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139. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24

Je crois ne pouvoir mieux reconnoître leur mérite, & me déclarer leur admirateur, qu’en les traitant comme Plaute, Térence, Moliere, dont je ferai également remarquer les grandes beautés & les choses qui pourroient être mieux vues.

140. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Il enleve des paquets dont quelques fauteuils sont chargés, & sort, en regardant si tout est bien en ordre. » Ce jeu d’entr’acte remplit, je crois, très mal les vues de l’Auteur ; il ne peut pas lier les deux actes l’un à l’autre, parcequ’il n’y tient pas.

141. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Dans le reste de l’acte, Jarvis arrête à la porte un créancier de son maître dont la vue chagrineroit les Dames, & s’engage à le payer.

142. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

  Quand Armande fait fi du mariage, se plaint de ce qu’il offre de dégoûtant, de la sale vue sur laquelle il traîne la pensée, et qui fait frissonner, quand elle demande à sa sœur comment elle peut résoudre son cœur aux suites de ce mot, c’est la nature, c’est la raison, c’est la morale qui répond par la gracieuse bouche d’Henriette : Les suites de. ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des enfants, un ménage ; Et je ne vois rien là, si j’en puis raisonner, Qui blesse la pensée et fasse frissonner506.

143. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

Le bâtiment s’élève à vue d’œil.

144. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Il les a vues, et il s’est plu à leur donner une place dans la comédie, qui, pour être, comme il le voulait, le tableau du monde, doit reproduire le bien comme le mal. […] Je me la représente volontiers comme une fille de dix-neuf à vingt ans, plutôt petite que grande, plus grasse que maigre, d’une figure ordinaire, qui ne plaît qu’à une vue attentive, mais dont l’effet plus lent est aussi plus durable.

145. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

Quand une belle voit, comme par supplément, Quatre doigts de papier plié bien proprement Hors du corps de la lettre, & qu’avant sa lecture, Car c’est toujours par-là que l’on fait l’ouverture, On voit du coin de l’œil sur ce petit papier : « Monsieur, par la présente il vous plaira payer Deux mille écus comptant aussi-tôt lettre vue, A Damoiselle, en blanc, d’elle valeur reçue »...... […] C’est très bien ; mais si la chambre est trop obscure, les Notaires n’y verront goutte pour écrire le testament ; si l’on apporte des bougies, leur clarté doit trahir Crispin. — Vous êtes aussi trop sévere, me dira-t-on : les deux Notaires ont la vue basse ; d’ailleurs il est très possible que les Notaires ne connoissent pas Géronte, ils peuvent fort bien ignorer s’il est jeune ou vieux. — Il falloit du moins pour cela, que Regnard ne les prît pas dans le voisinage du vieillard.

146. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29

Plusieurs Officiers sont prêts à le servir : il s’éveille ; il est étonné du changement prodigieux qui frappe sa vue.

147. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20

  On peut à première vue douter que le but de la comédie soit purement artistique.

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