voilà un beau jour ! […] quoi de plus beau ? […] Beau spectacle ! […] ce beau Regnard ! […] sur la belle humeur.
Le beau remède, en effet, aux fêtes de l’amour et aux charmantes folies de la jeunesse, que de se mettre à se moquer et à rire. […] Le parterre, habitué à toutes les vieillesses du théâtre, demande quel est l’âge de cette belle enfant ? […] Qu’a-t-elle fait de ses belles épaules si bien cachées, qu’on les devinait à peine ? […] Il était — après madame de La Vallière — le plus bel ornement de ces fêtes brillantes qu’admirait l’Europe entière. […] La belle raison !
En 1637, elle faisait les beaux jours du Languedoc et de la Provence. […] vous ouvrez, belle farouche ! […] ô belle bouche ! […] Pour lui qui rêvait à la belle étoile, il importait peu, hélas ! […] Ou eut beau faire, elle partit aux fêtes de Pâques.
Celle-ci, sans doute, est si belle, Que l’on dit beaucoup de bien d’elle ; Et selon les beaux jugements. […] « Je suis toutefois obligé d’avouer, pour rendre justice à ce que son auteur a de mérite, que cette pièce est un monstre qui a de belles parties, et que jamais l’on ne vit tant de si bonnes choses ensemble. […] Dans cette comédie le coup de théâtre ou surprise de pensée que je crois la plus belle qu’on puisse trouver, et que je donnerais pour modèle en ce genre, n’était que bonne dans l’original, mais elle est devenue sublime entre les mains de Molière. […] Et plus bas, page 46 : “Savez-vous bien, monsieur, où tout ce beau raisonnement aboutit ; à une satire de Tartuffe ; l’observateur n’avait garde d’y manquer, puisque ses remarques ne sont faites qu’à ce dessein. […] « Dans la comédie des Fâcheux, qui est une des plus belles de Molière, le fâcheux chasseur, qu’il introduit dans une de ces pièces, est M. de Soyecourt.
Est-il un sort au monde et plus doux et plus beau ? […] quand l’âge nous glace, Nos beaux jours ne reviennent jamais. […] qu’il est doux, belle Sylvie, Ah ! […] Tes ombres et ton silence, Plus beaux que le plus beau jour, Offrent de doux moments à soupirer d’amour. […] Ce beau séjour, Ces doux ramages, Ce beau séjour Nous invite à l’amour.
Madame, quand Oronte De mon amour pour vous vous a fait le beau compte, Ne lui parliez-vous point de l’épouser ? […] Elle étoit belle. […] Elle étoit belle. […] L’un de ses rivaux est furieux, l’autre se doute que les infidélités de leurs belles ne sont que feintes : ils projettent de paroître infideles à leur tour. […] Personnes du bon ton, gens comme il faut, ou du beau monde & du bel air, mots de convention.
Cela est bien fort, ma belle Cousine. […] Ma belle Cousine, je vous montrerois les miennes. […] ma belle Cousine, je vous donnerois ma vie ! […] les beaux vers ! […] cela fait de beau chant !
la belle comédie ! […] Voilà comme il rencontra Molière à Pézenas, où le prince avait une belle maison. […] Ô la belle chose ! […] Égoïste et vaniteux, il ne comprend pas les beaux rires de la jeunesse. […] C’est si beau la jeunesse et si charmant un honnête amour !
Il y a de belles choses dans Shakespeare. […] Il avait peur des épines pour son bel habit de soie. […] C’est là, comme on voit, la belle et simple nature. […] peut-être sera-t-elle belle là-bas. […] que c’est beau !