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4. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, p. 178. […] Voir plus haut, p. 178.

5. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

IV, sc II. — Voir plus haut, chap. […] I — Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap.

6. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Cette émotion est la plus haute de toutes celles que l’art peut produire. […] Que vous disent ces nobles et hautes figures ? […] Mais il est, dans son monde poétique, des héros, de plus haute taille que ceux dont on célébrait alors la grâce et la bonne tournure. […] Rambert, il sera difficile de le justifier de cet attentat; mais pour quiconque voit d’un peu haut, le mal date de plus loin. […] En mettant sur la scène son Alceste, qui est bien décidé à n’être fidèle qu’à sa conscience, il rend hommage à une pensée plus haute.

7. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377

C’est un maraud (Haut.) […] qui me doit (Haut.) […] & qui me fait demander (Haut.) […] (Haut.) […] (Haut.)

8. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

La poésie, en les achevant, les appelle à une vérité plus haute et à une vie plus complète. […] Elle osait marcher le front haut et se trahir impudemment. […] Ce fait est, à nos yeux, d’une haute signification. […] Une ambition plus haute ne lui est point interdite; mais cela seul est vraiment important. […] Dans la haute société, l’esprit chevaleresque subsistait.

9. (1901) Molière moraliste pp. 3-32

Il importe évidemment de se garder de considérer l’auteur des Fourberies de Scapin comme un austère philosophe, mettant au service de quelque conception morale abstraite et a priori les intarissables ressources de sa verve et de son haut comique. […] Or, le principe un peu vague, « vivre conformément à la nature », dont il s’est servi, après Rabelais et Montaigne, pour ruiner nombre de préjugés qui lui semblaient fâcheux, ne l’eût certes pas amené à un certain nombre de jugements dont nous avons pu reconnaître la haute sagesse. […] Vous laisserez sans honte immoler votre fille Aux folles visions qui tiennent la famille, Et de tout votre bien revêtir un nigaud Pour six mots de latin qu’il leur fait sonner haut. […] Il a voulu s’élever trop haut. […] De là vient que le Misanthrope est un chef-d’œuvre de haute raison et de pitié profonde.

10. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap. […] Voir plus haut, chap.

11. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

— § IV. 3° De la haute comédie. — Le Misanthrope. […] Nous rions intérieurement, quand le personnage de la pièce est l’homme que nous connaissons : nous rions tout haut de sa caricature. […] Et pourtant, dans ce chef-d’œuvre du haut comique, il n’y a pas de comédie. […] Un seul des amants de Célimène est épris ; c’est Alceste, un honnête homme fâcheux, qui n’a peut-être pas tort de mépriser les hommes, mais qui a grand tort de le dire si haut. […] On ferait tort à la gloire de Molière en la réduisant à trois comédies d’intrigue, à deux comédies bourgeoises, à trois chefs-d’œuvre de haut comique.

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