/ 189
137. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447

Je remarquerai seulement que dans cette scene le portrait de Philinte est aussi caractérisé, & marque autant que celui du Glorieux.

138. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492

De là ces pieces où le principal personnage a deux caracteres tout-à-fait opposés, comme nous venons de le remarquer.

139. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276

Cette piece est imitée des scenes que Strabon fait avec Cléanthis dans Démocrite amoureux Nous l’avons remarqué dans le premier volume de cet ouvrage, Chapitre XXIII, des Reconnoissances.

140. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

On a remarqué que lorsqu’un notaire fait une estimation, il a toujours peur d’être pris au mot et d’être forcé de payer ce qu’il estime, tant il estime peu. […] Il est bon de remarquer que Racine ne fit pas jouer à cette actrice celui des rôles de sa tragédie où respire la passion de l’amour, et que, du reste, pour peindre la fidèle Andromaque, le veuvage, très légèrement porté de la Du Parc, ne lui servit pas apparemment de modèle. » L’épitaphe de Robinet prouve qu’à l’hôtel de Bourgogne, la Du Parc avait conservé ses adorateurs du Palais-Royal ; à n’en pas douter, Racine fut du convoi, on le reconnaît dans ces trois vers : Item, les poètes de théâtre Dont l’on, le plus intéressé, Était à demi trépassé. […] Eudore Soulié a fait remarquer à propos de celle-ci qu’elle ne figurait, ni dans le contrat de mariage, ni dans la cérémonie religieuse d’Armande ; elle ne voulut donc pas être des joies de ce mariage. […] Cette bonite créature avait remplacé auprès de l’enfant sa mère véritable ; elle l’avait élevée jusqu’à l’âge de dix ans dans la perspective de blanchir la toile de Hollande. » L’historiographe se hasarde à peindre ainsi son héroïne sans l’avoir vue : « La petite Jeanne se faisait remarquer par une vive intelligence, par une taille déjà gracieuse et bien prise, par une physionomie expressive. » Et à ce propos Filandre, le comédien, chef d’une troupe d’acteurs qui courait les Flandres et les provinces de la république de Hollande, vit Jeanne chez sa blanchisseuse, « II proposa à celle-ci de prendre sa fille d’adoption et de lui donner un état plus brillant. […] Jeanne Bourguignon le remarqua, s’en éprit à cette déclaration et lui déclara qu’elle voulait l’épouser. » Le moucheur de chandelles, Jean Pitel, en vit trente-six chandelles.

141. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93

Je me tus ; & j’ai effectivement remarqué que lorsque nos Auteurs modernes ne peuvent point prendre leurs personnages à Paris, ou dans les maisons brillantes qui parent ses environs, ils vont les chercher hors du Royaume.

142. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302

Je veux faire remarquer que M.

143. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332

Ces sentiments sont excités par un portrait que Silvia a fait mettre dans la poche de Lélio par Arlequin : ce même portrait, & une lettre de Lélio qui est perdue par Arlequin, causent une équivoque qui persuade à Mario que la mélancolie qu’il a remarquée dans son ami n’est causée que par l’amour qu’il a pour sa sœur, & par les efforts que l’amitié fait pour ne point apporter d’obstacle à l’hymen avantageux de Silvia avec le Comte Octavio.

144. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

Voici une beauté suprême qui, je crois, n’a jamais été remarquée : Alceste traite avec le dernier mépris cette femme qu’il adore.

/ 189