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98. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297

Je prends à tache de fixer l’attention sur cette vérité et sur la date précise de 1669, parce que postérieurement aux négociations, à la fin de 1669 et en 1670, nous voyons madame Scarron en correspondance suivie, et toute pieuse, avec un directeur spirituel, nommé Gobelin, que quelques dévotes regardaient comme un saint, mais que madame Scarron traitait comme un sot.

99. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Une noble hardiesse, sans être heureuse, mérite des éloges, quand l’amour seul des beaux arts l’a produite, & non la sotte présomption.

100. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

Il le faut bien, puisque j’ai été assez sotte pour le faire.

101. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421

Je ne veux plus avoir ces sottes complaisances.

102. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

On irait là les examiner, on les mettrait au pas, à l’entre-pas, on les ferait trotter, galoper, et, sans s’amuser à la belle encolure qui souvent attrape les sottes, on ne prendrait que ceux qui ont bon pied, bon œil, et dont on pourrait tirer un bon service.

103. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Mademoiselle Genevote n’étoit pas trop sotte, qui refusoit tantôt de vous épouser, sur ce que l’on assuroit que vous étiez d’humeur, quand elle seroit esclave en Turquie, de l’y laisser. […] Granger qui veut envoyer dire à son fils de se laisser pendre sans dire mot, & de ne point s’affliger parcequ’on le vengera ; Granger, dis-je, qui trouve un moyen aussi sot, aussi plat, aussi révoltant, ne mérite certainement pas d’entrer en comparaison avec Géronte, du moins dans ce moment.

104. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

Despréaux qui la donna à Molièrea. » «  *Molière joua d’abord Cotin sous le nom de Tricotin, que plus malicieusement, sous prétexte de mieux déguiser, il changea depuis en Trissotin, équivalent à trois fois sot. […] “Où a-t-il été déterrer, ajoutait M. le comte de …, ces sottes femmes sur lesquelles il a travaillé aussi sérieusement que sur un bon sujet ?

105. (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944

Quelque sot !

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