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146. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218

Lothaire s’évade alors : Camille paroît au désespoir d’avoir manqué le traître ; elle veut, dit-elle, se poignarder & se donne un coup très léger dans le bras. […] Timon chasse les premiers à coups de pierres, il rejette les fausses caresses de Mélisse.

147. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Rien ne s’opposait plus à leur union; et ils croyaient, après tant de traverses, toucher au moment le plus heureux de leur vie, lorsque Deprade, que l’on croyait mort, reparut tout à coup avec deux religieux mathurins qui l’avaient racheté. […] Le roi d’Alger (quoiqu’il n’y ait point de roi à Alger) se trouve au port, à la descente des captifs, et ne manque pas de devenir tout d’un coup éperdument amoureux d’Elvire.

148. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38

Oui, vous auriez pitié de l’état de son ame, Connoissant de quel coup vous menacez sa flamme ; Et je ressens si bien la douleur qu’elle aura, Que je suis assuré, ma sœur, qu’elle en mourra, Si vous lui dérobez l’amant qui peut lui plaire.

149. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273

Otez le monologue du Babillard, le coup de pinceau le plus fort manquera à son portrait ; par conséquent le monologue peut aider par lui-même à caractériser un personnage.

150. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Quand elle considérait un objet, elle en voyait le fort et le faible, et l’exprimait en des termes vils et concis, comme les habiles dessinateurs, qui, en trois ou quatre coups de crayon, ont voir toute la perfection d’une figure. » (Mém. de litt., t. 

151. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. Des Caracteres nationaux. » pp. 268-283

On voyoit d’abord un Roi qui, après un entrechat, donnoit un coup de pied dans le derriere à son premier Ministre, celui-ci le rendoit à un second, le second à un troisieme, & enfin celui qui recevoit le dernier coup, représentoit le gros de la nation, qui ne se vengeoit sur personne.

152. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327

Alors le savetier indigné imposa silence à sa femme en lui donnant quelques coups de tire-pied, & en lui disant gravement, Impertinente, c’est bien à vous à vous mêler des affaires de la Cour !

153. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217

Peu à peu cette tumeur grossit, ensuite elle mûrit, ensuite elle creva, ensuite parut la matiere ; mais ce ne fut que huit jours après le coup de forme.

154. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102

spontané de l’auditoire, à la bonne heure, cela se fait vite et bien et tout d’un coup, cela va droit au but.

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