Ô comédiens et comédiennes, jouets brisés par des enfants ! […] Mort le comédien, morte la comédie. […] Des comédiennes épuisées ! […] Notez bien que si je dis le comédien, je dis aussi la comédienne ! […] les mauvais comédiens !
Je commence par Les Comédiennes de Molière. […] En France la renommée des comédiennes a déjà franchi trois siècles. […] Aussi toutes les femmes veulent être comédiennes, ou jalousent les comédiennes. […] A-t-on calomnié cette comédienne par ce quatrain célèbre ? […] On ne saurait mieux pénétrer dans la vie intime de ces figures originales, comédiens et comédiennes, qu’en feuilletant les actes des notaires et les Archives nationales.
Sœur et femme de comédiens, Armande devait naturellement être comédienne ; aussi Molière s’inquiétait-il, au début d’une nouvelle année théâtrale, de lui assurer une place dans la troupe. […] La comédienne fut vite hors de pair et fit encore valoir la femme. […] Mais si un comédien pense et écrit de façon spéciale, encore plus une comédienne, qui joint au tour d’esprit et de langage particuliers à sa profession celui qu’elle doit à son sexe. […] Comédien, sa profession admettait alors bien des licences, et il en prit sa part. […] L’auteur de la Fameuse Comédienne n’en parle pas : cela dérangerait sa thèse.
On exigeait alors des comédiens plus d’études et de connaissances que l’on n’en réclame aujourd’hui. […] Au talent de bien rendre la pensée de l’auteur, le comédien était obligé de joindre celui d’improvisateur. […] Il devint un excellent comédien. […] Ce Raisin devint un comédien excellent. […] Le père et la mère de Baron étaient tous deux de fort bons comédiens.
Mais si la chose est vraie, les amis de ce pauvre Comédien avaient bien raison de le blâmer de n’avoir point accepté cet emploi. […] Si ce principe est vrai, les Comédiens doivent tous être de bons Acteurs, puisqu’ils n’épargnent rien pour bien élever leurs enfants. […] L’aventure du jeune homme qui veut se faire Comédien est moderne, ou elle est double. Car je sais qu’une personne, qui a assez bonne réputation parmi les Gens de Lettres, fut un jour demander à Roselis un semblable conseil, à quelques circonstances près ; car il donna à ce Comédien l’alternative entre la profession de Jésuite, ou celle de Comédien. […] C’est, dit-il, un vol que ce jeune homme fera au Public s’il ne se fait Prédicateur ou Comédien.
LES COMÉDIENS DE M. […] Les comédiennes de la troupe étaient d’une singulière fécondité. […] Les plus grands personnages, les princes, les rois mêmes, étaient souvent mêlés aux comédiens et aux comédiennes de profession. […] Les deux époux y sont dits comédiens de la troupe de M. le prince de Conti. […] Les comédiens de S.
le poète incomparable et l’immortel comédien ! […] Heureusement, la mémoire des comédiens, non moins que le souvenir des spectateurs, ont sauvé de l’oubli Le Médecin volant et la Jalousie de Barbouillé, deux précieux et charmants canevas du comédien vagabond Molière. […] Il s’est rencontré des biographes trop patients pour expliquer de diverses façons cette éclipse des nouveaux comédiens. […] Un jour, il rencontre un malheureux comédien de campagne, épuisé, mort de faim, et mal vêtu : — Que ferais-tu ? […] On bat des mains, on applaudit ; on trouve que le comédien n’a jamais mieux joué.
La salle du Petit-Bourbon lui fut accordée, pour y représenter la comédie alternativement avec les comédiens italiens. […] Il n’y avait point de comédien dans les autres qui ne briguât des places dans la sienne. […] Ces comédiens étaient en possession de ce théâtre, lorsque le roi permit à Molière et à sa troupe de s’établir à Paris, sous le titre de la Troupe de Monsieur, et de jouer alternativement avec les comédiens italiens. […] Molière, chef de la Troupe des comédiens de Monsieur, frère unique du roi, in-12, Paris, Jean Ribou, 1660. […] [Note marginale] COMÉDIENS ESPAGNOLS.
Toutes les Troupes de Comédiens ont ajusté ce sujet à leur Théâtre. […] « Avez-vous envie, lui dit-il, d’en faire un Comédien ? […] De la conduite des comédiens. » (DLF XVII p. 272). […] – Paris, 1686) : comédien, joua à Rouen, puis sans doute à Grenoble. […] Montfleury, pseudonyme de Zacharie Jacob (en Anjou 1600 – Paris 1667) : comédien français de l’Hôtel de Bourgogne à partir de 1638. fils de comédiens, marié à une comédienne qui lui donnera six enfants ; deux seront comédiennes et un deviendra auteur dramatique.