de l’empire

ndis que celles qui tombaient sur la terre y faisaient des montagnes. Jupiter effrayé appela les dieux à son secours, mais, fra

ers siècles de l’histoire du monde. Dans la guerre contre les Géants, Jupiter devint habile dans l’art de lancer la foudre ; un

depuis ce temps cet oiseau accompagna le maître des dieux. On dit que Jupiter , desirant connaître où était le milieu de la terr

privilège, et c’est pour cela qu’ils l’appellent l’empire du milieu. Jupiter était fier du droit de lancer la foudre, et dont

lère. Salmonée, roi d’Élide, ayant voulu tenter d’imiter la foudre de Jupiter , en faisant passer son char sur un pont d’airain

tre du bel oiseau qui semblait implorer son secours. Cet oiseau était Jupiter lui-même ; l’aigle qui le poursuivait était Vénus

Clytemnestre qui fut l’épouse d’Agamemnon. Sous la forme d’un aigle, Jupiter enleva sur le mont Ida le jeune berger Ganymède,

l’oracle qu’il serait mis à mort par un fils de sa fille. Le fils de Jupiter et de Danaé fut le héros célèbre sous le nom de P

r si éblouissante qu’on disait qu’elle avait dérobé le fard de Junon. Jupiter l’aperçut cueillant des fleurs dans une prairie ;

puissante ; L’autre dispute aux vents sa robe voltigeante3. A peine Jupiter fut-il au milieu des flots que Neptune son frère,

s tracées Donner de la couleur et du corps aux pensées5. Le culte de Jupiter était fort étendu. Ce dieu avait des temples dans

présenté avec trois yeux. Les Libyens, qui l’adoraient sous le nom de Jupiter ammon, mettaient deux cornes de bélier sur sa têt

nom de Jupiter ammon, mettaient deux cornes de bélier sur sa tête. Le Jupiter pluvieux des Romains étendait les bras, et de tou

t les flocons de la barbe. Des savants ont compté plus de trois cents Jupiter différents par leurs attributions. Mais c’était à

ait à la main. Tous les peuples de l’univers accouraient pour admirer Jupiter olympien.   Pendant qu’Eugène achevait ce discour

ète d’un vif éclat : Ce n’était point assez, ajouta-t-il, de donner à Jupiter l’empire du ciel et de la terre, les peuples de l

bleaux que les peintres nous ont faits de l’Olympe, on voit auprès de Jupiter une femme belle, le front chargé d’un diadème, et

ides. Junon était d’un caractère altier et jaloux. Ses querelles avec Jupiter causèrent plus d’un scandale dans l’Olympe. Elle

jeune Io, fille du fleuve Inachus, ayant cédé aux desirs amoureux de Jupiter , pour se soustraire à la fureur jalouse de Junon,

feignant de l’ignorer, exigea que son époux lui donnât ce bel animal. Jupiter ne put résister à cette demande. Peu contente d’

plus que jamais attentifs à surveiller la fille d’Inachus. Cependant Jupiter ordonne à Mercure de donner la mort à Argus, afin

i, jeune berger, trois puissantes déesses : je suis l’épouse du grand Jupiter . Prends cette pomme, et donne-la à celle de nous

avaient échappé au massacre des Troyens. Fatigué des excès de Junon, Jupiter la suspendit à la voûte de l’Olympe, les pieds ch

mbe. L’orgueilleuse déesse, indignée de ces outrages, conspira contre Jupiter , de concert avec Apollon et Neptune ; mais Thétis

à Elis. « Dans le temple de Junon, la déesse est assise sur un trône. Jupiter est auprès : il est représenté debout, la tête da

res d’ivoire, et les autres gravées sur le cèdre même. » L’épouse de Jupiter n’inspirait pas en tout lieu le sentiment de la c

cette fleur était appelée la rose de Junon, rosa junonia. L’épouse de Jupiter avait à ses ordres Iris, qui faisait quelquefois

hyre la porta dans cette île. Les Saisons, jeunes divinités filles de Jupiter et de Thémis, l’attendaient sur le rivage : après

usie des déesses. Elle but le nectar et devint immortelle. On dit que Jupiter en fut épris, et que, pour se venger de son indif

 ! c’était le premier de ses amants qui avait été frappé par la mort. Jupiter , touché de son désespoir, consentit qu’Adonis fût

laisamment cette ceinture à Junon, et celle-ci trouva dans le cœur de Jupiter tous les feux des premiers jours de leur hymen. L

ur hymen. Le culte de Vénus était presque autant répandu que celui de Jupiter . C’était sur-tout dans l’île de Cypre qu’elle rec

es, jeunes, riantes, et parfaitement belles : elles étaient filles de Jupiter et d’Harmonie ; leurs noms étaient Aglaé, Thalie,

rges, et tu en fais des prostituées. Lorsque ces aimables filles de Jupiter accompagnaient la déesse de la beauté, l’Amour se

Olympe, fabriqués par Vulcain, et qui s’avançaient d’eux-mêmes devant Jupiter  ; mais des lyres, faisant entendre des sons délic

entretien. Apollon. Parmi les femmes qui furent le plus aimées de Jupiter , on doit distinguer Latone ; elle était extrêmeme

ement belle. Cette déesse était fille d’un de ces Titans qui firent à Jupiter une guerre redoutable. Junon, animée d’une fureur

flottante et cachée dans les eaux. Latone y arriva métamorphosée par Jupiter en une caille ; et ce fut là qu’elle donna naissa

vain il peint à Daphné son amour ; en vain il vante en lui le sang de Jupiter  : la nymphe fuit devant lui ; et craignant de ne

foudroyante voix : « Est-ce de ton aveu qu’on me fait cet outrage, «  Jupiter  ? n’es-tu pas content de ton partage ? « Et cet a

 !… » La nature tremblante, A ce cri menaçant tressaille d’épouvante. Jupiter , d’un souris, rassérénant les airs : « Cesse de t

Prudence. Apollon, inconsolable d’avoir vu son cher fils foudroyé par Jupiter , s’en vengea en perçant de ses flèches les Cyclop

ns la Troade, le fils de Latone rencontra Neptune, dieu des mers, que Jupiter avait aussi banni du ciel, pour avoir conspiré co

t, faisait entendre un son semblable à celui de cet instrument. Enfin Jupiter voyant qu’en l’absence d’Apollon, l’Ennui menaçai

ur éviter l’incendie général, lève ses mains vers le ciel, et implore Jupiter , qui met fin à ces désastres en foudroyant le mal

son tombeau, elles ne cessaient de l’arroser de leurs larmes, lorsque Jupiter , touché de leurs douleurs, les changea en peuplie

ui le soir, dans l’ombre, rendait des sons lugubres. Tithon obtint de Jupiter l’immortalité, à la prière de son amante ; mais l

e flambeau du jour. Diane, comme Apollon, était fille de Latone et de Jupiter  ; elle naquit quelques moments avant son frère, d

orêts les daims, et même les animaux les plus farouches. Elle supplia Jupiter de ne point la soumettre au nœud de l’hyménée. Ac

ne ; et vante-toi, si tu le peux, d’avoir vu dans le bain la fille de Jupiter . » A peine a-t-elle prononcé ces paroles, que le

, fille de Lycaon, était une des compagnes favorites de cette déesse. Jupiter en voyageant pour réparer les maux causés à la Te

aresses d’un terrible animal, allait la percer de ses traits, lorsque Jupiter changea le fils et la mère en étoiles. Mais Junon

e nous offre quelquefois des exemples. Mercure. Il était fils de Jupiter et de Maïa, l’une des sept filles d’Atlas, connue

ité, son intelligence, et la flexibilité de son esprit, déterminèrent Jupiter à le choisir pour son intendant et même pour son

ur, de plénipotentiaire : il ne craignit pas d’être assassin, lorsque Jupiter le chargea de tuer Argus, gardien sévère de la ma

auparavant. Quelque nombreuses que fussent les occupations du fils de Jupiter et de Maïa, il ne laissa pas d’avoir quelques ave

nne n’était parfait dans l’Olympe des anciens. Minerve. Un jour Jupiter éprouvant de vives douleurs à sa tête, il se la f

des premières divinités de l’Olympe, et devint l’ame des conseils de Jupiter . La lance et le bouclier qu’elle portait dans ses

; « Tout se change en rocher à mon aspect horrible : « Les traits que Jupiter lance du haut des cieux           « N’ont rien de

sir nouveau d’en devenir l’effroi23. » Persée. Persée, fils de Jupiter et de Danaé, se rendit en Libye pour combattre Mé

bat sur le dragon qui s’élançait sur le rivage, et le tue. Le fils de Jupiter épousa la belle Andromède ; mais, vers la fin du

es les autres villes dans le culte qu’elles rendaient à cette déesse. Jupiter , charmé de voir les Rhodiens élever des autels à

r de l’âge ; et le courage impétueux brille dans ses regards. Fils de Jupiter et de Junon, il a la majesté de l’un et la fierté

de ce dieu, connu en Grèce sous le nom de Dionysius. Il était fils de Jupiter et de Sémélé ; cette princesse était fille de Cad

princesse était fille de Cadmus, et par conséquent nièce d’Europe que Jupiter avait enlevée sous la forme d’un taureau. On voit

appris que cette jeune princesse portait un fruit de ses amours avec Jupiter  : elle alla trouver sa rivale déguisée en vieille

visiter avec tout l’appareil de sa grandeur. A la demande de Sémélé, Jupiter parut armé de toutes les foudres qui l’environnen

ent ; et Sémélé, n’ayant pu soutenir cet éclat, mourut bientôt après. Jupiter eut cependant le temps de retirer l’enfant dont e

de Thrace, ayant poursuivi le cortège de Bacchus pendant les Orgies, Jupiter , à la prière de ce dieu, le rendit aveugle. Les f

oissons, était fille de Saturne et de Rhée, et par conséquent sœur de Jupiter . A peine fut-elle née qu’elle se plut à diriger l

Cette mère, encore effrayée sur le sort de sa fille chérie, obtint de Jupiter que Proserpine habiterait tour-à-tour le ciel et

jour dans l’île de Crète, Cérès, devenue amoureuse de Jasion, fils de Jupiter et d’Électre, l’une des Atlantides, se détermina

nt avec lequel il répand ses faveurs, il répond : « Que voulez-vous ? Jupiter est jaloux des gens de bien. Je le menaçai dans m

es par le feu. Vulcain. On dit que Junon, dès qu’elle eût su que Jupiter avait fait naître Minerve de son cerveau, voulut

à Vulcain. S’il en était ainsi, Vulcain n’aurait pu ouvrir la tête de Jupiter pour en faire sortir Pallas : mais il ne faut pas

ette déesse, comment son fils ayant voulu rompre la chaîne à laquelle Jupiter l’avait suspendue, il fut précipité sur la terre,

de cette île que Vulcain, aidé des Cyclopes, forgeait les foudres de Jupiter , et fabriqua tant d’objets précieux, qui firent l

biles qui le servaient dans ses travaux et remplaçaient les Cyclopes. Jupiter fut saisi d’admiration, lorsqu’il vit des trépied

de Troie sortait des ateliers de Vulcain, qui en avait fait présent à Jupiter  ; de Jupiter, il passa à Mercure, de Mercure à Pé

ait des ateliers de Vulcain, qui en avait fait présent à Jupiter ; de Jupiter , il passa à Mercure, de Mercure à Pélops, de Pélo

la formation de la première femme mortelle ; voici à quelle occasion Jupiter le chargea de ce travail difficile. Prométhée.

çut le nom de Pandore, mot qui, en langue grecque, signifie tout don. Jupiter , après lui avoir remis une boîte où tous les maux

pérance seule demeura au fond de cette boîte. Prométhée, par ordre de Jupiter , fut enchaîné sur le mont Caucase en Asie : un ai

gueil ambitieux Voulut, de monts en monts, escalader les cieux ; Mais Jupiter , armé des fleches du tonnerre, Renversa sous ses

ur, ne fut pas toujours sans reproche. Hercule. Il était fils de Jupiter et d’Alcmène, fille d’Électryon, roi d’Argos, pet

petite-fille de Persée, et épouse d’Amphitryon, général des Thébains. Jupiter épris des charmes d’Alcmène parut devant elle sou

ie de Molière nous fait connaître les suites de cette métamorphose de Jupiter . Lorsque le maître des dieux prévit que son amant

nvoya dans son berceau deux gros serpents pour le dévorer. Le fils de Jupiter , se levant, sur ses pieds, saisit les serpents da

ysthée ordonna d’abord à Hercule de tuer le lion de Némée. Le fils de Jupiter l’assomma avec sa massue, et l’ayant chargé sur s

il se battit contre ce dieu, et l’on ignore ce qui serait arrivé, si Jupiter ne les eût séparés en jetant la foudre au milieu

nière : il la conduisit sur le mont Œta, où il avait élevé un autel à Jupiter . Voulant ensuite faire un sacrifice à ce dieu, il

e Junon. Cependant, voyant sa fin approcher, il implore le secours de Jupiter , qui lui inspire un courage au-dessus de toutes l

une divinité :        Le fils d’Alcmène est en poussière ; Le fils de Jupiter dans l’Olympe est monté31. Jupiter enleva son fi

ène est en poussière ; Le fils de Jupiter dans l’Olympe est monté31. Jupiter enleva son fils dans le séjour des dieux, sur un

x d’Hébé. Hébé. On croit généralement qu’elle était fille de Jupiter et de Junon. Sa fraîcheur et sa beauté lui firent

c le nectar. Hébé ayant fait un faux pas devant le banquet des dieux, Jupiter ne lui permit plus de verser le nectar, et donna

es flots de sang noir, et se précipite en bouillonnant. Le Styx, dont Jupiter et tous les dieux n’attestent qu’avec crainte les

ensé Salmonée, qui voulut]passer pour un dieu, et imiter la foudre de Jupiter  ; Thésée qui avait tenté d’enlever Proserpine, fe

er d’avoir séduit Junon qu’il avait cru posséder dans un nuage auquel Jupiter avait donné la forme de cette déesse, et qui est

son char, traverse l’immense étendue des airs, et se présente devant Jupiter les yeux pleins de larmes. Le maître des dieux dé

te circonstance aux dieux, fut changé en hibou. Tout ce que put faire Jupiter , fut d’ordonner que Proserpine demeurerait chaque

s, Minos, Éaque, et Rhadamanthe. Minos et Rhadamanthe étaient fils de Jupiter et d’Europe, fille d’Agénor. Le premier fut roi d

 Je crois voir de tes mains tomber l’urne terrible. » Éaque, fils de Jupiter et d’Égine, fut un roi de la Grèce qui fit tellem

la barbe bleuâtres. Neptune. Lorsque les trois fils de Saturne, Jupiter , Neptune, et Pluton, se partagèrent l’univers, Ne

r ? Neptune reçut des Cyclopes un trident en guise de sceptre : après Jupiter , c’était le dieu qui avait le plus de puissance ;

r, parcequ’un oracle avait prédit qu’il serait détrôné par un fils de Jupiter . Le jeune héros, pour se venger de ce refus, prés

certs, sous la présidence d’Apollon. Elles sont neuf sœurs, filles de Jupiter et de Mnémosyne, ou la Mémoire : chacune d’elles

lu ; ma taille est imposante : « Celui que dans les cieux vous nommez Jupiter , « S’il est vrai qu’il y règne, a-t-il un port pl

ets ; c’est la voix de la nymphe Écho, fille de l’Air et de la Terre. Jupiter l’ayant mise dans la confidence de ses amours, po

nomènes merveilleux. Dans la forêt de Dodone était placé un temple de Jupiter , près de la ville du même nom, en Épire : là, les

Nous savons que l’île errante de Délos devint stable par l’ordre de Jupiter , lorsque Latone eut donné naissance à Apollon et

e. Tarquin-le-Superbe ayant voulu bâtir sur le même lieu un temple de Jupiter , et ayant résolu d’abattre les autres temples qui

, à qui ces temples étaient consacrés, cédèrent volontiers la place à Jupiter  ; mais le dieu Terme s’obstina à garder la sienne

tination ne pouvait déplaire au maître des dieux, qui, sous le nom de Jupiter terminal, avait été protecteur des limites, avant

t aux quatre principales époques de l’année : elles étaient filles de Jupiter et de Thémis. Les Grecs les appelaient : Eunomie,

orps avait son dieu particulier : la tête était sous la protection de Jupiter  ; la poitrine sous celle de Neptune ; la ceinture

es qui s’étaient illustrés par des actions héroïques. C’est ainsi que Jupiter , roi de l’île de Crète, qu’on appelle à présent C

sespoir d’une conduite aussi barbare. Elle mit au monde en même temps Jupiter et Junon ; mais, craignant pour son fils les suit

les suites funestes du traité, elle ne montra que Junon. Ayant caché Jupiter avec soin, elle donna, à sa place, au bon Saturne

luton, il fit encore deux repas semblables. Cybèle envoya secrètement Jupiter dans l’île de Crète. Malgré ces précautions, Tita

e mit en prison avec Cybèle. Ils y languirent long-temps ; mais enfin Jupiter les délivra de leur captivité. Les inquiétudes de

urne ne finirent pas avec sa prison, le destin lui apprit que ce même Jupiter qui venait de briser ses chaînes, lui enlèverait

cès trompa ses espérances : il succomba, et, selon l’arrêt du destin, Jupiter le chassa du ciel. Saturne, dépouillé de ses état

nom de Curètes vient, dit-on, de l’île de Crète, où ils avaient élevé Jupiter . On les nommait aussi Dactyles, parce que, pour e

Dactyles, parce que, pour empêcher que Saturne n’entendit les cris de Jupiter , que Cybèle leur avait confié, ils chantaient des

eux, elle lui fait ses plaintes et demande justice de cet enlèvement. Jupiter , après plusieurs représentations, consentit, pour

parce qu’il l’avertissait pendant la nuit de tout ce qui se passait. Jupiter , pour accorder Pluton et Cérès, ordonna que Prose

t changer de lieu. On prétend que, lorsqu’on voulut bâtir un temple à Jupiter sur le mont Capitole, tous les dieux cédèrent la

et c’est ici le mien. Avant qu’on eût inventé ce dieu, on invoquait Jupiter comme protecteur des limites ; c’est pourquoi on

nalis ; et alors il était représenté sous la figure d’une pierre. Jupiter Jupiter était fils de Saturne et de Cybèle. A

lors il était représenté sous la figure d’une pierre. Jupiter Jupiter était fils de Saturne et de Cybèle. Ayant chassé

et Pluton. Le premier eut la mer ; les enfers échurent au second, et Jupiter se réserva le ciel. Dès le commencement de son rè

ond, et Jupiter se réserva le ciel. Dès le commencement de son règne, Jupiter se vit troublé dans sa domination. Titan, au dése

use. Ils entassèrent rocher sur rocher et escaladèrent le ciel ; mais Jupiter les terrassa à coups de foudre, et les précipita

stre épouvanta tellement les dieux qui étaient accourus au secours de Jupiter , qu’ils s’enfuirent en Egypte, où ils se transfor

tous les ans, peupler son potager. Demoustier. Quitte des combats, Jupiter eut d’autres soucis. Prométhée, fils de Japhet, l

roba le feu du ciel pour les animer. Cette hardiesse irrita tellement Jupiter , qu’il le fit attacher par Vulcain sur le mont Ca

éthée parut trop sévère aux autres dieux. Ils virent avec douleur que Jupiter voulait s’attribuer le droit de former les hommes

e Pandore, qui signifie tout don. Cette entreprise des dieux déplut à Jupiter . Pour tromper leur espérance et en empêcher l’eff

tons point, la curiosité Fut le canal de notre adversité. Rousseau. Jupiter se fit adorer par la douceur de son règne. Alors

l’alliage. Demoustier. En effet, le crime commençait à paraître, et Jupiter fut obligé de le punir d’une manière terrible dan

Ce prince cruel faisait mourir tous ceux qui passaient par ses états. Jupiter alla loger chez lui. Lycaon affecta de ne le pas

lui fit servir les membres d’un de ses hôtes qu’il avait mis à mort. Jupiter , irrité, foudroya la maison de ce prince et le ch

e prince et le changea en loup. C’est sans doute à cette occasion que Jupiter fut adoré sous le nom de Jupiter hospitalier, com

’est sans doute à cette occasion que Jupiter fut adoré sous le nom de Jupiter hospitalier, comme ayant vengé l’hospitalité. On

dans les vastes déserts de la Lybie, et, mourant de soif, s’adressa à Jupiter , qui vint à son secours sous la forme d’un bélier

able, à cause des sables qui sont dans cette contrée. Homère dépeint Jupiter avec des sourcils noirs, le front couvert de nuag

foudre dans son Enéide : « Les Cyclopes étaient occupés à finir pour Jupiter une de ces foudres qu’il lance en grand nombre su

lairs, de la frayeur, du bruit et de la colère. » Quant à l’aigle de Jupiter , voici ce qu’on raconte : Périphas, roi d’Athènes

hènes, se fit tellement aimer de son peuple, qu’il en fut adoré comme Jupiter , ce qui irrita si fort le maître des dieux, qu’il

contenta de le changer en aigle : c’est lui qui servait de voiture à Jupiter quand il traversait les airs, et qui portait ses

de cette fable, il faut savoir que différens princes, sous le nom de Jupiter , ont régné tour à tour dans l’île de Crète, comme

lusieurs Darius. Le plus célèbre des rois qui ont paru sous le nom de Jupiter , était à peu près contemporain d’Abraham, il régn

st fait mention d’un Jupiter Olympien et d’un Jupiter Hospitalier. Ce Jupiter , roi de Crète, nommé aussi Cœlus ou Ouranos, avai

plus violente. Dans la suite, Saturne ayant été détrôné par son fils Jupiter , en fut traité comme il avait traité son père. Ap

n fut traité comme il avait traité son père. Après un règne glorieux, Jupiter mourut dans l’île de Crète, où l’on voyait ancien

ennement son tombeau, avec cette épitaphe : Ci-gît Zan, qu’on nommait Jupiter . Erès, son fils, lui succéda. Jupiter garda pour

phe : Ci-gît Zan, qu’on nommait Jupiter. Erès, son fils, lui succéda. Jupiter garda pour lui les pays orientaux, comme la Thess

ue comme du séjour des morts. Les dieux que les poètes ont associés à Jupiter , marquent seulement les divers emplois que rempli

ce furent nommées Harpies. Le combat des Géans qui voulurent détrôner Jupiter , doit s’entendre d’une conspiration de ses ennemi

s avoir défait Augias, roi d’Elide, institua ces jeux en l’honneur de Jupiter  ; cependant ce ne fut que long-temps après Hercul

s. Junon Junon, fille de Saturne et de Cybèle, était sœur de Jupiter et devint sa femme. Elle eut trois enfans : Hébé,

bé, Mars et Vulcain. Hébé, déesse de la jeunesse, versait le nectar à Jupiter , avant que, sous la forme de l’aigle, ce dieu n’e

l’air. Mais Vulcain était si difforme, qu’au moment de sa naissance, Jupiter , d’un coup de pied, le précipita du ciel. Junon a

iel. Junon ayant pris parti contre son mari dans la guerre des Géans, Jupiter la suspendit en l’air par le moyen de deux pierre

dans les persécutions qu’elle exerça envers toutes les personnes que Jupiter avait aimées et aux enfans qu’il en avait eus.

eus. La nymphe Io. — Argus. — Iris. L’inconstance incessante de Jupiter causait de vives inquiétudes à Junon. Pour mieux

sse lui donna en garde la nymphe Io, fille d’Inachus et d’Ismène, que Jupiter , pour tromper Junon, avait métamorphosée en vache

smène, que Jupiter, pour tromper Junon, avait métamorphosée en vache. Jupiter , fatigué de la surveillance d’Argus, chargea Merc

dans la mer, passa à la nage la Méditerranée, et arriva en Egypte, où Jupiter lui rendit sa première forme. Elle y fut depuis a

, et travailla pour le service des dieux. Lorsqu’il fut assez habile, Jupiter lui donna la commission de forger les foudres. So

Cupidon. Dans ces antres fameux, où Vulcain, nuit et jour, Forge de Jupiter les foudroyantes armes, Vénus faisait remplir le

efois Vulcain appuyé sur une enclume, et ayant à ses pieds l’aigle de Jupiter , prêt à porter la foudre. Dans les anciens monume

la guerre, était fils de Junon seule. Cette déesse, jalouse de ce que Jupiter avait fait sortir Pallas de son cerveau, voulut a

teurs. Mars est blessé par Diomède. Lors de la guerre de Troyes, Jupiter fit défense aux dieux de prendre parti pour ou co

ar celui-ci, dont Minerve conduisait le bras. Mars porta sa plainte à Jupiter  ; le maître des dieux, loin de l’écouter favorabl

le cheval, et surtout le taureau, qu’il n’était pas permis d’offrir à Jupiter . Le coq lui était consacré comme symbole de la vi

la confondent avec elle. Quoiqu’il en soit, les poètes rapportent que Jupiter éprouvant un grand mal de tête, eut recours à Vul

. Peu de temps après, les Grecs surprirent la ville. Apollon Jupiter ayant rencontré Latone, fille de Cœus et de Phébé

île déserte où son infortune l’avait conduite. Diane, comme fille de Jupiter , naquit toute savante ; venue la première, elle n

’eau pour l’empêcher d’en boire. Dans son dépit, Latone se plaignit à Jupiter , qui, pour punir ces Lyciens, les métamorphosa en

e Hippolyte, fils de Thésée, qu’un monstre marin avait mis en pièces. Jupiter regardant cette résurrection comme un attentat co

llon, au désespoir de la mort de son fils, et ne pouvant se venger de Jupiter , vole â l’île de Lemnos ; il pénètre dans l’antre

ollon bâtit les murailles de Troyes. Neptune ayant conspiré contre Jupiter , venait aussi d’être banni du ciel. Apollon et lu

e dans l’Olympe. L’exil et les malheurs d’Apollon apaisèrent enfin Jupiter  ; il le rappela dans le ciel, et lui rendit les h

pour échapper à la fureur d’Ino leur marâtre. Le Taureau, celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux, s

tirait de l’arc. Le Capricorne, c’est la chèvre Amalthée, nourrice de Jupiter . Le Verseau, c’est Ganimède. Les Poissons, les da

e la fable nous apprend d’Orion. Fils des dieux, il naquit sans mère. Jupiter , Neptune et Mercure étant en voyage, allèrent log

ès-bien ; il tua le seul bœuf qu’il avait, et le leur donna à manger. Jupiter , charmé du bon cœur de cet homme, l’assura qu’il

ar la force et la bonté de ses remèdes, Pluton irrité s’en plaignit à Jupiter qui le foudroya ; mais le maître des dieux voulan

s l’île de Délos, où l’hymen les unit secrètement. L’Aurore obtint de Jupiter l’immortalité pour son époux ; mais elle oublia d

r au monde ; pour la consoler et l’obliger à reprendre ses fonctions, Jupiter fit naître, des cendres du bûcher de son fils, de

es ennuis plus cuisans par sa téméraire présomption. Epaphus, fils de Jupiter et de la nymphe Io, lui ayant reproché qu’il n’ét

les guidait, ils prirent l’écart, et embrasèrent le ciel et la terre. Jupiter craignant pour lui-même, foudroya l’imprudent jeu

f Muses, qu’il instruisait sur le Mont-Parnasse. Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne, déesse de la mémoire, étaient vi

s étaient les oracles d’Apollon, dans la persuasion où l’on était que Jupiter , premier moteur et première source de la divinati

Delille"] Diane Diane, déesse de la chasse, était fille de Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon. On la nommait Lu

à le mettre au monde. Témoin des douleurs de l’enfantement, elle pria Jupiter de lui donner le don de chasteté. Diane, sur la t

compagne favorite de Diane, eut le malheur de se laisser séduire par Jupiter . Sa honte éclata par le refus qu’elle fit de se b

, Arcas, son fils qui la rencontra, allait la percer d’un dard ; mais Jupiter voulant prévenir un parricide, enleva Arcas et sa

ndre son cœur des charmes d’Endymion. Ce jeune homme devint suspect à Jupiter , qui le condamna à un sommeil perpétuel. La déess

sur ces côtes. Bacchus Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé. Les poètes racontent ainsi sa naiss

ls de Jupiter et de Sémélé. Les poètes racontent ainsi sa naissance : Jupiter , épris de Sémélé, fille de Cadmus, roi de Thèbes,

utes sur l’honneur que lui faisait le dieu ; lui faisant entendre que Jupiter ne se déguiserait pas sous la forme d’un mortel,

i l’environne quand il approche de Junon. Elle lui conseilla de prier Jupiter , s’il l’aimait véritablement, de se faire voir à

clat, elle fut frappée de la foudre, et son palais réduit en cendres. Jupiter sauva Bacchus dont Sémélé était enceinte, et l’en

mphes de la montagne, qui prirent soin de son enfance. Dans la suite, Jupiter , pour les récompenser, les plaça dans le ciel : c

s, déchiré par un lion, elles ne cessèrent de pleurer sa mort, et que Jupiter , par compassion, les transporta au ciel. Les plui

nnait à Bacchus différens noms. Il est appelé Dionysius, qui signifie Jupiter , par allusion au dieu de qui il tenait le jour, o

el ; transformé en lion, il contribua par sa valeur à la victoire que Jupiter remporta sur les monstrueux enfans de la terre. P

énéides, ou filles de Minée, refusaient à Bacchus le titre de fils de Jupiter . Elles affectèrent de travailler à des ouvrages d

c. Dans la suite, toutes ces qualités sont attribuées au seul fils de Jupiter et de Maïa, fille d’Atlas, lequel vit le jour en

ne statue en Achaïe ; Camilla, comme ministre, ou plutôt serviteur de Jupiter  : ce nom était affecté à ceux qui servaient aux s

e à celle d’Hercule se nommait Herméracles. Emplois de Mercure. Jupiter donna à Mercure l’emploi de messager et d’ambassa

u festin et celle des assemblées ; ensuite il se trouvait au lever de Jupiter pour recevoir ses ordres et les porter de côtés e

oin du jugement de Pâris. Mais tous les services que Mercure rendit à Jupiter et aux autres dieux n’empêchèrent pas qu’il ne to

un seul : le Mercure fils de Maïa et petit-fils d’Atlas, régna après Jupiter , son père, dans une partie de l’Italie et des Gau

uronne de la beauté. Mars, Apollon, Bacchus voulaient l’épouser, mais Jupiter prononça en faveur de Vulcain, pour le récompense

upidon était fils de Vénus et de Mars. A peine eut-il vu le jour, que Jupiter , lisant sur sa physionomie douce et perfide tout

avait charmé son fils, qu’elle la persécuta jusqu’à la faire mourir. Jupiter lui rendit la vie, et lui donna l’immortalité en

ieu de la mer. Chassé du ciel avec Apollon pour avoir conspiré contre Jupiter , ces deux divinités fugitives s’unirent pour se c

a fable raconte de ces animaux, qu’on regardait comme les chiennes de Jupiter et de Junon. Phinée, roi de Thrace, connaissant l

dieux fut assez téméraire pour les révéler aux hommes. Pour le punir, Jupiter le condamna à perdre la vue. Le soleil exécuta la

ys, la grande déesse des eaux, était la plus belle personne du monde. Jupiter voulait l’épouser ; mais, ayant appris du destin

scendait de Deucalion. Sa grande sagesse l’a fait passer pour fils de Jupiter . Il présidait aux vents et aux tempêtes, parce qu

Pluton était fils de Saturne et de Cybèle. Dans le partage que fit Jupiter , Pluton, le dernier des trois fils de Saturne, fu

e son teint noir et de la tristesse de son empire, il s’en plaignit à Jupiter  ; mais cela ne servant de rien, il prit le parti

Plutus aveugle. Aristophane le fait parler ainsi dans sa comédie : «  Jupiter m’a ainsi maltraité en haine des hommes ; car lor

vait cinq fleuves dans l’enfer : l’Achéron, appelé aussi l’Érèbe, que Jupiter y précipita pour avoir donné à boire aux Titans ;

cure les conduisait à leur tribunal. Minos. Minos était fils de Jupiter et d’Europe, ou plutôt d’Astérius, roi de Crète,

gère. Rousseau. Rhadamanthe. Rhadamanthe était aussi fils de Jupiter et d’Europe. On dit qu’après la mort d’Amphitryon

ée en Béotie, où il épousa Alcmène. Éacus. Éacus était fils de Jupiter et d’Égine, fille d’Asope. Il régna dans l’île de

Tartare. Typhon Les Géans ou Titans ayant escaladé le ciel, Jupiter précipita les uns dans le Tartare, et il englouti

Les poètes confondent Typhon et Titye. Titye Titye, fils de Jupiter et de la Terre, énorgueilli de sa taille gigantes

coupable et le livrent à toutes les horreurs du plus affreux délire. Jupiter , touché de son état l’accueille, le console, le f

r, le prince osa lever les yeux sur Junon, et lui déclarer son amour. Jupiter fit attacher l’ingrat et audacieux mortel sur une

dont la rotation rapide imitait le roulement du tonnerre. Là, nouveau Jupiter tonnant, il lançait des torches enflammées sur qu

s tandis que l’insensé usait de son pouvoir pour détruire ses sujets, Jupiter le foudroya lui-même, et relégua sa divinité dans

it dans ses mains Les secrets du tonnerre, ignorés des humains ! Mais Jupiter lança la véritable foudre : Un seul coup de son b

contes, au point de détourner son attention de la conduite volage de Jupiter . La déesse s’apercevant de l’artifice, lui interd

rs par une fatale et inévitable nécessité : tous les autres dieux, et Jupiter lui-même étaient soumis à ses décrets. Ce dieu av

l’ordre et la paix parmi les hommes. Astrée Astrée, fille de Jupiter et de Thémis, se confond avec sa mère la déesse d

actions. Persée, que la fable place au rang des héros, était fils de Jupiter et de Danaé. Acrisius, roi d’Argos, père de cette

ant qui naîtrait de sa fille, la fit enfermer dans une tour d’airain. Jupiter , pour avoir accès auprès d’elle, se transforma en

ie, ayant appris de l’oracle qu’il avait tout à craindre d’un fils de Jupiter , défendit l’entrée de son palais à tous les étran

e. Il y a plusieurs conquérans de ce nom. Le plus fameux naquit de Jupiter et d’Alcmène. On le nomme encore Alcide. On appel

lui donna un rival dans Eurysthée, fils de Sthénélus, roi de Mycènes. Jupiter avait juré que celui de ces deux enfans qui naîtr

pagnon d’aventure. 8e. Il tua deux tyrans fameux : Busiris immolait à Jupiter les étrangers qui passaient par son royaume. Diom

femme de Tyndare, roi de Sparte ; mais les deux premiers avaient pour père Jupiter , et les deux autres appartenaient à Tyndare. Cast

i était seul immortel, voyant son frère mort et n’ayant pu obtenir de Jupiter qu’il le rendît à la vie, demanda comme une grâce

roi du pays, l’accueillit favorablement. Phryxus sacrifia le bélier à Jupiter , et le roi suspendit la toison à un arbre, dans u

us Cadmus, fils d’Agénor, roi de Phénicie, était frère d’Europe. Jupiter , transformé en taureau, ayant enlevé cette prince

pe l’impression que la beauté de cette belle personne avait faite sur Jupiter . Cadmus lui-même, chassé du trône par Amphion, se

le aida même Egisthe à le commettre. Troyes Dardanus, fils de Jupiter et d’Electre, après avoir régné en Italie, se ret

à toute la contrée. Ce prince eut trois enfans : Ganymède, enlevé par Jupiter , Assaracus père de Capys et aïeule d’Anchise, et

plein de gens dont le cœur Joignait aux duretés un sentiment moqueur. Jupiter résolut d’abolir cette engeance. Il part avec son

ates d’argile. Jamais le ciel ne fut aux humains si facile, Que quand Jupiter même était de simple bois ; Depuis qu’on l’a fait

eux s’agenouillèrent ; A ce signe d’abord leurs yeux se dessillèrent. Jupiter leur parut avec ces noirs sourcils Qui font tremb

eux elle cherche un asile. Ce recours à l’oiseau ne fut pas inutile : Jupiter intercède. Et déjà les vallons Voyaient l’ombre e

les honneurs divins, Et prêtres, vous offrir les vœux des pèlerins ? Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémo

-ci, ni ses yeux Ne troubleraient non plus de leurs larmes ces lieux. Jupiter à ce vœu fut encor favorable. Mais oserai-je dire

’un si triste débris ; Vous en verrez tantôt la suite en nos lambris. Jupiter l’y peignit. En contant ses annales, Philémon reg

e gens élevés, peu d’autres encor même, Font voir par ces faveurs que Jupiter les aime. Si quelque enfant des dieux les possède

a le débordement de tous les crimes [Fig. 9]. [Fig. 8] [Fig. 9] Jupiter , voyant la corruption générale des hommes, résolu

les grands dieux ceux qui composaient le conseil céleste : c’étaient Jupiter , Junon, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta o

ante, née du Chaos et de la Nuit. Ses arrêts étaient irrévocables, et Jupiter lui-même ne pouvait en empêcher l’exécution 5. On

ituant des pierres emmaillottées [Fig. 15]. C’est ainsi qu’elle sauva Jupiter , Neptune et Pluton. Titan, instruit de cette supe

upercherie, déclara la guerre à Saturne, le vainquit et l’emprisonna. Jupiter , devenu grand, vengea son père et lui rendit son

re et lui rendit son trône ; mais Saturne, ayant appris du destin que Jupiter était appelé à commander un jour à l’univers, che

ans doute, une réminiscence des anciennes Saturnales. [Fig. 19] Jupiter . Jupiter, fils de Saturne et de Rhéa, qu’on n

e réminiscence des anciennes Saturnales. [Fig. 19] Jupiter. Jupiter , fils de Saturne et de Rhéa, qu’on nommait aussi

l’air du bruit des cymbales et des tambours [Fig. 21]. Devenu grand, Jupiter détrôna Saturne, et partagea l’empire du monde av

es deux frères. Neptune régna sur la mer, et Pluton dans les enfers ; Jupiter se réserva le ciel. [Fig. 20] [Fig. 21] Les

i tentèrent d’escalader le ciel en entassant montagnes sur montagnes. Jupiter , les voyant s’approcher, appela les dieux à son s

s du fumier porté dans ses jardins. [Boileau] [Fig. 22] Cependant Jupiter ne se laissa pas intimider par le danger ; il pri

les fois qu’il voulait changer de place. Après la révolte des Géants, Jupiter ne fut pas tout à fait tranquille. Prométhée, fil

s de Minerve, et y déroba un rayon du soleil pour animer son ouvrage. Jupiter , irrité de ce larcin, ordonna à Mercure de l’atta

urs renaissantes8 [Fig. 24]. Les autres dieux virent avec douleur que Jupiter voulait s’attribuer seul le droit de créer des ho

l’appelèrent Pandore, c’est-à-dire assemblage de tous les dons. Pour Jupiter , il lui donna une boîte mystérieuse, avec ordre d

nda à Mercure de la conduire à Prométhée. Celui-ci, qui se défiait de Jupiter , ne voulut recevoir ni Pandore ni la boîte ; mais

[Fig. 25] [Fig. 26] Devenu paisible possesseur de son empire, Jupiter ne s’occupa plus que de ses plaisirs. Ce que la F

sang humain. Junon. Junon, fille de Saturne et de Rhéa, épousa Jupiter et devint la reine du ciel et des dieux. Elle éta

e fonction par Ganymède, prince troyen, enlevé au ciel par l’aigle de Jupiter  ; Mars, dieu de la guerre, et Vulcain, dieu du fe

le type de la grâce et de la naïveté. Pluton. Pluton frère de Jupiter , régnait dans les Enfers. Le royaume qui lui étai

violence pour se procurer une épouse. Il enleva Proserpine, fille de Jupiter et de Cérès, un jour que cette nymphe cueillait d

, qui renaissaient éternellement pour son supplice ; Tantale, fils de Jupiter , tourmenté par une faim et une soif perpétuelles,

venue l’épouse de Pluton. Aussitôt elle alla implorer l’assistance de Jupiter en faveur de sa fille. Le maître des dieux décida

te une lampe [Fig. 51]. [Fig. 51] Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de l’Atlantide Maïa, était l’interprète et le

eu de l’éloquence, du commerce et des voleurs. C’était encore lui que Jupiter avait chargé de conduire les âmes aux Enfers, et

rs, dieu de la guerre, était, suivant l’ancien poète Hésiode, fils de Jupiter et de Junon ; mais, selon d’autres, Junon seule l

it surnommer Aphrodite 20. Selon quelques poètes, elle était fille de Jupiter et de Dioné, une des nymphes de l’Océan. Quand el

us les dieux, séduits par sa beauté, la demandèrent en mariage ; mais Jupiter la donna à Vulcain pour le récompenser de ce qu’i

à Cythère, île au sud du Péloponèse. Vulcain. Vulcain, fils de Jupiter et de Junon, était le dieu du feu et des forgeron

unon, était le dieu du feu et des forgerons. Lorsqu’il vint au monde, Jupiter le trouva si laid, qu’il le précipita d’un coup d

e, déesse de la sagesse, des - sciences et des arts, devait le jour à Jupiter seul. Elle sortit de son cerveau tout armée21. On

à Jupiter seul. Elle sortit de son cerveau tout armée21. On conte que Jupiter se fit donner un coup de hache sur la tête pour l

ur, de la divination, de la médecine et des beaux-arts, était fils de Jupiter et de Latone. La Terre avait promis à Junon de ne

par la mort de son fils Esculape, dieu de la médecine [Fig. 59], que Jupiter foudroya pour le punir d’avoir rendu la vie à Hip

. Apollon, furieux, tua les Cyclopes qui avaient forgé la foudre dont Jupiter avait frappé son fils. Cet attentat le fit chasse

reçut aucun salaire. Après quelques années d’exil, il fut rappelé par Jupiter qui lui rendit sa divinité. Comme dieu des beaux-

Diane. Diane, belle, chaste et sévère, était sœur d’Apollon. Jupiter composa son cortège de soixante Océanides et de v

ses autels25. Bacchus. Bacchus, dieu du vin, devait le jour à Jupiter et à Sémélé. Sémélé mourut avant la naissance de

la figure de Béroé, sa nourrice, et lui avait conseillé de demander à Jupiter qu’il lui apparût dans tout l’éclat de sa gloire.

dans tout l’éclat de sa gloire. Sémélé suivit ce perfide conseil, et Jupiter , qui avait juré par le Styx, la satisfit à regret

’aimer, vint l’arracher à ce sommeil de mort, et l’emporta au ciel où Jupiter légitima leur mariage. De leur union naquit la Vo

Divinités du second ordre Les Muses. Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne28, présidaient aux sciences et au

Pan, dieu des bergers, des troupeaux et des campagnes, était fils de Jupiter ou de Mercure et d’une Nymphe. Il naquit sur les

. Priape, dieu des jardins et des arbres fruitiers, était fils de Jupiter ou de Bacchus et de Vénus. Il était principalemen

roche Tarpéienne. Tarquin le Superbe ayant formé le projet d’élever à Jupiter un temple au même endroit, il, fallut déplacer le

la confondait souvent avec Thémis. Némésis. Némésis, fille de Jupiter et de la Nécessité, était la déesse de la vengean

ue bonne, et n’accordait ses faveurs qu’aux justes ; mais, plus tard, Jupiter lui creva les yeux, et les richesses de vinrent i

e, était adorée par toute la terre. Sa puissance était si grande, que Jupiter lui-même était forcé de lui obéir. Horace la dépe

uit de la Nuit qui l’enfanta en même temps que la Mort et le Sommeil. Jupiter la chassa du ciel, parce qu’elle brouillait conti

ambeau renversé. [Fig. 86] Les Heures. Les Heures, filles de Jupiter et de Thémis, étaient chargées d’ouvrir et de fer

dit, de tous ces héros ou demi-dieux. Hercule. Hercule eut pour père Jupiter , et pour mère Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de

e. Junon, animée d’une haine jalouse contre Alcmène, fit déclarer par Jupiter que celui qui naîtrait le premier aurait un empir

e feu. Quand le bûcher eut consumé ce qu’il y avait de mortel en lui, Jupiter l’appela au ciel, l’admit à la table des dieux et

, il fit enfermer cette jeune princesse dans une tour d’airain ; mais Jupiter s’y introduisit changé en pluie d’or, et Danaé de

[Fig. 95] Castor et Pollux. Castor et Pollux, étaient fils de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte. Ils

été envoyé par son père à la recherche d’Europe, sa sœur, enlevée par Jupiter , avec ordre de ne point revenir sans elle. Après

sa fille, porta la main à cet exécrable mets et en mangea une épaule. Jupiter précipita Tantale au fond des Enfers et rendit la

none, qu’il épousa. Quoiqu’il ne fût en apparence qu’un simple pâtre, Jupiter le choisit pour arbitre du différend qui s’était

zones. Les dieux eux-mêmes prirent parti dans cette grande querelle ; Jupiter seul resta neutre. Vénus, Mars et Apollon défenda

cruel, faisait périr tous les étrangers qui passaient dans ses États. Jupiter étant descendu chez lui, Lycaon se prépare à lui

’est pas un dieu, il lui fait servir de la chair humaine. À l’instant Jupiter s’arma de sa foudre ; le palais s’embrase et s’éc

l’Océanide Clymène. Dans une querelle qu’il eut avec Épaphus, fils de Jupiter et d’Io, celui-ci lui soutint qu’il n’était pas f

n détourner son fils d’un si funeste dessein, en lui représentant que Jupiter lui-même succomberait dans une pareille entrepris

t sa verdure. Enfin, la Terre, se voyant périr, implore le secours de Jupiter , qui, pour remédier à ce pressant danger, foudroi

t choisir pour demeure les lacs et les étangs. Calisto. Lorsque Jupiter descendit sur la terre pour éteindre le feu que l

sous cette nouvelle forme, il allait la percer de ses traits, lorsque Jupiter , pour prévenir un parricide, le métamorphosa lui-

rmer les portes de son palais, et voulut faire violence aux filles de Jupiter et de Mnémosyne. Alors les Muses, ayant imploré A

rygie et reçut le nom de Marsyas. Les Myrmidons. Éaque, fils de Jupiter et d’Égine, régna dans l’île d’Énopie, à laquelle

, ayant reconnu sa méprise, se perça de désespoir avec le même trait. Jupiter les métamorphosa en astres45. Nisus et Scylla.

ssait un matin sur les montagnes, l’enleva dans son char et l’épousa. Jupiter , à la prière de l’Aurore, lui accorda l’immortali

nt si caduc et si décrépit, que la vie lui fut insupportable. Il pria Jupiter de lui retirer le don de l’immortalité ; mais le

rer le don de l’immortalité ; mais le destin ne le permettait pas, et Jupiter , par grâce, le changea en cigale. L’Aurore avait

arbre qui devint le symbole de la douleur. Philémon et Baucis. Jupiter , voyageant un jour avec son fils Mercure, sous la

rent la porte de leur petite cabane [Fig. 115]. Pour les récompenser, Jupiter leur ordonna de le suivre au haut d’une montagne.

i dans les Enfers. Cérès, comme on l’a vu, alla redemander sa fille à Jupiter , et obtint, par l’entremise de ce dieu, que Prose

isses est un mot qui signifie, en grec, mouches à miel. En disant que Jupiter fut allaité par la chèvre Amalthée et nourri par

rent la nourriture du fils de Saturne. 7. La lutte des géants contre Jupiter a quelques traits de ressemblance avec la révolte

volcans, dont les cimes ou les flammes semblent menacer le ciel ; et Jupiter , dieu des régions supérieures de l’air, serait le

nte, l’époux cède aux instances d’une femme qui a su le séduire. 10. Jupiter représentait l’air pur ou l’éther ; et Junon, l’a

les pluies et les orages. C’est pour cela sans doute qu’on a dit que Jupiter et Junon faisaient souvent mauvais ménage. 11. D

ménage. 11. Dodone, ville de l’Épire, dans le voisinage de laquelle Jupiter avait un temple, au milieu d’une épaisse forêt Ce

ie de la mer. 21. La naissance de Minerve, conçue dans le cerveau de Jupiter , indique que toute sagesse vient de Dieu. Le mal

e Jupiter, indique que toute sagesse vient de Dieu. Le mal de tête de Jupiter et le coup de hache qu’il se fit donner par Vulca

mal et encourt la disgrâce de Dieu. 28. Les Muses étaient filles de Jupiter et de Mnémosyne, c’est-à-dire de Dieu, en qui rés

est pas douteux que l’Histoire a servi de base à la Fable. Saturne et Jupiter ont existé, et l’amour et la reconnoissance des p

u’il dévoroit en croyant détruire ainsi ses enfans. De cette manière, Jupiter , Neptune et Pluton furent sauvés. Par la suite, S

et Pluton furent sauvés. Par la suite, Saturne, détrôné par son fils Jupiter , se réfugia dans cette partie de l’Italie qu’on a

n contient infiniment moins que celle des demi-Dieux et des Héros. Jupiter et Junon. Jupiter, fils de Saturne et de R

ns que celle des demi-Dieux et des Héros. Jupiter et Junon. Jupiter , fils de Saturne et de Rhéa, épousa Junon sa sœur

devint l’échanson des Dieux9. Depuis ce temps l’aigle fut l’oiseau de Jupiter . Le chêne lui étoit consacré, ainsi que le hêtre.

l’oiseau de Jupiter. Le chêne lui étoit consacré, ainsi que le hêtre. Jupiter partagea le monde avec ses frères ; il garda le c

soleil et qu’il cacha dans la tige creuse de la plante nommée férule. Jupiter , irrité de ce larcin, fit attacher Prométhée sur

nt, après un long supplice, Prométhée fut délivré pour avoir révélé à Jupiter , qui vouloit épouser Thétis, que l’enfant qui naî

l’enfant qui naîtroit de Thétis, seroit plus grand que son père. Mais Jupiter , en délivrant Prométhée, voulut qu’il portât touj

l, fit les hommes imprudens et stupides. Les Dieux, choqués de ce que Jupiter prétendoit avoir seul le droit de créer les homme

mme, nommée Pandore, à laquelle ils donnèrent toutes les perfections. Jupiter , sous prétexte de lui faire aussi son présent, lu

elle-ci. Les Flamines étoient des prêtres ou sacrificateurs, celui de Jupiter , appelé Flamine Diale, étoit le plus respecté. Le

it être enterré sous un chêne vert, etc. Il ne pouvoit faire divorce. Jupiter , maître du ciel et de la terre, n’avoit point cré

nt un foudre. La fable dit que les Cyclopes, en forgeant le foudre de Jupiter , firent en même temps un casque pour Pluton ; que

e Méduse. Les jeux Olympiques, institués par Hercule, en l’honneur de Jupiter , furent ainsi nommés, d’Olympie, ville de l’Élide

le prix, jouissoit de grandes prérogatives. Junon, sœur et épouse de Jupiter , étoit Déesse des richesses et des royaumes ; jal

e de Jupiter, étoit Déesse des richesses et des royaumes ; jalouse de Jupiter , elle le faisoit épier par Argus qui avoit cent y

hiron ou d’Actor. Elle fut élevée par Junon. Elle étoit si belle, que Jupiter , Apollon et Neptune desirèrent l’épouser ; mais T

des enfers, fils de Saturne et de Cybèle, enleva Proserpine, fille de Jupiter et de Cérès, tandis qu’elle cueilloit des fleurs

cet enlèvement, fut changée en fontaine. Cérès redemanda sa fille, et Jupiter décida qu’elle lui seroit rendue si elle n’avoit

s. La fontaine Styx étoit une nymphe, fille de l’Océan, elle secourut Jupiter dans la guerre des Titans, et en récompense Jupit

an, elle secourut Jupiter dans la guerre des Titans, et en récompense Jupiter en fit le fleuve le plus redoutable des enfers ;

dans une fournaise ardente. Il eut tant de remords de ce forfait, que Jupiter , pour le consoler, le reçut vivant dans l’Olympe

s infernaux. Campé, monstre épouvantable, étoit geôlière du Tartare : Jupiter la tua. Les Euménides. Les Furies, appe

mésis. Déesse des vengeances célestes, selon les uns, fille de Jupiter  ; selon d’autres, de la Nuit. Elle punissoit l’or

t de Cybèle, Déesse des moissons et mère de Proserpine qu’elle eut de Jupiter . Elle chercha par toute la terre, sa fille enlevé

it à la Déesse l’enlèvement de Proserpine par Pluton. Cérès obtint de Jupiter , que sa fille passeroit six mois de l’année sur l

t de Proserpine. Minerve. Déesse de la sagesse et des arts. Jupiter épousa Métis : ayant appris du Ciel qu’elle alloi

attant ensemble, Pallas alloit porter à Minerve un coup dangereux, si Jupiter n’eût mis l’Égide devant sa fille13. Pallas, épou

Pour l’honore mieux, elle voulut que cette statue demeurât auprès de Jupiter . Électra apporta ce Palladium à Ilium ; le roi Il

Bacchus. Bacchus, Dieu du vin, conquérant de l’Inde et fils de Jupiter et de Sémélé. Cette dernière ayant fait jurer par

Jupiter et de Sémélé. Cette dernière ayant fait jurer par le Styx14 à Jupiter qu’il lui accorderoit ce qu’elle vouloit lui dema

s toute sa gloire. L’éclat du Dieu embrasa Sémélé qui périt consumée. Jupiter tira de son sein Bacchus, qu’il mit dans sa cuiss

les tonneaux dont parle Homère , qui étoient à l’entrée du palais de Jupiter , l’un, plein de maux et l’autre, de biens. On reg

s, naquit, selon les uns, de l’écume de la mer, et selon d’autres, de Jupiter et de Dionée. Aux noces de Thétis et de Pelée, la

ise, prince troyen, épousa secrètement Vénus : ayant osé s’en vanter, Jupiter , pour le punir, le frappa de la foudre qui ne l’é

garder ; il s’éleva alors une grande dispute entre les deux Déesses : Jupiter décida qu’Adonis resteroit la moitié de l’année a

chiens, des mugissemens de taureaux, des rugissemens de lions, etc. ; Jupiter le foudroya. De Typhon naquirent tous les vents n

e cruelle marâtre pour la belle Tyro. Salmonée fut un roi très-impie, Jupiter le foudroya. Tyro eut deux enfans de Neptune, ell

gulière, mais lâche et efféminé. Vulcain, Dieu du feu, étoit fils de Jupiter et de Junon ; et selon quelques mythologues, de J

qui le rendit boiteux. On conte différemment cette fable : on dit que Jupiter , irrité contre Junon de ce qu’elle avoit excité u

eux fortes enclumes aux pieds, que Vulcain vint délivrer sa mère, que Jupiter le précipita dans l’île de Lemnos, et que ce fut

défaite des Dieux auxquels Junon, dans leur révolte, s’étoit jointe, Jupiter la suspendit en l’air ; et par le moyen d’une pai

qu’on lui donneroit Vénus en mariage. Vulcain forgeoit les foudres de Jupiter , il établit ses forges dans l’île de Lemnos, et s

pas ses flèches, et ils voulurent l’empêcher de passer le Rhin, mais Jupiter les accabla d’une grêle de pierres. Brotée, fils

nt, étoient les forgerons de Vulcain, et travailloient aux foudres de Jupiter , sur le mont Etna, dans les foyers de Lemnos et a

itrite. Apollon les tua tous pour avoir forgé la foudre avec laquelle Jupiter foudroya Esculape. Cette action fit chasser Apoll

agnons. Les Grâces et Pitho ou Suada. Les Grâces, filles de Jupiter et d’Eurinome, ou selon la plus commune opinion,

Cette superstition étoit accréditée par la croyance où l’on étoit que Jupiter n’avoit trouvé d’autre remède à l’excès de sa pas

. Il y eut une autre Laodamie, fille de Bellérophon, qui fut aimée de Jupiter , Diane la tua à coups de flèches, parce qu’elle s

s fois qu’on déclaroit la guerre. Mercure. Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, et Messager des Dieux. Ce nom vient,

ire les ames des morts aux Enfers. En y conduisant Lara, par ordre de Jupiter , il l’épousa et en eut les Dieux Lares. Il vit un

on de leur belle-mère. Diane. Déesse de la chasse, fille de Jupiter et de Latone, et sœur d’Apollon. Considérée comme

corps restèrent exposés baignés dans le sang, personne ne les inhuma. Jupiter , ayant pris part à cette vengeance atroce, avoit

n supplice éternel, le sentiment de sa douleur. La pierre en laquelle Jupiter la métamorphosa versoit des larmes nuit et jour s

urs tombeaux. Apollon. Apollon ou Phébus ou Hélios, fils de Jupiter et de Latone, et frère de Diane, étoit le Dieu du

ge noir du corbeau : elle dit qu’Apollon voulant faire un sacrifice à Jupiter , envoya le corbeau avec la coupe pour lui rapport

ant. Il eut de Climène un fils nommé Phaéton, auquel Epaphus, fils de Jupiter et de Io, soutint un jour qu’il n’étoit pas fils

put conduire les coursiers, mit le feu à la terre et fut foudroyé par Jupiter . Ses sœurs, Phaétuse, Lampétie et Lampétuse, fure

a les Cyclopes qui, dans cette occasion, avoient forgé les foudres de Jupiter , et le maître des Dieux, en punition de ce meurtr

evaux du Soleil : Eoüs, Pyroïs, Éthon, Phlégon. Les Heures, filles de Jupiter et de Thémis, étoient au nombre de trois et s’app

yère. Les Muses Les Muses, filles de Jupiter et de Mnémosine, Déesse de la mémoire. Elles étoi

mère, ensuite il voulut, sur ce même cheval, monter à l’Olympe ; mais Jupiter fit piquer Pégase par un taon, et l’audacieux cav

Lycus, roi de Thèbes, répudia Antiope, sa femme, pour épouser Dircé. Jupiter , selon quelques auteurs, prit alors la forme d’un

or. Memnon fut tué par Achille. L’Aurore, baignée de pleurs, conjura Jupiter de rendre quelques honneurs à la mémoire de son f

jura Jupiter de rendre quelques honneurs à la mémoire de son fils, et Jupiter fit sortir de ses cendres une multitude d’oiseaux

e du matin. Isis. Io, fille du fleuve Inachus, fut aimée de Jupiter , et ce Dieu, pour la soustraire aux persécutions

la métamorphosa en vache. Junon, ayant des soupçons, la lui demanda. Jupiter n’osa la lui refuser, Junon la mit sous la garde

i l’emmena dans un bois près de Mycènes et l’attacha à un olivier, et Jupiter chargea Mercure d’enlever cette vache à Argus. Me

n d’autres, par un spectre ou par un taon. Elle se jeta dans la mer ; Jupiter lui rendit sa première forme, et elle fut adorée

ce, fille du Ciel et de la Terre, c’est-à-dire, d’Uranus et de Titéa. Jupiter la força de l’épouser, et il eut d’elle, la Loi e

de prendre la fuite. Hébé. Déesse de la Jeunesse, fille de Jupiter et de Junon. Quelques auteurs disent de Junon seu

Dieu des campagnes et des bergers, étoit fils, selon les uns, de Jupiter et de Calisto ; selon d’autres, de Mercure et de

Épire, près de la ville de ce nom. Les chênes en étoient consacrés à Jupiter . Il y avoit un temple élevé en l’honneur de ce Di

don de la parole, elle apprit aux habitans du pays que l’intention de Jupiter étoit qu’il y eût un oracle en ce lieu. On ajoute

tion de Jupiter étoit qu’il y eût un oracle en ce lieu. On ajoute que Jupiter avoit donné ces deux colombes à sa fille Thébé. L

d’Ephèse, mais dans les vallées et sur les montagnes. Voilà pourquoi Jupiter , le maître des Dieux, et les autres Divinités du

lèrent de leurs mains, un voile de fleurs dont elles firent présent à Jupiter , etc. Lorsqu’Hercule eut quitté la guerre pour s’

des épis sans les rompre, et sur la mer sans enfoncer. Eole, fils de Jupiter et de Mélanipe, est le Dieu des Vents du Midi ; i

ation, et après sa mort on lui rendit des honneurs divins. On dit que Jupiter le foudroya à la prière de Pluton, qui se plaigno

, ayant vu de l’argile, s’avisa d’en faire l’homme, ensuite elle pria Jupiter d’animer son ouvrage, et l’obtint. Cela fait, il

e cet honneur lui appartenoit parce qu’elle avoit fourni la matière : Jupiter le lui disputoit comme l’auteur de ce qu’il y a d

r caractériser cette lugubre Divinité. Britomarte. Fille de Jupiter , aima beaucoup la chasse et suivoit souvent Diane

. On le représente avec une tête de chien. Apis, roi d’Argos, fils de Jupiter et de Niobé, passa en Égypte sous le nom d’Osiris

nus de Jupiter et de Dionée. 9. Voici une autre fable sur l’aigle de Jupiter  ; Periphas, roi d’Athènes, se fit tellement aimer

it tellement aimer de ses peuples, qu’ils l’adorèrent comme un Dieu ; Jupiter vouloit le foudroyer, mais Apollon intercéda pour

ieu ; Jupiter vouloit le foudroyer, mais Apollon intercéda pour lui ; Jupiter se contenta de métamorphoser Périphas en aigle et

opédie dit Brontœus, mais ce mot signifie Tonnant et est un surnom de Jupiter . 18. Dans la Mythologie indienne il est dit que

t fille d’Epiméthée et de Pandore. Deucalion étoit fils de Prométhée. Jupiter , pour punir les hommes de leurs crimes, submergea

Artémise, femme de Mausole. 21. Il y eut un autre Dardanus, fils de Jupiter et d’Électra, fille d’Atlas. Le chagrin qu’il eut

as. Le chagrin qu’il eut de la mort de son frère Jasion, foudroyé par Jupiter , parce qu’il avoit voulu faire violence à Cérès,

endoient en partie les destinées de Troie. 23. Lucifer étoit fils de Jupiter et de l’Aurore ; il fut mis au nombre des astres,

ompa sous la figure de Junon. D’autres disent qu’ils furent enfans de Jupiter et de Dia, femme d’Ixion. Le plus célèbre des Cen

qui disparut comme une ombre. On enferma ces livres dans le temple de Jupiter , au Capitole ; on créa des pontifes pour les gard

seau qui lui est consacré. 37. Ganimède, fils de Tros, roi de Troie. Jupiter , sous la figure d’un aigle, l’enleva et le transp

eux qu’ils appeloient les Grands Dieux et qui sont : Saturne, Cybèle, Jupiter , Junon, Cérès, Apollon, Diane, Bacchus, Mercure,

rce que cet animal ne produit aucun son. Voici une Fable à ce sujet : Jupiter pour rendre ses noces avec Junon plus solemnelles

arce qu’elle n avoit pas voulu en sortir pour se rendre aux ordres de Jupiter . Chéloné, en grec, signifie Tortue. 44. Ce bœu

toute la famille des Titans, dont plusieurs, s’étant révoltés contre Jupiter , l’un de leurs neveux, possesseur plus tard du sc

non ; et trois fils : Hadès ou Pluton, Posidon ou Neptune, et Zews ou Jupiter . De l’union de l’Océan avec Thétys arrivèrent le

rgias, et Zagrée ou Bacchus, de Crète, appelé Iacchos à Eleusis, avec Jupiter , dont elle eut encore, suivant quelques-uns, Pros

une main étrangère, divine ou humaine. Voici comme il vint au monde : Jupiter , que nous venons de voir fils de Chrone et de Rhé

, la mère d’Atys monte vers l’Empyrée, et dans son repentir demande à Jupiter pour toutes les parties du corps de son fils le p

une si grande vénération de la part des peuples de cette contrée, que Jupiter en eut de la jalousie, et le fit périr sous la de

ogie des Titanides que Rhée et Chrone mirent au jour Pluton, Neptune, Jupiter , Junon, Vesta et Cérès. Le difficile pour Rhée ét

nt eu rien à craindre, que Pluton et Neptune avaient été sauvés avant Jupiter , au moyen d’une substitution tout-à-fait semblabl

ferons connaître en détail, en parlant d’un fils unique de Junon avec Jupiter , portant le nom de Vulcain. En effet, par leurs t

tradition disait qu’après la substitution d’une pierre en la place de Jupiter , Rhée avait confié à ces Curètes la garde de cet

par dessus tout prêtres surhumains, propagandistes de la religion de Jupiter , et voués au culte particulier de Rhée, sa mère,

es des promontoires hérissés de montagnes et de forêts sur lesquelles Jupiter est caché comme pluie pour s’élever ensuite sous

ant avalé le vomitif de Métis, il vit sortir vivant de ses entrailles Jupiter , Neptune et Pluton. Cet embarras redoubla prompte

souverain et jeté dans un cachot où il resta près d’une année. Alors Jupiter , Neptune et Pluton ses fils le délivrèrent et le

son trône. Mais à peine fut-il réinstallé, qu’il tendit des piéges à Jupiter . Celui-ci, dont la force avait long-temps respect

omie ou les belles lois. Les Crétois les faisaient naître en outre de Jupiter et de Thémis ou Gâthémis. Bientôt dans toute la

était incurable. Le malheureux Chiron, accablé par les douleurs, pria Jupiter de terminer ses jours. Celui-ci, touché de cette

du sur la terre, peut dévorer le monde ; enfin, en laissant pour fils Jupiter , dieu suprême, Jupiter planète, Jupiter l’engendr

évorer le monde ; enfin, en laissant pour fils Jupiter, dieu suprême, Jupiter planète, Jupiter l’engendreur et le conservateur

enfin, en laissant pour fils Jupiter, dieu suprême, Jupiter planète, Jupiter l’engendreur et le conservateur du monde, il cons

enfants qu’il avait avalés, s’appelaient Abadir, Abdir ou Bœtyles. Jupiter . — Maintenant passons à la longue histoire de Jup

r ou Bœtyles. Jupiter. — Maintenant passons à la longue histoire de Jupiter , son fils ; voyons-le vaincre ses ennemis, s’empa

sses, et devenir le père d’une nombreuse et illustre famille. Dès que Jupiter eut chassé du ciel son propre père, il fit courbe

va graduellement à se rendre ainsi le maître de l’empire du monde. Ce Jupiter , ainsi connu chez les Romains, et appelé Zévs che

urant la plupart de ses noms et surnoms. Ainsi, on l’appelait Zevs ou Jupiter , Abresse ou d’Abretam, en Nysie ; Acrée, ou des h

gonos, ou le conservateur de la vie ; Zan ou Zeuv, signifie également Jupiter . Du reste, il paraît que dans toutes les religion

faible dans le passage du T au D, du D au Z, et du Z au J. Dès-lors, Jupiter est donc le Dieu des Dieux, le Dieu par excellenc

comprendre toutes les faces sous lesquelles les anciens considéraient Jupiter . Cependant ce Dieu, dont nous venons de donner le

au personnage que représentait l’ensemble de leur nom. Sous ce nom de Jupiter , on réunissait en un seul plusieurs individus qui

r-Prœtus, fut oncle de Danaë ; Jupiter-Tantale, qui enleva Ganymède ; Jupiter , père d’Hercule et des Dioscures Castor et Pollux

it soixante ou quatre-vingts ans avant le siége de Troie. De tous ces Jupiter , Cicéron, écrivain habile des Romains, n’en recon

le répétons, cela tient à l’application que l’on fit en Crète du mot Jupiter , que l’on donna aux rois de Crète, comme on donna

ant, si l’on tient à en trouver un tant soit peu historique, c’est au Jupiter fils de Saturne qu’il faut accorder cet honneur,

equel on avait mis cette inscription : « Ci-gît Zan, que l’on nommait Jupiter . » Ensuite, on lui donne pour successeur Crès son

les prêtres s’empressèrent d’accorder la divinisation ; et de là vint Jupiter , qu’en style burlesque les premiers appelaient au

et s’en étant saisis, le renfermèrent dans une étroite prison. Alors Jupiter son fils, jeune, mais plein de courage, oubliant

rre, succéda celle de ses oncles les Titans, qui dura dix ans, et que Jupiter termina par leur entière défaite près de Tartesse

tesse en Espagne. C'est après cette victoire que commença le règne de Jupiter . Devenu le maître alors d’un vaste empire, il épo

ellement célèbre, qu’il devint la grande divinité des Celtes. Quant à Jupiter , il s’était réservé l’Orient, c’est-à-dire la Grè

dévorait, comme on l’a vu, à mesure qu’ils venaient au monde. Quant à Jupiter , il est né sans que nous sachions trop dans quell

ge en Crète, où, cachée dans un autre appelé Dictée, elle accoucha de Jupiter qu’elle laissa sous bonne garde ; puis elle revin

trompa son mari en lui faisant avaler une grosse pierre emmaillotée. Jupiter resta caché dans cette retraite éloignée, et conf

adie ; on attribue aussi à ce Télémène la même place auprès de Junon. Jupiter eut, en outre, pour nourrices, les nymphes Méliss

une montagne de l’Asie-Mineure ; Ithôme et sa sœur Néda qui soignait Jupiter , surtout près de la fontaine Clepsydra ; ŒnŒ, Phr

tte corne, la remplit de feuilles et de fruits, et fut la présenter à Jupiter , qui, l’acceptant, la plaça dans les cieux. Ici,

ort, renfermés dans la peau de celle-ci, à la suite de la victoire de Jupiter sur les Titans, ces os s’animèrent et ne formèren

e combattre ses oncles les Titans, comme on ne tardera pas à le voir, Jupiter fut obligé, pour se conformer aux avis du destin,

urrice par excellence. Quelques statues représentent cette enfance de Jupiter , et montrent ou le Dieu assis sur une chèvre dont

faisant toujours dominer la chèvre. Une année après cet allaitement, Jupiter se trouva sevré et grand garçon. Déjà il était si

et des Centimanes, qu’Uranus avait renfermés dans le Tartare, et que Jupiter , par le conseil de Gê ou la Terre, venait de déli

Dieux. Le corps des assiégés n’était pas moins bien composé. Il avait Jupiter pour général en chef, et celui-ci comptait sous s

les pour chacun des trois frères leurs chefs, savoir : la foudre pour Jupiter , le trident pour Neptune et le casque pour Pluton

er, le trident pour Neptune et le casque pour Pluton, le bataillon de Jupiter resserra ses rangs autour de lui, et le combat de

foule d’interprétations aux signes donnés par la foudre, que du reste Jupiter lançait ou par son bon plaisir, ce qui rarement f

esse de la justice, qui passe plus souvent pour avoir été la femme de Jupiter . On donne pour fils à Japet Atlas, Epiméthée, Mén

ujours reconnu pour fils de Japet, est pourtant regardé comme fils de Jupiter , par une tradition. Entraîné dans la guerre du ci

reculer devant le danger, ou par la force du Destin, il s’arma contre Jupiter , dont le triomphe prochain lui avait cependant ét

ès de leur père, désertèrent la cause des Titans, portèrent secours à Jupiter , et firent, par leur coopération, tourner de son

a bataille. Astré succomba, comme tous les Titans, sous les coups de Jupiter , et fut, selon les uns, précipité dans le Tartare

d’Euribie, titan qui ne semble pas devoir différer de Persée, fils de Jupiter , que nous rencontrerons plus tard. Comme lui, c’e

c’est un Dieu-Soleil, dont les rayons furent éteints par la force de Jupiter . Il est facile, d’après l’explication précédente,

mme Titan, semble devoir être celui que nous verrons combattre encore Jupiter dans une autre guerre, de compagnie avec des indi

ici qu’en sa qualité de simple Titan, nous apprenons qu’il fut, avant Jupiter , l’amant heureux de Junon, encore vierge, et qu’i

teint par cette arme divine. Enfin, arrivant au dernier des rivaux de Jupiter , nous trouvons TyphŒ, monstre particulier, dont l

ulement ce qui tient à quelques autres personnages alliés au parti de Jupiter . Le premier de ces personnages que nous rencontro

a Titanide Thémis, qui fut la déesse de la justice. Son alliance avec Jupiter lui fit mettre au monde les Heures, que nous avon

ent d’Uranus, et dont le nom grec signifiait chenille. A l’instant où Jupiter voulut retirer les Hécatonchires et les Cyclopes

n être allégorique. Quoi qu’il en soit, ayant cédé sous le pouvoir de Jupiter , elle laissa sortir de l’enfer Briaré ou Egéon, a

et un autre dieu portant le nom d’Apollon, fatigués du despotisme de Jupiter , ayant comploté contre lui, allaient le charger d

s retrouver en parlant de Vulcain. Après ce combat contre les Titans, Jupiter resta maître de l’empire du monde. Cependant, en

charger de fers, ne pouvant le faire mourir vu sa qualité d’immortel. Jupiter ne tarda pas à découvrir cette trame perfide ; al

ade de l’empyrée s’augmenta considérablement. Junon, sœur et femme de Jupiter , en eut Vulcain, leur fils unique, qu’ils firent

utable dieu de la guerre, qui doit présider à la destruction. Bientôt Jupiter délaissa un peu son auguste épouse ; puis il donn

ns plus loin. formation de l’olympe. — Libre ainsi de tout embarras, Jupiter prit pour lui seul le sceptre de l’univers ; se r

ut-être dans l’origine, n’était qu’une des citadelles construites par Jupiter pour se défendre contre les Titans. Cet olympe th

en se nomme Lacha aujourd’hui. Après avoir ainsi organisé sa demeure, Jupiter accorda l’empire des eaux à Neptune, et celui des

et vers le bas, deux cornes d’abondance avec deux pointes de javelot. Jupiter lui laissa les Parques pour ministres inflexibles

lacerons la traduction romaine francisée ; ces noms étaient : Zevs ou Jupiter , Arès ou Mars, Hermès ou Mercure, Posidon ou Nept

e d’enfans des précédens ; beaucoup même d’entre eux étaient issus de Jupiter , et n’auraient pu lui avoir dû le jour, s’il n’eû

s les douze Grands Dieux ou Du Majores, ou Dieux Olympiens. C'étaient Jupiter , Neptune, Mars, Mercure, Vulcain, Apollon, Vesta,

es Dieux supérieurs ou du Ciel, Dii superi, tels que Uranus, Saturne, Jupiter , Mars, Vulcain, Mercure, Apollon, Junon, Minerve,

rer d’autels ou de sacrifices. Les Dieux dans cet Olympe organisé par Jupiter étaient censés manger et boire comme les hommes ;

si établi dans l’Olympe, l’âge d’airain commença pour les mortels, et Jupiter crut pouvoir jouir en paix de sa haute puissance 

ans, dans cette seconde guerre, appelée la Gigantomachie, attaquèrent Jupiter , qui ne dut sa délivrance qu’au secours apporté p

volte étant levé, les armées se mirent, pour ainsi dire, en bataille. Jupiter se reposa sur sa troupe olympique, et les Géans c

riphète et Télégone. A l’aspect du véritable danger qui le menaçait, Jupiter appelle à son secours tous les Dieux et toutes le

ses seulement restèrent et résistaient à peine, lorsqu’à la prière de Jupiter , se soumettant au conseil de Minerve, un simple m

, à moins que les Dieux n’appelassent un mortel à leur secours. Alors Jupiter défendit à l’Aurore, à la Lune et au Soleil de pa

oup de massue ; écrase Euryte, perce de ses flèches en même temps que Jupiter frappe de sa foudre Porphyrion, qui, s’oubliant a

A la vue de ces exploits, le petit nombre des Dieux restés auprès de Jupiter reprend courage, imite ce héros, que la crainte d

jetant la Sicile au-devant de ses pas, et qu’elle écrase sous l’Etna. Jupiter semble lui avoir aidé à faire tomber cette masse

jette à la tête de ses antagonistes. Mais ses efforts sont inutiles. Jupiter s’arme de nouvelles foudres, les essaye contre Mi

ami, dans tous ses dangers. Quant à Saturne, craignant le courroux de Jupiter à la fin de cette guerre, dans laquelle pourtant

ans sa frayeur il le poursuivit et le tua sur le mont Niphate, auquel Jupiter donna depuis le nom du berger. Enfin, nous ne dir

he, et ravageait tout l’Orient. Minerve à la fin, d’après un ordre de Jupiter , le tua, l’écorcha, et de sa peau couvrit son bou

pâte bouillonnante et encore tout en feu. Après la guerre des Géans, Jupiter en soutint une autre, qui le mit bien plus en dan

méritent de prendre place ici. Cette belle et fière Junon, épouse de Jupiter , ayant éprouvé un accès assez vif de jalousie, en

la terre, il en naîtra bientôt un être assez formidable pour expulser Jupiter du trône céleste. L'irascible épouse remercie son

oujours, disparaissait devant l’amour. Étant donc retournée auprès de Jupiter , elle se réconcilie avec lui, se repent de son im

du lion en colère. Sa croissance ne fut pas de longue durée. A peine Jupiter eut-il le temps de préparer ses armes. Presque au

ve, elle et l’amour, par deux poissons qu’ils trouvèrent sur la rive. Jupiter resta donc seul à lutter contre le monstre, sur l

rrible faulx, et s’en sert lui-même pour couper en morceaux le pauvre Jupiter , dont il renferme les nerfs des pieds et des main

te de femme et à corps de dragon. Après cette défaite, deux enfans de Jupiter , Mercure et Egipan ou Cadmus, suivant d’autres, a

e, et placent le Dieu sur un char attelé de deux chevaux ailés. Alors Jupiter s’élance de nouveau après Typhoé, le poursuit à c

ue pourtant à lancer, en fuyant, des rocs et des montagnes entières à Jupiter , qui ne cesse de son côté de le foudroyer jusqu’a

voir Junon, et son frère a des prétentions sur Diane. A ces demandes, Jupiter ne répondant que par un refus, aussitôt ils lui d

des Géans, y compris celle de Typhoé, une fois terminées, la cour de Jupiter remonta dans les cieux, et reprit son ancien séjo

mais qu’il se rencontre dans toutes les religions vraies ou fausses. Jupiter fait donc entièrement disparaître cette horde d’h

pendant les eaux s’étant retirées et la terre suffisamment desséchée, Jupiter voulut la repeupler en tirant du sein des arbres

A peine a-t-il fini ce travail, qu’il ose avoir la témérité de dire à Jupiter de choisir et d’accepter celle qui contenait les

quence, et Pitho la persuasion. Les Graces l’ornent de colliers d’or. Jupiter enfin lui remet une petite boîte bien close, renf

’Eve des Hébreux, importée dans la religion des Grecs et des Romains. Jupiter ayant ainsi diminué la valeur du chef-d’œuvre de

ra par un fils puissant, lequel naîtra de son union avec Thétis. Mais Jupiter n’est pas satisfait ; et pour mieux se venger, il

Pourtant, selon quelques écrivains il fut délivré par Hercule, ou par Jupiter même, lorsqu’il lui fit passer l’avis ci-dessus d

était un prêtre titanide qui voulut éprouver l’habileté de son cousin Jupiter , que l’on adorait déjà comme Dieu quoique vivant.

indique un exil en Scythie, d’où il n’osa sortir pendant le règne de Jupiter . Le reste de la vie de Prométhée est fort obscur 

agre et Gorgée, père de Thoas. Dès que la terre fut ainsi repeuplée, Jupiter , du haut de son trône céleste, vécut en despote s

usurper les prérogatives divines. Celui qui porta le plus d’ombrage à Jupiter , fut, sans contredit, Esculape ou Asclépias, dieu

; aussi le foudroya-t-il, comme nous le verrons en parlant d’Apollon. Jupiter ne borna pas à Esculape sa rigoureuse et vindicat

, qui avaient fabriqué la foudre dont son fils avait été frappé. Puis Jupiter punit Lycaon et écrasa ses cinquante enfans, qui,

ée, ou Phégée, né d’Inachus, civilisateur et introducteur du culte de Jupiter  ; et Lycaon II, fils de Pélasgue et de Déjanire,

de lois fort incomplètes et du culte, car il institua la religion de Jupiter , qu’il entoura d’idées grossières et de sang, en

des sacrifices humains. Plus tard les Grecs civilisés supposèrent que Jupiter étant venu chez ce roi pour y recevoir l’hospital

Œnotre seul a disputé avec Nyctime l’honneur d’avoir été épargné par Jupiter , comme le plus jeune. Nous ajouterons qu’il y a c

t comprenant mal la Divinité ; race enfin, punie de son ignorance par Jupiter et remplacée par une plus douce dans les descenda

e régénérateur de l’Arcadie. Mais plus loin, en parlant des amours de Jupiter , nous retrouverons cette jeune nymphe chasseresse

pour celle du bouvier. Il paraît que les Curètes, aux soins desquels Jupiter devait la vie, ne furent point exempts d’encourir

adultérin. Cet ordre, malheureusement pour eux, fut exécuté. Aussitôt Jupiter l’apprenant se met dans une divine colère et lanc

un si grand forfait ; ne sachant plus où se réfugier, il fut implorer Jupiter aux pieds de ses autels. Ce Dieu fut assez génére

le-ci fait part au maître des Dieux de l’audace du téméraire. A peine Jupiter peut-il le croire ; aussi il engage Junon à tout

ère des Centaures, race sur laquelle nous reviendrons fort en détail. Jupiter , dans cet acte audacieux, voulut bien n’apercevoi

e le fond de cette fable, on est porté à supposer qu’un prince appelé Jupiter ayant accordé l’hospitalité à un roi des Lapithes

ui avait été chassé par tous ses voisins devint amoureux de la reine. Jupiter , pour mieux éprouver les intentions criminelles d

amais obtenues. Une autre fois ce fut Tantale qui attira la colère de Jupiter . Ce Tantale pourtant passait pour son fils ou pou

est donc accusé 1° d’avoir enlevé Ganymède, fils de Tros, échanson de Jupiter  ; 2° d’avoir été le recéleur des vols continuels

tinuels de Pandaré, et surtout d’un beau chien d’or qui appartenait à Jupiter , et d’avoir affirmé sous le serment qu’il ne l’av

affirmé sous le serment qu’il ne l’avait pas volé ; 3° d’avoir irrité Jupiter en le dénonçant à Asope comme le ravisseur de sa

on fils Pélops, frère de Niobé, qui fut accusé d’avoir aidé son père. Jupiter le premier s’en étant aperçu ressuscita le malheu

e en ivoire. Indignés d’une pareille cruauté, tous les Dieux prièrent Jupiter de faire peser sur cet audacieux une punition qui

trop de raison, rangent Tantale dans la constellation du serpentaire. Jupiter fut encore blessé de l’orgueil d’un roi de Thessa

s permettre que l’on en doutât ; il supprima dans ses États le nom de Jupiter , et dans les hymnes, les temples et sur les autel

e dura quelque temps ; mais pourtant, irrité de sa trop longue durée, Jupiter la fit enfin cesser en frappant l’orgueilleux et

divinité. Sisyphe, frère de Salmonée ne fut pas non plus épargné par Jupiter . Il épousa Mérope, fille d’Atlas, et en eut Glauc

e saisir et le ramener de force auprès de Pluton. Quoi qu’il en soit, Jupiter ne l’épargna pas : il le condamna à rouler contin

ns assiéger Thèbes, capitale de la Béotie, fut également foudroyé par Jupiter . Il était fils d’Hipponoris ou d’Hipponoüs, desce

n des honneurs du bûcher. Plusieurs individus furent encore punis par Jupiter pour divers crimes ; ainsi : Adimante, prince de

aganisme. Les Arimes, peuple astucieux qui n’avait pas voulu secourir Jupiter contre les Titans, furent, après sa victoire, cha

galios, voler le miel de la caverne Jovienne, ou grotte dans laquelle Jupiter avait été élevé. Ce dieu aussitôt les changea tou

rennent endormi sur le mont Cylleunis, et lui coupent les deux mains. Jupiter alors, touche du malheur de son messager intime,

sens allégorique. Mylius ou Mylinus roi de Crète, fut aussi tué par Jupiter on ne sait trop pour quel méfait. Néophron, fils

ait un des génies qui, après avoir fait révolter ses camarades contre Jupiter , fut par lui plongé pour toujours au fond du noir

e ses vols ; ce fut même lui qui vola seul le chien d’or du temple de Jupiter , chien que Tantale avait recélé. A la fin Pandaré

de ses crimes et frappé un jour violemment de la foudre. Cependant si Jupiter punissait quelquefois avec justice, il faut avoue

; mais Apollon, heureusement pour la justice et pour la réputation de Jupiter , s’interposa tout à coup le défenseur de l’opprim

ais se quitter. Cet aigle est donc la personnification d’un véritable Jupiter , d’un Dieu puissant, toujours chéri et respecté s

iter, d’un Dieu puissant, toujours chéri et respecté sur la terre. Si Jupiter eut souvent à punir, il eut aussi quelquefois à r

bonheur que donne toujours la tranquillité d’un cœur sans reproches. Jupiter , curieux de les apprécier par lui-même, voulut le

cherche à lui aider ; mais le volatile se réfugie entre les jambes de Jupiter . Alors celui-ci étend sur le faible animal sa pro

ut dans les temps postérieurs beaucoup plus personnifiée, soit par le Jupiter hospitalier, soit, sous son nom d’hospitalité, pa

n fruit qui passait pour avoir été la nourriture des premiers hommes. Jupiter récompensa encore Capricorne, fils d’Egipan, qui

la nymphe Ega. Quoi qu’il en soit, Capricorne fut élevé aux cieux par Jupiter et reconnu comme le 10e signe du zodiaque, et com

zodiaque, et comme renfermant 64 étoiles, soit parce qu’il avait aidé Jupiter dans la guerre contre les Titans, soit parce que

Récompenser ou punir les mortels n’était pas le plus grand travail de Jupiter . Les Dieux eux-mêmes lui donnaient beaucoup de tr

n inquiéter pour l’instant. D'après l’idée de puissance qui entourait Jupiter , il est facile de croire qu’il était adoré presqu

nçât par un sacrifice en l’honneur de tous les Dieux, mais surtout de Jupiter et d’Apollon en particulier ; puis, on levait les

son retour du siége de Troie. Partout, au reste, on rendait honneur à Jupiter , et par des jeux analogues, et surtout par des sa

Polieus ; les Daulies rappelaient chez les Argiens la métamorphose de Jupiter en pluie d’or pour séduire Danaé, comme nous le v

ar la suite ; les Dedalies étaient en mémoire d’une réconciliation de Jupiter avec Junon ; les Diasies avaient lieu à Athènes e

s Bœs, se célébraient à Milet en immolant pendant ces fêtes un bœuf à Jupiter  ; les Eleustéries avaient été instituées à Platée

es Laurentales se célébraient à Rome, le 22 décembre, en l’honneur de Jupiter et d’Acca Laurentia, nourrice de Romulus ; le Lat

ant J.-C., l’on immolait encore des victimes humaines en l’honneur de Jupiter  ; elles devinrent les Lupercales à Rome, mais à A

faisaient dans le mois de memacterion pour réclamer un hiver doux de Jupiter  ; les Pandies, instituées par Pandiôn, se célébra

ies, instituées par Pandiôn, se célébraient à Athènes en l’honneur de Jupiter  ; les Panhellenies étaient des fêtes offertes au

et Tarpéiens se célébraient à Rome tous les cinq ans, en l’honneur de Jupiter sauveur du Capitole. Jupiter avait donc des fêtes

Rome tous les cinq ans, en l’honneur de Jupiter sauveur du Capitole. Jupiter avait donc des fêtes chez la plupart des peuples

in de montrer que sa présence portait partout la paix. Les prêtres de Jupiter exerçaient leurs fonctions sacerdotales dans des

our qu’il pût mieux entendre les prières. Les anciens supposaient que Jupiter ne marchait jamais sans être entouré d’un nombreu

crimes des dieux qui avaient exterminé les Géans ses enfans. Depuis, Jupiter lui ordonna de ne parler que des hommes. On la re

e fut même la dernière que le christianisme fit disparaître l’an 382. Jupiter avait encore autour de son trône les trois Dires

un jour voulu s’amuser à jeter du trouble parmi les divinités. Alors Jupiter son père la prit aux cheveux, et, dans sa colère,

ologues pour issus de cette alliance. Les maîtresses et les enfans de Jupiter sont tellement nombreux qu’il est indispensable d

Théalie, Thébée, Torrébie, Thya, Tmole, Thracé. Quant à Ganymède que Jupiter chérissait comme un véritable amant, il était son

De ces nombreux mariages et de toutes ces maîtresses, il résulta pour Jupiter une assez grande quantité d’enfans. Nous allons r

odame, la Vérité, Até, etc. Quelques-unes des femmes ou maîtresses de Jupiter et plusieurs de ses enfans sont très-remarquables

ne. Junon, la première et la seule légitime de toutes les épouses de Jupiter , était connue en Grèce sous la désignation de Hér

fille de Saturne et de Rhée, ayant pour sœurs Cérès et Vesta, et pour frères Jupiter , Neptune et Pluton. Après avoir été avalée, puis

empêcha de faire courir sur son compte quelque aventure scandaleuse. Jupiter seul osa chercher à la séduire sans que son titre

ant Diodore, sur le territoire des Gnossiens, près du fleuve Thérène. Jupiter ordonna à Mercure de faire ses invitations. Tous

union publique, légitime et indissoluble. Toutes les autres femmes de Jupiter ne furent donc unies à ce Dieu que par des mariag

mples cohabitations. Junon dut aux premiers jours de son mariage avec Jupiter la naissance, comme en le sait déjà, de la belle

upportable une femme acariâtre. Un jour qu’elle boudait sérieusement, Jupiter voulut s’en amuser, et publia qu’il allait épouse

Flore et lui demanda le moyen d’avoir aussi un fils qui ne dût rien à Jupiter . Celle-ci lui montre une fleur des Champs d’Olène

Latone, Calisto, Sémélée, que nous retrouverons parmi les amantes de Jupiter , excitèrent particulièrement cette jalousie, et c

mprudence de blesser son orgueil. A cette rancune, Sémélée, amante de Jupiter et mère de Bacchus, dut ses malheurs. Les Thébain

eurs. Les Thébains, compatriotes d’Hercule, fils d’Alcmène, amante de Jupiter , furent livrés aux désastres du Sphinx, par suite

a guerre de Thébes, fut dû à une singulière discussion survenue entre Jupiter et Junon : il s’agissait de savoir lequel des deu

ils convinrent d’appeler Tirésias, qui vint, et se rangea du côté de Jupiter . Alors, dans sa colère, Junon lui jeta aux yeux q

ui, après s’être marié à la belle qu’il venait de délivrer, obtint de Jupiter , son père, que Cassiopée serait placée dans le ci

lheureuse ville de Troie, accablée par le ressentiment de l’épouse de Jupiter , nous donnerons de longs détails sur cette aventu

ons de longs détails sur cette aventure. Junon luttait souvent contre Jupiter même. Elle fut un jour, comme on l’a vu, jusqu’à

riarée aux côtés du maître des Dieux fit de suite évanouir. A la fin, Jupiter , irrité de ce caractère acariâtre de son auguste

yant voulu délivrer sa mère, fut culbuté d’un coup de pied. Cependant Jupiter finit par la détacher quelque temps après, sur la

de femmes de paraître jamais dans les temples de l’auguste épouse de Jupiter . Junon, en passant chez les modernes, est devenue

ent quelques traits caractéristiques. Aussi, lors de l’importation de Jupiter , de Saturne, de Cybèle et de Rhée dans la Grèce,

rnel. Une foule d’allégories se groupent autour du nom de l’épouse de Jupiter . Emblème de l’orgueil habituel des prudes, il ind

cacher les leurs. La croyance où l’on était à Argos que le mariage de Jupiter et de Junon avait été célébré sur le mont Tornax,

n’était point encore admise chez les Grecs. Quant aux brouilleries de Jupiter et de sa femme, elles représentent le tableau de

mauvais ménages. Voulant éviter de renvoyer à la fin de l’histoire de Jupiter pour trouver les enfans que Junon eut de son augu

la belle Hébé, comme les seuls enfans nés de l’alliance de Junon avec Jupiter  ; d’un autre côté, on y ajoute souvent Argé et la

e de fleurs, ravissante de graces et de finesse, caressant l’aigle de Jupiter , ou tenant une coupe d’or à la main et versant le

du Nil, était le Phthias des Egyptiens, un troisième était le fils de Jupiter et de Junon, et s’était fixé dans l’île de Lemnos

du ciel dans la mer ; cependant on attribue ce coup de pied brutal à Jupiter , qui, voyant Vulcain chercher à délivrer Junon de

s armes, des ouvrages en fonte. C'est lui qui forgeait les foudres de Jupiter , il lui fit aussi un trône d’or, ainsi qu’à son é

Prométhée sur le Causase, il fit sortir Minerve armée, du cerveau de Jupiter en lui fendant la tête. Après avoir été précipité

On le représentait aussi brûlant le géant Clytius, ouvrant la tête de Jupiter d’un coup de marteau, enchaînant Prométhée sur le

serpine et Mercure ; les autres les donnent comme les représentans de Jupiter et de Bacchus ; quelques uns les croyant plus nom

ou Idas, Celme ou Celmis, passant aussi pour un Curète, nourricier de Jupiter , que ce dieu transforma en diamant, pour le punir

ons fabriquer avec les métaux les plus beaux ouvrages, pour remercier Jupiter de la liberté qu’il leur avait rendue : ainsi dir

n voit des tableaux au musée, n° 131 et 134, Villicus ou l’étranger à Jupiter . Mars ou Arès, est un dieu cosmopolite, réunissa

le Dieu de la guerre, il, était suivant les historiens grecs, fils de Jupiter et de Junon, mais les poètes latins, nous le savo

ais les poètes latins, nous le savons, disent que Junon voulant comme Jupiter avoir la gloire de mettre au monde un enfant sans

mère ou nourrice. Dans la guerre des Géans Mars se distingua et aida Jupiter à tuer Pélor et Mimas. Plus tard, il combattit co

a tellement son père, qu’il voulut se battre avec le vainqueur ; mais Jupiter s’y opposa. — Cycnus ou Cygnus, fils de la nymphe

était plutôt, suivant Diodore de Sicile, une des Atlantides fille de Jupiter et d’Electre et femme de Cadmus. On prétend que t

tin, et les Quirinales, sur le mont Quirinal. Aussi Mars avait, comme Jupiter , un Flamine quirinal ou Patricien et de plus les

lui donna les missions de guerre, en laissant à Mercure, messager de Jupiter , celles de paix. Enfin, les poètes modernes la mo

mères et à la naissance des enfans. Cependant on la faisait fille de Jupiter et de Junon, et on lui donnait pour fils Cupidon.

tion des divinités d’un pays dans un autre, il en résulte que Zeus ou Jupiter est époux d’Ilithye Héra ou Junon, amant d’Ilithy

ant après sa conception. Latone passe pour femme ayant cohabité avec Jupiter , et pour fille du Titan Cœos et de la titanide Ph

a sœur. Homère l’indique comme fille de Saturne. Elle fut séduite par Jupiter déjà marié à Junon et devint enceinte. Alors l’ir

ié à Junon et devint enceinte. Alors l’irascible et jalouse épouse de Jupiter la poursuivit d’une haine implacable. Ici grande

cette cruelle position, et peut-être gracieusement sollicité par son frère Jupiter , amant de cette pauvre Latone, fixe Astérie, appe

sous sa forme naturelle suivant les uns, ou transformée en caille par Jupiter , suivant les autres ; et, appuyée contre un palmi

e Délos une nymphe vagabonde, qui avant de se fixer voulut obtenir de Jupiter la promesse que la portion de terre dont elle éta

Titye, roi de Panope, en Phocide, supposé par quelques savans fils de Jupiter et de la nymphe Orchoménienne ou Orchoménide Elar

e Titye la poursuivait de ses importunités, et qu’il fut foudroyé par Jupiter . Enfin, pour n’avoir plus à revenir sur ce Géant,

dente. Cette Niobée était sœur de Pélops et fille de Tantale, fils de Jupiter , et de Dioné d’Antémusie ou Euryanasse qui toutes

’instant qu’il vient pour les étouffer. Diane, fille de Latone et de Jupiter et sœur d’Apolon, portant diveres noms et surmons

des chemises, et Upis ou fille d’Upis. Diane, fille de Latone et de Jupiter , sœur aînée d’Apollon, reçut de son père l’honneu

ane ; Cicéron en compte particulièrement trois, la première, fille de Jupiter et de Prosperpine, et mère de Cupidon ; la deuxiè

Jupiter et de Prosperpine, et mère de Cupidon ; la deuxième, fille de Jupiter et de Latone ; et la troisième avait Glauca ou Gl

ns ces diveres fonctions : parlons d’abord de la déesse de la chasse. Jupiter , après avoir accordé à Diane la permission de res

la vengeance, la changea ou la fit métamorphoser par Diane en ourse, Jupiter pour la consoler de cet accident l’enleva avec Ar

es étoiles dont est composée cette constellation étaient nourrices de Jupiter . A cette nouvelle, Junon, encore plus furieuse, n

nt prétendu qu’après avoir été admis dans le ciel comme petit-fils de Jupiter , et ayant manqué de respect à Junon, il fut conda

l perpétuel ou seulement de trente années. Cependant on dit aussi que Jupiter lui ayant accordé le choix de demander ce qu’il a

n homme fort pauvre appelé Œnopeus, ou Œnopium, ou Hyrié, chez lequel Jupiter , Neptune et Minerve furent loger un jour en faisa

’il possédait, aussitôt qu’il eut entendu Neptune appeler par mégarde Jupiter par son nom, lui laissèrent le choix de demander

la rendant furieuse, elle dévora l’un de ces enfans et se noya. Alors Jupiter la changea en fontaine. Cenchrée ou Cencrias, fil

ment elle fut tour à tour punie et récompensée de ses faiblesses avec Jupiter . Crocale était une fille du fleuve Isménus. Phyal

ure les mois. Ses amours furent peu nombreuses ; elles se bornèrent à Jupiter , à Saturne et à l’air. Elle eut du premier Némée,

s têtes et aux trois corps, elle passait chez les Grecs pour fille de Jupiter et de Latone, mais leur mythologie ancienne la fa

cations du soleil : le premier de ces soleils, c’est Apollon, fils de Jupiter et de Latone ; c’est le plus connu et le seul don

ième, appelé Nomios, venait d’Arcadie ; le quatrième était le fils de Jupiter et de Latone, et le cinquième, que l’on adorait à

l’Hyperboréen. Apollon était regardé par les Grecs comme le fils de Jupiter et de Latone. Nous l’avons vu naître dans l’île d

mit au monde d’abord Diane, déesse de la chasse, ensuite Apollon, que Jupiter fit bientôt dieu du jour, de la poésie, de la mus

, nuisible à la population de son empire, le traduisit au tribunal de Jupiter . Alors celui-ci, pour arrêter les effets de sa tr

faisait aider pour forger les foudres terribles du maître des Dieux. Jupiter à son tour s’irrite de l’audace de son fils, et,

s de l’Hippocrène et du Permesse. Ces Muses passaient pour filles de Jupiter et de Mnémosyne ou la mémoire, fille elle-même du

du Ciel et de la Terre, et sœur par conséquent de Saturne et de Rhée. Jupiter , sous la forme d’un berger, la rendit mère des ne

u les plus grands services à ses sœurs de lait, fut élevé au ciel par Jupiter et rangé parmi les étoiles dans la constellation

llation zodiacale toujours placée proche l’horizon et appelée Croton. Jupiter même, pour mieux le récompenser, lui donna des pi

à la première, Vénus s’en vengea, car cette muse, de ses amours avec Jupiter , étant devenue mère d’Orphée, la déesse de la bea

orceaux le malheureux fils de Calliope. Elle eut encore, dit-on, avec Jupiter les Corybantes, Achéloüs, les Syrènes, et surtout

sang de Méduse, reine des Gorgones, qui fut tuée par Persée, fils de Jupiter , comme nous le verrons plus tard en parlant en dé

u trône, et une fille, Deidamire, femme d’Evandre, ou Hippodamie dont Jupiter eut Sarpédon. Il eut encore avec Astérie un fils,

oulut conduire Pégase jusqu’au ciel. Cette audace ne plaisant point à Jupiter , ce maître des Dieux envoya un taon qui piqua si

ur le joug de ses bœufs. En mémoire de cette protection de la part de Jupiter , Midas lui consacra le charriot sur lequel il éta

père, pour en conserver la mémoire, éleva au même endroit un autel à Jupiter . Dans l’aventure de Midas la vengeance d’Apollon

ril, c’était, disait-on, le taureau sous la forme duquel nous verrons Jupiter enlever Europe ou la génisse en laquelle Junon mé

es Gémeaux ou mai, on les regardait comme Castor et Pollux, enfans de Jupiter . Pendant l’été il passait dans le signe du Cancer

gne du Capricorne ou décembre : c’est Amalthée, la nourrice chérie de Jupiter  ; alors il arrivait dans le Verseau ou janvier :

êtes militaires à Lacédémone instituées par le troyen Carnus, fils de Jupiter et d’Europe et favori d’Apollon, pour honorer ce

aient également et de la même manière ces fêtes, mais en l’honneur de Jupiter . Les Héliaques avaient passé de Perse en Cappadoc

u dieu de la poésie et de la musique, qu’il paraissait aux festins de Jupiter . Quand on le prend pour dieu de la médecine, il e

u prêtresses transmettaient aux fidèles. Il avait cela de commun avec Jupiter , qui voulait bien aussi quelquefois et dans quelq

de Ténédos, de Claros, de Didyme, près Milet, et de Patare ; ceux de Jupiter étaient les oracles de Dodone, d’Ammon et de Trop

temples. L'art de dire la bonne aventure fut par conséquent fondé par Jupiter ou Apollon, du moins en Grèce, et passa ensuite e

d’Aba, Aphytis, Apollonie, Millet, Délos, Delphes et Patare ; ceux de Jupiter se prononçaient dans les temples de la forêt de D

a forme des crânes des plus belles têtes antiques : ainsi nous voyons Jupiter doué de la bosse de la plus haute intelligence, A

ue l’on donna souvent aux paroles de ces prêtres. Quelques oracles de Jupiter n’étaient pas moins célèbres que ceux d’Apollon ;

ient ceux d’Ammon, de Dodone et de Trophonius. Sachant que le nom de Jupiter , introduit dans la Grèce, était originaire des en

sur le point de mourir de soif dans les deserts de l’Arabie, implora Jupiter  ; aussitôt il lui apparut sous la forme d’un béli

r les Phéniciens, avait cherché un asyle dans ce temple. Mais ensuite Jupiter employa un autre moyen, car il se mit à rendre se

commencèrent à perdre de leur crédit en proclamant Alexandre fils de Jupiter , n’en conservèrent aucun après Plutarque et finir

Epire, la logèrent dans une chapelle qu’ils élevèrent en l’honneur de Jupiter , et là le baragouinage de l’étrangère passa pour

et l’autre dans le bois sacré de Dodone pour y rendre les oracles de Jupiter . Cette double fable reposait sur l’équivoque du m

llait aller consulter Trophonius qui faisait entendre les volontés de Jupiter au fond de l’antre de Lébadée. Cet antre en effet

à la Fortune, se baigner dans les eaux du fleuve Hercine, sacrifier à Jupiter et à la famille de Trophonius, ne vivre que de vi

ue ce Carnos différait du troyen du même nom qui passait pour fils de Jupiter et d’Europe, favori d’Apollon auquel on attribue

eux qui servit de juge, on s’en souvient, dans une contestation entre Jupiter et Junon. Tisie d’Ithome, fils d’Alcis, de Messén

sibyllins qu’elle était supposée avoir tracés ; la Libyenne, fille de Jupiter et de Lamia, s’était montrée à Claros, à Delphes

ée la victoire d’Apollon sur le serpent Python. Amphion, fils de Jupiter et d’Antiope et fondateur de Thèbes en Béotie, av

s et brigands ensevelis sous les eaux et métamorphosés en rochers par Jupiter . On rattache toujours à Apollon, la blonde et bri

moins une longue vie, elle la lui accorda, ou la lui fit accorder par Jupiter . Malheureusement Tithon avait oublié de demander

nnaît son erreur, et, de désespoir, il se perce avec le même javelot. Jupiter , touché de leur malheur, les changea en astres. Q

dans le temps que le soleil parcourt le signe du scorpion, obtint de Jupiter qu’il fût placé dans le ciel où il forme une cons

Castor et de Pollux que nous retrouverons plus loin parmi les fils de Jupiter . Par suite de ses amours avec Apollon, Arsinoé de

c Apollon de Phagrus, puis cette nymphe eut un fils appelé Milet avec Jupiter . Ocyrhoé l’océanide fut maîtresse d’Apollon et mè

é de se voir ainsi privé d’une partie de sa population, se plaignit à Jupiter que l’empire des morts ne tarderait pas à être co

ux Trasymède qui lui avait donné la moitié de la grandeur de celle du Jupiter olympien qu’on voyait à Athènes. Les prêtres de c

terre desséchée jusqu’aux entrailles porte ses plaintes aux pieds de Jupiter qui, pour arrêter de plus grands malheurs, foudro

ruire, à une punition de Vénus qu’ils avaient outragée, mais à la fin Jupiter les changea en rochers et les précipita au fond d

la personnifia et en fit une femme qu’elle supposa avoir existé avant Jupiter . Ce fut elle qui donna le breuvage à Saturne pour

, ajoutèrent quelques autres savans, un oracle ayant fait connaître à Jupiter que Métis aurait un enfant plus sage et plus puis

quelques autres enfans, mais tous allégoriques. La troisième femme de Jupiter appelée Eurynome est une océanide dont l’histoire

géante, à formes de serpent, et détrôné par le principe organisateur, Jupiter . Cette Eurynome avait eu de ce dernier les trois

’objet d’aucun culte sérieux. Mnémosyne, qui remplit aussi auprès de Jupiter les fonctions d’épouse, passe généralement pour u

Cependant quelques historiens la disent fille de Saturne et de Rhée. Jupiter la séduisit en prenant la forme d’un berger. Elle

rlons d’une autre déesse qui passa pour avoir vécu conjugalement avec Jupiter , de Cérès ou la Démeter, ou Damater des Grecs. El

pour mères. Cérès était donc sœur de Junon et de Vesta, ainsi que de Jupiter , de Neptune et de Pluton, elle eut dans son enfan

Grèce et la Sicile. Elle fut, suivant quelques poètes grecs, aimée de Jupiter et de Neptune : le premier épris de sa beauté en

l’Arcadie, découvrit cette divine fugitive, aussitôt il en fit part à Jupiter qui lui députa les Parques, pour la décider à rep

força Minerve à la punir et à la changer en une fourmi, insectes que Jupiter , à la prière d’Eaque, métamorphosa plus tard en h

l’abstinence que tous les casuistes les plus sévères de notre époque, Jupiter déclare que Proserpine doit rester aux enfers, ce

la mère pourtant passait pour être Cybèle. Ce Jasion était fils ou de Jupiter et de l’Atlantide Electre ou de Coryte, ou de Min

accorda toutes les faveurs mystérieuses qu’il lui plut de solliciter. Jupiter , irrité et jaloux de l’audace et du bonheur même

empêcha pas d’être admis auprès des Dieux et de recevoir des mains de Jupiter même le secret d’ensemencer les terres et de fair

, enchaînées ensemble avec plus ou moins d’habileté. S'unit-elle avec Jupiter , on voit que sans le maître du monde la terre ne

aux de cette rivière ; ensuite on mettait le Dios Kôdion ou toison de Jupiter , qui se composait des peaux saignantes des victim

chus ou Bacchus, passant alors comme compagnon et fils de Cérès et de Jupiter et non de Sémélée, à le couronner de myrte, à lui

e, on donnait pour époux Anxur, dieu sabin, dont les latins firent un Jupiter . Alors Féronie en réalité devait chez ces peuples

s un prince du même nom. Nous avons dit que l’on donnait pour femme à Jupiter une fille de Céres appelée Proserpine, déesse cos

rès le dieu des Enfers que nous la placerons. Quant à cette épouse de Jupiter portant le nom générique de Nature ou de Physis,

pendant une divinité de ce nom passa pour femme ou au moins amante de Jupiter , et en eut Epaphe ; mais on en connaît une autre

core que Stix, l’aînée des Océanides, passait pour avoir été femme de Jupiter , c’est selon nous une erreur à laquelle il ne fau

Dionê, déesse qui passe également pour avoir été l’une des femmes de Jupiter . C'était une fille de l’Ether et de la Terre, ou

n se souvient qu’il en fit ses concubines et même qu’il épousa Rhée ; Jupiter suivant les Crétois fit de cette Dioné l’une de s

e femelle, ou pour une génératrice ; et, soit avec Saturne, soit avec Jupiter , on peut indifféremment la considérer comme une J

voici maintenant arrivés à l’une des femmes les plus remarquables de Jupiter  ; à la Vénus des Latins, ou Aphrodite des Grecs.

écume de la mer, qui eut Cupidon avec Mercure ; la troisième fille de Jupiter et de Dioné, qui épousa Vulcain, et eut Anteros d

monte rapidement vers les cieux. A son arrivée, les Heures, filles de Jupiter et de Thémis l’entourent ; et, comme présidant au

préside à son coucher. Après avoir écouté les leçons de ces filles de Jupiter , Vénus bientôt fut accomplie, cependant les heure

èrent tous les dieux et imposèrent silence à la jalousie des déesses. Jupiter alors l’adopta pour fille et lui dit de venir occ

Bientôt tous les dieux se mirent sur les rangs pour obtenir sa main, Jupiter ne pouvant y songer par suite de l’alliance indis

lympe ; bientôt elle compta pour amant tant au ciel que sur la terre, Jupiter , Mars, Mercure, Apollon, Bacchus, Adonis, Anchise

Mars, Mercure, Apollon, Bacchus, Adonis, Anchise, Butès. Elle eut de Jupiter , les Graces ; de Mars, l’Harmonie ou l’Amour ; de

Médée. La première infidélité de Vénus paraît avoir été en faveur de Jupiter avec lequel elle mit au jour les Graces, ses plus

eu brillant qui revenait de passer un long exil sur la terre, et dont Jupiter à la fin avait reconnu la puissance et le talent 

onnaissons aujourd’hui sous le nom d’Anémone ; puis elle remonte vers Jupiter et exige de lui la résurrection et le retour de s

, entre les deux déesses. L'affaire est portée par Vénus aux pieds de Jupiter qui, tout habitué qu’il est de lui céder, arrête

dre ; de là le différent que l’on connaît ; de là aussi, par ordre de Jupiter une sentence en premier ressort, rendue par la mu

aux débats, et de là vint l’intervention et la décision précédente de Jupiter . Maintenant quel était le terrible sanglier qui p

as à plaindre d’être dans sa position, c’était Mercure le messager de Jupiter . Elle lui fit donc quelques avances, et en eut po

is ensuite. Fier d’une telle bonne fortune, il osa la publier ; alors Jupiter , blessé de cette indiscrétion, lui fit sentir lég

célèbre nom d’Enée, il avait violé son secret, et avait été puni par Jupiter . Nullement satisfaite de l’orgueilleuse indiscrét

fit tellement remarquer par sa beauté, son esprit et son adresse, que Jupiter décida qu’il jugerait un différent que fit naître

bitans de Cypre, furent métamorphosés en taureaux pour avoir immolé à Jupiter hospitalier ; puis elle fit encore par vengeance

ours. Elle eut de cette ignoble alliance deux fils, Agrios et Oriôs. Jupiter , à cette vue, ne put retenir sa colère, et déjà i

astrologue Conon annonça qu’elle avait été si agréable aux Dieux, que Jupiter l’avait enlevée pour la placer parmi les astres,

t enfin trouvé sans se noyer un terme à son amour pour Adonis, et que Jupiter venait calmer la fougue de ses passions. Profitan

ent d’après beaucoup d’auteurs filles de la déesse de la beauté et de Jupiter ou de Bacchus. Cependant on donnait encore aux Gr

encore aux Grâces une autre origine ; les uns les faisaient filles de Jupiter et d’Euryméduse ou d’Evanthès, appelée aussi Eury

de Bacchus et de Vénus, souvent aussi elles passaient pour filles de Jupiter et de Junon, ou de Jupiter et d’Aglaïa ou Evanthè

uvent aussi elles passaient pour filles de Jupiter et de Junon, ou de Jupiter et d’Aglaïa ou Evanthès, ou Eurynome ou Eunomie,

Evanthès, ou Eurynome ou Eunomie, l’une des heures, ou pour filles de Jupiter et de Thémis ou de Junon, ou du Soleil et d’une E

ils de la Nuit et d’ Hérèbe ; d’autres qu’il est fils d’Ilithye et de Jupiter . Selon Aristophane, qui ne fait que reproduire l’

l’Amour. Platon assure que Pénia, déesse de la pauvreté, fécondée par Jupiter ou par Porus, le Dieu des richesses, enfanta Eros

ralement comme fils de Vénus et de Mars, ou bien enfin de Vénus et de Jupiter  ; mais cet Eros ou amour exprimant un principe de

ages ; dès lors, on lui reconnut un père, une mère, et il fut fils de Jupiter et de Vénus. Plustard on le dédoubla et l’on créa

mal assortis. L'amour fut proscrit de l’ Olympe dès sa naissance par Jupiter , qui pressentait tous les maux dont il serait cau

. Il avait été, avons-nous dit, exilé de l’Olympe dès son enfance par Jupiter  ; mais pendant son exil, Vénus cherchait sans ces

’y venir. Cependant Vénus, saisissant la circonstance, dit à Thétis : Jupiter a proscrit mon fils dès sa naissance, vous pouvez

énée ; Thétis parut tenant l’Amour par la main, et fut le présenter à Jupiter qui, à sa prière et à celle de la reine des Dieux

lez promptement porter cette boîte à ma mère, et moi je vais supplier Jupiter de vous élever au rang des immortelles et de cons

et les dieux reçurent leur nouvelle sœur avec des transports de joie. Jupiter la prit par la main et lui présenta l’ambrosie. P

oir pitié de son douloureux état, elle se souvint qu’elle avait servi Jupiter auprès d’elle en l’amusant de ses discours, tandi

puisqu’il est la personnification du mariage, et que Vénus, ainsi que Jupiter étaient mariés, avant les amours de cette déesse

’une nymphe ou naïade appelée Chioné et de Bacchus ou de Vénus, et de Jupiter , ou plus habituellement il passait pour le fruit

tenant nous parcourons le cercle des noms de toutes les maitresses de Jupiter , nous en trouverons beaucoup sur lesquelles il y

et dont l’époux n’est pas indiqué, cependant cet époux ou amant était Jupiter , dont elle eut le pasteur Osène. On ne l’a qualif

, peut-être la même que la femme de Japet, elle se laissa séduire par Jupiter et en eut Mnémosyne déesse de la mémoire, que l’o

e déjà fille du ciel et de la terre, et qui fut également séduite par Jupiter , sous la forme d’un berger. Coriphe ou Coryphe,

forme d’un berger. Coriphe ou Coryphe, jeune nymphe de l’Océan, dont Jupiter eut la Corie des Arcadiens, espèce de Minerve, in

t donc regarder cette Coryphe comme la personnification du cerveau de Jupiter . Cyrno eut de ses amours avec Jupiter un fils ap

personnification du cerveau de Jupiter. Cyrno eut de ses amours avec Jupiter un fils appelé Cyrnus, qui pourrait fort bien êtr

nnait Hercule pour père. Ega, nymphe chèvre, ce fut elle qui nourrit Jupiter de son propre lait, et qu’il récompensa en la pla

, fille d’Orchomène, fils de Mingas roi de Beotie ; elle fut aimée de Jupiter qui pour la soustraire aux regards jaloux de Juno

trois Graces Aglaé, Thalie et Euphrosine, était une des maîtresses de Jupiter , si on ne l’a pas confondue avec Eurynome, qui so

aussi qu’elle était née de deux espèces différentes, elle avait eu de Jupiter le dieu Pan. Lardane fut maîtresse de Jupiter,

ut mère de Thébé et de Deucalion, qu’elle avait eu de ses amours avec Jupiter . Alors ce Deucalion n’aurait plus été fils de Pro

la liberté à un corbeau. Méra, était une nymphe, suivante de Diane : Jupiter pour la séduire, prit la forme de Minerve. Diane

deux Néères, dit-on, sans la désigner positivement, qui fut amante de Jupiter  ; mais sous ce titre elle n’a jamais beaucoup mar

enne des Grecs et des Romains. Oenéis, nymphe d’Etolie, fut aimée de Jupiter et eut de ses amours avec lui, Pan, Dieu des berg

ont la naissance est réclamée par deux ou trois mères au moins. Ora. Jupiter trompa cette nymphe sous la forme d’un cygne et l

ire de l’origine de leur souverain, prirent pour armes les foudres de Jupiter . Othréis. Nymphe qui fut d’abord aimée par Apoll

ord aimée par Apollon dont elle eut un fils nommé Phagre, ensuite par Jupiter , qui la rendit mère de Mélitée, que l’on confia,

e dont il est question ici était une nymphe d’Achaïe qui fut aimée de Jupiter , lequel la séduisit en la trompant sous la forme

la forme d’un pigeon. Plota ou Plato, fille de l’Océan fut aimée de Jupiter , il la rendit mère de Tantale, dont nous connaiss

ides, était le nom des nymphes Mégariennes : une d’elles fut aimée de Jupiter qui la rendit mère de Mégare, fondateur de la vil

ays. Théalie ou Etna était une nymphe Sicilienne, fille de Vulcain ; Jupiter l’aima et la rendit mère des deux Paliques ou Pal

fleuve Asope et de Metope fille elle-même du fleuve d’Arcadie Ladon. Jupiter fut amant de Thébé qui en eut Dionyse ; cependant

ente aussi comme maîtresse de Mars. Thysia était fille de Deucalion. Jupiter la séduisit et eut d’elle l’héroïne Macédonie qui

oine. Si nous passons maintenant aux maîtresses les plus célèbres de Jupiter , nous trouvons : Astérie, fille du titan Ceus et

s trouvons : Astérie, fille du titan Ceus et de Phébée, fut aimée de Jupiter , auquel, dit-on, elle résista, dès lors elle fut

certains écrivains, elle céda et fut mère d’Hercule tyrien ; ensuite Jupiter ennuyé de ses plaintes continuelles, la persécuta

it également. Egine, une des nombreuses filles du dieu fleuve Asope. Jupiter pour triompher de sa vertu, prit d’abord la forme

duit sa fille, jura de se venger et de sa fille et du séducteur. Mais Jupiter , pour empêcher cette vengeance, lança contre lui

e, dit avec assez de raison que l’on peut supposer que la flamme dont Jupiter entoura son amante, fut probablement celle de la

e le suivit. Malgré tout son amour pour son mari, elle fut trompé par Jupiter , qui pendant qu’Amphitryon était à guerroyer, s’i

t enceinte ; elle mit au monde Hercule et Iphicle, le premier fils de Jupiter , et l’autre d’Amphitryon. Junon ayant appris cett

res auteurs cette pierre fut substituée dans son tombeau par ordre de Jupiter  ; les porteurs, surpris de la pesanteur du cercue

Cependant on vient de voir qu’elle ne dut pas monter au ciel, puisque Jupiter lui fit épouser Rhadamante, l’un des juges des en

e, formé de trois lunes : allusion des trois nuits pendant lesquelles Jupiter était parvenu à la tromper. Quelques écrivains, p

e, qui, profitant de l’absence de son mari, écouta les doux propos de Jupiter  ; ou si l’on étend l’allégorie à la nature, on su

’abord séparée d’un fossé, son mari, en fut gonflée par une pluie que Jupiter fit tomber ; alors ses eaux furent rejoindre cell

ille. La seconde résista. Après Alcmène, nous trouvons pour amante de Jupiter  : Antiope, Thébaine célèbre, fille de Nyctée et

dieu fleuve Asope, selon d’autres ; sa beauté, des plus rares, tenta Jupiter qui, pour arriver à tromper sa sagesse, se transf

yctée confier lui-même à Lycus le soin de venger sa sœur, séduite par Jupiter . Lycus touché de ses charmes, lui rend hommage et

disait aussi Arcadienne fille de Lycaon II ou de Nyctée, ou de Cétée. Jupiter la séduisit ; dès lors elle fut, comme nous l’avo

n jour à la chasse par ce fils ; dejà il s’apprêtait à la tuer, quand Jupiter , pour prévenir ce parricide, transporta la mère e

s constellations de la grande et petite ourse. Des auteurs disent que Jupiter prit la forme de Diane pour la séduire ; d’autres

ou la pure était mère de Britomartis, espèce de Diane, qu’elle eut de Jupiter . On lui donne pour patrie, ou la Crète, ou la Phé

és à quelques unes des plus jolies fables qui entourent les amours de Jupiter  ; nous allons donc parcourir celles de Danaé, Eur

’airain pour qu’elle ne pût avoir aucun rapport avec les hommes. Mais Jupiter déjoua toutes les précautions [ILLISIBLE] ; car i

sius, amant de sa nièce. Ce Prœtus, dit-il, prenant un jour le nom de Jupiter , se fit ouvrir à force d’argent les portes de la

lui devint aussi blanc et aussi brillant que celui de Junon. Bientôt Jupiter aima la belle Europe ; pour en triompher, il prit

hange de forme. Elle devint mère de Minos I ; puis elle eut encore de Jupiter , ses deux fils Sarpédon et Rhadamanthe ; ensuite

dont la proue était décorée d’un taureau blanc, d’où vint la fable de Jupiter , transformé en taureau pour enlever cette princes

ze siècles avant J.-C. On suppose souvent que lui seul sous le nom de Jupiter , enleva Europe, dont il adopta les fils, ou même

e des enfans que nous connaissons comme nés des amours d’Europe et de Jupiter  ; fait dont il sera souvent important de se rappe

ciennes familles mythologiques de la Grèce. Quant à Latone, amante de Jupiter , nous la connaissons déjà ; nous avons vu ses mal

création du soleil. Nous ne dirons également rien de Niobé amante de Jupiter , parcequ’elle ne marqua pas suffisamment dans la

onée et de Laodice, ainsi qu’Apis ; elle fut la première mortelle que Jupiter voulut bien aimer et n’a rien de commun avec la N

le, il ne faut donc pas les confondre. Les parens de Niobé, amante de Jupiter , méritent en outre quelques mots ; car Phoronée,

ous le nom de Sérapis. Niobé sa fille eut en outre de ses amours avec Jupiter un fils que l’on appela également Apis, mais que

s être l’amour. Elle ne put résister aux entreprises de séductions de Jupiter qui finit par réussir. Junon ayant eu connaissanc

ans tout l’éclat de sa divinité. Sémélée fit donc jurer par le Styx à Jupiter de lui accorder ce qu’elle lui demanderait ; celu

lle lui demanderait ; celui-ci lui ayant juré ne put refuser. A peine Jupiter parut-il à ses regards, armé de la foudre, enviro

palais fut embrasé entièrement et que Sémélée fut consumée. Aussitôt Jupiter tira de son sein l’enfant qu’elle portait, et l’e

t où il pourrait lui donner le jour. D'autres légendes portent que Jupiter fit retirer des flammes cet enfant nommé Bacchus

totalement embrouillés ; car déjà nous avons rencontré Bacchus aidant Jupiter à combattre les Géants et nous ne le voyons naîtr

ème mois, et que Cadmus pour sauver l’honneur de sa fille, rejeta sur Jupiter la paternité de cet enfant. On explique aussi cet

cet enfant. On explique aussi cette fable des amours de Sémélée et de Jupiter , en disant qu’une pluie fit grossir une fontaine,

par les prêtres et les poètes de la Grèce et de Rome. Après avoir vu Jupiter se changer en taureau pour satisfaire ses amouret

ou Ismène femme de l’inachide Argus. C'était donc une princesse dont Jupiter devint amoureux ; mais craignant la jalousie et l

le pays des Cimmériens. A la fin elle arriva sur les bords du Nil où Jupiter , après avoir apaisé Junon, lui rendit sa première

uve qu’Io, prêtresse de Junon fut aimée d’Apis, roi d’Argos, surnommé Jupiter , comme le fut autrefois plus d’un roi célèbre. Ce

rincesse fut rendue à sa première forme, que Junon voulut rompre avec Jupiter par un divorce public. Mais Cithéron roi de Béoti

tie, qui passait pour l’homme le plus sage de son temps, consulté par Jupiter trouva le moyen de le réconcilier avec son épouse

u nom de ce roi une montagne de la Béotie, qui fut depuis consacrée à Jupiter et aux Muses. Mais revenons sur un personnage imp

jalousie et d’une active surveillance. Léda est encore une amante de Jupiter pour laquelle il fut obligé de se transformer. El

oile, fils d’Agénor ; sa mère était Pantidye princesse de Lacédémone. Jupiter s’ésprit des beautés de la jeune Léda, après l’av

ependant les deux premiers enfans sont seuls attribués généralement à Jupiter . Pour les deux autres y compris une troisième fil

passa pas de cette manière. D'après lui c’est de Némésis sa fille que Jupiter devint amoureux ; alors pour elle, il se métamorp

bords de l’Eurotas au milieu d’une troupe de cygnes, fit publier que Jupiter étant devenu amoureux d’elle, l’avait séduite en

ès avoir fait connaître les femmes et les maîtresses ou concubines de Jupiter , parlons de ses nombreux enfans. D'abord commenço

tes les autres. Alagonie ou Alalgénie n’est qu’une fille inconnue de Jupiter et d’Europe. Angelo, fille de Jupiter et de Juno

n’est qu’une fille inconnue de Jupiter et d’Europe. Angelo, fille de Jupiter et de Junon, marque simplement dans la mythologie

e servait à sa toilette et qu’elle lui déroba. Argé est une fille de Jupiter et de Junon, sœur d’Hébée et de Vulcain, mais sur

culier. Auli est une déesse praxilienne honorée à Hatiarte, fille de Jupiter et de Thébée. Britomartis ou la douce Vierge en

r nom signifiant la chasseresse on l’accepte pour une Diane, fille de Jupiter et de Carmé, ayant fait le serment de n’avoir de

ière invisible par Diane qui dès lors la divinisa. Bura était née de Jupiter et d’Helice ou, disait-on encore, fille d’Ion, de

sous les eaux. Dodon et Dodone. La première passe pour une fille de Jupiter et d’Europe ; mais on dit que ce dieu eut la seco

le du Destin ou de l’Océan, et chez les autres pour née des amours de Jupiter avec Némésis. Peu honorée et pour ainsi dire inco

écessité, dont le pouvoir inflexible soumettait tout à ses lois, même Jupiter . Cette fille de la fortune avait un temple à Cory

aré dans sa jeunesse qu’il ne protégerait que la science et la vertu, Jupiter ne le voulut pas et le rendit aveugle ; aussi le

a Fécondité ; et Pecunia ou l’argent personnifié. Eternité, fille de Jupiter  ; elle était représentée avec les traits principa

ent qui se mord la queue. Hélène, fille de Léda, épouse de Tyndare ; Jupiter , nous le savons, s’étant changé en cygne, obtint

enfans de Tyndare ; du second, Pollux et Hélène, tous deux du sang de Jupiter . Hélène apporta en naissant, cette brillante beau

it son tombeau avec celui de Ménélas. Hydarnis, fille d’Europe et de Jupiter , donna son nom à une ville de la Crète. La Libert

plusieurs temples, passait, à Rome, pour être la fille de Junon et de Jupiter . Le premier temple qui lui fut élevé, était sur l

rompu, et un char, et de plus, à ses pieds un chat. Lydie, fille de Jupiter , était femme de Memphis. Macédonia, fille de Jup

Lydie, fille de Jupiter, était femme de Memphis. Macédonia, fille de Jupiter et de Thyia, donna son nom à la Macédoine, ou plu

onie n’est que la personnification de la Macédoine. Mélinoé fille de Jupiter et de Proserpine ; on la représente tantôt noire,

s, nymphes qui habitaient les fleuves, elles passaient pour filles de Jupiter  ; mais nous les retrouverons en partant de Neptun

mais nous les retrouverons en partant de Neptune. Némésis, fille de Jupiter , passe ordinairement pour la vengeance, pour la g

furie, pour la justice, pour la fortune judiciaire de qui tout émane. Jupiter , disait-on, comme nous l’avons vu en parlant de L

ue l’on regardait comme une des trois Heures en Grèce, était fille de Jupiter et de Thémis. Les Athéniens lui dédièrent un aute

nce, ou un bouquet d’épis, ou un flambeau renversé. Thébée, fille de Jupiter et d’Iodamé, fut la femme d’Ogygès, et mère de pl

sieurs enfans dont on ignore le nom. La Vérité, passait pour fille de Jupiter ou de Saturne, et mère de la Justice et de la Ver

Après avoir parlé de toutes les filles, plus ou moins importantes de Jupiter , arrivons à sa fille chérie, à son véritable chef

nus ou de Cabardie ; Capta ou celle qui était captive dans la tête de Jupiter , sur le mont Cœlius à Rome ; Cœsia ou aux yeux bl

 ; Corie et Coreste en Arcadie ; Coryphagère, ou sortie du cerveau de Jupiter  ; Cranea ou de Cranée près d’Elatée en Phocide ;

t trop pourquoi ; soit, disait-on, parce qu’elle venait du cerveau de Jupiter  ; soit parce qu’elle était née le troisième mois 

être la Neith ou Neithée des Égyptiens ; une troisième était fille de Jupiter , une quatrième avait encore ce même Dieu pour pèr

iga fille de Saturne, inventrice de la guerre ; la quatrième fille de Jupiter , et la dernière fille du géant Pallas et de l’océ

t suivant eux, présidé à la fondation d’Athènes, déjà nous savons que Jupiter avala Métis, ou la sagesse personnifiée, aussitôt

acée dans l’Olympe presque sur la même ligne que le maître des Dieux. Jupiter craignant qu’un autre ne fût plus heureux que lui

rfection avec laquelle elle représenta sur une broderie les amours de Jupiter , excita la colère de Minerve qui déchira la toile

le destin pour la ruine de Troie. Elle prit le tonnerre des mains de Jupiter et foudroya Ajax fils d’Oilée, pour venger la vio

ès l’avoir effrayée par la vue d’une égide ou espèce de bouclier dont Jupiter venait de couvrir sa fille. Minerve la regretta,

ornée de desseins représentant les actions célèbres de la déesse, de Jupiter et de plusieurs héros. Lors de ces fêtes, on déli

vait ravagé les campagnes d’Égypte, d’Afrique et de Phénicie, lorsque Jupiter donna l’ordre, à Minerve, de le détruire. Alors e

ais d’un autre, on donne aussi ce nom au bouclier que lui avait donné Jupiter , et qui se trouvait recouvert de la peau de la ch

l’une des Gorgones, et nous verrons comment Persée, l’un des fils de Jupiter , la combattit, la mit à mort et lui coupa la tête

Démophoon, Oxinthès, Aphidas, Thyméthès, Mélanthe et Codrus. Fils de Jupiter . Si connaissant les filles de Jupiter et la plupa

s, Mélanthe et Codrus. Fils de Jupiter. Si connaissant les filles de Jupiter et la plupart de leurs descendans les plus import

t pour arriver ensuite aux plus remarquables. Amphion, était fils de Jupiter et d’Antiope, fille de Nyctée épouse de Lycus roi

aîtresse d’Epopée ou Epaphus roi de Sicyone. C'est à cette époque que Jupiter , épris de ses charmes, la séduisit sous la forme

s, la séduisit sous la forme d’un Satyre. Elle devint enceinte. Alors Jupiter la conduisit sur le Mont-Cithéron, et là elle mit

peine fut-il au monde que la jalouse Junon changea sa mère en ourse, Jupiter alors s’empara d’Arcas et le confia à Maïa qui le

, épousa pour devenir mère d’Atalante et d’Apis. Arcésilas, fils de Jupiter et de Torrébie fut le frère de Carius. Arcésius

de Jupiter et de Torrébie fut le frère de Carius. Arcésius fils de Jupiter et d’Europe, est remarquable parce qu’il donna le

maque. Argus fut le troisième ou quatrième fils d’Argos, ou fils de Jupiter et de Niobé, fille de Phoronée. Il succéda à son

e père de Crotopus, lequel eut Psamathé pour fils. Alymnius, fils de Jupiter et de Cassiopée, fut l’ami intime de Sarpédon. B

ux deux mères ; Dimorphos ou aux deux formes ; Diogenès ou le fils de Jupiter  ; Dionysios et Dionyoes ou le Bacchus grec ; Diph

séjourné alternativement dans le sein de sa mère et dans la cuisse de Jupiter , en raison de quoi l’on criait dans ses fêtes. Dé

ue lui prodiguaient les bacchantes à grand cris, parceque, disait-on, Jupiter , pendant la guerre des Géans l’avait encouragé en

r ou le planteur de vigne ; Zagrée ou le grand chasseur ou le fils de Jupiter et de Proserpine. Les noms sous lesquels les Grec

uérant des Indes ; un autre auquel on donne des cornes, était fils de Jupiter et de Proserpine, et le troisième, appelé le Bacc

Proserpine, et le troisième, appelé le Bacchus Thébain, avait encore Jupiter pour père et Sémélée pour mère. Cicéron boulevers

e Nilus un troisième fils de Caprius, roi d’Asie ; un quatrième né de Jupiter et de Luna ; puis un cinquième fils de Nysus et d

a fable grecque nous le transmet. Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélée, petite fille de Thyoné et fille de

e avant le terme voulu pour sa naissance, comme nous le savons. Aussi Jupiter pour le sauver le mit dans sa cuisse, jusqu’au mo

dans sa cuisse, jusqu’au moment fixé pour les gestations ordinaires. Jupiter le prit-il lui-même dans le sein de Sémélée ? On

he Dircé, sauva cet enfant des flammes et le remit entre les mains de Jupiter , qui le plaça dans sa cuisse, d’où vint à Bacchus

lques historiens pensent qu’il faut entendre par ce conte absurde que Jupiter , amant de Sémélée, fit transporter le fruit de le

on Acétès, dont il fit plus tard, son grand-prêtre. Après avoir aidé Jupiter d’une manière glorieuse à vaincre les Géans, quoi

eurs auteurs assurent qu’il fut mis en pièce par ces révoltés, et que Jupiter fut obligé d’animer de nouveau ses membres lorsqu

t qu’elle mit au jour Staphyle et qu’elle mourut quelque temps après. Jupiter les transporta dans les cieux où Icarius forme la

ion de son impiété, il aurait été frappé d’aveuglement et de mort par Jupiter , ou bien Bacchus lui aurait inspiré une telle fur

fils Hippase, et le dévore de compagnie avec ses sœurs. A cette vue, Jupiter furieux les transforme en chauve-souris et leurs

ou aux pieds de chèvre ; ce dieu rural avait, dit-on, reçu le jour de Jupiter , et de la nymphe Thymbris, ou de Calisto, ou de M

us, qui sous le nom de Sagittaire fut après sa mort élevé au ciel par Jupiter  ; les Egipans ses fils ou divinités agrestes ou a

la roche Tarpéienne, et lorsque Tarquin-le-Superbe éleva un temple à Jupiter , sur le Capitole, on dérangea tous les dieux, exc

pas et du découpeur ou des réunions. Mais revenons aux autres fils de Jupiter . Carius, était fils de Torrébie, il enseigna la

montagne à laquelle ils donnèrent son nom. Carne ou Carnée, fils de Jupiter et d’Europe, fut celui qui institua les combats d

ux, jumeaux que l’on regarde l’un et l’autre comme fils de Léda et de Jupiter  ; mais le plus souvent Pollux seul passe pour êtr

souvent Pollux seul passe pour être né ainsi qu’Hélène de Léda et de Jupiter , tandis que Castor et sa sœur Clytemnestre, sont

noms qu’on leur donnait : on les appelait donc : Dioscures ou fils de Jupiter , quand on les considérait comme nés de ce dieu, e

rs des vaisseaux en danger. Déjà l’on connaît les amours de Léda avec Jupiter qui se transforma en cygne, pour arriver à la séd

arte, produisit Castor et Clytemnestre, tous deux mortels, l’autre de Jupiter , donna naissance à Pollux et à Hélène, héritant d

ur père. Cependant on fait naître aussi Castor et Pollux seulement de Jupiter et de Léda. Quoi qu’il en soit, Mercure par ordre

tour. Cette perte de Castor affligea tellement Pollux, qu’il supplia Jupiter de rendre son frère à la vie ou de le faire mouri

la terre sur un petit cheval appelé Cyllarus. Plusieurs années après, Jupiter voulant récompenser cette tendre amitié, transpor

nel, dans la bonne, comme dans la mauvaise fortune. Colaxès, fils de Jupiter et de la nymphe Ora, fut roi dans la Bisaltide, p

nce de Thrace ; ses soldats portaient au milieu de leurs boucliers un Jupiter , orné de la foudre en mémoire de sa naissance. C

er, orné de la foudre en mémoire de sa naissance. Corinthus, fils de Jupiter , donna son nom à la ville d’Ephyre, qui depuis s’

nom à la ville d’Ephyre, qui depuis s’appela Corinthe. Crès, fils de Jupiter et de la nymphe Idée, fut le premier roi de l’ile

e. Il mourut et laissa son fils Tale sur le trône. Crinacus, fils de Jupiter et père de Macarée, fut le premier habitant de l’

acarée, fut le premier habitant de l’île de Lesbos. Cronius, fils de Jupiter et de la nymphe Himalie, était surnommé le Cyprie

et de la nymphe Himalie, était surnommé le Cyprien. Cyrnus, fils de Jupiter et de Cyrno, fut le premier homme aux yeux des ha

ans de Thérapné, qui prirent de lui le nom de Cyrnos. Cytus, fils de Jupiter et de la nymphe Rhodienne Himalie. Deucalion :

de l’Attique, de la Phocide et de la Béotie et fit bâtir un temple à Jupiter , dans la ville d’Athènes où il institua les Hydro

, en mémoire de ce qu’il avait été sauvé des eaux. Dardanus, fils de Jupiter et d’Electre, fille d’Atlas, naquit en Tyrrhénie.

héros et demi-dieux, mais c’est à propos de Castor et Pollux, fils de Jupiter , qu’il est personnifié. Eaque, fils de Jupiter e

or et Pollux, fils de Jupiter, qu’il est personnifié. Eaque, fils de Jupiter et d’Europe, ou plus habituellement d’Egine fille

troisième y parvint par la muraille qu’Eaque avait élevée. Ce fils de Jupiter , épousa Endéis, fille de Chiron, dont il eut deux

rés Thessaliens, probablement appelés Myrmidons. Egipan, cru fils de Jupiter , et d’Ega, épouse de Pan, dieu des vergers. Ce fu

ndans devinrent des espèces de divinités champêtres. Ellops, fils de Jupiter , donna son nom à une tribu de l’île d’Eubée, qui

u de l’île d’Eubée, qui prit de là, celui d’Ellopie. Epaphe, fils de Jupiter et d’Io, épousa Cassiopée, dont il eut Libye. Jun

ouse, avait ordonné aux Curètes d’enlever Epaphe encore enfant ; mais Jupiter s’y opposa en les foudroyant. Un jour, il eut une

aéthon lui en donna, fit mourir ce fils d’Apollon. Ethalion, fils de Jupiter et de Protogénie, fille de Deucalion. Ethlétères

étères ou Lutteurs, noms que l’on donnait à Caslor et Pollux, fils de Jupiter . Ethlios, fils de Jupiter et de Protogénie, fut

e l’on donnait à Caslor et Pollux, fils de Jupiter. Ethlios, fils de Jupiter et de Protogénie, fut l’époux de Calyce, qui le r

ndymion. Il fut, dit-on, le premier roi des Eléens. Gargare, fils de Jupiter , naquit en Troade, et donna son nom à une montagn

gne, une ville et un lac, situés en cette province. Géreste, fils de Jupiter , donna son nom à une ville de l’île d’Eubée. Her

ter, donna son nom à une ville de l’île d’Eubée. Hercule, le fils de Jupiter , le plus célèbre des Demi-Dieux, portait aussi pl

ercule à genoux, Ipoctonos ou qui détruit les vers, Jovius ou fils de Jupiter , Libys ou le fondateur de Capsa dans la Libye, pr

il se brûla, Olenus se prend quelquefois pour Hercule, comme fils de Jupiter , Olivarius ou à la massue d’Olivier, Opsigonos ou

n dut l’institution des jeux olympiques ; le troisième fut le fils de Jupiter et d’Alcmène, son existence ne remonte qu’à peu d

i : le plus ancien, dit-il, est fils de Lysite le premier de tous les Jupiter , il se battit contre Apollon, brisa son trépied s

Tyriens, et passant suivant eux pour le père de Carthage, est fils de Jupiter et d’Astérie sœur de Latone. Le cinquième nommé B

ième nommé Bel est adoré dans les Indes, et le sixième est le fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphytrion, et c’est le gra

issait adoucir par les complaisances de Cométho, fille de son ennemi, Jupiter , sachant qu’il avait été forcé de quitter momenta

plaisir de revoir cet époux adoré. Cependant après cette triple nuit, Jupiter se retira et laissa Amphytrion seul et unique pos

ette imprudente mortelle qui n’avait pas su repousser les caresses de Jupiter , suscita contre Hercule, encore enfant, deux énor

it au ciel et que les anciens regardaient comme la porte du palais de Jupiter et celle par où passaient les héros. Hercule appr

Ce fut en outre vers ce même temps, qu’il prêta l’appui de son bras à Jupiter , contre les Géans. Mais de gré ou de force, il fa

naissant, se soumit aux ordres du destin, ou du moins à un serment de Jupiter  ; car celui-ci ayant promis à Junon, que celui qu

soulève, l’étouffe, et élève sur la place de son triomphe, un autel à Jupiter sauveur : autel autour duquel les peuples des env

de son vol, on admet le plus généralement, qu’elle fut foudroyée par Jupiter et changée en un gouffre perfide, placé vis-à-vis

n un arbre qui portait des pommes d’or, arbre que Junon avait donné à Jupiter le jour de leurs noces. Les fruits de cet arbre é

ous ses coups, et immole Busiris, et son fils Ephidamas, aux pieds de Jupiter . Ce service décida peut-être Atlas à lui procurer

’embarqua ; puis aux jeux Olympiques, il eut l’honneur de lutter avec Jupiter . L'avantage ayant été égal des deux côtés, son pè

entendre et que la foudre vient purifier les restes de ce mortel, que Jupiter élève aussitôt au ciel pour l’agréger au nombre d

r Hercule, dans son accès de folie. Chromis, fut un jour foudroyé par Jupiter , pour avoir nourr[ILLISIBLE]ses chevaux avec de l

t frère d’Echephron ; Scythès, sa naissance est également attribuée à Jupiter , avec Echidna ; Sophax de Tinga, veuve d’Antée ;

ydiens qui colonisèrent la Sardaigne. Maintenant revenons aux fils de Jupiter  : Iarbas, fils de Jupiter-Ammon, et d’une nymphe

Garamantes, était roi de Numidie, vers l’an 888 av. J.-C. Ce fut à ce Jupiter que Iarbas, étant devenu roi de Gétulie, éleva da

istoire comme roi des Numides, l’an 888 av. J.-C. Lacédémon, fils de Jupiter et de Taygète fille d’Atlas, épousa Sparte, fille

ppe et de la belle et sage Pénéloppe, femme d’Ulysse. Locre, fils de Jupiter et de Néère ; il aida Amphion dans la constructio

da Amphion dans la construction des murs de Thèbes. Mégarus, fils de Jupiter et d’une nymphe Sithnide ; il échappa aux flots,

fit donner à cette montagne, le nom de géranienne. Mélitée, fils de Jupiter et d’Otréis, fut exposé par ordre de sa mère au m

r des abeilles ; son frère Phrague, que sa mère avait eu avant lui de Jupiter , le découvrit et le ramena sous le toit maternel,

ance pour ses nourrices, et fonda la ville de Mélita. Memphis, né de Jupiter et de Protogénie, épousa Lydie, ou plutôt Libye.

Dieu du commerce, de l’éloquence et des voleurs, passait pour fils de Jupiter ou de Bacchus ; il doit donc trouver sa place à l

ou le nourrisson d’Acacus ; Agetor ou conducteur ; Agonius ainsi que Jupiter , Janus et Mars, ou présidant au jeux gymnastiques

de la citadelle de Cynosure en Arcadie ; Diactorus ou le messager de Jupiter  ; Dolius ou le Dieu de la fraude ; Empoleus ou le

ou le conducteur des morts, Nomios ou qui fit paître les troupeaux de Jupiter ou le Dieu du négoce, Nonacriatès ou de Nonacries

age : le grammairien Lactance admettait quatre Mercures, l’un fils de Jupiter et de l’Atlantide Maïa, l’autre du ciel et du jou

r, le troisième de Bacchus-Liber et de Proserpine, et le quatrième de Jupiter et de Cyllène. Mais Cicéron en trouva cinq qu’il

stre, ou Trophonius, né de la Valeur et de Choronis ; un troisième de Jupiter et de Maïa ; un quatrième du Nil ; un cinquième,

de Thoth ou Thaut ; et de l’autre côté c’est le Mercure grec, fils de Jupiter et de Maïa. N’ayant actuellement à nous occuper q

rd l’espèce de conte historique dont les Grecs l’entourèrent. Fils de Jupiter et de Maïa, il aida son père dans la guerre des T

a, il aida son père dans la guerre des Titans, et après la mort de ce Jupiter , il eut en partage l’Espagne, les Gaules et l’Ita

es Grecs, ce Mercure appelé chez eux, Hermès, était également fils de Jupiter et de Maïa, qu’il était le Dieu du Commerce, de l

’Éloquence, de la Paix et des Voleurs ; il était aussi le messager de Jupiter et des autres Dieu ; il naquit sur le mont Cyllèn

eptune, à Mars son épée, à Venus sa ceinture, à Vulcain ses marteaux. Jupiter enchanté de ses malices et de son adresse, lui do

e à la place du malheureux captif. Mercure, chaque jour, faisait rire Jupiter par ses nouveaux larcins ; cependant, s’étant éma

vec Apollon ; mais bientôt il trouva l’occasion de faire sa paix avec Jupiter  ; car Junon ayant métamorphosé Io en génisse et a

lard ira réclamer du fougueux Achille les restes d’Hector. Il délivra Jupiter des mains de Typhoé, le Dieu de la guerre des cha

dans l’Olympe, les fonctions de Mercure furent immenses : messager de Jupiter , il liait ses intrigues, gardait et surveillait J

Lalaria ou Muta ou Mania ou Tufolie, naïade, fille du fleuve Alcmon : Jupiter ayant poursuivi Juturne, nymphe romaine favorable

tules, celle-ci, pour lui échapper, se sauva dans le Tibre ; aussitôt Jupiter défendit aux naïades des environs de la recevoir,

ette défense à Juturne et à Junon, ce qui fit échouer les desseins de Jupiter , alors la colère de ce dieu n’eut plus de bornes 

nus Aphrodite, enfant des deux sexes que nous avons déjà vu naître de Jupiter , page 6, sous le nom d’Agagoüs ou d’Agdistis ; Is

ands Dieux, pour les protéger, savoir : Apollon, Cérès, Diane, Junon, Jupiter , Mars, Mercure, Minerve, Neptune, Vénus, Vesta et

es, mais représentant toujours quelqu’un des Grands Dieux, et surtout Jupiter ou le plus souvent Vesta. On les conservait relig

la malice, de la perfidie et surtout des voleurs. Minos I., fils de Jupiter et d’Europe, fut le mari d’Itone, fille de Lycius

nos I. allait dans une grotte sacrée pour y conférer, disait-il, avec Jupiter , dont il recevait les instructions, afin d’être p

yrmidon. L’on fait encore passer un personnage de ce nom pour fils de Jupiter et d’Euryméduse ; il régna dans la Thessalie, et

son nom aux habitans d’Égine, île du golfe Séranique. Olène, fils de Jupiter et d’Anaxithée, fille de Danaüs, épousa Léthée, P

, pour avoir osé se dire plus belle que les déesses. Opante, fils de Jupiter , était une personnification de la race opontienne

était une personnification de la race opontienne. Orchomène, fils de Jupiter et de la Danaïde Hésione, épousa Hermippe, fille

ces ou frères Paliques, deux jumeaux Siciliotes ; ils étaient fils de Jupiter et d’Etna, fille de Vulcain, qui se cacha dans le

On leur sacrifia long-temps des victimes humaines. Pelasgue, fils de Jupiter et de Niobé, fille de Phoronée, était la personni

a race Pélasgique qui, la première, habita la Grèce. Persée, fils de Jupiter et de Danaé, reçut aussi de Polydecte le nom d’Eu

ros ou né de l’or. Ce héros, comme on doit s’en souvenir, était né de Jupiter qui s’était changé en pluie d’or pour s’introduir

re d’ailes, arrive en Mauritanie, demande l’hospitalité comme fils de Jupiter au géant Atlas, roi de cette contrée, lequel la l

aça dans les cieux, pour y former une constellation. Phagre, fils de Jupiter et d’Othréis, frère aîné de Mélitée ; ce fut lui

rrons placé sur le trône d’Elide par Hercule. Pilumne, était fils de Jupiter ou de Stercès et de la nymphe Garamontès : on le

t le Sérapis égyptien, humanisé dans l’Asie Mineure. Il était fils de Jupiter et d’Europe, et frère de Minos et de Rhadamanthe.

et de Teucer ; puis enfin, lui-même trouve la mort malgré l’appui de Jupiter son père ; et il tombe sous les coups de Patrocle

ommeil et à la mort qui le transportèrent en Lycie. Spartée, fils de Jupiter et de la nymphe Himalie, reçut le jour dans l’île

dans l’île de Rhodes, après la défaite des Titans. Tantale, fils de Jupiter et de la nymphe Pluto, régna sur la ville de Cipy

et la mort et les tourmens qui furent sa punition. Taygète, fils de Jupiter et de Taygète, n’est autre que le mont Taygète en

Taygète, n’est autre que le mont Taygète en Laconie. Titias, fils de Jupiter , était un héros Crétois, qui était invoqué comme

pendant toute sa vie d’un bonheur inaltérable. Titye, Géant, fils de Jupiter et de la nymphe Élara, qui mourut en le mettant a

es. On lui éleva des autels dans l’île d’Eubée. Tritopatrée, fils de Jupiter et de Proserpine, est regardé par quelques auteur

mers et surveillans des intérêts publics ou privés. Zéthus, fils de Jupiter et d’Antiope et frère d’Amphion, fut exposé et tr

s les plus empressés. A peine était-il sorti de l’enfance, qu’il aida Jupiter son frère dans la lutte qu’il soutint contre les

a beaucoup de jeunes nymphes belles et naïves, mais il ne put tromper Jupiter qui découvrit qu’il conspirait contre lui, et le

vaincu une autre fois par la même Déesse au sujet de Trézène ; alors Jupiter , pour tout concilier, donna le titre de roi de Tr

uries remplissaient dans les enfers ; on les appelait chiens ailés de Jupiter et de Junon. On les représente avec un visage de

Téléphassa, ou avec Argiope ou Damno, dont il eut Europe enlevée par Jupiter , et quatre fils ; Cadmus, Thasos, Cilix et Phénix

ue lui causèrent ses filles. D’abord, il vit tomber sous les coups de Jupiter sa fille Sémélé ; Ino causa par sa jalousie et se

e put lui résister et fut obligé de fuir le long de l’Ismène. Soudain Jupiter entr’ouvre la terre et chevaux, char, écuyer, pri

ut même chargé d’assiéger la porte Ogygique, où il périt foudroyé par Jupiter , pour avoir prétendu pouvoir entrer dans la ville

de ce dieu, car c’était Hippotès, époux de Ménècle, fille d’Hyllus ou Jupiter qu’on lui donnait pour père, néanmoins on prétend

it encore dans la Grèce d’autres vents du nord, appelés Etésiens, que Jupiter , à la demande d’Alistée, faisait chaque année sou

trouva ensuite, par punition, foudroyé et métamorphosé en rocher par Jupiter . Il y avait à Anthédon en Béotie, un endroit que

u’un des insulaires. Ils lui font, en outre, épouser Thébée, fille de Jupiter et d’Iodamée, et de ce mariage, ils assurent qu’i

; Butès fils de Téléon ; Calaïs de Borée ; Canthus d’Abas ; Castor de Jupiter  ; Cénée d’Élatus ; Cephée d’Alée ; Cius d’Euryte 

ice et roi de Pelasgue ; Atalante, fille de Schœnée ; Castor, fils de Jupiter  ; Cénée ; Céphée, fils de Lycurgue ; Cométès, de

, fils d’Ixion ; Plexippe, l’un des frères d’Althée ; Pollux, fils de Jupiter  ; Prothée, fils de Neptune ; Télamon, d’Eaque ; T

auprès de son mari, qui fit charger de chaînes Pélée, jusqu’à ce que Jupiter , son grand-père, fût venu à son secours, en envoy

Junon et qui, avec le secours du géant Egéon, avait remis en liberté Jupiter , un jour que les autres Dieux l’avaient attaché.

tait également un dieu-fleuve de Sicile. Asope, dieu-fleuve, fils de Jupiter et de Clymène, épousa Métope, dont-il eut deux fi

filles : il surveillait strictement la conduite de ses enfans, aussi Jupiter s’étant épris des charmes d’Egine, changea son pè

venu fleuve, voulant cependant, sous cette métamorphose, se venger de Jupiter , enfla ses eaux pour submerger le pays ; mais le

m d’Eurotas, qui fut si célèbre dans la Mythologie, par les amours de Jupiter et de Léda, par les jeux de Castor et de Pollux,

uccéda devint le père d’Apis et de Niobé, la première femme aimée par Jupiter . Quant à Egialée il fonda le royaume de Sicyone,

ait la plus belle et fut l’objet des vœux d’Apollon, de Neptune et de Jupiter . Pourtant les Dieux ayant appris qu’un vieil orac

oissons. Naïades ou Abarbarées nymphes des eaux fluviales, filles de Jupiter et mères des Satyres. On les voit souvent figurer

nymphes des montagnes, filles d’Hécate et de Phoronée, ou, dit-on, de Jupiter  ; elles suivaient Diane à la chasse ou quelquefoi

u Alyxotoé, nymphe séduite par Priam ; Alicnoé, Amalthée, nourrice de Jupiter  ; Anthédon, de Béotie ; Anthracie ou le Charbon,