e Crocus et de Smylax, les changèrent l’un en safran, l’autre en if ;
Apollon
, pour venger la mort de Leucothoë dénoncée par Cl
d’Actor. Elle fut élevée par Junon. Elle étoit si belle, que Jupiter,
Apollon
et Neptune desirèrent l’épouser ; mais Thémis, ou
e noire énumération sans faire mention de Jalémus ; c’étoit un fils d’
Apollon
, qui éprouva tant d’infortunes, que son nom passa
fable du Palladium. Les uns disent que le Scythe Abaris, qui reçut d’
Apollon
l’esprit de divination et une flèche sur laquelle
oient des espèces d’hymnes et de cantiques en l’honneur de Bacchus, d’
Apollon
et des autres Dieux ; on fit même des pæans pour
s Dieux, d’autres croyent que c’étoit celle de Castor et Pollux, ou d’
Apollon
et Neptune. Pline parle d’un Dieu particulièremen
ils du Ciel et de la Terre, et les autres de Neptune et d’Amphitrite.
Apollon
les tua tous pour avoir forgé la foudre avec laqu
dre avec laquelle Jupiter foudroya Esculape. Cette action fit chasser
Apollon
du ciel ; ce fut pendant cet exil qu’il se retira
mpagnons d’Ulysse, et prétendent que ce fut lui qui éleva le temple d’
Apollon
bâti sur le sommet du Promontoire ; d’autres, enf
haut de cette montagne dans la mer, pour se dérober aux poursuites d’
Apollon
. Tous les ans, le jour de la fête d’Apollon, Dieu
dérober aux poursuites d’Apollon. Tous les ans, le jour de la fête d’
Apollon
, Dieu de Leucade, on précipitoit du haut de la mo
mort. C’étoit un sacrifice expiatoire que les Leucadiens offroient à
Apollon
pour détourner les fléaux qui pouvoient les menac
que Vénus, inconsolable de la mort d’Adonis, recourut à la science d’
Apollon
comme au Dieu suprême de la médecine ; que le Die
ymen ou l’Hyménée. Les uns le font naître d’Uranie, d’autres d’
Apollon
et de Calliope, ou de Vénus et de Bacchus. Les at
selon d’autres, d’Iphis et de Thébé ; elle fut insensible à l’amour d’
Apollon
, et elle épousa Capanée : celui-ci ayant été tué
Déesse de la chasse, fille de Jupiter et de Latone, et sœur d’
Apollon
. Considérée comme la Lune, elle s’appelle Phébé o
et six filles ; et fière de sa fécondité, elle se préféra à Latone ;
Apollon
et Diane, pour venger leur mère, tuèrent à coups
es jeunes Grecs consacroient leur première chevelure à Esculape, ou à
Apollon
, ou à Bacchus. L’usage de couper ses cheveux et d
ser sur les corps de ceux qu’on avoit aimés ou sur leurs tombeaux.
Apollon
. Apollon ou Phébus ou Hélios, fils de Jupi
s de ceux qu’on avoit aimés ou sur leurs tombeaux. Apollon.
Apollon
ou Phébus ou Hélios, fils de Jupiter et de Latone
nt pris part au serment de la Terre. Mais cette île étoit flottante ;
Apollon
, depuis, la fixa parmi les Cyclades dont elle fai
cette île, créée pour l’hospitalité, et sous un palmier, superbe, qu’
Apollon
et Diane virent la lumière dont ils alloient régl
. Aussitôt des cygnes firent en chantant sept fois le tour de Délos ;
Apollon
, en reconnoissance, mit par la suite sept cordes
cygne fût désormais l’emblême des bons poëtes. Les Nymphes baignèrent
Apollon
naissant, dans leurs ondes ; Thétis lui donna du
rueux, nommé Python, qu’elle chargea de poursuivre sa vengeance. Mais
Apollon
en délivra sa mère et le tua à coups de flèches.
geance. Mais Apollon en délivra sa mère et le tua à coups de flèches.
Apollon
fit couvrir de sa peau le trépied sur lequel s’as
à ce genre de triomphe les odes de Pindare. Malgré ses talens divins,
Apollon
eut des concurrens ; le Dieu Pan, qui croyoit exc
oi de la Phrygie, témoin de ce combat musical, récusa ce jugement, et
Apollon
lui fit venir des oreilles d’âne. Le satyre Marsy
lui fit venir des oreilles d’âne. Le satyre Marsyas osa aussi défier
Apollon
, qui n’accepta le défi qu’à condition que le vain
vaincu seroit à l’entière discrétion du vainqueur. Après la victoire,
Apollon
fit écorcher vif Marsyas. Ces traits de la plus f
ce fut alors qu’enivré de ces louanges, il eut la témérité de défier
Apollon
avec sa lyre ; les Muses furent les juges du comb
dut son origine aux larmes que les nymphes répandirent après sa mort.
Apollon
, le plus beau des immortels, malgré les talens en
ne put plaire à Issé, fille de Macarée, qu’en se déguisant en berger.
Apollon
devint amoureux de la Sibylle de Cumes, qui étoit
rs ; elle devint si décrépite qu’il ne resta d’elle que le souffle26.
Apollon
n’eut pas plus de succès auprès de Cassandre, fil
orda le don de prophétie, et ensuite elle l’accabla de mépris ; alors
Apollon
empêcha qu’on ajoutât foi à ses prédictions. Il a
de la médecine ; mais ensuite Coronis se laissa séduire par Ischis ;
Apollon
, instruit de son infidélité par le corbeau, lui p
able donne une autre origine au plumage noir du corbeau : elle dit qu’
Apollon
voulant faire un sacrifice à Jupiter, envoya le c
nt de lui avoir fait obstacle lorsqu’il vouloit puiser de l’eau. Mais
Apollon
, que ce mensonge ne put abuser, noircit le plumag
phné et ses compagnes tuèrent à coups de flèches ce malheureux amant.
Apollon
n’inspira pas de plus tendres sentimens à cette n
, évitant ses poursuites, invoqua son père qui la changea en laurier.
Apollon
désespéré, orna du feuillage de cet arbre son fro
musiciens et des guerriers. Les Béotiens instituèrent en l’honneur d’
Apollon
et de Daphné des fêtes appelées Daphnéphories, et
geoient des feuilles de laurier, parce que cet arbre étant consacré à
Apollon
, ils vouloient par-là faire croire que ce Dieu le
Apollon, ils vouloient par-là faire croire que ce Dieu les inspiroit.
Apollon
se fit aimer de Leucothoë, fille d’Orchame et d’E
e en instruisit son père : ce dernier fit enterrer Leucothoë vivante.
Apollon
métamorphosa cette infortunée en l’arbre qui port
ortunée en l’arbre qui porte l’encens. Clitie, devenue justement pour
Apollon
un objet odieux, résolut de se laisser mourir de
t pour Apollon un objet odieux, résolut de se laisser mourir de faim.
Apollon
la changea en héliotrope ou tournesol, fleur qui
’incline tristement sur sa tige lorsqu’elle est privée de ses rayons.
Apollon
fut aussi malheureux père que malheureux amant. I
et leurs larmes en ambre. Esculape, Dieu de la médecine, autre fils d’
Apollon
, fut aussi foudroyé par Jupiter27. Apollon tua le
e. Battus révéla tout, et Mercure changea Battus en pierre de touche.
Apollon
se retira dans la Troade, et se joignit à Neptune
e occasion, Hercule le tua et donna Hésione à Télamon. Cycnus, fils d’
Apollon
et de la nymphe Thyria ou Hyria, désespéré de n’a
us. Sa malheureuse mère, ne pouvant lui survivre, s’y jeta après lui.
Apollon
les métamorphosa l’un et l’autre en cygnes28. Apo
jeta après lui. Apollon les métamorphosa l’un et l’autre en cygnes28.
Apollon
fut malheureux dans tous ses sentiments, il eut u
sse, fils d’Amiclée, ou selon d’autres, de Télèphe, étoit le favori d’
Apollon
; il avoit un cerf apprivoisé qu’il tua par inadv
nadvertance ; il s’en affligea tellement qu’il voulut s’ôter la vie ;
Apollon
le changea en cyprès. Apollon avoit des temples d
tellement qu’il voulut s’ôter la vie ; Apollon le changea en cyprès.
Apollon
avoit des temples dans une infinité de lieux, à É
contre les Grecs, brûlèrent tous leurs temples, épargnèrent celui-ci.
Apollon
étoit encore célèbre par ses oracles : le plus fa
ses oracles : le plus fameux étoit celui de Delphes29. Les prêtres d’
Apollon
étoient très-révérés. Ce fut pour avoir offensé s
rirent sous ses traits. Les Rhodiens rendoient un culte particulier à
Apollon
considéré comme Dieu du jour ; ils lui élevèrent
odes. Ce Colosse d’airain, d’une hauteur extraordinaire, représentoit
Apollon
, et fut regardé comme une des sept merveilles du
rrazins, la fit mettre en pièces et en chargea neuf cents chameaux31.
Apollon
est représenté sous les traits d’un beau jeune ho
s. Les Athéniens célébroient une fête en leur honneur, appelée Horæa.
Apollon
étoit le conducteur des Muses, il les inspiroit e
némosine, Déesse de la mémoire. Elles étoient neuf sous la conduite d’
Apollon
, savoir : Clio, Muse de l’histoire ; Calliope, du
s, fils de Philammon, célèbre musicien, et d’Argiope, et petit-fils d’
Apollon
, excella tellement dans l’art de chanter et de jo
fin de marquer combien elles doivent être chastes et pures. Cependant
Apollon
épousa Calliope dont il eut Orphée34, et il eut d
t Amphion qui épousa Niobé dont les enfans périrent sous les traits d’
Apollon
et de Diane. Arion, autre musicien fameux, étant
int de monumens antiques représentant Thémis. Janus. Fils d’
Apollon
et de Créuse, fille d’Érechtée, roi d’Athènes, ou
rès avoir mangé beaucoup de chicorée sauvage dans un festin donné par
Apollon
. Hébé fut chargée de l’emploi de servir le nectar
un voile ; Vulcain une massue et une cuirasse ; Neptune, un cheval ;
Apollon
, un arc ; Mercure, une épée, etc. Voici les princ
. Bolina, nymphe qui se jeta dans la mer pour éviter les poursuites d’
Apollon
. Ce Dieu, touché de sa vertu, lui rendit la vie e
t Hygée ou Hygiée. Esculape, Dieu de la Médecine, étoit fils d’
Apollon
et de Coronis. Ayant appris l’infidélité de Coron
t fils d’Apollon et de Coronis. Ayant appris l’infidélité de Coronis,
Apollon
tua cette nymphe et tira de son sein Esculape don
s, fils de Jasus, le plus intéressant de tous, mérita la protection d’
Apollon
par ses vertus et son goût pour la musique. Le Di
n Phrygie au pied du mont Ida, étoit une bergère d’une grande beauté.
Apollon
qui l’aima, lui donna le don de prophétie, et la
qu’ils l’adorèrent comme un Dieu ; Jupiter vouloit le foudroyer, mais
Apollon
intercéda pour lui ; Jupiter se contenta de métam
aëton, il fut si affligé de la fin tragique de ce jeune ambitieux, qu’
Apollon
le métamorphosa en cygne. 29. Un brigand, nommé
Phorbas, s’étoit rendu le maître du chemin qui conduisoit à Delphes.
Apollon
déguisé en athlète, le combattit et le tua. 30.
Temple de Diane d’Éphèse, le Tombeau de Mausole. 32. C’est pourquoi
Apollon
fut surnommé Musagetes, c’est-à-dire, Guide des M
est fils de Calliope et d’Œagre, roi de Thrace. 35. Aristée, fils d’
Apollon
et de Cyrène, devint amoureux d Euridice. Après l
es Grands Dieux et qui sont : Saturne, Cybèle, Jupiter, Junon, Cérès,
Apollon
, Diane, Bacchus, Mercure, Vénus, Neptune et Pluto
ée, Jupiter, Junon, Minerve, Cérès, Diane, Mars, Mercure, Vulcain, et
Apollon
. Hébé et Ganymède leur versaient le nectar, et Ir
ls se réunirent sur la ville de Delphes, si célèbre par les oracles d’
Apollon
. Delphes depuis ce moment fut regardé comme occup
la Grèce. Dans l’espoir de rencontrer sa sœur, il consulta l’oracle d’
Apollon
qui lui répondit : « Vous trouverez dans un champ
e, indignée de ces outrages, conspira contre Jupiter, de concert avec
Apollon
et Neptune ; mais Thétis, déesse des mers, dévoil
s sa structure extraordinaire fut la cause du peu de durée de sa vie.
Apollon
, dieu de la lumière et des beaux arts, brûlait po
ainsi un nouveau sujet de rire à ses dépens. Vénus ne put pardonner à
Apollon
cette indiscrétion officieuse : elle jura de s’en
r dans les Enfers, accompagné de la Sibylle qui rendait les oracles d’
Apollon
à Cumes. Il vit les tourments des ames criminelle
sans son carquois d’or rempli de flèches acérées, et sans l’arc dont
Apollon
lui fit présent. Quelquefois il aime à se couvrir
t jaloux de leurs privilèges. Continuons notre voyage dans l’Olympe :
Apollon
se présente la lyre à la main, et le front enviro
horizon, et semble suspendre notre entretien. Cinquième entretien.
Apollon
. Parmi les femmes qui furent le plus aimées de
ée par Jupiter en une caille ; et ce fut là qu’elle donna naissance à
Apollon
et à Diane. A peine Apollon eut-il vu le jour, qu
; et ce fut là qu’elle donna naissance à Apollon et à Diane. A peine
Apollon
eut-il vu le jour, qu’il se montra sous la figure
eil qu’elle osa mépriser Latone qui n’était mère que de deux enfants.
Apollon
et Diane furent chargés par leur mère de la venge
t immobile de désespoir, et fut changée en rocher sur le mont Sipyle.
Apollon
, admis dans l’Olympe, fut le plus beau des dieux
aille de tortue sur laquelle étaient tendues quelques cordes sonores,
Apollon
en fit l’instrument si cher à l’harmonie, connu s
vait espérer d’être animé par les feux du génie, s’il n’avait invoqué
Apollon
. Il eut aussi sous sa direction le Soleil, et pla
e. Malgré tant de nobles qualités et tant de brillantes attributions,
Apollon
ne fut pas toujours heureux dans ses tendres affe
aveurs que cette princesse croyait accorder à un autre amant. Un jour
Apollon
, fier d’avoir percé de ses traits le terrible ser
esse Daphné, fille du fleuve Pénée, avec le premier de ces traits, et
Apollon
avec le second. Ce dieu fut le plus malheureux de
d’elle se serre ; Ses traits sont effacés : elle est un arbre enfin,
Apollon
l’aime encore ; il l’embrasse, et sa main Sent pa
du bois. Clytie, nymphe, fille de l’Océan et de Thétys, fut aimée d’
Apollon
; elle le payait du plus tendre retour, lorsque c
se venger de sa rivale, découvrit à Orchame l’amour de sa fille pour
Apollon
. Dès-lors ce dieu ne la regarda plus qu’avec mépr
orte que, malgré sa métamorphose, Clytie marque encore son amour pour
Apollon
. Les naturalistes nous prouveraient aujourd’hui q
ès, en mérite complète, Plus belle que Vénus, et plus fine coquette.
Apollon
l’aima, malgré son inconstance. Esculape fut le f
foudre Prend à sa longue barbe et la réduit en poudre. Qui pourrait d’
Apollon
dépeindre la douleur ? Lui qui colore tout en per
e interdit la lumière15. Hippolyte n’était pas le seul que le fils d’
Apollon
eût ressuscité. Au moyen du sang de la Gorgone, q
à la conquête de la toison d’or, en Colchide. Esculape, à la prière d’
Apollon
, reçut les honneurs de l’apothéose, et prit rang
appuyant de l’autre sur la tête d’un serpent, symbole de la Prudence.
Apollon
, inconsolable d’avoir vu son cher fils foudroyé p
e qui l’avait conduit à être berger, lui racontait ainsi l’histoire d’
Apollon
exilé du ciel : « Apollon, dépouillé de tous ses
e berger, lui racontait ainsi l’histoire d’Apollon exilé du ciel : «
Apollon
, dépouillé de tous ses rayons, fut contraint de s
fromages : toute la campagne était comme un désert affreux. « Bientôt
Apollon
montra à tous ces bergers les arts qui peuvent re
, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui suivaient
Apollon
. Ce dieu leur enseignait à remporter le prix de l
ourse, et à percer de flèches les daims et les cerfs. » Le bonheur d’
Apollon
berger fut troublé par Mercure, qui déroba les tr
ir endormi leur gardien au doux bruit de ses louanges et de sa flûte.
Apollon
passa en Lydie. Las de traîner un corps qui lui
urs au même dieu pour le prier de lui ôter un privilège si incommode.
Apollon
trouva dans Marsyas, berger de Phrygie, et fils d
it, en avait fait présent à Marsyas. Lorsque ce berger concourut avec
Apollon
, il fut convenu que le vaincu recevrait la puniti
changea le sang de Marsyas en un fleuve de Phrygie qui porte son nom.
Apollon
, pendant son exil, traversa plusieurs contrées qu
ue Zéphyre, jaloux de ce jeune homme, dirigea sur sa tête le disque d’
Apollon
. Ce dieu vit aussi mourir Cyparisse, jeune homme
porter le chagrin que lui causa la perte d’un cerf qu’il avait élevé.
Apollon
changea Cyparisse en cyprès. Arrivé dans la Troad
le prix convenu ; mais il fut puni de son ingratitude par la peste qu’
Apollon
envoya à ses sujets, et par une inondation qui fu
uste envers de pareils serviteurs. Ce ne fut pas seulement à Troie qu’
Apollon
exerça le talent de maçon ; il aida Alcathoüs à b
ble à celui de cet instrument. Enfin Jupiter voyant qu’en l’absence d’
Apollon
, l’Ennui menaçait de s’établir dans l’Olympe, s’e
te de ses aventures. Sixième entretien. Suite de l’histoire d’
Apollon
. Nous avons eu occasion de remarquer combien A
l’histoire d’Apollon. Nous avons eu occasion de remarquer combien
Apollon
était prompt à s’enflammer pour les jeunes habita
ait de ce doute ; et la belle Clymène l’engagea à se présenter devant
Apollon
, et à le supplier de lui donner une preuve irrécu
ses pieds ont pressés ; Et l’Hiver aux cheveux de neige hérissés17.
Apollon
tend les bras à son fils, l’embrasse, et jure par
exposerait, le jeune imprudent ne se départit point de sa demande, et
Apollon
fut obligé de lui confier son char, chef-d’œuvre
nce de sa demande : il ne peut profiter des avis que lui avait donnés
Apollon
pour se diriger dans ce voyage dangereux. Déjà le
et fin à ces désastres en foudroyant le malheureux Phaéton. Le fils d’
Apollon
tomba dans l’Éridan, aujourd’hui appelé le Pô, fl
Hélie, Églé, Égiale, Phaétuse, Phébé, Charie, Lampétie, et Aréthuse.
Apollon
eut de Cyrène, nymphe des fleuves, Aristée, célèb
ëte et législateur, Orphée se montra en tout point digne de son père.
Apollon
lui ayant fait présent d’une lyre, il y ajouta de
s il la perdit peu de temps après l’hyménée. Le jeune Aristée, fils d’
Apollon
et de Cyrène, dont nous venons de parler, brûlait
de force et de mélodie que les autres. De tous les dieux de l’Olympe,
Apollon
est un de ceux qui a été le plus honoré : il avai
ient devoir annoncer les destinées des empires. Quand on sacrifiait à
Apollon
comme au dieu des bergers, on lui immolait un épe
t propres à donner l’inspiration poétique. L’Aurore. Lorsque
Apollon
se disposait à répandre sur l’univers la lumière
e femme, sœur du dieu qui dirigeait le flambeau du jour. Diane, comme
Apollon
, était fille de Latone et de Jupiter ; elle naqui
le sein des animaux. Actéon. La sévérité de mœurs dont la sœur d’
Apollon
se faisait gloire, fut quelquefois portée jusqu’à
que le dieu Pan, transformé en un bélier blanc, sut attirer la sœur d’
Apollon
dans une forêt, et qu’il reprit sa forme pour lui
élos où elle naquit ; et Phébé, quand on la considère comme la sœur d’
Apollon
ou Phébus son frère. Le plus riche et le plus fam
où tu me fuis est le sacré vallon, Et je sens que Diane est la sœur d’
Apollon
. Huitième entretien. Dans l’Olympe des an
me de sa naissance, il déroba les troupeaux du roi Admète que gardait
Apollon
, pendant son exil de la cour céleste. Aussitôt q
; C’est un poison qui tue, un charme qui fascine. A force de louange
Apollon
prévenu, D’abord sans réfléchir se livre à l’inco
peaux un inégal partage, En détourne l’élite au travers du bocage22.
Apollon
, éveillé, court à la recherche de ses troupeaux,
trouve le moyen de lui enlever ses flèches et son carquois. On dit qu’
Apollon
ne put s’empêcher de rire de ce double larcin. Ba
le larcin. Battus avait vu dérober les troupeaux confiés à la garde d’
Apollon
, et Mercure lui avait fait jurer de n’en rien dir
la malheureuse Io. Nous avons déjà observé qu’il avait fait présent à
Apollon
de la lyre dont il était l’inventeur : elle était
laquelle il avait tendu sept cordes en l’honneur des sept Atlantides.
Apollon
lui donna en échange la baguette dont il se serva
es resta timidement baissé29. Nous avons vu le feu, sous la figure d’
Apollon
et sous celle de Vulcain, devenir l’objet du cult
i les Troyens présentaient tous les ans une jeune fille, pour apaiser
Apollon
et Neptune que Laomédon avait trompés lorsqu’ils
e ayant refusé de lui répondre, il tenta d’emporter le trépied sacré.
Apollon
s’y étant opposé, il se battit contre ce dieu, et
ombres était dans une caverne près de laquelle s’élevait un temple d’
Apollon
, où une sibylle rendait des oracles. La prêtresse
temple d’Apollon, où une sibylle rendait des oracles. La prêtresse d’
Apollon
annonça à Énée que les dieux lui permettaient l’e
et passe ce fleuve redoutable, toujours accompagné de la prêtresse d’
Apollon
. A peine eurent-ils mis le pied sur le rivage des
gesse que lui sur le trône. Minos II fut l’époux de Pasiphaé, fille d’
Apollon
. Cette princesse fut victime de la haine que Vénu
faisaient entendre leurs plus sublimes concerts, sous la présidence d’
Apollon
. Elles sont neuf sœurs, filles de Jupiter et de M
porté par ses ailes. Ce fougueux coursier, qui n’obéit qu’à la voix d’
Apollon
et des Muses, naquit du sang de la tête de Méduse
t la ville de Delphes, si célèbre par son temple et par les oracles d’
Apollon
. Le mont Etna, en Sicile, mérite aussi une attent
t stable par l’ordre de Jupiter, lorsque Latone eut donné naissance à
Apollon
et à Diane ; et nous avons vu sortir de la mer Ég
le où l’enchanteresse Circé faisait sa résidence : elle était fille d’
Apollon
et de Perséis, une des Océanides. Ayant été oblig
a Colchide, où elle avait fait mourir par le poison le roi son époux,
Apollon
la transporta sur les côtes d’Italie, dans l’île
açant de fleurs. Souvent au lever de l’Aurore, ou le soir, lorsque
Apollon
jette ses derniers regards sur la Terre, on voit
Les anciens ont aussi caractérisé le Printemps par Mercure, l’Été par
Apollon
, l’Automne par Bacchus, et l’Hiver par Hercule. C
s par d’épais nuages. Les Saisons et les Heures entouraient le char d’
Apollon
. Les Heures suivaient aussi le char de la Nuit, q
. Ovide, Métam., trad. de de Saint-Ange. 15. Sénecé, les Travaux d’
Apollon
. 16. Sénecé, les Travaux d’Apollon. 17. Ovide
nge. 15. Sénecé, les Travaux d’Apollon. 16. Sénecé, les Travaux d’
Apollon
. 17. Ovide, Métam., trad. de de Saint-Ange. 1
. Ovide, Métam., trad. de de Saint-Ange. 22. Sénecé, les travaux d’
Apollon
. 23. Quinault, Persée, opéra. 24. Roucher ,
formèrent une femme. Pallas lui donna la sagesse ; Vénus, la beauté ;
Apollon
, la connaissance de la musique ; Mercure, l’éloqu
espèce d’opéra ambulant, gouverné par un habile maître, sous le nom d’
Apollon
. Les chiennes du prince furent nommées Harpies. L
e peuple qui criait au sacrilége. Il fut déclaré héros par l’oracle d’
Apollon
, pour l’aventure qui suit. On lui avait élevé apr
ens, les Néméens et les Isthimiens, qui se célébraient en l’honneur d’
Apollon
, d’Hercule et de Mélicerte. Les cérémonies change
nt sa statue. Peu de temps après, les Grecs surprirent la ville.
Apollon
Jupiter ayant rencontré Latone, fille de Cœus
é Latone, fille de Cœus et de Phébé, en devint amoureux, et il en eut
Apollon
et Diane. Furieuse de cette nouvelle infidélité,
hes de Latone approchait ; elle mit au monde, à l’ombre d’un palmier,
Apollon
et Diane, elle les coucha sur les feuilles de cet
re, elle ne fut pas plutôt née, qu’elle aida sa mère à mettre au jour
Apollon
. Epuisée de fatigue après cette couche laborieuse
Niobé Echappée à la colère de Junon, Latone élevait paisiblement
Apollon
et Diane. Fière de reconnaître en eux le sang du
le osa se préférer à Latone. Celle-ci, choquée de ses mépris, chargea
Apollon
et Diane d’en tirer vengeance. Partageant l’outra
insensible à tout, et qu’elle resta comme pétrifiée. Dès son enfance,
Apollon
fut reçu dans le ciel, où il devint le Dieu de la
ieillesse : Les talens seuls ne vieillissent jamais. Demoustier.
Apollon
banni du ciel. Apollon inventa la médecine. Es
ls ne vieillissent jamais. Demoustier. Apollon banni du ciel.
Apollon
inventa la médecine. Esculape, son fils, avait fa
ette résurrection comme un attentat contre son autorité, le foudroya.
Apollon
, au désespoir de la mort de son fils, et ne pouva
va pour un temps des honneurs de la divinité. Cette disgrâce réduisit
Apollon
dans un état si misérable, que, pour ne pas mouri
nouvelle condition, lui enleva adroitement des vaches, et que, comme
Apollon
voulait saisir son carquois pour se venger du lar
Sont enfans du Loisir et de la Solitude. Demoustier. Admète
Apollon
, satisfait des bons traitemens du roi Admète, obt
a Alceste, qu’il rendit à son époux. Daphné Pendant son exil,
Apollon
vit Daphné, fille du fleuve Pénée : il la trouva
é, sans vouloir l’entendre, se mit à fuir de toutes ses forces. Comme
Apollon
qui la poursuivait était près de l’atteindre, la
des poètes. Aux plus savans auteurs comme aux plus grands guerriers,
Apollon
ne promet qu’un nom et des lauriers. [Boileau] C
e le nom de Daphné, qui, en grec, signifie laurier. Hyacinthe
Apollon
ne fut pas plus heureux dans son amitié pour Hyac
que lui pour cet enfant, fut si piqué de le voir jouer au palais avec
Apollon
, qu’avec son haleine, il dirigea le disque de ce
t qui naît à la fin de l’hiver. Poursuivi par les parens d’Hyacinthe,
Apollon
se vit forcé, pour se soustraire à leur vengeance
il devint maçon. Perséis Ne pouvant vivre sans aimer, bientôt
Apollon
soupira pour la nymphe Perséis. Elle était fille
evint mère de la célèbre Circé. Cyparisse Dans le même temps,
Apollon
donna à Cyparisse la place qu’Hyacinthe occupait
s la campagne. Cyparisse, désespéré, voulait se laisser mourir ; mais
Apollon
, ému de pitié le changea en Cyprès. Cyparisse, mo
l est sans feuilles, et qu’il ne présente que des idées, lugubres.
Apollon
bâtit les murailles de Troyes. Neptune ayant c
une ayant conspiré contre Jupiter, venait aussi d’être banni du ciel.
Apollon
et lui s’étant rencontrés, s’unirent ensemble, et
détours pour les frustrer de la récompense qu’il leur avait promise.
Apollon
et Neptune irrités de la mauvaise foi de ce princ
oya les eaux de la mer qui renversèrent les murailles de la ville, et
Apollon
fit périr un grand nombre d’habitans par le fléau
e guerrier Arrosa d’une main qui gagna des batailles, Souviens-toi qu’
Apollon
a bâti des murailles, Et ne t’étonne pas de voir
lle à feu et à sang, et emmena prisonnier Priam, fils de Laomédon.
Apollon
remonte dans l’Olympe. L’exil et les malheurs
omédon. Apollon remonte dans l’Olympe. L’exil et les malheurs d’
Apollon
apaisèrent enfin Jupiter ; il le rappela dans le
le ciel, et lui rendit les honneurs et les priviléges de la divinité.
Apollon
, rétabli dans ses droits, répandit la lumière dan
mythologues donnent cependant cette charge à Hypérion, et distinguent
Apollon
du soleil. Sans rien décider, ils feignent que le
iens sous celui de Dionysius ; les Grecs et les Romains, sons celui d’
Apollon
ou Phébus. Il est à remarquer que les Grecs, qui
entes parties, et les substituèrent aux divinités de l’Egypte. Ainsi,
Apollon
, un de leurs plus grands princes, fut chez eux ce
des chevaux. Coronis. — Le Corbeau. Le Corbeau était consacré à
Apollon
, parce que ce dieu présidait aux oracles, et que
vert l’infidélité de Coronis : dans un premier transport de jalousie,
Apollon
la tua ; mais s’en étant repenti aussitôt, il la
ose à lui dire en secret, les dames de sa suite se retirèrent : alors
Apollon
se fit connaître. Clytie, jalouse de la préférenc
t voulant s’en venger, instruisit Orchame des amours de sa fille avec
Apollon
. Ce père entrant en fureur, ordonna qu’elle fut e
u’elle fut enterrée toute vive, et qu’on jeta du sable sur son corps.
Apollon
, désespéré de sa perte, la transforma en l’arbre
le soleil, et l’accompagnait de ses regards pendant toute sa course.
Apollon
, par pitié, la changea enfin en tournesol, plante
stre donne seul la vie aux productions de la nature. Esculape
Apollon
eut plusieurs enfans. Les plus remarquables sont
donnent pour sœur, Phaéton, Aétès, Pasiphaé, Circé. Esculape, fils d’
Apollon
et de la nymphe Caronis, fut mis de bonne heure e
à Jupiter qui le foudroya ; mais le maître des dieux voulant consoler
Apollon
de la perte de son fils qu’il regrettait vivement
e de son fils qu’il regrettait vivement, reçut Esculape dans le ciel.
Apollon
en fit un astre nommé Ophieus ou Serpentaire. Esc
sait à Rome des ravages affreux ; le sénat députa un ambassadeur vers
Apollon
à Delphes, pour le prier de faire cesser la conta
r vers Apollon à Delphes, pour le prier de faire cesser la contagion.
Apollon
renvoya à Esculape. Le sénat fit une seconde dépu
édecin, peut faire des prodiges. Aurore Aurore était fille d’
Apollon
, ou, selon d’autres, d’Hypérion et de Théa : Tita
promontoire d’une île qui est proche de la Toscane. Les Muses
Apollon
, considéré comme l’inventeur de la poésie et de l
lle voix, osèrent défier les Muses de mieux chanter : pour les punir,
Apollon
les changea en pies. Voici le nom des Muses et le
able pour n’avoir pas suivi les bons conseils qu’on lui avait donnés.
Apollon
habite avec les neuf Sœurs les sommets du Pinde,
croyait capable de décider les questions les plus difficiles. Un jour
Apollon
et Pan firent un défi dont Midas et le Mont Tmolu
ux les entendre, écarta tous ses arbres. Pan joua le premier, ensuite
Apollon
: Tmolus prononça en faveur du dieu de la musique
tiques de la flûte de Pan aux accords doux et harmonieux de la lyre d’
Apollon
. Ce dieu, pour se venger, lui allongea les oreill
’on faisait à cette déesse. Ce satyre fut assez téméraire pour défier
Apollon
. Les conditions du cartel furent que le vaincu de
ns assez mélodieux pour charmer tout le monde, et même pour intimider
Apollon
, mais ce dieu qui joignait aux accords de sa lyre
ent. Les plus accrédités et les plus multipliés étaient les oracles d’
Apollon
, dans la persuasion où l’on était que Jupiter, pr
cienne de la Phocide, fut surtout célèbre par le temple et l’Oracle d’
Apollon
. Les Grecs, les étrangers, les particuliers et le
nt à Delphes en personne, ou y envoyaient pour apprendre la volonté d’
Apollon
sur leurs affaires. Les présens magnifiques faits
mparés aux trésors du roi de Perse. On nommait Pythie, la prêtresse d’
Apollon
qui présidait au temple de Delphes. Le jour qu’el
i faisait boire de l’eau de la fontaine Castalie, dans la croyance qu’
Apollon
lui avait communiqué sa vertu. Ensuite, on condui
lle de Glaucus. Elle naquit à Cumes dans l’Eolide, et fut prêtresse d’
Apollon
. Ce dieu la trouvant belle, n’épargna rien pour l
a main ; mais elle oublia de demander la faveur de ne point vieillir.
Apollon
lui accorda ce qu’elle désirait : il offrit de pl
inion où l’on était que les Sybilles devaient vivre long-temps, et qu’
Apollon
connaissait l’avenir, a sans doute donné lieu à c
l’avenir, a sans doute donné lieu à cette fable. Cumane, inspirée par
Apollon
, rendait ses oracles dans le temple de ce dieu, a
. Laocoon Laocoon, fils de Priam et d’Hécube, était prêtre d’
Apollon
et de Neptune. Il s’opposa fortement à ce que les
, déesse de la chasse, était fille de Jupiter et de Latone, et sœur d’
Apollon
. On la nommait Lune dans le ciel, Diane sur la te
e de se vouer à une éternelle virginité. Elle naquit un instant avant
Apollon
, et aussitôt elle aida Latone à le mettre au mond
eucalion, son père, outré de douleur, se précipita du haut d’un roc ;
Apollon
le changea en épervier. Endymion Comme la
garder les troupeaux. Mercure est regardé comme le dieu des voleurs.
Apollon
, exilé aussi de l’Olympe, menait paître les bœufs
un troupeau à peu de frais. Dans ce dessein, il profita du moment où
Apollon
célébrait sur sa flûte ses amours pastorales ; le
enue lui suffit pour détourner et cacher les bœufs au fond d’un bois.
Apollon
, s’étant aperçu du vol courut à son arc pour en t
ure est le métal qu’on lui fait toucher. La Lyre. — Le Caducée.
Apollon
, trompé, molesté, fit d’abord grand bruit, mais t
antides, dont Maïa était une. Quoi qu’il en soit, il en fit présent à
Apollon
, qui lui donna en échange une baguette de coudrie
cœurs : le maître des dieux lui donna la couronne de la beauté. Mars,
Apollon
, Bacchus voulaient l’épouser, mais Jupiter pronon
ucate Leucate ou Leucade était un lieu élevé près de Nicopolis ;
Apollon
y avait un temple. Tous les ans, du haut de ce pr
sins ; aussi est-il regardé comme dieu de la mer. Chassé du ciel avec
Apollon
pour avoir conspiré contre Jupiter, ces deux divi
eptune, s’élevaient et se plaçaient d’elles-mêmes au son de la lyre d’
Apollon
. Le prince troyen, charmé des talens de ses archi
le prix dont ils étaient convenus. Pour le punir de sa mauvaise foi,
Apollon
infecta l’air d’une vapeur pestilentielle, et Nep
les sons harmonieux que rendaient les pierres lorsqu’on les touchait.
Apollon
, qui avait fait construire les murailles de Mégar
a taille gigantesque et de sa force prodigieuse, osa insulter Latone.
Apollon
et Diane, après l’avoir percé de leurs traits, le
nommé de son nom Plégyade. Il osa mettre le feu au temple de Delphes.
Apollon
outragé ne laissa pas ce sacrilége impuni, il le
sacraient cette fleur aux Euménides. Aristée Aristée, fils d’
Apollon
et de la nymphe Cyrène, apprit des nymphes à cail
ion de Troyes. Orphée Orphée, musicien célèbre, était fils d’
Apollon
et de la muse Calliope. On raconte que, par l’har
ette citadelle, et il y réussit si bien, que l’ouvrage fut attribué à
Apollon
, dieu des beaux-arts. Priam, fils de Laomédon, et
e des Grecs. Agamemnon avait enlevé Chryséis, fille du grand-prêtre d’
Apollon
: ce dieu vengeant l’injure faite à son ministre,
, attentive à vous plaire : On dit qu’elle et ses sœurs par l’ordre d’
Apollon
, Transportent dans Anet tout le sacré vallon : Je
mée Proserpine. La belle Mnémosyne fut la mère des neuf Muses. Enfin,
Apollon
et Diane, les plus beaux des immortels, naquirent
geait Junon, sa sœur et son épouse ; Neptune, dieu des mers, Mercure,
Apollon
, Mars et Vulcain, Cérès, Minerve, Vesta, Diane, e
rent pieusement vers le temple de Delphes pour y consulter l’oracle d’
Apollon
: « Sortez du temple, s’écrie le dieu, et, la têt
oiseau lui était-il consacré ? — Quelle était sa messagère ? § 4.
Apollon
. — Les Muses. Apollon. Naissance d’Apol
é ? — Quelle était sa messagère ? § 4. Apollon. — Les Muses.
Apollon
. Naissance d’Apollon. Latone, fille de Cé
agère ? § 4. Apollon. — Les Muses. Apollon. Naissance d’
Apollon
. Latone, fille de Céus, un des Titans, et de P
s, où Latone se réfugia sous la forme d’un oiseau, et donna le jour à
Apollon
et à Diane. Junon avait suscité contre elle le se
t suscité contre elle le serpent Python, qui la persécuta longtemps :
Apollon
, encore enfant, s’arma de flèches, et tua le mons
le serpent Python du limon de la terre, après le déluge de Deucalion.
Apollon
l’aurait alors tué dans la force de l’âge, non po
célébraient à Delphes tous les quatre ans. On voit dans la victoire d’
Apollon
sur le serpent l’heureuse influence du soleil qui
use influence du soleil qui dessèche les marais et assainit la terre.
Apollon
, qu’on appelle aussi Phébus, était le plus beau d
u’ils tiennent l’enthousiasme qui échauffe leur génie. Disgrâces d’
Apollon
. Ce dieu fut éprouvé par de cruelles disgrâces
stée par Épaphus, arriva un jour auprès de lui tout baigné de larmes.
Apollon
jura imprudemment par le Styx qu’il était disposé
n lui demanda de lui céder pour un seul jour la conduite de son char.
Apollon
, lié par son serment, y consentit, mais l’inexpér
culée. Ce ne fut pas la seule douleur qui affligea le cœur paternel d’
Apollon
. Esculape, qu’il avait eu de la nymphe Coronis, e
endu la vie à Glaucus, fils de Minos, et à Hippolyte, fils de Thésée.
Apollon
, dans son désespoir, se vengea sur les Cyclopes q
es compagnons de ses travaux, le dieu fut chassé du ciel. Séjour d’
Apollon
sur la terre. Pendant son exil sur la terre, A
. Séjour d’Apollon sur la terre. Pendant son exil sur la terre,
Apollon
fut réduit à garder les troupeaux d’Admète, roi d
, dont l’oreille était peu musicale, donna la préférence au dieu Pan.
Apollon
, pour se venger de cet arrêt, allongea aussitôt l
la bouche du barbier : Midas, le roi Midas, a des oreilles d’âne.
Apollon
tira du satyre Marsyas une plus terrible vengeanc
es mains derrière le dos, l’attacha à un arbre et l’écorcha tout vif.
Apollon
, dépouillé par Mercure, mal jugé par Midas, et dé
insipide comme les mauvais vers. Ce ne fut pas le terme des misères d’
Apollon
: forcé de travailler de ses mains pour vivre, il
fin, il ne fut pas payé. Achevons rapidement le récit des aventures d’
Apollon
sur la terre, jusqu’au moment où il fut rappelé d
, et fut changée en laurier. Le jeune Hyacinthe jouait au disque avec
Apollon
; celui-ci le tua par mégarde d’un coup de son pa
espéré d’avoir tué à la chasse un jeune cerf qu’il avait apprivoisé ;
Apollon
le changea en cyprès. Attributs d’Apollon.
qu’il avait apprivoisé ; Apollon le changea en cyprès. Attributs d’
Apollon
. Les peintres, les poëtes et les sculpteurs on
Les peintres, les poëtes et les sculpteurs ont souvent représenté
Apollon
. Homère le décrit ainsi dans le premier chant de
connu sous le nom de l’Apollon du Belvéder. Il ne faut pas confondre
Apollon
avec le Soleil lui-même, il n’en est que le dieu
, et les anciens lui donnent le nom d’Hypérion. Comme dieu du Soleil,
Apollon
prenait le nom de Phébus, et on le représente sur
syne, c’est à dire de l’intelligence et de la mémoire, et compagnes d’
Apollon
, sont au nombre de neuf. Clio est la muse de l’hi
ne tardèrent pas à comprendre les desseins de cet hôte perfide ; mais
Apollon
leur donna des ailes pour s’enfuir. Pyrénée, voul
tral de la surface de la terre, s’élevait un temple fameux consacré à
Apollon
, où le dieu rendait des oracles par la bouche de
un de nos poëtes (J. B. Rousseau) dans ces beaux vers : Ou tel que d’
Apollon
le ministre terrible, Impatient du dieu dont le s
de leur piété et de leur reconnaissance. Questionnaire. De qui
Apollon
était-il fils ? — Où naquit Apollon ? — Quel fut
ance. Questionnaire. De qui Apollon était-il fils ? — Où naquit
Apollon
? — Quel fut le premier exploit d’Apollon ? — Que
était-il fils ? — Où naquit Apollon ? — Quel fut le premier exploit d’
Apollon
? — Quels étaient les attributs d’Apollon ? — Rac
el fut le premier exploit d’Apollon ? — Quels étaient les attributs d’
Apollon
? — Racontez l’histoire de Phaéton. — Apollon n’é
étaient les attributs d’Apollon ? — Racontez l’histoire de Phaéton. —
Apollon
n’éprouva-t-il pas une autre douleur ? — Comment
e Phaéton. — Apollon n’éprouva-t-il pas une autre douleur ? — Comment
Apollon
se vengea-t-il et comment fut-il puni ? — Quel fu
Apollon se vengea-t-il et comment fut-il puni ? — Quel fut le sort d’
Apollon
sur la terre ? — Ne fut-il pas défié par le dieu
défié par le dieu Pan ? — Quelle fut la punition de Midas ? — Comment
Apollon
se vengea-t-il du satyre Marsyas ? — Apollon ne f
ion de Midas ? — Comment Apollon se vengea-t-il du satyre Marsyas ? —
Apollon
ne fut-il pas trompé par Laomédon, roi des Troyen
r Laomédon, roi des Troyens ? — Quelles furent les autres aventures d’
Apollon
sur la terre ? — Apollon n’avait-il pas un temple
ns ? — Quelles furent les autres aventures d’Apollon sur la terre ? —
Apollon
n’avait-il pas un temple au pied du mont Parnasse
avait-il pas un temple au pied du mont Parnasse ? — Faut-il confondre
Apollon
avec le soleil ? — Comment représente-t-on Apollo
Faut-il confondre Apollon avec le soleil ? — Comment représente-t-on
Apollon
? — De qui les Muses sont-elles filles ? — Quels
s. Diane. Naissance et attributs de Diane. Diane, sœur d’
Apollon
, fille de Jupiter et de Latone, témoin de la tris
r à Latone. Tous ses enfants tombèrent sous les flèches de Diane et d’
Apollon
. Elle vengea ses propres injures contre la Nymphe
triples fonctions. Constellations. Après avoir fait connaître
Apollon
et Diane, divinités du soleil et de la lune, c’es
a cour céleste, et Mercure, enfin chassé, alla retrouver sur la terre
Apollon
, devenu berger. Vous savez déjà qu’il ne l’épargn
flots. C’est ce même prince que nous avons vu plaisamment châtié par
Apollon
. Vengeances de Bacchus. — Penthée. — Lycurgue.
mauvais desseins par l’exil. Relégué sur la terre, il travailla avec
Apollon
à relever les murailles de Troie, et, comme lui,
ui, il fut frustré de son salaire par le perfide Laomédon. Neptune et
Apollon
se liguèrent pour punir ce parjure. Apollon envoy
fide Laomédon. Neptune et Apollon se liguèrent pour punir ce parjure.
Apollon
envoya la peste, et Neptune un monstre marin qui
ville. Corinthe fut l’objet d’un semblable différend entre Neptune et
Apollon
. Briarée, choisi pour arbitre, adjugea l’isthme d
émorable de cette puissance de Protée dans la fable d’Aristée, fils d’
Apollon
et de Cyrène. Orphée, le chantre de la Thrace, al
ue barbe, des cheveux flottants sur ses épaules, et d’épais sourcils.
Apollon
lui donna le don de prophétie, et Nérée en fit so
e la Thessalie, sur les Lapithes, peuple habile à manier les chevaux.
Apollon
ayant outragé sa fille Coronis, qui devient mère
la médecine. Esculape ou Asclépius, dieu de la médecine, était fils d’
Apollon
et de la nymphe Coronis. Livré aux soins du centa
de la mort même. Jupiter le foudroya. Nous avons vu dans l’histoire d’
Apollon
quelles furent les suites de cet événement. Jupit
t à combattre à cheval ; Autolycus à conduire un char ; Linus, fils d’
Apollon
et d’une Muse, à jouer de la lyre ; et Chiron lui
le promena dans les rues d’Athènes et l’immola ensuite à Minerve et à
Apollon
. Minos, roi de Crète, pour venger la mort de son
e dura dix ans. Achille et Agamemnon se divisèrent. Chrysès, prêtre d’
Apollon
, était venu réclamer sa fille Chryséis, esclave d
e de Jupiter Olympien ; 5º le colosse de Rhodes, gigantesque statue d’
Apollon
; 6º le temple d’Éphèse ; 7º le Mausolée, tombeau
ur ses épaules. 7. Le caducée était une baguette que Mercure reçut d’
Apollon
. L’ayant placée entre deux serpents qui se battai
e, dans la mer et aux enfers ; comme Saturne, Cybèle, Jupiter, Junon,
Apollon
, Diane, Bacchus, Mercure, Vénus, Mars, Neptune, A
u sacré vallon, Son enthousiasme est la lyre Qu’il reçoit des mains d’
Apollon
. Ainsi consacrant le système De la sublime ficti
: c’est ce que nous appelons l’Arc-en~ciel, et quelquefois l’Iris.
Apollon
. Apollon, fils de Jupiter et de Latone, frère
ue nous appelons l’Arc-en~ciel, et quelquefois l’Iris. Apollon.
Apollon
, fils de Jupiter et de Latone, frère de Diane, na
er aucun endroit sur la terre où elle pût s’arrêter. Esculape, fils d’
Apollon
, et dieu de la Médecine qu’il avoit apprise du Ce
nt rendu la vie à Hypolite, fils de Thésée, fut foudroyé par Jupiter.
Apollon
vengea la mort de son fils, en tuant les Cyclopes
s Bergers. Cette contrée devint un séjour délicieux, par les soins qu’
Apollon
prenoit de former les mœurs de ses habitans, qui
t il étoit convenu, Neptune s’en vengea, en inondant les travaux ; et
Apollon
, en ravageant le pays par la peste. Cependant Jup
peste. Cependant Jupiter, oubliant son ressentiment, rappela au ciel
Apollon
, et lui confia le soin d’éclairer le monde. En ce
éraire, Phaéton monte au palais du Soleil, par le secours de Minerve.
Apollon
, appercevant son fils, se dépouille de ses rayons
compenser, Jupiter les changea en peuplier, et leurs larmes en ambre.
Apollon
est plus particulièrement honoré comme le dieu de
uffer mon ame D’une prophétique fureur. Loin d’ici, profane vulgaire,
Apollon
m’inspire et m’éclaire ; C’est lui, je le vois, j
Piérius ou le Pinde, parce que toutes ces montagnes sont consacrées à
Apollon
et aux Muses. On l’appelle encore le sacré Vallon
e au mont Hélicon ; par les eaux de Castalie, qui étoit une Nymphe qu’
Apollon
métamorphosa en fontaine ; et par l’Hippocrène, f
, lorsque Persée coupa la tête à cette Gorgone. On dit communément qu’
Apollon
et les Muses permettent aux bons poëtes de se ser
nne, Et sous ses doigts savans résonne Sa lyre, maîtresse des cœurs.
Apollon
étoit encore le dieu des oracles. On alloit le co
eu de la terre ; à Délos, isle de la mer Egée, lieu de la naissance d’
Apollon
et de Diane ; à Claras, ville d’Ionie ; à Ténédos
finité d’autres lieux où on avoit consacré des temples en l’honneur d’
Apollon
. Les oracles de Delphes étoient les plus célèbres
orrible, né du limon de la terre, après le déluge de Deucalion, et qu’
Apollon
tua, parce qu’il désoloit les campagnes : Chez l
rendoient les oracles ; ils se plaçoient sur un trépied, invoquoient
Apollon
par des hurlemens horribles ; ils entroient en fu
souvent peine à entendre ; rarement ils les écrivoient. Ou tel que d’
Apollon
le ministre terrible, Impatient du dieu dont le s
us. Lamotte. Daphné fille du fleuve Pénée, évitant les poursuites d’
Apollon
, fut métamorphosée en laurier. Ce dieu s’en fit u
s poëtes : Aux plus savans auteurs, comme aux plus grands guerriers,
Apollon
se promet qu’un nom, et des lauriers. Boileau.
ant en musique les hymnes composés en l’honneur des dieux, osa défier
Apollon
, et prétendit chanter mieux que lui. Apollon l’éc
ur des dieux, osa défier Apollon, et prétendit chanter mieux que lui.
Apollon
l’écorcha vif, et le changea en un fleuve de sang
nstrumens, Joint à des pas légers de justes mouvemens. De l’esprit d’
Apollon
une vive étincelle, Des filles de mémoire anime l
rs, Danchet. Les Muses partageoient les honneurs que l’on rendoit à
Apollon
: on les désigne souvent sous les noms de neuf Sœ
de Déesses du sacré vallon, de chastes Filles de mémoire, de Sœurs d’
Apollon
, etc. Déjà pour l’immortelle fête Les neuf Sœurs
De l’alliance antique Des favoris de Mars avec ceux d’
Apollon
. Rousseau. Les neuf Muses, prises en général, p
irs, et vole sur leurs traces. Fuselier. Diane. Diane, sœur d’
Apollon
, fille de Jupiter et de Latone, est distinguée pa
Il enleva dans le même instant, les troupeaux, les armes et la lyre d’
Apollon
, qui étoit alors au service du roi Admète. Il se
son indiscrétion. Ce berger avoit vu Mercure enlever les troupeaux d’
Apollon
, et en avoit reçu une vache, sur la promesse de n
il porte à la main un caducée. C’est une baguette qu’il avoit reçue d’
Apollon
, en lui rendant sa lyre. Un jour il rencontra sur
duit à la nécessité de travailler à bâtir les murs de Troie : Est-ce
Apollon
et Neptune Qui sur ces rocs sourcilleux, Ont, com
s, géant dont le corps couvroit un espace de neuf arpens, fut tué par
Apollon
et Diane, pour avoir insulté Latone. Jupiter le f
rescrites dans cet ouvrage. Divinités champêtres. Pan, Diane,
Apollon
, les Faunes, les Sylvains, Peuplent ici vos bois,
On ne peut aller au-delà ». L’Oracle avoit ordonné que, pour appaiser
Apollon
et Neptune irrités contre Laomédon, roi de Troie,
hes habitoient la Thessalie, et tiroient leur nom de Lapithe, fille d’
Apollon
. Ces géans étoient si vains, que leur orgueil avo
de monstres furieux. Rousseau. Ce demi-dieu étoit fils de Clio et d’
Apollon
. Il en avoit reçu le talent de toucher la lyre av
rant la valeur, Mon âge emploiera bien l’avantage du leur. Lamotte.
Apollon
le fit vivre trois cens ans ; ce que les poëtes a
n’étoit point invulnérable dans cet endroit, il mourut sur le champ.
Apollon
lui-même avoit conduit la flèche : A peine il a
i de Thessalie, époux d’Alceste, 136 — Ses troupeaux sont gardés par
Apollon
, 40-71 Adonis, chasseur, 73 Adrastée, 118. Voye
fille d’Œdipe, 165 Antre habité par l’Envie, 119 — Par Cacus, 134
Apollon
, fils de Jupiter et de Latone, 40 — Mis au rang
Midas, ibid. — Fait vivre Nestor pendant trois âges d’hommes, 172
Apollon
est volé par Mercure, 71 — Lieux fameux par ces
la représente, 82 Bergers, chargés d’élever Neptune, 90 — Pourquoi
Apollon
est leur dieu, 40 Biche aux pieds d’airain, 13
on la représente, 26 Cyclopes, forgerons de Vulcain, 78 — Tués par
Apollon
, 40 Cygne, Jupiter en prend la forme, 34 Cygnes
la mort, 139 Delos, isle rendue stable, 40 — Lieu de la naissance d’
Apollon
et de Diane, 40-46 — Célèbre par les oracles d’A
a naissance d’Apollon et de Diane, 40-46 — Célèbre par les oracles d’
Apollon
, 46 Delphes, (les Oracles de) ibid. — Le templ
’Atrée, 169 Erostrate brûle le temple d’Ephèse, 61 Esculape, fils d’
Apollon
, 40 — Apprend la médecine du centaure Chiron, 89
t aux héros, 10-11 — Aux vertus et aux vices, 11 Hyacinthe, tué par
Apollon
, et métamorphosé en fleur, 41 Hydre de Lerne, 88
fils d’Ilus, père de Priam, 178 — Est puni par Neptune, 90 — — Par
Apollon
, 38. Par Hercule, 135 Lapithe, fille d’Apollon,
Neptune, 90 — — Par Apollon, 38. Par Hercule, 135 Lapithe, fille d’
Apollon
, 144 Lapithes, peuple de la Thessalie, ibid. L
nie, 194 Latone, mère d’Apollon et de Diane, 40 Laurier, consacré à
Apollon
, 48 — Est la récompense des poëtes et des guerri
os, 174 Lycurgue, puni par Bacchus, 60 Lypare ou Lypara, 78 Lyre d’
Apollon
, 44 — Enlevée par Mercure, 71 — de Calliope, 49
est délivré par Mercure, ibid. Mars, planète, 96 Marsias, puni par
Apollon
, 69 Massue d’Hercule, 139 — De Melpomène, 52 M
35 — De Prothée, 91-93 Méthrès, père de Didon, 194 Midas, puni par
Apollon
, 119 Mimas, un des Titans, 30 Minerve, sa naiss
74 Momus, fils du Sommeil et de la Nuit, 114 Mont-sacré, demeure d’
Apollon
et des Muses, 45-46 Morphée, dieu du Sommeil, 11
ylone, une des sept merveilles du monde, 63 Muses, 49 — Disciples d’
Apollon
, 45 — Filles de Jupiter et de Mnémosyne, 49 — L
s Graces pour compagnes, 76 — Partagent les honneurs et le pouvoir d’
Apollon
, 50-51 — Et président aux sciences, aux beaux-ar
en quelles occasions on le consultoit principalement, 164 Oracles d’
Apollon
, 46 — Comment on les rendoit, 47-48 Oréades, ny
s, érigées en divinités, 121 Patare, ville célèbre par les oracles d’
Apollon
, 46 Patras, ville consacrée à Diane, 60 Patrocl
sept merveilles du monde, 63 Phébé, 56. Voyez Diane. Phébus, nom d’
Apollon
, 41 — Le rang que le Ciel lui assigne, 88 Phèdr
é Vallon, et boire de l’eau d’Hippocrène, 45 — Ils sont inspirés par
Apollon
, 44 — Et par les Muses, 50 Poids, inventés par
terre, 11 Porte d’ivoire et de corne pour les songes, 115 Prêtres d’
Apollon
, 47 Prêtresses d’Apollon, 46-47 Prétus, 38-39
et de corne pour les songes, 115 Prêtres d’Apollon, 47 Prêtresses d’
Apollon
, 46-47 Prétus, 38-39 Priam, roi deTroade, 176-1
4 — Tue Pâris dans un combat singulier, 185 Pithon, serpent tué par
Apollon
, 46 Pithonisse, prêtresse d’Apollon ; pourquoi o
er, 185 Pithon, serpent tué par Apollon, 46 Pithonisse, prêtresse d’
Apollon
; pourquoi on l’appelle ainsi, ibid. Q Que
e, 194 S Sablier, attribut du Temps, 21 Sacré Vallon, séjour d’
Apollon
et des Muses, 45 Sagesse, la déesse qui y présid
il est représenté, 21 Saturne, planète, 86 Satyre Marsyas, puni par
Apollon
, 49 Satyres, divinité champêtres, 123-124 Scept
on trompe les Troyens, 184 Sisyphe, fameux brigand, 102-158 Sœurs d’
Apollon
, nom donné aux Muses, 50 Soie des Parques, 107-1
rve, 83 — De Delphes ; les Gaulois veulent le piller, 123 Temples d’
Apollon
, 46-47 — De Diane, 60 — De Vénus, 74 Ténare, 1
Ténare, 100. Voyez Tartare. Ténédos, île célèbre par les oracles d’
Apollon
, 46 — Les Grecs s’y retirent pour tromper les Tr
lèbre dans l’Histoire poétique, 11 — Est bâtie par Neptune, 91 — Et
Apollon
, 41 — Les Grecs y arrivent avec leur flotte, 180
— Des trois Juges aux enfers, 107 V Vallon, (Sacré) séjour d’
Apollon
et des Muses, 45 Vautour de Prométhée, 31 — Tué
onnage symbolique représentant le soleil, et se rapprochant en cela d’
Apollon
, de Bacchus et d’Adonis, divinités que nous retro
au nombre de quatre, en figurant le printemps par Mercure, l’été par
Apollon
; l’automne par Bacchus, et l’hiver par Hercule ;
l. En effet, un jour Neptune, Junon et un autre dieu portant le nom d’
Apollon
, fatigués du despotisme de Jupiter, ayant complot
ouse ; puis il donna naissance à Mercure avec Maïa, fille d’Atlas ; à
Apollon
et Diane, avec Latone, fille de Cœos ; à Egipan,
u Mars, Hermès ou Mercure, Posidon ou Neptune, Hépheste ou Vulcain et
Apollon
ou le Soleil ; Héra ou Junon, Hesta ou Vesta, Dam
Dieux Olympiens. C'étaient Jupiter, Neptune, Mars, Mercure, Vulcain,
Apollon
, Vesta, Junon, Cérès, Diane, Vénus et Minerve. Il
ii superi, tels que Uranus, Saturne, Jupiter, Mars, Vulcain, Mercure,
Apollon
, Junon, Minerve, Diane, etc. ; les Dieux de la Te
at, d’un chien ou de tout animal quelconque. Ainsi l’on vit se sauver
Apollon
en corbeau, Junon en vache, Bachus en bouc, Mercu
e fassent succomber sous les coups de la foudre, ou sous les traits d’
Apollon
, ou même sous les coups de tous les Dieux réunis,
ivrance de Mars, les Aloïdes perdirent chaque jour de leur influence.
Apollon
les tua avant même que la barbe se fût montrée su
trée sur leurs figures. D'autres veulent qu’ils aient été frappés par
Apollon
et Diane sa sœur ; une troisième version dit que
biche de sa propre volonté, ou, d’après quelques-uns, à la demande d’
Apollon
, elle se précipita entre les deux frères, qui, ay
sans contredit, Esculape ou Asclépias, dieu de la médecine et fils d’
Apollon
; car il se permettait de ressusciter les hommes
s hommes ; aussi le foudroya-t-il, comme nous le verrons en parlant d’
Apollon
. Jupiter ne borna pas à Esculape sa rigoureuse et
à Esculape sa rigoureuse et vindicative jalousie : il chassa du ciel
Apollon
, pour avoir percé de ses flèches les Cyclopes, qu
x accords harmonieux d’un musicien célèbre appelé Orphée, serviteur d’
Apollon
et que nous verrons descendre hardiment jusque da
ce mortel, pour avoir commis le crime d’avoir été trop parfait ; mais
Apollon
, heureusement pour la justice et pour la réputati
acrifice en l’honneur de tous les Dieux, mais surtout de Jupiter et d’
Apollon
en particulier ; puis, on levait les lices, et la
ous nous réservons de les faire connaître plus en détail en parlant d’
Apollon
, le dieu spécial de la Divination. Ce maître des
omme on l’a vu, jusqu’à conspirer contre lui avec Neptune, Minerve ou
Apollon
, conspiration que la vue seule de Briarée aux côt
aient. Il épousa Vénus, mais elle ne tarda pas à le trahir pour Mars.
Apollon
l’en avertit, aussitôt Vulcain fabrique un réseau
nt pour enfans du Soleil ; aussi les retrouvera-t-on parmi les fils d’
Apollon
. Les Cabires, au contraire, semblaient de vrais d
icile sous les ordres du même dieu. Les Cyclopes tombèrent percés par
Apollon
qui vengea sur eux la mort de son fils Esculape q
i pour fille d’Iphis et de Thébée ; elle fut insensible aux efforts d’
Apollon
, et épousa Capané dont la mort lui fut si pénible
élivré sa mère d’un second enfant, que nous connaîtrons sous le nom d’
Apollon
. Ainsi dans cet embrouillement causé par la trans
ôt remplit auprès de sa mère les fonctions d’Ilithye, et la délivre d’
Apollon
. Quelques auteurs n’admettent pas cette légende,
lui aider à mettre au monde Diane dans l’île sicilienne d’Ortygie, et
Apollon
, dans celle de Délos ; conte absurde, ne reposant
; conte absurde, ne reposant sur rien. Comme tous les Dieux, Diane et
Apollon
grandirent promptement ; celui-ci devint le Solei
erpent Python ayant voulu attaquer ces deux enfans encore au berceau,
Apollon
se leva, prit un arc, et le tua aussitôt à coups
a nature, combattant pour soutenir le vieux culte de la terre, contre
Apollon
, menaçant de lui faire succéder le culte du Solei
re pour la venger. L'occasion ne tarda pas, car quelques jours après,
Apollon
et Diane, ayant vu dans les plaines voisines, les
ices, ils les tuèrent à coups de flèches, ou du moins, suivant Ovide,
Apollon
seul fit ce massacre. Au bruit de leurs cris doul
t disparaître toute cette famille ; ce sont enfin les seuls prêtres d’
Apollon
qui s’en débarrassent à coups de flèches, comme e
contagieuses à la chaleur excessive du Soleil, on mit sur le compte d’
Apollon
le massacre des Niobides, et l’on supposa que les
e Dictynne qui inventa les filets de chasse, Didyma ou sœur jumelle d’
Apollon
, Discincta ou qui porte l’habit longt et flottant
ou fille d’Upis. Diane, fille de Latone et de Jupiter, sœur aînée d’
Apollon
, reçut de son père l’honneur d’être déesse de la
es forêts. Après avoir secours sas mère pour l’aider à mettre au jour
Apollon
, elle fut tellement effrayée des douleurs materne
était la fille de Latone, celle qui passait en même temps pour sœur d’
Apollon
. On donnait à Diane Elaphion, c’est-à-dire le pet
s d’Autonoée, fille de Cadmus et femme d’Aristée, fils de Cyrène et d’
Apollon
. Il aimait passionnément la chasse. Son seul plai
père se précipiter de douleur du haut d’un rocher ; mais nous verrons
Apollon
l’arrêter dans sa chute et le changer en épervier
e Chionée eut Antolycus de ses amours avec Mercure, et Philammon avec
Apollon
. La froideur de Diane l’empêcha d’être fort utile
m de Phlionte. Cependant les légendes anciennes assurent qu’un fils d’
Apollon
appelé Amphithémis, la rendit mère de Caphaurus e
cheur. Cependant ces diverses infractions à son vœu n’empêchèrent pas
Apollon
de la nommer ainsi que Minerve la Vierge blanche.
s la Lune fut promptement divinisée dans la personne de Diane, sœur d’
Apollon
; alors on l’appela Diane céleste ou Phébée, ou p
nes le 19 ou le 20 du mois Thargelion ou mois des Thargélies, fêtes d’
Apollon
; les Brauronies qu’on célébrait tous les cinq an
existe beaucoup de statues au Musée, aux Tuileries et à Versailles.
Apollon
, dieu du jour et des beaux arts, portait les diff
, et Clarien ou de Claros en Ionie, cette ville possédait un temple d’
Apollon
, bâti par Manto l’une de ses maîtresses, il s’y t
été délivrés de ces animaux, dont ils étaient infestés, Sosianus ou l’
Apollon
à statue en bois de cèdre, transporté de Séleucie
tès et Zotelistès ou le principe de la vie, à Argos et à Corinthe.
Apollon
est donc la personnification du soleil, de l’astr
ois, Horus, fils d’Osiris et d’Iris chez les Egyptiens, lequel devint
Apollon
ou Phébus, chez les Grecs et les Romains. Cicéron
e cinq personnifications du soleil : le premier de ces soleils, c’est
Apollon
, fils de Jupiter et de Latone ; c’est le plus con
la Colchide et celle des Argonautes, comme nous le verrons plus tard.
Apollon
, ainsi que Diane, doit nécessairement être dédoub
et les Romains n’ayant jamais séparé l’histoire du soleil de celle d’
Apollon
, nous suivrons leur exemple ; seulement nous fero
les points de séparation qui souvent les distinguent. La naissance d’
Apollon
remontant à l’époque de la personnification du so
en compte autant que de cet astre. Ainsi, d’après Cicéron, le premier
Apollon
était fils de Vulcain, et c’était le protecteur d
e, et le cinquième, que l’on adorait à Delphes, était l’Hyperboréen.
Apollon
était regardé par les Grecs comme le fils de Jupi
elle, elle y mit au monde d’abord Diane, déesse de la chasse, ensuite
Apollon
, que Jupiter fit bientôt dieu du jour, de la poés
res, des arts, de l’éloquence, de la médecine et des augures. A peine
Apollon
fut-il au monde, que les nymphes s’emparèrent de
ché à Latone. Thémis, déesse de la justice, se chargea de l’enfance d’
Apollon
. Elle le nourrit de nectar et d’ambrosie, aidée d
ù Thémis rendait ses oracles, et qu’il fut tué à coups de flèches par
Apollon
pour avoir voulu en défendre l’entrée à ce dieu r
enfaisante des rayons solaires. Cependant on pense aussi qu’au lieu d’
Apollon
cela put fort bien être un prêtre ou un héros qui
ellation du dragon. Lorsque les Dieux furent rétablis dans l’Olympe,
Apollon
se distingua par une foule de hauts faits plus br
leté, le foudroie et lui fait subir le pouvoir invincible de la Mort.
Apollon
, à cet acte d’injustice, ne peut contenir sa fure
nsables forgerons, il le punit en l’exilant des cieux pour une année.
Apollon
, pendant cet exil, se réduisit à la condition de
quelles prirent part les héros les plus célèbres de la Grèce antique.
Apollon
fut reçu chez ce roi comme un propre fils ; aussi
ortelle ou du moins s’étant trouvé dans la position de subir la mort,
Apollon
trompa les Parques et le déroba de leurs mains en
é de cette nouvelle, allait mourir de chagrin, quand il eut recours à
Apollon
. Aussitôt le dieu lui donne un lion et un sanglie
nglier apprivoisés qui traînent et emportent le char de la princesse.
Apollon
ne fut pas le seul à rendre de brillans services
pouse. Pluton, moins sensible, s’y refusa. Alors Hercule, inspiré par
Apollon
, se décida à la retirer des mains du dieu des enf
pensé des Dieux. Après avoir mené la vie pastorale pendant une année,
Apollon
retourna aux cieux ; mais il en fut exilé une sec
avec Neptune, conspiré contre lui. Neptune ayant subi le même sort qu’
Apollon
, suivit celui-ci en Troade. Là ils offrirent tous
Là ils offrirent tous deux leurs services à Laomédon qui les accepta.
Apollon
environna sa ville de murailles inexpugnables, et
s et enlevait à la fois de grandes quantités d’habitans du rivage, et
Apollon
en livrant Troie à une épidémie épouvantable. On
rriva 1260 ans av. notre ère. Maintenant à ces fables dans lesquelles
Apollon
, Neptune et Hercule se trouvent mêlés, faisons su
citadelle 1261 ans av. J.-C. avec l’argent du temple de Neptune et d’
Apollon
, et l’on ne doit pas le confondre avec Laomédon q
rent naturellement croire qu’ils étaient les suites de la vengeance d’
Apollon
et de Neptune. Un prince du nom d’Hercule étant v
mais balancer à tenir ses promesses. Après les deux années d’exil,
Apollon
retourna dans l’Olympe où son père lui confia le
zon grec borné au couchant par la mer. Pendant son exil sur la terre,
Apollon
inventa les accords mélodieux de la lyre et fit c
oici comme les muses arrivèrent à fixer leur séjour sur le Parnasse :
Apollon
les ayant rencontrées sur le sommet de cette mont
it sous ses pieds jaillir l’Hippocrène : c’était Pégase, que la vue d’
Apollon
venait de faire arrêter. Mais nous-mêmes, avant d
ait été à moitié dompté par Neptune et Minerve, quand il parut devant
Apollon
, et cela par suite d’une protection toute spécial
utes ses conquêtes, ou le vaisseau dont il se servit. Mais revenons à
Apollon
: aussitôt qu’il eut aperçu Pégase arrêté, il mon
sier de les transporter tous à la cour de Bacchus, où les protégées d’
Apollon
eurent une célèbre dispute avec les Piérides. C'é
ent les Piérides qu’elles voulurent même frapper leurs rivales. Alors
Apollon
interposa son autorité, changea en pies ces impru
violence aux vierges du Parnasse. Alors celles-ci, avec le secours d’
Apollon
, prirent aussitôt des ailes et s’enfuirent à trav
elles ; il se lance donc ; mais plus lourd que les jeunes protégées d’
Apollon
, il tombe au bas de la tour et se tue. Fable qui
s du Parnasse. Cette Castalie fut, comme nous allons le voir, aimée d’
Apollon
. Quelquefois pourtant elles étaient effrayées par
ec ou sans ailes et avec leurs divers attributs, ou groupées en ayant
Apollon
à leur tête, ou dansant en rond, pour prouver que
1039, ou dans celui de la danse des Muses de Jules Romain à Florence.
Apollon
, tout en étant de retour au ciel, revenait donc s
r avoir la témérité de les préférer à ceux de la lyre et de la voix d’
Apollon
; il poussa la vanité jusqu’à lui porter un défi
ole, ami du géant Télégone, brigand de profession ; ce Tmole fut pour
Apollon
, mais Midas adjugea la victoire au dieu Pan. Apol
e Tmole fut pour Apollon, mais Midas adjugea la victoire au dieu Pan.
Apollon
, afin de se venger de cette petite mésaventure, f
e endroit un autel à Jupiter. Dans l’aventure de Midas la vengeance d’
Apollon
fut simplement plaisante, mais il ne fut pas si d
t Cybèle dans tous ses voyages. Le hasard leur fit rencontrer à Nisa,
Apollon
qui venait d’être exilé du ciel, le hasard voulut
si mélodieux qu’il parut devoir l’emporter sur son concurrent ; mais
Apollon
unissant sa voix aux doux accens de sa lyre, fit
dre des chants que la flûte de Marsyas avait été loin d’égaler, aussi
Apollon
fut-il déclaré vainqueur. Indigné de l’audacieuse
t naissance au fleuve de Phrygie qui portait son nom. Dans sa colère,
Apollon
voulut également punir Babys, frère de Marsyas ;
, voilà le sens moral de cette fable. Marsyas, quant à l’acte cruel d’
Apollon
, nous prouve que les plus grands talens ne sont p
elques succès. Si nous avions dessein de passer en revue tous ceux qu’
Apollon
punit ou récompensa avec plus ou moins de justice
n oiseau appelé Aiphius en Grèce ; le pasteur Cragalée d’Ambracie, qu’
Apollon
prit pour avoir servi d’arbitre dans un différent
ile, pêcheur de l’île d’Icarie, n’ayant pas voulu servir les amours d’
Apollon
avec Ocyrhé, fille de la nymphe Chésias et du fle
haut du mont Leucate dans la mer, et se déroba ainsi aux poursuites d’
Apollon
, qui par souvenir donna le nom de cet enfant à ce
horbas, chef des Phlégyens, homme cruel et violent, fut tué aussi par
Apollon
: il avait spolié les environs du temple de Delph
e chérie qu’il se précipita de désespoir du sommet du Parnasse ; mais
Apollon
, touché de ce dévouement, le soutint dans sa chut
orphosa en épervier. Parmi ces individus chéris particulièrement d’
Apollon
, on remarque le babylonien Clinis, puis Cyparisse
où il mourut le nom de Sepsa. Enfin Hyacinthe est l’un des favoris d’
Apollon
, dont la mort causa à ce dieu le plus de regrets.
u’il en soit de la naissance d’Hyacinthe, il fut cher non-seulement à
Apollon
, mais encore à Zéphyre, ou, suivant d’autres, à B
omme accordait au dieu des Muses, profita, pour se venger, qu’un jour
Apollon
jouait au disque avec lui, de détourner de son so
dieu, et le dirigea sur Hyacinthe, qui fut tué sur le champ. En vain
Apollon
voulut-il le rappeler à la vie, tous ses efforts
lle on prétend voir encore ses initiales i et a ; de là, pour honorer
Apollon
dans la personne de son favori, les Lacédémoniens
festins. Botrès reçut aussi une marque de haute faveur de la part d’
Apollon
; il venait de manger le cerveau d’une victime av
rée. Cependant il ressentit ensuite tant de chagrin de ce malheur, qu’
Apollon
, pour le consoler, changea son fils en un oiseau
a son fils en un oiseau nommé Aropus. Si maintenant nous considérons
Apollon
comme étant plus particulièrement une personnific
Dacie, et partout on lui accorda la plus haute considération. A peine
Apollon
fut-il retourné au ciel que son culte prit sur la
sie-Mineure et particulièrement en Lycie. Quant aux fêtes spéciales d’
Apollon
, comme dieu de l’harmonie ou comme soleil, elles
tituées par le troyen Carnus, fils de Jupiter et d’Europe et favori d’
Apollon
, pour honorer ce dieu par des combats de musique
es fêtes béotiennes que tous les neuf ans on célébrait en l’honneur d’
Apollon
soleil. On allait processionnellement jusqu’au te
en public à Délos, à Delphes et à Milet pour obtenir la protection d’
Apollon
, et chez les particuliers pour le remercier de l’
arent. Les Galaxies étaient des fêtes pendant lesquelles on offrait à
Apollon
des gâteaux d’orge. Les Halies se célébraient à R
lles les premiers jours de l’année civile on offrait des hécatombes à
Apollon
; les Argiens et les Eginètes célébraient égaleme
z les Mélagitnies étaient des fêtes chez les Mélitéens pour remercier
Apollon
de les avoir protégés pendant leur changement de
rg voisin appelé Diomée. Les Mitylénies se célébraient en l’honneur d’
Apollon
chez les Mityléniens hors des murs de leur ville.
it avec la plus grande pompe et l’on offrait des sacrifices surtout à
Apollon
, dieu du jour, des mois et des saisons. Riches et
psion ou octobre, et pendant lesquelles on offrait des fèves cuites à
Apollon
. On attribuait leur institution à Thésée. Les jeu
fêtes les plus brillantes qui se célébraient en Grèce en l’honneur d’
Apollon
par souvenir de sa victoire sur le serpent Python
du prix que l’on devait y décerner. L'on attribuait leur invention à
Apollon
lui-même ou bien à Diomède, ou à Amphiction, ou b
it eu lieu l’an 1263 av. J.-C. ; et pour le prouver, l’on assurait qu’
Apollon
avait bien voulu ce même jour décerner des palmes
articulier que l’on y faisait un simulacre d’assaut donné au temple d’
Apollon
. Les Thargélies étaient des fêtes athéniennes qui
anies se célébraient à Delphes en mémoire de la première apparition d’
Apollon
dans cette ville. Les Théoxénies instituées à Pal
ous les Dieux. Enfin les Thrio se célébraient en Grèce en l’honneur d’
Apollon
le divin, parce que l’on appelait Thries, du nom
s ou bulletins que l’on jetait dans une urne pour interroger ce Dieu.
Apollon
passant dans l’antiquité pour le plus jeune et le
it avec toutes les perfections possibles. Les plus célèbres statues d’
Apollon
étaient nombreuses : Néron lui en avait fait élev
s et de tableaux représentant ce dieu à toutes les époques de sa vie.
Apollon
avait un culte généralement répandu sur toute la
le petit-fils du premier, et par conséquent le fils de Chriséis et d’
Apollon
ou mieux d’Agamemnon. On lui cacha sa naissance j
rendre possession de l’héritage de leur père. Evanthe, grand prêtre d’
Apollon
à Ismare, était père de Maron que nous verrons re
abon et Pausanias, était un scythe qui, pour avoir chanté un voyage d’
Apollon
au pays des Hyperboréens, fut fait grand prêtre d
e ses connaissances. Anius passe pour avoir été roi et grand prêtre d’
Apollon
. Ils furent peut-être deux du même nom ; cependan
edoublement de zèle lui valut enfin son pardon, et lui mérita de voir
Apollon
se donner la peine de détruire lui-même à coups d
, fut donné à l’île où ce champ était placé. Melanippe était prêtre d’
Apollon
à Cyrène, et fut mis à mort par le tyran Niocrate
à mort par le tyran Niocrate. On connaît aussi quelques prêtresses d’
Apollon
, et entre autres Déliade et Panothée. La première
faire connaître l’avenir à ses croyans. Les oracles les plus fameux d’
Apollon
étaient ceux de Delphes, de Délos, de Ténédos, de
art de dire la bonne aventure fut par conséquent fondé par Jupiter ou
Apollon
, du moins en Grèce, et passa ensuite en Italie et
ne veulent pas, par exemple, se trouver treize à table. Les oracles d’
Apollon
, les plus fameux que nous connaissions, se faisai
it ensuite sur ses bords des feuilles de laurier. Peu de jours après,
Apollon
donnait le signal de son arrivée en faisant tremb
es aux questions qu’il avait adressées au Dieu. Alors les ministres d’
Apollon
dont le premier fut Corétas, donnaient une liaiso
i nous voyons Jupiter doué de la bosse de la plus haute intelligence,
Apollon
de celle des beaux arts, Homère de celle de la po
ner. L'oracle de Didyme, près Milet en Ionie, appartenait également à
Apollon
. Il était desservi par des Branchides ainsi appel
. Quelques oracles de Jupiter n’étaient pas moins célèbres que ceux d’
Apollon
; les plus connus étaient ceux d’Ammon, de Dodone
Plus tard une grande sécheresse ayant désolé les Béotiens, l’oracle d’
Apollon
déclara qu’il fallait aller consulter Trophonius
omme dieu à Orope dans l’Attique. Andre, fils d’Anius, grand prêtre d’
Apollon
. Asbole ou Asbule, centaure et devin habile. Baci
rnus, et non Arnus, arcanien instruit dans l’art de la divination par
Apollon
. Il prédit de grands malheurs aux Héraclides ou d
Une peste ayant suivi cette mort, on la fit disparaître en élevant à
Apollon
un temple auquel on donna depuis le nom d’Apollon
en du même nom qui passait pour fils de Jupiter et d’Europe, favori d’
Apollon
auquel on attribue l’institution des jeux et des
e d’Itaque, fils de Mastor. Idmon, devin d’Argos, passant pour fils d’
Apollon
, suivit Jason et ses compatriotes en Colchide, qu
s, fut tué par Ulysse lors de son retour dans sa patrie. Mops, fils d’
Apollon
et de Manto, appelée aussi Artémise ou Daphné, fe
témise ou Daphné, femme de Rhacios et fille de Tyrésias, fut prêtre d’
Apollon
à Claros, et se signala comme devin devant Thèbes
ut sacrifié par un Busiris. Polyphidée, fils de Mantis, autrement dit
Apollon
le devin. Polyide Polide, devin d’Argos, contempo
Télème, fils d’Euryme ou de Protée, cyclope et devin. Ténère, fils d’
Apollon
et de la nymphe Mélie. Thestor, fils d’Idnon le d
ucippe vint chercher son père, déguisée sous les habits d’un prêtre d’
Apollon
. A sa vue, Théonoé en devint amoureuse. Cependant
Daphné, Déiphobe, Démophile, Hérophile, Manto et Phémoné. On dit qu’
Apollon
, pour rendre sensible la sibylle Déiphobe, fille
vieux Olen, le lycien, compagnon de Latone, fut le premier pontife d’
Apollon
à Délos. Il fut aussi le premier poète qui compos
Anthès d’Anthédon lui dispute cet honneur. Orobante, Philamon, fils d’
Apollon
et de Chioné et père de Tamiris, Pysandre et Syag
ias fut le premier qui chanta l’hymne où était célébrée la victoire d’
Apollon
sur le serpent Python. Amphion, fils de Jupi
dauphin prit place parmi les astres. Linus que l’on supposait fils d’
Apollon
ou d’Amphimare et d’Uranie ou de Calliope, ou mêm
regardaient comme fils d’Amphimare et d’Uranie, le faisaient tuer par
Apollon
pour avoir osé se vanter d’être plus habile que c
Argiope ou Argriope et du célèbre musicien Philammon, fils lui-même d’
Apollon
et de la nymphe Chioné. Linus fit faire à Thamyri
de Thrace et de la muse Calliope, ou, selon d’autres, il était fils d’
Apollon
et de la muse Clio, père de Musée et disciple de
ils disaient qu’après avoir long-temps cultivé la cythare, présent d’
Apollon
ou de Mercure, il tirait des accords si mélodieux
ransmise à sa lyre que l’on avait pieusement déposée dans le temple d’
Apollon
. Néanthe, fils de Pittacus, tyran de Lesbos, ayan
pour le punir de son ignorante et orgueilleuse imprudence. Le culte d’
Apollon
fut, comme on le voit, le plus brillant, tant par
eaux et métamorphosés en rochers par Jupiter. On rattache toujours à
Apollon
, la blonde et brillante Aurore appelée aussi Eoos
voir ce que c’était, voulut faire preuve de son adresse en présence d’
Apollon
qui l’en avait défiée, et tira si juste qu’Orion
t d’une de ses flèches meurtrières, mort que l’on attribuait encore à
Apollon
. Diane, fâchée d’avoir ôté la vie au bel Orion qu
ec un bonheur remarquable. D'après tout ce que l’on vient de lire sur
Apollon
, il est facile de comprendre qu’il fut l’un des f
t des plantes, on en avait fait le dieu des poètes et de la médecine.
Apollon
, pendant ses séjours, tant au ciel que sur la ter
robablement la prêtresse d’Argos du même nom. Elle eut Hypérénor avec
Apollon
; Anathroppe fut mère de Chius ; Anchialée eut Oa
dont la mère était en outre appelée Acacallis qui, de ses amours avec
Apollon
, eut en outre Amphitémis, Garamas, Phylacis ou Ph
Arsinoé, fille de Leucippe qui elle-même eut quelques intrigues avec
Apollon
, était belle-sœur de Castor et de Pollux que nous
ons plus loin parmi les fils de Jupiter. Par suite de ses amours avec
Apollon
, Arsinoé devint mère d’Esculape, et, en cette qua
; elle eut encore plusieurs enfans de Neptune et son fils Branchus d’
Apollon
; Castalie est encore une nymphe qui ne paraît po
re une nymphe qui ne paraît point avoir succombé aux sollicitations d’
Apollon
. Elle fut métamorphosée par ce dieu ou par d’autr
. Céléno était une fille d’Hyamus, fils lui-même de la nymphe Evadne.
Apollon
rendit Céléno mère de Delphus que l’on fait souve
de Castalius ; Chionée, fille de Dédalion, partagea ses faveurs entre
Apollon
et Mercure. Elle eut de celui-ci le fameux filou
u Autolycus que l’on fait encore fils direct de Dédalion ; elle eut d’
Apollon
le grand joueur de luth Philammon père de Chamiri
de Céyx, qu’il se précipita de désespoir du sommet du Parnasse. Mais
Apollon
en eut compassion, le soutint dans sa chute et le
rvier ; Chryséis ou Astynomé, ou Astyonée, fille de Chrysès, prêtre d’
Apollon
, fut prise par Achille lors du sac de Lyrnesse, e
rgé de la reconduire chez elle ; alors Chrysès offrit une hécatombe à
Apollon
en faveur des Grecs, et la peste cessa ; mais Chr
; mais Chryséis étant devenue enceinte, on supposa qu’elle l’était d’
Apollon
, et elle mit au jour un enfant qui porta aussi le
porta aussi le nom de Chrysès. Chrysorthe, fille d’Orthopolis, eut d’
Apollon
un des Coronus ; Chrysotémis qui eut du Dieu une
du Soleil et de la Terre, ou de Canacé ; Cléobule était une nymphe qu’
Apollon
rendit mère d’Eurypide, ou d’Eurypidice ; Climène
; alors elle exigea avant tout le don précieux de prophétiser, ce qu’
Apollon
lui accorda aussitôt ; mais Cassandre ne voulut p
abylone et de toute l’Assyrie. Cette jeune nymphe fut d’abord aimée d’
Apollon
qui la rendit mère de Dircée ; mais ce Dieu l’aya
te cruelle et vindicative jalousie n’attira sur elle que les mépris d’
Apollon
: alors désespérée elle se laissa mourir de faim,
ux épars et les yeux continuellement tournés vers le soleil. A la fin
Apollon
en eut pitié et la métamorphosa en héliotrope ou
Leucothoée, elle subit un traitement épouvantable : son intrigue avec
Apollon
ayant été découverte à son père, ce prince la fit
rand nombre, de Phlégyas, fils de Mars et de Chrysa. Elle fut aimée d’
Apollon
, et devint enceinte d’Esculape. Pendant sa grosse
autres, Lycius, fils de Cléonis, eut l’indiscrétion de venir informer
Apollon
que sa maîtresse était infidèle, alors, dans son
peut-être après avoir eu une intrigue avec quelque prêtre du temple d’
Apollon
, accoucha probablement à l’insu de son père auprè
iles. Corycie était une nymphe, fille de Pliste. Elle fut séduite par
Apollon
et mit au jour Léo ou Lycorée sur lequel on ne sa
le d’Erechthée, roi d’Athènes, eut aussi une inclination secrète pour
Apollon
qui la rendit mère d’Ion et d’Anis ; Cydippe fut
d’Ion et d’Anis ; Cydippe fut mère de Camire après avoir été aimée d’
Apollon
; Cyrène : Apollon eut deux maîtresses de ce nom,
Cydippe fut mère de Camire après avoir été aimée d’Apollon ; Cyrène :
Apollon
eut deux maîtresses de ce nom, l’une fille d’Hyps
e d’Apollon en eut encore Agètes, Agrée ou Argée, Autoque et Nomius.
Apollon
, à peine exilé du ciel, devint amoureux de la bel
amour, car elle lui préférait Leucippe, jeune homme de son âge. Alors
Apollon
voulut obtenir par la violence ce qu’elle refusai
la violence ce qu’elle refusait à ses prières, mais Daphné s’enfuit.
Apollon
la poursuivit et l’atteignit sur les bords du Pén
le secours de son père, qui la métamorphosa en laurier ; de sorte qu’
Apollon
ne posséda plus qu’un tronc inanimé. Désolé de ce
devant la porte de leurs maisons des branches de cet arbre si cher à
Apollon
. Cette nymphe, dont le nom grec signifiait laurie
e, du nombre de ceux auxquels l’amour des lettres fit donner le nom d’
Apollon
, étant devenu amoureux de Daphné, fille de Pénée,
ait sœur d’Iole, l’une des femmes d’Hercule, elle fut d’abord aimée d’
Apollon
, puis elle épousa Andrémon ; elle eut d’Apollon A
de Macarée, Ethuse ou Aréthuse, fille de Neptune, eut Eleuthère avec
Apollon
. Eurynome passe rarement pour une des maîtresses
thère avec Apollon. Eurynome passe rarement pour une des maîtresses d’
Apollon
, car c’était une nymphe, fille d’Orchame et mère
Dieu du soleil ; Dryope, fille d’Euryte, donna Amphissus pour fils à
Apollon
; Evippe, fille de Chiron, devint mère de Ptous,
pollon ; Evippe, fille de Chiron, devint mère de Ptous, qu’elle eut d’
Apollon
; Gryne était une amazone qui ne fut pas maîtress
elé, roi de Ligurie, fut mère de Cycnus, père de Ténès, qu’elle eut d’
Apollon
. Issa ou Issé, fille de l’un des Macarée, fut séd
t d’Apollon. Issa ou Issé, fille de l’un des Macarée, fut séduite par
Apollon
, déguisé en berger. Lycie, fille du fleuve Xanthu
atare et Icadius. Mélie, était une fille de l’Océan, elle fut aimée d’
Apollon
, dont elle eut deux fils, Térénus ou Ténérus et I
vivait du temps de la seconde guerre de Thèbes ; elle eut Mopsus avec
Apollon
; puis s’étant mariée avec Tiberinus elle devint
ncée le neptunien, et de Samia, issue du fleuve Méandre, fut animée d’
Apollon
qui la rendit mère de Lycomède. Persa, fille de l
docus ; Psamathé, fille de Crotope, roi d’Argos, céda aux instances d’
Apollon
et en eut Linus, que nous savons déjà fils de qua
mère d’Anius ; Rhodé ou Rhodès, fille de Neptune, était une nymphe qu’
Apollon
séduisit et qui en eut Macare et Orchime, on lui
rester sage, mais la plupart des écrivains la font céder aux desirs d’
Apollon
et devenir mère de Seyros ; Stilbia ou Stilbée, s
lbée, sœur d’Iphénus et fille du fleuve Pénée, eut de ses amours avec
Apollon
deux fils : Centaure et Lapithèse ; Syllis était
fils appelé Zeuxippe ; Thalie ou Phytia, fille de Niobé, fut aimée d’
Apollon
, et devint, dit-on, la mère originaire au moins d
aquelle Déiphile on donne encore Tydée pour époux : Théro fut aimée d’
Apollon
, qui la rendit mère de Chœron. Uranie passait pou
c le dieu du Parnasse. Si après avoir fait connaître les maîtresses d’
Apollon
, nous passons en revue les enfans qui résultèrent
et eut pour fils Epopéus, père lui-même de Marathon Amphissus, fils d’
Apollon
et de Dryope, bâtit Oéta et un temple aux Hamadry
ur honneur et il y obtint le premier prix. Ambracia était une fille d’
Apollon
et de Dryope, elle donna son nom à une ville d’Ep
Cragalé, vieillard qui, après avoir été choisi pour décider lequel d’
Apollon
, Diane ou Hercule présiderait à la fondation de c
hoéo, l’histoire ne dit pas s’il était l’un des deux grands prêtres d’
Apollon
; cependant on lui donne un fils appelé Andros et
us était un devin, fils de Canacée et de Macarée, son frère, prêtre d’
Apollon
, mais que l’on supposait fils d’Apollon et de la
Macarée, son frère, prêtre d’Apollon, mais que l’on supposait fils d’
Apollon
et de la sœur de son prêtre, il grandit en errant
de la sœur de son prêtre, il grandit en errant dans les bois, un jour
Apollon
l’ayant rencontré lui donna un sceptre et une cou
he, fils lui-même d’Hélios, mais il est mieux de croire Camire fils d’
Apollon
et de la nymphe Cydippe, qui n’épousa que plus ta
déjà nous connaissons le fameux Chiron, l’un des descendans du fils d’
Apollon
. Cercaphe était né de Rhodès ; Chariclo, fille d’
ns du fils d’Apollon. Cercaphe était né de Rhodès ; Chariclo, fille d’
Apollon
ou de Persès, devint mère du Centaure Chiron et m
entaure Chiron et mère d’Ocyroé ; Chæron ou Charron, né de Théro et d’
Apollon
, donna son nom à la ville de Chéronée, en Béotie,
le de Chio ; Chrysotémis fut une des maîtresses et l’une des filles d’
Apollon
: étant morte encore enfant il la plaça dans le c
Chrysès, fils d’Astinomé, fille elle-même de Chrysès, grand prêtre d’
Apollon
à Sminthe, avait pour père réel Agamemnon, mais p
lic, on lui donna une naissance divine et il fut regardé comme fils d’
Apollon
; Circé, fille du Soleil et de Persa ou Perséis o
ouvent pour enfant de ce roi, quoique généralement il soit attribué à
Apollon
; il était tellement ami de Phaéton que la mort é
ercure, mais cette mère ayant été l’une des maîtresses bien connues d’
Apollon
, il est plus probable que c’était à ce Dieu qu’il
dont on a quelquefois attribué la naissance comme héros à Pythie et à
Apollon
est plus connu comme fondateur de la Doride et fi
ntrevue avec Adonis, et fut privée de la vue par cette déesse : alors
Apollon
pour le venger, fit naître, de concert avec Mars,
différens noms, ainsi il était appelé : Apollinea Prolès ou enfant d’
Apollon
, Aulonias ou d’Aulon, Archagète ou le porteur de
à ce médecin diverses origines : les Thessaliens le faisaient fils d’
Apollon
et de Coronis, fille elle-même de Phlégyas, héros
u la Force, un corbeau ou Lycius, ou elle-même, dit-on, en fit part à
Apollon
, son amant, qui la tua plutôt que de la voir pass
ère Ischis, fils d’Elatus, ou plus communément Arsippe, ou même aussi
Apollon
, et pour mère Arsinoé, fille de Leucippe, fils de
e habileté, foudroya le pauvre et innocent Esculape au grand regret d’
Apollon
qui, voulant venger la perte de son fils bien aim
; ainsi, toutes les variétés d’Asclepias, ou celui d’Arcadie, fils d’
Apollon
et de Coronis, ou celui frappé de la foudre, ou c
es, ils jetaient à la mer des morceaux de pâte. Souvent, comme fils d’
Apollon
, Esculape fut identifié au soleil et regardé comm
s aglomérations sous le nom d’un seul et même dieu : Esculape, fils d’
Apollon
et dieu d’Arcadie, inventeur de la sonde et de l’
elles étaient appelées Epidauries. Mais revenons aux autres enfans d’
Apollon
: Eurynome, fille de ce dieu, et femme de Talas,
icile Galéotès les devins qui se prétendaient descendans de ce fils d’
Apollon
. Garamas, fils d’Acacallis, était roi de Libye, i
es filles et les sœurs de Phaéton que l’océanide Clymène avait eues d’
Apollon
. Elles se nommaient Phaétuse, Lampétie et Lampéth
il fut s’en plaindre à Clymène, sa mère. Celle-ci le renvoya auprès d’
Apollon
. Ce dieu, pour lui prouver la vérité de sa naissa
er, et comme le nom de Phaéton signifie briller, on le confondit avec
Apollon
, puis, on fut même jusqu’à le supposer avoir été
ius, roi de l’île de Rhodes. Si nous continuons la liste des enfans d’
Apollon
, nous trouvons Hypérénor, fils d’Alcyonée ; Iamus
parmi les Héliades ; Laodoque ou Laoduc, connu seulement pour fils d’
Apollon
et de Phthia ; Lapithès était né de Stilbé et se
s Lapithes, quoique suivant quelques auteurs ce soit Lapithe, fille d’
Apollon
qui soit devenue mère des Lapithes, par suite de
t de Pyrrha s’était arrêtée ; Linos ou Linus, ils étaient deux fils d’
Apollon
portant ce même nom ; l’un né de Psamathé, fille
de Calliope, ou d’Eulerpe, ou même, dit-on, d’Uranie et de Mercure ;
Apollon
lui ayant donné la lyre à trois cordes en lin, et
d’une naissance fort douteuse, car on ne sait trop s’il était fils d’
Apollon
ou de Neptune et d’Enope ; Mélanée était un grec
lanée était un grec si habile à tirer de l’arc qu’on le disait fils d’
Apollon
; Milet, roi de Carie, était né ou d’Arcé ou d’Ac
he Hégétorie, dont il eut Cydippe pour fille ; Oncos ou Oncus, fils d’
Apollon
, donna son nom à l’Oncéatide, en Arcadie, et se f
ait né de Chrysotémis, il mourut jeune et fut placé avec sa mère, par
Apollon
, dans la constellation de la vierge ; Patare étai
, par Apollon, dans la constellation de la vierge ; Patare était né d’
Apollon
et de Lycie ; Persès, fils du Soleil et de Persa,
lchide qui se jette dans la mer Noire, il était fils, dit la fable, d’
Apollon
et d’Ocyroé, tous les efforts de Thétys pour s’en
image dans le temple de Delphes ; Ptous devait le jour aux liaisons d’
Apollon
et d’Evippe, fille de Chiron ; Pythée ou Pythius,
pe, fille de Chiron ; Pythée ou Pythius, fils ou plutôt incarnation d’
Apollon
, vainqueur du serpent Python ; Scyros fils de Sin
re le don de prédire l’avenir ; Ténès passe quelquefois pour enfant d’
Apollon
, mais c’était plutôt à Crenus, roi de Colonnes, e
thologie grecque et romaine en mettant au jour les Muses, compagnes d’
Apollon
, avec lesquelles nous avons fait connaissance. Mn
à quatre, on représenta le printemps par Mercure ou Flore, l’été par
Apollon
ou Cérès, l’automne par Bacchus avec un chien à s
on croit cette légende, il serait allé à Délos construire un temple à
Apollon
, et serait mort sans enfans ou pendant son retour
pta pour amant tant au ciel que sur la terre, Jupiter, Mars, Mercure,
Apollon
, Bacchus, Adonis, Anchise, Butès. Elle eut de Jup
ain. Celui-ci pourtant apprit les infidélités de sa belle épouse, car
Apollon
dont l’amour-propre avait été blessé de la préfér
ait imperceptible, arrive dans l’île de Lemnos à l’heure indiquée par
Apollon
comme celle du rendez-vous, trouve ensemble les d
nt Jupiter à la fin avait reconnu la puissance et le talent : c’était
Apollon
, le fils de Latone. Dieu du jour, des arts, et le
ur donc, et l’on dit même le jour du mariage de Vénus et de Vulcain ;
Apollon
chanta les erreurs de l’inconstance, et le bonheu
l’être plus que tout autre, car Adonis se trouvait rival de Mars et d’
Apollon
, la lutte était donc difficile à soutenir sans en
mant ? Mars suivant les uns, ou suivant les autres Diane, que Mars ou
Apollon
avait d’autant plus facilement déterminée à le ve
ciale, à côté des divinités solaires que nous avons vues à la suite d’
Apollon
. Vénus, pour se consoler de la perte d’Adonis, se
là, dans les flots de cette mer, disait-on, que Vénus, conseillée par
Apollon
avait enfin trouvé sans se noyer un terme à son a
énus. Egialée lui fit bâtir un temple à Mégare, parce que, disait-on,
Apollon
et Diane, pendant une peste qu’ils avaient fait s
ortége de Vénus. Il passait quelquefois pour fils d’Uranus, ou bien d’
Apollon
et de Calliope ; mais le plus généralement, on le
au monde le géant Tityas ou Titye, que nous savons avoir été tué par
Apollon
et Diane ; c’est-à-dire qu’elle fut cachée dans u
ur fille de Garamas roi de Libye ou du pays des Saramantes, et fils d’
Apollon
et d’Acacallis fille de Minos. Cette Garamantie é
pagnon d’Hercule ; l’autre fut, comme nous savons, amante d’Hélios ou
Apollon
, et en eut les héliades qu’elle envoya dans une î
es les foudres de Jupiter. Othréis. Nymphe qui fut d’abord aimée par
Apollon
dont elle eut un fils nommé Phagre, ensuite par J
ulu la violer ; elle avait eu, disait-on, Laodocus de ses amours avec
Apollon
, mais celle dont il est question ici était une ny
ion des oracles et de l’art entier de la divination ; cependant comme
Apollon
était le dieu de cette espèce de science, c’est e
mia ou l’armée de pied en cap des Eléens ; Hygiaea ou présidant comme
Apollon
à l’art de guérir ; Hyperdexia ou favorisant les
mois ; soit encore parce qu’on la supposait être venue au monde après
Apollon
et Diane ; soit enfin que ce nom fût analogue à c
ppa de stupeur les coursiers du soleil. Le jour même de sa naissance,
Apollon
voulut qu’à Rhodes on élevât un autel à la nouvel
soin de les élever. Amphion ayant reçu des Muses ou selon d’autres d’
Apollon
une lyre, eut bientôt appris à la faire résonner
glamorphe ou aux formes brillantes, nom quelquefois également donné à
Apollon
; Alysius ou qui délivre des soucis ; Amphiétès e
mbeau. On représentait autrefois Bacchus aussi jeune et aussi beau qu’
Apollon
, avec ou sans barbe, ayant les yeux noirs, les ch
ssi une dissertation philosophique avec Midas, roi de Phrygie, auquel
Apollon
avait fait pousser des oreilles d’ânes. Ils concl
ette peste venait pour les punir de leur crime, élevèrent un temple à
Apollon
, afin de l’expier, et l’on vit aussitôt se termin
Europe, ou plus habituellement d’Egine fille d’Asope, aida Mercure et
Apollon
à entourer de murailles la ville de Troie. Pendan
dieux. Mais la preuve que Phaéthon lui en donna, fit mourir ce fils d’
Apollon
. Ethalion, fils de Jupiter et de Protogénie, fil
st fils de Lysite le premier de tous les Jupiter, il se battit contre
Apollon
, brisa son trépied sacré parce que sa prêtresse a
Géryon, le géant Alcyoncée, qui avait déjà souvent volé des chevaux à
Apollon
, pendant qu’il était simple berger sur la terre,
is il enlève la princesse Iole qui s’abandonna à lui dans le temple d’
Apollon
, à Delphes, malgré les menaces de la prêtresse Xé
réens, Prondus ou le Dieu dont la statue était à l’entrée du temple d’
Apollon
à Thèbes en Béotie, Propyleus ou le Dieu dont la
fit preuve de son adresse, car il vola les bœufs d’Admète, gardés par
Apollon
, en les faisant marcher à reculons, afin d’en fai
chassa de l’Olympe et l’envoya sur la terre garder les troupeaux avec
Apollon
; mais bientôt il trouva l’occasion de faire sa p
e Caducée. Cependant, on raconte aussi que ce caducée fut un cadeau d’
Apollon
, en échange de la lyre que Mercure venait de lui
hionée, fille de Dédaion, elle fut tuée par Diane, et aimée aussi par
Apollon
; Cléobule ou Thèobulée, fille d’Eole, et mère de
ictimaires à Rome. Cydon, fils d’Acacallis, ayant encore pour père ou
Apollon
ou Tégéate ; Damascus, né d’Halimède et fondateur
s grands lares ou les douze Grands Dieux, pour les protéger, savoir :
Apollon
, Cérès, Diane, Junon, Jupiter, Mars, Mercure, Min
et Vulcain ; les viales présidaient aux chemins de même que Mercure,
Apollon
, Bacchus et Hercule ; les lares publics étaient l
a main, c’était un hermanubis ou un hermosiris ; s’il avait la tête d’
Apollon
, avec l’arc, la lyre, le pétase et le caducée, c’
oulu le retenir ; alors il fut à Cumes bâtir un temple en l’honneur d’
Apollon
; mais aucun prince, dans la crainte d’encourir l
Il voulut, on s’en souvient, faire violence à la déesse Latone ; mais
Apollon
et Diane le percèrent à coups de flèches et le pr
découvrit qu’il conspirait contre lui, et le chassa du ciel ainsi qu’
Apollon
, et les condamna, nous l’avons vu, à rester penda
Plus tard enfin, dans une autre discussion au sujet de Corynthe avec
Apollon
, il ne fut pas tout-à-fait aussi malheureux ; car
. Il fixa l’île flottante de Délos, par pitié pour Latone qui portait
Apollon
dans son sein. Neptune, souverain des ondes, poss
Éleutérus d’Apollon ; Évadné fille de Léna ou Pitanie, eut Janus avec
Apollon
; Harpyes, espèce de monstres qui passaient génér
lène, fonda la ville de Mytilène ; Rhodos, fille de Vénus et amante d’
Apollon
. Fils de Neptune. Après les filles de Neptune, v
s héros ; Amphiaraüs ou Amphiaras, devin et roi d’Argos était fils d’
Apollon
, d’autres disent d’Oïclée qui suivit Hercule cont
bable qu’il faut les confondre ensemble et qu’il était fils non pas d’
Apollon
, mais d’Hercule. Ce devin hérita d’une portion du
posée au monstre pour expier le parjure de Laomédon envers Neptune et
Apollon
, se sauva en Sicile, où elle fut défendue, tantôt
é par jalousie, la mort d’Hyacinthe, fils d’Amyclas et de Diomède, qu’
Apollon
tua malgré lui, sous le coup d’un palet que les v
t Téthys, après l’avoir purifié, l’associèrent à leur immortalité, et
Apollon
lui donna le don de prophétie. Après sa métamorph
, assiégé par Minos dans une ville à laquelle lui ou Megareus, fils d’
Apollon
, avait donné son nom ; Melas, né de mère inconnue
ne ; Eubotès le médecin, fils de Télion ; Esculape le médecin, fils d’
Apollon
; Eumedon de Bacchus ; Euryale de Cistée ; Euryda
l’Attique, le prit vivant et l’immola sur les autels de Mercure ou d’
Apollon
. Ensuite Thésée prit la généreuse résolution de d
sent la delivrer de l’esclavage. Ce Pirithoüs descendait des enfans d’
Apollon
, par Déion, fille de Dia et femme d’Ixion. Cette
es, peuples de la Thessalie, descendans des Pelasgues et des enfans d’
Apollon
, fut la suite naturelle de la haute réputation de
pirée, dit-on, par Vénus, toujours rancuneuse contre les descendans d’
Apollon
, depuis que le Soleil avait divulgué ses intrigue
ésée, par la métamorphose en laurier de Daphné, lors des poursuites d’
Apollon
, et par les chasses de Diane sur ses bords. Ce fl
nné causa la mort d’Hercule. Oaxès ou Oaxus, fleuve de Crète, fils d’
Apollon
et d’Anchiale ou d’Acacallis, et alors petit-fils
one fut aussi femme d’Atlas et mère des Pléïades ; Rhodé, fut femme d’
Apollon
, dont elle eut Phaéton ; Téthys était, nous le sa
c’est Téthis ; elle en était la plus belle et fut l’objet des vœux d’
Apollon
, de Neptune et de Jupiter. Pourtant les Dieux aya
te, roi d’Œchalie, en Eubée. Elle fut une des plus célèbres amantes d’
Apollon
. Lorsqu’il l’eut quittée pour voler à d’autres am
ndant, Josephe, l’historien juif, dit que Minos avait reçu ses lois d’
Apollon
, après avoir été au temple de Delphes, et semble
un grand honneur aux parques qu’ils invoquaient habituellement après
Apollon
. Des prêtres couronnés de fleurs leur immolaient
cènes et tua sa mère et son beau-père dans le temple et sur l’autel d’
Apollon
, à l’instant qu’ils cherchaient à lire l’avenir d
hylée et d’Eustyoche ; Mélanée, habile archer, que l’on disait fils d’
Apollon
; Ménélas ; Ménéleptolème, général avec Médon, de
le ; Phrontis, fils d’Onétor, était pilote de Ménélas, et fut tué par
Apollon
au port de Sanium ; Pisandre, le plus habile lanc
l exécuta par les ordres d’Atrée, un voyage à Delphes, pour consulter
Apollon
sur le sort futur de Thyeste. Plus tard, il fut à
bruit qu’Oreste était mort ; puis, furent se cacher dans le temple d’
Apollon
, en attendant qu’Egisthe et Clytemnestre y vinsse
court à Athènes, mais les furies l’y suivent ; cependant, protégé par
Apollon
et par Minerve, il se présente devant l’Aréopage
empêcher le pillage de la ville ; mais s’étant rendu dans le temple d’
Apollon
, pour y célébrer cette alliance, il est frappé au
ois fois Patrocle tenta l’escalade, et trois fois il fut repoussé par
Apollon
. Enfin, son casque étant tombé et sa lance s’étan
une peste, se leva devant les rois assemblés et annonça que la main d’
Apollon
cesserait de s’appesantir sur eux, quand on aurai
aurait rendu la captive Chryséis à Chrysès, son père, grand prêtre d’
Apollon
dans un temple peu distant sur la côte de la Troa
l’Asie Mineure, où il rencontra à Colophon Mopsus, devin et prêtre d’
Apollon
. Celui-ci, ayant proposé une énigme au-dessus de
; il avait deux cavales de même couleur, qui avaient été nourries par
Apollon
et qui ne le cédaient en vitesse qu’aux chevaux d
e Priam ; Pandare, fils de Lycaon ; il était habile archer, protégé d’
Apollon
et auxiliaire de Priam ; Panthoos ou Panthée, prê
tégé d’Apollon et auxiliaire de Priam ; Panthoos ou Panthée, prêtre d’
Apollon
, résidait dans la ville, pendant le siége ; Pélag
e Troie pendant très-long-temps. Ce fut sous son règne que Neptune et
Apollon
, exilés de l’Olympe, élevèrent les murailles de s
lque temps plus tard, Pàris passa en Grèce pour sacrifier au temple d’
Apollon
et pour réclamer l’héritage de sa tante Hésione ;
e battait. Achille l’aimait beaucoup, mais il le tua dans le temple d’
Apollon
, pour se venger des rigueurs de ce jeune prince,
ec celles en cuivre du fameux Diomède. Il fut blessé par Teucer, mais
Apollon
arrêta le sang qui jaillissait de sa blessure ; p
e. Déjà les Grecs vainqueurs l’avaient dépouillé de ses armes, lorsqu’
Apollon
, d’après les ordres de Jupiter, enleva ses restes
es asiatiques et notamment par Otryonée ; elle fut aussi fort aimée d’
Apollon
qui lui promit de lui accorder le don de prédire
it, en lui donnant un baiser, qu’il ne la posséderait jamais ; alors,
Apollon
, piqué d’avoir été le jouet de cette perfide, ajo
contre Diomède, et il eût indubitablement succombé sans le secours d’
Apollon
et de Vénus, sa mère, qui le sauvèrent. Ensuite i
ous avons déjà indiqué cette généalogie, en parlant de Mopsus, fils d’
Apollon
, généalogie dont la dernière partie, passant pour
fille d’Atlas et femme de Vulcain ; il avait pour divinité tutélaire
Apollon
et pour emblème le signe des gémeaux. Le quatrièm
ue se réfugiait dans ce lieu sacré, autorisé par [ILLISIBLE] formel d’
Apollon
, ne pouvait être rendu à son ennemi ; la Grèce au
sse des grilles, des verrous et des serrures, elle était honorée avec
Apollon
sous le nom de Diane Clathra, sur le mont Quirinu
re, dont elles avaient laissé fouiller un champ par deux porcs ; mais
Apollon
, amant de Rhœo, les sauva, et le temple d’Hémithé
st donc le travail produisant la fécondité, ou autrement une espèce d’
Apollon
. On le représente la tête surmontée d’un épervier
’elle épousa et dont elle eut le deuxième Chrône, puis Jupiter-Belus,
Apollon
, Typhon et Nérée. Achtoret est l’étoile de Vénus,
ou Vricha, ou Mahicha, ou le Taureau. Véani, soumis à Indra, répond à
Apollon
, et préside à Djiaichtha ou Mai et à la constella
s, ou musiciens à la tête desquels il faut placer Gandharva, espèce d’
Apollon
lyriste, ou dieu-soleil musicien, c’est le chef d
rler de lui que comme Dieu de l’éloquence et de la poésie ; c’était l’
Apollon
des Scandinaves, et il était spécialement chargé
Diane, partant pour la chasse. La pl. 8 en regard de la page 94 offre
Apollon
sur le char du soleil, et au-dessous de lui, on a
se sur le haut du Parnasse. La pl. 25 en regard de la page 100 montre
Apollon
faisant écorcher Marsyas. La pl. 15 en regard de
, 147. Apollinaires, 103. Apollinea Pralos, 128. Apolloine, 103, 108.
Apollon
, 30, 33, 33, 75, 7[ILLISIBLE], 89, 90, 112, 116,
. Apollon Carnéen, 112. Apollon le Divin, 112. Apollon-Lycoctone, 54.
Apollon
, ou le Soleil, 32. Apollon-Philesius, 126. Apomio
nt Jupiter, Junon, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta ou Cybèle,
Apollon
, Diane, Vénus, Mars et Vulcain. Divinités du p
t un don particulier. Minerve lui donna la sagesse, Vénus la beauté ;
Apollon
lui enseigna la musique, et Mercure l’éloquence ;
de deux serpents, dont voici l’histoire : Mercure, après avoir reçu d’
Apollon
une baguette en échange de sa lyre, rencontra un
regardaient comme un talisman et le gage du salut de leur patrie.
Apollon
. Apollon, dieu du jour, de la divination, de
comme un talisman et le gage du salut de leur patrie. Apollon.
Apollon
, dieu du jour, de la divination, de la médecine e
droit. Latone s’y réfugia sous la forme d’un oiseau, et mit au monde
Apollon
et Diane sous un palmier. Le premier usage qu’Apo
et mit au monde Apollon et Diane sous un palmier. Le premier usage qu’
Apollon
fit de ses traits fut de venger sa mère du serpen
que Jupiter foudroya pour le punir d’avoir rendu la vie à Hippolyte.
Apollon
, furieux, tua les Cyclopes qui avaient forgé la f
chasser du ciel. [Fig. 59] Réduit à la condition de simple mortel,
Apollon
se réfugia chez Admète, roi de Thessalie, qui lui
lé par Jupiter qui lui rendit sa divinité. Comme dieu des beaux-arts,
Apollon
présidait le chœur des Muses, et habitait le Parn
[Fig. 62] Diane. Diane, belle, chaste et sévère, était sœur d’
Apollon
. Jupiter composa son cortège de soixante Océanide
it point Diane proprement dite, mais Phébé ou la Lune ; car la sœur d’
Apollon
avait trois fonctions, trois séjours et trois nom
entait jeunes, belles, modestes, simplement vêtues, ayant à leur tête
Apollon
. On les appelait quelquefois Piérides, à cause de
ans cette grande querelle ; Jupiter seul resta neutre. Vénus, Mars et
Apollon
défendaient les Troyens ; Junon, Minerve, Neptune
n bois voisin, sous la forme d’un loup40 [Fig. 106]. [Fig. 106]
Apollon
et Daphné. Apollon aimait Daphné, jeune nymphe
forme d’un loup40 [Fig. 106]. [Fig. 106] Apollon et Daphné.
Apollon
aimait Daphné, jeune nymphe, fille du fleuve Péné
changée en l’arbre qui, de son nom, fut appelé laurier 41 [Fig. 107].
Apollon
en détacha un rameau dont il se fit une couronne,
t de la Petite Ourse. Le corbeau. Le corbeau, oiseau consacré à
Apollon
, avait autrefois le plumage blanc. Il crut plaire
n lui découvrant l’infidélité de la belle Coronis, fille de Phlégias.
Apollon
, dans le premier mouvement de sa colère, la perça
le dévorent. [Fig. 108] Battus. Mercure venait de dérober à
Apollon
une partie des troupeaux du roi Admète ; Battus,
hée et Eurydice. Orphée, célèbre musicien de Thrace, était fils d’
Apollon
et de Calliope. Il jouait si bien de la lyre, que
aux filles de Jupiter et de Mnémosyne. Alors les Muses, ayant imploré
Apollon
, prirent des ailes et s’envolèrent. Pyrénée voulu
athie, avait neuf filles, qui se prétendaient supérieures aux sœurs d’
Apollon
dans la musique et dans la poésie. Elles osèrent
es frapper ; mais, au même instant, elles furent changées en pies par
Apollon
, et allèrent se percher sur les arbres voisins. A
s en pies par Apollon, et allèrent se percher sur les arbres voisins.
Apollon
voulut même que les Muses prissent le nom de leur
t toutes les divinités de la campagne. Il eut l’imprudence de faire à
Apollon
un défi, dont la condition était que le vaincu se
e de sa stupidité, en préférant la flûte champêtre de Pan à la lyre d’
Apollon
. Apollon, pour le punir, lui fit venir des oreill
tupidité, en préférant la flûte champêtre de Pan à la lyre d’Apollon.
Apollon
, pour le punir, lui fit venir des oreilles d’âne.
t Alcyone. Céyx, roi de Trachine, était allé consulter l’oracle d’
Apollon
à Claros ; à son retour il périt en mer. Alcyone,
prince de Laconie, qui avait beaucoup de talent pour la poésie et qu’
Apollon
aimait. Zéphyre, qui l’aimait aussi, fut jaloux d
Zéphyre, qui l’aimait aussi, fut jaloux du dieu du Pinde. Un jour qu’
Apollon
jouait au disque avec son favori, Zéphyre détourn
le poussa contre la tête du jeune Hyacinthe. Le coup était mortel, et
Apollon
employa en vain pour guérir Hyacinthe les plantes
. Cyparisse, comme Hyacinthe, cultivait la poésie et était aimé d’
Apollon
. Il nourrissait un cerf auquel il était très atta
garde, et il en eut tant de regret, qu’il mourut consumé de langueur.
Apollon
le changea en cyprès, arbre qui devint le symbole
d’où découle l’encens. Le sort de Clytie n’en fut pas plus heureux ;
Apollon
ne lui témoigna que du mépris. Alors, dans sa dou
çant à tout aliment, et les yeux tournés vers l’astre qu’elle aimait.
Apollon
, par pitié, la métamorphosa en une fleur qui se t
que deux, et voulut empêcher qu’on fît des sacrifices à cette déesse.
Apollon
et Diane, à la prière de leur mère, descendirent
ches la famille entière de Niobé. Les fils tombèrent sous les coups d’
Apollon
, les filles sous ceux de Diane. La malheureuse Ni
abile architecte qui construisit, avec son frère Agamède, le temple d’
Apollon
à Delphes, et qui périt dans une caverne. Après s
gée d’une sécheresse extraordinaire, on consulta l’oracle de Delphes.
Apollon
répondit que c’était à Trophonius qu’il fallait s
s derniers, Jupiter enfanta cinq autres dieux : Osiris, Isis, Typhon,
Apollon
, et Aphrodite ou Vénus. Ils ajoutaient qu’Osiris
de Junon. Orus, fils d’Isis, est celui que les Grecs nommèrent depuis
Apollon
. « La mythologie égyptienne, dit Plutarque, a de
était nommé Azabinus par les Éthiopiens, Liber par les Indiens, enfin
Apollon
ou Phœbus par les Grecs et les Romains. César, d
e nous avons déjà nommés ; mais encore Cœlus, Saturne, Jupiter, Mars,
Apollon
, Mercure, Ammon, Bacchus, Sérapis, Adonis, Escula
ts, sous ceux de Jupiter et d’Éole ; le soleil, sous ceux d’Osiris, d’
Apollon
, etc. ; la lune, sous ceux de Diane, d’Isis, etc.
culture. Pan, au lieu d’Abel, avait le premier mené la vie pastorale.
Apollon
avait inventé la musique, que l’on doit attribuer
ce temple avait été bâti avec de la cire et les ailes des abeilles qu’
Apollon
avait fait venir des pays hyperboréens. Plus on é
x étrangers, changeaient leurs noms. Nous savons, par Hérodote, que l’
Apollon
des Grecs était l’Oms des Égyptiens ; Bacchus ou
et de six déesses. Les six dieux étaient : Jupiter, Neptune, Mercure,
Apollon
, Mars et Vulcain. Les six déesses étaient : Junon
la guerre ; mais le premier fut mis hors de combat par les flèches d’
Apollon
et d’Hercule qui lui crevèrent les yeux. Eurytus
ux, les poursuivit en Égypte, où ils se métamorphosèrent en animaux :
Apollon
en corbeau, Bacchus en bouc, Diane en chatte, Jun
Muses ; de Junon, Mars ; de Maïa, fille d’Atlas, Mercure ; de Latone,
Apollon
et Diane ; de Dioné, Vénus ; de Métis ou la Provi
er une femme parfaite. Minerve lui donna la sagesse, Vénus la beauté,
Apollon
la connaissance de la musique, Mercure l’éloquenc
Les Grecs et les Romains confondaient presque toujours le Soleil avec
Apollon
. Platon assure qu’il est le même que le Soleil. C
t que le Soleil et la lune sont deux, divinités, dont l’une s’appelle
Apollon
, et l’autre Diane. Plutarque dit la même chose. M
ens prouvent qu’il faut distinguer l’un de l’autre. On peint toujours
Apollon
sous la figure d’un jeune homme qui tient un arc
n (fig. 10) ; ce que l’on n’observe jamais dans les représentations d’
Apollon
. Le culte du Soleil est le premier de tous les cu
s, les Arabes, les Perses, adoraient le Soleil long-temps avant que l’
Apollon
des Grecs fût connu. Tous les peuples de l’Orient
r le pays des Molosses, et se noya dans le Pô. Histoire et fable d’
Apollon
. Jupiter ayant abandonné Junon pour Latone, e
n. Jupiter ayant abandonné Junon pour Latone, en eut deux enfans,
Apollon
et Diane. Avant leur naissance, Junon suscita con
ielles du Nil ; et tout porte à croire que les Grecs ont imaginé leur
Apollon
d’après Horus, fils d’Osiris, que les Égyptiens c
Égyptiens confondaient avec le Soleil. Nous allons donner la fable d’
Apollon
, telle que les poëtes nous l’ont transmise. Junon
rnager cette île, et la rendit stable. Ce fut là qu’elle mit au monde
Apollon
et Diane. La crainte de Junon l’empêcha de s’y fi
inhumanité. Nous ne donnerons point l’histoire suivie de Latone et d’
Apollon
; elle se trouve dans toutes les poésies ancienne
connaître les traits principaux et les fables les plus intéressantes.
Apollon
portait beaucoup de noms différens. Il se nommait
tir sur le mont Palatin un temple auquel il joignit une bibliothèque.
Apollon
fut banni du ciel pour avoir mis à mort, à coup d
foudres de Jupiter. La fable rapporte à ce sujet qu’Esculape, fils d’
Apollon
, avait si bien réussi dans la médecine, sous la c
ité qu’un mortel usurpât ses droits, foudroya le médecin trop habile.
Apollon
, ne pouvant se venger sur Jupiter lui-même, tua l
es à coups de flèches. Rien n’était plus redoutable que ces flèches d’
Apollon
; il s’en servit avec plus de justice contre le s
dée que les Grecs, et généralement les anciens, avaient des flèches d’
Apollon
. Elles représentaient les rayons du soleil. On le
engeance de Diane, ou de la Lune, et celle des hommes une vengeance d’
Apollon
, ou du Soleil. L’histoire des enfans de Niobé, tu
nce d’Apollon, ou du Soleil. L’histoire des enfans de Niobé, tués par
Apollon
et Diane, prouve combien l’on croyait à l’influen
s que l’on offrait à Latone. Cette injure attira sur elle la colère d’
Apollon
et de Diane ; ils percèrent avec leurs flèches le
Homère a dit que la peste survint dans le camp des Grecs aussitôt qu’
Apollon
eut lancé ses flèches. Toute les fois qu’on voula
u’Apollon eut lancé ses flèches. Toute les fois qu’on voulait peindre
Apollon
irrité, on le représentait armé de ses flèches ;
entendre ses plaintes. Jupiter vengea la mort des Cyclopes en exilant
Apollon
du ciel (c’est-à-dire du royaume dont il lui avai
noms de pasteur et de roi étaient souvent synonymes. La fable peignit
Apollon
homme le pasteur des troupeaux d’Admète, et le fi
erçu dans cette nouvelle condition, lui enleva adroitement une vache,
Apollon
, pour punir le larcin, eut recours a ses traits ;
course trop faible ne pouvait plus la faire échapper aux poursuites d’
Apollon
. Le dieu voulut que cet arbre lui fût consacré, e
esse avait été métamorphosée en laurier. Ce fut peu de temps après qu’
Apollon
tua, sans le vouloir, le jeune Hyacinthe qu’il ai
ire, qui aimait cet enfant, fut jaloux de le voir jouer au palet avec
Apollon
. Il souffla sur le palet du dieu avec tant de vio
tant de violence, qu’il alla briser la tête du malheureux Hyacinthe.
Apollon
le métamorphosa en la fleur qui porte son nom. Se
ux en les inondant, et une peste horrible fut la suite de la colère d’
Apollon
. L’oracle, consulté sur les moyens d’apaiser le c
’il sera question de ce demi-dieu. Quelque temps après ces aventures,
Apollon
fut rappelé dans le ciel et rétabli dans ses droi
l et de répandre la lumière sur la terre. Cicéron distinguait quatre
Apollon
: les trois derniers étaient des princes grecs ;
Jupiter ; il n’est donc nullement surprenant qu’ayant donné le nom d’
Apollon
à plusieurs de leurs princes, ils les aient confo
’Apollon à plusieurs de leurs princes, ils les aient confondus avec l’
Apollon
égyptien. Parmi les dieux du paganisme, il n’en e
e voudrait lui donner. Parmi les princes grecs qui ont porté le nom d’
Apollon
, l’un d’eux aima Clytie, nymphe de l’Océan ; il l
re et sans feuilles : ils publièrent que l’enfant Cyparisse, aimé par
Apollon
, tua, sans le vouloir, un cerf qu’il aimait beauc
’il aimait beaucoup ; le regret de sa perte le fit mourir de chagrin.
Apollon
changea cet enfant en cyprès, et voulut que cet a
fût consacré aux funérailles. Il n’y eut point de dieu plus honoré qu’
Apollon
. Ses temples étaient sans nombre dans la Grèce et
corbeau mérite d’être rapportée. Son plumage fut d’abord blanc ; mais
Apollon
le noircit pour le punir d’un indiscret avis qu’i
is. Les transports de la jalousie sont terribles et souvent aveugles.
Apollon
fit périr cette nymphe, et s’en repentit trop tar
pour conserver ces neuf chefs-d’œuvre, on les plaça dans le temple d’
Apollon
. Depuis ce temps, les poëtes ont célébré neuf Mus
endre que les sons de sa flûte plairaient davantage que les accords d’
Apollon
sur sa lyre. Des juges furent choisis. Le dieu, v
: Avant l’invention de la lyre, la flûte était l’instrument préféré.
Apollon
, avec sa lyre, trouva le moyen d’unir à la beauté
poëtes peignirent les regrets et la jalousie de Marsyas, en disant qu’
Apollon
l’avait écorché. Les auteurs anciens ne sont pas
r que les Muses allaient au Parnasse pour entendre les leçons de leur
maître Apollon
, une forte pluie les força de se réfugier dans le
ir à jamais son souvenir. Souvent on représente les Muses environnant
Apollon
sur le mont Parnasse ou sur le mont Hélicon ; on
ur cet article en rapportant l’histoire de Persée. Parmi les enfans d’
Apollon
, il faut distinguer Linus, inventeur des vers lyr
son maître Linus, qu’il lui brisa la tête avec sa lyre. Les oracles d’
Apollon
servirent à rendre très-fameuses plusieurs villes
ours été démenties par les événemens, l’adresse extrême des prêtres d’
Apollon
n’aurait pu suffire pour maintenir la confiance p
des Sibylles. Histoire de Diane ou la lune Diane était sœur d’
Apollon
, dieu du jour, et elle se nommait Phœbé : l’un et
it sur la terre, et s’y rendait à leurs ordres. Diane naquit avec son
frère Apollon
, et sur-le-champ, dit la fable, elle servit de sa
se consoler de la mort de sa fille, se précipita du haut d’une tour.
Apollon
en eut pitié, et le changea en épervier. Une fabl
rs pendant cent années. Les noms de phœbus et de phœbé, que portaient
Apollon
et Diane, à cause de la lumière qu’ils répandent
à l’oracle situé au pied du Parnasse, que lui céda la Terre sa mère.
Apollon
et Diane partagèrent d’abord cette espèce d’hérit
ou de quelque autre feuillage vert. Il existe des statues antiques d’
Apollon
, tenant à sa main quatre petites Grâces. Quelques
avec Battus prouve qu’il volait quelquefois lui-même. Un jour il vit
Apollon
gardant les troupeaux d’Admète : il lui vola quel
’écaille de cet animal. Quelques poëtes disent qu’il en fit présent à
Apollon
, et l’échangea contre le caducée. Dans les sacrif
ait sortir un superbe cheval. L’origine de la fable de Neptune aidant
Apollon
à bâtir les murailles de Troie est fondée sur ce
de l’argent amassé dans le temple de Neptune, et négligea le culte d’
Apollon
. Une violente irruption de la mer détruisit les d
ue ces deux fléaux étaient les suites de la vengeance de Neptune et d’
Apollon
. Les Grecs donnaient à Neptune le surnom de Poséd
défier au chant les neuf Muses. Elles furent vaincues ; les élèves d’
Apollon
les punirent en leur arrachant leurs ailes, dont
lui réussit ; il devint l’époux de Pomone. La fable d’Aristée, fils d’
Apollon
et de la nymphe Cyrène, prouve tout le pouvoir de
le Silène et Marsyas ; ce dernier était le célèbre joueur de flûte qu’
Apollon
écorcha après l’avoir vaincu. Cette erreur vient
r le précipita d’un coup de foudre. Phlégias, ayant brûlé un temple d’
Apollon
, voit sans cesse un énorme rocher suspendu sur sa
Tytie, dont le corps couvrait neuf arpens, ayant osé insulter Latone,
Apollon
le fit périr avec ses flèches, et le précipita da
racontaient différemment son histoire. Les poëtes lui donnaient pour
père Apollon
, et pour mère Coronis, fille de Phlégyas. Esculap
aiser le dieu des enfers, foudroya le médecin. Nous avons déjà dit qu’
Apollon
tua les Cyclopes à coups de flèches, pour venger
que d’attribuer ce silence à la seule modestie. Cet ouvrage, digne d’
Apollon
, eût été placé dans ses temples ; il y eût même o
’arrêta plus. On adora le soleil sous les noms d’Osiris, de Phébus, d’
Apollon
, et la lune sous ceux d’Isis et de Diane. Le ciel
long et terrible. Jupiter, Junon, Neptune, Vulcain, Minerve, Mercure,
Apollon
, Diane, font des prodiges de valeur. Mais il étai
ues ; d’Eurynome, les trois Grâces ; de Cérès, Proserpine, de Latone,
Apollon
et Diane ; d’Alcmène, Hercule ; de Maïa, Mercure
a Justice. A droite, siégeait Junon ; puis venaient Neptune, Mercure,
Apollon
, Mars et Vulcain ; à gauche, Vénus, Diane, Vesta,
ore (en grec : pan, tout, dôron, présent). Vénus lui donna la beauté,
Apollon
le talent de la musique, Mercure, celui de l’éloq
n Minerve ? Quel est le mot piquant de Démosthène ? Chapitre VII.
Apollon
. 34. Naissance d’Apollon. Latone, fille d
quant de Démosthène ? Chapitre VII. Apollon. 34. Naissance d’
Apollon
. Latone, fille de Céus, un des Titans, et de P
ottante. Latone s’y réfugia sous la forme d’un oiseau, et mit au jour
Apollon
et Diane. Le premier soin du jeune dieu fut de ve
ython serait né du limon de la terre après le déluge de Deucalion, et
Apollon
l’aurait tué, non pour venger Latone, mais pour d
a terre. Dans le sens allégorique, il est certain que le soleil, dont
Apollon
était le dieu, en desséchant, par l’action de ses
tes, détruit leurs exhalaisons et purifie l’atmosphère. 35. Exil d’
Apollon
sur la terre. La victoire d’Apollon fut suivie
ie l’atmosphère. 35. Exil d’Apollon sur la terre. La victoire d’
Apollon
fut suivie de cruelles disgrâces. Un fils, qu’il
qu’on lui enlevait ainsi ses sujets. Alors Jupiter foudroya Esculape.
Apollon
, dans sa douleur, tua les Cyclopes qui avaient fa
t pris pour juge ; comme il était ami de Pan, il lui adjugea le prix.
Apollon
punit l’ignorance ou l’injustice de ce prince en
Le satyre Marsyas, fier de son talent sur la flûte, osa défier aussi
Apollon
; il en fut cruellement puni. Le dieu, l’ayant va
naquit le fleuve Marsyas, qui coule en Phrygie. Du service d’Admète,
Apollon
passa à celui du roi Laomédon, qui élevait alors
e lui du ciel. Le prince troyen les ayant frustrés du salaire promis,
Apollon
ravagea la ville par une peste cruelle, et Neptun
ieu, et le dirigea contre la tête de son ami, qui expira sur l’heure.
Apollon
désolé changea Hyacinthe en cette fleur qui porte
f qu’il nourrissait, en conçut tant de regret qu’il se donna la mort.
Apollon
le changea en cyprès, et voulut que cet arbre fût
il, comme l’indique son nom (hélios, soleil ; trepô, tourner). 36.
Apollon
rappelé au ciel ; aventure de Phaéton. L’exil
on rappelé au ciel ; aventure de Phaéton. L’exil et les malheurs d’
Apollon
fléchirent enfin Jupiter, qui le rappela au ciel,
ntestait sa céleste origine, vint lui exposer le sujet de sa douleur.
Apollon
jura imprudemment par le Styx de ne rien lui refu
demanda alors la faveur de conduire, un seul jour, le char du soleil.
Apollon
, lié par un serment irrévocable, consentit, mais
lication poétique d’une sécheresse qui aurait désolé la terre. 37.
Apollon
, dieu de la poésie ; les Muses. Apollon est le
it désolé la terre. 37. Apollon, dieu de la poésie ; les Muses.
Apollon
est le dieu de la poésie : à ce titre il préside
struments, Joint à des pas légers de justes mouvements. De l’esprit d’
Apollon
une vive étincelle Des filles de mémoire anime le
il voulut les outrager. Alors ayant pris des ailes, avec le secours d’
Apollon
, elles s’enfuirent à travers les airs. Pyrénée mo
il paya de sa vie son criminel attentat. 38. Culte et attributs d’
Apollon
. Le culte d’Apollon était répandu partout ; ma
criminel attentat. 38. Culte et attributs d’Apollon. Le culte d’
Apollon
était répandu partout ; mais la ville de Delphes,
ns le temple de riches présents. Les anciens confondaient quelquefois
Apollon
avec le Soleil, dont il n’est que le dieu. Le Sol
la tête environnée de rayons, et tenant un globe à la main, tandis qu’
Apollon
, qui est alors appelé Phœbus, dirige un char radi
lé Phœbus, dirige un char radieux, trainé par quatre chevaux (n° 36).
Apollon
, dieu des beaux-arts, est représenté sous la form
nt le calme et la majesté. Autant la description qu’ Homère a faite d’
Apollon
surpasse celle des autres poëtes, autant cette st
la haïssait-elle ? Quels furent les effets de cette haine ? Où naquit
Apollon
? Quel fut son premier soin ? Quel surnom prit-il
Quelle double explication donne-t-on de leur origine ? La victoire d’
Apollon
n’est-elle pas interprétée aussi dans un sens all
étée aussi dans un sens allégorique ? 35. Quels furent les malheurs d’
Apollon
? La cause de son exil sur la terre ? Les disgrâc
ans le temple de Delphes ? Quelle différence y a-t-il entre Phœbus et
Apollon
? Comment représente-t-on l’un et autre ? Qu’est-
39. Naissance de Diane ; ses emplois divers. Diane était, comme
Apollon
, fille de Jupiter et de Latone. La triste destiné
Le lendemain de sa naissance, il vola les bœufs d’Admète, que gardait
Apollon
, et tandis que le berger se plaint et menace, il
rter la main sur la foudre de Jupiter, qui l’envoya partager l’exil d’
Apollon
. Ce fut alors que Mercure, afin de charmer ses en
vers larcins ? Pourquoi fut-il chassé du ciel ? Quel présent fit-il à
Apollon
? Qu’en reçut-il en échange ? Qu’est-ce que le ca
qui nous était déjà connu par un châtiment grotesque que lui infligea
Apollon
(n° 35), est le type de la vanité ignorante. 6
, Neptune fut chassé du ciel. Relégué sur la terre, il travailla avec
Apollon
, exilé comme lui, à relever les murs de Troie (n°
eur salaire par Laomédon, ils se liguèrent pour punir ce roi parjure.
Apollon
envoya la peste, et Neptune un monstre marin qui
la ville. Enfin le dieu des mers eut encore à soutenir un débat avec
Apollon
au sujet de Corinthe. Le cyclope Briarée, choisi
fille Hésione ? 74. Quels différends eut Neptune avec Minerve et avec
Apollon
? Quelle est l’épouse la plus célébré de Neptune
Orphée allait épouser la nymphe Eurydice ; le berger Aristée, fils d’
Apollon
et de Cyrène, devient jaloux de leur bonheur, et
des cheveux flottants sur les épaules et d’épais sourcils. Il reçut d’
Apollon
le don de prédire l’avenir, et fut l’interprète d
habile à manier les chevaux. Sa fille Coronis, ayant été enlevée par
Apollon
, devint mère d’Esculape. Phlégyas, égaré par la d
Delphes, et y mit le feu, pour venger l’outrage fait à sa fille. Mais
Apollon
irrité le tua à coups de flèches, et le précipita
e corps couvrait neuf arpents, voulut attenter à l’honneur de Latone.
Apollon
et Diane le tuèrent à coups de flèches pour venge
e vœu qu’il avait fait, en partant, d’envoyer offrir des sacrifices à
Apollon
, fut religieusement accompli. Tous les ans des dé
pas errants vers Thèbes. Il trouve la ville désolée par le Sphinx, qu’
Apollon
avait suscité, disait-on, pour punir le meurtre d
était, comme on le sait, tiré au sort, Chryséis, fille d’un prêtre d’
Apollon
, était échue à Agamemnon. Comme ce prince, refusa
du commerce, de l’intelligence et de la parole ; Bélénus, le soleil (
Apollon
) ; enfin Ogham, ou en latin, Ogmius (Hercule), le
t l’invention de la lyre, la flûte était l’instrument par excellence.
Apollon
trouva le moyen d’unir à la beauté du chant les a
ûte. Les poëtes peignirent les regrets jaloux de Marsyas en disant qu’
Apollon
l’avait écorché. 21. Pour aider la mémoire, on
aux étaient au nombre de vingt : c’étaient Jupiter, Neptune, Mercure,
Apollon
, Mars, Vulcain, Junon, Cérès, Vesta, Minerve, Vén
? — Qu’était-ce qu’Iris ? — Comment représentait-on Junon ? V. —
Apollon
. Apollon, Dieu de la poésie, de la musique
qu’Iris ? — Comment représentait-on Junon ? V. — Apollon.
Apollon
, Dieu de la poésie, de la musique et des arts, re
usqu’alors n’était qu’un rocher flottant, et Latone y donna le jour à
Apollon
et à Diane. Le premier exploit d’Apollon lorsqu’i
et Latone y donna le jour à Apollon et à Diane. Le premier exploit d’
Apollon
lorsqu’il eut acquis des forces fut la destructio
11, pour rendre ses oracles. Ce fut à l’occasion de cette victoire qu’
Apollon
institua les jeux pythiens, que l’on célébrait to
ébrait tous les quatre ans, en s’exerçant à la musique et à la danse.
Apollon
avait eu un fils nommé Esculape, auquel le centau
suites, invoqua son père, le fleuve Pénée, et fut changée en laurier.
Apollon
en cueillit une branche dont il se fit une couron
foi ; Neptune renversa une partie de la ville par une inondation, et
Apollon
dévasta le pays par la peste. Le fils de Latone p
ulu faire lutter les sons de sa flûte contre les accords de la lyre d’
Apollon
; il fut honteusement vaincu. Cependant Midas, ro
cu. Cependant Midas, roi de Phrygie, ayant donné la préférence à Pan,
Apollon
lui fit pousser deux oreilles d’âne. Le roi cacha
n les entendait murmurer : Midas, le roi Midas a des oreilles d’âne !
Apollon
soutint une autre lutte musicale contre le satyre
il ordonna que Marsyas fût écorché vif. Parmi les nombreux enfants d’
Apollon
, nous devons citer Phaéton, que son imprudence et
on ami Cycnus fut métamorphosé en cygne. Quand les poëtes considèrent
Apollon
comme le Dieu de la poésie et des arts, ils place
pas en cadence. Pégase jouait aussi un rôle important dans la suite d’
Apollon
; c’était un cheval ailé qui paissait dans le val
habité par le Dieu des vers et par les Muses. Il servait de monture à
Apollon
, qui le prêtait quelquefois aux bons poëtes. Péga
ent la vertu d’inspirer l’enthousiasme poétique. Comme Dieu des arts,
Apollon
se représente sous les traits d’un jeune homme sa
r d’or traîné par quatre chevaux blancs. Questions. Qu’est-ce qu’
Apollon
? — Par quels événements sa naissance est-elle re
lles ? — Dites ce que vous savez de Pégase. — Comment représente-t-on
Apollon
? VI. — Diane. Diane, sœur d’Apollon,
mment représente-t-on Apollon ? VI. — Diane. Diane, sœur d’
Apollon
, fille de Jupiter et de Latone, avait trois noms,
livra encore à son penchant favori : ayant rencontré parmi les hommes
Apollon
, proscrit comme lui, qui gardait les troupeaux d’
aperçût, ses armes et sa lyre. Il vola même les troupeaux que gardait
Apollon
, et alla les cacher dans une caverne voisine ; ay
a retraite du voleur ; Mercure irrité le changea en pierre de touche.
Apollon
fut d’abord très-irrité de se voir ainsi dépouill
rcure, qui ne voulait que prouver son adresse, rendit les troupeaux à
Apollon
, et lui fit don en outre d’une lyre à neuf cordes
ordes qu’il venait de fabriquer de l’écaille d’une tortue. En retour,
Apollon
donna à son frère une baguette qui avait la puiss
aysan en pierre de touche ? — Quels gages d’amitié échangea-t-il avec
Apollon
? — Quels arts enseigna-t-il aux hommes ? — Quell
conspiration des Dieux contre Jupiter, il fut exilé sur la terre avec
Apollon
, et réduit à travailler pour le roi Laomédon, qui
yparisse qu’il devait épouser, et qui fut métamorphosée en cyprès par
Apollon
. Questions. Qu’était-ce que Sylvain ? — En q
et Thétis, qui était d’une si grande beauté, que Jupiter, Neptune et
Apollon
se disputèrent sa main ; mais le Destin ayant déc
Tartare. Phlégyas, roi des Lapithes, ayant mis le feu à un temple d’
Apollon
, était enchaîné, dans les Enfers, sous un énorme
e ? — Que devint ensuite Jason ? VI. — Orphée. Orphée, fils d’
Apollon
et de Clio, ou, suivant d’autres, fils d’Œagre, r
ls d’Ilus, construisit les murailles de la place, que l’on attribua à
Apollon
, de même que l’on croyait que Neptune seul avait
nde ayant été accueillie favorablement, il se rendit dans le temple d’
Apollon
pour célébrer ce mariage ; mais Pâris, voulant ve
quit une grande réputation de sagesse et de prudence. La protection d’
Apollon
le fit vivre trois cents ans. Questions. Qu
ncer son nom, qui n’en est pas moins venu jusqu’à nous83. Le temple d’
Apollon
à Delphes était aussi célèbre, tant par sa beauté
prêtresse que l’on nomma Pythie, à cause du serpent nommé Python dont
Apollon
avait délivré ce pays. A cette occasion l’oracle,
lle se nommait Déiphobe ; elle était fille de Glaucus, et prêtresse d’
Apollon
et d’Hécate. On croyait qu’elle avait vécu mille
sept cents ans. Cette Sibylle, que l’on prétendait être inspirée par
Apollon
, rendait ses oracles dans un antre qui se trouvai
jeux pythiens avaient d’abord été institués à Delphes en l’honneur d’
Apollon
, après sa victoire sur le serpent Python. Ils se
de Rhodes 93 était une immense statue de bronze élevée en l’honneur d’
Apollon
par le sculpteur Charès. Les pieds de cette statu
combats se retrouvent dans ce qu’on raconte du conquérant des Indes.
Apollon
, c’est évidemment Horus, fils d’Osiris, que les É
quels personnages historiques a-t-on fait Jupiter, Mercure, Bacchus,
Apollon
, Diane, Mars et Vulcain ? — Comment Diodore expli
uve encore quelques débris du temple célèbre qu’on y avait consacré à
Apollon
et à sa sœur. 11. Delphes, en Phocide, une des p
s grandes villes de l’ancienne Grèce, renommée surtout par l’oracle d’
Apollon
. Cette ville passait parmi les anciens pour le mi
lie et prit terre à Cumes, où il construisit un temple en l’honneur d’
Apollon
. De là il se rendit en Sicile, où il termina ses
andre était fille de Priam et d’Hécube ; cette princesse avait reçu d’
Apollon
le don de lire dans l’avenir ; mais, comme elle n
e, Vénus et Diane ; parmi les dieux, Jupiter, Neptune, Vulcain, Mars,
Apollon
et Mercure. Les dix autres appelés Selecti ou die
Ses principaux enfants furent, parmi les divinités du ciel, Minerve,
Apollon
, Diane, Mars, Mercure, Vulcain et Bacchus ; parmi
rche d’une main, et de l’autre une couleuvre ou un poignard. § 14.
Apollon
. Apollon ou Phébus, conducteur du char du sol
in, et de l’autre une couleuvre ou un poignard. § 14. Apollon.
Apollon
ou Phébus, conducteur du char du soleil, est pris
es Cyclades ; sa mère fut Latone ; sa sœur Diane. Le premier usage qu’
Apollon
fit de ses flèches, fut d’en percer le serpent Py
ur lequel s’asseyait la prêtresse de Delphes. Fier de cette victoire,
Apollon
osa braver l’Amour et ses traits. Le fils de Vénu
inte de plomb inspirait la haine ou le dédain. Il lança la première à
Apollon
, il décocha la seconde à Daphné, fille du fleuve
e répondre à sa tendresse, prend la fuite et se dérobe à ses regards.
Apollon
court après elle dans la prairie qui borde le fle
fatigue, implore le secours de Pénée, qui la métamorphose en laurier.
Apollon
ne serra entre ses bras qu’un tronc inanimé. Mais
foudroya pour le punir d’avoir ressuscité Hippolyte, fils de Thésée.
Apollon
, n’osant se venger sur Jupiter, tua les Cyclopes,
t hospitalier. Hyacinthe, fils d’Amyclas, était le plus intime ami d’
Apollon
; et ce dieu, pour le voir plus souvent, s’était
la confiance et tous les témoignages d’attachement n’étaient que pour
Apollon
. Tourmenté, aveuglé par la jalousie, Zéphyre ne r
violemment contre la tempe du jeune homme, que le coup en fut mortel.
Apollon
appliqua vainement sur la blessure les plantes qu
et fut changé en une fleur qui porte le nom d’hyacinthe ou jacinthe.
Apollon
avait tout pour plaire : aux qualités de l’esprit
d’harmonie. Fier des éloges dont il se voyait comblé, il osa faire à
Apollon
un défi insultant qui fut accepté, mais sous la c
cri joyeux des buveurs. L’assemblée ravie éclata en applaudissements.
Apollon
, sans se laisser intimider par ces marques bruyan
quit un fleuve de Phrygie, qui fut nommé Marsyas. Après un long exil,
Apollon
fut rappelé dans l’Olympe, et Jupiter lui rendit
’Olympe, et Jupiter lui rendit son premier emploi. De tous les dieux,
Apollon
est celui dont les poètes ont publié le plus de m
, qui passait pour une merveille. En sa qualité de dieu de la poésie,
Apollon
instruisait les Muses, et habitait avec elles tan
éton, dont la mort tragique mérite d’être détaillée. Phaéton, fils d’
Apollon
et de Clymène, eut un jour un vif démêlé avec Épa
les cieux. Suis le milieu : c’est là le chemin qu’il faut prendre. »
Apollon
parlait encore, et déjà le présomptueux Phaéton p
condescendance. § 15. Diane. Diane, fille de Latone et sœur d’
Apollon
, présidait à la chasse. Vouée à ce mâle exercice,
r la terre, en Thessalie, où il passa son adolescence et sa jeunesse.
Apollon
, exilé, gardait alors les bœufs du roi Admète : M
de se procurer un troupeau à peu de frais. Il profita d’un moment où
Apollon
, dans un tendre délire, célébrait sur la flûte se
e firent envisager comme le dieu des voleurs et des filous. Cependant
Apollon
ayant découvert l’auteur du vol, se fâcha beaucou
, se fâcha beaucoup, puis s’adoucit, et tout se termina à l’amiable :
Apollon
reçut de Mercure une lyre à trois cordes, et lui
nt d’ambroisie, Et non d’absinthe et de fiel. Voltaire. Quelquefois
Apollon
est à leur tête, jouant de la lyre : on lui donne
urs divinités champêtres, était fils de Cyrène, une des naïades, et d’
Apollon
. Son éducation fut confiée aux nymphes, qui lui e
« Ma mère, lui dit-il, à quoi me sert d’être issu des dieux et fils d’
Apollon
, si je dois être à jamais en butte aux coups du s
la de présents. Minerve lui donna la sagesse ; Mercure, l’éloquence ;
Apollon
, le talent de la musique. A tous ces dons, Jupite
t leur main brandit une lance. § 7. Esculape. Esculape, fils d’
Apollon
et de Coronis, fut instruit par le centaure Chiro
es sauvages et des brigands. Linus, poète et musicien thébain, fils d’
Apollon
et de Terpsichore, inventa la mélodie et le rhyth
honneurs de l’apothéose. La ville d’Argos lui éleva, dans le temple d’
Apollon
, un magnifique tombeau, où, chaque année, gens de
o, séparée des autres captives, fut envoyée, comme un présent digne d’
Apollon
, au temple de Delphes, dont elle occupa le trépie
x époux se rendirent au temple de Delphes pour y consulter l’oracle d’
Apollon
; et sa réponse fut « que le fils qui naîtrait de
nt descendre à Cumes, en Italie, où il bâtit un temple en l’honneur d’
Apollon
. Il passa de là en Sicile, où régnait Cocalus, qu
a mauvaise foi. Il s’occupait à bâtir les murailles de Troie, lorsque
Apollon
et Neptune, tous deux bannis de l’Olympe, vinrent
e des Troyens se précipite avec des cris d’effroi vers la ville. Mais
Apollon
prend pitié d’eux : il envoie Hector contre Patro
accompagné en Phrygie52. Habile archer, il passait pour avoir reçu d’
Apollon
lui-même l’arc qu’il maniait. Revenu à Salamine,
recs n’avaient dans leur armée un fils d’Hercule, expliqua l’oracle d’
Apollon
en disant que la même lance, qui avait fait la bl
rda pour la seconde fois en Sicile, à ce rivage fameux, où la fille d’
Apollon
, Lampétie, gardait les troupeaux du dieu son père
ir, ils enlevèrent quatre bœufs et quatre génisses qu’ils égorgèrent.
Apollon
n’eut pas plus tôt connu cette impiété qu’il pria
ction, et, dans les transports d’une joie féroce, courent au temple d’
Apollon
pour y bénir les dieux immortels de cette délivra
er dans son cœur. Pour dernière ressource, il se présenta au temple d’
Apollon
, à Delphes : la pythie, interrogée, lui répondit
ui défend de les poursuivre. « Oreste, dit-elle, est venu par ordre d’
Apollon
dans cette contrée, pour s’affranchir des Furies
59. § 22. Cassandre. Cassandre, fille de Priam, avait promis à
Apollon
de l’épouser, s’il voulait lui donner la connaiss
ner la connaissance de l’avenir et le don de prophétie ; mais lorsque
Apollon
lui eut accordé ce privilège, elle refusa de teni
a préférer les accords de son rustique instrument à ceux de la lyre d’
Apollon
; il eut même l’audace de proposer un défi, que l
halumeau quelques airs grotesques, dont l’oreille de Midas fut ravie.
Apollon
chanta ensuite, et maria les sons de sa voix aux
molus, en extase, décida que la flûte de Pan devait céder à la lyre d’
Apollon
, et les nymphes unanimes applaudirent à ce jugeme
s et velues… Effrayé de ce prodige, Pan prit la fuite et ne dit mot :
Apollon
se retira vengé. Midas, confus, essaie de cacher
riphas et toute sa famille. Mais, se laissant fléchir aux instances d’
Apollon
, il changea le prince athénien en aigle, oiseau m
à Jupiter. § 7. Clytie. Clytie, nymphe de l’océan, fut aimée d’
Apollon
, qui l’abandonna pour s’attacher à Leucothoé, fil
de larmes, elle tournait continuellement ses regards vers le soleil.
Apollon
par pitié la changea en héliotrope (ou tournesol)
é sa métamorphose, Clytie montre encore l’amour qu’elle conserve pour
Apollon
. § 8. Ath amas et Ino. Athamas, roi de Thèbes
mit au monde, à l’ombre d’un palmier (d’autres disent d’un olivier),
Apollon
et Diane. Mais le calme dont elle jouissait à Dél
oupable ; et tandis que le peuple se rendait en foule au sanctuaire d’
Apollon
, Niobé se promenait sur un char avec sa brillante
les pria de la venger : vœu cruel, qui ne tarda pas à être accompli.
Apollon
découvrit, dans les plaines voisines de Thèbes, l
mes peines ! § 13. Battus. Quand Mercure déroba les troupeaux d’
Apollon
(voyez page 46 [= section première, § 16]), et le
le projet d’aller consulter, sur cette fatale disposition, l’oracle d’
Apollon
à Claros. Alcyone, sa femme, attachée à lui par
ait toujours Adonis, et pleurait sa perte, eut recours à la science d’
Apollon
, dieu de la médecine, qui lui conseilla le saut d
y engageait par un acte religieux ; on se persuadait qu’avec l’aide d’
Apollon
on survivrait à la chute, et qu’on retrouverait,
oces de différente espèce. Le roi de Thessalie, Admète, eut recours à
Apollon
dont il avait été jadis le bienfaiteur, et ce die
ient la réputation de prédire l’avenir. Jupiter à Dodone et en Libye,
Apollon
à Delphes, à Claros et à Délos, Esculape à Épidau
s donnaient le nom de Pythie à la prêtresse qui rendait les oracles d’
Apollon
à Delphes ; ils appelaient pythonisses, toutes le
s vont jusqu’à dix. La plus connue est sans contredit celle de Cumes.
Apollon
, qui l’aimait, lui promit d’exaucer un de ses vœu
ues. Les Jeux Pythiques ou Pythiens furent institués à Delphes par
Apollon
lui-même, à l’occasion de sa victoire sur le serp
sentée sous la figure d’une vache, n’est autre chose qu’Io. Horus est
Apollon
; Anubis Mercure. L’orient civilisé par Osiris, p
bronze, haute de soixante et dix coudées, soit 105 pieds, et dédiée à
Apollon
. Ses pieds reposaient sur deux rochers à l’entrée
des chaleurs, lorsque le soleil est dans le tropique du Cancer. 65.
Apollon
et Diane. 66. Selon Ovide, Alcyone était fille d
es d’une nymphe, changèrent les bergères en naïades, les musiciens en
Apollon
, les médecins en Esculape, les poëtes en Muses, e
son conseil Junon, Neptune, Cérès, Vesta la jeune, Mercure, Minerve,
Apollon
, Diane, Mars, Vulcain et Vénus, Chacune de ces do
n d’un don particulier. Pallas lui donna la sagesse, Vénus la beauté,
Apollon
la connaissance de la musique, Mercure l’éloquenc
est-elle signalée ? 6. Comment la représente-t-on ? Chapitre VII.
Apollon
et les Muses. 1. Apollon était fils de Jupiter
nt la représente-t-on ? Chapitre VII. Apollon et les Muses. 1.
Apollon
était fils de Jupiter et de Latone, fille du Tita
et la faisait poursuivre par ce monstre énorme de contrée en contrée.
Apollon
, devenu grand, délivra Latone de ce reptile affre
le trépied sur lequel la pythonisse rendait ses oracles. 2. La joie d’
Apollon
libérateur fut troublée par la mort d’Esculape. C
té comme un attentat à ses droits et foudroya le coupable usurpateur.
Apollon
, ne pouvant se venger contre son père, le souvera
inthe. Un jour qu’ils jouaient ensemble, Zéphyre détourna le palet qu’
Apollon
lançait et causa la mort de son rival. Le dieu ch
les eaux de la mer, et détruisit par une inondation tout son travail.
Apollon
se vengea par une peste horrible qui menaça de dé
l étendit mort à ses pieds. 5. Après toutes ces aventures, Neptune et
Apollon
rentrèrent en grâce avec Jupiter. Apollon fut cha
s ces aventures, Neptune et Apollon rentrèrent en grâce avec Jupiter.
Apollon
fut chargé du soin de répandre la lumière dans l’
de son père les yeux baignés de larmes, solliciter de lui une, grâce.
Apollon
, touché de son chagrin, jura par le Styx qu’il lu
e récit poétique d’une grande sécheresse qui désola cette contrée. 7.
Apollon
était aussi le dieu des sciences et des arts qui
s le vol audacieux. 9. Tous les lieux qui environnaient le séjour d’
Apollon
et des Muses étaient consacrés par des souvenirs
prend sa source au pied de l’Hélicon, dans la fontaine de Castalie qu’
Apollon
avait produite en métamorphosant une nymphe, et d
était un cheval ailé que les bons poëtes seuls pouvaient monter. 10.
Apollon
, pour se venger du roi de Phrygie, remplaça subit
as a des oreilles d’âne. Toute la Phrygie connut ainsi la vengeance d’
Apollon
. Ce même monarque fut encore puni de sa cupidité.
Marsyas fut encore plus cruellement traité que le roi de Phrygie par
Apollon
. Midas n’avait péché que par ignorance et n’était
ce et n’était coupable que de sottise, mais Marsyas était un envieux.
Apollon
, après l’avoir vaincu en présence des hommes et d
s les fois qu’elle s’élève contre le vrai talent. 12. On représentait
Apollon
sous les traits d’un beau jeune homme sans barbe,
s, des brebis, des ânes et des chevaux. Questionnaire. 1. De qui
Apollon
était-il fils ? Où vint-il au monde ? Quelle veng
monde ? Quelle vengeance Junon exerça-t-elle contre sa mère ? Comment
Apollon
tua-t-il le serpent Python ? Que fit-il de la pea
tait Esculape ? Pourquoi Jupiter le foudroya-t-il ? De quelle manière
Apollon
se vengea-t-il de cette perte ? Quelles furent le
cette perte ? Quelles furent les suites de sa vengeance ? 3. Que fit
Apollon
en Thessalie ? Quelles furent ses aventures à pro
? Qu’arriva-t-il ? Quel est le sens historique de cette fiction ? 7.
Apollon
n’était-il pas aussi le dieu des sciences et des
11. Quel fut celui de l’envieux Marsyas ? 12. Comment représente-t-on
Apollon
comme dieu des arts et des sciences ? Comment le
offrait-on en sacrifice ? Chapitre VIII. Diane. 1. Diane comme
Apollon
naquit de Jupiter et de Latone. Apollon était le
III. Diane. 1. Diane comme Apollon naquit de Jupiter et de Latone.
Apollon
était le dieu au soleil et Diane la déesse de la
ce motif que la fable ajoute que Diane vint au monde en même temps qu’
Apollon
. Indépendamment de cette fonction, elle en avait
art funeste une étonnante habileté. Il prit à Neptune son trident, à
Apollon
ses flèches et son carquois, à Mars son épée, à V
né. Mars fut surpris par les premiers feux du jour, c’est-à-dire, par
Apollon
. Pour se venger de l’infidélité de son gardien, i
Chapitre VII. Orphée, Arion et Amphion. 1. Orphée était fils d’
Apollon
et de Clio. C’est le poëte et le musicien le plus
3. On bâtit un temple à Orphée à l’endroit où l’on trouva sa tête.
Apollon
le changea en cygne, et sa lyre fut placée parmi
s. 3. Quel souvenir gardèrent de lui les Grecs ? Quel honneur lui fit
Apollon
? Comment est-il représenté ? 4. Quel fut le riva
, il consulta l’oracle de Delphes pour savoir où il devait s’établir.
Apollon
lui ordonna de s’arrêter là où un bœuf le conduir
r se venger d’Achille qui l’avait obligé à rendre à Chrysès, prêtre d’
Apollon
, sa fille Chryséïs. Par représailles le chef des
au moment où il allait l’épouser, le lâche Pâris, qui avait appris d’
Apollon
l’endroit où ce guerrier était vulnérable, le ble
heval dans leurs murs. Laocoon, fils de Priam et d’Hécube et prêtre d’
Apollon
et de Neptune, se douta de la perfidie des Grecs.
Philoctète. En vain eut-il recours à la science de la nymphe Œnone qu’
Apollon
avait instruite de la vertu des plantes, il ne pu
olympiques. Les jeux pythiques, établis en l’honneur de la victoire d’
Apollon
sur le serpent Python, tombèrent d’abord en désué
e y avait remporté le prix de la course, Mars celui du pugilat, et qu’
Apollon
s’y était signalé par son adresse. On interrompit
de son immortalité. Des oracles, des devins et des sibylles. 4.
Apollon
était renommé par ses oracles dans un grand nombr
au delà de la durée de cinq âges d’homme. Amphiaraüs était le fils d’
Apollon
et d’Hypermnestre, et se distingua dans les guerr
avec son char dans les entrailles de la terre. Calchas, qui devait à
Apollon
la connaissance du passé, du présent et de l’aven
des Gaulois. 1. « Les Gaulois, dit César, reconnaissent Mercure,
Apollon
, Jupiter, Mars et Minerve. Mais ils ont pour Merc
et qu’il a une grande influence sur le commerce et les richesses, qu’
Apollon
éloigne les maladies, qu’on doit à Minerve les él
urg, 154. Anubis, chien, div. des Egyptiens, 180. Apis, bœuf, 181.
Apollon
, un des douze grands dieux, 21 ; son hist., son c
hronologie, 156. Chryséis, fille de Chrysès, 144. Chrysès, prêtre d’
Apollon
, 144. Chute de l’homme, connue des Perses, 174 ;
, du Pélop., 113. Eschyle , poëte grec, 139, 157. Esculape, fils d’
Apollon
, son histoire, 32. Esdras, 173. Eson, père de J
fils d’Osiris, 180. Hostanès, chef des Mages, 171. Hyacinthe, ami d’
Apollon
, 33. Hyades, const.,53. Hydre de Lerne, 113. H
1. Personne, ruse d’Ulysse au moyen de ce nom, 151. Phaéton, fils d’
Apollon
, 34. Phaéton, un des chevaux de l’Aurore, 86. P
onges, 84. Phocide, c. de la Grèce, 135, 148. Phœbus, un des noms d’
Apollon
, 34. Phorbas, berger, 137. Phorcys, div. mariti
chille, 147. Pythagore , philosophe grec, 157. Pythie, prêtresse d’
Apollon
, 459. Pythien, surnom d’Apollon, 32. Pythiens e
ophe grec, 157. Pythie, prêtresse d’Apollon, 459. Pythien, surnom d’
Apollon
, 32. Pythiens et Pythiques, jeux en l’honneur d’
en, surnom d’Apollon, 32. Pythiens et Pythiques, jeux en l’honneur d’
Apollon
, 32, 155. Pythonisse, prêtresse d’Apollon, 32.
iques, jeux en l’honneur d’Apollon, 32, 155. Pythonisse, prêtresse d’
Apollon
, 32. Q Quinquatria, fêtes de Minerve, 46.
2. Voir plus haut, p. 23 [Jupiter, § 6]. 3. Voir plus haut, p. 33 [
Apollon
, § 4]. 4. Voir plus haut, p. 45 [Minerve, § 2].
: c’étoient Jupiter, Junon, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta,
Apollon
, Diane, Vénus, Mars et Vulcain. Les huit autres é
x en fut si violemment irrité, qu’il voulut foudroyer Périphas ; mais
Apollon
intercéda pour lui, et obtint qu’il fût changé en
onte ainsi la naissance de ces deux enfants : Junon, suivant l’avis d’
Apollon
, mangea, au banquet de Jupiter, un plat de laitue
e des dieux, ayant découvert cette conspiration, l’exila du ciel avec
Apollon
et les autres conjurés. Laomédon élevoit alors le
autres conjurés. Laomédon élevoit alors les murs de Troie. Neptune et
Apollon
l’aidèrent dans cette entreprise. Mais lorsque le
nda la ville et suscita un monstre marin qui désoloit tout le rivage.
Apollon
y envoya la peste. L’oracle consulté répondit que
, fils de Maris, et père de Coronis, voulut se venger de l’insulte qu’
Apollon
avoit faite a cette nymphe ; il alla mettre le fe
it faite a cette nymphe ; il alla mettre le feu au temple de Delphes.
Apollon
le tua à coups de flèches, et le précipita dans l
ouvroit neuf arpents de terre, voulut attenter à l’honneur de Latone.
Apollon
et Diane, pour venger leur mère, le tuèrent à cou
Oui ; et il étoit lui-même un voleur très-habile. Il déroba un jour à
Apollon
sa lyre, ses armes, et le troupeau qu’il gardoit
ient au nombre de neuf, en l’honneur des Muses. Mercure fit présent à
Apollon
de cet instrument. Minerve. D. Racontez-nou
et leurs toiles furent changées en feuilles de vigne ou de lierre.
Apollon
. D. De qui Apollon étoit-il fils ? R. Apol
angées en feuilles de vigne ou de lierre. Apollon. D. De qui
Apollon
étoit-il fils ? R. Apollon étoit fils de Jupiter
et qui fut alors rendue stable. Latone s’y réfugia, et y mit au monde
Apollon
et Diane. Apollon fut surnommé Délien, du lieu où
endue stable. Latone s’y réfugia, et y mit au monde Apollon et Diane.
Apollon
fut surnommé Délien, du lieu où il avoit pris nai
a médecine ; il est aussi considéré comme le dieu du jour. D. Comment
Apollon
délivra-t-il la terre du serpent Python ? R. Apo
ion, et dont les poursuites avoient causé tant de tourments à Latone.
Apollon
fit couvrir de sa peau le trépied sur lequel s’as
livide Grossit les flots indignés. ( Rousseau.) D. A quelle occasion
Apollon
fut-il banni du Ciel ? R. Esculape, fils d’Apoll
A quelle occasion Apollon fut-il banni du Ciel ? R. Esculape, fils d’
Apollon
, avoit appris de son père et du centaure Chiron l
qu’un mortel empiétât sur ses droits, foudroya le téméraire médecin.
Apollon
, ne pouvant se venger contre Jupiter même, tua à
t forgé la foudre. Le maître des dieux en fut si irrité, qu’il chassa
Apollon
du ciel. D. Que devint Apollon pendant son exil ?
s dieux en fut si irrité, qu’il chassa Apollon du ciel. D. Que devint
Apollon
pendant son exil ? R. Apollon, dépouillé de tout
igue, implora le secours de son père, qui la métamorphosa en laurier.
Apollon
en détacha un rameau dont il se fit une couronne,
es poëtes. Aux plus savants auteurs, comme aux plus grands guerriers
Apollon
ne promet qu’un nom et des lauriers. ( Boileau.)
uerriers Apollon ne promet qu’un nom et des lauriers. ( Boileau.) D.
Apollon
ne fut-il pas aussi malheureux dans ses amitiés q
ui porté son nom. Le père et la mère d’Hyacinthe voulurent venger sur
Apollon
la mort de leur fils. Apollon s’enfuit dans la Tr
a mère d’Hyacinthe voulurent venger sur Apollon la mort de leur fils.
Apollon
s’enfuit dans la Troade, où Laomédon l’employa av
vec Neptune à bâtir les murs de Troie. D. Comment finit la disgrâce d’
Apollon
? R. La colère de Jupiter s’apaisa. Apollon fut
ment finit la disgrâce d’Apollon ? R. La colère de Jupiter s’apaisa.
Apollon
fut rappelé dans le ciel, où il reprit son rang,
hargé de distribuer la lumière à l’univers. Comme père de la lumière,
Apollon
est appelé Phébus ou le Soleil. On le représente
de Phaéton, fut métamorphosé en cygne. D. Dites un mot des oracles d’
Apollon
. R. Apollon eut des oracles sans nombre. Les plu
it couverte de la peau du serpent Python. D. Que devons-nous savoir d’
Apollon
, considéré comme l’inventeur de la poésie et de l
Piérius ou le Pinde, parce que toutes ces montagnes sont consacrées à
Apollon
et aux Muses. On l’appelle encore le sacré vallon
égase passe pour être la monture des bons poëtes. D. Quelle vengeance
Apollon
tira-t-il de Midas ? R. Pan avoit eu la témérité
la témérité de prétendre que sa flûte devoit l’emporter sur la lyre d’
Apollon
. Midas, roi de Phrygie, fut pris pour juge, et ad
e Phrygie, fut pris pour juge, et adjugea la victoire à Pan, son ami.
Apollon
, pour s’en venger, fît présent à Midas d’une pair
pour s’en venger, fît présent à Midas d’une paire d’oreilles d’âne.
Apollon
ne veut pas qu’une oreille si dure De l’oreille d
puis ce temps un sable d’or avec ses flots. D. Dites quelle vengeance
Apollon
tira pareillement de Marsyas. R. Marsyas étoit u
es, qui les conduisirent l’un et l’autre à Nyse, où ils rencontrèrent
Apollon
. Fier de ses nouvelles découvertes, Marsyas eut l
cepté, à condition que le vaincu seroit à la discrétion du vainqueur.
Apollon
l’emporta sur son rival, et l’ayant attaché à un
om, et qui traversoit la ville de Célène, dans la Phrygie. D. Comment
Apollon
est-il représenté ? R. Apollon est représenté so
par quatre chevaux placés de front. D. Quel étoit l’oiseau consacré à
Apollon
? R. C’étoit le corbeau, parce que cet oiseau pr
. La fable dit que le corbeau avoit d’abord le plumage blanc, mais qu’
Apollon
le noircit pour le punir d’un rapport indiscret.
rcit pour le punir d’un rapport indiscret. L’oiseau avoit découvert à
Apollon
l’infidélité de Coronis que ce dieu aimoit. Apoll
avoit découvert à Apollon l’infidélité de Coronis que ce dieu aimoit.
Apollon
, dans un premier transport de jalousie, tua son a
nie, Uranie, Melpomène, Terpsichore et Euterpe. Elles habitoient avec
Apollon
sur le mont Parnasse. D. A quoi préside chacune d
elle fille ? R. Diane étoit fille de Jupiter et de Latone, et sœur d’
Apollon
; on là nommoit Lune dans le ciel, Diane sur la t
illes ; et, fière de sa fécondité, elle se préféra à Latone. Diane et
Apollon
, pour venger leur mère, tuèrent à coups de flèche
sculape. D. De qui Esculape étoit-il fils ? R. Esculape étoit fils d’
Apollon
et de la nymphe Coronis. Il passe pour l’inventeu
, Aristée. D De qui Orphée étoit-il fils ? R. Orphée étoit fils d’
Apollon
et de Clio. Il jouoit divinement de la lyre. A se
la main, D. Faites-nous connoître Aristée ? R. Aristée étoit fils d’
Apollon
et de la nymphe Cyrène. Il aimoit Eurydice qui, f
: Déesse de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’
Apollon
est mon père, Hélas ! du sang des dieux n’as-tu f
acé. C’est peu : pour mieux encore assurer sa victoire, Cassandre, qu’
Apollon
nous défendoit de croire, Rend des oracles vains
être délivré de la poursuite des Furies ? R. Il consulta l’oracle d’
Apollon
, qui lui répondit qu’il devoit aller en Tauride e
ac de Lyrnesse, avoit pris Chryséis, fille de Chrysès, grand-prêtre d’
Apollon
. Cette jeune captive échut en partage à Agamemnon
ornements sacerdotaux, vint redemander sa fille, qui lui fut refusée.
Apollon
, à la prière de son grand-prêtre, désola le camp
lui fut accordée. On choisit pour le lieu de la cérémonie un temple d’
Apollon
, qui étoit entre la ville de Troie et le camp des
he empoisonnée dans le talon d’Achille. Le héros mourut sur le champ.
Apollon
, dit-on, avoit dirigé la flèche. Polyxène fut inc
rrhus. Car ce prince étant allé à Delphes, pour offrir un sacrifice à
Apollon
, fut tué dans le temple même par Oreste. Hermione
cube ? R. Hécube, épouse de Priam, étoit sœur de Théano, prêtresse d’
Apollon
. Elle eut cinquante fils, qui périrent presque to
sort de Cassandre, sœur de Pâris et d’Hector ? R. Cassandre obtint d’
Apollon
qui l’aimoit, le don de prédire l’avenir. Mais en
toit Laocoon ? R. Laocoon, fils de Priam et d’Hécube, étoit prêtre d’
Apollon
et de Neptune. II fit touts ses efforts pour empê
e colosse de Rhodes. R. C’étoit une statue d’airain qui représentoit
Apollon
. Elle étoit placée à l’entrée du port de Rhodes,
tait vingt ; Jupiter, Junon, Neptune, Cérès, Mercure, Minerve, Vesta,
Apollon
, Diane, Mars, Vénus et Vulcain. Ces douze premier
une femme parfaite. Pallas lui donna la sagesse ; Vénus, la beauté ;
Apollon
, la connoissance de la musique ; Mercure, l’éloqu
iel ; c’est ce qu’on appelle l’Arc-en-ciel, et quelquefois l’Iris.
Apollon
. D. De qui Apollon étoit-il fils ? R. Apollon
pelle l’Arc-en-ciel, et quelquefois l’Iris. Apollon. D. De qui
Apollon
étoit-il fils ? R. Apollon étoit fils de Jupiter
eptune la fit surnager et la rendit stable. D. Sous quels noms divers
Apollon
étoit-il connu ? R. On le nommoit Apollon sur la
. D. Sous quels noms divers Apollon étoit-il connu ? R. On le nommoit
Apollon
sur la terre, et Phébus dans le ciel, parce qu’il
e Dans les lieux où vous revenez. (Quinault.) D. Pourquoi
Apollon
fut-il banni du ciel ? R. Pour avoir mis à mort l
es de la colère de Jupiter. Voici à quelle occasion. Esculape, fils d’
Apollon
et élève du Centaure Chiron dans la médecine, éto
qu’un mortel empiétât sur ses droits, foudroya le téméraire médecin.
Apollon
, qui n’osa s’en prendre à Jupiter, s en vengea su
de leur salaire, ils s’en vengèrent, Neptune en inondant les travaux,
Apollon
en ravageant le pays par la peste. D. Racontez-no
nt le pays par la peste. D. Racontez-nous quelque chose des oracles d’
Apollon
? R. Apollon étoit fameux par les oracles qu’il r
noit, étoit couvert de la peau du serpent Python, monstre horrible qu’
Apollon
avoit tué dans son enfance. D. Qu’est-ce que les
on avoit tué dans son enfance. D. Qu’est-ce que les Poëtes feignent d’
Apollon
considéré comme le Soleil ? R. Ils feignent qu’il
Phaëton, fut métamorphosé en Cygne. D. Quel étoit l’oiseau consacré à
Apollon
? R. C’étoit le corbeau, parce que le Corbeau pré
iscret : il lui avoit découvert l’infidélité de Coronis qu’il aimoit.
Apollon
, dans un premier transport de jalousie, la tua ;
a ; il s’en repentit aussitôt, et la changea en Corneille. D. Comment
Apollon
étoit- il représenté ? R. On le représente sous l
é par quatre chevaux, parcourant le zodiaque. D. Que doit-on savoir d’
Apollon
considéré comme l’inventeur de la poésie et de la
Piérus ou le Pinde, parce que toutes ces montagnes sont consacrées à
Apollon
et aux Muses. Ou l’appelle encore le sacré Vallon
de Daphné. R. Daphné étoit fille du fleuve Pénée. Elle étoit aimée d’
Apollon
, qui la métamorphosa en laurier, un jour qu’elle
es Poëtes. Aux plus savans auteurs, comme aux plus grands guerriers,
Apollon
ne promet qu’un nom et des lauriers. (Boileau.)
s guerriers, Apollon ne promet qu’un nom et des lauriers. (Boileau.)
Apollon
écorcha vif le satyre Marsyas, qui osa le défier,
Sous combien de rapports peut-on considérer Diane ? R. Diane, sœur d’
Apollon
, fille de Jupiter et de Latone, est considérée pa
Il enleva dans le même instant les troupeaux, les armes et la lyre d’
Apollon
, qui étoit alors au service au roi Admette. D. Co
e que la Nymphe Cyparis, sa maîtresse, avoit été changée en arbre par
Apollon
. Echo. D. Qu’étoit Echo ? R. Echo étoit une
Orphée. D. Qui étoit Orphée ? R. Orphée étoit fils de Clio et d’
Apollon
. Il en avoit reçu le talent de toucher la lyre av
des pays qu’elle a parcourus. On prétendoit qu’elle étoit inspirée d’
Apollon
. Elle rendoit ses oracles du fond d’un antre qui
flèche empoisonnée dans le talon d’Achille ; il mourut sur le-champ.
Apollon
, lui-même avoit conduit la flèche. A peine il a
D. Qu’étoit le Colosse de Rhodes ? R. C’étoit une statue d’airain d’
Apollon
. Elle étoit placée au port de Rhodes, et étoit d’
sent faire aux hommes ». Amphiaras. Amphiaras étoit fils d’
Apollon
. Ériphyle sa femme enseigna à Polynice, pour un c
mais encore Phégée et Arsinoé, et ils consacrèrent le fatal collier à
Apollon
. Properce, un de ceux qui donnent le nom d’Alphés
re envoyés en Crète, alla dans le temple Delphinien offrir pour eux à
Apollon
la branche des supplians, qui étoit un rameau de
tagne chérie des Dieux, séjour ordinaire du Dieu Pan, et sur laquelle
Apollon
alloit souvent chanter, en s’accompagnant de la l
eut encore part à l’expédition des Argonautes. Ce fut chez ce Roi qu’
Apollon
, réduit à garder les troupeaux se retira lorsqu’i
’il donneroit à Pélias un char traîné par un lion et par un sanglier.
Apollon
, reconnoissant des services que lui avoit rendus
oubliée par Admète dans un sacrifice solennel fait aux autres Dieux ;
Apollon
appaisa la colère de sa sœur qui depuis ce temps
ère de sa sœur qui depuis ce temps s’unit à lui pour protéger Admète.
Apollon
avoit obtenu des Parques, que lorsque ce Prince t
sa vie à tromper les hommes et les Dieux. Il bâtit les murs de Troye.
Apollon
et Neptune bannis alors de l’Olympe10, condamnés
he contre cet astre ; cette extravagance non-seulement n’irrita point
Apollon
, mais elle lui plut. Le Dieu fit présent à Hercul
tombeau de l’Agile Myrine, une Amazone. Amazonius étoit un surnom d’
Apollon
, parce qu’il avoit mis fin à la guerre des Amazon
ui sachent combien il y a de gloire à être bon ». Aristée.
Apollon
enleva sur le mont Pélion en Lybie, la nymphe Cyr
Aristée, dans la contrée appelée depuis Cyrène, du nom de la Nymphe.
Apollon
confia sa première éducation aux Nymphes, ensuite
ne blessure faite par un sanglier, et le pilote Typhis. Idmon, fils d’
Apollon
et de Cyrène, étoit un fameux devin, quoiqu’il eû
ive Chriséis à Chrisès, père de cette jeune grecque et grand-prêtre d’
Apollon
et il enleva à Achille sa captive appelée Hipodam
l’épouser, Pâris lui décocha une flèche, qui, conduite par la main d’
Apollon
, l’atteignit au talon, Achille mourut de la bless
paroîtroit plus naturelle. Laocoon, fils de Priam, fut Grand-Prêtre d’
Apollon
. Il s’opposa à l’entrée du cheval de bois, mais o
t métamorphosée en chienne. Cassandre, fille de Priam, avoit promis à
Apollon
de l’épouser, s’il lui donnoit l’esprit de prophé
lytemnestre en conçurent tant de joie qu’ils se rendirent au temple d’
Apollon
pour en remercier les Dieux ; car les divinités a
tats, mais les furies le tourmentant toujours, il consulta l’Oracle d’
Apollon
qui lui ordonna d’aller en Tauride enlever la sta
laquelle avoit déjà été métamorphosé le jeune homme de ce nom tué par
Apollon
. Quelques-uns disent que le sang d’Ajax fut chang
eurs filles, son épouse s’appeloit Euridice. En faveur de sa sagesse,
Apollon
le fit vivre trois-cents ans. Idoménée. Id
ntant point leur sanglante origine. Ovide. — Saint-Ange 10 11.
Apollon
, Fils de Jupiter et de Latone. C’est le Die
ésie, de la Musique, de la Médecine et de tous les Arts de l’esprit ;
Apollon
habitoit avec les Muses, le Parnasse, l’Hélicon,
ls Esculape. Jupiter irrité de ce dernier attentat le chassa du Ciel.
Apollon
exilé sur la terre, fut réduit à garder les troup
x sensible à ses malheurs, le rappela dans la Cour céleste. On figure
Apollon
tantôt en jeune homme, une lyre à la main, et des
soit pas secourable ! Ovide. — Saint-Ange 12. Quand
Apollon
quitta les Cieux, Il apprit aux bergers à chanter
ns les Cieux, celui de l’Univers. Blin de Sainmore 13. Reproches à
Apollon
. Père cruel, injuste Dieu, Qui produis l’or p
richis les bons seulement. 14 Comme père de la lumière, on appelle
Apollon
, Phébus ou le Soleil. Palais du Soleil. Sur
icien enchanteur, il endormit au son de la lyre qu’il avoit dérobée à
Apollon
, le vigilant Argus, gardien sévère d’Io. Il dégag
x animal, Bon tout au plus à forger le tonnerre ;
Apollon
, un plat rimailleur ; Le vieux Atlas,
te, avec laquelle il partagea l’empire de la Mer. Chassé du Ciel avec
Apollon
, pour avoir conspiré contre Jupiter, les deux exi
les-nés qui gouvernent le Monde. Voltaire 39. Esculape, Fils d’
Apollon
et de Coronis. Son père en confia l’enfance
Santé, dit-on, Naquit du Dieu de la Lumière ; On croiroit que, fils d’
Apollon
, Aux enfans du Sacré Vallon, Il doit une faveur
ses mains brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane, Sœur d’
Apollon
. Elle présidoit à la Chasse. Dévouée à ce mâ
it le trépas. Nouvel ordre ! chaque colonne, Ouvrage des mains d’
Apollon
, Au lieu d’acanthe se couronne Des rameaux du sac
n globe : et Polymnie à la Rhétorique, le sceptre oratoire à la main.
Apollon
leur frère, est à leur tête. Elles habitoient ave
arny 127. Nos adieux à la plus agréable des Campagnes.
Apollon
, exilé des Cieux, Regretta le Nectar et la douce
quets et les jeux d’Idalie128. Demi-Dieux Janus, Fils d’
Apollon
et de la Nymphe Créuse. Roi d’Italie avant l
si belle histoire. Racine 132. Voyez Ariane. Aristée, Fils d’
Apollon
et de la Nymphe Cyrène. Euridice, femme d’Or
: Déesse de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’
Apollon
est mon père, Hélas ! du sang des Dieux, n’as-tu
excepté au talon, Achille fut atteint d’une flèche du lâche Pâris, qu’
Apollon
dirigea vers l’endroit fatal. Sa valeur fut chant
i dans l’art des sons S’étoit fait une gloire extrême, Qui sembloit d’
Apollon
même Avoir appris les leçons. A Corinthe enrichi
’Amphryse et le bois d’Hélicon, Furent souvent charmés par le chant d’
Apollon
: Le sombre Roi du Styx, aux tendres airs propice
leurs premiers destins. Ovide.— Saint-Ange 197. Orphée, Fils d’
Apollon
et de Calliope. Il jouoit divinement de la Ly
es voyages. Arrivé avec elle à Nisa, le téméraire musicien osa défier
Apollon
au combat de la flûte. Le Dieu de l’Harmonie le v
seils martelés De Cytharède : ah ! quel supplice extrême, Dit
Apollon
, en sursaut, s’éveillant ! C’est Marsyas que
la vraie richesse, décida un jour que la voix de Pan effaçoit celle d’
Apollon
: le Dieu de l’harmonie irrité, lui fit croître d
is, qui l’eût cru ? Phébus eu est la dupe. Le grand Phébus, le divin
Apollon
, Pour ce Falot monta son violon : Il fit bien plu
la manière la plus cruelle pour une mère. Elle fit tuer ses fils par
Apollon
, et ses filles par Diane. La malheureuse Niobé fu
Latone est indignée, et va, dans sa fureur, Implorer, sur le Cynthe,
Apollon
et sa Sœur. Après l’indigne affront que l’on a pu
, Le sujet de ses pleurs et l’exemple du Monde ! C’est trop, dit
Apollon
, c’est trop, n’achevez pas ; Je cours, avec ma Sœ
e cours, avec ma Sœur, punir ces attentats. Soudain, voilant aux yeux
Apollon
et Diane, Un nuage descend sur la cité profane…
grâces et ses traits ; Des beautés d’Oechalie effaçoit les attraits,
Apollon
, sans l’aimer, ne put la voir si belle, Et depuis
eptune fît sortir subitement l’île de Délos, pour lui servir d’asyle.
Apollon
son fils tua depuis le monstre à coups de flèches
tres, Intrus au sacré Vallon, Ils s’érigent en arbitres Des oracles d’
Apollon
: Sans cesse, dans les ténèbres, Insultant les mo
Double-Mont. L’un, appelé Nisa, étoit consacré à Bacchus ; l’autre, à
Apollon
et aux Muses. On donne encore au Parnasse le nom
estimables, s’épigrammatisant les uns les autres. De par
Apollon
, taisez-vous : Vos cris ont fatigué les échos du
eux comme dans l’Aonie, Par le charme puissant de l’antique harmonie,
Apollon
dépouillé de sa divinité Ramenait l’abondance et
Jeux Pythiques. Ils furent institués en mémoire de la victoire d’
Apollon
sur le Serpent Python. La couronne des vainqueurs
de glorieux hasards ; Le chêne couronnoit les vainqueurs de la fête.
Apollon
de laurier ne ceignoit point sa tête, Et tout arb
loisirs par des repas champêtres, Ou sous de verts lauriers célèbrent
Apollon
. Le Pô dans ce jardin prend sa source et son nom,
flots d’or, Qu’il attire les vœux du profane vulgaire ! Ton Permesse,
Apollon
, voilà mon seul trésor. Dans ta coupe, à longs tr
lle à Rome ou dans le sein d’Athène. Là, ton premier encens fume pour
Apollon
; Vers Socrate, à son tour, la Sagesse t’entraîne
sa pompe et sa beauté aux mâles ornemens de son Frère. Rempli d’
Apollon
qui m’agite, J’échappe aux profanes regards ; La
ie, il recommence encor. Sur son char de rubis, mêlés d’azur et d’or,
Apollon
va lançant des torrens de lumière : Quand il quit
vide. Liv. I. 13. [Table des matières] Blin de Sainmore. Le retour d’
Apollon
. 14. [Table des matières] Anonyme. Reproches à A
. Le retour d’Apollon. 14. [Table des matières] Anonyme. Reproches à
Apollon
. 15. [Table des matières] Saint-Ange. Métamorpho
émentant point sa sanglante origine. Ovide. — Desaintange 9 10.
Apollon
, Fils de Jupiter et de Latone. C’est le Dieu
ésie, de la Musique, de la Médecine et de tous les arts de l’esprit ;
Apollon
habitait avec les Muses, le Parnasse, l’Hélicon,
ls Esculape. Jupiter irrité de ce dernier attentat le chassa du Ciel.
Apollon
exilé sur la terre, fut réduit à garder les troup
x sensible à ses malheurs, le rappela dans la cour céleste. On figure
Apollon
tantôt en jeune homme, une lyre à la main, et des
oit pas secourable ! Ovide. — Desaintange 11. Quand
Apollon
quitta les Cieux, Il apprit aux bergers à chanter
e l’Univers. Blin de Sainmore. Comme père de la lumière, on appelle
Apollon
, Phébus ou le Soleil. Palais du Soleil. Sur
icien enchanteur, il endormit au son de la lyre qu’il avait dérobée à
Apollon
, le vigilant Argus, gardien sévère d’Io. Il dégag
x animal, Bon tout au plus à forger le tonnerre ;
Apollon
, un plat rimailleur ; Le vieux Atlas,
te, avec laquelle il partagea l’empire de la Mer. Chassé du Ciel avec
Apollon
, pour avoir conspiré contre Jupiter, les deux exi
gles-nés qui gouvernent le Monde. Voltaire 40. Esculape, Fils d’
Apollon
et de Coronis. Son père en confia l’enfance
e l’homme. A Delphe, en Béotie, et loin des murs de Rome, On consulte
Apollon
, prophète des destins. On demande un remède aux m
vante. Romains, dit cette voix, pourquoi venir si loin ? Ce n’est pas
Apollon
dont vous avez besoin. C’est un fils d’Apollon qu
si loin ? Ce n’est pas Apollon dont vous avez besoin. C’est un fils d’
Apollon
qui seul par sa présence Peut terminer enfin votr
e : C’est le Dieu, c’est lui-même ; adorez, et priez ; Et toi, fils d’
Apollon
, qui nous vois à tes piés, Sois-nous propice enco
s ses mains brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane, Sœur d’
Apollon
. Elle présidait à la Chasse. Dévouée à ce mâ
vit le trépas. Nouvel ordre ! chaque colonne, Ouvrage des mains d’
Apollon
, Au lieu d’acanthe se couronne Des rameaux du sac
n globe : et Polymnie à la Rhétorique, le sceptre oratoire à la main.
Apollon
leur frère, est à leur tête. Elles habitaient ave
Parny 130. Nos adieux à la plus agréable des Campagnes.
Apollon
, exilé des Cieux, Regretta le Nectar et la douce
osquets et les jeux d’Idalie131. Demi-Dieux. Janus, Fils d’
Apollon
et de la Nymphe Créuse. Roi d’Italie avant l
si belle histoire. Racine 136. Voyez Ariane . Aristée, Fils d’
Apollon
et de la Nymphe Cyrène. Euridice, femme d’Or
: Déesse de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’
Apollon
est mon père, Hélas ! du sang des Dieux, n’as-tu
excepté au talon, Achille fut atteint d’une flèche du lâche Pâris, qu’
Apollon
dirigea vers l’endroit fatal. Sa valeur fut chant
s S’était fait une gloire extrême, Qui semblait d’
Apollon
même Avoir appris les leçons. A Corint
’Amphryse et le bois d’Hélicon, Furent souvent charmés par le chant d’
Apollon
: Le sombre roi du Styx, aux tendres airs propice
urs premiers destins. Ovide. — Desaintange 191. Orphée, Fils d’
Apollon
et de Calliope. Il jouait divinement de la Ly
s méprise ! Le voilà : vengeons-nous ! et sa barbare main Au prêtre d’
Apollon
lance un thyrse inhumain. Le thyrse enveloppé de
es voyages. Arrivé avec elle à Nisa, le téméraire musicien osa défier
Apollon
au combat de la flûte. Le Dieu de l’Harmonie le v
la vraie richesse, décida un jour que la voix de Pan effaçait celle d’
Apollon
: le Dieu de l’harmonie irrité, lui fit croître d
iers au Parnasse cueillis, Debout, et revêtu d’une robe à longs plis,
Apollon
d’une main tient sa lyre d’ivoire, Et de l’autre
t le cirque applaudit. Seul épris d’un faux goût, Midas le contredit.
Apollon
ne veut pas qu’une oreille si dure De l’oreille d
ais, qui l’eût cru ? Phébus en est la dupe. Le grand Phébus, le divin
Apollon
, Pour ce falot monta son violon : Il fit bien plu
la manière la plus cruelle pour une mère. Elle fit tuer ses fils par
Apollon
, et ses filles par Diane. La malheureuse Niobé fu
Latone est indignée, et va dans sa fureur Implorer, sur le Cynthe,
Apollon
et sa sœur. Après l’indigne affront que l’on
emple du monde ! Elle eût joint la prière au récit de l’affront ;
Apollon
indigné l’arrête et l’interrompt. O ma mère ! ces
pas ; Des fils de Niobé nous jurons le trépas. Cachés dans un nuage,
Apollon
et Diane Descendent aussitôt sur la cité profane…
ce et ses aimables traits, Des Nymphes d’Œchalie effaça les attraits.
Apollon
sans l’aimer ne put la voir si belle ; Et depuis
eptune fît sortir subitement l’île de Délos, pour lui servir d’asile.
Apollon
son fils tua depuis le monstre à coups de flèches
tres, Intrus au sacré Vallon, Ils s’érigent en arbitres Des oracles d’
Apollon
: Sans cesse, dans les ténèbres, Insultant les mo
Double-Mont. L’un, appelé Nisa, était consacré à Bacchus ; l’autre, à
Apollon
et aux Muses. On donne encore au Parnasse le nom
eux comme dans l’Aonie, Par le charme puissant de l’antique harmonie,
Apollon
dépouillé de sa divinité Ramenait l’abondance et
Jeux Pythiques. Ils furent institués en mémoire de la victoire d’
Apollon
sur le serpent Python. La couronne des vainqueurs
l’or. Verts rameaux du laurier, vous n’étiez point encor ; Et du bel
Apollon
la blonde chevelure De tout arbre sans choix empr
flots d’or, Qu’il attire les vœux du profane vulgaire ! Ton Permesse,
Apollon
, voilà mon seul trésor. Dans ta coupe, à longs tr
lle à Rome ou dans le sein d’Athène. Là, ton premier encens fume pour
Apollon
; Vers Socrate, à son tour, la Sagesse t’entraîne
e sa pompe et sa beauté aux mâles ornemens de son Frère. Rempli d’
Apollon
qui m’agite, J’échappe aux profanes regards ; La
nie, il recommence encor. Sur son char de rubis, mêlé d’azur et d’or,
Apollon
va lançant des torrens de lumière : Quand il quit
sée consacra quelques autres parties de son vaisseau dans le temple d’
Apollon
, sur le mont Parnasse. Les poëtes peignirent ce t
Parnasse. Les poëtes peignirent ce temple comme le séjour ordinaire d’
Apollon
et des Muses. Ils représentèrent le génie de la p
’il fit construire donna lieu de publier qu’elles étaient l’ouvrage d’
Apollon
, et cette ville porta depuis le nom de Mégare. La
l d’envoyer tous les ans à Delphes offrir un sacrifice en l’honneur d’
Apollon
, et l’oracle qu’il consulta lui répondit que l’am
uel on exécuta toujours, par la suite, le vœu fait par Thésée au dieu
Apollon
. Tous les ans on envoyait à Délos des ambassadeur
ait, à l’imitation de Bacchus, consacré sa chevelure dans un temple d’
Apollon
. On nomma sa coiffure théséïde, comme on nommait
de ce terrible sanglier furent long-temps conservées dans le temple d’
Apollon
. Eurysthée ordonna à Hercule de lui amener une bi
la forme d’un athlète, et lutta contre lui. Il combattit aussi contre
Apollon
, et voulut enlever le trépied de Delphes. L’histo
la muse Calliope. L’éclat de ses talens le fit regarder comme fils d’
Apollon
. Musée était son fils. L’application d’Orphée aux
e seul instrument en usage ; il inventa la cythare, et l’on publia qu’
Apollon
et Mercure lui en avait fait présent. Il ajouta d
yer des monumens de leur magnificence et de leurs talens. Temple d’
Apollon
à Delphes. Ce temple n’égalait point par sa s
er à connaître quels étaient les premiers oracles. Thémis, Jupiter et
Apollon
, rendaient seuls autrefois des oracles ; mais, pa
our consulter les oracles. A Delphes, la Pythie ne répondait au nom d’
Apollon
que pendant un mois de l’année. Cette méthode cha
avons déjà rapporté, à l’article de Diane, comment il fut découvert.
Apollon
n’y fut pas d’abord consulté ; Eschyle, dans sa t
t mère de Latone. Cette dernière transmit ses droits à son petit-fils
Apollon
, et depuis ce temps l’oracle de Delphes ne parla
prêtresse reçut le nom de Pythie, à cause du serpent Python, tué par
Apollon
. De jeunes filles encore vierges, et choisies ave
en eut jusqu’à trois. Les oracles ne se rendaient pas tous les jours.
Apollon
n’inspirait ordinairement la Pythie que dans le m
tait défendu, sous peine de la vie, à la prêtresse, d’aller consulter
Apollon
. Alexandre, avant son expédition de l’Asie, vint
e laurier cueillies auprès de cette fontaine. Après ces préparations,
Apollon
avertissait lui-même de son arrivée dans le templ
’instrument dont les prêtres se servaient pour découvrir la volonté d’
Apollon
. Les prêtres ou prophètes étaient chargés de tous
aits, et toujours obscurs ; ce qui avait donné lieu à la raillerie qu’
Apollon
, chef des muses, faisait de très-mauvais vers. Qu
acles ; aucun des dieux cependant n’en avait un aussi grand nombre qu’
Apollon
. Tous n’étaient pas de la même antiquité : chaque
e. On l’appelait Déiphobe. Elle était fille de Glaucus et prêtresse d’
Apollon
. Ce dieu voulut la rendre sensible, et lui promit
nder en même temps de conserver toujours la fraîcheur de la jeunesse.
Apollon
cependant lui offrit cet avantage, si elle voulai
tribuait aux Sibylles ; celle de Cumes, que l’on croyait inspirée par
Apollon
, rendait ses oracles du fond d’un antre placé dan
ge d’ Isaïe et des évangélistes, fait mention de ses galanteries avec
Apollon
. Elle parle de Loth, et se dit chrétienne. Elle r
n représentait sur le théâtre, en l’honneur de Bacchus, de Vénus et d’
Apollon
. Les jeux de la Grèce les plus célèbres furent le
issans. C’était le soleil des Celtes, le même que les Grecs nommaient
Apollon
. Tyr, qu’il faut distinguer de Thor, était un die
rie du paganisme. Le romantisme a détrôné les dieux. Ceci a tué cela.
Apollon
et les Muses n’inspirent plus que M. Viennet. —
des Muses, et leurs harpes d’or retentirent où avait chanté la lyre d’
Apollon
. Pour la seconde fois le grand Pan était mort. In
ées me grimpaient aux mollets. Dans cette extrémité, je n’invoquai ni
Apollon
et ses flèches au long vol, ni Minerve et sa lanc
rs voix à leurs battements d’ailes, chantent en chœur l’hymne sacré d’
Apollon
. Le divin concert s’élève et monte par delà les n
des jardins ? Les mythologues répondent que le cygne était l’oiseau d’
Apollon
, qui lui avait accordé le don de prophétie. Ils a
r les rochers de Cumes, et qu’il y ait élevé un temple en l’honneur d’
Apollon
: « Deux fois, dit le poëte , il essaya de graver
sous le nom d’Esculape. Nous ne parlerons que du plus fameux. Fils d’
Apollon
(le Soleil qui vivifie) et de Coronis (l’Atmosphè
sens, et que l’un ne marche jamais sans l’autre. Pan, le flûtiste, et
Apollon
, le lyrique, disputaient un jour du mérite et du
rivaux, il préféra sottement la flûte à la lyre, l’idylle à l’épopée.
Apollon
était dieu, il était artiste, partant doublement
s s’est fait bel esprit et essaye des airs de pont-neuf sur la lyre d’
Apollon
. Palladium. Les Palladium étaient des image
us servir ? On suspendrait au-dessus l’épée de Damoclès. Trépied d’
Apollon
. Qu’était ce trépied ? — Un vase d’or ou d’air
denominasse Eteoclimene(d).(2) (c). Apollod. l. 1., Hyg. fab. 157.,
Apollon
. l. 2. Argon., Diod. Sic. l. 4. (3). Igino dice,
no degli Eroi alla guerra di Troja (c). (d). Ovid. Epist. 6. (e).
Apollon
. l. I. (19). Cizico sposò una figlia di Merope,
opo la morte del marito, ma che se n’ è anzi ritornata a casa. (a).
Apollon
. l. I. Argon., Apollod. l. I., Conon c. 41. (b).
sa. (a). Apollon. l. I. Argon., Apollod. l. I., Conon c. 41. (b).
Apollon
. l. 4. Argon. (20). Medea co’ suoi incantesimi
impose il proprio nome(d). (b). Declaustre Diction. Mythol. (c).
Apollon
. Rhod. l. 2. (d). Declaustre. Diction. Mythol.
Ippolito, suo figliuolo(e). (e). Quaest. Graec. (f). Scholiast.
Apollon
. (g). Paus. l. 5. (a). Hom. Iliad. l. 2. (1
Ercole(b). (c). Paus. l. 7., Apollod. l. 2. (a). Apollod. l. 2.,
Apollon
. l. 2. Argon. (b). Virg. Aeneid. l. 8. (a).
e Diction. Mythol. (a). Declaustre Diction. Mythol. (b). Schol.
Apollon
. l. 1. Argon. (22). Convien dire, che l’ingordi
u una delle di lei compagne(a). (a). Nat. Com. Mythol. l. 8. (b).
Apollon
. Argon. l. 1. (2). Colui, che manifestò a Castor
elle, dette anch’esse Leucippidi(d). (f). Pherecyd. apud Scholiaso.
Apollon
. (4). Anasi e Mnesinoo ebbero in Argo una statu
), sia rimasto sotto il monte Etna(l). (d). Id. Ibid. l. 2. (e).
Apollon
. l. 3. (7). Omero dice, che il padre di Deucali
. De Nat. Deor. l. 3. (c). Hesiod. Theog. v. 927., Apollod. l. 1.,
Apollon
. Rhod. l. 1. Argen. (d). Pitisc. (e). Hymn.
brother of Thomas Bulfinch. 297. § 129. 298. Apollod. 1. 9. § 1;
Apollon
. Rhod. 1: 927. 299. Ovid, Metam. 6: 667; 7: 143
us. 343. Ovid, Metam. 11: 221-265; Catullus, LXIV.; Hygin. Fab. 14;
Apollon
. Rhod., Argon. 1: 558; Val. Flaccus, Argon.; Stat
Ovid. Met. III, v. 42. (3). Ovid. Met. VI, v. 313 sqq. (4). Schol.
Apollon
. 1, v. 761. (5). Virg. Aen. VI, v. 595 sqq. (1)
. 309. seq. 720. On 11. i. 50 ; and iv. 101. 721. Mytholog. i. 1. “
Apollon
und Artemis.” 722. Tril. 41. 65. 222. 723. Hero
e qu’elle à de beau, de fort ; se sculpte infaticablement a l’image d’
Apollon
, d’Hercule, emprunte l’énergie du second, la svel
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