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148. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

Quelques années après il perd sa femme, elle meurt entre ses bras, il assiste à ses obseques ; & le lendemain, quand on lui vient dire qu’on a servi, il demande si sa femme est prête & si elle est avertie. […] Quand mon pere mourut, il nous laissa pour vivre Ses dettes à payer, & sa maniere à suivre : C’est, comme vous voyez, peu de bien que cela. […] Il arrive à Tarente, pendant qu’on y célébroit les fêtes de Bacchus, perd son fils dans la foule, meurt de chagrin.

149. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102

Il mourut en 1724.

150. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260

Palaprat mourut à Paris en 1741, âgé de quatre-vingt-onze ans.

151. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351

Un vieillard meurt dans une ville de Bretagne ; il laisse Valere héritier ; & Lucile, jeune veuve, légataire.

152. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311

Vaugelas fut de l’Académie, & mourut, en 1650, fort pauvre : son testament est remarquable.

153. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289

Monsieur, votre oncle vient de mourir.

154. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47

Au milieu du siège, en 1621, Luynes meurt subitement d’une fièvre maligne à l’âge de quarante-trois ans.

155. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

« Le roi, dit un commentateur de Molière, avait vingt-trois ans, son règne commençait; Mazarin venait de mourir; le goût du jeune roi pour la magnificence et les plaisirs fâchait l’ancienne cour, et commençait à former la nouvelle. […] Le dernier jour où il y monta ce fut par un accès de gaîté qu’il dissimula les atteintes du mal dont il allait mourir; mais auparavant que de larmes déjà, que de sanglots étouffés sous de bruyants éclats de rire ! […] Henriette joue dans Les Femmes savantes un rôle assez semblable, quoique moins tragique, à celui que dans une pièce de Hardy joue une malheureuse Hélène, Aristoclée, qui, tirée d’un côté par les gens de Straton, un amant très violent, de l’autre par ceux de Callisthène, un mari qui n’y va pas de main morte, meurt sur la scène à demi écartelée. […] La nature organisée et vivante nous offre plus souvent que la nature morte des tableaux comiques; le règne animal est plus riche en ressources comiques que le règne végétal, et, de tous les animaux, l’homme est incomparablement le plus comique. […] Non, monsieur, j’aime mieux mourir de faim.

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