Je prends à tache de fixer l’attention sur cette vérité et sur la date précise de 1669, parce que postérieurement aux négociations, à la fin de 1669 et en 1670, nous voyons madame Scarron en correspondance suivie, et toute pieuse, avec un directeur spirituel, nommé Gobelin, que quelques dévotes regardaient comme un saint, mais que madame Scarron traitait comme un sot.
Une noble hardiesse, sans être heureuse, mérite des éloges, quand l’amour seul des beaux arts l’a produite, & non la sotte présomption.
Il le faut bien, puisque j’ai été assez sotte pour le faire.
Je ne veux plus avoir ces sottes complaisances.
On irait là les examiner, on les mettrait au pas, à l’entre-pas, on les ferait trotter, galoper, et, sans s’amuser à la belle encolure qui souvent attrape les sottes, on ne prendrait que ceux qui ont bon pied, bon œil, et dont on pourrait tirer un bon service.
Mademoiselle Genevote n’étoit pas trop sotte, qui refusoit tantôt de vous épouser, sur ce que l’on assuroit que vous étiez d’humeur, quand elle seroit esclave en Turquie, de l’y laisser. […] Granger qui veut envoyer dire à son fils de se laisser pendre sans dire mot, & de ne point s’affliger parcequ’on le vengera ; Granger, dis-je, qui trouve un moyen aussi sot, aussi plat, aussi révoltant, ne mérite certainement pas d’entrer en comparaison avec Géronte, du moins dans ce moment.
Despréaux qui la donna à Molièrea. » « *Molière joua d’abord Cotin sous le nom de Tricotin, que plus malicieusement, sous prétexte de mieux déguiser, il changea depuis en Trissotin, équivalent à trois fois sot. […] “Où a-t-il été déterrer, ajoutait M. le comte de …, ces sottes femmes sur lesquelles il a travaillé aussi sérieusement que sur un bon sujet ?
Quelque sot !