« Vertu qui a besoin d’être toujours gardée ne vaut pas la sentinelle. » Goldsmilh, Le Vicaire de Wakefield, chap.
Jé té vaille un louis, & m’enseigne où peut être Géronte ? […] Tiens, boilà cé qué jé té vaille pour lui. . .
Enfin, ce singulier point d’histoire littéraire et bibliographique est maintenant éclairci ; et, ce qui vaut mieux encore, le public aura désormais dans son intégrité, sinon un des plus beaux, du moins un des plus étonnants ouvrages qu’ait enfantés le génie de Molière.
Il est enchanté que le premier ait triomphé de sa fille, & dit que ce service vaut sa couronne.
Les premiers vers de Molière ne valaient pas beaucoup mieux que ceux de sa maîtresse, témoin ces stances à Madeleine qui ont été recueillies dans ses œuvres : Souffrez qu’Amour cette nuit vous réveille, Par mes soupirs laissez-vous enflammer ; Vous dormez trop, adorable merveille, Car c’est dormir que de ne point aimer. […] Les deniers comptants, au moins, sont portés pour ce qu’ils valent ; chez Madeleine, il n’y avait pas moins de dix-sept mille huit cent neuf livres un sou, « en espèces de louis d’or, pistoles et pièces de quatre pistoles d’Espagne, et louis blancs de trente sols ». […] Mais Molière n’était pas un ingénu ; il savait ce que vaut la vertu d’une grande coquette courant les provinces sur le chariot du Roman comique. […] Pourquoi requiert notre transport à l’effet d’interroger ladite Bonnard. » On voit que les bonnes servantes du temps de Molière, si regrettées aujourd’hui, ne valaient guère mieux que les nôtres.
Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre ; & il vaut mieux pour elle un honnête homme riche & bien fait, qu’un gentilhomme gueux & mal bâti.
Ce grand honneur ne me vaut rien.
Elles font valoir avec force les liens de la parenté naturelle, les liens qui attachent un fils à sa mère. […] Leurs idées valent beaucoup mieux que leurs passions.