Ainsi, la conversation des deux amants ne fut pas longue. […] Madame de Montausier mourut le 15 novembre 1671. […] Madame de Sévigné écrivait à sa fille, le 25 décembre 1671 : « Voilà madame Scarron qui a soupé avec nous. […] Elle eut lieu, suivant elle, en 1676, et suivant d’autres en 1673. […] iº Elle est antérieure au 15 novembre 1671, puisqu’elle parle de madame de Montausier, qui est morte le 15 novembre de cette année.
Le 26, madame de Sévigné écrit : « On la croit toute rétablie dans sa félicité. » Enfin, le 2 septembre, elle raconte à sa fille que « la vision de madame de Soubise a passé plus vite qu’un éclair… Au jeu, elle a la tête appuyée familièrement sur l’épaule de son ami. […] Sa faveur était extrême, dit madame de Sévigné dans sa lettre du 26. […] Monsieur y devait aller, peut-être même avec madame de Montespan. » Dans sa lettre du 2 septembre, après le retour de Maintenon, madame de Sévigné écrivait : « La faveur de madame de Maintenon est extrême. » Le 4, on apprend que « Quanto (madame de Montespan) n’a point été un jour à la comédie, ni joué deux jours ». […] Le 11, madame de Sévigné écrit : « Tout le monde croit que l’étoile de Quanto pâlit. […] Elle avait trente-cinq ans en 1676, et, comme disent les Mémoires de Madame, une grosse vilaine taille , qui rappelait ses huit enfants, et elle dansait et se paraît comme une femme de dix-huit.
Deux cents mille écus. […] Deux cents mille écus. […] Cent mille francs. […] ACTE IV. […] ACTE V.
CHAPITRE XIV. […] Mais rapprochons sans partialité les choses qui se ressemblent dans les deux pieces. […] Les deux époux sont instruits secrètement de l’amour de Falstaf : M. […] Il fallut cependant se laisser vaincre en partie, c’est-à-dire que, de quatre mots, Lucile consentit à en écrire trois. […] Elle est intitulée les deux Portraits.
CHAPITRE XX. […] Le valet lui demande cinquante pistoles. […] ACTE I. […] 1674. 43. Elle parut en 1652, dix-sept ans avant M. de Pourceaugnac.
On peut la rencontrer chez Cizeron-Rival dans les Récréations littéraires en 1765 et également dans Les Œuvres de Molière de Bret, dans le « Supplément à la vie de Molière », 1773. Plus tard, elle sera utilisée dans L’Histoire de la vie et des ouvrages de Molière de Taschereau, 1825. […] Fourcroy, Bonaventure de (v. 1610 – 1691) : avocat et poète, ami de Lamoignon, Molière, Boileau, Patru. […] Cette coquille a été corrigée dans l’édition de 1855. […] Cette anecdote figure à la vingt-quatrième place dans l’édition de 1855.
Acte III. […] Acte IV. […] Acte IV. […] Ma culotte s’use en deux ou trois endroits. […] Seulement deux cents francs.
L’Amour médecin, en trois actes, avec un prologue et des entrées de ballet, dont la musique était de Lulli, fut joué, le 15 septembre 1665, à Versailles, où il eut trois représentations de suite. […] Elle fut imprimée en tête de la première édition du Misanthrope, 1667, et les éditeurs de 1682 l’ont conservée. […] Le Misanthrope fut représenté le 4 juin 1666. […] Loin que Le Misanthrope ait été soutenu par Le Médecin malgré lui, cette dernière pièce, jouée six jours après qu’on eut cessé de jouer la première, le fut onze fois de suite avec d’autres ouvrages ; après quoi, les deux pièces furent données ensemble, et ne le furent que cinq fois. […] Suivant le registre de la troupe de Molière, on joua, le 14 septembre 1661, Le Fagotier ; le 20 avril 1663, Le Fagoteux ; et enfin, le 9 septembre 1664, Le Médecin par force.
CHAPITRE XII. […] Opposons deux exemples. […] Il a eu quatre ou cinq cents mots de la langue pour son partage, qu’il blute, qu’il sasse & resasse, & qu’il pêtrit le mieux qu’il peut ». […] ACTE IV. […] Le Capitaine Cléomarque veut emmener la belle, si on ne lui donne deux cents philippes.
ACTE I. […] ACTE I. […] Il ne faut que trois cents écus. […] Trois cents écus ! […] Il mourut en 1709, âgé de soixante & deux ans.
CHAPITRE XXII. […] Cette piece parut à Chambor, le mardi 14 Octobre 1670. […] DON QUICHOTTE, Tome III, Chapitre V. […] Si Dieu me garde mes cinq ou six sens de nature, je m’empêcherai bien de leur donner à jaser ; oui, par ma foi, je m’en empêcherai bien. […] Acte III.
Grégoire redevient joyeux dès qu’il a rendu les cent écus. […] Le 9 novembre suivant, la pièce fut jouée à Paris, sans les intermèdes, et elle eut une dizaine de représentations presque consécutives. […] Elle fut remise, au théâtre de la rue de Guénégaud, le 15 octobre 1688, et elle eut neuf représentations. Au commencement du siècle suivant, le 21 juin 1704, Dancourt la fit reparaître avec un prologue et de nouveaux intermèdes de sa façon : elle eut encore moins de succès. […] André Félibien, né en 1619 et mort en 1695.
Vingt-sept ans ! […] — Vingt-sept ans ! […] a-t-elle été appelée trois fois ! […] Elle débuta le 1er janvier 1793 dans un petit opéra du théâtre Montansier. 1793 ! vingt jours avant le jour fatal !
I. […] Act. 2. […] Act. 1. […] I. […] Act. 2.
Elle mourut en 1665. […] En 1669, on voit le duc de Navailles au siège de Candie. On le voit à Gray en 1674. […] Il obtint de plus une pension de 7 000 liv. […] II.
X. De la Diction. […] ACTE III. […] ACTE I. […] Il vivoit 430 avant J.C. […] Vers du Méchant, acte IV, scene VII.
ACTE V. […] « Huit cents francs. […] « Trois cents livres. […] « Huit cents écus. […] Voilà neuf cents écus marqués en deux articles.
ACTE I. […] ACTE I. […] ACTE I. […] ACTE II. […] Le Cocu imaginaire, acte II, scene XI.
Supposons deux concurrents. […] Acte II. […] Acte IV. […] Acte V. […] V. Timon a creusé son tombeau.
Du Bos, ou Dubos Jean-baptiste, abbé (Beauvais 1670 – Paris 1742) : historien, critique et diplomate français. […] (Le Petit Robert des noms propres 2007). 288. Il y a une erreur ici car dans l’Acte III il n’y a que cinq scènes. […] Ce vers figure à l’Acte III, scène 5, vers 1096.
Acte I. […] Acte I. […] Acte I. […] Acte V. […] je veux que cinq cents diables me tordent le cou, Madame, si....
Ces farces, au nombre de cinq, sont : Le Docteur amoureux, Les trois Docteurs rivaux, Le Maître d’école, Le Médecin volant, et La Jalousie du Barbouillé. […] Rousseau, 5 vol. in-12. Ils y verront que Rousseau, possesseur des deux manuscrits, les avoir envoyés à M. Chauvelin, pour l’édition des Œuvres de Molière, qui a paru en 1754, 6 vol. in-4 ; et, dans une lettre à Brossette, sous la date du 12 décembre 1751, ils liront une analyse du Barbouillé, tout à fait conforme à la pièce qu’ils ont maintenant sous les yeux. […] Cette circonstance suffirait seule pour donner du prix aux deux ouvrages.
acte II. […] Deux vieux à la fois ! […] ACTE I. […] acte IV. […] Piron a mis la même situation dans la Métromanie, acte II, scenes III & IV.
Les trois premiers actes de cette piece furent représentés à Versailles, le 12 Mai 1664 ; à Villers-côterez, chez Monsieur, en présence du Roi & des Reines, le 24 Septembre suivant. La piece entiere fut jouée à Rinci, chez M. le Prince, le 29 Novembre de la même année, & au même lieu le 9 Novembre 1665. Elle parut pour la premiere fois à Paris, sur le théâtre du Palais Royal, le 5 Août 1667. […] Acte III. […] Lettre en vers, de Robinet, du 9 Février 1669.
(Misanthrope, acte 2, scène dernière.) […] 1855. 198. Chapelain, La Pucelle ou la France délivrée, 1656 : poème héroïque. […] Acte II, scène 6, v.769-772. Selon la pléiade, « Un bon mot semblable est recueilli dans la Vie de Malherbe (1672) de Racan, qui circulait sous forme de manuscrit dès les années 1650 » (p. 1461.)
233. Houdon, Jean Antoine (20 mars 1741 – 15 juillet 1828) : sculpteur français. […] 234. Saurin, Bernard Jossph (Paris, 1706 – 17 novembre 1781), avocat au Parlement de Paris, secrétaire du duc d’Orléans, se décida, grâce à une pension de mille écus que lui offrit son ami Helvétius, à écrire pour le théâtre. Malgré l’échec d’une comédie en 1743, puis d’une tragédie en 1752, il persévère et obtint le succès en 1760, et en 1761, il succède à Du Resnel à l’Académie française.
Chapitre IV. […] Pulciani. 1611. […] « Le théâtre se compose de deux parties, dit M. […] Il y a parfois trois rues, parfois deux, ou une seule avec arcades11. […] 1. 11.
On la représenta pour la premiere fois sur le théâtre du Palais Royal le 15 Février 1650. […] Dona Anna paroît en fondant en larmes : elle raconte le malheur qui lui est arrivé, demande vengeance, promet six mille écus à celui qui lui fera voir l’assassin mort, & dix mille à celui qui le prendra vivant. Arlequin a tout entendu : il est tenté de gagner les dix mille écus en accusant son maître. […] Arlequin regrette les dix mille écus. […] ACTE V.
ACTE III. […] I, Discours XXXV. […] Martial, L. II. […] XLI.
En 1659 Monsieur de Molière fit la Comédie des Précieuses ridicules. […] En 1661 il donna la Comédie de L’École des Maris et celle des Fâcheux ; en 1662 celle de L’École des Femmes et la Critique, et ensuite plusieurs pièces de Théâtre qui lui acquirent une si grande réputation, que Sa Majesté ayant établi en 1663 des gratifications pour un certain nombre de Gens de Lettres, Elle voulut qu’il y fût compris sur le pied de mille francs. […] Enfin en 1673 après avoir réussi dans toutes les Pièces qu’il a fait représenter, il donna celle du Malade imaginaire, par laquelle il a fini sa carrière à l’âge de cinquante-deux ou cinquante-trois ans. […] Ceux du Marais y avaient été incorporés en 1673 suivant les intentions de sa Majesté, et par Ordonnance de Monsieur de la Reynie Lieutenant Général de la Police, donnée le 25 Juin de la même année, ce Théâtre fut supprimé pour toujours. Les Comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, qui depuis un si grand nombre d’années portaient le titre de la seule Troupe Royale ont été réunis avec la troupe du Roi le 25 Août 1680 cela s’est fait suivant l’Ordre de sa Majesté donné à Charleville le 18 du même mois, par Monsieur le Duc de Créquy Gouverneur de Paris, premier Gentilhomme de la Chambre en année, et confirmé par une Lettre de Cachet, en date du 21 Octobre.
Il possédait, d’après l’inventaire, malheureusement trop laconique, qui fut dressé de ses livres après son décès, deux cent quarante volumes de comédies françaises, italiennes et espagnoles. […] Il figura, à côté d’eux, dans les fêtes royales, notamment dans le Ballet des Muses, en 1666-1667, auquel les quatre troupes concoururent à la fois. […] Charles Magnin pour son Histoire des marionnettes, et surtout pour son article sur le Théâtre céleste dans la Revue des Deux-Mondes du 15 décembre 1847 ; les deux volumes intitulés Masques et bouffons de M. Maurice Sand, publiés en 1862 ; un article de M. Jules Guillemot sur le Théâtre italien de Gherardi, dans la Revue contemporaine du 15 mai 1866.
Je suppose deux personnages dans une entrevue qu’ils desirent tous deux. […] ACTE III. […] Rôt dans un grandissime bassin en pyramide : une grande longe de veau de riviere, trois faisands, trois poulardes grasses, douze pigeons de voliere, douze poulets de grain, six lapreaux de garenne, douze perdreaux, douze douzaines de cailles, trois douzaines d’ortolans. […] ACTE I. […] Laissez-le-moi finir en deux mots.
CHAPITRE IV. […] Cette comédie fut jouée à Paris sur le théâtre du Petit Bourbon, le 28 Mars 1660. […] Acte II. […] Acte V. […] ACTE II.
CHAPITRE II. […] Le Docteur somme Magnifico de lui rendre les quatre mille écus avec les intérêts ; mais tout s’accorde à l’amiable. […] ACTE IV. […] Acte I. […] ACTE II.
CHAPITRE XV. […] Thomas Inkle, troisieme fils d’un de nos riches Citoyens de Londres, âgé de vingt ans, s’embarqua aux Dunes le 16 de Juin 1647, sur le vaisseau nommé l’Achille, destiné pour les Indes Occidentales. […] tiens, mon ami, voilà deux cents sequins, retourne chez toi, sois heureux & ne hais point les Chrétiens. […] De me mêler des affaires d’autrui pour de l’argent ; de faire souvent réussir les plus désespérées, ou du moins de les faire durer dix ans, quinze ans, vingt ans. […] morgué, Madame, puisque vous en renvoyez tant, que ferez-vous ici de ces trois ou quatre malotrus que vous avez condamnés ?
ACTE III. […] ACTE III. […] Un homme attaqué par trois autres ! […] Mais, ma foi, le secours a servi, & les deux ont fait fuir les trois. […] Palaprat mourut à Paris en 1741, âgé de quatre-vingt-onze ans.
[24, p. 52] Le Trissotin 171 de la comédie des Femmes Savantes, est l’abbé Cotin. […] 172. […] Acte III, scène 3. […] Acte III, scène 2. […] Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 à la vingt-deuxième place.
ACTE I. […] ACTE III. […] Cinquante mille écus, dit-on !... […] Quatre de nos plus gros acteurs vont commencer une représentation la plus éblouissante : ils ont cavé chacun trois mille louis d’or, qheu : je suis curieux de voir douze mille louis d’or sur le tapis : cela ne se voit pas tous les jours. […] Douze mille louis d’or !...
CHAPITRE XI. […] Tous les deux se connoissent pour rivaux, & font en secret mille efforts pour se supplanter. […] Les deux Reines. […] Comédie en prose, en trois actes, de Regnard. […] Comédie en un acte, en vers, de Joseph de la Font, né à Paris l’an 1686, mort dans la même ville le 20 Mars 1725.
Le 13 janvier 1672, elle écrivait encore : « Nous soupons tous les soirs avec madame Scarron. […] Il ne doutait pas que ce ne fut un moyen de plaire au roi et à madame de Montespan : en conséquence, le 11 mars 1672, il remit sur la scène, sous le nom de Femmes savantes, les prudes bourgeoises et beaux esprits qu’il avait si joyeusement travestis en 1669, sous le nom de Précieuses ridicules. […] Dans la clef qu’on a donnée des Caractères de La Bruyère, sur cent noms propres, il s’en trouve quatre-vingts dont l’auteur n’a jamais entendu parler. Pour peindre un personnage idéal, on emprunte des traits à vingt figures, sans avoir l’intention d’en peindre aucune. […] Enfin, rappelons-nous ici deux faits qui repoussent l’insinuation de M.
Quatre pistoles, dit Baron*, après avoir hésité quelque temps. […] 1855. 217. […] Mignot, Jean dit Mondorge (16..–1678) : comédien français. […] Le 28 février 1666, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 1678.
[89, p. 133] 1705, Grimarest, p. 138-139 […] 1775, Anecdotes dramatiques, tome II, p. 393 Pourceaugnac fut fait à l’occasion d’un gentilhomme limousin, qui, dans une querelle qu’il eut sur le théâtre avec quelques comédiens, développa tout le ridicule du plus épais provincial. […] 283. Robinet, Charles de Saint-Jean (1608–1698) : gazetier dès 1642, fonde La Muse héroïque, 1654, et succède à] Loret, de 1665 à 1678 ( ?). [Lors de la querelle de l’École des femmes il écrit un Panégyrique contre Molière, en 1663.]
ACTE I. […] ACTE V. […] ACTE I. […] Il nous reste vingt comédies de lui. […] Il mourut l’an 184 avant Jesus-Christ.
Cette pièce fut représentée pour la première fois, au Louvre, le 29 janvier 1664. […] Cette pièce, représentée le 15 janvier 1665, n’eut un succès que de quinze représentations. […] Cette pièce fut jouée le 13 janvier 1668. […] Il expira le 17 février 1673. […] Il avait alors dix-sept ans.
On en a parlé dans le dictionaire historique éditions de 1725. et de 1732. mais son article mérite les corrections et les additions suivantes. 1°. […] 2°. […] La premiere piéce régulière qu’il composa fut L’Étourdi en cinq actes. […] Moliere avait alors trente-quatre ans.
La conversation tomba insensiblement, vers les trois heures du matin. […] nous sommes à l’affût pendant trente ou quarante ans, pour jouir d’un moment de plaisir que nous ne trouvons jamais. […] j’enrage, dit L… ; Molière a toujours cent fois plus d’esprit que nous. […] Figure dans l’édition de 1855, à la septième place. […] (Furetière, 1690).
CHAPITRE XI. […] Je n’ai que deux mots. […] Moliere avoit dit avant ces trois Auteurs, dans les Fourberies de Scapin, acte II, scene XI : Vraiment oui, de la conscience à un Turc ! […] Il montre à sa femme un porte-feuille valant cent mille écus, qui sont le produit d’une entreprise heureuse dans le commerce. […] Il n’y est pas question des cent mille écus.
Bouhours, Dominique (1628–1702). Ses études terminées au collège de Clermont, il entra dans la Compagnie de Jésus, le 11 septembre 1644. […] Un peu plus tard, en 1662, on le trouve aumônier de la garnison de Dunkerque. […] Racine lui soumet les quatre premiers actes d’une de ses tragédies […]. […] Bouhours mourut à Paris, le 27 mai 1702. […] (DLF XVII, p. 193-195).
[70252, p. 105253] 1704, Furetiriana, p. 323 1705, Grimarest, p. 42-43 1715, Ménagiana, tome IV, p. 7 M. de Mauvilain254, médecin, était ami de Molière. […] Elle est à la trente troisième place dans l’édition de 1855. […] Étant tous deux à Versailles au dîner du roi, Sa Majesté dit à Molière : « Voilà donc votre médecin. […] Elle sera reprise dans la Vie de Molière par Voltaire en 1739. […] Mauvillain, Jean-Armand de : docteur en médecine, doyen de la faculté de Paris en 1666, ami intime de Molière.
ACTE III. […] ACTE III. […] ACTE I. […] ACTE I. […] Je gage qu’on peindroit avec autant de succès l’Homme à bonne fortune de dix-huit ans, de quarante & de cinquante.
Soixante-cinq ans ! […] Ils ont été peut-être dix mille… ! […] Dans deux jours, dans trois jours, demain, peut-être, quel bonheur ! […] Cinquante mille écus ! […] Le Don Juan de Molière est de 1665 ; celui de Regnard est de 1690 ; il venait quatre ans après celui de Baron !
ACTE I. […] ACTE I. […] ACTE II. […] ACTE III. […] Il mourut en 1673, âgé de cinquante-trois ans.
Elle est à la trente huitième place dans l’édition de 1855. 146. Acte I, scène 5, (p. 739, volume I, de la pléiade). […] Rose, Toussaint (Provins, 1615 – Paris, 1701) : d’abord secrétaire particulier de Mazarin, puis attaché par celui-ci, au même titre, au cabinet du roi et président à la Chambre des comptes. […] On le nomma en remplacement de Conrart en 1675, pourvu que ce fût lui qui discourût.
Aristophane l’a réalisé, et il faut bien convenir que deux petites pièces telles que Le Songe d’une nuit d’été et Comme il vous plaira, de Shakespeare, sont deux chefs-d’œuvre, et deux chefs-d’œuvre essentiellement différents du Tartuffe et du Misanthrope. […] Vingt-cinq siècles d’histoire littéraire se chargent de les réfuter toutes. […] Pour citer seulement ici deux noms bien originaux, M. […] Il faut l’avouer : nos trois écoles sont un peu artificielles. […] Ce livre est l’histoire d’un esprit qui a passé par ces trois moments.
[3, p. 35] 1730, ****Ana, p. 18 […] Les deux frères de la demoiselle le joignirent à Douvres, dans le dessein de faire avec lui le coup de pistolet. […] Grammont, Philibert de (1621 – 1707), illustré par les Mémoires d’Ant. […] 137. […] Cette anecdote figure à la trente cinq place dans l’édition de 1855.
CHAPITRE VI. […] Nous les rangerons dans trois classes différentes. […] Je vais mettre trois exemples différents sous les yeux de mes Lecteurs. […] LA VÉRITÉ FABULISTE, Comédie en un acte, jouée le 27 Décembre 1731, par M. […] Comédie en cinq actes, par de Launay.
On verra plus loin comment Dominique Biancolelli, engagé dans la troupe pour l’emploi de second zanni sous le nom d’Arlequin, doubla Trivelin de 1662 à 1671 et joua ensuite les premiers rôles jusqu’en 1688. […] Dix mille écus et la grâce de quatre bandits sont promis à celui qui découvrira le meurtrier. […] — Ne vois-tu pas que c’est un moyen adroit pour te faire gagner quinze mille francs ? Je vais te dénoncer au roi, t’accuser d’avoir tué le commandeur, je reçois les dix mille écus, et nous partageons.” […] Arlequin montre deux fois ses mains pour montrer quelle a vingt ans.
Quatre mots à une ligne ! […] Il est vrai qu’en nous roulant à terre, il laissa tomber de sa poche vingt-cinq ou trente pistoles.... […] Les uns cent pistoles, les autres quatre cents livres ; qui, cent écus, plus ou moins, selon les affaires. […] Arlequin Grapignant, mis au théâtre le 12 Mai 1682, nous fait voir tout cela, en dépit des personnes obstinées à nous soutenir que tout change de face dans moins de cinquante ans. […] Quelqu’un viendra vous dire avec ardeur : Voilà trois cents louis ; jugez en ma faveur.
Despréaux n’oublia pas cette décision de Molière, et en fit un précepte dans son art poétique, chant 4e. […] Nous pouvons remarquer que le nom du frère de Boileau n’est pas le même entre les deux anecdotes. […] Pradon, Jacques, plutôt que Nicolas (Rouen 1644 – Paris 1698) : auteur dramatique français (sept tragédies), surtout connu pour la rivalité qui l’a opposé à Racine, à l’occasion de la cabale de Phèdre. En fait il n’était pas sans talent, et ses premières pièces, Pyrame et Thisbé (1674) et Tamerlan ou la Mort de Bajazet (1675), ont bien réussi ― le succès de celle-ci aurait même été étouffé par Racine. […] De 1678 à 1697, il fit encore représenter quatre tragédies.
Sauf deux ou trois figures de provinciaux burlesques, la province, où il vagabonda pendant douze ans, n’a rien laissé dans son œuvre. […] En vérité, je ne me serais pas absolument ennuyé à Saint-Germain, le 6 février 1670. […] Il y a même, de 1661 à 1662, et de 1662 à 1672, une progression, une marche du moins assez curieuse. […] II ne paraît pas. […] Alceste a vingt-cinq ans et Philinte trente-cinq.
ACTE II. […] ACTE III. […] Elle étoit préparée dès le commencement de la piece par ces deux couplets : ACTE I. […] ACTE III. […] ACTE IV.
CHAPITRE XXXII. […] ACTE II. […] Oui, cent fois. […] ACTE II. […] ACTE III.
CHAPITRE VI. […] Cet exercice dura cent jours. […] Voilà trois présents que je vous envoie ; choisissez-en un. […] On a de lui six comédies. Il mourut sur mer à l’âge de trente-cinq ans.
Cette piece parut sur le théâtre du Palais Royal, le 26 Décembre 1662. […] ACTE I. […] Don Pedre ne pensoit y être que cinq à six jours, il y fut cinq à six mois. […] II. […] Paris, Pierre Bienfait, privilege du 13 Février 1664.
[25176, p. 52-53177] 1715, Ménagiana, tome III, p. 23-24 […] Jamais homme, excepté Montmaur*, n’a été tant turlupiné que le pauvre Cotin ; on fit en 1682, peu de temps après sa mort, ces quatre vers : Savez-vous en quoi Cotin Diffère de Trissotin ? […] Elle figure à la vingt-troisième place dans l’édition de 1855 du Moliérana. 177. Cette anecdote fut reprise chez Bruzen de La Martinière dans Les Œuvres de M. de Molière, 1725 et également dans Les Mélanges historiques d’un auteur inconnu, 1718 (Pierre Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 242-244).
CHAPITRE III. […] Cette piece fut d’abord jouée à Lyon, & ensuite à Paris sur le théâtre du Petit Bourbon le 18 Novembre 1659. […] Elle est imitée d’un entretien comique en six entrées, dialogué en 1656 par M. […] Lorsque les deux bégueules se flattent d’avoir subjugué deux Seigneurs du premier mérite, la Grange & du Croisy arrivent, font dépouiller leurs valets devant elles, en leur disant qu’elles peuvent les aimer, mais qu’ils ne veulent pas qu’ils se servent de leurs habits pour être mieux traités qu’eux. […] 1701. 10.
[39, p. 69] 1705, Grimarest, p. 103-104 […] 207. Dacier, Anne Lefebvre, Mme(1647 – 1720) : érudite française, épouse d’André Dacier, elle traduisit les auteurs grecs et latins et fut à l’origine de la seconde querelle des Anciens et des Modernes. Traductrice de L’Iliade (1699) et de L’Odyssée (1708) d’Homère, elle s’opposa aux libres adaptations de Houdar de la Motte et prit vivement position pour les Anciens dans son traité des Causes de la corruption du goût (1714). (Le Petit Robert des noms propres 2007).
ne pouvoir tirer raison de mes deux tantes ! […] ACTE I. […] ACTE IV. […] Pourquoi pas deux, dit-elle en soupirant, puisque je suis excédée par deux ennuyeux ? […] cela n’a que quinze ans.
[61, p. 99] 1704, Furetiriana, p. 103-105 1742, Bolaeana, p. 104-105 […] 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 33-34 […] 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 128 Racine, après avoir donné son Alexandre 244 à la troupe de Molière, pour le jouer, le retira pour le donner aux comédiens de l’hôtel de Bourgogne. […] De là vint la brouillerie de Racine et de Molière, qui s’étudiaient tous deux à soutenir leur théâtre avec une pareille émulation. […] Racine, Alexandre le grand, 1665 : tragédie en 5 actes et en vers.
Chapitre XV Observations générales sur les six premières périodes du xviie siècle. À la période précédente, qui comprend les dix années de 1650 à 1660, va succéder un nouvel ordre de choses dans l’état, dans les mœurs, dans les lettres. En 1661, Louis XIV, délivré du cardinal Mazarin, se mit en tête de régner par lui-même ; il avait vingt-trois ans ; il était marié. […] Je considère les 800 précieuses ou alcovistes, dont Somaise a donné le nom et la demeure en 1661, comme 800 personnes académiques qui se partageaient en différentes sociétés mixtes de galanterie décente et de langage soigné. […] Ce n’étaient pas encore les chefs-d’œuvre de ces deux poètes, s’en étaient les prémices.
Toujours il y eut deux hommes en lui. […] Ces deux grandes œuvres ne sont que deux parties d’une œuvre unique. […] L. […] Paris, 1861. Page 180.
CHAPITRE IX. […] ACTE II. […] ACTE V. […] ACTE V. […] ACTE V.
Acte III, scène 4. 219. Acte II, scène 3, v. 482. 220. Acte III, scène 6, v.1074-1076.
Ces vers apparaissent dans la tragédie de Racine Britannicus Acte 5, scène 6 v.1691-1692. […] 267. […] (Le Petit Robert 2010). 268. […] (Furetière, 1690).
[72, p. 106-108] 1705, Grimarest, p. 76-77 […] 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 274 On jouait sur le théâtre de Molière une pièce intitulée Dom Quichotte 255. […] Don Quichotte de la Mancha, comédie en 5 actes et en vers, 1638, de Guérin de Bouscal. […] (Furetière, 1690). […] Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 du Moliérana, à la treizième place.
CHAPITRE IX. […] Cependant l’Auteur trouve le secret de filer encore cinq actes ; mais comment ? […] Je leur ai fait voir le danger des deux extrémités ; c’est à eux de choisir un juste milieu, qui ne les force pas à précipiter leurs incidents, ou à les alonger par le secours d’une intrigue à deux fils, comme la Chaussée 25, ou par celui de la diction, dont nous allons parler. […] Il fut reçu de l’Académie Françoise en 1647, & mourut Doyen de cette Académie en 1684, âgé de soixante & dix-huit ans. […] Pierre Claude Nivelle de la Chaussée, poëte dramatique, né à Paris en 1692.
Chapitre III L’Astrée de d’Urfé – Période de 1610 à 1620. […] Le 2e et le 3e vol. parurent un an après le premier ; le 4e parut en 1620 ; le 5e, qui ne parut qu’en 1625, n’est pas de d’Urfé16. […] Plusieurs causes ont concouru au prodigieux succès de cet ouvrage, dont la publication dura quinze ans. […] Cette société ne le rebuta pourtant point : sa femme devint enceinte, une fois, deux fois, même trois fois, mais n’accoucha jamais que de productions informes. […] 18.
CHAPITRE XXVI. […] Tome I, Section XXI, page 157. […] ACTE II. […] 41. […] 42.
Cette petite piece fut jouée au Louvre le 29 Janvier 1664. […] Elle fit ensuite partie des divertissements de l’Isle enchantée 22, & parut sur le théâtre du Palais Royal avec quelques changements, le 15 Novembre de la même année. […] S’il y a dix catégories ou s’il n’y en a qu’une ? […] Louis XIV régala les Reines & toute la Cour d’une fête qui dura depuis le 7 Mai jusqu’au 13 inclusivement du même mois. […] Ils débuterent le 18 Mai, par l’Heureuse Surprise.
Chapitre VII Suite de 1620 à 1629. — Objets des conversations de l’hôtel de Rambouillet. — Conversations de Balzac avec la marquise. […] On ne peut pas dire, pour expliquer cette conformité de sentiments, que madame de Staël fut de deux cents ans en arrière de son siècle, ni madame de Rambouillet de deux cents ans en avant du sien ; elles étaient toutes deux de leur temps, de leur sexe, et toutes deux plus sensibles aux plaisirs de l’âme et de l’esprit qu’à tout autre. […] 27. Ces lettres ne sont point datées dans les nombreuses éditions qui ont été faites des œuvres diverses de Balzac, elles paraissent être de 1620 à 1630, temps où Balzac était âgé de 26 à 36 ans, et la marquise de 38 à 48. On en trouverait probablement la date précise dans l’édition complète des Œuvres de l’auteur, en 2 vol. in-fol., publiée en 1665, après sa mort, par l’abbé Cassaigne, son ami.
Hors Paris, ces souscriptions ne produiront rien; dans Paris, elles n’iront pas à 20,000 francs : 20,000 francs, c’est moins que rien; c’est peu. […] S’ils étaient venus dire : Il existe dans la rue Richelieu une maison branlante, décrépite, de deux ou trois étages, qui a été habitée par Molière. […] Cette maison vaut 40,000 francs; achetons-la. […] Une des joies de mes loisirs est de voir une colonne de quarante ou cinquante pieds monter comme une borne exagérée au milieu d’un embarras de maisons dont la moindre a deux fois la hauteur des plus hautes colonnes. […] Qu’on défende aux journalistes de nommer Molière, dans leurs feuilletons, pendant dix ans, et dans moins de dix ans vous n’en serez plus aux regrets de n’avoir rencontré personne pour remplacer Molière.
Trente ou quarante pistoles. […] Quatre-vingts. […] Quatre-vingts. […] Me manquer de respect pour quatre cents pistoles ! […] ACTE II.
CHAPITRE XIV. […] Si la piece étoit plus longue, le plaisant qui résulte d’abord de l’association de deux maîtres fourbes, auroit bientôt cessé de l’être en amenant la monotonie. […] L’Auteur l’étoit bien moins, lorsqu’il fit parler ainsi son la Montagne, & sur-tout lorsqu’il imagina d’employer cinq à six intrigants de différents états, de différents sexes, pour filer une intrigue qui se dénoue très mal. […] Le Rôtisseur part de là pour lui demander sa pratique, & sur-tout le paiement du repas qu’il a fait servir chez lui, à douze francs par tête. […] Scapin, ne pouvant rattraper sa clef, fait ouvrir sa chambre par un Serrurier, ne trouve plus sa montre, en demande des nouvelles : Arlequin lui apprend qu’il l’a vendue dix louis ; il lui en rend six, & en retient quatre, deux pour payer le dîner qu’il a commandé lui-même, deux pour le souper qu’ils vont manger.
ACTE V. […] ACTE II. […] ACTE II. […] ACTE I. […] Aucun de ces deux motifs ne leur fait honneur.
V. Des Pieces à scenes détachées. […] 4. […] ACTE II. […] ACTE III. […] Cinquante fois au diable le fâcheux !
Il obtint une pension de mille livres en 1663. En 1665. sa troupe fut arrêtée au service du roi. […] Février 1673. […] En voici quatre que l’on ne sera peut-être pas fâché de trouver ici. […] Grimarest l’an 1705.
CHAPITRE XII. […] Cette piece fut représentée à Versailles, le 15 Septembre 1665, & à Paris, sur le théâtre du Palais Royal, le 22 du même mois. […] ACTE III. […] ACTE II. […] 1701.
Il a quarante-deux ans. […] Du rapprochement que je viens de faire entre Arnolphe et George Dandin, je ne veux tirer qu’une conclusion qui me paraît évidente et décisive : Molière nous a peint deux faiblesses, deux ridicules, deux personnages qui se mettent dans leur tort, l’un devant la nature, l’autre devant la société. […] Ce sont les mêmes qui leur servent à tous les deux. […] » reprenait un troisième, encore plus malin que les deux premiers. […] Publié dans La Patrie du 30 août 1886.
ACTE III. […] ACTE I. […] ACTE IV. […] ACTE II. […] Il fut reçu de l’Académie Françoise en 1754, chargé de la rédaction du Mercure en 1755, & il mourut en 1758.
CHAPITRE XIV. […] Cette comédie parut sur le théâtre du Palais Royal le 6 Août 1666. […] Acte II. […] Acte III. […] Passons à la comparaison des deux dénouements.
[48, p. 80-81] 1705, Grimarest, p. 135-136 Molière n’aimait point le jeu ; mais il avait assez de penchant pour le sexe ; la de ***223 l’amusait quand il ne travaillait pas. […] 224. On ne sait rien sur La Barre à part qu’il était musicien selon Les Œuvres de Molière, 1838, p. […] Florimond, Claude Pelissier dit (16.. – 1665) : comédien français. Il fait partie de la troupe du Marais de 1660 à 1665.
Despois et Paul Mesnard, tomes IV et V, Paris, 1878-1880 (Hachette). […] N’est-ce pas avoir deux poids et deux mesures ? […] Voyez la Revue du 15 septembre 1875. […] Voyez Sainte-Beuve, Port-Royal, tome III, livre III, chapitre XV. […] Boileau, lettre à M. le marquis de Mimeure, 4 août 1706.
[4, p. 36] 1705, Grimarest, p. 71-75 […] 1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 509-511 Les mousquetaires, les gardes du corps, les gendarmes, les chevau-légers139 entraient à la comédie sans payer, et le parterre en était toujours rempli ; de sorte que Molière, pressé par les comédiens, obtint un ordre du roi pour qu’aucune personne de sa maison n’entrât sans pays. […] (Furetière, 1690). 140. Cette anecdote, dans l’édition de 1855, est placée à la trente sixième position.
― Je ne serai pas fâché de goûter celui qui peut m’être permis, répondit le fils de l’avocat. ― Eh bien donc, répliqua Chapelle*, mettez-vous dans la tête que malgré tout ce que Molière vous a dit, vous en aurez plus en six moins de théâtre qu’en six années de barreau. […] (I)262 (I) Voltaire adressa un pareil discours au fameux Lekain, lorsque ce dernier lui fit part du dessein qu’il avait de monter sur le théâtre. […] (Furetière, 1690). 262. le (I) indique une note de bas de page dans le Moliérana.
L’acte deux est tout entier sublime. […] Il faut lire cent fois cette pièce et l’admirer chaque fois davantage. […] Les trois premiers actes me semblent infiniment supérieurs aux deux autres. […] Thibaudier ; la seizième, où il vient lire lui-même les vers qu’il a faits ; les deux suivantes, où M. […] Griffon : voilà les deux plus jolies scènes de la pièce.
CHAPITRE VIII. […] Voyons les deux odes. ODE III. […] ODE XXX. […] Sur les onze heures du soir elles me vinrent trouver.
(Perrault, Les Hommes illustres, 1698, p. 218-219). 160. Perrault, Les Hommes Illustres, 1696 – 1700. 161. […] 1855.
CHAPITRE XVIII. […] Ces deux scenes sont tout-à-fait semblables. […] La Fleche annonce à son maître qu’il lui a trouvé quinze mille francs à emprunter, mais au plus gros intérêt : de plus, le prêteur n’ayant que douze mille livres comptant, l’emprunteur sera obligé de prendre, pour les mille écus restants, un vieux lit, un fourneau de brique, un luth, un trou-madame, une peau de lézard, &c. […] Cette comédie a été donnée en 1663, & celle de Moliere a paru en 1668. […] Oui, mon cher ami, lui dit-il, tu feras toujours mes délices, nous ne nous séparerons point, nous vivrons ensemble dix ans, vingt ans, trente ans, & puis....
Chapitre VII. […] C’est en 1607, deux ans et demi après le départ des Gelosi, que fut jouée la petite pièce dont l’Estoile rend compte dans les termes suivants : « Le vendredi 26 de ce mois (de janvier), fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne une plaisante farce, à laquelle assistèrent le roi, la reine et la plupart des princes, seigneurs et dames de la cour. […] J’avais accoutumé de n’en boire qu’à trois sous ; mais, par Dieu ! j’en boirai dorénavant à six sous pour le moins. […] Il est vrai qu’en même temps on jouait La Nouvelle tragi-comique du capitaine Lasphrise (1597), l’immense pastorale des Chastes et loyales amours de Théagène et Chariclée, de Hardy (1601), la Lucelle de Le Jars, en prose, ou de Du Hamel, en vers (1604), ou encore la tragi-comédie de Bradamante, par Robert Garnier, qui datait de 1582, mais dont la vogue était bien loin d’être épuisée, puisqu’elle ne l’était pas encore au temps de Scarron.