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119. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216

Voir le Récit en prose et en vers de la Farce des Précieuses (Paris, 1660), cité par Aimé Martin.

120. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Anseaume et Fuzelier ; elle aimait les vers de Morand, la prose d’Autereau, les rires de Taconet et les obscénités du théâtre des boulevards ! […] Comprend-on, je vous prie, que la vie d’un homme sage se passe ainsi à entendre, chaque soir que Dieu fait, des comédiens et des comédiennes qui récitent, vingt ans de suite, la même prose et les mêmes vers ? […] — Un écheveau de fil sous les griffes d’un jeune chat, n’est pas plus mêlé, plus brouillé et plus enchevêtré d’un fil à l’autre, que tout cet amas de prose et de vers qui se brouillent soudain dans ce cerveau malade ! […] Cet ami de la maison de M. de Vaulabelle était en prose, et fut le bienvenu, grâce au peu de mémoire du parterre, qui ne sait pas que M. de Boissy ait jamais écrit les Dehors trompeurs. […] — Qu’il n’y a de moral que le vieux répertoire, et plaignez-vous en vile prose, des hardiesses de M. 

121. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Une simple observation suffit pour prouver que Les Précieuses ridicules et Les Femmes savantes, ces deux ouvrages dont, en quelque sorte, l’un ouvre et l’autre ferme la carrière dramatique de Molière, sont comme deux actes d’une même volonté, deux résultats d’un même dessein, c’est que la petite pièce en prose est proprement le germe de la grande comédie en vers. […] De plus, ils eurent soin d’avertir, en tête de deux scènes du premier acte et au commencement du troisième acte, que ces deux scènes et cet acte tout entier, dans les éditions précédentes, n’étaient point de la prose de M. 

122. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

On retrouve Mlle Menou dans une lettre mêlée de prose et devers écrite par Chapelle à Molière et, malheureusement, non datée. […] Le passage est éloquent et une grande émotion s’en dégage ; non-seulement il ne part pas d’une plume ordinaire, mais je n’hésite pas à y voir, malgré quelques tournures languissantes et quelques-faiblesses d’expression, un des beaux morceaux de la prose française en sa plus belle époque.

123. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380

LA PARTIE DE CHASSE DE HENRI IV, Comedie en trois actes & en prose.

124. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264

La pièce italienne, qui est en prose, est pleine des bizarreries les plus choquantes ; Molière l’a ramenée aux convenances, à la noblesse et à la dignité même du genre mixte où il s’essayait.

125. (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914

Ils croient de bonne foi que les vers ou la prose, avant de passer par leur bouche, n’ont guère plus de valeur qu’une ébauche.

126. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475

Ce qui restait d’écrivains en prose, c’étaient Mézerai, âgé de 70 ans, qui n’en vécut plus que 3 ; Saint-Évremond, âgé de 67 ans, qui en vécut encore 23, mais en Angleterre ; Ménage, aussi dans sa 67e année, qui en vécut encore 12 à compiler ; Pélisson, âgé de 66 ans, qui en vécut encore 17 à convertir des protestants.

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