C’est de quoi je vous prie et de faire en sorte qu’ils puissent être payés. […] Elmire qui cesse de promener ses yeux de l’un à l’autre, de regarder Marianne pour la consoler, Damis pour le contenir, Cléante pour le prier d’être indulgent, Dorine pour l’empêcher d’aller trop loin ! […] « Au premier Prône qu’il fit, il dît à ses Paroissiens : “Je ne veux pas vous empêcher de prier Dieu pour M. […] Ce seigneur marchand me dispensera, s’il lui plaît, de prier Dieu pour sa santé et succès de son négoce.” […] Je voudrais avoir assez de pouvoir pour obliger le Curé et les habitants de prier Dieu de tout leur cœur pour vous ; vous savez que je ne puis pas connaître ce qui se passe dans l’intérieur.
Sans doute il était très flatteur pour elle que Mgr de Bagni, nonce du Pape, « honorât » l’assemblée du jeudi de sa présence; que Mgr le prince de Conti, voulant « établir par toutes ses terres un bon ordre, »fit prier la Compagnie de lui procurer, par des gens à elle, « des mémoires assurés sur tout ce qui se passait » dans ses domaines; et qu’à la suite de cette enquête officieuse, le prince émerveillé souhaitât d’entrer dans une société dont la dévotion était si bien outillée ; qu’enfin M. le duc d’Orléans lui-même, Gaston, retiré à Blois, put être à peu près considéré comme membre de la Compagnie, tant « il en avait tout l’esprit... » L’estime de ces grands personnages n’allait pas sans grands inconvéniens, car toutes leurs démarches étaient signalées à la police, riche en espions, de Mazarin. Rien d’étonnant donc que le 28 mars 1658, il ait été résolu en la Compagnie de Paris que, pour se cacher mieux, « Messieurs seraient priés de n’amener avec eux que le moins de train qu’ils pourraient, qu’on n’écrirait plus aux groupes de province que des lettres sans suscription et sans signature, qu’on ne donnerait avis des morts qu’une fois par mois et qu’on ne députerait plus de membres de la Compagnie aux œuvres de charité publique. » Toutes ces précautions n’empêchèrent pas que, celte année même, la Compagnie ne reçût le premier des coups qui la désorganisèrent. […] La Compagnie pria les grands officiers du Duc d’Orléans de s’abstenir de la fréquenter, de peur que leur présence ne mit les magistrats blésois sur la piste.
Clitandre amoureux d’Henriette, prie Bélise de lui être favorable.
Le lendemain il pria le roi de trouver bon qu’il allait faire un petit voyage de quinze jours à Liancourt.
Un esclave allant par la ville au point du jour, rencontre une femme qui exposoit une jeune enfant ; il prie qu’on la lui donne, & la porte à Cléostrate, épouse de Stalinon, son maître.
Je vais, suivant la règle de l’école dogmatique française, disparaître moi-même derrière eux, et je prie instamment le lecteur de vouloir bien se souvenir que jusqu’à la Conclusion ce n’est plus moi qui parle, et qu’un auteur comique n’est point responsable des sottises que débitent ses personnages.
Il dit que le maître d’Angélique, étant obligé de partir pour la campagne, l’a prié de donner leçon à sa belle écoliere pendant son absence. […] Il voudroit lui faire parvenir une lettre ; il prie Arlequin de s’en charger : celui-ci refuse, parcequ’il craint d’être battu.
Il prie ses fils de l’acquitter en épousant l’orpheline ; tous trois la refusent par avarice sans la connoître.