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112. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366

Il mérita, par ses talents & par ses mœurs, la bienveillance de ce Prince, qui l’honora toujours de son estime.

113. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150

Il méconnut d’abord ses talents : il s’adonna sans succès à la comédie & à la tragédie.

114. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102

Elle, cependant — tant elle a poussé loin l’admirable et inépuisable coquetterie de son talent — elle redouble de grâce, d’esprit, de vivacité, de jeunesse ; elle accable ses amis et ses ennemis de toutes ses qualités charmantes ; elle ranime d’un souffle puissant les vieux chefs-d’œuvre qui vont disparaître avec elle !

115. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Survient Lesbino que le capitaine consent à prendre pour page, après lui avoir fait quelques questions bouffonnes sur sa bravoure et sur ses talents militaires.

116. (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366

Les Sosies sont une espèce de traduction de l’Amphitryon latin ; mais l’auteur a eu le goût d’en écarter les plus mauvaises plaisanteries de l’original, et le talent d’y ajouter quelques plaisanteries excellentes dont Molière s’est emparé pour les rendre meilleures encore. […] Molière plaît assez, son génie est folâtre, Il a quelque talent pour le jeu du théâtre, Et, pour en bien parler, c’est un bouffon plaisant, Qui divertît le monde, en le contrefaisant ; Ses grimaces souvent causent quelques surprises ; Toutes ses pièces sont d’agréables sottises ; Il est mauvais poète, et bon comédien ; Il fait rire, et, de vrai, c’est tout ce qu’il fait bien.

117. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Qu’est-ce que le talent du comédien ? […] Le double talent d’écrivain et d’auteur comique ne satisfaisait point son ambition. […] Un caprice, cette fois éclairé, de la puissance souveraine lui en avait communiqué ce qui donne la confiance et la force ; son talent lui fournissait le reste. […] Le talent de Bourdaloue n’eut point les hésitations, les échecs et les lenteurs de celui de Molière. […] Cependant, on le vit un jour monter en chaire avec tout son talent, toute sa réputation, toute sa vertu, pour prêcher contre le Tartuffe.

118. (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873

Baillet††† ce qu’il faut juger de son talent.

119. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168

Barthe : cette piece en est digne à tous égards, puisque l’Auteur est, de nos jeunes Comiques, celui qui fait voir un talent plus décidé ; puisque son ouvrage est resté au théâtre, qu’il a eu le plus grand succès & qu’il le mérite ; puisqu’on y voit des scenes que les maîtres de l’art ne désavoueroient pas ; puisqu’enfin l’Auteur vise à la gloire de faire regner dans ses pieces le ton de la bonne compagnie.

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