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152. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316

Mais il m’attaque à part comme un noble adversaire, Sur qui tout son effort lui semble nécessaire ; Et ses coups contre moi redoublés en tous lieux, Montrent qu’il ne se croit jamais victorieux.

153. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332

La scene d’André n’a plus lieu.

154. (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26

Tous les Auditeurs qui étoient à cette représentation s’en indignerent, au lieu qu’on fut ravi à la suivante d’entendre dire : Allez, Monsieur, on voit bien que vous n’avez pas accoutumé de parler à de parler à des visages.

155. (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466

Verrons-nous se succéder les lieux champêtres, les riches vestibules, les arcs de triomphe, les berceaux de verdure « superbes et charmans ? 

156. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

Cette désignation en fait probablement remonter l’origine avant la clôture de 1697 ; mais n’a rien que d’indéterminé en ce qui pourrait concerner Molière, car nous voyons Riccoboni l’appliquer aux pièces de Cintio (Romagnesi) et à quelques-unes de celles que nous venons d’énumérer en dernier lieu.

157. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

Elle offre des dons sans mesure aux plus longues distances de temps et de lieux, dans des pays où vous n’irez jamais, dans des temps que vous ne verrez point, et ne vous assure pas un verre d’eau pour le moment où vous aurez soif : et cependant on a foi dans ses promesses.

158. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

Pour moi, je ne m’en étonne point du tout, et je ne vois pas même qu’il y ait lieu de s’en étonner : nous avons de Molière tout ce qui doit nous toucher, ce sont ses Ouvrages ; et je me mets fort peu en peine de ce qu’il a fait dans son domestique, ou dans son commerce avec ses amis ; nous nous passons de la Vie de bien d’autres personnes illustres dans les Lettres ; nous nous serions aussi bien passés de la sienne.

159. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353

le lieu ?

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