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258. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Je connais des princes du sang38, des princes étrangers39, de grands seigneurs façon de prince, de grands capitaines40, des gentilshommes, des ministres d’état41, des magistrats et des philosophes qui fileraient pour vous, si vous les laissiez faire. » Quelles devaient être les lettres de madame de Sévigné au surintendant Fouquet, lorsqu’en 1654, il se mit en tête de la séduire !

259. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

Mais mon honneur me dit que d’une telle offense Il faut absolument que je prenne vengeance : Ma foi, laissons le dire autant qu’il lui plaira ; Au diantre qui pourtant rien du tout en fera.

260. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

laissez tout cela, & prenez la peine de m’écouter.

261. (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151

La famille Bejard crut devoir se prêter à une précaution nécessaire pour l’exercice des droits que M. de Modène avait l’intention de laisser à ses héritiers légitimes.

262. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIII » pp. 378-393

Je vous prie de ne pas vous laisser surprendre par l’abbé, qui est intrigant, fin et adroit119. » Madame de Montespan, toute contente, fait à madame de Maintenon des amitiés protectrices.

263. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Voilà ce que les mortels n’ont été appelés à voir deux fois ni sur le trône de notre bon Henri IV, ni sur le trône que, suivant la belle expression de Chamfort, Molière a laissé vacant. […] Aimé Martin (dans la belle édition de Molière publiée par le libraire Lefebvre) ne laissent aucun doute à ce sujet.

264. (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89

. […] Il ne laissa point d’enfans de Claire-Élisabeth Béjart, sa femme7. […] Il joüoit les rois et les rôles emportés ; il laissa trois enfans : un fils connu par ses pièces de théâtre79, et deux filles, dont l’une, appellée Mlle d’Ennebault80 étoit comédienne de l’Hôtel de Bourgogne, et l’autre81 de la troupe du Marais. […] Les deux frères ici ne sont point mariés ; ils sont les tuteurs de deux filles qu’un de leurs amis leur a laissées, pour les épouser ou pour les pourvoir, comme bon leur semblera.

265. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

Pour moi, par un malheur, je m’aperçois, Madame, Que j’ai, ne vous déplaise, un corps tout comme une âme; Je sens qu’il y tient trop pour le laisser à part : De ces détachements je ne connais point l’art, Le ciel m’a dénié cette philosophie, Et mon âme et mon corps marchent de compagnie.

266. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60

Laisse-moi méditer.

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