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275. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398

M. de Pourceaugnac gagne le frippon d’Exempt à force d’argent : le coquin de Sbrigani fait promettre à l’Exempt qu’il n’abandonnera pas M. de Pourceaugnac ; qu’il s’enfuira avec lui, & qu’il aura grand soin de lui, c’est-à-dire qu’il ne le laissera parler à personne qui puisse l’instruire des tours qu’on lui a joués.

276. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432

Soutenir qu’autre part personne ne voit goutte !...

277. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

La femme de Sganarelle, qui, de sa fenêtre, a vu son époux auprès de Célie, est jalouse, accourt, ne trouve personne sur la scene, ramasse la miniature que Célie a laissé tomber.

278. (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)

Non, Messieurs, je n’attristerai point vos souvenirs, en leur offrant de pareils tableaux, et je me bornerai à énoncer cette opinion, que personne ne contestera sans doute : c’est que le théâtre de ces temps malheureux pourrait aussi en être l’histoire.

279. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102

Il portait à merveille l’habit habillé que personne ne porte plus guère, depuis que nous sommes tous devenus les égaux de nos supérieurs.

280. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Ils se félicitent entre eux de cet usage de faire des cadeaux aux comédiens, usage répandu parmi les villes d’Italie et auquel ne manquent guère les personnes d’un rang distingué.

281. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Il n’échappera à personne que l’arlequinade italienne, telle ou à peu près telle que nous venons de la retracer, était pourtant une transition presque nécessaire entre l’œuvre du Frère de la Merci et l’œuvre philosophique et satirique de Molière.

282. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393

Il fut hier à cette promenade que je vous ai dite, mais en tiers avec Quanto et son amie (madame de Maintenon) ; nulle autre personne n’y fut admise, et la sœur (madame de Thiange) en a été très affligée.

283. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

Rohault, qui en avait été très-satisfait, comme il l’a témoigné à plusieurs personnes.

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