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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
qu’elles se multiplièrent. Notions générales sur l’histoire de la Grèce , et sur les temps nommés héroïques. C’est dan
ire de la Grèce, et sur les temps nommés héroïques. C’est dans la Grèce que l’héroïsme a pris naissance ; c’est dans son
lecteurs sur l’origine du peuple le plus célèbre de l’univers. Si la Grèce présente d’abord l’aspect de l’ignorance et de la
temps comment furent institués ces jeux et ces fêtes qui rendirent la Grèce si célèbre. Le pays que nous connaissons aujourd’
e si célèbre. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Grèce n’a pas toujours eu la même étendue qu’il avait l
égna en Phthiotide, pays de la Thessalie, et donna son nom à toute la Grèce . Il est remarquable que le nom hébreu Javan n’aya
semble à celui d’Ion ; et les premiers Ioniens connus étaient dans la Grèce . Ils en furent probablement les premiers habitans
raversèrent probablement le Bosphore de Thrace pour se rendre dans la Grèce . Voilà sans contredit les premiers habitans de ce
ient l’Arcadie. Voilà, suivant Pausanias, les premiers habitans de la Grèce . Quelque temps après, les colonies égyptiennes et
s, leur religion. L’idolâtrie la plus grossière régnait alors dans la Grèce  ; les dieux qu’on y adorait n’avaient pas même de
de Lacédémone. Une histoire exacte et générale des commencemens de la Grèce dépasserait les bornes que nous nous sommes presc
lus certaines prouvent qu’Inachus quitta la Phénicie, et vint dans la Grèce fonder le royaume d’Argos, environ dix-huit cent
existence et leur succession au trône dans toutes les histoires de la Grèce . Nous remarquerons cependant Danaüs, contemporain
e. Ces derniers ayant appris que leur oncle occupait un trône dans la Grèce , s’embarquèrent avec le projet de demander leurs
up mieux ces mêmes temps. Inachus, en conduisant ses colonies dans la Grèce , porta ses connaissances aux peuples sauvages de
e trouva bientôt entièrement couverte. Voeser, dans son Voyage de la Grèce , après avoir attentivement observé le pays, assur
ère époque de cette chronique commence à l’arrivée de Cécrops dans la Grèce , et c’est de ce temps que l’on ne peut plus s’éga
i contiennent la chronologie des principaux événemens arrivés dans la Grèce , en commençant à Cécrops, et en finissant à l’arc
la tradition avait pu leur transmettre. Arrivée de Cadmus dans la Grèce . Environ treize cent cinquante ans avant l’èr
on pour venir avec une colonie former un nouvel établissement dans la Grèce . Il s’empara d’abord d’une partie de la Béotie, f
et sa religion, qu’ils préférèrent bientôt aux usages barbares de la Grèce . Dès lors les Æoniens et les Phéniciens, en s’uni
. Suivant les anciens, ce fut Cadmus qui, le premier, apporta dans la Grèce l’usage des lettres. Ce qu’il y a de certain, c’e
absolument semblables. Outre l’alphabet, inconnu jusqu’alors dans la Grèce , Cadmus apporta le culte des divinités de l’Égypt
plus il paraît démontré que c’est à la Phénicie et à l’Égypte que la Grèce devait ses lois, ses coutumes, sa religion, les a
, sa religion, les arts et les sciences. Arrivée de Pélops dans la Grèce . Le dernier étranger célèbre qui arriva dans
ops dans la Grèce. Le dernier étranger célèbre qui arriva dans la Grèce avant la prise de Troie, fut Pélops, fils de Tant
vait déclarée pour venger l’enlèvement de Ganymède, se retira dans la Grèce , où il épousa Hyppodamie, fille d’Œnomaüs, roi de
s’étendit beaucoup plus loin : il fut un des plus puissans rois de la Grèce . Ce prince eut deux enfans, Atrée et Thyeste, fam
plus célèbres dans l’histoire. Ce fut lors de ce fameux siége que la Grèce produisit le plus grand nombre de ses héros. Ils
’un si grand événement, célébré par les deux plus grands poëtes de la Grèce et de l’Italie, qu’à cause qu’on peut rapporter à
remonte à Cadmus. Ils observent que ce prince, ayant rapporté dans la Grèce les lois, les usages et les mœurs d’Égypte et de
onner l’histoire, et même seulement les noms de tous ceux auxquels la Grèce et l’Italie avaient accordé un culte religieux ou
es qui tiennent à l’histoire de Persée. Persée, de retour dans la Grèce , remercia les dieux de son heureux voyage. Il con
ésentait un cheval ailé. Aussitôt que ce prince fut de retour dans la Grèce avec des richesses immenses, on célébra son retou
ttirait toujours à Athènes les personnes les plus considérables de la Grèce . Minos voulut y envoyer son fils Androgée. Ce jeu
me servait sa colère. Une sécheresse extraordinaire désolait toute la Grèce . L’oracle consulté répondit que le seul Éacus pou
ul Éacus pourrait apaiser les dieux par ses prières. Une partie de la Grèce fut soulagée, mais le ciel fut d’airain pour Athè
roi d’Athènes, fut l’ouvrier le plus savant et le plus célèbre de la Grèce . Habile architecte, ingénieux sculpteur, il inven
s’accrut par ses malheurs plus encore que par ses ouvrages. Toute la Grèce redoutait Minos ; elle s’étonna de voir un homme
irent. La belle Hélène, fille de Tyndare, était célèbre dans toute la Grèce , quoiqu’elle fût encore fort jeune. Pirithoüs et
uriosité générale ; on accourut à Athènes de toutes les parties de la Grèce . Thésée craignit que le trop grand nombre d’étran
rendre avec sûreté, parce qu’à l’exemple d’Hercule il avait purgé la Grèce des scélérats et des bêtes féroces qui l’infestai
. La puissance des Athéniens ne fut pas assez grande pour empêcher la Grèce et l’univers de conserver le souvenir de la gloir
il chercha tous les moyens de l’occuper, et même d’exposer sa vie. La Grèce alors était remplie de brigands, de scélérats et
se de Troie ; il fait une des principales époques de l’histoire de la Grèce  ; elle est même regardée comme la plus exacte de
des Argonautes : histoire de Jason et de Médée. L’histoire de la Grèce n’a pas d’événement plus célèbre et plus rempli d
pédition militaire, entreprise par les plus illustres guerriers de la Grèce , pour recouvrer les trésors que Phryxus avait emp
la flotte, et qu’il portait tous les chefs de l’expédition. Toute la Grèce ayant pris part à cet événement, et les fables en
rice de son père, les fit embarquer secrètement et les envoya dans la Grèce . Elle avait appris la mort d’Ino ; elle espéra qu
e tous les Argonautes ; nous observerons seulement que tout ce que la Grèce possédait alors de plus distingué par la naissanc
le était écrite en langue phénicienne. Cette langue, apportée dans la Grèce par Cadmus, avait infiniment de mots équivoques,
ui rendait la mémoire de leurs pères odieuse et méprisable à toute la Grèce . Long-temps après, une nouvelle fable vint encore
mère, et transmit son nom aux Mèdes. Mais toutes les traditions de la Grèce s’accordent pour dire que Jason mourut dans la Th
it à côté de leur tombeau. On les honora d’abord comme des héros : la Grèce finit par les admettre au nombre de ses grands di
porta la fable des enfers, les orgies et les autres cérémonies que la Grèce adopta par la suite. Musée, son fils, Mélampus et
res Grecs après lui, firent ce même voyage. Orphée, de retour dans la Grèce , s’y rendit respectable, en persuadant qu’il conn
charsis s’est permis d’écrire sur ce sujet. « Le repos dont jouit la Grèce , après la seconde guerre de Thèbes, ne pouvait êt
ces impressions funestes. « Sur la côte de l’Asie, à l’opposite de la Grèce , vivait paisiblement un prince, qui ne comptait q
en ce canton de l’Asie le même éclat que le royaume de Mycène dans la Grèce . « La maison d’Argos, établie en cette dernière v
me de Sparte, lui donnait une grande influence sur cette partie de la Grèce qui, de Pélops, son aïeul, a pris le nom de Pélop
fut destiné à faire éclore ces semences de division. « Pâris vint en Grèce , et se rendit à la cour de Ménélas, où la beauté
la mort, éclatent et se répandent de toutes parts. Les nations de la Grèce s’agitent comme une forêt battue par la tempête.
ion, les Grecs n’avaient pu établir une communication suivie entre la Grèce et l’Asie. Les subsistances commencèrent à manque
ous les efforts des Grecs ; et sa chute fit un si grand bruit dans la Grèce , qu’elle sert encore de principale époque aux ann
fils. « Ces horreurs, multipliées dans presque tous les cantons de la Grèce , retracées encore aujourd’hui sur le théâtre d’At
utume des Égyptiens. De l’Égypte et de la Phénicie elle passa dans la Grèce , et de la Grèce à Rome. Cette opinion est fondée
ens. De l’Égypte et de la Phénicie elle passa dans la Grèce, et de la Grèce à Rome. Cette opinion est fondée sur le sentiment
tains de l’antiquité. Deucalion fit élever les premiers temples de la Grèce , et Janus les premiers de Rome. Les temples des a
ès. Ce monarque des Perses, après sa malheureuse expédition contre la Grèce , pilla les immenses richesses de ce temple, et le
n de Rome. Rome et l’Italie n’avaient pas moins de temples que la Grèce . Plusieurs étaient remarquables par leur magnific
Au rapport d’ Hérodote , l’oracle de Dodone, le plus ancien de la Grèce , et celui de Jupiter Ammon, dans la Libye, ont la
enlevées par des marchands phéniciens ; l’une d’elles fut conduite en Grèce . Le hasard, ou quelque cause oubliée, lui fit éta
de Delphes. L’oracle de Delphes n’a pas été le plus ancien de la Grèce  ; mais il a été le plus célèbre, et celui qui a d
Lébadée, dit Pausanias , est une des villes les plus ornées de la Grèce . On trouve auprès de cette ville un bois sacré ;
ette perte, envoya dans divers endroits, à Samos, à Érythrée, dans la Grèce et dans l’Asie, pour recueillir ce que l’on pourr
éâtre, en l’honneur de Bacchus, de Vénus et d’Apollon. Les jeux de la Grèce les plus célèbres furent les olympiens, les pythi
ar un sacrifice solennel : on y accourait de toutes les parties de la Grèce . Les vainqueurs étaient nommés à haute voix par u
lles étaient toutes de la main des sculpteurs les plus célèbres de la Grèce . Les odes de Pindare qui nous restent immortalise
cendans d’Hellen furent si nombreux, et devinrent si puissans dans la Grèce , qu’ils firent établir une loi par laquelle il fa
s peuples Celtes, les anciens Syriens, et les premiers habitans de la Grèce croyaient que le dieu céleste s’était uni avec la
e même esprit d’inquiétude qui portait les peuples de l’Asie et de la Grèce à chercher tous les moyens de pénétrer dans l’ave
isions inspiraient infiniment plus de confiance que les oracles de la Grèce et de l’Italie. Les empereurs les firent souvent
2 (1850) Précis élémentaire de mythologie
té. C’était le jour de la naissance d’Alexandre. On célébrait dans la Grèce beaucoup de fêtes en l’honneur de cette déesse :
Panathénées tous les cinq ans. On y disputait en présence de toute la Grèce les prix d’éloquence et de poésie. A Rome, on cél
la grande divinité des Libyens. Il avait de nombreux temples dans la Grèce et Italie. On célébrait même des fêtes et des jeu
appelait ainsi parce qu’ils se tenaient dans l’isthme de Corinthe. La Grèce entière y accourait. On s’y exerçait de la même m
jouer. 4. Pausanias dit que quand les Gaulois se précipitèrent sur la Grèce , Pan les frappa d’une terreur subite au moment où
sait qu’elle avait présidé à l’âge d’or. Elle eut des temples dans la Grèce et à Rome. Celui d’Athènes était très-riche et ma
it le droit d’entrer. 4. L’Occasion était la déesse de l’à-propos. En Grèce , c’était un dieu ; à Rome, une déesse. Elle prési
gonautes fut entreprise pour défendre la civilisation naissante de la Grèce contre les invasions des pirates ; les exploits d
es. 1. L’histoire nous apprend que les différentes peuplades de la Grèce s’unirent pour attaquer dans leurs repaires, sur
étès. Celui-ci fit périr Phryxus et s’empara de la toison d’or. 3. En Grèce on apprit bientôt l’indigne conduite du tyran. Le
va toute sa vertu prophétique, et il engagea tous les guerriers de la Grèce à le suivre. Hercule, Thésée, Castor et Pollux, q
la toison d’or, il s’enfuit de Colchos avec Médée et repartit pour la Grèce . Eétès les poursuivit, et envoya contre eux son f
nnière. 7º Les écuries d’Augias, roi de l’Elide, infectaient toute la Grèce . Elles n’avaient pas été nettoyées depuis trente
ait lancé contre Minos dans l’île de Crète, d’où il menaçait toute la Grèce . 12º Enfin il descendit aux enfers pour délivrer
ui ont fait épouser Hébé, la déesse de la jeunesse. Les peuples de la Grèce et de l’Italie lui ont élevé des temples. Le plus
raver à son tour sur sa redoutable égide. 6. Persée revint ensuite en Grèce avec son épouse et rétablit sur son trône Acrisiu
t à bâtir la Cadmée. La colonie dont Cadmus était le chef répandit en Grèce la science des Phéniciens et des Egyptiens. C’est
ages historiques prouvent que l’écriture alphabétique était connue en Grèce avant l’arrivée de Cadmus ; seulement après lui e
éroïques, la guerre de Troie. On comptait alors dans la Thessalie, la Grèce centrale, le Péloponèse et les îles, cinquante et
Pâris, fils de Priam, le successeur de ces princes outragés, vint en Grèce , à la cour de Ménélas, et usa de représailles. Il
rtionnée à l’outrage qu’il leur avait fait. Les Atrides appelèrent la Grèce entière aux armes, et les princes les plus illust
le départ, Agamemnon paya bien cher l’honneur de commander à toute la Grèce . La flotte était à peine réunie en Aulide que le
e mont Ida. Il y construisit une flotte de vingt vaisseaux, côtoya la Grèce , la Thrace et l’Epire, et fut jeté par une tempêt
chère épouse. 15. Ici se termine l’histoire des temps héroïques de la Grèce . Pour compléter rémunération de tous les demi-die
. Le premier besoin qui se fit alors sentir fut un besoin d’unité. La Grèce comprit que jamais elle ne pourrait jouer un rôle
e à de grandes confédérations, et contribuèrent à la prospérité de la Grèce , en prévenant une foule de guerres intestines et
si grand, qu’on ne pouvait y placer que les principaux membres de la Grèce . On y disputait successivement le prix de la lutt
des de feuilles de pin. Mais les plus célèbres de tous les jeux de la Grèce furent les jeux olympiques. Hercule Idéen les inv
es rétablit en 884, pour faire cesser une peste qui désolait toute la Grèce . On convint alors de les célébrer tous les quatre
sous Sylla, et remplacés par d’autres qu’on recueillit en Italie, en Grèce et en Asie, mais qui n’eurent jamais autant d’aut
Proserpine, qu’on a toujours considérés comme les plus célèbres de la Grèce . Les Athéniens s’y firent initier, lorsqu’ils se
pu, n accord avec Platon et tous les hommes les plus instruits de la Grèce , en faire un si magnifique éloge, en les appelant
frère de Médée. 107. Abyla, mont. d’Afrique, 115. Achéloüs, fl. de Grèce , 115. Achéron, fl. des enfers, 12, 69. Achille,
Méchanceté, 94. Athamas, roi de Thèbes, 65, 105. Athènes, v. de la Grèce , 45, 117, 120. Athéniens, 120, 160, 162. Atlas,
, ép. de Mars, 49, 97. Bengale, c. de l’Inde, 166. Béotie, c. de la Grèce , 25. Bérécynthie, nom de Cybèle, 17. Bérénice,
sur les mystères, 164. Circé, magicienne, 64, 154. Cirrha, v. de la Grèce , 155. Civilisation naissante de la Grèce, 104, 1
64, 154. Cirrha, v. de la Grèce, 155. Civilisation naissante de la Grèce , 104, 164. Claros, v. d’Ionie ayant un oracle, 1
48, 49. Corne d’abondance, 20. Corinne , 137. Corinthe, v. de la Grèce , 137, 156. Corybantes, prêtres de Cybèle, 18. C
étois, 150. Crichna, incarnation de Vischnou, 165. Crissa, v. de la Grèce , 155. Cupidon, fils de Vénus, 57. Cybèle, sœur
de Cérès, 30. Eleusis, bourg de l’Attique, 30, 160. Elide, c. de la Grèce , 113. Elis, capitale de l’Elide, 113. Embla, 49
rygie, 48. Ganymède, pr. troyen. 86, 87, 142. Gaulois, attaquent la Grèce , 75 ; leur religion, 182, 183. Géants, fils de l
eptune, 44, 127. Goutte, son culte chez les Grecs, 98. Grâces, 56. Grèce , 104, 136, 142, 152, 154. Grecs, leurs dieux et
de Prométhée, 24. Jason, chef des Argonautes, 104. Javelot, jeu en Grèce , 156. Jérémie , prophète, 172. Jérusalem, dépo
cales, fêtes de Pan, 76. Luperci, prêtres de Pan, 76. Lutte, jeu en Grèce , 155. Luxe, père de la pauvreté, 98. Lycaon, ch
51, 87. Olympiades, système de chronologie, 156. Olympie, v. de la Grèce , 157. Olympiques, jeux, 66, 155, 156. Omphale,
se, cheval ailé, 37, 86, 128, 129. Pélasges, peuples primitifs de la Grèce , 141. Pélias, son hist., 105, 108, 109. Pélion,
05, 108, 109. Pélion, mont, de Thessalie, 106. Péloponèse, c. de la Grèce , 105. Pébos, fils de Tantale, 72, 156. Pelvi, l
lie, 32. Pénélope, ép. d’Ulysse, 152. Pentathle, jeux publics de la Grèce , 156. Penthée, roi de Thèbes, 54. Périandre, ro
puni aux enfers, 72. Phobétor, un des songes, 84. Phocide, c. de la Grèce , 135, 148. Phœbus, un des noms d’Apollon, 34. P
son hist, 13 et suiv. Satyres, div. des bois, 78. Saut, jeu de la Grèce , 156. Scamandre, ou Xanthe, fl. de la Troade, 14
nt le vestibule de l’Enfer, 68. Soudras, 166, 168. Sparte, v. de la Grèce , 156. Sphère, inventée par Atlas, 41. Sphinx, m
ésée, roi d’Athènes, 54, 104, 114, 117 et suiv. Thessalie, c. de la Grèce , 105. Thétis, mère d’Achille, 143. Thor, 194.
3 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
Elle en avait aussi dans plusieurs autres villes de l’Italie et de la Grèce  ; un des plus célèbres se trouvait à Antium, où e
exploit fut la destruction des pirates qui désolaient les mers de la Grèce . Ils se joignirent ensuite à l’expédition des Arg
les. On lui attribue l’honneur d’avoir le premier fait connaître à la Grèce les lettres de l’alphabet. Il épousa Hermione ou
il soumit à son pouvoir presque toute la presqu’île méridionale de la Grèce , qui fut appelée, du nom de son conquérant, le Pé
nait à Troie lorsque cette ville célèbre tomba sous les efforts de la Grèce conjurée. Les cruelles vengeances qu’Hercule avai
Elle ne tarda pas à se présenter. Pâris, fils de Priam, était venu en Grèce pour réclamer sa tante Hésione, enlevée par Hercu
sse troyenne. Les plaintes du roi de Sparte retentirent dans toute la Grèce  ; tous les princes se rassemblèrent en courroux,
ne tempête qui détruisit les vaisseaux d’Ajax, comme il retournait en Grèce . Lui-même, échappé au naufrage, se réfugia sur un
Troie par Hercule, Priam, fils du roi Laomédon, fut emmené captif en Grèce avec sa sœur Hésione. Rendu à la liberté, il mont
sa famille et admis aux honneurs dus à sa naissance, il fut envoyé en Grèce pour réclamer sa tante Hésione ; ne pouvant réuss
quatre mètres de hauteur. Le monument religieux le plus célèbre de la Grèce était le temple de Diane à Éphèse 82 ; on le mett
Celui de Jupiter à Olympie 84 passait pour le plus grand de toute la Grèce . Il était tout environné au dehors de colonnes d’
e de Bélus ? — Quel était le monument religieux le plus célèbre de la Grèce  ? — N’y eut-il pas en Grèce d’autres temples dign
monument religieux le plus célèbre de la Grèce ? — N’y eut-il pas en Grèce d’autres temples dignes d’être cités ? — Quel fut
s Dieux. L’oracle de Dodone 86 est regardé comme le plus ancien de la Grèce . Il fut fondé par une femme égyptienne nommée Pél
de Jupiter à Thèbes, et qui, après avoir été enlevée, fut conduite en Grèce . Elle se fixa dans la forêt de Dodone, où elle él
e Jupiter. L’oracle de Delphes fut le plus célèbre de tous ceux de la Grèce . Voici l’histoire de sa découverte : un berger s’
en jeux scéniques, ou représentations de tragédies et de comédies. En Grèce , on distinguait, outre les luttes de chant et de
maient les mains de grosses courroies et d’une espèce de brassard. La Grèce eut un grand nombre de ces solennités, qui devinr
leur nom de l’isthme de Corinthe, qui sépare la Morée du reste de la Grèce . On croit généralement qu’ils furent créés par Th
x qu’on célébrait à Rome ? — Quels étaient les exercices pratiqués en Grèce  ? — Que rapporte-t-on des jeux olympiques ? — Qu’
ttait quelquefois au nombre des merveilles ? Les sept sages de la Grèce . En même temps que le goût des arts se dévelop
a Grèce. En même temps que le goût des arts se développait dans la Grèce , l’amour de la sagesse s’emparait aussi de quelqu
rale, de politique et de philosophie. — On nomma les sept sages de la Grèce sept hommes qui vécurent dans le même temps et qu
, né à Milet, en Ionie, tient la première place parmi les sages de la Grèce . En même temps qu’il traitait des questions purem
doute la flatterie qui le plaça au nombre des principaux sages de la Grèce , car l’histoire le présente comme un prince cruel
’impossible.   Socrate ne figure pas au nombré des sept sages de la Grèce , quoiqu’il soit le plus justement célèbre de tous
rut en les consolant. Questions. Qu’étaient les sept sages de la Grèce  ? — Dites ce qu’était Thalès. — Rapportez quelque
dition des Argonautes, entreprise par les principaux capitaines de la Grèce pour recouvrer les trésors que Phrixus avait empo
’un roi de Thrace, fut élevé en Égypte, et ce fut lui qui rapporta en Grèce la plupart des fables qui formèrent la religion d
ternelles, entre la mer Noire et la mer Caspienne. 7. Montagne de la Grèce , dans la Thessalie, séparée du mont Ossa par la v
. 11. Delphes, en Phocide, une des plus grandes villes de l’ancienne Grèce , renommée surtout par l’oracle d’Apollon. Cette v
ve le gouffre de Charybde, près des côtes de la Sicile. 41. Ville de Grèce , dans la Morée, au fond du golfe de Napoli, remar
80 mètres au-dessus du niveau de la mer. 44. Province de l’ancienne Grèce , comprise aujourd’hui dans la basse Albanie. 45
t du Pont-Euxin, qui en baigne les côtes. 60. Corinthe, ville de la Grèce , célèbre autrefois par sa richesse, son orgueil e
obé ; cette dernière fut métamorphosée en rocher. 65. Contrée de la Grèce ayant au nord la Thessalie, à l’est les Locriens,
rémunir contre les criminels projets de Clytemnestre ; en arrivant en Grèce , elle fut tuée par Egisthe, en même temps que le
4 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
s demi-dieux et des héros, quels furent les chefs qui conduisirent en Grèce des colonies égyptiennes et phéniciennes. Nous ap
parmi les enfans de Japhet, c’est-à-dire dans l’Asie mineure, dans la Grèce et dans les îles. L’Égypte et la Phénicie sont do
gore alla prendre cette opinion dans l’Égypte, et la répandit dans la Grèce , qui la transmit aux Romains. Le fameux Manès l’a
ença. On trouve dans Platon que les premiers hommes qui habitèrent la Grèce ne reconnaissaient point d’autres dieux que ceux
long-temps avant les climats d’Occident. Les premiers habitans de la Grèce vivaient sans arts, sans lois, sans coutumes régl
trouve l’origine des premiers demi-dieux et des premiers héros de la Grèce . L’une des sources les plus favorables à l’introd
’est-à-dire quatre cent quarante-deux ans après ; ce fut alors que la Grèce en fit son époque principale. On ne compta plus q
rand jour sur le chaos de l’histoire. Effets que produisit dans la Grèce et dans l’Occident l’arrivée des colonies orienta
Lorsque les Phéniciens ou les Égyptiens vinrent s’établir dans la Grèce , ils furent forcés d’apprendre la langue générale
cette déesse était arrivé à Chypre, à Cythère, et dans les îles de la Grèce , par des vaisseaux étrangers : on publia que Vénu
ère, la prise de Troie était généralement chantée, et les dieux de la Grèce étaient honorés avant l’histoire de ces poëmes. H
Il n’est pas douteux que l’Asie mineure, les îles de l’Archipel et la Grèce , ont d’abord été peuplées par les descendans de J
ns s’accordent entre eux pour assurer que les premiers habitans de la Grèce et des îles voisines n’avaient qu’une religion tr
uelques détails : « Les Pélasges, dit-il, peuple le plus ancien de la Grèce , honoraient leurs dieux sans les connaître et san
ils allèrent alors consulter l’oracle de Dodone, le plus ancien de la Grèce , et lui demandèrent s’ils recevraient les noms de
us apprend que le culte de Bacchus ou Dionysius fut introduit dans la Grèce par Mélampus et par Cadmus. D’autres auteurs se r
olonies égyptiennes et phéniciennes dut causer dans la religion de la Grèce . Il faut observer en outre que les Grecs, en rece
Phrygie, qui est une partie de l’Asie-Mineure, d’où il arriva dans la Grèce et dans l’Italie. On trouvera que l’idolâtrie et
rapport d’ Hérodote, ce fut une prêtresse de ce dieu qui alla dans la Grèce établir le premier oracle. Les Scythes avaient le
, il fut obligé de se retirer avec précipitation dans la partie de la Grèce qui, par la suite, porta le nom de Péloponèse. Ju
, où Janus le reçut favorablement. Les Titans, alors répandus dans la Grèce , jaloux de la puissance du nouveau conquérant, et
urs ; on sait seulement que Jupiter s’était réservé tout l’Orient, la Grèce , ses îles, et la partie de l’Asie d’où venaient s
dans ces fragmens d’histoire toutes les traditions répandues dans la Grèce au sujet de Jupiter et de sa famille ; mais on a
l’Italie, ou dans l’Épire, ou dans les pays situés à l’occident de la Grèce . Les Titans ayant été forcés de se réfugier dans
t possible cependant qu’ils en soient les premiers inventeurs dans la Grèce , et, sur les marbres de Paros, nommés aujourd’hui
profita de sa liberté pour venir passer le reste de ses jours dans la Grèce . Après sa mort, on lui accorda les honneurs que l
héros s’acquit la plus grande gloire en apportant le premier dans la Grèce la science de la sphère. Ce fut à ce sujet qu’on
les Grecs appelèrent Hespéries toutes les régions occidentales de la Grèce . Histoire du Soleil. Les Grecs et les Roma
m. On croit qu’Orion était disciple d’Atlas, et qu’il apporta dans la Grèce la connaissance des mouvemens des cieux ; ce qui
tre donna lieu à l’établissement des jeux Pythiens, si connus dans la Grèce . On les célébrait tous les quatre ans. Pendant ce
sœur de Pélops, suivit son frère lorsqu’il passa dans la partie de la Grèce qui prit de lui le nom de Péloponèse. Elle épousa
dieu plus honoré qu’Apollon. Ses temples étaient sans nombre dans la Grèce et dans l’Italie. Dans tous, on consultait ses or
s allons donner l’histoire ou plutôt la fable de Diane adoptée par la Grèce . Les Grecs honoraient Diane sous trois qualités d
isant que le culte de cette divinité fut rapporté de l’Égypte dans la Grèce par Orphée. Cadmus l’ayant favorablement accueill
parfaitement. Ce rapprochement sert à prouver de plus en plus que la Grèce devait le culte de ses dieux et même la plupart d
it reconnaître aussi que le culte de cette divinité fut porté dans la Grèce par Cadmus. Sémélé, fille de ce prince, eut un fi
ginaire de Saïs, quitta cette ville, et conduisit une colonie dans la Grèce , où l’on adopta bientôt ses coutumes et son culte
ppelait souvent Mars Hyperboréen. Le quatrième Mars était celui de la Grèce , que l’on surnommait Arès ; et le cinquième était
dans le combat contre les Géans. Elle avait plusieurs temples dans la Grèce et dans Rome. Ce fut dans son temple que les Roma
a Syrie. De là ils allèrent à Cythère, île voisine du continent de la Grèce . Leur commerce et leur religion furent adoptés pa
emple de Cythère était le plus ancien de ceux que Vénus avait dans la Grèce . L’histoire d’Astarté fut bientôt confondue par l
oire de Leucate resta fameux, et la malheureuse Sappho, à laquelle la Grèce donnait le nom de dixième Muse, vint encore ajout
s à céder au jugement de Pâris, il rassembla toutes les beautés de la Grèce  ; mais l’ingénieux artiste n’imita point le berge
t Euphrosine. Homère donne le nom de Pasithée à l’une des Grâces : la Grèce et plusieurs autres pays reconnaissaient souvent
illes de Périnthe, de Bysance, de Delphes, et beaucoup d’autres de la Grèce et de la Thrace, leur avaient élevé des temples.
à Vénus. On trouvait que les fleurs rappelaient leur image. Toute la Grèce était remplie de monumens qui les représentaient.
t des libations à l’Océan, aux mers, aux fontaines et aux fleuves. La Grèce n’avait ni rivières ni fontaines où l’on ne plaçâ
rifices. Les descendans d’Éole, après avoir donné plusieurs rois à la Grèce , envoyèrent des colonies dans l’Asie Mineure, don
Pendant le règne d’Érechthée, une grande famine se fit sentir dans la Grèce . Les Athéniens, dont le sol était peu fertile, so
ain qu’Esculape était connu dans la Phénicie, avant de l’être dans la Grèce . Sanchoniaton, le plus ancien des auteurs phénici
ape. Honoré comme un dieu dans ces deux pays, son culte passa dans la Grèce , et fut apporté par des colonies. On l’établit d’
5 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
r de glands. Ses oracles les plus célèbres étaient ceux de Dodone, en Grèce , et d’Ammon, en Libye. Ses principaux enfants fur
Harcelée, ensanglantée, cette malheureuse parcourut dans sa fuite la Grèce et l’Asie-Mineure, traversa à la nage la Méditerr
divinité. Il eut des temples sans nombre dans l’Asie-Mineure, dans la Grèce , en Italie, spécialement dans les contrées mariti
nnait, et dont il était la divinité principale. De là il parcourut la Grèce . Arrivé en Attique, il y fut témoin des outrages
ers ; il possédait au plus haut degré la connaissance de l’avenir. La Grèce et l’Italie respectaient ses oracles, dont les pl
erser, pour y parvenir, un désert immense et brûlant. A son retour en Grèce , Bacchus épousa une des filles de Minos, roi de C
circonspect et réservé. Bacchus visitant les diverses contrées de la Grèce , séjourna dans les états d’Icarius, auquel il ens
a poésie et la musique, traversèrent la Thessalie et une partie de la Grèce , pour venir disputer aux Muses le prix du chant.
d’Aréthuse. (Les objets qu’on jetait dans le courant de l’Alphée, en Grèce , se retrouvaient, dit-on, dans la fontaine d’Arét
ichesse et de la pauvreté. On l’honorait dans plusieurs cantons de la Grèce , et elle avait divers temples en Italie, dont les
Mort. La Mort, fille de la Nuit, habitait le seuil du Tartare. La Grèce ne lui éleva ni temples ni autels ; et, quoique r
nuisibles. Tant de sagacité et de talent firent publier par toute la Grèce que Prométhée avait le don de prophétie, qu’il li
r combattre ce roi, de lui ravir ses troupeaux, et de les conduire en Grèce . Secondé d’Iolas, son parent, il exécuta ce nouve
t l’occasion d’en acquérir. Son expédition est annoncée dans toute la Grèce  ; cinquante-deux princes accourent à Iolchos, pou
idaure, sa patrie ; de là il se répandit dans les autres villes de la Grèce , passa en Asie et enfin à Rome. — On le représent
u rapport de plusieurs auteurs, ce fut Cadmus qui porta le premier en Grèce la connaissance des lettres de l’alphabet, et qui
yre, et lui en asséna sur la tête un coup mortel. Linus, pleuré de la Grèce entière, obtint les honneurs de l’apothéose. La v
nlever la jeune Hélène, fille de Tyndare, déjà renommée dans toute la Grèce pour sa beauté. Leur projet réussit, et ils tirèr
voisins. Il quitta donc la Lydie avec Niobé sa sœur, et se retira en Grèce , où il demanda en mariage la belle Hippodamie, fi
endit au loin, et son nom fut donné à la presqu’île méridionale de la Grèce (le Péloponèse). Du mariage d’Hippodamie et de Pé
ant son intérêt propre à l’intérêt public, fit annoncer dans toute la Grèce qu’il donnerait Jocaste et la couronne de Thèbes
erfide étranger, et fait retentir de ses plaintes le Péloponèse et la Grèce . A sa voix éloquente, tous les capitaines, tous l
mortel qui va rejaillir sur son nom : voudrait-il être la fable de la Grèce et la risée de ses ennemis ? Peu à peu les sentim
le y réussit en effet : le fils d’Atrée lui pardonna, et la ramena en Grèce , où de nouveaux chagrins l’attendaient. La mort l
autant d’adresse que de chaleur les services qu’il avait rendus à la Grèce  : son éloquence triompha. Ajax, désespéré d’une p
tait une offrande à Minerve, pour obtenir d’elle un heureux retour en Grèce et apaiser la colère qu’elle ressentait de l’enlè
mettre un jour le siége devant Mycènes, et de rendre au centuple à la Grèce tous les maux, toutes les calamités qu’ils en ont
§ 8. Anténor. Anténor, prince troyen, parent de Priam, voyagea en Grèce dans sa jeunesse, s’y lia étroitement avec plusie
le tua. Mais après la prise de Troie, il refusa de retourner dans la Grèce , sa patrie, soit parce que son père n’existait pl
années, elle ne le voyait point revenir avec les autres princes de la Grèce . La beauté de Pénélope, ses talents, ses vertus,
assassiné par Égisthe et Clytemnestre, le jour même de son arrivée en Grèce . Après ce meurtre, la reine épousa Égisthe, son c
redoublèrent lorsqu’elle apprit le départ de son frère Pâris pour la Grèce  : on se moqua d’elle. Quand elle voulut empêcher
igie sur leur monnaie. Le surnom de dixième Muse lui fut donné par la Grèce entière, admiratrice de ses élégies touchantes et
conta son aventure. Le bruit de ce miracle se répandit dans toute la Grèce  ; Épiménide y fut regardé comme un homme chéri du
, après avoir ravagé une partie de l’Asie-Mineure, se jetèrent sur la Grèce et dans les îles du voisinage, où elles causèrent
ie. Les sorcières de Thessalie étaient les plus renommées de toute la Grèce  : elles tenaient de Médée leurs connaissances mag
lieux destinés à cet usage. Il n’y avait point de Jeux, soit dans la Grèce , soit à Rome, qui ne fussent consacrés à quelque
préalablement offert des sacrifices. Les quatre principaux Jeux de la Grèce étaient les Olympiques, les Pythiques, les Isthmi
es plus anciens, les plus solennels et les plus brillants de toute la Grèce . L’origine en est fort obscure ; mais on croit co
même objet, après quatre ans accomplis. Les guerres intestines de la Grèce interrompirent ces convocations jusqu’au règne d’
. On divinisa les passions et les vices. Mais c’est aux peuples de la Grèce que la mythologie doit son plus grand éclat ; ils
6 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
iré les élémens des Ténèbres, lesquels portaient les noms d’Achlys en Grèce , de Caligo à Rome : alors les Ténèbres enfantèren
stant dans le cours de cette cérémonie. Elle commençait dans toute la Grèce le 21 mars ou premier jour de l’équinoxe de print
commencement des guerres médiques, ces Galles se répandirent dans la Grèce , puis de là en Italie. Ils erraient de village en
ment considérée comme femme de Saturne et mère des grands Dieux de la Grèce . Car la Cybèle de Phrygie est bien un personnage
ant aux statues de Rhée, elles différaient peu ou même pas du tout en Grèce , et à Rome dans les temps historiques, de celles
en outre de Jupiter et de Thémis ou Gâthémis. Bientôt dans toute la Grèce , la journée fut subdivisée en dix fractions, appe
acée au pied du mont Pélion, devint la plus célèbre école de toute la Grèce . Là il eut pour disciples : Achille, Amphiaraüs,
ron fut le plus grand médecin ou mieux le plus grand chirurgien de la Grèce primitive ; mais revenons à son père, fils d’Uran
d’Acmon, Protogone ou premier-né. Mais dans les derniers temps de la Grèce , à l’époque de l’incrédulité grecque, ce nom de S
il ne faut pas s’étonner s’il n’eut pas un culte bien célèbre dans la Grèce . Cependant il avait un temple à Ellis, à Drépanne
u dans un char à travers l’espace. Il ne fut pas grandement vénéré en Grèce , la Thessalie seule lui rendait les honneurs divi
Si l’exil de Saturne en Italie fut préjudiciable à son culte dans la Grèce , il lui fut au contraire fort utile à Rome. Ce fu
n torse d’homme et une queue de cochon. Ces pierres, connues aussi en Grèce , et faisant allégorie aux enfants qu’il avait ava
à observer que le nom du dieu importé d’une contrée éloignée dans la Grèce , devenait toujours un surnom, pour montrer son or
evoir, en admettant que la plupart des rois des temps primitifs de la Grèce prenaient ce titre. Ainsi, outre les précédens, o
Celtes. Quant à Jupiter, il s’était réservé l’Orient, c’est-à-dire la Grèce , les îles, les environs et toute la partie orient
termina et fit disparaître tous les brigands de la Thessalie et de la Grèce  ; puis son goût pour la débauche le jeta au milie
achions trop dans quelle contrée, puisque la plupart des villes de la Grèce réclament sa naissance. Rhéa se sentant grosse et
e, ou séjour habituel de son conseil divin ; et comme on supposait en Grèce que cet aréopage sacré se réunissait dans le ciel
ds-Dieux qu’on rencontrait les involuti Dii ou Dieux enveloppés de la Grèce primitive et même de tout l’Orient. L'art, encore
pas moins une des 48 constellations qui passèrent de l’Egypte dans la Grèce . Récompenser ou punir les mortels n’était pas le
Jupiter-Milichius ; les Diipolies s’adressaient dans les villes de la Grèce à Jupiter-Polieus ; les Dios Bœs, se célébraient
nies étaient des fêtes offertes au même dieu ; tous les peuples de la Grèce y prenaient part ; on en attribuait l’institution
ns, l’olivier, arbre de la paix, et le chêne, dont les fruits dans la Grèce et en Italie, avaient servi à nourrir les hommes.
e chez les Athéniens et un temple à Rome. Après celle venait Nicée en Grèce , ou la Victoire des Romains. Elle avait des ailes
t la seule légitime de toutes les épouses de Jupiter, était connue en Grèce sous la désignation de Héra ou la maîtresse, et à
de l’importation de Jupiter, de Saturne, de Cybèle et de Rhée dans la Grèce , où déjà se trouvait Junon, les prêtres se mirent
ulcain, appelé aussi Opas, Aphatas ou Aphthas en Egypte, Hephestos en Grèce , et Vulcanus à Rome, portait les surnoms suivans 
époux ou l’amant de Minerve. Vulcain était particulièrement honoré en Grèce et à Memphis, ses fêtes s’appelaient Céramicies à
ur de grands changemens, Necys ou le dieu de la mort en Ibérie, et en Grèce le guerrier à bouclier, lance et égide, Pylotis o
e ; Tmole, fils de Théogène. Le culte de Mars fut très-peu honoré en Grèce , puisqu’il n’y avait aucun temple, mais seulement
runté à celui de la Diane taurique, fut importé de la Scythie dans la Grèce par Oreste et Iphigénie sa sœur. Maintenant reven
dire, était la haute déesse, la génératrice femelle et passive de la Grèce , pourtant elle était moins reine, moins déesse qu
ho, elle indique une divinité babylonienne ou arabe, importée dans la Grèce , et sous celui de Maïa : elle offre la même divin
on d’un Soleil, dans Niobée, cele d’une Lune, adorés et abondonnés en Grèce , à l’introduction du culte des Latonides ; quant
nseils, Aritée ou l’excellente, en attique Arthenus ou la douceur, en Grèce , Astratée ou anti-militaire, Astyrène et Astyris
chasse, aux chasseurs, à leurs chiens et aux forêts, et par suite, en Grèce , aux ports. Quand on la considérait dans le ciel
privées de sépulture. Son culte, importé par Orphée d’Egypte dans la Grèce , se mêla presque partout avec celui de Diane, et
us, le culte de cette déesse ne tarda pas à se répandre dans toute la Grèce . Ses temples les plus fameux étaient ceux d’Éphès
x être compris. Ainsi dans l’origine des temps les plus anciens de la Grèce , il est Hélios ou soleil, souvent confondu avec d
guerrières auxquelles prirent part les héros les plus célèbres de la Grèce antique. Apollon fut reçu chez ce roi comme un pr
es ou dieux qui avaient les plus grands rapports avec les Muses de la Grèce . Hémeros, ou Dies, ou le Jour, ayant en outre ét
les Alloïdes et les Pyrrhiques, ou espèce de Corybantes primitifs, en Grèce où ils fondèrent le culte de ces déesses. Chacune
dans une caverne du Parnasse. Les Muses dans plusieurs parties de la Grèce et de la Macédoine avaient un culte particulier.
as qu’on les invoquait. Leurs fêtes, appelées Musées, avaient lieu en Grèce avec plus ou moins d’apparat. Les Thespiens, tous
ngée par ce Dieu pour un fait inconnu, en un oiseau appelé Aiphius en Grèce  ; le pasteur Cragalée d’Ambracie, qu’Apollon prit
ment une personnification du soleil, nous le voyons venir d’Égypte en Grèce , y perdre son nom d’Osiris et y recevoir comme as
que son culte prit sur la terre le plus grand développement, tant en Grèce que plus tard dans toute l’Italie. On lui consacr
le lion, le loup et le phénix. Son culte était répandu dans toute la Grèce , dans les îles de la mer Egée, dans la Crète ; da
dieu de l’harmonie ou comme soleil, elles étaient fort nombreuses en Grèce et à Rome. Ainsi l’on connaissait : les Actiaques
eur de Jupiter. Les Héliaques avaient passé de Perse en Cappadoce, en Grèce et à Rome. Elles se célébraient en l’honneur du s
. Les Néoménies des Grecs ou Calendes romaines étaient, dans toute la Grèce et à Rome, comme en Egypte, les fêtes de la nouve
Pythiens étaient les fêtes les plus brillantes qui se célébraient en Grèce en l’honneur d’Apollon par souvenir de sa victoir
élos. Elles se ressentaient de la barbarie des premiers siècles de la Grèce , car on y sacrifiait deux victimes humaines que l
ice à l’ensemble de tous les Dieux. Enfin les Thrio se célébraient en Grèce en l’honneur d’Apollon le divin, parce que l’on a
lte généralement répandu sur toute la terre ; en Perse, en Egypte, en Grèce , en Italie, le Dieu du jour avait des temples et
outre beaucoup de temples fort beaux destinés à ce dieu dans toute la Grèce et l’Italie. Les prêtres de ces temples ne portai
aventure fut par conséquent fondé par Jupiter ou Apollon, du moins en Grèce , et passa ensuite en Italie et dans toute l’Europ
e et de Trophonius. Sachant que le nom de Jupiter, introduit dans la Grèce , était originaire des environs de Thèbes, ne nous
n grande célébrité ; il subsista même long-temps après que ceux de la Grèce eurent été réduits au silence. Passer quelques jo
art et par sa piété. Nannac ou Nannap, un des plus anciens rois de la Grèce ou plutôt de la Thessalie, vers l’an 1595 av. J.-
des députés qu’il envoya à Troie, à Samos, à Erythre et dans toute la Grèce , il les mit à la place des anciens, et ils y rest
te Hésiode. Homère fut l’auteur de chants héroïques auxquels toute la Grèce doit la plus grande partie de sa gloire. On a con
conservé encore quelques vieux noms des anciens bardes célèbres de la Grèce primitive : Démodocus, poète aveugle, chanta, sui
Terpsichore ou de Clio, était l’un des poètes les plus anciens de la Grèce . Il fut le maître d’Orphée, de Thamyris et d’Herc
on talent. Mais le plus brillant de tous les chantres et poètes de la Grèce antique, ce fut assurément Orphée, que l’on peut
avait eu l’influence de se faire initier. A son retour il établit en Grèce l’expiation des crimes, le culte d’Hécate Chthoni
ple d’Atlas et par conséquent un savant astronome qui apporta dans la Grèce la connaissance du mouvement des cieux. Aurore se
ou l’Asclépios des Grecs, fut le type primordial des médecins dans la Grèce antique, on l’adorait sous différens noms, ainsi
rt considérée comme repos bienfaisant. D'autres idées étrangères à la Grèce y vinrent encore ajouter à celles qui précèdent ;
e dont nous parlerons plus tard, l’importation du culte d’Esculape en Grèce , et vers 1900 ans av. J.-C., son origine en Afriq
lte montra d’abord, dans les sanctuaires antiques d’Epidaure et de la Grèce , le dieu guérisseur sous des formes âgées, avec u
e pour autant de préservatifs puissans contre toutes les maladies. En Grèce , ce culte importé à Pergame par Aristechme, était
it son origine en Phénicie, puisqu’il passa en Egypte d’où il vint en Grèce avec toutes les colonies grecques nomades, et qu’
oros ou la porteuse de breuvages, Palybée ou nourrissant beaucoup, en Grèce , Prosymne près de Corinthe, Prostasis ou prête à
avait, par ordre de Cérès, semé les premiers grains récoltés dans la Grèce . Peut-être ce nom vient-il aussi de Rharos, père
ur de sa naissance fut tour-à-tour réclamé par l’Egypte, la Crête, la Grèce et la Sicile. Elle fut, suivant quelques poètes g
et la fertilité sur la terre. Aussi depuis ce jour, elle fut pour la Grèce la grande déesse, la déesse par excellence des mo
prêtre de Cérès. » Le culte créé par Eumolpe, dont l’importation en Grèce est encore attribuée à Orphée et surtout à Erecht
êlé de propos et de gestes souvent fort obscènes. Enfin dans toute la Grèce , Cérès était adorée, et toujours dans ses fêtes e
iers offrirent des sacrifices à Cérès, avaient les mêmes fêtes que la Grèce , et célèbraient l’enlèvement de Proserpine pendan
s. Cythérée, ou de l’île de Cythère ; Despœna, ou la souveraine de la Grèce  ; Dexicreontique, ou l’inspiratrice de Dexicreont
tis et la Derceto des Assyriens, et la Belisama des Gaulois ; mais en Grèce et à Rome, ce fut toujours la Vénus marine, qui d
du dieu et les lettres d’Egypte, qui les engageaient à se réjouir en Grèce . Suivant les localités, c’était ou quelques heure
re. Enfin l’on peut rattacher à Vénus, plusieurs divinités adorées en Grèce ou à Rome. Ainsi Cicinnie ou Cicinnia, qui présid
thée, la troisième ou la plus jeune. Cependant quelques peuples de la Grèce en admettaient quatre, les confondant alors avec
Andrès et d’ Evippe, passa chez les Athéniens, puis il se répandit en Grèce et en Italie. Dans ces transmissions le culte des
à Delphes, à Elis, à Pergé, à Périnthe et dans d’autres villes de la Grèce ou de Thrace. Cependant leur culte était presque
ou né d’un œuf ; Pandemos ou l’amour vulgaire et charnel du peuple en Grèce et en Egypte ; Phanès, ou qui parut le premier à
puissance qu’on lui prêtait, avait un culte des plus répandus dans la Grèce et à Rome, aussi on l’honorait en tous lieux, par
cueillir des fleurs en l’honneur d’Eros ; les Erotidies ou Eroties en Grèce , où elles avaient été instituées en l’honneur du
niens lui attribuaient la gloire d’avoir introduit le premier dans la Grèce le culte des Graces, et ils regardaient le temple
pour comprendre l’origine des anciennes familles mythologiques de la Grèce . Quant à Latone, amante de Jupiter, nous la conna
sur le mont Méros chez les Indiens. Dans les cultes mystérieux de la Grèce , Sémélée tenait une des premières places : aussi
qui furent plus ou moins embellis par les prêtres et les poètes de la Grèce et de Rome. Après avoir vu Jupiter se changer en
oue. Quant au nom d’Isis, on pense qu’Inachus ayant porté d’Égypte en Grèce le culte d’Isis, les Grecs regardèrent cette dées
nfondirent avec Io, d’où il résulte que ces deux divinités étaient en Grèce tout-à-fait les mêmes. Ces explications pouvant ê
éan et de Thétis, c’est-à-dire, venu probablement de Phénicie dans la Grèce où il fonda le royaume d’Argos vers l’an 1856 av.
Jupiter avec Némésis. Peu honorée et pour ainsi dire inconnue dans la Grèce , elle jouissait au contraire d’un culte très bril
ng des vierges, elle n’en fut non moins recherchée par tout ce que la Grèce avait de héros distingués ; mais elle préféra Mén
ésione. Ménelas la réclama vainement à plusieurs reprises ; enfin, la Grèce ne put la rendre à son premier époux, qu’après un
le laurier. La Paix que l’on regardait comme une des trois Heures en Grèce , était fille de Jupiter et de Thémis. Les Athénie
 ; Astyris ou d’Astyra en Phénicie ; Athâna et Athèna ou d’Athènes en Grèce  ; Aulis ou qui inventa la flûte ; Axiopœnas ou ce
 ; Saïs et Saitès ou dont le culte était supposé avoir été apporté en Grèce , de Saïs, ville d’Egypte ; Salête ou fille du Nil
nce de la ville de Troie était attachée. Minerve avait dans toute la Grèce un culte qui fut toujours des plus respectés ; il
es. Il vint, dit-on, ou de Phénicie ou d’Egypte ou de Saïs, arriva en Grèce , dans l’Actâ ou Actée, depuis Cécropie et ensuite
le vainqueur des Indes, dont l’existence ne fut en réalité connue en Grèce , qu’après le retour d’Orphée qui venait de parcou
Sémélée. Après avoir quitté les Indes, Bacchus reprit la route de la Grèce . Il s’embarque donc ; bientôt alors les vents gon
t d’Ariadne, Bacchus, pour se distraire, parcourut les contrées de la Grèce  ; ayant été accueilli d’une manière fort civile à
adoptèrent avec plus d’enthousiasme que tous les autres peuples de la Grèce . Ce fut là surtout que l’on célébra le plus brill
que de Dionysiaques ou Dionysies, celles qui avaient été apportées en Grèce par Cadmus ou par Mélampe, ce qui faisait qu’elle
pour Cybèle ; les Epilénies ou fêtes des pressoirs, se célébraient en Grèce  ; les Lamptéries étaient des fêtes que le bas peu
s’était nourri de chair humaine ; les Orgies ou Orphiques, étaient en Grèce des courses dionysiaques de bacchantes portées au
ter Bacchus après les vendanges. Pendant ces fêtes, on immolait en Grèce à Bacchus, la pie, emblème de l’indiscrétion des
taient toujours soumis aux ordres des Orgiastes ou prêtresses, car en Grèce , les femmes seules présidaient aux mystères de Ba
imples mortels, les Dioscures devinrent de grands Dieux pour toute la Grèce et particulièrement pour l’ile de Céphalonie ; al
a ses chaînes, tua le monstre, et emmena la princesse de la Troade en Grèce . Déjà, nous avons vu comment le fait arriva ; mai
ir sa sœur la proie d’un étranger, ce Priam envoya Paris son fils, en Grèce pour la réclamer, ou pour enlever plus tôt par re
gand redoutable appelé Lacinius, qui ravageait les côtes de la Grande Grèce , voulut encore lui enlever ces mêmes bœufs. Mais
enseigner les premières notions d’astronomie, qui furent importées en Grèce par Hercule. Lors de la chasse du sanglier d’Erym
nquante filles qu’Hercule rendit mères dans une seule nuit. Arrivé en Grèce , Hercule devint amoureux des charmes de Déjanire,
tributions, Mercure avait un culte généralement répandu en Égypte, en Grèce et en Italie ; les Grecs lui consacraient les lan
la personnification de la race Pélasgique qui, la première, habita la Grèce . Persée, fils de Jupiter et de Danaé, reçut auss
ête d’un corps de Lyciens, fut prêter secours à Priam, attaqué par la Grèce entière. C’est surtout dans les champs de la Troa
son nom les divers héros étrangers qui débarquèrent sur le sol de la Grèce , et vinrent y imposer leur loi. Aussi, d’après Vo
cap Tenare, Oncheste. Le culte de Neptune était répandu dans toute la Grèce et l’Italie ; les Libyens, regardant ce Dieu comm
e son épouse Harmonie. Cadmus passe pour l’inventeur de l’alphabet en Grèce . On le représente au moment où il va lancer une p
adopte pour enfans des Dieux. Les vents les plus honorés, étaient en Grèce au nombre de huit ou onze, savoir : L’Aphéliotès
le vent favorable des voyageurs qui partaient d’Italie pour aller en Grèce  ; aussi les Latins l’ont entouré des plus aimable
ébrait l’enlèvement d’Orithye. Enfin, l’on connaissait encore dans la Grèce d’autres vents du nord, appelés Etésiens, que Jup
rius ; Lelex paraît être né de Libye, en Égypte, être ensuite allé en Grèce , avoir régné sur les Mégariens, qui prirent le no
ent le nom de Lélégues, et passèrent pour le plus ancien peuple de la Grèce , il était père de Mylèse et de Polycaon. Lycus, n
donnèrent Neptune pour père, comme le supposant venu par mer dans la Grèce  ; d’autres le croyant né dans le pays, le faisaie
ue la Béotie prit le nom d’Ogygie, nom, du reste, que l’on donnait en Grèce à tout ce qu’une antiquité reculée enveloppait d’
iron 79 ou 35 ans avant la guerre de Troye ; puis ils partirent de la Grèce , leur patrie, pour la Colchide, au nombre, dit-on
Maintenant, nous devons parler de l’un des plus célèbres héros de la Grèce après Hercule, de Thésée, que l’on introduisit pa
ète ; Dianaste, Dorippe, mère de Spermo ; Deto, nymphe maritime de la Grèce  ; Doxo Dryas, nymphe italiotte, fille de Faune, d
ue ce prince eut le gouvernement d’un pays fort bas, par rapport à la Grèce , et riche en mines d’or, pays que l’on supposa av
ce dédoublement, que cette fille de Cérès, adorée dans la Syrie et la Grèce , peut être considérée comme un de ces astres qui
la dernière demeure des bons et des méchans. Son culte fut apporté en Grèce par Orphée, et bientôt il fut connu à Rhamnunte,
le droite. On lui consacrait le narcisse. On représentait Némésis, en Grèce avec une couronne surmontée d’une corne de cerf,
on ami Télamon, père d’Ajax le Télamonide, envoya Pâris, son fils, en Grèce , pour racheter cette princesse s’il était possibl
s de décrire la suite des hauts faits dont l’histoire fabuleuse de la Grèce a propagé le souvenir, nous allons donner les nom
re, Chrysothémis, Laodicée, Halèse et Oreste. Quand les princes de la Grèce se furent assemblés, ils nommèrent Agamemnon chef
ant avec elle la statue de la déesse qu’elle desservait. De retour en Grèce , Oreste consacre à Sparte ce palladium qu’il a ra
ais et le trouva vide. Alors, il fit connaître à tous les chefs de la Grèce la grave insulte que lui avait faite le perfide P
força de se retirer sans avoir reçu de réponse. Plus tard, lorsque la Grèce en armes était devant Troie, Ménélas se fit toujo
pas qu’elle ne fût recherchée par les héros les plus distingués de la Grèce . Tyndarée, effrayé du nombre des concurrens et de
et la redemanda lui-même plusieurs fois ; mais toujours en vain ; la Grèce entière conjurée pour venger l’affront fait à Mén
n lieu témoin de son malheur, il fut chercher un asile dans la grande Grèce , où il fonda Salente et il y mourut. Machaon, fi
ns que l’armée fatiguée d’un aussi long siége, était repartie pour la Grèce , après avoir voulu l’immoler aux Dieux. Il leur d
t père de Télémaque. Environ un an après la naissance de ce fils, la Grèce entière était en armes pour aller venger l’offens
re. Il soutint avec courage et fermeté les efforts réunis de toute la Grèce , et sut les arrêter pendant dix ans. Parmi le gra
parmi les princes de sa race. Quelque temps plus tard, Pàris passa en Grèce pour sacrifier au temple d’Apollon et pour réclam
[ILLISIBLE] formel d’Apollon, ne pouvait être rendu à son ennemi ; la Grèce aussi avait des asiles ; ainsi Thèbes et Athènes
ecours ; Béneficium dieu Romain des bienfaits ; Bia ou la violence en Grèce , Bondieu ou Bonus Deus, ou Agatostéos, dieu bon-p
la vie, la propagation et la bonne santé des animaux, on invoquait en Grèce les Zoogones ou dieux protecteurs de la vie.
er avec enthousiasme le retour d’Osiris, vainqueur des Indes et de la Grèce , qui le reçut avec des marques d’une amitié non é
ule phénicien, ou la force réunie à la sagesse. Comme l’hercule de la Grèce , il fut vainqueur dans les combats qu’il entrepri
84. Nev. 394. Ngoia-Chilvani, 341. Niadfar, 493. Nicéa, 222. Nicée en Grèce , ou la victoire des Romains, 4, 28, 55, 245, 308.
7 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
Minerve se disputoient l’honneur de donner un nom à la capitale de la Grèce que Cécrops venoit de bâtir. Les Dieux assemblés
a été le crime de Sisyphe ? R. Sisyphe, fils d’Eole, avoit infesté la Grèce par ses brigandages ; il fut condamné à rouler au
’Elide, pour les nétoyer. Elles répandoient l’infection dans toute la Grèce . 8.° Il se saisit d’un taureau monstrueux qui jet
t d’un taureau monstrueux qui jetoit feu et flammes, et en délivra la Grèce . 9.° Il mit à mort le tyran Diomède, roi de Thrac
qui vomissoient des flammes. Jason invita les plus grands Héros de la Grèce à réunir leurs efforts aux siens pour enlever cet
rent étoient du royaume d’Argos. Argonautes fameux, demi-Dieux de la Grèce , Castor, Pollux, Orphée, et vous, heureux Jason ;
urs, Et rangent à ses pieds les lions et les ours. On dit même, et la Grèce est portée à le croire, Qu’Argos doit à sa voix l
vers : Songez par quel prodige on connoît Amphion ; Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion ; Le premier, sans autre art, vo
us, roi de Phénicie, qui le premier porta l’art de l’écriture dans la Grèce . Tout le monde connoît ces beaux vers de Brébeuf
fut répondu qu’il trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce . Œdipe s’y rendit, et tua Laïus, en lui disputant
le et Polinice se firent une guerre sanglante, dans laquelle toute la Grèce prit parti, et se partagea. La victoire ne se déc
blés de gloire et d’alégresse, Prenant heureusement les chemins de la Grèce , Où mon crime par-là doit enfin s’effacer, Ma sœu
de ses cruautés, enlevèrent la statue de Diane, et revinrent dans la Grèce avec Iphigénie. Ulysse. D. Qui étoit Ulyss
ieux Ulysse, à ces signes certains, Reconnoît le Héros que demande la Grèce , etc. (La Grange-Chancel.) P, Que fit Achille re
difices de la plus grande magnificence. Noms des Sept Sages de la Grèce . Thalès  : Ce Philosophe possédoit une étude
8 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
nt de Jupiter de placer Cassiope parmi les astres. Persée retourna en Grèce avec son épouse, il y retrouva Polydecte qui par
ns, ses crimes et ses malheurs, étoit le plus ingénieux artiste de la Grèce . Il étoit sculpteur et mécanicien, il fit de bell
d’Athènes, et la généalogie de Thésée : Cécrops vint d’Égypte dans la Grèce sous le règne de Triopas, septième Roi d’Argos. I
r Antiope ; l’armée des Amazones fut défaite, Antiope procura dans la Grèce d’honorables sépultures à ses anciennes compagnes
y fit initier dans les mystères d’Isis et d’Osiris. De retour dans la Grèce il communiqua les connoissances qu’il avoit acqui
on d’or. Jason y consentit et Junon excita la plupart des héros de la Grèce à le suivre dans cette expédition. Voici l’histoi
mme le leur, monté sur un cheval et en conduisant un autre à vide. La Grèce les compta parmi ses grands Dieux, ils eurent des
me de Tindare Roi de Sparte. Ils se distinguèrent dans les jeux de la Grèce , Castor, par l’art de conduire les chevaux, ce qu
ls de Laomédon, s’appela d’abord Podarcès, qu’il fut emmené captif en Grèce avec sa sœur Hésione, qu’il fut racheté, retourna
grec, ouvrages composés à l’époque de la parfaite civilisation de la Grèce . Ainsi il sembleroit que, lorsqu’on veut imiter l
ils firent prisonnière. Quelques années après, tous les Princes de la Grèce demandèrent la main d’Hélène, Tyndare leur fit ju
r de Clytemnestre. Pâris ayant enlevé Hélène, Agamemnon arma toute la Grèce contre le ravisseur et se fit nommer chef de l’ex
t devenu amoureux, lui échut en partage, il l’emmena avec lui dans la Grèce . Pendant sa longue absence, son épouse, Clytemnes
ille unique d’Icarius. Ulysse, étoit le Prince le plus éloquent de la Grèce , et le plus artificieux ; il eut autant de part à
t de succès, acquirent autant de gloire que les fameux chantres de la Grèce  ; toutes les femmes, avoient le goût du travail,
présidoit à la reconnoissance ; on voyoit, dans un des temples de la Grèce , un autel avec cette inscription : à celle des Gr
9 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
voir disputé à Neptune l’honneur de donner un nom à la Capitale de la Grèce , que Cécrops, riche Egyptien, venoit de bâtir. To
d’Elide, fils du Soleil : elles répandoient l’infection dans toute la Grèce  ; En domptant un taureau féroce, que Neptune, dan
ue Neptune, dans sa colère, avoit produit pour la ruine entière de la Grèce  ; En soutenant le ciel sur ses épaules, à la plac
le projet d’enlever ce trésor, et invita les plus grands héros de la Grèce à partager avec lui les dangers et la gloire de c
rent étoient du royaume d’Argos. Argonautes fameux, demi-dieux de la Grèce , Castor, Pollux, Orphée ; et vous, heureux Jason,
urs. Et rangent à ses pieds les lions et les ours. On dit même, et la Grèce est portée à le croire, Qu’Argos doit à sa voix l
’Arion : Songez par quel prodige on connoît Amphion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion : Le premier, sans autre art, vo
, et apprit qu’il trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce . Œdipe s’y rendit, et tua Laïus, en lui disputant
le et Polinice se firent une guerre sanglante, dans laquelle toute la Grèce prit parti, et se partagea. On fit souvent des pr
ieux Ulysse, à ces signes certains, Reconnoît le héros que demande la Grèce  ; Et d’un glaive terrible armant ces jeunes mains
Son nom seul fait frémir nos veuves et nos filles ; Et, dans toute la Grèce , il n’est point de familles Qui ne demandent comp
mille vaisseaux dont elle fut la proie. Lamotte. Les princes de la Grèce s’assemblèrent pour venger cette insulte, et jurè
sseur Laomédon, père de Priam, et d’Hésione qu’Hercule emmena dans la Grèce , après avoir détruit la ville de Troie. Priam en
ttendoient, soit pendant leur navigation, soit à leur arrivée dans la Grèce . Le vieux Nestor fut le seul qui regagna heureuse
blés de gloire et d’alégresse, Prenant heureusement les chemins de la Grèce , Où mon crime par-là doit enfin s’effacer, Ma sœu
de ses cruautés ; enlevèrent la statue de Diane, et revinrent dans la Grèce avec Iphigénie. Tel fut le terme des malheurs qui
nélope. On regarde cette reine comme la femme la plus vertueuse de la Grèce , et même de l’antiquité fabuleuse : Ulysse, aprè
lèbres dans l’histoire de la Fable, 12 Argos, ville du royaume de la Grèce , 148 Argus, surveillant de Jupiter, 37 — Garde
ante de Pâris, 178 — Délivrée par Hercule, 135 — Et emmenée dans la Grèce , 178 — Reprise par Pâris, ibid. Hespérides, 13
à Diane, 180 — Reconnoît son frère Oreste, 189 — Et revient dans la Grèce , ibid. Ipponoé punie par Junon, 38 Iris, messa
Se dispute avec Neptune, 81 — Elle donne un nom à la capitale de la Grèce , ibid. Minerve, l’olivier lui est consacré, 83
nol, 171 Philonè, épouse de Belléophon, 150 Phocide, province de la Grèce , 46-162 Phorcys, père de Scylla, 95 Phryxus, fi
10 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
mi les enfants de Japhet, c’est-à-dire dans l’Asie Mineure et dans la Grèce , d’où elle pénétra chez les Romains. 3. Progrè
14. Culte de Cybèle. Le culte de Cybèle fut apporté de Phrygie en Grèce et en Italie. Ses fêtes s’appelaient Mégalésienne
images de Mercure. Le culte de Mercure était répandu en Egypte, en Grèce et en Italie. Il n’avait rien de remarquable, si
rée. Il avait son séjour dans la mer Egée, qui baigne les côtes de la Grèce , et pour cortége ses filles, dansant en chœur aut
Le culte de Neptune passa de la Libye, où il prit naissance, dans la Grèce et dans l’Italie. Les Grecs renouvelèrent en son
ment haï et redouté, parce qu’on le croyait inflexible. Il n’avait en Grèce ni temples ni autels, et on ne composa point d’hy
Pourquoi était-il généralement haï et redouté ? Quel fut son culte en Grèce et en Italie ? Comment le représente-t-on ? C
gers qui abordaient dans ses Etats. Thésée, roi d’Athènes, délivra la Grèce de ce monstre, en le perçant d’une flèche. Sisyph
et d’un grand courage, ils parcouraient la terre et principalement la Grèce , en la délivrant des monstres de tout genre, homm
e nom d’Argo60, et il fait un appel aux plus célèbres guerriers de la Grèce . Ils se réunirent au nombre de cinquante-deux, pa
trouvèrent les enfants de Phryxus, qu’Eétès, leur aïeul, envoyait en Grèce , recueillir la succession de leur père. Les Argon
pédition militaire, entreprise par les plus illustres guerriers de la Grèce pour recouvrer des trésors emportés par Phryxus,
le institue, en passant, les jeux Néméens, longtemps célèbres dans la Grèce . Après avoir traversé l’isthme de Corinthe, elle
e et enlevé Hésione, fille du roi. Priam lui-même avait été emmené en Grèce avec sa sœur, et n’avait dû sa liberté qu’à une f
beauté l’avait fait rechercher en mariage par tous les princes de la Grèce . Tyndare, les voyant un jour réunis, leur fit jur
rmonie, Tu les suspendis tous à ton puissant génie. Partout cher à la Grèce , et partout citoyen, Sept langages divers enrichi
xista entre les Grecs et les Troyens ? Comment Priam était-il venu en Grèce  ? Pourquoi Pâris enleva-t-il Hélène ? De qui étai
pe. Il avait aussi un temple à Athènes et dans plusieurs villes de la Grèce . L’empereur Alexandre-Sévère introduisit son cult
ait si grande, que les hommes les plus illustres de l’Egypte et de la Grèce venaient s’entretenir avec eux et se faire initie
pre, puis dans l’île de Cythère, d’où il passa sur le continent de la Grèce , cela suffit aux poëtes pour chanter que cette dé
les savants l’expliquent, et notamment Voeser, dans son Voyage de la Grèce , par la nature du sol montagneux de la Béotie, do
es contrées septentrionales. 62. Cadmus passe pour avoir apporté en Grèce l’écriture, avec les faux dieux de la Phénicie et
11 (1823) Mythologie des dames
la mythologie, née de l’imagination ardente des anciens peuples de la Grèce  : par-tout où ils voyaient le mouvement, ces peup
conduits facilement. Ce séjour des dieux était sur une montagne de la Grèce où les vents ne soufflaient jamais, et qui jouiss
parcourir la terre pour la trouver. Cadmus dirigea son voyage vers la Grèce . Dans l’espoir de rencontrer sa sœur, il consulta
sur les murs thébains en ordre s’élevaient4. Cadmus apporta dans la Grèce les arts qui y étaient inconnus. C’est de lui qu
rt étendu. Ce dieu avait des temples dans la plupart des villes de la Grèce et de l’empire romain. Dans l’île de Crète, où l’
ne des dieux dans l’île de Samos était le plus grand que renfermât la Grèce  : il fut détruit par l’armée de Xerxès lorsqu’ell
us devons la description de tous les monuments qui existaient dans la Grèce du temps des empereurs romains : « Seize matrone
mais sur son temple de Paphos. Cythère était aussi une des îles de la Grèce où Vénus se plaisait le plus à être honorée : c’e
ogative qu’elles durent les autels que presque tous les peuples de la Grèce leur avaient érigés. Les Grâces sont nues pour ma
us honoré : il avait des temples dans presque toutes les villes de la Grèce et de l’Italie, et de nombreux oracles. Le plus f
horribles sacrifices que l’on faisait à la déesse. Les peuples de la Grèce immolaient ordinairement à Phébé des chèvres, ou
adresse à travailler la soie, l’admiration de tous les peuples de la Grèce  : Minerve en fut jalouse ; mais sur-tout elle vit
gide. Minerve était principalement honorée en Égypte, en Phénicie, en Grèce , en Sicile, et en Italie. Athènes, Saïs et Rhode
t l’enthousiasme qu’inspirait par-tout l’arrivée de ce dieu, connu en Grèce sous le nom de Dionysius. Il était fils de Jupite
tte déesse était honorée comme ayant donné les lois aux peuples de la Grèce . Pendant les courses de cette déesse, il lui arri
semblées. Le Parnasse était une des montagnes les plus célèbres de la Grèce  : c’était sur son sommet que les Muses réunies fa
phe aimée du fleuve Alphée. Ce fleuve, conduit par l’Amour, venait de Grèce en Sicile, en passant sous la mer sans mêler son
12 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
 ; ensuite en Occident, où la postérité de Japhet s’était établie. La Grèce , où des colonies phéniciennes s’introduisirent, l
d’Abraham, il régnait dans la Thrace, la Phrygie et une partie de la Grèce , qu’il avait conquise. Dans l’ancien Testament, a
jusqu’au fond de l’Espagne, qui est un pays fort bas par rapport à la Grèce  ; et Neptune eut dans sa dépendance la mer Médite
r un sacrifice solennel ; on y accourait de toutes les contrées de la Grèce . Les vainqueurs étaient nommés à haute voix par u
e la dernière magnificence. Hérodote raconte que Xercès entra dans la Grèce avec une armée de plus de deux millions d’hommes,
ffé sous l’éboulement. Outre les jeux Olympiens, il y avait encore en Grèce , les jeux Pythiens, les Néméens et les Isthimiens
bre par son amour pour la chasse et pour l’astronomie ; il apporta en Grèce la connaissance des astres et du mouvement des ci
ées. Son culte était si universel, qu’en parcourant les rivages de la Grèce , de la Sicile et de l’Italie, on trouvait dans le
s y réussir. Sisyphe. Sisyphe, descendant d’Eole, infestait la Grèce de ses brigandages. Thésée le tua. Il fut condamn
nnus, à la tête d’une nombreuse armée de Gaulois, étant entré dans la Grèce , l’an 99 avant la naissance de J.-C., s’approcha
esse, dont Praxitèle même fit la statue : aussi son culte passa de la Grèce en Italie. Dans la suite, une courtisane, nommée
eau furieux qui soufflait des flammes par les narines et ravageait la Grèce . 7e. II défit les Amazones auprès du fleuve Therm
d’Etolie. Cette princesse, recherchée par les plus grands rois de la Grèce , était promise à Achéloüs ; Hercule et lui se bat
son nom. Pirithoüs, roi des Lapithes, peuples de Thessalie, dans la Grèce , sur la réputation de Thésée, voulut se mesurer a
r, Pollux, Orphée, Lyncée et plusieurs autres grands capitaines de la Grèce , à venir partager le péril et la gloire de cette
l’eût trouvée. Ayant parcouru inutilement divers pays, il s’arrêta en Grèce par ordre de l’oracle, et bâtit la ville de Thèbe
Arion . Songez par quel prodige on connaît Amphion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion ; Le premier, sans autre art, au
malheurs, les changèrent l’un et l’autre en serpens. Cadmus porta en Grèce les seize lettres de l’alphabet, et inventa l’écr
lla d’aller en Tauride enlever la statue de Diane, et de la porter en Grèce . Une loi du pays portait que tous les étrangers q
13 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
Pallas, une simple déesse, » A bien pu foudroyer les vaisseaux de la Grèce  ; » Soldats, chefs, matelots, tout périt sous ses
hoé, et les Romains sous le nom de Matuta. Mélicerte étoit invoqué en Grèce sons le nom de Palémon, et à Rome sous le nom de
ées. Son culte étoit si universel, qu’en parcourant les rivages de la Grèce , de la Sicile et de l’Italie, on trouvoit dans le
e, les supplices éternels du Tartare. Le parricide Oreste offrit à la Grèce un exemple effrayant de la sévérité des Furies. D
jeter les yeux sur leurs temples. Ces temples, très-nombreux dans la Grèce , servoient d’asile inviolable aux criminels. On i
rs les étables. Les ordures qui répandoient l’infection dans toute la Grèce , furent emportées par les eaux du fleuve. 10°. Un
à Épidaure, lieu de sa naissance ; de là il se répandit dans toute la Grèce . On l’honoroit à Épidaure sous la figure d’un ser
pour s’en rendre maître : Jason, et un grand nombre de princes de la Grèce , informés de cette barbarie, résolurent la perte
reprise, en fut reconnu le chef. Argonautes fameux, demi-dieux de la Grèce , Castor, Pollux, Orphée, et vous heureux Jason, V
istron : Songez par quel prodige on connoît Amphion, Quel miracle la Grèce a chanté d’Arion : Le premier, sans autre art, vo
tenoit les rênes du gouvernement à Thèbes, fit publier dans toute la Grèce , qu’il donneroit la couronne et la main de Jocast
cle et Polynice se firent une guerre sanglante dans laquelle toute la Grèce prit parti : Œdipe, en achevant sa triste destin
t été enlevée par Pâris, Ménélas, outré de cet affront, arma toute la Grèce pour venger son injure. Après la prise de Troie,
eut pour gage une jeune princesse Que sa mère a cachée au reste de la Grèce . Mais non, l’amour d’un frère, et son honneur ble
de ses cruautés, enlevèrent la statue de Diane, et revinrent dans la Grèce avec Iphigénie. Oreste donna sa sœur Électre en m
moins. Adieu. Tu peux partir : je demeure en Épire ; Je renonce à la Grèce , à Sparte, à son empire, A toute ma famille ; et
ecs, et de le déterminer à s’embarquer, sous prétexte de retourner en Grèce , tandis qu’on le conduiroit sur la côte d’Asie. P
ses jours et former sa jeunesse. Le lâche, tant qu’Hector humilia la Grèce , Respecta cet enfant, ses malheurs et son nom ; M
levés au ciel, il dit : O Jupiter ! C’est devant les vaisseaux que la Grèce s’assemble, Et c’est Ulysse et moi que l’on compa
’après l’événement. Elle échut en partage à Agamemnon qui l’emmena en Grèce . Elle prévint ce prince des malheurs qui l’attend
Il y en a trois qui étonnent l’imagination. Les sept sages de la Grèce . Demande. Dites-nous les noms des sept sages
es de la Grèce. Demande. Dites-nous les noms des sept sages de la Grèce . Réponse . Le premier étoit Thalès ; le deuxièm
Faites connoître Thalès. R. Thalès, le premier des sept sages de la Grèce , naquit à Milet, vers l’an 640 avant Jésus-Christ
à un philosophe et à un politique, il se mit à voyager dans toute la Grèce . De retour dans sa patrie, il la trouva déchirée
Corinthe. Il fut mis par la flatterie au nombre des sept sages de la Grèce . Ce sage étoit un monstre. Mais les historiens n’
14 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
rocité des loups, si nombreux et si redoutables dans les forêts de la Grèce . Philémon et Baucis. On raconte que Jupiter
de toutes les nations : l’Afrique le révérait sous le nom d’Ammon, la Grèce sous celui de Zeus ; l’Égypte l’appelait Osiris.
sance d’Alexandre le Grand. On célébrait en différents endroits de la Grèce , et notamment à Délos, des fêtes en l’honneur de
— Le Taureau. Jupiter prit la forme d’un taureau pour transporter en Grèce la belle Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie,
élèbres élevés en son honneur ? — Comment nommait-on les fêtes que la Grèce célébrait en son honneur ? — Comment la représent
tent. Son culte était universellement répandu en Égypte, en Crète, en Grèce et en Italie. On lui offrait les langues des vict
. Culte de Vénus. Le culte de Vénus était fort répandu dans la Grèce et dans l’Italie. Ses temples et ses statues sont
acré. Son culte était originaire de la Phrygie, d’où il passa dans la Grèce et dans l’Italie. Les prêtres de Cybèle, qu’on ap
. Le culte de Neptune prit naissance en Libye et se répandit de là en Grèce et en Italie. Les Grecs célébraient en son honneu
ecs célébraient en son honneur les jeux Isthmiques, qui attiraient la Grèce entière à l’isthme de Corinthe. Chez les Romains
constellation du Serpentaire. Le culte d’Esculape se répandit dans la Grèce et dans l’Italie. Il fut le père de Machaon et de
sseau, qui reçut le nom d’Argo 14, et appela tous les guerriers de la Grèce à partager les périls et la gloire de son entrepr
Némée, où elle institua les jeux Néméens, longtemps célèbres dans la Grèce . Après avoir traversé l’isthme de Corinthe, elle
ux. Sa surprenante beauté attira auprès d’elle tous les princes de la Grèce , qui se disputaient sa main. Lorsqu’ils furent ré
15 (1845) Mythologie de la jeunesse
, trad. d’ Homère.) Neptune avait un grand nombre de temples dans la Grèce et dans l’Italie, surtout dans les lieux maritime
le Pinde, l’Hélicon, les bords du Permesse, et les autres lieux de la Grèce chantés par les poètes. Sous le nom de Phébus, il
au fond d’un puits. La Pudeur. La Pudeur avait des temples en Grèce et en Italie. Tantôt c’était une femme voilée, ta
trifié Phinée qui avait voulu s’opposer à son mariage, il retourna en Grèce , rétablit Acrisius sur le trône d’Argos, d’où il
Dès que la nouvelle du projet aventureux fut répandue, l’élite de la Grèce voulut y prendre part, et s’embarqua avec Jason s
as ; et, à la tête d’une armée formidable, les principaux chefs de la Grèce vinrent mettre le siège devant Troie. [Fig. 102
nymphe, et Pise est le lieu de ma naissance. Entre les nymphes de la Grèce , j’étais la plus passionnée pour la chasse, et, q
comme un dieu, et son antre devint un des plus célèbres oracles de la Grèce . 13. Le nectar était le breuvage des dieux, et l
qui veut dire écume. Le culte de cette déesse avait été introduit en Grèce par les Phéniciens ; c’est probablement ce qui a
on d’Éaque y attira de nouveaux habitants de plusieurs contrées de la Grèce , et surtout d’un canton de Thessalie qu’habitaien
16 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
s surtout excelloient dans cet art. Parmi les mânes on distinguoit en Grèce quelques génies particuliers ; ainsi on adoroit e
ra de cyprès ce monument. Les Furies eurent plusieurs temples dans la Grèce . Le célèbre Epimenide de Crète leur en fit élever
es. Callicrate, le plus bel homme non-seulement de Sparte, mais de la Grèce , fut tué à la bataille de Platée. Cypsélus établi
harsis, à ce sujet, fait dire à son héros : « J’ai vu souvent dans la Grèce de pareils combats, tant pour les garçons que pou
lorsque le Soleil descendoit sous l’horison, plusieurs peuples de la Grèce et de l’Italie officient à Hécate un festin qu’il
un oracle le plus ancien et le plus fameux de tous les oracles de la Grèce . Les pigeons qui habitoient la forêt, passoient a
agne, se sont perpétués jusqu’à nos jours. On retrouve encore dans la Grèce , à certaines époques de l’année, au printemps, da
sista à toutes les séductions de Laïs, la plus belle courtisane de la Grèce , éperdument amoureuse de lui. La mémoire de sa fi
elquefois de ses dons. Il avoit des temples en plusieurs villes de la Grèce . Pœnie ou Pénie. Déesse de la pauvreté.
17 (1800) Cours de mythologie pp. -360
ville les Chants séparés de ses Poèmes. On ignore en quel lieu de la Grèce il vit le jour. Aussi révéré après sa mort qu’il
d’un Serpent, On lui immoloit des poules et des coqs.     Dans cette Grèce mensongère, Le Dieu de la Santé, dit-on, Naquit d
inités qui présidoient aux Tombeaux. Leur culte étoit répandu dans la Grèce . On entouroit leurs autels de branches de cyprès
à Rome. Le plus superbe étoit celui de Rhamnus, où affluoit toute la Grèce . Cléopâ tre.     Enfin, graces aux Dieux, j’a
sont auprès des tiens, ces prodiges d’Argos, Qu’orna de ses récits la Grèce mensongère ! Ils osèrent braver les abymes des fl
de Troie, il brava l’orgueil d’Agamemnon, chef des rois ligués de la Grèce  ; vengea la mort de Patrocle, son ami ; défit le
edoute un présage, Je crains Argos, Electre, et ses lugubres cris, La Grèce , mes sujets, mon fils, mon propre fils ! Ah ! que
os, j’espérois tout de tes seules vertus, Mais Ilion l’emporte, et la Grèce n’est plus. Que les pleurs d’un ami n’irritent po
 ! Me préservent les Dieux de ces transports jaloux ! Si tu livres la Grèce à ses justes alarmes, Pour qui réserves-tu le sec
its qu’on ose m’imputer. C’esi par-là qu’Hippolyte est connu dans la, Grèce , J’ai poussé la vertu jusques à la rudesse. On sa
n. Quand Hercule se fut emparé de Troie, il fut emmené captif en Grèce avec sa sœur Hésione. Devenu libre dans la suite,
r du monde : C’en est fait : pour punir le plus noir des forfaits, La Grèce vient d’armer le Ciel, la Terre et l’Onde,     D
nt, sembloient s’entrelacer…. Achille, dont le bras vengea si bien la Grèce ,               Fut l’heureux fruit de leurs amour
appé à sa fureur. Le monstre faisoit chercher cet enfant par toute la Grèce  : Egiste découvert lui fut amené. Mérope alloit l
s fêtes lugubres et des cris lamentables, dans la Phénicie et dans la Grèce .     Vénus croit voir son fils, il en a tous les
l présente la pointe où s’appuîra mon sein. Ce don d’un ennemi que la Grèce déteste, Ce fer, présent d’Hector, qui dut m’être
s, De qui le souffle envieux Ose, d’un venin critique, Noircir, de la Grèce antique, Les célestes demi-Dieux.     A peine, s
oire Le temps ne pût un jour effacer la mémoire, Institua ces jeux en Grèce renommés, Du nom de ce Serpent jeux Pythiques nom
t la plus horrible compagne de Tisiphone. Pour appaiser sa fureur, la Grèce lui sacrifioit des victimes humaines.     Du fon
t deux voyages,       Encore en différens climats ; Le premier fut en Grèce , et le second à Rome. Vers Paris, certain jour, e
effant. 40. [Table des matières] François de Neufchâteau. Dans cette Grèce mensongère, etc. 41. [Table des matières] René.
18 (1866) Dictionnaire de mythologie
mphe pour moi ! C’était le pur polythéisme des plus beaux temps de la Grèce et de Rome. Ils croyaient au Parnasse, les bonnes
fréquentes et deviennent si graves quand on les néglige. A Rome et en Grèce , outre les sacrifices publics aux dieux de la pat
ves sacrées et teint les pieds des vignerons. L’Espagne, l’Italie, la Grèce , les îles de la Méditerranée, les côtes de l’Ioni
ccordent à conjecturer que les Thessaliens, ayant été les premiers en Grèce à dompter les chevaux et à s’en servir pour la gu
it voulu créer. Dédale fut le Giotto d’Athènes. Son siècle marque en Grèce l’éveil de tous les beaux-arts. Il rompit avec le
aissance à une nouvelle histoire merveilleuse qui courait aussitôt la Grèce , et dont le récit donnait le frisson aux plus int
a bien fait Avez-vous suivi ? » Lit de Procuste. Au temps où la Grèce était peuplée de brigands et de monstres (car tou
ses deux rivales, ou, pour parler sans image, les fortes vertus de la Grèce triomphent des vices de l’Asie efféminée. C’est a
nts. Quoi qu’il en soit, cette conception étrange pénétra d’Égypte en Grèce , apportée sans doute par Cadmus, le fondateur de
ssé les statues des neuf Muses et celles des plus grands poëtes de la Grèce . Orphée y avait son tombeau. GRÂCES. — Elles étai
19 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
ville les Chants séparés de ses poëmes. On ignore en quel lieu de la Grèce il vit le jour. Aussi révéré après sa mort qu’il
essant de ses doigts sa longue barbe, enfin Tel que sur ses autels la Grèce le contemple. Romains, ne craignez rien ; je quit
inités qui présidaient aux Tombeaux. Leur culte était répandu dans la Grèce . On entourait leurs autels de branches de cyprès
à Rome. Le plus superbe était celui de Rhamnus, où affluait toute la Grèce . Cléopâtre .    Enfin, graces aux Dieux, j’ai
sont auprès des tiens, ces prodiges d’Argos, Qu’orna de ses récits la Grèce mensongère ! Ils osèrent braver les abîmes des fl
de Troie, il brava l’orgueil d’Agamemnon, chef des rois ligués de la Grèce  ; vengea la mort de Patrocle, son ami ; défit le
edoute un présage, Je crains Argos, Électre, et ses lugubres cris, La Grèce , mes sujets, mon fils, mon propre fils ! Ah ! que
os, j’espérais tout de tes seules vertus, Mais Ilion l’emporte, et la Grèce n’est plus. Que les pleurs d’un ami n’irritent po
 ! Me préservent les Dieux de ces transports jaloux ! Si tu livres la Grèce à ses justes alarmes, Pour qui réserves-tu le sec
aits qu’on ose m’imputer. C’est par-là qu’Hippolyte est connu dans la Grèce , J’ai poussé la vertu jusques à la rudesse. On sa
n. Quand Hercule se fut emparé de Troie, il fut emmené captif en Grèce avec sa sœur Hésione. Devenu libre dans la suite,
r du monde : C’en est fait : pour punir le plus noir des forfaits, La Grèce vient d’armer le Ciel, la Terre et l’Onde,    Dé
nt, semblaient s’entrelacer…. Achille, dont le bras vengea si bien la Grèce ,           Fut l’heureux fruit de leurs amours, E
appé à sa fureur. Le monstre faisait chercher cet enfant par toute la Grèce  : Egiste découvert lui fut amené. Mérope allait l
e pour venger Argos Un armement nombreux s’avançait sur les flots. La Grèce arrive à Troie, et n’a pu la surprendre, Hector e
s Fêtes lugubres et des cris lamentables, dans la Phénicie et dans la Grèce .    Vénus croit voir son fils, il en a tous les
l présente la pointe où s’appuîra mon sein. Ce don d’un ennemi que la Grèce déteste, Ce fer, présent d’Hector, qui dut m’être
s, De qui le souffle envieux Ose, d’un venin critique, Noircir, de la Grèce antique, Les célestes demi-Dieux.    A peine, su
st la plus horrible compagne de Tisiphone. Pour apaiser sa fureur, la Grèce lui sacrifiait des victimes humaines. Peste des
deux voyages,        Encore en différens climats ; Le premier fut en Grèce , et le second à Rome. Vers Paris, certain jour, e
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